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Ma life : retour en enfer avec visite guidee

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Brutus2

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#91
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On connait l'epilogue, mais il reste de loooongues marches a descendre vers l'enfer...
Fanatique de l'infidelite feminine
paco2244

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#92
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On va y arriver, ne sois pas inquiet, mais j'ai aussi droit a quelques heures de repos : le topic sera bientot mis a jour avec un nouvel episode !
paco2244

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#93
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Et voila !!

Chapitre 3 : Scenettes de la vie conjugale (4eme et derniere partie)

Decidement, il me fallait apprendre a ne plus m’etonner de rien : Carole, a mister tour, s’etait mise a l’imprime leopard, comme Claudia ! Ce qui, avec sa chevelure blonde et mister maquillage charge, lui donnait un air vulgaire a souhait, carrement pouffiasse pour appeler les choses par leur nom. D’ailleurs, ainsi pareillement vetues, les deux filles ressemblaient a des sœurs presque jumelles, l’une, Carole, compensant largement par l’opulence de sa poitrine ce que l’autre, Claudia, avait en plus au niveau d’un fessier particulierement avantageux.

Ce soir-la, elles avaient decide de sortir ensemble et s’etaient fixees rendez-vous a la maimister. Depuis qu’elles avaient laisse tomber leurs amants respectifs, elles ne se quittaient quasiment plus, et je soupconnais fortement qu’elles s’entrainent mutuellement dans une sorte de competition pour savoir laquelle des deux irait le plus loin dans la debauche.

Carole, en tous cas, n’etait pas la derniere : quatre a cinq fois par semaine, hormis le dimanche reserve a un rallye-sommeil non-stop de presque vingt-quatre heures, elle ne rentrait pas a la maimister ou ressortait apres diner. Et ne reapparaissait qu’apres trois ou quatre heures du matin, les traits marques par je ne devinais que trop bien quels genres d’exces, les vetements froisses et impregnes, comme ses cheveux, de l’odeur du tabac, l’haleine chargee de celle du champagne et tout mister corps exhalant les effluves d’ebats dont je n’avais droit a aucun detail, mais que j’imaginais volontiers torrides tant les parfums en etaient lourds et les zones sensibles de mister corps en etaient encore rougies.

J’etais d’ailleurs aux premieres loges pour constater de tous mes sens, hormis le toucher, les resultats de ses sorties nocturnes : depuis qu’elle avait adopte ce rythme de vie desordonne, j’etais charge, a mister retour, de « faire le menage » comme elle appelait ca, et d’apaiser le feu de ses muqueuses irritees par une douce, longue et lente application de salive. En clair, elle s’installait confortablement dans un fauteuil du salon, buvant un cafe prepare specialement a mister intention en fumant une enieme cigarette, pendant que, agenouille entre ses cuisses passees sur les accoudoirs du siege, je la lechais consciencieusement. C’est la que ma langue avait gagne mister appellation de « petite eponge rose » dont elle controlait soigneusement l’efficacite, assortissant mes prestations de directives aussi humiliantes que precises :

- Oui, c’est bien, mon petit cocu, leche bien le con de ta femme, mets ta langue la ou les mecs mettent leur bite. Tu sens l’odeur de ma mouille ? J’ai beaucoup coule, tu sais, j’avais tellement envie de baiser, de me faire ramoner par des grosses queues bien raides ! Ca sent surement aussi la capote… Au fait, tu penseras a m’en racheter une boite et a les mettre dans mon sac, je crois que je n’en ai presque plus…

C’etait en effet une de mes recentes attributions : aller en pharmacie faire l’acquisition de preservatifs grande taille dont je devais veiller a ce qu’elle ne soit jamais demunie.

- … Hmmm, c’est bon, continue, comme ca, doucement. J’adore que tu me nettoies la chatte quand je reviens de me faire sauter : j’y pense quand je baise avec un type, et rien que de savoir que tu m’attends bien sagement a la maimister et que je vais me servir de ta petite eponge rose pour me laver, ca me donne envie d’etre encore plus salope pour que le mec cogne bien fort dans mon trou !…

Je ne doutais pas qu’elle devait franchir sans hesiter le pas entre l’envie et l’acte, et ma queue durcissait encore. Souvent, mister talon aiguille venait a ce moment-la se planter a la base de mon cou, entre mes omoplates, pour me powerr a descendre plus bas.

- Allez, nettoie-moi le trou du cul maintenant, je me suis faite enculer aussi ! Voilà, parfait…

Elle prenait ses fesses a pleines mains pour les ecarter.

- Enfonce ta langue, mets-la dans mon cul et leche ! Tu sens comme il s’ouvre facilement ? C’est normal apres ce qu’il a pris, il est encore tout dilate… Si tu savais comme c’est bon de se faire defoncer le cul par une grosse bite, j’ai l’impression d’etre une vraie chienne… Encore un plaisir que tu ne connaitrais jamais, mon pauvre petit cocu ! Mais c’est pas grave, toi tu as celui de lecher mon cul de salope en sachant que, quelques minutes avant, c’est un beau mec qui etait dedans, n’est-ce pas ?
- Hummmmfff…, mmmfoui…

Pas facile de parler dans cette configuration ! Deux ou trois coups de talons pour me transpercer le torse de fleches incandescentes…

- T’es vraiment un bon leche-cul ! D’ailleurs ca te va bien comme surnom, faudra que je pense a t’appeler comme ca plus souvent, hein leche-cul ?…
- Mouifff…
- De toutes facons, c’est normal, t’es bon qu’a ca !…

Carole avait mis au point une rhetorique precise et argumentee autour de cette question. Qu’elle m’assenait a chaque occasion afin que je me convainquis de la parfaite exactitude de l’idee qu’elle developpait, au point de faire mien ce discours et que je fus capable de le tenir en toutes circonstances avec la meme persuasion que si j’en eusse ete l’auteur.

