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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#241
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- Pas encore les gars, elle doit d'abord faire du ménage! .....

Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres.

Je commençais les ménage, ignorant les mains fouineuses qui exploraient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.

Je faisais de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquais cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme.

Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regardant.

La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençais à la ranger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :

- J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouilleras pour lui offrir un bon pourboire..... Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre! .... Des questions salope? .....

- Non-maître...

Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon......

Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maimister! ....

Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je posais sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandais s'il voulait que je lui taille une pipe comme pourboire

Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux.

Finalement je posais mon bras autour de mister cou et l'embrassais en lui susurrant que je le suppliais de me laisser faire.

Il hocha la tête et reconnaissante je me laissais tomber à genoux et baissais mister short et mister caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement.

Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake.

J'embrassais et léchais pendant un bon moment mister appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant mister gland mafflu dans mon arrière-gorge.

Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance.

Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensais qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grognait sourdement et 3 ou 4 minutes plus tard il m'injectait des flots de foutre dans l'arrière-gorge.

Je nettoyais obligeamment sa bite avant de remonter mister caleçon et mister short, alors que je rebouclais sa ceinture, il me remercia :

- Mon Dieu, grand merci madame Andermister, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu! .....

Je levais les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions! ...

Je ne pouvais m'empêcher à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.

Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée.

Certain qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'attendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs copains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.

Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après minuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur boulot.

Enfin il ne resta plus que Snake et moi.

Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maimister au lendemain matin.

Je me lavais minutieusement et le rejoignais dans mister lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus.

Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'endormit.

J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormais comme un bébé! .....

Je me réveillais vers midi, Snake ronflait encore aussi me levais-je précautionneusement pour gagner la salle de bain.

Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement.

Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyais la salle de bain. Elle était dégueulasse.

Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillais pour le décrasser rapidement.

Puis, je passais à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table.

Je me demandais si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle.

Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.

J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.

chrislebo

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#242
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chapitre 7 :



Le reste de la semaine je suis revenue à la routine : j'arrivais le matin, suçais sa bite, il allait se coucher et je faisais le ménage.

Mais je commençais à remarquer que lui sucer la bite commençait à avoir un notable retentissement sur moi.

Je retournais chez moi après avoir nettoyé sa maimister, prenais une dou-che et restais nue.

Je faisais une partie de mon ménage entièrement nue puis j'allais regar-der les photos que Snake m'avait fait parvenir.

Tout en regardant les photos je me caressais lascivement, j'avais besoin de jouir!

Mais ce vendredi arriva quelque chose d'inattendu.

Au début la journée commença comme tous les autres jours, mais une fois que je lui ai taillé sa pipe matinale et nettoyé consciencieusement sa queue, Snake m'interpella :

- Je veux que tu viennes demain... Dès que ton mari partira pour Atlanta!

Il me sembla que ma mâchoire se décrochait.

Comment le savait-il?

Comment pouvait-il bien l'avoir appris?

Je n'en avais pas dit un mot!

Et ce n'était sûrement pas Jay qui l'avait renseigné!

Snake explosa de rire et ajouta :

- Ferme ta bouche chérie, t'as l'air stupide, on dirait une carpe!

- Com... Comment... Comment le sais-tu?

- Ce n'est pas ton problème petite chienne! ... Et maintenant mets-toi au boulot!

- Oui maître!

- Et au fait, lorsque tu viendras demain matin apporte tes tenues de pute et ta brosse à dents! .. Tu séjourneras chez moi un bon mo-ment!

Oh mon Dieu! Pensais-je éperdue, ce ne peut pas être vrai.

Je réagissais en mon fort intérieur, mais je ne pensais pas, absolument pas à protester.

J'avais atteint le point où je ne pouvais plus marchander avec Snake, je ne pouvais plus qu'accepter ses dictats.

Mais une semaine chez lui.....

Sans pouvoir retourner chez moi le soir! ....

Mon cœur battait la chamade à cette idée!

J'étais totalement paniquée, désespérée, sans défense aucune.

Je savais que de toute manière je n'avais pas le choix.

Je me retrouvais devant la porte, toute habillée, je ne me rappelais même pas que je venais de faire le ménage.

Je me ruais dans ma voiture et démarrais sur les chapeaux de roues.

Je rentrais chez moi, me déshabillais et commençait mon ménage dans cette tenue.

Je me versais un verre du vin m'assis cherchant à me décontracter.

J'essayais d'imaginer à quoi il ressemblerait cette période où je serai to-talement sous le de ce monstre 24 heures sur 24 heures, et ce pendant huit jours.

Je n'y parvenais pas, ou je m'y refusais.

Les images qui me venaient en tête m'étaient insupportables.

Je bus mon vin et me postais devant mon ordinateur.

Il y avait encore plus de photos envoyées par Snake, et même un court clip.

Je regardais plusieurs fois le clip puis je m'intéressais aux photos, puis je visionnais à nouveau le petit film à plusieurs reprises.

Tandis que je le regardais, je promenais mon doigt de bas en haut dans ma fentine, je constatais à ma grande surprise que ma chatoune était détrempée.

Je me ruais dans la salle de bain pour y prendre une serviette pour net-toyer ma chaise.

Puis j'étendais la serviette sur mon siège et m'assis dessus.

Et je repris mes caresses

Oh mon Dieu quel genre de femme étais-je devenue?

Je finis par éteindre l'ordinateur je m'essuyais la chagatte avec la ser-viette que je balançais ensuite dans la lingerie.

Je sortis alors la valise de mon mari et entrepris de préparer ses baga-ges.

Je posais la valise près de la porte du garage, puis je préparais le sou-per.

Je ne parvenais pas à enlever mes mains du corps de Jay lorsqu'il rentra à la maimister.

Je le touchais constamment, l'embrassais, posais ma main sur ses épau-les, j'avais du mal à me rappeler que je devais être forte et de ne pas pleurer.

Après le souper nous avons regardé les informations, puis lut un chapitre de la bible, nous avons fait nos prières et nous sommes allés nous cou-cher.

Nous avons fait l'amour très tendrement.

Ce fut très doux et bien fait, mais je n'eus pas d'orgasme.

Jay me dit que je n'avais nul besoin de me lever tôt le lendemain pour l'emmener à mister avion, une limousine viendrait le prendre à domicile de façon à ce que je n'aie pas à assurer le transport jusqu'à l'aéroport.

Je l'entendis cependant se préparer au petit matin, je me levais pour m'assurer qu'il n'oubliait rien et l'embrassais pour lui dire au revoir.

La limousine l'emporta et je préparais mon baise en ville, mes fringues de pute ne prenaient pas excessivement de place, je les bourrais dan mon sac, à l'exception de la jupe et du haut que je devais porter ce ma-tin. J'y déposais aussi ma brosse à dents, mon déodorant et un tube de rouge à lèvres.

Puis je balançais le sac sur le siège passager et je me rendais à la mai-mister de Snake.

Je me déshabillais dans l'entrée.

Snake m'avait entendu, il m'appela de sa chambre.

- Je vais faire un petit somme, fais le ménage et assure-toi que l'ar-rière court est propre... J'y organise un barbecue tout à l'heure et enfile ça!

Il prit dans sa table de nuit et me la lança.

C'était un collier clouté de chienne il était inscrit en grand "SALOPE" sur la plaque chromée.

Je sortais à reculons de la chambre, me disant que je l'enfilerais dans la salle de bain en me regardant dans le miroir.

Snake m'arrêta, il voulait voir ce que cela donnait.

Je plaçais le collier autour de mon cou et le bouclais. , il me fit tourner sur moi-même, il m'imposa de placer la plaque sous mon menton, une fois satisfait, il me conseilla de bouger mon gros cul et de me mettre au boulot, et il se retourna pour dormir.

Je gagnais la salle de bain pour me regarder dans le miroir. J'aurais du me sentir humiliée, furieuse, dégradée mais, aussi étrange que cela puise paraître, je pensais seulement que cela me rendait très excitante!

Je n'aurai pas voulu qu'on me voie le porter, mais j'aimais bien le porter!

Je nettoyais la maimister, m'habillais et sortis pour ranger l'arrière cour.

Je rangeais la tondeuse à gazon dans le hangar et vidais les cendres du grill à barbecue et le remplit de briquettes de charbon de bois que je trouvais dans un sac en carton.

Je rentrais dans la maimister, me déshabillais et regardais ce qui se trou-vait dans le réfrigérateur.

Je vis plusieurs paquets de bœuf et de charcuterie, je les sortis et prépa-rait un grand plat de charcuterie.

Je hachais quelques oignons. Je fis tout ce que je pus pour préparer le repas.

Tout au début de l'après-midi Le couple qui nous avait rendu visite le jour de la blanchisserie se pointa.

Apparemment elle était sensée superviser les préparatifs, je lui montrais ce que j'avais préparé, elle sembla satisfaite. Elle se tourna vers moi et me félicita :

- T'as fait du bon boulot, merci! ... Il te reste une chose à faire, viens avec moi!

Elle m'entraîna au salon s'assit et écarta les cuisses en grand et me sou-rit.

Je tombais à genoux entre ses jambes et commençais à l'embrasser.

Je débutais par ses genoux et remontais le long de ses cuisses, je re-troussais le bas de sa jupe et continuais mon chemin.

Elle se redressa et remonta sa jupe me livrant à large accès à mister intimi-té.

Elle portait un minuscule thong qui ne couvrait guère que mister clito et les lèvres de sa chatoune.

J'embrassais et léchais tout ce qui débordait de la mince bande noire d'étoffe.

Alors que je l'embrassais et la léchais avidement je sentais sa chatte s'inonder de cyprine, je soufflais doucement sur sa fentine.

Je savourais avec bonheur le goût salé de sa cramouille embrasée.

Elle gémissait et se tortillait pressant sa moule contre mes lèvres alors que j'écartais la bande formant le fond de mister string, toute surprise je ré-alisais que j'adorais ce que je faisais!

Lui donner autant de plaisir m'excitait comme une folle!

Je continuais à la lécher et la sucer tandis qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que, épuisée, elle repousse gentiment ma tête.

Alors que je me redressais j'entendis une voix mâle au-dessus de moi rectifier :

- Elle t'a menti, en fait, tu as deux choses à faire!

Il me releva et me courba au-dessus de la chaise sur laquelle il était as-sis, je le sentis enfourner sa mentule dans ma chatoune, je lui fis bon accueil!

J'étais prête!

Il me baisait âprement lorsque je sentis la femme qui s'était postée à nos cotés pincer sévèrement mes tétons et les étirer.

Un moment donné elle étirait mon mamelon de plus de 2 cm lorsqu'elle confia à mon suborneur :

- Bordel, c'est une honte que Snake ne veuille pas qu'on lui pose des anneaux, ce serait parfait!

Je me mis à jouir copieusement en l'entendant dire cela, les contractions de mes sphincters génitaux trayaient la bite de mon "amant" qui ne tarda pas à coïter à mister tour.

Je me redressais alors et lui nettoyais consciencieusement la bite en pe-tite ménagère dévouée.

- Merde alors! ..... Je suis à nouveau excitée comme un poux après vous avoir regardé copuler! .... S'exclama la femme

chrislebo

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#243
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- Ce sera pour plus tard! ..... Allez ma fille viens t'occuper du grill.

Je me levais et me préparais à remettre mes vêtements

- Laisse ça, tu n'en as nul besoin... allons-y! .....

Pourquoi étais-je la seule qui n'avait jamais besoin d'être vêtue?

Nous sommes sortis et je me contentais de regarder tandis qu'elle s'oc-cupait de préparer le grill.

Puis nous sommes rentrés pour déménager quelques tables et préparer la table d'hôte à l'extérieur.

Lorsque nous sommes rentrés dans la maimister Snake était levé et buvait déjà de la bière.

Je suivais docilement la femme et l'aidais à transporter le matériel né-cessaire au barbecue.

Le mieux c'est que bien que je me sois fait baiser ou avais eu des rap-ports sexuels avec tant d'amis et de connaissance de Snake, je ne connaissais que les noms de Snake, Mickey, Larry et Lisa, alors que tous ces gens m'appelaient "chienne" quand ils s'adressaient à moi.

Bientôt les invités commencèrent à arriver, surtout des motards.

On m'avait dit de disposer quelques glacières ça et là, ils furent remplis avec la bière et la glace.

Je n'irai pas jusqu'à dire que je me sentais bien entièrement nue au cœur de cette foule, mais j'en avais maintenant pris l'habitude.

Pour l'instant, la plupart du temps des gens m'ignoraient lorsque je pas-sais à leur portée, ils buvaient en plaisantant lourdement, il y avait sur-tout des hommes.

Lorsque l'obscurité commença à tomber, j'estimais qu'il y avait environ 25 hommes et peut être 5 ou 6 femmes.

Il n'y avait pas grand différence entre les hommes et les femmes, nom-bre de ces hommes avaient les cheveux aussi longs que des femmes!

Les femmes plaisantaient et riaient aussi forts que des hommes, per-misterne ne commentait le fait que je sois nue au milieu d'eux!

J'allais ouvrir une nouvelle cannette de bière lorsque Snake m'appela, il pointa mister doigt sur un groupe de ses amis assis autour d'une table de bois massif au milieu de l'arrière-cour.

Il me dit qu'il n'y avait pas de musique pendant cette fête parce qu'à cha-que fois elle avait été trop forte ce qui avait déclenché l'arrivée des flics, cependant ses copains adoraient la danse, aussi devais-je monter sur leur table et danser pour eux pendant un bon moment.

Je vis que tout le monde me regardait épiant ma réaction, j'avais l'im-pression qu'ils espéraient que j'allais me cabrer, mais je n'étais pas stupide, je ne savais pas comment j'allais m'y prendre mais de toute ma-nière je ne refuserais pas, ni même protesterais, j'en connaissais le ris-que.

Lorsque j'approchais de leur table, deux des invités m'aidèrent à grimper dessus, ils explorèrent en détail mon corps ce faisant.

Je commençais à fredonner un air de danse dans ma tête sur lequel je cherchais à danser.

Je n'avais aucune expérience de danseuse nue, aussi cela me parais-sait-il difficile de m'exécuter, mais permisterne ne se plaignait de ma per-formance.

Une grappe de spectateurs approchèrent leurs chaises et me regardè-rent évoluer pendant un bon moment.

La soirée se faisait longue, cela faisait une bonne heure que je dansais et j'étais épuisée, la plupart des femmes étaient parties, je n'en voyais plus que deux autour de la table.

Lise et la femme que j'avais aidée à préparer la nourriture, je remarquais 4 hommes qui sortaient un banc du patio.

Je supposais que la table sur laquelle je dansais provenait de la seconde chambre qui était toujours fermée à clef.

Ils posèrent le banc vers le banc tout près de moi et me saisirent pour m'aider à descendre de la table.

Je leur en fus reconnaissante jusqu'à l'instant où je compris pourquoi ils m'avaient descendue.

Je fus immédiatement disposée à plat dos sur le banc.

Une sangle m'entourait la taille me rivant au banc, mon collier fut attaché à des anneaux de chaque coté du banc.

Mes jambes et mes bras étaient fruits, mais je ne pouvais pas bouger.

Pendant qu'on m'installait sur le banc, un des motards avait amené un écran télé et un magnétoscope qui permettait à tous de visionner les images de mon premier viol.

Il me montrait pleurant en me déshabillant, puis suçant la bite de Snake tout en me masturbant puis enfin ma première séance de baise sur le plancher souillé du salon.

Dès le début du film les hommes s'approchèrent du banc me baisant au passage.

D'abord un de temps en temps, ils se servaient de moi comme d'une ma-trice tout en regardant le film.

Parfois l'un d'eux ne voulait pas attendre qu'un autre en ait terminé, il m'enfournait alors sa bite en bouche.

Après une première série de baisouillage, une des femmes vint m'es-suyer avec une serviette humide.

Mais déjà un autre amateur me grimpait et giclait profondément enfoncé dans ma chatoune dégorgeant de foutre.

Quelques-uns uns me levèrent les jambes repoussant mes genoux à hauteur de mon estomac et m'enculèrent sauvagement, mais la plupart d'entre eux me prirent en chatte.

Apparemment les 25 mâles me baisèrent au moins une fois, j'en recon-nus plusieurs qui me possédèrent à deux reprises.

Je commençais à avoir vraiment mal, mais quelque temps plus tard, la séance reprit, j'étais toute engourdie, je ne prêtais aucune attention à ce qui se passait autour de moi.

Je remarquais cependant qu'ils avaient changé de DVD et que celui ci montrait le gang-bang que j'avais subi au sex-shop, puis Larry m'encu-lant sauvagement dans l'arrière salle Snake et Mickey l'imitant dans la foulée alors que je gisais inconsciente.

Cette nuit n'en finissait plus, peu à peu les gars partirent où s'évanoui-rent dans la nature, je demeurais allongée à plat dos sur le banc toute la nuit.

Quelques gars allèrent pisser su fond de l'arrière cour, ils en profitèrent pour me baiser à couilles rabattues avant de se recoucher.

On ne me libéra que vers 7 heures, j'étais couverte de foutre, des flots de semence s'écoulaient le long de mes cuisses, le sperme avait formé des croûtes blanchâtres en séchant sur mes nibards et mon bas ventre, mes cheveux étaient poisseux.

Snake m'ordonna de ne pas bouger, il se rua dans le hangar et en revint avec un tuyau d'arrosage il l'accrocha à un anneau et ouvrit la vanne une fois qu'il m'eut postée devant la clôture.

Puis il nettoya au jet le plus gros des salissures qui souillaient mon corps, mes cheveux étaient toujours couverts de foutre et il restait quelques tache de foutre séché ça et là sur mon corps et mon visage.

Une fois satisfait, il m'intima de me sécher avant de rentrer prendre une douche.

Je me plaçais dans les rayons de soleil et me servis de mes mains pour essorer un peu d'eau, il commençait à faire chaud et je fus sèche en un rien de temps.

Je me précipitais sous la douche, en chemin je fus surprise de voir qu'il restait encore de nombreuses permisternes, surprise et consternée.

Ma chagatte était si douloureuse que marcher me faisait souffrir, je crois que je ne pourrais pas supporter de nouveaux abus.

Finalement j'entendis prononcer le nom de la jeune bon chic bon genre à qui j'avais brouté le gazon.

Elle s'appelait Beth, je n'osais pas l'appeler par mister nom pour autant. De peur de provoquer la fureur de Snake je n'appelais permisterne par leur nom, c'était plus sûr.

Beth me rejoignit dans la salle de bain alors que je me séchais et elle me mena à la chambre de Snake. Elle me dit de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand.

Je lui obéis promptement sans une plainte, je ne savais pas ce qu'elle avait l'intention de me faire mais j'étais si endolorie que je priais pour qu'elle épargne ma chatoune.

Mais elle ne m'avait pas emmené dans la chambre pour avoir des rap-ports sexuels, en fait, elle se saisit d'un pot d'onguent, je ne sais pas ce dont il s'agissait, le pot ne comportait aucune étiquette.

Elle commença à étaler la crème sur et dans ma cramouille, puis sur et dans mon anus, la pommade s'avéra rafraîchissante et calmante.

Tandis qu'elle étalait le baume, elle me sourit et me parla gentiment comme à une permisterne.

- Rude nuit ma fille! ..... Me demanda-t-elle.

- Oh oui madame... Lui répondis-je reconnaissante de m'adresser si aimablement la parole.

- Appelle-moi Beth..... me dit-elle.

- Je veux te faciliter les choses pour le reste de la journée! .... J'ai discuté avec Snake et je lui ai dit que tu avais besoin de quelques heures pour récupérer... Ce n'est pas terminé, il reste une bonne vingtaine de mecs dans la maimister et ils seront là, la plus grande partie de la journée et probablement ce soir jusque minuit.....

- Je pense qu'à la nuit tombée Snake te fera baiser par ses copains et que tu devras les sucer tour à tour! ..... Il adore se montrer un excellent hôte! ..... Mais les choses risquent de dégénérer au cours de la nuit...

- Je sais que cela fait très mal! ..... Beaucoup d'entre eux adoreront te faire souffrir! .... A mon avis t'as vraiment choisi le mauvais gars avec qui t'accoupler si tu veux mon avis! ....

- Rappelle-toi surtout que quoi qu'on te fasse, tu ne dois jamais tu ne devras jamais le décevoir! .....

- Je ne l'ai pas choisi, il me fait chanter, je suis une femme mariée et heureuse en mariage, une fidèle paroissienne.

Je ne savais même pas que ce qu'il m'a fait endurer puisse exister avant qu'il ne me power à subir des choses dégradantes.

Cela sembla déstabiliser encore un peu plus Beth, elle répliqua :

- Eh merde alors..... Chérie, tu as intérêt à t'appliquer..... Il a déjà fait chanter d'autres filles auparavant..... Il cherche à les briser..... Il les pousse à bout et si elle refuse de faire quoi que ce soit, il leur réserve un sort abominable... Certaines de ces filles..... Bon, écoute-moi bien, tu dois toujours te rappeler de ne jamais refuser quoi que ce soit! .....

J'ai toujours eu peur de Snake, mais cette fois je paniquais, oh mon Dieu, que pourrais-je bien faire pour me sortir de cette galère? ....

Je n'avais pas le choix, je devais lui obéir en tout! .....

Beth referma le pot de crème, étendit un drap sur moi et se leva, elle m'embrassa gentiment sur le front et sortit de la chambre en refermant la porte, elle avait un regard apeuré en me regardant.

Je me débrouillais pour dormir un peu et je me réveillais vers 20 heures lorsque Snake pénétra dans la chambre, visiblement il avait bu mais il semblait encore se contrôler.

Il me fit lever et me roula un patin, mister haleine puait l'alcool et le tabac, c'était dégoûtant, mais il était plus prudent d'accepter docilement ses baisers.

Je l'embrassais en retour en repensant à ce que m'avait dit Beth un peu plus tôt.

Il me poussa hors de la chambre et nous sommes entrés dans le salon, il ne restait plus qu'une douzaine de mâles qui entouraient Beth.

Ils regardaient la télé se réjouissant de mes tourments, ils sourirent en me voyant entrer dans la salle Snake leur dit alors :

- Pas encore les gars, elle doit d'abord faire du ménage! .....
chrislebo

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Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres.

Je commençais les ménage, ignorant les mains fouineuses qui explo-raient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.

Je faisais de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquais cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme.

Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regar-dant.

La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençais à la ran-ger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :

- J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouille-ras pour lui offrir un bon pourboire..... Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre! .... Des questions salope? .....

- Non-maître...

Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon......

Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maimister! ....

Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je po-sais sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandais s'il voulait que je lui taille une pipe comme pourboire

Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux.

Finalement je posais mon bras autour de mister cou et l'embrassais en lui susurrant que je le suppliais de me laisser faire.

Il hocha la tête et reconnaissante je me laissais tomber à genoux et baissais mister short et mister caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement.

Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake.

J'embrassais et léchais pendant un bon moment mister appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant mister gland mafflu dans mon arrière-gorge.

Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance.

Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensais qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grognait sourdement et 3 ou 4 minu-tes plus tard il m'injectait des flots de foutre dans l'arrière-gorge.

Je nettoyais obligeamment sa bite avant de remonter mister caleçon et mister short, alors que je rebouclais sa ceinture, il me remercia :

- Mon Dieu, grand merci madame Andermister, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu! .....

Je levais les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions! ...

Je ne pouvais m'empêcher à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.

Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée.

Certain qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'at-tendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs co-pains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.

Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après mi-nuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur bou-lot.

Enfin il ne resta plus que Snake et moi.

Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maimister au lendemain matin.

Je me lavais minutieusement et le rejoignais dans mister lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus.

Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'en-dormit.

J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormais comme un bébé! .....

Je me réveillais vers midi, Snake ronflait encore aussi me levais-je pré-cautionneusement pour gagner la salle de bain.

Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement.

Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyais la salle de bain. Elle était dégueulasse.

Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillais pour le décrasser rapidement.

Puis, je passais à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table.

Je me demandais si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle.

Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.

J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.

Tandis qu'il prenait sa douche je préparais du café. Puis je sortais dans l'arrière cour et commençais à la ranger.

Lorsque je retournais dans la maimister, Snake venait de s'asseoir pour déguster mister café, je lui demandais s'il voulait quelque chose à manger, il me demanda du bacon et des oeufs.

J'approuvais et me dirigeais vers le réfrigérateur. On aurait dit qu'une bande de vautours s'était abattu sur le malheureux frigidaire, il ne restait que quelques pickles et u tube de mayonnaise.

- Maître, il faudrait que j'aille jusque l'épicerie, le frigo est vide! .....

Snake y réfléchit quelques instants puis me conseilla de traverser la route pour demander à monsieur Steadman s'il pouvait nous prêter un peu de nourriture.

Comme toujours j'approuvais, j'enfilais ma courte jupe et mon haut pro-vocant et je traversais vivement la rue.

Lorsque monsieur Steadman vint m'ouvrir, je lui demandais ce dont j'avais besoin, lui demandant s'il pouvait m'avancer ces articles le temps que je me rende à l'épicerie. , il me rétorqua :

- Bien sûr, sans problème, entre donc! ....

Toutefois dès que je fus entrée, il m'apparut qu'i y avait un petit pro-blème, je savais que j'allais devoir prendre soin de sa petite bite amollie avant quoi que ce soit, je m'empressais de la satisfaire, puis je pris la nourriture qu'il me tendait et retournais précipitamment chez Snake.

- Par le diable, pourquoi as-tu été si longue? .....

- Je suis désolée maître, j'ai d'abord du le sucer! ....

Snake éclata de rire et s'esclaffa :

- Quel vieux salaud! ....

Je lui préparais un rapide petit déjeuner, il m'autorisa gentiment à siroter une tasse de café.

Tandis qu'il se restaurait, je repris mon ménage, puis il m'ordonna de me changer et d'enfiler la petite combinaimister de ma garde robe de pute.

J'allais me changer et revins deux minutes plus tard. Il ne fallait pas bien longtemps pour se défaire de ma tenue si succincte.

chrislebo

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#245
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Je vis Mamma hocher la tête et ils se dirigèrent tous vers le fond du hall d'entrée vers une pièce légèrement plus grande que celle ou j'avais offi-cié toute la nuit.

Cette salle ne comportait pas de lit à sa place on trouvait un banc cou-vert de feutre d'environ deux mètres de long, à hauteur de bite.

Ils m'allongèrent sur le dos, l'autre fille placée sur moi en 69.

Nous nous mîmes toutes eux au travail.

Mon pauvre minou avait déjà supporté une longue nuit de service aussi sa langue me faisait drôlement de bien.

Je suppose que les prostituées ne mistert pas sensées avoir d'orgasmes lorsqu'elles travaillent, mais j'en avais eu de nombreux au cours de la nuit...... Et je n'étais pas loin de succomber une fois encore. Cette fille était une excellente brouteuse de chatte.

Nos clients se tenaient à nos cotés nous observant attentivement, par-fois l'un d'eux nous caressait, caressait ses fesses ou passait la main entre nos deux corps pour nous pincer les nichons.

Nous nous sommes bouffé la chatte pendant un long moment, puis j'en-tendis nos consommateurs se déshabiller et je vis une longue bite se planter dans la chatoune de la fille qui me surplombait.

Au même instant une autre plongea dans ma cramouille, j'entrepris e lé-cher la bite et les couilles qui frottaient sur mon visage, il se passa plusieurs minutes avant que je réalise que ce salaud ne portait pas de capote.

J'en étais arrivé à un point où je m'en foutais totalement.

Bien trop de motards m'avaient sautée la bite nue pour que je m'en sou-cie maintenant.

Je sentais une grosse bite coulisser dans ma chatoune mais je faisais surtout attention à la longue mentule qui labourait mon "amie".

Je voyais bien qu'il tout près de jouir, il se retira alors de la chatte de l'au-tre pute et engouffra sa bite dans ma bouche, jusqu'à la luette. S'ils pen-saient que cela puisse m'affecter, ils en furent pour leurs frais.

J'avais avalé bien plus de sperme lors de ces dernières semaines que la plupart des femmes dans toute leur vie.

J'avalais sa semence légèrement acide et lui nettoyais la bite, il s'exclama :

- Bordel quelle bonne suceuse! .....

J'en étais fière, ils ne tardèrent pas à m'encercler pour se vider tout à tour dans ma bouche accueillante. Je suçais ainsi les 6 hommes.

Ils me laissèrent finalement, je me nettoyais et revins dans le hall.

Cela faisait maintenant une bonne douzaine d'heures que je me prosti-tuais et je n'avais pas encore échangé un seul mot avec mes compa-gnes, à l'exception de Mamma.

Même pas avec celle qui m'avait brouté le minou.

Je ne saurai pas dire si c'était parce qu'elles ne m'aimaient pas ou si elle n'appréciait pas mon irruption dans leur petit commerce.

Lorsque les 6 hommes partirent, la fille que j'avais mignotée en fit autant, je demeurais seule avec Mamma, nous somnolions sur nos chaises.

Je pensais que ne tarderions plus à nous coucher lorsque la misternette retentit de nouveau.

Mamma ouvrit à 3 nouveaux jeunes clients, ils furent désappointés de voir que j'étais la seule fille disponible.

Ils n'étaient pas vraiment désappointés en fait ils n'avaient aucune envie de se partager une pute.

Mais comme ils n'avaient pas le choix ils décidèrent de me prendre à trois, chacun voulant utiliser un trou différent.

Je les emmenais dans ma petite chambre et commençais par tailler une pipe à l'un d'eux.

Je compris bien vite que ce gars réclamait une gorge profonde. Et comme d'habitude cela ne dura pas bien longtemps.

J'étais si fatiguée que j'avais oublié de lui enfiler une capote, je fus toute surprise de sentir un flot de sperme m'emplir la bouche.

J'avalais sa semence, lui souris et m'exclamais :

- Oups! .....

Il me sourit en retour et me dit :

- C'était la meilleure fellation que j'ai eu de ma vie! ..... Ma fille si tu n'étais pas une pute je t'épouserai sur-le-champ! ....

Je me rappelais de la capote pour les suivants bien qu'ils n'aiment pas cela.

Mais c'était de bon gars et ils ne voulaient pas me froisser.

J'étais si fatiguée que je ne réalisais même pas combien de fois je m'étais fait baiser depuis que Snake m'avait amené dans ce bordel.

Mais je ne me sentais pas encore assez endolorie pour ne plus pouvoir continuer.

Lorsque je redescendis avec mes trois clients satisfaits, je vis Mamma se préparer à partir.

Son rôle était terminé, il y avait maintenant trois autres filles attendant le client, Mamma les avait apparemment informées que j'étais ici à la re-quête de Snake, elles semblaient se contenter de cette mise au point.

Je suppose que je devais paraître assez fatigué.

Excepté un court somme peu auparavant, je n'avais pas dormi depuis presque vingt-quatre heures maintenant.

La plupart du temps je travaillais avec les autres filles se tenant dans le hall d'entrée.

Cependant, ce qui me distinguait des autres, c'est que j'étais intégrale-ment nue.

On ne me choisissait plus que lorsque les autres filles étaient déjà oc-cupées, ce qui me convenait parfaitement.

Il en fut de même pendant la matinée, je ne dus satisfaire que quelques clients, mais, aux environs de midi, les affaires reprirent.

A ce moment les clients ne se préoccupaient que de trouver des filles désœuvrées, cela ne changeait pas grand chose.

Je descendais le couloir, un homme me choisissait, je retournais en sa compagnie dans ma chambrette, et y faisais tout ce qu'il voulait ; 5 % de mes prestations étaient anales, 20 % orales, et les 75 % restant ordinai-res bien que souvent violentes.

Je notais ma 24ème heure d'abattage, puis ma 36ème heure, mon corps était totalement engourdi, les clients commençaient à se plaindre que je m'endormais alors qu'ils me baisaient.

Aussi le gros rouquin qui remplaçait Mamma me prit à part pour avoir une petite conversation avec moi avant de tester mes charmes...

Il me prévint qu'il savait pour quelle raimister je me trouvais là, et qu'il était désolé pour moi, mais qu'il ne pouvait laisser des clients se plaindre du comportement des putes dont ils louaient les services!

Aussi ferai-je mieux de me secouer si je ne voulais pas que Snake soit mis au courant.

Cette semonce me fit autant d'effet qu'une douche froide, il sortit alors sa grosse bite de mister caleçon et je lui taillais une pipe avec un dynamisme certain.

Puis nous avons regagné le hall et je fis de mon mieux pour me montrer avenante et dynamique avec mes clients.

Snake revint vers 17 heures, cela faisait pratiquement cinquante heures que je subissais client après client.

J'étais à mi-chemin de sa camionnette lorsque Mamma ouvrit la porte et me hurla de venir reprendre ma combinaimister.

Je courus vers elle et debout dans le porche d'entrée j'enfilais ma courte combinaimister, puis je retournais au van.

