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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#181
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Et, comme il s'agenouillait sur le lit se positionnant à mister aise, il lui enjoignit :

- Empoigne ma bite! Guide-moi dans ta petite fentine!

Tendant la main entre leurs deux corps elle attrapa sa bite gainée de latex qu'elle branla instinctivement avant de la presser contre l'ouverture de sa caverne affolée.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Se mit-elle à couiner, jamais sa chatoune n'avait été autant distendue et c'était vraiment très, très douloureux.

- Oh mon Dieu... C'est trop gros! Criait-elle affolée.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... haletait-elle d'une voix pleurnicharde alors que centimètre après centimètre il enfouissait sa grosse mentule dans sa chatte tuméfiée.

Les doigts accrochés au couvre-lit, Melinda réalisait qu'une énorme portion de bite restait encore à l'extérieur de sa chatoune, seul le tiers de sa monstruosité était enfoui en elle!

Ses larges mains lui bloquant les hanches il se recula légèrement avant de se ruer à nouveau en elle avec une violence extrême, elle hurla de douleur, il lui semblait qu'il venait de pourfendre sa foufoune en deux!

Alors que mister maître chanteur continuait à la baiser il informa Melinda :

- Je ne sens pas grand chose avec cette enveloppe de latex!

Soudain il arracha mister chibre de sa bouche, étourdi par cette nouvelle péripétie, Melinda écarquilla des yeux comme de soucoupes elle vit qu'il roulait la gaine de latex sur sa hampe tendue.

- Non... Non... Ne l'enlevez pas! S'écria-t-elle éperdue.

Pourtant quelques secondes plus tard elle avait les yeux rivés sur mister gland turgescent., il l'avisa alors :

- Tu vas goûter à ma bite dénudée ma chérie... Ne te tracasse pas pour si peu! Si je t'engrosse, comme cette vacation va durer un an tu pourras accoucher discrètement et abandonner ton bébé aux services d'adoption! Ton mari ne saura jamais rien de notre petit secret!

C'est à cet instant qu'elle avait commencé à sa débattre, tentant de le repousser ses deux mains rivées à ses épaules pour chercher ensuite à lui échapper.

Mais elle n'était pas de taille à vraiment se défendre contre ses assauts lubriques.

Il l'empoigna par les hanches et la cloua sur le lit et la pénétra de nouveau, mais cette fois de sa bite dénudée.

Comme la location de la chambre de motel se terminait à midi, Melinda s'était débrouillé pour dormir un peu pendant la nuit et une heure après le départ du sergent instructeur vers 10 heures 30.

Il lui avait semblé insatiable, réclamant de plus en plus de rapports au cours de la nuit et bien sur toujours sans la protection d'un préservatif.

De temps à autre il valait une pilule bleue qui faisait effet un quart d'heure après la prise.

Assise sur lui, empalée sur sa bite tendue, il lui semblait chevaucher un étalon courant un derby.

Puis à quatre pattes il avait voulu la baiser comme une chienne en chaleur... Et cela avait continué jusqu aux aurores où il s'était accordé une petite pause d'une heure.

Il l'avait baisée de façons inimaginables dans sa recherche de tous les plaisirs.

Il avait même gicla dans sa chevelure en éclatant de rire :

- Oh oui chérie... Quel bon shampoing nourrissant!

Des autre fois, alors qu'elle le masturbait d'une main habile, elle se rendit compte qu'il voulait lui gicler... En plein visage.

Le pire était advenu été lorsqu'il lui avait demandé à nouveau de se diposer à quatre pattes, elle pensait qu'il voulait la prendre à nouveau en levrette, choquée, elle l'avait senti engouffrer sa bite dans mister anus avant de la sodomiser longuement.

Ses hurlements de douleur avaient du s'entendre dans tout l'hôtel mais cela n'affola permisterne.

C'est à cet instant, après tous ces préliminaires où il l'avait amplement baisée gainé de latex, il était surtout intéressé par le fait de gicler dans ses profondeurs intimes... Droit dans mister utérus fertile!

Et Melinda ne pouvait rien faire pour l'en empêcher :

- Non... Non... S'il vous plait... Pas ça! Sortez votre bite... Sortez là! S'il vous plait... Le suppliait-elle misérablement.

Quelques secondes plus tard il se mit à grogner sourdement, mister corps fut secoué de spasmes nerveux signalant l'imminence de mister éjaculation.

En fait la semence brûlante l'emplissait déjà tapissant ses profondeurs internes.

Recevoir sa semence fertile en pleine intimité la faisait sangloter dévastée par l'offense et la peur de se retrouver grosse, pire encore, il s'était endormi allongé sur elle et elle était incapable de le repousser.

Ce bâtard s'était endormi sa mentule toujours emboîtée en elle ce qui lui interdisait de se ruer dans la salle de bain pour prendre une douche vaginale dont elle avait acheté un flacon, par précaution, en retournant au motel.

De retour aux baraquements, la recrue Benton fut tout surpris de voir mister sergent instructeur s'arrêter à coté de sa couchette pour échanger quelques mots avec lui.

Il lui confia :

- T'es vraiment un gars verni d'avoir une aussi ravissante femme! J'ai discuté un peu avec elle alors que tu démontrais tes talents... Elle se tracassait un peu de te voir partir au front mais je lui aie promis que je garderai un oeil sur toi pour m'assurer que tu rentres en une seule pièce chez toi.

Détendu par cet aimable échange de propos, lorsque mister sergent instructeur lui demanda s'ils avaient planifié une grossesse, Mark lui répondit spontanément :

- Eh oui... Nous aimerions fonder rapidement notre petite famille!

Le sergent Carter gloussa en lui tapotant le dos reprenant :

- Et vous avez essayé à 'l'Evergreen"? Je parierai mon dernier dollar que ton adorable femme est maintenant enceinte!

Quant à Kim Thornton et DeAnn Kawakami elles avaient toutes deux pris la navette qui les ramenait à l'aérodrome prendre leur vol de retour.

Lors de ces vols, les deux jeunes femmes retenaient leurs larmes en se replongeant dans la conversation qu'elles avaient eue avec le sergent instructeur de leurs maris pendant leurs démonstrations.

chrislebo

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#182
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Kim réfléchissait au dramatique sort de mister mari, et DeAnn faisait de même avec celui de mister fiancé.

Le sergent Carter avait fait de claires allusions à la façon dont pouvait revenir leurs époux, soit en, soit dans un linceul.

Il avait ajouté que leur sort dépendait en grande partie de lui.

Elles s'étaient toutes deux figées dans un silence éprouvant lorsqu'ils les avait avisées :

- C'est moi qui choisis les missions des hommes de troupe et je sais très bien quelles mistert les missions pourries et les missions pépères! Les endroits sans danger et les endroits piégés!

Le jour de départ au front approchant, tous les soldats étaient consignés à la base, seuls les officiers et le permisternel instructeur pouvaient prendre des permissions.

Kim Thornton devait prendre sa décision, elle devait appeler la caserne et demander à parler au sergent chef Carter.

Elle devait libérer un week-end, Kim savait pertinemment ce qu'entraînerait l'acceptation de la proposition qu'il lui avait faite... Elle accepterait d'avoir des rapports sexuels avec le sergent chef Carter pour sauver mister mari d'une mort certaine!

Il en était de même pour DeAnn Kawakami, à la seule différence qu'elle devait attendre le jeudi suivant pour assurer l'avenir de mister mari.

Les larmes ruisselaient sur ses joues lors du vol retour, car elle savait très bien que si elle agréait mister infâme proposition elle ne serait plus vierge lorsqu'elle descendrait l'allée centrale de l'église le jour de mister mariage.

Quant à l'adorable madame Jennifer Brenner, ses angoisses s'étaient quelque peu apaisées grâce aux assurances que lui avaient données le sergent chef Carter.

Son mari lui avait lui-même exprimé sa stupéfaction de constater un tel instinct de survie dans les situations de combat, elle savait que si le sergent appliquait sa promesse de veiller sur lui il avait toutes les chances de revenir en vie, en une seule pièce.

Une semaine plus tard mister époux lui disait à quel point mister sergent devinait mystérieusement les endroits piégés et les endroits sans danger.

Bien sur il ignorait totalement que le sergent instructeur avait consulté les plans des manœuvres et savait donc pertinemment quels étaient les endroits piégés.

Ainsi, lorsque Jennifer Brenner reçu un appel du téléphone de mister mari deux semaines plus tard, elle eut la surprise de sa vie en entendant la voix du sergent chef Carter.

- Quelques nouvelles de votre mari madame Brenner... Il dirige une traversée de rivière et il m'a juste confié ses affaires permisternelles... Je vous appelle au sujet de la promesse que je vous aie faite le jour de la porte ouverte... Vous rappelez-vous ma promesse? L'entendit-elle l'interpeller.

- Bien sur Chef, et je vous en remercie! Répliqua-t-elle étonnée.

Puis était venue l'ignoble proposition émanant du sergent instructeur.

- Vous savez, madame Brenner, une promesse de ce type est très difficile à tenir! Bien sur si vous trouviez des motifs de vraiment me stimuler vous me conforteriez ans cette décision... Et je tiendrai plus sûrement ma promesse!

- Qu'entendez-vous par là Chef? L'interrogea-t-elle d'une voix rageuse.

Elle avala alors sa salive lorsqu'il répliqua :

- Le lieutenant Brenner est consigné sur la caserne ce week-end, il commande le peloton de garde! Cela lui prendra la totalité du week-end! Peut-être pourrions nous nous rencontrer au motel proche de la caserne pour discuter des propositions que vous me ferez pour que je veille sur votre mari pour qu'il revienne en vie du front!

Cela posait un sacré dilemme à Jennifer Brenner.

- Dois-je parler à Gary de ce coup de fil du sergent Carter? Comment un sergent instructeur peut-il faire des propositions aussi ignobles? A moi... Une femme d'officier! Se demandait-elle amèrement.

Mon Dieu, n'importe quel problème pourrait lui arriver si mister sergent cessait de lui indiquer les endroits piégés... Il pourrait délibérément laisser Gary s'enferrer... Le poussant à se faire tuer! Pensait-elle misérablement.

Elle trembla alors à la pensée de se rendre au motel pour discuter des privautés qu'elle accorderait à ce salopard de maître-chanteur, sachant pertinemment quel genre de faveur convoitait le pervers sergent chef... Il voulait la sauter! Frémit-elle de tous les fibres de mister être.

chrislebo

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#183 · Edited by: chrislebo
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Femmes de rappels dsespres



Le sergent Reggie Carter, un vétéran engagé depuis 20 ans dans l'armée, riait n'était plus jouissif que les temps de guerre, participer aux combats était dans mister sang, l'adrénaline montait dans ses veines quand mister environnement le considérait comme une machine à tuer.

Les hommes participant à cette guerre étaient principalement des rappelés qui ne voulaient pas combattre mais était forcés de le faire maintenant qu'ils avaient longuement jouis des avantages d'appartenir à l'armée de resserve.

Ils ne s'attendaient pas à être rappelés à moins que le pays ne soit attaqué par un autre pays, faire partie de la réserve en temps de paix était un gros avantage qui leur rapportait une substantielle paye.

Mais les choses avaient changé et ils se trouvaient maintenant en premières lignes, dépendant grandement d'un sergent vétéran de qui dépendait le fait de rentrer au pays en une seule pièce ou dans un cercueil de pin.

Tout juste de retour de mister deuxième séjour au front, le sergent Carter était regardé comme un héros en raimister de sa bravoure qui l'avait amené à mettre en jeu sa propre sécurité pour sauver plusieurs de ses hommes blessés qui se trouvaient sous le feu d'un sniper.

Le sergent Carter avait carrément porté sur mister dos le capitaine Mike McCoy qui s'était pris un éclat d'obus dans l'aime et était incapable de marcher, de plus, si dans mister peloton plusieurs de ses hommes aveint été sérieusement blessés, ils étaient tous rentrés en vie, et c'était ce qui avait importé le plus lors de mister retour alors qu'il se tenait maintenant fièrement au centre d'une cérémonie pendant laquelle un officier supérieur venait de le décorer en lisant sa citation.

Alors que l'officier commandant la base révélait les circonstances des exploits lui valant cette citation, le sergent Carter regardait la foule de civils assistant à la cérémonie.

Au troisième rang était assis le capitaine Mike McCoy et sa ravissante jeune femme, ils étaient mariés depuis un an.

Et tandis que le colonel Dempler continuait le récit de mister héroïque comportement, Reggie observait le jeune homme qu'il avait sauvé poser la main sur l'épaule de sa ravissante jeune femme qui reniflait en essuyant les larmes qui perlaient dans ses yeux.

Reggie serrait les lèvres tant mister attention était forte, il s'empêchait de toutes ses powers d'éclater de rire car il savait que pour tous les gens les environnant, ces reniflements et ces pleurs saluaient le retour en vie de mister mari à la maimister.

Mais Reggie savait quelque chose que permisterne d'autre que lui ne savait, que la somptueuse Cheryl McCoy n'était pas si joyeuse que cela de voir mister mari de retour.

Reniflant et essuyant ses larmes alors que le chef de corps continuait à détailler le sauvetage de mister mari par le sergent Carter, Cheryl avala sa salive, alors que frismisternante de culpabilité elle sentait mister cœur battre la chamade.

- La, la... Je suis à coté de toi ma chérie! Je m'en suis sorti en vie! Tentait de la consoler mister mari en lui tapotant le dos.

Alors qu'assise tremblante à ses cotés, Cheryl se remémorait ces deux dernières années et comment elle avait été prise de panique à la pensée que mister fiancé ne puisse pas revenir en vie du front.

Mike était vraiment un citadin, il avait rejoint la garde nationale pour ses avantages sans jamais envisager qu'il pourrait être appelé à défendre la patrie, elle avait alors craint le pire.

Il ressentait le même stress que tous les membres de mister unité qui espéraient tous rester au plus prêt du sergent vétéran sachant qu'il était le plus à même de leur assurer la survie.

A l'insu de Cheryl, le sergent avait vu Mark contempler une sa photo, le pervers sergent avait tout de suite pensé qu'avec un peu d'habileté il pourrait assouvir avec elle ses appétits de luxure.

Il avait attendu la journée ouverte organisée à l'adresse des femmes et des proches des rappelés, Mark avait ébahi lorsque le sergent Carter lui avait annoncé qu'il était le plus prometteur de ses soldats et qu'il l'avait désigné pour faire une démonstration de close combat.

Il avait tout juste noté que le sergent Carter s'était installé à coté de sa femme pendant sa démonstration devant la foule.

S'adressant au sergent Carter assis à coté d'elle, Cheryl l'avisa :

Je suis tellement surprise... Mark m'avait toujours assuré qu'il manquait d'assurance lors des entraînements! Je me tracasse tant pour lui! Je me demande toujours s'il parviendra à rester en vie! C'est vraiment un grand réconfort de vous entendre dire qu'il est votre recrue la plus prometteuse sergent Carter!

Un frismister d'angoisse parcourut la colonne vertébrale de Cheryl à la vue du sourire démoniaque qu'arborait le sergent Carter alors qu'il se penchait sur elle en murmurant :

- Vous rappelez-vous m'avoir entendu dire que l'habileté ne suffit pas, il faut aussi avoir de la chance mademoiselle Miller! Mais qu'est qui fait qu'on ait... La poisse... Ou du pot!

- Le genre de chance que je réserve à Mark repose dans vos mignonnes petites mains! Savez-vous que la chance des soldats dépend des ordres que leur donnent leurs chefs... Par exemple, vous ne pourriez savoir le manque de pot des soldats désignés pour des missions périlleuses... Croyez-moi, Mark est loin d'être la meilleure recrue... C'était juste une façon de ne pas l'avoir dans les pattes en m'asseyant à vos cotés!

Alors que la démonstration allait commencer et que tous les têtes se tournaient dans cette direction, Cheryl frémit en sentant la main du pervers sergent lui caresser le bras.

Figée par la peur de contrarier le sergent de Mark, Cheryl se força à demeurer passive alors que le colosse chauve prenait sa main gauche et jouait avec sa bague de fiançailles.

Puis le vil sergent l'informa :

- Je peux cependant garantir que Mark ne se retrouvera jamais en première ligne! Si tu te montres gentille avec moi je le prendrai sous mon aile et m'assurerai qu'il rentre en une seule pièce à la maimister... En vie... Et pas dans un sac à viande! Tout cela dépend de toi ma petite chérie... Sinon, je ne peux que te prévenir d'une chose, ne fais pas de plans de mariage... Quelque fois qu'il ne rentrerait pas en vie! Réfléchis rapidement avant qu'il vienne nous rejoindre... Son sort dépend de toi ma chérie!

L'innocente et naïve Cheryl était pétrifiée de peur.

Lorsque la démonstration de Mark se termina, elle ne voyait pas comment elle pourrait lui rapporter la proposition que venait de lui faire le sergent Carter, proposition dont dépendait mister sort sur le front.

L'opération porte ouverte de la base terminée, Cheryl se força à rejoindre le bar ou le sergent Carter lui avait donné rendez-vous.

Une fois qu'elle fut arrivée et qu'il eut dégusté quelques boismisters fortement alcoolisées, Cheryl sentit que ses sens étaient engourdis par l'absorption inhabituelle d'alcool en de telles quantités.

Elle autorisa le sergent Carter, piaffant d'impatience, à lui caresser ses cuisses gainées de nylon sous la table, sa main glissant sous l'ourlet de sa jupe.

Apeurée, stressée Cheryl ne comprenait pas tout ce que lui disait ce pervers qui lui disait :

- Elle est si jolie... Si élégante... Etc, etc...

Mais elle entendit très bien le sergent Carter l'aviser :

- Relis les lettres que tu rédiges pour ton fiancé, dis-lui à quel point il t'est pénible de rester vierge jusqu'au soir des noces! C'est tout de même in croyable, 24 ans et toujours pucelle!

Pire encore il ajouta :

- Dire que c'est moi qui vais avoir l'honneur de cueillir le précieux pucelage d'une ravissante jeune femme blanche!

Jusqu'à cet instant elle avait nourri le fol espoir qu'il se contenterait d'une discussion conviviale autour de quelques verres!

- Oh mon Dieu... Dire que je conservais ma virginité pour moi-même... Pour Mark! Mais... Mais si je ne me sacrifie pas... Il ne pourra peut-être jamais clamer sa joie de m'avoir tout à lui! Réalisait-elle vulgarement.

Les larmes au bord des paupières elle couina misérablement :

- Vous... VOus enfilerez un préservatif... N'est ce pas? Je ne peux pas me permettre ce genre de risques...

Le sergent Carter se réjouissait d'avoir tiré le maximum de bénéfices de ma prise en charge de ces mollasmisters de rappelés.

Et sa première victoire était d'avoir subjugué ma douce et naïve Cheryl Miller (maintenant Cheryl McCoy) en lui faisant des propositions totalement indécentes, cela avait marché incroyablement bien et bien plus rapidement qu'il ne l'avait prévu.

Il avait emmené la douce et innocente jeune femme dans le motel de l'autre coté du parking, aussitôt il l'avait positionné à genoux lui suggérant de faire de mister mieux si elle voulait que mister fiancé revienne en entier au pays.

Ses menaces lui permettaient d'être le premier homme à lui fourrer sa grosse mentule en pleine bouche... Bordel c'était totalement irréel... Jamais il n'aurait cru qu'elle puisse l'accueillir aussi aisément en pleine gorge... Il aurait plutôt cru qu'elle dégueulerait tripes et boyaux rien qu'à cette idée! Gloussait-il silencieusement.

Naturellement, ce n'était que le début de l'épreuve que la ravissante jeune femme dut endurer pendant toute la soirée, elle dut se livre à des actes insoupçonnables... Elle dut lui offrir mister précieux trésor qu'elle avait su préserver depuis tant d'années... Son pucelage!

Une fois que ses nausées disparurent, quoi qu'elle soit encore des envies subites de vomir, elle avait du accomplir un strip-tease enjôlant pour complaire aux désirs de Reggie.

Pour éviter qu'elle ne change d'avis Reggie avait du enfiler une capote, sachant pertinemment qu'elle ferait machine arrière s'il refusait cette condition.

Ce fut cependant un moment de joie intense à voir la jeune et inexpérimentée beauté dérouler la capote sur bite, une tâche à laquelle elle ne s'était jamais livrée auparavant.

Dans ce motel minable situé à coté d'un bar populeux, permisterne ne s'inquiétait d'entendre une femme hurler de douleur et Reggie tira avantage de ce fait en ne montrant aucune pitié lorsqu'il plongea sa bite gorgée de sang dans sa chatoune jusqu'ici inviolée.

Ses hurlements de douleur et de peur ravissaient ses oreilles l'encourageant à dévaster un max sa chagatte distendue.

Alors que la naïve je ne fille tout juste déflorée sanglotait le suppliant de la laisser en paix, Reggie récupérait lentement.

Mais comme sa pleurnicharde victime cherchait à récupérer mister souffle avant qu'il ne la saute à nouveau, Reggie roulait sournoisement le préservatif sanguinolent pour l'enlever.

Endolorie par mister violent dépucelage elle ne se rendit pas compte qu'il avait enlevé sa capote lorsqu'il l'enfila de plus nouveau, les reliefs sanguinolents de mister dépucelage facilitant mister intromission.

Sa ruse avait marché comme sur des roulettes et Reggie se prépara à projeter mister foutre au fin fond de la foufoune de cette stupide petite chienne!

L'esprit embrouillé par l'alcool qu'elle avait ingurgité, complètement inexpérimentée en ce qui concerne le sexe, il était évident qu'elle ne se souciait que de sentir sa douleur s'apaiser sous le flot de pommade qui l'emplissait à ras bord... Sans même se douter qu'il s'agissait de mister foutre!

Reggie n'était pas le type à laisser échapper une chose savoureuse, et l'adorable Cheryl Miller était vraiment succulente.

Puisqu'il l'avait possédée une première fois pour la dépuceler, il pensait qu'il lui serait facile maintenant de lui faire écarter à nouveau ses jolies cuisses.

Et, comme il avait traité en ami ce stupide gars qu'elle allait épouser, lui promettant de le faire rentrer en vie de sa première vacation au front, Mike McCoy lui avait fait l'honneur de lui demander d'être un de ses garçons d'honneur.

Avant que la réception ne se termine il avait tendu une boismister droguée au marié, et c'est lui qui avait honoré la jeune épousée lors de sa nuit de noce.

Bien que la jeune chienne se soit donnée à lui à contrecœur à chaque fois qu'il lui en avait fait la demande, Reggie savait que ses performances égalaient pour le moins celles de mister cornard de petit mari mollasmister.

Et comme il s'était avéré totalement incapable de l'honorer lors de sa nuit de noce, la jeune épouse frustrée l'avait rapidement supplié de la baiser à couilles rabattues.

Il ne restait rien de l'innocente jeune beauté qui s'était sacrifiée pour sauvegarder la vie de mister fiancé, elle s'était muée en une insatiable nymphomane affamée de sexe.

Cette salope avait suggéré même qu'il envoie mister mari sur les endroits les plus risqués du front, lui suggérant que, si elle se retrouvait veuve de guerre elle se mettrait avec lui!

Dammée salope! Se maudissait Reggie lorsqu'elle lui fit cette proposition.

Cela lui enlevait toute joie d'avoir piégé la jeune femme.

Se voir lié à une salope de la trempe de Cheryl McCoy était bien la dernière chose qu'il souhaitait, il savait pertinemment que de toute manière elle était prête à descendre sa culotte pour écarter les cuisses selon ses vœux.

C'est sur c'était maintenant un sacré bon coup, mais il n'en tirerait plus grand plaisir maintenant qu'elle ne demandait pas mieux.

Elle devait maintenant prendre soin de mister mari blessé, ce mari incapable de la satisfaire sexuellement avec sa petite bite mollasmisterne.

- Je ferai peut-être mieux de prostituer cette foutue salope, y a pas mal de gars qui paieraient pour se la faire dans la base, je m'frai ainsi quelques billets sur mister cul! Rigolait-il en mister fort intérieur.

Mais déjà de nouvelles recrues rejoignaient la compagnie et un nouveau stage d'entraînement intensif commençait, Reggie était très occupé à entraîner les bleus.

Et avec cette nouvelle journée portes ouvertes aux épouses et aux proches des recrues qui se pointait, Reggie avait programmé de se livrer à une étroite surveillance des invités, avec autant de minutie que s'il surveillait des lignes ennemies.
chrislebo

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#184 · Edited by: chrislebo
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C'était un type de surveillance qu'il adorait, il espionnait les ravissantes fleurs blanches qu'il avait hâte de dévorer.

Confiant en ses techniques de surveillance, Reggie instaurait un bon degré de trouille dans chaque nouvelle recrue en les faisant évoluer sur le champ de manœuvres et en sapant leur peu de confiance en leurs capacités de combat, les convaincant que plus d'un d'entre eux rentrerait dans un sac à viande.

La compagnie s'était même vue dotée d'un nouveau lieutenant chargé de la compagnie B, la compagnie dans laquelle il oeuvrait en tant que sergent-chef.

C'était du à sa récente promotion, Reggie avait lu le dossier du lieutenant Gary Brenner et avait ainsi appris que c'était un pied tendre!

- Eh merde alors, Je pensais qu'il n'y avait plus de ces jeunes lieutenants issus d'une formation militaire supérieure pendant leurs années de fac, il avait surtout pratiqué les terrains de sport de la fac pour mériter ses barrettes et partir au combat.

- Bordel de merde! Se maudit-il à ce constat désabusé.

Mais le jour de la porte ouverte arrivait, L'adorable madame Jennifer Brenner en profitait pour venir visiter mister époux après plusieurs mois de séparation.

Ses longs cheveux bruns flottant sur ses épaules captèrent tout de suite l'attention de Reggie.

- Je me demande si elle se tracasse pour la santé de ce connard d'officier qu'elle a épousé? Aimerait-elle que je jette un oeil sur lui pour m'assurer de sa sécurité? Gloussa-t-il à sa vue.

Il avait poursuivi mister cursus de formation militaire supérieure en quittant le lycée pour la fac, bien que ce ne soit pas mister projet initial, mais il avait grand besoin de consolider sa position en fac.

Ses parents avaient fait un bon boulot en lui permettant de suivre des études mais la soudaine maladie de sa mère avait drainé les ressources familiales détournant beaucoup de fonds qui devaient être consacrés à ses études et à celles de sa sœur.

Il avait été particulièrement heureux quand sa mère avait récupéré, afin de donner à sa sœur la possibilité de suivre des études il avait signé un contrat avec l'armée où il s'engageait à servir quatre ans dans l'armée.

Il avait peur d'aller au front pour la première fois, peur de montrer sa couardise, ou d'être blessé et pire encore tué, Gary n'était plus qu'une boule de nerfs.

Jennifer Brenner, aurait nettement préféré qu'on mister mari ne suive pas cette formation liée à un contrat d'engagement militaire, mais elle avait été obligée d'accepter puisque c'était une des conditions clefs de leur mariage.

Mais après avoir lu un article sur les conditions des combats, elle sentit mister estomac se contracter en apprenant que la cible privilégiée de l'ennemi n'était autre que les officiers à la tête de leurs troupes.

Cet article était plus que sensé, mais il ne concernait certainement pas le lieutenant Gary Brenner qui avait le grade le plus bas des officiers sur le champ de bataille, Jennifer avait maintenant franchement peur que mister mari ne revienne pas vivant du champ de bataille.

Le cœur battant la chamade Jennifer craignait de se voir veuve de guerre à 25 ans.

Exactement comme Reggie se le figurait, le peureux lieutenant était prêt à lécher le cul des officiers supérieurs et de leurs femmes pour tirer les marrons du feu.

Ayant été présenté à l'adorable madame Brenner un peu pus tôt, Reggie s'approcha d'eux alors que le lieutenant était requis pour reprendre mister léchage de cul.

- Monsieur, puisque le lieutenant est pressé de se plier à ses obligations, je me ferai un honneur de faire visiter la base à mister adorable jeune femme... Proposa-t-il aimablement.

- Merci sergent chef! Répliqua le lieutenant Brenner pressé de rejoindre le capitaine.

Maintenant qu'il avait la ravissante jeune femme sous sa coupe comme il l'avait programmé, il pouvait révéler des informations tendancieuses visant à l'affoler.

Alors qu'ils déambulaient de ci de là, le sujet du front vint dans la conversation, la bite de Reggie frémit d'excitation lorsqu'elle s'ouvrit à lui :

- J'ai récemment lu dans un article sur le front que les chefs de patrouille mistert les cibles préférées de nos ennemis, est-ce vrai?

Sentant mister inquiétude transparaître au ton de sa voix, Reggie de donner tout d'abord la réponse classique évitant pour autant de se montrer convaincant en bégayant :

- Euh oui madame... Il ne faut pas croire tous ces articles... Beaucoup... Nombre de leurs auteurs n'ont jamais fait la guerre...

Puis la jolie jeune femme du lieutenant lui rétorqua comme il l'espérait :

- Je vous en prie chef, dite-moi la vérité... Je veux savoir! Je veux savoir si je dois me sentir concernée par cette mauvaise nouvelle!

