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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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Paradoxe de la volupté



C'était en 89, au printemps, 3615 et hop... C'est parti... Me voila sur le Minitel "rose ", à cette heure tardive, je vais encore rencontrer des adeptes, comme moi, des conversations sur la domination, et, pourquoi pas, tomber sur une "Maitresse " en mal de soumis... Le rêve... Ou plutôt, le fantasme, car combien de fois ai-je tapoté sur le Minitel, avec cette résolution : Cette fois, si je trouve une femme qui veut me soumettre, je fais un essai. Mais, hélas, à chaque rencontre sur le petit écran, les postulantes à ce jeux s'avèraient toujours alléchantes, mais jamais aucune d'entre elles ne passait à l'action, juste des écrits, là, sur le Minitel... Voyons ce soir... Qui est-là ? Toujours les mêmes répondeurs électroniques qui vous débitent des réponses toutes faites pour que vous restiez connecté le plus longtemps possible... Tiens, une nouvelle venue : Maitresse Caroline... Joli prénom, voyons si le CV est alléchant : " Cherche soumis ou soumise pour séances ou plus si affinités ".C'est bref mais c'est clair ! Pourquoi pas ? Encore une qui coupera la communication quand il faudra passer aux actes...J'affiche à l'écran : " Quelles sont les conditions ? " La réponse ne se fait pas attendre : " Qui est tu ? Si c'est pour blablater, laisse tomber, mais si tu veux du réel, alors réponds " Tiens ce n'est pas la réponse habituelle, allez, je me lance " J'ai trente ans, je suis plutôt enrobé, 1.70m pour 75 kg, châtain clair, et toi ? " Les quelques secondes qui passent en attendant la réponse, me permettent d'imaginer, de rêver, que, peut-être, cette fois, c'est du Réel !

La réponse arrive enfin : " tout d'abord, c'est VOUS, et si tu veux continuer cette conversation, c'est Maîtresse Caroline, et enfin, tu me donnes ton téléphone, tout de suite ! Ca devient sérieux, mais qu'est ce que je risque ? Mon épouse, qui elle, ne veux rien entendre à tout ce qui à trait à la domination, dort profondément à l'autre bout de la maison, alors... Pourquoi pas ?

Je tape les six chiffres de mon numéro de téléphone sur le clavier, puis j'envoie... Je coupe la communication et j'attend.... Une minute passe... puis deux... encore un fantasme ! Elle ne m'appellera pas... Je sursaute : Le téléphone sonne, je me jette sur le combiné et décroche, mon coeur est prêt d'éclater, c'est la première fois, que je vais si loin dans mon "fantasme"...

J'émets un " "allô!" presque inaudible, et une voix féminine m'annonce tout de suite la "couleur", sèche, mais pas vraiment dure, tout simplement autoritaire, qui, je crois, n'admet pas de réplique : " A genoux, quand tu me parles ! Et d'abord, tu ne parleras que lorsque je te l'autoriserai ! " Inconsciemment, je tombe à genoux, je me sens presque mourir, à la fois d'émotion, de plaisir et d'appréhension. " Ecoutes bien, Chris,(c'est le nom que que j'avais tapé sur le Minitel) j'habite dans ta région de ToursRennes, ", Elle me donne l'adresse d'un restaurant et me dit de m'y rendre le lendemain pour le déjeuner, à 12h 30 précise, en demandant la table de Madame D. Puis elle raccroche. Je reste là, à genoux, le combiné téléphonique à la main, le front couvert de sueur...Est-ce la réalité, ou suis-je victime d'une hallucination ? Je repose lentement le combiné, puis me relève. Là, debout, planté prés du téléphone, je réfléchis : Que faire ? Est-ce une blague ? dois-je y aller ? Tout se bouscule dans mon esprit et c'est dans un état second que je vais me coucher... Mais le sommeil ne vient pas.

Au petit matin, ma décision est prise : Je n'irai pas à ce rendez-vous, la raison l'emporte sur la passion. C'est de fort méchante humeur que j'entame la matinée. Après une journée bien remplie (je travaille dans le tourisme), je rentre chez moi et mes aléas de miniteliste de la veille ne sont plus qu'un souvenir. Je m'installe devant la télévision en compagnie de mon épouse et, vers 22 heures, le téléphone sonne : Panique à bord. Je saute sur le téléphone, à la grande surprise de ma femme, qui ne m'a jamais vu me précipiter de la sorte pour répondre et, blanc comme un linge, les jambes flageolantes, je prononce un " allô" dans le même répertoire que la veille. C'est bien Elle. Je me sens presque défaillir, heureusement mon épouse s'est réinstallée devant la télé et parait très intéressée par une émission de variétés. Maîtresse Caroline semble très en colère et d'une voix martelée, me fait comprendre que j'ai fait une grave erreur : Chris, tu n'est pas venu et ça, je ne le tolère pas. C'est toi qui m'a contacté et je t'avais prévenu : je n'aime pas les plaisantins. Alors tu as deux solutions : soit tu obéis, soit je m'arrange pour que l'on en sache un peu plus sur toi...! Je suppose que tu as une famille, un travail, il m'est très facile de savoir tout ça. J'ai des relations bien placées et je pourrais tout savoir de toi... Alors écoute bien : Demain, je t'attend au même endroit et à la même heure et je pense que tu as intérêtintèret à venir...! Puis elle raccroche. Décomposé, tremblant comme une feuille, je pose le combiné, puis réfléchis non sans mal, car tout s'embrouille. Bien sûr, si je n'avais pas donné mon numéro, je n'en serais pas là, mais maintenant le mal est fait. Bon, je ne vais pas me laisser faire, je vais y aller et lui dire ma façon de penser, ce n'est pas parce que je suis un adepte du Minitel et que je fantasme sur la domination que je vais me laisser mener par le bout du nez par la première venue, je ne sais même pas qui elle est et à quoi elle ressemble, alors...

Je rejoins ma femme au salon bien décidé à mettre un terme à cette farce qui commence à mal tourner. Chérie, demain je dois faire journée continue, c'est un collègue qui est malade. Mon épouse, absorbée par l'émission de télévision n'a même pas remarqué ma voix un peu étranglée et me répond distraitement que je fais comme je veux comme d'habitude.

Pour la deuxième nuit consécutive, j'ai du mal à fermer l'oeil, mes quelques assoupissements sont peuplés de femmes bardées de cuir avec un air cruel et un fouet à la main, mais cette fois-ci, la vision tiens plus du cauchemar que du rêve car je me réveille en sursaut au moment ou ces femmes me lacèrent de coups de fouet. Enfin le réveille sonne et je rejoins la réalité, un peu vaseux, comme après une bonne nuit de fête, mais quand même prêt un mettre un terme à tout cela.

Je me rend donc au restaurant indiqué, mais une bonne heure avant le rendez-vous, afin de repérer les lieux mais aussi de " La " voir arriver et ainsi déjà, sinon la connaître, tout au moins éviter la surprise quand je me trouverai devant elle et peut être prendre l'avantage...

L'heure du déjeuner approche, " Elle " n'est toujours pas arrivée, peut-être ne viendra-t-elle pas ? Cela m'éviterait bien des soucis et me permettrait de la moucher si elle avait le culot de me téléphoner encore un fois. 12 heures 30 passé de quelques secondes..., elle ne viendra pas, mais pour plus de sûreté, je sors de ma voiture et entre dans le restaurant, peu fréquenté à cette période de l'année. Par acquis de conscience, je demande à la réceptionniste la table de Madame D. Et celle-ci me répond tout sourire :

- Bien sûr Monsieur, c'est la table au fond, derrière les grands bouquets de fleurs.

chrislebo

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#7,622
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Mince, me dis-je, per***ne n'est entré et elle est déjà là, il doit certainement y avoir une autre entrée... Je me dirige vers la table indiquée dont je n'aperçois qu'un coin car elle est cachée par une somptueuse composition florale. Je m'avance prêt à sortir les phrases préparées pour " liquider " l'adversaire avant qu'elle n'ai le temps d'attaquer. Enfin j'aperçois une main aux doigts effilés jouant avec le couteau sur la nappe blanche. Ces quelques mètres qui me séparent de la table me paraissent un véritable parcours du combattant, chaque pas provoque en moi une véritable révolution, je sens ma gorge se dessécher, et je me sens fondre d'angoisse, perdre mes moyens. Ca y est, je suis devant " Elle ", je n'ose la regarder, mon coeur bat à une cadence effrénée, j'ai toujours les yeux fixés sur la main qui joue avec ce couteau. Je voudrais dire tout ce que j'ai préparé, mais aucun *** ne sort de ma bouche et c'est dans un état second que j'écoute, j'écoute celle qui m'a déjà conquis et va faire de moi...

- Chris, tu as trois minutes de retard, de plus tu aurais du te présenter à genoux, comme je te l'ai dis, mais, comme je suis magnanime et que, peut-être, tu es encore novice, je me contenterai de noter ces deux erreurs, nous les absoudrons plus tard... Ta présence prouve ta bonne volonté, et c'est déjà une bonne chose. Je vois que tu gardes les yeux baissés, c'est bien.

Elle marque un temps d'arrêt, peut-être pour me permettre d'assimiler tout ce qu'Elle a dit ou bien juste pour m'observer. Sa voix est beaucoup plus douce que je ne l'avais entendue au téléphone, un peu grave pour une femme, mais aux fins de mots soufflées qui me font fris***ner de plaisir. Je commence à sortir de ma torpeur et , peu à peu je relève les yeux. Mon regard monte le long du bras légèrement halé, puis atteint l'épaule, recouverte d'un chemisier de soie blanche. Là, je peux admirer un décolleté profond et la naissance d'une poitrine aux rondeurs épanouies soutenue par un petit soutien gorge blanc dont j'aperçois la lisière. Là aussi, la peau est légèrement bronzée. Puis j'ose remonter le long du coup que je perçois nerveux et fin, et enfin j'arrive au visage, à la fois dur et serein, un léger sourire est dessiné par une bouche charnue, presque une petite moue permanente d'un rouge éclatant car les lèvres carminées donnent encore plus de relief à ce qui parait être un mirage. Les narines, légèrement dilatées, palpitent à chaque respiration, le petit nez, à peine retroussé, semble être le plus beau nez que j'ai jamais vu. Enfin, je croise *** regard, bleu, profond, avec une sorte d'éclat métallique qui veux vous transpercer. Je reste là, sans bouger, sans pouvoir dire un mot, mes yeux fixés dans les siens, ne pouvant me détacher de *** regard, comme **********, envoûté. Envolé mes résolutions, mes phrases préparées. Il se dégage de cet " être " une *****, une puissance cérébrale, une impressionnante autorité, qui me laissent pantois. Ce visage, encadré d'une chevelure châtain foncé brune méchée de blond, coupée court, presque à la garçonne, dégage une sensualité sans bornes. Le sourire s'efface, elle reprend :

- Regarde autant que tu veux si ça te fait plaisir, mais dis-toi que c'est la première et la dernière fois que tu me regarde dans les yeux. Désormais, plus jamais tu ne seras autorisé à croiser mon regard, et si, par hasard, tu t'avisais de désobéir, cela te coûterai très cher, crois-moi...! Bon assez bavardé, tu es là, c'est donc que tu as décidé d'être à Moi. Tu vas sortir et tu vas attendre dans ta voiture que j'ai fini de déjeuner, mais auparavant, donnes moi tes papiers et tes clefs afin d'éviter que tu ne fasses quelque chose que tu puisses regretter.

Je sors de ma poche mes clefs et lui tends mon porte feuille. Elle s'en saisit et dit :

- Allez, files, et installe-toi au volant de ta voiture, j'adore me faire conduire.

Comme un automate, je fais demi-tour et me dirige vers la sortie. L'air frais de l'extérieur me fait retrouver quelque peu mes esprits et encore un peu abasourdi, je reste là sur le pas de la porte à réfléchir : Mais qu'est ce que je fais là ? Pourquoi ne lui ai-je rien dit ? Tout un tas de questions me vient à l'esprit. Lentement, je me dirige vers ma voiture, m'y installe, et attends. C'est sur mon terrain que je serai le plus fort, quand elle s'installera à coté de moi, je lui dirai que je regrette mais que c'est une erreur et qu'elle veuille bien me pardonner, puis me laisser tranquille. Si il le faut je lui donnerai de l'argent pour payer les frais que tout cela aura pu lui occasionner. 14 heures, je la vois sortir du restaurant, féline, sa démarche ondulante fait vibrer sa poitrine plus opulente qu'elle ne m'était apparue tout à l'heure. Je peux du coin de l'œil, détailler *** corps qui, sous un tailleur gris, semble presque parfait, presque, car je n'ai pas le plaisir de le voir de prés et sans... vêtements ! Malgré la situation ennuyeuse dans laquelle je me suis mis, je me sens quelque peu excité et j'ai des difficultés à garder mon sang froid quand elle monte à coté de moi. Un parfum envoûtant, Parfum d'été de Kenzo, je crois, envahit l'habitacle et je me sens transporté dans un monde de sensations... Elle me tend les clés et dit :

- Tu roules droit devant et je te dirai quoi faire.

Je démarre, et, une fois sur la nationale, je vaincs mon émotion et dis :

- Madame, je ...

Une claque magistrale me cloue le bec, me faisant faire une embardée. Profitant de cette mise en condition, si je puis dire, elle enchaîne :

- Je sais, tu crois que tu vas pouvoir faire demi-tour, que tu vas pouvoir m'envoyer balader, me dire que c'était pour s'amuser, peut-être vas-tu me proposer un peu d'argent pour pouvoir fuir, fuir ce que tu considères encore comme une bêtise... Mais là, tu fais une erreur, tu es à Moi, que tu le veuilles ou non, que tu en sois conscient ou non, dés que j'ai reçu ton numéro de téléphone sur mon Minitel, tu étais à Moi, et toi, inconsciemment, tu t'es donné, tu t'es offert à Moi. Le reste n'est plus maintenant, que pure formalité. Physiquement, tu sembles assez résistant pour endurer ce qui me plaît, tu n'es pas bête d'après ta situation professionnelle, et je pense que, vu ton comportement et tes réactions, tu es certainement, sans le savoir, un soumis-né, même si, dans la vie courante tu sembles sûr de toi, c'est que tu n'avais pas encore rencontré La Femme, la vrai, celle qui te révélerai ta véritable nature. Alors voilà comment je vois la suite des événements, ou plutôt comment les choses vont se passer :

" 1 Tu vas démissionner. 2 Tu vas dire à ta femme que tu demandes le divorce à tes torts et tu feras en sorte que ça aille vite. Je te laisse six mois pour en terminer avec cela. En attendant, tu vas te débarrasser de tout ce que tu possèdes en le mettant au nom de ta femme. Je veux que dans six mois, tu n'aie plus à toi que ton nom... De toute façon, tu n'as pas le choix car si tu penses changer cela, je ferai en sorte que ton employeur te licencie et que ta femme te quitte. Je pense qu'il est plus normal que cela se fasse de par ta volonté, c'est toi qui l'a voulu, pas ton employeur, ni ta femme, alors prends, une dernière fois, tes responsabilités. Dés que tu en aura fini avec ton monde médiocre et sans relief, je te ferai connaître une vie durant laquelle chaque battement de ton cœur, chaque geste, chaque pensée, tu me les devras et tu m'en seras éternellement reconnaissant. Tournes là à droite, dans le chemin."

Je tourne, comme indiqué, dans un petit chemin qui mène vers un bosquet, nous devons avoir fait 10 à 12 kilomètres depuis le restaurant. Arrivé dans le bois, Elle me fait stopper.

- Descends, et à genoux !

Je descend donc, et m'agenouille sur le tapis de feuilles mortes un peu humide. Elle descend à *** tour, ouvre *** sac et en sort un petit paquet en papier d'aluminium. Elle l'ouvre et me met *** contenu devant le nez.

chrislebo

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#7,623
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- Mange, ce ***t mes restes de ce midi au restaurant. Quand tu sera à moi, chez moi, ce sera là, ta nourriture quotidienne, presque un repas de fête, et ce jusqu'à ta mort...

Le mélange d'odeurs me fait lever le cœur, mais, comme **********, j'avance la main pour prendre les déchets. Une claque retentissante me fait vaciller.

- Tu n'es pas un peu malade de vouloir manger avec tes doigts. Avec moi, si j'ai la bonté de te nourrir, il te sera obligatoire de manger sans l'aide de quoi que ce soit. Tu as une bouche, utilise-la !

J'approche ma bouche du papier, et commence à ingurgiter les déchets de pomme, de viande, de fromage, de salade et d'autres choses dont le goût très discutable me donne la nausée. Une fois le paquet terminé, Maîtresse Caroline s'assoie sur le capot de la voiture, jambes croisées, et dit :

- Maintenant, pour notre première rencontre, comme ta as été très gentil, que tu as bien obéit, je vais te récompenser. A poil ! Dépêche-toi !

Je reste à genoux, réalisant qu'une ***** (ou une faiblesse ?) intérieure me pousse à obéir à cette Femme dont je ne connais rien. Un coup de pied à l'estomac me rappelle à l'ordre et comme un automate, toute fierté, toute autorité brisée, je commence mon déshabillage. Une fois en slip, j'arrête et j'attends. J'ai dit : A poil ! Encore hésitant, je quitte mon slip et reste penaud les mains dissimulant mon sexe à demi tendu car, malgré la honte qui m'envahit, le piment de la situation me fait quelque peu réagir. Il est vrai que je ne suis pas vraiment conscient, à ce moment là que je viens de basculer, qu'une page de ma vie vient de se tourner, et que jamais je ne vivrai comme avant...

- Tes mains dans le dos ! Voilà c'est mieux !

Elle pose *** escarpin sur mon sexe, et s'amuse avec.

- Je vois que ça a l'air de te plaire, bien, alors à genoux et lèche !

Elle me tend sa chaussure un peu humide et collante de la terre du sous-bois, et moi, comme groggy j'ouvre la bouche, et, du bout de la langue, je commence à nettoyer le cuir fin de *** escarpin. Un goût saumâtre m'envahit la bouche et j'ai du mal à réprimer un haut le cœur, mais fort heureusement, le parfum de ma Maitresse m'emplit de nouveau les poumons et mes yeux ont la chance de pouvoir apercevoir ses longues jambes jusqu'à la naissance de sa jupe relevée à mi-cuisse de par sa position assise, jambes croisées.

- La semelle aussi !

Et pour ce faire, Elle relève légèrement le pied et par-là même, la jambe, et j'ai le plaisir, le bonheur, de voir la bordure du bas ainsi qu'une des jarretelles le retenant. Face à ce spectacle au plus haut point érotique, le goût des semelles me paraît exquis et j'aurais voulu que cela dure longtemps, longtemps...

- Ca suffit, maintenant écoute bien ce que je vais te dire : Je te laisse une semaine pour entamer une procédure de divorce et démissionner de ton emploi. Jeudi en huit, tu viendras me rendre compte de tout cela, ici même. Je veux te retrouver dans la même tenue et dans la même position, c'est à dire nu et à genoux à 12 heures 30. Maintenant je reprends ta voiture, je la laisserai devant le restaurant ou tu pourras la reprendre tout à l'heure. Cette petite marche te fera beaucoup de bien. Embrasse une dernière fois ma chaussure, et remercie-moi de la bonté que j'ai de te prendre en main !

J'approche mes lèvres de l'escarpin et embrasse le bout avec application, sinon dévotion, puis, chuchote un "merci Maîtresse d'avoir la bonté de me prendre en main. " Elle descend du capot de la voiture, fouille dans *** sac et en sort un petit appareil photo, puis prend quelques photos de moi, là, à genoux et nu.

- Ca peut toujours servir, si l'envie te prenait de ne pas obéir. J'ai maintenant de quoi briser ton avenir professionnel et ton mariage.

Elle range l'appareil dans *** sac, puis prend la place du conducteur, et repart avec ma voiture, me laissant seul, à genoux et nu, avec mes vêtements éparpillés autour de moi. D'un seul coup la tension tombe et je sors de cette torpeur qui m'avait envahie, depuis ma rencontre avec cette Femme.

La fraîcheur du sous-bois me fait fris***ner et, tout ankylosé, je me relève et m'habille afin d'éviter, non seulement le coup de froid, mais aussi que quelqu'un puisse me surprendre nu et dans cette position. Je commence à me rendre compte du ridicule de la situation et mon caractère d'habitude plutôt énergique reprend peu à peu le dessus. Une fois rhabillé, je prend le chemin du retour qui va me permettre de réfléchir un peu et de chercher une porte de sortie à ce petit jeu, qui, même s'il est excitant, n'en est pas moins ennuyeux pour mon avenir per***nel et professionnel. Tout en marchant, je fais le point.

La manière dont s'y est prise cette Femme est tellement parfaite que j'ai beau réfléchir et retourner le problème dans tous les sens, je ne trouve pas de solution pour éviter de tomber sous *** joug. D'un autre coté, ma vie actuelle, sans être médiocre comme Elle le dit si bien, n'est pas vraiment des plus agréables. Après plus de 10 ans de mariage, mon épouse semble de moins en moins tenir à moi, et il n'y a plus entre nous qu'une amitié, sincère certainement, mais la passion n'est plus au rendez-vous, hélas. Coté professionnel, il est vrai que j'aime mon travail, mais pas assez passionnément pour faire cela toute ma vie, et quoi faire d'autre, aucune envie, aucune passion, en fait, en regardant les choses en face, mon avenir est plutôt terne... Elle n'a pas vraiment tort... De plus, dés mes premiers émois sexuels, j'ai toujours été attiré par les Femmes de caractère, être un fainéant en amour, j'ai toujours aimé être dirigé plutôt que de diriger. j'ai aussi été toujours été attentif au plaisir de ma partenaire et j'ai toujours fait passer *** plaisir avant le mien. Il m'est même souvent arrivé de leur donner du plaisir sans pour autant prendre le mien, et ces moments là m'ont toujours apporté un certain bien-être psychologique, voire même une certaine volupté. J'en suis là dans mes réflexions quand enfin j'arrive sur le parking du restaurant ou je retrouve ma voiture, les clés sur le contact et le portefeuilles posé à Même le plancher, coté passager. J'observe les alentours espérant revoir ma Belle Maîtresse, mais aucun signe de vie ; Je reprends donc la route vers mon domicile, qui bientôt ne le sera plus car ma décision est prise : Elle me veut ! Et bien, soit, Elle m'aura... Ce coup de foudre, ce coup de coeur, cette passion soudaine est peut-être, non, certainement une folie, mais Elle a rai***, je le voulais et j'en ai envie, sinon je ne serais pas là aujourd'hui. Alors...

Remettre ma démission fut une chose facile, presque agréable, comparé au pénible moment ou j'ai annoncé à ma femme ma décision de divorcer. D'abord, elle ne m'a pas cru, c'est seulement quand nous sommes allé voir ensemble avocat et notaire pour tout préparer qu'elle a compris que ce n'était pas une plaisanterie. Là, elle a tout entrepris pour qu'il ne me reste rien, chose aisée, puisque justement, je ne voulais rien. Enfin le jeudi suivant arrive et, c'est très angoissé que je me rend au " petit bois ". j'arrive avec 15 minutes d'avance, et j'attend 12 heures 25 pour me mettre nu et à genoux comme Elle me l'avait demandé. J'attends, j'attends un certain temps, j'entends 13 heures ***ner au loin, au clocher d'une église. Et si Elle ne venait pas ? J'ai tout foutu en l'air pour Elle. La peur m'étreint et je commence à m'en vouloir de m'être laissé emporté dans cette histoire.

chrislebo

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#7,624
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Soudain j'entends un bruit de moteur derrière moi qui s'approche. Si ce n'est pas Elle, je vais mourir de honte. Mais si c'est Elle, je ne peux pas me retourner car je sais qu'il m'en cuirait... J'entends la voiture stopper à quelques mètres derrière moi. Une portière s'ouvre, puis se referme. Pourvu que ce soit Elle...Des pas... Des pas approchent doucement... Puis soudain, un parfum, Le parfum, J'ai reconnu *** parfum, je " sais " que c'est Elle.. L'excitation de la savoir derrière moi, mais de ne pouvoir la voir, de savoir qu'Elle est venue ette que donc je n'ai pas eu tort de continuer dans la voie que je m'étais fixée, me font fris***ner.

Les pas s'arrêtent, Elle doit être juste derrière moi. J'entends un bruit métallique, puis un contact froid sur mes poignets... Des menottes ! Deux petits déclics et me voilà menotté les mains dans le dos.

- Bien, cette fois ci tu es venu, tu es à l'heure, et dans la bonne position. Maintenant, tu vas me rendre compte des démarches que je t'avais demandé d'effectuer.

