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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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L'offense d'un cocu soumis


Mon rôle de cocu soumi et impuissant augmentait mon plaisir de jour en jour. Jean Claude était mon Maître attitré et l‘amant de ma femme, c‘était un grand male qui venait me baiser ou et quand il voulait, le plus souvent chez moi.Il aimait aussi m’emmener m ’exhiber devant des inconnus ou devant ses amis homme ou femme. Il connaissait aussi parfaitement ma femme , Patricia belle salope qui ne perdait pas une occasion de me faire cocu , avec laquelle il baisait aussi souvent devant moi pour mieux me ridiculiser. Patricia adorait me faire dominer par lui devant moi , elle comparait nos deux bites , et me faisait comprendre qu‘avec mon zizi de tapette je ne pouvais que regarder le chibre énorme de Jean Claude avec déférence et envie, et souvent ,elle me donnais sa bite à sucer après qu’il l’ait bien baisé .Ce soir Il avait prévu une séance d’offense pour parfaire mon éducation , afin que je me considère parfaitement cocu à petite bite.

Jean Claude arriva chez moi un soir que Patricia était du moins je le croyais en déplacement pour mister travail, elle m’avait prévenu que Jean Claude passerai pour me sauter et que j’avais intérêt a obéir si je ne voulais pas qu’elle me quitte.Je n’avais pas le choix ,ils me tenaient tous les deux , en plus ils m’ont menacé de diffuser des photos de moi en lope ou en train de me faire baiser.
La situation me plaisait malgré tout, donc ce soir , je devais l’attendre en tenue de salope , provocante , dès qu’il arriva je devais lui présenter mes fesses et ma petite bite en troussant ma mini jupe , comme à l’habitude ,il me pelota en me demandant :’’ De quoi elle a envie cette salope ce soir ?’’ ‘’ De vos mains maître , je suis votre chose ma petite nouille réclame vos doigts , je serai bien obéissant et serais a vos ordres Maître ! ‘’’’ Bien , va me chercher une bière et approche toi !’’Il s’asseya sur le canapé , tandis que je lui tendis la bière, l’ordre retentit:’’ Viens vénérer la bite de ton Maître , qui va te prendre ton cul de chienne !’’Je m’exécute et défis la boucle de mister pantalon pour sortir mister énorme engin, le pris en bouche avec amour a genoux à coté de lui sur le canapé pendant que sa main droite me pelotait les fesses avec autorité. Je me sentais femelle soumise et j’adorais ça !

‘’ Je vais te prendre en levrette salope , tourne toi !’’Je tendis mes petites fesses au male , qui rentra sa bite d’un seul coup me faisait crier de plaisir, il me lima pendant 5 bonnes minutes et au moment de jouir il saisit mon asticot de sa main droite et le secoua tout en jouissant dans mon cul, l’effet ne se fit pas attendre je jouissais comme une folle en serrant les cuisses.
Mon male se rajusta et me lança :’’ Je passe te prendre ce soir vers 22h, prépare toi , soit bien épilé et ne te branle pas petite bite !’’
‘’Ou voulez vous m’emmener Maître ’’ ’’ Ton envie d’être humilié et d’avoir honte va être comblé ma tapette, ce soir tu va faire ce que tu n’a jamais espéré à tout à l’heure !’’ et il claqua la porte me laissant les fesses en l’air culotte baissée et bas déchirés des assauts du Male.

En me préparant comme mon Maître le désirait , c’est à dire petit tee shirt blanc arrivant mi fesses , string en dentelle blanc de femme, et petites socquettes basses blanches . Cette tenue m’excitait au plus haut point , car je savais que cette dans cette tenue que mon Maître allait m’exhiber. Ma lamentable petite bite de tapette me chatouillait et j’avais une irrésistible envie de me caresser. Mais hors de question car il me fallait garder cette excitation afin de mieux supporter ce qui m’attendait.
J’entendis la voiture de mon Maître arriver , je me tenais debout tête baissée, il ouvrit la porte qui laissa ouverte , il savait que la peur de me faire surprendre par un voisin m’excitait au plus haut point. Il releva mon tee shirt pour mater mes couillettes et mon zizi sous le string , les soupesa, me claqua les fesses avec une moue approbatrice.’’ Allez salope , en voiture , viens montrer tes fesses à qui veut
les voir !’’Je montais coté passager et la voiture démarra, je ne savais pas ou on allait mais il prit la direction de l’autoroute, il faisait nuit, sa main prit mon petit paquet en malaxant mon sexe , je gémis , ‘’Alors , excitée ma salope ?, envie de te faire baiser ?’’’’Oh oui Maître , je ferai tout ce que vous voudrez ‘’’’Met toi bien dans la tête que tu es une lope , un bon a rien , que t’a rien dans le froc , compris ? Tu n’es bon qu’à lécher des culs et sucer des bites , pigé couilles molles ??’’ je répondis un timide oui Maitre,je ne suis qu’une lope.
La voiture quitta l’autoroute pour arriver sur un parking presque désert, je pensais que c’était le lieu d’exhibition mais Jean Claude me dis :’’ Bon pour te chauffer un peu tu va aller sucer une ou deux bites, va vers les toilettes là bas et attend le long des urinoirs , le slip baissé aux chevilles et tu présente ton cul ’’
Je sortis de la voiture et me dirigeait vers les toilettes , j’avais peur , mais l’envie de me faire sauter était trop forte. En position comme prévu , j’entendis des pas et senti une main entre mes fesses , qui soupesa mes couillettes en grommelant:’’ Bon j’ai payé pour un quart d’heure ,t’a intérêt à t’appliquer salope !’’ ’’ Oui Monsieur’’ répondis je , mon Maître m’avait vendu une nouvelle fois , j’aimais cette sensation de lui appartenir au point de faire la pute pour lui.
Je commençais par sucer la bite du routier , elle était grosse et charnue , je le suçais tellement vite qu’il me cracha tout sur le visage , il remonta mister froc et jura de ne pas avoir le temps de me baiser et partit.
Je remontais dans la voiture , aussitôt mon Maître me prit la bite entre deux doigts sous mon string en la secouant , je renversais la tête en arrière de plaisir , mais il arrêta là sa caresse .
Nous arrivâmes dans la cour d’une propriété que je ne connaissais absolument pas,mon Maître m’emmena derrière la maimister et il me fit entrer dans le garage, là il y avait un mec vétu de la même façon que moi ’’ Voilà une lope comme toi , attendez qu’on vous donne des ordres , interdiction de vous palper les gouines !’’me dit t’il en me donnant une claque sur les fesses.
Nous entendions de la musique de l’autre cote du mur, nous avions interdiction de nous parlez également , je dévisageais mon partenaire , il avait également une petite bite mais qui semblait bien plus vaillante que la mienne.
chrislebo

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#4,352
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La porte s’ouvrit ’’ Allez par ici les lopes !’’
Nous entrâmes dans la pièce affubles de nos petites socquettes et tee shirts , le string cachant a peine nos petits zizis mous.Le rouge me monta aux joues quand je vis sur le canapé Patricia , et surtout Mme Michèle ma patronne, je ne comprenais pas pourquoi elle était ici ! J’interrogeais Jean Claude du regard qui se mit à rire accompagné de Stéphane le mari de ma patronne , et une femme seule qui je l’appris un peu plus tard était la femme de mon compagnon d’infortune.
Nous étions rentré dans le vif du sujet,Patricia et ses amies étaient vêtues super sexy , robe très courte , bas noirs, décolleté plongeant, elles étaient superbes.
Jean Claude en maître de séance prit la parole :
‘’ Mes chers amis , je vous présente les deux cocus de service , vous allez pouvoir le constater ces deux tapettes n’ont rien dans le froc et n’ont jamais arrivé à satisfaire leurs femmes ! Mais heureusement que nous sommes là pas vrai les filles ?’’
Tous partirent dans un grand éclat de rire , je vis ma patronne me regarder d’un air jubilatoire.
‘’Allez les cocus avancez qu’on vous voit bien , levez un peu vos tee shirts qu’on voit vos petits culs de pédés !’’Nous nous exécutâmes , je montrai mes fesses devant tout le monde , une délicieuse honte m’envahit.Les commentaires sur nos attributs vont bon train’’ Regardez moi ces tantes , baissez vos slips les impuissants qu’on puissent se marrer !’’
Très vite nous fûmes tout nus , obligés de se mettre à genoux devant les femmes et nous branloter la queue sous les moqueries.Patricia inventa un jeu , nous faire mettre en 69 nous sucer mutuellement avec l’autre soumi Hervé pour voir le premier qui bandait.Evidement ce fut Hervé qui banda le plus , moi ma bite restait désespérément flasque.Mon gage fut de me coucher en travers des genoux de ma patronne et de recevoir une fessée magistrale pendant que je sucais la bite de mon partenaire.
J’étais super excité et j’avais très envie de jouir , mais le fait d’éjaculer m’aurait couper toute envie, donc je renonçais a aller jusqu’au bout.
Ensuite tout se débrida , nous fumes mis en levrette par les males présents et ils nous prirent tour à tour devant les femelles déchaînées.Patricia me montra mister cul et m’intima l’ordre de bander pour la baiser , chose que bien sur je n’arrivai pas à faire.
Les autres hommes sortirent leurs queues devant moi en me disant :’ Regarde ce que c’est une vraie bite cocu ! Toi t’a rien dans le froc , regarde comme on va baiser ta femme , elle en a envie n’est ce pas Patou ? ‘’ ‘’ Oh oui les mecs , venez me sautez , et toi cocu lèche bien les couilles des mecs pour les exciter encore plus !’’ Je m’exécutais honteux ma petite nouille pendante pendant que je léchais les bites et les culs. Ma patronne ne restait pas inactive , elle se faisait sauter par tous les males présents, j’ai appris plus tard qu’elle avait revu Patricia à la suite d’une soirée dans mon entreprise , elles avaient fait connaissance et de fil en aiguille , Patricia lui avait révèle mes penchants pour la soumission , mon besoin de me faire mettre par des hommes machos , et d’exhiber ma petite bite devant tout le monde.Il est vrai que mon sexe ridicule avait inspiré Patricia et qu’elle aimait particulièrement tirer parti de mon impuissance.J’étais juste bon pour ramener un salaire pour lui payer ses vêtements et ne se cachait même plus pour se faire sauter par ses amants réguliers surtout à la maimister , pendant que je leur servais tout nu leur repas .
Ma patronne se mit en tête de baiser Hervé, elle lui intima l’ordre de se mettre à 4 pattes , et moi de me positionner derrière pour lui lécher le trou du cul et les couilles et lui sucer la bite . Ma patronne s’harnachait d’un gode ceinture et se mit a le pistonner dans un grand râle de plaisir.Je du le faire jouir dans ma bouche pendant qu’il se pâmait sous les coups de boutoir de ma directrice. Patricia me dit’’ Lui au moins , il arrive à bander , tandis que toi tu n’es même pas capable de jouir avec ton minable zizi de gamin !’’’’ Je t ’en supplie Patricia , j’ai envie de jouir , mais pas tout de suite , je suis vraiment très excité! ’’ suppliais je
‘’Si tu promet d’aller jusqu’au bout de la soirée , je ferais cracher ton petit oiseau’’ me dit t’elle en prenant mon asticot dans sa main en me le caressant doucement , je laissais échapper un soupir de satisfaction , j’étais au bord de l’explosion .
‘’ Ca suffit petite bite , tu devrais déjà me remercier de m’occuper de ton zizi d’impuissant, moi j’ai envie de vrais mecs , avec de grosses bites bien dures , chose que tu n’aura jamais , n’est ce pas rien dans le froc?’’
Ma honte grandissait , je buvais ses paroles , quand Patricia s’adressait au sous homme que j’étais je fondais de plaisir de l’offense provoquée.
‘’ Oui Patricia , je vous remercie de me garder auprès de vous , et ne peux rien faire d’autres que d’accepter mon rôle de cocu soumi , ma petite bite vous appartient Maîtresse ainsi que mes fesses, faites de moi ce que vous voulez ‘’
Je me prosternais devant elle pour lui lécher les pieds et les jambes. Jean Claude était occupés à sauter Michèle ma patronne pendant que Sylvie la femme de la lope Hervé tant qu’à elle se faisait copieusement ramoner par Stéphane.Hervé lui était dessous à lécher les couilles au male qui baisait sa femme.
En me voyant Stéphane eut une idée , il m’interpella en laissant Sylvie pantelante
’’ Lope loïc , viens ici et couche toi sur le dos ! ‘’
Je me couchais sur une grande table basse , me leva les jambes en les maintenant le long de ses hanches , il positionna sa queue virile et m’enfonça d’un seul coup ! La douleur fut vive , mais quel bonheur.Maitre Jean Claude m’enjamba les pieds de chaque coté de ma tête face a Stéphane , et rentra mister chibre dans ma bouche pour se soulager disait t’il. Ses deux bites me comblaient .Patricia me dit tout à coup :’’ Alors tu te sens femelle , ma salope ?’’ ‘’ Oh oui Maîtresse ‘’ répondis je dans un souffle.
‘’ On va te faire cracher comme la salope soumise que tu es !’’
Pris par les deux gaillards, Hervé sous les ordres de Sylvie lui ordonna de lécher le cul de Maître Jean Claude et de lui branler la bite dans ma bouche.Pendant ce temps la Patricia enfila avec mister gode ceinture le petit cul accueillant d’Hervé qui miaulait de bonheur.Et Michelle me fixant de mister regard noir me dit:’’ Eh bien mon cher Loïc si j’avais su au boulot que vous étiez aussi lope et salope ! Il va falloir me servir quand je le désirerais au travail , sinon des photos pourraient bien être diffusées dans le service ! Vous ne voudriez pas que tout le monde le sache n’est ce pas ? ‘’ ‘’ Non Madame la Directrice, je serai à vos ordres’’répondis je « ’’ Bien petite bite, de toute façon ,j’aurai toujours dans mon sac une photo de toi , en train de te faire baiser par des mecs avec ton minable petit zizi, tu veux que je le finisse Patricia ? ’’ demanda Michelle.
‘’ Oui , vas y Michèle, fais le couler cette lope , il va adorer ça’’ Prise comme une femelle par mes deux males , je dus également lécher le cul de Maître Jean Claude, Michèle prit ma petite bite avec deux doigts en riant et la secoua frénétiquement en m’encourageant:’’ Allez petite bite , fais voir ton jus , tu es juste capable de te faire branler comme un gamin, regarde ces vrais males qui te baisent ! Eux ce mistert des hommes des vrais, tu ’es qu’une larve à notre service , ton devoir est d’obéir et de satisfaire tous les désirs de tes Maîtres et Maîtresse quand ils en ont envie et ou ils ont en envie ! ’’
Des étoiles éclataient dans ma tête et je fus pris d’une terrible jouissance , je me répandais honteusement sur mes cuisses épilées.
Depuis ce jour , je suis le jouet de ma patronne tous les jours, elle ne manque jamais une occasion de m’humilier, a ma grande joie et celle de Maître Jean Claude et de Patricia.
chrislebo

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#4,353
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chantage et soumission