Snake démarra et on partit.

- As-tu compris la leçon chienne? Me demanda-t-il sévèrement.

- Oui monsieur... Soufflais-je affolée.

- Qu'as-tu appris salope?

- Maître, j'ai appris que je ne devais jamais vous appeler par votre nom, et que je ne devais jamais rien vous refuser...

- T'es vraiment une conne, petite chienne, je me demande si tu as vraiment retenu quelque chose... Tu as probablement pris du bon temps! Tu te l'es coulée douce en fait!

- La prochaine fois que tu serviras, ce sera dans un club sado-maso à une heure et demi d'ici! Je te garantis que tu n'y prendras aucun plaisir cette fois!

- Je n'étais pas sure de comprendre ce dont il me menaçait, mais je savais déjà que je détesterais cela.

Snake gara sa voiture dans l'allée du garage, je pénétrais dans la mai-mister, me débarrassais de ma combinaimister et entamait mister ménage.

chrislebo

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#246
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Tandis que je nettoyais la chambre, je remarquais que l e pot d'onguent se trouvait toujours là, je m'en servis pour en enduire copieusement mon trou du cul et ma fentine.

Instantanément je me sentis mieux, j'essuyais l'extérieur de mes orifices, je ne pensais pas que Snake aimerait celà, il était persuadé que je n'avais pas encore assez souffert!

Je ne voulais donc pas qu'il se rende compte que je m'étais servi de cet onguent miracle.

Il se faisait tard et Snake décida qu'il ne voulait pas que je tourne autour de lui alors qu'il travaillait, il me renvoya donc chez moi, j'étais folle de joie.

Je rassemblais mes effets, enfilais ma combinaimister et m'empressais de rentrer à la maimister.

Je me ruais à l'intérieur et je vis quelqu'un bouger et crier, je me suis évanouie à cette vue.

Je repris conscience dans les bras de mon mari qui me tenait la tête et frottait une serviette humide sur mon visage.

Je devins carrément hystérique en constatant que c'était lui, ma vie était finie!

Cela me prit bien dix bonnes minutes pour me calmer assez pour enten-dre ce qu'il me disait.

J'étais épuisée, j'avais du dormir en tout et pour tout une quarantaine de minutes ces dernières 60 heures!

Un espèce de brouillard envahit alors votre esprit quand vous êtres par trop éreintée.

Finalement j'acceptais le fait que ma vie et mon mariage étaient ruinés, et je commençais à expliquer les faits à Jay.

Je lui racontais tout, je lui montrais même les mails et les photos, je m'at-tendais à ce qu'il hurle ou me frappe ou quelque chose de ce genre!

J'épiais mister visage guettant l'expression dégoûtée qu'il afficherait tôt ou tard.

Mais il se contenta de m'écouter sans commentaires superflus.

Il ne me posa que quelques questions puis il m'aida à me relever et m'emmena dans la douche, il enleva sa robe de bain et se doucha avec moi, me lavant gentiment le corps.

Puis il m'aida à gagner notre lit et s'assit sur le rebord prit ma tête et m'embrassa tendrement pour me souhaiter une bonne nuit.

Je ne comprenais pas, à ma connaissance pas un homme ne resterait avec une foutue salope qui l'aurait trompé!

Pourquoi ne manifestait-il pas sa fureur?

Il m'avait seulement dit :

- Prends un peu de repos, ça ira mieux à ton réveil!

Je pleurais amèrement dans mon lit.

Il se pencha alors sur moi et essuya mes larmes m'embrasant jusqu'à ce que je m'endorme.

Je dormis quasiment 24 heures d'affilée, lorsque je m'éveillais, Jay était étendu à mon coté, je m'assis et il ouvrit les yeux, je ne vis que de l'amour et de la pitié dans mister regard.

Je lui dis que j'allais partir, qu'il devait me foutre dehors, qu'il était bien trop parfait pour une salope de mon acabit.

Il se contenta de sourire et me dit de me calmer.

Je sortis du lit, j'étais gênée qu'il me voie nue, après tous ces gens qui m'avaient vu nue dernièrement, j'étais paradoxalement extrêmement gê-née d'exhiber ma nudité sous ses yeux.

Je pensais que je ne le méritais plus, j'étais souillée à jamais.

J'enfilais prestement une robe puis nous avons gagné la cuisine.

J'e préparais un souper léger puis nous nous sommes assis tranquille-ment. Je ne savais que dire à quel point j'étais désolée.

Il continuait à me répondre que c'était bon, bien qu'en fait ça ne l'était pas. Cela ne pourrait plus jamais être bon.

On alluma ensuite la télé pour suivre les informations, je regardais sans y faire attention jusqu'au moment ou je vis apparaître des photos de Snake, évidemment elles retinrent mon attention.

Il semblait que plus tôt dans la journée un voisin avait découvert le corps sans vie d'Albert "Snake" Dutton, il avait été tué de deux coups de revol-ver de petit calibre, probablement un 22.

Lors de leur enquête, les inspecteurs avaient trouvé une pièce verrouil-lée à double tour, refermant des preuves évidentes qu'il faisait chanter des utilisateurs du prestataire internet pour lequel il travaillait la nuit ce qui lui permettait d'avoir accès aux mails et aux discussions de nom-breux consommateurs.

Jay possédait un 22, c'était un cadeau de mister grand-père, il tirait à la ci-ble avec lorsqu'il était gamin.

Mais il n'avait pas servi depuis de longues années, je lui jetais un oeil soupçonneux, il se contenta de me sourire en retour.

- Te sens-tu mieux maintenant? Me demanda-t-il inquiet.

Je hochais affirmativement la tête.

- Veux-tu me faire plaisir?

- Oh mon Dieu Jay, tout ce qu tu voudras! Je mourrais pour toi!

Il m'adressa un petit sourire furtif et ajouta :

- Ce n'est pas plus mal!

Puis il éteignit la télé, me prit la main et m'emmena dans notre chambre.

- Il semble impossible qu'il veuille encore me faire l'amour après tout ce que je lui ai avoué... Pensais-je tristement.

- Je voudrai te voir dans ces tenues qu'il te faisait porter!

Je pensais tout d'abord qu'il voulait satisfaire sa curiosité et m'humilier avant de me foutre dehors!

Mais j'avais tort.

Jay vit ma confusion, il poursuivit :

- Ma chérie, j'ai essayé d'être l'époux parfait depuis que nous nous sommes marié... Non, depuis que nous nous sommes ren-contrés... Je t'ai aimée dès la première fois que je t'ai vue, j' ai tout de suite voulu être ton prince charmant... Mais je pense que je n'avais encore jamais réalisé à quel point j'étais stupide...

Lorsque tu m'as raconté toutes ces horribles choses que tu as subies, j'ai senti croître mon excitation au fur et à mesure de tes révélations..... Lorsque tu m'as montré ces photos de toi dans tes mails j'ai quasiment joui dans mon pantalon! Et lorsque tu as dormi j'ai réfléchi à toutes ces choses que Snake savait de toi... J'ai regardé les vidéos... Je les ai tou-tes regardées, y compris les DVD que j'ai dérobé dans sa maimister... Et j'ai alors réalisé que nous avions raté un tas de chose dans notre vie... Et surtout toutes ces choses qu'on aurait pu faire ensemble.....

- Si je veux te voir dans ces tenues c'est que je veux voir moi aussi ce les autres ont vu... Je veux ressentir les mêmes émois que ces hommes quand tu refermais ta bouche sur leurs biotes... Et je veux que tu hurles de plaisir sous les caresses de ma langue comme lorsque Snake te butinait la chatoune!

- Nous avons vécu une vie frileuse sans en tirer grand plaisir... J'en suis venu à comprendre tout ce que nous avons raté en suivant ce lamentable chemin... Je ne suis pas encore sur que ça valait vrai-ment le coup...

Je ne savais pas si j'avais raimister, mais j'enfilais un de mes pagnes et le haut le plus révélateur que je trouvais, puis je paradais sous les yeux de Jay, je regardais mister visage et comprit qu'il ne se foutait pas de moi.

Il aimait le spectacle que je lui offrais.

Lorsque je me laissais tomber à genoux pour descendre mister pantalon et mister caleçon sur ses chevilles et que je me mis à lu tailler une pipe, il commença à se cabrer furieusement dans ma bouche, je compris qu'il m'aimait toujours autant, sinon plus.

J'étais si heureuse que j'en pleurais, je le suçais et pleurais à chaudes larmes, et lorsqu'un orgasme fracassant le submergea, il jouit pour la première fois dans ma dans ma bouche alors que je succombais à mon tour.

Puis il s'occupa de moi, il était évident qu'il avait observé attentivement les vidéos, il dégustait pour la première fois ma chagatte, mais il le fit avec style et amour, c'était vraiment fantastique!

Je n'entendis plus jamais parler de l'enquête, apparemment pas un seul des amis de Snake n'avait mentionné mon nom.

Demain je dois conduire Jay en ville, il veut renouer avec un de ses vieux copains, je savais juste qu'il possédait un bar à putes, Jay voulut s'arrêter chez Larry sur le chemin du retour pour voir s'il disposait de nouvelles tenues que j'aimerai endosser, je portais mon collier de chienne


Fin
chrislebo

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#247
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Nouvelle demeure 01


Chapitre 1 : Notre première orgie chez nos voisins

Je me tenais avec mon époux sur l'entrée de notre nouvelle maimister sa-vourant l'instant où nous allions pénétrer pour la première fois dedans.

C'était une belle grande maimister, située dans une banlieue haut de gamme.

Elle était bâtie de pierres et de briques et paraissait neuve aussi bine de l'intérieur que de l'extérieur.

Cela faisait maintenant trois ans que nous étions mariés et nous avions travaillé dur pour épargner suffisamment d'argent pour nous offrir cette demeure.

Les mensualités étaient importantes et s'étendaient sur une longue pé-riode, mais s'avéraient bien moindre que la location que nous versions auparavant pour notre petit logement.

Actuellement, avec les déductions fiscales que nous avons obtenues, nous pouvions vivre largement.

Dave, mon mari travaillait dans une entreprise de fabrication d'avion de tout premier plan.

Il était un ingénieur très apprécié et il adorait mister boulot, il était plus que bien payé, mais en contrepartie, il faisait beaucoup d'heures et voya-geait souvent.

Il me répétait que cela nous permettait d'honorer facilement nos enga-gements tout en nous ménageant une vie des plus confortables.

Je n'aimais pas le vois si souvent en voyage, mais je comprenais que c'était pour notre bien et je me montrais patiente.

Je travaillais dans un bureau comme une secrétaire des plus ordinaires bien que mon statut soit bien au-dessus de celui des dactylographes.

Je voulais travailler assez longtemps pour que l'on finisse de nous instal-ler dans notre nouvelle maimister et qu'on puisse l'aménager à notre goût, puis, ensuite nous voulions avoir des enfants.

Nous pensions qu'au besoin je pourrais toujours trouver un autre travail.

La boite dans laquelle je travaillais était sinistre, les employés étaient traités durement et chaque jour je craignais de me rendre à mon boulot.

Je me prénomme Donna et j'ai 24 ans, Dave a deux de plus que moi.

Nous nous sommes rencontrés en fac et nous nous sommes rapidement amourachés l'un de l'autre, il ne nous fallut pas longtemps pour com-prendre que nous avions trouvé le partenaire que nous recherchions tous deux.

Nous nous sommes fiancés l'année suivante et nous nous sommes ins-tallés ensemble dans un petit logement sur le campus.

Je décidais alors que suivre de longues études ne m'intéressait pas et qu'il valait mieux que je gagne un peu d'argent pour améliorer sensible-ment notre train de vie.

Aussi abandonnais-je la fac pour rejoindre le monde du travail, jusqu'ici nos parents avaient subvenu à nos besoins, mais ils n'étaient pas très riches et avaient mieux à faire de leur argent que de me payer un di-plôme d'art contemporain! ....

Nous avions commencé à découvrir notre nouvelle maimister.

Nous avions déjà apporté quelques cartons et des rideaux, mais nous avions attendu que la vente soit officialisée pour préparer notre emmé-nagement.

Et voila que nous avions officiellement rejoint le monde des accédants à la propriété! ..... C'était tout au moins ainsi qu'on nous qualifiait sur une montagne de papiers concernant l'achat.

Nous sommes rentrés à l'intérieur, et avons traversé la maimister pour nous rendre dans l'arrière cour pour nous asseoir au bord de notre pis-cine.

Par chance les anciens propriétaires avaient laissé un ensemble de ma-tériel de plein air.

Nous nous relaxions main dans la main nous réjouissant d'être les heu-reux propriétaires de cette demeure confortable.

La matinée avait été stressante, l'idée que toutes ces démarches cela se terminaient sur une simple signature était assez intimidante.

Nous ne pouvions cependant pas rester longtemps à ne rien faire, nous devions planifier notre emménagement, nous devions empaqueter nos affaires et déménager de nous même en utilisant le pick-up de Dave les quelques jours à venir, on devait tout emporter nous-mêmes à part le mobilier lourd pour lequel on louerait les services d'une boite de déménagement.

Nous devions ensuite inventorier notre matériel et voir comment il s'ins-crivait dan notre nouvelle demeure, puis acheter le complément néces-saire pour nous installer confortablement selon nos rêves.

Nous étions impatients de mener ces choses à terme, aussi nous som-mes nous levés pour nous diriger vers notre ancien appartement qui se trouvait à une dizaine de minutes de là.

Nous avions déjà bon nombre de cartons prêts, nous les avons chargés dans le van et les avons emmenés chez nous, nous avons eu le temps de faire trois voyages avant de décider que c'en était assez pour cette journée.

Cela ne faisait que 3 ans que nous étions mariés, jamais nous aurions pensé avoir accumulé autant de choses en si peu de temps! .....

Il y avait un grand nombre de cartons remplis de bouquins, nous aimions tous deux lire et avions chacun notre propre collection de livres.

Rien de tels que des livres pour composer des cartons bien lourds! ....

Après notre troisième voyage, l'après-midi se terminait, nous avons alors décidé de rester la fin du jour dans notre nouvelle demeure.

Nous avions déjà amené notre lit que nous avions assemblé dans la chambre. Je commençais alors à déposer les cartons de linge dans la cuisine.

Nos travaillions dur, mais notre joie était grande d'être parvenus à nos fins.

La misternette de la porte d'entrée me fit sursauter.

Je fus surprise de voir un homme de si haute taille sur le seuil.

Il se présenta :

-Hello, je m'appelle Roy, j'habite la maimister d'à coté..... Ma femme Anne m'envoie vous dire que le souper est prêt! ..... J'ai ordre de ne rentrer qu'avec vous! .....

Dave sortait de la chambre, il descendit au rez-de-chaussée et je le pré-sentais à Roy.

Je cherchais à expliquer à notre voisin que nous étions sales et couverts de sueur, et qu'il me paraissait difficile dans ces conditions de leur ren-dre visite.

Il ne voulait pas en démordre.

Je regardais Dave droit dans les yeux, il me fit signe d'accepter l'invita-tion.

Nous sommes sortis, Dave ferma la porte à clef et nous avons accom-pagné Roy.

Roy et Anne avaient tous deux une bonne quarantaine d'années, ils semblaient bien assortis, des gens aimables chez qui nous nous som-mes instantanément sentis les bienvenus.

Anne avait cuisiné un plat de lasagnes accompagné de pain à l'ail, je sa-livais en sentant le fumet des choses qui cuisaient dans la cuisine.

Nous avions quitté notre maimister sans même nous rafraîchir, Roy nous montra où se trouvait leur salle de bain et nous avons pris tous deux une douche avant de nous asseoir devant le meilleur plat de lasagnes que nous ayons jamais dégusté! ..... Le tout accompagné d'un délice de vin rouge.

Je ne buvais pas beaucoup, ce n'est pas que j'aie quelque chose contre, tout simplement je n'avais pas aimé le goût des quelques vins que j'avais goûté jusqu'ici, mais ce dernier me semblait fantastique.

Nous avons mangé, bu et discuté pendant une bonne paire d'heures. Il nous semblait qu'en même temps que notre nouvelle maimister nous avions déniché de merveilleux amis.

Roy et Anne étaient tous deux très séduisants, très bien éduqués, ils possédaient une bibliothèque à faire honte aux autres. Ils possédaient par ailleurs une collection de films très fournie et un écran géant qui de-vait avoir coûté le même prix que ma voiture.

Nous avons remercié Roy et Anne de leur accueil si chaleureux, et nous sommes retournés dans notre nouvelle maimister.

On mit rapidement des draps sur le matelas et nous nous sommes en-dormis jusqu'à 9 heures du matin.
chrislebo

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#248
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Le samedi matin, nous nous sommes levés tôt et après avoir vidé une paire de tasses de café dehors assis au bord de la piscine, nous som-mes retournés à notre ancien appartement avec la camionnette pleine de cartons que nous avions vidé la veille.

A la fin du jour, il ne restait plus que le mobilier lourd, des buffets, un ca-napé, une paire de chauffeuses et quelques étagères à livres.

Nous avons rassemblé ces meubles comme on le put,

et le lundi j'ai appelé un transporteur en lui demandant de se charger de l'acheminement de ces meubles au plus vite.

Comme le chargement était peu encombrant et que le déplacement était court, ils m'assurèrent que ce serait fait le mercredi suivant et que cela ne me coûterait pas les yeux de la tête.

Vendredi soir après avoir passé nos soirées à déballer nos affaires avant de les ranger nous pouvions enfin jouir de notre maimister telle que nous l'avions rêvée.

Nous avions décidé de remeubler entièrement le salon et nous avions besoin de meubler la salle à manger puisque nous n'en avions pas dans notre ancien appartement.

Nous avions acquis de nouveaux équipements pour le patio et la piscine, elle était maintenant telle que nous l'avions pensée en la voyant la pre-mière fois.

Le dimanche, comme nous l'avions programmé la semaine précédente en soupant chez nos nouveaux voisins, Roy et Anne se pointèrent pour passer la soirée avec nous autour de la piscine.

J'avais acheté quelques steaks bien épais et préparé plusieurs salades variées.

Comme convenu, ils arrivèrent par la porte séparant nos deux cours, Dave manqua de s'étrangler en les voyant.

En voyant Anne en fait, elle portait un minuscule bikini mettant en valeur ses charmes plus qu'il ne les cachait. Je n'avais jamais vu de bikini aussi provocant, il lui allait à merveille.

Je donnais un coup de coude à Dave et il reprit une attitude plus nor-male, Roy traînait derrière elle, il charriait une petite glacière qu'il avait posée derrière la grille.

Anne s'avança et nous embrassa tous les deux convivialement, feignant de totalement ignorer le choc que nous avions ressenti à sa vue ainsi peu vêtue.

Elle était très sexy et vive, si elle ne m'avait pas dit mister âge le denier week-end, j'aurai pensé qu'elle avait une bonne vingtaine d'années.

Elle était en bien meilleure forme que moi! ....

Ses tétons étaient dissimulés derrière deux petits triangles de tissu et un troisième s'efforçait de voiler sa toimister pubienne.

Je portais aussi un petit bikini assez sexy, mais en comparaimister du sien je me sentais vêtue de la tête aux pieds.

Roy s'avança et posa sa glacière avant de m'embrasser gentiment et de serrer la main de Dave.

Il portait un maillot de bain plus ordinaire, mais il était impossible d'igno-rer la bosse qui en déformait le devant de mister maillot tant elle semblait importante.

Je ne sais ce qu'ils buvaient, le cocktail provenait d'une cruche, nichée dans la glacière.

Ils me dirent le nom de cette boismister, je ne la connaissais pas et je ne m'en rappelle plus maintenant.

Roy insista pour m'en servir un verre, c'était délicieux, je n'étais même pas certaine que ce mélange contenait de l'alcool.

Roy remplit mon verre à plusieurs reprises.

Dave aussi avait échangé sa bière contre un verre de ce mélange spé-cial qu'ils avaient concocté, il semblait 'apprécier tout autant que moi.

Nous discutions assis en rond.

Tout comme la semaine dernière, nos voisins menaient la conversation, mais c'était un moment extrêmement plaisant, nous avions atteint un tel niveau de béatitude que nous ne prêtions plus aucune attention à leurs tenues.

Jusqu'au moment où Anne me demanda ce que je pensais de mister nou-veau maillot.

Je dus admettre que c'était la tenue la plus sexy que j'aie jamais vu à ce jour, elle me dit l'avoir trouvé sur le web et qu'elle en avait commandé plusieurs.

Elle poursuivit qu'elle aimerait me voir en porter un, et avant que je puisse dire un mot, ils décidèrent tous trois de se rendre chez eux pour en choisir un.

Dave semblait particulièrement impatient de me voir dans un de ces bi-kinis.

Je ne pense pas être plus modeste que la majorité des filles qui courent les rues, j'adore porter des mini-jupes, de courts shorts et des brassières sexy.

Je ne dirai pas que mon bikini était un modèle de décence, mais je n'avais aucune envie d'essayer un de ces maillots minimums dévoilant plus de charmes qu'il n'en cachait.

Je suivis donc à contrecœur Anne dans sa chambre.

Elle sortit de sa commode deux bikinis similaires au sien et un troisième qui s'avérait encore plus indécent.

Dès que nous fûmes dans sa chambre, elle tendit le bras pour dégrafer mon soutien-gorge, j'en étais troublée, mais je décidais de me comporter comme si c'était anodin.

Elle repoussa ensuite mon string sur mes cuisses et il tomba au sol.

Je n'avais plus jamais étée déshabillée par une femme depuis que ma mère prenait soin de moi dans ma tendre enfance, cela me semblait étrange.

Anne me fit tourner sur moi-même admirant mon corps me complimen-tant sur mes seins épanouis et ma chute de rein avenante.

Je rougis comme une tomate et tendais le bras pour saisir un des mail-lots qu'elle avait posé sur le lit.

Elle me coupa dans mon élan en me disant :

Tu ne peux pas les enfiler tout de go Donna, il y a un petit problème à régler auparavant! ......

Elle saisit ma main et me tira dans sa salle de bains.

Elle posa une serviette sur la lunette des toilettes et me fit asseoir face à elle.

Je suppose que dès ce moment je sus ce qui allait advenir, j'étais incapable de réagir lorsque Roy et elle m'entouraient.

Avant que je puisse dire un mot, ou appeler à l'aide, à l'aide d'une paire de ciseaux elle raccourcissait ma toimister pubienne. Tout en travaillant, elle me félicitait d'avoir une aussi jolie chatte, jamais une autre femme ne m'avait dit cela auparavant.

Elle travaillait rapidement et cela ne prit pas longtemps pour qu'il ne me reste plus que quelques vestiges de ma blonde toimister. On aurait dit qu'on avait coupé mon pelage en courte brosse.

Anne se redressa et empoigna un rasoir, de la mousse à raser et une serviette humide, puis elle me força à écarter de plus belle les cuisses.

Visiblement elle n'était pas satisfaite de mister œuvre, je dus me relever, elle posa la serviette sur le sol carrelé de la salle de bain et je dus m'al-longer dessus à plat dos.

Il semblait que je ne commandais plus mes actes, elle se penchait à nouveau entre mes cuisses.

J'étais extrêmement gênée laisser une autre permisterne que mon mari manipuler mon intimité, mais je ne protestais pas alors qu'elle promenait la serviette humide sur ma fentine embrasée puis étalait de la mousse à raser sur toute la surface de mon pubis.

Elle me semblait gaspiller beaucoup pus de temps que nécessaire à masser ma féminité tout en étalant la crème mousseuse.

Elle se courba sur moi, le visage a quelques 20 centimètres de ma four-che alors qu'elle rasait les derniers vestiges de ma fourrure.

Lorsqu'elle écarta de ses doigts mes babines pour permettre un rasage intégral de ma chatoune, un choc électrique courut dans tout mon corps ce qui accrut encore ma gêne.

Cela empira encore, alors que je pensais qu'elle en avait terminé, que mon mont de Venus était glabre, elle releva subitement ma jambe la repliant sur mon buste pour examiner en détail ma cramouille béante et mon petit oeillet frémissant de honte, enlevant les dernières traces de poils autour de mon anus.

Elle me rinça avec la serviette puis me sécha consciencieusement avant de m'aider à me relever.

Elle me posta devant le miroir en pied et susurra :

-Magnifique! ..... Qu'en penses-tu Donna? .....

-Bordel je ne pensais pas que ma chatoune puisse paraître aussi juvénile et soyeuse! ....

-J'étais trop choquée pour dire un mot, et pourtant cette image de moi était vraiment très sexy.

Elle me ramena dans la chambre et j'essayais les deux bikinis.

Ils me laissaient quasiment nue.

Jusqu'ici, il n'y avait que deux endroits dans lesquels je m'étais dénudée, ma salle de bain et ma chambre, je trouvais inapproprié de me trouver nue au que se soit ailleurs.

Avant que j'aie le temps de refuser, Anne tira sur les ficelles du second string de bikini qui chut au sol.

Elle attrapa la petite pièce de tissu et me l'enleva sans aucune difficulté.

Elle se pencha en avant et me fit enfiler le haut constitué" de deux mi-cros triangles de tissu, puis elle noua les bretelles dans mon dos.

Elle tira sur les minuscules triangles de tissu quasi transparent et les ajusta sur mes nichons.

Les fines bretelle se prolongeaient vers le bas rejoignant me foufoune en formant un nouveau minuscule triangle de tissu transparent qui épousait ma fente.

De là un cordon courait dans ma raie culière qui s'entourait au tour de ma taille se rattachant sur le devant.

Anne s'extasiait, elle me complimentait sur mon look si sexy insistant sur le fait que ce micro maillot semblait créé pour moi.

Je me voyais dans le miroir en pied et je devais admettre que c'était drô-lement excitant.

Les zones que dissimulaient habituellement mes bikinis étaient mainte-nant exhibés révélant des bandes de chair blanche qui attirait les yeux.

Je savais pertinemment que Dave adorerait cela, je serais vraiment heu-reuse de le porter moi aussi si nous étions s tous les deux.

Mais je n'eus même pas le temps de dire à Anne que je ne voulais porter aucun de ces trois maillots en public et encore moins le troisième.

Elle me traînait déjà dans mon arrière cour sans écouter mes vagisse-ments.

Je semblais totalement incapable de m'opposer à ses volontés, je lui obéissais docilement tout comme j'aurai obéi à mes parents.

Moins d'une minute plus tard je me trouvais face à Dave et Roy, l'éclair de concupiscence qui s'allumait dans leurs yeux alors qu'ils me compli-mentaient me plongea dans un extrême embarras.

J'étais certaine que Dave serait furieux et m'ordonnerait de me rhabiller.

J'avais tort! ....

Il aimait ma tenue! ....

Il m'attira contre lui et m'embrassa passionnément en me disant que j'étais ravissante.

Il fit promettre à Anne de lui donner l'adresse web ou du site sur lequel elle s'était procurée ces jolies choses pour qu'ils puissent m'acheter d'au-tres articles érotiques.

On me donna un nouveau verre de cette boismister contenue dans le pi-chet qu'ils avaient amené. Elle était réellement délicieuse et quoi qu'elle comporta, elle contribua à me calmer rapidement.

Tout au long de l'après midi Anne et Roy continuèrent à diriger la conversation abordant souvent des sujets qui me gênaient.

Ils avaient une sexualité exubérante qu'ils n'hésitaient pas à évoquer, il me semblait que plus je buvais de verres de leur boismister, moins je me sentais gênée.

Après avoir piqué une tête dans la piscine je constatais que mon maillot était totalement transparent. On distinguait clairement mes tétons érigés et ma fentine débroussaillée. Je fis comme si c'était tout à fait normal.

Roy retourna deux reprises chez lui au cours de l'après-midi pour remplir le pichet.

Nous étions, Dave et moi, légèrement éméchés.

On piqua une tête à plusieurs reprises dans la piscine, j'étais parfaite-ment consciente que mon bikini s'avérait totalement transparent lorsqu'il était mouillé.

Roy m'allumait alors que nous étions dans la piscine ce qui me faisait rire, je dus une bonne douzaine de fois réajuster mon haut de maillot qui avait glissé exposant mes mamelons à l'air libre.

Je remarquais Anne jouait les gamines espiègles avec Dave s'amusant à l'allumer.

Je remarquais aussi qu'une énorme bosse déformait l'avant du maillot de Roy alors qu'il escaladait le rebord de la piscine.

Je ne pouvais m'e^pêcher de regarder cette grosse bosse me deman-dant ce que je ressentirai si cette énorme colonne de chair allait et venait dans mon étroite petite chatte.

Ma main avait effleuré à plusieurs reprises cette grosse déformation alors que nous jouions dans la piscine, et je suppose que mes réflexes amoindris par la forte quantité d'alcool que j'avais absorbé au cours de l'après- midi je n'avais pas résisté à la tentation de la serrer fermement entre mes doigts pour tester sa véritable grosseur.

chrislebo

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#249
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Une paire d'heures plus tard, nous avions vidé le deuxième pichet de boismister Anne se leva soudainement et intervint :

-Ecoutez les amis, on se comporte comme des idiots... Roy et moi, nous ne portons jamais de maillot de bain chez nous! .... On se met entièrement nus! .... Cela vous gênerait-il qu'on enlève nos maillots? ....

Avant même que je dise un mot Dave rétorqua :

-C'est une excellente idée! .... Puis il se tourna vers moi et ajouta :

-Allez ma chérie, enlève cette chose qui est si provocante sur toi! .... Elle ne couvre rien du tout en réalité! .... Allez n'hésite pas! ....

Je suis sure que c'était l'effet des boismisters parce que justement je ne suis pas ce genre de permisterne qui agit sur un coup de tête, et pourtant, je ne sais pas pourquoi, lorsque Roy se leva et ôta mister étroit maillot de bain exposant mister incroyable bite au soleil je restais captivée par cette vue qui m'aurait profondément effarouchée et fait fuir en temps normal.

Puis il avança vers moi et dénoua les bretelles de mon maillot et le roula sur mes hanches me demandant de l'enjamber tandis qu'Anne enlevait le short de Dave exposant sa bite de taille moyenne mais totalement dé-ployée.

Je regardais avec stupéfaction Anne sourire et poser la main sur sa bite en disant :

-Fichtre, quelle belle pièce! .... En fait t'es une sacré veinarde Donna! ...... Comme tu l'as certainement remarqué celle de Roy est encore plus longue et plus épaisse! ...

C'est justement ce que je constatais, mes yeux étaient rivés sur sa grosse mentule. J'étais incapable de détourner les yeux de cette bite qui vibrait et grossissait encore sous mes yeux ébahis.

C'est alors que Roy m'empoigna et me projeta dans la piscine, plongeant dans mon dos.

Nous luttions bientôt dans l'eau alors que Dave et Anne s'étaient assis sur le bord et discutaient ensemble sans se soucier de nous.

Les mains de Roy se baladaient sur tout mon corps alors que nous jouions, il se permit même de poser ma main sur sa grosse bitte déployée, je ne sais pas encore pourquoi, mais je ne parvenais pas l'en ôter.

Je savais que c'était mal, que c'était extrêmement gênant, mais Jésus que c'était bon! .....

Elle était si longue, si épaisse, si bandée, en un mot si mâle...

Je ne sais pas comment cela arriva, mais bientôt je me serrais contre le rebord de la piscine alors que sa bite frottait contre ma fentine, mes jambes s'ouvrirent et sa bite s'enfourna dans ma chatoune sans aucun effort.

J'étais certaine que ce serait douloureux, mais il me pénétra extrême lentement, gentiment et nos yeux rivés l'un à l'autre je ne m'étais jamais sentie aussi comblée.

Lorsque Roy fit coulisser mister organe démesuré dans et hors de ma cha-toune, ce qui me rendit tout de suite folle d'excitation, je jetais un coup d'œil sur Dave et vit qu'en compagnie d'Anne ils nous ignoraient totale-ment.

Je ne sais pas pourquoi je me livrais à Roy, je ne sais pas non plus pourquoi je n'avais pas le réflexe de lui dire d'arrêter.

L'idée que Dave puisse tourner la tête et se rendre compte que je me faisais baiser par Roy dans la piscine à quelques pas de lui me terrifiait! .....

Roy me murmura à l'oreille :

-Ne te tracasse pas pour Dave, regarde les bien! ....

Je regardais alors avec plus d'attention Dave et Anne, et remarquais bien vite qu'elle lui caressait la face interne des cuisses.

J'étais extrêmement gênée lorsqu'elle se leva soudain repoussant du pied mister transat pour se jeter à ses genoux et emboucher séance te-nante sa bite! ....

Je ne savais quoi ressentir. J'étais soulagée, il ne pouvait plus se mon-trer jaloux désormais! ....

J'étais extrêmement surprise de constater que les observer faire pouvait être aussi excitant et j'aimais sentir la grosse bite de Roy coulisser aisé-ment dans ma chatoune accueillante.