Je lui explique donc que dans 3 semaines, le préavis terminé, je serai sans emploi, et que pour mon divorce cela prendra 2 mois vu que je prends tous les torts à ma charge et ma femme semble satisfaite de ma volonté de tout lui laisser.

- Je vois que tu as décidé de m'obéir et d'être à moi sans aucune limite !

Le " sans aucune limite " me fait l'effet d'une douche glacée et une peur viscérale m'étreint, j'arrive cependant à articuler :

- Oui, Maîtresse.
- Bien, je veux que tu saches bien que tu n'as rien à regretter car j'ai une certaine expérience dans le domaine de la domination, et j'ai décelé en toi, dés les instants de notre rencontre des détails qui me prouvent que tu es un esclave-né, qu'il suffisait de mettre à nu ta vrai per***nalité pour qu'enfin tu t'assume. Pour l'instant, tu ne présente aucun intérêt à mes yeux puisque tu n'es pas totalement libre. Alors tu vas rentrer chez toi, et le jour ou tu seras prêt, ou tu n'aura plus rien, ni attaches, ni biens, ni argent, juste tes vêtements sur toi, tu te rendra la gare dont le nom est inscrit sur cette clef et tu ouvrira la consigne qui correspond à cette clef.

Elle dépose la clef sur le capot de ma voiture.

- Et tu suivras les instructions.

J'entends une nouvelle fois un bruit métallique et mes chevilles se trouvent, elle aussi, menottées. Puis elle s'éloigne vers sa voiture. J'entends le bruit du coffre que l'on ouvre, puis que l'on referme, puis elle revient vers moi.

- Il faut pour devenir mon esclave être endurant et supporter tout ce dont j'ai envie, tu le sais, aussi j'ai décidé de te donner un petit avant-goût de ce qui t'attend lors de ta prise en main. Je vais être aujourd'hui magnanime et te marquer seulement de 20 coups de cravache afin que tu penses à moi pendant quelques jours, lorsque tu t'assoiras...Penche-toi en avant et met le front au sol, fesses relevées.

Je m'exécute, terrorisé à l'idée de la douleur que je vais endurer. J'avoue que la soumission m'a toujours fait fantasmer mais là, la réalité dépasse la fiction, et j'ai peur, maintenant de ne pas être à la hauteur.

- Tu vas compter les coups à haute voix et me remercier à chaque fois.

Sclac ! La douleur terrible me surprend comme une brûlure, mais elle disparaît presque aussitôt, laissant la place à une douleur intérieure plus lancinante, plus profonde. La gorge serrée, je parviens à articuler difficilement un:

- Un, merci Maîtresse.
- Plus fort, s'il te plaît.

Un deuxième coup me fait sursauter, et mes fesses commencent à me brûler. La douleur est, cette fois, plus longue à s'atténuer.

- Deux, merci Maîtresse.

Puis les coups se suivent à un rythme lent et régulier, suffisamment espacés pour qu'à chaque coup, j'ai le temps de ressentir pleinement la douleur.

Au vingtième coup, enfin, je m'écroule en la remerciant pour la dernière fois, en feu des genoux jusqu'au milieu du dos, les larmes me coulant sur les joues. Maîtresse Caroline s'approche de moi, me détache, reprend ses menottes, et sans un mot, s'en va. Il faut plus d'une demi-heure pour que la douleur s'estompe, afin que je puisse enfin me relever. J'essaie de voir les dégâts, et ce que je parviens à voir n'est pas très beau : la peau est balafrée, boursouflée, violacée et même, à certains endroits, éclatée, quelques gouttes de sang ont coulées sur mes jambes. Complètement exténué par la douleur subie, je me rhabille tant bien que mal, car le contact du tissu sur les zébrures, est presque intolérable. Il me faut encore un bon quart d'heure pour m'asseoir au volant de mon véhicule et je reprends la route vers mon domicile. La route me parait interminable, tant je souffre, mais, paradoxalement, je suis heureux, heureux d'avoir réussi à ne pas crier et à supporter, presque sans broncher, la douleur infligée. Je me dis que dans quelques jours la douleur aura disparue, et cela me fait beaucoup de bien. Elle est venue, et je crois que je lui ai plu puisque la transition entre ce monde et le Sien va s'opérer dans un avenir tout proche.

Ces quelques semaines me parurent une éternité, mais la clef de consigne que je m'étais attachée autour du cou m'aida beaucoup. Rien qu'en la regardant, en la touchant, je savais que je touchais au but. Enfin, début juin, rendez-vous fut pris chez le juge aux affaires matrimoniales. Sortant du palais de justice ma femme, ou plutôt mon ex-femme me dit :

chrislebo

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#7,625
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- Adieu, et bonne chance et je luis répondis :Adieu et merci.

En effet, pendant ces deux longs mois, contrairement à toute attente, mon épouse m'a beaucoup aidé à en finir au plus vite avec notre divorce et a toujours donné *** accord à chaque étape, permettant ainsi d'accélérer les démarches.

Je me rends à la banque ou je rends chéquier et carte de crédit et solde mon compte. Je prend dans ma main les quelques francs que le guichetier me remet...Ce qui reste de 30 ans de vie... Un certain doute passe en moi et un goût amer me vient à la bouche. Ai-je rai*** ? L'avenir, tout proche, cette fois-ci, me le dira. Les quelques cicatrices sur mes fesses me chatouillent un instant et m'incitent à y aller maintenant. Je prends le train et me rends à la gare indiquée sur la clef ; Trajet qui aurai pu être plus agréable si ce doute ne subsistait en moi, mais il est trop tard pour faire demi-tour, alors...Arrivé à la consigne, je sors la clef, casier A 167, je cherche, mon coeur bat un peu plus vite qu'à l'habitude, je m'étais pourtant préparé à ce moment t là des nuits entières... Je m'étais vu ouvrir ce casier, mais là, c'est la réalité...Ca y est, j'ai trouvé, je l'ouvre fébrilement et en sort une petite enveloppe. Je la décachette et déplie la feuille qu'elle contient. Tapé à la machine , le texte en est aussi court qu'explicite : Prends la carte téléphonique dans le casier, téléphone à ce numéro, dit "c'est chris" raccroche, puis va attendre à l'arrêt de bus situé devant la porte des départs de la gare. Puis suit un numéro de téléphone. Je prends la carte téléphonique et sort de la gare. J'entre dans une cabine téléphonique et suit les instructions, puis je m'assoie sur le banc de l'arrêt de bus comme convenu, et j'attend, j'attend... C'est, je crois la plus longue attente de toute ma vie, en effet, non seulement l'anxiété, la peur de l'inconnu et de l'avenir faisaient couler en moi les secondes avec une lenteur infinie mais je passais près de 9 heures à attendre..

Une voiture aux vitres fumées s'arrête devant moi, il est minuit moins le quart. La vitre coté passager s'ouvre et je distingue dans la pénombre ma Maîtresse, elle déclenche l'ouverture de la malle arrière et dit : Monte ! puis elle referme la vitre. Je saute sur mes jambes, ouvre la malle arrière en grand, grimpe à l'intérieur, puis referme. Je sens la voiture démarrer, puis partir vers ... un autre monde...

Malgré la longueur du parcours et l'exiguïté du coffre, l'air ambiant parait être toujours frais. En effet j'aperçois qu'une prise d'air extérieure à été aménagée derrière la plaque minéralogique, ce qui me fait supposer que je ne suis pas le premier à occuper cette place et donc que je suis entre les mains d'une dominatrice confirmée. Après un trajet que j'évaluerai à 2 heures, la voiture ralentie et s'arrête, elle redémarre et roule sur des graviers, d'après le bruit qui me parvient. De nouveau un arrêt, puis quelques manoeuvres sur un sol lisse, ciment ou bitume, puis le moteur stoppe. Ca y est, me dis-je, nous y voici ! J'entends la portière claquer, puis les talons de chaussures de ma Maîtresse marteler le sol que je dirai d'un garage, d'après la ré***ance des bruits. Une faible raie de lumière apparaît par les trous d'aération, puis le bruit des pas décroît, la lumière s'éteint, une porte claque, puis ... Le silence. Seuls les bruits du moteur qui refroidit perturbent ce silence qui, avec la pénombre et l'exiguïté de l'endroit ou je me trouve, est véritablement angoissant. C'est dans cette atmosphère oppressante et recroquevillé dans ce coffre que, las de tant d'émotions, je m'endors. Sommeil peuplé de Femmes fières et hautaines, me toisant du regard avec un sourire cruel...

L'ouverture du coffre me réveille en sursaut.

- Allez, descends, et à genoux.

La lumière m'aveugle instant et j'ai des difficultés à m'extirper du coffre, tant je suis ankylosé.

- Dépêche-toi ! J'exige une obéissance instantanée.

Une fois à genoux, je n'ose regarder ma Maîtresse plus haut que ses chevilles, mais un bref coup d'oeil vers le haut me permet de voir qu'Elle est vêtue d'un petit tailleur rouge et d'un chemisier blanc qui lui siéent à ravir.

- Déshabille-toi, et mets moi tout ça dans ce sac.

Elle me jette un petit sac de sport dans lequel j'entasse tous mes vêtements, ainsi que ma montre et mon portefeuille. Il ne subsiste sur moi rien de ma vie passée.Elle prend le sac et va le ranger dans un placard avec des outils de jardin, puis revient vers moi.

- Aujourd'hui, pour toi commence une nouvelle vie. Désormais ta vie m'appartient, tous tes actes, toutes tes pensées te seront dictés par moi. Pour que tu saches bien à qui tu as à faire, je vais me présenter et te préciser ce que j'attends de toi.

" Je m'appelle Maîtresse Caroline, toute autre appellation venant de ta part sera sévèrement punie et tu verras, après cet exposé que je ne plaisante pas. Je suis la fille d'un professeur spécialisé dans la chirurgie esthétique. Il est propriétaire de deux cliniques, une dans la région parisienne et une sur la côte d'azur. J'ai fait des études de médecine et je suis chirurgien-dentiste. Pour l'obtention de mon diplôme, mon père m'a offert la mai*** dans laquelle nous sommes entourés d'un parc de 5 hectares. Il m'a, de plus offert un portefeuille d'actions qui rapporte suffisamment pour m'assurer un train de vie très confortable jusqu'à la fin de mes jours.Aussi j'ai décidé de vivre pleinement mes fantasmes, et de consacrer ma vie à MES plaisirs. Donc, pour mes 25 ans, je me suis offert un fiancé que j'ai voulu immédiatement soumettre, mais celui-ci n'a pas pu supporter mes caprices, il m'aimait, mais ne m'adulait pas. Il a réussi à s'évader au bout de 6 mois. C'est dommage car il était très résistant et surtout, il n'avait aucunes attaches donc je n'avais aucune surprise à craindre de ce coté là.

Après *** évasion, j'ai fait monter un mur de 3 mètres autour de la propriété et j'ai fait installer tout une série de systèmes d'alarme et de télésurveillance pour éviter que ce genre d'inconvénients ne se reproduise. Donc, toute tentative d'évasion de ta part se solderait par un échec, tiens-toi le pour dit. Après avoir recherché par moi même, et sans résultat, un homme à soumettre, pas un fantasmeur, un esclave-né, je me suis résolue à passer par une dominatrice professionnelle qui m'en a vendu un avec des qualités tout à fait exceptionnelles. Il était presque parfait, je dis presque, car il avait un défaut : Il ne m'était soumis que sur ordre de *** ancienne maîtresse, et dans certains cas de soumission très poussés, il lui arrivait d'avoir des haut-le-coeur, et même des semblants de rébellion, aussi, au bout de 2 ans de bon travail, mais sans sincérité et sans dévotion, je l'ai rendu à sa maîtresse pour *** bonheur. Car, ça, c'est primordial. Pour moi, un esclave doit être bien dans sa peau, il doit être heureux, il doit m'aimer, il doit m'adorer, il doit m'aduler mais il faut que cela vienne de lui et non pas sur un ordre.

Si je t'ai choisi, ce n'est pas par hasard. Je ne sais pas si tu as remarqué, je sais beaucoup de choses sur toi, de plus, ton épouse ne t'a pas créée beaucoup de problèmes pour divorcer, et pour cause. Lors de notre première rencontre, quand j'ai pris tes papiers, j'ai tout noté te concernant, et après, je suis allée voir ta femme, et je lui ai expliqué ce qui s'était passé et surtout ce qui allait se passer. Nous nous sommes mis d'accord moyennant certains arrangements dont tu feras les frais plus tard pour accélérer au plus vite ta mise à ma disposition. Elle est très bien placée pour connaître tes points forts et surtout, tes points faibles. Après ma visite à ton ex-épouse, j'ai acquis la certitude que ce serait toi, mon esclave à vie. Tu as des prédispositions qui correspondent pratiquement à ce que je recherche."

Un fris*** d'anxiété me traverse à ce moment le corps, car j'ai le souvenir de conversations enflammées avec mon ex-épouse, sur le sujet qui m'intéresse tant et je me souviens lui avoir fait part de nombreux fantasmes, quelque peu poussés, dont j'ose espérer qu'elle a oublié de faire part à Maîtresse Caroline.

" Avant de te choisir, j'ai recherché par l'intermédiaire du minitel et de clubs de rencontre l'homme qui serait à moi. J'en ai rencontré une bonne dizaine dans des conditions similaires aux tiennes, mais aucun d'eux n'a donné suite au premier rendez-vous. De plus, avec aucun d'eux, je n'aurai pu arriver à mes fins, tous des fantasmeurs...Aussi, si j'ai jeté mon dévolu sur toi, dis-toi que c'est un grand honneur pour toi, car en dehors des professionnelles et des mégères, je n'ai que très rarement entendu parler de femmes recherchant ce style de vie, uniquement par plaisir. Tu dois savoir que le mot " plaisir " doit être omniprésent dans ton esprit, non pas ton plaisir, mais le mien naturellement. Si je perds mon temps à t'expliquer tout cela, c'est pour, justement, que je ne perde plus jamais mon temps avec toi. Tout ce que je ferai avec, sur, sans ou en toi, ce sera pour mon plaisir. Vu le comportement que tu as eu depuis que je t'ai appelé et toutes les informations que j'ai recueillies sur toi, j'ai la conviction que, sachant que ce que toutes mes actions à ton encontre, je les fais pour mon plaisir, cela te rendra heureux.

Maintenant je vais dresser une liste des différents commandements que j'ai établis à ton intention. Puisque je suis maintenant ta " Déesse ", il est normal que tu suives mes commandements.
1- Tu m'appelleras désormais " Maîtresse Caroline "
2- Je serai à jamais ta seule et unique rai*** de vivre.
3- En ma présence, tu t'agenouilleras et tu baisseras la tête.
4- Tu obéiras toujours, sans aucune restriction, sans aucune hésitation à tous mes ordres, quels qu'ils soient.
5- Quand je déléguerai mes pouvoirs à une autre per***ne, tu lui obéiras de la même manière qu'avec moi.
6- Jamais tu n'essaieras de te soustraire, ni à ton statut d'esclave, ni à aucun traitement que je suis susceptible de te faire subir.


chrislebo

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Voila, je crois avoir fait le tour de tout ce qui va maintenant être ta vie. Encore une dernière chose, dans cette mai***, il y a une autre per***ne à laquelle tu seras soumis. C'est elle qui gère tout dans la propriété, c'est elle qui, quand je le désirerai, s'occupera de toi et tu l'appelleras " Maîtresse Eva ". Elle sera ta seconde Maîtresse et tu lui obéiras autant qu'à moi. Je vais d'ailleurs te la présenter maintenant puisque c'est elle qui va te prendre en main jusqu'à mon retour."

Ma déception est grande de savoir que ma Maîtresse s'en va. Fort heureusement, en apercevant Maîtresse Eva je revis un peu, car, sans être aussi séduisante que Maîtresse Caroline Elle est d'une grande beauté et ses yeux durs et étincelants me présager une certaine cruauté...

- Eva, voila chris, il est à moi, tu feras comme avec Louis pour commencer, puis on verra comment il réagit.

Sur ce, Elle fait demi-tour et prend un petit escalier qui doit certainement rejoindre le rez-de-chaussée de la mai***. Quelque peu déçu par ce départ et croyant ne dépendre que d'Elle, un sentiment de frustration point en moi et me laisse un peu désappointé. Maîtresse Caroline m'aurait-Elle déjà abandonné ?

- Ne t'inquiètes pas, me dit Maîtresse Eva, suffisamment perspicace, pour s'être rendu compte de mon dépit, tu la reverras, et crois-moi, comme elle dit, tu lui appartiens, et si tu n'éprouve pas pour elle tout l'amour, la dévotion et l'adoration qu'elle attend de toi, tu ne tiendras jamais le coup, parce que chaque jour qui va passer à partir de maintenant, elle exigera un peu plus de toi, toujours plus, et je la connais bien, elle n'a aucune limite. Heureusement pour toi, je suis là, et moi, je suis lesbienne, bien sur, avec Caroline c'est normal, elle est tellement exceptionnelle, mais c'est vrai que je ne suis pas spécialement dominatrice et si tu dois souffrir avec moi, ce sera uniquement parce que j'en tire un avantage et je sais me limiter, je ne fais pas ça par passion, juste par plaisir et toujours rai***nablement. Tu verras, tu ne regretteras pas d'être de temps à autre sous mon joug.. En attendant, debout et suis-moi !

Je me lève, les genoux douloureusement marqués par cette longue position, puis je suis ma Maîtresse " intérimaire " vers une porte au fond du garage. Elle l'ouvre et nous commençons à descendre un escalier qui parait faire la hauteur de 2 étages. Arrivé en bas, un long couloir apparaît avec, en *** début une énorme porte métallique style coffre-fort. Devant mon étonnement, Maîtresse Eva a la gentillesse de m'expliquer :

- Cette mai*** a été construite, il y a quelques années, par un Suisse obsédé par la guerre nucléaire. La partie ou nous sommes est donc un abri anti-atomique pouvant recevoir jusqu'à 10 per***nes et ce, pour 10 ans. Nous y avons fait faire quelques aménagements et maintenant, c'est l'endroit privilégié pour y effectuer le dressage des gens comme toi. Aucune possibilité d'évasion, aucun bruit ne filtre à l'extérieur; alors inutile d'avoir de mauvaises pensées, si tu vois ce que je veux dire...

De chaque coté du long couloir éclairé de néons, des portes, toutes fermées, 10 au total et au bout, encore une porte. Maîtresse Eva l'ouvre, une odeur d'humidité et de moisissure m'agresse les narines.

Là, c'est le cachot, cette pièce a été construite sur ordre de Caroline, c'est une sorte de souterrain, style moyenâgeux, il n'y a pas l'air conditionné, et l'atmosphère, quoique renouvelé y est toujours chargé d'humidité, nous t'y avons préparé ta " niche ", tu ne la trouveras certainement pas à ton goût, mais il faudra t'y faire. Après avoir marché une dizaine de mètres dans un étroit couloir taillé à même la roche et seulement éclairé par deux faibles ampoules, nous stoppons devant une véritable porte de cachot moyenâgeux.

- Nous y voila !

Elle ouvre la porte.

- Entre, et à genoux !

Je m'exécute, mes yeux s'habituent à la pénombre qui règne dans ce cachot : Les parois ***t brutes de taille, dans la roche, scellés en plusieurs endroits, sur les murs, au plafond et au sol, des anneaux en métal. A certains de ces anneaux ***t accrochées des chaînes relativement courtes terminées par des bracelets de cuir. Inutile de faire un dessin pour comprendre leur utilité...Maîtresse Eva se penche sur moi et me fixe un collier autour du cou, y accroche une chaîne et y met un cadenas. Elle sort du cachot sans un mot et ferme la porte à clef. Par la petite grille placée à hauteur du visage de Maîtresse Eva, Elle me lance avant de s'éloigner:

- Tu as un seau, si tu as des besoins à faire, et un pichet si tu as soif. L'eau en est aromatisée. Il faudra t'y habituer, Maîtresse Caroline sera désormais ton unique rai*** de vivre, et chaque sensation, chaque geste chaque pensée sera marqué par ta Maîtresse, pour toujours, ne l'oublies pas...

Puis Elle s'éloigne, et j'entends la porte du couloir se refermer. Comme si je pouvais l'oublier ! Je m'assoie et regarde autour de moi. Dans la pénombre, seule une faible raie de lumière passe par le trou de la porte à environ 1m 50 du sol et cela donne suffisamment de luminosité pour distinguer tous les coins de ma cellule. Celle-ci doit faire 2m 50 sur 2m 50 et à peu prés 2 m de haut. Le sol est en terre battue, sauf aux endroits ou ***t scellés les anneaux, là, le béton affleure. Les parois ***t en tuffeau, ce qui conserve un peu d'humidité au lieu, d'où cette odeur de moisissure. J'aperçois un seau dans un coin et dans l'autre un pichet d'un litre environ. Je suppose que c'est ce dont m'a parlé Maîtresse Eva. La chaîne est assez longue pour que je puisse aller partout dans ma cellule sauf auprès de la porte, m'interdisant ainsi de voir ce qui se passe dans le couloir. Mais, quelle importance ? Le temps passe, le silence est total. Peut-être 3 ou 4 heures que je suis ici, j'ai soif, je m'approche du pichet et sent cette eau " aromatisée ", une faible odeur s'en dégage, un peu acidulée, pas assez forte pour la reconnaître. Je porte le pichet à mes lèvres et en laisse couler quelques gouttes sur ma langue. Pouah ! Je crache sur le sol ces quelques gouttes. " Aromatisé ", oui, un goût, certes très léger, mais sans équivoque d'urine m'a rempli la bouche. Je préfère rester avec ma soif. Encore quelques heures qui défilent lentement dans ce silence...

J'ai de plus en plus soif, je ne peux me résoudre à boire cette eau, je suis conscient qu'il faudra bien que je le fasse, mais les tabous de mon éducation de mon " ancienne " vie ***t encore trop frais dans mon esprit. Certes, cela me répugne, mais d'un autre coté une certaine excitation me gagne. C'est ce deuxième coté qui l'emporte, avec la soif, et quelques heures de plus...Par petites gorgées, j'en bois juste de quoi calmer ma soif, et la faim qui commence à me tenailler. Le goût, certes pas très agréable, n'est, avec la soif, pas si fort que je le redoutais et je vide d'un trait le pichet sans trop de dégoût. J'en éprouve une certaine fierté, (peut-être est-ce une preuve de ma volonté de soumission ?) et même une certaine excitation : Boire les urines (enfin presque) de ma Maîtresse ! Si bien qu'une érection inopinée me donne l'envie de me masturber et c'est avec beaucoup de plaisir que j'éjacule sur le sol terreux.. L'excitation retombée, je me sens particulièrement ridicule et j'efface les traces de mon plaisir en jetant de la terre sur les traces blanches laissées sur le sol. Puis je m'assoie dans un coin et essaie de dormir. Je tente de m'allonger mais la chaîne a été judicieusement coupée assez courte pour que ma tête ne puisse pas reposer sur le sol, et c'est donc uniquement assis que je m'endors.

Le bruit de la clef tournant dans la serrure me réveille. Maîtresse Eva apparaît dans un petit ensemble, style soubrette, à la seule différence que le décolleté descend jusqu'au nombril et que la jupe en est ultra courte, laissant apparaître de longues jambes parfaitement moulées dans des cuissardes de cuir noir, et je peux découvrir à chaque mouvement de Maîtresse Eva, qu'Elle ne porte ni slip, ni soutien-gorge. Cette vision, quasi paradisiaque me fait de nouveau entrer en érection. Je la cache avec peine en repliant mes genoux.

- Je crois que tu n'as pas compris ce que Maîtresse Caroline t'a dit. Je vais t'apprendre à obéir. A genoux ! Et vite ! Toujours à genoux devant tes Maîtresses !

Je me précipite pour me mettre en position, mais je sais, hélas, qu'il est déjà trop tard et qu'il me faudra payer ce crime de lèse-majesté.

- Tourne-toi, et les mains au-dessus de la tête !

Toujours à genoux, je m'exécute.

- Debout !

Je me lève et Elle enferme mes poignets dans des bracelets de cuir au-dessus de ma tête, bras presque tendus. Elle me fait écarter les jambes dans des bracelets qui me les immobilisent dans cette position me tendant ainsi les bras. J'entends Maîtresse Eva sortir puis revenir avec un bruit métallique.

- Ca, c'est pour éviter de voir ton " machin " devenir agressif quand tu nous vois.

