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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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NOEL AU BAL CON.

Pour l'instant, la jeunesse devisait en riant et en criant, il ne sepassait pas grand-chose. La ***o rediffusait l'émission d'une radio localeet je me demandais quand le bal allait commencer.

Guitou posa la question qui brûlait les lèvres de tout le monde :

— « Et Harry Potter, il est où ? Tu l'as laissé à la mai*** ? »

Je tirai Carole par le bras :

— « C'est qui ? »

Elle rit :

— « C'est mon mari. Il n'apprécie pas trop mes copains, en plus il afoutu la merde dans un couple, du coup il préfère se déguiser encourant d'air : Ils lui ont trouvé ce surnom parce qu'il sort sansarrêt des citations en latin, comme Harry Potter avec ses incantations. »

Je grimaçai :

— « Ah ouais ? Il doit être d'un chiant ! »

Guitou s'étrangla de rire :

— « Ah ! Ça ! Tu peux pas savoir ! Môssieur a de la culture, lui ! Pas dugenre à se lever à l'aube pour aller en mer ou traire les vaches ! »

Je m'amusai comme une folle à écouter en direct tous les ragots, vrais oufaux qui circulaient sur Luc. C'est sa faute si Vivie s'était faittabasser, pas la faute de *** mari qui défendait *** honneur comme il sedevait.

Ces distrayantes révélations furent interrompues par l'arrivée de quatrefilles bruyantes qui entrèrent en criant. Les amis de Carole leurrépondirent de même et elle me souffla à l'oreille :

— « Ce ***t les femmes de Guitou, Gégé et Momo. La quatrième est une deleurs copines. »



Une était déguisée en Cléopâtre, la deuxième en danseuse de samba –plutôtsexy, la troisième en cow-girl – fine et mignonne, elle avait toujours labouche ouverte sur de grandes dents, lui donnant en permanence l'airétonné.

La dernière était ma préférée : très ronde, petite, un sourire jusqu'auxoreilles et une tenue très sexy de bunny en collants résille. *** opulentdécolleté attirait le regard comme un lampadaire attire les papillons denuit.

Guitou glissa à Gégé :

— « Ta bouboule, elle a vraiment honte de rien... »

L'intéressé ne répondit rien, se contentant d'un sourire gêné. Il n'enfallait pas plus pour que je monte sur mes ergots :

— « Et elle a bien rai*** ! C'est une belle nature et moi je la trouvetrès belle, très craquante ! Tiens, si je n'étais pas une fille, jel'inviterais à danser ! »

Faisant mine de se protéger de ses mains, Guitou ricana :

— « Holà ! Tout doux, la panthère ! Ne te gêne pas pour l'inviter àdanser, On a l'habitude des filles qui draguent leurs copines ! »

Il rajouta :

— « A ton avis, pourquoi la rouscaille t'as mis le grappin dessus ? »

Je m'éloignai insensiblement de Carole :

— « Ah bon ? Pourtant, elle est vachement jolie pour une... Fille qui aimeles filles. Mais au fait, Carole, tu as un mari, non ? »

— « Ben ouais. Mais ça empêche pas, je t'assure. Et ton mec, il arrivequand ? »

Je regardai ma montre : il était déjà dix heures...

— « Il ne devrait plus tarder maintenant. C'est moi ou il fait un peufroid ? »

Guitou, le préposé au chauffage intervint :

— « On va danser, tu vas voir, ça va te réchauffer. Et puis, si tu avaismis une culotte, tu aurais moins froid ! »

Je lui répondis en le prenant de haut :

— « Je ne vois pas l'intérêt de déguiser aussi les parties de mon corpsqui ne se voient pas !... »

Le bal démarra enfin, et en fanfare, comme il se doit avec le morceauidoine : « Au bal masqué » de la compagnie créole. Le quatuor defilles se jeta aussitôt sur la piste en poussant des cris de joie, à croirequ'elles avaient attendu cette soirée pour se lâcher. Je ne résistai pas àl'envie d'aller les rejoindre : depuis que je travaille –un bien grand mot- au « Pop Model, » j'adore danser et me trémousser et je n'ai plusaucun complexe.

Je me mêlai à la bande de copines qui m'accueillirent spontanément. Nouséchangeâmes nos prénoms et remuions de plus belle. C'était Camille, labelle ronde qui menait la danse et improvisait les plus déliranteschorégraphies, attirant tous les regards, souvent moqueurs.

Moi, j'étais subjuguée par la beauté de sa per***ne, par l'aura positivequ'elle dégageait : c'est le genre de filles que je suivrais jusqu'au boutdu monde.

Une série de slows arriva très vite, et comme Gégé, le mari de Camilleétait encore accroché à la buvette –à se demander pourquoi ils tenaienttant à ce bal- je me mis en devoir d'inviter cette fille qui m'attiraitcomme un aimant. Il y avait beaucoup plus de gars que de filles, mais peus'abaissaient à danser, se contentant de reluquer les femelles en chaleur.A ce sujet, il est vrai que j'avais plutôt chaud, à présent...

J'étais aux anges dans les bras de ma petite cavalière qui sentait déjà latranspiration. Je ne me rendis pas compte que je devais être un peu tropaffectueuse car elle se raidit subitement en me soufflant :

— « Hé ! Tu fais quoi, là ? »

Je me repris bien vite en m'excusant :

— « Pardon, Camille. Je n'ai pas l'habitude de danser avec une fille. Jete trouve tellement pétillante de vie que j'avais envie de te serrertrès fort dans mes bras. »

Elle rit :

— « Pétillante, Pétillante... Pas mal pour une fille taillée comme unebouteille de Perrier ! Mais si c'est ça, tu peux me serrer tant que tuveux : moi aussi, je t'aime bien ! »

Pour le second slow, Nico, un copain de Carole, calme mais un peu sournoism'invita à danser. Ses mains descendaient toujours sur mes fesses et jepassais le plus clair de mon temps à les remettre sur mes hanches. Mais jecompris pourquoi quand il souleva *********** ma jupe, faisant pousser descris de triomphe ou de déception à ses camarades postés à quelques mètresde là.

Je glissai à l'oreille de mon cavalier plutôt cavalier :

— « Eh oui, j'ai une culotte... Il faut toujours que vous vérifiez tout,vous, les mecs... »

Je ne me pressai pas trop pour rebaisser ma jupe : j'aime trop montrer moncul, surtout mis en valeur par de la lingerie fine : ma culotte de dentellenoire, mes bas et mes jarretelles lui faisaient un écrin de choix...

Nico, sa mission accomplie resta correct jusqu'à la fin du slow. Celui-citerminé, j'allai rendre visite à Moustache pour qui les affaires tournaientrondement, suivie de Carole.

Je pris un Perrier –merci Camille !- que Mon épouse m'offrit sur ***compte. Nous sirotions nos verres en regardant les danseurs se frotter lesuns contre les autres quand Carole me donna un coup de coude :

— « Tiens ! Regarde donc qui est à la porte ! »

Une Pocahontas, accompagnée d'une indienne -d'inde- se délestaient de leurmanteaux au vestiaire. Je n'aurais jamais cru que Viviane –l'indienne àplume- ait le courage de venir au bal avec ce qu'il lui était arrivée.Carole m'apprit –pour l'avoir vue chez elle- que l'autre fille était lavoisine qui l'avait recueillie.

Dès que ses copains l'aperçurent et la reconnurent, ils se mirent àentonner un très fin et délicat « Allez les bleus. » Je misquelques secondes à comprendre que c'était une allusion subtile auxhématomes que la pauvre avait récoltés lors de *** « explication » conjugale.

La rage me vrilla le cœur et je fis à Carole d'une voix sourde :

— « Quelle joyeuse bande de cons... J'irais bien danser le quadrille surleurs couilles avec mes talons aiguilles pour voir s'ils ont toujoursle même entrain... »

Ma moitié me sourit avec indulgence :

— « Cache ta joie, mon chéri, ou ils vont croire que toi aussi tu veuxfaire partie de la bande ! »

Nous les regardions saluer ses copains sans rancune apparente jusqu'à ceque Nico nous désigne du doigt. Le visage de Valérie s'illumina quand ellereconnut ma mère Noël sexy et elles se dirigèrent vers nous.

Carole leur offrit d'emblée un verre –c'est dingue comme elle peut êtregénéreuse avec mes sous- et Valérie s'écrasa contre sa poitrine idéalementmise en valeur :

— « Comme je suis contente de te voir, ma chérie ! Ça fait vraiment chaudau cœur d'avoir de si solides amies. Marie m'aide énormément, et c'estdommage qu'elle travaille le soir de la Saint-Sylvestre, elle auraitadoré venir faire la fête avec nous. Tiens, à propos, il n'est pas parlà, Luc ? »

— « Non, il n'a pas voulu venir à cause de ce que tu sais. Les potescroient que tout est de sa faute. »

— « Les cons... Ils ne changeront jamais, ces abrutis. Qu'ils ne viennentpas se plaindre s'il y a de plus en plus de gouines ! ...Oh ! Pardon,Carole. Je ne voulais pas te faire de peine. En plus, tu es avec uneamie... »

Mon épouse lui taquina le menton :

— « Je ne suis pas gouine, je sais apprécier les filles, c'est tout... Jete présente Alicia, elle attend *** amoureux. A mon avis, il s'estdéguisé en lapin ! »

Galante, ma douce moitié s'éclipsa aussitôt, prétextant la vue d'uneconnaissance.

J'essayais d'entamer la conversation sur un sujet commun :

— « J'ai entendu parler de ce Luc. C'est vrai qu'il parle latin ? C'estpas banal ! »

Elle rit :

— « Oh ! Seulement à bon escient, juste pour moucher ces barbares. Je medemande ce qu'il aurait sorti à mon mari s'il avait été là quand je mesuis fait dérouillée... »

— « Je ne crois pas qu'il lui aurait parlé latin. Carole m'a raconté pourton mari : Il lui aurait plutôt mis *** poing dans la gueule, à monavis ! »

— « Ne parlons plus de ce déchet. Heu... Je parle de mon futur ex ! »

— « Avec plaisir. Mais je ne comprends toujours pas le rapport entre lemari de Carole et toi... »

— « Di***s que nous sommes tombés amoureux et que nous avons passéquelques nuits ensemble... »

Je lui fis un sourire étonné :

— « Ah ouais ? Et... Elle est au courant, la belle rousse ? »

— « Oui, elle est très partageuse et aime beaucoup les filles. Bien plusque dans mon souvenir ! A ce sujet, si tu n'es pas de ce bord,méfie-toi, on dirait qu'elle te drague à fond ! »

— « Merci du tuyau, c'est vrai que j'avais trouvé sympa de sa part de meprendre ainsi sous *** aile... On va danser ? Les slows ***t bientôtfinis et j'ai rencontré une bande de copines rigolotes ! »

La bière sans alcool et le cidre doux avaient réussi à convaincre laplupart des garçons à se trémousser également.

Je dois avouer que je m'étais fait de fausses idées sur ce bal sansprétention : Tout le monde s'amusait beaucoup, et grâce à l'étonnantesobriété des participants, il n'y avait pas de bagarres stupides. Juste unealtercation avec des jeunes imbibés qui voulaient ****** l'entrée malgréles conditions clairement affichées à l'entrée :

— Pas d'alcool ni d'état d'ébriété manifeste

— Costume exigé

— Les organisateurs se réservent le droit de refuser l'entrée aux per***nessusceptibles de causer des troubles, ainsi que de limiter l'accès à lasalle selon sa capacité.

Je me suis demandé l'allure qu'il aurait eu si le latiniste de service nes'était pas collé à la rédaction de ce panonceau...
chrislebo

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MEMOIRES D'UNE JUMENT DE HARAS

Bien que ma passion pour les chevaux fût moins dévorante, je tins à avoirles coordonnées de la per***ne qui hébergeait le gentil poney quicommençait à se faire bien vieux. C'est ainsi que je fis connaissance avecmadame A. et avec elle, avec un nouveau monde.

Je ne la connaissais pas vraiment, mais avec mon expérience je ne pris pastrop de précautions pour lui dire pourquoi je voulais le revoir. Je fusravie d'apprendre que sa magnifique demeure -une véritable propriété,arboré et nantie de terres généreuses accueillait des soirées plutôtspéciales et qu'elle avait le même statut que mon chéri. C'était lapremière fois que je rencontrais une dominatrice et je m'agenouillai pourlui baiser la main. Cela la fit rire, mais je crois qu'elle avait apprécié mon petit témoignage de respect [1]. Mon chéri, égalementconquis alla discuter avec elle dans leur belle mai***, me laissant seuleavec mon cher petit poney.

Le pauvre se laissait dépérir, loin de sa maîtresse disparue. Il était trèsbien soigné, mais ses yeux mornes ne me trompaient pas. Il gambadaà mon approche et je l'embrassai longuement sur la bouche. Mon seul regretétait de ne pas pouvoir l'embrasser quand il me saillait... Pour lapremière fois, je pus goûter à l'amour en pleine nature, nue sous l'ombrefraîche d'un tilleul. Je ne savais pas si je pouvais être vue, mais je m'enmoquais : seule mon rendez-vous amoureux comptait et je me mis avec délicesà quatre pattes dans l'herbe fraîche. Mes cris ne semblèrent attirerper***ne, mais un bon quart d'heure plus tard je surpris un homme brun,assez mince me regarder avec fascination et amusement sucer mon amantéquin. Il ne dit rien lorsque que je le vis, aussi je continuai avecapplication.

Il me laissa finir avant de s'avancer et se présenta : C'était lepropriétaire du lieu, l'heureux époux de madame A...

Nous avons regagné la mai*** en devisant, échangeant des informations surle poney et ses maîtres.

L'homme -je l'appellerai Félicien- se comportait comme un vrai larbin faceà sa châtelaine d'épouse. Cela nous surprit sur le coup, mais elle nousrappela qu'elle se faisait un plaisir -partagé- de le dominer et del'humilier.

C'était mon premier contact avec les rapports domination soumission et lesadomasochisme, à part ma propre expérience bien sûr, et celle,malheureuse, de notre regrettée Nicole. Lorsque j'appris qu'il se jouaitici de véritables séances ************ et de ******* collectives, jesentis un terrible fris*** dévaler mon dos, et mon sexe -pourtantcopieusement arrosé par mon poney- bouillonna de plaisir.

Tout en écoutant parler Madame A. de sa voix forte et claire, je ne pus queme lever de mon fauteuil pour m'asseoir à ses pieds, comme quandj'étais petite fille et que mon grand-père nous racontait une histoire. Moncœur bondissait dans tous les recoins de ma poitrine en l'écoutant parleravec de plus en plus de ***** et de détermination des pratiques qui avaientcours dans ses murs : stages de dressage, location de soumis à d'autresMaîtres, soirées de débauche et d'orgie débridée... Les soumis n'étaient làque pour servir de chair à plaisir, pour l'agrément des Maîtres dominants ;elle rajouta en riant qu'à plusieurs, l'émulation est décuplée et qu'ilsrivalisaient de vice et de perversité pour tourmenter leurs victimes...

C'est ainsi que je trouvai une nouvelle famille. J'avais beaucoup despectateurs lorsque je me faisais couvrir, et un Maître eut l'idée de melier à mon poney au plus fort de sa saillie pour qu'il reste en moi le pluslongtemps possible. Je ne saurais trop louer cette idée perverse car grâceà ce charmant monsieur, je connus l'orgasme de ma vie, et le premier avecun cheval.

Malheureusement, nous ne venions pas souvent ensemble, ayant une confiancelimitée en nos baby-sitters. Les enfants furent bientôt assez grands pourse prendre en main... Mais aussi de se demander pourquoi leur maman et leurpapa étaient si souvent partis de la mai***.

Je ne dis pas que je n'ai pas vu grandir mes enfants -ils ont tout de mêmevite grandi- mais j'avoue ne pas avoir toujours été très présente. De plus,les lourds anneaux que je portais sous mes vêtements, malgré toutes mesprécautions n'étaient pas sans attirer leur attention...

Je me souviens d'ailleurs d'une soirée chez Madame A. qui avait failli maltourner à cause de l'irruption d'une petite fille dans notre salle de jeu,un soir d'été... C'était sa nièce, venue passer les vacances chez eux etqui avait trompé leur vigilance. C'est une des rares fois où je me suissentie mal de vivre ainsi mon vice
[2]
: j'étais enchaînée, écartelée contre un mur, empalée et lestée commesouvent ; mais Dieu merci, je crois qu'elle n'avait pas trop fait attentionà moi, trop occupée à vouloir libérer *** oncle ligoté sur un chevalet...Cela me fit tout drôle lorsque Madame A. m'appris qu'elle adorait aussi monponey.
chrislebo

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L'histoire de Maud


Bonjour, je m'appelle Maud, j'ai 18ans. Je vais vous raconter mon histoire.

Pour bien comprendre, je vais commencer par vous préciser ma situation.

Je vis avec mon père dans un appartement, ma mère nous ayant abandonnée à ma naissance.

Mon père, bien que gentil, est souvent absent car *** travail est très prenant. Je ne manque de rien mais j'ai vite appris à me débrouiller par moi-même.

Bien que ce soit interdit avant 20ans, cela fait maintenant 2ans que je sors régulièrement en boite avec une copine de classe, vu qu'elle a 21ans cela ne pose aucun problème. Avec un peu de maquillage et quelques fringues bien choisies..il est facile de tromper le sorteur.

Tout commence d'ailleurs par ça, une sortie en boite.

Comme d'habitude, je prétexte à mon père que je vais dormir chez ma copine. Le soir venu, on se change, on se maquille un peu et hop...direction la discothèque.

J'avais choisi pour l'occasion un top noir avec des brillants et un cœur formant le décolleté, une minijupe bleue foncée, des bas collants noir brillant et une paire de botte en cuir haute à talon.

Et pour les dessous, un soutien en dentelle pigeonnant et un string.

La nuit se passe sans problème, l'ambiance est bonne, le DJ est excellent...bref, une bonne soirée. Je dansais comme une folle sur la piste.

Sauf qu'entretemps....

Mon père était rentré plus tôt ce soir là et à voulu prendre de mes nouvelles en téléphonant chez ma copine. La mère de celle-ci, ne sachant pas trop quoi répondre..lui avoua le « méfait ».

J'étais sortie prendre l'air 5min, une voiture c'est arrêtée à ma hauteur. C'était mon père.

Je ne vous dis pas mon angoisse à ce moment là.

Par la fenêtre de la voiture, il m'avait lancé un glacial : « monte dans la voiture! »

A l'entendre comme cela, Je me suis exécutée sans me faire prier.

En voiture, l'ambiance était très froide. Mon père affichait un regard sévère.

Alors qu'on roulait normalement, j'ai constaté qu'on ne prenait pas la direction de l'appartement.

- « Où est-ce que tu m'emmènes Papa? »

Shlak! C'était le bruit de la fermeture centralisée..me bloquant dans la voiture.

« Puisque tu te sens plus âgée, je pense qu'il est temps pour toi de te découvrir!

Je vois que tu aimes t'habiller pour attirer les regards, parfait.

Dans la boite à gant tu trouveras un masque et une paire de menotte.

Prends le tout, met les menottes à tes poignets et pose le masque sur tes yeux! »

« Mais papa? »

« Tais-toi! À partir de maintenant il n'y a plus de papa, il y a monsieur! »

« Mais.... »

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase qu'il me fila une claque...

La larme à l'œil j'obéis.

Après quelques minutes j'étais menottés et les yeux bandés.

« Ecarte tes jambes, tu ne devras plus les avoir aussi serrée en ma présence! »

« Oui »

Une 2e gifle plus forte cingla

« Oui qui? »

« Oui....monsieur »

« Bien, tu vas apprendre à obéir. Dorénavant que je m'adresserai à toi, je t'appellerai ma petite pute, ma petite salope »

J'avais le souffle coupé. Mon père qui me traite de la sorte..je n'en revenais pas.

«Ecarte les jambes j'ai dit! »

J'écartais mes jambes comme demandé. Ne voyant rien, je me demandais ce qu'il faisait...

« Joli, très joli vue.... » Dit t'il

J'étais rouge de honte.

Sa main s'était posée sur ma cuisse et remontait ma mini jupe, je devinais qu'il voyait à présent mon string en dessous de mes bas.

J'étais en larme

« S'il te plait papa, arrête...je ne le ferai plus je te le promets »

Une 3e gifle stoppa net mes envies d'insister.

« Tu ne porteras plus de petite culotte jusqu'à nouvel ordre, c'est bien compris ma petite putte? »

« Oui...monsieur »

Je me demandais où il nous conduisait..J'avais surtout honte de me savoir ainsi attachée, exposée de la sorte avec sa main sur ma cuisse.

« Allo, Marc? J'arrive dans quelques minutes, est-ce que tout est prêt?

Ok, parfait, à tout de suite »

Qui était ce Marc? Qu'est-ce qui était prêt?? Je n'allais pas tarder à le découvrir.

La voiture ralenti et s'arrêta.

« Ne bouge pas petite pute! »

Il est sorti de la voiture puis a ouvert la porte de mon côté.

« Viens par ici » dit-t'il en me prenant le bras.

Il le serrait très fortement.

On est entré dans ce que je supposais être une mai***.

« Voici la pute que je t'apporte Marc. Tout est à faire, elle doit être dressée et éduquée. Je te la laisse pour la nuit et la journée de demain. »

Quoi? Je cauchemarde? Mon père...non ce n'était pas possible.

En partant il m'avait chuchoté à l'oreille « Tu vas commencer ton apprentissage ma petite putte, après tu ne seras plus la même »

J'étais debout, les yeux toujours masqué et les mains toujours attachée par les menottes.

Une voix grave : « Voyons ce que nous avons là »

« Lève les mains et pose les sur ta tête, salope! »

Parce que je ne me suis pas exécutée plus rapidement....une douleur cinglante me transperça de part en part. Je venais de goûter à un coup de badine sur les fesses.

En larme j'ai posé donc mes mains sur ma tête, telle une per***ne arrêtée par la police qui va se faire fouiller.

En fait de fouille, rapidement une main c'était posée sur moi, puis une deuxième.

Glissant sur mon dos, mes hanches...puis une des mains fit glisser ma mini jupe sur le sol.

L'autre main avait déjà fait glisser la glissière de mon top.

J'étais debout, en collant, string et soutif, aveugle et totalement à la merci d'une per***ne que je ne connaissais pas.

Dans quel guêpier mon père m'avait enfermée???

Il s'est approché de moi et me susurra à l'oreille :

« Ma petite pute....ton père m'a confiée une partie de ton éducation, je t'ai à ma merci pour toute la nuit et demain. Si tu ne m'obéis pas à la lettre, tu le sentiras passer...avec douleur, si tu m'obéis, peut-être te laisserai-je prendre un peu de plaisir. J'ai carte blanche, sauf pour ta virginité »

Comment pouvais t'il savoir que j'étais encore vierge?? Je ne l'avais jamais dit à mon père.

Il a fait glisser mon soutif sur le sol et je n'ai pas su m'empêcher de bouger mes mains....bien mal m'en pris, une violent douleur m'ôta toute envie de continuer.

Mes fesses brulaient, les larmes coulaient de mes yeux.

« Je t'ai dit de laisser tes mains sur ta tête salope! »

Une main, rugueuse, glissa sur ma poitrine dénudée, soupesa mes seins.

J'étais rouge de honte, mais mon corps me trahissait..Mes têtons étaient devenu dur d'excitation.

Bien entendu il l'a remarqué...

« Bien, je vois que ton père avait rai***, tu es une belle salope » dit t'il en me triturant les tetons.

Cela continua pendant un certains temps...il les malaxait, les soupesait,..

Ensuite sa main est descendue sur mon ventre et glissa entre mes jambes.

Il pressa et frotta...je sentais mon string glisser entre mes lèvres qui devenaient de plus en plus humide. C'est qu'il m'excitait le bougre.

Il a ôté mon masque et j'ai mis un certains temps à pouvoir distinguer les choses qui m'entouraient.

« Tu vas dans la salle de bain, lave toi bien partout et change toi! Tes vêtements ***t sur le tabouret. Dépêche-toi, tu as 15minute. Compris sale putte? »

« Oui Monsieur »

Je vis enfin mon tourmenteur, il était de taille moyenne, d'une 50aines d'années, un regard vicieux...bref, pas mon style. Mais je n'avais pas le choix.

La salle de bain n'avait pas de fenêtre...pas de chance, je ne pouvais même pas tenter de m'échapper.

Après ma douche et après m'être soigneusement lavée (mes fesses me faisaient toujours mal), j'ai ouvert le paquet...Il est fou, je ne vais pas revêtir ce genre de fringues....

Malheureusement si, je n'ai pas le choix.

Le paquet contenait une mini jupe en latex ultra courte, une paire de bas résille avec une ouverture sur l'arrière, des escarpins à talon très haut, un top en cuir...qui laissait mes seins à l'air...et pas de string ou de culotte.

« Quel horreur » je me suis dit. « Je vais ressembler à une putte »

Il a frappé à la porte.

« Ho! la putte, il te reste 5min pour sortir! Dépêche-toi! »

N'ayant pas le choix, j'ai enfilée les vêtements et je suis sortie de la salle de bain.

Il était devant moi, me défiant du regard.

« Ne me regarde pas! Regarde le sol petite putte! »

« Très joli...beaucoup plus joli que tes anciennes fringues...suis moi maintenant, nous allons commencer ton initiation »

Je le suivais dans la mai***, on descendait dans ce qui devait être une cave mais qui se révélât être une immense salle.***

Les murs étaient revêtu d'un drap bordeaux ; pas de fenêtres ; un éclairage passif mêlant lumières et bougies ; sur un pan de mur, je distinguais une croix, sur un autre un étalage d'objet divers que je ne connaissait pas, je pouvais toutefois distinguer différentes formes de fouets ; une table en bois brut très massive trônait au milieu de la pièce ; une sorte d'établis avec des chaines, cordes, menottes,...et des annaux étaient fixées au plafond, sols et murs à divers endroit ; il y avait aussi un grand divan en cuir noir...
chrislebo

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J'étais transit de peur.

« Et alors! Tu comptes prendre racine? Ramène ton joli cul de putte ici! »

Il m'indiqua la croix.

Alors que je m'en approchais, il me saisit par le bras et me plaqua face au mur. Ses mains saisirent mes poignets et il les attacha à des menottes métalliques reliées par une chaine à la croix.

Il fit de même avec mes jambes.

J'étais maintenant face au mur, jambes et bras en croix...

Je l'entendais fouiller sur l'établi et il s'approcha de moi.

« Je vais te bâillonner, je n'ai pas envie d'entendre tes jérémiades.. »

Alors qu'il me parlait il m'enfonça une balle dans la bouche reliée par deux cordons de cuir qu'il serra derrière ma tête.

Il serra si fort que je ne pouvais plus dire un mot.

Il glissa un doigt rugueux entre mes fesses..Frottant avec ***** sur mon petit trou.

J'étais en larmes, mais je sentais aussi une certaines excitation monter en moi.

« Ma petite putte, je vais bien m'amuser avec toi...si tu te montres gentille je te laisserai même y prendre du plaisir, mais avant cela, il faut d'abord que je te brise! »

Dit-il en remontant la mini jupe en latex que je portais, dénudant mes fesses.

Ces paroles me faisaient froid dans le dos.

Il s'éloigna....puis une forte douleur se fit sentir sur mes fesses, une autre, encore...encore....

J'ai compté 20 coups de fouets zébrant mes fesses.

A chaque coup, je mordais la balle de toutes mes *****s, mon visage était en larmes.

Il me détacha les chevilles et rallongea les chaines de mes poignets.

Ensuite, il me recula le bassin pour de nouveau attacher mes chevilles, quelques centimètres plus loin.

J'exposais maintenant mon cul.

« Je vais continuer et alterner les fouets, tu vas ainsi goûter aux plaisirs de la souffrance. »

A peine avait t'il prononcés ses mots que les lanières des fouets cinglèrent mes fesses

Je ne me souviens plus du nombre de coup de fouets que j'ai reçu...mais après un long moment de *******, il s'arrêta net et me massas mes fesses endolories de douleurs avec une crème.

Le massage eu pour effet de calmer la brulure des coups.

Il me détacha de la croix et me transporta sur la table en bois.

Là il m'attacha les bras, toujours face contre la table, mais mes jambes étaient pliée, écartée et attachées au sol. Formant un coin.

« Je te présente Rex, mon fidèle compagnon »

Rex??? Mon dieu, un chien! Ce type est fou!

Rex était un dogue allemand, de très grande taille.

Avec ses mains, il écarta mes fesses, exposant mon petit trou.

Un doigt rugueux le massa légèrement, je ne pu empêcher un râle de plaisir sortir de ma bouche bâillonnée.

« Tiens donc...on dirait que ma petite putte aime ça »...

Le salaud, il le savait et en profitait.

« Ton père m'a bien précisé que ta virginité devait être préservée...mais il ne m'a pas interdit de m'occuper de ton petit trou de putte! »

*** doigt força l'entrée, écartant mes sphincters avec *****.

Il fit une série de va et viens, tournant de temps en temps...je sentais mon trou du cul s'ouvrir petit à petit.

Un 2 e doigt s'introduit, un 3e ensuite...

Je n'en pouvais plus, des vagues de plaisir montaient en moi, je gémissais en continu, je sentais ma chatte dégouliner.

Il frotta ses doigts sur mes fesses puis les écartas encore plus.

« Viens Rex! Viens goûter à cette putte »

Le chien, obéissant, se dressa sur ses deux pattes avant et je sentis sa langue râpeuse me lécher le trou du cul...encore et encore.

Cette langue longue et râpeuse me faisait un effet fou, alors que j'étais dégoutée, révulsée à l'idée de subir cette perversion, je pouvais sentir ma chatte dégouliner de plaisir, mes seins étaient durci comme jamais...j'aimais ça.

« Mon dieu, je deviens folle...je me mets à apprécier cette perversion »

Mon bourreau le savait, je prenais du plaisir...et pour y couper court il m'asséna une fessée qui me fit redescendre sur terre bien vite.

Le chien avait maintenant fini...j'étais soulagée.

Mais déjà je sentais un liquide froid et gras couler sur mon cul.

Il posa devant moi une série d'objet oblongue de taille différente...il y en avait 5, du plus petit au monstrueusement gros.

« Tu vois ces plugs? Je vais tous les utiliser...et quand j'en aurai fini avec, ton cul sera aussi accueillant et ouvert que ta chatte de putte »

Il prit le premier et l'enfonça d'un coup dans mon cul.

Un étouffement de douleur sortis de ma bouche.

Il joua avec, le faisant entrer et sortir, effectuant des rotations de plus en plus larges...puis m'enfonça le second, plus large.

De temps en temps il rajouta du gel pour mieux « huiler » mon cul comme il le disait.

Je sentais mes sphincter se dilater, s'étirer...il allait me déchirer complètement.

Déjà le 4e était à l'œuvre. Il était un peu différent des autres, long, très long, recourbé et s'élargissant au fur et à mesure.

Il me ramona avec pendant un long moment.

Je ressentais à nouveau des vagues de plaisir monter en moi.

Il prit le dernier, il avait une base très large et était de forme conique.

Il l'appuya fortement sur mon cul ravagé, je pouvais sentir sa *****...et je sentais les dernières barrières de mon cul céder sous la pression exercées.

D'un coup il se glissa profondément.

J'hurlais sous mon bâillon tellement la douleur était intense, elle me déchirait les entrailles.

Il prit un rouleau de scotch et le fixa sur mon cul de telle manière que ce plug ne pouvait pas sortir.

Il me détacha à nouveau, retira mon bâillon dégoulinant de salive.

À quatre pattes sale putte, tu es ma chienne à présent.

Il attacha un collier de chien à mon cou et tira sur la laisse.

Je le suivais à travers la pièce, jusqu'au divan.

Il s'assit confortablement..Pendant que je restais à ses pieds.

Mon cul me faisait souffrir, je sentais la douleur s'effacer petit à petit..Mais à chaque mouvement, il me faisait mal.

« Voyons voir si tu sais te servir de ta bouche » dit-il

« Déboutonne mon pantalon et suce moi! Et tu as intérêts à t'appliquer »

Je dégrafais *** pantalon et baissa *** slip. *** pénis était déjà tendu et prêt à l'action.

Il était grand et veineux.

Voyant que je trainais, il attrapa ma tête et força l'entrée de ma bouche avec sa bitte.

« Suce moi salope! »

J'avais déjà sucé mon ex petit copain...mais là ce n'était pas pareil. Avec ses mains il poussa ma tête et enfonçait *** pénis au plus profond de ma gorge. M'étouffant presque avec.

Il accélérait le mouvement, je le suçais du mieux que je pouvais et ça devait lui plaire vu qu'il émettait des râles de plaisir.

A un certain moment, il poussa sur ma tête de toutes ses *****s, calant sa bite au plus profond de ma gorge...et éjacula avec violence.

J'ai cru que j'allais vomir..

*** sperme coulait à flot au fond de ma gorge.

« Avale sale pute...avale tout!»

Il éjacula à plusieurs reprises, je pouvais sentir *** jus couler par la commissure de ma bouche.

Il retira ses mains et ordonna d'un ton sec « nettoie ma bite salope, je veux qu'elle soit propre »

Je léchais sa bite avec application, craignant sa colère. Chaque goute de sperme était nettoyée. J'avais le gout de *** foutre en bouche.

« Il y a encore du travail à ce niveau là...mais c'est déjà pas mal.

Lève toi chienne, tiens toi debout et regarde le sol »

J'avais du mal à me lever...mon cul ainsi bourré me tiraillait de douleurs et de plaisir...car ma chatte était à nouveau occupée à dégouliner sur mes bas résille.

Il attacha des pinces à mes têtons quoi pointaient...et y relia des petits poids.

La douleur était intense.

« Tu vas les garder pendant un certains temps salope! »

« Maintenant tourne toi et baisse toi que je te retire le plug »

Sans me faire prier je m'exécutais.

Il retira le plug...et je sentis que mon trou ne se refermait pas....

« Parfait parfait, maintenant tu as un trou de putte »

Il me poussa sur le divan, cabré et remonta ma mini en latex à hauteur de ma taille.

Découvrant mes résilles...trempée.

« Mais je vois que cette salope à pris du plaisir, on dirait que tu commences à aimer ça! »

Ho que oui pensais-je intimement...la douleur se mélangeait avec le plaisir intense

Il enfonça sa bite violemment au plus profond de mon cul, me ramonant à nouveau d'un va et viens rapide.

Donnant des coups de butoirs, toute sa bite glissant au fond. Je pouvais sentir ses couilles taper sur ma chatte détrempée.

Ses mains me tenant fermement par les hanches.

Les poids fixés à mes seins suivaient le mouvement de *** va et vient...apportant un subtil mélange de douleurs et de jouissance.

Je ne pouvais m'empêcher de laisser libre cour à ma jouissance, j'étais à sa merci.

De temps à autre il m'assena des claques bien marquées sur mes fesses rougies par les nombreux coups de fouets.

Puis il joui à nouveau, la bite bien ancrée au fond de moi. Je sentais le liquide chaud couler dans mes intestins. Ma chatte et mon cul était en feu, je n'en pouvais plus.

« Nettoie moi la bite salope! »

Sans attendre, d'un geste quasi mécanique j'étais à genoux lui dévorant la bite. Lechant la moindre goutte de sperme.

Un petit peu de *** sperme s'échappa de mon trou béant et se rependit sur le sol....

« Lèche le sol salope, il ne faut rien gaspiller »

Telle une chienne j'étais à quatre pattes, lapant le sol.

Il avait brisé en moi les dernières barrières de mon auto-détermination. Je n'étais que *** objet et il pouvait faire de moi ce qu'il voulait.

J'étais exténuée, fatiguées...mon corps meurtrit me faisait sentir que les jouissances multiples l'épuisait aussi.

« Lève toi et viens ici, on a presque terminé pour cette nuit »

Il m'enfonça à nouveau le gros plug dans mon cul déjà bien dilaté et le fixa à nouveau avec du tape pour qu'il ne sorte pas.

Il retira les pinces de mes seins...mon dieu que ça faisait du bien.

Mais ce moment fut bref, car il les remplaça par d'autres pinces, plates celle-là, reliée à une chaine aussi. Chaine qui passait par mon cou mais un peu courte, ce qui relevait mes têtons aplatit.

Puis il fixa 2 autres poids sur la chaine...provoquant ainsi une double douleur.

Ma poitrine faisait penser à une mini table tellement les pinces aplatissait mes seins

D'un côté le tiraillement vers le haut et d'un autre le poids vers le bas...

Il m'attacha ensuite à la croix, mais cette fois-ci face à lui, la mini en latex toujours remontée sur mes hanches, bras et jambes écartées.

« Tu vas dormir comme cela jusqu'à demain matin, ensuite on reprendra ton éducation de putte. Rex sera ton gardien pour la nuit.... » Dit t'il avec un sourire sadique.

J'avais mal partout. Au fesses principalement suites aux nombreux coups de fouets, cravaches, que j'avais reçue. Au cul suite aux traitements violent qu'il avait subit pour qu'il se dilate. Aux seins car les poids et la chaines me faisaient souffrir en permanence.

chrislebo

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Sans compter le dégout interne que je ressentais...j'ai été « prêtée » par mon propre père à un pervers sadique qui ***** de moi.

Mais ce traitement je l'aimais aussi, jamais je n'avais autant jouis de ma vie, j'ai eu de multiples orgasmes d'une telle intensité.

La lumière s'éteint et j'étais plongée dans la pénombre.

La fatigue était telle que je ne ressentais plus les douleurs et la honte...Morphée m'accueilli dans ses bras.

Quelque chose d'humide et froid me tira de mon sommeil.

Rex me léchait la chatte, attiré par les odeurs de jouissance de la veille sans doute.

Incapable de bouger, je n'avais d'autre choix que de me laisser faire.

