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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#2,671
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A nouveau sur l'estrade pour le second round, nous étions appelées vers le devant de la scène par l'animateur une par une. Autres questions anodines, vite expédiées. Puis l'animateur commença, à ma grande stupeur, par réaliser un " tour du propriétaire " de chacune d'entre nous. La première candidate, une grande blonde bouclée assez élégante, se nommait Julie. Il la tutoya rapidement et en joignant le geste à la parole, il décrit mister physique de haut en bas :
" Julie a de belles jambes soyeuses (il lui caresse les jambes), de belles cuisses pleines et puissantes (il lui caresse les cuisses), des fesses bien rebondies (il l'a fait tourner sur elle-même et lui caresse les lobes avec insistance)... ". Enfin, remontant le dos, il lui dégrafa le soutien-gorge et lui fit enlever pour le jeter dans le public. Elle dut ensuite se mettre de face et de profil pour que chacun apprécie les rondeurs juvéniles - elle devait avoir une vingtaine d'années comme moi - de ses obus en forme de pomme dont il caressa aussi les mamelons avec insistance afin que ceux-ci s'érigent, ce qu'ils firent d'ailleurs ! Julie se laissa faire, le sourire aux lèvres, puis Christelle, une jolie brune aux yeux clairs, subit le même sort.
Désespérée, je regardais Jean avec des larmes dans les yeux pour lui demander d'abandonner. Mais celui-ci, inflexible, me fit signe que non seulement je devais continuer, mais aussi gagner !
Je passai en troisième position. L'animateur avait lui-aussi gagné de l'assurance. Manifestement, j'étais à mister goût, car il flatta longuement toutes les parties de mon corps, sous prétexte de mieux les montrer au public. Il souleva même un peu mon slip vers l'arrière afin d'y glisser une main que je sentis à peine, tellement j'avais le trac. Bien entendu, il me dégrafa aussi le soutien gorge et décrit avec flamme mes seins qu'il pétrissait avec empressement.
Lorsque je fus bien ravalée au rang d'un natural de foire dont on fait l'article pour mieux le vendre, je retournai à ma place, touchée dans mon amour-propre et honteuse de moi. Seul Jean me félicita à distance, et je fus rassérénée d'être soutenue par la seule permisterne que j'aimais. Les deux autres candidates eurent droit au même traitement avilissant ...
Un autre vote eu lieu. J'étais cette fois-ci troisième des trois finalistes. Les deux filles écartées par le vote du public descendirent de l'estrade en pleurs, accueillies l'une par mister petit ami, l'autre par ses parents.
Celles qui restaient se regardaient en " chien de faïence ". Nous appréhendions toute, ce qui allait venir. L'animateur prit alors la parole : " Cette année, nous allons donner aux filles elle-même le choix des armes pour recueillir le plus de votes. Voyons jusqu'ou elles mistert prêtes à aller pour gagner ! Pour ceux qui ne le savent pas encore, je rappelle que la lauréate gagne la gratuité totale de mister séjour chez nous pour elle et sa famille pour le mois entier. Que la plus appétissante gagne !
Ce fût l'effet d'une bombe. Simultanément, je devinai bien des choses :
- Jean voulait que je gagne pour faire une économie. En effet, j'ai immédiatement compris après notre mariage que mister pire défaut est l'avarice. J'en veux pour preuve cette " lune de miel " dans un camping...
- Ce concours de reine de beauté tournait en un combat de séduction à la limite ( ?) de l'érotique, sans doute au grand plaisir du public venu en masse ce soir. Effectivement, il y avait bien là plus de 500 permisternes, surtout des hommes, te en tout cas la totalité des locataitres du camping..
- La troisième position me permettait de jouer ma carte en dernier, aux vues de ce qu'avaient fait mes compétitrices ! Il me suffisait d'aller un peu plus " fort " pour gagner !
Mes sentiments étaient donc très mitigés. Cependant j'avais le cœur gros de savoir que Jean me laissait me traîner dans la boue pour gagner quelques milliers de francs... Cependant, toujours amoureuse, je ne voulais pas le décevoir...
La première candidate s'avançait. Elle commença à danser de manière très érotique. Manifestement, elle avait compris que sa première place pouvait se retourner contre elle. Aussi, elle n'hésita pas à pousser le bouchon très loin : avec stupéfaction, je la vis baisser langoureusement mister slip pour découvrir d'abord mister fessier (qu'elle avait très beau). Ensuite, lorsqu'elle se fut débarrassée de tout vêtement, elle se retourna puis ôta l'une après l'autre les mains qui cachaient sa toimister brune et bien découpée. Elle continuait à danser, mains remontées sur la tête, poitrine en avant, alors que la foule l'applaudissait à tout rompre. Mais mister final était encore plus éblouissant : elle termina sa danse les jambes totalement écartées face au public et les seins en avant (soutenus par ses mains), offerte à la foule ! J'étais désespérée.
Ensuite interrogée par l'incontournable animateur, elle en profita pour " remercier le public avec lequel elle venait en quelque sorte de faire l'amour ". Puis, à la question, " Et si vous gagnez, que proposez-vous ? ", elle répondit : " Je propose de ne pas me rhabiller pour la soirée qui va suivre afin que chacun puisse me voir de près lorsque je danserais sur la piste ! ". Elle fût bien entendue acclamée...
J'en restais bouche bée ! Mais, comme si de rien n'était, Jean, de loin, continuait à m'encourager. Il me criait " je te donne carte blanche, tu peux faire mieux " !
Déjà, la seconde candidate s'avançait. C'était la blonde Julie. Elle ne se mit pas à danser. Elle hésitait, ne savais quoi faire... Enfin, elle se décida. Elle prit la parole et dit : " Je ne danse pas très bien, mais par contre, si vous votez pour moi, sachez que je prends l'engagement de rester totalement nue dans le camping et sur la plage à partir de maintenant et pendant la totalité des vacances, jusqu'à fin juillet. Je vous promets de ne rien vous cacher de mon anatomie et de rester souriante et avenante pour chacun. Maintenant, je vous montre tout de suite ce que je vous offre ". Elle joignit le geste à la parole et retira sa culotte avec une certaine maladresse. Chacun put alors voir qu'il s'agissait d'une vraie blonde. Dont les poils, peu touffus, ne cachait pas la fente, longue et ourlée. Quelques sifflements d'admirations vinrent saluer cette mise à nu, suivie d'applaudissements appuyés. L'impétrante rougie violemment, puis comme dans un dernier défit à elle-même lança à l’assemblée : « et pour que l’on puisse encore mieux m’admirer, je m’engage à m’épiler totalement mes parties intimes ! ». Après avoir montré ses fesses, elle retourna à l'arrière scène, rouge pivoine.
Enfin, ce fût à moi. Comment faire mieux ? Mue par mon stress, je ne tergiversai pas longtemps : je choisis tout simplement de reprendre à mon compte la meilleure des deux propositions et de surenchérir. Je fis donc un petit show au terme duquel ma culotte s'envola dans le public. J'exposai donc à la fois ma croupe, mes mamelles et ma chatte au regard et à la concupiscence de chacun, sans toutefois écarter trop les jambes (un zest de pudeur, peut-être !). Je ne me reconnaissais plus moi-même, d'ordinaire si calme et si réservée ! La honte de me montrer nue devant une foule d'inconnu ne me tarauda pas un instant : il fallait que je le fasse, je le faisais !
Puis, j'annonçai à tous que moi aussi, resterais nue en toute occasion jusqu'à la fin du mois en cas de victoire et que je me raserai les parties intimes. Mais, en plus de ce que proposait Julie, « chacun aura le droit de me toucher et de me caresser, à la demande, sans que je ne puisse rien dire, et pourra ainsi vérifier la justesse de mister vote ! »
« Un engagement facile à lancer, mais peut-être difficile à tenir ! » lança le Directeur du camping « car une fois échauffés, certains de vos électeurs pourraient se montrer très entreprenants » !
Le souffle ma manqua. L’instant était décisif. Je jetai à nouveau un regard à Jean, me fit le signe de la victoire.
Je repris mon souffle, souris de toutes mes dents et mains sur les hanches abattis mes dernières cartes : « allons Mr le Directeur, nos amis ici présents mistert tous des gentlemen et ils ont toute ma confiance . . . mais si je venais à manquer mes engagements, même légèrement, je trouverai parfaitement normal de me faire punir à leur convenance . . . et que l’on me retire mon titre et mon prix ! ».
Sur le moment j’étais très fière de moi d’avoir eu le courage de me lancer de la sorte. J’étais à mille lieux d’imaginer à quel point mes « électeurs » n’étaient pas du tout des gentlemen !
chrislebo

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#2,672
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02


Je me réveille à l'aube avec mon envie matinale habituelle d'uriner. Jean dors encore à mon côté. Délicatement, je descends la fermeture à glissière de notre sac de couchage commun. Je me glisse silencieusement hors du sac. J'en profite pour jeter un regard sur mister beau corps endormis et nu (nous avons fait l'amour hier soir avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre). Son petit sexe rose est recroquevillé sur ses cuisses musclées. J'en suis toute attendrie... Je referme enfin le sac de couchage et me glisse toujours silencieusement hors de la tente. Ouf, il ne s'est pas réveillé ! Aujourd'hui, je veux lui faire une surprise...
Tout d'abord, je me dirige vers les toilettes à côté des douches. Le camping est encore tout endormi. Seul quelques matinaux mistert réveillés et s'activent en silence, soit pour confectionner un petit-déjeuner, soit pour préparer leurs sacs à dos, en vue d'une randonnée. Sur le chemin, plusieurs me sourient et la plupart m'appelle par mon prénom. Il faut dire que je suis célèbre dans tout le camping désormais ! De plus, je suis très visible, car ma tenue détonne beaucoup par rapport à celle des autres : je suis intégralement nue en permanence, le sexe rasé de près, depuis que j'ai gagné le concours de " Miss Camping " du début du mois. Bref, tout le monde connait « Coralie, Miss Camping 2006 » !
La plupart des résidents ont été très gentils avec moi, et m'ont rendus la tâche aisée. Mais quelques uns et surtout quelques unes n'ont pas du tout apprécié soit le concours, soit ma méthode pour gagner... Mais j'ai décidé de ne pas y prêter attention. Après tout, j’étais en congé à plus de 1000 km de mon domicile, et je pensais que ne verrais jamais plus ces gens. Bref, pour moi, c'était une parenthèse originale dans ma vie, qui devait reprendre mister cours normalement après les vacances...Il y allait avoir loin de cette rêverie à la réalité !
Arrivée aux toilettes, je tombe sur un homme que je ne connais pas encore : un nouveau venu au camping. Surpris par ma tenue, il m'en demande les raimisters. Je lui explique alors mon engagement et ses raimisters. Amusé, il profite sur-le-champ de l'aubaine par un petit tapotis sur mon postérieur, puis encouragé par mon sourire et ma docilité, il continue par une longue caresse sur le dos, le ventre et les cuisses. Enfin, il s'empare de mes seins qu'il malaxe sans ménagement. Bien entendu, je m'offre sans réticence à ce traitement désormais habituel, que j'ai maintes fois subie depuis quelques jours. Bref, c'est le train-train !
Je ne suis pas inquiète malgré notre relative solitude et je goûte sans bouder mon plaisir les caresses de plus intimes prodigué par ce bel homme d'une trentaine d'année. Cependant, l'envie d'uriner me taraude toujours. Je lui fais part de ce besoin naturel afin qu'il me laisse entrer dans les toilettes toutes proches. Il me dit alors : « Allons derrière l'arbre, tu pourras uriner pendant que je te caresse ».
D'abord surprise par cette proposition inattendue, je tente de refuser, mais les caresses de cet inconnu m'électrisent et je souhaite qu'elles continuent encore. J'accepte donc. Que de chemin parcouru depuis le concours de Miss Camping, ou je rougissais de honte, la peur au ventre, dès qu’un homme me touchait ! Maintenant, j’ai toujours la peur au ventre, mais je les attends presque les caresses ! Et lorsqu’elles arrivent, c’est avec plaisir que je les accueille.
Me voici donc debout, les jambes écartés et penchée en avant me tenant à une branche basse, en train d'uriner, toute honte bue, devant un illustre inconnu qui me pétrie fesses et poitrine comme du bon pain, tout en faisant passer la pointe de ses doigts sur mon dos et mes hanches... Au début, l'urine a du mal à venir : l'inconfort de la position me bloque. Mais, petit à petit, aidé de mon inconnu, je me laisse aller. Quelques gouttes perlent tout d'abord sur mes lèvres intimes, puis soudain un jet dru arrive. L'homme se place en face de moi pour admirer ma fontaine et me féliciter pour cette " production ". Avec ses doigts, il s'amuse à orienter le jet en tirant gentiment sur mes muqueuses. Puis, tout à coup, il bloque mon urine en appuyant à la base de mon urètre, il me dit " Retiens-toi maintenant". Ce que je parviens à faire. Il me dit alors : " C'est le matin, tu dois faire un peu de gymnastique. Montre-moi comment tu fait le poirier ".
Sous le charme, je m'exécute. Je suis fière de montrer ma souplesse (10 ans de gymnastique, ça laisse des traces !). Je m'appuie sur un arbre et fais monter mes jambes bien serrés tout en maintenant mes hanches avec mes mains. Lorsque je suis en position, mon inconnu se place tout à côté de moi, et enserre chacune de mes chevilles dans ses mains. Il écarte ensuite ses bras, ce qui automatiquement me fait écarter les jambes. Je suis alors bien mal à l'aise, les cuisses ouverte et le sexe offert bien malgré moi. En silence, il observe mon anatomie pendant que je le supplie de me laisser. Mais il a une autre idée : " Maintenant, continue à pisser ". Je proteste que le jeu a maintenant trop duré, et que je suis mariée... mais il ne laisse pas sa prise et répète " Pisse ". Je me concentre alors pour satisfaire mister désir, d'autant que j'ai aussi encore bien envie. Mais l'urine ne veut pas sortir... Il me dit " Concentre-toi, j'attendrais aussi longtemps qu'il faudra ".
chrislebo

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#2,673
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Plusieurs minutes s'écoulent alors. J'en profite pour lui dire que j'ai peur de me pisser dessus. Mais cette objection le laisse de marbre. Enfin, je parviens à me laisser aller. Ma fontaine ne s'écoule plus en jet, mais telle une vasque qui déborde. L'urine coule d'abord sur mon sexe, puis coulant sur mon « abricot » rasé de près, elle s'écoule doucement sur mon ventre et mes seins avant de glisser de part et d'autre de mon cou. Je me couvre littéralement d'urine ! Cependant, la sensation qui en découle n'était pas désagréable. Au contraire, je me sens bien, apaisée, ce liquide chaud me ruisselant sur la peau. Lorsque j'ai finit, il pose mes pieds délicatement par terre et me dit : « Je crois qu'il y a des douches là derrière. Vas-y, tu l'as bien mérité ! Merci et bonne journée surtout! ». Puis il s'en va, non sans avoir tapoté et caressé langoureusement une dernière fois mon fessier. Le regard qu’il lui a alors jeté me laissait clairement deviner qu’à notre prochaine rencontre, c’est à d’autres types de besoin qu’il allait me contraindre.
Je ne me le fais pas dire deux fois : je cours aux douches, encore vides à cet heure. Mais l'eau chaude n'est pas encore en marche : c'est une douche froide qui me remet de mes émotions !
Ensuite, trempée car je n'ai pas de serviette, je m'oriente vers la supérette pour prendre des croissants pour le petit déjeuner (c'est la " surprise " que je veux faire à mon homme). C'est le gérant qui m'accueille. Dès la soirée d'élection, il avait marqué une nette préférence pour moi, et continuait à me montrer mister intérêt par des caresses que je ne pouvais bien sûr pas refuser... Encore une fois, il profita de la situation... Me voyant mouillé, il me propose de me sécher (la supérette était vide à cet heure), ce que j'accepte avec plaisir car j'ai froid (il est encore assez tôt). Il prend une serviette et me frictionne pour me réchauffer. Il insiste sur les jambes, le sexe, les fesses, le ventre, les seins... Lorsque je suis sèche, et un peu échauffée par la douce serviette qu'il a utilisée, il me demande de monter à quatre pattes sur le tapis de sa caisse. Puis il prend un plumeau en vente dans le magasin, et entreprend de me caresser méthodiquement avec cet instrument.
Je me cambre au maximum pour recevoir ses douces caresses au creux des reins, sur la poitrine, et de temps en temps entre les cuisses. Au début, je redoute l'arrivé d'autres clients. Mais au bout de cinq minutes de ce traitement, toutes mes inhibitions ont sauté : je ne pense plus qu'au plaisir que je reçois, les yeux fermés et le sexe humide... Mes seins pendent, dur comme de l'acier, les pointes érigées. Les cuisses légèrement écartés, j'attends avec impatience l'arrivé du plumeau dans cette zone particulièrement sensible. Mais le gérant sait y faire : il titille ma peau en maints endroits et passe de manière fugace entre mes jambes écartées. Ainsi, je demeure folle de désir inassouvie, offerte sur le comptoir...
Lorsque je rouvre mes yeux, plusieurs clients mistert là et m'observent. Honteuse, je bredouille en commençant à descendre du meuble. Mais la main ferme du gérant m'y maintient. Il s'écrie : " Maintenant qu’elle est bien chaude, qui veut la caresser ? ".
Plusieurs mains viennent alors remplacer le plumeau. Un petit homme ventripotent glisse mister bras sur ma chatte et récupère un peu de mon liquide intime qu’il porte à sa bouche. Honteuse, je dois endurer des remarques du type " C'est vraiment une pute, elle aime ça ! " pendant que d'autres glissent leurs mains sur ma poitrine (douloureuse, tellement elle est tendue).
Les caresses se font de plus en plus insistantes et intimes : des doigts pénètrent ma chatte, titillent mon clitoris, puis un index s’introduit vulgarement dans mon anus ! C’est la première fois qu’on me pénètre par ce côté. La douleur est forte, mais comme les caresses sur ma vulve se font de plus en plus insistantes, le plaisir arrive. Par réflexe, j’abaisse mon bassin, me cambre au maximum en écartant les cuisses, poitrine offerte. J’allaite comme une femelle en chaleur ! Alors que le doigt va et vient dans mon cul, qu’une main me tripote la moule, que deux mains me malaxent les seins, une autre main s’abat sur mes fesses avec violence.
« Jouit salope ! Jute à fonds ! » cri le nouvel intervenant. Un vertige me saisit. Je jouis sans retenue et m’affale sur la table. Je crois entendre « sacrée traînée, dans une semaine on va pouvoir en faire ce que l’on veut . . . y compris l’emmener à poil au marché ! ».
Je reprends peu à peu mes esprits. Je suis seule avec le gérant. Enfin, j'ai le droit de redescendre. Je m'empare alors des croissants que j'étais venu chercher et part sans demander mon reste...
En chemin vers la tente, trois autres campeurs me caressent copieusement et le dernier me pince les tétons tellement fort tout en me tirant sur les seins que je pousse un petit cri de douleur.
Décidément, mes électeurs n’étaient pas des gentlemen’s.
Les larmes aux yeux, je regagne la tente.
chrislebo