Elle partait d’un postulat de bon sens : comme toute femme normale, « un peu plus » que beaucoup d’autres, elle consentait a l’admettre, elle aimait avoir du plaisir, en avait besoin, et y avait legitimement droit. Plaisir que j’etais incapable de lui procurer, parce que la nature, la genetique, Dieu… enfin peu importait qui ou quoi, c’etait ainsi et elle voulait bien admettre que je n’en etais pas completement responsable, n’avaient pas juge utile de me doter des instruments necessaires pour cette fonction.

Ce qui entrainait de facto deux consequences : la premiere etant qu’il etait tout a fait naturel et normal qu’elle me trompe autant qu’elle en aurait envie. Ce dont je devais non seulement me satisfaire mais aussi me rejouir, puisque cela lui procurait du plaisir et que, etant amoureux d’elle, mister bien-etre devait etre une de mes principales preoccupations dans l’existence. La seconde, c’etait que je me devais, a defaut de pouvoir faire jouir ma femme, lui procurer toutes les autres satisfactions qu’elle estimait pouvoir attendre de moi : lui rendre la vie aussi douce, facile et agreable que possible, veiller a ce que, en toutes circonstances elle soit la plus desirable, et qu’elle n’ait a subir aucune contrainte qui l’empecherait de prendre un maximum de plaisir dans l’existence.

En echange, et faisant tres genereusement fi de mes carences qui, il ne fallait pas que je l’oublie, auraient pousse 99 % de ses consoeurs a me quitter sans remords pour un autre, elle voulait bien daigner me laisser l’aimer. A condition que ce fut en silence, avec respect et devotion, en faisant preuve d’une totale docilite et d’une disponibilite sans faille. En resume, que je sache rester a ma place qui, ne pouvant manifestement etre celle d’un mari digne de ce nom, serait la seule que mes competences me permettaient d’exercer : larbin !!

J’officiais donc en preparant l’aperitif de ces dames qui papotaient en fumant au salon. Je les entendais rire, alternant exclamations et mots chuchotes sur le ton de la confidence. Comme seules les femmes savent le faire. Quand je fis mon entree dans la piece, elles cesserent leur conversation, se contentant de m’observer tandis que je disposais devant elles les flutes a champagne et les amuse-gueule. Puis j’entrepris de deboucher la bouteille.

J’en etais a verser le contenu petillant dans les verres quand Carole m’interpella :

- J’etais en train d’expliquer a Claudia que, normalement, quand nous sommes seuls, tu me sers a poil…

Sous l’effet de la surprise que me causa sa reflexion, je fis un geste maladroit qui me fit renverser un peu de liquide sur la table basse. Ce qui provoqua aussit?t un brusque acces d’agressivite de ma femme.

- Tu ne peux pas faire attention, espece de cretin ! Depeche-toi de me nettoyer ca !

Je filai vers la cuisine, chercher un torchon, accompagne d’un commentaire acerbe.

- Regarde-moi ce con, meme pas capable de faire correctement le service ! Il est vraiment bon a rien…

C’etait la premiere fois que Carole m’insultait ainsi, qui plus est devant temoin. Jusque la, elle s’etait contentee de me rabaisser par des mots humiliants. Mais ce n’etait pas le pire : la reponse dans mon dos de Claudia me glaca le sang.

- Tu devrais peut-etre le dresser, ma cherie… Si ca se trouve, tu es encore trop gentille avec lui !

Quand je revins, ma femme m’apostropha d’entree.

- Claudia a raimister : je suis beaucoup trop bonne avec toi, tu en profites ! Essuie tes betises et viens ici !

Je me hatai d’eponger le champagne repandu sur le plateau de verre fume et, hesitant, m’approchai d’elle, toujours assise sur le canape.

- Mets-toi a genoux !

J’avais les jambes qui tremblaient, la panique m’envahissait : me faire traiter ainsi devant cette fille qui se permettait de parler de moi en ces termes me revoltait interieurement mais, en meme temps, je ne me sentais pas la power de resister a l’ordre qui venait de m’etre donne.

- Qu’est-ce que tu attends ? Je t’ai dit de te mettre a genoux, obeis !

Lachement, submerge par la honte, je pliai les rotules et me laissai choir face a ma femme. Avant meme que je puisse reagir, esquisser un geste de defense, elle m’assena une gifle qui me fit tourner la tete sous l’impact. Ma joue devint d’un coup brulante, des centaines de petites etoiles clignoterent devant mes yeux qui se noyerent de larmes.

- Ca, c’est pour t’apprendre a faire correctement ton travail…

La deuxieme claque tomba sur l’autre joue alors que je n’avais pas encore veritablement compris ce qui venait de m’arriver.

- … et ca, c’est pour avoir hesite quand je t’ai dit de t’agenouiller ! Quand je te donne un ordre, je veux que tu l’executes sur le champ, c’est compris, espece de petit cocu minable ?

J’etais trop abruti, au propre comme au figure, completement depasse par la vulgarite des evenements, pour pouvoir reagir. Je ne sus que begayer betement :

- Ou… oui… excuse-moi…

Claudia eclata de rire derriere moi.

- Tu vois, je te l’avais bien dit : tu es trop gentille. Avec ce genre de minus, il faut savoir employer la maniere forte pour se faire respecter ! Une bonne paire de baffes, et il file doux. Allez, a ta sante, ma cherie, a la bonne soiree que nous allons passer toutes les deux… aux beaux mecs a qui on va faire tourner la tete et qui vont bien nous regaler nos petits culs !

Elles trinquerent et tremperent de conserve leurs levres trop maquillees dans le breuvage glace tandis que, rouge autant de confusion que de contusions, je m’eclipsai dans la cuisine. Pour me calmer, essayer de remettre de l’ordre dans mes pensees, j’entrepris le nettoyage a la main des sous-vetements, enfin les seuls qu’elle portasse : bas noirs et porte-jarretelles, de Carole devant l’evier.