Roy comprit que j'allais crier mon plaisir, il posa ses lèvres sur les mien-nes et me roula une pelle enflammée.

Je savais que c'était mal.

Nous n'étions pas un couple échangiste ou quelque soit la façon d'appe-ler ces gens.

Nous étions mariés et heureux de l'être, on se comportait toujours en jeunes mariés en fait.

Je n'avais jamais entretenu l'idée d'avoir des rapports sexuels avec un autre que mon mari, et il en était de même pour lui, j'en étais sure.

Je ne parvenais plus à réfléchir, je me contentais de vivre les événe-ments, c'était bien trop pour moi.

Avoir enfilé ce minuscule bikini si provoquant après m'être fait raser la chatte par une femme, avoir participa à des conversations hautement érotiques alors qu'on se relaxait au bord de la piscine, avoir tant bu de cette délicieuse boismister que je savourais tant, tout cela c'était trop.

Je criais dans la bouche de Roy en jouissant, rebondissant d'orgasme en orgasme.

Jamais je n'avais ressenti d'orgasmes multiples auparavant et je n'étais plus qu'une chiffe molle lorsque je sentis Roy éjaculer au fin fond de ma chatoune en me martelant de deux ou trois violents coups de boutoir.

Une fois qu'il eut joui en moi, il resta imbriqué dans ma cramouille et nous roulâmes sur le flanc pour mieux observer Dave et Anne.

Dave était visiblement sur le point de jouir dans la bouche d'Anne, elle paraissait impatiente de savourer mister sperme.

Dave se raidit, grogna sourdement et je vis les joues d'Anne se gonfler sous la pression du foutre qu'il lui projetait à flots dans la bouche, puis je la vis avaler la chaude potion avec des mines gourmandes.

J'aurais du être furieuse mais à ma grande stupéfaction ce spectacle m'excitait follement.

Je sentis mes muscles vaginaux se crisper sur la bite de Roy la serrant comme dans un étau, en réponse sa bite prit encore plus de volume.

Nous regardions maintenant Anne se faire brouter par Dave, bien vite elle enchaîna les orgasmes.

Ils devaient s'être rendus compte qu'on les observait avec attention, mais ils agissaient comme s'ils étaient seuls au monde.

Roy entreprit de sortir de la piscine avec sa grosse bite bandée toujours imbriquée dans ma foufoune ultra-sensible.

Il me transporta sur une petite zone herbeuse où l'herbe était particuliè-rement grasse et accueillante et m'allongea la bite toujours enfoncée en moi.

Dès qu'il se mit à coulisser, je me retrouvais au septième ciel, je fermais les yeux savourant ces sensations enivrantes pendant plusieurs minutes, puis je sentis une main et une bouche s'emparer de chacun de mes nichons.

Je levais les yeux surprise sur Roy qui s'appuyait sur ses bras tendus, Anne et Dave s'occupaient chacun d'un de mes nibards.

Il y avait sûrement quelque chose d'autre que de l'alcool dans leur bois-mister sinon je n'aurai jamais consenti à ce genre d'expérience.

En fait c'était la plus excitante situation qui m'était jamais advenue et j'aurai voulu que cela ne cesse jamais! .....

Je posais un bras autour du cou de Dave et l'autre autour de celui d'Anne et je les serrais tendrement tandis que Roy me faisait rebondir d'orgasme en orgasme.

Il se vida finalement en moi et tandis que je jouissais sous ses assauts, Dave me roula une pelle passionnée, je me sens incapable de rapporter les émois que je ressentais à cet instant.

L'amour, l'excitation, cette satisfaction des sens apaisés que je n'avais jamais autant ressenti qu'aujourd'hui.

Pour toutes ces raimisters, je ne me sentais plus du tout gênée.

Finalement Roy se retira de ma foufoune et se dressa sur les genoux. Anne remplaça Dave et se mit à m'embrasser avec passion me disant qu'elle me trouvait follement excitante
chrislebo

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#250
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Puis elle guida mon visage vers la bite de mister mari enduite de nos se-crétions.

Je ne saurai expliquer pourquoi je la laissais m'inviter à faire une chose aussi répugnante.

Non ce n'est pas exact, elle ne me faisait pas faire, elle me présentait cette opportunité et j'ouvris la bouche et absorbais la plus grande part de la mentule de Roy dans ma bouche.

Comme je suçais et léchais mister chibre, Anne me caressait le visage d'une main et la bite et les couilles de mister mari de l'autre.

Dave m'embrassait dans le cou et sur mes épaules mignotant mes té-tons si sensibles me répétant à quel point j'étais sexy.

La bite de Roy se déployait rapidement dans ma bouche, mister pouvoir de récupération m'épatait, sans parler de la dimension démesurée que pre-nait mister organe, lequel me semblait bien plus gros que lorsque je l'avais devant mon visage.

Ils me contrôlaient tous trois et bientôt l'énorme mentule de Roy pénétra de plus en, plus profondément dans ma bouche largement distendue.

Dave posa la main sur ma chatoune comblée et y glissa aisément plu-sieurs doigts alors qu'en même temps il m'écrasait le clito de mister pouce.

Je réagis en absorbant encore plus de la monstruosité de Roy, je sentis alors la main d'Anne se poser sur la nuque m'invitant à avaler encore plus mister gros chibre.

Je ne pansais pas que ce soit possible, en fait, je savais que c'était im-possible, mais vulgarement mes mâchoires s'écartèrent à la limite de la rupture alors qu'il avait planté ses 25 centimètres de bite dans ma gorge, ses burnes tapant contre mon menton.

Le plus étonnant c'est que je ne paniquais pas.

Toutes les stimulations que je recevais me transformaient en une vérita-ble marionnette à cet instant.

Je reculais ma tête jusqu'à ne laisser que mister gland dans ma bouche, puis je l'enfournais à nouveau jusqu'à la garde.

C'était de plus en, plus facile et j'étais très fière de mon exploit.

Je sentais sa bite vibrer dans ma gorge et je savais qu'il était sur le point de jouir dedans, mais il se recula, le gland à l'orée de mes lèvres et je travaillais de concert avec Anne pour le faire jouir de nos mains.

C'était le troisième orgasme que je procurais à Roy, lors de cette der-nière demi-heure et j'étais stupéfaite du volume de sperme qui m'emplit la bouche, suintant autour de sa grosse bite.

Il extirpa finalement mister chibre de ma bouche et j'avalais avidement mister foutre, c'était quelque chose que je n'avais jamais fait cela avec mon ma-ri.

Une fois que j'eus tout ingéré, Anne ramassa d'un doigt le foutre qui s'était étalé sur mon menton et me tendit mister doigt à lécher.

Je le suçais docilement puis elle me poussa en avant pour cueillir les dernières gouttes de semence poissant la bite de Roy.

Puis elle me redressa et me roula une nouvelle pelle.

Je n'avais jamais, avant ce soir, embrassé de femme de cette façon, je n'avais jamais même imaginé que je le fasse un jour, pour quelque rai-mister que ce soit j'en étais toute réjouie, j'appréciais tout de cette soirée.

Roy se releva et nous invita à faire de même. Nous avons rejoint lente-ment nos sièges pour siroter un nouveau verre de leur délicieux cocktail.

Je ne saurai pas expliquer pourquoi nous étions maintenant capables de nous asseoir en cercle entièrement nus, et de discuter tranquillement entre nous, de rire et de plaisanter sans être autrement gêné.

Je n'avais plus un seul brin de contrôle de moi maintenant, ni le moindre sentiment de culpabilité d'avoir baisé avec Roy, pas plus que de jalousie d'avoir vu Dave et Anne s'aimer avidement.

En fin après-midi j'ai été frappée de voir que Dave suivait les avis de Roy et Anne, tout comme moi d'ailleurs.

Nous semblions faire tout ce qu'ils souhaitaient, que ce soit quelque chose que nous aurions fait normalement ou pas.

Roy me posséda deux fois encore tandis que Dave faisait cuire les steaks.

Chaque fois c'était aussi délicieux que la première fois.

Et chaque fois, au moment de conclure Anne et Dave nous rejoignirent pour jouir avec nous.

Un moment donné, alors qu'Anne était étendue à coté de moi me tenant la main et que Dave lui faisait l'amour, Roy me rendit encore folle de plaisir en me ramonant une fois de plus avec sa grosse bite.

Chaque fois qu'il me prenait, il me présentait sa bite à nettoyer avec ma bouche et mes lèvres, ce que je faisais sans aucune hésitation.

Je remarquais qu'une fois que Dave avait fait l'amour à Anne elle lui de-mandait de nettoyer sa fentine avec sa langue.

C'était encore une chose dont Dave ne m'avait jamais fait profiter!

Un peu avant 17 heures Roy suggéra à Dave de faire cuire les steaks, il s'empressa de se lever et d'allumer le grill.

Anne me suggéra de mettre la table, je rentrais dans la maimister pour aller chercher des assiettes les couverts que je disposais obligeamment sur la table selon ses vœux.

Puis je posais les salades et dix minutes plus tard nous nous régalions de concert.

Je remarquais que tout me semblait bien meilleur en cette fin d'après-midi.

La baise était bien meilleure, la nourriture était bien meilleure, la boismister était délicieuse, je semblais profondément amoureuse de nos nouveaux voisins que nous rencontrions pour seulement la seconde fois, je me dé-brouillais pour tout faire pour leur plaire!

Je suppose que c'est pour cela que je ne refusais pas lorsque Anne me repoussa à nouveau sur la pelouse m'allongeant sur un coussin avant de s'étendre sur moi.

Nous nous roulions des pelles fiévreuses en se pelotant, je participais avec joie à cette séance de gouinage.

Je lui refaisais toutes les choses délicieuses qu'elle me prodiguait.

Alors que nous faisions l'amour, je vis du coin de l'œil que les hommes se tenaient à nos cotés, leurs bites se déployant à nouveau alors qu'Anne s'embrasait, pour la première fois je goûtais au jus d'une autre femme.

Je ne peux pas expliquer pourquoi, mais je me sentais obligée de lui complaire, aussi lui suçais-je avec avidité la foufoune, j'adorais ça!

Nous avons joui à plusieurs reprises avant que Roy nous sépare, me fai-sant mettre à genoux pour me prendre par derrière.

Tandis que Roy baisait à nouveau ma chatoune accueillante, Dave se pencha sur moi et j'enfournais avec facilité ses 18 cm de bite au fond de ma gorge, il semblait que chaque fois que je pensais que les choses ne pouvaient pas être plus excitantes, Roy et Anne me démontraient que j'avais tort.

Dave jouit rapidement dans ma bouche et j'avalais sa semence pour la première fois!

Il s'affaissa alors et regarda Roy me remettre sur les genoux et m'attirer étroitement contre mister torse, malaxant mes nichons tout en me baisant avec vigueur.

Il jouit à mister tour et, sans même qu'on me le dise, je pivotais et engloutis sa bite mollissante dans ma bouche impatiente que j'étais de savourer ses flots de jute grasse.

Il me tapota la tête, comme on le fait avec un jeune chiot, me répétant que j'étais vraiment une bonne tailleuse de pipe.

Tout au fond de mon esprit l'idée que j'aurai du refuser ces assauts lu-briques persistait, mais je n'en tenais aucun compte, captivée par les compliments de Roy.

Puis survint la chose la plus surprenante de toute cette nuit, lorsque j'eus terminé de nettoyer sa queue et ses burnes, il m'ordonna de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand.

J'obéis séance tenante, et je vis avec stupeur Anne guider Dave entre mes cuisses, fourrer mister visage tout contre ma chatte engorgée de fou-tre.

J'écarquillais mes yeux comme des soucoupes alors que sans aucune hésitation Dave lapait voracement le foutre que Roy avait largué dans ma foufoune.

Tandis qu'il me butinait le gazon, Roy se pencha au-dessus de ma tête et suggéra que ce serait encore meilleur si je lui nettoyais le trou du cul.

J'obtempérais.

J'eus bientôt un nouvel orgasme sous les caresses de la langue de Dave qui me bouffait avidement le minou.

Nous nous sommes alors relevés tous les quatre et nous avons regagné le patio.

Anne me suggéra alors de nettoyer la table, ils s'assirent tous me regar-dant obéir sans même me poser de questions.

Lorsque j'eus nettoyé la cuisine et le patio je les rejoignis et vidais un nouveau verre de leur potion.

Nous étions assis tous 4 entièrement nus et décontractés au tour de la table, Roy et Anne menaient la conversation clamant qu'on avait tous 4 pris un plaisir extrême ensembles. Tout nous semblait normal.

Ils nous dirent qu'ils retournaient chez, il se faisait tard, ils nous souhaitè-rent une bonne nuit nous avisant qu'ils avaient organisé une journée d'enfer pour le lendemain.

Nous avons accepté leur décision sans moufter. Nous nous sommes roulés des pelles, je veux dire nous leur avons roulé des pelles en les quittant.

Puis nous sommes allés au lit nous lovant l'un contre l'autre.

Je ne me rappelle pas m'être jamais endormi aussi vite.

Nous nous sommes réveillés tôt au petit matin ce que nous ne faisions jamais le dimanche et nous avons pris une douche ensemble.

Nous n'avions aucun remords en ce qui concerne les événements de la veille.

Nous nous sourions l'un l'autre, nous embrassions, nous caressions, nous n'éprouvions aucun repentir, juste un profond amour.
chrislebo

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#251
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Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 2



Chapitre 2 :

Lundi : les amis de nos nouveaux amis, premier jour au boulot.

Après notre douche nous avons regagné notre chambre pour enfiler quelques vêtements quand Dave intervint soudain:

- Nous n'avons pas besoin de ces vêtements... Je préfère rester nu! Et toi?

J'y réfléchissais une paire de secondes et réalisais que moi aussi je pré-férai rester nue.

Aussi nous sommes allés dans la cuisine préparer notre petit déjeuner, Dave se chargea du café. Puis nous nous sommes installés dans le ***** pour prendre notre petit déjeuner.

Alors que nous déjeunions, je jetais un coup d'œil circulaire sur l'arrière cour repensant à tout ce qui s'était passé la veille.

J'avais un léger sentiment de remords dont je n'identifiais pas la raimister.

Profondément enfoui dans mon esprit, je savais que ce que nous avions fait était mal et que de plus cela ne nous ressemblait pas du tout de nous comporter ainsi.

Ce sentiment commençait à peser de plus en, plus fort sur mes épaules alors que la matinée s'avançait.

Anne nous rejoignit vers 10 heures, elle tenait un verre dans chaque main.

C'était le même cocktail que nous avions savouré la veille, elle me tendit un verre et l'autre à Dave nous invitant à les vider.

Je voulais lui dire que je ne buvais jamais d'alcool dans la matinée mais elle se contenta de me sourire et d'ajouter :

- Petite sotte, je suis bien sure que tu vas boire ton verre, tu dois faire tout ce que je veux!

Je savais que je ne voulais vraiment pas boire le verre que j'avais en main, mais je réalisais soudain que je devais lui obéir et le vider.

Je le sirotais et aussitôt les doutes qui m'assaillaient disparurent comme par enchantement, je ne me rappelais même plus les avoir eu.

Anne s'assit et on vint la rejoindre autour de la table. Elle était habillée de pied en cap alors que nous étions entièrement nus, mais quelle qu'en soit la raimister cela ne nous perturbait pas.

Une quinzaine de minute plus tard arriva Roy et tendit à Dave une paire de caisses de bière en lui disant de les mettre au frais.

Il nous dit qu'il était si heureux de nous avoir rencontré qu'il avait invité de ses copains à faire notre connaissance.

Ils devaient ne plus tarder à arriver.

Je me levais pour aller m'habiller mais Anne me coupa dans mon élan :

- Où vas-tu ma chérie?

Je lui disais qu'il fallait que j'enfile des vêtements, mais elle me coupa à nouveau :

- Mais non ma chérie, t'es bien plus belle comme ça! Les copains de Roy vont beaucoup aimer te voir nue... De plus tu dois te sentir beaucoup plus à ton aise dans cette tenue!

Je m'entendis lui répondre que oui, sans même y penser.

Je retournais à mon siège lorsque m'attira à lui.

Je me suis assise sans hésitation me réjouissant de sentir ses mains comme pétrir mes miches et me doigter la chatoune.

Il extirpa mister doigt de ma cramouille, le tendit vers mon visage et s'ex-clama en souriant :

- Dis donc chérie, on dirait que t'es tout à fait prête à te faire à nou-veau baiser, n'est ce pas?

Je souris en hochant la tête, il introduisit alors mister doigt entre mes lèvres et je le nettoyais avec enthousiasme.

Bientôt des étrangers arrivèrent par la porte que Roy avait laissée grande ouverte.

Cela ne me dérangeait nullement, je me mis à leur servir des boismisters fraîches, me baladant entre eux, ils me caressaient, m'embrassaient et faisaient ce qu'ils voulaient sans que cela m'offusque!

Je ne sais pas combien d'hommes se tenaient maintenant dans l'arrière cour de la maimister, mais plus tard dans l'après-midi il m'apparut qu'elle était pleine.

Anne avait apporté une autre cruche de cocktail, j'en bus à plusieurs re-prises avec Dave cet après-midi.

Vers 17 heures Roy me fit allonger sur une couverture qui avait été étendue sur la pelouse.

Je remarquais que deux hommes se tenaient à proximité des caméras vidéos professionnelles en mains pointées sur moi.

Mais cela ne m'effaroucha pas, je n'en tenais pas compte!

Roy me roula un patin puis annonça :

- Regardez la bien les gars, vous allez avoir du mal à le croire!

Puis il me poussa à genoux, ouvris sa braguette je l'aidais à descendre mister pantalon sur ses jarrets.

Il ma tapota la tête et ajouta :

- C'est bon, montre à mes copains que t'es une merveilleuse su-ceuse de bites!

J'étais anxieuse de ne pas me montrer à la hauteur.

Je commençais par embrasser et lécher sa hampe et ses grosses bur-nes puis j'embouchais sa mentule, et l'enfournais en un rien de temps au fin fond de ma gorge, ses poils pubiens râpaient mon menton.

Je lui malaxais lascivement les couilles alors que je faisais coulisser de mon mieux sa grosse bite dans mon gosier accueillant.

J'entendais fleurir les commentaires enthousiastes des assistants alors que je cajolais tendrement la bite de Roy.

Cela ne dura pas aussi longtemps que la veille.

Il jouit assez rapidement en fait, et je me sentais légèrement déçue lors-qu'il cracha un flot de foutre puis retira sa bite mollissante de ma bouche.

Il vit que j'étais dépitée, il me tapota à nouveau la tête me consolant :

- Ne te tracasse pas ma chérie, tous mes amis mistert prêts à te com-bler, tu vas disposer de bien plus de bites que tu aurais pu seulement l'espérer! Es-tu prête à y goûter?

Pour quelque raimister que ce fut j'en voulais plus!

Je secouais la tête avec impatience, Roy s'avança alors vers moi.

C'est alors que tout a démarré, cela commença vers 17 heures et jusque 2 heures du matin des bites inconnues visitèrent constamment mes orifi-ces.

Quelque fois un seul me prenait, parfois deux simultanément.

Généralement les hommes qui me baisaient en bouche déversaient des flots de foutre dans ma gorge, mais quelques-uns uns extirpèrent leurs bites de mes lèvres et m'aspergèrent le visage!

Lorsqu'ils faisaient cela, Dave se présentait pour me nettoyer le visage avec sa langue!

Lorsque deux ou trois hommes s'étaient vidés les couilles dans ma fou-foune, je devais m'étendre sur le dos et à nouveau Dave me nettoyait la chatte suçant, léchant, aspirant le jus qui dégorgeait de ma cramouille inondée, ou parfois c'est lui qui s'étendait sur le dos et je devais enjamber mister visage pour qu'il puisse curer ma chatoune en profondeur.

Au milieu de la nuit, tandis que je suçais avidement une énorme bite quelqu'un inséra un doigt dans mon anus.

Son doigt était enduit d'une pommade très fraîche il pénétra aisément mon oeillet ridelé, je ne pensais même pas à leur crier d'arrêter... Je ne sais pas pourquoi... Je n'avais jamais permis à Dave de voir mon trou du cul, encore moins de le toucher!

Les spectateurs regardaient attentivement cet homme introduire un, puis deux, et finalement trois doigts dans mon anus m'évasant imparablement le goulot!

Puis il retira ses doigts et je sentis la masse mafflue de mister gland pres-ser mon anus.

Cela me faisait atrocement mal, mais je n'essayais pas pour autant d'échapper aux mains de mon enculeur.

Je continuais de me concentrer sur la mentule que j'avais en bouche alors que l'homme dans mon dos ma cassait le trou du cul à la grande joie des spectateurs enthousiastes.

Puis ils semblèrent se partager entre ma chatte et mon trou du cul, à l'exception des moments où ils me prenaient en sandwich.

La première fois, j'enfourchais un gros chibre et l'accueillais bien au chaud dans ma cramouille, tandis qu'un musculeux gaillard noir, que je r"marquais pour la première fois, me tirait contre mister buste et me tenait fermement serrée contre lui tandis qu'un troisième s'agenouillait entre mes jambes et forait mister trou dans mon anus resserré.

Je hurlais de douleur mais pour me faire taire quelqu'un choisit cet ins-tant pour se vider les couilles dans ma gorge, cela arriva à plusieurs re-prises au cours de la nuit, je ne saurai dire combien de fois!

La chose qui me restait en tête c'est que Dave, encore et toujours, me nettoyait la chatte et le trou du cul d'une langue agile, je ne me deman-dais même pas pourquoi il faisait cela, il avait l'air égaré, on aurait dit qu'il n'était pas là.

Mais j'étais bien trop occupée pour lui prêter une attention soutenue.

Après une bonne heure, Anne, s'approcha des verres de mister délicieux cocktail en main que je dégustais de concert avec Dave avant de retour-ner à mes luxurieuses activités!

Ils m'abandonnèrent sur le coup de deux heures je me relevais doulou-reusement.

Je m'approchais de Roy et Anne assis dans le patio.

Je ne posais aucune question à la vue de Dave agenouillé suçant la bite de Roy, avalant sa bite à pleine gorge.

Je le fixais un bon moment, c'est alors qu'Anne me fit signe de m'age-nouiller entre ses cuisses.

J'allais me mettre à genoux sur le ciment lorsqu'elle coupa mon élan m'envoyant du bout du pied un coussin.

Je m'agenouillais donc et elle remonta sa jupe, je lui butinais la chatoune pendant un long moment, elle succomba à plusieurs orgasmes consécu-tifs.

J'entendis Roy jouir dans la bouche de Dave, ils nous permirent ensuite de nous reposer quelques instants.

Mais rapidement je dus satisfaire les deux mecs qui avaient filmé toute la soirée avant leur départ.

Dave s'assit passivement alors que l'on me couchait sur le dos sur la couverture, ils m'enculèrent chacun à leur tour.

Lorsque le premier en termina, je nettoyais sa bite d'une langue habile puis ce fut au tour du second, je pus alors savourer un nouveau verre de leur délicieux cocktail.

J'étais éreintée, dans des circonstances normales j'aurai pris une dou-che avant de me coucher, mais rien n'était normal dans ce qui nous arri-vait!

Nous le réalisions à peine.

Roy et Anne finirent par se lever, ils nous intimèrent alors de nettoyer l'arrière cour avant d'aler nous coucher, puis ils partirent chez eux.

Nous nous sommes levés et avons jeté un coup d'œil périphérique, l'ar-rière corps était dans un bordel défiant toute imagination. De nombreu-ses bouteilles de bières jonchaient le sol ainsi que des boites à pizza.

Il me frappa soudain que nous n'avions rien mangé depuis notre petit déjeuner, mais avec les doses de foutre que nous avions avalé tous deux, nous devions avoir l'estomac plein!

chrislebo

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#252 · Edited by: chrislebo
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Peut-être bien que c'est pour cela que je n'avais pas faim!

Je rassemblais les emballages vides alors que Dave gagnait le garage pour aller y chercher des sacs à poubelle vides.

Cela nous prit une bonne heure pour nettoyer la cour, nous nous som-mes alors autorisés à aller au lit.

Je ne sais pas si c'est à cause de la fatigue, ou parce qu'Anne ne nous l'avait pas dit, mais nous n'avons pas pris de douche avant de gagner notre grand lit.

Nous nous sommes lovés l'un contre l'autre nous réfugiant dans les bras de Morphée!

Lorsque le réveil misterna 3 heures plus tard, nous nous sommes éveillés péniblement.

Tout mon corps était endolori.

Mes nichons étaient couverts de bleus, mes cuisses aussi.

La douleur émanant de mon trou du cul et de ma chatoune retint toute mon attention. J'avais envie de me faire porter pâle.

Je pris une douche espérant que cela calmerait mes douleurs, mais il n'en fut rien.

Je gagnais le salon et tendais la main pour me saisir du téléphone lors-que je vis un message épinglé juste au-dessus.

Je le saisis et réalisais tout de suite qu'il s'agissait d'un message d'Anne.

C'était court et gentil, elle nous disait :

- Dave et Donna nous avons passé une merveilleuse soirée avec vous, c'était vraiment super. On vous attend ce soir après souper, on a quelque chose à vous montrer.

A partir de cet instant, le port de sous-vêtements vous est absolu-ment interdit à l'un comme à l'autre, de plus Donna nous voulons que tu portes des tenues extrêmement sexy. On t'interdit de te faire porter pâle à ton boulot, tendrement... Anne.

Je tendis le message à Dave alors qu'il s'habillait.

Nous nous sommes regardés un bon moment puis il se dévêtit et enleva ses sous-vêtements.

Quoi qu'il en soit nous devions obéir à ce dictat, comme nous noues étions soumis à toutes leurs volontés pendant ce week-end qui nous avait vu évoluer entièrement nus.

Nous étions parfaitement conscients de nos actions même si cela ne nous ressemblait pas du tout d'agir ainsi.

Nous étions très gênés mais nous devions obéir.

Quoique nos voisins veuillent nous faire faire, nous devions obtempérer, leur emprise était telle que nous nous sommes habillés comme indiqués, puis nous sommes partis travailler après avoir pris un rapide déjeuner constitué de céréales.

Je ne peux que m'imaginer le type de journée que subit Dave, la mienne avait été parfaitement haïssable.

Tout d'abord j'étais vêtue de façon bien plus provocante que d'ordinaire, lorsque je m'assis à mon bureau cherchant à expédier mon travail, les événements de ce week-end flashaient dans mon esprit, j'étais déchirée entre totale offense et folle excitation.

Mais, vers la fin de la journée de travail, et quel que ce soit ce qui main-tenant une telle emprise sur mon esprit, je me sentais de plus en plus honteuse et de moins en moins excitée.

Vers 15 heures je me rendis aux toilettes, m'enfermais dans une cabine et pleurais toutes les larmes de mon corps pendant quelques minutes avant de reprendre difficilement mes esprits et mon self-control.

Je séchais alors mes yeux, gagnais l'évier me rafraîchissais le visage et me remaquillais.

Je retournais à mon travail le temps de recevoir un appel de mon super-viseur me convoquant dans mister bureau.

Je me levais et gagnais le coin de la pièce ou se tenaient les bureaux des superviseurs.

Celui de monsieur Jeffermister était tout au coin, deux grandes baies vitrés donnaient su la salle ce qui lui permettait de nous surveiller facilement.

Je frappais à sa porte, il me dit d'entrer et de m'asseoir.

Il se leva et ferma les stores de ses fenêtres, verrouilla sa porte puis re-vint à mister bureau et s'assit face à moi.

- Donna, je n'ai pu m'empêcher de remarquer que vous avez totale-ment fait du code de vêture en usage dans notre établissement! Levez-vous je vous prie!

Je me levais appréhendant déjà la suite, je regardais mes mains cris-pées devant moi.

- Je vous prie de m'excuser monsieur Jeffermister, je ne sais vraiment pas à quoi je pensais ce matin! Soupirais-je misérablement.

J'étais très gênée d'être appelée dans mister bureau, dans la tenue que je portais, j'étais très humiliée d'autant plus que je craignais énormément cet homme que je méprisais par ailleurs.

Il continua à me toiser des pieds à la tête puis il ajouta :

- Vous portez un chemisier quasiment transparent, une mini-jupe et pas de soutien-gorge! Vous n'avez pas mis de collants, qu'avez vous encore oublié d'enfiler Donna?

Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais obligée de lui répondre.

- Je ne porte aucun sous-vêtement monsieur Jeffermister, je suis déso-lée!

Il me regarda fixement pendant quelques instants, puis il tendit lente-ment la main, attrapa l'ourlet de ma jupe qu'il retroussa lentement dévoi-lant en entier mon bas-ventre.

Je me tenais debout devant lui passive, je le laissais faire sans un mot de protestation.

Il coinça le bas de ma jupe dans la ceinture et sa main glissa sur mon ventre vers mon mont chauve.

Il me reluquait de la chatoune aux yeux, alors qu'il glissait un des ses doigts entre mes babines.

- Belle petite chatte rasée... Constata-t-il hilare.

- Fermée, douce, soyeuse... On dirait une petite fille... Mais que mistert ces nombreuses contusions sur vos cuisses?

Je ne savais pas quoi lui dire, finalement je me décidais :

- Nous avons organisé une petite fête la nuit dernière et cette soirée a dégénéré!

- C'est ce que je vois! S'esclaffa-t-il vicieusement.

Alors que mister doigt coulissait lentement dans ma chatoune inondée de cyprine, il m'ordonna de déboutonner mon corsage.

J'aurai voulu désespérément pouvoir tourner les talons et fuir mister bureau!

Mais je fis ce qu'il m'ordonnait, je déboutonnais mon corsage laissant pendre les pans.

Son autre main se posa sur mon épaule et glissa sur mon bras alors qu'il inspectait mes nichons.

- Magnifique! S'exclama-t-il

- Magnifique mais quelque peu meurtri! Je ne pensais pas avoir dé-jà vu une chatoune aussi couvertes de bleus! Drôle de fête! Combien d'hommes t'ont sautée?

- Je ne sais pas... Avouais-je misérablement.

Je me mis à pleurer. Je ne comprenais pas pourquoi je me laissais tripo-ter ainsi.

De toutes les fibres de mon être j'aspirais à tourner les talons pour m'en-fuir en hurlant de mister bureau.

- Ta pauvre petite minette est-elle douloureuse? M'interrogea-t-il feignant de se montrer pitoyable.

Je hochais affirmativement la tête, alors que la journée avançait j'étais de plus en plus consciente de souffrir de tout mon corps.

- Bon dans ce cas je ne vais pas te baiser la chatoune aujourd'hui, à la place tu vas me tailler une bonne pipe!

Il se leva et déboutonna sa braguette laissant tomber mister pantalon sur ses genoux, puis il se pencha en arrière sur le bureau.

Je fixais craintivement la porte qui était fermée mais non verrouillée, mais je suppose que ce n'était pas un problème.

Je me laissais tomber à genoux et pris sa bite bandée en bouche et commençais à le branler consciencieusement.

Visiblement il raffolait des caresses de mes lèvres sur sa hampe, il gé-missait sourdement alors que le suçais habilement comme j'avais appris à le faire ce week-end.

Il jouit si rapidement que je ne m'y attendais pas et j'étouffais presque en réceptionnant mister foutre au fond de ma gorge.

Il me tenait fermement la tête contre mister ventre me disant :

- Continue salope!

Je lui obéis servilement, cela prit plus longtemps cette seconde fois mais ce ne fut cependant pas très long avant qu'il me remplisse de nouveau la bouche de foutre.

Finalement il me remit sur pied et me tourna autour levant le dos de ma jupette pour inspecter mon cul.

- Merveilleux! S'écria-t-il ravi.

- Dorénavant tu t'habilleras toujours comme aujourd'hui! Et mainte-nant sors de mon bureau et rentre chez toi!

Je jetais un oeil sur l'horloge au mur, cela faisait 5 minutes que je devrais être sortie, tout le monde devait avoir quitté les lieux.

Je réajustais ma jupe, refermais mon chemisier et le reboutonnais et ga-gnais mon bureau pour y reprendre mon sac à main.

Puis hébétée, je regagnais ma voiture.

Je rentrai à la maimister comme dans un nuage, bientôt je me retrouvais garée dans l'allée de notre garage, je ne me rappelais absolument pas comment j'étais rentrée.

Je pénétrais dans notre nouvelle demeure et me rendais dans notre chambre, je me déshabillais prestement et pris une douche.

Puis je m'effondrais sur le lit et pleurais toutes les larmes de mon corps.

Finalement je repris mes esprits enfilais une tenue d'intérieure et gagnais la cuisine pour préparer le souper.

A moins qu'il ne m'appelle pour me prévenir qu'il serait en retard, j'atten-dais Dave pour 17 heures 30.

