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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#7,591
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Je m'exécutais, et ouvris la porte de mon immeuble avec peine tellement je tremblais. Lui ne prit même pas la peine de refermer *** pantalon et, une fois dans l'ascenseur, m'ordonna de le branler jusqu'au 3eme étage. Une fois arrivés devant ma porte, je pris mes clefs et il me laissa à peine le temps de les tourner dans la serrure et de rentrer, il m'agrippa soudain par les cheveux, me tira vers le bas sur le sol du couloir de mon appartement, referma d'un coup de pied la porte d'entrée et m'obligea a avaler de nouveau *** imposant membre.
-Allez, avale moi tout ça, finalement j'ai envie de t'en mettre partout sur ta gueule de pouffiasse, pompe moi bien, lèche mes couilles aussi!
Il me parlait vraiment comme si j'étais une merde, j'en avais les larme aux yeux, mais je n'avais pas envie que ca s'arrête alors je faisais de mon mieux pour le satisfaire, essayant de ne pas vomir lorsqu'il s'enfonçait trop loin dans ma gorge. Parce que c'est-ce qu'il faisait, il me baisait littéralement la bouche en me tenant fermement la tête pour que je ne puisse pas atténuer ses coups de reins. Au bout de quelques minutes il se figea au fond de ma gorge et étouffa un long râle.
-AAHHhhhh ouaiiis! Putain je te gicle sur la glotte! Avale tout! Je veux pas que tu recraches!! Ohhh c'est bonn!!!
J'étais rouge écarlate car sa queue m'empêchait de respirer, j' étais obligée de tout avaler, et quand il daigna enfin se retirer, je mis plusieurs minutes à récupérer une respiration normale
-T'es une bonne soumise ma petite Ana, tu seras récompenser dans quelques minutes le temps que je me remettes! Et il alla dans la cuisine se servir un verre de whisky.

Après m'être remise, j'entrais dans le salon où Martin s'était installé, le verre à la main.
-T'inquiète pas, je vais vite rebander si tu m'aides un peu, et je vais te faire ta fête, je vais te prendre la chatte comme ça ne t'es jamais arrivé. Et je vais t'enculer !
M'enculer? Mais je n'avais jamais fait ça, et je n'en avais pas du tout envie, surtout avec un engin comme le sien. Il dut capter dans mes yeux une lueur de terreur car il se mit à rire.
-Ah ah ah, tu as bien entendu, je vais t'éclater le fion. Ce soir Ana, t'es ma pute, et une pute, ca ne refuse rien si ça veut être bien payé à la fin!
Il m'attira vers lui et m'assis sur ses genoux en m'embrassant. J'étais emplie de doute et de peur, qu'avais-je fait de faire entrer un inconnu chez moi, un homme qui, de par sa carrure imposante, pourra faire ce qu'il veut de moi par la *****? Et si je lui demandais de partir maintenant? Après tout il ne va tout de même pas me violer! Si? Oh lala et sa bite, mais elle est trop grosse, même pour mon vagin, je vais avoir mal pendant des jours! Il faut que je lui dise de partir!
Mais il ne me laissa pas le temps de dire quoique ce soir, il m'allongea sur le canapé, et commença à m'ôter mon leggins, avec une étrange douceur, comme s'il avait entendu mes pensées. Il m'enleva également ma tunique et je me retrouvais en sous vêtement devant cet homme noir qui me regardait avec désir.
-Écoute, cette expérience, tu ne la regretteras pas, je te promets, lâche toi, laisse moi faire. Dit-il avec assurance.
Et il plongea sur ma poitrine dont il dégagea les tétons du soutien gorge pour les embrasser, puis les lécher, les téter, les mordiller. Il m'avait convaincu! C'était si bon, je fris***nais. Il descendit ensuite sur mon ventre, toujours avec sa langue et ses lèvres, pour ensuite arriver sur mon intimité, il fit glisser mon boxer le long de mes jambes et commença à me lécher avec adresse.
-C'est bien, t'es épilée entièrement, j'adore ça!
Il savait y faire, il ne fallut pas longtemps pour que je gémisse de plaisir. Il jouait avec mon petit bouton d'amour et je perdais la tête, c'était si bon! Je mouillais comme une folle, et lorsqu'il introduisit 2 doigts d'un coup dans grotte, un petit cri s'échappa de moi. Pendant qu'il me masturbait, il en profita pour passer sa langue plus bas, entre mes fesses, sur mon petit trou, ce qui eu pour effet de me filer la chair de poule comme jamais. Il s'y attarda un moment tout en remuant ses doigts dans mon vagin. Puis il posa *** pouce contre mon anus et poussa légèrement, je me contractais.
-Laisse toi aller, tu vas voir, tu vas adorer.
Et il enfonça *** pouce... ce n'était pas désagréable en fait, il changea ensuite de doigt et mis *** majeur, plus profondément, et ensuite *** index. Il me branlait la chatte d'une main, et me sodomisait de l'autre, et moi je soufflais de plaisir.
-Ok, ca suffit, il est temps que je te baise maintenant ma salope à moi!
Et là, plus de douceur, plus de tendresse, il me fit me lever avec rudesse, me retourna sur le canapé, la poitrine contre le dossier, m'écarta les cuisses et d'un coup, sans préambule, m'empala la chatte sur *** mastodonte!
-Aaaahhhh arghhh mais tu es fou, tu me fait mal!!! Hurlais-je les larmes aux yeux
-Ferme ta gueule sale putain, je t'ai dit que j'allais te baiser comme jamais, je tiens ma promesse. T'es une chienne! Alors je te monte! Je t'éclate la moule!!
Il sorti *** énorme queue pour la rentrer plus fort encore, recommença, encore et encore. Je criais ma souffrance mais après quelques minutes je commençais à ressentir des ondes de plaisirs m'envahir. Il me défonçais et me tirant les cheveux et moi j'en redemandais.
-T'aime ça, dis le que t'aime ça!
-Oui ouiii c'est bon, j'adore ta queue au fond de ma chatte, défonce moi!
Il me tirait les cheveux et me claquait les fesses. Il me poussa de nouveau sur le canapé, me retourna, passa mes jambes sur ses épaules et s'enfonça de nouveau en moi, plus profondément encore. J'avais l'impression d'être transpercé de part et d'autre de mon corps. Il se pencha et mordit un de mes seins, ce qui me fit hurler de douleur.
-Mais putain ta gueule je t'ai dit!
Et il claqua ce même sein avec sa main, je pu retenir mon cri cette fois ci.

chrislebo

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#7,592
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Après quelques minutes de ce traitement, il se retira, en nage, la bite toujours fièrement dressée et m'ordonna de me lever du canapé.
-Maintenant, trainée, tu vas te mettre à quatre-pattes par terre illico.
J'obéis sans broncher, après tout je prenais un pied d'enfer avec ce mec!
Une fois à quatre-pattes à même le sol, il me donna l'ordre de me cambrer au maximum.
-Comme une chienne qui donne *** cul au berger allemand du voisin, dépêche!
Il se pencha, mis sa main entre mes cuisses, récolta de la mouille sur ma chatte et l'étala entre mes fesses. Je savais ce qui allait se passer, la peur me saisit à nouveau, surtout en jetant un œil sur *** sexe, qui semblait encore plus gonflé qu'avant. Il s'agenouilla derrière moi, cracha sur mon anus, introduisit une nouvelle fois *** majeur puis *** index, fit quelques va et viens qui ne me firent pas mal une seconde.
-Tu vois, tu t'habitues, je savais qu'étais une belle salope, mais de là à accepter une première sodomie sans broncher, ça sa me tue!
Et là, il ôta ses doigts et posa *** gland sur mon œillet. Il poussa et la douleur m'envahit, les larmes coulèrent d'un coup.
-Ooohhh aïe aïe arrête Martin arrête, tu me fais mal!
-Tu rigoles ou quoi? Je vais te casser le cul! Prends ça
Et d'un coup il enfonça sa bite jusqu'à la garde dans mon fondement
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH AHHHHH Putain!!!! Ahhhh t'es taré, ah putain, ca fait trop mal!
Il n'en avait rien a faire de mes cris, de mes supplications pour qu'il arrête tout, il fit coulisser sa queue jusqu'à la sortie et la renfonça d'un coup, m'arrachant un hoquet de douleur, et il recommença encore. La douleur était immense et je me mis à me débattre. Il claqua mes fesses, m'attrapa un bras et le tordit dans mon dos pour que je cesse de gigoter. Cette posture m'obligeait à me cambrer encore plus.
-Arrête de te débattre, sinon je tu vas te péter le bras toute seule!
Je me calmais pour ne pas aggraver les choses. Il me ramonait le cul avec énergie. Je sentais toujours une grosse douleur mais bizarrement je commençait également à aimer cette douleur justement, elle était mêlée à autre chose, et même si chaque coup de butoir me faisait hoqueter, entre mes cuisses ma chatte recommençait à couler. Quelle salope j'étais!
-T'aime que je te dilate le cul, hein ma grosse salope! Je sens bien que tu mouilles! Vas-y, crie bien fort, j'adore ça, ça m'excite!
-Oh putain tu m'éclates le cul avec ta grosse queue, t'arrête pas putain oh oui!
-T'es qu'une truie qui aime se faire péter le cul, t'es bonne qu'à te faire défoncer, salooppe
Il ne me ramonait plus maintenant, il me pistonnait carrément, comme un fou, il s'était relevé sur ses jambes, avait lâché mon bras pour attraper mes cheveux et les tirait en m'insultant, à bout de souffle.
-J't'encuuuule! Je te casse le cul!!!! Puuuuute!
Et m'assena le coup de grâce en ce plantant au plus profond de mon anus et en expulsant de longues giclées de foutre avec des soubresauts. Je tombais à la renverse et lui sur moi, chuchotant des mots sans queue ni tête et en inspirant et expirant très fort
-salope... prise... truie... encore.... Pute.... Salope.... Salope... foutre... chienne...
Puis, il se releva, alla se rafraichir dans la salle de bain pendant que je m'assis, non sans douleur sur le canapé. Il revint, récupéra ses affaires, s'habilla sous mon regard interrogateur, je pensais qu'il resterait dormir au moins. Il pris quelque chose dans sa poche, une petite liasse de billet qu'il me jeta à la figure
-T'es une bonne pute, je reviendrais te voir pour te mettre ton compte
Et il disparu, claquant la porte sans un baiser, me laissant seule, humiliée mais heureuse.
chrislebo

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#7,593
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Incapable de la satisfaire



J'ai laissé tomber ma femme pour Bénédicte, une femme plus jeune. Une femme très marrante, d'un physique un peu atypique, très mince et fine, peu de fesses et peu de seins, mais avec un je ne sais quoi qui me rendait fou. Elle venait de quitter *** mari. Elle avait reçu une éducation très catho, et n'était pas du tout du genre à provoquer les hommes. A 38 ans, je n'étais que le deuxième homme de sa vie.
Au début, tout se passa bien. Elle appréciait, je crois, les attentions que je lui témoignais. Tout cela était nouveau pour elle. Même physiquement, malgré la différence d'âge (j'ai 50 ans) et mon manque de sportivité, je trouvais cela très bien.
Très rapidement cependant, il est apparu qu'elle s'énervait souvent sur moi. Nos disputes étaient très fréquentes, et pour tout dire, incompréhensibles pour moi. Nous nous réconcilions toujours et elle disait m'aimer, mais le lendemain, c'était reparti, elle claquait la porte de mon appart et rentrait chez elle. J'étais prêt à n'importe quoi pour la garder, mais je n'identifiais pas ce qui n'allait pas. Je finis par me rendre compte qu'elle attendait autre chose, sexuellement. Elle m'avoua qu'elle éprouvait du plaisir, mais pas à la hauteur de ce qu'elle recherchait. Elle s'était toujours cachée à elle-même (à cause de *** éducation catho), ce besoin de sexe qu'elle éprouvait. Elle me disait que cela ne pourrait pas continuer, plus j'allais vieillir, plus le problème allait être aigu, d'autre part, elle n'avait pas envie de me quitter, mais elle pensait que cela se produirait immanquablement un jour.
J'étais désespéré, et ne savais que faire. Au bout d'une de nos nombreuses ruptures, qui avait duré plus longtemps que d'habitude, je finis par lui proposer honteusement de voir un autre homme. Elle me répondit avec sévérité que cela, elle ne l'accepterait jamais, et qu'elle me quitterait le jour où elle se donnait à un autre. Une autre dispute éclata, et elle finit par ne plus me voir. Je traînais souvent dans *** quartier et je remarquais très vite qu'une voiture noire était garée devant chez elle. Je vis un jour sortir un grand type, de *** âge environ, crâne rasé et mâchoire carrée. C'était donc *** nouvel amant.
En lui téléphonant, elle m'avoua que c'était un ancien collègue, qui lui tournait déjà autour quand elle était mariée. Je lui demandais comment ça se passait avec lui, et elle me dit avec cruauté que le sexe était extra, et qu'il la faisait jouir comme elle n'avait jamais connu cela. Cependant, elle m'avoua qu'elle regrettait ma gentillesse, ma conversation plus intellectuelle, et un certain train de vie que je lui procurais.
Cela me trotta dans la tête pendant quelques jours et je finis par revenir à la charge avec mon offre. Bénédicte mis du temps à accepter, mais finalement, un beau jour elle débarqua à l'appart avec deux valises et s'installa comme si de rien n'était. Nous connûmes de bons moments ensemble pendant près d'une semaine. Le week-end, elle s'éclipsait le samedi soir et ne revint que le dimanche en fin de matinée, toute langoureuse. Elle ne m'empêcha pas de lui faire l'amour. Le week-end suivant, cela recommença, et ainsi de suite toutes les semaines, où elle s'éclipsait une ou deux nuits ou soirées. Je ne pouvais m'empêcher d'être excité en la voyant se préparer pour ses rencontres avec Laurent, maquillage, bas noirs avec porte-jarretelles, nuisettes de soie noire. Elle m'avait garanti que Laurent ne sortait qu'avec elle et qu'ils avaient fait un dépistage sida.


Une nuit, alors qu'elle était rentrée vers trois heures du matin, elle vint se coucher sans se déshabiller entièrement ni se doucher. Elle était donc allongée à côté de moi portant l'odeur de l'homme qui venait de la prendre, et dans la tenue sexy qu'elle avait revêtue pour lui, pas pour moi.
Je sentais l'excitation monter et moi et je commençai à la caresser. Elle répondait mollement à mes caresses et me dit qu'elle était fatiguée, et que de toutes façons, je ne pourrais pas la faire jouir comme Laurent l'avait fait. *** mépris m'excitait encore plus, et, comme dans un rêve, je me sentis descendre le long de *** corps et je commençai à lui lécher le sexe. Elle avait dû se laver en quittant Laurent, mais il me semblait tout de même, en la léchant avec application, que je récoltait un peu de la semence de *** amant. Elle avait gémi pendant mes caresse, et lorsque je terminais mon travail, je l'entendis dire dans un couinement « et en plus , il aime ça, le cocu ».
J'avais mis le doigt (si l'on peut dire) dans un engrenage fatal.
chrislebo

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#7,594
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e lendemain, j'entendis Bénédicte dire par GSM à *** amant, "que j'avais mangé les restes", et ils semblaient en rire beaucoup. Quelques jours se passèrent encore. Tout allait bien entre nous, mais je sentais que Bénédicte était de plus en plus hautaine avec moi. Elle ne se gênait pas pour téléphoner à Laurent devant moi, avec des allusions à peine voilées. Lorsque vint le week-end suivant, elle m'appela dans la chambre, où se trouvait un grand miroir, ainsi que la garde-robe, et me demanda de l'aider à choisir une tenue pour le voir. Le cœur palpitant, je choisis pour elle une guêpière noire à laquelle elle pouvait fixer des bas noirs. Elle prit des bas avec un dessin un peu lourd et vulgaire, me disant avec un clin d'œil « si c'est pour faire la pute, autant ne pas le faire à moité ». Je connut ***************, mais aussi le plaisir sulfureux, de me mettre à genoux devant elle pour l'aider à fixer ses bas, à enfiler sa petite culotte en dentelle noire sans l'accrocher à ses talons aiguilles. Me dominant de la hauteur de ses escarpins, elle était superbe. Et je me l'imaginais avec envie dans les bras de *** amant.

Quand elle rentra aux petites heures, elle avait manifestement bu, et rit beaucoup en me voyant tout contrit, l'attendant en pyjama rayé. Elle me fit baisser mon pantalon « pour voir dans quel état j'étais » et rigola franchement en voyant mon pénis redressé . « On est loin de ce que je viens de m'enfiler » me dit-elle, « mais on voit que tu t'appliques. Sois heureux, je t'ai ramené de bon restes, encore tout frais ». Elle se coucha sur la table du salon et releva sa jupe. Elle n'avais pas remis sa culotte. « Vient ici, mon gros cocu », dit-elle. Et je m'agenouillai devant la table et enfuit mon visage entre ses cuisses maigres et musclées. Tout de suite, je sentis le goût âcre du sperme de *** amant. Je n'éprouvais aucun dégoût, juste l'envie d'en profiter pleinement. Pendant que je la léchais, elle m'expliqua qu'il avait joui trois fois en elle, et qu'ils avaient décidé de me faire tout nettoyer, puisque j'aimais ça. Elle me dit « tu pourrais dire merci », et éclata de rire. Puis, l'idée lui venant tout à coup, elle prit *** GSM et composa un numéro, elle dit « je te passe mon cocu, il veut te dire merci ». Je pris le téléphone en tremblant et j'entendis une voix très virile et très méprisante me dire « alors lopette, qu'est ce qu'on dit, maintenant que je t'ai baisé ta femme ? ». « Merci ». « Merci qui ? Merci pourquoi ? » « Merci Monsieur, d'avoir bien baisé ma femme ». Il partit d'un grand rire « eh bien, on va bien s'entendre alors ! ».