C’est la qu’elle me rejoignit, quelque temps plus tard.

- Bien, nous y allons. Quand tu auras fini, n’oublie pas que tu as mes chemisiers a repasser, et il faudra aussi que tu t’occupes de la salle de bain : je n’ai pas vide la baignoire et il y a mes produits de beaute a ranger !
- Bien.
- Qu’est-ce-qu’il y a ? Tu ne me souhaites pas une bonne soiree ? Tu fais la tete ?
- Non, non…
- C’est a cause de la paire de baffes que je t’ai colle ? C’est ca ?!! Dommage pour toi, mais je crois qu’il va falloir t’y habituer. D’abord parce que tu l’as merite et je ne supporte pas que tu me resistes ! Ensuite parce que ca m’a fait beaucoup de bien de te la donner,…

Elle s’approcha de moi pour me parler a l’oreille. Ce qui ne presageait rien de bon…

- … figure-toi que j’avais la chatte toute mouille de t’avoir gifle comme ca. En plus, cocu et battu, ca va bien ensemble, non ?…

Sans attendre de reponse de ma part, je sentis sa main se glisser entre l’evier et mon bas-ventre pour saisir sans menagement ma queue sous mon pantalon.

- Hmmm, je vois qu’il n’y a pas que moi a qui ca a fait du bien : toi, tu fais la gueule, mais ta petite nouille, elle, elle est tres contente que tu te sois pris des tartes, elle est toute dure !

Le pire etant qu’elle avait raimister.
psub

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Posts: 54
#94
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Genial...
Brutus2

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Posts: 827
#95
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Ouaip...genial...surtout si elle commence a prendre du plaisir a infliger des souffrances physiques...quelque chose me dit qu'elle va devenir franchement cruelle...la jouissance d'une femme saine qui se fait baiser n'est-elle pas multipliee en proportion de la douleur qu'elle inflige au seul homme qui soit prive de sa chatte par principe ?
Fanatique de l'infidelite feminine
paco2244

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Posts: 2437
#96
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La reponse est contenue dans la question...
Brutus2

Member

Posts: 827
#97
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Peut-etre, tres cher, encore aimerait-on vous l'entendre detailler par le menu, sevices compris...
Fanatique de l'infidelite feminine
belettetgoupil

Member



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#98
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mon cher paco
si je peux me permettre en lisant la suite de tes aventures ,on peut se rendre compte que tu as toujours autant de talent pour comter tes aventures.mais garde ta verve sexuelle si possible et l'etrangete des sentiments: melanges d'amour de cocufiage de respect
sinon on va tous arretes de se faire cocufer!!!!!
bonne journee paco encore merci pour tes aventures
goupil
snarual

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Posts: 870
#99
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paco tu tends à rentrer dans la posterite
snarual
paco2244

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#100
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Qui a dit qu'il n'y avait pas d'amour ?
Il y a tellement de facons de dire je t'aime... Et puis, c'est plus affaire d'amour que d'amour-propre. Si Carole ne m'a jamais quitte pour un autre, et m'a jete quand je l'ai trompee, c'est qu'il devait y avoir une bonne raimister...
Brutus2

Member

Posts: 827
#101
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En effet, Paco...et quelle belle facon d'aimer ! Comment peut-on, des que soit-disant on aime, mettre sa belle en cage et se la reserver ? Et offrir sa souffrance a la jouissance de l'autre, n'est-ce pas l'amour supreme le plus raffine ? Allons...encore de beaux mots pour decrire l'evolution de ta situation, que j'espere (je n'oserais pas dire "secretement", ce ne serait pas credible) la plus atroce possible...le cocktail pinage-***...je parle de VRAIE ***...tout ce a quoi une belle femme a droit pour jouir a l'infini...
Fanatique de l'infidelite feminine
davidvincent78000

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Posts: 904
#102
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Ca tourne au cauchemar ton histoire paco!!! "You are on the highway to hell"
Brutus2

Member

Posts: 827
#103
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Aïe aïe...on peut avoir des tendances maso...mais ce silence, c'est trop dur !
Fanatique de l'infidelite feminine
davidvincent78000

Member

Posts: 904
#104
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C'est quoi ce laissez allez ??? le topic de paco en 4ème page !!! He l'artiste, tu dors ???
paco2244

Member

Posts: 2437
#105
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Hein ? Ou ? Quoi ? Qui me parle ??? Ah, c'est mon DV a moi que j'ai ! Euh..., non, non, je ne dormais pas
En fait, je suis desole (I am navred, in angliche) mais j'ai eu beaucoup de mal a rediger la suite, qui vous sera livree ce soir (demain matin au pire), et je vous expliquerai pourquoi.
Ceci dit, si je me retrouve en 4eme page, c'est peut-etre que, apres tout, mes recits n'interessent que relativement. Sinon, d'autres que toi auraient couine avant, trepignant d'impatience sur leur AZERTY !
Je ne m'en formaliserais d'ailleurs pas, si tel etait le cas, quand je vois la qualite, dans un genre proche, des productions litteraires de YANNCOCU, d'Estoril ou, mais il se fait plus (trop) rare, de Concombre. Le premier a du genie en plus de Jenny, le deuxieme meriterait amplement d'etre nomme Academichien hors Goncourt, quant au troisieme, dans mister genre, fait partie de la creme !!
estoril

Member

Posts: 1484
#106
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paco2244
Mais tes histoires restent les meilleures...
paco2244

Member

Posts: 2437
#107
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Estoril,
Je l'ai indique sur ton topic : tu decroches a cause de la connerie de, notamment, ce minable enc... de general lee. Par solidarite, ce topic aussi s'arrete et le restera tant qu'il n'y aura pas un minimum de respect et de consideration pour ceux qui, comme toi, font vivre ce forum. Fin de partie !
beurpourcouple

Member


Posts: 956
#108
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Paco.
pour info
https://www.cuckoldplace.com/16_38154_0.html

J'y suis revenu car Estoril entre autres est revenu aussi mais a part ca, ce site est completement out.