Sa langue rugueuse passait et repassait sur les mailles des bas résilles, provoquant en moi une montée de plaisir. Ce salaud tortillait sa longue lange entre mes jambes écartées....je me mordais les lèvres de plaisir. A chaque coup de langue, mon corps réagissait par un spasme de plaisir, faisant bouger les poids de mes seins endoloris.

Ce clebs allait me faire jouir à coup de langue.

Après plusieurs minutes passée à subir les assauts de sa langue, je jouis à nouveau...mes bas résille étaient trempé, ça dégoulinait sur mes cuisses.

Ce qui n'arrêta pas le chien pour autant, non content de *** acte, il me lécha les cuisses...me nettoyant complètement.

Enfin, après plusieurs instants, il retourna se coucher près du divan.

Avec tout cela, je ne savais pas l'heure qu'il était. Plongée dans le noir, attaché à cette croix, offerte aux moindres désirs pervers de mon geôlier, j'avais perdu le fil du temps.

A moitié endormie, je fus réveillé par de la lumière.

Il était de retour.

« Alors? Ma petite putte à bien dormi? Rex t'a bien gardée? »

« Oui »

Il me retourna une claque

« Oui qui? Salope »

« Oui monsieur, excusez moi monsieur »

Il me décrocha me remit la laisse autour du coup et s'installa dans le divan...j'étais couchée à ses pied, à côté de Rex.

« Voici ton petit déjeuner ma salope » dit-t'il en me tendant une gamelle remplie d'une bouillie étrange.

« Mange ça comme une bonne chienne! »

Je ne me fis pas prier, même si ça ne paraissait pas ragoutant, j'avais une faim de loup.

Ne pouvant me servir de mes mains, je mangeai comme un chien, avec la langue.

Mon visage était recouvert de cette bouillie.

« Bouge pas, Rex va te nettoyer ça »

A peine avait t'il fini sa phrase que Rex me lécha le visage, nettoyant ainsi les traces de nourriture.

Je me sentais honteuse, dépravée. Accepter ce genre de traitement, comment pouvais-je me laisser aller ainsi....

« Lève toi salope, je n'aime pas attendre »

Ces mots coupèrent ma réflexion..Il était sans pitié.

Il me traina sur une sorte de tabouret ou il me fixa les chevilles sur les pieds arrière. Le tabouret avait une assise conique, ce qui avait pour effet de pousser le plug un peu plus encore.

Une ceinture passait sur mes cuisses, me retenant assise.

Il attacha mes mains à une paire de menotte, reliée à une chaine qui remontait au plafond.

D'un coup sec il tira sur la chaine, entrainant mes mains vers le haut.

Bras tendu au maximum, étirée car je ne pouvais pas relever mes cuisse d'un millimètre à cause de la ceinture qui les retenais.

Il détacha les pinces de mes seins.

A nouveau une vague de chaleur et de plaisir remonta dans mon ventre.

« Hier soir on a travaillé ton cul de salope...voyons voir ce que nous pouvons faire avec tes nichons »

Mes seins? Mais ils ***t déjà hyper douloureux après le traitement que j'ai subis...mon dieu qu'allait-il encore inventer?

Il glissa ses doigts sur mes tetons..Qui étaient devenu hypersensible.

Puis il prit des glaçons et les fit tourner lentement sur le bout de mes seins.

Le froid de la glace combinée à la chaleur de mes seins était intense...tendue comme je l'étais sur ce tabouret, mes muscles essayaient en vain de se contracter de plaisir...je fermai les yeux et commençais à couiner de plaisir.

« Alors ma petite putte, on apprécie? »

« Oui monsieur, merci monsieur »

« Bien, je vois que tu as retenu la leçon »

Alors que je commençais à nouveau à être proche de l'orgasme, une violente douleur me traversa la poitrine. Suivie d'une autre, et encore une....il enchaina les coups de fouets avec violence, zébrant ma poitrine.

J'hurlais de douleurs, les larmes m'aveuglant.

« Je vais te fouetter 15fois les seins, j'irai de plus en plus fort. A chaque cri, je rajoute 5 coups de cravache. Montre-moi que tu es une bonne petite putte. »

Je n'avais pas le choix, soit je subissais, soit je souffrirais encore plus...ce type est un sadique.

Il commença sa série...je mordais mes lèvres pour ne pas crier, la douleur était de plus en plus intense, elle me déchirait de part en part. Je ne voyais plus rien tellement les larmes coulaient de mes yeux.

Le dernier coup tomba...enfin il avait fini.

« Je suis fier de toi ma petite putte, tu t'es montrée très forte »

« Merci monsieur »

« Maintenant tes petits seins ***t prêt pour la suite »

La suite???? J'étais à moitié ***née par la douleur, je n'avais plus aucune réaction.

Je n'ai même rien senti quand il perça mes tetons avec une aiguille et quand il enfila deux anneaux à travers le trou qu'il venait de faire.

Mes seins étaient tendus à l'extrême, rouge, zébré de partout...et mes têtons étaient ornés d'un anneau.

« Voilà, maintenant tu es une vrais putte...comme on les aimes »

« Merci monsieur »..d'un ton presque mécanique.

Il desserra la ceinture qui me calait sur le tabouret et retira les liens qui me retenaient.

« Lève toi, je vais te retirer ce plug »

Il retira le plug doucement, délicatement...prolongeant le plaisir.

Maintenant mon cul restait légèrement ouvert.

« Tu es prête à recevoir les honneurs de tes maitres maintenant »

« Oui monsieur » de mes maitres????

« Va te laver, et remet tes vêtements...pas ceux que tu avais pour venir, je les ai brulés, mais ceux que tu portes actuellement, ce sera ta nouvelle garde robe..ta garde robe de putte »

Je fis couler un bain chaud pour me relaxer après cette soirée mouvementée.

Mes muscles étaient tous endoloris, les douleurs au cul, aux seins, aux fesses...j'étais en mille morceaux.

Je me mis à pleurer comme une madeleine, repensant à tous les outrages qu'il m'avait fait subir. Et pourtant quelle jouissance il m'avait donné. Je contemplais dans la glace mes seins, ornés de leurs anneaux.

Puis je remis mes bas résille (il m'avait donnée une nouvelle paire, les autres étaient remplis de bave de chien, du jus de ma chatte,...), ma mini en latex et le top qui laissait mes seins à l'air libre. Je me contemplais à nouveau dans la glace...c'est vrai que je suis une putte. Je me suis laissé aller à jouir comme la dernière des salopes. Et je ne le regrette même pas.

Il frappa à la porte.

« Ton chauffeur est arrivé, sors de la petite putte, il est temps pour toi de partir »

Il me raccompagna à la porte ou m'attendait un grand noir, vêtu d'un costard cravate, debout devant une limousine.

Il m'embrassa sur la bouche et me susurra à l'oreille : « sois bien sage ma putte, on se reverra bientôt. »

En voiture

La limousine était conformable, mais les sièges étaient légèrement inclinés vers le bas, ce qui rendait ma chatte visible, vu la minuscule jupe en latex que je portais.

Bien entendu le chauffeur ne se privait pas de jeter un coup d'œil...et j'avoue n'avoir rien fait pour l'en dissuader, bien au contraire, j'écartais même les cuisses afin de lui offrir une plus belle vue.

La voiture s'arrêta sur ce qui semblait être un parking d'autoroute.

Le chauffeur descendit et s'installa à l'arrière, face à moi.

« Bien la putte, il est temps de payer la course de ton chauffeur. »

Machinalement je m'approchai de lui, je lui déboutonnai le pantalon et sorti *** pénis de *** slip.

Un monstre...ce type était bâti comme un âne. Il avait une bite 2 fois plus grande que celle de mon tourmenteur.

Je m'empressai de la lécher goulument, m'appliquant à lui prodiguer la meilleure sensation.

Sa main glissa le long de ma jupe et un doigt se faufila dans mon petit trou ouvert.

Il me doigta le cul sans ménagement alors que je lui pompais allègrement *** immense pénis.

« Bouffe moi la queue salope, je veux la voir glisser tout entière »

Dit-il en poussant sur ma tête, forçant sa bite au plus profond de ma gorge.

Elle était si grande qu'elle toucha ma glotte, je dus me retenir de vomir.

Pendant ce temps là il besognait mon cul, avec 3 doigts à présent.

Déjà je commençais à ressentir le plaisir coulé en moi.

Je pompais de plus en plus fort sur sa queue, le suçant à fond.

Ma tête glissait de haut en bas le long de *** manche de plus en plus vite.

« STOP salope...je n'ai pas envie de jouir dans ta bouche, tourne toi et viens empaler ton cul sur mon dard »

J'obéis et il glissa *** monstre au fond de mes entrailles.

Etrangement, je ne ressentais plus de douleurs...mais que du plaisir.

*** énorme bite me ravageait le cul et j'en jouissais pleinement.

Il me martela l'anus, m'éclatant encore un peu plus la pastille.

Je miaulais de plaisir sous ses coups de buttoirs.

Puis il déchargea *** fouttre dans le tréfonds de mes entrailles.

La chaleur et la quantité de *** jus était proportionnelle à la taille de sa queue...

Dès qu'il eu retiré sa bite, je me tournai et l'englouti dans ma bouche, suçant la moindre goutte de *** jus, léchant le gland pour y récolter les dernières gouttes.

J'avais appris à aimer ça en 24h...

Pour éviter de tacher la sellerie de la limousine, je serrais les fesses le plus possible.

« Il y a des lingettes dans le mini bar, utilise les et ne me salit pas les sièges, compris salope? »

« Oui monsieur »

La voiture redémarra, après plusieurs minutes de route, j'étais enfin arrivée chez moi.

Il faisait tard, plus per***ne n'étais dans la rue et j'espérais que per***ne ne sorte et ne me croise vêtue de la sorte.
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« Il y a des lingettes dans le mini bar, utilise les et ne me salit pas les sièges, compris salope? »

« Oui monsieur »

La voiture redémarra, après plusieurs minutes de route, j'étais enfin arrivée chez moi.

Il faisait tard, plus per***ne n'étais dans la rue et j'espérais que per***ne ne sorte et ne me croise vêtue de la sorte.

J'ai foncé hors de la voiture et je suis rentré dans l'immeuble.

Une fois devant la porte de l'appartement...j'hésitais à franchir le seuil de la porte.

« Entre ma petite putte chérie, entre donc, montre à papa comment tu es »

Je suis rentré dans le salon, obéissante à l'ordre qu'on me donne.

« MMmm je vois que Maitre Marc t'as déjà briefée sur les tenues autorisées. Tu es ravissante ma petite putte. »

« Merci Monsieur »...ça me fait bizarre de l'appeler ainsi

« Je vais t'expliquer ce qui a changé et comment tu devras agir, assis toi face à moi »

Je me suis donc installée dans le fauteuil, en faisant attention à garder mes cuisses écartées, offrant ainsi à mon père la vue de ma chatte au travers de mes bas résille.

« MMm excellent, tu deviens obéissantes comme une bonne petite putte. Bien, bien.

Voici comment ça va fonctionner à présent.

Primo, fini l'école, tu es ma putte et tu resteras ici à ma disposition. Ensuite, tes vêtements ***t tous brulés, j'ai remplacé ta garde-robe par des vêtements plus appropriés à ton statut.

Je veux aussi que ton cul soit propre à tout moment de la journée, je t'ai donc acheté de quoi le nettoyer en profondeur. Tu devras te raser la chatte, je ne tolérerai pas un poil.

Tu ne seras autorisée à porter une culotte que lorsque tu auras tes règles! Mais ton cul devra rester disponible.

Les anneaux que tu portes aux seins devront aussi rester.

Tu m'appelleras Monsieur...sauf avis contraire de ma part.

Ton corps m'appartient, j'en disposerai comme je le veux, quand je le veux, tu ne seras pas autorisée à protester ou contester.

Est-ce bien clair ma putte? »

« Oui Monsieur »...j'avais franchis le cap final, j'étais maintenant devenue la putte de mon père.

« Bien, va te changer, tes vêtements ***t sur ton lit »

Je me suis dirigé vers ma chambre et découvrit une nouvelle pièce.

Mon lit était toujours là, mais des anneaux étaient fixés un peu partout, au pied, au bord, sur le mur, au plafond.

Les vêtements étaient posés sur le lit. Il s'agissait d'un corset en cuir, d'une paire de stay-up, d'un slip en latex..avec une tirette autorisant un accès direct à mon intimité, d'une paire de botte mi- haute à haut talon et d'un collier ras du cou orné de plusieurs petits anneaux.

« Laisse ta porte ouverte ma putte, je veux te voir te changer »

Il était devant ma porte, me déshabillant du regard.

Alors que j'étais nue, il m'a demandé de me baisser, jambes écartés et d'écarter mes fesses bien largement.

« Mmmm Maitre Marc à bien travaillé, je vois que ta pastille est bien dilatée. Habille toi maintenant et rejoins moi dans le salon!»

Dans le salon, il me dit :

« Viens sur les genoux de papa ma petite putte »

« Oui Monsieur »

J'étais sur ses genoux et il a glissé sa main sous mon slip en cuir pour ouvrir la fermeture à glissière.

Sa main droite c'était posée sur mes seins, il s'amusait à tirer sur les anneaux...alors que de *** autre main, ses doigts se glissaient dans mon anus dilaté.

« Je sais que tu es encore vierge....je me réserve le droit de te prendre ta virginité quand le moment sera venu. »

Dit-il alors qu'il me ramonait le fion avec 3 doigts tout en pinçant mes têtons.

« MMmmm oui Monsieur...ouiii »

« Ca te fais jouir...salope »

Je commençais à apprécier ce genre de traitement...me savoir à la merci de quelqu'un avait quelque chose d'excitant.

« Montre à papa comment tu suces »

Je me suis mise à quatre pattes, entre ses jambes et j'ai déboutonné *** pantalon, avide de gouter sa bitte.

Je l'ai sucée comme Maitre Marc me l'avais appris, glissant sa bite au fond de ma gorge, jouant avec *** gland,..

Il a pris ma tête entre ses mains et a mené la dance en effectuant un mouvement de va et viens de plus en plus rapide.

J'ai sucé mon père...et ça m'excitait.

Il a poussé sa bite au fond de ma gorge, poussant un râle de plaisir...et il a éjaculé.

J'ai immédiatement avalé *** foutre chaud, léché sa bite pour bien la nettoyer et être certains d'avoir récupérer la moindre goute de *** précieux jus.

« Tu es une bouche à pipe ma putte...j'apprécie »

« Merci Monsieur »

« Va prendre un bain et te coucher, demain je dois partir, je reviendrai après demain...mais quelqu'un viendra prendre soin de toi »

Dans mon bain je me suis masturbée, pensant à la bitte de mon père.

La nuit fut douce et reposante. J'en avais bien besoins.

Au petit matin, mon père m'apporta le déjeuner au lit....

« Voilà ta récompense pour tes prouesses d'hier soir. Je m'en vais, la per***ne qui doit s'occuper de toi est déjà là, elle t'attend dans le salon. Je compte sur toi pour lui faire bonne impression »

« Que dois-je porter Monsieur? »

« Je te laisse choisir dans ta garde robe ma petite putte »

Je me suis empressée d'ouvrir cette garde robe et de découvrir les vêtements que mon père m'avait choisi.

C'était impressionnant, une montagne de vêtements en latex, cuir, satin, des chaines, des colliers, des bottes, des objets de toutes les formes,....

« Je vais choisir des vêtements de petite salope Monsieur »

Il m'a regardé choisir.

Une jupette grise d'écolières, un top blanc transparent et moulant avec un décolleté très impressionnant, une paire de stay up blanc et des petites chaussures noire.

« La parfaite salope...tu as de la chance que je suis en voyage... »

« Merci Monsieur, je suis ravie de vous plaire »

« N'oublie pas de nettoyer ton cul salope...sinon tu vas le payer fort cher » le ton avait changé.

« Oui Monsieur, je m'exécute immédiatement »

Dans la salle de bain, j'ai lu rapidement le mode d'emploi de la poire et j'ai douché mon cul comme il le fallait. Après 15minutes, mon cul était propre en profondeur. C'était même jouissif de sentir le liquide chaud circuler dans mes entrailles.

Entre-temps mon père était parti.

Dans le salon, une per***ne attendait, elle était dans l'ombre donc je ne pouvais pas la voir.

« Approche toi salope, laisse moi te voir »...la voix était ferme et féminine.

Mon père me donnait à présent à une femme!

Je me suis avancée doucement dans le salon.

« Très jolie, excellent choix salope. Tourne et laisse moi admirer ton cul, on m'a dit qu'il était très accueillant »

L'inconnue c'est avancée. Elle était grande, la quarantaine, vêtue d'un body en cuir blanc, de haute botte en cuir blanc, de gants en cuir blanc aussi...et elle portait une cravache de cavalier à la ceinture.

Sa poitrine était généreuse. Ses cheveux, long était noir ébène tout comme ses yeux.

J'ai commencé à tourner doucement comme elle me le demandait.

« A quatre patte chienne, viens me lécher les bottes »

J'ai rampé vers elle, tête baissée et commencé par lui lécher les bottes.

WHAC! Un coup de cravache sur mes fesses

« Applique toi sale putte! »

Ma langue léchait de long en large ses bottes.

Pendant que je m'appliquais, elle m'a attachée une chaine à mon collier.

« Tu seras ma chienne per***nelle... »

« Bien Madame »

« Reste à quatre patte et tourne toi, remonte ton cul que je l'admire de plus prés »

Je lui ai tourné le dos et afin de lui offrir la meilleure vue, je m'étais penchée en avant..Ce qui avait pour avantage d'écarter mes fesses en même temps.

J'ai senti sa cravache redresser ma jupette, glisser entre mes fesses...tourner autour de mon petit trou, se faufiler entre mes lèvres qui déjà commençaient à mouiller. Je m'en voulais au fond de moi, jouir sous la coupe d'une femme...

WHAC! WHAC! Deux coups de cravache sur mes fesses

« Qui t'a dit de mouiller salope? »

Elle a recommencé..Une série de 15 coups de cravaches, alternant fesse gauche et droite

Pas une plainte ne sortit de ma bouche. Je mordais mes lèvres tant la douleur était aigue.

« Puisque tu es si salope, je ne te ferai pas de cadeau »

Elle a commencé par frotter la pointe de sa botte sur ma chatte détrempée.

Elle frotta, pressa, fit glisser cette pointe entre mes lèvres qui devenaient de plus en plus humide.

Les coups de cravache sur mes cuisses et mes fesses pleuvaient aussi. Provoquant un mélange de douleur et de plaisir de plus en plus intense.

« Voyons voir ton cul maintenant sale putte »

Elle s'est approchée de moi et à craché sur mes fesses et mon petit trou.

Elle a forcée l'entrée assouplie par les traitements précédents directement avec 3 doigts.

MMmm je prenais du plaisir à sentir ses doigts ****** ma petite entrée.

« Tu aimes ça hein salope »

« Hoo oui Madame, merci »

« Et bien on va continuer alors...sale putte »

Je sentais un liquide couler sur mon cul ouvert...il était froid et visqueux.

Elle me tartinait le trou avec, l'étalant comme on beurre une tartine.

« Avec ça, tu vas avoir ce que tu mérites salope! »

« Je vais te défoncer le cul comme jamais »

Elle ne perdit pas de temps, déjà 5 doigts avait glissé dans mon trou huilé avec soins, l'étirant de plus en plus. Elle poussait de toutes ses ****** et faisait tourner sa main telle une vis pour mieux pénétrer.

Je sentais mes sphincter se dilater de plus en plus...ça faisait mal, horriblement mal.

Elle a commencé un mouvement de va et viens, d'abord léger. ..puis de plus en plus fort.

« Salope, tu vas tout prendre oui! Écarte tes fesses au maximum »

Ma tête reposait maintenant sur le sol alors que mes mains écartaient mes fesses.

Ca tirait de partout, je sentais la douleur remonter le long de ma colonne...c'était horrible.

Elle poussait encore plus fort....puis une douleur flash me traversa un moment....suivie rapidement d'une montée de plaisir.

« Ca y est! Maintenant poufiasse tu vas gouter au joie du fist »

Sa main toute entière, jusqu'au poignet, tournait à l'intérieure de mon cul.

Elle l'a retirée brusquement...pour la replonger immédiatement d'un coup sec.

Encore et encore... à chaque fois, ma tête glissait sur le sol tellement elle y allait avec *****.

Le plaisir montait de plus en plus fort, je miaulais comme une chatte en chaleur.
chrislebo

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Puis elle a cessé é...mon cul n'était plus qu'un trou béant, ouvert et dilaté comme jamais. Même après les outrages de Maitre Marc, il n'était pas comme ça.

« Suis moi chienne! » Elle s'installa sur le divan, jambes écartés.

« Va dans mon sac, il y a un immense gode noir, je veux que tu le prennes »

En fait de gode, c'était plutôt monstrueux. Il mesurait bien 40cm de haut pour 20cm de large à sa base. Sa forme était conique aussi, comme ceux de chez Maitre Marc. Mais il avait une ventouse pour le fixer au sol...je ne pourrais jamais le mettre en entier sans me déchirer la chaire.

« Fixe-le sur le sol, face à moi, de telle manière que tu puisses y glisser ton cul de putte pendant que tu t'occupes de ma chatte »

Une femme, j'allais lécher une femme....où donc s'arrêtera mon « apprentissage » comme disait mon père.

J'ai fixé le plug sur le sol, et doucement je me suis assise dessus.

Il glissait doucement, mais sa forme oblongue et conique s'élargissait au fur et a mesure.

J'étais quasiment à moitié enfoncée dessus qu'elle c'est levée brusquement et m'a poussée violemment sur mes épaules, le faisant glisser tout entier d'un coup sec.

J'ai hurlé de douleur, voulant me dégager à tout prix...mon cul brulait, la douleur cinglait mon esprit...ma vue se brouillait...

« Salope! Je sais que tu peux l'enfiler complètement. Ferme ta gueule et bouffe moi la chatte pétasse »

Dit t'elle en m'assénant une gifle qui eu pour effet de me faire reprendre connaissance.

Transis de douleur je me suis inclinée légèrement entre les cuisses de ma Maitresse et j'ai commencé mon œuvre.

Le plug, solidement fixé au sol et bien ancré dans mon cul me dilatait comme jamais.

Elle avait dégrafé *** body, me laissant accéder à sa chatte rasée à la perfection.

« Lèche salope, fais moi jouir ou tu le paieras cher »

Ma langue se glissa entre ses lèvres, tournait autour de *** clitoris, j'ai entrepris de le sucer un peu.

Délicatement je lui léchais l'entrée chaude de sa vulve, lapant le jus qui commençait à suinter.

Elle recommença à me fouetter les fesses avec sa cravache alors que j'avais enfoncée ma langue profondément en elle.

Le plug continuait à me faire très mal...je souffrais le martyrs, les fesses en feu à causes de la cravache et le cul déchirés par le plug.

Toutefois, malgré la douleur, j'ai continué à la lécher avec application.

Tant et si bien qu'elle jouit. Elle a posée ses mains sur ma tête et me l'avait poussée sur sa chatte détrempée

« bouffe moi la chatte sale putte, bois mon nectar »

Je l'ai léchée, j'ai avalé et lavé la chatte de ma Maitresse....et j'adorais ça.

« Bonne putte, tu es une bonne putte.

Reste bien assise sur ton plug, il faut que ton cul soit suffisamment dilaté comme ton père me l'a demandé ».

J'étais assise sur le plug, mon cul me faisait de moins en moins mal, mais je sentais mes sphincter étirés à leur limite...prêts à casser comme du cristal.

Elle s'est approchée de moi et m'a embrassée goulument, sa langue pénétrant ma bouche.

Alors qu'on s'embrassait, elle glissa sa main sur mes seins et entreprit de jouer avec.

Pincement, étirement avec l'anneau...elle m'excitait énormément.

Je pouvais sentir ma chatte dégouliner.

« Bien, lève toi chienne. On va manger. Tu resteras à mes pieds et tu mangeras les restes que je te donnerai. »

Elle mangeait tranquillement, jetant de temps à autre un morceau de viande ou un légume.

Bien entendu je n'osais pas la défier...donc je mangeais ce qu'elle me donnait.

A chaque mouvement, vu que j'étais à quatre pattes, je pouvais sentir les contours de mon trou glisser...il était maintenant totalement dilaté.

« Ma pute, voici le programme pour cet après-midi, je vais achever de ruiner ton cul...j'estimerai qu'il sera complètement ruiné quand je pourrais y glisser mes 2 mains jointes jusqu'à mi- bras sans avoir de résistance. Tu va souffrir mais je te promets beaucoup de plaisir si tu résistes...et beaucoup de douleur si tu pleurs ou crie. »

J'avais le souffle coupé...plus un mot ne sortait de ma bouche.

J'ai acquiescé brièvement de la tête en signe d'accord...avais je vraiment le choix?

« On va aller dans ta chambre, ton père à aménagé ton lit pour facilité ce genre de chose »

« Couche toi sur le lit, face au plafond et écarte les bras et les jambes »

Le ton était donné...

Elle a fixé des chaines à mes poignets et chevilles. Les chaines de mes chevilles passaient par des anneaux situés au plafond, celle de mes poignait étaient attachées derrière ma tête.

Elle a tiré subitement sur les chaines de mes chevilles, remontant mes jambes d'un coup.

Mon corps formait un angle droit et mes jambes étaient écartées en V.

Elle a tiré encore un coup pour remonter mon cul et ensuite elle a appliqué du gel en grande quantité sur mon cul, tartinant à nouveau mes sphincters.

J'étais effrayée, terrorisé...et elle était si belle, si attirante vêtue de cuir blanc...elle me tartina le cul avec tant de délicatesse, j'ai même pu ressentir un doigt glisser sur mes lèvres humides pour titiller mon clitoris.

« Écoute-moi attentivement! Si tu cries, pleures, hurles...ou parles, je te fouetterai tellement que tu en seras marquée à vie. Compris petite salope? »

« Oui Madame, je vous rendrai fier de moi »

Un sourire sadique sur *** visage en guise de réponse....puis elle a commencé *** travail de démolition anale.

Elle a commencé par 3 doigts avec la main gauche, puis 3 doigts avec la main droite...et écarta mes sphincters.

Elle écartait de toutes ses ******, je mordais mes lèvres pour ne pas pleurer ou hurler de douleur.

Puis elle a glissé un 4 e doigt à droite et un 4 e doigt à gauche, écartant encore un peu plus mon trou béant.

Je pouvais sentir sa respiration sur mes sphincter dilatés...elle a commencé à me lécher la chatte alors que mon cul était distendu par ses mains.

Sa langue experte eu vite rai*** de ma douleur et m'apporta des vagues de plaisirs...

Elle a forcé *** poing fermé...poussant encore et encore, imprimant un mouvement rotatif pour qu'il entre....et il entra, elle a poussé encore, petit à petit *** poignet disparu dans mon cul...puis la moitié de *** avant bras.

Un violent spasme de plaisir me traversa le corps, laissant échapper un râle de jouissance.

Elle a retiré *** bras et l'a enfoncé à nouveau..mais plus fortement encore, brisant les dernières défenses de mon anus déchiré.

*** poing fermé entrait et sortais à présent sans trop de résistance de la part de mes sphincter..elle avait réussi.

En même temps, le plaisir montait de plus en plus, ma chatte dégoulinait à nouveau..

Elle a laissé *** bras bien enfoncé dans mon cul et a recommencer à me lécher la chatte...suçant mon clitoris, tournant autour avec délicatesse.

*** poing sorti de mon cul faisant un horrible « plop »...signe que mon anus était totalement ruiné, déchiré, rompu.

Mains jointe, telle une bonne sœur à l'heure de la prière, elle a commencée à ****** le passage.

Elle poussait de plus en plus fort, ses mains glissèrent millimètre par millimètre. Je n'en pouvais plus, la douleur reprenait le dessus et un cri s'échappa de ma bouche.

Elle s'arrêta net et a retiré ses mains d'un coup sec...elle a empoigné *** fouet.

« Sale poufiasse, tu vas regretter ce cris »

Les coups pleuvaient sur mes cuisses, mes seins, mon clitoris..Laissant des zébrures rouges.

Après une trentaine de coup de cravache elle m'a regardée fixement... « Ne me fait pas arrêter à nouveau ou j'irai jusqu'au sang! »

Des larmes coulaient de mes yeux, mais aucun cris ne sortait de ma bouche...je résistais.

Elle a vidé la bouteille de gel dans mon cul...non plus sur mon anus, celui-ci restait ouvert..mais bien à l'intérieur de celui-ci et sur ses gants de cuirs.

Mains jointes à nouveau...elle a poussé à nouveau, mais sans ménagement par rapport à la dernière fois.

Les mains glissèrent avec facilités sur le gel et bientôt il ne restait plus que ses poignets.

D'un coup elle a poussé encore plus fort.

La douleur était horrible, terriblement intense...je devais me mordre les lèvres quasiment à sang pour ne pas crier.

Elle continuait, poussant petit à petit...puis j'ai senti ses deux poignets passer le col de mes sphincter et ses avant bras était entré aussi.

« On y est pétasse...tu es maintenant parfaitement fistée

Tu vas commencer à ressentir le plaisir »

Et elle ne m'avait pas menti. En effet, au fur et à mesure que ses mains entraient, j'ai senti une vague de chaleur monter en moi, prenant le dessus sur la douleur pour finalement l'effacer complètement.

J'ai commencé par émettre des cris de plaisir pendant qu'elle avait imprimé un léger mouvement de recul avec ses bras pour ensuite les enfoncer à nouveau.

« Madame....mmmmm...ouiii....j'aime.....mmmmm »

« Tu peux jouir salope...je te l'autorise »

Elle a joué avec ses deux mains dans mon cul...elle m'apportait du plaisir en faisant bouger ses doigts, en tournant légèrement ses mains enfoncées profondément.

J'ai joui assez rapidement. Mes muscles se ***t cabrés de partout, même mes sphincters pourtant déchirés se ***t resserrés dans la jouissance.

Ma jouissance a coulé hors de ma chatte détrempée, glissant sur mes jambes et mes stay up.

« Superbe petite saloppe...je suis fière de toi »

Elle a retirée ses deux mains de mon cul, le laissant se reposer.

« Puisque tu as été courageuse, je vais te donner un bain qui te fera le plus grand bien »

« Merci Madame »

« Plus de Madame à partir de maintenant, tu peux m'appelle Julie »

J'étais surpris de ce revirement, mais il ne me déplaisait pas.

Julie était aussi une soumise de Maitre Marc et de mon père, ce dernier lui avait demandé de s'occuper de moi.

Dans le bain, elle me lava tout le corps, me massant les seins, les fesses, la chatte...et même mon cul. Ses caresses étaient douces et tendre. A plusieurs reprises nous nous sommes embrasées.

Finalement, nous nous sommes couchées sur mon lit et avons terminés la nuit ensemble, dans un tendre mélange de caresses, baisers...mélange voluptueux de plaisirs et jouissances mutuelles.

Au petit matin, mon père nous a réveillées. Nous étions nues, entrelacées l'une l'autre.

« Debout ma petite putte...il est temps de te lever »

J'étais dans la salle de bain pour me laver et me faire belle pour mon père.

Julie discutait avec lui.

J'ai pu entendre leur conversation.

- Elle est formidable, vous avez de la chance Maitre.

- Merci Julie, tu as bien travaillé aussi, Maitre Luc sera content.

- Quand comptez-vous la marquer Maitre?

- Bientôt Julie, bientôt.

Julie était partie depuis quelques minutes et mon père m'a appelé.

« Ramène ton cul ici petite putte...et dépêche toi »

J'avais revêtit une minijupe rouge, des stayup noir avec bord en dentelle, un top rose et une paire de botte à talon aiguille.

« Assis toi et écoute bien attentivement ce que je vais te dire »

« Maitre Marc et Maitre Luc vont arriver. Nous procéderons à l'officialisation de ta soumission. Cette cérémonie est très importante pour toi, car si tu la rates, tu resteras toute ta vie une soumises de seconde zone...utilisée pour ramener de l'argent dans le cercle. Donc tu as intérêt à la réussir. D'autant que ce sera pendant cette cérémonie que tu me donneras ta virginité. Mais si tu rates les épreuves, ce n'est pas moi qui la prendrai. Est-ce clair ma petite putte? »

« Oui Monsieur, mais en quoi consiste cette cérémonie? »

« Tu le découvriras plus tard ma petite putte, maintenant montre moi comment Julie t'a bien ouverte le cul »

Je me suis levée, relevé ma mini sur ma taille et courbée afin que mon père puisse observer le travail de Julie.

Il a approché sa main et a glissé 3 doigts.

« Effectivement, c'est plus souple maintenant...et tu t'es bien lavée, c'est propre. Bravo ma petite putte, je suis fier de toi. En récompense je vais t'honorer »

Il s'est levé et a approché sa bite de mon cul. Ses mains s'étaient posée sur ma taille ; il a entré d'un coup sec sa bite d'un seul trait.

J'ai commencé directement à miauler de plaisir alors qu'il me ramonait allègrement le fion.

Ses couilles venaient taper sur ma chatte, provoquant des bouffées de chaleurs dans mon bas ventre.

Après une dizaine de minutes il a éjaculé, bite bien ancrée dans mon cul. *** fouttre chaud s'était rependu dans mes entrailles.
chrislebo

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#9,338
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Des gendarmes soumis


L'histoire commence un soir de juillet, devant une boite branchée, suite àune altercation entre videurs, et groupe de jeunes maghrébins. Ce soir là,Georges, commandant de gendarmerie âgé de trente ans, et *** équipièreSolange, femme d'une quarantaine d'années, un peu enveloppée, ***t depatrouille dans le coin. Ils se rendent immédiatement sur leslieux.
Après moult discutions, s'ensuit une bagarre entre arabes etforce de l'ordre. mais ceux-ci ***t vite dépassés par les évènements, etsubissent vite la loi des jeunes délinquants.
En un rien de temps, ils***t maitrisés, délestés de leurs armes. Une jeune maghrébine proposa mêmede les mettre à poils, pour les humilier d'avantage.
Deux jeunes beurset la jeune arabe ôte la jupe bleu marine, la chemise bleu ciel, et lapetite culotte de Solange.
-Hihihi, rit Malika...elle n'a pas desoutif..hihi et elle la chatte toute rasée la salope.
Solange, furieuseet rouge de honte, se débat en vain. Malika lui pince lesfesses.
-Aie...aie...aie..sursaute la gendarmette...arrêtez...çà va passe passer comme çà..vous allez le payer cher...
Malika pousse ***************** jusqu'à la caresser. D'abord, l'imposante poitrine, puis lafente. Elle écarte les lèvres intimes et enfonce deux doigts dans lachatte.
-Non...pas çà, gronde Solange...sors tes doigts de là salearabe...tu vas voir...
-Calme toi ma chérie, tu verras comme tu serasbien quand ta petite chatte sera
toute mouillée. Tu vas me supplier dete doigter après, comme une petite gouine.
Solange, impuissant estobligé d'accepter. Elle se retourne vers *** coéquipier, pas mieuxloti.
Les jeunes beurs l'ont cloué au sol, l'ont débarrassé de ***pantalon, et de *** slip. Djamel tombe à genoux entre ses jambes, et luisaisit les testicules qu'il fait rouler entre ses doigts.
-Oh putain,dit-il, si un jour on m'avait dit que je tiendrai un flic par lescouilles... écatez le les gars que je l'encule...ce sera mon premierpoulet..
-No...haaaaaaaa.....déconnez pas......haaaaa....pasçàààààà.....
Trop tard, Georges vient de se faire prendre à sec, parl'énorme bite d'un jeune maghrébin, qui dilate et ouvre le petittrou.
Rachid, impassible, immortalise la scène avec *** portable, aprèsavoir filmé celle de Solange, on sait jamais.
Georges, en larmes,cherche *** équipière du regard. Il la voit trembler sur ses jambes, setordre comme un ver sur les doigts de la jeune fille qui la chatte.
-Hooui...gémit-elle...vas-y..bien sur le clito...que c'est bon de se faire
doigter par une femme....oui...oui...et toi Georges...tu es bien...ilt'encule
le salaud...c'est bon...dis moi....
Georges ne peut pasrépondre, un autre arabe a glissé sa queue dans sa bouche, dans laquelleil se branle. dans un dernier sursaut, Georges toute la semence dumaghrébin au fond de la gorge.
Jugeant enfin que leurs victimes avaient eu ce qu'ils méritaient, lesjeunes délinquants s'éclipsent. Tant bien que mal, les gendarmesrejoignent leur véhicule de fonction.
Georges n'a plus de pantalon, iltire sur sa chemise pour cacher *** sexe à sa partenaire. Elle n'hésitepas à reluquer la quéquette décalotté, et couilles enflées de ***équipier.

