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les histoires de chrislebo

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vanbruje

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#2,221
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La fin ?? Ou encore ?? Merci
chrislebo

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#2,222
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encore loll
chrislebo

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#2,223
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P Avec l'autre couple nous nous regardions un peu bizarrement. Qui étaient-ils des complices ?... de victimes comme nous ? Je pense qu'ils se demandaient la même chose. Fabrice déclara :
"Bon ! Que je vois si mes ordres ont été suivis ! Par qui je commence ! Allez Nadine c'est toi qui t'y colle !"
Je le vis se tourner vers elle et passer la main sous la table. Il ponctua ses gestes tout d'abord d'un "bien… bien…" puis d'un "écartes !". A priori il lui avait ouvert le bas de mister imperméable. A l'instar de Gisèle était-elle nue aussi ? La réponse fut à peu près claire. Retirant sa main de dessous la table, il nous désigna mister doigt luisant et nous le fit sentir à Gisèle et à moi et disant :
"Sentez donc comme elle mouille cette truie !"
Puis il fit lécher mister doigt par Nadine avant de reprendre mister exploration cette fois au dessus de la table puisqu'il déboutonna le vêtement sans trop l'ouvrir, soit, mais en le laissant suffisamment ouverte pour que l'on puisse bien remarquer qu'elle ne portait rien en dessous. La femme ferma les yeux et soupira comme sous le coup d'une forte émotion. Se tournant vers ma femme, il lança simplement :
"Et toi ?" et il se lança dans le même cérémonial commandant à un certain moment "les cuisses !". Je compris, et autre aussi sans doute, qu'il demandait l'ouverture du compas de ses jambes. Un doit aussi brillant que tout à l'heure fit mister apparition pour passer sous le nez du couple avec ce commentaire :
"Et elle ? Elle n'est aussi salope ?".
Gisèle fut aussi contrainte de laper le médius souillé. Il acheva ensuite le déboutonnage du haut s'arrangeant pour faire voir ses seins à ceux d'en face. Apparemment satisfait il dit :
"Bon ! C'est bien tout çà ! On va pas tarder à y aller ! A moins que… ouais ! J'ai une idée ! Les gonzesses allez m'attendre devant les toilettes. Vous les mecs vous restez là !"
Il se leva les femmes aussi serrant peu ou prou leur vêtement contre elles pour tenter de masquer leurs appâts. Elles se dirigèrent vers le couloir menant aux toilettes. Lui alla parler à deux hommes au bar. Apparemment ils se mirent d'accord sur quelque chose et eux aussi gagnèrent le fond du bar…. Mon dieu ! ….
G Après l'humiliante vérification de Fabrice je me retrouvais dans ce couloir négligé avec l'autre femme. Je lui demandais :
"Que va-t-il se passer ?"
"Je ne sais pas trop ! Je suis forcée d'obéir… il me fait chanter !"
"Moi aussi…."
Du coup elle me fut plus sympathique bien que ses ébats photographiés ne me semblaient pas emprunts de trop de contrainte. Pouvais-je lui jeter la pierre ? J'étais bien mal placée….
Je vis revenir Fabrice. Il était accompagné de deux hommes. J'eus peur de comprendre….
D'un geste autoritaire il nous fit entrer dans les toilettes. Les hommes nous suivirent. Il s'adressa à eux :
"Vous voulez peut-être voir la marchandise ?"
En disant ceci il avait saisit le revers de mon ciré et avait tiré dessus pour l'ouvrir faisant apparaître ma nudité. Il ordonna à Nadine de s'exhiber. Elle rejeta mister vêtement en arrière pour se dégager les épaules et plaça ses mains sur ses hanches de manière à ce que les pans ne viennent pas la recacher. A mister geste assurer pour se montrer je compris qu'elle n'en était pas à mister coup d'essai. Les deux types nous reluquaient avec des yeux injectés. Fabrice leur confirma :
"Ok pour une pipe ! Choisissez !"
Oh mon dieu ! C'était bien à quelque chose de semblable à laquelle je m'étais attendue. Il allait nous faire sucer des inconnus….
"Je prends la brune !" décida l'un d'eux.
La brune c'était moi…. Il me fit venir dans l'un des WC, me fit asseoir sur la lunette et ouvrit mister pantalon. L'autre avait emmené Nadine dans l'autre WC.
Sa demande fut laconique :
"Suces moi !"
Je m'emparais de cette bite un peu molle. Au contact de mes lèvres elle grandit. Je me mis à le pomper sinon avec fièvre, du moins avec application. Il voulu me voir nue. Complaisante j'ôtais mon ciré et me remis à l'ouvrage. Nue, dans ces WC douteux entrain de faire une fellation à un inconnu accosté par un amant/maître-chanteur, sachant que mon mari se trouvais dans le bar à coté se doutant de mes activités, je pris conscience que je devenais vraiment une pute et cela me fit tout drôle... drôle et chaud…. Sans savoir à ce moment là que ce n'était qu'un début, je redoublais d'ardeur et l'homme me jouit dans la bouche, puis il sortit. Je repassais mon ciré et me dirigeais vers le lavabo. En passant je vis qu'à coté, c'était l'homme qui s'était assit. Nadine, elle était agenouillé devant lui et pratiquait la même activité buccale que moi tout à l'heure. Le sien paraissait plus résistant. En me remaquillant, je vis dans la glace l'homme que j'avais sucé fouiller dans ses poches et tendre un billet à Fabrice. Il nous avait vraiment fait faire cela pour de l'argent. Nadine acheva mister "œuvre" et vint aussi se refaire une beauté. Son client lui aussi régla la note à Fabrice. Ce dernier nous lança :
"Pas mal les filles ! Allez on y va !".
P Je vis revenir le trio. Les deux types étaient déjà partis. Gisèle avait un peu l'air dans un état un second et sa consoeur un peu moins. Fabrice s'adressa à nous :
"On va chez moi ! J'emmène les gonzesses, vous n'avez qu'à me suivre ! Je vous laisse l'addition !"
Vraiment ! il était vraiment odieux … difficile de faire pire…. En pensant cela je faisais une lourde erreur.
G Fabrice nous fit monter dans sa voiture Nadine devant, moi à l'arrière et toute deux imperméable grand ouvert…. De temps à autre il surveillait dans le rétroviseur que nous maris nous suivaient. En plaisantant il nous dit :
"J'espère que je ne vais pas les semer… ils auraient bien du mal à vous retrouver…."
Je mistergeais que cela pouvait passer pour une menace. Heureusement il n'en fit rien. Nous arrivâmes à mister immeuble suivis par les voitures de nos conjoints. En fait mister immeuble n'était nullement difficile à trouver. Je pensais à juste titre qu'en fait l'intermède du café était à la fois inutile pour trouver notre chemin et bien orchestré pour nous humilier tous un peu plus. Quoiqu'il en soit, à la perspective de ce qui m'attendait… nous attendais… j'étais trempée d'un désir inavouable.
P Arrivé dans mister entrée, il fit retirer leur vêtement aux femmes. Nadine était bien faite également, je pus le constater. De l'autre coté d'une porte fermée on entendait des voix et des rires. Il tendit à Roger un caméscope et à moi l'appareil photo habituel. Il parut un instant mistergeur et s'adressant à nous nous "pria" de retire nos pantalons… puis nos caleçon…. Petite bite… petite bite… les quolibets de mon enfance et mon surtout mon adolescence revenaient m'humilier. Nadine eut l'air navrée en me voyant. Roger, lui était plutôt pas mal agencé.
"Allez hop !" fit Fabrice et il passa un bras autour de la taille de chacune des femmes pour faire mister entrée dans la pièce voisine.
G Un temps de silence se fit à notre entrée, puis immédiatement des interjections de satisfaction et des exclamations grivoises. Cette fois en plus des du groupe habituel, puisque les cinq autres étaient là, il y avait également deux noirs, genre banlieue. Ils seraient donc huit !
Fabrice nous lâcha et se recula.
"Hé les poufs ! Autant prendre de bonnes habitudes tout de suite ! Embrassez vous !"
Naïve, je crois que j'avais été encore naïve… je n'avais pas du tout pensé à cela ! Nadine… oui et elle me le confirma plus tard. Moins nunuche, elle se doutait… elle savait….
Elle passa un bras autour de ma taille et se penchant vers moi effleura ma bouche de lèvres.
"Mieux que ça ! Allez roulez vous une pelle !"
Cette fois elle m'attira à elle, ventre contre ventre, seins contre seins, sa bouche se colla à la mienne, nos rouges à lèvres se mélangèrent et la langue chercha la mienne. C'était la première fois que j'embrassais une autre femme. Cela me fit bizarre mais j'aimais…. Flash et ronron du caméscope…. Les mâles interrompirent nos élans féminins pour nous ordonner de venir nous occuper d'eux après nous être débarrassées de nos plugs respectifs. Ils firent deux groupes de quatre avec un des "nouveaux" dans chaque. C'est d'ailleurs au mien que je dus faire une pipe en premier. J'engloutis donc avec délectation cet étrange chibre noir. Étrange et imposant, oh que oui, il n'en finissait pas de grossir. La réputation que je pensais caricaturale des hommes de couleur n'était pas surfaite. Quand il me sodomiserait j'allais le sentir passer…. D'un coup ce fut le déchaînement. Quelqu'un passa derrière moi et m'enfila. Les pines changèrent et changèrent de place, je jouis une fois, deux fois…on m'encula… oui, oui… le black aussi… il me démonta le cul… puis il y eut des doubles, des triples…. A coté j'entendais aussi jouir Nadine. Et puis je jouis encore… et puis un, deux éjaculèrent et les autres aussi. On nous fit changer de groupe… l'orgie recommença de plus belle.
chrislebo

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#2,224
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Je n'avais jamais autant sucé de ma vie. Les queues ne cessaient de succéder dans ma bouche, non plus que dans ma chatte ni mon postérieur ou elles se nichaient profondément. Après une deuxième salve générale les esprits se calmèrent un peu. Sauf évidement celui de Fabrice qui nous imposa de nous mettre, Nadine et moi, en position de soixante neuf et de nous "bouffer". Avant de nous mettre en position, elle m'embrassa encore longuement me soufflant "qu'elle avait envie de moi". Je crois que moi aussi j'avais envie d'elle…. Elle me fit allonger sur la moquette au milieu du cercle égrillard de nos partenaires. Elle m'ouvrit les cuisses et m'enjamba mister entrejambe se rapprocha de ma bouche…. Tout mister entrecuisse, comme le mien je suppose, était souillé de mouille et de sperme. Son sexe était ouvert et écarlate… et que dire de mister anus… béant…. Sa bouche aspira mon clitoris. Je l'imitais. C'était parti… mon premier rapport lesbien… je goûtais sa cyprine…avec délice. Les hommes, comme on peut le penser nous encouragèrent à bien enfoncer nos langues dans nos foufounes et nos trous de balle. Aucune de nous deux ne mistergea à décliner cette offre. Elle me fit jouir. Ce fut bon et doux. Elle eut un bref plaisir elle aussi. Je me promis de la mieux traiter une autre fois si possible.
P A l'issue de cette conclusion saphique à ces débordements lubriques les jeunes avaient l'air encore excité. Je dois dire que Roger et moi avions aussi une érection. Enfin la mienne était modeste. L'un d'eux fit remarquer :
"Hè les mateurs… regardez les mecs… ils bandent !".
Ils s'esclaffèrent. Fabrice eut une lueur dans les yeux avant de commander :
"Roger ! Suce l'autre !" et il ajouta devant mister hésitation "Sinon… les photos sur le net…"
Avec un air mortifié je vis mon compagnon d'infortune se mettre à genoux devant moi….
G Je me demandais immédiatement si cela ne plaisait pas beaucoup à Philippe. De toute façon il éjacula très vite. Je me doutais bien de ce qui allait se passer ensuite. Évidemment mon mari fut convié à rendre la pareille à Roger. Là encore, je fus surprise de la façon dont Philippe pratiquait on aurait dit qu'il en avait l'habitude… étrange non ?
Un des noirs se leva et s'approcha d'eux. Se baissant, il mouilla mister majeur et … l'introduisit dans l'anus de Philippe. Non pas ça… mon pauvre mari…. Ouf ! il n'alla pas jusque là. Après s'être essuyé le doigt sur la chemise de mon homme, il commenta :
"Il est souple celui-là. Ils font partie du deal tous les deux ?
Deal… deal… quel deal ? Une fois que Roger eut jouit dans la bouche de mon époux, nous fûmes vite mis au courant.
"Figurez-vous mes bibiches que nous allons vous prêter à nos amis dont vous venez de faire connaissance. Enfin quand je dis prêter… c'est plutôt louer…. Ils vont vous emmener dans la banlieue de X (chef lieu voisin) pour quelques tournantes. Salopes comme vous l'êtes toutes les deux, je suppose que cela ne nous embêteras pas trop de vous faire tringler par vingt ou trente mecs. Oh et puis de toute façon vous n'avez pas le choix…. Eux feront payer leur potes et on partagera l'oseille… vous c'est gratos… pour le pied !"
"Les maris aussi, alors ? Il y a des frères qui aiment bien les hommes aussi !" demanda un des blacks.
"Ouais, ouais pas de problème… avec un petit supplément…."
Sans trop se préoccuper de nous quatre ils s'interrogèrent sur le fait de savoir s'ils allaient intervertir les couples. L'avis qu'il fallait mieux que le mari voie sa femme se faire saillir et qu'elle puisse mater mister mari se faire enculer prévalut. Les couples resteraient conformes….
Fabrice nous prévint :
"On commence la semaine prochaine… une vendredi, une samedi… Nadine, face…Gisèle, pile pour savoir qui sera la première avec mister mari bien sûr !
Pile…. Se serait moi…. et Nadine le lendemain….
Ce fut Fabrice qui mit fin à la discussion :
"Allez barrez-vous maintenant ! Faut qu'on cause pognon, on a des petits détails financier à mettre au point…. On te contacte Pupute, puisque t'es la première vendredi ! Ne vous avisez pas de faire de sottises… ou les clients vont défiler à vos domiciles…. Allez tirez vous !"
P Nous nous retrouvâmes dans l'entrée à vite renfiler nos pantalons. Avant que les femme ne se revêtent, je vis Fabrice les faire tourner en leur disant :
"Vous oubliez ça !"
G Humiliation suprême, il nous remis nos plugs… enfin pas NOS plugs car sans faire attention, il les avait intervertis. Celui de Nadine était plus gros….
Nous nous retrouvâmes tous quatre penauds sur le palier. J'étais terrorisée à l'idée de ce qui allait se passer la semaine suivante. Cette fois il ne s'agissait plus de libertinage, c'était autre chose, j'avais peur, je me sentais au bord de la crise de nerf. Les deux hommes non plus, n'en menaient pas large. Nadine avait l'ai atterrée. Vingt ou trente type… et peut être plusieurs fois… voilà ou nous avait conduit notre imprudence. Arrivés à nos voitures Roger sembla avoir réfléchis à quelque chose. Il nous questionna :
"Je suppose que vous n'êtes pas intéressés par les propositions de ce crétin ? Moi non plus ! Il n'y a peut-être que Nadine qui …. Enfin, laissez moi un ou deux jours, je vous appelle, ne vous inquiétez pas.
P Inquiets nous le fûmes pendant deux jours. Gisèle pleura beaucoup et me questionna aussi beaucoup. Selon elle, je n'avais pas trop rechigné à pratiquer une fellation à Roger. J'éludais….
G Deux jours plus tard, le téléphone misterna. En tremblant je le pris le combiné avec une seule angoisse. Pourvu que ce ne soit pas Fabrice qui appelait pour fixer un rendez-vous. Ouf, ce fut Roger qui me dit que tout était réglé et me demanda de consulter le fameux site dès le lendemain. Le lendemain nous nous connectâmes avec Philippe. Toutes les galeries ou figuraient Nadine et ou je figuraient avaient été retirées. Peu de temps après le téléphone misterna encore. Philippe prit l'appareil, c'était Roger qui nous annonça la fin de notre chantage commun et nous invita pour le samedi suivant pour fêter l'événement. Ouf ! Sauvée ! Roger demanda toutefois à Philippe de me prévenir qu'il n'acceptait chez lui que les femmes en minijupe. Pour autant que cette demande paraisse bizarre, je ne m'en formalisais pas. Je lui devais bien cela, une petite soirée un peu polismisterne en lieu et place d'une nuit d'abattage…si je puis dire, il n'y avait pas photo….
P Dès le lendemain Gisèle s'acheta une minijupe dans un magasin un peu spécialisé, je crois. Quand le samedi vint, elle se prépara pour aller dîner chez Nadine et Roger. Elle arborait ce soir sa fameuse minijupe que je n'avais pas encore découvert. Mini… pour ça, oui ! Droite et serrée elle arrivait à peine à cacher la limite de ses bas. Elle avait mis un joli chemisier en soie couleur champagne que je lui avais offert. Ayant laissé suffisamment de boutons détachés pour que l'on puisse bien se rendre compte qu'elle s'était dispensée de soutien gorge, elle était bien coiffée et bien maquillée, mais sans excès. En voiture sa jupe remonta. Comme je lui en faisait la remarque elle me répondit que "ainsi Nadine pourra se rincer l'œil, surtout que …". Surtout, elle me le dit ensuite, qu'elle s'était passée de culotte. Visiblement elle souhaitait approfondir ses relations avec Nadine m'ayant, à plusieurs reprises, avoué qu'elle y avait prit goût et intérêt. Cela ne me dérangeait pas, j'aurais été mal placé….
chrislebo

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#2,225
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G Ce fut Nadine qui nous ouvrit, Nadine… la belle Nadine…. Bien coiffée et aussi maquillée que je l'avais vu l'autre jour, elle était ou plus exactement n'était vêtue que d'une guêpière rouge seins nus et de bas filets blancs sur des mules également rouges aux talons vertigineux. Son style salope était étincelant, j'avais du retard. J'eus immédiatement envie d'elle. Je lus dans ces yeux que c'était réciproque. Nous nous fîmes (en attendant mieux) la bise. Une bise très près de la bouche…. Je voulus lui rendre mister plug, celui qui avait été attribué à tort à mon fondement à l'issue de cette soirée dégradante. En riant elle me dit qu'elle m'en faisait cadeau. Elle-même possédait une belle collection de boules, gods et plugs qu'elle ne manquerait pas de me faire admirer… et essayer. Elle nous fit entrer au salon ou Roger nous accueillit chaleureusement. Tout de suite il déboucha le champagne et nous trinquâmes à la fin de nos soucis. Cela me parut un peut bizarre, mais il me sembla que Nadine était moins enthousiaste que Roger. Il nous raconta ce qui c'était passé. Dès le lendemain il avait contacté des "amis", un peu malfrat, un peu russes et surtout très costaud. Ceux-ci cueillirent Fabrice et un de ses comparses à sortie d'une boite de strip-tease et les emmenèrent dans une usine désaffectée et loin de tout. Là ces braves garçons, sous le menaces, furent d'abord conviés à se sucer mutuellement puis à ce sodomiser à tour de rôle. Bien entendu films et photos furent réalisés. Le contrat fut simple si les galeries ou Nadine et moi ne disparaissaient pas de leur site, les leurs seraient publiées à grande échelle. Ceci fait ils tabassèrent un peu, comme dit Roger. En fait outre des yeux au beurre noir des lèvres éclatées, il parait que Fabrice s'en tira avec trois cotes cassées. Ces "soins" leur furent prodigués en guise d'avertissement. S'ils nous causaient le moindre, le plus petit ennuis, les amis de Roger leur promirent que d'une part il était très difficile de manger avec une mâchoire cassée et que d'autre part il était tout aussi difficile de marcher avec des genoux broyés par un train. Ils leurs firent voir la menace effrayante d'un wagon sur une voie déclassée. Fabrice et mister ami promirent tout ce qu'ils voulurent. Tout le monde avait un visage radieux. Roger me demanda si je ne déplorais pas qu'il s'en soit mêlé. Je répondis que j'en étais parfaitement heureuse. Il nous assura que ce n'était pas tout à fait le cas de Nadine, qui si elle avait été seule concernée, donc sans mon éventuelle participation, ni celle de nos époux, elle aurait été tentée par l'expérience. Je la regardais avec stupéfaction. Son regard confirma les propos de mister mari. Devant notre ébahissement, ils nous racontèrent un peu de leur vie.
P Gisèle et moi pûmes entendre leur histoire qui dépassait les standards du conformisme, et de loin … Roger après un premier mariage, dont il eut un fils, divorça. D'après lui sa femme ne supportait plus ni ses frasques et ni ses appétits. Il rencontra ensuite Nadine avec qui il entama sa vie actuelle. Elle se montra très, très réceptive à ces penchants particuliers. En effet, Roger découvrit au fil du temps qu'il avait deux perversions. Il se découvrit un goût prononcé pour la domination et le voyeurisme. Nadine se révéla la complice parfaite. Très portée sur la chose, elle aimait que l'on lui impose des aventures libidineuses. Elle fut servie…. Il l'exhiba, lui fit faire des strip-tease dans des endroits un peu glauques, sex-shop ou boites sordides puis tout s'enchaîna pour leur plus grandes satisfaction. Il l'emmena dans les mêmes genres d'endroit pour se faire prendre devant lui par des inconnus dont le nombre alla en augmentant. Il la livra à des spectateurs dans un cinéma porno, puis se furent les partouzes y comprit avec d'autres femmes et les gang-bangs dans les caves d'un château. Il alla même avec l'aide de ses "fameuses relations" jusqu'à la mettre quelquefois sur le trottoir. Nadine confirma qu'elle savourait positivement être l'esclave sexuelles des fantasmes pervers de mister compagnon.
G J'entendis Nadine nous raconter la soirée la plus extraordinaire pour elle ou Roger l'envoya chez un ami, organiseur de fêtes libertines dans sa cave ou elle dut à elle seule, satisfaire quinze hommes. Cela dura, parait-il, toute la nuit où ces amants la prirent et la reprirent sous toutes les coutures que ce soit de façon individuelle (rarement) ou à plusieurs (dans la majorité des cas). Sans aller jusqu'à ces extrémités un peu extravagantes je me pris à regretter de ne pas avoir, moi aussi, un mari si vicieux. Je crois que j'aurais bien aimé que Philippe m'imposa des turpides inavouables voire un peu dégradants comme l'avait fait Fabrice et ses camarades. Sous nos oreilles abasourdies il nous fit part de leur dernière trouvaille. Ils s'envolaient la semaine prochaine pour le Golfe et grâce à des "amis", du même genre que ce qui étaient intervenus dans nos déboires, Nadine allait être pendant trois semaines pensionnaire d'un bordel…. Je la regardais, abasourdie… ses yeux brillaient…. Elle me certifia être partante et que cette idée l'excitait au plus haut point. Ses seins se gonflèrent quand Roger fit remarquer :
"Française et blonde… Nadine va avoir, parait-il; beaucoup de succès… même énormément ! Ce n'est pas pour lui déplaire d'ailleurs ! Il est convenu que, même si je suis là bas en principe avec elle, je ne serais spectateur que quelquefois selon le bon vouloir de ses "employeurs" qui auront toute faculté pour la faire "travailler" comme et autant qu'ils le souhaiteront. J'ai été prévenu, il faudra qu'elle ait le cul solide…."
P Je vis Roger comme perdu dans une soudaine réflexion. Finalement, il lâcha :
"Mais j'y misterge, pourquoi est-ce que vous ne nous accompagneriez pas ? Gisèle semble avoir toutes les capacité et en tout cas toutes les qualités…. Vous feriez un magnifique duo de pute toutes les deux !"
J'éludais… prétextant des obligations professionnelles aussi bien pour Gisèle que pour moi. ils parurent déçus. Nadine très nettement… et Roger nous déclara que ce n'était peut être que partie remise et qu'en tout cas, ils escomptaient bien nous garder parmi leurs relations dès leur retour.
G Sans laisser cette fois le temps à Philippe de rétorquer, je répondis que rien ne me ferait plus plaisir. Ils furent ravis. Comme nous étions en fin de repas, Roger nous conseilla d'aller nous refaire une beauté pour accueillir un invité. Dès que nous fûmes dans sa salle de bain, elle se jeta sur moi et nous nous embrassâmes passionnément.
"Depuis le temps que j'en ais envie !" me souffla-t-elle.
Je confirmais que moi aussi. Prestement elle finit de déboutonner mon chemisier et elle m'en priva pour s'emparer de mes seins gonflés de désir. Tout aussi prestement elle m'ôta ma jupe.
"Tu n'en as plus besoin !" m'indiqua-t-elle.
Elle me fit écarter les jambes comme pour constater dans état je me trouvais. Elle fut vite renseignée, le coulais littéralement, leurs propos m'avaient échauffé les sangs. Elle m'avisa:
"J'ai hâte de te bouffer la chatte !
Je me trouvais dans les mêmes dispositions d'esprit….
Je la questionnais sur le mystérieux invité.
"Chuuuuut ! Ne t'inquiète pas… tu es comme moi, tu aimes les grosses queues… tu vas être servie ! Dépêchons-nous faimisters nous belles… enfin salope quoi !
P Je vis revenir les deux femmes se tenant mutuellement par la taille. En fait de se faire un beauté, ce que vis c'est que maintenant, Gisèle était nue si l'on excepte mister porte-jarretelles et ses bas et qu'elles étaient parfaitement mais hyper maquillées tout juste comme des traînées. Elles s'installèrent toutes deux sur un canapé en face de nous et pour tromper l'attente se mirent à effectuer des jeux de langues voluptueux tout en se caressant réciproquement les seins et en se titillant l'entre cuisse. Un coup de misternette mis fin à leurs jeux. Nadine se précipita pour ouvrir. Je la vis revenir et reconnu l'homme dans l'embrasure de la porte. C'était le patron du sex-shop ou j'avais été obligé d'emmener Gisèle. Je vous en ai parlé, celui qui avait eu le privilège d'installer pour la première fois un plug dans le rectum de ma femme. Comme elle lui tournait le dos Gisèle n'avait pas pu le voir encore.
G Nadine revint vers le canapé. Quand je vis celui qui l'accompagnait j'eu un coup de chaud. Ce n'était un parfait inconnu. Je venais de reconnaître le vendeur du sex-shop qui m'avait troussée et m'avait obligeamment garni le troufignon de mister sex-toy qu'en plus il nous avait fait payer.
Roger refit un genre de présentation :
"Vous connaissez déjà un peu Hassan je crois ? Je me suis permis de l'inviter. Il avait beaucoup apprécié votre courte visite et désirait faire plus ample connaissance avec Gisèle. Tu n'y vois pas d'inconvénient Philippe, n'est ce pas ? Non !... parfait ! Quand à toi Gisèle, je ne te demande même pas ton avis… quand on t'a vu à l'œuvre… et puis toutes les deux, vous êtes là pour le combler…. D'ailleurs, occupez vous donc de notre ami… sucez le !"
P Ce fut Nadine la plus prompte à s'agenouiller et elle entreprit d'enlever le pantalon du dénommé Hassan. Gisèle s'agenouilla à ses cotés. L'imposante virilité dont il était doté apparut à tous. Non seulement long, mais aussi d'un diamètre remarquable l'homme pouvait être fier de ne pas avoir oublié par dame nature. J'en conçu une véritable jalousie et une …. Avide, Nadine se jeta dessus pour l'emboucher. Après quelques va et viens de sa jolie bouche, elle tendis le sexe à ma femme qui ouvrit à mister tour la bouche en grand pour pouvoir l'absorber. Le changement de bouche eu l'air de lui plaire. Je vis Gisèle bien s'appliquer sur le priape. L'agencement ce fit régulier. A tour de rôle les deux femmes le suçait sensuellement, ou se mettaient à deux pour en lécher la longueur ou en titiller le gland du bout de leur langue. A un moment il eut une couille dans chaque bouche. de temps à autre, quand leurs lèvres se rencontraient, elle se roulaient des patins passionnés. Le bougre était résistant mais quand même…. Nadine, gourmande, en recueillit les premiers salves, les plus abondantes. Gisèle s'en empara à mister tour pour récolter les ultimes gouttes avec une voracité qui me surprit encore. Nadine prit Gisèle par le menton et tourna mister visage vers elle. Elle s'était placée de manière à surplomber un peu. Inclinant sa bouche vers celle de Gisèle, elle y laissa s'écouler le contenu de sa bouche, langue tendue. Gisèle avait compris dès le départ et avait ouvert sa bouche en grand pour la laisser se remplir de ce dont elle avait été privée auparavant. Cette scène obscène se termina par une pelle obscène ou les deux femmes se partagèrent le foutre d'Hassan.
chrislebo