Lorsqu'il arriva le souper était prêt, il vint dans la cuisine et me serra dans ses bras me demandant :

- Par le diable que nous arrive t-il?

Je me blottis contre sa poitrine et me mis à pleurer en lui répondant :

- Je ne sais pas, Roy et Anne nous ont fait quelque chose, ils nous ont drogués ou quelque chose de ce genre... Oh mon dieu Dave ça a été épouvantable... Toute la journée fut épouvantable!

Je ne me rappelais de tout ce qui m'était arrivé dans la journée mais je me rappelais ce sentiment d'offense et de honte que j'avais éprouvé à longueur de temps.

Je me rappelais soudain que Roy et Anne nous attendaient après dîner, il fallait y aller. Je ne sais pas pourquoi, mais nous devions obéir.

Dave me serra bien fort et ajouta :

- Je sais ma chérie, je ressens la même chose! Je sais ce que tu entends en disant te rappeler de certaines choses, toute la journée je me suis remémoré les choses que nous avions subies la nuit dernière, c'était l'enfer, tout le week-end!
- Toute la journée j'ai eu des nausées, j'avais envie de rentrer à la maimister, mais je me souvenais du message de ce matin et que je me devais d'obéir, mais le brouillard qui m'avait envahi l'esprit s'ef-face peu à peu, quoi qu'il soit... Nous devons juste faire bien atten-tion de ne pas manger ni boire n'importe quoi chez eux ce soir!

J'opinais de la tête et servais le souper.

Nous avons mangé lentement, nous étions tous deux anxieux à l'idée de rejoindre nos "amis"!

Après souper, je nettoyais la table et faisais la petite vaisselle alors que Dave enfilait une tenue du soir, puis nous sommes allés frapper à la porte voisine.

chrislebo

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#253
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Chapitre 3 :

Mardi : soirée chez nos amis, « premier transports » en bus et se-conde journée au boulot...

Anne ouvrit la porte, nous allions entrer mais elle nous a coupé dans no-tre élan.

- Enlevez vos vêtements avant d'entrer! nous intima-t-elle autoritai-rement.

- Dorénavant vous ne viendrez plus chez nous habillés, à moins que nous vous le disions!

Elle nous parlait amicalement, d'une voix aimable, mais elle nous donnait un ordre, comme un adulte parlant à des gosses de quatre ans.

Nous avons tous deux opiné de la tête et nous nous somme dévêtus prestement nous tenant dans la lumière brillante de l'entrée.

J'entendis des voitures qui roulaient sur le boulevard s'arrêter, mais je n'avais pas le courage de me retourner pour regarder.

Anne nous permit enfin d'entrer nos vêtements à la main.

On jeta nos fringues sur une chaise comme elle nous l'enjoignit puis on la suivit dans la salle de Télé.

Roy s'y tenait déjà discutant avec les deux hommes qui avaient filmé la séance de la veille.

Roy nous désigna les deux verres de cocktail posés sur la table et nous intima de les boire.

Dave le pria de ne pas nous faire boire ce breuvage, il se contenta de nous regarder en souriant, il savait que nous allions finalement lui obéir.

J'avais les yeux plains de larmes en prenant un des verres que je vidais cul sec.

Je suppose que c'était la même boismister que nous avions siroté tout le week-end.

Mais, sans le parfum fruité de camouflage, cette potion s'avérait terri-blement amère.

Nous nous regardions dans les yeux Dave et moi en vidant nos verres avent de les reposer sur la table.

- Ne vous tracassez pas! intervint Roy

- Juste un verre chaque soir pendant le reste de la semaine!

- Qu'est ce que c'est? Osais-je demander.

- Que nous avez-vous fait?

- Ca me parait évident Donna, c'est une drogue que mes laboratoi-res pharmaceutiques ont développé pour combattre la dépression, mais qui se trouva voir un effet particulier que je viens de découvrir récemment en pratiquant les tests d'essais.

- Elle agit sur le propre arbitre le réduisant à néant, il annule toute possibilité de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit, je l'ai mélangé avec une bonne dose d'aphrodisiaque ce week-end pour vous rendre les choses plus agréables.

- Mais en fait, on ne voulait pas vraiment vous faire plaisir, c'est beaucoup plus amusant de vous faire faire des choses que vous réprouvez de toute votre âme, parce que vous n'avez pas le choix.

- Nous avons appris que l'absorption de sept doses de cette drogue rend ces changements définitifs, afin que vous gardiez espoir, je dois vous préciser qu'il existe un antidote que nous vous donne-rons certainement lorsque nous serons las de vous.

- Mais d'ici là, je crains fort que vous soyez obligés de nous com-plaire, d'obéir à tous nos ordres et même aux suggestions de n'im-porte qui.

- Vous serez totalement incapables de mettre en oeuvre votre libre arbitre.

- Vous avez certainement remarqué que les effets de cette drogue diminuaient alors que le jour avançait, d'ici la fin de la semaine cela n'arrivera plus.

- Vous avez certainement aussi remarqué que l'effet de l'aphrodisia-que avait disparu, lorsque je serai de bonne humeur je vous en rendrai une forte dose quand la situation s'y prêtera... Mais je pré-fère savoir que vous haïssez ce que vous faîtes!

Nous nous tenions tous deux stupidement devant eux, alors que Roy et ses deux amis se levaient et se déshabillaient.

Ils se rassirent tout de suite, Roy et l'un des cameramen étaient assis cote à cote sur le large canapé.

Je regardais l'homme à coté de Roy ordonner à Dave de s'étendre à mister coté avec mister visage tourné vers lui.

Je dus faire de même avec Roy.

Lorsque je fus étendue la bouche refermée sur la virilité de Roy je sentis mes cheveux frotter contre ceux de Dave.

Anne empoigna la télécommande et se tourna vers le grand écran Télé, dès qu'elle appuya sur la touche lecture, le DVD défila.

Il concernait la soirée de la veille, maintenant sans être sous l'emprise de la drogue et de l'alcool, je réalisais le nombre d'hommes qui m'avaient possédée.

Je ne pouvais pas les compter, ils étaient bien trop nombreux et ils ne cessaient de bouger, je vis aussi que le léchage de ma chatte engorgée de foutre n'avait pas été la seule dépravation qu'avait enduré Dave.

Plusieurs hommes s'étaient fait sucer la bite, deux autres l'avaient même enculé, je n'étais pas au courant de ces faits.

Roy la coupa :

- Je suppose que vous vous demandez combien il y avait d'hommes hier soir.

La bouche serrée sur sa grosse bite, je grommelai que oui.

- Eh bien, j'étais un peu désappointé, j'avais invité une bonne cen-taine de convives, mais il n'en vint que 72... Certains ne pouvaient pas sortir de chez eux un dimanche soir, d'autres étaient déjà rete-nus, mais, pour faire bonne mesure presque la moitié de mes invi-tés te baisèrent à deux reprises... T'étais follement excitée ma chère Donna, Les gars ont adoré se faire une jeune ménagère aussi douce obéissante... Tu leur as tourné la tête, juste comme tu me tournes la tête maintenant... Tends ta main et branle moi lasci-vement, je suis sur le point de jouir, ne ferrme pas les yeux! Une caméra et braquée sur nous et je ne veux pas que tu perdes une miette du document que ces deux gentlemen ont eu du mal à fina-liser.

J'entrepris de branler Roy, et en peu de temps il vomit mister foutre cré-meux dans ma bouche. C'était plus difficile à supporter maintenant que je n'étais plus sous l'emprise d'aphrodisiaques, l'ignoble potion me brûlait la gorge alors que je me forçais à déglutir.

Lorsque Roy fut entièrement satisfait de ma prestation, il me repoussa et l'autre cameraman m'appela.

Il se tenait à coté de Dave, la bite déployée.

Il m'ordonna de m'asseoir sur lui et de le chevaucher sans perdre des yeux l'écran télé.

Comme je montais et descendais sa mentule dressée, je sentais mes nichons se balancer douloureusement, Roy semblait apprécier le spec-tacle.

Il m'ordonna de garder les mains le long du corps.

Roy me demanda s'il m'était arrivé quelque chose d'inhabituel aujour-d'hui, je dus lui relater ce qui s'était passé avec mon superviseur.

Lorsque j'eus terminé de lui narrer mon aventure ils explosèrent tous de rire.

L'homme qui se faisait sucer par mon mari saisit finalement fermement sa tête afin de se vider dans sa bouche asservie.

Dave gargouilla un peu, mais se débrouilla pour tout avaler.

Dès que mister suborneur le repoussa, Anne l'appela et lui ordonna de plonger sa tête sous sa jupe pour lui brouter le minou.

Roy le coupa dans mister élan :

- Non, attends cinq minutes Anne! On va juste voir le premier encu-lage de Donna et mister premier triple, je serai désolé que Dave manque cette séquence!

Je regardais avec horreur, me souvenant de pénible, alors qu'un étran-ger me lubrifiait soigneusement le trou du cul sous les yeux de la foule des spectateurs avant de forer mister trou dans mes fesses.

J'entendais mes hurlements de douleur partiellement étouffés par la grosse bite qui me bâillonnait.

Le film était savamment structuré, il montrait tous les participants alors qu'ils fourraient leurs bites dans ma bouche, mon con ou mon cul.

On voyait le début et la fin de chaque action, alors que l'intervalle était largement amputé par souci de minorer la durée du DVD.

L'orgie dans mister entier avait duré 9 heures, il en existait une version to-tale en 4 DVD destinée à la vente, alors que nous regardions une ver-sion allégée.

Tout en regardant le DVD je m'étais penchais sur le ventre de Roy dont je suçais la queue pour lui rendre toute sa vigueur.

Il m'informa qu'il n'avait pas eu l'occasion de m'enculer la veille et qu'il allait le faire tandis que Dave brouterait le minou de sa femme chérie.

Nous avons continué de regarder la télé, l'homme sur lequel j'étais as-sise, m'ordonna alors de me retourner et de nettoyer sa bite sans quitter des yeux l'écran.

Tandis que je le nettoyais d'une langue agile, arriva cet instant maudit où je me suis retrouvée avec trois bites en moi.

Je tenais la bite de celui que je suçais en bouche et gardais les yeux ri-vés sur l'écran on l'on pouvait me voir fourrées par 3 bites épaisses.

Nous étions tous rivés à la scène qui se déroulait sur l'écran.

Dès que l'orgie reprit, Roy me rappela et me courba sur un grand prie-Dieu et entreprit de s'amuser avec le goulot de mon trou du cul.

Pendant ce temps, Dave était installé entre les cuisses d'Anne la tête sous sa jupe, il lui mignotait la chagatte.

Roy misterdait mon trou du cul, tout d'abord en employant juste l'humidité de ma chatte, puis en utilisant un lubrifiant.

Lorsqu'il parvint à insérer trois doigts dans mon goulot je parvenais à peine à respirer tant j'avais mal.

Il continuait à m'évaser le goulot distendant impitoyablement mon oeillet annelé.

Puis il se posta dans mon dos et entreprit de forer mister chemin dans mon trou du cul rétif.

Au début je pleurnichais, j'avais mal.

Mais comme il continuait impitoyablement à enfouir sa grosse bite dans mon anus cuisant, je me mis à hurler, le suppliant d'arrêter.

Je le suppliais de sortir de moi, je jurais de faire tout ce qu'il voudrait mais pas ça!

En guise de réponse il empoigna mes nibards endoloris et se mit à m'enculer avec une extrême violence, je hurlais à jets continus.

Il me susurra à l'oreille :

chrislebo

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#254
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Je m'attendais à ce que monsieur Jeffermister me rappelle dan mister bureau avant que je puisse partir.

En fait je travaillais sur mon ordinateur lorsque le concierge se pointa dans mon bureau, il ne me dit pas un mot, il se contenta de déboutonner sa braguette, sortit sa longue et épaisse mentule noire d'ébène et m'en-joignit alors :

- Suce-moi!

J'étais si concentrée sur mon travail que je ne m'étais rendu compte de sa présence qu'en l'entendant proférer mister ordre. Je me retournais effa-rouchée et vis mister épaisse byroute pendant entre ses cuisses.

Je levais les yeux sur lui, il attendait que je m'exécute.

Comme je me penchais en avant pour emboucher mister membre viril je vis monsieur Jeffermister se pencher au-dessus des cloimisters de mon bureau me photographiant avec un appareil photo numérique.

Je sentais la bite du concierge grossir rapidement dans ma bouche, elle fut bien vite aussi grosse que celle de Roy, mais elle n'était pas épaisse au point que je ne puisse la prendre en gorge.

Il cria mister plaisir à la vue de cette jeune épouse blanche engloutissant sa mentule au fin fond de sa gorge dans le bureau vide.

Ses cris rémisternaient dans ma bouche alors que je le suçais avec en-thousiasme comme on m'avait enjoint de le faire, parce que c'était la seule voie que je pouvais suivre.

Il semblait déçu lorsqu'il se vida les couilles au fin fond de ma gorge, ce-la devait faire longtemps qu'il le désirait.

Puis, sans un mot il extirpa sa bite de ma bouche, me tapota la tête et repartit travailler en remerciant monsieur Jeffermister au passage.

Monsieur Jeffermister s'assit sur mon bureau s'appuyant sur les coudes alors que je lui taillais une pipe, apparemment cela l'avait profondément excité de me voir sucer le concierge.

Il éjacula rapidement, remonta la fermeture éclair de sa braguette et me dit de rentrer chez moi. Il ajouta que je ferai mieux d'arriver à l'heure le lendemain si je ne voulais pas qu'il se fâche.

Je me levais rapidement, pris mon sac dans mon tiroir de bureau et me ruais hors du bâtiment où je travaillais.

Je n'avais pas même pris le temps de passer aux toilettes me rincer la bouche, j'étais bien trop pressée de quitter les lieux.

Je redescendis jusque la station de bus qui me ramènerait chez moi. Cette fois, je savais quel bus je devais prendre et je poussais un soupir de soulagement lorsque je me retrouvais dans le bus bondé de monde.

J'avais oublié combien mon trajet allée avait été difficile, mais cela re-commença rapidement.

Je me trouvais pressée entre de nombreux voyageurs basculant d'avant en arrière au gré des cahots du bus, lorsque je sentis une main effleurer mes jambes.

Je soupirais incrédule.

Cela ne pouvait tout de même pas m'arriver chaque fois que je prenais le bus!

Je me rendis compte que je n'étais pas la seule femme, je vis que d'au-tres femmes étaient disséminées ça et là dans le bus.

Elles n'avaient pas l'air de se faire worryer, étais-je donc marquée?

Ou était-ce parce que mes mamelons étaient visibles au travers de mon chemisier et que ma mini jupe ne couvrait que mes fesses!

Je restais passive alors que la main grimpait lentement, mais sans trop d'hésitations, le long de ma jambe.

Comme je ne m'étais pas retournée pour lui claquer une gifle lors du premier attouchement, il devait persuader que cela me plaisait.

Il inséra rapidement deux doigts dans ma cramouille et je commençais à m'en réjouir.

J'aimais tant ce qu'il me faisait que je faillis manquer la station où je de-vais changer de bus.

Je descendais rapidement du bus et me tins dans l'obscurité avec plu-sieurs hommes, attendant tous le prochain bus calmement.

Un des hommes me fixait indiscrètement, je pensais que c'était en raimister de ma tenue.

Mon autobus arriva finalement je grimpais dedans et donnais mon ticket au conducteur.

Je fis le chemin de retour assis le long d'une vitre et me laissais tomber sur le siège. Exactement comme ce matin, le bus n'était qu'à moitié rem-pli.

Aussi fus-je grandement surprise en voyant un homme s'asseoir à coté de moi, je le reconnu instantanément, c'était l'homme de la station de bus.

Il me toisa pendant une longue minute, yeux rivés sur ma poitrine, mes mamelons? Puis mister regard descendit jusqu'à mon de culotte, il me sou-rit et me dit :

- J'ai vu que tu te laissais faire dans le premier bus, j'ai bien vu que ton voisin te caressait intimement et que tu avais l'air d'apprécier ses caresses!

Je ne dis rien, qu'aurai-je pu lui répondre?

Le conducteur avait éteint l'éclairage interne, lorsque le bus avait redé-marré, seuls les lampadaires éclairaient faiblement l'intérieur du bus lorsque l'on passait devant eux, l'étranger tendit la main et palpa indis-crètement mes miches, je le laissais faire.

C'était la permission de poursuivre qu'il attendait.

Il déboutonna lentement mon chemisier et se mit à jouer avec mes ni-bards, avant de tourner mister attention sur ma chatoune.

Il laissa bailler mon chemisier et tendit la main pour retrousser ma mini-jupe.

Il fixa des yeux ma chatoune pendant quelques instants, puis il m'enjoi-gnit :

- Tiens bien ta jupe relevée.

Je tendais la main et saisis l'ourlet de ma jupe lui offrant un meilleur ac-cès entre mes cuisses pour explorer ma moule qui s'avérait détrempé après les manipulations subies dans le premier bus.

- Tu aimes ça? Me demanda-t-il.

- Tu aimes laisser des étrangers jouer avec tes charmes intimes?

Je répondis le plus honnêtement que je le pus :

- Mon corps aime ça!

Il ne savait pas qu'en penser, mais il savait très bien quoi faire, il voulait prendre mister plaisir.

Il m'ordonna de poser la main sur sa bite et de le caresser.

J'étais si impliquée dans ce que je faisais que j'oubliais de misterner à la station où je devais descendre.

Je devais revenir en arrière à trois quartiers de chez moi, le temps que je rentre, il était plus de 18 heures et Dave était malade d'anxiété.

Nous étions tous deux trop contrariés pour souper mais je préparais quand même une salade, je ne voulais pas que Dave se rende malade.

Lorsque nous soupâmes, je lui racontais tout ce qui m'était arrivé depuis ce matin, cela prit un certain temps.

Mais nous n'avons pas pu tergiverser plus longtemps, nous nous som-mes déshabillés et avons gagné la porte des voisins, je vis que des gens se promenaient à l'extérieur, mais il faisait sombre et je pensais que per-misterne ne devait prendre garde à notre tenue.
chrislebo

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#255
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Chapitre 4 : une certaine routine s'installe.

Anne avait allumé les lumières de mister porche d'entrée, et elle nous lais-sa poireauter un bon moment après que l'on ait misterné.

J''entendais les gens passer dans la contre-allée alors que nous atten-dions.

Je savais qu'ils pouvaient nous voir.

Nous ne pouvions que rester là passivement, le dos tourné vers la contre-allée espérant que permisterne ne remarquerait notre tenue.

Finalement Anne ouvrit la porte et nous fit entrer, elle nous emmena dans la salle de télé, il n'y avait qu'eux d'eux.

Nous avons avalé docilement notre drogue, puis Roy me courba sur l'agenouilloir et me baisa lentement en chatte. Ma cramouille était trempée de cyprine et remise de tous les abus qu'elle avait subi dans la journée, je dus leur raconter tout ce que j'avais enduré au cours de cette journée.

Comme je décrivais ma journée, Anne se déshabilla et se rassit et se fit travailler par la langue de Dave.

Ils me posèrent quelques questions embarrassantes, ils ne se conten-taient pas de mon rapport, ils voulaient des détails, ils voulaient que je décrive ce que j'avais ressenti, comment j'avais réagi, ainsi que les réac-tions de mes suborneurs.

Anne jouit à plusieurs reprises pendant la demi-heure que je pris pour raconter ma journée.

Roy jouit juste au moment ou je terminais et resta bourré au fin fond de ma chatoune tandis que je parlais.

Il ne tarda pas à durcir à nouveau et se remit à me baiser vigoureuse-ment.

Anne s'estima enfin satisfaite et repoussa Dave.

Comme il n'avait rien à faire, Roy lui intima de se glisser entre ses jam-bes pour lui lécher les burnes tandis qu'il ma baisait à couilles rabattues.

Je vis le visage de Dave refléter mister désarroi lorsqu'il se releva, mais il dut lui complaire, il ne pouvait qu'obéir, comme moi il n'avait pas d'autre choix.

Finalement ils nous laissèrent retourner chez nous vers 20 heures.

Nous nous sommes assis dans le salon où le DVD rapportant notre orgie du dimanche tournait en boucle, cherchant à nous consoler mutuelle-ment.

Je ne pensais que les choses pouvaient perdurer ainsi bien longtemps. Soudain je sus ce dont j'avais besoin.

J'agrippais le bras de Dave et l'entraînais dans notre chambre lui murmu-rant à l'oreille :

- J'ai besoin que tu me fasses l'amour! J'en ai marre de me faire baiser à la hussarde!

Il n'y avait pas besoin de longs préliminaires.

Cela faisait des heures que nous étions nus et ma chatoune était certai-nement bien lubrifiée.

Je m'étendis sur le dos sur le lit et Dave s'installa entre mes cuisses pour me lécher la fentine.

J'essayais de l'arrêter, mais il me sourit gentiment et me dit :

- Cela n'a plus grande importance Donna, tout ce qui compte main-tenant c'est nous deux nous devons rester bien soudés et chercher le moyen de nous en tirer sans trop de problèmes!

Il recommença à me lécher la chatte, et mes cuisses détrempées, il me nettoya rapidement.

Puis il se concentra sur ma foufoune et je jouis rapidement sous ses lé-chouilles.

J'avais passé trop de temps à être excitée et stimulée, le plus souvent par de totaux étrangers, il me sembla que je jouissais bien plus vite que d'ordinaire avant que tout cela commence.

J'eus une paire d'orgasmes intenses avant que je me redresse pour l'atti-rer sur moi.

Nous nous sommes embrassés fougueusement et nous avons fait l'amour avec passion pendant un long moment.

Lorsqu'il n'en put plus Dave s'effondra à coté de moi je n'hésitais abso-lument pas à me pencher pour le prendre en bouche et lui nettoyer amoureusement la bite.

On puait tous deux le sexe, mais nous étions trop épuisés, trop crevés pour prendre une douche.

Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre et l'on ne bougea plus jusqu'au moment ou le réveil misterna le lendemain matin.

Nous avons pris notre douche et cherché quoi nous mettre pour la jour-née.

Je n'avais plus de brassières propres aussi enfilais-je une petite robe d'été au profond décolleté que j'avais l'habitude de porter avec un gilet recouvrant ma poitrine.

Si je ne portais pas ma veste, mes miches seraient très exposées.

Cette robe était très fine et très courte, j'espérais qu'elle ferait l'affaire. Je ne trouvais rien d'autre de portable. Il faudrait que je fasse des courses cette nuit en rentrant à la maimister.

J'embrassais Dave en le quittant et me préparais à partir à mon tour.

Je sortais, fermais la porte à clef et me dirigeais vers ma voiture.

Je retenais ma respiration à chaque pas paniquée à l'idée de devoir re-prendre le bus ce matin.

Mais je parvins sans encombre à ma voiture et partis vers mon bureau où j'arrivais avec un peu d'avance.

Je gagnais mon bureau, posais mon sac et me disposais à travailler.

Je terminais la frappe du premier document lorsque le signal indiquant l'arrivée d'un message retentit.

A l'exception des circulaires du bureau, je ne recevais jamais de mes-sage.

J'ouvris le mail et vis une photo de moi de pied en cap suçant la grosse bite noire du concierge la veille au soir.

Je jetais rapidement un coup d'œil circulaire pour m'assurer que j'étais seule puis je fis un scroll pour vérifier si un texte accompagnait la photo.

Je découvrais deux autres photos, sur la dernière j'avais les lèvres cou-vertes de semence, et je me pourléchais les babines.

J'atteins alors le texte. On m'ordonnait de me rendre dans la salle de conférence à 10 heures.

Je venais tout juste de refermer le mail lorsque monsieur Jeffermister entra dans mon bureau, il m'intima de me lever et inspecta ma tenue.

Il fronça les sourcils puis il tendit la main et m'enleva ma veste, puis il me signe de tourner sur moi-même.

Je me tournais lentement consciente que les flancs de mes nichons étaient largement exposés. Lorsque je me retrouvais de nouveau fac à lui il me rendit ma veste m'ordonnant de ne pas la remettre sur mon dos.

Puis il retroussa ma robe détailla ma chatoune et sourit :

- Ravissant... S'exclama-t-il enthousiaste.

- Jamais je n'ai autant aimé mon boulot qu'en ce moment!

Comme c'est bizarre, pensais-je ironiquement, quant à moi, je n'ai ja-mais autant haï mon boulot qu'en ce moment!

Il me quitta bientôt et je repris à mon boulot. Je me jetais dessus à corps perdu m'efforçant de ne pas penser à mon rendez-vous de dix heures dans la salle de conférence.

Je jetais un oeil sur ma montre et constatais qu'il me restait deux minu-tes pour m'y rendre, c'était à l'autre bout de l'immeuble, mais par chance au même étage, j'y étais à 10 heures juste. Je frappais à la porte, une voix sourde me pria d'entrer.

J'entrais et retrouvais monsieur Jeffermister, monsieur Taylor et deux jeu-nes gars du service du courrier.

Monsieur Taylor m'enjoignit de verrouiller la porte dans mon dos et m'expliqua :

- Je crois que tu as déjà rencontré Jimmy et Dan, n'est ce pas Don-na?

Je hochais affirmativement la tête avec découragement.

- Je t'ai invité à nous rejoindre parce que les photos que j'ai prises hier ne mistert pas excellentes, aussi ai-je envie d'en reprendre plu-sieurs avec un bon appareil! Je pense qu'elles seront d'autant plus excitantes si tu poses avec des partenaires, c'est alors que j'ai repensé à l'équipe du courrier... Ils méritent vraiment une augmentation, mais comme je ne peux la leur accorder, je me suis dit qu'à la place je leur permettrais de te baiser aujourd'hui et chaque fois qu'ils en auront envie, tant que leur boulot me donnera satisfaction! Aujourd'hui tu vas poser avec eux tandis qu'ils te baiseront à couilles rabattues... Et désormais, lorsqu'ils auront du temps libre, ils pourront t'appeler de leur bureau et tu viendras dissiper leur stress!

Il se tourna vers Jimmy et Dan, ils semblaient de jeunes gens bien comme il faut.

Ils sortaient probablement du lycée et touchaient de bas salaires, ils de-vaient tous deux avoir moins de 20 ans.

Il leur dit :

- Les gars elle est toute à vous, prenez votre temps et amusez-vous bien! Faite seulement bien attention de ne pas déchirer ses vêtements! Elle doit être capable de travailler le reste de la journée!

Les deux jeunes hommes rivèrent leur regard sur moi alors que mon-sieur Jeffermister et monsieur Taylor commençaient à prendre des photos.

Soudain ils ne me semblaient plus si jeunes que ça.

L'excitation leur donnait des expressions de prédateurs.

Ils s'approchèrent de moi et me bousculèrent pour me déshabiller pour palper au plus vite mes formes.

Je ne sais pas s'ils avaient reçu des consignes, mais ils étaient particu-lièrement brutaux et visiblement ils prenaient plaisir à me rudoyer.

Je pleurais et sanglotais rapidement exprimant ma douleur et mon humi-liation alors qu'ils trituraient mes nichons, en pinçant la chair tendre, l'un d'eux me souleva même sur la pointe des pieds en me tirant par les té-tons.

Ils se déshabillèrent tout à tour, l'un me maltraitant tandis que l'autre se dévêtait.

Puis ils me poussèrent sur le dos sur la table de conférence, l'un d'eux se pencha sur moi et se mit à me mordiller les mamelons me faisant hur-ler de douleur.

chrislebo

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#256
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Je ne me voyais pas faire, je sanglotais hystériquement tout le temps que cette épreuve dura.

Anne reposa enfin la caméra puis elle se pencha sur moi et me susurra :

- La prochaine fois il te pissera dans la bouche ma chérie!

Je dus alors m'étendre sur la bâche couverte d'urine, elle était déjà re-froidie.

Ca puait, de plus cela me rappelait clairement ce que je venais d'endu-rer, ils m'ignoraient, s'assirent dans le patio et sirotèrent un verre avant que Roy n'aille prendre une rapide douche.

C'est alors que survint Dave, il me jeta un oeil angoissé, comme révulsé par mon apparence abjecte.

Il but le grand verre d'eau de drogue qui l'attendait. Puis il revint vers moi et pissa sur tout mon corps.

Une fois qu'il en eut terminé, ils m'avertirent que je pouvais rentrer chez moi.

Anne avait filmé toute la séquence ou Dave m'urinait dessus, inondant mes cheveux, mon visage, mes nichons, mon pubis de sa sale pisse. jusqu'à l'instant ou le flot se tarit et qu'un seul filet jaunâtre s'écoula len-tement de mister méat.

Je dus ensuite m'asseoir au centre de la bâche, et ils ordonnèrent alors à Dave de s'approcher et de me rouler une pelle.

Elle arrêta alors la caméra, et m'ordonna d'emmener la bâche chez moi pour la nettoyer et la ramener propre le lendemain.

Je la pliais rapidement et Dave l'empoigna pour l'emmener. Il la jeta dans la cabine de douche et la savonna rapidement.

Nous l'avons ensuite rincée et pendu au-dessus du rideau de la cabine de douche des invités.

Ils m'avaient enjoint de raconter à Dave comment s'était passée ma journée en détail.

Nous avons pris une douche rapide puis nous sous sommes couchés et il me prit dans ses bras tandis que je lui racontais tout ce qui m'était arri-vé au cours de cette maudite journée.

Je soupçonnais maintenant que notre maimister était équipée de micros qui leur permettaient de nous surveiller jour et nuit peut-être pas de ca-méras vidéos, mais tout au moins de micros espions, aussi suivais-je scrupuleusement leurs consignes.

Cela me prit une bonne demi-heure pour tout raconter de ma journée à Dave, jusqu'au fait que deux jeunes gens allaient venir tondre la pelouse samedi et qu'ils pourraient profiter à leur guise de mes charmes alors que je continuerai à évoluer entièrement nue dans notre maimister.

J'avais pris la bite de Dave en main tandis que je lui racontais ma jour-née, tandis que je narrais mes aventures je sentais sa bite grossir entre mes doigts au fur et à mesure que mon récit avançait.

Je réalisais que mon rapport l'excitait grandement, cela me convenait parfaitement car moi aussi je sentais mon émoi grandir, et je savais maintenant que je n'étais pas la seule à ressentir ces effets.

Lorsque je terminais mon récit, je me penchais sur lui et le suçais ten-drement, une de ces fellations auxquelles j'avais été tant entraînée ces quatre derniers jours.

- Mon Dieu... Pensais-je soudain

- Cela ne faisait que quatre jours!

chrislebo

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#257
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Chapitre 5 : suite des aventures de nos héros

Le lendemain nous nous sommes levés comme à l'ordinaire et on déjeu-na comme d'habitude en début de week-end d'un bol de céréales.

Comme d'ordinaire Dave partit travailler et je me rappelais soudain que je n'avais pas fait mon lavage hebdomadaire la nuit dernière.

Je paniquais, je cherchais désespérément quelque chose de sexy à enfi-ler.

J'étais désespérée en dernière ressource j'empoignais ma petite robe noire favorite et ma trousse de couture, et aussi vite que je le pus je la raccourcissais la transformant rapidement en mini-robe.

Je l'essayais rapidement et me rendis immédiatement compte que j'aurai pu être plus mesurée, elle était extrêmement courte.

Je grimpais sur un tabouret et me regardais dans le miroir, il m'apparut tout de suite que ma chatoune restait couverte tant que je ne bougeais pas d'un poil.

Je jetais un oeil sur l'horloge.

Je n'avais pas le choix.

Je devais sortir.

Je ne pouvais attendre plus longtemps.

J'empoignais mon sac et me ruais dehors, je tombais immédiatement sur Anne.

Elle me souriait gentiment et me dit :

- Quelle belle journée, je crois que tu apprécieras de faire à nouveau le trajet en bus aujourd'hui!

Je la regardais égarée, j'aurai voulu désespérément la supplier de se montrer raimisternable, mais je savais pertinemment que ce serait en vain.

Alors que je m'éloignais elle me jeta :

- Il y a un peu de vent aujourd'hui, mais ne te tracasse pas pour si peu, je t'interdis, quelques soient les circonstances, de maintenir ta robe en place ou de chercher à l'empêcher de se relever! Passe une bonne journée ma petite chérie!

Je m'étais figée quelques secondes le temps de digérer ses dernières consignes., elle me critiqua :

- Tu ferai mieux de te magner le cul stupide salope! Tu vas rester un bon moment en plein vent si tu rates ton bus...

Je réalisais qu'elle disait vrai et me précipitais vers l'arrêt de bus au bout de la rue, j'y arrivais en même temps que l'autocar.

Je faisais la queue avec deux hommes, mais celui qui était posté en face de moi prit conscience de ma tenue, galamment il me fit signe de le pré-céder pour monter dans le bus.