Le lendemain, Georges reçoit un coli. Un dvd avec un message, qu'ilmontre à sa partenaire.
"Rendez-vous ce soir à la caserne. On veut quevous soyez soumis, nus sinon, gare"
Les deux flics n'ont d'autres choixque d'accepter. C'est Solange qui ouvre quand on frappe à la porte. Ce***t Rachid, Djamel et Malika. comme convenu, les gendarmes ***t tousnus.
-Salut, dit Malika en saisissant Solange par la taille. Comment vacette petite
chatte depuis hier? On a concocté un petit jeu pour vous,vous allez nos
en dire des nouvelles. Ou ***t les menottes?
Georgesfait un signe pour montrer le placard. C'est Malika qui mène lesopérations.
-Hé la gouine, viens ici, ordonne-t-elle, colle toi contreton chef, et prend le par la taille.
Solange obéit, st se plaque contrele dos de Georges. Malika la menotte de façon que ses mains soient encontact avec les sexe du commandant.
-A toi maintenant, ordonne-t-elleà Georges, les mains dans le dos.
Ce ***t les mains de Georges qui ***tmaintenant en contact avec la chatte épilée de Solange. le tableau estgrotesque. Par respect, les deux partenaires essaient d'éviter de setoucher. mai très vite, la situation devient excitante. C'est George, quile premier, prend l'initiative.
Il recroqueville *** majeur, et caressela fente de *** équipière. Instinctivement ou volontairement, celle-ciécarte les cuisses pour faciliter le passage.
C'est maintenant au tourde Solange de se lancer. D'une main, elle saisit les couilles de Georges,et de l'autre, fait coulisser le prépuce pour décalotter le gland de labite en érection.
-Allez, sourit Malika, les paris ***t lancés. lepremier qui fait jouir l'autre, marque un point.
Solange entame delents va et vient sur le membre de *** coéquipier, pendant que celui-cidoigte la fente humide de la flic, tente d'enfoncer ses doigts au plusprofond de sa chair.
-mai enfin Georges, tu n'es pas au bon endroit..leclitoris est plus haut.. ta femme te l'a pas expliqué?
Georges commenceà donner des signes de faiblesses; il tend sa bite en avant pour mieux sefaire décalotter, mieux s'offrir aux doigts experts de Solange. Soudain,il se lâche. Sa semence gicle sur le carrelage, dans un râle deplaisir.
-Ha...ha..salope...je crache...vas-y...gratte moi lebout...ha...
-Tu as vu comme j'ai joué avec ton zob, comme je l'ai faitpleurer...je vais le décalotter pour tout à l'heure...je vais te chaufferles couilles pour bien
te les vider...tu veux?
-Oh la la, ditMalika, çà s'annonce chaud, lais***s les les gars, on reviendra plustard.
Les trois maghrébins s'assied sur la trottoir et fume unecigarette. Pendant plus d'une heure, ils entendent les amants menottésrâler de plaisir.
Quand ils regagnent la salle, ils découvrent unspectacle hallucinant.
Les testicules de Georges roulent entre lesdoigts de Solange, *** gland est rouge sang. Le sperme coule le long de saqueue, souille les bourses.
-Assez..assez..gémit le commandantépuisé,..j'en peut plus...
-Chut...je t'avais dis que tu ferais pas lepoids. Tu vois ce qu'une femme peut faire avec un mac quand elle luisattrape les couilles...çà fait mal,hein?
Imagine si tu étais derrièremoi, tu m'écarterais les cuisses pour enfoncer ton pieux dans lachatte...tu m'ouvrirais le petit trou pour m'enculer..hum..
et là,c'est moi qui te domine...çà fait quatre fois que je te vide lescouilles.
Solange aussi a pris du plaisir. la cyprine et la mouilledégoulinent sur ses cuisses.
Les jeunes beurs détachent leurs victimesqui s'écroulent au sol. Ils s'enlacent et se donnent un sulfureux baiser.Solange, plus vivace, prend en bouche la bite de *** commandant pour luitailler une pipe, le supplie de la niquer, de l'enculer.

Depuis, le groupe de maghrébins se rend souvent à la caserne. Ilsenculent copieusement le commandant, organisent des jeux érotiques, ouGeorges se soumet totalement au sadisme de Solange, qui prend plaisir à lefaire pleurer.

chrislebo

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#9,339
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attention aux faux policiers...


Piège pour dame bcbg...
Le soir tombait, et la voiture roulait au milieu du flot continu de lacirculation sur le périphérique urbain. L'an 2000 était bien passé et lemonde n 'avait guère changé. Un feu annoncait une sortie et la conductriceclignota vers la droite. Elle tourna juste avant que le feu passe au rouge.
Elle s 'arrêta pile, et juste après une voiture avec un giropharestoppa aussi sur la gauche à sa hauteur.
Elle... était une per***nalitéde la télévision, qui travaillait sur une grande chaine depuis desannées,. Qu'importe *** nom, de A à Z, de Anne à Zoé, elle était connu dugrand nombre .
Le passager ouvrit la vitre et cogna plusieurs fois surla sienne. Surprise, elle se tourna et apeçut une carte avec la mention "police ". Elle descendit la vitre pour demander: oui, que se passe t-il,j'ai commis une infraction ? Et le policier de répondre : veuillez vousgarer sur la droite, après le feu, s 'il vous plait. Les deux véhicules segarérent, celui de la Police derrière.
Habituée à l'observation, elle s'apeçut d 'une anomalie, aucune mention police ne signalait lavoiture
Trois hommes en civils en descendirent et l'un deux expliqua:excusez, brigade des moeurs madame, inspecteur... Durand et il tendit unephoto: avez vous déjà vu cet homme quelque part...? Hésitante, euh...euh.... non, je ne me souviens pas, mais c'est à quel sujet ,vousm'interpellez comme çà, je tombe des nues. Eh bien,selon nos informations,cet homme semble vous connaître, enfin, au moins de vue .
- Elleobserva attentivement la photo et rajouta : non désolée, je n 'ai jamaisvu cet homme.
Ah ...Pourtant cette affaire a été relatée par les médiaset la télévision, et puisque vous y travaillez, vous ne devez pas l'ignorer pas quand même.
- les affaires de moeurs ce n'est pas maspécialité, que voulez vous au juste ?
- Le policier, hésitant repris... He bien ... c 'est que dans le cadre de notre enquête, nous aurionsbesoin de votre participation, si cela ne vous dérange pas, bien sûr.
- Justement, cela me dérange, je rentrais chez moi ; appelez moi à l'antennepour un autre jour, je vous prie,tenez voici ma carte .
Madame, il n 'yen a pour moins d 'une heure et cette affaire est tragique: un décès et unblessé grave, nous devons agir au plus vite...
Ecoutez je ne crois pasque je puisse vous aider pour votre enquête, je n 'ai jamais vu cethomme.
- Justement, lui, il dit vous connaître, nous avons besoin d 'unrapport écrit .
Après un temps de reflexion : Bon, d 'accord, maisalors incognito, je compte sur vous, je vous suis ... une intuitonfugitive la troubla.
- Inutile, vous montez avec nous, on vous ramène,avec un véhicule officiel, cette fois .
Au moment ou elle s 'assit à l'arrière, un pressentiment la mit mal à l' aise ...
- C 'est pas trèsloin, notre bureau est à 20 minutes, tranquilisez vous . Mais la voiturecommencait à s 'éloigner du centre ville, et elle émit un hum... humsignificatif
- pas de problème, nous fai***s un petit détour pouréviter le traffic ...
Elle trouvait ce détour un peu long, mais se ditqu' avec 3 policiers des moeurs, elle ne craignait rien ... la voitureroulait depuis un bon moment et changea plusieurs fois de direction.Per***ne ne disait mot , mais le mot " policier " lui revint en mémoire "... la voiture banalisée ... Merde, et si s 'était des faux, quelle conne,je suis ..; le pressentiment l' angoissa un peu plus et elle se crispa. Onarrive dans 5 minutes, dit l' homme à côté d 'elle. Quelques instantsaprès ,il se tourna sur le côté ajoutant: " je trouve que ca ne sent pastrès bon, on va parfumer " et de ses poches il sortit un flacon de liquideet un mouchoir qu 'il versa dessus.
- mais qu'est -ce que ... elle n'eut pas le temps de finir que l' homme lui plaqua l'ensemble sur levisage, appuyant sur sa nuque avec l' autre main .
Elle compris en unéclair, des faux policiers bien sûr, se débattit, mais les 2 autres l'immobilisèrent et elle s 'évanouit .
Réveillée,elle était baillonnée,il faisait nuit, la voiture arrêtée dans une rue déserte sur le côté avecles 3 complices. le chauffeur déclara : tu sais depuis combien de temps ons 'est pas fait une bourgeoise dans ton genre ? Essaie de deviner pourvoir ... que des putes, des trainées, des pouf; Nous on préfère les perlescomme toi, et elles ***t rares ces temps ci .
Avec une main elledésigna le baillon qui l' empèchait de parler .
- Il reprit: d 'accordmais pas de blague, sinon on devient très mèchant, compris ?
le baillonôté, elle reprit *** souffle et se redressa pour dire: pourquoi faitesvous cela, si vous savez qui je suis, je ne crois pas pouvoir répondre à... vos besoins
- On vient de le dire, des trainées, on en trouvepartout à notre époque, pas des salopes BCBG dans ton genre.
- Vous,au moins vous savez parler aux femmes, ça me touche beaucoup:
D 'abordje ne vois pas pourquoi vous me tutoyez, ensuite je ne suis pas du tout cevous pensez, et enfin dites moi la différence entre putain et salope,insultes qui semblent vous réjouir. Et je ne crois pas être tellementbcbg.
- tu ne vois pas ? Une pute s 'intéresse au pognon, alors qu'une salope recherche le plaisir et la jouissance, l'orgasme absolu. Elleest aussi perverse, donc intelligente .
- Intelligence mise à part, jene suis ni l'une ni l'autre . Mais toute femme ressent, plus ou moins, cebesoin, cette recherche, mais par amour et non pour le sexe.
Tu croisbeaucoup de choses, il me semble: est ce que tu crois que tu vas nouspomper tous les 3, là dans la bagnole, avant de t' eclater tous lesorifices ?
Elle n 'en crût pas ses oreilles ; " Ooohhh ! Vous êtes ...odieux .Non, là je ne crois plus, j 'imagine tout le plaisir que je vaisen retirer, levant les yeux vers eux. Vraiment c 'est du grand art ... difficile de mieux faire
Il se retourna vers ses complices: insolente
avec cà, donc intelligente, donc ... " supersalope "ajouta l' un d'eux, en ricanant. Assise à l' arrière, elle ne pouvait rien tenter aurisque d'être sévèrement *********. Ils descendirent pour changer de place,et le chauffeur se retrouva à ses côtés:
-Bon d 'abord tu va nousmontrer tes nichons, enleve ton soutif.
- Non, il n 'en est pasquestion, je ne veux pas, et laissez moi, espèces de tarès !
- Pourquoitu résistes, on est 3 et on peut te violer .
Elle se débatit, mais ilslui enlévèrent *** pull et se retrouva en chemise ;
le passager sepencha en plogeant sa main vers sa poitrine ; alllez fait voir çà, onbande déjà . Elle resista : non ca va pas la tête , non ? mais les 2complices lui bloquèrent les bras et lui déboutonnèrent le chemisier quilassa voir des seins fermes soutenus par un soutif, leur partie supérieurevisible.
- Oh la salope, bien foutue en plus ,regardez moi ça .
les2 autres se penchèrent et la pelotèrent presque en même temps, elleprotesta en vain. le passager força et lui mis un sein à l' air il sepencha pour le prendre avec sa bouche, pendant qu 'il sortit sa grosseverge en érection.
Un complice plongea la main dans le dos et détachale soutif. Elle s 'agitait les seins à l' air, ils les voyaient remuer parl' échancrure du chemisier .
- la vache, elle fait une vraie salopecomme çà , dit l' un d'eux
- Allez ,on y va lança le conducteur rienque d 'y penser je bande , je suis monté comme ... regarde çà .En effet,la grosse verge se tendit comme un ressort, face au visage de la victime ;Allez, vas - y pompe et à fond, salope.
- certainement pas, cà medégoûte, je ne pourrai pas...
Si tu refuses je vais être obliger de teforcer. D'une main il serra fort la machoire et de l'autre il appuyait saverge contre la bouche. Elle émit une plainte de douleur et le gros péniss'enfonça entre les lèvres. Et il lui commanda, maintenant tu suces ....suprise par le volume du membre, elle fit semblant d 'accepter et le fitcoulisser entre ses lèvres.L'homme enfoncait *** membre, elle faillit s'étouffer. Il commençait à gémir, alors que les autres étaient prêts, leursexe déjà en érection en forme de grosse banane. Il en profita pour luimalaxer les seins. " vas y, fais moi jouir salope "
Elle accèléra lerythme, l' homme jouissait, mais tout à coup, elle mordit sèchement lepénis en plein milieu.
Le chaufeur hurla de douleur et fit un bond enarrière se donnant un coup de tête dans la vitre de la voiture. Les mainssur *** pénis qui saignait, il hurla: elle m' a ... mor...du ... lasal...ope, elle l'a cou...pé et cria de plus belle se tordant de douleur.les 2 autres, affolés, se penchèrent sur leur complice, essayant de lecalmer.
Ils se tournèrent vers la coupable, l'un d 'eux disant: espècede salope, tu vas le payer très cher, à demander pitiè, tu peux le croire.Ils lui attachèrent les mains, lui remirent le baillon et soignèrent lebléssé, qui râlait de douleur ... Puis ils démarrèrent et s 'éloignèrentencore des lumères urbaines.
Elle se trouvait maintenant dans unemai*** de campagne isolée; sans doute loin de Paris. A proximité, un grandarbre ombrageait l'endroit, sous le soleil.
Près de l'arbre, un hommede forte corpulence lui parla de cette façon:
- Nous savons qui tu esvraiment, : une bourgeoise, mal baisée, en quête de bites, et grosses,n'est-ce pas, pour t'éclater ; Encore outragée par ses propos odieux, ellebafouilla quelques mots ... inaudibles .
- Allez pas d 'histoire repritun autre, on va te défoncer pour te montrer qui tu es vraiment et te lefaire avouer.
.- Très troublée, elle articula avec peine : je n 'aimepas les rapports brutaux et certaines situations me déplaisent beaucoup,presque à me dégouter. Je viens de le montrer,il me semble non ?
Les 2hommes se regardèrent alors qu'un troisième arrivait de la mai***. Ils separlèrent un moment, et elle réfléchit à un plan de fuite: bondir dans lavoiture et crier à l' aide ? 2 solutions vaines dans la situationprésente
Finalement le premier s'avanca : écoute ma grande, approcheici, je vais te dire ce qu 'on va te faire au creux de l' oreille: avec unpeu de fantasmes, ce n 'est pas difficile. Maintenant , il se peut quepour t'éviter de porter plainte on te ******* jusqu 'à t'éventrer, lesentrailles à l'air, après t 'avoir fouettée au sang, ca dépend de notrehumeur.
Stupéfaite par ces paroles,elle se cacha le visage dans lesmains et secouant la tête de droite à gauche, se mit à hurler peu à près,horrifiée: mais vous êtes complètement fous, arretez, arretez ... c'estabsolument ...
Il ne la laissa pas finir et poursuivit:
- bonmaintenant, tu te déshabilles ou c'est nous qui le ferons à notrefaçon
- le visage blême, et la vois tremblante, elle reprit:
Ecoutez, je n 'ai pas l'habitude de me dévêtir devant des inconnus,surtout plusieurs, laissez moi un peu de répit ... pour accepter lasituation.
- Bon, on te donne 2 minutes ... Ca y est, c 'est fini.
- maintenant, on attend la suite avec impatience: le chemisier ou lepantalon...
- Elle montra sa résistance : mais enfin laissez moi... jevous en prie, c 'est de la folie ..... vous êtes malades à enfermer - Plustu parles, et plus tu m' excites avec ta voix de bourge salope, alorsferme la , au moins .Te laisser ma jolie ? Il n' en est pas question ; ettu vas passez par nos désirs .
Elle ne savait que faire ni que dire,refuser serait peut - être pire. Mais peut -être en gagnant du temps, ellese tirerait de ce mauvais pas.
Elle reprit : Vous permettez que je meretourne dit-elle et elle commenca à déboutonner *** jean. Mais un des 3intervint à nouveau: non retourne toi, on veut voir si ton slip esttransparent ... Elle continua malgré tout et fit glisser *** jean quidévoilait déjà ses cuisses. les sinistres individus s 'échangèrent desregards complices, pendant que toujours de dos, elle terminait d'ôter lepantalon.
- pas mal du tout les cuisses, assez minces pour biens'enfoncer au milieu, mais retourne toi, on veut voir le reste, se fitentendre l'un d'entre eux.
- Elle se retourna encore génée, les yeuxbaissés, et les jambes serrées, mais le slip ne laissait rien paraître de*** intimité.
- C 'est bien, ma chère, ajouta t-il, mais écarte bienles jambes et enlève la chemise, si tu veux qu 'on bande comme dessalopards ...
Toujours résignée, elle déboutonna le chemisier et seretrouva bientôt en slip seins nus, jambes écartées devant trois hommes,qui se léchaient volontairement les lèvres pour elle.
Le premier quiavait parlé au début sortit *** teléphone et parla quelques instants.
Il reprit aussitôt: Si tu veux qu 'on se branle, écarte encore bienles jambes .
Toujours génée, elle ressentait une impression étrangeainsi dénudée face à ces hommes grands et bien musclés. Elle s'exécutalentement, ajoutant pour donner le change : vous n 'avez jamais vu unefemme nue ?
-Waaouaahh, ! pas mal foutue la belle pour une intello, lesseins ***t pas très gros, mais ils ***t bien formés, on voit bien lesbouts, poursuivit -il; les autres réagirent en même temps
- Allez, c'est bien ma chérie, vire le slip maintenant !
Pendant qu'elles'exécutait, un bruit de moteur se fit entendre: Surprise, le slip auxgenoux, elle s 'arreta en espèrant un événement salvateur.
Une voitureapparut sur la petite route sinueuse et s'arreta bientôt près de lamai***. Les portières claquèrent et 4 hommes sortirent et se dirigèrentvers les 3 premiers .Serrant le slip entre ses mains, et levant la têteelle s'exclama: ho la la... ,c 'est pas possible ...je suis perdue.
- Salut Francky, le spectacle a commencé plûtot que prévu on dirait, madameest déjà prête... un des nouveaux arrivants s'annonca ainsi, en l'observant, à une dizaine de mêtres
- Bienvenu, Freddy, il parait que tun 'aimes pas trop attendre et que tu aimes l'action rapide, donc ...Maisqu 'est-ce qu'elle fiche le slip entre les jambes, elle est conne ou quoi?
Il l'interpella aussitôt : he, débarasse toi de ce machin et écartebien les jambes, on va te faire voir nos grosses bites qui vont tedéfoncer .. ces nouvelles vulgarités l'outragérent une fois de plus maiselle répliqua tout de même : c 'est tout ce que vous savez faire avec unefemme ? Sous les regards insistants elle finit par plier les jambes, fitpasser le slip par les pieds et le jeta au sol .Elle était tellement généequ 'elle ne dit mot.
- pas de problème, on va te montrer ce qu 'onsait faire ...
Elle s 'offrait malgré elle, complètement nue à 7 hommesqui déjà projetaient tous leurs désirs et délires sexuels sur elle . Commepétrifiée, elle n 'osait plus bouger et fermait même les yeux. Elle avaitressérrée les jambes et cachait sa poitrine avec les mains.
Un despremiers venus lui parla : " tu comptes rester comme ça combien de temps,si tu ne montres pas ce qui tu sais faire, on va réagir ... violemment.alors, commence à te masturber les jambes écartées en te massant lesseins, on te suit ...
chrislebo

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Parmi le groupe qui formait un demi cecle autourd 'elle l'un deux s'écria :
Tu veux peut-être voir ma bite avant pourt'exciter hein salope ? Aussitot, il ouvrit sa braguette et dégagea ungros pénis: regarde bien chérie, je vais me branler pour toi, et ilcommenca le mouvement particulier qui fit grossir *** sexe à vue d 'oeil.Elle ne voulait pas voir, mais l'homme faisait tout par ses soupirs pour l'y obliger, surtout que tous avaient déjà des désirs sexuels avancés etqu'ils soupiraient aussi en se branlant ou pas .Elle préféra se cacher levisage mais le climat sexuel qui l'entourait commencait à la sensiblilser,malgré elle.
Un membre du groupe s' approcha, commenca à la caresser,puis lui pétrit les seins fermement: elle se débattit et
s 'indigna:mais laissez moi, espèce de malade, vous n 'avez pas le droit ...
- tuveux pas te branler bourgeoise de mon cul, alors tu vas sucer comme unesalope, allez à genoux et prend moi dans ta bouche, espèce de garce.Ellese rebiffa, très énervée:" vous êtes odieux, vous n 'arriverez pas à vosfins.
Un viol en réunion ca vaut au moins 15 ans, je réfléchirai àvotre place " Elle jeta un regard autour d 'elle et aperçut les hommes quise masturbaient, certains pénis devenus bien gros et raides. Un désirincontrôlé lui crispa le ventre mais elle poursuivit: je ne serai jamaisce que vous dites, et de plus votre sexe va me dégouter plutôt que meréjouir, vous ne pensez qu'à ça , vous êtes des malades, des criminels....
- je m'en fiche, et tu vas me sucer à fond pour me faire jouir ...lui serrant la machoire, il la forca à ouvrir la bouche et le membre déjàbien gonflé et raide de désir y entra. Elle se refusa au premiermouvement, mais il la forca encore par des coups de rein, la tenant par lanuque,en meme temps. Elle voulut le mordre, mais d'un coup,un hommes'approcha d'eux, et *** penis énorme et raide à la main, èjaculaplusieurs fois devant elle, l'orgasme le faisant crier. Ahhh... c'est...pour...toi...salope !
L'atmosphère sexuelle devenait vraiment intense,et à part le sexe en érection d'un cheval, elle n 'avait jamais vu unpénis aussi gros; envahie d 'impressions et d 'images, elle l'imaginaitpénétrer entre ses cuisses bien ouvertes.( elle n' avait plus de slip)Dans *** fantasme, elle sentit le pénis duircir et grossir dans sa bouche.Excitée elle le prit en main pour le sucer, sans le vouloir vraiment.Après quelques instants , la volupté lui crispa le ventre, elle commenca àse masturber avec l'autre et accelera la cadence.
L'homme gémit de plusen plus, elle l'enfoncait bien dans sa bouche, et le branlait en mêmetemps. Bientôt entrainée par le plaisir, elle sucait le gros pénis à toutevitesse et se pénétrait avec ardeur, en gémissant . A ce rythme, l'hommene tint pas longtemps. Il jouit d 'un coup et éjacula dans sa bouche, avecdes râles de jouissance puis se dégageant comme un ressort, le membreviril gicla plusieurs fois et longuement, Elle sentit le spermel'éclabouser et couler sur *** visage. Elle en avait aussi sur les lèvresà cause de la fellation. Alors que du sperme dégoulinait sur ses seins,samasturbation profonde lui déclencha l'orgasme et elle cria *** plaisir....
Ayant tous assister à la scène, l 'un d'eux s 'écria: on dirait qu'elle aime çà, cette garce, il faut la baiser maintenant et le *************** possible, tandis que 2 autres éjaculèrent aussi en criant. Unautre ajouta: il vaut mieux lui défoncer l 'anus à cette chienne, je suissûr qu' elle va aboyer ... de toute façon on va lui faire la totale avecla langue, les mains, les chaines, le fouet, les gods, etc... pas vrai lesgars ?
Un autre, en train de se branler le membre en forme de grossebanane ajouta :
" avant il faut qu elle nous suce tous, en commençantpar moi: Il s'avanca vers elle encore toute émoustillée, assise sur lesfesses dans l' herbe verte pour une position plus confortable et présenta*** membre face à sa bouche: allez recommences, et fais toi jouir encoresi tu veux ... les autres n 'en pouvaient plus et s 'écrièrent : Maisdéfonce là, elle est trempée ... prend la par le cul ... déchire là cettechienne, vas-y mors lui les tétons ....
"Je me suis faite avoir commeune idiote...maintenant c 'est trop tard...courage, se dit-elle ". Envahiepar la volupté malgré elle, elle s 'abandonna à la passivité.Dans cetétat, elle prit dans sa bouche la grosse banane de chair pour entamer unenouvelle fellation et fantasma encore:" quel morceau, il va m'etouffer ets'il me pénètre, il va me déchirer le salaud " .... prise par le désir,elle fit coulisser le membre entre ces lèvres en accélérant le rythme deva et vient, en se branlant toujours plus vite ... l'homme donna un coupde rein et sa trique courbée s 'enfonca dans sa gorge. Elle crut s 'êtredécrochée la machoire et toussa presque étouffée .
Un spectateur se fitentendre: vas - y gicle, elle va tout avaler. Mais la fellation n 'étaitpas encore finie et, le gros membre bien en bouche elle acceléra lacadence au maximum alors que *** entrejambe était en feu par samastrubation violente ....D 'un coup l' homme hurla *** plaisir: *** grospénis tendu comme un arc ressortit vivement de la bouche, et prêt àexploser, il éjacula plusieurs fois sur le visage déjà bien aspergé: Il enfinissait plus d 'éjaculer après l' orgasme et elle ferma les yeux, levisage complètement innondé, alors qu 'elle aussi exhulta peu à près dansl' orgasme en se pinçant fortement le bout des seins ...
Du visage etde ses lèvres, le sperme coulait sur les seins continuant jusqu' au basventre. La scène excita sauvagement les hommes et tous se précipitèrentdessus; l 'un d 'eux s'exclama : - j 'ai jamais vu ça, cette femme est unedémone, une éponge à sperme, elle jouit bien et suce à merveille ..
C'est parce qu' en vérité, c 'est une vraie salope qui aime le sexe ajoutaun autre ... " Moi j 'en peux plus, je vais la défoncer attachée à l'arbre, la bas " poursuivit encore un autre. Elle se débattait, mais ils latripotèrent tous, lui pétrirent, pincèrent les seins, l'embrassèrent et lamordirent partout, lui enfoncèrent les doigts et les mains dans la bouche,le sexe et l' anus en même temps et certains éjaculèrent dessus ....garce, salope, putain, trainée, chienne, les insultes fusaient de touteles bouches .
La séance dura assez pour que, malgré ce viol collectifqui l' entrainait malgré elle dans de grandes voluptés, elle jouisseencore plusieurs fois .
Le gang bang, puisque c'en était un, cessaquelques minutes, histoire de la laisser s'essuyer le corps dégoulinant desperme ... Puis une fois debout, 2 hommes encore très bien montés laprirent en sandwich, l' un défoncant *** vagin jusqu'au nombril, l' autrelui dilatant le rectum en largeur et en longueur.
Ils défoncaient sesparties intimes brurtalement et avec une ardeur sauvage criant leur désir: " salope, tu aimes ça hein ? " Elle glissa, haletante entre ses haahh..et ses hoohh: " c'est que du ... sexe, je vous ... dét..este, sa... lauds"
Mais elle gémissait de plus en plus, les jambes bien écartées etjouissait en plaintes de volupté. Tous les 2 plantés en elle, ils finirentpar la soulever du sol avec leur membre massif et raide comme du bois .Pendant qu 'elle se sentait déchirée, ils la soutenaient par les aisselleset les bras.
Elle fantasma imaginant celui de devant ressortir par lenombril et l'autre l'innonder de sperme dans l'intestin .Le premier luisuça et mordit les seins, puis ils éjaculèrent presque en même temps,hurlant comme des bêtes, innondant ses entrailles. Elle se cambrafortement, rejeta la tête en arrière, les yeux révulsés, et la bouchegrande ouverte, l'orgasme la tétanisa, et elle poussa un long cri rauque,semblant monté du ventre, puis se détendit d 'un coup comme évanouie...
Un instant stupéfait par la scène orgiaque, le groupe d'hommesdemeura muet. Puis l'un deux s 'exclama: vous avez vu ça, elle a jouicomme la pire des salopes et à mon avis il faut encore la satisfaire .- Undes animateurs du groupe ajouta: oui, on va passer aux choses sérieuses etdésignant 2 complices commanda: allez chercher le matos, les gars, on vase régaler "
Elle s 'était réveillée et respirait comme après un grandeffort assise, appuyée sur ses bras ... Et pendant que les comparsesparlaient de leurs délires sexuels, elle profita de se redresser et partiren courant vers la route pour se faire remarquer. Mais elle devait êtreprivée ,car aucune voiture n 'était passée depuis *** arrivéeici.
Cependant, elle voulait fuir de cet enfer sexuel par n'importequel moyen. Après avoir parcouru une dizaine de mêtres, 2 hommes larattrappèrent, et à l' adresse des autres l'un déclara: elle a voulus'enfuir, la garce, et pour ça, il faut la punir sévèrement et sans tarderElle leur répondit, exaspérée : " mais laissez moi je vous en supplie ,vous m'avez dèjà violée comme des brutes, je vous en prie, laissez moi ..;"
- " Tu mens, une salope comme toi est insatiable, en veux toujoursplus ..." alors elle mit *** visage dans ses mains prête à sanglotter,mais elle se dit que cela pouvait aggraver les choses, face à ces malades,et se reprit en déclarant: " bon... allez- y... faites ce que vous voulez,mais vous resterez longtemps en pri***, je vous le dis ..."
Ilsjetèrent à terre le sac plein de matériel rempli d 'accessoires desgodmichés plus ou moins gros, d 'apparences variées, des cordes, desmartinets, des fouets, des pinces à linge, d'autres plus grosses, desplaques de bois et même une perceuse ...
Ils discutèrent ensemble assezde temps pour qu 'elle se remette de ces sévices sexuels ... mais unesorte de désir étrange faisait encore frémir sa peau... quelques unsl'emmenèrent dans la mai*** pour prendre une douche.
Elle ressortitavec eux recouverte d'un peignoir blanc
C 'était déjà la fin de l'aprèsmidi, et le groupe s 'empressait d'exécuter leur noirs désirs avant lecrépuscule.
Au pied de l' arbre, ils fixérent une planche au sol, pourqu' elle se tienne debout tout nue, les jambes écartées, chaque pied fixéà la planche ... Allez, on y va dit l'un des paticipants:
- Il alla semettre derrière elle, un gros godmiché dans sa main droite, pendant qu'unautre devant, lui pinca chaque sein avec un grosse pince de métaladhésive, ce qui lui arracha des cris, grimaçante de douleur; Il ramassa*** god qu'il avait posé et commenca à la pénétrer, entre les cuisses d'abord lentement, puis declencha le moteur des vibrations .Il acceléraalors les va et vient en allant plus profond.
Elle sentit le plaisirsexuel crisper *** ventre et respirait fortement; Quand le god fut àmoitié enfoncé, le poignet qui l' agitait commenca a ****** pour maitenirle va et vient; et ses vibrations se répandaient dans *** ventre, l'organesexuel diltaté. Le plaisir la fit gémir alors que les pinces serraientplus fort les bout durcis des seins qui s'étaient gonflés.
Quand elleouvrit la bouche pou crier, l'autre derrière elle lui enfonca le god dansla bouche e t la sodomisa, en même temps, ajoutant : t 'es un super salopeet tu va sucer à fond. Le god buccal était énorme, mais pouvait secourber, et il l' anima d 'un va et vient .
Les 3 orifices ainsiremplis et ramonés, elle se mit à jouir en permanence, même si l'objetbuccal allait jusque dans sa gorge. C 'est qu' entre ses cuisses, le godse déchainait de plus en plus vite et au plus profond de *** ventre,ressentant ses vibrations. Les pinces avaient pourtant rougis complètementles seins, mais la douleur se transformait en plaisir, tellement elleétait entraînée dans une extrême volupté. La succion forcée du gros objetfit couler un flot de salive de sa bouche sur *** torse, elle sentit lesgros objets cogner au fond de *** ventre et apercevait tous les autres semasturber, leur gros pénis prêt à éjaculer. Elle gémissait de plus enplus, remuant dans tous les sens ;
Un orgasme violent la fit se tordre,la poitrine en avant, la tête rejetée en arrière,les fesses relévées. Legod buccal éjecté, elle hurla comme une bête, secouée par des spasmesjouissifs, et s étala sur le sol, encore évanouie.
- Excité à l'extrème, un homme se précipita vers elle, s 'écriant:
je vais la finir,cette chienne, passez moi le fouet ...
- c'est pas encore le moment,répondit un animateur, participe plutôt à la suite...
Inconsciente, 2hommes la ramenèrent à la mai***, lui firent couler un bain, et laplongèrent dedans, après l' avoir ranimée avec du vinaigre : " lave toibien et soigne toi, tiens tu as du savon, de la pommade pour les bleus, del' alcool ... Grouille toi,le temps presse. En effet le soir tombait , etil fallait que le spectacle surtout le dernier, soit bienvisible:
chrislebo

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Certains étaient dèjà vides de sperme à ***** de jouir , maisils voulaient encore participer aux derniers sévices. Ils s'étaient aussirevigorés, pour raviver leur désir sexuel.
Le responsable du groupeprit la parole: notre très chère... complice va bientôt connaitre desterribles sévices, et elle risque d'en mourrir, si elle n'est pas assezrésistante. ceux qui ne veulent pas assiter peuvent partir, enfin seréfugiés dans la mai***. Ceux qui restent pourront se réjouir et jouir devoir cette pute salope et chienne agoniser de douleur et de plaisir à lafois. Qu 'on l' attache à l'arbre .
Elle se trouvait maintenant plaquéecontre l'immense tronc les jambes très écartées, les pieds redisposés surla planche. les bras écartés étaient chacun attaché au poignet par unecorde fixée à une branche au dessus, mais il suffisait de détendre lescordes pour faire de l' espace entre elle et le tronc.
Chacun va lasodomiser, un autre la défoncer avec c'est énorme pilon de bois, pendantque 2 autres à sa droite et à sa gauche lui fouetteront chaque sein, avecces martinets à fine lanières de cuir. Allez, on commence .
La cordedétendue,le premier, le pénis déjà dressé, se plaça derrière elle pour lasodomiser et les 2 autres lui fouettaient les seins. Avec des coups derein, le membre turgescent s'enfoncait totalement, l 'homme tendant etdétendant les cordes en cadence alors que les coups de lainières striaientles seins de traits rouges. L 'autre accroupi entre ses jambes lapénétrait lentement avec le pilon. Puis, après la forte dilation obligéeil accéléra les va et vient d'après ses soupirs et ses cris . Mais ilfallait qu 'elle hurle.
Il remua alors le pilon le plus vite possible,faisant gonflé le ventre à chaque pénétration.. La jouissance mélèe à ladouleur, le plaisir ressenti devenait plus fort. Et elle en jouit d'autantplus. Au dernier assaut anal, l' homme l'embrassa dans le cou, lui morditl 'épaule et lui pinca le bout des seins: ca te plait hein salope ?
Etcette scène recommencà une deuxième fois, avec d 'autres participants.Après quoi ses organes étaient meurtris, dilatés et en feu.Ses seinsrecouverts de marques rouges, dont certaines avec des gouttes de sang.Elle n 'en pouvait dèjà plus..
A la troisième, les coups de lanièresmirent ses seins en sang et les pénétrations devinrent infernales, elle nefaisait que gémir et raler, défigurée par le plaisir et la douleur. Laplupart des mâles étaient vidés et épuisés, mais ils voulaient " la finir" qu 'elle ne tienne plus debout , qu 'elle râle d 'agonie comme une bête! Alors il se ruèrent vers elle, et comme des vampires lèchèrent le sangqui marquait *** corps et sucèrent ses blessures Elle émit de faiblesrâles puis s évanouit la tête penchée en avant. Le responsable s 'enquitsi elle était encore en vit, et elle l' était. Ils la détachèrent, luienlevèrent la planche des pieds, mais ne tenant pas debout, elle s'écroulasur l'herbe,épuisée
- " On l' a eu cette salope, on l' a eu, elle nepourra plus jamais faire la belle " s 'écria un excité du pénis, maisramoli du cerveau.
Ce n'est pas encore tout à fait fini, il faut qu 'onla remette sur pieds avant la dernière épreuve, car dans cet était elle enmourrait .
Comme la nuit était tombée, ils la ramenèrent dans la mai***: ils la ranimèrent, lui firent prendre un bain avec des substancescuratives où elle resta longtemps tellement elle avait mal. Puis elle sesoigna avec les moyens à sa disposition.
Malgré la douleur lancinantede ses parties intimes, l'épuisement lui permit de s 'endormir juqu' à cequ 'on la réveille. Le jour s 'était levé, mais des nuages épais cachaientsouvent le soleil. Ses bourreaux la firent lever et ils s'apercurent qu'elle marchait avec difficulté en se plaignant : qu' est -ce qui t'arrives, tu peux plus marcher l' interrogea l'un deux ?
Elle déclaraavec difficulté:
- " c'est votre faute, idiots, j ai mal partout, leventre et les seins me brûlent elle poursuivit: " écoutez vous m' avezmartyrisée , mais si vous me laissez partir, je vous assure que je nesoufflerai mot à per***ne de ... de ... cette ... histoire.
- un autrereprit : on ne te croit pas, c 'est pas possible que tu ne disesabsolument rien, et de toute façon la dernière épreuve t 'attend . - Mais,ne soyez pas idiots, vous voulez me tuer alors.?
dommage en ce cas, carje pourrais consentir à revoir certains d' entre vous, sans soumissioncette fois.
- C 'est, interessant mais ... Voyant l'embarras de ***complice l'animateur en chef intervint: " tu nous prend pour des gogos ouquoi ? Rien que pour çà, tu vas subir l' ultime épreuve, mais renforcée.
De nouveau, il l' attachèrent à l' arbre, les jambes écartées, maiscette fois les bras relevés au dessus de sa tête. Les grosses pincesplacées sur chaque bout de sein, avec d 'autres autour,et aussi sur leventre.
On s'affairait autour d'elle, certains, faisant bouger leursmuscles du torse et des bras, durs et volumineux .
D 'autressuspendirent aux branches, au dessus d 'elle une série de bougie,la mèchevers le bas. Celui qui tenait un fouet à longue lanière le fit claquerdevant elle qui sursauta, et il commanda: allumez les bougies; une, puis2...3... 4... une dizaine commencèrent à fondre et la cire brulante àcouler sur ses épaules, ses seins, et *** ventre. l' effet des pincesfaisait rougir les seins et la cire liquide aussi. Elle recommenca à gémirde douleur, de plus en plus fort .La laniére du fouet claqua sur lescuisses: une longue trace rouge marqua les 2, puis les coups se répétèrentmultipliant les marques. Elle hurlait à chaque coup .... saalooope ...saaloooppe , on va te finir ....
.les bougies brulaient à grande flammeet la cire coulait partout sur *** corps, les épaules et les seins peu àpeu recouverts, elle parvenait sur les cuisses. Elle hurlait en permanencede douleur et de plaisir mélés, les coups de fouet et de martinetsclaquaient, répétifs, les fines traces de sang marquaient *** corps enlong et en large. Elle hurlait de plus belle, avec des râles. Puis, lescoups cessèrent.
Fou de désir, un homme au pénis développé se rua surelle et la pénétra avec un désir extrême il s 'agita en elle et il sentait*** sexe grossir . Elle reagit en gémissant, et il se retira en éjaculantsur *** ventre et ses cuisses, éclaboussés de sperme. Un autre tout aussimembré se placa derrière pour la sodomiser : Avec ses va et vientsénergiques il s 'enfonca aussi loin que possible ... Pendant que ladouleur des pinces croissait et que la cire continuait à couler et luibrulait la peau, l'orgasme le fit exploser en elle .
Elle ouvrit labouche pour crier, mais le fit un long moment après, défigurée par tousles terribles sévices.
Puis les coups de lanières reprirent, la cire etle sang se mélangèrent sur tout le corps ; les seins se fendirent aplusieurs endroits, la peau du ventre et des cuisses lacérée par leslanières de cuir se recouvraient de sang ... Certains coups donnés au mêmeendroit fendirent net la peau. Ainsi un sein se fendit en deux enprofondeur et l' autre se coupa en plusieurs endroits, le boutarraché.
Pendant que tout le monde se branlait, les cris de lasupliciée se succédaient, mais devinrent moins forts...La plupartéjaculèrent dans l' orgasme, tandis qu 'ils s'acharnaient t encore à laflageller. D 'un coup, les cris cessèrent et elle s' affaissa la têtependante sur la poitrine, recouverte de sang et de cire de la tête auxpieds, lacérée par les innombrables coups de lanières. Alors l'animateurannonca : elle n'est peut - être qu 'évanouie, dans ce cas je vais laréveiller.
- Wil, passe moi le chalumeau;
Il s 'en saisit et l'approcha, au niveau des seins et l' alluma. Il ricanna cruellement aumoment ou la flamme bleue allait carboniser la peau et la chair.***comparse l'interrompit:
attend un peu. Il s'éloigna, fouilla le sac etrevint avec un couteau de boucher à la main:
quand tu l'auras biencramée, je l'ouvre en 2 du ventre à la gorge ..puis tu lui crame aussi lesentrailles et tu lui fais bouffer Mais, tout à coup, des sirènes de policeretentirent au loin et ils apercurent tous les signaux bleus des voituresqui foncaient vers eux. Et bien sûr, elle fut ranimée, très bien soignéeet sauvée, in extremis ouf...
Mais chose étrange, après ces terriblessévices, elle reste insatisfaite comme une nympho, il lui faut au moins 3partenaires à la fois



chrislebo

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Chienne soumise


Bonjour. Je m'appelle Fabienne. J'ai 42 ans. Grande, brune, je suis plutôt pas mal il parait. En tous cas, c'est ce que me disent souvent les hommes. Je suis marié depuis 10 ans. J'ai 2 enfants. .. Je suis une bonne épouse, bonne mère de famille.Enfin.je l'étais.Ma vie a radicalement changé un jour de soldes !! Laissez-moi vous raconter comme je suis devenue une bonne chienne soumise.

