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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#7,801
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- « Ha salope, tu me fais du bien ! t'as vu que t'aime la bitte, dis le ! »
Oui j'aime la bitte. Mes instincts de femelle soumise ***t en train de se réveiller. J'ai chaud entre les cuisses et je suis bientôt moite. Je prends maintenant sa queue à pleine bouche et alterne en faisant virevolter ma langue sur *** gland. Le vieux apprécie. Il écarte un pan de ma blouse et caresse ma poitrine libre sous le tissu. Il titille mes pointes qui, très réactives, ne tarde pas à durcir. Je glisse une main entre mes cuisses et tente avec deux doigts de calmer la chaleur qui irradie mon vagin. Le vieux Paul s'en aperçoit et s'écrie :
- « Haha, ma cochonne, çà te plait tellement que tu te branles en me suçant. Tu mouilles ? »
- « Oui Monsieur, humm, je mouille, ma chatte est bien ouverte vous m'excitez avec votre grosse queue. »
- « Alors petite dépravée, tu aimes sucer les queues des vieux, elle est grosse hein ? Plus grosse que celle de ton cocu de mari ! »
Ses paroles me transcendent. Cuisses bien ouverte, mes doigts plantés au fond de mon vagin, je sens l'orgasme monter. Je lui réponds entre deux soupirs :
- « Oui, elle est bonne, si grosse et bien plus large que celle de mon mari, j'adore... »
- « Tu la veux au fond de ta chatte, tu veux que le vieux Paul te baise à couille rabattues ? »
- « Oui, monsieur, baisez moi, faites ce que vous voulez avec moi. »
- « T'es une bonne chienne, ma petite et je vais t'en donner. Mais patience, il y a quelques mois que j'ai pas baisé tu vas d'abord me faire jouir dans ta bouche que je dure plus longtemps au fond de ta chatte. Allez, sors ta langue de salope ! »
Je suis comme en transe, je sors ma langue sous *** gland et le vieux se branle énergiquement pendant que je m'astique le bouton. Soudain il se crispe et pousse comme un cri de douleur. *** gland pourpre se met à cracher une quantité impressionnante de sperme. La première saccade part au fond de ma gorge et je ne peux rien faire d'autre que de l'avaler. Une seconde toute aussi forte me nappe la langue et coule de ma bouche sur ma poitrine. La troisième me touche en plein visage et sur les yeux.

chrislebo

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#7,802
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- « Tiens, prend tout mon foutre, avales ma belle ! »
Je ne tarde pas à jouir à mon tour. Mes sphincters serrent par spasmes le plug enfoncé dans mon anus, c'est divin. Transcendée, je me mets à tutoyer mon malade.
- « Oui, c'est bon, donne moi tout vieux salop, jouis bien dans ma bouche ! »
J'avale avec gourmandise *** éjaculation. Le vieux pervers frotte *** gland contre mon visage, il récupère ce qui s'est répandu vers ma bouche et m'oblige à me délecter jusqu'au bout de *** foutre. Puis, il tombe à genoux. Il reprend peu à peu ses esprits, me sourit. Je me crois sauvée, je l'ai vidé le vieux, il va me foutre la paix ! Je me redresse et tente de me réajuster. Je sens bientôt *** souffle derrière moi.
- « Attend ma belle, ce n'est pas fini, prête pour le grand fris*** »?
-« Mais, vous avez eu votre compte, vous n'en avez donc jamais assez ?
Fis-je surprise et quelque peu agacée.
- « Au téléphone, Kader m'a dit : tout ce que je voudrais, tu sais ce que ça veux dire TOUT ? »
- « Vous êtes vraiment un vieux cochon plein de vices ! »
Il s'approche de moi pelote mes seins puis caresse mes fesses fermement. Très directif, il me fait me retourner, enlève les cinq boutons de ma blouse blanche. J'apparais nue devant lui, avec pour seul vêtement mes bas à couture noirs, comme Kader me l'avait ordonné.
Le vieux a un sifflement admiratif :
- « Dis donc, t'es vachement bien foutu pour une nana de presque 40 ans, tu t'entretiens bien ! »
Il s'approche, m'attire contre lui et commence à m'embrasser. Sa langue trouve la mienne pendant quelques instants. Il embrasse très bien et se fait très doux. Je suis aux anges. Je sens *** sexe commencer à se redresser contre ma chatte. Mon corps semble l'exciter fortement.
Tout en continuant à me rouler une pelle, sa main droite s'égare vers me fesses et *** pouce ne tarde pas à rencontrer le socle de mon plug anal. Il arrête *** baiser, me dévisage un instant :
- « Tout ce que m'a dis Kader au téléphone était donc vrai, une vrai pute juste bonne à se faire baiser, tu aimes l'anal, petite ? »
Je lui dis en baisant légèrement les yeux que les aventures extraconjugales que m'avait fait connaître Kader m'avaient vite appris à accepter cette pratique dont je ne pouvais plus me passer maintenant. Il joue un instant avec le plug, fis comme s'il veut le retirer puis se ravise et le replace au fond de mon fondement.
-« Je ne vais pas profiter de la totalité de tes trous tout de suite, de toute façon tu reviendras bientôt aider le vieux Paul à se laver. La prochaine fois, peut-être que j'aurai juste envie de t'enculer... Tu prends la pilule ?
- « Non, je porte un stérilet, c'est mieux vu le nombre d'amants inconnus que Kader m'impose. Certains soirs, dans la salle cinéma du Sex Shop d'Amiens, j'ai été baisée et sodomisée par plus de dix mecs différents ! »
Il a l'air ***geur :

chrislebo

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#7,803
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- « Mais les MST dans tout çà ? »
- « Kader organise tout, il prépare ses plans et vérifie que les participants aient fait récemment un contrôle HIV, je lui fais confiance c'est un maître formidable et un bon amant »
Le vieux sourit, il m'avoue que Kader lui a bien entendu aussi demandé une preuve de test HIV. Il ajoute l'avoir envoyée la semaine précédente par la poste.
- « Alors, si tout est en ordre, ma petite, maintenant tu vas t'en prendre plein la chatte ».
Il installe le drap de bain prévu pour sa toilette sur le sol, se rallonge dessus et me commande :
- « Allez, viens t'empaler sur moi !»
Il branle sa grosse biroute qui déjà s'est nettement redressée. Je m'approche, le caresse un peu sous les couilles, effleure d'un doigt *** anus, il bande suffisamment fort pour me pénétrer.
Il me fait placer à califourchon en me confiant que c'est mieux pour *** dos. Je m'installe au dessus en faisant attention à ne pas toucher *** pansement. Je saisis *** sexe et le présente à l'entrée de ma grotte humide. Le gland *****, sa bitte est vraiment large et malgré la mouille, elle a du mal à se frayer *** chemin.
- « Aïe, vous êtes gros, çà me fait un peu mal »
Il plaisante :
- « Hé oui ma belle, voilà ce que c'est qu'avoir un mari monté comme un enfant ! Allez concentre toi, bouge doucement ton bassin, tu sens, elle s'enfonce doucement, je te dilate bien la chatte, hein ? »
Il me fait déjà de l'effet. Ma chatte est rouge et distendue. J'ai beau l'écarter au maximum avec mes doigts, *** chibre ne rentre pour l'instant que de la moitié.
- « Humm... je vous sens bien, elle est vraiment très large, je la sens qui touche le plug à travers la paroi de mon vagin, c'est curieux comme sensation, mais tellement bon ! »
- « T'aime çà hein, c'est comme une double pénétration, vas-y bouge, je veux te la mettre à fond »
J'ondule doucement le bassin et centimètre par centimètre, sa queue dure s'enfonce dans ma chatte. Je sens *** gland toucher bientôt contre mon utérus. Il me remplit totalement.
- « Voilà tu vois, bien embrochée et sans aucun lubrifiant, quel effet çà fait ? »
Je commence en cadence à chevaucher le vieux Paul, d'abord lentement puis plus rapidement. De nouveau une douce chaleur envahit mon bas ventre, je mouille et le lubrifie maintenant bien, sa verge coulisse sans soucis, je suis maintenant complètement dilatée, c'est une sensation divine.
- « Haa, Ouuii ! C'est bon, encore, regardez comme elle rentre bien, c'est bon, qu'est ce que vous baisez bien, encore, ouiii !»
La queue du vieux me mets les sens en feu. Une nouvelle fois dans le feu de l'action, je confonds le vous et le tu :

chrislebo

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#7,804
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- « Encore, baisez moi encore, allez mets la moi profond, hooo, prenez-moi plus vite maintenant, oooh je jouis, ouiii, c'est bon ta grosse queue dans ma chatte, défonce-moi encore ! »
Le vieux est aux anges, il savoure l'instant, il alterne les coups de reins, sors parfois totalement de ma chatte ruisselante, puis me prend profond et de plus en plus vite.
Notre partie de jambe en l'air ne dure pas très longtemps. Paul n'est malheureusement plus de toute jeunesse et n'a visiblement plus l'habitude de baiser. Il s'écrie bientôt :
- « Putain, je vais bientôt jouir cochonne, j'vais pas tarder à la remplir ta petite chatte ! »
Je n'en peux non plus. Sa bitte s'acharne au fond de moi dans un clapotis d'enfer, j'essaie de réduire la cadence et de serrer mon vagin pour qu'il empri***ne bien sa queue :
-« Ouiii, vas-y, donnez moi votre purée, remplis bien ta salope, c'est bon ouiii, quel pied, bon dieu ouiii ! »
Je pars dans un orgasme fulgurant mais mon cavalier ne tarde pas à me rattraper, il explose à grand bruit :
- « Tiens ma belle, prend tout au fond de ta chatte, aaah, quelle salope tu fais, putain c'est bon, c'est bon ! »
Je suis vidée m'ai j'évite de m'effondrer sur lui pour ne pas lui faire mal. Accroupie, je reste empalée sur *** dard quelques minutes, je le sens dégonfler peu à peu. Lorsque je me redresse, une quantité de foutre presque aussi importante que tout à l'heure s'écoule de mon vagin et s'étale sur *** ventre.
Le vieux Paul sourit. Il se redresse, me saisit par la taille et sans ménagement enlève le plug de mon anus. Il le trempe dans la petite flaque odorante de nos ébats et me replace le toy bien au fond des fesses. Puis il met une bonne claque dessus en disant :
- « Tiens, çà te fera un petit souvenir de moi »
- « En fait de souvenir, ma chatte en aura certainement un encore jusqu'à ce soir, elle est toute distendue ! » dis-je en rigolant.
L'excitation retombe, je me réajuste, reprend mes esprits. Puis je me concentre sur mon job, j'aide le vieux Paul à faire sa toilette. Je lui lave sa belle queue avec précaution, passe le gant sur ses lourds testicules. Je ne peux m'empêcher de déposer un baiser sur *** gland. Une goutte perle encore du méat...
Je l'aide enfin à s'habiller et à s'installer dans *** fauteuil. Il regarde ensuite un programme à la télévision, pendant que je m'occupe de *** ménage. Puis je viens pour lui dire que j'ai terminé et que je men vais. Il m'attire une dernière fois à lui, me donne encore un langoureux baiser. Ses doigts s'égarent dans les poils encore humides de mon vagin rempli.
- « Tu reviens quand ma petite cochonne ? »
- « Mardi prochain, Monsieur Paul !»
Alors il rétorque :
- « Oui, bien sûr, alors à Mardi, pour la toilette ... »
Puis il me fait un clin d'œil et me place une petite tape sur les fesses :
- « Pour une toilette cochonne, avec ta langue ... »
Je le quitte en souriant. Dehors, il fait presque nuit. Avant de monter dans la voiture, j'allume une cigarette et flâne quelques instants. J'ai encore le goût de *** foutre salé sur ma langue... Perdue dans mes pensées je me surprends à sourire : Quel vieux pervers, mais quel sacré bon baiseur ce Paul !

chrislebo

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#7,805
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Enfin Mardi ! Durant toute la semaine, j'ai pensé à mes ébats avec le vieux Paul et je n'ai plus qu'une idée en tête : Recommencer et aller plus loin avec lui...
Nous sommes en début d'après-midi, et conformément à mon planning, je me rends chez Paul pour sa toilette et le ménage. Je sais d'instinct qu'il va vouloir me baiser qu'il sera plus pervers que la dernière fois. Peut-être me prendra t-il par le cul cette fois ? Tout en conduisant, j'imagine la scène et *** gros gland dilatant mon anus et j'en mouille déjà mon string...
Quatorze heures ! Je ***ne à la porte du vieux Paul. Il vient m'ouvrir, encore en pyjama et s'efface pour me laisser entrer. Il en profite immédiatement pour me peloter les fesses au passage. Je joue faussement l'indignée...
- « Non mais, vieux cochon!»
Il rit franchement et recommence de plus belle :
- « Allez fais pas ta mijaurée, t'es venue chercher ta ration de bite auprès du vieux Paul ? »
Je lui souris. Il n'y va pas par quatre chemin, plutôt direct le vieux ! Dans le salon, alors que j'enlève ma veste, il se colle à moi et me taquine déjà les seins.
-« Alors, tu t'es fait baisée par ton cocu de mari l'autre soir, après être sortie de chez moi ? »
Je m'assois sur le canapé et lui raconte ma mésaventure. En effet, à peine rentrée à la mai***, j'ai pris une longue douche et me suis brossé les dents pour faire disparaître toute trace suspecte. Le soir, dans le lit conjugal, mon mari comme souvent a voulu me sauter. Je lui ai fait rapidement une petite pipe, puis il m'a prise en missionnaire... à peine 10 minutes, c'était pathétique... Il a eu l'air inquiet et m'a dit qu'il me trouvait plus large que d'habitude. J'ai dû lui raconter un bobard, et j'ai prétexté l'excitation. S'il savait que je me fais enfiler par devant et par derrière par des queues presque 4 fois plus large que la sienne !
Paul rit franchement à mon histoire puis caresse mes longs cheveux bruns. Tel un môme, il vient s'asseoir sur mes genoux, sur les genoux de sa « salope à domicile » comme il aime à m'appeler. Il entrouvre ma blouse et me caresse les seins à pleine main. Ce vieux pervers me plait terriblement, il est doué pour le cul et m'attire de plus en plus. Déjà bien excitée, je lui baisse *** slip et une odeur aussi forte que la dernière fois me flatte les narines. Je le décalotte puis branle lentement sa queue et caresse ses couilles bien pleines. Nous nous roulons une longue pelle, langues sorties et je sens *** sexe qui enfle rapidement dans ma main. Paul apprécie ma caresse, il bande bientôt complètement et ma main fait maintenant à peine le tour de *** gros chibre odorant. Je le masturbe alors très énergiquement, *** gland en devient violacé. J'arrête car je vois à *** visage qu'il va décharger dans ma main si je continue mon traitement.