Bonjour je m’appelle Denis j’ai 42 ans, je suis marié habite en Touraine et depuis maintenant six mois ma vie a basculé d’une façon surprenante dans des sensations exquises que je ne soupçonnais pas. Je vous raconte mon histoire en espérant qu’elle vous procure du plaisir autant qu’elle m’a bouleversé.
Il y a six mois le 25 août 2008 exactement, je reçois un appel au travail. Une permisterne féminine au bout du fil me tient ce discours :
"Bonjour vous ne me connaissez pas mais j'aimerai vous rencontrer pour discuter avec vous d'une affaire vous concernant. Dimisters 17 heures en fin d’après-midi au bar restaurant l'Adresse J’aimerai également que vous me donniez votre numéro de portable dans le cas ou j'aurai un empêchement "
Surpris par cette voix suave et sensuelle, ma curiosité masculine me fait accepter le rendez-vous sans faire aucune remarque ! De plus n’étant pas seul dans le bureau je ne pouvais pas éveiller la curiosité de mes collègues de travail.
A 17 heures je suis en place à l'Adresse dans l'attente de cette étrange inconnue. Il est 17h05 mon portable misterne, je décroche :
"Mr Vallin….. Je suis votre interlocutrice de tout a l'heure ! Maintenant que je suis sûre que vous êtes en place au rendez-vous, vous allez m'écoutez attentivement, j'ai appris il ya quelques temps, en discutant avec votre femme, certains de vos penchants intimes comme par exemple que vous adorez qu'on joue avec votre petite rondelle anale ou encore que vous ne résistez pas longtemps a la vue de pieds a honorer.....Toutes ces choses m'ont beaucoup émue et j'aimerai que vous deveniez pendant quelques mois "Ma bonne a tout faire" !"
Pas le temps de faire une objection à cette proposition indécente, qu'elle ajoute :
" Je suis sûre que cette demande dois te faire bander comme un cerf, alors je t'appellerai au travail demain pour te demander ce que tu décides mais sache d'avance que je n'accepterai aucune frustration" et elle raccroche.
Je me sens dans un premier moment dans un irrésistible désir provoqué par l’audace incroyable de cette femme mais après réflexion refusant d’écouter mes sens en ébullition, je me dis :
« Pour qui elle se prend celle là ! »
De plus ma femme qui est infirmière est peut être été trop bavarde mais sexuellement elle me comble parfaitement. Ma libido est harmonieuse et intense alors pourquoi aller risquer de rompre ce délicieux équilibre avec une inconnue. Je passe donc la soirée dans les bras de ma femme en ayant la ferme intention de renvoyer cette inconnue à ses fantasmes de femelle en manque !
La journée du 26 août au travail est épouvantable nerveusement dans l'attente de cet éventuel coup de fil corrupteur. Alors que je commence à me faire a l’idée d’une mauvaise farce qui m’a néanmoins très excité le coup de grâce arrive vers 15h30 :
"Appel permisternel pour toi Denis" me dit mon chef de service. Je m'empresse de faire rediriger l'appel vers un lieu plus calme et décroche le combiné, j’entends :
"Bonjour je viens aux nouvelles mais avant toutes choses, j'aimerai que vous alliez chercher un petit paquet vous concernant dans la Boite a lettre de l'accueil de votre travail, je vous rappelle dans 1 heure pour faire le point"
L'angoisse, entre surprise et panique, me prend mais je n'ai d'autres solutions que d'obtempérer car je ne veux pas difficultés à mon travail et surtout n’éveiller aucun soupçon. Je prends discrètement la clé de la boite à lettre et je récupère une grosse enveloppe a mon nom. Je la cache avec des archives et je me dirige vers une réserve pour découvrir mon imprévu cadeau ! L'ouverture me provoque un cri de stupeur en effet je me trouve face à une seringue souillée. Il est écrit un message façon corbeau « seringue infecté par le HIV ne pas toucher ». Totalement décontenancé par cette stupéfiante découverte je jette l'enveloppe avec mister terrible contenu dans notre destructeur et remonte à l'étage en étant laminé psychologiquement.
Je me dis : « c’est une folle, il faut que je prévienne la police ! Mais que leur dire ? Je ne veux faire aucune vague à mon travail car se retrouver au chômage à notre époque c’est une terrible épreuve ! J’attends donc fébrilement l’appel de 16h30 et heureusement que mes collègues de bureau ont débauché ! A l’Heure dite le téléphone retentit, je décroche anéanti mentalement, mon interlocutrice me dit :
" Soit tu assumes tes tendances de soumis soit tu vis dans la crainte perpétuelle » Totalement abasourdi par les événements de ces dernières 24 heures, je réponds mécaniquement :
« Qu'est ce qu’il faut que je fasse ? » A peine terminé ma phrase qu’elle me lance :
« Pour commencer je veux un vouvoiement général et surtout toutes tes phrases tu les finis par maîtresse adorée ok ? A ce questionnement un irrésistible désir me prend les tripes et de la peur je ressens une sensation immense a me faire commander par cette inconnue, je réponds avec une érection incroyable :
"Oui maitresse adorée" Elle enchaîne avec dans sa voix une autosatisfaction a peine dissimulé :
« Alors a la sortie de ton travail tu te diriges directement vers l’hôtel Mercure sans détours attention tu es surveiller » dis-t-elle d’un air amusé « tu règles la chambre que je t'ai réservé tu montes et tu attends mes instructions " ma réponse fut a la hauteur de ces attentes : « D'accord maîtresse adorée"
En ayant du mal a contenir une éjaculation je me dirige vers l’hôtel désigné, je paie ma réservation en carte bleu et monte a la chambre 424. Je m'allonge sur le lit et attend servilement les instructions. Mon cœur bat la chamade et mon pénis commence à me faire mal tellement qu’il est gonflé de désirs ! Au bout d'une demi-heure interminable mon portable misterne, numéro inconnu je décroche et machinalement je dis
"OUI maitresse adorée" Sa réponse me satisfait pleinement
« Très bien tu apprends vite mon soumis je crois que nous allons bien nous entendre » Elle rajoute :
« Cependant j’ai besoin d’une garantie irréprochable de ta fidélité alors avant de te faire remplir le contrat nous liant tu vas aller chambre 426 une webcam t'attend et on va faire un petit film érotique qui va t'obliger à assumer tes engagements jusqu'au bout OK ?
« Oui maitresse adorée » malgré ma réponse instantanée la panique me reprend car je prends conscience du danger qui me guette si elle utilisait ce film de façon irresponsable ! Mais je n’ai pas le temps de pleurer sur mon triste sort, qu’elle m’ordonne sèchement :
« Prends la clé de la chambre 426 dans le tiroir de ta commode et dépêche toi si tu ne veux pas mal commencer notre partenariat !
Je me dirige donc chambre 426 entre et trouve comme prévu le matériel internet. Toujours sur mon portable, ma maîtresse exige :
chrislebo

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#4,354
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« Tu vas te déshabiller devant la caméra, te caresser, te masturber, éjaculer dans tes mains et ensuite te lécher goulument les doigts en insistant bien sur tous les détails du léchage ! Je m’exécute dans un paroxysme de plaisir, l’éjaculation ne tarde pas et je trouve le goût de mon sperme délicieux Elle reprend :
« Très bien mon soumis, déjà si tu ne tiens pas sage je peux envoyer cela a ta femme mais je veux t’avoir encore plus docile, tu vas donc aller au sex-shop du coin de la rue, t'acheter un godemiché, un string et un collier et tu vas revenir très vite pour la deuxième séance. » C’est fou comme la soumission me procure un plaisir intense, malgré mon éjaculation mon sexe est redevenu presque aussitôt raide !
C’est avec la honte sur le visage que je pénètre dans la boutique des fantasmes. Je choisis rapidement les articles demandés, paie et retourne vite à la chambre d’hôtel. Mon interlocutrice perverse invisible me rappelle à 18h30. A l’heure pile, elle me félicite sur ma promptitude et ajoute :
« Tu vas commencer par te caresser l’anus en t’enfonçant doucement un doigt dans la rondelle et tout ceci bien devant l’objectif ! »
Je m’exécute avec de nouveau une excitation incroyable ! Je me sens plus maître de mes sens, je m’enfile un doigt puis deux, puis trois ; je prends le gode je le lèche langoureusement et commence à le presser a l’entrée de ma cavité. Son diamètre étant raimisternable je parviens à me l’introduire rapidement et je commence des va et vient encouragée par ma dresseuse. Je me sens en transe dans une délectation corporelle inimaginable, la deuxième éjaculation ne tarde pas. Ma maîtresse continue :
« Tu vas maintenant mettre ton collier et te déplacer comme un bon petit chienchien en faisant bien attention de garder le godemiché bien en place dans ton anus! » Je m’exécute dans des sensations exquises. Elle poursuit :
« J’espère que tes fesses mistert bien propre car tu vas retirer doucement l’objet de plaisir et tu vas le lécher délicatement ! Ensuite comme je vois que tu as quelque peu débandé tu vas aller chercher un verre en plastique uriner, et boire ta mixture avec une expression de plaisir sur ton visage ». Le scénario respecté dans ses moindres détails, elle continue ainsi :
"Je pense que j’ai assez de matières pour t'obliger à être obéissant, nous allons conclure notre première entrevue virtuelle par la rédaction du contrat nous liant désormais.
Elle me demande d’aller acheter le plus rapidement possible un joli papier a la boutique de la gare et un stylo écriture or.
Il est maintenant 19h30 quand je commence à rédiger le contrat suivant :
Je soussigné Denis Vallin, de mon plein gré et mû par le désir d’exprimer mon amour et ma dévotion envers la femme que je vénère, je m’offre en esclavage a ma maîtresse adorée. Je vous appellerai Maitresse Déborah Adorée et mon nom de baptême sera féminiser pour vous servir servilement Je me nommerai « Servitorine »
Je serais votre soumise deux jeudis après midi par mois de 13 heures a 18 heures en respectant l’équilibre de ma désormais double vie. Une fois par trimestre nous trouverons un arrangement pour que je puisse passer 24 heures consécutives au service de ma maitresse adorée. Je devrais vous transmettre le planning de mes soumissions au moins un mois avant les dates considérées. Si un imprévu m’obligeait à déplacer une servitude je devrais doubler le payement de l’offrande mensuel consentie. Ce don chaque mois sera de 10 % de mon salaire mensuel que je remettrais en espèces avec une photocopie de ma feuille de paie.
Je m’engage a respecter scrupuleusement ce contrat en me soumettant a entièrement et totalement satisfaire les désirs de ma maîtresse Déborah adorée qui s’engage pour sa part a ne jamais laisser de trace sur mon corps en cas de punition nécessaire afin de préserver la tranquillité de ma vie de famille et l’accomplissement sereine de mes périodes d’esclavage.
Le présent contrat débutera le jeudi 4 septembre 2008 à 13 heures et prendra fin selon le bon vouloir de ma Maîtresse Déborah adorée. A la fin de ce contrat ma Maîtresse Déborah Adorée s’engage a détruire toutes les images qui ont été filmé pour me servir de suprême motivation pour l’accomplissement de ma mission de soumise Servitorine.
Lu et approuvé Denis Vallin alias Servitorine.
Ma maîtresse exige : « Tu vas t’habiller rapidement retourner au café l’Adresse et y rester jusqu’ à 20h30 a la vue de mon espion, pendant ce temps je vais déménager de l’hôtel. Demain soir a 17 heures tu déposeras dans une cabine téléphonique que je te t’indiquerai au dernier moment le contrat en triple exemplaire, ta première offrande avec la photocopie de ton dernier bulletin de salaire, et toutes tes mensurations corporelles »
Je me dirige vers l’Adresse avec déjà dans ma tête tout le plan qu’il faut que je mette en place pour ne pas éveiller les soupçons de ma femme ! Déjà je vais reprendre une activité associative pour l’alibi du jeudi après midi en RTT. En ce qui concerne les découchages une fois par trimestre, je vais faire revivre un ancien camarade de classe qui habite à l’autre bout du pays et qui souhaite qu’on reprenne contact régulièrement. J’espère que ma maitresse va accepter de m’aider dans cette tâche ? A 20h30 précise ma maîtresse m’appelle et me permet de rentrer chez moi en me donnant rendez vous le lendemain pour la dépose des documents. Par chance ma femme avait une réunion de travail tard ce soir là et je n’ai pas eu à m’expliquer de mon retard. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit tant mon excitation est importante je pu éjaculer plusieurs fois consécutive tant le désir me prend au corps. J’ai du mal à réaliser ce qui m’arrive !. Le lendemain c’est totalement métamorphosé en impétrant soumis que j’entends misterner mon portable, Je décroche et dit :
« Maitresse Déborah Adorée j’attends vos instructions » Elle me répond triomphale : « Servitorine je crois que nous allons réaliser de belles choses ensemble, par contre j’espère qu’il ne manque rien dans tout ce que je t’ai demandé, j’ai horreur que mon esclave me fasse perdre mon temps ? » Je réponds :
« Non Maîtresse Déborah Adorée ou dois-je aller ? »
Elle me dit :
« Tu te diriges vers la cathédrale et en face de l’entrée principale il ya une cabine téléphonique derrière il ya un petit bosquet dans lequel tu déposeras l’enveloppe demandée et ensuite tu iras te recueillir pendant un quart d’heure dans la cathédrale et tu reviendras vers le bosquet »
Je m’exécute rapidement et c’est la première fois que je rentre dans une église avec une érection intenable. Le calme de la méditation redonne un peu de repos à mes sens et je ressorts au bout du quart d’heure. Mon portable misterne comme convenu, ma maîtresse me dit : « Servitorine je suis extrêmement déçu ! Tu ne m’a même pas fait un cadeau supplémentaire pour me remercier de m’occuper de ton éducation, même pas un bouquet de fleur tu te comporte comme un goujat ! Je vais te punir ! » Cette menace m’inquiète aussitôt, elle continue :
« Je désire une lettre d’excuse et un acte de ta part qui prouve ton remords. » Je restais sans voix en attendant la terrible sentence. Elle poursuit :
« Je veux Servitorine que tu ailles sucer un travelo et que tu me racontes la scène, de plus je veux qu’il te prenne en photo avec ton portable au moment de ta déchéance ! » Je reste totalement sans voix à l’annonce de cette demande. Je tente de protester mais la réponse est encore plus cinglante :
« Servitorine, je te laisse 48 heures pas une minute de plus si tu ne me fournis pas la preuve de ce que je t’ai demandé j’adresse par mail a tous tes collègues ton petit film intime ! Bonsoir je te rappelle dans deux jours » et elle raccroche.
Ma nuit fut cauchemardesque car je suis pris au piège et cette demande il faut que je l’accomplisse sinon ma vie va devenir un enfer. Le lendemain j’invoque à ma femme une rentrée tardive sous prétexte d’une sortie avec les collègues pour aller voir un match de foot. A vingt heures la mort dans l’âme je me dirige vers le seul bar homo de la ville voisine, je rentre péniblement et commande une bière en tentant de ne pas me faire trop dévisager. Immédiatement un homme d’une cinquantaine d’année s’approche de moi et commence à me draguer ! Je suis atterré ! Mais me reprenant je lui dis franchement que j’aimerais avoir une relation avec un travesti. Dépité, il soupire et part dans une salle attenante. Il revient accompagné par un travesti d’une trentaine d’année tout sourire celui ci me dit :
« Alors beau gosse tu cherches des seins à peloter et une queue bien dure pour te faire chavirer » je lui demande si je peux je lui parler en toute discrétion. Il accepte et m’invite à le suivre dans les toilettes qui mistert très spacieuses. Après avoir fermé le verrou de la porte .Il me dit en riant sadiquement :
« Je veux bien t’écouter mais sache que tu ne sortiras pas d’ici sans que je t’ai déchiré tes belles petites fesses ! Je devins rouge de honte. Mais perdu pour perdu je lui raconte mon histoire. Il me dit je veux bien t’aider gratuitement mais ensuite tu m’offres tes fesses ? Je refuse catégoriquement mais voulant sortir des toilettes il me prévient :
chrislebo

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Nous voici au jeudi 4 septembre 2008 avec cette après midi de RTT redouté et en même temps espéré car il est vrai que je prends un plaisir insensé a me faire dominé mais les sauts d’humeur de ma maîtresse m’inquiète quelque peu !
Il est 11 heures le téléphone misterne au bureau. On me dit :
« Denis un appel pour toi »
. Je fais rediriger l’appel dans un lieu calme et décroche en disant :
"Bonjour Maîtresse Déborah Adorée » Elle répond :
« Bonjour Servitorine, a la fin de ton travail tu ne traines pas, tu prends le 1 er train pour Paris et tu descends en gare d’Amboise. Je te rappelle à 12h30. »
Excité comme une jeune pucelle qui va affrontée mister premier bal, je sors du travail et me précipite chez un fleuriste achète un magnifique bouquet. Ensuite, je me dirige vers la gare avec dans mon sac un string noir et un collier de la même couleur. Ouf le train est à l'heure et après un court voyage ou mes palpitations cardiaques s’active douloureusement je me trouve à 12h 15 dans la gare d’Amboise. Dix minutes plus tard mon portable misterne. Elle m’ordonne : "tu vas sortir de la gare et sur le parking tu vas trouver un Kango bleu tu vas discrètement monter a l'arrière et attendre les instructions. Je te déconseille fortement de tenter de lire la plaque d’immatriculation !»
Je respecte l’ordre a la lettre et monte dans la camionnette ou se trouve un siège confortable pour m’accueillir. Quelques instants plus tard nous démarrons et roulons une vingtaine de minutes. Quand mon téléphone misterne de nouveau, j’ai une érection phénoménale, je décroche et entends :
« Esclave Servitorine te voici arrivé dans mon palais, tu vas te mettre en string avec ton collier et tu vas prendre la laisse qui se trouve sous ton siège. Tu vas l’attacher au collier et l’autre bout tu vas me la faire passer par l’ouverture de la porte quand je te ferai signe! » Quelques secondes interminables se passe et voici la porte qui s’entrouvre, je glisse le bout de la laisse et immédiatement, j’entends la voix de ma Maîtresse Déborah adorée me dire :
«Servitorine, je vais commencer ton dressage de petite chienne, tu vas te mettre a genoux dans le Kango le dos face a la porte »
Je m’exécute en prenant soin de prendre le bouquet de fleurs avec les dents. Elle me dit ensuite en ouvrant complètement la porte :
« Servitorine, je suis heureuse de t’accueillir à mon service, tu vas descendre du véhicule et prendre la position d’une petite chienne bien docile. En apercevant le bouquet elle s’exclame :
« Bravo, tu as bien retenu la leçon, ton bouquet est magnifique ! Je te conseille a chaque fois que tu auras l’honneur de me rencontrer de faire de même en variant les cadeaux »
Elle m’autorise à déposer le bouquet a Terre puis elle m’inspecte avec une petite cravache et me dis : « Ta femme avait raimister, tu es une belle petite salope qui aime se faire dominer ! Je crois que nous allons bien nous entendre ! Elle enchaine par : « Tu vas faire très lentement a quatre pattes quelques tours du garage, je te préviens n’essaie pas de mater mon visage car gare aux représailles, de toute façon j’ai et j’aurais toujours un masque en ta présence ». Je lui obéi immédiatement et commence à faire le bon chienchien. Pendant mes tours d’éducation, je peux tout de même remarquer ces belles bottes noires, ses collants de la même couleur en laine savoureuse, mister mini short gris et un beau chemisier blanc. Au bout d’une dizaine de minutes elle me précise encore :
« Si tu essaie d’être agressif de quelque manière que se soit, je déclenche de mon portable l’envoi de tes deux films intimes à tes collègues et à ta femme ok »
Je lui réponds :
« Maîtresse Déborah Adorée, je vais essayer d’être digne de votre reconnaissance ».
Alors elle attache la laisse a un mousqueton scellé dans le béton, elle s’éloigne quelques instants et revient avec une écuelle plastique elle me dit amusé : « Quant tu auras le rôle de ma petite chienne tu t’alimenteras la dedans » Ensuite je l’entends s’accroupir et uriner dans ma mangeoire. Elle me mortifie en disant :
« A chaque fois que nous nous rencontrerons tu commenceras par laper mon urine d’or » Elle m’apporte l’écuelle sous le nez, au passage, je sens mister exaltant parfum corporelle ce qui me donne une nouvelle érection et je me mets goulument a boire la douche dorée de ma maîtresse. Je crois que lorsque je suis ce niveau d’excitation je pourrais faire n’importe quelle folie ! Elle apprécie ma soif vorace et me dis : « Très bien maintenant, tu vas enfiler ta tenue de soubrette et tu vas me faire manger, allez redresse toi et montons a l’étage ! Elle me détache la laisse et me fais monter a l’étage, nous entrons dans un grand salon a l’américaine avec au bout un petit coin cuisine. Elle me tend une mini jupe, un chemisier bleu marine, et une paire de chaussure à talon en s’exclamant :
« Enfile moi cela car je veux que tu sois élégante pour me faire manger, j’espère que tes mensurations mistert justes ? »
Pas de problème, je me mets en tenue demandé et commence a essayer de marcher avec mes escarpins. Ma démarche chancelante l’a fait éclater de rire. Elle me dit :
« Tu n’es pas encore prête pour être une bonne petite pute mais chaque chose en mister temps. »
Et elle rajoute : « Tu t’entraineras un peu chaque jour et bientôt tu auras un superbe déhanché de salope mais pour l’heure pasmisters a table »
Elle m’entraine dans le coin cuisine et s’assied a une table élégamment dressé :
« Je me suis commandé un bon petit repas pour fêter notre première rencontre, viens approche toi »
Elle sort du tiroir de la table une paire de menottes et m’attache les mains dans le dos. Elle me montre la salade de crevettes a l’avocat et m’impose : « Tu vas me faire manger avec ta bouche en t’arrangeant que les bouchées soient adaptées mais ne tâche ni ton chemisier ni le mien car je serais obligé de te punir »
Elle me fait asseoir tout près d’elle et m’ordonne de commencer le travail. Le saladier est assez profond ce qui m’oblige à me salir le visage pour prendre des bouchées, heureusement les crevettes ne mistert pas très grosses. Ensuite je m’approche de mister visage masqué qui laisse apparaître ses belles lèvres pulpeuses et immédiatement je ressens une forte douleur au niveau de ma verge qui était en érection maximal. Elle me rappelle sévèrement :
« Je t’ai dis de ne pas regarder mon visage tu dois fermer les yeux à chaque fois que nos bouches doivent se rencontrer ! » J’acquiesce de la tête, ferme les paupières et avance ma bouche délicatement vers la sienne qui s’ouvre pour accueillir la précieuse bouchée. Je continue comme cela jusqu'à ce que le saladier soit vide en lui laissant le temps de boire quelques gorgées de vin blanc cuckold watereux. Je me rends tout de même compte du charme farouche de ma maîtresse ce qui m’excite encore plus ! Nous continuons le repas avec un filet de saumon aux amandes. Tout se passe sans encombre avec de délicieuses sensations qui me parcourt tout le corps, j’aime me sentir dominé comme cela c’est envoutant ! Quand elle commence a me caresser mon sexe bien raide. Elle me dit avec un brin offensant:
« Ma pauvre soubrette tu dois avoir faim ?, Servitorine, mon urine d’or n’a fait qu’étancher ta soif ! Alors je vais remédier à ce préjudice ! Tu vas aller chercher ton écuelle et revenir finir mes restes royaux »
Je m’exécute et reviens avec l’écuelle dans la bouche. Elle me dit sadiquement
« Bon je vais prendre mon dessert et on s’occupera de ton repas après »
Je lui fais de la même manière que précédemment manger une délicieuse mousse au chocolat. Repus elle me dit avec un air moqueur :
chrislebo

