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les histoires de chrislebo

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vanbruje

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Posts: 282
#5,131
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Merci pour ce beau texte.
Juste une petite chose : je n'ai toujours pas la traduction des ***** ! Peut-être pourriez-vous nous éclairer ?
Merci d'avance
paco2244

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Posts: 2437
#5,132
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les ***** remplacent les lettres S-O-N qui, attachées, sont la traduction en anglais du mot désignant le rejeton mâle de quelqu'un (dur à expliquer quand il ne faut pas employer aucun des termes synonymes !). C'est comme ça depuis que ces c*** (là, c'est moi qui met volontairement les étoiles !) se sont mis à vouloir censurer sur ce site tout ce qui pourrait inciter de près ou de loin, ou faire référence à des relations contre-nature (ou du moins qui enfreignent certains tabous de nos sociétés car je rappelle que, au Japon, il est d'usage que les génitrices soulagent manuellement leur progéniture jusqu'à ce qu'elle soit en âge et capacité de le faire seule).
Mais tout ceci est bien trop complexe et subtile pour nos amis d'outre-Atlantique qui trouvent forcément plus normal de priver le restant de la planète de l'usage de trois lettres de leur alphabet et du vocabulaire qui les utilise, sans aucune connotation perverse, que de se pencher sur le cas autrement plus sérieux des effets sur leur jeunesse de la vente libre des armes dans leur pays.
Laissons nos mômes se faire massacrer à coups de M16, du moment que les autres n'ont pas d'idées malsaines, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes...
soumis8

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Posts: 3142
#5,133 · Edited by: soumis8
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.............................
chrislebo

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#5,134
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Paix Syndicale



Patrick Mitchell avait laissé ses problèmes derrières lui. *** ex-employeur avait décidé de ne pas le poursuivre pour l'argent qu'il avait détourné pour payer ses dettes de jeux. Il avait dû contracter un emprunt important pour rembourser ses dettes, mais après une thérapie salutaire, il avait postulé sur un poste de directeur de chantier dans une petite ville isolée du Nord. Ainsi, loin de ses démons, il pourrait payer ses dettes et rebâtir sa vie.

C'est ainsi que Patrick 38 ans, sa femme Catherine 32 ans et leurs 3 enfants se ***t installés dans une petite mai*** fournie par la compagnie dans ce secteur du pays presque exclusivement nourri par l'industrie minière.

Patrick s'est rapidement plongé dans *** travail. *** mandat était de restructurer l'organisation du travail. *** prédécesseur, Mark Cassidy, un petit comptable né dans la région, avait quitté *** poste précipitamment après environ un an pour retourner travailler sur un chantier loin dans le nord. Pour le peu que Patrick sache, la pression de l'emploi était trop forte pour ce petit commis mal formé. Il faut dire qu'on ne se battait pas pour aller travailler dans le nord. *** poste est resté vacant pendant environ 2 ans. Si ce n'était de *** besoin de s'éloigner des casinos, jamais Patrick et sa famille n'aurait accepter ce genre de travail.

Après quelques mois, Patrick avait réussi à mettre au point un plan de restructuration ambitieux qui allait modifier en profondeur l'organisation du travail dans la mine et l'usine adjacente. Avec les économies réalisées, Patrick aurait sûrement une promotion et pourrait finalement tourner la page sur *** passé de gambler et lui permettre de régler les dettes qui l'étouffent tout en levant les possibilités de poursuite que *** ancien employeur maintenait jusqu'au paiement complet de sa dette.

Un soir vers 11h, alors que les enfants dormaient, Patrick révisait ses dossiers pour la rencontre prévue avec les hauts dirigeants la semaine suivante. La porte s'ouvre sans qu'on ait ***né. En sortant de *** bureau, Patrick tombe face à face avec 4 hommes de forte stature armés de barres de fer. Immédiatement, il reconnaît un des hommes. Il s'agit de John Bloom, le président du syndicat de la mine. Cet agitateur était le premier élément à éliminer dans le plan de Patrick. Sans même le regarder, un des hommes le prend par le bras pour l'entraîner vers le salon alors qu'un autre se rend directement dans la chambre à coucher où Christine dors. Quelques instants après, il voit sa femme conduit poliment mais fermement jusqu'au divan par une brute de plus de 300 lbs.

Per***ne ne parle, mais le regard affolé de Christine et la sueur qui coule sur le corps de Patrick témoignent de la tension qui règne dans la mai***. Un des hommes prends *** téléphone portable et compose un numéro, puis le referme. Per***ne ne souffle mot.

Soudainement, la porte s'ouvre à nouveau. Une femme dans la quarantaine d'environ 5'4, ne pesant pas plus de 120 livres, entre dans la mai***, la tête basse. Elle s'avance au centre du salon, fait face au couple terrorisé et retire lentement ses vêtements. Ses seins ne ***t plus aussi ferment que dans sa jeunesse et sa chatte agréablement entretenue montre un poil noir et court. Une fois nue, elle s'agenouille sans dire un mot et fixe intensément le plancher. Aux yeux de Patrick et de sa femme, il est clair que cette femme n'apprécie ni sa condition, ni sa position.

Dans un silence accablant, un des hommes s'avance et baisse *** pantalon devant le visage de la femme qui place lentement ses mains derrière *** dos. Il empoigne fermement sa riche chevelure et enfouie sa gigantesque queue profondément dans sa bouche.

La pièce se remplie du *** de la femme qui tente de respirer tout en suçant cette queue qui, en grossissant, obstrue presque entièrement sa bouche. Râles, bruits de succion et grognements se mélangent sans que la femme n'offre la moindre résistance. L'homme est dur et ne montre aucune délicatesse pour la suceuse. Parfois, sa main glisse vers ses seins qu'il malaxe maladroitement pour finalement lui pincer le téton. Le corps de la fille se raidit sous l'effet de la douleur, mais sans jamais tenter le moindre mouvement pour éviter ces violentes caresses.

John Bloom se place à côté de Christine et prend la parole.

« Il est de tradition dans le coin que les représentants du syndicat rendent visite au nouveau patron en dehors du cadre de la mine, question de créer des liens plus amicaux.»

Patrick en a le souffle coupé. Jamais John ne tient compte de la fille qui ne cesse de s'user les genoux sur la moquette. Il fixe Christine dans les yeux.

«Va nous chercher quelque chose à boire. Tu n'as pas appris à recevoir la visite en ville? »

Maladroitement, Christine se lève. Elle passe le plus loin possible de la femme à genoux et reviens quelques instants plus tard avec 4 bières. Les hommes la remercient poliment et elle retourne s'assoire. Le gars qui reçoit la fellation ralentie le rythme et dépose sa bouteille sur la tête de la pauvre suceuse. Tous sirotent leur bière en silence.

Après une dizaine de minutes de ce traitement, le gars se retire en bousculant la fille qui tombe sur le côté, épuisée. Il la ramasse par le bras, la bouscule et s'allonge sur le sol, la queue fièrement dressée. Curieusement, Patrick à une pensée pour l'impressionnant engin et surtout pour l'endurance de cet athlète. Il chasse rapidement cette idée de *** esprit, envahi par l'horreur de la situation. La brute de 300 livres empoigne la femme par les bras, la brasse un peu et celle-ci va s'asseoir d'elle-même sur la bite tendue, face à Patrick et Christine.

Elle se laisse descendre lentement sur la queue de l'homme en grimaçant. Il est clair qu'elle n'est absolument pas lubrifiée et que la pénétration est douloureuse. Soudain, le gars lui agrippe les hanches et s'enfonce profondément d'un violent coup de rein.

« Arrrrrgh!!! » s'exclame t'elle alors que des larmes de douleur éclatent dans ses yeux.

« Arrête de taponner chienne! Bouge ton cul! »

Lentement la femme commence à monter et descendre sur la bite de *** tourmenteur.

John Bloom s'avance vers elle et lui allonge une puissante gifle. Elle doit s'accrocher aux jambes du baiseur pour ne pas tomber et garder un semblant de rythme. Alors que l'empreinte de la main de John prend une couleur rougeâtre sur *** visage, elle prend la parole sans arrêter de baiser l'homme étendu sur le sol.

« Je... suis la.... touffe de la ... arrgh... mine. »

Le gars au sol lui donne périodiquement de violents coups de queue, mais jamais la fille ne stop *** discours.

« Je suis la femme ... Unnh...de Mark Cassidy. »

« Quand mon... mari était patron de la mi...... Ahiiie ... ne »

L'homme lui assène une cuisante claque sur le cul pour qu'elle bouge plus vite.

« Il a voulu mater... le... syndicat. Il a congédié John. »

À la mention de ce souvenir, ce dernier lui envoie une puissante gifle. Mme Cassidy poursuit.

« Unhh... Peu de temps après, Mark... a été battu et nous avons été harcelé quotidiennement par... »

« Ahhh moins fort SVP... »

«... tous le monde au village. »

Les larmes coulent alors librement sur ses joues. Voyant cela John lui ordonne.

« Allez chienne bouge tes tétons. »

Immédiatement, la pauvre femme augmente le rythme de ses vas et viens et laisse librement bondir ses seins, rendus moins fermes par l'âge et les abus, sur sa poitrine dans un bruit de claquement.

« J'aime les voir bondir comme ça. »

« Jouie salope! »

Sur ce, Mme Cassidy se lance dans le plus mauvais orgasme simulé qu'on ait connu.

« Ah oui, Ah oui, plus fort... Baise-moi... Aahhhhh! Ihhhhh! Je jouiiiiie!!! Aaaaahhh! »

Le tout est dit sans aucune conviction, *** visage traduisant sa douleur et sa honte. John et les autres rient à gorge déployée.

« Elle n'a jamais réussi à jouir correctement. Malgré *** dressage, elle est incapable d'y arrivée. »

« Allez continue garce. »

Elle reprit *** vas et viens plus lentement. « Nous avons appelé ... la police. Arggh... mais le policier du.... village est l'ami de John... »

THUD! L'homme que chevauchait madame Cassidy la projette sur le sol. Il prend la femme par les cheveux et, sans ménagement, la dispose à quatre pattes, sa tête reposant sur les genoux de Christine.
chrislebo

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#5,135
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L'homme lance un salut de la main au couple terrorisé et leur fait un clin d'œil amusé. C'est le policier.

« Marc a tenu *** bout, le harcèlement s'est transformé en guerre. Ma sœur a été agressée. Mon fils battu à l'école et ma fil... fille ».

Le reste de la phrase s'est perdue dans les sanglots. Le silence était total dans la pièce à l'exception des pleurs de Mme Cassidy qui mouillaient la chemise de nuit blanche de Christine.

Elle reprend rapidement, le souffle court.

« Une nuit, ma fille de 18 ans est revenue chez nous à moitié nue, les vêtements déchirées, des bleues partout sur le corps, les cheveux et le visage couverts de sperme séché. »

Vint un long moment de silence.

« Sur *** dos et ses fesses, on pouvait lire écrit au feutre: La salope est toujours vierge. On s'est bien amusé. La prochaine fois, elle ira lécher des anus dans les mines du nord. »

« AAAARRRRGGGHHHHH »

Le hurlement de la femme fend la nuit. Le policier vient de planter *** énorme pénis dans le cul de la pauvre femme. Sous le rire gras des trois autres hommes, il se lance alors dans un rapide mouvement qui ne laisse aucune chance à la pauvre soumise.

Tout au plus, peut-on entendre la voix de Mme Cassidy en sourdine alors que sa tête s'enfonce dans le ventre de Christine.

« Pitié..... Lubrifiant.... Pitié... »

« Moi, je préfère ça à sec. Le lubrifiant, c'est pour les bites molles » lance le policier sous le rire tonitruant du gros bonhomme de 300 lbs.

La femme est malmenée pendant quelques minutes. Les seuls bruits qu'on entend ***t les grognements du policier qui s'exécute sans retenu et les pleurs des enfants au loin.

Christine perd soudainement conscience sous le coup de l'émotion. Remarquant cela, le dernier homme quitte la pièce. Il revient peu après avec une chaudière d'eau glacée qu'il lance à la figure de la jeune femme. Celle-ci ce réveil brusquement pour voir le visage tordu par l'effort du policier qui jouie dans le cul de la femme pliée sur *** ventre.

Sous l'effet de l'eau froide, les seins de Christine se cabrent laissant deviner des mamelons bien définis et une poitrine agréable.

Le gros homme, sans dire un mot, se place juste devant Christine. *** odeur est atroce et, au moment où il retire *** pantalon, l'odeur devient tout bonnement écoeurante.

Mme Cassidy, complètement ***née, se place d'elle-même à quatre pattes derrière le gros homme. Elle cale *** visage dans *** cul et reprend d'une voix faible et étouffée.

« Suite à l'agression de ma fille, la police à porté des accusations de fraude contre mon mari.»

CLAC!!! Une formidable claque s'abat sur le cul de la femme.

« Plus Fort! »

Elle reprend.

« John est venu à la mai*** un soir. Il nous a expliqué jusqu'à quel point notre situation était désespérée et il nous a offert une solution. »

*** discours est entrecoupé de SLURPS et de ***s de succion alors que Mme Cassidy nettoie avec dédain le cul de l'obèse. Celui-ci masturbe frénétiquement sa petite queue tout en fixant les seins de Catherine avec des yeux exorbités, la bave coulant du coin de ses lèvres.

« Allez continue chienne! Lèche-moi le cul! Ça fait 5 jours que je ne l'ai pas lavé en prévision de notre rencontre. »

« Allez. Dis-moi que tu l'aimes. »

« J'aime le goût de ton cul Richard. Il est merveilleusement épicé ton cul poilu. »

Ses mots se perdent dans les sanglots.

Elle continue néanmoins.

« Mark devait aller travailler dans la mine la plus éloignée au nord. Il devait rétablir les anciennes règles et réengager John. On laisserait alors ma famille tranquille. Seulement pour signer l'entente, John a exigé que la signature se fasse sur mon dos pendant que sa bite fouillerait le fond de mon cul. Je me suis retrouvée pliée sur la table de la cuisine. John m'a prise pendant que Mark signait l'entente en pleurant. »

Madame Cassidy parlait maintenant d'un ton monocorde. Elle ne léchait plus Richard qui semblait s'en foutre complètement et continuait à se branler frénétiquement face à Catherine.

« John nous a ensuite dit que c'est moi qui devrais présenter le nouveau plan de travail à Mr Ming (le président de la compagnie). Le chinois m'a enculé pendant 3 jours et il a signé le plan avec un sourire pendant que je le suçais, nue sous *** bureau. »

« Depuis, nous n'avons plus de problèmes. Ma fille vie dans une autre ville minière et le syndicat la laisse tranquille. Moi, je travail pour le club social du syndicat. Je remplie de petits contrats. Comme ce soir... »

Sa voix s'est éteinte. Elle n'a plus dit un mot. Richard a déchargé une importante quantité de sperme sur Catherine qui fut prise de nausée.

John a signifié aux autres de partir. Mme Cassidy est sortie, sans dire un mot, nue dans la neige et la pluie froide de l'automne.

John pris la parole.

« Dans cette enveloppe, vous trouverez une copie du nouveau contrat de travail. Monsieur Ming le signera sans problèmes la semaine prochaine grâce à Mme Cassidy qui résidera sous votre bureau pour la durée de *** séjour. Je vous invite à en profiter. Elle n'est pas exclusive. D'ailleurs, Mr Ming aime bien les doubles pénétrations. »

« Nous sommes bien au courant de votre passé et de ton problème de jeu. Je crois que vous avez compris ce soir que le syndicat ne recule devant rien pour protéger ses membres. »

Il se tourna vers Catherine, blanche et tremblante.