M'en vais aussi voir si l'herbe est plus verte ailleurs
Philopyge34

Anonymous

#109
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Paco, ?a fait un moment que je te lis, j'appr?cie ton style et ton humour
couple ludique

Member

Posts: 84
#110 · Edited by: couple ludique
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messieurs, allons, ne nous fachons pas !

nous nous permettons d'intervenir avec un message simple, mais salutaire sur ce genre de forum : don't feed the troll !

ce lieu est ouvert a quiconque veut bien prendre la peine de s'y inscrire, il est donc ici plus qu'ailleurs primordial de selectionner ses interlocuteurs, comme ses sujets de susceptibilite.

en d'autres termes, ne laissez pas, ne laismisters pas quelques hotus gacher la fete, ignorons les ! admettez que leur prose est regurgitee au ras des paquerettes, et qu'elle ne merite meme pas qu'on la cite.

contributeurs peu prolixes, nous n'en sommes pas moins des lecteurs / mateurs attentifs, et les topics que nous suivons, que nous attendons avec impatience, les posts qui nous accompagnent parfois dans nos jeux ne mistert pas ceux qui fachent...

ne nourrismisters pas les trolls, ils disparaitront d'eux memes.

ps : la petite croix a cote du pseudo est un bel outil moderne a l'efficacite redoutable, l'ami de notre tranquilite.
paco2244

Member

Posts: 2437
#111
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A tous,

Merci de vos messages de sympathie et d'encouragement, j'en suis tres flatte et touche. C'est grace a vous que je trouve le courage de faire ce travail pas toujours facile : entre le temps que cela reclame, les souvenirs paque ca remue et
AsdeCorps

Member

Posts: 799
#112 · Edited by: AsdeCorps
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paco2244
Totalement d'accord avec toi !
Il est plus facile de lire que d'ecrire... et parfois un peu de soutien, ca fait du bien !
paco2244

Member

Posts: 2437
#113
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Bon, j'ai appuye malencontreusement sur le mauvais bouton, donc je rekekepepete depuis le bedut :

A tous,

Merci de vos messages de sympathie et d'encouragement, j'en suis tres flatte et touche. C'est grace a vous que je trouve le courage de faire ce travail pas toujours facile : entre le temps que cela reclame, les souvenirs parfois douloureux (du fait des regrets de cette epoque benie) que ca reveille et les quelques avanies que nous font (heureusement pas sur ce topic) des individus plus qu'approximatifs, je dois parfois m'accrocher.
Cette contribution-ci en est un parfait exemple. Elle m'a demande beaucoup de boulot et je vous demande d'etre indulgents : il s'agissait de faire le recit d'un recit, transposer dans un mode litteraire facile a lire quelque chose a quoi je n'ai pas assiste mais que ma femme m'avait raconte, en faisant en sorte que ca reste vivant pour le lecteur. J'ai remis plusieurs fois le metier sur l'ouvrage, mecontent des differentes tentatives faites : le "alors elle m'a dit qu'il lui avait dit et qu'elle lui avait repondu" eut ete trop indigeste ; idem pour la seule transcription romancee de ce qu'elle m'a narre : j'ai essaye mais je n'arrivais plus, des lors, a placer les apartes qui m'etaient adresses. Je me suis donc resolu a essayer de faire le moins pire possible : meler cela comme si vous assistiez aux deux scenes en meme temps, ce qu'elle avait vecu et ce que je vivais quand elle me l'a explique. Exercice de stytle delicat, car vous verrez que, parfois, un dialogue entre elle et mister partenaire est "interrompu" par un dialogue entre elle et moi, ou la description d'une situation. J'espere toutefois que ca restera lisible et, c'est le but, agreable.
Bien sur, mais c'est ainsi depuis le debut, je ne peux garantir l'authenticite a 100 % des mots prononces, des paroles echangees : ce mistert des vieux souvenirs, et c'est encore plus complique quand il faut se rappeler de ce que quelqu'un vous a dit que quelqu'un d'autre lui avait dit. Mais l'esprit des evenements et leur deroulement mistert garantis veritables. Pour le reste, c'est ce qu'on appelle la licence litteraire accordee a l'auteur...
Derniere chose, mais ceci explique cela : excusez-moi d'avoir mis beaucoup de temps avant de continuer mon recit !


[b]Chapitre 4 : Au village, sans pretention… (2eme partie)[/b]

Bien evidemment, c’etait afin que je pratique les habituelles ablutions buccales de ses parties nobles que Carole m’avait ainsi vulgarement reveille. C’est donc a quatre pattes entre ses cuisses ouvertes, le nez enfoui dans la moiteur saline de sa chatte beante et langue a l’ouvrage, que j’eus droit a un rapport circonstancie du deroulement de sa soiree.

- Allez, Cocu, leche-moi bien. Applique-toi si tu veux que je te dise ce que j’ai fait ce soir. Tu vas voir, je suis sure que ca va te plaire !!

Voici ce qu’elle m’a raconte :

Son patron, Herv? C., attendait Carole au restaurant, un endroit tres chic et tres classe ou il ?tait un habitue connu. Des l’aperitif, ils avaient discute des nouvelles fonctions qu’il lui proposait d’exercer. L’idee lui en etait venue alerte par le changement de style de ma femme, en ayant eu l’echo de sa relation avec Olivier et apres avoir eu une discussion franche avec Martin, mister chef direct et amant episodique.