Les soldes avaient donc commencé depuis 2 jours et, comme toutes femmes qui se respecte, je brûlais d'envie de faire les boutiques et de profiter des réductions à -50 % !Il faisait une journée de rêve...Le printemps pointai enfin *** nez et une douce

chaleur réchauffait les cours, et les sens.Très élégante dans une jupe plissée, qui m'arrivait à mi-mollet, sur des collants clairs, je marchais d'un pas léger dans le centre-ville, les talons hauts de mes escarpins claquaient joyeusement sur le trottoir.J'entrais dans une boutique de prêt à porter que j'avais déjà repéré ; Elle se situai au fond d'une ruelle. Je jetai un oil sur les robes, jupes et autres pantalons dont les réductions étaient vraiment alléchantes. Il n'y avait per***ne dans la boutique, à part la gérante. Une jeune fille d'une vingtaine d'années ; Grande, les cheveux court, en minijupe qui lui arrivait à mi-cuisses. Les talons de ses bottes la grandissaient. Elle me proposa *** aide et je lui demandais d'essayer une robe. Elle me dirigea vers la cabine d'essayage. Je tirais le rideau et me déshabillait.

J'étais en sous-vêtements, slip et soutien-gorge, n'ayant gardé que mon collant et mes escarpins quand, levant la tête, j'aperçu une camera vidéo pointer vers moi !! Outrée, j'appelais la gérante. Elle écarta le rideau et je me couvris la poitrine en me protégeant de la robe. Je lui demandais des explications sur la présence de cette caméra.
Elle m'expliqua qu'elle avait eu plusieurs vols et que par conséquent elle avait installé cette camera de vidéo surveillance. Ce qui n'était pas très grave, puisque ces clients étaient exclusivement féminines et qu'elle était elle même une femme. Folle de rage, je lui signalais que je trouvais cette attitude scandaleuse et que j'allais porter plainte pour ********* de la vie privée. Le ton monta rapidement.La gérante voulut récupérer sa robe et elle me l'arracha, la déchirant !
- C'est malin ! Hurla-t-elle. Y va falloir la payer maintenant, je vous préviens.
Scandalisée, je refusais de payer.La gérante me regarda avec un air mauvais et m'agrippant les cheveux, elle me tira hors de la cabine. Me faisant couiner de douleur.
- Petite salope ! Me cria la gérante, tu vas voir comment je les mate les bourgeoises friquées comme toi.
Je tentais de me dégager, affolée par la tournure que prenaient les événements.
Elle me claqua les fesses violement et je me retrouvais vite à genoux devant elle. Elle me donna une gifle et des larmes me montèrent aux yeux. Pas du tout attendri, elle me força à courber l'échine, me mettant à quatre pattes sur le sol. Elle me cingla de nouveau les fesses !
- Non.Non.je vous en supplie, arrêtez, je vais vous rembourser.
Les coups redoublèrent sur mes fesses, je couinais, ondulant du cul pour tenter de me dégager.
Elle me releva et elle abaissa les balconnets de mon soutien-gorge. Méchamment, elle me pinça les pointes de mes seins. Je hurlais sous la douleur. Elle s'accroupit me caressant les seins.
- Tu vas aimer, salope, t'es pas la première tu sais, j'ai mon petit harem.J'adore humilier les bourgeoises dans ton genre.
Elle me poussa en arrière, me forçant à m'allonger; Elle se jeta sur moi, me léchant les tétons avec fougue. Me les mordillant...Je gémis.Se mettant à califourchon sur mon ventre, elle me malaxa les seins sans douceur en ricanant, une lueur lubrique dans le regard.J'essaie de la désarçonner, mais elle est plus forte que moi ! Je la supplie d'arrêter.Elle se pencha et ses lèvres se posèrent sur les miennes.Ecourée, je résiste.Sa langue ***** le barrage de mes lèvres, elle s'enroule autour de la mienne. Je ressens soudain une douce chaleur dans mon bas-ventre...Mon corps mollit.Et je lui rends *** baiser. Sa main me caresse toujours ma poitrine. Elle se recula et elle déchira mon collant. Elle tira sur mon slip dégageant ma chatte. Elle passa ses doigts sur ma vulve.
-T'es trempée, petite salope.
C'est vrai, elle a rai***, je ne peux le nier.Je suis inondée.Je n'arrive pas a comprendre pourquoi. Je suis en train de me faire violer par une femme qui pourrait être ma fille, et je suis complètement excitée. Je sursautais quand *** index s'engouffra dans ma chatte. Puis un deuxième doigt.Elle fit des va et vient dans mon bas-ventre. Je donnais un coup de reins involontaire.Elle me titilla le clitoris.Elle le malaxa.Je ne résiste plus, je gémis de plus en plus, honteuse d'être traiter de la sorte.Elle me tapa sur les cuises et docilement, j'ouvris les jambes. Cela dura de longues minutes, je sentais l'orgasme arriver et je secouai la tête dans tous les sens, arquant mon corps, me mordant les lèvres.Elle s'arrêta soudain me laissant au bord de l'évanouissement !
- Tu jouiras quand je te le dirais petite pute, t'es vraiment une salope !
Je fus mise à quatre pattes et je dus faire le tour de la boutique. Les coups sur mes fesses reprirent. La gérante, dont je ne connais toujours pas le nom, m'ordonna de venir renifler sa chatte. Elle releva sa jupe. Dessous, elle n'avait aucun sous vêtement. Sa chatte était rasée. Elle m'agrippa les cheveux et me força à venir lécher sa vulve dégoulinante. Je passais timidement ma langue sur *** clitoris. Elle appuya encore plus fort et je m'appliquais. Elle donna des coups de reins me traitant de pétasse.
Elle eu un orgasme et me repoussa violemment, le souffle court.
- C'est bien.tu sais y faire finalement.
Elle me releva et me força à me courber sur un bureau, les seins écrasés contre le bois. Je frémis quand je sentis qu'elle m'enfonçait un objet dans ma chatte. Elle le fit coulisser rapidement. Je poussais un gémissement plaintif. Je ne comprends pas de quoi il s'agit et je tente de tourner la tête.Je reçois un coup sur ms fesses.
- Ne te retourne pas salope.
Chaque injure m'excite encore plus, je mouille abondamment, je sens la cyprine qui coule le long de mes cuisses. Je suis dans un état indescriptible, il faut que je jouisse ou je vais devenir folle.Ma tourmenteuse agite l'objet dans mon vagin de plus en plus rapidement.J'halète, je gémis, mes ongles griffent le bois du bureau.L'orgasme déferla comme un tsunami, un cri jaillit de mes poumons me laissant pantelante.L'objet fut retiré et la gérante me retourna, me forçant à m'agenouiller à ses pieds, un sourire ironique aux lèvres.
- T'as pris ton pied, hein ma salope ?
Rougissante, je baissai les yeux.Elle me montra le gode avec lequel elle venait de me branler. Elle m'ordonna d'ouvrir la bouche et je dus le sucer comme une bite d'homme. Mes lèvres autour du sex-toy, je salivais dessus.

Je me relevais et me rhabillais, soulagée que cela soit terminé. Du moins, je le pensais..
La gérante, qui me dit s'appeler Kathy, me montra la camera au dessus de la caisse. Je frémis.Oh mon dieu !
- Si tu ne veux pas que la cassette atterrisse sur le bureau de ton mari ou se retrouve sur Internet, y va falloir revenir me voir. Tu passeras tous les jours. Change de fringues ! Tu t'habille comme une nonne.Dorénavant, jupes courtes, bas et porte-jarretelles. Je te veux comme une pute ! J'ai des copines à te présenter..

Je rentrai chez moi bouleversée parce que j'avais vécue. Je n'en parlais pas à mon mari, à per***ne d'ailleurs. Je ne portais pas plainte. Je ne sais pas pourquoi.Peut être parce que j'y vais pris du plaisir. Je vais tous les jours dans la boutique de Kathy, Maîtresse Kathy.Elle me fait subir les pires tourments. Elle m'oblige à me masturber avec des godes énormes...Elle me prête a des lesbiennes perverses qui me branle toute la journée. Je suis régulièrement attachée, bâillonnée et godée. Je suis fouettée par Kathy.J'ai même été loué a des vieux messieurs pervers qui m'ont baisé toute une journée.Puis a des jeunes qui m'on emmené dans une cave et qui m'ont partouzé.Parfois, il y a d'autres femmes avec moi, des épouses respectables qui ***t devenues comme moi des chiennes soumises..
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Cuckold Husband


Part 1 - The Beginning

"Are you serious, you'd honestly want me to do that to you?"

Katrina sounded shocked but to my surprise, not completely against the idea. "I just think it'd be quite exciting, and you know how that sort of thing really gets me going," I replied.

By 'that sort of thing', I was referring to an ever increasing fantasy of mine to be humiliated by my wife, to have her compare me to another lover, someone who satisfied her more than I ever could and who I was ****** to share her with.

We had been married for 12 years and had often shared fantasies of bringing others into our bed, but more often just lately I had been getting off on Katrina having a permanent lover, who she would fuck regularly and share the details with me when she got home, sliding her used pussy onto my cock as she described what they had done together and how much she had enjoyed his cock filling her up. I had learnt that this was not as rare a fantasy as I had first thought and had even been given a name, 'cuckolding'.

I read stories on the internet about the subject and my fantasy developed to where Katrina would put me into chastity, making me wear a CB 6000 cock cage for weeks at a time, only letting me use my tongue or fingers on her, while getting fucked on a regular basis by her lover and making me clean her of his cum when she got home, covered in love bites and smelling of sex. This was the fantasy that I had just shared with her, although in the heat of the moment I had made one more revelation - that I would love her to make me wear feminine panties over the cage, keeping me in complete orgasm denial as I experienced the feeling of the lace and satin panties against my balls and ass.

Katrina looked at me as she slowly caressed my now softening cock. "I don't know what to think, part of me thinks it could be fun, but another part of me worries why you would want to be denied having actual sex with me; you do still fancy me don't you?"

"Of course I do," I reassured her. Katrina was a knockout, at 34 years old she still looked in her twenties and was forever getting attention from other men, she would often come home from work and tell me how she had been chatted up by male colleagues or clients. I would feel small pangs of jealousy, especially if she admitted that the guy was good looking, but these jealous feelings were overridden by my submissive nature and I would become aroused thinking of my gorgeous wife being hit on by someone else that she found attractive.

I reached over to the bedside table and grabbed my iPad, where I found one of the cuckolding and chastity websites that I had been regularly visiting. Opening up a page giving women advice on the benefits of cuckolding their husband and keeping them in chastity, I handed the iPad to Katrina and told her to have a look, while I got out of bed and went for a shower. Returning to the bedroom about 15 minutes later, I found Katrina still surfing the site and after a while she closed the cover and put the iPad back onto the bedside table.

"Well?" I asked, "Did you read it?"

Katrina said she had, but changed the subject quickly. I attempted to reopen the subject but she just told me to let her think about it, that she wanted to give the whole idea some thought. I didn't want to put her off by being too pushy so I dropped the matter and decided I would just wait and see if she brought it back up herself. We had sex most days that week but whenever I went to speak, she would 'shhh' me, her eyes closed as if enjoying her own thoughts.

Nothing further was said on the topic for the next few days and I thought that Katrina had probably dismissed the idea. It wasn't until I got home on the Friday afternoon that Katrina met me at the front door with a wicked smile on her face and handing me a beer, told me to come and sit with her in the lounge.

"What's going on?" I asked.

Katrina reached over and rubbed my thigh as she moved closer to me. My eyes were drawn to her smooth legs as her skirt rode up slightly, feeling myself get aroused in anticipation; I knew the look in her eyes and was certain that she was in a horny mood.

"Remember what we talked about at the weekend, what it was you wanted me to do?"

Of course I did, it had been on my mind almost permanently since!

"Well, I have some surprises for you," she said, her hand moving from my thigh to my groin and rubbing my hardening cock over the material of my trousers.

"You said you wanted me to take a lover, to offer myself to another man? Well all week I've been thinking about it and I think, no, I know I have someone."

My cock was now solid. "Who?" I asked, my mind reeling as to who the man could be. "Do I know him, are you serious?"

"Well, his name is Steve and no, you don't know him, but I did tell you about him a few weeks ago, he was the one who asked me out for a ***** after work. The black guy, remember?"

Now I remembered, Katrina had told me how this Steve guy had hit on her over lunch and even though she had declined, explaining she was married, he had still continued his efforts to seduce her. I had loved hearing about this, it was made even more exciting because he was black, my mind working overtime as I imagined her beautiful pussy being stretched wide by a well hung black guy.

"Okay, I remember now. So how do you know he's up for it; you told him no the last time, didn't you?"

"Because," Katrina replied, a wicked smile on her face, "I'm meeting him in town in about.." checking her watch, "3 hours."

I checked mine, it was 6pm now. I couldn't believe what I had just heard, my heart was racing as I tried to make sense of everything she had just told me. That meant she would be meeting him at 9pm, on a Friday night, in a busy town - and more importantly, a town that would no doubt be filled with people we both knew. I was split between concern at her being seen on the arm of someone else, and arousal at the thought of her being so willing to potentially humiliate me in front of our friends. Damn, even a handful of family members on my side could possibly bump into her too; how could I explain it if asked?

"That's okay isn't it babe?" she asked, her hand squeezing my shaft, which was giving away my true feelings about what she was telling me, "This was what you wanted wasn't it?"

The manner in which she asked this was more teasing than concern for my feelings, and it worked. Despite my misgivings about the timing and location, I could not deny that in 2 minutes Katrina had managed to get me hornier than ever before.

I asked what had happened between them that week and which had led to this meeting being organised; Katrina told me how she had began to flirt with Steve early that week and he had immediately shown interest in her. One thing had led to another and after meeting him for lunch on the Thursday, she had finally agreed to his repeated offers of a *****, though making out to him that it was completely behind my back and the need for discretion. This wasn't exactly reflected in overtly going into town together but he hadn't seemed to care - I suppose he was single anyway and them being compromised would not adversely effect him.

By now I was gagging for release and Katrina knew it. Taking my hand she led me upstairs and told me to go for a shower, she would wait in the bedroom. I wanted her there and then but she just said that I'd had my first surprise, if I wanted the second then to do as I was told.

Back in the bedroom 10 minutes later I found Katrina lying on top of the bed in just a pair of lace underwear and a bra. My cock was still semi erect as my mind had raced in the shower, but the sight of her tanned size 10 body, waiting there just for me, had me spring back to full attention.

Katrina told me drop the towel and to lay on the bed, on my back. She then straddled me and taking hold of my hands, placed them above my head. Before I barely realised what she was doing, she had deftly tied them to the top bedposts. I didn't complain though, I was quite willing to be at her mercy.

She kissed me passionately on the lips, her tongue darting into my mouth and across my lips. Leaning to the side, she whispered in my ear, "I forgot to mention, after the lunch on Thursday Steve tried to kiss me at the table and well, I kissed him back. I hope you don't mind but I couldn't resist, especially when I felt his hand on my thigh, just inches from my pussy."

As she said this she began to kiss down my body and after biting gently on both of my nipples, she worked her way down to my groin and I groaned in pleasure as I felt her tongue flick at the head of my cock, before taking it completely into her mouth. Using her other hand, she caressed my shaven balls (we always kept ourselves shaved down there and Katrina insisted that my body hair was always trimmed short), while she slowly wanked and sucked me off. Every now and then she would stop what she was doing and ask if I minded that later that night she might be doing the same thing to Steve, or tease me by asking if I thought she would even be able to take his cock in her mouth, after what everyone said about how well endowed black men were.

All of this just fed my lust and my hips bucked as probably in the quickest time ever, she managed to bring me to orgasm orally. I desperately wanted to grab her head and ***** it down onto me, but the restraints held tight and as frustrating as it was, the denial heightened my pleasure. My cum rushed through the length of my shaft and at first I thought she was going to swallow it but at the last second, she whipped her head away and I spurted my thick cum all over my own stomach. Katrina sat back on her heels and watched as she kept wanking me, ensuring that every last drop was out of me.

"There, good boy," she said, smiling, "Now for your second surprise."

I had thought that this spectacular blow job was my second surprise but apparently not. Katrina reached down to a bag on the floor and brought out a dark coloured case. I kept watching as she opened it and couldn't believe my eyes when she pulled out the parts of what I recognised as one of the CB design chastity devices.

"I hope this is what you meant," she asked, "I went to the sex shop in town today and bought it for you and trust me, at over £100, you are definitely going to get use out of it."

"Fine by me," I said, still out of breath from my orgasm.

"Did I ask for your agreement?" Katrina said back to me, with mock severity in her voice. "That's why you got the BJ, to make sure your cock was nice and soft to put this on you. I hope you enjoyed your orgasm as I'm not sure when I am going to allow you to have another...I suppose it depends on how good you are for me."

Katrina slipped the holding ring behind my sack and after fitting the spacers, slipped the main cage, made of transparent plastic, over my cock. Ensuring it was a good fit and that my slit was placed correctly at the end so I could still urinate, she took out a tiny brass padlock from the case and secured the device in place.
chrislebo

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"No more using the urinals at work or standing up to pee in the house," she pointed out to me, as she tapped the plastic with her nails, "You can look forward to having to pee like a girl from now on and I can look forward to not having to put the toilet seat down every time I use it after you."

I didn't care, looking at restrained cock awoke feelings in me that had been deep inside for years, to have my sexy wife do this to me, on the same day she had revealed to me that she was at long last going to fuck someone else; I felt like I was going to explode with love for her. "I love you Katrina," I said, looking up at her.

"I love you too babe, but don't think you're getting out of this. I'm going to put the key for this in a safe place and you are going to experience what it feels like to be celibate for...how long shall we say to start off with? A week is fair I think."

"As long as you decide honey," I replied, I didn't care at that moment, the feeling of the device on my cock and tight around my balls was heavenly, and as I looked up at my wife, she leant over and kissed me again.

"Now for your last surprise," she said, and after reaching back down to her bag, pulled out a small La Senza bag. She opened it and pulled out a pair of electric pink coloured satin and lace knickers. "I think these should look good on you, I got a bigger size than my own, so they will fit over the cage."

I couldn't believe that she had done so much in just a few days and mentally kicked myself for not bringing up the topic of cuckolding sooner! I lifted my hips and Katrina slid the panties over my legs until they covered me completely, the feeling of the smooth satin and rougher lace causing my cock to twitch uselessly, and a little painfully, in the CB 6000.

"Katrina, they feel perfect," I told her.

"Hmmm, they do look nice actually, better than I imagined," she agreed. "They'll do for now but tomorrow I want you to completely shave your legs and if your a good little cuckold I will maybe buy you some tights or stockings."

Being called a cuckold by her was sensational, it was what I had always wanted and yet, we still had the whole night to get through, it was now less than 2 hours until she would have to go out, leaving me alone and wondering what she was up to. I just couldn't believe how she had embraced this so quickly, though in hindsight it was a pretty good deal for her; a compliant husband and as much cock as she wanted, when she wanted, whether it was mine (if she released me) or someone else's.

Katrina went to untie me, saying that she needed to get get ready now, but then stopped. "One last thing," she said and using her mobile phone, she took two pictures of me, one full length and one a close up of my restrained cock underneath the pink girly panties. "You never know," she giggled, though I had no idea what she meant or why she would need those pictures.

Katrina untied me and I immediately reached up and pulled her to me, whispering,"Thank you" into her ear.

Katrina laughed and just said, "Let's see if you feel as grateful in a weeks time, or even later on when you are sat alone, thinking of me and Steve and unable to touch yourself."

True enough, I realised then it was going to be tough but still this was what I knew I wanted, and that even the denial would ultimately be a pleasure for me, in a twisted way. Katrina told me to get dressed, as she needed time to get ready and I obediently slipped on a pair of jeans and a t-shirt and went downstairs, experiencing some discomfort from the CB 6000 but determined to get used to it, to satisfy my new 'mistress'.

I sat downstairs for the next hour as Katrina busied herself in the bedroom. Eventually she called to me and I went up to her. "What do you think?" she asked.

She looked stunning, wearing a summer dress which stopped just above her knee, strappy sandals and with her hair and make up perfect. She done a twirl for me and I gazed adoringly at her perfect figure, suddenly experiencing some jealousy at the knowledge that a stranger would have his hands on her tonight, and probably more.

In keeping with her teasing mood, Katrina lifted up her dress and I saw that she was wearing a pair of panties exactly the same as she had got me and which were under my jeans, just in her own size. "And of course, the matching bra," she said, "I thought you would like that and to know that Steve might get to see me in them tonight, before you even have."

I did indeed like it, the dull pain as my cock tried to stiffen certainly reminded me of the fact. I pulled her close to me and kissed her deeply on the lips. she pushed her groin against me and giggled at the feeling of the hard plastic pushing against her. "Now, you're certain you are up for this?" I asked.

"Of course I am, silly. Why wouldn't I be; I should be asking you the same thing shouldn't I? It's you that has to deal with what might happen tonight, or maybe even every weekend," she added. "Anyway, I need to call a taxi and get going, I don't want to be late."

Kissing me quickly on the lips she went past me and downstairs and called a taxi, surprising me when I heard that she had booked it to take her to one of the most popular bars in the town centre.

"What are we going to do if someone sees you with him?" I asked.

"You should've thought about that before asking me to do this," Katrina laughed, "Not my problem really is it, if any of my friends see me I'll just ask them to keep quiet. The question is, what if any of your friends see us?" Katrina looked at me and added, "Oh I see, maybe that's what you want isn't it? For your friends to see me and to know that I've cuckolded you. If that's the case, I'll make sure we go to all the popular places and that if I see anyone who knows us, that they get an eyeful of me sucking on Steve's tongue!"

She was right, while I had no idea how I would explain this away to anyone who saw her, the thought of it turned me on, there was no doubt about it. It was then that something popped into my mind which I hadn't even considered earlier. "You have got condoms haven't you?"

Katrina was on the pill but with a stranger I thought she should be better safe than sorry. But I didn't expect the response she gave, "Why would I use condoms?" She pulled me close to her again and rubbed my sensitive balls over my jeans. "When I get home later, or maybe tomorrow morning, you are going to be licking me and it wouldn't be any fun if I had used a condom would it? You want to be kept in chastity, wear girly panties, well you can look forward to eating cum like a girl too. You had better just keep your fingers crossed I haven't forgotten to take my pill recently..."

My pain in my groin was unbearable as my cock fought to become erect against the hard plastic of the CB 6000; it was her last comment about getting pregnant which had done it, I had read stories of cuckold husbands whose wives had gotten pregnant by their lovers and found the whole idea extremely erotic, yet had chosen to not to share those thoughts with Katrina as I had thought she might have thought that a bit too over the top. It would seem that I was wrong.

A horn beeped outside the house and leaving me to ponder the matter, Katrina kissed me on the lips, "Wish me luck," she said and disappeared out of the front door.

I watched out of the window as Katrina climbed into the back of the taxi, shifting uncomfortably in the chastity device and wondering what else this weekend would have to bring. Three hours ago I was a normal guy, and here I was, in a cock cage, pink panties and waiting at home while my wife dated a strange black guy.

I knew then that I was the luckiest guy in the world.
chrislebo

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Chapter 2 - Pain & Pleasure

Katrina had been gone now for less than an hour and while I was trying to relax, having a beer to calm my nerves, I had never in all my life been as wound up as I was that evening. My mind was racing with images of what she was doing, where she was and how Steve and her were behaving in public; it wasn't jealousy I was feeling, more so a feeling of helplessness at my inability to relieve my now aching cock, which had been in a state of semi-arousal since before Katrina had left, in so much as the CB 6000 allowed, and a mixture of both concern and excitement at how she or I would handle any questions if she was seen with Steve by anyone we knew.

I sat back on the sofa, thinking about what had led to this evening's events so far. I knew that I wasn't gay, and yet the unrelenting desire to taste another man's cum must mean that I was bisexual? That said, I don't think I had ever seen a guy in the street and found them sexually attractive, but when watching pornographic films I had always wished that I could take the place of the girl who inevitably ended up on her knees at the end of the film, her mouth open and receiving a mouth or face full of thick creamy cum from a well endowed man.

As I thought about these things my cock again began to stir and I had to shift around in the seat to make myself comfortable, I reached into the waistband of my jeans to adjust the device but instead of helping, this just made me feel hornier, especially as my hand felt the smooth satin of the girly panties I was wearing. I was desperate for release, but not being able to do anything about it just made me harder and hurt more, it was like a vicious circle that in truth, I wanted to stay in.

All of a sudden my mobile telephone alerted me that a text message had been received, it was now 10.30pm, Katrina had been gone for over 90 minutes and I hoped it was from her, that she would at least let me know what was going on. It was indeed from her and I opened the message.

'hi cucky am in the irish bar, all goin well, s says hi lol'

'S says hi'? There was no way that meant what I thought it did, that she had told him I was at home waiting for her, but as I thought about it, I found myself hoping that she had, that her and him were maybe talking about how I was so submissive to her that I had agreed to to let her go out into town with him. I sent her a message back straightaway.

'have u told him??? what time will u be home?'

I hoped that she would get back to me just as quickly but I was made to wait for another half an hour before my phone beeped once again; I read the message which didn't answer my questions, but just said she would text me again when she was on the way home, but not to wait up.

An element of uncertainty about the situation began to creep into my mind; I had thought that Katrina would have wanted to keep teasing me, letting me know exactly what was happening between them, but she seemed to have other ideas and was more intent on making me suffer, mentally and by now, physically, at home. The CB 6000 was almost painful now, I realised that it was maybe on too tightly, as my balls were throbbing against the satin panties and yet, strangely, I knew that even if I had the key to the small padlock, I would not have used it; I had asked for this and until such time as I thought there was a significant danger of physical injury, I would endure the pain. Anyway, I didn't have the key and was at a loss as to how I would safely remove it should the situation have turned awry.

I made sure all the curtains were drawn and removed my jeans and socks, sighing at the slight relief this afforded my testicles. Going into the kitchen, dressed in just the panties and a T-shirt, I necked a couple of painkillers, which I washed down with a swig of beer and went back into the front room. As I walked, my cock moved gently up and down within its plastic prison and the feeling of this and the panties against my skin made me look down and have a little smile to myself, despite the accompanying pain, at the same time making a mental note to shave my legs the next day. I settled back onto the sofa, stretched out, my legs apart and channel-surfed the TV, using one hand to operate the remote and another to gently rub my now swollen balls, closing my eyes at the mix of pain and pleasure this offered.

I found myself starting to drift off to *****, with images of my sexy wife draped over this strange black guy in the Irish bar, and as I fell asleep the last image I remembered was that of a couple we both knew walking into the bar and looking over at her and Steve as they kissed passionately at the bar, their tongues probing each others mouths as their bodies pressed hard against each other, in a way that could never be shrugged off as anything but a kiss between two lovers...

I woke to the familiar sound of my mobile, it was just after 2am and I realised that the combination of painkillers and ******* had hit me harder than expected. I checked the display and saw that the message was from Katrina - she would be home in 15 minutes and I was to wait in the bedroom for her. I looked down at myself, the pink panties still covering the chastity device and pulling them to one side, saw that my balls were almost purple in colour and when I touched them, albeit gently, the pain was unbearable.

I slowly got up from the sofa and went upstairs, my mind waking more and coming to terms with what was actually happening. As I brushed my teeth I imagined Katrina kissing Steve goodbye, wondering whether she had left him in town or had they gone anywhere more private? Regardless of the constant throbbing I could feel in my sack, I couldn't wait for her to get back and tell me all about it, hoping that she would at the very least, loosen the ring on the CB 6000; I had realised over the recent years that yes, I was a submissive and yes, I somewhat craved ***********, but not to the extent that I ended up in hospital with irreparable damage. We hadn't even had any ******** yet, both deciding to get established in our careers first, I was certain that Katrina wouldn't want to jeopardise the chance to have ******** with me in the future.

I took off my T-shirt and laid on the bed, again spreading my legs in an attempt to ease the discomfort of my restrained cock and balls. I tentatively touched my sack and even though it hurt like hell, I couldn't resist touching it again. The pain somehow excited me, made me feel like I was experiencing some form of punishment for not being man enough to satisfy my wife, even though I knew that this wasn't in fact the case.

I was brought out of my thoughts by the sound of the front door opening and footsteps on the the stairs. I had dimmed the bedroom light but when Katrina walked in, I could immediately tell that more than kissing had taken place. Her hair was tied back, as if had not had time to straighten it and her make up had pretty much disappeared. Even so, with the flushed look about her, and the obvious flaws in her appearance from when she had left the house hours earlier, I thought she looked perfect and the wicked grin on her face ********** my opinion.

"Hiya babe," she said, "I see you've enjoyed your surprises tonight?"

"Mmmm, I have but babe, I really need you to loosen this, I feel like my balls are dying!" I begged her, "You don't have to take it off, just loosen the spacers."

Katrina looked down at me and I hoped the obvious pain on my face would convince her. Pulling her dress over her head, my pain was momentarily forgotten as I admired her sexy body. "Okay, let me sit down first."

At that, Katrina swung her leg over me, so she was sat almost on my face, facing down my body, the crotch of her underwear just inches above my face. She then reached down and pulled the panties to one side.

"Here you go baby, your treat for letting me go out and enjoy yourself."

As she said this she lowered herself down to my face, so her pussy lips were against my lips. I felt her leaning forward and handling the CB 6000 and in appreciation, despite not knowing what I was about to taste, I used my tongue to probe her pussy. Immediately I noticed two things; how wide open she seemed to feel and a musky, salty taste.

"Mmm," she groaned in pleasure, pushing herself down onto my face. "That's it baby, get in deep, taste Steve's cum."

As she said this she managed to loosen the spacers on the device and my pain was for an instant gone, but then replaced with a burning feeling as the ***** rushed back into my balls.

"Oh fuck, oh fuck," I gasped but Katrina ignored my outburst and sitting back up, I felt her finger spreading her pussy lips.

"There you go, is that better?" she asked, "That's my part of the deal, now eat me up clean pussy boy, show me how much you like cleaning someone else's cum from your new whore wife."

The pain slowly subsided and I concentrated on pleasuring my wife, sucking eagerly at her pussy, tasting what I presumed was Steve's semen. Clearly, she had decided to put her faith in her contraceptive pill as opposed to condoms. I considered the potential outcome of this and I have to be honest, as I imagined that she might have become pregnant that night, by a black guy, my cock strained again, testing the CB 6000 to the limit as it fought to get erect.

"That's it babe, mmmmm, it felt so good when he came, he went sooooo deep inside me, far more than you ever have," she teased; I could feel her cunt spasming as she pushed the contents out into my mouth.

I felt the cum dripping over my face and onto my lips, licking them straightaway to make sure none of Steve's heavenly juices were wasted. For a non-gay guy, I was definitely enjoying tasting the second hand cum from Katrina's pussy, at that point in time I would've licked her pussy irrespective of what was inside, no matter how much cum or who from.

Katrina was leaning forward again and I felt her tongue around the base of my cock and then around the side of my balls, which were still slightly swollen. The pain had gone by now and their being swollen just made them more sensitive to her. I spread my legs like a cheap slut, wanting to give her as much access to me as possible. I felt Katrina's fingers snake around my sensitive balls, making me gasp and then down to my ass. I tongued her more deeply, lifting my ass to allow her access to me; she rubbed around my tight little hole and then slipped one, then what felt like another, finger into my ass.

She was grinding her sloppy cunt right up against my face now, I was sucking and licking for all I was worth, savouring the taste of cum, hers and his, as it smeared across my mouth. Katrina was moaning in pleasure and as she ******** my ass with her fingers, both inside me now up to her knuckle, I thrust my ass up and down, loving the feeling of fulness.

"Yes, yes, yesss...." she screamed out and without any other warning, slammed herself down onto my face, almost ********** me as she racked with orgasm. I probed my tongue as deep as I could into her, feeling the walls of her pussy clench as she came hard, for what seemed like minutes. She pulled her fingers out of me, my ass closing and a strange yet enjoyable feeling washed over me as she left me empty again. Katrina steadied herself with both hands on the bed as she recovered from her orgasm and then shifted herself until she was lying next to me, on her side.

"Wow, that was fantastic honey," she purred, "I think we have finally got the perfect arrangement," she added, idly playing with my chastity tube, lifting it up and dropping it again, making my balls rise and fall with the movement.

I looked in her eyes and said, "Was he worth the risk?"

"What risk?"

"You know what I mean," I replied, "Not using a condom, what if you get pregnant?"

"Mmm, well, you did say you wanted us to have kids one day," she teased, "Maybe I could show everyone how I've cuckolded you by having a black baby in 9 months?"

I thought she was joking, she laughed as she said it but something about her expression gave me the impression that this was a subject that might come up again. I have to admit though, as she said this, I wasn't disgusted, or put off, in my horny, chastised mind, all I could think about was letting her do whatever she wanted; she was my mistress now and I would let her do anything she wanted, as long as I got the attention like she had just shown me.

Katrina cuddled into me, her hand alternating between stroking my balls and using a finger to rub against my ass - it was both a complete tease and perfect, all at once. I was desperate to cum but knew that it wasn't going to happen tonight; maybe I needed to give her more, or let her do more to me; whatever it took, I knew I would do it...
chrislebo

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Seven days had passed since Katrina had come home that Friday evening and had made me eat her cum filled pussy, all the time my cock locked in the CB 6000 and where it had stayed since. I had fallen asleep, eventually, with the taste of Steve's cum coating my tongue and if I'm honest, couldn't wait to taste his, or someone else's, thick spunk from Katrina's pussy again, IF she decided to treat me.

I was finally beginning to get used to the chastity device, Katrina had adjusted it so it was more comfortable, yet still tight enough that there was no chance of me being able to escape from it; I had no idea where she had put the keys so I was completely at her mercy for when I was going to be able to have an orgasm.

When we had got out of bed on the Saturday, Katrina had been like a kid at Christmas, especially when she had found a text message from Steve on her mobile phone, saying how much he had enjoyed their evening together and inviting her out with him the next weekend.

"You don't mind do you babe?" she had asked. "He's suggested that we go away overnight to Manchester, at least that's far enough away that we're unlikely to bump into anyone we know."

Manchester was an hours drive away but it was Katrina's reference to someone we knew that reminded me about the previous night. "Did you see anyone while you were out last night?" I asked.

Katrina played coy, but with a wicked glint in her eye. "Well, I think there might've been a couple of guys there from your work, but I'm not sure whether they saw me." She added, "Then again, I wasn't paying them too much attention so I couldn't really be sure either way."

I was on a week off work so if what she was saying was true, it'd be a while before I found out, although I knew that gossip like that would spread like wildfire around my office so within a week half the building would know. The strange thing was though, while I was nervous as to how I would handle any awkward questions, the thought of people talking about Katrina and how she was maybe having an affair behind my back was a thought that I found quite arousing, albeit just mentally as my cock was unable to get more than semi erect at the best of times.

Unfortunately, the week off had also meant a lot of time alone at home, Katrina out at work and doing god knows what, while I was left frustrated. Still, it was what I wanted and Katrina had over the last few days began to use my chastity for her own ends, having me spend ages licking her pussy in the hope that she would finally relent and allow me some release, but she hadn't so far. I was so confused, I desperately wanted to cum, to feel an orgasm ripping through my body, yet I also loved the fact that I couldn't.