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#2,674
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Je prends alors l'initiative et dit : " Maintenant que vous avez caressé une femme, montrez moi ce que vous savez faire sur vos propres queues ". Tout excités, ils ne se le font pas dire deux fois : chacun entoure sa hampe de sa main, et un ballet d'aller retour se met en marche. Le plus âgé (que je trouve aussi le plus mignon : brun avec des yeux verts, musclé mais sans plus...) me dit cependant : " puis-je m'enfoncer en toi une fois uniquement pour voir ce que cela fait, et je continuerais à me masturber après ? ". Je refuse, bien sûr. Mais l'idée fait mister chemin dans sa tête. Comprenant encore une fois le danger, je tente de me dégager en refermant mes cuisses, qui involontairement se mistert ouvertes à la vue de leurs tiges en érections. Mais mon beau brun s'est subrepticement placé à genou entre mes jambes et je ne peux pas me reculer car un autre est placé à genou aussi entre ma tête et mes épaules. Réalisant la situation, je bredouille des mots inintelligibles. Il en profite pour s'allonger sur moi, présentant mister bâton de joie au garde à vous à l'entrée de ma grotte. La situation est presque désespérée (ou espérée ?) mais heureusement pour moi, mister inexpérience lui joue un tour : se présentant trop bas, il ne trouve pas mon trou. Et mister excitation étant au comble, il ne peut se retenir plus longtemps : il éjacule sur ma moule glabre, et se relevant, un second jet atterri sur mon ventre, suivi d'un troisième sur mon visage et dans mes cheveux. La déception se peint sur mister visage, que je trouve très beau. Je le console aussitôt : " Ce n'est pas grave, tu sais. Tu ne m'a pas pénétrée, mais tu m'as éjaculé dessus, et de quelle manière ! Je n'avais jamais vu autant de sperme à la fois. Toutes mes félicitations ! " A ses mots, mister visage s'éclaire. Il me remercie de ma gentillesse. Pendant ce temps, ses deux compères continuent leurs va et vient.
Alors que je pensai qu’ils allaient m’éjaculer dessus, un des deux compères fût plus vif que le premier : il me saisi derrière la nuque et me présente mister braquemard devant la bouche. « Suce ma jolie, j’en ai trop envie ! ». L’heure passée à ma faire tripoter par les trois garçons, l’attaque ratée du premier d’entre eux, l’odeur musquée de la pine de celui-ci ont fini par me faire tourner la tête. Sans réfléchir, je prends la verge en bouche et je me mets à pomper avec énergie. Ma première pipe ! Mais je lèche et suce avec application, tout en malaxant les couilles du puceau.
Tout à mon ouvrage, je ne suis pas consciente que le troisième larron passe derrière mon dos. Complètement partie, je ne réagis toujours pas lorsqu’il saisit mes fesses à pleine mains et se met à les pétrir comme du bon pain. Au contraire, je me cambre d’instinct en écartant les cuisses pour mieux m’offrir. Le saligaud devait avoir vue non seulement sur mon cul, mon anus, mais aussi ma moule !
Le garçon que je pompe comme une damnée ne peut résister longtemps à ce traitement de choc et finit par me gicler en pleine bouche. J’avale tout le liquide sans dégout, contrairement à mes craintes, bien au contraire !
C’est ce moment précis que choisit le troisième larron pour placer mister gland sur ma pastille et me l’enfoncer d’un coup sec dans l’anus !
N’ayant rien vue arriver, la surprise est totale ! La douleur fulgurante ! Tout mon corps se crispe. Je pousse un feulement de bête à l’agonie. J’essaye de me dégager, mais les deux complices du garçon me powernt à rester à quatre pattes en me maintenant par les épaules.
Le troisième puceau, qui ne l’est plus, commence mister va et vient de suite en me calottant les fesses à toute volée. « Ah salope, tu la sens passer ! », hurle t-il. Et effectivement, je la sentais passer ! Heureusement qu’il avait la pine la plus longue et la plus fine du groupe ! Mais après la douleur, vint . . . le plaisir ! Et après les hurlements de douleur, succédèrent les cris de jouissances. Cela n’échappa pas aux deux garçons qui me maintenaient au sol. Ils relâchèrent leur emprise afin de se mettre à me tripoter les nichons tout en aidant leur ami à me calotter les fesses. Excité comme un bouc, mon violeur ne tint cependant pas la distance et se vida derechef dans mes intestins. Heureusement d’ailleurs, car cela aurait donné aux deux autres le temps de recharger, et qui sait ce qui serait arrivé ?
Ils m'aident à me relever et se rhabillent tout en me remerciant, un peu honteux, et s'éloignent. Ils veulent bien sûr renouveler l'opération plus tard, ce qui me fait un peu envie, mais m'effraye tout de même un peu car comment leurs refuser l'entrée de mon sexe maintenant ?
Mais l'urgent est pour moi de me laver : comment faire pour aller jusqu'aux douches discrètement, ou comment me débarrasser de ce sperme qui me recouvre et me remplit sans attirer l'attention ? Je décide de faire le tour du camping par la lisière du bois pour arriver aux douches par l'arrière. Ce que je fais, soulagée de n'avoir rencontré permisterne... jusqu'aux douches ! En effet, il est maintenant 10 h du matin, et les douches fonctionnent à plein régime... J'attends donc patiemment que le lieu soit plus calme.
A un moment, je m'aperçois qu'une cabine est libre. Je prends donc mon courage à deux mains et sort du couvert pour me précipiter vers elle. Mais au moment de fermer le loquet, je comprends pourquoi elle n'intéresse permisterne : elle ne ferme plus de l'intérieur ! Je devrais ressortir, mais les autres cabines mistert toutes prises et après tout, tout le camping m'a déjà vu nue : me cacher ne rime donc à rien. Je me coule donc tout de même sous une douche bienfaisante. Un savon, oublié là, me sert pour me nettoyer soigneusement. Alors que je me frotte énergiquement, la porte s'ouvre brusquement : l'homme " à tout faire " du camping vient avec sa trousse à outil effectuer la réparation ! Tout d'abord, par habitude, il s'excuse et esquisse un mouvement vers la sortie. Mais m'ayant reconnue, il se retourne et me dit bonjour. Puis il ajoute " Je viens réparer le loquet. Comme de toute façon, vous êtes comme ça tout le temps, je ne pense pas que cela vous gêne si je fais le travail pendant votre douche ? ". Puis, sans attendre la réponse, il commence à sortir ses outils et à dévisser la serrure...
Ne pouvant faire autrement, j'en prends donc mon parti. Mais pendant qu'il s'affaire, il bloque la sortie... Je restais donc sous la douche. Heureusement pour moi, il a rapidement terminé. Il me montre la réparation en faisant fonctionner la serrure après avoir rangé ses outils. De mon côté, j'ai arrêté l'eau et j'attends qu'il me laisse passer. Mais il ne se décide pas à sortir : il ferme le loquet et me fait face en me disant : " Après l'effort, le réconfort ! Approche-toi, ma belle ! ". Encore une fois, les caresses reprennent ! Il ne me reste plus qu'à me laisser faire, ce que je fais non sans répugnance car l'homme n'est absolument pas à mon goût : la soixantaine, un peu sale, avec des dents noires et une haleine horrible !
Tout d'abord, il m'empoigne la poitrine et martyrise mes seins en me disant " tu aime ça, hein ? ". Je préfère ne pas répondre. Cependant, je lâche plusieurs fois des petits cris de douleurs, qui manifestement le réjouissent. Puis il met sa main sur mon sexe et me malaxe à nouveau. Lorsqu'il a repéré mes grande lèvres, il les pince jusqu'à que je crie, puis relâche et recommence une bonne dizaine de fois, cependant que de mister autre main, il balade mister index autour de ma rondelle. Je ne sais pas quoi faire : d'un côté, il est de mon devoir de remplir mes engagements, mais d'un autre côté, jamais je n'ai subi pareil outrage et j'aurais donné une grosse somme pour qu'il s'arrête. Je tente tout de même de la calmer par quelques paroles " Doucement, vous n'êtes pas obligé de me faire mal ! " Dit dans un sourire, cette phrase fait un peu d'effet, puisqu'il relâche mister pincement. Mais ces " caresses " se font de plus en plus précises : l'index de sa main gauche commence à tester l'élasticité de mon anus cependant que les pincements de mes lèvres deviennent moins longues, mais plus régulières. Résultat : des picotements de début de plaisir commencent à monter malgré la répugnance que l'homme m'inspire. Bien sûr, il s'en rend compte, et commence avec ses mains à donner à mon bassin un mouvement de va et vient lent et suggestif au rythme de ses singulières caresses. Au bout d'une dizaine de minutes de ce traitement, mon sexe n'est plus douloureux et coule doucement de mon liquide intime. De mes yeux mi-clos, je vois le va et vient de ma poitrine vers celle de l'homme. A chaque fois, mes tétons frappent le tissu de sa chemise et s'érigent encore davantage. Les jambes écartées pour goûter encore plus aux caresses, je m'offre sans retenue.
Soudain, mister index gauche power mon anneau. Après le travail préparatoire réalisé depuis plusieurs minutes et la toute récente pénétration, l'introduction est aisée, et mister doigt me pénètre les fesses jusqu'à la garde en une seule poussée. Un sanglot de joie me fait tressaillir. Côté pile, les choses évoluent aussi : mister index de la main droite est également à la porte de ma vulve...et finit par y entrer gaillardement. Le vicelard me pistonne alors avec les deux doigts. Révulsée de honte et de rage, je ne peux cependant pas résister au plaisir et je me cambre pour mieux m’offrir. Mon anus palpite. J’ai trop envie de me faire reprendre par cet orifice ! Dans un état second, je ne peux me retenir de lancer : « mettez-moi la pine dans le cul ! ».
Le vieux pervers ne se fait pas prier. En un tour de main sa verge se retrouve à l’air, gland posé sur mon trou de balle et il se met à me l’enfoncer dans les intestins. J’en ai le souffle coupé. J’ai l’impression que mon cul va se déchirer en deux. La verge du vieux était visiblement bien plus noueuse que celle du petit jeune. Mais elle entre n définitive jusqu’à la arde ! J’en ai le souffle coupé et ne peux même pas crier. Il se met alors à me ramoner avec power, claquant ses cuisses contre les miennes tout en me calottant les fesses. Décidément, cela doit être un réflexe Pavlovien chez les hommes de calotter les fesses de la fille qu’il encule ! Subliminalement encore consciente que je suis dans les toilettes du camping, je me retiens de crier. Le vieux pervers finit enfin par me remplir les intestins de mister foutre. Heureusement, car mon corps tremble de partout. Une minute de plus et je tournai de l’œil.
Restant à quatre pattes, je reprends mon souffle peu à peu. Et c’est alors que j’émerge que je me rends compte qu’une foule d’estivants, hommes et femmes, s’est agglutiné autour du cabinet et me reluquait sans vergogne. Il faut dire que le spectacle que j’offrais était positivement obscène : mamelles pendantes, vulve béante et dégoulinante, cul dégorgeant de foutre.
Encore flageolante, je me relève. J’entends les commentaires grossiers : « la pute . . . c’est une chienne en chaleur . . . elle aime ça . . . elle en veut encore . . . il n’y a que les pingouins qui ne lui mistert pas passé dessus . . . ».
J’éclate en sanglots et me mets à courir à en perdre haleine. Je fuis donc sous les quolibets.
Arrivé à la tente, je constate que Jean n'y est plus. Cela me permet de sauver la face. Il m'a laissé un mot : " je suis à la plage ". Il ne me reste plus qu’à me nettoyer, me refaire une beauté et à le rejoindre...
chrislebo

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04


Après les mésaventures que je venais de vivre, il n’était pas questions de repartir aux douches pour me refaire une toilette ! J’avais trop peur de me faire tringler en cours de chemin. Je me suis donc lavé comme j’ai pu avec de l’eau en bouteille et du Sopalain, je me suis coiffée et maquillée, puis je suis partie à la recherche de Jean.

Pour rejoindre la plage, j’ai du traverser le camping de long en large, toujours totalement nue. Mais cette fois, je m’en suis tirée à peu de frais, avec quelques mains baladeuses sur mes fesses, mes seins et ma vulve. Elément nouveau, j’ai alors remarqué certains regards appréciateurs de jeunes femmes, mais sur le moment je n’y ai alors pas plus prêté attention que cela.

Arrivée à la plage, je longeai celle-ci afin de retrouver mon Jean. Le soleil étant de plomb, beaucoup de femmes avaient la poitrine à l’air et ne portaient qu’un string minimaliste. Vous pourriez penser que ma nudité se fondait plus dans le décor. Il n’en était rien : étrangement, ma chatte dénudée attirait tous les regards !
Au bout de 2 minutes de marche, j’aperçue au loin une de mes concurrentes du concours : Julie. Il faut dire que celle-ci ne passait pas inaperçue : une vingtaine d'années, grande, blonde aux cheveux bouclée, belles jambes soyeuses, belles cuisses pleines et puissantes, fesses rebondies bien mises en valeur par un string dont la ficelle lui rentrait complètement dans la raie du cul, deux obus à l’air libre en forme de pomme. J’étais bien consciente que je n’avais pu battre une telle beauté au concours qu’en mettant mes charmes à disposition de mes électeurs ! Ma concurrente malheureuse était en grande discussion avec une jeune femme élancée, brune à la peau mate, et aux longs cheveux, qui avait elle aussi la poitrine à l’air.
Un peu gênée de croiser le chemin de Julie, je continuai cependant d’avancer à la recherche de Jean. Julie finit par m’apercevoir, mais continua sa discussion. Au fur et à mesure que j’avançais, la gêne que je ressentais se fit de plus en plus pressante. La brune, que je ne voyais que de dos, me rappelais quelqu’un. Son allure générale, sa façon de bouger, me mettais en alerte.
Je m’apprêtais à tourner à 90 degrés afin de ne pas passer à côté des 2 jeunes femmes, lorsque l’inconnue se retourna brusquement. J’en restais pétrifié sur place : il s’agissait de Laetitia, ma chef de rayon !
« Coralie . . . la chatte à l’air en public . . . qu’elle surprise ! », s’exclama t-elle d’une voix suave. « Mais je suis distraite : c’est vrai que tu as promis ton cul à tout le monde pour te faire élire Miss Camping ! »
« Non . . .C’est pas . . . », bredouillais-je.
« Vu ce que j’ai vu et entendu pendant le concours . . . c’est tout comme ! Mais si tu as un doute, nous pourrons revoir ce moment inoubliable sur mon camescope : j’ai tout filmé ! En gros plan ! . . . Un coup de chance ! », répliqua t-elle le sourier aux lèvres.
Mon cœur rata un battement. Je crus que j’allai m’évanouir. La salope ! La connaissant, elle allait se faire un plaisir de faire circuler ça sous le manteau au magasin ! J’allai devenir la risée de tous et toutes. Peut-être me faire renvoyer ! Elle qui prenait un malin plaisir à humilier mister permisternel, elle n’allait pas me rater !
« Et j’ai bien noté qu’il n’y avait pas de restriction dans tes engagements ma jolie ! », ajouta Julie en ma saisissant un sein à pleine main, « je vais donc profiter de l’occasion qui m’est donné de vérifier si c’était bien juste que tu l’emportes sur moi ! »
« Oh non, pas en public ! », couinais-je. Consciente des engagements que j’avais prise, il ne me venait pas à l’idée de me dérober, mais je ne voulais absolument pas me faire tripoter par une femme en public. Je me doutais bien qu’une telle nouvelle ferai le tour du camping et que le lendemain ce serait l’hallali !
« Et pourquoi, je ne te plauterai pas en public, ma salope ? Pour préserver ta pudeur ? Mais ça fait longtemps que tu n’en a plus aucune !’, lança Julie sur un ton venimeux.
« Allons Julie, il faut être compréhensif », dit Laetitia en me mettant la main droite sur les fesses. « Je suis d’accord que Coralie n’a plus de pudeur depuis longtemps . . . mais avec les hommes ! Se faire mater, plauter et tringler par un mâle, soit. Devant un public féminin, soit. Mais se faire mater, plauter, voire tringler par une femme, c’est nouveau ! . . . Il y a des dunes à quelques mètres. . . Autant aller derrière ou tu pourras profiter de Coralie en toute discrétion pour elle . . . et comme bon te semblera. »
Julie semblait hésiter. J’ai voulu powerr sa décision.
« D’autant qu’il n’y a pas de problème sur le principe, je tiendrai mes engagements. Mon corps est à votre entière disposition ».
Cela ma faisait drôle de vouvoyer une fille de mon âge. Mais, intuitivement, je savais que c’était la bonne attitude à prendre. Julie voulait prendre une revanche. Il fallait lui en donner pour mister argent. De toute façon, je ne pouvais pas y couper
« Tu es vraiment une garce ! », me lança Julie, en me saisissant par le bras et en me tirant vers les dunes de sables. Arrivées derrière celles-ci, je vis que Laetitia fermait la marche. Elle jeta un gros sac au sol.
« Tu as oublié tes petites affaires Julie. »
« Merci », répondit celle-ci avec un sourire carnassier.
D’un geste vulgar, Julie me jeta alors au sol. « A quatre pattes pouffiasse ! Je vais t’apprendre à voler les concours à celles qui valent mieux que toi ! . . . Cambre-toi mieux que ça et écarte les cuisses que l’on puisse admirer ta chatte de pute ! »
Mécaniquement, comme dans un état second, j’obéissais. J’entendis alors la fermeture éclair d’un sac s’ouvrir. La chair de poule couvrit mon corps.
C’est alors que le premier coup de baguette s’abattit sur mes fesses. Une baguette de coudrier. La baguette me mordit ma peau en pénétrant dans les chairs de mes fesses. Je retins mon hurlement de douleur et de détresse.
« Beugle si tu veux chienne ! », commenta Julie. « Que du monde vienne voir le spectacle et ai ainsi l’idée d’en faire autant plutôt que bêtement te fourrer le con avec leur bites ! »
Les autres coups suivirent. Jusqu’à cinq. De plus en plus douloureux.
chrislebo

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« Pitié . . . je ne vais plus pouvoir me retenir de crier . . . mon cul va exploser . . . », murmurais-je.

« Il faut être humain, Julie », enchaîna Laetitia. « Regarde, elle a le cul en feu ! Elle ne va plus pouvoir s’assoir de la soirée ! »

Eperdue de gratitude de ce soutien, je lançais un petit « Merci »

« Je m’étais promis de lui donner 10 coups de baguettes, et elle recevra 10 coups ! »

« Soit, mais tu peux donner les 5 coups restants ailleurs que sur les fesses ! », lança ma chef de rayon.

Un frismister glacé me parcouru le dos. La garce, c’est là qu’elle voulait en venir en me « venant en aide » !

« Mais ou veux-tu la corriger ailleurs que sur les fesses ? », demanda Julie.

Laetitia éclata de rire. « Ah, l’innocence de la jeunesse ! Avec un martinet, j’aurai pu lui cingler la chatte, mais avec une baguette de coudrier . . . les seins restent une possibilité ! »

« 5 coups sur ses pis de vache laitière ! Génial ! », s’écria Julie.

« Mais il faut que Coralie soit d’accord ! Après tout, elle peut préférer recevoir les 5 coups sur mister cul en définitive ! », ajouta Laetitia.

« A genoux ! », commanda Julie. Puis après que j’eu obtempéré, elle demanda : « alors qu’elle est ta préférence ma jolie ? Cul ou seins ? »

Le choix était cornélien ! Je savais que vu l’état de mes fesses, de nouveaux coups de baguettes à cet endroit me feraient hurler de douleur et attireraient les campeurs. Mais j’étais bien consciente que les coups de baguettes sur les seins allaient être parfaitement visibles et . . . interprétés comme il se doit par les campeurs ! Mais les coups reçus sur les fesses allaient déjà l’être me dis-je. Et puis, le danger n’était pas pour tout de suite, alors que si je me mettais à hurler, c’est de suite que j’allai devoir affronter l’assemblée et peut-être la curée qui allait s’en suivre! Cela me décida.

« Sur les seins », bredouillai-je

« Alors, présente les moi ! », lança Julie, implacable.

En sanglots, je pris mes seins par en dessous et les lui présenta.

Le sourire aux lèvres, Julie abattit la baguette de coudrier sur la poitrine offerte. A 5 reprises, comme convenu.

A la fin de la correction, je tremblai de tous mes membres, mais j’avais réussi à ne pas crier.

« Nous voilà quitte ! », s’écria Julie.

Haletante, je me relevai, imaginant que j’allai pouvoir me libérer de mes tortionnaires.

« Et ou va tu comme ça, ma jolie ? », me demanda Laetitia en me voyant faire mine de partir.

« Je repart à la recherche de mon mari », répondis-je d’une toute petite voix.

Julie éclata de rire.

« Comme je suis bonne fille, je t-emmène : je sais ou il est », me lança t-elle.

Et, prenant mister sac en main, elle partit à travers les dunes.

Je la suivis.

Laetitia fermait la marche.

Nous avons marché deux à trois minutes, tournés une dernière fois à gauche et débouché derrière une dune. Un homme était allongé. Une fille était sur lui. Accroupie, penchée en avant, elle s’embrochait avec frénésie sur sa verge en donnant l’impression d’être une grenouille !

« Ta femme ne t-a jamais fait ça, hein mon cochon ! . . . C’est ça . . . . va à fonds ! Bouffe moi les nichons. . . . ! », lança t-elle.

Bien que je ne voyais que mister cul, la voix me permis de reconnaître Christelle, une des concurrentes malheureuse du concours.

« Oui . . . vas-y, lâche la purée . . . la prochaine fois tu me prendras par le cul mon salaud ! ».

S’agrippant vulgarement aux fesses de la jeune fille, l’homme éjacula dans un râle d’agonie.

Christelle s’effondra sur lui, puis bascula sur sa droite. Je découvris que l’homme en question était . . . Jean, mon mari.

Un vertige faillit me faire tomber au sol, mais Laetitia me retint par un bras.

Jean me vit et se redressa en un mouvement.

« Coralie, je . . . », commença t-il.

Je vis rouge. Ma main partit sans que je m’en rende compte et je lui mis une gifle mémorable.

Laetitia nous sépara de suite.

« Allons Coralie, un peu de dignité . . . tu ne va pas me dire que tu es surprise ? »

Saisie, je la regardai sans pouvoir parler.

« Tu te ballade à poil dans le camping, tu te fait pelauter par tous les mecs que tu rencontre, sauter par certains, laissant ton mari seul. . . et tu compte qu’il restera de marbre devant un joli lot ? »

« Mais je n’ai pas voulu ça », bafouillai-je.

« Parce que quelqu’un t-a forcé à prendre les engagements que tu as pris ? »

Pendant cet échange, Julie et Christelle s’étaient rapprochées de Jean pour finir par se coller à lui. Christelle lui prit la verge en main et se mit à le branler tout doucement Julie se mit à lui malaxer les bourses. Paralysé, Jean ne faisait rien pour se dégager. Il me regardait fixement. Laetitia regardait la scène et semblait trouver tout cela normal.

« Bref ma petite, si tu veux garder ton homme, tu ferais mieux de te montrer plus ouverte d’esprit et admettre que pendant que tu t-exhibe, que tu te fais fouiller et sauter, lui aussi peut saisir les bonnes occasions. »

«Oh, Jean . . . j’abandonne le bénéfice de ce concours idiot . . . que les choses redeviennent comme avant », dis-je entre deux sanglots.

« Coralie . . . tu as pris des engagements . . . et puis, je n’ai pas de quoi payer le camping », répondit mon mari en baissant les yeux.

Le salaud ! Le rapiat ! Il nous avait emmenés ici sans avoir de quoi payer, en connaissant dès le début l’existence de cet ignoble concours et en étant sans doute déjà décidé de me persuader à le passer !

« Et bien baise qui tu veux mon salaud ! », hurlai-je. « Pendant ce temps, je me donnerai à tous ceux qui voudront de moi . . . et, il ya du monde ! »

« Et si vous le voulez, pendant votre séjour ici, vous pouvez venir loger chez moi Coralie », me dit Laetitia. « Je loue un mobilum, et je vous trouverez bien une place . . . Cela vous épargnera de voir votre mari en trop bonne compagnie ! ».

Pendant que nous parlions, la verge de Jean s’était redressée. Julie s’agenouilla et se mit à la pomper avec énergie.

« Je vous suit », répondis-je à Laetitia par dépit, la voix étranglée par les sanglots, en n’ayant aucune idée de ce qui allait suivre.

Et sur ce, nous primes la direction de mister mobilum.
chrislebo

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05



Arrivées au mobil home, sous le regard des voisins curieux, qui ne manquèrent pas de remarquer les rougeurs sur mes seins et sur ma croupe, Laetitia me fit entrer, l’air gourmand.
- Attends-moi là, je vais prévenir mon mari. Il sera content d’avoir ce petit cadeau à la maimister, mais pas question que sa queue ne sorte de mister slip, sinon il aura affaire à moi…
Elle sortit, et je m’effondrai en sanglots, massant doucement les zones où j’avais été fouettée. Mes seins étaient gonflés, mon cul chauffait terriblement, je ne m’étais jamais sentie aussi mal et aussi humiliée de ma vie.
- Tu es Coralie, la miss camping ?
Je me retournai. Un jeune d’à peine 18 ans se tenait là, l’air incertain. J’essuyais mes larmes. Et cachais mes seins et mon sexe.
- Oui, c’est moi. Comment es-tu entré, je ne t’ai pas entendu ?
- J’habite ici. Je suis Axel, le fils de Laetitia, elle m’a dit qu’elle te connaissait, l’autre jour, quand tu étais sur le podium.
- Ah…
- C’est vrai que tu te laisses regarder nue par tout le monde ?
Je soupirai.
- Oui.
- Je peux te regarder ?
Il était si timide, si gentil, que je décidai de respecter le règlement que je m’étais infligé. J’abaissais une main, découvrant lentement mes tétons. Ses yeux devinrent gourmands, et descendirent pour voir mon sexe. J’enlevais aussi la main qui le cachait. Il s’approcha presque à reculons, et déglutit.
- Je peux te toucher ?
Je fis signe que oui, c’était aussi la règle que je m’étais imposée… même pour un gamin à peine sorti de l’adolescence…
Il me caressa délicatement les épaules, descendit vers mes seins, qu’il malaxa un moment, avec une infinie douceur, me mit la main sur le ventre, et, pouce par pouce, trouva le chemin de ma chatte. Il effleura les poils épars, sans aller vers les lèvres ni le clito, maladroitement, sans savoir probablement ce qui se cachait entre mes jambes.
Une de ses mains disparut dans mister caleçon, d’où il sortit sa fine queue, toute dure et dressée, qu’il branlait en me touchant les poils.
-Je… je peux te sauter ?
Je sursautais, et sourit. Quelle naïveté, c’était trop mignon !
- On ne dit pas ça à une femme, Axel.
- Oh, pardon, j’ai tellement envie !
Ce n’était pas dans les règles que j’’avais émises, mais une pensée soudaine et méchante me vint à l’esprit… Laëtitia m’avait humiliée, battue, et ne voulait pas que je touche à mister mari… que dirait-elle si je m’occupais de mister fils…l’idée de cette petite vengeance m’émoustilla plus que je ne saurais le dire… !
- On ne dit pas « je peux te sauter », mais « j’ai envie de faire l’amour avec toi ». Mais si tu me dis que tu as envie de me baiser, alors… je t’apprendrai !
- Je… j’ai envie de te baiser ! J’ai vu Véro, ma sœur, qui se faisait lécher les seins par mister petit ami, et je dois dire que depuis, j’en rêve aussi.
Je sautais le pas. Je lui pris le visage et l’embrassais longuement. Une de mes mains attrapa sa petite queue déjà vigoureuse et je le branlais, pas trop fort pour qu’il ne me vienne pas dans les mains. Je voulais ma revanche, et mister dépucelage serait ma victoire, sur Laëtitia, et sur Jean.
Je lui lâchais la bite et m’allongeais sur le lit du mobil home, écartant les jambes bien à fond.
- Lèche-moi, et je te lècherai après.
Il s’agenouilla entre mes jambes, et commença par m’embrasser timidement les lèvres, puis me donna des grands coups de langues sur le clito, de manière très maladroite. L’excitation arrivait très puissante, j’avais envie de cette jeune queue, de ma revanche, et de l’oubli du corps. Je pris sa tête et l’enfonçait dans mes lèvres, dans mon cul, sauvagement.
Je le vis s’activer sur sa queue, mais je ne voulais pas qu’il s’éjacule dessus. Je me relevais, l’embrassais encore, puis, à genoux, pris sa bite dans ma bouche. Je le suçais précautionneusement, découvrant chaque pli de mister gland, titillant mister méat et la zone sensible juste dessous, tout en me fouillant la chatte avec les doigts. Il gémissait, me demandant d’aller plus vite, mais je continuai à faire durer le plaisir, espérant que Laëtitia entrerait et nous trouverait ainsi, en plein ébats.
Je lâchais sa queue et me mis dos au mur.
- Tu vas me baiser debout, tu vas voir, c’est très agréable.
Je le guidais en moi, surprise par sa fougue, et l’embrassais encore. Tant pis pour l’exclusivité dont jouissait Jean jusqu’à ce que je le voie sur la plage avec ses deux trainées. Ses mains s’agrippèrent mon cul, mes seins douloureux, et il me donna des grands coups de reins, qui déclenchèrent des vagues de plaisir auxquelles je ne m’attendais pas dans mon bas ventre. Ma chatte était trempée, il jouit dans un râle, en pressant mes seins plus fort que je ne pouvais le supporter. Je criai et jouis en même temps, accueillant mister sperme en longues saccades. Je prolongeais le baiser, appréciant sa bite en moi, qui dégonflait doucement. Des gouttes de sperme tombaient sur le lino du mobil home, je souris en pensant à la tête que ferait Laëtitia en les voyant.
Axel me serra dans ses bras adolescent en me chuchotant un « merci » tendre à l’oreille.
Je me dégageais de mister étreinte, plus apaisée que quand j’étais entrée, le plaquait contre le mur.
Je m’agenouillais, pris sa bite dans ma bouche et entrepris de lécher tout le sperme qui y était encore collé. Il me regardait, satisfait et curieux.
chrislebo

