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Ma vie de lopette cocue

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pat87

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#1
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Ma vie de lopette cocue...

Dès l'adolescence j'ai su que je n'avais pas été gâté par la nature.
Sous les douches, après les entraînements ou les matchs de foot, je voyais que mes potes en avaient tous une plus grande et plus large que moi. J'avais l'impression d'avoir un petit asticot rabougri. Et que dire de mes petites couilles ridiculement rabiugries.
C'est sans doute à cause de ça que j'étais timide avec les filles.
Finalement, à 18 ans, j'ai connu Blandine, une belle et plantureuse blonde frisée.
C'est elle qui m'a déniaisé, et qui m'a éduqué. Elle avait beaucoup plus d'expérience que moi et m'apprit tout, en particulier tout ce qui est préliminaires. Souvent elle me demandait un long cunnilingus, qui l'emmenait au 7ème ciel, mais ensuite, me refusait la pénétration, disant qu'elle ne me sentait pas, et que donc c'était inutile. Elle saignait seulement me masturber d'une main distraite, et je devais m'en contenter.
Très vite j'eut des soupçons de *** infidélité. Mais c'est lors d'un voyage en Espagne que j'en fut sûr.
Elle me trompa ouvertement avec un bel hidalgo durant tout notre séjour. Mais voilà, j'étais amoureux, je laissais faire....
À notre retour d'Espagne, elle préféra me quitter, pour un mec mieux membré.

Pendant quelques années, j'eut plusieurs petites copines, mais rien de sérieux, et toutes se ***t plain de mes "mensurations".