D'une petite claque, Elle me fait retomber mon érection puis, avec des gestes professionnels, Elle m'enfile une petite cage métallique sur mon pénis à demi-tendu et entoure les seuls bijoux de famille qui me restent d'un cadenas, le tout relié autour de la taille et entre les fesses par une courroie de cuir épais. Clac, un autre cadenas situé dans le dos vient sceller cette sorte de ceinture de chasteté, si on peut dire, qui, si elle ne m'empêche pas d'uriner, m'interdit toute érection totale, et par la- même, toute éjaculation. Le contact du cuir et du métal, dans ces endroits produisent chez moi, une érection, mais dés le début, très douloureuse, car stoppée par la " cage ". Je grimace de douleur et, hélas, à cause de l'excitation, ne parvient pas à débander.

- Je suppose que, comme ceux qui t'ont précédé, tu t'es branlé en buvant l'eau que je t'avais laissée ?
- Oui, Maîtresse Eva.
- Hé bien, c'était la dernière liberté que nous t'ayons accordé, cette " ceinture " ne te sera enlevée que par tes Maîtresses, et ça ne sera pas souvent, crois-moi ! Un esclave en manque de jouissance est toujours bien plus obéissant. Remarque, de la jouissance, tu en auras, quand tu auras appris à jouir autrement...Mais cela, nous nous ferons un plaisir de t'initier ! Pour l'instant, tu vas payer ta faute, comme les autres.

Je l'entends sortir, puis rentrer presque aussitôt, et là, la cravache me rappelle par 20 fois que je dois toujours obéir ! Une fois les 20 coups assénés, la douleur est telle que les larmes me coulent sur le visage, et j'ai honte, car j'ai la sensation d'être comme les autres, ceux qui ***t passés ici, d'agir comme eux, de subir les mêmes choses. Moi qui croyais être une exception, être l'élu, choisi par ma Maîtresse, je me déçois d'agir de la sorte, et je me jure de réagir et de me comporter le mieux possible afin que mes Maîtresses soient fières de moi et aussi sortir bien vite de ce cachot, pour revoir ma Déesse, celle dont la " liqueur " me rend si fébrile... Sans un mot, Maîtresse Eva referme la porte et s'en va, et je reste pendu à ces anneaux, attendant le bon vouloir de celles dont toute ma vie dépend, désormais.

Peut-être 3 ou 4 heures voire plus après cette correction, la douleur toujours cuisante m'ayant laissé tous mes esprits, j'entends de nouveau la porte s'ouvrir sur... Maîtresse Caroline, *** parfum, envahit mon cachot. Tournant le dos à la porte, il ne m'est pas possible de la voir, mais je baisse la tête pour bien lui montrer que j'ai compris la leçon, et que, désormais, j'obéirai.

- Bien, Je vois que Maîtresse Eva t'a appris les bonnes manières. Bien sûr, Elle est un peu cruelle, mais il faut que tu comprennes que l'obéissance est à la base de tout, que plus tu obéiras docilement, moins pénible, ce sera pour toi. Enfin, que ça te serve de leçon !

chrislebo

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CHAMPAGNE ET CAVIAR




J'écris cette confession parce que depuis un an, j'obéis à Madame Hélène.C'est elle qui accepte ou refuse mes rendez­vous. C'est encore elle qui, par l'intermédiaire du minitel, de­mande à mes éventuels bourreaux de me punir de telle ou telle facon. Celle fois, ce n'est pas dans sa BAL que je dois faire le compte-rendu de ma dernière séance, mais à vous tous, en public.
Je n'ai pas eu de consignes spéciales pour mon dernier rendez­vous, seulement porter sous mon pantalon une culotte de femme en dentelle noire. Je ne vous ai pas précisé que je suis un homme, 1 m77, 70 kgs, châtain. Madame N. (mon rendez-vous) m'a ordonné, avec la bénédiction de ma maitresse, de porter constam­ment une culotte de femme. Bien sûr, il m'est impossible de satisfaire cet ordre et je suis régulièrement puni pour cela. Madame N. est venue me chercher avec sa voiture au point de rendez-vous. Suivant *** habitude, elle a fait en sorte que je ne puisse voir la route qui mène chez elle. Cette fois, c'était une cagoule noire sur la tête, et j'ai passé le trajet en boule sur le sol à la place du passager avant. Arrivé chez elle, elle m'a tout de suite ordonné de me déshabiller, me laissant seul dans le couloir d'entrée. Elle a disparu dans sa chambre et en est ressortie vêtue comme j'aime. Une guêpière de cuir noir laissant libre sa poitrine, un string, des bas noirs fixés aux jarretelles de la guêpière, et de très hauts talons. Je me suis jeté à ses pieds, en lui disant qu'elle était belle, je lui léchai les chaussures. Elle m'a repoussé d'un coup de pied en me traitant de chien, de petite pute, de merde. Elle m'a mis un collier au cou, elle m'a attaché les poignets derrière la tête, elle m'a posé un lacet de cuir autour du sexe, elle m'a bandé les yeux, et ainsi en laisse, elle m'a traîné jusque la salle de bains. Dix fois, j'ai cru qu'elle m'arrachait le sexe car je ne pouvais pas marcher aussi vite qu'elle. Elle m'a douché à l'eau froide en m'interdisant de prononcer un mot. Elle m'a enlevé mon bandeau, et elle m'a fait mettre à genoux. Elle a enlevé sa culotte en me disant qu'elle avait mangé des asperges hier, et que ca allait être plutôt amere. "Ouvre tu bouche, sale pute !" Elle a posé la bonde à la baignoire, puis elle s'est installée au-dessus de mon visage, les jambes écartées. La douche chaude a commencé. Lorsque ce fut fini, j'ai dû bien la lécher, de manière à ce que *** sexe soit bien propre. Je me suis aperçu, avant même qu'elle ne me le dise en riant, que cela faisait quelques jours qu'elle ne s'était pas lavée (trois exactement). Elle s'est tournée pour que je lui lèche l'anus qui, lui aussi, n'avait pus vu de papier hygiénique depuis autant de temps. Elle est sortie de la baignoire en me disant; "Bois et lèche tout ce qui reste, je vois changer mes bas. Tu auras une surprise." Je me suis exécuté. Lorsqu'elle est revenue, elle avait un martinet à longues lanières dans la main. Nos accords étaient simples : tout sauf des marques. Je le lui ai fait remarquer. Sans répondre, elle a ouvert l'eau froide pour me rincer. Je suis sorti de la baignoire, tout tremblant de froid et de peur. Elle m'a tiré par mon lacet jusqu'ou salon. Madame N m'a montré la table en me disant :
"Choisis, et ramène moi ton choix !" Il y avait le martinet à côté d'un gode de taille moyenne, et à l'autre extrémité de le table une badine ainsi qu'un gode, mais quel gode, énorme ! Devant mon hésitation, elle a ri et elle m'a précisé que les objets étaient groupés par deux, d'un côté confort et marques, de l'autre pas de marques mais... "A toi de voir si tu ne vas pas avoir le cul qui va éclater. Raméne-moi vite ce que tu as choisis". Avec la bouche?
Les yeux baissés, je lui ai apporté la badine. Elle l'a prise, elle m'a fait prosterner, les fesses bien en l'air, et elle a commencé à frapper ma raie en visant bien mon anus. Jamais elle ne m'avait frappé si fort, je n'ai pas pu rester dans cette position, j'ai hurlé, je lui ai supplié d'arrêter. Elle m'a mis un bâillon, elle s'est assise sur mon dos, et elle a continué à frapper, j'en pleurais. Lorsqu'elle s'est arrêtée, elle m'a interdit de bouger. J'avais un chalumeau entre les fesses, elle m'a passé sur l'anus ce que j'ai cru être une pommade, mais qui en réalité n'était que de la vaseline. "Ah, tu as choisi le gros, tu vas l'avoir, et je te jure qu'il va rentrer." Elle s'est de nouveau assise sur mon dos et elle a commencé à pousser sans ménagement l'énorme gode dans mon cul. Au bout de 10 minutes, mon cul étroit rempli par le gode, elle me l'a attaché à la taille par un ensemble de chaînettes. Puis elle m'a trainé par le sexe jusqu'au garage, et elle m'a attaché les bras en croix sur le mur. Je suis resté toute l'après-midi dans cette position, je n'ai été détaché que 30 minutes environ, juste le temps de prendre un repas : champagne et caviar, dépêche-toi de bouffer. Ca va refroidir !'. J'ai tout avalé, les mains liées dans le dos. Tout le reste de la soirée, je l'ai passé avec ce gode qui me distendait le cul. À minuit, elle m'a détaché, le moment où j'ai été libéré du gode a été tellement fort que j'en ai joui. Madame N. ne m'a pas puni, elle m'a seulement fait lécher mon sperme. Puis elle m'a dit d'aller me laver, et de revenir la faire jouir. Elle était subite­ment tendre... pour la première fois.

chrislebo

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TRAITEMENT DE CHOC


Le mois dernier, je me suis disputé avec ma femme qui me reprochait de ne pas assez m'occuper d'elle. Elle est secrétaire de direction, très belle, toujours tirée à quatre épingles, et jamais fatiguée par *** travail La dispute se termina tard dans la nuit, et j'ai été une fois de plus, incapable de la satisfaire, après cette dispute plus violente que d'habitude.
Elle me dit alors qu'il existait des établissements spécialisés pour ce genre de déficience conjugale. Je restais penaud, et consentis d'essayer d'affronter cette épreuve. Je pensais surtout qu'elle ne trouverait jamais l'adresse d'une telle mai***, persuadé que ça n'exister que dans sa tête.
Puis un soir, sans me demander mon avis, elle accepta l'invitation de *** patron à un dîner d'affaire avec d'autres hommes. Je la regardais se faire belle. Je n'avais jamais vu les dessous qu'elle mettait. Porte jarretelles, string, soutien-gorge balconnet, et par dessus tout ça un parfum, qui donne envie de violer la femme qui le porte.
J'ai voulu lui en faire la réflexion, mais la réponse a était tellement cinglante, que même si j'avais bandé à ce moment là, elle ne risquait plus rien, j'étais rendu au point zéro.
En partant, elle me demanda de me masturber en pensant à elle; qu'elle était bien décidée à se faire sauter plusieurs fois si elle en avait l'occasion.
Puis avant de refermer la porte elle me cria :
– Au fait, j'ai trouvé une adresse pour les maris impuissants dans ton genre à Paris, il faut que je te prenne rendez-vous !
Je restai comme un rond de frite, planté comme un idiot au, milieu du couloir.
Une voiture démarra en trombe emportant celle pour qui j'avais tant d'amour.
Elle ne revint que le lendemain, radieuse, rayonnante, sûre d'elle, avec un sourire qui voulait en dire long !
Deux jours plus tard elle avait un rendez-vous à Paris avec moi. Un véhicule nous attendait à la gare, l'homme me banda les yeux avant de reprendre sa place derrière le volant.
Quand nous sommes arrivés, tout de suite je me suis retrouvé dans une grande salle où trois femmes m'attendaient, cravache à la main.
– A poil, lopette, me crièrent-elles en même temps, et comme je restais éberlué, ma femme vint au centre de la pièce et me donna une paire de gifles en me demandant si j'étais sourd.
– Aller, espèce d'impuissant, à poil, tu étais d'accord, non ?
J'étais mort de honte devant ces femmes vêtues de panthère, cuissardes à talons aiguilles, elles avaient toutes le même air. On les aurait cru sorties tout droit d'une séance de dressage dans un cirque.
Le claquement du fouet me fit jeter mes vêtements au sol en un tour de main, je n'en revenais pas moi-même.
Aussitôt un collier en cuir m'enserra le cou, et deux autres les chevilles. L'une d'elle vint me tâter les testicules, et me les tordre au passage.
Ce n'était pas des femmes, mais des monstres à qui ma femme m'abandonnait. Le matin dans le couloir qui mène aux douches, j'ai rencontré des hommes, qui comme moi marchaient à la laisse; sans un mot.
Sous la douche et sous la flagellation qui l'accompagnait, je me suis mis à bander ; j'ai pensé que les résultats commençaient à se faire sentir, j'étais peut-être masochiste, il me fallait des coups pour me faire bander.
Quelques jours plus tard ma femme vint en visite. Je suis arrivé devant elle en laisse, et en la voyant je me suis mis à bander comme un cerf, mais j'avais une surprise de taille qui m'attendait. Au milieu de la pièce il y avait un grand lit, j'ai cru que c'était pour nous deux, juste pour voir les résultats du traitement, en attendant que je rentre à la mai***. Ma femme s'est installée sur le lit, entièrement nue, une femme est venue lui soulever les jambes pour les attacher aux anneaux qui pendaient. Juste en face de moi, je voyais sa chatte ouverte, offerte, je n'y tenais plus, mais celle qui me tenait en laisse n'avait aucune intention de me lâcher du lest. Une autre dompteuse arriva accompagnée d'un énorme noir qui marchait à quatre pattes à ses côtés, tel un chien bien dressé. Tout de suite j'ai vu le regard de ma femme s'enflammait, elle passait sa langue sur ses lèvres, et sa chatte s'est mise à mouiller.
J'avais envie de foncer sur elle, mais une large ceinture de cuir me retenait accroché au mur, j'avais envie de fermer les yeux, mais je voulais voir, alors impuissant, malgré moi, j'allais devoir assister au spectacle ma femme jouissant avec un autre. Le noir est venu lui renifler les lèvres vaginales accompagné par sa dompteuse. Puis il s'est mit debout pour lui présenter sa bite, qu'elle s'est empressée de sucer langoureusement.
Comme elle avait les jambes bien en l'air, je pouvais voir *** clito qui avait des soubresauts. Puis sous un coup de laisse, il a compris qu'il fallait qu'il vienne prendre place entre les cuisses de mon épouse, oh combien consentante. Quand j'ai vu cet. énorme sexe noir qui la pénétrait, cette paire de couilles pendantes qui tamponnaient *** anus, j'ai cru devenir fou. Ma femme hurlait de plaisir, j'entendais les clapotis de *** sexe largement lubrifié, le noir s'en donnait à coeur joie.
Je ne sais pas depuis combien de temps il n'avait pas baisé, mais apparemment il y avait certainement quelques semaines, car l'éjaculation ne s'est pas faite attendre, et ma femme est venue en même temps que lui, en lui criant "je t'aime ".
Puis mon tour est arrivé, j'allais être content du voyage, il m'a fallu aspirer tout le foutre du noir et celui de ma femme mélangé, j'ai eu un haut le coeur, puni d'un coup de cravache cinglant sur les reins.
Je suis resté encore une semaine, puis de retour à la mai***, je suis devenu le toutou sexuel de madame. Dès qu'elle parle. un peu fort je bande, on baise, et tout rentre dans l'ordre.
Je suis devenu un étalon, car maintenant, pour se rembourser les frais du stage, elle me loue aux copines, et même au couples pour des soirées auxquelles elle participe largement, mais pas avec moi, la salope.

chrislebo

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Milking male



Nous sommes le lendemain de cette sortie dans le club SM où j'ai fait ma première expérience publique. Je suis agenouillé près du lit où Milady prend le petit-déjeuner que je lui ai préparé. Regardant les traces qui parsèment ma peau, Milady me dit :

"Je te félicite encore pour ta prestation d'hier soir. Tu as été vraiment courageux, et je suis fier d'avoir un soumis de ton niveau.."
Silence...
"Cependant, il y a une chose qui m'a gênée..." Je sais déjà de quoi elle va me parler.
"En effet, j'aurais vraiment bien aimé que tu ne répandes pas ton sperme comme tu l'as fait, tachant la robe de la Maîtresse qui te travaillait avec les aiguilles. Cela aurait été encore plus classe !"
"D'ailleurs, j'en ai discuté avec une autre Maîtresse pendant que tu profitais de la petite soumise. Elle n'a jamais eu ce genre de problème avec *** esclave, car elle prend soin de le préparer avant chaque session. Elle m'a expliqué qu'il y avait des techniques qui permettent d'éviter ce genre de désagréments quand on travaille le corps d'un soumis. Il semble que l'on puisse vider complètement le système génital d'un mâle, sans qu'il n'ait d'orgasme bien sûr..." dit-elle avec un sourire pervers, qui me fait fris***ner jusque dans les couilles.
"Dès ce soir, tu te mets à la recherche de ces méthodes sur Internet. La Maîtresse en question m'a dit qu'il suffit de taper "milking of males" sur un moteur de recherche pour trouver tout ce dont j'aurai besoin. Je veux un dossier complet, décrivant les techniques de façon précise, pour que je puisse te les appliquer, avec les avantages et les inconvénients des différentes méthodes que tu trouveras.
Le soir même, pendant que Milady s'est installée devant un bon film, je commence à surfer comme un fou. "Milking of males" me donne effectivement de nombreux résultats.
Après une interruption durant laquelle, comme chaque soir, j'ai préparé Milady pour sa nuit (démaquillage, massage avec une crème pour le corps, quelques petites caresses avec ma langue sur ses lèvres intimes et *** clitoris pour la 'décontracter' comme elle dit...), je me remets à chercher. J'y passe pratiquement la nuit, mais je trouve amplement de quoi faire. Les méthodes ***t très variées, mais je constate assez vite qu'elles peuvent s'organiser en deux groupes principaux. Je fais donc une synthèse de tout cela que je présente au matin à Milady avec *** petit-déjeuner.
Elle commence à lire, mais très vite, se lasse en me disant :
"Mais c'est tout en anglais !! Tu me traduis tout cela dans la journée, ou sinon..."
Je passe donc ma journée devant l'ordinateur, enchaîné à ma chaise, le cable modem débranché pour que je ne puisse pas "surfer n'importe où et aller voir n'importe quelle femme à poil", comme me dit cruellement Milady.
Le soir, après *** bain, en peignoir, elle étudie attentivement le dossier que je lui ai préparé. Elle a l'air satisfaite et décide de commencer tout de suite les tests.
"Bon, je vois qu'il y a deux types de méthodes. Apparemment, pour la deuxième, il peut être utile d'avoir ce gadget", me dit-elle en me montrant une image que j'ai récoltée sur le net.
"Bien, tu me commandes tout de suite cet outil, et en attendant qu'il arrive, je vais t'entraîner avec la première méthode, puisque nous n'avons besoin de rien".
L'ayant lue, traduite et relue, je connais parfaitement la technique dont elle parle.
Je m'allonge donc sur le sol, tel que je suis, nu, les bras au-dessus de ma tête. Milady relit encore une fois les instructions pour ne pas avoir à y revenir pendant l'action, puis, écartant les cuisses, vient s'asseoir sur moi, sa chatte s'appliquant sur ma bouche, elle-même tournée vers mon sexe, ses genoux me bloquant les bras vers l'arrière. Je suis couvert par les pans de *** peignoir, je suis plus ou moins asphyxié par *** entrejambe. L'odeur et le goût salé de ses lèvres intimes me fait tout de suite chavirer, et je sens que je commence à bander. Elle prend mon sexe en main et commence à me masturber tout tranquillement, trop tranquillement même. Le rythme qu'elle m'impose n'est pas du tout celui que je préfère. Elle le sait et elle en joue car cela fait partie de la technique. Elle me triture la queue comme elle le ferait pour le pis d'une vache. Je comprends en le subissant pourquoi les anglo-saxons appellent cela "milking", la traite.
Je sens que le plaisir va bientôt arriver. Milady le sent aussi et reste très attentive à mes réactions. Quand le premier spasme de l'éjaculation se manifeste, elle retire vivement sa main et stoppe tout. Je sens que mon sexe vibre et tremble au-dessus de mon ventre, mais sans qu'il ne se passe rien de plus. Quand la vibration s'arrête, elle recommence à me traire. Je suis continuellement au bord de l'éjaculation, mais dans l'incapacité d'aller jusqu'au bout, puisqu'elle s'arrête encore une fois juste au moment où je souhaiterais en finir. Ceci dit, mes sensations changent. Cette fois-ci, je sens nettement mon sperme monter dans ma queue, et je ressens comme une très forte brûlure. Finalement, j'ai l'impression que du jus coule de mon méat sur mon ventre, mais pas en jets, puisque je n'ai aucune contraction de mes muscles, mais comme un flot continu qui sortirait tout doucement d'un robinet. Milady reprend alors ses caresses, ce qui d'abord vide le jus qui était encore dans mon sexe, puis me fait repartir vers les sommets de l'excitation. Là encore, elle s'arrête à temps, ce qui provoque d'abord un tremblement de tout mon corps, face à cette frustration terrible, et une nouvelle coulée de ma sève, qui sort cette fois en grande quantité, mais toujours de la même façon, sans jouissance, sans orgasme. Elle recommencera ainsi plusieurs fois, évitant toujours de me donner satisfaction, jusqu'à ce qu'elle constate qu'il n'y a plus rien à faire sortir. Mon sexe vibre et tremblote, comme les premières fois, mais plus rien ne vient.
"Voilà une bonne chose de faite, dit-elle en se relevant, ! Je constate que cette méthode marche parfaitement bien avec toi. Bien sûr avec tes mauvaises habitudes de masturbateur frénétique, tu sais très bien te contrôler, et c'est très pratique..."
Je me sens extrêmement frustré, comme je ne l'ai jamais été. En même temps, je me sens fier d'avoir réussi à me contenir, sans trop de difficultés, dès la première tentative.
Pendant tout le temps où Milady me trayait, je me suis évertué à lécher et à stimuler *** sexe grand ouvert devant ma bouche, et j'ai bien senti qu'elle mouillait abondamment.
"Je vais voir si ce qu'ils disent est vrai... Ils prétendent dans tes notes qu'un soumis bien vidé comme toi maintenant, peut maintenir une érection très dure et très forte pendant très longtemps..."
Aussitôt dit, aussitôt fait. Milady enlève *** peignoir, m'attache les poignets ensemble au-dessus de ma tête avec la ceinture, et s'empale instantanément sur mon sexe encore luisant de tout le sperme qu'elle m'a extrait. Et là, c'est la folie ! Elle est super excitée, elle me chevauche comme une amazone, se secouant les seins comme jamais je ne l'avais vue faire. Elle jouit comme une folle sur ma queue, que je sens douloureuse d'être trop raide et trop gonflée. Si je n'avais pas été trait juste avant, je crois que la vision de ma Maîtresse dans un tel état d'extase sexuelle m'aurait fait craqué très vite. Elle se caresse, se stimule les tétons, fait ressortir *** clitoris en avant pour le pincer à travers *** capuchon. C'est un moment vraiment extraordinaire pour moi, pour nous... Je ne suis plus qu'un jouet pour elle. Seule ma queue l'intéresse, pourvu qu'elle reste raide et dure et gonflée sans risque qu'un orgasme la fasse s'affaiblir.
Après un temps qui me semble infini, à la fois fort et douloureux, Milady jouit dans un hurlement incroyable, tout en me pinçant les mamelons à me les arracher. Puis elle s'abat sur moi, tentant de reprendre un rythme respiratoire plus normal. Je suis moi aussi courbaturé de partout, mais pas pour les mêmes rai***s. Je sens que mon sexe, à l'intérieur de sa chatte, ne débande toujours pas, ce qu'il fait qu'elle tente de se donner encore un peu de plaisir, plus calmement, en contractant en rythme les muscles de *** vagin.
Finalement, elle se retire et se relève. Constatant que ma queue est toujours aussi vaillante, elle s'amuse :
"Et bien, merci pour cette technique. Je me la garde en réserve, car c'est vraiment super d'avoir ainsi un gode bien vivant, toujours opérationnel..."
Quelques jours plus tard, la vue d'un paquet venant des Etats-Unis dans le courrier de Milady me fait comprendre que je vais avoir droit à la seconde technique.
Effectivement, le soir même, Milady prend tout *** temps pour lire le mode d'emploi de *** nouveau jouet, avant de m'ordonner :
"En position !"
chrislebo

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#7,630
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J'ai parfaitement compris, ayant préparé moi-même le dossier sur la chose. Je me mets à 4 pattes, attendant qu'elle commence, mais elle se ravise :
"Tiens, mets toi donc sur la table de la cuisine, ça sera plus rigolo..."
J'obéis, je suis mains et pieds sur la table, la queue pendant vers le bas, commençant tout juste à se gonfler. Puis Milady présente devant ma bouche l'objet en question. C'est une sorte de tige en plastique transparent, mais ayant une forme un peu bizarre. Elle est plutôt en forme de "S", les rayons des deux courbures étant un tout petit peu différents.
"Suce le bien, et lubrifie le au maximum, si tu veux être plus à l'aise".
Je mouille consciencieusement l'extrémité de la tige, qu'elle m'enfonce doucement dans l'anus. Puis elle le fait tourner de droite et de gauche, comme si elle cherchait à atteindre quelque chose. Après quelques instants, la pression de l'extrémité sur ma prostate provoque chez moi un petit mouvement, qu'elle a tout de suite détecté.
"Nous y sommes..." dit-elle.
Elle commence alors à me masser la prostate, de l'intérieur, de façon tout à fait systématique. Elle tourne autour, puis presse dessus, et recommence à masser tout autour. Mes sensations sont étranges. Cela ne fait pas du tout bander, j'ai même plutôt l'impression que ma queue rentre dans sa peau, et qu'elle rapetisse. La stimulation est à la fois stimulante mais aussi un peu désagréable, comme si on me chatouillait l'intérieur. Quelles que soient mes sensations, Milady ne s'en occupe guère, et cela ne change rien au fait, que soudain, je sens du jus qui coule tout seul, sans que je contrôle rien, de mon sexe. C'est exactement ce que Milady attendait... Elle continue donc ainsi à jouer avec mes organes, puis, quand elle estime qu'il ne sort plus rien, elle me presse sur la queue pour en faire suer les dernière gouttes.
"Très bien, me dit-elle, cette baguette me semble magique pour te vider de toutes tes sécrétions sans risque et sans t'offrir le moindre plaisir... Voyons maintenant ce que tu peux faire de ta virilité après ça !
"Elle va s'asseoir sur le canapé, me demandant de la rejoindre, dans la position qu'elle préfère pour moi, à genoux devant elle, puis elle m'ordonne de me masturber. Je suis un peu inquiet, car je n'ai plus aucune envie de sexe à ce moment-là. Effectivement, j'ai le plus grand mal à tenter d'obtenir une érection, bien que j'essaye de mobiliser toutes les techniques que j'ai mis au point pendant mes années de plaisir solitaire. Sans érection, je tente tout de même d'obtenir quelque chose de ce sexe qui ne veut rien savoir... mais en vain. Le résultat est très douloureux, j'ai des crampes dans les mains et dans les bras, et tout mon sexe me fait mal.
"Bien ! C'est vraiment impeccable ce truc... Deux résultats intéressants : je te vide les couilles et tu ne peux plus rien te faire pour jouir ! Désormais, tu me présenteras cette baguette magique au moins une fois par semaine, et systématiquement quand nous sortirons dans une soirée SM !"
"Je suis très contente d'avoir essayé ces techniques. Cela me permettra de choisir celle que je voudrais pour l'usage que je ferai de tes attributs. Le refus d'orgasme quand j'aurai envie d'avoir une queue bien raide pour me faire jouir comme j'en ai envie, et la baguette magique quand je t'emmènerais à l'extérieur..."
chrislebo

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#7,631 · Edited by: chrislebo
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Incapable de la satisfaire



J'ai laissé tomber ma femme pour Bénédicte, une femme plus jeune. Une femme très marrante, d'un physique un peu atypique, très mince et fine, peu de fesses et peu de seins, mais avec un je ne sais quoi qui me rendait fou. Elle venait de quitter *** mari. Elle avait reçu une éducation très catho, et n'était pas du tout du genre à provoquer les hommes. A 38 ans, je n'étais que le deuxième homme de sa vie.