chrislebo

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#7,806
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Paul veux que j'humidifie sa queue. Je m'agenouille, et le prend délicatement dans ma bouche, *** odeur de foutre et d'urine maintenant ne me dégoûte plus. Au contraire, elle fait monter mon excitation. Je m'applique à nettoyer avec ma langue chaque repli sous *** gland, salive bien dessus. Ça fait un effet bœuf au vieux Paul. Il saisit ma tête et me baise la bouche avec énergie.
- « Allez salope, bouffe moi bien la bite, comme çà, prends-la en entier, oui à fond ... »
Il me permet enfin de respirer, je me redresse et lui enlève sa veste de pyjama. Je lui chuchote à l'oreille :
- « Hummm, tu bandes déjà fort, tu as vraiment une grosse bitte, vieux cochon... Allez viens m'empaler maintenant, je veux te sentir écarteler ma petite chatte.»
Je m'appuie sur le canapé, fesses relevées :
- « Allez vas-y fourre la moi tout au fond, en levrette.»
Le vieux se penche d'abord sur mes fesses et bientôt sa langue fouille mon vagin et titille mon clito. Il sait vraiment bien y faire et je mes sens fondre :
- « vas-y enfonce bien ta langue dans mon trou, tu me rends folle ! »
Paul jubile, après quelques minutes de préparation, il présente sa queue à l'entrée de ma grotte et s'y enfonce plus facilement que la première fois. Il me remplit vraiment bien:
- « Tiens petite garce, prends çà ! Putain que ta chatte est chaude et bien lubrifiée, un vrai four ! »
En effet, je mouille comme une malade et sa queue coulisse merveilleusement bien dans mon vagin:
- « Vas-y, défonce-moi la chatte, donnes-moi des grands coups comme çà, baise-moi bien fort, hooo... »
Il me baise vraiment bien, avec vigueur, presque mieux que Kader, mon amant attitré. Il a du être un sacré mec viril pendant sa jeunesse.
- « Lime bien l'entée de ma chatte avec ton gros gland... Cà te plait vieux salop quand je te caresse les couilles en même temps ? »
Mon langage cru le transcende. Il claque *** bassin plus sèchement contre mes fesses, accélère encore sa cadence diabolique. Le nez dans les coussins, j'écarte mes fesses au maximum pour bien profiter de cette pénétration hors norme. Mon anus, alors bien en évidence n'échappe pas aux doigts inquisiteurs du vieux :
- « Vas y là, je vais jouir, là, ça arrive, Hooo oui ! Mets tes doigts, claque fort, j'adore ton pouce dans mon cul, haaaa, je jouis, c'est trop fort, haaaa, encore !»
Paul commence à se raidir, il va bientôt jouir.

chrislebo

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#7,807
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- « Haaa, je vais cracher ma purée, je peux plus retenir, c'est trop , je vais venir, attends... »
Il se retire en comprimant la base de sa verge qui déjà montre des spasmes. Je me retourne vers lui, j'ai une envie folle de sentir sa semence sur ma langue. Je prends *** sexe en main et le regardant dans les yeux. je lui dis ce qu'il semble attendre :
- « Regarde, je te lèche bien la bitte, je vais te pomper à fond. »
Je le suce un peu mais je sens bien qu'il ne peut plus se retenir. Je sors ma langue et la darde alors contre *** gland. Paul est au supplice :
- « Attend ça vient, tu demandes que ça hein, je vais tout te donner. »
Je glisse trois doigts dans ma chatte béante et accélère ma fellation. Avant qu'il ne jouisse sous ma caresse salace, j'ai encore le temps de lui dire vicieusement :
- « Envoie ta purée dans ma bouche, voilà çà vient, c'est chaud, c'est bon, encore ! HUMMMPF...»
*** éjaculation est alors immédiate. Elle est aussi intense que l'autre jour. Le foutre déborde de ma bouche. J'en avale le plus possible mais il coule sur mon menton et ma poitrine.
- « Bordel, c'est bon, quelle bonne suceuse tu fais, tiens prends tout ma belle baiseuse, prends tout dans ta bouche de salope et avale! Haaaa, tiens, lèche tout jusqu'à la dernière goutte. »
Je me mets à lui aspirer les couilles, il se branle au dessus de mon visage pour que les dernières gouttes tombe sur ma langue. Il m'étonne alors en me roulant une pelle magistrale alors que j'ai les lèvres encore souillées de sa semence. Les doigts toujours fichés au fond de mon vagin, j'ai alors un second orgasme plus long et plus intense que le premier.
Nous sommes exténués. Nos galipettes ont été aussi intenses que la dernière fois. Il nous faut reprendre conscience doucement. Allongée sur le dos, je récupère mon paquet de cigarettes dans ma blouse et en allume une. Les premières bouffées me font beaucoup de bien, mon cœur reprend un rythme presque normal. Ce vieux cochon de Paul est allongé à côté de moi, il me caresse la chatte, *** pouce frotte contre mon clitoris. Il me demande comment j'ai trouvé sa performance :
- « J'ai bien senti ta bitte, elle était bien épaisse, une baise royale comme j'aimerai en connaître plus souvent ».
Paul m'embrase de nouveau. Il me mordille le lobe de l'oreille pendant que je caresse à nouveau *** gros mandrin bitte. Il en profite alors pour me susurrer très excité:
- « laisse-moi un petit quart d'heure pour récupérer, après je vais bien te casser le cul ».
Je termine ma cigarette en souriant aux anges. Après un clin d'œil, je lui réponds :
- « Décidément mon vieux salop, tu as de la ressource. Et avec une queue pareille çà va être délicieux dans mon cul, une fois bien ouvert ... »
chrislebo

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#7,808
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Corinne - Une découverte qui changea ma vie


Je m'appelle Corinne, j'ai 36 ans, brune aux cheveux longs, yeux bleus verts, on me dit plutôt jolie et bien conservée.Je suis Mariée depuis 15 ans à un homme qui fut mon premier coup et que je prenais pour un dieu au lit, jusqu'à la vision révélatrice d'un film hard suivi d'une aventure très chaude... Un monde s'écroulait, mon mec n'était en effet pas terrible du tout: petit sexe fin de 15cm et demi, peu endurant et jouissant après trois minutes alors que j'ai de gros besoins sexuels. Après avoir maté il y a deux mois un film porno, je me suis rendu compte, qu'en général les mecs étaient bien plus membrés et vigoureux que mon mari. Quand il partait travailler très tôt le matin, j'ai commencé à fantasmer sur d'autres mecs plus virils, à me caresser et les orgasmes que j'ai obtenus étaient bien plus forts qu'avec mon mec. Le mois dernier, fantasmant toujours sur les grosses queues, je me suis rendue dans un sex-shop de la ville où je réside. J'avais un peu honte, le patron me regardait avec un air de connivence, il m'a conseillé un gode vibrant de vingt centimètres, m'assurant que je ne serais pas déçue. A ma surprise, il m'a fait cadeau d'un plug anal gonflant avec un grand sourire en me disant que l'un n'allait pas sans l'autre pour vraiment jouir. Rentré chez moi, j'ai essayé mes jouets et je les ai trouvés formidables. Notamment, c'était ma première pénétration anale et j'ai jouit comme une cochonne, sentant mon petit trous serrer par spasme, mon anus picket. En voulant planquer mes deux godes, j'ai trouvé dans le sac plastique, un papier avec un numéro de portable, c'était celui du gérant. Pendant trois nuits je me suis demandée ce que j'allais faire mais finalement l'excitation l'a emporté et j'ai fini par appeler. Le gérant m'a dit qu'il me trouvait bonne et que si je voulais jouer la salope dans *** sex-shop et que j'aimais la bitte, il allait m'en faire donner et de la grosse...Il a été obscène, me disant que je serait *** objet, sa pute, le vide-couilles de *** magasin. Au lieu d'être choquée et de raccrocher, je me suis mise à me toucher et à me prendre au jeu. Finalement, il m'a demandé de venir dans *** sex-shop, le mardi suivant à 16 heures, il me voulait sans string ni culotte sous ma robe et que je porte des dim-up blancs et des hauts talons noirs. Lors de notre RDV, il a fait au début comme s'il ne me connaissait pas. J'ai flâné dans les allées, affrontant les regards pervers des mecs, mouillant déjà car j'étais très excitée. Alors que je regardait avec curiosité, le rayon vidéo gang-bang, un mec est passé derrière moi et m'a peloté les fesses. Finalement le patron m'a dit discrètement qu'il me donnait accès gratuitement au cinéma porno, et qu'il fallait que je me foute à poil et m'installe dans la salle de droite. C'était une petite salle avec peu de lumière et trois canapés en simili très froid. Une fois déshabillée, j'ai maté l'écran où un film hétéro ou deux blacks hyper-membrés défonçaient une américaine blanche. J'ai vu qu'il y avait quatre trous ronds d'un bon diamètre dans les parois du mur et qui donnaient sur une autre salle. Le patron est venu au bout d'un quart d'heure, en entrant il m'a dit : « alors salope, tu veux des vrais mâles, t'es venue te faire baiser, t'inquiète pas ma petite, on va s'occuper de ton trou à bittes, tu vas passer un bon après-midi et tu feras tout ce que je voudrais, compris ? » Il m'a d'abord caressé le seins sans ménagement en les pinçant, m'a fourré trois doigts dans la chatte puis me les a fait sucer. Il a sorti ensuite sa queue, énorme en regard de celle de mon mari (au moins deux fois et demi plus large). Il me l'a enfilé dans la bouche et m'a dit de le sucer en me branlant. Il m'a ensuite baisé la bouche avec ***** et a jouit puissamment sur mes seins après environ dix minutes de ce traitement. Il m'a emmenée ensuite à la salle deux où il y avait cinq hommes en train de se branler devant l'écran, tous avaient de belles queues. Il m'a complètement livrée à eux. J'ai été palpée, doigtée, caressée, j'ai sucé deux bittes à la fois, je croyais devenir folle de sexe. J'ai été baisée par tous les mecs, se relayant tour à tour au fond de mon vagin, en levrette et sur eux, le plus costaud m'a même prise debout contre le mur, j'ai eu au moins quatre orgasmes, terribles. Cela a duré au moins deux heures, des mecs m'ont photographiée avec leur portable à mon insu, alors que je me faisait prendre la chatte, à califourchon sur le divan. Fatiguée, la chatte et la bouche en feu, j'ai rejoins la salle un, où le patron est venu me rejoindre avec un mec d'origine marocaine de 55 ans, prénommé Kader et doté d'une très belle virilité surmonté d'un gros gland cironcis. Il me l'a présenté puis pendant que celui-ci commençait à me bouffer la chatte, il est retourné dans le magasin pour chercher un gros gode noir à ventouse, d'un très fort diamètre. Il a mis du gel dans ma chatte et m'a fait m'exhiber devant eux. J'ai dû m'accroupir sur le gode en titillant mon clitos, et me l'enfoncer lentement, au plus profond de mon intimité. Pour finir, Kader m'a prise par les cheveux et à quatre pattes m'a sodomisée sans douceur en m'insultant en arabe et en me claquant les fesses. Malgré la douleur, l'excitation était à *** comble, j'ai cru mourir de plaisir. Le patron s'y est mis aussi et m'a baisée en missionnaire pendant vingt bonnes minutes. Pour terminer cet après-midi mémorable, je les ai sucés et ils ont jouit tous deux dans ma bouche et sur mes seins. Kader m'a forcée à avaler *** foutre, je ne l'avait jamais fait...J'étais fourbue, quand j'ai quitté le magasin que le patron avait fermé entre temps. En partant, il m'a dit que je pouvait l'appeler si ma chatte me démangeait et qu'il avait d'autres plans exhibs possibles pour moi. Il m'a dit à l'oreille que j'étais une bonne salope bien soumise, qu'il n'avait pas été déçu et que si je revenais le voir souvent, il me ferait franchir tous les degrés de la perversion...
Depuis d'autres aventures ont eu lieu, j'aime être offerte et dominée, j'adore repousser mes limites et suis ouverte à toute proposition sortant de l'ordinaire. Mon mari ne sait toujours rien et me trouve seulement plus heureuse et en forme.
chrislebo