Anyway, despite asking me about going out with Steve, Katrina had every intention of going regardless of what I said and it was tomorrow (Saturday) that she planned on meeting him. Katrina had taken today off work and was upstairs getting ready, having told me we were going into town to get her some new clothes for her 'date'.

She came downstairs looking gorgeous as always; she had also picked out my clothes, making me dress up slightly more than usual as I was to buy her lunch out. Even so, my CB 6000 was securely in place, covered in a pair of pink lace panties underneath my jeans, which I had deliberately chosen as they were a slightly looser fit.

"You look gorgeous," I told her, "Good enough to eat."

"You will be later, don't you worry," Katrina replied, "Seeing as you've been a good cucky this week I'll maybe let you buy something to wear tonight, as a treat seeing as you'll be alone tomorrow."

I wondered what she had in mind, though was pretty sure she didn't have anything manly in mind. We headed out and spent the day touring female clothes and underwear shops. I was paranoid that my device was noticeable under my jeans but Katrina said it just looked like I had a big cock tucked in there. I wished!

Katrina was constantly teasing me, putting sexy clothes up to herself and asking if Steve would like her in it; I was fairly certain whatever clothes she bought wouldn't be on her too long anyway. I said this to Katrina but she corrected me. "Oh no, not at all dear hubby, I intend to spend the weekend with Steve as if he was my husband, we're going to go shopping, have dinner etcetera. I want to let people look at us and think we're a real couple."

I thought about this for a second and could feel my cock stirring, imagining them holding hands as they walked around the shops. What if Katrina started to have feelings for him more than just sex, what if they fell in love? Would she stay with me?

Katrina seemed to guess what was going through my mind. "Don't worry, it's you I love, this is all for us," she reassured me, "Though I'm sure I can keep two men in my life happy, aren't you?"

"Come on, here we are, time for your treat." Katrina pulled me towards La Senza and went straight over to a display of bright pink satin panties, bras and camisoles. She grabbed my hand and made me touch the material, "Like?"

I definitely did, I loved the feel of the satin and imagined how it would feel over my new hairless body (Katrina had made me shave and Immac all my body hair earlier in the week). I wasn't prepared for what she done next though; holding up a size 14 camisole to me, she said loud enough for most of the shop to hear, "That'd fit you just lovely!"

I looked around, my face going red as other customers looked over at me. Katrina just giggled and grabbing a pair of panties and bra in the same colour and suitable sizes, went to the cash desk. I followed, eyes on me from the other customers and the *********** was exquisite - I wondered what exactly they were thinking, whether they believed Katrina or just thought she was messing about. The assistant rang up the items and Katrina looked over at me when she asked for payment, pulling out her purse and again saying louder than necessary, "My treat."

Katrina handed me the brightly coloured bag and led me out of the shop, a big smile on her face, knowing how much she had just humiliated me. As we walked out she asked me if I'd enjoyed that, I said that I had. Two hours later we were on our way home and I couldn't wait till later, praying on one hand that she would release me from the device but on the other, imagining being dressed in my new underwear, serving her pussy like a good chastised slave, cleaning her before she was ******** by black cock the following day.
chrislebo

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Having got home from my very humiliating shopping trip, things had progressed quickly. Katrina had teased me all the way home in the car, making comments like, "I'm gonna fuck you tonight like the slut you are," and, "Come on admit it, you want to be my bitch, don't you?"

I was embarrassed to answer but my caged cock twitched at the thought and was becoming both sore and aroused at what was to come, but at the same time I was quite nervous.

Once in the house, Katrina told me to go for a shower and handing menthe La Senza bag, told me to put on my new underwear, lie on the bed and wait for her. Of course, I did as I was told and 15 minutes later was in position, lying on my back, the pink knickers and camisole against my skin making me feel horny and slightly conscious as to how I looked.

After a few minutes Katrina came into the room. I gasped in amazement, she had obviously done some shopping of her own during the week and was dressed in a full black PVC outfit, corset, no knickers, stockings and suspenders and thigh high heeled boots. She looked stunning, but even better, like the perfect dominatrix. She was also carrying a bag, which she placed by the side of the bed.

"Aww, look at my little slut, how do the clothes feel?"

"Very nice," I replied, watching her every move as she straddled my groin, lowering her shaven pussy down until it rubbed against the plastic of the CB 6000. She leant forward and kissed me on my lips, her tongue darting into my mouth, but pulling out before I could suck on it, which I was desperate to do.

She straightened up again, her hands rubbing over my satin covered smooth chest, fingers pinching at my nipples. "Very nice indeed," she said, "I could get used to this I think.". She then lifted herself slightly off me and ordered me to turn over, onto my front. I did so, carefully so as not to hurt myself even more with the chastity device, and once in position, she sat back down on me, again straddling me. I saw her reach down the side of the bed and into the bag, and then she sat back up with a pair of handcuffs swinging from one finger.

"Now babe, don't panic but I have plans for you tonight which I think you will enjoy, but maybe not at first so I'm going to put these on you okay?".

"What do you mean not at first?"

"Shhhh," she just said, "Just relax and enjoy yourself, my little chastised bitch, aren't you?"

She leant forward, over my back and put the handcuffs around one of the bars in the centre of the headboard. Then, in turn she restrained my hands in them, before again sitting back on me, her weight pushing my cock cage uncomfortably against the bed, my balls squashed against the plastic retainer rings.

"Honey, you don't need to tie me down," I pleaded with her, now getting concerned at what she had planned for me, "Honestly, I'm quite happy to do whatever you want."

"You say that now, but you don't really know what I want do you?" She said this with some menace in her voice, but without seeing her face, I couldn't tell if she was for real or play acting. "As I said earlier, tonight you're my bitch and one more word from you and you'll regret it okay?"

My mind reeled at what was possibly to come, but I think that even if she had uncuffed me, I'd still have stayed where I was. Secretly, I think, I wanted this.

Katrina slid off to one side, kneeling next to me. "Lift your ass up, but keep your head down in the pillow."

"Uh huh," I replied, doing as she said. The knickers were cutting slightly into my balls and I was paranoid I looked stupid, with one testicle hanging out of either side of the material. This was soon rectified though when I felt Katrina pulling the gusset of the knickers to one side of my sack, exposing my balls and ass. The next ing I felt was what I presume was her finger, and more worryingly, her long fingernail, at the entrance to my ass.

"Mmmm, you're very tight back here babe, we'll have to do something about that.". More rustling behind me and then I felt a cold sensation as a liquid which I can only assume was lubrication of some kind, was applied to my ass. I gasped slightly as I felt Katrina slip a finger in me, gently at first, slowly working it in and out of my ass for a few moments until I realised she had fully inserted it into me. There was some pain but the feeling as she slipped it back out and then in again was exquisite.

"Good boy, you're a natural," she said, "I was reading about anal sex on the net the other day and it said you should take it step by step, but before I go out tomorrow I want to know that I have taken your anal virginity and that you are 100% my little slut, so I'm afraid we're not going to have that sort of time. Hence the handcuffs," she added.

She pulled her finger out of my ass slowly, making me feel every second of it, and then she reached her hand around to my mouth, the finger that had just been inside me rubbing against my lips. "No way," I exclaimed, "Thats too much babe, not when it's just been in me!"

"Suck my fucking finger bitch," she hissed, and I knew she was being serious. "For years now I've been swallowing your cum and putting up with your little cock, now it's time that you do what I want, and don't forget, you wanted this."

She wasn't leaving me with much choice, so I opened my mouth and allowed her finger to pass through my lips, tasting the muskiness of my own ass and feeling thankful that I had cleaned myself as well as possible in the shower.

"There, good boy, or good girl I should maybe say," she chuckled to herself, "Now you're learning.".

Katrina moved back into position, on her knees behind me. She grabbed at the cage of the CB 6000 and pulled on it, causing the ring to tighten up against my balls. I yelled in pain. "Just so we're clear, any more problems and the pain you just felt will be nothing compared to what you will feel, in fact, I know how we can solve this."

I twisted my head to watch her reach down into her bag again and this time she produced a ball-gag, with a black rubber ball and leather straps. "Please honey," I begged her, "I'll be quiet, I promise."

Katrina ignored me and placing the ball in front of my mouth told me to open up. At first I refused but then she just leant down and whispered in my ear.

"At the minute, I just plan on using one of my medium size dildos on you..." She let this sink in, "But if you don't open your fucking mouth right now, I swear to god I will work on your ass all night until I get my fist in you, no matter how much it hurts and you scream the house down."

She sounded deadly serious this time and for the first time since all this had started, I felt seriously worried. Fisting? I didn't think Katrina even knew the word, let alone that it could be done to a person. I decided that I would let her gag me, not willing to risk the consequences if she was being serious.

Again I was verbally rewarded, but this time with, "Good girl. Now, relax and enjoy this, otherwise it's gonna hurt." As she said this she slapped my ass hard and if I hadn't been gagged, I'd have yelped out in pain.

More of the lubricant was applied and I heard her bedside drawer open, the drawer where Katrina kept her selection of dildos. I held my breath in anticipation and then felt the tip of what seemed to be a plastic vibrator pushing against my asshole. "Just relax," Katrina instructed me, "Any pain will soon go, trust me," and then, in a more mocking tone, "If it helps, imagine my ass getting penetrated tomorrow night, and his is much bigger than this."

Katrina had never let me have anal sex with her and I felt pangs of jealousy, though these soon went when my mind registered the searing pain of my tight hole being stretched wide by the toy. I groaned against the gag but Katrina didn't hear, or didn't care, and continued pushing it in me. I shoved my face into the pillow, biting down on the gag, praying that the pain would soon turn into the pleasure I had been promised.

"That's it babe, nearly there.". Katrina was back to being her loving self, satisfied now that I was doing her bidding. "Two more inches and you'll have the full eight in you!"

Eight? My own cock was only six inches long when erect and yet I had taken more. Fuck me though, it hurt like mad but slowly my ass seemed to grow accustomed to the size and the pain started to subside.

Katrina continued to drive the vibrator in and out of my ass, it was as the toy moved out of my ass that I felt the most pleasure, and found myself hoping then that she would push it back in and not leave me empty. My groans and grunts of pain had turned to murmurs of pleasure and I couldn't help but spread my legs wider and push back slightly, wanting to meet her thrusts.

"Mmmm baby, you're enjoying that aren't you," she teased. "Maybe I can trust you to keep quiet now? I'm gonna take off the gag and if the first words out of your mouth aren't 'please fuck me more', it goes back on, understand?"

I understood and despite the pain of what had now been over an hour of anal *****, more was exactly what I wanted. I felt her undo the buckles of the gag and she pulled it from me. "Well?"

"Please fuck me more Katrina," I begged, and without being asked, "I want you to shove as big a cock as I can take inside me, please, make me your slut."

"Of course I will darling, I'm glad that in such short a time you've accepted your new place in this marriage. Now let's see what else I have that could satisfy and stretch you."

My ass was throbbing and a little sore, but I ached for more and watched as she went back to her drawer and removed her largest dildo, a black rubber one with balls at the end and about as thick as her wrist. "Maybe this?" she asked.

As horny as I was, I didn't think there was a chance that I could fit that monster in me. I could remember when we had bought it for Katrina and she could barely get the thing in her pussy, even with her natural lubrication and plenty of KY jelly. "I think that might be too much babe," I told her, "As nice as it looks there's no way I can take that."

"Nonsense, you just need to relax babe, it'll fit...eventually. Now, spread your legs again and you might wanna bite down on the pillow, just till you get used to it."

For the next 30 minutes Katrina slowly inserted the toy into me, centimetre by centimetre. It hurt, not as bad as earlier but the pain definitely outdid the pleasure with this one. Even so, I kept as quiet as I could, letting Katrina work on me at her own speed, adding more lubrication whenever she felt I needed it. The half hour seemed a lot longer but finally she sat back and exclaimed, "Yes, that's it, all done.".

I had never felt so full in my life, it felt like the dildo was pushing into my stomach it was so deep into me, and I could feel the fake balls pushing against my own, which were already uncomfortably swollen from the pressure of the plastic cock cage pulling at the retaining ring and spacers.

Katrina seemed so pleased and I was happy that I had managed to please her. "Did I do well honey?" I asked.

"Oh yeah," she replied, "In fact, you've been such a good little slut I might just have to see if I can find something bigger for you, I mean, it's still early yet and even though my pussy is soaking wet, I've got hours left of playing in me yet."

Katrina got up and left the room, and I heard her walking downstairs. I took the opportunity to lie down properly, as best I could with the best part of ten inches of dildo in me, resting and taking the weight from my wrists, which were starting to get sore from the cuffs. I still had to keep my legs spread to accommodate the toy in my ass, but at least I was getting some respite from the onslaught so far. I wondered what Katrina was doing downstairs and just hoped she would bring a ***** up, my mouth was dry from the pain I had been experiencing.

I was left lying there for about 20 minutes, during which time the dildo eventually slipped out of my ass, popping gently out and falling to the side of me, onto the bed. At one point I thought I heard Katrina talking downstairs but couldn't make out what she was saying and presumed she was on the telephone, although I couldn't think who she would be calling in the middle of what we were doing.

I heard footsteps once again and Katrina came into the room, still dressed in her killer outfit. "Oh dear, look what's happened," she said, "Trust me, you'll want that back in you, keeping you nice and wide."

She picked up the dildo and again applied some lubricant to it before pushing it back into me, though this time she pulled my knickers over the top of it, so that it couldn't slip out. "You just lie there and think naughty thoughts," she told me, "Cos trust me, this night is going to become naughtier than you could have ever imagined."

I turned to face her, still lying on my front. "What do you mean? Come on babe, don't you think you've done enough to me, that I've let you do enough?"

Katrina laughed, "You forget, you don't LET me do anything, I do what I want, remember?" Again she had that evil tone to her voice, which I didn't dare test to see if it was for real or not. "Now stay there, I'm getting myself a *****, ready for the show."

Show? What was she going on about? I didn't get time to ask, and I'm sure she wouldn't have answered me anyway, before she left the room, went downstairs and I heard the chinking of glasses as she fixed herself a *****. By this time, I could've done with a strong one myself - the dildo in my ass was starting to ache, especially as the lubricant dried up, and my cock, which had been trying to become erect for the last few hours, was really becoming uncomfortable within the CB 6000.

I waited again, about half an hour passed before I was surprised to hear the doorbell go; I then heard it open and voices downstairs, Katrina's and someone else's - a guys which I didn't recognise but as I put things together in my mind, even in the state I was in I started to realise what was about to happen, or at the very least, that Katrina was about to introduce Steve to me, with me trussed up like a chicken on the bed, with an ass full of dildo!

A few moments later I again listened as the footsteps approached. The bedroom door opened and I heard Katrina say, "Here he is Steve, just like I told you."

As embarrassed as I was, I looked around to see Steve for the first time. He was a six foot something, well built black guy, as Katrina had described him, but in person he seemed particularly intimidating, especially considering the situation I found myself him.

Steve looked down at me on the bed and laughed, "Nice to meet you sissy boy, wow, I honestly thought your wife was exaggerating when she said what you were like but well, damn, I can see she wasn't."

I looked at Katrina, who was stood close to Steve, her arm around him and a big smile on her face. "What exactly are you trying to do? What if this gets out, if he tells someone?"

"Why should I care?" she replied, I have Steve now and whether anyone knows what a sissy you are or not, I still get to have his cock and when I want to, ***** yours...and your ass of course."

She turned to Steve, "Okay, as I promised, the deal is this. You let me watch you fuck his ass and fill him with your lovely cum, and I will let you fuck my ass too, you get to take something that I have never even let my husband take before - my anal cherry."

Steve looked down at me again. "Well, I ain't gay, but I suppose if he got up on all fours and kept the panties on, it wouldn't be much different from any other ass I've fucked. I ain't touching his cock though."

"That's okay," Katrina reassured him. " You won't have to, though if you don't mind, I might have him suck you hard again once you have used him, just so I can get your cock in me as soon as possible afterwards." She looked at me and added, " I want my husband to watch me get fucked while your cum is still dripping out of his stretched ass."

"Fair enough," said Steve, "He had just better suck cock good."

Katrina turned back to me, "Now, are you going to do as I say and let Steve show you how a botch takes cock, or do I have to gag you again?" I didn't answer straightaway, but Katrina continued regardless, "Actually, on second thoughts, I think the gag will have to go on as I'm sure once you see Steve's cock, you'll realise that there might be some pain to begin with and I don't want the neighbours calling the police when they hear your screams"

Katrina laughed at her own comment and reached down, taking hold of the gag and after telling me to open my mouth, reattached it to me. " Now, my little cuckold hubby, have a look at what is about to replace the dildo inside you."

Katrina embraced Steve and they kissed passionately as her hands opened his belt and then his jeans. I strained to watch, my neck aching as I did so, as Katrina knelt before Steve, opening his jeans and pulling them and his underwear down together. I couldn't believe it, his cock was only semi erect and yet it looked about 8 inches long as it swang between his legs. Katrina took it in one hand, her fingers barely able to go around it, and lifted it to her mouth. Before taking the tip of his massive cock in her mouth, she just said to me, "Here we go babe, tonight you officially become my bitch, by the same man who," she looked up at Steve, "Might also be the ****** of my next baby..."

I couldn't believe what I was hearing and if I hadn't been gagged, would definitely have tried to talk her out of the last part, if nothing else, but instead I could do nothing but watch as Steve stepped out of his clothes, revealing his toned body and after Katrina had sucked his cock to what must have been 10 or 11 inches long, I felt the bed move as he got up behind me. I tried to clench my ass, which was a pointless exercise with the dildo deep inside me still. Katrina was to the side and she pulled the panties to one side and in one movement, pulled the dildo quickly out of me, "There you go lover, your first virgin ass of the night."

I felt myself being pulled back up by the waist, onto my knees and pushed my face down into the pillow, knowing that the pain I had felt earlier would be nothing compared to what was about to come...
chrislebo

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CAMILLE


« Tu es trop belle, tu sais ? Ca me fais chier de te laisser. Pfff ! »
« Non, non, non mon Piou-piou ! Pas question que tu reste là. Allez ! Au boulot ! Tu ne voudrais pas que ton bébé manque de quelque chose, non ? Courage. Encore demain et c'est le week-end. Je m'occuperais de toi. Promis.»
Fabien me fait un grand sourire, m'embrasse tendrement et dévale l'escalier quatre à quatre.
« Chéri ! Fais doucement quand même ! J'ai besoin de toi. Ce n'est pas le moment que tu te casse quelque chose ! »
« T'inquiète ! À ce soir ! »
Ce type me rend folle. Je suis la fille la plus heureuse de la terre.
Nous sommes en ménage depuis un an. Oh, nous ne vivons pas dans le luxe. Un tout petit appartement caché sous les toits nous sert de nid. Petit, certes, mais c'est le notre. Et puis c'est très provisoire, car Fabien m'a fait le plus beau des cadeaux... Un bébé.
Bien que je sois jeune, je me suis battu pour faire accepter le fait que je veuille le garder.
J'entends encore mon père.
« Un môme à dix huit ans ! Tu n'y pense pas, quand même ? Tu vas foutre ta vie en l'air ! »
Et puis, j'ai présenté Fabien à mes parents.
Mon Fab, mon homme, mon Piou-piou, ma rai*** de vivre.
Devant mes yeux bleus qui brillaient quand il est arrivé chez eux, ils ont comprit qu'ils ne me feraient pas changer d'avis.
De plus, Fab à un travail qui rapporte plutôt bien. Le seul souci, ce ***t les trois huit qui perturbent un peu notre organisation, mais ca vas.
Pas mieux du coté de ses parents. De *** père surtout. Il se prénomme Félicien, mais pour moi, c'est, monsieur Félicien.
Il est patron d'une immense scierie. Il est... bref ! C'est un patron.
La première fois qu'il m'a vu, j'étais déjà enceinte. Il est rentré dans une colère monstre. J'ai même cru qu'il allait gifler Fabien.
« Quoi ? Un môme avec une gamine de seize ans ? Tu n'y pense pas mon p'tit bonhomme ! On paye, mais elle avorte ! »
« Désolée, monsieur Félicien ! Mais d'une, j'ai dix huit ans et de deux, je garde mon bébé ! Que ca vous plaise ou non ! »
Me belle mère, Mylène, à plus de vingt ans de différence avec lui. Elle est encore jeune et belle, mais ne semble pas très heureuse.
Pour elle, que j'ai cet enfant, semble être une bénédiction.
Mon ventre est rond comme un ballon. Le petit (c'est un garçon) me rappelle parfois qu'il sera bientôt là, en me donnant de grands coups de pieds. Je suis aux anges. Vraiment.

Je suis en plein ménage. Enfin, je fais ce que je peux, sans prendre de risque inutile.
Je vais pour m'asseoir, lorsque quelqu'un ***ne à la porte.
Je vais ouvrir et un homme se présente à moi. C'est un représentant. Il a environs quarante ans. Il présente super bien et semble très sympathique.
« Ca ne m'intéresse pas ! Merci »
« Attendez, vous ne savez même pas ce que je veux vous présenter ! Haha ! C'est un garçon ou une fille ? »
« Un garçon. »
« Très bien ! Je vous ferais un beau cadeau et pour fêter cet événement. Avec vos amis, vos familles, il vous faudra des vins de qualités, non ? »
« Je suis seule, il faudrait voir ca avec mon chéri. »
« Oui, bien sur. Mais je peux vous présenter nos vins et vous laisser des documents et les tarifs, ainsi vous pourrez en parler ensemble, tranquillement. D'accord ? »
« Bon ! Entrez. »
Il reste une bonne heure à me parler vin, terroir, vigne et appellation. Je ne comprends rien et il s'en amuse en me taquinant régulièrement.
« J'ai des échantillons, mais je doute que vous buviez dans votre état. J'aimerais repasser pour les faire goutter à votre ami. »
« Bof ! Vous savez, il fait les trois huit et là, il est d'après midi. Il commence à quatorze heures et ne rentre pas avant vingt deux heures trente. C'est très tard. Et le samedi, il ne veut pas être dérangé, alors...»
« J'aimerais tout de même le rencontrer. Demain, mon dernier client est à vingt et une heures trente. Pour moi, ca colle. Ok ? »
Rendez vous est prit pour le lendemain soir, vingt deux heures quarante cinq.
Ayant fini tout *** blabla, je lui propose un café, qu'il accepte volontiers. Nous parlons de choses et d'autres et il ne tarit pas d'éloge sur ma supposée « beauté » éclatante, mes rondeurs magiques de future maman, le teint de ma peau et j'en passe.
« Quoi de plus beau, de plus sensuelle qu'une brune aux yeux bleus. Vos cheveux ***t si longs. Si beaux. Vous êtes superbe. Vraiment. Et vous êtes si jeune, la grossesse vous va à ravir.»
« J'ai dix huit ans. »
« Vous en paraissez seize. »
Il est vrai que certaines de mes amies me traitent de femme enfant. Une femme avec un visage d'ado. C'est cool et j'en joue beaucoup, je l'avoue.
« Je sais ! Mon beau père m'en a déjà fait part. Mais vous, vous êtes un charmeur et vous me faite rougir. »
« Bon ! Je dois partir. Accordez-moi une dernière faveur. Puis je toucher votre ventre ? »
Je suis étonnée par sa demande, mais je n'y vois aucun mal. J'en retire même une certaine fierté.
« Ben...si vous voulez, oui. »
Le contact chaud de sa paume, au travers de mon tee-shirt, me provoque un long fris*** tout le long de l'échine.
Il fait de grands yeux d'enfants.
« Humm ! Comme il est dur. C'est magique. Troublant»
Je l'arrête, car il s'apprête à poser *** autre main.
« S'il vous plait ! Je vous raccompagne à la porte. J'aimerai me reposer un peu, maintenant. A demain, monsieur. »
« A demain, Camille. »
Devant mon étonnement à l'entendre prononcer mon prénom, il me fait un large sourire en me montrant l'étiquette sous le bouton de la ***nette.
« Je ne suis pas devin. Haha ! C'est écrit. »

Fab rentre à vingt deux heures trente, un peu fatigué. Nous discutons et racontons nos journées respectives. Je lui parle du passage du représentant et lui montre les papiers qu'il m'a laissés.
« T'es pas prudente Camille ! N'ouvre pas quand je ne suis pas là ! Ok ? »
« T'inquiète pas. Il était très sympa. Tu verras demain. »
« Demain ? »
« Ben oui ! J'y connais rien et puis j'ai pensé que ca pourrait t'intéresser ! Il repasse demain soir.»
Il n'est pas très content.
« Putain, Camille ! C'est la fin de la semaine, je suis crevé ! »
« Ben oui, justement ! Après tu pourras te détendre. »
J'omets volontairement de lui parler de l'apposition de la main du représentant sur mon ventre, et encore moins de l'effet produit.

Le lendemain.
C'est étrange, mais j'ai pensé à ce bonhomme une grande partie de la nuit. Je ne sais pas pourquoi. En plus j'appréhende le rendez vous de ce soir. C'est idiot. Ce doit être les hormones qui me travaillent.
Avant que Fab ne rentre, je me change et enfile une espèce de djellaba rapportée du Maroc. Depuis quelques semaines, je ne supporte plus les élastiques des vêtements, culottes ou autres soutient gorges. C'est nue que je l'enfile. Je me sens bien dans ce truc.
Je défais ma queue de cheval et brosse mes cheveux que je laisse couler sur mes épaules et dans mon dos. Je mets du noir à mes yeux, du rose à mes joues et du rouge à mes lèvres. J'ai envie d'être belle. Très belle.
A la réaction de Fabien lorsqu'il rentre, je pense y être parvenue.
« Hoo ! Ma poupée ! C'que t'es mignonne toi ! Tu es...Tu es...Viens là, dans mes bras. »
Il me donne un long et délicieux baiser.
Au bas de mon ventre, je sens sa queue gonfler dans *** pantalon.
« Hummm ! T'es en forme toi ! »
« Comment ne pas l'être avec une bombe comme toi. »
« Voilà un compliment qui mérite une récompense. »
Je défais sa braguette et sors *** membre, droit comme un bâton. Je le branle doucement tout en l'embrassant, puis je m'assois sur un tabouret et j'englouti *** sucre d'orge en le faisant glisser tendrement entre mes lèvres.
Il respire fort, poussant de petits gloussements rigolos qui se transforment rapidement en grognements de plus en plus puissants. Je le sens, sa délivrance approche, mais mon pauvre Piou-piou devra attendre. On ***ne à la porte. Enervé, il range *** matériel et va ouvrir.
chrislebo

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#9,349
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Le représentant recommence toute sa présentation depuis le début, pour Fab. Moi, je n'y connais rien en vin, mais ca semble intéresser mon homme.
« Vous voulez une dégustation ? Je descends à ma voiture prendre ce qu'il faut et je reviens tout de suite. Vous ne le regretterez pas. »
Restée seule avec Fab, je le questionne.
« Alors ? »
« Alors quoi ? »
« Ben ! Tu le trouve comment ?
« C'est un bon vendeur, c'est tout. Il fait bien *** boulot. »
« Rhooo ! Arrête ! Tu sais bien que ce n'est pas ce que je te demande ! »
« Ben ! Il est sympa. Quoi d'autre ? »
Oui, bien sur, quoi d'autre ? Comment peut-il imaginer que ce type me trouble, mais j'aurais aimé qu'il me dise qu'il le trouvait pas mal, que c'était un bel homme. Mais trop tard car notre vendeur est de retour.
« Voilà ! Je vous ai monté quelques bons échantillons et comme j'avais promis un cadeau à votre charmante jeune femme, j'ai pris un champagne. Le meilleur de notre gamme. Mais ca, c'est juste pour le plaisir. Ok ? »
La dégustation commence.
Moi, je ne dis rien. J'écoute et je regarde.
Malgré un léger strabisme, ce type a un charme fou. Chaque fois que *** étrange regard croise le mien, j'ai comme une sensation de trouble incompréhensible, qui me fait monter le rouge aux joues. Si Fab s'en aperçoit, ca va barder pour mon matricule. C'est sur.
Mais pour l'instant, *** attention est plus sur le vin que sur moi.
A ce propos. Je trouve que pour une dégustation, notre représentant n'y va pas de main morte et ca commence à ce voir dans le regard de mon Piou-piou.
Enfin, le bon de commande est remplit et signé.
*** matériel rangé, il demande trois flutes à champagne et ouvre sa bouteille. Je n'accepte qu'une gorgée. Tandis qu'il nous sert, il entame un étrange discourt.
« Vous êtes un petit couple charmant. Si, si, c'est vrai. Dans d'autres circonstances, nous aurions passé un bon moment ensemble, vous, moi et mon épouse. »
« Bon moment ? »
« Oups ! Oui, bien sur. Vous ne pouvez pas comprendre. Excusez-moi, mais le champagne me rappelle tellement de moments délicieusement... coquins. En fait ma femme Amandine et moi, formons un couple libertin. Depuis plus de vingt ans, nous pratiquons l'échangisme et bien d'autres choses encore. Mais je ne voudrais pas vous choquer. Haha ! »
A ma grande surprise, derrière les yeux embués de Fab, je décèle un soudain intérêt.
« Autres choses ? Comme quoi, par exemple ? »
Je mets fin à cette conversation déroutante, immédiatement.
« De toute façon, nous sommes heureux ainsi. Juste moi et Fabien. Le libertinage ne nous concerne pas. Nous n'avons pas besoin de ca. Nous pouvons parler d'autre chose ? S'il vous plait. »
« Oh ! Désolé ! Je ne voulais pas vous mettre mal à l'aise. Parlons plutôt de vous. »
Puis s'adressant à Fab, il me fou la honte de ma vie.
« Votre fiancée est des plus délicieuse. Hier, elle m'a fait le plaisir de me laisser toucher *** ventre. Quel bonheur. C'était une attention délicate de sa part. »
« Ha bon ! Il t'a touché le ventre ? »
Aille ! Je sens que ca pourrait bien finir mal. Quel idiot ce type !
« C'est lui qui me l'a demandé. Et puis ce n'était rien de plus qu'une main sur mon ventre de femme enceinte. Et juste quelques secondes seulement. »
« Oui, c'est tellement fantastique de savoir que sous sa main, derrière la peau du ventre tendu, se fabrique la vie. J'adore ca. D'ailleurs, si j'osais... »
Fab lui fait un grand sourire, puis me lance un regard goguenard.
« Osez, osez ! Tu veux bien Camille ? »
Le représentant n'attend pas ma réponse. Il se lève et se place derrière ma chaise. Il se penche et m'entoure de ses bras pour poser ses deux mains, bien à plat sur mon ventre.
*** visage est tout près du mien. Je sens *** souffle dans mon cou.
Il parle avec douceur, tout près de mon oreille.
« C'est fantastique, Camille. Comme il est dur. Vous aimez que je vous masse ? Ca vous fait du bien ? »
Je n'ose pas répondre. Je fixe Fabien. Il semble savourer ce qu'il voit, et ca me gêne doublement.
« Et vous ! Vous appréciez de voir votre petite amie se faire ainsi caresser le ventre ? Ca ne vous rend pas jaloux, j'espère ? »
« Non ! Pas le moins du monde. Vu d'ici, je la trouve encore plus belle et plus sensuelle que jamais. C'est très troublant, je dois dire. »
Et moi, que devrais-je dire. Petit à petit, les cercles qu'il dessine sur mon ventre, s'agrandissent. Sous la table, hors de porté du champ de vision de Fab, il glisse ses doigts en passant, entre mon ventre et mes cuisses. A plusieurs reprises, il frôle mon pubis des bouts de ceci. Et je pense que c'est intentionnel.
Quand il arrive sur le haut de mon ventre, ce ***t ses pouces qui s'insinuent sous mes seins lourds, effleurant mes tétons qui durcissent et pointent, de plus en plus, à chaque passages.
Il doit s'en apercevoir, car il branche la conversation sur mes seins.
« Votre poitrine aussi est magnifiquement gonflée. Elle ne vous fait pas souffrir ? Ma femme, lors de ses grossesses, adorait que je lui masse. Elle disait que je le faisais avec beaucoup de talent et de délicatesse et que je la soulageais. »
Fab ne réagit pas. On dirait un légume. Ce type me propose de me peloter, et il ne bouge pas un cil. Ca m'énerve vraiment et je décide de le faire réagir. Du moins, je l'espère.
« Ho, si ! Parfois, j'ai vraiment très mal ! Tient, comme en ce moment ! Je ferais tout pour que ca cesse. Vous croyez que vous pourriez faire en sorte que...»
Je n'ai pas fini ma phrase, que ses mains recouvrent déjà ma poitrine. Plus qu'un simple massage, il les pelote et les tripote sans vergogne, comme un vieux pervers.
Fab, fait des yeux tout ronds, lorsque je commence à respirer plus fort.
Bien malgré moi, mon plaisir monte et je me sens inondée.
A ma grande surprise, le représentant se met à me tutoyer.
« Ca te plais, on dirait, petite coquine. Tes pointes ***t dures comme du béton. »
« C'est normal, vous commencez à me faire tourner la tête avec tout ca. »
« Hum ! Bien, bien ! Et toi, mon grand, ca te fais quoi ? »
« Putain ! Je bande comme un âne ! C'est fou ca ! Vous êtes sur que c'est juste un massage ? »
« Haha ! Pas vraiment, non ! La petite Camille me rend fou d'envie et me fait bander aussi. Tu vois, je caresse ta femme et ca te plais. Vous êtes sur la voie du libertinage, mes enfants. Vous avez la fibre ! »
Tout en parlant, il défait les lacets qui tiennent mon grand décolleté fermé. Puis, il glisse ses mains sous la djellaba et en extirpe mes seins, un par un.
« Et moi ! Si on me demandait mon avis ! Hein ? »
« Mais toi, princesse, je suis sur que tu mouille déjà comme une petite salope ! Non ? »
Ca me fait drôle de me faire insulter par un type que je ne connais pas, et qui pourrait être mon père. Mais, il a tout à fait rai***. Ma chatte est trempée.
Il se penche vers moi et m'embrasse goulument, puis il descend encore et suce mes seins avec concupiscence, tout en les palpant de ses mains bouillantes.
Puis, se redressant, m'embrassant de nouveau au passage, il déboutonne sa braguette et sort *** sexe dressé. Il se place près de moi et caresse ma joue avec *** gland humide. Je tourne la tête et le fait glisser entre mes lèvres.
Fabien nous rejoint. Il a sorti sa verge et l'exhibe avec fierté.
Quel n'est pas notre étonnement lorsque le vendeur la prend à pleine main et masturbe doucement mon Piou-piou.
« Hum ! Ta queue est splendide ! Tu me plais beaucoup.»
Il s'accroupit et prend Fabien en bouche. Tout en suçant mon homme, il soulève le bas de ma robe et dévoile mes jambes écartées.
Il glisse *** pouce sur ma toi*** puis, il l'insère entre mes grandes lèvres pour le plonger loin dans ma fente baveuse. Je pousse un gémissement de bonheur. Il me masturbe et j'entends des clapotis de plaisir, parvenir de mon entrejambe.
Il délaisse Fabien d'un coup.
Il se fait de la place en poussant la table avec *** dos et plonge *** visage entre mes cuisses.
Fabien apprécie ce qui se passe et ne s'en cache pas. Mais dans ses vapeurs d'alcool, j'aime moins sa façon de me parler.
« Ouii ! Tiens salope ! Suce-moi bien à fond, ma petite trainée ! T'aime ca, hein ? T'aime ca, te faire bouffer la chatte par un inconnu, hein ? Putain ! »
Il s'excite tout seul et explose dans ma bouche en longs jets bouillonnants.
L'entendant jouir, le représentant relève la tête, la bouche brillante de cyprine.
« Hoo ! Vilain garçon ! T'aurais pu m'en laisser un peu ! »
S'en est trop. J'explose de rire. Il se relève, sourire aux lèvres, tandis que mon Piou-piou, vidé, retourne s'asseoir pour se servir une énième flute de champagne.
« Ah ! Ca te fait rire coquine ! Viens par ici, tu vas voir ! »
Il me prend par la main et m'attire vers notre chambre à coucher, laissant ma moitié écroulée sur sa chaise, un peu abasourdie par tout ce qui ce passe et par une surdose d'alcool.
Il est vrais que cela vas vite, très vite. Sans doute pour nous empêcher de reculer.
Ainsi, à peine dans la chambre, il m'enlace, m'embrasse et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, ma djellaba vole à l'autre bout de la pièce, me dévoilant entièrement nue, à la merci de *** regard.
Il se déshabille tout aussi rapidement, jetant ses affaires à droite et à gauche et il me prend dans ses bras encore une fois.
chrislebo

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#9,350
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Quelle étrange sensation d'être collée à ce corps nu, que je ne connais pas. Je sens *** phallus cogner le bas de mon ventre et glisser vers mon antre fiévreux.
Il m'assoit sur le bord du lit et descend replonger sa langue en moi. Il me bouffe, il me fouille, m'aspire, me boit... me fait craquer.
« Ho oui ! Encore ! Bouffe-moi à fond ! Fais-moi jouiiiir ! Ouiiiii !»
Je suis secouée par un violent orgasme. Je me jette en arrière, jambes relevées, mes cuisses enserrant sa tête. Le plafond tourne au dessus de moi...je vole.
Il se dégage de l'étau de mes jambes et se dresse debout, face à moi.
« Tu voulais m'étouffer, petite salope ! Je vais te défoncer le mollusque ! »
Je suis couchée dans mon lit, dans notre lit, celui là même ou nous avons conçu notre bébé, et je m'y fais baiser comme une putain, par un représentant en vin dont je ne sais rien, pas même *** prénom...et j'y trouve plaisir.
Il me pilonne en douceur, sans violence, de peur sans doute de me faire mal.
« T'aime ca, petite pute ! T'aime ca, te faire troncher, hein ? »
Fabien apparait au coin de la porte.
« Ho oui, elle aime ca ! C'est une gourmande ! Une bouffeuse de bites ! Hein, chérie ? »
Je ne réponds pas et me concentre sur mon plaisir.
J'atteints mon second orgasme en même temps que lui. Je prolonge cet instant divin, en me branlant le clito, et je finis épuisée et en sueur, mais heureuse.
Jean-Guy. Nous connais***s enfin *** prénom.
Il se dévoile un peu. Il a quarante cinq ans, marié, libertin depuis vingt ans mais fidèle. Il nous assure que c'est la première fois qu'il drague un couple sans Amandine, sa femme.
« Vous êtes un charmant petit couple. Continuez dans le libertinage. Je suis sur que vous y avez votre place et que vous y gagnerez beaucoup en plaisir. Mais n'oubliez pas cette règle essentielle : Rester fidèle, ne pas tromper, ne pas mentir. »
C'est sur ces mots qu'il prend congé. Il est une heure trente du matin.
Une fois couchée, Fabien me prend dans ses bras. Je me cale dans le creux de *** épaule. Je suis bien.
« Je suis désolé, Camille. Je n'aurais pas du laisser ce type te toucher. J'ai honte. »
« Pourquoi ? Ca t'a plu, non ? Tu étais super excité. Et puis tu n'avais pas toute ta tête. Tu as bien forcé sur l'alcool. »
« Non, Camille. Je ne veux pas te mentir. Je n'étais pas saoul et très lucide. Je faisais semblant, pour te voir entre les mains de ce type...Tu étais si belle, si sexy, si... »
« Et si je te disais que ca m'a plu, et que je veux renouveler l'expérience ? »
« Faut voir. Mais un couple alors. J'aimerais bien me tirer une bonne grosse truie, bien vicieuse. »
« Heuuuu ! Bon ! D'accord, mais une moche alors ! » Hihihi ! »
« Hum ! Petite salope ! Viens là, que je te baise comme tu le mérite ! »
Nous chahutons un petit instant, avant de refaire l'amour une heure durant.
chrislebo

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#9,351
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La semaine suivante, Fabien est de nuit. La plus longue, la plus dure pour moi comme pour lui. Il part tard, rentre tôt, et entre les deux j'essais de dormir dans ce grand lit froid.
Parfois, pour trouver le sommeil, je me masturbe en pensant à lui. Mais cette semaine, c'est à Jean-Guy que je pense et à cette étrange soirée. Je n'en ressens même pas de honte, mais je préférerais tellement avoir mon Piou-piou près de moi.