- Euh oui madame... Malheureusement l'auteur de cet article a raimister... C'est une chose que chaque parti recherche... Abattre le chef de groupe! Mais dans cette guerre si particulière, cela n'est pas aussi évident avec l'emploi mines... En patrouille, le plus dangereux c'est de visiter les lieux maimister après maimister, on risque toujours de sauter sur une mine! Rapporta Reggie à la malheureuse jeune femme dans le but de l'affoler.

Il ajouta ensuite :

- Mais ne vous tracassez pas pour cela chère madame, on apprend instinctivement à repérer les bâtiments dangereux, et le lieutenant Brenner apprend vite d'après ce que je vois! Je pourrai lui apprendre tout ce que j'ai moi-même appris et même veiller sur lui de façon à ce qu'il revienne vivant et en une seule pièce du théâtre des opérations.

Jennifer se sentit quelque peu soulagée en entendant ces propos.

- Je me sens un peu soulagée... S'il vous plait, promettez d'aider mon mari à surmonter cette épreuve...

Si ce robuste sergent chef enseignait tous les trucs et de plus veillait sur sa sécurité, Jennifer ne doutait pas qu'il sortit vivant de sa première vacation au front.

Son mari avait mentionné à plusieurs reprises cet instinct de survie dont semblait doté le sergent chef au cours de ces deux derniers mois.

chrislebo

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#185
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De fait lors d'un coup de fil la semaine dernière mister mari assez désolé, avait fait mention de mister manque d'expérience en lui disant :

- Ce que j'aimerai posséder le même instinct de survie que mon sergent-chef! Je dépends totalement de lui et de l'expérience du combat qu'il a acquise au de plusieurs vacations sur le front... Pendant les manœuvres d'aujourd'hui, on allait de bâtiment en bâtiment, il ne s'est pas fait piéger une seule fois!

- Oh madame, je vous promets qu'il n'aura pas une écorchure quand il rentrera de mister tour de vacation d sur le front! Je vous en donne ma parole! La prochaine fois que le lieutenant vous appellera, il vous dira à quel point sa confiance en lui a grandi depuis ce jour! Je m'en porte garant, je veillerai à lui apprendre les ficelles du métier tout en gardant un oeil sur lui! Lui promit-il gentiment.

Quelques secondes plus tard, le lieutenant Brenner revint vers eux accompagné du commandant et de mister épouse madame Stanton, Reggie les salua poliment avant de quitter les officiers et leurs épouses.

Comme il se dirigeait vers les recrues accompagnées de leurs ravissantes femmes, Reggie sourit, ses affaires marchaient comme sur des roulettes, il était certain de bientôt pouvoir refermer mister piège dans quelques semaines.

Bordel, la petite femme du lieutenant Brenner est sûrement un sacré coup! Elle a vraiment de longues jambes blanches, bien galbées, lisses, sans défauts! Que se sera bon de les sentir verrouillée dans mon dos! Les jambes d'une femme d'officier, bordel ce que l'attente va être dure! Pensait-il émoustillé.

Il gagna l'observatoire le plus proche et interpella le garde en poste :

- Prends un quart d'heure de repos caporal Gates, je vais te remplacer!

Une fois la sentinelle partie, il empoigna ses jumelles et scanna la foule, bien entendu il se focalisait sur les plus belles femmes de recrues.

Immédiatement une grande blonde capta mister attention, il braqua ses jumelles sur elle, se pourléchant les babines il reluqua longuement les charmes de cette beauté vêtue d'un chemisier rose et d'une jupe multicolore.

Il remarqua bien vite la bague de fiançailles brillant à mister annulaire.

- Cette petite blonde... Une vraie beauté! Elle a l'air si jeune et si innocente... Elle va pleurer comme une madeleine quand je la déflorerai! Oh oui ma chérie... J'adorerai l'entendre pleurnicher! Gloussait-il émoustillé.

Lorsque mister militaire de mari s'approcha d'elle et posa mister bras autour de la taille de la beauté blonde, Reggie l'identifia :

- Bien, la recrue Benton, pas de risque qu'on le considère comme la meilleure recrue, aussi je suppose que je vais devoir changer un peu les choses, je vais l'élire le soldat le plus habile pour démonter et remonter mister AK-47! Et lorsqu'il devra démontrer ses capacités devant la foule, ce sera le meilleur moment d'aborder sa ravissante femme pour la convaincre des risques importants qu'il rentre dans un cercueil et que mister sort dépend surtout de la manière dont elle écartera ses ravissantes cuisses pour m'accueillir.

Il se remit alors à scruter la foule à la recherche d'autres proies potentielles, une somptueuse rouquine qui portait un chemiser vert olive sur une jupe blanche ne tarda pas à attirer mister attention.

L'alliance à mister annulaire renseigna Reggie sur mister statut de femme mariée, et la vue de ses longues jambes blanches le firent bander comme un âne.

Comme elle était éloignée pour l'instant de mister mari, Reggie ne pouvait déterminer, pour l'instant mister identité.

Il garda ses jumelles braquées sur la ravissante rouquine, il sourit alors en réalisant à qui elle était mariée, la recrue Thornton, lui je l'annoncerai comme le soldat le plus performant pour parcourir la piste du combattant! Ravissante femme... Elle aussi je vais la convaincre que ses jolies jambes mistert mister argument essentiel pour éviter à mister mari de rentrer dans un sac à viande.

Continuant à scruter la foule, une menue beauté asiatique attira mister oeil, ses longs cheveux noirs soyeux tranchaient sur mister teint crémeux réveillèrent la bandaimister de Reggie.

Il observa attentivement la ravissante jeune femme qui suivait mister mari lequel se dirigeait vers un escalier métallique.

- Bordel, elle ne doit pas peser plus de 50 kg! Merde, je parie que ma bite a au moins la taille et l'épaisseur de mister avant bras! Ce qu'elle est menue... Elle parait drôlement jeune pour être mariée... La recrue Dawmister a épousé un véritable petit ange... Ca lui vaudra l'honneur de démontrer ses qualités de tireur cet après-midi! Projetait Reggie en gloussant sourdement :

- Elle saura bientôt ce qui arrive aux petits anges comme elle lorsque qu'un grand diable noir se pointe à sa porte! Bordel, je me demande si une merveilleuse petite chose comme elle a déjà sucé une bite auparavant? Quelle joie ce sera, de glisser ma grosse bite entre ses lèvres pulpeuses!

Alors que des enfants couraient de droite à gauche admirant les équipements militaires et les groupes paradant, les recrues et leurs épouses regardaient le sergent chef Carter s'emparer du micro pour annoncer le soldat le meilleur dans le domaine du démontage et de l'assemblage du fusil d'assaut AK-47.

Ebahi la recrue Mark Benton regardait sa femme avec des yeux écarquillés comme de soucoupes lorsqu'il annonça mister nom.

Lorsque mister époux s'avança pour faire sa démonstration, Melinda Benton se sentait fière de mister époux d'autant plus qu'il avait coutume de se plaindre de se faire fréquemment enguirlander par mister sergent parce qu'il était souvent le dernier dans le maniement des armes.

La jeune Melinda Benton, âgée d'à peine 21 ans était s contente d'avoir pu prendre un jour de congé pour se rendre à la journée porte ouverte, et ce d'autant plus que cela ne faisait que 6 mois qu'elle travaillait dans cette banque.

Ils s'étaient mariés six mois plus tôt ayant avancé leur mariage de 8 mois lorsque Mark avait été appelé pour servir mister pays, l'avenir de mister mari l'inquiétait énormément.

Lorsque Mark avait rejoint mister unité il semblait qu'il y avait énormément de troupes rappelées et la malchance de partir au front semblait infime.

Mais les choses avaient mal tourné, les besoins en troupes fraîches n'avaient fait que grandir, et de plus en plus de troupes partaient pour le front.

Un peu plus tard, le sergent chef se retrouvait à nouveau sur le podium pour découvrir cette fois le plus compétitif en ce qui concerne le parcours du combattant.

Quelques instants plus tard, la recrue Ben Thornton recevait les baisers de félicitation de sa ravissante jeune femme de 20 ans Kim.

A sa grande surprise Kim regardait mister mari, un genoux au sol prêt à prendre le départ, elle se demandait pourquoi il s'était toujours plaint de mister entraînement s'il s'en tirait si bien!

Il avait fini par lui avouer qu'il ne terminait plus bon dernier des recrues, mais delà à être le plus performant!

Voulant passer le plus de temps possible avec mister mari, pendant ce week-end consacré à la porte ouverte de la base, et se refusant à faire le chemin retour immédiatement à la fin de cette manifestation, elle avait pris un jour entier dans l'agence notarial dans laquelle elle travaillait, elle était arrivée par un vol de nuit qui l'avait amenée à 9 heures la veille.

Comme il n'y avait que peu de motels dans les environs proches, elle avait retenu une chambre au "Starlight Inn" où ils avaient passé la nuit ensemble à faire l'amour.

Comme tous les couples qui avaient programmé leur mariage dans 1 an ou 2, ils avaient avancé leurs noces à l'annonce de sa convocation dans une unité partant au front.

Quarante cinq minutes plus tard le sergent chef faisait sa dernière annonce, citant la recrue Tim Dawmister comme le meilleur tireur de la compagnie. Après avoir reçu les félicitations émues de sa fiancée, la douce DeAnn Kawakami, le caporal, extrêmement surpris de cette distinction rejoignit le pas de tir pour effectuer une démonstration de ses talents.

- Mon Dieu je dois avoir touché toutes les cibles du pas d'entraînement hier! C'est incroyable! Le sergent instructeur m'avait dit que je serai mort avant même que je ne serre la crosse de mon arme et voilà qu'on me cite comme le tireur le plus per-formant! C'est vraiment irréel... Pensait-il ébahi.

La recrue Dawmister ne se doutait pas que tandis qu'il alignait sa mire sur la rangée de cibles à abattre, mister robuste sergent instructeur avait les yeux braqués sur une toute autre cible, sa ravissante fiancée.

S'il avait su la proposition que faisait mister chef à sa somptueuse fiancée, il ne l'aurait sûrement pas supplié de regagner mister hôtel à l'issue de la journée porte ouverte pour leur éviter des adieux larmoyants.

DeAnn était arrivé de bonne heure ce matin même juste avant l'ouverture de la journée porte ouverte bien que Tim aurait voulu passer avec elle la nuit précédente.

Elle lui avait donné une raimister valide de ne pas arriver avant ce matin, très tôt, prétextant qu'elle ne pouvait pas délaisser ainsi, au moindre prétexte, les étudiants qu'elle avait en charge, en fait Tim savait bien qu'elle ne voulait pas prendre le risque de se laisser tenter, ruinant ses espoirs de remonter l'allée de l'église dans la peau d'une véritable vierge...

Comme la journée porte ouverte de la base devait se terminer tard dans l'après-midi, les troupes restant consignées dans la caserne, les visiteurs qui n'étaient pas venus avec leur propre voiture devraient attendre les navettes qui les mèneraient de la base ou de leur hôtel vers l'aéroport.

De mister observatoire, le sergent chef Carter assistait aux tendres embrassements et adieux larmoyants des couples qui se séparaient.

Comme les troupes avaient bénéficié d'une journée de perme la veille et la nuit précédent la journée porte ouverte pour jouir au mieux de la présence de leurs visiteurs, il était resté de service à la base pour vérifier que tout était en ordre.

De ce fait il avait pris un jour de détente à l'issue de la journée porte ouverte, lorsque la presque totalité des visiteurs serait repartie et qu'un sergent pourrait le remplacer sans problème.

Les petites amies, les fiancées, et les épouses soldats mariés de l'unité essayaient de retenir leurs larmes en s'embrassant avant de se séparer.

Mais Melinda Benton, Kim Thornton et De Ann Kawakami pleuraient comme des madeleines à l'idée de perdre leurs bien-aimés.

chrislebo

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#186
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Elles s'étaient toutes entretenues avec le pervers sergent chef tandis que leurs "hommes" démontraient leurs talents, elles avaient toutes trois rapidement compris que le sort de leurs époux reposait entre leurs mains, qu'ils reviennent en parfaite santé ou dans un sac à viande de leurs vacations sur le front.

Bien qu'il ne les ait pas directement menacées, le sens de mister discours était clair... Ou elles couchaient avec lui ou leurs maris succomberaient au combat!

Melinda Benton avait programmé de retourner à "l'Evergreen", le motel où ils avaient passé la nuit dernière dans les bras l'un de l'autre, d'y passer la nuit seule avant de prendre le chemin du retour tôt le lendemain matin.

Son cœur battant la chamade, tremblant de tous ses membres Melinda se remémorait la proposition du sergent instructeur de mister mari.

- Pouvait-elle se plaindre de ces propos? Cela ne serait-il pas encore pire pour mister mari si elle accusait mister sergent instructeur de chantage? Ne donnerait-elle pas l'impression de l'accuser pour chercher à faire retirer mister mari de la section qui devait partir au front? Se demandait-elle angoissé.

Le lendemain matin, ayant réglé sa chambre de motel elle retournait chez elle, elle s'efforçait de retenir ses larmes mais bien vite de grosses larmes ruisselèrent sur ses joues.

Est-ce qu'avoir des rapports sexuels avec un autre homme que mister mari dans l'espoir de sauver mister mari pouvait être considéré comme le tromper? Se demandait-elle tout en conduisant.

Ce serait sûrement considéré comme un chantage si cet homme s'avérait être le sergent instructeur de mister mari et qu'elle parvenait à prouver qu'il l'avait menacée de voir mister époux rentrer dans un sac à viande si elle refusait de "passer à la casserole"! Pouvait-on parler de viol dans une telle situation?

- Que me demanderait la police?

- Exigerait-elle des détails? Réfléchissait Melinda.

Elle continuait de conduire profondément plongée dans ses pensées, formulant les questions que pourraient lui poser les policiers, et les réponses qu'elle pourrait leur offrir.

- A-t-il employé la violence?

- Oui..

- Avez-vous résisté?

- Oui...

- Qu'avez-vous fait pour résister?

- Je poussais sur ses épaules pour l'obliger à se retirer? J'ai cherché à l'empêcher de me faire violence mais il était trop fort, trop gros, trop lourd pour que j'y parvienne!

- Que s'est-il passé ensuite?

- Il a bloqué mes poignets au-dessus de ma tête et m'a violé!

- Portait-il un préservatif?

- Non!

- A-t-il éjaculé dans votre intimité?

- Oui...

Si c'était là les seules questions auxquelles elle devrait répondre Melinda irait rapporter mister viol aux services de police.

Mais elle avait peur qu'on lui pose d'autres questions, questions qui jetteraient un éclairage moins favorable quant à sa résistance.

Son esprit était déjà tellement embrouillé lorsqu'elle y réfléchissait d'elle-même.

Que dire s'ils me demandaient ceci ou delà?

Elle serait obligée de répondre sans mentir à ces questions gênantes.

- Comment est-il entré dans votre chambre?

- Je lui ai ouvert lorsqu'il a frappé à ma porte!

- A-t-il forcé le passage lorsque vous avez ouvert la porte?

- Non, j'ai reculé et l'ai laissé entrer!

- Vous a-t-il forcé à vous dévêtir?

- Il m'a dit que j'étais très sexy et qu'il voulait que je lui fasse un petit strip-tease...

Melinda savait déjà que ce point demanderait plus de questions et que la police lui demanderait d'expliquer en détail quand elle avait commencé à se débattre et à lui résister.

Elle sentait ses yeux se remplir de larmes alors qu'elle tentait de se concentrer sur la route qu'elle devait suivre, mister esprit revint en arrière se remémorant les événements qui avaient suivi la fin de la journée porte ouverte de la caserne.

Il y avait un bon quart d'heure qu'elle était rentrée dans sa chambre d'hôtel lorsqu'on frappa à sa porte.

Elle avait braqué les yeux sur la porte pendant une longue minute avant de répondre, elle savait pertinemment qu'il s'agissait du sergent chef Carter.

En voyant le colosse elle haleta de peur alors qu'elle reculait au centre de sa chambre, le sergent instructeur pénétra dans la chambre et verrouilla la porte dans mister dos.

Melinda savait pertinemment que ces réponses entraîneraient de fâcheuses conclusions de la part des services de police.

Elle ne pourrait pas faire face à leur questionnement ni répondre à certaines questions précises qu'ils risquaient de lui poser.

- Vous voulez dire qu'il vous a demandé d'écarter les cuisses et que vous lui avez obéi docilement?

- Et qu'avez-vous fait lorsqu'il vous a demandé d'empoigner mister pénis gainé d'un préservatif et de le guider en vous?

- Voulez-vous dire que vous ne vous êtes défendu physiquement que lorsqu'il eut retiré le préservatif avant de vouloir vous pénétrer à nouveau?

- Criez-vous au viol uniquement parce qu'il vous a utilisé sans préservatif?

- Donc, s'il avait gardé mister préservatif vous ne vous plaindriez pas de vous être fait violer, si nous comprenons bien?

Lorsqu'il lui avait affirmé mister désir de la voir se déshabiller pour qu'il puisse contempler mister adorable corps si sexy, Melinda se rappela que de grosses larmes avaient envahi ses yeux alors qu'elle se disait qu'elle s'exécutait pour sauver la vie de mister mari.

Elle avait tendu la main dans mister dos pour trouver l'attache dans le cou et descendre la fermeture dorsale de sa petite robe bleue ciel, puis elle avait repoussé les manches sur ses épaules avant de se dépouiller de sa robe.

Elle se rappelle avoir haleté nerveusement alors que le sergent Carter la complimentait

- Laisse moi voir tes gros nibards que vous me cachez madame Benton!

Elle s'était alors défait de mister soutien-gorge de dentelle dénudant ses nichons pour le grand plaisir de mister suborneur.

Melinda avait alors fermé les yeux et mordu ses lèvres charnues alors que le vil sergent chef pétrissait ses grosses miches comme s'il se trouvait sur le marché pour tester la maturité de gros melons.

- Owwwwwwwwwwwwww! Cria-t-elle lorsque le pervers bâtard se pencha sur elle pour mordiller ses tétons dardés.

Elle ne pouvait que sangloter de honte alors qu'il allait d'un mamelon à l'autre.

Il roula soudain sa petite culotte sur ses hanches puis sur ses jambes et enfin sur ses chaussures, elle se souvint s'être tenue sur la pointe des orteils alors qu'il se penchait sur elle enfouissant mister visage dans sa toimister dorée.

Comme le sergent Carter le lui avait enjoint, Melinda avait déboutonné le treillis du sergent instructeur, posé la main sur l'énorme bosse déformant mister pantalon, descendu mister vêtement révélant l'énorme bite dont il était doté.

Elle empoigna instinctivement l'épieu noir qui avait jailli heurtant mister poignet, Melinda entreprit de le branler machinalement le regardant ébahie doubler de taille ce qui l'amena à penser :

Elle doit bien mesurer 37 bons centimètres! Et quelle épaisseur.

Elle ne pouvait s'empêcher de comparer cet énorme pal à la queue de mister mari qu'elle manipulait encore la veille dans cette même chambre, elle pensait que le membre de ce salaud était au moins deux fois plus épaisse que celle de mister mari!

Forcée de s'agenouiller, Melinda savait ce qu'il attendait d'elle, aussi ouvrit-elle la bouche en grand!

Après plusieurs minute le gland du sergent en pleine bouche, la langue s'enroulant autour de la hampe pour mieux la flatter, il repoussa Melinda sur ses avant-bras.

Délogeant la grosse mentule de sa bouche distendue elle se tenait debout dans ses hauts talons, le visage tourné vers le lit, elle comprit que le lit serait mister prochain but.

Mais, après un premier pas dans cette direction, il encercla sa taille de sa grosse main noire.

En un instant il la retourna la tête pendant vers le bas, il la maintenait à l'envers... La tête de Melinda à hauteur de sa bite turgescente, la sienne dans sa fourche juteuse.

C'était impensable, c'était la première fois qu'elle se tenait dans une position aussi acrobatique. Le sang affluant à sa tête, les bras pendant au sol, elle les tendit pour empoigner les fesses de mister sale bâtard de suborneur.

La suite l'épata encore plus lorsqu'elle réalisa qu'ils se trouvaient en position de 69 debout.

Elle dut rapidement admettre que ce pervers savait se servir de sa mangue alors qu'elle orgasmais à plusieurs reprises sous ses caresses labiales.

Elle réalisait d'après sa position et la façon dont le salopard lapait mister jus intime avec des "slurps" évocateurs que sa cyprine devait inonder sa chatoune embrasée.

Un flot de foutre épais et chaud s'écoulant dans sa gorge interrompit alors le fil de ses pensées.

Jetée sans cérémonie sur le lit, mister corps claquant sur le matelas, Melinda restait immobile les yeux rivés au plafond.

Elle surveillait le sergent Carter du coin de l'œil, qui se branlait machinalement, impatient de se replonger dans l'action.

C'est alors quelle fit entendre sa première protestation en affirmant :

- Seulement avec un préservatif! C'est le plus mauvais moment de baiser pour moi!

Bien sur la veille, dans les bras de mister mari, ils n'avaient pas employé de préservatif, mais il faut dire qu'elle aurait adoré que mister gentil mari l'engrosse!

Soulagée, Melinda le vit ouvrir un paquet de préservatif, sa bite agressive et potentiellement fertile fut alors recouverte de sa pellicule de latex.

Et lorsque le sergent instructeur de mister époux s'approcha du lit, Melinda obéit à sa demande :

- Ecarte tes somptueuses cuisses pour moi ma chère madame Benton! C'est entre tes cuisses que repose le sort de ton cornard de mari!


chrislebo

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#187
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Et, comme il s'agenouillait sur le lit se positionnant à mister aise, il lui enjoignit :

- Empoigne ma bite! Guide-moi dans ta petite fentine!

Tendant la main entre leurs deux corps elle attrapa sa bite gainée de latex qu'elle branla instinctivement avant de la presser contre l'ouverture de sa caverne affolée.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Se mit-elle à couiner, jamais sa chatoune n'avait été autant distendue et c'était vraiment très, très douloureux.

- Oh mon Dieu... C'est trop gros! Criait-elle affolée.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... haletait-elle d'une voix pleurnicharde alors que centimètre après centimètre il enfouissait sa grosse mentule dans sa chatte tuméfiée.

Les doigts accrochés au couvre-lit, Melinda réalisait qu'une énorme portion de bite restait encore à l'extérieur de sa chatoune, seul le tiers de sa monstruosité était enfoui en elle!

Ses larges mains lui bloquant les hanches il se recula légèrement avant de se ruer à nouveau en elle avec une violence extrême, elle hurla de douleur, il lui semblait qu'il venait de pourfendre sa foufoune en deux!

Alors que mister maître chanteur continuait à la baiser il informa Melinda :

- Je ne sens pas grand chose avec cette enveloppe de latex!

Soudain il arracha mister chibre de sa bouche, étourdi par cette nouvelle péripétie, Melinda écarquilla des yeux comme de soucoupes elle vit qu'il roulait la gaine de latex sur sa hampe tendue.

- Non... Non... Ne l'enlevez pas! S'écria-t-elle éperdue.

Pourtant quelques secondes plus tard elle avait les yeux rivés sur mister gland turgescent., il l'avisa alors :

- Tu vas goûter à ma bite dénudée ma chérie... Ne te tracasse pas pour si peu! Si je t'engrosse, comme cette vacation va durer un an tu pourras accoucher discrètement et abandonner ton bébé aux services d'adoption! Ton mari ne saura jamais rien de notre petit secret!

C'est à cet instant qu'elle avait commencé à sa débattre, tentant de le repousser ses deux mains rivées à ses épaules pour chercher ensuite à lui échapper.

Mais elle n'était pas de taille à vraiment se défendre contre ses assauts lubriques.

Il l'empoigna par les hanches et la cloua sur le lit et la pénétra de nouveau, mais cette fois de sa bite dénudée.

Comme la location de la chambre de motel se terminait à midi, Melinda s'était débrouillé pour dormir un peu pendant la nuit et une heure après le départ du sergent instructeur vers 10 heures 30.

Il lui avait semblé insatiable, réclamant de plus en plus de rapports au cours de la nuit et bien sur toujours sans la protection d'un préservatif.

De temps à autre il valait une pilule bleue qui faisait effet un quart d'heure après la prise.

Assise sur lui, empalée sur sa bite tendue, il lui semblait chevaucher un étalon courant un derby.

Puis à quatre pattes il avait voulu la baiser comme une chienne en chaleur... Et cela avait continué jusqu aux aurores où il s'était accordé une petite pause d'une heure.

Il l'avait baisée de façons inimaginables dans sa recherche de tous les plaisirs.

Il avait même gicla dans sa chevelure en éclatant de rire :

- Oh oui chérie... Quel bon shampoing nourrissant!

Des autre fois, alors qu'elle le masturbait d'une main habile, elle se rendit compte qu'il voulait lui gicler... En plein visage.

Le pire était advenu été lorsqu'il lui avait demandé à nouveau de se diposer à quatre pattes, elle pensait qu'il voulait la prendre à nouveau en levrette, choquée, elle l'avait senti engouffrer sa bite dans mister anus avant de la sodomiser longuement.

Ses hurlements de douleur avaient du s'entendre dans tout l'hôtel mais cela n'affola permisterne.

C'est à cet instant, après tous ces préliminaires où il l'avait amplement baisée gainé de latex, il était surtout intéressé par le fait de gicler dans ses profondeurs intimes... Droit dans mister utérus fertile!

Et Melinda ne pouvait rien faire pour l'en empêcher :

- Non... Non... S'il vous plait... Pas ça! Sortez votre bite... Sortez là! S'il vous plait... Le suppliait-elle misérablement.

Quelques secondes plus tard il se mit à grogner sourdement, mister corps fut secoué de spasmes nerveux signalant l'imminence de mister éjaculation.

En fait la semence brûlante l'emplissait déjà tapissant ses profondeurs internes.

Recevoir sa semence fertile en pleine intimité la faisait sangloter dévastée par l'offense et la peur de se retrouver grosse, pire encore, il s'était endormi allongé sur elle et elle était incapable de le repousser.

Ce bâtard s'était endormi sa mentule toujours emboîtée en elle ce qui lui interdisait de se ruer dans la salle de bain pour prendre une douche vaginale dont elle avait acheté un flacon, par précaution, en retournant au motel.

De retour aux baraquements, la recrue Benton fut tout surpris de voir mister sergent instructeur s'arrêter à coté de sa couchette pour échanger quelques mots avec lui.

Il lui confia :

- T'es vraiment un gars verni d'avoir une aussi ravissante femme! J'ai discuté un peu avec elle alors que tu démontrais tes talents... Elle se tracassait un peu de te voir partir au front mais je lui aie promis que je garderai un oeil sur toi pour m'assurer que tu rentres en une seule pièce chez toi.

Détendu par cet aimable échange de propos, lorsque mister sergent instructeur lui demanda s'ils avaient planifié une grossesse, Mark lui répondit spontanément :

- Eh oui... Nous aimerions fonder rapidement notre petite famille!

Le sergent Carter gloussa en lui tapotant le dos reprenant :

- Et vous avez essayé à 'l'Evergreen"? Je parierai mon dernier dollar que ton adorable femme est maintenant enceinte!

Quant à Kim Thornton et DeAnn Kawakami elles avaient toutes deux pris la navette qui les ramenait à l'aérodrome prendre leur vol de retour.

Lors de ces vols, les deux jeunes femmes retenaient leurs larmes en se replongeant dans la conversation qu'elles avaient eue avec le sergent instructeur de leurs maris pendant leurs démonstrations.

Kim réfléchissait au dramatique sort de mister mari, et DeAnn faisait de même avec celui de mister fiancé.

Le sergent Carter avait fait de claires allusions à la façon dont pouvait revenir leurs époux, soit en, soit dans un linceul.

Il avait ajouté que leur sort dépendait en grande partie de lui.

Elles s'étaient toutes deux figées dans un silence éprouvant lorsqu'ils les avait avisées :

- C'est moi qui choisis les missions des hommes de troupe et je sais très bien quelles mistert les missions pourries et les missions pépères! Les endroits sans danger et les endroits piégés!

Le jour de départ au front approchant, tous les soldats étaient consignés à la base, seuls les officiers et le permisternel instructeur pouvaient prendre des permissions.

Kim Thornton devait prendre sa décision, elle devait appeler la caserne et demander à parler au sergent chef Carter.

Elle devait libérer un week-end, Kim savait pertinemment ce qu'entraînerait l'acceptation de la proposition qu'il lui avait faite... Elle accepterait d'avoir des rapports sexuels avec le sergent chef Carter pour sauver mister mari d'une mort certaine!

Il en était de même pour DeAnn Kawakami, à la seule différence qu'elle devait attendre le jeudi suivant pour assurer l'avenir de mister mari.

Les larmes ruisselaient sur ses joues lors du vol retour, car elle savait très bien que si elle agréait mister infâme proposition elle ne serait plus vierge lorsqu'elle descendrait l'allée centrale de l'église le jour de mister mariage.