Je repris ensuite mon nettoyage minutieux de la vulve de Bénédicte pendant qu'elle reparlait avec *** mâle de leurs étreintes de la soirée. A ma grande surprise (et délectation) j'entendais mon ex-petite catho utiliser des expressions comme « tu as bien baisé ta salope - j'ai adoré ta grosse bite bien dure qui me pénétrait – tu es mon mâle – vivement que tu me reprennes par derrière comme une chienne, etc. ».

Lorsqu'elle eut raccroché et soupiré un peu plus bruyamment sous mes coups de langue, elle me dit « et maintenant, ta petite récompense ». Je croyais qu'elle allait me permettre de la pénétrer, mais il n'en fut rien. Elle se mit debout sur la table, et m'ordonner de poser mon sexe sur le rebord. Ensuite, elle posait le bout de *** escarpin dessus, en maintenant une pression suffisante pour le coincer. « branle-toi avec ma semelle » me dit-elle. Honteux et confus, j'obéis. Sa semelle m'écrasait un peu, mais je tâchais de faire aller mes fesses en avant et en arrière, jusqu'à ce que je jouisse. Elle rit encore, puis alla se coucher.

chrislebo

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#7,595
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des samedis inoubliables



Maintenant mon chef de services me regarde d'un autre oeuil. Paul lui a montré les photos et même un film avait été tourné a mon insu. Je passe pour une vrai salope. Quand je le suce ou qu'il me sodomise dans les archives, il ne prend plus de gants, il y va sauvagement. Les fellations se font de plus en plus profondes et quand j'ai des hauts de coeur il continue sans remords. Parfois je reste tard avec lui. Il me regarde me goder en se masturbant. J'aime qu'on me regarde cela m'excite. Je m'assied par terre entièrement nu les jambes en l'air bien écartées. J'introduis le gode lubrifié bien au fond de mon anatomie et je l'active en le regardant dans les yeux. Je me caresse les tétons et passe la main sur la cage posée pour m'empêcher de me masturber. Je prend mon plaisir autrement en excitant mon chef. Ca le rend fou et il se venge en me baisant par la bouche. La dernière fois nous avons failli nous faire surprendre par la femme de ménage. Elle avait entendu du bruit et venait voir ce qu'il se passait. Heureusement mon chef était habillé. Il est sorti du bureau pour dire qu'il faisait des heures supplémentaires.

Paul est revenu me chercher un samedi. Comme d'habitude j'ai fais le voyage nu dans le coffre. Entre temps il avait fait quelques travaux dans *** garage. Maintenant il pouvait m'attacher les bras en l'air et les pieds au sol. Au centre du garage là ou je me tenais je pouvais voir une allée allant de la nationale a la villa. Je voyais passer des voitures, si des gens se promènent a pied et tournent la tête, ils me verraient. Heureusement nous sommes dans un lieu isolé.
Il a commencé par écrire sur le torse ma condition, c'est à dire qu'étant un batard ceux qui verront les photos le savent. Donc des inscriptions sur tout le corps. Devant comme dernière en m'expliquant qu'il utilisait un feutre indélébile. Puis posa des pinces sur les seins puis enleva la cage sur mon sexe pour m'attacher les couilles avec un lien qu'il serra trés fort. La dessus il accrocha une autre ficelle avec des poids a *** extrémité. Ils pendaient entre mes jambes sans toucher le sol en me tirant les couilles. Il me baillonna. Nous étions que lui et moi. Il enleva sa ceinture et commença a frapper sur les fesses, mais aussi sur mon sexe. En remuant, les poids se balançaient accentuant la souffrance. Je gueulais mais le baillon laissa passer que des gémissements. En frappant, Paul récitait toutes les insultes possibles a chaque coup, une nouvelle insulte:

_"Salope, bâtard, chienne, pompe a foutre, buveur de foutre, pétasse, conasse, pédé, suceur de bites, etc, etc..."

Parfois il s'arrêtait pour venir me cracher au visage et prendre des photos et me demander si j'en voulais encore. Je secouais la tête pour dire non, mais il continuait. Les fesses me faisaient souffrir et le reste du corps aussi. Il arrêta enfin, enleva le baillon. Je le remercie:

_"Merci monsieur."

_"Dorénavant tu m'appelleras "Maitre". Tu seras mon esclave, je serais ton Maitre. Tu feras ce que je te demande. Si tu refuses je t'attacherais comme maintenant et je frapperais beaucoup plus fort. T'as compris?"

_"Oui Maitre."


Il m'enlève les pinces, les poids et me détache pour prendre la position du chien. C'est à dire a 4 pattes. Il caresse mes fesses meurtries en me flattant de ma docilité;

_"T'es un bon chien, pour te récompenser je vais te dilater le cul. Je vais commencer avec un gode puis je vais t'enfoncer la main entière. Je vais t'exploser le cul. Ok chien?"

_"Oui Maitre. Merci Maitre"

Il introduit un gode de bonne taille bien lubrifié et commença les vas et viens. C'était trés agréable. Beaucoup mieux que les coups de ceintures.Il me caressait la tête comme on caresse un chien. Il t'enduisis la main d'un puissant gel et me doigta en les enfonçant il tournait la main pour une meilleure pénétration et me demandait combien de doigts il rentrait.

_ "4 je crois Maitre."

_" Bien, bon chien qui sait compter. Maintenant j'entre le pouce."

chrislebo

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#7,596
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Sa main rencontre des difficultés. Il me tient par l'épaule et insiste. Je gueule. J'ai vraiment l'impréssion qu'il me déchire l'anus.

_"Ta gueule pétasse, j'y suis presque. Serre les dents et ouvre ton cul de salope. Laisse moi entrer en toi chien-chien."

Je creuse les reins pour l'aider. En poussant fort il y parvient. J'ai sa main entière dans mon cul. Il ne bouge plus, moi non plus.

_"Tu vois? C'était pas plus difficile que ça. T'es vraiment une pétasse. Maintenant je vais te ramoner comme une poufiasse. Je veux t'entendre couiner comme une femelle en chaleur. La prochaine fois tu te feras fister par mes copains. Il te prendrons devant moi et je te pisserais dans la bouche. Tu avaleras sans perdre une goutte car tu es une vraie chienne. Un bon batard obéissant. N'est ce pas?"

Je prenais du plaisir à me faire insulter avec sa main enfouie, j'étais vraiment une sacrée salope. Il le voyait et accélérait le mouvement.Je ralais de plaisir. Je ne puis m'empêcher de dire:

_"Merci Maitre. Merci Maitre de faire de moi une chienne. Je ferais tout ce que voudrez. Je suis une chienne haaaaaaaa, ho oui c'est bon."

_"Aboie chienne. Tu aimes ça on dirait"

J'aboyais comme je pouvais. Je ne savais pas qu'on pouvait prendre autant de plaisir en se faisant humilier de la sorte. Je ne pensais a rien, je n'étais que jouissance pure. J'avais les avants bras par terre le front sur le sol la croupe bien en l'air. Il me soulevait du sol avec la seule ***** de *** bras en continuant de limer. J'étais en nage, je transpirais de bonheur, a deux doigts de jouir. Il arrêta et retira sa main.

_"Léches mes chaussures femelle."

Je lui léche les pieds pendant qu'il s'éssuit les mains. Il me choppe par les cheveux.

_" Viens par ici petite fiote, je vais pisser dans ta gueule de salope."

Il m'entraine sans ménagements dans le jardin et m'éxplique comment prendre la position de l'urinoir. A genoux, assis sur les talons, les mains dans le dos, la tête légèrement penchée en arrière, et la bouche grande ouverte. Je m'exécute et il m'innonde.

_"Avale pétasse, t'es qu'un conard de gosse. Si tes parents te voyais ils te déshériteraient. T'es qu'une merde con comme un balai avec un trou du cul plus gros que ton cerveau."

Puis il se masturba dans le même orifice.

_"Samedi prochain je te réserve une surprise on verra jusqu'ou tu iras. Maintenant il est l'heure de te ramener. J'ai fini avec toi pour aujourd'hui."

chrislebo

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#7,597
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L'amant de ma mère


A l'âge de 20 ans je n'avais pas encore une sexualité bien affirmée. Mon allure androgyne, les cheveux longs, un corps svelte et imberbe, créait la confusion chez les autres ainsi que pour ma libido ! Avec mon corps svelte et un joli cul pommelé et cambré, j'étais conscient de plaire à certains hommes d'âge mûr. Je devais avouer avoir également une certaine attirance pour des per***nes du même sexe. Un beau paquet et une longue bite qui déformait un jeans avaient le don de me faire saliver.
Le plus souvent en rentrant du lycée, étant seul à l'appartement pendant plusieurs heures j'avais pris l'habitude de me travestir avec les dessous en dentelle de ma génitrice. Le fait de me contempler ainsi parée devant le miroir m'émoustillait au plus haut point. Je pris assez rapidement conscience de la féminité qui émanait de mon corps et je me mis à porter des porte-jarretelles, des bas et des petites culottes sous mes habits de garçon pour aller au Lycée. Même une fois l'heure d'aller se coucher venue, je chipais dans le bac à linge sale, une petite culotte portée par ma mère pendant la journée. Je me branlais dedans tout en m'endormant avant de sombrer dans les bras de Morphée toujours ceint par ce bout de tissu maculé de ma semence.
Je vivais alors avec une mère divorcée mais qui était encore très belle pour *** âge et surtout active sexuellement. Elle avait en conséquence, un amant qui était aussi notre voisin de palier. Cette relation était avant tout, pour elle, hygiénique, afin d'assouvir sa libido encore débordante. Une nuit que ma mère dormait avec *** amant dans sa chambre, une envie pressente me fit me lever au milieu de la nuit pour me rendre à la salle de bains commune pour faire pipi. Fidèle à mes habitudes, je portais un Dim up et une petite culotte en dentelle noire dont le gousset était encore blanc du mélange de la cyprine et de mon sperme sec. ***** de l'habitude j'avais négligé de fermer la porte à clef. Soudain, alors que j'étais en train d'uriner, assis sur la cuvette comme le ferait une fille, l'amant de ma mère poussa soudain la porte à moitié endormi et seulement vêtu de *** caleçon. Conscient de mon accoutrement et ainsi impudiquement exposé à ses yeux, sans échappatoire, j'étais tétanisé incapable de réagir. Il fut le premier à avoir une réaction après deux secondes d'hésitation, Il bredouilla des excuses et sortit précipitamment non sans avoir posé *** regard sur la culotte roulée sur mes chevilles ainsi que sur les bas. Je sentis une certaine nausée monter en moi, un mélange de honte et de désespoir à l'idée de le recroiser le lendemain.
Pendant plusieurs jours j'évitais soigneusement de croiser le regard de cet homme lorsqu'il était à la mai***. Un matin, alors que je le croyais parti plus tôt dans la matinée en compagnie de ma mère, je me rendais dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner en ce jour de vacance. A ma grande surprise, il était là, seul, attablé, en train de boire tranquillement *** café. Bien que cette fois je sois vêtu d'un tee-shirt et d'un caleçon, je ne pus m'empêcher de rougir. Ce fut lui qui brisa en premier la glace. "Tu sais que cela te va très bien les culottes de filles, ainsi que les bas d'ailleurs" me dit-il sur un ton enjoué avec un sourire en coin. Mon visage s'empourpra de plus belle et j'étais incapable d'articuler la moindre syllabe. Il sentit mon malaise et me dit: "Ne sois pas gêné, c'est naturel, tous les garçons de ton âge ont fait ça un jour pendant leur adolescence, même moi tu sais". Il avait l'air tellement compatissant. Je ne savais trop que penser de cela, cependant sa remarque me redonna confiance. C'était un bel homme, la cinquantaine, grand, relativement svelte mais avec des muscles noueux saillant à travers ses vêtements. Il avait les tempes gri***nantes, l'œil gris clair et vif. Pour la première fois j'éprouvais une certaine attirance pour cet homme, je ne le considérais plus comme l'amant anonyme de ma mère mais comme un amant potentiel. Comme s'il avait deviné ma pensée il me dit: "tu n es pas en fille ce matin? » Avec un nouvel aplomb je lui répondis que je ne faisais pas ça tous les jours et lui répliquais pourquoi vous aimeriez me revoir habillé en fille ? Et pourquoi pas ! Cette réponse de sa part provoqua chez moi un déclic. Je lui dis attendez moi ici je reviens. Je me dirigeais alors dans la chambre de ma mère pour enfiler des bas noirs, un porte-jarretelles et un string assortis ainsi que des petites mules à talons légèrement trop petites pour moi. Je revins dans la cuisine, ainsi accoutré, avec une démarche mal assurée, juché sur ces petits talons. A mon entrée dans la pièce, je sentis aussitôt que le souffle de cet homme, qui était l'amant de ma mère, était plus court et qu'il me dévorait des yeux. Je vis dans ses yeux brillants qu'il éprouvait du désir pour moi. Tout d'un coup fier de mon corps, je restais immobile et muet devant le plan de travail, sans oser me retourner, attendant sa réaction. Il s'enhardit après m'avoir complimenté sur ma beauté et sur le choix de mes dessous, il me fit alors cette proposition étonnante: "Ecoutes, je comprends que ce ne soit pas très facile pour toi de t exhiber ainsi chez ta mère mais si tu veux tu peux le faire tant que tu veux chez moi, en plus au lieu de le faire seul tu auras un public et crois moi je suis un sacré connaisseur en la matière. Il ajouta qu'il m'achèterait tous les dessous que je voudrais. Je parvins à articuler un "d'accord" à peine convaincu et je compris qu'à compter de ce jour là commençait pour moi, une aventure dont je ne maitrisais plus le déroulement.
chrislebo

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#7,598
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Le lundi suivant comme convenu je me rends chez mon voisin de connivence. Je terminais mes cours à 15h. J'avais 3 bonnes heures devant moi avant que ma mère ne rentre du boulot en plus je n'avais que le palier à traverser pour rentrer chez moi.

Je ***ne alors à sa porte un peu fébrile, ce jour là je portais un string noir avec *** porte jarretelles assortis ainsi que de beaux bas nylons à couture, le tout emprunté à ma mère à *** insu bien sûr. Le tout était soigneusement camouflé sous un jeans et des chaussettes.

J'entends du bruit derrière la porte puis soudain elle s'ouvre sur mon futur nouvel amant du moins l'espérais-je du fond de mon cœur.

En effet depuis notre petite conversation, je n'avais cessé d'épier cet homme magnifique qui faisait tellement jouir ma mère il me suffisait d'entendre leurs ébats nocturnes, il faut dire que ma mère est du genre jouisseuse qui se lâche niveau décibels !

« Bonjour Paul »

« Bonjour....

Au fait nous n'en n'avons pas parlé quel prénom de fille souhaiterais-tu porter ? »

Je me sentis d'un coup tellement embarrassé et décontenancé, je n'y avais pas ***gé.

« Que dirais tu de Sarah ? » me demanda-t-il.

« Oui c'est joli » lui répondis-je.

« Tu comprends Sarah fut mon premier amour de jeunesse et tu lui ressembles tellement ! »

Il me fit entrer.

D'un pas hésitant je pénétrais dans *** appartement. Il était meublé avec goût et me paraissais très classe loin de notre appartement dépouillé. En effet ma mère se saignait aux quatre veines pour payer mes études et nous n'avions pas beaucoup d'argent à la mai***.

Paul sent mon trouble et me propose un « ***** » pour me décontracter. J'accepte *** offre et me love dans *** confortable canapé en cuir fauve en attendant *** verre.

2 minutes plus tard, il me tend alors un cocktail de sa fabrication, en tant qu'ancien barman de boîte de nuit, il faut dire qu'il en connait un rayon.

« Alors ma belle as-tu mis de beaux atours pour moi aujourd'hui ? » me demanda-t-il.

Sans même répondre je me lève et commence à descendre mon jean lentement pour qu'il puisse bien apprécier mon mini striptease rien que pour lui.

Petit à petit je dévoile mon porte-jarretelles puis mon string et enfin mes bas gainant mes longues jambes, en effet je fais un bon mètre quatre vingts, ce qui a tendance à pas mal exciter les hommes.

Paul reste sans voix.

J'enlève maintenant mon T-shirt, dévoilant à mon hôte un torse totalement glabre, j'ai en effet de la chance à 20 ans je n'ai aucun poil sur cette partie de mon corps.

Paul retrouvant d'un coup sa voix me dit...

« Tu es vraiment très belle Sarah, nous allons faire de grandes choses ensemble tu verras. »

chrislebo

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#7,599
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Paul me tend alors un paquet cadeau.

Je l'ouvre rapidement tellement excitée à l'idée de voir ce que contient cette boite. Je me sens tellement nerveuse.