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#2,678
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Quelqu’un frappa à la porte.
- Axel ! Qu’est-ce que tu fais ? Véro nous attend !
Un des ados que j’avais sucé quelques heures plus tôt passa la tête, alors que j’avais encore la bite d’Axel sur la langue.
- Oh… je comprends, dit-il dans un sourire.
Je restais à genoux devant l’ado, un peu gênée. Axel rougit en disant :
- Coralie, je te présente Mickaël, le copain de ma sœur.
La nouvelle me fit sourire… si je dépucelais en plus le petit ami de la fille de Laëtitia, ce serait la cerise sur le gâteau…
- Nous avons fait connaissance, dis-je d’un air coquin. Je marchais à quatre pattes, cul en l’air, vers Michaël, lui abaissait le caleçon et regardait sa bite, encore molle.
- Tu veux encore que je te fasse un petit plaisir ?
Michaël n’en revenait pas, sa trique enfla d’un coup.
- Vous voulez bien ?
- Non seulement je veux, mais si tu dis les mots magiques, tu auras le droit de me… comment as-tu dit Axel ?
Axel rougit. Son sexe fin se réveillait aussi.
- De vous sauter.
- C’est ça.
- Oh oui, gémit Mickaël, laissez-moi vous sauter !
Je pris sa bite entre mes dents en chuchotant :
- Accordé !
Je finis de lui faire glisser mister caleçon, tout en l’avalant lentement, tout au fond de ma gorge. Axel revint me caresser les seins et le dos, tandis que, croupe en l’air, j’allais et venais sur la trique de mister copain. Je le gardais au fond de ma gorge, puis le libérait, laissant de grands filets de salive sur sa queue, puis je l’avalais à nouveau, lentement, profondément, délicatement.
- Oh, suce, ma jolie, suce encore !
Je lui souris en léchant mister gland, le branlais encore plus lentement, en serrant bien fort sa bite entre mes doigts, récupérant ça et là une goutte qui n’était pas de la salive. Ces deux jours auront vu ma technique de fellation s’améliorer grandement… pauvre Jean, s’il pouvait en profiter…
Je léchais encore sa bite un moment, puis l’attirais à moi pour l’embrasser sur la bouche. Ma langue se fit épaisse sur ses lèvres, tandis que ma main pressait mister sexe brûlant. Le petit Axel ne savait plus où se frotter, je pris le temps de lui caresser les couilles, sans relâcher le baiser qui m’émoustillait agréablement.
- Alors, tu veux toujours me baiser ? Demandais-je d’un air mutin. La bite durcit encore dans ma main.
- Oh oui !
Je me retournais, à quatre pattes, lui présentant mes fesses rondes et ma vulve mouillée.
- Alors prends-moi… avec douceur !
Il s’agenouilla derrière moi, écarta légèrement mes jambes pour pouvoir bien appuyer ses genoux, et, agrippant mister bâton de joie comme une épée, le glissa en gémissant dans ma grotte chaude. Axel s’agenouilla devant moi, me présentant sa bite, que j’avalais sans problème en soufflant par le nez. Elle était encore amère du sperme qui m’avait inondé, et salée de ma propre jouissance, notais-je avec gourmandise. Laëtitia ne tarderait plus maintenant, elle nous trouverait ainsi, et sa colère me serait douce…
Michaël allait et venait en moi, mouillée comme une adolescente en fleur, ses cuisses butaient contre mon cul qui me chauffait là où j’avais été fouettée. Il posait parfois ses mains sur les marques rouges et les pressait douloureusement, je m’empalais plus profondément sur lui pour lui faire lâcher prise, en gémissant de la brûlure qu’il m’infligeait ainsi. Il m’agrippa plus fort encore, devant penser que les gémissements étaient de la jouissance, et je n’osais le détromper, je voulais que cette première fois le marque à jamais, et que la petite Véro dont il avait léché les seins lui paraisse insipide à côté de la déesse du sexe qui l’avait défloré.
Ses râles devinrent plus lourds, ses coups de hanches plus violents. Je ne voulais pas qu’il vienne trop vite, Laëtitia n’était pas là !
Je lâchais le sexe fin d’Axel, le gardant entre mes doigts, et, buvant toute honte, décidait de monter en puissance dans l’offre de sexe que je lui prodiguais.
- Attends, ne viens pas trop vite, tu ne voudrais pas que ton copain soit le seul à m’avoir sodomisée… ?
Il ouvrit les yeux d’un coup, n’en croyant pas ses oreilles.
- Tu… tu veux que je t’encule ?
Je grimaçais à peine, masquant tout juste la répulsion que cette idée pouvait encore avoir sur moi. Je l’avais déjà fait, malgré moi, je pouvais bien le refaire, volontairement, cette fois.
- Bien sûr, j’adore ça ! Viens, je vais te guider…
- Je… pourrai aussi ? demanda Axel timidement.
Me faire troncher par deux mecs ne me tentait pas particulièrement, mais je ne voyais pas comment lui refuser…
- Chacun mister tour, dis-je en attrapant la bite de Michaël dans ma main, et en le menant vers mon petit trou.
Je le fis tourner un moment, écartant peu à peu mon petit anus tendre. Il n’y tint plus et s’enfonça comme dans du beurre, je criais encore, plus de surprise que de douleur. L’onde de plaisir qui me traversa était quelque chose que je n’avais encore jamais expérimenté, et je l’attirais en moi avec un enthousiasme non déguisé.
- OH OUIIIII !
Je repris la trique fine d’Axel et l’engloutit littéralement, le suçant, l’aspirant, l’inondant de salive et de coups de langue, de dents et de lèvres, lui pressant la tige avec la main férocement. Michaël riait en me limant violemment, s’enfonçant en moi jusqu’à la garde, murmurant des « merci merci merci » et des « prends ça salope » parfaitement incohérents. Avec ma main libre, je branlais mon clitoris jusqu’à me l’arracher, avalant de grandes lampées d’air entre deux coups de langue.
- Coralie !
Nous nous arrêtâmes tout d’un coup, Axel gémissant, prêt à venir dans ma bouche, mister sexe battant au rythme de mister cœur.
- Coralie, c’est Jean, je sais que tu es là !
Je fis signe aux deux garçons de ne pas bouger, je me clouais sur la bite de Michaël, bien profondément, et gardait celle d’Axel dans ma main.
- Entre, Jean, entre !
Mon mari poussa la porte, et resta là, hébété du spectacle que je lui offrais.
- Viens, ferme la porte. Le règlement de miss camping stipule que tu peux me toucher tant que tu veux, mais rien ne m’oblige à ce que tu me sautes. Tu garderas donc ta bite infidèle bien sagement dans ton slip.
Je repris celle d’Axel dans ma bouche, et le suçais, comme si de rien n’était. J’incitais Michaël à continuer à me fourrager, ce qu’il fit sans trop faire attention à Jean, qui restait là, blanc comme un linge. Je lâchais de temps en temps la tige d’Axel pour susurrer de la voix la plus suave possible :
- Oh oui, encule-moi plus profond, encule-moi, oh oui, oh oui, oh ouiiii…
Et je reprenais ma fellation. Axel explosa dans ma bouche, je le branlais sur ma langue, de manière à ce que Jean voit bien le sperme dégouliner sur mes lèvres, et Michaël m’attrapa par le cul, à grands coups de reins. Il cria de plaisir quand il éjacula dans mes intestins, je criais aussi, jouissant à la fois de plaisir et de douleur, gardant autant que possible la bite d’Axel entre mes lèvres collantes.
Je regardais Jean en souriant. Apathique, il ne savait pas quoi dire, pas quoi faire, il restait là, les bras ballants, le choc drainant toute énergie hors de lui.
- Mais qu’est-ce que vous faites ici !?
Une blondinette taille mannequin, en maillot vert presque transparent venait d’entrer.
- Vé… Véro... bredouilla Michaël.
- Ce n’est rien, Véronique, dis-je, j’ai juste proposé à ton petit ami et à ton frère de perdre leurs pucelages avec moi, devant mon mari.
Véronique n’eut pas la réaction escomptée. Elle donna une grande claque à mister frère.
- Toi, tu sors, et tu vas voir maman ! Si tu ne lui racontes pas ce qui vient de se passer toi-même, c’est moi qui le ferai, et ce ne sera pas beau à voir !
Axel sortit en courant, remettant maladroitement mister caleçon taché de sperme.
Véronique ferma la porte, poussa le verrou... (à suivre)
vanbruje

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Waouh !!! Tout cela en une fois !!! Mille mercis
chrislebo

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Me fait plaisir loll
chrislebo

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L'adolescente se releva, se tourna vers moi, ses seins ronds pointant vers le ciel, comme deux seins de nonne.

- Si tu as bien baisé mon mec, ce n’est rien à côté de ce que va vivre le tien avec moi, vieille pute. Regarde mon corps de déesse. Tous les hommes rêvent de coucher avec moi depuis que mes seins ont poussé – et ton mari sera le premier à me baiser !

Elle enfourcha Jean et glissa la grosse bite dans sa fente bien humide. Je m'approchai à nouveau, tout près d'elle et dut admettre qu’elle ne se vantait pas : elle était vraiment taillée comme une déesse. Elle ferma les yeux, et guida la verge enduite de salive dans mister abricot rasé.. J'en profitai pour ouvrir le verrou du mobil-home discrètement et la regarder perdre sa virginité. Un filet de sang abondant goutta sur le lino de Laetitia. Je souris intérieurement en imaginant Laëtitia en string rouge et seins nus frottant le sol souillé en pestant contre miss camping… Je lui avais pris l’innocence de mister fils et de sa fille, ce qui valait toutes les vengeances du monde !

J’empaumai tendrement un des seins de la blondinette dans ma main, tâtant sa douce texture, sa fermeté et, sentant une chaleur curieuse dans mon bas-ventre, j'approchai mes lèvres des siennes. Elle accepta mon baiser en couinant. Jean la fourrageait avec douceur, ses mains la caressant partout, avec une préférence pour ses hanches fines et mister cul magnifique. Il la soulevait, écartant la chatte rasée avec ses doigts, et s'enfonçait en elle, en un râle satisfait. Il la reluquait, les yeux sur mister cul doré, sur mister ventre plat, mister sexe nu, ses épaules parfaites. Il l'embrassait dans le cou, et la respirait tout entière. Sa bite avait la taille et la power des bons jours, et la pénétrait avec ardeur.

Elle finit par repousser mon baiser, à regret.

- Ne me touche pas ! répéta-t-elle d’un ton incertain. tu es une pute et je vais faire hurler ton mari de plaisir !

Elle joignit le geste à la parole, sautant littéralement sur le membre excité, le montant comme un cheval au galop, en gémissant un peu plus fort chaque fois que Jean l’accompagnait de ses coups de reins de plus en plus fermes, de ses coups de bite de plus en plus violents, pénétrant la minette inexpérimentée le plus loin possible.

Michael se masturbait en nous regardant, l'air à la fois désolé et excité. Je revins vers lui, et guidai sa main libre vers mes seins généreux. J'attendis que l'adolescente me défie à nouveau du regard, empalée sur mon mari, sexe écartelé bien visible pour mister petit copain, qui me touchait à nouveau le minou par derrière, discrètement, un doigt plongé dans mon vagin crémeux.

- ... Enfin, j'ai demandé a Michael de me sodomiser... J'ai eu trois ou quatre beaux mecs qui m'ont prise par derrière depuis que je suis miss camping, tu sais, on y trouve du plaisir quand la pine est bien dure. Il n’a pas résisté à ma demande, je dois dire, il m’a enfoncé sa trique dans le cul en pleurant de joie, le petit. Encore une virginité à perdre pour toi aujourd’hui…

L'adolescente pâlit. Jean aussi. Je l’avais rarement vu aussi choqué.

Véronique regarda Michael d’un air incrédule.

- Tu as fait ÇA !!!?

Le pauvre déglutit en hochant piteusement la tête. Je m'assis sur lui, plaçant mister sexe sous moi, le frottant tendrement contre ma chatte toujours collante et humide. Il s'accrocha a mes seins généreux, tout honteux.

Véronique se souleva pour dégager la verge de Jean de mister abricot rasé et la plaça a l'entrée de mister beau cul bronzé. Elle força l'anus à s'ouvrir, s'y reprenant à plusieurs fois, en haletant et couinant de douleur. Jean lui écartait les fesses pour l'aider, osant à peine respirer. Je lâchai la bite de Michael et me relevai lentement. Je m’approchai de la belle, et vins enduire de salive le petit trou étroit et la pine au garde-à-vous, en crachant sur le petit cul rond. La pastille céda d'un coup, la blondinette s'empala en hurlant, visage et tétons pointant vers le ciel, implorants.

Elle entama mister va-et-vient douloureux, bras à mi-chemin entre le ciel et la terre, yeux fermés. Je l'embrassai langoureusement, elle me rendit mon baiser sauvagement.

- C’est ça, embrasse-moi, petite fille, mange ma langue et mes lèvres pendant que tu te fais prendre, ça va t’aider…

Je caressai sa chatte toute ouverte, m'attardant sur mister clitoris dressé tout en l'embrassant goulûment. Cette petite blondinette allumait un feu en moi qui n'avait plus rien à voir avec ma vengeance sur Laetitia. Jean se cambra, pour l'enculer plus profond, tandis qu'elle hésitait entre la fuite et le besoin de sentir la trique se frayer un chemin dans ses boyaux vierges.

- Laisse-moi te sucer, j’ai envie de te goûter, moi aussi…

Je m'agenouillai et commençai à la lécher, profitant de chaque coup de langue pour admirer ses lèvres écartées au goût de pêche et observer la bite qui l'empalait, sans concession, dans des mouvements de plus en plus durs, au fur et à mesure que l'excitation de Jean montait. Je sentis Michael venir derrière moi et glisser sa verge molle dans mon fruit intime. Je l'aidai, avec douceur, et fermai les yeux, savourant le bonheur de l'instant. Je n'avais jamais sucé de femme de ma vie, ni ressenti une telle attirance. Chacun de mes coups de langue sur le clitoris délicat, sur les petites lèvres trempées, sur le périnée déchiré par le chibre avide qui pénétrait les entrailles de l'adolescente, des éclairs et des vagues de cyprine me chatouillaient la chatte, dans laquelle Michael s'affairait, accélérant le rythme en matant sa petite copine se faire sodomiser. Véronique se tenait les seins, me caressait les cheveux en alternant les "oui, oui" et les "non, non", elle secouait la tête, gémissait, me prenait dans ses bras, m'embrassait le cou, les lèvres, la langue. Je mis mes doigts dans mister bel abricot ouvert et la suçais encore et encore, la sentant s’abandonner enfin.

Tout arriva très vite.

La porte s'ouvrir d'un coup, Laetitia entra en hurlant.

- Que faites-vous ICI !?

Véronique dégagea la bite de Jean de mister cul, Jean commença a éjaculer, je l'attrapai entre mes dents et lui mordit très fort le bout de mister gland tandis qu’il venait dans ma bouche en criant de douleur .

- Maman ?

Véronique, chatte écartée, cul dégoulinant de sperme, avait un regard horrifié.

Michael enfonça sa pine en moi, grappillant sa dernière chance de venir avant la tempête, et jouit en saccades brûlantes...
chrislebo

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J'imaginais le choc de Laetitia. La scène qui s'offrait a elle. Michael, qui me prenait en levrette, les mains sur mes
fesses, moi, qui suçait la fille pendant que Jean la sodomisait, puis qui happait Jean, hurlant sous ma morsure tandis
que le sperme coulait sur mes lèvres, au rythme de l'éjaculation saccadée de mon mari.
Je n'en restais pas la. Veronique avait dégagé le sexe de Jean de mister joli petit cul, portant ainsi mister doux abricot
ouvert et dégoulinant de salive a quelques centimètres de mon nez. Je lui attrapais les fesses et, laissant Jean a sa
douleur, je fourrais ma langue blanche de sperme dans sa petite chatte rose, engloutissant le clitoris fragile dans un
baiser sincère et gourmand.
Malgré mister effroi, Veronique plaqua ma tête contre elle, enfonçant ma langue dardante dans ses grandes lèvres en
faisant mine de se dégager. J'étalais le sperme sur le sexe rasé en me repaissant de ce dernier instant de partage.
Laetitia hurlait, elle avait attrapé Michael, qui jouissait encore quand sa bite sortit de ma minette en feu, puis elle
poussa Veronique hors de mon étreinte, et gifla Jean, recroquevillé sur sa queue blessée.
Il ne restait plus que moi, agenouillée, nue, épuisée, tremblante et excitée, au milieu de la famille au grand complet,
mari de Laetitia compris. Je fis un sourire a Axel, qui avait toujours mister caleçon taché de sperme et dont les joues
avaient manifestement tâté de la gifle de sa mère...
- Espece de salope !!! hurla cette dernière en attrapant une cravache accrochée près d'autres équipements
d'équitation, a l'entrée du mobil-home. Ce n'est pas dix coups que tu vas te prendre cette fois ! Debout ! Montre-moi
ton cul !
Je sais que je n'aurais pas du sourire.
- tu n'as aucun droit de me frapper, juste de me peloter...
- Debout, chienne ! sinon je diffuse la vidéo de ton élection a miss camping sur Internet dans dix minutes, avec un lien
a tous les collègues dont j'ai les Email, ainsi qu'au patron !
Je palis légèrement et me levais lentement.
- Ton cul, tends-le vers moi !
Je me retournais, et fis ce qu'elle me demandait, tête basse.
Le premier coup tomba, très fort, une brulure soudaine sur le haut des fesses. Je décidais de ne pas crier, et de ne
pas pleurer. Un second puis un troisième coups suivirent, sur mon cul nul et déjà douloureux. J'ouvrais les yeux, a
l'agonie et remarquais qu'Axel et Michael sursautaient a chaque coup de trique, et que Veronique me regardait
intensément, presque amoureusement. Je lui rendis mister regard, tandis que les coups se succédaient, terribles, et pus
me repaitre de mister petit corps jeune, si bien proportionne, de sa taille fine, de sa blondeur, de ses hanches larges, de
la délicatesse de ses lèvres... Je me mordais jusqu'au sang pour ne pas hurler.
- Tu vas pleurer, salope ! Tu aimes les coups ? Prends celui-la ! Et celui-la !
Je fermais les yeux, espérant que la douleur cesse, et qu'elle me laisse partir mais les coups tombaient et tombaient
encore. je sentis les larmes monter, rouvrit les yeux et fixait le sexe rasé et les seins parfaits de Veronique, qui serrait
les poings et se mordait aussi les lèvres dans une espèce de communion avec moi.
Finalement, Laetitia laissa tomber la cravache et me gifla trois ou quatre fois. Elle attrapa mes seins amples dans ses
mains et les griffa très fort, et sans me lacher, elle dit:
- Sors d'ici immédiatement et si je te revois tourner autour de ma famille, je te pourrirai la vie jusqu'à ce que tu me
supplie de t'oublier !
Jean se leva et me prit la main, et nous sortimes du mobil-home. Je repoussai sa main, mais, les larmes aux yeux et
le cul en feu - elle m'avait fouettée la ou les deux miss perdantes m'avaient tapée sur la plage - je le suivis
silencieusement jusqu'aux douches. La, il me laissa prendre une douche seule, ou je pus pleurer en silence et
m'apitoyer sur la douleur qui me vrillait les seins, le cul et les joues. Je me massai le sexe, qui n'avait jamais autant
connu d'hommes en vingt-huit ans.
Je laissai longtemps l'eau froide couler sur mon corps et me ressaisissai. Ce séjour était une catastrophe mais je sortis
de la douche bien déterminée a en profiter.
Jean m'attendait encore, l'air malheureux.
- Coralie, tout est de ma faute, pardonne-moi je...
Je le regardai férocement.
- Enleve ton slip.
- Pardon ?
chrislebo

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- Tu veux discuter avec moi ? Enleve ton slip et montre ta queue en public. Je ne veux plus être la seule a me ballader
cul nul dans le camping. Si tu obéis, on rentre a la tente et on discute. Sinon, je fais ma valise, et tu ne me reverras
plus jamais.
- Mais je ne peux pas... Que vont penser les... enfin...
- Décide-toi. Je ne serai plus la seule a faire la pute dans ce camping pour payer tes dettes. Tu n'imagines pas
combien de fois on m'a baisée et humiliée aujourd'hui.
Il suffoquait, pale comme un linge.
Je pris le chemin de la tente, sous les regards voyeurs des campeurs de tous âges qui rentraient de la plage et
venaient se doucher.
- Jolis seins, Coralie.
Une main me frôle les tetons, une autre me tâte franchement. Je fais un sourire forcé et continue d'avancer.
- La belle croupe !
Deux mains me frottent douloureusement, un index s'attarde sur mon anus en fleur sans le pénétrer. Sourire et larmes
a peine retenues.
- Rase-toi la moule, miss camping, mes doigts glisseront mieux !
Un gars énorme essaye de fourrer ses doigts dans mon vagin. J'écarte les cuisses en regardant autour de moi,
paniquée. Je vois Jean, nu comme un vers, repousser le type et me prendre la main.
- Désolé, mon vieux, ma femme a envie d'un plaisir avec mister homme, dit-il en forme d'excuse. Le gros a un sourire
porcin et éructe:
- Baise la bien, et envoie-la moi après, j'aime les moules quand elles mistert bien préparées, et encore toutes chaudes...!
Je serai a la piscine !
Et il éclate d'un rire gras.
Nous continuames a marcher vers la tente, moi, nue, seins rouges et gonfles, fesses en feu, lui, piteux, bite pendante,
rougissant a chaque fois que nous croisions des campeurs au regard interloqué. Sa présence eut au moins un
avantage: permisterne n'osa me toucher en chemin.
Nous entrames dans la tente, je m'écroulais littéralement sur le duvet, fermais les yeux en réfléchissant a ce que
j'allais dire maintenant. Il fallait que ce soit ferme, sans appel, cruel, vengeur, et jouissif pour moi.
J'ouvris les yeux et me tournai vers Jean, l'air résolu.
- Bien, dis-je. Soyons très clairs: Tu m'as transformée en femme-objet du camping pour quelques centaines d'euros.
Une pute bon marché pour des vacances a l'oeil. Tu vas donc payer tes dettes de la même manière que moi: a poil
tout le temps, tu accepteras les avances de tous les campeurs - les femmes, s'il y en a, mais les hommes aussi.
- Coralie...
- Deuxiemement: Tu m'accompagneras partout ou je te demanderai de venir. Aux toilettes. Aux douches. A la plage.
Partout. Tu repousseras les hommes que je ne trouve pas a mon goût, et tu me regarderas faire tout ce que bon me
semble avec les autres hommes si je te l'ordonne. Ou avec les autres femmes. Fellation. Baise. Sodomie.
Lesbianisme. Tout.
- Coralie je...
- Troisiemement: tu m'aideras a me venger de Laetitia. Cette salope a un film qu'elle veut utiliser pour me ridiculiser au
boulot, je veux ce film ou un autre moyen de pression pour l'en empêcher.
- Coralie...
- Quatriemement: J'entends profiter de MES vacances. Si je dois subir les assauts de tous les mecs du camping, si je
dois dépuceler tous les adolescents qui connaissent leurs premiers émois, si je dois sucer toutes leurs sales bites, et
me faire violer par tous les trous sous tes yeux, je veux en tirer le plus grand plaisir. Tu vas déplacer la tente dans un
endroit isolé du camping, des ce soir, pour que je puisse recevoir au calme les gars qui me plairont le plus, ou avec
lesquels je réaliserai les fantasmes qui me viendront a l'esprit.
- Coralie, tu...
- Je n'ai pas fini. Quand cela arrivera, tu iras la ou je te dirai d'aller. Tu resteras si je le souhaites. Tu sortiras si je te le
demande, comme un bon toutou. Si tu es sage, je te sucerai, soit pendant que je me fais baiser, soit après. Si tu n'es
pas sage, je te sucerai quand même, mais si tu veux éjaculer dans ma bouche, je te mordrai encore ta petite queue
de salaud. Autrement, tu n'as pas le droit de me toucher, ni de me faire l'amour, ni évidemment de me sodomiser. Si je
partage une expérience lesbienne, c'est la fille qui décidera si tu peux en profiter ou non.
-...
- Enfin, si tout se passe comme JE le décide, que tu supportes les trois semaines a venir, et que notre couple survit a
la débauche de sexualite qui m'a vue me faire éjaculer dessus en deux jours plus qu'en toute une vie, me faire vriller
l'anus, frapper, insulter, remplir de foutre et de jus de moule, comme dirait le gros porc qui m'attend a la piscine, alors
je te donnerai une deuxième chance et nous essayerons de reconstruire une vie commune... Sinon tout s'arrête
maintenant. Je fais mon sac, je me rhabille, et tu ne me revois plus.
Jean respirait difficilement.
Il geignait sans s'en rendre compte.
Se balançait d'avant en arrière.
Je me relevai. Sortis ma trousse de toilette, et farfouillai dedans. J'y trouvais ce que je cherchais.
- Coralie...
- Je t'écoute.
Il baissa les yeux.
- Je t'aime. Je ne veux pas te perdre. Même a ce prix. j'accepte.
Je souris méchamment. Je montrai l'objet que j'avais pris dans ma trousse de toilette. Un rasoir.
- Parfait. Nous allons donc ressortir ensemble, aller aux douches, et, je me raserai la minette pour qu'elle soit bien
appétissante pour ces messieurs. A dix-neuf heures, a la piscine il y a une séance de massage aux huiles essentielles
pour 15 euros la demi-heure. Tu vas me payer une heure. Pendant ce temps, tu déplaceras la tente. Je vais
commencer a prendre du bon temps !
chrislebo