Carole ne s’etait pas trompee : ce job de relations publiques ne consistait pas en autre chose que de parader au bras du P.D.G. dans les differentes circonstances où sa presence serait jugee opportune. Il l’avait confesse sans detours :

- Vous savez aussi bien que moi, ma chere, qu’une presence feminine de charme peut etre un atout non negligeable au moment de mener des negociations delicates, qu’elle attire la sympathie bienveillante et un interet privilegie des interlocuteurs lorsque nous sommes en situation de concurrence ou, tout simplement, quand il s’agit de representer l’entreprise. Il m’a semble que vous aviez a la fois toutes les qualites et le profil ideal pour remplir ce role.
- En fait, vous me proposez tout simplement de seduire vos clients et vos relations pour faciliter vos affaires, si je ne m’use ?
- Tout à fait ! Ca vous pose un probleme ?
- Ce n’est pas tres… moral !
- Vous aimez plaire, Carole, ca se voit. Et la seduction est dans votre nature. Ne pas utiliser ces competences en vous laissant betement travailler derriere un bureau, comme n’importe laquelle de ces petites gourdes qui vous entourent, serait une erreur grossiere de ma part. Sans compter que, de votre cote, vous avez tout a y gagner : vous ferez quelque chose qui vous plait et vous serez bien mieux payee que vous ne l’etes actuellement rien, que pour ca.
- Et mes prestations de « s?duction », comme vous dites, mistert censees aller jusqu’ou ?
- C’est a dire ?
- Vous me comprenez tres bien : suis-je cense coucher avec ces hommes que vous me demandez de seduire, ou comptez-vous vous reserver ce privilege ?
- Ma chere, si je n’avais eu que l’intention de coucher avec vous, croyez bien que je n’aurais pas eu besoin de vous proposer un nouveau poste pour ca : je vous aurais simplement invitee a diner, et j’aurais tout de suite su si vous acceptiez ou non. Quant a l’autre partie de votre question, il ne m’appartient pas d’y repondre : vous etes une femme majeure, adulte et responsable. Ce que vous faites de votre corps ne regarde que vous…
- C’est d’une parfaite hypocrisie : vous savez parfaitement que ces types n’auront qu’une seule envie, me mettre dans leur lit, et qu’ils penseront que je suis la pour ca ! D’ailleurs, si je refusais, au lieu d’arranger vos affaires, cela risquerait fort d’etre tout a fait contre-productif…
- Certainement.
- Donc, soyons clairs, vous me demandez ni plus ni moins que de faire la pute pour l’entreprise !

A ce moment, Carole avait tire mes cheveux en arriere pour me faire abandonner un bref instant la tache delicieuse a laquelle je me livrais et me powerr a la regarder. Une lueur d’excitation malsaine eclairait mister regard trop brillant. Je me fis la reflexion qu’elle avait du boire plus que de raimister.

- Et tu sais ce qu’il m’a repondu ? « Absolument » ! Non mais, tu te rends compte, Cocu : non seulement il avait l’intention de me sauter, ce salaud, mais, en plus, il me proposait de me prostituer pour sa sa boite !! C’est degueulasse, non ?
- … Oui…

J’avais repondu avec une petite hesitation car je ne comprenais pas vraiment ou elle voulait en venir : en apparence, ses propos laissaient accroire que cette proposition l’avait profondement degoutee, mais mon instinct et mister attitude, avec un je-ne-sais-quoi d’ambigu, me faisaient douter qu’il faille prendre ceci pour argent comptant. Je pris une claque sur le dessus du crane.

- Allez, continue de lecher ! Et n’oublie pas mon trou du cul !

Un claquement du capot de mister briquet, le gresillement du tabac qui s’embrase, et le recit reprit.

Les yeux de Monsieur C. s’etaient rives dans les siens en formulant sa reponse. Comme pour appuyer la power pourtant bien suffisante d’un adverbe aussi ferme que peremptoire.

- Et vous croyez vraiment que je vais accepter ca ?
- Oui !

C’etait sans equivoque, affirme avec une totale certitude, comme elle me le precisa.

- Vous etes bien sur de vous ?
- Pourquoi ne le serais-je pas ? Il est evident que vous etes une femme facile, Carole. Vous avez le feu au cul, ca se voit et ca se sent. Et votre reputation de salope commence a etre serieusement etablie dans la societe. Je vous offre juste l’opportunite d’utiliser vos talents a bon escient, en les rentabilisant. D’ailleurs, je suis sur que, sous votre faux air indigne, ma proposition vous excite !
- Qu’est-ce qui vous permet de dire ca ?

Il avait alors designe du doigt l’echancrure de la veste du tailleur de Carole qui ne cachait rien du profil de mister sein.

- Les pointes de vos seins mistert dures, on dirait qu’elles vont transpercer votre chemisier tellement elles bandent ! Et je suis prêt a parier n’importe quoi que, si je mets la main entre tes cuisses, je decouvrirais que tu as la chatte trempee ! Je me trompe ?

D’un coup, vulgarement, le ton et la conversation venaient de changer de registre. Les mots crus et directs, le tutoiement soudain, l’evocation sans detours de l’etat dans laquelle il la presumait, tout cela venait de faire basculer ce qui n’etait encore qu’une relation professionnelle, certes engagee sur une pente dangereusement glissante, en un rapport tres permisternel et intime. C’etait d’autant plus troublant, m’avoua-t-elle, qu’il l’avait fait avec un naturel et une decontraction complets, comme si de se mettre soudainement a lui parler de sa chatte, a elle avec qui il n’avait jamais eu jusqu’alors que de stricts rapports professionnels, etait la chose la plus normale au monde.