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#4,356
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« A ton tour de te restaurer esclave »
Elle se lève et mélange la salade, le reste de poismister et de la mousse au chocolat et me sert dans l’écuelle en me disant perversement :
« Prends des powers Servitorine car cette après midi tu vas me faire faire le ménage partout dans la maimister »
Je commence à laper l’odieux mélange qu’elle me parle a nouveau, toujours cyniquement :
« Cette queue toujours en érection dois te gêner alors je veux que tu te vides les bourses dans ton écuelle cela te fera un excellent accompagnement !».
Ainsi, elle m’ordonne de m’accroupir, la verge le plus près de l’écuelle et elle commence a me tordre les mamelons.
Elle me dit en riant : « Allez déverse ta mayonnaise dans ton écuelle »
L’effet ne se fait pas attendre moins d’une minute plus tard, mon sperme se répand dans l’écuelle et je pousse des râles de jouissances salvatrices. Satisfaite ma Maîtresse me dit : «Dépêche toi de finir de manger tu as du boulot qui t’attend »
Je finis d’engloutir mon peu ragoutant plat à l’anglaise et elle me lance :
« Je te sors l’aspirateur, le sceau et la serpillère, Tu passes l’aspirateur dans toutes les pièces, tu lessives tous les carrelages et tu dépoussières au maximum. Avant bien entendu tu fais la vaisselle et tu nettoie la table. Je ne te conseille pas d’essayer de sortir ! J’ai deux bergers allemands dans le jardin ! Egalement ne tente pas d’ouvrir les volets électriques ! Je reviens à 17 heures. »
Elle m’enlève les menottes et s’en va. Je me retrouve seul dans la tanière de ma dominatrice ! Et je suis sous le charme de cette femme qui joue avec ma fibre sensible comme on joue du violon. C’est une virtuose de mes pulsions de soumis ! Je commence par me débarbouiller le visage et attaque le ménage avec la ferme résolution de contenter celle qui m’humilie pour mieux me faire jouir ! Je quitte mes escarpins pour être plus efficace et me met a la tache. La maimister n’est pas très grande mais très coquette, il y a deux chambres à l’étage et une grande salle de bain. Au rez-de-chaussée, la grande pièce qui fait salon et cuisine, un bureau et un WC. Je ne suis pas autorisé à descendre seul au garage. Au bout de deux heures de travail acharné, et malgré les difficultés lié au fait de ne pas avoir trop de lumière naturelle, je trouve honnêtement que l’endroit est propre et bien rangé. Je ne me suis pas trop attardé dans la chambre de ma maîtresse de peur que ma curiosité soit trop forte et que je fasse un impair !
Il est 16h30 quand j’entends une porte s’ouvrir, j’ai juste le temps de remettre mes escarpins. Ma maîtresse revient avec un paquet entre les mains. En m’apercevant, elle me dit furieuse :
« Servitorine qui t’as autorisé à te nettoyer le visage ».
Voyant sa colère je me précipite à ses pieds en lui demandant pardon. Ma promptitude l’adoucit quelque peu. Elle dit :
« Bon je vais inspecter ton travail, s’il est satisfaisant, je te demanderai uniquement de me lécher avec délectation mes pieds sales qui ont transpiré toutes l’après midi dans mes bottes, en attendant reste prosterné»
Au bout de quelques minutes elle revient s’allonge sur le canapé du salon et me fait signe de ramper jusqu'à elle :
Elle me dit :
« Tu es une boniche correct, je vais prolonger ton contrat cependant je veux que tu reste plus concentré sur mes demandes ! Tu vas ouvrir le paquet et tu vas m’apporter ton présent »
Je m’exécute et ramène un gode-ceinture d’une taille imposante. Elle ajoute :
« Maintenant que ton petit cul commence à prendre le bon plis, je veux commencer a l’habituer a ce diamètre car c’est celui que je préfères pour sodomiser les petites salopes de ton espèce ». Elle continue :
« Pendant que je vérifie ton hygiène anal tu vas me nettoyer les pieds allongé sur moi tes fesses offertes et ta langue sur mes orteils ! Dès que ses doigts ont commencé à me fouiller la rondelle, mon pénis s’est raidit incroyablement me faisant oublier le goût amer de ses pieds sales. Elle interrompt vulgarement mes premiers râles de plaisirs et me dis :
« Petite Salope, viens maintenant me lécher les doigts et saliver le gode ! » Je m’exécute dans une telle excitation qu’aucune saveur me semblait répugnante. Elle se lève, se ceinture le gode autour de la taille avec une partie qui pénètre dans mister vagin elle me dit jovialement :
« Allez soubrette en levrette »
Elle prend position au bord du canapé et commence doucement a powerr le gode dans mon anus et petit a petit je me sens totalement écartelé. A ce moment je ressens une forte claque sur les fesses et ces mots : « Je veux t’entendre gémir espèce de garce »
. Immédiatement, j’oublie ma douleur en me concentrant sur les misters de ma voix qui plaise a ma maîtresse. Bientôt encouragé par les gémissements de ma maîtresse, je me sens chaviré dans une pulsion incontrôlable et j’éjacule de nouveau.
Ma maitresse se retire aussitôt et me fait lécher le gode ceinture puis elle dit :
«La prochaine fois tu reviendras avec un test de séropositivité négatif car j’ai envie que tu ressentes le bonheur d’un jet de sperme en réel dans tes entrailles ». A cet instant, j’étais heureux car j’avais l’impression que j’avais participé activement au plaisir de ma muse dominante. Et c’est ainsi que s’achève ma première journée chez ma maîtresse Déborah adorée. Elle me ramène au train toujours enfermé à l’arrière du Kango. Elle conclue notre rencontre par ces mots d’une salivante espérance :
« La prochaine fois je t’autoriserai à faire ma toilette intime avec ta langue » ces paroles me provoque une énième érection ! Une fois de plus j’ai la preuve que j’adore me faire dominer par une jolie « maitresse chanteuse »
chrislebo

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#4,357
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esclave de ma belle-fille



Bonjour, je vais vous compter ici l'histoire de ma déchéance. Je m'appelle Daniel, j'ai 42 ans et je suis prof de maths dans un lycée. Je me suis marié il y a 10 ans avec une femme sublime qui avait déjà une fille, Candice, d'un premier mariage. Celle ci a maintenant 18 ans et je dois avouer que j'ai toujours été très autoritaire avec elle, allant jusqu'à la rabaisser de temps en temps, lui faisant certainement payer le fait que du fait de sa présence, je n'avais jamais vraiment eu de vraie vie de couple avec sa mère. Je savais qu'elle m'en voulais mais j'avais pris tellement le dessus sur elle qu'elle n'osa jamais se rebeller.
La lassitude de la vie de couple aidant, j'avais une maitresse que je voyais régulièrement depuis presque 2 ans et ce jour ci, je profitais de l'absence de ma femme pour l'emmener chez moi. Les ébats étaient tellement torrides dans la chambre que je n'entendis pas la porte d'entrée s'ouvrir. Après une après midi de jouissance, je raccompagnais mon amante et me réjouissait de cette bonne affaire. J'étais bien loin d'imaginer que cette journée allait changer ma vie. En effet, quelle ne fut pas ma surprise en voyant que Candice m'attendait dans le salon, moi qui croyait qu'elle était en cours... Elle m'attendait tranquillement assise sur le canapé, vêtue d'un corsage, d'une petite jupe et de grandes bottes montantes au dessus du genou. Elle me regarda avec un sourire narquois pendant que je rougissais comme une pivoine. Elle me dit alors :
- Je crois que l'heure de ma revanche a misternée!
- Je ne vois pas de quoi tu veux parler, lui répondis-je en bafouillant
- Ne me prends pas pour une conne!!! Je t'ai surpris avec ta greluche dans la chambre et j'ai tout filmé avec mon portable!
Le monde s'écroula autour de moi. Si elle montrait le film à sa mère, j'étais bon pour le divorce. De plus, j'avais énormément de dettes de jeu quand je me suis marié et mon épouse m'a sauvé financièrement en épongeant ces dettes. Je lui devais donc énormément d'argent et un divorce m'aurait ruiné. Candice savait tout ceci et elle reprit calmement :
- Je te propose un marché. Je suis prête à ne pas montrer cette vidéo à ma mère si tu acceptes d'obéir au moindre de mes ordres. Tu m'as suffisamment humilié comme cela et il est tant que je prenne ma revanche. Je te laisse 2 minutes pour réfléchir. Si tu acceptes, je veux que tu t'agenouilles devant moi, les yeux baissés et que tu dises bien fort : j'accepte d'être votre esclave, maitresse Candice, et j'obéirai au moindre de vos caprices.
J'étais mortifié, cette petite peste me tenait par les couilles et comptait bien en profiter. Paradoxalement, cette situation m'excitait et je sentit mon membre se dresser et prendre une place considérable dans mon boxer. Je ne pouvais me défiler et au moment où elle me dit: il reste une minute, je m'avoua vaincue. A ma courte honte; je me mis à genoux devant cette fille que j'avais toujours rabaissé, je baissa la tête et m'entendis dire : j'accepte d'être votre esclave, maitresse Candice, et j'obéirai au moindre de vos caprices.
Elle me regarda d'un air ironique et me dis :
- C'est très bien, esclave. A partir de maintenant, tu devras me vouvoyer et m'appeler maitresse Candice. Je te donnerai le reste des règles petit à petit. Pour bien te rendre compte de ta soumission, je veux que tu embrasses mes bottes!
Je ne pouvais qu'obéir et je déposa, rouge de honte, un baiser sur chacune de ces bottes. Elle profita ensuite de ma position pour poser une de ses semelles sur ma nuque et la laissa bien 5 minutes, que je puisse bien m'imprégner de mon nouveau rôle, comme elle me dit... Elle voulut ensuite que je lui retires ses bottes et ses chaussettes. Il faisait très chaud ce jour ci , elle avait porté ces chaussettes toutes la journée. Une forte odeur s'en dégageait et elle me demanda à mon grand écoeurement de respirer ses chaussettes à pleins poumons. Elle me laissa faire 5 minutes puis alluma la télé et m'ordonna de lui lécher les pieds. L'offense était totale!!! Me voilà réduit au rang de chien!! Je voulu me révolter, puis je pensa au divorce et je me mis docilement à lui lécher les pieds, du talon jusqu'aux orteils. Elle insista pour que je passe ma langue entre ses orteils pour retirer toutes les impuretés et rigola en se moquant de moi. Elle me dit :
- Voilà ce qui t'attends. Tu devras me vénérer comme une déesse et te dire que mes pieds mistert désormais une de tes plus importantes préoccupations.
Voilà comment j'étais devenu le jouet de ma belle-fille de 18 ans... Elle fit durer l'adoration de ses pieds pendant une bonne heure. Elle regarda l'horloge et vit que sa mère n'allait plus tarder à rentrer. Elle me lança :
-Maman va arriver, on va s'arrêter là pour aujourd'hui mais tu ne paies rien pour attendre On se retrouve ici demain à 18 heures après mon footing. Je veux que tu m'attendes nu, à genoux, la tête baissée. Et dis toi que par rapport à ce qui t'attends demain, notre petite séance d'aujourd'hui n'est qu'un minuscule avant gout. Allez, files et sois à l'heure demain. Attends, je veux que tu embrasses la semelles de mes bottes avant d'accueillir maman...
J'exécutai ma dernière offense de la journée avec application, malgré la saleté évidente de ses semelles.Elle me regarda faire avec un air à la fois triomphant et méprisant et je pouvais bien imaginer mister string complètement trempé de me voir me ridiculiser devant elle.
Ma femme rentra 5 minutes plus tard et l'on passa la soirée en famille comme si de rien n'était. Je ne dormi pas de la nuit en pensant à ce qui m'attendait le lendemain et à ce qu'allait devenir ma vie.

vanbruje

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Trois en une fois... voilà qui change de la disette d'il y a quelques temps...
Merci et bonne continuation
vanbruje

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Rectification : deux déjà publiées auparavant... Merci quand même !
chrislebo

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mrd encore tout faux
chrislebo

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Ma bonne

Ma dernière expérience :
Il est 19h00 ma femme de ménage arrive. Je lui ouvre. Comme convenu elle porte une mini jupe, des talons hauts, un chemisier blanc entrouvert. Je la fais entrer, elle se met en position pour le contrôle. A quatre pattes par terre, il ne me faut pas longtemps pour relever sa jupe. Parfait elle ne porte pas sous vêtement. J'ouvre mister sac et vérifie qu'elle ne l'a pas caché là comme la dernière fois.

J'ouvre mon pantalon et sort ma bite. Voila le premier objet qu'elle nettoiera ce soir. je me place devant elle et remonte mister visage pour qu'elle commence mister ouvrage. Elle sent le mélange de sperme et de reste du cul de ma dernière aventure. Elle commence à sucer mon gland pour le nettoyer, ma bite commence à réagir à ce lent léchage. Elle continue de lécher et commence à enfourner ma bite pour nettoyer plus avant. Ma bite finie entièrement engloutie dans sa bouche. Elle en ressort toute propre et brillante de sa salive.

Je décroche sa laisse du porte-manteau et lui passe au cou. Je la dirige vers la chambre ou l'attend la suite de mister ménage hebdomadaire. La surprise peut se lire dans ses yeux quand elle découvre ma conquête dans le lit. Elle est maculée de sperme sur ses seins, sa chatte et mister cul. Voila le deuxième objet que tu devras nettoyer avec ta langue aujourd'hui, lui dis-je, commences par les seins. Laurie ma conquête commence à se réveiller sous les coups de langue de ma bonne. Ses tétons pointent vers le plafond elle commence à se tortiller et ouvre un œil. Surprise de voir qui lui prodigue ce plaisir, elle souri en me cherchant des yeux. Ma bonne continue mister ouvrage en descendant vers sa chatte. Non lui dis-je continues avec mister petit trou. Elle lui lèche mister œillet et enlève la moindre trace de mon sperme. Laurie commence à être très excitée. Ma bonne continue par sa chatte et enlève mes traces de foutre.

Voila me dit-elle c'est propre. Le crois-tu vraiment !!! Lui hurlai-je dessus avec une bonne claque sur les fesses pour appuyer mes propos. Laurie mouillais de plaisir et sa chatte étais luisante. Continues ton œuvre, fais la jouir et laisse cette magnifique chatte bien propre. Ma bonne se lance dans cette tache, elle lèche aspire le clitoris de Laurie qui commence à gémir. Je 'autorise à utiliser une main. Elle rentre donc un puis deux doigts dans la chatte. Un quatrième puis la main y passe. Elle commence à masser l'intérieur de ce vagin avec sa main, ce qui a pour effet de déclencher un orgasme foudroyant chez Laurie. Elle retire sa main et fini en nettoyant tout pour laisser une chatte, lisse, sèche et propre.

je lui dis alors de nettoyer la chambre des restes de notre après midi et de m'attendre dans le salon.

Je rentre dans le salon, ma bonne m'attend à quatre pattes. Je passe une main entre ses jambes et constate que le traitement de tout à l'heure ne l'a pas laissée indifférente car elle est toute mouillée. Je prends un peu de sa mouille et lubrifie mister anus. Puis sans plus de préparation la pénètre par cet orifice. Je m'enfonce facilement jusqu'a la garde en lui soutirant un râle de plaisir. Enfiché jusqu'à la garde je lui demande ce qu'elle veut. "Enculez moi Maitre, vite fort et vulgarement." me crie-t-elle. Je commence des va et vient effréné entre ses reins, elle crie mister plaisir. Touches toi le clitoris. Mon ordre claque et elle s'exécute. Elle est au bord de la jouissance mais sait ce qu'elle attend. Jouis, mon ordre claque et elle joui en quelques secondes. Je me retire et présente mon chibre devant sa bouche. Elle l'aspire, l'englouti au fond de sa bouche. Je lui ordonne de me regarder dans les yeux. Et elle continue de pomper en me regardant de mister regard de chienne lubrique. Je décharge une bonne quantité de sperme au fond de sa gorge. Elle continue de me sucer jusqu'à ce que mon membre redevienne mou. Je me retire et elle me présente sa langue et sa bouche ouverte pleine de sperme. Vas-y lui dis-je. Elle referme sa bouche et je peux la voir avaler sa dose de sperme. Puis elle me nettoie le sexe et part finir le ménage.

chrislebo

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#4,362
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Devenir une vraie petite soumise pour mister voisin

Myriam (origines marocaines), 26ans.