« Oh ! » ma bouche s'arrondie de surprise, je découvre une magnifique guêpière.

« S'il te plais Sarah pourrais tu la passer pour moi ? »

« Oh Paul il ne fallait pas elle est superbe »

« Ne t'ais je pas dit que j'allais bien m'occuper de toi ? Je vais te constituer ta propre garde robe tu n'auras plus à prendre les dessous de ta mère. »

« Viens suis moi dans la chambre... »

Sans même réfléchir j'emboîte les pas de mon «amant », maintenant c'est sur, je désire trop goûter à sa queue.

« Sarah si tu le souhaites tu peux aller te préparer dans la salle de bain attenante à la chambre. »

Pendant que je m'exécute dans la salle de bain, j'entends Paul qui se déshabille dans la chambre. L'excitation est à *** comble et a pris le pas sur ma nervosité.

Je me presse donc d'ajuster la guêpière noire assortie à ma lingerie. Cela m'affine délicieusement la taille. Sur la tablette du lavabo bien en évidence je vois un tube de rouge à lèvres et un crayon eyeliner.

Paul étant divorcé depuis bientôt 5 ans je supposes qu'il les a laissé là à mon attention, sans trop réfléchir, je commence à m'appliquer le rouge sur mes petites lèvres. C'est un rouge sang très violent qui me fait une bouche goulue.

Maintenant l'eyeliner. C'est plus difficile à mettre il faut bien passer le crayon à la base des cils, je me concentre alors bien à l'aide du miroir.

Voilà c'est bien, la vision dans le miroir me trouble, ainsi maquillée et parée de cette guêpière, je ressemble tellement à une femme, les seins en moins. Voir ainsi mon reflet dans le miroir me fait immédiatement bander. Cela à pour effet de déformer mon string. Heureusement pour moi j'ai un très petit sexe ce qui fait que même en bandant mon petit clito ne dépasse même pas de *** écrin de dentelle.

En arrivant à la porte de la chambre je vois Paul entièrement nu étendu sur *** lit. Mon dieu quelle bite ! Elle est énorme ! tout d'un coups la peur me saisie. Jamais je n'arriverais à enfourner ce pieu de chair en moi.

Paul conscient de mon trouble me dit alors.

«N'ais aucune crainte ma chérie tu vas voir je vais bien te préparer tu n'auras pas mal. J'ai du gel anal parfumé et chauffant tu verras c'est très agréable. »

Je me rapproche lentement du lit, visiblement ma tenue fait *** effet car Paul bande comme un taureau, je me sens à la fois inquiète et terriblement fière de susciter une telle excitation chez un homme. Pour moi c'est une première.

« Sarah as-tu déjà sniffé du poppers ? »

« Non c'est quoi ? » lui demandais je.

« Tiens, ouvre ce flacon et renifles profondément à chacune de tes narines, tu verras tu te sentiras plus relax et tes muscles vont se relâcher, y compris ton sphincter. »

Je le regarde alors étonnée.

« Mon sphincter ? »

« Oui ton trou du cul va être plus souple et tu accepteras plus facilement mon gourdin chérie. »

Sans trop réfléchir j'inhale profondément par mon nez les effluves de ce petit flacon. La tête me tourne un peu mais au bout de quelques secondes je me sens plus détendue.

« Pas***s aux choses sérieuses ma chérie, SUCE MOI ! ».
chrislebo

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#7,600
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D'une main je lui saisis la bite et de l'autre je lui caresse le torse, tout en passant ma langue sur ses couilles bien pleines et poilues puis je remonte doucement le long de sa verge. Une fois arrivée au niveau de *** gland, Paul appuie sur ma tête pour me faire comprendre qu'il voulait que je le prenne tout en bouche. Je commence alors un va et vient un peu maladroit du à mon inexpérience mais je sent le corps de Paul qui réagit, il se tend et laisse échapper des grognements de plaisir. *** excitation est de plus en plus grande, il glisse vers le bord du lit. Soudain il relève ses jambes toujours écartées, j'en profite pour mieux lécher et malaxer ses couilles, ainsi accessibles. Mon amant est maintenant sur le dos, les jambes en l'air et bien écartées. Nous sommes l'un et l'autre dans un état second. J'abandonne alors sa bite et je me concentre à lécher uniquement ses bourses. Ma langue se rapproche de plus en plus de la raie de ses fesses. Cela semble lui plaire car il soulève légèrement *** cul et écarte ses fesses avec ses mains m'indiquant ainsi le chemin à suivre. Ma langue se promène de ses couilles à *** anus, je m'attarde sur *** petit trou. Paul m'encourage à continuer, c'est tellement bon ! Tout en continuant à travailler *** trou du cul avec mon index, je reprends ma pipe de plus belle. Au bout de longues minutes de travail acharné sur *** membre, en titillant en particulier *** méat avec la pointe de ma langue, je sentis tout d'un coups *** sperme jaillir. Je fus au début surprise mais j'appréciais vite le goût de ce liquide blanchâtre visqueux et épais.

« Tu es vraiment douée pour tailler des pipes ma chérie ! »

J'étais fier d'entendre Paul me complimenter, mais je me sentais un peu frustrée de n'avoir pas jouie.

C'est alors que l'amant de ma mère et désormais également le mien pris un bas nylon et enfila sa main à l'intérieur. Ensuite il entrepris de me branler ainsi en prenant bien soin de décalotter mon gland et de faire coulisser le bas sur la peau délicate de mon sexe. Ce dernier ne devait pas faire plus de neuf centimètres en érection mais cette sensation tellement soyeuse et agréable me fit un effet immédiat. En 30 secondes j'eus l'orgasme de ma vie, d'ailleurs le sperme coulait à flot de mon sexe et maculait le bas.

Je compris ce jour là que j'étais éjaculateur précoce !

Paul heureux de *** fait me dit :

« Sarah, dorénavant tu ne jouiras que par ce moyen là ou par ton anus ! Je ne veux plus que tu te branles. C'est bien compris ? »

Un peu surprise par cet élan d'autorité, je me rebellais quelque peu.

« Non mais ça va pas ? Je fais ce que je veux de ma vie et ce n'est pas toi qui vas me dire ce que j'ai à faire. »

« Vraiment ? » me répondit il, avec un petit sourire en coin.

« Regardes petite sotte, tu vois sur mon bureau, la webcam de mon ordinateur ? Hé bien tout à été enregistré, il y a même quelques voyeurs de ma liste sur MSN qui ont du profiter du spectacle. »

Tout d'un coups je me sentis désemparée, mon cœur battait la chamade, je sentis mon visage s'empourprer. Un sentiment de honte terrible me submergea.

« Petite conne tu croyais peut être que tu allais te taper le mec de ta mère comme ça et aurevoir ? »

« Idiote ! Maintenant tu seras mon petit vide couille per***nel, tu seras à ma disposition. Mon « fucktoy » comme disent les anglo-saxons. »

Je restais prostrée sans voix.

« Si jamais tu refuses, cet enregistrement ira directement dans les boîtes mail de tes amis de la fac, ainsi bien sur qu'au travail de ta mère chérie, qui verra qu'elle a engendré non pas un mâle mais une lope femillisée. »

Je ne savais plus ou me mettre, j'avais débandé depuis longtemps, mon petit sexe pendouillait entre mes jambes. Je sentis les larmes affluer aux coins de mes yeux. Je chialais comme une gonzesse ! Merde Paul à rai*** je suis une vraie fillette.

« As-tu bien compris Sarah ? À partir de maintenant tu es à mon entière disposition »

Je bredouillais un oui quasi inaudible.

« Très bien, commençons maintenant alors ta mère ne rentre que dans une heure j'ai largement le temps de goûter à ton cul de pucelle... »

chrislebo

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#7,601
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Le lendemain, je rentrais de la fac vers 16h. J'avais passé une très mauvaise nuit, en repensant à mon *********** et au moyen de pression dont disposait maintenant mon voisin. J'avais pleuré une bonne partie de la nuit. Je haïssais Paul, mais que pouvais je faire ?

Il m'avait donné RDV en bas de notre immeuble, de plus il m'avait dit de m'habiller normalement cette fois pas de dessous féminins sous mes habits de garçon. Je devais juste porter un plug tout au fonds de mon cul afin de « le dilater convenablement » selon ses propres dires. Encore une *********** pour moi qui ais du me rendre dans le seul sexe-shop de la ville afin d'acquérir l'objet. Je me sentais si mal à croiser le regard libidineux du vendeur derrière sa caisse, avec la peur au ventre de croiser une connaissance dans ce lieu de débauche. Je choisie rapidement un plug pas trop gros et je m'empressais de payer pour rentrer rapidement à l'appartement. Une fois arrivée, je dus bien lubrifier l'engin avec de l'huile d'olive, n'ayant rien d'autre sous la main, et ainsi j'ai pus me l'introduire sans trop de difficultés.

Cette sensation plutôt désagréable au début, finie par devenir supportable. Je m'avouais même que cela devenait agréable en marchant dans la rue de sentir ce mini sexe au contact de mon intimité.

16h10, il est tant pour moi de retrouver mon maître chanteur au local à poubelles.

« Bonjour Sarah ! »

Paul me fit sursauter.

« Mes respects maître. », j'avais compris que je devais appeler ainsi mon nouveau maître faute de quoi mes fesses me cuiraient sous les coups de sa cravache.

« Viens salope suis moi... »

Nous nous dirigeâmes vers les caves de la résidence, après un long dédale de couloirs mal éclairés, la faute à des ampoules cassées, nous arrivâmes enfin devant une porte. Sûrement la cave de Paul.

Il déverrouilla la porte et me fit entrer.

Je le sentis me suivre et refermer la porte derrière nous, il faisait noir je ne distinguais rien, puis enfin la lumière jaillie.

Stupéfaction ! La pièce était remplie d'objets de *******, une croix de Saint André un cheval d'arçon munis de chaînes aux 4 angles...

Je sentis mes jambes flageoler elle ne me portaient plus, un petit cri m'échappa.

« N'est pas peur petite chienne tu vas voir on va bien s'amuser tous les deux. »

Il me releva et me fis mettre à poil.

Heureux de voir que je portais mon plug il me félicita, tout en me flattant les fesses de sa main.

« Bien maintenant mets ça ! »

Mon affreux voisin me tendit une guêpière à balconnet, ainsi que de faux seins à placer sur mon torse, pour le bas il m'avait réservé une culotte PVC ouverte à l'entrejambe pour laisser libre l'accès à mon intimité, ajouté à cela des bas autofixants en latex également. Sans oublier une paire d'escarpins aux talons hauts perchés, de pointure 40, mais comment connaissait il ma pointure ?

Je me dépêchais d'enfiler tout ça. Je devais bien admettre que la sensation de cette matière sur mon corps eut un effet immédiat sur mon petit sexe qui commençait à bander.

A la vue de la bosse dans la culotte, Paul me dit :

« Eh bien ma petite chienne il semblerait que tu commences à prendre goûts à nos petits jeux ! »

« Tu vas voir tu vas adorer la suite, ajuste cette perruque sur ta tête ».

Il me tendit un très mignon carré brune du type de celui d'Uma Thurman dans pulp fiction, sauf que là j'étais plutôt fagotée comme l'esclave latex aux prises avec le flic ripoux dans une cave un peu plus loin dans le film.

Là mon maître me fit prendre position sur le cheval d'arçon, me fixa les membres aux liens, je me trouvais ainsi entravée à la merci de tout et de tous !

C'est le moment que choisi Paul pour sortir un caméscope et *** pied.

Il commença à me filmer sous toutes les coutures et s'attardant sur mon visage très reconnaissable malgré la perruque. Je me sentais tellement à sa merci mon image livrée au public quelle *********** !

« Au fait » me dit il.

« Hier j'ai bluffé je n'avais pas branché la Webcam, par contre maintenant on va faire un beau porno avec toi comme actrice principale à toi la gloire à moi l'argent pauvre petite conne naïve ! »

Le sang avait quitté mon visage j'étais livide. Cette fois j'étais perdue, pour sûr mon visage allait se retrouver sur les écrans de nombreux pervers à travers le pays et même dans le monde maintenant avec Internet !

Et les réjouissances allaient commencer.

Paul dégrafa *** pantalon et me présenta sa bite.

« A toi de jouer Sarah suce moi du mieux possible, tout le monde te regardes »
chrislebo

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#7,602
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Je m'appliquais du mieux que je pouvais pour arriver à faire jouir mon tortionnaire. Plus vite il aura joui plus vite je serais libérée de ces liens.

Du moins c'est ce que je croyais.

Je m'appliquais à bien faire le tour du gland avec ma langue agile tout en m'attardant sur le méat, zone érogène par excellence de l'homme.

« Lèches moi les couilles pétasse ! » Me lâcha t'il.

Je m'exécutais sans rechigner, je pouvais même dire que bien qu'étant dans la position d'un viol, je commençais à prendre goût à mon travail de suceuse.

Tiens au fonds de moi je m'exprime au féminin, comme c'est étrange !

« Mais dis-moi petite chienne il semblerait que tu aimes de plus en plus me sucer, tu bandes salope ! »

Je sentis mes joues rougir comment cacher mon excitation elle était évidente aux yeux de Paul.

« Ne t'inquiètes pas ma Sarah tu vas voir, on va bien s'occuper de toi. »

Nous mais de quoi parle t'il ?

Je n'eus pas le temps de trop cogiter car je recevais de longs jets de foutre au fonds de ma gorge. Paul m'appuya sur la tête pour m'obliger à tout avaler.

Je n'eus d'autres choix que de déglutir la semence de mon amant dirigiste.

Je fis une petite grimace qui ne manqua pas d'échapper à Paul.

« N'ais crainte, tu verras tu finiras par aimer le sperme à ***** d'en boire, crois moi c'est comme ta sale pute de mère elle en redemande à chaque fois. Telle mère telle fifille non ? » Paul partit à rire à gorge déployée.

« Paul pourrais-tu me libérer maintenant ? »

« Comment ? »

« Pardon maître, pourriez vous avoir l'obligeance de me libérer s'il vous plait ?

« Pourquoi cela, la soirée ne fait que commencer ma chérie en plus un bon porno dure minimum 1h15 nous n'en sommes qu'aux préliminaires. »

Mal à l'aise sur mes talons hauts je commençais à avoir des crampes dans les jambes.

« Maître s'il vous plait ! »

Sans me répondre Paul, ouvrit la fermeture éclair de mon slip latex et saisis une verge en bois. Sans crier gare, il me fouetta avec ***** sur les fesses et sur mes petites couilles !

Je criais comme une folle !

« Tu peux toujours gueuler tant que tu voudras ici per***ne ne t'entendra »

Je subis ces outrages pendant près de 5 minutes, mes fesses devaient avoir virées au rouge violet, quelle horreur !

Tout d'un coup, j'entendis frapper à la porte de la cave. Je ne pouvais rien voir car j'étais dos à la porte. J'entendis des pas se rapprochant.

« Regardes Sarah, j'amène du renfort. »

Je découvris alors Mamadou et Abdel, deux jeunes racailles du HLM.

Mon dieu quelle horreur, Mamadou est le beau-frère de mon autre voisine de pallier. Je sentis mon cœur cogner fort dans ma poitrine. Ma vie s'écroulait tout à coups.

Mamadou fut le premier à réagir :

« Eh! Bien qui l'eu cru ? Ce petit gars bien discret et toujours bien poli est une belle salope on dirait. Hummm j'ai envi de ton boule de lopsa »

« OK les gars elle est à vous, la caméra tourne faites-vous plaisir et n'oubliez pas que le titre du film c'est La tournante de Sarah dans les caves de la cité.

Mon calvaire ne faisait que débuter.

Le premier à se mettre en action fut Abdel qui en bon queutard avait déjà sorti sa bite de *** survêtement pour me la placer direct dans la bouche, en n'oubliant pas de me traiter comme la dernière des putes de la « casba » en des termes très orduriers.

« Putain, tu avais rai*** Paul elle est bonne suceuse cette pétasse, tu nous as dégoté un sacré sac à foutre, on va bien la remplir cette chérie ! »

Pendant ce temps mamadou ne perdais pas le sien et me doigtait le cul, avec violence, un doigt puis deux, pour finir avec quatre doigts dans l'anus, je me félicitais d'avoir portée mon plug, pendant plusieurs heures, malgré ça la douleur était importante.

Du coin de l'œil je voyais Paul qui utilisait au mieux la caméra pour choisir les angles de prises de vues les plus avilissantes et « pornos » possible.

Je perdais la notion du temps et je n'entendais plus mes assaillants parler, j'étais dans un état second à la merci de ces trois hommes, incapable de réagir, je me laissais violer telle une simple poupée de chiffon, je devrais plutôt dire telle une poupée gonflable. Je n'étais d'ailleurs rien d'autre pour mes voisins de HLM en cet instant !

Mais d'un coup une douleur violente me fit réagir, j'étouffais un cri, du fait que la bite d'Abdel me remplissait la bouche, je faillis tomber dans les pommes.

Je compris que Mamadou venait de me pénétrer l'anus d'un coup jusqu'à la garde, j'avais l'impression que me sphincter se déchirait sous les coups de butoir de mon baiseur, je pouvais sentir ses grosses couilles battre mon cul en cadence !