Puis vient la semaine de matin. J'adore ces horaires là. Ca me permets de l'avoir pour moi, l'après midi et la nuit.
Nous reparlons souvent de cette singulière et inattendue rencontre avec Jean-Guy et de l'aventure coquine qui s'en est suivi. Nous en rigolons beaucoup, n'osant avouer à l'autre que le fait de ce le remémoré fait monter la libido en flèche. Les gros câlins qui suivent, le prouvent bien.

Puis la roue tourne et nous revoilà déjà à la semaine d'après midi.
Nous sommes jeudi. Fabien prépare *** sac avec *** casse croute, puis, vers treize heures trente, il me laisse à mon triste sort.
Je m'installe devant la télé et me prépare à regarder un navet de plus, quand on ***ne à la porte. Je suis persuadé que c'est Fabien qui a encore oublié quelque chose.
« Tête en l'air ! Qu'est ce que tu a encore... Oh ! C'est vous. »
C'est Jean-Guy. Il est accompagné d'un autre homme qui ne doit pas être loin de la retraite. Ils ***t superbes dans leurs costumes, cravates. C'est la grande classe, j'avoue.
A leurs pieds, deux cartons de ce que je pense, à juste titre, être du vin.
Surprise par cette visite inattendue, je laisse la porte juste entrebâillée.
« Fabien vient juste de partir. »
« Oui, je sais, je guettais *** départ pour monter. Je ne voulais pas qu'il pense que... Enfin, bref ! Je viens vous livrer le vin. Il y a six cartons. »
« Vous pourriez revenir quand il sera là ? »
*** collègue pousse un « Pffff ! » retentissant.
« Vous êtes bien gentille ma p'tite demoiselle, mais on vous a déjà monté deux cartons. En plus demain on change de secteur. »
Je suis troublée de revoir cet amant d'un soir. Mon cœur va exploser tant il bat fort et mes jambes tremblotent. Quelle idiote je fais.
« Bon ! Ben... entrez ! Vous n'avez qu'à les déposer à la cuisine, dans le coin au fond. »
Ils les posent et redescendent en chercher d'autres.
Je ne sais pas si je suis contente ou pas de le revoir. Je ne sais pas non plus si je veux qu'il reste un peu ou qu'il parte. Puis, j'essais de me ré***ner. Qu'est ce que je risque ? Il n'est pas tout seul.
Ils reviennent avec le deuxième lot de cartons et s'apprêtent à redescendre une fois de plus.
« Un café ? Vous voudrez un café ? »
Qu'est ce qui m'a prit de leurs proposer. C'est lui qui répond.
« Avec plaisir ma petite Camille. Tu es adorable. »
Il me tutoie devant *** collègue ? Il a du lui dire que je n'étais pas qu'une cliente. Qu'est ce qu'il a bien pu lui raconter ? Que je suis une amie ? De la famille ? Une nièce, peut être ?
Je remplis la cafetière lorsqu'ils remontent. Ils vont au fond de la cuisine déposer les cartons avec les autres.
« Mince ! J'ai oublié le bon de livrai*** dans la voiture. »
« Quand on a pas de tête, mon bon Georges, il faut des jambes. Haha ! »
« Ouai ! T'a rai***. Pfff ! Je reviens. »
Me voilà seule avec lui. Si ca se trouve, tout était organisé.
Je tremble comme une feuille et il s'en aperçoit.
« Tu a froid ? Ce n'est pas moi qui te fais peur, tout de même ? »
« Non, non ! Ce n'est pas ca. C'est que... »
Il se glisse dans mon dos, m'enlace et m'embrasse tendrement dans le cou.
« Je suis muté dans le midi. Nous ne nous reverrons surement plus jamais. J'ai fais des pieds et des mains pour pouvoir te livrer et te revoir une dernière fois. »
« Mais...Fabien ! Il y a Fabien et je... »
« Je ne te plais pas ? Tu ne veux plus... »
Je me retourne et je me noie dans *** regard. Je craque et passe mes bras autour de *** cou.
« C'est pas la question Jean-Guy. Mais il y a Fabien et Amandine aussi. Nous n'avons pas le droit de faire ca dans leurs dos. Rester fidèle, ne pas tromper, ne pas mentir. Ce ***t tes propres paroles ! »
« Amandine ? Mais il n'y a pas d'Amandine, je ne suis pas marié, ni échangiste. Mais par contre j'aime le cul. Ca c'est vrais. »
Je suis terrassée par ce que j'apprends. Je le lâche et tente de le repousser.
« Tu n'es qu'un sale menteur ! Pourquoi t'a fais ca ! »
« Mais pour te baiser ma chérie ! Te baiser et sucer ton mec. J'adore ca. Tu vas aimer tromper ton mec, le faire cocu, tu vas voir. L'interdit est tellement excitant !»
« T'es qu'un gros pervers ! »
« Non, pas gros ! Mais pervers... Oui, c'est sans doute vrai, mais tu adore, non ? »
« Ca y est, j'ai le bon de... Oh ! Pardon, je... »
*** collègue surprend Jean-Guy qui m'enlace encore.
« Non ! Il n'y a pas de problème Georges. Asseyons-nous. Ton petit café est prêt Camille ? »
Je n'ai jamais été aussi gênée. Que doit penser Georges. Que lui a dit Jean-Guy à notre sujet ? Je vais le savoir très vite.
J'apporte les tasses, puis le café brulant. Je me penche un peu pour le servir et Jean-Guy, sans aucune gêne, me met la main aux fesses et me caresse outrageusement.
« Alors, Georges ! Elle n'est pas comme je te l'avais dit ? »
« Ha si ! Camille, tu es une jolie poupée. Vraiment.»
« Et pas farouche en plus ! Hein, mon ange ? »
Contrariée, honteuse et intimidée, je ne réponds pas et retire sa main baladeuse.
« Et tu sais, elle est encore plus bandante quand elle sourit. »
S'en est trop.
« Arrête Jean-Guy ! Qu'est ce que tu cherche à la fin ! »
Pas impressionné du tout par mon petit coup de gueule, il m'attire à lui et m'assoit sur ces genoux.
« Toi, ma chérie ! C'est toi que je cherche ! C'est toi que je veux ! Et toi aussi, tu le veux ! »
Une main sur mon ventre, l'autre sur mes seins et *** souffle dans mon cou, suffirons à me faire rendre les armes.
Je me tourne vers lui, l'embrasse et lui glisse à l'oreille, tout bas :
« Mais...Georges ? »
Il éclate de rire.
« T'inquiète pas ! Le vieux est encore vert ! Il va te faire grimper aux rideaux ! Hein, mon vieux Georges ? »
« Je veux ! Tiens, regarde un peu ca, ma p'tite poupée ! »
Après avoir déboutonné sa braguette, Il se lève et me balance une queue magnifiquement bandé, sous mon nez.
J'imagine que s'il agit ainsi, c'est qu'il a été mis au courant de nos frasques passées.
Si j'ai bien compris, si je veux refaire l'amour avec le type qui pourrait être mon père, il me faudra aussi me taper celui qui pourrait être mon grand père.
Honteuse, je détourne les yeux.
Jean-Guy change alors de ton et devient plus tendre, plus câlin aussi. Il passe une main dans mes cheveux puis, me caresse tendrement la joue.
« Tu a peur ? »
« Un peu, c'est si soudain, et puis il y a Fabien, non ? Et puis je te l'ai déjà dis, que fais tu de la règle que tu nous as donné à suivre ? Ne pas tromper, ne pas mentir ! »
Il me sourit, prend ma main et la pose sur la verge de *** ami.
« Dis-toi qu'il y a exceptions à toutes règles. Aujourd'hui, tu en a la preuve. »
Il m'attire et m'embrasse avec passion, tandis que ma main, presque sans s'en rendre compte, enrobe et caresse doucement le sexe de Georges.
Puis, je suis mise debout et Jean-Guy défait une fois de plus, les longs lacets de mon col.
« Ma parole ! Tu n'enlève ta djellaba que pour baiser ! »
« Idiot ! Embrasse-moi encore ! »
Georges, tombe à genoux et tandis que mes seins ***t libérés tour à tour, il remonte ses mains de mes chevilles à mes cuisses, tout en caressant mes jambes. Puis il glisse sur mes fesses et monte encore, soulevant le tissu au dessus du mon ventre.
« Dieu que c'est beau ! »
Il l'embrasse, le lèche et y plaque sa joue tendrement et s'y frotte doucement. Une de ses mains s'égare entre mes cuisses entrouvertes. Le contact avec mon sexe, fini de m'achever et toutes les barrières tombent d'un coup.
J'ôte moi-même ma djellaba et je fris***ne de plaisir de me montrer ainsi nue à ces deux hommes. J'aime ca. Je dois être folle.
Georges se relève, retire sa cravate et commence à déboutonner sa chemise. Je n'hésite pas et je l'aide.
Lorsque j'enlève sa chemise, je découvre un corps qui devait être athlétique à une époque. C'est encore un fort bel homme. Une belle fourrure blanche recouvre un torse bronzé, comme au plus fort de l'été.
« Tu aime les hommes velu ? »
Je me sens rougir.
« Je ne sais pas. »
« Touche ma poupée ! N'ai pas peur ! »
Je pose ma main à plat sur sa poitrine. La sensation est étrange, mais agréable. Je fais glisser mes ongles dans cette forêt de poils. Il sent bon.
Je touche un de ses tétons. Il pointe. Je me penche et le suce un instant tout en l'aidant à ce débarrasser de *** pantalon.
Durant tout ce temps, Jean-Guy, nous laisse faire connaissance et se déshabille seul.
Je ne sais pas comment, mais très vite je me retrouve allongée dans mon lit. Les hommes ***t penchés sur moi, m'embrassent, me caressent et me sucent les seins, la chatte. Je me sens bien, détendue. Je crois que je suis heureuse jusqu'à ce que Jean-Guy ne reprenne le contrôle.
« Camille ! Fou toi à quatre pattes ! »
Humm ! Enfin ! Ils se décident à me prendre. J'en mouille d'envie.
Mais... Un crachat éclabousse mon anus et Jean-Guy y étale sa salive.
« Non ! S'il te plaît ! Je n'aime pas ca ! »
« Moi si. Ne t'inquiète pas. Tu n'aime pas parce que tu ne connais pas. Détends-toi, je vais m'occuper de ton cul. Tu sais, je suis venu pour ca et je ne repartirais pas sans t'avoir enculé, ma belle salope. »
Georges est à genoux devant moi. Il appuie doucement sur mon crane, m'invitant à le sucer.
La bouche pleine, je ne peux plus protester et une main bloque mon dos, m'empêchant de fuir.
J'ai très peur d'avoir mal, alors, j'écoute Jean-Guy et je me détends le plus possible.
Il est doux et prend *** temps. Il commence par *** petit doigt et crache sur ma pastille jusqu'à me pénétrer sans ******. Mais ce n'est qu'un auriculaire.
J'angoisse quand se sera *** pouce, ou pire, sa verge.
Mais soudain, il aperçoit un pot de Nivea sur ma table de nuit.
« Voilà exactement ce qu'il me faut. Détends-toi. Respire. »
Tandis qu'en grande quantité, il enduit mon cul de crème, Georges me demande de cesser ma fellation.
« Du calme ma poupée ! Moi aussi je veux te sauter. Et puis je n'aimerais pas que tu me mordes quand il va te remplir le fion. Haha ! Ne t'inquiète pas. Ca va bien se passer. Respire à fond et détends-toi. »
Je sens soudain le dard de Jean-Guy qui pousse sur mon trou de balle. Le gland me pénètre difficilement. Il se retire.
« C'est bien, continue comme ca et tu ne sentira rien. »
Il me remet une grosse couche de crème et revient à la charge.
Je respire un grand coup et pousse pour dilater mon cul.
Je me sens tout à coup, remplir en douceur. La queue se fraie un chemin en moi, lentement.
Georges me fait un grand sourire.
« Ben voilà ! Tu vois ! Tu y es arrivée, poupée ! Respire fort, le meilleur est à venir. »
Le membre recule et j'ai la sensation que tout mon antre est aspiré vers l'extérieur.
« Houu ! Arrête ! Je vais...je vais... »
Jean-Guy ricane et commence un mouvement de va-et-vient.
Soudain, le plaisir m'envahit. Un plaisir nouveau, différent, mais d'une étonnante puissance.
« Ho ! Jean-Guy ! Ne t'arrête pas ! Humm ! C'est bon ! Ouiii ! Défonce-moi ! Encule-moi fort ! »
Encouragé par ma demande, il accélère la cadence, m'arrachant des cris d'extases.
Arrivé au bout de *** excitation, il éjacule au fond de mes entrailles.
« Ouii, je viens ! Prends tout, salope ! T'aime ca, hein ! Petite chienne ! »
« Ho ouiii ! C'est bon ! Remplis-moi bien ! J'en veux encore ! Donne-moi ! Donne-moi ! »
Ses couilles ***t vides. Il se retire doucement et je m'écroule sur le coté, haletante.
« Humm ! Tu as aimé chérie ? »
« Ho oui, Jean-Guy ! C'était délicieux, vraiment. Je suis épuisée.»
Georges s'allonge sur le dos, près de moi.
« Hé poupée ! Tu ne vas pas m'oublier, j'espère ! Tu me fais bander comme un cheval. Allez, viens là ma belle ! »
Je l'enjambe et m'empale sur lui, faisant disparaitre *** pilon entre les chairs de mon vagin. Je suis trempée, bouillante.
Georges a les yeux qui brillent. Il malaxe mes seins, perdant un peu le contrôle lorsqu'il pince mes tétons.
« Hoo ! T'es bonne poupée ! Hummm ! T'es si belle ! »
Je m'agrippe à sa toi*** blanche et accélère le mouvement. Pas trop, pour ne pas bousculer mon bébé.
Je sens mon cul se vider sur ses couilles. Ca ne semble pas le gêner. Et soudain !
« Ouii ! Je viens ! Jouis avec moi, petite pute ! Jouis ! Hiaaaaa ! »
Je sens deux grandes giclées s'écraser contre mon utérus. Pour ne pas le décevoir, je feins de jouir comme une folle. Jean-Guy m'a vidée de toutes mes ****** et il ne me restait plus grand-chose pour ce pauvre papi.
Ils se rhabillent et je renfile ma djellaba. J'ai un pincement au cœur lorsqu'ils me demandent de signer le bon de livrai***. Je sens bien qu'une page se tourne.
Georges m'embrasse tendrement et se dirige vers la porte.
Jean-Guy, m'enlace une dernière fois et me sert contre lui.
« Promets-moi de devenir une belle et bonne salope. Promets-le. »
« Une salope ou une libertine ? »
« Hum ! C'est bien. Tu semble faire déjà la différence. Prends soin de toi Camille. Je ne t'oublierais pas. »
Je m'appuis à la porte qui vient de se refermer.
J'essuie une larme.

Vingt deux heures trente. Fab rentre du travail.
J'essais tant bien que mal de cacher mon mal être.
Pas facile de regarder celui qu'on aime quand on a fait ce que j'ai fait.
« Tient ? On nous a livré le vin ? »
« Oui, c'est un transporteur qui l'a amené. »
« Ha bon ? Sur le bon de livrai***, c'est indiqué Livrai*** effectuée par monsieur Jean-Guy Dallon et monsieur Georges Beaumon ! »
Aussi étrange que cela paraisse, il ne cherchera pas à en savoir plus.
chrislebo

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#9,352
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J'entame mon dernier mois de grossesse. Mon appétit sexuel ne s'en est pas calmé pour autant. Bien au contraire. J'ai envie de faire l'amour du matin au coucher.
Fabien, fatigué par *** boulot, essai de me contenter au mieux. Pauvre chéri. C'est loin d'être suffisant.
Depuis quelques jours, j'ai très envi de retenter une expérience sexuelle avec mon Piou-piou. L'idée de le faire avec un couple a fait *** chemin et j'aimerai bien en trouver un.
C'est pourquoi je passe des heures sur le net, à la recherche d'un bon site de petites annonces coquines. Je ne suis pas très douée en informatique, pourtant, j'ai déniché ce que je cherchais.
Je ne pensais pas en trouver autant. Il semble que la France entière soit coquine et à la recherche de partenaires sexuels. Je lis des dizaines, voir même des centaines d'annonces, toutes aussi alléchantes, qu'excitantes. Je ne peux pas m'empêcher de me masturber en les épluchant et je multiplie les jouissances solitaires depuis plus de deux jours.
N'y tenant plus, je rédige moi aussi une annonce. J'hésite à l'envoyer sans en faire part avant à Fabien.
Le soir venu.
« Piou-piou, viens voir. J'ai envi de déposer une annonce. Je l'ai déjà rédigée. »
« Putain ! T'es en chaleur toi ! Tu ne pense vraiment qu'à ca. Allez, fais moi lire. »
---Jeune couple (futur parent) débutant, cherche couple compréhensif pour première expérience échangiste. ---
« Bof ! Tu peux toujours essayer, si tu crois que ca peut le faire. Moi, je n'y crois pas trop. »
J'appuie sur la touche ENTER.
« C'est parti ! »
« Tu es folle, ma petite pouffe à moi ! Viens là que je calme ta petite chatte en chaleur. »
« Hiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

Le lendemain, j'ouvre fébrilement ma boite e mail.
Rien.
Ma déception est grande. Je la laisserais ouverte toute la journée, à l'affût du moindre message.
Lorsque rentre Fabien du travail, j'éteins l'ordi. Pas question de lui montrer que je guette une réponse. Mais juste au moment ou j'appuis sur le bouton, je vois un intitulé de message : « Suite à votre annonce. » Trop tard, l'écran devient noir.
La nuit est longue, interminable. Pour la première fois, j'ai hâte de voir partir mon homme.
Dès que la porte se referme sur lui, je saute sur l'ordinateur. Et là, quelle n'est pas ma surprise de voir s'afficher des dizaines de « Suite à votre annonce. ». Je n'en crois pas mes yeux. Cinquante six réponses.
Je commence ma lecture. Et je découvre, bien que j'aie demandé un couple, que la plupart des réponses ***t rédigées par des hommes. Certaines ***t sympa, d'autres vulgaires ou très douteuses.
Trois quart d'heure plus tard, seule une réponse correspond à ma recherche.

---Bonjour. Nous sommes un couple marié, un enfant. Nous pratiquons l'échangisme depuis plusieurs années déjà. Votre annonce nous a séduite. Nous suppo***s, que le fait d'indiquer « futur parent », cherche à signaler que madame est enceinte. Si c'est le cas, soyez sans crainte, monsieur est doux, tendre, attentionné et adore les futures mamans. D'après votre profil, nous ne pen***s pas être très éloignés de chez vous et ce serait une grande joie de vous recevoir dans un cadre agréable et chaleureux. Nous savons combien il est dur de franchir le pas, aussi, si ce soir là vous décidiez de ne rien faire, nous respecterons votre volonté, et nous passerons quand même une excellente soirée. Nous pourrions vous joindre des photos, mais nous trouvons que cela retire du charme à la découverte de l'autre. Nous espérons avoir une réponse de votre part. En attendant, permettez nous de vous embrasser très tendrement. Christine et Tristan. Notre téléphone : xxxxxxxxxx---

Ca va être très long d'attendre le retour de mon chéri pour lui montrer ca. Je tourne en rond, relis le message, fais du ménage, relis encore et encore.
Je n'y tiens plus. Tremblante, Je compose le numéro. Deux ***neries, puis, une voix de femme me répond.
« Allo ? »
« Allo, Christine ? Bonjour. Excusez-moi de vous vous déranger, vous avez répondue à notre annonce. Vous savez ? Le couple futur parent. »
Je me sens idiote. Je bafouille et n'ai plus la moindre goutte de salive. Elle doit le sentir et s'en amuse.
« Hihi ! Oui, je vois très bien, mais détendez vous, il n'y a rien de grave. Nous sommes entre amies. D'accord ? »
« Oui, excusez moi, je suis intimidée. »
« C'est mignon comme tout. Comment vous appelez vous ? »
« Camille et mon ami Fabien. »
« Et bien, Camille et Fabien, accepteriez vous de venir à la mai***, di***s...samedi soir vers neuf heures ? Nous ferrions connaissance et si nous nous sentons bien ensemble, nous vous aiderons à aller plus loin. Ça vous va ? Rassurez-vous, rien n'est obligé. C'est une règle.»
« Il faut que j'en parle à Fabien, mais je pense qu'il sera d'accord. »
« Très bien ! Tutoyons-nous si tu le veux bien. Je te laisse notre adresse en message et tu me répondras pour me dire si ca marche ou non. Ok ? »
« D'accord Christine, je te répond ce soir. Bisous. »
Bisous ? Je lui ai dit bisous ? La honte. Elle va me prendre pour quoi ? Une fille facile ? Une lesbienne ?
Je suis stupide, elle ne va rien penser du tout. Il faudrait bien que je me calme, moi.

C'est le samedi le plus long de toute ma vie. Les heures ne tournent pas. Fabien aussi tourne en rond. Il est nerveux.
Je l'ai habillé d'un magnifique jeans, très classe et d'un pull fin qui dessine bien *** corps de champion. Moi, j'ai passé une robe gitane, très colorée, et un débardeur très ample, tenu par de fines bretelles et avec un décolleté très large qui met ma poitrine en valeur. Bien que je ne supporte plus les élastiques, j'ai tout de même passé des dessous en dentelle et un porte jarretelle spécialement étudié pour les femmes enceintes. Ronde, mais sexy.

Vingt et une heures. Nous nous présentons à l'adresse indiquée. C'est une belle mai***, tout en longueur, située au fond d'une cour entre deux immeubles. Je n'aurais jamais imaginé qu'il puisse y avoir telle chose dans ce quartier.
Fabien cramponne une bouteille de champagne que nous avons payé une fortune. Pas question de faire mauvaise impression.
« Tu es prête ? »
« Heuu ! J's'ais pas. ! »
Il approche *** doigt de la ***nette et appuie. Nous attendons quelques secondes et la porte s'ouvre.
Elle s'ouvre sur un homme d'au moins un mètre quatre vingt cinq. Un géant à coté de moi et de mon mètre soixante deux. Une fois de plus, il est beaucoup, beaucoup plus vieux que moi. Il doit avoir au moins soixante ans. Je dois être abonnée.
Ceci dit, ca reste un très bel homme. Il est très souriant et dès ses premiers mots, je décèle un accent venu, je pense des pays de l'Est. La Hongrie peut être.
« Haa ! Voilà la belle Camille et... Florian ? C'est bien ca ? »
Il se penche et me fait la bise.
« Heu ! Non, moi c'est Fabien. »
Il lui donne une poignée de mains énergique.
« Ho ! Je suis désolé. Entrez, que je vous présente le reste de la famille. »
Fabien profite qu'il détourne le regard pour me chuchoter quelques mots.
« Il est vieux ! Je n'ai pas envie de me taper une vioque, moi ! »
« Fabien ! Chuttt ! Il pourrait t'entendre ! »
Nous pénétrons dans une grande salle à manger très rustique, avec des poutres au plafond. C'est très chaud, très beau, décoré avec beaucoup de gout.
« Christine, viens chérie ! Ils ***t arrivés ! »
Le visage de Fab se décrispe d'un coup, lorsque d'une porte au fond de la salle apparait une magnifique femme brune, d'une quarantaine d'années seulement. Elle est tout simplement sublime. *** sourire est radieux et elle semble d'une douceur incomparable.
« Houu ! Comme vous êtes beaux tout les deux ! Bienvenue ! Je suis ravie que vous soyez là. »
Elle fait la bise à mon homme ravit, elle fait de même avec moi et pose sa main sur mon ventre tout en me serrant contre elle.
« Magnifique ! Tu me rappelle de bons souvenirs, tu sais ? Ho, je suis jalouse de toi, ma chérie ! Hihi ! »
« Maman ! Je suis prête ! »
Une petite puce dévale un escalier et se jette dans les jupons de sa mère.
« C'est ma fille Justine. Je vous laisse deux minutes. Je l'emmène chez une amie, juste à coté. Tristan, mets nos invités à l'aise, veux tu ? »
« Bah ! Oui, bien sur ! Suivez-moi, pas***s au salon. »
Nous entrons dans une grande pièce.
Une cheminée crépite et jette des reflets de lumière en mouvement sur les murs. Lumières tamisées et indirectes, plantes grasses un peu partout et sol couvert de fourrure, font de ce salon un endroit ou il fait bon vivre.
D'instinct, nous retirons nos chaussures.
« Que diriez-vous de nous asseoir par terre devant la cheminée ? Camille, je te donne un siège si tu le désire. »
« Ho non ! Cette fourrure m'a l'air trop douillette. »
Christine nous rejoint et se pose près de moi, face à Tristan et Fabien.
« Voilà ! Nous sommes tranquilles. Vous verrez, il faut savoir s'organiser avec un enfant, mais c'est génial. Allez, champagne ! »
Doucement, nous nous détendons. Ils ***t super gentil et nous mettent à l'aise. Nous parlons de choses et d'autres, comme par exemple leur différence d'âge.
« Tristan est entré par hasard dans ma vie et au bon moment. Je ne me suis pas posée la question de savoir quel âge il avait. C'était lui, c'est tout. Celui avec qui je voulais un enfant. Et voilà. Et puis, il m'a apprit tant de chose.»
« Ha oui ? Comme quoi par exemple ? »
Je viens de perdre une occasion de me taire.
« Comme l'amour, le sexe, la pluralité, les hommes bien sur, mais aussi les femmes. »
Elle se rapproche de moi et *** épaule touche la mienne.
Les flammes se reflètent dans *** regard troublant. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, se rapprochent des miennes et s'y déposent avec tendresse.
C'est sans contexte, le plus doux de tous les baisers qui m'ont été donnés.
J'aperçois Fabien. Il fait des yeux tout ronds et ne se rend pas compte qu'il a la bouche ouverte.
Tristan le sort de sa rêverie.
chrislebo

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#9,353
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« Bon ! Les enfants ! Vous ne trouvez pas qu'il fait très chaud ici ? Que diriez-vous de nous mettre à l'aise. »
Je me sens rougir d'un coup et mon cœur se met à battre la chamade.
Les deux hommes se lèvent et commence à se déshabiller.
Devant mon hésitation, Christine vient à mon secours.
« Ma petite Camille a peur ? Ce n'est pas grave. Reste habillée. Rappelle-toi, rien n'est jamais obligé. Mais aides moi à descendre la fermeture de ma robe. Tu veux ? »
Nous sommes à genoux. Elle se tourne et je fais glisser la fermeture éclair jusque dans le creux de ses reins.
Ma main s'égare un instant sur *** dos. Je le caresse doucement. Sa peau est si douce.
Lentement, je fais glisser sa robe sur ses épaules, puis elle tombe sur la fourrure.
Christine se retourne et se dévoile entièrement à moi, mais aussi aux hommes qui viennent de se rasseoir.
Elle ne porte aucun sous vêtement. Ses seins *** magnifiques et je suis sur, très fermes. *** sexe est rasé de près, mais subsiste un petit rectangle de poils bien taillés.
Dans sa nudité elle est splendide. Quelle femme !
La discussion reprend comme si rien ne c'était passé. Tristan ouvre une autre bouteille de champagne. Je dois refuser gentiment de reprendre une coupe, mais pas Fabien. Je le sens énervé, excité. Il me fait rire.
Tristan me fait un peu penser à Georges, mais en moins poilu. Il est en érection et ne s'en cache pas. Pourtant, il ne me regarde pas plus que ca. C'est la nudité de *** épouse qui doit le faire bander ainsi.
Ma fierté en prend un coup. Quitte à bander, autant que ce soit grâce à moi et pour moi.
« Christine, tu veux bien m'aider ? »
« Avec plaisir ma chérie ! »
Une minute après, je ne suis plus couverte que de mon porte jarretelle.
Tristan s'intéresse enfin à moi.
« Tes rondeurs de femme enceinte te vont à merveille. Tu es jolie comme un cœur. »
« Tristan ! Je te trouve bien maladroit ! Camille préférerais surement afficher une silhouette plus fine ! »
« Ben moi, ca me plait ! »
Il s'assoit près de moi, passe un bras autour de mon cou et caresse mes seins. *** autre main se pose sur mon ventre et il m'embrasse fougueusement.
« Bien ! Mon pauvre Fabien, je crois bien qu'on nous abandonne. Viens, mettons nous là. »
Ils se déplacent et vont deux ou trois mètres plus loin. Je vois Christine se pencher et prendre Fab en bouche. Lui, en arrière, appuyé sur ses bras, semble aux anges.
Tristan m'allonge avec délicatesse sur la fourrure et se colle à moi. Je sens sa queue dure contre ma cuisse.
Il effleure ma joue avec tendresse puis me caresse sans précipitation, calmement.
« Comment te sens-tu, Camille ? Bien j'espère ? Nous ne sommes pas bien, là ? Non ? »
« Ho si ! Je suis détendue. Vous êtes si gentils tout les deux. »
Je passe ma main dans sa nuque et attire sa bouche à la mienne. Nous nous embras***s tendrement, longtemps, très longtemps.
Puis, plongeant *** regard dans le mien.
« Tu sais petite, à mon âge on a peu de chance de tenir un corps aussi jeune dans ses mains. C'est un vrai cadeau que tu me fais. »
« Pffff ! Je suis complètement déformée par ma grossesse. Christine est plus désirable que moi ! Non ? »
« Christine est désirable, c'est vrais. Mais elle a quarante ans. Toi, vingt. »
Je lui fais un grand sourire.
« Dix huit. »
« Houu ! Viens ! Je te veux mon trésor ! »
Il s'allonge sur le dos et m'invite à l'enfourcher. Mais je suis bien décidée à faire durer ce moment de pure tendresse, le plus longtemps possible.
Je reste de coté et l'embrasse de nouveau, puis je fais promener ma bouche et ma langue, de ses oreilles à *** cou. De *** cou à *** poitrail. De celui-ci à *** ventre et enfin à *** sexe excité, dressé comme un obélisque.
Il est impressionnant de dureté. Lisse et veiné, il est très appétissant. C'est avec un plaisir non dissimulé, que je le fais glisser entre mes lèvres humides. Je lèche sa tige et suce ses couilles avec toute ma tendresse.
Prise dans mon tourbillon sexuel, je continu, plus bas.
Jamais je n'ai fait telle chose auparavant, même avec Fabien.
Je prends plaisir à lécher et aspirer *** périnée, avant de plonger ma langue entre les plis de sa pastille brune.
« Rhaaaa ! Camille, Hooo ! Tu vas me rendre fouuuu ! Hummm ! C'est trop bon ! »
Fière de moi, je remonte et reprends ma fellation.
« Viens là, mon bébé ! Sinon, tu vas me faire jouir avant que je te baise ! Ouchhh ! T'es trop bonne, petite ! Viens vite ! »
Je prends pitié de lui, et me glisse sur *** corps, embrassant et léchant au passage *** nombril et *** ventre. Je frotte le mien contre sa queue encore humide de ma salive et je l'enfourche enfin.
Il s'enfonce sans effort dans mon vagin distendu par mon état.
« Hummm ! Rien de vaut la chatte d'une femme enceinte. J'adore cette sensation ! Ouiii ! Enfonce-toi encore. Harggg ! »
Je monte et descend doucement le long de sa tige. Très vite, mon plaisir grimpe en flèche. J'ai envi de le partager du regard avec mon homme. Mais il semble très occupé. Couché sur Christine, il semble avoir de la peine à la pénétrer.
« Reste avec moi, petite fille ! C'est avec moi que tu baise. Lais***s les de leurs cotés. »
Il a rai*** et je me laisse couler dans un lac de jouissance.
« Tes seins ! Tes seins ! Ils me rendent fou ! Tu es si belle, si... ! Houchhhhh ! »
Il se contracte soudain et je me sens envahie de sa liqueur chaude et grasse.
Sa jouissance est forte et j'ai un énorme orgasme tout de suite après lui.
Je m'écroule sur le coté, épuisée.
Christine nous rejoint.
« Alors ma chérie, il t'a bien rempli ? »
« Hi-hi ! À ras bord, je crois bien ! »
« Humm ! Fais voir ca ! »
Elle s'allonge sur le ventre, entre mes jambes, et plonge sa langue dans ma fente. Elle me lèche, aspire le jus, joue avec mon clito et me fait jouir de nouveau.
Au fond de la pièce, j'entrevois Fabien, seul. Ça n'a pas l'air d'aller fort. Je devrais m'inquiéter, mais mon plaisir me submerge et je me fou un peu du monde qui m'entoure.
La soirée se termine comme elle a commencé, pleine de tendresse et de douceur.
Sur le chemin du retour, je questionne mon homme.
« Qu'est ce qui c'est passé ? Tu n'a pas l'air satisfait. Ce n'était pas un bon coup ? »
« Non, c'est pas ca. C'est moi qui ai merdé. Je n'ai pas eu la moindre érection. *********, elle a été déçue et moi j'ai eu la honte de ma vie. Surtout quand elle m'a dit de l'excuser, parce qu'elle avait soif de foutre. C'est là qu'elle est venue te bouffer la chatte. Franchement, pour moi, ca n'a pas été une expérience inoubliable. »
Étrangement, arrivés à la mai***, tout rentre dans l'ordre et il me baise rageusement sur la machine à laver.
chrislebo

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#9,354
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Romain est né voilà quatre mois. Nous avons déménagé et habitons un bel et grand appartement, dans un quartier très sympa.
Tout va bien. Une nouvelle vie commence.
Bien sur, j'ai plus de travail à la mai***, mais ce n'est pas bien grave. Je suis très heureuse d'avoir mon bébé, mais j'apprécie quand même le moment ou il s'endort, l'après midi.
Un moment de calme et de répit que je consacre, la plupart du temps, à l'ordinateur.
Mon appétit sexuel c'est calmé depuis mon accouchement. Pourtant, depuis deux trois jours, je surf sur des sites pornos et je dois dire que ca me plais beaucoup.
Sans arrières pensées, je relis aussi toutes les réponses reçues à la suite de mon annonce. Ça fini par m'exciter et je me touche en les relisant.

--- Je suis un homme mûr de 62a, bon niveau, bien physiquement (1m78 / 65kg), viril, très bien membré. Je suis disponible pour une rencontre très hot avec un couple amateur de jeux coquins. J'aime regarder, caresser, lécher et sucer longuement de belles fesses et une petite chatte avec gourmandise et délectation, offrir ma belle queue à vos jeux. Sans tabou, je serai votre complice actif et saurai répondre à tous ses désirs. Je reçois, en journée ou soirée, en toute discrétion, dans un appartement agréable et confortable. Hygiène, savoir-vivre et bonne humeur de rigueur !

--- Homme 45 ans. Très bonne situation. Élégant, correct, respectueux, cherche relation avec femme ou jf douce, jolie, très coquine mais bonne éducation. Bienvenu à couples coquin.

--- Je cherche aventure gratuite sans lendemain uniquement pour sexe soft avec femme de 18 à 45 ans en manque de caresses. Je suis libre en journée. Envoi photos sur demande sérieuse. A bientôt

--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas.