Quant à l'adorable madame Jennifer Brenner, ses angoisses s'étaient quelque peu apaisées grâce aux assurances que lui avaient données le sergent chef Carter.

Son mari lui avait lui-même exprimé sa stupéfaction de constater un tel instinct de survie dans les situations de combat, elle savait que si le sergent appliquait sa promesse de veiller sur lui il avait toutes les chances de revenir en vie, en une seule pièce.

Une semaine plus tard mister époux lui disait à quel point mister sergent devinait mystérieusement les endroits piégés et les endroits sans danger.

Bien sur il ignorait totalement que le sergent instructeur avait consulté les plans des manœuvres et savait donc pertinemment quels étaient les endroits piégés.

Ainsi, lorsque Jennifer Brenner reçu un appel du téléphone de mister mari deux semaines plus tard, elle eut la surprise de sa vie en entendant la voix du sergent chef Carter.

- Quelques nouvelles de votre mari madame Brenner... Il dirige une traversée de rivière et il m'a juste confié ses affaires permisternelles... Je vous appelle au sujet de la promesse que je vous aie faite le jour de la porte ouverte... Vous rappelez-vous ma promesse? L'entendit-elle l'interpeller.

- Bien sur Chef, et je vous en remercie! Répliqua-t-elle étonnée.

Puis était venue l'ignoble proposition émanant du sergent instructeur.

- Vous savez, madame Brenner, une promesse de ce type est très difficile à tenir! Bien sur si vous trouviez des motifs de vraiment me stimuler vous me conforteriez ans cette décision... Et je tiendrai plus sûrement ma promesse!

- Qu'entendez-vous par là Chef? L'interrogea-t-elle d'une voix rageuse.

Elle avala alors sa salive lorsqu'il répliqua :

- Le lieutenant Brenner est consigné sur la caserne ce week-end, il commande le peloton de garde! Cela lui prendra la totalité du week-end! Peut-être pourrions nous nous rencontrer au motel proche de la caserne pour discuter des propositions que vous me ferez pour que je veille sur votre mari pour qu'il revienne en vie du front!

Cela posait un sacré dilemme à Jennifer Brenner.

- Dois-je parler à Gary de ce coup de fil du sergent Carter? Comment un sergent instructeur peut-il faire des propositions aussi ignobles? A moi... Une femme d'officier! Se demandait-elle amèrement.

Mon Dieu, n'importe quel problème pourrait lui arriver si mister sergent cessait de lui indiquer les endroits piégés... Il pourrait délibérément laisser Gary s'enferrer... Le poussant à se faire tuer! Pensait-elle misérablement.

Elle trembla alors à la pensée de se rendre au motel pour discuter des privautés qu'elle accorderait à ce salopard de maître-chanteur, sachant pertinemment quel genre de faveur convoitait le pervers sergent chef... Il voulait la sauter! Frémit-elle de tous les fibres de mister être.

*

chrislebo

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#188
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Folies sur la Plage


C'était la dernière semaine que Chris passait avec Lisa e Dave en tant qu'invité.

Il avait déjà passé deux semaines de bon temps avec eux. Dave était un grand ami de mister père et il connaissait le couple depuis de longues an-nées.

Il avait passé beaucoup de temps à paresser autour de la piscine. Le so-leil était vraiment beaucoup plus chaud que lorsqu'ils étaient arrivés. C'était un des motifs pour lesquels il s'était allongé sur un transat, une bonne occasion de soigner mister bronzage.

Chris était un jeune homme de 26 ans sans aucun liens ni responsabilités, il était grand et beau avec un charme enfantin qui lui attirait les suffrages féminins.

Il était extraverti de coeur et ne s'embarrassait pas facilement d'entraves. Il savait faire rire les gens et était très à l'aise avec les filles de mister âge.

Curieusement, il était célibataire et l'avait été le plus souvent dans sa courte vie, mais cela ne regardait que lui. Il se contentait de jouir de la vie et se refusait à envisager mister avenir trop sérieusement.

Ces deux derniers jours, Chris s'était débrouillé pour amener Lisa à par-tager mister bain de soleil autour de la piscine, pendant une bonne paire d'heures, avant que les enfants ne rentrent de l'école.

Rien de tordu dans ses intentions, après tout il aimait la compagnie de cette séduisante mère de 43 ans et elle avait l'air elle aussi d'apprécier sa compagnie.

Lisa n'y faisait pas attention. Chris était ravi de la situation, il préférait nettement la compagnie d'une jolie femme à celle d'un mâle.

Malheureusement le mari de Lisa les avait quitté pour un voyage d'af-faire peu de temps après l'arrivée de Chris.

Par chance, elle se sentait plus en sécurité avec la présence de leur invi-té, Dave ne serait pas de retour avant une nouvelle semaine.

Elle avait téléphoné à Dave la nuit dernière, pour lui dire ce qu'elle avait fait ces derniers jours de congés payés et il en avait rigolé lui suggérant de porter mister bikini minimum il était sur que Chris ne cillerait même pas des paupières.

Dave pensait que Chris était peut être homosexuel.

Lisa avait négligé de dire à mister époux qu'elle s'était déjà risquée à le porter la veille à la piscine. C'était mister bikini le plus indiscret, une parure qu'elle réservait généralement aux seuls yeux de mister mari lorsque les enfants n'étaient pas dans les parages.

Elle n'était pas très sure de se rappeler exactement comment cela était advenu sauf qu'elle se sentait très peu inhibée en la présence de Chris et elle pensait que ce serait là une bonne occasion de parfaire mister bron-zage. Elle savait que Dave se réjouissait de la voir bronzée presque uni-formément et savait que cela lui plairait lorsqu'il entrerait.

Comme le soleil était cuisant elle avait demandé à Chris de lui étaler de la crème protectrice sur mister dos et ses jambes et elle lui en avait fait autant. Ce n'est que la veille qu'elle était apparue dévêtue de mister bikini minimum, Chris avait haussé un sourcil et s'était comporté comme de normal en étalant la lotion sur mister dos.

Lisa fut momentanément surprise lorsqu'elle sentit le liquide poisseux couler sur mister fessier alors que Chris se montrait toujours aussi efficace, comme si de rien n'était.

Naturellement, puisqu'elle était couchée sur le ventre, elle avait enlevé le haut de mister bikini, afin de minimiser les traces blanches sur mister bronzage. Elle se sentait à l'aise avec Chris, mais elle ne voulait pas pour autant pousser les choses trop loin.

Le troisième jour, elle suggéra qu'ils partagent une bouteille de bon vin, Chris n'était pas un fana de vin, il accepta ... Juste un verre ... Pour se montrer courtois.

Chris avait de nouveau étalé la lotion solaire sur le corps de Lisa alors qu'elle était allongée sur le ventre. Lisa l'avait senti à nouveau triturer mister fessier.

Elle ne pensait pas grand chose de cela ... Mais c'était bien agréable. Elle adorait justement que mister mari lui pelote vigoureusement la croupe, mais ce n'était pas si innocent que ce que Chris lui faisait.

Lisa se sentait un peu plus relaxée que de normal, mais elle était sure que Chris n'y prêterait aucune attention.

-"Après tout ..." pensait-elle - "Je suis chez moi ...."

Aussi après avoir profité du soleil pendant une vingtaine de minutes en écoutant Chris raconter ses aventures, elle décida de rouler sur le dos ..... Sans remettre mister soutien-gorge qui resta posé sur sa serviette.

Cette fois Chris se tint momentanément silencieux, mais juste à l'instant où elle s'était installée sur le dos.

-"Tu devrais rappliquer de la lotion ...." commença Chris d'une voix enrouée.

Ce devait être le vin.

C'était le premier véritable signe d'émoi qu'il montrait. Peut-être bien qu'elle était allée trop loin et qu'elle le mettait mal à l'aise! Mais c'était trop tard. Ce qui était fait était fait, elle exposait maintenant sa poitrine blanche aux rayons du soleil ..... Et Chris portait des lunettes de soleil.

Ce devait être le vin.

Chris se tut momentanément alors que Lisa faisait gicler la lotion sur mister ventre en étalant une bonne dose sur ses seins.

-"Je ne te gêne pas Chris?....." s'enquit-elle doucement.

-"Pas du tout Lisa, et puisque tu as un joli corps, pourquoi le cacher?..... Je suis heureux que tu te sentes assez en confiance avec moi pour te le permettre!...."

Lisa portait aussi des lunettes de soleil. Elle frotta l'épaisse lotion sur sa peau blanche et se sentit rougir légèrement lorsqu'elle sentit ses tétons darder sous le frôlement de ses doigts.

Elle espéra que Chris n'avait rien remarqué. ... Après tout elle ne pouvait pas en rendre responsable la froidure .... Il faisait au moins 29° à l'om-bre.

-"Oh cela ne signifie pas grand chose n'est ce pas!...." pensa-t-elle en mister fort intérieur.

Chris pensait sûrement que Lisa avait un très joli corps ..... Pour mister âge .... Hummmmm .... Il devait admettre que mister corps était bien plus beau que celui de bien des femmes de mister âge à lui!

Mais il n'en pensait rien de plus, c'était la femme du meilleur ami de mister père! Elle avait 43 ans, et lui que 26!

Mais il avait bien du mal à détacher les yeux de sa poitrine luisante et de ses tétons, ses tétons érigés. Il avait besoin d'un autre verre de vin.

-"Merci Chris, tu serais gentil de me servir moi aussi!... Juste un fond ...."

Il remplit leurs verres.

-"Chris ..." l'admonestra-t-elle gentiment.

-"Désolé, j'ai glissé!..."

Lisa se releva sur un coude pour boire mister verre de vin. Elle faisait face à Chris, lais elle n'aurait pas su dire s'il la regardait.

-"Et pourquoi le ferai-il? ..." pensa-t-elle apaisée.

-"Je suis presque assez vieille pour être sa mère!.... " se dit-elle avec raimister.

Mais il regardait ... Il observait attentivement. Il essaya de trier les pen-sées qui lui traversaient l'esprit.

-"Ne soit pas bête .... Cela ne veut rien dire pour elle .... Elle fait ça en toute innocence ......" soupirait-il en lui même.

Chris pensa alors à quelque chose il aimerait bien faire avant de retour-ner chez lui une paire de jours plus tard.

-"Lisa puis-je te demander une faveur?....."

-"Ca dépend quoi ......" répondit-elle se recouchant sur le dos yeux fermés.

-"Et de quelle taille serait cette faveur?....."

-"Tu connais cette ...... Cette plage en ville ...... Il parait qu'on y est très bien .... " avança Chris hésitant.

-"Hum ... Je ne suis pas sûre de penser à la même que toi!...."

-"Penses tu à cette plage pourrie de chiens?..... Où à cette autre pour nudistes?...."

-"Oui c'est bien à celle là que je pensais!.... La seconde ...." préci-sa-t-il la voix enrouée.

-"Et pourquoi me demandes-tu cela?....."

-"Aimerai tu y aller?.... Tu sais .... Juste pour voir ce qui s'y passe!...." demanda-t-il avec hésitation.

C'était le vin une bonne fois pour toutes.

-"Quoi veux-tu te mettre nu ou juste regarder?...." l'interrogea-t-elle doucement.

-"Eh bien, je ne sais pas .... Peut-être bien pour satisfaire ma curio-sité ... Comme ça pour rigoler!....

-"Tu n'es jamais allé sur une plage de nudistes?....." s'esclaffa Lisa.

-"Si ..... Mais juste les seins nus ...."

Chris lui adressa un grand sourire.

-"Tu es sérieux?...."

-"Tu m'emmènerai? .... Ca devrait être marrant!...."

-Il n'arrivait pas à y croire.

-Il remarqua le large sourire qui illuminait le visage de Lisa.

-Il nota aussi que ses mamelons étaient durs comme des cerises.

-Il ne put refréner le frismister qui lui parcourut la bite à l'idée de ce qu'elle venait d'accepter. Même s'il était déterminé à jouer jusqu'au bout les gentlemen.

Ils restèrent allongés tranquillement pendant une bonne demi-heure avant que Lisa ne se lève.

-"Je vais rentrer à l'intérieur, les enfants seront bientôt là!...." soupi-ra-t-elle contrariée.

-"C'est bon, ça marche ...." soupira-t-il en lui même alors qu'elle re-gagnait la maimister.

-Il lui tardait d'être le lendemain, il lui étalerait encore plus de lotion sur les fesses!

********************************

Il fallait parcourir une quarantaine de kilomètres pour gagner la plage en question, Lisa avait presque renoncé du fait de la distance.

Elle ne parvenait pas à comprendre pourquoi elle avait si facilement ac-cepté mister caprice.

Son mari avait déjà essayé de lui faire faire quelque chose dans ce genre quelques années plus tôt.

Elle n'était pas certaine quelle lui raconterait cela.

Mais si, elle lui dirait sûrement, ils n'avaient pas de secrets l'un pour l'autre. Après tous ce n'était là qu'une façon bien innocente de se distraire. Il ne penserait sûrement pas que c'était une entourloupe.

Chris avait suggéré de prendre du vin. Elle n'aurait sûrement pas du accepter, mais elle accepta, juste pour aider se relaxer, mais deux bouteilles?...."

C'était était encore une bonne journée ensoleillée. Pas un nuage au ciel. Il n'y avait pas grand voiture dans le parking gardé, peut être six ou sept. C'était une grande plage, quasi déserte.

Habituellement déterminé, Chris semblait légèrement angoissé comme ils descendaient le sentier sablonneux menant à la plage.

La plage était entourée d'une zone d'épaisse végétation tropicale qui la cachait de la route, malheureusement cela fournissait aussi un abri confortable pour des éléments indésirables ... Des pervers.

chrislebo

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#189
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Le sentier se rétrécissait encore avant de déboucher sur la grande plage.

Chris laissait courtoisement Lisa marcher en tête afin de lui éviter de se griffer aux ronces des buimisters s'ils avaient continué à avancer de front.

Il ne pouvait pas l'aider mais l'observait de derrière.

Ses rondeurs étaient dissimulées sous une courte mini jupe de jean et sa poitrine couverte par une brassière verte en dentelle.

Ses longs cheveux blonds cuivrés rougissaient au soleil, il pensa qu'elle était franchement attirante.

L'eau était d'un bleu azuré, la mer était calme. Il n'y avait un petit souffle de brise, Lisa jeta un regard circulaire pour dénicher la bonne place. Il n'y avait que trois autres couples en vue, Lisa aurait aimé y voir plus de femmes.

D'autant plus qu'elle avait remarqué que deux hommes les avait lon-guement suivi du regard.

C'est ce qui la décida, ils allaient remonter la plage d'une centaine de mètres sur leur droite.

Une fois ce point atteint, ils virent un homme d'âge moyen couché sur le dos entièrement nu, puis un couple de jeunes pas très loin de lui égale-ment nus, ils s'installèrent là.

-"C'est exactement comme je l'escomptais ..." commenta Chris alors qu'ils s'installaient entre eux couples à une cinquantaine de mètres d'eux.

Lisa prit une forte inspiration. Elle avait décidé de mettre mister bikini le plus minimum, une triangle de tissu de 5 cm de coté cachait mister endroit le plus intime et une ficelle entre les fesses.

Elle avait même pris une autre initiative, celle de ne pas emmener le soutien-gorge.

Ils étalèrent leurs draps de bains et s'assirent, Chris sortit immédiate-ment une bouteille de vin frais de la glacière, l'ouvrit et en versa deux verres.

Lisa prit le verre qu'il lui tendait et en avala une bonne rasade, quelques secondes plus tard elle termina mister verre.

-"Et maintenant nous y sommes ..." énonça-t-elle gênée

-"Qu'en penses-tu?...."

-"Tout est comme je l'espérais .... Une jolie plage .... L'eau semble bonne ..... Je pourrai garder ma brassière ...."

-"Tu fais comme tu le veux ..... Relaxe toi encore un peu et nous verrons bien .... Un autre verre de vin?...."

Lisa remarqua alors qu'elle avait vidé mister premier verre. Elle se sentait nerveuse.

Chris semblait heureux de vivre ... Comme d'habitude. Il retira prestement mister short et Lisa se réjouit de voir qu'il portait un maillot de bain en dessous.

D'une lampée elle but la moitié de mister deuxième verre.

Chris étalait la lotion sur mister buste et ses bras.

Lisa parcourut la plage du regard. Elle pensa que tout était calme, paisi-ble. Le vin lui tournait la tête, elle était un peu grise.

-"Allons y ..." se dit-elle en elle même en remontant sa serviette.

Elle déboutonna les 2 malheureux boutons, descendit la fermeture éclair de sa micro jupe et la fit glisser sur ses chevilles.

Elle jeta un oeil rapide sur Chris et se réjouit de constater qu'il ne la re-gardait pas.

- "C'était facile .... " elle but une nouvelle lampée de vin.

Après quelques minutes, Chris lui demanda si cela la gênerait qu'il en-lève mister maillot de bain.

Lisa reposait sur les coudes jouissant de la chaleur. Chris jeta un oeil sur elle et nota qu'elle portait un nouveau string ficelle.

-"Wow ... Elle est franchement magnifique ...." pensa-t-il à la vue du petit triangle blanc qui s'efforçait de cacher ses trèsors intimes.

-"Ca ne te gêne pas? .... " demanda-t-il.

-"Fais ce que tu veux ... Je n'y prête aucune attention!..." répliqua-t-elle d'une voix nonchalante.

Chris était déterminé à l'enlever, il avait lui aussi terminé mister second verre de vin, il se redressa et en leva mister boxer face à Lisa.

Lorsqu'il ôta mister maillot, Lisa ne put s'empêcher de reluquer ses fesses fermes et immaculées. Elle vit fugitivement sa bite pendant entre ses suisses et détourna le regard gênée. Chris se rassit et roula sur le ven-tre.

-"Lisa? ...."

-"Oui?...."

-"Me feras-tu l'honneur?...."

-"Que veux-tu dire?....."

Il lui tendit la fiole de lotion de bronzage, elle fit une grimace.

-"S'il te plait!....'"

-"Bon, allons y ...."

Lisa ne comprenait pas pourquoi elle faisait cela, elle étalait une couche de lotion solaire sur le corps d'un jeune homme ..... Ce corps ferme et nu .... En public, sur une plage nudiste!

Il avait tourné la tête vers elle, elle ne pouvait cependant pas voir ses yeux cachés sous ses lunettes de soleil, elle supposa qu'il l'avait reluquée alors qu'elle s'agenouillait à mister coté. Ses genoux étaient légèrement ouverts afin de lui procurer une position plus stable, elle était très consciente qu'un minuscule bout de tissu cachait sa chatte alors qu'elle le contournait en appliquant la crème.

Il avait remarqué à quel point elle était peu couverte.

-"Ca te vas? ..." demanda-t-elle.

-"T'en as oublié un peu Lisa ....."

-"Ton derrière?...."

-"Tu veux que j'étale de la lotion sur tes fesses?...."

Chris ne répondit même pas.

Lisa soupira et se mit en position, puis après un nouveau coup d'oeil circulaire, elle couvrit rapidement ses fesses fermes de lotion et entreprit de les masser efficacement, une fois sa tâche terminée, elle lui décocha une claque amicale sur la fesse gauche.

-"Voilà c'est fait!..."

-"Merci "

-"A mon tour maintenant!...."

-"D'accord, allons y ..."

Lisa se sentait plus à mister aise maintenant, le vin la désinhibait.

Sans cérémonie, lui tendant ses fesses elle lui tendit la lotion et s'allon-gea sur le ventre. Chris l'avait déjà enduite de lotion solaire chez eux, aussi ne craignait-elle absolument pas de lui livrer mister dos et ses fesses.

Ce à quoi elle ne s'attendait pas, c'était d'avoir ses attributs sous les yeux lorsqu'il s'assit pour débuter sa tâche.

-"Oh là là!.... " pensa-t-elle en elle-même.

-"Il est drôlement bien monté!....'

Elle détourna la tête après mister bref coup d'oeil sur sa grosse bite.

-"Que vais-je penser là?....."

-"Oh que cela fait du bien!...." soupira-t-elle alors que Chris lui frot-tait le corps.

-"C'est vraiment exquis!..."

C'est le vin qui la poussait à dire ces paroles.

Il en était arrivé à mister mignon petit cul, Lisa tourna la tête sur le coté lorsqu'il s'agenouilla.

Elle aussi portait ses lunettes de soleil, il semblait accorder une attention plus grande à cette partie de mister anatomie que les autres fois alors qu'ils étaient autour de la piscine. Elle lui jeta un regard attentif. Il était age-nouillé il était posté de profil mais lui faisait plus ou moins face.

Les yeux de Linda étaient presque exorbités, elle ne parvenait pas à arracher mister regard de sa grosse bite à moins de trente centimètres de mister visage.

Elle n'était plus aussi flaccide ...... Visiblement, quelque chose l'émou-vait. Sa grosse bite circoncise était en semi érection .... C'était la plus grosse bite que Lisa ait jamais vue!

Chris faisait de mister mieux pour ne pas paraître trop excité, mais cela de-venait incroyablement difficile.

Il chercha à penser à d'autres choses tout en étalant la lotion solaire sur le corps de Lisa.

Il espérait qu'elle n'avait pas remarqué que sa bite se déployait, il s'éloi-gna un peu pour cacher le motif de mister embarras.

-"Un peu sur mes mollets et ce sera tout Chris " balbutia Lisa dé-tournant les yeux de sa bite.

Elle sentit la lotion s'écouler sur sa jambe droite, puis la main de Chris commença à l'étaler de ses chevilles aux mollets. Lorsqu'il atteignit le revers des ses cuisses, il s'arrêta et reprit de la lotion solaire, Lisa sentait sa main progresser le long de l'intérieur de ses cuisses frôlant sa cha-toune, par pur réflexe elle écarta légèrement les cuisses.

Chris voyait clairement les coulées de lotion et de la main gauche il cessait leur progression et étalait correctement ce surplus de crème. Il faisait bien attention de ne pas friser mister minuscule bikini.

Mais par accident ...Cela arriva. Alors qu'il terminait la jambe droite de Lisa, la main gauche insérée entre ses cuisses ... Il la toucha ..... A cet endroit, juste un peu, très légèrement .... Du revers de ses doigts qui avaient dérapés et imperceptiblement frottés contre sa fente ..... Il sentit mister sursaut instantané ..... Mais elle ne dit rien!

-"Ooops désolé ...." s'excusa-t-il suavement.

-"Désolé de quoi?....." lui demanda-t-elle dolente.

Bien sûr elle avait remarqué le léger incident. Elle en avait ressenti comme un électrochoc et s'en était effarouchée, mais elle ne voulait pas en faire un plat et elle avait décidé d'ignorer cet incident.

-"De ne pas faire suffisamment attention à mes gestes!..." répliqua-t-il embarrassé.

A coup sur il reluquait ses charmes, mais ce contact était totalement in-nocent et fortuit.

Lisa était maintenant beaucoup plus consciente de ses gestes alors qu'il s'attaquait à la jambe gauche, elle souhaitait presque qu'il commette la même erreur, mais à quoi pensait-elle donc encore!

Elle avala une nouvelle goulée de vin.

Que le blâme retombe sur le vin!

Il s'approchait de sa chatte ... si près ..... Elle était certaine qu'il allait à nouveau lui frôler la chatte accidentellement ... Ses doigts la frôlaient ..... Ils passaient très près ... L'effleuraient ..... Plus longuement que néces-saire ...... Mais il ne la toucha pas cette fois!

chrislebo

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#190
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Aujourd'hui en se promenant sur la plage ils avaient noté la présence d'un nouveau couple.

Un grand jeune homme et une femme svelte, mature, portant une mini jupe de jean, la femme avait de longs cheveux blonds soyeux qui retom-baient en cascade sur ses épaules. Ses cheveux étaient plus blonds que le miel.

Les deux hommes épièrent le nouveau couple qui hésitait, cherchant un endroit où se poser.

C'était un peu dur à deviner, mais Gus pensait que la femme devait être plus âgée que le jeune homme, peut-être bien une trentenaire.

Enthousiasmés, les deux hommes guettaient le coin où ils s'installèrent à quelques pas de l'eau. Ils les virent se partager une bouteille de vin, et ils virent le jeune homme ôter mister short.

Lorsque la jeune femme se dépouilla de sa jupe ils réalisèrent qu'elle avait gardé un string ficelle sur elle et le soutien-gorge coordonné. Ils auraient aimé s'approcher pour s'assurer un meilleur point de vue, mais ils décidèrent finalement de rester en place.

Ils n'eurent pas à attendre très longtemps pour voir le jeune homme se débarrasser de mister maillot et se saisir de lotion solaire pour en enduire sa compagne allongée sur le ventre qui avait enlevé mister soutien-gorge.

Le spectacle devenait plus excitant.

Gus et Stumpy se partageaient une canette de bière leur attention en éveil. Ils étaient tout surpris que le couple n'ait pas senti qu'il était obser-vé, peut-être bien que l'ombre les cachait vraiment.

Ils virent soudain la femme bondir. Ils virent alors que le jeune homme faisait glisser mister cache-sexe le long de ses cuisses jusqu'à ses chevil-les.

- "Dommage qu'on ne soit pas un peu plus près d'eux ..." grommela Stumpy

- "Elle regarde par ici!...."

Ils virent ensuite le jeune homme se diriger en se marrant vers l'eau alors que la femme le regardait l'oeil sévère.

-"Je suppose que c'est mister jeune amant!.... " dit Gus à mister ami.

-"Probablement, il a du cul ce jeune con," répondit tranquillement Stumpy observant la femme appliquer une nouvelle couche de lo-tion solaire sur ses jambes.

La canette de bière vide, Stumpy se leva disant à Gus :

-"Tachons de trouver une planque plus près d'eux!.... Peut-être bien qu'elle va nous montrer un peu sa petite chatte!..... Quelle sa-lope!...."

Stumpy n'avait pas grande considération pour les femmes ces derniers jours. Sa pute de bergère avait tout emmené en le quittant pour un autre plusieurs années plus tôt. Pas que ça l'ennuya outre mesure.

Il avait bien trop joué une fois marié.... Il avait travaillé très dur pour s'en sortir, mais avec impudence elle l'avait trompé avec un client plus grand et plus fort que lui.

Ils haïssaient les femmes depuis ce jour. Il cherchait toujours à prouver qu'elles étaient toutes les mêmes ... Peu importe comment!....

Il aimait celles qui disaient non, ils leur donnaient un bon coup de bite et elles repartaient toutes enamourées. C'était toutes des salopes pensait-il et il aimait les traiter en salopes.

**************************************

Chris remarqua les deux hommes serpentant pour les mater avant que Lisa ne les aperçoive. Il était encore à 50 mètres de là alors qu'ils appro-chaient dangereusement l'endroit où Lisa était étendue. Chris voyait que Lisa était sur le dos, jambes courbées. Il mistergea un instant à lui hurler un avertissement mais il ne voulait pas faire de scandale.

Chris se rendit compte que le regard de ces hommes était insistant, ils étaient tous deux largement tatoués, l'un d'eux arborait un short de foot alors que le plus grand, un jeune homme musclé, portait un jean.

Ils avaient les yeux braqués sur Lisa, visiblement oublieux de leur proxi-mité.

Lisa était allongée sur le dos dolente, le soleil chauffait sa peau, elle somnolait béatement. C'était une bonne journée d'été chaude et sèche, tempérée par un petit vent frais venu du large.

Le vin l'avait totalement désinhibée, et elle aimait cet état de béatitude dans lequel elle flottait.

Les deux hommes n'étaient plus qu'à quelques mètres d'elle, ils ado-raient le spectacle qui leur était offert. Il était difficile de lui donner un âge avec sa brassière en dentelle dissimulant mister visage.

Ils notèrent qu'elle avait un anneau d'or dans le nombril et un petit ta-touage représentant un oiseau de paradis sur la cuisse droite.

Puis Stumpy remarqua l'alliance à sa main gauche posée en travers de ses cuisses à proximité de mister cache-sexe quasiment transparent. Ce n'était sûrement pas une sainte nitouche ... Encore une salope!....

- "Bonjour M'dame ..." lui dit Gus affichant une certaine convoitise. Ils la reluquaient avec instance tout ralentissant leur allure.

Effarouchée, Lisa ouvrit les yeux, cependant elle les distinguait à peine au travers des dentelles de mister soutien gorge posé sur ses yeux.

Les yeux des deux pervers serpentaient sur le corps dénudé de Lisa, ils pouvaient voir les pointes de ses seins dardées ..... Ils avaient d'ailleurs un point de vue imprenable sur mister entrecuisse.

Ils trouvaient d'ailleurs bien plus érotique qu'elle porta ce triangle insigni-fiant laissant tout deviner de ses charmes plutôt que d'exposer mister sexe dénudé aux yeux de tous.

Ils auraient cependant aimé en voir plus ..... Peut-être bien que ce serait possible ..... espéraient-ils la reluquant comme des chiens affamés contemplant un os à moelle.

- "N'y pensez même pas ...." grogna-t-elle furieuse devinant leurs pensées lubriques.

- "Loin de nous de tels idées ..." enchaîna Stumpy railleur.