« Encore meilleur que ta pute de mère ! Il faut dire que toi tu es étroite du cul tu n'as pas déjà été ramonée par tout l'étage, comme la salope qui te sert de mère »

Je n'en revenais pas de cette révélation, bluffait-il ? Ma mère avait-elle vraiment couchée avec tous les mecs de notre étage ? J'étais en état de choc.

C'est ainsi totalement résigné et incapable de réagir que je reçus le sperme d'Abdel au fonds la gorge de longs « jets » de sperme, qui débordait de la bouche tellement il éjaculait abondamment.

Quelques minutes plus tard ce fut le tour de Mamadou qui grogna de bonheur tout en me remplissant le cul de sa semence. Je ne mis pas longtemps à sentir un mélange de sperme mêlé à du sang qui coulait sur mes couilles et le long de mes jambes.

« Regardez les gars, elle a ses règles cette pouffiasse » Fit Paul en rigolant.

« C'est dans la boite mais pour bien faire, il me faudrait une autre séquence pour compléter cette cassette, dis moi Abdel c'est pas ton frère qui élève des pitbull ? »

« Oui c'est vrai, il doit d'ailleurs passer avec le mâle dominant de la meute qu'il ne peut pas garder dans *** chenil, il attaque tous les autres. Je dois m'en occuper en attendant le prochain combat de chiens qui aura lieu le mois prochain. »

C'est alors avec une peur viscérale que je vis l'œil de Paul s'éclairer d'une lueur démoniaque et lubrique à la fois.
chrislebo

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#7,603
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Les mamans de l'école primaire



Comment expliquer mon attirance pour les femmes mariées, et en particulier mon désire pour les mères de famille : peux on y voire une forme d oedipe, une névrose, une perversion innée ?

Rien ne vaux le récit de mes aventure libidineuse pour mieux vous faire comprendre la nature de ma perversion, a commencer par ce que je suis en train de faire actuellement : et oui ! je vous le donne en mille je baise une maman, et pas n importe laquelle d'ailleurs, puisque il s agit de la femme de mon petit frère : a quatre pattes sur le lit conjugale comme je le lui ai ordonnée, sa jupe troussée, ainsi que *** string en dentelle mauve baissée a mi jambe, je la besogne fermement par derrière, faisant grincer le sommier, claquant mon ventre ferme et musclé contre ces fesse potelée :


- alors Marie, tu aime toujours autant te faire monter par ton beaux frère ?


Elle ne peux que répondre par un vague grognement toutes a *** plaisir adultère :


- pas la peine de repondre ma salope, tu mouille comme une vraie fontaine, mes couille en ***t toutes poisseuses, tient prend ça dans ton cul ma cochonne !


et de lui mettre un bon coup de rein qui la fait râler plus fort, et frémir de tous *** corps. Pour faire bonne mesure je lui gifle *** gros joufflu lui faisant pousser un petit cri de douleurs surprise :


- mais c est qu on a pris du poids depuis l accouchement ma grosse !!!


Elle n est pas spécialement belle, avec un corps sans relief quoi que doté d un cul un peux plus rebondi que la moyenne. Ce qui m avais surtout excité chez elle, outre le fait qu elle soit la femme de mon frère, c est *** coté pincée et rai***nable issue de *** éducation : de confession chrétienne, elle considérais le mariage comme un engagement sacrée, qu on devais chérir pour la vie, croyant au vertus de la fidélité et autre faribole.... bref je m étais fait un plaisir de la séduire dans le dos de mon frère, réveillant ses pulsion de femme réprimée par les cours de catéchisme de *** enfance, elle c étais alors montrée veule et soumise.
chrislebo

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#7,604
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Je me souvient parfaitement de sa première infidélité : cela c étais passé dans *** appartement, alors que j avais envoyer *** mari faire une course inutile au supermarché du coin. Je l' avais coincé par derrière contre la table du salon, lui troussant sa robe d une main et serrant méchamment sa gorge de l autre, la forçant a courber ses reins et baisser elle même sa culotte avant de l enfiler.

Je lui avais fait dire sous la contrainte de ma main serrant sa gorge que désormais elle serait ma salope a moi, avant d être une épouse pour *** mari. Elle c étais soumise avec une langeur et un plaisir qu elle avait réprimée en se mordant les lèvres, pour étouffer les cris de jouissance qui montait en elle, et aujourd hui :


-allez remue moi un peux tous ça, bouge ton gros derrière que je sente bien mon pieux te ramoner, petite salope....


Et oui, je fait d elle ce que je veux bien quelle soit la femme de mon frère, elle m obéit au doigt et a l oeil soumise a mon bon plaisir, contrairement a *** mari : selon mes directives, elle n a plus de relation sexuelle avec lui, je lui permet seulement de le masturber lorsqu ils ***t au lit, mais *** cul *** sexe et sa bouche me ***t réservé.

Lorsqu je m invite chez eux alors que mon frère est au travail, elle doit me recevoir comme *** véritable maris, et m embrasser comme une femme aimante, bien quelle me craigne et me déteste, tous en me désirant. Elle a adoptée une attitude de plus en plus hautaine avec *** maris, reportant sur lui *** *********** de soumise.


Entre moi et mon petit frère Daniel, il en a toujours été ainsi : une rivalité dont je suis toujours sortis vainqueurs, et ce depuis le tous débuts. Enfant j avais déjà la préférence de ma mère, *** 1er enfant sur qui elle avais concentrée toutes *** affection, considérant mon frère venus au monde 3 années plus tard comme une erreurs.

J étais le plus beau beau, le plus vigoureux, le plus volontaire, la préférence que me donna ma mère creusa encore l écart entre lui et moi ; il devins de plus en plus renfermé, alors que moi je m épanouissait, conscient de ma supériorité.

Plus tard, que se soit au collège ou au lycée, j étais non seulement bien meilleurs éleve que lui, mais j avais aussi beaucoup plus de réussite que lui avec les filles.

Quant par chance, il arrivais a nouer une idylle romantique avec une de ces amies, je n avais aucun mal a la séduire pour la lui fauchée sous le nez, et ensuite lui raconter avec délectation et ***** détaille toutes les cochonnerie que j avais pue faire avec sa tendre amie, a telle point qu il n osa plus me présentée ces connaissances féminine de peurs que je les lui fauche.

Ainsi pour l anniversaire de ces 17 ans, il avais invité sa petite amies du moment, une charmante rouquine trop belle pour lui qu il connaissait depuis l enfance : je m étais alors permis de la dépuceler dans sa propre chambre pour le remettre a sa place. Quant il nous découvrit en pleine action, alors que je baisait sa copine en levrette, *** aire surpris et effondré déclencha instantanément mon éjaculation dans le sexe de sa petite amie qu il considérais alors comme sa futur épouse.

chrislebo

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#7,605
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Finalement il rencontra une femme qui consente a l épouser, ayant bien pris soin de la choisirez dans un milieux qui m étais étranger - elle faisait partie de la même association caritative que lui - afin d être sure que je ne la lui faucherait pas.

Après 1ans d un heureux mariage, j avais fait de sa femme mon jouet sexuelle, usant et abusant d elle dès que j en avais l occasion.

Arriva alors se qui devais arriver : elle tomba en ceinte de moi, ce n étais d ailleurs pas vraiment un hasards, car j avais calculer mon coup pour être sure de lui faire un enfant, allant j jusqu a remplacer dans *** dos ces pilules contraceptive par des placebo.

Désormais, un de mes grand plaisir est de l asticoter sur cette preuve vivante de *** infidélité, tous en la baisant chez elle :


- alors, espèce d ignoble salope, comment se porte le môme ? l enfant qu on a fait sur le dos de ton maris ! j espère que vous vous montrez digne de *** éducation, après tous il vient de mes couilles, tu devrais me remercier salope : grâce a moi tu a un belle enfant fort et vigoureux, alors que mon frère t aurait sûrement fait un beaux gâchis, a l image de sa vie de se loser!

Tous en ponctuant mes phrase de coup de bite, je gifle *** cul en cadence,


- alors tu n a rien a dire salope d infidèle ?


Toutes a *** plaisir, elle hurle sa jouissance alors que ma 1ère décharge de sperme vient taper contre sa matrice : l' évocation de notre fils èléctrise systèmatiquement ma bite, et elle aussi n est pas indifférentes a l' idée que *** fils est de moi.

Cette situation m'excite a telle point, que lorsqu je voix le 'père' et le fils réunis, je sens une érection monter en moi a l idée des perspectives d *********** possible : a sa majorité j' ai prévu d' apprendre a Alex que je suis *** vrais géniteur preuve consanguine a l' appuie, et ceci en présence de *** père et de sa mère. J imagine d ici la tête que fera mon frère quant il réaliseras que même en tant que maris et père, je l ai ridiculisé devant sa famille.


Affalé contre le lit, le cul relevée et la tète enfouie dans l oreiller, ma belle soeur reprend ces esprit alors que j' essuie ma bite sur les draps du lit. Elle trouve la ***** de se rebeller pour me traiter de salop et me demander pour la énième fois de la laisser tranquille, j' en rigole un bon coup avant de lui lancer :


- je suis peut être un salop, mais tu ne vaux pas mieux que moi : il a suffit que j évoque ton fils pour te faire jouire comme une truie, et dire que tu est ma belle soeur!


Rougissante de honte elle abandonne la partie résignée, puis se tournant vers le réveille elle constate qu il est justement l heure d aller chercher *** fils qui est en classe de CP.

Se redressant sur le lit, elle me demande :


- va donc chercher Alex a l école


- tu veux que j aille chercher mon fils a l école ?


Elle comprend que je veux l entendre dire de sa bouche :


- oui! va donc chercher ton fils a l' école, espèce d' ignoble salop !


Je lui répond avec un sourire au lèvre :


-mais avec plaisir ma petite salope, après tous c est se que font tous les père de famille attentionné non ?


Avant de partir, je saisie *** string (je lui en offre régulièrement pour qu elle les portes spécialement pour moi) sur le lit, et lui essuie l entrejambe avec avant de le glisser dans ma poche :


- tu connais mon péché pignon ma belle(et oui, je suis aussi un grand fetichiste...)

Je quitte alors l' appartement pour partir en direction de l école.
chrislebo

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#7,606
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Esclave de ma femme et *** amant


Je suis un homme de 42 ans, je suis gros, bien gras avec une petite bite et un gros cul. Il faut dire que quand je lui faisais l'amour, je la traitais de vide-couilles, et que j'aimais l'enculer à sec. Il y a deux ans, ma femme a décidé que je n'étais plus baisable et m'interdit donc toutes relations sexuelles. J'ai donc le droit de rester mais uniquement pour lui servir de soubrette et de défouloire. Elle prend beaucoup de plaisirs à m'humilier et à me faire souffrir. Le gros tas que je suis doit être puni en permanence à cause du gras que je possède et ************ doit être le quotidien des gros tas à p'tite bite me dit elle tous les jours. De plus, puisque mes attributs sexuels ***t tellement dégoûtant, il ne peuvent servir pour le plaisir d'une femme et doivent donc être torturés tellement ils ***t laids. Elle ajoute que, bien entendu mes couilles, ma bite et mon trou du cul devront souffrir en priorité.

Cela fait deux ans maintenant que je lui sert de serpillère. Au début, elle m'a juste privé de sexe. La frustration fut difficile mais excitante et je me masturbais tout le temps. Le soir elle rentrait fatiguée et je devais lui préparer à manger. Elle m'autorisait à lui caresser les pieds pour la détendre. Ceci provoquait chez moi une érection systématique et je devais me cacher dans les toilettes après pour me masturber. Un soir elle rentra plus tôt et j'étais dans la salle de bain en train de me branler. Elle ouvrit la porte et me trouva entièrement nu, le gras du bide pendouillant, à quatre pattes sur le tapis, la main sur la bite qui astiquait. Je lui tournais le dos, et le spectacle que je lui offrais était celui de mon gros cul écarté, les couilles pendantes et ma main droite à l'ouvrage. Je fus couvert d'insultes, le premier coup de pied partit et atteignit directement mes couilles. La douleur fut énorme, je m'effondrais au sol en essayant de protéger mes parties, elle me traitait de gros porc dégueulasse, de tas de graisse répugnant. Le deuxième coup de pied toucha la raie de mes fesses et l'impact eut lieu directement sur l'anus, la douleur fut aussi très violente. J'étais prostré au sol et elle continuait à m'insulter. Elle me fit relever en me tirant les cheveux et me traina à quatre pattes jusqu'au salon en prononçant toutes les choses dégradantes qu'elle pouvait imaginé: j'étais mort de honte! Elle me giffla à plusieurs reprise et me dit alors qu'elle m'interdisait de me branler, d'éjaculer et de bander. Se rendant compte immédiatement qu'elle ne pourrait pas me contrôler, elle m'ordonna de me connecter sur un site d'articles sexuels et de chercher les ceintures de chasteté. Elle prit *** temps pour choisir et m'ordonna de commander et de payer une cage de chasteté qui maintenait ma queue en position de repos, empêchant ainsi tout érection et toute masturbation, et forçant mes couilles à être écartées le plus possible. Le système se fermait avec un cadenas dont elle garderait la clef. Elle indiqua elle même la taille de l'article: la plus petite existante. Je dûes payer moi même l'objet en question. En attendant la livrai***, je fût obligé de vivre nu à la mai***, de façon à ce qu'elle puisse surveiller l'état de ma bite en permanence et je n'avais pas le droit de rester seul dans une pièce pour que je ne touche pas. Même pour faire mes besoins elle me surveillait, en profitant pour m'innonder de commentaires insultants sur mon odeur. La nuit elle m'attacha les mains dans le dos pour être sûre que je ne me touchais pas. Deux jours plus tard, le produit fut livré. Elle s'empressa de l'installer. Histoire de m'humilier, elle enfila des gants de chirurgien pour toucher ma « nouille ». Le logement pour la verge était vraiment étroit et je dûes m'y reprendre à plusieurs fois pour l'enfiler. Puis elle saisie mes testicules et tira violemment dessus pour fixer la barre de maintien. Elle attacha le cadenas. Elle rigolait et me trouvais ridicule. Pour vérifier l'efficacité du produit elle se déshabilla entièrement. Cela faisait deux ans qu'elle ne s'était pas mise nue devant moi. Elle se tourna dans tous les sens en me montrant de près les poils de sa chatte, ses nichons, la raie de *** cul en me disant:

Alors, ça te fais envie gros porc, ça t'excite? Tu peux même plus bander hein, gros tas de merde.

Elle se tourna et écarta ses fesses:

Aller, renifle! Ça pue, t'aime ça, hein!

Ma queue essayait de gonfler mais la coquille m'en empêchait. La douleur était atroce, j'avais mal à la bite. Impossible de se secouer la nouille. Je voulais la prendre, je voulais m'astiquer, je voulais juter mais impossible! Elle cria:

Quel pied! Pendant toutes ces années où tu m'as prises, sans me demander mon avis, où tu m'as ****** le cul alors que j'aimais pas ça, où tu t'es soulager dans ma bouche, où je n'ai été qu'un vide-couilles! Alors maintenant je vais te priver de soulagement sale porc! Elle me cracha dessus.

Voilà , je ne pouvait plus me masturber et elle allait en profiter un maximum. A partir de ce jour, elle me traita vraiment comme une merde qui devait lui obéir.

Elle me dressa la liste de ce que je devais faire: le ménage: en particulier les WC qui devaient toujours être niquel! Quant elle chiait, elle ne passait jamais la brosse et ne tirait pas la chasse. A la place de la brosse, elle estimait que mes ongles était parfait pour ça. Elle me forçait à nettoyer après chacun de ses passages et en général m'obligeait à rester le nez au dessus de la cuvette pendant plusieurs minutes avant de m'autoriser à nettoyer. Les WC lui étaient réservé et m'étaient complètement interdit d'utilisation. Le reste de la mai*** devait être toujours propre. Pour mes besoins elle décidait de où et de quand.

La cuisine: je devais me nettoyer les mains avec une brosse très dure avant chaque préparation. Moi je n'avais droit qu'à ses restes dans la gamelle du chien où elle jetait touts ses restes et crachait dedans. Quelque fois, elle urinait dans la gamelle avant de me servir. Je devais bien entendu la finir jusqu'à la dernière miette.

La lessive: je devais nettoyer, repasser et ranger tout ses vêtements mais avec des gants car j'étais sale. Mes vêtements étaient limités à une seule tenue pour aller travailler. Tous le reste fût jeter. Plus de slips ni de chaussettes. Il me restait un pantalon, une chemise, une paire de chaussure qu'elle acheta deux pointure en dessous de ma taille pour que je souffre le plus possible. Le reste du temps je devais être à poil. Je ne pouvais nettoyer mes vêtements que quand elle me le disait et à la main.

Je n'avais plus le droit au lit conjugal et je dormais par terre devant la porte de la chambre, entièrement nu bien entendu. Je fus raser autour de mon sexe ridicule et dans la raie des fesses. Je devais aller au travail tous les jours avec mes chaussures trop petites. A la fin de la première semaine elle m'a dit de venir devant *** bureau. Elle avait préparer des courriers que je devais recopier et signer. Le premier était un contrat dans lequel je signais que j'approuvais d'être en totale soumission à ma femme et que j'acceptais de faire absolument tout ce quel me demandais. Le second était un courrier où je reconnaissait avoir tripoté sa petite nièce Audrey qui avait douze ans en donnant des détails de ce que j'étais censé lui avoir fait subir (doigt dans l'anus, fellation) et elle ajouta des photos polaroids de sa nièce qu'elle avait photographiée nue dans les vestiaires de la piscine. Elle rajouta:

10 ans que je supporte ta graisse, maintenant tu vas en prendre plein le cul et tu ne peux même pas refuser, gros tas de merde!

