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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#9,361
 Down to the last message
*** gland déjà posé sur ma fente, il n'a qu'à donner un grand coup de rein pour s'enfoncer en moi.
La nature l'ayant bien équipé, il n'a aucun mal à remplir ma grotte détrempée.
Nous copulons, forniquons sans aucune pudeur.
« Mon fils ne te mérite pas ! Harggg ! Tu es une trop bonne pute ! Reste avec moi ! Je te baiserais jours et nuits. Je te couvrirais d'or et d'argent ! Hummm ! »
« Hooo ! Ouiii ! Baise-moi encore ! Plus fort ! Plus fort ! Haaaa ! Parle-moi encore ! Ouiii ! »
« Ouii ! Je te baise ! Je t'offrirais une grande mai*** ! Hummm ! Tu y recevras tes amants ! Hooo ! Tu te feras sauter comme une putain ! Tu veux dis ? Tu veux ? »
« Hooo ouiii ! Je le veux ! Je le veux ! Je...Je viens ! Ouiii ! Je jouissss ! Hooooo ! »
« Ho oui ! Jouis ma belle pute ! Tiens ! Prends encore ca ! Et ca ! Harggg ! Je viens aussiii ! Hummmm ! »
Secouée par la jouissance, je me couche sur le bureau, au milieu des papiers. Je me soulève, je me cambre pour le recevoir tout entier, encore et encore.
Il s'agrippe à mes seins et soudain il se raidit.
Un dernier grand coup de reins et il se libère au fond de moi. C'est comme si je recevais une décharge électrique. Un nouvel orgasme m'envahit et finit de m'anéantir.
Voilà longtemps que je n'avais pas été si haut dans le plaisir.
Monsieur Félicien s'effondre dans le fauteuil, haletant, en sueur.
Je me redresse doucement et reboutonne ma robe.
« Je dois partir. »
« Ho non, Camille ! Attend encore un peu, je ne t'ai pas montré la scierie. »
« Une autre fois monsieur Félicien. »
« Ho ! Je vois. Tu ne me tutoies plus ? »
« Non, c'est mieux ainsi. Nous avons déliré. C'était exquis, mais soyons réaliste. J'aime votre fils. J'aime Fabien. Et puis, vous avez votre vie, votre femme. »
« Ma femme. Ah, oui. Ma femme. »
Je le sens triste et désemparé. Je me sens tellement coupable.
Et puis je me rappelle d'un truc que j'avais lu sur la jouissance masculine. Il me semble que ca disait que tout de suite après, un homme pouvait se sentir comme dépressif, triste, durant quelques minutes.
Attendrie, je m'approche de lui. Je remonte la fermeture de sa veste, arrange *** col. Je caresse sa joue tendrement et lui donne un petit baiser sur les lèvres.
« Vous êtes un excellent beau papa. A bientôt monsieur Félicien. »
« À bientôt, ma petite Camille. »
Je me dirige vers la porte quand :
« Camille ! Attend ! Je veux te montrer quelque chose. »
Il ouvre une porte.
« Regarde ! »
Je penche la tête dans l'autre pièce. C'est un bureau joliment décoré, très clair, très agréable.
« C'est le bureau de ma secrétaire. Tu la connais, je crois ? »
Ca ! Pour la connaitre, je la connais.
« Valérie. C'est elle qui m'a présenté Fabien.»
« Oui, c'est ca, Valérie. Et bien elle a démissionné, je ne sais pour quelle rai*** obscure. Je n'ai donc plus de secrétaire. Si le poste t'intéresse, il est à toi. Tu auras ce bureau, un autre dans ma mai*** en ville, une voiture de fonction, téléphone, treizième mois. Le travail n'est pas très compliqué, je t'expliquerais tout ca. Prends ton temps, réfléchi. »

Je rentre à la mai***, le cœur en joie.
Fabien, joue à la console, l'air triste. S'en est assez ! Il est temps d'enterrer la hache de guerre.
Je vais dans la chambre, je me déshabille et je m'allonge sur le lit.
« Fabien ! Viens voir, s'il te plaît ! »
Lorsqu'il me voit ainsi, *** visage s'illumine et un grand sourire se dessine sur ses lèvres.
« Chérie ? Tu...Tu me pardonne enfin ? »
« Viens mon Piou-piou ! Baise-moi ! Baise-moi fort ! »
« Ho oui, je vais te baiser ! Mais avant, je vais boire le jus de ton amant ! »
Qu'il me prenne dans les liqueurs de *** père, suffira à étancher ma colère. Qu'il le boive...non, c'est trop.
« Non, Fab ! Prend moi ! Prend moi, tout de suite ! »
Il se déshabille en quatrième vitesse et se jette sur moi.
« Humm ! Tu m'as tellement manqué, mon amour. Je regrette tellement ce que j'ai fait. »
« Prend moi et n'en parlons plus. »
Il s'enfonce en moi. Je sens sa queue progresser dans la sève de *** créateur, que j'ai gardé au chaud, dans mon puits d'amour.
« Humm ! C'est bonnnn ! Ta chatte est bien grasse, bien remplie ! Hummm ! »
Avoir le fils juste derrière le père. Je trouve ca d'une immoralité totale, mais ma vengeance est tellement bonne. Mon seul regret, c'est de ne pas pouvoir lui dire. Je ne veux pas de problèmes entre lui et *** paternel.
Nous prenons un pied phénoménal. C'est bon de retrouver *** amoureux.
Fabien est étendu près de moi, reprenant doucement le contrôle de sa respiration.
« Fab ? J'ai une grande nouvelle à t'annoncer. »
« T'es enceinte ? »
« Idiot ! Hihi ! J'ai trouvé du travail. »
« C'est super ! Et dans quoi ? »
« Comme secrétaire. »
« Un boulot de bureau ? C'est super chouette ! Mais ou ? »
« Heuu ! C'est plutôt avec qui. Je vais être la secrétaire de ton père. Je prends la place de Valérie. »
« Quoi ? Mon père ? Mais... Comment tu.... Tu l'a vu ? Tu sais qui il est ? Tu sais pourquoi Valérie est partie ? Comment te l'a-t-il dit ? Ou l'a tu.... »
Mince ! J'étais tellement contente de lui dire, que je n'ai pas préparé de men***ge. J'improvise.
« Ben ! Je l'ai rencontré durant une ballade. Il faisait un jogging. Il m'a emmené visiter la scierie et il m'a proposé le poste. Voilà ! »
« Mon père ? Faire un jogging ? Hahaha ! C'est aussi probable qu'un homme sur Mars dès demain ! Ou l'a tu rencontré ? »
Il semble très énervé et tendu. Je n'ose pas trop mentir, des fois qu'il prenne des renseignements du coté de *** père.
« Heuu ! Je l'ai croisé au bois. Tu sais celui ou... »
« Ca ne m'étonne pas. Camille, mon père est un queutard. Il a eu quatre secrétaires. Il les a toutes baisées. Y comprit Valérie. C'est pour cette rai*** qu'elle est venue me voir. Elle n'en pouvait plus. Bon ! Ensuite, nous avons déconné. Mais c'est pas ca le problème. Mon père voudra te sauter et... »
Il s'arrête soudain et regarde mon entrecuisse. Il regarde mon vagin recracher un filet de foutre.
Il se pose des questions, j'en suis sur.
Je reprends le dessus.
« Bon ! Je vais prendre une douche. De toute façon, il m'a dit de réfléchir à sa proposition. »
Je le laisse dans le doute. Osera-t-il me poser la question ? Je nierais. Il ne le saura jamais.
Mais que bon papa soit queutard, ca, ca ne me laisse pas de marbre.
J'avoue qu'être la putain du patron me tente assez.
chrislebo

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#9,362
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Ca fait trois mois que je travaille avec mon beau père.
Contrairement aux craintes de Fabien, il est très correct avec moi. Il n'a jamais fait d'allusion sur notre aventure et il est super cool et très agréable.
Il a tenu ses promesses. J'ai une petite voiture sympa, avec toutes les options, un téléphone dernier cri et le forfait de fou qui va avec.
Je fais ce que je veux. Je peux arriver en retard, prendre une journée, ne travailler que cinq heures, je serais payée pareil. Que demander de plus.
Parfois, lorsqu'il a un diner avec des clients, il me demande d'y participer. Il dit que les affaires ***t plus faciles, s'il y a une jolie fille à la table.
Alors, ces soirs là, je m'habille jolie, sexy, mais pas vulgaire.
A ses dires, ca marche et en plus je récupère une petite prime.
La belle vie, quoi !

Mon Piou-piou est de matinée cette semaine. Lorsque je me réveille, il est déjà parti.
Ce matin, j'ai du mal à émerger. Monsieur Félicien devra m'attendre.
Je traine, je me prélasse. Je prends une douche et me ballade nue dans l'appartement en grignotant des petits gâteaux. Je regarde dehors à travers le voilage de ma chambre.
Il fait un soleil merveilleux. Il semble y avoir un peu de vent. J'ouvre la baie et mes rideaux se gonflent de temps en temps comme la voile d'un bateau. C'est une belle journée de fin de printemps qui commence.
Je m'assois au pied de mon lit et je me laisse tomber en arrière sur la couette défaite.
Je rêvasse en regardant le plafond.
Un courant d'air, un peu plus fort que les autres, glisse sur moi et me caresse doucement. C'est comme une main de soie, légère et douce, qui vient de passer sur moi, de ma chatte encore humide de la douche, jusqu'à mes seins.
Humm ! C'est bon !
Ma main descend doucement et vient en contact avec mon clito gonflé. Un doigt glisse sur ma fente, presque machinalement. Une petite pression et il disparait entre mes grandes lèvres.
Trois courants d'air plus tard, je me masturbe avec application et enthousiasme.
Je plie les jambes et écarte mon vagin pour recevoir trois de mes doigts qui vont et viennent en moi, à toute vitesse.
« Ho, ouiii ! Merde ! C'que c'est bon ! Hummm ! Ho putain ! »
Je jouis comme une petite pute et je lèche mes doigts comme une grosse gourmande.
Je devrais avoir honte ! Mais je m'en fou ! Hihihi !
Je me redresse et reprends doucement mes esprits.
A cause du courant d'air, mon voilage c'est ouvert sans que je m'en aperçoive.
Notre chambre est en vis-à-vis. Pendant une fraction de seconde, j'ai bien cru voir un visage deux étages plus haut dans l'immeuble face à notre chambre.
J'approche de la fenêtre et prend le voilage dans ma main pour le refermer, mais j'attends un peu. Je regarde à droite, à gauche, mais du coin de l'œil, je surveille la fenêtre. Mon attente est vite récompensée. Je vois distinctement, un type avec une paire de jumelle, me reluquer caché dans l'angle de sa baie.
Je ne lui montre pas qu'il est découvert et je referme les rideaux.

J'arrive avec une bonne heure de retard au travail. Je m'installe dans mon bureau et me prépare un café.
Monsieur Félicien a du me voir arriver, car il frappe à ma porte.
Il entre, souriant, comme toujours.
« Bonjour ma petite Camille ! En forme ? Tu veux bien me taper ceci et venir me voir ensuite dans mon bureau ? »
« Oui, bien sur ! Je vous fais ca tout de suite. »
Je tape ce qui ressemble à un contrat, et je lui apporte.
« Parfait, parfait ! Assis-toi, Camille. »
Je suis un peu inquiète, car il est très rare qu'il me demande de m'installer dans *** bureau.
« Dis-moi ! Est ce que tu pense que tu pourrais te libérer vendredi soir. Un gros client veut me lâcher et ce serrait une catastrophe pour la scierie. Tu l'a déjà vu je crois. C'est monsieur Idriss. Alors je l'ai invité à diner pour lui présenter un contrat qui devrait mieux lui convenir. »
« Ho, oui, bien sur ! Ca devrait pouvoir ce faire. »
« Heuu ! Ce n'est pas tout. Tu sais Valérie, mon ancienne secrétaire, et bien elle connaissait bien ce client et ses gouts. »
« Ses gouts ? »
« Oui. Ce n'est pas la première fois qu'il veut nous quitter et Valérie a payé de sa per***ne pour sauver cette affaire. Ce type fantasme sur les secrétaires. Haha ! Rassure toi, elle l'a fait d'elle-même, je ne lui ai rien demandé. »
Il rigole, mais il est bien le seul.
« Qu'est ce que vous êtes en train de me faire comprendre ? Que je fasse la pute pour sauver votre affaire ? »
« Non, Camille, pas la pute ! Il n'est pas question qu'il t'achète ! Se serrait comme un service que tu me rendrais, à moi, à la scierie, aux employés, rien d'autre. Et puis, je ne fais que suggérer ! »
Je rentre dans une colère noire.
« Parce que j'ai eu la faiblesse, d'accepter vos avances et de m'être offerte à vous une unique fois, vous me prenez pour votre pute ? Vous osez demander à votre belle fille de se taper un de vos clients ? Avez-vous pensé aux conséquences si Fabien venait à apprendre votre demande ? »
Finalement, je m'amuse bien. Le pauvre ne sait plus ou se foutre. Comment peut-il imaginer que sa proposition, m'emballe. Etre enfin, la putain du patron ! Hummm ! J'adore l'idée.
« Ceci dit, je viendrais tout de même à ce diner. J'ai besoin de ma journée ! Salut ! »
Je ramasse mon sac et je sors.

Je rentre à la mai***.
Je jette un œil à la fenêtre de mon voyeur. Il ne doit pas travailler. Il est là, accoudé à *** garde fou et regarde dans la rue.
Lorsque je tire mes rideaux et que j'ouvre ma fenêtre, il disparait un instant et réapparait à moitié caché, jumelle à la main.
Bien sur, il ignore que je l'ai vu. Je rentre dans ma chambre et je me déshabille. Je sors du linge de mon armoire et je le replie, nue.
J'imagine mon bonhomme, la haut, sa lunette dans une main, sa queue dans l'autre. Hihi ! Je me tourne dos à la fenêtre et je me penche pour ramasser un pull. Je lui présente mon cul et j'aime ca. Il doit se régaler.
Je range mon linge et vais à la fenêtre. Je m'étire langoureusement face à mon voyeur et je referme fenêtre et rideaux. Fin du spectacle, pour aujourd'hui.

Monsieur Félicien ne viendra plus me voir de toute la semaine. Ce matin, vendredi, j'ai trouvé un papier sur mon bureau.
- Hôtel-Restaurant « Le renard d'or » 20h30. Merci et pardon.-
Monsieur Idriss aime les secrétaires ? Il va être servi.

J'arrive au restaurant avec un quart d'heure de retard. C'est voulu bien sur. Il faut savoir se faire attendre.
Je suis habillée en secrétaire modèle. Tailleur cintré gris, avec vue imprenable sur ma poitrine, jupe droite moulante découvrant mes genoux, bas noirs, porte jarretelle, mais ca il faut le deviner, et une paire d'escarpin avec des hauts talons de onze centimètres. Je me suis fait un super chignon et j'ai ressorti une vieille paire de lunette qui me donne un air de maitresse d'école.
Les deux hommes me déshabillent du regard. Mon petit déguisement, semble faire beaucoup d'effet.
Le diner se passe. Monsieur Idriss me drague un peu, mais rien de flagrant. Ce qui m'inquiète, c'est qu'à aucun moment ils ne parlent de ce fameux contrat.
Café, digestif et soudain, monsieur Félicien se lève.
« Bon ! Et bien je vous laisse. Vous avez le nouveau contrat. Étudiez-le et rendez-le à ma secrétaire...signé ! Haha ! »
« Ho, ca devrait être rapide ! Vous savez ce que je veux et ce que je ne veux pas ! »
Mon patron nous salut et il me plante là, avec le client.
« Bon ! Chère Camille ! Je vous propose que nous montions dans ma chambre. Ici, il y a trop de bruit pour me permettre de me concentrer sur la lecture de ce contrat. »
Je n'ai pas trop le choix.
Arrivés dans sa chambre, somptueuse au demeurant, il s'installe sur un coin du lit, et y étale plusieurs documents. Il commence sa lecture, mais s'interrompt rapidement.
« Houlàlà ! Ca ne va pas ca ! Pas question ! »
Je m'approche et me penche sur le document. Je sens le décolleté de ma veste pendre et s'ouvrir. Il doit voir ma poitrine. Mieux, il doit voir que je ne porte pas de soutien gorge.
« Montrez-moi, monsieur Idriss ! C'est peut être une erreur ! »
Les yeux vissés sur ma poitrine, il m'explique *** courroux. C'est un jeu d'enfant que de lui faire changer d'opinion sur toutes ses revendications. Je parviens même à augmenter certaines prestations. Monsieur Félicien sera content je pense.
« Voilà ! Vous n'avez plus qu'à dater et signer ! Ici, s'il vous plait. »
Mais, il voit les choses différemment.
« Vous connaissez Valérie ? »
« Heuu ! Oui, je la connais bien, pourquoi ? »
« Nous étions très complice tout les deux. Je signais ce qu'elle voulait et elle savait me remercier. »
« Je ne comprends pas ce que vous voulez dire ! »
« Mais si ! Tu comprends très bien au contraire ! Je vais prendre une douche. Range les documents et mets-toi à quatre pattes sur le lit ! »
« Mais je... »
Je ne peux pas en dire plus, il disparait dans la salle de bain.
Ouai ! Enfin un peu d'action ! Je jubile.
Je range les docs dans *** porte document, sauf celui à signer, bien sur.
Je défais mon chignon, pose mes lunettes et grimpe sur le lit.
Je m'installe en position de levrette, jambes légèrement écartées et j'attends.
L'eau cesse de couler. Mon cœur commence à taper plus fort. Lorsqu'il sort de la salle de bain, je me surprends à rougir.
Il faut dire qu'il a ôté *** peignoir et me dévoile un corps d'une beauté incroyable.
Ce marocain est taillé dans le roc. *** corps encore humide, dessine des muscles et des abdos magnifiques. Sa peau pain d'épice est couverte d'un poil noir, soyeux et brillant. Je suis en admiration. C'est de loin, mon plus bel amant. Vous parlerais-je de *** dard dressé ? Impressionnant, imposant, tentant.
Il monte sur le lit et se place derrière moi.
Doucement, il remonte ses mains le long de mes jambes, frôlant mes bas de soie. Il relève ma jupe et la roule sur mon dos.
Sa main flatte mon vagin et s'attarde sur mon clito.
« Pourquoi a tu retiré ta culotte ? »
« Je n'en portais pas ! »
Une claque s'abat sur une de mes fesses.
« Monsieur Idriss ! Tu m'appelle monsieur Idriss ! »
Cette soudaine ********** me surprends, mais ne me déplais pas.
« Je n'en portais pas, monsieur Idriss. »
« J'en étais sur ! Tu es une petite salope ! J'ai bien vu que tu ne portais pas de soutif non plus ! »
Accompagnant le geste à la parole, il se couche un peu sur moi et attrape ma poitrine au travers de ma veste et l'écrase entre ses mains puissantes.
« C'est exact, monsieur Idriss ! Je n'en porte pas non plus. »
Je sens sa queue frapper mon vagin. Qu'il me prenne, vite ! Qu'il me prenne !
« Tu sais que tu es beaucoup plus appétissante que Valérie ? J'adore ton cul ! Ton patron a bien fait de t'engager ! »
chrislebo

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#9,363
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« Je le crois aussi, monsieur Idri....Hoooo ! »
Une violente douleur irradie mon antre. *** sexe vient de me pénétrer profond dans l'anus.
Le salop n'a pas prit de gants.
« Monsieur comment ? Salope ! Monsieur comment ? »
« Monsieur Idriss ! Monsieur Idriss ! Moins fort s'il vous plait, monsieur Idriss ! Moins fort ! »
« Tu veux que je signe, oui ou non ? Alors ta gueule salope ! »
Il me faudra un moment, pour qu'à ***** de concentration, la douleur disparaisse, laissant place au plaisir.
« Tu l'aime ma queue ? Hein, putain ? Tu la sens bien dans ton cul de petite morue ? »
« Hoo ouiii, monsieur Idriss ! Hummm, ouiii ! Défoncez-moi bien, monsieur Idriss ! Ouiiii ! »
« Non, ca suffit ! Couche-toi ! Je vais te démonter l'utérus ! Je vais te mettre le ventre à l'envers, salope de secrétaire ! »
*** discourt m'effraie un peu, je l'avoue. Mais je me ré***ne en me disant que Valérie, était surement passée par là. Alors...
Avant que je me tourne, il tire sur ma veste et me l'arrache. Il descend la fermeture éclair de ma jupe, et elle aussi vole dans un coin de la pièce.
Une fois allongée, il lève mes jambes et pose mes talons sur ses épaules.
« Humm ! Tu a de très belles jambes. J'aime les jambes habillées de bas. Tu me gâte, petite putain. »
« Merci, monsieur Idriss. »
Il embrasse mes mollets, mes genoux. Moi, je regarde *** pieu énorme qui pointe vers mon vagin.
Ses mains glissent sur mes jambes, viennent caresser mon sexe, énervent mon clito et remontent jusqu'à mes seins.
« Humm ! Ils ***t parfaits ! Rien à voir avec Valérie. Les tiens se tiennent mieux et ***t bien plus fermes. Hummm ! »
Je le remercie une fois de plus, mais si il savait comme il m'énerve, à me comparer à cette pute de Valérie.
« Dis-moi que tu me veux ! »
« Ho oui, monsieur Idriss ! J'ai envi de vous ! Je veux vous sentir en moi ! Baisez-moi ! S'il vous plait, monsieur Idriss, baisez moi ! Je suis à vous ! Hummm ! »
Je me tortille comme une anguille. Putain ! C'est pourtant vrai que j'ai envi de lui.
Il s'effondre enfin sur moi et me pénètre ***********. De me sentir pleine d'un coup, fait monter mon plaisir en flèche. Mais alors que je commence à gémir de bonheur, il se met à me parler, tout en continuant à me pilonner.
« Tu a déjà baisé avec ton patron ? »
« Hummm ! Quoi ? Pardon ? »
« Est que tu t'es déjà fait troncher par ton patron ? »
« Non, monsieur Idriss ! Jamais ! »
« Ne me mens pas, salope ! »
J'ignore s'il est au courant ou si c'est du bluff. Alors, j'avoue.
« Une fois, monsieur Idriss ! Une fois seulement ! C'était une erreur. »
« Ca te plais d'être la putain de ton patron, réponds ! »
« Je ne suis pas une putain, monsieur Idriss ! Hummm ! Je ne suis pas....Hooo, ouiiii ! »
Sa conversation m'excite et je ne suis pas loin de jouir.
« Si t'es pas la putain de ton patron, pourquoi tu baise avec moi ? »
« Hummmm ! Je suis une...hummmm, ouiiii ! Hoooo ! »
« T'es quoi, sac à foutre ? T'es quoi ? »
« Une salopeeee ! Je suis une salope ! Haaaaa ! Ouiiii ! Je jouiiii ! Hummmm ! Ouiiiii ! »
J'explose. J'ai la sensation d'uriner tant mon plaisir est fort. Je ne crois pas avoir déjà eu, un orgasme de cette intensité. La tête me tourne. Je crois bien m'évanouir un instant.
Lorsque j'ouvre les yeux, monsieur Idriss se vide sur mon visage. Le sperme chaud coule sur mes joues, glisse vers mes oreilles, mes cheveux.
*** foutre est abondant et gras. Il me semble que ca ne s'arrêtera jamais.
« Vas-y ! Nettoies-moi comme il faut ! »
Il plante *** sexe qui se ramolli, entre mes lèvres. Je m'applique à faire disparaitre toutes traces de sa jouissance.
Il respire encore très fort et transpire comme un bœuf.
« Alors toi ! Pour être une bonne salope, tu es une bonne salope ! J'en parlerais à ton patron. »
« Non, s'il vous plait, monsieur Idriss ! N'en parlez pas ! »
« Mais si, mais si ! Il faut qu'il te rebaise à nouveau, putain ! Tu auras une augmentation, c'est sur ! »
Je baisse la tête, honteuse.
« Monsieur Félicien est...mon beau père. »
« Hahaha ! Tu t'es fait baiser par ton beau père ? Hahaha ! Trop fort ce vieux cochon ! »
Il m'insulte, me traite de tout les noms et me fait promettre de baiser de nouveau avec mon patron.
« Aujourd'hui, je signe, mais si tu ne rebaise pas avec lui, je ne signe pas l'année prochaine ! »
Cause toujours mon lapin. Je viens de te faire signer un contrat de cinq ans. Hihihi !

C'est le cœur en fête que je rentre à la mai***.
Il est quatre heures du matin. Je réveille Fabien qui ronchonne un peu.
« Baise moi, s'il te plais ! »
« Putain, Camille ! »
« Oui, c'est ca, chéri ! Camille la putain ! »
« T'es folle ou quoi ? »
« Oui ! Folle de toi mon amour. »
Fabien ne comprend pas tout, mais il commence à me caresser gentiment, quand soudain, au travers des rideaux, j'aperçois la fenêtre du voyeur allumée.
« Attend Fab ! J'ouvre la fenêtre, il fait chaud ! »
« Mais on pourrait nous voir ! »
« Mais non, tout le monde dort ! Et puis on s'en fou ! »
En fait, je ne souhaite qu'une chose, c'est que mon voyeur nous aperçoive. S'il pouvait se mettre à sa fenêtre.
Il doit avoir un sixième sens, car il s'y met. Surprit il se cache rapidement, et nous observe avec ses jumelles. Je n'en dis rien à mon Piou-piou.
Mon chéri jouit et se rendort presque aussitôt.
Je me lève, vais jusqu'à la fenêtre et m'étire gracieusement. Puis, je passe une main sur ma chatte et, me lèche ensuite les doigts avec gourmandise.
Une douche plus tard, la fenêtre de mon curieux est toujours allumée et il me semble bien qu'il épie encore.
J'ai tellement envie de folie. Je reste nue et j'enfile un imper.
Je ne prends même pas le temps de le fermer. Je le maintiens juste de mon poing fermé.
Je saute dans l'ascenseur, traverse la cour, reprends l'ascenseur de la tour d'en face et monte deux étages plus haut que mon appartement.
Se ***t les mêmes bâtiments et je n'hésite pas une seconde pour ***ner à la porte du mateur.
Je pose mon doigt sur le Juda, afin qu'il ne me voit pas au travers de la porte.
« Qui c'est ? »
Je sens sa voix inquiète. Il faut dire qu'à cette heure...
« Une bonne surprise, je crois ! »
« Quoi ? Une bonne surprise ? Qu'est ce que... »
Tout en parlant, il ouvre sa porte. Lorsque je l'aperçois, je lâche mon imper et le laisse s'ouvrir.
Mon bonhomme a encore ses jumelles à la main. Il fait des yeux tout ronds et semble comme paralysé. Il est torse nu et caleçon, qu'une bosse énorme déforme.
« Vous ne m'invitez pas à entrer ? »
Comme il ne bouge pas, j'entre et referme la porte.
Cet immeuble est constitué de petits studios. Celui-ci est la caricature parfaite de celui d'un célibataire. Boites de pizzas, canettes vident, revues pornos et linges sales un peu partout.
Je passe devant lui et je me dirige directement vers la fenêtre. Tout en marchant, je laisse glisser mon imper au sol.
« Humm ! Effectivement ! Vu d'ici, on voit bien ma chambre ! »
Je me retourne. Le type est toujours à la même place, ne sachant plus ou il vit.
« Qu'est ce qui ce passe ? Je suis moins jolie de près ? Vous me préfériez à la jumelle ? »
« Hein ? Heu non ! Bien sur ! Mais...que faite vous là ? Je... Vous êtes...nue ! »
« Oui, je suis nue, chez toi, et je veux que tu me baise. Tu crois rêver ? »
« Heuu ! Oui, un peu, je l'avoue ! »
« Crois moi, parfois le rêve rejoint la réalité. Je sais de quoi je parle. Enlève ton caleçon et viens me prendre là, debout, à la fenêtre. »
Je me tourne, m'appuie à la balustrade et tends mon cul en arrière.
« Sois mignon, prête moi ton portable. Tu veux bien ? »
Il me donne *** téléphone, puis il se place derrière moi et me pénètre doucement. Puis, me tenant par les hanches, il bourre mon vagin en cadence.
Dans *** plaisir, je ne sais même pas s'il m'entend téléphoner.
« Allo ? Fabien ? Ben oui, c'est moi ! Ou je suis ? Ben...regarde à la fenêtre, un peu plus haut. COUCOU MON COCUUU !!! »
chrislebo

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#9,364
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« Ma petite Camille, j'ignore comment tu t'y es prise, mais ce contrat est en or ! Je n'en reviens pas. En plus, j'ai du mal à croire qu'il l'ait signé pour cinq ans. C'est incroyable.»
« Bah ! Il me suffira de ne pas m'asseoir pendant quelques jours. Voilà tout. »
Pour la première fois, je vois mon beau père rougir.
« Tu veux dire que... Oh ! Je suis vraiment désolé. »
« Mais non, vous ne l'êtes pas. C'est bien ce que vous vouliez, non ? »
« Oui...Non...Enfin oui, mais je n'aurais jamais imaginé que tu le fasses ! »
Il semble vraiment gêné. Il en est attendrissant.
« Rappelez-vous. Vous m'avez demandé un service. Un service que vous rendait déjà Valérie. Je n'ai fait que reproduire. »
« Oui, mais quand même. Tu sais, Valérie m'avait dit que ce client n'était pas un tendre. J'aurai du te le dire. Je suis un salop. Je ne sais comment te remercier, Camille. »
Je passe mes bras autour de *** cou.
« En me faisant un gros bisou, beau papa. »
Il me prend dans ses bras, me fait une énorme bise sur le front et me fait un gros câlin.
Il me sert contre lui. Je sens mes seins s'écraser contre sa poitrine. C'est une étreinte amicale, j'en suis sur. Du moins pour lui, car pour moi... je commence à avoir chaud au ventre. Salope que je suis.
« Dis-moi Camille. On en parle jamais, mais... Comment ca va avec mon fils ? Il te rend heureuse, au moins ? »
« Il est gentil et me baise bien. Mais, est on obligé de parler de lui ? »
« Oh ! Ce n'est pas ce que je te ... »
« Taisez vous et embrassez moi. Aujourd'hui j'ai envi d'être la putain de mon patron ! »
Je me plaque à lui et l'embrasse fougueusement.
D'abord surprit, il relâche un peu *** étreinte, mais sous les assauts de ma langue, il craque et m'écrase contre le mur.
« Hoo, Camille ! Il y a si longtemps que j'attendais cet instant. »
« Pourquoi ne pas m'en avoir parlé ? »
« J'avais trop peur que tu refuse une nouvelle aventure. Ca m'aurait fait beaucoup de mal. Je préférais garder le doux souvenir d'un moment d'égarement. »
Il remonte ma jupe tout en me parlant et je m'affaire à ouvrir sa ceinture.
Ses mains passent sur mes fesses.
« Hummm ! Toujours pas de culotte ? »
« Jamais ! Hihi ! »
« Tu m'excite ma petite Camille ! J'ai trop envi de toi ! »
« J'accepte ! »
« Quoi ? Tu accepte quoi ? »
« J'ai beaucoup réfléchi depuis cette histoire de contrat. J'accepte d'être la putain du patron. Je ferais ce que vous me direz de faire. Ou, quand et comme vous le voudrez. Mais par pitié, ne me parlez plus de votre fils et encore moins de cette salope de Valérie.»
« Accordé ! Alors commence par me pomper le dard ! J'adore ta bouche de pute ! »
Mince ! C'est pourtant vrai qu'il est excité mon p'tit patron. Il bande tellement fort, qu'elle pourrait bien m'exploser en plein visage ! Hihi !
Je la sens palpiter entre mes lèvres. Les veines qui courent sur sa longueur, ***t gonflées et violacées. Je palpe ses couilles durcies par le plaisir.
Un premier jet puissant me surprend et me fais tousser.
Le membre dégagé de ma bouche, finit de se vider sur mon visage en longues saccades.
Le foutre coule sur mes joues et mon menton. Un filet se détache et s'écrase sur mon tee-shirt noir.
Je me relève encore toussotante.
« Oups ! Ma pauvre Camille ! Te voilà dans un triste état ! Laisse-moi réparer mes dégâts. »
Il se penche vers moi et lèche mon visage, récupérant ainsi le foutre échappé.
Il semble apprécier le liquide blanchâtre et gluant. Ce doit être de famille. Hihi !
Il tire sur mon maillot pour lécher la tache, mais il le soulève très vite pour aspirer mes pointes dressées.
Il caresse mes seins, faisant monter mon envie, lorsque soudain on frappe à la porte.
Je veux me dégager pour me rajuster, mais il m'en empêche.
« Laisse ! J'attends un coursier... Entrez ! »
Un type entre un pli à la main. Sous le casque de moto, je devine un homme jeune.
Le spectacle a de quoi étonner. Un vieil homme, queue pendante de sa braguette, caressant une jeune femme, seins à l'air, il ne doit pas voir ca tout les jours. C'est sur.
« Oh ! Désolé, mais vous m'avez dit d'entrer ! Excusez-moi ! Heuu ! Il me faut une signature. »
« Approche, je vais signer ! N'ai pas peur, elle ne mord pas ! »
Peur ? Surement pas. Juste surprit. Il s'approche tendant un bordereau à monsieur Félicien, mais *** regard ne se détache pas de ma poitrine. Moi, amusée, je reste collée au mur, sans bouger, un grand sourire aux lèvres et le bout d'un doigt entre mes lèvres entrouvertes.
« Tu la trouve comment, ma secrétaire ? »
« Elle est....Elle est jolie ! »
« Oui, tu a rai*** ! Jolie et bonne ! Baise-la si tu veux ! »
« Hein ! Heuu !... »
Monsieur Félicien signe le papier et le glisse dans la poche du coursier qui reste paralysé.
« Mais siiiii ! Vas-y, c'est ma putain ! Je te la prête ! »
Et bien, et bien ! Mon cher patron a vite comprit ce que j'attendais de lui. Il fait ca très bien.
Devant l'immobilité du motard, je prends les choses en mains.
Je l'attrape par les avants bras et l'attire à moi.
« Viens là, mon joli. Tu aime mes seins, regarde comme je pointe. Hummm ! Tu m'excite ! J'ai très envi de toi ! »
Je pose ses mains sur mes seins et je m'occupe de la braguette de *** pantalon de cuir.
« Humm ! Que me caches-tu là ? »
Il bande comme un taureau. Une belle queue toute fraiche.
Je remonte ma jupe et frotte *** membre sur ma chatte baveuse d'envie. Il me caresse et m'embrasse avec fougue, laissant échapper de petits grognements de satisfactions. Pas question de le laisser jouir avant qu'il ne me saute.
Je lève une cuisse très haute contre sa hanche.
« Houu ! Prends-moi vite ! Baise-moi fort ! Hummm ! »
« Oh, putain ! Je vais te faire crier, ma belle ! Oh, putain ! Oh, putain ! »
Il dit « Oh, putain ! » à chaque coup de butoir, comme un automate. Je tape sur *** casque.
« Hé, chéri ! Change de disque ! Hihihi ! »
« Rhann ! Oh, pardon ! Oh putain de merde ! C'que c'est bon ! C'que t'es bonne !
Huuuug ! Houchhhhh ! Houchhhhh ! Hummmm ! »
Je me fais une rai***. Je n'aurai pas mieux.
Il me soulève et me pose sur un petit placard. Il passe ses bras sous mes jambes et accélère le mouvement.
« Harchhh ! On est mieux comme ca, hein ? Petite pute ! T'aime ca, hein ? T'aime la queue toi, hein ? »
« Hooo ! Ouiiii ! J'aime ca ! Mais tais-toi et bourre-moi ! Hummm ! »
« Houuuuu ! J'arriveeee ! Hennnn ! Je te donne touuuuut ! Haaaaarg ! »
« Oui ! Oui ! Jouiiiis ! Oh ouiiiii ! Je viens aussiii ! »
Il me donne tout dans un ultime effort, et se déverse en moi en longues giclées chaudes.
Il me donne un dernier baiser et se rajuste.
« Ben si on m'avait dit ca ! Oh, putain ! »
Mon beau père, jusqu'ici à l'écart, intervient.
« Bon ! Jeune homme, la fête est finie. Vous pouvez disposer ! »
« Ok, j'y vais ! Salut beauté et merci ! Change rien, t'es trop bonasse ! »
Voilà une course qu'il n'oubliera pas de si tôt.
Monsieur Félicien s'approche de moi et plonge deux doigts dans ma moule.
« Hummm ! Il t'a bien rempli, dis dont ! Ca t'a plu ? »
« D'après vous ? »
Il extrait ses doigts et les suce un moment.
« Je pense que oui. Il me semble déceler le gout de ton plaisir dans tout ce jus. »
Le soir venu, c'est ce que me dira également Fabien, lorsqu'il me videra la chatte.

Être la putain de mon patron. Voilà bien une chose que je ne voulais pas rendre officielle à ses yeux. Mais plus que sa putain, je suis devenue sa maitresse et de ce fait, lui, mon amant. Le seul que je ne peux avouer à Fabien.
Oui, bien sur, je sais ! Cette situation est très scabreuse et licencieuse. Mais l'interdit me plait et attise mon excitation en permanence.
Mon beau père me plait de plus en plus. Il est bel homme, drôle, riche et en plus il me donne du plaisir comme per***ne.
Entre lui, mon Fabien et mes aventures, je suis une fille comblée.