Je savais pertinemment qu'il allait reluquer mon cul lorsque je grimperais les marches d'accès au bus.

Je payais mon ticket et me dirigeais vers une place vide.

Je pensais que cela se passerait bien cette fois et m'assis sur de façon à ce que permisterne ne puisse s'asseoir à mes cotés.

Mais l'homme qui avait maté mon cul n'entendait pas se faire avoir aussi facilement. Il se posta à coté de moi et me demanda de me glisser sur le siège, bien sur, je m'exécutais docilement.

Je glissais de coté, exposant largement ma chagatte.

Du fait des dernières instructions d'Anne alors que je quittais la maimister il m'était interdit de repousser ma jupe sur ma chatoune à l'air libre.

L'homme, un vieil homme un soixantenaire écarquillait les yeux à la vue de ma foufoune, puis il me sourit prenant mon manque de réaction pour une invitation évidente à me mignoter, il plaça alors sa main droite sur ma cuisse dénudée.

Sa main escaladait ma cuisse, le bus venait de stopper, une paire d'hommes et une femme montèrent.

Ils payèrent leurs tickets et se dirigèrent vers le fond où se trouvaient les fauteuils libres.

Le dernier homme à être monté allait nous dépasser lorsqu'il vit ma fou-foune exposée à l'air libre, il s'arrêta subitement.

Il se figea et regarda fixement le vieillard qui malaxait ma chatoune avant d'insérer un doigt inquisiteur dans ma fentine, visiblement ma gêne le réjouissait, il sentait confusément que je lui permettais de telles privautés alors que je ne désirais pas une telle attention.

Mais pour l'instant il se contentait de profiter de cette chance qui lui échoyait, il me worryait sous les yeux d'un assistant ravi d'une telle aubaine, il me caressa ainsi sans vergogne jusqu'à l'arrêt du bus, je me levais pour changer de bus, les deux hommes en firent autant et me suivirent de loin.

Je me tenais à l'arrêt de bus, ma fine jupe flottant au vent exposant ma chatte et mon cul aux yeux des badauds enthousiastes.

Mon bus arriva enfin, je dus rester debout, toutes les places assises étant prises.

Je pensais que cela pouvait être un avantage.

J'étais hors de portée des hommes de l'autre bus.

J'en oubliais les gens assis à mes cotés.

J'étais debout à coté de deux jeunes gens dans les vingt ans qui braquaient des yeux concupiscents sur mes longues jambes.

L'homme qui avait malmené ma chatoune dans le premier bus se serra dans mon dos et releva lentement ma jupe.

Tout en relevant ma jupe il me tourna me disposant le cul juste face aux deux jeunes gars assis à coté de moi.

Lorsque ma croupe se retrouva entièrement exposée, il tendit la main et me pétrit fermement une fesse, de la jambe il me forçait à écarter les cuisses en grand.

Je n'osais pas regarder les deux jeunes gaillards assis à coté de moi, mais je savais que je retenais leur attention.

Je sentis la différence de toucher lorsqu'ils se mirent à explorer mes charmes culiers et ma chatoune, prenant chacun leur tour se montrant de plus en plus rudes.

Mais le pire ce fut quand j'entendis les deux femmes dans les fauteuils derrière moi détaillant tranquillement mes charmes, elles observaient at-tentivement ce qu'ils me faisaient.

Et encore n'était-ce pas vraiment le pire.

Le pire arriva lorsque je dus mordre mes lèvres pour me retenir de crier alors qu'un orgasme d'une intensité rare me dévastait.

Nous sommes enfin arrivés à mon arrêt, et grâce à la foule des gens se pressant les uns contre les autres, permisterne ne vit à quel point mes charmes étaient exhibés avant que ma jupe ne retombe sur mes cuis-ses.

Je me précipitais jusqu'à mon bureau, ignorant ma jupe qui volait au gré de ma course, j'avais une minute de retard.

J'étais si déçue que j'en aurai pleuré, ou bien était ce du fait de mon épreuve dans le bus?

Apparemment la direction était nerveuse aujourd'hui, monsieur Jeffermister vint dans mon bureau vers 10 heures, sortit sa bite de mister caleçon et se fit tailler une pipe.

Le fait de sentir tous ces employés tourner autour de mon bureau de-vaient l'exciter car il éjacula rapidement.

Puis je suis restée seule jusque 15 heures, c'est à cette heure que je re-çus un mail émanant des deux jeunes gérant la messagerie, m'ordon-nant de les rejoindre.

Je pris l'ascenseur pour descendre au sous-sol qui semblait le bon en-droit pour abriter ces animaux. Je frappais à la porte de leur antre.

Un panneau s'affichait sur la porte portant la mention "seuls les em-ployés de la messagerie mistert autorisés à franchir cette porte"

L'un des deux ouvrit la porte, je ne savais pas toujours pas lequel était Jimmy, et lequel Dan, mais cela importait peu en fait.

Il me fit entrer et referma la porte dans mon dos, ils m'ordonnèrent alors de me foutre à poil.

J'enlevais immédiatement ma petite robe noire.

Je la jetais sur une chaise proche et attendis que les abus commencent.

Ils sortirent tous deux des caméras digitales et me firent prendre des po-ses obscènes.

- Doux Jésus... Pensais-je résigné:

- Ils vont tous disposer de photos de moi nue!Jésus

J'assumais toutes les poses que leurs pervers esprits me réclamaient.

Celui qui avait traité si rudement mes nibards hier jeta ses sous-vêtements au sol et enfourna sa bite dans ma bouche asservie.

Puis, alors que mister copain continuait à prendre cliché sur cliché il me tira les mains derrière la tête et les lia avec une ceinture.

Puis il me repoussa sur le dos en appui sur mes bras il me fit mal, je criais dans mon baillon, ce qui les fit rire.

Il me retourna, je ne savais pas ce dont il s'était servi pour me ***r.

Le petit bâtard me maintint allongé sur le dos et empoigna une règle de bois et commença à me frapper sur les nichons.

Je hurlais et me débattais pour lui échapper, mais il me clouait bien au sol et il me frappa jusqu'à ce que mes nichons soient tout rouges, brû-lants et couverts de bleus.

Je pense que je m'étais évanouie, parce que la seule chose dont je me rappelle ensuite c'est qu'il me giflait violemment en plein visage alors qu'il me baisait vulgarement en chatte.

Il en avait terminé avec ses brutaux préliminaires bien que j'étais dans les vapes.

Peu après que je soie revenue à moi il éjacula en moi tout en continuant à me gifler avec vulgarité.

Il me jeta au sol pour que je lui nettoie la bite de la langue, puis il reprit sa ceinture et me refila à mister copain.

Dieu merci mister pote n'était pas aussi vulgar que lui, il me disposa à plat dos sur le bureau, tournée vers lui et releva mes jambes exposant mon trou du cul.

Il me baisa en chatte pendant une bonne minute, puis il se retira et en-fourna sa bite dans mon trou du cul.

Sa mentule n'était pas très grosse, et mes nichons me faisaient si mal que je n'y prêtais que peu d'attention.

Il jouit rapidement, et une fois que j'eus nettoyé sa bite il me rendit ma petite robe et m'e laissa retourner à mon bureau.

Il était 15 heures trente lorsque je rentrais dans mon bureau, il me sem-blait pourtant que mon épreuve avait duré bien plus longtemps que cela!

Je m'assis à mon bureau pendant une bonne minute, cherchant à récu-pérer mon souffle, puis je repris mon travail.

Je me préparais à quitter le bureau à quatre heures lorsque monsieur Jeffermister s'approcha de moi.

Im me demanda ce qui s'était passé dans la messagerie, et lorsque je le lui eus raconté, il remonta mon chemisier dénudant mes miches qu'il ob-serva attentivement, je m'attendais à ce qu'il me montre un peu de pitié. Je n'étais vraiment qu'une petite salope stupide. Il sourit et empoigna mes miches et les serra jusqu'à ce je tombe à genoux.

Je m'efforçais de ne pas crier pour ne pas attirer l'attention, c'était exac-tement la seule chose à ne pas faire, il baissa les yeux sur moi et se-coua la tête en signe de dégoût en me disant :

chrislebo

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#258
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- Rentre chez toi stupide salope!

J'empoignais mon sac gagnais rapidement mon arrêt de bus. Je me te-nais dans la foule attendant que mon bus arrive.

Au début la foule me protégea de la brise qui était plus forte dans les rues de la cité qu'en banlieue.

Mais, alors que les gens se précipitaient pour monter dans le bus, je me retrouvais moins protégée du vent exposant mes charmes à un public ravi.

Un homme s'approcha de moi et me dit :

- Hello petite pute!

Bien que je ne vis pas mister visage, je reconnus ses chaussures, c'était l'homme qui avait rendu ma promenade matinale si déplaisante, à l'ex-ception de l'orgasme qui m'avait foudroyé à la fin du voyage.

Je soupirais :

- Hello. En retour et me figeais attendant que les abus reprennent.

J'espérais seulement qu'il attende le temps qu'on monte dans le bus afin que la ville entière ne soit pas témoin de ma dégradation.

Il n'attendit pas se montra assez discret alors qu'il me caressait énergi-quement les fesses au travers de ma jupe alors qu'on attendait le bus.

Je savais que les gens qui se trouvaient à nos cotés étaient conscients qu'il caressait rudement mes charmes, mais j'étais incapable de me dé-fendre.

Enfin mon bus arriva j'attrapais la barre et grimpais dans le bus, mon tourmenteur ne se satisfaisait pas de cela, il empoigna mon bras et tira vers le fond du bus, il me poussa sur la banquette arrière à coté de trois passagers qui m'ignorèrent tout au moins au début.

Cependant ils remarquèrent toutefois que je ne portais pas de culotte, lorsqu'il me repoussa sur le siège exposant entièrement ma chatoune.

Il me maintint dans cette position pendant quelques minutes partageant la vue de ma toimister dorée avec mes voisins.

Mais il ne s'en satisfa pas longtemps. Je sentis qu'il descendait lente-ment la fermeture éclair dorsale de ma robe, je mordais mes lèvres en secouant la tête, le suppliant des yeux de cesser mister manège.

Un des hommes à côté de moi toussa je levaisles yeux et le vit ouvrir de grands yeux écarquillés.

Le plus proche tendit la main et la posa sur ma cuisse.

Comme je n'opposais aucune résistance il la glissa vers ma chatoune et joua avec ma foufoune alors qu'il regardait mon agresseur descendre lentement le devant de ma robe dénudant lentement mes miches qui étaient rouge vif, enflammées.

Choqués ils regardaient tous quatre mes chairs contusionnées, puis l'homme sur lequel j'étais assise m'attira contre mister torse et referma la fermeture à l'instant même où l'on arrivait à mon arrêt.

Nous avons forcé notre passage dans la foule et avons attendu notre prochain bus.

Il n'y avait pas grand monde autour de nous, il m'éloigna des gens qui attendaient, j'attendais qu'il recommence à me tourmenter.

Il me demanda alors ce qui m'était arrivé, c'était surtout pour s'en amu-ser, pas vraiment pour me ***r et user de moi.

J'aurai pu tout lui dire, mais je ne le pouvais pas, cela aurait pu être considéré comme un appel à l'aide aussi ne pouvais-je rien lui raconter.

Je le regardais des larmes pleins les yeux et lui confiais :

- Je suis désolée, j'aimerai pouvoir vous raconter mes ennuis, mais je ne le peux pas! Même si je le désire profondément, je ne le peux pas!

Il était visible à mister attitude qu'il crut que j'étais trop effrayée pour pou-voir lui confier mes problèmes.

Notre bus arriva et nous nous dirigeâmes vers l'arrêt suivant.

Je descendis et me pressais de retourner chez moi, j'étais consciente qu'il me suivait. Je ne pouvais qu'espérer que qu'il en sortirait quelque chose de bien. Peut-être bien qu'il préviendrait les flics et qu'il nous sau-verait de l'emprise de nos voisins.

Je me précipitais dans notre chambre et me déshabillais, je pris une douche rapide et chargea la machine à laver, je voulais aller acheter des tenues encore plus audacieuses dès que possible, il ne me restait pas grand temps pour laver mes tenues provocantes à répétition.

Une fois la machine à laver mise en route, je préparais le souper, Dieu merci Dave rentra à la maimister en temps normal.

Il fit la grimace en voyant mes miches maltraitées, mais je posais un doigt sur ses lèvres, et on évita d'évoquer ce sujet.

Nous avons mangé calmement, on craignait déjà notre future visite chez nos voisins.

Lorsque nous eûmes terminé notre repas, je nettoyais la cuisine et Dave sortit la bâche qui avait servi la nuit dernière et on la replia dans la salle de séjour.

J'étais déjà nue, il se déshabilla rapidement et nous avons regardé de-hors.

Ne voyant permisterne se promener, nous nous sommes dirigés aussi ra-pidement que possible sans pour autant donner l'impression que nous courions, vers la porte de nos voisins et nous avons misterné.

Après l'habituelle attente ils nous firent entrer.

Ils nous tendirent notre verre de drogue que l'on vida rapidement, encore un et l'effet serait permanent.

Nous n'étions pas seuls ce soir, une demi-douzaine d'hommes nous at-tendaient, je ne les reconnus pas, mais cela ne voulait rien dire.

J'avais été baisée par plus de 80 hommes depuis dimanche et ne pou-vais pas tous les reconnaître!

Nous avons du nous agenouiller de chaque coté de la table base du sa-lon puis de nous pencher dessus.

Ce faisant nos têtes se touchaient, nous nous regardions yeux dans les yeux, partageant nos craintes et nos tourments, notre dégradation.

Nous ne devions pas bouger, deux hommes se positionnèrent dans nos dos, nous écartèrent les fesses et nous enculèrent vigoureusement.

Tandis qu'ils nous enculaient, je dus raconter, en détails, les événements de la journée.

Ils étaient particulièrement impatients de connaître la raimister de ces mar-ques de maltraitance sur mes nichons.

Je commençais par raconter mon état de panique lorsque j'avais réalisé que je n'avais rien d'approprié à enfiler. Je décris alors ma précipitation pour me préparer une tenue provocante et mon erreur dans la découpe du bas de ma robe, je l'avais coupée trop courte de 5 centimètres.

Je leur parlais de l'intervention d'Anne me suggérant de prendre le bus ce matin, je leur narrais alors les agissements de ce salopard qui m'avait suivi dans le bus.

J'abordais ensuite les événements survenus dans le second bus com-ment j'avais été exhibée sous les yeux de deux jeunes gars qui m'avaient pelotée pendant le reste du trajet. Cependant je taisais le puissant orgasme qui m'avait terrassé sous leurs caresses habiles.

Puis je racontais ma journée de travail, détaillant mon séjour dans la salle de messagerie. Puis je revenais à mon retour en bus jusqu'à évo-quer le dilemme du à ma situation.

Le temps que je finisse de raconter es aventures, mon mari et moi avions déjà étés enculés par trois hommes.

Ils se reposèrent alors en regardant la vidéo tournée par Anne la nuit dernière.

Ils la lui firent rembobiner voulant revoir la séquence pendant laquelle Roy puis Dave m'avaient arrosé de pisse.

Ils regardèrent ce passage à plusieurs reprises avant de retrouver leur vigueur les trois qui m'avaient enculée faisaient maintenant la queue pour sodomiser mon mari, alors que les trois qui l'avaient enculé se préparaient à me casser le cul à leur tour.

Cela prit plus longtemps cette fois, bien plus longtemps!

Lorsque les six invités en eurent finis avec nous, Roy nous disposa cote sur la table et entreprit de nous enculer.

Il me bourrait de trois quatre cous de bite, puis enculait Dave.

Il alla ainsi entre nous deux à plusieurs reprises.

Puis il eut une meilleure idée, il attira l'agenouilloir et nous disposa de part et d'autre face à face.

Puis il entreprit d'enculer l'un de nous pendant une minute puis il contournait l'agenouilloir et procédait de même avec l'autre.

Il faisait des commentaires graveleux à l'usage des spectateurs, il disait que cela aurait été encore meilleur si l'on avait été lié sur une roue qu'il aurait fait tourner toutes les minutes ce qui lui aurait évité de se dépla-cer. Finalement il jouit dans mes intestins et se fit nettoyer la bite par Dave.

Puis je dus nettoyer le trou du cul de Dave avec ma langue et Dave fit de même avec mon anus.

Anne ne s'occupa de nous avant le départ de leurs 6 invités.

Elle aimait regarder, et elle aimait user et user de nos charmes, mais apparemment cela la gênait de se dénuder devant ces six hommes cré-pus.

Cela me surprenait après sa façon de se comporter de ces derniers jours, je suppose que tout simplement elle n'en avait pas envie à cet ins-tant.

Lorsque Les six hommes partirent, Anne se dévêtit et Dave lui bouffa le gazon tandis que je suçais et mignotais ses tétons.

Enfin ils nous permirent de retourner chez nous.

Tandis que nous traversions l'arrière cour, je murmurais à Dave qu'ils nous entendaient lorsqu'on parlait dans la maimister et que peut-être même qu'ils nous voyaient. J'étais certain qu'Anne m'avait fait prendre le bus ce matin même parce qu'elle avait constaté à quel point ma robe était courte.

Dave hocha la tête affirmativement, il ne semblait pas outre mesure sur-pris.

Nous sommes rentrés chez nous et je criais en voyant quelqu'un assis dans notre salon obscur.

Dave alluma la lumière, et je vis qu'il s'agissait de monsieur Taylor.

- Que faites-vous ici? Criais-je

Il me sourit calmement et me coupa :

- Ferme la salope... Je t'ai ratée au boulot... J'ai du m'absenter pour honorer des rendez-vous hors de la ville... J'ai décidé que j'arrête-rai chez toi en rentrant pour me faire ton jeune cul!

Il me parlait à moi, mais c'est Dave qu'il regardait.

Il comprit que Dave, comme il avait suspecté, était incapable de s'oppo-ser à ce qu'il voudrait faire de moi.

Il se leva et m'ordonna de l'aider à se déshabiller.

Je soupirais résignée et m'approchais de lui commençant alors à le dé-vêtir. Il avait pas mal bu, il puait l'alcool.

chrislebo

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#259
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Lorsqu'il fut nu il enjoignit à mon mari de prendre ses vêtements et m'or-donna de l'emmener dans notre chambre.

Il s'étendit sur le grand lit conjugal et m'intima de lui sucer la bite pendant quelques minutes.

Il semblait prendre énormément de plaisir à se faire tailler une pipe sous les yeux de mon mari sachant que nous étions obligés de participer contre notre volonté.

Je le suçais comme j'avais maintenant appris à le faire, avec une cer-taine compétence sinon de l'enthousiasme.

Après quelques minutes il repoussa ma bouche et m'attira sur le lit. Il s'allongea sur moi et ordonna à Dave de guider mister chibre dans ma chatoune accueillante, et il entreprit de me marteler profondément sur un rythme soutenu.

Cela ne dura pas très longtemps. Il jouit rapidement, projetant une dé-charge crèmeuse de plus dans mon utérus profané.

Puis il s'écroula sur moi et y resta quelques minutes sa queue se ramollit en moi.

Il se retira finalement et ordonna à Dave de lui sucer la bite pour la net-toyer. Tandis qu'il se rhabillait, il me demanda ce qui était arrivé à mes nibards, je lui confiais mon épreuve.

Il rit et me dit :

- Bordel ces jeunes ont plus d'imagination que je le pensais! Ils pourraient bien avoir de l'avenir dans la compagnie...

Je le suivais jusqu'à la porte et le regardais partir.

Puis, je me rappelais mes vêtements, je les sortis de la machine à laver pour les mettre dans l'essoreuse, je les fis sécher pendant un quart d'heure, je repris alors une douche rapide.

Enfin, je pendais mes vêtements sur le séchoir et allais au lit.

Allongé sur le dos Dave avait les yeux rivés au plafond, il semblait plon-gé dans des pensées moroses.

J'éteignais la lampe et me pelotonnais contre lui, je lui murmurais à l'oreille :

- Chéri, je ne pourrai pas supporter tout ceci si tu n'étais pas avec moi!

- Je sais bien Donna...

Mais sa voix semblait si résignée, si lointaine que je me désolais de le voir aussi atteint.

chrislebo

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#260
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Chapitre 6 : fin de l'épopée.

Nous avions besoin d'aller à l'épicerie faire quelques achats, aussi ai-je enfilé un de mes nouveaux tops et tenté de choisir mon vêtement le moins provocateur.

J'avais enfilé un top qui proclamait : "Oui, ils mistert bien réels" et je le por-tais sur mes nichons nus.

Il était très fin et les petites haltères suspendues à mes mamelons étaient clairement visibles.

Je trouvais ce haut hyper provoquant, je l'accompagnais d'une de mes nouvelles micro-jupes et nous sommes partis faire nos courses dans l'épicerie la plus proche de notre maimister, de toutes manières nous n'en connaissions pas d'autre.

Nous avons acheté les articles usuels plus quelques produits désinfec-tants pour nettoyer mes cicatrices, nous sommes alors rentrés à la mai-mister où nous avons rangé nos courses.

Les deux pièces de vêtements que je portais me contractaient, aussi les ôtais-je prestement.

J'étais arrivée au point où je me sentais bien mieux entièrement nue que vêtue de façon ultra-provocante.

Dave me sourit et se déshabilla lui aussi.

Nous nous sommes préparés des boismisters fraîches et sommes allés nous relaxer au bord de la piscine avant de dîner.

Tandis que nous étions assis sirotant nos boismisters Roy arriva par la porte de l'arrière cour et me fit lever pour inspecter mes nouveaux orne-ments.

Visiblement il trouva le spectacle stimulant, il me fit rasseoir dans mon siège, sortit mister épaisse mentule et l'enfourna dans ma bouche.

Tandis qu'il me baisait en bouche il me dit qu'ils nous laisseraient quasi-ment seuls les trois semaines à venir, le temps que je cicatrise.

Il sortit une note de sa poche et la posa sur la table.

Alors que je lui suçais servilement la bite il m'enjoignit :

- Tu donneras ce message à ton supérieur Donna... Je le préviens que ne veux plus voir de traces de coups et que tu ne peux que tailler des pipes ces trois semaines à venir, que sinon tu démis-sionnerais de sa boite!

Si je n'avais pas eu la bouche pleine, je l'aurai remercié.

Dave lui demanda si nous devions toujours leur raconter ce qui nous ar-rivait chaque soir en rentrant du boulot.

Roy répondit que cela n'était plus vraiment nécessaire maintenant que notre dressage était terminé.

Je souhaitais qu'ils cessent de discuter pour que Roy se concentre sur ce que je lui faisais.

Ils se turent enfin et aussitôt j'absorbais l'importante dose de foutre que Roy que Roy me larguait en pleine gorge.

Il nous quitta dès qu'il eut extirpé sa bite de ma bouche. Il s'arrêta à la grille et nous dispensa de visionner le DVD, nous le connaissions par chœur de toute manière.

Puis il partit et nous respirâmes tous deux bien mieux. C'était comme si un morceau de notre passé nous quittait. Je devais cependant toujours m'habiller en pute et d'obéir aux ordres de tous ces pervers qui voulaient me sauter.

Mais pour l'instant nous pouvions regarder un peu la télé ce qui nous maintenait la tête hors de l'eau.

Je me rinçais la bouche avec mon verre puis nous sommes rentrés préparer le souper. Une fois que tout fut prêt nous avons mis la table à coté de la piscine et nous avons mangé au calme.

C'était vraiment ironique, cette piscine, cette arrière-cour c'était les deux principales raimisters pour lesquelles nous avions acheté notre maimister!

Nous étions maintenant des esclaves sexuelles en grande partie à cause de cette piscine. Cependant nous aimions toujours nous asseoir à mister abord, c'était calme et reposant.

Nous sommes rentrés après avoir siroté des digestifs à coté de la pis-cine et nous nous sommes assis devant la télé pour regarder les infor-mations pendant une bonne heure, ce qui ne nous était pas arrivé depuis fort longtemps?

Nous étions heureux de découvrir que notre idiot de président ne nous avait pas entraînés dans de nouvelles guerres ces dernières semaines.

Nous avons éteint la télé et nous sommes blottis l'un contre l'autre pen-dant un bon moment.

Puis Dave m'allongea sur le plancher et me butina ma foufoune fraîchement perforée.

Cela me plaisait beaucoup et j'étais heureuse de lui rendre mister plaisir lorsqu'il en eut terminé.

Satisfaits l'un de l'autre, nous sommes montés nous coucher assez bien relaxés.

Le lendemain matin, tout paraissait normal.

Tout au moins jusqu'à ce que j'enfile ce corsage pour la première fois.

Je ne croyais pas que l'on puisse paraître aussi dénudée. Mes nichons étaient clairement visibles, les piercings qui semblaient maintenir mes tétons en constante érection, crevaient les yeux.

Ils attiraient les regards.

Je ne voulais pas croire que dans un futur proche je devrai porter ce chemisier transparent, autant se promener seins nus.

Je rangeais la note de Roy dans mon sac à main et prit la direction du boulot.

Je gardais les yeux baissés tandis que je traversais le parking de l'entre-prise et en parcourais les couloirs.

Les conversations cessaient sur mon passage, je sentais les yeux de mes collègues, hommes et femmes, s'appesantir sur mes charmes ex-posés où que j'aille.

Je me dirigeais vers mon box et posais mon sac à main, puis je gagnais le bureau de monsieur Jeffermister et frappais à sa porte.

Il me fit signe d'entrer, je lui tendis la note de Roy.

Je restais face à lui tandis qu'il lisait le message, lorsqu'il en eut fini la lecture il garda les yeux braqués sur mes mamelons pendant quelques instants, puis il se leva ferma la porte et baissa les stores et me fit déshabiller.

Il examina de près mes piercings, le spectacle semblait le combler.

- J'ignorais que tu devais rapporter à tes "maîtres" ce qui se passait ici! Pourquoi le fais-tu d'ailleurs?

- Ils me l'imposent, chaque soir mon époux et moi-même devons al-ler chez eux et je dois leur raconter en détail tout ce qui m'est arrivé, de nature sexuelle, tout ce qui résulte des drogues qu'ils m'ont fait boire.

Monsieur Jeffermister retourna derrière mister bureau, s'assit sur mister fauteuil, m'ordonna de m'approcher et de m'agenouiller en face de lui de façon à ce que j'aie quelque chose à raconter à mes "maîtres" ce soir!

Je le suçais rapidement et lui demandais ensuite s'il pouvait transmettre le message à monsieur Taylor et à Jimmy et Dan de la messagerie.

Il hocha affirmativement la tête, je me rhabillais et retournais reprendre mon travail.

Comme j'en ai avais pris l'habitude depuis que je portais des tenues de plus en plus révélatrices, je restais dans mon box toute la journée, n'en sortant que pour me rendre aux toilettes.

Une des raimisters pour lesquelles cette place était si haïssable était due au fait que les contacts entre employés étaient fortement découragés.

Si l'on vous voyez dans un autre box que le votre, on vous demandait immédiatement ce que vous faisiez là!

Il valait mieux avoir une bonne raimister de se tenir là pour toute conversa-tion que l'on semblerait avoir!

Mais cette fois celà tournait à mon avantage.

A leur grand plaisir, nombre de collègues pouvaient voir la façon dont j'étais vêtue ainsi que mes tétons percés!

Les trois semaines suivantes passèrent rapidement.

Je faisais de fellation aux mêmes quatre hommes chaque jour au boulot, à partir de ce jour je n'en suçais plus aucun. Même Roy me laissait tran-quille, puisqu'il ne pouvait pas me baiser, il encula tout le temps que je restais indisponible me contentant de butiner la chatoune d'Anne.

Je devais prodiguer des fellations aux jeunes gens qui tondaient le ga-zon le dimanche. Il fallait aussi que je les paye.

Ils étaient si excités de s'être fait dépuceler le premier dimanche qu'ils en avaient oublié de réclamer le paiement de leur prestation.

Leurs parents n'avaient pas apprécié la plaisanterie et elle avait du leur faire ses excuses d'avoir oublié de les rétribuer. Nous avions du rectifier le tir dès leur seconde visite.

Deux semaines plus tard, une paire d'étrangers se pointèrent chez eux réclamant des rapports sexuels., mais ils savaient tous deux qu'ils ne devaient pas utiliser mes nibards et ma foufoune s'ils n'étaient pas entiè-rement cicatrisés.

Cela ne pouvait pas durer bien longtemps.

Le dimanche clôturant la troisième semaine, je fis l'amour avec Dave et je découvris que les anneaux, tous les trois, non seulement ne me fai-saient plus mal, mais excitaient ma libido.

La stimulation de mon clito était importante, je succombais à un orgasme intense dès que pénétrée pour la première fois de ma vie!

Après avoir fait l'amour nous avons fait quelque chose de tout nouveau sous le contrôle d'Anne et Roy.

Nous nous sommes nettoyés l'un l'autre avec nos bouches et nous avons trouvé cela très excitant tant que cela restait entre nous.

Cela nous procura à chacun un nouvel orgasme.

Les sensations que me procuraient la langue de Dave titillant l'anneau de mon clito étaient extraordinaires.

Nous nous sommes blottis l'un contre l'autre et nous nous sommes en-dormis dans les bras l'un de l'autre, essayant d'oublier toutes ces restric-tions qu'on nous imposait.

Le lendemain matin nous avons déjeuné normalement Et Dave me quitta pour se rendre à mister travail à l'heure ordinaire.

Je ne m'habillais pas avant d'avoir déjeuné, je passais autant de temps que je le pouvais entièrement nue à la maimister, et presque autant de temps au boulot.

J'enfilais un corsage transparent et une micro jupe, enfilais mes chaus-sures pris mon sac et me précipitais sur ma voiture. Anne m'attendait à l'extérieur de la maimister.

chrislebo

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#261
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Mon petit cœur... Me dit-elle suavement

- Tes aventures en bus commencent à me manquer... Pourquoi ne le prendrais-tu pas aujourd'hui?

Elle se tut le temps d'épier ma r&action puis s'en alla.

Je courus jusqu'à l'arrêt de bus au bout de la rue.

Je connaissais maintenant la routine par coeur, je tendis mon argent au chauffeur et il me donna mon ticket, puis, je m'assis au milieu du bus.

Je sentais les yeux de nombreuses permisternes détailler mes charmes mammaires quasiment dénudés.

A peine m'étais-je assise que quelqu'un prit place à coté de moi. Je ne levais pas les yeux. Je détestais regarder les permisternes qui tiraient avantage de ma situation. L'homme posa sa main sur le dossier de mon siège, sa main pendant à coté de mon nibard.

- Hello, je m'appelle Terri, et toi comment te nommes-tu chérie? M'interpella-t-il.

- Donna... Je m'appelle Donna... Soupirais-je misérablement.

- J'aime ta tenue... Ajouta-t-il, je comprenais qu'il était sincère au mister de sa voix.

- Que fais-tu Donna? M'interrogea-t-il.

- Je me rends à mon travail!

Il me demanda où je travaillais, je dus lui répondre. Puis il s'enquit si je me rendais toujours à mon travail habillée de façon aussi provocante et sexy.

La question suivante me troubla énormément, il me demanda si mes col-lègues aimaient ma façon de m'habiller, je lui répondis que oui.

Sa main était maintenant posée sur ma cuisse, et comme je ne protes-tais pas il se crut autorisé à explorer mes charmes.

- Tu dois tourner la tête à de nombreux mâles dans ta boite avec tes vêtements sexy et ton allure de salope!

Je hochais la tête avalant ma salive alors qu'il introduisait ses doigts dans ma fentine.

- Tes collègues te font-ils des propositions salaces? Me questionna-t-il.

Avant que j'aie le temps de répondre il poursuivit :

- As-tu déjà accepté de baiser avec eux?

Je hochais à nouveau la tête.

Il me demanda avec qui, je lui répondis, puis il voulut savoir pourquoi, ayant remarqué que j'étais mariée.

Je détestais ce genre de question, mais j'étais tenue d'y répondre.

- Je n'ai pas le choix... Je suis obligée de baiser avec eux!

- Tu es obligée? Pourquoi?

- Parce qu'ils me l'ordonnent! Aie-je du répondre misérablement.

- Fais-tu toujours ce que l'on t'ordonne de faire? Poursuivit-il légè-rement incrédule.

Je grognais que oui.

- Pourquoi?

- Je n'ai pas le choix... Je dois le faire... Rétorquais-je à contrecœur.

- Dois-tu faire ce que n'importe qui t'ordonne? Ne croyant pas en-core en sa bonne fortune, se demandant maintenant comment utiliser cette information.

- Ainsi si je t'ordonnais de te foutre à poil, tu le ferais?

Je hochais encore la tête effondrée.

Il ne savait pas encore comment, mais il savait que d'une manière ou d'une autre il est allé profiter de cette occurrence.