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Je pris ma trousse de toilette, mon rasoir et mon savon intime, et suivis Jean hors de la tente, nue, serviette de bain
dans la main. Le soleil était haut dans le ciel, les cigales chantaient, l'air sentait bon les essences du sud, j'eus
soudain l'impression de respirer enfin.
Jean, qui attirait les regards plus que moi sur le sentier qui menait aux sanitaires, semblait moins à mister aise, avec mister
sexe à l'air et ses fesses blanches.
Arrivée à la douche sans avoir subi de sollicitations, je décidai de tester le petit contrat que je venais de passer avec
lui.
- Va chercher le gros porc à la piscine, celui qui voulait me "glisser les doigts dans la moule". Tu attendras qu'il n'y ait
permisterne pour vous voir, tu entreras dans ma douche avec lui, et tu me regarderas me soumettre a lui. S'il me baise,
tu auras ta récompense, si tu es encore capable de bander aujourd'hui.
Il eut un mouvement de recul. Me fixa un instant, implorant. Je haussai un sourcil. Il hocha la tête et sortit.
Je n'avais aucune envie de toucher au type de la piscine, l'idée me donnait envie de vomir. Mais je voulais me venger
de Jean, et ne reculerais devant rien.
Je fis couler l'eau de la douche, froide sur ma peau, me savonnai le sexe, et passai le rasoir une première fois, avec
méthodologie et précaution. Je commencai juste à la naissance des poils , une main sous le nombril. Ma minette était
peu fournie et le rasoir ne rencontra pas de résistance. Puis la lame longea mes grandes lèvres, en remontant des
fesses vers le clitoris, et s'affaira sur les bords intérieurs, le long de ma vulve. Mes doigts écartaient bien mes petites
lèvres et glissaient parfois, pénétrant mon vagin irrité.
Je me rinçai. Ma chatte était toute douce, je me rappelai l'abricot délicat de Véronique et sa saveur salée, ressentant
une vague de désir dans le bas-ventre. Il faudrait que je parle avec elle au plus tôt, pour comprendre cette attirance et
voir si elle était partagée.
Jean chuchota à la porte.
- Coralie, ouvre, vite...
Une onde de dégout m'étreint l'estomac, mais je respirai par le nez, et entrouvris la porte. Le type au yeux porcins
entra en premier, suivi de mon mari.
- Je le crois pas ! chuchota le gros (manifestement Jean lui avait demandé de rester discret) Miss Camping s'est rasé
le minou pour José !
Je me demandai si j'allais réellement vomir.
- J'ai fait ce que vous m'avez demandé.
Jean ferma les yeux, au désespoir. Le gros souffla bruyamment, mais il se rappela de chuchoter.
- Oh la jolie salope, elle est bien obéissante n'est-ce-pas ? Montre-moi ton gros cul, ma beauté.
Je collai mes seins contre le carrelage blanc de la douche, retenant ma nausée et tendit mes fesses rouges, cambrée,
prête a accueillir sa bite, soumise. Il me reluqua, et se pencha pour me lécher. Sa langue était chaude et grasse, mister
haleine lourde. Il soufflait, devenant presque violet d'excitation.
- À genoux, maintenant, et monte tes seins bien hauts en te léchant les lèvres.
Je m'agenouillai en silence, la bonne éleve obéissant au maître, et le regardai, sentant la bile monter dans ma gorge.
Je me caressai les seins et jouai de ma langue sur mes lèvres, craignant qu'il ne me demande une fellation. Je titillai
mes tétons et me les pinçai sans exprimer le moindre sentiment, passive.
- Aaaah que tu es gentille, petite Miss. Debout, montre-moi la moule que tu m'as préparée.
Jean me fixait des yeux. Il transpirait presque autant que le gros porc. Je le regardais sans ciller, impavide.
Je me relevai et appuyai mon dos contre le carrelage blanc. L'eau de la douche coula sur mes épaules, mes seins,
mon ventre, mon sexe nu et ma fente fine, bien dessinée. Là encore, je me cambrai pour qu'il me prenne devant Jean.
J'écartai les lèvres rasées de ma chatte, attendant le sexe du maître avec soumission, exposant mon clito rose à sa
vue.
Les yeux porcins me reluquèrent encore, mais le type ne semblait pas vouloir me baiser tout de suite. Il prenait mister
temps. Il abaissa mister maillot et en sortit un petit boudin rose, dépassant a peine des plis de mister ventre, qu'il
commença a masturber.
- C'est ca, ma belle, touche-toi. Branle-toi devant José, et jouis pour moi.
Je caressai mes seins d'une main et explorai ma minette soyeuse de l'autre, surmontant à peine mon aversion pour ce
gros pervers. Mes doigts vinrent chatouiller mon clitoris, index et majeur tournoyant dessus à l'unismister. Je ne
ressentais rien, comme si mon minou était soudain devenu insensible. Le gros s'astiquait joyeusement, mister morceau
épais disparaissant dans sa main boudinée. Son autre main approcha de ma vulve.
- Cambre-toi encore, et griffe-toi les seins pendant que je t'emmène au ciel.
Je déglutis, au supplice, mais je fis ce qu'il me demandait. Jean fulminait, poings serrés.
Je plantais mes ongles dans mes nichons avec power, espérant que la douleur me ferai moins ressentir le boudin
quand il me pénétrerait, et les griffais, des mamelons jusqu'aux côtes.
Mais le gros ne me sautait toujours pas. Il écrasa mon clito entre mister pouce et mister index, et m'empala sur mister majeur
qui entra dans ma minette en me faisant un mal de chien. Il se masturbait en soufflant, enfonçant mister doigt avec
violence entre mes lèvres épilées. Les allers et retours se succédaient, sans douceur, durs et violents, me vrillant la
chatte à chaque passage. Le gros soufflait de plus en plus fort.
- À genoux, chuchota-t-il, ouvre ta bouche et montre-moi comment tu te branles.
J'obéissai. Je me campai bien droite, sur mes genoux, cuisses écartées, une main sur ma minette. J'approchai mon
autre main de sa bite, pour l'aider à se finir, mais il la repoussa, à mon grand soulagement.
- Non ma belle, je connais mieux ma queue que toi - tu ne me branleras jamais aussi bien que moi ! Ouvre grand la
bouche, je vais te la remplir jusqu'à ras-bord ! Ta langue, vite !
J'approchai, langue dehors, mais bouche fermée, il colla mister gland sur mon visage et vint dans un râle. Un gros
bouillon de sperme jaillit sur mes lèvres, suivit d'un second, qui m'entra dans les narines. J'ouvris la bouche pour
respirer, un troisième jet finit sur mon palais, baignant mes dents d'une crème gluante. Je tournai la tête, avec un haut-
le-coeur. Il éjacula sur mes joues, mon nez, mes yeux, mes lèvres, ça n'en finissait pas. Des gouttes de sperme
coulaient de mon visage sur mes seins, il les regardait avec lubricité. Un dernier spasme, une coulée de sperme sur
sa main, qu'il essuya dans mes cheveux, sans tendresse, comme on s'essuie sur un kleenex.
- Tu n'as pas bien ouvert la bouche, méchante fille, tu en as partout sur ta frimousse. Récupère le sperme de José et
avale-le jusqu'à la dernière lichette. Et n'arrête pas de te fouiller la moule, j'adore voir les putes se caresser toutes
seules.
chrislebo

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#2,685
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Je ne cachai plus mon dégout, mais j'obéissais, sous les yeux de Jean, qui ne bandait pas, et qui avait des envies de
meurtre dans les yeux.
J'essuyai le sperme de mon front et de mes joues avec les doigts, aspirai la récolte avec les lèvres, et eus un haut-le-
cœur en avalant. Son sperme avait un goût rance de poismister pas frais. J'introduisis mon majeur dans mon vagin sec,
cambrée en avant, comme une pisseuse. Je récupérai la semence glauque sur mon menton et la portait a la bouche,
avec un nouveau haut-le-cœur en fixant mon mari des yeux. J'avalais encore. Le gros frottait sa bite sur mon visage,
raclant mister sperme et l'offrant à mes lèvres. Je léchai mister gland collant, espérant que ma nausée n'allait pas me voir
vomir à ses pieds.
- Sur tes seins, regarde.
Je grattai les gouttes agglomérées sur mes nichons et les gobai a contre-cœur.
- Et sur le carrelage, là, dans le coin.
Quelques jets jaunis étaient collés là, mais je n'étais pas sure qu'il s'agissait de mister foutre a lui - plus probablement
celui d'un ado qui s'était soulagé en prenant sa douche plus tôt dans la journée. Le gros semblait penser de même, se
repaîssant d'avance de mon refus, espérant peut-être me frapper si je ne me soumettais pas à ses désirs. Mais je ne
protestai pas, et ramassai un peu du liquide à moitié congelé et très gluant sur un carreau, puis le portai à mes lèvres.
Pas le même goût. Ce sperme n'était pas le sien. Je fis une grimace en l'avalant.
- Oh la coquine, elle aime le foutre...! Il en reste, régale-toi !
Je me baissai, et léchai le mur, fesses en l'air, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de traces jaunâtres sur les carreaux blancs.
Mes doigts tournoyaient dans mon vagin, bien en vue sous mon cul, plus pour faire enrager Jean que pour plaire au
gros pervers. Je me remis à genoux, toujours aussi soumise.
Il me présenta encore sa queue boudinée, que je nettoyai totalement avec ma langue, retenant la bile qui menaçait de
jaillir de ma gorge. Il remonta mister maillot mouillé en me tapotant la tête comme à une bonne petite chienne.
- C'était parfait, tu es une belle salope bien sage, tu as bien sucé José.. Tu y reviendras, tu verras !
Il se pencha en avant, me saisit les seins et m'embrassa vulgarement. Le baiser souillé dura une éternité. Il se
redressa en tapotant ma joue.
- Bonne petite salope, ouaip.
Il me fit un clin d'oeil porcin et il quitta la douche avec Jean, discrètement.
Je m'appuyai contre le carrelage frais, en respirant difficilement. J'entendis Jean parler au type en chuchotant toujours:
- Si je te revois parler à ma femme ou même la regarder, je t'emmène dans un coin et je t'explose les couilles.
Compris ?
Je n'entendis pas la réponse du gros porc, mais je souris intérieurement. Ça, c'était mon Jean !
Je me lavai les dents plusieurs minutes, pour éliminer les relents d'haleine et de sperme pas frais du gros José. Je me
nettoyai aussi complètement, et pensai avec soulagement au massage aux huiles essentielles que j'allai me faire
payer dans la soirée. En attendant, j'allais manger et passer le reste de l'après-midi à faire la sieste.
Je sortis de la douche, ma serviette autour de moi, et me rendis aux lavabos pour me maquiller un peu. Trois femmes
étaient là. Elles me virent, me reconnurent et me sourirent avec bienveillance - ces sourires me firent le plus grand
bien. Je commencai à me refaire une beauté quand je vis l'une des femmes se pencher vers moi en sussurant a mon
oreille:
- Miss camping doit être nue en toute circonstance...
Elle me sourit gentiment et ouvrit ma serviette. Elle contempla mon minou rasé et mes seins, sans hâte, sans
jugement, sans perversité. Elle était très belle, la cinquantaine, très peu ridée, très bronzée, et habillée d'un paréo
magnifique, rouge-orange. Elle avait un sourire de publicité, une grande bouche aux dents très blanches. Des
cheveux bruns, mi-longs. Et des yeux en amande, bruns et verts, très jolis.
Elle fit glisser la serviette à mes pieds.
Me passa la main dans les cheveux en disant:
- Alors, cette expérience de miss, c'est comment ?
Je balbutiai, ne sachant trop que répondre, les images de cravache, de pénétration anale, de sperme dans ma chatte,
dans mon cul, sur mon visage, sur le carrelage, et de sexes d'hommes et d'ados me prenant dans toutes les positions
assaillirent mon esprit, mais elle retira la main de mes cheveux, une goutte collante entre ses doigts. Elle la porta à sa
bouche.
- Mmmh. Apparemment, ça se passe plutôt bien... Ce n'est pas avec du shampooing que tu t'es lavée les cheveux...
Encore que celui-ci n'avait pas très bon goût
Les deux autres femmes présentes gloussèrent sans malice, d'un air complice.
- Je crois que toi, c'est Coralie ? Je suis Sarah. Ravie de faire ta connaissance.
Elle sourit en passant la main sur mes seins et la laissant glisser vers mon ventre, tâtant mon sexe épilé. Je me
sentis rougir mais ne reculai pas, certaine qu'il ne s'agissait pas d'une avance, plutôt de curiosité.
- Tu peux aussi me regarder et me toucher, Coralie. Tu as de sacrés seins, je comprends que mon mari craque pour
toi.
Son mari ?
Elle dégrafa mister paréo et me montra sa poitrine, énorme et parfaite. Ses gros seins étaient bronzés, les mamelons
brun foncé. Leur galbe appelait la main, la caresse, elle avait les nichons que toute nana rêve d'avoir, que tout
homme rêve de peloter.
Son paréo tomba a ses pieds, elle ne portait pas de culotte, et exhiba sa chatte rasée de frais, bronzée intégralement.
Une de ces femmes qui écartent leurs jambes sur la plage à la vue de tous, les hommes qui la croisaient devaient se
venir dessus rien qu'à la regarder !
J'en eus le souffle coupé et, à en juger par leur silence, les deux autres femmes aussi.
- Vous êtes magnifique, Sarah.
- Merci. Mais c'est toi, la miss camping, c'est toi que nous envions toutes.
Ses paroles me laissèrent sans voix. Elle posa un baiser chaste sur mes lèvres, et réajusta mister paréo, avant d'entrer
dans une douche.
Je sortis des sanitaires, perplexe, et trouvai Jean, en pleine discussion avec un campeur. Ils se turent à mon
approche.
- Allons manger, dis-je d'un ton léger.
Jean me pris la main, et nous revînmes à la tente, nus sous le soleil.
chrislebo

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#2,686
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Jean me réveilla peu avant la séance de massage. Nous avions mangé en silence, une salade et deux sandwiches, accompagnés d'une bière fraîche, puis je m'étais allongée à l'ombre, à côté de la tente, légèrement cachée par les arbustes secs qui bordaient notre parcelle, mais suffisamment visible pour que les vacanciers qui passaient sur le chemin puissent me mater. Jean ne m'avait pas demandé de le sucer, après l'épisode de la douche, mais je ne savais pas si c'était parce qu'il ne pouvait plus bander après deux rapports sexuels dans la journée, ou parce que, techniquement, le gros José ne m'avait pas sautée. Un doigt dans le vagin, une branlette, une fellation et des bouillons de sperme rance avalés de power n'étaient pas de la baise à proprement parler. Ou peut-être était-il trop dégoûté pour vouloir que je le prenne en bouche... Il n'était pas au bout de ses peines, dans ce cas !
Je m'étais vite endormie, pendant que Jean faisait le tour du camping à la recherche d'un emplacement isolé pour notre tente - afin que je puisse y recevoir discrètement les messieurs et les demoiselles que j'inviterais à disposer de moi au calme.
Avant qu'il ne parte, il m'avait raconté que plusieurs campeurs l'avaient abordé, lui demandant pourquoi il se baladait à poil, et qu'il n'avait pas trop su répondre.
- Si on te pose la question, avais-je dit, tu répondras que tu es le mari de miss camping, et que tu partages sa nudité, parce que je ne veux pas être seule à me faire peloter par tout le monde. Tu leur diras - hommes ou femmes - qu'ils peuvent te toucher comme ils le souhaitent et que si tu n'obéis pas, ils n'ont qu'à me le dire, je ferai ma valise immédiatement. Et s'il y en a un qui t'encule dans une douche ouverte devant une dizaine de campeurs, tu auras une idée de comment je me suis sentie ce matin !
Il avait hoché la tête, docile, et était parti, cul nu, pine à l'air, dans mister exploration du camping.
Je m'étirai, bien en vue, plus reposée que je ne l'aurais cru possible. Jean déplantait les sardines de la tente. Les sacs étaient déjà chargés dans le coffre de la voiture grand ouvert.
- J'ai trouvé un emplacement qui te conviendra, je pense. C'est le numéro 1. Il est en plein milieu du camping, le long du chemin qui mène à la plage, à côté de sanitaires.
Je ne comprenais pas comment la tente serait isolée dans ces conditions, mais je lui faisais confiance, il avait, lui aussi, toutes les raimisters de s'abriter des regards. Je me montrai conciliante.
- Je vais au massage. Prends les sous, tu me montreras en chemin.
Nous arrivâmes vite à l'emplacement qu'il m'avait décrit. Effectivement, il était à peu près au centre du camping, tout proche du chemin de la plage et à dix mètres des douches. C'était une parcelle complètement invisible, entourée de grands tuyas, et ornée de deux oliviers énormes, qui prodiguaient une ombre bienvenue. On y entrait par une trouée dans les tuyas, mais en garant la voiture juste devant, les arbustes protègeraient totalement notre intimité.
- C'est parfait, dis-je sincèrement. Tu peux installer la tente, je te rejoins après la séance de massage - je serai peut-être accompagnée, ne sois pas étonné.
Il hocha la tête, et marcha à mes côtés, sans un mot de plus, jusqu'à la piscine.
Quelques femmes faisaient la queue, installées sur des bancs, près de deux grandes tentes blanches. Parmi elles, Laëtitia, Véronique, et, juste devant, Sarah, toujours aussi belle dans un paréo bleu nuit, qui discutait avec l'une des filles que j'avais vues aux lavabos, après que le gros porc se soit soulagé sur moi.
Sarah m'aperçut, elle sourit en scandant:
- Faites place à notre miss camping ! Viens, Coralie, à toi l'honneur du premier massage !
Je me frayai un chemin, seins hauts, démarche chaloupée, mes belles fesses - marquées des coups de cravache - attirant les regards curieux ou voyeurs des campeuses et de leur maris, mais ce fut ma minette rasée qui contribua certainement à l'effet enivrant que je provoquai sur mon passage. Quand je fus à hauteur de Laëtitia, qui me gratifia d'un "sale pute" très audible, je pus voir le regard intense de Véronique, auquel je répondis par un petit clin d'oeil mutin. Elle eut un sourire en coin, et mon ventre me chatouilla agréablement.
Sarah m'accueillit à bras ouvert, en me faisant deux bises légères.
- Ça n'a pas encore commencé, tu seras la première à te faire dorloter, je te conseille la tente de gauche, le gars qui y est entré est à croquer !
Un panneau à l'entrée indiquait que les scouts du coin massaient pour quinze euro la demi-heure, pour financer un voyage en faveur d'enfants d'une œuvre catholique. Au moins, je n'avais pas trop à m'inquiéter: un massage de scout catho, il y avait sans doute plus érotique...
Elle me fit une place à côté d'elle et me présenta à sa copine, Sylvie, enseignante, une jolie femme, la quarantaine, aux yeux très doux, sourire coquin avec la langue qui tâtait souvent ses dents, en un tic adorable. Je ne pus que remarquer ses petits seins ronds, un peu molasmisters, et ses fesses amples, rebondies mais pas grosses, dans un maillot de bain blanc très serré. Elle était gentille et agréable, et je passai ainsi les minutes avant 19h à discuter gaiement, oubliant ma nudité.
A l'heure dite, Sarah me fit une bise plus appuyée en me murmurant à l'oreille:
- Si tu le trouves à ton goût, goûte-le, surtout.
Elle me fit un petit clin d'oeil et me poussa à entrer dans la tente de massage.
Un jeune homme finissait de ranger ses crèmes et ses bouteilles d'huiles essentielles - cela sentait très bon déjà. Pour un scout, il était effectivement magnifique !
Il mesurait plus de 1m90, tout en longueur, une musculature très fine mais impressionnante, celle d'un nageur, ou d'un basketteur peut-être. Il portait un short rouge mi-long et un foulard de scout autour du cou.
Il s'aperçut de ma présence et sourit, intimidé par ma nudité.
- Bonjour... Euh... Vous n'êtes pas obligée de vous déshabiller totalement, vous savez...
Je lui expliquai rapidement l'histoire du concours des miss.
- Oh, je comprends.
Il ne semblait pas très à l'aise. Je m'allongeai sur la table, sur le ventre. Il vit les marques rouges sur mes fesses.
- J'ai un onguent pour ce type d'irritation. Ça chauffe un peu mais vous n'aurez plus rien au bout de quelques heures.
Je hochai la tête.
- Avec plaisir, alors. Tu m'en étaleras aussi sur les seins, j'ai quelques griffures très désagréables, et c'est une zone assez sensible chez moi... Fais-moi ce qui te paraît le mieux pour me détendre, je suis toute à toi.
Il sourit gentiment et posa ses mains sur mon dos. Et là, ce fut le choc: Ses mains étaient divines, elles m'électrisaient totalement ! Il parcourut mon dos, lentement, massant avec douceur. Mon rythme cardiaque s'accéléra, ma respiration se fit plus rapide, je me sentais mouiller comme une adolescente au printemps. J'essayai de me contrôler, j'avais eu plus de sexe dans cette seule journée qu'en un mois de temps avec Jean, question intensité, je ne pouvais tout de même pas avoir encore envie de me faire prendre ici !
Sans se rendre compte de rien, le scout masseur prit une pommade, s'en mît un peu sur les mains et l'appliqua sur mes fesses blessées. Je grimaçai. Il s'en aperçut et me dit doucement:
- La crème va vous brûler un instant, mais ça ne va pas durer.
Je fermai les yeux. Ses mains me malaxaient les fesses, et la sensation de chaleur s'estompa, pour laisser place à une fraîcheur réparatrice. Les caresses se firent plus prononcées, il s'attardait sur mon cul, ses pouces entrouvrant ma raie, ses mains continuant d'affoler mes sens. J'écartai un peu les jambes, l'incitant à laisser promener ses doigts un peu plus loin entre mes cuisses, consciente d'exposer mon petit trou à mister regard.
Il me massa les jambes, les mollets, les pieds, et remonta vers mes fesses, mon dos, je m'abandonnai totalement, gémissant parfois, lorsque, passant sur mes omoplates, ses doigts effleuraient mes seins. Il passa sur le devant de la table, à hauteur de mon visage, pour me masser le cou. Je rouvris les yeux. Son sexe dépassait légèrement de mister caleçon, un gland énorme, de la taille de mon poing. Mon ventre se tordit de désir en constatant la power de mister érection.
- Je te plais ? demandai-je d'un ton léger. Si j'en juge par ton engin, je dirais que oui...
- Oh je suis désolé, dit-il d'un air gêné, je n'ai pas l'habitude de masser des filles nues... Et vous êtes très belle.
- Ce n'est rien. Tes mains mistert merveilleuses, je me demande ce qu'elles me feraient dans des endroits plus intimes... Je peux te toucher pendant que tu me masses ?
Il déglutit. Je pris ça pour un 'oui'. J'abaissai mister caleçon, et libérai une bite énorme qui se déroula comme la trompe d'un éléphant. Je la pris à deux mains, mais sa verge était si longue qu'un bon morceau dépassait encore de celles-ci. Je le branlais lentement pendant que, penché sur moi, il me massait le bas du dos. Je l'attirai au bord de la table, et pris mister gland dans ma bouche, ouvrant grand les mâchoires pour y parvenir sans qu'il sente mes dents... Ses mains malaxèrent mes fesses, j'écartai les jambes, et sentis ses doigts glisser vers ma chatte trempée, puis la pénétrer toujours avec douceur. Je soulevai les fesses pour m'empaler plus profond sur ses doigts et poussai sa longue bite au fond de ma gorge. Elle était trop grosse, mais je la dégustai réellement, au sens propre du mot, ressentant un plaisir indicible à sentir ce gros membre battre et glisser sur ma langue, taper sur ma gorge, essayant de se frayer un chemin dans ma trachée. Je libérai le sexe délicieux, crachait dessus un flot de salive et le happai à nouveau, mâchoire écartelée, langue enveloppante, toutes papilles dehors. Je ne pouvais pas en avaler plus de la moitié, mais je m'activai pour le branler en l'enfonçant le plus loin possible dans ma gorge. Ses doigts faisaient des merveilles dans ma chatte, je voulais qu'il me prenne et me mette mister bâton de joie bien profondément dans mes entrailles, qu'il me lime avec ardeur, qu'il me fasse jouir comme jamais. Je crachais encore un flot de bave sur mister sexe immense, et lui sourit, haletante, titillant sous le méat avec le bout de ma langue.

