prince albert 1
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#1 · Edited by: prince albert 1
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Bonjour à tous J'ai le plaisir de vous faire part de l'ouverture du site "Les mots d'Aphrodite" Pour les amateurs de littérature érotique (...très) ce ***t des romans et des nouvelles inédites écrits en français par Lisa Nel*** Y seront aussi publiés des ouvrages de ses amis et complices. Le premier ouvrage mis en ligne est "Défi", une saga de 528 pages En souhaitant que cela puisse vous plaire, nourrir votre imaginaire et vos fantasmes les plus intimes. Très amicalement Lisa Nel***
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Le début de "Défi"(extrait) Défi
Chapitre I LE DÎNER
Paris, Avril 2010
Le portier accueillait avec un sourire déférent les unes après les autres les clientes dans le magasin de l'avenue Montaigne. C'était un vaste show-room qui présentait les plus grandes marques de vêtements, d'accessoires, de chaussures et de bijoux pour des femmes fortunées. La plupart étaient des étrangères. Elles aimaient être traitées avec égards et toutes les attentions qui devaient leur être dues par la dizaine de vendeuses qui allaient et venaient entre les rayons, prêtes à satisfaire toutes les demandes et même les anticiper. Toutes portaient des tailleurs sobres et élégants, jambes gainées de bas fins, en talons hauts, pour mettre en valeur toute la féminité que pouvait offrir l'endroit. Une règle stricte que faisait respecter Anne-Sophie, la patronne du lieu, sans tolérer la moindre entorse et laisser-aller. Elle dirigeait la boutique et tout *** per***nel depuis *** vaste bureau à l'étage desservi par un escalier en colimaçon auquel elle seule avait accès, sauf invitation particulière d'une cliente de marque. Elle gérait *** entreprise d'une main de fer et, crainte aussi bien par ses employés que ses fournisseurs, elle en assurait une prospérité que beaucoup lui enviaient. A l'inverse Anne-Sophie savait se montrer d'une amabilité qui touchait à la complaisance et la condescendance avec ses clientes. Aucun compliment et aucune flatterie n'étaient superflues. Dans ce cocon de luxe feutré aux épaisses moquettes, tout respirait la volupté. Et la dévotion au pouvoir et à l'argent. Lorsque les vendeuses entendirent ce jour-là les talons d'Anne-Sophie claquer sur les marches, toutes se crispèrent un peu et vérifièrent qu'elles ne prêteraient pas le flanc à des réflexions ou sanctions de sa part. Lorsque Anne-Sophie quittait ainsi *** bureau en pleine journée c'était le plus souvent lorsque la venue d'une importante cliente lui était annoncée par *** entourage ou ceux qui la conduisaient dans la boutique. Apparurent d'abord les fins et vertigineux talons aiguilles de ses escarpins aux semelles écarlates dont elle portait de nombreux modèles au quotidien. Puis tandis que ses mains aux longs ongles vernis glissaient le long de la rampe, se découvrirent ses jambes fuselées gainées de bas à couture gris fumés d'une finesse remarquable. Anne-Sophie parvint enfin au palier d'une démarche féline, arrogante et sûre d'elle. Elle portait une jupe moulante de cuir souple au dessus du genou, fendue à mi cuisse, faisant deviner la lisière d'un bas. Du pas ferme qui la caractérisait, elle traversa le magasin pour s'approcher de l'entrée, sans manquer de jeter des regards inquisiteurs autour d'elle. Elle franchit la porte tournante pour aller au devant de sa cliente qui descendait d'une imposante limousine noire aux vitres fumées. - Chère Sabrina !! Quel plaisir de vous revoir ! Cela fait si longtemps... *** enthousiasme convenu faisait partie de *** per***nage et de sa fibre commerciale, mais pas que... Les deux femmes s'étreignirent chaleureusement, s'embrassèrent, puis entrèrent dans le magasin en échangeant quelques banalités sur le voyage et l'installation de Sabrina dans un des palaces proches, là où elle avait ses habitudes. Anne-Sophie l'escorta de rayons en rayons prévenant ses attentes et ses goûts qu'elle connaissait parfaitement depuis des années maintenant. D'un geste elle désignait aux vendeuses les articles sur lesquels sa cliente jetait *** dévolu. Puis toutes deux gravirent l'escalier afin de prendre le thé et s'isoler pour que Sabrina puisse essayer confortablement et toute discrétion ce qui avait retenu *** attention, dans le bureau d'Anne-Sophie. C'était d'ailleurs plus un appartement qu'un simple lieu de travail et offrait tout le luxe nécessaire à accueillir de telles clientes ou ses relations. Toutes deux s'installèrent confortablement, et Anne-Sophie fit monter une de ses employées pour leur servir le champagne, tandis qu'elles discutaient de leurs vies respectives depuis leur précédente rencontre. Sabrina était l'épouse d'un riche armateur de Côte d'Ivoire. Elle partageait *** existence entre sa vie sociale et relationnelle auprès de la communauté des expatriés, notables et puissants locaux, et les