Au début, tout se passa bien. Elle appréciait, je crois, les attentions que je lui témoignais. Tout cela était nouveau pour elle. Même physiquement, malgré la différence d'âge (j'ai 50 ans) et mon manque de sportivité, je trouvais cela très bien.

Très rapidement cependant, il est apparu qu'elle s'énervait souvent sur moi. Nos disputes étaient très fréquentes, et pour tout dire, incompréhensibles pour moi. Nous nous réconcilions toujours et elle disait m'aimer, mais le lendemain, c'était reparti, elle claquait la porte de mon appart et rentrait chez elle. J'étais prêt à n'importe quoi pour la garder, mais je n'identifiais pas ce qui n'allait pas. Je finis par me rendre compte qu'elle attendait autre chose, sexuellement. Elle m'avoua qu'elle éprouvait du plaisir, mais pas à la hauteur de ce qu'elle recherchait. Elle s'était toujours cachée à elle-même (à cause de *** éducation catho), ce besoin de sexe qu'elle éprouvait. Elle me disait que cela ne pourrait pas continuer, plus j'allais vieillir, plus le problème allait être aigu, d'autre part, elle n'avait pas envie de me quitter, mais elle pensait que cela se produirait immanquablement un jour.

J'étais désespéré, et ne savais que faire. Au bout d'une de nos nombreuses ruptures, qui avait duré plus longtemps que d'habitude, je finis par lui proposer honteusement de voir un autre homme. Elle me répondit avec sévérité que cela, elle ne l'accepterait jamais, et qu'elle me quitterait le jour où elle se donnait à un autre. Une autre dispute éclata, et elle finit par ne plus me voir. Je traînais souvent dans *** quartier et je remarquais très vite qu'une voiture noire était garée devant chez elle. Je vis un jour sortir un grand type, de *** âge environ, crâne rasé et mâchoire carrée. C'était donc *** nouvel amant.

En lui téléphonant, elle m'avoua que c'était un ancien collègue, qui lui tournait déjà autour quand elle était mariée. Je lui demandais comment ça se passait avec lui, et elle me dit avec cruauté que le sexe était extra, et qu'il la faisait jouir comme elle n'avait jamais connu cela. Cependant, elle m'avoua qu'elle regrettait ma gentillesse, ma conversation plus intellectuelle, et un certain train de vie que je lui procurais.

Cela me trotta dans la tête pendant quelques jours et je finis par revenir à la charge avec mon offre. Bénédicte mis du temps à accepter, mais finalement, un beau jour elle débarqua à l'appart avec deux valises et s'installa comme si de rien n'était. Nous connûmes de bons moments ensemble pendant près d'une semaine. Le week-end, elle s'éclipsait le samedi soir et ne revint que le dimanche en fin de matinée, toute langoureuse. Elle ne m'empêcha pas de lui faire l'amour. Le week-end suivant, cela recommença, et ainsi de suite toutes les semaines, où elle s'éclipsait une ou deux nuits ou soirées. Je ne pouvais m'empêcher d'être excité en la voyant se préparer pour ses rencontres avec Laurent, maquillage, bas noirs avec porte-jarretelles, nuisettes de soie noire. Elle m'avait garanti que Laurent ne sortait qu'avec elle et qu'ils avaient fait un dépistage sida.

Une nuit, alors qu'elle était rentrée vers trois heures du matin, elle vint se coucher sans se déshabiller entièrement ni se doucher. Elle était donc allongée à côté de moi portant l'odeur de l'homme qui venait de la prendre, et dans la tenue sexy qu'elle avait revêtue pour lui, pas pour moi.

Je sentais l'excitation monter et moi et je commençai à la caresser. Elle répondait mollement à mes caresses et me dit qu'elle était fatiguée, et que de toutes façons, je ne pourrais pas la faire jouir comme Laurent l'avait fait. *** mépris m'excitait encore plus, et, comme dans un rêve, je me sentis descendre le long de *** corps et je commençai à lui lécher le sexe. Elle avait dû se laver en quittant Laurent, mais il me semblait tout de même, en la léchant avec application, que je récoltait un peu de la semence de *** amant. Elle avait gémi pendant mes caresse, et lorsque je terminais mon travail, je l'entendis dire dans un couinement « et en plus , il aime ça, le cocu ».

J'avais mis le doigt (si l'on peut dire) dans un engrenage fatal.
chrislebo

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#7,632
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Le lendemain, j'entendis Bénédicte dire par GSM à *** amant, "que j'avais mangé les restes", et ils semblaient en rire beaucoup. Quelques jours se passèrent encore. Tout allait bien entre nous, mais je sentais que Bénédicte était de plus en plus hautaine avec moi. Elle ne se gênait pas pour téléphoner à Laurent devant moi, avec des allusions à peine voilées. Lorsque vint le week-end suivant, elle m'appela dans la chambre, où se trouvait un grand miroir, ainsi que la garde-robe, et me demanda de l'aider à choisir une tenue pour le voir. Le cœur palpitant, je choisis pour elle une guêpière noire à laquelle elle pouvait fixer des bas noirs. Elle prit des bas avec un dessin un peu lourd et vulgaire, me disant avec un clin d'œil « si c'est pour faire la pute, autant ne pas le faire à moité ». Je connut ***************, mais aussi le plaisir sulfureux, de me mettre à genoux devant elle pour l'aider à fixer ses bas, à enfiler sa petite culotte en dentelle noire sans l'accrocher à ses talons aiguilles. Me dominant de la hauteur de ses escarpins, elle était superbe. Et je me l'imaginais avec envie dans les bras de *** amant.

Quand elle rentra aux petites heures, elle avait manifestement bu, et rit beaucoup en me voyant tout contrit, l'attendant en pyjama rayé. Elle me fit baisser mon pantalon « pour voir dans quel état j'étais » et rigola franchement en voyant mon pénis redressé . « On est loin de ce que je viens de m'enfiler » me dit-elle, « mais on voit que tu t'appliques. Sois heureux, je t'ai ramené de bon restes, encore tout frais ». Elle se coucha sur la table du salon et releva sa jupe. Elle n'avais pas remis sa culotte. « Vient ici, mon gros cocu », dit-elle. Et je m'agenouillai devant la table et enfuit mon visage entre ses cuisses maigres et musclées. Tout de suite, je sentis le goût âcre du sperme de *** amant. Je n'éprouvais aucun dégoût, juste l'envie d'en profiter pleinement. Pendant que je la léchais, elle m'expliqua qu'il avait joui trois fois en elle, et qu'ils avaient décidé de me faire tout nettoyer, puisque j'aimais ça. Elle me dit « tu pourrais dire merci », et éclata de rire. Puis, l'idée lui venant tout à coup, elle prit *** GSM et composa un numéro, elle dit « je te passe mon cocu, il veut te dire merci ». Je pris le téléphone en tremblant et j'entendis une voix très virile et très méprisante me dire « alors lopette, qu'est ce qu'on dit, maintenant que je t'ai baisé ta femme ? ». « Merci ». « Merci qui ? Merci pourquoi ? » « Merci Monsieur, d'avoir bien baisé ma femme ». Il partit d'un grand rire « eh bien, on va bien s'entendre alors ! ».

Je repris ensuite mon nettoyage minutieux de la vulve de Bénédicte pendant qu'elle reparlait avec *** mâle de leurs étreintes de la soirée. A ma grande surprise (et délectation) j'entendais mon ex-petite catho utiliser des expressions comme « tu as bien baisé ta salope - j'ai adoré ta grosse bite bien dure qui me pénétrait – tu es mon mâle – vivement que tu me reprennes par derrière comme une chienne, etc. ».

Lorsqu'elle eut raccroché et soupiré un peu plus bruyamment sous mes coups de langue, elle me dit « et maintenant, ta petite récompense ». Je croyais qu'elle allait me permettre de la pénétrer, mais il n'en fut rien. Elle se mit debout sur la table, et m'ordonner de poser mon sexe sur le rebord. Ensuite, elle posait le bout de *** escarpin dessus, en maintenant une pression suffisante pour le coincer. « branle-toi avec ma semelle » me dit-elle. Honteux et confus, j'obéis. Sa semelle m'écrasait un peu, mais je tâchais de faire aller mes fesses en avant et en arrière, jusqu'à ce que je jouisse. Elle rit encore, puis alla se coucher.
chrislebo

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#7,633
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Notre étrange relation à trois (ou plutôt à deux et demi, car je ne me sentais plus un homme à part entière) se prolongeait tant bien que mal. Bénédicte se souciait désormais très peu de moi en tant que per***ne. Je savais que mon argent la retenait encore auprès de moi, mais je pense sincèrement qu'elle prenait également un certain plaisir à m'humilier, et *** amant lui apportait le sexe, mais pas de reconnaissance sociale, ni de toit, ni même un minimum de conversation, quand on mettait de côté le sexe.

Quand elle allait travailler, ou quand nous recevions nos anciens amis, elle s'habillait et se conduisait normalement, mais à d'autres moments, elle disjonctait complètement, et devenait plus vicieuse que la pire des putes.

Elle me téléphonait parfois quand elle était avec lui. Elle se plaisait à haleter pendant qu'elle me détaillait la manière dont il la prenait. J'étais heureux de sa sollicitude. Je me masturbais en les écoutant.

Et puis, un jour, il arriva.

Je ne m'y attendait pas. Bien sûr, j'avais à nouveau aidé Bénédicte à s'habiller pour le sexe, mais je croyais qu'elle allait sortir en discothèque, et puis passer une partie de la nuit chez lui. Mais j'avais été ouvrir la porte, et il était devant moi. Plus jeune et plus grand que moi, il me toisait avec mépris. *** seul salut fut « salut, le cocu », et il me poussa de côté.

Elle sauta à *** cou et il lui passa les mains sous la jupe, la relevant pour lui palper ses petites fesses bien fermes. Comme je l'ai dit, Bénédicte n'était pas un canon selon les normes habituelles, mais elle était fraîche, décomplexée, sexy. Elle lui palpait sans vergogne le sexe à travers *** jeans. Je ne savais que faire. Il avait la carrure très large, et j'avais l'impression qu'il la couvrait entièrement de *** autorité et de sa virilité. Il me dit « va nous chercher à boire, le gros cocu ». Je ne protestais pas. J'avais voulu cela, finalement. Je revins avec deux coupes et la bouteille de champagne que je gardais au frigo, et je les servis. Il avait déjà enlevé la mini robe de Bénédicte et s'était installé dans le sofa, en la calant contre lui. Il lui pelotait le corsage en me regardant de temps en temps droit dans les yeux. Je baissais les miens.

Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle extraie le sexe de *** amant de *** jeans. Je compris pourquoi elle ne s'occupait plus du mien depuis longtemps, il était de bonne taille, mais surtout érigé comme un pylône, alors qu'elle l'avait à peine touché. Dans ma fièvre, Je vis ma bien-aimée se pencher sur ce sexe turgide et le prendre en bouche. Elle le suçait lentement. Lui me fixait. Je n'osais pas soutenir *** regard. Je gardais les yeux baissés, juste pour voir la bouche de Bénédicte glisser sur la bite rigide de Laurent.

Au bout d'un moment, il se leva et la fit se mettre à quatre pattes sur la table. Il n'eut aucun mal à la pénétrer profondément dès la première poussée, arrachant à mon amour un râle de plaisir. Il commença à la pilonner, tandis qu'elle alternait cris de jouissance et mots orduriers. Elle que j'avais vu communier pieusement à l'enterrement d'un collègue, proférait maintenant des « vas-y mon mâle, baise-moi, baise-moi, baise-moi » ou encore « défonce-moi devant mon cocu, montre-lui comme tu me fais jouir, mets-moi ta grosse bite à fond, j'aime ton dard » ,etc


Je me demandais quand tout ça allait finir. J'étais partagé entre le désir que cela continue indéfiniment, et celui de me masturber.

Laurent semblait avoir lu dans mes pensées. Il m'ordonna de baisser mon froc et de montrer ma quéquette, comme il disait. Le diminutif convenait très bien à celle-ci. J'en avais honte. Bénédicte et *** mec se marraient comme des baleines. Laurent m'ordonna de me branler. Je m'exécutai servilement. Bénédicte m'interrompit : « j'ai une meilleure idée » me dit-elle. Elle me fit agenouiller devant le sofa et s'y installa avec *** mâle. Elle le branlait pendant que lui, lui carressait les seins. Elle avait pris mon petit appendice entre ses deux escarpins, et les faisait coulisser. Cela m'électrisait. Je bandais mou, mais je sentais que mon orgasme de semi-impuissant montait, en regardant les gros doigts de manuel de l'amant peloter les nichons de ma femme, et les fins doigts de Bénédicte aller et venir le long de la hampe de ce mâle puissant.

Finalement, mon plaisir vint, et quelques gouttes tombèrent sur le carrelage. Laurent pris un air faussement courroucé « mais c'est dégueulasse, il salope ton carrelage ». Bénédicte n'en pouvait plus de rire. « allons cocu, nettoies, vas-y, lèches». Je dus donc me mettre à quatre pattes et lécher mes traces.

Peu de temps après, Laurent était lui-même près à jouir entre les doigts de Bénédicte. Celle-ci me dit d'un ton dur « voyons, mon gros cocu, tu ne veux pas que mon mâle perde sa semence partout, approche ta bouche ». Je n'en croyais pas mes oreilles, et ne savais comment réagir. Mais Laurent m'empoigna le cou et engouffra *** sexe dans ma bouche. Je sentais les doigts de Bénédicte s'activer près de mes lèvres, mais bientôt elle dut retirer sa main, car Laurent avait enfoncé toute la longueur de *** sexe dans ma bouche. Bénédicte m'encourageait « vas-y ma lopette, suces le, suces-bien mon amant, tu sens comme c'est bon une bite bien dure? Tu n'en auras jamais une pareille entre les jambes, alors profites de celle qu'il te met dans la bouche! Tu comprends comme je jouis quand il me la met dans la chatte. Tu ne pourras jamais me faire cela ». Je dois dire qu'elle avait rai***. Ce sexe était d'une dureté de diamant et je sentais le bout cogner contre ma glotte. J'étais à deux doigts de vomir, mais le sexe de ce magnifique mâle continuait à aller et venir dans ma bouche. A un moment, je sentis la giclée partir et le sperme inonder ma gorge. Bénédicte semblait ravie. Laurent me repoussa du pied et m'envoya m'étaler au milieu de la pièce. Ils me firent ensuite descendre dans la cave, avec défense de remonter avant le lendemain. Je ne protestais pas.

Mon calvaire n'allait pas s'arrêter là, je m'en rendais compte
chrislebo

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#7,634
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Je paniquais à l'idée que Bénédicte me laisse tomber. La seule manière de la retenir près de moi, c'était mon argent et ma position sociale. C'est la rai*** pour laquelle je lui avais demandé de m'épouser. Elle avait accepté, non sans en avoir parlé à *** amant.

Nous avions convenu de nous passer de cérémonie. Une simple signature devant le maire, avec deux témoins. Cependant, à notre retour à l'appartement, Bénédicte m'avait envoyé faire des courses, et quelques minutes plus tard, m'avais ***né pour me donner rendez-vous à une adresse à la campagne, sous prétexte d'un petit dîner entre amis. Lorsque j'étais arrivé dans le restaurant, le patron m'avait indiqué une salle dans le fond, en disant que mon épouse m'attendait là.

En entrant dans la salle, je vis une dizaine d'hommes, entre 30 et 45 ans. Au milieu d'eux trônaient Bénédicte, en robe blanche de mariée et voile, ainsi que Laurent. Tout le monde éclata de rire en voyant ma mine, et tous crièrent « vive les mariés et le cocu ». Bénédicte m'expliqua que c'était moi qui allait servir à boire et à manger, tandis qu'elle était assise à table avec Laurent. Avant cela, je fus obligé de retirer mon pantalon et mon slip. Je devais ainsi aller en cuisine chercher les plats et servir tous ces hommes hilares.

Ces pervers avaient même organisé une cérémonie de la jarretière. C'était moi qui devait relever la robe de mon épouse pour faire admirer ses jambes à tous les mâles. Ceux-ci ne se contentaient pas de donner des billets, ceux qui donnaient avaient le droit de la caresser. De billets de 5 euros, on était passé à 10 et 20 euros, et maintenant, la mariée, à quatre pattes, la robe relevée sur les reins, prenait et bouche et suçait les sexes des donateurs. Les hommes se succédaient dans la bouche de ma femme. A un moment, un d'entre eux brandit un billet de 50 euros. Les applaudissements fusèrent. Bénédicte mis le front par terre et cambra les reins, offrant ses fesses à l'inconnu. Celui-ci y enfonça un grand dard poilu et entama un va-et-vient. Bénédicte se mit à en pleurer de plaisir. Elle allait au devant du mouvement de bassin du mâle, le visage crispé par la jouissance. L'homme tira le meilleur parti de ses 50 euros, lâchant finalement *** jus dans la chatte de mon épouse. Il se retira avec un air satisfait, mais Bénédicte en réclamait encore. « Baisez-moi, bande de salauds, je veux de la bite, mettez-moi votre dard bien au fond de la chatte ». Un maghrébin succéda au premier inconnu. Il pénétra Bénédicte en lui arrachant de nouveaux gémissements. Elle reprit ses mouvements de bassin de chienne en chaleur. Je n'en revenais pas de voir ma nouvelle épouse se faire ainsi baiser par des hommes qu'elle voyait pour la première fois. Ma femme se faisait monter par *** troisième étalon, lorsque Laurent cria à la cantonade « et pour 20 euros, on peut aussi baiser le mari ». Cela suscita l'hilarité générale. Je n'en croyais pas mes oreilles. Un d'entre eux, un gros noiraud avec un air de maquereau répondit « chiche! » en tendant un billet bleu. En un clin d'œil, sans avoir eu le temps de réagir, je fus mis à terre. Laurent lui même se mis à califourchon sur ma nuque, la serrant avec ses cuisse. J'étais ainsi maintenu à quatre pattes, le cul offert à tous vents. Je sentis un doigt poisseux m'entrer dans l'anus et compris qu'on m'enduisait de beurre, puis à coup de pieds, on me fit écarter les genoux, et deux mains robuste m'empoignèrent les hanches. Un corps dur entrait en moi et malgré le beurre, cela faisait très mal. Je les suppliais de me laisser, mais cela les excitait encore plus, et j'entendais les rires fuser de toutes parts. Le sexe de l'homme était maintenant bien entré en moi et commençait *** va-et-vient, me faisant hurler de douleur. Entre Temps, Laurent s'était déculotté, et, relavant ma tête, il m'avait enfoncé sa grosse bite dans la gorge. Je n'en pouvais plus. Mon violeur m'empalait sans ménagement. Je sentais comme un barre de fer glisser dans mon anus, allant bien profondément dans mes entrailles. La douleur et *************** étaient intense, mais malgré moi, je ne pouvais m'empêcher de remuer les fesses pour aller au devant des coups de buttoir. Tout le monde s'en apercevait, et je me faisais maintenant traiter de lopette et de pute. Laurent accélérait *** mouvement dans ma bouche, m'étouffant pratiquement. J'étais en train de me faire baiser devant ma femme le jour de mon mariage. Un petit regard sur le côté m'avait permis de voir que Bénédicte elle-même était prise de la même façon, et semblait adorer ça. L'intensité de *************** était telle que je me mis à sangloter comme une femme. Je pleurais, mais je continuais à sucer la bite qui m'était enfoncée dans la gorge et à me trémousser des fesses. Je me rendis compte et acceptais enfin que j'aimais être traité comme une pute, et que j'aimais les mâles. Ma bouche était gourmande et ma langue servile finit par déclencher un jet puissant de sperme qui m'inonda la gorge. Quelques secondes à peine plus tard, je sentais un jet chaud me remplir le cul. On m'empoigna et on me conduisit, toujours à quatre pattes, vers la chatte de ma femme, qu'on m'obligea à nettoyer. Elle était pleine de foutre. Un autre homme venait de me pénétrer et m'enculait avec *****. Bénédicte l'encourageait « vas-y, baise cette lopette, encule mon cocu de mari, met lui ta grosse bite de mâle dans *** cul de salope ». Un autre avait pris possession de ma bouche, mais lorsque vint le moment d'éjaculer, il se retira et m'envoya le jet dans les yeux. Enfin, il y eut une pose, et ils se remirent à boire. Bénédicte passait des genoux de l'un à ceux de l'autre, les embrassant à pleine bouche, tandis que leurs mains palpaient ses fesses et ses seins. Moi, de mon côte, je servais à boire à ces mâles, le dos courbé car je savais à peine marcher, le sperme de mes maîtres étalé sur le visage et remplissant mon anus.
chrislebo

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#7,635
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Voici la lettre que j'ai adressée à Bénédicte le lendemain de notre mariage:



Ma superbe Épouse, mon Amour,


Je ne sais comment te remercier d'avoir accepté de m'épouser. Tu fais ainsi mon bonheur pour le reste de ma vie.

Je comprends bien sûr que ce que mon rôle de mari m'impose: être cocufié encore et encore, me plier à tous tes désirs, accepter toutes les ************. J'ai aussi bien compris que je suis ton mari, mais que Laurent est ton mâle, et qu'à ce titre, il a le droit légitime de me dominer et de me considérer comme *** serviteur docile, voire sa deuxième femelle. Je m'appliquerai donc désormais à vous servir et à faciliter vos ébats. J'accepterai aussi avec reconnaissance que tu me soumettes aussi à tes autres amants. Je sais que tu me trouves vieux et moche, mais si cela peut amuser tes amants, je n'offrirai qu'une servile résignation lorsqu'ils souhaiteront me faire subir leurs sévices.