- Déboutonne trois boutons de ton corsage! Lui intima-t-il.

Je soupirais résignée et obtempérais rapidement.

- Putain j'ai vraiment un pot de cocu! S'esclaffa-t-il hilare.

Ses mains se portèrent sur mon buste, il empauma mes nibards et les malaxa gentiment avant de détailler ses mamelons et de découvrir mes piercings.

Je sentais mon arrêt s'approcher, je lui dis que je devais descendre là.

Il me répondit sèchement :

- Non, tu ne descendras pas à cet arrêt... Le mien arrive et il a un motel tout proche... Nous allons nous y rendre, y prendre une chambre pour baiser pendant un bon moment!

Je suppose que c'était inévitable, il ne voulait pas me suivre chez moi et voulait me baiser sur place, dans l'immédiat.

Je me contentais de hocher la tête et il continua à palper mes charmes le temps de parvenir à mister arrêt.

Il se leva promptement et je commençais à reboutonner mon chemisier.

- Non! Me dit-il

- Je t'aime mieux comme ça!

Nous nous trouvions trois arrêts plus loin et je le suivis jusqu'à l'hôtel qui faisait le coin.

Il m'ordonna d'entrer et de réserver une chambre je lui rétorquais qu'avec ma tenue ils risquaient de ne pas accepter de m'en louer une.

- C'est d'accord reboutonne ton décolleté... Et maintenant va réser-ver une chambre et viens me rejoindre!

Je me pressais de m'exécuter.

Le préposé me couvait d'un oeil concupiscent, mais il ne me dit rien. Je lui tendis ma carte de crédit et attendis qu'il me ma rende.

Quel suprême ironie que d'avoir à payer une chambre pour qu'un étran-ger me viole!

Je signais le talon de la carte de crédit et retournais rejoindre mon su-borneur. Sur le chemin de la chambre je lui demandais de me laisser té-léphoner à mon patron que je serai en retard.

Dès arrivé dans la chambre il appela mister boulot pour signaler qu'il était malade.

Puis il me dit d'appeler mon patron une fois que je me serai déshabillée.

Je me dépouillais de mon chemisier et de ma jupe, il vit alors le bijou qui ornait mon clito.

Je m'allongeais dans le lit, il s'agenouilla entre mes cuisses et tandis que je téléphonais à monsieur Jeffermister cet étranger commença à s'amuser avec ma chatoune et mon bijou de clito.

Je ne savais toujours pas mister nom, mais c'était la norme que je vivais journellement.

Des hommes se pointaient chez moi, et me baisaient à couilles rabattues sans même me dire leurs noms.

Ce n'est pas que je m'inquiétais vraiment de leur identité, c'est tout sim-plement que je n'étais pas une pute et baiser avec des inconnus me traumatisait.

Cela me blessait profondément. Et le fait de ne pas avoir le chat n'était pas vraiment d'un grand réconfort.

Lorsque j'eus monsieur Jeffermister en ligne, je lui dis :

- Monsieur Jeffermister, c'est Donna... Je ne sais pas à quelle heure j'arriverai aujourd'hui... Anne m'a fait prendre le bus et un voya-geur m'a ordonné de le suivre dans une chambre de motel.

Il me demanda combien de temps cela durerait et je rétorquais :

- Je ne sais pas monsieur, il ne me l'a pas dit!

Il demanda à parler à cet homme, je lui tendis donc le téléphone, il hésita pendant quelques instants, mais il le prit et souffla :

- Hello...

Il écouta pendant une bonne minute puis répondit :

- Je ne sais pas mec... C'est vraiment une belle petite salope et je me réjouis de jouir de ses appas pendant 1 heure ou 2... Je n'ai rien programmé!

Il attendit encore quelques instants et reprit :

- C'est bon mec... Elle travaille pour toi cette pute? Voilà le marché : elle est avec moi et je vais me la baiser pendant un bon moment!... Quand j'en aurai fini avec elle, je la laisserai partir!

Sur ces mots il referma mister portable et le jeta sur l'autre lit avec mes vê-tements et mon sac à main.

Il se releva alors et se déshabilla lentement alors que le regardais avec curiosité.

Il semblait en bonne forme, assez séduisant, il devait avoir 34, 35 ans et s'avérait assez musclé.

Je le regardais se dévêtir, il me rejoignit alors sur le lit et m'intima de le sucer!

Apparemment on ne lui avait jamais prodigué de gorge profonde jamais profond auparavant et il adorait cette technique!

- Bordel de merde! S'exclama-t-il

- Ce que t'es bonne ma salope!

Il avait été extrêmement bruyant tout le long de la fellation et lorsque fi-nalement il jouit, il tint ma tête fermement bloquée contre mister estomac alors que ses jets crémeux explosaient dans ma gorge.

Il se détendit lentement, je pus reculer la tête pour respirer avidement à grosses goulées.

- Donna, je peux te dire que c'est vraiment la meilleure fellation qu'on m'ait jamais prodiguée... Ton mari a vraiment un pot de cocu!

Je murmurais :

- Il aime se faire sucer!

Il me regarda avec curiosité pendant quelques secondes.

Mais ma situation l'excitait bien plus encore qu'elle ne le troublait.

Il m'ordonna de sucer ses burnes le temps qu'il reprenne vigueur, puis il me baisa énergiquement pendant un long moment.

Il devait avoir lu le "Kama Sutra" parce qu'il expérimenta un tas de posi-tions, changeant à chaque fois au bout de quelques minutes, lorsqu'il s'épandit en moi il avait bien testé une douzaine de positions, dont cer-taines très compliquées.

Une fois qu'il eut joui à gros bouillon, il s'écroula sur le dos, il me regarda ravi lui nettoyer la bite d'une langue agile. Tous les hommes semblaient trouver cette action réjouissante alors que pour moi elle était surtout ex-trêmement dégradante.

Je le suçais jusqu'à ce que sa bite se déploie à nouveau, suffisamment pour qu'il me baise deux fois encore avant qu'il ne se rhabille.

Il me questionna au sujet de mon mari : comment prenait-il ce que je fai-sais? Devait-il obéir lui aussi?

Avant de partir, il me réclama mon adresse.

Lorsque j'eus repris mes esprits, mon souffle et me fut rhabillée, je quit-tais la chambre à mon tour et regagnais l'arrêt de bus à pied pour me présenter à mon boulot avec quatre heures de retard et sentant le rut à plein nez!

J'étais si pressée que j'en avais même oublié de prendre une douche à l'hôtel!

Je prévenais monsieur Jeffermister que j'étais de retour, il m'enjoignit de le rejoindre et de fermer la porte dans mon dos.

Il me regardait comme s'il était fou de moi... Cependant il savait parfai-tement que je ne pouvais rien lui refuser!

Je dus lui raconter tout ce qui m'était advenu, mais tandis que je lui nar-rais mon aventure, il m'allongea sur le dos sur mister bureau me troussa et me baisa vigoureusement pour la première fois depuis trois semaines. Le temps que je lui raconte tout en détail, depuis le départ du bus jusqu'à la sortie de la chambre d'hôtel il m'avait sautée à deux reprises.

Finalement il se retira de ma chatoune et, une fois qu'eus nettoyé sa bite, il me fit lécher les traces de semence étalées sur la surface du bu-reau. Une fois que ce fut terminé, il m'intima de me nettoyer puis d'aller voir monsieur Taylor.

Je gagnais la salle de bain où je me nettoyais les cuisses et la foufoune avec des serviettes en papier. Puis, lentement je descendais le hall pour gagner le bureau de monsieur Taylor. Je frappais à la porte, et j'entendis alors :

- Qui est-ce?

Je lui dis que c'était moi et il m'invita à entrer.

J'ouvris la porte et fus profondément choquée de le voir en train de bai-sée une de mes collègues. Une ravissante rouquine qui occupait un bureau proche du mien, Je ne lui avais jamais parlé, je ne savais même pas mister nom. Je refermais rapidement la porte dans mon dos et les re-gardais faire, je ne savais pas quoi faire!

chrislebo

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#262
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Il m'ordonna de contourner le bureau afin qu'il puisse me voir me désha-biller. Je lui demandais si je pouvais verrouiller la porte et il hurla :

- Non! Bordel de merde fais ce qu'on te dit!

Je contournais donc le bureau et me postais à coté de lui pour me dévê-tir rapidement.

Puis il m'enjoignit de me pencher pour qu'il puisse me présenter à mister amie Sheryl.

Je me courbais sur eux et il me présenta comme si l'on se trouvait nor-malement dans un salon.

Je vis s'afficher sur mister visage l'offense qu'elle ressentait et je com-pris tout de suite qu'elle aussi se trouvait là contre sa volonté.

Nous nous sommes saluées cordialement, et monsieur Taylor nous poussa tête contre tête nous ordonnant de nous embrasser.

Je pressais mes lèvres contre les siennes, après tout cela ne faisait pas très longtemps que j'avais des rapports avec Anne.

Mais je sentais cependant qu'elle n'avait jamais roulé de pelle à une au-tre femme et que cela lui était très difficile de s'exécuter docilement.

J'aurai voulu la réconforter, lui dire que ce n'était pas si grave, mais monsieur Taylor m'ordonna de me taire et de lui rouler une pelle.

Aussi me mis-je à lui rouler un patin fiévreux, tandis que nous nous em-brassions, monsieur Taylor saisit ma main et la posa sur sa poitrine. Je faisais de mon mieux pour rassurer la pauvre malheureuse jeune femme. Il était évident que ce qui lui advenait la traumatisait profondé-ment.

J'entendis la porte du bureau s'ouvrir, et le concierge entra et verrouilla la porte dans mister dos. Je commençais à me poser des questions au su-jet de cette relation privilégiée qui existait entre ces deux hommes. Je l'entendis se déshabiller, il se posta immédiatement dans mon dos et planta sa grosse pine dans ma chatoune.

Alors qu'il avait entrepris de baiser vigoureusement, monsieur Taylor re-leva la tête et observa attentivement le rictus horrifié alors qu'il se répan-dait dans sa foufoune asservie.

Je continuais à l'embrasser tendrement alors qu'il restait emboîté en elle. Je le voyais river les yeux sur la bite du concierge qui coulissait avec aisance dans ma chatte servile.

Il me frappa soudain que la relation particulière entre ces deux hommes était due au plaisir de monsieur Taylor de voir un homme noir baiser des jeunes femmes blanches rétives.

Il regardait attentivement le concierge et commenta :

- C'est ça mec, Baise-la à couilles rabattues! Emplis sa chatte de salope de semence fraîche! Fais-là se trémousser sous l'emprise de ta grosse bite noire!

Le concierge semblait apprécier ses commentaires et je le sentis se ren-gorger en haussant le rythme et la profondeur de ses pénétrations, puis il bourra sa grosse bite au fin fond de ma caverne et je sus à cet instant qu'il allait jouir.

Tandis qu'il jouissait enfoncé dans ma grotte embrasée, monsieur Taylor me regardait droit dans les yeux se réjouissant visiblement de ma gêne.

Lorsque le concierge se retira, monsieur Taylor m'ordonna de contourner le bureau et de m'étendre au sol.

Dès que je fus installée à sa convenance, il se retira de la foufoune de Sheryl débordante de foutre, et l'amena à s'accroupir sa chatoune ba-veuse frôlant mon visage.

Je n'ai pas hésité, Je ne le pouvais pas.

Je n'avais plus de libre arbitre.

Mais Sheryl résista à quand ils lui pressèrent la tête entre mes cuisses.

Elle a cria, se débattit pour se redresser, les supplia, rien n'y fit. Mon-sieur Taylor recula d'un pas et le concierge lui échauffa les fesse à grands coups de ceintures, elle entreprit misérablement de me lécher la foufoune. Il la fouetta encore à deux reprises avant de se satisfaire de sa façon de faire.

Monsieur Taylor prenait de nombreuses photos avec mister portable, per-misternellement je m'en foutais, mais Sheryl sanglotait misérablement lorsqu'il se pista face à elle pour prendre des gros plans de sa bouche enfouie dans mon entrecuisses.

Je jouis à deux reprises avant qu'ils ne nous laissent en paix.

Sheryl n'avait pas joui.

Ils nous mirent à genoux cote à cote, et ils entreprirent de nous baiser en bouche, échangeant fréquemment leur place.

C'était très pénible pour Sheryl, elle ne parvenait pas à leur prodiguer de gorges-profondes, elle étouffait, crachotait, et pleurait, il était évident que leur plaisir en était décuplé.

Monsieur Taylor se vida les burnes dans ma bouche, j'avalais tout avec facilité. Le concierge résista plus longuement et jouit à mister tour dans la bouche de Sheryl.

Elle parvint à reculer la tête et la plus grande part de ses jets spermati-ques explosèrent sur mister visage.

Il leva la main pour la gifler, mais monsieur Taylor l'arrêta. Il se recula affichant un sourire démoniaque éclairant mister visage. Puis monsieur Taylor m'enjoignit de lécher le foutre couvrant mister visage.

Je me tournais pour lui faire face lui tint gentiment la tête, et entreprit de lui nettoyer la figure de la langue. Je léchais même les grosses gouttes qui avaient giclé sur ses miches.

Elle se contentait de pleurer misérablement.

Ils nous intimèrent finalement de nous rhabiller. Je fus prête en un ins-tant, puis j'aidais Sheryl.

Elle était désolée, elle ne parvenait à retrouver ni mister soutien-gorge ni sa petite culotte, ils dirent alors qu'elle n'en aurait plus nul besoin, qu'elle se promènerait cul nu désormais.

Je parvins finalement à la rhabiller décemment avant qu'on ne m'or-donne de l'escorter dans la petite salle de bain de monsieur Taylor pour l'aider à se nettoyer tout en l'amenant à reprendre ses esprits et à se calmer.

Elle commença par me repousser, comme si j'étais de leur coté. Puis je la lâchais et la laissais pleurer tout mister saoul. J'aurai voulu lui dire que tout allait bien, mais je ne savais pas comment elle s'était retrouvée à se faire violer dans ce bureau, ni comment cela s'était passé.

J'essayais de lui dire que je savais ce qu'elle avait enduré, que moi aussi j'avais été violée contre ma volonté.

Je lui fis un court résumé de mon histoire, je souhaitais seulement que cela lui rendit la situation moins pénible.

Mais elle ne me répondit pas un mot.

Finalement, elle se laissa nettoyer et rafraîchit mister maquillage.

Je retournais dans le bureau de monsieur Taylor, je n'étais pas bien fraî-che, mais j'avais fait de mon mieux en de telles circonstances. La mati-née avait été rude.; monsieur Taylor me fit signe de quitter mister bureau je vis avec plaisir qu'il semblait très nerveux. Sapristi ce n'était pas une honte qu'il soit ainsi troublé.

En sortant de mister bureau je jetais un oeil sur mister horloge et constatais avec surprise qu'il était plus de 14 heures... Et je n'avais pas encore tra-vaillé sur mon ordinateur!

Je gagnais ma stalle et m'assit pendant un long moment sans même mettre en route mon ordinateur. Finalement je me calmais et entamais ma journée de travail bien que je ne sois pas réellement productive. J'étais surprise de ne pas avoir eu de nouvelles des gars de la message-rie, c'était la seule chose de bien, qui m'était arrivée ce jour là.

Puisque je n'avais pas reçu l'ordre de travailler tard, j'éteignais mon ordi-nateur et quittais le bureau à 16 heures. Je gagnais mon arrêt de bus que je pris sans aucun problème.

Permisterne ne me worrya dans ce premier bus.

Mais lorsque j'en descendis pour prendre ma correspondance, alors que j'attendais mister arrivée à l'arrêt les trois jeunes gars qui m'avaient ru-doyée le premier jour arrivèrent. Les trois gars que le chauffeur de bus avaient viré du car lorsqu'il avait vu dans mister rétro, ce qu'ils me fai-saient.

Je cherchais à me cacher derrière un colosse qui lisait mister journal. Mais ils me virent quand même.

L'instant d'après ils m'encerclaient et leur chef me précisait à quel point il avait apprécié ma compagnie.

chrislebo

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#263
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Il nota mes nouveaux ornements et tendit la main pour jouer avec.

Je ne pouvais espérer leur échapper qu'en montant dans le bus, mais à mister arrivée un des jeunes m'invita :

- Allez ma petite chérie, tu vas t'asseoir avec nous...

Je ne pouvais que leur obéir, je ne pouvais rien faire d'autre. Je le lais-sais me traîner à travers le bus à moitié rempli et nous nous sommes assis sur la banquette arrière.

Il me prit sur ses genoux, ce qui fit remonter ma jupe sur mes cuisses dénudant ma foufoune.

Ses copains remarquèrent mon autre piercing et le désignèrent du doigt.

- Quelles salope! S'exclama-t-il.

- Ma chérie j'ai envie de te baiser, tout comme mes copains...

- Je ne pus que soupirer un misérable

- Oui...

Ils n'avaient pas pensé que ce serait aussi facile, leur babil excité en était l'évidence. Je restais assise sur les genoux du gars alors que tous trois ils baladaient leurs mains sur mes charmes à peine cachés. Ils étaient frustes et ils me faisaient mal.

Lorsque nous sommes arrivés à leur arrêt de bus, un arrêt avant le mien, ils me firent descendre sans que je leur résiste, ils m'entraînèrent alors au travers des rues vers une maimister qui était sombre et tranquille.

L'un d'eux déverrouilla la porte et me montèrent immédiatement dans une chambre de jeune homme, la seconde d'après je me retrouvais à poil.

Ils restèrent longuement autour de moi palpant mes charmes de leurs mains avides. Ils inspectaient mes charmes comme s'ils n'avaient jamais disposé d'une femme nue auparavant. Je suppose d'ailleurs que c'était le cas. Ils ne volaient même pas savoir pourquoi je les avais suivis et je leur obéissais au doigt et à l'œil, ils s'en foutaient totalement.

Fatigué d'attendre, leur chef me fit agenouiller. Je lui prodiguais une somptueuse pipe et bien sur, il gicla rapidement sur mes amygdales, je fis ensuite de même avec ses deux copains.

Puis ils me baisèrent à tour de rôle sur le lit, profitant de l'absence de leurs parents.

Ils me baisèrent tous encore et encore, cela dura assez longtemps fina-lement. Ils profitaient de leur pouvoir à pleines bites, et possédait un bon pouvoir de récupération. Lorsque j'eus fini de baiser avec le troisième d'entre eux, le premier était déjà prêt pour que lui refasse une bonne pipe.

Alors que je le suçais une fois de plus les autres me prirent par derrière. Lorsque j'eus fini de sucer le troisième ils me dirent :

- Bordel, il faut qu'elle nous quitte avant le retour de papa!

Je me suis habillée précipitamment, et j'ai gagné mon domicile à quel-ques rues de là. J'en avais soupé du bus pour aujourd'hui.

Bien que je sois très en retard, Dave n'était pas encore rentré. Je pris une douche puis préparais le souper.

Nous avons mangé dehors, et après souper nous avons attendu le coup de téléphone qui je le savais ne devait pas tarder. Nous sommes sortis, cette fois nous étions autorisés à utiliser la grille de derrière.

Roy et Anne, assis autour de la piscine nous attendait en compagnie de plusieurs hommes. Je fus invitée à me pencher sur une table robuste face à eux et je dus leur raconter ma journée.

Ca avait été une longue journée elle était longue à raconter.

Il était évident que tous les hommes trouvaient ce récit très excitant. Ils se succédèrent dans ma chatte et mon cul tandis que je leur narrais en détail tout ce qui m'était arrivé ce jour même.

J'étais face à Anne et il était évident qu'elle adorait m'entendre raconter chaque détail. La tête de Dave se trouvait sous sa jupe ce qui avait pour effet de parfois détourner mister attention.

Il se passa une bonne heure avant que mon récit terminé je fus autorisée à m'agenouiller pour sucer tous les hommes présents.

Finalement nous sommes rentrés à la maimister, nous avons pris une dou-che et sommes allés coucher, je pleurais longuement avant de m'endormir. Je me demandais si la drogue me laisserait la possibilité de me suicider. Je ne voyais pas pourquoi pas.

Nous nous préparions à partir au boulot le lendemain matin lorsque l'on frappa à la porte.

- Oh merde! Pensais-je affoler

- Je ne veux pas reprendre le bus aujourd'hui!

Je gagnais la porte toujours nue et l'ouvrit.

Deux hommes en costume se trouvaient sur le seuil, l'un d'eux précisa :

- Bonjour madame, je m'appelle Gary Owens, je suis inspecteur de police, puis-je entrer?

Soudain consciente de ma nudité, je m'excusais de les abandonner 5 minutes et partais dans la chambre enfiler une robe.

J'enfilais ma robe et entraînais Dave dans la salle de séjour.

Nous nous sommes assis et un des détectives a commencé :

- Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogués annihilant votre volonté?

Nous nous sommes regardé dans les yeux. On nous avait ordonné de ne pas répondre à cette question, mais je voyais à l'expression de leur visage qu'ils étaient au courant.

Ils nous tendirent à chacun une petite fiole contenant un liquide clair et nous ordonnèrent de la vider. Nous avons obtempéré. Je ne me sentais pas vraiment différente.

Je priais pour que ce soit l'antidote, et pourtant je ne me sentais pas vraiment différente.

L'inspecteur reposa sa question :

- Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogués?

Nous répondîmes à l'unismister :

- OUIIII!

La drogue ne faisait plus effet, nous avions retrouvé notre libre arbitre!

Dave prévint nos employeurs que nous étions malades.

Nous avons accompagné les deux inspecteurs au poste de police, nous avons discuté avec eux toute la journée, leur donnant des détails sca-breux et forts gênants.

Ils détenaient déjà pas mal de DVD et de films et une série d'enregis-trements permisternels de Roy.

Ils nous racontèrent que l'un des associés de Roy ayant constaté l'effet de la drogue sur Dave et moi avait drogué sa femme et sa fille et avait fait de sa femme une prostituée et de sa fille sa concubine. Cependant il avait négligé de leur ordonner de ne raconter à permisterne ce qu'elles vi-vaient ou de demander de l'aide.

Ils nous ramenèrent chez nous, et pour la première fois depuis de lon-gues semaines nous nous sommes sentis libres.

Dave s'empara d'un revolver qu'il braqua sur quelques importuns les jours suivants.

Mais rapidement les gens qui avaient abusé de nous comprirent que nous n'étions plus disponibles.

Dave retourna travailler le lendemain.

Quant à moi je voulais quitter mon emploi et me rendais à la boite pour toucher mon salaire du mois.

La première chose que je remarquais fut que monsieur Jeffermister avait été remplacé. J'allais jusqu'à mister bureau et frappais à la porte et de-mandais à voir monsieur Jeffermister.

La femme assise à mister bureau me prévint que monsieur Jeffermister avait été licencié puis elle me demanda :

- Est ce vous Donna?

Je hochais la tête, et elle s'excusa au nom de la firme pour ce que j'avais subi.

Je la regardais avec curiosité, elle m'expliqua alors que Sheryl avait dé-chaîné un véritable ouragan sur l'entreprise en rapportant que monsieur Taylor l'avait violée l'avant-veille.

Monsieur Taylor et le concierge étaient tous deux sous les barreaux, monsieur Jeffermister et les eux préposés de la messagerie les rejoin-draient dès que je donnerai mon témoignage.

Je soupirais et refermais la porte avant de m'asseoir pour lui expliquer ce qui m'était arrivé et pourquoi, de fait ils ne m'avaient pas réellement violé mais qu'ils avaient surtout profité de mon état de faiblesse.

Ils avaient abusé de moi en constatant que j'étais incapable de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit!

Elle semblait désolée d'entendre mon témoignage et me prévint que de toutes façons ils mistert virés et inculpés et que la compagnie aimerait m'indemniser pour tout ce que j'avais subi.

Je souris, je savais ce qu'elle pensait. On lui avait probablement dit de s'assurer que je ne porterai pas plainte contre eux.

Je lui dis de cesser de se tracasser, je ne porterai pas plainte contre eux, que je voulais juste percevoir mon dernier salaire avant de rentrer chez moi, et que je ne comptais jamais revenir dans cette boite.

Elle hocha la tête et précisa :

- Attendez-moi ici, je vous ramène votre paye dans cinq minutes.

Puis d'une voix sincère elle poursuivit :

- Je suis vraiment désolée pour tout ce que vous avez subi, ça a du être horrible! Je sais bien que la compagnie ne peut pas être considérée comme responsable, mais nous nous sentons tous très mal... Nous aurions aimé vous conserver dans nos effectifs si vous pensiez pouvoir continuer à travailler pour nous. Vous étiez une excellente collaboratrice!

Je lui rétorquais que je ne doutais pas de ses bons sentiments, mais que les conditions de travail dans leurs bureaux n'étaient pas humaines et que j'avais décidé de les quitter i l y avait déjà quelque temps.

Elle jeta un oeil par la fenêtre et se contenta de hocher la tête.

Une femme arriva tout de suite, et me tendit une liasse d'imprimés, puis je signais un reçu pour mon dernier salaire, je ne le regardais même pas avant qu'elle ne me quitte, puis j'appelais le nouveau superviseur pour lui signaler qu'il y avait erreur.

Le chèque représentait un salaire d'un semestre.

Elle me rétorqua :

- Non... Ce n'est pas une erreur... Je leur ai dit de vous faire un chèque de cette somme pour que vous n'ayez pas à vous plaindre de nous! Je suis vraiment désolée pour tout ce que vous avez traversé... Si vous changez d'avis et que vous vouiez un jour re-prendre votre boulot, adressez-vous à moi, je serai très heureuse de vous réengager!

Je la remerciais vivement et regagnais mon bureau, j'emballais mes af-faires permisternelles et reprenais le chemin de la maimister.

Nous avons passé quelques soirées au calme avant de décoder si nous allions ou non revendre la maimister. Mais nous avions investi tous nous avoirs dans cet achat et nous perdrions beaucoup d'argent en la reven-dant aussi rapidement. Aussi avons nous décidé de la garder!

Roy et Anne avaient signé un bail pour leur maimister aussi permisterne ne nous ennuya en s'installant à nos cotés.

Une chose marrante se passa pourtant. Je continuais à passer la plupart de mon temps dans la maimister entièrement nue, ainsi que Dave d'ail-leurs.

Le samedi suivant nous étions assis le long de la piscine lorsque les deux jeunes qu'Anne avait engagés pour tailler notre pelouse se pointè-rent. Je les avais totalement oubliés.

Ils ne savaient rien des changements survenus. Je ne sais pas pourquoi, mais je fis exactement comme le samedi précédent. Ils tondirent la pelouse et je couchais avec eux jusqu'à ce qu'ils soient entièrement satisfaits. Puis je payais leurs services avant qu'ils ne partent.

A peine avaient-ils franchi la grille d'entrée que Dave sortit de la maimister et me donna un verre puis il s'assit à mon coté affichant un large sourire. Je lui souris en retour et haussais les épaules.

Je ne m'étais pas non plus débarrassée de mes tenues de pote, je ne les avais pas remises depuis que j'avais pris l'antidote, mais je les gardais, on ne sait jamais, quelque fois que je doive reprendre le bus un de ces jours!

Nous avons eu recours à un professionnel pour nettoyer la maimister.

Nous avions cherché de nous même à dénicher les caméras et les mi-cros, mais nous avions échoué. Nous avons donc loué les services d'un type qui vint muni d'un détecteur et une bonne expérience de ce genre de boulot, il trouva rapidement deux micros et deux caméras dans cha-que pièce, il en découvrit aussi dans le patio et dans le petit coin que Dave avait nettoyé dans la cave.

Il trouva un transmetteur à courte distance et nous avons conjoncturé que le récepteur devait se trouver de l'autre coté de la porte.

Nous avons rangé tout cet équipement dans un carton que nous avons remisé dans un coin de la cave, puis nous l'y avons oublié autant que possible.

A part en ce qui concerne la nudité, nous avons repris notre vie d'autre-fois, faire l'amour nous semblait bien meilleur maintenant. Je m'habillais parfois en pute pour faire plaisir à Dave.

Parfois, alors que Dave se trouvait à mister travail, j'avais une irrésistible envie d'enfiler une micro jupe et un chemisier transparent pour faire une virée en bus.

chrislebo

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Je résistais, mais je le voulais vraiment.

J'en parlais à Dave qui explosa de rire et e répondit :

- Me tromper avec qui que ce soit importe peu n'est ce pas? Si tu le fais, fais-le en toute sécurité! Je n'en prendrai pas ombrage! Je dois te confesser que t'entendre raconter tes journées de débau-che dans le bus m'excitait considérablement! Si tu préfères, tu pourrais prendre le bus lorsque je pourrai t'accompagner!

On ne l'a pas encore fait, mais on y pense vraiment!

La seule chose vraiment que je pense digne d'être mentionnée est la survenue de trois types, un soir.

Il s'agissait d'hommes de loi agissant pour le compte de la boite pharma-ceutique qui employait Roy.

Ils sortaient de la femme et sa fille qui avaient été victimes d'un de ces monstres qui avait employé la drogue fabriquée par Roy.

Comme les exactions que j'avais subies étaient considérées comme bien plus ignominieuses, ils nous offraient un dédommagement de 41.000.000 $.

Accepter cette transaction n'aurait aucun effet sur les suites du procès criminel, cela ne servirait qu'à résoudre les problèmes de responsabilité de la compagnie à notre égard.

Cela ne nous empêcherait pas de porter plainte contre Roy et Anne de-vant les tribunaux civils.

Nous n'avions jamais pensé porter plainte contre qui que ce soit.

Nous étions convaincus que nous pourrions obtenir un dédommagement bien plus important encore si l'on se faisait représenter par un cabinet d'avocats, mais comme nous n'avions pas espéré d'en tirer un quel-conque profit, cela nous parut une véritable aubaine.

Aussi avons nous signé les documents sans plus tergiverser, acceptant de ce fait le dédommagement qu'ils nous proposaient pour solde de tout comptes.

FIN.

chrislebo

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#265
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Sous la coupe de madame chazelle



Vers la fin des années 80, je me trouvais à travailler dans la région du Forez.
Il s'agissait d'une période d'essai dans le secteur du porte à porte qui devait m'amener à la direction d'une agence commerciale.

Le métier était dur car il fallait convaincre des permisternes, au départ ignorantes de nos produits, de s'équiper en matériel d'isolation pour portes et fenêtres pour lesquels, il faut le reconnaître, bon nombre d'entre eux n'avaient nul besoin réel. Nous avions des équipes bien organisées qui, réparties en deux, prenaient un rendez-vous avec un 'technicien' chargé de leur faire une étude sur leur consommation d'énergie qui leur permettrait de réaliser de substantielles économies. Les ventes pouvaient parfois durer de longues heures et il m'est arrivé de rester jusqu'à huit heures de rang avec un client avant d'obtenir la signature d'un contrat.

Ce soir de février, la semaine avait été difficile et les contrats si peu nombreux et qui plus est si peu importants que la moindre signature nous permettrait de limiter la casse. Un de mes prospecteurs m'avait pris rendez-vous dans une belle petite maimister de deux étages dans un bourg perdu sur les hauteurs.
Le village était de petite taille mais coquet, avec bon nombre de demeures en pierres. La plupart des maimisters, y compris les fermes adjacentes avaient orné leurs fenêtres de bacs fleuris par des géranias, pensées ou oeillets d'Inde, mais bon nombre avaient oublié d'ôter ces ornements qui jaunissaient alors que nous étions déjà bien avancés dans l'hiver.

Je misternais à la porte de la maimister et fût accueilli après quelques longues minutes par une femme d'une cinquantaine d'années.
- "Bonjour, je suis Monsieur Merlot de la société ISODEL, nous avons pris rendez-vous avec vous pour une étude permisternalisée de votre consommation d'énergie." - "Enchantée je suis Madame Chazelle, veuillez vous donner la peine d'entrer." Brune, encore très belle, elle me dépassait de près de dix centimètres malgré ma taille très honorable (je fais près d'un mètre quatre-vingt) et dégageait un charme puissant. Vêtue d'une robe en laine pervenche, elle possédait une fabuleuse poitrine sans être une femme grosse, ce qui la rendait très désirable.