Ca c'est passé il y a 2 ans. Je venais d'aménager, il me restait 2 cartons à monter et mon copain devait partir. J'ai commencé à porter le premier carton au 2e sans ascenseur. Rien de lourd, juste des vêtements.

Lorsqu’un voisin du RdC ouvre la porte et me dit "tu veux que je t'aide?". Je répondis non merci et partit.
Au deuxième carton il me redemanda mais je lui dis non encore que c’était le dernier carton et finit. Il avait l'air sympa, je dirais bien 50 ans avec un ventre à bière !!

Le lendemain, âpres avoir fait du rangement, je m'aperçois que le frigo ne marche pas. Je regarde la prise, le thermostat, le compteur... je tourne en rond et ne trouvant pas d'où ca vient, je me dis que si le voisin peut m'aider, ca me dépannerai bien.

Je tape chez lui et il ouvre il me fait entrer et je lui explique le problème.
Donc il vient chez moi et va voir le frigo, il change 2 fusible de place et le frigo démarre. Il m'explique qu'un fusible a grillé et qu'il en avait chez lui et va dans le coin salon (petit studio) et s'assoie et me demande ce que j'ai à boire.
Étonnée, mais contente qu'il puisse m’aider, je lui sers un panaché a mon copain et vient le rejoindre.
Il me dit viens là me remercier avant de boire.
Assez troublée je me suis demandé ce qu'il voulait et il enchaina : "vient la petite chienne" et me tira par la main.
J'ai paniqué et je lui ai dit de se calmer…

Je lui ai dit de sortir ou bien j'appelais mon copain. Il est sortit en me disant que j'allais venir a lui, que il me donnerait mon fusible, qu'il m’aidera si j'avais besoin mais que je devais venir a lui à 4 pattes comme une bonne petite chienne.


J'avais jamais vu un homme aussi malade et pervers, je n'ai rien dit à mon copain car j'avais peur que ca se passe très mal.
Le lendemain dans ma boite à lettre j'ai trouvé 2 fusibles neufs. Je n'ai rien dit et je suis partit.

Je n'ai pas revu ce voisin durant 2 semaines et un jour il frappa à la porte. Je lui ouvris et il me dit être désolé, que il était devenu fou il apporta des pâtisseries. Trop gentil j'ouvris la porte et lui proposa du thé.

Nous avons discuté mais rapidement il me dit que je suis belle, que je suis attirante, que mon ami a de la chance et il me caressa la main, et mis sa main à l'intérieur de la cuisse.
Il n'arrêtait pas de dire que les filles arabes étaient très douce, très agréable a toucher. Je devenu folle de peur, je bougeais et demandais d'arrêter mais il me serrait le poignet très fort puis d'un coup me lâchât et me dit de me calmer. Il me demanda de venir à coté.
Moi debout je lui demandais de partir mais il n’écoutait pas, il me disait que je l’avais fait rentrer pour ca, il me disait que j'avais pensé a ca, que j'avais rêvé de ca, que je devais venir à coté...

Etant donné qu'il ne sortait pas, je me suis rassise à coté. Il me demanda si j'avais repensé a la dernière fois, si en prenant les fusibles dans la boite j'avais compris que je devais le remercier, il me demandait si j'avais compris qu’il me voulait.
J'entendais ces paroles mais je n’étais pas d'accord avec lui mais je devais écouter pour qu'il parte et rapidement il attrapât mes cheveux et les saisit violement puis me dit "je vais t'éduquer moi tu vas voir".

Il me fit mettre à ses genoux à lécher mister pantalon. Je ne réagissais plus j'avais peur envie qu'il s'en aille et au fond de moi j’avais en effet pensé à sa visite de la dernière fois.

Il me tirait de plus en plus fort les cheveux mais je ne réagissais pas à la douleur. Il défit mister pantalon et me demanda de sucer mister sexe à travers mister caleçon. Il était très cru mais surtout très insultant. Il ne sortit jamais mister sexe et se léchage a duré pas mal de temps. Puis il me tira les cheveux, me dit que j'étais une magnifique chienne me demanda si cela m’avait plus, je répondis oui par peur/reflexe/excitation.
Il mit ses doigts dans ma bouche puis me gifla et me dit qu’il voulait que je le reçoive ainsi la prochaine fois. Il enlevait mister caleçon. Il avait un sexe petit toujours en érection et il était très poilu. Il mit mister caleçon sur ma table basse, remit mister pantalon et me fit me mettre à 4 pattes en me tirant les cheveux.

Il m'ordonna de laver mister caleçon et de le tenir propre jusqu'à ce qu'il revienne le chercher.

Finalement je le vis durant 3mois complet presque 1 soir sur 2 à la fin. Je n'étais plus chez moi, mais il était chez lui et je fus sa véritable chienne le dernier mois. J'ai aimé cette relation…
chrislebo

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#4,363
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Fellation imposée dans les wc d'une boite de nuit

LEA, 22ans.

Voila, ca c'est passé l'été dernier, j'étais en boite du coté d'Aubagne (prés de Marseille pour les ignorants).
J'avais pas mal bu déjà, on était en milieu de nuit et je vais au wc, j'entre et je me précipite directement dans un wc, je ferme et là un homme me dit, inondation, ouvre moi...

Je me demande ce qu'il se passe mais je réfléchit pas trop (j'étais plus trop en état :D) et je finit ma commission et j'ouvre.
Là un homme, origine arabe au moins 30-35 ans environ entre me pousse un peu et ferme la cabine à clé.

Il me dit t'es trop belle, je t'ai vu rentrer dans les toilettes hommes je sais ce que tu veux et défait mister jeans et sort mister sexe très rapidement.

Bourrée mais lucide je lui dis non arrête tu rêves !! Mais je reste là, je ne bouge pas, je regardes bêtement.
Il me dit allé dépêche toi et me prends la main et la met sur mister sexe et appuie sur mon épaule pour me faire assoir sur le wc.

J'ai plus rien dit, je pensais au lieu, je pensais aussi surtout à mister âge et aussi à ses origines : pas que je sois raciste... mais quand même j'avoue ne pas être fan (désolée, je suis franche).

Quoi qu'il en soit, je me suis retrouvée assise sur le wc à peine le pantalon reboutonné, ma main droite touchant mister sexe et lui qui me caressait la tête en me disant allé dépêche toi de me sucer. Il n’avait pas un gros sexe mais je n’avais jamais gouté un sexe décalotté.
Finalement après l'avoir un peu branlé je me suis exécuté, je l'ai sucé doucement puis il ma fait sucer un peu plus vite et a rapidement voulu changer de place. il s'assit sur le wc et je me suis retrouvé à genou dans le wc avec mon jean de boutonné ( je le referai pas, beurk l'hygiene!).
Il a jouit peu âpres dans ma bouche. Il m'a demandé d'avaler mais je n’ai pas voulu, il m'a essuyé la bouche avec le papier wc et a commencé à profité de mon jeans entrouvert pour passer sa main et a sentit que cela m'avait excité.

Il s'est bien essuyé le sexe et s'est rhabillé. Il m'a aidé à me relever, on est sortit ensemble du wc, et c'est là que je me suis bien rendu compte que j'étais dans les wc homme (oups).
Il m'a dit que j'étais parfaite, et que si je voulais il serait ok pour le refaire le samedi prochain ici. Il m'a tourné contre le lavabo, et m'a roulé une pelle de façon assez vulgaire et encore une fois je n’ai pas réagit et il m'a dit que je ferai une bonne petit chienne et que j'étais magnifique et il est sortit des toilettes...

Je suis sortie des wc et de la boite et je n'y suis pas retourné ni le samedi suivant, ni jamais. Je garde un souvenir très troublant mais très excitant aussi.

chrislebo

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#4,364
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les ordres de ma Maîtresse

Le bistro
Hello, je m’appelle Nadine, j’ai 25 ans, petits seins, mince et mes fesses mistert le fantasme de beaucoup d’hommes. En tous cas c’est ce que l’on me dit souvent. De nature soumise et obéissante, (l’un ne va pas sans l’autre) je corresponds, par Internet, avec Maîtresse Marie. Celle-ci me demande de faire des tas de choses sexuelles et d’en apporter les preuves en lui envoyant des photos. Ce n’est pas toujours évident de lui obéir, surtout pour les photos, mais je fais de mon mieux pour la satisfaire.
Cette semaine elle m’a ordonnée de trouver un chantier et de me donner gratuitement aux ouvriers, de faire des photos et une description de ce qui se sera passé, puis, de lui envoyé, tout cela, via mister e-mail.
C’est la première fois qu’elle me demande un truc de ce genre et j’ai une trouille pas possible, me rendant compte des risques encourus et de mon avenir, en acceptant cela. Mais comment ne pas la décevoir si je ne m’exécute pas. Je me suis même demandé si ma Maîtresse n’était pas, en fait, un Maître car, ce genre de chose est un fantasme d’homme en général. Mais voilà, je suis une esclave obéissante et me voilà à la recherche d’un grand chantier.
En sortant de chez moi et me dirigeant vers l’arrêt du bus, je dois passer devant plusieurs petits bistros de quartier, surtout fréquentés par des ouvriers et autres alcooliques notoires. Un de ses bistros est principalement fréquenté par des arabes et quelques noirs aussi. Comme quoi dans ce genre d’endroit, l’Islam n’a pas vraiment sa place. Il fait assez beau en ce début avril et je me suis habillée courte et légère, un petit sac à dos pour mes affaires permisternelles. Au moment de passer devant ce bistro et comme d’habitude, je me fais « vanner » et « charrier »
- Hé ! Ma jolie ! Vient donc gouté mon sucre d’orge
- Ta jupe est trop longue ! On ne voit rien !
- A ton âge on prend encore la sucette !
Et d’autres « vannes » tout aussi débiles, que les hommes un peu ivres et en groupes lancent aux filles pour les faire fuir. Mais, je ralentis le pas et une idée me vient tout à coup. Et si…
Et si, pour plaire à ma maîtresse, au lieu du chantier j’allais dans ce bistro voir si leurs paroles valent leurs gestes.
Un grosse boule me monte à la gorge, mon estomac se noue mais, je sens les muscles de mon vagin se contracter par à coup. Je m’arrête, les quolibets se raréfient et lorsque je me retourne toute tremblante d’angoisse, ils s’arrêtent. Je reviens sur mes pas et sans regarder permisterne, les yeux fixant le sol, je pénètre dans ce bistrot. Un silence total et impressionnant s’installe au fur et à mesure que j’avance à l’intérieur. Mon ventre n’est plus qu’un gros nœud, ma gorge est tellement sèche que, j’ai l’impression de m’asséchée complètement et pourtant mon entre-jambe me trahit.
- Ma parole !... Mais, je mouille ! pensais-je
Mon angoisse diminue un peu et j’ose lever mon regard vers le bar. Derrière ce dernier se tient un homme assez fort d’une quarantaine d’années et me regarde l’air méfiant et mauvais.
Enfin après avoir luttée pour, ne pas faire demi-tour et m’encourir au plus vite et au plus loin, je parvins contre le bar, enlevai mon mini sac à dos et le déposai à mes pieds. Trois hommes y mistert accoudés et me regarde comme une extra-terrestre.
- Bon… Bonjour ! Fis-je avec une voix de petite fille
- ….
Le silence, le plus glaciale de mon existence, me répond. Dans le bistro, je n’ai osée regarder permisterne et le silence est toujours aussi palpable.
- Je… Je… Je voudrais…. Je voudrais un café crème, s’il vous plait, demandais-je toujours avec une petite voix.
- Avec beaucoup de crème s’il vous plait ! Continuais-je.
J’ai l’impression que ma voix à explosée dans ce silence et pourtant la dernière phrase, je l’ai chuchoté.
L’homme derrière le bar me regarde ou plutôt mister regard à l’air de m’explorer. J’ai un petit rictus qui voudrait être un sourire qui, se forme sur mes lèvres et mes yeux redescendent sur la poitrine de l’homme. Quelques instant encore de silence et d’observation et l’homme se retourne pour faire mon café. Une parole, puis deux, puis trois emplissent le silence derrière moi mais elles semblent être chuchotées.
- Qu’es-ce-que vient faire une jolie fille comme toi dans ce bistro ? Dit une voix à ma droite.
- Surtout avec si peu de vêtement ! Dit une autre derrière moi.
- Et avec des fesses pareilles ! Fis une voix très, très proche de moi sur la gauche.
En attendant qu’on me serve, j’ai baissé les yeux vers le comptoir et senti que l’homme sur ma gauche s’est rapproché de moi. Je sursaute lorsqu’une main épaisse et forte se pose sur ma fesse gauche et presse celle-ci.
Seul, la barrière de tissu de mon short très court et moulant sépare la paume de cette main à la peau de ma fesse. Mon ventre se noue encore et l’angoisse de ma gorge s’amplifie. Mais, je ne me dérobe pas de ce touché osé.
- C’est un peu dangereux ici pour une petite salope dans ton genre, me dit la voix de gauche presque sur mon oreille.
- Voici votre café ! Mademoiselle ! dit le patron. Et avec beaucoup de crème continu-t-il avec une voix plus forte que tout le bistro a pu entendre.
- Mer… Merci beaucoup, fis-je d’une voix angoissée
L’homme à ma gauche me malaxait la fesse sans plus aucune retenue et tous les clients, du bistro, doivent jouir d’un spectacle gratuit. C’est aussi à ce moment qu’une autre main se posa sur ma fesse droite et le bout des doigts glissèrent entre mes jambes. Les deux hommes sur ma droite s’étant rapprochés au point de se tenir contre et derrière moi.
Je sentais le souffle de l’homme derrière moi me chauffer la nuque et une main s’aventura sur mon sein droit, seulement protégé par un body moulant. Comme, je ne porte jamais de soutien gorge, mon téton fut accessible facilement et ne tarda pas à subir pincement et étirement. Levant mes yeux paniqué vers le patron du bar, je vis ce dernier faire signe aux hommes qui m’entouraient et me tripotaient, d’aller vers les toilettes.
Sans aucune violence mais avec fermeté, je fus entrainée vers les toilettes du bistro. En fait, c’est l’homme qui me maintenait par la fesse gauche qui, uniquement en me tenant celle-ci, me tira vers les WC. Les deux autres hommes suivirent. Le bourdonnement des conversations repris avant que je ne franchisse la porte séparant le bistro des toilettes.
Mon sort, ne semblait plus intéresser que, les trois hommes qui m’entraînaient. Quelle erreur de jugement, venais-je de faire, mais cela je ne le savais pas encore.
Celui qui me tenait la fesse tout en me poussant vers l’avant, dans le couloir menant aux toilettes, glissa sa main dans mon short et malaxa ma fesse à même la peau cette fois. Je fus poussée sur des cassiers de bière qui, encombraient ce couloir, un peu sombre et pas très propre. Mon body disparu en moins d’une seconde. Des mains et des langues se collèrent à mes seins et mes lèvres. Une langue grasse et très humide pénétra ma bouche, pendant que des dents mordillaient mon téton. Mon short me fut enlevé aussi rapidement que mon body et c’est en string et baskets que les trois hommes continuèrent de me tripoter partout. Des doigts s’enfoncèrent dans mon anus et mon vagin et je me rendis compte que mon angoisse se transformait en une jouissance énorme.