voyages d'agréments, ou liés aux affaires de *** mari, autour de la planète. Elle était d'origine libanaise comme *** époux. Grande, brune à la longue chevelure qui couvrait ses épaules et de superbes yeux myosotis que *** maquillage accentué rendait encore plus présents. Fréquentant la même jet-set voyageuse, elles s'échangeaient des nouvelles des unes et des autres, aussi bien sur leurs nouvelles garde-robes, les bijoux qu'elles s'étaient fait offrir et arboraient, que sur leurs amours, leurs amants affichés et même les divorces et remariages de leurs amies. Des futilités qu'elles reconnaissaient mais dont elles se repaissaient. Leur légèreté n'était qu'apparente car les deux femmes étaient issues de milieux aisés, cultivées, avaient suivi des sérieux cursus universitaires et parlaient plusieurs langues. Si Anne-Sophie avait fait le choix de travailler en ouvrant cette boutique, ce n'était aucunement par nécessité car comme Sabrina elle était mariée à un riche homme d'affaire qui était largement en mesure de lui offrir une vie de rêve. *** amie, après avoir été mariée à deux reprises auparavant et avoir occupé des fonctions de consul de *** pays dans divers continents, s'épanouissait dorénavant dans *** rôle d'hôtesse et de faire valoir de *** époux, sans en éprouver aucun regret. Deux vendeuses frappèrent à la porte du bureau, puis entrèrent en portant ce que Sabrina avait sélectionné. Anne-Sophie se leva pour les contrôler, puis d'un coup jeta une des robes à la figure d'une de celles-ci. - Ma pauvre fille !! Vous êtes la dernière des connes !! Présenter du 40 pour Madame ... ! Vous l'insultez ou vous la prenez pour une vache laitière ? Excusez vous et rapportez lui immédiatement du 36 ! - Mais, Madame ... ce n'est pas moi qui ... - Fermez la ! Excusez vous et baissez les yeux pour nous parler ! - Pardon Madame, balbutia la fille, esquissant même l'amorce d'une génuflexion en baissant la tête. Puis toutes deux se retirèrent sans un mot. Même si elle avait été un peu étonnée par la scène, Sabrina ne la commenta pas et suivit Anne-Sophie jusqu'à une vaste alcôve aménagée en confortable cabine d'essayage. *** hôtesse lui porta sa coupe de champagne et l'invita à prendre tout *** temps, tout en retournant s'installer sur un des canapés. Sabrina n'estima pas nécessaire de tirer le rideau qui fermait la cabine et commença à ôter ses vêtements sans aucune gêne. Elle dévoila un corps parfait cambré sur ses talons aiguilles et seulement paré de bas noirs à la large bordure brodée de la marque de luxe qui les lui fournissait, d'un serre taille en satin tendant six jarretelles, et d'un soutien gorge à coupelle qui dévoilait sa poitrine en la faisant saillir. Elle était magnifique. Anne-Sophie dont les goûts en matière de plaisirs étaient multiples, se repaissait de l'admirer même de loin. Elle avait déjà assisté dans ce bureau à des essayages de *** amie ainsi, mais elle remarqua un changement qui la rendait encore plus désirable. Ses seins. Ce fut encore plus évident lorsqu'après quelques jupes, Sabrina ôta *** soutien-gorge pour essayer la lingerie qu'elle avait choisie. Sa poitrine avait pris un volume évident, et les deux globes restaient totalement fermes, dressés et immobiles sans plus aucune assistance. De plus ses deux tétons étaient percés de petites barrettes en or terminées à chaque extrémité par des diamants sertis de belles tailles. Anne-Sophie ne put s'empêcher de lui en faire compliment. - Votre poitrine est superbe...Et magnifiquement ornée. Sabrina prit avec le sourire le commentaire de *** amie et se tourna ouvertement vers elle pour la lui exposer. - Oui en effet, comme vous avez pu le remarquer j'ai choisi cette fois du 100 E. Il y a quelques mois mon mari m'a accompagnée au Brésil pour me présenter un de ses amis qui est un des chirurgiens esthétiques les plus réputés de la planète. À trente quatre ans, le temps a déjà fait *** effet et il était nécessaire de retendre et remonter un peu tout ça ... - Vous portiez pourtant déjà un beau 90 D avec prestance. - Merci, mais je ne supporte pas de perdre ma silhouette. Et puis comme la plupart des hommes, mon époux apprécie que j'affiche une poitrine arrogante et volumineuse en toutes tenues et circonstances. Et outre leur remise en forme, j'ai accédé à *** désir de prendre quelques tailles de ce côté là. Et j'avoue être vraiment satisfaite du résultat. - Vous pouvez...C'est une totale réussite qui vous va si bien, en tel contraste avec la finesse de votre taille...Mais les barrettes ? - Les barrettes, c'est un peu à vous que je les dois. De quelle manière ? ............................. le sexe sans tabous
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prince albert 1
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Bonjour à tous Pour vous un second extrait de "Défi" Une des premières rencontres intimes entre Anne-Sophie et Sabrina Amicalement Lisa The hyperlink is visible to registered members only!