Moi qui la redecouvrais chaque jour un peu mieux et un peu plus, allant de baffes en surprises et d’offenses en revelations, savais pourtant au moins une chose depuis longtemps : Carole etait incapable de ne pas reagir si on la provoquait, de ne pas relever ce qu’elle percevait comme un defi. L’avait-il compris, lui aussi ? Il faut le croire car il obtint ce qu’il voulait.

Piquee au vif, elle recula sa chaise, pivota dessus de trois-quarts pour se retrouver les jambes degagees de sous la table et la nappe, face a Herve C.

- Et bien, puisque tu es si sur de toi, tu n’as qu’a verifier !

Et, ce disant, elle ecarta les genoux largement, sa jupe remontant au-dessus de la lisiere des bas, pour laisser a des phalanges scrutatrices l’espace d’effectuer les manœuvres necessaires a la certification hydrometrique des propos de leur proprietaire.

- Tu ne devineras jamais, Cocu ! Figure-toi que ce salaud n’a meme pas profite de ce que je lui offrais ! Je lui ai donne ma chatte a toucher, et il s’est contente de me repondre qu’il n’avait pas besoin de ca pour savoir dans quel etat elle etait, que ca lui suffisait pour l’instant ! J’ai cru que j’allais lui sauter dessus et lui arracher les yeux avec mes ongles, et en meme temps ca m’a faite mouiller encore plus. C’est surement ce qu’il cherchait car il m’a dit qu’il aimait beaucoup me voir ainsi, brulante de desir, les yeux fievreux et le ventre noue par l’envie de me faire toucher et prendre…

- Ca n’en sera que meilleur quand le moment sera venu de le faire, et tu ne t’en donneras que mieux, comme une vraie petite chienne en chaleur ! En attendant, si nous reprenions une coupe de champagne pour feter notre accord ? Car, bien evidemment, tu acceptes ma proposition…

- Je crois que je n’ai jamais eu autant envie de me faire mettre qu’a ce moment-la ! Ce type me fait un effet dingue : il est sur de lui, te regarde avec des yeux… t’as l’impression qu’il est en train de te baiser rien qu’avec le regard ! … Le clito, Cocu, suce-le mieux que ca, je te sens pas… allez, aspire et leche en meme temps ! Hmmm…, oui comme ca, parfait… continue, t’arretes surtout pas…

Pour m’encourager, elle m’a plante mister talon aiguille dans le dos, au-dessous des omoplates, et l’a enfonce dans ma peau avant de lui faire decrire un arc de cercle jusqu’au creux de mes reins. Plus tard, dans la glace, j’ai pu constate qu’il avait creuse sur mister passage un sillon profond qui s’etait transforme en un bourrelet de chair meurtrie sous lequel le sang affleurait. Sur le coup, je n’avais ressenti qu’une brulure fulgurante, delicieuse, et j’avais redouble d’application a la satisfaire comme elle le meritait.

Le champagne frappe n’avait pas reussi a calmer le feu qui la devorait. D’autant moins que Herve en avait profite pour accentuer sa pression sur Carole.
- Fais-moi plaisir, retire donc cette veste de tailleur, que nous puissions tous profiter pleinement de la vue de tes nichons !

Carole m’avoua avoir eu un tres bref moment d’hesitation : ils avaient beau etre places dans un angle de la salle de restaurant, elle tournant aux trois quarts le dos aux autres convives, c’etait une chose tres differente d’exhiber ainsi, en pleine lumiere et publiquement, sa poitrine nue sous le voile translucide, que de la montrer en boite de nuit ou lors de cocktails, meme dans les decolletes les plus abyssaux et ravageurs. Cette difference n’avait peut-etre que la largeur d’une areole, l’epaisseur et la couleur d’un teton, mais c’est habituellement celle qui pose la limite entre la plus extreme provocation et la pure et simple indecence. Limite qu’il lui demandait de franchir allegrement. Elle ne se deroba pourtant pas et ota le dernier rempart qui faisait que sa tenue etait, si peu que ce fut, encore socialement convenable.

- J’avais l’impression que tout le monde me regardait et ca me faisait encore plus couler ! T’aurais vu la tronche du garcon quand il est venu nous apporter l’entree, j’ai cru qu’il allait foutre les assiettes par terre ! J’avais jamais ose me montrer a ce point, mais putain, qu’est ce que c’est excitant ! Presque autant que de se faire bouffer la moule par mister cocu de mari apres qu’une grosse bite bien raide l’ait bourree !! Car, comme tu t’en doutes, j’ai quand meme fini par avoir ce que je voulais, meme si ca ne s’est pas passe exactement comme je le pensais…

Le repas s’etait poursuivi ainsi, Carole les seins offerts et mister entrecuisses inondant le velours de mister siege, meme a travers le tissu de sa jupe tant, a ses dires, elle etait excitee comme une folle de s’exhiber si outrageusement. Ils avaient devise de ses nouvelles conditions de travail qui comprendraient, outre une substantielle augmentation de ses emoluments mensuels et un interessement aux resultats directs de ses prestations, la mise a disposition d’un bureau particulier a l’etage directorial, d’une voiture de fonction et la prise en charge de ses frais de representation. Elle fit la remarque a Herve que cette fulgurante ascension allait dechainer les jalousies aupres de ses autres collegues, et qu’on n’allait pas se priver de gloser sur la facon dont elle avait gravi aussi promptement les barreaux de l’echelle sociale interne de la societe.

- Bien sur qu’on ne se privera pas de dire partout que tu as couche avec moi pour reussir. Ce qui, en un sens, est tres amusant puisque tu viens d’obtenir ce poste alors que tu ne m’as, pour l’instant, offert que le ravissant spectacle de tes nichons. Mais, d’un autre cote, ca n’etonnera pas grand monde : entre tes tenues sexy, ton aventure avec l’informaticien et le fait que tu sois la maitresse de Martin, plus grand monde n’a de doute sur ta legerete ! J’imagine que ca ne t’a pas echappe ?