« Si ton copain veut jouer au malin avec nous, pas de problèmes. Mme Cassidy appréciera sûrement de voir sa charge de travail réduite. »

Il fit un clin d'œil et ajouta.

« Ne barre jamais ta porte. Je reviendrai sûrement prendre une bière en ta compagnie. Si jamais la porte était barrée.... »

Il se retourna et sorti sans un mot.

Par la fenêtre, on pouvait voir Mme Cassidy, pliée en deux sur le capot d'une auto, toute grelottante dans la pluie froide, qui se faisait prendre lentement pas le quatrième homme.
chrislebo

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#5,136
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fantasme sur ma femme



Par ce beau jour d'automne,je me préparais pour partir en ville faire diverses choses qui me prendraient une bonne partie de la journée mais cela se ferait sans ma femme caroline,une petite blondinette qui possède une jolie poitrine au formes généreuses. Elle décidais de rester chez mes parents pour défaire les valises car nous étions en vacances chez eux.
Je la prenais dans mes bras et l'embrassait à plein poumon,elle me repoussait gentiment et me disait de partir comme ça je reviendrais plus tôt.
Ma mère qui faisait des ménages à droite et à gauche en avait pour une bonne partie de la journée, était absente. Il ne restait que mon père qui lui était à la retraite et qui montait une maquette de bateau au salon.
Je lui demandais s'il voulait venir avec moi mais il refusait et préférait rester à la mai***.
Bref me voilà parti et au bout de 4....5....kilomètres je m'apercevais que j'avais laissé mes papiers de voiture dans le salon et je fais donc demi tour.
Je me garais devant le portail qui est tout de même à plus de cent mètres de la mai***,et courrais dans la cour rejoignant le palier de la porte d'entrée.
Je rentrais et fonçais dans le salon les récupérant sur le meuble mais la pièce était vide,la maquette à l'abandon sur la table..bizarre me dis-je ?
Puis un cri de caroline attirait mon attention alors que j'allais sortir.
Je décidais de monter en douce pour voir ce qu'il se passait et là je fus choqué et figé sur place par ce que je voyais.
Mon père avait plaqué ma femme sur le lit; il était à genou au dessus d'elle l'empêchant de pouvoir s'échapper.
Il avait déjà sorti *** pénis tout mou qui venait tapoter le menton de ma femme et moi dans tout ça, je ne bougeais point,de toute façon il ne pouvait me voir de là où j'étais. Ma femme se faisait violer et je dois dire que c'était l'un de mes fantasmes le plus profondément enfoui en moi: d'en voir un ou de le faire mais là, j'avais la chance d'en voir un alors je ne m'en privais pas.
Mon père insultait caroline de petite salope qui méritait ce qui lui arrive et qu'il allait la mater.
Caroline se débattait et tournait la tète à chaque fois qu'il voulait lui enfouir sa verge bien molle dans sa bouche.
De ses deux mains mon père lui maintenait la tête bien fixe et essayait d'enfourner sa queue dans la bouche de ma femme, qui restait bien fermée.
Tu vas la prendre petite pute lui disait il très énervé...
Il lui pinçait le nez pour l'empêcher de respirer ce qui eut comme réflexe de lui faire ouvrir la bouche et il ne se fit pas prier pour enfourner sa verge dans sa gorge.
Caroline se débattait se servant de ses bras pour donner des coups mais mon père étant un ancien videur, cela ne lui faisait pas grand chose. Elle tentait également de donner des coup de pied dans le dos de mon père mais elle n'arrivait pas à l'atteindre et dans la lutte sa jupe se relevait à chaque tentative. On pouvait voir entièrement *** collant chair et *** string rose.
A entendre les bruits de succion,caroline devait encaisser un sacré morceau mais ce ne fut pas la longueur de *** pénis qui me surpris mais *** épaisseur,il devait bien faire 5 à 7 cm de diamètre.
La bouche de ma femme se déformait à chaque passage,les mains crispées de caroline serraient fort les draps du lit, mon père profitait de sa nette domination pour caresser chaque partie du corps de caroline et sa main descendait encore et encore jusqu'à atteindre la partie la plus intime de ma femme.
Mon père se mettait à frotter frénétiquement sa main sur la chatte protégée par le collant et string,caroline eut le réflexe instantané de serrer ses cuisses pour empêcher ce frotti-frotta violent.
OH putain je vais te défoncer salope,tu m'excites avec ton petit collant lui disait il !!!
Il se retournait de 180 degré d'un coup la bloquant toujours sur le lit,caroline pouvait respirer normalement dès à présent car la bite épaisse de mon père restant tendu au dessus du chemisier de ma femme. Après avoir écarte les cuisses de caroline,deux déchirements distinct ré***naient dans la chambre,elle se retrouvait la fente à l'air,le string tombant à coté du lit,elle eut à peine le temps de crier que la langue fougueuse de mon père s'enfonçait dans sa chair bien rose.
Il léchait tel un ****** sauvage,il ne lui ménageait pas *** clitoris qu'il étirait en le mordant et cela dura 5 bonnes minutes pendant lesquelles ma femme appelait de l'aide et lui demandait d'arrêter mais en vain.
Il se levait du lit pour enlever le peu d'affaire qu'il lui restait sur le dos et juste au moment où il faisait tomber *** slip au sol,caroline tentait de s'échapper mais sans bouger il lui attrapait le bras et la faisait tomber à genou et sans qu'elle est le temps de réagir,il lui enfonçait sa verge violemment dans la gorge a tel point que ses testicules vinrent taper les lèvres de ma femme.
Il lui maintenait bien la tête et lui imprimait une cadence régulière,caroline essayait de s'extraire en poussant ses bras sur le torse de mon père mais niet.
Après plusieurs va et viens,il la relevait et la jetait sur le lit,il eut beaucoup de mal à lui faire écarter ses cuisses pour se glisser entre elles mais là ça y était.
Mon père tout excité lui parlait crûment....
Je le voyais frotter sa queue sur la fente très peu ouverte malgré le léchage en règle quelle avait subi quelques minutes auparavant.
Caroline se mit à hurler soudainement plus fort,l'énorme barreau disparaissait centimètre par centimètre puis il donnait un grand coup de rein pour la dominer totalement.
A chaque pénétration,il n'arrêtait pas de lui dire qu'elle était bonne puis il lui prit les jambes et les mettaient sur ses épaules. De cette manière il pouvait mieux contempler *** sexe prendre possession de caroline. Elle était à bout de ***** et ses légères repoussades sur le ventre de *** violeur ne parvenait plus à le freiner dans la pénétration.
Mon père commençait à râler et sorti sa bite illico et éjaculait à flot sur le ventre de ma femme qui pleurait depuis un bon moment,puis il s'essuyait *** pénis ruisselant sur la fente de caroline.
Le sentant toujours raide,il se ré-enfonçait en elle et reprenait un rythme effréné la faisant hurler de douleur.
Mais au bout de quelques secondes,il criait sa nouvelle jouissance et restait bien ancré au plus profond d'elle,déversant le peu de sperme qu'il devait rester dans ses couilles.
Quant à moi je fus vite revenu à la réalité quand le réveil ***na et oui ce n'était qu'un pure fantasme que je venais de rêver..............mais je fis l'amour à ma femme la surprenant dans *** sommeil.
vanbruje

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#5,137
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Bonnes histoires, toujours affublées des mêmes problèmes... Je veux bien croire aux explications données qui semblent plausibles mais cela n'explique pas la "nonchalance" de l'auteur, qui n'est lui pas américain...
Bonne continuation...
chrislebo

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#5,138
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faut savoir passer au dessus
chrislebo

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#5,139
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vivement la suite


Je suis un homme âgée de largement plus de la cinquantaine.
Par connaissance de gens perdant la mémoire ayant trop bu, j'ai pus avoir l'adresse et les numéros de portable d'un couple lui la cinquantaine banale, grand et ventru, elle petite bien faite et plus jeune.
Je les ai suivis pendant quelques mois pour connaître leur habitude et ensuite je téléphone au mari en lui expliquant les numéros de téléphones et commençant un chantage sur sa femme.
J'appelle sa femme donc je tairais la profession, et lui propose que le samedi suivant en faisant ses courses qu'elle s'habille un peu sexy avec une jupe courte pour voir ses fesses qui ont l'air très bien, elle me répond que non avec tout un tas d'excuses.
Après plusieurs appels téléphoniques, elle se décide la jupe est trop longue et change leur habitude.
Donc je change de stratégie, je fais un chantage sur les chiens, ce qui est la bonne méthode.
Je lui dis que je passe chez elle, quelle enferme les chiens, *** mari dos a la porte fenêtre les mains dans le dos et les yeux bander et pour elle debout avec les poignets attachés au dos d'une chaise vêtu de botte, bas, slip transparent, mini jupe, et transparent.
Ma stratégie est la bonne elle accepte.
Rendez- vous pris, en entrant j'attache les mains du mari et le bâillonne lui baisse ***t pantalon et *** slip et lui attache les pieds, d'ailleurs il a un tout petit sexe.
Je m'approche d'elle, je lui soulève sa jupe qui est bien courte elle porte bien des bas auto fixant, se fesse magnifique avec ce slip transparent qui ne cache pas ***t sexe, je lui soulève *** chemisier elle a un soutient gorge dommage, je lui sous pèse les seins qui paraisse être un 95C.
Je la détache du dossier et la suspend par les poignets à la porte d'une chambre, je promène mes mains sur tous *** corps, j'ouvre *** chemisier et défais *** soutient gorge, je découvre des seins magnifique que je titille et les pointes réagissent très vite.
Je remonte sa jupe qui avec les bras en l'air on voie ses bas et sa culotte, je la branle a travers *** slip, je baisse sa jupe et *** slip il lui reste ses bas et ses botte.
Je lui dis écarte les cuisses ce quelle fis je découvre un sexe velu mais sans lèvres pendantes, je prends un film avec mon portable.
Je la détache et la couche sur le lit avec les bras attaches en croix, sa docilité arrange bien les choses, je prends le rasoir de *** mari, elle ouvre les cuisses sans histoire et lui rase le sexe en filmant.
Je lui masturbe le sexe et le clito elle mouille beaucoup elle a l'aire d'aimé et j'essuie mes doigts plein de mouille sur sa langue que je lui dis de tirées que film encore.
Je lui reprends les bouts des seins qui ***t dur et long magnifique.
JE suis prés à recommencer sans chantage sans film et la participation de *** mari pour qu'il puisse entendre et voir *** petit sexe droit
chrislebo

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Je suis devenue sa pute



Après plusieurs rencontres, mes 2 mâles me demandèrent de me procurer plus de lingerie sexy. Je leur dis que malheureusement, ma situation ne me permettait pas de dépenser là-dessus. Le jeune demanda à *** père s'il pouvait me payer quelques fringues.

« Je n'ai pas beaucoup d'argent, je vais voir ce que je peux faire! », répondit-il!

Un beau jour, il me dit qu'on allait dans une boutique érotique. Là, il me fit essayer, des bas, des jupes, etc. Lorsque la vendeuse alla s'occuper d'un autre client, il en profita pour entrer dans ma cabine et me dit : « depuis tout à l'heure que tu m'allumes en te montrant habillé contre une traînée! Tu vas me sucer maintenant! »

Je me mis immédiatement à genoux pour lui faire une pipe. Il ne tient pas longtemps et comme nous étions dans une boutique, je ne voulais pas salir tout le plancher. J'ai donc avalé prestement toute sa semence avec délectation...

Il choisit donc ce qui lui plaisait et paya la note. J'étais content et redevable envers lui. C'est sans hésitation que j'ai accepté sa demande d'aller chez lui pour parader dans ma nouvelle tenue. Lui et *** fils s'assirent donc sur le sofa et je leur fit une danse, comme dans un cabaret. Suivit bien sûre par des pipes et des sodomies très féroces.

Quelques jours plus tard, j'arrivai chez lui et *** fils étais absent. Je revêtis tout de même ma tenue et m'installai près de lui pour regarder la télé. Soudain, on cogna à la porte! Un homme dans la cinquantaine entra et parla avec mon amant dans la cuisine. Après quelques minutes, je les entendis marcher vers le salon. J'étais terrifié et je ne savais pas où me cacher. Mais l'inconnu ne sembla pas surpris de me voir : « ha! La voici donc la petite travelo dont tu m'as parlé ». Rassuré, je lui souris. Mon amant me dit: « tu sais, il est veuf depuis quelques mois et, comme tous les hommes, il a des besoins. Alors, je lui ai parlé de toi et lui ai dit que, si je te le demandais, tu baiserais avec lui ».

Je rougis instantanément. M'offrir à cet inconnu? Je ne savais pas trop... Mais comme il m'avait fait tous ces cadeaux, j'ai donc acquiescé à sa demande. Nous sommes allés dans la chambre pendant que mon amant retourna regarder la télé. Aussitôt la porte fermée, l'inconnu colla *** ventre sur mon dos, tire mes cheveux par l'arrière en tournant ma tête pour qu'il puisse entrer sa langue dans ma bouche. Je me laissai faire, déterminé à le satisfaire entièrement... Il me plotais tout partout pendant qu'il me roulait une pelle.

Il me retourna fortement et poussa sur mes épaules pour me faire mettre à genoux. Il enleva alors *** pantalon et présenta sa queue sous mon nez. Elle sentait fort. Mais elle était grosse et malgré *** manque d'hygiène, il m'excita quand même... Je me suis donc appliqué à le sucer convenablement, entrant sa verge jusqu'au moment où mon nez touchait à *** ventre. Il semblait aimer. Puis, il se retourna et s'appuya sur le lit, me présentant *** cul en me disant de faire ma bonne chienne et de lui licher l'anus. Ce que je fis, sans grand enthousiasme. Finalement, il me fit mettre à 4 pattes sur le bord du lit et il me prit sans ménagement et sans trop me préparer. Ça me fit légèrement mal, mais sans plus. Sans même me prévenir, il joui dans mon ventre et s'en fût, heureux.

Seul dans la chambre, je les entendis parler. J'allai voir par l'entrebâillement de la porte et je vis soudain l'inconnu donner de l'argent à mon amant. Je me dépêchai à retourner au lit, apeuré à l'idée de ce que je venais de comprendre. Lorsque mon maître arriva, je fis comme si je n'avais rien entendu. Il me donna une bise en me disant qu'il était content de moi et que si je voulais, un autre de ses amis viendrait s'amuser avec moi. Je compris alors que j'étais devenu, à mon insu, une pute dont les faveurs sexuelles serviraient à rembourses ma nouvelle lingerie. J'eus alors une formidable érection...
chrislebo

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#5,141
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Les semaines passèrent et mon amant m'avait déjà fait rencontrer une douzaine de ses « amis ». Je prenais de plus en plus plaisir à cette situation. Pas tellement de me faire baiser par des inconnus mais plutôt pour la sensation que ces rencontres m'offraient... Je me rendais compte avec le temps que j'étais plus soumise que je ne l'imaginais et cette idée d'être un objet sexuel en vente libre pour le portefeuille de mon propriétaire me plaisait vraiment!

Un soir, alors que nous baisions ensemble et qu'il me faisait languir, à genoux devant lui à quémander sa queue, il me tapotait la figure avec *** gland en me traitant de salope. Je le suppliais et fini par lui dire : « oui, vas-y, traite moi comme la pute que tu as fait de moi! ».

Il arrêta alors et me fixa dans les yeux en me disant : « alors tout ce temps, tu savais que je te vendais à des inconnus et tu continuais quand même... Tu n'es vraiment qu'une traînée! »

- Oui, lui dis-je le regard étincelant, je le savais et j'aime ça! J'aime être ton jouet et ta bonne pute qui t'amène de l'argent. Je suis prête à plus si tu le veux, je suis à toi!