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#2,226
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G Brusquement, Nadine se leva et quitta la pièce en disant "Je reviens !". Hassan m'aida à me relever et me fit asseoir sur ses genoux. Il passa un bras autour de ma taille et sa main se referma sur un de mes seins. De mister autre main, après m'avoir fait écarter les cuisses, il commença à me branler. Pendant ces manigances, Roger et lui discutaient de mon avenir en prenant Philippe à témoin. Roger pensait que Philippe devait me mener chez Hassan ou m'obliger à aller y passer quelques après-midi ou je pourrais "tenir compagnie" à des clients dans les cabines de projection. Il indiqua à Philippe que le magasin recelait aussi un sous-sol très convivial (surtout pour les clients) ou Hassan organisait quelques soirées les conviant à profiter de femmes amatrices de sexe. Dans cet endroit, parait-il tout pouvait se faire… de la simple exhibition ou simple pipe à des choses beaucoup plus corsées. Philippe finit par dire qu'il allait réfléchir quand Hassan me demanda :
"Et toi ! Ça te dirais, hein petite cochonne de venir faire la salope chez Hassan ?"
Je ne pus émettre qu'un petit "Oui" un peut étranglé visiblement au grand dam de mon mari. Et Roger de conclure :
"Tu vois, je te l'avais dit !"
C'est le moment que choisit Nadine pour réapparaître. Elle plaisanta :
"Qu'est ce que j'entends… Gisèle a envie d'aller prendre de la bite chez Hassan… Je te recommande l'endroit ma belle…. Tu seras servie au-delà de ce que tu peux espérer !"
Elle m'arrivait de dos. Je ne l'avais pas vue. Quand elle entra dans mon champ de vision je m'aperçus qu'elle s'était harnachée d'un gros god-ceinture. Avec un sourire vicieux elle me dit :
"En attendant ma chérie, viens que je te fourre devant ces messieurs… après tu me brouteras !".
Elle me fit remettre à genoux d'abord, pour sucer l'objet, afin de le lubrifier s'il en était besoin. Puis elle me demanda de me mettre en levrette et s'étant position de façon idoine me pénétra de tout le long de l'engin de plastique. Je dus me rendre à l'évidence, elle n'en était pas à mister coup d'essai et ses coups, à elles, n'avait rien à envier à ceux des hommes en même circonstance. J'étais tellement excitée depuis le début de cette soirée que la posture ne dura pas très longtemps. Je jouis bruyamment. Il ne me manqua qu'une épaisse éjaculation pour que ce soit complet….
Nadine se releva, dégrafa sa ceinture godemiché, la laissa sur la table. Elle se dirigea vers le fauteuil libre s'y assis et passa ses jambes par-dessus les accoudoirs pour la suite du programme. C'était à moi de jouer. Je vis à elle et m'agenouillais. Avec douceur, je me mis à lui prodiguer le plus doux des cunnilingus en essayant de reproduire ce que j'aimais que l'on me fasse. Apparemment elle aimait les mêmes choses que moi car elle se mit à gémir de plaisir. Sans doute bien chauffée elle aussi par le début de soirée, elle prit vite mister pied en me noyant le bouche sous un flot de cyprine que j'absorbais avec délice. Inutile de dire qu'après cet intermède saphique, Hassan et Roger bandaient ferme. Philippe ne s'était même pas débraguetté. Roger demanda à sa femme de me "préparer pour Hassan". Elle me regarda en souriant et me dit "Veinarde va !". Me préparer… me préparer… cela voulait-il dire que… que mon petit cul allait engloutir cette grosse trique….
P Je vis Nadine faire remettre Gisèle à quatre pattes. Pour, je suppose dissiper toute ambiguïté, si tant est qu'il y en eut une, elle lui caressa les fesses en instant bien sur le sillon et sur l'œillet fripé qui s'y cachait. Je fus surpris de penser que depuis quelque temps cet orifice devenait de moins en moins intime et de moins en moins secret. Finalement elle se glissa sous Gisèle, en soixante neuf, et se mit en devoir de la langue et des doigts (un, deux, trois…), d'apprivoiser la rondelle bistre qui visiblement ne demandait qu'à s'ouvrir. La perfide Nadine déclara au bout d'un moment que "Gisèle était prête !". Hassan, conquérant vint se placer derrière mon épouse et abuta l'énorme gland contre mister anus. J'entendis Gisèle gémir quand il acheva de dilater l'anneau. L'intromission ne fit pas apparemment sans mal. Le reste suivit et je pus voir la grosse bite s'enfoncer sans rémission dans le fion auparavant si délicat. Aidé par Nadine qui jouait de la langue sur mister clitoris, Hassan encula profondément Gisèle. Sans lui laisser trop de répit, d'ailleurs, il lui bourra le cul. Les gémissements se muèrent en râles. Ma femme était entrain d'apprécier de faire sodomiser sans égards, conquise sûrement par l'ambiance triviale de la soirée.
G Il me démonta le cul longuement, longuement…. Je jouis deux fois, grâce aussi à la langue de Nadine. Roger vint aussi m'éjaculer sur le visage toutefois sans me permettre de prendre mister sexe dans ma bouche. Je criais de jouissance… sans honte… sans remords… j'en avait pris plein le cul et j'était heureuse….
P La soirée se termina ainsi, non sans avoir promis à Hassan de lui rendre une petite visite. Nous souhaitâmes bonne vacance à Roger et bon séjour à Nadine. Il promirent eux aussi de nous re-contacter dès leur retour. Le lendemain de cette curieuse soirée, je questionnais Gisèle. Avait-elle été contente de sa soirée ? Aimait-elle ce genre de situation ? Elle fut affirmative. Elle le fut aussi quand je lui demandais si elle aussi aurait aimé vivre des expériences comme celle de Nadine. J'avais espéré qu'elle aurait été effrayée. Sans doute, elle l'était. Mais le vice qui se révélait chez elle devait être très fort. D'ailleurs, elle se mit trois jours plus tard à me reparler du magasin d'Hassan, au début presque distraitement, sue le ton de la conversation anodine puis de plus en plus avec acuité.. Pauvre de moi… il me faudrait aller jusqu'au bout ! Je contactais Hassan. Il me proposa simplement (si l'on peut dire) que Gisèle fasse une fellation à un de ses clients devant moi. Je proposais la chose à mon épouse. Comme prévu, elle fut d'accord…. La planche savonneuse du vice était en place !
G Que voulez-vous ! Mon envie avait été la plus forte. J'aurais pu me "ranger" une fois l'épisode Fabrice terminée et une fois cet étrange couple éloigné. Mais non … je me retrouvais gangrenée par le sexe. Je dois bien l'avouer. C'était devenu un de mes sujets de pensée favoris. Je baignais dans des fantasmes que je n'ose même par raconter. Les exemples racontés par Roger et Nadine les avaient bien alimentés. C'est vrai j'avais reparlé d'Hassan. Je crois que Philippe c'était imposé de prendre contact avec lui sachant me faire plaisir. J'avais du mal à le comprendre. Il ne participait pas, prenait je crois un plaisir moyen à être le témoins de mes aventures. Alors ?... j'avais l'impression qu'il faisait contre fortune bon coeur, comme s'il voulait me faire lui pardonner quelque chose…. De toutes façon, lorsqu'il me fit part de la proposition d'Hassan, je l'acceptais même si je fus un peu déçue. J'attendais mieux… et plus….
P Le mardi convenu j'accompagnais Gisèle au sex-shop d'Hassan. Nous étions à la fois plus détendu et plus nerveux, surtout Gisèle bien sûr. Il nous accueillis plutôt courtoisement. Deux clients étaient présents à faire leur choix parmi les rayons. Immédiatement ils se mirent à lorgner ma femme sans retenue. Il s'adressa à Gisèle en lui disant :
"C'est en bas que ça se passe. Tu ne peux pas te tromper, il n'y a qu'un client ! Tu vas vers lui et tu lui tailles une pipe. Il t'attends !"
Gisèle était blême….
G Je n'étais pas rassurée du tout. J'écartais le rideau descendit un petit escalier. Nous nous trouvâmes dans une pièce en sous-sol aux murs étaient recouverts de tissu imprimé rouge, orange et noir. Le sol imitait un planché noir. Outre trois ou quatre cabines de cinéma, le mobilier était composé de deux canapés en imitation panthère ainsi que deux fauteuils à l'identique. Un genre de table était au milieu de la pièce recouverte d'un genre de petit matelas rouge, lui aussi. A sa base était disposé un genre de guirlande lumineuse rouge. Quelques spots dispensaient une lumière très crue ou rouge et des haut- parleurs diffusaient un mister fait d'une musique sans intérêt aux quels s'ajoutaient des soupirs et des gémissements Aucune équivoque, la subtilité n'était pas le but recherché. Un homme semblait attendre sur un fauteuil. Rien à dire ni beau ni laid. Quand j'eus achevé de descendre les derniers degrés. Il se leva. En me détaillant il affirma :
"Eh bien ! Hassan ne m'avais pas menti… tu n'es pas mal du tout !".
Pas de doute, c'était bien moi qu'il attendait. Il se rassit et écarta les jambes. Je retirais ma veste et la donnais à Philippe ainsi que mon sac. J'allais jusqu'à l'homme qui ouvrit lui-même mister pantalon. Il avait un sexe dans la normale en semi érection. Je m'agenouillais et le prit en mains. Timidement j'approchais ma bouche et ayant vaincu ma réticence je le prit en bouche. Il était propre. C'était déjà ça ! Je fis ce que je pus pour bien faire. Il soupirait fort et il se cabra d'un coup. Je le laissais jouir dans ma bouche et j'avalais.
"Super ! Tu fais ça très bien… et en plus tu avales ! Je désirerai recommencer. Tu es libre dans deux jours ?".
chrislebo

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#2,227
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"Euh… oui… enfin…."
"Parfait, je demande à Hassan de nous arranger cela. Au fait tu t'appelle comment ?"
Je lui donnais mon prénom. Il remonta à l'étage sur un dernier "A jeudi !". Sans trop nous regarder avec Philippe nous remontâmes également.
P Hassan, félicita tout de suite Gisèle. Son client était content. Immédiatement il confirma l'organisation de la prochaine séance en ajoutant :
"Cette fois il y aura un ou deux voyeurs…. Ne t'inquiète pas il ne seront là que pour regarder."
Il me fit payer ce que nous avions convenu et me dit :
"Le client m'a demandé qui tu étais. J'ai dit que tu étais le mari et que tu adorais voir ta femme sucer et se faire baiser par d'autre. Tu sais ce qu'il à dit ?... Quel con….."
G J'avais franchement honte d'avoir fait cela et je lisais de la réprobation dans les yeux de mon mari. C'est pourtant lui qui insista pour deux jours plus tard…. Pour deux jours plus tard nous nous retrouvions en au de l'escalier maudit. Dans le même fauteuil le même type attendait. Sur un des canapés trois hommes étaient présents. Sans trop oser les regarder, je me dirigeais vers mon "habitué". Même cérémonial, il ouvrit mister pantalon et je m'agenouillais. Au bout d'un instant il m'arrêta et me demanda si je pouvais ouvrir mon chemisier. Après un instant de panique je m'exécutais. Le compliment fut bref :
"Tu as de beau seins !"
Je me remis à le sucer. Du coin de l'œil, je vis que les trois autres étaient entrain de s'astiquer. Comme le première fois il éjacula mais cette fois il maintint ma tête. Pourquoi ?... je n'avais pas envie de me retirer pourtant….
Son affaire terminée, il voulut recommencer deux jours plus tard. Philippe m'observa et donna mister accord. Il m'avait deviné ! Quand nous sortîmes du magasin, nous nous entendîmes héler.
"Messieurs Dames s'il vous plait !"
C'était l'amateur de fellation. Il voulut nous offrir un verre. Philippe accepta. Il est vrai que moi aussi j'avais un peu soif…. Dans le bar, il nous demanda si Hassan nous reversait un petit quelque chose sur ce qu'il payait. Philippe étonné, lui indiqua qu'au contraire nous payions aussi.
"Ce salaud d'Hassan ! Il joue sur tous les tableaux ! Sûr que ce soir il aussi fait payer les voyeurs !"
Il est vrai que le procédé n'était pas élégant, mais après tout, je ne faisais pas cela pour de l'argent. Il proposa que pour la prochaine fois nous nous rendions chez lui pour une nouvelle fellation. Philippe accepta tout de suite. Par la suite il me confia qu'il avait du mal à accepter le coté sordide du sex-shop… pas moi….
P Donc deux jours plus tard, nous nous trouvâmes devant la porte de Gérald. Il nous fit entrer et ouvrit une porte donnant sur mister entrée. Montrant la cuisine à Philippe, il lui fit signe d'approcher. Je trouvais étrange qu'il veuille faire cela dans cet endroit. Philippe s'avança. D'un geste inattendu, Gérald le poussa en avant et referma la porte derrière lui. Il la verrouilla.
"Ta gonzesse vas venir me sucer dans l'autre pièce. Si tu veux tu peux regarder par le trou de la serrure de l'autre porte. Si tu fais le con, je te casse la gueule !"
G Il s'adressa à moi de façon plus gentille.
"Viens avec moi ma jolie, nous on va s'installer à coté !
Il me fit passer dans mister salon. Avant toutes choses, il me demanda une faveur : que je me déshabille complètement. Je ne sais pas trop pourquoi je quittais mon chemisier et ma jupe. Quand il me vit avec des dim-up et un string, un immédiat gonflement m'apparut à travers mister pantalon. Il me demanda de ne garder que les bas. Me prenant par la main, il m'emmena jusqu'à mister canapé. Il retira mister jean et mister caleçon ne gardant que mister polo. Me désignant la porte de communication, il m'apprit que c'était derrière elle que devait se trouver Philippe invité à mater par le trou de la serrure. Il me demanda ensuite de "faire ce dont pourquoi j'étais venue". Je m'agenouillais encore une fois devant lui et lui fit mister pompier préféré. Plus détendue que chez Hassan je mis à la fois plus d'ardeur et plus de sensualité. Il n'arrêtais pas de dire :
"C'est bon ! C'est bon !... continue ! C'est bon …. Ooooooh ouiii comme çaaaa! "
Ce fut si bon qu'il se raidit soudain et dans un grognement rauque m'expédia ses rasades de sperme au fond du gosier. Il me proposa ensuite un verre comme pour me remercier. Il revint s'asseoir près de moi avec deux whiskies. Il m'en tendit un "pour faire passer le goût". Je pris garde de ne pas lui révéler combien, justement j'aimais garder le goût du foutre sur ma langue. Il s'assit à mes cotés et mine de rien commença à poser sa main sur ma cuisse, à me caresser le bras, l'épaule… puis il s'intéressa à un des mes seins… puis à l'autre. En fin de compte, il m'attira à lui et m'embrassa tout en continuant à me lutiner. J'allais dire "naturellement" sa main descendit sur mon ventre puis mon bas-ventre et voulut glisser vers ma fourche. Je ne fis rien pour arrêter mister manège. J'avais trop, trop envie…. Ses doigts lissèrent ma fente et doucement, il m'entrouvrit la moule. Il posa cette question que je trouvais superflue vu mon état :
"Tu as envie ?"
Devant ma réponse positive il me doigta carrément. Puis il m repoussa sur mister canapé. Il se leva ôta mister polo et se dirigea vers la porte de cuisine. Allait-il faire entrer Philippe. C'est ce que croyais du moins car simplement, il accrocha mister polo à la poignée de la porte, masquant en cela le trou de la serrure. S'adressa à mon époux devenu aveugle, il indiqua :
"Je vais baiser ta femme… Tu n'as pas besoin de voir ! Écoute !"
Je me demandais quand même pourquoi mon mari se faisait traiter ainsi par tout ceux à qui je cédais. Était-ce fait qu'il se contente de regarder. Roger était-il pareillement traité ?
Mon amant du jour, se mi à genoux devant la canapé et m'attira vers lui jusqu'à ce que mes fesses soit au bord. Il me releva les jambes et guidant mister pénis d'une main, il me pénétra en disant :
"Ouuaaah tu es bonne ! Mais qu'est ce que tu mouilles ma salope !"
C'était repartit ! Il faisait ça bien, avec d'amples mouvements de queue. Juste comme j'aimais lorsqu'il ne s'agissait pas de déferlement de bestialité. Je me laissais aller….
"Oohhhhhhhh... Ohhhhhhh... Oh, mon Dieuuuuuu que c'est bon ! Ohhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii..."
En fait j'eus un premier orgasme très rapidement, trop rapidement ! Habituée à me masturber depuis notre visite chez Nadine, le contact d'un vrai pénis me fit délirer. Non contente de cette première jouissance, je repris de plus belle.
"Baises-moi... bourre-moi ta bite dans la chatoune !"
Il déclina tout d'abord et se releva. Tout bonnement, il alla dégager la vue en faisant tomber mister polo au sol.
"Rinces-toi l'œil !" indiqua-t-il à Philippe.
Au lieu de se remettre comme précédemment, il me fit mettre en levrette sur le canapé et enfin il accéda à ma demande et ma bourra le con avec férocité. Complètement tétanisée par la montée du plaisir je l'encourageais :
"Oh mon Dieuuuuuu... Ouiiiiiiiiiii Encore… Encoooooore… Aaaaahhhh je jouiiiiiiiis !
Cette fois je ne fus pas seule… des coulées de semences virent me tapisser les parois vaginales.
Le souffle reprit, il me remercia vivement et me félicita. De mister avis, il y avait longtemps qu'il n'avait pas prit un tel pied. Quand je fus rhabillée, il libéra un Philippe maussade. L'ignorant, il me demanda :
"Tu peux revenir dans trois jours ? Je dirais à un copain de venir. Tu verras on te baisera et on t'enculeras à tour de rôle ! Toi ce n'est pas la peine de venir on feras ça sans permisterne pour tenir la chandelle !"
Un coup d'œil à Philippe… pas de réactions… j'acquiesçais donc.
En descendant Philippe faisait la gueule. Je fis profil bas. Je le vis regarder quelque chose sur la boite au lettre et n'y prit pas garde.
P La veille de ce nouveau rendez-vous de baise de ma femme, elle reçut un coup de téléphone de mister dernier amant. Il annulait. Une lettre anonyme avait prévenu sa femme infirmière de ses ébats en mister absence. Il mettait un point final à leurs relations. Fine mouche, Gisèle devina qui se cachait derrière cet anonymat. Histoire d'avoir le dernier mot elle laissa tomber un peu méprisamment en mentant effrontément :
"Pfuit ! De toute façon, il avait une trop petite bite !" et moi de toutes façons j'étais vengé.
G Bon d'accord il l'avait un peu maltraité. Étais-ce pourtant une manière de faire, lui qui ne m'honorait même plus tellement….
Pourtant, durant les mois qui suivirent, il y eut une embellie sexuelle mon mari redevenais mon mari. Oh, pas un amant fougueux, mais quand même. Je me pris à mettre entre parenthèse cette atmosphère érotique qui avait faillis nous entraîner on ne sait où. Je dis bien " mettre entre parenthèse", pas oublier… car à mes moments perdus, en me caressant je ne pensais qu'à ces instants de débauche en les regrettant, hé oui !
Philippe lui aussi faisait semblant d'avoir oublié (même s'il conservait précieusement mes photos) et nous ne parlions plus de rien, ni de Roger et Nadine, ni des cinq petit salaud, ni d'Hassan… rien, rien… et rien. Toute la fièvre était tombée. Elle me manquait….
Elle me manqua jusqu'aux vacances ou nous partîmes pour la dernière fois en caravane au bord de la mer. La première quinzaine se passa bien en farniente et bain de mer, sans rien à signaler.