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#7,809
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Lundi 09h00. Mon mari vient de partir au travail pour la journée, quand mon portable ***ne. C'est Christophe, le gérant du sex-shop, celui-là même qui m'a fait passer un après-midi mémorable dans *** ciné porno. « Salut Corinne, alors toujours envie de bittes ? »Mon mari ne m'ayant pas fait l'amour depuis une semaine, le simple *** de la voix de mon amant et le souvenir de sa queue très épaisse me fait déjà vibrer. Je lui réponds du tac au tac : « Oui, tu m'as tellement fait jouir l'autre fois que j'aimerai bien recommencer. Il me raconte alors qu'il a prévu un plan domination avec Kader pour moi à l'hôtel si je suis disponible. Sans hésiter, j'accepte le rencard, je prends un billet de train, Christophe m'assurant qu'il me récupèrera à mon arrivée en gare. Il est presque midi lorsqu'il me récupère. Kader est là, au volant d'une jolie BMW rouge. Le trajet jusqu'à l'hôtel dure environ dix minutes, pendant lesquelles Christophe vérifie déjà que j'ai sur moi un string et un porte jarretelles. Quand il les découvre, il ne peut s'empêcher de me glisser deux doigts dans la fente jusqu'à notre arrivée. Kader règle la chambre, pendant que nous montons au second étage. Un fois tous les trois réunis dans la chambre, tout va très vite, je suis à poil en à peine deux minutes. Allongée sur le lit, mes deux amants me palpent de partout en me détaillant leur plan soumission. Puis je commence à sucer Kader pendant que Christophe, en levrette m'enfonce *** gros pieu dans la chatte
C'est Kader qui dirige tout. « On va faire de toi une bonne salope, une chienne qui aime la queue. On va tellement te faire aimer çà que tu ne penseras plus qu'à t'enfiler sur des bittes, peu importe celles qui te baiseront, ce qui compte c'est que tu prennes ton pied et que tu rattrape le temps perdu. Tu vas devenir notre objet, notre vide-couilles attitré. J'ai deux vieux amis dans ma cité, ils ont plus de soixante ans et rêvent de se faire une pute blanche, on t'enverra les soulager, tu veux ? »
Déjà aux anges, j'accepte tout :« Oui, fais moi baiser comme une pute par qui tu veux, tout ce que je veux c'est jouir autant que possible, même si je dois sucer et être sodomisée par des vieux salops, c'est trop bon ! Christophe me met alors des claques ***ores sur les fesses et me dit : « bravo... tu commences à rai***ner comme une salope : "tout ce qui a une bite est bon pour me baiser."...Et tu as rai***, ce qui compte c'est le morceau que tu as dans la chatte ou dans le cul, bien dur, bien raide, bien gros. Avoue que t'aimes la sentir dans ton ventre, dans ton anus et dans ta bouche...Oui, tu es notre trou à bittes... et tu aimes te faire remplir. Il me lime de plus en plus rapidement, sortant presque entièrement de ma chatte, pour mieux me prendre à fond. C'est bon, c'est long, çà dure au moins une demi-heure, ils ***t très endurants et très doués. Au bord de la jouissance, Christophe fit signe à Kader qu'il ne résistera pas plus longtemps et je me mets à pomper Kader de plus en plus fort. Christophe vient le premier, en longs jets brulants au fond de moi : « Vas-y, fais moi jouir cochonne, c'est bon, hein quand on jute dans ta chatte.... tu aimes pomper les bittes aussi...Dis nous que tu aimes te faire remplir, être pleine de foutre de partout... plein la chatte, plein le cul, plein la bouche? Les entendre me dominer ainsi et me parler très cru décupla mon excitation et ma perversité. J'ai bientôt moi aussi un énorme orgasme : « oui, baisez-moi bien à fond, j'aime vos grosses queues, vous me faites tellement de bien, donnez moi votre foutre, remplissez-moi ». Kader se redresse alors et me fait ouvrir grand la bouche : « tiens chienne, c'est pour toi, prends tout ». Il jouit bruyamment sur ma langue et j'avale sa liqueur avec délice sans en perdre une goutte. *** sperme est amer et épais, très abondant. Après cet exploit, je suis un peu fatiguée, la chatte et la bouche en feu et je resté longtemps dans les bras de mes amants, les laissant me palper, m'embrasser, visiter mes orifices rassasiés. Je branle doucement leurs gros membres pour qu'ils reprennent de la vigueur et Kader, ce vicieux, met ses doigts dans ma chatte souillée et me les fait sucer : « tiens, profites du gout de ta chatte rassasiée, regardes comme c'est bon le mélange du sperme et de ta cyprine. Je suce ses doigts avec avidité. Christophe se lève et va fouiller dans sa mallette. Il en sort un gode énorme, environ 22 cm sur 6 et me donne l'ordre de me l'enfiler devant eux et de mettre les vibrations. La pénétration est difficile, mais ma chatte est tellement lubrifiée, qu'une fois le gland passé, le reste coulisse sans difficulté. Je commence alors un va et vient avec le vibreur à fond, le trou distendu au maximum, tout en caressant mon clito très sensible. Les deux complices paraissent très excités par mon exhibition et ne tardent pas à reprendre une superbe érection. Christophe me dis : « tu vas tester ta première double pénétration, on va te prendre en sandwich. Tu verras, tu vas avoir la chatte bien défoncée et tu vas recevoir en même temps la grosse bitte de Kader dans le cul, tu vas être enculée et embrochée comme tu n'as jamais été. Kader, rallongé sur le lit, me place à califourchon sur lui. Il prend un peu de gel, lubrifie bien mon anus et enfonce doucement *** gros pieu tout au fond de mon cul. Christophe lui me pelote les seins tout en m'encourageant : regardes comme tu deviens une bonne salope docile, vas-y, pousses, je veux que tu te fasses remplir par lui, c'est bon hein ? A partir d'aujourd'hui, je ne veux plus que tu passes un seul jour sans recevoir du sperme de mec. Je vais m'occuper de cela, ton cul va devenir un sac à foutre, un trou dans lequel les mâles viendront décharger leurs couilles, se vider. Je veux te faire baiser comme une salope, tu es un trou, un objet de plaisir pour mâles en rut, je veux te faire remplir car je sais que tu aimes quand le jus coule dans ta chatte, j'ai vu çà l'autre jour quand tu t'es laisser enfiler pendant deux heures par ces cinq mecs dans mon ciné. Tu as aimé leurs bittes, des belles hein ? C'est moi qui les avais sélectionnés. Ils ont été très satisfaits de ta prestation de chienne en manque. Allez suce moi, pour me rendre bien raide que je puisse m'enfoncer dans ta grotte. Il met *** gland à l'entrée de mon vagin et m'embroche sans ménagement. Je comme écartelée, délicieusement, assise avec la grosse bitte de Kader au fond de mon cul et la chatte écartelée par le membre épais de Christophe qui continue de plus belle : « là, bien au fond de ta chatte, tu vois la différence entre l'asticot de ton cocu de mari et une vraie bitte ? Ma queue est bonne, hein? Ca fait du bien par ou ça passe ».

chrislebo

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#7,810
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Kader s'active aussi dans mon cul, j'ai maintenant le ventre en feu et il m'encourage encore dans le vice : « Pompes lui la queue avec ta chatte, fais toi baiser comme une salope qui as le feu au cul. Laisses Christophe t'arroser l'intérieur de la chatte pour te calmer. Je bouge sur eux, prête à exploser, sentant un gros orgasme monter. Je crie bientôt ma jouissance. Après quinze minutes de rêve, je n'attends plus que leur éjaculation dans un feu d'artifice mêlée avec la manifestation de mon plaisir, je me déchaîne alors, oubliant toute retenue : Oui, vous êtes gros, je vous sens bien dans mes trous, ouiii, plus fort, plus profond, ouiii, baisez votre cochonne à fond. Contre toute attente, Kader très excité décule, se lève et me prend par le poignet. Christophe sort alors de ma chatte et ils m'emmènent vers la salle de bain. Christophe me regarde en souriant, l'air très pervers et me dit : « Les bonnes queues, ça te fait du bien dans le ventre hein? Surtout quand elles sont bien raides, bien grosses et bien juteuses ? » Je réponds un timide oui. « Ca te dirais de recevoir une douche de foutre : allongée dans la baignoire, la bouche ouverte pendant qu'on vienne se branler au dessus de toi ? Je leur réponds oui sans hésiter, désormais j'ai franchi comme un cap. Ils peuvent m'ordonner tout ce qu'il veulent, du moment que j'ai de la jouissance et du sexe. Assise dans la baignoire, les trous encore dilatés de notre dernière position ! La bouche à deux centimètres de leurs glands cramoisis, j'attends la douche finale. Quelle éjac ! Des jets saccadés sortent rapidement des couilles de taureau de Kader. Ils viennent s'écraser sur ma poitrine, mon visage, mes yeux. Il est bientôt rejoint par Christophe qui préfère lui, arroser ma chatte et mes fesses. Après quelques minutes de récupération, je constate que l'heure de reprendre mon train approche. Cela fait maintenant deux heures et demi que je suis l'objet lubrique de mes deux amants. J'ai envie prendre une douche. Kader rentre alors dans la salle de bains avec moi et Christophe ne tarde pas à apparaître dans l'encadrement de la porte. Autoritaire, il me fait agenouiller dans la baignoire, me regarde dans les yeux et déclare : « attends, je vais te montrer comment on nettoie une chienne souillée de foutre ». Christophe vient à côté de lui et tout deux satisfaits se mettent à m'uriner sur les seins, sur tout le corps le visage. Je ne connaissait pas du tout l'uro et j'ai d'abord trouvé çà un peu crade mais c'était très chaud et excitant, tellement que j'ai finit par me caresser en même temps. Il est plus que temps de rentrer. La douche prise (la bonne cette fois-ci), nous quittons l'hôtel rapidement. Je n'ose regarder personne car je sais que j'ai été très bruyante, on avait surement entendu dans les couloirs. Et puis, il règne une telle odeur de foutre dans la chambre que la femme de ménage s'en apercevra tout de suite. Mes deux magnifiques amants m'ont raccompagné jusqu'à la gare, ils m'ont chacun roulé une longue pelle puis m'ont quittée non sans me dire qu'ils rappelleraient leur chienne docile, car ils ont encore beaucoup de projets pour moi. Des images plein les yeux, un peu hagarde et un tantinet coupable, je regagne mon foyer. La mère de famille que j'étais se transforme peu à peu en monstre de vice, en machine à baiser. Je ne me reconnais plus...
chrislebo

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#7,811
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Retour au sex-shop, plus loin dans le vice et ************


Des mois se ***t passés depuis ma découverte du sex shop et je suis devenue peu à
peu l'esclave sexuelle, soumise et obéissante de Kader. Je suis comme il dit sa pute,
sa truie. Il me conduit dès que je suis disponible aux mâles recevoir ma ration de
bittes. Je me caresse maintenant la chatte de plus en plus souvent. Certains jours
jusqu'à quatre fois. J'ai appris à me faire jouir intensément surtout grâce au rabbit
vibrant à billes qu'il m'a offert. Un cadeau, après un après-midi passé devant le glory
hole dans le sex shop. Ce jour-là, le sexe embroché sur mon gros gode noir, j'ai sucé
sur *** ordre toutes les queues qui s'étaient présentées dans le trou de la cloi***.
Kader en a dénombré 25. J'avais la mâchoire en compote et la langue ankylosée
tellement je me suis appliquée à les faire toutes cracher dans ma bouche ou sur mes
seins. Il y avait des bittes de toutes les tailles, certaines avaient un peu de mal à
bander et il fallait que je les branle énergiquement. La plupart étaient très propres et
sentaient bon, alors que d'autres sentaient le foutre et l'urine et c'est de celles-là que
je me délecte le plus. Un vieux pervers m'a même pissé dessus par le trou et j'ai gobé
*** gros sexe plein de poil blanc pour bien le nettoyer. Il m'a donné 20 euros en
remerciement et *** numéro de téléphone. Il revient la semaine prochaine et il a
promis qu'il m'enculerait bien à fond. J'espère vraiment le revoir car il m'a envoyé une
sacrée rasade de sperme sur la langue. A la fin de la séance, Kader qui a tout filmé,
m'a offert et fait mettre une culotte en latex ouverte sur ma chatte rasée. Après il m'a
enculée avec *****, frappant sur mes fesses et me traitant de sac à foutre. Mes fesses
me faisaient mal et mon anus bien qu'habitué fut soumis à rude épreuve. Il m'a fait
me branler le clito en même temps et demandé si c'était meilleur qu'avec la petite bitte
de mon cocu. Sentant un orgasme terrible monter, je lui ai crié : « oui, c'est bon, bourre
mon cul bien profond, maître ». Il avait l'air satisfait, à *** tour, il a jouit très fort sur la
culotte en me traitant de chienne à bittes puis il me l'a fait enlever et nettoyer avec la
langue. Tout ce qui sort de sa queue est une offrande, je le prends comme une
récompense. Ensuite, il m'a dit de me rhabiller, il n'y avait rien pour faire ma toilette et
j'ai dû repartir chez mon homme comme çà, le corps, la chatte et les seins souillés. Je
sentais le foutre et l'urine séchés, c'était humiliant, mais c'était bon. Cà c'est passé
avant les vacances d'été, depuis je n'ai plus de nouvelles de lui. Il est parti au ****
mais il a promis de revenir avec une énorme surprise, j'ai hâte de savoir quoi. L'été
prochain il veut m'emmener au Maroc pour servir de pute à ses nombreux cousins.
L'idée m'excite mais j'ai un peu peur, on verra bien, je vous raconterai...
chrislebo

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#7,812
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chez le vieux pervers


J'ai eu enfin des nouvelles de mon amant, il y a quatre jours. Ça faisait bien longtemps
que je n'avais plus de ces nouvelles et sa voix au téléphone m'a troublée. Il est revenu
du **** jeudi dernier. Il m'a confié qu'il a une forte envie de me prendre et de me
remplir mes trous. Il est allé au sex-shop et a retrouvé *** pote Christophe, le gérant. Il
a tenté d'échafauder un plan cul à trois mais Christophe a repoussé pour l'instant sa
proposition car il partait quinze jours en Vendée et çà ne sera possible avant la mi-
septembre. Ce n'est que partie (de jambes en l'air) remise...Par contre, il lui a donné
un filon en lui remettant un bristol portant un numéro de téléphone. Il avait été confié au
gérant, en juin dernier par un vieux monsieur d'environ 72 ans. Kader m'en a parlé et je
lui ai rappelé que c'était celui qui m'avait gratifié de *** urine à travers le glory-hole
cette soirée-là. Il a donc aussitôt contacté le vieux pervers qui habite la ville d'Amiens.
Celui-ci a dit qu'il serait charmé de me revoir et de me faire subir les derniers
outrages. Il proposait de nous recevoir chez lui en indiquant qu'il souhaiterait me voir
vêtue en tenue d'écolière : couettes, jupes plissée, dim up, corsage blanc et
chaussures vernies. Kader a pris le rendez-vous pour le lendemain après-midi. C'est
lui qui m'a fourni l'ensemble demandé et je me trouvait très sex et désirable avec cette
jupe plissée masquant à peine mon abricot fraîchement épilé. J'étais très impatiente
et si excitée que le soir, j'ai joué une demi-heure au moins avec mon rabbit.
Le lendemain, Kader me récupère devant la station service, à côté de chez moi. En
chemin, mon maître se dit très excité par mon air d'ingénue juvénile. Il stoppe dans le
chemin menant d'un bois à proximité de Doullens, me fait mettre en missionnaire et
me baise vite fait dans la voiture. Il est comme à *** habitude ****** et il jouit assez
vite au fond de mon vagin, sans s'occuper de mon plaisir. En suite nous reprenons
notre chemin pour arriver chez le vieux pervers. Le rendez-vous qu'il a fixé à Kader est
non loin du centre d'Amiens, dans un appart cossu, sur un boulevard près de la
mosquée.
L'ancien nous accueille l'œil vicieux, en peignoir de laine et nous fait pénétrer
rapidement dans un salon très style XIXème siècle. Il nous fait asseoir sur un
chouette canapé en cuir et nous propose des rafraîchissements. Je suis un peu
nerveuse et je demande l'autorisation de griller une cigarette. Il s'assoit juste à mes
côtés et m'allume ma clope. Il pose d'abord une main ferme sur mon genou. Il
apprécie ma tenue d'écolière et me fait des compliments sur mes longues couettes
brunes. Il remercie mon maître de m'avoir fait jouer le jeu. Il farfouille sous ma jupe à
carreaux, constate que suivant ses instructions je ne porte pas de culottes et glisse
deux doigts dans mon abricot.
« Huumm, tu as déjà la chatte toute graissée, tant mieux, mon gros chibre n'en
rentrera que plus facilement. Je te le montre si tu sors tes nibards de ton corsage ».
Excitée par le scénario, je me sens jeune étudiante, je sors mes seins de mon
corsage et il se met aussitôt à me pincer les tétons. Puis il écarte les pans de ***t
peignoir et sort *** nœud. Cette fois ci, j'ai tout le temps d'apprécier la bitte du vieux.
Très large, au moins 6 cm de diamètre, surmontée d'un beau gros gland violet qui
semble un peu négligé. Sa bitte fait bien plus de 20 cm et ses couilles bien lourdes
ont été rasées depuis notre dernière rencontre du sex-shop. Il me gobe le lobe de
l'oreille, le suce et me susurre :
« Aujourd'hui ma jolie, je vais tenir ma promesse du sex-shop. Papy va mettre sa
grosse biroute au fond de ton petit cul et tu vas jouir très fort, petite salope, tu seras ma
petite pute vicieuse ». Déjà sa queue se redresse. Constatant le signal, Kader se
déshabille. Il me fait retirer mon corsage, relever ma jupe et relever les jambes. Je
suis ainsi, les cuisses écartées, mon abricot glabre bien ouvert face à eux. Le vieux se
met à genoux et commence à me bouffer la cramouille. Il sait y faire le saligaud ! En
cinq minutes je suis au bord de la jouissance. Il le sent et interrompt ses caresses.
Kader et lui ont maintenant une belle érection. Je les fais se rapprocher. J'ai envie
d'enfourner leurs belles grosses bittes ensemble dans ma bouche. C'est difficile, ma
lèvres se distendent trop, j'ai un haut le cœur et je n'insiste pas. Comme l'autre fois,
notre ami sent la sueur et l'urine mais çà ne me gêne pas. Je suis fascinée par ***
chibre. Bientôt il se rallonge sur la moquette, me fait m'accroupir au dessus de lui et
m'embroche sans ménagement. Je suis déjà bien lubrifié par *** cuni et mes ébats
précédents. Je le sens taper contre mon utérus, il me remplit terriblement bien. Je le
chevauche en cadence, j'ai chaud et le rouge me monte aux joues. Il écarte mes
fesses et montre mon anus lisse à Kader en lui faisant en clin d'œil. Celui-ci s'avance
et, sans préparation entame une douloureuse sodomie sur moi. Malgré la douleur, je
ressens bientôt mes premières contractions de mon vagin et un orgasme monter. Je
hurle :