Le troisième était un courrier comme quoi puisque j'étais impuissant, j'autorisais ma femme à avoir toutes les relations sexuelles qu'elle voulait avec qui elle voulait et que c'est volontairement que je renonçait à toute relation sexuelle avec elle. Le dernier était une lettre à mon banquier où j'ordonnais le virement de mon salaire sur le compte de ma femme tous les mois. Elle me tenait par les couilles. Elle me précisa que: comme je l'avais fais souffrir pendant dix ans, j'allais souffrir au moins autant et que par conséquent je serais corrigé tous les jours au martinet et que je devais trouver ça normal et la remercier à chaque coup que je recevrais et en réclamer d'autres. Je devais bien entendu l'appeler Maîtresse. Elle me demanda de commander sur un internet des gods de gros calibres pour que je comprenne à quel point la sodomie était un grand plaisir ainsi qu'un plug pour que le plaisir soit permanent. Le surlendemain, le colis était là et moi j'étais allonger sur le ventre sur la table basse, les pieds et les mains attachés à chaque pied de la table. Elle mit des gants de chirurgien m'écarta mes grosses fesses et essaya de m'enculer avec *** gros god. Cele ne voulais pas rentrer. Elle dit:

chrislebo

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#7,607
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Tu ne m'as jamais lubrifier le cul avant de m'enculer, tu disait que tu jutais plus fort quand tu m'enculais à sec! Alors ça va rentrer à sec!

Elle posa le god à l'entrer de mon trou du cul et sans le lâcher elle se retourna et s'assis dessus. Le god força le passage et me défonça littéralement le cul. J'ai crû que mon cul allait explosé, la douleur fût horrible, j'hurlais. Elle m'attrapa par les cheveux et me dit:

Alors? Tu vas juter plus fort, gros tas de merde?

Elle m'astiqua le trou du cul pendant vint minutes sans s'arrêter. Je risquais pas de bander entre le douleur et la coquille. Elle ajouta:

C'est trop fatigant, je vais trouver une autre solution.

Elle me mit le plug dans le cul avc interdiction de l'enlever, je devais le porter tout le temps et surtout dans la journée en plus de la coquille. J'avais l'impression d'avoir une grosse crotte dans le cul que je n'avais pas le droit de chier. Pour faire mes besoins je devais la supplier de m'autoriser. Comme elle ne voulais pas que j'utilise les toilettes ni que je salisse le jardin. Elle me faisait patienter plusieurs heures avec mes envies d'uriner ou de déféquer. Quand l'envie était trop forte et que je me tortillais par terre à poil avec mon plug et ma coquille, elle prenait le collier et laisse du chien qu'elle m'obligeait à mettre et elle m'emmenait dans la rue à quatre pattes et à poil. Quand elle avait trouver un endroit qui lui plaisait (souvent un lampadaire entouré de crottes de chiens et recouvert d'urine de chiens) elle m'obligeait à renifler les crottes et l'urine par terre puis me disait de retirer le plug de mon cul, de le nettoyer en le lèchant et ensuite de chier au milieu des crottes de chiens sans uriner, ce qui était très difficile. Mais après quelques bons coups de pieds dans les couilles j'ai appris à chier sans uriner. Une fois terminé, elle me disait de remettre le plug sans me torché. Ensuite elle m'emmène dans des coins à orties où je devais entrer à quatre pattes, cuisses bien écartées et où je peux uriner en m'aspergeant le plus possible. Une fois fini nous pouvions rentrer à la mai*** toujours dans la même position. Là, bien entendu, j'étais fortement corrigé parce que je sentais mauvais. Ma toilette était faite au jet d'eau froide et à la brosse en chiendent. La raie de mes fesses et mes couilles étaient récurés dans la douleur.

Après trois mois de ce traitement, ma femme me dit un soir qu'elle sortait. Elle m'attacha sur la table basse le cul en l'air et me fouetta longuement le cul et les couilles. A vingt heure elle sortit et ne rentra qu'à deux heures du matin. J'étais toujours attaché. Elle n'étais pas seule. Elle entra dans le salon et dit:

Je te présente mon gros tas de merde de mari. Comme tu peux le voir c'est une vrai lopette. Je le garde pour me défouler et pour qu'il me refile sa paye.

Un homme répondit:

Et tu t'es fais mettre par un gros tas pareil? Avec une bite aussi ridicule?

Oui, mais maintenant c'est fini et j'en profite bien! Je trouve aussi sa nouille ridicule mais comment est la tienne?

L'homme baissa *** pantalon, puis *** slip. *** engin état énorme. Ma femme s'écria:

Voilà ce que j'appelle une bite! Je peux toucher?

Avant même que l'homme est répondu, ma femme tenait le sexe dans ses mains. Elle le manipulait dans tous les sens et *** autre main caressait les grosses couilles de l'homme. L'homme lui dit:

Tu es une gourmande?

Oui, je n'ai pas baisé depuis deux ans à cause de ce gros porc. Mais je vais me rattraper.

Elle avala littéralement le sexe de l'homme qui avait triplé de volume. Elle qui avait horreur de me sucer avant. Je n'osais pas parler de peur des représailles. Ma nouille était enfermée depuis trois mois et mes couilles recevais des coups tous les jours.

L'homme bandait comme un âne. Je n'avais jamais vu ma femme comme ça. Elle suçait d'une ***** incroyable. L'homme lui arracha chemise et jupe. Ils étaient assis sur le canapé. Elle finit de le déshabiller. Avant de la mettre à poil il lui demanda:

Tu veux qu'on aille dans un endroit plus tranquille?

Non, je veux qu'il voit ta grosse bite dans ma chatte? C'est bon qu'il voit ce à quoi il n'aura plus jamais droit. D'ailleurs s'il essaye de ne pas regarder tape lui sur les couilles.

C'est très douloureux tu ne croies pas?

Sûrement, mais ça lui fait le plus grand bien.

D'accord!

Je ne pouvais même pas éviter de regarder. Il lui enleva *** soutien-gorge et sa culotte. La chatte de ma femme était totalement ouverte, dégoulinante. Elle se releva et s'assit sur le sexe de l'homme. Ma tête était située juste devant l'homme assis, ses couilles à hauteur de mes yeux. Je vis les fesses de ma femme s'approcher de l'énorme gland. Plus elle s'accroupissait, pus ses fesses s'écartaient, je reconnu l'odeur si particulière de *** anus. Ma nouille se mit à bander, mais la douleur de la coquille me rappela à l'ordre. Je n'avais jamais vu ma femme avec une telle envie de baiser. J'avais envie d'elle et malgré la douleur de la coquille, ma nouille continuait à essayer de bander. L'énorme gland pénétra le sexe de ma femme. Elle cria, comme si *** premier orgasme fût instantané:

chrislebo

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#7,608
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Que c'est bon!!!!!!!!!!

Toujours accroupie sur l'homme, elle astiquait le sexe de l'homme en remuant *** cul frénétiquement. A chaque pénétration elle hurlait, sa chatte dégoulinait abondemment. Ma femme sentait vraiment fort de la raie et l'odeur de sa mouille venait se rajouter. Il lui dit:

A quatre pattes!

Elle se retira, lécha l'énorme bite et se mis à quatre pattes en haletant:

Oui!!! Prend moi comme un chienne...

Ma femme était là devant moi à quatre pattes, telle une chienne. Je n'en pouvait plus! Il lui dit:

T'es une vrai salope!

Il lui fessa le cul. Elle gémit fortement. Il la repénétra en continuant de lui fesser le cul, elle hurla de nouveau. Elle avait un nouvel orgasme provoqué par la fessée. Elle cria:

Oui!!!!!!!! Tape sur mon gros cul de salope! Vas-y!

Il lui saisie les nichons et lui tortilla dans tous les sens tout en l'astiquant à fond et en lui tapant sur le cul. Elle hurlait de plus en plus fort. Il la traitait comme une chienne et elle adorait ça. Il lui dit:

T'es vraiment une sale chienne, en plus tu sens de la raie, tu vas me faire juter! J'ai pas de capote!

Tu n'as qu'a te retirer et juter dans la raie de mon cul.

Elle n'avait pas finit sa phrase que l'homme retirait sa grosse bite et la plaçait dans la raie de *** cul en jutant de longues giclées puissantes. La raie du cul de ma femme était remplie de jute. Il dit:

T'as une serviette pour que je t'essuie?

Non! j'ai mieux!

Elle laissa glisser ses genoux du canapé et se retrouva à quatre pattes par terre, le cul à auteur de ma tête. Elle m'ordonna:

Lèche gros tas de merde et avale bien tout gros porc.

Elle approcha *** cul de ma bouche en disant:

Vas-y! Je suis sûr que tu vas aimer le goût de mon trou du cul et de la jute d'homme, grosse pédale! Sinon, je dis à un vrai homme de t'exploser les couilles.

Tu penses que ton mari est une pédale?

Non, je pense qu'il a horreur de ça mais je pense aussi que c'est moi qui décide pour lui.

Ca me donne une idée...

Je m'executais, je lèchais toute la quantité de sperme répandue dans la raie de ses fesses, et j'avalais consciencieusement toute la jute. C'était dégoutant et j'avais envie de vomir. Ma nouille n'en pouvait plus.

Maintenant, ils étaient assis sur le canapé et il lui parlait à l'oreille. Ils s'embrassaient, elle lui caressait doucement le dessous des couilles pendant qu'il manipulait ses nichons avec douceur. Elle rigolait de plus en plus et finit par dire:

C'est une super idée!

Ils partirent dans la salle de bain. L'homme prit *** téléphone et composa un numéro en partant. J'entendis la douche coulée et leurs rires pas discrets. J'étais toujours entravé sur la table basse. Près de trente minutes plus tard quelqu'un frappa à la porte. Ma femme, toujours à poil, alla ouvrir la porte. Une voix d'homme me parvint. Un homme gros entra dans la pièce. Il fixa les yeux sur moi et eut un large sourire. L'homme etait petit, très gras, et avait l'air très sale. Ma femme s'approcha de moi et me saisit par les cheveux en me disant:

Alors gros porc! T'adore le sexe et ça te manque? Et bien tu vas en avoir du sexe mais pas comme tu aimes. Tu disais assez souvent que tu aimais pas les PD que ça te dégoutait. Moi j'ai envie que tu sois humilier complètement, j'ai envie que tu saches ce que c'est d'être enculé à sec, j'ai envie de te voir pris par autre homme aussi dégoutant que toi!

Non Maitresse pas ça!

Mon insolence fut récompensé par une bonne claque sur les couilles. Elle se retourna vers l'homme gros et lui dit:

Alors, il paraît que tu aimes le cul des hommes, alors profites-en, tu peux lui faire tout ce que tu veux, il est là pour être utiliser!

Tout ce que je veux???

Oui, défoule toi sur lui, il t'es entièrement offert...

Je peux le prendre et le faire souffrir?

Autant que tu veux! Et tu pourras revenir régulièrement, mon mari a bien le droit à une sexualité aussi...

Elle éclata de rire. Ma femme et *** amant s'installèrent sur le canapé pour profiter du spectacle tout en continuant de s'embrasser et de se tripoter. Le gros se déshabilla rapidement. Il était très gras, *** ventre pendait et il avait une bonne grosse bite et deux belles couilles. Il s'approcha de moi. Il me souleva la tête en me tirant par les cheveux et me mit un grande gifle à travers la figure en me disant:


Hum!!! Que je vais me régaler mon gros!

Il sentait la sueur, l'urine et le vin. Il contourna la table et vint se placer derrière moi. Il me tripota les fesses en les malaxant puis commença a écarter mes deux énormes globes. Il vit mon plug dans le cul et dit:

Je vois que tu aimes ça, tant mieux je n'aurais pas besoin de me retenir, je pourrait ****** autant que je veux...

Il retira le plug et m'enfila deux doigts dans le cul sans ménagement. Il me fouillait littéralement le cul. Plus que la douleur c'était la honte et le dégout qui me tenaient. Il me saisit les couilles et les malaxa fortement. La douleur fut vive. Il regarda ma femme et dit:

Elle est ridicule sa bite! Vous avez bien fait de l'empêcher de s'en servir. Quand on a une bite si petite c'est normal qu'on vous empêche de l'utiliser!

Ma femme éclata de rire pendant que *** amant lui tripotait la chatte et la raie du cul. Le gros refit le tour de la table, prit une chaise et vint s'asseoir devant moi, sa bite, qui avait grossie et durcie, à hauteur de ma tête. Il me souleva la tête en me tirant les cheveux et m'enfourna sa bite dans la bouche. Sa bite puait l'urine. Il ne s'était sûrement pas lavé depuis plusieurs semaines. Ma femme gémissait tout ce qu'elle savait en disant:

Putain que c'est bon! Regarde cette lopette sucer une bite! Oh quel pied! Lèche moi!

*** amant se mit à la lècher, lui bouffant la chatte et le cul pendant qu'elle me regardait sucer. Le gros s'astiquait à fond dans ma bouche. Sa bite était bien dure et s'enfonçait jusqu'à la glotte. Il attrapa le martinet par terre et commença le traitement de mon cul tout en continuant à se faire pomper. Il fit durer le plaisir plus de dix minutes. Mon cul était en feu. Il se retira et fit le tour de la table, il écarta mes fesses et m'enfila sa grosse bite de ***** dans le cul. Il me dit:

Je préfère à sec, je bande mieux!

Ma femme eut un orgasme en entendant ces mots et hurla:

Vas-y! Défonce le à sec ce gros tas de merde!

Le gros m'explosa le trou du cul. Et se mit à m'astiquer à fond. Il passa la main sous la table, attrapa mes couilles et les tira très fort en les tordant. J'hurlais! Ma femme s'approcha de moi et me dit:

Maintenant, voilà ce que tu vas vivre au quotidien. Tu regarderas ce à quoi tu n'as plus droit pendant que tu seras obligé de faire ce que tu ne veux pas!

Elle repris sa position de chienne et *** amant l'enfila immédiatement. Pendant qu'il l'astiquait et que le gros me défonçait le cul, elle me disait:

Alors c'est bon d'être le vide couilles?

Le gros n'avait pas lâché mes couilles qui me faisaient énormément souffrir. Il cria:

Ca vient!!!

chrislebo

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#7,609
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Je sentis de grandes giclèes dans mon cul! Il bandait à fond et était vraiment au fond de mon cul.

Ma femme hurla de plaisir, *** amant gicla sur *** dos et sur ses fesses. Elle me dit:

Maintenant t'es vraiment un vide couilles et un PD! Tu es vraiment un sous-merde!

Elle lècha avec plaisir le sexe de *** amant. Le gros fit de nouveau le tour de la table, me fourra sa bite dans la bouche et me dit:

Nettoie ça comme il faut, elle est pleine de merde et de jute! Prend ton temps nettoie bien et avale bien tout.

Il resta longtemps dans ma bouche et je m'appliquais à nettoyer. Sa bite se ramolie au bout de cinq minutes. Il dit:

J'ai envie de pisser, où ***t les chiottes?

Ma femmes lui répondit:

Tu as la bite dans un urinoire, profites-en! Et si il y en a une goutte qui déborde, brise lui les couilles!

Il se déversa dans ma bouche, j'avalais le plus vite possible en pensant à mes couilles et je réussie à ne rien laissé débordé. J'avais la nausée, je me dégoutait, mais je voulais de plus en plus obéir à ma femme. *** amant essuya le sperme sur les fesses de ma femme avec un mouchoir et essuya le mouchoir sur ma gueule en prenant soin de bien en étaler partout. Le gros demanda à ma femme:

Je peux jouer encore un peu avec!

Bien sûr! Tant que tu veux!

Le gros me détacha et me fit mettre accroupit devant les autres, le cul vers eux. Il dit à ma femme:

Je vais lui mascagner le trou cul pour qu'il comprenne bien, et aussi parce que j'en ai envie.

Il me mit un grand coup de pied dans l'anus qui me fit tomber au sol. Il me releva par les cheveux et dit:

Tu ne dois pas bouger, sinon c'est la même chose dans les couilles.

Au deuxième coup j'acceptais la douleur et je ne tombais pas. En tout il me mit dix coups dans le trou du cul. Je ne pouvais même pas le toucher tellement la douleur était forte. Il me fit retourné, me giffla et me dit:

C'est bien! Ta femme à dit que tu devais tout accepter!

Ma femme riait, elle me dit:

Tu ne peux rien refuser sinon j'envoie le courrier et les photos au sujet de ma nièce à ses parents. C'est ce que tu veux?

Non!

Alors tu as aimé tous ce qu'on t'as fais?

Oui Maitresse!

On peut te le refaire quand on veut?

Oui Maitresse!

Qu'est ce que tu es?

Une sous-merde, un gros porc, un gros tas de merde, un PD et un vide couilles!

Bien! Alors ton amant a été gentil avec toi, il t'a bien enculé et défoncé le cul, et il t'a pas brisé les couilles parce que tu as bien obéis?