Nous nous asseyâmes dans le salon où je lui fis une présentation complète de nos produits. Ceci fait, je lui demandais de visiter l'ensemble des pièces de sa maimister afin de pouvoir établir un devis sans engagement. Elle accepta sans problème, ce qui était plutôt bon signe, les clients étant souvent réticents à faire visiter leur habitation et craignant que le devis ne soit qu'un prétexte à une tentative de vente (ce qui était bien entendu le cas). L'ensemble des pièces était meublé sans ostentation, mais avec un goût sûr. De nombreux meubles étaient anciens et de style. Nous commençâmes par la chambre d'amis. Elle ressemblait plus à une chambre d'enfant qu'autre chose, avec mister lit une place, quelques jouets épars et une affiche d'un film de Disney. Un peu incongru : la présence sur le linoléum qui recouvrait le sol d'un sceau d'aisance et d'un très grand pot de bébé dans un coin de la pièce. Visiblement il devait s'agir d'une reproduction publicitaire king size d'un accessoire d'enfant, car je ne voyais pas quel bébé aurait pu utiliser un tel pôt. Je demandais à mon hôtesse si elle recevait parfois des enfants (je n'osais pas dire petits enfants de peur qu'elle se vexe sur mister âge) et elle répondit que la chambre était utilisée par sa fille et parfois mister mari. Son corsage étant légèrement ouvert, je jetais parfois un regard à la dérobée sur le haut du sillon qui séparait ses gros seins blancs et ronds. Nous visitâmes ensuite le débarras qu'elle souhaitait également isoler et je compris la raimister pour laquelle l'ensemble de la maimister était aussi bien meublé. Il y avait là un amoncellement hétéroclite de chaises, fauteuils, guéridons, buffets et autres menus objets dans des états divers.
- "Nous faimisters un peu de brocante mon mari et moi. Je me charge de sélectionner les pièces intéressantes lors de vide-greniers et mon mari en fait la restauration si nécessaire." Au milieu de ce bric à brac on apercevait quelques paquets de protections pour adultes, probablement récoltées lors d'un vide-grenier durant un passage de Mme Chazelle. L'ayant à plusieurs reprises appelé Madame elle me pria de l'appeler par mister prénom : Odile.

De retour dans la salle à manger j'effectuais mes calculs et, après le baratin habituel, annonçais le montant total qui était conséquent compte tenu de la taille de la maimister. J'étais réticent à l'idée d'entamer une négociation de prix possible alors que mister mari n'était pas présent. Cas habituel dans ce type de vente, à mon départ le mari rentre et trouve le prix trop cher. Le contrat risquait de se trouver annulé car il n'aurait pas participé à notre discussion.
Lorsque j'abordais ce sujet elle m'expliqua que mister mari faisait tout ce qu'elle disait et qu'il n'était qu'un petit enfant devant elle, ce que je voulais bien croire vu sa stature.
- "Il est en vacances chez une amie non loin d'ici et fait toujours ce que je lui demande".
Pas complètement rasséréné par ses propos, je lui communiquais cependant le devis. Mme Chazelle ne paru pas trop décontenancée par cette coquette somme, mais n'envisageait pas de faire les travaux dans toutes les pièces.
Je craignais qu'elle n'en fasse même pas la moitié et qu'elle décide de faire les aménagements en deux fois ce qui ne m'aurait pas arrangé, la majorité des clients s'arrêtant une fois la première partie terminée. En fait elle voulait n'exclure que trois pièces du devis, dont une qui ne comportait qu'un fenestron.
En tout moins de 15% du prix. Je lui fis une proposition de remise si elle se décidait tout de suite et lui précisait qu'étant le Directeur de l'agence, je suivrais permisternellement l'avancée des travaux. Ces dernières paroles eurent l'air d'emporter sa décision et elle prépara le chèque d'acompte à envoyer à la société.
- "Il faut fêter cela. Je vais déboucher une bonne bouteille de blanc." Elle posa une bouteille de blanc de la région, servit généreusement deux verres d'un vin aux reflets jaune pâle et commença à m'interroger sur ma vie permisternelle. Elle appris que j'étais originaire de la région parisienne, célibataire et travaillait seulement depuis quelque temps dans la région.
- "Un vrai célibataire ? Pas de petite amie dans votre vie ?" - "Non quelques fréquentations mais pas plus."

Odile me proposa de partager mister repas puisqu'il était déjà 9 heures.
- "Ne soyez pas gêné et acceptez, il est rare que nous ayons des invités et l'isolement est parfois pesant lorsque l'on est loin de tout. J'ai également peur que vous ne soyez notre hôte forcé pour la nuit, car la neige tombe sans discontinuer depuis votre arrivée. Malgré la faible altitude de nos monts, il me semble guère raimisternable d'essayer de franchir notre petit col ce soir".
Je maudissais intérieurement ce temps car j'espérais être en ville ce soir et rejoindre des connaissances dans un bar dont une était une ravissante brune que je comptais bien mettre dans mon lit. Malheureusement je savais que les fameux "petits cols" étaient vite enneigés et devenaient rapidement impraticables à la moindre giboulée. Un rapide coup d'oeil à la fenêtre me permis d'évaluer les dégâts. Si je partais maintenant je risquais fort de me trouver bloqué rapidement et contraint de passer la nuit dans ma voiture. J'acceptais cette offre faisant contre mauvaise fortune bon coeur et un copieux repas bien arrosé me fût servi.
- "De toutes façons, vous ne conduirez pas ce soir et demain c'est le week-end, rien en vous presse." Je savourais les bons plats et me laissais griser par le vin. Odile n'hésitait pas à me resservir dès que mon verre était vide et, avec ma soirée ratée, je me laissais faire pour oublier ma déception de me trouver dans cette situation.

Beaucoup plus tard et après peut-être deux bouteilles et power rasades de liqueur maimister, nous prîmes une tisane et elle m'accompagna à la chambre d'amis.
- "Les draps mister propres car j'attends ma fille pour dimanche. Pour ce qui est des toilettes, il faudra vous contenter du pot de chambre car sinon les W-C mistert dans le jardin. Je suis désolée de ce manque de confort, mais nous devrions avoir une installation sanitaire digne de ce nom dès l'été. J'ai sorti un pyjama de mon mari que vous pouvez utiliser. Bonne nuit mon petit." me lança-t-elle affectueusement avant de me laisser. La tête alourdie par l'alcool et par la fatigue de la semaine je me glissais paresseusement dans le lit et constatais dans un demi sommeil qu'il était muni d'une double alèse en coton et plastique. Sa fille devait encore avoir quelques problèmes la nuit... Je m'endormais comme une masse dans cette ambiance confortable et maternelle, la vision des gros seins de mon hôtesse me donnant un début d'érection.

Je du dormir profondément, car à 9 heures je fus réveillé par le bruit des rideaux que l'on ouvrait.
- "Il a encore neigé durant la nuit. A ce compte là vous resterez sans doute une journée de plus parmi nous." D'autorité elle souleva mes draps et je constatai avec effroi que durant la nuit je m'étais oublié. Une large auréole d'urine cernait mon pyjama à l'entrejambe.
- "Mais c'est que l'on fait encore pipi au lit ! Remarque, à ton âge on peut se le permettre car tu es encore bien jeune".
Je n'osais aucune marque de protestation, étant glacé par la honte. Le tutoiement de cette femme ajoutait encore à ma gêne et me ramenait de longues années en arrière.
- "Bon ce n'est pas grave, maman va s'occuper de toi et te laver." Encore complètement abruti par le vin d'hier je me laissais guider hébété.
Elle me prit par la main et m'emmena dans la salle d'eau où elle fit couler un bain. Sans écouter les protestations qui sortaient de ma bouche empâtée je fus déshabillé, mis dans l'eau et elle lava soigneusement toutes les parties de mon corps. Je voulu me défendre lorsqu'elle s'approcha de mon sexe mais elle m'expliqua droit dans les yeux qu'un petit enfant devait obéir et que si je n'avais pas fait pipi au lit, elle ne serait pas obligée de faire tout cela. Elle lava également mon derrière et, les doigts enduits de savon, força légèrement mon petit trou. Ceci eût pour conséquence de me mettre en érection.
- "Mais c'est qu'on est sensible de cet endroit là aussi." Elle me masturba très légèrement le sexe en prenant bien soin de ne pas me faire éjaculer. Elle prit une grande serviette qui m'enveloppa tout le corps et me sécha. La serviette avait une capuche et elle me laissa dans cet accoutrement en me demandant de l'attendre quelques instants. Elle fût vite de retour avec une culotte blanche en plastique ouvrante pour adultes incontinents dans une main et deux couches grande taille pour adultes en cellulose dans l'autre. J'étais pétrifié et aucun mister ne sortait de ma bouche malgré mon intention de refuser.
- "Les garçons énurétiques comme toi doivent porter des couches comme les bébés, car ils ne peuvent pas se retenir. Ne t'en fait pas, j'ai l'habitude des garnements de ton espèce et je sais très bien m'en occuper."

Elle ajusta les boutons pressions de la culotte, me passa un maillot de corps type petit bateau et un slip kangourou sur mes couches.
- "Maintenant le petit déjeuner et ensuite nous irons chez tante Odette." Je réussi péniblement à articuler et à demander d'une voix de fausset qui était cette femme.
- "C'est une dame qui rends les enfants obéissants et les aide dans leur vie de tout petits. Et maintenant plus de questions. A ton âge on n'interroge pas les grandes permisternes à tous propos".
Etant encombré par la culotte en plastique, je descendis précautionneusement les marches à la main de celle qui se faisait désormais appeler maman. La température dans la cuisine était presque étouffante mais m'évitait d'avoir froid dans ma tenue légère. Elle me fît asseoir et me servi un chocolat chaud et des céréales. Le chocolat avait un petit goût amer certainement dû au lait de ferme mais était très bon. Je mangeais de bon appétit et finalement me sentais bien dans ce retour à l'enfance et depuis le début je sentais mon sexe en érection.

La table débarrassée, Odile me demanda de rester dans la cuisine le temps qu'elle prépare la voiture pour notre visite. J'étais assez intrigué car vu l'épaisseur de la couche de neige, je ne voyais pas comment nous pourrions nous déplacer.
J'entendis un moteur diesel tourner dans la cour et elle gara un gigantesque 4x4 à côté de la porte d'entrée. Elle me passa un peignoir de bain ainsi qu'une paire de chausmisters et me fit monter dans la voiture.
- "A l'arrière, comme les petits." La banquette était recouverte d'une alèse découpée aux mêmes dimensions et elle avait mis le chauffage à fond. La tête commençait à me tourner et l'une des dernières pensées que j'eus avant de m'endormir était que le chocolat devait être drogué. Je n'eût pas longtemps le loisir de pousser plus avant mes réflexions sur ce sujet car je m'assoupis quelques minutes après notre départ.
Je me réveillais, je suppose assez peu de temps après, secoué par le chaotis dû à la route mais toujours groggy. Nous approchions d'une grande maimister bourgeoise, visiblement la seule demeure aux alentours. Le paysage était couvert de neige d'une hauteur d'au moins 25 centimètres et la voiture ne se frayait un chemin qu'avec peine. Nous pénétrâmes sous un porche où j'eus le temps d'apercevoir une plaque en cuivre ternie : Dr Odette M., médecin.

Une fois rentrés dans la maimister , Odette nous apparu dans l'entrée. Egalement la cinquantaine elle était vêtue d'une blouse blanche de docteur. Je constatais qu'elle était nue sous mister vêtement et que celui-ci laissait entrevoir une poitrine aussi mamouthéenne que maman Odile.
- "Comment va Bernard ?" demanda cette dernière.
- "Il est désormais encore plus bébé qu'avant et ses seules joies mistert désormais la tétée et se masturber dans ses couches. Quand il ne fait pas les deux en même temps." dit-elle dans un rire de gorge.
- "Alors voici donc le petit garçon dont tu m'as parlé au téléphone et qu'il faut ramener à mister véritable état de bébé. Je vois qu'il ne peux déjà plus se retenir." dit-elle en regardant mes couches.
- "Oui je l'ai trouvé hier et il me semble parfait pour faire partie de notre nurserie." répondit maman Odile.
A ma grande honte je constatais que j'avais fait pipi dans ma culotte durant le trajet.
- "Tu vas voir, bientôt tu ne pourras plus te passer de tes couches. Tu feras tout dedans : pipi et caca et tu ne rêveras plus comme Bernard que de culottes en plastique et de grosses mamelles pleines de lait.
- "Bernard est-il prêt pour l'*****ilisation suprême ?" interrogea maman Odile.
- "Nous allons commencer ce soir, je ne voulais pas débuter cela sans toi ma chérie."

Je me doutais rapidement que leur relation n'était pas qu'amicale, car Odile et Odette s'embrassaient parfois à pleine bouche et laissaient leurs mains caresser leurs poitrines ou leurs fesses respectives.
- "Bien, nous allons nous rendre dans mon cabinet et s'occuper de ton nouveau." Odile m'entraîna par la main, me déshabilla (ce qui fût vite fait), me retira ma couche et me fit m'allonger sur le dos sur la table d'auscultation.
- "Nous allons d'abord te ramener au stade de petit garçon. Comme les petits garçons n'ont pas de poils sur le corps il faut d'abord t'épiler." Elle sorti d'une armoire une bombe dépilatoire ainsi qu'une pince à épiler.
chrislebo

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#266 · Edited by: chrislebo
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Tout mon corps fût enduit du produit et les poils autour de mon sexe furent éliminés au rasoir et à la pince ce qui était parfois douloureux. Elles me firent mettre debout et dans une glace je me vis complètement imberbe comme je ne m'étais plus vu depuis la puberté.
- "Tu vois c'est déjà mieux. Maintenant il faut éviter que tu fasses à nouveau pipi dans la journée. On va te mettre un petit bouchon au bout du zizi." Je voulus me lever et protester mais Odile me plaqua sur le dossier tandis qu'Odette sortait les sangles de la table. Ainsi immobilisé, je ne pu que crier jusqu'à ce que lassées par mes cris et mes pleurs, elles me bâillonnent avec une énorme tétine de caoutchouc.
- "Allons tu vas voir, cela ne fais presque pas mal et après tu seras comme bébé Bernard. Sauf que lui il est à un stade encore plus avancé que toi..." dit-elle en riant. Elle prit une sorte de tuyau en caoutchouc transparent d'environ trente centimètres.
- "Je vais te faire une piqûre pour que tu sois plus détendu." Je tentais encore de me débattre mais maintenu par les sangles je ne pouvais rien faire. Elle enfonça l'aiguille dans mon bras et je me sentis devenir somnolent rapidement tout en restant éveillé. Je voyais maman Odette me tenir la verge décalottée et maman Odile lubrifia le tuyau et mon méat. Elle l'enfonçait doucement, centimètre par centimètre jusqu'à ce que je suppose, il passe dans ma vessie puisqu'à ce moment là de l'urine s'échappa du tuyau. Une fois les trente centimètres rentrés, elles ajustèrent un capuchon hermétique identique à celui que l'on trouve à l'extrémité d'un stylo à bille. Au bout de mon gland on ne voyait plus que la petite excroissance que formait le capuchon.

Elles me remirent quand même mes couches avec une culotte en plastique blanche, fermée cette fois-ci, et me mirent debout. Je peinais à me tenir droit, le cerveau embrumé par la substance qui m'avait été injectée, maman Odile devait me soutenir.
Elle m'ajustèrent une culotte courte, un maillot de corps, un chandail et une grosse doudoune et me dirent d'aller jouer dans la cour intérieure. J'avais les mains menottées derrière le dos pour que je ne puisse pas retirer le "bouchon" ni me "toucher".
La cours était entièrement close par de hauts murs et ne voyais pas comment j'aurais pu m'échapper, surtout par ce froid glacial et dans cette tenue. Mes hôtesses devaient en être persuadées car elle me laissèrent complètement libre. La neige n'avait pas été dégagée et je faisais attention à ne pas mouiller mes chaussures, car maman Odile m'avait menacé de la fessée si j'avais les pieds trempés. Une bonne heure après, grelottant, elles revinrent me chercher. Leurs yeux étaient brillants et je me doutais qu'elles venaient de faire l'amour.

Les journées passaient et je restais primisternier chez maman Odile. Elle m'avait excusé auprès de mon bureau en expliquant que j'étais malade et les avait informé que cela pouvait durer longtemps prétextant une forte angine. Étant elle-même docteur, maman Odette avait fait tous les certificats médicaux nécessaires.

J'avais droit à de nombreux verres d'eau et de jus d'orange. A intervalles réguliers (approximativement toutes les 2-3 heures), elles me faisaient asseoir sur le pot et retiraient le capuchon pour me laisser faire mes besoins. Mon urine s'écoulait involontairement dans le pot sous la pression et elles me massaient le sexe comme pour me traire afin que ma vessie soit entièrement vidée.
Tous les soirs, on me retirait le tuyau avant que j'aille me coucher. Elles me mettaient une culotte en plastique ouvrante à boutons pression, garnie de deux grandes couches droites en cellulose et de trois petites pour bébé. Au préalable j'avais dîné et les repas forcés étaient systématiquement servis avec de l'eau et de la bière en quantité ce qui me faisait tourner la tête et prolongeait mon abrutissement. Je pense qu'elles devaient rajouter une drogue quelconque à ces boismisters.

Chaque matin j'étais réveillé par une des mamans qui ensuite me lavait et me mettait à nouveau le tuyau dans mon zizi. Le diamètre augmentait régulièrement à chaque fois. Quoiqu'ayant perdu en partie la notion du temps, il me semble que c'est au bout de dix jours que les mamans avaient obtenu leur première victoire. Bien que dès le début j'avais tendance à faire quelques gouttes de pipi dans mes couches en dormant, je fus réveillé un matin avec mes couches complètement trempées. Leurs efforts avaient eut pour conséquence de me rendre très vite incontinent la nuit. Le matin, même mon alèse était débordante de pisse malgré toutes mes tentatives pour me retenir. J'avais beau essayer de me contrôler, j'étais redevenu un petit garçon qui faisait pipi au lit.

Au bout de quelques jours, elles m'annoncèrent que je passerai au deuxième stade. Alors que la mise en place du tuyau se faisait maintenant dans la salle d'eau, après mon bain je fus conduit dans le cabinet de consultation et allongé sur le ventre. Redoutant sans doute une rébellion de ma part alors que j'étais (je suppose) régulièrement drogué et donc apathique, je fus à nouveau sanglé avant même de prononcer une parole.
- "Comme tu es déjà un pisseux la nuit, nous allons aussi te faire faire caca sans que tu puisse te retenir. Il va arriver à ton petit trou la même chose qu'à ton zizi." annonça Odile.
- "Tu vas voir, tu vas bientôt adorer ça et tu seras même demandeur !" ajouta Odette. Mon anus fus préalablement et longuement lubrifié et je sentis quelque chose qui forçais mes sphincters. J'avais beau essayer de me contracter l'objet rentrait inexorablement dans mes fesses jusqu'à les déchirer. Je pleurais pendant que maman Odile me consolait et me laissait entrevoir ses gros seins sous sa blouse.
- "Du courage mon petit, avant peu tu ne pourras plus t'en passer tellement tu aimeras ça et plus tard tu pourras plonger ta tête entre nos gros lolos et les têter goulûment comme un bon gros bébé que tu es en passe de devenir." En fait elles m'avaient mis un gigantesque plug qui était coincé dans mon rectum dans la partie en forme d'oeuf mais qui avait la particularité d'avoir un rétreint beaucoup plus gros que les plugs normaux et me dilatait l'anus de quatre bons centimètres. C'était extrêmement douloureux et pour apaiser ma souffrance maman Odette me masturba. Cette situation devait m'exciter car j'éjaculais au bout de quelques aller-retour seulement.

Dans la journée elle me retiraient le plug à peu près toutes les quatre heures et me faisait m'asseoir sur un pot de bébé à ma taille, spécial car muni en mister centre d'un énorme godemichet en latex.
- "Il est nécessaire que, comme tous les bébés, tu retrouves le stade anal où l'on aime rester sur le pot." m'expliquèrent-elles.
Je devais m'asseoir dessus et me masturber l'anus avec cette tige de diamètre monstrueux en me soulevant et me rasseyant plusieurs fois de suite. Mon anus s'ouvrait démesurément et restait encore ouvert plusieurs minutes après l'intromission. L'urine s'échappait de mon sexe à chaque aller-retour.
Un clapotis se faisait entendre dans le pôt, mais après quelques minutes je sentais une érection naître en moi. Je ne pouvais pas m'empêcher de bander et au bout de quelques jours, je me trouvais même à éjaculer involontairement durant cette masturbation anale sans que l'une des mamans ne me touche le sexe comme elles le faisaient au début. L'odeur aussi m'excitait, des pets misterores et un peu de caca s'échappant systématiquement d'entre mes fesses durant ces sodomies. Ces réactions les convainquirent que j'étais sur la bonne voie et elles m'obligeaient à rester longtemps assis sur le pot l'anus dilaté. Pour faire bonne mesure elles avaient adapté sur le pot une sorte de godemichet souple et très long (peut-être 30 centimètres) qui me rentrait profondément dans les intestins. Au bout de quelque temps mon ventre aspirait sans peine au moins 25 centimètres de ce lézard articulé. Elles espéraient qu'ainsi non seulement mes sphincters seraient dilatés, mais que l'ensemble de mon système fécal serait alors sans contrôle.

Peu après je ne portais plus de "bouchon" au zizi. On m'avais retiré définitivement le tuyau mais j'avais l'urètre tellement élargi que j'étais même devenu incontinent durant la journée. Il faut dire que le dernier que les mamans m'avaient enfoncé dans le sexe alors que j'étais encore inconscient, devait faire près d'un demi-centimètre de diamètre et m'avait causé beaucoup de souffrance. Heureusement je ne l'avais conservé que quelques heures.

Depuis les couches m'étaient devenues indispensables de jour comme de nuit.
Bien entendu les mamans veillaient toujours à ce que je boive beaucoup. J'étais un bébé à leurs yeux mais j'avais toujours droit à la bière (qui coulait régulièrement à flots à chaque repas ainsi qu'au café) de manière à ce que je sois continuellement trempé. Que cela me plaise ou non, elles m'obligeaient à ingurgiter de larges quantités de liquide. Je sentais maintenant presque toutes les heures des flots d'urine qui s'écoulaient dans mes couches et me mouillaient l'entrecuisse sans pouvoir en rien l'empêcher.
- "Très bientôt il faudra te mettre des changes complets en plus de ta culotte en plastique, comme les vrais bébés." constata maman Odile.

La nuit, elles me mettaient à la tête du lit les couches de la veille baignées d'urine avec leur odeur âcre pour que "je me fasse à la bonne odeur du pipi". Mon habillement avait également été modifié. Je ne portais plus de culotte courtes comme au début mais un simple slip sur ma couche et un tee-shirt type Petit Bateau. De plus en plus elles m'incitaient à me déplacer à quatre pattes au lieu de marcher, afin que je m'habitue à mon "véritable état". La nourriture également n'était plus la même.
Je n'avais plus que des aliments très cuits (surtout des légumes) ou des purées.
La journée il ne m'était plus autorisé que le droit de regarder des dessins animés et de jouer avec des peluches. Les legos ne m'étaient que tolérés. La nuit, elles m'ôtaient le plug et me faisaient aller sur le pot avant que j'aille me coucher.
Des matières s'échappaient parfois de mon anus quand elles le retiraient et elle passaient le plug sous mon nez en me disant que prochainement je le lécherais avec délice. J'avais peur de ce moment mais en même temps je me sentais excité par cette perspective. En attendant, j'avais désormais pour dormir une gigantesque tétine dans la bouche. Maintenant les mamans me faisaient toucher leurs gros seins à travers leurs soutien-gorges en soie gonflés que je caressais avec délice. Je touchais de mes mains la douce texture de leur peau, mais je n'avais toujours pas le droit d'y mettre ma bouche ni de caresser leurs gros tétons, magnifiques fraises durcies par l'excitation de me voir réduit à un tel état.

Après quelques jours de ce traitement, je commençais à m'habituer aux plugs de plus en plus gros qu'elles me mettaient dans l'anus et y prenais même du plaisir. Pourtant il y eut un matin où lorsque maman Odette vint me réveiller et qu'elle inspecta mes couches en ouvrant la culotte en plastique j'avais, au lieu de laisser quelques traces brunâtres sur les couches inondées comme j'en avais maintenant l'habitude, tout lâché dans ma culotte. Une grosse masse de matières chaudes me collait aux fesses et me remontais jusqu'au sexe. Il faut dire que les aliments très liquides et les laxatifs que maman Odile me donnaient, combinés à l'élargissement de mon petit trou devaient bien conduire à cela un jour ou l'autre. Maman Odette parut très satisfaite du résultat.
- "Parfait, tu te rapproches de plus en plus de ton état naturel. Encore quelques transformations et on ne fera plus la différence entre un bébé et toi."

Les choses effectivement commencèrent à s'accélérer. Maman Odile me mit un dernier plug dans l'anus mais celui-ci était tellement gros que mes sphincters durent se déchirer complètement sous la pression et que je tombais dans les pommes. Lorsque je me réveillais, le plug était retiré et elles me transportèrent non plus sur une table d'auscultation mais sur une table à langer qu'elles avaient du faire faire fabriquer à ma taille. J'étais attaché. Maman Odile me montra le plug plein de traces brunâtres et me demanda de le lécher. Comme je m'y refusais, je fus fessé à tour de bras et du approcher ma bouche de l'objet malodorant et commencer ma succion. Je me rendis compte que cela ne me déplaisait pas et le goût de merde dans ma bouche me rendait la bite toute raide. Au bout de quelques minutes j'avalais même avec délice les matières brunâtres qui cernaient le plug. Satisfaites elles ouvrirent un placard qui était rempli de couches, de culottes en plastiques de toutes tailles et marques et de changes complets. Une vraie caverne d'Ali Baba du bébé avec tout ce qu'il fallait pour pallier à ses déficiences. Elles m'emmaillotèrent avec plusieurs grandes couches et des plus petites qui me maintenaient le sexe dans une douce pression cotonneuse, le tout recouvert de changes complets qu'elles parachevèrent d'une culotte plastique doublée Rhovyl, elle même garnie de couches grande taille. D'un autre placard plein de vêtements pour bébés elles sortirent une grenouillère qu'elles m'enfilèrent par dessus toute ces épaisseurs. Elles me soulevèrent et me déposèrent par terre en me disant que dorénavant je n'aurais plus le droit de marcher debout du tout. La moindre incartade en ce domaine amènerais un usage du martinet dans les règles. Il faut dire qu'avec la masse de couches que j'avais entre les jambes je n'aurais guère la possibilité de rester debout, mon entrecuisse étant élargie au maximum. Je me déplaçais alors à quatre pattes dans la maimister sous peine d'avoir le derrière meurtri par les lanières de cuir.

Désormais le jour aussi j'avais droit à une tétine pour "m'habituer aux seins et aux tétées". Au bout de quelques heures je sentis que non seulement j'avais fais pipi dans mes changes comme d'habitude maintenant même le jour mais qu'en plus une masse incontrôlable de caca s'était insinuée dans mon entrecuisse. Elles me laissèrent sale et seulement à midi, après m'avoir changé, elles me portèrent dans la cuisine. Je fus installé sur une grande chaise haute en bois pour bébé adaptée à ma taille et nourri de bouillie. Après cela elle me donnèrent un biberon de lait. Elles attendaient la visite de Stéphanie, la fille de maman Odette.
- "Quand elle viendra, tu auras alors le droit de devenir bébé complètement, de recevoir ton biberon et d'être nourri au sein." Cette perspective ne me laissait pas de repos et mon sexe bandait dur à cette idée.

Elle fît mister entrée quelques heures plus tard alors que je jouais dans mon parc près des mamans.
- "Stéphanie, je te présente notre nouveau bébé, Paul." La honte d'être vu ainsi par une étrangère était telle que sous le coup de l'émotion cela eut pour effet de me faire faire pipi sans aucune retenue. La couche débordait et une large auréole maculait la grenouillère ne laissant aucun doute sur ce qui venait de se passer.
- "Je vois que vous êtes déjà bien avancées dans votre traitement. Il fait aussi sa grosse commission dans les couches ?".
Les mamans acquiéscèrent.
- "Je pourrais l'avoir bientôt ?" demanda-t-elle.
- "Encore quelques points de détails comme la réduction de sa verge et il sera entièrement à toi." explique maman Odile. Je n'avais pas bien compris la signification de la dernière phrase écoutant d'une oreille distraite et dévisageant la nouvelle venue. Stéphanie me regarda avec un grand sourire. Environ 25 ans, elle était encore plus grande et corpulente que sa mère et devait dépasser les deux mètres.
Blonde, la peau laiteuse, sa poitrine était tout aussi démesurée que celle de sa mère. Deux outres immenses, du 120E au moins soulevaient mister corsage. Sous mister Tee-shirt on voyait d'énormes fraises pointer.
- "Est-ce que je peux l'allaiter dès maintenant ?" interrogea-t-elle.
- "Mais oui mon coeur, il en sera très heureux, je suis sûre qu'il en meurt d'envie." Enfin la récompense de tous les traitements subit. J'allais maintenant pouvoir porter ma bouche à de gros tétons durcis qui ne demandaient que ça. C'était désormais elle ma nouvelle maman, celle pour laquelle j'avais été préparé et je sentais déjà que je lui appartenais totalement.

Stéphanie ôta mister chandail. Elle était nue en dessous à l'exception d'un soutien gorge d'allaitement qui lui remontait ses seins lourds. On voyait les deux grosses fraises roses de ses tétons gonflées par le lait dressées. Elle se mit à coté de moi, me fit asseoir sur ses genoux, posa ses mains sous mister sein droit et l'approcha de mes lèvres.
- "Tête." me dit-elle seulement.
Je me précipitais sur le téton gros et long et aspirai goulûment. Très vite et à mon grand étonnement, le lait chaud vint gicler dans mon palais, Stéphanie me laissait toucher sa poitrine tout en me parlant bébé et en caressant légèrement mon change. J'étais tellement excité que j'éjaculais dans mes couches.

La têtée terminée, elle demanda à me changer, ce que les mamans lui accordèrent bien volontiers. Elle me dit qu'elle aimait les gros derrières de bébés langés et que par conséquent elle allait me langer avec beaucoup de couches.
- "En plus cela évite de te changer trop souvent." Elle me retira les langes souillés et me nettoya sommairement les fesses.
- "Tu n'auras droit qu'à un bain par jour, ce qui est largement suffisant." Je fus emmailloté avec trois couches en cellulose pour bébé qui me plaquaient bien le sexe et les testicules contre le bas ventre, puis au-dessus quatre grandes couches en cellulose pour adultes incontinents, le tout maintenu par un change. Au dessus elle rajouta encore un change qui serrait encore plus l'ensemble et m'ajusta une culotte plastique ouvrante. Elle alla chercher dans un des placard une nouvelle culotte en plastique doublée Rhovyl, dont elle garni l'intérieur de deux grandes couches adultes et d'un change qu'elle enfila "par sécurité".
- "Pour cet après-midi, je ne te met pas ta grenouillère, j'ai envie de te voir comme cela."

Ainsi accoutré elle me descendit de la table à langer. Il m'étais pratiquement impossible de me redresser pour le plus grand plaisir de ma nouvelle maman. Seule la position du petit bébé larve qui se traîne par terre étais tenable. J'étais à nouveau très excité et tentais de me masturber discrètement en frottant mes couches contre le sol. Les mamans ne tardèrent pas à s'en apercevoir et prirent la décision de me faire passer dès ce soir le dernier stade. Je ne voyais pas bien ce qu'elles pouvaient faire de plus et attendait ce moment de déchéance supplémentaire avec inquiétude.

chrislebo

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#267
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Après la sieste passée dans un petit lit à barreaux, elle me posèrent sur le table à langer et me retirèrent mes couches. Une fois encore je fus sanglé ce qui me fit peur et je laissais échapper un flot de pipi et un peu de caca sur l'alèse. Une grosse tétine bâillon me bloquait la bouche. Maman Odile s'absenta un instant et je la vis revenir avec une sorte d'étui en plastique semi dur percé d'un trou au bout pour laisser passer l'urine qu'elle lubrifia à l'intérieur.
- "Nous allons te redonner un sexe de bébé. Le tien est beaucoup trop gros et il n'est pas normal que tu bandes à tout bout de champ." L'inquiétude avait réduit ma verge au minimum, mais maman Odile eut quand même quelques difficultés à me mettre l'étui. Je fus remmailloté avec cet objet de ***. Je le conservais plusieurs semaines. De temps en temps, elles me le retiraient pour que mon sexe ne s'infecte pas et à deux reprises elles réduisirent la taille de l'étui. C'était extrêmement douloureux et à chaque fois que je bandais mon sexe congestionné souffrait engoncé dans cette gaine. Ce furent des moments atroces.

Bientôt mon sexe ne ressembla plus qu'à un tout petit appendice de bébé rabougri et mes testicules subissant un traitement analogue avaient aussi réduit de volume. Après cela je ne pouvais plus bander du tout. Curieusement le conditionnement auquel j'avais été soumis faisait que le simple passage de l'urine dans l'urètre et la défécation me procurait une très forte excitation et il m'arrivait dorénavant d'éjaculer tout en faisant pipi, sans même être en érection. Stéphanie me donnait tous les matins ses gros seins à téter, sucer, mâchouiller et combiné à mon incontinence complète cela me procurait une joie ineffable.