Maintenant qu'il la voyait de plus près, à visage découvert, il lui donnait 35 ans, peut-être un peu plus!.... Elle lui rappelait mister ex femme ... Même stature ... Mêmes tétons dardés ..... Certainement un con aussi délicieusement étroit ....... Et pour couronner le tout elle portait les mê-mes micros bikinis qu'arborait mister ex compagne.

Lisa se couvrit la poitrine avec sa brassière et referma prestement les cuisses, mais c'était un petit peu trop tard, ils avaient eu le temps de contempler ses charmes.

- "A se revoir ma petite dame ..." ricana Stumpy alors qu'ils pas-saient devant elle.

- "Enculés ...." murmura Lisa dans leur dos.

Stumpy jeta un oeil sur le jeune homme qui s'approchait à grandes en-jambées.

- "Ouai ... Il est très jeune .... T'as sûrement raimister ..." souffla-t-il à Gus.

- "Je suppose que ce n'est sûrement pas mister époux!..... La salope .... Tu penses qu'on pourrait se faire cette salope ..... " s'enquit Gus railleur.

- "Ben ... Je crois bien ..... Sûrement même si Larry était là .... " s'esclaffa Stumpy dédaigneusement.

*************************************

Lisa s'approchait de Lisa qui était toujours assise surveillant les hommes qui s'éloignaient en traversant la plage se dirigeant vers le sentier perdu dans les arbres.

-"Ca va?...... T'ont-ils ennuyé?....."

-"Ca va .... Juste une frayeur ... Je somnolais ..... Comment est l'eau?....."

Elle réalisait que sa bite avait diminué de volume

-"Un peu froide?..... " lui demanda-t-elle avec une certaine impu-dence.

-"Juste un peu fraîche!... Tu veux partir?....." la questionna-t-il s'emparant de mister drap de bain pour se sécher.

-"Hummmm ... Non pas encore .... Ces rats viennent de partir dans cette direction .... En outre nous devons terminer la deuxième bou-teille!..... On ne va pas la gaspiller tout de même!....."

Lisa laissa retomber sa brassière sur le sable et tendit la main vers Chris qui remplissait les verres, elle le saisit et additionna le vin de quelques glaçons.

-"C'est un bon plan Lisa, merci," commenta-t-il en lui tendant mister verre.

-"C'était assez pénible ..... On aurait dit des oiseaux de mauvaise augure!.... Bah, j'ai déjà vu bien pire!...... Pense à la tête de ton père et de mon mari lorsqu'ils veulent être respectés!....."

Elle avait probablement raimister, mais étaient-ils vraiment en sécurité?

Lisa engloutit la moitié de mister verre et interpella Chris :

-"J'ai envie de piquer une tête maintenant, m'accompagnes tu?....." oubliant l'épisode fâcheux.

Chris aurait bien voulu, mais mister érection trop visible le gênait.

-"J'en sors ... Tout à l'heure peut-être ....."

Lisa ne voulait pas que Chris pense qu'elle était une poule mouillée, ils avaient bien le temps de rentrer, mister fils était parti en randonnée pour les deux jours à venir et sa fille devait aller chez une amie après ses cours de gymnastique, elle aimait cette liberté qui lui échoyait brusque-ment.

Chris observait avec attention Lisa qui descendait vers les vaguelettes mouillant la plage. Elle exagérait le mouvement de houle de ses hanches adoptant une démarche chaloupée des plus provocatrices. Chris en oublia totalement les deux pervers.

Mais elle m'allume pensa-t-il échauffé tout en admirant mister petit cul tout rond qui chaloupait gracieusement.

**************************************

Larry la reluquait en compagnie de ses deux copains. Il venait de les re-joindre dans leur cache broussailleuse.

Ils observaient attentivement le couple évoluant sur la plage La plupart des baigneurs était partie, il ne restait plus qu'eux en cet instant précé-dant la tombée du jour.

-"Que comptes-tu faire Larry? ...." demanda Stumpy au grand gail-lard maigre.

-"On pourrait peut -être s'la faire?....."

Ils se préparaient à partir tous trois vers l'ouest .... Pour changer d'envi-ronnement!

Un peu de distraction avant de partir ne leur ferait pas de mal. Ils avaient déjà fait ce genre de choses auparavant et s'en étaient bien sentis, c'étaient toutes des putes comme le proclamait Stumpy!

-

-"Très bien, ouvrez grand vos oreilles, voila comment on va s'y prendre!...." Stumpy leur exposait mister plan.

***********************************

Appuyé sur les coudes Chris observait maintenant Lisa émerger des ondes. Ses cheveux étaient pratiquement secs, elle n'aimait pas es mouiller.

Il regrettait de ne pas l'avoir accompagnée dans l'eau et était sur le point de la rejoindre, lorsqu'il vit qu'elle sortait de l'eau.

Lisa semblait plus détendue maintenant et, tandis qu'elle revenait vers lui, elle cambrait le buste et rentrai le ventre ce qui faisait ressortir sen-suellement ses beaux nichons.

C'est avec une certaine nonchalance qu'elle s'étendit à ses cotés.

Au travers de ses lunettes de soleil qui cachaient mister regard, elle cons-tatait mister impact sur le jeune homme qu'elle voyait de face.


chrislebo

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#191
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-"Un peu froid?.... " lui demanda Chris.

-"Ha, ha , ha ..." éclata Lisa comprenant ce qu'il suggérait.

Regardant ses nibards, il réalisa qu'ils se tenaient droits, sans fléchir, Chris n'était pas un expert mais il supposait qu'elle mettait des bonnets C. Il ne pouvait s'empêcher de noter que ses nibards étaient durs comme la pierre.

Il parcourut mister anatomie des yeux, wow, le petit triangle de tissu sensé couvrir sa chatoune était transparent, au travers de ses lunettes de soleil il regardait fixement sa toimister à quelques centimètres de ses yeux.

Il distinguait clairement sa petite fente au travers du ornant sa chatte. Il sentit le feu s'allumer dans ses reins.

Lisa remarqua mister regard alors qu'elle s'étendait.

-"Chris serais tu un de ces pervers? ...."

- "Je pense que non .... Mais peut on me blâmer d'admirer tes for-mes féminines si parfaites?.....

-"Hummmmm ..." Lisa baissa mister regard sur lui et vit la brusque ré-action de sa pine qui se déployait.

Elle lui sourit ironiquement, elle avait tout fait pour l'allumer, et ça marchait!.... Il était bien dans mister intention de continuer dans cette voie, elle se pinça les lèvres pour ne pas exploser de rire lorsqu'il roula sur le ventre.

Ils finirent la bouteille de vin en admirant le superbe coucher de soleil, et décidèrent de quitter les lieux avant qu'il ne fit trop noir.

Lisa se sentait détendue à demi nue en compagnie de ce jeune homme qui la convoitait. Elle se demandait si elle parlerait un jour à Dave de cette petite aventure.

-"Peut-être bien .... Mmmmmmm ... Probablement, je ne pense pas qu'il en prendra ombrage ....." pensait-elle en elle même alors qu'ils se rhabillaient et remballaient les restes de leurs agapes.

chrislebo

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#192
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Il faisait noir maintenant. Gus alluma une cigarette légère, fouilla les lieux et trouva enfin une petite lampe à gaz qui pendait dans un coin de l'appentis, il l'alluma cela éclaira immédiatement l'aire autour du matelas d'une douce lumière.

Larry allongea Lisa sur le dos, il la meurtrit en l'ui ouvrant de power les cuisses. Il s'était débrouillé pour retrousser sa jupe au dessus de sa taille et glissait une main exploratrice dans mister cache sexe.

- "Laisse toi faire salope .... Montre toi docile ... préférerais-tu te faire violenter?......" grommela Larry à mister oreille.

- "On peut faire ça gentiment .... ou ... te vulgariser ... A toi de choisir mon petit sucre!...."

Lisa cherchait désespérément à le repousser. Elle voyait ses deux com-parses assis qui regardaient Larry la peloter impitoyablement.

- "Non ... Je ne veux pas faire ça ...... Laissez nous partir, s'il vous plait ..... Je vous en prie Je ne veux pas baiser avec vous .... Avec n'importe lequel d'entre vous!...." les implorait-elle frappant Larry de ses petits poings.

- "Tenez lui les mains les gars ..... Avant qu'elle ne me lacère le dos ..... " grogna Larry.

Chris se sentait désolé de ne pouvoir intervenir. Il ne pouvait qu'assister impuissant à la scène se déroulant sous ses yeux.

Bien q'étroitement entravé, il continuait à se débattre dans l'espoir de se libérer.

Il était sur que deux des agresseurs étaient ces hommes qui avaient importunés Lisa quelques heures plus tôt sur la plage.

Il avait une excellente mémoire visuelle, et il était déterminé à mémoriser chaque trait de leurs trois assaillants pour les décrire clairement aux ins-pecteurs plus tard.

Il les avait clairement entendu clamer leurs intentions, visiblement ils avaient programmé de violer Lisa.

Silencieusement, il espérait que Lisa se résigne de peur de les voir s'en prendre violemment à elle.

******************************************

Larry n'avait pas pu tirer mister coup, ces dernières semaines, pas depuis ce jour où ils avaient été retrouvés ivres derrière la vieille église en ville.

Ca avait été facile, trop facile juste une paire de cannetes de bière et cette femme noire s'était fait baiser par Stumpy et lui alors que mister petit mari blanc ivre mort ronflait à leurs cotés.

Son con était aussi large qu'un seau se rappelait-il grossièrement. Il était heureux de disposer de capotes, il avait peur que cette salope de fe-melle soit porteuse de MST.

Cette femme qui se débattait actuellement entre ses bras avait beaucoup plus de classe, c'était une femme mariée, attrayante, svelte et propre.

Un peu pus vieille qu'il l'avait supposé de prime abord, mais c'était bien ainsi. Il avait décidé qu'il la baiserait à cru, qu'il la remplirait la chatte de sa semence. Il était encore plus excité à cette idée.

Lisa ne pouvait plus bouger ses bras maintenant, le petit gros lui tenait fermement par les poignets au-dessus de la tête.

Elle lutta encore quelques instants résistant à l'homme sui s'était étendu sur elle alors qu'il cherchait à lui écarter les cuisses.

Dans la bagarre, sa brassière avait remonté au dessus de sa poitrine et elle sentait que l'un d'eux lui pelotait sauvagement les nibards.

Elle tourna la tête de coté et ferma les yeux alors qu'une main fureteuse repoussait la ficelle de mister string sur le coté.

Elle maintenait ses cuisses aussi serrées qu'elle le pouvait l'une contre l'autre, mais un doigt impatient se mit à parcourir sa fente livrée la lubricité de mister ravisseur, entrouvrant ses babines gonflées.

Elle avait des crampes dans les jambes à power de crisper ses muscles, c'était à hurler.

L'homme allongé sur elle était trop fort pour elle, et elle ne put lui résister bien longtemps, bientôt contrainte à écarter les cuisses en grand.

Larry jubilait, mister érection grandissait, la salope avait la chatte rasée.

Ses babines étaient douces et certainement humides .... il aimait la ma-nière dont elle tentait de ses défendre.

Il se glissa entre ses cuisses ouvertes, il se trémoussa pour libérer sa queue de mister short et se débrouilla pour rouler mister short sur ses fesses avant de se replacer en bonne position.

Par tous les Dieux, il ne pouvait plus attendre plus longtemps!

Elle le sentait tâtonner à l'orée de sa féminité, puis frotter sa bite de bas en haut dans sa fente. Lisa crispa ses muscles vaginaux aussi étroite-ment que possible pour l'empêcher de la pénétrer, bien qu'elle sache que la suite était inévitable. Il allait la powerr, elle ne pouvait qu'espérer cela irait vite.

Gus voyait les muscles du cul nu de Larry se crisper et se crisper au dessus de sa partenaire.

- "Elle est bonne? ... Tu te régales?...." interrogea-t-il excité comme un poux.

Gus n'avait jamais de choses de ce genre auparavant; tout cela lui sem-blait irréel, trop facile en quelque sorte.

Il continuait à lui malaxer les nichons, il pensait qu'elle avait vraiment de ravissants nibards, doux, fermes ses tétons étaient étonnamment durs.

Il espérait que Larry jouisse rapidement pour qu'il puisse prendre mister tour, il pensa brièvement à sa petite amie, il elle était moins bine que leur proie, bien qu'elle soit beaucoup plus jeune que cette garce, elle était bien moins jolie et trop enrobée.

- "Relaxe toi salope ..." lui conseilla Larry continuant à la powerr.

- "Je vais te baiser comme ça; longuement ... Jusqu'au moment ou tu te mettras à participer!...." lui grogna-t-il à l'oreille.

- "Elle est drôlement étroite les mecs!..... Je vous dis que ça!.... Mais elle ne le sera plus très longtemps!..... Je vais bien l'élargir!..... " répondit-il hilare à Gus.

Lisa sentait ses doigts lui écarter les babines, elle avait crié lorsqu'il était imposé dans sa chatte. Il la baisait rudement depuis un bon moment, ses muscles se détendaient peu à peu, mister corps se relaxait.

Larry extirpa mister doigt de sa fente et le fit sentir à Gus. Ses flagrances embaumaient l'air environnant.

Gus gloussa de plaisir, ce serait bientôt à mister tour de la posséder.

Larry remit à la main à sa fente pour s'aider à la maintenir béante, il sen-tait sa résistance s'effondrer.

Il continuait à la fourrer âprement de sa grosse bite turgescente allant et venant efficacement dans sa cramouille qui s'embrasait peu à peu.

Lisa sentait mister haleine dans mister cou. Elle puait la bière éventée.

Elle était consciente de la taille du gland qui fouillait les replis de sa fente, Larry extirpa sa bite et adopta un autre angle d'attaque. Il sentait mister jus suinter de sa chatte et lubrifier lentement le passage.

Larry tendit le bras pour saisir sa jambe droite à hauteur du genoux, puis il la força à la courber et parvint ainsi à lui ouvrir plus largement les cuis-ses. Cela suffirait certainement.

- "Calme toi .... Tu vas aimer ça .... N'est ce pas ... Hey?....."

- "Nonnnnn .... Arghhhhhhhh ..... Nonnnn ..... Mmmmmm ..." gémis-sait Lisa affolée.

Elle sentait progresser graduellement, il la pénétrait de plus en plus pro-fondément.

Jambes repliées, elle ne pouvait plus retarder l'effraction de mister utérus.

Il hésita quelque peu, puis trouvant le bon angle, il poussa la pénétrant plus aisément cette fois, à power de rudes tripotages elle avait secrété suffisamment de cyprine pour que mister conduit soit correctement lubrifié.

C'était la première fois depuis bien des années qu'un autre que mister mari vissait sa bite dans sa chatte.

Elle tenta de ne pas faire de comparaimister, mais la bite de mister assaillant s'avérait vraiment hors norme, ça elle en était certaine.

- "C'est ça ma petite salope .... C'est pas si mauvais .... C'est .... Hmmppppp ...... " murmurait Larry à mister oreille alors qu'il s'en-fouissait entièrement dans sa chatte accueillante.

- "Elle est drôlement chaude .... Les gars .... Une vraie fournaise .... Je suis enfoncé à fond dans sa chatte jusqu'à la garde..... Ohhh yeahhhhhhhh ..... " avisa-t-il ses copains tout en commençant à la labourer lentement.

***********************************

Chris s'efforçait de ne pas regarder, il ne voulait pas voir ce spectacle dont il était témoin.

Le grand gaillard allongé entre les cuisses de Lisa s'était relevé sur les genoux et le forait en profondeur.

Chris entendait ses comparses rire à gorge déployée en encourageant leur copain qui la travaillait d'amples coups de boutoirs.

La rage de Chris était intense, mais il était impuissant, il ne pouvait faire cesser leurs infâmes assauts.

Il ne pouvait qu'espérer que Lisa ne soit pas trop traumatisée et meurtrie. Il pouvait à peine se redresser pour mieux entendre les misters qui provenaient du couple en pleine copulation. Chris percevait nettement le bruit des chairs s'entrechoquant, ainsi que celui des coulissements dans mister vagin lubrifié.

Il ne pouvait pas non plus ignorer ses grognements qui correspondaient aux efforts frénétiques de mister violeur. Chris aurait voulu leur crier de ne pas la blesser, mais la bande adhésive le bâillonnant lui interdisait de proférer le moindre mister.

****************************************

Lisa sentait mister chevaucheur augmenter le rythme de ses allées et venues, elle savait qu'il était prêt de conclure, elle se réjouissait que cela n'ait pas pris trop longtemps, peut être bien quelques minutes au plus.

Sa respiration devenait plus rapide, il se redressa cherchant à poser ses chevilles sur épaules pour parfaire ses pénétrations, c'était assez dou-loureux.

Il s'enfonçait un peu trop profondément dans sa chatte et elle lutta pour diminuer l'amplitude de ses coups de boutoirs. Elle leva les yeux et vit qu'il jetait la tête en arrière en mugissant mister plaisir.

Lisa était vaguement consciente des grognements qu'elle poussait involontairement à chaque âpre intromission dans sa fente distendue.

- "S'il vous plait ..... Arghhhhhhh ... Ne ..... Ne jouissez pas ... Ne me jouissez pas dans la chatte ..... " l'implorait Lisa haletant entre deux coups de boutoirs powernés.

Cette supplique ne fit qu'éperonner Larry.

- "Comme si j'allais me passer de gicler dans sa chatte!....."pensa-t-il ironiquement

- "Ouai ... Bien sur .... Ne te tracasse donc pas ....." rigola-t-il railleur, la bourrant de plus en plus vite alors que mister plaisir grandissait.

Quelques moments plus tard il éjacula profondément fiché dans mister uté-rus.

- "Oh ... Oui .... Que c'est bon ... Prends ça .... Oui ..." grogna-t-il sourdement tout en éjaculant à gros bouillon dans sa fente asser-vie, se soulageant de la pression qui lui broyait les burnes.

chrislebo

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#193
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Lisa ferma les yeux étroitement, elle sentait la bite de ce salaud se déployer dans sa chatte puis projeter des giclées de semence chaude jusqu'au col de mister utérus.

- "Bâtard ... Salaud ..... Nonnnnn .... Ne faites pas ça ....... Mmmmmmmm ...S'il vous plait ........ Nonnnnnn ..." pleurnichait-elle secouant frénétiquement la tête.

Elle était à peine consciente que Gus avait embouché ses tétons qu'il mâchouillait sournoisement. Stumpy lui pelotait mister autre nichon lui en pinçant le mamelon.

L'orgasme de Larry prit enfin fin, il permit à Lisa de replier ses jambes pour adopter une position plus confortable et s'effondra sur elle. Il était toujours emboîté en elle et savourait les contrecoups de mister orgasme.

Elle était vraiment bonne!

Le plus joli petit con qu'il ait baisé depuis longtemps!

Elle ne se défendait même plus à la fin!

Il jeta un oeil sur sa bite toujours engagée dans sa chatte. même dans la clarté diffuse émise par la lampe à pétrole il distinguait clairement la mince raie de poils surmontant sa fente, sa jupe était retroussée autour de sa taille et mister cache sexe blanc écarté livrant entièrement sa fente à sa convoitise.

Elle semble plus coopérante maintenant pensa-t-il, ses copains n'au-raient aucune difficulté pour lui fourrer leurs bites dans la chatte.

- "Relève toi mec ... C'est mon tour .... Alors tu te relèves où t'es tombé amoureux de cette salope ou quoi?..... " s'impatientait Gus.

Larry extirpa doucement sa grosse bite de sa chatte tout en la regardant fixement. Elle avait tourné la tête de coté et grimaçait les yeux étroite-ment fermés. Larry baissa les yeux sur sa chatte béante et remarqua quelque chose qui luisait dans la lumière tremblante.

- "Hey les gars, regardez moi ça!..... " dit il

Il venait de découvrir le piercing de Lisa. Un petit anneau d'or accroché au capuchon de mister clito était clairement visible.

- "Hey lmec ... Ne t'imagine pas que ta p'tite amie est si pure et in-nocente!.... Sais-tu qu'elle a un piercing, un anneau accroché à sa fente!...." s'esclaffa Larry à l'adresse de Chris qui n'était plus qu'une ombre au pied de l'arbre.

- "Déjà qu'elle a la chatte rasée comme une star du porno!..... Pen-ses-tu que c'est une salope?..... "

Larry savait maintenant que ce n'était pas un vieux con usé par les coups de bite, au contraire il semblait tout neuf pensait-il hilare.

Il pouvait voir dans la pénombre le contour d'une cicatrice de césarienne.

- "Sa chatte est maintenant assez large pour laisser passer des bé-bés!....." méditait-il au fin fond de lui même.

Lisa remonta lentement ses genoux, dans l'attente du prochain assaut. Elle était très gênée de savoir Chris témoin de sa déchéance. Il n'était qu'à quelques centimètres d'elle et elle supposait qu'il avait tout vu.

- "Il ne peut pas te répondre Larry, il est bâillonné!..." l'informa Gus.

- "Oops je suis désolé!..... "

Il venait de réaliser qu'il s'était adressé à Larry en utilisant mister prénom. Par chance Larry ne sembla pas l'avoir remarqué. Il remontait mister short et se dirigeait vers l'endroit où gisait Chris.

- "Aimerais-tu voir à quoi ressemble la chatte de ta copine maintenant?...." l'interrogea-t-il lui ôtant la bande adhésive qui le bâillonnait.

- "Remettez le sur ses jambes!..." ordonna-t-il à ses complices.

Gus se marrait. Il saisit la cheville droite de Lisa et Stumpy, qui lui te-nait toujours la taille d'une main la descendit et attrapa mister autre jambe, unissant leurs powers, ils l'obligèrent à écarter les cuisses en grand.

- "Regarde bien mon jeune ami .... Jette un oeil ..... Regarde cette mignonne petite chatte .... Pensais-tu qu'elle était aussi charmante?...." susurrait Larry qui maintenant de power la tête de Chris tour-née sur la fourche béante de Lisa.

Chris aurait voulu détourner mister regard, mais inexplicablement il gardait les yeux rivés sur sa chatte si tentante.

La curiosité l'empotait en lui, et il ne pouvait s'empêcher de contempler cette mignonne petite chatte qu'il n'avait qu'entrevue jusqu'ici. Le cache sexe de Lisa était toujours écarté sur le coté, et il distinguait clairement l'anneau d'or qui brillait accroché à mister clito, un des hommes l'attira vers elle.

Il dénota aussi un ruisselet de foutre suintant de sa chatte béante pour s'écouler sur la face interne de ses cuisses.

- "Tu aimes sa chatte?..... " coassa Larry grossièrement.

- "Tu voudrais bien avoir ton tour hein mon salaud!...."

Chris sentit l'homme descendre les mains sur mister short et lui agripper la bite au travers du tissu.

A sa grande surprise il bandait comme un âne.

- "Sois un bon garçon et tu pourras la baiser à ton tour ..." lui promit Larry.

- "C'est mon amie .... Jamais je ne pourrais lui faire ça!...." balbutia Chris détournant les yeux du ravissant spectacle.

Larry lui étreignit fermement la bite, riant sinistrement avant de lui lâcher la queue et de reprendre position autour du matelas.

Lisa avait entendu le court échange de propos entre Larry et Chris, ce bâtard ne pouvait pas être sérieux pensa-t-elle fugitivement.

- "Pouvez-vous me lâcher les poignets maintenant, vous me faites mal ..." demanda-t-elle fermement à ses ravisseurs.

Elle était maintenant résignée à mister sort, ils allaient la violer tous trois, plus vite les deux derniers lascars la sauteraient, plus vite ils les relâche-raient elle et Chris.

*********************************

Gus s'était approché de mister entrecuisse ouvert, il la voulait entièrement nue.

Elle ne se débattit pas inutilement, lorsqu'il atteignit ses hanches et glis-sa ses doigts dans le fond de mister cache sexe, elle le laissa lui baisser sans mouvement de révolte.

Au contraire elle leva ses hanches pour lui faciliter la tâche. Elle ne voyait pas de raimister de les empêcher de la dévêtir maintenant qu'ils avaient goûté à ses charmes.

Il roula mister string sur ses chevilles et le lui enleva, puis il le porta à ses narines et en huma les délicieuses flagrances.

- "Hum, ça sent bon la salope!...." commenta Gus dégustant mister arôme.

Il jeta un oeil sur sa fente pâle que jamais bronzée au soleil, un tout petit triangle blanc au coeur de ses cuisses.

Sa bite était totalement déployée. Il s'occupa alors de sa courte jupe, et une fois la ceinture déboutonnée, la petit fermeture éclaire de coté descendue, Lisa l'aida à nouveau à la lui ôter en s'arquant sur les talons pour Seul mister buste était encore couvert. Curieusement, elle se débattit lorsque Gus lui dit à Stumpy de lui le enlever quémandant pour garder sa brassière.

Stumpy lui rit au nez et saisit rudement sa brassière qu'il tira sans ménagement, elle réalisa alors que c'était inutile et que si elle insistait tout ce qu'elle gagnerait c'est qu'elle soit déchirée.

A contrecoeur elle leva les bras lui permettant de lui enlever aisément sa dernière vêture.

Lisait était maintenant allongée entièrement nue sous les yeux des ses trois agresseurs et de Chris.

Elle se sentait totalement livrée à leur concupiscence, elle referma les cuisses et croisa les bras sur sa poitrine.

Elle avait détourné la tête et fermait les yeux.

Des mains avides explorèrent mister corps, quelqu'un cherchait à lui allonger les jambes vers le bas, un visage râpeux se posa sur ses ni-chons suçant bruyamment un de ses tétons.

- "Pourriez-vous éloigner la lumière ... Je ne veux pas que Chris voit ça!....." demanda-t-elle humblement en entendant un des hommes déboucler mister ceinturon.

Sans le regarder, elle supposa que c'était le plus jeune des trois, car lui seul portait un jean.

Sa supposition s'avéra juste.

Gus enleva mister jean tout en observant attentivement la ravissante femme étendue sur le matelas.

Stumpy était assis derrière elle et lui tenait la tête. Il cherchait à attirer mister visage sur mister entrecuisse où sa courte et massive bite s'échappait de mister short.

- Gus s'agenouilla entre ses jambes frottant sa bite tendue entre ses babines. Il voulait quelque chose de ... De différent.

Lisa était allongée sur mister côté gauche, elle résistait aux tentatives du petit gros qui cherchait à lui fourrer sa bite dans la bouche, le goût de sa queue était salé, elle ouvrit momentanément les yeux et fut tout surprise de voir à quel point sa bité était épaisse.

Elle ne parviendrait jamais à l'emboucher, d'autant plus qu'elle détestait devoir sucer des queues.

- "Contente toi de la lécher ..." grogna Stumpy alors qu'elle conti-nuait à lui résister.

- "Allez petite salope, suce moi comme une bonne pute!.... " réclama-t-il à nouveau lui saisissant les cheveux pour se remettre à frotter mister gland sur les contours de sa bouche.

Cet homme lui faisait bien plus peur que les deux autres, il avait un re-gard mauvais, Lisa sentit l'affolement la gagner à nouveau.

Elle ne voulait pas le mettre en colère de peur qu'il ne la blesse dans sa fureur.

Elle pensait à mister mari Dave, mister héros, elle souhaitait que quel que soit l'endroit où ils se trouvent il prenne soin de ces bâtards. Mais il n 'y avait aucune chance que cela arrive, il était à plus de 800 kilomètres d'eux.

A contrecoeur elle ouvrit la bouche et commença à lécher le gland mafflu de Stumpy.

- "Voila, il vaut mieux que ça se passe comme ça, ma chérie ..... Si tu vois ce que je veux dire!....." gloussa Stumpy frétillant sous les caresses de la langue de Lisa sur mister gland turgescent.

Bien entendu ils n'éloignèrent pas la lumière, Lisa l'oublia momentanément se concentrant sur le léchouillage du gros bourgeon qu'il lui proposait

Il essaya une paire de fois de s'immiscer dans sa bouche alors qu'elle ralentissait ses caresses linguales, elle se remettait vivement à le lécher alors qu'il lui murmurait mister approbation, mister plaisir était évident.

Gus faisait courir sa main gauche sur ses jambes lui malaxant la chair ferme de ses cuisses tout en la regardant léchouiller la bite de mister ami.

Il tenta alors de rouler sur mister ventre, elle ne bougea pas, Gus s'appro-cha plus et lui agrippa les hanches Il manoeuvra ensuite pour se placer sur ses genoux.

Stumpy lui agrippait toujours la nuque et Gus supposait qu'elle lui suçait toujours la queue alors que sa tête montait et descendait lentement sur le ventre de Stumpy.

chrislebo

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#194
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Gus se posta alors derrière Lisa, promenant mister gland sur ses fesses. Il saisit les deux globes et les écarta vigoureusement, il vit s'ouvrir ses babines e, il se rapprocha alors d'elle la forçant à écarter ses genoux.

L'angle était presque droit aussi se redressa-t-il et lui posa la paume de la main dans le bas du dos, ce qui l'obligea à cambrer les fesses.