vanbruje

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#2,228
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Ouaou ! Quel texte... à rallonge... et cela ne semble pas fini... Merci
chrislebo

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#2,229
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je peux arrêter loll pour une fois qu'il y'a un texte en Fra de bonne longueur
chrislebo

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#2,230
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Comment tout à recommencé ? Eh bien voilà. L'ai-je déjà dit j'ai une sœur, tour à tour, nous avons des plus et des moins. Elle : plus jeune de deux ans, plus rousse, les yeux bleus, les seins moins gros. Moi plus féminine, mieux arrangée, allez dimisters le plus sexy aussi. Comme moi elle est mariée, la pauvre…. Je dis la pauvre car bien qu'ayant épousé un industriel lui garantissant une confortable existence sans avoir à travailler, je ne donnerais pas ma place contre la sienne. François, mister mari est comment dire… cavaleur le mot est faible. Obsédé serait plus vrai. Il drague, séduit, saute et tire sur tout qui porte une jupe : employée, collaboratrice, clientes, fournisseurs, amies et relations, sans oublier sa femme et les amies de celle-ci… un bouc… il essaie même avec les copines de sa fille et bien sûr il à tenté de me mettre dans mister lit ou ailleurs. Dès qu'il m'a vue et même le soir de mister mariage histoire d'un petit coup entrer dans le cercle familial. Bien sûr j'ai résisté. C'est presque devenu un jeu entre nous il ne sa passe pas une réunion de famille ou il tente sa chance et ou il se casse les dents. Il me propose presque la botte devant ma sœur Claire. Elle, elle vit cela tranquillement. Elle à toujours eu un caractère cool, pratiquement baba-cool, style vestimentaire qu'elle adopte volontiers. C'est un goût que je ne partage pas trop, mais enfin… du moment qu'elle est heureuse ainsi c'est tant mieux.
Pourquoi est que je vos raconte tout cela, c'est par ce que ma sœur et mister époux ont eu une fille, ma nièce en somme, la jolie Caroline. Elle à superbement grandi et au moment ou elle menait un vie de patachon et brûlait la chandelle par les deux bout, elle décida de croquer la vie autrement et de se marier. Cela surprit un peu tout le monde surtout que l'heureux élu passait, si j'en crois ce qui m'a été rapporté était (ou est) un drôle de luron.
Bref une belle cérémonie s'annonçait et tout le monde s'y préparait. J'avais quand même glissé à ma sœur que pour une telle fête, et alors qu'elle allait devenir belle-mère, il lui faudrait se départir un peu de mister look habituel. Elle m'avait laissé interloquée d'un "tu crois ?" désinvolte.
Le jour de la cérémonie j'eus un vrai choc. Je ne faillis pas reconnaître ma propre sœur. Elle avait fait couper sa tignasse e apparut superbement coiffée, parfaitement maquillée, magnifique…vraiment. Pour la cérémonie elle arborait un très beau tailleur, mais ce soir c'est là qu'elle parut éclatante. Dans une superbe robe longue bleu pétrole en satin au décolleté un tout petit plus sage que le mien mais compensé par ce qu'il recelait. Hormis les copines de la mariée en raimister de leur jeunesse, ma sœur et moi étions, il faut bien le reconnaître parmi les plus belles femmes de la soirée… et ce n'est pas désagréable. Mon beau-frère non en complimenta d'ailleurs en nous prenant toutes les deux familièrement pas la taille et en déclarant :
"Mais quelle famille ! Si le bon dieu existait vraiment j'aurais deux superbes femmes dans mon lit ce soir."
Je lui répondis avec humour :
"Mais il existe… mon cher beau frère, c'est pourquoi il garanti les liens sacrés du mariage"
"Tu as raimister Gisèle ! Et puis ce soir je crois que je vais avec avoir fort à faire pour combler ma petite Claire. Il n'y as pas que la mariée qui va avoir un nuit de noce agitée. Claire ne le seras pas demain… les courbatures vont lui gâcher le lendemain de fête…"
Claire sourit à ces rodomontades et me surprit encore en disant :
"Chiche mon époux ! J'espère que tu vas être à la hauteur… j'ai envie de folies ce soir…."
Il est vrai qu'à l'issue d'une soirée comme cela….
Faisant partie de la famille, je me retrouvais à la table principale et faute d'époux entre Julien, un des témoins du marié et un oncle de celui-ci. Après les apéritifs et toast d'usage, le dîner débuta sous les notes distillées par l'orchestre. François ouvrit le bal avec ma nièce, et a tour de rôle ils vinrent chercher les participants. Je ne pus bien sûr, pas éviter mon beau-frère qui me fit sentir et remarquer mister érection, témoin dit-il de mon charme et de ma beauté. Il me fit danser plusieurs fois y croyant sans doute toujours… en pure perte ! A coté de moi le jeune homme paraissait tout silencieux, c'est moi qui engageais la conversation avec lui. Très timide, il était néanmoins charmant, même assez joli garçon. C'est moi aussi qui lui suggérait :
"Vous me faites danser ?"
En plus il le faisait bien, avec beaucoup de classe et de distinction. Sa discrétion n'allait quand même pas jusqu'à lui faire regarder le plafond. Ses yeux se posaient parfois sur la naissance de mes seins. Il ne faisait pas cela comme François qui semblais magictisé par mes appâts, mais quand même….
Finalement je me pris à penser qu'il aurait préféré la compagnie d'une amie de Caroline et qu'il s'ennuyait à mes cotés. Un peu en même temps que je pensais cela, je changeais brusquement d'avis. Il avait fait tomber sa serviette. Il se baissa de mon coté pour la ramasser et au lieu de cela, je sentis sa main se refermer sur ma cheville. Avant que je n'aie pu esquisser le moindre mouvement la main glissa sous ma robe longue sur mon mollet nu. Impossible de me dégager, entre le Tonton et moi il y avait malencontreusement le pied de table…. Je tentais de rester immobile peu désireuse de faire un esclandre. De plus sa main était chaude.... Il atteignit mon creux poplité et entreprit de contourner mon genou qu'il enveloppa. J'avais du mal à conserver une apparence sereine. Toujours sous ma robe la main commença à quitter mon genou pour remonter sur ma cuisse. Cette fois je pus le bloque de ma main et penchant je lui soufflait.
"Qu'est ce qui vous prend ! Vous êtes fou ! Cessez immédiatement !"
Je sentis que c'était à regret qui lâcha ma cuisse mine de rien. Il n'empêche que cette attaque aussi brusque qu'inconvenant avait laissé des traces. Mon cœur battait la chamade et quelque chose c'était passé au niveau de mon ventre. Sans un mot je me levais, prit mon sac et descendis au lavabo pour souffler un peu. Les gens allaient et venaient donc je passais inaperçue. Je passais aux toilettes femmes et tentais de remettre de l'ordre dans ma tête. Quel petit crétin ! Il se croyait tout permit… et puis quoi encore ? N'empêche que je sentais bien une légère dilatation des lèvres de ma vulve…. Cela faisait un certain temps que j'étais en manque.
J'avais eu un peu chaud, beaucoup dansé finalement. Je sortis du cabinet et m'approchais d'un lavabo pour, comme beaucoup de femme en la même circonstance, me remaquiller un peu.
C'est alors que dans le miroir, je vis la porte du local réservé normalement aux femmes s'ouvrir. Ce ne fut pas une femme qui s'encadra dans la porte… mais LUI. Tétanisé je le vis s'approcher derrière moi. Statufiée, je n'esquissais même pas un geste de défense quand ses mains se posèrent sur ma taille. Il se serra contre moi, me collant contre la vasque. Si tout à l'heure en dansant il avait eu la délicatesse de ne pas me faire sentir mister bas ventre, là ce n'était plus la même chanmister. Son bassin était rivé à mes reins et ce que je sentais…. Il courba un peu la tête et sa bouche se posa sur mon épaule dénudée, elle glissa lentement sur celle-ci. Il allait m'embrasser dans le cou, c'était sûr… puis l'oreille… il me ferait ensuite tourner la tête pour s'emparer de mes lèvres…. Je ne les lui refuserais pas….
Il ne se passa rien de tout cela. Il se baissa un peu et saisissant le bas de ma robe il entreprit sans hâte de la relever avec l'évidente intention de me la retrousser.
Je ne pus articuler qu'un :
"Non… non… pas ici…. !!!"
Avant que je n'aie pu réaliser ce qui m'arrivait, il avait passé un bras autour de mon ventre. Toujours collé à moi et solidement maintenue, il me poussait vers l'un des cabinets duquel il verrouilla la porte dès que nous y fûmes entrés. D'une poigne à laquelle je ne m'attendais pas, d'une main, il me fit courber vers l'avant; à tel point que je dus prendre appui sur la cuvette. De mister autre main, il recommença ce pourquoi je l'avais interrompu tout à l'heure, c'est-à-dire retrousser ma robe longue. Je sentis l'une de ses jambes passer entre les miennes et s'appuyer sur l'une d'elle pour me les faire écarter. D'une passivité qui me surprend encore maintenant mes jambes s'ouvrirent comme pour lui signifier mon accord. Celui reçu, il persévéra. Mon mini slip de dentelle ne fut pas une véritable barrière. Il le dégagea de mes fesses et le fit glisser le long de mes jambes. Sa jambe s'appuya encore pour m'ouvrir de nouveau. Désormais, il ne se présentait plus d'obstacle à sa détermination. Ses doigts glissèrent sur ma vulve et entre mes lèvres, comme pour mieux les entrouvrir et écarter un poil follet qui y aurait été collé. Quelque chose de plus gros, de plus chaud qu'un doigt vint au contact de mon sexe. L'ambiance de la fête, un peu d'alcool, mister récent et rapide manège, sa façon de disposer de moi sans finalement que lui accorde mon consentement tout cela avait du concourir à ma grande disponibilité puisqu'il me pénétra d'une lente mais unique poussée. Il ressortir et me prit bine à fond cette fois ci me faisant lâcher un gémissement de femelle couverte. Je n'avais peu eu l'occasion (le plaisir ?) de voir le membre qui était en moi. Mais au vu des sensations que je ressentais il était d'une bonne taille. A classer dans le tout début de mon petit hit-parade permisternel. Il me tenait étroitement, ses mains crispées sur ma taille et me pistonnait régulièrement et surtout puissamment… très puissamment. La moindre des choses que l'on pouvait dire était que le jeune homme baisait bien. Il me faisait décoller, conquise désormais. Pourtant nous dûmes cesser vulgarement nos transports. La porte des toilettes venait de s'ouvrir…. Un bruit de pas vers le cabinet d'à coté. Julien cessa tous mouvements. Un bruit de cuvette que l'on rabat, celui de l'étoffe que l'on remonte, celui d'un slip que descend… un petit silence… et le bruit d'un jet dru…. Solidement enfiché en moi, Julien faisait de petits mouvements circulaires de bassin, comme pour me maintenir sous pression. Il y parvenait fort bien et je me surpris à penser "mais qu'elle se dépêche de pisser cette c…". Effectivement elle acheva… et se paya le luxe d'un petit pet avant de ce rajuster. Chasse d'eau, lavabo, le bruit de talon s'éloigna, la porte se referma… silence…. Un petit cri le rompit… mon cri… celui que je poussais quand Julien me ré enfila d'un coup de rein qui me projeta en avant. Je me mordais les lèvres… pour ne pas gémir, pour ne pas lui die "encore… encore…", pour ne pas lui dire que c'était bon…. De toute façon, il n'était pas besoin que je lui signifie, il se sentait très bien et me murmurais à l'oreille :
"Tiens, prends… prends…prends…."

chrislebo

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#2,231
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Aux contractions provoquées par mon début d'orgasme, il répondit en se lâchant complètement. Et ce fut en même temps que les derniers spasmes de ma jouissance que je reçu le flot brûlant de sa semence. Il ressortit de moi, me déposa un baiser sur l'épaule. Je compris qu'il se rajustait et il me laissa en disant simplement :
" A tout à l'heure !"
Je restais ainsi dans ma position comme une … comme une conne, hébétée, le sexe remplit par un jeune inconnu qui m'avait baisée sans même m'avoir embrassées. Je m'était faite bien avoir… et… et… et j'avais adoré… j'aurais même aimé qu'il recommence de suite. Il y avait belle lurette que je n'avais pas été honorée de telle façon. Il m'avait prise un peu à la hussarde… qu'est que cela avait été bon. Etait-il aussi performant dans la volupté…. Je m'assis sur la cuvette pour laisser s'écouler le trop plein du sperme dont il m'avait gratifié et je cherchais des yeux mon slip. J'eus beau regarder partout… la fine dentelle dont j'avais pensé qu'elle serait un rempart pour ma féminité avait disparue. Cet infâme et adorable petit salaud me l'avait dérobé. J'en serais quitte pour être intégralement nue sous ma robe puisque, premièrement ma robe m'en interdisait le port vu mister décolleté et mister dos nu et deuxièmement le temps radieux avait fait que je ne portais ni collants, ni bas. Sans slip, avec ce qu'il m'avait mis, j'en serais quitte pour être mal à l'aise toute la soirée. En me pressant un peu pour que mon absence ne se remarque pas trop, je me remaquillais de façon à être un peu plus présentable et aussi (un peu) pour plaire de nouveau….
Ma sœur avait remarqué ma disparition et s'inquiéta :
"Mais où était tu donc passée ? Je te cherchais partout !"
Je prétextais avoir été prendre le frais. Je crois qu'elle n'en crut pas un mot. Si elle avait su… ce n'était pas le frais que j'avais été prendre….
Je repris ma place à table entre mon voisin et Julien. Il y eut un petit moment de gêne entre nous puis il me demanda avec une voix très chaude :
"Voulez-vous m'accorder cette danse ?"
Bien sûr que je le voulais… et je me retrouvais dans ses bras. Il me fit danser beaucoup moins cérémonieusement qu'aux danses précédentes mais tout de même cela restait correct, limite, mais correct. Il me guida quand même vers le fond de la piste de danse pour profiter de l'écran que nous faisaient les autres danseurs vis-à-vis des tables. Plusieurs fois il m'attira souplement contre lui. Je ne faisais rien pour éviter ces doux rapprochements contre mister corps qui se collait au mien. Je lui demandais :
"Je crois que vous avez un petit quelque chose qui m'appartient !"
"Certes, certes !"
"Et… vous pensez me le restituer ?"
"Mais absolument pas !"
"Vous pensez le conserver en guise de trophée ?"
Il rit et répondit :
"Pas du tout ! Mais quelque soit la suite, il constituera une merveilleux souvenir. Et puis vous ne vous sentez pas mieux ainsi ?"
"Modérément… et c'est un peu gênant !"
"Cela ne vous séduit pas de vous sentir à la merci du premier goujat venu ?"
"…"
"En attendant, chère Gisèle, c'est un vrai plaisir désormais de pourvoir vous apprécier plus en détails !"
En disant cela il avait glissé la main sur mes fesses. Involontairement je me serrais un peu plus contre lui.
"Ah ! Vous voyez !"
"Non, je vous en prie… pas devant tout le monde ! On pourrait nous voir !"
Il cessa mister manège. Nous regagnâmes nos places. Je me sentais, en autre, le feu aux joues et je me demandais si je n'allais pas succomber à de nouvelles bêtises. Pour mon voisin cela ne faisait, sans nul doute, pas l'ombre d'une incertitude. Il tenta encore, et ce à plusieurs reprise de passer une main sous ma robe. Je l'en empêchais avec de plus en plus de mal. D'une part, il se faisait de plus en plus insistant et d'autre part j'avais de plus en plus envie qu'il prenne possession de moi.
La soirée s'avançait et déjà quelques convives étaient partis. Bien qu'étant de la famille et lui témoin du marié, il paraissait être une heure convenable pour prendre congé. D'ailleurs, il m proposa :
"Voulez vous que je vous raccompagne ?"
Je fis semblant d'hésiter et avec une hypocrisie parfaite je répondis :
"Oui… si vous me promettez d'être sage…."
Avec la même hypocrisie, je suppose, il rétorqua :
"Mais… bien entendu !"
Je saluais donc les mariées, la famille du marié, la mienne, et ma sœur qui s'inquiéta de savoir comment je rentrais. Lui ayant indiqué que Julien me raccompagnais elle eut une mimique a à la fois complice et faussement indignée, l'air de penser "toi ma belle… la nuit n'est pas finie…".
A ma grande surprise, Julien fut effectivement sage pendant le trajet qui nous ramena devant mon pavillon. Il coupa et mister moteur. Il y eut un instant de silence…. Qui allait faire le premier pas ? Ce fut lui !
"Tu ne m'invite pas à entrer ?"
"Si… si … bien sûr…."
Les dés étaient jetés. Je le précédais pour ouvrir ma porte. A peine avais-je refermée celle-ci, j'avais encore la main sur le trousseau de clés, que je me retrouvais plaquée contre la porte. La bouche de Julien écrasait la mienne, mister corps écrasait le mien. Sa bouche était vorace et sa langue exploratrice. Il me sembla qu'elle était (elle aussi) longue puisque non seulement il l'enroulait autour de la mienne, mais me léchait l'intérieur des joues et aussi le palais. En une fraction de seconde je parvins à penser quel plaisir elle pourrait procurer… ailleurs…. Il se baissa et remonta ma robe jusqu'au dessus des hanches. Je le sentis se déboutonner.
"Non… non… pas ici !"
Je me le voulais dans une longue étreinte voluptueuse. Pas toujours de la même façon…. Tout à l'heure il m'avait cela fort bien, mais à la hussarde, je voulais changer les genres…. Je l'entraînais vers ma chambre. En traversant le salon, ma robe s'envola définitivement et ce qui lui restait de vêtements aussi. Ma chambre était à l'étage. Il voulait me prendre dans l'escalier. Je le suppliais d'attendre mon lit. Il me promit :
"Un jour, tu verras je te le ferais monter…."
Ce fut enfin ma chambre et je me retrouvais vite sur le dos. Il se rua sur moi et … en moi. Il me prenait de toute sa longueur, bien à fond comme je l'aimais, puissamment, m'écrasant de tout mister poids. Je râlais de bonheur. Comme pour, encore mieux me laminer et m'anéantir il passa mes jambes sur ces épaules. De cette façon, il pouvait encore plus peser sur ma vulve et aller plus loin dans ma chatte ouverte comme un fruit mûr. De temps à autre, il se penchait entre mes jambes et me réclamait ma langue qu'il suçait. Je la lui offrais et lui rendais la pareille. C'était la marée… la grande marée…. Non seulement je mouillais abominablement, accompagnant de bruits mouillés le claquement de mister bassin contre moi, mais les vagues de plaisirs m'envahissaient et j'étais prête à ce que l'une d'elle vienne me submerger et c'est ce qui arriva. Un glapissement rauque accompagna ma jouissance et un grondement mâle vint lui faire écho. Nous venions, tels des amants chevronnés, de nous accorder un bel orgasme conjugué. En fait, l'avenir me le prouva à maintes reprises, c'est lui à attendant mon plaisir, ne se libérait qu'à cet instant… quel amant !
Écrasé par la fatigue et les sens apaisés nous sombrâmes dans le sommeil.
Je rêvais… je devais rêver … une main me caressait habilement un sein… je crus que je rêvais…. Tout me revint à l'esprit… Julien était bien là, j'allais dire et chair et en os. Pour les os je ne sais pas mais en chair… oui, et en muscle aussi… comme celui qui frottait contre ma cuisse….
Il me prit dans ses bras et m'embrassa longuement pour me souhaiter le bonjour. Son désir avait l'air intact et… et le mien aussi. Tout tendrement, il se coucha sur moi et me pénétra avec douceur. Nous n'émergeâmes du lit et de la chambre après nous être aimé longuement, je crois. Je profitais d'un moment de solitude, lorsqu'il fut sous la douche, pour téléphoner à ma sœur pour savoir si la soirée c'était bien terminée. C'était le cas. Pour tout les invités restant et surtout pour elle…. Mon beau-frère fut parait-il très performant et l'honora deux fois me dit-elle, une fois par devant et une par derrière ce qui la fit ajouter :
"Si c'est comme cela qu'il traite ses maîtresse, cela vaut le coup que je fasse quelques efforts de présentation, non ? Mais… et toi ?"
Je répondis que je lui donnerais peut-être des détails plus tard et que pour l'instant j'étais dans l'expectative. Ce fut à mon tour d'aller me rafraîchir sous la douche. A ma sortie, Julien m'attendait toujours nu et m'ôta prestement mon peignoir en me disant qu'il aimait me voir nue et qu'il fallait que je reste ainsi. C'est donc nue que je nous préparais une petite collation réparatrice. Durant cette confection, il n'arrêta pas de poser ses mains et sa bouche sur moi. Il continua mister manège pendant même notre casse-croûte. Si bien qu'à la fin du repas il était de nouveau en érection et je ne pus m'empêcher de le masturber. Il se leva soudain. Son sexe était à la hauteur de ma bouche. L'attirant à moi, je l'embouchais…. Il m'arrêta vite… dommage ! Il voulait me prendre encore….
"Cette fois, ailleurs que dans ta chambre, tu es d'accord ?"
Où il voulait…. Ce fut sur la table de cuisine une fois qu'il eut repoussé notre dînette. Après qu'il m'eut placée sur le dos et m'avoir ouvert de ses doigts il s'installa entre mes cuisses relevée et me prit avec la même fougue que les fois précédentes. C'est cramponnée à table de cuisine que je le laissais me clouer et une fois encore s'épandre dans mon vagin reconnaissant.
Signe de fin de week-end… nous prenions presque sagement un verre lorsque la question fatidique ne demandait qu'à se poser. Il se sacrifia :
"Veux-tu que nous nous revoyions, Gisèle ? J'en serais très heureux !"
Juste avant de l'embrasser, je lui soufflais :
"Moi aussi !"
"Alors, si nous nous revoyons, tu me fait cadeau de ton slip ?"
"Oui Julien, si tu le veux…."
"De toutes façons quand nous serons ensemble tu n'en auras plus besoins !"
Il partit d'un grand éclat de rire et ajouta :
"Je ne veux même plus que tu en porte quand nous sommes ensemble d'accord ?"
Je promis….
Nos occupations ne nous permettaient pas de nous revoir pendant la semaine. Mais il fut entendu que nous passerions le week-end ensemble.
Le début de semaine fut long. Le seul moment agréable fut de revoir ma sœur qui me soumit à la question. Je lui avouais mon aventure. Elle fit semblant de me morigéner d'avoir cédé à un petit jeune et me traita de nymphomane et de mante religieuse. Je lui avouais que c'était peut être moi qui allait me faire dévorer mais que j'étais prête qui à me brûler les ailes. Finalement elle me fit part de mister soulagement de me voir à nouveau conquise. Un temps elle avait eu peut que je déprime après le départ de Philippe. Elle me prédit quand même que cette histoire finirait mal !
vanbruje

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#2,232
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Loin de moi l'idée de te demander d'arrêter ! Mais un texte aussi long et excitant est tellement rare en français que ce m'a étonné ! En tout cas : merci et continue dans celle veine...
chrislebo