« Camille, mon petit ! »
Il vient d'entrer dans mon bureau et me tend des feuilles.
« Regarde et dis moi ce que tu en pense. »
Je lis les documents avec attention.
« Ben ! Ce client vous doit dix milles euros. »
« Exact ! Je reviens de *** entreprise. Sa secrétaire à fait barrage. Impossible de le voir et d'en discuter avec lui. Est-ce que tu crois que... »
« Haaa ! Je vois ! Vous voulez envoyer vos gros bras ! Hihihi ! Mais je n'ai pas de poing américain, ni de calibre ! Hihi ! »
« Haha ! Non, je ne veux pas envoyer mes gros bras, mais ma petite chatte ! Tu crois que tu pourrais faire quelque chose ? »
« Qui ne tente rien,... »
Je me lève et l'enlace tendrement.
« Et pour vous, je veux bien, tout tenter. »

Direction l'entreprise RAIMONDIN et FILS.
J'arrive devant une bâtisse de trois étages, pas très classe. L'intérieur est tout aussi vieillot. Et que dire de cette femme de soixante ans, rigide, acariâtre, qui m'envoie balader.
« Hooo ! Votre patron est déjà venu ce matin ! Vous êtes bouché chez vous ou quoi ? Il faut prendre rendez vous ! »
Je n'ai pas de poing américain, mais je lui collerais bien une baffe. Il y a peut être plus subtile à faire.
Je hurle dans le couloir.
« MONSIEUR RAIMONDIN !... MONSIEUR RAIMONDIN ! »
La secrétaire, bondit hors de *** bureau.
« Tu va te taire, petite peste ! »
Cette conne me sauterait bien dessus si *** patron, alerté par mes cris, ne sortait pas de *** bureau.
« Et bien, Georgette ! Qu'est ce que c'est que tout ce raffut ? Qui est cette jeune femme ! »
Ce type est antipathique à souhait. Le sourcil épais, il fait les gros yeux et serre les dents et les poings. Pas très grand, gros, les cheveux gras et lunettes triple foyer, il porte un pantalon tenu par des bretelles sur une chemise qui devait être blanche à l'achat.
Je lui fais mon plus beau sourire.
« Enchantée monsieur Raimondin. Mademoiselle Camille, société FELICIBOIS. Vous êtes surement très occupé, mais puis je vous importuner cinq minutes ? »
J'entends la secrétaire, retournée derrière *** bureau, faire des « Gnagnagna ! » dans sa moustache.
Il me déshabille du regard un long moment. Je suis sur qu'il me voit à poil, ce gros dégueulasse.
Il me fait signe d'entrer.
« Georgette ! Qu'on me dérange sous aucun prétexte ! »
Je la regarde et lui fait un clin d'œil. Je viens de bousiller sa journée. Hihi !
Le bureau ressemble à *** propriétaire. Sale et mal rangé.
« Bon ! Asseyez-vous ! Je sais très bien ce qui vous amène ! Mais ce n'est pas parce que Félicien m'envoie une pin-up, que je payerai ! »
Je m'enfonce dans un fauteuil d'un autre âge et je croise les jambes. Ma jupe remonte jusqu'à mi cuisse et j'espère qu'il aperçoit le haut de mes bas. Puis, lentement, je défais le bouton de ma veste et l'ouvre. Mon chemisier blanc laisse deviner les auréoles de mes seins et mon décolleté est bien ouvert. De quoi faire bander un eunuque, tout ca !
J'ouvre ma mallette, sors les documents et plonge mon regard dans le sien en souriant.
« Une pin-up ? Vous voulez me faire rougir monsieur Raimondin ! Vous êtes un charmeur. »
Je le sens fondre comme un glaçon en plein soleil.
« Valentin. Appelez-moi Valentin. »
« Valentin ? Comme le saint des amoureux ? Je sens que l'on va s'entendre monsieur Valentin. »
Je me penche sur le bureau et dépose les papiers devant lui.
« Vous devez la dernière livrai***. Mais je suis sur qu'il s'agit d'un oubli. N'est ce pas ? »
« Non, pas du tout ! Le bois était de mauvaise qualité ! »
« Monsieur Valentin ! C'est vous qui l'avez choisi ! Effectivement, c'est une gamme de qualité inférieur, mais le prix est très rai***nable. »
« Pas question ! »
Le plan numéro un ne fonctionne pas. Il est temps de passer au deuxième.
Je me laisse retomber dans le fauteuil. J'efface mon sourire, je penche la tête et je fais sangloter ma voix.
« Monsieur Félicien m'a promit de me virer si je ne revenais pas avec le règlement. »
« C'est donc ca ! Ho, ma pauvre enfant. »
Il se lève de *** bureau et vient vers moi.
Ca marche !
Il s'assoit sur le bras du fauteuil et passe un bras autour de mes épaules. De *** autre main, il caresse mes cheveux.
Je profite de ce moment de tendresse.
Je penche la tête de coté et pose ma joue sur *** ventre, comme une petite fille qui a besoin de réconfort.
« Faut pas te mettre dans des états pareils ! Il y a toujours moyen de s'arranger. Tu ne crois pas ? »
« Je ne sais pas monsieur Valentin. »
« Bah ! Parfois, il suffit de se montrer gentil. »
« Gentille ? Mais je le suis gentille ! »
Sa main glisse sur mes cheveux et viens flatter ma joue, puis, elle passe sous mon menton et *** pouce se pose sur mes lèvres. Je le sens appliquer une pression. Sans doute pour que je le prenne dans ma bouche. Mais je ne le fais pas.
« Il faut être gentille, certes, mais aussi disponible et ouverte. »
Sa main sur mon épaule glisse en direction de mon décolleté et y plonge.
Ses doigts boudinés jouent avec mon téton, puis devant mon manque de réaction, il prend confiance et palpe mon sein outrageusement.
« Regarde ! Tu vois sur le bureau ? Mon chéquier attend. »
J'entrouvre les lèvres et je laisse *** pouce se poser sur ma langue. Je le suce comme je le ferais avec un sucre d'orge.
Il tire sur mon corsage pour le sortir de ma jupe et défait les boutons fébrilement.
« Hummm ! J'adore tes petits nichons. Ils ***t bien durs ! Ton cul aussi doit être bien ferme ! »
Je ne réponds pas et tends une main pour ouvrir sa braguette.
« Voilà ! Gentille, disponible et ouverte. Je vois que tu comprends vite. »
Je fouille *** slip kangourou et dégage un sexe court et large, mais bien dur.
Avec ma langue je repousse *** doigt hors de ma bouche, et je laisse glisser ma joue sur *** ventre pour dévorer sa queue.
Sa main quitte mes seins et coure vers ma jupe. Il la remonte et palpe mon cul.
« Humm ! Pas de culotte ? Ca c'est une bonne surprise ! »
Tout en me pelotant, il appuie sur ma tête, me forçant à engloutir toute sa verge. Ainsi bloquée, je salive et j'ai bien du mal à déglutir.
« Allez ! Salope ! Active ta langue de pute ! »
Il s'en prend à mon anus et y enfonce un doigt. Il me le branle avec *****, le rentrant et le ressortant à toute vitesse.
Ma bouche ne peut plus contenir ma salive et sa queue. Je tousse et ses couilles ***t inondées de bave.
« Cochoooone ! Nettoie-moi ca tout de suite, saloperie ! »
Sans un mot, je lèche et aspire ses burnes trempées et je reprends sa bite en bouche.
Je le suce avec application, provoquant de petites contractions à la bête.
« Ouiii ! Hummm ! Continu comme ca ! T'es douée petite pute ! Harggg ! Ouiii ! Je viens ! Je... viennnns ! »
Ma bouche se remplit de liqueur grasse et chaude. J'aspire et avale plusieurs gorgées. Je nettoie *** membre consciencieusement, ne laissant aucune trace.
Je me redresse doucement, frottant mon visage à *** corps, jusqu'à ses lèvres.
Il est laid et repoussant. Sa bouche est grosse et gonflée, mais je l'embrasse qu'en même avec gourmandise, comme si j'étais amoureuse de ce type.
Il m'écrase contre lui et me roule une pelle baveuse et répugnante avant de se relever.
Il se penche sur *** bureau et remplit le chèque.
J'ai gagné.
Je me rajuste rapidement et prends le chèque qu'il me tend.
« Cinq milles euros ? Mais non, monsieur Valentin ! C'est dix milles ! »
« T'es contente ? Tu devras revenir ! Hahaha ! »
Je comprends qu'il est inutile de discuter. Je devrais effectivement revenir pour compter obtenir le reste. Mais pas question de lui montrer mon aversion à *** égard.
Je lui fais un beau sourire et je lui donne un petit baiser.
« Et bien... à la semaine prochaine, monsieur Valentin ! »
Je sors du bureau et passe devant le comptoir de Georgette. Je lui refais un clin d'œil, tout en replaçant mes cheveux ébouriffés.
« À bientôt, chérie ! »
« Salope ! Trainée ! Pouffiasse ! »
« Hihihi ! Hihihi ! »
chrislebo

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#9,365
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Je m'installe à mon bureau. Comme tous les jours je commence ma journée en embrassant les photos de Romain, mon petit ange et de Fabien, mon merveilleux cocu.
Ensuite, je vais saluer mon « patron-beau-père ». Désormais, il n'est pas rare que je commence par lui faire une p'tite pipe, histoire de bien débuter la journée.
Mais aujourd'hui, il semble soucieux.
« Oups ! Ca n'a pas l'air d'aller fort ! Un souci ? »
« Oui. J'ai trouvé un message sur le répondeur. Il était de ce con de Raimondin. Il veut que tu passe cet après midi pour récupérer le solde de ce qu'il doit. »
« Ok ! Ou est le problème ? »
« Je n'ai pas envi que tu y aille. Je regrette de t'y avoir déjà envoyé une fois, alors...Il est vraiment trop con. Il ne te mérite pas. Je préfère encore perdre ces cinq milles euros. »
« Pas question. J'assume cette mission, et je reviendrai avec l'argent ! »
« Dans ce cas, ne lui fait pas mettre d'ordre. Ils seront pour toi ! »

Ce midi, je suis rentrée chez moi, pour me changer. J'ai passé une robe noire, très courte qui se lace derrière le cou par deux fines bretelles. Le dos est largement dégagé et le décolleté est vertigineux et provocateur. Une paire de bas auto fixant, de jolis escarpins, un manteau et me voilà prête à affronter ce gros porc de Raimondin.
J'arrive devant le bâtiment, et très sur de moi, je pénètre dans le hall.
Je passe devant Georgette qui ronchonne dès qu'elle me voit. Je la calme tout de suite.
« Salut Jojo ! Ca va aujourd'hui ? Bouge pas chérie ! Je suis attendue et je connais le chemin. »
« Tu me le paieras ca ! Catin ! Salope ! Petite putain ! »
« Hummm ! Que de compliments ! Merci chérie ! Hihihi ! »
Je frappe à la porte de *** patron. Il vient m'ouvrir.
« Haaaa ! Voilà Camille ! Félicien a donc eu mon message ! Très bien, très bien ! Entre. »
Je pénètre dans le bureau et tombe nez à nez avec deux autres hommes.
Sensiblement le même âge que Raimondin, mais un peu plus classe.
« Camille, je te présente mes associés. René et Jean Paul. Messieurs, je vous présente Camille, la secrétaire de ce sacripant de Félicien. Mais je reconnais qu'il sait s'entourer. Tient ! Si tu le veux, le poste de secrétaire de cette vieille peau de Georgette est à toi, dès demain ! »
« Heuu ! Non, merci ! Monsieur Valentin, je peux vous parler en privé ? »
« Ben non ! Je n'ai rien à cacher à mes partenaires. Tu peux parler.»
« Heuu, c'est-à-dire... C'est au sujet du moyen de récupérer le chèque. Vous avez changé d'avis ? Vous me le faite maintenant ? »
« Ben, non, pourquoi ? Tu sais bien comment faire pour récupérer l'argent, non ? »
« Heuu, oui ! Mais c'est-à-dire...nous ne sommes pas seuls ! »
« Haaaa ! C'est René et Jean Paul qui te posent problème ? Il ne faut pas ! Comme je te l'ai dit, je ne leurs cache rien. Et puis c'est aussi leurs frics ! Non ? Donne-moi ton manteau, mets-toi à l'aise. »
Il veut jouer ? Ok, j'accepte. Pour commencer, ne pas lui montrer que deux hommes de plus ne m'effraient pas. Bien au contraire. Baiser une fille timide et gênée devrait les exciter au plus haut point.
J'enlève mon manteau en baissant la tête. Visiblement, ma tenue plait beaucoup, d'après les commentaires des trois hommes.
« Houchhhhh ! Belle gosse ! »
« Ouai ! Super bien foutue, la petite ! »
« Encore plus bandante que la dernière fois ! »
« Tu nous a pas menti. Elle doit être super bonne ! »
Les trois types tournent autour de moi, me reluquant de la tête aux pieds. Moi, je reste dans mon rôle de fille fragile et reste tête baissée, main dans le dos.
Celui qui se nomme Jean Paul en profite. Il passe derrière moi et se colle à moi. Dans mes mains, je sens l'énorme bosse dans *** pantalon.
« Tu sens l'effet que tu me fais ? Tu la veux dans ta main ? »
Je ne réponds pas. Devant mon silence, il sort *** engin et le place dans ma main.
C'est trop difficile pour moi de rester stoïque. Je ne peux m'empêcher de refermer mes doigts sur la chair chaude.
« Hummm ! Elle te plait semble t'il ? Attends que je bouge un peu pour me branler. »
Il fait de petits mouvements d'avant en arrière dans mon dos. Je sens sa bite glisser entre mes doigts. Putain ! Je commence à mouiller.
René s'attaque au nœud de ma robe, dans mon cou. Il le défait et lâche les deux petites bretelles. Elles glissent sur mes épaules et tombent, entrainant le devant de ma robe. Mes seins, mit soudainement à nu, me provoque un long fris*** accompagné d'une chair de poule, impossible à cacher.
Valentin s'en aperçoit et caresse mon bras.
« La petite à froid. Il nous faudra la réchauffer ! »
René prends mes seins dans les mains et titille mes pointes.
« Ho ! Hummm ! »
Cette fois, je n'arrive plus à dissimuler mon émoi.
« Vache ! T'a les tétons durs comme une gomme de crayon ! »
« Ben mon vieux, t'a pas encore vu *** clito ! T'en reviendra pas ! »
Je sens ma robe glisser sur mes hanches. Elle est prête à tomber. Je la retiens encore avec mes mains dans le dos, mais la masturbation de Jean Paul ne me permet pas de la maintenir fermement.
Au moment où René se penche pour me sucer les seins, elle tombe sur mes escarpins.
« Meeerde ! Elle est cul nu, la salope ! »
« Hummm ! Et ses jambes, ses bas noirs ! Quelle beauté ! »
« Regardez moi ce petit chat bien rasé ! Il est trop beau ton abricot ! »
« Humm ! Fais voir s'il est juteux ! »
René tombe à genoux et plonge *** visage entre mes cuisses. Il se tord le cou, mais parvient à me pénétrer légèrement avec sa langue.
Valentin saute sur mes seins et les dévore sans délicatesse. Il les presse à m'en faire mal. Décidément, ce type est vraiment nase.
Pour ce qui est de Jean Paul, je ne le branle plus, mais je frotte *** gland entre la raie de mes fesses, m'attardant de temps à autre sur ma pastille. Mais, hélas pour lui, malgré ses coups de reins, la position ne lui permet pas d'y pénétrer.
« Hoooo ! Hooooo ! Hooooo ! Ouiiiii ! »
J'ai complètement perdu le contrôle. Je gémis sans discontinuer et sans pouvoir me retenir.
« Hummmm ! Ouiiiii ! Hooooo ! C'est bonnnn ! Hummmmm ! Encoreeeee ! Hachhhhh ! »
René m'introduit deux doigts et me masturbe avec *****. *** autre main, pince et frotte mon clito avec frénésie.
« Merde ! T'avais rai*** ! C'est du lourd *** bouton rose ! »
« Hooooo ! Arrêteeeez ! J'en peux pluuus ! Hummmm ! Je vais jouiiiir ! Ouiiiii ! Je viennnns ! »
Mes jambes se mettent à flageoler. J'écarte un peu plus les cuisses et plie légèrement les genoux.
« Ouiiiii ! Plus fort ! Plus forttttttt ! Làààà ! Ouiiiiiiiiiiii ! Hooooo ! »
Je ne retiens plus rien et je sens mon vagin se vider comme un ballon plein d'eau.
« Ho, putain ! C'est une fontaine cette greluche ! »
Je ne sais pas très bien ce qui m'arrive, mais bon sang, c'que c'est bon !
Ma tête bourdonne un instant et soudain, c'est comme si je disjonctais. Je me sens partir et...plus rien.
Lorsque j'ouvre un œil, Jean Paul essaie de me donner à boire.
« La vache ! T'es montée au septième étage, ma poule ! »
« Tu décolle souvent comme ca, chérie ? »
« Hein ? Non... C'est la première fois, je crois. »
René éclate de rire.
« Tu crois ? Haha ! Des orgasmes comme ca, on ne les oublie pas, poulette ! Allez ! À cheval, belle salope ! Il faut battre le fer pendant qu'il est chaud ! Haha ! »
Il se couche sur la moquette défraichie et me fait signe de l'enfourcher. Pour mon plus grand plaisir, car mon envie de sexe n'est pas redescendu d'un cran. Je veux de la bite. Hummm !
Je l'enfourche et m'empale sur *** pieu de bois.
Humm ! Sentir cette chose tiède et vivante traverser ma galerie trempée. Quel délice.
Je monte et descend, accélérant mes mouvements progressivement. René m'accompagne donnant un coup de rein à chacune de mes descentes. Dois-je vraiment vous préciser que mon plaisir remonte en flèche, très rapidement ?
Je suis sur un nuage.
Valentin, debout, s'approche de moi.
« Malaxe moi les couilles et suce moi bien à fond ! Feignante ! »
Je tourne la tête et glisse *** gros gland dans ma bouche.
Jean Paul c'est posé à genoux près de moi. Il m'enfonce un doigt dans le cul et *** autre main masturbe mon clito, suivant mes va-et-vient.
Ces cons vont encore me réduire à néant. Je sens un nouvel orgasme puissant arriver.
Peut être l'a-t-il senti, mais Jean Paul me freine dans mon plaisir.
« Bon ! Assez joué ! Tu es prête ! Penche-toi bien en avant ! Tiens, embrasse René ! »
Sans chercher à comprendre, je m'exécute et embrasse René à pleine bouche.
Sans attendre, Jean Paul se place à genoux entre les jambes de *** compère, et plante *** gland contre mon anus.
Je n'ai pas le temps de protester, ni de me poser trop de question, il s'enfonce déjà en moi.
Je ressens une légère douleur dû à ma trouille, mais très vite je ressens l'étrange sensation d'être pleine des deux cotés.
Les gourdins se mettent en mouvement dans un ordre inexistant. Je suis pilonnée de toutes parts. J'ai l'impression d'être ouverte en deux, déchirée. Je sens les queues glisser l'une contre l'autre, juste séparées par une fine paroi qui me renvoie une tonne de sensation.
Je vis ma première double pénétration avec extase.
« Ho mais ! Ho mais ! Hooo, comme c'est boooon ! »
Je me sens objet, offrande, consommable. Il me semble devenir folle, tant le plaisir est intense.
« Maiiiis ! Vous me faites du bieeeen ! Hoooo ! Baisez-moi biennn ! Ho ouiii ! Je suis à vouuuus ! Défoncez-moi le cul et la chatte ! Ouiiii ! Plus forttttttt ! »
Près de moi, Valentin se branle comme un ********, en me regardant me faire malmener.
« Donne-moi ton jus, salop ! Donne-moi ton foutre ! Hooo ! Je suis une pute ! Hummmm !
Hummmm ! J'aime caaa ! »
« Surement pas ma jolie ! C'est dans ton cul que je veux me vider ! Je veux le souiller, morue ! »
Soudain, René pousse un râle de bête blessé. Dans le même temps une onde de chaleur envahie mon ventre.
« Hooo ouiiii ! Jouis bien ! Hummmm ! Vide-toi bien dans ma chatte de putain ! Hummmm ! C'est bonnnn ! »
Jean Paul quitte mon anus sans crier gare. La honte me gagne, lorsque je ne peux retenir un pet retentissant.
« Tu jouis du cul ! Hein, salope ? Ca te plaît ca, petite pute ! »
Mais trous ***t libres. Je me sens comme abandonnée.
« Hooo ! Baisez-moi encore ! Je vous en supplie ! J'en veux encore ! Baisez-moi fort ! »
« T'inquiète ! On n'en a pas fini avec toi ! »
Jean Paul s'allonge à *** tour. Je quitte René, vidé, et je saute sur cette queue qui m'appelle. Elle s'enfonce dans les liqueurs encore chaudes, au fond de mon ventre.
« Humm ! René t'a bien rempli, salope ! Tu vas déborder ! »
Je bouge de nouveau, provoquant des bruits de succions de mon vagin dégoulinant.
Valentin m'appuie sur le dos pour me coucher, et pousse *** gros gland dans mon cul.
J'encaisse de nouveau une double pénétration, pour mon plus grand plaisir, je dois bien l'avouer.
Valentin, plus court, vas bien moins profond, mais il élargie beaucoup plus. Il a du mal à rester dans mon trou et glisse fréquemment hors de celui-ci.
Ca l'énerve et il tape de plus en plus fort. Mais soudain...
Il glisse de nouveau, mais emporté par *** élan, je sens *** gland déraper sur mon pauvre périnée et *** membre ***** l'entrée de mon vagin déjà occupé.
Le monde semble s'arrêter.
chrislebo

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#9,366
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Même mes amants n'osent plus bouger et nous retenons notre respiration.
René qui voit la scène de l'extérieur, n'en revient pas.
« Houuuuu ! Ca, ce n'est pas commun ! Putain ! Vous l'avez élargie grave ! Haha ! »
Les deux hommes recommencent à bouger. J'ai la sensation que ma chatte va exploser.
Je ne fais plus la différence entre douleur et plaisir.
En fait, j'ai un peu peur, mais finalement, c'est le plaisir qui l'emporte.
« Ho ! Qu'est ce que... ! Non, non ! Hooo ! Hummm ! Oui, ouiiii ! »
Le pauvre Valentin fait tout ce qu'il peut pour prolonger cet accident, mais il glisse de nouveau et réintègre violemment mon cul.
Dommage. J'aurais aimé goutter un peu plus cette étrange sensation.
Valentin se libère le premier.
« Tu le sens mon jus, dis ? Tu le sens ? Tu sens comme je te remplis bien, salope ? »
« Ho ouiii ! Je le sens ! Hummm ! C'est bonnnn ! Hummm ! »
*** sexe rabougri me quitte tout seul. Je perçois sa liqueur me quitter, et éclabousser les couilles de Jean Pierre.
Celui-ci ne tarde pas à inonder mon utérus et se rend dans un cri.
« Rhooo ! Tu m'as bien fait jouir, morue ! T'es une brave putain, toi ! »
Épuisée, je reste un moment au sol, tentant de calmer mon petit cœur et de retrouver ma respiration.
Je m'apprête à me relever, mais René m'en empêche.
« Hop hop hop ! Ne bouge pas toi ! On n'en a pas fini avec toi ! »
« Oui, surtout après ce qui c'est passé ! »
« C'est sur ! À mon avis, ca vas le faire ! »
« Bon ! Qui s'y colle ? »
Ils discutent entre eux, sans m'expliquer ce qui se passe. Je reconnais qu'ils m'inquiètent un peu.
René semble se décider.
« Bah ! Je pense avoir la main la plus fine, non ? »
« Oui, effectivement ! Vas-y ! Fais la crier de plaisir cette salope ! »
Il s'agenouille près de moi et demande à Valentin de lui passer le tube.
Le tube de quoi ?
Puis, il s'adresse à moi.
« Je vais te faire grimper au plafond, ma jolie ! Détends-toi et fais-moi confiance. »
Il ouvre un tube et fait couler un gel sur ma chatte, en grande quantité.
Il commence à me branler doucement, je dirais même, tendrement. Je trouve ca assez étrange, mais cependant, j'y trouve un plaisir immense.
Sa main enduite de gel est douce et glisse sur mon coquillage. Il masturbe mon clito avec application. Je suis tellement excitée, que l'introduction de trois de ses doigts, n'est pas un problème. Il rajoute encore du gel. Il semble bien qu'il en fait pénétrer une très grande partie. C'est agréable. Je me détends et savoure ce moment de bien être intense.
Il fait un cône de ses cinq doigts et tout en me masturbant, il tourne *** poignet. Mon vagin se détend sous la caresse progressive.
Mon bassin ondule lentement, langoureusement
Je commence à jouir très fort et, je m'enfonce un peu plus sur ces doigts pour qu'il me pénètre plus profondément. Mon bassin va toujours aussi lentement mais les mouvements ont plus d'amplitude. Et rapidement il m'enfonce un quatrième doigt. Il est un peu serré, alors très délicatement, il tourne à l'intérieur. Il refait couler du gel pour que ça glisse mieux. M'en étale un peu partout.
Mes soupirs et mes gémissements s'intensifient. Je prends *** poignet dans ma main pour adapter le rythme à mes envies. Je me laisse glisser complètement dans le plaisir.
Je réclame plus encore, je le supplie presque. Il met *** cinquième doigt, tourne très doucement et pousse très légèrement. Je suis au bord de l'orgasme. Sa bouche qui m'embrasse, sa main en moi, et *** autre main qui alterne les caresses entre mes seins, mon ventre, mes fesses et mon anus, me rendent folle.
Mes mains se resserrent sur les pieds d'une chaise, juste au dessus de ma tête. À ce moment là, j'ai tellement envie de plus, que d'un coup, dans un mouvement de bassin, c'est moi qui m'enfonce sur sa main et l'engloutis littéralement. C'est tellement bon que c'est quasiment indescriptible. C'est un peu comme si, une lame de fond gigantesque me submergeait, que je perdais totalement pied. Je donne le mouvement qui me fera jouir à l'extrême, et toujours très délicatement, *** poing fermé, englouti dans mon vagin jusqu'au poignet, il fait des va-et-vient en moi.
Je ne suis plus qu'un orgasme entier. Je ne contrôle plus rien. Tous mes muscles se contractent. Il me sent couler tout le long de sa main, et dans un cri, j'explose de jouissance.
L'orgasme est foudroyant de puissance, bien plus long que d'habitude parce que j'ai l'impression de jouir de mon corps tout entier. Et quand enfin je retombe, très doucement, il retire sa main de moi.
Pendant les quelques minutes de quasi-inconscience qui s'en suit, on ne peut plus me toucher, tant mon corps est ultra sensible.
Lorsque je rouvre les yeux, les hommes, rhabillés, fument une cigarette à la fenêtre, se désintéressant totalement de moi.
Je me relève. Mes jambes ***t molles. Mon corps tout entier est mou.
J'enfile ma robe et mon manteau et je m'approche du petit groupe.
« Monsieur Valentin ! Le chèque s'il vous plait. »
« Sur le bureau, catin ! Tu sais que t'es la putain la plus chère du monde ? »
Les trois hommes éclatent de rire.
Inutile de m'attendre à un peu de compassion ou d'affection de la part de ces pauvres types.
Je ramasse le chèque et sors du bureau.
En passant devant un miroir, je vois mes cheveux ébouriffés et mon maquillage qui a coulé, à cause du coup de chaud que je me suis pris.
Georgette me dévisage.
« Salut jojo ! Oh, à propos, tu sais que ton patron m'a proposé ta place, connasse ? »
« Ca m'étonnerais que mon mari t'ai proposé ca ! »
*** mari ? Ca, c'est un scoop ! Voilà de quoi me venger.
« Non seulement, il me l'a proposé, mais je crois bien que je vais accepter. Dis voir, tu sais qu'il vient de me baiser, lui et ses associés ? Humm ! C'était pas mal du tout ! Hihihi ! »
Je remonte dans ma voiture et je respire un grand coup. Je jette un œil au chèque.
« Le salop ! Il en manque la moitié ! »
Je tourne la tête.
Les trois hommes ***t toujours à la fenêtre.
Ils me font « coucou » de la main.

chrislebo

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#9,367
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Une semaine jour pour jour après ma visite, mon beau père recevait le solde de la dette de Raimondin.
A mon avis, mon petit esclandre avec sa secrétaire de femme, n'y est pas pour rien. Hihi ! Joli coup. Il l'a bien cherché après tout.
« Camille ? Peux-tu passer à la banque ? J'aimerai aussi que tu passe à la mai***. J'ai oublié ma sacoche sur le fauteuil de mon bureau. Tu serais mignonne. »
« Pas de problème monsieur Félicien. J'y vais de suite. »
« Pffff ! Tu ne voudrais pas laisser tomber ce « monsieur » ? C'est ridicule après ce qui se passe entre nous. Tu ne crois pas ? »
« Non ! C'est le seul moyen de ne pas éveiller les soupçons. C'est mieux ainsi. Et puis...j'aime bien me sentir légèrement inferieur à vous, monsieur mon patron chéri ! »
Je me colle à lui et il m'enlace pour m'embrasser.
« Mais non, mais non ! Vous n'y pensez pas, monsieur ! Le travail d'abord ! Hihihi ! »
Je me dégage, ramasse les clefs de sa mai*** sur *** bureau, et je sors.
« Petite allumeuse ! Tu ne perds rien pour attendre ! Hahaha ! »
« Hummmm ! J'en mouille déjà ! A tout à l'heure monsieur Félicien ! Hihihi ! »
Vingt minutes plus tard, je me range devant *** somptueux pavillon. Enfin...quand je dis pavillon, je ferais mieux de dire petit manoir.
Ma belle mère travaille, alors, je ne ***ne pas et ouvre directement avec les clefs de mon beau père.
A l'intérieur, le silence règne, seulement troublé par le tic tac d'une horloge comtoise.
Je me rends dans le bureau. Sa sacoche est bien sur *** fauteuil. Je m'apprête à repartir, lorsque j'entends des gémissements, des plaintes.
Mon sang se glace dans mes veines.
Je cherche à savoir d'où vient le ***. Pas de doute, c'est du grand salon que me parviennent ces étranges lamentations.
Doucement, je pousse la porte et passe la tête
« Oh, merde ! ».
Surprise, je lâche la sacoche qui fait un bruit sourd en touchant le sol.
Je n'aurais, même en rêve, jamais imaginé le spectacle que je viens de découvrir.
Mylène, ma belle mère, est à quatre pattes sur le billard, nue, en porte jarretelles, ses seins pendant comme des mamelles et un type lui broute le minou.
En entendant le bruit, le couple se retourne et me voit.
« Camille ? Oh ! Je... »
Elle descend rapidement du billard et saute sur ses affaires. L'homme en fait autant.
Ne sachant quoi faire, je ramasse la sacoche et referme la porte en m'excusant, gênée.
« Excusez-moi ! J'avais entendu du bruit ! »

C'est avec les jambes coupées que je retourne au bureau.
Je ne suis pas très bien et monsieur Félicien s'en aperçoit.
« Camille ? Ca n'a pas l'air d'aller ? »
Impossible de lui dire que je viens de surprendre *** épouse, en train de se faire reluire le berlingot.
« Si si, monsieur Félicien. Vous en faites pas. Juste un petit mal de tête. »
« Tu es passée à la banque ? »
« Ho, merde ! J'ai oublié ! »
« C'est pas grave. Vas-y et rentre chez toi. Repose-toi, ca ira mieux demain. »
C'est un lourd secret. Je me demande même si je ne devrais pas en parler. Et puis, je me ravise. Qui suis-je pour la juger ? Moi qui me tape *** mari, plusieurs fois par semaine.

Le samedi suivant, ils nous invitent à manger. Je trouve ca très courageux de la part de Mylène.
Je décide de ne rien changer à mes habitudes et de faire celle qui a tout oublié.
Mais elle, est très mal à l'aise. Je le vois. Je le sens.
Après manger, les hommes décident de partir à la pêche avec Romain.
Je finis la vaisselle avec Mylène, presque sans un mot. Puis, elle me prend par la main.
« Viens ! Il faut qu'on parle ! »
« Oh, mais... c'est inutile Mylène ! Ne vous inquiétez pas, ca restera entre nous. »
« Alors di***s que j'ai besoin de parler. Suis-moi. »
Elle m'entraine dans sa chambre. Elle est somptueuse. Je suis étonnée de trouver aux murs, des tableaux représentant des femmes nues, dans des positions érotiques, très sensuelles.
Les volets ***t fermés pour empêcher la chaleur de rentrer.
Elle allume une petite lumière mauve qui rend l'atmosphère troublante, très intime.
« Voilà ! Ici, tu es chez moi. Avec Félicien, nous fai***s chambre à part depuis près de dix ans. »
« Ha bon ? Mais pourquoi ? »
Mon cher mari a toujours aimé la jeunesse. Tu n'es pas sans savoir que nous avons vingt deux ans de différence. A l'époque, j'étais une jeune fille de dix huit ans. Aujourd'hui, que j'approche de la quarantaine, je ne l'intéresse plus. Non, ce qu'il veut aujourd'hui c'est une jeunette. Une fille comme toi, jolie et séduisante. »
Mon cœur fait un bon. Est-ce qu'elle saurait ?
« Oh ! Mais je... »
« Haha ! Non, rassure-toi, je ne pensais pas à toi. Je voulais dire, une fille dans ton genre. Donc, voilà. Il ne me touche plus, ne me fait plus l'amour. Ceci, explique cela.»
« Je comprends. Mais...qui était cet homme ? Et puis le faire chez vous, ce n'était pas prudent. La preuve. »
« C'est notre jardinier. Ce n'était pas programmé. Il avait chaud. Je lui ai proposé un verre d'eau, puis...Non, mais, t'a vu comme il est bâti ? J'ai craqué. C'est pas plus compliqué que ca. Et toi ? Tu n'as jamais trompé Fabien ? »
« Myleneeee ! Vous parlez de votre fils ! »
« Ben oui, mais ca reste un homme et toi, une jeune fille très séduisante, charmante. Tu peux me le dire. Promis, ce sera notre secret. »
« Heuu ! Ca me gêne vraiment. »
« Je prends ca comme un aveu. Allez, dis m'en plus, s'il te plait ! »
Elle a les yeux qui brillent, comme une ado excitée. Je pense que je peux lui faire confiance, mais hormis mes aventures avec *** homme, quelles histoires lui conter. Il y en a tellement.
« Bon ! D'accord, mais plutôt que de vous expliquer, je préfère vous montrer. Venez ! »
Nous griffonnons un p'tit mot aux hommes et nous partons en voiture.
« Ou m'emmène tu ? »
« Vous le verrez bien. »
Trente minutes plus tard, je me gare dans le parking du bois. Je suis un peu déçu. Nous sommes samedi et il y a beaucoup de familles qui se promènent, des gosses qui courent un peu partout.
Je vois Mylène qui s'interroge. Merde ! Que lui dire ?
« Venez ! Promenons nous un peu. J'aime bien cet endroit. »
« Je ne vois pas ou tu veux en venir, mais bon ! Si tu insiste. Promenons nous. »
Nous nous engageons dans l'allée du bois.
Très amicale, elle me prend le bras. Elle parle. Elle parle beaucoup. Elle parle d'elle, de *** couple, et bien sur de *** mari, qui l'oubli peu à peu.
Je l'écoute mais j'ai bien du mal à me concentrer sur ce qu'elle raconte. Je scrute les sous bois, les buis***s, cherche des mouvements suspects.
Nous sommes maintenant très éloignées du parking. Il y a moins de couples, et de plus en plus d'hommes seuls. Ca l'inquiète, mais moi, ca me rassure. Je vais enfin pouvoir lui expliquer ce que je fais lorsque je m'ennuie.
« Houlà ! Nous nous sommes drôlement éloignées. Nous ferions bien de faire demi-tour, non ? »
« Non ! Attendez ! Venez par ici ! Faite moi confiance.»
Je la tire par la main dans un petit chemin très étroit. Des ronces parfois le traverse et nous progres***s lentement.
« Camille ! Je me griffe les jambes ! Mais ou vat on ? »
« Franchement ? Je n'en sais rien du tout. Je cherche un coin tranquille, sympa. Tient, comme ici, par exemple. »
Sur la droite, j'aperçois quelques arbres dégagés, sans buis***s.
« Bon ! Et maintenant ? »
« Regardez ! Vous voyez l'homme là bas ? Et là, celui-ci ! Et encore là ! »
« Heuuu, ils approchent ! Qu'est ce qu'ils veulent ? Viens, partons ! »
« Non ! On reste ! Ce qu'ils veulent, c'est nous. Ou tout du moins ce qu'on voudra bien leurs donner. »
« Je comprends pas ! Explique-moi, Camille ! Je t'en supplie ! »
« Promettez moi que ca restera vraiment notre secret. »
« Je te le jure ! »
Il y a un type à environs quinze mètres, qui vient vers nous, sans se cacher vraiment.
Je déboutonne mon chemisier et l'ouvre en grand.
« Camille ! Qu'est ce que tu fais ? Tu es folle ! »
« Vous vouliez savoir ? Et bien voilà ce que j'aime. »
L'homme nous rejoint et sans un mot, il se penche pour sucer mes seins. Il aspire mes pointes durcies et malaxe ma poitrine avec un plaisir non dissimulé.
Ma belle mère écarquille les yeux. Elle est rouge comme une pivoine.
Un autre type qui nous a rejoints, se plaque dans mon dos. Il me prend par la taille et frotte l'excroissance de *** pantalon contre ma jupe.
Je suis déjà très excitée et, la crainte de dévoiler un de mes jeux de salope à ma belle mère, disparait totalement. Je me sens libérée.
Je prends sa main.
« Mylène ! Regarde comme il bande ! »
Je pose sa main sur la braguette du type dans mon dos. Elle a opposé une très légère résistance, puis, c'est laissée faire.
Tandis que je m'occupe de la fermeture éclair de celui qui me suce les seins. Je sens sa main, contre mon cul, qui malaxe l'autre type.
« S'il te plaît, Mylène ! Sors sa queue, j'ai envie qu'il me prenne ! »
Je suis surprise, mais elle le fait. Même mieux que ca. Une fois le membre libéré, elle relève ma jupe. Elle est certes tremblante, intimidée, mal à l'aise sans doute, mais elle le fait.
Charmée par *** courage, je passe une main derrière sa nuque et attire *** visage vers le mien.
« Attends Camille ! Je ne sais pas si... »
« Moi non plus, je ne sais pas ! Je ne sais plus ! Mais je m'en fou ! Embrasse-moi, Mylène ! Je t'en supplie, j'ai été trop loin, maintenant ! Embrasse-moi ! Évite-moi la honte d'un refus ! »
A *** tour, elle passe une main derrière ma nuque et nous nous embras***s tendrement.
Le type qui me suçait, passe derrière elle et tout comme l'autre le faisait tout à l'heure, il se frotte comme un malade, contre ses fesses.
« Hooo, merde ! Camille ! Moi, aussi ! Moi aussi, je veux me faire prendre ! »
Le type derrière elle me fait un clin d'œil. Il sort *** membre, relève la robe de ma belle mère et lui vire *** string.
Ma jupe, tout comme sa robe, est relevée. Je me plaque à Mylène. Je sens sa toi*** effleurer mon coquillage lisse. Je me frotte à elle, tout en continuant à l'embrasser.
Les types se frottent à nos raies. Ils bandent fort.
Nous nous penchons et nous nous appuyons au même arbre, afin de pouvoir continuer à nous embrasser de temps à autre.
Je suis prise la première. Le type est bien monté et il me fait du bien dès l'introduction.
Le partenaire de Mylène semble en difficulté. Elle est stressée et surement un peu sèche. L'homme crache dans sa main et l'applique à sa fente.

chrislebo

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#9,368
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« Camille ! Qu'est ce que tu me fais faire ! Je dois être folle d'accepter ! »
« Détends-toi ! Le temps n'est plus aux questions, mais aux plaisirs. Hummm ! Fais comme moi ! Houuuuu ! Profite du moment présent ! Ho, ouiii ! Plus fort ! »
Soudain sa bouche forme un O. *** homme vient de glisser sa chair dans *** fourreau.
*** visage change. Elle ferme les yeux et se mord les lèvres.
Elle est très belle dans le plaisir.
Le type derrière moi se vide en rallant. A ma grande surprise, il est aussitôt remplacé par un autre.
Je tourne la tête. Hors de notre vue, une dizaine d'hommes, queues à la main, attendent sagement leurs tour.
« Approchez ! Approchez ! »
« À qui parles-tu Camille ? Ouiii ! Hoooo ! »
Inutile de lui répondre car trois hommes ***t déjà sur elle. Ils lui caressent les seins, le dos, lui frotte le clito. L'un deux tend *** membre vers le visage de Mylène. Elle se penche un peu plus et prend le monstre entre ses lèvres.
Elle est belle.
De mon coté, je subis pratiquement le même traitement.
Je guette le prochain qui voudra me prendre. Celui-ci, je le veux dans le cul. Etre ici avec ma belle mère m'excite. Je veux m'offrir toute entière, sans restriction.
« Ho ouiii ! Salope ! Je viennnns ! »
De la bouche de Mylène, s'écoule de longs filets de foutre. Le type se libère sans retenu.
Une fois fait, elle se tourne vers moi, les yeux plus brillant que jamais. Elle me sourit.
« Il y avait si longtemps que je n'en avais pas bu ! Je vais devenir folle ! Je ne vais plus pouvoir m'arrêter. »
Je la vois se laisser tomber à genoux dans l'humus. Elle attrape deux bites au hasard et les suce avec envie, à tour de rôle.
Un nouveau gland se place contre mon vagin dégoulinant.
« Oh non, chéri ! Prend mon cul ! S'il te plait ! »
Il ne le se fait pas dire deux fois et me pénètre sans ******. J'aime sentir mon fondement se faire remplir et être longuement pilonner.
Je suce un type tout en me faisant enculer. Un autre s'est pratiquement couché sous moi, pour pouvoir me sucer les seins.
Un coup d'œil à Mylène.
Elle est à quatre pattes et se fait défoncer, tout en se faisant baiser la bouche par un grand black, monté comme un taureau.
Cette femme, est une pure salope. Si elle l'ignorait, maintenant elle le sait.
Pendant une heure, nous nous fai***s sauter par tout se qui bouge, puis, épuisée, nous décidons de rentrer.
Mylène s'accroupie et urine, pour, dit elle, en ramener un peu moins dans *** string.
Je fais de même, mais moi, je n'ai rien à enfiler. Lorsque je me relève, du foutre coule sur mes cuisses.
« Attends ! »
Elle se penche et lèche les trainées qui me souillent.

La mai*** est toujours déserte. Les hommes ne ***t pas rentrés.
« Viens Camille ! Allons prendre une douche ! »
« Ensemble ? Mais s'ils rentrent entre temps ? »
« Bah ! Nous prétexterons qu'il faisait une chaleur incroyable dans le magasin ! Hihihi ! Nous avions besoin de nous rafraichir, c'est tout ! Allez, viens ! »
Elle me prend par la main et m'entraine au premier. Dans la salle de bain, nous nous déshabillons mutuellement, tout en nous embrassant.
Nos lèvres ***t toujours soudées lorsque l'eau commence à couler sur nous.
Apres les actes un peu bestiaux que nous venons de vivre, s'installe une douceur infinie entre nous.
Nos mains glissent sur nos peaux mouillées. Elles s'égarent dans nos orifices encore poisseux. Elles caressent, palpent, pincent.
Nous nous étreignons et nos seins s'écrasent et se frottent, les uns contre les autres.
Très vite, grâce à nos caresses expertes, nous allons à l'orgasme, presque ensemble.
Une fois séchées, elle me refera jouir en me léchant le minou, lorsque je suis assise sur le bord de la baignoire.
« Hoho ! Les filles ! Vous êtes là ! »
« Hum ! La fête est finie ma chérie. »
« Je vous remercie, Mylène, pour cette magnifique après midi. »
« Tu rigole ? C'est à moi de te remercier. C'était déroutant, mais exquis. Dis moi, après ce que nous venons de vivre, nous pourrions supprimer ce stupide vouvoiement, non ? »
« Non ! C'est le seul moyen de ne pas éveiller les soupçons. C'est mieux ainsi. Et puis...j'aime bien me sentir légèrement inférieur à vous, ma très chère belle maman. Hihihi ! »
Tient ? Ca me rappelle quelque chose !
Finalement...J'ai un esprit de famille très développé, non ?
chrislebo

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#9,369
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C'est bientôt noël et c'est l'effervescence dans les magasins. Inutile de penser prendre sa voiture en ce samedi. Pourtant, il est grand temps de faire mes achats.
Fabien travaille, j'y vais donc seule.
Une fois n'est pas coutume, je m'y rends en bus. C'est sympa aussi, le bus.
Il y a du monde, mais j'ai eu de la chance et j'ai réussi à avoir une place assise.
Les gens debout ***t si serrés que même assise, je suis gênée et je prends des coups sur l'épaule ou le bras.
Est-ce que le mot SALOPE est écrit en toute lettre sur mon front ?
Je me le demande.
C'est un jeune homme qui est debout près de moi. Il porte un pantalon ample, qui semble beaucoup trop grand pour lui, du style baggy.
Je peux affirmer qu'il ne porte rien dessous. Je le sens à la bosse qui se forme à chaque fois qu'il frôle mon bras.
Curieuse du risque qu'il prend, je fais celle qui ne se rend compte de rien.
Devant mon évidente crédulité, le garçon devient plus sur de lui. Il ne frôle plus, mais frotte *** membre contre mon bras.
Ce qui n'était qu'une bosse, est devenu une pointe dans *** pantalon. Ce qui me permet de dire, qu'il est très bien pourvu.
Il fait glisser sa queue de mon épaule au pli de mon coude. Je pense qu'il doit avoir une main dans la poche pour la guider ou bon lui semble.
Dans un virage, alors que *** corps se penche sur moi, il se dresse sur la pointe de ses pieds et parvient à toucher ma joue.
J'imagine aisément, le fantasme qui doit tourner dans sa tête. Tout ceci m'amuse beaucoup.
Dans un autre virage, encouragé par mon manque de réaction, il recommence. Je tourne légèrement la tête et, il vient heurter la commissure de mes lèvres.
Encore un autre et *** gland s'écrase sur mon sein. Surprise, je bouge un peu. Je pense lui avoir fait peur, car il ne retente pas l'exercice. Il se contente de monter et descendre sur mon bras.
Allez ! Jouons !
Je cherche un petit miroir dans mon sac et, mon tube de rouge à lèvre. Puis, me penchant sur mon miroir, je prends soins de coincer le gland dans mon coude, tandis que je fais une retouche maquillage. Le type profite de la situation pour se masturber doucement, et aussi discrètement que possible, dans le pli de mon bras.
Il doit être comme un fou dans sa tête.
J'ai rangé mon miroir.
Merde ! Ce con m'excite. Je croise les bras.
Une aubaine pour lui, car ainsi, je lui offre une de mes mains.
Dans la seconde qui suit, je sens le gland se frotter sur le dessus de mes doigts. Il parvient même à le glisser entre mon pouce et mon index.
Il prend de gros risque, mais *** état d'excitation le rend plus audacieux.
Et excité, il l'est. Mes doigts ressentent le tissu mouillé.
Je vais lui porter le coup de grâce.
Je passe ma main sous mon bras. Ainsi, per***ne ne verra ce que je me prépare à faire. J'attends qu'il se faufile une fois de plus dans la pince de mon pouce et de mon index. J'attrape un peu plus que *** gland et je resserre mes doigts sur le bout de *** membre.
Surprit et surement embarrassé d'être découvert, il fait un mouvement de recul. Mais c'est sans compter sur ma détermination. Je tiens bon et ne lâche pas. Mieux, je le branle sur quelques petits centimètres.
Il finit par se laisser faire, persuadé d'être tombé sur une coquine.
Pour la première fois, je lève la tête et le regarde. Il a les yeux au ciel, mi clos, la bouche entrouverte.
Il est aux anges. Pas pour longtemps.
Mes caresses portent leurs fruits. Le membre se durcit encore un peu plus et de petites contractions se font sentir.
Il tente de se dégager, mais, rapidement j'attrape *** sexe en entier et le presse comme une éponge.
J'entends un petit gémissement, je sens les spasmes de *** engin dans ma main et... *** pantalon s'inonde.
Là, il est dans la panade.
Je décroise mes bras. Mon pouce est humide de sa semence qui traverse le tissu de *** pantalon. Je me lève, le regarde et suce mon doigt. Puis...
« Pardon, je descend ici ! Merci ! Bonne journée ! »
Et je lui fais un magnifique clin d'œil.
Je le laisse rouge de honte et très embarrassé. Je pense qu'il réfléchira à deux fois avant de recommencer.