Ma dernière phrase l'alluma au max puisqu'il entra alors sa queue tout au fond de ma bouche, jusqu'à ce que *** gland frappe ma gorge, et il me baisa dans la bouche comme un déchaîne, jusqu'au moment où sa crème chaude inonda ma bouche...

Je le remerciai docilement et lui demandai si je pouvais aller m'empaler maintenant sur le sexe de *** fils pour pouvoir jouir du cul, que j'avais en feu!

- Oui mais avant, me dit-il, tu vas me dire ce que tu voulais dire par être prête à plus...
- Et bien, débutai-je en rougissant, si tu veux, je pourrais rencontrer de tes clients plus souvent... Peut-être même tapiner sur la rue, juste un soir! Pour être vraiment une traînée à ton service!
- Hummm, ça me plaît bien ça... Je vais y penser! Il doit y avoir moyen de faire fructifier un si beau talent, me dit-il avec un clin d'œil. Tu peux aller te faire sauter, maintenant, sale garce!

Toute excitée, je me relevai et aller derechef dans la chambre de *** fils. Celui-ci avait bien sure entendu toute la conversation et était déjà nu, la queue dur comme du fer en attendant mon arrivée : « alors tu veux jouer à la pute? Commences déjà par pratiquer là-dessus, on verra si tu le mérites! »

Je lui fis alors une superbe pipe, avant de m'empaler aller-retour comme une malade sur sa verge, jusqu'à temps qu'il inonde mon ventre. Je jouis alors sans même me toucher...
chrislebo

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#5,142
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Un soir, comme toujours, j'arrivai habillée en fille chez mon amant. *** fils était assis sur le canapé, nu. En me voyant, il claqua des doigts en me pointant le sol. J'allai donc me mettre à genoux devant lui et je pris sa queue dans ma bouche. Je le suçai voracement. Entretemps, *** père vint se mettre derrière moi et il me prit sans avertissement. Je pris un plaisir fou à être prise par mes deux hommes en même temps. Ils jouirent simultanément, le jeune dans ma bouche et le père dans mon cul en disant : « T'es une bonne chienne! Demain, je vais réaliser ton désir! On part tôt pour aller à la ville voisine. Je vais te faire tapiner sur le trottoir demain soir! ».

J'étais aux anges. Je me suis branlé trois fois avant de pouvoir dormir, trop excité à l'idée de devenir une pute professionnelle!

Nous partîmes tôt le lendemain. Nous sommes arrivés après le souper. Nous avons recherché le quartier idéal et nous avons trouvé une ruelle mal famée, où des putes faisaient le trottoir. Mon amant me fit descendre en disant : « Maintenant, tu vas bien travailler, petite pute. Tu ne refuses per***ne. Tu me redonnes tout l'argent par la suite. Ton seul salaire sera de te faire baiser dans la bouche et dans ton cul de salope ».

Je commençai donc à marcher sur le trottoir. Essayant de prendre la démarche et les poses des filles expérimentées qui étaient là.

Finalement, une voiture arrêta avec deux hommes à l'intérieur. Mon cœur battait à une vitesse folle. Ils m'amenèrent derrière une station-service pas loin de là. Le conducteur me dit : « On te donne 150 $ et tu fais tout ce qu'on te dit ».

J'avais peur mais j'acceptai, en me souvenant de l'ordre de mon amant de ne rien refuser. Nous sommes descendus de la voiture et l'un d'eux me prit aussitôt fermement par le menton et me traitant de sale pute et de pédé. Il me gifla avant de me cracher au visage. Cela m'excita au maximum. Ils me firent mettre à genoux dans un coin : « On va d'abord vider notre vessie sur toi. Par la suite seulement, tu pourras nous sucer ».

Je n'avais jamais essayé les jeux uro mais j'en avais envie! Le premier m'aspergea les seins et le visage. Puis *** copain prit la relève. Il me dit d'ouvrir la bouche en m'ordonnant d'avaler. Avant même d'avoir fini de se vider, il entra sa queue pour baiser ma bouche. *** sexe allait et venait jusqu'au fond de ma gorge avec un filet de pisse qui coulait de chaque côté de mes lèvres. C'était délicieux !

Ils me mirent ensuite à quatre pattes. Un me baisait la bouche pendant que l'autre me bourrait le cul. Celui derrière me donnait de fortes claques sur les fesses et il m'insultait. Celui qui se tenait devant moi retirait souvent sa queue de ma bouche pour me gifler et me cracher au visage, avant de poursuivre. Il finit par remplir ma bouche de foutre. L'autre me baisa encore avant de se retirer pour venir se soulager entre mes lèvres : « C'est ça, salope ! Goûte à mon sperme et à ta merde en même temps ! ».

Pour une première expérience, j'aurais souhaité quelque chose de plus tendre, mais cette rencontre m'a permis de me découvrir encore plus. Je sais maintenant à quel point j'aime être soumis, insulté et abusé...
chrislebo

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#5,143
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Une agréable corvée



Je suis un homme de 25 ans, cheveux long, look très féminin, petit cul bombé et je suis vraiment en chaleur ce soir. Je décide de mettre un soutien-gorge aguichant, caché sous une chemise sport et je pars en voiture, en quête d'une queue à sucer.

Ne sachant où aller, je décide de me rendre à un Centre commercial près de chez moi. Je sais qu'aux toilettes de cet endroit, des hommes aiment se montrer à l'occasion. Mais déception, lorsque j'arrive, il n'y a per***ne... Je commence donc un lent lavement de mes mains, une diversion au cas où, en espérant l'arrivée d'un homme en manque de sexe. Après quelques minutes, un homme fini par arriver. Dans la cinquantaine et en forme, type Arabe, il me plait immédiatement. Je le regarde dans les yeux et il me retourne un regard complice. Puis, il s'installe à l'urinoir. Je le suis en déboutonnant ma chemise et je prends illico l'urinoir à côté de lui. Il me jette un coup d'œil et j'en profite pour écarter ma chemise, question qu'il voit mon soutif. Il regarde puis me sourit. Rassuré sur ses intentions, je me recule un peu, lui aussi, et je peux voir *** membre. Il a un super beau sexe, au moins 7 pouces, au repos, non circoncis. J'adore les grosses queues molles et au repos, j'aime les sentir grossir dans ma bouche et cette seule pensée me met l'eau à la bouche!

Il se rend tout de suite compte que je salive en regardant *** sexe et me dit : « alors salope, tu sembles intéressé à ce que tu vois ».

- Oh oui, lui dis-je, laissez-moi vous sucer et la mettre bien à fond dans ma bouche, s'il vous plaît Monsieur!
- Je n'aime pas vraiment les jeunes efféminés dans ton genre d'habitude mais j'ai une proposition pour toi. Si tu acceptes, je te laisserai me sucer comme tu voudras.
- Je ferai tout ce que vous direz, promis!

Il m'explique alors qu'il a un fils handicapé, de 19 ans. Il est en chaise roulante et ne peut pas beaucoup sortir de chez lui. Comme il n'y a pas de filles qui s'intéressent à lui, il me demande d'essayer de le séduire pour lui offrir sa première pipe. Il me dit que, avec mon air féminin, je réussirai peut-être. Si c'est le cas, je pourrai avoir ma récompense. J'accepte donc de relever le défi.

Une fois chez lui, il me présente à *** fils comme étant un de ses collègues de travail puis, faignant d'avoir oublié d'acheter quelque chose à l'épicerie, nous laisse ensemble pour quelques minutes. Je suis très nerveux. Je ne sais pas comment m'y prendre. Je ne sais même pas s'il aimerait se faire sucer par un mec. Nous discutons un peu, de tout et de rien. Puis soudain, la chance me sourit! Je ne me souvenais pas d'avoir laissé quelques boutons de ma chemise ouverte et il s'aperçu que je portais de la lingerie.

- Dis donc toi, mais tu portes des fringues de nana! Tu n'es qu'une putain de travelo, avec tes grands cheveux de fille en plus. Est-ce que mon père sait ça?

Je saute évidemment sur l'occasion qu'il me présente pour jouer mon jeu : « ah zut! J'ai oublié de l'enlever. Non, s'il te plaît, ne le dit pas à ton père surtout. Imagine ce que je vais devoir endurer au bureau s'il l'apprend ».

Une douce lueur passa alors dans ses yeux : « très bien! Si tu enlève ta chemise et me laisse voir, je garderai peut-être le secret ».

Je me lève donc devant lui et enlève lentement ma chemise. Je vois qu'il apprécie. Mais *** père revient à ce moment là. Je me dépêche de remettre ma chemise et de me rasseoir. Le fils dit alors qu'il est l'heure pour lui d'aller se coucher. D'habitude, c'est *** père qui va le mettre au lit mais ce soir, il dit avoir un peu mal au dos et demande à *** fils si ça le dérangerait que ce soit moi qui y aille. *** fils accepte sans poser de questions et me fait un petit sourire. Je le pousse donc jusqu'à sa chambre et il m'explique que je dois le prendre dans mes bras pour le poser dans le lit. Ce que je fais minutieusement. Mais en le couchant, ma tête s'approche de la sienne et il s'avance sans m'avertir pour m'embrasser. Saisi par cette action, je ne bouge pas. Il introduit alors sa langue dans ma bouche. Je la sens inexpérimentée alors j'y mets du mien en lui montrant comment rouler une pelle du tonnerre. Il semble adorer. Puis, je dois bien sûre le dévêtir. Je lui retire donc *** t-shirt, ses bas, et lorsque je lui retire *** pantalon, je vois une imposante bosse dans *** slip.

- Et bien, je lui dis, notre petit baisé t'a excité à ce qui paraît!
- Évidemment! Et je suis peut-être handicapé, mais je ne suis pas dupe. Je sais bien que tu ne travailles pas avec mon père. Il t'a traîné jusqu'ici pour que tu me suces, pas vrai, il m'en parle déjà depuis un bout de temps?
- Tu as rai***, ai-je dû admettre. Il m'a demandé de te faire ta première pipe.
- Ok, et que t'a-t-il promis en retour?
- Et bien, lui dis-je rougissant, il m'a dit que je pourrais le sucer lui aussi...
- Et bien, vas-y! C'est ce que nous voulons tous à ce qui me semble.

Je lui ai souri et je me suis assis près de lui. Ma main s'est mise à caresser sa queue au travers de *** slip. Lui aussi possédait un super beau membre, le vrai fils de *** père. Je me suis rapidement penché sur lui pour le mettre dans ma bouche. D'être le premier à le goûter m'excita au max et je l'ai sucé avidement. Il n'a pas tenu longtemps et m'a dit qu'il allait jouir. Je me suis espacé un peu et il a lâché plusieurs jets de foutre sur ma figure. Nous nous sommes mutuellement remercié, je lui ai souhaité une bonne nuit et je lui ai promis de revenir.

Je lui ai mis sa couverture et j'ai quitté sa chambre. *** père m'attendait dans le salon. Lorsqu'il m'a vu arrivé, le visage couvert de foutre, il eu un sourire de contentement. Il s'est alors levé et, avec ses doigts, a ramassé le foutre de *** fils pour le porter à ma bouche. Je suce ses doigts avec délectation, le foutre goûtait très bon. Chose promise chose dû, il sortit sa belle queue de *** pantalon et a claqué des doigts en me montrant le sol. Je me suis aussitôt agenouillé devant le sofa pour le sucer à *** tour. Il m'a dit que finalement, même s'il préférait les hommes plus virils, il appréciait grandement ma fellation. Je lui ai dis que j'étais à *** service. Il s'est alors retourné en se mettant à genoux sur le sofa, dos à moi. Je compris immédiatement et ma langue alla se promener dans sa raie et caressa *** petit trou. Il me dit alors de me retourner et de venir s'asseoir sur *** sexe, ce que je fis avec plaisir. Je me suis fait aller de haut en bas comme un ****** jusqu'à ce que je sente qu'il avait inondé mon cul.

Nous nous sommes revus, tous les 3 trois, par la suite. Comme *** fils savait ce qui se passait, nous n'avions plus à nous séparer. Ils s'assoyaient tous les 2 sur le sofa pendant que je leur montrais mes nouvelles lingeries, puis je les suçais en alternance. La plupart du temps, je restais à 4 pattes devant le sofa à sucer le fils pendant que *** père m'enculait à fond. Ça se termine toujours par mon visage plein de foutre et mon cul également. J'adore rendre service
chrislebo

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#5,144
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esclave sexuelle de mes filles