En particulier, pour mieux nier mon statut d'homme, je revêtirai cette tenue de soubrette que tu as laissée à mon intention dans le garage, près de la paillasse où vous me faites dormir. Même avec une perruque blonde, je suis très moche, mais si tel est votre désir, je me promènerai donc en porte-jarretelles et mini robe noire. Je suis reconnaissant à Laurent de bien vouloir baiser ma femme devant moi, pour bien me montrer à quel point je suis inadéquat comme amant. Il est juste qu'il m'humilie en me pinçant les tétons jusqu'à ce que je pleure, puis en m'enfilant *** superbe sexe d'étalon jusqu'au fond de la gorge. Il est également juste que vous refusiez désormais que j'ai la moindre relation avec toi, sauf lorsque tu me masturbes avec tes hauts-talons.

Tu as exigé que je trouve moi-même les moyens de m'humilier davantage. Je demande donc la permission, lorsque ton superbe étalon te prendra, d'avoir l'autorisation de lui lécher le cul pendant qu'il te pénètre et te fait jouir. J'espère pouvoir lui être agréable, et à toi aussi, en essayant d'introduire ma langue d'esclave dans l'anus de l'amant de ma femme.

Te voir onduler sous ses pénétrations, voir la longueur de sa hampe bien dure s'enfoncer dans ta chatte, me dire que désormais, celle-ci m'est interdite, tout cela comble mon esprit de cocu soumis. J'accepterai également toutes les ************ publiques auxquelles vous voudrez bien me soumettre, comme lors de notre mariage, où tu t'es offerte à tous ces hommes et m'a obligé à en faire de même.

J'ai hâte que tu sois de retour ce soir, pour que je puisse à nouveau entendre tes cris de jouissance et recueillir enfin sur ma langue le sperme de ton bel amant. Peut-être daignera t'il m'enculer ensuite, en me faisant pleurer de joie devant la dureté de sa queue qui m'explose la rosette et vient buter dans le fond de mes entrailles ?
chrislebo

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#7,636
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ma copine deux black avec des très grosses queues

C'étais 1 semaine après notre histoire en boite ou elle s'était fait passé dessus par 6 mecs.
Elle voulait recommencer celui lui avait vraiment plus de pouvoir me cocufié avec mon consentement.Mais elle voulait bien plus que sa maintenant elle voulait m'humilier et moi sa m'exité beaucoup.Elle voulait que j'ai l'air ridicule que les mecs quelle se tapent soit bien mieux monté que moi.
On c'est donc mis à cherché des mecs bien monté pour elle et je dois dire qu'on à vite trouvé deux blacks grand bien bâti et très bien monté l'un avait une queue de 22par5 et l'autre 24par5 donc deux belle queue pour que ma chérie prennent un pied d'enfer.
Moi je pensé que j'allais simplement être attaché dans un coin de la chambre mais apparement elle avait concocté un scénario des plus macabiélique pour m'humilier et pour que ************ soit totale elle c'est permis d'inviter des potes à moi 5 exactement et trois de mes ex copines avec qui j'étais resté en très bon termes.mes amis arrivèrent avant les deux amants de ma femme moi je découvrai *** plan au fur et à mesure que le temps passait nous buvions donc l'apéro tous ensemble quand tout à coup elle se leva pour porté un toaste.Etonné tous le monde ce tue pour écouter.
"je porte un toast au plus merveilleux des hommes (moi) qui me permet de le trompé quand je veux avec qui je veux."
Et elle ce rassis.per***ne ne savait quoi dire et tous le monde me regardé d'un air dépité sauf mon meilleur ami qui était là l'autre soir.je leva et dis:"et oui j'aime sa ,sa me plait de la voir ce faire sauter."
et la tous le monde se rassura et ils commencèrent à poser des questions du genres vous êtes échangistes?toi aussi tu couches avec d'autre nana?.....et bien non je ne couche pas avec d'autre nana je suis simplement un cocu.
à ce moment les deux amants de ma chérie arrivèrent ma copine fit les présentations et dit :"cela vous dit de voir un film de cul en directe live"j'en croyais pas mes oreilles mais je ne croyais pas non plus que me très ex répondirent en même temps oui vas y clara on te regarde.mais potes était comme des fou et moi aussi mon jean étai de plus en plus sérré.
bref avant de commencer sa ma copine décida de continuer encore l'apéro pour que tous le monde n'ésite pas à ce mettre à l'aise.
nous en étions à peu près à la 6eme tourné quand tous le mondes semblé etre bien chaud et à parler que de cul.la clara me dit d'aller chercher le scotch américain je savais ce qui m'attendais en effet une fois revenu dans le salon elle me dit "mais toi à poil"puis demanda à mes ex de m'attacher les main derierre la chaise les chevilles aux barot et de sctcher la queue dans la raie du cul pour que je ne bande pas.mais jamias j'aurai pensé qu'elle me fasse sa.mes ex étaient très exité surtout sandra la plus salope des trois.
une fois bien attaché ma petite chérie ce mis à poil en deux seconde.puis elle se mit à genoux devant les deux black qui ce demandaient là ou ils é-taient tombé.mais cela ne là pas empéché de sortir leur queues enormes qu'elle commença à branlé puis à les sucé cela etait vraiment beau a voir mes 5 potes d'enfances trois de mes ex qui maté ma copine en train de sucer deux grosses queues.
elle alternai entre les deux essayant de les avaler en entier je voyais sa fente mouiller comme pas possible elle ce mit debout et les deux mecs se désabillérent complétements elle ce mits sur l'un deux et s'enfonça la sa queue dans la chatte et la tous le monde entendi *** râle de douleur et de bonheur en enfourchant cette grosse queue l'autre gars ce mit debout afin de pouvoir ce faire sucer plus aisaiment
au bout de 5 minutes elle tourna la tête vers mes pote et leurs dit allé les gars sorté vos queues et branlé vous ils ne se firent pas prier puis la sandra dit et nous clara peut ce foutre à poil nous aussi et ma copine leur dit oui alez y si voulais y des gros godes dans la chanbre sous la table de nuit.
et voila clarisse sandra et anna qui ce foutent toues trois à poil et partirent dans ma chambre pour cherche les godes sandra sorti la premiere un le plus gros gode dans la main droite et dans la main gauche le gode ceinture que clara ce sert pour m'enculer et la sandra dit à clara alors en plus d'être cocu c'est une lopette clara repondit oui c'est une vrai salope ce mec vous pouvais l'encler si vous voulais .
et voila comment je me suis retrouvé devant mes potes qui savait rien de sa à part mon meilleur ami entrain de me faire enculer à grand coup de gode ceinture par sandra pendant que ma cherie ce fesais sauter par ces deux amants l'un deux etait dans *** cul et l'autre ce fesait sucer puis là elle dit allé les gars prennait moi en double pénétration aussi tôt dit aussi tôt fait la voila entre les deux black et elle joui comme une folle les deux gars ***t au bords de l'explosion l'un de se lève lui ouvre la bouche et ce branle et lui gicle dans la bouche et la je la vois qui avale
et l'autre gars continu à la ramoner et finit par jouir dans sa chatte et la je vois je jus coulé elle à la chatte remplie de sperme le mec se retire et là elle ce plaça devant moi et dit allé lèche petit cocu.sandra m'enculer toujours et clarisse et anna ce servait de godes entre elles mes potes ce finissait en ce branlant mais clara leur dit stop arretez venez gicler sur le cocu ils hesitèrent une seconde puis se leverent ce mette en cercle autour de moi et se branlent et la je craque je vire sandra de mon cul et me mais à genoux pour commencé à les sucer ils ce ***t tous laissé faire et tous giclé dessus c'étais génial j'étais couvert de sperme.voila maintenant tous le monde étai content et avis jouis aux moins une fois.nous avons donc finit par reprendre de l'apéro pour finir par rebaiser mais cette fois tous le monde à essayé tous le monde mais sa c'est une autre histoire.

chrislebo

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#7,637
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Mon mari, ma soubrette



Loïc et moi, nous formons un vrai couple depuis dix ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une fanfaronnade de sa part. "Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande !" Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Loïc m'a limée longtemps, très longtemps, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure. Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.
- Loïc, je vais t'habiller en femelle, et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous *** nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite, pour l'humilier. "Ta queue est raide comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Loïc a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités, et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
J'ai cisaillé *** membre en tirant le slip par les deux bouts. Loïc gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté *** anus, en le félicitant d'avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, Loïc couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. J'en revenais pas mon mec était une vraie salope.
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou, et je lui en ai donné vingt coups sur le cul. Loïc se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Loïc, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J'étais lâchée et toute exitée...
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Loïc a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts, et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Loïc et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Je me prenais a fond au jeu puisque lui aussi, apparemment adorait cela... j'en rajoutais alors...
Loïc reçu l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, *** cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection grimpant jusqu'au nombril, et ses cuisses musclées gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
J'avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé *** soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois Loïc s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré *** slip, j'ai retroussé *** prépuce, et j'ai sucé *** gland. Je titillais le méat du bout de ma langue, et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que les couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, Loïc me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.
chrislebo

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#7,638
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Dernièrement avec mon amie Brigitte, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Loïc. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Brigitte est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Loïc voulu discuter comme quoi c'était trop, mais Brigitte lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre se mit en position sur "le punissoir". Il s'agit d'un tréteau assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. *** cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de *** engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)

Avec Brigitte nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Loïc au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber *** cul bien zébré.

Au cours de la discussion, Brigitte me dit soudainement "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire." Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt "C'est une bonne idée que tu as là, c'est que maintenant ce n'est plus vraiment un homme."
chrislebo

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#7,639
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En tournant la tête vers le coin où Loïc était en pénitence, je lui dit de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Brigitte ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara "Et en plus ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu."
J'étais subjugué de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui ou je ne soupçonnais pas ses attirances, à mes yeux il tombait bien bas, je n'avais plus de respect pour ce sous homme, une nouvelle ère s'ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui... Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Loïc de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Brigitte évoquais des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Brigitte se positionna derrière Loïc qui, à 4 pattes, exhibait *** cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit vibro dans le cul. Durant toute l'opération Loïc continuait *** travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Brigitte continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : "Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants." Elle se mit alors à pistonner l'anus de Loïc vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter "Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps." Au même moment j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis. Nous l'avons insulté de s'être laissé allé comme ça et remis au coin.

Lorsque Brigitte fut partie, je me tournais vers lui et dit : "Tu vois puisque tu n'as pas pu tenir une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça." Il ne dit rien et baissa la tête.
Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien !
chrislebo

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#7,640
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Mon neveu, ma femme et moi



Je suis marié avec Virginie depuis 10 ans et l'on peut dire que notre couple bat de l'aile doucement, nous ne fai***s de moins en moins l'amour ma femme n'étant jamais disponible et lorsque que nous le fai***s, je suis tellement en manque que je jouis assez vite et elle déclenche *** orgasme automatique dans la foulée du mien question que tout le monde soit content.
Bref, une sexualité morne et morose, je me masturbe beaucoup et des fantasmes se construisent dans ma tête de plus en plus nourris par ces sentiments d'insatisfaction et d'incompétence.
Ma femme d'ailleurs m'a souvent surpris la main dans le sac, en train de me masturber et à chaque foi me traite de pauvre mec... À cela je lui réplique que si elle « le » voulait plus je ne le ferais pas.et elle de me dire « pour ce que l'on fait on pourrait autant s'en passer ».
Elle exerce d'ailleurs de plus en plus d'autorité sur moi, que j'accepte assez bien faisant ma part de tache ménagère pour la soutenir surtout qu'elle travaille de plus en plus avec un salaire qui la rend totalement autonome.
Un jour mon neveu Alex est venir habiter chez nous momentanément, car il venait de finir ses études sur Paris et devait prendre une chambre, dés qu'il aurait trouvé du travail... C'était une question de semaines et cette présence à la mai*** mettait un peu de fraîcheur et de sympathie dans notre routine.
Mais tout doucement s'installa un rapport avec ma femme qui me déplaisait... au début, il la draguait en douce, je le voyait bien et elle se laissait faire toute souriante à *** égard moi, je devenais transparent, elle ne me disait même plus bonjour le matin, alors qu'elle lui faisait la bise à lui en l'entourant de ses bras...

Puis elle commença à me donner des ordres devant lui, en m'humiliant à chaque occasion...
Me disant que la vaisselle n'était pas propre, les courses mal faites... Tous cela devant lui et ce sentiment ************ ne provoquait en moi aucune réaction, devant lui j'aurais dû faire le mâle, taper du poing, mais je sentais confusément que ce n'était plus mon rôle, je prenais étonnamment du plaisir même à me sentir humilié...Lui était gêné au début, je représentais pour lui le dominant du couple parfait, mais très vite il comprit que c'était elle le centre, et ne m'adressa de moins en moins la parole. C'était aussi tout pour elle, je le voyais bien tomber sous le charme, me laissant comme un simple meuble en dehors de toute attention.

De plus en plus je me vis les servir, bientôt le soir, je faisais la cuisine, mangeait avec eux qui monopolisaient la conversation, puis je débarrassais et rangeais la cuisine alors qu'ils allaient s'affaler se le canapé à regarder la télé...Je ne choisissais plus les programmes, je me retrouvais sur le fauteuil alors qu'eux étaient sur le canapé, de plus en collés l'un à l'autre...
Je finissais par dire à ma femme ma désapprobation sur *** attitude elle me répondit.. « petit con tu me lâche un peu, ce n'est pas toi qui dirige ma vie, je fais ce que je veux avec Alex » le « avec Alex » provoqua directement un début d'érection chez moi, je crois qu'elle le vit, j'étais en slip, elle rajouta « contente toi de nous faire la bouffe et tout le reste si tu veux que tous se passe bien...À ce moment, je bandais tout à fait, elle toucha ma bite à travers le coton, la tordit en disant « Dis donc, t'es vraiment un sous-homme », je n'étais pas surpris de sa réaction mais plutôt de la mienne, j'avais du plaisir à cela... Je n‘étais donc qu'une lope...Je me pliais au jeu... humiliant. Lui aussi commençait à me donner des ordres...Si je rechignais, elle m'injuriait et lui se marrait.

Puis un jour, ils commencèrent carrément à se ploter sur le canapé devant moi , je regardait la télé fixement faisant semblant de ne pas voir, mais ma femme se mi à gémir sous ses caresses, je les regardais ébahi, il avait sa main dans sa culotte, je voyais distinctement *** doigt aller et venir pendant que sa bouche fouillait celle de ma femme... Ma femme s'interrompit et dit à Alex « fait pas gaffe à ce con, il est bon a rien pour moi, je suis sûr qu'il rêve d'être cocu... » Alex répondit. « Alors on va le faire cocu ce connard, bien cocu, profondément cocu...Et elle de rajouter « Oui Alex va y fait le bien cocu ce bon à rien, va y donne-moi du plaisir...», « Avec joie » répondit-il. Je me levais et esquissais un pas vers eux, Mais Alex bondit d'un coup et avec sa vigueur me mit par terre d'un coup de poing, je me ramassais lamentablement, pendant ce temps, ils s'étaient déshabillés et donnaient libre cours à leurs ébats.
Alex dit «On va faire ça devant lui ?..» Virginie de répondre « On s'en fou, en fait ça m'excite bien continu...». Là, je me mit à pleurer par spasme nerveux, secoué, je décidais de quitter la pièce, mais Alex m'interpella « reste là... tu as entendu, ça fait mouiller ta femme de le faire devant toi... » J'obtempérais. « D'ailleurs désape-toi pour voir si tu bandes ».
Interloqué je me vis m'exécuter, nu, je constatais avec horreur que mon sexe était ridiculement dressé désignant les futurs amants d'un gland turgescent et baveux. Cela déclencha chez eux rires et quolibets « tu as rai***, il bande le cocu, on va te donner des rai***s plus profondes de le faire' . Ils reprirent leurs jeux me laissant au mien, je vis ma femme s'intéresser au sexe de mon neveu. « Waouh, tu es bien monté, dis donc , par rapport à lui, c'est sans comparai***, faut dire que j'en n'ai pas vu beaucoup des bites » puis elle s'adressa à moi, « regarde ça chéri » en masturbant Alex « tu ne seras jamais à la hauteur avec ta pine d'éjaculateur précoce » La bite d'Alex était épaisse et assez longue posée sur des couilles qui me parurent énormes...Puis elle l'enfourna dans sa bouche, je pensais *********** qu'elle ne m'avait pas fait de pipe depuis des mois.

Malgré moi de la voir enfourner ce mandrin de chair dans sa bouche me mettait au spectacle et je commençais à me caresser inconsciemment; « dit donc t'as vu, il se touche le gros porc... », «Oui ben, il a rai***, dorénavant il ne lui restera que ça, j'ai plus l'intention de lui offrir autre chose » à ces mots, je jouissais en longues saccades sur le tapis.

Puis ils continuèrent ainsi, je la vis tour à tour se faire prendre par la grosse queue d'Alex, ça n'en finissait pas, je voyais le membre s'enfoncer et disparaître entièrement dans cette chatte qui était mienne, l'écarteler, la pilonnant assez violement, ma femme poussait des râles et de temps en temps me jetait un regard de défi, puis repartait dans *** plaisir. Il la retourna sur le tapis pour la prendre en levrette, *** visage vers ma bite, si proche, elle me regardait fixement dans les yeux *** corps secoué en rythme, la bouche entrouverte et haletante. « Alors le cocu dit Alex, tu vois comment il faut la prendre ta femme, ... » Il la tenait par les hanches et de temps en temps l'attrapait par les cheveux en la pénétrant en rythme soutenu « Laisse, dit-elle, il a jamais su faire' . Puis elle jouie a grand cris de plaisir, je ne la reconnaissais plus, cela n'arrêta pas Alex qui continuait de plus belle à la saillir, elle s'était effondrée sur le tapis le cul relevé et lui toujours opérant .

Je me branlais à fond, il me regardait d'un sourire narquois., Il retira sa pine de ma femme dans un bruit de sussions et lui dit « aller, je veux finir dans ta bouche, elle rampa vers lui à quatre pattes m'offrant le spectacle de sa croupe et le repris en bouche...Là ce fut plus mécanique, pour obtenir *** orgasme il lui pinat littéralement la bouche, en la retenant par la nuque (ma femme n'aurait jamais toléré ça de moi)...J'avais vue sur sa croupe ou *** abricot humide et entrouvert témoignait encore de sa trahi***, j'avais l'impression que ce petit œil mouillé me regardait souriant à mes déboires, puis il jouit en elle, lui remplissant apparemment la gorge, lui criant et elle poussant des gloussements de contentement, elle avala tout en pompant comme une hystérique la queue turgescente...(Elle n'a jamais avalé avec moi de toute façon les fellations complètes n'ont jamais été au programme avec ma femme, tout juste une prise en bouche dans le feu de l'action sans plus)...

Là , elle était transformée en amante langoureuse, d'une maturité que je n'avais pas su révéler.
Moi j'étais toujours bandant, mais j'avais eu deux ou trois orgasmes et mon sperme maculait le tapis devant moi...» Bon dit elle nous on vas se coucher, il t'es évident petit cocu que ta place n'est plus dans mon lit, «tu vas nettoyer toutes tes saletés et tu dormira sur le canapé... Bonne branlette ».
Et ils partirent tous deux occuper le lit conjugal...
chrislebo

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#7,641
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Confession Comment j'ai humilié mon homme



En général à la maison, je suis soumise. Mais parfois j'aime me "venger" un peu des affronts que me fait mon homme Mad ... même si je sais que je le payerai plus tard.
Voilà ce que j'ai fait une fois ...

"Hier soir, nous devions nous faire une petite soirée en amoureux. J'y pensais depuis longtemps et j'en avais très envie. Et puis au dernier moment, vers 19 heures, tu m'as appelée pour me dire que tu avais un "rendez-vous pour le boulot, un repas qui finirait très tard" et que je ne devais pas t'attendre.

Grrr, j'étais furieuse. En plus je savais très bien que tu n'étais pas au boulot mais que tu avais certainement rencontré une jolie fille ... et j'ai ruminé ma vengeance un bon moment ... et puis j'ai eu une merveilleuse idée ...

Tu n'es carrément pas rentré ce soir-là mais j'ai fait comme si de rien n'était, comme les autres fois ...

Le lendemain soir, tu es rentré du boulot en me disant que tu avais envie de moi, que je t'avais manquée. Mon oeuil oui !!!

Alors je t'ai répondu clairement : "tu me prends pour une conne ou quoi ? tu crois que tu vas me baiser comme ça, sans te faire pardonner ?"
Tu m'as répondu "que veux-tu ?"
Je t'ai dit "Va dans le salon et attends-moi !"

Je suis allée me changer, j'ai mis des sous-vêtements ultra sexy et une robe moulante en velours rouge que tu adores.
Quand je suis revenue, je t'ai ordonné de me faire jouir sans ton sexe ni tes mains, juste avec ta bouche.
Je me suis assise sur le bord du canapé et tu t'es mis au travail ...

Du bon boulot ma foi ... Ta langue était agile, pénétrante, tu me suçais le clito. Excitée par cette situation de domination un peu nouvelle pour moi, j'ai joui très vite, *********** ...
Tu avais le visage trempé de mouille et j'ai aimé ça.

"Voilà ... ça va mieux maintenant ?"
"tu crois que ça suffit ? que je vais te pardonner en 5 mn de lèche ??? Tu te trompes pauvre imbécile ! Je vais te faire faire quelque chose de plus compliqué que tu n'as jamais fait ... Viens dans la chambre maintenant !"

Tu m'as suivie ...
Je t'ai déshabillé et je t'ai fait mettre un slip trop petit, bien serré.
Je t'ai attaché sur la chaise, les mains derrière le dos, avec des menottes.
Puis j'ai attaché tes jambes, les cuisses bien écartées.
Puis je t'ai baillonné bien serré, que personne ne puisse t'entendre. Tu bandais comme un âne ...
Je te l'ai fait remarquer : "dis donc tu bandes bien fort aujourd'hui ... je vrais croire que tu aimes être dominé finalement ! Mais tu ne sais pas ce que j'ai prévu pour toi aujourd'hui ..."
J'ai allumé l'écran de l'ordinateur et je suis partie dans le salon brancher ma caméra.
Je suis revenue, tu avais maintenant une vue imprenable sur le salon.

"Je vais aller me masturber devant toi dans le salon ... mais tu ne pourras pas te toucher ... mmm ... je vais aimer penser à toi impuissant devant ces images, tu ne peux pas imaginer !"
chrislebo

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Je suis repartie au salon et j'ai commencé à me caresser devant la caméra. Je t'imaginais coincé là-derrière, la bite en feu, frottant contre ce slip trop petit et un peu rêche, ton gland blessé et excité par le contact du tissu sans pouvoir te toucher ...

La ***nette a retenti ... j'ai souri à la caméra et je t'ai dit "mon chéri, voilà la suite de ta punition ... Hier, en ton absence, je suis sortie. Je suis allée en boite seule et j'ai chauffé tous les mecs séduisants que j'ai vus, je les ai fait bander, j'ai touché, tâté, vu ... pour choisir celui qui aurait la plus grosse bite, plus grosse que la tienne ... Et le mec que j'ai choisi, il est là, il arrive ... Lui et moi allons nous faire la plus grosse soirée sexe qui soit. Je vais me faire défoncer le cul sous tes yeux, juste pour mon plaisir ... A tout à l'heure !"

J'ai oublié de vous dire que mon mec est un peu jaloux. Il déteste voir le regard des autres hommes sur moi (il ne pense pas aux femmes l'andouille !), alors imaginer que qq me touche, j'étais sure que ça le rendrait furieux lui aussi ... mais la fureur est proche de l'excitation Twisted Evil

Je suis donc allée ouvrir la porte et j'ai ramené mon bel inconnu dans le salon. Je lui avais expliqué qu'il y avait une cam ... mais pas que mon homme serait à regarder. Je voulais garder ça pour moi.

J'ai embrassé direct le mec, et j'ai commencé à toucher sa verge à travers *** pantalon. Je la sentais grossir à travers le tissu ...
Il m'embrassait lui aussi et pétrissait mes seins généreux à travers ma robe. Je l'ai fait asseoir sur le canapé, juste là où mon chéri m'avait léchée qq minutes avant. j'ai ouvert sa braguette et j'ai commencé à le lécher, le sucer, le pomper.
Je mettais bien sa bite au fond de ma bouche, bien profondément. Je voulais que tu voies bien ça, petit con derrière ta cam ...

j'imaginais tes yeux exorbités et ton sexe en rut. parce que même si tu étais furieux, j'étais sure que ton sexe, lui, aimerait ça, me voir baiser avec un autre ... Et que tu ne puisses pas le maitriser, ça devait te rendre encore plus furieux.