Mes achats terminés, je rentre à la mai***.
Epuisée, je m'écroule sur le lit.
Je ne peux m'empêcher de me masturber, en fantasmant sur ma petite aventure inattendue.
Je l'imagine sortant *** membre et le frottant sur mon bras nu. Je sentirais la douceur et la chaleur de *** énorme sexe, peut être même, l'humidité de sa mouille sur ma peau.
Je m'imagine tournant la tête et le prenant à pleine bouche, devant des passagers médusés et scandalisés.
Je l'imagine éjaculant dans mon décolleté, éclaboussant mon tee-shirt. *** foutre chaud, s'écoulerait lentement, entre mes seins.
Je l'imagine, s'essuyant la bite dans mes cheveux.
Il me caresserait les seins pour étaler sa semence et n'y tenant plus, il relèverait ma jupe pour me planter ses doigts dans mon vagin détrempé.
Je jouirais comme une folle, devant tout le monde, en poussant des « Hooo ! » des « Ouiiii ! » des « Encore » et des « Je viennnns ! » ou encore des « Plus vite ! Plus fort ! ».
« Et bien ! Et bien ! T'es en forme, ma petite chérie ! »
C'est Fabien. Emporté dans mon délire, je ne l'ai pas entendu rentrer.
« Oupss ! Là, tu m'as prise en flagrant délit ! Hihi ! »
« Bah ! Ce n'est vraiment pas grave, tu étais très jolie à regarder. J'aimerais bien te surprendre ainsi plus souvent. »
« Viens ! Viens me faire l'amour, mon Piou-piou à moi ! »
« Heuuu ! Camille, je suis rentré avec un pote de boulot ! Il est au salon. »
« Pouffff ! Ca ne serrait pas poli de le faire attendre ! Hihihi ! Il faudra que je te raconte ce qui m'est arrivé aujourd'hui ! Vas le rejoindre, je me change et j'arrive. »
Dommage. J'aurais bien aimé me faire sauter. Je vais rester dans un état second toute la soirée, avec ses conneries. Hihi !
Quand je suis dans ces états là, je peux être bourrée de vice et de perversité. Le collègue de Fab pourrait bien en faire les frais.
Je passe un short en jeans ultra court, laissant apparaitre un bon quart de mes petites fesses. Puis, je noue une chemise blanche, très haut sur mon ventre, sous mes seins, sans attacher de boutons. Pieds nus, sans autre artifice sinon un peu de bleu aux yeux, je fais mon entrée dans le salon.
Les deux gars ***t à la fenêtre et fument une cigarette.
« Coucou ! »
Lorsqu'il se retourne, Fab est au bord de la crise cardiaque. *** ami, lui, semble plutôt ravi du tableau que je lui offre, et me dévisage de la tête aux pieds, avec un large et franc sourire.
« Heuuu ! Kris, je te présente Camille. »
« Bonjour Camille. Vous... Tu es...ravissante. »
« Merci ! C'est gentil tout plein. Tu veux boire quelque chose ? »
Nous nous installons au salon et nous prenons l'apéro. Un long apéro.
Kris est de notre âge. Il est très sympa et nous pas***s un bon et agréable moment.
Je le surprends plusieurs fois à reluquer mes jambes ou mon décolleté. Mais, outre mon accoutrement, je ne l'allume pas et reste très sage. Pour le moment.
« Kris ? Tu reste diner avec nous, ok ? T'es d'accord Fab ? »
« Bien sur que je suis d'accord ! »
« Bon ! Ben, c'est gentil. Je reste avec beaucoup de plaisir. »
« Cool ! Je vous laisse un moment, je vais préparer un truc à grignoter. »
Je suis dans la cuisine depuis cinq minutes, lorsque Fabien me rejoint.
« Putain, Camille ! Tu fais chier ! Pourquoi l'a tu invité ? »
« Ben quoi ? Il est sympa ! On se marre bien, non ? »
« Oui, mais tu ne le connais pas. C'est un chiant ! Une fois un peu chaud, il ne pense qu'au cul ! »
« Hummm ! Intéressant ! »
« Ha non, Camille ! Ne déconne pas, c'est un collègue ! Je n'ai pas envi que tout mon boulot apprenne que ma nana est une... »
« Une quoi, Fab ? Une pute ? C'est ca ? »
« Heuuu...non Camille. Ce n'est pas ce que je voulais dire. Mais nous sommes trente sept au boulot. Tu imagine un peu, trente sept de mes collègues qui voudraient te connaitre pour te baiser ! Allons ! Sois sérieuse un moment ! »
« Trente sept, moins les désistements...humm, en quatre semaines ca peut être bouclé, non ? »
« Bon ! Puisque c'est ca, je vais lui demandé de partir ! »
« Et si tu fais ca, je pars avec lui ! »
« Mais putain ! Camille ! Qu'est ce que tu cherche à la fin ! »
« Moi ? Rien ! Mais je t'interdis de me dire ce que je dois faire ou pas. N'oubli pas notre contrat. Tu es mon cocu. Et pour que tu le reste, il faut que je te trompe, et avec qui je veux ! Ok ? »
Mon pauvre Fab ramasse les assiettes et les couverts et retourne, penaud, à la salle à manger.
Je sais qu'au fond de lui, il aime ce genre de petite friction ou je le rabaisse. Je sais aussi qu'il adorerait me voir baiser avec Kris. Je ne doute pas qu'il craigne les conséquences, mais au fond de lui, ca l'excite.
Je reste sage tout le long du diner, même si notre invité me lorgne sans arrêt.
Je débarrasse et fais un café.
« Bon, les garçons ! Ca ne vous dérange pas si je décore mon sapin pendant que vous prenez un digestif ? Je voudrais que Romain le voit demain. »
« Romain ? »
« Oui, c'est notre fils. Là, il est chez mes parents. »
« C'est cool ! Ca vous laisse un peu de liberté, comme ca. »
Il dit ca en me fixant et fini sa phrase avec un clin d'œil. Fabien l'a vu, mais ne dit rien.
Moi, je ne relève pas et commence la déco de mon arbre.
J'ignore combien de verre ils ont bu, mais ils semblent bien guillerets, tout les deux.
Je termine l'habillage du sapin et me hisse sur la pointe des pieds pour mettre l'étoile tout en haut.
« Attends ! Attends ! Je vais t'aider ! »
Kris, vient à mon secours.
Lorsqu'il pose ses mains chaudes sur ma taille, je suis prise d'un grand fris***. J'aimerai qu'il les monte plus haut, jusqu'à mes seins. Qu'il défasse le nœud de ma chemise et se collant à moi, qu'il me les caresse tout en me susurrant des insanités dans le creux de l'oreille.
C'est pourtant vrai, que je suis une petite pute. Je ne pense qu'à ca.
Je ne suis pas très lourde et lui, plutôt costaud. Il me soulève sans difficulté et je fixe l'étoile.
Mais, plutôt que de me reposer, il me soulève encore plus haut et dépose un baiser sur chacune des parties de mes fesses, que laisse apparaitre mon mini short.
Nous éclatons de rire.
« Désolé ! Je n'ai pas pu résister ! Hahaha ! »
Mon Piou-piou, lui, rigole jaune. Je ne crois pas que ca l'ai beaucoup amusé.
« Bon ! Allez, bande de sales gosses ! Au lit ! Kris, tu as bu, alors pas question de reprendre le volant. Tu dors dans le canapé. Il y a des draps propres. Fabien, aide-moi à le déplier, s'il te plaît. »
Si ca irrite Fab que je dise à Kris de dormir ici, ca le rassure que je lui propose le canapé, plutôt que notre lit. Ca, c'est sur.
Nous nous di***s bonne nuit et lorsque je fais la bise à notre invité, il tente de m'embrasser sur la bouche, mais, j'esquive.
Nous le lais***s dans le salon et nous allons dans notre chambre.
Fab, un peu parano, ferme la porte à clef. Je me déshabille entièrement et me couche.
Fab me confie *** soulagement.
« Ouf ! Tu m'a fais peur, tu sais ? »
« Ben oui, j'ai bien vu. Mais moi, je me suis bien amusée à le voir s'exciter tout seul. Mais je te comprends, tu sais. Je sais qu'il est difficile de me faire confiance. Je dois être un peu folle, non ? »
Pas de réponse.
« Je suis folle ou pas ? »
Toujours rien. Je tourne la tête vers Fabien. L'alcool l'a rattrapé et il dort comme un bien heureux.
« Ben, merde ! Et moi, alors ! »
Tout ca, c'est bien joli, mais cette soirée pleine d'allusions et de retenues m'a excité comme une puce.
« Pffff ! Je fais quoi moi, maintenant ? »
Un peu colère, je me lève.
J'attrape au hasard une des nuisettes accrochées au porte-manteau de la porte, et je l'enfile. C'est une de mes préférées. Elle est noire, très courte, en dentelle et sublimement transparente.
Doucement, je tourne la clef et sors de la chambre. Je vais boire un grand verre d'eau fraiche, espérant que ca me calmera.
En retournant à la chambre, je passe devant le salon. Je ne peux m'empêcher d'y jeter un coup d'œil.
Kris est torse nu, couché sur le dos et les mains sous la tête. Il est endormi. J'approche.
Je m'assois sur le bord du lit et j'ai tout le loisir de contempler *** corps.
Sous *** nombril, une bande de poils descend et disparait sous le drap. Il a de beaux abdos, bien dessinés. *** torse est poilu, mais pas trop. C'est un beau gosse.
Je pose doucement une main bien à plat sur *** ventre. Il monte et descend au rythme de sa respiration. Sa peau est chaude et douce.
Je suis troublée et je devrais m'en aller. Mais mes pulsions ***t plus fortes que moi.
Ma main descend, passe le nombril, suit la petite bande de poils et disparait aussi sous le drap.
Mes doigts s'enfoncent dans sa toi*** pubienne, qui crisse sous mes ongles. Je m'y attarde un peu, grattant et caressant doucement la douce fourrure.
Je vois le drap se soulever progressivement. Déformation du tissu, prometteuse d'une belle découverte.
Ma main glisse encore un peu plus bas et heurte la base de *** pénis. Mes doigts impatients, l'entourent et jauge sa taille. Dieu qu'elle est belle et dure.
« Je te prends la main dans le sac ! Elle te plaît ? »
Je sursaute.
Il me regarde avec de grands yeux coquins.
« Ho ! Je t'ai réveillé ! Je suis désolée, je n'ai pas pu résister. »
« Humm ! Je voudrais être réveillé ainsi, tous les jours. Mais dis moi...et Fabien ? »
« L'idiot c'est endormi. »
« En effet, il faut être idiot de dormir lorsqu'on a une si belle femme. »
Il pose une main sur ma cuisse et la caresse doucement.
Moi, je le masturbe avec délicatesse, sous les draps.
« Tu n'a pas peur qu'il se réveille ? »
« Un peu. Mais il ne dira rien. »
« Ha bon ! Tu crois ca ? »
« Mais oui, t'inquiète pas. Il adore être cocufié. Bien qu'avec toi, ca semblait le gêner. J'ai l'impression qu'il ne te fait pas trop confiance. Il se trompe, n'est ce pas ? »
« Bien sur, chérie, qu'il se trompe. Rassure-toi, je sais tenir ma langue quand c'est nécessaire. »
Je me penche et l'embrasse longuement. Sa main a glissé de ma cuisse, à mes fesses. Il les pétrit à tour de rôle, laissant parfois un doigt s'égarer entre les deux.
Mes baisers glissent de sa bouche à *** cou. De *** cou à ses tétons. Je les suce et les aspire, puis y fait rouler ma langue avec adresse.
Je lèche *** ventre jusqu'à *** nombril et suis le rail poilu.
Ma langue touche enfin *** membre qui attend ma bouche. Je le prends entre mes dents et le mordille gentiment.
« Humm ! Tu veux me manger ? »
« Ouiii ! Je vais la dévorer ! Humm ! »
Je me jette sur *** gland humide et je déguste le fruit lisse et rose. Puis je laisse sa queue prendre doucement possession de ma bouche, toute entière.
chrislebo

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#9,370
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Il a glissé deux doigts dans ma chatte et me branle frénétiquement.
Je jouis une première fois.
Je l'enfourche et écrase mon vagin suintant sur *** visage. Sa langue impatiente, cherche déjà l'orifice, source de mon plaisir. Elle y pénètre et frétille comme un millier de petits pois***s. Je m'électrise et me mets à mouiller abondamment.
Moi, je saute sur ces couilles et les gobe, une à une. Puis, à grands coups de langue, je remonte le long de sa hampe et l'enfourne à nouveau, jusque dans ma gorge, au risque de vomir.
C'est le meilleur soixante neuf qu'il m'ait été de vivre jusqu'ici.
Mais je n'en peux plus. Je veux me sentir pleine. Pleine de chair chaude et vivante.
En deux temps, trois mouvements, je m'empale sur lui. Je le prends tout entier du premier coup.
« Rhooo ! Hummm ! T'es bien serrée ! Hummm ! T'es bonne ma salope ! »
Je le chevauche comme une hystérique.
« Ouiii ! Défonce-moi ! Bousille-moi la chatte ! Ouiiii ! Hooo ! Casse-moi l'utérus ! Hummm ! C'est boooon ! »
Je suis comme une démente. Je ne contrôle pas mon langage. Je n'ai jamais parlé comme ca, en faisant l'amour. Mais là, c'est tellement fort...J'aimerais qu'on m'ouvre en deux, qu'on broie mes seins, qu'on m'encule avec un ti*** porté au rouge, qu'on...qu'on...qu'on me gifle, qu'on me frappe, qu'on me fasse mal...qu'on me tue.
« Camille ! Camille ! Oh ! Reste avec moi, ma puce ! Ouvre les yeux ! »
Je suis à la limite de l'évanouissement et Kris s'en est aperçut.
Il me couche sur le dos, tout en restant en moi. Il m'écrase du poids de *** corps et laisse *** dard planté très profond. Je le sens toucher le col de mon utérus.
Il ne bouge pas et me souffle doucement sur le visage.
« Ben dis dont ! Quand tu jouis, toi, tu ne fais pas semblant ! »
« Houlà ! Je suis montée très très haut, là ! Humm ! C'était tellement bon ! »
« T'en veux, ma salope ? Tu veux que je te pilonne, encore ? »
« Ho, oui ! Baise-moi encore ! Baise-moi fort ! Fais-moi gueuler ! »
Et c'est ce qu'il fait.
Il me lamine, me bourre, me défonce. Ce n'est plus un homme, mais un marteau pilon.
Lorsque soudain, *** miel abreuve mon con en longues saccades, il place sa main sur ma bouche pour m'empêcher d'hurler.
J'ai joui si fort que j'en pleure de plaisir.
« T'es une sacrée bonne baiseuse toi ! Je ne regrette pas d'être resté ! J'adore les putes de ton genre. »
« Merci Kris. J'aime ce genre de compliment. »
Je me relève et m'essuie la chatte avec ma nuisette qui m'a été arrachée.
J'embrasse notre invité une dernière fois et retourne dans ma chambre.
Fabien dort toujours. Pourtant, je ne peux pas dire que nous ayons été discrets.
Haaa ! Les ravages de l'alcool ! Ca a parfois du bon. Hihi !
Mon Piou-piou se lève avant moi.
« Tient ? La porte est ouverte ! Je suis pourtant sur de l'avoir fermé à clef ! Tu t'es levée cette nuit ? »
« Hein ? Heuu, ben oui ! J'ai été prendre un verre d'eau. »
« Et Kris dormait ? »
« J'en sais rien moi ! Surement ! Je n'ai pas été vérifié, tu sais ! »
Je me lève à mon tour.
Kris est déjà parti.
chrislebo

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#9,371
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Il fait beau. Je pars au boulot, le cœur léger.
Pour une fois, je passe directement par le bureau de mon beau père.
« Bonjour monsieur Félicien ! »
« Bonjour ma petite Camille ! Tiens, tu tombes bien, il fallait que je te parle. »
Je m'assois sur ses genoux et je le gratifie d'un long et langoureux baiser. Sa main remonte sur ma cuisse et disparait sous ma jupe.
« Pas touche, coquin ! Vous vouliez me dire quoi ? »
« Ha oui ! Mais que veux tu, tu m'excite ! Bon ! Et bien voilà. Tous les ans, j'organise un repas de fin d'année pour mes gars. Je prends un traiteur. Il n'y a rien à préparer, sinon dresser la table et ouvrir le vin. Mais il me faut quelqu'un pour...servir. Et je n'ai plus per***ne. Tu...comprends ? »
« Mouai ! Valérie. »
« Tu serais d'accord pour la remplacer ? »
« Pourquoi pas. Ce n'est pas bien compliqué et ca me permettrai de faire connaissance avec les ouvriers. Je n'en ai rencontré que deux sur douze jusqu'à maintenant. »
« Ok ! C'est pour vendredi prochain. Je ne pourrais pas être là, alors je te laisse carte blanche. Tu verras, ils ***t sympas. Mais si tu te prends une main au cul, ne t'offusque pas trop. »
« Ca, il n'y a pas de risque ! Hihi ! »
« Fais attention quand même. Ils ne ***t pas toujours très fin, ni très élégant. Ils ***t même pour certain, un peu... brut de décoffrage, si tu vois ce que je veux dire. »
« Oui, très bien ! Ce ***t des hommes, quoi ! »
Il m'explique en détail la façon dont se passait le repas les autres années.
Le traiteur dépose les plats, ainsi que les bois***s, dans la cuisine à onze heures.
La table doit être dressée pour onze heures trente, dans le réfectoire. Les gars arrivent entre onze heures trente et midi, et là, je commence à leurs servir l'apéritif. Puis, tout s'enchaine. Normalement.

Vendredi neuf heures trente.
J'ai beaucoup pensé à ce repas et j'ai demandé à mon beau père, une enveloppe confortable pour acheter diverses petites choses.
Je veux que ce repas soit plus beau que les autres. Pour leurs faires oublier Valérie, peut être.
Haa ! Jalousie, quand tu nous tiens !
J'ai dressé une jolie table avec des assiettes dorées, des bougeoirs, des décorations de noël. J'ai également acheté un sapin que j'ai enroulé de guirlandes électriques.
Les fenêtres ***t calfeutrées. Ils mangeront aux chandelles.
Le traiteur est passé et a déposé toute la nourriture nécessaire.
Je suis prête et lorsqu'arrivent les premiers ouvriers, j'allume les bougies.
« Whouaaa ! Classe ! C'est sympa, dis dont ! »
« Salut belle demoiselle ! Ce n'est pas Valérie cette année ? »
« Ha non ! Désolée, mais elle ne fait plus partie du per***nel. C'est moi qui la remplace. »
« Bah ! Ca va ! On ne perd pas au change ! »
« Ha oui ! Elle est mignonne la petite ! »
« Merci ! »
« Et... elle a un nom cette jolie poupée ? »
« Camille. Je m'appelle Camille.»
« Camille ! Deux qui la tienne, un qui... »
« Bernard ! Ta gueule ! Tu pourrais être poli, non ? »
« Excusez le, il est un peu con ! »
« Ce n'est pas grave, je vous assure. Allez, installez-vous. Je vous servirai l'apéro quand tout le monde sera là. »
Je fonce en cuisine pour cacher mes joues qui rosissent. Mon cœur bat la chamade. Ces hommes ***t tous des armoires à glace. Il y a tout les âges, même si les quadragénaires ***t plus nombreux.
Oserais arborer le petit costume que je me suis payée ?
Dans l'immédiat, je servirais comme je suis. Polo noir à col roulé en nylon. Il me moule et dessine mes seins comme s'ils étaient nus. Petit kilt écossais et grandes chaussettes noires et pour finir, des escarpins hauts talons.
Je me suis fais deux belles couettes, retenues par des rubans rouges, qui me donne un air de petite fille, bien sage. Ben quoi ?
« Camille ! Camille ! Camille... »
Les gars frappent sur la table en scandant mon nom. Il est temps que j'entre en scène.
J'ai préparé toutes sortes d'apéros sur une petite table roulante. J'aurais pu mettre les bouteilles sur la table et les laisser se débrouiller, mais je trouve plus sympa de les servir moi-même. Alors...
...alors, je pousse la porte avec ma table à roulettes.
Je rentre dans le réfectoire sous les applaudissements et les sifflets.
Putain ! Ils arrivent à me faire rougir.
Je commence mon service et chacun ne manque pas de me dire un p'tit mot.
« Salut toi ! Moi c'est sylvain. Ravi de te connaitre. »
« Humm ! Je voudrais bien être une bouteille de pastis, moi ! Juste pour être entre tes mains.»
« Dis moi Camille, ton kilt, tu n'aurais pas la version courte ? Non ! Je rigole ! Plus courte se serait une ceinture ! Haha ! »
« Juste un doigt Camille. Heuuu ! Je parle de mon verre bien sur ! »
Le repas se passe bien. Ils ***t sympa et à ***** de les servir, j'ai l'impression de les connaitre depuis longtemps. Je me détends et ris de bon cœur à leurs plaisanteries, plus ou moins grivoises.
Arrive le dessert.
Je pose quelques bouteilles de champagnes sur la table et je leurs laisse le soin de les ouvrir, le temps que j'aille chercher les buches glacées.
Mais pour moi, il est temps de me changer et de passer le petit costume de mère noël que je me suis achetée.
Il est constitué d'un tout petit bustier rouge, avec de la fourrure blanche, laissant ma poitrine bien dégagée. Il y a aussi une jupe très courte, rouge et fourrure également, avec une étoile dorée sur chaque cuisse. Je me suis aussi procurer une paire de bottines rouges et le sempiternel bonnet de père noël.
Ha ! J'oubliais ! Pour l'occasion, j'ais mi un string. Rouge, bien sur.
Mon entrée dans la salle leurs clou le bec deux trois secondes. Ils ne s'attendaient surement pas à ca.
Et soudain, c'est le délire total.
Applaudissement, sifflets, cris, serviettes qui volent. Je me demande si je vais arriver à servir la glace.
Soudain, un des hommes s'écrit :
« Un bisou ! Un bisou ! »
Bien sur ils reprennent tous en cœur.
« Chuttttt ! Je vous promets de vous faire un bisou, lorsque je vous servirais. »
« Ouaiiiiiiiii ! »
Ils ***t chaud bouillant mais surtout un peu ivre, et dès le premier, je comprends que mon tour de table va être le début d'une longue fin de journée, voir de début de soirée.
Tandis que je dépose avec application sa part dans *** assiette, il colle sa main sur mes fesses et me pelote sans aucune hésitation.
« Coquin ! Qu'est ce que tu fais ? »
« Ben ! Je touche le cul de la mère noël ! Haha ! »
« Tu pourrais demander quand même ! »
« Ben non ! Tu m'aurais envoyé sur les roses. Des fois, vaut mieux prendre sans demander. Tu n'es pas d'accord ? »
Tout le monde rigole.
Brut de décoffrage. Mon beau père avait rai***. À moi de jouer le jeu et de leurs donner un peu de bonheur. Ca coute rien.
« Tu n'as qu'à essayer de demander ! Tu verras bien ! »
A l'autre bout de la table, un type se lève.
« Je peux te sucer les seins, s'il te plait, Camille ! »
C'est de la pure provocation et ca fait bien rire tout le monde, une fois de plus.
Je hausse les épaules en souriant, et continue ma distribution.
Je prends encore deux mains aux fesses et nombre d'épaules se frottent à mes seins, lorsque je me penche pour servir.
Tout ca n'est pas bien grave.
Ils m'invitent à m'installer en bout de table, pour manger de la buche et boire du champagne avec eux.
Finalement, ils ***t plutôt mignons, ces grosses brutes.
Nous discutons de tout et de rien, mais insidieusement, la conversation dérive vers ce qui intéresse le plus les hommes. Le cul.
La grivoiserie, les chan***s paillardes et les histoires salaces ***t à l'honneur.
L'ambiance et la chaleur monte.
Un type se lève et allume un vieux poste à cassette. Il crache une musique antillaise.
Un beau métis, que j'avais déjà reluqué, se lève et me rejoint.
Il est grand, d'une belle couleur caramel, et de magnifiques dreadlocks.
Sa chemise est ouverte découvrant des abdos parfaitement dessinés.
« Tu danses le zouk ? »
Hum ! Lui, je le vois venir, avec *** grand sourire, éclairé par une dentition d'une blancheur incroyable. Comme tout les antillais, c'est un charmeur, professionnel.
J'ai la faculté de danser un peu tout et n'importe quoi, sans trop de problème. Mais le zouk reste une découverte.
« Viens, je vais t'apprendre. »
Il me montre et m'explique les pas de base. Voyant que je comprends vite, il me prend par la taille d'une main.
« Oui, c'est ca ! Déhanche toi un peu plus. N'hésite pas à faire rouler ton p'tit cul. »
Tout à ma leçon de danse, je ne fais même plus attention à toutes les âneries qui se disent derrière notre dos.
« Très très bien Camille ! Tu es prête ? Allez ! On y va ! Prend ma main et colle-toi à moi. Ca se danse collé serré. Ok ? »
Je me plaque à lui et il me serre contre lui, d'une main dans mon dos.
Le contact de sa main sur ma peau, de mon ventre dénudé contre le sien, m'électrise.
Il danse un petit moment, très sérieusement. Mais très vite, je perçois une bosse dans *** pantalon. Désormais, il se frotte à moi, le tout bien caché dans les mouvements de la danse.
Il aimerait sans doute le faire discrètement, mais c'est impossible.
C'est drôle, mais je le sens un peu gêné.
Je le rassure très vite en me cambrant outrageusement. Cette fois, c'est moi qui frotte ma petite chatte à sa queue qui gonfle encore.
Je m'excite à la vitesse de l'éclair. Je sens ma grotte s'inonder, mon ventre chauffer, mon cerveau se retourner. Je le veux.
Soudain, je n'écoute plus que mon instinct de petite salope. En trois secondes, sans réfléchir, j'arrache mon bustier et enlace mon partenaire. Je plonge ma langue dans sa bouche et je l'embrasse de façon grossière, vulgaire.
Caduque le zouk. Il c'est transformé en slow torride et sexy.
Ses mains robustes caressent mon dos. Puis, une de ses mains s'égare sur ma petite jupe rouge.
Les autres ***t comme des fous. Ils matent mes seins écrasés contre *** poitrail robuste, ses mains qui me caressent. Ils nous entourent et nous encouragent à aller plus loin.
« Titoine, fais nous voir *** cul ! »
« Vas-y ! Fou la à poil ! »
« Baise la, Titoine ! Baise-la ! »
Baiser ? Ha oui, j'adorerais.
chrislebo

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#9,372
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Je glisse une main sur *** pantalon. Je caresse l'énorme bosse dans *** pantalon.
« Humm ! Elle doit être belle ! »
« Vas voir ! Tu verras bien ! »
Je me laisse fondre le long de *** corps, frottant mes seins sur *** ventre, sa protubérance, ses cuisses. Au passage, j'en profite pour lécher et sucer ses tétons et embrasser *** ventre.
Face à sa braguette et encouragée par l'assistance, je descends la fermeture éclair du jeans.
J'en extrais un membre bien gonflé, que je glisse immédiatement entre mes lèvres.
Elle est magnifique et très agréable à sucer. Je me régale.
Autour de nous, l'ambiance est jubilatoire.
Les moins pudiques sortent leurs membres et nous interpellent.
« Titoine ! pense au copains ! »
« Camille ! Regarde, elle est belle aussi, celle là ! Suce moi aussi ! »
« Vire ton string ! Montre-nous ton minou ! »
Certains, tentent leur chance et se penchent pour me caresser les seins, espérant que je ne les repousserais pas.
« Humm ! Ils ***t beaux tes nibards ! »
« Ha oui ! Ils ***t bien durs ! Pas trop gros ! Parfait ! »
Un autre, accroupi derrière moi, passe *** bras sous mes fesses, pour atteindre ma chatte. Il me masse la fente au travers du tissu.
« Putain ! *** string est trempé ! Tu mouille comme une salope, ma chérie ! »
Lorsqu'il essaye de glisser un doigt dessous, je me relève.
J'aime les faire languir.
J'embrasse de nouveau Titoine, tout en le masturbant doucement. Mon string m'est retiré et la fermeture éclair de ma jupe est ouverte. Je me colle à Titoine pour qu'elle ne tombe pas.
J'ondule doucement. Elle glisse progressivement, lentement. Puis, arrivée à mi-cuisses, alors que mes fesses ***t dégagées, je la laisse tomber au sol.
Le membre du métis glisse entre mes cuisses.
J'ai un peu peur. Excités par l'alcool, les hommes se collent à moi autant qu'ils peuvent, à tel point que je suis séparée de Titoine. J'ai des mains partout sur le corps. Des doigts ont pénétrés ma chatte et me fouillent sans douceur.
J'ai allumé le feu. A moi de l'éteindre ou au moins de le contrôler. Alors...je me fâche.
« STOP ! POUSSEZ-VOUS ! »
Etonnés par mon haussement de ton, ils reculent tous d'un pas.
Je redescends de mon petit nuage. D'un coup, je me sens un peu conne d'être nue au milieu de ses hommes, avec pour seul accessoire ce ridicule bonnet de père noël.
Il faut que je trouve un truc. Et vite.
« Vous voulez jouer ? Qui veut jouer ? »
« Au papa et à la maman ! »
« Non ! Au docteur ! »
« Au gynécologue ! Hahaha ! »
J'ai déjà réussis à les calmer et les faire rire. C'est déjà ca. Mais je n'ai toujours aucune idée de ce que je vais faire.
Et soudain...une lumière.
« Non ! Pas du tout ! Voilà ce que l'on va faire. Une espèce de chaise musicale. Ok ? Vous allez me bander les yeux et vous mettre en cercle autour de moi. Au hasard, je prendrais l'un de vous et je lui ferais une petite gâterie. Puis, le suivant, fera ce qu'il veut de moi. Le troisième, une gâterie et ainsi de suite. Ca vous plait ? »
On dirait bien, car déjà on m'apporte une écharpe. Avant que l'on me plonge dans le noir, je vois les hommes faire un cercle. Ils ont tous désormais, le sexe dehors. Deux ou trois ***t même à poil. Ils se caressent tous pour se donner de la vigueur.
Je n'en verrais pas plus. Se ***t maintenant mes autres sens qui vont me régaler.
On me fait tourner puis je suis livrée à moi-même. J'avance tout droit, mains en avant et je touche un type.
Je m'agenouille et sous les acclamations, je suce l'homme. Il est très excité et il n'est pas long à jouir.
S'ils ***t tous aussi rapide, mon petit jeu ne durera pas longtemps. C'est sur.
Moi aussi, je suis très excitée et je déguste le jus chaud avec délectation.
« Regardez ca, les gars ! Elle aime ca, la p'tite pute ! »
« Ouai ! Elle aime boire au goulot ! »
Je le suce jusqu'à ce que *** membre faiblisse et je me relève.
Je cherche à tâtons un nouveau candidat. Celui-ci est totalement nu.
« Alors moi, je choisi ? Je fais ce que je veux ? »
« Oui, c'est ca. Je suis toute à toi. »
« Alors tourne toi et penche toi en avant sur la table. »
Je me penche doucement jusqu'à toucher la table. Mes seins s'écrasent sur la nappe. J'y pose aussi ma joue droite et je tends les bras au dessus de ma tête.
Le type m'écarte les jambes et je le sens me bouffer le cul et la chatte, à tour de rôle.
« Ouiii ! Vas-y ! Baise là ! »
« Encule-la ! »
« Attend pas ! Saute la, cette gourmande ! »
« Magne-toi, putain ! Je tiens plus moi ! »
Il se relève et présente *** gland à l'entrée de ma grotte. Inutile de ****** pour me pénétrer. Je suis une véritable fontaine.
Ses mains sur mes hanches, il me tronche sans fantaisie. Mais ce con finit tout de même par me faire jouir.
Lui, préfère cracher sa purée dans mon dos. Le long jet, puissant, m'éclabousse jusque sur une omoplate.
Il essuie sa queue sur ma pastille brune et je me redresse.
On me replace au centre du cercle et le jeu reprend. Je cherche et trouve une nouvelle queue bien dure, à sucer. Mais très vite les règles ne ***t plus respectées. Des mains venues de je ne sais ou, couvrent mon corps et me caressent. Les mienne ***t prises et posées sur d'autres sexes.
Ma chatte est fouillée et branlée, tout comme mon cul, ou un doigt est introduit.
Je laisse faire, car je m'attendais à ce qu'ils ne tiennent pas longtemps. Je les comprends.
De toute façon, je suis excitée et j'en veux. Donc...tout le monde est content.
Je suce une queue, deux queues, trois. Je saute de l'une à l'autre.
Je fantasme sur une éjaculation générale.
« Ho, oui ! Arrosez-moi ! Aspergez-moi de votre foutre ! Souillez-moi ! »
Ce ne ***t pas celles que je lèche, qui lancent les premières salves.
Du jus chaud atteint mes seins, mon visage. D'autres types déchargent dans mon dos, ou encore mes cheveux.
Ma bouche se remplit, plusieurs fois, et je déguste ce nectar avec gourmandise.
Je n'en peux plus. Il me faut de la bite dure, et vite. Je veux me sentir pleine.
Je m'allonge à même le sol.
« Venez ! Baisez-moi ! Vite ! Vite ! »
Quoi de meilleur, que de sentir une barre de chair chaude, vous pénétrer ? Quoi de plus bon que de se faire pilonner longuement ?
Très vite je jouis. J'enchaine les orgasmes, prise dans une tourmente de plaisirs.
Combien me prennent ? Je ne compte plus.
Lorsque les assauts cessent, je caresse mon corps maculé. J'étale la semence froide et poisseuse, jusqu'à ce que celle-ci commence à rouler sous mes doigts en une pate grumeleuse.
Comme pour m'achever, je me caresse encore.
Dans le flou de mes yeux, mouillés par mes larmes de plaisir, j'entrevois les hommes partir, un par un.
Quelques minutes plus tard, je suis seule, allongée sur le sol, nue et sale.
Je laisse tout en plan et je rentre chez moi, juste couverte de mon manteau.
Dans le rétroviseur, je vois encore du foutre dans mes cheveux. C'est la première chose qu'aperçoit Fabien.
« Et bien ! Et bien ! On dirait que ma petite femme c'est bien amusée ! Et qui c'est qui va bien la nettoyer ? C'est *** Piou-piou d'amour ! »
J'enlève mon manteau et m'effondre sur le lit.
Fab, me lèche le corps, les seins. Puis, il progresse vers mon vagin remplit.
« Raconte-moi, pendant que je te vide ! »
Je lui dis juste que j'ai excité ces types pour qu'ils me sautent, omettant de dire, bien sur, que j'étais le cadeau de fin d'année, offert par *** père à ses ouvriers.
« Hummm ! J'espère que la mère noël me rendra visite, à moi aussi ! »
chrislebo

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#9,373
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« Putain ! L'enfoiré ! Merde ! »
Ca, c'est Fabien qui rentre du boulot. Il est de toute évidence, hors de lui.
« Eh ! Qu'est ce qui ce passe ? Calme-toi, voyons ! »
« Me calmer ? Tu me demande de me calmer ? Je t'avais pourtant dit de te méfier de Kris et de ne pas l'allumer, non ? »
Aille ! Le con a du baver. Qu'est ce qu'il a bien pu raconter ? Et moi, comment vais-je me sortir de là ?
Nier. Il me faut nier.
« Oui, c'est vrais, mais bon ! Il n'y a pas non plus de quoi en faire un fromage. »
« Ha, tu trouve ? Ce salaud me fait du chantage. Il menace de raconter à qui veut l'entendre qu'il t'a sautée et que tu es le meilleur coup qu'il est connu ! Tu trouve qu'il n'y a pas de quoi en faire un fromage, toi ? »
« Il est fou, ce type ! Mais qu'est ce qui veut ? Du fric ? »
« Mais non, idiote ! C'est toi qu'il veut ! Il m'a dit qu'il t'avait baisée ce soir là. Il parait que tu a une bouche gourmande et une chatte profonde. Le con ! Il dit qu'il en rêve toutes les nuits depuis. »
Le rouge me monte aux joues et pour une fois, je ne sais plus quoi dire.
Fab, perçoit immédiatement mon trouble.
« Il affabule, n'est ce pas ? Tu ne te l'es pas fait ? Il ne peut pas savoir ces choses là, rassure moi ? »
« Ben non ! A supposer qu'il soit vrais que je sois gourmande et profonde, je ne vois pas comment il le saurait. »
« Moi, je sais que c'est vrais. Je suis bien placé pour le savoir. Tu es un bon coup, sans vouloir être vulgaire. Pourquoi rougis-tu ? »
« Il y a de quoi, non ? »
« Moi, ce qui me gêne, c'est l'histoire de cette porte que j'ai retrouvée ouverte. Tu n'as fait qu'aller boire, cette nuit là ? »
« Fab ! Je n'aime pas beaucoup ta suspicion ! Même si j'avais baisé avec lui, tu nous aurais ********* entendu. Cesse de raconter des conneries, s'il te plait ! De plus, je déteste ce genre de macho ! »
Depuis longtemps, je sais que la meilleure défense est l'attaque. Et ca marche.
« Je suis désolé, mais comprends moi ! Ce con me tient par les couilles et je ne veux pas qu'il te saute ! »
« Retournons la situation ! Je pourrais aller à ton boulot, pour dire qu'il a essayé de me sauter, mais que j'ai bien rigolé parce qu'il en a une toute petite ! Hihi ! »
« Haha ! T'es folle ! Non, merci, je n'aime autant pas. »
Ouf ! J'ai réussi à désamorcer la situation et à redonner le sourire à mon homme.
Ses soupçons se ***t envolés d'un coup. Du moins, je l'espère.
« J'aurais bien aimé, quand même. »
« Quoi dont ? »
« Ben ! Baiser avec lui, bien sur ! Hihihi ! »
« Très drôle ! Il y a quand même quelque chose qui me chiffonne. Il dit que je suis cocu. Ca, c'est une chose, mais il rajoute qu'il sait que j'aime ca. Si per***ne ne lui a dit, il ne peut pas le deviner, non ? »
Je voudrais être une souris pour pouvoir me cacher. Je dois être rouge comme une pivoine.
Il faut que je me reprenne et vite.
« Pfff ! Il prêche le faux pour savoir le vrai ! Organi***s une riposte ! Il ne sait pas à qui il a à faire ! »
« Pff ! Qu'est ce que tu veux faire contre un chantage pareil ? Il peut me pourrir la vie au boulot. »
« Il pourrait, mais pas question ! T'inquiète mon Piou-piou ! J'ai mon idée. »
Nous n'en parlons plus, mais, toute la semaine, mon Fab rentre énervé et tristounet. L'autre ne doit pas le lâcher et le bassiner tout les jours.
Merde ! Là, j'ai déconné. Pour une fois, j'aurais du l'écouter.