chrislebo

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#7,813
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« Ouiii, c'est bon monsieur, punissez moi, jouissez au fond de ma petite chatte ! »
Mais l'ancien ne veut pas se faire prendre dans mon four brûlant. Il cesse de me limer,
sort de ma chatte humide et échange sa place avec mon amant. Ma rondelle est assez
dilatée et il s'enfonce doucement au fond de mon cul. Il me dit alors à l'oreille :
« Alors, c'est comment petite garce ? »
Au bord du gouffre je lui réponds :
« C'est bon monsieur, comme elle est grosse, comme je vous sens bien tous les
deux, je, je vais... jouiirrr.... Je suis foudroyée par un orgasme anal et mes sphincters
compressent délicieusement sa queue. Une nouvelle fois, il sait qu'il ne pourra tenir
longtemps. Il sort alors de mon cul et passe à ma bouche. Sa queue est un peu
maculée... Aussitôt Kader, toujours aussi vif, prend sa place entre mes fesses en
levrette. Déchaîné, il me tire les cheveux et hurle :
« P'tite pute, tu me sens bien au fond de ton cul ? T'aime comme je te dilate ta
rondelle de femelle en chaleur, allez lèche bien le gros gland de ce vieux salop, t'aime
çà hein » ?
« Oui maître Kader, j'aime sentir ta queue bien au fond de mon anus, j'aime quand tu
encule à sec mon cul de pouffiasse ».
Il me prend par les cheveux et me redresse la tête puis il met sa langue sans
ménagement dans ma bouche luisante de salive. Il continue ses va et vient de plus en
plus fort, il me frappe sur les fesses tellement sèchement que j'en ai les nichons qui
ballottent. Une nouvelle fois il me demande si j'apprécie la bitte du vieux pervers.
« Elle sent fort mais elle est bonne, tu vas voir, je vais prendre tout *** foutre dans ma
bouche ».
Ma langue virevolte habillement sur *** gland violacé, je branle sa grosse tige,
descend jusqu'à ses couilles, je les prends dans ma bouche puis je les lèche. Sa
bitte tressaute et je sais qu'il ne va pas tarder à balancer sa purée. Il dit à Kader qu'il
va bientôt jouir dans ma bouche de salope. Mon maître se retire alors, il tient ma
mâchoire et me fait ouvrir ma bouche bien grand. Il me fait mal tellement il serre. Le
vieux n'en peu plus : le méat agacé par ma langue, il jouit très fort et s'écrie :
« Tiens soumise, tiens prends, bouffe la semence de papy, prend tout ouiii... » La
première giclée est tellement rapide que je la prend au fond de la gorge et l'avale.
Après il me nappe la langue, çà coule sur mes lèvres. Il a un goût salé, je l'avale
jusqu'à la dernière goutte en me frottant le clitos. Je suis au ange. Kader, récupère ce
qui a coulé sur mes lèvres et mon menton et me donne ses doigts à sucer. Il ne tarde
pas aussi à venir, il sort et m'arrose copieusement la raie. Il a l'air satisfait de ma
prestation et il me dit :
« Bonne petite pute, il t'a bien enculé le vieux hein, il t'a bien joui dans la gueule ? »
Je lui réponds tout en caressant la bitte mollissante du vieux :
« Oui, il m'a bien baisée, jamais je n'ai senti mon cul aussi ouvert ! C'était terrible ».
Bien fatiguée par notre séance, j'ai pris une douche rapide, puis j'ai sucé une dernière
fois le vieux. Cette fois-ci, il n'a pas voulu me jouir sur la langue. Il m'a fait le branler
très fort. Il bandait terriblement et *** nœud était nervuré par de grosses veines. Il a
jouit dans mes mains au bout d'une dizaine de minutes de ce traitement et m'a fait
sucer mes doigts jusqu'à ce qu'il ne reste rien de *** épaisse semence. Lui aussi
semble très satisfait et en partant, je le vois glisser prestement quelques billets dans
la poche de Kader.
Nous prenons enfin congé de notre hôte. Sur le trottoir, je grille une nouvelle clope car
j'ai encore le goût du sperme dans la bouche. Nous fai***s le chemin retour
ensemble, sans échanger un mot. Kader me dépose à 300m de chez moi et me dit
qu'il me téléphonera bientôt, dès qu'il aura un nouveau plan pour faire remplir *** sac
à foutre. J'entre à la mai*** et constate que j'y suis seule. J'ai le temps de me dévêtir
et de me changer, ouf, mon mari n'est pas encore rentré...
chrislebo

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#7,814
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Mardi soir... Kader a appelé, il ne sera pas disponible demain.
Mais il laissera à la boutique de Christophe, la grosse surprise qu'il avait promis de me rapporter du Maroc. Il m'ordonne donc d'aller passer mon mercredi après-midi dans le sex-shop. La nuit passe très lentement, je ne dors pas beaucoup et je pense à ce qu'il m'a dit. Que m'a-t-il réservé encore, pour mon escalade dans la perversité ? Je prends le train à 11 heures et à midi trente, je suis devant la caisse du sex-shop. Je n'ai pas reçu de consignes vestimentaires particulières et je comprends vite pourquoi. Christophe, souriant, me dit que mon cadeau m'attend dans la cabine d'essayage. J'y trouve un corset en cuir, modèle seins à l'air, couvert de chaînettes argentées. Il est très chouette mais il n'y a pas de dessous qui vont avec.
Christophe me rejoint et me dit que ce ne sera pas nécessaire.
Il me fait découvrir alors le reste de l'attirail, un collier cuir avec une laisse, et un œuf vibrant à télécommande. Celui-ci parait fun car il est d'un bon diamètre, de couleur noir et en forme de munition, comme une balle. Christophe m'explique alors que les ordres de Kader ***t de mettre les effets et de descendre la chienne (moi en l'occurrence) purger les mâles. Il ajoute que j'ai de la chance car pour l'instant il n'y a pas trop de fréquentation. Une fois équipée, Christophe me fait ressentir les différents effets du vibrateurs a distance .Sa télécommande à jouir, comme il dit. Une fois le magasin vidé de ces badauds, il me fait sortir et traverser le sex-shop. A mon grand étonnement, il saisit alors la laisse, me frappe sur les fesses et me dit :
-« A quatre pattes chienne ! »
Incrédule, je le regarde mais d'autres claques se mettent à pleuvoir. La dernière claque sur les fesses, plus sèche me décide enfin à me mettre à quatre pattes. On descend alors les escaliers menant au sous-sol, là où se trouvent les cabines de projection. Il décroche la laisse de mon collier et me fait avancer ainsi dans le couloir sombre. De la lumière filtre de cabines dont les portes ***t entrebâillées. Christophe me précède. Il ouvre la première porte, discute un instant avec le type dans la cabine puis se rend vers les autres portes ouvertes et répète le même scénario. Moi, j'attends, toujours à quatre pattes dans le couloir. Le contact des chaînettes du corset sur mes seins me fait un peu fris***ner. Les fesses à l'air, l'œuf vibrant planté dans la moule, je ne sais quel plan Kader et Christophe ont encore échafaudé pour moi. Mais cela m'excite, un pas de plus à franchir...mon entrejambe est déjà humide. Christophe reviens du fond du couloir, je l'entends dire distinctement : « Je vous préviens, per***ne ne la baisera, c'est un vide-couille, vous pouvez juste lui balancer votre purée dans la bouche. Cà vous évitera de souiller les cabines... ». Il passe à côté de moi. La main dans la poche, il a déclenché discrètement la télécommande de l'œuf vibrant. Aussitôt une sensation très agréable envahit mon intimité. Je suis gratifiée d'une dernière claque ***ore sur les fesses, il se baisse, prend possession de ma bouche avec sa langue pour une longue pelle, puis me regarde dans les yeux et me dit : « allez ma grande, entre et fais leur du bien, tu dois tout bien lécher comme une bonne chienne. Il ouvre la cabine numéro un en grand, et je pénètre à quatre pattes. Sur un fauteuil style salon de jardin, un gars plutôt grassouillet s'astique en regardant un film bisexuel. Sans me regarder, il me saisit par mon collier et me place devant lui, fesses face à *** entrejambe. Il continue de se branler et de la main gauche et sans préparation me fourre *** pouce dans le cul. J'ai un peu peur que tout cela ne dérape mais les consignes de Christophe ont été formelles, j'ai confiance en lui, il se fera respecter s'il y avait un souci. Le gars, ne me regarde pas. Moi, devant lui, j'ai le nez à quelques centimètres de l'écran, je peux voir des traces de sperme séchées provenant d'éjaculations précédentes, c'est assez glauque. Le gars commence à me titiller la chatte, mais il se rend compte de la présence de l'œuf et n'insiste pas. Les douces vibrations m'émoustillent peu à peu et je commence à faire onduler légèrement mon bassin. Au bout de quelques minutes, le type se lève et jouit contre l'écran en criant. Il me met le nez sur *** jus et me dis :
-« allez, nettoie bien tout avec ta langue, salope ! »
Je commence timidement à lécher l'écran du bout de la langue, mais soudain les vibrations dans mon vagin se font beaucoup plus intenses. Christophe est derrière la porte et active la télécommande. Je m'applique plus encore et sent monter la jouissance, quelle honte, mais c'est si bon. Finalement je perds le contrôle. Je lèche tout le foutre sur l'écran, la langue bien sortie, et je jouis en criant
-« ho, oui, c'est bon, encore, c'est fort, ouiiii... »
Le mec est sidéré, il me retourne et me donne *** chibre à nettoyer. Je suis un peu déçue quand j'aperçois enfin celle-ci car elle est plutôt de taille moyenne. Mais je m'applique à tout nettoyer et recueille les dernières gouttes perlant de *** méat.
chrislebo

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#7,815
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Peu à peu les vibrations baissent en fréquences jusqu'à devenir presque imperceptibles. Cela me rassure, je sais maintenant Christophe présent et j'ai entrevu quelques flashs, il doit prendre des photos.
La fréquentation du sex-shop, n'est pas très forte et rares ***t les cabines occupées. A la cabine numéro quatre, cela va plutôt vite. A peine rentrée, un type chauve fumant un cigare m'attrape par les cheveux sèchement et m'enfoncent sans ménagement sa queue dans la gorge. Il jouit tout de suite abondamment. Je n'arrive pas à déglutir et suis obligée d'avaler la plus grande partie de sa semence. Il récupère le reste sur mon menton avec un papier toilette, puis le jette dans la poubelle. Christophe me récupère et m'emmène jusqu'à la huit, dernière cabine occupée. Celle-là est plus vaste car elle peut accueillir des couples. Assis au centre, un noir de forte stature matte un film SM où une fille blonde, sur une table médicale est en train de se faire dilater la chatte par un gros gode. Le gars a un sachet blanc à côté de sa chaise et il demande tout de suite s'il peut utiliser *** attirail avec moi. Christophe après avoir contrôlé le contenu de celui-ci lui fait signe de la tête, puis sort de la pièce.
Les vibrations reprennent, un peu plus fortes...
Le grand black, me place devant lui sans ménagement, il me fait ouvrir la bouche et sortir ma langue. Il se place au-dessus de moi et fait couler sa salive directement dans ma bouche. Il prend en même temps ma main et la porte sous *** boubou blanc. Mes doigts fébriles enserrent une tige d'une belle largeur et remontent vers un gland de belle taille. C'est un bel engin qui me fait frémir de désir. Le type se penche et me dis à l'oreille :
-« T'aimerai et moi aussi, que je te la fourre profond dans ton cul, mais dommage, j'ai pas le droit. Alors on va utiliser çà... »
Il fouille dans le sachet puis balance devant mon nez, un plug anal avec une poire de gonflage et me dit :
-« ça te dirait cochonne, que je te dilate la rondelle ?»
Je baisse la tête et répond d'un « oui » timide.
Ma réponse l'a excité et aussitôt il se déchaîne. Il crache sur mon anus, puis après l'avoir bien lubrifié avec *** pouce, me mets deux doigts dedans. Il crée le passage puis place la tête du plug et appuie dessus. Je suis surprise car celui-ci s'enfonce sans trop de difficultés, il n'y a que la partie la plus forte du diamètre qui peine un peu. Christophe a remis les
vibrations de l'œuf au maximum et le gars maintenant se place devant moi et me donne sa queue à sucer. Elle sent fort et je reconnais l'odeur, il a dû déjà jouir en se branlant auparavant.
Pendant que je lui bouffe sa tige, il appuie sur la poire du plug et peu à peu le dilate au maximum. J'ai l'intestin tellement distendu que je me demande si je ne vais pas me faire dessus.
Je comprends pourquoi Kader m'a fait faire un lavement avant de venir. Il me claque aussi les fesses de sa main libre, avec une cadence régulière. La chatte stimulée et le cul bien dilaté, je suis aux anges et m'applique pour faire jouir *** gros chibre.
Je n'ai jamais sucé un noir auparavant, je trouve çà génial. Je sens sa tige se contracter mais avant qu'il ne jouisse, il dégonfle le plug et le dégage de mon œillet. J'ai soudain comme une sensation de vide mais je vois immédiatement mon africain jouir très fort sur le plug. Des gouttes tombent sur le sol. Il approche le gode, me le carre dans le bouche et me le fait nettoyer. Quand j'ai terminé, il me fait terminer ce qu'il y a sur le sol et me demande si j'ai aimé. Je lui réponds :
-« oui monsieur, surtout quand mon cul était bien dilaté et j'ai bien aimé votre jus aussi ». Il me dit alors que j'ai droit de jouir aussi parce que j'ai bien obéit. Pendant que je nettoie sa pine mollissante avec ma langue, il me met trois doigts dans mon cul bien ouvert et me branle fortement. Combiné avec les vibrations de l'œuf, l'effet est foudroyant et j'ai un bel orgasme.
Cela plait à mon compagnon de jeu. Mais la fête est finie. J'ai vidé les trois clients du sex-shop. Je remonte au rez-de-chaussée accompagné de Christophe qui me félicite :
-« Bravo, t'a été une bonne salope, plus pute que je ne pensais.
Kader sera content quand je lui montrerai tes photos »
Je vais dans la cabine d'essayage pour me changer et remet mes affaires de ville. Je n'ai plus que quinze minutes avant mon train. Christophe entre dans la cabine, sa belle bitte a la main.
Je ne peux que le branler rapidement, il reste trop peu de temps. Mais les scènes auxquelles il a assisté l'ont semble-t-il fortement excité. Au bout de quelques secondes, il me fait m'accroupir et me nappe le palais de sa liqueur. Au vu de ce que j'avale, le spectacle a dû vraiment le contenter. Je quitte prestement la boutique et j'ai juste le temps de sauter dans le train qui me ramène dans la monotonie quotidienne de mon foyer. Durant le retour. Je m'endors, des images perverses terribles mais maintenant vécues dans la tête avec un sentiment mélangé de honte et de fierté.