Je me prénomme Monique et j'ai eu 50 ans il y a peu de temps. Je suis brune, cheveux courts, 1m65 pour 55kg, un corps ferme avec des seins en forme de poire et de longs tétons. Je suis mariée depuis 30 ans à Jean-Paul et j'ai 2 filles de 25 et 23 ans; Esther et Marie. Mon mari est officier supérieur dans l'armée de terre et de fait doit s'absenter très régulièrement.
Jean-Paul était donc parti pour quelques jours il y a six mois quand je dus rentrer à la mai*** plus tôt que prévu. Je vis bien qu'il y avait quelque chose d'inhabituel car quand je suis arrivée, il n'y avait aucun bruit alors que je savais mes filles à la mai***. Après avoir posé mes affaires, je suis montée à l'étage sans faire de bruit et en m'approchant de la porte de la chambre de ma cadette, j'entendis des gémissements. J'entrouvris la porte doucement et là, je suis restée tétanisée par ce que je vis: Esther était nue à genoux, les fesses bien en l'air sur le lit pendant que sa sœur était derrière elle et la pénétrait bien à fond avec un gode ceinture. Après le moment de stupeur passé, je me suis avancée en criant:
«Non mais ça va pas!... Arrêtez ça tout de suite!... Attendez que je le dise à votre père!...».
Au lieu d'être honteuse ou autre chose et après la surprise de mon intrusion dans la chambre, Marie me toisa et argumenta sur leurs goûts auxquels je ne comprenais rien. Mais devant mon intransigeance, Marie et Esther me bousculèrent vers le lit où je fus jetée sans ménagement.
«Alors comme ça, maman, tu veux tout raconter... Et bien on va te faire voir que tu te trompes sur les lesbiennes... Allez Esther !... Aide-moi !... Elle va aimer ça après !...».
Mes filles m'arrachèrent mes vêtements tandis que je me débattais tant bien que mal. Voyant que je n'aurais pas le dessus, je me mis à hurler mais Marie me mit dans la bouche une balle en caoutchouc qui tenait avec une lanière en cuir attachée derrière la tête. Elles me menottèrent dans le dos puis se mirent à me lécher les seins en me mordillant mes pointes qui durcirent immédiatement.
«Regarde Marie!... T'as vu comme elle a les seins qui pointent!... Ses tétons doivent faire plus d'un centimètre... Et bien maman... Tu verrais tes tétons... Hhhmmm qu'ils ***t beaux!...».
Tandis que leurs langues et leurs lèvres s'acharnaient sur mes seins, Marie me caressa l'intérieur des cuisses puis sa main se faufila sur mon sexe qu'elle se mit à branler doucement. Elle fit entrer 2 doigts en moi et se mit à me branler de plus en plus vite, jusqu'à ce que je jouisse malgré moi. Marie se positionna entre mes jambes et malgré mes protestations, me pénétra avec le gode ceinture qu'elle n'avait pas quitté. Je sentis passer le gland en caoutchouc et tandis que je me mettais à pleurer, ma fille commença à me limer en cadence comme un homme. Elle prit *** temps, me pénétrant bien à fond en donnant de grands coups de rein, puis elle changea de position avec sa sœur. Esther avait enfilé un gode ceinture encore plus gros que celui de sa sœur et me reprit dans ma chatte toute humide. Marie me caressait doucement le clitoris tandis que sa sœur accéléra ses mouvements jusqu'à me faire crier de jouissance une nouvelle fois.
«Et bien maman... Tu vois que tu commences à aimer... Quand on va en avoir fini avec toi; tu seras une vraie lesbienne, tu verras... Allez Marie... C'est de nouveau à toi!...».
Marie me retourna afin de me prendre en levrette, les fesses bien en l'air pendant que sa sœur appuyait mes épaules sur le lit. Ma fille se cala entre mes jambes, elle m'attrapa par les menottes avant de se déchaîner en me pistonnant la chatte à toute vitesse, ce qui me fit couiner de plaisir malgré la balle en caoutchouc dans ma bouche. Esther quitta la chambre et revint 5 minutes plus tard pour dire à sa sœur que tout était prêt... Les filles me mirent debout et nous prîmes la direction de ma chambre. Je vis qu'Esther avait ouvert mon lit, installé un trépied juste à côté avec un caméscope dessus, prêt à filmer.
«Maman; on va faire du cinéma!... Ca va être un bon film...Tu vas devenir une vedette... ».
Je regardais mes filles avec incrédulité, ne voulant pas croire à ce que je voyais, puis j'essayais de me rebeller. Marie me fit tomber sur mon lit pendant que sa sœur enclenchait le caméscope. Mes 2 filles me mirent une fessée, m'arrachant des gémissements de souffrance, puis l'une d'elle me repositionna en levrette et réinvesti mon sexe trempé. Marie me lima un bon moment avant d'être remplacée par sa sœur et ainsi de suite. Ma fille ainée se coucha après sur le dos et je fus contrainte de l'enjamber pour qu'elle me reprenne dans la chatte.
Je n'avais pas vue Marie prendre un tube de gel et je compris trop tard où elle voulait en venir quand je sentis du liquide s'insinuer dans la raie de mes fesses. Ses doigts s'attardèrent sur ma rondelle qu'elle caressa avant d'y enfoncer un doigt, puis un deuxième. Elle les fit aller et venir, m'assouplissant l'anus, puis elle se positionna derrière moi et alors que je gémissais de douleur, je sentis *** gland contre ma rosette puis la pénétration terrible que je subissais...
«Et bien maman... Tu vas pas me dire que papa ne t'a jamais enculée?... Détends-toi!... Lààà... Tu vois, ça passe tout seul!... Tu vas aimer tu vas voir!... Hmmmm!... Quel cul!...».
Elle donnait de petits coups de rein et à chaque poussée, *** faux sexe allait plus loin dans mes fesses. Quand elle fut au fond de mon cul, elle donna le signal à sa sœur et toutes les deux de déchaînèrent en même temps, me faisant gémir de nouveau. Marie se retira, m'aida à me mettre debout sur le lit, puis m'ordonna de me mettre accroupie au-dessus de sa sœur en lui tournant le dos. Esther qui était restée allongée sur le dos, sa fausse bite dressée à la verticale, n'eut qu'à guider le mandrin pour me le réenfiler dans le cul. Ma fille aînée m'attira contre sa poitrine tandis que sa sœur me retirait la balle en caoutchouc de ma bouche. J'essayais de nouveau de rai***ner mes filles malgré mes pleurs mais rien n'y fit. Marie me prit les chevilles puis me releva les jambes tout en les écartant, après quoi elle entra *** gode dans ma chatte. Mes 2 filles allaient et venaient dans mes trous et je n'arrêtais pas de jouir. Je me mis à crier sans discontinuer jusqu'à ce que Marie se penche vers moi et me roule une pelle, me clouant le bec. Mes filles me firent rouler sur le côté, toujours menottée dans le dos. Marie arrêta le caméscope, le décrocha du trépied tandis que sa sœur s'harnachait un gode ceinture encore plus gros que le précédent ; celui-ci devait faire 25cm de long pour 6cm de diamètre. Esther m'emmena au salon et elle s'assit sur le canapé, la fausse bite dressée comme un I. Marie m'ordonna de monter sur le canapé puis de mettre un pied de chaque côté de sa sœur tout en lui tournant le dos. Là aussi, je dus m'accroupir lentement pendant qu'elle filmait face à moi. Esther me tenait les fesses bien écartées aussi le gland se positionna tout seul sur ma rosette. L'énorme engin eut quand même du mal à entrer mais dès que l'extrémité fut dans mon cul, Esther appuya sur mes épaules, me forçant à m'asseoir sur *** gode. Marie qui n'en perdait pas une miette avec le caméscope apprécia la scène et m'encouragea:
«Super maman... Allez!... Bouge bien!... Vas-y!... Remue ton cul!... Oui ; c'est bien!...».
J'étais accroupie sur ma fille, les jambes largement écartées avec le gode fiché dans mon cul jusqu'à la garde. Esther mit ses mains sous mes fesses et imprima ses mouvements, me faisant monter et descendre de plus en plus vite sur le gode monstrueux, jusqu'à ce que je cris de nouveau un orgasme. Mes filles me laissèrent me calmer puis Marie prit la parole:
«Maman!... J'espère que t'as compris que c'est nous qui commandons!... T'as pas intérêt à parler de ça à quiconque sinon je mets le film que j'ai fait sur internet; t'as compris?... Désormais, tu nous appartiens et tu devras nous obéir!... Allez ; on va se coucher!...».
Les filles me retirèrent les menottes, et après être passées aux toilettes et sous la douche, on alla se coucher toutes les 3 dans mon lit conjugal où je m'endormis immédiatement...
chrislebo

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#5,145
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Je fus réveillée le lendemain par des caresses puis des baisers sur mes lèvres. Quand j'ouvris les yeux, ce fut pour voir ma fille cadette penchée sur moi qui me regardait amoureusement. Alors que j'avais un mouvement de recul, je vis de l'autre côté mon autre fille qui était en train de s'harnacher avec le plus gros des godes ceinture. Marie me regarda avant de dire:
«Bonjour maman chérie... J'espère que tu as bien dormi... Quelle partie hier soir!.. C'était bon hein?.. Bien!.. On va voir si tu as bien retenu la leçon...».
En disant cela, Esther était venue entre mes jambes et après m'avoir doigtée, elle m'introduisit *** gode dans la chatte pendant que sa sœur m'embrassait goulûment sur la bouche. Vaincue par la menace de la diffusion sur le net de la vidéo hard qu'avait tournée ma fille, je me suis laissé faire. Marie changea de place et vint au dessus de moi en se mettant à califourchon en me présentant sa fente imberbe, elle dit:
«Allez!.. Applique toi!.. Lèche-moi la fente!.. Hmmm!... Tu y prends goût on dirait...».
C'était la première fois que je léchais le sexe d'une femme et qui plus de ma propre fille. Esther me releva les jambes puis prit de la vitesse dans ses mouvements, ce qui me fit jouir plus tôt que prévu. Dans le même temps, Marie se raidit sous mes coups de langue et je dus boire sa cyprine. Après avoir repris nos esprits toutes les 3, nous nous sommes embrassées puis on alla prendre une douche. J'avais toujours du mal à réaliser que j'étais sous l'emprise de mes filles mais il fallait bien que je m'y fasse...
Sous l'eau, mon aînée qui m'avait savonnée me dit que j'avais le sexe bien fourni et qu'il fallait remédier à cela. Elle attrapa donc un rasoir et se mit à genoux devant moi, puis après m'avoir enduite de gel douche, elle entreprit de me raser en partie la touffe. Quand elle eut terminée, on se sécha puis elle m'emmena devant le miroir du couloir. Je vis alors qu'elle avait taillé mes poils en forme de cœur, la pointe du cœur se terminant juste au dessus de ma fente. Elle m'emmena alors toute nue dans la cuisine où Marie avait préparé le petit déjeuner. Ma cadette me regarda longuement, vint vers moi et m'embrassa à pleine bouche, après quoi elle dit:
«Maman; tu es très belle!.. Et pour que tu le sois encore plus, c'est nous qui allons t'habiller tous les jours où papa ne sera pas là... En attendant, on va manger!..».
Après le petit déjeuner, mes filles firent l'inventaire de mes vêtements et leur réaction fut critique et décevante... rien de bien ni de sexy! Elles décidèrent de m'emmener dans une grande surface à côté de chez nous et pour se faire, elles m'habillèrent avec un tailleur, juste la jupe et la veste; rien en dessous! Au rayon lingerie, Marie choisit pour moi des strings ficelle, des bas Dim-up, 2 portes jarretelles, 2 caracos, 2 chemisiers que je dus essayer en cabine; en laissant le rideau entrouvert. Puis elle me fit savoir que ce n'était pas terminé et que nous allions dans un autre magasin. Quand nous sommes arrivées, j'ai vu que c'était un sex-shop aussi dis-je à ma fille que je ne pouvais pas aller dans un endroit pareil. Sa sœur qui était derrière moi dans la voiture passa ses mains par-dessus mon siège et me pinça les tétons à me faire crier. Elle me dit:
«Tu n'as rien à vouloir... On le veut pour toi!.. Tiens-toi le pour dit!.. Sinon...».
Le message était clair aussi me suis-je tus. Nous sommes entrées dans le magasin et je vis que la patronne connaissait déjà mes filles. Il y avait là 2 couples et une femme seule en train de choisir de la lingerie érotique. Rouge comme une pivoine, je fis le tour du magasin pendant que les autres clients nous regardaient toutes les trois. Marie prit un anus-picket gonflable, un gode ceinture démesuré (30 cm de longueur et 8 cm de diamètre), une tenue de soubrette, 2 paires de bas résille et 2 soutien gorge redresse seins ainsi qu'un double dong de 50 cm de long. Mes filles m'emmenèrent vers le fond du magasin puis m'ordonnèrent de me déshabiller pour essayer la tenue. J'essayais bien de refuser mais Esther me rappela la diffusion de la vidéo et rouge de honte, je me suis exécutée! Mes filles en profitèrent pour faire signe aux clients de se rapprocher et tout le monde présent dans la boutique se retrouva autour de moi à regarder mon essayage. Un couple commençait à se caresser pendant que la femme seule s'approchait de moi et me proposait ses services. Marie l'autorisa et avant que je n'émette un ***, la femme était en train de me doigter la fente tout en me roulant une pelle. Elle me pencha en avant et m'écarta les jambes afin de me lécher la raie des fesses et ma fente imberbe tandis qu'un des hommes baissait *** pantalon et me présentait sa bite à sucer. Je jetais un coup d'œil à mes filles mais celles-ci me firent signe de faire ce qu'on me demandait. J'ai donc embouché ce mandrin qui se mit à grossir dans ma bouche. L'autre homme retira également ses habits et *** sexe était encore plus impressionnant. Néanmoins, je réussis à le faire entrer dans ma bouche pour y donner des coups de langue. Pendant ce temps-là, la femme derrière moi avait retiré le gode ceinture acheté de *** emballage et se l'était harnaché autour des reins. Humide comme je l'étais, elle n'eut aucun mal à fléchir légèrement les jambes et à me posséder en remontant *** sexe artificiel dans ma chatte. Je sentis quelque chose de hors norme m'investir et je n'osais bouger, de peur d'avoir mal. La femme commença ses va et vient en me tenant les hanches et je me mis à jouir en gémissant.
«Tiens!.. Prends ça, salope!.. T'aimes ça, hein?.. Tiens!.. Cochonne!.. Tu jouis, hein, ma salope!..Hmmm c'est bon!.. Tu verrais ta chatte comment elle est ouverte... Tiens!...».
La totalité du gode coulissait en moi quand je sentis l'homme que je suçais se crisper et se projeter an avant afin que j'avale les saccades de sperme qu'il m'imposait au fond de mon gosier. Tournant la tête, je vis mes filles prendre des photos de moi puis se rouler une pelle. La femme derrière moi jouit en même temps que moi, elle me roula une pelle tendrement en me caressant les seins, puis elle chercha dans *** sac et tendit à mes filles une carte de visite. La patronne du sex-shop qui avait retiré *** pantalon se mit devant moi et écarta largement les jambes, me faisant comprendre ce qu'elle attendait de moi. Je me mis à la lécher, prenant bien soin de décalotter *** clitoris et tout en la doigtant avec 2 doigts, la femme me mis à gémir puis à jouir par à coups, projetant des gouttes de cyprine dans ma bouche.
Mes filles avaient bien sûr pris le nombre de clichés adéquates qu'elle me promirent de repasser à la mai***. En attendant, la patronne nous fit cadeau du gode ceinture monstrueux qui avait déjà servi et m'embrassa à pleine bouche quand nous sommes sorties du magasin. Mes filles m'entraînèrent encore dans un magasin de chaussures où je pris 2 paires de chaussures à talons aiguilles, puis nous sommes rentrées à la mai*** essayer tous les achats.
soumis8

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vanbruje

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Tout bon, merci, à vous lire.
chrislebo

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ma fille sa copine et moi




Vous avez des questions ? Consultez notre FAQ Depuis que je vie seul avec ma fille depuis deux ans, ma femme m'a quitté pour un saltimbanque !, celle ci m'a un peu forcé la main pour faire d'elle une femme, à part entière..., à chaque foi que je visionne un film x elle s'arrange pour me surprendre, et me solliciter pour l'initier à certaines scènes qu'elle voit.
Tous mes efforts pour l'inciter à trouver un jeune ***t vains, dernièrement un soir, je l'entend gémir, des halètements de plus en plus rapprochés, accompagnés d'un ronronnement bizarre , un peu inquiet, je me suis approché de sa chambre, sa porte n'est jamais fermée, pas plus que la porte des WC n'est fermée lorsqu'elle va faire pipi, elle continue à me faire la conversation, et je peu entendre le gazouillis de sa petite fontaine. Donc arrivé devant la chambre, j'ai pus voir ma fille s'envoyer en l'air avec un vibro !j'ai fait demi tour doucement !!
Quelque part je me suis sentis soulagé, peut être allait elle me lâcher un peu !!Le lendemain l'objet trône sur la table de nuit, bien en évidence !!
Quelques jours après, elle rentre un soir, je regarde la télé, elle passe derrière moi, en compagnie d'un jeune homme !!Enfin !! Le garçon me lance un ' bonsoir 'intimidé auquel je réponds, et ils disparaissent dans sa chambre. Serait-elle sur la bonne voie ??
Elle ressort aussitôt pour venir me demander- tu le trouve comment ?? - - très bien ma chérie, passe une bonne soirée !! –
Elle me fait un bisou et disparaît, j'entends bientôt des petits rires, je suis heureux pour elle !!
Puis plus rien, les choses doivent avancer !!
Tu parle !! Le garçon sort de la chambre presque en courant !! À moitié habillé ....et claque la porte en sortant !!
Qu'est ce qui c est passé ?je ne vais pas tarder à le savoir, ma fille arrive, vêtue seulement de sa petite culotte, et, se blottie contre moi, - trop nul !! - me lance-t- elle !
- que c'est il passé ?? - ce con ! A peine je lui ai touché la queue qu'il a déchargé partout dans mes draps !en plus, elle est toute petite !! Pourquoi y a-t-il tant de différence avec celle-ci ?? !!-
Et elle passe sa main par le pan de ma robe de chambre, pour se saisir de ma queue, qui évidement commence à bander dans la seconde.
- laisse-moi, enfin !!- parce que tu crois que je vais dormir dans mon lit ?? Dans l'état ou il me l'a mis !!Ce soir je dors avec toi ....en plus ...touche... il m'a trop excitée cet imbécile !!-
Elle met ses talons sous ses fesses, et, écarte les genoux, - touche !tu va voir ma culotte est mouillée !!...j aimerais bien une petite levrette moi ce soir ....... ! Aller ! Enlève là moi mamours -
Une fois de plus je cède, j'approche ma bouche du tissu effectivement bien mouillé, *** parfum de jeune femelle excitée m'enivre, je dégage le slip, pour poser mes lèvres sur sa chatte en chaleur, ma langue ne rencontre aucunes difficultés pour s'enfoncer dans le vagin ouvert.
Elle fait un nœud de ses jambes autour de mon cou en soupirant longuement.
- hooo oui, c'est merveilleux, lèche moi encore !! –
Deux minutes plus tard sa mouille m'inonde la bouche, ses cuisses se resserrent sur ma tête
Elle retombe apaisée, allongée sur le canapé, - On va se coucher ??- - si tu veux - dit je, en soupirant. Elle a réussit à avoir sa 'levrette ' ...
Le week end suivant, c est une copine qu'elle a invité à dormir à la mai***, une belle fille brune, qui contraste avec la blondeur de ma fille.
Je ne les pas vues beaucoup, elles ***t restées dans la chambre toute la soirée, et, toujours la porte plus ou moins fermée !!
chrislebo