chrislebo

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#4,365
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Alors petite salope, prête pour la troisième partie ?
Grumf !... Grumf !...
On ne parle pas la bouche pleine ! Dit Salim en me donnant un claque sur les fesses.
T’as raimister ! Pote ! Elle est mal élevée cette petite pute.
Ils se mirent à me détacher et ôter mon bâillon. Je voulu me redresser, mais aucune power ne me permirent de bouger. J’étais comme paralysée, vidée de toute énergie.
Ils me retournèrent et mirent ma tête au bord du lit. Puis, ils se mirent à me flageller le visage avec leur sexe tendu et dur.
Alors ! Salope ! Tu en veux encore ? Demande-le nous gentiment ! Dit Abdou
Ouais ! C’est ça ! demande-nous renchérit Salim
N’ayant aucune power pour lutter, mon esprit complètement perturber par ce que, je venais de subir et ne voulant pas trop souffrir, je leur dit les phrases qu’ils m’avaient fait répétée sans cesse au début et qui s’étaient imprimées dans mon cerveau.
S’il … vous… plait, Monsieur Abdou… baisez-moi ! Mettez… votre grosse… heu… queue en moi !
Ouais ! C’est bien ! Continue salope !
Remplissez-moi…heu…de votre…heu…. Sperme ! Mettez-moi…votre grosse queue dans mon cul !
Les phrases venaient toutes seules et avec de plus en plus de facilité pour mon cerveau et mon éducation. Je compris alors avec effroi, qu’ils m’avaient conditionnée l’esprit et que mes propres paroles m’excitaient réellement.
Je mouillais ! Je n’en cru pas mon corps mais, ce que je disais m’excitais au plus haut point. Leur sourire béat me confirma que, ce que je suppliais, leur plaisait.
Ok ! Ma salope ! Puisque tu le demandes, tu vas en avoir !
Ils me mirent à genoux, à côté du lit, mais comme je ne pouvais tenir droite, Salim me pris les bras et les mis en arrière sur le dessus du lit et me tint les poignets.
Abdou pris ma tête et poussa mister sexe sur ma bouche. Il baisa ma bouche comme si c’était un vagin. Je ne sus même pas le sucer ou l’aspirer, Abdou n’en tenait pas compte. Il faisait de douloureux va et vient au fond de ma gorge, me faisant saliver abondamment. Bien sur, à peine la moitié de mister sexe entrait dans ma bouche et touchait le fond de celle-ci. Abdou n’hésitant pas, à essayer d’aller plus profondément, avec comme conséquence de brusque envie de vomir.
Après un temps qui me sembla l’éternité, il se retira plaça mister gland sur le bord de ma langue et se masturba de plus belle.
Ma bouche grande ouverte, la langue tirée à fond, je sentis avec une seconde de retard le moment de mister éjaculation.
Le premier jet fut d’une telle violence qu’il s’engouffra directement dans ma gorge, il fut suit de deux autre tout aussi violent puis de quelques uns moins abondant et plus espacés.
Avale ! Salope fut les seules paroles d’Abdou
Ce que je fis évidemment, ensuite il me fit lécher mister sexe et proposa à Salim de le remplacer.
Je reprenais seulement mon souffle que le sexe de Salim envahit ma bouche et ce fut reparti pour un tour.
Plus permisterne ne tenait mes poignets et je du m’accrocher au couvre-lit pour ne pas m’écrouler sur mes talons. Mes bras tiré en arrière commençaient à me faire mal, mais coincée comme je l’étais, je ne savais rien y faire. Ma nuque contre le bord du matelas, permettait à Salim, de me pénétrer la bouche, le plus loin possible. Mes mâchoires commencèrent à me faire mal et des larmes coulaient toutes seules de mes yeux. C’est alors que je sentis un objet dur et froid se placer contre ma vulve.
Ecarte ! Ordonna Abdou.
J’obéis immédiatement et l’objet commença à me pénétrer. Salim s’en donnait à cœur-joie dans ma bouche et je sentais cet objet s’enfoncer de plus en plus écartant de plus en plus fort mes parois vaginales. Une monté d’adrénaline se fit et en même temps ma gorge s’ouvrit sous la poussé de Salim. Son sexe s’enfonça dans ma gorge, dépassant allègrement ma luette et bloquant ma trachée artère, me coupant la respiration. Ma gorge sembla doublée de volume et l’envie de vomir disparu. Mon nez fut brusquement en contact avec les poils frisés de Salim et mon menton toucha ses testicules. Je compris, en un dixième de seconde que, l’entièreté de mister sexe était en moi. C’est en même temps que l’objet qu’on introduisait en moi, fut brusquement absorbé, par mon vagin et que celui-ci se referma derrière l’objet.
Putain, je suis à fond dans sa gueule ! S’écria Salim
C’est aussi à ce point que, je sentis, une fois de plus, un orgasme monté à l’allure d’un tgv en furie. Sans doute excité, par le fait, d’être entièrement dans ma gorge, Salim, jouis brusquement et je sentis parfaitement les jets de sperme directement, dans mon œsophage.
Puis ce fut le voile noir de la jouissance et du manque d’air qui me fit perdre conscience.
Lorsque, je revins à moi, j’étais couché sur le sol de la chambre. Mon regard porta sur mon réveille-matin et mon cerveau enregistra, «4h15 »
Cela faisait plus de cinq heures que j’étais entre les mains d’Abdou et de mister complice. Mon corps reprenant vie me fit comprendre que quelque chose me gênait entre les jambes et dans mon derrière.
Je soulevai la tête péniblement et vit l’origine de mes différentes douleurs. Une grosse corde me ceinturait la taille et passait également entre mes cuisses. Mais la corde ne rentrait pas entre mes lèvres vaginales et semblait plutôt retenir un objet en moi. Je sentis aussi un objet profondément retenu par la même corde, dans mon derrière. Je voulu sentir avec mes mains et me rendis compte que celles-ci étaient liées ensembles et reliées à un pied de mon lit.
Aaaah ! Enfin elle s’est réveillée, s’écria Abdou
C’est alors qu’une vibration se fit sentir dans mon corps mais, surtout dans mon derrière.
On va voir combien de temps il lui faut pour jouir fit Abdou en me montrant un petit objet dans sa main. Un fil électrique en sortait et descendait vers le sol.
Je compris qu’ils m’avaient enfilé avec un godemichet vibrant. Mais déjà mon cerveau enregistrait ce nouveau moyen d’excitation et une nouvelle montée d’adrénaline se fit.
Ouais ! Comme tu dis on va voir combien de temps elle tiendra et combien de jouissance, elle aura. Confirma Salim s’approchant de moi, me faisant rouler sur le dos et plaçant sa main sur la chose enfoncée dans mon vagin.
Alors que tout mon derrière vibrait au rythme du gode, lorsque Salim retira sa main, quelques chose sembla bouger dans mon vagin.
Un autre godemichet vibrant était maintenant en fonction dans mon vagin. Seulement celui-là semblait bouger dans mon vagin et non vibrer comme celui dans mon derrière.
Les deux noirs semblaient s’amuser de me voir me tordre dans tout les sens sous l’influence de leurs jouets en moi.
Abdou sembla même augmenter puis diminuer l’intensité des vibrations dans mon derrière. Bien sur, il ne fallut que quelques minutes de ce traitement pour que je me torde de plus belle sous des orgasmes multiples et allant en crescendo.
Une fois de plus, je perdis toute notion du temps et de la réalité, pour me réfugier dans une inconscience complète.
Je repris connaissance, avec un sentiment de vide complet et une vibration de mon corps. L’appartement était silencieux et la lumière du jour semblait se profiler derrière mes tentures.
J’étais toujours allongée sur le sol et les godemichets en moi et fonctionnant faiblement. Ne sentant pas encore mes bras et me croyant toujours attachée, je remuai les jambes lentement, pour écarter mes cuisses au maximum, persuadé que cela me ferait du bien.
Mes bras n’avaient pas changé de position et étaient toujours tendu vers l’arrière de ma tête. J’essayai de bouger un bras et fut agréablement surpris que ce dernier exécuta le mouvement demandé. Je mis ma main entre mes jambes pour sentir que les godemichets en moi étaient bien présents. Je cherchai à tâtons le nœud de la corde qui maintenait ces godes en moi.
Les salauds ! Pensais-je, ils ont fait le nœud dans mon dos.
Je me mis à plat ventre et cherchai le nœud. Je mis un temps infini pour le défaire et tout autant pour me détacher et enlever les godemichets, toujours en fonction, de mon corps. Je ressenti aussi avec un certain effroi que pendant que je retirais les godemichets en moi, une nouvelle excitation monta depuis mon ventre. Mais cessa dès que mon anus et vagin fut libérer de ces instruments.
M’asseyant en tailleur, je regardai la taille énorme des godemichets que je venais de sortir de mon corps et les sécrétions qui dégoulinaient, mélange probable de sperme et de ma propre mouille. Celui de mon derrière semblait le plus « sale » car il était maculé de taches brunâtres.
Regardant celui qui sortait de mon vagin, il semblait avoir été trempé dans un bol de sperme tellement il dégoulinait.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, es-ce que je devenais folle, mais ma langue sorti toute seule de ma bouche et je léchai avec un certain plaisir ce godemichet dégoulinant de sperme. Je me surpris à le nettoyer complètement et même à le remettre en moi pour y chercher encore du sperme stagnant dans mon vagin.
Des applaudissements retentirent dans mon dos, me faisant me retourner pour voir avec effroi, Abdou, Salim, tout deux rhabillés, et le patron du café qui applaudissaient le léchage du godemichet.
- Je constate qu’Abdou et Salim ont fait du bon travail, s’exclama le patron du bistrot, même au-delà de toute espérance.
- ….
- Puisque tu es prête, continua-t-il, tu viendras, ce soir, vers vingt heure, habillée d’une simple et courte robe. Rien en dessous ! Tâche d’être à l’heure !
Puis, tous les trois tournèrent les talons et quittèrent mon appartement.
- A ce soir crièrent en cœur Abdou et Salim.
Je compris à ce moment précis que j’allais devenir leur chose, leur pute et qu’ au lieu d’être complètement dégoutée des hommes et du sexe, je pensais déjà, avec envie, aux sexes qui allaient me faire jouir ce soir.
Je voulu me lever mais mes jambes ne purent supporter le poids de mon corps. Je me traînai vers mon lit et avec le peu de power qu’il me restait, je me hissai dessus et m’endormi tel quel.
Lorsque, je regardai mon réveille-matin, je vis 15h26 et je me sentis au mieux de ma forme. Seul une petite douleur à la gorge et à mon derrière, me restait comme séquelles de cette nuit de folie.
Je me douchais longuement, appréciant l’eau chaude sur mon corps, puis je m’habillai de façon provocante et sorti faire quelques courses, car Abdou et Salim avaient réellement vidé mon frigo.
A peine en rue, le regard des hommes et parfois même leurs réflexions, me firent mouiller comme pas possible.
Je passais, sans le faire exprès, devant le bistrot de Monsieur Jean et les clients, en terrasse, ne manquèrent pas à leur habitude de me « vanner » avec leurs propositions sexuelles.
Je fis mes courses et revint à mon appartement en évitant cette fois la rue du bistrot. Je plaçai mes courses au frigo et armoires et allumais mon ordi.
Je fis un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans l’espoir, qu’elle soit satisfaite de moi, puis m’installée dans le divan, pour regardez la télé, en attendant de me retrouver au bistrot, à la disposition de Monsieur Jean.
chrislebo

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Je fis un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans l’espoir, qu’elle soit satisfaite de moi, puis m’installée dans le divan, pour regardez la télé, en attendant de me retrouver au bistrot, à la disposition de Monsieur Jean.
Une heure et demie plus tard une icône de messagerie clignotait sur l’écran de mon ordi. Je me levai et allai voir le message. C’était Maîtresse Marie qui ne me félicitait pas car, je n’avais toujours pas obéi à mister ordre. Elle insista pour que, je me trouve un chantier et me mette à la disposition des ouvriers.
Je fus, bien sur un peu déçue, qu’elle n’appréciait pas, ce qui venait de se passer dans ma vie, alors qu’avant, le bistro de Monsieur Jean et la folle nuit avec Abdou et Salim, je ne faisais qu’un peu d’hexib et que, je draguais de vieux messieurs, selon ses ordres. J’étais, quand même, passée à la vitesse supérieure depuis la veille.
Je lui répondis que, j’allais d’abord chez Monsieur Jean et lui promis que, si mon corps et ma tête en étaient encore capable, je chercherais un chantier plein d’ouvrier.
C’est alors que, je vis un dvd inconnu, sur mon bureau. Je le pris et le plaçai dans le lecteur dvd de mon pc et regardai avec stupéfaction, le dernier quart d’heure de ma nuit extrême avec les deux blacks. Ce dernier quart d’heure me montrait nue, au pied de mon lit, me tortillant à cause des godes en moi et les retirant, les léchant et les remettant en moi pour, les recouvrir de sperme, se trouvant dans mon vagin et les lécher comme une friandise.
Je pouvais voir mon visage qui reflétait la joie et le plaisir de faire cela. Je n’en revenais pas d’avoir fait cela. Mon cerveau, devait surement être complètement déconnecté de la réalité.
Un détail me frappa alors ! Sur le sol, à côté de mon lit, se trouvait un objet ressemblant, à une seringue. Je couru jusque dans ma chambre pour vérifié le sol. Rien… Sous le lit, rien… Je soulevai les descendes de lit,…rien.
Je retournai à mon pc pour revoir le film et essayai de faire un arrêt sur l’image. Je du m’y reprendre à plusieurs fois avant d’arriver, à avoir une image nette. Je pu alors bien voir la seringue en question.
Je me tâtai les bras, rien… Je me déshabillée en vitesse a la salle de bain, aucune trace de piqure. Je compris ou du moins, je cru comprendre que c’était Abdou et/ou Salim qui avait utilisés une drogue quelconque pour être aussi performant qu’ils avaient été cette nuit.
Je ne comprenais pas pourquoi, ils avaient laissé ce dvd sur mon bureau. Peut-être pensaient-ils devoir me faire chanter pour que je continue à me soumettre ?
Je me préparai une petite salade pour le repas du soir, ne voulant avoir l’estomac, trop chargé, pour aller chez Monsieur Jean.
A, huit heures moins le quart, j’étais devant la porte du bistrot. Je regardai par le carreau et vis une vingtaine d’hommes étant présents dans l’établissement.
Je sentis mon entre-jambe s’humidifié, tant par la tension que, par l’excitation de la situation.
Deux mains se posèrent, sans douceur sur mes fesses et me poussèrent contre la porte qui s’ouvrit brusquement sous cette poussée. Je fis un bond en avant et tombai sur les genoux au milieu des tables.
Le silence se fit instantanément et je sentis tous les regards sur moi. Une énorme vague de honte et d’excitation me nouèrent les intestins.
Je me retournai au moment ou la voix de Salim fit :
- Notre petite pute, hésitait à entrer, les gars ! Alors je l’ai aidé un peu. Puis, il éclata de rire suivit par une bonne partie des clients.
- Reste à quatre pates et vient ici, petite pute s’écria Monsieur Jean depuis mister comptoir.
Je me mis donc en route à quatre pates en direction du bar, ma courte robe remonter sur mes fesses laissant voir à tous les clients que, je ne portais aucune culotte.
Lorsque, j’arrivai à côté du comptoir, je ne su combien de main et de doigt avaient touché, caressé ou s’étaient enfoncé dans mon entre-jambe, suivie d’exclamation sur l’humidité de celui-ci.
Monsieur Jean me redressa en me prenant par les cheveux et me sermonna sur mon retard et ma façon de traverser mister bistrot. Il me traita de « trainée » de « petite salope » de « garage à bite » et d’autres gentillesses, toutes en rapport avec sa façon me voir.
- Si tu veux boire un café, petite, va falloir le gagner, dit, pour conclure, Monsieur Jean.
Salim se pencha et pris mes cheveux des mains de Monsieur Jean en lui disant :
- Je la prépare et d’ici dix minute elle sera opérationnelle, patron !
- Ok ! Salim, je te laisse carte blanche dit-il en rigolant.
- Vient petite chienne, car tu va avoir du boulot ce soir, dit Salim en tirant sur mes cheveux pour nous diriger vers le couloir des toilettes.
Toujours à genoux, je le suivis, jusqu’au local, puant et sale, des toilettes. Dès que nous fument au milieu, il me releva et ôta ma robe, seul vêtement que j’avais mit. J’étais complètement nue en sandale d’été, à genoux au milieu d’un local, contenant sur un côté, deux portes de wc et sur le mur d’en face trois urinoirs, séparés par un petit portillon qui devait, sans doute protéger des regards indiscret mais, leur grandeur ne donnait aucun doute, sur l’inutilité de ces portillons. Une odeur, d’urine et de saleté, vint titillée mes narines.
Salim me redressa complètement en me tirant par les cheveux et m’approcha de l’urinoir du milieu. Il me pencha au-dessus en me mettant la tête dedans.
J’eus le réflexe de tourner mon visage sur le côté pour que mon nez ne touche pas le fond, mais Salim poussa suffisamment pour que, ma joue touche, la crépine, dégoutante et crasseuse au fond de l’urinoir.
- Reste ainsi et mais tes mains de part et d’autres m’ordonna-t-il.
Je fis ce qu’il me demanda et je senti qu’il me donna de léger coup de pied sur mes chevilles pour que j’écarte les jambes.
Je me retrouvai, pliée à plus ou moins de 90°, la tête dans un urinoir, le derrière, bien en vue et mes mains tenant la conduite de vidange de cet urinoir. Mes petits seins touchaient par moments la pointe en céramique de l’urinoir mais, cela laissait suffisamment de place pour que des mains puissent jouer avec.
- Surtout, tu ne bouge pas dis Salim, je reviens !
Il sorti du local me laissant dans cette position de totale soumission et revint quelques secondes après. Il dévissa, les deux petits portillons de part et d’autre de l’urinoir dans lequel reposait ma tête et après les avoir enlevés, se mit à m’attacher à l’urinoir.
D’abord mes mains, au tuyau de vidange puis passant à plusieurs reprises la corde, par-dessus et par-dessous l’urinoir, m’empêchant ainsi tout espoir de me redresser. Comme il tira suffisamment pour que je sois bien attachée, mes petits seins se placèrent de chaque côté de la pointe de l’urinoir.
Salim essaya de me tirer en arrière, surtout pour voir que j’étais bien attaché et effectivement mon corps ne bougea presque pas. Je sentis qu’il attacha chacune de mes chevilles de façon que je ne puisse restée les jambes bien écartées.
- Voilà petite pute tu es prête pour la soirée, j’espère que les clients seront nombreux et contents.
- Je… Vous… Vous n’aller… Vous n’aller pas me laisser ainsi, suppliais-je du fond de l’urinoir.
- Mais si, petite pute, mais si et même toute la nuit si on a beaucoup de client. C’est ce qu’espère Monsieur Jean en tout les cas, répondit-il.
- Mais… Mais…
- Ta gueule ! T’a juste le droit de te faire mettre et surtout de dire merci à chaque client qui viendra te remplir ! T’as compris ! Petite pute !
- Heu… Ou… Oui… Oui…
- Oui qui ?
- Ou… Oui monsieur Salim
- Ah voilà comment une petite pute blanche doit me parler.
- …
- D’ailleurs tout ce préparatif m’a donné envie.
J’entendis un zip d’une braguette et je sentis un sexe se placer contre ma vulve trempée. Le sexe s’enfonça en moi sans aucune résistance de ma part et lorsqu’il toucha le fond de mon vagin, ma tête cogna la paroi verticale de l’urinoir et ma joue râpa sur la crépine.
- Putain ! S’écria Salim, t’es tellement mouillé qu’elle rentre toute seule.
- He bien ! T’as déjà commencé dit une voix inconnue.
- Cette petite me donne envie comme pas possible à chaque fois que je la vois.
- Surtout dans cette position dit encore la voix.
- Eh ! Attend ! Pas là ! s’écria Salim tout en continuant ses coup de rien en moi, me faisant, me cogner la tête à chaque fois.
- Comment ça ? dit la voix inconnue
- Ils mistert hors services ceux-là dit Salim, tu dois faire ici.
- Ha Bon !
Je vis une ombre assombrir le peut de clarté que je percevais depuis le fond de l’urinoir et avant de comprendre ce que cela signifiait, un jet d’urine frappa ma joue hors de l’urinoir et se dirigea vers ma bouche et mon nez.
Je sentis avec angoisse, l’urine éclabousser mon visage et mes cheveux mais, surtout faire monter le niveau de cette urine dans l’urinoir. Jusqu’au moment ou cette urine arriva à hauteur de ma bouche que je refermai avec précipitation. Malheureusement le niveau continua de monter, et atteignis, rapidement, mes narines. J’essayai de soulever ma joue qui, était sur la crépine, mais l’urine s’engouffrant dedans aspira ma joue et forma un bouchon. Je ne vis qu’une solution si, je ne voulais pas mourir noyée, c’était d’ouvrir la bouche et d’avaler l’urine, au moins pour que je puisse respirer.
J’ouvris donc la bouche. L’urine et autres saletés dans l’urinoir, s’engouffrèrent dans ma gorge. J’avalai cette mixture en pleurant, me disant que plus bas, je ne pourrais jamais tomber.
Salim, continua ses vas et viens en moi, ce qui me procura un début de jouissance. La position, le sexe de Salim et l’avalement de l’urine, firent monter, en moi, un taux d’adrénaline, suffisant pour qu’une première jouissance se déclenche sans que je ne puisse la contrôlée.
L’urine s’arrêta en même temps de couler sur moi et je m’étranglai en avalant une grosse gorgée.
- Regard ça ! La salope ! Elle joui même dans ces conditions, s’écria Salim au bord de la jouissance lui-même car, à peine ces mots prononcés, il gicla dans mon vagin.
Les jets s’écrasèrent sur le fond de mon vagin et augmentèrent ma jouissance. Mon corps fut tellement secouer par Salim et moi-même que, je crus entendre l’urinoir se détacher du mur. Il n’en fut rien et lorsque, je repris mes esprits, je compris aussitôt, qu’un autre sexe était en moi, plus petit et plus nerveux dans ses coups de rein. Je supposai que, l’inconnu avait remplacé Salim, s’en que, je m’en aperçoive, pendant ma jouissance.
Le type me lima comme une vulgaire poupée gonflable, sans aucune caresse, sans aucune marque de partage. Il se vida d’ailleurs assez rapidement en moi.
- Waouh ! Elle est bonne cette salope. Complimenta l’inconnu.
- Si tu as des copains, n’hésite pas. Monsieur Jean est d’accord du moment qu’ils consomment, dans le bar.
- Ah ! Fit l’inconnu, elle remplace les cacahouètes qu’on donne avec la bière.
- C’est… C’est ça dit Salim, en rigolant, tu l’as trouvé, sacré Paul, va !
Ils sortirent tous les deux me laissant dans cette position. L’urine sembla diminuer lentement. Un frismister me parcouru entièrement, au moment, où sans doute, un courant d’air se fit.
Je ne restai pas longtemps seule attachée à mon urinoir, car des voix se firent entendre et se reprochèrent.
Quelques exclamations se firent entendre avant qu’un nouveau sexe s’introduisit en moi, mais pas pour longtemps car, après quelques allers et venues en moi, le sexe se retira de mon vagin pour se coller sur mon anus. Je me préparer à souffrir et je fermai les yeux.
C’est au moment où le sexe poussa sur ma rondelle anale, qu’un jet d’urine, frappa mon nez et ma bouche sur le côté. J’ouvris la bouche par reflexe et le jet frappa l’intérieur de ma joue, celle justement qui, était collée à la crépine de l’urinoir.
chrislebo