J'ai léché le mec ... il gémissait et je le sentais au bord du plaisir ...
Alors je me suis arrêtée et je lui ai demandé de me rendre la pareille.
Je lui ai dit "fais-moi jouir avec ta bouche et après ça tu pourras me baiser, me prendre, me fourrer ! vas-y !"
Il s'est agenouillé devant moi comme tu l'avais fait ... et il a commencé à me faire un cunni d'enfer ...
Sa bite était plus grosse que la tienne ... mais sa langue aussi !!!
Je n'avais jamais senti une langue aussi grosse, je le jure. Non seulement il me titillait, me suçait, m'aspirait mais sa langue pénétrait mon intimité. J'avais l'impression de vivre un cunni en même temps qu'une pénétration, un truc de fou.

Et j'ai pris un pied d'enfer, j'ai joui à ne plus savoir où j'en étais. J'ai hurlé de plaisir ... et encore plus à penser que tu me voyais me laisser faire par ce mec !

Ensuite, j'ai fait asseoir le mec et je me suis empalée sur *** sexe. Mes seins étaient devant sa bouche, j'avais les jambes autour de *** buste. J'ai fait qq mouvements de bassin et j'étais tellement excitée de mes précédents orgasmes que j'ai joui très vite une nouvelle fois ...
Alors je lui ai proposé de me prendre par derrière pour qu'il jouisse à *** aise.

Je me suis mise à 4 pattes, de profil par rapport à la caméra ... je voulais que tu voies bien tout ça !
le mec a touché ma rondelle avec *** gland. Il était tellement mouillé de moi et moi, tellement excitée qu'il a pu rentrer tout de suite.
Comme à l'habitude, le premier passage a été douloureux, comme si on me transperçait le cul jusqu'au ventre et j'ai crié...
Mais après, il a fait des va-et-vient en moi, bien serré, sa grosse bite dans mon cul.
Je me suis masturbée avec les doigts pendant qu'il me pénétrait et j'ai joui encore une fois ...

Et puis dans l'excitation, il a fait un mouvement trop fort et il est sorti de mon cul pour éjaculer sur mon dos !
Et là, ma vengeance était parfaite ...

J'étais bien, en pleine jouissance ...

J'ai dit au mec "C'était bon, excellent même ... Au plaisir de te revoir, je garde précieusement ton numéro, mais là ... faut que je récupère. Tu connais le chemin ?".
il est parti ...
Alors, encore trempée de *** sperme je suis retournée dans la chambre ...
Et ce que j'ai vu m'a fait beaucoup plaisir ... toujours attaché, tu avais joui toi aussi !!! tu avais éjaculé dans ton slip, tout trempé de ton jus intime ...
Je me suis alors assise sur tes genoux, dos contre toi, et j'ai frotté mon dos plein du sperme de cet inconnu sur toi ... JE te sentais frémir contre moi et gémir, essayant de parler malgré le baillon ...

Alors je t'ai enlevé le baillon ... et tout ce que tu as trouvé à dire, ça a été "tu vas me le payer salope !!!!!"
chrislebo

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#7,643
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La Séduction De La Baby-Sitter



Ma femme et moi nous sommes porté volontaires récemment pour garder notre nièce et notre neveu pendant que mon frère et sa femme prenaient des vacances bien méritées. Ann et moi avons réfléchi à l'idée d'avoir des enfants, aussi cette semaine nous permettrait-elle de nous faire une idée de ce qui nous attendait. Les enfants, âgés de trois et cinq ans, passaient l'essentiel de la journée à la crèche locale. Notre travail était de les garder la nuit jusqu'au retour de John et Beth dimanche.

Ann et moi étions invités à une réception de bureau à l'occasion de l'arrivée d'un gros client dans le portefeuille de la compagnie. Compte tenu de l'état de l'économie et du fait que chacun de nous pourrait se retrouver sans emploi du jour au lendemain, nous étions tous heureux au bureau de ce supplément de travail. Ann entretient *** corps à un club de gym local et avait noté un babillard à l'entrée de la salle des casiers hommes/femmes qui était recouvert d'annonces d'appartements à louer, de recherches d'emplois, et de quelques candidates au poste de baby-sitter. Comme nous avions besoin d'une gardienne pour vendredi soir, Ann fit le tri des annonces et en nota une placée là par une étudiante de 21 ans résidente de notre ville qui était prête à faire du baby-sitting pour de l'argent de poche. Ann l'appela et demanda à la rencontrer le lendemain au club afin de discuter de la garde des enfants.

Sachant que nous n'avions pas recours au service des baby-sitters locales et que la plupart des couples de notre quartier avaient de bien plus jeunes enfants, Ann voulait se montrer prudente dans *** choix de celle que nous inviterions chez nous pour garder les enfants de Beth. La candidate gardienne, Katherine, rencontra Ann après les cours et toutes deux passèrent un long moment à papoter durant leurs exercices. Après une douche rapide, Ann rentra à la mai***, confiante que Katherine ferait parfaitement l'affaire.

J'étais déjà habillé lorsque la ***nette de la porte d'entrée ré***na. Je l'ouvrais pour me trouver face à face avec une blonde souriante. Katherine était adorable. Le temps était un peu froid et elle portait une veste légère, un chandail de *** université et des jeans serrés sur sa silhouette élancée. Je l'invitais à entrer et humais un peu du parfum Tommy Girl que Ann portait quand elle était plus jeune. Je pris sa veste et notais à quel point elle remplissait à la perfection ses jeans qui, d'accord avec la mode du moment, étaient stratégiquement élimés de façon à offrir la vision d'une once de peau sur la cuisse et le genou.

Ann entra dans la cuisine, superbe dans une robe bourgogne qu'elle avait acheté pour l'occasion. Elle dit à Katherine, qu'elle avait déjà commencé à appeler Kath à la demande de celle-ci, de faire comme chez elle. « Nous devrions rentrer tard. Il y a à manger dans le frigo, des sandwiches et si tu veux, tu peux te servir un verre de vin et regarder un DVD, » dit-elle en saisissant *** manteau. « N'en fais pas trop, » ajouta Ann en souriant comme nous nous disions au revoir.

Alors que nos compagnons se jetaient sur les bois***s, les apéritifs et les distractions, Ann et moi trouvions la fête quelque peu terne. Nous échangeâmes des plaisanteries avec nos collègues de bureau et écoutèrent le président faire un discours de dix minutes pour nous expliquer à quel point ce contrat était une bonne nouvelle pour notre organisation. Mais ces derniers temps les fêtes de bureau, qui représentaient autrefois une source importante de distraction pour nous, n'arrivaient plus à nous satisfaire. Ces dernières années nous avions tous les deux commencé à explorer une part plus sombre de nos per***nalités que nous avions jusque-là ignorée.

Jusqu'à il y a deux ans nous étions assez naïfs quant au sexe, du fait que nous avions partagé la quasi-totalité de notre expérience sexuelle. Maintenant nous étions tous deux des bisexuels confirmés qui appréciions d'être dominés. J'avais été le premier à me lancer lorsqu'un autre homme m'avait séduit. Je n'avais jamais réfléchi à l'idée de faire l'amour avec un autre homme et avait souvent ri des blagues sur les gays. Maintenant je découvrais que j'appréciais de me mettre à genoux devant un mec ou de me prendre une bonne bitte dans le cul.

A regret, j'invitais Ann dans ce style de vie et elle ne regarda plus jamais en arrière. Je craignais sa réaction, mais nous découvrîmes que nous appréciions tous deux une certaine variété de sexe dans notre vie. Initialement, Ann voulait être soumise à un noir nommé Mark dont j'avais fait la connaissance sur Internet. Mark passa une bonne partie de cette année là à nous dominer tous les deux et à nous présenter à de nombreux amis et partenaires féminines qui nous utilisèrent souvent pour satisfaire leurs désirs sexuels.

Nous lui étions tous deux soumis et Mark nous avait frappé de sa « marque » comme étant sa propriété en perçant mes tétons et en faisant tatouer ma femme. Je fus choqué lorsqu'elle accepta d'avoir un symbole Chinois signifiant « esclave » tatoué sur *** sein droit et un tatouage tribal dans le bas de *** dos. Ce qui me fit vraiment tomber par terre fut les lettres capitales noires disant « Garage à bite de Mark » placé juste au-dessus de *** minou rasé. Les inscriptions permanentes ne laissaient aucun doute sur le fait que nous ne reviendrions jamais en arrière vers le style B.C.B.G que nous avions mené autrefois.

Même si nous retrouvions encore de temps en temps Mark et ses amis, nous nous sommes mis récemment à fréquenter des clubs échangistes avec d'autres couples. Ann aime particulièrement se retrouver avec d'autres femmes et a encore tendance à prendre le rôle de la soumise. Rien d'étonnant alors que nous voyions cette réunion de bureau comme l'équivalent du désert de Gobi. Nous partîmes lorsque nous fumes certains d'avoir bien porté des toasts en l'honneur de chacun puis partirent pour un dernier verre dans un club local. Nous dansâmes un peu ensemble tout en observant les autres couples dans la salle, nous demandant s'il y avait là une occasion à saisir avant la fin de la soirée. Après quelques verres sans voir quoi que ce soit d'intéressant, Ann suggéra que nous rentrions à la mai***. Elle se serra contre moi, mordillant mon oreille en me disant qu'elle voulait une bonne bite bien dure dans sa chatte. Je sentis la main d'Ann glisser vers mon entrejambe, s'arrêter pour palper mes bijoux de famille sous la table. Sans plus attendre, j'appelais notre serveuse et payait rapidement notre facture.

Comme nous nous engagions dans l'allée, Ann me rappela que nous n'avions plus de céréales pour les enfants. « Nous avons également besoin de lait et tu pourrais aussi bien prendre de la bière pour tes matchs de demain, » dit-elle en me rappelant les parties de football Américain du samedi qui retiendraient mon attention l'essentiel de la journée. « A ton retour, je serais prête pour toi. Ne sois pas trop long, » murmura-t-elle comme elle s'emparait à nouveau de mon entrejambe puis elle ouvrit la portière et se glissa au dehors en laissant ma bite enfler dans mon pantalon.

Ann se glissa dans le garage en essayant de ne pas faire de bruit afin de ne pas réveiller les enfants. Elle pénétra dans la cuisine et entendit des voix venant du niveau inférieur. Lorsqu'elle entendit ma voix en arrière-plan d'autres voix elle sut que Katherine avait découvert notre réserve de films amateurs. Nous réaliserions par la suite que j'avais regardé un DVD et que je l'avais laissé dans le lecteur. Au début Ann se demanda ce que Kat devait penser de nous deux - qu'avait-elle déjà vu? Les DVDs étaient remplis de rencontres échangistes au cours desquels nous satisfaisions d'autres couples, nous soumettant à d'autres - noir, blanc, homme, femme. Ann ne pouvait imaginer ce que Kat devait penser.

Comme elle franchissait le coin, elle détecta de doux soupirs s'élevant par-dessus le *** de notre chaîne HI-FI. Les lumières étaient tamisées mais Ann vit les jeans de Kat répandus sur le sol. Contournant le canapé elle vit que les yeux de Kat étaient fermés alors qu'elle avait une main enfouie sous *** string rose et que l'autre fouillait dessous *** chandail. Ann savait qu'elle aurait du s'annoncer. Peut-être se retirer afin de laisser à la jeune fille une chance de se remettre. Mais avec *** excitation et à la vue de cette chair délectable devant elle, elle sut qu'elle voulait la prendre. Ann ne réfléchit pas longtemps avant de murmurer, « Kat... Je vois que tu apprécie nos films. »

chrislebo

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Katherine sursauta et agrippa nerveusement le couvre-lit qui enveloppait le canapé. L'horreur qui se lisait sur *** visage en disait long alors qu'elle recherchait frénétiquement du regard l'endroit où elle avait jeté ses jeans. « Tout va bien ma chérie. C'est à ça que les films servent... à se détendre... c'est tout naturel. Je ne voulais pas t'interrompre. »

« Je... euh... Je suis désolée. Je n'étais pas ... Je veux dire que je ne voulais pas fouiller dans vos affaires. Ce DVD se trouvait là et j'ai du appuyer sur « play » et... »

Ann la rassura à nouveau. « Kat, je ne suis pas en colère. De fait, je me sens plutôt excitée moi aussi. Ça ne te dérange pas si je me joins à toi? » Sans attendre sa réponse Ann se laissa tomber sur le canapé en ne laissant entre elles qu'une distance minimale. Ann retira ses chaussures et les repoussa sous elle comme elle s'installait. « C'est une fête à laquelle nous avons participé il y a environ deux semaines, » reprit Ann comme les yeux de Kat étaient à nouveau fixés sur l'écran.

« Vous voulez dire que vous y étiez? » La surprise s'entendait dans la question.

« Plus que ça, ma chérie, ce type qui te tourne le dos en baisant la brune est Larry, » répliqua Ann.

Les yeux de Kat s'arrondirent alors qu'elle regardait l'écran. Alors que l'on ne pouvait voir mon visage, ma queue glissait d'avant en arrière dans la femme brune qui avait ses jambes enroulées autour de mes épaules. Pendant qu'elle répondait à mes assauts, un autre type rampa jusqu'à elle, lui pencha la tête et amena sa bouche vers sa queue turgescente.

Kat avait lâché le couvre-lit. Même s'il recouvrait encore la plus grande partie de sa ligne élancée, une portion de sa cuisse était maintenant visible.

Ann vit le verre de vin presque vide sur la table et se demanda si Kath en avait eu assez pour se désinhiber. « Alors, tu m'as dis que tu avais un petit ami, n'est-ce pas? » Kat hocha la tête lentement de haut en bas tout en continuant à fixer l'écran. « J'imagine que vous avez eu des rapports sexuels? » continua Ann.

« Ouais, je veux dire, rien comme ça, » ajouta Kat. C'est le seul mec que j'ai jamais eue. J'ai fréquenté des garçons au lycée mais je n'ai jamais laissé per***ne me toucher avant Danny. »

« Il en a de la chance, » lui assura Ann tout en s'enhardissant à tendre la main et toucher du doigt la cuisse exposée sous le couvre-lit. Les yeux de Kat furent immédiatement attirés vers cette main mais ne se détournèrent pas. Constatant que Kat n'avait pas peur d'elle, Ann poursuivit ses avances. « J'ai remarqué au club de gym à quel point ton corps est ferme, » continua-t-elle comme *** doigt traçait des cercles sur la douce cuisse de Kat. « Tu es vraiment très jolie. »

Kat sembla rougir légèrement avant que ses yeux ne lui sortent de la tête comme elle regardait fixement l'écran devant elle. Il n'y avait aucune erreur possible. Là, à l'écran, se trouvait Ann se glissant entre les jambes d'une autre femme. La femme agrippant de ses doigts les cheveux blonds d'Ann comme sa langue lui léchait la chatte. « Est-ce que ça te choque, Kat? » s'enquit doucement Ann, sentant la jeune fille se raidir sous ses doigts.

« Je n'ai jamais vu deux femmes ensemble... et jamais je n'aurais imaginé... » ânonna Kat avant que Ann l'interrompe. « Que je puisse aimer les femmes? » répondit Ann. « J'aime les hommes et les femmes, ma chérie. Ne te méprend pas sur moi. J'aime la sensation d'une bonne queue bien dure mais parfois rien ne vaut le contact d'une autre femme. » Ann continua : « Alors, tu n'y avais jamais pensé? » Kat la regarda avant de ramener *** regard sur l'écran où Ann glissait ses doigts dans le sexe humide de la femme, *** visage enfoncé dans sa chatte.

Ann décida de poursuivre *** avantage, soulevant lentement le couvre-lit, exposant les jambe nues de Kat. Kat se raidit et enfonça ses doigts dans le canapé mais ne fit aucun effort pour se couvrir. Ann continua ses avances, glissant sa main légèrement par-dessus sa jambe, voletant de *** genou à sa hanche. « Je peux te donner beaucoup de plaisir, ma chérie. J'aimerais te donner plus de plaisir que tu n'en as jamais ressentie auparavant, » dit Ann doucement alors que Kat fermait les yeux et se détendait à *** contact. « Veux-tu que j'arrête? Je ne ferais rien que tu ne veuilles que je te fasses » dit Ann comme Kat ouvrait lentement les yeux et fixait *** tendre regard.

« Je ne sais pas. Je n'ai jamais rien fait de tel. Je ne sais pas quoi faire, » dit Katherine doucement.

« Laisse toi aller et laisse moi faire. Je te promet que tu adoreras, » la rassura Ann. Ann se pencha et pressa doucement ses lèvres sur le cou tremblant de Kat. Ses mains continuèrent à effleurer l'intérieur de ses cuisses, en direction de la petite chatte de Kat. Elle toucha le mont de Vénus, ressentant l'humidité qui s'était déjà formé dans la fente. Ann embrassa à nouveau *** cou, suçant tendrement avant de revenir le long de *** visage vers ses lèvres charnues. Les lèvres de Kat tremblèrent lorsque Ann y planta un doux baiser puis un autre avant d'y aller plus fort.

Sa langue dansa sur ses lèvres et puis doucement et ensuite plus vivement, elle pénétra dans sa bouche brûlante. Lorsque Ann sentit la langue de Kat, elle passa la sienne sur, puis sous, celle-ci tout en poussant doucement un doigt dans le minou de Kat. Elle sentit les jambes de Kat s'ouvrir pour lui accorder un plus grand accès alors qu'elle massait de *** pouce la petite bande de gazon jaune juste au-dessus de *** clitoris.

Ann sut qu'elle avait gagné lorsque Katherine commença à entremêler sa langue avec la sienne et elle sentit la chatte de Kat pousser contre ses doigts en pleine exploration de celle-ci. Kat gémit et Ann massa *** clitoris de *** pouce, imprimant à ses doigts dans sa chatte un mouvement de va-et-vient. Ann retira ses doigts et les ramena entre leurs deux bouches. Kat entrouvrit les yeux en réalisant que les jus qu'elle goûtait avec Ann provenaient de sa propre chatte. « Bon dieu, ma chérie, » ronronna-t-elle. « Tu es trempée et tu goûte tellement bon. J'en veux aussi. Je peux te brouter, chérie? Est-ce que je peux descendre explorer ton petit minou brûlant? » Comme Kat continuait à gémir sous ses caresse, Ann n'attendit pas une réponse.

Ann se laissa glisser par terre jusqu'à se retrouver à genoux, elle planta des baisers su les cuisses de Kat avant d'embrasser langoureusement les replis de sa chatte. Elle sentait bon et sa mouille dégoulinait le long de la raie de ses fesses. Ann lécha tout cela avant de glisser sa langue à travers les plis de *** minou brûlant, s'arrêtant pour agacer *** clitoris de la langue. Elle ouvrit ses lèvres de ses doigts et enfoui *** visage au fond de *** nid d'amour. Kat gémit et agrippa la tête d'Ann, enveloppant ses cheveux de ses doigts tout en poussant *** con plus profondément contre le visage d'Ann.

Ann savait que Kat était proche de l'orgasme car ses cuisses écrasaient *** visage. Elle remonta les mains et trouva celles de Kat. Kat et Ann mélangèrent leurs doigts, paumes serrées l'une contre l'autre. Le corps de Kat commença à trembler et elle cria, « Oh mon dieuuu... oh merde... putain..., » lorsque l'orgasme secoua *** corps. Celui-ci sembla durer une éternité jusqu'à ce que finalement elle retombe, flasque, sur le canapé. Ann retira sa bouche du minou de Kat, plantant un léger baiser sur ses lèvres humides avant de glisser sur *** corps. Elle pressa doucement ses lèvres sur celles de Kat et celle-ci le lui rendit cette fois sans hésitation. Comme Ann s'écartait, elles se regardèrent droit dans les yeux avant que Kat ne murmure, « Je n'aurais pu imaginer que ça pouvait être aussi bon. »

Ann se laissa rouler sur le canapé, la tête de Kat reposant sur *** épaule. Ann caressa ses longues tresses blondes, posant *** menton sur sa tête comme Kat se réfugiait dans ses bras. Kat fut la première à s'écarter pour regarder Ann. « Je veux te le faire. Tu devras me montrer mais je veux te faire ce que tu viens de me faire, » supplia-t-elle presque.
chrislebo

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« J'aimerais cela... Mais es-tu sûre, ma chérie? » demanda Ann.

« Absolument, c'était extraordinaire, » répondit Kat, la voix chargée de désir.

« OK, laisse moi enlever cette robe et fais donc de même avec ce chandail. J'adorerais jeter un œil à tes seins, » dit Ann.

Kat, l'air renfrognée, commença à faire passer *** chandail par-dessus sa tête. « Ils ***t plutôt petits. » Kat passa les mains dans *** dos et dégrafa *** soutien-gorge, le laissant tomber sur ses genoux. Elle commença par cacher ses seins de ses mains puis réfléchit et laissa Ann contempler sa poitrine.

« Ridicule, ils ***t très beaux, » la rassura Ann. Si fermes, et ces tétons... Bon dieu, je pourrais sucer ces tétons toute la journée... et je crois que c'est-ce que je vais faire. » Ann se baissa et prit un sein dans sa main en guidant le téton durci jusqu'à sa bouche. Kat soupira et poussa sa poitrine en avant alors qu'Ann léchait et tirait doucement le téton avec ses dents.

« OK, rappelle toi que c'est mon tour, » fit savoir Kat en retirant le téton de la bouche avide d'Ann. « Je vais brouter mon premier minou. » Ann eut une bouffée d'excitation en entendant la voix décidée de Kat et sachant qu'elle avait initiée la jeune étudiante aux amours lesbiennes. La jeune fille timide qui, quelques minutes plus tôt n'avait jamais fait l'amour qu'avec un seul homme avait maintenant vu une femme lui faire un cuni et allait maintenant goûter à sa première chatte.

Ann dégrafa sa robe et la laissa tomber à ses pieds. Les yeux de Kat s'agrandirent lorsqu'elle vit qu'elle ne portait rien en dessous. Ses seins étaient bien plus gros et elle portait un tatouage. Le regard de Kat parcourut *** corps du piercing dans *** nombril au minou rasé entre ses cuisses. Elle nota également le tatouage juste au dessus de *** périnée - « Garage à bite de Mark ». Elle savait que mon nom n'était pas Mark mais se dit que l'explication pouvait attendre. Ann s'assit dans une chaise, le derrière pendant dans le vide. « OK, ma petite. Viens goûter à ta première femme. »

Kat rampa entre les jambes d'Ann et commença à disséminer de petits baiser de ses genoux à *** entrejambe. Elle s'assit brièvement pour admirer le nombril percé tout en s'inclinant pour placer un doux baiser sur l'estomac d'Ann. Claquant la langue et traçant de petits cercles sur *** estomac, elle descendit et regarda le minou d'Ann. Elle n'en avait jamais vu d'aussi près. Elle avait souvent observé le sien et s'était soigneusement examinée un jour dans un miroir. En de nombreuses occasions, elle avait regardé sa co-locataire se changer et toutes deux couraient souvent nues dans la pièce, mais aucune n'avait fait de tentative pour séduire l'autre. Elle se demanda brièvement ce que sa co-locataire penserait maintenant si elle savait qu'elle s'apprêtait à brouter une autre femme.

Kat embrassa la chatte d'Ann tout en passant ses doigts dans ses douces tresses. Elle commença à lécher timidement ses replis avant de rabattre sa bouche sur les lèvres extérieures et légèrement protubérantes d'Ann. Les gémissements d'Ann indiquaient à celle-ci qu'elle faisait du bon travail alors qu'elle enfouissait sa langue dans *** canal brûlant. Elle fut surprise par le goût sucré et poursuivit ses efforts pour laper les jus qui suintaient de *** con humide. Kat s'émerveilla de la douceur et de la souplesse apparente de sa chatte. Elle était totalement rasée. Si Kat et sa co-locataire Jan épilaient souvent leurs cons, elles avaient toujours conservé un carré de poils. Avec Ann, Kat contemplait le premier minou rasé de sa vie.

Pendant ce temps, Ann étirait les pointes de ses seins, les pinçant entre le pouce et l'index tandis que Kat plongeait *** visage entre ses jambes. « Tu aimes mon petit minou? » l'interrogea Ann alors que Kat poursuivait *** assaut.

« Oh oui. Ton minou est tellement bon. J'aime le brouter, » gémit Kat, le visage plongé dans la boite de Pandore d'Ann. « Joue avec tes doigts, ma chérie. Plonge ton doigt dans mon minou, » ordonna Ann comme *** élève avide plongeait un, puis deux doigts profondément dans *** con. Kat se repositionna et s'assit confortablement sur le sol tout en plongeant les doigts en Ann, ajoutant un troisième avant d'y faire aller et venir sa main toute entière.

« C'est bien, ma chérie. Baise moi, baise moi avec ta main. Suce mon petit clito. »

Kat poursuivit *** assaut tout en suçant le petit clito tout dur. Les épanchements humides d'Ann recouvraient les mains et le visage de Kat alors qu'elle s'arquait violemment.