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#2,233
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Le jeudi Julien me téléphona, me prévenant qui serait là dès le vendredi soir il ajouta "qu'il avait vraiment très envie !". Cela ne tombait on ne peut mieux, je crois que je n'avais vécu cette semaine que pour qu'elle se termine et que soit de nouveau dans les bras de mon amant. S'il savait dans quel état je me trouvais et combien j'étais disposée à tout lui passer… il en aurait profité….
Pour l'attendre, j'avais revêtu une jupe un peu déboutonnée sans string, comme il l'avait demandé (ou plutôt exigé) et un chemisier lui aussi un peu déboutonné sur un soutien gorge à balconnet. Je me pensais assez aguichante. En fait non, et je fus un peu déçue de sa réaction. Sa déception fut palpable :
"Je croyais que tu m'aurais attendu en tenue." Regretta-t-il.
"Je n'ais pas grand-chose à ôter, tu sais !"
"Non attends que je vois quelque chose !"
Prestement il passa sa main sous ma jupe. Là, par contre, il sembla satisfait de n'y rencontrer que ma courte toimister qui avait finit par repousser.
"Aaaah voilà une petite chatte qui à envie !"
Dire que je mouillais était un euphémisme…. Vite, très vite, il me priva de ma jupe et attaqua mon chemisier dons je fus dépouillée sans attendre. Il se moqua de mon soutien gorge (pourtant en dentelle et très joli), me précisant qu'il devait en être comme du slip et ne se faire remarquer que par mister absence. Il me laissa me l'enlever toute seule, me considérant ironiquement dans cet ultime effeuillage. Quand je fus totalement nue, il me prit enfin dans ses bras et fit comme la semaine écoulée. Il me plaqua contre ma porte d'entrée et me murmura :
"Alors… aujourd'hui… je peux te prendre ici ?"
Après tout, s'il le souhaitait, pourquoi pas ?
"Oui… si tu veux… prends-moi ! Prends-moi ici !"
Il prit la direction des opérations. Tout en se libérant il ordonna :
"Lève une jambe ! Passe-la autour de moi !"
Comme demandé, j'entourais ses reins d'une de mes jambes. Je senti mister sexe, dur comme de l'airain chercher ma fissure. Elle était là, chaude, ouverte, humide comme une fleur tropicale, ruisselante de nectar. Pour assurer ma stabilité, je passais mes bras autour de mister cou. Il fléchit les genoux. L'estocade allait suivre…. Elle suivit…impériale et impérieuse. Ayant passé un bras autour de ma taille, il entreprit de me clouer contre ma porte à grand coup de reins. De mister autre main, soit il soutenait ma jambe relevée, soit il me pétrissait un sein. Je ne pouvais ni le supplier de cesser de me cogner le dos contre ma porte, ni l'implorer de continuer à me vulgariser… sa bouche ne quittait pratiquement pas la mienne et nos langues et nos salives se mélangeaient sans repos. Il me besogna ainsi longtemps sans faiblir. A un moment, il me demanda même de passer mon autre jambe autour de lui. Cette fois il me tenait par les fesses et me laissait retomber sur mister épieu. Je n'avais jamais été prise ainsi, c'était fabuleux… il était fabuleux… très viril et aussi très costaud pour m'honorer de la sorte. Je ne lâchais plus mister cou tentant de m'accorder à la cadence qu'il m'imposait en frottant mes seins contre lui. En fin de compte, il finit par me faire reposer un pied au sol et "me finir" contre la cloimister. Je crois avoir fait plus que gémir et quand il se raidit et que je senti mister sperme fuser en mois je ne pus émettre qu'un "Ooooouuuuuuuuiiiiiiiii…." reconnaissante et abasourdi.
Tout deux flageolants (quand même) nous nous affalâmes au salon et nous pûmes boire le verre que j'avis préparé.
Il vint me rejoindre sur mon canapé et tout en me complimentant sur ma souplesse recommença à me caresser. Il n'y avait aucun doute, il savait parfaitement faire renaître mon désir. De mon clitoris à mes seins en passant par ma bouche il avait un don terrible pour réveiller mes ardeurs. Pourtant contrairement à ce que je croyais, il ne voulut profiter (tout de suite) des feux qu'il avait allumés en moi.
"Je t'emmène dîner" me dit-il.
Je regardais machinalement autour de moi, histoire de retrouver mes vêtements. Ayant intercepté mon regard, il souligna :
"Le soutif, ce n'est pas la peine !"
Je filais à la salle de bain me nettoyer et me rendre à nouveau potable. A mon retour, il me demanda si "je m'étais lavé le sexe " (en vrai il dit "la chatte"). Devant ma réponse affirmative, il eut une moue et me précisa :
"C'est ridicule… puisque tu vas encore mouiller et que je vais encore te la remplir….".
J'eus un moment d'absence de la vraie vie. Il avait dit : " je vais encore te la remplir" et il n'y eut que cela qui compta.
Il m'emmena dîner dans un petit bar ou il me sembla qu'il avait ses habitudes. Je le reconnu bien. Le monde était petit. C'était le bar ou Fabrice nous avait donné rendez-vous pour faire connaissance avec Roger et Nadine…. Il n'y avait qu'une clientèle presque exclusivement masculine et d'évidence pas mal de regards se portèrent sur moi. Malgré, dimisters, le pittoresque de l'endroit et sa clientèle, la table, bien que simple était parfaite. Pourtant je failli m'étrangler…. D'une voix pas trop confidentielle, Julien me déclara :
"J'aime beaucoup voir tes seins bouger sous ton chemisier ! J'ai hâte de les toucher et de les sucer !".
Je m'aperçus que nos voisins table avaient entendu et semblaient prêter l'oreille. Il voulut savoir en suite si j'avais envie de lui. Comme je sollicitais des "Chuuut… chuuut", il monta un peu le ton et voulu savoir si en plus je mouillais. Je dus lui confirmer tout cela pour qu'il cesse mister manège, non sans avoir annoncé, pratiquement à la cantonade, qu'il allait me prendre en levrette dans mon salon. En fait je ne fus pas fâchée de quitter cet endroit d'une part parce que j'avais un peu honte de mister attitude et du qu'en dira-t-on et d'autre part parce que je souhaitais vraiment qu'il mette ses promesses à exécution. A ce sujet j'avais tort de m'inquiéter avant de remonter en voiture, il m'avait plaqué contre celle-ci pour m'embrasser sans retenue et me faire sentir mister érection. Pendant le trajet, il "m'entretint" en ma caressant les cuisses sous ma jupe. Dès notre arrivée chez moi chemise et corsage, jupe et pantalon s'envolèrent et se mêlèrent sur la moquette pendant que ses mains autoritaires m'avaient contrainte à me placer en levrette sur mon canapé. Son intromission et sa fougue furent à la hauteur de mes espoirs. Que c'était bon ! Prise de cette façon naturale mes sensations étaient complètes. J'aimais assez, mais sans plus cette position à l'accoutumée. Mais avec lui tout était différent. Il avait une façon à la fois très sensuelle et extrêmement virile (presque vulgare) de me prendre que je fondais littéralement. Il me rappelait Fabrice et sa bande. Ses mains crispées sur mes hanches me faisaient me cambrer et m'offrir encore plus à mister membre qui coulissait et remplissait mon vagin surchauffé. Pire encore, moi d'habitude n'étais pas forcément très expansive pendant l'acte, je me laissais aller à l'encourage dans ce style si primaire dont les hommes raffolent :
chrislebo

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#2,234
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"Ahhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... C'est ça... Oh oui, continue... Ohhhhhh... Julieeeennnnn…. Plus fort…. Encore…encore !"
Et lui n'était pas en reste et m'accompagnait de ses "Tiens… tiens" ou ses "Prends…. Prends" ou encore ses "C'est bon hein ?".
Je ne pus émettre qu'un "Je jouiiiis" étranglé juste avant que l'orgasme ne me ravage uniquement ponctué bruits mouillés de mister pieux taraudant mon intimité. C'est ce semi brouillard que je sentis se contracter au maximum et se vider par saccades. Ensuite, je lâchais prise et complètement démantibulée m'effondrais sur le canapé avec lui par-dessus moi. Je me crus incapable de subir encore un assaut. Je m trompais, car cette dans ma chambre et juste avant que nous nous endormions, il me fit de nouveau l'amour. Il m'avait placée sur le coté, s'était mis derrière moi, m'avait fait lever une jambe et s'était introduit en moi. Il m'avait ainsi honoré longuement, ma jambe levée retenue par mister bras. Ses mains s'étaient refermée sur mes seins par lesquels il se tenait, cependant que moi une main passée entre mes cuisses, je caressais ses testicules de nouveau pleine de ce sperme dont il me gratifia en fin de notre réunion au septième ciel et avant que le sommeil ne nous foudroie.
Cette fois c'est moi qui émergeais la première, le bas ventre passé à la moulinette, mais peut être encore un peu gourmand. Julien dormait encore… mister sexe dressé vers le plafond… eh oui… encore. Malgré l'envie qui me prit de m'en saisir, je me levais sans bruit, passais un peignoir et filais à la cuisine nous faire un café. Il me rejoignit peu de temps après. Après m'avoir embrassé voluptueusement, il me fit ôter mon peignoir en me rappelant qu'il me voulait toujours nue. Je m'éclipsais prendre une douche et m'arranger un peu. Je le retrouvais dans mon salon toujours nu lui aussi. Il prit ma place à la salle de bain et je commençais à nous préparer un petit repas. J'étais dans mes petits préparatifs quand il revint. A partir de là, il n'arrêta pas de me tourner autour, ne perdant jamais une occasion de me caresser ou de m'embrasser dans le cou, sur les épaules, les seins et évidemment la bouche. Sa virilité était toujours dressée et menaçante. Il finit par me coincer contre mon évier et deux doigts vinrent prendre possession de mon sexe. Il m'avait réveillée… je le caressais moi aussi et ondulais contre lui. Finalement, il me fit asseoir sur le rebord de l'évier. Après qu'il m'eut écarté les cuisses, il s'agenouilla entre elles pour m'octroyer un cunnilingus d'anthologie. Ses lèvres et sa langue commencèrent à s'occuper délicatement de mon clitoris. Celui-ci, soigné comme il le fut se gorgea vite de sang et se raidi sous les caresses buccales. Je gémis de me sentir aspiré par ses lèvres affamées. J'avais raimister sur un point. Comme je vous l'ai dit j'avais eu l'impression que sa langue était particulièrement longue. Lorsqu'il me le mit dans le vagin, je pus mesurer combien je ne m'étais point trompée… un vrai petit sexe qui me procura une belle jouissance pendant que j'appuyais sa tête contre ma vulve et que je devais lui inonder le visage de mes sécrétions intimes. D'ailleurs j'en goûtais moi-même les fragrances, puisqu'il me roula une pelle fiévreuse.
Il se recula un peu jusqu'à ce que ses fesses rencontrent la table de cuisine à laquelle il s'appuya. Des yeux il me désigna mister membre dans une sorte d'injonction muette. Je compris m'approchais. Je le pris en main et me courbais pour tout d'abord achever de me faire apparaître mister beau gland et y déposer quelques baisers puis quelques coups de langues. Enfin ma bouche s'en empara et je me mis à genou. Ce fut à ce moment là que je réalisais vraiment l'imposante taille de mister membre. Il m'emplissait bien la bouche et j'aurais du mal à le prendre en entier. J'aimais assez pratiquer une fellation à mes amants. Lui, ce serait pareil, j'allais y mettre ton mon savoir faire, toute ma sensualité. Je le léchais, l'aspirait, le serrais entre mes joues. De temps à autre, il passait ses mains dans mes cheveux et appuyais un peu sur ma tête pour mister gland turgescent vienne chatouiller ma luette. Un jour, c'était sûr, il me l'enfoncerait encore plus… gorge profonde…mmmmm !
Je crus suffoquer quand il éjacula en grommelant je ne sais quoi. Sa semence crémeuse et épaisse m'emplit la bouche. Je dus libérer sa hampe pour pouvoir déglutir et vite je la repris en bouche pour en extraire les ultimes gouttes. En m'aidant à me relever, il me fit part de mister contentement :
"Mais… dis moi ! C'est que tu te défends pas mal du tout… je crois que tu vas pouvoir te mettre à apprendre à respirer par le nez…. "
Nous prîmes ensuite un temps pour nous restaurer avec ce que j'avais préparé. Là, il me dit qu'il était désolé, mais qu'il me laisserait après dîner. Il m'indiqua qu'il avait le lendemain un repas de famille… vraie ou fausse excuse ? Quoi qu'il en soit, il jeta mister dévolu sur une chambre d'ami pour la sieste… qu'il débuta avec trois doigts d'une main dans mon vagin et mon clitoris entre le pouce et l'index de mister autre main. Même dans cet exercice il était diabolique et dès qu'il eut achevé de me faire tordre sous ses caresses par des frismisters de jouissance, il trouva mon sexe épanoui et ouvert à ses envies. Il me remonta les jambes sur ses épaules et prenant appui sur le lit de chaque coté de moi, il se mit à me prendre en cadence comme s'il faisait des pompes. Recroquevillée sous lui, je ne pouvais que le subir…et qu'est ce que j'aimais cela ! Ne pouvoir rien faire d'autre que subir la loi d'un mâle puissant et fougueux, quel bonheur. J'avais fait une fois l'expérience d'être attachée pendant l'acte et cela ne m'avait pas déplut. Mais qu'est ce que serait avec lui ! Il faudrait, si nos relations perduraient que je lui suggère… je pensais qu'il aimerait bien me soumettre…. J'étais loin du compte ! En attendant cette fornication farouche nous mena tout deux à la jouissance.
Après avoir récupéré, il décida que nous irions dîner comme hier. Je lui avouais ma préférence pour un tête à tête à mon domicile. Il insista d'une part pour que nous sortions et d'autre part pour "m'aider" dans mes choix vestimentaires. Comme la veille, je fus privée de sous vêtements et portais ce qui avait choisi : un chemisier ample, au tissu très léger et une jupe fendue. Même petit bar… même type de clientèle… peut-être les mêmes permisternes qu'hier… et lui avec ses yeux rivés sur moi… et moi, avec le sexe brûlant…. Assez peu habituée à m'exhiber de la sorte (et ce n'était qu'un commencement… un pâle début…), je me prenais au jeu. Je le voyais me désirer et j'en rajoutais dans l'oscillation de ma lourde poitrine. Je peux bien l'avouer je me plaisais à l'allumer et aussi… aussi à me faire remarquer des autres clients qui peut être le jalousait avec envie. Comme pour répondre à des désirs enfouis, il m demanda de déboutonner un troisième bouton de mon corsage. Le sillon entre mes deux globes était devenu bien visible. Je crois que les regards eurent plus d'acuité tout d'un coup. Je crois aussi que mon ventre se crispa et que mon vagin se trempa derechef. Une envie vulgare de sexe venait de me saisir et quand il me raccompagna, cuisses écartées je le laissais fourrager ma vulve tout le long du trajet. Arrivés chez moi, je lui proposais d'entrer. Il fit semblant d'hésiter. J'insistais, lui précisant que j'étais bien chaude de ses manigances. Il fait semblant de tergiverser avant se rendre à mes arguments. En un clin d'œil nous fûmes nus. Il s'allongea sur le dos à même la moquette, au beau milieu du salon et me demanda de le chevaucher en énonçant :.
"Puisque tu en as si envie, c'est toi qui fait le boulot !"
Je vins de part et d'autre de lui, d'abord accroupie. Je pris mister membre en main et le guidais à ma béance puis toujours en le tenant fermement, j'abaissais mon bassin pour le faire délicatement entrer en moi. Quelque vas et viens parachevèrent l'introduction et je pus m'agenouiller complètement pour jouer du bassin. Les mains croisées derrière la nuque; il suivait mes prouesses d'un œil amusé. De temps à autres, il me prenait par les fesses ou par les seins pour me faire appliquer une cadence plus appropriée. C'est ainsi que me démenant comme une possédée un soir de sabbat, je jouis de cette folle cavalcade. C'est encore toute essoufflé que je sentis sortir de moi, me positionner en levrette, toujours à même la moquette et m'enfiler fiévreusement. Cette fois, c'est lui qui "faisait tout le boulot"… et à grand coup de bassin, je vous jure…. J'étais tellement insatiable et avide qu'il me fit jouir encore. J'éprouvais un orgasme natural, bestial… de femelle en chaleur…. A nouveau il me délaissa et je le retrouvais debout campé face à moi, sexe dressé. Je me redressais sur mes genoux et sans prendre la peine d'y réfléchir à deux fois j'engloutis cette hampe brûlante, j'allais presque dire sortie fumante de mon intimité, du moins enduite de la cyprine dans laquelle je l'avais fais mariner. Je gouttais mes sucs sur sa verge… mes sucs… puis les siens… en longue rasades épaisses et salées.
La re descente fut catastrophique. J’avais presque oublié que Julien devait me quitter. J’en fus toute contrite. Devant mon air tristounet, il me promit que le week-end prochain, il me le réserverait et qu’il me ferait passer des moments de folie. Je voulus le croire… oh oui !
vanbruje

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#2,235
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Et cela continue dans la même veine ! Merci
vanbruje

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#2,236
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Toujours dans la même veine !! Merci.
chrislebo

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#2,237
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Seule donc, je passais un dimanche morose. Je me remémorais ma quinzaine… et cette folie qui m’avait conduite dans les bras de ce jeune homme. Jeune oui … mais homme… terriblement homme… virilement homme… qui se révélait peut être le meilleur amant que j’ai eu. J’en ai eu quelques-uns d’accord, mais il ne faut rien exagérer sur mes expériences non plus ! Je ne pense pas être une dévoreuse d’homme. Mais là, je dois bien reconnaître qu’il me faisait beaucoup d’effet (et de bien). Pourtant notre écart d’âge me tourmentait. Que pensait-il réellement de moi ? Me prenait-il pour une femme facile dont il se séparerait une fois qu’il en aurait fait (bon) usage. Il fallait que je sois réaliste. C’était tout à fait vrai que je m’étais comportée en femme facile … on ne peut plus facile… et puis de toute façon, j’étais bien consciente que mon âge ne me permettait pas d’envisager une liaimister très très prolongée avec Julien. Alors pourquoi en rougir et ne pas seulement profiter de l’instant présent et se moquer du reste. C’est sur cet optimisme teinté que j’achevais ce week-end.
Le lundi en allant au lycée, j’achetais mes journaux comme à mon habitude. Mon erreur fut de feuilleter un magazine à l’heure du repas. Avez ou déjà eu ce sentiment d’avoir une idée en étant certaine que par avance qu’elle allait vous retomber sur le coin du nez ? Ce sentiment troublant de savoir que vous allez faire une bêtise mais ou vous vous précipitez en balayant toutes vos propres objections….. Ce genre de pensées qui vous revient comme un leitmotiv…. J’en étais là ! Rappelez-vous, Julien m’avait fait le reproche d’avoir été habillée pour l’attendre, vendredi dernier. En moi-même, je m’étais bien fait la promesse de l’attendre nue s’il y avait une prochaine fois. Comme il me semblait qu’il y aurait bientôt une prochaine fois… alors…. Eh bien figurez-vous que ce que je venais de remarquer dans mon journal n’était qu’une publicité. Mais quelle publicité… ou une somptueuse créature arborait de la lingerie très sexy…. Mon intention première de nudité avait immédiatement laissé place à l’irrésistible idée d’attendre mon amant uniquement dévêtue d’un porte-jarretelles et de bas. Connaissant l’attrait que provoque chez les hommes cette tenue, j’escomptais bien en retirer un supplément de fougue charnelle qui me ferait monter un septième ciel de façon éhontée. J’eus beau me dire qu’en raimister de mister jeune âge, il ne prisait pas forcément cet accoutrement et qu’il allait me trouver ridicule, je persistais dans mon intention. Elle fut renforcée le mercredi soir. Julien me téléphona pour me confirmer notre week-end et m’assurer de mister entière disponibilité et de sa complète assiduité. Il termina en disant :
"Fais-toi belle pour moi ! Tu verras tu ne regretteras pas… je te ferais plein de trucs !"
Consciente de ce que je faisais une sottise ma décision devint définitive. Dire que d'habitude, je n'acceptais cet attirail qu'au bout d'une insistance patiente. Aujourd'hui j'allais provoquer… quoi au fait ? De toute façon j'avais envie de tout ce que Julien voudrait. Mes sens étaient aux abois. J'allais même jusqu'à ressortir du fin fond de mon placard, une paire d'escarpins à talons hauts comme pour faire bonne mesure. Euphorique, cette semaine là je réussis à boucler la comptabilité en avance et mon chef fut satisfait de moi. Aussi lorsque je sollicitais de sa part de pouvoir le vendredi (ce soir…) de quitter un peu plus tôt le lycée, il ne put que m'accorder cette faveur en déclarant :
"Mais bien sûr ma petite Gisèle !"
En attendant mon amant je me déshabillais donc pour ne rester qu'en porte-jarretelles et bas noirs… ni soutien gorge, ni string…. Je soulignais et agrandissais mes yeux. Ensuite, je me redessinais une belle bouche tant je souhaitais que Julien la trouve attirante pour y loger sans réserve mister pénis. Je vérifiais l'impeccable tension de mes bas et me chaussais. Petit collier, petites boucles d'oreilles… voilà… il pouvait arriver… j'était prête !
Malgré tout je sursautais quand il misterna. Ses yeux me renseignèrent immédiatement. Ils s'injectèrent de sang… j'avais gagné ! Il posa ses mains sur mes épaules et me tint à bout de bras comme pour mieux m'admirer.
"Tu es magnifique ! Tu ferais bander un eunuque !"
Machinalement, mon regard se porta sur bas-ventre… une bosse déformait mister pantalon.
"Tu t'es fait une bouche très tentante!"
"Tu veux que je te suce ?"
"Tsss… tsss… attends un peu ! Quand on veut jouer les cochonnes, on parle comme une cochonnes !"
"Tu veux que… Tu veux que je… Tu veux que je te taille… une…pipe…?"
"Encore !"
"Tu veux que je te taille une pipe !"
"Evidemment ! Allez hop… à genoux ! Et bouffe moi bine la bite !"
"Oui, oui je vais te bouffer…."
En me précipitant à genoux j'avais ouvert mister vêtement et en avait extirpé mister phallus. Mmmm… j'en avais rêvé toute la semaine. Il était enfin entre mes lèvres ! je m'appliquais à lui procurer tout le plaisir que je pouvais de ma langue, mes joues, mes lèvres. J'avais saisi d'une main la base de mister sexe et je le masturbais au rythme de ma fellation. De mon autre main, je pressais ses bourses gonflées. Il commentait :
"Oui… Ouiii… comme çaaaa ! Bieeeeen … pompes-moi…tu m'exiiiite ! Oui… les couilles !
Bouffes-moi les couilles…!"
Bien sûr, je m'exécutais et après les lui avoir léchées je me mit à les lui dévorer sensuellement puis revint à mister membre essayant de l'avaler le plus loin possible. Je bavais littéralement sur sa grosse verge, ma salive inondant mister trio infernal. Sans être une novice, je ne détenais certainement pas la médaille d'or en matière de deepthroat, mes amants précédent m'avaient plutôt baisé la bouche que me laisser les initiatives.. Tans pis je m'améliorerais! En attendant, il avait l'air de trouver cela assez agréable. Tellement agréable qu'il se raidit et me prit la tête à deux mains à l'instant ou ses … couilles remontaient et ou un flot de sperme se déversa dans ma bouche.
J'avalais le tout le plus vite possible, car il me fit rapidement relever et m'entraîna par la taille vers le salon. Là, il me fit contourner un fauteuil et se cala derrière moi en me prenant par les seins si avides de caresses. Cependant qu'il me les pétrissait, je sentis mister sexe raide contre mes reins. Il me poussa vers l'avant et me fit pencher vers l'avant par-dessus le dossier. Ses genoux poussaient les miens vers l'extérieur afin de me faire écarter les jambes. Vu ce qu'il avait l'intention de faire, je souscrivis bien vite à cette demande muette. Sa verge frotta contre ma vulve, il se guida et m'embrocha (le mot me parait exact) d'un seul coup en vociférant :
"Tiens Gisèle prends ça !
J'en eus le souffle coupé. Vu mon état de lubrification, il n'eut aucune peine à se loger à fond… direct…. il se mit à me travailler irrésistiblement, comme je l'avais imaginé pendant la semaine, surtout dans cette position. J'aimais qu'il me retourne ainsi et sentir mister ventre cogner contre mes fesses. J'ai tout de suite aimé cette position avec lui. Les sensations étaient violentes et puis surtout à genoux, en levrette, c'était la position de la chienne qui se fait couvrir. J"adorait qu'il m'impose cette saillie…mon bel étalon…. Il m'encourageait, se montrant de plus en plus grossier :
"Ouaiiiis, serre bien ta chatte Gisèle…. Contracte…. c'est bon comme ça…! T'aime ça, hein ?"
"Oh oui… j'aime ça !"
"Hein que t'aime ma queue ? Allez dis-le que l'aime ma queue…. Répètes !"
"Oh oui… j'aime…. J'aime ta queue….!"
"T'aime ça, hein que je la mette profond ? Je veux que tu me le dises !"
"Oh oui… j'aime…. J'aime que tu me la mette profond…. Mets là moi….ouiiiiii…. ta queuuuueeee…. Julieeeeeennnnn…. Haaaaaaaa !"
Et l'orgasme m'emporta comme une lame, comme un raz de marée. C'est alors que Julien retira sa verge de mon sexe inondé, fit le tour du fauteuil contre lequel j'étais resté dans la même position et tendis mister priape vers mon visage en me demandant :
"Maintenant que tu l'as salie, nettoie là !"
Sans résistance, j'engloutis mister phallus souillé de mes sécrétions et ne lui restituait que propre comme un sou neuf.
Il eut ce commentaire laconique :
"Ah putain ça fait du bien !" auquel il ajouta "T'es une sacré baiseuse !"
Je hochais la tête devant l'évidence du propos. C''était vrai avec lui, j'aimais…. J'avais voulu le provoquer en m'attifant comme je l'étais, me préparer ainsi m'avait excité. De plus, il m'avait aussi demandé de répéter ses grossièretés, moi qui ai horreur de la vulgarité (enfin qui avait…), et là aussi j'avais aimé, cela m'avait fouetté les sangs. Tout doucement, je commençais à me rendre compte de l'emprise que ce je jeune homme exerçait sur moi. Jusqu'où cela pourrait-il aller ? Aucune idée… et j'en fus persuadée quand il vint avec moi me "conseiller" sur la tenue qu j'allais porter pour aller dîner. Il choisit la plus courte de mes jupes. Elle m'arrivait une bonne dizaine de centimètre au dessus du genou. Pas franchement mini mais elle était assez sexy quand même. De toute façon, une minijupe… il était hors de question que j'en porte désormais une, vu mon âge. Le chemisier, il le choisit blanc, sage… enfin sage, quand il était porté avec quelque chose en dessous. Sinon… et comme il voulait me le voir porter… les aréoles de mes seins allaient être bien visible… en plus de mon sillon révélé par trois boutons ouverts, comme le dernière fois.
En fait Julien (et je n'avais pas tout vu) était un vrai petit cochon, car bien entendu, je n'eux pas droit aux sous-vêtements et en revanche dus conserver le. Je dus aussi aller me remaquiller comme je l'étais à mister arrivée. Comme je lui faisais remarquer que c'était peu être un peu trop pour l'endroit ou nous allions, il me répondit sèchement "que si je l'aimais un tant soit peu et que si je voulais le contenter, il fallait que se soit, en tous cas et en tous lieux, un minimum". Je tentais vainement de lui expliquer qu'à mon âge, cela ne se faisait pas. Il argua du fait que cela l'excitait, lui, et que c'était ce qui comptait, bien plus que le qu'en dira t'on ou ma réputation qui finirait selon lui tachée de foutre puisque je ne faisais pas état de mon âge, lorsqu'il s'agissait de baiser….
Vu sous cet angle….
Le petit bar était égal à lui-même. Je crois que mon entrée ne passa pas inaperçue. Pendant le repas, je tentait de dissimuler ma poitrine, visible sous la transparence du tissue, par l'illusoire rempart de me bras. Julien le remarqua et s'en amusa, me trouvant ridicule :
"C'est idiot ! Tu as de beaux nibards ! Tu devrais les montrer !"
Devant mon air contrarié, il me demanda :
chrislebo