Oui Maitresse!

Bien alors je veux qu'il te donne cinq grands coups de pieds dans les couilles!

Mais Maitresse.....

DIX! Et tu l'appellera chéri!

Oui Maitresse!

Le gros me fit mettre à quatre pattes au milieu de la pièces, jambes écartées et couilles pendantes, le cul vers les spectateurs. Le gros visa bien et m'explosa les couilles d'un coup de pied, j'hurlais de douleur et dit:

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

Ma femme était aux anges, elle me dit:

chrislebo

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C'est bien gros porc! Allez va lécher le cul de ton chéri!

Le gros se tourna et écarta *** énorme cul. Il avait des traces de merdes plein la raie du cul. Je le lèchais consciencieusement. Ma femme s'approcha de moi et me dit:

Comme tu a été une bonne lopette obéissante, je vais t'autoriser à juter, mais avec quelques conditions. Tu devras te masturber devant nous trois, au bord de la table basse, les couilles posées sur le bord de la table. Tu auras 60 secondes pour juter sur la table,mais attention tu ne devras pas jouir avant les 60 secondes, ni après. La première giclèe devra sortir à 60 seconde pile. Si tu jutes avant: dix coups de pieds dans les couilles. Si tu n'as pas juté à la 60ème seconde: dix coups de pieds dans les couilles. Pour te faire plaisir je te caresserais les couilles avec mes orteilles. Allez au boulot!

Elle m'enleva la coquille et je me mis en position. Elle regarda sa montre et mis le pied sur la table. Elle cria:

Go! Allez vas-y mon gros porc tu peux y arriver!

Ses orteils entrèrent en contact avec mes couilles. Ma femme ne m'avait pas touchée depuis plus de deux ans. Je fus très touché de cette attention et je me mis à bander immédiatement. Elle comptait toutes les cinq secondes.Au bout de trentes secondes j'avais déjà envie de juter. Je lâchai ma queue pour ne pas jouir tout de suite. Ma femme arrêta ses caresses sur mes couilles et appuya très fort dessus en me disant:

Tu ne dois pas arrêter de t'astiquer!

Je repris le mouvement et elle repris ses caresses. Elle continuait de compter, je faisais tout pour me retenir. Les quinzes dernières secondes furent horrible et elle décomptait à la seconde en disant:

14, allez vas-y mon bon toutou,13, tu vas y arriver, 12, t'es un bon chienchien,11,....

A la 60ème seconde je laissait toute la sauce partir. Il y eut de longues giclèes sur la table basse. Ma femme m'écrasa les couilles avec *** pied et s'exclama:

Regarde moi cette pédale qu'on peut dresser comme un petit chien! Je te les presses bien car t'es peut-être pas prêt de rejuter gros tas! Allez t'arrête pas d'astiquer, je veux les vider!

Elle pressait de plus en plus fort et j'astiquait alors que plus rien ne sortait. Elle me fit continuer pendant une minute puis m'ordonna de me lâcher et enleva *** pied. Elle me dit:

Allez nettoyes maintenant, lèches moi tout ça et avale bien!

Je lèchais et avalais mon propre sperme. Ma bite débanda vite. Ma femme me remit ma coquille. Le gros excité par ma prestation dit:

Oh c'était joli ça! Ca me donne envie. Allez tourne toi!

Il me prit comme une chienne et se vida les couilles pendant que femme rebaisait avec *** amant. A la fin le gros partit après que je lui ai embrassé la bite, le cul et la bouche en lui disant Mon Chéri. Ma femme et *** amant allèrent se coucher dans la chambre conjugale. Quant à moi je dormis tout nu attaché devant la porte de la chambre avec ma coquille et mon plug dans le cul. Ma femme à beaucoup gémit et jouit pendant toutes la nuit.
chrislebo

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Travesti et humilié


Imaginez un homme de trente-cinq ans, plutôt moyen de taille, un peu fort, un peu passe-partout. Imaginez-le vêtu d'une robe décolletée, de bas de nylon noir et chaussé d'escarpins vernis à talons aiguilles. Imaginez-le vivant à genoux devant sa mailresse, humble et soumis à chaque ins­tant, même quand elle n'est pas là, et vous aurez un parfait portrait de votre serviteur.

Cela fait maintenant deux ans que je suis l'esclave de Claire. Elle m'a éduqué, féminisé, transformant l'homme un peu terne que j'étais en créature, sinon délicate, du moins ambiguë. Car, ne nous leurrrons pas, je ne suis pas un de ces travestis dont on a du mal à croire qu'ils ne ***t pas des femmes. Je ne suis pas une grosse brute non plus. Simplement, Claire a tenu à ce que je garde toujours quelque chose de masculin en moi. Si elle aime mes bas, elle aime aussi mes épaules larges et le contraste qui en décou­le ; si elle aime me provoquer, parfois jusqu'à la révolte contre elle, c'est parce qu'elle aime voir ma ***** d'homme lutter inutilement dans les liens qui m'enserrent. Et elle aime alors m'humilier et me soumettre à ***** de coups, jusque ce que je l'implore, que je crie grâce et m'excuse - même si je n'ai rien fait.

Claire est devenu experte en ligotage, c'est normal, c'est moi qui l'ai formée. Et parfois, j'avoue que c'est une sensa­tion étrange d'être là, impuissant sous les coups, a tirer sans succès sur les cordes en me disant que je suis quelque part responsable de cette situation. Claire aime me pendre par les pieds, elle aime caresser mes bas, et surtout m'enculer.

Que n'ai-je pris dans le cul ! Des godes, bien sûr, mais aussi des bouteilles, des manches à balais des débouche-eviers, en fait, elle aime utiliser des instruments usuels. C'est un moyen de toujours me rappeler ma servitude, dit-elle. Et c'est vrai que je suis souvent troublée en prenant une louche (dont le manche m'a enculé il n'y a pas une heure), ou bien une clé anglaise au manche bien épais sur lequel trainent quelques-uns de mes poils culiers. Je me souviens de cette fois où ligoté dans le garage, j'observais le jardinier arro­sant la pelouse. Se doutait-il que le tuyau sortait tout droit de mes fesses et qu'il allait y retourner, tout froid et humide qu'il était, sitôt qu'il aurait terminé sa tâche.

Je me souviens également de notre rencontre avec Denis. Denis était plombier et il était venu faire quelques répara­tions chez nous. Alors qu'il tentait de dévisser un tuyau, il m'avait demandé de lui passer le tournevis. Tandis que je m'exécutais, Claire avait pouffé de rire. Denis l'avait regar­dé, un peu étonné, semble-t-il, et lui avait demandé ce qui l'amusait. Elle lui répondit que c'était la taille de l'engin. Denis regarde sa clé anglaise, sans comprendre. A ma gran­de honte, Claire se lance alors dans des explications. 'Bien­sur, dit-elle, vous vous en servez comme d'un outil. Mais savez-vous que certains vicieux de ma connaissance en font une toute autre utilisation ?' J'intervins, mais à mauvais escient : 'Claire !' Je ramassai une claque terrible qui me projeta contre le mur. 'Mon mari est une pédale, une tan­touze. Il aime en prendre dans la rondelle. Ca, par exemple !" Et elle agita le tournevis sous mon nez.

De nouveau elle me gifla et m'ordonna : 'Monsieur ne nous croit pas. Baisse ton pantalon !' je tentai un timide : 'Mais chérie !', mais un coup de manche de tournevis dans l'estomac me plie en deux.

Je tombai à genoux aux pieds de Claire. "Tu sais que je n'aime pas que tu ergotes. Debout et baisse ton froc !' Je me relevai, sans oser regarder Denis qui n'en perdait pas une miette. J'ôtai donc mon pantalon, dévoilant mes bas noirs et mon porte-jarretelles assorti. 'Mais, c'est qu'elle ne porte pas de culotte, la salope !' s'exclama Denis. Oh non ! me dis-je, voilà qu'il joue le jeu ! "Tourne-toi face au mur, ordonne Claire, que monsieur puisse admirer ton petit cul" Comme je m'exécutai, elle ramena mes poignets sur mes reins et les menotta étroitement, avant de me baillonner avec un foulard. Et puis, je l'entendis qui me marchandait. Denis voulait m'enculer, et elle voulait lui faire payer ma virginité. Car, malgré les manches de pioche, les pieds de table et autres gadgets, malgré le tournevis qui, à l'instant même m'emplissait douloureusement le fondement, jamais encore je n'avais été réellement enculé. 'Je sais qu'il rêve d'en tâter, disait Claire. Je pense qu'il est prêt.' Et Denis paya.

M'attrapant par la nuque, il me courba en avant, arracha le tournevis et planta *** gland, juste *** gland. Je le sen­tais palpiter à l'orée de mon conduit. J'étais effrayée, humiliée... et impatient. Mon anus se serrait, se desserrait, se resserrait, sur *** gland... et soudain il s'enfonça, d'un seul coup, au plus profond de moi. Malgré mon baillon, je hurlai. Faiblissant sous sa poussée, je m'agenouillai. Il me suivit sans déculer et commença à me bourrer à grands coups de reins tout en caressant mes bas. Sa queue était énorme et coulissait bien : 'Oh ! Comme il s'ouvre, comme il est bon encore un peu étroit mais malléable !' murmura Denis. Il se redressa, ralentit le rythme, me saisissant les hanches. 'Regarde, Claire, comme on y est bien. On y entre comme on veut !' Alors, abasourdi, j'entendis Claire lui répondre : 'Je suis heureuse qu'il te plaise, mon chéri. J'avais peur de le déflorer et de te le gâcher !" Elle se penche vers lui, par ­dessus moi et je l'entendis l'embrasser, en murmurant :

'Bon anniversaire, mon amour ! '

chrislebo

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Depuis, Denis s'est installé à la mai*** et jouit de tout le confort qu'il peut désirer, le moindre n'étant pas mon entiè­re soumission au moindre de ses caprices. Non pas que je sois amoureux de lui ou quoi que ce soit ; c'est Claire qui me l'a demandé et je ne peux rien lui refuser. Bien sûr, j'étais plutôt furieux quand j'ai appris, lorsqu'elle m'offrit à lui comme cadeau d'anniversaire, que j'avais été manipulé. Il était *** amant depuis bien longtemps et, connaissant ses penchants pour les culs fermes des garcons, elle lui fournis­sait de temps à autre de la chair fraiche. Mais elle me jura ses grands dieux qu'avec moi c'était différent, d'ailleurs n'avait-elle pas attendu deux ans avant de me livrer à lui ? Mais pourquoi, précisément, l'avoir fait maintenant ? En avait-elle assez de moi ? Mon angoisse l'avait fait rire : 'Ainsi donc, tout ce que t'inspirent ces événements, c'est que tu as peur de me perdre !' Je m'allongeai à ses pieds et pris délicatement sa cheville droite pour dégager *** pied de *** escarpin. Je l'embrassai, la léchai, suçai ses orteils. Elle me repoussa doucement et alla s'asseoir. Je rampai vers elle, mais elle me stoppa d'un ****** "arrête !'. 'Reste à quatre pattes, baisse la tête et ferme les yeux. Maintenant, décris moi comment tu es habillée !" Perplexe, je m'exécutai en bafouillant un peu : 'Je porte une robe de satin bleu qui descend à mi-cuisses. Sous la robe, je porte un corset. Au corset, ***t fixées des jarretelles qui retiennent mes bas. Ce ***t des bas noirs à couture que vous avez vous-meme choi­sis ! - Et dans les pieds ? - Je porte des escarpins vernis noirs à talons aiguilles ! - Est-ce là une tenue masculine. - Non, Maitresse ! - Comment est ton sexe ? - Entravé, Maitresse. Une corde est nouée autour de mes testicules et les étire en arrière, la corde passe entre mes fesses et est attachée à une ceinture. - Ta queue ? - Ma queue est plaquee par le bas contre ma cuisse gauche, une fine cordelette sur la cuisse elle-même et la corde qui retient les testicules l'empêche de se redresser ! - Est-ce là une attitude de mâle ? - Non, maitresse ! - Alors, tu comprends pourquoi j'ai besoin de Denis ? Maintenant si je te dis que tu n'es qu'une larve, une petite tapette qui n'est bonne qu'à se faire mettre, qu'est-ce que tu diras ? - Rien, Maîtresse ! - Rien ? Vraiment ? - Non ! Je dirais que vous avez rai***, Maitresse. - Et si je te dis que quoi que tu fasses, tout ce que tu mérites c'est une bonne correction ! Même si c'est particulièrement injuste, que feras-tu ou que diras-tu ?

- J'irai chercher le fouet, Maitresse, je vous le présenterais à genoux, en le tenant dans ma bouche. Et quand vous le prendrez, je vous dirais merci, Maitresse ! - Vraiment ? Alors, va le chercher. Et ramène des cordes par la même occasion. Je n'aime pas te voir libre, ça fait négligé'

Je fus bientôt ligoté à plat ventre sur la table de la salle de séjour, robe retroussée sur les hanches et formant un X que Claire daigna qualifier d'harmonieux. Elle glissa un oreiller sous mon bas-ventre pour relever mon cul qu'elle commence a cingler avec fureur. Elle tapait comme rare­ment elle l'avait fait baissant soudain de rythme pour mieux repartir de plus belle, maintenant ainsi une tension qui me transforme vite fait en chien des plus serviles. Je ne sais combien de temps dura cette séance (beaucoup moins longtemps qu'il ne me le parut, probablement), mais j'étais épuisé, éreinté, moulu, en charpie, à demi-mort, lorsqu'elle s'arrêta. Elle s'approcha alors de moi. Ses yeux fixèrent les miens et sa bouche était proche de la mienne. Je me mis à pleurer parce que j'avais envie qu'elle m'embrasse. Je vis percer un brin d'émotion chez elle. Elle me demande : "Tu n'as rien à me dire ? - Merci Maitresse !'

Elle me caressa la joue, puis m'embrassa en me disant : 'Alors, tu comprends pourquoi j'ai besoin de toi ! Tu com­prends pourquoi j'ai besoin de vous deux ! - Oui Maitresse.

chrislebo

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#7,613
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Depuis que Denis s'est installé chez nous, je suis en fait plus souvent avec lui qu'avec Claire. Et je comprends enfin que lorsqu'elle m'a offert à lui pour *** anniversaire, elle était sérieuse. En effet, bien que restant sous sa coupe à elle, car c'est à elle que je suis soumis et c'est pour elle que j'obéis, c'est à lui que j'ai affaire, et c'est à ses ordres à lui que je dois me plier.

Nous pas***s donc, lui et moi, de longues soirées ensemble. Il aime regarder la télé. Généralement, il s'installe dans ce qui fut un jour mon fauteuil. Il est nu, comme toujours lorsqu'il n'a pas à sortir. Je suis nu également, ne portant pour tout vêtement qu'un porte-jarretelles et des bas de Nylon noir, agenouillé entre ses cuisses, les bras ramenés dans le dos, ligotés au niveau des coudes et des poignets. Une fine cordelette relie mes chevilles à mes poignets, m'immobilisant totalement. Souvent, un énorme godemiché dilate mon anus et plonge au plus profond de mes fesses. La tête penchée sur le ventre de Denis, je suce sa queue tandis qu'il regarde un programme. il aime que cela dure long­temps (parfois la durée d'un film). Je dois donc veiller à le main­tenir excité suffisamment, sans pour cela l'amener à l'orgasme. Parfois, pourtant, c'est lui qui craque, devant une scène particu­lièrement croustillante, ou simplement si une de ses actrices favo­rites passe à l'écran. Il m'agrippe alors par les cheveux et, m'imposant *** propre rythme, m'enfile jusqu'à la garde pour mieux décharger dans ma bouche. Tout cela en beuglant des 'Tiens, salope, prends ca !', qui ne s'adressent pas à moi, mais au fantasme qui s'anime dans la lumière bleutée du téléviseur. D'autres fois, plus excité encore, il me bouscule, me retourne bru­talement et m'encule violemment, sauvagement - mais seules les grandes stars ont droit à cette démonstration. Ainsi donc, il baise les plus belles femmes du monde.

Cette situation me laisse un goût amer dans la bouche. Car enfin, voilà que je me suis soumis à une femme, et à une femme seule, étant hétéro. Et voilà que cette femme semble me délaisser, me livrant à l'homme qui la saute pour lui servir de garage à bites. Ma queue n'a plus servi de manière active depuis long­temps. Moi qui aime les femmes, je ne connais plus la douceur d'un vagin, ni même celle d'une main aux ongles laqués de rouge. Je ne connais plus que des étreintes ********, des queues qui ******* mes lèvres ou mes fesses, je ne connais plus que de grands coups de reins qui me défoncent le cul ou la mâchoire. Je suis devenu, de fait, une tapette, une Tapette, un défouloir à mâles en rut. Car, une chose en entraînant une autre, Denis a fini par rameuter ses copains.

je plais en robe de dentelles ou tailleur Chanel. Je plais en talons aiguilles, en guêpière, ou en caraco. Tout vêtement mascu­lin m'est interdit. Je suis paré comme beaucoup de femmes ne le seront jamais. Ma garde-robe est des plus riches, des plus cha­toyantes.