chrislebo

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#2,687
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- Je ne savais pas que les scouts avaient des bites aussi grosses ! Tu as beaucoup de copains à me présenter ?
Il m'embrassa. Puis Je le repris dans ma bouche, en un baiser passionné. Il hésita et chuchota, excité:
- On est une vingtaine dans ma patrouille...
Je ris en le libérant lentement, évacuant la salive en bavant sur mister gland gonflé.
- Baise-moi, déjà, on verra plus tard pour les autres !
Je m'allongeai sur le dos, jambes écartées, chatte ouverte, offerte, abandonnée. Il se mit un peu de crème sur les doigts et malaxa mes seins griffés, qui paraissaient minuscules dans ses grandes mains, en frottant mister membre sur ma fente rasée et mouillée, écartant les lèvres, s'humectant de mon jus généreux. C'était divin. Je pensai à Laëtitia et eut une idée démoniaque. Mes seins brûlèrent sous la crème, puis se rafraîchirent, me procurant une sensation très intense, qui se répercuta dans tout mon corps, mon clitoris battant au rythme de mon cœur emballé. Il me fallait ce sexe dans ma chatte, vite !
- Viens !
Je saisis mister membre à deux mains et le plantait en moi, en gémissant de bonheur. Je sentis l'énorme engin pénétrer au plus profond dans la chaleur moite de ma minette, puis ressortir presque entier, avant de revenir, puissant et doux à la fois, dans une extase jouissive, je mouillai comme lors de ma première fois. Je lui attrapai les fesses et le tirai en moi, contemplant mister corps musculeux, ses traits fins, je le baisai, je le sautai, je m'en servai comme d'un gode vivant, accueillant sa bite divine au fin fond de mon corps, minou déchiré mais affamé.
Je me masturbai, ma main tournoyant sur mon sexe rasé, tandis qu'il me prenait par les hanches et m'empalait, me transperçait, me libérait et m'empalait encore sur mister membre énorme dans un va-et-vient bestial et joyeux.
- Viens dans ma bouche, je veux te boire tout entier.
Il sourit, accéléra la cadence dans ma chatte, sortit tout entier et, bite à la main, vint vers mon visage. J'ouvris la bouche en grand et accueillis les jets chauds et odorants sur ma langue, avalant de grosses gorgées crémeuses, gluantes, au rythme de mister éjaculation bouillonnante et interminable. Pas de haut-le-coeur cette fois, je buvai mister nectar comme un bon vin, me délectant de la moindre goutte, essayant d'en extraire davantage en pressant mister sexe entre mes doigts et en le branlant sans répit. Je le suçai encore longtemps après le dernier jet, la dernière gorgée, satisfaite et heureuse, jambes écartées, tandis qu'il me masturbait lentement, tout à mister plaisir, à mister désir étanché. Je le serrai dans mes bras, pressant mes seins contre mister corps musculeux.
- C'était magique.
- Pour moi aussi.
Je pensais un instant à ce que j'allais dire, comment j'allais amener mon idée, et je me lançai, en jouant encore avec mister sexe incroyable.
- J'ai un marché à te proposer. Si tu me rends un petit service, tu pourras m'avoir tous les jours si tu le veux.
Il hocha la tête, impatient.
- Quel service ?
- Il y a une nana dehors, brune-rousse, la quarantaine, jolis seins, taches de rousseur.
Il entrouvrit la tente et jeta un oeil.
- Je la vois.
- Elle s'appelle Laetitia, et je voudrais que tu lui fasses dix séances de massage. Tu lui dis que je lui offre pour me faire pardonner.
Il parut étonné.
- C'est tout ?
- Non. Je voudrais que tu la séduise, avec ton beau corps et tes mains merveilleuses, et que tu lui fasses l'amour. Et que tu en aies une preuve, photo ou film. Elle a un film sur moi et m'a violentée, je veux me venger. Avoir un moyen de pression sur elle.
- Je peux faire ça. Mon téléphone permet de filmer, ça peut faciliter les choses.
Je jubilai.
- Si tu essayes, tu me montres les films chaque jour. En échange, tu peux me prendre où tu veux, quand tu veux, à toute heure du jour ou de la nuit. Je suis à l'emplacement numéro 1 pendant encore trois semaines et je serai heureuse de te retrouver !
Il semblait tout excité.
- Si tu arrives à la baiser, et à avoir le film, je t'offrirai mon petit trou. Une belle sodomie, tu pourras me mettre ta bite entière dans l'anus, et me fourrer jusqu'à ce que tu aies la trique qui fume !
Il déglutit. Aux anges. Je ne savais pas comment je pourrai me faire prendre par une aussi grosse et longue tige, mais je le ferai.
Il réfléchit un instant, et me dit:
- Je suis d'accord, mais je voudrais que tu acceptes aussi de t'occuper de mes copains de la patrouille.
Mon cœur manqua un battement. Vingt mecs ! Il eut un regard d'excuse et expliqua:
- Beaucoup mistert encore puceaux, ce serait vraiment sympa...
- Je...
Vingt mecs ! Je pensai à Laetitia, à la cravache, au concours des miss, à Jean, au gros porc, à ma vengeance. Vingt mecs !
- Ils mistert majeurs ?
- Pas tous, non. Mais... moi non plus...
Je tressaillai. Aïe. Il ajouta rapidement:
- Mais je suis super consentant et ils le seront aussi. Tu n'es pas obligée, tu sais. J'accepte le marché tel quel: toi à n'importe quel moment, où et quand je veux, et, si j'y arrive, tu m'offre ton... derrière. C'est déjà génial pour moi !
Je ne répondais toujours pas. Il n'était pas encore majeur, avec ce corps, ces muscles, cette bite formidable... Quel âge avait-il ? Je n'osais pas demander. Et il voulait que je me tape ses copains, vingt mecs, pas tous majeurs non plus...! Mais en même temps, il n'en faisait pas une condition, et ma minette en avait vu d'autres depuis quelques jours.
J'hésitai.
- Pour tes copains, je vais réfléchir. Si j'accepte, ce ne sera pas les vingt en même temps, en tout cas. Et aucun ne me la mettra dans le cul. Toi seulement. Ok ?
Il exultait.
- Oui, tout ce que tu veux.
- Et aucun gamin de moins de seize ans et demi.
- Ok.
- C'est important. A cet âge ils mistert capables de comprendre ce qu'ils vont faire... C'est à cet âge que j'ai eu mon premier rapport, et je savais très bien ce que ça impliquait...
- ok, ok, tout ce que tu voudras, vraiment.
Il m'embrassa.
- Je m'appelle Loïc, au fait. Et toi ?
On avait baisé comme des bêtes sans même connaître nos prénoms !
- Coralie. Enchantée. Je me mis à genoux, fis un dernier baiser sur mister sexe et remontait mister caleçon. Rappelle-toi: je veux voir les films, même s'il ne se passe rien, et que tu me racontes tout !
Il me sourit, me passa la main sur les seins, et m'attira à lui en me prenant par les fesses.
- Emplacement numéro 1 et sodomie, je n'oublierai pas.
Je sortis de la tente, un peu désorientée, une douce torpeur dans tout le corps. Sarah m'attendait.
Elle marcha à mes côtés tandis que Laëtitia entrait dans la tente de Loïc. Mon cœur battait dans mon ventre...
- Je me suis fait masser dans l'autre tente, expliqua-t-elle. Approche.
J'obéis. Elle me montra une goutte blanchâtre sur sa langue, et
m'embrassa. Je lui rendis mister baiser léger et goûtai le sperme qu'elle m'avait gardé sous sa langue.
Je lui souris en disant:
- J'ai été plus gourmande que toi, avec mon scout... J'ai tout avalé...!
Elle rit de bon coeur et m'accompagna un moment, en discutant gaiement, me racontant par le menu ce qu'elle avait fait avec mister scout, un blond aux yeux bleus qui avait bandé hors de mister caleçon dès qu'elle avait ôté mister paréo, et s'était retrouvée nue devant lui. Il ne s'était pas fait prier pour que le massage devienne plus intime !
- En parlant de ça, me dit-elle, comment ça se fait que ton mari se promène le zguègue à l'air ?
J'éclatai de rire et lui expliquai.
- Il a accepté ? Il est plus ouvert qu'il n'en a l'air... Ça ne t'embête pas si je viens le titiller un peu ?
- Pas du tout ! On arrive à mon nouvel emplacement, viens avec moi !
Nous passâmes l'entrée de tuyas et constatâmes que Jean n'était pas seul à monter la tente. Un campeur le matait à poil, mister sexe en érection dans sa main...

chrislebo

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#2,688
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(Coralie vient de se faire masser par Loïc, un scout au membre généreux. Elle a passé un marché avec lui pour se venger de Laëtitia. Elle revient à la tente après le massage en compagnie de Sarah, et surprend mister mari, qui montait la tente, en compagnie d’un autre homme, qui l’observe, sexe en érection.)

Je manquai d’éclater de rire. Sarah eut un petit soupir amusé. Je la regardai en coin, puis m’approchai de Jean, et, faisant comme si rien d’anormal ne se produisait, je saluai le campeur.
- Bonjour ! Il travaille bien ?
Le jeune homme cessa de s’activer sur sa pine, l’air gêné.
- Euh… oui…
- Il a été coopératif avec vous ?
- Euh… très coopératif, oui. Il m’a expliqué pourquoi il était à poil dans le camping, et j’ai demandé si je pouvais le regarder travailler… Je crains d’avoir un peu dépassé le stade de l’observation… Faut dire que vous êtes bien isolé des regards, ici…
Il montrait les thuyas hauts, et les oliviers qui ornaient notre nouvel emplacement de camping. Jean semblait avoir avalé un litre d’acide chlorhydrique.
- Allons, ne soyez pas gêné par nous, faites comme si nous n’étions pas là. Vous êtes plutôt homo ?
Jean sursauta.
- Euh… non, pas vraiment. Mais j’ai toujours rêvé de… euh… de masturber un autre homme, et là, comment dire, l’occasion… euh…
Je souris férocement. Mon esprit humilié, mon corps maltraité, mes seins worryés, griffés, mon cul violé sans concession, ma minette fourragée et souillée, tout en moi criait vengeance.
- Ne vous gênez pas, surtout, si vous avez envie de masturber mon mari, servez-vous, approchez, il ne vous mangera pas. Il en tirera peut-être même quelque plaisir…
Jean, penché sur les sardines qu’il plantait, ferma les yeux, et serra mister maillet en tremblant, mâchoires serrées. Sarah se tortilla derrière moi en chuchotant à mon oreille :
- Dommage, la place est prise…
Je lui serrai la main brièvement, lui faisant comprendre que je voulais qu’elle reste pour le spectacle.
Mais le jeune homme hochait la tête négativement.
- Oui, je sais, il se laisse bien faire, j’ai essayé tout à l’heure, mais impossible de le faire bander, mister… pénis… reste tout mou.
Je regardai Jean d’un air de reproche.
- Oh, Jean, ce n’est pas bien de ne pas assister Monsieur dans mister fantasme ! C’est vrai que tu as eu plusieurs rapports sexuels aujourd’hui, mais tout de même, tu pourrais faire un effort ! Tu as vu ceux que j’ai faits avec le gros porc, quand même !
Jean hésita, puis finit par répondre, d’une voix atone.
- Je… j’ai tout fait comme tu as demandé, Coralie, mais ça ne marche pas avec un homme, et je ne m’en plains pas vraiment…
Sarah avança vers mon mari. Elle dégrafa mister paréo, dénudant mister superbe corps bronzé. Elle ne portait pas de string.
- Je peux peut-être aider… ça ne te dérange pas, Coralie, si je m’octroie un petit plaisir avec ton mari ?
Je n’étais pas trop heureuse qu’une si belle femme puisse s’occuper de Jean, mais après Loïc et sa queue phénoménale, et la perspective de me taper ses vingt petits camarades, je pouvais bien fermer les yeux…
- Sers toi, du moment que notre ami réalise mister fantasme…
Sarah m’envoya un petit baiser coquin avec sa bouche parfaite, puis elle prit la main du campeur, qui bandait de plus belle en la voyant nue devant lui. Elle fit s’agenouiller Jean, bite en avant, dans la main du jeune homme.
Puis elle enjamba Jean, plaçant sa chatte rasée et bien dessinée devant mister nez, jambes écartées. Il devait avoir une vue en contre-plongée de mister beau minou bronzé et de sa poitrine de déesse, et ne pas en croire ses yeux…
Elle était magnifique, je n’en revenais toujours pas. Un vrai mannequin de 50 ans, les dents éclatantes, le cul rebondi sans un gramme de cellulite, des seins fermes, généreux, la peau douce et le sexe glabre, que le gros José aurait adoré… Et ses avec quelques rides, plus charmantes que dégradantes, au coin de ses yeux, sur mister cou et sur les côtés de ses nichons, elle était à croquer.
Elle caressa ses seins parfaits d’une main, et écarta mister minou de l’autre, se baissant pour que les lèvres de Jean l’effleurent. Elle se masturbait, se frottait sur sa bouche, malaxait ses gros lolos, le tout dans un déhanchement sensuel. Les doigts du campeur s’activaient sur la queue de mon mari, il n’avait d’yeux que pour le sexe qui gonflait, lentement, dans sa main, et ne faisait pas attention aux fesses rebondies de Sarah. Elle avait un tatouage à la naissance de ses fesses, un petit papillon bleu foncé, qui invitait à explorer la raie plus avant, qui semblait demander à ce que les doigts ou la langue – ou un membre masculin – viennent révéler le petit orifice appétissant qui se cachait au creux de ces divins lobes.
Elle haleta discrètement quand la langue de Jean plongea au creux de sa chatte, la baisant aussi sûrement qu’une bite aurait pu le faire. Il ouvrit la bouche au maximum, essayant de planter sa langue jusqu’aux tréfonds de la belle moule avide, la léchait comme un veau tête sa mère, cou tendu, menton en avant, yeux fermés, nez dans mister clito. Toujours à genoux, il prit les fesses délicieuses dans ses mains, et les caressa méticuleusement, pouce par pouce, se délectant de leur texture soyeuse et de leur fermeté rebondie. Sarah attrapa sa tête, et enfila la langue plus loin, en gémissant de plaisir. Jean donnait des coups de queue sans s’en rendre compte, oubliant que c’était un homme qui l’astiquait.
chrislebo

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#2,689
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Je regardais le spectacle avec un plaisir inouï. Le campeur, souriant comme un ange, se branlait en même temps qu’il masturbait Jean, qui avait maintenant la trique des bons jours, rouge et gonflée d’une semence prête à être récoltée. Plus ça allait, plus le visage du campeur s’approchait de la bite au garde-à-vous, et je voyais arriver le moment où il allait la goûter, emmenant mister fantasme vers d’autres horizons.
Mais Sarah en décida autrement. Elle quitta sa place de choix, laissant les deux hommes à leur affaire. Elle me prit la main, et m’attira vers les garçons. Jean semblait moins enthousiaste à la vue du campeur excité qui lui serrait la bite en essayant d’en tirer mister précieux jus. Cela ne dura pas. Sarah enjamba de nouveau Jean, lui présentant mister cul, cette fois, et m’invita à la rejoindre. J’enjambai mon mari à mon tour, face à la belle princesse, et acceptait mister baiser, pendant qu’elle me caressait les seins et la chatte, s’abandonnant aux sensations que lui procuraient ma langue dans sa bouche et celle de Jean dans mister cul et dans sa minette offerte.
Le campeur astiquait toujours Jean, mais ne semblait plus vouloir le sucer. A la place, je sentis sa langue sur mes fesses, et mister autre main sous mon ventre, doigts entremêlés avec ceux de Sarah, si bien que je ne savais plus lequel des deux me pénétrait ni lequel me caressait. Je malaxai les beaux seins bronzés de Sarah, et, décidée à en profiter au maximum, m’empalait sur les doigts mêlés, en accentuant la power du baiser que j’échangeai avec elle. Elle embrassait vraiment très bien, sa langue était agréable dans ma bouche, elle souriait, heureuse, mister parfum enivrant emplissait mes narines. Son expérience de femme d’âge mûr se ressentait dans ses caresses, dans mister baiser, dans cet abandon incroyablement simple qu’elle me faisait partager. Ses doigts (ou ceux du campeur ?) tournaient sur mon clitoris, s’enfonçaient délicatement en moi, m’effleuraient les lèvres rasées, tâtaient mon périnée et se permettaient d’entrer dans mon petit trou, que j’offrais de bon cœur aux caresses appuyées.
Jean se tendit, et éjacula dans les doigts du campeur, qui vint dans un râle, projetant du sperme jusque sur la bite qu’il venait de faire jouir, éclaboussant mes jambes au passage, quelques gouttes atterrissant sur les pieds de Sarah.
Nous enjambâmes les deux hommes, et je laissai Sarah s’agenouiller, leurs bites entre ses mains, récoltant le sperme avec les lèvres, la langue, et me présentant sa croupe attirante, parfaite, jambes écartées. J’y glissai mes doigts, et la pénétrait sans hâte, avec douceur, n’espérant pas lui procurer une grande jouissance, plutôt un doux plaisir. Elle léchait les membres ratatinés et souillés avec méthode, s’attardant sur les poils, sur le gland, sous les couilles, jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement nettoyés. Elle m’encouragea à la fourrer plus fort, mais j’avais peu d’appétit pour les femmes, et je continuai quelques minutes à aller et venir entre ses lèvres, hasardant un doigt dans mister anus, par curiosité. Elle donna un grand coup de reins et mon doigt pénétra jusqu’à la paume. Elle se tourna et me regarda pendant que je jouai dans mister cul de déesse, en souriant, bouche entrouverte. Elle entama un va-et-vient plus rapide, et me dit en haletant :
- Il faudra que l’on se fasse une petite séance de massage toutes les deux. Tu ne crois pas ?
Je vis Jean lever les yeux au ciel, désespéré.
- J’ai hâte d’y être, dis-je pour le titiller. Tu es si belle que je deviendrai presque lesbienne rien qu’à te regarder.
Elle rit et reprit l’exploration des bites molles en susurrant :
- Ne te prive pas des hommes, une bonne queue dès qu’on le peut, il n’y a rien de tel pour garder la forme…
Je me dis que si baiser à ce rythme pouvait me donner mister corps de déesse, je resterais miss camping pour le restant de mes jours sans hésiter…
vanbruje

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#2,690
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Merci pour les suites, il doit y avoir plusieurs chapitres...
Bonne continuation
chrislebo

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#2,691 · Edited by: chrislebo
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- Coralie ?

Je me réveillai doucement. Le chuchotement venait d'interrompre mon rêve, dans lequel la petite Véronique et moi nous embrassions sur la scène des animations du camping devant une foule de mecs qui se masturbaient les uns les autres. Le baiser était agréable et frais, mais la branlette collective me laissait un arrière-goût de sperme du gros José dans la bouche - qui persistait à mon réveil, vivement ma brosse-à-dents.

- Coralie ? Tu es réveillée ?

La voix chuchotante venait de l'extérieur de la tente.

- Mmm

La veille au soir, après que le campeur et Sarah soient repartis - Sarah voulait que j'aille "dire bonjour" à mister mari et "faire connaissance avec lui", mais franchement, mon cul avait besoin de passer quelques heures loin des hommes - nous avions dîné et discuté avec Jean, une discussion normale, si l'on exceptait le moment où je lui avais lancé:

- Si tu as encore la power, je te dois une fellation, je m'appliquerai, tu verras.

Il avait paru étonné.

- Tu ne me dois rien - le gros ne t'a pas... euh... pénétrée.

J'avais souri.

- Lui, non, mais le masseur m'a "pénétrée" bien profondément. Il m'a baisée, avec ma participation pleine et entière, il a une queue phénoménale, j'ai joui comme rarement !

Jean avait hoché la tête, choqué. Ses yeux lançaient des éclairs.

- Oh. Je vois. Tu me suceras demain, alors. Et tu vas bien sentir passer ma queue à moi, même si elle n'est pas "phénoménale".

Je lui avais déposé un baiser furtif sur les lèvres en souriant.

Puis nous nous étions couchés, après un passage par les toilettes. Là, j'avais vu Véronique, avec mister frère. Je leur avais fait un petit signe, mais n'avais pu leur parler, Laëtitia étant aux lavabos. En sortant des toilettes, j'eus la surprise de voir que Véronique attendait juste devant ma porte. Elle me repoussa dans le cabinet, un doigt sur la bouche me faisant signe de me taire. Elle avait refermé la porte, s'était tournée vers moi et avait chuchoté:

- Il faut que je vérifie quelque chose.

J'avais hoché la tête, un tremblement impatient dans le ventre, mon cœur s'emballant sans que je puisse me contrôler.

- Moi aussi, je crois.

Elle m'avait serrée dans ses bras, en m'embrassant. Le baiser m'avait fait partir totalement, je fouillais sa bouche avec ma langue, me délectant de la sienne, j'avais eu l'impression qu'il n'y aurait jamais rien de plus délicieux au monde que les lèvres légères et sucrées de mon adolescente blondinette. J'avais glissé les mains sous sa robe courte et lui avais griffé les fesses et caressé ses petits seins ronds, souhaitant que ce baiser ne cesse jamais.

Quand nos bouches s'étaient séparées, elle m'avait effleuré la chatte avec sa main et m'avait murmuré:

- Demain, mon père et mon frère vont pêcher toute la journée. Ma mère va faire les courses l'après-midi. On peut se voir après déjeuner pour continuer cette conversation ?

Son doigt était entré dans mon vagin. Je l'avais embrassée à nouveau, en hochant la tête, puis elle avait quitté discrètement le cabinet, dans lequel j'étais restée, pantelante, pendant encore quelques minutes.

J'avais dormi comme un bébé.

- Coralie, c'est Loïc.

Loïc ! Mon scout masseur ! Avait-il réussi à baiser Laëtitia, déjà ?

Je me glissai hors de mon duvet, nue, et ouvris la fermeture éclair de la tente sans faire de bruit, pour ne pas réveiller Jean. Je sortis la tête par l'ouverture et me retrouvai devant un sexe en érection, une bite de trente-cinq ou quarante centimètres tendue devant mon nez.

Loïc me sourit.

- Bonjour Coralie, "à toute heure du jour ou de la nuit", tu n'as pas oublié ?

Mon bel ado voulait me sauter à 7h du matin. Avec Jean dans la tente. L'idée était amusante... Si Jean se réveillait, il aurait sa récompense ! Je pris mister membre dans ma bouche en écartant encore les mâchoires au maximum, et avalai sa bite à moitié, forçant ma gorge à s'ouvrir. Je restai ainsi quelque secondes, puis libérai le sexe, dégustant la raideur ferme au goût de savon. Si Jean s'éveillait, il aurait une vue imprenable sur mon cul ! Je glissai ma main sur ma minette et me caressai le clitoris pendant que je le suçai, profitant de chaque coup de langue que je prodiguais. Je lâchai finalement sa bonne glace et posai la question qui me brûlait la langue.

- Tu as pu masser Laëtitia ?

- Oui, m'dame ! Et j'ai même un petit film pour toi !

Il me tendit mister portable.

- Cool, je peux le voir ?

- Tourne-toi, à quatre-pattes, et regarde pendant que je m'occupe de ta belle chatte toute rasée. Tu n'as qu'à appuyer sur "lire".

- Suce-moi un peu avant de me pénétrer, je ne suis pas bien réveillée. Et n'oublie pas de me caresser un peu - et pas que la moule !

Je n'arrivais pas à croire que je venais de prononcer cette phrase. J'étais si timide en arrivant au camping... Ce changement me plaisait, c'était si simple de dire les choses crûment ! Je rentrai dans la tente, laissant dépasser mon cul, genoux écartés, de manière à ce qu'il me prenne par derrière après avoir bien humecté mes lèvres encore toutes endormies.

Jean dormait comme un bébé. Je tirai le duvet jusqu'à ce qu'il m'apparaisse, nu, sexe en érection dans mister sommeil. Si Loïc me sautait bien, je pourrais le réveiller en le suçant... je sentis la langue du beau scout lécher mon abricot, et ses mains merveilleuses me caresser le dos et les fesses. Je me cambrai, oubliant le film de Laëtitia, me laissant emporter dans la tourmente de sensations, ses doigts sur mes nichons, sur mes reins, mes épaules, sa langue sur mon clito, le long de ma fente, dans mon vagin, sur mon périnée. Je recommençai à me masturber, en donnant des coups de reins, sa langue pénétrant dans mon anus, comme une mini sodomie très douce. Je gémis quand mister majeur entra dans mon vagin, et mister pouce dans mon petit trou. Je me laissai faire quelques instants avant de protester, en chuchotant toujours:
chrislebo

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#2,692 · Edited by: chrislebo
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- Eh, pas dans le cul, tu as d'abord un travail à faire pour moi...