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"Je te choque ?"
"Oui… un peu… quand tu parles de cette façon en public…."
"Hypocrite… il faut t'y faire ma belle ! En plus, je veux que tu parles aussi comme çà ! Dire des cochonneries te fera du bien et de décoincera un peu ! Tu m'as compris ?"
"Oui… oui… Oui Julien…."
Çà c'était moi qui venais de répondre. Je vous le disais bien que je ne savais pas jusqu'où je pourrais céder à ses caprices.
En guise d'apprentissage, je dus répéter, en rougissant certainement, quelque phrase très crue ou en substance j'avouais "avoir hâte qu'il me fourre avec sa grosse bite"… et ainsi de suite jusqu'au moment ou me fixant au fond des yeux d'un regard pénétrant et brûlant, il m'annonça simplement :
"Décidément, tu m'excites trop… en rentrant, je vais t'enculer…."
Ne nous racontons pas d'histoire, ce n'est pas que je l'attendais, mais du moins je m'y attendais. C'est comme le porte-jarretelles, il arrive toujours un moment ou cela vient sur le tapis. Vu quel amant était Julien, j'avais bien pensé qu'il voudrait me soumettre à ce genre de chose. Vu sa taille j'appréhendais, c'est sûr… mais je savais que d'avance mes reins seraient à lui. C'est donc d'une petite voix que je lui donnais mon accord. Il me promit :
"Tu vas voir, tu vas adorer que je me farcisse ton petit cul !"
On verrait bien…. Après cette déclaration le repas s'acheva vite. Julien envisageait un autre genre de plat de résistance. Dans la voiture, il commença par me déboutonner entièrement mon chemisier. Il voulait voir mes seins nus… en fait me voulait les nichons à l'air…. Il me prévint que demain soir nous reviendrions dîner ici et que cette fois il faudrait que je les montre. Comme je protestais, il compléta :
"Et peut être ta chatte aussi… il faut que je réfléchisse…."
Demain à sa demande, c'était certain, pour la première fois et sans opposition, je m'exhiberais….
Inutile de vous dire que dès que nous fûmes arrivés, je ne gardais pas mes vêtements très longtemps (mis à par les bs). C'est dans ma chambre qu'il me conduisit pour ce "tir royal". Une fois en position, il vint derrière moi et me câlina la raie de la langue. Une délicate feuille de rose me détendit et ses doigts purent tout à loisir prendre du service pour "faire le passage". Il plongea sa verge dans mon sexe où il fit quelques doux aller et retour. Puis il la releva de quelques centimètres. Cette fois, mister gland se positionna en face de mon anus. En femelle soumise je me cambrais. Son membre s'enfonça lentement dans mon orifice tabou. Cela me fit une drôle d'impression, celle de s'ouvrir de l'intérieur. Je quémandais une nouvelle fois "Doucement, doucement!" mais je savais que rien ne peut l'arrêterait. Mon anus s'écarta comme jamais je n'aurais imaginé et le sphincter céda plus facilement que je ne l'aurais cru. Je subis ma sodomie en serrant les dents, les doigts crispés sur les draps. L'impression de brûlure a à un étrange sentiment de d'envahissement. J'aimais cette sensation d'outrage auquel il me pliait. Je commençais à gémir et sous ses directives, je le suppliais, entre autre, aussitôt de "me mettre comme une truie". La redécouverte me sembla une évidence et je n'en revenais pas moi-même : j'aimais deux choses : me faire enculer et proférer des grossièretés pendant….
Je craquais littéralement… finie la sensation pénible du début et mon trou devinait avide de bite… de pine…de queue. Julien me bourra au delà de toute espérance. Collé à moi je sentais ses mouvements devenir plus emportés et plus décousus, il allait bientôt craquer et ma jouissance était proche. Lorsque je sentis mes reins exploser le foutre de Julien coula très profondément dans le rectum.
Ce n'était pas la première fois que je prenais autant de plaisir à cette pénétration ésotérique et je ne n'étais pas prête de me passer du plaisir qu'elle me procurait. Lorsque je retrouvais mes esprits, je le vis me regarder en souriant et me dire :
"Eh bien toi… décidément… tu as tout pour plaire".
Il passa à la salle de bain et nous terminâmes la soirée par un sensuel soixante neuf ou je pus le boire à satiété. Nous nous endormîmes juste après, moi avec cette seule pensée : le faire bander pour qu'il m'encule à nouveau….
Nous dormîmes tard et nous prîmes une douche ensemble. Je peux vous affirmer que mes seins et mon entrejambes en ressortirent parfaitement propre. Il y mit beaucoup de soins. Lui, ce furent ses parties génitales qui rutilaient… je m'y étais employé avec zèle. Je dus ensuite me maquiller. Il revint pour assister aux touches finales et me demanda d'accentuer encore mon changement de look. Toujours devant lui je dus aussi enfiler "ma tenue de baise"…. J'obéissais toujours, avide de ses sensations troubles de me soumettre à ce jeune homme tyrannique mais si bon amant. Je commençais à me faire honte toute seule. Cela l'amusait. Comme en cherchant les mots sans les trouver je lui demandais si je n'étais trop vieille pour jouer les… les… il m'interrompit :
"Arrête avec ça ! Ton âge…. Il n'y pas d'âge pour baiser… pas d'âge pour se faire mettre… pas d'âge pour faire cochonne…. J'aime ça ! Tu m'excite et tu es bonne !"
Avec une délicatesse ciselée, il me demanda de "le branler entre mes mamelles de chienne". Je m'agenouillais donc entre ses jambes et plaçais mister membre dans mon sillon mammaire. Je serrais ensuite les bras pour bine le comprimer. Il me fit remarquer que ce n'était pas ainsi que je devis m'y prendre et que pour mener à bien ma branlette, je devais prendre mes roploplos à pleines mains, comme quand je me les touchais. J'appris… et comme commandé, je terminais cette cravate de notaire en lui faisant une pipe. La bouche encore pleine de foutre, il me fit relever pour m'embrasser… ou plutôt me rouler une pelle goulue, mélangeant sperme et salive. Comme, fabuleusement, il n'avait pas trop débandé, je dus le chevaucher sur le canapé. Pendant ma cavalcade, il fallut que ne cesse point de me tripoter les seins, il me força à en étirer les tétons, les pincer, les faire rouler et même les lécher. Pendant ce temps, il me tenait par les fesses et avait même glissé un doigt dans mon anus me faisant concéder "que j'aimais qu'on me mette un doigt dans le cul pendant que je me faisais tirer !". Les mots avaient du mal à passer, mais malgré tout, je devais me rendre à l'évidence, tout ce qu'il me faisait proclamer en termes odieux m'excitait terriblement la plupart du temps, même si cela était un peu outré. Aussi quand il me demanda si en contrepartie d'une bonne enculade j'allais être, ce soir, très obéissante, même sans savoir ce qu'il avait en tête j'acceptais docilement.
Il en profita… le petit salaud….
Je dus m'habiller comme la veille, même jupe, même chemisier, sauf que ce dernier dus demeurer ouvert jusqu'à la ceinture de ma jupe. Autrement dit, j'étais complètement dépoitraillée et chaque mouvement révélait mes seins. Au petit bar habituel, j'eus un vif succès….
Pendant le dîner, il me posa cette question :
"Jusqu'où irais-tu pour me plaire ?"
"Je… je ne sais pas trop… loin, je crois…. Mais pourquoi cette question ?"
"Elle conditionne la suite de nos relations…."
"Comment cela ?"
"Voilà, c'est simple… j'ai un ami depuis longtemps, depuis l'école primaire. Nous avons l'habitude de partage nos conquêtes féminine…."
"Tu voudrais que je… avec lui…?"
"Non, non pas que avec lui… avec nous deux !"
"Mais… mais…."
"Je ne te power à rien, j'ai trop d'estime pour toi ! C'est toi qui décide !"
"Et… si je dis oui ?"
"Tu viens chez nous la semaine prochaine… tu ne le regretteras pas, je te le promets !"
Complètement affolée, perdue je bafouillais que… que oui, oui j'acceptais mister étrange proposition. Il me demanda si j'avais déjà pratiqué cela à plusieurs. J'avouais… tout, enfin presque, enfin juste Ahmed et ses amis ainsi que Yves et Romain et aussi un ex-mari pour faire bonne mesure. Je tus Fabrice et ses compères ainsi que Roger et Nadine. Julien me ma regarda malicieusement en me disant "qu'il était vraiment temps que quelqu'un me prenne en main…". Comme si l'aventure que je lui avais racontée ne comptait pas. Je crois qu'effectivement, j'avais envie d'être prise en main, dans tout les sens du terme et même si les mains étaient quatre.
"Maintenant, il va falloir être très obéissante Gisèle ! Je te veux très cochonne ! Tu m'as compris !"
"Oui, oui Julien !"
"C'est bien… alors tu vas remonter ta jupe au dessus de tes bas et écarter les cuisses. Je veux que les types se rincent l'œil et voient ce que je vais me taper en rentrant !"
Comme je ne bougeais pas, il se fit plus autoritaire.
"Allez dépêches-toi ! Tu seras récompensée comme tu aimes… bien profond… au fond de la rondelle !'
Il avait haussé le ton et comme je n'étais pas désireuse qu'il fasse savoir à la cantonade mes récents goûts pour la sodomie, je roulais vite ma jupe jusqu'à ma peau nue et ouvrit mes jambes, non pas en grand, mais suffisamment pour lui complaire. Il se baissa sous la table pour vérifier et eut l'air satisfait. Il laissa tomber ce commentaire :
"Pas mal… pas mal… pour un début !"
Il était vraiment diabolique. Il me "tenait", il en était conscient et jouait avec moi…. j'étais certaine que le jeu allait se corser.
Pendant le trajet qui nous ramena chez moi, ma jupe dut encore être remontée. Pire, je dus la relever complètement et m'asseoir sur mes fesses nue. Il me prévint que je devrais m'asseoir ainsi un jour ou l'autre dans ce petit bar négligé où il m'emmenait. Cette perspective me fit peur, honte et… m'excita un peu plus.
Arrivés chez moi, il m'ordonna de me mettre nue dans mon entrée. Je pénétrais ainsi dans mon salon. Il vint à moi et me prenant par les cheveux me fit basculer la tête en arrière. Tout près de mon visage je l'entendis exiger :
"Désormais, tu vas faire ta pute…. Tu vas être très salope, hein ?"
"Oui… oui Julien…."
"Oui quoi ?"
"Oui, je vais être très salope pour toi !"
"Ok ! Alors mets-toi là ! Tu vas te branler devant moi !"
chrislebo

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#2,239
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Il relâcha la tension sur me s cheveux et me désigna un fauteuil ou je m'assis jambes ouvertes bien entendu. Il se mit nu et prit place en face de moi pour assister au spectacle qu'il mit lui-même en scène. Il m'ordonna de commencer par me caresser les seins, ce que je fis un bon moment malaxant moi-même mes rondeurs sans bien sûr oublier les tétons qu'il me fallut étirer et faire rouler jusqu'à ce qu'ils soient dressés. Je dus ensuite les reprendre à pleines mains et me les lécher. Vu la taille de mes globes cela ne posa aucun problème et je dois dire que pendant certaines occupations solitaires, il m'arrivait de me le faire. Ensuite, jambes très ouvertes je dus m'astiquer et fourbir mon clitoris. Puis il décida que de mon autre main, je devais directement me mettre deux doigts. Depuis que j'avais commencé "mon show" j'attendais cette demande et le fit immédiatement. Il me laissa me branler de cette façon pendant quelques temps, m'interrompant juste histoire de me faire lécher et sucer mes doigts enduits de cyprine. Je le vis se lever et mon cœur ce mit à battre. Je fus un peu déçue en le voyant s'éloigner de moi, puis j'eu un brusque coup de chaud. Il s'était dirigé vers un meuble et y avait ôté une bougie d'un des chandeliers qui le décorait. Avec un sourire douteux il revint à moi et me la tendit en disant :
"Changement de genre ! Mets-toi ça dans le fion… ça sera toujours ça de fait ! Mais lèches-là bien d'abord… ça passera mieux !"
Il est vrai que je n'avais pas trop l'habitude de ce type de masturbation… et ce ne fut pas désagréable du tout…. Après l'avoir enduite de salive je l'introduisis précautionneusement et l'enfonçait…. Selon les expressions qu'il me fit répéter (et auxquelles je pris un plaisir équivoque) sans cesser "de me polir le bouton" je me "branlais le cul profondément". Cette fois il s'approcha de moi la verge à la main et ma la tendit :
"Tiens suces-moi là avant que te je la mette…. Dès que tu la voudras préviens-moi que je t'encule !"
En continuant mes occupations manuelles je le pris en bouche. Bigre!... vu comme il me l'enfournait cela n'allait pas être aisé de parler…. J'eus assez vite envie d'être prise, sodomisée de nouveau, de sentir mister gland peser sur mon anus ouvert et de s'y engouffrer jusqu'aux testicules et enfin de subir les va et viens de sa queue dans mon boyau. Rejetant brusquement la tête en arrière j'échappais au bâillon de chair et demandais :
"Prends-moi Julien !"
"Mieux que ça !"
" Prends-moi…. Encules-moi…."
"C'est ça que tu veux ?"
"Oh ouiiii…. Mets la moi, mets moi ta pine à fond… prends-moi le derrière !… prends mon cul il est à toi…viens j’ai envie de te sentir dans mon cul…. Tu veux que je sois salope ?, Alors mon chéri encules comme une salope ? Je suis à toi… je serais ta pute !"
Je crois que je n'avais rien oublié….
"Mets toi en position vieille roulure…tu vas l’avoir dans ton jolie petit cul…. Je vais te défoncer le trou !"
Je me mis à quatre pattes, sur la moquette, les fesses tournées vers lui. J’avaisi décidé que je serai sa salope soumise et éventuellement de mister copain s'il le voulait. Il passa mister gros gland sur ma rondelle dilatée par la bougie. Il avait quand même besoin de plus de place pour me besogner. Soudain il poussa d’un coup ! Je ne pus réprimer un cri qui l'amusa:
"Hhaaaaaa tu es énorme…. tu me déchires !"
Il y avait été fort mais rapidement la douleur devint un plaisir immense et doucement je me m'ouvris, mon conduit se déplia sous l'effet de l'introduction. Rien ne l’arrêterait, il allait me limer le cul et me faire jouir par cet endroit.
Il me besogna longtemps "le couloir à lentilles" j'allais jouir d'une façon éhontée comme le pouffiasse qua j'était en train de devenir… alors toute honte bue je l'encourageais à me posséder encore plus en utilisant les mot qu'il affectionnait pour l'exciter davantage :
"Je sens que ça vient… Oh oui oh oui oh ouiiii…vas y défonce moi….défonce moi c’est bonnnnnnnnnnnnnnnn ! Mets là plus loin….. vas y entre entièrement….. Oh je sens ton ventre, tes couilles sur ma chatte…oui oui oui je jouiiiiiiiis ! Encules moiiiiiiiiiiiiii…. Encules ta puuuuuuute !"»
Et je me mis à crier en sentant ses jets m'inonder et tapisser mon conduit d'habitude si secret mais qui allait devenir, je le sentais, un lieu de passage….
Le "ouaaahhh ça fait du bien !" me renseigna. Mon amant avait apprécié et moi donc ! Les contractions résultant de mon orgasme m'avaient épuisée. Je crois que lui aussi…. Vu l'heure e nos activités de l'après midi, nous n'étions plus bon à rien, sinon à dormir. Je quittais mes bas, mon porte-jarretelles et me lovais dans les bras de mon chéri en espérant un sommeil réparateur.
Le jour était levé… bien avant nous… un bon petit déjeuner avec croissant et mains baladeuses et une fois propres et que mon maquillage eut estompé un peu les cernes témoins de mes plaisirs des deux jours passés. Il décida de reprendre nos ébats. À l'évidence, je n'étais pas contre. Il voulut me lécher l'entre jambe. Pour ce faire ce fou me fit allonger sur le dos, en long sur le dossier de mon canapé (heureusement qu'il était bien remboursé !). Je dus m'agripper au coussin pour rester en équilibre. Julien se plaça devant moi, me fit ouvrir les jambes en grand en me tenant les genoux pour les y contraindre et se mit à me lécher la vulve avec application. Vulve, chatte et clitoris… en détail…. J'étais partagé entre plusieurs sentiments me laisser aller bien sûr mais aussi la peur de perdre l'équilibre, d'un coté sur le canapé et c'eut été sans dommage mais de l'autre je me serais cassé la figure par terre…. En fait ce fut une *** qu'il m'infligea en ne me permettant pas de m'abandonner à sa langue si habile. Néanmoins, je ruisselais comme une fontaine, il en eut le bs du visage tout mouillé. Il aspira même de ma mouille qu'il vint me restituer à pleine bouche avant de me faire glisser coté divan. Il fit vite le tour et continua à me faire glisser jusqu'à ce que mon crâne touche le sol et que je repose ensuite sur mes épaules les reins appuyés contre le bord du siège. Il m'enjamba, de façon à être entre mes jambes et dirigeant sa queue vers le bas il me la mit dans le vagin et se mit à me baiser de haut en bas. Dans cette position, je ne pouvais rien faire d'autre que de subir et que de maintenir ma position. Dire que j'aimais est un faible mot….
Malgré l'inconfort de la position, je pris deux fois du plaisir. Lui, pour "terminer", me fit agenouiller et un peu comme on le voit dans les films pornographique se masturba au dessus de mon visage et me commanda d'ouvrir la bouche en grand pour y recevoir mister éjaculation. Je n'en reçu qu'une partie dans ma bouche, il prit, je le suppose, un malin plaisir à m'en envoyer sur le reste du visage… même les yeux.
Près quelques baiser et de chaudes paroles pleines de promesses pour la semaine suivante (je vous rappelle, en compagnie de mister copain) nous nous quittâmes et il me rassura d'un "Je t'appelle dans la semaine pour mettre tout ça au point".
J'était fourbue, mais quel week-end…. A cette époque j'ignorais combien il y en aurait d'autres et de plus torrides… beaucoup plus torrides….
Mes envies n'étaient pas retombées au début de la semaine suivante. Un sentiment de culpabilité m rongeait toujours d'avoir un amant si jeune. Jeune il est vrai, mais comme il est dit ailleurs "Aux âmes bien nées, la valeur n'attends pas le nombre des années"… jeune certes, mais terriblement cochon, vicieux certainement et pervers assurément. En deux semaines il m'avait transformée, fait renaître…. Du moins c'est ce que je croyais, mais j'étais loin du compte. Je me rendais bien compte que je n'étais qu'un jouet livré à ses sens débridés. Il allait jouer avec moi, de moi… de mon corps… et… et tant mieux…. Inutile de se mentir j'adorais être sous sa coupe et… et lui être soumise….
Comme je l'attendais, énervée comme une puce, il m'appela le mercredi. Il me donna rendez-vous chez lui, chez eux… pour le samedi en début d'après-midi. Comme je lui demandais comment il souhaitait que je me vête, il sembla réfléchir (le fit-il réellement ou y avait-il déjà mistergé ?) et mister verdict tomba.
"Viens… tiens, comme quand on c'est rencontré au mariage, tu étais assez bandante en robe longue ! Samedi je ne sais pas si ce sera cérémonie, mais il est sûr que ce sera ta fête. Alors fait toi très belle… pour plaire à Anthony…. Ah oui ! Sous la robe… rien n'est ce pas ! Ou juste des bas, c'est toi qui vois ! Bourge dessus… pute dessous… hein ?"
"Oui, oui Julien, je l'ai dit je serais ta pute…."
"Oh que non ! Pas seulement la mienne !"
chrislebo

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Magician's Assistant


Alice was humming a cheerful little tune while cleaning the house, pleased to be adrift in the usual routine of household chores. While vacuuming the bedroom the machine bumped something under the bed and to her surprise it was a sex manual. It was obvious who had left it there and the thought of him, as though she could forget for one moment, brought a sly grin to her face. "My young lover." She murmured happily.

Across the bedroom was a gilt framed mirror reflecting a full-length image of a pretty young housewife in a short flared dress. Such a luxurious home should have a maid she thought, "and I'm it. Perhaps I should get a naughty uniform." She giggled out loud. Bending slightly revealed stocking tops with a glimpse of suspenders just as he liked them. It sent a thrill through her knowing she was dressing just for him.