- Pas du tout ! Ils peuvent bien penser et dire ce qu’ils veulent, je n’en ai rien a foutre.

- Tant mieux, parce que je n’ai pas l’intention, de mon cote, de cacher notre relation. A ce propos, j’espere que le fait que tu sois marie ne posera pas de difficultes, parce que j’attends de toi une tres grande disponibilite, notamment le soir mais egalement, si c’est necessaire, pendant les week-ends et, parfois, pour des deplacements qui pourront durer plusieurs jours.

- Aucun probleme : je fais ce que je veux.

- Donc, il ne risque pas de s’y opposer…

- La, inutile de te dire, mon pauvre Cocu, que je n’ai pu m’empecher d’eclater de rire ! T’imaginer en train de vouloir m’empecher de sortir, c’etait vraiment trop dr?le. Mon hilarite a un peu surpris Herve, donc j’ai ete oblige de lui expliquer la situation : que ca te plaisait que je me fasse sauter par d’autres, que, de toutes facons, tu n’arrivais pas a me faire jouir correctement, a part avec ta langue, et que donc je beneficiais d’une liberte totale. Ca l’a beaucoup amuse : il m’a meme demande plein de details !… Eh, dis donc, connard, qui est-ce qui t’a dit d’arreter de me lecher ?

Sous le coup de l’emotion d’apprendre qu’elle avait confie ce que je croyais etre un secret soigneusement garde entre nous deux, j’avais cesse mon activite buccale. Sous le coup de la calotte que je venais de me prendre sur le dessus du cr?ne, je balbutiai un « Excuse-moi » et me remis a l’ouvrage. Le cœur battant la chamade par l’angoisse d’entendre la suite de ce qu’elle avait bien pu lui dire.

- … C’est mieux ! Incroyable que je sois obligee de te rappeler a l’ordre pour un truc aussi bete : je te dis quelque chose et tu te distrais… Decidement, Claudia a raimister : tu as besoin d’etre dresse, il va falloir que je me montre beaucoup plus severe avec toi… Je disais donc qu’Herve m’a demande plein de details sur nos rapports, et j’ai fini par lui dire que j’etais en train de faire ton education de cocu docile et soumis. Ca a eu l’air de beaucoup l’interesser : il a deja eu l’occasion d’entretenir une liaimister avec une femme soumise, mais un homme soumis, il n’a jamais connu. Je lui ai dit que nous n’en etions qu’au debut de ce type de relation, mais que ca me plaisait beaucoup de te dominer, particulièrement de t’humilier, que ca m’excitait enormement. En fait, de fil en aiguille, et puisqu’il etait vraiment curieux de savoir comment ca se passait, je lui ai propose de venir diner samedi prochain, et que ce serait toi qui ferait le service !

C’est toujours assez desagreable de se prendre le plafond sur la tete quand on est occupe a faire quelque chose d’important et qu’on ne s’y attend pas. Heureusement que j’etais a quatre pattes, sinon je crois que je serais tombe de toute ma - modeste – hauteur tant j’en eus le souflle et les jambes coupees. J’avais l’impression d’avoir ete litteralement viole par cette revelation faite a autrui.

- Ne fais pas ces yeux ronds, tu as l’air surpris ?

Je crus bon alors d’emettre un avis explicatif. Une sorte de simili contestation de mister choix pour le moins hasadeux a mon sens, et que je n’appreciais guere.

- C’est que… enfin, je pensais que… que ca resterait entre nous…

Elle balaya mon embryon de contestation d’un revers de main negligent.

- Qui t’as demande de penser ? Tu es la pour faire ce que je te dis de faire, pas pour penser et encore moins pour donner ton avis. Moi, je trouve tres plaisante l’idee que tu fasses le service pour ta femme et un de ses amants. Et puis, si moi j’assume ma reputation de salope, il est largement temps de s’occuper de la tienne de cocu, que tout le monde puisse mettre un visage sur le nom de celui qui laisse si gentiment a d’autres le plaisir de sauter sa femme. Tant qu’a faire qu’on se foute de ta gueule, au moins qu’on la connaisse, non ??…

Elle prit le temps de me gratifier d’un rire moqueur avant de saisir mon menton entre mister pouce et mister index replie, pour m’obliger a la regarder.

- En plus, je n’ai rien a cacher a Herve et ca va nous simplifier l’existence a tous les trois : tu sais bien que je vais passer beaucoup plus de temps avec lui qu’avec toi, qu’il aura surement besoin de pouvoir me joindre meme quand je ne serai pas au bureau – pour memoire, les telephones portables etaient encore des objets peu usuels, tres encombrants et guere performants au milieu des annees 90 – et donc de m’appeler ici, et je ne me vois pas lui raconter des bobards alors qu’il me fait confiance et que je lui dois beaucoup avec cette promotion inattendue. Mais la raimister essentielle pour laquelle je lui ai confie ca, la seule qui doit avoir un sens pour toi et vaille toutes les explications du monde, c’est que je l’ai decide. Et ce que je decide ne se discute pas ! N’est-ce pas ?
- … N… non, tu as raimister…
- C’est bien comme ca que je l’entends, et que j’aime te l’entendre dire… Ah, au fait, en parlant de me dire les choses, je souhaiterais que dorenavant tu me vouvoies et que tu m’appelles Maitresse. Je trouve que c’est plus conforme a ce que je suis pour toi : ta Maitresse, avec une majuscule, et la maitresse des hommes qui mistert mes amants, tu saisis la difference ?
- Oui… Maitresse…
- Bien ! Bien evidemment, tu m’appelleras toujours ainsi, sauf si tu en recois l’ordre expres, et ce quelles que soient les permisternes presentes et l’endroit ou nous nous trouvions. Il appartient a moi, et moi seule, de decider si je peux tolerer, compte tenu des circonstances, que tu procedes autrement. Ceci est egalement valable pour le tutoiement.
- Bien, Maitresse.
- Allez, recommence a me bouffer la chatte, je veux jouir sur ta petite gueu
paco2244

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#114
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Decidement, avec cette contribution, rien ne me sera epargne : voila que les dernieres phrases ont aussi saute !! Bon, les voila quand meme :

- Allez, recommence a me bouffer la chatte, je veux jouir sur ta petite gueule de cocu avant d’aller me reposer. Et depeche-toi de me faire jouir, je suis fatiguee : il est presque six heures du matin, Herve et mister chauffeur m’ont baisee une partie de la nuit et te raconter tout ca m’a epuisee !
- A vos ordres, Maitresse.