chrislebo

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Corinne et le vieux Paul


Quatre ans se ***t passés depuis ma rencontre envoûtante avec Christophe puis Kader. L'épouse fidèle mais insatisfaite que j'étais alors, était devenue peu à peu leur objet sexuel, leur vide-couilles comme ils se plaisaient à dire. Sous leurs ordres j'ai multiplié les aventures sexuelles dépravées, poussé toujours plus loin le vice et repoussé mes limites. J'ai beaucoup évolué et suis devenue très cérébrale et libérée. Début 2010, beaucoup de choses ont changé. D'abord Christophe s'est marié avec une allemande, une superbe blonde de huit ans sa cadette. Ils ***t partis vivre près de Weimar. Le sex-shop d'Amiens où j'étais régulièrement exhibée et où j'aimais me faire baiser a donc changé de gérant. Je n'y suis plus retournée depuis. Heureusement, il y a toujours mon maître et amant Kader qui, s'il est moins disponible qu'avant, demeure toujours aussi inventif et surprenant. A cette époque, il a pris certaines habitudes les soirs où mon mec bossait de nuit. Parfois, il venait vers deux heures et me sodomisait dans notre lit conjugal ou encore il m'emmenait dans un chantier pour me livrer à des ouvriers immigrés. Quand il venait dès le départ de mon mari, c'était pour m'emmener à Lille. Il m'attachait à un arbre dans les friches de la citadelle, puis m'accrochait ensuite une pancarte sur laquelle on pouvait lire « je suis un sac à foutre, baisez-moi fort». Il me faisait prendre à la chaîne pendant une partie de la nuit par les mecs qui passaient, en leur imposant la capote. Une fois il m'a même fait sucer ensembles deux gays qui avaient baisé non loin de l'arbre où je me trouvais pri***nière.
Quand mon mari a perdu *** emploi en avril, suite à la crise, c'est devenu plus difficile, il était souvent là et je n'étais plus aussi disponible pour Kader. Heureusement, suite à une formation, j'ai trouvé un emploi d'aide à domicile qui me permet de quitter le foyer sans éveiller les soupçons de mon mec. Depuis quand je pars faire ma tournée, je téléphone à Kader qui s'arrangea pour me rejoindre quand il peut. On baise dans la voiture, les chiottes de l'autoroute ou parfois en pleine nature, comme dans les bois de Vimy. J'aime ce nouvel emploi qui m'a donné l'occasion de nouvelles aventures palpitantes. J'ai aujourd'hui envie de vous les confier...

Un de mes patients régulier est le vieux Paul. Assez bien mis pour ses 70 ans, il a été opéré d'un kyste sous la cage thoracique et a besoin d'aide chez lui pour le ménage. Dès le premier jour, j'ai compris que j'avais affaire à un vieux cochon. Il matait mon cul quand je me baissais ou s'arrangeait pour m'entrevoir quand je changeais ma blouse. Tantôt cela m'amusait, tantôt cela m'agaçait en fonction de mon avance ou de mon retard sur le planning. Plusieurs fois j'ai vu entre ces jambes une belle bosse caractéristique qui montrait que je ne le laissais pas indifférent. Il a été jusqu'à me frôler les fesses, un jour ou j'étais en train de récurer sa baignoire. Je m'étais contentée de lui lancer un regard noir...
Un soir, après que Kader m'eut baisée en levrette dans sa bagnole, je lui ai raconté le manège du vieux Paul. Kader m'a sourit, m'a demandé si cela m'émoustillait, puis il m'a dit que pour la prochaine fois, il faudrait que je sois très « sexe » pour aller chez ce patient. C'était un ordre et sa belle femelle devait obéir. Il m'a demandé le numéro du patient et je lui ai donné. Il a ajouté qu'il me préparait une surprise comme au bon vieux temps. Le dimanche soir, je recevais un mail. Les ordres de Kader étaient embarrassants. Il fallait que je me rende chez le vieux Paul, nue sous ma blouse, portant des bas couture noirs et avec un plug anal dans l'anus.
Le mardi matin, j'ai reçu un appel téléphonique du vieux Paul qui m'a dit de prévoir de quoi faire sa toilette car il se sentait fatigué. Ce n'était pas à *** habitude, jusqu'ici il ne m'avait demandé que de l'aider à se coiffer. Il a ajouté qu'il m'attendait avec impatience...
Vers 16h30, j'arrive chez mon patient. J'ai obéi aux consignes de Kader par habitude, intriguée du sort qui m'est réservé. Je me suis mise dans la tenue de soumise prescrite. Le vieux Paul a un sourire aimable en me voyant, mais dans ses yeux, je crois lire la perversité. La toilette se déroule sans encombre. Ensuite, le vieux Paul me demande de l'aider à faire sa toilette intime car *** pansement l'empêche de se pencher correctement. Je lui donne sans arrière pensée l'aide nécessaire et après avoir desserré sa ceinture, lui baisse *** pantalon. Je suis alors toute surprise de le voir me prendre l'épaule et me dire :
- « çà te dirait de me faire une petite pipe ma jolie ? »
Tout de suite une odeur de négligé me parvient. *** slip est auréolé de tâches jaunes et parait assez immonde. Par amour pour Kader, je surmonte mon dégoût et je le baisse jusqu'à mi-cuisse. Je découvre un sexe de taille respectable avec de lourds testicules. Hésitante, j'approche mon visage de sa grosse verge aux poils gris. Il ne bande pas encore. Je saisis maladroitement sa hampe et décalotte *** gland. Sa queue est grasse de sperme et une forte odeur s'en dégage. J'en ai un haut le cœur. Voyant mon mouvement de recul, il me serre très fort le bras :
- « Allez, fait pas ta mijaurée, suce moi à fond... Kader m'a dit que t'étais une bonne salope qui ne refuse rien. Je me suis branlé dans mon slip en pensant à ton cul depuis deux jours, j'ai tout gardé pour toi. T'aimes pas les grosses queues ma belle ? »
chrislebo

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#7,817
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J'essaie de me dégager et le fixe droit dans les yeux :
- « J'aime les grosses queues quand elle bandent fort. La votre est molle et elle pue l'urine et le foutre, c'est écœurant ! »
Il ricane me serre le bras de plus belle :
- « Allez à genoux, Kader m'a dit que j'avais tous les droits sur toi, tu vas voir si je bande pas, tu vas aimer salope ! »
Il me fait mal à l'avant bras, je suis forcée de m'agenouiller et de saisir sa queue. Avec hésitation j'entame un va et vient qui décalotte *** prépuce et fait apparaître *** gland violet et malodorant. Rapidement sa verge gonfle, elle n'est pas très longue, peu être 18 ou 19 cm mais me semble très large, quoiqu'en comparai*** avec mon mari, tous les sexes me semblent maintenant très larges...Elle doit bien faire 6 cm de large, çà me semble énorme. Et ma tutrice qui me disait pendant les cours de toilette que les vieux ne bandaient plus vraiment !!
Le vieux Paul constate ma surprise et ces yeux brillent de lubricité
- « Alors, t'as vu si je bande pas, petite garce, allez suce-moi maintenant ! »
Il me saisit par la nuque mais cette fois, sa main me serre un peu moins fort qu'auparavant. Je combats mon dégout. Je ferme les yeux et en apnée, je pose d'abord mes lèvres sur *** gland. Je salive beaucoup pour nettoyer les traces de sperme séchées et le vieux m'encourage :
- « Allez, crache sur ma bitte, lubrifie-la bien, tu vas la prendre entière dans ta bouche. »
Je lui obéis, Kader a dit de tout faire pour le satisfaire. Sa queue est entièrement bandée et décalottée maintenant. Peu à peu je m'habitue à *** goût fort. J'ouvre maintenant les yeux et observe cette pine luisante de salive que je suis en train de nettoyer. Je la branle un peu puis glisse ma langue sous le gland et le titille.
- « Ha salope, tu me fais du bien ! t'as vu que t'aime la bitte, dis le ! »
Oui j'aime la bitte. Mes instincts de femelle soumise ***t en train de se réveiller. J'ai chaud entre les cuisses et je suis bientôt moite. Je prends maintenant sa queue à pleine bouche et alterne en faisant virevolter ma langue sur *** gland. Le vieux apprécie. Il écarte un pan de ma blouse et caresse ma poitrine libre sous le tissu. Il titille mes pointes qui, très réactives, ne tarde pas à durcir. Je glisse une main entre mes cuisses et tente avec deux doigts de calmer la chaleur qui irradie mon vagin. Le vieux Paul s'en aperçoit et s'écrie :
- « Haha, ma cochonne, çà te plait tellement que tu te branles en me suçant. Tu mouilles ? »
- « Oui Monsieur, humm, je mouille, ma chatte est bien ouverte vous m'excitez avec votre grosse queue. »
- « Alors petite dépravée, tu aimes sucer les queues des vieux, elle est grosse hein ? Plus grosse que celle de ton cocu de mari ! »
Ses paroles me transcendent. Cuisses bien ouverte, mes doigts plantés au fond de mon vagin, je sens l'orgasme monter. Je lui réponds entre deux soupirs :
- « Oui, elle est bonne, si grosse et bien plus large que celle de mon mari, j'adore... »
- « Tu la veux au fond de ta chatte, tu veux que le vieux Paul te baise à couille rabattues ? »
- « Oui, monsieur, baisez moi, faites ce que vous voulez avec moi. »
- « T'es une bonne chienne, ma petite et je vais t'en donner. Mais patience, il y a quelques mois que j'ai pas baisé tu vas d'abord me faire jouir dans ta bouche que je dure plus longtemps au fond de ta chatte. Allez, sors ta langue de salope ! »
Je suis comme en transe, je sors ma langue sous *** gland et le vieux se branle énergiquement pendant que je m'astique le bouton. Soudain il se crispe et pousse comme un cri de douleur. *** gland pourpre se met à cracher une quantité impressionnante de sperme. La première saccade part au fond de ma gorge et je ne peux rien faire d'autre que de l'avaler. Une seconde toute aussi forte me nappe la langue et coule de ma bouche sur ma poitrine. La troisième me touche en plein visage et sur les yeux.
- « Tiens, prend tout mon foutre, avales ma belle ! »

chrislebo

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#7,818
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Je ne tarde pas à jouir à mon tour. Mes sphincters serrent par spasmes le plug enfoncé dans mon anus, c'est divin. Transcendée, je me mets à tutoyer mon malade.
- « Oui, c'est bon, donne moi tout vieux salop, jouis bien dans ma bouche ! »
J'avale avec gourmandise *** éjaculation. Le vieux pervers frotte *** gland contre mon visage, il récupère ce qui s'est répandu vers ma bouche et m'oblige à me délecter jusqu'au bout de *** foutre. Puis, il tombe à genoux. Il reprend peu à peu ses esprits, me sourit. Je me crois sauvée, je l'ai vidé le vieux, il va me foutre la paix ! Je me redresse et tente de me réajuster. Je sens bientôt *** souffle derrière moi.
- « Attend ma belle, ce n'est pas fini, prête pour le grand fris*** »?
-« Mais, vous avez eu votre compte, vous n'en avez donc jamais assez ?
Fis-je surprise et quelque peu agacée.
- « Au téléphone, Kader m'a dit : tout ce que je voudrais, tu sais ce que ça veux dire TOUT ? »
- « Vous êtes vraiment un vieux cochon plein de vices ! »
Il s'approche de moi pelote mes seins puis caresse mes fesses fermement. Très directif, il me fait me retourner, enlève les cinq boutons de ma blouse blanche. J'apparais nue devant lui, avec pour seul vêtement mes bas à couture noirs, comme Kader me l'avait ordonné.
Le vieux a un sifflement admiratif :
- « Dis donc, t'es vachement bien foutu pour une nana de presque 40 ans, tu t'entretiens bien ! »
Il s'approche, m'attire contre lui et commence à m'embrasser. Sa langue trouve la mienne pendant quelques instants. Il embrasse très bien et se fait très doux. Je suis aux anges. Je sens *** sexe commencer à se redresser contre ma chatte. Mon corps semble l'exciter fortement.
Tout en continuant à me rouler une pelle, sa main droite s'égare vers me fesses et *** pouce ne tarde pas à rencontrer le socle de mon plug anal. Il arrête *** baiser, me dévisage un instant :
- « Tout ce que m'a dis Kader au téléphone était donc vrai, une vrai pute juste bonne à se faire baiser, tu aimes l'anal, petite ? »
Je lui dis en baisant légèrement les yeux que les aventures extraconjugales que m'avait fait connaître Kader m'avaient vite appris à accepter cette pratique dont je ne pouvais plus me passer maintenant. Il joue un instant avec le plug, fis comme s'il veut le retirer puis se ravise et le replace au fond de mon fondement.
-« Je ne vais pas profiter de la totalité de tes trous tout de suite, de toute façon tu reviendras bientôt aider le vieux Paul à se laver. La prochaine fois, peut-être que j'aurai juste envie de t'enculer... Tu prends la pilule ?
- « Non, je porte un stérilet, c'est mieux vu le nombre d'amants inconnus que Kader m'impose. Certains soirs, dans la salle cinéma du Sex Shop d'Amiens, j'ai été baisée et sodomisée par plus de dix mecs différents ! »
Il a l'air ***geur :
- « Mais les MST dans tout çà ? »
- « Kader organise tout, il prépare ses plans et vérifie que les participants aient fait récemment un contrôle HIV, je lui fais confiance c'est un maître formidable et un bon amant »
Le vieux sourit, il m'avoue que Kader lui a bien entendu aussi demandé une preuve de test HIV. Il ajoute l'avoir envoyée la semaine précédente par la poste.
- « Alors, si tout est en ordre, ma petite, maintenant tu vas t'en prendre plein la chatte ».
Il installe le drap de bain prévu pour sa toilette sur le sol, se rallonge dessus et me commande :
- « Allez, viens t'empaler sur moi !»
Il branle sa grosse biroute qui déjà s'est nettement redressée. Je m'approche, le caresse un peu sous les couilles, effleure d'un doigt *** anus, il bande suffisamment fort pour me pénétrer.
Il me fait placer à califourchon en me confiant que c'est mieux pour *** dos. Je m'installe au dessus en faisant attention à ne pas toucher *** pansement. Je saisis *** sexe et le présente à l'entrée de ma grotte humide. Le gland *****, sa bitte est vraiment large et malgré la mouille, elle a du mal à se frayer *** chemin.
- « Aïe, vous êtes gros, çà me fait un peu mal »
Il plaisante :
- « Hé oui ma belle, voilà ce que c'est qu'avoir un mari monté comme un enfant ! Allez concentre toi, bouge doucement ton bassin, tu sens, elle s'enfonce doucement, je te dilate bien la chatte, hein ? »
Il me fait déjà de l'effet. Ma chatte est rouge et distendue. J'ai beau l'écarter au maximum avec mes doigts, *** chibre ne rentre pour l'instant que de la moitié.
- « Humm... je vous sens bien, elle est vraiment très large, je la sens qui touche le plug à travers la paroi de mon vagin, c'est curieux comme sensation, mais tellement bon ! »
- « T'aime çà hein, c'est comme une double pénétration, vas-y bouge, je veux te la mettre à fond »
J'ondule doucement le bassin et centimètre par centimètre, sa queue dure s'enfonce dans ma chatte. Je sens *** gland toucher bientôt contre mon utérus. Il me remplit totalement.
- « Voilà tu vois, bien embrochée et sans aucun lubrifiant, quel effet çà fait ? »
Je commence en cadence à chevaucher le vieux Paul, d'abord lentement puis plus rapidement. De nouveau une douce chaleur envahit mon bas ventre, je mouille et le lubrifie maintenant bien, sa verge coulisse sans soucis, je suis maintenant complètement dilatée, c'est une sensation divine.
- « Haa, Ouuii ! C'est bon, encore, regardez comme elle rentre bien, c'est bon, qu'est ce que vous baisez bien, encore, ouiii !»
La queue du vieux me mets les sens en feu. Une nouvelle fois dans le feu de l'action, je confonds le vous et le tu :