Denis aime surtout mes bas. Il aime me voir déambuler en porte-jarretelles, il aime caresser mes jambes, et sentir mes bas crisser, frotter contre sa peau. Il aime voir ma bite pendre, entravée, ou bien libre, se dresser entre mes jarretelles. Il aime me prendre à tout instant, quoi que je fasse, il aime me trousser et m'enfiler, peser sur moi et, parfois, tâter mes couilles pour mieux encore apprécier le fait de m'enculer. "Tes bas ***t plus doux que ceux d'une femme, car ils ont la douceur de l'interdit, me dit-il un jour. Ton trou n'en est que meilleur. Si tu n'avais pas ces robes, ces jupes, ces falbalas, je ne crois pas que je te toucherai. Mais là, de te voir si maladroitement féminin en renforce le caractère, je croirais presque que tu es plus féminin qu'une femme, parce que, cette féminité, tu la gagnes au jour le jour car, quoi que tu fasses, ta bite est là, et bien là, qui dément tous tes efforts !"

Depuis ce jour, nos relations ont changé. C'est ainsi qu'un soir Denis me tend *** pied à lécher - je vois alors qu'il porte des bas. "Eh bien, lèche ! dit-il, ne me dis pas que cela te gêne !'

il ôte *** pantalon, et je remarque qu'il a mis un de mes porte-jarretelles, ainsi que des bas noirs, qui plaquent ses poils car il ne s'est pas rasé. Il bande comme jamais (et pourtant, croyez-moi, c'est un étalon). 'Mets-toi à quatre pattes", me dit-il. Sa voix est presque câline, je sens qu'il est troublé. J'obéis et il me grimpe dessus.

Tondis qu'il cherche et trouve mon trou du cul et s'enfonce en moi, nos jambes se frôlent. Un délicieux fris*** électrique nous parcourt. Nos bas frottent les uns contre les autres, et c'est comme si à chaque fois nous étions aiguillonnés par un dard - ce qui, en l'occurrence, est mon cas. Comme ses bas ***t doux sur les miens !

Comme c'est bon de sentir la caresse du Nylon ! Sa queue emplit tout mon cul, et jamais, je crois, elle n'a été aussi présente. Chacun des crissements de nos bas semble la grandir encore un peu plus, vraiment elle grossit de plus en plus et mon anus s'ouvre, s'ouvre comme s'il voulait l'engloutir, lui, tout entier. Il va et vient doucement entre mes fesses, et ce n'est qu'au terme d'une longue étreinte qu'il finit par décharger et m'inonder le cul de foutre.

chrislebo

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#7,614
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Comment je suis devenu soumis


Je suis deve­nu un adepte du S.M, par la faute ou grace à Jenny, Elle était ma maî­tresse et je l'avais larguée. Avant elle, j'étais le genre homme à femmes, et jamais longtemps la même femme. Je papillonnai, lâchant l'élue quand elle avait cessée de m'intéresser, Avec Jenny ce fut différent. Si je la plaquai, assez salement, elle ne l'accepta pas de bon coeur et me prévint, par téléphone, que je le paie­rais cher, J'en ris natu­rellement,
Quelques jours plus tard je ne ris plus, Je tournai la clé dans la serrure de mon appartement quand je fus sauvagement agres­sé. Le jet d'une bombe paralysante me rendit sans *****, on m'en­fonça une sorte de cagoule sur la tête et je plongeai dans le noir, au propre et au figuré.

Quand je revins à moi j'étais toujours dans la nuit car on n'avait pas retiré ma cagoule. J'étais couché sur le sol, mes membres étaient si étroitement entravés, que les liens de cuir pénétraient ma chair. J'entendai parler mais la cagoule étouffant les bruits, je n'aurais sû reconnaître les voix, ni à quel sexe elles appartenaient. Une main tira sur mon zip. Ma bite fut extraite de mon pantalon, et une main en manchon commença de me ca­resser avec une par­faite connaissance de ce sport, ordinaire­ment solitaire. Le silence s'était fait. Je savais qu'ils (elles?) étaient plusieurs à se repaître du plaisir que je prenais, contre mon gré. Bien que cela devenait de moins en moins vrai. Pourtant c'était comme si je subissais un viol. J'étais mal à l'aise, honteux, mais, indiciblement, le plaisir montait de mes reins à ma colonne que l'on agi­tait d'une main experte.

Une éjaculation vio­lente me secoua. Mais à peine mes spasmes terminés, qu'une autre main, plus douce et adroite me sernbla-t-il, recommença le même travail. Cela demanda plus longtemps mais j'éjaculais tout de même avec une violence qui prouvait ma bonne santé. Las! j'étais encore secoué de spasmes qu'une nouvelle main prenait la relève de la seconde et agitait mon sexe avec une sorte de **********. Mon éjaculation, je pense que les lec­teurs le comprendront, fut plus lente à venir. Mon plaisir fut à la limite de la douleur in­supportable et je com­mençai de protester et de me débattre.

Des doigts pressèrent cruellement mes couilles repues. Puis cela se gâta. Une pointe d'acier piqua mes (faussement dé­nommées) joyeuses et j'entendis une voix (fé­minine?) m'annoncer que si je ne parvenais pas à bander on allait m'émasculer.

La peur me crispait les entrailles et cependant ces salopes (car il s'agissait de plusieurs femmes), j'en eus bientôt la preuve, multiplièrent les agaceries pour obtenir que je bande. Tour à tour des langues léchèrent mon gland, des doigts visi­tèrent mon rectum et des bouches onctueu­ses, se relayant, m'in­fligèrent des fellations sous lesquelles aucun moine n'aurait pû ré­sister. Je bandais en­core, la tête en feu et le crane vide. Je fus che­vauché puis après quelques va et vient un autre sexe féminin plus chaud encore et étroit qui aurait empor­té la décision Si, un autre, n'avait pris la place du second en enserrant mon sexe comme si il pouvait I'avaler.

Je jouissais comme un dingue, me répandant dans cet endroit inconnu mais tellement ac­cueillant, mon corps, dans ses liens, s'arc-boutant et tressautant.

Je n'étais pas au bout de mon calvaire, je fus retourné, proprement déculotté et pus cons­tater à la douleur qui me transperça que je n'avais pas affaire qu'à des femmes.

Je m'éveillai des heures plus tard, épuisé sur la moquette de mon appartement. J'étais seul. Mais sur le miroir de ma salle de bain on avait écrit au rouge à lèvres: « La vengeance est un plat que j'aime manger chaud !»

Depuis... je ne jouis plus que si on me violente, me tanne la peau, ou si l'on m'in­flige différentes ********, raffinées ou bruta­les.

chrislebo

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#7,615
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Le bouleversement


LE mois dernier, un copain m'a demandé de lui présenter mon épouse, car l'ayant aperçue en ville, il l'avait trouvée très sexy.
J'acceptai, histoire de tester le comportement de ma femme dans une situation donnée. Je fus très surpris par sa réaction qui alla très loin, ce qui changea toute ma vie.

Ma femme est mon copain m'ont attaché et ont fait l'amour ensemble devant moi. Ma femme me nargua et m'humilia, la séance se termina par une saillie imposée par ma femme.

J'ai été enculé par mon pote ! Je me suis comporté en mari complaisant et me suis plié a toutes leurs exigences. Comment un homme sans problème comme moi, peut il être amené à se soumettre de la sorte ? Tout simplement parce que c'est terriblement bandant !

Mais les choses n'en ***t pas restées là !

Un soir, ma femme me dit que mon copain avait téléphoné pour qu'elle aille lui vider les couilles. Je la regardai d'un drôle de regard, c'est alors qu'elle s'approcha de moi, m'attrapa par les couilles à travers mon pantalon et me les broya en me disant qu'elle aimait me voir cocu. Puis elle ajouta :

- Je te laisse pour aller goûter a cette merveille qu'il a entre les jambes, et si tu t'avises de refuser, je vais te couper les tiennes.

Je la conduisis en voiture devant chez *** amant. En sortant de la voiture, elle me dit :

- Je vais bien garder le foutre de ton pote dans la chatte et te le faire bouffer en rentrant !

Le soir mon copain raccompagna ma femme.

- J'espère que vous vous êtes régalés dis-je. Mon copain répondit :

- Oui, super, mais j'ai encore assez de foutre pour sauter ta femme dans le lit conjugal. Tu vas assister, les pieds attachés au lit.

Ma femme me fit mettre à poil. Lorsque ce fut chose faite, j eus droit à des regards ironiques et des remarques désobligeantes sur mes parties. Je dus assister à leur coït, lorsque ma femme dit tout à coup:

- Je veux que ma salope de mari te lèche les couilles et le cul, détache-le !

Je me suis exécuté comme la vraie salope que je suis. Ma femme exigea alors que je demande moi-même à genoux à mon copain de m'enculer. Je le lui demandai. Il sortit alors *** chibre qu'il me donna à sucer avant. Je fus ensuite sodomisé sans ménagement, ce qui ne m'empêcha pas de remercier sincèrement mon fouteur.

La semaine suivante, ils m'emmenèrent dans une boutique S.M. à Paris. Ma femme demanda un pantalon en simili-cuir avec les fesses découvertes pour recevoir des corrections, fesses à nu. Elle demanda aussi des menottes, fouets, cravache, etc.

Mon copain demanda :

- Peut on essayer ces accessoires ? Le vendeur nous emmena dans l'arrière-boutique. J'enfilai le pantalon qui me seyait bien. On m essaya aussi les menottes. C'est alors que ma femme essaya les fouets et autres engins de *******, afin de faire *** choix. Elle osa même demander au vendeur si cette scène ne lui donnait pas envie de jouir. Il fit signe de la tête et ouvrit sa braguette pour sortir une queue bien grosse mais assez longue. Ma femme proposa à ce jeune mâle m enculer. Il refusa, mais ajouta :

- Je vais prévenir le patron, il aime se faire un client de temps en temps, surtout devant sa femme. Moi, je prefère me masturber en matant la scène !

Le patron nous fit des compliments sur notre manière d'opérer, mais qu'elle manquait un peu de fermeté. Avec un grand martinet, il me fit mettre à genoux et me frappa jusqu'à ce je dise que j étais sa chienne, et qu'il était mon dieu salaud.

Je m'effondrai mollement. C'est alors qu'il dit :

- Il est à point !

Je répondis.

- Je vous en prie, enculez-moi, je suis votre pute, asservie à votre verge !

Mon cul fut présenté au mâle en rut qui me fit sucer sa tige. Puis il décida que je serai enculé à sec.

Je me cramponnai. Ma femme et mon copain me maintenaient pour ne pas que je m écarte de cette pine de cheval qui alla bien jusqu au fond de mon trou, ses couilles me battaient rudement les fesses. Il décula en me faisant un mal terrible dû à *** gland bien plus gros que le reste de la pine. Je me précipitai aussitôt à ses genoux pour le remercier en ajoutant :

- Je serai la pute servile de tous les mâles qui voudront bien m enculer.

On me remit dans la voiture, mais je ne pouvais plus m'asseoir.

Arrivé à la mai***, je fus autorisé à ma masturber devant ma femme et *** mec. J'éjaculai un grand flot de foutre.

- Regarde, fit ma femme, tout le sperme que cette pute à fabriqué sous la contrainte ! Salope ! Tu vas lécher toute cette sale purée produite par ta servilité !

Quel heureux bouleversement, dans ma vie tranquille !

chrislebo

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#7,616
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Madame GISELLE


Bonjour, j'ai vingt et un ans et aujourd'hui je me mets au clavier pour vous raconter ce que je vis en ce moment.
Tout a commencé il y a un an, quand je suis devenu étudiant. J'ai trou­vé une petite chambre en ville, chez madame Gisèle, une femme d'une cinquantaine d'années. J'ai toujours été impressionné par les femmes autori­taires et avec madame Gisèle j'étais servi. Grande, forte, c'est une maîtresse femme, habituée à commander. Dès le début, elle m'a fustigé. Elle m'à imposé des horaires draconiens et m'a prévenu que j'avais intérêt à mar­cher droit, sinon elle saurait me mettre ou pas. Madame Gisèle a de l'expé­rience et elle a rapidement percé à jour ma nature de soumis.

Un soir, alors que je rentrais en retard elle s'est mise en colère, j'ai eu droit à une bonne engueulade et à deux paires de claques. Eprouvant une délicieuse sensation de plaisir et abomination, je me suis spontanément mis à genoux pour demander pardon. Avec un petit sourire sadique, madame Gisèle m'a ordonné de me déshabiller. Je me suis retrouvé à poil, allongé sur la banquette de piano. Elle m'a solidement attaché, et sentir les cordes me serrer m'a fait bander ! Tranquillement, madame Gisèle a retiré *** chemisier, sa jupe et sa combinai***. Elle portait un bel ensemble gaine-bus­tier et des bas, le tout couleur chair. C'est vraiment une belle femme, et elle était très impressionnante, surtout vue de ma position. Elle a tourné un moment autour de moi, me mettant des claques et me promettant d'en baver. Je ne demandais que ça et je la dévorais des yeux. Pour commencer elle s'est placée à cheval au-dessus de ma tête et m'a dit de lécher entre ses cuisses. Se gaine n'était pas fermée, je voyais *** épaisse fourrure noire avec au milieu le large et profond sillon de sa vulve. Elle s'est frottée sur ma figure et j'ai commencé à lécher, mais j'étais maladroit et j'ai reçu des coups de martinet sur le ventre et les cuisses. Je me suis appliqué, fouillant les replis de chair à petits coups de langue, avalant le jus qui coulait de plus en plus. J'étais très excité, avec une érection extraordinaire. Madame Gisèle a changé de position, elle s'est mise au-dessus de ma bite dressée sur laquelle elle s'est lentement empalée. Elle a commenté à monter et à descendre, lentement d'abord puis de plus en plus vite, jusqu'à nous faire jouir tous les deux. Quel pied ! Depuis madame Gisèle m'a complètement soumis, elle a fait de moi *** jouet. Elle me donne *** sexe à lécher, mais aussi ses opu­lentes mamelles el ses dessous de bras très poilus, quand je bande à en avoir mal elle s'empale sur mon sexe et m'impose *** rythme. Elle me sou­met aussi Par les gifles, le martinet, le ligotage, elle aime me punir et m'humilier, et moi j'en redemande, je désobéis exprès ! Il y a un mois, madame Gisèle m'a surpris en train de me branler (je l'avais fait exprès), elle s'est mise dans une colère terrible, j'ai pris des claques partout, elle m'a mis à poil, m'a planté une balayette dans le cul et m'a flanqué une raclée au martinet. Pour finir, je lui ai léché les pieds à travers ses bas. Quelques jours plus tard, elle m'a mis une ceinture de chasteté, une cage en plastique qui enferme étroitement et efficacement ma bite. Madame Gisèle me met cette ceinture la nuit ou quand elle veut me punir, je ne me branle plus, je garde tout pour elle, c'est encore meilleur. Si j'ai une *********** supplé­mentaire car je suis obligé de pisser accroupi, comme une femme. Aujourd'hui madame Gisèle m'a mis la ceinture pour m'empêcher de me branler en écrivant ma lettre. Tout à l'heure quand elle va me délivrer, ma bite va se tendre comme un ressort, elle va me vider jusqu'à la dernière goutte après m'avoir corrigé et humilié. Je ramperai à ses pieds, heureux.

chrislebo

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Domination permanente


Bonjour, j'ai 38 ans, je me nomme Pierre et je suis un esclave depuis près de dix ans.

J'avais toujours fantasmé sur la soumission à une femme. J'avais, comme beaucoup de jeunes mâles, eu plusieurs aventures de jeunesse. Jamais je n'avais osé avouer à mes compagnes mes fantasmes. Aussi, après quelques semaines de vie commune, je reprenais toujours ma vie solitaire, préférant la masturbation en lisant des revues de domination achetées en sex-shop.




Je possède un petit magasin de vêtements prêts à porter. Je recherchais, il y a environ dix ans, une jolie vendeuse. Cathy se présente un matin. Je fus tout de suite sous le charme de cette belle fille aux yeux verts, élancée, l'air très 'femme', qui avait l'air de savoir ce qu'elle voulait ! La vendeuse, bien sûr, devint vite la patronne, Cathy était autoritaire et je lui avouais, sans cacher mes sentiments pour elle, tous mes fantasmes les plus cachés ! En quelques mois je passais au stade du larbin, puis à celui de l'esclave intime. Nous avions tous deux trouvé le grand bonheur. Tout ce que je possédais est depuis à Cathy, que je n'appelle plus que 'Maitresse' ou 'Maîtresse chérie".




Je suis devenu employé du magasin. Celle-ci possède aussi l'appartement situé au-dessus, dans lequel mon rôle est celui d'esclave. Maîtresse me cloitre ainsi au magasin et à l'appartement, ne me permettant de sortir que pour faire les courses, ou faire le chauffeur si elle sort. Si elle va chez un amant par exemple, je peux quelques fois l'attendre des heures dans la voiture.




Maîtresse bien sûr, ne travaille plus et passe *** temps entre ses nombreux loisirs (piscine, équitation, cinéma), ses copines et ses amants.




Je vais vous décrire la vie que Maîtresse me fait mener depuis près d'une décennie.




Tout d'abord, préci***s qu'aucun contrat écrit nous lie. Mais nous ne saurions plus ni l'un ni l'autre vivre autrement. Maitresse a tous les droits sans aucune exception. L'esclave n'a que le devoir de satisfaire *** rnaitre tant matérielle­ment que sexuellement. Il doit précéder sa Maîtresse dans tout désir, devinant à l'avance ce qu'elle va lui demander. L'esclave travaille donc à cent pour cent pour ses Maîtres.