- Ne t'inquiète pas, je mets juste le pouce... Tu aimes ?

Il m'enfonça les doigts plus profondément dans les deux trous, tout en me passant mister autre main le long de mon dos, en une caresse intense et divine.

Je l'incitai à continuer, me sentant partir comme la première fois qu'il m'avait touchée.

- Je ne sais pas comment tu fais ça, c'est trop boooon... Mmm...

Loïc retira ses doigts de mes orifices et les inversa. Son majeur et mister index forcèrent l'entrée de mon trou du cul tandis que mister pouce explorait mon vagin. Il entama un lent va-et-vient, me plantant les doigts dans l'anus quand mister pouce sortait de ma chatte, et l'y remettant bien profond lorsque des doigts libéraient mon cul. Il ajouta mister annulaire à la sodomie, ses trois longs doigts me pénétrant avec douceur, m'écartelant presque au maximum de ce que je pouvais supporter.

- Eh, pas trop à la fois, tu vas me faire mal...!

Je sentis le sourire dans sa voix.

- Tu m'as promis que je pourrai te prendre dans le cul dès que j'aurai fait sa fête à ta copine. Mon sexe est bien plus gros que ces trois doigts...

C'était vrai. Je ne savais vraiment pas comment un rapport anal avec cette bite terrible allait se terminer pour moi... Elle me déchirerait probablement l'anus... Peut-être qu'avec beaucoup de vaseline, ça passerait mieux ? Je préférais ne pas y penser et changeai de sujet:

- Viens en moi, j'ai envie de ta queue - et ne te trompe pas d'orifice ! Continue à me masser partout pendant que tu me prends, j'adore.

- Partout ?

Je compris sa question et ne pus m'empêcher de sourire.

- Oui, même dans le cul, coquin. Allez, viens !

Il frotta sa bite sur mes fesses quelques minutes en soufflant, amenant mister gland aux bords de mon orifice anal, et tournant dessus comme pour le pénétrer. Les lobes de mes fesses s'écartaient pour laisser passer mister sexe énorme. Ma pastille céda une seconde et je sentis mister gland entrer légèrement, mais j'eus un sursaut et le repoussai hors de mon cul.

- Pas maintenant, petit malin.

- J'ai envie de toi.

- Alors viens dans ma chatte. Elle est trempée. Dès que tu me touches, je mouille comme une ado.

Il glissa mister sexe dans ma minette, d'un seul coup. J'eus l'impression qu'il voulait me transpercer jusqu'à la gorge. C'était rude, mais la sensation était délicieuse. Il me caressait le dos et les seins, me pinçait les tétons, me branlait le clitoris. Puis il me mît mister pouce dans mon cul en me tenant fermement une hanche. Il m'empalait sur sa queue, de plus en plus fort, de plus en plus vite, me plantant à nouveau trois doigts dans l'anus et les maintenant enfoncés pendant qu'il me limait. Je fermai les yeux, et, dans un réflexe, attrapai la bite de Jean, toujours endormi, et le branlai sauvagement, ne désirant rien tant que de la prendre dans ma bouche. Il se réveilla en sursaut et comprit tout de suite que je me faisais sauter, le cul hors de la tente. Loïc accélérait le rythme, ajoutant mister auriculaire aux autres doigts qui me fourraient le cul, me déchirant les parois. Je couinais comme un hamster et donnai des grands coups en arrière pour qu'il me prenne plus loin, plus fort.

Jean me donna une claque sur la joue que je sentis à peine.

- T'es vraiment une pauvre salope ! Tu baises comme ça, ici, alors qu'on s'est même pas encore levé ! J'te déteste, t'es une pauv' pute !

Je haletais, je gémissais, je tirais sur sa pine dure entre mes doigts, sans me soucier de sa colère.

- Oh oui, je suis... oh... une méchante fille... aah... Viens dans ma bouche pour... oui... me punir... Je suis méchante, méchante, méchante... aah

Jean mit sa bite dans ma bouche violemment me l'enfonçant dans la gorge, toute entière, en regardant mon cul se faire défoncer par les doigts de Loïc. Il attrapa ma tête et maintînt sa bite au fond de ma gorge en m'appuyant très fort sur la nuque. Je ne pouvais plus respirer. Il donna des coups de reins, comme s'il me baisait, maintenant sa pine dans ma trachée. J'allais étouffer, j'étais sûre qu'il voulait me tuer, me suffoquer. Je le griffai, je hurlai. Enfin sa bite quitta ma gorge, ma langue, mes lèvres. Il me donna une nouvelle claque, plus forte. Je respirai un grand coup, crachant un flot de bave sur sa bite, avec un haut-le-cœur. Loïc me limait toujours ardemment.

Jean me prit l'arrière de la tête et força l'entrée de ma bouche, me baisa de nouveau jusque dans la gorge et tapant plusieurs fois dans ma trachée jusqu'à ce que je sois sur le point de m'évanouir par manque d'air. Il ressortit sa bite, me frappa à nouveau, me laissa prendre une inspiration, et baver sur mister membre, et de nouveau il me viola la gorge.

Loïc me caressait le dos, me touchait les seins, me fourrait le cul avec ses doigts. Jean m'étouffait avec mister sexe, le visage dur, en m'insultant de temps à autre.

- Tu aimes la bite, pauv' salope. Avale ça tout entier !

Il me donnait une claque chaque fois que sa bite sortait de ma bouche, mais je ne pleurai pas. Au contraire. Je lui souriais et ouvrais grand la bouche pour qu'il me l'enfonce au plus profond, espérant que ça le rendrait encore plus furieux. J'encourageais Loïc par des grands coups de reins, ses doigts dans mon cul faisaient des merveilles. Jean finit par éjaculer dans ma gorge, je bus mister sperme à la source, avec un haut-le-cœur tant j'avais besoin de respirer. Il me libéra après que la dernière giclée ait fait mister chemin, et me donna une dernière claque, moins appuyée. J'avais les joues en feu. Je serrai ma chatte sur la bite de Loïc qui la sortit d'un coup et jouit entre les doigts qui écartaient mon anus. Je sentis le liquide chaud entrer partiellement et couler le long de mes fesses, et me retournai rapidement pour prendre mister sexe dans ma bouche et boire les quelques gouttes du nectar qui en sortaient encore. J'offrais ainsi à Jean une vue imprenable sur mon cul dégoulinant de sperme, sur mon anus écartelé par les quatre doigts du scout. Je pris mon temps pour nettoyer le sexe immense, en me masturbant sous le nez de Jean, bien cambrée. Je me concentrai sur les sensations que me procuraient cette belle bite, sur le corps musculeux de mon jeune amant, et je me fis jouir, bruyamment, sous les regards de mes deux hommes du matin.

Je pris une serviette et la mis sur mon duvet, pour m'asseoir sans le tacher de sperme. Je tirai Loïc dans la tente en l'attrapant par sa belle tige.

- Loïc, je te présente Jean, mon mari. Jean, je t'ai parlé de Loïc hier soir, et de sa queue très longue.

Loïc avait l'air gêné, et Jean était furibard. Je me massai les joues qui me brûlaient, bien décidée à me venger immédiatement - ce ne serait pas difficile.

- Loïc m'aide à régler le problème que j'ai avec Laëtitia. Moyennant quoi, il peut me faire l'amour quand il en a envie.

Je me tournai vers Loïc:

- Pour tes vingt copains, je suis d'accord pour les dépuceler. Tu me montreras ton emplacement, je les amuserai le soir, en en prenant quelques-uns à la fois. Je pense que ça se passera plutôt ici, c'est plus calme.

Loïc hocha la tête en souriant. Jean serra les poings. S'il ne m'avait pas frappée, j'aurais peut-être dit non aux petits scouts puceaux, mais là...

- Alors, on se le regarde, ce petit film de Laëtitia ?

J'appuyai sur la touche "lire" et le petit film commença. On y voyait Laëtitia, allongée sur le ventre, avant que Loïc ne la masse. Elle avait les yeux curieux, essayant de mater le bel ado, mister mètre-quatre-vingt-dix, ses épaules larges et musculeuses, sa peau bronzée et fine. Elle souriait en le déshabillant du regard.

- Il ne s'est rien passé cette fois, me dit Loïc. Mais je pense qu'elle va me sauter dessus sans que je n'aie aucun effort à faire...

Lorsque le massage débuta, les mains de Loïc parcoururent le dos de la belle brune de quarante ans, des épaules jusqu'à la naissance des fesses. Elle ouvrit grand les yeux, respiration coupée. Puis elle fondit littéralement sur la table.

- Apparemment, tu lui as fait le même effet qu'à moi...

Le cul de Laëtitia se soulevait légèrement, à chaque passage des mains, et elle se mordait les lèvres, fermant les yeux, morte de désir. À un moment, Loïc lui tourna le dos pour prendre un peu d'huile, elle ramena ses bras le long de mister corps et releva sa culotte, façon string, invitant le divin masseur à l'explorer plus avant. Elle ferma les yeux. Loïc sourit, et tira légèrement sur mister short pour montrer mister érection, bien moulée maintenant. Laëtitia s'en aperçut bien vite et ne quitta plus l'engin des yeux.

Loïc l'invita à se retourner, pour lui masser les épaules, le buste et les jambes. Elle ôta mister haut de bikini. Le massage ne prit pas un tour plus sexuel par la seule volonté de mon ado masseur - qui, sans en avoir l'air, lui effleurait les nichons à chaque passage de ses grandes mains, et qui n'aurait eu aucun mal à répondre à la demande des tétons dressés. Laëtitia avait même écarté les cuisses légèrement lorsque Loïc lui avait massé les jambes !

Je hochai la tête, satisfaite.

- C'est parfait ! Mais pourquoi ne l'as tu pas sautée ? Elle n'attendait que ça !

Il jeta un coup d'œil nerveux à Jean.

- C'est à dire... Je venais de faire l'amour et je n'avais pas envie d'avoir une queue un peu molle...

- Tu la revois quand ?

- Comme tu lui offres dix séances, je la revois en fin d'après- midi, elle a des courses à faire avant, apparemment. Vers 17h à mister mobil-home.

- C'est parfait ! Bon, je sais pas vous, messieurs, mais moi, je vais encore dormir un peu !

Je me rinçai le cul avec du PQ et de l'eau, et me lovai dans mon duvet. Je trouvai le sommeil immédiatement.
chrislebo

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#2,693 · Edited by: chrislebo
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- Non, je vous en supplie…
- Suce, tu ne le regretteras pas, c’est tout frais sorti de la douche…
Il s’agenouilla et plaça mister bâton de joie devant mon visage. Je secouai la tête en pinçant mes lèvres, refusant de prendre en bouche le gland rose. Je détournai le regard, et vit ma chef de rayon me reluquer la croupe, une main dans mister string rouge. Mon violeur continuait mister va-et-vient. Elle s’aperçut qu’il me prenait dans le cul. Elle ramassa une branche de laurier et me la passa sur le dos.
- Oh, je vois que tu aimes de plus en plus te faire prendre par derrière…Tu es vraiment la dernière des salopes!
- Non ce n’est pas…
Un coup de cravache me fouetta le cul. Laëtitia m’avait frappée ! Elle sourit, innocente.
- Tais-toi, douce Coralie. Tu ne parles que quand je t’y autorise. Tu as bien compris ?
Je pleurai de plus belle, rageant de mon impuissance. Un autre coup suivit, plus fort encore.
- Je t’ai posé une question. Tu as compris les règles ? Parle !
J’acquiesçai en sanglotant, incapable de me contrôler.
Un nouveau coup me vrilla les lobes.
- J’ai dit : Parle !
Je fermai les yeux et hoquetai :
- Oui !
Un nouveau coup me cingla les fesses.
- Oui qui?
- Oui Laetitia!
Un nouveau coup me cingla le cul.
- Un peu de respect!
- Oui, maitresse!, hurlais-je.
- Parfait. Si tu es sage, tu n'auras que cinq coups de baguette à la fin de notre conversation. Si tu n’es pas sage… tu sais ce qui arrivera.
Je déglutis en hochant la tête. Les larmes coulaient de mes yeux sans que je ne puisse rien y faire.
L’animateur rouquin s’affairait. Il m’empaumait les seins en frottant mister petit braquemart sur mes yeux mouillés, sur mes joues et mon nez. Il regardait Laëtitia se masturber lentement en me passant la branche de laurier sur le corps, et fixa un instant l’autre homme qui me sodomisait en me tenant les hanches. Sa pine enflait. Laëtitia retira sa main de mister string, et prit le membre taille réduite entre ses doigts, l’appuyant contre ma bouche fermée.
- Douce Coralie, sois bien sage. Ouvre la bouche pour faire plaisir au monsieur…
Elle branlait l’animateur, ravi, qui se pencha vers elle, lui embrassa l’épaule et tira la ficelle de mister haut de bikini, révélant deux seins fermes et bronzés, aux mamelons brun foncé. Il les caressa avidement. Je gardai les lèvres fermées, les yeux baignés de larmes d’impuissance. Elle allait me frapper jusqu’à ce que j’obéisse, mais je ne pouvais pas accepter une offense pareille. Mon violeur accéléra le rythme derrière moi, un plaisir diffus commençait à monter de mes reins. La pine devant mon nez sentait le gel douche. Deux coups de branche de laurier s’abattirent sur mon cul.
- Obéis, gentille Coralie, obéis…
Deux nouveaux coups de cravache me vrillèrent le bas du dos, m’arrachant un cri de détresse. Je ne pouvais pas lutter. J’avalais le sexe roux, en pleurant. Je le suçai avec application, essayant d’écouter le vague plaisir qui envahissait lentement mon ventre.
Laëtitia sourit. Elle posa sa baguette de laurier et s’allongea sous moi, perpendiculairement, comme un garagiste sous une voiture. Elle me mordit le téton droit très fort et, avec sa main gauche, me pinça l’autre téton. La douleur était insupportable, je me crispai sur la bite au fond de ma gorge, sanglotant et hurlant de désespoir. Elle relâcha la pression et me mordilla les mamelons sans hâte.
La pine dans mon cul sembla doubler de volume, je savais que le type n’allait pas tarder à me libérer, après avoir vidangé sa jouissance mêlée de merde au fond de mes boyaux. J’ouvris les yeux d’un coup : la main droite de Laëtitia avait parcouru mon ventre et s’était arrêtée sur mon clitoris, qu’elle masturbait avec habileté. Le plaisir naissant dû à la sodomie très active se transforma en vague cruelle, un besoin de jouir qui se heurtait à l’offense que je subissais, à la soumission dont je faisais preuve. J’aspirai plus fort la bite de l’animateur qui m’attrapa la tête et se servit de moi comme d’une poupée gonflable, me faisant aller et venir sur mister sexe court, en gémissant de plaisir.
Le gars dans mon cul ralentit, et s’arrêta complètement, Laëtitia continuait de me branler, deux doigts dans mon vagin, et je m’activais toujours avec vigueur sur la pine du rouquin. Je n’avais pas senti mon violeur se vider en moi, je fronçai les sourcils, étonnée, mais soulagée que ce soit bientôt fini. J’accélérai la cadence sur le sexe dans ma bouche, espérant en boire rapidement la crème, et me sauver de cette situation désespérante.
Mon violeur extirpa lentement mister chibre de mes lobes, et me tapota les fesses.
- On se fait une double pénétration ?
Laetitia sortit ses doigts de mon vagin et se releva, souriant toujours. Elle reprit sa cravache, prête à me dominer si je n’obéissais pas. Je crachai la pine de l’animateur en secouant la tête :
- NON !
Deux coups de lauriers s’abattirent sur mon cul, suivis de deux autres. Laëtitia me caressa là où elle venait de me frapper, et glissa deux doigts dans mon anus, en faisant une grimace.
- Ce n’est pas très propre, tout ça… Petite Coralie, tu vas laisser ces messieurs se soulager, n’est-ce pas ? Tu peux parler.
- Laëtitia, je vous en prie…
Un coup sur mon cul. Puis un second. Suivi d’un troisième, une main de mon violeur qui me fessait !
- Mauvaise réponse. Dis-moi que tu veux qu’ils te baisent en même temps.
Je geignis à nouveau.
- Laëtitia… je peux les sucer, ils peuvent me sodomiser et venir en moi… je vous en supplie, pas ça… !
Un coup de laurier, une nouvelle tape sur les fesses, plus forte, suivie d’une autre. Le gars s’extasiait sur mes fesses rouges. Nouveau coup du plat de la main.
- Elle aime qu’on la fesse, la salope … !
-Oui, vous avez parfaitement deviné, elle aime se faire corriger la garce!, commenta Laetitia avec perfidie.
Un énième coup me cravacha le cul.
- Coralie, demande gentiment à ces messieurs de te prendre tous les deux en même temps.
Elle accentua la pression dans mon petit trou, et introduisit mister pouce dans ma chatte. Je gémis. Le plaisir revenait, malgré moi. Il augmenta quand je reçus deux nouvelles tapes sur les fesses. Je ne voulais pas obéir. Mais j’étais seule, abandonnée. Si j’appelais à l’aide, d’autres coups viendraient et qui sait si le prochain sauveur en herbe ne serait pas le gros José ou le vieux qui servait d’homme à tout faire dans le camping… Toute honte bue, je cédai.
- Je… je veux que vous me preniez tous les deux en même temps. S’il-vous-plaît.
Laëtitia ôta ses doigts de mes orifices. Elle se déshabilla complètement, exposant mister intimité aux deux mâles qui me consommaient, sans doute pour leur redonner de l’ardeur s’ils en manquaient. Elle se caressa les seins, ostensiblement, les empaumant par-dessous, pouces et index titillant ses tétons, essayant de les faire darder vers le ciel. L’animateur s’allongea sur le sol jonché de brindilles et je me laissai guider sur lui, l’esprit embrumé, ma volonté brisée. Je sentis à peine mister petit engin tendu glisser dans ma minette trempée de cyprine. Les attentions de Laëtitia avaient produit leurs effets… Mon violeur se remit en selle, me pénétrant vulgarement, comme la première fois. Je sentis les deux bites s’entrechoquer en moi et entamer leur va-et-vient synchronisé. La vague de plaisir déferla, inattendue. Prise en sandwich, complètement primisternière des deux verges qui m’empalaient, je haletai, en profitant de l’orgasme que je sentais monter dans mes reins, m’arc-boutant sur la bite qui me trouait le cul sans concession, écrasant mes seins contre le torse frêle de mon amant vaginal, et appuyant ma chatte sur sa courte pine qui la visitait intensément. Je frottai mon clitoris sur les poils roux, irritant le bouton délicat, pour augmenter la charge déferlante qui menaçait d’emporter ma dignité dans une tempête jouissive incontrôlable. Je me sentis partir, et gémis plus fort, me retenant de crier pour éviter d’avoir à affronter les queues de tous les pervers du camping. Je me cambrai encore, sentant les deux membres gonflés me limer les entrailles, et je jouis, sans retenue en mordant l’oreille de l’animateur rouquin qui murmurait des « oui oui oui » saccadés dans mon cou. Laëtitia s’accroupit à hauteur de mon visage et approcha sa moule fine, presque glabre. Je tendis le nez en haletant, l’effleurant au passage, tirant la langue lascivement pour essayer de la goûter. Elle restait tout juste hors de portée, suffisamment proche pour que je sente mister excitation mouillée, mais trop loin pour que j’y fourre ma langue avide. Elle trempa les doigts dans sa chatte, en se masturbant mécaniquement, et me fit sucer le jus intime sur mister majeur à plusieurs reprises.
Les coups de boutoirs dans mon anus prirent brusquement fin, mon violeur vint en brusques saccades, au fond de mes intestins, un flot de sperme chaud que j’imaginai se mêler aux résidus de merde sombre. L’image me donna la nausée. Je suçai le doigt de Laëtitia avec un haut-le-cœur. Elle pensa que ma réaction était due à mister petit manège.
- Douce Coralie n’aime pas le jus de sa chef ? Goûte mieux…
Elle me plaqua la tête contre sa chatte, que je léchais avec envie en sentant que l’animateur arrivait au bout de mister plaisir, le nez dans le cul de Laëtitia. Il gémit en se vidant, m’emplissant le vagin d’une petite quantité de crème épaisse et chaude, que je sentis à peine – après la queue de Loïc, le petit asticot de l’animateur ne faisait pas le poids.
Mon violeur anal retira sa pine souillée de sperme et d’excréments de mon cul, je restai lovée dans les bras du rouquin, léchant toujours l’abricot ouvert de Laëtitia. Ma langue traçait le chemin de ses petites lèvres, récupérant le jus intime dans sa vulve et l’étalant jusque sur mister clitoris, en un coup de langue appuyé, je la lapai avec délices, étonnée de l’énergie que j’y mettais – je n’étais pas portée sur les femmes, exceptée Véronique, sa fille, peut-être. L’animateur me labourait toujours dans le vide de sa queue qui avait débandé immédiatement, en continuant de lécher le périnée de la belle brune, le nez entre ses deux lobes bronzés – sans doute faisait-il semblant de me baiser juste pour continuer mister festin de roi. Nos langues se touchaient de temps à autres, se mêlaient sur les atours délicieux de Laëtitia, qui nous regardait, comme une araignée peut regarder deux mouches se débattre dans sa toile, souriante, haletant discrètement.
Mon violeur vint se tenir debout devant elle, espérant qu’elle le sucerait. Elle sourit plus largement encore, et se releva.
- Coralie, nettoie le sexe de ces messieurs.
Le rouquin sourit et me fit rouler sous lui. Mon violeur se tint debout au-dessus de moi, et l’animateur le rejoignit, queue dans la main. Je me mis à genoux. Fermais les yeux. Et nettoyai les deux sexes enduits de sperme. Je m’attardai sous les plis de chaque gland, et récupérai la semence mêlée d’excréments jusque dans les poils de mon violeur. Les bites enflèrent à nouveau sous mes coups de langue et mes pincements de lèvres, je fis donc ce qu’on attendait de moi. Je les suçai tour à tour, branlant avec agilité les deux sexes dressés. L’animateur vint très vite, aspergeant mon visage de sperme presque transparent. Mon violeur mit plus de temps à craquer sous mes caresses insistantes, je l’enfournai au fond de ma gorge et l’aspirai littéralement, en me masturbant comme une damnée, la main sur mon sexe rasé, le suppliant de m’éjaculer sur le nez, ce qu’il finit par faire dans un râle rauque.
Laëtitia me tapota la tête.
- C’est très bien, Coralie. Tu es une bonne petite pute! Penche-toi, je ne veux voir que ton cul.
Je pleurai à nouveau, je tremblai de peur.
- S’il-vous-plaît, je vous en supplie…
Un coup de baguette me fouetta les seins.
- Obéis, ou je double le tarif!
Je m’enfouis la tête dans les bras, cul en l’air, chatte au grand jour, seins plaqués contre le sol, en pleurant convulsivement. Les cinq coups tombèrent, sévères, intransigeants, me zébrant le cul d’une morsure brûlante, plus difficile à supporter à chaque fois qu’ils s’abattaient.
Laëitia me caressa le cul affectueusement.
- C’est très bien, douce Coralie. Tu as été très obéissante. Tu peux rejoindre ton mari. Venez Messieurs.
Je les entendis sortir du buismister. Je restais là, cul en l’air, pleurant toutes les larmes de mon corps.
La salope.
J'étais bien décidée à lui faire payer cette offense et chacun des coups qu’elle venait de me donner au centuple !.
chrislebo