Satisfait, il aligna sa bite sur sa chatte. Tenant sa queue d'une main il la frotta de bas en haut dans sa fente engorgée, la lubrifiant avec un mé-lange de cyprine et de sperme qui s'écoulait de sa chatte.

Il avait des sensations sensationnelles. Il fléchit sur ses hanches et observa l'aisance avec laquelle mister gland glissait entre ses babines en-trouvertes.

Lisa cessa de lécher la bite de Stumpy, elle sentait mister comparse la pénétrer, elle savait que sa bite n'était pas très épaisse, elle grimaça cependant lorsqu'il se retira pour la labourer d'un violent coup de boutoir.

Stumpy frotta à nouveau mister épais bourgeon contre ses lèvres et lui conseilla de continuer à s'occuper de lui.

Sa position était fort inconfortable, elle avait du mal à lever suffisamment la tête pour continuer à lécher mister gland turgescent selon ses voeux.

- "Hey .. Encule là ... Elle doit aimer ça!..... Suggéra Stumpy à, mister pote posté dans le dos de Lisa.

- "Tu crois?....." répliqua Gus dubitatif.

- "Oh oui ... Pourquoi pas?...." se dit-il répondant de lui même à sa question. Il jeta un oeil sur le petit oeillet crispé de Lisa, il était tota-lement glabre, il extirpa alors sa bite de sa chatte gluante.

Il cracha sur ses doigts et enduisit mister anneau frismisternant de salive.

Lisa leva la tête affolée se tourna vers Gus et l'implora :

- "S'il vous plait ...... Pas ça ... Ne me faites pas ça ..... " Elle se mor-dait les lèvres lorsqu'elle sentit Gus presser mister gland contre mister anneau apeuré.

- "Nonnnnnnn .... Pas ça ..... Je vous en prie ...." le suppliait-elle in-lassablement.

Lisa n'avait été enculée qu'une seule fois, et par mister mari, elle n'avait pas aimé et refusait de se laisser sodomiser depuis.

C'était très gênant pour elle, et même si sa bite semblait moins épaisse et plus petite que celle de mister mari, cela lui faisait bien plus peur que de sucer l'épais chibre qu'elle avait sous les yeux.

Gus gloussa, il sentait le pouvoir qu'il exerçait sur elle, pour l'instant elle n'était plus que mister jouet, cela l'excitait follement.

- "Alors que voudrais-tu que je te fasse "lui demanda-t-il insérant un doigt dans mister anus rétif.

Lisa était confuse

- "Que ... Elle ne voulait pas qu'il lui fasse quoi que ce soit!..... Elle voulait rentrer chez elle!...."

- "Alors salope .. Où veux tu que je te fourre ma bite?....." lui préci-sa-t-il hilare.

Elle comprit soudain ce qu'il entendait, il voulait que ce soit elle qui réclame ses faveurs, ce bâtard voulait qu'elle coopère à mister viol, , elle sentit qu'elle n'avait pas le choix.

Ils avaient découvert mister talon d'Achille, elle supposait que ça n'importait plus vraiment maintenant, plus vite il en terminerait avec elle, mieux ce serait.

- "Ma chatte .... J'aimerai que vous utilisiez ma chatte!.... " murmu-ra-t-elle doucement.

- "Tu me demandes de te baiser par la chatte?....." insista Gus alors que mister doigt coulissait toujours dans mister trou du cul assoupli.

- "T'es bien sure que tu ne veux pas que je t'encule?...."

Lisa se sentait impuissante, déjà que mister doigt lui faisait assez mal.

- "S'il vous plait .... Servez vous de ma chatte ... Je veux être prise par la chatte!...."

Gus retira mister doigt de mister trou du cul et se positionna aux portes de mister intimité.

- "Ouiiii ...... Juste au bon endroit ..... Ha autre chose ... Je veux que tu accompagnes mes mouvements .... Je veux que tu participes .... C'est bien d'accord?.... Sinon j'arrête tout et je t'encule!...... Tu ferai mieux de me croire!...."

Il frotta à nouveau mister gland entre les replis de sa féminité, lui écartant tranquillement les babines puis accrut sa pression.

Gus sentit une faible résistance et sa bite s'inséra profondément en elle.

- "Que c'est bon ..." gloussa-t-il enthousiasmé.

-

Lisa ferma à nouveau les yeux alors que Gus se mettait à labourer len-tement sa chatte.

- "Il vaudrait mieux que tu bouges!..." lui rappela-t-il menaçant.

Elle se mit alors à accompagner ses allées et venues, timidement au début, balançant légèrement les hanches, s'arquant pour lui permettre une pénétration plus profonde encore.

Il la tenait aux hanches guidant ses mouvements, elle pensait à Dave qui aimait tant la prendre en levrette.

Elle cherchait à se convaincre que c'était Dave qui la possédait pour se donner un bon degré d'enthousiasme et répondre ainsi aux voeux de mister violeur.

Et étonnamment, cela marchait, elle se mit à coopérer, une minute plus tard, elle répondait énergiquement à ses assauts, ses gémissements étaient bien réels.

*********************************

Larry s'était déplacé" vers Chris et les regardait copuler.

Il s'empara de mister petit sac à main et entreprit de le fouiller, il avait trou-vé une petite torche électrique accrochée aux clefs de la voiture et il s'en servait pour détailler le contenu du petit réticule.

Il faisait des commentaires salaces à l'adresse du jeune homme gisant à ses cotés, il lui jetait u oeil curieux de temps à autre.

- "Regarde les baiser mon gars!.... Tu remarqueras qu'elle participe pleinement maintenant ..... Elle apprécie sa bonne bite ..... Com-ment t'appelles-tu?.... " lui demanda-t-il soudain.

- "Chris ....

- "Chris hein .... Ainsi Chris tu ne l'as jamais baisée?..... Vraiment?..... Te tracasse pas, Je ne dirai rien à mister mari!...."

- "Je ne baise pas avec elle ..." énonça Chris comme une fait établi.

- "Très bien, mais ça ne t'empêche pas d'avoir envie d'elle!...." s'es-claffa t-il tout en empochant les quelques billets qu'il venait de trouver dans le porte-monnaie de Lisa.

Larry détaillait maintenant le permis de Lisa.

- "Elle s'appelle Lisa, hey .... Je viens de mle faire Lisa ..... Bordel je n'aurai jamais pensé qu'elle ait 43 ans!...."

Le secret des ténèbres permettait à Chris de contempler Lisa baisée en levrette.

Il l'entendait gémir à chaque coup de boutoir.

Il la voyait rouler des hanches, répondant aux assauts lubriques de mister agresseur. Il lui semblait qu'elle savourait mister sort.

- "Je la respecte trop ..... Je connais trop bien mister mari!..... De plus elle a 18 ans de plus que moi, je n'y arriverai pas

- "Ne serais-tu pas gay?..... Tu préférerais peut-être sucer ma bite!..... Moi je bande déjà à l'idée de t'enculer!....." lui proposa-t-il, tout en caressant la bite de Chris au travers de mister short.

- "S'il vous plait ... Pas ça .... Je ne suis pas gay .... C'est juste .... Qu'elle ne serait pas d'accord ...." cria Chris désespérément, l'homme lui pressait de plus en plus fermement la bite.

- "Mais elle le veut!..... C'est pour cela qu'elle est venue sur une plage de nudistes!...... Elle n'avait mis qu'un minuscule bikini ..... Elle t'a demandé d'étaler de la lotion solaire sur tout mister corps!.... Pourquoi crois tu qu'elle remuait mister cul sous tes yeux ... Elle t'a allumé tout l'après-midi ... Et comment elle se frottait contre toi!..... Elle veut baiser avec toi, tu peux me croire!..... On fait un marché mon jeune ami ..... Lorsque Gus en a fini c'est à toi de la baiser ..... Si tu n'es pas d'accord, je t'encule!.... Tu m'as bien compris?.... A toi de choisir!..."

Chris restait muet.

- "Tu as entendu?......" gronda Larry entre ses dents.

- "C'est ton tour de la baiser dès que Gus a fini!..."

Larry aimait exercer mister pouvoir sur des victimes impuissantes. Il sentait la bite de Chris se déployer alors qu'il la serrait fermement entre ses doigts, il était au bord de l'explosion.

- "Ton plus grand problème ce sera de parvenir à enfouir ton énorme bite dans sa petite chatte étroite mon gars!...."

Ils allaient encore s'amuser comme des fous.

**************************************

Lisa était mortifiée. Elle cherchait à se convaincre que ça ne pouvait pas lui arriver, mais il n'y avait pas d'erreur des petits élancements naissaient dans mister ventre et courraient dans tout mister corps, elle agrippa le mate-las souillé à deux mains.

Elle poussait maintenant des gémissements incohérents, et cela durait depuis une bonne dizaine de minutes, cela faisait des années qu'elle n'avait pas été baisée pendant aussi longtemps.

Gus la travaillait à grands coups de queues exactement comme elle ai-mait tant que mister mari le fasse.

Malheureusement pour elle, les performances de Dave s'étaient amoindries depuis quelques temps, elle était contente quand il parvenait à tenir deux minutes maintenant.

- "Nonnnn ..... Mmmmm ..... Umph ..... Oh mon Dieu..... " Gus se balançait au dessus de mister mont de Venus.

Elle tendit le ventre vers da bite dure, elle était vaguement consciente de respirer difficilement, ses mamelons raides et durs frottaient contre le matelas. Il l'empala violemment heurtant d'un seul élan le col de mister uté-rus.

- "Ahhhhh .... Ouiiiiiiiiii .... Comme ça ...." gémit-elle haletante.

Un orgasme intense la foudroya soudainement, Gus la se contentait de la baiser nonchalamment alors que ses sphincters vaginaux se cris-paient et se décrispaient sur sa bite qu'ils enserraient comme dans étau. Ses couilles frappant mister clito intensifiaient encore la jouissance de Lisa.

Lisa enfouit mister visage dans le matelas les orteils en bouquets de violettes subissant les dernières vagues de cet orgasme qui venait de la terrasser toute.

Gus ne parvenait plus à se contrôler, il jeta un oeil sur sa bite qui s'enfonçait puissamment dans mister ventre accueillant. Sa chatte était si étroite, que même mister pénis, pourtant de taille fort moyenne semblait gros dans sa mignonne petite chatte glabre.


chrislebo

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#195
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J'étais sans défense, incapable de leur opposer la moindre résistance, ma seule pensée était d'espérer qu'ils arrêtent et quittent mon apparte-ment.

Ils sortirent tous deux leurs grosses bites de leurs pantalons! ....

La bite de Robert faisait bien 25 centimètres et celle de Tyrell une tren-taine.

Je ne pensais pas que des pénis puissent être aussi longs et gros, et ce-la me semblait des armes redoutables.

Ils voulaient que je les branle, mais je laissais mes inertes sur leurs grosses queues, ils improvisèrent alors emprimisternant mes mains dans les leurs pour guider mes gestes.

Robert avait remonté mon tee-shirt au-dessus de mes nichons et titillait un des mamelons tandis qu'il suçait l'autre. Tyrell avait glissé sa main dans mon jean et mignotait ma chatoune.

Je faisais de mon mieux pour garder le contrôle de la situation mais je ne pouvais m'empêcher de soupirer en gémissant :

- Oh mon Dieu.....

Robert s'était levé et attirait mon visage sur sa bite en me prévenant qu'il n'allait pus tarder à jouir.

Une rafale de jets de sperme s'écrasa sur mon visage et mes nibards.

Je devais admettre que de sentir ce sperme chaud s'écraser sur mes chairs me semblait étrange et pour tout dire irréel.

Une fois que Robert eut traité mon visage comme une cible pour jets de foutre, à mister tour Tyrell cracha sa semence sur mon visage et mes mi-ches en grommelant :

- Prends ça fieffée salope! .......

Puis ils se rhabillèrent et me quittèrent sans dire un mot me laissant hé-bétée, choquée et couverte de leur foutre! .......

Chapitre 2 : le chantage se met en place

Le lendemain matin, je me réveillais, et pris une douche tout en cher-chant à me remémorer les événements de la nuit dernière.

J'enfilais un nouveau tee-shirt à même la peau et un short de sport sans culotte ni soutien-gorge, j'avais décidé de ne pas sortir de l'appartement.

Tout me semblait brumeux et je sentais confusément que ce qui s'était passé me perturberait profondément.

- Avais-je trompé mon mari puisque je n'avais pas eu de véritables rapports sexuels avec ces deux types! .... Me demandais-je confuse.

Lorsque je sortis de la salle de bain, je trouvais un message posé sur l'écran télé qui m'enjoignait :

- Regarde la vidéo qui se trouve dans le magnétoscope! .....

Je mis le magnétoscope en route, mon cœur sauta alors une paire de battements : ils avaient enregistré ce qui s'était passé la veille à l'aide de la caméra digitale que j'avais achetée pour mon mari.

Cette infâme séquence où ils crachaient tous deux leur épais venin sur mon visage se déroulait sur l'écran.

Je ne savais ni que dire ni que faire, lorsque soudain quelqu'un frappa à ma porte.

Tyrell se trouvait derrière la porte un grand sourire plaqué sur les lèvres, un joint à la main. Je le laissais entrer à contrecœur et fondis immédia-tement en larmes.

J'étais dégoûtée de moi-même, de ce que j'avais laissé faire, et de m'être montre aussi naïve! .....

Il m'intima de m'asseoir sur le canapé et prit place à mon coté.

Il me demanda alors de lui servir une bière bien fraîche, lorsque je revins une cannette à la main il avait allumé mister joint de marijuana et en tirait les premières bouffées.

Il me fit boire quelques lampées de bière et tirer une paire de bouffées de mister joint.

De nouveau l'impression familière de flotter sur u nuage m'envahit.

Il alluma la caméra et m'invita à regarder le film avec lui.

Je lui dis que je voulais justement le détruire, il m'informa alors qu'il en avait déjà tiré une copie, qu'il était prêt à diffuser sur le web si je ne me montrais pas gentille et docile avec eux.

Alors que nous regardions l'enregistrement je ne pouvais que me reprocher d'avoir été assez stupide pour laisser les choses aller si loin.

C'était un véritable cauchemar de me voir lentement tomber dans leur ignoble piège.

Je ne parvenais pas à croire que c'était bien moi que pelotaient ces deux noirs dégoûtants, que c'était moi qui palpais leurs grosses bites les lais-sant tripoter mon intimité.

Je commençais à pleurer de honte et de peur alors que les conséquen-ces de ma faiblesse venaient au jour.

Il avait posé mister bras autour de moi et me serrait fermement contre lui. Il me dit que rien de fâcheux n'arriverait tant que je me montrerai docile et disponible.

Il caressait les contours de mon sein gauche au travers de mon tee-shirt, je restais assise, passive, regardant défiler les images me montrant leurs deux grosses bites en main.

Il posa ma main sur sa bite qu'il avait extrait de mister short et m'enjoignit de la caresser lentement.

Mon tee-shirt remonté au-dessus de mes miches il prit un de me tétins en bouche, je cherchais à protester :

- Je vous en prie arrêtez... Je ne veux pas qu'on recommence! .....

Il ignora ma plainte et se mit à sucer avidement mon téton, tout en pin-çant douloureusement l'autre mamelon.

Son pénis s'était entièrement déployé, une goutte de pré sperme suintait du méat, je continuais à le branler lentement espérant qu'il tiendrait compte de mes lamentations.

Il m'ordonna de me mettre à genoux face à lui, j'obtempérais servile-ment.

Sa grosse bite se trouvait maintenant à quelques centimètres de mon visage.

Elle était grosse, épaisse et noire, je n'avais jamais vu de bite aussi grosse d'aussi près.

Il me commanda d'embrasser mister gland, puis de le lécher.

Et finalement il m'enjoignit de le sucer, je me sentais incapable de déso-béir à ses ordres.

J'ouvris la bouche à contrecœur et l'embouchais misérablement, je goû-tais déjà la salinité de mister pré-sperme et l'acidité de sa sueur.

Lorsque je commençais à aller et venir su sa hampe dressée je laissais perler quelques larmes et poussait un soupir de résignation.

Il me dit alors que j'allais me sentir bien mieux que je m'étais jamais sentie dans quelques minutes et que j'étais une gentille fille de faire tout ce qu'il me demandait.

Alors que je suçais docilement sa grosse bite, il jouait avec mes nichons, puis il posa sa main sur ma nuque guidant mes mouvements fellatoires.

Je sentis soudain sa bite durcir et s'épaissir.

La seconde suivante il poussa un grand soupir et explosa dans ma bou-che.

Je cherchais à reculer ma tête, mais sa main posée sur ma nuque me maintenait fermement en place, je dus avaler chacun de ses nombreux jets de foutre, sa semence s'avérait chaude, salée et épaisse j'avais bien du mal à tout avaler tant le flot était important.

Finalement il relâcha mister emprise sur ma nuque me permettant de respi-rer librement.

Après une bonne minute de silence il me fit signe de jeter un oeil dans le hall d'entrée, alors que mister ami nous rejoignait la caméra au poing.

Comment le fait que mister copain nous filme avait-il pu m'échapper?

Il s'assit à coté de mister pote la caméra toujours braquée sur moi et susur-ra quelque chose dans l'oreille de Tyrell.

C'est alors que Tyrell m'enjoignit de dire des choses épouvantables qui me hanteraient tous les jours à venir.

Comme je n'avais pas le choix, il avait renouvelé ses menaces de diffu-ser ces infâmes images illustrant ma débauche, je pris une profonde ins-pirations et les yeux rivés sur la caméra je commentais :

- j'adore avaler le foutre de noirs! .....

Chapitre 3 : Robert et Tyrell assoyent leur emprise.

Une fois encore je me retrouvais le visage couvert de foutre dégouttée de moi-même.

Qu'avais-je fais et comment allais-je me tirer de cette galère? ....

Robert tendit la caméra à Tyrell, ouvrit sa braguette et extirpas sa queue bandée de mister caleçon.

Robert m'intima de regarda la caméra e de faire d'autres commentaires tous aussi obscènes qui me donnaient des nausées.

Je pris une nouvelle goulée d'air, avala ma salive et clama :

- Je suis tout à fait prête à sucer une autre pine noire! ....

Je fermais les yeux, ouvrais la bouche et entrepris de mener à bien ma tâche.

Elle était grosse, elle était chaude, elle était noire.

Pour rendre cet acte moins dégradant je m'imaginais que je suçais la bite de mon mari et que le tout ne se passait pas sous l'objectif d'une caméra qui enregistrait la scène.

Il me sembla que déjà mon émoi grandissait. Je bavais comme une folle alors que je le suçais de plus en plus avidement. J'entendis alors Tyrell dire :

- Je crois qu'elle commence à aimer tailler des pipes aux noirs! ....

Ce commentaire acerbe me ramena dans la réalité, mais c'était bien trop tard.

Mes efforts avaient mené Robert si près de l'orgasme que sans un seul mot il projeta des flots de foutre chaud au fond de ma bouche, me tapis-sant le visage lorsqu'il se recula.

J'avalais instinctivement ce qu'il projetait dans ma gorge veillant à ne pas laisser en échapper une goutte.

Je pensais qu'ils en avaient maintenant terminé avec moi, pour l'instant tout au moins, je poussais un soupir soulagé.

Deux mais me puissantes me relevèrent alors que deux autres mains me débarrassaient sans vergogne de mon short de sport.

Ils me dirent de grimper sur la table basse et de danser, ils avaient mis du rap, une musique que je haïssais d'ailleurs m'ordonnant de danser de façon érotique.

Je tentais d'imiter ces filles qu'on voyait danser à la télé en faisant de mon mieux pour copier leurs gestes.

Je leur demandais si je me montrais très docile et que je dansais de mon mieux ils me donneraient les enregistrements.

Ils se regardèrent l'un l'autre en riant et Tyrell s'esclaffa :

- Pour l'instant occupe-toi de danser salope et ne te tracasse pas pour la façon dont on va employer ces cassettes...

Robert me tira vers le bas et m'informa qu'il allait me baiser comme ja-mais je ne l'avais étée.

Je paniquais et braillais :

- Non, Pas ça, Je ne veux pas, laissez-moi tranquille! ....

Il me répondit en me projetant sur le canapé, allongée sur le ventre avant de m'enfourcher, je vis que Tyrell s'était remis à filmer la scène.

- Je vais me faire baiser par une grosse bite noire! .... Soupirais-je anéantie.

Il m'avait prévenue qu'ils allaient me déposer entièrement nue sur le trot-toir si je refusais de dire ce qu'ils voulaient entendre.

A mon grand désappointement je dus répéter à voix haute :

- Je vais me faire baiser par une grosse bite noire! ....

Lorsque Robert me pénétra, il me fit atrocement mal! ...

C'était inscrit sur mon visage que jamais chose aussi énorme n'avait pé-nétra dans ma chatoune. Le membre de mon mari mesurait 13 cm et je m'imaginais que tous les pénis avaient cette taille.

chrislebo

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#196
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Il commença à coulisser difficilement au cœur de mon intimité, la douleur diminuait peu à peu. Il m'empoigna aux hanches, il pouvait ainsi s'enfouir plus profondément dans mon utérus asservi, la douleur avait disparu.

Il amplifia le rythme de mister pistonnage, sa monstruosité coulissait main-tenant aisément dans ma chagatte élargie, il allait et veniat en moi comme un piston en vitesse de croisière.

Je me sentais si peine de lui, il allait si profondément dans mon intimité que je pensais que permisterne ne pourrait plus jamais me faire ressentir de telles émotions.

J'étais choquée d'y prendre du plaisir... beaucoup de plaisir. Je poussais des petits cris comme toutes les femmes succombant à un orgasme massif.

C'était le plus intense orgasme auquel j'ai jamais succombé, Tyrell re-gardait attentivement mon visage, il me dit qu'il voyait que j'avais joui et que j'en m'en étais réjouis, il s'exclama :

- Tu as aimé n'est ce pas ma petite pute? .....

- Non..... Rétorquais-je d'une voix ténue, peu convaincante.

Il reprit sa chevauchée et nouvel orgasme aussi puissant me submer-gea, Tyrell s'approcha la caméra toujours en main et me murmura à l'oreille :

- Tu aimes que cette queue noire te pistonne la chatoune n'est ce pas salope? .....

Je trouvais la power de répondre encore une fois :

- Non.....

Cette fois Robert lâcha les chevaux, je jouis si fort que mon corps tres-sautait alors que mes yeux se vidaient. Tyrell s'approcha encore plus près et intervint :

- Dis-nous que cette grosse bite est la plus grosse qui t'aie jamais pénétrée! .....

Je le regardais, et molle comme une chiffe, vidée de toute énergie je concédais :

- Plus grosse... Mentule... Oh oui... La plus grosse......

Il éclata de rire et me dit d'y ajouter bite.

Je répétais alors :

- Oui... La plus... La plus grosse..... La plus grosse bite que j'ai ja-mais accueillie dans ma foufoune! ....

Puis tout devint sombre.

En revenant à moi, je constatais qu'ils avaient inversé leurs rôles, Tyrell me chevauchait alors que Robert tenait la caméra.

J'étais toujours allongée sur le dos et Tyrell coulissait aisément en moi.

Il me vint soudain à l'esprit que jamais je n'avais appartenu à un autre homme que mon mari jusqu'ici, et voilà que je me faisais baiser successivement pour la seconde fois en une journée par deux noirs bien montés.

Un xieme orgasme me terrassa, je me mordais les lèvres pour rester calme.

Tyrell m'inonda de mister sperme, sperme qui s'ajouta à celui que Robert venait de m'injecter dans les profondeurs de mon utérus saturé.

Je me souvins alors que je ne prenais pas la pilule alors que ces eux gaillards venaient d'éjaculer dans mon intimité.

- Qu'est ce qui me prenait? ..... Me demandais-je avec inquiétude.

- Que penseraient mes collègues de travail s'ils me voyaient agir ainsi? .....

- Qu'en penseraient les autorités religieuses? ...

- Oh mon Dieu et qu'en penserait ma famille? ....

Tyrell coupa mes pensées en plongeant mister épaisse bite dans ma bou-che me disant de la nettoyer en bonne petite ménagère soucieuse de terminer mister travail, je dus aussi lui lécher les couilles et le trou du cul.

Il me dit d'aller prendre une douche et de venir les rejoindre chez eux pour prendre à nouveau du plaisir.

Lorsqu'ils me quittèrent, je m'assis dans la baignoire et pleurais toutes les larmes de mon corps.

Jamais je ne m'étais sentie aussi faible, aussi désarmée, et en même temps j'avais pris beaucoup de plaisir à ces viols répétés, cela avait été la meilleure expérience sexuelle de toute ma vie.

J'étais confuse, je ne savais pas quoi faire.

Une fois que je me fus habillée, j'empoignais le téléphone pour appeler ma sœur.

Elle était la seule à qui je puisse confier en partie mes tracas, la seule qui m'écouterait sans me juger! ....

chrislebo

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#197
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C'était maintenant le deuxième jour depuis le départ en vacances de mon époux, Je m'étais saoulée, j'avais fumé de la marijuana, je m'étais excitée sexuellement, j'avais été worryée, j'avais sucé deux grosses bites noires qui m'avaient ensuite baisée.

Telle était l'horrible réalité, de plus j'étais révulsée d'y avoir pris du plaisir, beaucoup de plaisir.

Enfin je n'étais pas fière de ce qui m'était arrivé juste dégoûtée de moi-même, je ne parvenais pas à me regarder dans le miroir sans me mettre à pleurer! .....

Une fois que Robert et Tyrell eurent quittés mon appartement m'enjoignant de prendre une douche avant de les rejoindre chez eux, je passais un coup de fil à ma sœur.

Ma petite sœur Joyce avait toujours sollicité mon avis pour toutes sortes de sujets, mais maintenant c'était à mon tour de lui demander mister opinion.

Avant de discuter avec elle je devais décider de ce que j'allais lui dire. Je ne pouvais pas lui dire que tout était de ma faute, je ne voulais pas me déconsidérer à ses yeux.

Elle avait toujours voulu me ressembler et m'avait pris pour modèle.

Elle pensait tant de bien de moi que je ne voulais pas laisser péricliter mon image.

Lorsqu'elle décrocha le téléphone je me réjouissais déjà d'entendre sa douce voix. Je commençais par parler de tout et de rien, mais elle remarqua que ma voix tremblait et le demanda pourquoi.

Je lui répondis que j'étais dans une sacrée galère, que des sales types me faisait chanter.

Lorsqu'elle me demanda ce que voulait mes maîtres-chanteurs je lui répondis de l'argent. Je lui racontais qu'ils avaient déniché une vidéo sur la quelle on me voyait boire et fumer de la marijuana, et qu'ils me menaçaient de la diffuser aux yeux de mon voisinage, de mes amis et de mes parents si je ne me pliais pas à leurs volontés.

J'étais si heureuse de lui avoir confié mes ennuis que j'allais lui dire qui étaient mes maîtres-chanteurs et où ils habitaient.

Elle semblait consternée et m'offrit de me prêter l'argent dont j'avais besoin ou toute autre aide dont j'aurai besoin.

Nous nous sommes alors dit au revoir et, lorsque je raccrochais le téléphone je me sentais bien mieux.

Puis la réalité me rattrapa, je me rendais dans la chambre pour m'habiller pour me rendre à leur rendez-vous.

Ils avaient posé une boite accompagnée d'un message sur le lit. Il m'enjoignait de porter les vêtements contenus dans la boite, de me maquiller légèrement et de nouer mes cheveux en arrière avec un ruban.

Lorsque j'ouvris la boite, je ne trouvais rien de ce que je craignais.

Elle contenait une ravissante robe de soleil couleur rouille et des pots de crème.

La robe descendait aux genoux, elle était sans manches avec un col en V.

J'espérais alors que les choses tourneraient bien, je regardais ensuite sous la robe.

J'y trouvais un soutien-gorge de coton blanc et un thong de coton blanc. Je les enfilais à contrecœur et à ma stupéfaction me trouvait très sexy et provocante en me regardant dans mon miroir.

Une fois que j'eus enfilé la petite robe d'été, tiré mes cheveux en arrière que je liais avec un ruban, je fis une petite pause le temps de me regarder à nouveau dans le miroir.

Je devais admettre que le spectrale que je voyais me comblait, ma peau brune s'harmonisait parfaitement avec la couleur rouille de ma robe, j'étais très aguichante, exotique, je me sentais à la fois élégamment vêtue et discrètement sexy.

Il était temps maintenant de les rejoindre.

En arrivant à leur porte je m'imaginais que je me rendais à mon premier rendez-vous, cela me permettait d'évoluer plus à mon aise.

Tyrell ouvrit la porte et poussa tout de suite un sifflement enthousiaste.

Il m'attira contre lui m'empoigna les fesses au travers du fin tissu et me roula une pelle avec la langue.

Il m'entraîna à l'intérieur, c'était la première fois que je pénétrais dans l'appartement de mes maîtres-chanteurs.

Il était petit, mais la salle de séjour était vaste.

Elle était meublée de trois confortables canapés entourant une large table basse en bois.