Lire toutes ces réponses me fait tourner la tête et me fait mouiller comme une salope.
Scenario sur mon lieu de travail. Qu'est ce qu'il entend par scenario ?
La curiosité me pique. Les annonces ***t accompagnées de numéro de téléphone ou d'adresse email. Pour celle-ci, il y a les deux.
Je ne risque pas grand-chose à téléphoner, surtout en mode privé.
Tremblante, je compose le numéro, espérant presque qu'il ne soit pas bon.
« Société Vilebor, Jérôme Durat, j'écoute ? »
« Heu ! Bonjour. Je ne sais pas si je m'adresse à la bonne per***ne. J'appelle au sujet d'une annonce. »
« Une annonce ? »
« Oui, enfin, non ! C'est au sujet d'une réponse faite à une annonce que j'avais déposé il y a cinq mois. Vous comprenez ? »
« Cinq mois ? Soyez plus clair, je réponds à beaucoup d'annonces, vous savez. »
« C'est...au sujet d'un scenario. Mais j'ai du me tromper. Excusez-moi. »
« Ne raccrochez pas ! C'est bien moi qui vous ai répondu. Je ne veux rien savoir de vous, juste quand vous êtes disponible. Un après midi de préférence. Ensuite je vous parlerais du scenario. »
« Heuu ! Je ne sais pas ! Di***s qu'après demain, je devrais pouvoir me libérer. »
« Très bien ! J'ai peu de temps à vous accorder, là. Donnez moi votre émail et je vous envois un courrier dès ce soir. Ça vous va ? »
Je lui donne l'adresse de ma messagerie per***nelle et il raccroche. Ouf ! J'ai eu peur, mais c'était terriblement excitant.

La journée passe et Fabien rentre enfin. Nous nous occupons de bébé, un film et au lit. Il ne faudrait pas que l'arrivé d'un enfant dans notre vie, nous plonge dans une monotonie triste à mourir. J'en parle à mon Piou-piou.
« Non, bien sur ! Tu a entièrement rai***. Il ne faut pas que ca nous empêche de sortir ou de voir nos amis. Avec les grands parents, il y aura toujours moyen de s'arranger. »
« Et puis pourquoi pas...nous pourrions refaire une expérience ! Non ? »
« Une expérience ? »
« Heu, oui ! Avec un couple, tu vois ? »
« Hahaha ! Ça te reprend ma chérie ? Tu sais, si c'est pour me retaper la honte, je n'aime autant pas ! »
« Mais nonnn, Piou-piou ! C'était juste une panne ! Rien de grave. Je te trouverai une belle blondinette. Tu veux ? »
« Bon ! Nous verrons. En attendant, viens là que je m'occupe de ton cas. »
Nous fai***s l'amour, mais mon esprit est ailleurs. Je ne peux m'empêcher de repenser à la petite conversation que j'ai eu avec cet inconnu, cet après midi.
Le mot « scenario » tourne et retourne dans ma tête.

Fabien est enfin parti au travail. Je n'aurais jamais cru qu'un jour, je puisse être pressée de le voir partir. Je m'occupe de bébé, puis nous nous installons à l'ordi.
« Voyons voir ce que nous dit ce monsieur, tu veux ? »
Fiévreusement, j'ouvre ma messagerie. J'ai encore quelques messages en réponse à mon annonce. Incroyable, après autant de temps.
Puis j'ouvre celui qui indique « Mon scenario »

--- Bonjour.
Si tu te sens toujours prête pour un scenario, voilà les instructions à suivre à la lettre.
Rends-toi jeudi à 16h au 3 rue Marcel Chossin, au siège de Vilebor Compagnie.
Présente-toi à l'accueil et demande le bureau de monsieur Jérôme Durat. L'hôtesse te demandera de la part de qui. Répond lui que tu représente la société 'Le fanion jaune'.
Je saurais ainsi que c'est toi. Après m'avoir prévenu, l'hôtesse t'indiquera le cheminement jusqu'à mon bureau. N'en tiens pas compte.
Voilà ton parcours
Après les portillons de sécurité, prends l'ascenseur de gauche et monte au dix-huitième étage. Prends le couloir de gauche et vas tout au bout. Ouvre la porte du fond et entre dans le petit amphithéâtre qui sert de salle de réunion.
Ne t'occupe pas des gens qui s'y trouveront surement. Per***ne ne fera attention à toi.
Traverse l'amphi par le haut et rends-toi aux toilettes pour hommes.
Rentre dans la troisième cabine et déshabille toi entièrement, chaussures comprises et dépose le tout sur le réservoir. Si tu a les cheveux longs, je les veux défait.
Ha ! J'oubliais ! Emmène une cravate et bande-toi les yeux.
Lorsque tu seras entièrement nue, yeux bandés, tourne toi vers le mur et penche toi au dessus de la cuvette des chiottes. Tu peux te retenir au réservoir. Écarte les jambes et attends.
Bien sur, laisse le loquet de la porte ouvert.
Entre le moment ou tu rentreras dans l'amphi et le moment ou tu devras être prête, tu auras cinq minutes, pas plus. Sinon, je te balance à poil dans l'amphi. Il te sera très dur de donner une explication valable.
Je te conseille d'imprimer mes instructions pour ne pas te tromper.
A jeudi. ---

« Houlà, mon bébé ! Tu crois que ta maman est capable de ca ? »
Mon tout petit gazouille.
« Ça veut dire oui, ca ? Hum ! Je te soupçonne de vouloir voir papi et mamie, toi ! »
La journée se passe normalement, excepté les pauses fréquentes que je m'accorde, pour relire le message.
Lorsque Fab rentre, je suis excitée comme une puce, et je lui fais savoir. Mais bien sur, j'en garde la cause pour moi. Ceci dit, il en est ravit. Il préfère une femme qui baise à une femme qui matte la télé, c'est sur.

Jeudi.
J'ai conduit mon p'tit bonhomme chez les parents de Fabien. Je lui ai raconté un blabla. Que j'allais trainer les magasins avec Valérie, ma meilleure amie. C'est grâce à elle que j'ai rencontré Fab. Ils ***t amis et c'est la secrétaire de mon cher beau papa.
Je me suis habillée de façon fonctionnelle afin de faire vite dans les toilettes.
Une robe d'été, string, pas de soutien gorge et un manteau.
Les bureaux se trouvent à l'autre bout de la ville, dans un quartier d'affaires. Je m'y rends en métro pour ne pas perdre de temps.
C'est en montant dans la rame, que je réalise que je ne me suis jamais posé la question, de savoir si j'irais.
Pour moi, ca a été évident dès le moment ou j'ai lu les consignes à suivre.
Je pénètre enfin dans le grand hall de l'immeuble. Au centre, un comptoir ou trois magnifiques hôtesses se partagent le travail. L'accueil.
De chaque coté du comptoir, des tourniquets comme dans le métro. Pour entrer, il faut se présenter.
Mon cœur commence à battre fort.
« Bonjour ! Je voudrais voir monsieur Jérôme Durat. »
« Oui ! De la part de qui, s'il vous plaît ? »
Et là...le trou noir. Je feins de chercher une carte de visite dans mon sac. Il faut que ca me revienne, que je gagne du temps.
« Votre nom ou celui de votre société suffira. »
Je suis en panique.
« Heuu ! Camille...Camille du drapeau jaune ! »
Je ne suis pas loin de me sauver en courant.
« Monsieur Durat ? Madame Camille du drapeau jaune désire vous voir. Oui, c'est ca, le drapeau jaune. »
Mes jambes flageolent. Dans quelle galère ai-je été me fourrer.
« Désolée, madame. Monsieur Durat ne connait pas le nom de votre société. »
Il faut que je me sorte de là.
« Ha bon ? Il ne connait pas le fanion jaune ? Bon...tant pis, je lui téléphonerais. »
« Oups ! Attendez madame ! Vous m'aviez dit drapeau, pas fanion ! Hihihi ! Je le rappelle. »
Merde ! Ça m'est revenu sans que je m'en rende compte. Ce coup là, je suis bonne pour aller jusqu'au bout.
L'hôtesse me dit que j'ai beaucoup amusé monsieur Durat, et m'indique comment me rendre à *** bureau et m'invite à passer le portillon.
Me voilà dans la place.
Je sors de ma poche, le papier que j'ai imprimé. Mince ! Je tremble comme une feuille.
Ascenseur de gauche. Un homme monte avec moi.
« Combien, mademoiselle ? »
« Heu ! Dix huit. »
« Je ne demande pas votre âge, mais l'étage ! Hahaha ! »
« Heuu ! C'est bien l'étage que je vous indique. »
Le con ! Il me fait rougir.
« Tout comme moi. C'est parti ! Excusez-moi, je voulais plaisanter. »
Pendant l'ascension, j'observe l'homme. Et si c'était lui ?
Lorsque la porte s'ouvre, il me salut et part sur la droite. Je suis tétanisée et je manque de repartir avec l'ascenseur. J'en sorts juste à temps.
Couloir de gauche. Dieu qu'il est long.
Je croise beaucoup d'employés. Je suis tellement mal à l'aise, que j'ai l'impression de ne pas marcher droit et que tout le monde me regarde.
Je parviens enfin à la porte du fond. Elle est doublée de cuir pourpre, avec des clous dorés tout autour.
Je la pousse. Je me retrouve dans une espèce de petit vestibule, avec une seconde porte. Je la pousse également.
Je pénètre dans l'amphithéâtre par le bas, et en pleine réunion.
Tous les yeux se tournent vers moi. J'ai la honte de ma vie. Je lâche un timide « Excusez moi ! » et je monte le long des rangées. Si j'en crois le message, il me reste cinq minutes.
Dans le haut de la salle, il y a une porte de chaque cotés.
A droite 'Toilettes femmes'
A gauche 'Toilettes hommes'
Je me glisse discrètement vers la porte de gauche. Mais un homme en sort. Je m'arrête net et fais semblant de fouiller dans mon sac.
S'il y a d'autres hommes à l'intérieur, comment vais-je m'y prendre ?
chrislebo

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#9,355
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Assez réfléchie ! Je fonce et pousse la porte.
Il y a huit cabines à gauche et autant d'urinoirs à droite et un petit lavabo.
Un, deux, trois. J'ouvre la porte et entre.
De la poche de mon manteau, je sors une cravate noire que j'ai piquée à Fabien. D'ailleurs, c'est la seule qu'il ait.
J'enlève mon manteau et le pose sur le réservoir. Je quitte ma robe, mon string et les pose aussi. Tremblante, j'enlève mes chaussures, lorsque j'entends la porte d'entrée des toilettes s'ouvrir.
Je reste pétrifiée, mes chaussures à la main. Ça ne fait pas cinq minutes. Si il ne triche pas, ca ne peux pas être lui.
Je suis glacée.
J'entends des pas, puis un zip de fermeture éclair. Le type sifflote en pissant. Ça dure longtemps. Il a du boire des litres. Et le temps qui tourne. Il ne doit même pas me rester une minute.
Doucement, sans faire de bruit, je pose mes chaussures.
De nouveau un zip, puis la chasse d'eau. Un robinet coule. Il doit se laver les mains.
Mais soudain !
« Salut Jérôme ! Ça va toi ? »
« Oui, j'ai réglé le problème de Toulouse ! »
Mince, c'est lui et je ne suis pas prête. Je défais à la hâte la broche qui retient mes cheveux. Parle ! Parle encore !
« C'est cool ! Tu vas prendre du galon. »
La poignée de la porte bouge. Il va entrer.
Je passe la cravate sur mes yeux, fais un nœud et je me penche, jambe écartées.
« J'espère bien ! Allez salut ! »
La porte dans mon dos s'ouvre, se referme, et j'entends le bruit du loquet qui se ferme.
Je suis morte de trouille et contrôle à peine mes tremblements.
Je sursaute lorsque deux mains se posent sur mes hanches et je suis prise de chair de poule.
« Reste muette ! Je ne veux pas entendre le *** de ta voix ! »
Les mains caressent doucement mon dos, puis glissent vers mes seins.
« Alors là ! Tu dois être une sacrée salope pour être là. Tu dois être chaude bouillante ! Tu es la première pute à venir, en cinq ans que je fais tourner l'annonce sur internet. »
Il malaxe mes seins grossièrement et tire sur mes pointes, à m'en faire presque mal. Le con !
Je sens un gros paquet toucher mon cul, au travers de *** pantalon.
« Et en plus t'es super bien gaulée ! Tu me fais bander, pouffiasse ! Quel beau cul ! »
Il glisse une main sous mon ventre et caresse ma chatte.
« Putain ! Tu mouille comme une grosse truie ! Tu vas me bouffer la queue, avant que je t'enfile ! Tourne toi et assis toi. »
Je m'exécute et il découvre mon visage
« Merde ! T'es une môme ! T'es toute jeune, toi ! Humm, petite salope ! Tu promets toi ! »
Un gros gland humide vient heurter ma bouche. C'est énorme !
Je ne peux m'empêcher de le toucher et je comprends ce que Pierre Perret veut dire lorsqu'il chante : Le zizi musclé chez le routier, Ô gué, ô gué, Se reconnaît à *** gros col roulé.
Je souris et je ne peux m'empêcher de chantonner dans ma tête.
Il me prend par les cheveux et enfonce *** gros boudin entre mes lèvres.
« Ho ! Salope ! Tu suce bien ! »
Mon front cogne sur *** ventre. Prise d'un doute, je pose mes mains sur ses cuisses.
C'est bien ce que je pensais ! Ce type est gras comme un cochon.
Effectivement, il vaut peut être mieux que je ne le voie pas.
« Camille... Camille ! C'est un prénom de vide couille, ca ! Humm ! Lève-toi sac à foutre ! »
Je recrache *** morceau de bidoche et je me lève. Il plaque ses paluches sur mon cul et me colle à lui.
Le salaud me lèche le cou et le visage, puis il plante sa langue entre mes lèvres. Il m'embrasse de façon répugnante, salivant, crachant dans ma bouche.
Il me broie le cul et essaie de m'enfoncer un doigt.
« Je vais te faire jouir, ma putain ! Tu ne regretteras pas le voyage, sale pute ! »
Mes seins *** écrasés contre lui et *** ventre épouse le creux du mien.
Nous tournons et il m'adosse à la porte. Il lève mes bras et je sens un porte manteau.
« Tiens le et le lâche pas ! »
Il me caresse sans tendresse ni douceur, appuyant sur la moindre parcelle de ma peau. Puis il commence à embrasser mon corps. Il me crache dessus et lèche ensuite, encore et encore. Il est répugnant, mais il m'excite comme une folle.
Je commence à gémir et je respire fort.
« Je savais que t'aimerais ca, fille de chienne ! »
Soudain, nous entendons le grincement de la porte d'entrée.
« Chuttt ! Arrête de couiner ou on va être repéré ! »
Deux types viennent d'entrer. Nous les entendons discuter tout en pissant.
Comme un défi, mon gros porc c'est accroupi et me bouffe la chatte, tout en branlant mon clito gonflé.
Je me mords les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Jouir en silence n'est pas facile. Et ces types qui trainent à partir. J'en peux plus.
« Hummmmm ! Rrrahhhhhhh ! »
Par chance, je craque pendant le grincement de la porte.
« Idiote ! Tu veux me faire perdre ma place ? Penche-toi, raclure ! »
Je m'accroche au siège du chiotte et j'écarte les jambes, reins bien cambrés.
« Humm ! J'adore quand des gobeuses de couilles comme toi, s'offrent comme tu le fais ! »
Ses mains écartent mon cul et il se plante dans ma chatte sans préliminaires. Je me sens pleine d'un coup. S'il n'est pas très long, ce type est super large et la sensation est terrible.
Il me bourre sans complaisance et je jouis très vite et très fort.
« Ho ouiiii ! C'est bonnnn ! »
Je reçois une énorme claque sur le cul.
« Je t'avais interdit de parler, salope ! Les voix de putains me font jouir ! Hachhhhh ! »
Je me remplis de foutre chaud comme une bouteille à un robinet. Ce type a une réserve incroyable. Sensation extraordinaire qui me fait jouir de nouveau.
Je ne peux pas tout contenir. Il est encore en moi que du jus déborde de mon vagin.
« Hummmmm ! C'est trop bonnnn ! »
« Conasse ! T'a rien compris ! T'es trop conne ! Tu ne sais pas fermer ta gueule ! Tu ne bouge pas pendant cinq minutes, après, tu peux aller te faire foutre ailleurs ! »
J'entends le loquet de la porte, le grincement de la porte d'entrée...et plus rien.
Je reste un instant courbée sur la cuvette des chiottes. Je sens ma chatte se vider et j'entends la semence froide qui me quitte, tomber et éclabousser le sol.
Je me demande s'il est vraiment parti.
Puis, n'entendant rien d'autre qu'une chasse d'eau qui fuit, je défais mon bandeau.
Je suis nue, chatte dégoulinante, dans une cabine de chiotte dont la porte est ouverte, donnant sur des urinoirs. Je penche la tête hors de la cabine pour vérifier que je suis bien seule.
J'imagine, si quelqu'un entrait subitement.
Et... c'est ce qu'il se passe.
Un homme rentre précipitamment, la main déjà en train de descendre sa braguette.
Je suis désorientée et surprise. Je n'ai pas le temps de refermer la porte avant qu'il ne m'aperçoive.
Je referme le loquet et me plaque à la porte, le souffle coupé.
« Y a quelqu'un ? Qui êtes-vous ? Qu'est ce que vous foutez à poil dans les chiottes ? » J'attrape ma robe et je la passe s'en prendre le temps de la reboutonner, puis je mets mes chaussures.
« Mademoiselle ? Je peux vous aider ? »
« Heuu ! Non ! Tout va bien ! Je me suis trompée de toilettes. Je suis désolée. »
J'enfile mon manteau et je sors, rouge de honte.
Le type est en train de pisser. Il tourne la tête vers moi. Lorsque j'ouvre la porte, mon manteau et ma robe s'ouvre et il me revoit nue. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je file dans l'amphi en courant. Il est vide.
Je cours appeler l'ascenseur, me rafistole et finis de reboutonner ma robe en l'attendant.
Lorsque j'arrive dans le hall, j'ai retrouvé un rythme cardiaque à peu près normal.
C'est la sortie des bureaux et il y a beaucoup de monde.
Et si Jérôme Durat était là.
Je guette des hommes emprunt d'embonpoint qui pourraient me regarder étrangement.
J'en vois. J'en vois même beaucoup, mais, rien ne me laisse penser que le foutre qui est encore en moi, appartient à un de ceux là.
C'est dans le métro qui me ramène, que je réagis que le Jérôme Durat m'a piqué mon string et ma broche à cheveux.
Je fais un saut chez mes beaux parents pour récupérer mon bébé, mais ils ont décidés de le garder un peu.
C'est donc seule que je rentre à la mai***. Une surprise de taille m'y attend.
« Piou-piou ? Tu es déjà rentré ? »
Il est dans le canapé, une main bandée.
« Ho ! Qu'est ce qui t'es arrivé ? »
« Rien de grave. Il n'y a pas de casse. J'ai pris un poids sur la main. Mais ca vas aller. J'ai huit jours d'arrêt de travail. Et toi, tu étais ou ? Ou est Romain ? »
« Chez tes parents. Je suis allée faire les magasins avec Valérie. »
« Valérie ? Ah bon ? Je te cherchais, je viens de l'appeler, elle t'a pas vu. T'étais ou ? »
Aille ! Ça pue pour moi. Je penche la tête. Je ne sais plus quoi dire.
« T'enfonce pas dans des men***ges. Dis-moi la vérité, ca vaut mieux ! »
Je prends mon courage à deux mains. Je ne dois pas lui mentir, il a rai***.
J'allume l'ordi et cherche l'annonce.
--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas. ---
« Voilà ! J'ai répondu à cette annonce. Je suis désolée Fab. Je t'ai fait cocu. Je n'ai pas d'excuse. J'ai tellement honte. Pardonne-moi, je t'en supplie ! »
Je me prépare à une scène, mais une autre surprise m'attend.
« Viens avec moi ! »
Il me prend par la main et m'entraine dans la chambre.
« Déshabille-toi ! »
« Non Fab ! Ce n'est pas... »
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase. Il tire sur ma robe et tous les boutons sautent.
« Tu ne porte rien en dessous ? »
« Si, mais...il me les a volé. »
« Enlève ca et allonge toi ! »
Par peur de le contrarier d'avantage, je lui obéis. Il se déshabille aussi et se couche sur moi.
« Tu es encore pleine de ce mec ? »
« Oui, enfin non ! Je suis...oui, je suis souillée. Je suis sale. »
Il me maintient les mains au dessus de la tête et me pénètre lentement.
« Dis-moi tout ! Comment ca c'est passé ? »
« Et bien, il m'a dis d'aller dans les toilettes et... »
« Non, non Camille ! Raconte-moi tout dans le moindre détail. »
Il a une étrange lueur dans les yeux.
« Et bien, quand j'ai vu l'annonce, je lui ai téléphoné...
... C'est dans le métro que j'ai réagi que Jérôme Durat m'avait piqué mon string et ma broche à cheveux. »
Durant mes aveux détaillés, Fabien m'a pénétré doucement, lentement. Puis.
« Hooo, ma Camille ! Je t'aime tant ! Je mélange mon foutre au sien, en toi, et je veux qu'il en soit ainsi à chaque fois. Je suis ton cocu mon amour. »
« Mon cocu ? »
chrislebo

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#9,356
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« Je suis ton cocu mon amour. »
« Mon cocu ? »

Nous avons usé beaucoup de salive à ce sujet. J'ai eu énormément de mal à comprendre le plaisir de Fabien à être cocu.
Je me demande même, si lui aussi a bien comprit ce qui lui arrive.
Mais, petit à petit, l'idée a fait *** chemin et j'ai décidé de m'en servir et de prendre le pouvoir sur mon homme.
C'est ainsi que je lui ai interdit de me baiser, si je ne suis pas pleine de la souillure d'un autre mâle.
Une nouvelle complicité est née entre nous. Étrange et perverse.
Il m'a donné une liberté sexuelle totale et j'ai bien l'intention de l'utiliser.
A part ca, nous nous comportons comme un couple normal. Nous sortons, nous voyons nos amis, mais reste en permanence, mes envies sous-jacentes de sexe.
Depuis l'affaire de la société Vilebor Compagnie, je l'ai fait cocu deux fois.
Draguée un jour dans la rue, j'ai suivi un type à l'hôtel. Ce jour là, c'était plus pour tester Fab que pour autre chose. Je voulais rentrer souillée et voir sa réaction.
Comme la première fois, il m'a baisée en douceur, tandis que je lui racontais mon aventure dans le détail.
La seconde fois, je me suis tapée un de ses amis qui me courtisait depuis un moment. Je n'en avais jamais parlé à mon homme. L'occasion fait le larron. Il m'a baisée, mais je m'en suis débarrassée, Fab, l'ayant viré de *** cercle d'amis.
Ce fut une épreuve pour Fabien. Il a très mal digéré qu'un de ses potes se tape sa nana. Mais il a accusé le coup et est toujours aussi motivé à être cocu.

C'est le week-end et notre petit garçon est chez mes parents. Fabien, m'a proposé un restau et un ciné. Ca fait longtemps. Je suis ravie.
Je m'habille sexy, avec ma tenue fétiche. Style uniforme d'écolières asiatiques. Une chemise blanche largement déboutonnée sur ma poitrine, un gilet noir, bien serré pour dessiner ma taille, un petit kilt, de longues chaussettes noires qui montent au dessus du genou et une paire d'escarpins vernis, noirs. Pour finir, je noue un ruban blanc dans mes cheveux.
«Tu veux conquérir, toi ! »
« Je ne sais pas ! On verra ! »
Il me laisse le choix du restaurant. Je me montre très difficile. Pas tant sur les menus que sur les intérieurs des salles. Plus particulièrement sur les nappes. Je ne les veux pas longues.
Mon choix se porte sur un restau sympa qui propose des tables recouvertes de nappes en papier qui ne pendouillent pas sur les genoux. C'est parfait.
Nous entrons et je choisis une table.
La chance est avec moi. Je m'installe sur une banquette et Fab s'assoit sur une chaise, face à moi. Dans ma diagonale, à quatre mètres, un homme mange une pizza, seul. Une quarantaine d'années, habillé classe, il me plait beaucoup.
Ma tenue attire *** regard et je le sens bien accroché.
Je déboutonne mon gilet et je dégage bien mon décolleté, faisant sauter même un bouton de plus à ma chemise. Mon Piou-piou s'en inquiète.
« Heuu ! Camille ! Ce n'est pas un peu trop, là ? »
« Ca, mon chéri, c'est mon problème. Mange et surtout ne te retourne pas. »
Le premier à se régaler, c'est le serveur. Le pauvre à bien du mal à prendre, en même temps, notre commande et lorgner mes seins à peine cachés.
Je tiens la carte grande ouverte et j'approche mes doigts de sa braguette. Je parviens, l'air de rien, à l'effleurer. S'en est trop pour le jeune homme qui, prit d'un fris***, recule un peu. Lorsqu'il s'en va, Fab me sermonne.
« Tu exagère ! Ne fais pas des trucs comme ca ! »
« Si mon petit cocu ne veux pas rentrer tout seul, il ferait bien de me foutre la paix et de me laisser faire ce que je veux ! Ok ? »
Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je me lève. Je vais droit vers la table de l'homme seul.
Je me penche exagérément, pour mettre en évidence mes seins dans l'entrebâillement de ma chemise.
« Excusez-moi ! Je peux vous emprunter la sauce pimentée ? »
« Oui, bien sur mademoiselle ! Faite dont ! »
Je lui fais mon sourire le plus provocateur.
« Merci ! J'aime bien pimenter ma vie ! »
Je lui fais un petit clin d'œil et je retourne m'asseoir en tortillant du cul.
« Quand tu t'es penchée, j'ai vu ton cul ! Fais attention quand même. »
« Je ne t'avais pas interdit de te retourner ? »
« Oui, mais je me demandais ce que tu faisais. N'empêche que dans la salle des gens auraient pu voir que tu ne porte rien. »
« Tiens, ca ne m'étais pas venue à l'esprit ! Hihihi ! »
Nous prenons un apéritif.
Je suis bras croisés sur la table. J'ai passé un pouce dans ma chemise et je me caresse un téton. Il est dressé, dur, sensible. Je sens ma grotte s'humidifier.
« Putain ! Je mouille comme une salope ! »
« Normal ! C'est ce que tu es, non ? »
« Toi, mon mignon, tu seras puni pour ta remarque ! »
Les entrées nous ***t servies. Je décroise les jambes, mais je ne peux résister à l'incroyable envie de les écarter, pour le plus grand plaisir de l'homme qui me dévisage. Il me fait un large sourire et passe ses mains sous la table.
Il se touche.
Ce con m'excite et je m'écarte un peu plus pour lui rendre la pareille.
Désormais, il doit voir ma chatte.
Lorsque le serveur nous apporte nos plats, il manque de les lâcher, lorsqu'il m'aperçoit largement ouverte. Il est rouge de honte.
Je mange d'une main et de l'autre, sous la table, je me caresse.
Mon nouvel ami semble apprécier. Plus vicieux que je ne le pensais, il déboutonne *** pantalon et sort sa queue discrètement. Je la vois, bien bandée. Il se masturbe doucement.
« Ne te retourne pas Fabien, mais le type derrière toi se branle en me matant. »
« Ca te plais bien, salope ! »
« Ben oui, plutôt ! Je fais pareil. »
« Un futur amant ? »
« Faut voir ! Pourquoi pas ! »
Lorsque les desserts arrivent, j'ai deux doigts dans la chatte et je suis sur le point de jouir.
Je me penche un peu en avant pour me cacher du serveur. Ce serrait trop pour lui.
« Camille, je ne veux pas t'interrompre, mais il faudrait qu'on accélère le mouvement, si on ne veux pas rater la séance. »
« Ok ! Paye, je fais un saut aux toilettes. »
Je me lève et en passant devant le type, je me suce le bout d'un doigt. C'est sur, je peux laisser la porte des chiottes ouverte, il va m'y rejoindre.
Mais rien. Il a du se dégonfler.
Je retourne dans la salle et ma déception est grande. L'homme n'est plus là.

Lorsque nous arrivons au cinéma, la séance vient juste de commencer. Sur l'écran, les bandes annonces se succèdent.
J'aime être en hauteur. Nous nous sommes installés au dernier rang. Il n'y a pas grand monde. Il faut dire que le film que nous avons choisi, est à l'affiche depuis plusieurs semaines.
Il s'agit d'un film d'horreur, très glauque, très sombre. J'aime ce genre de films, même si ils me terrifient. Je m'accroche au bras de Fabien et me cache à moitié derrière *** épaule.
Soudain, je sursaute.
Une main vient de se poser sur mon genou. J'ai l'agréable surprise d'entrevoir le visage de l'homme du restaurant. Humm ! Les affaires reprennent.
Je me redresse doucement, pour ne pas éveiller de soupçons chez Fab.
Devant mes jambes qui s'écartent, la main remonte sur ma cuisse et se pose sur ma fente.
Mon bon monsieur ayant sorti *** engin, je m'empresse de l'empoigner. Nous commençons alors à nous branler doucement, mutuellement.
Piou-piou, absorbé par le film, ne remarque rien.
Je commence à avoir du mal à cacher mon plaisir et n'y tenant plus, je me lève. Je fais un bisou à Fabien.
« Je tiens plus ! Je vais aux toilettes, je reviens ! »
« Ok ! Fais vite tu vas rater le meilleur. »
Le type m'ayant entendu, me devance et est déjà sorti de la rangé.
Je le rattrape facilement dans les escaliers des toilettes. Il n'y a per***ne. Excités, nous ne prenons pas la peine d'aller plus loin. Je lui saute au cou et il m'enlace avec *****. Nous nous embras***s et lais***s courir nos mains. Il soulève mon kilt et malaxe mon cul. Moi, je ressors sa queue que je glisse entre mes cuisses.
« Hummm ! Salope ! Je vais te baiser ! »
« Ouiii ! Prends-moi ! vite ! »
Il ouvre rapidement mon chemisier et palpe mes seins. Il ne prendra pas le temps de me les sucer. Il me lève une jambe et me pénètre bien à fond.
« Ouiii ! Défonce-moi la chatte ! »
« T'es une petite putain, toi ! J'aime les femelles comme toi ! Tiens, prends ca morue ! »
C'est violent coups de reins me plonge dans un orgasme fantastique.
« Ouiiii ! Jouis avec moiii ! Viteee ! Je veux ton jus ! Donne-moi ton foutre, viteee ! »
« Tiens ma belle ! Laisse-moi te remplir ! Hargggggg ! »
Nous restons un moment sans bouger, jusqu'à ce que sa queue ne me quitte naturellement.
Gentiment, il me tend un mouchoir.
« Non, merci ! C'est gentil, mais je garde tout. »
« Hummm ! Tu aime te sentir sale, c'est ca ? J'adore les trainées dans ton genre. Téléphone-moi quand tu veux ! »
Il me tend une carte de visite, que je m'empresse de déchirer en petits bouts et je jette le tout en l'air.
« Les histoires les plus courtes ***t les meilleures, même quand ce ***t des histoires de cul. Bye chéri ! »
« Dommage ! Adieu ma belle. »
Je rejoins mon homme dans la salle obscure.
« T'a été longue ! Tu as raté le meilleur. Si tu avais vu ce qu'a prit la gonzesse ! »
« Ben moi, si tu avais vu ce que j'ai pris ! »
Je prends sa main et la plaque sur mon vagin.
« Quoi ? Hein ? Ho ! T'es trop forte toi ! Qu'est ce que je t'aime. Viens ! On rentre ! »
« Pas question, cocu ! On regarde le film jusqu'au bout, et tu ne touche pas ! Hihi ! »
« Vicieuse sadique ! »
Il a bien du mal à se concentrer sur le film. Autant dire qu'il zappe complètement la fin, les yeux rivés sur mes cuisses, et l'échancrure de ma chemise.
Le film terminé, je tente de calmer ses ardeurs en l'entrainant dans un bar, puis un autre.
Je le rends fou et j'adore ca.
Mais lorsque nous rentrons dans notre appartement...le fauve est lâché.
Il me pousse à la renverse dans le canapé et saute à genoux entre mes jambes.
Pour la première fois, il goutte mon antre poisseux et malodorant.
C'est moi qui en suis gênée.
« Viens ! Viens chéri ! Mon cocu à moi ! Viens vite me baiser comme une chienne ! »
« Pas temps que je n'aurais pas bu tout ce que ce type t'a donné ! »
Je le sens m'aspirer, me lécher. Il me vide, me vidange.
L'image m'excite et je jouis, rajoutant du jus à la dégustation de mon cocu.
Ce soir là, il me baise avec très peu de tendresse, presque violemment. Peut être ai je été trop loin. Ressent-il de la haine, de la rage, du délire ou de la passion ?

Quelques jours plus tard, lors d'un après midi shopping pendant les soldes, je repère une adorable micro jupe. Je fais le tour du magasin pour trouver un petit boléro qui pourrait être assortit. Ma jupe à la main, je fouille dans les bacs.
Il y a un monde fou et nous sommes collées les unes aux autres, nous bousculant, nous marchant même sur les pieds. De vraies folles, mais c'est un peu la tradition des soldes.
Pourtant, au milieu de ce troupeau de femmes, il y a un intrus.
Un homme d'une cinquantaine d'année, se penche pour essayer d'atteindre les vêtements.
Mais, à y regarder de plus près, un doute m'envahit.
Je me fraye un chemin jusqu'à lui. C'est bien ce qu'il me semblait. Le bonhomme bande comme un cerf et se frotte aux culs des nanas.
Les malheureuses, plongées dans leurs batailles, ne s'en rendent même pas compte.
Je le regarde faire un bon moment. Il a bien du mal avec toutes ces femelles qui bougent trop.
L'idée me plaît.
Je m'approche et me glisse entre lui et une de ses potentielles victimes.
Je fais semblant de chercher et je bouge mon cul contre sa bosse. Pas trop, juste pour la caler entre mes fesses.
J'applique quelques petits mouvements d'avant en arrière, l'air de rien.Ca semble lui plaire car il s'écrase de plus en plus à moi.
Ses mouvements prennent un rythme régulier, tout comme celui d'un coït. Il est trop excité pour se contrôler.
Ce type va jouir dans *** froc, si je ne le sors pas de là. Mais comment ?
Ma micro jupe dans une main, un caraco dans l'autre, je me retourne face à lui. Je lui fais un grand sourire.
« Ho ! Vous tombez bien ! Vous voulez bien m'aider ? »
Surprit, il rougit un peu, puis pensant que je n'ai rien remarqué, il se reprend.
« Hein ? Heuu ! Oui, bien sur ! »
« Ho ! C'est gentil, venez ! »
Nous fendons péniblement la foule des femelles déchainées. Je crois bien qu'il en profite pour me passer une main sur les fesses.
« Ouf ! Quel monde ! Vous voulez bien m'accompagner à la cabine d'essayage ? J'aimerais votre avis. »
Évidement, il accepte avec plaisir.
J'entre dans la cabine, mais ne tire pas le rideau parfaitement. Dans le miroir, je l'aperçois regarder discrètement. Humm ! J'adore !
Tout doucement, j'ôte mon tee-shirt dévoilant mes seins nus.
Je me régale de le voir m'épier.
Je déboutonne mon mini short et je le fait glisser au sol. N'ayant pas de string, je suis entièrement nue dans la cabine.
L'homme reste bloqué, bouche ouverte.
Je passe le caraco et la micro jupe et j'ouvre le rideau. Je sors de la cabine et tourne devant lui. Je prends plaisir à jouer l'ingénue. La fille qui ne voit pas le mal.
« Voilà ! C'est pour faire une surprise à mon chéri. Vous trouvez que les couleurs vont ensemble ? Ce n'est pas trop court ? Dites-moi, ca ne fait pas vulgaire ? »
Le pauvre n'arrive même plus à parler.
« Nan ! Ha nan, nan ! C'est... bien ! C'est... »
Je décide de passer à la vitesse supérieure. Je rentre de nouveau dans la cabine, mais laisse le rideau grand ouvert, au risque de me faire voir par les autres clients. Mais je m'en fou.
Je retire les deux vêtements et je les tends au quinquagénaire. Je me présente à lui de face et entièrement nue.
« Je vous plais ? »
« Je...Je. Je suis...Oui, bien sur ! Vous...Vous êtes belle ! »
« Vous aimeriez.... »
Je me suce un doigt.
Il rougit et me sourit.
« Vous êtes cruelle ! Bien sur que j'aimerai ! Mais que ferriez-vous d'un vieux comme moi ! »
« Comme avec un jeune. Je m'offrirai ! Hihi ! »
Je referme le rideau et me rhabille. Moins intimidé, il passe sa tête.
« Permettez-moi de vous offrir la jupe. »
« Ok ! Mais vous venez boire un café à la mai***. J'habite à deux pas. »
« Ho ! Je ne sais pas si... »
« Ben moi, je sais ! »
Je lui prends la main et l'entraine vers les caisses.
Cinq minutes plus tard, nous sommes dans l'ascenseur qui conduit à mon appartement.
Fabien qui est de repos est étonné de mon retour.
« Déjà ? Ben t'a fais vite dis dont ! Ho ! Excusez-moi, je ne vous avez pas vu ! Bonjour, moi c'est Fabien ! »
L'homme est surprit et très gêné de se retrouver face à Fabien.
« Enchanté, je suis Raymond. »
Je viens à la rescousse.
« J'ai invité Raymond à prendre un café. Nous avons fait connaissance dans le magasin. »
« Houlà ! Les soldes ne vous font pas peur ? »
La tentation est trop forte. Je m'installe sur les genoux de mon nouvel ami et je passe mon bras autour de *** cou.
« Ho non ! Raymond n'y va pas pour les soldes ! Il y va pour les femmes. Il aime bien leur cul ! »
Ma façon de mettre ce pauvre homme, mal à l'aise, déplait à Fab.
« Camille ! Arrête ca ! »
« Heuu ! Je suis désolé, je dois y aller. Vraiment navré, je ne savais pas que vous étiez en couple. Il y a méprise. »
Mais avec moi sur ses genoux, il ne peut se lever.
« En couple ? Ahhhh ouiii, en couple ! Oui, mais non ! Lui c'est mon cocu ! Ne vous inquiétez pas ! Il adore ca ! »
« Camille ! »
« Quoi ? Ose dire que c'est pas vrais ! Hihi ! Nous, nous sommes venu pour baiser et on va baiser ! »
Sur ces mots, je retire mon tee-shirt et je pose les mains de Raymond sur mes seins.
Au début, gêné et réticent à me prendre devant Fabien, il s'avère être un amant exceptionnel.
Fabien, bien décidé, finalement, à vivre *** délire jusqu'au bout, reste assis sur une chaise au pied du lit.
Épuisée, je laisse Piou-piou raccompagner Raymond à la porte. Puis il revient dans la chambre.
« Petite pute ! T'a fais fort ce coup ci ! »
« Tais toi et bois pendant que c'est chaud...Cocu ! »
chrislebo

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#9,357
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Il y a quelques semaines, j'ai passé une annonce proposant de me montrer en cam. Le résultat ne c'est pas fait attendre. En moins de vingt quatre heures, ma boite e mail était saturée.
Je me suis montrée à certain, mais moi, je refuse de les voir. Ce qui m'excite, c'est de penser que je peux connaitre l'un d'eux, sans le savoir.
Ils enragent que je ne veuille pas les rencontrer. Ils aimeraient tant me sauter. Ca m'amuse.