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#2,694
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(Résumé: Un campeur a forcé Coralie à déféquer devant lui, avant de la sodomiser violemment contre mister gré. Les cris de Coralie ont attiré Laëtitia, sa Némésis, qui a forcé Coralie à se soumettre au viol, et l'a corrigée sévèrement.)
Je ne sais pas combien de temps je pleurais ainsi, recroquevillée sur le sol jonché de feuillages, sous les buismisters de laurier, mais je finis par me calmer. Je respirais un grand coup, ramassais le rouleau de papier-toilette et essuyais le sperme mêlé d'excréments qui dégoulinait de mon cul le long de mes cuisses, luttant contre la nausée qui menaçait de me submerger.
Mon cul me brûlait là où Laëtitia m'avait battue, et où mon violeur m'avait fessée.
La salope.
La conne de pute de salope !
J'enrageais de me retrouver à sa merci, un joujou en sa possession, une fifille sans volonté, sans courage.
Je serrai les dents en quittant l'abri relatif des lauriers. Je me dirigeai vers la tente.
Cette poufiasse.
Vivement que Loïc la baise et me donne le film, même si cela signifierait que je doive supporter une nouvelle sodomie, plus un gang-bang avec ses copains scouts. Ma vengeance serait terrible, cul vendu au plus offrant ou non. Je commençai à entrevoir la punition que je lui infligerai, et souris sombrement.
Permisterne n'osa me toucher pendant mon trajet. La colère devait se voir sur mon visage. J'étais tellement furax que si un homme me touchait maintenant, je me sentais capable de lui exploser les couilles.
Jean n'était toujours pas à la tente. Laëtitia s'était marrée en me disant qu'il était occupé aux chiottes. Je pris ma trousse de toilette, ma serviette et allais voir ce qu'elle avait voulu dire.
- Te voilà, Coralie !
La belle Sarah et sa copine Sylvie, aux petits seins et à la bouche adorable, m'accueillirent à l'entrée des douches.
Sarah eut l'air inquiet en me regardant de plus près.
- Tu as une mine épouvantable ! Que s'est-il passé ? Tu es couverte de terre !
Je secouais la tête en prenant conscience du fait que mes seins, mes genoux et mes bras étaient striés de traces noires.
- Rien d'important. Je... Je suis tombée.
- Oh. Je vois. Apparemment ta chute t’a vrillé la poitrine et le popotin… Il faudra que tu me racontes en détail ce que tu as enduré durant cette culbute... Viens avec moi, il y a un spectacle à ne pas manquer aux lavabos du fond ! J’espère que tu ne seras pas trop fâchée.
Je la suivis autour du bâtiment, me demandant vaguement ce qui pourrait me fâcher plus que ce que je venais de subir. J'entendis des rires et des éclats de voix venant des sanitaires. Une femme scandait quelque chose, comme sur un marché. Je saisis les mots peu à peu, à mesure que j'approchais.
- Qui veut toucher, qui veut, elle est belle, elle est grosse, profitez mesdames ! Vos maris mistert gras et mous ? Vous n'avez pas eu une bonne trique entre les doigts depuis 30 ans ? Venez venez, elle est belle elle est grosse, venez la laver au savon et la tâter, la goûter et la mordre, en boire le jus crémeux, dégustation gratuite !
Je jetais un œil à travers la petite fenêtre. Un attroupement d'une quinzaine de femmes et de quelques hommes s'était formé autour d'un lavabo. OU plus précisément, autour de Jean, adossé au mur, la bite en érection blanche de savon, un air de bête traquée sur le visage. Il se laissait masturber par l'oratrice qui ressemblait à une marchande de poismister, de gros seins nus tombant sur un ventre aux plis de chair nombreux, le teint rougeaud, gras, les cheveux filasse, gris serpillère. Sa main boudinée pressait le sexe de Jean, qui émettait des gémissements de peur étranglés. La belle Sarah gloussa derrière moi et se serra contre mon dos, ses mains se promenant sur mon ventre et mes cuisses, remontant le long de ma chatte. Le contact était tendre, je la laissai faire sans protester.
- Alors, pas trop fâchée ?
La voix était coquine. Je ne répondis rien, absorbée par la scène qui se déroulait de l’autre côté de la fenêtre. Les doigts de Sarah se firent plus précis. Je dus m’avouer que les caresses étaient très plaisantes…
La marchande de poismister continuait de dégoiser:
- Allons, mesdames, lancez-vous, une petite branlette ça vous réchauffera les boyaux ! Pressez-la, sucez-la, le bon jus en sortira !
Une vieille dame toute maigre, au visage sévère s'avança. La marchande de poismister lui céda la place en graillant:
- Ah, voilà ce qu'il lui faut, une femme d'expérience, allons, osez, régalez-vous !
La vieille ôta sa chemise légère, exposant ses deux nichons flapis à la vue de tous. Sa peau, sous laquelle on voyait ses côtes, était ridée, flasque. Sa maigreur n'en paraissait que plus maladive.
- Touche-moi les seins, pendant que je me rappelle comment on utilise un engin comme le tien. Ça doit bien faire quinze ans que je n'en ai pas touché une aussi jeune !
L'assistance éclata de rire. La vieille rinça la bite de Jean à grandes eaux et la masturba avec agilité, de ses vieux doigts abîmés, un sourire pincé aux lèvres. Mon mari tâta les seins ratatinés, ne cachant pas mister dégoût. La vieille se lova contre lui et l'embrassa sur la bouche.
- Mets ta langue, grosse-queue, je ne vais pas te mordre !
Nouveaux rires.
Jean ouvrit la bouche et partagea le baiser humide. Un froid morbide m’envahit. Je n’étais pas sûre que le sort de mon mari fût plus enviable que celui qui m’avait été réservé quelques minutes plus tôt. La vieille y prenait goût, les yeux fermés, la respiration rapide, les hanches ondulant sur la cuisse de mon mari, elle frottait mister entrejambe ridée en un mouvement lascif – la vieillesse du corps ne semblait pas émousser les sensations du clitoris de la mémé.
Sylvie se serra à mister tour contre moi, empaumant mes nichons et m'embrassant le cou en haletant légèrement. Le caresses de Sarah sur ma chatte se firent plus appuyées, ses doigts exploraient mon vagin encore gluant de sperme. Je me laissai porter, enlaçant Sylvie, pétrissant sa grosse croupe rebondie, ce qui eut pour effet de redoubler ses baisers. Elle pinça mes tétons, les fit rouler entre ses doigts, pour les sentir darder dans sa paume. Elle jouait avec la rondeur généreuse de ma poitrine, sans doute parce qu'elle n'avait elle-même que deux petites mandarines. Je dénouai mister haut de bikini, et l'imitai, pressant ses tétons et empaumant délicatement les petits seins blancs. Je revins à la scène qui continuait dans les sanitaires.
La vieille s'agenouilla devant mon mari. Elle enleva mister dentier, le posa sur le lavabo, et entreprit de sucer le membre gonflé, sous le regard horrifié du pauvre Jean. La marchande de poismister applaudit à tout rompre, vite suivie par l'assemblée que le spectacle excitait.
- C'est bien, venez faire sa fête à mister-camping-grosse-queue ! Si vous vous appliquez, vous verrez de belles giclées ! D'autres volontaires pour pétrir le beau robinet de notre lavabo ??
Deux campeuses avancèrent d'un pas hésitant, une femme grassouillette d'une trentaine d'année, aux cheveux roux, et une grande nana ressemblant à un mec avec des nichons, cheveux ras, hanches anguleuses, pas de cul... Elles embrassèrent Jean sur le visage et dans le cou, flattèrent ses bras musculeux, et, sans se concerter, firent glisser leurs culottes au sol. La marchande de poismister exultait. Pas Jean.
- Parfait mesdames, voyons ce que grosse-queue sait faire de ses doigts ! Enfonce-les bien profond, grosse-queue ! Je veux les entendre jouir bruyamment !
Jean obéit. Ses deux mains, qu'il avait inconsciemment placées sur la tête de la vieille qui lui dévorait la pine avec ses gencives édentées, descendirent vers les chattes touffues des deux filles, qu'il masturba en cadence. Les gens applaudirent encore.
Sylvie m'embrassa sur la bouche, incitant ma main à explorer mister string blanc, ce que je fis. Je gardais un œil sur Jean tout en me délectant des caresses saphiques de Sarah et du baiser délicat de mister amie.
- C'est coooool.
La voix avait chuchoté. Je ne relâchais pas l'étreinte de Sylvie, mais jetai un œil en biais. Quatre ou cinq ados nous regardaient en se caressant la bite sous leur short. Le paréo de Sarah glissa à ses pieds. Le contact chaud de ses gros seins nus contre ma peau me fit frismisterner, je sentis une vague de jus intime humidifier ses doigts dans mon vagin, et le plaisir envahir mes reins.
- Trop belle, la nana ! Vous nous faites une place, les filles ?
Les ados se rapprochèrent de nous, rouges d'excitation.
Je serrais Sylvie contre moi, une main écartant mister string, la limant avec trois doigts dans une étreinte délicate. Je ne quittai pas Jean des yeux ; il était maintenant entouré de deux autres vieilles dames toutes ridées qui se déshabillaient devant lui. Elles s'adossèrent aux lavabos, jambes écartées. Leurs vieilles moules se ressemblaient, la peau des lèvres détendue, des poils gris-blancs épars, un air de viande ayant passé trop de temps à l’air libre... La marchande de poismister les imita, après avoir fait glisser sa grosse culotte à ses pieds. Sa chatte avait l’aspect d’un assemblage de deux escalopes rougeâtres collées sous une noix de coco grimisternante.
- Moules à volonté ! Viens téter, belle-bite ! Chacune notre tour, on va bien écarter nos chattes pour ta langue !
La vieille qui suçait Jean se releva et suivit l'exemple des autres femmes. Les deux nanas qu'il baisait avec ses doigts se dégagèrent et entreprirent de le masturber tandis qu'il se retournait, s'agenouillait et léchait les vieilles tour à tour, suçant leurs chattes périmées avec une ardeur très modérée. Les trois vieilles dames nues ne boudèrent pas leur plaisir quand mon mari plongea sa langue dans leur abricot ridé, elles se caressèrent les seins en cadence et se branlèrent en attendant le baiser vaginal qui réveillerait leur sexualité éteinte. Jean passa à l'intimité peu appétissante de la marchande de poismister, il eut un haut-le-cœur lorsqu'il enfouit mister nez dans les deux escalopes rougeâtres. Elle lui attrapa le dos de la tête et le maintint enfoncé sous les plis de mister ventre, en l'encourageant d'une voix salace:
- Oh oui, remue la langue dans la fente de Nadine, c'est ça, le gros bouton rose, lèche-le bien, grosse-queue, voilà, bien au fond, encore, plus loin...
Jean passa à la vieille qui l'avait happée goulûment. Elle souriait béatement, de sa bouche édentée.
D'autres mains vinrent me caresser le corps. Les adolescents avaient baissé leurs shorts et frottaient leurs bites sur nos cuisses et nos culs.
- Y'en a bien une qui va nous sucer, hein, les filles ?
Sarah sourit en branlant deux des ados. Sylvie l'imita, offrant sa chatte aux mains curieuses des jeunes. J'attrapai le sexe fin du dernier du groupe, qui me touchait les seins timidement.
- Trois salopes rien que pour nous !
Les ados exultaient. J'étais contente de partager ce moment avec deux amies. Les jeunes étaient plutôt mignons, pas trop d'acné, des corps fins et bien faits, bien qu'encore pâles - sans doute venaient-ils d'arriver dans le camping. La queue de celui que j'astiquais enflait sous mes doigts, je me sentais mouiller, et attendais la sensation de désir maintenant familière qui ne manquerait pas de venir de mes reins... Je jetais un coup d'œil vers Jean en ondulant des hanches, pour inciter la main de l'ado qui explorait timidement ma petite minette à se montrer plus entreprenante.
Les cinq femmes lui présentaient leurs culs, courbées sur les lavabos, cambrées, jambes écartées, alignées comme des juments dans un corral attendant la saillie de l'étalon. La marchande de poismister allait et venait, en donnant des tapes appuyées sur le cul ridé des vieilles, en s'adressant au public hilare - certaines nanas de l'assistance avaient la main dans leur culotte, ou dans le slip de leur compagnon.
chrislebo

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#2,695
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- Laquelle va se faire baiser en premier ? Cette grande fille ? (une tape sur la croupe plate de la nana qui ressemblait à un homme) Ou peut-être sur cette pute bien replète ? (elle fesse la petite grassouillette) Une femme d'âge mûr ? (elle caresse les vieilles fesses tombantes de la vieille au dentier) Non, je sais ce que le public veut ! Tu vas toutes les sauter tour à tour, et interdiction de jouir, tu dois aussi t'occuper de ma moule ! Allez, baise-les ! Baise-les ! Baise-les !
L'assistance scanda en chœur:
- Baise-les ! Baise-les ! Baise-les !
Jean se plaça derrière la vieille au dentier, qui se cambra davantage, ce qui accentua sa maigreur maladive. Il se laissa guider dans la vieille moule par la marchande de poismister, et, attrapant les hanches squelettiques, lima la mémé en fermant les yeux, l'écoutant gémir pitoyablement. La marchande de poismister l'arrêta au bout de quelques minutes et l'emmena au cul suivant, celui de la petite grosse, qu'il fourragea avec application pendant que Nadine la fessait durement.
- Ah, elle aime ta bite, la rouquine ! Regarde comme ses lobes rougissent sous mes mains !
Les claques tombaient sur le gros cul plein de taches de rousseur, Jean semblait aimer davantage cet orifice un peu plus jeune et replet, il la gamahuchait avec un plaisir évident – plaisir partagé, manifestement. La rouquine appréciait la fessée administrée, elle se mit à exprimer sa jouissance entre cris et gémissements.
Je sentis une pine s'introduire dans mon vagin. Les cinq ados m'entouraient complètement, leurs sexes collés à moi. L'un d'eux avait réussi à me pénétrer et me baisait debout, face à moi, en s'accrochant à mon cul pour que je ne puisse pas me dégager. Ses copains m'embrassaient partout, les épaules, la nuque, les joues. Une queue se frayait un chemin vers mon anus, accessible facilement avec mes lobes écartés par les mains de l'ado qui me sautait par devant. Je paniquai, cherchant Sylvie et Sarah du regard. Elles étaient là, assistant à la partouze qui débutait en souriant gentiment. Je suppliais :
- Ne me laissez pas seule !
Sarah secoua la tête d'un air désolé.
- On ne peut pas se taper ces gamins en public, on pourrait avoir des problèmes... Tandis que toi, tu es miss camping ! Comme je t’envie…
Elle me sourit. Sylvie vint m'embrasser sur la bouche en passant par dessus l'épaule du jeune qui me limait en émettant des bruits de gorge rauques.
- Profites-en bien !
J'acquiesçai, incertaine. Sarah pouvait me faire faire n'importe quoi, elle était tellement gentille et pleine d'attention. D'une certaine façon, elle me dominait bien plus que Laëtitia, je lui résistais beaucoup moins, je faisais ce qu'elle attendait de moi. Et avec joie… Deux mains me pétrissaient les seins, une autre m'invitait à me pencher pour faciliter un peu plus l'accès à mon petit trou, tandis que le premier ado cherchait ma bouche avec ses lèvres. J’avais vaguement conscience des trois bites qui se frottaient sur moi - sans compter celle qui essayait de me sodomiser - et des quelques campeurs qui s'étaient attroupés non loin, et qui me reluquaient sans honte. Je répondis au baiser du jeune fougueux qui fourrageait ma chatte - il avait la langue fraîche mais épaisse - et poussait un peu vers l'arrière pour décourager le prétendant qui voulait me prendre par le cul. Cela eut l'effet inverse. Mon petit trou s'écarta sous la poussée, et la bite entra comme dans du beurre après le viol du matin. Je ne sentis presque rien, si ce n'est les mains du petit gars qui glissait en moi accentuer leur pression sur mes seins, mister visage qui se lovait dans mon cou, sa bouche qui me mordait de plaisir. J'accompagnai la bite dans mon cul par des coups de croupe lascifs, m'accrochant à la jouissance que je sentais monter de mon ventre, de mes reins. Je pris la tête du jeune qui me baisait par devant entre mes bras et lui chuchotais des encouragements pervers - mais sincères.
- C'est booon, continue, oui, là, comme ça, enfonce-la bien, ouiii, mmmm.
- Franchement, t'es trop bonne, miss camping !
Je me laissais prendre au jeu, caressant les deux mecs qui frottaient leurs pines sur mes cuisses pendant que celui qui m'avait pénétrée la première éjaculait dans ma chatte, corps tendu, sa bite butant dans mon vagin contre celle qui me sodomisait toujours, mister sperme m'emplissant d'une chaleur agréable. L'ado quitta ma grotte intime en me remerciant, remplacé immédiatement par un autre qui me prit en deux coups de reins, et jouit sans attendre, se faisant charrier par ses potes.
- Oh l’bâtard, p'tite bite, pas foutu de sauter une gonzesse pendant plus de trois secondes, un vrai lapin !
- Pas besoin de traîner, cette tepu est dispo quand j'veux ! Je me la fais encore c't'après'm, v'verrez.
- Parle pas comme ça, Tony, elle est trop bonne, la miss camping, t'es un croco ou quoi ?
Tony laissa sa place en pestant, je guidais un troisième ado dans ma minette. Sa queue était fine et veineuse, je le branlais en l'introduisant en moi, jouant avec mister gland entre mes petites lèvres gluantes de sperme. Il sembla apprécier la caresse, m'embrassant en soufflant par le nez, puis, n'y tenant plus, il souleva mes cuisses dans le creux de ses coudes, et m'emmancha sur sa pine excitée. La position était douloureuse, la queue dans mon cul me déchirait l’anus, je criai, consciente des regards salaces que me jetaient les campeurs qui assistaient au spectacle, certains se masturbant ouvertement. En un éclair je me vis sucer tous ces mecs après que les ados en aient fini avec moi, et tremblais de désir à cette idée. Les deux gamins me prenaient en sandwich, je ne maîtrisais plus rien, et, croisant les yeux de Sarah, toujours doux et souriants, je me laissai aller complètement, appelant la jouissance, la cherchant, l’amplifiant. Des éclairs me vrillèrent les intestins quand le jeune derrière moi m’inonda les boyaux de sperme. Il resta à l’intérieur quelques instants en râlant, m’embrassa tendrement dans le coup en me disant « merci, miss salope, trop bon » et céda la place à mister dernier pote, que je ne pris même pas la peine de repousser. La pine me pénétra le cul durement, je sursautais, et me cambrais, arrondissant ma croupe et aidant le garçon à se frayer un chemin en moi sans trop me faire mal.
Je donnais des coups de reins en couinant et sentis enfin la délivrance de la jouissance m’emporter, tant dans le cul que dans le vagin, une vague qui déferlait de mon ventre, de mes reins, de mes seins. Je criai de bonheur en mordant le cou du gamin qui me baisait la chatte, lui demandant d’aller plus vite, plus vite, et plus loin, plus loin, encore et encore. Sarah et Sylvie applaudirent en riant, imitées par quelques hommes, et l’orgasme continuait, et des bouches m’embrassaient, des queues se collaient à moi, du sperme jaillissait sur mes cuisses et sur mon cul, celui des deux ados qui se finissaient à la main, en me portant toujours dans leurs bras, celui de trois hommes qui m’avaient admirée pendant que je me donnais aux ados, qui mêlaient leur semence et leurs caresses à celles prodiguées par mes jeunes baiseurs. Je me masturbais avec eux, et geignis de bonheur jusqu’à ce qu’ils me reposent au sol, ou je m’affalai, à quatre pattes devant l’assistance euphorique.
J'étais dans un état second. Le plaisir me vrillant la chatte s'éternisait. Je me relevais légèrement, à genoux sur le sol sec, et me masturbai pour prolonger l'extase dans laquelle j'étais plongée. Il me fallait encore des hommes, le besoin me prenait le ventre, me chatouillait le cul, un désir bestial, grossier, salace. Je me tournai vers les campeurs qui me reluquaient et les interpelai d'une voix vulgaire, en gémissant comme une droguée en manque:
- Encore des queues ! Vite ! Venez jouir dans ma bouche ! J'ai soif de bites !
Je fus vite entourée de pines dressées, que je gobai avec avidité, une petite épaisse toute veinée, une grande longue très foncée, une bite complètement rasée au goût de beignet, une trique moite et rose aux poils blonds, une autre blanche et ridée, à peine dure... Mon horizon était composé de queues, ma vie ne tenait qu’à ces bites, il me fallait de l’homme, je ne pourrais plus vivre sans baiser, sans sucer, sans me vendre comme la dernière des filles de joie… l’ivresse m’emportait aux portes de la folie.
Des encouragements mêlés de caresses rémisternaient à mes oreilles, auxquels je répondais en gémissant, ouvrant ma chatte aux mains inconnues qui la flattaient.
- Suce encore, miss, suce.
- Ah mmm oui !
- Avale bien jusqu'à la dernière goutte !
Je léchai les queues, les branlai avec énergie, aspirai leur sperme âpre et amer, chaud et salé, ou gluant, presque gélifié.
- A mon tour, miss, lèche bien.
Une pine noire comme l'ébène me fit lever les yeux vers un grand black très musclé, mes mains caressèrent ses abdominaux et ses fesses, et je l'avalais tout entier dans ma gorge, où je le maintins jusqu'à ce qu'il y éjacule en gros bouillons délicieux.
- Aah oui...
La ronde des bites continua, mes mâchoires me faisaient mal, ma gorge brûlait, mais il m'en fallait encore et encore.
Bientôt, un paréo bleu-nuit se présenta devant moi, après que la plupart des queues m'aient gratifiée de leur chaude semence, je levai les yeux perlant de jute vers Sarah, qui me souriait tendrement. J'écartai le tissu et plongeai ma langue dans sa fente mais elle recula doucement, et me releva. L'attroupement de campeurs avait diminué. Quelques applaudissements retentirent, beaucoup de sourires et d'éclats de voix. Les ados tapaient leurs clés sur des bouteilles de bière pour faire un maximum de bruit.
- Merci, Miss, c'était top !
- Tu baises trop bien !
Je me sentais perdue, ailleurs, comme si cela n'arrivait pas dans la réalité, que la permisterne qu'ils acclamaient n'était pas Coralie la timide, qui n'avait quasiment pas connu d'autres expériences que Jean avant cette élection stupide. Quelques jours avaient suffi à me transformer en objet sexuel consentant. Je souris aux campeurs, un sourire mécanique, lointain. Mes pensées se fixèrent sur les traces de l'orgasme que je ressentais encore dans ma chair meurtrie.
- Pour la Miss au cul d'enfer, hip hip hip...
- Hourra !
- Trop bonne ! Trop bonne ! Trop bonne !
- Comment je l'ai enculée, c'était de la bombe, j'te l'dis !
- Et t'as vu ses gros seins, trop géants !
- Et comment elle suce !
- j'te nique encore quand tu veux d'la vraie pine, Miss !
Sarah me prit la main et me fit signe de la suivre. J'obéis sans résister, sous les applaudissements des campeurs excités.
Du sperme coulait de mes lèvres, de mon cul, de ma chatte. J'en avais sur les cuisses, sur le dos, sur le visage.
Dans le nez.
Sur les dents.
Je me léchais les lèvres. Je voulais encore baiser ! Ma chatte lançait des appels désespérés. J'y mis les doigts tout en marchant. Sarah et Sylvie m'emmenèrent dans une douche. Jean n'était plus aux lavabos. Je me demandai vaguement s'il aurait la power de me sauter si je le suppliai de me prendre. Elles se dévêtirent complètement et me lavèrent en me caressant et m'embrassant avec douceur. Je répondis aux baisers et acceptais toutes les attentions de leurs mains, les guidant profondément dans ma chatte, pleurant en silence sous l'eau chaude qui coulait.
vanbruje

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#2,696
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Merci pour la (les) suite(s). A vous lire
chrislebo