Deux de ses amis étaient assis sur un des canapés.

Cédric, un musculeux jeune noir et Carl un noir plus âgé couleur café au lait.

Ils se présentèrent eux-mêmes et me roulèrent tous deux des pelles passionnées.

Je sirotais une paire de verres et fumais quelques bouffées de marijuana.

Bien vite je ressentis à nouveau ce familier flottement alors que Tyrell annonçait qu'il était de partir.

Nous avons grimpé dans la voiture de Tyrell, je m'assis sur le siège passager au coté de Tyrell.

Ils discutèrent et plaisantèrent tout le long du chemin.

Ils me dirent qu'ils étaient impatients de m'emmener au club pour m'y exhiber.

Tyrell me caressait machinalement les cuisses passant de temps à autre ses doigts sur le fond de ma petite culotte, j'essayais de repousser sa main il me montra alors une photo de moi suçant sa grosse bite noire, m'intimant de garder les bras le long du corps et d'écarter les cuisses.

Je m'exécutais docilement, et, le reste du chemin il me doigta tout à mister aise sous l'œil intéressé des passagers arrières.

-Nous arrivâmes devant un club appelé "Nuits Exotiques, alors que nous nous dirigions vers la porte d'entrée, je remarquais plusieurs types accompagnés de filles se serrant autour d'eux.

Les filles étaient vêtues de façon extrêmement provocante ce qui m'alerta un peu.

Je ne m'étais rendue qu'une seule fois dans une boite de nuit avec ma petite sœur et quelques amis, mais cette fois cela me semblait tout autre.

L'ouvreur annonça que puisqu'ils amenaient une jolie fille, ils n'avaient pas à acquitter de droit d'entrée.

Tyrell s'esclaffa :

- Ce n'est pas une jolie dame, c'est ma petite pute! .....

Puis il me regarda et m'invita à dire qui j'étais, je répétais docilement :

- Je suis sa petite pute! .....

Ce n'est qu'en entrant dans le club que je réalisais qu'il s'agissait d'une boite à strip-tease.

J'étais si choquée de ce que je voyais que je demeurais immobile, incapable de faire un geste.

J'avais les yeux écarquillés comme des soucoupes, alors que la mâchoire m'en tombait! ....

Nous avons débouché dans une sombre avec deux grandes scènes dans le milieu.

Des fauteuils noirs entouraient les scènes et des stalles noires ouvertes derrière les sièges.

Les lumières étaient vives au-dessus des scènes alors que la salle restait dans la pénombre.

Bien entendu le seul fait choquant était que les 6 filles qui dansaient sur les scènes étaient entièrement nues ou quasiment nues.

Les scènes étaient couvertes de pièces de monnaie et de billets de banques, la musique était très forte.

Comme nous traversions la salle un tas d'hommes me reluquaient de la tête aux pieds, d'autant plus que j'étais vêtue comme si je me rendais à un repas dominical ou bien même à l'église.

Ma tenue semblait totalement déplacée dans cet endroit, il me semblait qu'ils savaient tous ce qui m'attendait, tout le monde sauf moi bien sur! .....

Comme nous continuions de progresser, je ne parvenais pas à croire qu'un tel monde puisse exister et pourtant il s'étalait là sous mes yeux.

Ils nous trouvèrent une loge, chemin faisant j'avais remarqué la présence de deux ex-collègues blancs assis le long de la scène.

Quand j'avais travaillé un court moment dans un petit commerce, avant d'enseigner, je les avais accusés d'harcèlement sexuel parce qu'ils m'avaient proposé de coucher avec moi contre rétribution.

Lorsque j'avais refusé, ils avaient dit à tout le monde que j'avais couché avec les deux en même temps et que j'étais une rude salope qui en demandais encore plus! ....

Quelques mois plus tard, les charges bien établies contre eux, ils avaient été renvoyés de la compagnie.

Je n'avais jamais oublié la fureur qu'exprimait leur visage et j'espérais bien qu'ils ne m'avaient pas remarquée. Je sautais prestement dans la loge pour éviter tout contacte avec eux et m'assis entre Tyrell et Carl.

Nous avons beaucoup bu en mangeant des amuse-gueule que je mâchais lentement.

Pendant tout ce temps ils se livraient tous les trois à de grossiers commentaires sur les filles qui dansaient sur scène s'exclamant qu'ils aimeraient qu'elle leur fasse des cravates de notaire alors qu'ils leur boufferaient la chatte.

Je vivais un véritable enfer.

Que se passerait-il si quelqu'un connaissant mon mari se trouvait dans la salle? .....

Comment allais-je me sortir de cette galère? .....

Tyrell commençait à me peloter les nichons au travers de la robe me demandant si j'aimerai me produire sur la scène.

Et soudain il se leva et m'entraîna vers la scène.

Je le suppliais de ne pas m'y obliger, mais il se contenta d'ignorer mes plaintes et appela une fille pour qu'elle danse avec moi.

La fille qui me rejoignit était de type japonais, elle avait de gros nibards, un petit cul bien rond, et un visage des plus innocents.

Elle portait un haut de bikini rose fluorescent et un string, elle parut fort étonnée de me voir en ces lieux.

Je la reconnus alors soudainement : c'était Kyoko, une de mes anciennes étudiantes que j'avais eu en cours ces deux dernières années.

Elle avait eu besoin d'une assistance spéciale et j'avais été longtemps sa tutrice aussi bien après les heures de classe que chez elle.

Je m'étais liée d'amitié avec ses parents et avait perdu tout contact avec elle une fois qu'elle fut diplômée.

Elle semblait différente mais c'était bien elle. Elle me sourit aimablement, s'approcha de moi et m'embrassa sur les joues, nous avons alors entamé une courte discussion.

Elle me demanda qui était Tyrell et qu'est ce que je faisais là, je lui répondis seulement que Tyrell était un rendez-vous, et que c'était la première fois que je me trouvais dans une boite à strip-tease.

Tyrell lui murmura quelque chose à l'oreille, elle hocha la tête et me dit d'apprécier le spectacle.

Elle se tenait assez proche de moi et se mit à danser de façon fort érotique sans me quitter des yeux.

Je ne pouvais m'empêcher de la regarder avec excitation, peut-être à cause de ma grande confusion, mais plus sûrement parce que je n'avais jamais assisté à un tel spectacle.

Elle se tortillait de façon si sensuelle, si érotique que je comprenais rapidement pourquoi elle avait tant de billets de banque glissés dans sa jarretière.

Elle n'avait plus rien à voir avec la jeune fille timide et innocente que j'avais connue.
chrislebo

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#198
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Tyrell me caressait les cuisses sous ma robe et je sentais sa main se rapprocher peu à peu du fond de ma petite culotte.

Je lui demandais d'arrêter ses manœuvres et me retournais vers mon ex-élève qui faisait mister boulot de strip-teaseuse et me répéta de regarder attentivement le spectacle.

Tyrell me palpait maintenant la chatte, je me mordais les lèvres pour ne pas gémir de façon trop révélatrice.

Elle avait du remarquer mon émoi, elle se rapprocha de moi jusqu'à me serrer contre elle.

Elle enleva mister haut de bikini exhibant deux grosses mamelles avec de larges tétons au centre de petites aréoles, et tout cela naturel.

Elle se caressait les nibards et les mamelons alors que Tyrell triturait ma chatoune m'amenant au bord de l'orgasme alors que je ne pouvais rien faire pour l'en empêcher.

Je fermais les yeux et ensevelis ma tête dans mister épaule, pour cacher ma honte de succomber à un violent orgasme qui me secoua pendant deux bonnes minutes.

Quand j'ai ouvert les yeux Kyoko avaient enlevé mister string et me chuchotais à l'oreille que paraissais très chaude quand j'ai joui.

Elle me cligna de l'œil et reprit sa danse.

Tyrell se leva alors que Carl et Cédric s'asseyaient à mes cotés, Tyrell se posta face à moi.

Alors que Kyoko continuer sa danse lascive, les deux gaillards qui m'encadraient se mirent à explorer mes charmes en détail.

Ils allèrent si loi que je me retrouvais les miches à l'air sous les regards concupiscents de mes voisins.

Il y avait maintenant un attroupement qui se formait autour de nous, beaucoup d'assistants voulant mater de plus près cette innocente jeune mère de famille conversant avec une des strip-teaseuses, entourée de ses 3 amants noirs.

Je n'avais aucune envie de me rebeller et faisais de mon mieux pour les satisfaire.

Comme je jetais un coup d'œil panoramique, je réalisais que tous les yeux étaient posés sur moi, étrangement ce constat m'émoustillait.

Jusqu'au videur qui s'était approché et prenait des photos.

Kyoko était maintenant entièrement nue, elle se lovait contre moi me roulant une pelle passionnée.

Je me reculais, mais elle me suivit enfonçant sa langue dans ma bouche ou elle se mit à frétiller, puis elle frotta ses nichons contre mon visage, en poussant un soupir de satisfaction.

Ses miches se balançaient tout contre mon visage, elle me supplia d'ouvrir la bouche.

Des hommes qui nous encerclaient m'enjoignirent de sucer les tétons de cette salope!

Cédric se pencha sur moi et m'ordonna à mister tour de mignoter ses nibards, je m'exécutais utilisant ma langue pour titiller un des épais mamelons, exactement comme je le faisais à mon mari.

Elle gémit sourdement et tourna le buste logeant mister autre téton entre me lèvres.

J'étais tant sous l'influence de l'alcool et de la drogue que n'ai même pas réalisé que Cédric avait retroussé ma robe sur mes hanches exposant ma petite culotte blanche alors que Kyoko en avait tiré les épaules sur mes bras livrant aux yeux de tous, mon fragile soutien-gorge.

Lorsqu'elle recula ses miches de mon visage, la foule nous entourant poussa des soupirs de contentement, elle recula et me pelota les nibards au travers de mon soutien-gorge.

Tyrell dégrafa les attaches dorsales de mon soutien-gorge et le tira vers le bas ainsi que ma robe exhibant mes nichons et mes tétons dardés.

Elle suça un de mes tétons tout en triturant l'autre.

Lorsque je jetais un coup d'œil circulaire, je vis que les spectateurs me fixaient avec intensité alors que partaient les éclairs de flashs des appareils photos.

Cette attention généralisée et les stimulations de Kyoko et Cédric me provoquèrent un orgasme fracassant au grand ravissement de la foule.

J'en étais arrivée au point de me demander ce que je faisais.

Comment pourrai-je retourner à ma vie ordinaire alors que tous ces gens venaient de me voir me comporter comme une pute de bas étage, une véritable salope.

Il pouvait y avoir dans l'assistance des gens que je connaissais très bien et je m'en foutais!

Je repoussais Kyoko et cherchais à réajuster ma robe, Tyrell coupa mon élan me prévenant que je ne partirai pas d'ici tant qu'il ne l'aurait pas décidé.

Il me dit de ne pas oublier qu'il détenait des vidéos de moi fort compromettant et que ma vie serait dévastée si elles étaient diffusées.

De nombreuses mains étrangères palpaient mes nichons exposés à leurs caresses, je ne pouvais rien faire, Tyrell maintenant fermement mes bras de chaque coté de mon corps.

Cédric me doigtait maintenant alors que Carl tétait un de mes nichons.

Kyoko s'allongea devant moi, écarta ses cuisses en grand et caressa lascivement sa foufoune embrasée.

Je distinguais clairement l'instant où elle jouit à la vue de sa chatte s'inondant de cyprine, elle se caressait tout en me miaulant des appels luxurieux lorsque je me penchais sur elle je compris :

- Je vous en prie madame Warner... Je vous en prie... broutez-moi le minou! Je suis toute tourneboulée et je voudrais que vous me fassiez minette! S'il vous plait apprenez-moi madame Warner, cajolez-moi!

Je haletais en entendant ces mots et me rejetais violemment en arrière.

La foule m'encerclait à nouveau m'encourageant à la gouiner.

Deux fortes mains me tenaient fermement derrière la tête et me poussaient vers elle.

Elle n'avait plus rien à voir avec l'innocente ex-étudiante que je connaissais.

Je connaissais bien ses parents et je les avais rencontrés à plusieurs reprises pour discuter de mister avenir. Et voila qu'elle ouvrait en grand ses cuisses au ras de mon visage me suppliant de lui bouffer le gazon.

La foule qui nous encerclait nous encourageait avec des commentaires salaces comme :

- Et toi la pute lèche lui la chatte, plonge ta langue dans sa foufoune fais lui minette!

J'étais à demi-nue, des étrangers palpaient mon corps inventoriant lubriquement mes charmes.

J'essayais de reculer ma tête mais ce n'était pas possible, Tyrell était bien trop fort.

Mon visage était pressé contre mister vagin et je cher hais à garder la bouche fermée, mais je dus bien un moment donné ouvrir la bouche pour respirer.

Le goût initial de sa chatoune était plutôt doux alors que Tyrell me plantait le visage entre ses cuisses m'intimant :

- Bouffe-lui la chatte salope!

La foule s'enthousiasma alors que je m'exécutais.

Des larmes me vinrent aux yeux, l'homosexualité m'avait toujours révulsée jusqu'ici, j'allais jusqu'à foutre dehors les filles que je surprenais à s'embrasser dans mon appartement.

Tyrell me dicta ses instructions et je lui obéis servilement.

Je passais la langue sur ses babines et goûtais pour la première fois à la saveur d'un vagin inondée de cyprine.

C'était à la fois musqué et doux, sa chatte était véritablement détrempée.

Plus je suçais sa foufoune, plus elle coulait dans ma bouche. Comme ma tête était maintenue fermement en place, je ne pouvais qu'avaler mister jus intime.

Je mignotais mister clito le titillant de la pointe de la langue.

A ma grande gêne, Tyrell m'enjoignit de me servir de ma langue comme d'une petite bite et de l'insérer profondément dans sa caverne baveuse.

Mes caresses la rendaient folle d'excitation et, après quelques minutes elle succomba à un puissant orgasme en frottant âprement mister vagin sur mon visage.

Elle se laissa tomber sur la scène, se redressa et lécha mister jus qui marbrait mon visage.

Elle me roulait des pelles passionnées, langue au frétillant au fond de ma bouche et me dit de l'appeler lorsque j'aurai besoin d'une leçon de gouinage!

Je dus admettre, honteuse que j'avais moi aussi joui lourdement sous les yeux de ces nombreux spectateurs ravis.

Je me sentais une vraie salope auparavant et voilà que maintenant s'y ajoutait le péché de lesbianisme.

Tyrell me laissa réajuster mes vêtements puis les rejoindre dans la loge.

Je me mis à pleurer silencieusement, regrettant amèrement d'avoir accepté leur aide l'autre soir.

Tyrell m'ordonna de sécher mes yeux, la soirée était loin d'être terminée et je devais encore leur faire partager beaucoup de plaisir, il agrippa ma mâchoire me forçant à le regarder dans les yeux et me dit :

- Tu vas te faire tant de grosses bites ce soir que jamais plus tu ne pourras te passer des grosses bites de noirs.

Chapitre :5

Qu'est ce que cela signifiait?

Allait-il me faire coucher avec ses amis ou même avec des étrangers?

J'avais déjà eu des rapports sexuels avec deux hommes ces derniers jours, delà à coucher avec des gens qui me seraient totalement étrangers... Déjà que je venais d'avoir mon premier rapport lesbien!

Jusqu'où pensait-il me pousser, que voulait-il encore de moi!

Il fallait que je sois forte, que je sorte indemne de cette nuit et peut-être qu'alors je trouverai le moyen de me sortir de cette galère!

Il devait bien y avoir un moyen de me tirer d'affaire, d'effacer mes erreurs et de reprendre mon style de vie ordinaire comme si de rien n'était.

Tyrell empoigna fermement ma main et m'entraîna à l'arrière du club.

Tous les hommes avaient les yeux fixé sur moi et me désignaient à leurs interlocuteurs alors que je traversais la salle.

Il s'y trouvait quelques cabines assez vastes pour ce que les gens y faisaient.

Comme nous nous dirigions vers une stalle vide, je vis que des hommes copulaient avec des strip-teaseuses de toutes les façons possibles et imaginables dans ces cabines, je me sentais honteuse de me trouver ici, avec elles.

chrislebo

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#199
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Comment avais-je bien pu me fourrer dans un tel guêpier, me retrouver dans ce t endroit avec ces débauchés!

Tyrell me fit asseoir sur la table de notre stalle et me dit de danser lascivement pour lui.

Je n'avais jamais fait cela auparavant, je m'exécutais me faisant provocante comme il me l'avait intimé imitant ces femmes qui dansaient dans les vidéos pornos.

Il me fit aspirer une paire de goulées de marijuana, une nouvelle fois la brume obscurcit mon esprit.

Une autre goulée et cette fois je planais haut, si haut que je n'avais pas remarqué que Tyrell avait sorti sa grosse bite noire et qu'il se caressait lentement en me regardant onduler du bassin.

Il me dit alors:

- Pense à ce que tu étais encore hier, une jeune femme de la classe aisée, une bonne paroissienne, une salope très respectée et voilà qu'aujourd'hui tu t'effeuilles sous les yeux d'un noir devant d'autres pervers dans un bar louche! Tu n'es qu'une fieffée salope Grace, et comme toutes les salopes tu devrais avoir constamment une grosse bite en bouche!

Ces propos me choquaient profondément, j'aurai voulu hurler et m'enfuir, mais je manquais de volonté.

Il se dressait face à moi en me tenant ce discours, il empoigna ma nuque et me força à me pencher sur sa bite palpitante.

Je pris une profonde inspiration et sentit ses flagrances musquées avant d'ouvrir la bouche pour avaler autant que je pus de sa grosse bite impatiente.

Tandis qu'il me tirait rudement les cheveux il me prévint :

- Je vais faire de toi la reine des fellatrices, tu suceras toutes les mentules que t'ordonnerai de sucer!

Ces propos menaçants et les sensations grandissantes au fond de mon esprit m'amenèrent à le sucer avec vigueur et avidité.

Je voulais en finir rapidement avec cette fellation, plus vite il jouirait, plus vite je pourrai reprendre une contenance normale.

Je ne sais pas combien de temps je dus cajoler mister chibre avant qu'il ne jouisse, je devais cependant m'y prendre correctement car cela ne dura pas bien longtemps!

Il se tétanisa brusquement, attira rudement ma tête contre mister pubis et projeta des flots de foutre dans ma gorge asservie. Je fis de mon mieux pour ingurgiter mister épaisse semence.

J'étouffais, je lâchais prise et tombais à la renverse sur la table.

Tyrell me regardant m'affaisser commentas :

- Alors ne vous avais-je pas dit que c'était une véritable salope?

Je regardais derrière lui et sursautais vivement en état de choc.

Mes deux ex-collègues se tenaient face à moi, ces deux anciens collègues dont j'avais dénoncé le harcèlement ce qui avait abouti à leur exclusion de la boite où nous travaillions.

Tyrell leur dit de bien s'amuser avec moi, puis il se leva et partit boire un verre.

Avant même que je puisse lui emboîter le pas ils m'empoignèrent et me repoussèrent dans le box.

Il était évident qu'ils voulaient se venger de moi. Ce genre de vengeance me faisait totalement paniquer!

Celui qui se tenait à ma gauche, Chad, me dit alors, en me tenant le menton que j'avais ruiné sa vie que mister éviction lui avait couté très cher.

Celui qui se tenait à ma droite, Joe, approuva les dire de mister ami, prétendant qu'il en était de même pour lui, en m'agrippant fermement une cuisse, ajoutant qu'ils savaient que j'étais une vraie pute et qu'ils allaient me baiser séance tenante.

Il poursuivit :

- Tu vas payer pour tous les emmerdes que tu nous as créés!

Sur ces mots, ils entreprirent de pétrir mon corps, me roulant des patins avec la langue, m'embrassant dans le cou...

J'étais si révulsée d'horreur que je reculais d'un pas en crachant sur eux, ce qui ne fit qu'empirer les choses.

L'un des deux me gifla vulgarement m'effrayant comme jamais je ne l'avais été.

Mon corps s'amollissait alors que je me soumettais à leurs vœux.

L'odeur de vieille sueur et de tabac froid m'accablait. Je faisais de mon mieux pour ne pas vomir alors que sans tenir aucun compte de mes objections ils inventoriaient sans vergogne mes charmes.

Ils avaient agrippé avec power mes nibards et m'arrachaient mon soutien-gorge et ma petite culotte.

L'un d'eux inséra un doigt dans mon vagin alors qu'ils me forçaient à prendre en main leurs pénis tendus.

La taille de leurs mentules me surprit, leurs bites étaient toutes deux au moins aussi grosses et longues que celle de Tyrell, ils me forcèrent à les branler docilement.

Joe se mit à susurrer à mon oreille qu'ils allaient tous deux me baiser à couilles rabattues devant tout le monde, et qu'ils allaient prendre des photos de ma déchéance de façon m'interdire de les dénoncer à la police sous peine d'envoyer ces photos dans mon école que mes confrères et consœurs puissent constater quelle salope j'étais en réalité.

Ils pouvaient ruiner ma vie avec ces photos!

Le doigt inséré dans mon intimité commençait à éveiller des sensations que je refusais dans ma chagatte.

Chad me suçait le cou, ce que me faisait habituellement mon mari pour m'exciter, je sentais mon émoi grandir.

Le réalisant, Joe ne perdit pas de temps, il sortit sa grosse bite de mister caleçon et je lui taillais servilement une pipe.

C'était le troisième membre viril étranger que je suçais en deux jours. Il était chaud, au goût musqué et salé; mais depuis que j'avais sucé la bite de Tyrell qui était aussi grosse j'appréhendais moins de me livrer à cet acte.

Chad m'attira à lui, me positionna à sa convenance et sans hésitation d'un coup de boutoir il enfourna sa grosse bite dans mon intimité détrempée.

Il était le troisième étranger à me posséder en deux jours.

Ils étaient extrêmement bruyants, le spectacle était tel que bientôt de nombreux consommateurs se rassemblèrent autour de nous pour y assister.

Je me sentais sale, dégradée, honteuse de me faire baiser, dans ce bastingue de bas niveau, par deux pervers que je détestais devant une foule de spectateurs enthousiastes.

C'était parfaitement avilissant et je me sentais réduite à de la chair à baiser.

Mon épreuve me sembla durer une éternité elle ne se termina que lorsque les deux hommes eurent jouis en moi, me remplissant la bouche et la chatoune de leur immonde semence.

Ils prirent quelques photos de moi allongée sur le banc, du foutre s'écoulant de ma chagatte inondée.

Alors qu'ils s'éloignaient, je les entendis s'esclaffer :

- C'est vraiment une fieffée salope, et cette fois on dispose des photos pour le prouver!

- On pourra les montrer à ce salopard qui nous a foutu à la porte, peut-être bien qu'il voudra se la faire à mister tout!

Ils parlaient de moi comme d'un bout de viande, un trou dont ils pourraient user à volonté!

Tyrell revint à mon coté me tendis un verre d'eau, et me jetas une serviette pour que je puisse m'essuyer.

Il me dit alors qu'il était temps de toucher ma récompense pour m'être montrée une bonne petite pute disponible pour tous.

Il me révéla que ces deux salauds de pervers avaient payé 1000 $ pour user de mes charmes et qu'il allait se servir de cet argent pour m'acheter quelques nouveaux habits, des tenues bien plus érotiques que je porterai désormais.

Il ajouta que c'était le meilleur moyen pour que je devienne une excellente salope à mister entière disposition ainsi qu'à celle de ses copains et de futurs clients.

En revenant dans la zone principale je constatais que le bar était quasiment désert.

Une scène était éclairée, quelques hommes l'entouraient. Lorsque nous nous sommes approchés, je constatais que tous ces spectateurs étaient noirs, je me dirigeais ver la stalle Mais Tyrell me tira en arrière m'informant que je devais monter sur la scène.

Je jetais un rapide coup d'œil sur l'estrade, puis, je me tournais vers Tyrell le suppliant de me ramener à la maimister.

Il me dit qu'il me ramènerait chez moi lorsque la nuit serait terminée. Je me dirigeais en hésitant vers la marche permettant d'accéder à la scène.

chrislebo

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#200
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Kyoko me tendit la main pour m'aider à gravir les marches, elle me conseilla de ne pas trop me tracasser.

Au centre de la piste elle remonta lentement ma robe et la laissa choir au sol.

Elle me dépouilla rapidement de ma petite culotte et de mon soutien-gorge, je me retrouvais entièrement nue devant une bonne vingtaine de colosses noirs.

C'est alors que Tyrell me prévint de ce qui allait suivre. Un petit discours que je n'oublierai jamais!

- Jette un regard sur les spectateurs Grace, je suis sur que tu en reconnaîtras pas mal!

- On trouve dans cette foule un de tes anciens collègues auquel tu n'as jamais prêté attention, un des portefaix de ton école à qui tu en as fait suer des vertes et des pas mûres, un dirigeant du bureau de ton mari que tu as déjà rencontré et à qui tu as refusé de serrer la main, un de tes voisins contre qui tu as appelé la sécurité parce que tu pensais qu'il sous-louait mister appartement, et quelques autres qui mistert là juste pour nous donner un coup de main pour te transformer en satanée salope!

Ils mistert tous là pour voir une innocente, timide, raciste et snob jeune ménagère se transformer en une fieffée salope qui tombera à genoux à la vue d'une grosse bite noire!

Ce discours m'affola.

Je reconnaissais effectivement quelques-uns uns de ces hommes, dont certains avec qui je parlais de temps à autre.

Je me retournais cherchais à fuir l'estrade, mais Kyoko me tenait fermement, elle se mit à me peloter et à m'embrasser dans le cou. Ses caresses étaient très chaudes et très féminines, mister parfum m'enivrait.

Pourquoi n'avais-je jamais constaté cet impact sexuel lorsque j'étais sa prof?

Qu'est ce qui avait changé en moi m'amenant à savourer ces pratiques lesbiennes?

Elle se frottait lentement contre mon corps suçant avidement mes tétons dressés les étirant les mamelons de deux bons centimètres de long.

Je chancelais la chatte inondée de cyprine.

Elle me fit pencher en arrière et m'écartas les cuisses en grand.

Je sentis tout d'abord sa chaude haleine avant qu'elle ne me butine le gazon.

N'écoutant que ma morale bien-pensante, j'essayais de m'écarter mais elle m'agrippait vigoureusement.

Plus elle pointait sa langue dans mon humidité, plus elle soufflait sur ma foufoune embrasée, plus je sentais mon excitation croître, plus elle branlait avec opiniâtreté mes babines gonflées, gorgées de sang.

Je voyais ses beaux yeux innocents alors qu'elle fouillait mon vagin d'une langue agile.

Ces mêmes yeux qui me regardaient avec appétit de savoir pendant les années de fac me fixaient maintenant avec luxure guettant mes réactions intimes et j'aimais cela!

Elle avait une sorte d'emprise sur moi et savait exactement comment m'amener à jouir sous ses caresses. A l'instant même ou j'allais jouir comme une folle, elle cessa tout mouvement et se recula vivement.

Je ressemblais à une gamine privée de sa sucette, je tendais les bras pour la retenir mais n'y parvins pas!

Un véritable colosse prit sa place toute chaude plantant tout de go sa monstruosité phallique dans ma foufoune affolée.

Sa bite était bien plus grosse que toutes celles que j'avais connues ces derniers soirs!

Il me semblait être pourfendue en deux je lui couinais misérablement d'arrêter!

Il ignora totalement mes plaintes coulissant vicieusement dans ma cramouille pantelante.

Il m'ordonna de clamer que je voulais sa bite et même plus, que j'avais envie qu'il me baise toute la nuit.

Peu à peu les sensations douloureuses s'estompèrent, je sentais mon excitation monter, ma respiration se faisait plus heurtée.

J'étais maintenant si échauffée, plus ardente que je ne l'avais jamais été, et cet homme qui atteignait des profondeurs qu'aucune bite n'avait pu explorer jusqu'ici, il criait à voix haute :

- Cette salope est si étroite que je sens chaque pouce de sa matrice!

Mon esprit se perdait dans les brumes, je ne parvenais plus à contrôler mon souffle, ma volonté était totalement anéantie.

Je concédais :

- Oh oui... Je me sens biennnnnnnnnnnn!

Il coulissait de plus plue en vigoureusement dans mon antre engorgé de cyprine, il me demanda qu'est ce qui me faisait tant de bien. Je lui répondis :

- Votre pénis... Il me fait tant de bien plongé dans mon intimité!

Il reprit hilare :

- Mon pénis? C'est une bonne grosse bite noire et c'est ainsi que tu dois l'appeler dorénavant! Dis-le à voix forte que tout le monde puisse t'entendre petite salope!

Une larme fleurit au bord de mes paupières, et je me pliais à mister dictat :

- Votre grosse bite noire me fait tant de bien!

Il me demanda en hurlant :

- Es-tu une pouffe pour bites noires?

Et, juste à l'instant ou le plus formidable des orgasmes me terrassait, je criais à pleins poumons :

- Oh OUIIIIIIIII... JE SUIS UN POUFFE POUR GROSSES BITES NOIRES!!!!!

chrislebo

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#201
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Hobie se venge d'Amanda la fliquett




Hobie ne pensait plus qu'à sa vengeance.