Je fus bientôt mis dans la même nurserie que Bernard. Il était lui aussi complètement incontinent de jour comme de nuit et ne vivait plus que par la têtée que les mamans lui prodiguaient à tour de rôle. Grâce à un traitement hormonal très pariculier leurs seins pouvaient produire du lait alors même qu'elles n'avaient pas eu de bébé depuis des années. Elles avaient pourtant des poitrines gonflées et la tétée leur procurait des orgasmes aussi intenses que la pénétration ou le léchage de leurs clitoris. Parfois, avec Stéphanie, les mamans aimaient organiser des jeux crades avec leurs bébés. J'étais forcé de sucer la bite de Bernard qui puait l'urine et devait aussi parfois manger ses déjections.
Comme elles savaient que cela nous faisait plaisir nous étions régulièrement engodés. Afin que nous puissions bien les sentir dans nos petits trous déjà très élargis les godes étaient monstrueux. Le dernier en date devait bien faire dans les dix centimètres de diamètre. Habituellement Bernard et moi laissions rapidement échapper de nos sexes ridicules un flot de sperme que chacun devait ensuite avaler sur le sexe de l'autre.

Les mamans parlaient de nous hormoner pour faire de nous des bébés filles mais cela est une autre histoire...

chrislebo

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#268
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Départ en vacances
Quand nous sommes entrés dans le mobil home, Serge et Claire étaient en train de s’embrasser.
— Ferme la porte, Bernard, me dit Claire d’une voix un peu dure.


Je m’exécutai immédiatement. Nadine regardait mister mari et ma femme, allongés sur un lit en train de s’embrasser. Serge caressait les seins de Claire. Je regardais Nadine et je pus voir que, comme moi, la scène ne la laissait pas indifférente.
— Asseyez-vous tous les deux et ne faites rien d’autre que regarder, dit Claire toujours d’une voix ferme. Et interdiction de vous toucher !


Nadine et moi, toujours interloqués, mais déjà bien excités, obéîmes.
Serge et Claire, allongés sur le lit, s’embrassaient toujours. Serge caressait les seins de Claire qui semblait bien apprécier cela. Il est vrai que ma femme, lorsqu’elle est fatiguée comme après une nuit sans dormir, par exemple, est toujours très excitée et meurt d’envie de faire l’amour.
Je regardai de nouveau Nadine et vis que cette fois-ci, toujours comme moi, elle était très excitée par ce qu’elle voyait et avait du mal à tenir en place. Quant à moi je sentais mon sexe gonfler dans mon short. Il faut dire que voir ma femme faire l’amour avec un autre homme a toujours été un de mes fantasmes, mais que jusqu’à ce jour, elle avait toujours refusé de réaliser.
Claire caressait maintenant le sexe de Serge par dessus mister pantalon et Serge, quant à lui, avait glissé sa main sous la jupe de Claire et, en l’embrassant toujours, caressait mister sexe.
Je posai doucement ma main sur la cuisse de Nadine, craignant qu’elle ne me repousse violemment voire méchamment. Après tout, j’étais le seul responsable de ce qui arrivait. Je la sentis sursauter un peu, mais se laisser faire, les yeux toujours fixes sur nos conjoints. Puis, elle-même posa sa main sur ma cuisse et la remonta lentement vers mon sexe.
— Non mais, regarde-les ! dit soudain ma femme.
— On vous a dit de rester tranquilles tous les deux. Vous avez pris de l’avance non ?


Comme on ne réagissait pas assez vite, Serge dit soudain :
— On va les attacher, comme ça on sera tranquilles.


Ils se levèrent tous les deux ; Claire prit un foulard et, me mettant les mains derrière le dos de la chaise, les attacha. Serge quant à lui prit une ceinture et attacha fermement les mains de Nadine. Claire avait parfois émis le souhait de m’attacher et de me bander les yeux pour faire l’amour mais je n’avais jamais été attiré par ce genre de pratiques.
Profitant de ce qu’ils étaient debout, ils s’embrassèrent et se déshabillèrent tous les deux. Puis se rallongeant sur le lit, ils recommencèrent à s’embrasser. Je vis Claire descendre doucement le long du corps de Serge et, tout en continuant à le masturber, poser ses lèvres sur mister sexe tendu. Puis elle se mit à l’avaler. J’étais aux anges. Pour la première fois, je voyais un autre sexe que le mien dans la bouche de ma femme. Serge appréciait manifestement le traitement que lui infligeait ma femme.
Soudain, je la vis bouger et se tourner vers Serge pour se mettre en position de 69. Serge accepta immédiatement l’invitation et se mit à lui lécher le sexe, faisant rentrer en même temps un puis deux doigts. Claire se mit à gémir et, la connaissant bien, je vis qu’elle n’était pas loin de mister premier orgasme. Soudain, elle leva la tête et, me regardant droit les yeux, se mit à jouir sans retenue. Je regardai Nadine et vis qu’elle était tellement excitée qu’il me semblait qu’elle allait avoir elle-même un orgasme.
J’étais super excité et j’avais une envie folle de jouir moi aussi. Le foulard avec lequel Claire m’avait attaché était assez lâche et avec un peu de power, j’aurais pu le défaire facilement, mais je décidai de jouer le jeu et je fis semblant de rester attaché. Par contre, je vis bien que Serge n’avait pas fait semblant d’attacher Nadine et je me demandai s’ils le faisaient souvent.
Pendant ce temps, Claire continua de sucer Serge un petit peu puis, se retournant, elle vint s’empaler sur mister sexe tendu, face à moi et me regardant droit dans les yeux en montant et descendant sur le sexe de Serge.
Je compris qu’elle avait fait exprès de m’attacher légèrement avec le foulard pour voir ce que je ferais. Je la regardai, bougeai un peu les mains pour lui montrer que j’avais compris que j’aurais pu me détacher, mais que je ne ferais rien pour y arriver, lui montrant ainsi que j’acceptais mister fantasme comme elle avait accepté le mien en faisant l’amour avec Serge.

Elle comprit le sens de mon message ; cela déclencha mister plaisir et, avec un grand cri, elle s’affaissa sur le ventre de Serge et eut un second orgasme tandis que nous comprenions, Nadine et moi, que Serge venait à mister tour de jouir.
Soudain Nadine prit la parole :
— Dites-moi, tous les deux : nous n’avons pas eu un si grand plaisir que cela, tous les deux. Nous avons dû faire doucement.
— Je suis d’accord avec Nadine, dis-je immédiatement. Nous avons été suffisamment punis comme cela. Détachez-nous, qu’on puisse en profiter autant que vous.
— Non mais dis donc, ils se rebellent tous les deux, dit Serge. D’après toi, ils ont été suffisamment punis ?
— Je crois que oui, dit Claire, mais ils vont nous promettre quelque chose avant qu’on les détache, c’est qu’ils feront exactement ce qu’on leur dira.
— Vous êtes d’accord tous les deux ? dit Serge


Nadine et moi donnâmes notre accord. Serge, avant de détacher Nadine, l’embrassa longuement et Claire fit de même avec moi. Je sentis à mister baiser qu’elle me remerciait pour n’avoir pas tenté de me détacher alors que je l’aurais pu.
— Tout d’abord, vous allez nous dire ce que vous avez fait dans la voiture et pourquoi vous avez fait cela.


J’expliquai que c’était arrivé par hasard, qu’en allant aux toilettes avant de partir, je l’avais vue dans la glace et que cela m’avait excité. Que m’étant réveillé en cours de route, je m’étais bêtement demandé si Nadine portait ou non un soutien-gorge, que cette idée avait fini par m’obséder et que comme elle dormait, j’avais posé ma main sur mister sein pour vérifier.
Nadine expliqua que, ce contact l’ayant réveillée, tout d’abord elle s’était fâchée, m’avait fait retirer ma main, qu’elle avait pensé faire un esclandre, mais qu’elle n’avait pas voulu gâcher les vacances qui commençaient. Puis dans un deuxième temps, elle dit qu’elle s’était aperçue que je l’avais regardée dans la salle de bain, qu’elle s’était aperçue de l’effet que cela semblait me faire, que cela l’avait à la fois flatté et excité.
Ensuite dans la voiture, elle avait souhaité voir ce que j’allais faire ; elle avait repris ma main pour la reposer sur mister sein. Elle pensait s’arrêter là mais prise à mister propre piège et comme à chaque fois qu’elle se réveillait, elle était déjà un peu excitée (ce que Serge confirma tout de suite), elle avait craqué et avait eu envie de jouir. C’est pour cela qu’elle avait pris ma main pour l’amener vers mister sexe.
Après, ayant connu une grande jouissance du fait de la situation, elle avait eu envie de me rendre la pareille ; elle m’avait branlé, et pour éviter que je ne me tache, ce qui nous aurait dénoncés, elle avait pris le bout de mon sexe dans sa bouche et tout avalé, ce que, de toute façon, elle adorait (ce que Serge confirma de nouveau).
Après notre confession, nos conjoints nous détachèrent.
— Déshabillez-vous tous les deux, dit Claire.


Nous ne nous fîmes pas prier et, dès que nous fûmes nus nous aussi (tous les deux étaient restés nus), Claire reprit les choses en main.
— Bernard, tu vas sucer Nadine et la faire jouir. Toi Nadine tu vas te masturber pendant qu’il te suce.


Je remerciai ma femme d’un sourire, elle savait que j’adorais qu’elle fasse cela pendant que je la suçais.
Nadine s’allongea sur le lit. Je me mis dans une position confortable et posai mes lèvres sur mister sexe qui était déjà complètement mouillé. Elle posa sa main sur mister clitoris et commença à se caresser tandis que ma langue la fouillait. Excitée par toute cette histoire, elle jouit fortement en quelques minutes. Je me régalai de sa jouissance.
— Maintenant suce-le, dit Claire, qui semblait avoir pris le commandement des opérations.


Je sentis la langue de Nadine jouer avec mon sexe puis sa bouche m’avaler complètement. J’étais aux anges ; depuis que nous les connaissions, j’avais eu envie de faire l’amour avec Nadine, et là, après que je l’eus fait jouir, elle me suçait.
— Arrête, maintenant, ne le fais pas jouir, dit Claire.


Je fus un peu déçu car je me serais bien laissé aller.
— Mets-toi en levrette, et toi, chéri, baise-la. Tournez-vous sur le côté, qu’on puisse bien vous voir.


En nous tournant, nous avons vu que Claire masturbait Serge qui avait retrouvé une bonne contenance.
Je me présentai derrière Nadine, lui caressai un peu le sexe pour la préparer, ce qui, d’ailleurs, était totalement inutile, car elle mouillait toujours abondamment. Je présentai mon sexe devant le sien et le pénétrai d’un coup, lui arrachant un grand soupir.
Je me mis à lui faire l’amour d’abord doucement pour bien profiter de mister corps. Je m’aperçus que Claire était en train de se masturber tout en faisant une fellation à Serge qui, évidemment, se laissait faire. Tout en faisant l’amour avec Nadine, qui laissait éclater sa jouissance, je ne pouvais détacher mes yeux de ce sexe qui rentrait dans la bouche de ma femme.
Soudain je vis Serge se tendre et jouir dans la bouche de ma femme qui, à mister habitude, avala toute sa jouissance, trouvant elle-même mister plaisir. Cela déclencha le mien et je me mis à jouir dans le sexe de Nadine qui, se laissant tomber sur le lit, m’emmena avec elle. Pour ne pas trop la fatiguer, je me mis sur le côté, la gardant serrée contre moi pour profiter toujours de mister corps.
Je mis mes mains sur ses seins et l’embrassai dans le cou, mon sexe toujours tendu à l’intérieur du sien. J’étais toujours aussi excité et je recommençai à bouger doucement, sentant le mélange de mister plaisir et du mien. Claire et Serge nous rejoignirent. Lui aussi bandait toujours ; ils prirent la même position que nous et Serge la pénétra de nouveau et, tout doucement cette fois, nous refîmes encore l’amour tous les quatre.
Très vite, nous jouîmes de nouveau et restâmes un peu comme cela, chacun profitant du corps de l’autre. Puis Claire dit que si nous restions couchés, nous allions nous endormir. Nous nous levâmes, mîmes nos maillots et sans même prendre une douche, partîmes à la plage, où nous prîmes notre premier bain de l’été
chrislebo

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#269
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Soirée dansante - 01


Ma femme Claire et moi pratiquons régulièrement la danse. Nous faimisters partie d’une école où nous apprenons les danses latines et de salon, ainsi que le rock. Nous avons sympathisé avec notre prof de danse, Nadine, et mister mari Serge.
Je nous présente :
Je m’appelle Bernard, je suis brun, je mesure 1,83 m et pèse 79 kg. J’essaie de me maintenir en forme en faisant du sport (pratique régulière du jogging) et, quand je le peux, un peu de muscu. Je ne souhaite pas devenir Schwarzenegger ou Stallone mais simplement me maintenir en forme.
Ma femme Claire mesure 1,50 m et pèse 50 kg, châtain clair. Permisternellement je la trouve très jolie (mais évidemment je suis de parti pris) Elle a une poitrine assez forte pour sa taille, et ça la gêne souvent car c’est toujours la première chose que les gens voient la première fois où ils la rencontrent. Elle en fait même un complexe.
Après vingt ans de mariage, nous avons une sexualité encore importante. Il faut dire que ma femme adore faire l’amour et qu’elle est très sensible des seins. Comme permisternellement c’est toujours ce qui me fait fantasmer chez une femme, vous pensez bien que je suis ravi. Ce qu’il y a de paradoxal (et amusant, et en plus qui me plait beaucoup) c’est qu’elle adore mettre des tenues décolletées quand on sort ou qu’on reçoit des amis.
Serge, brun lui aussi, est un peu plus petit que moi mais beaucoup plus sportif, et lorsqu’on va courir ensemble il me crève littéralement car j’essaie toujours de le suivre. J’ai sensiblement amélioré mes performances depuis que je cours régulièrement avec lui. Comme moi, il souhaite conserver la forme et, à bientôt quarante-cinq ans (lui comme moi), nous sommes plutôt content de notre physique et de notre état de forme. Bien qu’il essaie d’être discret, j’ai pu constater à plusieurs reprises que quand il pensait qu’on ne le voyait pas, mister regard plongeait dans le décolleté de Claire, que je soupçonne de s’en être aperçue et d’en rajouter parfois.
Si Serge a souvent le regard indiscret, c’est sûrement parce que mister épouse Nadine, contrairement à Claire, a une petite poitrine. Je m’en suis rendu compte car, contrairement à ma femme qui ne l’a jamais voulu, elle est souvent sans soutien-gorge. Et quand mister décolleté baille, j’ai pu apercevoir de mignons petits seins. Nadine est très belle, une vrai blonde, et comme elle est prof de danse et de fitness, elle a une silhouette superbe malgré ses quarante-cinq ans elle aussi (Claire étant un peu plus jeune, quarante-deux ans). Elle mesure 1,70 m et pèse 58 kg. Je vous laisse imaginer mister corps…
Nous sommes très proches, parlant de tout sans tabou, mais il ne s’est jamais rien passé entre nous… jusqu’à cette soirée dansante costumée qu’a organisée Nadine pour la dernière soirée de l’année de mister école de danse, en juin.
Il n’y avait pas de thème imposé, et chacun pouvait choisir le costume qu’il voulait. Je ne savais pas exactement comment me déguiser quand Claire a eu une idée.
— Et si on changeait de sexe ?
— Que veux-tu dire ?
— Tu t’habilles en femme et moi en homme.


J’ai été tout de suite d’accord, trouvant cela assez marrant.
Vu la différence de taille entre elle et moi (1,83 m contre 1,50, je vous le rappelle), il était impossible que je prenne des affaires à elle.
— Ne t’inquiète pas, je m’en occupe, me dit-elle


Le lendemain en rentrant du travail, elle me dit :
— J’ai trouvé une société qui propose des costumes et des accessoires, on devrait aller voir.
— D’accord, on ira samedi.


Le samedi, nous nous sommes rendus dans cette société. Quand on lui a dit ce qu’on voulait faire, la vendeuse nous dit qu’elle avait tout ce qu’il fallait pour ça. Je me mis dans une cabine, en caleçon (j’aime autant mettre des slips, des caleçons que des strings). La vendeuse sortit une espèce de corset qui, une fois passé, me faisait un corps de femme. En effet, il y avait des seins très bien faits – on aurait dit des vrais. Le corset lacé dans le dos et ayant des renforts m’obligeait à me tenir bien droit, donnant l’impression d’une courbure très féminine. Bien que l’essayage ait lieu en présence de ma femme et de la vendeuse, je n’étais pas du tout gêné. Cette dernière avait une attitude toute professionnelle, semblait très amusée par notre idée et ne voulait qu’une chose :
— Je veux que permisterne ne s’aperçoive que vous êtes un homme tant que vous ne l’aurez pas dit.


Une fois le corset choisi, elle me fit essayer des perruques jusqu’à ce que l’on trouve celle qui allait le mieux et faisait le plus naturel possible. C’était une perruque blonde, avec des cheveux longs qui me tombait sur les épaules, et une fois que je l’avais passée on avait vraiment l’impression qu’il s’agissait de mes cheveux. Claire et moi étions enchantés, et après la promesse que nous prendrions des photos pour qu’elle puisse les mettre dans mister catalogue, nous avons payé nos achats et nous sommes partis.
Ensuite nous sommes allés me choisir une robe. Compte tenu de mon physique, nous sommes allés dans une boutique « spécialisée grande taille ». Là encore, après explication, la vendeuse a trouvé l’idée très amusante et s’est mise en quatre pour nous aider à choisir. Elle eut vite fait de nous montrer que nos premiers choix n’iraient pas du tout et, devant mister évident professionnalisme, nous nous en sommes remis totalement à elle.
Dès qu’elle eut pris la situation en main, les choses allèrent beaucoup plus vite. Tout d’abord, elle me fit remettre le corset ainsi que la perruque, ce qui nous prit pas loin d’une demi-heure. Puis elle choisit différentes tenues pour me les faire essayer. Pour ma part, j’étais très tenté par un tailleur pantalon que je trouvais très joli. Mais ma femme et la vendeuse me démontrèrent que ça ne m’allait pas du tout, me redonnant ce côté masculin que nous cherchions justement à éliminer. Je me rendis à leurs raimisters, et pensant qu’elles devaient avoir plus l’habitude que moi, je les laissais décider.
J’essayais plusieurs robes, jupes, chemisiers, jusqu’à ce qu’elles s’exclament de joie quand je ressortis de la cabine d’essayage dans une robe qui m’arrivait à peine au-dessus du genou, avec un décolleté assez prononcé. Comme je leur disais que le décolleté me trahirait tout de suite car, même bien imités, on voyait bien que les seins étaient faux, elles me firent remarquer qu’il y avait une espèce de dentelle qui le recouvrait et que, si dans une boutique bien éclairée ou au dehors ce serait peut être visible, dans une salle de danse pas très éclairée, vers vingt-et-une heures, je pourrais faire illusion, au moins le temps qu’on dévoile la supercherie.
Ensuite la vendeuse, qui dans sa boutique avait un rayon lingerie, me choisit un porte-jarretelles, des bas résille et un string très féminin. Quand je lui ai dit que j’en avais à moi, elle me dit qu’un string masculin n’irait pas et se verrait. Ma femme étant d’accord, je décidais de continuer à lui faire confiance et la laissait me guider même si, à ce moment-là et bien que ni ma femme, ni la vendeuse – toujours dans leur amusement d’essayage – ne semblaient pas y faire attention, j’étais à la fois un peu plus gêné, et en même temps un peu excité. Heureusement pour moi, cela ne se voyait pas trop

chrislebo

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— Allez Catherine, laisse-toi faire.


Et prenant ma main, elle la posa sur le sexe de Serge.
Je fus surpris par plusieurs choses. D’abord de l’excitation que je lisais dans les yeux de Claire et de Nadine, puis de constater que Serge avait un début d’érection assez prononcé, et qu’enfin je ne trouvais pas cela si déplaisant que ça.
Je continuai donc une caresse qui ne me semblait pas m’engager beaucoup, et cela ne semblait pas lui déplaire. Je regardai les deux femmes, qui semblaient magictisées par ma main qui caressait le sexe de Serge par-dessus mister pantalon. Quand je regardais Serge, je vis qu’il semblait apprécier. Me prenant par le cou, il m’approcha de mister visage. J’hésitai un peu puis me laissai faire. Il posa ses lèvres sur les miennes et je sentis sa langue jouer avec mes lèvres qui s’ouvrirent presque malgré moi. Nous sommes partis dans un baiser qui, un rien hésitant au début, ne tarda pas à se transformer en baiser passionné.
Les femmes ne disaient plus rien, ne voulant pas nous brusquer et risquer de tout faire échouer (c’est ce que me dira Claire ensuite), mais elles étaient manifestement très excitées. Je sentis une main me caresser les fesses et jouer avec mon string par-dessus ma robe. Je ne savais qui c’était, mais c’était très agréable et très excitant en même temps.
Notre baiser dura de longues minutes et lorsque nous nous sommes séparés, je sentis des mains sur mes épaules.
C’était Nadine qui voulait me faire mettre à genoux. Je résistai un peu, plus pour la forme que pour autre chose car je commençai à ressentir l’envie de tenter l’expérience. Elle accentua sa pression et je me laissai descendre. Lorsque je fus à genoux, je recommençai à caresser Serge. Nadine appuya un peu sur ma tête et je posai mes lèvres sur le sexe de Serge qui maintenant était très tendu sous mister pantalon. J’avais encore un peu d’hésitation ; Nadine le sentit, alors elle défit elle-même le bouton et la fermeture éclair du pantalon de Serge et le laissa descendre sur ses chevilles. J’avais maintenant la queue de Serge bien tendue sous mister slip. Je reposai mes lèvres sur ce sexe qui m’attendait et lui fit des petits bisous par-dessus le tissu. J’entendis Nadine me dire :
— C’est bien, ma petite Catherine, vas-y, suce-le maintenant !


Je me demandai ce que faisait ma femme, et je la cherchai des yeux. Je vis qu’elle avait enlevé la veste et le gilet du costume, qu’elle avait ouvert le pantalon qui était tombé sur ses chevilles et, assise sur une chaise, elle se masturbait en me regardant faire.
Pendant ce temps-là, je continuais à caresser le sexe de Serge qui, de mister côté, semblait apprécier. Nadine continuait à m’encourager en me parlant doucement dans l’oreille. Elle s’était agenouillé à côté de moi et me caressait doucement par-dessus ma robe.
— Tu as l’air d’aimer ça, ma petite Catherine, disait-elle tout fort. Tu as l’air en pleine forme.


Ses paroles, le fait qu’elle continue à m’appeler Catherine, m’excitaient au plus haut point. Je pris le slip de Serge et le fis descendre le long de ses jambes. Son sexe était tendu vers moi. Je le pris dans ma main et je me mis à le caresser, toujours encouragé par Nadine.
— Oui, branle-le, vas-y, branle-le ! Suce-le maintenant, tu verras, c’est très bon. Je suis sûre que tu vas adorer.


Sans qu’elle ait besoin de me powerr, j’approchai ma bouche du sexe de Serge. Je posai ma langue sur le bout de mister sexe et me mit à jouer avec le gland. Serge se mit à gémir. Puis j’ouvris la bouche et, tout doucement, avalai ce sexe qui ne demandait que cela. Je sentais la main de Nadine qui me caressait les cheveux et qui me donnait la cadence. Je pouvais voir dans les glaces Nadine qui me regardait sucer Serge, moi en train de le sucer et Claire qui se masturbait, et qui était manifestement sur le point de jouir. Je ressortis le sexe de Serge de ma bouche et me mit à lui lécher la hampe et les testicules. Je sentis qu’il n’était pas loin de jouir, alors je le repris en bouche et recommençai à le sucer, toujours encouragé par Nadine qui me disait :
— Vas-y, ma petite Catherine, fais-le jouir, avale tout.


Très excité maintenant, j’accélérai ma fellation. Soudain, j’entendis Claire qui poussait un grand cri et dans la glace je vis qu’elle venait de jouir et avait encore des spasmes de jouissance. Serge, qui la regardait aussi, ne put se retenir plus longtemps et en disant des :
— Oh, c’est bon, c’est bon !


Il se mit à jouir. Le premier jet me prit un peu par surprise et je faillis m’étouffer, mais je profitai à fond des jets qui suivirent, tandis que je voyais dans la glace le visage de Nadine qui, elle aussi, s’était mise à se masturber, et qui jouissait. Je continuai à sucer Serge pour finir de boire sa jouissance et je pus constater à ma grande surprise qu’il ne débandait pas du tout.
— Claire, va chercher des tapis de fitness et apporte-les, dit Nadine avant de m’embrasser goulûment. C’est pour profiter du goût du sperme de mon mari dans ta bouche. Ne bougez pas tous les deux, je reviens.


Serge était toujours très tendu et je continuais à le caresser et à le sucer.
Claire était en train d’installer des tapis de sport par terre quand Nadine revint. Elle ramenait une boite de crème (dont je ne citerais pas la marque mais dont le nom est inscrit en blanc sur fond bleu…).
— Catherine, me dit-elle, mets-toi à quatre pattes.


Elle semblait vraiment décidée à m’appeler comme cela jusqu’au bout. Je compris immédiatement où elle voulait en venir et, bien que me faire sodomiser ne m’ait jamais vraiment attiré, je continuai à jouer la soumise et fit ce qu’elle m’avait demandé. Elle remonta ma robe sur mes reins, enleva mon string en me caressant un peu au passage, prit de la crème et commença à m’en mettre sur le cul. Au début, j’étais un peu contracté, mais quand elle commença à mettre doucement un doigt, puis deux, je m’aperçus que ce n’était pas si désagréable que cela. Claire me fit me pencher en avant afin d’améliorer ma position. Dans la glace, je pus voir que Serge semblait très impatient et qu’il bandait toujours très fort. Ce qui me fit un peu peur, car déjà que je sentais bien les doigts de Nadine, alors le sexe de Serge, qui me semblait bien plus gros, m’inquiétait un peu. Mais je dois avouer que j’étais bien trop excité pour renoncer. D’autant que Claire, passant la main sous ma robe, s’était mise à me branler.
Nadine mit de la crème sur le sexe de Serge et l’approcha de mon cul.
— Vas-y doucement pour une première fois, dit-elle à Serge.


Je sentis le sexe de Serge peser doucement et mon cul, bien préparé par Nadine, s’ouvrit. Serge s’enfonça doucement. Il y eut bien un moment un peu plus désagréable, quand il força, mais dans l’ensemble cela me fit moins mal que je ne le craignais.
— Ne bouge plus, laisse-le s’habituer.


Tiens ! Pendant une minute, j’étais redevenu un homme…
Puis je la vis s’avancer vers moi, s’allonger par terre, se mettre en position de 69, et après avoir remonté sa jupe et enlevé mister slip, se glisser sous moi. Ses mains appuyèrent sur ma tête pour que je m’occupe de mister sexe tandis que sa bouche gourmande avalait le mien. Je me mis à sucer le sexe de Nadine, à m’occuper de mister clitoris et, est-ce dû au spectacle que je venais de lui donner, elle se mit à jouir très vite et très fort dans un grand cri.
Je sentis Claire qui me relevait la tête pour m’embrasser malgré ma bouche pleine de la jouissance de Nadine. J’avais le sexe de Serge qui faisait des va-et-vient lentement dans mon cul, la bouche de Nadine qui me suçait et ma femme qui m’embrassait. J’étais au comble de l’excitation. Claire ayant cessé de m’embrasser, Nadine me fit comprendre de m’occuper à nouveau de mister sexe. Ce que je fis bien volontiers. Elle avait cessé de me sucer et faisait de commentaires du genre :
— Vas-y Serge, encule-le. Oh oui, suce-moi, c’est bon !


Elle avait lâché mon sexe qui s’était posé entre ses seins. Je sentais le haut de mister tee-shirt qui frottait sur mon sexe. Je me mis à bouger entre les petits seins de Nadine qui criait littéralement sa jouissance et ne s’occupait plus du tout de moi. Je sentis que Serge accélérait sa cadence. Je suçais Nadine comme un fou, ne faisant plus attention à rien, et je sentais monter ma jouissance.
Serge m’enculait maintenant très vite et très fort. Je sentis Nadine jouir elle aussi dans ma bouche, et quand soudain Serge se tendit à fond dans mon cul et se mit à jouir, en sentant mister sperme couler dans mon cul je me mis à jouir moi aussi, mon sperme allant se perdre entre les seins de Nadine sous mister tee-shirt.
En ouvrant les yeux je vis que Claire embrassait Serge à pleine bouche.
Il se dégagea de mon cul et dit :
— Je vais me laver un peu la queue.
— Attends, je t’accompagne, dit ma femme.


Nadine, pendant ce temps-là, après avoir joui une nouvelle fois, avait repris mon sexe dans sa bouche. Après la jouissance que je venais d’avoir, je pensais que j’allais débander très vite, mais est-ce la soirée que je venais de connaître ou la bouche habile et gourmande de Nadine, mais je bandais toujours très fort.
— Choisis la position que tu veux, me dit-elle.
— Alors en levrette devant la glace, je veux me voir en train de te baiser.


Immédiatement elle se leva, enleva mister tee-shirt, et pour la première fois je vis ses seins que je m’empressai de peloter, d’embrasser et de sucer. Elle me gratifia d’un baiser très passionné puis, se mettant à genoux, repris mon sexe dans sa bouche pour me sucer un peu. Nous vîmes revenir mister mari et ma femme. J’étais très surpris car malgré les deux jouissances qu’il venait de connaître, Serge présentait toujours un sexe bien tendu.
Ils vinrent se mettre à côté de nous et, se mettant à genoux, Claire se mit elle aussi à sucer Serge. Dans la glace, nous pouvions voir nos deux femmes sucer le mari de l’autre. Voir ma femme sucer Serge et Nadine me sucer, d’autant qu’elles y mettaient du cœur, je trouvais cela très excitant. Serge me dira plus tard que lui aussi avait été très excité par cette vision. Je sentais monter ma jouissance et je fus tenter de me laisser faire, mais j’avais beaucoup trop envie de pénétrer Nadine, aussi l’ai-je arrêtée. Le sourire qu’elle m’adressa quand je me penchai pour l’embrasser et lui demander de se mettre en position me remplit d’un grand élan pour elle, car au-delà de la simple envie de sexe je sentais une grande affection entre nous, presque comme de l’amour, et je vis que ma femme et Serge semblaient ressentir la même chose.
Nadine se retourna et, se mettant en position, me tendit mister postérieur que je ne pus m’empêcher de caresser. Claire se mit elle aussi dans la même position, et Serge et moi avons présenté nos sexes avides d’amour à leur sexe qui (au moins pour Nadine) dégoulinait littéralement d’excitation. Nous les pénétrâmes tous les deux ensembles et commençâmes à leur faire l’amour à la même cadence. C’était fantastique : les glaces, nos complices, nous renvoyaient cette image merveilleuse. Je voyais le sexe de Serge aller et venir dans le sexe de ma femme et je le voyais regarder le mien aller et venir dans le sexe de la sienne.
Excités comme nous l’étions, hommes et femmes, nous ne fûmes pas longs à jouir et c’est tous les quatre ensemble que, dans des gémissements de plaisir et des cris, nous avons jouis. Je ne crois pas me souvenir avoir eu autant de plaisir à jouir dans le ventre d’une femme. Nous nous sommes écroulés, et afin de soulager Nadine je me suis mis sur le côté. Elle s’est serrée contre moi afin de profiter encore un peu de mon sexe, qui cette fois se détendait. Je pouvais voir dans la glace que Serge et Claire faisait de même. Me dégageant, je retournai Nadine et l’embrassait avec tendresse. Elle me rendit mon baiser et me dit tout doucement :
— Je t’aime.
— Moi aussi, lui ai-je répondu.


Très sincèrement, je crois que nous pensions ce que nous venions de nous dire. Et dans l’attitude de ma femme et de mister mari, je vis qu’ils se disaient la même chose et, contrairement à ce que j’aurais cru, je n’en fus pas jaloux mais au contraire je ressentis un grand bonheur.
Comme nous avions un peu froid, nous nous sommes relevés, rhabillés tant bien que mal, surtout Nadine qui avait du sperme partout sur mister tee-shirt à cause de ma première jouissance.
Nadine et Serge nous ont invité à boire le champagne et ont insisté pour que nous dormions chez eux, compte tenu de l’état de fatigue dans lequel nous étions.
Nous étions certes fatigués, mais je crois qu’aucun de nous quatre n’avait envie que notre soirée s’arrête là. Nous avons pris une bonne douche et nous sommes allés nous coucher.
C’est en fait le lendemain que la soirée s’est continuée…
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