chrislebo

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#7,819
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- « Encore, baisez moi encore, allez mets la moi profond, hooo, prenez-moi plus vite maintenant, oooh je jouis, ouiii, c'est bon ta grosse queue dans ma chatte, défonce-moi encore ! »
Le vieux est aux anges, il savoure l'instant, il alterne les coups de reins, sors parfois totalement de ma chatte ruisselante, puis me prend profond et de plus en plus vite.
Notre partie de jambe en l'air ne dure pas très longtemps. Paul n'est malheureusement plus de toute jeunesse et n'a visiblement plus l'habitude de baiser. Il s'écrie bientôt :
- « Putain, je vais bientôt jouir cochonne, j'vais pas tarder à la remplir ta petite chatte ! »
Je n'en peux non plus. Sa bitte s'acharne au fond de moi dans un clapotis d'enfer, j'essaie de réduire la cadence et de serrer mon vagin pour qu'il empri***ne bien sa queue :
-« Ouiii, vas-y, donnez moi votre purée, remplis bien ta salope, c'est bon ouiii, quel pied, bon dieu ouiii ! »
Je pars dans un orgasme fulgurant mais mon cavalier ne tarde pas à me rattraper, il explose à grand bruit :
- « Tiens ma belle, prend tout au fond de ta chatte, aaah, quelle salope tu fais, putain c'est bon, c'est bon ! »
Je suis vidée m'ai j'évite de m'effondrer sur lui pour ne pas lui faire mal. Accroupie, je reste empalée sur *** dard quelques minutes, je le sens dégonfler peu à peu. Lorsque je me redresse, une quantité de foutre presque aussi importante que tout à l'heure s'écoule de mon vagin et s'étale sur *** ventre.
Le vieux Paul sourit. Il se redresse, me saisit par la taille et sans ménagement enlève le plug de mon anus. Il le trempe dans la petite flaque odorante de nos ébats et me replace le toy bien au fond des fesses. Puis il met une bonne claque dessus en disant :
- « Tiens, çà te fera un petit souvenir de moi »
- « En fait de souvenir, ma chatte en aura certainement un encore jusqu'à ce soir, elle est toute distendue ! » dis-je en rigolant.
L'excitation retombe, je me réajuste, reprend mes esprits. Puis je me concentre sur mon job, j'aide le vieux Paul à faire sa toilette. Je lui lave sa belle queue avec précaution, passe le gant sur ses lourds testicules. Je ne peux m'empêcher de déposer un baiser sur *** gland. Une goutte perle encore du méat...
Je l'aide enfin à s'habiller et à s'installer dans *** fauteuil. Il regarde ensuite un programme à la télévision, pendant que je m'occupe de *** ménage. Puis je viens pour lui dire que j'ai terminé et que je men vais. Il m'attire une dernière fois à lui, me donne encore un langoureux baiser. Ses doigts s'égarent dans les poils encore humides de mon vagin rempli.
- « Tu reviens quand ma petite cochonne ? »
- « Mardi prochain, Monsieur Paul !»
Alors il rétorque :
- « Oui, bien sûr, alors à Mardi, pour la toilette ... »
Puis il me fait un clin d'œil et me place une petite tape sur les fesses :
- « Pour une toilette cochonne, avec ta langue ... »
Je le quitte en souriant. Dehors, il fait presque nuit. Avant de monter dans la voiture, j'allume une cigarette et flâne quelques instants. J'ai encore le goût de *** foutre salé sur ma langue... Perdue dans mes pensées je me surprends à sourire : Quel vieux pervers, mais quel sacré bon baiseur ce Paul !

chrislebo

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#7,820
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Salope à domicile


Enfin Mardi ! Durant toute la semaine, j'ai pensé à mes ébats avec le vieux Paul et je n'ai plus qu'une idée en tête : Recommencer et aller plus loin avec lui...
Nous sommes en début d'après-midi, et conformément à mon planning, je me rends chez Paul pour sa toilette et le ménage. Je sais d'instinct qu'il va vouloir me baiser qu'il sera plus pervers que la dernière fois. Peut-être me prendra t-il par le cul cette fois ? Tout en conduisant, j'imagine la scène et *** gros gland dilatant mon anus et j'en mouille déjà mon string...
Quatorze heures ! Je ***ne à la porte du vieux Paul. Il vient m'ouvrir, encore en pyjama et s'efface pour me laisser entrer. Il en profite immédiatement pour me peloter les fesses au passage. Je joue faussement l'indignée...
- « Non mais, vieux cochon!»
Il rit franchement et recommence de plus belle :
- « Allez fais pas ta mijaurée, t'es venue chercher ta ration de bite auprès du vieux Paul ? »
Je lui souris. Il n'y va pas par quatre chemin, plutôt direct le vieux ! Dans le salon, alors que j'enlève ma veste, il se colle à moi et me taquine déjà les seins.
-« Alors, tu t'es fait baisée par ton cocu de mari l'autre soir, après être sortie de chez moi ? »
Je m'assois sur le canapé et lui raconte ma mésaventure. En effet, à peine rentrée à la mai***, j'ai pris une longue douche et me suis brossé les dents pour faire disparaître toute trace suspecte. Le soir, dans le lit conjugal, mon mari comme souvent a voulu me sauter. Je lui ai fait rapidement une petite pipe, puis il m'a prise en missionnaire... à peine 10 minutes, c'était pathétique... Il a eu l'air inquiet et m'a dit qu'il me trouvait plus large que d'habitude. J'ai dû lui raconter un bobard, et j'ai prétexté l'excitation. S'il savait que je me fais enfiler par devant et par derrière par des queues presque 4 fois plus large que la sienne !
Paul rit franchement à mon histoire puis caresse mes longs cheveux bruns. Tel un môme, il vient s'asseoir sur mes genoux, sur les genoux de sa « salope à domicile » comme il aime à m'appeler. Il entrouvre ma blouse et me caresse les seins à pleine main. Ce vieux pervers me plait terriblement, il est doué pour le cul et m'attire de plus en plus. Déjà bien excitée, je lui baisse *** slip et une odeur aussi forte que la dernière fois me flatte les narines. Je le décalotte puis branle lentement sa queue et caresse ses couilles bien pleines. Nous nous roulons une longue pelle, langues sorties et je sens *** sexe qui enfle rapidement dans ma main. Paul apprécie ma caresse, il bande bientôt complètement et ma main fait maintenant à peine le tour de *** gros chibre odorant. Je le masturbe alors très énergiquement, *** gland en devient violacé. J'arrête car je vois à *** visage qu'il va décharger dans ma main si je continue mon traitement.
Paul veux que j'humidifie sa queue. Je m'agenouille, et le prend délicatement dans ma bouche, *** odeur de foutre et d'urine maintenant ne me dégoûte plus. Au contraire, elle fait monter mon excitation. Je m'applique à nettoyer avec ma langue chaque repli sous *** gland, salive bien dessus. Ça fait un effet bœuf au vieux Paul. Il saisit ma tête et me baise la bouche avec énergie.
- « Allez salope, bouffe moi bien la bite, comme çà, prends-la en entier, oui à fond ... »
Il me permet enfin de respirer, je me redresse et lui enlève sa veste de pyjama. Je lui chuchote à l'oreille :
- « Hummm, tu bandes déjà fort, tu as vraiment une grosse bitte, vieux cochon... Allez viens m'empaler maintenant, je veux te sentir écarteler ma petite chatte.»
Je m'appuie sur le canapé, fesses relevées :
- « Allez vas-y fourre la moi tout au fond, en levrette.»
Le vieux se penche d'abord sur mes fesses et bientôt sa langue fouille mon vagin et titille mon clito. Il sait vraiment bien y faire et je mes sens fondre :
- « vas-y enfonce bien ta langue dans mon trou, tu me rends folle ! »
Paul jubile, après quelques minutes de préparation, il présente sa queue à l'entrée de ma grotte et s'y enfonce plus facilement que la première fois. Il me remplit vraiment bien:
- « Tiens petite garce, prends çà ! Putain que ta chatte est chaude et bien lubrifiée, un vrai four ! »
En effet, je mouille comme une malade et sa queue coulisse merveilleusement bien dans mon vagin:
- « Vas-y, défonce-moi la chatte, donnes-moi des grands coups comme çà, baise-moi bien fort, hooo... »
Il me baise vraiment bien, avec vigueur, presque mieux que Kader, mon amant attitré. Il a du être un sacré mec viril pendant sa jeunesse.
- « Lime bien l'entée de ma chatte avec ton gros gland... Cà te plait vieux salop quand je te caresse les couilles en même temps ? »
Mon langage cru le transcende. Il claque *** bassin plus sèchement contre mes fesses, accélère encore sa cadence diabolique. Le nez dans les coussins, j'écarte mes fesses au maximum pour bien profiter de cette pénétration hors norme. Mon anus, alors bien en évidence n'échappe pas aux doigts inquisiteurs du vieux :
- « Vas y là, je vais jouir, là, ça arrive, Hooo oui ! Mets tes doigts, claque fort, j'adore ton pouce dans mon cul, haaaa, je jouis, c'est trop fort, haaaa, encore !»
Paul commence à se raidir, il va bientôt jouir.
- « Haaa, je vais cracher ma purée, je peux plus retenir, c'est trop , je vais venir, attends... »
Il se retire en comprimant la base de sa verge qui déjà montre des spasmes. Je me retourne vers lui, j'ai une envie folle de sentir sa semence sur ma langue. Je prends *** sexe en main et le regardant dans les yeux. je lui dis ce qu'il semble attendre :
- « Regarde, je te lèche bien la bitte, je vais te pomper à fond. »
Je le suce un peu mais je sens bien qu'il ne peut plus se retenir. Je sors ma langue et la darde alors contre *** gland. Paul est au supplice :
- « Attend ça vient, tu demandes que ça hein, je vais tout te donner. »
Je glisse trois doigts dans ma chatte béante et accélère ma fellation. Avant qu'il ne jouisse sous ma caresse salace, j'ai encore le temps de lui dire vicieusement :
- « Envoie ta purée dans ma bouche, voilà çà vient, c'est chaud, c'est bon, encore ! HUMMMPF...»
*** éjaculation est alors immédiate. Elle est aussi intense que l'autre jour. Le foutre déborde de ma bouche. J'en avale le plus possible mais il coule sur mon menton et ma poitrine.
- « Bordel, c'est bon, quelle bonne suceuse tu fais, tiens prends tout ma belle baiseuse, prends tout dans ta bouche de salope et avale! Haaaa, tiens, lèche tout jusqu'à la dernière goutte. »
Je me mets à lui aspirer les couilles, il se branle au dessus de mon visage pour que les dernières gouttes tombe sur ma langue. Il m'étonne alors en me roulant une pelle magistrale alors que j'ai les lèvres encore souillées de sa semence. Les doigts toujours fichés au fond de mon vagin, j'ai alors un second orgasme plus long et plus intense que le premier.
Nous sommes exténués. Nos galipettes ont été aussi intenses que la dernière fois. Il nous faut reprendre conscience doucement. Allongée sur le dos, je récupère mon paquet de cigarettes dans ma blouse et en allume une. Les premières bouffées me font beaucoup de bien, mon cœur reprend un rythme presque normal. Ce vieux cochon de Paul est allongé à côté de moi, il me caresse la chatte, *** pouce frotte contre mon clitoris. Il me demande comment j'ai trouvé sa performance :
- « J'ai bien senti ta bitte, elle était bien épaisse, une baise royale comme j'aimerai en connaître plus souvent ».
Paul m'embrase de nouveau. Il me mordille le lobe de l'oreille pendant que je caresse à nouveau *** gros mandrin bitte. Il en profite alors pour me susurrer très excité:
- « laisse-moi un petit quart d'heure pour récupérer, après je vais bien te casser le cul ».
Je termine ma cigarette en souriant aux anges. Après un clin d'œil, je lui réponds :
- « Décidément mon vieux salop, tu as de la ressource. Et avec une queue pareille çà va être délicieux dans mon cul, une fois bien ouvert ... »

chrislebo

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Alicia


Depuis quelques temps lorsque j'arrivais chez ma chérie, j'avais pris l'habitude de me mettre nu dès mon arrivée dans *** appartement. En fait, c'est elle qui m'avait « obligé » à la retrouver dans cette tenue. J'étais amoureux fou d'Alicia, et dans notre couple, c'est elle « qui portait la culotte », comme on dit familièrement. Il faut dire qu'elle avait presque dix ans de plus que moi, et que c'était la seule fille que j'aie connu. Cela s'était fait petit à petit sans que je ne m'en rende compte, mais c'est toujours elle qui commandait, et moi qui obéissait.
Ce jour là, à peine arrivé chez elle, j'entends sa douce voix me dire du fond du salon :

- Dès que tu seras nu, apportes- moi le plateau qui est dans la cuisine, j'ai une surprise pour toi.

Je pris ce plateau, sur lequel était posées une cafetière et deux tasses, et me dirigeai vers ma douce aimée, et là effectivement une véritable surprise m'attendais. Une belle femme était assise sur le canapé à côté d'Alicia, à peu prés de *** âge, avec une certaine classe, mais qui à première vue me semblait assez hautaine et autoritaire. Alicia m'expliqua :

- Je te présente Hazi-Maendal, une très bonne amie photographe, qui veut te prendre en photo pour *** site internet.