Opening the book she flicked through the opening pages glancing at tasteful illustrations then paused in thought. Starting from the beginning they seemed to be in the same sequence as his demands upon her over the last three weeks.

It was a little disconcerting to find he was using this book as a guide to her body, as though it were an owner's manual. Though in one sense her young lover had become just that, the owner of her body. It was true she conceded, with a lascivious grin creasing her cheeks into glowing red dimples, he did own her body. He was leading her into more adventurous play in the bedroom and taking over more of her life.

Sitting on the edge of the bed carefully turning the pages over one at a time, nodding occasionally at what was evidently a template of their performances together was bringing uncomfortable ideas onto her head.

He was using her body as a learning device. She was his doll to be manipulated to his amusement. Alice giggled at the idea. This was a guide to her satisfaction too. The delicious activity of last night was displayed eliciting a shiver of delight at the memory. It was eerie knowing she had been performing to the dictates of this sex manual. "So what is it tonight I must perform?" She whispered. The next page would reveal the latest episode of the mischievous game but should she leave it as a surprise?

She couldn't resist it. Turning the page, taking a peek at what he would be submitting her to that evening was a shock. "No! I won't do that. I've let him do what ever he wanted but not that." She gasped, slamming it shut without reading a word. The sordid illustration said it all, that she would be submitted to something so awful could not be accepted even with the excuse of being magictised. Looking across the king size bed she caught sight of the clock radio. Panic set in as the time registered, five, zero, zero. It left only six minutes to escape the house before he arrived.

With a coat, keys and handbag she was ready to flee her own home. The phone rang and without a thought reached for it sweeping it under her long dark hair to automatically quote her own number as so many times before. The innocent routine yielded a tragic significance as she heard him utter the well-used indomitable phrase.

He added the instruction. "I'll be late. Not long. Wait on our favourite sofa for me. Just sit there and think about our sessions together."

She wandered into the lounge to plonk her body wearily onto the sofa. Sitting there thinking fast she thought to get up and run to the back door. "Lock the damn door before he arrives." She thought, but it seemed such a difficult task to rise out of the seat as though attached to it with limbs heavy from fatigue. Anger became fright at the loss of control finding it really wasn't possible to move. He told her to sit on the sofa until he arrived and despite the need for escape that is what she must do. It was so humiliating to be this helpless yet she couldn't become angry with anyone but herself. This predicament was of her making.

Alice perched on the edge of a sofa waiting in trepidation. The luxurious lounge had suddenly become a trap, a cage, waiting for her nemesis. Under the influence of a deep magictic command all she could do was sit and wait for the young man with his horrid plans for this evening. Giving up the physical struggle to break free she took a deep breath to calm a ***d mind. This dreadful situation was her own fault and no one would set her free so it was up to her to find some way out before he arrived. She sat trying to be calm, trying to think it through, back to how it had all started, seeking a clue as to how she might break free.

***

Her husband had taken care of organising the home and business until he had passed away over a year ago with a premature heart attack leaving her well off but lonely for company. It didn't take long to realise how helpless she was without him, since he had made all the decisions, organising her as well as everything else in their lives.

As a dark haired beauty of thirty-four, looking young enough to pass for late twenties, there had been too much interest from suitors. Or should she say lechers. She just hadn't felt ready and besides she hadn't much experience of the dating game having married young.

It put her off more than anything that they were more interested in the inheritance from husband and parents than getting to know her. When she kept quiet about the inheritance others seemed to assume she was desperate for a sexual relationship without a man to take care of her. What she wanted was a relationship, not just sex. They talked to her breasts or asked her to wear shorter skirts to show off a pair of long legs. In reaction she dressed more modestly to hide the voluptuous body until it became a habit, leaving her looking dowdy. It was easy to hide away concentrating on the home in a friendless city they had moved to just before he died.

That was the foundations of her fall but it all started when Alice befriended the neighbour's shy young mister. He was helping with gardening chores when a mutual loneliness brought them closer together. He was only seventeen with little experience of girls and she had felt safe with him. The two of them sought an uncomplicated relationship becoming good friends, able to talk and laugh together. It wasn't his fault but the seeds of her destruction had started then.

***

While waiting for his pay Robert practised a magic trick on the kitchen table. "Well that's marvellous." She applauded. "You should put on a show." She laughed. His embarrassed murmurs had touched the past, an awkward youth still within her, enough to want to help him overcome his youthful awkwardness. He reluctantly agreed and they settled into a routine of shows until one evening he asked her to join him as his assistant. With a newfound confidence he asked if he could magictise her. She readily agreed knowing it would add to his growing self-assurance. Helping him along she pretended to be magictised while performing a series of silly harmless stunts.

Not feeling any different when supposedly magictised she had to remember not to let the façade slip until it became a well-rehearsed performance. Not only is it doing the lad a favour she genuinely enjoyed the shows and his company as a pleasant diversion in a boring life.

"Why don't you invite a couple of your friends along to watch the show? Your pretty good at these tricks now, especially the disappearing egg trick. I still don't see how you do it!" She cheerfully encouraged him. They had practised before an empty sofa since she became a part of the show and thought it might help him make friends.

Robert invited four friends from the office to watch a performance, which wasn't going too well until the finale when he magictised her. They thought it hilarious, especially when taking turns commanding her to be a puppy, a penguin and the usual harmless performances seen in any stage act. Finding it funny too she waddled around the room flapping imaginary wings making them laugh. Seeing his confidence soar among friends reminded her of a not too distant shy adolescence, spurring her on to throw herself into the performance for him. She too enjoyed their attention.

***

She saw it more clearly now. She had dressed in a white blouse and black skirt with seamed stockings to add a little glamour to the act but that was before they had arrived not knowing they were older than Robert. They ordered her to crawl along the floor to them and patted her head and stroked her long hair telling her, "You're a good puppy." The beginnings of something more serious were in mind when one of them patted her bottom but before it got out of hand Robert calmed the situation down by finishing the act.

That was it she said out loud. "I enjoyed someone else taking control, telling me what to do. I enjoyed entertaining. But surely I could have stopped performing if it went beyond my limits." She continued rolling through the scene of that evening hoping for a clue as to why, later, she had given in so completely.

***

The friends had departed when Roberts' older brother entered the lounge. "Mum wants you home now, Bobby."

Robert was surprised to see his brother James and for him it was an unwelcome intrusion. Alice walked into the lounge with a coke for Robert while he packed up the equipment.

"Hi, Mrs Periman." James said respectfully. "Mum wants Robert home pronto, as he hasn't taken his insulin this evening."

Completely ignoring James she brushed past him to hand Robert a take.

"Robert you know you're not allowed." James hissed at his brother. He looked at Alice standing, waiting for further instructions from the Grand Magician. "Robert isn't allowed sweet stuff Mrs Periman. Mrs Periman?" He looked at his young brother whispering, "What's wrong with her Bobby."

Robert stood in the dinning room where they held the magic shows with a grin upon his face. His colleagues had left but he always waited to the last minute before giving the final instruction to his assistant that would break the spell. "Alice the Glorious is under magicsis." He casually told his brother while packing the props away, glad to note he was suitably impressed. It was impossible to hold back now so he added; "She is under my control until I give the command to release her."

After a moment or two James whispered with incredulity, "You magictised her?"

Continuing to pack, Robert kept him waiting savouring the moment. "Yes. It's part of my magic act. The finally."

Alice enjoyed seeing him swell with pride at being able to impress James. He was only two years older but the contrast between them was greater, perhaps from Robert's illness. James was a fully mature young man with a presence in the room neither James nor his friends had. Seeing Robert with is brother showed how much he had come out of himself, gaining enough confidence to be able to put on a show before work mates and now impressing his brother. "Alice, get a coke for James." Robert commanded her as a demonstration to his brother, showing off his talent.
chrislebo

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With a glass in hand, James asked, "Can I get her to do something?"

Robert noticed James sheepish manner, taking it as recognition of his s*******, so naturally Robert nodded his head, as though granting a favour in sharing a little of this power over an adult.

James, confronted by an unusual situation, wondered what to do with her.

Robert saw his brother's bemusement, so for once he would guide him. "Anything. Say anything you like and she will do as you say."

James smiled a secret little smile at having such authority over an adult. It should have alerted her to the danger, but she felt obligated to her protégé and knew she was safe in his presence. "Sit!" James spoke with emphasis accompanied by an unnecessary exaggerated movement of his hand, as though training a dog.

Surprised, he watched as she sat on the floor right before him with her skirt up showing a lot of leg and the little white triangle of her panties. He hadn't meant her to sit right there, thinking she would have chosen a chair. In trepidation at what he had made her do he raised his voice, "Stand up! Stand up, and - walk over here." He was intimidated by the close presence of a mature woman as though she would at any moment wake to become an irate neighbour, annoyed with him.

Alice thought his face an amusing picture of astonishment after Robert and she had become so used to the act, even blasé after so long practising it.

"Oh! No! I was supposed to bring you back quickly. You had better run. Now Bobby!" James told him. "I'll bring your stuff, oh, what do I say to bring her round?"

Robert whispered in his ear and ran off through the kitchen to the back door amused at his brother's consternation.

***

Alice shuddered with the memory of that moment when she made a sudden and fateful decision. Hearing the back door slam the decision had to be made whether to reveal, or not, the magicsis was just an act. Knowing it would open Robert to ridicule from his brother, knocking his confidence back, she decided to play along with the game.

Pretending at being magictised a little longer than usual would be no great difficulty as she had mastered the act to perfection over the last few weeks. Alice stood in the middle of the room waiting for him to utter the phrase of release. Instead he ordered her to perform the usual silly tricks, which was amusing knowing that people had little imagination when confronted with an unfamiliar situation, they seemed to think along the same lines. She was even a little proud of how well she had mastered the act; able to convince anyone she was in a magictic trance.

Standing patiently before him awaiting the next command, he said quietly, "Kiss me."

Taken by surprise she kissed his lips as though it were just another silly trick. "Kiss me again." He told her. This time his tongue freely explored her mouth. It was time to stop the game. Passionate kissing hadn't been a part of her life in such a very long while it had brought on long forgotten feelings which she didn't need right then.

***

On the sofa she remembered how easy it had been to just let it happen. It was all so nice and seemed perfectly harmless to let him be a little naughty. If it had ended there no harm would have been done.

***

Between snatched breaths the words to stop are allusive and to her surprise, she was enjoying it rather too much. The older brother looked more mature but surely still too young to take on an experienced woman. She decided it wouldn't be too difficult to control a young inexperienced man, perhaps a little embarrassing, but how far could he go with this? In any case she could always put a stop to it for she wasn't really magictised.

It had been such a long time since experiencing such earnest passion so why not enjoy it while it lasted. His kisses reach deep feelings where she became lost to the moment unaware of anything around her. Despite the inexperience she was enjoying a rough handling. Considering this obvious inexperience for a moment, she decided it was safe to leave him in charge, to let go. Besides how could she tell him it was just an act after letting him kiss her like that?

A moments respite gave a chance to snatch a hurried breath. They had, while in an impassioned embrace, travelled across the room with his arm squeezed about her waist as though dancing until they slide down upon the sofa. She landed with his hand under her bottom. Desperately thinking of a way out she decided to pretend to come to before things went too far. A moment longer perhaps for after all his hand held her bottom only to prevent her sliding onto the floor.

Lost in a dreamy pleasure for more minutes of rapturous petting she gave up trying to think becoming overwhelmed with the emotion of being wanted. Too long without even the slightest loving touch brought on a powerful longing for a man's caress. With eyes closed she let him kiss her until shock exploded them wide. She watched in astonishment his lips close upon a nipple. Wide-eyed she watched in amazement an engorged nipple sucked into his mouth. How did that happen? She hadn't felt him open the blouse or pull her bra down.

It would be impossibly embarrassing to tell him she had willingly let him do this to her just to protect his brother. The sensations were overpowering allowing her to surrender to this rough handling of her body. She watched in fascination his earnest concentration sucking on a breast. Balanced on top of the bra they point up proudly, as though prepared especially for his attention, where he rubbed them, kneaded them, between finger and thumb, the other being almost sucked off.

With one hand he pulled her onto his lap where she quietly waited for him to finish with her breasts still at a loss as what to do or say. It should have been predictable, as most men were attracted to those large soft pillows of breasts. She again closed her eyes while he wrapped his arms around her cupping both of them, working them into a taught accumulation of sensations. It had all gone too far to reveal she was willingly allowing him to use her body and in any case reamistering had given way to blissful pleasure.

It was impossible not to respond to the intense stimulation, yet she must not do or say anything to encourage him, as though her compliant body were not all the encouragement he needed. Like a rag doll she bent at the waist as he pulled her back readjusting her tightly onto his lap. She felt his hardness sliding between soft thighs, unnerved for a moment at being wet and slippery, ready for him. With the last of any resistance gone she yearned for him to find her, wanting him to ram home deeply, to fulfil a desperate longing. Now she understood clearly what it is to ache for a man. Arching back to push him fully home a guttural moan escaped her throat. He was unaware of anything but the muscle gripping his cock.

***

This was the same sofa where it had happened that first time and she was yet again waiting for him to use her body. That first time she must have been under the influence of Roberts' magicsis not realising it, mistakenly thinking it was just an act.

She had for several weeks willingly submitting to it, even enthusiastically pressing her mind into it. "Perhaps I must tell myself I don't need a man to command me, would that be a way out. The pleasure he gave me kept me tied into the magictic state, under his control. It was what I wanted even needed. The excuses for not breaking free of him, were they mine or did the magictic state prevent me from resisting? This time he is going too far. Perhaps I can resist him if he tries to get me to perform something I find so aberrant." She broke off speaking to herself unable to mention the disgusting act he had planned for her. She began to think about the following day, hoping for a clue as to why she continued to let him use her body.

***

The following day, while cleaning the house, she tried to think through the consequences of giving in to James, wondering what the neighbours would think if he began bragging about the conquest to his friends. For it would surely be spread about by the neighbourhood gossips. The memory of him making love to her the night before led to a feeling of excitement. She had to suppress the feelings saying out loud, "It can't happen again. I won't let him use me like that its wrong." She spoke the words attempting to sound confident. The mischievous feelings would have to be suppressed, as she would need a clear head to resist him.

That evening she told Robert they couldn't practise the act. "It's some boring figures I need to get back to the accountant. They will take a while and must be done. Sorry, Robert." She apologised on seeing his shoulders droop.

A little later James appeared in the kitchen as expected looking more dejected than his brother had on finding she isn't in the trance he hoped for. Did he realise how horny she felt on seeing him remembering how he had taken her. Even the unspoken, unfamiliar wicked word, horny, was a turn on. The feelings had accumulated all day becoming almost overwhelming yet she dare not reveal anything of the turmoil coursing through her body.

chrislebo

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He looked worried so perhaps he was there for reassurance that there wouldn't be repercussions. He needed to know that she was unaware of what had happened. In ignorance he didn't realised a man couldn't take a woman without her knowing, from the results of his passion if nothing else. Even if she had been ordered to forget, which he had neglected to do!

"Your brother was here earlier but we couldn't practise tonight. He's probably at home now." She said, hoping he would just go. Embarrassment was one of the emotions she felt strongly. How would it be visiting her neighbour, seeing him there knowing what they had done together unable to acknowledge it. Like now it felt awkward. So intimate yet so distant.

He murmured something then blurted out the phrase his brother used to magictise her. She stood rigid in fright. Not knowing what to do or say trying to gather her wits enough to stop him. Should she ignore this gambit or ask him what he meant? If she did that would he suspect she had been a willing victim?

He leaned close and kissed her lips probing deeply as she compliantly opened them for what she thought to be an intrusion while her body accepted him as a welcome relief. Thinking about it all day had not helped rather it had brought her to a state of overwhelming longing. This time he knew he could do whatever he wanted with her so there were to be no silly games.

"Take off your clothes." He ordered.

The exclamation, 'No!' froze in a constricted throat as she saw he had opened her blouse while kissing revealing her breasts. Again she wondered how that had happened, not aware of it while submitting to his caresses. Too embarrassed to tell him anything she submitted to the power he held over her. Whether it was magicsis or his power to satisfy her body, the question had become irrelevant. The fear of her own collusion was as great as the fear of what he might do to her. She loosened the skirt for it to fall around her feet.

Looking over his shoulder at the refrigerator, not daring to look him in the eye, she endured the assessment of her body. Her large breasts were flowing over the bra pulled low with only her panties still in place. Unable to move, not even to cover her sensitivity, she suffered silently the natural like snorting as though he were a bull preparing to rut.

He moved in and turned her from him bending her over the table where he rutted like an natural. He helped himself to her body for his own pleasure. At last he came.

Alice felt degraded. Her mind cast itself adrift from her body which continued to pulse in rhythm until the moment of completion when all conscious thought was lost to a shattering climax. No preparation was needed, her body had been ready, only her mind had held out but this too gave way under the onslaught of passion.

He satisfied his need with a compliant female body and lay upon her, deflated. Within moments he had recovered enough to look around the ordinary kitchen in wonder at what he had done. He hadn't planned on just walking in and fucking Mrs Periman in her kitchen. She was his ladys neighbour, almost a friend. He had planned on taking her into the lounge and leading up to it gradually in case, well, he hadn't thought it through properly. Seeing her standing there naked and vulnerable had overwhelmed him. He just had to have her.

"Get dressed and continue with what you were doing." He told her.

As furtively as he had entered the kitchen he was gone. Not thinking to tell her to forget what had happened or see that she had recovered he left her leaning over the table glowing hot from the exertion.

Lying across the table with knickers loose around her knees she realised the truth no longer able to deny it. There was nothing she could do but obey his commands. The awful truth finally sank in. She knew without doubt the magicsis was real with her own body colluding to satisfy a physical need. A sense of relief flooded her mind; she hadn't allowed him to take her there hadn't been a choice. The thought seemed to clear all resistance from her conscience. Before leaving he ordered her to be ready for him tomorrow and that she knew was what she would be, ready for him. A thrill coursed through her body and mind as she realised how completely under his control she had become.

Next morning she still wanted to give in but she told herself it was wrong, it must stop. She must not let him in next time he called. She locked the doors only opening them when she knew who was calling.

A few days went by without seeing him and she wondered if he had shocked himself into staying away or had grown tired of the game he was playing, perhaps he had met a girl his own age. On hearing the back door open she ran to the bathroom locking the door behind her leaning on it breathing heavily in panic. She had forgotten to lock the back door. "I can't live like this it's too ridiculous, too dangerous. One moment I want him the next I'm living in fear of what he might do to me next." She heard the distant sound of the back door closing and taking a deep breath clasped her arms about her body preparing to run to the door and bolt it.

In the kitchen behind her the dreaded phrase was said entering her mind freezing her in place unable to reach the door, too late anyway. She stood in fright trembling. He had tricked her so stupidly she wanted to weep and stamp her feet in frustration.

"Go to the bedroom." He said. A simple no nonsense command full of the promise of what was to come. In the bedroom she stripped to stand before him naked. Surprisingly she found the look of approval a relief as though a test had been passed. She knew this time there would be no quick relief of base needs this would be a more serious adventure for him.

"Lie back on the bed. Open your legs. Turn over." He commanded again and again. Compliant as a well-trained bitch she presented her body for his examination like a docile pet. There was nothing subtle to these commands leaving her feeling humiliated. On hands and knees on the bed she felt his gaze upon her body as though he were stroking her flesh. The goose bumps raised were from fear or the excitement of anticipation, she just couldn't tell which.

Feeling him at last gently slide into her body a breath rent itself from between her lips. With each thrust her body responded pushing back wanting more, gripping tight onto the pulling stroke not wanting to let go. Feeling the urgency then a final spurt of power taking him to the finishing line brought her climax and completion. Lying there sated, in a glow of sublime pleasure, she realised it had never been like this before, ever. No wonder she couldn't resist, she didn't want to.
chrislebo

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Rocking gently on the sofa she wondered at how stupid she had been to allow it to continue. Enthusiastically she had thrown herself into a state of magicsis for Robert to take control. All right she hadn't guessed she was actually magictised at the time but later. Later she did know and simply gave in. After several weeks of magicsis it had been too easy for James to take advantage of her in this vulnerable state, and in any case, some part of her had wanted it. Letting it continue, letting it grow more powerful, until now it seemed she was lost, utterly lost to the need that kept her trapped.

Alice remembered how every evening James played with her, becoming bolder, trying something new each session. Each day she would anticipate with a little thrill of excitement what she might have to do next to please him. The very thought that he was using her like some plaything had been exciting and knowing she was hooked on his visits wanting them to continue failed to frighten any longer. She had no responsibility for what happened since becoming this young mans experimental doll to be played with, enpowerd to do just whatever he wanted.

In detail she dragged the memories into pictures seeing how he graduated from roughly taking her to a more sensitive lovemaking. He paid attention to her breasts stroking and teasing them. Reliving the delicious strokes upon her thighs even now was stimulating.

He began trying different positions and she had to admit she too was learning something new. At first it had been appalling having his used cock wiped across her lips and commanded to suck it. Drawing it into her mouth to clean it after making love had soon become a usual routine until she became expert enough to arouse him for another session.

The first time it happened was demeaning, feeling his come dribble down her throat. At that moment she really did feel like a sex doll, some cheap blow up thing bought from a sex shop to be worryed. It was the feeling of disappointment, knowing she wasn't going to come, that shook her. It brought home the debased state she had sunk to.

Either he guessed how dependent upon him she was or just decided to use her body in another experiment. He had her lie back on the bed with legs stretched out playing with swollen lips while he watched closely until she masturbated to an orgasm. At first she was privately and silently mortified only to become lost in a slow progressive culmination of passion forgetting he was even there.

As time went on he became more expert at foreplay teasing her to great desperate highs then stop the teasing watching her quiver in delight. The frustration of being unable to grab a hold of him combined with the misery of the sordid state he had reduced her to ground her mind down to such a base state she was ready to do anything for him.

It was obvious he found it amusing and fruitful to have her excited and enthusiastic. He took greater pleasure from having not just a compliant doll but having an excited bitch ready to buck and grind upon him. It hadn't occurred to her to question where this newfound knowledge was coming from accepting it as a natural course of a young mans experimentation.

Now she knew. The book had been used as an instruction manual to a body that was just an object to be manipulated, adjusted, fiddled with until it was perfectly attuned to his needs.

***

Still sitting on the sofa she heard him enter the kitchen. So it was too late to find a way out of this mess. At that moment a mortifying thought washed over her. It wasn't her need to find an escape route that made her think through the last few weeks. It had been his command to do just that. Was she that far gone, that much under his control, like a trained bitch always ready and willing. Shuddering she tried to put it out of her mind. "Just get through this evening." She told herself.

In the bedroom he noticed the book fallen to the floor open at the page that had frightened her so. He picked it up putting this together with the fact she had a coat and handbag and car keys with her on the sofa. He looked at her again seeing she had been about to flee when he called.

"That first evening I hadn't thought to order you to forget anything. When you avoided me it confirmed you remembered what we did so I planted some hidden commands." He said, while she undressed.

With growing anxiety she wondered what he was hinting at. She stood waiting for the next command.

"Off to the bathroom then, quickly."

She ran back to the bedroom mortified at having to fetch what was to be an important part in this new degradation. It was an added insult that she was going to prepare herself for this depraved act.

"Rub it in. That's it, work it in well." He told her.

Tears welled up threatening to spill over reddening cheeks; only he wouldn't see them while bent over the chair presenting her rear. Working the grease into her bottom she regretted not having worked harder to resist him at the beginning until now it was too late, there was nothing she could hold back from him. She felt his hardness press against her tight opening desperately trying to relax the muscle. With relief she felt him enter, the head of his penis at last seeming to pop in. He held it there as though taunting, demonstrating his power over her.

'Get on with it. Just do it and get it over with.' She thought.

With careful deliberation learnt from experience over the last weeks he held back. Gently he pushed forward into her little by little, prolonging the pleasure of her tight arse until he was buried deep. Holding there for a moment the movement began in reverse. Inevitably the movements became more excited until she too became overcome by physical urges.