A la mai***, il doit faire toutes les corvées domestiques. Maitresse m'a d'ailleurs fait suivre, dès le début, des cours ménagers et des cours de cuisine. Soumis, je n'ai plus le droit à aucune gaterie : alcool, vin, tabac sucreries ou petits plats me ***t désormais interdits. L'esclave ne peut avoir du temps libre pour trainer. Il doit toujours s'occuper aux corvées ou au bien-être des Maîtres. De même, je suis frustré sexuellement. Maîtresse m'interdit toute caresse sans *** ordre.




Depuis plus de six ans, je n'ai plus eu le droit de lui faire l'amour. En effet, Maitresse pense, à juste titre, qu'un esclave très frustré sera d'autant plus amoureux et servile et qu'une Maîtresse ne doit se faire pénétrer que par un homme de sa classe : un dominant. Seule la masturbation m'est accordée, mais pas systhématiquement et pas chaque soir. Maîtresse adore me laisser 'mijoter', fou de désir, durant quelques fois plusieurs jours.




Décrivons une journée d'esclave. Le matin, je vais préparer le petit déjeuner. Je réveille doucement Maitresse (qui peut être au lit avec un amant ou une amie intime). Je présente, à genoux, nu comme toujours, le plateau que je tiens, pendant que Maîtresse mange. Parfois, Maîtresse me fait allonger sur le dos dans le lit et s'assoie sur mon visage. Elle se sert alors de mon ventre comme plateau. Elle s'amuse dans ce cas à griffer me queue raide, à poser le bol de chocolat brûlant sur mes testicules, etc... Inutile de vous dire que c'est pour moi le bonheur quand je suis enfouis entre ses fesses, dans ses senteurs de la nuit.




Ensuite, je vais travailler au magasin. Elle peut me faire porter sous mon pantalon un gode-ceinture dont elle gardera la petite clé ! Je signale ici, qu'à la mai*** aussi Maîtresse peut me faire porter le gode. Ceci est très humi­liant devant les invités et spécialement devant les femmes ! C'est, je pense, une des ************ suprêmes pour un mâle.

chrislebo

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Entre midi et deux heures, le magasin reste ouvert. Je mange un sandwich dans l'arrière boutique. Maîtresse, la plupart du temps, partie depuis la fin de la matinée, ne rentrera que le soir. Bien sûr, si Maîtresse est dans l'appartement à midi, je ferme alors le magasin et je monte la servir.




Le soir, après la fermeture, jevais à pieds faire les courses sans avoir le droit de m'attarder. Je reviens dans I'appartemment, je me remets en tenue d'esclave, c'est à dire totale­ment nu, et je prépare le diner. Maitresse rentre, je me jette à ses pieds, les lui embrasse et la déchausse. Je déshabille avec douceur Maîtresse, lui faisant couler un bon bain chaud. Avant d'entrer dans l'eau, Maitresse aime se faire lécher sa fente merveilleuse. Je lui butine l'anus, je lave avec amour ce beau sexe, j'enlève les traces de sueur, je suis heureux. Bien léchée, voici Maîtresse dans *** bain moussant, elle peut lire longuement, Je reste à genoux à attendre ses ordres, à lui couler une nouvelle eau très chaude... Puis je savonne, rince et sèche Madame. Maîtresse enfile pour la soirée un large sweet, laissant *** minou et ses jolies fesses à l'air. Pendant qu'elle sirote l'apéritif au salon, je termine de préparer le repas. Je sers celui-ci à genoux, Maîtresse aime vider ses petits restes, gras, peau de fruits, pépins, etc... dans ma bouche. Quand des invités ***t là, c'est le même cérémonial. Je suis très stylé, choissant de bons vins pour mes Maîtres (vins auxquels je ne gouterai jamais !).




Quand les amies ***t présentes au repas, il n'est pas rare qu'à quatre pattes sous la table, je lèche à tour de rôle ces dames ! Après la vaisselle, je rejoins Maîtresse au salon. Je peux alors lui servir de pouf, de dessus de canapé ou être simplement allongé par terre à ses pieds, comme un bon chien.




Si Maîtresse a ce soir-là un amant avec elle sur le canapé, il n'est pas rare que ce soit le moment pour moi de lui faire une fellation correcte.




En effet, les amants ne se privent pas de m'utiliser sexuellement. Sous les rires de Maîtresse, je peux être durement sodomisé et ressodomisé toute la soirée.




Si des femmes ***t présentes, c'est terriblement humi­liant d'être possédé devant elles !




Je dois bien sûr, durant ces soirées, continuer à servir digestifs, champagne, etc...




Maitresse va ensuite se coucher. Si elle est seule, Je la rejoins au lit et je la lèche longuement.. Je dois lui masser les seins, les cuisses, le ventre avec dextérité et amour, tout ceci pour la détendre. En la léchant, Maîtresse arrive souvent à l'orgasme. C'est pour moi le plus grand des bonheurs que de voir par ma langue, *** joli ventre onduler, écouter ses râles, voir ses paupières closes !




Ensuite, après un dernier baiser sur ses pieds, je me couche à mon tour. Mais moi, c'est par terre, sur la moquette, près d'elle, que je m'allonge. Si ce soir-là Maîtresse couche avec une amie intime, je lèche les deux femmes. Je précise que Maîtresse a deux amies intimes : Martine et Caroline. Chacune des trois femmes à sa propre odeur sexuelle, sa pilosité, ses rondeurs per***nelles, etc... Je sais reconnaitre le goût de chaque sexe. Chaque anus a de même ses saveurs. Autant Maitresse a peu de poils, autant Martine cache ses attraits dans une forêt noire, drue et étendue de jolis poils.




Si Maîtresse a *** amant ce soir là , je n'ai droit à rien. Elle se réserve entièrement à lui ! Etendu au pied du lit, je les entends jouir et rejouir dans les bras l'un de l'autre. Quel bonheur quand j'entends Maîtresse qui crie de plaisir, pénétrée par *** amant, quand le lit grince de toutes parts, quand elle en redemande. Et moi, allongé à leurs pieds, je n'ai même pas le simple droit de me masturber. Mon sexe est raide depuis des heures et je ne peux me satisfaire.




En effet, plus Maitresse jouit, moins j'en ai la possibilité. Le désir est si grand qu'il m'arrive de demander d'être ligotté pour m'empécher de me masturber. Je passe alors la nuit attachée serré, engodé et le slip de Maitresse sur le museau. Maitresse aime alors jouir bruyamment pour m'humilier encore plus. Inutile de vous dire que ces nuits-là je ne ferme pas beaucoup l'oeil !




Mon rêve est de pouvoir pénétrer un jour de nouveau Maitresse. En effet, nous faisions l'amour au début de nos relations. Pensez que ce sexe de femme, je le cottoie à quelques milimètres quand je le lèche, quand je le nettoie et que je n'ai plus le droit d'y mettre ma queue !




Je rêve aussi de me faire faire une fellation. Cela aussi m'est interdit. Devant moi, Maîtresse fait de bonnes 'pipes' à *** amant, avalant le sperme, grignotant la queue, la suçant. Quand elle le fait, elle adore dire: «Ca, c'est réservé aux Maitres ! ». En fait, un des grands plaisirs de l'esclave est de se sentir vraiment esclave.




Depuis trois ans, nos relations de domination ont encore évoluées. Maîtresse (et ses amies) ne se servent plus de papier WC à la mai***. Une langue d'esclave peut essuyer délicatement des poils et une fente mouillée ou enlever toute souillure d'un bel anus ! Ainsi, après chaque passage d'une femme aux toilettes, j'arrive. Je tiens à dire que les femmes adorent se faire toucher par une langue servile. De plus, Maitresse aime s'accroupir au-dessus de ma bouche et se libérer totalement en moi. C'est un bouillon de luxe pour un esclave. Maîtresse s'amuse aussi à me faire avaler des choses plus consistantes. « C'est pour bien te rappeler ton rôle » me dit-elle en poussant. C'est la communion suprême entre Maître et esclave.

chrislebo

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Maintenant, il n'est pas rare que Maîtresse s'accroupisse au-dessus de ma gamelle pour donner un peu plus de goùt aux restes de nourriture.




Quand Martine et Caroline passent une journée (ou une nuit) à la mai***, il arrive qu'elles m'humilient ainsi toutes les unes après les autres. Après, je dois aller me laver dans la salle d'eau que Maitresse a fait construire à mon intention. En effet, Ia mai*** étant domaine de Maitre, je n'ai qu'une douche, un lavabo et un WC sommairement aména­gé, en bas, dans l'arrière boutique.




Parlons maintenant des punitions. Maitresse me punit très souvent non pour des fautes, mais par simple plaisir. La première punition est le martinet. Plusieurs fois par semaine, une séance me fait rougir le cul. C'est immanquable si Martine ou Caroline ***t là. Quand plusieurs femmes ***t ensemble, cela décuple leur envies ! A la belle sai***, c'est avec des orties que je dois confectionner un fouet! Les pinces à linge me ***t appliquées sur les testicules assez souvent. Là encore, quel plaisir ont les femmes de me voir faire le service avec dix ou quinze pinces accrochées aux testicules. Le gode, comme je l'ai dit, m'est aussi souvent imposé.




Maitresse aime aussi me ligoter dans diverses positions, toutes plus humiliantes les unes que les autres. Maitresse m'attache en chandelle, les jambes ramenées derrière la tête, le cul en l'air. Elle aime m'enfoncer alors une bougie allumée et à la lueur de *** chandelier, elle baise avec *** amant ! Je passe des nuits attaché, la tête dans la cuvette des WC, les mains ligotées par derrière, à genoux. Pendant que Maîtresse dors confortablement dans les bras de *** amant, je respire les odeurs, là encore humilié... et heureux !




La punition la plus fréquente est 'le placard'. Maitresse m'enferme dans un placard qu'elle a fait aménager. Deux bracelets au mur, m'immobilisent en position accroupie. Maitresse m'envoie au placard des heures, sinon des jours entiers. Elle m'y envoie quand, par exemple elle recoit un amant, ou des amis ignorant mon existence. Elle se dit alors seule à la mai***. Elle peut m'y envoyer aussi quand elle n'a plus besoin de mes services, pour m'oublier un peu, ou bien juste pour *** plaisir. J'y passe des dimanches entiers quand celle-ci part avec un amant. Elle m'y a laissé plusieurs fois un week-end entier, du samedi matin au dimanche soir.




Dans le noir, courbaturé, immobile, souvent engodé, j'attends le retour d'une Maîtresse merveilleuse. Alors que Maîtresse s'amuse, se promène, fait l'amour, je suis là à attendre *** retour.




Quand, après avoir passé des heures interminables à attendre, j'entends enfin le rire fluté de mon adoroble Maîtresse, Quel bonheur ! Elle me fait encore attendre après *** retour surtout si elle refait l'amour avec un amant.




Libéré, je baise longuement ses pieds. Décourbaturé, je cours me vider dans mes WC. Maîtresse aime, le soir, me raconter sa sortie, insistant sur les détails anormaux ou sur les bons moments, aimant me dire : « Ah ! si tu n'étais pas un esclave, attaché dans le placard, tu en profiterais, tu serais mon amant... ».




Voilà , notre vie de domination, épanouie et heureuse

chrislebo

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IRENE MA SECRETAIRE



Il s'agissait d'une annonce dans un journal gratuit où j'avais proposé de me soumettre à des hommes, femmes ou des couples particulièrement vicieux et imaginatifs : « pour fantasmer tous azimuts ». Ma garce de secrétaire ouvrit toutes les lettres, tira des photocopies et pas génée le moins du monde, vint dans mon bureau me remettre ce courrier d'un genre très spécial. Elle avait fermé la porte. Inutile de vous expliquer ce qui ce passa dans ma tête en m'apercevant qu'elle avait tout lû. J'étais pétrifié, me doutant que cette salope comptait en tirer des avantages puisque, assise en face de moi, elle remontait maintenant sa robe pour me montrer *** slip d'où s'échappait des touffes de poils. Je cherchais ce que j'allais pouvoir dire, quand d'une voix sêche, elle me lança : « A genoux esclave et Lèche moi ! »

Je crois avoir essayé de dire : « vous êtes folle » ou quelque chose comme ça, ce qui me valut une menace d'envoyer à mon épouse quelques documents intéressants. De la même voix dure, elle me demanda d'obéir immédiatement. Je n'avais pas le choix, et je pensais qu'en lui donnant du plaisir, je reprendrais une certaine emprise sur elle. Il n'en fût rien, bien au contraire. Elle m'obligea à lire mes lettres à haute voix, à me masturber sur la plus exitante de toute et à lécher le papier couvert de ma semence, puis elle confisqua mon courrier er s'en alla. Elle revint une demi-heure plus tard. J'étais prostré. « Téléphone à ta putain légitime, esclave, pour lui dire que tu ne rentreras pas de la nuit.

- Mais enfin, c'est impossible !

Elle éclata de rire. « Je ne te demande pas ton avis, chien. Cette nuit tu viens chez moi où alors je dis tout à ta putain moi-même »

J'inventais une histoire folle de représentant accidenté à 200 kilomètre de là et après le départ du per***nel je descendis avec Irène qui me conduisit chez elle. Elle me fit déshabiller et m'odonna de faire la vaisselle, de passer l'aspirateur. J'étais ridicule. Je dus aussi lui servir à boire et me mis à bander. Pour cette érection non autorisée, Irène me fouetta avec une violence inouie à l'aide de ma ceinture. Je gardais des marques pendant trois semaines. Je ne lui fis pas l'amour mais elle se fit longuement lécher avant d'aller se coucher et m'enchaina au pied du lit, m'obligeant à dormir par terre sur une simple couverture. Le lendemain matin, elle me libéra en me disant qu'elle n'irait pas au bureau puisque je lui avais donné sa journée. Au point où j'en étais, que pouvais-je dire ? Elle ne vint pas non plus le surlendemain mais me téléphona en me disant de prévenir ma putain qu'il rne fallait de nouveau découcher. J'eus beau proroger et essayer de discuter, rien n'y fit, elle fut au contraire très menaçante...

J'utilisais cette fois encore, mon soi-disant accidenté, pétextant que *** état inspirait des inquiétudes et ma femme alla même jusqu'à me plaindre d'être obligé de ... Bref, javais un peu honte. A 19h30, j'étais chez Irène. Deux types étaient assis au salon. Elle me présenta comme *** esclave et m'ordonna de me déshabiller. Je dus rester nu et à genoux au millieu du salon pendant que les autres papotaient. Irène se mit à caresser la braguette du plus agé. "Tu bandes Jean Charles, ça te ferais plaisir de m'enculer ?" L'autre se déboutonna exhibant un sexe plutôt imposant et décréta qu'il avait envie d'une pipe. Il vint alors vers moi et s'enfonça dans ma bouche. Au cours de la soirée et de la nuit, je dus satisfaire toutes leurs exigences. Irène m'engoda, Claude me sodomisa deux fois et Jean-Charles, adepte des pipes, se vida à trois reprises dans ma gorge. Je fut un peu fouetté, ma maitresse acceptant de m'épargner compte tenu des marques de l'avant-veille qui zébraient entièrement mon corps. Par contre, cette garce fit de nombreuses photos. Je savais qu'avec ça elle allait me tenir définitivement et pourtant, je commençais à prendre goût à ma nouvelle condition. Quinze jours plus tard, il me fallut avouer à ma femme que j'avais une liai***. J'étais chez Irêne et c'est elle qui m'a tendu le téléphone après avoir composé le numéro de mon domicile. Mon épouse à été d'une patience exemplaire. Nous avons divorcé l'année dernière, et j'ai épousé lrène sous le régime de la communauté universelle. Elle gère tous mes biens et mes revenus qui ***t versés sur *** compte dont je n'ai pas la signature et je suis sous *** entière dépendance financière. Elle est enceinte mais pas de moi et pour cause, je n'ai jamais fait l'amour avec elle. Le jour de notre mariage,elle m'a fai tatouer ses initiales sur mon pubis et m'a installé un dispositif de chasteté en inox médical dont la fermeture à été soudée de façon permanente. Voilà donc un an que je n'ai plus eu aucun plaisir et plus aucun contact avec mon sexe, si ce n'est celui de cette cage qui le comprime fortement lors de mes érections.

Je n'ai ce que je mérite et ce que j'ai voulu et je ne suis pas malheureux. Ce qui me gène, c'est que mon ex-femme ne s'est pas très bien remise de notre divorce. Je ne fais plus rien avec les femmes si ce n'est ce que font les esclaves : Léchouilles et touche-cul. A la mai***, je ne dois porter que des dessous féminins avec soutien-gorge et porte-jarretelle et Irène à décidé que ma seule sexualité serait celle d'une femme, c'est à dire que j'ai le droit aux hommes à condition de rester passif et soumis et de recevoir mes amants ou les types que mon épouse à choisi dans une chambre dont Irène à enlevé la porte. Hier encore, j'ai pleuré de plaisir en me faisant défoncer par l'amant actuel d'Irène : Un noir immense avec une queue comme un baobab qui a passé près de 3 heures à s'occuper de mon cul

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