J'étais tellement stupéfait par cette présence que je ne pouvais pas bouger. Je devais avoir l'air idiot, complètement nu devant cette étrangère. Cette dernière m'apostropha :

- Approche toi donc de moi, que je voie si tu peux faire l'affaire.

Abasourdi par la situation, j'avançai jusqu'à être à seulement quelques centimètres d'elle. Mon sexe étais quasiment devant ses yeux. Sans aucun complexe, elle commença à me caresser la poitrine, puis me demanda :

- Pose donc ce plateau, il me gêne pour bien te voir.

Comme un automate, je me retournai pour le poser sur la table basse derrière moi, sans penser une seule seconde que c'étaient mes fesses qu'elle avait en pleine vue à présent. Une fois que je fus revenu en position initiale, elle reprit ses attouchements en descendant directement vers mon intimité. Malgré le malaise qui m'embarrassait, mon sexe commença à prendre du volume. Lorsqu'il eut atteint une bonne taille, Hazi-Maendal se tourna vers mon amie pour lui dire :

- Je pense qu'il fera l'affaire.

Puis ensuite vers moi :

- Je vais juste te poser une question. Es-tu vraiment prêt à faire tout ce que je demande pour que je puisse faire de belles photos.

Un oui sortit alors de mes lèvres sans que je ne m'en aperçoive.

- C'est bien. reprit-elle. Je vais déjà te prendre seul en photo, et quand Mike viendra, je vous prendrai tous les deux en situation. Mike est un garçon qui a déjà posé pour moi. Pour commencer tu vas t'asseoir sur le fauteuil.

chrislebo

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Elle se leva pour prendre *** appareil photo, pendant que je pris position.

S'approchant de moi, elle prit chacune de mes jambes pour les poser sur les accoudoirs du fauteuil. J'étais à présent les cuisses ouvertes, le sexe toujours tendu face à l'objectif.

C'était la première fois que l'on me prenait en photo nu. Je pensais qu'elle allait me faire prendre des poses plus académiques, mais à priori ce n'étais pas le cas. Elle prit de nombreuses photos de moi, en particulier des gros plans de mon sexe.

- *** site est un site classé X.

Me précisa Alicia en voyant mon embarras. Elle-même semblait aussi confuse que moi en m'annonçant cela.

Mike arriva à ce moment là. A peine quelques secondes plus tard, il était entièrement nu à côté de la photographe.

- Tu vas changer de position. Me dit alors Hazi-Maendal.
- Mets-toi à genoux sur les accoudoirs, mets tes mains derrière ta tête et reste bien droit.

Au point ou j'en étais à présent, je n'avais guère le choix. Je pris donc cette nouvelle position, même s'il n'était guère aisé de garder l'équilibre. J'étais encore plus mal à l'aise, d'être dans cette tenue devant deux per***nes inconnues. Mon érection commençait à battre de l'aile.

- C'est bien que tu sois épilé. Ajouta Hazi-Maendal, puis elle essaya de glisser un doigt entre mes fesses en disant :
- J'espère que là aussi.

Instinctivement, j'essayai de serrer les cuisses pour lui interdire cette intromission.

- Oh là là. Se plaignit-elle. Tu as l'air bien sensible de ce côté-là.
- Tu ne t'es jamais fait sodomiser. Me demanda-t-elle alors.

J'étais rouge de confusion, et elle devina en voyant mon visage que j'étais vierge de ce côté-là.

- Et je suppose que tu n'as jamais sucé de garçon non plus.

Devant mon air gêné une nouvelle fois, elle comprit que non.

- C'est super. Ajouta-telle. Un puceau pour la première fois dans mon site gay.

Je compris alors pourquoi elle avait fait tant de prise de mes attributs, j'allais être en photo dans un site homo. Il n'en n'était pas du tout question, je voulais alors descendre du fauteuil pour lui faire part de mon désaccord.

- Je te rappelle que tu t'es engagé à faire tout ce que je veux, pour que mes photos soient réussies. Avertit t-elle.
- Et puis cela ne va pas te faire mourir. Ajouta Alicia d'un ton assez indigné.
- Reprends la pose maintenant, on a assez perdu de temps. Conclut Hazi-Maendal.

Si ma compagne s'y mettait elle-aussi, je n'avais plus qu'à obéir. Mais cette fois, l'escargot était retourné dans sa coquille, comme on dit vulgairement.

- Mike. Intima la photographe. Remets-le en forme.

Je n'eus même pas la ***** de réagir lorsque ce dernier s'avança vers moi, et pris mon sexe entre ses lèvres. C'était la première fois pour moi, car Alicia n'avait jamais voulu me donner ce plaisir.
Le bougre savait y faire, car en quelques minutes je fus de nouveau droit comme un I.
Hazi-Maendal fit entendre encore de nombreuses fois le déclic de *** appareil pendant que Mike s'activait sur moi. Lorsqu'elle eut assez pris de photos de face, elle me demanda de me retourner :

- Mets-toi dans l'autre sens à présent, toujours sur les accoudoirs, le corps bien penché sur le dossier, pour que tes fesses ressortent bien.

Mon esprit était dans un autre monde, mais mon corps obéissait à présent à toutes les sollicitations, sans penser à se rebeller. Je ne pensais plus à rien.
Mes fesses et mon petit trou furent immortalisés pour l'éternité dans l'appareil photo.

- Prépare le pour la suite. Commanda la photographe à Mike.

Ce dernier s'approcha de moi, écarta mes fesses, et y plaça sa langue au centre. Après plusieurs minutes, je sentis un doigt me pénétrer et faire des allers-retours. Puis un objet froid *****r ma petite rondelle.

- J'ai bien fait d'apporter quelques accessoires. Gloussa Hazi-Maendal.
- C'est un plug anal. Annonça-t-elle à mon encontre. Si tu es sage je t'en ferai cadeau.

Elle fit encore quelques prises avant d'annoncer :

- Cette première série aurait pu être mieux, j'espère que tu vas t'appliquer davantage dans les poses avec Mike.

Elle enchaîna.

- Mike, tu vas te mettre debout bien au centre de la pièce, et toi, à genoux devant lui.

Lorsque j'eus la virilité tendue de Mike devant mon visage, les ordres et les photos s'enchaînèrent, tandis que j'obéissais comme un automate :

- Prends-le dans ta main, et approche tes lèvres de *** extrémité.
- Place tes lèvres au bout, et embrasse-le.
- Caresse-le avec ta langue à présent.
- Toujours avec ta langue, tu vas le lécher de bas en haut.
- Prends-le en bouche maintenant.
- Avance tout doucement tes lèvres petit à petit, que je puisse bien prendre la progression de ta bouche.
- Maintenant, tu peux le sucer jusqu'à ce qu'il se lâche, et tu attendras que je te dise pour avaler.

chrislebo

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J'étais humilié au possible, mais je m'appliquai tout de même, pour finir le plus vite possible mon calvaire. Je fis comme les filles que j'avais déjà vu faire dans des films pornos : des allers et retours rapides avec ma bouche, tout en le masturbant énergiquement de la main.

- Sers-toi de ton autre main pour caresser ses bourses. Me conseilla Hazi-Maendal.

Mike, qui m'avait donné la cadence avec sa main, ne résista plus très longtemps malgré mon inexpérience. Je suppose qu'il était très excité par le fait que c'était la première fois que je suçais un garçon.
Lorsque j'eus toute la semence de Mike dans ma bouche, Hazi-Maendal proclama :

- Ouvre bien la bouche.

Là encore, elle fit de nombreux clichés de mon visage en gros plan.

- Cette série là était mieux, tu es très doué pour les fellations. Tu peux tout avaler à présent, sans en perdre une seule goutte.

Mon dégoût était au summum, mais il n'était guère question que je recrache. Je fis donc, pour la première fois de ma vie, connaissance avec le goût du sperme.

Hazi-Maendal félicita Alicia pour mon obéissance. Celle-ci se redressa fièrement, et me lança un regard plein d'amour.

- Tu as vraiment de la chance aujourd'hui. Me dit Hazi-Maendal. Après ta première pipe, tu vas avoir ta première sodomie.

Je ne sais pas si c'était vraiment de la chance, mais cette première expérience ne m'avait pas du tout excité.

Il fut décidé d'aller sur le lit d'Alicia pour faire cette nouvelle série. Hazi-Maendal me fit mettre à quatre pattes, les genoux au bord du lit, et le visage presque aplati sur le matelas. Une pose que j'avais déjà vue, mais habituellement réservée aux filles des magazines hot.

- Mike ! Comme c'est sa première pénétration, tu vas le préparer en douceur avec cela.

Et elle sortit de *** sac un objet fait de petites boules les unes superposées aux autres, d'un diamètre supérieur à chaque fois.

- C'est un gode boulier, parfait pour une initiation. Me dit-elle.

J'avais presque oublié mon plug anal, lorsque Mike le retira sans précaution. Il se fit sévèrement sermonné par Hazi-Maendal pour n'avoir pas écouté ses recommandations.

- On réglera cela ce soir à la mai***. Lui dit-elle d'un ton assez dur. Maintenant tâche d'être plus doux.

Mike commença comme tout à l'heure à me caresser avec sa langue, qu'il fit pénétrer petit à petit. Lorsqu'il l'eut fait entrer à fond, il se retira et introduisit les premières boules du gode, non sans l'avoir lubrifié d'un gel au préalable. Il lui fit faire plusieurs allers-retours, avant de l'enfoncer ensuite d'une boule supplémentaire.

Hazi-Maendal ne cessait de mitrailler l'action au plus près. Quand à Alicia, elle s'était également approchée pour ne rien rater.

Mike continuait tranquillement *** petit manège, faisant pénétrer de plus en plus le gode boulier, puis le ressortant, et l'enfonçant à nouveau d'une boule supplémentaire. Autant la séance de fellation m'avait écœuré, autant cette pénétration en douceur me réconciliait avec la singularité de la situation. D'autant qu'il me semblait que je commençais à y prendre plaisir.
chrislebo

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Mike annonça ensuite à Hazi-Maendal que je devais être prêt pour la suite.

- Vas-y. lui répondit-elle simplement.

Mike, qui était en pleine érection, approcha *** sexe de mon petit trou. Puis il força sans mal *** entrée, le gode avait bien préparé le terrain. Lorsqu'il fut à fond, il commença ses allées-venues. Malgré l'inconfort de la situation, je me surpris à suivre ses mouvements de mon bassin. Après quelques minutes, il se retira pour se libérer sur mon dos. J'en étais presque frustré, s'il avait continué un peu plus longtemps, j'aurais certainement pris mon pied moi aussi.

Hazi-Maendal, qui avait l'œil à tout, s'en était aperçue, et dit à Alicia :

- Tu aurais dû essayer plus tôt, il a de bonnes dispositions pour la sodomie.

Pour me remercier de ma participation, Hazi-Maendal ordonna à Mike de me faire lui aussi une fellation. Ce qu'il fit sans se faire prier, je crois qu'il aimait vraiment cela.

Hazi-Maendal avait posé *** appareil photo à présent, et s'était assise à côté d'Alicia pour nous regarder.
Pendant que Mike s'activait sur moi, je m'aperçus qu'Hazi-Maendal avait glissé une main entre les cuisses d'Alicia. Cette dernière semblait troublée par l'attitude de *** amie, mais ne dit rien.
Lorsque j'eus pris mon plaisir, je regardai à nouveau les deux filles. Elles étaient sagement assise l'une à côté de l'autre, à nous regarder. Je vis tout de même qu'Alicia venait elle aussi de jouir, et qu'elle essayait de le cacher à mes yeux. Je ne savais pas qu'elle avait des tendances homosexuelles.

Avant de partir, Hazi-Maendal m'offrit un plug anal comme elle l'avait promis, mais il était nettement plus gros que le premier. Elle m'appela pour le mettre directement à sa place, c'est-à-dire entre mes fesses. Après la pénétration que je venais de subir, il entra facilement sans me faire mal.

- Tu le garderas 24 heures sur 24. Me prévint-elle. Seule Alicia pourra te le retirer quand elle le désirera.

Et à Alicia, elle offrit un double gode ceinture. Une partie intérieure qui pénétrerait Alicia, et une autre d'assez belle taille à l'extérieur « pour le plaisir de ton chéri » expliqua t-elle.

- La prochaine fois que je reviendrai. Annonça Hazi-Maendal en nous quittant. Je serai accompagnée d'une amie, et c'est toi Alicia qui posera avec elle.

Mon amie eut un sourire un peu embarrassé, mais je savais qu'elle attendrait ce moment là avec impatience. Même si elle avait essayé de le cacher à mes yeux, elle avait beaucoup apprécié les caresses de *** amie.

chrislebo

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Ma belle-mère à ma merci


J'ai permis à ma belle-mère, qui ne disposait que d'une petite pension, de venir habiter la petite mai*** à côté de la mienne, qui m'appartient également. Au départ ma femme et de *** amant pour la Suisse, et après que j'ai perdu mon boulot dans la période qui s'ensuivit, je ne vis d'autre solution que de mettre la mai*** principale en location pour me faire un revenu d'appoint, et d'aller habiter l'annexe avec ma belle-mère.
Dans *** esprit, j'étais comme *** fils. C'est un Italienne qui n'a plus quitté les vêtements de deuil depuis *** veuvage. Elle supporte assez bien ses 70 ans (j'en ai 49), pas grosse et le teint relativement frais. Évidemment, des rides un peu partout et la poitrine que l'on suppose assez déconfite, mais dans l'ensemble, on voyait que cela avait été une jolie femme.
Elle me chouchoutait comme une mama, habituée à travailler inlassablement pour préparer des petits plats, recoudre, nettoyer, etc. En bonne Sicilienne, elle respecte l'autorité du « padrone di casa » Évidemment, elle est très bigote, ne rate pas une messe, en fait dire de nombreuses pour le repos de *** défunt mari et pour laver les péchés de sa fille. On dirait parfois qu'elle veut expier pour cela, comme si elle en était responsable. J'en eus la confirmation lorsque, rentrant d'une soirée de cartes chez des amis, j'entendis un bruit bizarre provenant de sa chambre. En entrebâillant la porte, je vis qu'elle était nue jusqu'à la taille, agenouillée devant une image du Christ, et se donnant des coups de ceinture sur les épaules, en marmonnant des prières ou incantations en italien.
Le lendemain, lorsque je l'interrogeai, elle me dit qu'elle devait mortifier *** corps et s'humilier devant Dieu, pour expier les fautes de sa fille, et pour que *** mari aille en paradis. Quelques jours plus tard, alors que j'avais un peu trop arrosé mes pâtes aux aubergines, j'entendis le même bruit. J'entrai résolument dans la chambre, et lui pris la ceinture des mains. Je lui dis qu'en effet, elle avait bien des choses à faire pardonner de Dieu, et que j'allais l'aider à se mortifier. Je la poussais en avant, et elle tomba à quatre pattes devant l'icône. Je relevais sa jupe à la taille et commençai à lui donner de petits coups de ceinture. A ma grande surprise, elle se laissa faire et continua à prier.
Je voyais le cul ridé mais bien proportionné de ma belle-mère offert à ma punition, et, le vin aidant, je baissais mon pantalon et me mis à genoux derrière elle. Elle continua à psalmodier, et j'empoignai ses hanches après m'être déculotté. Mes doigts fiévreux introduisirent mon sexe maintenant bien dur dans la chatte de la vieille et après quelques tâtonnements (elle n'était pas lubrifiée) je finis par pouvoir imprimer un mouvement de va et vient dans sa chatte. Ses incantations étaient maintenant entrecoupées de plaintes et de gémissements, mais elle était à ma merci, et ne pouvait se soustraire à ma pénétration.
Au mur, la photo du défunt mari nous contemplait pendant que je baisais sa veuve. Je ne pus me retenir davantage et lâchais mon sperme dans la vieille chatte. Ma belle-mère se recomposa tant bien que mal, et après s'être rhabillée, débarrassa la table et fis la vaisselle, tandis que j'allais au lit cuver mon vin.
En me réveillant le lendemain, je me demandais si j'avais rêvé. Toutefois, la table était prête pour mon petit déjeuner et elle était en train de nettoyer la salle de bains. Le soir venu, je lui dis qu'il était temps de prier et la poussais dans sa chambre. Je la fis s'agenouiller et lui introduisis mon sexe dans la bouche. Elle savait ce qu'elle devait faire et commença à me sucer. Ensuite, je la pris à nouveau par derrière et n'éjaculais qu'après un très long va et vient.