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#2,697
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(Coralie la miss camping se rend compte qu’elle devient un objet sexuel pour les
campeurs, qu’elle n’a plus de volonté et qu’elle sombre dans une frénésie sexuelle qui lui
est étrangère, proche de la folie. Son mari, qui est le responsable de cette situation, n’est
pas épargné par les campeuses en manque…)
J’étais assise sur les toilettes.
La tête dans les mains.
Je m’étais réfugiée là après m’être nettoyée, porte fermée, respirant à peine, espérant
échapper pour un temps aux mains et aux sexes qui se faufilaient en moi dès que je
montrais un téton ou la rondeur de ma croupe. Sarah et Sylvie attendaient dehors, que je
me remette. Nous avions expérimenté des baisers et des doigtés intéressants pendant la
douche, j’avais appris qu’une langue de femme pouvait procurer autant de plaisir que celle
d’un homme… et que deux langues… mmm…
Mais là, j’avais besoin d’être seule.
Il fallait que je me ressaisisse. Que je sorte de cette situation.
J’étais tellement sûre, la veille, que je pourrais tout maîtriser, prendre du plaisir dans ce qui
n’était qu’une parenthèse dans ma vie. Mais j’avais toujours le problème de Laëtitia, qui ne
manquait pas de m’humilier chaque fois que l’occasion se présentait. De ce point de vue-
là, le séjour me paraîtrait certainement très long. Du moins tant que je n’aurai pas le film de
Loïc.
J’avais aussi le problème des adolescents en pleine puberté pour qui j’étais une aubaine,
un terroir de découverte sexuelle, ouverte à toutes les bites, baisable par tous les orifices,
toujours mouillée, toujours disponible, toujours consentante. Et souvent excitée, je devais
bien l’admettre. Je ne voyais pas comment les éviter, sinon en m’enfuyant définitivement du
camping, à poil s’il le fallait, pour…
Pourquoi ? Pour quel avenir ? Ma chef avait un film sur moi, qu’elle montrerait à mon patron
si je ne la satisfaisais pas. Tant que je n’avais pas ce film, j’étais coincée ici.
Et j’avais aussi le problème de mon violeur, celui qui aimait la pisse et la merde, et qui
m’avait sodomisée si vulgarement. Lui non plus ne me lâcherait pas. Je ne pouvais pas
commander les moments où j’avais envie d’aller au petit coin…
Je pouvais porter plainte, évidemment.
J’enfouis ma tête entre mes mains. Impossible. Quel juge me donnerait raimister, je me
baladais à poil dans le camping, je me rasais la minette, je me laissais tripoter et baiser
par tout le monde, même par des femmes, même en public… Le juge me ferait venir à la
barre et me condamnerait à rester Miss Camping à perpétuité… s’il ne décidait pas de me
condamner à me taper toute la cour pour diffamation, et à me faire emprimisterner dans une
primister d’hommes en laissant ma cellule ouverte pour qu’on puisse me baiser à toute
heure…
Non, surtout pas de plainte.
Plus que trois petites semaines, et le calvaire serait terminé.
En attendant, je trouverais bien du réconfort quelque part… En m’abandonnant aux désirs
de Loïc. En me laissant aller avec Sarah et Sylvie. En explorant plus avant les sentiments
que je commençais à éprouver pour la petite Véronique, la fille de Laëtitia, ma petite
vengeance, ma belle blondinette… Et qui sait, peut-être que me taper les vingt petits
copains de Loïc me serait agréable… Les jets de sperme n’étaient pas si mauvais que ça,
et déclenchaient au moins des vagues de plaisir en moi…
Et Jean, dans tout ça ?
Nous nous étions mariés trop vite, je m’en rendais compte maintenant. Une prise de
conscience cruelle. Question baise, il n’arrivait pas à la cheville du fils de Laëtitia, Axel, avec
sa bite pourtant fine, et encore moins à celle de Loïc, et sa queue de trente-cinq
centimètres… Je me demandais ce qui allait advenir de notre couple après ce séjour.
J’imaginais bien Laëtitia m’obliger à faire le trottoir pour elle… Est-ce que Jean me
protégerait ?
Je fermais les yeux et essayais de me raimisterner. Non, trois semaines s’écouleraient, je
changerais de boulot, on déménagerait, et basta, on n’en parlerait plus. Je respirai un
grand coup. Je ne pouvais pas rester planquée dans les toilettes indéfiniment. De toute
façon, le risque que je croise un mâle en manque était moindre, avec le nombre de types
que j'avais essorés un peu plus tôt. Je poussai le loquet des cabinets le plus
silencieusement possible et entrouvris la porte, jetant un œil prudent à l'extérieur.
Permisterne en vue.
Je quittais les sanitaires sur la pointe des pieds, consciente de ma nudité, et fus à moitié
surprise et soulagée de voir que Sylvie et Sarah m'attendaient encore. Sarah m'attrapa par
le coude et Sylvie me prit une main, croisant ses doigts dans les miens. Les tétons bruns
de ses seins étaient visibles par transparence à travers mister bikini blanc. Nous marchâmes
ainsi vers mon emplacement de camping.
- On se demandait ce que tu faisais là-dedans, si tu n'étais pas encore en train de te taper
un mec sans qu'on le sache !
Je secouais la tête, éblouie par le soleil. Avant que je puisse répondre, Sarah enchaîna
d'une voix coquine:
chrislebo

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#2,698
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- Mon mari adore que je le suce quand je suis sur les toilettes, si possible quand j'ai
quelque chose de pressant à y faire...Si tu as envie d'expérimenter ça, il en sera ravi.
Je pensais au type qui m'avait sodomisée après m'avoir obligée à chier devant lui sous les
lauriers et frismisternais de dégoût. Sarah interpréta mal ma répulsion.
- Oh, ne t'inquiète pas ma belle, je ne serais pas jalouse, nous sommes un couple très
libre, je baise aussi d'autres hommes, parfois devant lui, parfois non. La plupart du temps
je lui raconte mes petites aventures, et je sais qu'il te trouve à mister goût... Je voudrais bien
t'offrir à lui.
M’ « offrir » à mister mari ? Je n’étais pas un sex-toy qu’on emballe pour « offir », bon sang !
J'allais répondre vertement, mais nous arrivions à destination, et les couinements d'une
femme qui faisait l'amour nous parvinrent à travers les thuyas qui entouraient ma tente.
Nous approchâmes en silence, et découvrîmes la raimister de ces gémissements.
- Oh oui, baise bien Nadine, grosse queue, baise-moi bien profond !
Jean était allongé sur le matelas gonflable, devant la tente. La marchande de poismister le
chevauchait, mister vagin, qui ressemblait à deux escalopes à la crème collées sous un
oursin grisâtre, englobant entièrement le sexe dressé de mon mari. Elle appuyait ses
mains boudinées sur mister torse, s'en servant d'appui pour remonter mister cul graisseux et
s'empaler à nouveau sur la pine.
- Plus fort, prends-moi les nichons, ta femme n'a pas des loches comme les miennes,
régale-toi !
Jean, pâle comme la mort, obéit. Il se saisit des seins tombant en gouttes grasses sur les
bourrelets d'un ventre énorme, et les malaxa avec dégoût.
Je sentis Sylvie se serrer derrière moi, ses petits seins nus contre mon dos. Elle
m'embrassa dans le cou et sur les épaules, tandis que Sarah me tenait la main
tendrement. Nous étions hors de vue de quiconque, j'étais au moins sûre que, cette fois,
aucun ado ne glisserait sa bite en moi sans que je ne l'y invite. La marchande de poismister
semblait en avoir particulièrement après Jean, je ne comprenais pas pourquoi. Elle
dégagea le chibre de mister vagin-escalope et ordonna:
- Reste allongé ! Tu vas sucer Nadine !
Elle se retourna, et vint coller sa chatte sur la bouche de mon mari. Elle s'allongea
lourdement sur lui, et prit la pine gonflée dans sa bouche, incapable d'en avaler ne serait-
ce que le gland.
La tête de Jean disparut entre les grosses cuisses qui l'entouraient, et, prenant des
respirations de plus en plus difficiles, il fouilla les escalopes crémeuses avec sa langue.
Nadine gémit, mordant le sexe qu'elle tenait entre ses gros doigts, ondulant lourdement sa
croupe flasque pour engloutir le visage entier de sa proie dans mister vagin, menaçant de le
noyer dans la cyprine rance.
Je baissais les yeux, surprise de sentir une langue entre mes cuisses. Sarah était à
genoux et me suçait en me couvant de ses yeux verts magnifiques. Je lui rendis mister
sourire et écartais un peu les jambes, pour lui faciliter l’accès à mon intimité. Elle approcha
sa main de ma chatte, et y introduisit un objet. Elle me pistonna quelques instants avant
que je ne réussisse à voir qu'elle me pénétrait avec un tube de crème solaire au bout
arrondi. Il glissait tout seul entre mes lèvres, me pénétrant agréablement. C'était la
première fois que je me faisais goder, et, comme toujours avec Sarah, je ne protestai pas,
attentive aux baisers de Sylvie et aux caresses crapuleuses de la belle princesse.
- Viens dans la bouche de Nadine, grosse-queue, tu sens comme j’aime te lécher la bite !
La marchande de poismister transpirait dans la chaleur, les poils sous ses bras ruisselaient,
je ne sais pas comment mon pauvre mari pouvait survivre dans la moiteur de la chatte qui
l’étouffait, comment il pouvait encore bander sous cette montagne de chair qui le clouait sur
place.
Des jets blanchâtres aspergèrent le menton de Nadine, qui entrouvrit la bouche et recueillit
la crème gluante sur sa langue, laissant parfois échapper quelques gouttes de ses lèvres
ouvertes. Elle roula sur le côté et vint embrasser Jean sur la bouche, partageant le sperme
avec lui dans un baiser fougueux.
Sarah accéléra le rythme du tube dans ma moule ouverte, je haletais en silence, me
balançant pour qu’elle me pénètre plus avant, en ne perdant pas une miette du baiser
prolongé que Nadine imposait de power à mon mari. Sylvie me prit une main et la mena vers
mister bas de maillot, l’écartant légèrement pour que j’y fourre les doigts. Je découvris une
grotte humide, qui engloutit mes doigts en quelques ondulations de hanches bien
mesurées. J’approchai ma bouche de la sienne, et nous échangeâmes un baiser sucré,
tendre, qui eut pour effet de me faire mouiller davantage. Je sentis les doigts de Sarah au
bout du tube qu’elle enfilait en totalité dans mon vagin détendu, je gémis discrètement en
me régalant de la langue de Sylvie. J’essayai de la masturber aussi expertement que
possible – et je ne devais pas être loin d’y parvenir si j’en croyais ses propres
couinements.
Je l’embrassais encore un instant, avant de chuchoter :
- Tu aimes ?
Elle cligna des yeux en souriant.
- Oui…
La voix de Nadine me fit froid dans le dos.
- Oh mais regardez qui voilà ! Miss Salope en permisterne ! Et en belle compagnie !
Sarah ôta lentement le tube de ma chatte, et je sortis mes doigts de la culotte de Sylvie en
rougissant légèrement – je m’étonnai de rougir encore après tout ce que j’avais traversé
ces derniers jours. Nous approchâmes de la tente. Jean paraissait mortifié, nu, couvert de
sueur et de jus féminin, de salive, de sperme, piteusement allongé sur le matelas
gonflable. Il s’assit et se prit la tête dans les mains, l’air désespéré.
Je souris en regardant la marchande de poismister.
- Bonjour. Il a été sage avec vous ?
Nadine plissa les yeux, exprimant une haine terrible que je ne comprenais pas.
- Ne t’adresse pas à moi, Miss Salope ! Je viens de me taper ton mari, et de l’humilier en
public. Je l’ai forcé à baiser des vieilles mémés devant tous les campeurs, et ensuite je l’ai
amené ici pour me le faire, il vient juste de finir de boire mister propre sperme dégueu de con
de mari de grosse pute bimbo. Je suis vengée !
J’étais trop fatiguée pour m’étonner véritablement d’une telle hostilité.
- Vengée de quoi ?
Elle hurlait maintenant.
- Comme si tu ne le savais pas, espèce de trainée ! Tu t’es tapée mon mari, je me suis
tapée le tien !
Je secouais la tête.
- Je ne sais pas qui est votre mari, et, honnêtement, s’il m’a sautée c’est plutôt lui qui était
demandeur… Depuis mon arrivée j’ai plutôt subi que provoqué la…
- TU L’AS CHOISI ! Il était à la piscine, et ton mari est venu le chercher pour qu’il te baise
dans la douche ! Je le sais, il me l’a avoué, le cochon !
Et là, je tiltais. C’était la femme du gros José !
Elle avait raimister… Je faillis éclater de rire. J’avais dû supporter les assauts du gros José
pour me venger de Jean, et j’avais effectivement provoqué la scène sous la douche, qui
avait abouti à me voir lécher mister sperme sur le carrelage – mister sperme, et celui d’un
inconnu qui s’était soulagé dans la douche plus tôt dans la journée… Jean n’avait pas
connu un sort meilleur que le mien avec la grosse Nadine !
- Oh… je suppose qu’on est quitte, maintenant…
- Ne crois pas ça, sale pute, je vais encore m’occuper de ton mari dès que je pourrais me
le choper seule dans un coin. Tu n’as pas fini de souffrir, Miss Salope !
Elle ramassa mister maillot de bain par terre et s’en fut d’un air furieux. Je ris ouvertement,
vite imitée par Sarah et Sylvie. Si la grosse Nadine avait su comme elle me rendrait service
en traumatisant Jean, elle aurait été très déçue ! Le pauvre avait toujours la tête entre les
mains, et était secoué de spasmes nauséeux de temps à autres.
- Coralie ?
chrislebo

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(Coralie la miss camping vient de connaître la matinée la plus hot de mister séjour, et ce n’est pas fini… Après avoir vu mister mari se faire prendre par Nadine, qui ressemble à une vieille marchande de poismister, quelqu’un l’appelle…)


Je me retournais. Loïc était là, mister sexe formidable formant une bosse dans mister caleçon.
- Sylvie, Sarah, je vous présente mon scout Loïc. Nous avons un petit contrat tous les deux. Loïc, voici Sarah et Sylvie. Je suis sûre qu’elles te plairont beaucoup.
Loïc fit la bise à mes deux amies, impressionné par leur beauté. Il se pencha vers moi et je l’embrassais sur la bouche, en un baiser langoureux, glissant la main dans mister maillot de bain et me saisissant de mister engin délicieux.
- Tu as encore envie de moi ?
Je pressais sa bite entre mes doigts. Il se mordit les lèvres en fermant les yeux.
- Oui, je bande dès que je pense à tes seins. Je venais pour te voir. Te caresser. Pour bien m’exciter avant de masser Laëtitia cet après-midi.
Je souris, flattée, consciente de la présence de Jean, toujours prostré sur le matelas pneumatique. Je sortis sa queue de mister caleçon.
- Tu veux me prendre ici, devant mon mari ?
Il fit un petit signe de tête que je pris pour un « oui ».
- Tu feras attention de ne pas venir, je veux que tu aies la pêche avec ma meilleure ennemie tout-à-l’heure…
Je m’agenouillais devant lui, et fus surprise de voir Sarah et Sylvie m’imiter.
La belle princesse me sourit en disant :
- Une queue comme ça, ça se partage…
Je léchai le gland, et le présentai devant la bouche de Sylvie qui le goûta avec beaucoup de soin. Le paréo de Sarah glissa de ses épaules, révélant ses deux superbes seins. La bite de Loïc enfla d’un coup, et se retrouva bien vite devant la bouche pulpeuse de la belle de cinquante ans, qui l’engloutit lentement. Ses mâchoires s’écartèrent, les lèvres pressèrent le sexe excité, et je fus estomaquée de voir que Sarah parvenait à gober la totalité du membre énorme, jusqu’à lécher les couilles du grand ado.
Voir cette bouche si charmante s’élargir pour avaler une queue si immense fut un choc, mais aussi un défi. Je glissai la main sur le membre avant que Sylvie, qui avait déjà tendu sa langue vers le gland luisant de la salive de Sarah – qui bavait abondamment – ne se le gobe à mister tour. J’amenai le sexe chaud devant mes lèvres, écartai les mâchoires et me l’enfonçai en forçant au-delà de mon palais, de ma luette, de ma gorge. Je crus étouffer, mais je parvins à l’emboucher plus loin que les fois précédentes, pour mister plus grand plaisir – et le mien. Je fis quelques allers et retours mêlés de salive bouillonnante, sans toutefois réussir à l’engloutir aussi nettement que la belle princesse. Je sentis Jean passer derrière moi et frotter sa bite molle sur mon cul. Je le laissai faire, libérant ma gorge, et tendant le beau sexe à Sylvie, qui l’avala avec grâce. Jean suivit le mouvement, et se plaça derrière Sylvie. Il dénoua mister bikini et mister string blanc, et lui empauma les seins en frottant sa pine fatiguée entre les lobes généreux du derrière de la petite brune. Elle suça Loïc ardemment, remuant les fesses en rythme, essayant clairement de réveiller la queue de mon mari, avec succès, semblait-il. Je repris le membre en bouche, tentant encore de l’engloutir complètement. La bite battait sur ma langue, Loïc gémît, il attrapa ma tête et m’encouragea à l’avaler plus loin. Ma gorge céda d’un coup, je sentis le membre gonflé dans ma trachée, déclenchant un haut-le-cœur incontrôlable. Je recrachai le sexe, l’inondant de bave transparente, visqueuse, et le menai vers la bouche experte de Sarah, qui le dégusta lentement.
Sylvie se retourna, à quatre pattes, présentant mister gros cul à Loïc. Elle entreprit de sucer Jean, à genoux devant elle, qui ressemblait à un petit oiseau blessé, et caressait tour à tour les fesses de Sarah et les miennes. Loïc glissa ses doigts dans la chatte presque rasée de Sylvie, qui se cambra de plaisir en gobant totalement la bite de mon mari.
Je suçais le bel et grand ado avec enthousiasme, essayant à chaque coup de gorge de le prendre plus loin en moi, désirant plus que tout toucher mister pubis de mes lèvres avec mister énorme engin tout entier dans ma bouche. Cela venait doucement, l’excitation que je ressentais faisait mieux passer le côté désagréable de cet étouffement que je m’infligeais, et les spasmes de régurgitation limite nauséeux quand je libérais la belle bite, la mordillant tout du long avec gourmandise.
- Tu ne veux pas baiser un peu ? demanda Sylvie, qui astiquait toujours Jean.
Elle ne s’adressait pas à moi, mais à Loïc, lui tendant mister beau derrière rondelet, une main sur sa minette.
L’ado ne se le fit pas dire deux fois. Il plaça ses genoux entre les jambes de la brunette, et plaça mister gland taille XL à l’entrée de sa grotte inondée. Sylvie reprit Jean dans sa bouche, et ondula le cul de manière à engloutir peu à peu le sexe dressé, sa petite chatte s’étirant à rompre au passage du boa affamé. Elle avala Jean jusqu’à la garde, en haletant d’extase à mesure que Loïc accélérait le rythme, encouragé par les caresses de Sarah, qui collait ses gros seins contre mister dos, et par mes baisers répétés, auxquels il répondait avec une ardeur touchante.
Il laboura la petite moule un long moment, répondant aux sollicitations pressantes de Sylvie, ses cuisses tapant contre le cul rebondi, battant régulièrement la mesure, à l’unismister avec les couinements aigus de mon amie, en pâmoimister.
Sarah avait quitté le dos du bel ado pour s’occuper de Jean, qu’elle avait pris par la main et emmené sous la tente, où je les entendais baiser bruyamment.
chrislebo

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Je m’approchai du cul de Sylvie, et entrepris de le mordiller, au plus près des abdos de mon scout, qui avait un pouce perdu dans la pastille étroite de mon amie. Elle semblait avoir complètement oublié le monde alentour, je craignais que ses gémissements très misterores n’attirent les curieux.
Loïc sortit brusquement sa pine de la petite chatte et me la fourra dans la bouche, m’aspergeant le nez d’un grand jet de sperme au passage. Je le suçai ardemment, consciente de mister pouce toujours dans l’anus de Sylvie, qui continuait à gémir comme s’il la baisait encore. Je bus mister sperme avec le même plaisir que la première fois qu’il m’avait gratifiée de sa semence, m’appliquant à lui faire ressentir un maximum de sensations durant mister orgasme généreux. Un trop plein de jute crémeuse déborda bien vite de mes lèvres, je levai les yeux et vis qu’il ne perdait pas une miette du spectacle, yeux souriant allant et venant successivement de ma bouche au cul de Sylvie, qui jouissait toujours de la mini-sodomie qu’elle subissait.
Je branlai le reste de sperme sur mon visage, embrassai la belle pine encore une fois, et, menton dégoulinant, je les laissai s’amuser tous les deux. J’entrai dans la tente. Sarah était à quatre pattes, ses seins bondissant au fur et à mesure que Jean la gamahuchait, en levrette. Elle ouvrit les yeux en souriant.
- Je… aah… croyais que le petit… aah… ne devait pas venir… sur toi… aah.
Je me mis à genoux devant elle et l’embrassai sur la bouche. Elle lécha le sperme sur mon menton et sur mes joues en haletant, et le partagea avec moi, nos langues s’entremêlant dans le jus onctueux. C’est ce moment-là que choisit Jean pour venir enfin, projetant de petits jets sur les fesses de la belle princesse. Je m’approchais de sa pine et la gobait pour la nettoyer, puis échangeai un baiser avec lui, qu’il me rendit avidement. Peut-être restait-il un peu d’amour entre nous, finalement…
- Viens manger avec nous !
Sarah se faisait insistante. Nous étions allongées, nues, avec Sylvie, à côté de Jean. J'avais la tête lovée sur mister pectoral gauche, je sentais sa poitrine se lever et s'abaisser au rythme de sa respiration. Mes doigts étaient croisés dans ceux de Sylvie, sur sa bite au repos. Loïc avait dû partir, me promettant de repasser dans la soirée pour me montrer ce qu'il aurait filmé de la séance de massage avec Laëtitia. Sarah voulait absolument m'inviter à déjeuner.
- Tu verras, mon mari est charmant. Viens avec ton Jean !
J'hésitais. Je me sentais vidée, mais un peu mieux qu'après mon viol matinal. Je savais que si j'acceptais, Sarah voudrait "m'offrir" à mister mari, selon ses propres termes, et, si elle avait profité du mien par deux fois déjà, je n'étais pas sûre de vouloir ajouter une nouvelle pine à mon tableau de chasse - ou plutôt à mon tableau de chatte - de la journée.
En même temps, Sarah était si adorable... Je me retournais, la pris dans mes bras et l'embrassais sur les lèvres, un baiser sincère et tendre. Nos seins se touchaient délicatement, nos langues de trouvèrent, et je m'abandonnai aux caresses de ses doigts sur mes fesses.
Elle relâcha mister étreinte et me dit:
- Dois-je prendre ça pour un oui ?
Je hochais la tête timidement, cherchant à nouveau ses lèvres. Elle me mordilla la langue. Ses doigts glissèrent vers mon entrejambe moite. Elle fourra mister pouce dans mon vagin entrouvert, je fermai les yeux, profitant de la douce volupté qui m'envahissait.
- Tu vas te montrer gentille avec mon mari, n'est-ce pas ?
Je n'ouvris pas les yeux, je me concentrais sur les sensations que me procuraient mister doigt en moi et ses gros seins contre les miens. Je la serrai plus fort et lui mordillai le nez, les joues, le menton, en ondulant mes hanches doucement pour mieux me planter sur mister pouce dressé. Je sentis Jean se tourner vers moi, peut-être pour reluquer le divin échange, peut-être pour mieux entendre ma réponse. Sarah insista encore.
- Dois-je aussi prendre ça pour un oui ?
Je souris et hochais à nouveau la tête discrètement. Jean soupira. Sarah voulait m'entendre dire clairement que j'avais bien compris le sous-entendu.
- Tu seras gentille-gentille ?
La pensée que Jean pouvait encore éprouver de la jalousie me fit chaud au cœur. Je décidai de contenter la belle princesse.
- Si ton mari me trouve à mister goût, il pourra m'avoir toute à lui, promis. Je le laisserais même me prendre devant toi, si tu veux. J'écarterais les jambes comme jamais je ne les ai écartées pour te faire plaisir.
- Tu sais que je t'adore, toi ?
Le pouce de Sarah accéléra sa course folle dans ma chatte, et c'est elle qui m'embrassa avec fougue, cette fois. Je sentis que Jean se détournait de moi et j'entendis bientôt les gémissements satisfaits de Sylvie tandis qu'il la suçait ardemment.

- Viens, ils vont nous attendre !
Jean traînait des pieds. Il était bientôt 12h00 et je ne voulais pas arriver tard - j'avais rendez-vous avec la petite Véro en début d'après-midi, et, si je devais manger et baiser avec le mari de Sarah, il ne fallait pas que j'arrive trop tard. Mais Jean ne semblait pas très chaud pour me donner à un inconnu.
- Pourquoi n'y vas-tu pas toute seule ? Tu n'as pas besoin de moi pour faire la gentille pupute avec ce connard.
Je ne relevais pas l'insulte.
- Tu as baisé sa femme, à ce Monsieur, ne l'oublie pas... si j'y vais seule, je risque de me faire sauter sur le chemin, tout le camping a l'air de vouloir me passer dessus, je te le rappelle. Et si tu as besoin qu'on te rafraîchisse la mémoire, c'est toi qui insistais pour que je fasse la pupute sur le podium, lors de ce concours imbécile. 'Vas-y à fond, Coralie, tu peux faire mieux, montre tes seins Coralie, allume-les tous, montre ton cul, Coralie, promets-leur de te balader nue, suce-les sur la scène s'il le faut, je n'ai pas d'argent pour payer le camping, ne fais pas ta timide, ouvre bien la chatte...' ça te rappelle quelque chose ? Oh, et l'animateur m'a sautée ce matin, au fait, il a dit qu'il rêve de moi depuis le concours. Il a une toute petite bite, tu ne le croirais pas.
Je souris. Jean parut choqué, mais il me suivit. Je pris sa main dans la mienne, et nous nous dirigeâmes vers le mobil-home de Sarah, nus sous le soleil. Plusieurs ados me reluquèrent sur le chemin, deux voitures nous klaxonnèrent, mais permisterne ne nous aborda.
Sarah était en maillot devant un barbecue qui sentait bon la viande grillée. Elle eut un sourire radieux en nous voyant, et appela mister mari dans le mobil-home.
- Vincent ! Coralie est là !
Le mari de Sarah sortit et mon cœur manqua un battement. C'était mon violeur brownieologique. Je me mis à trembler involontairement. La tête me tournait. Je voulais m'enfuir. Ce n'était pas possible !
Il serra la main de Jean.
- Vincent, enchanté.
Il se tourna vers moi avec un sourire neutre.
- Vous savez, Coralie, j'avais hâte de vous rencontrer enfin, Sarah me dit beaucoup de bien de vous !
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