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#5,149
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Il y a eu des rires des soupirs, des cris de surprise ou de joie....pendant deux heures puis plus rien !! Lorsque je suis allé me coucher, obligé de passer devant leur chambre, la lumière est allumée, et sur le lit défait, deux jeunes corps enlacés, les cheveux blond et brun mélangés, seins contre seins, les jambes emmêlées, entièrement nues elles dorment...une vue irréelle que j'admire un instant, le vibro git à leurs coté !! Je coupe la lumière et ferme la porte.
Le lendemain matin elles arrivent à la cuisine, en tee shirt et petites culottes, les pointes de seins cherchent à percer le tissu, aucunement gênées, par contre les yeux ***t cernés !!
Elles me font la bise – nous n'avons pas fait trop de bruit hier soir papa ?? -
- Non, pas du tout je n'est rien entendu ...- la mienne a eu un petit sourire complice !!
Une fois la copine rentrée chez elle, ma fille vient me voir et me dit - comment tu là trouve ??- - ta copine ?? - - ben oui !! - - elle est très jolie ! Mais la plus belle c'est toi !! –
- c'est très bien que tu la trouve jolie ..... Car il va falloir que tu la dépucelle !!-
- quoi ??? Tu es folle ??? Qu'est ce que c est cette invention encore ??-
- et bien voilà, elle s'est rendue compte que je ne suis plus vierge, rassure toi je n'ai pas dit que c'est toi qui a.....- - heureusement ! –
Je lui ai dit que c'est un copain à toi qui m'a draguée et je me suis laissée faire, et que je n'ai pas été déçue, loin de là ! j'ai pourtant essayé de lui faire avec 'Firmin ', c est mon vibro !! mais elle a refusé, ' pas question avec un bout de plastique ' !!Surtout que je lui ai bien expliqué la douceur d'une queue !!-
- mais en admettant, comment me faire passer pour un 'copain' ??-
- facile ! j ai tout prévu ! j ai réussi a la convaincre, que le moment venu elle aurait les yeux bandés, fait moi confiance, et puis elle a trop envie 'd'y passer' !!-
- je le sens très mal çà ...- - çà va aller, tu as trois jours pour t y faire !! Lorsqu'elle va venir tu 'seras parti', et lorsqu'elle sera prête, je t'appelle sur ton portable, en réalité tu attendras dans ta chambre !!-
Elle a encore une fois eu rai*** de ma qualité de mâle ... le soir dit, je me suis retiré dans ma chambre, je les ai entendues arriver, peu de temps après les gloussements ont commencés, elles ont beaucoup parlé, et puis mon téléphone c'est mis a vibrer... moi aussi par la même occasion !!
Je suis arrivé dans la chambre, les deux filles ***t nues, la copine a les yeux bandés, elle est allongée, les bras en croix, les jambes à peine ouvertes, elle attend le 'sacrifice'....
Je m'allonge prés d'elle, ma bouche vient aspirer un téton bandé, *** corps se cabre en arc de cercle sous la surprise, puis elle se relâche en soupirant, inquiète...
Ma main caresse *** corps en décrivant des cercles de plus en plus grand, pour finalement atteindre *** pubis, les cuisses s'ouvrent comme par magie, elle murmure le prénom de ma fille qui vient lui tenir la main, mes doigts séparent les lèvres de cette petite chatte, elles ***t mouillées, ma bouche quitte les seins pour embrasser millimètres par millimètres la peau soyeuse, ma langue vient remplacer mes doigts, elle soupire d'aise, et s'ouvre au maximum
Ma fille l'embrasse sur les lèvres en lui murmurant des mots tendres.
Très vite elle joui sous ma langue, deux doigts on commencés à élargir ce petit tunnel.
-tu dis quand tu es prête - lui dit ma fille -.....je ....je suis prête ...maintenant ...-
Je viens me placer entre les cuisses, je lui relève, et d une main je présente mon gland turgescent à l'entrée de la grotte bouillante, les chairs ***t refoulées au fur et à mesure de ma poussée, la petite ouvre la bouche en grand mais aucun *** ne sort...
Très vite je sens 'l obstacle' et sans attendre une contraction de refus, je pousse d'un coup sec ma queue au font du vagin.....çà y est elle est femme, à peine un petit cri, et tout de suite des soupirs de satisfaction fusent de sa bouche ses bras viennent m'agripper pour m'attirer en elle plus profondément.
- Oooh, Ouiiii, c est bon, continue encore....- en appuis sur mes bras je tète ses seins en augmentant la puissance de mes va et vient .....
La fille jouis en hurlant de bonheur, ce qui déclenche aussi la mienne, elle me griffe lorsqu'elle sent les giclées percuter le fond de sa chatte !!
Lorsque ma queue ce retire toute seule de ce vagin bouillant, je me laisse tomber sur le coté, chose que je n'aurais pas du faire, j'aurais du quitter la pièce immédiatement, car la fille revenue à elle retire *** bandeau ....
--- je ne m était pas trompée !!! j'ai tout de suite deviné que c'était vous !!!Dans les descriptions qui m'ont été faite, et j'ai reconnu votre parfum, MAIS !!! Rassurez-vous, ce secret resteras toujours entre nous, et je vous dis merci d'avoir fait de moi une femme, dans la douceur, vous m'avez fait un bien fou !!!Merci à toi aussi ma chérie, mais n'oublie pas, j'ai accepté à condition que...tu vois ce que je veux dire ???-
- tout à fait, et je compte bien réaliser çà maintenant !! – tu es prête ?
Avant que je n'ai eu le temps de réalisé, la copine vient à califourchon sur ma figure, la moule dégoulinante sur ma bouche, je ne peux plus bouger, je sens ma fille venir sur moi, sa bouche redonne vite de la vigueur à mon chibre, très vite elle se le met dans la chatte, mais ....très vite aussi elle se retire pour viser sa petite rondelle.
- tu es folle, que fais-tu ??- - j'ai juré que si elle perdait *** pucelage, je perdais aussi mon deuxième pucelage !! - - mais tu va avoir mal !!- - ne t'inquiète pas je me suis entraînée avec 'Firmin' !!
Je sens *** anneau s'ouvrir lentement, ma bitte entre doucement dans le conduit étroit, la moule qui est sur mon visage déverse doucement *** nectar dans ma gorge, je le bois avec délice...
Elles ***t soudées par la bouche, et se caressent mutuellement les seins je n'ai aucuns efforts à faire, les deux petites salopes se régalent, ma langue nettoie du mieux qu'elle peut la moule ouverte, un long moment passe avant que la jouissance ne les rattrapent à nouveau, bientôt elles me libèrent.
Le mot de la fin a été- nous ne te lâcherons pas tant qu'il n y auras pas ici une femme a demeure ........... !!!!!!
chrislebo

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#5,150
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Depuis deux ans, ma femme m'a quitté pour un saltimbanque et je vis seul avec ma fille ! Et depuis ce moment, celle ci m'a un peu forcé la main pour faire d'elle une femme à part entière...
Chaque fois que je visionne un film x, elle s'arrange pour me surprendre et pour me solliciter de l'initier à certaines scènes qu'elle voit.
Tous mes efforts pour l'inciter à trouver un jeune garçon ***t vains. Dernièrement, un soir, je l'entends gémir, des halètements de plus en plus rapprochés accompagnés d'un ronronnement bizarre. Un peu inquiet, je me suis approché de sa chambre, dont la porte n'est jamais fermée, pas plus qu'elle ne ferme celle des WC lorsqu'elle va faire pipi. Elle continue alors à me faire la conversation et je peux entendre le gazouillis de sa petite fontaine. Ce soir-là, quand j'arrive devant sa chambre, j'ai pu voir ma fille s'envoyer en l'air avec un vibro ! J'ai doucement fait demi-tour.
Quelque part, je me suis senti soulagé. Peut-être allait-elle me lâcher un peu.
Le lendemain, l'objet trône bien en évidence sur la table de nuit.
Quelques jours plus tard, elle rentre. C'est le soir et je regarde la télé. Elle passe derrière moi, en compagnie d'un jeune homme. Enfin ! me dis-je.
Le garçon me lance un bonsoir timide, auquel je réponds, et ils disparaissent dans sa chambre. Serait-elle sur la bonne voie ?
Elle ressort aussitôt pour venir me demander :
- Tu le trouves comment ?
- Très bien, ma chérie. Passe une bonne soirée.
Elle me fait un bisou et elle disparaît. J'entends bientôt de petits rires et je suis heureux pour elle. Ensuite, plus rien... Les choses doivent avancer...
Tu parles ! Presque en courant, le garçon sort de la chambre, à moitié habillé, et il claque la porte en sortant.
Je ne vais pas tarder à savoir ce qui s'est passé. Vêtue seulement de sa petite culotte, ma fille surgit et elle se blottit contre moi, Elle me lance :
- Vraiment trop nul !
- Que s'est il passé ?
- Ce con, à peine lui ai-je touché la queue qu'il a déchargé partout dans mes draps ! En plus, elle est toute petite ! Pourquoi y a-t-il tant de différence avec celle-ci ?
Et elle passe une main par le pan de ma robe de chambre pour se saisir de ma queue, qui bande évidement dans la seconde. Je proteste doucement :
- Laisse-moi, enfin !
- Parce que tu crois que je vais dormir dans mon lit ? Dans l'état où il me l'a mis... Ce soir, je dors avec toi... En plus, touche ! Il m'a trop excitée, cet imbécile !
Elle met ses talons sous ses fesses et elle écarte les genoux.
- Touche ! Tu vas voir que ma culotte est mouillée... J aimerais bien une petite levrette, moi, ce soir... Allez ! Enlève-la moi, mamour...
Une fois de plus, je cède, j'approche ma bouche du tissu effectivement bien mouillé et *** parfum de jeune femelle excitée m'enivre. Je dégage le slip pour poser mes lèvres sur sa chatte en chaleur. Ma langue ne rencontre aucune difficulté pour s'enfoncer dans le vagin déjà ouvert.
Autour de mon cou, elle fait un nœud de ses jambes, en soupirant longuement :
- Oh oui ! C'est merveilleux ! Lèche-moi encore...
Deux minutes plus tard, sa mouille m'inonde la bouche, tandis que ses cuisses se resserrent autour de ma tête.
Elle retombe, apaisée, allongée sur le canapé, et elle demande :
- On va se coucher ?
- Si tu veux, dis je en soupirant. Elle a réussi à obtenir de moi sa 'levrette'...
Le week-end suivant, c'est une copine qu'elle a invité à dormir à la mai***, une belle fille brune, qui contraste avec la blondeur de ma fille.
Je ne les pas vues beaucoup. Elles ***t restées dans la chambre pendant toute la soirée, et, toujours avec la porte fermée.
Il y a eu des rires, des soupirs, des cris de surprise ou de joie... pendant deux heures. Puis je n'ai plus rien entendu.
Lorsque je suis allé me coucher, obligé de passer devant leur chambre, j'ai vu que la lumière était allumée et, sur le lit défait, j'ai aperçu deux jeunes corps enlacés, cheveux blonds et bruns mélangés, seins contre seins, jambes emmêlées. Elles étaient entièrement nues et elles dormaient... Une vue irréelle que j'ai admirée un instant. Le vibro gisait à leur côté. J'ai éteint et j'ai fermé la porte.
Le lendemain matin, elles arrivent à la cuisine, en tee-shirt et en petite culotte. Elles ne ***t aucunement gênées si les pointes de leurs seins cherchent à percer le tissu. En revanche, les yeux ***t cernés. Elles me font la bise et ma fille me demande :
chrislebo

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- Nous n'avons pas fait trop de bruit hier soir, papa ?
- Non, pas du tout. Je n'ai rien entendu.
Ma fille a eu un petit sourire complice.
Une fois la copine rentrée chez elle, ma fille vient me voir et elle me dit :
- comment la trouves-tu ?
- Ta copine ?
- Eh bien, oui...
- Elle est très jolie. Mais la plus belle, c'est toi.
- C'est très bien que tu la trouves jolie... Parce qu'il va falloir que tu la dépucelles...
- Quoi ? Tu es folle ! Qu'est-ce que c'est encore que cette invention ?
- Eh bien, voilà. Elle s'est rendue compte que je ne suis plus vierge...
- Ah ? Et alors ?
- Rassure-toi. Je n'ai pas dit que c'est toi qui as...
- Heureusement !
Je lui ai dit que c'était un copain à toi qui m'avait draguée et je me suis laissée faire... J'ai aussi dit que je n'ai pas été déçue, loin de là... J'ai aussi essayé de le lui faire avec 'Firmin', mon vibro, mais elle a refusé. Pas question avec un bout de plastique ! Surtout que je lui avais bien expliqué la douceur d'une queue...
- Mais, en admettant, comment me ferais-je passer pour un copain ?
- Facile ! J'ai tout prévu ! J'ai réussi à la convaincre que, le moment venu, elle aurait les yeux bandés. Fais-moi confiance... Et puis, elle a trop envie d'y passer !
- Je le sens très mal...
- Maos non ! Ça va aller. Tu as trois jours pour t'y faire. Lorsqu'elle viendra, tu seras parti et lorsqu'elle sera prête, je t'appellerai sur ton portable. En réalité, tu attendras sagement dans ta chambre...
Elle a encore une fois eu rai*** de ma qualité de mâle...
Le soir dit, je me suis retiré dans ma chambre, je les ai entendues arriver et, peu de temps après, les gloussements ont commencé. Elles ont beaucoup parlé, et mon téléphone s'est enfin mis à vibrer... Moi aussi, par la même occasion !
Quand j'arrive dans la chambre, les deux filles ***t nues et la copine a les yeux bandés. Elle est allongée, les bras en croix, les jambes à peine écartées. Elle attend le 'sacrifice'...
Je m'allonge prés d'elle, ma bouche vient aspirer un téton bandé, *** corps se cabre en arc de cercle sous la surprise, puis elle se relâche en soupirant, légèrement inquiète...
Je caresse *** corps en décrivant des cercles de plus en plus grands, pour finalement atteindre *** pubis. Les cuisses s'ouvrent comme par magie, tandis qu'elle murmure le prénom de ma fille, qui lui tient la main. Mes doigts fébriles séparent les lèvres de cette petite chatte, qui ***t mouillées. Ma bouche quitte les seins pour embrasser millimètre par millimètre la peau soyeuse. Ma langue vient remplacer mes doigts. La jeune copine soupire d'aise et elle s'ouvre au maximum.
Ma fille l'embrasse sur les lèvres en lui murmurant des mots tendres, pendant que je la lèche. Très vite, elle jouit sous ma langue. Avec deux doigts, je commence à élargir *** petit tunnel. Ma fille lui dit :
- Dis quand tu es prête...
- Je... Je suis... Je suis prête...maintenant...
Je viens me placer entre les cuisses, je lui soulève le bassin et, d'une main, je présente mon gland turgescent à l'entrée de la grotte bouillante, dont les chairs ***t refoulées au fur et à mesure de ma poussée. La copine ouvre largement la bouche, mais aucun *** n'en sort...
Très vite, je sens 'l obstacle'. Sans attendre une contraction de refus, je pousse d'un coup sec ma queue au fond du vagin...Et voilà ! Elle est femme ! A peine un faible cri et, tout de suite, des soupirs de satisfaction fusent de sa bouche, tandis qu'elle m'agrippe entre ses bras pour m'attirer plus profondément en elle.
- Oh ! Sapristi, que c est bon ! Continue... Encore !...
En appui sur mes bras, je tète ses seins et j'intensifie la puissance de mes va-et-vient...
La fille jouit en hurlant de bonheur, ce qui déclenche aussi ma jouissance. Elle me griffe lorsqu'elle sent les giclées percuter le fond de sa chatte.
Lorsque ma queue se retire toute seule hors de ce vagin bouillant, je me laisse tomber sur le coté, ce que je n'aurais pas dû faire. J'aurais dû quitter immédiatement la pièce parce que la fille revient à elle et elle retire aussitôt *** bandeau... Elle s'exclame :
- Je ne m était pas trompée ! J'ai tout de suite deviné que c'était vous...
- Quoi ? Mais comment ?
- Par les descriptions qui m'ont été faites, j'ai reconnu votre parfum...
Je suis si sidéré que je ne sais quoi dire. Mais la copine me rassure :
- Rassurez-vous. Ce secret restera toujours entre nous... Et je vous remercie d'avoir fait de moi une femme, dans la douceur. Vous m avez fait un bien fou...
La copine se tourne alors vers ma fille :
Merci à toi aussi, ma chérie, mais n'oublie pas que j'ai accepté à condition que...Vois-tu ce que je veux dire ?
- Tout à fait et je compte bien réaliser çà maintenant.
- Tu es prête ?
Avant que je n'aie le temps de réaliser, la copine vient souplement s'installer à califourchon sur ma figure. Sa moule dégouline sur ma bouche au point que je ne peux plus bouger. Je sens ma fille venir sur moi et, avec sa bouche, elle redonne vite de la vigueur à mon chibre. Elle se le met bientôt dans la chatte, mais elle se retire aussi vite pour ajuster mon gland sur sa petite rondelle. Je m'inquiète :
- Tu es folle ! Que fais-tu ?
- Papa, j'ai juré que si elle perdait *** pucelage, je perdrais aussi mon deuxième pucelage.
- Mais tu va avoir mal, chérie !
- Ne t'inquiète pas. Je me suis entraînée avec 'Firmin'...
Je sens *** anneau s'ouvrir lentement, ma bite entre doucement dans l'étroit conduit, tandis que la moule qui est collée sur mon visage déverse doucement *** nectar dans ma gorge. Je le bois avec délices...
Les deux filles ***t soudées par la bouche et elles se caressent mutuellement les seins. Je n'ai aucun effort à faire, tandis que les deux petites salopes se régalent. Avec ma langue, je nettoie du mieux que je le peux la moule ouverte. Un long moment passe avant que la jouissance ne les rattrape à nouveau et bientôt elles me libèrent.
chrislebo