chrislebo

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#7,826
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Le jour suivant, j'ouvris sa garde robe et tous ses tiroirs et finis par trouver une robe dont le dessus était ajouré de dentelle noire assez transparente, de même que des porte jarretelles et des bas noirs. Je l'obligeais à porter ces vêtements toute la journée. Le week-end, nous allâmes écumer les boutiques de lingerie, et elle fut ainsi dotée d'une garde robe à faire pâlir toutes les putains de Palerme. Ainsi vêtue, elle passait ses soirées à me sucer ou à m'offrir ses fesses ou sa chatte. En toutes circonstances, elle gardait un air triste et réservé, souvent proche des larmes, mais acceptait *** sort comme une sainte marchant au martyre.
Elle était cependant tracassée, car elle m'expliqua qu'un soi-disant moine qu'elle avait consulté, lui avait dit que la mortification devait s'accompagner de souffrances physiques. Je lui fis donc baisser les bretelles de *** soutien gorge et lui pinçai violemment les seins. C'est le genre de choses qu'elle semblait attendre. Je décidais donc qu'elle devait dorénavant déambuler dans la mai*** et vaquer à ses occupations, avec *** soutien ainsi baissé afin de laisser le bouts de ses seins apparents. Dans un premier temps, je lui fixai des pinces-linge aux tétons, mais je la convainquis ensuite, pour une pénitence plus efficace, de se faire percer le bout des seins. On lui fixa deux anneaux, que je pris l'habitude de rattacher l'un à l'autre par une chaînette.
Depuis ce jour, ma belle-mère est mon esclave sexuelle, et je suis particulièrement excité par ses gémissements lorsque je triture ses seins. Elle le recherche également. Lorsque la douleur et la honte lui font monter les larmes aux yeux, je lui enfonce mon sexe en bouche et sa langue servile me pompe jusqu'à la jouissance. Cela se fait devant la photo de *** défunt mari

chrislebo

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#7,827
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Puisque ma belle-mère gobe toutes les bondieuseries de mortification et de martyre, pourquoi ne pas en profiter? Au bistrot, je n'ai évidemment pas pu m'empêcher d'en parler à mon pote Jacky et d'autres oisifs de notre groupes. Ils se ***t donc mis en tête de venir passer une soirée belote chez moi. Le moment venu, ils ***t arrivés à l'heure (pour une fois) et on a un peu forcé sur l'apéro. Ma belle mère était en grande tenue de veuve, comme d'habitude, mais je lui avais fait mettre des hauts talons (avec lesquelles elle se déplace assez gauchement) et je lui avais imposé de se maquiller.

Mes copains rigolaient derrière *** dos, et me charriaient chaque fois qu'elle allait en cuisine. Des remarques du style « alors, tu fais la sortie des hospices, maintenant? » ou « t'as pas peur qu'elle perde un os pendant que tu la baises? », ou encore « elle retire *** dentier quand elle te suce? ». Cependant, le repas terminé, on avait continué à picoler ferme, et tout en jouant aux cartes, je voyais que ces pervers observaient les allées et venues de ma vieille servante avec de moins en moins de retenue.

Finalement, un d'entre eux se risqua à me dire « t'en ferais bien profiter les copains, espèce d'élément antisocial ». Tout le monde rigolait bien, mais tous avaient l'air d'approuver. Je les laissais mariner un peu, puis je dis « ok, 50 euros chacun, et vous l'emmenez au septième ciel ». Ils protestèrent vigoureusement, me traitèrent de maquereau et de capitaliste, mais deux chopines plus tard, Bibi allait quand même à *** portefeuille et mettait *** billet sur les table, suivit après une hésitation de quelques seconde par les deux autres.

chrislebo

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J'appelais donc « holà, belle maman, venez donc un peu ici ». Elle arriva avec d'autres bières, pensant que c'était cela que je réclamais. « Mes amis veulent voir vos fesses, tournez vous donc et montrez les ». Elle pâlit, et se mit à balbutier « mais on ne peut pas, c'est mal » (je vous passe l'accent italien à couper au couteau) « je suis veuve, ce n'est pas bien ». Je lui répondis d'un ton qui n'admettait pas de réplique « il faut que vous expiez vos péchés, vous le savez bien, allez vieille salope, relevez votre robe ». Elle se tourna et remonta lentement sa robe au dessus de la ceinture. Naturellement, elle était en porte jarretelles et en bas noirs. Je lui dis de s'agenouiller devant Bibi et celui ci sortit un gros sexe flasque de *** pantalon. « tu vas arranger cela, vieille pute » dis-je, et elle commença à s'exécuter. Elle avait acquis une certaine pratique avec moi, et même un gros porc comme Bibi ne pouvait s'empêcher de bander en sentant la langue de la vieille s'appliquer sur *** sexe. Jacky ne pouvait attendre *** tour, et il se mit donc à genoux derrière elle, sortit *** sexe de *** froc, et le lui enfourna dans la chatte. De grosses larmes couraient sur les joues de leur victime pendant que ces deux salauds la prenaient. Bibi éjacula et retira lui sa bite de la bouche pour barbouiller *** visage de sperme. Jacky lâcha peu après et il s'essuya sur la robe de la vieille. Ce fut ensuite au tour de Fred, qui la retourna sur le dos, et s'enfourna dans sa chatte. Elle était pantelante, sa robe de deuil relevée bien haut, les cuisses écartées, avec un type trente ans plus jeune qu'elle qui la besognait. Ses larmes lui donnait tout de la sainte vivant *** martyre, mais ne faisaient évidemment qu'exciter mon copain davantage. Fred se retira finalement en s'essuyant également sur le chemisier noir.

Nous nous remîmes à jouer et à boire. Elle continuait à nous servir à boire et à manger, *** maquillage ruisselant sur les pommettes, sa robe tachée de sperme en plusieurs endroits. Je tenais à terminer par une note humoristique. Je la fis mettre à quatre pattes, et lui enfonçai dans le cul un des cierges qu'elles plaçait toujours devant le portrait de *** mari. Je me fis sucer à mon tour. Mon dard s'enfonçait avec délice dans la gorge sans défense de ma belle mère. Je pris mon temps. Les autres me mataient et se remettaient à bander. Elle allait avoir droit à un deuxième service. Je giclais au fond de sa glotte et essuyais mon sperme dans ses cheveux. Dans notre saôulographie, nous l'amenâmes à sa chambre, et pendant le reste de la nuit, nous la prîmes par tous les orifices.

Le lendemain, vers 10h, je me réveillais dans le divan. Bibi et Fred étaient au lit avec elle. Ses bas étaient filés, et *** soutien abaissé, laissait voir ses seins fatigués. Au mur, la photo du cher disparu contemplait la scène avec, me sembla-t-il, un rien d'excitation dans les yeux ...

chrislebo

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Blowing Big Brother


I never really like my big brother, NeIl. He was nine years older than me and we just seemed to be from different generations. He always seemed so stuck up and pompous to me even when he was only a teenager. And he was always so damned right and sanctimonious. And he was Mum's favourite, her blue eyed boy that could do no wrong, especially once Dad left us. My sister Kelly always seemed to feel the same. She was three years younger than him and it he obviously annoyed her about as much as me. I was the youngest and as youngest ******** are wont to do I rebelled as I got older, which indirectly is why I was sitting in the ante room to my big brother's office about to do something I vowed I would never do -- ask him to help me out.

I was 21 and since leaving school had pretty much successfully wasted the three years between leaving school and then. It all went wrong when I found out that I was quite the pool player and if I was smart enough there was easy cash to be made that way. So I made easy cash and then started betting it on the horses and won more than I lost, which brought me to the attention of some frankly undesirable pseudo gangsters who I started playing cards with. Despite early victories I started losing and then losing big and here I was owed some pretty nasty characters £10,000 or my kneecaps were going to be broken. And I was pretty fond of my kneecaps.

Neil, meantime, was a tycoon, a financial whiz kid. Had made his money in stocks and shares and sold at the right time and was now Managing Director of his own engineering company and as all the local press liked to tell us it was going places, landing some pretty major national contracts. In short he was minted and was the only viable idea I could come up with for getting that level of cash in a week (which was all I had).

God I felt like I was sitting in my old Headmasters office here, waiting for my brother. His ultra young and ultra sexy secretary had showed me in here when I arrived unannounced and said she would do what she could but that "Mr. Clark was extremely busy". So I took a seat and thought back on some less than pleasant memories. Like the many times Neil got his way, we played the games he wanted to play when he wanted to play them and it never really mattered what I liked. I guess that was part and parcel of being a much younger brother but it used to annoy the hell out of me and I would hate it and take whatever joy I could from his all too infrequent cock ups. I think I did annoy Neil though, almost as if I should have liked and respected him just because he was my older brother, but I didn't I disliked him and treated him as a joke to me wherever I could.

My train of thoughts was interrupted as the sexy secretary (I wondered if Neil ever tried it on with her then dismissed the notion, he was too much of a prude, always had been, to do something like that) returned and informed me he made a space in his schedule to see me. So promising myself to leave all past grudges in that waiting room I followed her (man, what a piece of ass she was!) and was led through a maze of corridors until I was shown into his office.

He was sat there behind his large desk looking as smug and self satisfied as ever, even though he was only 30 he looked about ten years older and probably wanted to look like that. He was well built and had obviously been spending time in his own personal gym at home and didn't even bother to get up as I entered and the door shut behind me. Looking back now I wish I had never gone in there.

He pointed at the chair across from him, it was lower than his and put you at a disadvantage straight away. He didn't ask how I'd been or anything, he just cut straight to the chase.

"So little brother, what do you want?"

"Hey Neil, who says I want anything, I just wanted to see how you were doing."

"Yeah right. Save it, I don't have time to waste listening to it. What is it? You're in trouble and need me to bail you out? That it? Yeah, I can see it is. How much you need then?"

God, he was such a condescending prick. I felt like I was a teenager all over again. Anything else and I would have stormed out of there flipping him the middle finger on the way. But truth was I was scared, I was in with some bad men, that you did not fuck about with. So I kept my temper and tried to appeal to his better nature.

"Ok, you're right Neil I'm in a bit too deep, owe some gangsters a bit of money and it would be cool if you could help me out with a loan."

"Ha, that's a good one! A loan. And when would you pay me back? Anyway how much is this 'loan' for? A thousand? Two?"

chrislebo

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#7,830 
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****, no wonder he was good at business I was a mess already and blurted out "ten thousand or I get some plastic surgery that I don't need". He found that funny but rather than laughter his humour was just a smile. A very cruel smile. He sat tapping his pen for a few moments and in those moments I remembered every thing I hated about my brother. He was making me wait deliberately and I was fairly sure it was only to answer in the negative anyway. Then he stopped tapping and looked over at me.

"Ten thousand? I suppose I could get the money, come back at twelve tomorrow, but you'll have to do something first to get the cash, we won't call it a loan, more a payment for services rendered."

I didn't like the sound of that but what could I do? I was being offered a possible way out of my troubles and the survival instinct took over so I thanked him and let him get his secretary to show me out (and I got another good look at those long legs of hers), I even tried chatting her up but she just looked at me like I had two heads and blew me off. Ah well, can't get everything I thought to myself. I was certainly happier leaving than I had been going in but I couldn't shake the feeling there was still a twist to this, Neil was like that and I'd be a fool to trust him even if I was his little brother.

*

When I returned to his offices the next day that damned secretary was still there to greet me grinning from ear to ear. Sure she was a cute blonde but something about her was starting to annoy me and all the more so when it became apparent she now knew I was her boss's brother. She gave me a very knowing smile and led me through to Neil's office and somewhat to my surprise stayed with us, standing adjacent to his desk as he addressed me.

"Good to see you again little brother, I've got the money, as you can see."

And with that he flipped open a briefcase and removed a thick pile of notes. It was what I needed but there was something palpably wrong here. I looked at the expectant secretary and back at Neil.

"Thanks Neil, but shouldn't we be doing this in private, I mean I don't want everybody knowing our business."

He just laughed and winked at the secretary.

"Oh don't worry about Miss Kebbler, she knows all my business, she's my right arm, so to speak. Besides I want her to see what you're going to do for the money."

Uh-oh.

"And what is that. You know I'm grateful for you helping me out like this, I'll do anything to repay you, I really will."

The next few seconds would remain with me until the day I die. Without a word of a lie and with a big, cheesy, **** eating smile he looked first at Miss Kebbler then directly at me and said.

"Good. That being the case John I want you to get undressed, get down on your knees and crawl over here and suck my cock."

To say the next moments were charged with stunned silence would be understating it. Eventually I found my voice.

"What the fuck! You're joking aren't you?!"

But I knew instinctively he wasn't. I could see it in his eyes. He hadn't changed from all those years ago, he was still a domineering bully who had to get his way. I just hadn't realised what a sick freak he really was. And saying that in front of his bimbo secretary? Twisted as fuck. He smiled coldly at me as he spoke again.

"No I am not joking. The only joke in this room is you. You are a pathetic, sad little joke brother. Pathetic. And if you want me to bail you out of the mess you have managed to create for yourself you will do as I say and allow me to glory in your ***********. You always were a cocky little ****, needing down a peg or two."

God, I could have swung for him there and then but I didn't, I called him a "sick arsehole" and stormed out but before I was out the door he called after me.

"You'll be back little brother and you'll do what I say. And you know the best part? When you come here all sheepish asking to see me, Stacy here will know exactly why you're here and what you're going to do!"

I paid his words little heed and stormed out of there to find a pub and get *****, which I was very successful in doing.

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