Le lundi suivant, Fabien est de matinée. Je décide d'aller le chercher à *** travail. Voilà longtemps que ca ne m'est pas arrivée.
Je pousse la porte qui donne sur la grande salle de la plate forme téléphonique, ou travail mon homme.
Trente six bonhommes se tournent et me dévisagent de la tête aux pieds. Pourtant, je suis habillée très sage. Ca me flatte et m'excite un peu.
Je fais la bise à quelques un que je connais et salut les autres, d'un geste de la main.
« Camille ? Qu'est ce que tu fais là ? Tu sais bien que je n'aime pas que tu viennes ici ! »
« T'inquiete pas. Ca fait partie de mon plan. »
« Ton plan ? Quel plan ? »
Fab est blanc comme un linge et je le sens très angoissé.
« Détends-toi ! Qui croira que j'ai couché avec Kris si je viens ici ...et que je t'embrasse comme ca ? »
Je me jette à *** cou et l'embrasse fougueusement.
Derrière nous, j'entends des « Houuuuu » « C'est beau d'être amoureux ! » « Haa ! L'amour ! » Etc.
Je me retourne et lance un sourire à la cantonade.
« Dis-moi, Fab ? Ou est ton grand ami Kris ? »
« Je ne sais pas. Sans doute aux toilettes. »
« Ca tombe bien ! J'ai besoin de m'y rendre ! »
Malgré les supplications discrètes de Fab, je retraverse la plate forme et me dirige vers les toilettes.
Je pousse la porte et pénètre dans une pièce, ou deux autres portes divisent les toilettes hommes et femmes.
Il y a un grand miroir et je m'y attarde en me recoiffant du bout de mes doigts.
« Camille ? Toi, ici ? Quelle bonne surprise ! »
C'est Kris qui sort des toilettes hommes, la main encore à la braguette.
« Fabien t'a parlé de mon envie de te revoir ? »
« Humm ! Oui, quelle bonne idée ! Et ce chantage...quel délice ! Ca m'excite tellement ! »
« J'étais sur que ca te plairais ! Petite salope. »
« Prends un acompte ! Caresse-moi la chatte ! vite ! »
« Là ? Ici ? Maintenant ? »
« Hoo, ouii ! J'en peux plus ! Branle-moi ! »
Je l'encourage en remontant ma jupe.
« Tient ? Tu porte un string ? J'aurais juré que tu n'en portais jamais ! »
« Toujours, lorsque je viens ici. Vite, tais toi et branle moi ! »
J'écarte mon string et lui dévoile mon petit coquillage rasé.
« Tu es folle, on pourrait nous surprendre, mais tu m'excite tellement ! »
Il tend sa main vers ma chatte et me caresse doucement. Je pose mes mains sur la sienne, pour accompagner ses mouvements.
« Hummm ! C'est Bonn ! Mets-moi un doigt, vite ! Branle-moi ! »
Il replie ses doigts, ne laissant que *** majeur, bien droit.
A moi d'agir. C'est l'heure de ma vengeance.
J'attrape *** doigt et enroule mon string autour. Il est pri***nier de celui-ci et ne comprend pas.
« Oups ! Coquine ! Qu'est ce que tu fais ? »
Je tire sur mon chemisier. Les boutons volent aux quatre coins de la pièce et libèrent mes seins de l'emprise du tissu.
« Tu a vraiment cru que tu pourrais obtenir quelque chose de moi, en nous faisant chanter ? Pov' con ! »
J'ouvre la porte et retourne dans la salle à reculons, sous les yeux effarés des employés.
Sa main sous ma jupe, les seins à l'air, je hurle de toutes mes ****** et gesticule en tapant et giflant Kris.
« Salaud ! Lâche-moi ! Espèce de vicieux ! Pervers ! Gros porc ! »
Il est en panique.
« Mais non ! Attends ! Qu'est ce que tu fou ! T'es folle ! »
Je serre les cuisses, lui retirant la possibilité de dégager *** doigt, bien saucis***né.
Il tire. Il tire encore, plus fort, énervé.
Mon string craque et je fais trois pas en arrière.
Seul, devant la porte des toilettes, il reste là, consterné, mon string au bout du doigt.
Fabien me rejoint et me serre dans ses bras, en cachant ma poitrine.
« Camille ! ca vas ? Tu n'a rien ? »
Tout le monde regarde Kris, les yeux rougis par la honte.
« Oh ! Les mecs ! Ce n'est pas ce que vous croyez ! C'est cette...salope...qui... »
J'en rajoute une couche en faisant semblant de pleurer dans les bras de Fab.
Ses collègues ont tous un regard haineux à l'encontre du pauvre Kris, totalement déconcerté. On ne le serait moins.
L'arrivé du responsable de la plate forme met fin à *** calvaire.
« Tu prends tes affaires et tu dégage. Je te ferais parvenir ton chèque. »
Puis, s'adressant à moi :
« Vous voulez porter plainte ? »
« Hein ? Ha ! Non, non ! Il est bien assez punit ainsi. »
« Ok ! Comme vous voudrez. Fabien, prenez le reste de votre journée et ramenez-la chez vous. Allez, les gars ! Au boulot ! »

Le retour se fait dans un silence de mort. Je n'aime pas ca.
Arrivés à la mai***, Fab cherche à en savoir plus.
« Dis-moi ! Il t'a sauté dessus ? Comme ca ? Sans rai***s ? »
« Ben oui ! Je lui ai dit bonjour, il m'a plaqué contre le mur et a passé sa main sous ma jupe. J'ai essayé de me dégager, j'ai poussé la porte et...la suite, tu la connais. »
« Hum ! C'est bizarre, tout de même. Kris est un queutard, ca, c'est sur. Mais sauter sur une nana...je ne le vois pas faire ca. Tu ne crois pas qu'il serait temps de me dire la vérité ? »
Je me sens mal à l'aise et ca doit se voir à dix kilomètres. Je passe aux aveux.
« Je ne voulais pas... j'avais soif, il dormait, j'ai... j'ai craqué. J'ai fait la conne. Oui, on a...on a baisé ce soir là. »
« Salope ! J'en étais sur ! Petite putain ! »
« Oui, c'est vrais, tu a rai*** de réagir comme ca...mais...ce n'est... ce n'est pas tout. »
« Tu l'as revu, hein ? C'est ca ? Combien de fois ? »
Je n'ai pas le temps de lui répondre. On cogne à la porte.
Je vais ouvrir.
Kris bondit dans l'entrée. Il me saute dessus, prend mes mains et me colle au mur.
« Tu a été exceptionnelle ! »
Il se plaque à moi et m'embrasse avec fougue.
J'aperçois Fabien qui s'apprête à bondir sur lui.
« Fab ! Ne bouge pas ! Reste là ! Je t'expliquerais. »
Il est bien dressé mon p'tit cocu d'amour.
Il freine *** élan et reste là, à me regarder reprendre la bouche de *** ex collègue.
Il lâche mes mains et caresse mon corps fébrilement. Je sens sa queue bandée dans *** pantalon. Ca m'excite.
« Hoo ! Kriss ! Embrasse-moi encore ! »
Je le décoiffe, caresse *** visage, attire ses lèvres aux miennes.
Il remonte ma jupe et caresse mes fesses sans tendresse.
Fabien a porté ses mains sur sa tête. Je crois bien qu'il se tire les cheveux.
Le pauvre amour doit se croire dans une autre dimension.
Kris se frotte à moi. Je n'en peux plus.
Je saute sur sa braguette et rapidement, j'extrais *** membre dur comme l'acier.
La tête me tourne un peu. Je me laisse tomber à genoux et j'engloutis la bête dans ma bouche brulante de fièvre.
Je le dévore avec gourmandise et passion. Je le vois au dessus de moi, les bras tendus, appuyé au mur. Il gémit et râle. Ses yeux ***t fermés et sa bouche reste entrouverte.
Fabien, exaspéré, fait un pas en avant.
Je tends la main pour lui interdire d'avancer.
L'incompréhension de la situation le rend dingue. Il hurle.
« Putain ! C'est quoi ce bordel ? Hein ? C'est quoi ce bordeeeel ! »

chrislebo

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Emportée dans une tornade de passions démesurées, Fab passe au dernier plan. Je me fou de ce qu'il ressent. Je me fou de ce qu'il pense. Je me fou de ses interrogations.
Je vis ce moment en petite égoïste, ne pensant qu'à moi et ma jouissance.
Je me relève. J'entoure mes bras autour du cou de Kris et je le ceinture de mes jambes comme un koala accroché à *** arbre.
« Baise-moi, Kris ! Baise-moi, maintenant ! Fort ! »
Il me maintient de ses mains, sous mes fesses. *** chibre frôle ma vulve et la pénètre d'un coup, sans effort.
« Ho, Ouiiii ! C'est ca ! Ouiii ! Plus fort ! Plus fort ! Vas-y ! Défonce-moi ! Hummm ! »
Sous les assauts de mon amant du moment, mon dos frotte le mur de l'entrée. Il me fait souffrir, mais pas question d'interrompre le marteau piqueur qui me ramone de fond en comble.
Kris est déchainé. Il est rouge et transpire. Il donne tout ce qu'il a.
Est-ce la présence de Fabien qui décuple ***t désire de me faire monter plus haut que jamais ?
Je l'ignore, mais il y parvient.
Je suis emportée par un orgasme hors du commun. Il me semble devenir folle et incontrôlable.
Je tends un bras et attrape mon homme par le bras.
« Hooo ! Viens ! Viens ! Embrasse-moi ! Caresse-moi ! vite ! Viens ! Hummm ! »
Abasourdi, ébranlé dans sa logique, Fabien s'approche.
Tandis que ma colonne vertébrale se détruit contre le mur, je passe un de mes bras autour de *** cou.
Tordue, arrimée aux deux hommes, je tends mon visage vers les lèvres crispées de mon Piou-piou. Mais au contact des miennes, sa bouche s'entrouvre et j'y plonge ma langue, cherchant la sienne pour le plus merveilleux des baisers.
Il se posera des questions plus tard et s'abandonne.
Il tire sur mon chemisier, faisant rendre grâce aux deux derniers boutons qui le maintenaient encore fermé.
Ses mains bouillantes de fièvre se posent sur mes seins. Il les broie entre ses doigts, tourne et étire mes pointes à m'en faire hurler.
Mais au stade de ma jouissance, douleurs devient plaisirs redoublés.
« Hooo, ouiii ! Fais-moi mal ! Écrase-moi les seins ! Arrache moi les tétons ! Ouiii ! Fais-moi souffrir ! Ouiii ! »
Soudain ! Je suis foudroyée.
C'est comme un éclair qui transperce mon corps de part en part.
Mes bras ne peuvent plus me soutenir et je glisse le long du mur, vidée de toutes mes ******.
Dans un brouillard épais, je sens que je suis allongée délicatement sur la moquette.
Kris est toujours en moi et me besogne lentement, comme pour me préserver.
Fabien, allongé sur le ventre, me caresse les cheveux et me suce les seins.
Je reviens lentement à la réalité. Ma respiration s'accélère de nouveau, lentement.
Je regarde Kris qui me sourit tendrement.
« Ho, oui. Continu comme ca. Doucement. Hummm ! C'est si bon. »
Fab, au *** de ma voix, relève la tête.
Je caresse *** visage.
« Mon pauvre amour. Je vais finir par te rendre fou. »
« Pffff ! De toute façon, je ne comprends plus rien ! Alors... »
« Je t'expliquerais tout. Mais pour l'instant, jouis. Jouis avec nous, mon amour. »
Kris augmente sa cadence et mon plaisir remonte en flèche immédiatement.
Fabien, en bon petit soldat obéissant, se met à genoux, sort *** membre et se masturbe en nous regardant forniquer comme des bêtes.
Des bêtes qui râlent et soufflent. Des bêtes aux yeux exorbités et qui s'injurient.
« Rhaaaa ! Je vais te refaire jouir ! Putain ! Salope ! »
« Ho ouiii ! Fais travailler ta queue d'ours ! Baise-moi comme une truie ! »
« Ouiii ! Prends ca ! Et ca ! Morue ! »
« Hummm ! Je viens ! Je viens ! Je....Hoooo ! Ouiiii ! Haaaaa ! »
« Ho, ma chérie ! Tu es belle quand tu jouis ! Hummm ! Tu m'excite tellement ! Haaa ! »
Fab se vide sur mon visage en longues saccades chaudes.
Kris, n'y tenant plus, non plus, donne ses derniers coups de reins avant de se retirer et de jouir sur mon corps en longues giclées qui atteignent mes seins et mon cou.
Extenué, essoufflé, il s'assoit à mes pieds, contre le mur.
Il est temps pour moi de tout révéler à Fabien.
« Oui, ce soir là, j'ai rejoint Kris et nous avons fait l'amour. Je l'ai revu ensuite. Plusieurs fois. Tu te trompe sur lui. C'est un type bien. *** rêve était de me prendre devant toi. Mais sachant ton manque de confiance à *** égard...
Et puis un jour, en partant d'une plaisanterie, nous avons échafaudé toute cette mise en scène à votre travail. Tout était prévu, orchestré, minuté pour réaliser une de mes envies de petite salope. Depuis plusieurs mois, je fantasmais de montrer mes seins à tout tes collègues. C'est chose faite, grâce à Kris, et ca m'a vraiment grisé. Voilà ! Tu sais à peut près tout. »
« Vous êtes complètement dingues ! Ca aurait pu mal tourner ! Kris, tu aurais pu te faire casser la gueule ! »
« Oui, c'est vrais. C'était risqué, mais quel pied ! »
« Quel pied ? Tu as perdu ton boulot ! »
« T'inquiète pas. Ma lettre de démission est partie hier en accusé de réception. J'ai rencontré une réunionnaise. Je suis raide dingue. Je pars à la Réunion à la fin de la semaine. Mais avant, je voulais vraiment baiser Camille devant *** gentil cocu. Ne change rien. Tu es extra et tu la rends heureuse, alors... »
Fabien retrouve le sourire.
Il se penche vers moi.
« Toi non plus, ma chérie. Ne change rien. Tu es folle, mais ne change rien. »
Puis, il plonge *** visage entre mes seins et lèche les coulées grasses de foutres froids.
chrislebo

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Être cocu volontaire n'est pas si difficile à vivre. Moi, voilà maintenant bientôt deux ans que Camille me trompe à tour de bras, et avec mon accord.
C'est vrai, au début ce n'est pas simple.
La jalousie vous ronge, vous fait mal, vous fait souffrir.
Que fait-elle ? Ou est-elle ? Avec qui ?
Mais très vite, j'y ai trouvé mon compte.
Pas facile d'expliquer et de faire comprendre que j'aime la retrouver sale d'un autre. Sentir sur sa peau des parfums inconnus, découvrir des traces suspectes sur ses affaires ou même sur *** corps. Tout ceci excite ma curiosité, alors elle parle.
Elle me raconte dans le détail ses incartades extraconjugales de la journée. Et enfin, elle m'autorise à profiter des scories de ses rencontres.
J'aime les odeurs que dégage *** vagin souillé. Et que dire sur le poivré des liquides tièdes qui l'encombrent encore ? Que dire du fourreau gras et doux, que je découvre en la pénétrant lentement ?
Elle est et reste à moi. A moi seul.
Je la réinvestis. Je me la réapproprie, et je la rends propre...à la consommation.
Bien sur, elle prend un certain pouvoir sur moi. Sans le vouloir vraiment, je deviens sa chose, *** jouet, sa moitié... inferieure. Mais qu'importe. J'aime quand elle me rabaisse à mon statut de cocu.
Je vous avais prévenu. Pas facile à expliquer et encore moins à comprendre. J'en conviens.
Une chose pourtant me manque.
La voir à l'œuvre.
Je lui en fais part et elle m'invite, pour une seule et unique fois, à la suivre à distance, mais m'interdisant d'intervenir.
Je lui promets d'être discret et sage en restant à une distance rai***nable.

Samedi soir.
Nous sommes au mois de juillet et il fait très chaud, même la nuit.
Camille enfile une petite robe tube jaune pastel, très légère. Elle lui laisse les épaules et la gorge bien dégagées. Sa poitrine est superbement bien dessinée et mise en valeur, grâce à l'élastique qui maintient la robe juste au dessus des seins. Robe qui cache *** corps entièrement dénudé.
Même s'il est aisé de comprendre que ses seins ne ***t pas écrasés par un soutien gorge, il est moins évident de croire que *** petit minou rasé, prend le frais.
Elle glisse une barrette de gamine avec des marguerites dans ses cheveux et passe un bracelet assorti.
*** visage ne trahi pas *** âge et elle parait deux ans de moins, facilement. Mais grâce à de petits détails comme cette barrette, elle fait vraiment gamine. Et ce n'est pas *** petit sac à main en plastique jaune, qu'elle porte en bandoulière qui la vieillira.
Comme toujours, elle est belle comme un cœur et très désirable.
« Bon ! Tu m'as bien comprise ? Arrivés à la station de métro, tu ne me connais plus. Ok ? »
« Promis, chérie ! Tu ne me remarqueras même pas. »
Dans la rue et malgré ma présence, des regards se posent déjà sur elle.
Comme convenu, sur le quai, je la laisse seule et m'éloigne un peu. Nous montons dans le même wagon, mais à des portes différentes.
Elle s'assoit sur un strapontin et croise ses jambes.
Sa robe, courte, dévoile une de ses cuisses presque intégralement. J'ai beau la connaitre par cœur, elle arrive à m'émouvoir, tant elle est belle et sexy. Elle m'excite.
Je ne suis pas le seul. Deux jeunes types près de moi, l'on remarqué.
« Mate la meuf, là-bas ! Elle est trop bonne ! »
« Putain, oui ! Un peu jeune quand même. »
Ha ! Si je pouvais leur dire qu'elle est majeure et vaccinée !
« Allez ! Viens ! On va la draguer un peu. J'me la ferais bien, moi !»
« Laisse tomber ! C'est une gosse ! Tu sais ce que tu risque ? »
« Ouai, merde ! T'a rai***. Eh, mec ! C'est là qu'on descend ! »
Si je pouvais leurs dire : Mais non, les gars ! Ne partez pas ! Allez la voir, elle ne demande que ca !
Mais j'ai fait une promesse. Alors, je ne dis rien et les regarde partir, à regret.
Deux arrêts plus loin, Camille se lève et descend de la rame. Je la suis, comme convenu, à quelques mètres derrière elle, sans même faire attention au nom de la station.
Mais lorsque je mets le nez dehors, je sais exactement ou je me trouve.
C'est le boulevard le plus chaud de la ville. De chaque coté, les sex-shops se succèdent, attirant le client par de grandes affiches de promotions et des néons multicolores qui clignotent dans tout les sens.
Peu de femmes sur ses trottoirs grouillant d'hommes, qui cherchent la vidéo tellement délirante, qu'elle accompagnera leurs branlettes de ce soir.
Mais lorsqu'ils croisent Camille, ils se retournent tous, sans exception.
Il faut dire que le soleil se couche au bout du boulevard. Ce soleil coquin, qui avant de disparaitre, rend la robe de Camille totalement transparente, dévoilant ses jambes, ses cuisses, ...*** entrejambe.
Images fugaces qui alimenteront un peu plus les fantasmes de tous ces hommes.
Je tourne la tête pour m'amuser du regard d'un type qui s'éloigne, en reluquant les formes en ombres chinoise de ma chérie, au risque de percuter un lampadaire. Il semble plus vicieux que les autres et je pense qu'il n'est pas loin de baver.
Mais soudain, l'homme fait demi-tour et revient d'un pas décidé, vers moi...vers nous.
Je regarde de nouveau dans la direction de Camille.
Elle a disparu.
Merde !
Ou peut-elle être ?
Je n'ai pas à chercher longtemps.
Je passe devant un sex-shop. Le rideau rouge qui fait office de porte, se referme sur la petite robe jaune pastel.
Je m'engouffre également dans la boutique, suivit de très près par mon vicelard au regard lubrique.
Camille s'approche d'un bac au centre de la pièce, ou pullule d'innombrables revues pornos, traitant de sujets plus scabreux les uns que les autres.
C'est l'air très détaché qu'elle en feuillète plusieurs, sans la moindre gêne.
Le responsable du sex-shop, s'approche d'elle.
« Je suis désolé mademoiselle, mais je vais vous demander de sortir. L'entrée est interdite aux mineures, aussi jolies soient elle. »
Elle sourit gentiment et sort sa carte d'identité de *** petit sac jaune.
L'homme lui sourit à *** tour, s'excuse et retourne derrière sa caisse.
Elle a du succès ma petite femme. Les yeux des huit hommes présents, ***t posés sur elle. L'excité tourne autour, comme un vautour.
Je le vois passer derrière elle et tendre le cou pour humer *** parfum. Il s'accroupit, faisant semblant de chercher quelque chose dans le rayon du bas, et cherche à reluquer sous la petite robe.
Ma belle ne l'a pas vu et « naïvement », se penche pour attraper un livre hors de porté de sa main.
J'ignore ce qu'a vu le type, mais il se relève, le rouge aux joues. Il passe derrière elle et là, je le vois très nettement laisser glisser sa main sur les fesses de Camille.
L'endroit est exigu et le geste pourrait ne pas être intentionnel. C'est du moins ce que veut faire croire l'homme, en s'excusant immédiatement.
Il pose une main sur l'avant bras de Camille. *** envie de contact était trop forte.
« Oups ! Je suis désolé ! Pardonnez mon geste qui pourrait vous sembler...déplacé. »
Je ne peux m'empêcher de pouffer de rire. Quel con, ce mec ! Vraiment !
Non, Camille ! Ne lui souris pas ! Ne lui souris pas !
Elle lui sourit.
« C'est rien. Ce n'est pas grave. »
A la main, elle a un livre qui traite du bondage. Elle l'a, bien sur, prit au hasard dans le bac. Mais l'obsédé trouve là l'inspiration d'un début de discussion.
« Humm ! Très bonne lecture ! Je suis moi-même un fervent partisan de ses pratiques. Et vous ? Vous êtes adepte depuis longtemps ? »
« Hihi ! Non, non, pas du tout ! Je regarde, c'est tout. »
« Tentée par l'expérience ? Je peux vous initier, en tout bien tout honneur, bien sur. »
« Hihihi ! Oui, bien sur, bien sur ! Vous êtes un comique, vous. »
« Ben, vous savez ce qu'on dit ? Femme qui rit... »
« Ce n'est pas mon cas ! Désolée ! »
« Oups ! Bien sur ! Vous êtes bien trop classe pour correspondre aux critères de cette expression grivoise. »
Camille joue au chat et à la souris, avec une adresse incroyable.
Le pauvre monsieur ne sait plus ou il en est, et dit vraiment n'importe quoi, pour sembler, comme il dit, un tantinet... classe.
« La cordelette siérait parfaitement bien à votre ...corps, si joliment dessiné. Ses courbes, ses cambrures, ses... »
« Stop ! C'est bon ! Vous voulez bien me laisser, maintenant ? Merci ! »
Eh, oui, mon gars ! T'a vraiment été trop nul sur ce coup là ! Et j'en suis bien heureux, parce que tu ne me plaisais pas du tout...du tout... du tout.
Elle regarde quelques dvd, quelques godes et sort de la boutique en faisant un grand sourire au patron.
« Bonne soirée, mademoiselle. J'espère vous revoir bientôt. »
« C'est fort possible. Au revoir. »
La nuit est tombée.
Les trottoirs ***t envahis de badauds.
Camille déambule parmi eux, s'arrêtant devant des boutiques de lingeries, des vitrines de chaussures.
Des hommes l'accostent, de temps à autre, pour lui faire un compliment, la draguer un peu. Elle semble apprécier et je m'attends à tout moment, à la voir partir avec l'un d'eux.
Mais elle n'en fait rien et au coin d'une rue, elle pénètre dans une grande brasserie.
Je lui emboite le pas et la suis jusque dans le fond de la salle, ou elle s'installe à une table discrète. Je m'assois à la table la plus proche, respectant notre pacte. Per***ne ne pourrait imaginer que nous sommes ensemble.
Elle commande un thé glacé et le boit lentement, semblant rêvasser, lorsqu'un homme d'une cinquantaine d'années, vient s'asseoir face à elle, un large sourire aux lèvres.
« Excusez mon impolitesse, mais je suis tellement content de vous retrouver. Je croyais vous avoir perdu. »
« Heu ! On se connaît ? »
« Oui ! Enfin...non, pas vraiment. Vous n'avez sans doute pas fait attention à moi, mais j'étais dans le sex-shop que vous avez visité. »
« ...Et ? »
« Oui, je sais, ce n'est pas une excuse. Vous savez, il est très rare, voir improbable de trouver une belle et jeune fille dans ce genre d'endroit. J'ai... Je...Tenez, j'ai acheté ca pour vous. »
Il lui tend un sac plastique qui contient un paquet emballé dans un papier cadeau.
« Ben, non ! Je ne vous connais pas et je... »
« J'insiste ! Ouvrez-le. S'il vous plait. Ouvrez. »
Elle hésite, puis sort le paquet du plastique. Elle hésite encore et se décide à déchirer l'emballage.
« Je vous ai vu le parcourir. Je me suis dis que vous aimeriez l'avoir. »
Entre ses mains, brille la couverture du livre traitant du bondage.
Gênée, elle s'empresse de le cacher dans le sac.
« Mais non ! Vous êtes fou ! Je ne m'y intéresse pas ! Je l'ai juste regardé, c'est tout ! »
« Bon, ben... Pas grave. De toute façon, il est acheté, alors gardez le. Je peux vous offrir quelque chose pour m'excuser ? »
« Heu... Oui, si vous voulez, mais gardez le livre. »
« Impossible ! Je suis marié à une femme totalement hermétique au sexe. Alors... ! »
« Ben, oui, je comprends bien, mais moi aussi j'ai un ami ! »
« Il est hermétique aussi ? »
Camille ne peut s'empêcher de me jeter un regard plein de malice.
« Bennn... »
« Il ne vous satisfait pas ? »
« Bennn... Heuuu... C'est délicat de parler de ca. »
« Il ne faut pas avoir honte, c'est la vie. Alors, c'est bien ca ? Il vous délaisse ? »
Elle ne dit rien et baisse les yeux en rougissant.
Quelle comédienne ! Je n'en reviens pas.
« Comment peut on avoir une petite amie si mignonne, et ne pas s'en occuper comme il faut ? C'est dramatique ! »
Il tend les bras et prend les mains de Camille dans les siennes.
Sa compassion ne ***ne pas très juste, mais elle fait celle qui y croit.
« Il a des problèmes de boulot, ca vient de ca, j'en suis certaine. »
« Peut être, oui. »
« J'ai voulu l'emmener voir une spécialiste du couple, mais il c'est fâché. »
J'ai toute les peines du monde pour ne pas exploser de rire.
L'homme la sent fragile et pense pouvoir profiter de sa détresse. Il tente d'en savoir un peu plus, sur sa vie sexuelle.
« Quelque part, c'est *** problème ! Non ? Il faut penser à vous aussi ! Vous avez certainement des envies, des besoins, non ? »
« Ho ! Mais.... Je... »
« Allons, allons ! Je pourrais être votre père ! D'ailleurs, je vais te tutoyer. Tu peux avoir confiance. Tu peux te confier sans crainte, je t'assure. »
Ben voyons ! Cet homme est tellement compréhensif et attentionné, qu'il ne tient plus Camille que d'une main. Normal ! Il se sert de l'autre pour se pincer la queue et se caresser les couilles discrètement, sous la table.
« Tu... Tu as bien une vie amoureuse, tout de même ? Tu a du trouver un palliatif à cette situation ? »
« Heuuu... Ben, oui... Mais c'est gênant d'en parler... comme ca ! »
« Allons, allons ! Tu sais, je sais ce que c'est. Tu dois te masturber, sans doute, et tu dois avoir un joujou. Tu a un joujou ? »
Camille rougit une fois de plus et baisse la tête de nouveau.
« Je m'appelle Jean. Et toi ? »
« Camille. »
chrislebo

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#9,376
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« Humm ! Camille. C'est adorable. Mais dis-moi, Camille. Tu n'as jamais pensé le tromper ? Ou peut être l'a tu déjà fais ? »
Elle ne répond pas et reste les yeux baissés.
Désormais, j'aperçois la forme de la queue du type, le long de sa cuisse. Il la caresse de tout *** long. Camille l'excite comme un fou.
« Humm ! J'en étais sur. Tu l'a déjà trompé, coquine. Combien de fois ? Avec qui ? Des amis ? Tu as aimé ? »
« Je ne tiens pas à le dire. »
« Allons, allons ! Ca fait du bien de se confier ! Parle-moi comme tu parlerais à une de tes amies. Entre filles vous parlez bien de ces choses là, non ? »
Elle respire un grand coup et déballe tout, d'un coup.
« Avec un ami, des inconnus aussi et...et...mon beau père...ma belle mère. »
Elle vient de lui donner le coup de grâce. Le cœur du type a du s'arrêter un moment. Le sang lui monte au visage et *** membre gonfle encore dans *** pantalon.
Camille, à fond dans sa comédie, verse une larme.
L'homme se lève et vient s'asseoir près d'elle sur la banquette.
Elle a aperçu l'énorme bosse de *** pantalon et me jette, discrètement, un regard amusé.
« Et bien, et bien ! Voilà une demoiselle qui doit bien souffrir de l'intérieur pour en arriver là ! »
Il se montre protecteur et passe un bras derrière *** cou. Sa main caresse *** épaule et *** bras dénudé.
Il écrase la larme qui coule sur la joue de ma belle.
« Faut pas pleurer ! Ce n'est pas de ta faute si tu a des envies. C'est normal, naturel. »
Ben tient ! Il ne dira pas le contraire.
Il devient plus entreprenant et pose sa main à plat sur le ventre de Camille.
Surprise, elle se redresse.
« Humm ! Tu es sensible, dit dont ! Ca t'a donné la chair de poule. Mais, j'y pense, l'homme qui t'a abordé dans le sex-shop, pourquoi n'es tu pas parti avec lui ? »
« Surement pas ! Il était laid et idiot ! »
Il pose sa main sur le genou de Camille et le caresse doucement.
« Et moi ? Tu me trouve comment ? Idiot ? Laid aussi ? Tu partirais avec moi ? »
« C'est beaucoup de question, tout ca. Je ne sais pas ! Il faudrait que j'aie envi de... Je n'en sais rien. C'est gênant. »
Il se colle un peu plus à elle et resserre *** étreinte. *** autre main, quitte le genou et remonte lentement vers l'ourlet de la robe.
« Humm ! Camille, comme ton corps est chaud ! »
Elle s'amuse comme une folle et écarte légèrement ses cuisses.
Il comprend l'invitation et sa main glisse un peu plus entre les deux cuissots.
Elle plonge *** regard dans le sien et lui fait *** sourire le plus coquin.
« Hum ! Comme vous avez de grandes mains ! »
« C'est pour mieux te caresser, mon enfant ! »
Elle est décidée à le rendre dingue. Elle pose une main, tout en douceur, sur la protubérance de *** entrejambe.
« Comme vous avez une grosse... bosse ! »
« C'est pour mieux te faire jouir, mon enfant ! »
« Hihi ! Comme vous avez une grande bouche ! »
« C'est pour mieux t'embrasser, mon enfant ! »
Il l'attire à lui et leurs lèvres s'entrouvrent pour un baiser passionné.
Putain ! Ils me font bander comme un âne.
Soudain, tout va très vite.
« N'oublie pas ton livre ! »
L'homme sort un billet de vingt euros et le jette sur la table, puis il prend la main de Camille et la tire vers la sortie.
« Viens, suis moi ! »
Le serveur l'interpelle.
« Monsieur votre monnaie ! »
« Gardez tout ! »
Puis s'adressant à moi.
« La vache ! Il veut se faire la petite, ou il est en retard pour la ramener au couvent ? »
« À mon avis, il est pressé de se la faire ! Combien je vous dois ? »
Je fonce vers la sortie. Pourvu que je ne les perde pas.
Je monte sur un banc et j'aperçois la robe jaune disparaitre au coin du boulevard.
Je coure, bousculant quelques passants furieux, et j'arrive à mon tour là ou je les ai perdus de vue.
Ca donne sur une petite rue, pas très bien éclairée. Je les aperçois. Camille est collée contre une voiture et l'homme l'embrasse, en se frottant contre elle.
Je passe près d'eux.
Elle m'aperçoit, mais l'homme trop occupé à s'exciter contre *** petit corps, ne fait pas attention à moi.
Je me poste sous une porte cochère, pas trop loin.
« Viens Camille ! Au bout de la rue, il y a un square. Le portillon n'est jamais verrouillé. On y sera bien, tu verras. »
« Oui, mais embrassez moi encore ! Hummm ! »
Camille est maline. Elle me permet ainsi de les devancer.
J'entre dans le square et me cache derrière un arbre. Il fait très sombre, mais un vieux lampadaire permet d'y voir un peu.
J'entends la voix fluette de Camille.
« Hihi ! On n'y voit pas grand-chose ! »
« T'inquiète pas ma chérie. Je connais l'endroit par cœur. »
Il l'entraine au centre d'un grand bac à sable. Là, il y a des agrès pour les gamins. Enchevêtrement de toutes sortes d'échelles, d'escaliers ou de ponts de singe.
« Là, nous serons bien ! »
Il s'appuit contre une échelle et enlace Camille pour l'embrasser.
Puis, il la retourne et colle *** dos contre lui. Il l'embrasse dans le cou et lui mordille un lobe d'oreille tout en caressant *** ventre.
« Oh oui, Jean ! Humm ! C'est bon ! »
« Je vais enfin pouvoir profiter de tes seins. »
Il tire d'un coup sec sur la robe et ses deux seins sautent par-dessus l'élastique.
« Hummm ! Ils ***t durs comme je les aime ! Humm ! »
Camille jette sa tête en arrière pour la poser sur l'épaule de *** amant. Elle se cambre un peu pour laisser de l'espace entre ses fesses et la braguette de celui-ci. Mains dans le dos, elle s'empresse de l'ouvrir et d'en extraire la bite gonflée de sève.
Elle l'empoigne et la branle doucement contre *** cul.
Des seins, les mains descendent *********** sur les cuisses et remontent la robe au niveau de la ceinture.
« Oh ! La salope ! Tu n'as pas de culotte ? »
Soudain, une branche craque quelque part dans les buis***s qui entourent le parc.
Un peu paniquée, Camille se rajuste rapidement.
« On est pas seul ! Il y a quelqu'un ! »
« Il y a quelqu'un et alors ? En voilà une histoire ! »
Il tire de nouveau sur la robe et la descend aux pieds de Camille.
Entièrement nue, sa peau blanche se découpe dans la nuit. Elle est sublime.
Sublime mais inquiète.
« Mais non ! Je... Mais... Oh ! »
Jean bien décidé à aller au bout de ce qu'il veut, l'attrape par les cheveux.
Le ton de sa voix a changé.
« Tu vas faire ce que je te dis ! Petite putain ! Et sans broncher ! »
Sans lâcher ses cheveux il l'embrasse grossièrement et plante un ou deux doigts dans sa fente. Il la masturbe ainsi un bon moment, sans tendresse.
« Bouffe-moi la queue ! Salope ! »
Il la fait tomber sur le sable, sans ménagement et du bout du pied envoie la robe à plusieurs mètres de là.
Ebranlée, déstabilisée, Camille à genoux exécute l'ordre.
Je suis un peu loin, mais il me semble bien l'entendre renifler. Pleure-t-elle ?
Je sais qu'elle m'en voudrait à mort si j'intervenais. Pire, si je me trompais.
Le type se régale de sa conquête ! Il le mérite bien, non ?
Camille avait rai***. Ils ne ***t pas seuls.
Deux hommes sortent des buis***s, sexes tendus à la main.
Ils s'approchent et encadrent Camille.
Le « Jean » doit être un habitué de l'endroit et de ce genre de rendez vous, car il ne semble même pas surprit. Au contraire.
« Branle-les ! Morue ! »
Elle lève les bras et prend les braquemards à pleine main.
« Comme on se retrouve ! »
Qui est ce type qui lui dit ca ?
Un doute monte en moi. Je n'en suis pas sur, mais... J'écarquille les yeux. Merde ! Oui ! C'est bien lui. L'un des deux est le vicelard idiot du sex-shop.
« J'étais sur que tu étais une petite catin ! »
« Ouai ! Et une bonne suceuse ! Humm ! La salope ! Elle va me... Elle me fait jouirrrr ! Hummmm ! Putainnn ! C'est trop bonnnn ! Hummm ! »
Il se vide et Camille semble déguster avec plaisir, le nectar qui se déverse dans sa gorge.
« C'est bon pour moi, les mecs ! Je vous la laisse. Je la baiserais tout à l'heure. »
« Cool ! Merci Jean ! »
Merci Jean ? Les salops ! Ils se connaissent. Ils n'en ***t surement pas à leur coup d'essais, et Camille ne doit pas être la première fille qu'ils se partagent.
Elle n'a pas le temps de s'essuyer les lèvres qu'ils la relèvent déjà.
« Tient ! Puisque tu aime le bondage, on va jouer un peu. Haha ! »
Ils lui lèvent les bras et lui attachent les mains à un pont de singe, à l'aide de sa robe.
« Mais non, arrêtez ! Je ne connais rien au bondage ! Je vous dis la vérité ! Arrêtez ! »
Je la vois se tortiller pour essayer de se dégager. J'ai un peu honte, mais je dois bien avouer que la voir ainsi m'excite comme un fou.
Les types la caressent et la lèchent. L'idiot lui plante des doigts dans la chatte. *** compère lève une jambe de Camille, pour mieux dégager sa petite fente outragée.
Elle est branlée sans complaisance, mais à mon grand étonnement, je l'entends jouir.
« Tu vois que tu aime ca, putain ! Pour m'avoir menti, tu va être punie ! »
Il passe derrière elle et lui claque le cul. L'autre en fait autant. Malgré ses suppliques, elle prend dix claques.
« Alors ? Ca t'a plu, trainée ? »
Je suis sidéré par la réponse de Camille.
« Hooo ouiii ! Vous m'excitez ! Baisez-moi, s'il vous plait ! Enculez-moi ! J'en peu plus ! Je vous veux ! Viiiite ! Baisez-moi ! »
Je n'aurais jamais cru ca de ma petite femme.
Elle est détachée et elle se place immédiatement en position de levrette.
Elle a ce qu'elle voulait. Elle est baisée et enculée deux fois par les deux types. Mais ce n'est pas fini pour elle.
Jean, qui a reprit des ******, la couche sur le dos et replie ses jambes, jusqu'à placer ses genoux près de ses joues. Ainsi, *** cul et sa chatte *** bien accessibles et ouverts.
Le type se défoule et la pénètre un coup dans un trou, un coup dans l'autre. Plus *** plaisir monte, plus ses coups deviennent aléatoires.
Camille hurle, de plaisir... Je crois. Du moins, je l'espère.
Il s'apprête à jouir. Il se lève et laisse sa semence se déverser sur le visage de sa proie.
« Tiens ! Prends ca en souvenir ! Petite putain ! Regarde comme ma purée est bien grasse ! »
« Hahaha ! Hahaha ! »
Les trois types s'éloignent, la laissant gisante dans le sable.
Une fois seule, elle se redresse et se relève en s'aidant des barreaux d'une échelle. Elle semble manifestement, éprouvée.
« Fabien ? Viens, donne moi des mouchoirs, je n'en ai pas pris ! »
Je reste caché et ne réponds pas.
« Fabien ? T'es ou ? Fabien ? Arrête tes conneries et viens là ! Fabien ? »
Elle ne bouge pas pendant cinq minutes. N'entendant rien, elle se rhabille et fouille une poubelle pour trouver de quoi s'essuyer le visage. Puis, elle ramasse *** sac et sort du square.
Je cours comme un dératé pour trouver un taxi.
« Vite ! À cette adresse, le plus vite possible ! »
J'arrive bien avant Camille et j'ai le temps de me changer et d'enfiler un jogging. J'allume la télé et m'installe dans mon fauteuil.
La clef tourne dans la serrure. Camille semble très étonnée de me voir installé.
« Ben ? Tu étais passé ou ? Je t'ai cherché partout ! »
« Je voyais rien, Camille ! Le square était beaucoup trop sombre ! Et puis tu semblais être entre de bonnes mains, alors j'ai préféré rentrer. Allez, raconte ! C'était bien ? Il t'a bien fait jouir ? »
« Ouai, bof ! Rien de terrible, tu sais. C'était vraiment banal. Tu veux me boire ? »
« Évidement ! Quelle question ! »
Elle va se déshabiller dans la chambre et passe une nuisette sexy.
Lorsqu'elle vient me rejoindre dans le salon, elle a la tête baissée et elle est rouge de honte.
Dans sa main droite, elle tient le livre de bondage, que j'avais pris soins de ramasser dans le sable et que j'avais posé, bien en évidence, sur sa table de chevet.
« Vraiment banal, hein ? »
chrislebo

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#9,377
Up to the first message Down to the last message
Fabien c'est beaucoup amusé de ma gêne, lorsque, découvrant le livre de bondage sur ma table de chevet, je compris qu'il était resté jusqu'au bout, caché, dans le square.
Ma curiosité m'a poussée à ne pas jeter ce livre.
Il est dans mon tiroir, près de moi et je le lis de temps à autre avant de dormir.
Mais la plus part du temps, excitée par la lecture et les photos explicites qu'il contient, je saute sur mon Piou-piou pour le violer.
Nous en avons discuté longuement, pour savoir si j'aimerais tenter l'expérience d'une séance de soumission. Que se soit entravée ou non.
Je ne pense pas être prête. Mais le plaisir que j'ai retiré de ma fessée dans le square, reste gravé dans ma mémoire.

Mon beau père, Félicien, vient de signer un contrat faramineux qui lui assure la pérennité de la scierie pour au moins dix ans.
Pour marquer le coup, il nous offre à moi et Fab, un séjour en Suisse. La destination devait m'être cachée, mais à ***** de ******** buccales, mon petit patron chéri a fini par cracher le morceau.
Nous sommes en route pour Genève. Une semaine de détente dans un trois étoiles.
Bien sur, Fabien ignore que je suis au courant et je joue la curieuse excitée, tout le long du voyage.
« Allez ! Dis-moi ! On va ou ? En Italie ? En Allemagne ? En Suisse ? »
« Hahaha ! Tu ne sauras rien, Camille chérie ! Haha ! »
Je fouille la boite à gant à la recherche d'un indice. Rien.
« Tu ne trouvera rien ! J'ai tout dans le crane. La destination, le trajet, le nom de l'hôtel, tout est caché dans mon cerveau. Haha ! »
Le trajet est long et je m'endors. Tout se passe bien, malgré une chaleur écrasante.
Je me réveille quelques temps plus tard, la joue aplatie contre la vitre, un filet de bave s'écoulant du coin de ma lèvre. Grrrr ! Je déteste ca !
« Fab, j'aimerais qu'on s'arrête un moment. J'ai trop chaud, je voudrais me changer. »
« Pas de problème. Il y a une aire de repos à cinq kilomètres. »
Je suis très surprise, car les panneaux autoroutiers me font comprendre que nous avons déjà passé la frontière.
« Mince ! Mais on est en Suisse ? »
« Oui, et presque arrivé. »
« On va à Genève? Hein, c'est ca ? On va à Genève ? »
Pffff ! Quelle comédienne, tout de même !