« Regarde ce que j'ai trouvé sur un site. Des photos de couples qui vont s'exhiber dans les bois. Hummm ! Ca doit être excitant, non ? »
« Ca te tente on dirait ! »
« Je sais pas trop, et puis il faut savoir ou aller. »
« Ca, je te fais confiance. Tu trouveras. »
« En tout cas, ca me changerais de mes masturbations devant ma cam ! »
Il me connaît bien, mon Fab. Il sait que je ne lâche pas facilement.
Le soir même, grâce à mes contacts, je sais tout sur l'exhibition et j'ai même les plans pour nous rendre dans des endroits intéressants et sans danger.
Bien sur, ces renseignements vont me couter. Enfin ! Façon de parler.
Mes contacts, m'ont fait promettre de leurs dire ou et quand j'irais, si bien sur, je me décidais à le faire.
Me décider ? Ca, ce n'est pas un problème ! Hihi !
Nous avons programmé notre viré pour ce week-end.
J'ai prévenu six de mes nouveaux amis et je leurs ai donné le lieu et l'heure. Bien sur, je leurs ai demandé, qu'une fois sur place, de ne pas me dire qui ils ***t. Ainsi, je ne pourrais pas différencier mes contacts des simples voyeurs pervers, qui trainent les bois, à la recherche d'une donzelle à se faire.
Hummmm ! Rien que d'y penser...

Nous sommes samedi soir et c'est l'effervescence à la mai***. J'ai aligné une quantité impressionnante de fringues sur mon lit, et j'ai entamé un grand débat avec Fab, pour savoir ce que j'allais mettre.
Nous sommes d'accord pour des bas et un porte jarretelle. C'est déjà ca.
Fab, verrait bien une robe boutonnée sur le devant. Moi, ma micro jupe et un caraco légèrement transparent, ventre nu.
Devinez qui a gagné ?
Pour ne pas risquer de tomber sur des voisins, j'ai enfilé un long manteau, que je m'empresse d'enlever, dès notre arrivé au parking.
Nous prenons, fébrile, la route pour un bois en dehors de la ville. Vingt minutes de route. Doucement, le doute s'installe. Je me sens un peu glacée.
« Ben ! Si tu veux, on fait demi-tour. »
« Non ! Nous sommes trop avancés. Je vais aller jusqu'au bout. »
Selon les indications qui m'ont été donnés, nous entrons dans le bois. Une centaine de mètres plus loin, comme prévu, nous apercevons l'entré d'un parking.
Il fait encore jour. Fab, roule jusqu'au bout du parking et se gare sous un gros arbre.
Il y a d'autres voitures, une dizaine, mais je ne vois per***nes.
« Tu crois qu'ils ***t ou ? »
Ma question idiote, reflète mon stress. Mais Fab n'est guère mieux.
« Ou veux tu qu'ils soient, sinon dans le bois ? Bon ! Camille ! On fait quoi, maintenant ! »
« Ben ! On pourrait repérer les environs avant la nuit ? »
Nous descendons de voiture et je prends le bras de Fabien. Une allée s'enfonce dans le bois. Je regrette presque ma micro jupe. Je me sens trop provocatrice. Il faut dire qu'elle est plus courte que le haut de mes bas. Alors, pour le coup, je dois faire un peu pute.
Très vite, nous croi***s un homme.
Trente ans, pas très beau, lunette ronde, célibataire, une intuition. Il porte un imperméable beige, froissé. Il marche lentement. Je sens qu'il voudrait me regarder, mais n'ose pas. Alors il lance de petits coups d'œil furtifs.
Au moment de nous croiser, il profite de nous dire un « Bonjour » souriant, pour me dévisager de la tête aux pieds.
Humm ! Rien que ce regard vicelard sur moi, me fait de l'effet.
« T'a vu comment il m'a maté ! Hihi ! »
« Oui, j'ai vu ! Tiens ! Ramasse le marron, là, sans plier les genoux.»
« Ben pourquoi ? »
« Pffff ! T'es conne ou quoi ? Ramasse ! »
Je réagi d'un coup. Je me penche et ramasse le marron. Entre mes jambes, j'aperçois le type qui se régale de mon cul.
Nous éclatons de rire et reprenons notre promenade.
Nous croi***s deux autres hommes et nous en apercevons quelques un dans le bois, entre les arbres.
La nuit commence à tomber. Nous retournons à la voiture.
Fabien est surexcité. Une fois installé, il me saute dessus et m'enlace pour m'embrasser et me caresser.
« Non ! Non, Fab ! Arrête ca ! »
« Ben quoi ? »
« Laisse-moi faire ! »
Vexé, mon petit cocu se replace derrière *** volant.
Moi, je m'enfonce un peu dans mon siège et baisse légèrement le dossier.
« Pffff ! Ils ne vont pas te voir ! Ils ne viendront pas jusqu'ici, si tu ne te montre pas ! »
« T'inquiète pas ! Il y a déjà longtemps qu'ils m'ont vu ! »
La suite prouve que j'ai rai***. Des types sortent du bois. Pour l'instant, ils restent à distance, décrivant de grands cercles autour de la voiture.
Je me sens comme une faible proie entourée de loups. Ca m'excite.
Je roule ma jupe au dessus de mes cuisses et je caresse ma fente doucement.
Les cercles ***t de plus en plus petits. Certains, commencent à se mettre sur la pointe des pieds pour apercevoir ce qu'il se passe dans la voiture. Puis, n'ayant plus de doute sur nos intentions, ils approchent.
Deux, trois, quatre hommes se pressent maintenant au carreau pour me regarder me masturber. Ils m'exhibent leurs sexes dressés et se branlent doucement.
Je m'installe plus à mon aise, pour profiter du spectacle.
Je lève mes jambes. Je cale un de mes talons dans le volant et l'autre dans le coin du tableau de bord. Jambes bien écartées, vagin bien visible, je me masturbe d'une main. De l'autre, je caresse mes seins. Je sens mes pointes dures à m'en faire mal.
Je glisse ma main sous mon caraco et le soulève jusqu'à mon cou, pour présenter ma poitrine à ses messieurs.
ses messieurs de plus en plus nombreux. Certain matent du carreau arrière, d'autres penchés sur le pare brise, et encore deux coté conducteur.
Ca me rend folle de voir tout ses hommes excités grâce à moi.
Je plonge deux puis trois doigts dans ma chatte bouillonnante, et je frotte mon clito prêt à exploser, de toutes mes ******.
Je jouis en même temps qu'un type qui explose sur le bas du carreau.
« Putain ! Ma bagnole ! Il pourrait éjaculer ailleurs ! Merde ! »
« Fabien ! Je ne veux plus t'entendre ! Compris ! »
Je suis très fière de l'autorité que j'ai sur Fab, depuis qu'il est devenu mon cocu. Je n'en ***** pas, mais je me régale de le voir obéir.
Énervée qu'il m'ait ainsi interrompue au milieu de ma jouissance, j'appuie sur le bouton de la vitre.
Pour un peu, je pourrais me croire dans un film d'horreur, lorsque des zombies essayent d'attraper quelqu'un.
Il y a tellement de bras qui essayent de venir me toucher. Mais il y a peu d'élus. Trois ou quatre, pas plus.
Ils parviennent à me caresser les cheveux et le visage. D'autres mes seins, mon ventre. Mais un seul a réussi à s'octroyer ma chatte.
Je me laisse aller et m'offre comme une poupée. C'est délicieux de faire plaisir à ces inconnus.
La nuit est maintenant tombée.
Les types, équipés, sortent des torches, des piles électriques. De vrais professionnels du voyeurisme.
Soudain, un jet de liquide chaud atteint mon ventre. Un homme ne pouvant plus se retenir, a jouit sur moi. Il s'écarte et un autre prend sa place.
Cette liqueur chaude qui coule jusqu'à mon nombril, fait disparaitre le peu de décence et de dignité qu'il restait au fond de moi.
J'ouvre la portière, descends de voiture et me laisse tomber à genoux.
« Venez ! Bande de salops ! »
En un instant, je suis entourée de queues raides et humides. Plusieurs se pressent à ma bouche et j'en suce une au hasard. Puis quand elle eut déversé *** flot de foutre, une autre prend sa place, et une autre, une autre encore.
J'aime leurs foutres. Ca me rend dingue. Il s'en échappe de ma bouche qui coule sur mon menton, mes seins.
Mes mains branlent au hasard, faisant naitre de multiples jets de jus chaud, qui viennent s'écraser sur mon corps. Quand soudain, une voix s'élève.
« Relève toi, salope ! On veut te baiser ! »
A ces mots, Fabien sort de la voiture et prend une couverture qu'il pose sur le capot avant.
Je ne suis pas mécontente de me relever.
Mes genoux sur les cailloux commençaient à me faire souffrir. Mes bas ***t déchirés. Ceci rajouté à mon corps recouvert de traces de spermes, je dois renvoyer une image bien pathétique.
Pathétique, mais visiblement excitante. A peine allongée sur le capot encore tiède, un homme lève mes jambes, pose mes chevilles sur ses épaules et me pénètre d'un coup.
Il n'a aucune difficulté à le faire, tant je mouille.
Un homme, plus équipé que les autres, arrive avec une lampe à gaz de camping.
Elle éclaire suffisamment pour me permettre de voir tout ce petit monde.
Combien ***t-ils ? Je serrais incapable de le dire. Mais plus de dix, ca c'est certain.
Je me fais prendre à la chaine par plusieurs d'entre eux. Je multiplie les orgasmes.
J'aime cette situation. Je me sens poupée de chiffon entre leurs mains.
Lorsque j'étais à genoux, j'en ai entendu un, dire : « Putain ! Elle a à peine seize ans, cette pute ! »
Mon visage d'angelot a encore fait *** effet. Qu'ils pensent que je ne suis pas majeure, ne les a pas freinés pour autant. Au contraire. Je pense que ca a eu pour effet de décupler leurs libidos.
Le temps passe. Peut être deux heures. Je pense qu'ils ont tous joui au moins une fois. Sauf celui qui se présente face à moi.
C'est l'homme à l'imper. Le premier que nous ayons croisé.
Il ouvre *** imperméable. Dessous, il est torse nu. Mais le plus effarant, c'est *** pantalon, savamment découpé. A la place de la braguette, il n'y a plus rien. Plus rien que sa verge dressé.
Le petit homme, que je croyais timide, s'approche et prend mes jambes. La lueur de la lampe à gaz fait briller ses yeux d'une étrange manière.
Il caresse ma chatte d'un doigt. Il semble vouloir en extirper du foutre. Je comprends très vite. Il graisse ma pastille brune.
« Je vais t'enculer bien à fond, ma petite bâtarde ! »
Il plonge en moi en poussant très fort. Je pousse un cri de douleur, mais il n'en tient pas compte et commence à me pilonner.
D'autres hommes, me caressent et m'encouragent.
« Détends-toi ! Respire ! Cambre tes reins ! »
Un type, profitant de mon vagin libre, s'applique à me masturber. Le plaisir remonte au fur et à mesure que la douleur disparait. Je me caresse et me pince moi-même le clito.
J'exulte.
« Hoo ouiii ! Encule-moi bien à fond ! Salop ! Défonce-moi ! Ouiii ! Plus fort ! Plus fort !
Plus....Hummmm ! Je viens ! Je viens ! Hooo ! Je viiii... OUIIII !»
Il jouit avec moi, déversant *** flot de miel au plus profond de mes entrailles. Puis il se retire.
Épuisée, semi inconsciente, je glisse doucement du capot et me retrouve assise à terre.
Fabien s'approche et caresse mes cheveux, très largement souillés, avec tendresse.
« Camille ? Ca va, mon ange ? Allez, viens, relève toi. Nous rentrons à la mai***. »
Mes jambes ne me portent plus. Deux hommes l'aident à me faire monter dans la voiture.
Je dors tout le voyage de retour.
Dans le parking, je passe mon manteau et nous prenons l'ascenseur pour notre appartement. Fabien est obligé de me soutenir. Je n'ai pas encore retrouvée toutes mes ******.
Je m'écroule sur le lit. Fabien, attentionné, veut me déshabiller.
« Ho non ! Laisse, mon cocu d'amour ! Je veux rester encore souillée ! Je veux encore me sentir gluante de leurs plaisirs. Sentir les odeurs de leurs jouissances. Mais je t'autorise à nettoyer ma chatte et mon cul. »
Après avoir vu tout ses hommes se vider en moi, je pensais qu'il se dégonflerait.
Et bien, pas du tout.
Il aspire consciencieusement tout se qui veut s'écouler de ma grotte et de mon cul. Il se délecte de toutes ses secrétions, comme un enfant avec une bois*** sucrée.
C'est plus fort que moi. Mon ventre me chauffe à nouveau.
« Viens me baiser ! Vite, viens, mon cocu ! »
chrislebo

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#9,358
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Allongée dans notre lit, je me prélasse. Je rêvasse.
Je me souviens de notre première expérience. Je me souviens aussi de mon étonnement, lorsque Jean-Guy avait prit le sexe de Fabien pour le sucer et que celui-ci, n'avait rien dit.
Je me demande si inconsciemment, mon piou-piou ne serait pas bisexuel.
Qu'il le soit ne me dérangerais absolument pas, mais qu'il l'ignore, je trouve ca dommage.
Une petite annonce (je suis devenue une spécialiste) et j'invite un homme bi à prendre un verre avec moi.
« Dis moi, Camille...si tu recherches un homme bi, c'est que ton homme l'est, non ?
Pourquoi, n'est il pas là ? »
« Heuu ! C'est un peu plus compliqué que ca ! »
Je lui fais un résumé rapide et nous montons un plan simple. Il fera semblant de ne pas savoir que je suis en couple et je m'occuperai du reste.
Une heure plus tard, nous arrivons à la mai***.
Bien sur, Fab ignore que je ramène quelqu'un. Ce n'est plus la première fois. Il en est à peine étonné et salut Franck.
Celui-ci ce révèle être un excellent acteur.
« Ho ! Tu n'es pas seule ! Je te laisse. »
« Non, non ! Entre ! Ce n'est que mon cocu. »
« Ton... »
« Oui, oui, mon cocu, regarde. Fabien ! Assis toi dans le fauteuil et je ne veux plus t'entendre. »
Fab s'assoit.
« Houlà ! Impressionnant, mais très déroutant. »
« Mais non, il suffit de l'oublier. »
Nous nous installons dans le canapé et commençons à nous caresser. Très vite, nous nous débarras***s de nos vêtements, puis, je m'agenouille devant Franck et je le suce avec gourmandise.
« Non ! Arrête ! Je suis désolé, mais devant lui, j'ai trop de mal. »
« Pourquoi ? Parce qu'il est habillé ? Qu'à cela ne tienne. Fab, fou toi à poil ! »
Il se lève et se déshabille, sans un mot, sans un sourire. Mais il ne peut cacher l'émoi qui se manifeste entre ses cuisses.
« Hum ! Bien gaulé, ton cocu ! Et bien foutu en plus ! »
« Heureuse qu'il te plaise. Il aime bien se faire tailler une plume de temps en temps. Ca t'intéresse ? »
« Humm ! Je suis gourmand et je ne sais pas dire non. »
Franck se rapproche de mon homme en marchant doucement à quatre pattes, comme un félin.
Dans le regard de mon Piou-piou, je peux lire « Qu'est ce que tu fous ? T'es folle ou quoi ! »
Mais il ne bouge pas et reste assis, les bras posés sur les accoudoirs.
Mais lorsque mon invité, prend *** membre dans ses mains avant de le porter à sa bouche, il ferme les yeux et sa respiration qui s'accélère trahi *** plaisir.
*** bassin fait de petits mouvements d'avant en arrière et ses doigts s'enfonce dans le cuir du fauteuil.
Je prends plaisir à le voir ainsi entre les mains d'un homme. Finalement, ca lui va très bien à mon mignon.
Sans bruit, je m'approche et m'agenouille prés de lui. Je pose ma tête sur *** épaule et tout en le regardant se faire sucer, je lui caresse le poitrail et lui pince les tétons.
Franck, me fait un clin d'œil.
Je le vois caresser les testicules de Fab. Il lèche sa hampe de haut en bas et continu plus bas. Apres lui avoir gobé les couilles, sa langue s'agite maintenant sur sa pastille.
Fabien ouvre les yeux en grand. Il semble très inquiet.
Je pose un doigt sur sa bouche.
« Chuttt ! Ne t'inquiète pas ! Tout va bien ! »
Mon invité crache maintenant et étale sa salive, tournant et enfonçant légèrement le bout de *** doigt, dans l'orifice vierge.
« Heuu ! Tu rigoles, là ! Il joue avec mon cul, là ! »
« Et alors ! Je n'en suis pas morte moi ! Non ? »
Franck décide de le rassurer un peu.
« T'inquiète pas Fabien. J'ai l'habitude. Je vais faire doucement. Tu n'auras presque pas mal, promis. Je suis très doux. Et tu vas voir comme c'est bon de jouir du cul. »
Il le fait s'assoir sur le bord du fauteuil et lui replie les jambes pour qu'il pose ses pieds sur les accoudoirs du fauteuil.
Il ne peut pas être plus offert.
Franck lui bouffe le cul et y crache encore.
« Regarde ca ! Tu t'ouvres comme une fleur. »
Il introduit *** index, sans effort.
Fab, prend ma main et referme les yeux. Il semble finalement accepter la caresse du doigt.
Franck se redresse, plaque *** gland sur l'anus de Piou-piou et pousse doucement.
Il s'y reprend à plusieurs fois et le membre pénètre un peu plus à chaque fois.
Lorsque le gland a totalement disparu, il pousse sans s'arrêter, très délicatement. Ses couilles finissent par toucher les fesses de Fab. Il s'arrête.
« Fab ? Ca va ? »
« Heuu ! Je ne sais pas trop ! »
« Détend toi, ca ira. »
« Heuu ! Je crois que je vais te c... dessus ! »
« Haha ! Ne t'inquiète pas, c'est juste une impression. Je vais te faire jouir. Respire bien à fond. »
Il commence un lent vas et viens en Fab.
Je l'observe. Il semble très concentré, yeux fermés, sa lèvre inferieure entre ses dents.
Le rythme accélère doucement. Il commence à gémir timidement.
« Voilà ! Tu y es ! Je vais pouvoir t'enculer comme il faut, maintenant ! »
Il le sodomise désormais avec vigueur et à mon grand étonnement, Fab exulte.
« Ho, merde ! C'est bonnnn ! Ouiii ! Continu ! »
Il se mord un doigt pour ne pas hurler. Mon Piou-piou jouit du cul.
Franck lui assène les derniers coups de reins et jouit dans un râle grave.
« Rhann ! Rhann ! Hummm ! Ton cul est bonnnn ! Harrrrrr !»
Il se retire lentement et se rhabille.
« Je suis désolé, je ne peux pas rester plus longtemps. Alors ? Ca t'a plu ? »
Fabien, encore sur *** petit nuage, n'a pas bougé et est toujours les pieds sur les accoudoirs, présentant *** anus qui laisse échapper un peu de foutre.
« J'en reviens pas ! Je me suis fais enculer ! »
Franck, s'en va. Je rejoins mon Piou-piou.
« Bon ! Faut t'en remettre mon amour ! Vas prendre une douche. »
« Camille ! Bouffe-moi le cul ! »
« Tu rigoles, là ! C'est dégueu ! »
Le salop, je ne l'ai pas vu venir, mais il a préparé sa phrase.
« Et alors ! Je n'en suis pas mort moi ! Non ? »
« Oui, mais la différence mon chéri, c'est que moi, je ne suis pas TA cocue ! »

Une semaine est passée.
Je ne suis pas sur que Fabien ait vraiment apprécié notre dernière petite soirée. Même si il y a trouvé un certain plaisir, le fait de lui avoir pratiquement imposé l'a surement vexé.
J'aimerai rentrer souillée, pleine, pour le satisfaire comme il l'aime.
Je désire me laisser du temps pour trouver ce que je veux.
« Chéri ! J'ai un rancard. Je ne rentrerais que demain soir. Ok ? Ne t'inquiète pas. »
« Humm ! Je vais encore fantasmer en t'imaginant. Ca vas être long jusqu'à demain soir.»

Je me promène dans Paris, couverte d'un gilet moulant, fermé par un zip et d'une petite jupe sympa.
Mes pas me conduisent au palais de la découverte, dans le bas des Champs Elysée.
J'adore cet endroit, ou l'on se perd de salles en salles. On pourrait passer une demie heure dans chacune, tant c'est intéressant et diversifié.
Il y a un truc que j'adore. C'est dans une petite vitrine. Je pense que ca s'appelle un hologramme. On peut y voir une couronne de rois, recouverte de diamants, alors que la vitrine ne fait pas un centimètre de profondeur. Ca me fascine. On a vraiment l'impression de voir l'objet en relief et qu'il est réel, alors que ce n'est pas plus épais qu'une photo.
Devant, il y a comme une rambarde, afin d'empêcher les visiteurs de toucher la vitrine. Je m'y tiens et penche la tête de gauche à droite, pour regarder de chaque coté de la couronne.
« C'est incroyable, n'est ce pas ? »
C'est un vieil homme aux cheveux blanc derrière moi, qui regarde par-dessus mon épaule.
« Oui, en effet ! On a vraiment l'impression qu'elle est vraiment là ! C'est tellement beau ! »
*** corps plaqué à mon dos, sa bouche n'est qu'à quelques centimètres de mon oreille.
« Tu aimes les belles choses toi, hein petite ? »
Je fais ma timide et je ne réponds pas. Une bosse grossie dans *** pantalon. La salle est déserte, alors, il ne se gêne pas pour se frotter à mon cul.
« Tu sens ca ? Tu sais, ca aussi, c'est très beau. Tu adorerais. »
Ca, pour la sentir, je la sens. Il applique de grosses pressions contre mon cul, comme pour m'enculer au travers de nos vêtements, et ses mains, enfoncées dans les poches de *** manteau, me caressent les fesses de façon vicelarde.
J'ai envi de voir jusqu'où il serait capable d'aller. Je me dégage en poussant un de ses bras.
« Rhooo ! Excusez-moi ! Pardon ! »
Je m'éloigne, mais je sens qu'il me suit. Je joue avec lui, m'arrêtant souvent, devant des vitrines, des animations, des maquettes. Mais dès que je le sens à moins de deux mètres de moi, je m'éloigne de nouveau.
J'arrive dans la salle du système solaire, ou un truc comme ca. C'est un endroit sombre, à la lumière indirecte et très tamisée.
Je suis attirée par un panneau au dessus d'une porte, indiquant « LES MOUVEMENTS DANS LE SYSTÈME SOLAIRE ».
Je pénètre dans un endroit presque noir. Sur le mur, le système solaire représenté par une maquette extraordinaire. Gigantesque.
Une barrière de métal, m'interdit de m'en approcher, mais, un boitier est fixé dessus et le mot « Appuyez » clignote sous un bouton.
J'appuie et tout se met en mouvement. C'est fantastique. D'un coup, je me crois dans l'espace.
Mais je reviens vite sur terre lorsque deux bras m'entourent et se cramponnent à la barrière.
« Humm ! C'est joli, hein ? J'aime bien cette ambiance sombre. Pas toi ? Je trouve ca excitant. »
Je crois qu'il a sorti sa queue. Il pousse et rentre ma jupe entre mes fesses.
Je continue à jouer la petite fille gênée.
« Mais ! Arrêtez, vous me faite peur ! »
« Mais non ! Tiens, prend ca dans ta main. Regarde comme c'est doux et chaud. »
Il me prend une main et la pose sur *** sexe gonflé.
Je ne jouerais pas plus longtemps. Je l'enserre dans ma main et je le branle doucement, tout en me tournant vers lui.
chrislebo

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#9,359
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« Humm ! Elle est belle ! »
« Dis donc, toi ! Tu me sembles bien dévergondée tout à coup ! »
« Humm ! Ca doit être l'ambiance ! »
Je frotte sa queue sur ma jupe et de mon autre main, je descends la fermeture éclair de mon gilet moulant.
« Houaf ! T'as pas de soutif ? Humm ! Petite coquine ! Ils ***t mignons tout plein tes petits nichons ! »
Il les prend à deux mains et les palpe avec vigueur.
« Et une culotte ? T'en a une, une culotte ? »
« Vérifiez-vous même, vieux cochon ! »
Il lâche ma poitrine et remonte ma jupe bien au dessus de la ceinture.
« Ho, merde ! T'es cul nu ! »
***t étonnement m'amuse beaucoup. Je frotte *** gland contre ma chatte trempée, comme une malade.
« Humm ! Vous la voulez ? Vous voulez me pénétrer ? Vous voulez me baiser ? Vous voulez jouir dans ma chatte ? »
« Salope ! Tu m'excites ! Je vais cracher ma purée ! Merde ! »
Avec l'énergie du désespoir, je me soulève à l'aide de la barrière et il parvient à me pénétrer, juste avant d'exploser.
Trois va-et-vient et je le sens se vider en moi.
« Rhooo ! Tu m'as trop excité ! Petite putain de merde ! Haaaaa ! »
« C'est pas grave mon pépère ! Je ne voulais rien de plus, que votre foutre dans ma petite moule ! »
« Ben ? Pourquoi ? »
« Pour que vous m'engrossiez comme une grosse truie ! »
« Qu'est ce que tu racontes ? »
« J'ai arrêté ma pilule, pour faire chier mon mec ! Je vais porter ton bâtard, papi ! »
Je me sauve en riant. Pauvre homme, il ne va pas dormir pendant un bon moment.

Dans l'ascenseur, j'en rigole encore. Je dois être folle de faire croire de telles choses.
« Chéri ! C'est moi ! »
Venant de la chambre, j'entends un « Merde ! »
« Chéri ? Qu'est ce qu'y a ? Qu'est ce qui ce passe ? »
Une nana sort de la chambre en courant, à moitié habillée, le reste de ses affaires dans les bras. J'ai l'impression que mon cœur s'arrête.
« Valérie ? Toi ? »
« Ho ! Je suis désolée, je t'expliquerais ! »
Et elle se sauve dans l'escalier.
Je pénètre dans la chambre. Fabien est assit dans le lit, ses jambes pliées ***t recouvertes par le drap. Il a posé ses coudes sur ses genoux et tient sa tête dans ses mains.
Je ne voudrais pas être à sa place.
« Espèce de salop ! Tu n'avais pas le droit de me faire ca ! Si tu voulais une nana, t'avais qu'à me le demander ! »
« Camille ! Essaye de comprendre ! Tu te tapes des tas de mecs ! J'ai juste eu une envie ! »
« Oui ! Je me tape des tas de mecs, parce que tu es mon cocu et parce que ca te plait ! Je ne suis pas ta cocue ! Et là, tu m'as faite cocue ! Et avec cette pute, que je croyais ma meilleure amie ! Une belle petite salope aussi, celle là ! »
Je suis hors de moi. Je relève ma jupe et glisse deux doigts dans mon vagin. Celui-ci, fait un drôle de bruit et du foutre s'en écoule.
« Regarde bien ma chatte remplie à ras bord ! Parce que tu n'es pas prêt de la revoir et encore moins de la vider ! COCU ! »
De rage, j'essuie mes doigts sur *** visage.
« Je te promets de me venger Fabien ! Je ne sais pas quand, ni comment, mais je me vengerais ! Je me vengerais ! »
chrislebo

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#9,360 
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Voilà un bon mois que Fabien a fait de moi une cocue.
Je ne lui parle plus et je m'absente de plus en plus souvent. Je me demande même si je ne vais pas le quitter, malgré le petit. Ce ne serra pas le premier à avoir des parents séparés.
Valérie a essayé de me joindre trois fois. Je n'ai pas répondu.
Je noie mon chagrin dans les bras d'hommes de tous poils. J'ai même du mal à y trouver encore du plaisir.
Mais ma vengeance a déjà commencé.
Lorsque je rentre souillée de ces hommes, je me nettoie à grands coups de papier toilette, devant Fab, et ce, ou qu'il se trouve. Chambre, salle à manger, cuisine, même balcon, ca n'a aucune importance. Je jette le papier souillé à ses pieds, à chaque fois.
Je veux l'humilier.

Dimanche matin.
« Tu sors encore ? Il va pleuvoir, reste. »
« Si tu t'ennui, tu n'a qu'à appeler Valérie ! »
Je tourne les talons et je claque la porte.
Je suis triste de cette situation, mais j'ai du mal à lui pardonner. C'est la gorge serrée que je prends la route. Je pars au hasard, sans savoir ou aller.
Le ciel menace, mais il ne pleut pas. Si j'avais su, je ne me serais pas embarrassée de mon imper. Je serais juste sortie avec cette petite robe d'été. Elle est très jolie...très courte. Blanche, imprimée de quelques fleurs, elle se ferme sur le devant par des boutons pressions.
Voilà une heure que je roule, lorsque j'arrive à un carrefour que je crois reconnaitre. Je suis mon instinct et tourne à droite.
Je tombe sur le parking en forêt, ou je m'étais exhibée.
Je suis prise d'un grand fris***. Oserais-je me montrer seule, à plusieurs hommes.
Je descends de voiture et je prends le chemin qui s'enfonce dans le bois. Je guette le moindre mouvement de buis***s et je suis très vite repérée.
Deux hommes me suivent, à distance. Trois autres arrivent face à moi. Plusieurs aussi, me guettent de dessous les arbres et se masturbent en me regardant passer.
J'ai peur et je décide de faire demi-tour.
Je me retrouve face à ceux qui me suivaient. Ils passent près de moi, grands sourires aux lèvres.
« Bonjour ! On se promène ? »
« Heuu ! Oui, enfin...non ! Je dois rentrer tout de suite ! »
« Ho ! C'est dommage ! »
« Je reviendrais, promis ! Au revoir. »
Je retourne à ma voiture. De loin, je vois un homme en jogging, qui tourne autour. C'est, très inquiète que je m'approche.
« Ha ! Il me semblait bien que c'était ta voiture. »
Je me décompose, lorsque je reconnais mon beau père.
« Ho ! Monsieur Félicien ? Quelle coïncidence de vous trouver là ! Le monde est petit. »
« Exact ! Fabien n'est pas avec toi ? Et le petit ? »
« Ha, heuu, non ! Le petit est parti quelques jours avec mes parents. Fabien est crevé par ces horaires. Alors j'en profite pour faire du repérage pour de futures balades ! »
Je suis très fière de mon men***ge improvisé. Imparable.
« Et bien, ici, ce n'est pas ********* une bonne idée. Ce n'est pas très bien fréquenté, tu sais ! »
« Ha bon ? Et vous ? Que faite vous ici ? C'est bien loin de chez vous ? »
Et toc ! Je ne vais quand même pas m'en laisser compter.
« Tu me surveille ma parole ! Haha ! »
« Ho non, pardon ! Ce n'est pas ce que je voulais dire ! Hihihi ! »
« Je sais bien, ma petite Camille. Non, je suis ici pour mon travail. Je regarde les arbres à couper. »
« À bon ? Vous pouvez couper dans une forêt domaniale ? »
« Heuu ! Non ! Je...Je viens juste jeter un coup d'œil, pour voir comment il bosse. »
« Un dimanche ? »
« Bah ! Ca me fait marcher un peu. J'entretien ma forme. Tiens, viens voir par ici. »
Lui, par contre, est nul en impro. Je ne crois pas *** histoire une seule seconde. Il m'entraine dans le sous bois, vers une clairière. Au centre, trône un arbre immense, avec des branches presque au ras du sol.
« Tu vois, cet arbre est centenaire et... »
Il me fait un cours magistral dont je n'ai rien à faire. Puis, à l'approche de quelques hommes, il me reconduit à ma voiture.
« Aille ! Merde ! Ca fait mal ! »
« Qu'est ce qui t'arrive, Camille ? »
« Je me suis blessée le mollet avec une branche ! »
« Hum ! On va passer par la scierie pour te désinfecter ca. Tu n'es jamais venue ? J'en profiterais pour te la faire visiter. Suis-moi, on en a pour une demi-heure de route. »
Je n'ai pas le temps de répondre, que déjà, il ferme la porte de sa voiture.
Trente cinq minutes plus tard, nous engageons nos voitures dans un chemin de terre. Au bout de celui-ci, nous pénétrons dans une cour, encadrée de bâtiments en préfabriqués.
« Nous voilà arrivé. Ici, tu a les bâtiments des ouvriers, et là, se ***t mes bureaux. Viens, que je te soigne avant d'aller voir la scierie. »
C'est comme je l'imaginais. Un bureau de chantier, avec des tas de plans et de papiers aux murs. La seule chose qui pourrait faire croire que c'est un bureau de patron, c'est ce grand fauteuil derrière le bureau.
Tandis qu'il cherche la trousse à pharmacie, je regarde quelques photos accrochées ca et là. Toutes traitent de la coupe du bois et de la déforestation.
« Voilà ! Je l'ai ! Viens poser tes petites fesses, là ! »
Il s'est installé dans *** fauteuil et tapote le bord du bureau, face à lui. Tandis qu'il imbibe un bout de coton d'alcool à 90°, je me glisse entre ses jambes et m'appuie au bureau.
Il prend ma jambe et pose mon pied sur l'accoudoir de *** siège.
Le genou très haut, mon imper s'ouvre et ma robe glisse le long de ma cuisse. Je la stoppe avant qu'elle ne découvre tout mon cuissot.
Il n'en semble pas très troublé et commence à tapoter ma griffure, tout en tenant mon mollet.
« Ca vas ? Ca ne pique pas trop ? »
« Non, ca vas. »
« Tu a de très jolies jambes. C'est agréable de te soigner. »
Je ne relève pas sa réflexion et je le laisse souffler sur ma plaie. Il prend un pansement et le colle sur mon mollet.
« Voilà ma jolie ! Un p'tit bisou et c'est fini ! »
Il se penche et embrasse tendrement mon mollet. Mais il ne s'arrête pas là. Il continu à donner de petits bisous et remonte jusqu'à mon genou.
Gênée, je n'ose rien dire, ni bouger.
Une main frôle mon mollet et l'autre tente de caresser l'intérieur de ma cuisse.
Instinctivement, je serre mes jambes.
« Non ! Monsieur Félicien ! Je vous en prie ! Il ne faut pas ! »
Mais il ne cesse pas. Il pose ses mains sur mes hanches et laisse courir sa bouche plus haut sur ma cuisse.
L'excitation me gagne et mon ventre s'échauffe. Mais la bienséance m'interdit d'aller plus loin.
Il persiste et passe d'une cuisse à l'autre.
« Humm ! Comme tu sens bon ! Comme ta peau est douce ! Humm ! »
« Monsieur Félicien, non ! Vous êtes mon beau père, je suis la fiancée de votre fils ! Vous ne pouvez pas ! Nous ne pouvons pas ! Je vous en supplie ! Non ! Il ne faut pas faire ca ! »
Je supplie, mais mes jambes se desserrent inexorablement.
Il tire un peu sur le bas de ma robe et trois boutons pression sautent, me dévoilant jusqu'au bas ventre.
Apercevant mon minou libre, il exulte.
« Hoo, Camille ! Je le savais ! Je le savais ! Tu n'étais pas là-bas pour te promener ! N'est ce pas ? »
« Je...Je... »
Il tire fort et toute ma robe s'ouvre. Nue devant mon beau père, je perds mes moyens et commence à trembler comme une feuille.
« Monsieur Félicien ! Je... »
« Tais toi ma toute belle ! Laisse-moi te déguster comme tu le mérite ! »
Il plonge *** visage entre mes cuisses. Sa langue est chaude, agile, habile. Je suis vaincue.
Je me jette en arrière et m'appuie sur mes bras. Je pose mes deux pieds sur les accoudoirs. Largement ouverte, mon beau père se désaltère à ma fontaine. Ses deux mains triturent mes seins, tirent et pincent mes tétons durcit par le plaisir.
Puis doucement il remonte. Il embrasse mon ventre, joue avec mon nombril. Il monte encore et aspire et lèche mes seins.
Soudain, sa bouche s'égare dans mon cou, aux lobes de mes oreilles et il me confie quelques secrets.
« Ho Camille ! Depuis le premier jour où je t'ai vu, je t'ai désiré ! J'étais jaloux de mon fils ! J'aurais tellement aimé te féconder moi-même ! Je me suis tellement branlé en pensant à toi, en pensant à cet instant, ou je poserai mes mains sur ton corps de rêve ! Laisse-moi, te prendre ! Laisse-moi te baiser, ma petite salope ! »
Je le repousse doucement et fais descendre la fermeture éclair de sa veste de jogging. Puis, je glisse mes mains sous l'élastique de *** pantalon et je libère sa bête, prête à me perforer.
Je passe mes bras derrière *** cou et je me plaque contre *** poitrail velu. Mes seins s'écrasent contre lui, me renvoyant sa douce chaleur d'homme en rut.
« Tais-toi ! Embrasse-moi ! »
C'est la première fois que je le tutoie. Il a triomphé de mon insignifiante résistance. Il prend ma bouche. Nos langues se mélangent, nous échangeons nos salives, emportés dans un tourbillon de plaisir. Il me serre fort dans ses bras puissant, m'écrasant contre lui.
Je l'enserre dans mes jambes.
« Prend moi ! Prend moi fort ! »
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