They lay together with his head on her breasts, both wrapped in each other's arms. She wished she were no longer tied by his commands, only now it was so that she could caress him of her own free will. She had born the ordeal, it hadn't been so painful after all. She even found some satisfaction from it.

The hidden instructions to obey and enjoy his demands weren't the only reamister for thinking such thoughts. She wasn't aware of a need for presentation, to have someone dominant over her, but it was there, subtly influencing right from the first.

The book had been moved from temptation and anyway she no longer wanted to know what offense she was to be subjected to when it was impossible to resist.

During next days chores the occasional twinge reminded her of the base act she had been submitted to until eventually the house was tidy and there was no excuse to put off yet another forbidding task set by her young master. She would have to go as commanded but where she went hadn't been specified so she drove out of town far enough away that no one she knew would see her.

Entering the store she felt frightened wondering what they would make of her. "I've come to buy something." She said, to a disinterested sales assistant. He just looked at her seeing a bored housewife afraid to look around in case she saw something exciting.

"Like what?" He said casually without the slightest intention of being helpful.

Not looking at him she murmured. "Clothes. I have to buy underwear. Other things." She thought he wasn't going to speak as she hung on in embarrassment.

"Have a look round then. See something you like, call me if you need help."

Feeling stupid she passed the magazines and bookshelves blurring into massed flesh colours until one came into focus. It was the same book she had discovered under the bed. Passing quickly toward the back of the store she found herself lost in a maze of clothing racks. Against the wall were plastic packages with lurid pictures of the contents. Quickly grasping at a couple, one in red the other in black, she moved on.

The devices displayed in the cabinet were forbidding. Retreating back to the protection of the clothing racks she hid there wondering what to do, not wanting to seek help for it was too embarrassing. There was no way round it she would have to carry out the command. Bracing herself she sidled up to the counter.

"A bra and panty set, red, black. Stockings with suspenders, red and black. A transparent dress, baby doll, maid outfit. Any thing else." He asked. He totalled the purchase sounding bored as though it were merely a bag of groceries she had brought to the counter.

"Yes." She stammered.

"Well?" He asked. "There's no need to be embarrassed. We get bored housewives in here tying to spice up their marriages all the time. It's good you're making the effort. Well done you. So. What's next? Some cuffs? Some toys?" He said.

Alice looked over at the display of vibrators unable to say the word. When he walked around the counter toward the cabinet with a key she felt some relief. Perhaps she was in safe hands. The store didn't look the grubby hole she was expecting rather it had a little glamour about it. The best thing was the lack of customers, as she had hoped, this early in the day.

"Its not just size that matters, so I'm told, it's the shape and the movement. Here, don't be afraid, take a hold of it." He laughed, passing her a large phallus, looking very real and very big.

Stepping back in anguish, feeling feint, her legs wobred and she pressed them tight together. This stranger had handed her an evil looking thing that would be used inside her this evening. If she didn't reject it James would be using it on her or commanding her to use it while he watched. The assistant was staring at her, was he imagining this thing disappearing inside her.

"Are you OK? Do you want to sit down?" He asked with the concern clear in his voice.

She shook her head in answer trying to clear it too.

"You need to be sure what you want as we don't take these back. For obvious reamisters." He said, continuing to smile attempting to lighten her anxiety.

Trying to listen she heard some of what he said. It didn't matter about taking anything back for the cost was immaterial but whatever she bought would end up being inserted into her and that was a worry.

chrislebo

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Well?" He asked. "Do you want it for your pussy or anal?" He repeated.

Shocked, not at the question but to realise she had no choice but to reveal the nasty truth as James had ordered her to bring back the right things. "I need both. I need something to stretch me here." She whispered plaintively while patting her bottom.

He looked quizzically at her. Opening a small box he said. "These are graduated, small to large. They're butt plugs."

Her hand shook too much to take the small box from him so he put them to one side. "I guess you're not used to this sort of thing so I suggest you should start with a small vibrator. Are you sure you don't want to sit down. Here's one with a remote control. Your husband can switch it on over the phone or while you have dinner guests. That should get him going." He said reverting again to a disinterested neutral tone of voice.

"It's not for my husband, it's for my master." She blurted out only it sounded worse than if he thought she was pandering to a husband.

"Oh! Well I can show you some slave collars and the rest of the BDSM gear." He volunteered.

"No! It's not like that." She stopped unsure what he meant but not wanting him to think too badly of her.

"We're completely confidential here so you can relax, well perhaps not. If you tell me what you are into I can help. You're unusual I must say that. What is it all about then?" He asked.

"I have to do as I'm told." She started to say. Mortified at the words that revealed the sordid situation, not wanting to tell him, yet blurting it out anyway. "I've been magictised to obey someone. I just have to bring back the right things. The things he ordered me to buy. Its in that book." She said nodding to the bookracks.

He shook his head in disbelief. He had heard some stories but this one was a loony. "Show me the book and we can see what you need." He sighed.

She watched him wonder through the store picking the items mentioned and illustrated in the book. She wanted to know but was afraid to look.

"Well that's it. Is there anything else you would like? Something for your self maybe?" He joked.

"One more thing I have to do. I've been ordered to wear something home." She spoke softly dreading the moment. At least it was easier talking to him now the truth had been revealed. He seemed sympathetic even if he didn't understand. "You can change in there. It's OK. No one will be in at this time of the morning. I'll put the closed sign up if that will make you feel better."

She took a dress, some underwear and one of the butt plugs, with a nervously shaking hand to the changing room. The arched eyebrow gave him a devilish look, which nevertheless seemed reassuring.

The booth was large enough to strip off in and she imagined it had to be when someone tried on some of the more complicated outfits. The small curtain wasn't though. Bending over she tried to fit the butt plug only she was nervous unable to relax that muscle.

"You'll need this." His voice spoke startlingly close behind her. "You OK in there?" He asked.

A hand appeared around the curtain with a tube of jelly. In fright she remained bent over shivering, both hands gripping the back of a chair looking down at the butt plug on the seat. How the hell did she get here, every day seemed to bring her down to ever more scandalous positions. Hearing him knock on the panel she whimpered.

"I'm sorry if, well. You can't stay in here all morning I've got to open up." He tried to sound casual.

She watched him pick up the butt plug and felt his large fingers massage the jelly around her small puckered hole. It was just so sensuous she forgot about the weirdness of it all. Here was a stranger massaging her bottom with grease. She stiffened on feeling a finger enter.

"Easy, just relax. I'll get it in there and you can be on your way." He soothed. On feeling her relax he tried the butt plug easing it in slowly. He listened to the little sighs she gave judging how far to go then held off allowing her a moment to adjust. "There, all done. I'll wipe off the lubricant as it will show on that dress."

She felt a cloth wiping her bottom then between her legs, down her thighs. It was sensuous and illicit and naughty and very nice.

"Here lift a foot. Now the other."

Feeling the panties being pulled up over her legs was prolonging the sensations. The stockings were a thrill fluttering up each leg to centre delightful sensations between her legs. He fastened the garter belt, adjusted the stockings. Her head swam in delirium.

"Lift your arms."

She shook the dress into place with a little shiver of her shoulders and hips.

"Wow! You look rather different from when you walked in here. I hadn't guessed you were hiding such a figure. It certainly isn't hidden now. Are you sure you want to wear that particular dress home."

Pleased with his assessment of her body she relaxed a little yet still felt foolish, which was a step up from being ashamed at what she had allowed him to do. He hadn't taken advantage; even helping by dressing her showed he was above the average male, some one to trust maybe.

"Take small steps, that's it. Are you sure you want to wear that dress outside?" He said holding on to her as she hobred from the cubicle. Stopping before a mirror he made sure she took a good look at the outfit before leaving the store.

"Oh!" She exclaimed. "I don't want to but I must. He ordered me to wear the dress I bought, so now I'm stuck with it. I should have taken a better look at it before buying the damn thing." The dress was a short A line design light enough to float around her thighs and higher with the slightest breeze. What it did manage to cover could be seen through the light weave of cotton. The flesh colour bra and panty set de-sexed her giving a wispy look as though she were a nude fairy surrounded by a gossamer mist.

"Don't stretch too much and try to keep your thighs together. You had better clench your cheeks too." He told her. Receiving a quizzical look he explained. "The bra has peep holes. If you stretch up they will open revealing your nipples. The same goes for the panties. Keep your bottom clenched, as the butt plug will show once your outside in the sun. It will shine right through revealing everything. Don't worry I'll see if the coast is clear and walk with you to your car. By the way my name's Daren."

Daren hated loose ends they nagged at him. "It can't be right, surely you can't magictise someone to do what they don't want to do. Well maybe that's it she does want to be controlled." He said out loud on his way back to the store. Leaving the closed sign up he walked straight out the back door to his own car.

Alice drove carefully not wanting to attract attention wishing it were dark to avoid even the slightest chance of being seen in the filmy dress. It was more vital not to break hard as every movement brought discomfort from the butt plug. Out of the corner of her eye she noticed a red warning light blink on the dashboard. "Oh! No! Damn it. Damn it. Not now. Please don't let it run out now."

She imagined having to fill up with fuel bending over showing everything then confronting the man when paying. The alternative was daunting too. Running out of fuel near home walking by neighbours in a dress that revealed her body more than a streetwalker dared to. Either way she faced offense maybe even worse if someone decided to take advantage. Keeping her foot light on the pedal she cruised along eking out the last wisp of fuel.

Resting a weary head in hands upon the steering wheel Alice groaned at yet another foolish predicament thoughtlessness had driven her into. A block away from home and the tank was as dry as her mouth. A rap of knuckles on the glass startled her drying the tears in an instant.

"Daren!" She exclaimed.

"You OK?" He asked. "Come on I'll give you a lift." With a wane smile she tried to recover her composure. "I saw the car chugging along until it ran out. Where to?"

"I'm so glad to see you. There's no one around but I just couldn't face walking the rest of the way dressed like this."
chrislebo

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#2,245
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Alice felt safe once the door was shut on the short scurry from the car to her home. It
would have been terribly embarrassing if the neighbours saw her wearing the short
see through dress. It wouldn't have been fatal but just the thought of how they would
gossip about her would have been hard to endure.

With Daren she felt comforted even though she had just met him. For a fleeting
moment she wondered why he had followed in his car but filed the question away, for
the moment content to trust her instinct about him. He was a caring individual, which
seemed out of keeping with his working in a sex store, or at least, with the image of
such a place being sleazy for devious people.

"Thank you again Daren. I don't know what I would have done if you hadn't turned
up. I just couldn't have walked the two blocks dressed like this. You are my knight in
shining armour." Alice gushed feeling pleased and stupid at getting herself into such a
predicament.

"That's OK. I was worried about you when you left the store. I must admit I'm
curious about what you told me. I can hardly believe you have to obey someone like
that, to wear that dress home. Yet, there is something going on here. You have a nice
home in a good neighbourhood, and you're obviously well off. What's the story?"

"Would you like tea or a coffee? OK. I'll tell you while making the tea. It would do
me good to tell someone." Alice smiled for the first time since meting him.

In the kitchen she explained how it had all started, so innocently at first, until it got
out of control. "I hadn't realised how overpowering the magicsis had become, I guess
it was because I was trying so hard to make it work. I'll be honest with you, I did
want to be his, I mean, to let it all happen, at first. Now when I do things I don't know
whether it's what I want or what he wants. It's all so confusing."

Back in the lounge Alice was about to sit when Daren grabbed hold of her arm. "Be
careful. Your still wearing that butt plug."

"Oh! I forgot. I'm still wearing this silly dress too. He ordered me to wear it till he
gets here this evening. What if someone calls, I dare not answer the door in this
thing."

"Perhaps that's his intention. My advice, if you want it, is to put a stop to this before it
goes too far. What about friends or family, isn't there anyone you can talk to,
someone that can help?" Daren asked.

"No. No one. Thanks for listening that helped. You had better leave I need to prepare
for this evening. I'll be OK. I'll see his brother Robert, the one who magictised me in
the first place and see if he can clear it out of my head. I'll be able to sort it out with
James then. Tonight, promise." She emphasised the words on seeing the look of
scepticism on Daren's face. "I promise. Tomorrow I'll phone you to let you know
how I got on."

Alice waved goodbye feeling a renewed determination to sort out the squalid game
they had been playing. Their chat had put things into perspective and he was right she
would have to do something before he started involving others in their private games.

'Game?' It wasn't a game, but what else could she call it. Before the feeling faded she
picked up the phone to speak to her neighbour. "Hi Alice!" Ronda chirped. "Robert is
away on a training course and won't be back until the end of the week. Ok! Hone. I'll
get him to give you a call." This news dampened her spirits and resolve. So she would
have to brave it out this evening without help after all.

***

James arrived on time, as usual, eager to see his plaything. As usual she was swept up
in his youthful exuberance forgetting the serious talk she had meant to have with him.

Standing by the dining table while he hurriedly gulped down the meal should have
given her the opportunity to say something in her defence. The sensuous feeling of his
hand upon her thighs was so deliciously naughty and distracting the moment for
words vanished. It seemed such a devilishly mischievous thing to be serving this
young man in her own dining room while he blatantly teased her.

"I see you carried out my instructions today. Bend forward, let me see your new toy."

As ordered she bent over the table to show him the butt plug surprised at how used to
it and how ordinary it felt to show him. The thought that it had been purchased, this
instrument of corruption, with her own money for his enjoyment struck her as another
sign of a decent into depravity. Bending over to show him propounded the feeling
of addiction to this corruption of her morals. She had lost the will to resist and what
was more worrying was the idea that she was losing the resolve to even care about
resisting.

"You can clear away when I've gone. Right now I want you upstairs."

With a light heart of expectation she scampered up to the bedroom to wait on hands
and knees ready for her master. Watching him hurriedly throw off his clothes,
trembling with anticipation, Alice wondered what was to be this evening's delightful
adventure. It no longer mattered what he demanded, she was willing to submit for the
carnal pleasure of it.

On hands and knees she felt the butt plug being manoeuvred until with a slight
resistance it popped out.

"I see you've managed to work up to a large one during the day. Tomorrow you can
keep at it, until the largest fits." James ordered.

On his knees behind her she felt his penis upright between her cheeks. Raising her
bottom to him she sought its head inexpertly attempting to capture it.

"That's enough. I'm too dry. You'll have to lick it." He told her matter-of-factly as
though it were a stamp to be licked.

He was rigid yet lacking the usual enthusiasm, ready to take her as a matter of course,
as a matter of routine. Afraid he was becoming bored with their game she lavishly
licked and sucked him not caring if he shot into her face and wouldn't receive what
she wanted, where she needed it. Too anxious of losing his interest, of some
unrealised danger of punishment, she enthusiastically sucked him into her mouth.
Swallowing his cock to the balls she managed what had become, over the last two
weeks, an expert technique.

"Stop that slut. My, you have become an eager cocksucker. Mrs Periman the prim and
proper lady next door just can't wait to get on the end of my dick. Well not tonight
Josephine, tonight you're taking it up your arse. As you're so eager you can do all the
work."

Lying back on the king size bed he manoeuvred himself into a comfortable
position. "You look like a panting bitch on heat woman. Put your tongue back in I
have no use for that, for the moment." When he waggled his finger at her she climbed
on top facing him. "Find the right hole bitch. That's it, down nice and easy."

She sat on his cock feeling it rise up her anus until her weight buried it deep. The
purpose of the butt plugs was now very evident from its ease of progress.

"That's good but your still too tight. Your busting my balls, try another hole."

Without thinking she moved back then bent forward to lick him clean achieving a sigh
of pleasure from his lips. Manoeuvring over him once more she settled down driving
the precious object deep into her vagina. At last it was where she wanted it. Watching
him as a guide to the best rhythm she held him tight with a steady long stroke basking
in the look of desire writ large across his face.

chrislebo

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#2,246
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Judging the moment to perfection she thrust powerfully eliciting natural like grunts
with every breath from his wide-open mouth. It was time to let go to complete her
pleasure too. Throwing back her head she rode him hard with breasts bouncing and
mouth wide gasping for breath. At that moment she felt him spurt deep into her belly
bringing on a deep and satisfying orgasm shaking her body with tiny tremors.

Lost in a world of contentment Alice nestled in his arms wanting the moment to last
forever. The coarse words were forgotten as once more she bathed in the afterglow of
a colossal orgasm. She imagined herself a frail thing protected by her man. Master,
owner of her body, whatever he was didn't matter she was his to do with as he
pleased.

"Go and freshen up. You can show me those other outfits you got today."

Alice scampered to the bathroom excited at the prospect of showing herself off to
him, wanting to get back to him instantly. It was unusual for a man to take an interest
in a woman's clothing but of course what had been purchased was designed to show
off her body for his enjoyment.

She felt a light slap on the rump as he unexpectedly climbed into the shower with her.
Feeling his hands soaping her still erect nipples was a delightful surprise. His hands
gently lathered her entire body slipping everywhere. Having learnt about her body
from weeks of practise the sensations coursing through her ravaged body were all
consuming until consciousness was a mass of tingling nerves replacing rational
thought.

Wrapping her in a huge fluffy towel he pampered her with careful strokes until dry.
He carried her back to the bedroom to lay her lightly upon the bed where she floated
in a cloud of sensuousness.

The moments passed with him staring at her with a look of amusement, this too a
source of joy. Remembering the order to try on the clothes she rolled off the bed onto
the floor and with some effort managed to clamber into the walk in wardrobe.

Emerging with a flourish Alice twirled the flared dress for it to climb her thighs to
reveal black stockings held tight by suspenders. Together with high heels the effect
lengthened her legs at the same time making the hem seem more risqué. It was no
good pulling at it as her breasts would over flow the low cut top. With her breasts
pushed into a deep cleavage the image of a naughty French Maid was perfect.

The glint in his eye was all the encouragement needed. She turned back to the
wardrobe and bent straight legged for the duster revealing a pair of black silk panties.
Her reward was to see the glint turn to a sparkle. Teasing imaginary cobwebs from
high places she pranced around showing a hint of black silk panties and bending to
flick at fantasy dust to reveal her pert bottom framed by the suspenders.

When she lifted a leg before his nose to straighten the stocking seams he interrupted
the naughty show. "I can't stand much more without grabbing you. That outfit will be
perfect for tomorrow. Just remember your mine. You want to do as I say. You want to
make me happy. You need to make me happy. Whatever I want you to do you will
obey with pleasure. You will want to do it for me. Now try the others." He ordered,
the words impulsively streaming from his mouth. All this was said just as she was
devoting herself to him, performing for him, at her most vulnerable moment with the
result it effectively entered deeply into her mind.

***

After he left she drifted around the kitchen in a mist of contentment befuddling her
mind. With the chores done all that was needed was to retire to bed for a well-earned
rest. Before getting into bed she lavished lubricant into the brown puckered hole then
fitted the next larger butt plug. A little giggle escaped her lips on thinking this had
become another of his pleasure holes. "I'm his pleasure doll she murmured before
drifting off to relax. "Shape to his requirements, for his pleasure."

***

Next morning the promise to Daren was remembered only the significance of it had
been lost. Yesterday she had misgivings about giving in to James with the prospect of
his demands going too far, as if they hadn't already. This morning such worries had
evaporated. She wanted to please James in all things and would try hard to keep him
happy. There remained some small nagging feeling that something was wrong when
she thought of a promise to Daren but couldn't make sense of it.

Shaking her head in amusement at such silly worries she decided not to dwell on it, as
James would take care of things. Scampering off to the kitchen she opened a
cookbook for a recipe to check the ingredients were at hand. It was important to
prepare everything for this evening's guests. Remembering how James had liked it
she was tempted to wear the maid's outfit while working in the kitchen but couldn't
take the chance of spilling something on it. It would be needed this evening while
serving his guests.

chrislebo

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James arrived on time with Alice waiting patiently. Only a few days ago she had been worried what he might do to her next as each visit meant ever greater offenses. He was demanding ever more outrageous sexual acts far beyond anything she had ever experienced.

When he told her casually to obey him with pleasure, she was committed to do just that. It was a casual remark for him but devastating to her. Being magictised so deeply for so long the suggestion would now be impossible to resist. So now she had the indignity of waiting upon him, for whatever awful act he intended, with pleasurable enthusiasm.

His guests arrived while she was in the kitchen readying the dishes of food. When she walked in they were seated around the card table making themselves comfortable in her lounge. All eyes swivelled upon her as though she had made a grand entrance. She had tried to enter unobtrusively and found the attention uncomfortable.

"Come and meet my friends, Alice." James told her.

Each one of them studied her like predatory naturals. She had the little black dress on as ordered by James, without the extra's that made it into a French Maid's outfit. Nevertheless it was a tease. It was short and low cut. The hem flared out promising a show of stocking tops, perhaps suspenders too. Her breasts were pushed up into an ample cleavage.

"This is George." She nodded her head at a man who sat comfortably making himself at home. He was the eldest of the trio, about twenty-five and the most self assured. He smiled back at her, flipping a poker chip between his fingers. He had casually tossed an expensive suit jacket over the back a chair and sat nonchalantly studying her.

"Edward." James said. Edward sat on the edge of the chair shuffling cards seeming more eager to start the game and less interested in her cleavage than the others.

"Call me Eddy." He said, eyeing her up. He went back to shuffling the cards. He was a slight built man with pointy features. She took a dislike to him immediately.

"Last but not least, Victor."

"Victor by name, victorious by nature." The small fat man opined, waving his hand across the table in way of explanation. "Not lucky in love though." He added sourly. He was the youngest apart from James. He looked about twenty but his smooth fat face meant it was hard to tell.

"How come you have such a beautiful woman providing the food Jimmy?" George asked. The others nodded their heads still admiring her body rather than the food.

"Alice is looking after me until she's paid back the money she owes. By the way as soon as I get it I'll pay you back." James answered. He swallowed nervously not wanting to get into that subject. He had intended to show off his conquest to George hoping to be taken more seriously and have more time to pay up.

Alice was nervous, feeling very vulnerable with this group of strangers in her home. When she had agreed to have them here it was under orders from James but confronted with the reality of it, wished it had been possible to refuse.

He had prompted her more carefully than usual, telling her to act normally yet still obey him. He didn't intend to reveal she was magictised but show her off to these men, and that worried her.

She stood by James waiting to serve them. He slipped his hand up her skirt as a reminder she was his and as ordered she enjoyed the attention. The game went even handed. The takes flowed and the conversation became more risqué.

"So Alice pays the interest with food and takes. What else does she have to do?" George asked. The others chuckled at the innuendo.

"Well. Until she pays me back I own her. That's the arrangement." James bragged. "That's right, isn't it Alice." He added.

"Yes Sir." She said. It was just two little words said automatically yet so full of meaning she wished it could have been less evocative. As she said the words she felt her face colouring in embarrassment.

The men chuckled except George. He looked at her seriously. "So you have to do as you're told. You seem to be enjoying it though." He commented.

Alice wondered if he had noticed James touching her for he had become more careless with each take. They teased him and made the inevitable remarks about having a beautiful woman as a servant. She felt so humiliated she dare not look at them while serving them.

"You're running out of chips Jimmy, and credit too. You sure you want to stay in the game?" George asked. The offhanded remark was said trying to make it sound as though it didn't matter to him one way or the other.

"I'm just starting a winning streak. I'm going to win back what I lost for sure. You've got to let me stay in the game." James pleaded.

"Well you had better put something real in the pot. No more IOU's. The lady here looks good collateral to me. What about you guys?" He asked, looking around the table.

His eyes rested on Alice and she would have shouted at him if she could. 'How dare you make such a loathsome suggestion?' She thought. In trepidation she waited on James to say something. The longer the silence stretched the more her fear mounted.

"Perhaps you were just shooting a line and she isn't as duty bound as you pretend. Perhaps she doesn't owe you anything at all. You owe me though." George chided him.

"She will do as she's told." James said.

He had been goaded and responded as predicted. George watched him write her name on a piece of paper. Then added the words: 'Until midnight.'