...... - Tu as vraiment besoin de sensations fortes ! Allez, reposes moi ce coffret, et avant sors et poses devant moi ces cinq grosses boules et une chaîne pour relier tes seins. On va renouveler cela ! Sans un mot, Anne-Sophie obéit. Elle essayait de reprendre le dessus et redevenir celle qu'elle était mais en vain. Elle se sentait comme happée par le rôle que Sabrina lui faisait endosser. - Tu me prends dans l'armoire un collier, une laisse et des menottes de cuir pour tes poignets et tes chevilles, de quoi les relier, puis tu te les poses devant moi. Anne Sophie s'exécuta et durant de longues minutes se prépara comme on lui avait demandé. Plutôt ordonné. - C'est long !! Dit Sabrina. - Désolée, Madame. Je n'ai pas l'habitude. Généralement c'est moi qui installe cela à mes partenaires. - Tu apprendras certainement à les porter... Une fois prête, face au pied du lit, Sabrina s'approcha d'elle. - Bras dans de le dos ! Tournes toi ! Elle relia alors les menottes de cuir des ses poignets par un mousqueton pour les immobiliser. Puis à l'aide d'une courte chaîne elle fit de même avec ses chevilles. - Face à moi, et recule de quelques pas, que je te voies bien. Anne-Sophie, à tout petit pas, entravée par quelques dizaines de centimètres de chaînes et sur ses talons aiguilles s'exécuta lentement. Sabrina remonta sur le lit et s'accroupit en s'emparant de deux des boules et de la chaîne. Elle tendit le bras et assura le fermoir de la chainette du poids d'or sur le premier anneau des seins d'Anne-Sophie. Elle le laissait reposer sur sa paume puis lentement descendit sa main. Le téton se déforma lentement, puis le sein, jusqu'à ce que Sabrina libère la boule de *** soutien. Une crispation apparût sur le visage d'Anne-Sophie, mais elle voulait montrer sa résistance en n'émettant pas un ***. Elle savait que cela ne ferait qu'exacerber l'attitude de Sabrina à *** égard, en tout cas cela aurait été *** cas, mais si elle se pliait à *** rôle à ce moment, sa détermination à assumer le défi lancé était ancrée en elle. Anne-Sophie put vite le vérifier. Sabrina posa la seconde boule et cette fois la laissa retomber sans amortir sa chute. Et cette fois ce fut une grimace qui se dessina. Sabrina sourit. Satisfaite d'elle. - Alors ça te plait ? Ça te fait du bien ? - Oui, Madame. - Parfait ! Alors on va continuer ! Elle prit la petite chaine et la posa aux anneaux de ses seins. - Voilà ! Comme cela ils vont pouvoir être bien reliés et être sollicités ensemble au moindre de tes mouvements. J'imagine que cette chaîne est faite pour cela, non ? - Oui, Madame... Mais jamais avec ces poids... - Eh bien ça sera une première ! On continue ?! - Oui, Madame. Même ainsi immobilisée, Anne-Sophie ne pouvait se retenir de faibles mouvements qui se transmettaient aux sphères et que les chaines amplifiaient. Et là ce n'était pas dans le cadre d'ébats sexuels, mais bien d'une domination infligée par une femme dont ce n'était pourtant à priori pas l'inclination. - Écartes les jambes ! Au maximum de ce que permet ta chaîne ! Anne-Sophie obéit en faisant glisser ses escarpins sur la moquette, mais sans pouvoir se soustraire aux balancements provoqués aux boules. Sans plus y mettre de retenue, Sabrina posa alors les autres terribles parures à ses grandes lèvres, puis enfin avec une sourire non contenu, le dernier qu'elle laissa tomber d'un coup, à *** clitoris. Cette fois Anne-Sophie ne put retenir un gémissement. - Tu as mal cette fois, chérie ? Et ne ment pas ! - Oui, Madame c'est dur, mais je suis au-dessus de ça... Merci... - Tu seras décidément dure à dresser, mais je crois que vais vraiment y prendre plaisir. Allez recule encore un peu, je veux voir mon oeuvre en entier ! Anne-Sophie s'écarta d'un bon mètre du lit tandis que Sabrina s'allongea à nouveau langoureusement sur le lit pour admirer le spectacle. - C'est superbe, et tout cet or qui d'habitude sert à te mettre en valeur et prouver puissance et richesse, n'est maintenant que ton bourreau. Allez, montre moi ce que tues capable de t'infliger et de supporter. Bouge ton cul et fait onduler ton buste ! Je veux voir et entendre les boules s'entrechoquer ! ......... le sexe sans tabous