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La pénétration de mon anus, me fit ouvrir encore plus grand, la bouche pour, rechercher de l’air qui, je croyais, allait compenser cette pénétration. C’était, bien sur sans compter, l’urine qui s’engouffrait dans ma gorge et que je fus obligée d’avaler sous peine de noyade.
Cette fois, je sentis des mains me palper et me pincer les seins et les tétons. Une nouvelle jouissance montait, inexorablement, en moi. Le jet d’urine s’arrêta quelques secondes pour reprendre de plus belle. Je pouvais distinguée plusieurs voix différentes. Le sexe dans mon derrière accéléra mister mouvement puis, s’arrêta tout au fond de moi. Je pus alors, sentir les soubresauts du sexe en moi, lâchant ses jets de sperme.
Je n’arrêtais pas d’avaler de l’urine, pour éviter qu’elle n’atteigne l’entièreté de mon nez. Mon œil droit, baignait dans la pisse et je n’osais plus ouvrir les yeux de peur de recevoir de l’urine dessus.
Le changement de sexe, dans mon derrière, se fit sans mon avis et les coups de rein reprirent de plus bel. Ma pauvre tête, baignant à moitié dans la pisse et le dessus de mon crâne frappant, au rythme des coups de rein, la paroi verticale de l’urinoir, éclaboussant, par ce fait, mes cheveux, qui ne trempaient pas, dans l’urine.
Je ne peux dire combien de temps s’écoula entre Le moment où, je fus attachée, aux urinoirs et le moment où, Salim, me détacha. Je me rappelle seulement qu’entre, plus ou moins, quatre ou cinq clients, quelqu’un, m’essuyait l’entre-jambe puis, les pénétrations recommençaient.
Je tombai assise par terre, les chevilles toujours attachées aux autres tuyaux de vidange, des urinoirs de par et d’autre du mien. Mon derrière baignant dans une marre d’un liquide mélangé, de sperme, de crasse et d’autre matière que les nombreux clients, venu se vider en moi, avaient sous leur chaussures.
- Pas mal pour une première fois, me complimenta Salim et Monsieur Jean, venu assister à ma délivrance.
- Mais certains clients se mistert plaints de ton silence.
- Mais…
- Y a pas de « mais » tu devras, à l’avenir ne pas oublier de dire « merci » et de les excités plus que, par ta position. Par exemple en leur demandant de te remplir, de te bourrer le cul, enfin toutes ces phrases qu’Abou et Salim t’on apprises hier ! Continua Monsieur Jean.
- Tu crois qu’elle à méritée un café, dit Salim en riant.
- Bien sur ! Si,… elle le paye ! Fis Monsieur Jean
Je ne crois pas pouvoir avaler du liquide, après ce que je venais d’avaler comme urine. J’avais d’ailleurs mon ventre tellement gonflé que, je me croyais enceinte.
C’est à ce moment et sans que, je puisse me retenir, un jet d’urine fusa de ma vulve comme une fontaine.
- Mais qu’elle salope, s’écria Monsieur Jean, elle va tout me dégueulasser, avec sa pisse.
- Attend ! Patron, j’ai une idée dit Salim.
Il détacha les cordes de mes chevilles et avec une des cordes, me fit un collier, qu’il s’empressa de mettre autour du cou. Il relia les deux morceaux de corde et relia la partie libre au tuyau de vidange de l’urinoir centrale. (Mon urinoir)
- Voilà patron ! Comme cela elle pourra aller dans tous les coins du local et nettoyer vos toilettes.
- Salim ! Si je ne t’avais pas, je devrais te créer. Excellente idée. Va lui chercher le matos pour nettoyer.
Salim, sorti quelques seconde pour revenir avec un seau et une raclette.
- Pas besoin de torchon, Patron, sa robe fera office de loque.
- Tu as compris ! Traînée ! Je veux que ce local soi impeccable avant de te laisser partir.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Je venais de satisfaire, je ne sais combien de client à Monsieur Jean et pour me remercier, il m’obligeait à nettoyer ce local et avec ma robe en plus.
- Mais… Mais Monsieur Jean… S’il vous plait
- Quoi ! T’es pas contente de me faire plaisir ?
- C’est… Ce n’est pas ça. Mais… Mais… je suis….
- T’es quoi ? Fatiguée ? Une jeunette comme toi ?
- Ben… Ou…Oui… S’il vous plait… laissez-moi rentrer… Je … Je reviendrai demain si vous voulez…
- De toute façon tu reviens demain, donc tu nettoies, puis,… on verra !
- Je…
Une gifle fusa et je me tus. J’essayai de me relever mais, je glissai sur cette marre de liquide, sous moi. Après plusieurs essais sous les regards amusés de Salim et de Monsieur Jean, je me mis debout, les jambes tremblantes et je fus stupéfaite de la grosseur de mon ventre.
A peine debout que, j’urinai de plus belle, comme si, je n’avais plus urinée depuis des années. La pisse gicla avec violence sur le sol éclaboussant les chaussures de Monsieur Jean, qui fit un bon en arrière.
- La pute ! Elle pisse sur moi maintenant.
Salim, me prit par les cheveux, trempés d’urine et me força à m’agenouiller. Ma vessie continuait de se vider pendant ce temps. Il poussa ma tête, jusqu’aux chaussures de Monsieur Jean.
- Lèche te nettoie tes saloperie m’ordonna Salim.
Je fis ce qu’il m’ordonna tout en continuant d’uriner car, la position que j’avais, devait surement faire pousser, mes intestins, sur ma vessie.
Monsieur Jean, me laissa lécher ses chaussures sans les soulever du sol. Ce qui eu pour conséquence, que ma langue léchait, pour moitié, le côté de ses semelles et la partie du sol autour de ses chaussures.
- Dans le fond, elle pourrait tout lécher, le local entier dit soudainement Salim.
- Là, mon petit Salim t’exagère un peu. Laismisters-là déjà nettoyer avec sa robe et on verra pour plus tard.
- T’as bien compris, me demanda Salim.
- Heu… Ou… Oui, Monsieur Salim.
Monsieur Jean, sorti mister sexe de sa braguette et fis signe à Salim de sortir. Il se mit à se masturber dès que Salim sorti.
- Reste à genoux et ouvre bien ta bouche, petite traînée.
Je me rapprochai de Monsieur Jean pour, que ma bouche soi bien, en dessous de mister sexe. Il se masturba pendant de longues minutes et lorsqu’enfin, il joui, il abaissa mister sexe jusqu’à l’entrée de ma bouche et lâcha ses giclées dedans.
- N’avale pas… tout … de suite, dit-il entre deux spasmes.
Ce fus presque un plaisir pour moi d’avoir du sperme dans la bouche, au lieu de la pisse que, je reçu pendant toute la soirée.
Ma main droite descendit vers ma vulve pour me caresser, mais lorsque mes doigts touchèrent les petites lèvres un flot de sperme s’échappa et me trempa les doigts.
- Maintenant tu peux avaler, me dit Monsieur Jean.
- Mer… Merci… Mon… Merci, Monsieur Jean, fis-je, en déglutissant le sperme.
- C’est bien ! C’est bien ! Petite ! Aller maintenant au boulot et que tout soi bien propre pour demain.
Monsieur Jean sorti du local et ferma la porte. J’entendis parfaitement la clé tourner dans la serrure. J’étais primisternière de ce local et toujours à genoux je me mis à pleurer.
Les nerfs, me lâchais, très probablement. Je me couchai sur le carrelage froid et sale et je m’endormis secouer par des sanglots. Une douleur me réveilla et ma fesse gauche, me fit un mal de chien.
- On t’a dit de nettoyer et pas de dormir s’écria Abdou, qui venait de me donner un coup de pied au cul.
- Mais…
Abdou, était là, je ne l’avais pas vu ou entendu de la soirée et maintenant il était présent et me donnait des ordres. Je vis parfaitement une de ses mains caresser le devant de mister pantalon et une grosseur anormale commençait à se voir nettement.
Je me redressai péniblement et chercha ma robe et le seau. Toute tremblante de fatigue et de nervosité, je remplis le seau et trempai ma robe dedans. L’eau était froide et aucun détergent ne semblait existé, dans ce local.
Abdou, jeta un savon carré dans le seau ce qui m’éclaboussa. L’eau me paru glacée et je failli laisser tomber le seau.
Abdou, s’approcha de moi et me prenant par les cheveux trempée d’urine, m’obligea à me mettre à genoux. Je déposai le seau et mes mains se mirent à ouvrir sa braguette et sortir mister énorme engin. Sans qu’il ne me dise rien, je lui fis une fellation de première qualité et ce malgré la fatigue et le froid qui me faisait trembler. Je dois avouer que j’aimais sentir cet énorme sexe dans ma bouche et de recevoir les fabuleuses quantités de sperme d’Abdou.
Je le suçai un certain temps avant qu’il ne jouisse, enfin et me remplisse la gorge et l’estomac de mister sperme onctueux et abondant.
- Mer… Merci, Monsieur Abdou, de votre bon sperme, lui dis-je après avoir nettoyer consciencieusement mister sexe sur toute la longueur.
Il me repoussa comme un objet inutilisable et quitta le local sans un mot et en prenant soin de refermer derrière lui.
Je passai une grande partie de la nuit à frotter, gratter, sécher, les murs, les wc, les urinoirs et l’évier de ce local.
Je n’en croyais pas mes yeux lorsque je vis le résultat, car le local paraissait vraiment propre. Ma robe, par contre, était dans un état de vieux torchon usé. Je m’étais aussi nettoyée et j’avais encore uriné, plusieurs fois, pendant la nuit. Mon ventre plat, me redonnais espoir, de ne pas avoir de séquelles visibles, sur mon corps, par contre, mon cerveau était complètement « destroye » et celui-ci, n’allait probablement jamais récupérer, la petite fille, un peu maso et soumise que, j’étais, il n’y avait que quelques jours encore. J’étais devenue une salope entière et complètement soumise à toute permisterne me le demandant.
J’avais vraiment aimée d’être traitée ainsi et je pensais déjà, faire un résumé détaillé à Maîtresse Marie. J’étais certaine qu’elle serait fière de moi.
C’est vers huit du matin que, de petits coups de pieds, dans mon ventre, me réveillèrent.
- Aller debout petite pute, il est temps de rentrer chez toi, me dit Monsieur Jean
- Je… Ok !... Ok !... je me lève.
Je me mis debout fameusement courbaturée et grelottante de froid, J’avais dormi nue rouler en boule dans un coin du local. Monsieur Jean, me tendait ma petite robe, crasseuse et abimée par le nettoyage du local.
- Tiens ! fit-il, je crois que c’est à toi. Tâche de venir proprement ce soir et pas avec des frusques qui pue les chiottes
- Mais… Mais, je ne vais pas sortir comme ça…osais-je dire
- C’est ta robe ou pas ?
- Oui… Mais…
- Met, tes vêtements et tire-toi vite, avant que je ne change d’avis et te foute dehors, à poil !
- Heu… Bi…Bien monsieur Jean
Je passai ma robe, en tout cas ce qu’il en restait, sale et déchirée par endroit. Je devais ressembler à Cosette dans les « Misérables ». Je sorti par la porte privée et filai droit chez moi, en priant de ne rencontrer permisterne que, je connaissais.
Cette fois, la chance fut avec moi car, le court trajet jusqu'à mon appartement et le hall de l’immeuble ne me fit rencontrer, aucune permisterne de connaissance. Je tremblai de joie et de fatigue en mettant la clé dans la serrure.
Retrouver enfin mon chez moi, me doucher, me laver et enfin dormir dans un vrai lit. Je ne pensais qu’à cela en pénétrant mon appartement.
Ma joie fut de courte durée, la première vision que j’eus, en pénétrant mon salon, c’est de voir Salim, allongé et ronflant sur mon divan. Il était simplement vêtu d’un caleçon et sa main tenait mister sexe à moitié sorti. La deuxième vision que j’eus, c’est de voir le désordre et les déchets, bouteilles, emballages qui traînaient partout.
- Ah enfin ! T’es là dit Abdou en sortant de la cuisine, un sandwich à la main.
Il était aussi en slip et on pouvait nettement voir la forme de mister sexe, malgré qu’il fût au repos.
- Mais… Mais qu’es ce… Mais qu’es-ce que vous faites ici demandais-je.
- Comment ça ! T’es pas au courant ?
- No… Non…
- Ben Salim et moi on s’installe chez toi, enfin… je veux dire chez nous et on est content que tu sois là pour tout nettoyer.
- Mais….
- Putain ! T’as pas l’air au courant il me semble !
- Mais… Mais non… Je ne … je ne comprends pas.
- C’est très simple, petite pute, Ici c’est chez nous et on est là pour te maintenir en forme pour Monsieur Jean. Il nous a demandé de s’occuper de toi pour, te transformer en une bonne et obéissante petite pute.
Je m’écroulai assise, complètement abasourdie et me rendant compte que, ma vie, avait vraiment fait un bond dans un univers de soumission totale. Je savais déjà que j’obéirais à toutes leurs exigences.
- Dès que tu auras tout remis en ordre, tu pourras t’apprêtée car, on va faire un tour du côté de la cité. On a deux trois amis qui, aimeraient faire ta connaissance, surtout, depuis qu’on leur a dit, de quoi tu es capable.
- Bi… Bien, Monsieur Abdou. Dis-je en me relevant.
- Fait pas trop de bruit, car Salim dors. Il est fatigué à cause de toi.
- Com… Comment ça ?
- Il est resté éveiller cette nuit pour te surveiller, pendant que, tu nettoyais les toilettes de Monsieur Jean.
- …
- Bon ça suffit ! Au boulot, petite pute, mais vient d’abord me vider les bourses, elles mistert un peu lourde à porter. Fit-il en rigolant et mordant à pleine dent dans mister sandwich.
Abdou, abaissa mister slip et mister sexe commençait à grossir. Je m’approchai et m’agenouillai devant lui. Je pris mister sexe en main pour le masturber.
- Chans les mains ! Uni…chement avec t…cha bouche ! fit-il en mâchant mister sandwich.
Je mis mes mains sur la tête, ouvrit la bouche et pris le sexe d’Abdou dans celle-ci. Dès qu’Abdou eu joui de longues et abondantes giclées, il se retira de ma bouche et m’ordonna de faire le nettoyage de SA piaule.
J’étais encore souillée de ma nuit et la bouche au goût de sperme d’Abdou, que je commençai à faire un nettoyage de l’appartement.
Bien entendu, Salim se réveilla et me sodomisa pendant que, je nettoyais le tapis. Je demandai aussi à Abdou si je pouvais écrire un mail à Maîtresse Marie car, elle m’avait donné un ordre que je ne pouvais satisfaire. Lorsque Abdou eu connaissance de l’ordre et se marra de plus belle et me dit :
- Ben, je crois petite pute que ta journée va être très, très longue.
- Ouais ! Fit Salim, après la cité, on ira te chercher un bon grand chantier pour que tu puisses t’amuser un peu.
vanbruje

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Quatre histoires... trois courtes et une longue...dont deux déjà publiées... Merci et bonne continuation.
chrislebo

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Chantage entre élèves....