Dès sa libération, il se prépara à mettre en oeuvre les plans de ven-geance qu'il avait concoctés pendant 18 mois.

Il avait été condamné pour un délit qu'il n'avait pas commis, tout simple-ment il s'était trouvé au mauvais moment à la mauvaise place.

Il avait été arrêté par une petite salope de fliquette débutante, au mo-ment où il se rendait dans une maimister qui venait d'être cambriolée par un autre.

Il est vrai qu'il avait déjà cambriolé pas mal de maimisters, mais pas celle là! .....

Un mandat de perquisition avait permis la découverte, chez lui, d'objets volés au cours de différents casses passés.

Ces découvertes l'avaient mené tout droit à une condamnation imméritée dans ce cas bien particulier.

Il avait rencontré en primister d'autres condamnés qui avaient gardé des relations avec l'extérieur. Par leur biais il obtint des informations sur les permisternes dont il avait juré de se venger.

Et tout d'abord il voulait tirer vengeance de cette salope de fliquette dé-butante qui l'avait arrêtée, il se rappelait encore comment elle lui avait fait tâter de mister bâton d'intervention.

Ouais très bientôt il se pencherait sur mister cas et c'est de mister bâton d'in-tervention permisternel qu'elle allait tâter! .....

Caché dans le cabinet de toilette Hobie attendait le retour de la fliquette à mister domicile.

En rentrant du boulot, Amanda Stevens et sa fille se changèrent et elle autorisa sa fille à aller regarder des dessins animés dans le salon.

A 24 ans Amanda était heureusement mariée à Jon qui avait été mister premier et seul amour, le seul homme qu'elle ait jamais connu.

Elle était de petite taille pour une fliquette, mais elle était spécialisée en criminologie et n'avait pas tardé à quitter la rue pour travailler dans les laboratoires scientifiques de la police.

D'être dans ce département d'activité lui permettrait ultérieurement d'exercer en qu'experte en criminologie.

Amanda entra dans sa chambre et entreprit d'enlever mister uniforme bleu clair, elle s'assit sur le lit et ôta ses collants dévoilant ses longues jambes ivoire et ses petits petons.

Elle se releva et se dirigea vers le cabinet de toilette pour prendre une tenue d'intérieur elle empoigna mister short et un chemisier accrochés sur un porte manteau et se retourna.

C'est alors qu'une grosse main noire se plaqua sur sa bouche Amanda paniqua tétanisée par la peur.

Hobie l'obligea à retourner vers mister lit, il saisit sa main droite et la tira Amanda se mit à trembler alors qu'il posait sa main sur une grosse co-lonne de chair palpitante.

Il lui manquait 5 centimètres pour parvenir à encercler la monstrueuse bite qui pulsait.

Il l'obligea à le branler sur toute sa longueur qu'elle supposa d'un bon trente cinq centimètres.

Elle frémit d'angoisse en constatant combien sa bite était longue, elle ne parvenait pas à croire qu'un homme puisse posséder un tel membre.

Son mari, le seul à lui avoir jamais fait l'amour avait une chétive petite bite comparée à celle qui palpitait entre ses doigts.

Celle de mister mari mesurait une bonne quinzaine de centimètres et ses doigts en faisaient le tour! .....

Amand avait déjà fantasmé d'être violée et possédait par une autre bite que celle de mister mari.

Mais ce n'était que des fantasmes, pas la réalité comme à cet instant.

Sa main tremblait un peu plus à chaque fois qu'elle atteignait l'énorme brugnon qui lui servait de gland, elle ne parvenait pas à se mettre en tête qu'elle allait devoir subir une grosse bite noire.

Elle se mit à branler désespérément mister agresseur espérant stupide-ment qu'il lui foutrait la paix une fois qu'il aurait giclé entre ses doigts.

Hobie ne lui tenait plus la main, elle continuait à le branler en toute liber-té. Sa main rampa vers mister bijou et il flatta mister clito.

Amanda sentit sa chatoune s'inonder de cyprine alors qu'il lui fourrait mister majeur dans la caverne pour doigter avec vigueur mister minou juteux.

Soudain Hobie la retourna et la jeta sur le lit, il se coucha immédiatement sur elle une main toujours plaquée sur sa bouche.

Il avait la tête cachée par un passe montagne.

- "Je vais enlever ma main de ta bouche, crie si tu veux, mais si tu cries ta fille va rappliquer et assistera au viol de sa gentille maman par un hor-rible noir! ...."

Amanda secoua la tête, il retira sa main de sa bouche..

Elle ne voulait en aucun cas que sa petite fille soit témoin de mister viol par ce monstre noir.

Hobie leva sa jambe à hauteur de mister visage et léchouilla voluptueuse-ment ses orteils et la plante de mister pied.

Son énorme bite frottait contre sa foufoune juteuse.

Elle sentait mister excitation monter en dépit de ses efforts pour freiner l'éveil de ses sens.

Elle tendit ses deux mains et empoigna la grosse bite pour la branler, espérant le faire juter prématurément et s'épargner ainsi ce viol qui sem-blait pourtant inéluctable.


chrislebo

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#202
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Elle craignait tant de se faire sauter par un noir, elle avait entendu dire que les noirs avaient de très grosses bites, ce qu'elle avait en main sem-blait prouver que c'était vrai.

Elle se demandait comment elle ferait pour se prendre un tel monstre, une bite qui faisait bien le double, en longueur comme en épaisseur, de celle de mister petit mari

Elle reprit alors pied dans la réalité, elle était sur le point de se faire ****** par un colosse noir.

Amanda tenait ses mains serrées sur sa hampe espérant l'empêcher de s'enfouir en elle.

Hobie sourit sachant très bien qu'elle faisait de mister mieux pour éviter d'être violée.

Toutefois ses mains glissèrent vers la racine de sa bite, il restait une di-zaine de centimètres de bite découverte entre sa chatoune et ses mains closes.

Il rit à gorge déployée et donna un violent coup de rein engouffrant ces dix centimètres dans mister étroite petite chatte.

-"Nonnnnnnnnnnn..... Argggggghhhhhhhhhhhh...." se lamenta-t-elle sourdement, elle ne voulait surtout pas que sa fille entende ses plaintes.

Effectivement sa bite était bien plus grosse que celle de mister mari. Il cou-lissait maintenant dans sa foufoune distendue s'enfonçant jusqu'à la bar-rière de ses mains sa caverne embrasée.

Amanda commençait à remuer des hanches allant à la rencontre de mister pubis, sa bite venait frotter contre mister clito à chaque coup de boutoir.

Lentement une de ses mains glissa sur l'autre, permettant à sa grosse bite de plonger de plus en plus profondément dans mister fourreau.

Bien qu'indésirées les stimulations successives amenaient la trahimister de ses sens, elle lâcha inconsciemment l'énorme hampe, il put de ce fait, la pénétrer de toute sa longueur.

Il était bien conscient de ses désirs inexprimés alors qu'il continuait à lui lécher les orteils.

Soudain il empoigna sa bite ne laissant que le bourgeon en elle :

-"Que veut la jolie dame blanche? ...."

Amanda grogna mister offense, elle était folle d'excitation mais elle ne voulait surtout pas l'avouer, elle le supplia de la laisser tranquille :

-"S'il vous plait... Ne me violez Plus... Non, non... Oh je vous en prie..... Je vous en prie enfilez une capote! .... Vous risquez de m'engrosser! ..."

Hobie se recula encore un peu et se planta à nouveau au fin fond de sa chatoune.

-"Oh nonnnn... Je vous en prie arrêtez! ...... Arruggghhhhhhh! ....." gémit-elle lourdement alors qu'il s'enfouissait de toute sa longueur dans sa féminité comblée.

Son ventre avait enflé du fait de cette énorme présence dans mister four-reau distendu, il extirpait sa bite lentement et la pilonnait alors avec une extrême violence s'enfouissant jusqu'aux couilles dans sa chatte sur-chauffée.

Le lit conjugal n'avait jamais autant grincé.

Le colosse noir était arc-bouté sur la tête de lit, utilisant ses pieds pour pousser et s'enfoncer de plus en plus profondément dans mister étroite pe-tite foufoune.

Amanda avait les jambes relevée en l'air, elle les baissa doucement les verrouillant lentement autour de sa taille.

Il la pistonnait avec de plus en plus d'ardeur.

Amanda se cabra soudain secouée par un orgasme incontrôlable, un or-gasme comme elle n'en avait jamais connu auparavant.

-"Oh mon Dieu... Mon Dieuuuuuuuuuu... " grommelait-elle en ex-tase.

Puis mister corps s'amollit et ses jambes retombèrent sur le lit.

Soudain elle verrouilla à nouveau ses cuisses sur mister torse alors que sa grosse bite se mettait à vibrer avant de propulser de longs jets de foutre dans mister intimité embrasée.

Le violeur noir restait étendu sur le corps de sa malheureuse proie, la bite mollissante alors que des flots de foutre s'écoulaient lentement de sa chatoune béante.

Il planta et agita sa bite dans sa chatte, la faisant gémir.

-"J'espère bien t'avoir collé un petit polichinelle noir dans le tiroir madame Stevens! ...."

Amanda ne put que gémir de honte.

-"La petite femme fidèle s'est fait baiser par un salaud de nègre dans le lit conjugal! ..... Et peut-être même engrosser! ..... Ce lit qui n'avait jamais du couiner comme ça auparavant! ...."

Sur ces mots il se remit à la baiser avec ardeur, elle ne tarda pas à suc-comber à un nouvel orgasme dévastateur.

-"Oh s'il vous plait... S'il vous plait! ..... Oh, nonnnnnnnnn... " se la-mentait Amanda le corps secoué de spasmes convulsifs, ses mi-gnons petits pieds blancs tambourinant dans mister dos.

Une heure plus tard, Amanda sanglotait tout en se nettoyant des jets de foutre que ce bâtard noir avait propulsé en et sur elle.

Elle n'avait jamais vu autant de foutre.

Des mares de foutre épais empesaient les poils de sa chatoune, elle fit de mister mieux pour se débarrasser du jus géniteur de bébés noirs.

Elle se demandait quelle dose de foutre actif devait encore emplir mister utérus au vu des flots crémeux qui s'écoulaient de sa cramouille béante.

Elle changea les draps pour que mister mari ne s'aperçoive pas qu'ils étaient trempés de foutre, et ouvrit la fenêtre pour aérer la chambre et dissiper la lourde odeur de bêtes en rut.

Cette nuit, mister mari rentra au domicile avec des idées lubriques en tête, il voulut faire l'amour, il en avait tant envie qu'il déchargea prématuré-ment dans sa chatte distendue laissant Amanda excitée et frustrée.

Dans cet état de frustration elle ne pouvait s'empêcher de penser à cette grosse bite noire qui l'avait fait jouir à plusieurs reprises un peu plus tôt.

Cependant Amanda ignorait, elle l'apprendrait d'ailleurs bien assez tôt c'est que mister agresseur avait dissimulé une caméra dans la chambre avant de la violer, et que toute leur performance avait été enregistrée.

Il avait récupéré la caméra juste avant de partir.

Elle était la star d'une bande vidéo qu'il diffusait dans les quartiers chauds de la ville, nombres d'amateurs qui avaient visionné ses exploits de cette ravissante pute blanche lors de projection privée.

La première projection privée qu'il avait organisé lui avait rapporté 200 $ et certains de ses copains étaient prêts à payer pour la revoir.

Une paire de spectateurs lui demandèrent combien il demandait pour passer une nuit avec cette ravissante salope, il était évident pour tous que grâce à cette cassette Hobie pouvait lui imposer ce qu'il voulait.

En clair ils voulaient savoir combien leur coûterait une petite visite de sa culotte, Hobie savait qu'il pouvait en demander une bonne somme.

Une fois que ces futurs clients eurent posé les yeux sur cette innocente et douce jeune femme, ils étaient tous prêts à sacrifier une de leurs couilles pour pouvoir lui casser le cul, d'autant plus qu'ils savaient tous que c'était une fliquette.

De ce fait il fixa mister prix à 500 $ la passe pour tous ces gars qui vou-laient cracher leur foutre dans mister délicieux petit corps.

Permisterne ne discuta le prix, sachant qu'il leur suffirait de casser une épi-cerie de plus pour trouver l'argent qu'il réclamait pour la sauter.

Un mois plus tard, en ouvrant mister courrier Amanda pensa mourir sur-le-champ.

Un agrandissement la montrait se faisant baiser par mister violeur noir. Une note accompagnait la photo lui intimant de se rendre à la nuit tombée à une adresse dans le quartier chaud de la ville.

Elle devait porter une jolie mini-jupe et des hauts talons.

Amanda avala sa salive le souffle coupé, elle craignait déjà le pire.

Le message, faisant référence à sa profession lui conseillait de ne pas commettre la folie de se pointer armée.

Si elle n'obéissait pas docilement, mister mari, ses voisins et ses collègues recevraient des copies d'une vidéo de mister viol! .....

Le soir même, Amanda mentit à mister mari pour la première fois de sa vie, mais pas la dernière. Elle lui dit qu'elle rejoignait des amies pour aller voir un film entre filles.

En fait, elle allait endurer une terrible épreuve.

En arrivant à l'adresse indiquée, elle frismisterna en entrant dans la mai-mister.

Son sauvage violeur la salua ironiquement et la fit asseoir pour visionner la totalité de la cassette. Puis il la conduisit dans une chambre ou l'atten-dait 4 immondes clients qu'elle dut contenter avec art.

Lorsqu'enfin elle put rentrer chez elle, elle sanglotait en trouvant mister chemin toues lumières éteintes, elle ne copulait pas allumer les lumières de peur de réveiller mister mari ou sa fille.

Elle gagna la salle de bain et prépara rapidement une douche vaginale pour chasser de mister vagin le foutre accumulé de ses quatre clients.

Le pire étant un nain avec une longue et épaisse bite qu'il lui avait en-foncé dans l'arrière gorge avant de projeter mister foutre épais au fin fond de sa gorge lui faisant avaler sa semence jusqu'à la dernière gorgée.

Son cul la faisait souffrir, une immonde brute le lui avait cassé fier d'être le premier à fourrer sa bite dans ce fourreau si séré, sa chatte aussi était distendue et douloureuse après avoir été investie par ses 4 premiers clients.

Demain elle prendrait rendez-vous avec mister gynéco pour se faire pres-crire la pilule, il ne manquerait plus qu'un de ses clients l'engrosse main-tenant qu'elle faisait partie du cheptel de Hobie.

Il l'avait informé, après l'avoir filmée contentant ses premiers clients que désormais si elle voulait que permisterne ne connaisse sa déchéance elle devrait lui obéir au doigt et à l'œil, bien sur s'occuper de sa bite quand il le voudrait, mais surtout elle devrait s'offrir aux clients qu'il lui désignerait et surtout satisfaire tous leurs désirs avec humilité.

chrislebo

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#203
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Hobie la vengeance de l'innocent



Hobie évoquait le passé, il pensait qu'on ne pourrait jamais prouver sa culpabili-té, puisqu'il n'avait pas commis le cambriolage dont il était accusé.

La perquisition n'avait permis de trouver que quelques babioles dérobées dans d'autres cambriolages mineurs, mais aucune preuve de sa culpabilité concernant le cambriolage pour lequel il était arrêté.

Mais la représentante du ministère public était jeune et bien décidée à se bâtir une réputation, par ailleurs elle était ravissant et elle le savait, sans vergogne elle jouait de ses charmes pour influencer la part masculine du jury.

Agée de 26 ans, la ravissante Sharon Hicks sortait tout droit de mister école de droit, elle était déterminée à gagner toutes les causes qu'elle défendrait, quelles qu'elles soient.

Elle était très intelligente, elle apprenait vite, tirant de fructueux enseignements de chaque affaire, n'hésitant pas à se frotter aux ministères publics les plus répu-tés.

Même sa tenue de magistrat était très soignée, étudiée pour séduire : un tailleur aussi élégant qu'onéreux porté sur des hauts talons de 8 cm et des bas de 3 de-niers.

Mais pour cette ultime journée, elle avait revêtu une veste blanche immaculée sur un corsage jaune éclatant, une jupe blanche et des hauts talons blancs, elle était jambes nues ce qui lui permettait d'exposer ses longues jambes au teint d'ivoire, même Hobie avait du mal à se concentrer sur autre chose que ces jolies gambettes.

Il y avait 9 hommes sur les 11 membres du jury, à voir la façon qu'ils avaient de suivre tous ses mouvements, Hobie pensait qu'il faudrait un miracle pour la bat-tre.

Au moment de la péroraimister, il s'était penché en arrière, et avait jeté un regard incisif sur la table où la jeune femme était assise relisant ses notes.

Il la vit essuyer une minuscule tache sur ses hauts talons blancs, puis une de ses jambes posées sur l'autre, elle joua avec l'extrémité d'un de ses talons.

Jetant un oeil sur le jury, il constata que tous les hommes suivaient du regard les mouvements de ses jambes, c'est à cet instant qu'il comprit que les carottes étaient cuites.

S'il avait fait partie du jury, il y a longtemps qu'il n'écouterait plus que ses argu-ments, convaincu de la justesse de mister jugement.

En primister, il parvint à négocier certain de ses repas contre des échanges avec l'extérieur, grâce à ces contacts, il put étudier la carrière de la brillante Sharon Hicks : après le lycée, elle avait fréquenté une des plus onéreuses école préparatoire à la magistrature puis était sortie diplômée de la plus prestigieuse université de droit, il savait aussi qu'elle venait de se marier à un autre légiste, un certain David Hicks, ils n'envisageaient pas d'avoir des enfants pour l'instant et résidaient dans une zone résidentielle très fermée.

Son contact avait même pris des photos de la jolie jeune femme sortant du tribu-nal, il y avait même quelques zooms de la ravissante salope.

Dans la pénombre de sa cellule, il se branlait en contemplant les photos de cette somptueuse putain, elle l'obsédait véritablement, il déchargeait rien qu'en pen-sant à elle.

Il rêvait du jour où il se retrouverait en tête à tête avec cette somptueuse jeune salope, il lui ferait payer sa condamnation. Finalement il obtint sa libération sur parole, plus en raimister de la surpopulation carcérale qu'en raimister de sa bonne conduite.

Plus rien d'autre ne comptait pour lui que de se venger de cette putain de juriste qui l'avait fait injustement condamner. Il avait appris qu'il n'était pas le seul à avoir été condamné sans véritable preuve à l'instigation de la ravissante salope, et à chaque fois, elle avait, utilisé la même tactique : séduire le jury afin de le circonvenir.

-"Cette putain s'est servi de toute sa sensualité pour me faire condamner" marmottait-il, "le meilleur moyen de me venger serait de violer ce joli corps si sensuel, ... Ca lui ferait une bonne leçon qu'elle n'oublierait ja-mais .....Mon Dieu j'espère bien y réussir .....Je vais ruiner sa vie et lui coller un polichinelle noir dans le tiroir .. Ainsi elle pourra se souvenir de moi tous les jours! ......."

Deux mois plus tard, Hobie était prêt à sceller le sort de cette pute qui l'avait in-justement fait condamner, la première phase était déjà terminée, il s'était acquis le concours involontaire d'une policière ayant participé à mister arrestation, grâce à elle il avait pu rentrer dans le palais de justice, là il avait copié le calendrier pro-cès, il savait maintenant dans quelle salle cette salope allait parader.

Il se rendit dans la salle et s'assit au second rang des spectateurs, derrière cette chienne sexy cette position lui octroyait une vue direct sur la barre repose pied des magistrats, il put ainsi admirer ses jolies jambes blanches lorsqu'elle s'assit

Le procès n'était qu'une formalité, le pauvre gars n'avait aucune chance de s'en tirer. L'avocat qui lui avait été décerné n'avait d'yeux que pour les jambes de la belle juriste, il imitait d'ailleurs en cela les jurés et même la cour.

La belle Sharon les avait tous dans sa manche, et comme de plus elle avait la justice pour elle, cela ne faisait aucun doute, le pauvre gars avait perdu d'avance.

Le procès réglé, le condamné évacué, Hobie regardait fixement la ravissante juriste recevoir les félicitations de ses confrères, même le juge avait traversé la salle pour lui serrer la main et la congratuler. Lorsqu'elle eut rassemblé ses pa-piers, comme elle se dirigeait vers la sortie, sa présence attira mister attention.

Hobie lui fit un large sourire, ce qui accrut sa nervosité, elle en agrippa fébrilement le haut de mister corsage, il était évident qu'elle avait reconnu le crimi-nel qu'elle avait fait jeter en primister il y a quelques mois.

Hobie explosa de rire en la voyant se précipiter hors du tribunal.

Une excellente idée de vengeance lui était venue : pourquoi ne la ferait-il pas baiser par les gars qu'elle avait fait condamner? Il avait gardé certains contacts avec des primisterniers incarcérés, sans aucun doute ils paieraient pour tirer un coup avec cette belle salope, ils pouvaient en tirer quelques billets et quelques barrettes de dope.

Il se marra à l'idée de cette pute recevant mister du, sachant que ces locataires de la geôle avaient tous des raimisters de se venger d'elle, et qu'ils la baiseraient jusqu'à l'os. Il bandait rien qu'à l'idée de voir cette sacrée salope dégradée par des bites noires, quelle vengeance!

Hobie avait refusé de lui livrer le nom de ses complices éventuels, et pour cette raimister elle s'était opposée à une de ses demandes de réduction de peine.

Il avait vu de ses yeux cette sacrée salope prendre le parti de l'avocat général en assurant que s'il était libéré, il s'empresserait de rejoindre ses complices pour partager le butin, grâce à cette prétendue information, elle avait obtenu le rejet de sa demande pourtant fortement motivée.

Cette même semaine Hobie pris contact avec un de ses potes incarcéré dans la primister d'état la geôle qu'il avait lui-même fréquenté grâce à cette salope, il savait que lui aussi était victime de cette ravissante pute, Hobie avait concocté un plan qui devait permettre à mister copain d'intervenir de l'intérieur.

Une semaine plus tard, la belle procureur était assise à mister bureau, elle avait passé un marché avec un justiciable, mister avocat venait de l'appeler pour lui dire que c'était d'accord, mister client livrerait des renseignements en échange d'un allé-gement de sa peine.

Toutefois, Sharon allait devoir le visiter en primister, en accord avec mister avocat il avait exigé une rencontre en tête à tête avec elle seule. L'idée de devoir se rendre dans la primister la faisait frismisterner de dégoût, on y rencontrait toute la lie de la société.

Elle était heureuse de conclure ainsi cette affaire, mais elle détestait l'idée de devoir se rendre dans la primister, elle répondit à l'avocat du prévenu que c'était d'accord, et qu'elle devait le rencontrer pour mettre au point les détails de la tran-saction.

Il pourrait lui donner les informations indispensables vendredi.

Ce vendredi, la mignonne Sharon Hicks rangeait ses imprimés dans mister sac, et vêtue d'un tailleur jupe jaune, le corsage et les hauts talons étaient blancs, les yeux des mâles rivés à ses jambes blanches, suivant du regard le rythme de sa démarche, elle quittait le palais.

Une fois de plus elle s'était attirée l'adhésion du jury, le prévenu était sévèrement condamné, sans perdre de temps elle se dirigea vers la primister du comté.

Arrivée à la primister, enrobée dans un pardessus, elle frismisterna à l'idée de ren-contrer les nombreux triste voyous qu'elle avait envoyé ici, il faisait fort chaud dans le bâtiment, elle enleva donc mister pardessus, et le roula sur mister bras, avant de signer le registre des entrées, l'employé appela alors un garde, un véritable colosse, qui l'escorta jusqu'au parloir dans l'autre bâtiment.

Le passage par différents postes de contrôle la hérissa, il lui semblait presque être une des détenues.

Alors qu'elle longeait les immenses bâtiments, traversant d'autres zones de contrôle, les détenus qui déambulaient pouvaient l'observer à loisir.

Une bordée de sifflets, de jurons, éclata dans la cour de la primister, lorsqu'elle logea fugitivement une cour cernée de hauts grillages. Elle regrettait avoir enlevé mister pardessus s'exposant en tenue légère, mais elle savait qu'elle se trouvait dans un couloir sécurisé.

Délibérément, le temps de longer la cour grillagée, elle adopta une démarche provocante, elle se marrait en adressant un sourire narquois aux condamnés en-cagés, puis elle entra dans le bâtiment.

Elle pénétra dans une petite salle meublée d'une petite table et de deux chaises, le garde lui demanda si sa présence était requise lors de sa rencontre avec le prévenu, elle déclina cette offre, le primisternier ayant insisté pour la rencontrer seule. Il lui donna un biper muni d'un bouton d'appel en cas d'urgence, lui rappelant qu'il se tiendrait dans la salle de garde du bâtiment voisin.

Prenant une chaise, elle demanda au garde d'aller chercher le prévenu. Jetant un coup d'oeil circulaire, elle frémit de se savoir confinée dans une si petite salle.

Cinq minutes plus tard, Sharon commençait à s'impatienter, enfin elle entendit s'ouvrir puis se fermer la porte du bâtiment, elle haussa les épaules tout en pous-sant un soupir appuyé.

Se tournant lentement vers le portail, Sharon se prépara à affronter le prévenu qui espérerait bien sûr, obtenir une importante remise de peine.

Dès l'ouverture de la porte, Sharon haleta d'effroi, ce n'était pas le prévenu prévu qui pénétrait dans la petite salle. Elle se leva si précipitamment qu'elle en fit tomber la chaise dans mister dos.


chrislebo

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Dans mister effroi, elle heurta le biper qui chut entre elle et lui, elle recula lentement, venant buter contre le mur. Le colosse noir comme du charbon s'ap-procha d'elle:

-"Te souviens-tu de moi salope?" l'interrogea-t-il menaçant.

Tremblante de peur, elle le regarda plus attentivement, effectivement mister visage ne lui était pas inconnu.

-"T ai je fait peur la semaine dernière au palais de justice?" c'est à ce mo-ment qu'elle le recadra, elle le revit regard ancré sur elle dans la salle des audiences, mais il portait alors une tenue carcérale.

Hobie s'était arrangé pour se faire enfermer en primister pour ce jour mémorable.

Hobie lui jeta un nouveau regard menaçant :

-"Espèce de salope, on se souvient tous de la façon ignominieuse dont tu as utilisé tes charmes pour nous faire condamner!...Ce n'est que justice qu'on puisse y goûter aujourd'hui!......"

-

Sharon se décomposa à la vue de six détenus lui souriant ironiquement en pénétrant dans la petite salle. Tous ces visages noirs lui semblaient familiers.

Après le discours menaçant du premier, l'impression de connaître ces gens se transforma en certitude, ils s'agissait de détenus qu'elle avait fait permisternelle-ment incarcérer.

Le dernier transportait un large matelas qu'il jeta au sol, les autres déplièrent alors un drap multicolore qu'ils étendirent sur le matelas.

Voyant mister angoisse, Hobie éclata de rire :

-"On ne va te faire que du bien ma chérie!.....On sait que tu as de la classe .... c'est pourquoi on a choisi un beau drap pour que tu y poses ton jolie petit cul ......Eh oui salope, tu vas bientôt te tortiller dessus!......"

Sharon soupira profondément en réalisant à quoi allait servir le matelas, il était là à mister intention, ... Et certainement pas pour y dormir!.....

Comme les détenus s'approchaient de plus en plus d'elle, Sharon s'enroula dans mister pardessus et se réfugia dans un coin de la pièce, de grosses larmes perlaient à ses paupières et ruisselaient maintenant sur ses joues, elle suppliait les détenus visiblement obnubilés par leur projet de vengeance. Ses pathétiques supplica-tions ne servaient à rien, leurs oreilles étaient fermées à toutes pitiés.

Bras tendus en un réflexe de défense inutile, elle sanglota :

-"S'il vous plait ... Je vous en prie laissez moi .... Ne me faites pas mal ....Je vous en prie ......".

Hobie éclata de rire en entendant ces plaintes désespérées, d'une signe de la tête, il donna alors le signal du début des réjouissances, les libidineux détenus n'at-tendaient que cela.

Deux hommes l'immobilisèrent tandis qu'un troisième lui arrachait mister pardessus, et lui déchirait ses vêtements, en un rien de temps, sa jupe et mister corsage déchirés jonchèrent le sol, puis ce fut le tour de mister soutien-gorge pigeonnant et de sa petite culotte en dentelle, ils la traînèrent alors sur le matelas défraîchi.

Ils se rassemblèrent alors autour du matelas, un gros noir agenouillé au dessus de sa tête la maintenait au sol. Elle nota alors qu'un des détenus avait en main une caméra, visiblement ils allaient enregistrer les débats, filmer mister viol.

Jetant un oeil vers le haut, le regard de Sharon se fixa sur Hobie qui, debout au pied du matelas lui souriait ironiquement. Elle haleta en le voyant se déshabiller, il enlevait sa chemise, dévoilant une impressionnante musculature, puis il dégra-fa mister jean et baissa mister caleçon blanc.