Nous nous engageons sur la bretelle de décélération. C'est une aire tranquille et ombragée. De celle ou on peut pique niquer. Il y a de nombreuses tables et au centre de l'espace, l'incontournable pipi-room.
Il n'y a qu'une voiture grise, avec un type chauve à *** bord qui avale un sandwich.
Piou-piou se range vers la table la plus éloignée. Je saute de la voiture, ouvre le coffre et fouille dans un de mes cinq sacs.
Ben quoi ? Je suis une fille, non ?
« Merde ! Ou j'ai bien pu foutre cette robe ? »
Fab passe derrière moi et profitant de ma position penchée, il se colle à moi en me caressant le cul.
« Moi, je t'aime bien dans ton p'tit short ! Il dessine bien ton p'tit cul. Ca m'excite ! »
« Faaab ! Arrête, il y a un type là-bas ! Il pourrait nous voir ! »
« Ho ! Comme si ca te dérangeais ! Haha ! »
« Ouai, en fait, ta rai*** ! J'm'en fou ! Hihi ! »
Je trouve enfin ma robe, que je jette sur le toit de la voiture et je me pends au cou de Fabien. Je l'embrasse en me frottant outrageusement contre lui. J'ondule mon corps contre le sien et très vite, je sens une bosse dans *** pantalon.
Je le repousse en rigolant.
« Ho, qu'est ce... ? Monsieur ? Mais... vous bandez ? Vous me... désirez ? Vous... vous n'y pensez pas, monsieur ! Je suis une honnête femme, moa ! Hihihi ! »
« J'adore les honnêtes femmes ! Viens là salope, que je te saute ! »
Nous entamons une course poursuite autour de la voiture et des tables. Je passe près de la voiture grise. Je n'en suis pas certaine, mais il me semble bien avoir vu le conducteur se toucher.
Je retourne à notre véhicule et laisse Fab me rattraper. Il me ceinture et me fait tourner. Mes pieds ne touchent plus terre. Nous rigolons comme des gosses. Puis il me repose et m'embrasse de nouveau. Je me sens bien dans ses bras.
« Fab. Je crois bien que le type là-bas se tripote. »
« Normal ! T'a vu comment t'es gaulée ? Tu ferais bander un mort ! Haha ! »
« Pffff ! T'es con ! Allez, je me change et on y va. »
Je croise les bras et attrape le bas de mon tee-shirt. Je le passe ensuite, lentement, par dessus ma tête.
Je me place de façon que l'homme m'aperçoive de profil. Je l'imagine se branlant en regardant mes seins à l'air. Il ne doit pas voir ce genre de chose tout les jours.
Fabien en rajoute une couche.
« Attends Camille ! Je voudrais faire des photos de toi ! »
Voilà une chose que j'adore.
Je monte sur le banc d'une table de pique nique et m'assois sur la table.
Je pose, fais ma belle, pendant que Fab me mitraille.
Je croise mes jambes ou les écarte outrageusement, les coudes sur les genoux, mon visage dans mes mains. Ou encore, je me tourne de trois quart et prends mes seins dans mes mains, en léchant mes lèvres d'une langue gourmande.
Je me lève et mets mes mains sur les hanches, ou je soulève mes cheveux, comme le font les mannequins dans les magazines ou encore je mords le bout d'un de mon index tout en posant une main sur mes fesses.
Je me sens... chatte.
J'entends une portière. Le type est descendu de voiture. Il s'y appuit et allume une cigarette, sans perdre une miette de ma séance photo.
Je l'ignore totalement, comme si il n'existait pas et je reste le regard planté dans l'objectif de l'appareil.
Je me tourne tout de même un peu vers lui et je déboutonne lentement mon short, bouton après bouton.
Une fois ouverte, j'écarte la braguette bien en grand, dévoilant un pubis inexistant, rasé de près, comme toujours.
Sans le regarder, je sens l'homme qui s'agite et qui se déplace.
Je descends de mon piédestal et j'enfile ma robe.
C'est une petite robe d'été, légère et fraiche. Elle est rose pale et se boutonne sur le devant.
Mais je ne la ferme pas. Je la laisse grande ouverte, exposant mon corps et... j'ôte mon short.
Je m'assois sur le banc et joue avec le tissu. Comme par exemple, coincer le bas de ma robe entre mes cuisses, mais laissant ma poitrine bien apparente, en me penchant en avant, visage bien relevé.
Le type est désormais à quelques mètres derrière Fab, qui continu de me photographier. Il se rapproche doucement. Mon manque de pudeur, malgré sa présence, l'encourage certainement.
Arrivé à la hauteur de mon homme, il engage la conversation.
« Humm ! Elle est très jolie cette jeune fille ! Et bien faite ! Vous êtes photographe ? »
« Oui, à mes heures. »
« Ha ! Et...elle... ? Heuuu ! ...Je veux dire, elle est... ? »
« Elle ? C'est ma nièce. Elle est bonne, non ? »
Je manque de m'étouffer.
« Hein ? Heuuu, votre nièce ? Et vous l'exhibez ainsi ? »
« Oui, oui ! C'est ma nièce et ma pute ! Pas farouche, non ? »
« C'est le moins qu'on puisse dire ! Je n'en reviens pas ! Si jeune et déjà si salope ! Mais...elle est majeure tout de même, non ? »
« Ben...A vous de voir ! »
J'adore quand Fabien joue avec mon aspect de gamine. J'aime voir le trouble s'installer dans les yeux des hommes.
Je m'assois sur le bord du banc en cambrant mes reins. Je glisse une main sur ma vulve, et je malaxe mes seins de l'autre. Ma tête légèrement baissée, je jette un regard provocateur par en dessous, et je fais glisser ma langue sur mes lèvres.
Je m'amuse de voir l'énorme bosse sous la ceinture du chauve. La pauvre bête doit être écrabouillée.
Je lui fais signe de me rejoindre.
Etonné, gêné, il regarde Fabien.
« Ben ! Allez-y, puisqu'elle vous le demande ! »
« Oui, mais... Vous ne m'avez pas répondu ! Elle est majeure ou pas ? »
« Ce n'est pas mon problème ! C'est vous qu'elle appelle, non ? Si vous pensez pouvoir y aller...allez-y ! Sinon... Bye ! »
Il hésite quelques secondes, juste pour la forme, puis le type vient s'asseoir près de moi. Majeure ou pas, ce n'est plus lui qui commande, mais la chose qui étouffe dans *** slip.
Il me prend par la taille et pose une main tremblante sur mes seins.
« Hoo ! Vous êtes si... »
« Chuttttt ! Nous ne sommes pas obligés de discuter. »
« T'a rai*** ma chérie ! Donne moi ta chatte que je la bouffe ! »
Il tombe à genoux entre mes jambes et plonge *** visage entre mes cuisses largement ouvertes.
Sa langue qui vient effleurer mon bouton rose, provoque en moi comme une petite électrocution qui me traverse de bas en haut.
Je pose mes deux mains sur *** crane lisse et appuie pour qu'il me lèche plus profond.
Le contact avec cette partie de peau sans cheveux est une première pour moi. Je suis troublée par la sensation. C'est comme caresser un sein énorme et dur ou une fesse incroyablement douce.
J'adore.
La preuve en est que je me sens mouiller comme une sale gosse excitée, pour la plus grande joie de mon brouteur de minou.
« Hummm ! Ho ouiiii ! C'est bonnnn ! Hummmm ! »
Sa langue ne me suffit plus. Il me faut du dur, du long, du qui me remplisse bien.
Je me lève et je me tourne en me penchant sur la table.
Le type, toujours à genoux, comprend mal mon invitation et s'empresse de me sucer le trou de mon petit cul. Je le laisse faire quelques instants, mais mon vagin me démange.
« Viens ! Baise-moi vite ! Prends-moi comme une putain ! »
Là, il comprend. Il se relève, sort *** membre et après avoir relevé ma robe jusque dans le milieu de mon dos, il me pénètre enfin.
Je me sens enfin pleine. Pleine de cette chair chaude, palpitante, qui frotte toutes mes parties sensibles.
Il me prend fort et sans ménagement, comme j'aime.
Ses couilles viennent frapper mon clito régulièrement, ajoutant à mon plaisir.
Je me sens venir. Je suis prête à jouir lorsqu'un bruit de moteur me dérange.
Une voiture rouge vient de rentrer sur l'aire de repos et elle c'est rangée. Elle est éloignée et ne représente pas un danger. Mon chauve lui, prend peur et veut se retirer.
« Pas question chéri ! Baise-moi encore ! Je suis prête à venir ! Je t'en supplie, fini moi ! vite ! »
Tandis que mon con est de nouveau régalé, j'observe la voiture.
Bien qu'éloignée, il me semble voir une femme au volant...je ne vois pas ses traits, mais elle nous observe, c'est sur.
Nous devons très certainement la gêner et elle ne doit pas oser descendre de *** véhicule.
« Hargg ! Salope ! Je viens ! Tiens ! Prends ca, petite pute ! »
En effet, il se plante au plus profond de mon ventre et laisse échapper sa semence bouillante en moi.
Dérangée et déconcentrée par cette voiture, je passe à coté de mon propre plaisir. Mais qu'importe, le moment était génial.
Je remercie mon gentil crane rasé en le nettoyant généreusement avec ma bouche et ma langue. Puis, après lui avoir offert un long baiser, il remonte dans *** véhicule et disparait, persuadé d'avoir forniqué avec une nièce à *** tonton. Un beau souvenir pour lui.
Fab, comme à *** habitude maintenant, nettoie mon minou souillé à l'aide de sa bouche et de sa langue.
La femme n'a pas bougé et n'est pas sortie de *** auto.
Je finis de me rhabiller et nous repartons. Nous prenons la direction de l'autoroute et Fabien accélère.
« T'es gonflé quand même, de me faire passer pour ta nièce ! Hihi ! »
Il me regarde en souriant.
« Ben quoi ? C'était drôle, non ? »
Un regard de trop.
« FAB, ATTENTIO... »
chrislebo

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#9,378
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J'attends dans une salle d'attente, pleine de canards boiteux. Voilà plus de deux heures que Fab est descendu au bloc. On m'a certifiée que ce n'était pas trop grave, mais que *** pied gauche nécessitait une intervention. Ils m'ont parlé de cubitus, de déplacement. J'étais tellement en panique, je n'ai rien compris.
Je m'en veux terriblement. Je n'aurais pas parlé à Fabien, nous n'aurions sans doute pas eu cet accident.
Par chance, une fourgonnette de la gendarmerie est passée une minute après, et nous avons été prit en charge rapidement.
Une infirmière vient enfin me chercher et m'entraine dans le couloir.
Comme la plupart du per***nel, elle est tout en vert, haut qui s'enfile par la tête et pantalon. D'autres ***t en blanc avec une blouse blanche, qui se ferme devant par des boutons. Je comprendrais plus tard, que cette infirmiere travaille au bloc.
Elle porte un badge ou je peux lire « ELIANE ».
Elle est souriante. Ca me rassure un peu.
« Tout c'est bien passé. Il pourra sortir d'ici cinq à six jours. »
Elle m'explique ce qu'ils lui ont fait et bien sur, je ne comprends toujours rien. Je suis bien trop perturbée.
« Je peux le voir ? »
« Désolée, il est en salle de réveil. Vous ne pouvez pas y accéder. Le mieux c'est de revenir demain. »
« Demain ? Mais je ne sais même pas où aller ? Je n'ai plus mes affaires, plus de portable, plus d'argent. C'est un vrai cauchemar ! »
Je m'effondre en larmes sur une chaise qui se trouve là. L'infirmière s'accroupie face à moi et prend mes mains dans les siennes.
« Moi, je trouve que vous avez une bonne étoile. »
« Vous trouvez, vous ? »
« Mon mari est gendarme. Je lui ai dit que vous étiez une amie. Il s'est occupé de tout. Toutes vos affaires ont été ramassées et elles ***t à l'abri, chez nous. Nous avons vos bagages, vos papiers, vos portables et votre argent. Mon mari a même récupéré l'autoradio. Hihi ! Moi de mon coté, je me suis occupée de la paperasse de l'hôpital. Tout est en règle. Vous voyez, tout va bien ! »
« Merci, mais pourquoi faite vous tout ca pour nous ? »
« Vous ne me reconnaissez pas, n'est ce pas ? »
« Heuu, non, pas du tout ! Je devrais ? »
« J'étais sur les lieux de l'accident. C'est moi qui vous ai prodigué les premiers soins, juste après avoir appelé les gendarmes. Mais...En fait, je...Je vous ai vu juste avant, sur le... parking. »
« Juste avant ? Le parking ? Ha oui, le parking.... Ho !... La voiture rouge ? »
Rouge, c'est moi qui le suis maintenant. Elle me fait un grand sourire et un petit clin d'œil malicieux.
« Faut pas avoir honte, ma jolie. Si vous saviez dans quel état vous m'avez mise. Je vous ai regardé vous faire prendre par ce type chauve, et je n'ai pas pu résister à la tentation de glisser une main dans ma culotte. »
Je l'écoute et mon cœur se met à battre la chamade. Merde ! Elle m'excite.
Elle doit le sentir car elle continue *** récit, tout en posant ses mains sur mes genoux, qu'elle caresse doucement de ses pouces.
« Je ne pouvais pas rester insensible au spectacle. Vous m'avez fait jouir comme une folle. Quand vous êtes repartis, je me masturbais encore. Hélas... La suite vous la connaissez. »
Nous ne serions pas dans un couloir d'hôpital, je suis certaine qu'elle plongerait ses mains sous ma robe.
Putain ! Cette femme me trouble. Elle est belle. Elle a la peau de la couleur du pain d'épice. J'ai envi de la croquer.
Mais je ne peux m'empêcher de penser à mon Piou-piou.
« Écoutez ! Dans d'autres circonstances, j'aurais certainement adoré discuter avec vous, mais...je... »
Je ne peux m'empêcher de verser une larme. Prise entre le désir que m'inspire cette femme, ce foutu accident et mon homme blessé, mes nerfs craquent.
« Bon ! Voilà ce que je vais faire. Je vais vous installer dans la chambre ou sera transféré votre ami et je vous apporte un bon café. D'accord ? »
Je la suis. Je marche derrière elle et hume *** parfum. Je l'observe. entre trente et trente cinq ans, brune, cheveux court. Elle est plutôt bien foutue et j'adore *** petit cul qui glisse sous le tissu de *** pantalon d'infirmière. Elle ne porte pas de culotte, j'en suis certaine.
Elle me conduit dans une chambre. Près du lit, il y a un fauteuil. Elle m'invite à m'y installer et va me chercher un café.
Je préfère rester debout et repense à l'accident en regardant dehors.
Lorsqu'Eliane revient, elle me trouve encore en larmes. Elle pose le café et passe ses bras autour de mes épaules.
« Allons, allons, jolie Camille ! Viens là et pleure autant que tu le veux. Ca fait du bien. »
Je l'enlace et plonge mon visage dans *** cou en me vidant de mon chagrin.
« Fais chier ! Snif ! Nous devions passer un bon séjour et voilà ! Snif ! »
Elle presse ma tête contre elle et caresse mes cheveux tendrement.
Je sens *** corps brulant contre le mien.
*** parfum m'enivre et je ne sais pas ce qui me prend, mais je dépose un baiser dans *** cou et me cambre un peu, pour coller mon bas ventre au sien.
Je suis envahie par la honte, mais le petit « Humm ! » qu'elle prononce doucement, me rend totalement licencieuse.
Je lui donne deux autres baisers puis, je remonte jusqu'à *** oreille et je tourne le bout de ma langue sur *** lobe.
« Hummm ! Je te sens bien mieux tout d'un coup ! »
« Il n'y a que ca qui puisse me remonter le moral. Embrasse-moi Eliane ! Embrasse-moi ! »
« Doucement, Camille ! Tu veux me faire perdre ma place ? Hihi ! »
Elle me repousse gentiment. C'est comme un grand déchirement pour moi et je recommence à pleurer.
« Hoo, ma chérie, je t'en supplie, arrête de pleurer. Laisse-moi cinq minutes, je reviens tout de suite. »
Je me retrouve seule dans la chambre et je m'effondre dans le fauteuil.
Je sens encore *** parfum autour de moi. Mon cœur qui c'est emballé, ne retrouve pas *** rythme normal.
Je me sens bizarre. Presque inconsciemment, je glisse ma main sous ma robe pour caresser mon vagin. Je suis trempée. Cette femme m'a et me rend folle de désir.
Oublié mon Piou-piou. Oublié mes soucis. Je ne pense plus qu'à une chose...me retrouver de nouveau dans les bras de ma jolie infirmière, Eliane.
Lorsqu'elle réapparait, cachée par le lit, elle ne voit pas ma main revenir rapidement et sagement sur mon genou.
« J'ai deux bonnes nouvelles ! Fabien remonte d'ici une demi-heure et je t'ai obtenu une dérogation pour que tu puisses rester près de lui cette nuit. Ca nous laisse un peu de temps avant qu'ils ne le remonte. Suis-moi vite ! »
Elle c'est changée et porte maintenant la blouse blanche.
Nous prenons une suite incroyable de couloirs. Les visites ***t terminées et l'hôpital semble désert ou presque. Elle marche vite et j'ai presque du mal à la suivre. Et soudain, elle s'engouffre dans une pièce. A peine entrées, elle ferme la porte à l'aide d'une clef qu'elle sort de sa poche.
« C'est une réserve. J'ai emprunté la clef. Il faut vraiment que tu me plaises pour prendre de tels risques. Viens là, ma chérie ! »
Au milieu d'un bric-à-brac de lits, de matelas, de fauteuils et de chaises en tous genres, nos bouches se rejoignent dans un baiser fougueux et nos mains exploratrices, découvrent enfin, le corps de l'autre.
Tandis qu'Eliane déboutonne ma robe fébrilement, je plonge ma main dans *** pantalon.
Je ne suis pas surprise de me retrouver en contact direct avec ses grandes lèvres humides et chaudes.
Je n'ai aucune difficulté à glisser deux doigts impatients dans *** antre affamé.
Sa respiration s'accélère et *** baiser devient nerveux. *** plaisir monte en flèche, je le sens.
Est-ce par vengeance, mais elle me copie et porte la même caresse à mon minou gourmand.
Lorsque ses doigts ***t bien en moi, elle exerce une pression avec la paume de sa main. Prise dans cette pince, elle semble vouloir me maintenir. Puis, elle retire ma main de *** pantalon.
« Teuh, teuh, teuh ! Qui c'est l'infirmière ici ? Viens là que je soigne tes p'tits chagrins. »
Me tenant toujours pri***nière de l'étau de sa main, elle me fait reculer jusqu'à un fauteuil.
« Je vais bien m'occuper de toi et panser les bobos de ton p'tit cœur. Passe tes jambes par dessus les accoudoirs. »
Elle libère mon vagin et tandis qu'elle se délecte de ma liqueur qui souille ses doigts, je m'installe confortablement, jambes bien écartées, chatte bouillonnante et baveuse, offerte.
« Hummm ! Je suis certaine que ton joli coquillage est aussi délicieux que joli ! »
« Heuu ! Non, Eliane, attends ! Je ne suis pas sur que... »
Trop tard. Elle a plongé *** visage entre mes cuisses et sa langue me fouille déjà.
Elle a un léger mouvement de recul. Je peux le comprendre, mais elle ne m'a pas laissée le temps de lui expliquer.
Entre le moment ou le chauve c'est vidé en moi et maintenant, il s'est passé plusieurs heures. Et même si Fab m'a nettoyée, je suis loin d'être fraiche.
Mais peu importe. La surprise passée, elle retourne déguster mon coquillage.
Sa langue est chaude et agile. Elle gigote dans mes chairs, me procurant de longs fris***s.
« Hoo ouiii ! Eliaaane ! Mange-moi bien ! Hummmm ! C'est bonnnn ! »
« Humm ! Petite salope ! Je vais te faire grimper au plafond ! »
Elle prend mon clito gonflé entre ses lèvres et l'aspire fort. Le bout de sa langue le titille vigoureusement. Puis elle entreprend de prodiguer une longue fellation à mon petit organe féminin.
« Hooo ! Nooon, Eliane ! Je vais...Je vais jouiiiir ! Hummmm ! Arrêteeee ! C'est trop fort ! »
« Viens mon p'tit ange ! Laisse toi aller ! »
Elle reprend mon bouton entre ses lèvres et plante trois doigts en moi.
Je me tortille sur mon fauteuil, broyant mes seins dans mes mains, pinçant et étirant mes pointes devenues sensibles par le plaisir.
Eliane, me sentant au bord du gouffre de l'extase, pose une main sur ma bouche pour étouffer mes plaintes. Plaintes qui se transforment très vite en grognements, puis en longs cris de jouissance.
Elle ne me lèche plus et se contente de maintenir sa main sur ma bouche et de me branler avec ***** de *** autre main.
« Hoo ! Comme tu es belle ! Jouis ma chérie ! Jouis fort ! Vas-y ! Ouiiii ! Jouiiiiiis ! »
J'exulte et me rends dans un long, très long gémissement.
Et soudain, tout mon corps se relâche. Je me sens sans aucune *****. Comme si on m'avait retiré tout mes muscles d'un coup, d'un seul.
Mes jambes pendouillent par dessus les accoudoirs et mes bras en font tout autant.
J'ouvre les yeux doucement.
Ma belle infirmière, à genoux, sourit en se léchant les doigts. Elle est triomphante et ses yeux brillent d'un éclat étrange de satisfaction du travail bien fait.
Elle se penche sur moi et colle *** ventre au mien. Elle me donne un long et doux baiser.
« Ton p'tit cœur va mieux ? Tu te sens moins triste ? »
« Hooo Eliane ! Tu es la meilleure des infirmières. Laisse-moi te remercier à ma façon. Prends ma place. »
« Tu es adorable, mais il n'en est pas question. Tu m'as tellement fait mouiller que j'ai taché mon pantalon. Je dois aller me changer et peut être... Travailler un peu. Hihi ! Qu'en dis-tu ? Hihi ! Rejoins ton chéri, je viendrais te voir dans la nuit. »
Apres un dernier baiser, nous sortons discrètement et je rejoins la chambre de Fabien, alors qu'Eliane, ma tendre et belle infirmière, disparait sans bruit, au détour d'un couloir.
chrislebo

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Mon pauvre Piou-piou est dans le potage le plus complet et a du mal à se remémorer les événements. Doucement, je lui rafraichis la mémoire et il est très vite rattrapé par un sentiment de culpabilité.
« Merde ! Je suis désolé Camille. J'ai bousillé notre voyage. »
« Laisse ! Des voyages on en fera d'autre. Finalement, à part ton pied, ce n'est que de la ferraille pliée. »
« Pliée ? »
« Ha oui ! Pliée de chez pliée ! Elle est partie à la casse. Mais ne t'inquiète pas, nos affaires ont été récupérées. Je t'expliquerais. J'ai également prévenu la famille et je les ai rassurés. Ta mère va venir nous récupérer. Allez ! Repose-toi, maintenant. Je reste près de toi cette nuit.»
Il s'endort très vite et je profite de *** repos pour me permettre une douche, obligatoire et plus que nécessaire. Malheureusement, n'ayant pas nos sacs, je suis condamnée à remettre ma robe.
Lorsque je reviens de la douche, Eliane est au chevet de Fab et règle sa perfusion, prenant grand soin de ne pas le réveiller.
« Tout va bien ! Il s'en remettra vite. Dis moi, veux tu que je te prête une blouse jusqu'à demain ? Après ma garde de nuit, tu feras un saut à la mai*** pour te changer. Ok ? »
« Oui, merci. Demain il fera jour. Je trouverai bien à m'organiser. »
Elle revient deux minutes plus tard, avec une blouse blanche.
Je ne prends pas le soin de me cacher pour me changer et j'ôte ma robe devant elle.
«Pfffff ! Pourquoi me fais tu ca ? »
« Quoi donc ? »
« Te mettre nue devant moi ! Tu veux que je change encore de pantalon ? Coquine ! »
« J'avoue qu'être ainsi devant toi, m'excite beaucoup. »
« Ho, les filles ! On peut mourir tranquille ? »
Fabien c'est réveillé sans que l'on s'en aperçoive.
J'enfile la blouse et m'approche du lit sans prendre le temps de la fermer.
« Hummm ! Je suis au paradis ou quoi ? »
« Non, non ! Touche ! Tu es bien vivant ! Hihihi ! »
Il caresse mes seins un instant, puis s'intéresse timidement à mon sexe.
« Désolé chérie, mais là, ce n'est pas encore la grande forme. »
Eliane éclate de rire.
« Haha ! Ce que je vois là, me fait penser le contraire ! Haha ! »
Et elle prend à pleine main, la chose qui tend le drap vers le haut. Surprit par l'attitude de l'infirmière, il me regarde, interrogateur.
« Ho ! Je te présente Eliane. Nous avons fais connaissance et nous nous sommes prise de sympathie l'une pour l'autre. »
« Ha ! Je vois, je vois. Je comprends mieux, maintenant. »
Eliane se rapproche de moi.
« Dis moi Camille, j'aimerai que tu ferme ta blouse et que tu fasse le guet à la porte. Je voudrais vérifier si ton petit ami n'a pas de problèmes psychomoteurs et je ne voudrais pas être dérangée. Tu veux bien ? »
« Et comment ! Avec plaisir ! Si je peux aider la médecine...Hihihi ! »
Je ferme ma blouse et fonce à la porte. J'y reste avec un œil dans le couloir et l'autre dans la chambre.
Eliane, souriante, retrousse le drap jusqu'aux chevilles de Fab. Je suis étonnée de voir mon Piou-piou presque gêné. En fait, il est méga surprit. C'est mignon tout plein.
« Bon ! Voyons voir si tout va bien ! Nous ne voudrions pas que la chose soit cassée, non ? »
« Heuu, ben non ! Ce serrait embêtant ! Je vous en prie, faite dont, auscultez, auscultez ! »
Ces deux là s'amusent bien. On dirait deux gosses qui jouent au docteur. Mais la suite est beaucoup plus mature.
Entre les doigts de l'infirmière, la queue encore légèrement endormie, prend du volume, petit à petit.
« Bon, bon ! Coté moteur, tout semble fonctionner. C'est parfait ! »
« Oui, mais faut pas en rester là, madame l'infirmière ! C'est coté psycho ! J'ai un gros doute ! Ca me fait tout bizarre dans ma tête. »
« Humm ! Il n'y a pas que le doute qui soit gros ! »
Assise au bord du lit, Eliane se penche sur *** patient... impatient... et laisse sa bouche engloutir l'objet de l'analyse.
« Hooo, Camille ! J'adore cet hôpital ! Ici, au moins, ils prennent soins du malade ! Hummm ! »
« Oui, c'est vrais mon chéri ! Et ils prennent soins de la famille aussi. Je peux te l'assurer ! »
Eliane pouffe de rire tout en suçant le dard dressé à la verticale.
« Ha ! Je vois ! Je crois comprendre ou vous a mené votre sympathie naissante. Haha ! »
« En fait, Eliane était sur le parking. Tu sais, la voiture rouge ! »
« La voiture rouge ? Haaa ouiii ! Hummm ! Le monde est petit. Hooo ouiiii, c'est bon ! Hummm ! Une bonne suceuse, la p'tite infirmière ! Hummm ! »
Mon Fabien semble très bien réveillé à présent. Sa main disparait sous la blouse blanche.
« Hummm ! J'adore tes seins ! Hummm ! Comme je les aime ! Hummm ! Suce-moi les couilles ! Par pitié, suce-moi les couilles ! Haaa ! Hummm ! »
La bouche gourmande glisse le long de la tige et gobe les boules gonflées, à tour de rôle.
« Haa ouiii ! Salope ! Tu vas me faire jouir ! Hummm ! Ouiii ! Suce-moi vite ! vite ! »
Eliane reprend sa palpation buccale. Fabien se cambre et se rend dans un ralle.
« Hargggggg ! Ouiiii ! Hummmmm ! »
Le sexe bien nettoyé, est enfin libéré et recouvert par le drap.
« Pas de problèmes Camille ! L'examen est positif. Ton homme est en état de marche. Haha ! »
« Humm ! Merci ma chérie, me voilà rassurée. »
« Oui, mais moi, j'ai taché mon pantalon encore une fois ! Pffff ! Je crois que tant que vous serez là, je serais condamnée à porter une culotte doublée d'un protège-slip. Bon ! Je me sauve ! Je reviendrais plus tard. Soyez sage ! »
Elle me donne un baiser furtif et disparait dans le couloir.
Le silence règne dans le service et Fabien, épuisé par cette journée plus que mouvementée, s'endort d'un profond sommeil.
Je m'installe confortablement dans le fauteuil et je trouve le repos à mon tour.
J'ouvre un œil vers trois heures du matin. Je bois un grand verre d'eau pour me rafraichir. Il fait tellement chaud dans ces hôpitaux.
La porte s'entrouvre doucement. Le doux visage d'Eliane apparait et elle me fait signe de la rejoindre dans le couloir.
Je sors de la chambre et repousse la porte sans faire de bruit.
Eliane jette un œil furtif pour s'assurer que per***ne ne traine dans les couloirs et elle prend mes mains dans les siennes. Une lueur friponne illumine *** regard. Doucement, elle chuchote.
« Comment te sens-tu ? Pas trop fatiguée ? »
« Non, ca vas, j'ai récupéré. Qu'est ce qui ce passe ? »
« J'aimerai te faire une surprise. Mais pour ca, je voudrais que tu monte au cinquième d'ici une demi-heure. Tu trouveras une porte indiquée « économat ». Entre, mais surtout n'allume pas la lumière. Ok ? »
« Heuu, oui, mais...si on me demande ou je vais ? »
« T'inquiète pas et fais ce que je te dis ! »
Elle me vole un baiser et disparait encore une fois.
La demi-heure qui suit est une des plus longues qui m'a été donnée de vivre.
Pas très rassurée, je monte les étages. Je ne suis pas sur que le choix des escaliers soit le meilleur, mais j'avais tellement peur que l'ascenseur soit trop bruyant.
Je monte les marches dans un silence pesant. Parfois, un bruit me fait sursauter, mais le silence revient rapidement.
Je pousse la porte et j'entre dans un couloir peu éclairé, qui rajoute au mystère de cette curieuse invitation.
Mon cœur bat la chamade si fort, que j'ai l'impression de l'entendre.
« Économat ». J'y suis. La porte est très légèrement entrouverte.
Soudain, un bras m'agrippe et me tire dans le local, plongé dans le noir.
Des mains avides déboutonnent ma blouse et me la retire. Tout va très vite et avant que je ne comprenne ce qu'il m'arrive, une langue chaude et agile s'enfonce dans ma chatte.
Je crois qu'il ne me faut pas plus de quatre vingt dix secondes pour jouir comme une folle.
« Hoo Eliane ! Tu vas me rendre folle ! »
Ses mains posées sur mes cuisses, remontent le long de mon corps, jusqu'à mes seins.
Je pose les miennes sur sa tête, pour l'obliger à prolonger sa tendre caresse buccale, mais...je ne reconnais pas les cheveux de ma belle infirmière.
« Mais ! Mais ! Qui êtes vous ? »
Une voix féminine, douce et tendre, me répond calmement.
« Les amies de mon amie ***t mes amies. »
Inutile de me faire un dessin. Eliane m'a offerte à cette inconnue. Mais finalement, en y réfléchissant bien...qui est offerte à l'autre ?
Ca, pour une surprise, c'est une surprise.
Toujours dans le noir, je suis penchée en avant sur me semble t'il un tas de cartons, et quelle n'est pas ma stupeur d'être embrochée d'un trait et sans ménagement, jusqu'au fond de la chatte, par ce que je pense être un gode de bonne taille.
Des seins s'écrasent dans mon dos et une main agrippe mes cheveux, redressant légèrement ma tête en arrière.
Une bouche vient sucer le lobe de mon oreille. J'entends la respiration excitée de la femme qui souffle dans mon conduit auditif.
La surprise passée, le va et vient dans mon vagin, finit par m'arracher une plainte de plaisir.
« Hoo ouiii ! C'est boooon ! »
« Tu aime ca, salope ? T'aime ca te faire remplir, hein ? »
« Ho Ouii ! Baise-moi ! Baise-moi bien ! Hummm ! »
Une deuxième vague de jouissance me submerge.
« Ho mon dieu que c'est boooon ! Ouiii ! Je Jouiiiis ! Hummmm ! »
« Dieu n'a rien à voir avec ca. Viens là, salope ! »
Toujours dans le noir, je suis retournée et couchée sur le sol.
Le mince filet de lumière qui passe sous la porte ne me permet pas de voir ma mystérieuse assaillante.
Une chatte trempée, avec une légère toi*** bien taillée, se pose sur ma bouche.
« Lèche-moi, salope ! Lèche-moi longtemps, ma chérie. Hummmm ! »
Cette fille doit être d'une grande gentillesse. *** « chérie » transpirait la passion et la tendresse.
Je me régale de *** superflu de jus et je la lèche avec gourmandise. Je m'attarde sur *** clito à plusieurs reprises, lui arrachant de longues crispations de plaisir. Parfois, mon visage est écrasé entre ses cuisses, le temps d'un orgasme.
Elle mouille abondamment et c'est un véritable nectar qui s'écoule dans ma gorge. Un vrai délice.
Mais je ne suis pas en reste. Aux grés de ses jouissances, elle m'enfonce plus ou moins rapidement *** gode dans la chatte, me faisant jouir encore deux fois.
Puis, secouée par un violent orgasme, elle inonde mon visage en poussant une longue plainte, et s'effondre près de moi, épuisée.
Si elle pense s'en sortir aussi facilement, elle se trompe.
Je me couche sur elle. J'ondule mon corps contre elle, frottant mes seins aux siens.
« Et bien, belle inconnue ! Tu crois pouvoir déposer les armes ? Il serrait bon de finir ce que tu as commencé, non ? »
« Pas de problème ma chérie ! Mets-toi à quatre pattes. Je vais m'occuper de ton cas. »
J'essais de m'installer confortablement, en glissant ma blouse sous mes genoux et en posant mon visage sur un carton.
« Vas-y ! Prends-moi ! »
Elle n'attend pas et plonge *** gode de nouveau au fond de mon ventre. *** autre main me caresse, mais très vite elle vient s'intéresser à ma pastille brune.
*** pouce tourne autour et applique quelques petites pressions. Je sens mon anus se détendre doucement et quand elle y plonge *** index, je ne ressens aucune douleur.
Elle alterne les mouvements de *** doigt et du gode. Lorsque l'un rentre, l'autre sort.
La caresse est délicieuse et je multiplie les petites jouissances.
Sans me prévenir, elle retire le membre de plastique de mon vagin détrempé, et l'enfonce profondément et d'un coup dans mes entrailles.
Surprise, je cherche à amortir la pénétration, mais les cartons qui se trouvent devant moi, m'en empêchent.
D'instinct, je me cambre et respire un grand coup. L'objet se met lentement en mouvement en moi.
« Ho ouiiii ! Encule-moi bien ! Oui, encoreee ! Hummmm ! Ouiiiii ! »
« Et comme ca ! Ce n'est pas mieux comme ca ? »
Elle passe sa main libre sous mon ventre et pince mon clito.
C'est comme une violente décharge électrique qui me traverse de bas en haut.
« Haa ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! »
Elle le branle maintenant avec savoir faire et j'explose dans un orgasme à la mesure des caresses que je reçois.
« Hoooo ouiiii ! Je viens ! Je viens ! Je viiiiii... ! Ouiiiii ! Hooooo ! Ouiiiiiiiii ! »
Cette fois, c'est moi qui m'écroule à même le sol. Je suis essoufflée et en sueur. Mon cœur est sur le pont de se décrocher.
Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits, que mon inconnue c'est déjà rhabillée. Elle quitte l'économat, sans un mot de plus et sans me montrer *** visage.
Tremblante, je remets ma blouse et je retourne à l'étage de Fabien, les jambes en coton.
Je reste dans le couloir, à la recherche d'Eliane. Je la retrouve facilement. Elle passe de chambre en chambre. Elle m'aperçoit et me fait un grand sourire hypocrite.
« Alors ? Comment trouve tu notre économat ? »
« C'était qui ? Dis-moi ! C'était qui ? »
« Peut importe ! En tout cas, elle a apprécié. Et toi ? »
« Humm ! C'était fantastique. Mais c'était qui ? Allez ! Dis-moi ! »
« Ma maitresse. Une infirmière comme moi. Stéphanie. »
« Humm ! T'es une sacrée coquine aussi, toi ! Tu me la présente ? »
« Tu sais, elle ignore aussi qui tu es. C'était mon deal avec elle. Je t'offre une petite salope, mais tu ne cherche pas à savoir qui c'est. Elle a dit « Oui » tout de suite. »
« Je la comprend. J'aurais dit oui, aussi ! Hihi ! »
« Viens, elle doit trainer par là. »
On la trouve dans un recoin, à la machine à café.
« Stéphanie ! Je te présente Camille. »
« Hummm ! Mais tu es beaucoup plus jolie que je ne l'imaginais, et beaucoup plus jeune aussi ! »
Environs un mètre soixante dix, cheveux noirs, une jolie poitrine, tout comme Eliane. Je pense bonnet B.
Elle a des yeux verts et marrons et un superbe sourire qui me fait fondre.
« Merci, c'est gentil. »
C'est tout ce que je trouve à dire. Mon cœur se met à rebattre très fort et je me sens rougir, comme une idiote.
Pas facile de se retrouver avec cette fille en face de moi, alors qu'il y a une demi-heure à peine, j'étais allongée sur elle, nue. C'est une expérience très déroutante, mais finalement, je suis heureuse de ne pas la sentir très à l'aise non plus.
Eliane est triomphante.
« Alors les filles ? Gênées ? »
chrislebo

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#9,380
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« Qui, nous ? Mais pas du tout, regarde. »
Je m'approche de Stéphanie et après avoir plongé ma main dans *** pantalon, je lui offre mes lèvres. Elle m'embrasse avec beaucoup de douceur et ses mains se posent sur mes seins au dessus de ma blouse.
J'aperçois Eliane, qui jette un œil dans le couloir.
« Pffff ! Ok ! Vous êtes de bonnes salopes, mais il ne faudrait pas qu'on nous voit. »
« Hihi ! Tu a peur de niquer un autre pantalon ? »
« Pas de risque ! Je me suis suréquipée ! »
Nous éclatons de rire et après quelques échanges de baisers, je les laisse repartir à leur travail, à regret.
La fin de la nuit est calme et réparatrice.
Un léger soupir discret me réveille.
« Hummm ! Ouiii ! »
J'entrouvre les yeux et je vois Eliane prendre la tension de Fabien, sauf que celui-ci... a sa main dans le pantalon de sa petite salope d'infirmière.
« Et bien, et bien ! Je vois que mon blessé de petit cocu est en pleine forme ! »
« En tout cas, s'il a mal au pied, ses mains vont très bien. Mais pourquoi le traites-tu de cocu ? Ce n'est pas très gentil ! »
« Mais si, Eliane ! Je suis cocu et j'aime ca. Camille t'expliquera. »
« Houlà ! Vous êtes décidément, un couple plein de surprise. J'ai fini mon service, Camille. Remets ta robe, je t'emmène chez moi pour te changer. »
« Ok, j'arrive ! À tout à l'heure mon Piou-piou, je reviens aussi vite que je peux. Repose-toi bien en attendant que Mylène arrive. »
« La nuit prochaine, tu pourras aller à l'hôtel avec ma mère. Tu pourras rattraper le sommeil perdu. En tout cas, merci d'être resté là avec moi cette nuit. »
« T'inquiète ! Ca n'a vraiment pas été une corvée. J'en suis encore toute mouillée ! Hihihi ! »
« Hoo ! Fou le camp, petite pute ! Hahaha ! »
Ca me fait tout drôle de voir Eliane en civile. Elle porte un chemisier blanc et une jupe bleue. Sur ses épaules, elle a posé un gilet en laine pour se protéger de la fraicheur du petit matin.
Je l'observe pendant qu'elle conduit.
C'est vraiment une très belle femme.
*** soutien gorge se dessine sous le chemisier. J'y glisserais bien ma main. Mais je me contente de *** genou.
« Eliane, tu m'a bien dis que tu étais mariée ? »
« Ouiiii ! Avec un beau gendarme d'un mètre quatre vingt dix. »
« Mais, je vais pas déranger ? »
« Non, ne t'inquiète pas. Il sera déjà levé et prêt à partir. Il y a des semaines comme ca, ou on ne fait que se croiser. C'est ainsi ! »
Elle ouvre la porte de *** appartement.
« Pascal ! C'est moi ! Je suis avec une amie ! Houhouuu ! »
« Je suis là ! Bonjour ma chérie ! »
Il enlace Eliane et l'embrasse amoureusement.
« Je te présente Camille. C'est mon amie qui a eu cet accident. »
Pascal, hummm ! Tous ses muscles ***t dessinés, grâce au pull bleu azur de la gendarmerie, qu'il porte à même la peau. Il a un sourire ravageur et ses yeux, verts, me font fondre comme un glaçon.
« Enchanté ! J'espère que votre ami vat bien ? »
Il se penche et me fait la bise. Ses lèvres encore humides de *** baiser à *** épouse, font rougir mes joues, lorsqu'elles se posent sur celles-ci.
Cet homme me trouble terriblement et je suis presqu'heureuse de le voir partir.
Lorsque la porte se ferme sur lui, je regarde Eliane pour voir si elle a remarquée mon émoi.
« T'inquiète, je sais ce que tu ressens. Hihihi ! Ca fait le même effet à mes copines. »
« Oups ! Je suis vraiment désolée, mais il est si... »
« Ouai ben, pas touche chérie ! C'est chasse gardée ! Allez, je te fais visiter et à la douche ! »
C'est un appartement très agréable et joliment décoré.
« Viens voir ! Comme nous sommes au dernier étage, nous avons une terrasse sur trois côtés qui peut nous servir de solarium ou de baisodrôme. C'est cool, non ? »
Puis, comme deux copines, nous sautons sous la douche et nous nous savonnons mutuellement.
Mais comment résister à la douce caresse du gel douche.
Nos mains dérapent, s'égarent. Nos corps se collent sous la fine pluie artificielle. Des jeux de langues deviennent vite naturels et obligatoires.
Nos peaux ont le grain d'un gâteau de semoule, provoqué par la chair de poule.
Nos seins, écrasés les uns contre les autres, n'empêchent pas nos pointes de se dresser malgré tout.
Dos au mur, un pied sur le rebord de la baignoire, je me cambre et offre ma fente bouillante à la bouche d'Eliane. Elle me fouille, comme seule une femme sait le faire. Mon bouton rose n'est pas en reste et elle l'excite d'un pouce habile.
De *** coté, ma belle infirmière se masturbe comme une démente et nous ne sommes pas longues à jouir, ensemble.
C'est un moment d'extase totale.
Eliane reste accroupie et coupe l'eau. Elle lève *** doux regard vers moi, avec une étincelle dans les yeux. Sa bouche fait une petite moue étrange et pour la première fois, je la vois rougir.
« Qu'est ce qui se passe ? Qu'est ce que tu as ? »
« Non, rien...enfin, si, mais...je sais que tu vas refuser. »
« Je comprends pas, Eliane ! Refuser quoi ? »
« Ho, rien ! C'est juste un fantasme. »
« Mais vas y, dis moi ! Les fantasmes ***t faits pour être réalisés, non ? »
« Tu l'auras voulu ! Pisse-moi dessus ! Je t'en supplie ! Pisse-moi dessus ! »
« Ho ! En effet, ce n'est pas banal ! »
« Je le savais ! Je savais qu'il ne fallait pas que je te le demande. Je suis désolée, oublie.»
Elle s'apprête à se relever, mais je la retiens en appuyant sur ses épaules.
« Hop là ! Ou tu vas comme ca ! J'ai pas dis que je ne le ferais pas. Ouvre la bouche, petite salope ! Et bois-moi ! »
Ses lèvres s'entrouvrent à l'orée de ma fontaine et après quelques secondes de concentration, j'y vide ma vessie.
Mon jus doré pénètre sa bouche et en ressort en gros bouillons. Le liquide chaud s'écoule sur sa peau et ses mains l'étalent sur toutes les parties de *** corps.
Elle est comme en transe et se masturbe de nouveau.
J'ignore si c'est volontaire ou si elle s'étrangle, mais elle boit une gorgée du précieux liquide qui commence à s'épuiser.
Ce qui est certain, c'est qu'elle jouit à nouveau.
Elle se finit en suçant mes grandes lèvres, comme pour récupérer la moindre petite goutte.
Elle se relève, un peu penaude de ce qu'elle m'a demandé de faire, et m'enlace pour m'embrasser.
Le gout âpre de mon urine me dérange un instant, mais fini par me procurer un étrange, mais certain plaisir.
Nous nous rinçons, et après s'être essuyées, nous nous effondrons sur le dos, dans le lit conjugal.
Nous restons ainsi, main dans la main, à contempler le plafond, nos têtes enfoncées dans de moelleux et confortables oreillers.
Très vite, Eliane est invitée à rejoindre Morphée. Car si moi, j'ai pu dormir quelques heures, ce n'est pas *** cas, et la nuit fut...mouvementée.
Je rêvasse dans la pénombre de la chambre. Le soleil essaye, sans y parvenir, de traverser les doubles rideaux à fleurs. Les oiseaux chantent. Tout est calme et tranquille. C'est le bonheur.
Un bruit léger, me sort pourtant de ma torpeur.
Quelle n'est pas ma surprise de voir la porte de la chambre s'ouvrir lentement.
Un grand fris*** parcourt ma colonne vertébrale.
Le visage de Pascal passe dans l'entrebâillement. Je le sens très gêné de me voir ainsi, entièrement nue. Il s'excuse en chuchotant pour ne pas réveiller Eliane.
« Oups ! Je suis désolé, j'ai oublié ma sacoche ! »
Je le regarde traverser la chambre sur la pointe des pieds, pour venir récupérer sa sacoche, posée sur une chaise, près de moi.
Ses grands yeux verts se posent sur moi à plusieurs reprises. Dieu qu'il est beau.
Et moi, petite pute que je suis, je ne peux m'empêcher de faire ma salope.
Je remonte ma main libre sur ma jambe et la plonge entre mes cuisses largement écartées. Je caresse ma vulve, puis, de deux doigts, j'écarte mes grandes lèvres, exposant ainsi mes chairs roses aux yeux du gendarme.
Je sens mes tétons se dresser et durcir, semblant lui dire, « Suce-nous ! Suce-nous ! ».
Je ne ressens aucune honte à plonger deux doigts dans mon coquillage, alors que l'homme rejoint la porte en marche arrière.
Intérieurement, j'enrage qu'il ne m'ait pas touché lorsque j'étais à sa porté.
Il a rejoint la porte, mais a bien du mal à détacher *** regard du spectacle que je lui offre.
J'en rajoute en ondulant du bassin, plongeant mes doigts encore plus profond en moi.
J'espère que ma langue qui glisse sur mes lèvres le rendront fou, et qu'il reviendra vers moi, mais...
« Désolé ! »
Il fait un petit signe de tête en direction de sa femme qui dort profondément, et referme la porte délicatement.
Beau et fidèle.
Pffff !
Un véritable cauchemar pour une fille comme moi.
chrislebo