Comme j'entrais dans la cuisine je reconnus immédiatement les gémissements familiers en provenance du sous-sol. J'avais vu la voiture de Kat dans l'allée et je savais que quoi qu'il se passa, ça les concernait toutes les deux. Même si je ne fus pas choqué par ce que je découvris, je fus surpris que ma femme ait pu séduire en si peu de temps la baby-sitter et soit maintenant plongée dans une liai*** lesbienne.

Je restais à observer depuis la cuisine l'étudiante nue entre les jambes de ma femme, léchant *** minou avec passion. Je me demandais si ces deux là n'en étaient plus à leur première expérience ensemble. Peut-être au club de gym. Ce qui expliquerait qu'elle ait demandé à Kat de garder les enfants.

Ma femme ouvrit les yeux et me vit debout observant la montée de leur plaisir. « Hé chéri... regarde ce que j'ai trouvé... », dit Ann dans un souffle. Kat commença à regarder vers moi mais Ann la maintint fermement entre ses jambes. Elle sentit Kat se raidir. C'est comme si elle émergeait d'un rêve, réalisant ce qui était rêve et ce qui était réalité. « Viens là, mon chéri et laisse moi te sucer la bite pendant que Kat me broute le minou.

Je marchais vers elles en me débarrassant de mon manteau, de mes chaussures et de ma chemise. Je tirais sur ma ceinture puis ouvrait mon pantalon, le laissant tomber le long de mes chevilles. Je pouvais voir Kat tétant le minou d'Ann, les yeux fixées sur mon caleçon alors que je le baissais et m'en extirpais. Ma queue avait déjà commencé à durcir à regarder Kat dévorer le con de Ann.

Rien de tel que d'observer deux filles se brouter pour avoir une érection. Je m'approchais de Ann qui s'empara de ma queue pour l'approcher de sa bouche avide. Ses lèvres humides glissèrent sur mon gland alors qu'elle pompait ma bite de la main. Les yeux de Kat étaient toujours fixés sur la bouche d'Ann allant et venant sur mon manche raide. Elle s'arrêtait parfois pour lécher le col avant de la replonger dans sa bouche. Comme *** propre orgasme montait, elle se mit à pomper avec plus d'ardeur. Kat se concentrait à nouveau sur le minou d'Ann et s'était remise à plonger sa main dans la caverne humide.

Ann stoppa comme elle retirait la queue de sa bouche et se mit à donner des coups de bassin contre le visage de Kat. Ses gémissements étouffèrent les bruits de succion produits par Kat festoyant de *** premier minou. Regarder la jeune étudiante se révéla une trop grande épreuve pour moi et je sentis alors des jets de sperme jaillir de ma queue. Le premier jet atteignit Ann au visage, les suivants frappant ses seins et *** estomac. Lorsque ses orgasmes s'éteignirent, Kat donna timidement de petit coups de langue et baisers supplémentaires avant de venir se blottir contre Ann. Ses lèvres se refermèrent sans hésitation sur la bouche complice d'Ann et sa langue s'enfonça dans celle-ci.

D'observer les deux femmes s'embrasser réveilla ma bite. Comme Kat s'écartait, elle passa sa langue sur ses lèvres, réalisant par ce goût salé qu'elles avaient également partagé mon sperme qui avait atterri sur le visage d'Ann.

Ann se dirigea vers la cuisine pour y prendre des serviettes afin d'essuyer les diverses traces de fluides corporels de leurs corps. Debout, elle nous servit à chacun des verres de vin tout en racontant tout ce qui avait précédé mon arrivée. Per***ne ne prit la peine de se vêtir tandis que nous dégustions nos verres tout en écoutant l'aventure du point de vue de Kat. Je ne fus pas long avant de présenter une nouvelle érection. Ann suggéra de nous retirer dans la chambre et convainquit Kat de me laisser la baiser. Je ne pense pas que ce fut difficile à partir du moment où Ann l'assura que je mettrais un préservatif. Nous passâmes les deux heures suivantes dans la chambre, moi les prenant alternativement pendant qu'elle se broutait l'une, l'autre.

Nous nous quittâmes enfin dès que Ann eut fait promettre à Kat de revenir le week-end suivant. Ann a une amie du nom de Lisa qu'elle voulait présenter à Ann. Si Ann lui dit bien que celle-ci était plus jeune qu'elle, exceptionnellement belle, et très drôle, elle négligea de préciser que Lisa était strictement lesbienne et se réservait systématiquement le rôle de la dominatrice.

Même si Lisa m'a laissé les regarder, elle et Ann, je n'ai jamais eu l'autorisation de me joindre à elles. Lisa a toujours été claire sur le fait que quand elle est avec Ann, elle refuse de partager. J'espère que j'aurais une autre chance de plonger ma queue dans cette jeune étudiante, mais j'ai une érection rien qu'à penser à ce que Lisa fera faire à Ann et Kat. J'ai hâte de voir la tête de Kat quand elle verra le gode ceinture que Lisa aime à utiliser sur Ann. Le prochain week-end devrait être exceptionnel!
chrislebo

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Ma femme Ann et *** amie Lisa étaient sur leur prochain coup lorsque je rentrais à la mai*** d'un bar sport samedi après-midi. Lisa est une jolie brune dans la jeune trentaine avec des yeux bruns sombre et un bronzage naturel qu'elle maintient jusqu'au cœur de l'hiver. Elle est peut-être la plus splendide des amies d'Ann avec une belle paire de seins et un derrière parfait. Elle n'a qu'un seul défaut - c'est une brouteuse de minous à 100%. Tout en conservant des manières très féminines, elle est lesbienne depuis l'université. Ma femme Ann a fait la connaissance de Lisa il y a des mois lors d'une fête et elles ont passé de plus en plus de temps ensemble depuis lors.

Ann et moi avons commencé à fairede nouvelles expériences en dehors du mariage il y a environ deux ans. Nous avons tous deux découvert que nous appréciions la variété dans notre vie sexuelle. Si elle a d'abord apprécié le sexe interracial avec un autre homme, elle a rapidement découvert qu'elle aimait le sexe avec d'autres femmes plus que tout. Le point commun dans tout ça reste *** côté soumise.

Dès leur première rencontre, Lisa prit les rênes. Une après-midi je rentrais à la mai*** du travail avec le *** des gémissements de ma femme provenant de la chambre du fond. L'entrée traversée je découvrais ma femme à quatre pattes dans notre lit avec une jeune femme équipée d'un gode-ceinture enfonçant une longue bite noire dans *** anus étroit. Lisa nota ma présence du coin de l'œil mais ne ralentit jamais *** assaut, claquant occasionnellement les fesses de ma femme de la main et se penchant pour placer de doux baisers sur *** oreille tout en lui murmurant des mots que je ne pouvais entendre.

J'imagine qu'elle expliquait à Ann que *** mari l'observait depuis l'entrée alors qu'elle prenait le cul de sa femme. Je sortais ma bite de mon pantalon et me masturbait tout en regardant ces deux femmes se donner à fond. Après quelques minutes, Lisa repositionna Ann sur le dos, se couchant entre ses deux jambes écartées avant que Ann ne replient celles-ci sur sa taille. Leurs seins pressés les uns contre les autres, Lisa embrassa ma femme comme elle ne l'avait jamais été. Je regardais Ann aspirant la langue de Lisa qui serpentait dans sa bouche et dansait le long de ses lèvres charnues. Je pouvais entendre le gode entrant et sortant de la caverne humide de ma femme, le lit grinçant violemment sous l'effet de leur danse passionnée.

Lisa qui ,quelques instants plus tôt, murmurait doucement à l'oreille de ma femme devint plus démonstrative dans *** assaut en demandant à Ann si elle aimait sa queue. « Dis moi comme tu aimes ma queue, chérie », dit-elle alors que Ann projetait sa chatte brûlante contre *** pelvis.

« Oh oui. Vas-y. Baise moi chérie... Fais moi jouir », haleta Ann.

Je ne pus m'empêcher de ***ger à quel point ma femme avait changé en à peine deux années. Il y a toute juste deux étés de là elle était encore une épouse modèle travaillant à temps partiel. Nous avions toujours eu une agréable vie sexuelle, mais il s'agissait d'une relation totalement monogame. Même si nous n'en discutions jamais, j'étais sûr d'avoir été *** seul amant depuis l'université avec un autre mec au lycée qui l'avait dépucelée. Ils s'étaient fréquentés pendant des années et *** expérience avec d'autres hommes était donc limitée. Depuis lors, je l'avais autorisée à se laisser séduire par un autre homme qui l'avait utilisée comme *** jouet sexuel au cours des nombreuses fêtes auxquelles nous avions participé. Nous étions tous deux d'accord pour laisser Mark nous dominer et répondre à ses exigences sexuelles. Bien que noir, Mark nous faisait satisfaire tous ses amis, noirs comme blancs.

Je découvris que j'aimais être soumis à d'autres et laissait même Mark percer mes tétons en signe de soumission. De même, Ann accepta de se faire appliquer divers tatouages sur *** corps. Un tatouage tribal sur sa chute de reins ainsi qu'un symbole chinois sur le sein qui, je le découvris ensuite, signifiait « esclave ».. Le sommet fut atteint avec les mots « Garage à bite de Mark » tatoués juste au-dessus des lèvres de sa chatte. Les lettres ne ***t pas très grandes mais elles ***t très lisibles et proclamèrent dès le début que sa chatte appartenait à un autre homme.

Nous revoyons Mark à l'occasion mais *** attention finit par être détournée vers de nouvelles conquêtes nous laissant les tatouages comme rappel constant du nouveau style de vie que Ann et moi avions adopté sans retour en arrière possible. De toute façon Ann ne l'aurait jamais accepté. Plus elle découvrait le sexe en dehors du mariage, plus elle en voulait.

Un soir, je rentrais à la mai*** pour trouver Ann et Lisa en pleine activité. Cette fois, je les trouvais dans la salle de bain, ma femme agenouillée dans la baignoire et Lisa debout devant elle, urinant sur sa poitrine puis sur *** visage. J'étais stupéfait. C'était une chose que d'avoir des réactions sexuelles avec des per***nes du même sexe, et d'être dominé comme nous l'étions. C'en était une autre que de laisser quelqu'un vous uriner dessus.

Lisa la traitait de sale pute et de salope en déplaçant le jet sur *** corps, les cheveux collés sur *** visage. Lisa me vit debout dans l'entrée et sourit sans s'arrêter d'humilier ma femme avec *** urine dorée.

Cet après-midi là, Lisa et Ann discutaient de Katherine... Notre babysitter de 21 ans avec laquelle Ann et moi avions eu des rapports sexuels le week-end précédent. Ann était rentré tôt et avait surpris Katherine regardant les films amateurs des soirées échangistes et des coups à trois que nous avions organisé avec d'autres couples. Elle séduisit la jeune étudiante et l'introduisit aux relations lesbiennes. Plus tard ce soir là, Katherine me laissa la posséder à partir du moment où je mettais un préservatif. Elle me confia que je n'étais que *** deuxième partenaire masculin et je dois admettre qu'elle était très serrée. Mais bien sûr, cela faisait des années que je ne m'étais pas offert une petite étudiante!

Il n'y avait aucun doute que le plan était d'attirer plus avant Katherine dans l'amour saphique. Ann l'avait invité à revenir ce soir pour la présenter à *** amie Lisa. Ann n'avait jamais mentionné le fait que Lisa était une vraie lesbienne qui ferait tout pour la faire changer de bord également. Tout en ayant le sentiment que Katherine avait apprécié sa petite session avec ma femme, je savais qu'elle se considérait toujours comme étant hétérosexuelle. Kate nous avait confié qu'elle avait un petit ami régulier depuis environ deux ans. Même si j'étais sûr qu'elle avait apprécié le sexe entre nous trois, j'étais également persuadée qu'elle était très amoureuse de *** petit ami.

Ma femme s'était montrée favorable au fait que je reste pour savourer le spectacle mais comme d'habitude Lisa avait laissé pour instruction que je m'en tienne au rôle d'observateur, pas de participant. Lisa semblait apprécier l'idée que je sois d'accord de rester à l'arrière-plan pendant qu'elle faisait l'amour à ma femme. C'était presque un défi pour elle de démontrer périodiquement que, si Ann était mon épouse, sa chatte lui appartenait. J'ai cessé de compter le nombre de fois où je suis resté assis dans une chaise à les regarder faire l'amour, Lisa broutant la chatte de ma femme ou la baisant avec un gode-ceinture, Ann à genoux devant Lisa suçant ses tétons ou *** clitoris pendant que celle-ci me regardait, le visage trahissant sa satisfaction.

Ce soir, je pourrais regarder Lisa transformer une fille hétérosexuelle en une petite lesbienne soumise. J'avais apprécié de tâter de la chatte de Katherine mais je savais que, à partir du moment où Lisa avait repéré sa proie, mes chances de profiter de cette fente d'étudiante ne seraient que de l'histoire ancienne.

Quand ré***na la ***nette, j'ouvris la porte pour trouver Katherine encore plus délectable que le week-end précédent. Ses cheveux lisses et blonds tombaient de chaque côté de ses épaules. Elle portait sous sa veste un petit haut jaune renforcé de jeans étroits écorchés juste au-dessus du genou pour montrer l'ombre d'un morceau de peau. Elle chaussait des sandales et je remarquais que ses petits ongles d'orteils pointant de sous ses jeans étaient recouverts de vernis bourgogne. Je la fis entrer en l'étreignant, m'imprégnant à nouveau du parfum Tommy Girl. Je pris sa veste pendant qu'elle rejoignait le sous-sol pour embrasser ma femme et faire la connaissance de Lisa.

Après les formalités d'usage, Lisa m'ordonna de remplir leurs verres de vin et d'en apporter un pour Kat qui semblait heureuse de se joindre aux festivités. Elle ignorait qu'une bonne part de l'après-midi avait été consacré à parler d'elle et qu'elle serait l'attraction principale de la soirée. J'allais dans la cuisine tout en écoutant ces dames échanger des plaisanteries et papoter avant que Lisa n'attaque en demandant à Katherine comment se passait les études, puis en lui posant des questions sur les garçons et *** petit ami en particulier. Katherine passa quelques minutes à parler de Danny avant que Ann ne s'excuse et n'aille dans la salle de bain.

Katherine était assise dans un fauteuil en face de Lisa et celle-ci l'invita à la rejoindre sur le canapé. Le plan suivit *** cours comme Lisa laissait Kat poursuivre sur les études, ses amies, et sa relation avec Danny. Alors que Kat finissait *** second verre de vin, je notais qu'elle s'était considérablement détendue et se montrait beaucoup plus à l'aise pour répondre à l'interrogatoire de plus en plus intime de Lisa. Elle continua la conversation sur le plan des garçons et du sexe en général.
chrislebo

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Lisa m'avait déjà fait signe de remplir les verres avant de me faire plus discret. Elle se rapprochait maintenant de Katherine qui expliquait ce qu'elle préférait lorsque Danny et elle faisaient l'amour. Lisa, *** verre de vin dans sa main gauche, s'avança pour effleurer le bras de Katherine qui reposait sur le sommet du canapé. Je pouvais voir l'expression du visage de Kat comme elle avalait une longue gorgée de *** vin alors que Lisa commençait à lui dire à quel point elle était jolie. Puis, tout doucement, elle lui expliqua que Ann lui avait raconté quel merveilleuse soirée elle avait eu la semaine dernière quand elles avaient exploré ensemble le sexe entre filles. Comme Lisa continuait à glisser ses doigts le long du bras de Kat, la petite étudiante sembla se raidir en se demandant où tout cela devait les emmener. Pour la première fois, Katherine commença à réaliser qu'elle savait bien peu de choses de Lisa et demanda si la belle brune était mariée.

« Non, je suis célibataire, ma chérie. Je crois que je suis toujours à la recherche de l'âme sœur. Quelqu'un qui pourra s'occuper de moi et m'aimer sans conditions. Tu vois ce que je veux dire? » roucoula Lisa.

« J'aurais imaginé qu'avec votre beauté, les hommes feraient la queue pour vous voir » sourit Katherine.

Lisa prit une longue gorgée de *** verre avant de le reposer sur la table derrière elle. « Chérie, les hommes ne m'intéressent pas. J'aime les belles femmes, les femmes telles que Ann... » dit-elle en jetant un œil à ma femme maintenant assise sur un pouf, regardant *** amante opérer. « Des jeunes femmes telles que toi, » continua-t-elle comme ses mains s'emparaient doucement du bras de Katherine pour la masser de haut en bas tendrement. Lisa avait baissé sa garde pour montrer très clairement ses intentions. « As-tu aimé la semaine dernière quand Ann a léché ta petite chatte? »

Katherine commença par rougir à la question indiscrète. La main de Lisa tomba sur la jambe de Katherine pour y tracer des cercles sur le tissu de ses jeans. Kat avait enlevé ses sandales et replié une jambe sous elle alors que sa tête s'inclinait doucement en observant les doigts de Lisa danser sur sa cuisse. « Chérie, j'aimerais t'embrasser. Tu es si adorable. Est-ce que je peux t'embrasser rien qu'une fois? Je te promets qu'on s'arrêtera si tu n'aimes pas ça, » demanda doucement Lisa.

« Je suppose. Je ne suis vraiment pas sûre... » hésitait Kat. Avant qu'elle ne puisse continuer, Lisa se pencha en avant et plaça un doux baiser sur ses lèvres charnues. Elle se pencha à nouveau et poussa ses lèvres vers celles de Kat de façon plus agressive cette fois comme sa langue glissait doucement sur les lèvres de celle-ci avant de les écarter pour envahir sa bouche. Toute résistance de la part de Katherine s'évanouit lorsque celle-ci commença à lui rendre *** baiser. Lisa retira le verre des mains de Kat et le posa par terre avant de la coucher dans le canapé. Les deux femmes devinrent plus passionnées comme elles s'embrassaient, leurs bouches écrasées l'une contre l'autre, leurs langues se rencontrant, Lisa remontant sa main pour s'emparer du sein de Kat.

Plus elles s'embrassaient, plus la petite blonde s'embrasait et ses halètements ré***naient comme Lisa caressait *** sein à travers *** haut tout en plongeant sa main gauche dans *** périnée.

« Je crois que tu aimes m'embrasser, chérie...Je crois que tu aimes vraiment ça, » railla Lisa. Elle s'écarta pour admirer sa conquête. « Enlève ton haut, chérie. Je veux voir tes petits tétons. Katherine lui rendit *** regard, ***********. La tension régnait comme je me demandais si elle allait se rebeller ou céder. La réponse vint lorsque Katherine s'empara de *** haut pour le faire glisser lentement par-dessus sa tête et ses épaules. Ses petits seins fermes étaient enchâssés dans un soutien-gorge sexy. Lisa sourit en réalisant que Kat, bien qu'hésitante, était consentante. « Le soutien-gorge aussi, chérie. Je veux voir tes jolis tétons ».

La main de Katherine se tendit vers l'élastique et le fit glisser de ses épaules. L'espace d'un instant, elle sembla sur le point de se couvrir les seins mais, plongeant le regard dans les yeux de Lisa, elle prit le soutien-gorge et le laissa tomber à terre. Lisa tendit la main et toucha délicatement le sein de la blonde, l'enveloppant doucement dans sa paume, avant de frotter le téton entre le pouce et l'index, pressant la pointe qui durcit à *** contact. Kat gémit doucement, fermant les yeux, comme Lisa malaxait *** sein puis se penchait en arrière avant de reprendre l'assaut et de l'embrasser à nouveau.

Lisa se pencha et engouffra le téton de l'étudiante dans sa bouche, lui léchant le sein, et suçant délicatement l'auréole. « Oh, chérie... J'aime tes petits tétons. Et je pense que tu aimes que je les suce. Tu aimes? Tu aimes que je te suce les tétons? » Comme Kat ne répondait pas, Lisa prit *** sein dans sa bouche et en mordilla l'extrémité. « Je t'ai demandé si tu aimais que je te suce les tétons? » continua Lisa comme Kat grognait sous l'assaut.

« Oh oui, j'aime. C'est si bon, » avoua enfin Kat alors que Lisa poursuivait.

« Chérie, montre moi ta chatte. Je veux voir cet adorable chatte dont Ann m'a tant parlé » insista Lisa.

Lisa était confiante dans le fait que Kat ne reculerait plus maintenant. Cette fois la blonde n'hésita pas. Elle se leva et déboutonna ses jeans, les faisant glisser le long de ses hanches avant de s'en extirper. Elle chercha l'approbation de Lisa avant de placer ses pouces sous l'élastique de *** petit string rouge et le fit glisser de même le long de ses jambes. Lisa savait qu'elle avait le contrôle maintenant. Kat était totalement nue... exposée aux deux femmes qui - toujours entièrement vêtues - observaient la petite étudiante dénudée.

Lisa tendit la main pour caresser le mont de Vénus exposé de Kat, s'arrêtant pour tirer doucement sur la courte bande de poils pubiens au-dessus de la chatte rasée. « Tu en as laissé un peu, » dit Lisa presque comme une question.

« Je ne voulais pas ressembler à une petite fille, » répondit Kat comme Lisa continuait à parcourir les plis et replis de *** con, insérant régulièrement un doigt à l'intérieur, faisant jaillir un soupir audible de ses lèvres purpurines.

« Aucune chance, chérie. Tu trouves qu'elle ressemble à une petite fille? » demanda Lisa en se tournant vers Ann. C'était la première fois qu'elle faisait mine d'enregistrer la présence de ma femme depuis un moment. Ann, tout comme moi, était demeurée assise béate d'admiration à regarder Lisa attirant la jeune étudiante toujours plus profondément dans sa toile.

« Non, peut-être une petite catin, » grimaça ma femme.

« Et tu t'y connais, » railla Lisa en continuant à explorer la chatte humide de la blonde. « Ann garde sa chatte rasée... mais ça, tu le sais déjà, n'est-ce pas chérie? » murmura Ann à Kat alors que les jambes de celle-ci s'écartaient plus largement pendant que Lisa plongeait les doigts plus profondément dans *** con bien juteux.

« As-tu aimé lécher le con de Ann la semaine dernière, chérie? » s'enquit Lisa sous les gémissements de Kat. « As-tu aimé lui sucer la chatte? » Kat se contenta de grogner puis d'acquiescer alors que Lisa continuait. « Je parie que oui. Ann garde sa chatte rasée parce que c'est une vraie catin. Elle est même percée. » Lisa revint sur sa proie une seconde. « Tu n'as pas ça, n'est ce pas, mignonne? Kat remua lentement la tête comme ses soupirs devenaient plus profonds sous les assauts de Lisa.

Lisa retira ses doigts de la chatte de Kat avant d'en ramener un contre ses lèvres. Kat regarda Lisa le sucer, stopper, puis le replonger dans sa chatte brûlante. Elle fit aller et venir le doigt puis le ressortit pour l'amener à la bouche de Kat. Celle-ci regarda Lisa dans les yeux puis suça le doigt, enroulant sa langue autour de lui avant de balancer la tête d'avant en arrière comme si elle lui faisait une fellation.

« Je crois que nous nous sommes trouvé une autre traînée. Tu es une petite traînée, chérie? » roucoula Lisa comme Kat continuait à lui sucer le doigt. « Tu dois être une traînée pour te mettre nue devant moi et me laisser jouer avec ta petite chatte. » Lisa retira *** doigt et caressa à nouveau la petite touffe de poils pubiens dorés. « Je crois que nous allons raser ceci. Afin que tu puisse ressembler à la petite traînée que tu es. Ma petite traînée lesbienne. »

Les yeux de Katherine s'agrandirent. C'était la première fois que Lisa usait du mot « lesbienne ». Katherine se redressa, s'écartant légèrement. « Je ne suis pas une lesbienne. »

« Vraiment? » railla Lisa. « Non, j'ai un petit ami. J'aime mon petit ami. » Les yeux de Katherine se portèrent sur *** bras droit. Un petit bracelet doré pendait à *** poignet. Il était évident que le bracelet avait de l'importance pour Kat. Lisa ne manqua pas de remarquer ce regard et recommença à caresser la petite chatte de Kat, pressant *** pouce contre *** petit clitoris.

« Ann, ma chérie, pourquoi ne te joins tu pas à nous. Je parie que Katherine aimerait que l'on s'occupe de sa petite chatte. » Lisa releva les yeux vers Kat, « N'aimerais tu pas ça? Aimerais tu que Ann te lèche ton petit con? » Quand Kat négligea de répondre, Lisa répéta plus fermement. « Aimerais tu cela, petite traînée? Veux tu que Ann enfonce la langue dans ton con brûlant d'étudiante? »

Kat grogna. « Oui... Oui, je le veux. » « Tu veux qu'elle fasse quoi? » la tortura Lisa.