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#5,152
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Sur le chemin des Pissotières



Mardi après-midi, encore, je suis retournée m'offrir dans ce ciné porno marseillais dont je vous ai déjà parlé.

Mais j'avais changé de costume : une robe simple, relativement collante, brillante à fines bretelles, ras la foufoune, mon string roulé autour du poignet gauche et mes hauts talons (comme toujours)...

J'y ai passé environ 4 heures, tout d'abord debout près du mur d'une des salles, où un type est venu me peloter, me coller, me faire sentir *** sexe contre moi. Puis, je me suis assise un peu plus haut dans un fauteuil en bordure d'allée, très pratique pour sucer les queues qui auraient envie d'envahir ma bouche ; d'ailleurs, 2 se ***t présentées, m'ont pris la bouche et se ***t copieusement vidées dedans, pour mon plus grand plaisir et j'ai remercié les généreux donateurs.

J'ai changé de salle et suis allée à nouveau sucer un type dans un fauteuil ; mais j'étais déconcentrée, car j'entendais des bruits de fessée au fond de la salle ; sitôt ce type expédié, je me suis dirigée d'un pas qui se voulait nonchalant, vers l'endroit d'où m'avaient semblé provenir ces bruits : un gros type se faisait baiser par un homme, la tête coincée entre les jambes d'un 3° ; je me suis mise à coté, debout, jambes écartées, les bras levés et les mains appuyées contre le mur.

3 types m'ont sauté dessus : un pour me sucer, un pour m'enfoncer des doigts derrière et un pour me coller sa queue dans la main ; je gémissais de plaisir, quand une légère claque m'est tombée sur les fesses, j'ai poussé un soupir de contentement ; une 2° et une 3° un peu plus forte. « Oh, oui, encore s'il vous plait ! D'autres ***t tombées un peu plus fortes. J'ai hurlé : « oui, plus fort, collez-moi une raclée ! Encore ! Allez-y .... ! ».

Après cela 2 types m'ont baisée, je me suis pris au moins 5 giclées sur la poitrine, j'ai été fouillée de 4 doigts ensemble, puis baisée à nouveau. J'ai encore avalé des jus de couilles.....

Je nageais dans le bonheur !!!

Il devait être plus de 7 heures du soir, plus grand monde. Je me suis dirigée vers les toilettes, je les ai visitées, repérées. Un jour, il faudra que j'arrive à m'y installer pour me faire pisser dessus en plus de la jute.

En attendant, je suis donc "SUR LE CHEMIN DES PISSOTIÈRES" ....

Et bientôt, je serais alors vraiment devenue:
"une poubelle à jus" !!!
chrislebo

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#5,153
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Pute gratuite, objet de plaisir, dispo en pleine rue !


Mardi soir. Je suis en manque de pelotage, de baise, de sperme.

Çà me démange, j'ai besoin que l'on s'occupe de moi.

Il est 23h00 bien ***nées. je m'habille court, sans culotte, mules à talons hauts.

Je pars me promener dans la rue; je voudrais être abordée par un mec qui, très vite, me mette la main au panier, me considère comme un tas de viande sur hauts talons, comme un objet de plaisir sur - ou dans lequel - se soulager.

Il me coincerait dans un renfoncement ou entre 2 voitures, me ********* () à m'agenouiller, il sortirait sa queue pour la mettre dans ma bouche ou dans mes reins, se viderait sans un mot pour se rebraguetter et se tirer après s'être soulagé ...

Je marche, en mules, mini à pois, top à pois sans manche et mini sac en bandoulière avec mes clefs et un tel.

J'aperçois un énorme semi-remorque au plateau vide; un peu plus loin quelques mecs, certains avec des casques de chantier (hum, un chantier...). Je m'arrête et regarde.

On démonte une grue. Il y a des ouvriers que l'on reconnaît à leur casque, des civils qui surveillent le démontage. Je vais rester un moment à les regarder œuvrer (on ne sait jamais...) d'autant que l'un des ouvriers me reluque.

Mais bon, j'imagine qu'entre ses copains et ses supérieurs, il ne peut rien tenter: dommage, je me serais bien faite tout ou partie de ces mecs, je leur aurais bien servi de vide-couilles, de dégorgeoir, ...

Alors, je m'en vais, continue ma route.

Je marche, change de rue, aboutis dans une grande artère où je sais qu'il y a quelques professionnelles. Je marche dans le sens des véhicules, je veux que l'on m'aborde pour m'utiliser, se purger, se soulager, ...

Je dépasse une pro, continue ma route. Un 4x4 (!) me dépasse, freine. Je fais mine de rien. le type m'appelle, je viens, m'accoude à sa portière. Il se renseigne, me demande si je suis T, me dit que cela ne se voit pas (Merci )? C'est la 1° fois pour lui.

Il me propose de monter dans sa carriole (), je ne me fais pas prier. il démarre, va se garer un peu plus loin, au su et au vu de tout le monde, recule *** siège et sors sa biroute.

Pas impressionnante, (heu, p'tite bite, grosse bagnole, un air de déjà vu, non?) mais bon, J'AI BESOIN !!!

Je la prends dans ma bouche, je suis ravie de la situation: faut que je le fasse languir; alors je m'arrête, il me demande de continuer mais je veux qu'il me *****. Il a du mal à comprendre ou n'ose pas. Il réitère sa demande, je fais l'idiote, il met sa main sur ma tête. Je voudrais lui dite qu'il doit m'utiliser, que je ne suis qu'un sac à foutre, mais c'est moi qui n'ose pas... quelle conne je suis !

Il appuie un peu plus, je fais semblant de céder, contrainte et forcée.

Çà doit lui plaire, il se vide dans ma bouche (giclée de grenouille); j'avale pour mon plus grand plaisir puisque je suis faite pour çà.

Je quitte *** char et continue ma route.

Avant de le rencontrer, je me disais que si je tombais sur un clochard qui dormirait devant une porte, j'irais bavarder avec lui, lui demanderais si çà faisait longtemps qu'il n'avait pas ... je lui proposerais alors de me caresser les fesses et ce qu'il trouverait. J'aimerais alors qu'il se branle, qu'il se vide; devenir une salope pour SDF, quel pied !

Je croise une seconde pro qui se fait embarquer: elle est sexy ... je la reverrais plus tard et la trouverais plutôt moche; Peut-être une occasionnelle qui cherche à arrondir ses fins de mois ? Mais Sotte que je suis, on est au début du mois !!!

Je continue. Tiens un clodo plus loin, il me demande l'heure. Je le renseigne. Et si je lui offrais plus que çà... ?

Mais il est sale, bardé de plaies, bien chargé .... Dangereux (je garde quand même la tête sur les épaules.)

Je tourne et vire dans les rues adjacentes. Cette giclée ne m'a pas calmée.

Une voiture me dépasse, avec des jeunes à l'intérieur. A côté du conducteur une blonde qui se penche par la portière et me fait coucou: pourquoi ne s'arrêtent-ils pas? Je m'offrirais à eux tous, qu'ils fassent (ilssssss et elle) ce qu'il veulent de moi. Je suis une chaudasse, une nympho !

Mon petit sac en bandoulière me donne une idée: il pourrait faire croire, mine de rien, que ma jupe - déjà bien courte - est "accidentellement" coincée dans la bandoulière et dévoiler ma fesse....
soumis8

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La décadence



Chapitre 1


Bonjour. Je suis un garçon nommé Paul et cette histoire c'est passé quand j'avais 14 ans.

Ma sœur et moi étudions dans le même lycée. Elle avait 3 ans de plus que moi, ce qui lui faisait 17 ans. Elle était en terminal et moi en seconde. Elle avait 1 an d'avance et était très intelligente. Nous ne nous entendions pas très bien, voir pas du tout. Nous étions comme deux inconnus dans une même maison, qui s'engueulions tout le temps. N'ayant pas encore trouvé sa voie, elle habitait toujours chez mes parents.

J'adorais l'auto bondage. Je lisais plein de récits et essayais de m'attacher, souvent sans succès. Au début, j'arrivais tous juste à faire un nœud coulant, mais vers mes 18 ans, j'arrivais à faire des choses un peu plus complexes.

Un vendredi après-midi, je rentrais du lycée très tôt car beaucoup de mes professeurs étaient absents. J'étais seul, mes parents ne rentreraient pas avant plusieurs jours car ils étaient en week-end d'affaire. Ma sœur censée me surveiller devait aller chez une copine pour la soirée. Vaincu par une excitation, je me mis à aller chercher des cordes dans le garage de mon père, à prendre mon ordinateur portable pour regarder le manuel, et posais le tout sur la table basse du salon.

Je fis plein de nœud, défaisais et recommençais car je n'y arrivais pas du premier coup. Quelle ne fut pas ma surprise, quand je regardais mon assemblage de corde et l'image sur mon ordinateur. C'était la première fois que ça y ressemblait si précisément. Avant de me décourager, je fermai les rideaux, me mis nu et m'attachai les chevilles, puis les genoux, puis les cuisses. Je me mis sur le ventre, et je fis glisser mon assemblage que j'avais fabriquer entre les liens qui emprisonnaient mes chevilles. Je fini par glisser mes poignets dans deux emplacements réservé, et tirai a fond sur le tout.

Je n'étais jamais parvenu à un tel état d'excitation. Je ne pouvais me libérer, emprisonné dans une position douloureuse. J'étais en position de hogtie !

A peine j'essayais de me libérer que j'entendis du bruit sur le pas de la porte ! Une clé tournait et une personne entrait dans le couloir. Je me mis à gigoter dans tous les sens pour essayer de me libérer mais... trop tard. Ma sœur resta immobile, à me regarder, les yeux écarquillés de surprise. Je me mis à lui parlé, paniqué :

– S'il te plaît, ne dit rien aux parents ! Viens me libérer !

Elle me dévisagea longuement et me regarda droit dans les yeux.

– Si tu tes mis dans cette position, c'est que tu doit t'y plaire. Pourquoi je te libèrerais ?

Elle s'approcha de moi, regarda les liens longuement.

– Et bien, je suis impressionnée que tu ais réussi à faire ça tout seul. Mais je trouve que ce n'est pas assez serré !

Et soudain, elle tira sur mes liens et me serra au maximum mes mains aux chevilles. Je touchais mes pieds avec mes poignets ! Autant vous dire que la position devenait extrêmement douloureuse. Elle resserra tous les liens ainsi puis elle ouvrit les rideaux que j'avais fermés :

– Sa suffit maintenant, libère moi !

– Ou quoi ?

– Où je hurle !

– Tu as raison, je vais chercher des ciseaux dans le garage, je reviens.

Étonné qu'elle capitule si facilement, je la regardais partir. J'avais peur que quelqu'un me voit par les fenêtres, maintenant dépourvus de rideaux. Je commençais à m'inquiéter mais j'attendais, le plus calmement possible. Elle revînt enfin, passa derrière moi hors de ma vue, et s'approcha tout près.

– Redresse la tête, pour que je puisse mieux coupé.

Je redressais la tête, soulagé. Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis un chiffon emplir ma bouche. J'essayais aussitôt de l'expulser mais elle fut plus rapide que moi et me colla un énorme morceau de scotch sur la bouche. Je me mis à gigoter en essayant d'expulser le chiffon.

– Arrête de gigoter comme sa ! Tu ne pourras pas le retirer !

Je lui jetais un regard meurtrier.

– Ah oui ! Je me disais bien qu'il manquait quelque chose !

Impuissant, je ne peux que la regarder aller chercher un bandeau et me le mettre devant les yeux.

– Je te laisse dans cette agréable position, je reviens dans quelques instants.

Elle me laissa ainsi, bavant abondamment a cause du bâillon, dans le noir, et chaque parti de mon corps dans une douleur que je n'avais jamais connu jusqu'à lors. Plein de honte, j'attendais.
soumis8

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La décadence


Chapitre 2


Elle revenait enfin. Je ne savais pas combien de temps elle m'avait laissé seul, mais mon corps n'était plus qu'une grande douleur qui ne cessait de croître. Mon intense excitation était très vite retombée et je souffrais plus que je n'avais jamais souffert. Elle m'enleva enfin le bandeau et je me retrouvais éblouis par le jour encore présent.

– Alors comment vas-tu depuis que je t'ai laissé ? Tu n'a pas trop mal j'espère ? ! Regarde ce que je suis allé chercher chez une copine.

Elle dressa un appareil photo numérique sous mes yeux effrayé. Je me mis à crier mais seul des gémissements inaudibles sortaient. Je gigotais dans tous les sens, mais je n'arrivais qu'à me faire encore plus mal !