Puis je connu celle qui allait de venir ma femme, Patricia, belle et grande brune, plutôt autoritaire. J'étais heureux et fou amoureux. Certes elle portait la culotte, mais, au moins ne se plaignait pas de mon petit sexe.
À peine 1 an après notre mariage, elle commença a me tromper, sans que je le sache au départ.
Mais je découvris le pot au rose un soir où elle rentra très tard du travail.
À l'époque il n'y avait pas encore de téléphone portable, et ne l'a voyant pas rentrer, je me faisais un sang d'encre....
Lorsqu'elle arrive, je lui demandais bien sûr où elle était passée. Et là je pris un coup de poing dans l'estomac :
"Chez Gilles, un collègue, on vient de baiser !"
J'étais soufflé et surtout dévasté.
"Tu n'as pas pu me faire ça ?" lui dis-je.
"Si, et je vais t'expliquer pourquoi. Viens dans la chambre."
Elle me jztta sur le lit, défit mon pantalon et mon caleçon, et sans un mot commença à me caresser.
Lorsque je fut en pleine érections, elle s'arrêta net, prit un mètre ruban dans le tiroir de la table de nuit et me dit :
" Voilà pourquoi. Tu fais péniblement 8cm en érection, et encore quand tu y arrives.
Et quand tu y arrives, tu ne tient que 2 ou 3 minutes.
Gilles fait plus du double. Il fait 18 cm et lui ne jouit pas en 3 minutes. C'est un vrai mâle, lui.
Alors si tu veux qu'on reste ensemble, il va falloir accepter que je prenne mon plaisir ailleurs, j'en ai besoin.
Si tu ne veux pas, je devrai me résoudre à divorcer. Le choix t'appartient. "
J'étais sans voix. Que dire.
Je l'aimais tellement. Mais cette idée me fendait le cœur.
J'ai finalement réussi à balbutier :
" Si tu veux chérie."
Je vit *** visage s'éclairer d'un sourire narquois, marquant sa victoire.
Elle reprit ma petite queue en main.
"Pour te récompenser, je vais te faire jouir mon chéri, après tout Gilles et moi avons eut notre dose ce soir..."
Elle recommença ses caresses, mais entreprit de m'humilier en même temps...
"Regarde comme elle est petite ta queue, elle tient entièrement dans ma main, rien ne dépasse. Tu es totalement incapable de faire jouir un femme. Tu es tout petit et à moitié mou."
Il n'en fallu pas plus pour que je me rependre entre ses doigts dans un orgasme fulgurant au bout de quelques secondes.
Je venais de découvrir que j'aimais être humilié.
Là vie reprit *** cours.
Elle rentrait souvent tard le soir, et je savais d'où elle venait.
J'avais régulièrement droit à une branlette de ma "petite bite molle" comme elle l'appelait.
Les jours de fête, j'avais le droit de la pénétrer, mais à chaque fois, je jouissais en quelques secondes, parfois même avant de la pénétrer.
Je remarquais aussi, que vestimentairement *** style changeait. Elle devenait de plus en plus sexy. Elle troquait ses sempiternels pantalons pour des jupes ou des robes, et surtout, avait jeté aux orties ses vielles culottes en coton, pour ne plus mettre que de la lingerie sexy, stings, soutiens gorge pigeonnants et porte jaretelles avec des bas.
Ce qui me rendait fou c'est que ça n'était pas pour moi mais pour Gilles. Mais au final j'y trouvais mon plaisir.
Un pas fut franchi au bout d'un an et demi de cette relation.
En rentrant de chez Gilles un soir, elle me dit :
"Gilles et moi avons discuté longuement ce soir. Il déteste l'idée de me partager sexuellement avec toi.
Nous avons donc décidé que tu allais porter une cage de chasteté, dont je garderai la clé. Nous llons aller, lui et moi dans un sex-shop ce week-end pour en acheter une."
C'était sans appel, j'étais effondré.
" oh mais rassure toi, me dit-elle, une fois par semaine, je te la retirerai, et tu pourras te mastuber."
Le samedi suivant Patricia partit donc avec Gilles acheter cette fameuse cage.
Elle ne rentra que tard le soir (ou tôt la nuit), les traits tirés, les cheveux en bataille.
" Humm, me dit-elle, que c'est bon de se sentir femme comblée. Et comme c'est existant de faire les boutiques sans culotte. Si tu savais mon cocu chéri. Allez, viens, il est temps de s'occuper de toi."
Elle m'allongea sur le lit, défit mon jean et mon caleçon, releva sa robe. Dessous je pouvais voir *** porte jarretelle et ses bas, et l'absence de toute culotte. Sa toi*** était trempée.
" Allez leche moi petite bite, si tu veux que je te fasse jouir avant de t'enfermer."
Je plongeais ma tête entre ses cuisses. Une odeur âcre envahissait mes narines, sa cyprine mélangée au sperme de Gilles. J'hésitais.
" Alors, t'attends quoi cocu ?" me dit-elle en serrant mes petites couilles."
Je sur montais mon écœurement et me mis a la lêcher. Pendant ce temps, elle jouait avec mon petit bout qui ne tarda pas à gicler 3 misérables gouttes, la faisant éclater de rire.
"Voilà, maintenant, en cage le petit oiseau. Rendez vous dans une semaine.".
Je lis plusieurs jours a m' habituer à cette cage vraiment miniscule, mais le temps passant je fini par m'y faire.
Tous les week-ends j'avais droit à ma branlette misérable sous les moqueries et ************ de Patricia.
Un jeudi soir elle rentra comme d'habitude tard après le travail et m'annonça :
"samedi soir je suis chez Gilles, il organise une partie de tarot avec ses amis, ça ne te gêne pas mon cocu ?"
Que pouvais je répondre...
Je confirmais qu'elle pouvait y aller une boule dans le ventre.
Le samedi fatidique arriva.
L'après-midi elle passa un long moment dans la salle de bain a se pomponnner.
Quelle surprise lorsqu'elle sortit nue....
Elle avait rasé *** abondante toi*** noire.
"c'est Gilles qui me l'a demandé, dit-elle, il faut que je me dépêche je vais être en retard".
Elle fonça vers la chambre pour s'habiller (si on peut dire). Elle se para d'un porte jarretelle noir et rouge, de bas noirs, d'un string fendu assorti, et également d'un soutien gorge fendu au niveau des tétons, lui aussi assorti. Elle chaussa des escarpins a talons et enfila un imper long.
Je lui dis "tu ne mets rien de plus ?"
Elle éclata de rire avant d'ajouter "tu n'as pas compris cocu ? C'est moi qui suis L'enjeu de la partie de tarot !
Allez bisous, je file... À plus tard, très tard. Bonne soirée."
Là soirée me parut terriblement longue, si longue....
À 2 heures du matin, Patricia n'était toujours pas rentrée. Je décidais d'aller voir chez Gilles. Arrivé devant chez lui, tous feux éteints, pour ne pas attirer l'attention, je pu constater qu'il y avait effectivement plusieurs voitu3dont celle de Patricia.
Mais le portillon d'entrée était fermé à clé, et avec les rideaux tirés, je ne pouvais pas voir ce qu'il se passait. Je décidais donc de rentrer en rongent mon frein.
Finalement, Patricia rentra à 6 heures du matin, l'air épuisée.
A suivre
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie
ptibout

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Posts: 72
#2 
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C'est vrai, la vie n'est pas toujours facile pour nous les petites bites, nos épouses s*nt bien tentées d'aller voir ailleurs mais finalement nous retirons du plaisir de ces situations humiliantes. Que de branlettes en imaginant sa chérie besognée par un vrai mâle. J'ai astiqué ma nouille de 9cm en lisant ce récit.
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