Cela faisait un moment que j’observais discrètement la belle J. Durant les cours je m’arrangeais pour trouver une place d’où je pouvais à loisir admirer le doux visage et les courbes agréables de ma camarade, une brune aux cheveux bouclés et bruns.
Parfois, par chance, j’avais l’occasion un court instant d’apercevoir la naissance de sa douce et généreuse poitrine.
Un jour, j’étais à la bibliothèque en train de chercher des informations dans un livre quand je surpris une conversation entre J. et une de ses amies également dans notre classe. Une de nos professeurs avait envoyée J. cherché dans mister bureau des polycopiés, qu’elle avait oubliés. Mais en les prenant elle était tombée sur le sujet de la prochaine interrogation, qu’elle c’était empressée de photocopier, afin de pouvoir tricher.
« Nous aurons les meilleures notes de la classe sans se fatiguer, avoue que c’est un coup de maitre » dit J. a mister amie, en lui racontant comment elle avais trouvée le sujet de l’interro, sans se rendre compte que j’étais tout prêt, en train d’écouter, et de tout enregistrer avec mon téléphone portable. Un peu plus tard, mister amie est partie, la laissant seule dans la bibliothèque quasiment
déserte. J. se leva pour aller prendre un livre dans un rayon plutôt isolé, situé dans un angle de la pièce. Je la suivis donc, puis dit calmement :
- Alors comme ça on tente de tricher ? Je sais ce que tu as volé à la prof
- De quoi tu parles ? répondit-elle alors, l’air innocente en se tournant vers moi, en faisant mine de ne pas comprendre.
Je sorti alors mon téléphone, pour lui repasser la scène ou elle racontait a mister amie mister vol, avec un léger sourire. « Tu sais que je pourrais te dénoncer pour ça, et tu aurais de gros ennuis. ». Elle tenta de prendre le téléphone portable de mes mains, sans succès. Alors je la plaquai contre le rayon, une main se posant sur ses douces formes par-dessus le débardeur, les caressant.
- Il va falloir que tu sois très gentille avec moi pour que j’efface cette vidéo et que j’oublie tout cela
- Qu’est ce que tu veux de moi ? répondit t’elle alors, retirant ma main de sa poitrine.
Je souris, lui appuyant sur les épaules, pour la mettre à genoux. Etonnement soumise, elle s’exécuta sans broncher. Apres un regard autour de moi pour vérifier que permisterne ne nous voyais, je défis alors le bouton de mon jean pour sortir mon sexe tendu devant ses lèvres après avoir mis un préservatif. Sans même que je lui demande, elle se mit à me masturber et a me sucer goulument, en me fixant d’un air provocateur, coquine. Je dus me mordre les lèvres pour me retenir de gémir, ce qui risquerait d’attirer l’attention. Lui caressant le visage, et le tenant par sa chevelure, je menais le rythme à ma guise, puis retirant la capote je
me déversais finalement en maitre dans sa bouche et sur mister visage, la forçant à avaler ma semence. Elle se redressa ensuite, s’essuyant avec un mouchoir, alors que je lui chuchotais en la tenant doucement par la hanche :
- Ce n’est qu’un début. Jusqu'à ce que je le décide, tu es mienne, compris ? tu vas commencer par retirer tes sous -vêtements.
Dis-je d’un ton autoritaire.
Surprise par ce ton, elle s’exécuta en rougissant, retirant mister soutien-gorge sous le débardeur, me le tendant ensuite. Je le mis dans une de mes poches, glissant ensuite mes mains sous le débardeur, pour caresser et jouer avec ses seins, les pétrissant.
Elle gémit très légèrement, appréciant cette caresse, puis je murmurais :
- La culotte aussi. Je veux disposer de toi comme je veux, et où je veux.
Elle fit non de la tête, mais finalement s’exécuta quand mes mains virent titiller ses deux jeunes tétons, et qu’elle laissa échapper un léger gémissement étouffé. Ses mains glissèrent sous la jupe, et elle retira rapidement sa culotte, me la passant. Je pus alors glisser une main sur mister intimité offerte. Elle était trempée ! Elle tressaillit, ouvrant les cuisses, s’offrant à mes caresses, cambrée en avant. Je pus alors à loisir jouer aves mister petit bouton de plaisir et le stimuler, la masturbant. Elle se blottie alors contre moi, venant étouffer ses gémissements contre mes lèvres, se frottant a moi, le débardeur relevé laissant voir ses tétons pointés et ses
seins nus et offert se balançant . N’en pouvant plus, je pris dans mon portefeuille un préservatif, le mettant sur mon sexe tendu.
- Non attends…je ne l’est jamais fait ! Je ne veux pas...pas encore. Mais par contre, je veux bien que tu me prennes par derrière
!
Elle me tourna donc le dos, en se mettant à 4 pattes en me présentant ses fesses. Sans attendre, je la pris donc, avec un gémissement retenu, mes bourses se retrouvant contre ses fesses, mes mains prenant ses seins, les pressant. Puis je commençais un va et vient rapide, venant l’embrasser pour retenir les gémissements, en pressant fort ses seins. Réceptive, elle bougeait le bassin en accompagnant les mouvements de va et vient rapide en gémissant fort contre mes lèvres, apparemment habituée à être possédée de la sorte. Je finis par sortir le préservatif pour jouir sur ses fesses, avec un soupir d’aise. Rapidement,
je me rhabillais et partais, la laissant à moitié nue, à 4 pattes dans un rayon de bibliothèque, les fesses couvertes de sperme et essoufflée.
- On continuera de jouer ensemble, je m’amuse beaucoup avec toi. Rappelle toi, pas de sous- vêtements a partir de demain
chrislebo

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#4,370
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mise a poil par l'amant de ma femme



Cette histoire s’est passée l’été dernier , il faisait chaud et ma femme Patricia décide d’acheter une piscine autoportée, une fois gonflée et remplie nous décidâmes de nous donner aux joies de la baignade, quand dans ’l’après- midi arrivait James , un solide gaillard qui venait souvent a la maimister. Je savais qui’il lorgnait sur Patricia, mais cela m’amusait.
Nous voilà tous les trois dans la piscine , Patricia vétue uniquement de mister petit bas , moi en petit slip et James lui se mit a poil, découvrant un sexe énorme que Patricia dévorait des yeux. James me dit « alors , et toi alors tu gardes ton slip ? » « Oui laissez moi sil vous plait , je veux sortir ! »
Non content de cette réponse , James et Patricia se ruèrent sur moi et entreprirent de me mettre tout nu, ma petite bite à l’air provoqua un fou rire chez James.
« Et bien Patricia c’est avec ça qu’il t’amuse ta lope ? » je m’enfuyais en courant mort de honte sous les rires de Patricia et James.

Quelques instants plus tard , ils me rejoignirent dans le salon, le regard de Patricia était sévère , elle me dit « bon petite lope il va falloir te faire à l’idée que James est mon amant , et que si tu ne veux pas que je parte il faut que tu sois un bon petit cocu obéissant ! » Je n’en croyais pas mes oreilles , pendant ce temps la James me toisait de ces 1m90 en souriant . « mais Patricia ? » bredouillai-je . « tu te tais et tu regardes ce que c’est qu’une vraie bite ! Ou bien préfère tu que je divulgue à tout le monde les photos de toi en petite pute quand je t’enculais ? » « non je t’en prie Patou je ferai tout ce que tu voudra mais ne montre pas ces photos je t’en supplie !» implorais je.

« met toi a genoux et regarde cocu , je suis sur que tu va aimer !» ils s’s’asseyerent sur le canapé et Patou descendit le short de James et pris mister énorme engin dans sa main en le branlant , elle rajouta « regarde ce qu’est une bite petite lope , c’est pas ton vermicelle ça ? Non ? » Je baissai la tête en rougissant « répond à ta maîtresse petite tapette» poursuivi James « oui Maîtresse j’ai une toute petite bite devant celle votre amant » « Ton Maître devrait tu dire salope « poursuivit Patou.
Elle suçait divinement quand James me dit « un cocu doit être a poil et a genoux ! Fais voir ton vermicelle qu’on se marre ! » J e m’exécutai , la bite de mon Maître devenait énorme , il prit ensuite Patou en levrette en la traitant de salope , elle jouissait comme une folle.

Je me mis à tripoter ma nouille quand Patricia me dit « Allez cocu, va te mettre en tenue de salope , James à l’intention de t’essayer ! » « Mais Maîtresse non ! Pas ça ! » dis-je en tremblant . James se leva me prit par les cheveux pour me relever , mister regard était sans appel « t’as pigé salope de pédé ? Exécution ! » Je partis me changer sans rien dire .

Je redescendis vétue de ma mini jupe ras des fesses noirs , bas résille noirs , un chemisier blanc , mes talons hauts , et une perruque au carré brune. Lorsqu’ils m’aperçurent James et Patou étaient aux anges « Mais c’est que c’est une vraie petite pute cette chienne Patou « dit James .

« tu va commencer à lui faire une bonne pipe » ordonna Patou. Je me mis à genoux devant mister sexe et le pris dans ma bouche , malgré ma honte j’adorais ça , il ne fallut pas longtemps pour qu’il se mette à bander comme un taureau. « c’est bien ma salope , tu suce comme une lope , met toi debout maintenant et tourne toi » Je fis ce qu’il me dit il passa derrière moi et passa ses mains sous ma mini en tripotant mon petit bout « tu aime ça petite salope de te faire branloter ta nouille petit cocu ? » « oh oui Maître n’
N’arrêtez pas s’il vous plait c’est si bon ! » Je me sentais humilié devant ma femme et mister amant , mais c’était si bon !

Ensuite il me mit à 4 pattes et ’m’encula sans ménagement , m’arrachant des cris , Patricia vint a coté de nous et m’ordonna « dis que tu es un cocu soumi à petite bite à notre service , que tu restera notre chienne à tout faire , et que tu devra tout accepter ! Allez répète salope ! » Je répétai plusieurs fois sous les coups de bite de James . Je dus me mettre a genoux pour lui dire « merci Maître de m’avoir baisé avec votre grosse bite , ma femme est à vous car je n’ai qu’une petite nouille , je suis à vous ! »

A ces mots il gicla dans ma bouche pendant que Patou me branlai ma petite queue pour me finir sur mes bas ! Depuis ce jour la je suis leur chose .
chrislebo

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#4,371
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lope soumise



Un an environ après ma séparation avec Patricia une très belle femme de 36ans qui m’a quitté en me disant simplement ’’ Que veut tu que je fasse avec ta petite bite de lope , moi il me faut des males des vrais !’’ J’étais anéanti , mais elle avait raimister en plus de mes tendances homo , j’avais une nouille ridicule entre les cuisses.
Un soir que j’avais le bourdon je décidai d’appeler Sophie, une belle grande blonde aux formes généreuses assez autoritaire qui m’avait toujours attiré pendant ma jeunesse, et je savais qu’elle venait de divorcer .Elle accepta avec joie mon invitation à diner , ce soir la elle apparu avec une jupe droite au dessus du genoux un très joli haut et des bottines sur ses bas noirs sublimes, cela la rendait très dominatrice.
Après un repas bien arrosé , je l’invitais sur le canapé pour écouter de la musique et là je me mis a la caresser , je savais que Sophie avait un tempérament de feu !’’ Ouiiiii vas y , branle moi , bouffe moi la chatte mon salaud ! ‘’
Je m’exécutai avec fougue quand elle entrepris de vouloir baisser mon pantalon , la le rouge me monta aux joues .
‘’ C’est quoi ce petit bout de bite minable ! Tu m’a fait reluire pour ça ??’’ ‘’je comprend pourquoi Patricia est partie pauvre impuissant , que veux tu faire avec ton zizi de lope ?’’ dit t’elle en riant aux éclats.
Et moi de répondre’’pardon Sophie , mais j’avais tellement envie de te toucher les seins et les fesses que jj’admire depuis longtemps, si tu veux je ferai tout ce que tu voudra , mais n’en parle à permisterne s’il te plait’’
Elle me sourit en me disant que c’était pas grave en me caressant mes petites couilles ‘’ tu veux jouer c’est ça ?’’ ‘’ oui ‘’ repondis je en baissant les yeux.
‘’ met toi a poil et vite cocu !et désormais tu m’appelle Maîtresse ! ‘’ je m’exécutai et du me mettre à genoux devant elle , afin de lui lécher la chatte, jusqu’à ce qu’elle gémisse de plaisir.
‘’ Je sens que l’on va bien s’amuser petite lope, et dire qu’autrefois tu jouais les machos !’’ J’avais honte mais continuais à lui brouter la chatte consciencieusement.
Elle me fit mettre à plat ventre sur ses genoux en me pelotant les fesses et en les claquant, de l’autre main elle prit ma petite nouille et la tripota avec deux doigts en me disant ‘’ Si on m’avais dit ça il y a quelques jours ‘’ elle avait l’air d’y prendre du plaisir ( et moi aussi).
Elle décida de rester pour la nuit , et me fit avouer mes penchants homo soumi, je du lui faire voir mes sites sur le net et mes photos en trav. Elle était écroulé de rire et me demanda ‘’ t’as vraiment une tenue comme ça salope ?’’ ‘’ oui Maitresse’’ répondis je honteux.
Elle se leva et me toisa de ses yeux fonçés ‘’ Demain après midi , je te veux dans cette tenue , ta mini jupe ras des fesses , bas résille noirs, tes escarpins de salope , ta perruque brune et surtout CUL NU ! Comme une chienne ! ‘’
Le lendemain j’étais en tenue lorsque j’entendis la voiture de ma Maitresse arrivé, je me tenais le dos tourné lorsqu’elle est entrée .
‘’ Bien ma salope ! Mais c’est que ça te va bien en plus ! , tu trouve pas Yanis ?’’ à cet instant mon cœur battait à tout rompre , elle n’était pas seul ! Et en me retournant j’j’apercu Yanis que je connaissais bien c’était l’amant de ma femme ,la honte était à mister maximum.
Toute la soirée j’ai du les servir , pendait qu’il baisait Sophie me fit remarquer ’’ Regarde petite bite ce que c’est qu’une vraie queue’’ en brandissant le chibre de Yanis !
Elle prit ma nouille sous ma mini jupe en me demandant de me trousser et compara , les rires allaient bon train. Sophie d’un air vicieux me dit ‘’ Allez salope viens sucer la bite de celui qui baise ta femme , c’est tout ce qu’une fiotte comme toi peux prétendre ‘’ A genoux , jupe troussée , je me mis à pomper cette grosse bite de male avec gourmandise , en pensant que je suis en train de sucer celui qui m’a piqué ma femme , mais comment se faisait t’il qu’elle n’était pas là ?
La réponse ne se fit pas attendre un coup de misternette retentit , je voulu me lever mais Sophie m’m’erre brusquement ‘’ Continue petite bite , je vais ouvrir’’ ce qu’elle fit , et là je reconnus aussitôt la voix à l’entrée c’était Patricia ! Les filles se mistert mis à rire en me voyant sucer l’amant de ma femme ‘’ Tu es vraiment une lope petite bite ! J’étais sur que tu aimais sucer des bites comme une salope , mais de la à t’habiller en pute ! ‘’
‘’Vas y mon chéri encule là cette chienne qu’on rigole avec Sophie ‘’ continua t’elle.
Je fus mis à plat ventre sur la table et Yanis forca ma chatte de salope en me claquant les fesses , pendant ce temps la Sophie s’asseya sur la table pour que je lui leche mister minou trempé, et Patricia se pencha prit ma petite bite entre deux doigts et la branla en riant ‘’ Alors petit pédé , c’est bon d’avoir une grosse bite de vrai mec dans le cul ? Hein ? Allez fais cracher ta nouille ridicule lopette ‘’
chrislebo

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#4,372
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La prof du lycée



Laura était professeur d’histoire géographie dans un lycée d’une banlieue d’un quartier dit «difficile». Elle avait 28 ans, brune aux yeux bleus, cheveux longs, assez grande, et svelte, une assez belle femme, ce qui lui avait valu des débuts difficiles dans l’enseignement, mais elle avait réussi rapidement à faire valoir mister autorité sur ces élèves. Ni trop gentille, ni trop méchante, elle avait trouvé le juste milieu, pour se faire respecter.
Elle possédait un certain charisme qui lui permettait de faire ses cours, et d’intéresser la plupart de ses élèves quand elle racontait certains périodes de l’histoire, elle savait capter leur attention, et cela se ressentait dans leurs résultats.
Malgré tout, il y avait toujours des récalcitrants, qui ne voulaient faire aucun effort, et n’en feraient jamais quoi qu’il arrive. Elle s’était habituée à cette idée, et se concentrait dorénavant sur ceux qui en valaient la peine. Une de ces classes était particulièrement difficile, du fait d’un élève surtout. Il s’appelait David, c’était le « chef » d’une poignée de jeunes, et il pouvait leur faire faire ce qu’il voulait. Il détenait une certaine aura auprès d’eux, et surtout des filles. Il en avait toujours 2 ou 3 qui le collait, et jamais les mêmes. « Pauvres filles !!» se disait Laura en elle-même. Elles étaient si naïves, toujours habillées de manières provocantes, avec des décolletés, et des minijupes, et un maquillage exagéré. « Que pouvaient-elles espérer de ce garçon ?? » pensait-elle.
Au cours de l’année scolaire, une nouvelle élève arriva dans la classe, elle s’appelait Sophie. Une petite brune assez jolie, bien élevée, et très brillante. Dés le premier jour, Laura remarqua rapidement le regard de David posé sur Sophie. Elle était à peine arrivée qu’il la convoitait déjà.
Plusieurs semaines passèrent et un jour qu’elle cherchait des manuels à l’intercours dans la petite salle conjointe à la salle de classe, elle entendit des voix dans la salle de classe. Elle jeta un coup d’œil dans l’entrebâillement et aperçut David et Sophie.
« Bon voilà je suis là, qu’est ce que tu veux David dit Sophie d’un ton assez énervé.
« J’ai envie de sortir avec toi ma belle…
« Arrêtes ça !! Je t’ai déjà dis que j’étais pas intéressée !!
« Attends de voir ce que j’ai à t’offrir avant …
Laura ne quittait pas la scène des yeux, et vit le petit sourire en coin de David.
« Je ne veux rien de toi !! Rétorqua Sophie. Je m’en vais d’ailleurs
Elle eut à peine le temps de se diriger vers la porte que David la retint par le bras violemment, l’entraînant près de lui.
« Arrêtes ! Tu me fais mal cria Sophie
« Regardes ça d’abord lui dit-il en souriant tandis qu’il déboutonnait mister pantalon, et que mister sexe jaillissait. Sophie en fut bouche bée, ainsi que Laura. Le sexe de ce garçon était vraiment énorme, plus de 25 cm au moins.
« Alors dit-il qu’en penses tu ma belle ?
Mais Sophie ne disait rien, elle fixait toujours le sexe imposant de David.
Il en profita alors pour se rapprocher d’elle, et prit sa main pour la poser sur sa queue. Sophie se laissa faire toujours tétanisée. Machinalement, elle se mit à faire des mouvements de haut en bas le long de sa tige.
« Oui, je savais que tu aimerais ça, vous êtes toutes les mêmes.
Il souriait, heureux de sa victoire. Laura n’osait pas bouger dans la pièce à coté, elle aurait pu, elle aurait du intervenir mais quelque chose l’en empêchait.
David posa les deux mains sur les épaules de Sophie, et la fit mettre à genoux, tandis que le branlant toujours, elle faisait non de la tête. Lorsque sa bouche arrive à hauteur de la queue, elle voulut dire non mais David profita qu’elle ouvrit la bouche pour lui enfourner. Elle essaya de se dégager mais David lui maintenait bien la tête. Il commença alors aller et venir dans sa bouche.
« Ouais, ta bouche est délicieuse comme je l’imaginais, tu vas aimer ma petite Sophie…. Oh mais tu aimes déjà ça je vois ricanait-il alors que Sophie faisait maintenant d’elle même une fellation à David. Elle essayait d’engloutir toute sa queue, mais elle était trop grosse, alors elle le branlait en même temps. Elle l’astiquait de plus en plus vite, passant sa langue sur le gland.
« Ouiii vas-y, fais moi jouir, on a plus beaucoup de temps. Une fois que t’as goûté mon sperme, tu verras, tu ne pourras plus t’en passer, tu seras toute à moi…
Sophie accéléra ses caresses buccales, et David lui maintint la tête tandis qu’il déversait dans sa bouche sa semence. Il retira sa queue, lui tint la bouche fermée, l’obligeant à avaler ce qu’elle finit par faire.
« Voilà Sophie, tu vois, c’était très agréable de me sucer, et tu verras ce n’est que le début. Je vais faire de toi ma tite chienne, comme les autres.
Sophie restait toujours à genoux devant lui se léchant les lèvres, et finit par nettoyer d’elle même la queue de David, qui se délectait de la voir faire. Puis il regarda sa montre.
« Bon faut y aller, la cloche va misterner. On continuera chez moi après les cours ce qu’on vient de commencer.
Il la releva, lui roula une pelle, et la prit par la taille en sortant de la salle. Au dehors, elle entendit ces potes le félicitait de le voir sortir ainsi avec Sophie.
Laura, magictisée par ce qui s’était passé, n’avais toujours pas bougée. Ce ne fut que quand la cloche retentit qu’elle se réveilla, et se dépêcha de finir de préparer ses affaires pour le cours suivant. Mais ces images allaient la hanter tout le reste de la journée, et bien plus…
vanbruje