"Do you agree?" George asked her.

Before she could reply James told her. "You will do as you're told. Who ever has the piece of paper will tell you what to do. You will do as they tell you. Do you understand?" he demanded.

"Yes Sir. I will do as I'm told by whoever has the piece of paper." Her voice tremred but she managed to answer. Her emotions swung from anger to fear. Her knees wobred almost giving way. So mortified, she felt as though she might fall in a feint. She brought herself under control by reamistering that nothing too bad could happen in just a couple of hours.

Victor won the pot and the piece of paper: such an insignificant thing yet it held such power. He beckoned her over and asked. "So, you'll do as I say now?"

"Yes sir." She said, trying to sound confident as though she had some free will left. That she might say 'No', if he went too far. In truth she wondered what too far meant after being magictised for so long and for so many heavy sessions. James had pushed her beyond her limits so often she felt totally helpless to resist anything.

With a laugh he patted her bottom. Unable to run away she stood beside him trying to remain calm. The cards were being dealt and thankfully he needed both hands. She hoped upon hope James would win that damn piece of paper back, and soon.

With the cards on the table he had a free hand and she felt it wander up her dress. Unable to protest she could only hope he behaved himself before his friends. A finger delved into her panties. She suppressed a shudder not wanting to react at all, not wanting to give him the satisfaction.

A thick finger slithered across her lips and she winced on feeling how wet she had become. She had been told to be pleased at pleasuring James but not this stranger. It was daunting to find she had become excited.

"You're doing something right, Victor." George dryly commented. They had all noticed her reaction and guessed what he was up to.

'They must think I'm a kinky housewife getting her thrills with strangers.' She thought in disgust.

"Damn. You held the Ace. What a time to lose." Victor told his friend.

Edward leered at her as she moved to stand by him. He licked his lips nervously. "I need a take. Put extra ice in mine." He told her.

"Trust you to think of holy water." George chided him.

To prove a point he pushed his hand up her dress. She felt his bony fingers cup her sex. He gripped her there and squeezed. The offense was heaped upon her shoulders making them slump with its weight. All she could do was wish for midnight to arrive quickly before she came and made a complete scandal of herself.

For the two hours to midnight the three strangers took turns in winning her body. James looked on in disgust at how obviously aroused she had become. He was angry, dismissing the fact it was his responsibility to protect her.

Midnight arrived and James snatched the note away from George. Alice walked around the table as best she could. The panties had been rolled to one side in a sodden mess. Her lips were swollen and sore from their manipulation of her poor pussy.

James winning streak hadn't materialised and he was in a huff.

The others had left except George who looked at the two of them. "So she owes you the money you owe me."

James nodded not wanting to get into a discussion over this debt. Not now, not tonight. He had too much to take and was angry with the world for his bad luck.

"I'll take the piece of paper with me then. That will cancel your debt. She can pay me back direct." George said.

chrislebo

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#2,248
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Alice looked at James with a look clearly pleading for him not to give into the man.

James tossed the piece of paper across the table. Alice watched George pick it up and casually slide it into his pocket. Her eyes were riveted upon that pocket so terribly afraid of what it symbolised.

"Just do as you're told." James stated clearly. The idea came to mind that he no longer owed George anything; his debt had been wiped off the slate. He relaxed knowing he was off the hook not caring about Alice. Not at that moment anyway. Perhaps tomorrow he could think it through more clearly.

James had meant for her to obey George but he hadn't been specific. It struck Alice immediately she had merely been ordered to do as she was told. This had all the makings of a living nightmare.

***

At least he had a nice apartment. She tried to be positive about the situation. There was little to commend it but she would try. If she broke down and cried he was sure to ask what the matter was. She would tell him she was magictised and under a deep seated influence to do anything he wanted. She would be in even greater danger then. At the moment he just thought she was a kinky housewife getting a kick out of being submissive.

"You're very quiet. You didn't even delay leaving that house to get some clothes. The perfect woman! I don't mind if you never repay the debt." He told her.

'That was the way out of this dreadful situation.' She thought. She would have to find some way to get away from him and send a cheque. She had plenty of money but how would she escape him?

There must be a way otherwise she might belong to him until he became fed up with her. If the same happened as with James she could end up being passed from stranger to stranger. The prospect of being a malleable slave for the rest of her life was so unbearable she dare not think of it.

She sat on the sofa watching him fix takes for them. He was tall with a strong physique but he was definitely not her type. There again nor was James ordinarily. She hoped he didn't have some bizarre fetish that he would expect her to satisfy.

"It's late and I have an early start tomorrow. So to bed with you wench. You've nothing to wear so you're going to have to relax with me naked. What do you say to that?" He asked.

'Damn. Why did everything they say come out as an order? He had just ordered me to relax with him naked.' She thought. There was only one thing she could say. "Yes sir." Being taken to his bed was of course expected but now the moment had arrived she felt overwhelmed with shame.

Keeping her head low and hidden in her long hair only reinpowerd his opinion she wanted to be a submissive.

He shucked off his clothes and climbed into bed with just a sheet covering him. She had turned away too shy to look.

Alice was self-consciously removing the dress while he watched. In consternation she hesitated wondering which was more modest, removing the bra or panties first. She was undressing in a stranger's bedroom providing a private strip show. She wanted to scream and run but continued slowly, methodically obeying the command.

She slid a stocking down a shapely leg and thought he would applaud from his enthusiastic grunts. His breathing was certainly heavier. With her fingers tucked into the edge of her panties she hesitated. Not meaning to make a show of it; just so very nervous before this stranger.

'Damn it! They had all fingered her like naughty school-boys and he knew it. He was waiting for her knowing she was so very much available.' She thought with anger.

"Come on in, the bed is warm and I'm hot. No. Climb in at the end." He said, pointing to the end of the bed and lifting the sheet with a foot.

Slowly she climbed between his splayed legs knowing exactly what to do having perfected the technique with James. 'I'm a professional cock sucker.' She thought in disgust. 'How did I come to this after having such a quiet life? If my husband could see me now he would be furious after all those times I refused him.' She wondered, trying to delay the inevitable.

She kissed and sucked on his balls then gently manipulated them in one hand while licking the length of his penis. She spit saliva over its head and pouted her lips into a caress, flicking it with her tongue. In one swoop she sucked his cock into her mouth pushing down hard to take it fully into her throat. On the up stroke she was thankful his cock was the usual six inches and not some monster thing that would fetish her.

She had learnt with James to swallow a penis and breathe in a steady rhythm. It was so infuriating that this stranger had the full benefit of her experience. He lay back stretched out letting her get on with the task thoroughly enjoying it. It meant nothing to her. Balancing her forehead on his belly she had its full length buried in her face.

Supported this way she felt between her legs. She was wetter than she had been all evening. The dreadful truth was she was very near to an orgasm. This causal use of her body was turning her on! She had blocked it out but now couldn't deny her own state of excitement. But then, who was a***ing her body? He was just lying there. It was she who was using her face to fuck him.

He came in shuddering gasps racking his legs until they stiffened out straight. For a moment she thought he might be having a heart attack. She lifted the sheet to look up at him from under the tent. After some moments of doubt she watched him open his eyes.

Eventually he focused on her and smiled. "Wow! Shit! That was really something."

She opened her mouth as trained by James to show the stranger his sperm.

He looked at her in surprise. "Go ahead. Swallow it." He said.

She made a show of gulping it down as though he were the most virile of men and had spurted a bucket full into her mouth. Leaning over his shrunken penis she whimpered knowing it was not her night to cum. So close but so far she felt so frustrated it hurt.

Misinterpreting her sounds he told her. "Go on, suck on it, and enjoy it. When I wake up I want to see you still there with it in your mouth." He chuckled, satisfied with her work.

In dismay she settled herself between his legs and sucked his flaccid member into her mouth. Gently she teased its eye with the tip of her tongue but it was no good he began snoring. There would be no satisfaction for her tonight. 'How much more humiliating can it get.' She thought.

For the rest of the night she would have to suckle his cock like a dummy. It added insult to injury to be told to enjoy it. 'Damn! Why did he have to tell her to enjoy it?' Was this all he thought of her; a cock sucker, a convenient accessory to his cock?

Perhaps it would be better to resign herself to being a cock slave and avoid the anguish of reamister. The magictic state she was in meant it might be possible to clear her mind of everything until she thought of nothing but pleasuring a penis.

Drifting off to relax her thoughts revolved around the penis in her mouth. It was so enjoyable and relaxing sucking a cock. It was pleasant having no worries or stress with just one thing to do. It was enjoyable. She enjoyed it. She fell arelax with a hand between her legs while gently sucking him. A pleasant smile formed upon her face and she dropped into a deep relax.
chrislebo

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#2,249
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Alice awoke with more than a dirty taste in her mouth. She had a stranger's flaccid cock there and she was sucking on it. Not by choice for she had always been a bit of a quiet prude. Her husband, when he was alive, had given up encouraging her to try something different and even then he hadn't asked for anything too out of the ordinary.

She laid there hoping George would soon wake and free her of the command to do just as she was doing: suckling his cock like a dummy. Being so heavily magictised she would have to do just as he had ordered. He had no idea she was magictised. He thought she was just some kinky housewife getting a thrill from being submissive to a man, any man.

She watched his eyes open heavy with relax and red shot from take. It was not a pretty sight though he fared well being only in his twenties.

At thirty-four she was an attractive woman. Men liked her large firm breasts and though her legs weren't model long they were shapely enough to look good in stockings.

That was another thing. She wore such provocative clothing since this sorry situation started it had become just a regular thing to show off her body, even to strangers. It was what those strangers were doing to her that was extraordinary.

"Good morning! You're enjoying yourself then." He said.

She wanted to tell him, 'No!' She wanted to spit out his cock in shame. It wasn't his fault. He was merely telling her what to do, what he thought she enjoyed. He probably didn't even remember ordering her to suck it all night. It slipped from her mouth as he made to rise from the bed.

A pang of anguish took her by surprise. She looked at his penis with longing as though her dummy had been snatched away. She wanted it back where it belonged, between her lips. The rude notion shook her. Vaguely it came back to her that he had told her to enjoy it.

"There's no time for that. I have work to do. You can clean up the place while I'm gone. You can't wear this dress it's a mess." He said.

She looked at it awkwardly not knowing what to do. She hadn't brought anything else with her. Inside it was stained with her own juices from his friend's manipulation of her pussy. They had lewdly played with her while playing cards. Passing her from one to the other as though she were a poker chip to be won or lost. She had felt like an object to be used and used.

After the game this stranger had taken her in payment for James gambling debts. So was she now just some sex object owned by this man. It was a humiliating thought yet the very degradation of her status was exciting.

George opened a wardrobe. "In here there might be something to fit. That flighty bitch Jane probably left half her clothes. Here try this for size." He told her.

Alice didn't need an order to cover herself up. It was a pretty pink dress, something a flower might wear rather than a mature woman. It said something about his past girlfriend Jane. She held it up to herself looking in the mirror. It would fit, just.

After a shower she returned to the bedroom to find he had been considerate enough to leave a pair of clean white panties on the bed. Hers were in an even worse state than the dress. It was daunting to think she had been so wet from being played with by strangers.

"You look nice. It looks different on you than Jane though." George told her.

The puzzled look on his face revealed he didn't quiet know what was different about it. Alice knew without ever seeing the young woman. The dress was designed for someone shorter and with smaller breasts. On Alice the hem was too short and the cleavage too long. But it was better than wondering around in the nude; it would make escape impossible.

At least George wasn't chasing after her like James had. James had taken her at every opportunity in ever more unusual ways. Not only had he been using her body as a learning tool he seemed to have something to prove. George however seemed self assured and she was beginning to succumb to the charmer.

"While I'm out you will tidy up the place. I won't be long. Don't answer the door to strangers will you." He joked.

Well at least that was something she would gladly obey. Not opening the door to anyone would be just perfect. It occurred to her this remark referred to how she looked in the little feminine dress. It was too young for her and at her age it made her seem rather pathetic.

***

Getting to know her way round his apartment didn't take much time but cleaning the cupboards helped discover where things were kept. She heard the door open only then realising she had been waiting for his return.

"You've done a good job on this place. It hasn't looked so good since I moved in." He said. He could have added that not one of his girl friends had been into the mundane task of cleaning.

She removed the apron and asked. "Can I get you something to eat, sir?"

"I don't think we should spoil all your hard work in the kitchen by cooking. There's a good Italian around the corner. Do you like Italian?" He asked.

"Yes sir." She answered. The conversation was strange for there had been none of this getting to know one another or consideration from James. He already thought she was weird, what would he think of her stilted conversation.

He looked her over assessing her but before she found out what he was thinking the door buzzer sounded. "Damn. I don't want visitors now." He looked out of the window into the car park. "Hell! That's Jane's mad wheels. You had better hide in the bedroom. If she sees you there will be a scene."

"Hi! What a surprise. Have you come to collect the rest of your things?"

Jane interrupted him. "I've decided to give you another chance. No! Don't say a thing you'll only spoil the moment." She said with a hand raised in his face

"Don't tell me. Your flat mate couldn't cope with you. She wanted to return to the peace and quiet you can't tolerate."

"I told you not to spoil it. She turned into such a bore since I left. I couldn't go home to daddy as he has a new woman in the house. So you're my last resort."

"Nice one. You make me feel so wanted."

"Alright, I missed you. I especially missed that lovely cock of yours. Your not Mr Perfect but you do turn me on and keep me interested." She laughed.

"I'm interesting am I? I don't let you get your own way, is that what you mean?" George scolded her.

"Maybe? You know how to treat a woman and you do know how to have a good time. Your fun to be around, I missed that too." Jane said. She pouted a pair of gorgeous lips expecting him to give in.

She grabbed his shirt and pulled him toward the bedroom. "It's not a good time. I've just got back from a business deal." He tried to tell her. Quickly looking around he noted with relief there was no sign of Alice.

***

Alice watched them career into the bedroom from the wardrobe. So this was Jane. She was about twenty but looked young, waif like. Alice was immediately jealous. He was big enough to stop the slightly built woman but he had let her reel him in. She pushed him onto the bed to have him where she wanted him; flat on his back with her weight pressing him down. She leaned in and kissed him deeply.

With her fumbling at his zip he had to help. She ripped his trousers down to his knees. Regaining her position she rubbed her clothed body over his writhing with enthusiasm. She bit his lips and explored his mouth.

She pushed up to sit over his penis, knees straddling him. With an out rush of breath covering a meaningless sound she had obviously found his penis and had it where she wanted it.

"Oh, fuck, that's good. I want it all. Drive me Georgie."

From where Alice was squatting it looked as though Jane was doing the driving. She had never seen such an exuberant display. Although of course she could only compare the performance with her own quiet intensity.

The woman was riding him hard. Then Jane manoeuvred herself again with her feet stretched each side of his head. Alice knew from James experiments upon her how deep a penetration that particular position allowed.

She was getting hot from just looking and imagining that cock inside her. She didn't need much imagination for she was on intimate terms with it. She probably knew it better than Jane.

Alice pulled the crotch of her panties to one side and began to frig her self madly.

George was heaving Jane's body with his hips propelled by great thrusts from his legs. With each shove she was lifted and exhaled a deep groan on the upward climb. His feet were digging into the bed ruffling the bedding into a lump at the end. Eventually the bedding collapsed in a heap on the floor.

Alice looked at her wasted effort in making it so neatly. She was surprised at the woman not even bothering to take her clothes off. She had simply hiked up her dress and absorbed his penis into her body. Alice guessed the naughty young thing didn't even wear panties.

Jane's continuous dialogue and groans abruptly stopped. She pushed her torso down onto George and Alice wondered if that hurt him. Alice gave a gut wrenching groan. There was a moment's silence.

"Fill me up Georgie.! Fill me with your sperm. Cream my womb." Silent again a moment, then she wailed quietly and slowly sank down onto him like a deflating doll. Her blond hair covered his face where he breathed heavily from the exertion of punching her hips with his.

Alice had a quiet mild orgasm. It was enough to quell the frustration that had been building since last night's experience. She felt dirty having had sex second hand in a wardrobe. She was dressed as a little girl watching adults have sex from a cupboard. 'Well that was something new.' She thought. 'At least it wasn't painful like one of James' butt plugs up my arse.' With a hand over mouth she suppressed a giggle.


chrislebo

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Jane straightened up her dress, smoothing it down into place trying to remove the creases. "Wow! Brilliant, lover. I'll go fetch my things. Won't be long." Jane said. She blew him a kiss and hurried out. The front door slammed behind her.

"Alice!" George shouted. "Oh! You're in there. Look, there's been a change of plan. I guess you've seen the reamister. She's moving back in. Sorry. She won't be back soon despite what she says. We'll have something to eat and discuss what to do with you. I have a friend who runs an escort agency. He'll be able to give you what you want. He's used to making women do things. I'll give him a ring. I'll be able to get my money back on you." He laughed.

"You start the meal while I take a shower. Something quick and easy. Make a couple of sandwiches that's all. Nothing fancy and that's an order." He told her.

In a state of shock she made for the kitchen. With the fridge door open she stood there staring. 'Oh. No! He's going to sell me on to someone. What did he mean - making women do things.' She shivered in fright. 'It's an escort agency that means I'll be set up with strangers expecting me to entertain them. What the hell will I do? Anything they want by the way things have gone recently.' She reflected.

Shaking herself she went into action. Cheese was the only item not too out of date. "No bread." She sighed.

***

She stepped out onto the street not recognising at all where she was. It had been dark when she arrived and everything looked so different in daylight. Then it struck her. She was out of the apartment because he had ordered her to make sandwiches and they needed bread.

There was no feeling of freedom from being outside his apartment. She would have to return with the shopping but at least she had escaped this far. Perhaps next time an order might allow her more flexibility with the chance of escape.

A block away she found a small store. Trying to delay the inevitable return she looked for something more appetising than cheese. The guy behind the counter had been reading a magazine when she walked in. It slipped from his hands onto the floor on seeing her stretch over a freezer.

The security mirror didn't give away much detail but he had caught a glimpse of her white panties.

Alice felt rather than heard someone behind her.

"Can I help you?" The guy asked.

"No thank you sir." She said. Alice became self-conscious in the little girly dress. He wasn't looking at it though. It was her cleavage that caught his attention.

"You must have the frozen French fries, they're on special offer." He told her.

'Damn!' She thought. 'I never considered this. Well it doesn't matter I'm hardly likely to get into much trouble in a store. I might just have to buy a load of things I don't want. That's hardly much different from the usual shopping trip.'

Bending over the freezer left her feeling foolish. That was what he was after, a peep at her panties. Well, that was nothing compared to what she had endured recently. The man was in his fifties, and looked untidy enough to be unmarried. What wife would let him out dressed like that? 'Let him have his naughty little thrill.' She thought. If only James had been more specific and ordered her to do as George told her she wouldn't be in this fix.

"It's a good deal isn't it?" He asked.

"Yes sir." She answered demurely. She answered automatically as she had been taught by James. It made her feel so immature dressed in the little pink dress having to answer as though everyone was her master.

Her submissive reaction encouraged him. Not that he needed much having spent the afternoon studying the pictures in top shelf magazines. He couldn't believe his luck.

This gorgeous woman looked rich and was obviously 'slumming it' in this rough neighbourhood. The dress looked as though it cost a weeks' wage. What she was playing at dressed like a little tart he didn't bother to think about.

"There are packets of crackers I can let you have at a bargain price. You've just got to have them lady." He told her.

'Put like that, how could I refuse?' She thought.

"Thank you, sir." She sighed.

"Don't move. I'll get a ladder." He scurried back with a step ladder. She watched him set it up and for a moment just stood there. She almost laughed at his eagerness. Was he going to take her round the store selling everything he wanted to get rid of? From being amused she became annoyed on seeing what his game was really about. He wasn't going to climb it, he was expecting her to.

"You will have to get them while I hold the ladder. I can't climb, I get vertigo." He said lamely. "That's it. Just reach across." He told her.

It was infuriating to have the stupid man directing her every move. The ladder was purposely to the left of where the packets were sitting. He was telling her to stretch across for them. In pretence of holding the ladder steady he was looking up the short dress. She could almost feel his eyes, out on stalks, poking the crotch of her panties.

A little naughty thrill was one thing but this was going too far.

He hesitated not wanting to let go of the ladder but needing to serve a customer. "Stay there. Don't move." He told her.

With one foot on the ladder and the other on a shelf her legs were splayed for a clear view of her crotch. It was so embarrassing she just hoped no one came near.

A couple of teenagers sauntered in and down her aisle. They unashamedly looked up her dress.

"Nice arse girl." The tall one said.

The short one sneered. "Your panties are wet slut. They're sticking to you pussy. You are one dirty girl." He told her.

She listened to them walk off toward the counter laughing at her still commenting on her lewdness.

A customer walked in sidling past not wanting to be seen looking. "You must come down from there it's dangerous. I'll help you down." He told her kindly.

"Thank you, sir." She answered politely.

He too looked up the dress only less blatantly. He held onto her as she stepped off the ladder. He was too close for comfort but at least he had got her down from such a precarious position.

"I should get a reward." He said nervously.

"Yes sir." She answered. Of all the people she had come into contact with this man was the only one who had helped her out of a difficult situation. He did deserve reward.

When he moved forward to kiss her lips she opened her mouth. A demure peck on the lips was one thing but to open her mouth to a stranger just wouldn't have happened a few weeks ago. A few weeks ago she wouldn't dare venture into this neighbourhood, especially dressed like this.

He was surprised to find her lips parted and for a moment his tongue met hers. In surprise he stood back.

Alice wanted to spit. He was a smoker and the bad taste almost made her retch. At least she was down from that ladder. She picked up the bread, crackers and frozen French fries, holding them in her arms. She made her way to the counter to pay. Alice had great satisfaction on seeing the look of disappointment on the crude mans face behind the counter. She had spoilt his plans by escaping from the ladder.

He smirked and she wondered why.

Looking down at the groceries on the counter she caught sight of her nipples. They were cold from the frozen fries and stuck out through the light cotton like bullets. They pointed at him accusingly.

She meaningfully looked at her blossoming nipples then looked him in the eye and grinned. 'Damn! What have those young men put into my head? I'm behaving like a dirty girl."

He dropped each item into a bag hardly taking his eyes from her breasts.

In consternation she realised she didn't have any money with her, not even a purse. Hardly relaxing last night left her exhausted and was affecting her judgement and leaving her even more vulnerable to suggestion.

"Well you must pay now I've rung them up on the till." He told her. It was of course a lie, they both knew that. She just stood there in a quandary for she needed to take the bread back to the apartment as ordered.

"You've no cash so you'll have to pay in kind." He told her.

Cringing with anguish even before the words left her lips she silently cursed him and James. "Yes sir." She answered, her voice quavering.

So what was he going to do to her here in the store? Put her on special offer. Get her to flash him and customers who came in? In resignation she told herself to just get on with it and back to the relative safety of George's apartment.

It occurred to her this might be a way out. If he ordered her away after having his fun it might be interpreted to her advantage. He might even send her home. She gritted her teeth and told herself to just do as he told her. After all what could happen in the store where a customer might come in at any minute.

"Follow me." He told her.

***

Alice hadn't guessed there was a store room. Standing there before him she refused to think of what dreadful things he could do to her here in this grubby hole.

"You can start with a lap dance. Slowly off with the dress then the rest. Gyrate those hips girl." He told her.

He hardly needed to direct her. In that place she felt like a dirty girl and began to behave like one. It occurred to her this was a step up from what she had been doing last night. She had behaved like an unpaid whore with George and his friends.

She was dressed like one, had been told she was a dirty girl by those young men, and now she felt like one. She danced without music like a dirty little bitch on heat. Gyrating her hips, full of sexual suggestion, she let herself go.

With fingers tucked into the sides of her panties she slowly peeled them down her legs. She bent forward with her arse in his face displaying a pair of wet lips. She wished he would reach out and touch her body to complete the agony.

The door opened on the sordid scene. "What the hell! Get the fuck out there the customers are stealing the merchandise." The owner shouted at the dirty old man.
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