– Tu veux dire quelque chose ? Attend je vais déjà utilisé ce bel appareil photo pour avoir des photos de toi que je mettrais dans mon album.

Elle me prit en photo sous tous les angles, tournant autour de moi comme un vautour intéressé. Quand elle eut finie, elle me retira enfin mon bâillon en me prévenant que si il me venait l'envi de crier, elle me le remettrait illico.

– Libère moi s'il te plaît ? ! Qu'est-ce que tu veut faire avec ces photos.

– Oh, mais tu sait déjà ce que je vais faire de ces photos ! Je vais les distribuer dans tout ton lycée pour que tout le monde se rende compte de tes pratiques !

Je la sentais tout à fait capable de montrer ces photos et des larmes d'impuissance me montèrent aux yeux.

Se baissant soudainement, elle me fit basculer sur le côté gauche (jusqu'alors, j'était sur le ventre). Là, elle sortit un tube de crème et me l'appliquât sur mon pénis. Elle repris *** appareil en main. Elle m'avertit :

– Et maintenant, le bouquet final !

Je ne compris pas immédiatement, jusqu'à ce que je sente des sensations étranges dans mon pénis. Dans l'incompréhension total, je sentis mon sexe grandir alors que je ne ressentais aucune excitation !

– Je vois que tu commences à réaliser.

Comprenant soudainement, je la suppliai de nouveau. Mais elle se remit à prendre des photos de moi attaché et avec une érection de taureau.

– S'il te plaît ! Ne donne pas ces photos ! Tu n'imagines pas les conséquences ! S'il te plaît !

– Oh si, au contraire ! J'imagine très bien les conséquences et je m'en réjouis d'avance !

– Non ! Je t'en pris ! Ne fais pas sa ! Tu vas ruiner ma vie !

– Je n'aime pas te voir aussi affolé petit frère. J'ai peut-être la solution.

– ... ?

– Tu deviendras mon esclave. Un petit chien docile très obéissant car il sait ce qui se passera sinon...

La douleur était toujours aussi vive et perturbait ma concentration. Je n'arrivais plus à réfléchir. L'esprit embrumé par tous ces évènements, j'essayais d'imaginer une vie où tout le monde saurait mes pratiques. Je levais les yeux, elle attendait une réponse.

– Alors ?

Hésitant encore quelque seconde, je cédai :

– D'accord mais promet moi que tu ne montreras jamais ces photos ...

– Je n'ai rien à te promettre petit frère. Je les montre à qui je veux si j'en ai l'envie, mais si tu es sage, il n'y a pas de rai***. Alors ?

– D'accord s'il te plaît, libère moi...

Elle me libéra en une dizaine de minutes et je me redressais enfin. La douleur parcourait tous mes membres et quand j'ai essayé de me mettre debout, mes jambes se ***t dérobées sous moi.

– Bon, je vais prendre un peu de temps pour réfléchir à ce que je vais te faire... Pour l'instant, puisque cette tenue à l'air de te plaire, tu va rester tout nu comme un méchant petit garçon.

– (Vaincu, je ne disais rien, et attendais)

– Ces évènements m'ont donné faim, tu vas me préparer le dîner. Je vois que tu es excité par la situation si j'en juge par ton petit zizi. A moins que ce ne soit encore ma crème ? !

– S'il te plaît, laisse moi m'habiller ! Il y a plein de fenêtre, si quelqu'un me voit ...

– Tu veux que je te place devant la fenêtre qui donne sur la voisine ? Je crois qu'elle est dans ton lycée ? ! C'est toi qui choisis !

– Non non, ...

– La prochaine protestation sera punie ! Tu y penseras avant de contester mes ordres ! Va me préparer mon repas et fait attention a ne pas bruler ton petit sexe en érection sur la gazinière, ce serait dommage !

Je ne répondis pas et filai dans la cuisine. Je me mis à préparer en me mettant à quatre pattes pour passer sous les fenêtres... Je préparais une pizza en une petite heure. Vers la fin de ma préparation, je sentis enfin mon sexe débandé. Je ne savais même pas que ce genre de crème existait ... Je l'entendis qui approchait.

– Alors, as-tu finis ? Oh, tu as débandé ! Il faudra que je pense à remercier mon amie. Maintenant, sert nous le repas !

Vaincu, je me mis a nous servir le repas, toujours tout nu. Je lui servais *** assiette quand je sentis quelque chose de froid sur mes fesses nues.

– Ne bouge pas !

Je me figeait sous *** ordre. Je sentis l'objet froid descendre le long de ma raie. Soudain, elle appuya contre ma rosette et l'objet entra dans mes fesses comme dans du beurre. Quand il fut bien rentré, elle le lâcha et dit :

– Sache que je viens de te remplir avec une grosse cuillère. Ce n'est qu'un petit début, mais tu la garderas pendant tout le repas. A partir de maintenant, je vais bien m'occuper de ton petit cul ! Allez, mangeons. Je crois que tu vas devoir rester debout si tu ne veux pas te faire mal. Tu a juste le manche enfoncé et si tu t'assoie, sa ne te feras pas du bien !

Obligé de rester debout, je mangeais du mieux que je pouvais. En sentant cet objet entre mes fesses, je repensais à ce que je faisais avant. J'avais déjà essayé de m'enfoncer des petites colles UHU et j'en avais même garder une toute une nuit. J'aimais cette sensation mais j'avais peur d'aller plus loin car ça me faisait mal et j'avais peur que lors d'une visite chez le médecin, il observe mon petit trou et dise à ma mère qu'il n'était plus vierge ...

Quand le repas fut finit, elle m'enleva la cuillère et m'annonça :

– Je t'obligerais à lécher ce qui sortira de ton cul plus tard. Profite bien de tes débuts. Je te laisse mettre dans le lave-vaisselle et tu me rejoindras dans le salon.

Toujours tout nu, je mis les couverts dans le lave-vaisselle et nettoya la table. J'essais de prendre le plus de temps possible pour éviter d'aller la rejoindre. Quand j'eu finis, j'entrai dans le salon.

– Tu en as pris du temps ! 30 minutes pour nettoyer une table ? ! Qu'est-ce que c'est que ce bordel ! ? Cela mérite une punition ! Lèche mes pieds !

Apeuré, je baissai les yeux. Je ne l'avais jamais vu en colère comme ça...

– Tu vas avoir droit à ta première punition. Lèche mes pieds.

Croyant avoir mal entendu, je ne réagissais pas. Elle se leva brusquement et me gifla avec une ***** que *** corps ne laissait pas soupçonner. Elle répéta :

– Lèche mes pieds, ou ta punition sera beaucoup plus douloureuse !

Sous *** regard coléreux, je m'agenouillai. Je commençai à la lécher, avec hésitation. Je me surpris à avoir une érection. Je ne pouvais le nier, cela m'excitait ! Bien sur, ma sœur s'en rendit compte...

– Mais il bande le petit cochon ! Je voit que tu aime sa ! Suce bien mes orteils

En totale extase, je léchais ces pieds goulument en prenant conscience que j'avais toujours rêvé d'être dominé. Quand je lisais des récits SM, ce n'était pas le rôle du dominant qui m'excitait, mais bien le rôle du dominé... Quand elle s'estima satisfaite, elle annonça :

– Allons dormir. Tu as une nature de soumis petit frère. Tu aimes ça ! Tu dormiras dans ma chambre cette nuit, au pied du lit.

Elle se coucha en me disant :

– J'espère que tu n'auras pas trop froid tout nu ! Je t'interdis de te couvrir bien sur ! Bonne nuit petit frère !

Sur cette dernière parole, elle éteignit la lumière. Sans un vêtement pour me couvrir, je fris***nais sur la moquette qui me grattait. Mes membres étaient encore endoloris par cette rude après-midi. Au bout de longues heures, je finis par m'endormir.
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La décadence

chapitre 3

Je fus réveillé par une grande sensation de froid au niveau de mon sexe. J'ouvris les yeux en grand et découvris ma sœur au-dessus de mon pénis, un sac de... glaçons ? ! Pressé sur mes couilles. En me voyant ouvrir les yeux, elle m'aborda :

– Enfin réveillé petit frère ? ! Tu as le sommeil lourd. Vois-tu, quand je me suis éveillée, j'ai baissé les yeux sur toi et j'ai vu ton petit zizi tout dur. J'ai décidé de remédier immédiatement à ça pour que ça redevienne ton petit zizi normal.

– S'il te plaît, j'ai froid ! Donne-moi un habit à me mettre...

– Justement, j'y ai pensé petit frère. J'ai ce qu'il te faut !

Elle me sortit de derrière elle une petite chemisette rose.

– Qu'est-ce que c'est ? Ça ne vient pas de mon armoire !

– Évidemment ! Tu ne crois pas qu'après hier, tu vas t'habiller normalement ? ! Ceci est une chemise de nuit. Elle s'arrête à mi-cuisse, mais comme tu as de plus grandes jambes que la plupart des filles, je parie que ça t'arriveras juste au niveau de ton zizi. Vas-y, met la !

Obligé d'obéir, je me redressai et enfilai la chemise. Effectivement, elle arrivait juste au-dessus des cuisses ! Ce qui fait que l'on pouvait voir mon sexe pendre en dessous...

– Elle te va à ravir. Bien sûr, il ne faut pas mettre de culotte dessous ! Bon, j'ai déjà déjeuné et toi tu ne déjeuneras pas. Va te laver.

J'obéis en silence. Au moment de me rincer, ma sœur rentrât dans la salle de bain. Je me cachai :

– C'est bon petit frère, je t'ai déjà vu nu, ça ne me choque pas !

Pendant qu'elle parlait, elle s'approcha de moi, un mètre à la main. N'osant pas protester, je la laissais placer le mettre à côté de mon sexe mou. Je savais que je n'étais pas vraiment gâté par la nature de ce côté-là. J'en fus encore plus humilié quand elle éclata de rire.

– Eh bien, eh bien ! C'est pas avec ça que tu vas faire plaisir à une fille, tu peux en être sûre. 4 centimètres ! J'ai jamais vu ça !

Elle tendit lentement sa main vers mon sexe et se mit à me branler. Excité, mon sexe se mit au garde-à-vous.

– 7 centimètres ! Mon dieu, je te plains ! Tu as un micro pénis ma parole ! Tu es fait pour être dominé enfaite... En plus, je vois que tu apprécies ta soumission !

Rouge de honte, je baissais les yeux. Mais à ma grande surprise, elle continua de me branler. Elle me branla de plus en plus vite et je fermai les yeux d'excitation ! Le plaisir montait, mon bassin faisait des mouvements incontrôlés pour accéder à la jouissance ! Oui ! Je poussais maintenant des gémissements que je ne pouvais empêcher. Sa main divine me masturbe à un rythme effréné. Ça y est ! Je vi... Une douleur aiguë me plia en deux. Je rouvris brusquement les yeux et cria. Un deuxième coup de pied me coupa la voix et je tombais dans la baignoire. Je suffoquai pendant une dizaine de minutes tellement la douleur était terrible.

– Tu ne croyais pas que j'allais te laisser jouir quand même ? ! Essuie-toi et enfile ta chemise de nuit. Tu vas faire le ménage que j'aurais dû faire, mais tu vas le faire d'une manière particulière. Tu dois passer la poussière avec le plumeau. Retourne-toi et touche tes pieds avec tes mains !

Comme un petit garçon obéissant, je fis ce qu'elle demandait, la douleur dans mes testicules m'encourageant. Je sentais qu'elle m'appliquait un produit sur l'anus. N'osant pas réagir, je restais immobile. Elle m'enfonça un doigt et se mit à faire des va-et-vient. Cette sensation était nouvelle pour moi, et j'essayai de me dégager. Comme pour me dissuader, elle en mit brusquement un deuxième et accentua la vitesse de ses va et viens. Je commençais à ressentir des fourmillements bizarres, comme si j'étais excité. Est-ce qu'on pouvait prendre du plaisir par l'anus ? Sans comprendre pourquoi, mon bassin faisait des mouvements que je ne contrôlais pas, m'enfonçant involontairement plus profondément sur ses longs doigts. Avec honte, je poussais un petit gémissement que je n'avais pas pu retenir. Elle essaye d'en mettre un troisième, mais ça ne rentrait pas. Elle s'obstina à ****** le passage, se retirant et revenant jusqu'à ce que ça rentre. Incapable de contrôlé ma respiration, j'haletais, je respirais de plus en plus vite. Soudainement, elle enleva ses doigts et m'enfonça un objet tout aussi brusquement.

– Whaou, mais tu es une vraie petite pédale ma parole ! Comment tu peux prendre autant de plaisir par le cul ? ! Ne t'inquiète pas, j'exploiterais ton potentiel au maximum. Tu peux te redresser, petit frère ! Je t'ai enfoncé le plumeau dans ton cul, et je veux que tu passes la poussière partout ! Je veux que tout soit propre et tu n'as pas intérêt à te cacher des fenêtres ! Attends, je prends quelques photos, tu es trop beau !

Rouge *************, j'entendis le bruit de l'appareil photo. Elle m'emmena dans le salon et m'ordonna d'enlever la poussière sur la table basse.

– Il va falloir que tu trémousses ton petit cul ! Il va devenir tout musclé !

Vaincu, je me mis à bouger mes fesses de droites à gauche pour nettoyer la table...

– Bon, je te laisse faire toute la mai***, je reviens dans quelque temps !

Dès que je fus seul, je me mis à me branler ! N'ayant aucune pudeur, je me masturbais à côté de la table basse, le plumeau dans le cul. Ma sœur ne m'avait pas laissée jouir ce matin et j'étais excité au maximum. Je jouis en quelques secondes... mais alors que j'étais entre l'extase et le regret que ce soit fini si vite, ma sœur revint en trombe !

– Ah le cochon ! Tu te branles sans ma permission maintenant ? ! Tu vas regretter de m'avoir mis en colère !

– Mais...

– Il n'y a pas de mais ! Tu vas lécher ton sperme gros porc !

– S'il te pla...

– Lèche ! C'est un ordre !

Elle m'agrippa la nuque et me l'appuya jusqu'à ce que ma face soit écrasée sur le sol. Elle m'obligea à lécher mon jus jusqu'à la dernière goutte malgré mes hauts le cœur de plus en plus puissants ! Un peu calmée, elle m'adressa la parole :

– C'est bien, bientôt ce ne sera plus le tient que tu boiras ! Il te faut maintenant une punition !

Ne s'expliquant pas davantage, elle prit les cordes qui étaient toujours là depuis hier après-midi. Honteux, je ne résistais pas et elle m'amena sur mon lit. Là, elle m'allongea et m'attacha la main droite au plus haut barreau du lit, et fit la même chose pour la main gauche. Elle m'écartela presque et m'attachai les chevilles des deux côtés du lit. J'étais dans une position qui ne supportait aucune pudeur. Mes jambes écartées, presque en grand écart, dévoilaient mon sexe et ma rosette sans que je puisse faire quoi que ce soit.

– Cela fait longtemps que j'en ai envie ! Tu vas dire adieux à tous ces poils, petit frère ! Je vais chercher le rasoir !

– Noooonnn ! Pas mes poils ! S'il te plaît ! ! Noooonnn !

– Tu n'es pas en position de refuser petit frère ! Tes poils ***t disgracieux et ne correspondent pas à la taille de ton sexe !