Elle a pousse un long soupir de satisfaction avant d’allumer une enieme cigarette et de me glisser, en rejetant la fumee :

- Hummmm, j’adore entendre ces mots-la !

J’ai ete tres fier de moi et ai redouble de ferveur et d’application pour lui donner du plaisir.

A suivre
Brutus2

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#115
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Merci d'etre revenu et bravo pour ce morceau de bravoure, Paco ! C'est superbe, tant le fond que la forme...meme si je ne peux que betement te le repeter...encooore !
Fanatique de l'infidelite feminine
YANNCOCU

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#116
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PACO, j ai crains un moment que tu ne succombes a mon syndrome, tu sais celui qui faisait que je ne me lancais pas a ecrire ici de peur d etre confronte a quelques GROS CONS..
Meme si je ne partage pas tous tes fantasmes, j apprends a te lire....
Et je te remercie d etre la....
Il me semble que ce n est plus le cas d estoril pour le moment et c est regretable.....
Peut etre que l envie lui manque car comme tu le dis cela prend du temps, de l energie a concevoir de tels topics et que l on partage ou pas ce qu ils montrent n autorise permisterne a leur manquer de respect...
Quand je realise qu il me reste deux annees de souvenirs a relater avant d en arriver a ce que je vis aujourd hui les bras m en tombent.....
Je ne polue pas davantage ton topic et attend la suite de tes aventures....
AH, une derniere chose , je ne partage pas vraiment ton analyse sur les raimisters qui vous ont separes, ton epouse et toi..Mais j attends de te lire encore, d en savoir plus pour me faire un avis definitif et te le soumettre si tu le veux bien.....
paco2244

Member

Posts: 2437
#117
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YANNCOCU

Tu ne pollues pas du tout mon topic, tout au contraire : si j'ecris, c'est pour des lecteurs comme toi, qui apprecient ou mistert interpelles, deranges parfois meme, par ce que je raconte. Qui le disent, s'emeuvent, commentent, critiquent, car c'est grace a cela que l'on peut surmonter ce qu'il faut bien appeler, meme face a un ecran, le vertige de la page blanche.
Tes reactions m'interessent au plus haut point car elles proviennent, manifestement et tes propos le demontrent, d'une permisterne ouverte, tolerante et intelligente. Ce qui ne fait que me confirmer ce que je croyais avoir devine depuis un bon bout de temps : ces choses que nous vivons (ou avons vecu), ces fantasmes qui nous font vibrer, ces passions qui nous attisent (et parfois nous brulent) ne peuvent etre le fait d'etres pour lesquels la sexualite n'est qu'un instinct a assouvir, une pulsion naturale brute. Il y faut un supplement d'ame, un minimum de sensibilite et ce qu'il faut bien nommer un peu d'intelligence. Ce qui, d'emblee, en interdit l'acces autrement que par l'incomprehension qui genere la moquerie et l'insulte aux gros cons que tu mentionnais.
J'ai hate, dois-je le reconnaitre ?, et meme si tu risques de me faire vulgarement decouvrir quelques choses auxquelles je n'avais pas pense, de savoir quelle est ton analyse sur les raimisters de notre separation.

Brutus2

Merci de tes remerciements. Tu as l'air de craindre de te repeter, mais ces encouragements me mistert precieux et m'aident beaucoup.
snarual

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Posts: 870
#118
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PACO tu vas rentrer de ton vivant aux editions de la Pleiade
magique ton recit
snarual
YANNCOCU

Member

Posts: 331
#119
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Je prefererais continuer a y reflechir encore, des elements du puzzle manquent et je n y etais pas, c est toi qui sait , toi qui a vecu ca, qui mieux que toi peut en faire l analyse..
Cependant certaines choses interpellent, il te semble evident que sa reaction est une preuve d amour: tu as trompe sa confiance, rompu votre pacte de couple et de fait elle cesse votre relation, desire ne plus te voir, comme cela, d un seul coup d un seul....
De l exterieur, on a du mal a y voir une preuve d amour justement. Ce que je percois, comme cela vulgarement, mais c est sous toute reserve car peut etre fortement influence par ma propre sensibilite, c est que le genre de relation que vous sembliez avoir, non plus dans des jeux ponctuels mais quasiment comme un style de vie, entraine chez le dominant un sentiment de toute puissance et reduit le domine au role d objet....C est certainement passionnant a vivre sur l instant, cela construit une forte complicite entre les deux, mais a terme, me semble t il, s il n y a pas des moments ou les choses s equilibrent, reviennent a la "normale" ( et ca je nen sais rien tu nen parles apparement pas dans tes recits), le risque est que le domine soit jete comme l on se debarasse d un objet une fois qu on en a fait le tour....
Tout ceci dit avec des pincettes car a ce niveau c est de la psycho de bas etages.....
Mais s il y a de ca, c est la aussi le prix a payer...
davidvincent78000

Member

Posts: 904
#120 
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Yes, toujours aussi plaisant à lire... une fois de plus bravo.
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Ma life : retour en enfer avec visite guidee
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