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#9,381
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Nous nous réveillons vers treize heures.
Je décide de ne pas parler du passage éclair de Pascal. Mais je reste inquiète, car j'ignore si lui n'en parlera pas.
Eliane se tourne vers moi et m'enlace tendrement, glissant une jambe entre les miennes. Le contact de sa cuisse contre mon sexe, fini de me réveiller.
« Ma belle infirmière a bien dormi ? »
« Humm ! Comme un loir. J'ai rêvé que Pascal rentrait dans la chambre, et qu'il nous faisait l'amour. »
Je crois que mon cœur va s'arrêter de battre. Et si elle m'avait vu essayant d'allumer *** mari ?
Non, non ! Impossible, elle dormait profondément, j'en suis sur. Mais c'est peut être l'occasion de savoir ce qu'elle en penserait.
« Heuu, et alors ? C'était bien ? »
« Je crois oui. Mais ce n'est qu'un rêve ma biche. »
Mince ! Je n'en saurais pas plus.
Elle s'allonge sur moi et me gratifie d'un long et doux baiser. Mes mains caressent *** dos, puis ses fesses.
Je les aime bien, ses fesses. Elles ***t fermes et musclées.
« Eliane. Tu m'excite. J'ai envi que tu me baise. »
« Concombre, banane, saucis***, bouteille ? Hihihi ! Courgette ? »
« Quoi ? Qu'est ce que tu raconte ? »
« Attends ! Je reviens ! »
« Mais ou vas-tu ? »
Elle saute du lit et disparait. Elle revient deux minutes plus tard, avec un air triomphant et... un concombre à la main.
« Regarde ce que j'ai pour toi, ma belle ! Je l'ai passé sous l'eau chaude pour le réchauffer un peu. »
« Tu n'y pense pas quand même ? »
« Ho si, j'y pense ! Et tu vas passer à la casserole ma p'tite pute ! »
Appuyée sur mes avant bras, je la regarde caresser ma fente avec le légume. Puis, elle le fait bouger dans un peu tout les sens et appuit légèrement.
Elle frotte mon clito de *** autre main. Très vite, je me sens mouiller comme une salope.
Je pousse un petit cri lorsque la cucurbitacée ***** le passage de mes grandes et petites lèvres.
Je me sens me remplir doucement. Remplir... c'est le mot.
Bien que le concombre ne soit pas énorme, il dépasse tout de même la taille de n'importe quel pénis humain.
« Hoo ouiii ! Hummm ! C'est fantastique ! Humm ! Enfonce encore ! Ouiii ! »
Lorsqu'elle sent qu'elle se heurte au col de l'utérus, elle fait machine arrière et répète l'opération.
« Hooo Eliane ! Humm ! C'est tellement bon ! Hummm ! Ouiii, plus vite ! »
Elle ne se fait pas prier et accélère la cadence.
Voilà deux trois minutes qu'elle me branle avec le légume.
« Ho merde ! J'en peux plus ! J'en veux aussi. »
« Hummm ! Viens vite chérie ! Il y en a bien pour deux ! »
Elle se place face à moi et nous entrelaçons nos jambes.
Apres une petite gymnastique, elle parvient à introduire la deuxième partie du concombre en elle.
A *** tour, elle s'installe confortablement, appuyée elle aussi sur ses avant bras.
Nous pouvons ainsi regarder nos bustes redressés, nos seins qui ballotent aux rythmes de nos bassins qui se tortillent de plus en plus vite.
C'est un moment exquis. J'adore voir cette fille jouir. Reliées par un simple légume, nous ne fai***s plus qu'une.
Nos vulves se frôlent, rajoutant à l'excitation. Et puis, sans parler, nous ressentons la même envie, au même moment.
Un petit effort pour prendre encore quelques millimètres de plus et nos grandes lèvres se touchent. C'est un contact indescriptible. C'est comme une communion, un baiser vaginal.
Plus fort encore. Nos clitos se heurtent, nous électrisant en nous faisant pousser une longue plainte de plaisir.
Tandis que nos chairs baveuses se frottent, nous faisant courir sur une vague d'orgasmes à répétition, je crois avoir une vision.
Dans le dos d'Eliane, dans l'entrebâillement de la porte, Pascal est là, à nous observer.
La vue de ce voyeur inopiné, rajoute à mon plaisir. Je plonge mes yeux dans les siens, comme une provocation. J'ondule plus fort, mordant ma lèvre inferieur ou passant le bout de ma langue sur mes incisives supérieures.
Je bombe le torse pour gonfler un peu plus ma poitrine.
Il reste là, sans bouger, mais sans aucune intention de nous interrompre.
J'ignore ce que chaque individu de ce couple, sait de l'autre, mais je lis un grand étonnement, une inquiétude peut être, dans ses grands yeux verts.
J'ai envi de lui hurler de venir nous rejoindre, de venir nous prendre comme des putes, à tour de rôle.
« Hoo Camiiiille ! Je viens ! Je viens ! Hooooo ! »
Ma belle Eliane est emportée par un orgasme violent, sans se douter que *** mari la découvre, sans doute, sous un jour nouveau.
Le temps d'un battement de cil et l'uniforme bleu azur a disparu.
Eliane se rend dans un cri, sans se douter du drame qui se construisait, peut être, derrière elle.
Une douche plus tard, elle me propose sa voiture, pour me permettre d'aller voir mon homme à l'hôpital.
« Ma belle-mère doit être arrivée. Je pense que nous irons à l'hôtel ce soir. Tu vas me manquer terriblement. »
« À l'hôtel ? Il n'en est pas question ! Vous viendrez dormir ici. Nous avons une chambre d'amis. Il faut bien quelle serve de temps à autre, non ? »
« Il faudrait demander à Pascal ce qu'il en pense, non ? »
« Mais non ! Il est cool, tu sais. Ca lui fera de la compagnie. »
Pendant que je roule vers l'hôpital, je me demande si le gendarme sera toujours aussi cool, après ce qu'il a découvert ce midi.
Mylène est là. Elle est ravie de me voir et rassurée que nous soyons entier, ou presque.
L'après midi passe très vite. Trop vite. J'ai le cœur un peu serré de laisser mon Piou-piou, seul, dans cette petite chambre.
Sur le trajet qui me ramène chez Eliane, Mylène, qui a laissé *** véhicule sur le parking de l'hôpital, me console gentiment.
« Pense à autre chose. Tout va bien, non ? »
Elle pose une main sur mon genou. Mais elle remonte rapidement le long de ma cuisse et loin sous ma jupe.
Sur une avenue, à un feu rouge, le chauffeur d'un poids lourd donne un petit coup de klaxon à notre intention.
Ca amuse beaucoup Mylène qui remonte ma jupe et la sienne. Elle n'hésite pas à passer une main sur sa vulve, ravie de donner le spectacle au chauffeur.
« Hummm ! Il nous fait signe de le suivre ! Vas-y chérie ! »
« Désolée, mais l'infirmière attend *** véhicule pour aller travailler. »
Belle-maman semble transformée depuis sa petite expérience au bois. Je me demande si elle n'est pas devenue un peu trop salope. Il ne faudrait pas que l'élève dépasse le maitre, non ?
Les présentations faites...
« Venez, je vais vous montrer votre chambre. »
Mylène dépose ses bagages avec les nôtres, dans la chambre d'amis et pendant que notre hôtesse va se préparer, elle m'enlace et m'embrasse fougueusement.
« Hummm ! Il y a tellement longtemps que je pense à ce baiser. J'ai tellement envie de toi, Camille. »
Nous sommes surprise par Eliane, qui fait comme de si de rien n'était.
« Bon ! Je vous laisse. Je vais m'occuper de votre blessé. Pascal va arriver. Il est au courant que vous êtes là, je lui ai laissé un message pour lui expliquer. Il va être ravi d'avoir deux femmes pour lui faire à manger. Hihi ! »
« Attends ! Je t'accompagne à ta voiture. »
Elle s'installe au volant, et bien sur, elle ne peut s'empêcher de me poser une question.
« Dis moi...tu te tape ta belle-mère ? »
« Heuuu ! Oui ! Et mon beau-père, aussi. »
« T'es vraiment la reine des salopes toi ! Et Fabien, il est au courant ? »
« Ben non ! Je crois que c'est mieux ainsi, non ? Bien que parfois, j'aie envi de lui dire. Un jour que j'étais dans un bar avec un type que je draguais, Fabien était à la table d'à coté. J'ai dis au type que je me tapais mes beaux-parents. Il a *****ment entendu, mais je pense qu'il a cru que je déconnais, ou que je disais ca pour exciter le type. Finalement, j'ai trop peur que ca brise notre couple. Donc, ca reste mon secret et celui de ses parents. »
« Et heuuuu... Tu fais l'amour avec les deux en même temps ? »
« Houlà, non ! Ils l'ignorent totalement. Je ne sais pas quelle serait leurs réactions si ils apprenaient la vérité. Mais il ne faut jamais dire, jamais. Donc...»
« T'es une drôle de nana, toi ! »
Elle met le contact, fait un mètre et s'arrête.
« Qu'est ce qui se passe ? Tu as oublié quelque chose ? »
« Écoute Camille, c'est au sujet de Pascal... »
« Ho ! Ne t'inquiète pas ! Je n'y toucherais pas, promis ! »
« Au contraire. Je voudrais que tu couche avec lui. Tu ferais ca pour moi ? »
« Pff ! Bien sur que oui, mais, s'il ne veut pas ? »
« Dis lui que c'est un cadeau de ma part. Hihi ! »
« Tu sais, savoir qu'on est cocu, n'est pas *****ment simple à vivre. Ca vas réveiller ta jalousie, tu vas trembler, être mal toute la nuit. »
« J'ai envi de connaitre cette sensation. Avec ce que je fais dans *** dos, je lui dois bien ca. Et puis tant qu'à faire, je préfère que ce soit avec toi. Je t'aime bien, tu sais ? »
« Ca, c'est mignon ! Je verrais. Embrasse Stéphanie pour moi. »
Je lui donne un long baiser et la laisse partir.
Je regarde la voiture s'éloigner en me demandant si elle est assez forte, pour supporter la douleur d'un cocufiage en règle, même volontaire.
Je rejoins Mylène dans notre chambre. Elle enfile une robe toute simple. Je me change aussi et passe une petite combinai*** de satin bleu nuit à fines bretelles, avec un décolleté vertigineux, décoré d'une petite bande de dentelle blanche. Pour compléter ma tenue et la rendre encore plus sexe, je chausse de jolis escarpins noirs à hauts talons aiguilles.
« Tu ne trouve pas ta façon d'être habillée, un peu trop provocante ? »
« Humm ! C'est bien possible. Hihi ! »
« Tu vas te taper *** mec ? »
« J'espère bien ! Vous allez voir comme il est beau ! Hummmm ! »
« Je t'ai vu ! »
« Pardon ? »
« Je t'ai vu ! Je t'ai vu embrasser cette fille. Tu as couché avec elle ? Hein ? Réponds ! »
« Ma parole, mais vous me faite une scène ? »
« Mais non, voyons ! »
« Mais bien sur que si ! Vous êtes rouge de colère ! »
« Tu devrais avoir honte Camille ! Tu n'es qu'une...qu'une... »
« Qu'une quoi ? Qu'une pute ? Qu'une catin ? Qu'une trainée ? Qu'est ce que vous croyez ? Vous pensez avoir le monopole de mes aventures amoureuses ? Vous pensez être la seule que je me tape ? »
« Non, mais Fabien dans tout ca ? Il ne mérite pas ca ! »
De colère et comme pour appuyer mes mots, je la tutoie.
« Tu vas me faire la morale, maintenant ? Tu oublie que tu t'es tapée sa nana à ton fils chéri ! Que tu t'es tapée des mecs dans un bois, toi sa mère, comme une vulgaire pute ! Et monsieur Félicien, tu crois qu'il le mérite lui ? »
S'en est trop pour cette pauvre femme.
Elle me retourne une gifle dont je me souviendrais longtemps.
Folle de rage, je commets l'irréparable.
« Monsieur Félicien est plus compréhensif que toi, espèce de salope ! Lui au moins, il accepte ce que je suis, sans me juger ! »
« Quoi Félicien ? Qu'est ce que tu essaye de me dire ? Viens là ! »
Je sors de la chambre et vais me refugier sur la terrasse, pour pleurer et me calmer. Appuyée contre la rambarde, je prends la mesure de ce que je viens de révéler à ma belle-mère, et l'embrouille qu'il risque d'en découler.
Je reste là plusieurs minutes, puis, une main se pose sur mon épaule. C'est elle.
« À ***** de vivre avec un vieux, j'attrape des réactions de vieille. Je regrette vraiment mon geste et mes paroles. Tu a rai***, j'ai eu une réaction d'ado jalouse. Pardonne-moi. »
« Quelle est la belle-fille qui ne s'engueule pas au moins une fois avec sa belle-mère ? N'en parlons plus. J'ai été idiote aussi de me fâcher comme ca. »
Nous nous enlaçons et nous nous fai***s un gros câlin comme le ferait deux copines.
Je respire. Pas un mot sur monsieur Félicien. J'ai peut être échappée au grand clash familial.
A mon grand soulagement, j'entends Pascal arriver. Voilà qui devrait mettre fin définitivement à cette discussion. Une bonne nuit et elle oubliera tout ce que j'ai pu dire.
Nous redescendons à l'appartement.
C'est une autre angoisse qui m'envahit maintenant.
Quel va être le comportement de Pascal à mon égard, après ma petite provocation de ce matin ? Mais surtout que pense-t-il du spectacle involontaire qu'Eliane, moi, et...le concombre, lui avons offert ?
Le début de soirée se passe très bien et nous fai***s connaissance autour d'un apéritif. Enfin... surtout Mylène et lui, car moi, gênée et très mal à l'aise, je ne sais quelle attitude adoptée. Et puis, qu'est ce qui m'a prit de m'habiller en petite pute !?
Lui aussi c'est changé. Il a quitté ***t uniforme pour enfiler ses chaus***s, un short de sport et un maillot moulant, à manches courtes.
J'ai toutes les peines du monde à détacher mon regard de ses cuisses musclées ou encore de ses biceps impressionnant.
Hummmm ! Comme on, doit être bien entre ses bras !
Puis Mylène se propose de fouiller les placards pour nous faire à manger.
« Vous voulez que je vous aide ? »
« Non, non, bouge pas Camille ! Ca va aller ! »
Aille ! Me voilà-en tête à tête avec l'homme de la mai***. Mal à l'aise, je rougie un peu.
« Et bien ! Te voilà bien calme ! Je t'ai connu plus... véhémente. »
Je ne trouve rien à répondre. Je me sens comme une conne devant cette masse de muscles.
Je lui souris timidement en picorant des cacahuètes, les unes derrière les autres.
« Tu a du mettre le paquet pour attirer ma femme dans tes filets ! »
Sauvée par le gong. Mylène arrive pour dresser la table.
« Attendez ! Je vous aide ! »
Je me lève et passe devant le gendarme pour me rendre dans la cuisine. Mais à mon passage, il agrippe mon poignet.
Il a la mâchoire serrée et le regard sévère. Ses yeux ne me font plus rêver, mais m'effraient.
Il me tient quelques secondes qui me paraissent des heures. Il me regarde de bas en haut et me libère enfin.
Je rejoins la cuisine, le cœur battant, les jambes en guimauve.
Lorsque je reviens dans la salle à manger, une carafe d'eau à la main, ma belle-mère est déjà installée. Je n'ai pas d'autre choix que de m'asseoir près de Pascal.
chrislebo

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#9,382
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Nous mangeons des œufs mayonnaises en entrée. Mylène et Pascal parle de tout et de rien. Quand à moi, je ne peux sortir aucun ***.
« Je vais chercher la suite ! »
Nous revoilà seuls.
« C'est normal, de t'habiller ainsi devant un homme marié ? »
« Heuuu, je sais pas ? C'est joli, non ? »
« C'est de la soie ? »
Il pose sa main sur ma cuisse pour caresser le tissu.
J'ai gagné ! Je le tiens, j'en suis sur.
« Non, c'est du satin. C'est doux ? »
« Autant que ta peau, j'en suis sur. »
Je prends sa main et la glisse sous la nuisette, à même ma cuisse.
« Je ne sais pas moi ! À vous de juger ! »
« J'arriiiiive ! »
A mon grand regret, au *** de la voix de Mylène, il retire sa main précipitamment. Pour me donner de la contenance et pour étancher mon émoi, je me sers un grand verre d'eau que je bois lentement.
« Je ne me suis pas cassée la tête. J'ai trouvé du jambon et j'ai fait une salade de concombre. »
Je manque de m'étouffer et pulvérise l'eau qui était dans ma bouche, avant d'éclater de rire.
Pascal, surprit lui aussi, laisse exploser un rire franc.
Ma pauvre belle-maman, qui bien sur ne comprend pas notre fou rire, nous regarde étrangement, tout en épongeant l'eau sur la table.
« Ben ? Qu'est ce qui vous prend ? J'ai dis quelque chose de drôle ? »
Elle vient de mon coté pour essuyer.
La main de Pascal m'a excité. Je ne peux attendre plus longtemps. Il me faut du sexe, des caresses, de l'amour.
Mylène est debout, près de moi. Ses seins ***t à hauteur de mes yeux. Je l'enlace tout en restant assise, et plonge mon visage dans *** décolleté.
« Camille ! Qu'est ce que tu fais ? »
« Donne-moi tes seins ! »
D'une main, j'écarte le haut de sa robe et parviens à sortir un de ses seins.
« Arrête ! Mais arrête ! »
Elle essaye de repousser ma tête, mais ma bouche suce déjà sa mamelle que je malaxe amoureusement.
Je l'attire à moi avec mon bras dans *** dos. Cambrée de *****, *** ventre s'écrase contre ma poitrine.
« Putain ! Merde ! Arrêêêêêête ! »
Elle me tire en arrière par les cheveux, mais je résiste.
Mais d'un coup, je me tourne de trois quart. Je donne une poussée dans *** dos et je lui fais perdre l'équilibre. Elle s'effondre de tout *** long sur mes genoux. Sa tête frôle la table sans la toucher, et s'écrase sur l'entrejambe de Pascal.
Il est surprit par ce qu'il vient de se passer et semble ne pas trop savoir quoi en penser.
Couchée sur mes cuisses, comme une gamine punie, je maintiens les mains de Mylène dans *** dos.
Mylène qui ne cesse de vociférer des injures à mon égard.
« Espèce de petite salope ! Lâche-moi, sale putain ! Je vais t'arracher les yeux, morue ! »
Elle tourne sa tête dans tout les sens et je vois *** visage et ses joues frotter les cuisses du gendarme.
Lui, le pauvre, reste les mains en l'air se demandant ce qu'il se passe au juste.
« Mylène ! Cesse de gesticuler, tu indispose notre ôte ! Tu ne voudrais pas une fessée cul nu, tout de même ? »
Elle relève la tête, réalisant qu'elle se frottait aux cuisses de l'homme. Mais la position est trop fatigante et elle repose sa joue surs les cuisses velues.
Je la sens se relâcher, se détendre doucement.
« C'est bon Camille ! Tu as gagné, je ferais ce que tu veux ! Mais arrête, s'il te plait ! Arrête ! »
« Ben voilà ! Tu vois ce n'était pas si difficile ! Mets-toi à genoux près de moi, les mains dans le dos ! Baisse la tête et que je ne t'entende plus ! »
Je m'attends à une réaction virulente de sa part, mais, une fois ses mains libres, à mon grand étonnement, elle s'exécute.
Encouragée par sa docilité soudaine, je descends sa robe sur ses bras, libérant ses deux seins.
Je me sens étrangement bien et forte de voir ma belle-mère ainsi soumise à mes volontés.
Fière de moi, je me tourne vers Pascal.
« Bien ! Nous voilà tranquille ! Ou en étions-nous ? Ha oui, ici, je crois. »
Je prends sa main et la glisse de nouveau sous ma nuisette.
« Alors ? C'est doux comme le satin, ou pas ? »
Il est bizarre. Il semble dérouté, déconcerté.
« Ca dure depuis longtemps, ce p'tit jeu avec ta belle-mère ? »
« Non, c'est la première fois. Pourquoi ? »
Je passe ma main sur la bosse de *** short. Il bande comme un âne. Mais pourtant...
« On ne traite pas les gens de cette manière ! »
Il retire sa main et se lève. Il va voir Mylène et l'aide à se relever. J'essais de minimiser la chose.
« Mais ce n'est qu'un jeu ! Il n'y a rien de grave ! »
« Haa ! Ce n'est qu'un jeu ? Ok, jouons alors ! À genoux et les mains sur la tête, Camille ! Et vite ! »
Il semble en colère et je n'ose pas me rebeller, alors, je m'agenouille. Je dois bien reconnaitre que je suis morte de trouille.
Mylène c'est mise en retrait et semble apprécier le retournement de situation. Pascal va vers elle et la questionne.
« Vous vous amusiez ? »
« Non, pas vraiment ! Je ne sais pas ce qu'il lui a prit ! »
« Elle semblait vouloir vous punir. »
« Je l'ai giflé tout à l'heure. Elle a du vouloir se venger. »
« Et bien, c'est elle qui sera punie ! Camille ! Recule ! »
Il se dirige vers un placard, tandis que je recule un peu.
« Encore ! »
« Mais ? Il y a la table ! »
Il fouille dans un tiroir.
« Baisse la tête et recule ! »
Je baisse la tête et continue de reculer, mais je me cogne au pied de la table.
« Je ne peux plus, j'ai le pied dans le dos ! »
« Passe tes mains derrière ! »
Je ne cherche pas à comprendre et m'exécute. Il se penche vers moi et me passe des menottes aux poignets. Je suis pri***nière de la table.
Mylène exulte.
« Tu fais moins la maline, hein ? »
« Salope ! Je veux plus te voir ! »
Je la vois s'éloigner, mais Pascal la rattrape.
« Mais non, mais non ! Je vous en pris, asseyez vous dans le canapé. Je vais vous faire un thé. »
Puis il se penche de nouveau vers moi.
« Et toi, puisque tu ne veux plus la voir, voilà pour toi ! »
A l'aide d'une serviette, il me bande les yeux.
« Et que je ne t'entende pas, si tu ne veux pas que je te bâillonne ! »
Attachée à la table, le dos courbé et dans le noir, voilà une situation que je n'imaginais pas il y a dix minutes.
Il lui fait des politesses, lui prépare et lui sert un thé, puis je l'entends s'asseoir.
« Vous semblez avoir une relation étrange avec votre bru, dites moi.»
« Étrange, je ne sais pas, mais une relation, oui. »
« Que voulez vous dire ? »
« Et bien tout a commencé un jour ou elle m'a surprise avec... »
Putain ! Elle déballe tout à ce type ! Tout, vraiment tout !
Je l'écoute déballer notre vie privée sans rien dire, de peur d'être matée sans douceur.
Il me semble que ca dure une éternité. Je n'entends pas Pascal qui l'écoute, semble t'il, religieusement.
Elle arrive à aujourd'hui, mais plutôt que de s'arrêter à l'exhibition faite au chauffeur du poids lourd, elle continue.
« ...dans la chambre, je l'ai embrassée. Vous ne pouvez pas savoir comme j'avais envie d'elle à ce moment là. Mais votre femme nous a surprit. »
« Et bien, et bien ! Dites-moi, que d'aventures ! »
« Je ne regrette rien et si c'était à refaire... »
« Très bien ! Vous avez trouvé un équilibre sexuel, mais pourquoi ce crêpage de chignon ? Pourquoi l'avez-vous giflée ? »
« Ho ca ? C'est parce que je l'ai vu embrasser votre... »
« Elle a embrassé ma femme devant vous et ca vous a rendu jalouse. C'est ca ? »
« Ho non ! Ce n'est pas ca qui m'a rendu jalouse. C'est parce qu'elle...»
« Ta gueule Mylène ! »
Trop tard. Le mal est fait.
« Camille ! Silence ! C'est parce qu'elle quoi ? Continuez. »
« C'est parce qu'elle voulait coucher avec vous. »
« Ha oui ! C'est plutôt flatteur, mais ce n'était pas une rai*** pour se fâcher. D' autant plus qu'il aurait fallu que j'accepte, non ? »
« C'est une coquine malicieuse. Aucun homme ne lui résiste très longtemps. Mais elle vous voulait pour elle seule. Et moi, j'aurais rongé mon frein en l'attendant revenir près de moi. »
« Houlàlà ! Vous allez me rendre fou avec vos histoires. Je fini par ne plus savoir quoi en penser. »
« Tout ca, c'est des histoires de filles. Détendez vous, maintenant. Tout va bien. »
Un long silence s'installe d'un seul coup. Et ca dure.
Je crois percevoir leurs respirations plus rapides. Mais soudain, grâce à un petit bruit, un petit claquement de la langue, je suis certaine qu'ils s'embrassent.
Ca me rend folle de ne rien voir.
A ***** de grimace, je parviens à faire bouger mon bandeau. En penchant la tête, je fini par les apercevoir dans un filet de lumière.
Elle a calé sa tête dans le creux de *** épaule. Lui, est penché sur elle. Il l'enlace tout en caressant *** corps. Je vois sa main remonter jusqu'à la poitrine de Mylène. Il la palpe, la malaxe, puis plonge dans la robe.
« Attend beau champion ! Ne sois pas impatient ! Lève-toi ! »
Le gendarme s'extirpe du canapé. Je le vois de dos. Il retire *** maillot alors que j'imagine aisément, les doigts fébriles de ma belle-mère, s'énervant sur les boutons du short, qui fini par tomber à terre.
*** cul est magnifique. Surement le plus beau qu'il m'est été permis d'admirer.
Je suis prise par une bouffée de chaleur, lorsque les mains de Mylène s'y posent, et un sentiment de dépit lorsque le gendarme s'avance entre les jambes de celle-ci.
Elle doit se régaler de sa verge dressée, que je n'ai même pas pu apercevoir. Je ne peux voir que *** fessier aller d'avant en arrière et écouter les bruits de sucions.
Je mouille comme une adolescente amoureuse.
Me masturber.
Comme j'aimerais pouvoir me masturber.
Il se tourne enfin, et je vois la chose. Belle, longue, courbée à souhait, encore luisante de salives.
La salope est rayonnante. Elle se lève, l'enlace et ils s'embrassent goulument.
J'aperçois le membre plier entre leurs corps ou pousser la robe entre les cuisses fiévreuses de la garce.
Elle finie par l'ôter et dévoile ses formes à *** amant.
« Hummm ! Tu es délicieuse ! Viens ! Viens sur moi ! »
Délicieuse ? Le con ! Et moi, je ne suis pas délicieuse, peut être ?
Il se laisse tomber assit dans le canapé, et Mylène l'enfourche.
Elle s'empale doucement sur la tige de béton. *** corps tout entier ondule, comme pour touiller *** antre avec la hampe qui va et vient en elle.
« Hooo ! Ouiiii ! Comme ca, c'est boooon ! Ouiiii ! Ho ouiii, baise-moi bien ! Hummm ! »
Je ne peux pas être mieux placée pour voir le gourdin s'enfoncer et s'extraire du con dégoulinant de belle-maman. Voir aussi les couilles être écrasées par les deux hémisphères fessier, lorsqu'ils retombent violement sur les cuisses de Pascal.
Je suis certaine de mouiller le plancher. Je sens mon vagin se vider de toute ma haine. Ou bien serrait-ce de plaisir de les voir ainsi, forniquer sous mon bandeau.
Mes tétons me font souffrir, tant ils ***t en demande de caresses.
Ma respiration est encore plus rapide que la leurs et mon cœur est prêt à exploser.
Je monte et descend sur un membre imaginaire. J'essais bien, ne serrait ce que de frotter mon anus au pied de la table, mais je n'y parviens pas.
Je prie pour que mon supplice prenne fin et que l'on me baise à mon tour.
Mais, ils m'ignorent, m'oublient et ***t tout à leurs plaisirs.
« Tiens ! Prends ca ! Hargg ! Et ca ! Hummm ! Salope, je viiiiiens ! Ouiii ! Haaaaa ! »
« Ouiiii ! Donne-moi tout ! Hummmm ! Je viens aussiii ! Ouiiii ! Haaaa ! »
Les corps se tendent, se crispent, ont des soubresauts et se relâchent subitement.
Mylène en amante attentionnée, s'accroupie et nettoie l'objet de sa jouissance.
Je vois le visage de Pascal, inondé de sueur, les yeux clos, le souffle encore court.
Une goutte coule sur *** torse et disparait derrière la chevelure qui va et vient...encore.
Du foutre s'échappe du vagin remplit, et s'écoule au sol en longs filets baveux.
Mes genoux me font mal.

chrislebo

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#9,383
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On me détache enfin et on retire mon bandeau.
C'est Mylène.
Elle m'aide à me relever. Mes genoux ankylosés me font horriblement souffrir.
« Doucement Camille. Là, c'est bien. Viens, je vais te soigner ca. »
L'extrême douceur de sa voix m'étonne un peu. Mais c'est comme prendre une cuillérée de miel, après avoir avalé du piment.
D'un regard, je fais le tour de la pièce. Pascal n'est plus là.
« Ne le cherche pas. Il est parti se coucher. »
Il aura été dur avec moi jusqu'au bout. Il aurait pu me souhaiter une bonne nuit, me faire la bise. Oui ! Ne serrait-ce que la bise. Mon petit cœur s'en serait contenté.
Peut être a-t-il honte de ce qu'il m'a fait subir ? Ou peut être est-il vraiment fâché contre moi ?
« Assis toi sur le lit. J'ai une pommade contre les coups. Ca devrait faire l'affaire. »
Je me sens bizarre. Comme vidée, anéantie. Je suis incapable de la moindre réaction.
« Je vais t'en passer sur les genoux et sur les poignets. D'accord ? »
« Mylène ? Pourquoi es tu si gentille avec moi ? »
« Parce que je t'aime, Camille ! Parce que je t'aime ! »
« J'ai déconné, hein ? »
« Nous avons déconné toutes les deux, ma chérie. Le mieux est d'oublier très vite cette soirée. »
« Pas avant que tu m'aies dit. »
« dit quoi, ma belle ? »
« Pas avant que tu m'aies dit si c'était bien. »
« Tu es vraiment incorrigible. Bon ! Ben, oui ! C'était bien. Là ! »
« Il t'as fait jouir plusieurs fois ? »
« Allez ! Ca suffit ! Repose-toi, maintenant ! Couche-toi. »
« Réponds-moi. Il t'a fait jouir plusieurs fois ? »
« Bon ! Après tu dors, d'accord ? Ben, oui. Il m'a envoyé au plafond au moins trois fois. Voilà ! T'es contente ? »
« Tu a pris ta douche ? »
« Non, pas encore. J'attends que tu dormes et j'irais ensuite. Pourquoi ? »
« Donne-moi ta chatte ! Laisse-moi te nettoyer ! Tu me dois bien ca ! »
Je la renverse sur le lit et je plonge mon visage sous sa robe.
« Camille, non ! Camille ! Je n'veux pas ! Camille ! Humm ! Ouiii ! Hummm ! »
Ma langue s'enfonce dans l'aggloméra de leurs plaisirs. J'écarte les grandes lèvres pour faire place à ma bouche. Les odeurs d'amour me rendent folle. Je la baise de mon nez, je me débarbouille des secrétions gluantes. Je suis bien.
Une fois fait, je remonte jusqu'à *** visage, et nous partageons les résidus qui persistent autour de ma bouche, dans un long baiser.
Je m'allonge près d'elle et prends sa main. Tout comme ce matin avec Eliane.
« Mylène ? Tu crois que je vais trop loin ? »
« Hein ? »
« Tu crois que je vais trop loin ? »
Elle ne répond pas. Je me tourne vers elle. Elle semble être endormie.
« Mylène ? »
Elle dort. *** voyage et cette journée tumultueuse ont eu rai*** d'elle.
Je me lève et vais boire un verre de lait dans la cuisine. En retournant me coucher, j'aperçois de la lumière sous la porte de la chambre de Pascal.
L'envie est trop forte. J'hésite, puis j'entre. Le cœur battant je referme doucement la porte derrière moi.
Pascal est allongé sur *** lit, en short, une revue à la main.
« Te gêne pas surtout ! On ne t'a jamais apprit à frapper avant d'entrer ? »
« Ho ! Désolée ! J'ai frappé et il m'a bien semblé entendre « entrez » ! »
« Mais oui, bien sur ! Fou toi de moi ! Qu'est ce que tu veux ! »
J'avance doucement vers le lit, les mains dans le dos, en me tortillant comme une enfant.
« Ben, en fait, je voulais savoir. »
« Savoir quoi ! »
Je monte sur le lit, doucement, comme un fauve, et je m'avance vers lui, à quatre pattes.
« Pourquoi avez-vous choisi de baiser ma belle-mère, plutôt que moi ? »
Une bretelle glisse de mon épaule et entraine ma nuisette, découvrant un de mes seins.
« Je ne vous plais pas ? Vous n'avez pas envie de moi ? »
Mon visage est maintenant au dessus du sien, juste à quelques centimètres.
« Écoute ! Et d'une, tu es trop jeune et je ne couche pas avec une mineure, et de deux, de la façon dont tu t'es comportée avec ma femme et ta belle-mère, je pense que tu es plus lesbienne qu'hétéro. Donc ! »
D'un revers de main, j'envois balader sa revue à l'autre bout de la pièce et avant qu'il ne puisse réagir, je l'enfourche.
« Et d'une, j'ai dix huit ans révolu et depuis belle lurette. De deux, ne reprochez pas à votre femme un moment d'égarement, une envie de fantaisie. Et de trois, je me tape ma belle-mère et mon beau-père également. Comment dit on... je suis bi ? »
« Tu es surtout une sacrée putain ! »
Je passe mes mains derrière mon dos et caresse sa queue au travers du short.
« Hummm ! Merci pour ce gentil compliment. »
Il reste sans bouger, laissant sagement ses mains, juste posées sur mes cuisses.
« Qui a commencé ? Eliane ou toi ? »
« Humm ! Ca vous ******* ca, hein ? »
Ca le ******* et ca l'excite aussi. A moins que ce ne soit mes caresses, mais *** gland vient de dépasser de la jambe gauche de *** short.
« Eliane est belle. Comment résister ? Lorsque je l'ai vu sous la douche, mon cœur c'est emballé. Pour le reste, je ne sais pas. Elle a du me trouver jolie... c'est parti comme ca... on a rien vu venir, rien n'était programmé et ...on a déliré. Ca vous va comme explication ? j'espère, parce que c'est la seule que je vous donnerais.»
Il commence à respirer fort et pousse *** membre dans mes mains par petits à coups
Il est à point.
Je me penche sur lui, écrasant ma poitrine contre la sienne. J'approche mes lèvres des siennes, doucement, lentement, jusqu'à ce qu'elles se frôlent.
« Mais vous avez rai***. Je n'aurais pas du. Je suis désolée. Bonne nuit ! »
Je saute du lit et retourne vers la porte.
Je ne l'ai pas atteinte, qu'une main puissante arrache ma nuisette.
« Petite salope ! »
Je suis soulevée et balancée sur le ventre, en travers du lit, comme une vulgaire poupée.
« Tu veux ma bite ? Tu vas l'avoir, putain ! Viens par là, sac à foutre ! »
Il attrape mes chevilles et les tire de façon à ce que seul mon buste reste sur le matelas.
Maintenant, mes pieds reposés au sol, je comprends que je n'ai plus qu'à m'agripper. L'assaut risque d'être bestial.
Je cambre mes reins pour bien mettre en évidence mes deux orifices.
Derrière moi, j'entends Pascal se débarrasser de *** short.
« Tu vas regretter d'être venu à Genève, petite ! »
Ses deux mains se posent sur mes reins et il s'introduit en moi, immédiatement après, sans préliminaires, sans douceur, sans tendresse.
Je n'en attendais pas moins après mes provocations successives.
C'est un ******** qui me pilonne. Un marteau piqueur qui se serait emballé.
Je peine à respirer, même à gémir ou bien crier. Parler, ce n'est même pas la peine d'essayer.
« Ho-ho-ho-ho-ho ! Ou-ou-ou-ou-ou-iiiii-iiii-iiii ! »
Soudain, sans crier gare, je peux prendre une grande bouffée d'air.
Il reste en moi un long moment, sans bouger. Sans doute fait-il du self control pour ne pas jouir de suite.
Il se retire doucement et se place contre mon anus. Il pousse doucement et progressivement. Je me remplis lentement, sans douleur.
« T'aime ca, te faire enculer, hein ? »
« Hummm ! Ho oui ! C'est bon, comme ca ! Ouiiii ! »
« Tu la sens bien ma queue dans ton cul ? Hummm ! »
« Ho ouiiii ! Elle est bonne ! Hummmm ! Ouiiii encooore ! »
« T'en veux salope ? Je vais t'en donner moi ! Rhann ! »
Il plonge fort dans mon cul, puis, comme tout à l'heure, il accélère jusqu'à me rendre folle de plaisir.
Ses couilles frappent mon vagin si fort qu'elles me font presque mal.
Je n'ai jamais été sodomisée si fort, si vite. Je sens l'air qui se comprime dans mes intestins.
« Tu mouille du cul, salope ! Tu aime ca, hein ? »
Ho oui, j'aime ca et je ne suis pas longue à hurler de bonheur.
Je le sens, il veut me finir, il veut se finir.
Il libère mon cul et replonge sans attendre dans mon ventre. Plaisir divin du membre qui rentre à la mai***, je remonte en flèche.
« Rhooo ! Ouiii ! J'aime quand tu me baise à fond ! Hummm ! Hoooo ! Ouiii ! »
« Hargg ! T'es bonne ! Salooope ! J'vais tout te donner, petite pute ! Harggg ! »
Soudain, sans ménagement, il me jette au sol et place mon visage devant sa queue, en me tenant par les cheveux.
« T'en veux ? Tiens, en voilààààà ! Hargggggg ! Hummmmm ! Ouiiiii ! »
*** foutre éclabousse mon visage. J'ouvre la bouche avec l'espoir d'en récolter un peu. Mais *** plaisir semble être de me souiller au maximum.
« Toi et ta salope de belle-mère, vous êtes deux belles putains ! Tu m'a fais cocufier ma femme, merde ! La honte ! Elle ne mérite pas ca ! Merde ! »
Il a lâché mes cheveux et il s'est assit sur le bord du lit. Moi, toujours au sol, je récupère du miel chaud au bout de mon index et je m'en délecte.
« Ben ? Vous n'allez pas faire une dépression, non ? Allons ! Il n'y a pas mort d'homme ! »
« Tu comprends pas ! Je ne veux pas perdre ma femme, moi ! »
« Vous ne la perdrez pas. Je vous le jure. Vous ne la perdrez pas, parce que... »
« Parce que quoi ? »
« Non, rien. Je n'en sais rien. »
« Parce que quoi, Camille ? Répond bon sang ! »
« Ben... parce que...c'est Eliane qui me l'a demandé. Voilà ! »
« Quoi ? Ma femme a demandé que je couche avec vous deux ? Tu te fou de moi, là ? »
« Non, non ! C'est vrai ! Enfin... pour moi. Mylène ce n'était pas prévu, mais bon ! »
« Pourquoi aurait elle fait ca, hein ? »
« Parce qu'elle vous aime et voulait vous faire un joli cadeau. Je ne suis pas un joli cadeau ? »
Je le sens complètement ahuri parce ce que je viens de lui dire. Je me glisse entre ses cuisses et prend *** membre ramolli entre mes lèvres. Mais l'appareil ne répond plus.
Je me contente alors de le nettoyer comme il faut.
Je me lève et avant de partir, je lui donne un dernier baiser.
« Allez ! Je vous laisse. Pour ce qui est de ce que vous avez vu... vous savez ? Moi, Eliane... le concombre,...gardez ca pour vous. Vous risqueriez de l'embarrasser inutilement. »
Je l'abandonne à ses ***ges et vais prendre une douche.
Mylène dort toujours.
Ouf ! Quelle journée !