Elle m'enfonça alors une chaussette profondément dans la bouche. Il m'était impossible de l'expulser tellement elle était loin dans ma gorge. Je ne pus que gémir à partir de ce moment. Elle partit dans la salle de bain et revint rapidement avec une bombe de mousse et un rasoir. Elle commença par les aisselles, puis le torse, puis les jambes et le sexe. Pleurant d'impuissance, je vis tous mes poils disparaître progressivement. Je ne la suppliais plus, comprenant que ça ne servait à rien. Je ne pouvais que pleurer, dans l'incapacité à me libérer. Elle m'enleva même les poils sur mes bras et dans la raie des fesses. Elle me libéra quand elle eut fini, mais je restais immobile, le corps totalement imberbe. Elle prit plusieurs photos de moi, mais je ne réagissais pas, ne réagissais plus. Elle me dressa un miroir devant moi. Mon sexe paraissait encore plus petit qu'il ne l'était déjà... Elle se mit à me caresser les jambes et le sexe. Je fris***nais tellement les sensations étaient nouvelles pour moi.

– Regarde, c'est beaucoup plus adapter à ton sexe de petit garçon ! Arrête de pleurer maintenant. Dit-elle en continuant de me caresser.

Après que mes larmes furent passées, elle m'annonça la nouvelle qui finit de m'abattre :

– Je suis invitée chez mes amies ce soir. Comme je ne peux pas te laisser seul, je vais devoir t'amener avec moi ! Suis-moi !

Elle me tira par les couilles jusqu'au garage. Sans me lâcher, elle ouvrit la portière de la banquette arrière. Dans un état second, j'entrai dans la voiture. Elle commença à me ficeler de sorte que je ne pouvais plus bouger, mais j'étais bien droit. Elle fit un nœud autour de mes couilles et elle tira, et tira encore. Jamais elles n'avaient été ainsi étirées. Quand elle s'estima satisfaite de ma douleur, elle attacha la ficelle sur le tableau de bord. Elle se mit au volant. Je la suppliais :

– S'il te plaît ! Je suis tout nu ! J'ai mal !

– Il va falloir t'y faire, petit frère ! Je te veux avec les couilles bien pendantes ! Les vitres ***t teintées, mais s'il me prend l'envie de les baisser... Hihi, tu ferais mieux de te faire discret !

Elle sortait la voiture du garage. En s'arrêtant à un feu rouge, elle s'appuya sur le fil qui arrachait mes couilles. J'ai cru qu'elle allait me castrer tellement j'avais mal. J'étais trempé de sueur et impuissant. Je fus soulagé quand le feu passa au vert. Mais à un autre feu, elle baissa ma fenêtre de mon côté droit, et je me retrouvais nez à nez avec une fille de mon âge. Je vis la surprise se former sur *** visage. J'étais tout rouge. Elle me regarda longuement, moi, tout nu, entièrement attaché, les couilles écartelée, mon sexe pendouillant. C'était impossible qu'elle ne voie pas tout. Ça surprise se transforma progressivement en excitation, et je la vis commencer à se caresser derrière le siège de sa mère qui ne voyait rien. Quel spectacle ça devait être pour elle. Je sentis mon sexe se redresser devant le spectacle qu'elle me donnait, et quand elle s'en aperçût, elle redoubla de vitesse dans sa masturbation. Ma sœur qui avait vu toute la scène, lui fit un clin d'œil et redémarra. Comment j'ai pu en arriver là ! Humilié, j'essayais d'oublier cet épisode de ma vie. Une demi-heure plus tard, elle me dit :

– Nous sommes arrivés ! Il est temps de t'habiller !

Elle s'arrêta dans une impasse, apparemment déserte. Elle me détacha. Mes couilles étaient toutes violettes et me faisaient un mal de chien. Elle sortit des vêtements du coffre. Elle commença à m'habiller, et je me laissais faire, comme un bébé...

Elle me donna mes chaussettes en premiers. Je m'imaginais tout nu, debout dans la rue, avec pour seul habit une paire de chaussettes, et je priais pour la millième fois que per***ne ne me voie. Mais elle finit par me donner tous mes vêtements. J'étais habillé tout à fait normalement quand nous partîmes et arrivâmes chez ses amis. Elle me présenta à ses trois amies, « Laure », « Betty » et « ***ia ». Devant l'air étonné de Laure en me voyant, ma sœur lui sortit une excuse :

– Désolé, mais je suis censé le surveiller. Il a peur d'être tout seul dans le noir.

Encore une façon de ma rabaisser, mais cela n'a plus d'importance désormais. Je reste sur le canapé de longues heures à les écouter parler des derniers ragots. Nous pas***s à table et mangeons rapidement, puis ma sœur alla se laver. Quand elle réapparut, elle annonça :

– Je vais montrer à Paul la salle de bain et je reviens.

Quand nous fûmes dans la salle de bain, elle me montra un placard :

– Voici le placard à linge sale de Laure. Prends une petite culotte. Je veux que tu te masturbes dedans.

– Quoi ? ? Mais t'es folle !

(Clac)

– Je t'interdis de me parler de cette manière ! Ou ce ne sera plus de simples gifles que tu te prendras !

Elle me fixa droit dans les yeux pendant quelques secondes et je baissai la tête, soumis. Un peu calmée, elle reprit :

– Je disais donc que tu allais te masturber dans cette culotte, et puisque tu viens de prouver que je ne pouvais pas te faire confiance, tu vas le faire devant moi !

– S'il te plaît, elle va s'en rendre compte ! Pourquoi tu veux me faire ça ? !

– Tu dois assouvir mes envies. Et j'ai envie que tu te masturbes maintenant ! Ça ne te dérangeait pourtant pas de le faire avec un plumeau dans le cul ! Ou je peux montrer tes photos... Aller, lâche ta purée dans la culotte de ma copine !

Je me baisse pour attraper une culotte. Quand j'ouvris la porte, je reçus une claque sur les fesses, surement pour m'humilier davantage. J'enlève mon pantalon et positionne la culotte autour de mon sexe. Je commence les va-et-vient, de plus en plus vite. Mais la peur que ses copines me découvrent ainsi me bloquait, et je ne bandais pas.

– Stop ! C'est normal au début, mais ne t'inquiète pas, bientôt tu éjaculeras au seul *** de ma voix. En attendant, nous allons faire autrement.

Je la vis faire un regard circulaire pour trouver je ne sais quoi. Je n'osais pas bouger.

– J'ai ce qu'il te faut petit frère, dit-elle en prenant la brosse à cheveux d'une de ses copines. Retourne-toi.

Sachant à l'avance ce qu'elle allait faire, mon sexe se redressa tout seul.

– Whaou ! Tu es vraiment spécial toi ! Bander sur la simple idée que tu vas avoir ton petit cul rempli ...

Je réalise alors que j'avais envie d'avoir cet objet dans mon cul. Elle m'ordonna d'écarter mes fesses avec mes mains et elle me l'enfonça à sec. Elle ressortit aussitôt la brosse et me la renfonça plus profondément. Elle commença des va et viens en retirant la brosse presque totalement, et me la renfonçant au maximum. Au bout de quelques passages, je sentais les piques entre mes fesses, et je savais qu'elle avait réussi. Ne pouvant me contrôler, je me remis à me masturber dans la culotte. Quelques secondes plus tard, le plaisir m'envahit et j'éjaculais. De longs jets de sperme atterrirent sur la culotte de Laure. Ma sœur continua *** va-et-vient pendant 1 minute après mon éjaculation puis m'enleva la brosse :

– C'est bien, je suis fier de toi ! Remets la culotte bien en évidence dans le placard ! Et nettoie cette brosse !

Je remis donc la culotte et passa la brosse sous le robinet. Pendant ce temps-là, elle m'informa :

– Je descends chercher tes affaires de nuit. Quand je remonte, je veux te retrouver tout nu.

Je ne me posais plus de questions. J'avais franchi le cap et je me rendais compte que j'aimais cela. Je me déshabillais en essayant d'imaginer ce qu'avait prévu ma sœur...
soumis8

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je trouve pas la suite, snif
chrislebo

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TRISTE
chrislebo

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le dressage de Cathy


Mon téléphone fixe ***ne :
– Allo, Cathy ?
– Oui.
– C'est Jeff !
– Que me veux-tu, Jeff ?
– Rien, si ce n'est pour prendre des nouvelles.
– Merci ; je vais bien. Et toi ?
– Oui, ça va. Tu te souviens du bon temps ?
– Pour vous, le bon temps ; pour moi, ce fut un cauchemar.

On ***ne à la porte.
Ma fille, Céline, me dit : « Ne bouge pas ; je vais ouvrir. »
Mais, à peine la porte est-elle ouverte que cinq Blacks et Jeff entrent dans l'appartement.
L'un des Blacks bâillonne ma fille pour lui éviter de crier.
Ils se dirigent vers moi.
– Alors, ma salope, surprise ? Tu sais, on ne t'oublie pas...
– Non : vous sortez de chez moi ou bien j'appelle la police.

Pour toute réponse je reçois une gifle.
Ma fille essaie de se débattre, mais en vain : ils ***t deux à la maintenir.
Un Black se met derrière moi, et il me bloque les mains dans le dos, tandis qu'un autre devant moi me passe un collier avec une laisse, puis me bâillonne.
Je vois ma fille qui pleure.
Le Black devant moi met les mains sur le col de mon chemisier et, d'un coup, tire dessus et le déchire ; puis il fait de même avec le soutif : il prend un couteau, coupe les bretelles, coupe entre les bonnets puis il le jette.
Pour le bas, je suis en pantacourt. Il passe ses mains sur le haut du vêtement, et il tire dessus pour l'ouvrir ; les boutons sautent. Il le descend, ainsi que ma culotte.
J'essaie moi aussi de me débattre, mais impossible : ils ***t trop forts pour que je puisse leur résister.
Il me retire mon pantacourt ; je suis presque nue : il ne me reste que mon chemisier déchiré.
Ma fille, elle, se retrouve avec les mains attachées dans le dos et aussi un bâillon sur la bouche. Elle me regarde, horrifiée par le spectacle.

Pendant ce temps, les Blacks se ***t mis nus. L'un d'eux me ***** à me mettre à genoux. J'essaie encore une fois de résister – au moins pour l'honneur – mais, là encore, je reçois une gifle. On appuie sur mes épaules et je me retrouve à genoux ; un sexe me ***** la bouche. On me pince le nez pour me *****r à ouvrir la bouche, ce que je fais après quelques secondes, manquant d'air. Le sexe s'enfonce pratiquement de moitié dans ma bouche ; le Black met ses mains dans mes cheveux, et il commence à faire des va-et-vient dans ma bouche. Maintenant, *** sexe y entre presque en totalité.
Un autre Black me passe sa main entre les cuisses et...
– La salope... Elle mouille ! C'est bon ça : on va pouvoir la défoncer par tous les trous !
C'est vrai : plus ils ***t brutes, et plus j'aime ça.
Le Black que je suce se met à genoux, ce qui m'oblige à me mettre en levrette ; un autre Black se positionne derrière moi et me prend d'un seul coup.
chrislebo

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Ma fille, toujours en larmes, se trouve aux prise avec trois Blacks ; ils lui caressent le visage, les seins, les cuisses... Il faut dire qu'elle porte une jupe pas trop courte et un pull.
Un des Blacks lui écarte les jambes, tandis qu'un autre lui soulève *** pull ; elle essaie de se débattre mais, seule contre trois hommes, elle ne peut rien faire. L'un d'eux sort un couteau et coupe le pull en deux, en commençant par le bas. *** soutif se retrouve en lambeaux, tout comme le mien. Sa jupe est remontée ; quant à *** string, il est arraché.
Elle se débat comme une tigresse mais, pour toute réponse comme pour moi, ce ***t des gifles qui tombent.
Avec ses mains toujours retenues dans le dos, elle est forcée de se mettre à genoux. Elle offre moins de résistance que moi ; tout comme moi, elle est vaincue par le nombre.
On lui pince aussi le nez pour la ****** à ouvrir la bouche ; quelques secondes suffisent pour qu'un sexe lui viole la bouche.

De mon côté, un Black s'est allongé sur le sol ; on me ***** à m'empaler dessus tout en suçant.
Une fois le sexe enfoncé dans ma chatte, un Black m'écarte les fesses et commence à me prendre le cul.
Des souvenirs me reviennent ; je me laisse aller, et je me donne même du plaisir à me faire violer par trois gros sexes...

Quant à ma fille, on vient de lui détacher les mains ; mais, comme pour moi, on lui passe un collier avec une laisse.
– Allez, les putes, nous dis Jeff ; on bouge *** cul, on donne du plaisir !

Le dernier Black se positionne derrière ma fille ; il frotte sa verge entre ses cuisses.
– Ah, la salope ! Elle aussi, elle mouille. Telle mère, telle fille !
Et d'un coup, il s'enfonce dans le sexe de ma fille qui, tout à coup change d'attitude : elle place ses mains sur les fesses de l'homme qu'elle suce pour mieux s'enfoncer le pieu dans la bouche. Maintenant, c'est elle qui fait des va-et-vient avec sa bouche.
– Quelle salope...Encore plus pute que sa propre mère ! Là, je vous dis qu'on est sur un bon coup ! dit le Black. Allez, sale pute, montre à ta mère comment une salope comme toi aime se faire défoncer la chatte et la bouche en même temps ! Montre à ta salope de mère !

En entendant ces mots, ma fille – que je ne la reconnais plus – s'excite sur cette queue qu'elle a en bouche, et pousse de violents coups de reins pour mieux enfoncer l'autre queue dans sa chatte. Ma fille est une salope...
Le Black qui est sous moi se retire et va rejoindre ma fille ; il se glisse sous elle, qui est toujours prise dans la bouche et la chatte. Le Black essaie de lui faire une double pénétration dans le sexe... Là, je vois bien qu'elle a mal : ses doigts s'enfoncent dans les fesses du Black qu'elle suce, puis elle se relâche. Le second sexe disparaît dans *** sexe béant.

– Regarde, Cathy : ta salope de fille te donne des leçons ; après, ce sera ton tour de subir une double pénétration !

Ma fille est devenue une véritable furie : prise par trois sexes, elle donne des coups de reins pour encore mieux se faire défoncer comme une pute... Le Black qu'elle suce se raidit et se vide dans sa bouche ; là encore, ma fille me surprend : elle avale tout. Des filets de bave et de sperme coulent de sa bouche. Le Black se retire.

– Eh bien, ma salope, c'est la première fois que l'on me suce aussi bien ; tu vas bosser pour nous, dans la cité.
– Oui, oui, je veux bien ; mais j'en veux encore et encore... Défoncez-moi par tous les trous ! Je veux devenir votre chienne, votre salope et aussi votre soumise !
– Tu vas avoir tout ce que tu veux, petite pute ! Mais, maintenant, en plus des deux queues dans ton sexe, tu vas en recevoir une autre dans ton cul...
– Oui, vite, vite... Défonce-moi le cul ! Et je veux que vous défonciez ma pute de mère comme moi ; je veux voir comment elle est salope ! Vite, vite...

Je me suis mise à penser que ma fille était vraiment une sale pute.
Le Black que je suçais se retire et passe derrière moi ; comme vient de le demander ma fille, il essaie de se loger dans ma chatte déjà prise par un autre sexe ; c'est trop douloureux, et je me mets à crier. Heureusement, il y a de la musique pour masquer mes cris.
Puis ma fille me dit : « Laisse-toi aller : tu vas aimer en prendre deux d'un coup ! »
Le deuxième Black me tire par les hanches et s'enfonce dans mon sexe ; je sens maintenant les deux queues qui me labourent le vagin.
– Tu vois, ma salope – me dit ma fille – tu vas aimer tout comme moi : on va être leurs putes !

En cadence, les quatre Blacks se vident dans nos sexes ; ce liquide chaud, quel plaisir... Puis ils se retirent ; ils nous font mettre côte à côte et nous sodomisent l'une après l'autre. Dès qu'ils se retirent de nos culs, les Blacks se présentent à nos bouche pour être sucés.
Six sodomies et six pipes aussi à la suite les unes des autres...
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