« Je veux qu'elle me lèche, » céda Kat.

« Où veux tu qu'elle te lèche? » insista Lisa. « Je veux qu'elle me lèche la chatte. Je veux sa langue dans mon... mon con. » gémit Kat.

Ann glissa vers le canapé en poussant doucement Kat par derrière tout en lui écartant les jambes et en plongeant *** visage dans sa chatte. Kat grogna vigoureusement alors que la langue d'Ann serpentait dans sa fente, s'enfonçant dans *** trou avant de revenir doucement sur *** petit trou du cul. Les lèvres de Kat tremblèrent lorsque Ann passa sa langue sur *** anus avant de revenir enfoncer celle-ci dans sa chatte. Lisa continua à pincer les tétons de Kat tout en se penchant périodiquement pour embrasser passionnément la blonde qui le lui rendait bien.
chrislebo

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« Je ne sais pas, ma douce. Il me semble bien que tu es une lesbienne. N'es tu pas en train de supplier une autre femme de te brouter le minou pendant qu'une autre joue avec tes nénés? Je parie que tu meurs d'envie de brouter du gazon toi-même, n'est-ce pas? poursuivit Lisa.

« Oui, » vint la réponse à peine audible. « Oui quoi, chérie? » insista Lisa. « Je veux brouter du gazon. »

« Le gazon de qui? » continua Lisa. « Je veux te brouter le gazon. Je veux goûter à ta chatte, » souffla Kat.

« Je ne sais pas, » l'asticota Lisa. « Es tu une hétéro avec un petit ami... ou es tu ma petite garce lesbienne? »

J'étais stupéfait de regarder cette pièce jouée devant moi. Lisa la manipulait tel un pantin. Lesbienne ou hétéro? Lisa la forçait à se déclarer. Un petit ami qu'elle avait depuis environ deux ans... ou la nouveauté du lesbianisme. Ann, sentant *** hésitation, plongea sa langue plus profondément dans le con de Kat. Elle plaça doucement *** pouce contre *** anus, l'enfonçant légèrement. Le sortant, elle cracha sur *** pouce et le replaça sur sa petite cible en rosace, la pressant doucement mais fermement.

« Répond moi, chérie. Es tu ma garce lesbienne? » Kat savait qu'elle ne pouvait plus reculer. Les sensations qu'elle éprouvait ne ressemblaient à rien qu'elle ait connu auparavant. C'était si bon. Mieux que tout ce qu'elle avait jamais ressenti. Elle savait qu'elle ne voulait plus revenir en arrière. « Oui, oui, je suis une lesbienne. Je serais ta garce lesbienne. Je veux te bouffer la chatte. »

Lisa avait gagné. Ça s'était avéré plus facile que prévu. « Ok chérie, je vais te laisser me goûter. » Lisa souleva sa robe, la faisant passer par-dessus ses fesses avant de se replonger dans le canapé et de se glisser jusqu'au bord. Elle ne portait pas de culotte et sa touffe brune s'affichait maintenant sous les yeux affamés de Kat.

Contrairement aux autres femmes, Lisa taillait sa touffe mais ne la rasait pas. Peut-être le signe de sa différence. Elle était la femme dominante dans la pièce. « A genoux, chérie et lèche moi le con. Montre moi quelle bonne petite lesbienne tu peux être. »

Katherine tomba à genoux, les coudes sur le canapé, pendant que ma femme poursuivait ses assauts, léchant sa chatte et explorant *** cul des doigts et de la langue. Kat commença par des petits coups de langue avant d'enfoncer *** visage dans la chatte de Lisa. La touffe brune lui chatouillait le nez mais elle glissa néanmoins la langue dans ses crevasses et explora *** clitoris.

C'est bien, ma chérie. Lèche ma chatte. Montre moi quelle bonne petite salope lesbienne tu es. Tu aimes lécher de la chatte, n'est-ce pas chérie? Je le savais et je vais te laisser profiter de toutes les chattes que tu arriveras à brouter. Est-ce que j'ai bon goût, chérie... Tu aimes ça...

Kat acquiesça mais réalisa que Lisa attendait une réponse. Elle exigeait une réponse. « Oui, madame. J'adore lécher votre chatte. Votre chatte goûte tellement bon. » Katherine ne mentait pas. Elle adorait vraiment le goût de la chatte de Lisa, comme elle avait adoré lécher Ann la semaine dernière. Pourquoi avait elle résisté aussi longtemps? Lécher et sucer la chatte de Lisa lui semblait la chose la plus naturelle du monde. Rien de ce qu'elle avait pu faire auparavant ne l'avait jamais rendue aussi heureuse. Ça la rendait heureuse de laper le con de Lisa, de lécher toutes ses sécrétions. Oui, elle le savait maintenant. Elle était une lesbienne. Elle voulait être une lesbienne. Elle voulait être la lesbienne de Lisa.

Lisa pouvait déjà sentir *** orgasme monter. Peut-être le fait de transformer une hétérosexuelle en brouteuse de minous. Peut-être la petite étudiante était-elle vraiment douée. Quelle que fut la rai***, elle pouvait sentir monter la vague intérieure qui lui annonçait qu'elle n'était plus qu'à quelques secondes d'un orgasme. Kat aussi approchait du sommet comme Ann lui dévorait bruyamment sa chatte juteuse.

En quelques secondes, les deux femmes commencèrent à clamer vigoureusement leur plaisir et Lisa agrippa la blonde par ses longues tresses, enroulant les doigts dans ses cheveux. Katherine pencha doucement la tête et gémit avant de revenir lentement dans sa position initiale pour lécher à nouveau le doux nectar qui s'épanchait de la chatte de Lisa.

Katherine s'écroula sur le sol et roula sur le dos comme Lisa s'extrayait du canapé et s'enfonçait dans le couloir en direction de la chambre du fond. Ann rampa jusqu'à Katherine et posa doucement ses lèvres contre les siennes. Katherine lui rendit ses baisers et toutes deux se bécotèrent l'une l'autre. Ann pouvait goûter Lisa sur les lèvres de Kat. Elle fit passer *** haut par-dessus sa tête, exposant ses seins nus. Les seins d'Ann étaient déjà durs sous l'effet de l'excitation qui imprégnait l'atmosphère. Elle se pencha et attira les lèvres de Kat vers *** sein. Celle-ci engouffra le téton dans sa bouche avide.

Kat suça et emboucha les seins d'Ann comme elle s'emparait de toute la chair tendre qu'elle pouvait avaler. Ann gémit alors que Kat tirait doucement sur la pointe du sein avec les dents. « Oh chérie, tu apprends vite... tu vas être si bonne à ce jeu là, » gémit Ann comme Katherine devenait plus enthousiaste sous l'effet de sa réponse.

De sa propre initiative, Kat plongea la main dans les pantalons de ma femme, serpentant sous l'élastique de sa culotte. Je devinais aux grognements de basse de ma femme que les doigts de Kat avaient trouvé leur cible. Quelques minutes plus tard, Kat poussait les pantalons et la culotte d'Ann d'un seul mouvement. Ann souleva *** derrière comme les vêtements étaient tirés vers ses chevilles pour s'en débarrasser d'un coup de pied. Elle écarta les jambes pour permettre à la bouche de Kat de rejoindre la sienne et à ses doigts de plonger profondément dans sa chatte humide. Katherine emmena vers leurs bouches respectives ses doigts mouillés des liqueurs pour qu'elles les embrassent ensemble.
chrislebo

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Je relevais les yeux pour voir Lisa debout dans l'embrasure de la porte, *** gode ceinture noir pendant à sa taille. Elle observa avec approbation katherine couchée sur ma femme. Ses doigts plongeant dans un mouvement de va et vient dans la chatte d'Ann comme elles s'embrassaient passionnément sur le sol. Ann ouvrit les yeux et vit Lisa à l'entrée.

« Je vois que vous ne m'avez pas attendue, » sourit Lisa. « Regarde moi, mon chou. Regarde ce que j'ai pour toi, » dit Lisa en brandissant la bite noire qui pendait entre ses jambes. « Ann adore ma queue. Et tu voudras aussi que je te baise avec. »

« Oui, j'adorerais que tu me baise, » répondit Katherine sans hésitation. Ses yeux écarquillés étaient rivés sur le membre noir.

« Tu es sure que tu ne préférerais pas l'original à l'imitation? Larry, par exemple, et sa petite bite? »

« Non, je veux que tu me baise. Je veux sentir ta bite à l'intérieur de moi, » rétorqua Kat.

Lisa se tourna vers moi et me sourit, tirant une fois de plus une intense satisfaction de savoir que deux femmes avec qui j'avais fait l'amour la préférait à moi. « Rampe jusqu'à moi, » instruisit elle sa nouvelle conquête. Kat rampa jusqu'à elle et s'agenouilla devant sa maîtresse. « Je pense qu'il y a encore un obstacle entre nous, » ajouta celle-ci en regardant à ses pieds. Katherine prit un air égaré puis remarqua le petit bracelet doré à *** poignet. Elle s'en empara et le détacha pour le donner à Lisa. Lisa le prit et le laissa retomber derrière elle sur le sol. Quelque emprise demeurait de Danny sur Katherine avait maintenant disparue.

« Je t'ai posé la question tout à l'heure. Je te la repose maintenant. Qu'est-ce que tu es? » demanda froidement Lisa.

Kat n'hésita pas. « Je suis une lesbienne. Je suis une salope lesbienne. » Voyant que Lisa approuvait, elle continua. « J'adore brouter des minous. J'adore brouter ta chatte et je veux que tu me baises. »

« Je vais le faire, mais si je te baise, tu m'appartiendras et seulement à moi. Plus de petits étudiants. Tu es ma petite lesbienne et tu brouteras ma chatte quand je te le demanderais. Je t'emmènerais où et quand je le voudrais. Demain, nous t'emmènerons au salon de ma copine et nous allons raser cette petite chatte que tu as là parce que tu es une petite salope. Et je pense que nous raccourcirons ces cheveux pendant que nous y sommes.

Katherine jeta un œil sur le côté et vit les longues tresses blondes tombant sur *** épaule. « Ne t'inquiète pas, mon chou. Nous n'allons pas couper tout ça. Juste rafraîchir un peu. Mais si je voulais te raser entièrement, je le ferais. Est-ce clair? » Kat la regarda puis acquiesça. « Maintenant, à qui appartiens-tu? »

Kat n'hésita pas : « A toi. Je t'appartiens. Ma chatte t'appartiens. »

« Tout à fait, et à partir de maintenant, je veux que tu viennes chez moi chaque week-end. Et pendant que tu y es, je t'y veux nue. Tu as une co-locataire, n'est-ce pas? » Kat acquiesça. Lisa gloussa en pensant à ce que sa co-locataire allait imaginer. « Quel est *** nom? »

« Taylor, » répondit Kat.

« Et bien, Taylor pourrait bien passer pas mal de week-ends et de nuits de semaine avec une chambre à elle toute seule. Ok, si tu es prête à être mienne, tourne toi et met toi à quatre pattes. » Kat se retourna et souleva *** cul en l'air tout en reposant sa tête sur le sol. Lisa se plaça derrière elle et positionna sa bite à l'entrée de la chatte de Kat.

Ann se positionna de façon à ce que sa chatte se retrouve à quelques centimètres du visage de Kat et celle-ci se mit à lécher avec avidité. L'étudiante grogna comme la bite glissait dans sa caverne brûlante. Lisa se mit à aller d'avant en arrière en baisant la petite blonde.

« Es-tu ma petite lesbienne, chérie?, » roucoula Lisa. « Oui, je suis ta lesbienne. J'aime que tu me baise. Je veux que tu me baises toujours.,» répondit Kat.

« A qui appartient cette chatte? » continua-t-elle. « C'est ta chatte... ma chatte t'appartient. Je t'appartiens... » gémit Kat.

« Est-ce que ta coloc est mignonne, chérie? Est-ce que Taylor est jolie? » haleta Lisa. « Oui » répliqua Katherine d'une voix rauque. « Oui, elle est très jolie. »

« Peut-être que Taylor aimerait devenir une lesbienne. Qu'en penses-tu? Ferait-elle une bonne petite lesbienne? » continua Lisa.

« Elle... elle a un petit ami... » dit Kat faiblement comme Lisa continuait à enfoncer sa queue profondément dans sa chatte.

Lisa gloussa en ralentissant pour enfouir sa queue dans la chatte de Kat. « Bien. C'est encore mieux. Ainsi tu pourras me prouver à quel point tu m'aimes. Quelle bonne petite salope tu fais en faisant aussi de ta colocataire une lesbienne. J'adorerais ça. » Lisa passa sa main sous le corps de Katherine et se mit à lui caresser le clitoris... à le caresser vivement de ses doigts.

Les trois femmes étaient en pleine action sur le sol pendant que j'étais assis dans un fauteuil, mes pantalons autour des chevilles. Je crachais doucement dans ma paume pour la lubrifier tout en caressant le gland et me masturbais. Je venais d'être témoin du spectacle de Lisa transformant une jeune hétérosexuelle en petite amie gouine et soumise. Bien qu'absent la première fois que ma femme et elle avaient été ensemble, je connaissais par le menu sa méthode. Même si Ann n'avait pas l'intention de me quitter, il n'y avait aucun doute dans mon esprit qu'elle préférait la douce caresse d'une femme aux relations sexuelles telles que nous les vivions.

Comme Lisa s'enfonçait dans la chatte de Kat, Ann fut prise de convulsion orgasmiques. J'éjaculais mon foutre chaud sur mon estomac. Katherine hurla en griffant le tapis, Lisa martelant sa chatte, ses hanches claquant contre le derrière de la jeune étudiante.

Quand je revins de la salle de bain après m'être lavé, les femmes avaient fini de se rhabiller. Ou plutôt, Lisa et Ann l'avait fait. Lisa avait donné pour instruction à Kat de dire à sa colocataire qu'elle restait chez une amie puis de rejoindre la voiture. Afin de prouver sa totale soumission, Kat dut sortir de la mai*** et attendre nue dans la voiture. Elle n'avait aucune rai*** de se rhabiller car Lisa avait l'intention de maintenir l'étudiante nue pour tout le reste du week-end. Lisa décida de demander à *** amie du salon de coiffure de venir à la mai*** le lendemain. Au lieu de sortir, elles donneraient à Kat une épilation à la cire et une nouvelle coiffure là-bas.

Connaissant Lisa, j'étais certain que *** amie était également gouine. Je soupçonnais que le week-end de Kat ne faisait que commencer.
chrislebo

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Je regardais la télévision au sous-sol, profitant à fond de la folie des tournois de basket du printemps, lorsque j'entendis Ann rentrer et déposer ses clefs sur le comptoir de la cuisine. Histoire de lui faire savoir que je savais qu'elle était de retour, je lui demandais distraitement si elle avait acheté quelque chose de spécial. Elle était partie ce matin en disant qu'elle ferait les boutiques et passerait peut-être voir Lisa au retour.

Vous vous souviendrez sans doute de Lisa - si vous avez lu la série : « La séduction de la baby-sitter » - comme de *** amie lesbienne. Lisa et Ann se rencontrent très régulièrement pour un peu de sexe entre filles. Lisa vient ici à l'occasion et c'est vraiment très excitant de voir les filles en pleine action. Malheureusement, si Lisa ne voit pas d'objections à ce que je regarde, je n'ai jamais été autorisé à participer. Elle l'a fait très clairement savoir : je n'ai le droit de toucher qu'avec les yeux.

Il y a quelques semaines, Ann a présenté Lisa à notre baby-sitter, une petite étudiante qui avait gardé les enfants de mon frère pendant que nous étions à une fête. Katherine était une petite blonde innocente dont l'expérience sexuelle était très, très limitée. Ma femme était rentrée à la mai*** pour la surprendre regardant nos films amateurs et elle s'empressa de l'aider à explorer sa sexualité à l'aide d'un peu de sexe saphique.

Ann la présenta à Lisa qui mit toute *** énergie à faire de cette petite étudiante *** jouet sexuel lesbien. Lisa est une brune spectaculaire dotée de grands yeux bruns dont la vue suffirait à provoquer une érection chez n'importe quel homme. Dommage qu'elle ne soit pas à voile et à vapeur. Elle est également très dominatrice dans sa façon de faire l'amour. Elle est du genre à prendre les choses en main dès le départ.

Si j'ai bien observé Lisa et Ann ensemble en plusieurs occasions, à peu près tout ce que je sais d'elle, je le tiens d'Ann. Elle sait que ça m'excite beaucoup d'entendre tous les petits trucs pervers que Lisa lui fait faire. Même si elle possède une grande variété de jouets qu'elle utilise sur ma femme et jouit de la dominer, à ma connaissance, leur relation n'a jamais été basée sur le sadomasochisme.

Je ne pus m'empêcher de ***ger à tout le chemin parcouru par ma femme depuis la femme au foyer coincée d'il y a quelques années. Tout comme Katherine, ma femme n'avait qu'une expérience du sexe très limitée. Si je ne fus pas le premier amant d'Ann, nous nous fréquentâmes exclusivement à l'université et nous mariâmes à l'obtention de nos diplômes. Ann regardait ailleurs à l'université lorsque je me permettais une incartade de temps en temps. Mais je pense qu'elle avait toujours su que je reviendrais vers elle et cela ne semblait pas la déranger outre mesure.

En l'espace de trois ans, nous expérimentâmes la domination, devinrent la « possession » d'un homme noir qui nous prostitua au bénéfice de ses amis, nous marqua comme étant ses propriétés, et nous engageâmes tous les deux dans des relations extraconjugales. Ann convainquit même sa sœur Cindy de se laisser séduire par notre maître noir Mark. Ce fut sans doute là que je réalisais à quel point Ann était vraiment soumise. Plus nous nous enfoncions dans cette voie, et plus nous nous pervertissions.

Je regardais la partie menée par l'Université du Connecticut à la télé lorsque Ann entra, se mit à genoux entre mes jambes et sans ajouter un mot, fit tomber mon short de sport. Ann prit ma queue flasque dans sa bouche et commença à enrouler sa langue humide autour d'elle. Ann avait de douces lèvres charnues et elles montèrent et descendirent le long de mon membre, alors que mes pensées s'éloignaient du jeu. J'ai toujours apprécié ses fellations. Elle se mit à me masturber, sucer le gland, et passer la langue sur la couronne de ma queue.

Lorsque mon membre viril fut en érection, elle s'ébroua pour faire glisser sa culotte et se releva pour me chevaucher, *** con humide enveloppant ma bite raide. Elle garda sa jupe, faisant passer *** haut par-dessus sa silhouette, exposant ses seins nus aux pointes déjà dures. Je passais mes mains derrière *** dos et aspirais un téton dans ma bouche alors qu'elle poussait un petit cri et chevauchais ma queue raide.

Je passais ma langue sur *** sein tout en mordillant le téton pendant qu'elle montait et descendait le long de ma queue, *** cul claquant contre mes jambes. La tête d'Ann partit en arrière comme elle caressait *** petit clitoris et martelais ses hanches contre moi. J'enroulais mes bras autour de ses hanches et la tint fermement pendant qu'elle chevauchait mon érection. Je pouvais sentir mon orgasme monter comme Ann enfonçait ses seins dans mon visage. Je ne pus me retenir et éjaculais de longs jets de sperme chaud dans sa caverne humide. Je donnais un grand coup de rein dans sa chatte, essayant d'enfoncer ma bite aussi loin que possible dans sa cavité brûlante.

Lorsque je ralentis mes efforts, Ann se laissa glisser et se redressa face au canapé afin de présenter sa chatte à mon visage. Je savais ce qu'elle voulait et n'hésitais pas, pressant mon visage dans *** minou rasé. Ma bouche recouvrit ses lèvres et j'enterrais ma langue dans sa caverne brûlante, goûtant ses liqueurs mélangées. Je pouvais goûter mon sperme s'écoulant de sa chatte alors que je la lapais.

Elle continua à masser *** clitoris pendant que j'aspirais mon sperme chaud hors de sa chatte. Ses gémissements me laissaient entendre que je faisais du bon travail alors qu'elle poussait ses lèvres chaudes contre ma bouche. Elle tira sur mes cheveux et écrasa sa chatte contre mon visage tout en jouissant. Ses orgasmes la secouèrent tandis que ses jambes étaient agitées de soubresauts pendant que je poursuivais mes assauts.

Finalement, elle se laissa glisser jusqu'à s'asseoir sur mes genoux, sa langue s'enfonçant entre mes lèvres. Sa bouche semblait tiède alors qu'elle goûtait les liqueurs mélangées de mon sperme et de sa chatte. Nous nous embrassâmes quelques minutes avant qu'elle ne se laisse glisser à terre, épuisée par notre passion furieuse.

Lorsque nous eûmes récupéré suffisamment, je luis demandais ce qui l'avait excité à ce point. Si je lui en était reconnaissant, je savais que quelque chose l'y avait poussé.

« Je viens de quitter Lisa et... bon dieu, ça m'a excité... » commença-t-elle. « Je suis allé faire les boutiques ce matin et Lisa m'a invité à passer. Quand je suis arrivé chez elle, j'ai ***né et frappé à la porte, finissant par entrer comme per***ne ne venais. Je supposais qu'elles étaient en bas dans le pavillon, » continua Ann.

Lisa vit dans un complexe d'appartement très sélect. Ses portes de derrière font face au pavillon qui compte à la fois une piscine extérieure et une autre intérieure chauffée avec jacuzzi et salle de conférence dotée d'une télévision grand écran et d'un bar. C'est de loin le plus beau pavillon que j'ai jamais vu. Comme il faisait trop frais pour s'allonger dehors, Ann s'était dirigée vers l'arrière du pavillon avec sa piscine intérieure.

« Je vis Lisa allongée sur le ventre, flottant sur un matelas gonflable. Je regardais autour de moi et supposais qu'elle était seule car il n'y avait là que quelques per***nes allongées dans des chaises longues. Je m'apprêtais à l'appeler lorsque j'entendis mon nom. Me retournant, je vis Katherine. Je t'assure que je ne l'aurais jamais reconnue si elle ne s'était pas redressée et appelé. Elle avait coupé ses cheveux... enfin, je vais un peu trop vite. Ses cheveux avaient été coupés. »

Katherine avait de magnifiques longs cheveux blonds qui se divisaient en leur milieu pour reposer juste sous ses épaules. La nuit où elle, Ann et moi nous retrouvâmes, je me souvenais de leur douceur lorsque j'y enroulais mes doigts, tirant sa tête en arrière pendant que je plongeais ma queue dans sa chatte serrée d'étudiante.

« Et bien, elle ne les a plus, » dit Ann en me regardant directement dans les yeux. « Elle les a coupés courts, juste à la base de *** cou et autour des oreilles. J'ai failli ne pas la reconnaître. Elle me fit signe de la rejoindre et je m'assis comme elle se penchait pour passer ses bras autour de mon cou. Elle pris une gorgée de *** vin et m'offris d'y goûter. Je pris une gorgée du chaud nectar pendant qu'elle m'expliquait sa joie de me voir ici. »

« Nous papotâmes pendant quelques minutes avant que Katherine ne me confie *** bonheur. Je ne pouvais croire à quel point elle avait changé et m'enquérais des derniers événements depuis notre dernière rencontre. »

« Et bien, » commença-t-elle, regardant par terre, « tu te souviens quand j'ai quitté ta mai***, j'étais... et bien, Lisa m'a obligé à rester nue jusqu'à chez elle. Nous avons roulé jusqu'à la mai*** cette nuit là et elle m'a ordonné de placer mes pieds sur le tableau de bord, les jambes écartées, me masturbant et jouant avec mes tétons. Elle m'a fait mettre mon sein dans ma bouche et le lécher.

De temps en temps elle ramènerait sa main vers moi pour que ses doigts viennent fouiller mon con, puis elle me faisait nettoyer ses doigts de la langue. Et pendant tout ce temps elle me demandais quelle genre de fille laisserait une femme la déshabiller et jouer avec sa chatte. Elle me dit que je devais être une sacré salope. En fait, plus elle m'insultait, plus ça m'excitait.

Quand nous arrivâmes à *** appartement, elle me dit de sortir et de la suivre à l'intérieur. J'étais terrifiée. Enfin, à la fois terrifiée et excitée. Je vis que des voitures nous avaient suivi et je me demandais qui avait pu me voir sortir de la voiture, nue comme un ver. »

« Lisa ouvrit sa porte et je rentrais dès que les lumières s'allumèrent. Je ne pourrais dire que je regardais autour de moi alors que je la suivais. Tout ce dont je me souviens c'est du sol froid sous mes pieds nus et du vent frais sur mes seins pendant qu'elle marchait nonchalamment jusqu'à la porte pour nous laisser entrer. »
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