chrislebo

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#9,384
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La nuit a été réparatrice. Je suis en pleine forme.
Mylène dort toujours. Je me lève et tombe nez à nez avec Eliane qui sort de la douche.
« Déjà rentrée ? Quelle heure est-il ? Pascal est déjà parti ?»
« Alors ? Alors ? Raconte ! »
« Raconte quoi ? »
« Rhooo ! Ne fais pas l'idiote ! Je suis cocue ou pas ? »
« Comment c'est passée ta nuit ? »
« Comme tu l'a dis ! J'ai tremblé, j'avais chaud, mon cœur battait fort et j'ai du enfermer ma jalousie dans un coin de me tête. Alors ? Maintenant, tu vas répondre ? Je le suis ou pas ? »
« Tu es excitée, hein ? »
Elle prend ma main et la glisse sous sa robe de chambre.
J'ai ma réponse. Elle est trempée.
« Si tu ne me le dis pas, je... »
« Tu l'es ! Eliane, tu l'es. Tu es cocue. »
Elle se jette dans mes bras et me serre fort contre elle. Mais je n'arrive pas à savoir si elle est heureuse ou triste.
« Ca vas ? Eliane ? »
« Ca fait tout drôle. Raconte-moi. Je veux tout savoir. »
« Et bien en fait, ca n'a pas été très simple et... »
« Et quoi ? »
« Et bien Mylène a beaucoup apprécié. »
« Il s'est tapé Mylène ? Raconte-moi, vite ! »
Je lui raconte en détail les péripéties de la soirée. Elle écoute attentivement, jusqu'au bout, en silence.
« ...je lui ai donné un dernier baiser et je lui ai souhaité bonne nuit. Voilà ! Tu sais tout. »
« Putain Camille ! Ma chatte dégouline ! C'est normal, ca ? Hihi ! »
« C'est que ton état de cocue te plait. Alors c'est normal ! Hihihi ! »
Elle me prend de nouveau dans ses bras et me donne le plus doux des baisers.
C'est le moment que choisi Mylène pour entrer dans le salon.
« Oups ! Désolée ! »
« Non, non, Mylène ! Venez, j'ai préparé du thé ! »
Elle s'assoit dans le canapé. Je suis amusée par sa façon d'être mal à l'aise. Et ca ne s'arrange pas, lorsqu'Eliane enfonce le clou.
« Alors, vous avez passé une bonne soirée ? »
Elle me regarde, rougissante, un grand vide dans les yeux.
« Hein ? Heuuu, oui, ca vas. »
« Mais dites moi. Camille n'a pas pu voir qui avait commencé. Qui a embrassé l'autre le premier ? »
J'ai l'impression qu'elle va s'évanouir. Mais elle se reprend en cachant sa honte derrière une colère absurde et qui ***ne faux.
« C'est de la faute de cette petite pute ! C'est elle qui a tout provoqué ! C'est elle qui voulait coucher avec votre mari. C'est une manipulatrice, méfiez vous ! Elle m'a balancé parce qu'il n'a pas voulu d'elle ! Mais c'est elle qui m'a poussé dans ses bras ! Tout vient d'elle et... »
Eliane éclate de rire et décide de mettre fin au calvaire de ma belle-mère.
« Hahaha ! C'est bon Mylène ! Calmez-vous ! Je vous fais marcher ! Hahaha ! Je suis au courant ! Tout va bien ! Hahaha ! »
Eliane lui explique que c'est elle qui voulait être cocue, et qu'elle était heureuse que ce se soit produit.
J'essuie mes yeux qui pleurent de rire et avoue le reste de la nuit à belle-maman.
« Pfffff ! Bande de salopes ! J'ai cru mourir ! »
Finalement, elle le prend plutôt bien et en rit avec nous.
Eliane nous laisse pour appeler Pascal. Elle reste une bonne heure au téléphone et revient le rose aux joues.
« Alors ? »
Elle nous fait un sourire magnifique avec des étoiles dans les yeux
« Ben, je crois que ca vas changer notre vie ! »
Mylène et moi sommes heureuses que tout se termine bien.
« Il m'a avoué aussi, nous avoir vu, hier. Et que tu le savais, Camille chérie. »
« Ben oui, mais je ne voulais pas foutre la zizanie. Alors comme ca, vous allez continuer ? »
« Oui, surement. On ne sait pas très bien encore, comment, ni dans quelles conditions, mais c'est sur, nous deviendrons libertins. Et ca, c'est grâce à toi et Mylène. Mais ce n'est pas tout. Hihi ! »
« Ha bon ? Quoi d'autre ? »
« Je lui ai avoué pour Stéphanie. Il m'a dit qu'il avait des soupçons, mais rien de plus. Finalement, il trouve ca génial et ca l'excite beaucoup. »
« C'est cool ! Vous allez prendre un nouveau départ ! »
« Oui, c'est certain. Tient, à propos de départ, Fabien sort demain à quatorze heures. »
Mon sourire disparait d'un coup.
« Ha ? Déjà ? Enfin, non... ce n'est pas ce que je voulais dire. Je suis heureuse, mais ca veut dire que nous allons bientôt partir. »
« Si ca ne te dérange pas, Camille, nous prendrons la route dès les papiers de sortie signées. »
« Oui, bien sur ! bien sur. »
J'ai le cœur qui se serre. Me dire que je ne verrais plus Eliane, m'est insupportable. Je ne pensais pas qu'un jour, je m'attacherais autant à une fille.
Fatiguée par une nuit difficile, elle part se coucher.
« Bon ! Et bien puisque nous partons demain, je vais faire des emplettes avant d'aller à l'hôpital. Tu viens avec moi Camille ? »
« Heu, non, je vais rester là. »
Mais à peine la porte fermée, je me faufile dans la chambre d'Eliane.
Elle est étendue en chien de fusil, à même la couverture, entièrement nue. À mon grand désarroi, elle dort déjà.
Je retire ma nuisette et je me couche tout contre elle, en épousant les formes de *** corps.
Je l'entoure doucement, d'un de mes bras. Je pose ma main sur un de ses seins. Je le caresse avec amour, jouant avec *** teton pour le faire durcir.
Je me sens tellement bien, que je m'endors.
C'est le bruit de la porte d'entrée qui me réveille.
Eliane n'a pas bougé. Moi non plus du reste. Je me lève sans faire de bruit et sors de la chambre.
Mylène ne semble pas étonnée de m'en voir sortir. Elle me montre les babioles qu'elle a achetées, nous mangeons un morceau et nous prenons la route de l'hôpital.
Fabien va bien et est ravi d'apprendre que sa libération est proche.
Je suis contente de le voir et d'être avec lui, mais mon esprit est ailleurs. Ca devient tres vite, une véritable ******* et je m'échappe en milieu d'après midi, prétendant un mal de tête carabiné.
Je rentre doucement dans l'appartement et pousse la porte de la chambre.
« Haaa ! Hinnnn ! Hinnnn ! Ouiiii ! »
Eliane se masturbe gentiment. Elle a les yeux fermés. Je regarde *** corps onduler comme une anguille, accompagner ses doigts qui la pénètrent doucement. De *** autre main, elle frotte *** clito, mais le mouvement s'accélère tout à coup.
« Ho Ouii ! C'est bonnnn ! Ouiii ! Humm Camiiille ! Camiiille chériiiie ! Hummm ! »
Appuyée à la porte, je ne peux pas rester insensible à ce délicieux spectacle. Je glisse une main sous ma jupe et me caresse à mon tour.
Je suis touchée de la voir jouir en pensant à moi. Et je semble la rendre heureuse en plus.
« Hoo ouiii ma petite Camille ! Branle-moi biennn ! Ouiii ! Comme caaa ! Hummm ! »
« Hummm ! Eliaaane ! Toi aussiii ! Branle-moi foooort ! »
Surprise d'entendre ma voix, elle sursaute et s'assoit au milieu du lit.
« Oups ! T'es là depuis longtemps, ma chérie ? »
« Suffisamment pour savoir que tu pense à moi. Hihi ! »
« Hummm ! Viens là mon amour ! Viens m'embrasser. »
Je grimpe à genoux sur le lit et nous nous enlaçons un long moment, avant d'échanger un baiser fougueux et passionné.
« Je n'ai pas envie que tu partes, Camille. »
« J'ai pas envie de partir non plus. Mais la vie est ainsi faite. »
« Tu sais, j'aime beaucoup Stéphanie, mais toi, c'est plus fort. Je sais pas pourquoi. »
« Ce n'est pas moi que tu vas regretter, mais mon grain de folie. »
« Tu crois vraiment ce que tu dis ? »
« Non, pas le moins du monde. Je veux juste que tu ne sois pas triste. »
« Ose me dire que toi, tu ne l'es pas, petite fille ! »
Nous lais***s nos corps s'effondrer sur le matelas et nous lais***s notre tristesse s'exprimer. C'est un festival de caresses, d'attouchements, de baisers de toutes sortes. Ce n'est pas l'amour pour l'amour, mais l'amour par amour.
Je sais que cette femme laissera une trace indélébile dans mon cœur et dans mon âme.
Les heures passent, inexorablement. Il nous semble manquer de temps pour donner tout ce que l'on a à se donner.
Pascal rentre, puis Mylène. C'est la première fois que nous nous retrouvons tout les quatre, ensembles.
Nous sentons bien qu'il pourrait se passer quelque chose de fantastique, de magnifique, d'exceptionnelle. Nous formons un quatuor plein de promesses, bourré d'envies.
Mais il est déjà l'heure pour Eliane, de nous quitter.
Le trio restant, n'a pas le cœur à la frivolité. En tout cas, c'est valable pour moi.
Nous mangeons le concombre qui n'avait pas été touché. On se demande bien pourquoi.
Apres manger, je surprends Mylène faire les yeux doux à Pascal.
Je décide de m'éclipser pour leurs laisser le champ libre.
« Je sors ! Je vais me promener au bord du lac. A tout à l'heure ! »
Je pose un gilet sur mes épaules et sort avec ma petite robe d'été fétiche.
La chaleur à disparu et il fait bon marcher. Je trouve un coin agréable face au lac Léman et je m'installe sur un banc.
La nuit s'est installée et je rêvasse à ces derniers jours, tout en contemplant le jet d'eau illuminé.
« C'est joli, non ? »
C'est un homme qui c'est assit sur le banc. Perdue dans mes pensées, je ne l'ai même pas vu arriver. Il est assez élégant. Une cinquantaine, cheveux gris, large sourire, bedonnant, mais pas trop.
Devant mon silence, il tente d'engager la conversation.
« tu es de Genève ? »
« Non, non ! Je suis française. »
« Ha ! En vacances alors ? »
« Non, même pas ! Ou presque. »
« Avec un p'tit ami ? Tes parents ? »
Encore un qui me prend pour une gamine. Il est plutôt pas mal et je décide de jouer le jeu pour oublier un peu ma peine.
« Oui, avec mes parents. Mais nous repartons demain. »
« Ho ! Je vois. Ils t'ont laissé la permission de minuit ? »
« Ho non ! Ils ne ***t pas comme ca. Ils me laissent libre. J'ai dix sept ans quand même ! »
« Ben oui. En effet, tu n'es plus un bébé. »
Il est à point, je le sens. Pour preuve, il se rapproche de moi, presque à me toucher.
« Tu n'a pas froid ? »
« Si un peu. »
Il passe un bras derrière moi, pour frictionner mon dos et mes épaules. Avec sa main libre, il prend mes mains pour les réchauffer. Bref ! Il a établi le contact physique et je suis certaine qu'il bande déjà.
Les hommes ***t tellement prévisibles.
« C'est normal ! Tu es très peu vêtue. Tu sais, ici, les nuits ***t fraîches. »
Je veux le faire languir un peu, alors je me lève.
« Non, mais ca va quand même. Merci. »
« Tu t'en vas ? »
« Non, je vais me promener un peu. »
« Connais-tu le parc Moynier ? »
« Heuu, non, pas du tout. »
chrislebo

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#9,385
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« Houlà ! Il ne faut pas que tu repartes sans avoir vu ca ! Viens, je vais te montrer. Il y a une statue superbe. Tu vas adorer.»
Nous voilà parti le long des berges du lac.
Il me prend par la taille. Mais petit à petit, sa main remonte insidieusement, jusqu'à venir se caller sous mon sein droit.
Doucement, il l'entoure de *** pouce et de *** index. Voyant que je suis sans réaction, s'imaginant peut être que je n'y prends par garde, il laisse glisser *** pouce jusqu'à mon téton, puis remonte et ainsi de suite.
Mais nous arrivons au parc et voyant une statue, je me dégage et cours vers elle.
Il doit enrager, car il s'apprêtait à palper ma poitrine à pleine main.
« C'est celle-ci ? Elle est belle ! »
Je virevolte autour de l'œuvre d'art. Je dois le rendre fou, de bouger ainsi.
« Oui, c'est une sculpture d'un certain H. Paquet. »
« Paquet ? Comme un paquet ? Hihi ! C'est drôle ! »
Elle représente une femme nue, accroupie et reposant sur un genou, ses mains posées sur celui-ci.
Je fini par arrêter de courir et me place devant pour la contempler.
« Comment la trouve tu ? Elle est jolie, non ? »
« Elle est magnifique ! »
Il se colle dans mon dos et me serre dans ses bras en posant ses mains sur mon ventre.
Je jette un œil aux alentours.
Le parc est désert. Il savait qu'ici nous serions tranquille.
Il fait bien une tête de plus que moi, et il pose sa joue sur mes cheveux.
« Oui, c'est vrais ! Elle est très belle. Je pense qu'elle a les mêmes seins que toi. Et *** ventre doit être aussi dur que le tiens. Non ? »
Il s'excite tout seul et je sens une protubérance apparaitre dans *** pantalon.
« Ben, pour mes seins, oui, probablement ! Mais pour mon ventre, je ne sais pas ! Hihi ! »
« Fais voir ca ! »
Il fait sauter deux bouton de ma robe et glisse ses mains dans l'ouverture. Le contact de celles-ci sur mon ventre, me donne un long fris*** et contracte mes muscles.
« Humm ! Oui, oui ! Ton ventre est très dur. »
Il le caresse doucement et remonte jusqu'à mes seins qu'il prend cette fois ci à pleines mains.
« Eux aussi ***t bien durs ! Hummm ! J'adore ! Tu ne porte jamais de soutien gorge ? »
Deux autres boutons sautent et tout le haut de ma robe est désormais entièrement ouvert.
Je me dégage et commence à me reboutonner.
« Écoutez, je sais pas si... »
Je me suis retournée et lui fais face. Il prend mes poignets et baisse mes bras le long de mon corps. Mes seins ***t toujours offerts à *** regard.
Il me maintient fermement et m'écrase entre lui et le socle de la statue.
« Tu a peur ? Tu a peur de l'amour ? »
L'occasion rêvée pour jouer l'ado offusquée.
« Ho ! Je ne suis pas vierge ! J'ai déjà fais l'amour ! »
« Ha oui ? Beaucoup ? »
Je lui fais une petite moue. Et je lui réponds timidement, presque imperceptiblement.
« Trois fois. »
Je sais que ca va le rendre fou de désir.
« Avec le même ? C'est ton petit ami.»
« Oui, mais il m'a quitté. J'ai beaucoup de peine. »
« Ma pauvre chérie. Laisse-moi te consoler comme tu le mérite. »
Il dépose un baiser sur mon front et entreprend de déboutonner la totalité de ma robe.
« Mais ? Tu ne porte rien ? Pas même un string ? »
Il glisse une main entre mes cuisses et frotte mon coquillage, tout en caressant mes seins de *** autre main.
Je m'abandonne.
« Tu mouille salope ! Ca te plaît ? »
« Hummm oui ! Fabien ne me caressait pas si bien. »
« Et comme ca ? Il te branlait comme ca ? »
Il plonge deux doigts dans ma fente et me branle comme un malade.
« Ohhh ! C'est trop bon ! Ouiii ! Comme ca ! Ouiii ! »
« Tu sens la bosse dans mon pantalon ? Sors ma queue, chérie ! »
Je fais celle qui hésite.
« Vas-y mon amour ! N'ai pas peur ! Tu vas voir ce que c'est qu'une bite d'homme ! »
Timidement, je descend sa fermeture éclair et y glisse ma main. C'est drôle, mais je ne suis pas surprise de constater que lui aussi, ne porte rien.
« Alors ? Elle te plait ? Vas y, goutte la mon amour ! »
« Ho ! Non, je... »
« Goutte-la ! Tu vas aimer, tu vas voir ! »
Il appuit sur mes épaules. Je ne le montre pas, mais j'ai hâte de la sentir sur ma langue.
Je m'agenouille sur l'herbe et dans un premier temps, je gobe ses couilles.
C'est agréable. L'homme est parfumé et sent très bon.
Sa queue, dure comme du béton, frotte ma joue, mon front. Et puis je me décide à la laisser glisser entre mes lèvres.
Je le suce maintenant depuis quelques minutes. J'ai très peur de le faire jouir, alors je me relève.
« Alors ? Ca t'a plu ? Elle est bonne ?»
« Voui, un peu. »
« Allez ! Ne fais pas ta timide. Viens là que je te baise ! »
Il me fait reculer, jusqu'à l'accoudoir d'un banc, sur lequel il me fait m'assoir, puis, il relève mes jambes.
Je perds l'équilibre et je me retiens comme je peux au banc et à *** dossier.
Il se penche sur moi, trouve lui aussi un moyen de se tenir, et il me pénètre enfin.
Ca bite est bonne. Il me prend bien et très vite je monte à l'orgasme.
« C'est trop booooon ! Hummmmm ! Encore ! Ouii ! Encore !»
« Je vais te remplir à ras bord, ma poupée ! »
« Non, non ! Ne jouissez pas en moi ! »
« Petite pute ! Tu préfère me boire, hein ? »
« Non, non ! Ce n'est pas ca ! Je ne prends pas la pilule ! »
« Génial ! Je vais t'engrosser, petite pute. Tu repartiras en France avec mon bâtard dans le ventre ! »
« Non, non, je vous en supplie ! »
Trop content de penser me saillir, il éjacule en longs jets tout au fond de mon utérus.
Pauvre homme. S'il savait.
Content de lui, il essuie sa queue sur mon ventre et sur mes cuisses.
« Alors, tu vois ! Un vrai homme c'est mieux, non ? Salut putain ! quand tu mettra bas, pense à moi. Hahaha !»
Et il disparait derrière des arbres.
C'est avec le cœur un peu plus léger que je retourne à l'appartement.
J'entends Mylène jouir dans la chambre de Pascal.
Je ne les dérangerais pas et je vais prendre une douche avant d'aller me coucher.
Le lendemain matin, nous nous préparons. Eliane ne va pas se coucher et reste avec nous, jusqu'au moment du départ.
C'est les larmes aux yeux que nous nous di***s au revoir. On se promet de se téléphoner, de se revoir.
Je pleure une grande partie du trajet retour.
Eliane me manque déjà.

Pour Eliane de Genève, avec toute ma tendresse. Je suis heureux d'avoir partagé ces histoires avec elle.Bises.
Un clin d'œil à Samir qui comprendra pourquoi.

Chers ami(e)s lecteurs.
Vous avez été très nombreux à me dire que vous aimiez Camille
Je vous en remercie.
Si vous désirez la retrouver dans des conditions, des situations particulières, n'hésitez pas à me le dire.
Je serais ravi de vous satisfaire.
Camille aussi.
chrislebo

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Voilà un mois que nous sommes rentrés de Genève. L'accident, le pied de Fabien, tout ceci n'est plus qu'un mauvais souvenir.
Je reste en relation avec ma nouvelle amie, Eliane. Nous nous téléphonons très souvent et il n'est pas rare que l'on se retrouve sur l'ordi, en cam, pour de petites séances de masturbation.
Bien sur, c'est mieux que rien, mais la tenir dans mes bras me manque terriblement.

« Bonjour monsieur Félicien ! Vous ne venez pas au bureau ? »
Je m'inquiétais un peu de ne pas le voir, et je ne suis pas très contente qu'il ai attendu onze heures pour me téléphoner.
« J'ai tout un tas de chèques à vous faire signer. Vous serez là cet après midi ? »
« Non, et toi non plus. Rejoins-moi à mon domicile à quatorze heures ! »
Je trouve qu'il a le ton grave. Ca m'inquiète un peu.
« Tout vas bien ? Vous êtes sur ? »
« Quatorze heures Camille ! Et sois à l'heure. »
Il a raccroché sans me donner plus d'explication. Je vais vivre les trois plus longues heures de ma vie.

Je suis à l'heure et je ***ne à la lourde porte de la mai***. Monsieur Félicien m'ouvre et à *** regard, je vois tout de suite que quelque chose ne va pas. Il referme la porte et ne m'embrasse même pas.
Mon inquiétude est grande.
« Qu'est ce qui se passe ? »
« Vas dans mon bureau. »
Je pénètre dans le bureau et quelle n'est pas ma surprise d'y voir Mylène.
« Bonjour ! Ca va ? Qu'est ce qui se passe ? »
Je m'avance vers elle pour lui faire la bise, mais elle détourne la tête.
« Assois-toi ! »
Très inquiète, je m'installe dans le fauteuil face au bureau. Mes beaux parents se placent face à moi, appuyant leurs fesses contre le bureau et restent là, bras croisés.
« Bon sang ! Dites moi ce qui se passe ! On dirait un conseil de famille ! »
Monsieur Félicien, me donne la réponse sans plus attendre.
« Tu ne crois pas si bien dire, Camille. J'ai eu une longue discussion, ou plutôt devrais je dire, une longue explication avec Mylène, suite à votre voyage en Suisse. »
Mince ! Qu'est ce qu'elle a bien pu raconter ? Je me sens glacée et je suis sur que je rougie.
« Je sais tout Camille. Elle m'a tout raconté. »
« Ho ! Je suis désolée ! C'est vrais, on a un peu dérapé, mais... »
« Silence Camille ! Il ne s'agit pas de tes petits jeux sexuels ! Il s'agit de la relation que tu entretiens avec nous. En cachant à l'un que tu couchais avec l'autre, tu nous as menti, tu nous as trahis. »
Merde ! Je ne sais pas ou ils veulent en venir, mais ils ont l'air d'être très remontés contre moi. En même temps... j'arrive à le comprendre. Il me semble que ma vie explose en mille morceaux.
« Bon, c'est vrais, je n'aurais jamais du vous embarquer dans des aventures avec moi. Ce n'était pas malin de ma part et je ne voulais surtout pas vous faire du mal. Mais vous m'aimez bien, non ? Il y a surement moyen d'oublier tout ca, de recommencer à zéro, non ? »
« Camille, tu es une reine déchue et aujourd'hui tu n'as plus la main. Aussi, avec Mylène, nous avons décidé de te punir ! »
« Me punir ? Qu'est ce que c'est que ces conneries ? Vous allez me priver de dessert ? »
« Ton arrogance ne te servira à rien ! Maintenant, tais-toi et suis-nous ! »
Il m'agrippe par le bras et m'extirpe du fauteuil sans ménagement.
Je n'en mène pas large et préfère faire profil bas. Je les suis et nous montons en voiture.
Je demanderais bien ou nous allons, mais je préfère obéir à l'ordre de mon beau-père.
Apres plus d'une heure de route, nous nous arrêtons devant une mai*** isolée.
C'est un type d'une quarantaine d'années qui vient nous ouvrir. Pas mal le mec, même si *** regard me fait froid dans le dos.
Il serre la main de mes beaux parents mais m'ignore complètement.
« Mylène. Félicien. Enchanté de vous recevoir. »
Il nous invite à entrer et nous conduit dans *** salon.
« Je vous en prie, installez-vous. »
Nous prenons place dans un canapé plutôt confortable.
« Qu'est ce que tu fais ? Toi, tu te mets debout dans le coin, les mains dans le dos ! »
Sa voix est aussi glacée que *** regard. J'en frémis.
Je ne comprends pas très bien *** comportement, mais devant le manque de réaction de mes beaux parents, je préfère m'exécuter.
Je me place dans le coin qu'il m'a indiqué et je ne bouge plus.
« Je vous sers quelque chose à boire ? »
« Oui, volontiers ! »
Je ne comprends pas très bien. Je n'existe plus. On ne me regarde même pas.
Ils discutent de tas de choses, mais soudain, je sens que c'est de moi qu'on parle.
« Vous pensez que ce sera long ou difficile ? »
« Ben ! D'après ce que vous m'en avez dit, je pense pouvoir la briser relativement facilement. Mais parfois ses garces donnent du fil à retordre. »
La briser ? Me briser ? Je crois que je commence à comprendre et ca me fait froid dans le dos.
« Reste pas comme ca, toi ! Remonte ta jupe et ouvre ton chemisier ! »
Je crois que j'ai tout intérêt à faire ce que l'on me dit.
Je porte une jupe droite moulante. Je la remonte le long de mes cuisses, à la limite de mon sexe, puis je déboutonne entièrement mon chemisier.
« Tu te présentera à moi dans cette tenue et dans toutes les circonstances. Tu rajouteras à ta tenue, des bas et des portes jarretelles. »
« Je vois pas pourquoi, je ferais ca ! »
Il se met à hurler.
« Ici, c'est moi qui parle ! Fou toi à genoux, mains sur la tête, putain ! »
Merde ! Ce con me terrorise. Je fais ce qu'il me dit et il reprend sa conversation comme si de rien n'était.
« Ca, vous voyez, ce n'est rien. Elles se rebellent toutes toujours un peu. C'est normal, ils leurs faut un peu de temps pour comprendre. »
Comprendre quoi ? Il me prend pour une idiote ou quoi ? J'ai bien compris que je vivais là ma première séance de dressage.
C'est donc ca ma punition. Ils me veulent soumise.
Je ne sais pas ou ils ont vu que ca me punissait. Au contraire, l'expérience m'intéresse fortement. Je dirais même que ca m'excite.
« Occupe-toi de mes invités. Mets-les à l'aise ! Ils seront mieux entièrement nus ! »
Je m'avance à genoux, vers mon beau père et déboutonne sa chemise, après lui avoir retiré sa cravate.
Je suis très étonné qu'il accepte ca. Surtout devant Mylène et un étranger.
Pourtant.
Même elle, semble attendre *** tour avec impatience.
Je défais sa ceinture et descend la fermeture éclair de sa braguette. Il est excité. *** sexe tend *** slip.
J'ai un moment d'hésitation, de flottement. Et si ce n'était qu'une mauvaise blague, destinée à m'humilier, me ridiculiser ?
« Bon ! Alors ! Ce pantalon, tu lui retire aujourd'hui ou demain ? Grouille ! »
Je déteste l'entendre hurler. Il me fait peur.
Monsieur Félicien se soulève un peu pour me permettre de descendre *** pantalon et *** sous vêtement.
Je retire ses chaussures et ses chaussettes et pose ses vêtements sur l'accoudoir du canapé.
Entièrement nu devant moi, *** sexe dressé semble n'attendre que ma bouche. Mais ?
« Tu as l'intention de laisser ses affaires comme ca ? Non pliées ? Tu as une chaise là ! Lève-toi et range-moi ca comme il faut ! »
Je me remets sur mes jambes. Mes genoux ont épousé les dessins de la moquette bouclée.
Je pose délicatement, la chemise sur le dossier de la chaise et je me penche pour plier correctement le pantalon.
Je sais que mon cul et ma chatte ***t visible. C'était d'ailleurs, surement le but.
Pour ne pas l'entendre crier et pour lui éviter de me l'ordonner, j'écarte un peu les jambes.
« Vous voyez ! Elle semble comprendre très vite. C'est bien, ca ! »
Dans le reflet d'une vitre de *** living, je l'aperçois derrière moi, une cravache à la main.
Il s'en sert pour relever un peu plus ma jupe.
Lorsque le petit triangle de cuir, vient tapoter mon coquillage, je suis déchirée entre la crainte et le plaisir.
« Ferme et bien fermé. Humm ! C'est du premier choix ! C'est bien, salope ! Vas sucer un peu ton beau-père et occupe toi ensuite de Mylène ! »
Je m'active à faire redresser le dard un peu ramolli de ce cher monsieur Félicien.
J'adore le sucer. J'aime sa queue, ses veines saillantes, *** gland allongé, lécher *** frein. Mais par-dessus tout, j'aime gober ses couilles lorsqu'elles ***t molles, et les sentir durcir entre mes lèvres.
Ca n'a pas l'air du gout de monsieur.
« Occupe-toi de Mylène, espèce de chienne ! »
Je me place entre ses genoux. Même si ses seins *** libres sous sa petite veste, il n'en reste pas moins qu'elle a voulu s'habiller, bon chic, bon genre, dans ce petit tailleur bleu, qui ne lui va pas du tout.
C'est donc avec un plaisir non dissimulé, que je lui retire.
Elle semble à l'aise, pourtant, ses joues ***t un peu plus que rosées.
Je descends la fermeture sur le coté de sa jupe et elle se soulève à *** tour pour faciliter *** retrait.
Elle fera de même pour me permettre de retirer *** string.
Nue, en bas et portes jarretelles, elle est sublime et me donne envie. Mais, comme je suis une élève disciplinée, je me lève pour ranger comme il faut, le tailleur sur une autre chaise.
Je suis très fière de moi, pourtant le cuir claque ma fesse droite. Je pousse un petit cri, plus de surprise que de douleur.
Je me retourne.
« Hé ! Ca ne va pas non ? »
Bien mal m'en prend, car un autre coup, plus fort celui-ci, s'abat sur ma cuisse gauche.
Plus vexée qu'autre chose, les larmes me montent aux yeux.
« Mais ! Qu'est ce que j'ai fait ? »
« Tu ne te lève pas sans ma permission ! C'est comprit ? »
« Bon ! Ben il suffisait de le dire ! C'est tout ! »
Evidement, je reprends un coup de cravache.
« Aille ! Ca fait mal, merde ! »
« Tais-toi, morue ! Tu n'a qu'une chose à répondre c'est « oui, monsieur. » ! C'est comprit ? C'est bien rentré dans ta caboche de poufiasse ? »
« Heu oui... Mais monsieur qui, monsieur quoi ? »
Je sais que je l'agace et ca m'amuse beaucoup. Mais lorsqu'il lève une fois de plus sa cravache...
« J'ai compris monsieur ! J'ai compris monsieur ! Oui, monsieur ! »
« Ca va pour cette fois. Vas satisfaire Mylène ! »
Lorsque je me remets à genoux entre ses jambes, je croise *** regard. Elle semble ravie de me voir être traitée ainsi.
En tout cas, ca l'excite à mort. La salope est trempée et elle jouit en moins de trois minutes.
« Allez ! Lève-toi, fout toi à poil et retourne dans ton coin. »
Ils m'oublient une fois de plus.
Voir mes beaux parents nus, devant un homme habillé, il y a des choses comme ca dans la vie, qui ***t parfois surréaliste.
Ils reprennent un verre tranquillement. Parfois, je surprends le type me dévisager de la tête aux pieds. Mais à aucun moment, je n'arrive à savoir si je lui plais ou non. Il est sans expression, sinon les quelques sourires rares qu'ils donnent à ses invités.
Lorsqu'il reprend sa cravache, un long fris*** me parcourt l'échine.
Il se place au centre du salon, devant un coffre en bois.
« Viens à quatre pattes, jusqu'ici ! »
En élève studieuse et qui retient bien ses leçons, je lui réponds.
« Oui, monsieur. »
Je parcours les trois mètres qui me séparent de la caisse, puis, m'assois sur mes chevilles, mains dans le dos.
« Humm ! Voyez comme elle comprend vite ! C'est un vrai bonheur. »
Je suis super fière de moi.
« Mais pour avoir osé t'assoir sur tes mollets, tu sera punie ! Tu reste à genoux, jambes à l'équerre et légèrement entrouvertes ! »
« Oui, monsieur. »
Merde ! Moi qui croyais bien faire ! Je lève mes fesses et éloigne mes genoux, l'un de l'autre.
« Enlève-moi mon pantalon ! »
Enfin ! Il se décide à se mettre dans la même tenue que tout le monde ! Pendant que je m'occupe de sa ceinture et de sa braguette, il ôte *** maillot.
*** corps ressemble à une bande dessinée. De nombreuses scènes de ******** ***t tatouées un peu partout sur lui.
Ca me donne des fris***s.
« Ouvre le coffre et vide le ! »
Il contient tout un tas de trucs, comme des godes de longueurs, formes et couleurs différentes. Des chaines, des cadenas, de la cordelette, des menottes. Il y a aussi des espèces de poignets de ***** en cuir, des colliers et des laisses.
Bref ! Tout un attirail qui n'aspire pas à la détente.
« Mylène ! Je vous en prie ! Choisissez *** collier. »
En cuir, clouté avec un anneau devant, il est plus adapté pour un chien, qu'à un humain. Pourtant, on me le passe autour du cou. Et comme si cela ne suffisait pas, elle y accroche une laisse en métal argenté.
Elle est ravie.
« Humm ! Un rien habille cette catin ! »
Puis il demande à monsieur Félicien de me conduire jusqu'à une chaise, de l'autre coté de la pièce.
Il prend la laisse et je traverse le salon, à quatre pattes.
Monsieur, agrémente mon déplacement en m'assenant de petits coups de cravache sur les fesses. Je les sens rougies et elles me chauffent un peu. Mais étrangement, je me sens plutôt excitée.
L'homme me retire la laisse et il m'installe sur la chaise.
« Houu ! Elle est froide ! Vous n'auriez pas un coussin ? »
« Comment oses-tu parler sans autorisation ! Tu vas me le payer cher ! »
Oups ! J'aurais peut être du fermer ma gueule sur ce coup là.
La chaise est disposée face à une chambre. Il y a un grand lit, recouvert d'un dessus de lit rouge vif. Sur celui-ci, je vois posées deux barres en acier.
chrislebo

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#9,387
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Sur l'une d'elle ***t fixés un collier en *** centre et des menottes à ses extrémités.
Sur l'autre, juste des menottes.
« Félicien ! Allez installer Mylène, s'il vous plait. Je vais m'occuper de cette petite effrontée ! »
Il passe mes bras derrière le dossier et me menotte. Par terre, il y a des cordelettes de différentes longueurs. Il en utilise pour ligoter mes chevilles et mes mollets aux pieds de la chaise.
« Essaye dont de serrer les jambes maintenant ! Putain ! »
J'entends mon beau-père pouffer de rire.
Je jette un coup d'œil à la chambre. Mylène est allongée sur le dos et attachée aux deux barres métalliques. Tout comme moi, elle est privée de tout mouvement.
« Félicien ! Bouffez lui la chatte pendant que je fini avec elle. »
Je le vois s'installer à genoux devant la grotte de *** épouse et se pencher pour la lécher.
D'où je suis, le spectacle du trou du cul et de l'appareillage pendouillant de monsieur Félicien, à sur moi un effet des plus comique. Je ne peux m'empêcher de ricaner.
Ce n'est pas du gout de mon tortionnaire.
« Je vais te passer l'envie de rigoler, moi ! »
Et il y arrive très vite.
C'est la valse des cordelettes. Elles m'entourent, serpentent autour de moi, tournent autour de mes seins, reviennent autour de mon cou. Elles me compriment contre le dossier.
Mais le plus dur reste à venir.
Mes mains, menottées jusque là au bas de mon dos, ne me posaient pas de problème. Mais voilà qu'il passe mes coudes par-dessus le dossier. La position est très inconfortable et douloureuse.
« Aille ! Ca fait mal ! »
« La prochaine fois, tu apprendra à te taire ! »
Et comme si cela ne suffisait pas, il noue une cordelette qui rapproche mes deux coudes. J'ai l'impression que mes épaules vont s'arracher.
« Tu verras, avec un peu d'entrainement, dans quelques temps, ils se toucheront. Haha ! En attendant, respire à fond, merdeuse ! »
Ainsi attachée, mon buste se pousse vers l'avant. Ce qui amplifie la tension des cordes.
Je vois mes seins prendre une couleur rosée, gonflés et passer du rose à un léger violet.
« Je mets une bille dans ta main. Si tu a vraiment trop mal, ou si quelque chose ne va pas, lâche-la. Tu as compris ? »
« Je suis assez grande pour le dire ! Je n'ai pas besoin de votre bille ! Et de toute façon, j'ai déjà mal ! »
« Ok ! Je te détache alors ? »
Un sentiment étrange me traverse. S'il venait à me détacher se serrait comme un échec pour moi. Ce serrait avouer que je ne suis pas aussi forte que je veux le faire croire. Et finalement, les liens ne me font pas souffrir tant que ca.
Il sourit devant mon silence.
« Serre bien ta main sur la bille. Avec ca, tu n'auras plus la possibilité d'être impertinente ! »
Il m'enfonce un bâillon boule dans la bouche et le fixe derrière ma tête.
J'essais de protester, mais ne sort de ma bouche que des ***s incompréhensibles.
Il me regarde, contemple *** œuvre et va dans la chambre.
« C'est bon ! Vous vous êtes suffisamment régalé ! Installez-vous près de la fille. C'est à mon tour de m'occuper de cette trainée. »
Monsieur Félicien se relève et vient s'asseoir par terre, près de moi.
Le maitre de mai*** s'affale de tout *** long sur Mylène et la pénètre sans ménagement.
« Regarde Camille ! Regarde comme il la baise bien ! Hummm ! Tu aimerais surement être à sa place, hein ? Je suis sur que tu mouille. Petite salope ! »
Joignant le geste à la parole, il plonge sa main entre mes cuisses.
Mais je sais déjà que je mouille comme une chienne que je suis.
« Ho, merde ! J'en étais sur ! Tu es trempée ! »
« Ne la touchez pas ! »
Le type a tourné la tête et semble furieux après mon beau-père.
« Ne la touchez pas ! Ne lui parlez pas ! »
Il retire précipitamment sa main, tout en s'excusant.
Si je pouvais parler, je ne me gênerais pas pour lui dire ce que je pense. Il nous veut toutes les deux, juste pour lui. Ce type est un escroc.
Mes seins et mes bras me font de plus en plus mal. Je lâche la bille. Elle rebondie sur le plancher et roule jusque dans la chambre.
« Une seconde, salope ! Je viens ! Je fini madame et je...je viens ! Hummm ! Ouiii ! Je viens ! Je viiiiiii... ! Haaaaa ! »
Mylène prend *** pied en même temps que lui. Il fini de se vider et s'effondre sur elle, oubliant mon signal.
Je vocifère derrière ma boule. De longs filets de bave coulent sur mes seins depuis cinq bonnes minutes. Je suis dégoulinante de salive.
Il se relève enfin et vient vers nous.
« Nettoyez-la ! Toute cette bave m'écœure ! »
Tandis qu'il commence à me détacher, monsieur Félicien lèche mes seins et mon ventre afin de faire disparaitre toutes traces.
Mes coudes ***t redescendus dans mon dos et mon bourreau masse mes seins pour refaire circuler le sang correctement.
Je suis soulagée.
Mon beau père libère mes jambes et mes chevilles et les masse eux aussi, avec beaucoup de tendresse.
« Ca suffit comme ca ! Lève ton cul et vas nettoyer ta belle-mère ! Vite ! »
Je me lève de ma chaise péniblement et marche doucement vers le lit.
Mes jambes encore tétanisées me supportent à peine.
Les mains toujours menottées dans le dos, je peine à me hisser sur le lit. Puis, une fois en position correct, je laisse mon visage tomber entre les cuisses de Mylène.
L'endroit est chaud, humide, gluant et odorant. Odeur reconnaissable parmi mille. L'odeur du foutre chaud, mélangé à celle de la cyprine.
Mélange explosif, qui réveille tout mes sens.
Je me régale de ce nectar, lorsque j'entends l'homme dire à monsieur Félicien de venir me baiser.
Derrière moi, le matelas s'enfonce. Deux mains se posent sur mes hanches et le dard de mon beau-père me pénètre doucement, jusqu'à la garde.
Secouée par les coups de butoir, ma bouche, ma langue, nettoient Mylène de façon hasardeuse. Mais cela semble lui convenir, car elle jouit avec *****.
Je ne suis pas longue à prendre le même chemin, lorsque mon beau-père se libère dans mon ventre en longues saccades chaudes.
Voir mes fesses rougies par la cravache, doit l'exciter, car il me gratifie de deux claques magistrales sur mes parties charnues.
Content de lui, il descend du lit et laisse sa place à « monsieur ».
Celui-ci, prend place derrière moi, mais contrairement à monsieur Félicien, il ne pose pas ses mains sur mes hanches, mais agrippe les menottes et me tire en arrière.
Tout le poids de mon corps repose sur les menottes. Mes poignets ***t attaqués par le métal.
« Monsieur ! Monsieur ! J'ai mal ! Mes poignets ! J'ai mal ! »
« On en reparlera quand j'aurais fini de te casser le cul ! Pouffiasse ! »
Je serre les dents et ferme les yeux très forts. Je bloque ma respiration et pousse un peu, espérant ne pas trop souffrir.
*** gland se place à l'entrée de ma grotte et lorsqu'il me pénètre, il me semble être... ouverte en deux.
Je hurle de douleur.
Entre deux sanglots, dans le flou de mes yeux mouillés, j'aperçois mon beau-père qui s'apprête à me frapper avec la cravache.
*** bras est haut. Il va le faire de toutes ses ******.
Lorsque *** bras s'abat sur mon dos...
« Chérie ! Houhou ! Tu veux déjeuner ? Il est déjà neuf heures ! »
J'ouvre doucement les yeux.
Je suis dans le cadre douillet de ma chambre à coucher.
Fabien est penché sur moi, souriant. Il caresse doucement mes cheveux.
« Ca va ? Tu es en nage. Tu as de la fièvre ? »
Je m'accroche encore aux draps, les mains crispées.
« Je viens de faire un cauchemar étrange. »
« Mon pauvre amour ! Raconte-moi. »
« Heuuu...non, ca ira. Je veux bien des tartines beurrées. Tiens, en passant, jette cette chose à la poubelle. Tu veux bien ? »
Je lui tends le livre de bondage.
« Je crois que je vais changer de lecture. »

Je me prépare très vite et je fonce au bureau.
Ce n'est pas le travail qui manque. Notre petit séjour à Genève se fait ressentir.
Halala ! Que ferait mon petit patron chéri, si je n'étais pas là ?
Onze heures déjà. Le téléphone ***ne.
« Bonjour monsieur Félicien ! Vous ne venez pas au bureau ? J'ai tout un tas de chèques à vous faire signer. Vous serez là cet après midi ?
chrislebo

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#9,388
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J'ai repris le cours de ma vie. Une vie normale.
Enfin !... Normale pour moi.