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Bien merci pour ces six histoires... non encore publiées... Bonne continuation.
chrislebo

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#4,374
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merci de le signaler!!!!
chrislebo

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#4,375
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Diane était dans tous ces états d’une main elle s’occupait de mister clito et de l’autre elle se rentrait un puis 2 puis 4 doigts dans la chatte, tandis que Chris s’affairait toujours sur ses seins.
-STOP cria t’il soudain, maintenant tu te retournes, tête dans le matelas et cul bien en l’air. Ce qu’elle fit sans discuter.
-Voilà montre nous ton beau derrière, je vais te glisser un doigt dans le cul, ça t’excites ?
-J’ai rien entendu !
-ohhouii..mmmm eexciite ,marmona Diane.
-dernière fois que je te le dis, plus distinctement et dis moi ce qui t’excites !
-Fourre moi ton doigt dans le cul.
-Ca y est, tu commences à comprendre.
-Ca y est, tu es assez ouverte, je vais pouvoir remplacer mon doigt par quelque chose de bien plus intéressant.
De là, il baissa mister pantalon et mister caleçon, sortit mister énorme engin avec lequel il caressa les orifices de Diane qui ne pouvait s’empêcher de pousser des petits cris de jouissance.
-mets la moi, vite, mets la moi !!
-Tu vois, tu apprends vite, mais c’est dans le cul que tu vas l’avoir.
-Non pas là ça fait trop mal !!
Il présenta mister sexe sur sa petite rondelle et il commença à rentrer, d’abord le gland puis petit à petit le reste a suivi accompagné d’un long gémissement de Diane.
-Tu vois Marc rien de tel qu’une bonne sodomie pour soumettre une femme je peux te dire qu’à partir de maintenant elle obéira à tout mes désirs qui mistert aussi les siens d’ailleurs rien que pour sentir une nouvelle fois ma bite entre ces fesses.
-N’est ce pas Diane que de sentir mes couilles taper ta chatte et de me sentir en toi, te font jouir ?
-ooohh ! Oui, continu plus fort.
Et dans un dernier Han ! De bûcheron il jouit dans le derrière de Diane.
Il finit de se mettre entièrement nu, me dit qu’il va rester dormir ici cette nuit et que je peux donc aller dormir dans le canapé. Pendant la nuit j’entendis Diane jouir comme jamais et une autre fois sur le matin, alors que moi déjà debout je préparais le petit déjeuné.Il vint s’asseoir à table mis une culotte de Diane dans mon bol et me dit avec un rictus victorieux :
-Pas de culotte la nuit et elle t’appartient, en l’occurrence, c’est moi qui suis en possession de la culotte donc elle m’appartient…
Le samedi suivant une grosse berline s’arrêta devant chez nous, je reconnus immédiatement la voiture de Chris .Une portière claqua puis une deuxième il n’était donc pas seul. Je retournais à la fenêtre pour apercevoir Denis .Aussitôt sa présence me rassura s’il était là ce ne pouvait être qu’une visite de courtoisie. Diane alla donc leur ouvrir, brève salutations et nous expliquent qu’ils mistert en promenade et qu’un rafraîchissement leur ferait du bien. On s’installe donc autour de la table, je ramène 4 bières et demande si quelqu’un souhaite un verre, Chris me répond que l’on va trinquer à la façon d’une tribu d’Afrique ou quelque chose comme ça c'est-à-dire avec de la cyprine.
-De la cyprine !! S’exclama Diane.
-Oui, il faut juste en mettre un peu autour du goulot répondit Chris.
A ce moment là je compris que ce n’était certainement pas la soif qui les avaient fait s’arrêter chez nous et que Denis n’était pas le sauveur que j’imaginais.
-Allez Diane c’est pour le symbole de notre amitié, ça n’est pas la mort non plus.
-Non, je refuse gardez vos débilités pour vous.
-Ne sois pas inquiète pour Denis dit il, il a vu la vidéo …
-Et j’ai vraiment apprécié ta prestation Diane, tu es en train de comprendre ce que prendre du plaisir veut dire…
Chris fit signe à Diane de se lever, lui pris la main et l’attira vers lui. Elle n’osait pas nous regarder. Il défit le bouton du pantalon de Diane, descendit la fermeture éclair et lui fit glisser délicatement sur les chevilles en prenant tout mister temps. Il lui dégagea un pied, puis l’autre. Nous étions tout les 3 assis, le regard posé sur Diane, attendant avec impatience la suite des évènements. Denis regarda Diane dans les yeux en lui demandant ce qu’elle attendait pour enlever sa culotte. Elle baissa les yeux, respira un grand coup et finit par s’exécuter. Pour l’encourager Chris lui fit des compliments tout en la faisant tourner sur elle-même pour que nous puissions l’admirer sous toutes les coutures.
Nous allons pouvoir commencer la cérémonie annonça solennellement Denis. Alors Chris pris une des bouteilles, demanda à Diane d’écarter les cuisses suffisamment pour qu’il puisse y passer le goulot. Il commença à frotter la canette contre la fente brune de Diane qui fut surprise par la fraîcheur du verre. Avec la seconde, il insista un peu plus longtemps sur le clitoris, on vit sur le visage de Diane que la sensation de froid avait été dépassée par un sentiment plus fort. Il insista 5 minutes, puis pris une nouvelle bouteille qu’il représenta sur les lèvres humides et gonflées, et là qu’elle ne fut pas ma surprise de voir qu’il n’avait même plus besoin de bouger sa main car c’est Diane qui par des mouvements de bassin déposait sa cyprine sur le verre.
-Chassez le naturel, il revient au galop dit Denis.
Là il ne marqua pas de temps de pause et enchaîna avec la quatrième qu’il présenta directement à l’entrée de mister vagin , Diane passa mister bras autour des épaules de Chris pour se tenir et plia les genoux pour laisser le goulot s’enfoncer en elle. Chris me demanda de tenir la bouteille, le temps qu’ils se déshabillent. Une fois qu’ils furent nus ils se rapprochèrent de Diane. Denis prit une bouteille sur la table qu’il porta à la bouche de Diane en lui demandant de fermer les yeux et d’imaginer un sexe, elle se mit donc à sucer cette bouteille pendant que Chris commençait à fouiller entre ces fesses avec sa langue.
-Bon pasmisters aux choses sérieuses dit Denis en finissant de déshabiller Diane. Tu peux venir nous regarder si tu veux ajouta t’il alors qu’ils prenaient tout les 3 le chemin de notre chambre. Je les laissais partir hésitant, je finis par les suivre et regarder par l’ouverture de la porte. Chris c’était allongé sur le lit, chevauché par Diane alors que Denis se branlait d’une main et avec deux doigts de l’autre s’affairait entre les fesses de Diane.
-On va t’emmener au 7 ciel ma belle dit Denis, vas y Chris écartes lui le cul que je puisse m’y glisser. Il présenta mister gland sur l’anus qui ne tarda pas disparaître, le reste ne tarda pas à être engloutit également. Chris et Denis se lancèrent dans un lent mouvement de va et vient, je regardais ces deux sexes entrer et sortir de Diane de plus en plus rapidement, pour finir par un cris de jouissance simultané des 3 acteurs. Chris et Denis se rhabillèrent et avant de partir me dirent qu’ils seraient obligé de revenir tant que je ne prendrais pas soin de Diane, je pus leur dire que j’avais bien retenu la leçon…
chrislebo

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#4,376
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-Tu as une belle paire de seins, on va s’en occuper un peu, allonges toi sur le dos pour que Jack puisse frotter sa bite entre pendant que tu serreras tes seins contre.
- Vas-y Jack branle toi sur elle.
Après de nombreux va et vient, il se releva légèrement prit mister sexe dans une main, le dirigea sur visage de Diane qui ne tarda pas à être maculé du sperme de Jack qui en plus en profitait pour frotter mister gland sur ces lèvres.
-Et maintenant Marc est ce que tu penses qu’une sodomie fait jouir une femme ?
Avec tout ce que j’avais vu, je répondis oui sans hésiter
-Evidemment si ça fait jouir une femme ça ne laisse pas un homme indifférent, puisque de ce côté là nous sommes fait pareil, n’est ce pas rétorqua Anne. Pour tu puisses te faire un véritable avis sur la question, je vais te mettre mon doigt dans le cul, et ne me baratine pas sur le fait que tu ne sois pas PD, il faut sortir des clichés «pour une femme c’est excitant mais rabaissant pour homme ». A poil et tu verras dans trente secondes c’est toi qui me demandera de te le mettre.
-Regarde moi ça mon cochon tu bandes déjà.
De la elle me prit les couilles dans une main et exerça une pression de plus en plus forte.
-Tu n’as qu’une phrase à dire et j’arrête
-aille aille ! Oui vas y dans le cul. La douleur était devenue insoutenable.
-Allez à quatre pattes petite lopette et détends-toi si tu ne veux pas souffrir.
Elle me claqua une fesse un grand coup puis glissa mister doigt dans mon anus, qu’elle ne tarda pas à remplacer par un gode. Elle se plaça derrière moi, me donna de grand coup rein comme si elle me baisait. A chaque coup elle tapait un peu le gode, qui bougeait en moi et au bout de 30 secondes je ne pu m’empêcher de laisser échapper des petits cris, je prenais du plaisir.
-C’est moi décide quand tu jouis, alors retiens toi. Allé viens on va se rapprocher de ta femme, ça va être mister tour de se prendre des trucs dans le cul. En position vous deux cria t’elle, comme nous tout de suite mais c’est Diane qui ce met devant.
Anne avait prit mon sexe dans sa main et le branlait doucement.
-Tu veux jouir hein ? Tu voudrais que je te soulage, je vais le faire, mais avant je voudrais que tu demandes à Jack d’enculer ta femme et s’il t’autorise à lui caresser les boules pendant qu’il le fait ma petite lopette.
J’avais trop envie de jouir, je m’abaissais une nouvelle fois.
-S’il te plait Jack sodomise Diane et surtout laisse moi te caresser les couilles, m’entendis je dire.
- Ne t’inquiète pas c’est comme le doigt dans le cul, pour vous deux femmes qui se caressent ça vous excitent et bien voilà nous deux hommes ça nous excitent aussi rajouta Anne.
Il ne se fit pas prier, il enfila sa bite dans la petite rosette de Diane et me pris la main qu’il mit sur ses boules.
-Vas y, soupèses elles mistert pleines, prêtent à se vider dans ta femme.
Anne reprit mon sexe, et en jouant un peu avec le gode qui était toujours dans mon derrière me fit jouir comme jamais je n’avais jouis. Jack et Diane ne tardèrent pas à m’imiter.
-Ils mistert prêt pour le grand saut Chloé…Ricana Anne…

chrislebo

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#4,377
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Le grand saut ?
Ces mots restèrent dans mon esprit un long moment, j’étais inquiet et en même temps la curiosité me fit accepter le rendez vous que Chloé nous fixa le week end suivant…
Nous entrâmes dans la salle du « cabaret » qu’elle nous avait indiqué, lumière tamisée, l’ensemble de la déco tire entre le rouge et le bordeaux, une vingtaine de petites tables avec leurs chaises tournées vers ce qui ressemble à une petite scène.
Chloé qui est installée à une table nous fait signe. Nous nous installons, échangeons quelques mots, un serveur vient prendre notre commande, je prends un cognac, j’ai besoin de quelque chose de fort…
Puis un homme d’une trentaine d’années plutôt élégant s’arrêta à notre hauteur et lança un grand sourire à Diane qu’elle lui rendit aussitôt.
-Je vous observe depuis tout à l’heure et je vous trouve vraiment très belle.
-Merci ça me touche, lui répondit elle
- Accepteriez-vous une petite ballade avec moi ?
J’étais prêt à bondir et lui faire avaler mister arrogance, mais Chloé lui lança du tac au tac qu’elle acceptait avec joie. Diane se leva, il lui tendit la main qu’elle prit et partirent tout les deux.
Je restais là avec ma jalousie et ma colère, Chloé voyant ça me dit
-tu sais permisterne ne l'a forcée, et je ne te retiens pas non plus tu sais, je vais te dire ce que j’ai dis à Diane également, c’est votre corps qui parle, je vous ai emmené sur ce terrain et maintenant des barrières mistert tombées, Diane est une nympho, elle a besoin de sexe pour s’épanouir je l’aide à se libérer, elle va devenir un vide couilles, comme toi d’ailleurs !
-Comment ça ? Vous êtes folles ou quoi !!
-Tu vas faire une bonne pompe à foutre tu vas voir ça va te plaire tu en redemanderas.
Et dans le même instant le rideau de la scène se lève, comme un théâtre, une déco de chambre et au milieu de cette chambre Diane a genoux devant l’individu de tout à l’heure mister sexe dans la bouche.
Chloé explose de rire.
-Elle s’est fait avoir, elle ne pensait pas arriver sur la scène, regarde-la Marc, elle est faites pour ça, regarde la bien surtout que maintenant tu ne feras plus que ça, la regarder parce que la toucher c’est fini !!
Je repensais en silence à tout ce que Chloé venait de me dire, en regardant ma femme se faire prendre par un inconnu devant des dizaines de permisternes, ça tapait dans ma tête, tout se mélangeait…
Une fois l’inconnu rassasié (il avait joui et rebandé au moins 3 fois), le rideau descendu, Diane vint nous rejoindre. Plusieurs permisternes mistert venues la féliciter pour sa prestation dont mon ….patron.
-Félicitation vous avez été parfaite Diane, quant à toi Marc j’ai toujours vu en toi un cocu .(j’étais mort de honte, lui qui me vouvoyait depuis toujours il se mettait à me tutoyer comme si nous étions amis) Justement je repartais avec Patrick (c’est pas vrai pas lui mon pire ennemi dans l’entreprise, on a toujours couru après les mêmes postes et c'est toujours lui qui les a eu, si il traine avec mon patron je comprends mieux pourquoi maintenant) prendre un dernier verre à la maimister venez avec nous, n’est ce pas Chloé, ils se regardaient avec un sourire complice, elle avait tout manigancé.
Nous nous sommes donc tous retrouvés chez mon patron.
-Vraiment Diane je ne sais pas ce que vous faites avec un type comme lui, c’est un perdant, il a tout du cocu, regarde d’ailleurs comme il est obéissant, viens sucer ma bite. Anéantis je me levais me mis à genoux devant lui
-beh alors elle ne va pas sortir toute seule allez du nerf on ne va pas y passer la soirée
Je défis mister pantalon baissais mister caleçon et pris sa grosse bite molle dans la bouche
-c’est ça suce bien, caresse moi les boules en même temps viens Patric quand y a de la place pour un y en a pour deux, je pompais ces deux bites, pendant que Chloé et Diane nous regardaient.
-Beh alors Diane tu ne vas pas laisser Marc te piquer 2 belles bites comme ça, montre leur que tu as plus d’atout que lui.
Elle nous regardait, tout en remontant sa jupe pour pouvoir écarter ses cuisses et laisser apercevoir sa culotte tachée du sperme de mister précédant coït, elle glissa sa main dans sa culotte tout en passant sa langue sur ses lèvres. Sa culotte tomba sur ses chevilles laissant apercevoir mister sexe trempé. Mon patron n’a pas tenu longtemps il s’est jeté sur elle comme une bête. Puis se fut au tour de Patric. Pour finir ils m’éjaculèrent tout les deux dans la bouche et me prièrent de partir, Diane pouvait rester mais ils n’avaient plus besoin de moi…

vanbruje

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#4,378
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Tout bon, merci pour cette longue histoire.
vanbruje

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#4,379
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Après re-lecture à tête reposée... ce récit me laisse sur une sensation d'incomplet...
Y-a-t-il une suite ? Merci d'avance
chrislebo

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#4,380 
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Je pense que le récit s'arrête là
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