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prince albert 1
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Bonjour à tous Le volume 2 de "Défi" est en ligne Un extrait pour vous Amicalement The hyperlink is visible to registered members only!
- Aimé, détachez la de la voûte et posez lui ses fers cette fois mains dans le dos, ordonna Sabrina. Il la prépara sans qu'Anne-Sophie, pantelante, montre la moindre résistance. - Maintenant, Fatou, à genoux ! Elle jeta un regard haineux à Sabrina, mais se plia à *** injonction. - Aimé, sortez votre sexe et approchez le de la bouche de ma bonniche ! S'il n'était encore que partiellement érigé, le membre d'Aimé qui émergea était déjà d'une taille remarquable. Peut-être était-ce la situation ou la correction qu'il venait d'administrer à Anne-Sophie, mais tout cela était loin de l'avoir laissé insensible. Les épaisses veines qui couraient le long de sa hampe d'un noir si profond palpitaient déjà. D'une main il sortit ses bourses, longues, fripées, gonflées et chacune de la taille d'un gros abricot. Il prit en main *** sex et le caressa un peu pour le présenter aux lèvres d'Anne-Sophie, ce qui participa à parfaire *** érection remarquable. - Maintenant, ma chienne, tu vas remercier convenablement celui qui t'a offert ce que tu méritais. Je suis certaine que tu vas bien t'appliquer à sucer un nègre, surtout Aimé dont la queue te faisait tant mouiller l'autre soir lorsque tu l'as découverte ! Et dit lui merci de te l'offrir devant tous avant de t'en occuper comme elle le mérite. Après la souffrance physique, Sabrina lui imposait le comble de l'avilissement public. L'énorme gland n'était maintenant qu'à quelques centimètres de sa bouche mais elle n'arrivait pas à les franchir. Malgré la douleur qui embrasait tout *** corps et l'ordre auquel devait se plier sans aucune liberté de choix, elle sentait cependant le désir de ce sexe monstrueux l'envahir. Comme ***********. *** orgueil était pourtant loin d'avoir disparu et se refusait à ce que soient les mains de ce nègre qui s'emparent de *** visage pour la contraindre à faire envahir ses lèvres par cette verge démesurée. Elle voulait que ce fut sa décision. Mais *** atermoiement fut de courte durée. - Tu vas la sucer la bite d'Aimé ?!!! Et à fond ! Et dépêches toi si tu ne veux pas qu'il soit obligé de t'en administrer une autre série pour t'apprendre à obéir plus vite ! Je veux que tu le prennes jusqu'au fond de la gorge et que tu avales sa semence de « nègre » sans en perdre une goutte ! Et tu vas commencer par me lui titiller *** gros et superbe gland tout rose avec ta langue de vipère. Et je veux t'entendre d'abord le remercier avec déférence d'offrir une si belle queue à une chienne comme toi ! Et haut et fort ! Que tous ici entendent clairement ! Le ton et sa situation ne lui laissaient pas d'alternative. Elle ravala se salive et prononça ce qui relevait pourtant pour elle de l'impensable. - Merci Monsieur Aimé de me laisser sucer votre magnifique bite et de me faire l'honneur de jouir dans ma bouche de salope...
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