La semaine est terminée. Je vais embrasser monsieur Félicien qui en profite pour me mettre la main au cul, avant de me souhaiter un bon week-end.
Sur le chemin du retour, j'imagine ma soirée. Je vois Fabien me prendre comme une bête, lorsque je me présenterais à lui, dans cette petite tenue sexy, que j'aie acheté en cachette et qui dort gentiment dans le coffre de ma voiture.
Je suis presque arrivée lorsque soudain, une odeur de chaud envahie l'habitacle.
« Merde ! Il ne manquait plus que ca ! »
Dans une petite rue, à deux cent mètres de chez moi, il y a un garage.
Je n'y suis jamais allez, car dans le quartier il n'a pas une très bonne réputation.
Mais là, je n'ai pas vraiment le choix.
J'y entre doucement, lorsqu'un type se jette pratiquement sous mes roues, en vociférant et en gesticulant.
« Non, non, ma p'tite dame ! Je ferme ! Allez hop, demi-tour ! »
C'est un gros porc d'une cinquantaine d'années. Il porte un vêtement de travail dégueulasse, qui n'a pas du voir de machine à laver depuis des lustres.
Visiblement furieux, il s'approche de ma vitre. je la descends, pour lui expliquer mon cas.
« S'il vous plait ! Soyez sympa, elle sent le chaud ! Je ne voudrais pas amplifier le problème en roulant comme ca ! »
« Ha non ! Je ferme ! Revenez lundi ! »
« Bon, ben... prenez-la au moins ! Je n'habite pas loin, je peux rentrer à pied. »
Il se penche vers moi et me dévisage.
« J'te connais, toi ! »
« Heuuu ! Non ! Je ne crois pas, non. »
Ses yeux se promènent sur mon corps, et s'arrêtent un petit moment sur mes jambes.
Ce n'est pourtant pas mon genre, mais face à *** regard lubrique et insistant, je serre les genoux.
« Ha ouai ? Il me semblait bien, pourtant. Bon ! Vas dans la salle d'attente. Je vais la ranger. »
Je le trouve un peu cavalier de me tutoyer ainsi, mais finalement ca colle parfaitement à l'image qu'il renvoie
J'y reste au moins une demi-heure avant qu'il ne revienne me chercher.
« J'y ai jeté un œil. Viens dans mon bureau. Je vais te dire ce qu'il en est. »
« Non, c'est bon ! Ca peut attendre lundi, je ne vais pas vous ennuyer plus longtemps. »
« J'ai dis, viens dans mon bureau, je vais te dire ce qu'il en est ! »
Putain ! Il me glace le sang.
« Bon, bon ! D'accord, je vous suis. »
Je rentre dans *** bureau. C'est une vaste pièce avec une vitrine dépourvue de rideaux, donnant directement sur la rue.
Il y a *** bureau avec un gros fauteuil derrière. Devant, contre le mur, trois chaises plus ou moins propres attendent les clients.
Il ya déjà un homme assit, aussi gras que lui. Surement un ami, puisque le garagiste fermait.
Le patron passe derrière *** bureau et se penche sur *** ordinateur.
« Bon ! Voyons voir ! »
Il pianote un bon moment, sans dire un mot, puis :
« Tu porte une culotte ? »
« Pardon ? »
« T'as très bien compris ! Tu porte une culotte ? »
« Mais, ca va pas, non ? »
Je me lève furieuse.
« Du calme ma jolie ! La réparation va te couter bonbon ! On pourrait s'arranger ! »
« Rien du tout ! Donnez-moi mes clefs ! Je m'en vais et j'irais ailleurs ! »
Il se moque totalement de ce que je lui dis. Il pianote toujours, et soudain il a un air triomphant.
Il ricane et tourne l'écran de l'ordinateur vers moi et l'autre type.
« Je savais bien que je te connaissais, toi ! »
*** ami attrape mon poignet.
« Assis toi, ma belle ! C'est ce que tu as de mieux à faire pour l'instant. »
Abasourdie, je me laisse retomber sur ma chaise.
Sur l'écran, il y a l'historique d'une conversation que j'ai eu avec lui sur MSN, agrémentée d'une photo de moi, suçant Fabien. On me voit très bien. Impossible de nier ou dire que c'est une autre. Je porte même les mêmes bijoux que sur la photo.
Je suis rouge de honte et je tremble comme une feuille morte.
J'ai du donner cette photo deux ou trois fois à des contacts, sur MSN. Je ne l'aurais jamais donné à quelqu'un qui habite près de chez moi.
Merde ! Je n'ai pas été prudente, mais ce n'est quand même pas de chance que ca tombe sur lui.
Je me rappelle très bien de ce que j'ai dit ce jour là. J'étais chaude comme la braise. Il va être très difficile de passer pour une sainte ni touche.
Il imprime la photo et la donne à *** ami.
« Hummmm ! Joliiiie ! Ben dis dont ! Tu semble aimer ca, toi ! »
« Attends ! Attends ! Regarde un peu ce qu'elle m'a écrit ! J'aime le sexe...J'adore me faire prendre par des inconnus... J'aime trop le cul. Hummm ! Une bonne bite dans ma bouche.. Etc...Etc... »
« Pffff ! J'étais ivre quand j'ai écrit ca ! Alleeez ! Vous avez assez ri de moi, maintenant ! Rendez-moi mes clefs, s'il vous plait. »
« Pas tant que tu ne m'aura pas dit si tu porte une culotte. Tu porte une culotte ? »
« Non ! Voilà ! Vous êtes content ? Donnez-moi mes clefs ! »
Je ne peux pas leur dire, mais cette situation m'excite beaucoup. J'aime les rapports de *****. Surtout quand je sais, que je vais perdre.
« Tu peux dire n'importe quoi ! Nous voulons voir si tu n'as pas menti ! Hein, Simon ? »
« C'est sur ! Allez, ma jolie ! Ouvre-toi un peu. »
Il pose une main sur mon genou et le tire pour écarter mes jambes.
Je cède, espérant qu'un piéton ne tournera pas la tête en passant devant la vitrine.
« Hummm ! Mais c'est vrai qu'elle est cul nu, la salope ! T'es une belle petite pute, toi !»
Il cherche à m'humilier, sans se douter une seule minute de l'effet que me font ses insultes.
« Caresse-toi un peu, ma chérie. Fais ca pour nous. »
J'hésite, me fais prier, puis, timidement, je porte ma main à ma fente humide.
Les deux hommes ***t ravis et n'en perdent pas une miette. Des bosses se dessinent dans leurs pantalons, présageant des moments torrides. Je n'en mouille que plus, à cette simple hypothèse.
« Tiens ! Branle-toi avec ca ! »
Il me tend un marqueur. Je n'imagine pas pouvoir faire une telle chose devant sa vitrine.
« Non ! Je ne peux pas ! Et si quelqu'un regarde ? »
« Déjà maintenant, il pourrait voir une salope se caresser. Alors, un peu plus ou un peu moins, je ne vois pas la différence ! Fous-toi ca dans la moule ! Morue ! »
Dois-je prendre ca comme un cadeau ou un encouragement, mais il se place entre moi et la vitrine.
Mon voisin, tire encore sur mon genou, pour que je m'écarte d'avantage.
A bout d'argument, j'introduis l'objet dans ma chatte, détrempée de cyprine grasse.
Faire aller et venir le marqueur devant ces deux vicelard, m'excite comme une folle. Je ne peux pas le cacher et je suis sur le point de jouir.
Lorsque tout à coup, la porte s'ouvre.
En une fraction de seconde, je resserre les cuisses et abaisse ma robe.
Mais, le marqueur est toujours en moi.
C'est un employé qui a besoin de commander une pièce, via l'ordinateur. Je rougis lorsqu'il découvre ma photo sur l'écran. Il me sourit furtivement et fait *** travail.
*** patron s'en mêle et ca dure longtemps. Très longtemps.
En moi, le feutre attend sagement et déclenche de grosses sensations à chacun de mes mouvement, aussi petits soient ils.
À deux reprises, je jouis en silence, me retenant pour ne pas gémir ou grimacer.
Le garagiste semble mécontent de *** ouvrier. Il l'engueule et ils sortent du bureau, me laissant seule avec l'autre type.
Sans hésiter, il pose ses gros doigts boudinés sur mon genou et les remonte sous ma robe.
Rapidement, j'extirpe le feutre que je jette sur le bureau, et fermement, je reitre sa main.
« Non ! Arrêtez ca tout de suite ! D'ailleurs, je m'en vais ! »
« Ok ! Vas ! Et demain ta photo sera placardée sur tous les murs du quartier. C'est ca que tu veux ? »
Hummm ! Si ce n'était pas si risqué de foutre ma vie en l'air, j'accepterais bien volontiers.
Que tout le monde sache que je suis une salope, serrait surement délicieux. Mais je ne tiens pas à devoir déménager en catastrophe.
La porte s'ouvre de nouveau sur le patron.
« Sortez ! J'ai un client de dernière minute. J'arrive ! »
Je sors du bureau et je m'enferme dans les toilettes, juste à coté. Le type a bien essayé de m'en empêcher, mais j'ai été plus rapide que lui. il frappe à la porte.
« Laisse-moi entrer ! Tu ne regretteras pas ! »
« Foutez-moi la paix ! Je pisse ! »
« Cool ! Laisse-moi mater ! »
« Surement pas ! Gros degueulasses ! »
« Ha non ! Degueulasses, d'accord, mais gros... »
S'il pense m'acheter avec *** humour à deux balles, c'est raté. S'il savait ce que je suis en train de faire, il serait fou.
Excitée par l'épisode du marqueur, je me branle le clito pour me soulager de l'énorme envie d'orgasme qui me ronge.
Collée au mur, un pied sur la cuvette, je me caresse les seins et la chatte, jusqu'à l'ultime fris***.
Je suis obligée de mordre mes lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Haletante, je reprends mes esprits. De l'autre coté de la porte, tout est redevenu calme.
J'ôte le loquet de la porte et je la pousse doucement.
Mais le type est là et me repousse dans le fond des toilettes. Il me saute dessus et m'embrasse à pleine bouche. Il me caresse, défait les boutons de ma robe et arrive à me la retirer, malgré mes protestations... de pures formes.
« Tiens ! Suce-moi, salope ! Fous-toi à genoux et bouffe moi la bite ! »
« Non ! Pas question ! Rendez-moi ma robe ! Connard ! »
« Bah ! Je vais te laisser réfléchir. »
Il sort et referme la porte derrière lui.
Je me sens comme une conne, nue dans ces chiottes, juste habillée de mes hauts talons. Je reconnais que je ne sais plus quoi faire.
Sortir ? Nue, pas question. Appeler au secours ? Est ce que j'ai vraiment envie d'être secourue ? J'ai trop envie de découvrir comment va évoluer mon triste sort. A quelle sauce vais-je être mangée ?
Il me laisse mariner un bon quart d'heure, puis revient à la charge.
« Alors, salope ! Tu me la suce ? »
Il défait sa braguette et sort sa queue.
Je suis déçue. Elle est vraiment banale.
Sans rien dire, je m'accroupis et prends sa verge en bouche. Je suis tout à ce que je fais, lorsqu'il me demande d'arrêter. Il se retire de ma bouche et je prends plusieurs jets de spermes gras en plein visage.
« Tiens ! Prends ca, belle putain ! Hummm ! Le foutre te va bien ! »
Je le regarde, des éclairs dans les yeux. Je déroule du papier toilette et je me nettoie les joues. Puis, je me relève et laisse mon visage à quelques centimètres du sien.
« Si j'avais su que ce serait si rapide, je n'aurais pas hésité ! »
Vexé, il sort des chiottes en me laissant, une fois de plus.
J'ai envi de sortir et d'explorer les environs à la recherche de ma robe. J'imagine que celle-ci est dans le bureau. Mais me promener nue dans le garage, me dissuade totalement.
La porte s'ouvre de nouveau. C'est le patron.
« Rendez-moi ma robe, s'il vous plait ! La plaisanterie a assez durée, non ? Je veux partir ! »
« Oui, oui ! T'inquiète pas, je vais te la rendre ! En attendant, suis-moi ! Ne craint rien, le garage est fermé. »
Hésitante, je mets un pied hors des toilettes. Lui, est déjà au milieu du garage.
« Alors ! C'est pour aujourd'hui ou pour demain ? Grouille ! J'ai pas toute la nuit ! »
J'espère bien. L'idée de passer la nuit au milieu de bagnoles aux capots ouverts ne m'intéresse pas vraiment. Ouverts ou fermés, d'ailleurs.
« Attends-moi là ! Je vais chercher ta robe dans mon bureau. »
Il m'a entrainé dans une réserve de pneus. Je ne comprends pas très bien pourquoi nous ne sommes pas allez directement dans *** bureau.
« J'ai encore un employé qui y travail. À moins que tu veuille le rencontrer ? Haha ! »
Me voilà seule de nouveau, et pas très réchauffée.
J'attends deux trois minutes et il revient. Mais il n'est pas seul. Il ramène *** ouvrier.
Vu *** âge, c'est certainement un apprenti, plus qu'un mécanicien. Merde ! J'aime pas les jeunots !
« Avant d'avoir ta robe, tu vas t'occuper de mon p'tit mécano ! Il est très gentil et je ne serais pas étonné qu'il soit encore puceau, le con ! Hahaha ! »
« Moi ? Puceau ? Vous rigolez m'sieur Albert ! J'ai baisé ma première meuf à quatorze ans ! Viens là poupée ! Viens gouter mon gourdin ! Tu vas te régaler ! »
Pffff ! Voilà une des rai***s qui font que je déteste les jeunes. Ils ne doutent de rien.
Pourtant, je dois reconnaitre qu'il me tend un engin, plus que respectable.
Il s'approche de moi et me caresse sans douceur ni tendresse.
Certes, je ne suis certainement pas sa première fille, mais s'il ne se calme pas, il n'en aura plus beaucoup.
Il a ouvert *** bleu de travail plein de cambouis et m'expose ses abdos et *** torse glabre.
Puis, il appuit, avec ses mains dégueulasses, sur mes épaules.
« Allez poupée ! Au travail ! »
Je dois reconnaitre qu'il n'est pas timide, mais s'il m'appelle une fois de plus « poupée », je lui colle une mandale.
Respectable ? Hummm ! Sublime, oui !
Elle est belle, douce, chaude. Il est rasé. Même ses couilles ***t lisses comme celles d'un nouveau né.
Je me délecte de *** membre, sans pouvoir cacher mon contentement.
« Hummmm ! »
« Elle est bonne, hein ! Suce la bien poupée ! Elle est toute à toi ! »
Je devrais le mordre, mais j'aime trop ce que je fais pour risquer de tout gâcher.
« Ho ouiii ! Hummm ! Elle est boooonne ! Hummmm ! »
Tout gâcher, c'est le patron qui s'en charge, en me présentant à *** tour sa queue bandée.
Je suce les deux hommes à tour de rôle, privilégiant le gamin, dans la durée.
Un flot d'insultes de toutes sortes s'abat sur moi.
Salope, putain, morue, sale pute, catin, bouffeuse de foutre, garage à bites, et j'en passe.
Mais, plus ils m'insultent, plus je suis excitée.
Je les aspire, espérant leurs libérations proches, pour pouvoir enfin me délecter de leurs miels chauds.
Mais ce n'est pas dans le programme du patron, qui, se sentant proche d'éjaculer, me fait relever et m'entraine dans l'atelier.
Là, il me penche sur le capot d'une espèce de limousine et crache sa purée sur mes fesses, en poussant un ralle ********** préhistorique.
« Hoooooooorrchhhhh ! »
Le gamin, ne voulant pas être en reste, me retourne et me couche sur le capot.
Quel délice que de sentir une bonne pine m'envahir lentement.
Je jouis. Fort, très fort, oubliant la douleur de mon dos sur le capot métallique.
« Hoooo ! Ouiiii ! Encooore ! Ouiiiii ! Hummmmm ! C'est booooon ! »
« T'aime ca la queue, hein, poupée ? Tu la sens bien, hein ? »
« Hummmm ! J'suis pas une poupée ! Ouiiii ! Baise-moi encooore ! Hummmmm ! »
« Ha si, poupée ! T'es une bonne poupée à baiser ! Une poupée à remplir ! Une poupée à...Haaaaa ! Ouiiiiiiiii ! »
Je sens mon vagin se remplir de sa sève sacrée. Puis, satisfait de lui, il se retire en me tapotant le visage.
« C'est bien, poupée ! Tu m'as bien fait jouir ! »
Encore dans les brumes de mon orgasme, je me laisse glisser du capot pour finir assise à même le sol.
Je n'ai pas encore retrouvé mon souffle, que le patron me représente de nouveau *** dard.
« Remets-moi en forme, salope ! Je vais m'occuper de ton cul de poufiasse ! »
Une courte pipe plus tard, il me relève et me penche de nouveau sur la limousine.
« Vas-y Adrien ! Prépare-moi *** cul ! »
Le gosse ne se fait pas prier. Il crache sur ma pastille et y pénètre *** pouce, sans ménagement.
Il me branle fort, en faisant tourner *** doigt dans le sensible orifice. Douloureux au début, j'y prends maintenant un plaisir incontestable.
« Hummm ! C'est boooon ! Mouiiii ! Hummm ! »
« Te voilà prête pour prendre mon gros monstre dans ton fion de pute ! »
Durant dix minutes, il alterne sodomie et fellation, aux grés de ses envies. Ce type récupère à une vitesse incroyable.
Il enfonce sa verge au fond de ma gorge, en maintenant puissamment ma tête. Puis, il se vide une fois de plus en puissantes giclées, que j'ai du mal à avaler sans m'étouffer.
Très fier de lui, il se congratule avec *** ouvrier, et lui donne congé pour le week-end.
« Alors ? Tu regrette d'être tombée en panne ? Haha ! »
« Je dois partir. Rendez-moi ma robe, je vous en supplie ! Mon fiancé m'attend ! »
« Bah ! Ton moteur t'a lâché ! C'est pas de ta faute si t'es en retard ! Viens, je vais te faire visiter la limousine. »
Je sais qu'il est inutile de résister. Il ne me laissera repartir que lorsque lui, l'aura décidé.
Il ouvre la porte arrière et je monte dans la voiture. Il est vrai que c'est plutôt impressionnant, même si je préférerais m'y trouver dans d'autre circonstances, plus romantiques.
Il c'est entièrement déshabillé. Le salaud bande de nouveau.
Il s'assoit près de moi, sur la longue banquette qui longe la carrosserie.
« C'est très joli, mais il faut vraiment que je parte ! »
« Tu crois que j'me suis foutu à poil pour pas salir, ou quoi ? »
Il se colle à moi et me prend dans ses bras pour m'embrasser à pleine bouche.
Je sens *** ventre mou et moite contre moi. Mes seins *** écrasés par ses mains. Il passe une jambe par-dessus les miennes et je sens sa queue gonflée, contre ma cuisse.
« On est pas bien là ? Toi et moi ? »
« Je veux partir. »
« Ta gueule ! Embrasse-moi encore ! »
Ses baisers ***t baveux. Je le soupçonne même de me cracher dans la bouche. Ce type est vraiment un porc.
J'adore !
Pour preuve, ma fente qui suinte de cyprine, ses doigts qui s'enfoncent sans effort, qui me touillent, provoquant des ***s nullement équivoques.
« Humm ! Donne-moi ta chatte à bouffer ! »
Il me couche violement sur le dos et saute sur moi, plongeant *** visage entre mes cuisses.
Écrasée et ne pouvant plus bouger, je ne peux l'empêcher de violer ma bouche une fois de plus, tandis que la sienne qui me fouille dans les moindres recoins, me provoque orgasmes sur orgasmes.
Il est prêt à décharger sa liqueur. Aussi souple que gras, il fait demi-tour rapidement et se vide en moi.
« Tiiiiens ! Pour toi ma chériiiie ! Hummmm ! Ramène ca chez toi ! Hummmm ! Petite putain ! Tu me ferais jouir toute la nuit, toi ! Haaaaa ! T'es trop bonne ! »
Je suis épuisée, mais heureuse de cette drôle de rencontre.
Il me redonne enfin ma robe.
« Ta voiture sera prête mercredi. Je te ferai cadeau de la réparation. Donne-moi ton numéro de portable, pour le cas ou. »
« Non, non ! Inutile, je vous appellerais ! »
Il change de ton et menace de me faire payer très cher ma réparation. Je prends le risque et lui donne mon numéro.
Il s'empresse de le composer et entendant mon portable ***ner, *** visage s'éclaire d'un large sourire.
Sur le trajet du retour, je sens le foutre couler le long de mes jambes.
Fabien commençait à s'inquiéter.
« Je suis désolée, je suis tombée en panne et ce gros porc de garagiste m'a... »
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase.
Fabien, très réactif, est déjà entre mes cuisses.
chrislebo

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#9,389
Up to the first message Down to the last message
Ce petit passage par le garage, a été surprenant, plein de surprises et de rebondissements.
Mais il a été également un peu stressant.
Fabien, lui, c'est régalé du récit de ma mésaventure et c'est délecté de tout ce qui me souillait.
Suite à ca, il m'a fait l'amour trois heures durant, ne cessant de m'exprimer ses désirs.
« Hummm ! Il faut que tu y retourne ! Je veux qu'il te prenne encore ! Ouiii ! Comme une bête ! Hummmm ! Je veux que tu sois *** jouet ! Sa chose ! Hargggggg ! »
L'écouter m'a excité comme une folle, et nous avons joui ensemble.
Alors, pour le satisfaire, j'y retourne.
Nous sommes dimanche, mais il me semble bien que *** appartement se trouve au dessus du garage.
Effectivement, près du rideau de fer, il y a deux boutons avec un interphone. L'un indique « Garage », et l'autre « Domicile ».
Le cœur battant, j'appuie sur celui de *** appartement.
Je me sens stressée, mais de ce stress qui me fait mouiller, qui m'excite et augmente mes envies de sexe.
Tremblante, j'appuie une seconde fois. Il est quinze heures. Ce gros porc fait peut être sa sieste. A moins qu'il ne soit absorbé par un film porno.
Ce serrait bien, il n'en serrait que plus excité. Mais hélas, il semble bien qu'il n'y ait per***ne.
Je me prépare à rentrer bredouille. Fabien va être très déçu.
Et puis, presque sans m'en rendre compte, je prends le chemin du centre ville.
Je suis en mode chasse à l'homme, croqueuse d'hommes. Je fais mes yeux de chaton, je réponds aux sourires que l'on me donne. Je me fais fragile, facile à aborder, facile à conquérir.
Et pourtant...Rien.
Il y a bien ce type qui m'a fait un grand sourire et un clin d'œil, auquel j'ai répondu. Mais il a continué *** chemin. Je me suis retournée et arrêtée. Lui aussi c'est retourné, toujours en me souriant. Mais il ne c'est pas arrêté.
Est-ce moi qui dois lui courir après ?
Surement pas ! Je m'offre, c'est déjà pas mal, non ?
Je suis accrochée par le regard d'un homme d'une cinquantaine d'années.
Mais ca a été très furtif, car il c'est engouffré dans un cinéma.
Décidément, ce n'est pas mon jour et les minutes qui suivent me le confirment.
Je fais chou blanc. Dommage.
Je fais demi-tour et reprends le chemin de la mai***.
Je repasse devant le cinéma. Je ne l'avais jamais remarqué, tant il est petit et discret.
Une affiche indique, la quinzaine des films d'art et essais nordique.
Houlà ! Ca doit être le truc bien chiant.
Soudain, j'ai comme un flash, une vision.
Je vois une petite salle, trois spectateurs, pas plus, et moi, nue, au milieu.
Il ne m'en faudra pas plus pour prendre un billet.
Je pénètre dans la salle par le bas. Elle est légèrement éclairée par l'écran, mais il me faut tout de même quelques secondes pour m'habituer à la pénombre.
Je remonte l'allée, en me retournant de temps à autre pour voir le film, déjà commencé.
C'est bien ce que je pensais. C'est un film en noir et blanc, sous titré. Je crois reconnaitre du Danois, à moins que ce ne soit du Finlandais.
Deux jeunes gens, blonds comme les blés, font du vélo sur une route, bordée de champs de... je ne sais quoi.
- J'expliquerais à mon père. Il comprendra.
- Crois tu que ce soit la chose à faire.
- Oui ! Oncle Erik en est persuadé.
- Prenons le petit chemin. Là, à droite.
Je me heurte violement au mur du fond de la salle. Idiote que je fais. J'ai remonté tout le cinéma, sans même m'en rendre compte.
Je m'assois sur le fauteuil au bord de la rangée et j'essais de m'intéresser au film.
Peine perdue ! C'est long et c'est naze. Super naze. Bref ! C'est nordique.
Mes yeux se promènent dans la salle. Il y a beaucoup plus de monde que je ne l'aurais cru.
Le papi que j'ai vu entrer, est dans ma rangée, assit vers le milieu.
Il doit avoir cinquante ans, peut être plus. Il porte des lunettes et n'a plus beaucoup de cheveux. Il est un peu bedonnant, mais fait très classe tout de même.
Soudain, je me sens glacée et mes membres semblent se ramollir. Une vilaine pensée vient de me traverser l'esprit.
Je prends mon courage à deux mains et vais m'installer près du quinqua.
Lorsque je m'assois, ma jambe gauche frôle la sienne par inadvertance. Si, si ! Je le jure !
Bien sur, sa réaction est très prévisible et il me regarde bizarrement.
J'essais tant bien que mal, d'expliquer ma démarche.
« Heu ! On est mieux... en face... pour regarder. »
Il me baragouine quelque chose, mais je ne comprends rien.
Je ne bouge plus et attends. J'espère une réaction de sa part. Je tremble de partout. J'adore ce que je ressens.
De temps en temps, je le sens pencher la tête pour mater mes jambes. Il faut dire que ma jupe est remontée...très haut.
Ca me fait comprendre qu'il n'est pas trop dans le film. Donc, Tout est encore possible.
Dix minutes plus tard, il effleure enfin mon genou du sien. Mais c'est bref et trop furtif pour que je puisse penser qu'il l'a fait exprès.
C'est sur, il n'ose pas. Je crois qu'un petit coup de pouce est plus que nécessaire.
J'écarte une première fois les genoux, jusqu'à entrer en contact avec le sien.
Il applique une légère pression. Voilà, c'est fait ! Le pois*** est ferré.
Je resserre les jambes mais, devant *** manque de réaction, je recommence l'opération.
Je m'ouvre de nouveau et, quelle n'est pas ma surprise de sentir ma peau toucher le dos de sa main droite, qu'il a glissé discrètement le long de sa cuisse.
Surprise, je reste tétanisée, n'osant plus bouger.
Je reste ainsi, jambes ouvertes, ne sachant plus quoi faire. Mon ventre me chauffe et je tremble de partout. Oh, pas vraiment de peur, mais bel et bien d'excitation.
Timidement, il commence à caresser le coté de ma cuisse du revers de *** petit doigt. Il va et vient sur quelques centimètres.
Puis, encouragé par mon attitude stoïque, il relève sa main et pose le bout de *** majeur et de *** index sur ma cuisse.
Il m'effleure jusqu'à mon genou et se décide enfin à me couvrir de la paume de sa main.
Je me sens mouiller comme une ado.
Sa main remonte doucement, sans s'arrêter. Elle passe sous ma jupe, glisse entre mes cuisses bouillantes et se pose enfin contre ma vulve inondée.
Immédiatement après ce contact, je sens mon ventre se contracter et je jouis sans pouvoir me contrôler.
Voyant que je risque de crier, il cesse de me caresser et m'entoure de *** bras droit, pour me plaquer *** autre main sur la bouche.
« Chuuut, ma belle ! On pourrait nous remarquer ! »
Je lui en veux un peu d'avoir stoppé net mon orgasme, mais je lui pardonne très vite, lorsque j'aperçois *** membre gonflé.
Je ne peux pas résister, et je le prends à pleine main. Hummm ! Il est dur et bien chaud. Mon pouce caresse *** gland humide, étalant les gouttelettes visqueuses qu'il secrète.
Sa main libère ma bouche, glisse dans mes cheveux et m'attire vers lui.
Il m'embrasse avec passion. Ses doigts quittent ma nuque et redescendent sur mon tee-shirt. Il caresse mes seins au passage et prend possession de ma chatte.
Il joue un moment avec mon clito. Je suis parcourue de petits orgasmes et lorsque ses doigts me pénètrent enfin, je suis trempée de mouille grasse.
De *** bras autour de mon cou, sa main droite, qui jusque là glissait de mon épaule à mon sein droit, me pousse maintenant vers *** sexe.
Je me tourne de trois quart et je me penche pour le sucer.
Elle est bonne. Je me régale.
Heureusement, nos places privilégiées dans le fond de ce ciné, font que nous sommes tranquilles et invisibles aux yeux des autres spectateurs.
Je m'applique à donner un maximum de plaisir à cet homme. Je suce, je lèche, je gobe également ses couilles, titille *** frein, aspire *** méat.
Lui de *** coté, il a remonté ma jupe à ma taille et palpe mon cul comme un fou. Je me bouge encore un peu pour lui permettre d'explorer mon anus. Il y plonge *** pouce tandis que ses autres doigts jouent avec mes grandes lèvres ou me pénètrent, parfois.
Je jouis plusieurs fois.
Mes gémissements *** heureusement étouffés par ma fellation.
Soudain, il se crispe quelques secondes, puis *** membre est prit de soubresauts et il décharge *** jus dans ma bouche.
Il me redresse et m'embrasse, alors que j'ai toujours *** foutre dans le bec. Ca ne semble pas le gêner le moins du monde, et nous partageons cette liqueur divine.
Il me doigte de nouveau, profond et fort. Je jouis une fois de plus.
Puis, il s'occupe de mes seins. Il remonte mon tee-shirt et se jette dessus pour les sucer. Sa langue est habille. Mes tétons gonflent et il les mordille, me provoquant de petites douleurs excitantes. Il aspire, lèche, mordille encore et aspire de nouveau.
Il fait des va et vient entre mes seins et mon cou ou encore ma bouche. Il est comme un fou.
Rebandant de nouveau, il m'invite à le sucer une fois de plus. Ce que je fais avec grand plaisir.
Cette fois je garde tout pour moi et le bois jusqu'à la dernière goutte.
Satisfait, il se réajuste et j'en fais tout autant.
« Comment t'appelles-tu ? »
« Camille. »
« Humm ! C'est très joli et ca te vas très bien. »
ENDE s'affiche à l'écran, suivit du générique.
La lumière se rallume. Je peux enfin voir les yeux de mon amant du moment. Ils ***t d'un bleu très clair. Ils brillent de plaisir et ne se gênent pas pour me contempler de la tête aux pieds.
« Je viens tout les dimanche. J'aimerais que tu reviennes. »
« Heuu ! Je ne sais pas ! Oui, peut être ! Je verrais. »
Je lui fais un bisou sur la bouche et me lève pour partir.
« Camille ? »
« Oui ? »
« Moi, c'est Fernand. »
Je lui fais le plus beau de mes sourires et je sors de la salle.

chrislebo

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#9,390 
Up to the first message 
Dehors, c'est le déluge. Un gros orage a éclaté.
Dans ma petite tenue d'été, je vais vite être rincée et je vais pouvoir faire le concours des tee-shirts mouillés.
Par chance, un bus s'arrête non loin du cinéma. Je pique un sprint et saute dedans.
Je ne suis pas la seule à avoir choisi cette option pour ne pas prendre la flotte.
Il est bondé.
Ma petite course n'a pas été récompensée. J'ai été suffisamment mouillée pour rendre mon tee-shirt presque transparent. De plus, l'eau m'a rafraichi et je pointe comme une folle.
Je crois que seul le chauffeur s'en est aperçu, lors de ma montée dans *** bus.
Dommage.
Je me faufile parmi les voyageurs pour atteindre le centre du bus.
Bien sur, incorrigible que je suis, le frôlement de mon corps sur les autres, me procure une satisfaction toute particulière. Et que dire de mes seins qui s'écrasent contre des bras, des dos ou même d'autres poitrines.
Un homme d'une quarantaine d'années, s'accroche comme il peut à la barre centrale. Il est plutôt pas mal, bcbg, petites lunettes rondes, rasé de près, les cheveux commençant à gri***ner. Mais la seule chose qui attire mon regard, c'est *** bras, collé le long de *** corps.
Il donne l'impression d'être un peu...coincé. Oui, c'est ca ! Coincé.
Voici une proie plutôt sympathique et très alléchante.
Je parviens à me glisser de coté jusqu'à lui. L'air de rien, je colle *** biceps entre mes seins. Je bouge de droite à gauche, suivant les mouvements du bus. Mes mamelles s'écrasent contre *** bras, à tour de rôle, excitant mes pointes dressées.
Je regarde ailleurs pour ne pas éveiller de soupçon, et je fais celle qui n'y prête pas attention. Mais un truc m'énerve. Lui non plus, n'y prend pas garde.
Le con ! C'est bien la peine de se donner tant de mal !
Mais je n'ai pas dit mon dernier mot.
Je feins de perdre l'équilibre, et pour me tenir à la même barre que lui, je suis obligée de passer mon bras devant lui.
Pour y parvenir, je suis contrainte de me plaquer un peu plus, contre lui.
Cette fois, *** bras tout entier se retrouve collé à mon corps. Là, il s'en aperçoit enfin. Prenant la mesure de sa position quelque peu ambiguë, il aimerait bien dégager *** bras. Mais, le mien, appuyé contre *** ventre, lui interdit.
Désespéré, rougissant, il me lance un regard plein de honte et d'excuse. Comme seule réponse, je lui offre mon plus beau sourire coquin et je me cambre un tout petit peu.
Le revers de sa main frôle ma fente au travers de ma jupe.
Je sens l'homme rigide et gêné. Ses joues ***t pourpres et *** visage ne cache pas *** embarras.
Ne pouvant retirer *** bras, je le sens fermer le poing pour me toucher le moins possible.
Mais en fait, c'est une aubaine pour moi, car je peux ainsi me frotter contre les quatre bosses que forment ses premières phalanges.
Comme ci cela ne suffisait pas, je fléchie légèrement et discrètement, pour serrer sa jambe dans l'étau de mes genoux.
Il est paniqué, mais ne veut surtout pas le montrer. Pourtant, ses lunettes ***t embuées de façon étrange et une goutte de sueur perle sur sa tempe.
Je me frotte comme un chien accroché à la jambe de *** maitre, et... je jouis.
Je mords ma lèvre pour ne pas gémir et inconsciemment, je colle mon front sur l'épaule de l'homme.
Lorsque je m'en aperçois, c'est à moi d'avoir honte.
« Oups ! Excusez-moi ! Je suis désolée ! »
Est-ce de me sentir en état de faiblesse qui l'encourage, mais, je sens sa main se déplier, et il me semble sentir une pression contre mon vagin.
Pour en avoir le cœur net, je me décolle de lui, de quelques centimètres.
Il n'y a plus de doute possible, il se décide enfin à me caresser. Il tourne un peu sa main et me gratouille le coquillage de *** pouce.
Il est un peu moins rouge et la buée de ses lunettes a disparu. Il a le nez en l'air et fixe le plan du trajet du bus.
Nul ne pourrait imaginer ce qui se passe plus bas.
S'il y a une chose auquel je ne m'attendais pas, c'est qu'il devienne pressant et audacieux.
Il tire sur ma jupe, comme pour me l'abaisser et il y parvient presque.
Il aurait été plus simple de passer par le dessous, mais lui, choisi de se glisser par dessus ma ceinture.
Certes, il y a beaucoup de monde, mais être ainsi, ventre et bas ventre à l'air, me fait tout drôle.
Je comprends très vite la rai*** pour laquelle il a pratiqué ainsi.
Je crois qu'il a pété un plomb ou qu'il a perdu tout contrôle de lui-même.
Sa main monte et monte encore, jusque sous mon tee-shirt. Il atteint mes seins et les malaxe un moment. soudain, il monte et descend, de ma poitrine à ma chatte. Il fait le va et vient rapidement et plusieurs fois. *** bras qui se plie fait que *** coude frappe à plusieurs reprises le dos d'une per***ne derrière lui.
Si ca continu, il nous attirera des ennuis.
Le bus s'arrête à une station et les portes s'ouvrent.
Je parviens à me dégager et à remonter ma jupe. J'agrippe *** poignet.
« Venez ! »
Et je le tire à l'extérieur.
« Mais ! Mais ! Arrêtez ! »
Je ne sais pas pour qui il me prend, peut être pour une flic, mais il panique.
« J'ai rien fait ! Ce n'est pas moi ! Je vous jure, ce n'est pas moi ! »
Je m'aperçois que je n'ai toujours pas lâché *** poignet.
Des gens se retournent et nous regardent.
« Arrêtez ! Tout le monde nous regarde ! »
« Qu'est ce que vous me voulez ! J'ai rien fait ! »
« Bah ! Je sais ! Je voudrais juste que vous vous calmiez et que vous m'offriez un café. »
On dirait un gosse. Un môme qui vient de faire une grosse bêtise.
Il m'attendrit.
« Heu ! Un café ? »
« Oui, j'aimerais bien. Vous voulez bien boire un café avec moi ? »
« Ben, heuuuu... »
« Tenez ! Entrons là ! »
Je le tire à l'intérieur d'une brasserie et nous nous installons à une table. Je comprends très vite qu'il n'est pas à l'aise avec les filles.
Je l'interroge et à mots couverts. Il se dévoile, doucement, timidement.
Il s'appelle Vincent. Il a quarante cinq ans et vit chez maman. La pauvre est gravement malade, et il s'en occupe depuis toujours.
Je crois comprendre qu'il est puceau et que je suis la première femme qu'il ait touché.
« Croyez moi, je ne voulais pas ! Et puis vous êtes si jeune, je n'avais pas le droit ! »
« Hihi ! On me le dit souvent, mais je suis une femme, majeure et vaccinée ! »
« Oups ! Je croyais que vous aviez seize ans ! »
Je comprends mieux sa fièvre de tout à l'heure, dans le bus. Il me fait de la peine et je me sens mal à l'aise d'avoir joué avec lui.
Il n'habite pas très loin. A peine une station de bus. La pluie à cessé. Il me propose de l'accompagner jusque devant chez lui. Bien sur, j'accepte.
Je le sens très fier de marcher au coté d'une femme. Il regarde les gens avec un grand sourire, comme pour partager sa joie.
Je lui donne une rai*** supplémentaire d'être fier, en lui prenant le bras.
Nous arrivons devant un immeuble cossu.
« Voilà, c'est ici. »
*** sourire s'efface pour faire place à un visage attristé.
Je me sens fautive de sa peine.
« Je ne peux vraiment pas monter chez vous ? Même pour boire un verre d'eau ?»
« Non, c'est impossible. Mère est trop mal. Je ne peux pas vous emmener plus loin que l'ascenseur. »
J'accepte. Au moins nous serons à l'abri des regards indiscrets, pour lui donner un baiser.
Il est maladroit, hésitant. Mais c'est le plus doux de tous les baisers.
Je passe ma main sur *** pantalon. La bosse est énorme. Mais il prend ses distances très vite.
« Non ! Il ne faut pas ! Quelqu'un pourrait venir ! »
« Je peux prendre l'ascenseur avec vous ? »
Il doit comprendre ou je veux en venir et prend peur.
« Non, non ! Ce n'est pas possible ca ! Je ne peux pas laisser l'ascenseur bloqué ! »
Juste avant que celui-ci n'arrive, j'aperçois une porte derrière moi, qui n'est pas une porte d'appartement.
J'appuie sur la poignée. Elle n'est pas verrouillée.
« Ca va ou, là ? »
« Ho, ca ! C'est les caves. »
Je ne lui demande pas *** avis. J'attrape *** poignet une fois de plus et l'entraine dans les escaliers en colimaçon.
Rien n'est plus ressemblant qu'une cave à une autre cave. Un long couloir, mal éclairé, et des portes, des portes, des portes.
Je m'appuie à l'une d'elle. D'une main, je caresse un de mes seins. De l'autre, je porte mon index à ma bouche et mordille mon ongle malicieusement.
« Et là ? On n'est pas bien ? »
« Pourquoi faite vous ca. »
« Parce que j'aime ca, Vincent ! Juste parce que j'aime ca et que j'ai envie de toi. Et toi ? Tu n'as pas envie de moi ? »
Il descend ma jupe et fait passer mon tee-shirt par-dessus ma tête. En moins de trois secondes, je suis nue.
« vous êtes belle ! »
Il me saute dessus. Lèche mon corps, palpe chaque parcelles de ma peau, écrase mes seins, mes fesses dans ses mains nerveuses et moites.
C'est un enfant avec un nouveau jouet. Celui qu'il désirait depuis si longtemps. Depuis, toujours.
Soudain, il se redresse. Il semble paniqué et s'énerve à ouvrir sa braguette.
« Ho ! Ho ! Non ! Ho non ! Merde ! Non ! »
Je crois comprendre ce qui le tourmente et vole à *** secours. Je sors *** sexe juste à temps pour le laisser se vider dans ma bouche.
« Harrrrrr ! Haaarrrrrr ! Ouiiiii ! Hummmmm ! »
Il appuit sur ma nuque et me plante *** dard jusque dans la gorge. Pour un peu, il m'étoufferait. Heureusement, je parviens à me dégager.
Je ne me relève pas tout de suite et le nettoie avec application. Lorsque je passe ma langue sur ses couilles, il pousse un « Houu ! » de contentement.
Je suis émue à la pensée de lui faire découvrir de nouvelles sensations, et je lui pardonne ses gestes qui parfois paraissent brusques et impatients.
Je me relève et ouvre sa chemise. Je me colle à lui et je lui sens un long fris***, lorsque mes seins s'écrasent sur *** torse.
Je lui offre ma bouche, mes lèvres, ma langue. Il m'embrasse avec fougue. Voilà une chose qu'il a assimilé très rapidement. Il embrasse comme un dieu, même s'il bave un peu.
Ses mains caressent mon dos...Non...Ses doigts griffent mon dos, puis descendent écarter mes fesses, à les arracher.
Inutile d'essayer de lui apprendre la douceur aujourd'hui. *** excitation est bien trop forte.
La preuve, il bande déjà de nouveau.
Le couloir est très étroit. Je me colle à la porte et pose un pied sur le mur d'en face.
« Viens ! Viens me baiser ! Viens me prendre comme une chienne ! »
Il trouve le chemin du premier coup et se plante dans mon ventre avec *****.
« Harrrg ! C'est chaud ! Hummm ! C'est bonnnn ! Houuuuu ! Hummmm ! »
« Ouiiii ! C'est bonnnn ! Explose-moi la chatte, mon Vincent ! Ouiii ! Bien à fond ! Ouiii ! Comme caaa ! Hummmmm ! »
« Je vous baise ! Je vous nique ! Je vous perfore ! Vous la sentez ma grosse queue dans votre petite chatte ? Hein, dites ? Vous la sentez ? Hummm ! »
Je baise avec un enfant de quarante cinq ans. C'est troublant.
« Ho oui ! Je la sens ! Je la sens bien ! Hummmm ! »
« Hummmm ! Hoo, je vais jouir ! »
Ha non ! Pas déjà !
Afin de gagner un peu de temps, je lui fais changer de position.
Je me penche en avant et lui présente ma croupe.
« Essais comme ca ! Tu vas voir, c'est bon aussi ! »
« Humm ! Vous avez un joli cul ! »
« Prends-le, si tu veux ! »
Mais il se replante dans mon minou.
Il me besogne comme une bête, me faisant jouir, plusieurs fois.
C'était prévisible, il ne tient plus et éjacule en longs jets. Mais plutôt que de rester sagement dans mon ventre, il essaie de m'enculer et une grande partie de sa semence, finit sur mes fesses.
« Ho ! Je suis désolé ! Je voulais vous remplir le cul ! »
« Hihi ! Ce n'est pas grave ! La prochaine fois, tu veux ? Viens, je vais nettoyer ta bite. »
Je m'accroupie face à lui, lorsque soudain, nous entendons des pas dans l'escalier.
Mon chevalier servant, prend ses jambes à *** cou, et disparait dans le fond du couloir.
Il me laisse plantée comme une conne.
Je ramasse rapidement ma jupe et mon tee-shirt, mais trop tard.
Une puissante lampe torche m'éblouit.
« Qu'est ce que tu fou là, salope ! Ras le bol de ses jeunes qui baisent dans les caves ! »
Le halot de lumière m'interdit de voir mon interlocuteur. Mais, à sa voix très grave et roque, je dirais que c'est un homme trapu, d'un certain âge... et gros.
« Avec qui tu baisais, salope ? Il est où ce fumier ? »
« Non, monsieur ! J'étais seule ! Je voulais juste sécher mes affaires, c'est tout ! »
Il m'arrache mes vêtements des mains et les jette au sol.
« Appelle-moi con ! Je t'ai entendu dire que tu allais nettoyer sa queue ! Mais dis dont, t'es plutôt bien foutue, petite putain ! Tourne-toi, pour voir ! »
Tremblante, les deux mains croisées devant ma bouche, je tourne sur moi-même devant l'homme, toujours invisible à mes yeux. Ils pourraient être plusieurs que je ne le saurais pas.
« Regarde-moi ca ! T'as du foutre plein le cul et tu veux me faire croire que tu es seule ? »
J'espère que Vincent connait les caves et qu'il y a une autre issue. Il a assez de problèmes comme ca, je ne souhaite pas lui en causer d'avantage.
« Tu voulais une bite ? Tiens, en voilà une ! Et t'as intérêt à t'appliquer. »
S'il n'y a que ca. Ce n'est pas un problème pour moi. Au contraire, je suis toujours très excitée à l'idée de faire cracher une nouvelle verge inconnue.
Elle est à l'image de *** maitre. Petite, large, grossière.
Je n'ai aucun mal à la faire tourner dans ma bouche, autour de ma langue.
« Fou toi à quatre pattes, que je te saute ! Morue ! Je vais te passer l'envie de trainer les caves ! »
J'arrive à glisser ma jupe sous mes mains, mais, mes genoux sur la terre battue me font mal.
Le gros porc se glisse derrière moi et m'encule, après m'avoir fait lubrifier mon cul, du foutre de Vincent, avec mon doigt.
Il m'inonde d'insulte, à chaque fois que *** nœud grassouillet me pénètre et il s'écroule sur moi, juste après avoir craché sa purée grasse.
Je lui en veux de m'avoir couché dans la terre. Je sens de petits cailloux s'enfoncer dans mes seins et mon ventre. Il reste vautré sur moi, à se frotter à mon cul, en vociférant des insanités à mon oreille.
« Alors, ca t'as plu, morue ? Tu l'as aimé ma queue dans ton fion, hein ? Putain ! »
« Monsieur Hernandez ? C'est vous ? Qu'est ce que vous faite ? C'est qui cette fille ? »
« Hein ? Monsieur Vincent ? Ho ! Ce n'est pas ce que vous croyez ! C'est une amie ! »
Puis, s'adressant à moi :
« Hein, que nous sommes amis ! Dis lui que nous sommes amis ! »
Alors là ! Vincent m'épate. Il a du réussir à sortir et n'a pas hésité à revenir à mon secours. Je sens qu'on va bien s'amuser.
« Non, non ! Je ne le connais pas. J'étais mouillée et je voulais faire sécher mes affaires. »
« Mais non ! Elle ment ! Ce n'est pas vrai ! »
« Mais... ? Vous avez quel âge mademoiselle ? Vous êtes toute jeune, non ? »
Il me fait un clin d'œil en cachette.
« Hein ? Heu...moi ? Ben, j'ai seize ans ! »
« C'est très grave ca, monsieur Hernandez ! »
« Ho merde ! Monsieur Vincent, je ne savais pas, je vous le jure ! Je m'excuse mademoiselle ! Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a prit. Pardonnez-moi, je vous en supplie ! »
« Bon ! Je vais voir avec mademoiselle. Je vais essayer d'arranger les choses. Attendez-moi dans votre loge. »
Le porc grimpe les marches deux à deux et disparait.
Nous attendons trente secondes et nous explo***s de rire. Nous nous sautons dans les bras et nous nous étreignons plusieurs minutes.
« Bien joué, Vincent ! »
« Depuis le temps qu'il me fait chier, ce con de gardien ! Je suis bien content de lui foutre la trouille. Mais j'ai honte de m'être enfuit. Je suis un lâche et à cause de moi il vous a... »
« Stop ! Ne dis pas le mot. Il ne l'a pas fait. J'étais consentante. Je suis toujours consentante. Mais c'est très drôle qu'il pense le contraire. »
Une fellation plus tard, je me rhabille et nous nous séparons.
« Je vous reverrais ? »
« Peut être Vincent. Prends soin de toi et ne reste plus sans fille. Programme-toi du temps pour toi et vas draguer. Tu ne devrais pas avoir trop de mal à trouver. »
« C'est promis. Bon ! Je vais voir mon gentil gardien. Je suis sur que désormais, il prendra mes colis ! Haha ! »

Je rentre, heureuse de mon après midi.
Fabien m'attend, impatient.
Il s'agenouille et frotte mes genoux.
« Mince ! Tu es pleine de terre ! Alors ! Il t'a baisée ce con de garagiste ? »
« Non ! Il n'était pas là. mais je suis allée au cinéma et là j'ai ......
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