-"laissez moi ... Je vous en prie ....Nonnnnn ... Pas ça .... Je veux partir .... Je vous en prie ......Mon Dieu ....... Ne me violez pas ..... Pas ça ......." san-glotait-elle misérablement.

Caleçon baissé, Hobie fit une grosse impression, elle faillit défaillir à la vue de sa bite.

-"Eh oui chérie c'est ton jour de chance ....." ironisa-t-il implacablement.

Le cercle des détenus riait aux éclats en la voyant tortiller mister ravissant corps blanc tout en gémissant :

-"S'il vous plait .... Je vous en prie ....pitié .......Je vous en prie ...... Ne me violez pas ......."

-"Allez Hobie ..... Viens te la faire cette petite chienne! ....." lui hurla un détenu.

Ils entonnèrent alors une sorte litanie:

-"Baise la pute .....Baise la pute ..... Baise la pute ......" Hobie leur sourit largement avançant d'un pas, queue en main.

Sharon tentait désespérément de lui donner des coups de pieds por l'empêcher d'approcher de mister corps dénudé, soudain , deux des détenus au pied du matelas lui saisirent les chevilles et lui écartèrent les cuisses en power.

Agenouillé entre ses cuisses, Hobie se régalait du chant vengeur que ses hommes assoiffés de représailles psalmodiaient, ces mots lui causaient un vif plaisir alors que Sharon continuait à gémir :

-"S'il vous plait ...... Je vous en prie ... Pas ça ...... Ne me violez pas .... Je vous en prie ..... Je n'ai jamais trompé mon époux ......Je vous en prie ...."

Hobie saisit sa grosse bite, une perle de pré sperme fleurissait sur le méat, ce serait la seule lubrification dont elle disposerait. Il allait la prendre sauvagement, il voulait la faire hurler de peur et de douleur.

-"Oh non ..... .. Nonnnnn ...... Non, Je vooous en prie!......." pleurnichait Sharon sentant l'épais gland frôler mister intimité

-"Ononnnnnnnnn ....... Owwwwwww ....... Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeee .......Ohhhhhhhhhhhh!...."

Lorsque impitoyablement il fourra mister gland dans sa fente, elle ne s'était jamais sentie aussi distendue, elle ne connaissait que le pénis de mister mari, et il n'y avait aucune comparaimister avec l'énorme mentule qui la pourfendait inexorablement.

-"Owwwwwwww ...... Ohhhhhhhh, Mon Dieu ......S'il vous plait ...." criait-elle alors qu'Hobie sous les encouragements de ses complices s'enfouissait impitoyablement dans sa chatte, à grands renforts de coups de reins bru-taux.

Toute l'assistance se réjouissait de voir cette satanée salope qui les avait tous fait emprimisterner recevoir mister du. Ils braillèrent leur joie en la voyant verrouiller bras et jambes dans mister dos, ils la voyaient se cambrer et gémir :

-"Oohhhhh ..... Mon Dieu ......Je vais jouir .......Ohhhhhhhhh.... Pas ça ..... Je ne veux pas ......"

Le grand corps noir fut secoué de spasmes alors qu'il se vidait à gros bouillons dans les muqueuses fertiles de sa ravissante chienne.

Les détenus l'applaudirent alors qu'il extirpait sa bite détumescente, engluée de foutre.

Leurs yeux se rivèrent sur le ravissant corps blanc de cette salope qui s'était si bien servi de ses charmes pour convaincre les jurés de les condamner.

Mais maintenant elle exhibait tous ses appâts sous leurs yeux, souillé par du si-rop de corps d'homme, elle avait les seins tendus, un filet de sperme s'écoulait de sa chatte inondée.

Un à un ils se payèrent sur la bête, se vidant les couilles dans mister ventre soumis. Lorsqu'ils eurent tous joui une première fois, ils la prirent ensemble, elle en branlait deux tandis qu'un troisième s'enfouissait dans sa foufoune et ainsi de suite. Ils échangèrent continuellement leur place pendant les quelques heures qu'ils la labourèrent avant qu'ils ne s'écroulent épuisés.

Sharon gémissait et pleurait de honte, honte et offense d'être violée, dégra-dée par ces détenus noirs qu'elle avait fait condamner.

Honte de voir mister corps la trahir, s'accordant au rythme de ses immondes violeurs s'ouvrant en grand pour mieux recevoir leur semence honnie.

-"Oh mon Dieu ... Et si l'un de ces chiens m'engrossait? ..... " pensait-elle sombrement.

Elle palpa mister corps et gémit sourdement au contact de la visqueuse substance qui lui couvrait le ventre et les cuisses, s'étalant sur tout mister corps.

Cherchant désespérément à se lever, elle sentit qu'on l'y aidait.

Elle frismisterna de dégoût au contact de ces mains, mais elle se réjouissait, croyant que mister épreuve était terminée.

Alors qu'elle s'était redressée sur les genoux, on l'empêcha de poursuivre, les mains impitoyables la maintenaient rivée au sol, elle frémit d'angoisse, réalisant la position dans laquelle on l'avait disposée, elle gémit en pensant à ce qui allait advenir, ils allaient la prendre en levrette, comme une chienne en pleine nature!.....

Le matelas s'enfonça sous le poids d'un homme se positionnant dans mister dos la confirma dans ses angoisses, elle soupira longuement, résignée à subir mister des-tin, elle espérait seulement que mister corps ne la trahirait pas à nouveau.

Elle banda sa volonté pour rester impavide, se disant :

-"Quelle différence cela faisait-il d'être à nouveau violée, puisqu'ils avaient déjà tous assouvis leur luxure avec mister corps!.....Que pouvaient-ils lui faire de plus? ....."

Bandant ses powers elle se prépara à subir l'inéluctable viol qui allait suivre, mister corps frémit lorsque mister agresseur la saisit aux hanches s'installant dans mister dos, cherchant sa cible dans sa raie culière.

Elle écarquilla les yeux alors qu'une effroyable angoisse l'envahissait.

Elle venait de comprendre que la brute dans mister dos n'allait pas la violer comme elle le croyait jusqu'ici, en fait il pointait mister gland sur mister petit anus affolé, il se préparait à la violer d'une façon immonde, par une voie que permisterne n'avait ja-mais empruntée jusqu'ici, il allait lui casser le cul, l'enculer impitoyablement.


chrislebo

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Oohhhhhhhh .. Non ....... Non ..... Nonnnnnnn Pas ça ....... S'il vous plait ....... Pas comme ça .......Ne me faites pas ça ....Vous allez me faire mal ..... Me blesser ........Permisterne ne m'a jamais fait ça .... Je vous en prie ......" pleurnichait Sharon affolée.

Sa supplication n'allumèrent que des rires dans l'assistance alors elle se remit à gémir :

-"Oahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ........ Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ......Oh, oh, oh .......Awwwwwwwwwwww.... "criait-elle hystériquement sous les re-gards goguenards des détenus qui psalmodiaient maintenant :

-"Vas-y ... Vas-y ......Vas-y ... Vas-y ......" Les larmes ruisselaient mainte-nant sur mister visage, témoignage de mister intense douleur.

Son agresseur lui déflorait sauvagement l'anus, après quinze abominables minutes de souffrance, elle le sentit enfin se répandre dans ses intestins. Il lâcha ses hanches la laissant s'effondrer sur le matelas largement souillé.

Une heure plus tard, Sharon releva péniblement la tête. Elle reprit ses esprits, réalisant qu'il ne s'agissait pas d'un cauchemar, qu'elle s'était bel et bien fait ******! ...

Des vicieux détenus noirs qu'elle avait fait embastiller l'avaient soumise à un gang bang.

Elle jeta un oeil sur mister corps couvert de foutre, sa chatte dégorgeait de foute, mister anus la lançait terriblement.

-"Mon Dieu ... Où mistert mes vêtements? ...." s'interrogea-t-elle inspectant nerveusement les lieux.

Elle ne vit que quelques oripeaux qu'ils avaient abandonné à mister intention, ses hauts talons et mister pardessus correctement plié.

S'essuyant de mister mieux avec les chiffons à sa disposition, Sharon enfila mister seul vêtement, qu'elle maintint étroitement fermé sur mister corps, elle enfila alors ses hauts talons et soupira de désespoir.

Alors qu'elle était évanouie, certainement dans le but de l'humilier, ils avaient éjaculés dans ses chaussures les inondant de sperme, ses pieds baignaient dans leur foutre visqueux.

Se saisissant du biper, elle appuya sur le bouton, deux minutes plus tard, le ro-buste garde apparut et l'escorta jusqu'au bureau administratif.

Comme le permisternel de service était parti, leur journée terminée, le garde lui dit de laisser tomber, ce n'était pas la peine de signer le registre des sorties et il l'escorta jusqu'au porche d'entrée de la primister.

Sharon se sentait nerveuse de quitter la primister dans de telles conditions, le fait que permisterne ne pouvait normalement sortir sans avoir signé le registre et rendu mister badge de visiteur, qui avait disparu lorsqu'ils l'avaient dévêtue, ne la frappa pas.

Elle monta dans sa voiture et s'empressa de regagner le domicile pour curer mister corps de toute cette saleté.

Elle jeta un oeil sur sa montre et se sentit soulagée, elle savait que mister mari ne serait pas là, il buvait un coup ses collègues, il ne serait pas rentré avant minuit.

Le règlement de la primister prévoyait que tous les visiteurs devaient être escortés, raccompagnés à l'entrée après avoir signé le registre de sortie.

A la fermeture du registre, la case juxtaposée au nom de Sharon contenait une signature contrefaite, il était indiqué qu'elle avait quitté les lieux alors qu'en fait elle attendait qu'on lui amène le détenu, mister badge était revenu alors qu'on l'enculait si sauvagement, c'est le garde qui avait été chargé de sa sécurité qui avait accompli ces faux.

Sharon aurait été encore bien plus choquée si elle avait su le rôle pris par le garde dans mister viol, il était retourné dans la salle de surveillance yeux rivés sur l'écran posé sur le bureau.

Le circuit intérieur lui restituait ce qui se passait dans le parloir, il avait ainsi zieuté l'excitant gang bang, il en avait profité pour l'enregistrer sur une cassette vidéo.

Sa forfaiture lui avait ramené un bon petit magot qu'il avait perçu avant le gang bang, les détenus avaient payé mister assistance, mais ce qui l'excitait le plus c'était le bonus qu'il s'était octroyé en enregistrant cette sulfureuse cassette.

Ce bonus s'était d'ailleurs avéré plus fructueux que prévu, la vulgare défloration de mister anus offrait une séquence de choix.

Deux semaines avaient passé et Sharon avait repoussé les avances de mister mari feignant d'être trop fatiguée ou d'avoir un mal de tête insupportable.

Elle se sentait si souillé, si dégradée après mister gang bang qu'elle ne pouvait sup-porter l'idée de voir mister époux planter mister pénis dans sa chatte dévastée par les grosses bites noires.

Pourtant, chaque nuit, dans le creux de mister lit, elle repensait à la trahimister de mister corps et aux nombreux orgasmes qui l'avaient submergée.

Des orgasmes d'une telle intensité qu'ils surpassaient largement tout ce qu'elle avait connu, jusqu'ici, dans ce domaine avec mister époux.

D'autre soirs, elle avait du se rendre dans la salle de bain afin de soulager à grands renforts de coups de bouteille de coke l'excitation qui l'envahissait;

Hobie sourit à sa chance en voyant le mari franchir la porte d'entrée et monter dans sa voiture. Il avait garé sa voiture dans le virage, il se dirigea vers la luxueuse maimister et appuya sur la misternette d'entrée.

Il se réjouit en voyant sa stupéfaction lorsqu'elle le découvrit sur le pas de porte s'étant rendu plusieurs fois au palais de justice ces deux dernières semaines, il s'était réjoui de voir mister visage s'enflammer chaque fois qu'il la croisait.

-"Bonjour madame Hicks" Goguenard, Hobie saluait la ravissante jeune femme muette de stupéfaction.

Sharon se préparait à assister au premier service à l'église, elle s'était levée tôt pour préparer le petit déjeuner de mister mari et se rendre à l'église ensuite.

Elle était pétrifiée de voir mister tourmenteur dans sa maimister, elle ne pouvait rien faire d'autre que lui, obéir en tous points.

Elle ferma les yeux de honte, en remontant sa jupe pour se dépouiller de sa pe-tite culotte qui glissa jusqu'à ses chevilles.

Quelques instants plus tard, Sharon ne portait plus que ses hauts talons, elle étreignait le robuste corps de mister agresseur entre ses cuisses verrouillées dans mister dos, bras ancrés sur ses épaules, accompagnant ses allées et venues dans sa foufoune aussi domptée et accueillante.

Son dos claquait contre le mur au gré des coups de boutoirs qui la pourfendaient.

Une heure plus tard, David Hicks frôlait l'extase, il se trouvait sur le lac, canne à pêche en main.

Conscient du malaise existant actuellement entre sa femme et lui, il se détendait à sa façon.

A cet instant, sa petite chérie cherchait désespérément à convaincre mister agres-seur de ne pas la prendre sur le lit conjugal qu'elle ne voulait pas souiller.

Mais elle était empalée sur la grosse queue de l'insatiable noir qui avait décidé d'agir selon sa volonté, de gicler dans mister connil dans le lit conjugal désacrali-sant l'endroit.

Trois semaines plus tard, la période de ses règles révolue, elle s'inquiétait vive-ment de ne pas les avoir eu.

Assise dans sa salle de bain, elle attendait anxieusement le résultat d'un test de grossesse qu'elle venait d'effectuer.

Quelques minutes plus tard, pleurnichant misérablement, elle étudiait le calen-drier, Il y avait un bon moment qu'elle n'avait pas fait l'amour avec David, et comme d'ordinaire il mettait une capote ....

Elle frémit en constatant que sa période de fertilité correspondait exactement au moment de sa visite à la primister, elle comprit qu'un des humbles détenus était le géniteur de l'embryon qui se formait dans mister utérus. Elle n'était certaine que d'une chose elle s'était fait engrossée par une bite noire.

chrislebo

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Hobie se venge de sa défenderesse





En traînant chaque jour autour du tribunal, Hobie recherchait sa pro-chaine victime, le moment était venu de faire payer à cette petite salope qui l'avait défendu mister manque de conviction et la faiblesse de mister tra-vail

Ce qui le choquait le plus, c'est que cette foutue salope était vive, mais il était évident qu'elle n'avait pas cru en mister innocence.

Ainsi les articles saisi chez lui étaient le fruit d'anciens cambriolages ce qui ne prouvait en aucun cas sa participation à celui dont il avait été ac-cusé.

Cette salope lui avait conseillé de plaider coupable, et, dès mister refus il fut évident qu'elle ne le défendrait que mollement.

En tout cas il avait décidé de le lui faire payer cher.

Venue au tribunal pour écouter une péroraimister, Hélène Mills revoyait ses notes tout en se dirigeant vers la salle d'audience.

Son diplôme en poche, elle avait tout de suite rejoint ce cabinet d'avocat. Elle avait reçu plusieurs offres impressionnantes de différents cabinets de la ville mais avait choisi de rejoindre celui là qui se souciait de défen-dre de pauvres gens.

Elle voulait consacrer quelques années à aider les malheureux qui n'avaient pas accès à la défense d'avocats de renom, se réservant de réorienter sa carrière par la suite.

Mais elle ne ressentait aucune pitié envers les voleurs, les violeurs ou les meurtries plus spécialement s'il s'agissait de récidivistes.

Elle se souvenait d'un voleur nommé Hobie Thompmister et de mister refus de plaider coupable, alors qu'on avait trouvé chez lui des articles volés.

Elle se souvenait bien de mister cas et du fait qu'on avait rien trouvé chez lui correspondant au cambriolage dont il était accusé. Elle avait considéré que cette accusation de cambriolage était avérée.

La vie d'Hélène se déroulait heureuse et paisible, elle avait épousé mister amoureux des années collège et lui avait donné deux beaux enfants.

Elle pensait à mister cher époux, Sam, c'était le seul homme qu'elle ait connu depuis leur rencontre au collège.

A l'âge de 32 ans, Hélène était très bien notée dans sa profession et elle allait bientôt être chargée de la direction du bureau des avocats de la dé-fense.

La vie ne pouvait plus lui sourire, mariée à l'homme qu'elle chérissait et mère de deux beaux enfants. Assis dans un coin éloigné de la salle d'audience, Hobie se léchait les lèvres en lorgnant sur la belle avocate de la défense. Il la regarda relire ses notes alors qu'elle passait devant lui se dirigeant vers l'ascenseur, sans remarquer sa présence me-naçante. L'insouciante beauté ne prêtait aucune attention à ce qui l'envi-ronnait.

-"Bordel.... Je vais bientôt savoir comment est faite cette chatte sauvage lorsque je lui aurai arraché sa tenue de service..... " se disait Hobie hilare.

Comme sa proie était la seule permisterne à prendre l'ascenseur, il nota l'étage où il s'était arrêté. Il prit l'ascenseur suivant et monta au troisième à la recherche de la belle avocate.

Hélène était si absorbée par mister argumentation contrant les conclusions du juge qu'elle ignorait la présence incongrue d'Hobie sur les bancs de l'assistance. Il l'observait minutieusement, la déshabillant du regard.

Une fois les débats conclus, Hélène se retira dans mister bureau, elle pen-sait à mister mari, se demandant si elle ne se montrait pas trop prude avec lui au regard de ses désirs sexuels.

Mais dans sa vie intime, Hélène ne voulait pas s'aventurer sur ce terrain, elle pensait que seule une vulgaire pute pourrait satisfaire des appétits si pervers.

Pas un homme ne la respecterait si elle se montrait assez vicieuse pour faire une fellation ou se laisser faire un cunnilingus.

Préoccupée par ces pensées, elle ne prêtait aucune attention à ce mâle noir qui la filait discrètement.

En atteignant l'immeuble de ses bureaux, Hélène décida de laisser quel-ques documents dans sa voiture pour ne pas avoir à les tringbaler partout avec elle, elle donnait ainsi l'occasion à mister suiveur de se documenter facilement sur elle.

Lorsqu'elle retourna chez elle, ses enfants jouaient au football avec leur père sur la pelouse devant la maimister.

Par chance Sam était sorti tôt de mister boulot et avait pu aller chercher ses enfants à l'issue de leur entraînement de foot ball.

Ses fils avaient 6 et 7 ans, ils adoraient les sports collectifs et jouaient dans l'équipe des benjamins.

Son mari lui sourit et lui fit signe de les rejoindre. A mister insu, une vieille Ford l'avait suivie jusque chez elle et s'était garée dans le virage lors-qu'elle avait tourné pour se ranger dans l'allée du garage.

Ce soir, les Mills avaient mangés en famille à la maimister, les enfants avaient l'autorisation de regarder la télévision avant d'aller se coucher.

Finalement Hélène et Sam purent refermer la porte de leur chambre sur eux, ils se roulèrent des patins passionnés en se laissant tomber sur le lit.

Hélène était toujours ravie de faire l'amour avec Sam, elle voulait seule-ment qu'il ne lui demande pas de se livrer à des actes que seuls les prostituées accomplissaient. Bien sûr elle voulait complaire à l'homme qu'elle aimait, mais elle ne pouvait se résoudre à lui faire une fellation!

-"Qu'arriverait-il si elle faisait cela?....

-"Sam lui poserait-il la main sur la nuque la forçant à le laisser éjaculer dans sa bouche?.....

-"L'obligerait-il à avaler sa semnce?....."

Sam n'en croyait pas sa chance, la plus belle fille du collège était tombée amoureuse de lui! Hélène était alors la plus belle fille du collège, celle qui faisait battre les coeurs de tous les mâles!

Il souhaitait seulement qu'elle se montre moins prude dans leurs rapports intimes, il savait qu'elle était arrivée totalement inexpérimentée au mariage, avec une éducation répressive, se refusant à varier de la position du missionnaire.

Il avait désespérément cherché à insérer sa bite entre ses lèvres, mais elle avait toujours refusé de lui accorder ce plaisir! C'était la même chose lorsqu'il voulait lui bouffer le minou!

Une fois même il avait tenté de la sodomiser, cela avait tourné au pugi-lat.

Ce soir comme d"habitude, elle n'avait admis que de faire l'amour dans la position du missionnaire. Mais ce qu'il détestait le plus, c'était la né-cessité d'employer des capotes.

Ayant deux beaux enfants, et une belle carrière à poursuivre, ils avaient décidé de se satisfaire, pour l'instant, de la taille de leur petite famille, peut-être referaient-ils un enfant plus tard.

Hélène avait pris la pilule mais elle avait du cesser, elle faisait trop de réactions allergiques. Aussi s'en remettaient-ils à la sécurisation des ca-potes.

Le vendredi suivant, Hélène sortit en avance de mister bureau, elle en pro-fita pour aller chercher les deux enfants à la fin de leur entraînement de football. Elle leur donna un gros bisou et les envoya jouer dans l'arrière cour, quelques copains du voisinage se joignirent à eux.

Elle monta alors dans sa chambre pour quitter sa tenue de travail et prendre une douche bien chaude.

Dans la chaude sécurité de sa chambre, elle drapa sa veste sur le dos-seret d'une chaise descendit la fermeture de sa jupe bleue marine et la laissa choir au sol. Puis elle déboutonna mister chemisier et l'ôta, elle n'était plus vêtue que de mister élégant soutien-gorge en dentelles, d'une croquignolette petite culotte. Elle se dirigea alors vers le pied du lit pour enlever ses bas noirs. Ses longues jambes laiteuses avaient fait rêver bien des hommes, Sam aimait rouler lui même ses bas sur ses cuisses pour les lui ôter.

A mister insu, Hobie, caché dans les toilettes, lorgnait avec convoitise ses langues jambes si sexy, par la porte entrebâillée.

Hobie haletait et se léchait les lèvres alors qu'il il lorgnait la belle et jeune juriste enlevant ses bas. Il commença à se branler alors qu'elle exposait ses longues jambes laiteuses sous ses yeux.

-"Mon Dieu ..... Je ne peux plus attendre pour sentir ses longues jambes se refermer dans mon dos!..... Dans neuf mois, elle écartera ses jolies cuisses pour accoucher d'un petit bâtard noir!....." grogna-t-il sourdement.

Il continua à épier Hélène qui se rendait dans la salle de bain pour pren-dre une douche.

En entendant crépiter la douche, Hobie rampa jusqu'à la porte de la salle de bain et jeta un coup d'oeil plein de convoitise sur l'insouciante jeune femme. Il la voyait dans la cabine de douche transparente, il observait mister somptueux corps dans toute sa gloire.

-"Bordel " pensa-t-il soudain, " Comme j'aimerai la rejoindre sous la douche pour l'asperger de foutre!.... mais je suppose que je ferai mieux de l'attendre dans le lit qu'elle partage avec mister époux."

Après avoir enfilé une sortie de bain blanche, elle retourna dans la chambre. Elle se dirigea droit vers le coin de la fenêtre pour jeter un oeil sur les enfants qui jouaient dans l'arrière cour. Elle sourit à la vue de ses enfants prenant du plaisir avec leurs copains.

-"Ahhhhhhhhhhh!...." haleta-t-elle, mais mister cri fut immédiatement coupé par la large main qui lui couvrit la bouche.

chrislebo

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#207
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Paniquée, incapable de crier, elle sentit une autre main à sa taille ou-vrant sa robe de bain.

Elle ne pouvait pas bouger, alors qu'il détachait la ceinture de sa sortie de bain, et 'ouvrait.

-"Tu veux crier salope?... Je vais enlever ma main de ta bouche ... vas y hurle crie aussi fort que tu le peux ..... Mais lorsque tes en-fants se rueront à ton aide, tu te doutes de ce que je leur ferai!....."la menaça Hobie, la paralysant de peur.

-"Rappelle toi ma chérie .... Tu voulais que je plaide coupable sa-lope!..... Eh bien aujourd'hui tu devras assurer ta défense salope!..... " ricana-t-il lourdment.

-"Oohhhhhhh ...... S'il vous plaiiiiiiiiiiitttttt!....." le suppliait-elle déjà alors qu'il touchait sa chair soyeuse.

Elle ferma les yeux alors que la large main rampait lentement sur mister corps l'explorant minutieusement.

-"Oohhhhhhhhhhhh, nonnnnnnnn ..... Mon Dieuuuuuuuu, nonnnnnnn ...... Ohhhhhhhhhh!..... S'il vous plait .... Ayez pitié ...." sanglotait elle alors qu'il roulait ses tétons entre ses doigts, les manipulant avec rudesse.

La sortie de bain blanche gisait en boule à ses pieds, elle ne pouvait pas bouger, elle avait peur de crier ce qui mettrait ses enfants en danger.

Elle haleta une main fureteuse s'était faufilée entre ses cuisses et s'approchait de sa féminité.

-"Oohhhhhhhhhhh ...... Mon Dieuuuuuuuu!...." gémit-elle lorsqu'un doigt épais sépara ses grandes lèvres et se mit à titiller mister clito.

-"Onoonnnnnnn ... Je vous en prieeeeeeeeee ..... Ahhhhhhhhh!......." coassa-t-elle le corps secoué de frismisters convulsifs alors qu'elle succombait à un premier orgasme, le plus intense qu'elle ait jamais ressenti.

N'ayant jamais atteint un orgasme de cette manière, Hélène était hébé-tée.

Hobie la transporta sur le lit qu'elle partageait habituellement avec mister époux.

La couverture repoussée, elle vit les draps propres et l'oreiller de mister mari placé au milieu du lit.

Puis il l'étendit sur le lit, l'oreiller sous les hanches, livrant sa féminité à la merci de l'ex détenu noir.

-"Ohhhhhhh ... S'il vous plait ..... Nonnnnnnnnn ...." se lamenta t-elle alors que mister agresseur se penchait sur mister mont de vénus.

Cet intrus allait poser sa bouche sur sa féminité, c'était encore quelque chose qu'elle avait refusé à Bill!

Cet homme était sur le point de lui faire subir l'impensable!

Comme elle se sentait coupable d'avoir privé mister mari de ce plaisir que cette brute dépravée allait lui faire endurer. Soudain, elle arqua ses cuis-ses alors que mister mufle fouillait sa fente, la langue agile s'emparant de mister clito vibrant. Plantant ses talons dans le matelas, Hélène agrippa la chevelure noire de mister agresseur, s'arc-boutant pour mieux profiter de ce plaisir indésiré.

-"Oohhhhhhhhh ..... Nonnnnnnnnn ...... Je vais .... Je vaiiiiiiiis jouiirrrrrrrr ..... Mon Dieuuuuuu Je ..... Je jouis ....... " grogna-t-elle désespérée d'afficher aussi clairement mister émoi.

Allongée sans défense sur mister lit, elle était à sa merci, il rampa sur elle lui ordonnant de regarder sa grosse bite noire qui allait ruiner sa vie. Elle avala sa salive à la vue de la plus grosse queue qu'elle ait jamais vue, jamais même imaginé. C'était vraiment une colonne comparée au mi-nuscule penis de Sam.

Horrifiée elle lorgnait l'énorme bite sur le méat de laquelle suintaient déjà quelques gouttes de pré sperme.

A la vue de cette monstrueuse pine qui allait ruiner sa vie, qui même pourrait la tuer, elle se dit qu'aucune femme ne pourrait adapter sa chatte à un tel obélisque.

Puis elle constata qu'il ne portait aucun préservatif alors qu'elle se trou-vait en pleine phase d'ovulation.

-"Oh ... S'il vous plait ..... Non ..... Non ......Ca ne se peut pas ..... Vous risquez de m'engrosser!.... " balbutia-t-elle paniquée.

Hélène tremblait de tout mister corps, alors que le gland épais fouillait sa fente, séparant ses babines juteuses, se frottant de bas en haut dans sa moiteur avant de se positionner pour l'embrocher.

Comprenant qu'elle ne pourrait empêcher cet immonde viol, elle gardait assez de lucidité pour essayer de minimiser les éventuelles conséquen-ces de cet acte méprisable.

-"Ohhhhhhhh .... S'il vous plait .... S'il vous plait .......... Mon mari a laissé des capotes dans le tiroir de la commode ............. " sup-pliait-elle éperdue.

-"Ohhhhhhhhh ..... Owwwwwwwwww ..... C'est trop gros ...... Ja-mais ma chatte ne s'adaptera ....... S'il vous plait arrêtez ..... On, nonnnnnnnn ... Arrrêtez ...... Arrêtezzzzzzzz ..... Vous êtes bien trop gros ......" grognait Hélène essayant de le repousser à deux mains.

Elle se sentait tendue comme jamais elle ne l'avait été, forcée d'accepter quelque chose d'aussi détestable, d'aussi humiliant.

Elle n'avait jamais touchée que la bite de Sam mister mari, mais les 9 cen-timètres de Sam étaient ridicules comparés à la monstruosité qui allait la défoncer.

-

-"Aieeeeeeeeeeeeeeee ..... Ohhhhhhhhhhhhhhhhh!...." se lamen-ta-t-elle quand mister agresseur lui saisit les hanches et enfouit bruta-lement la totalité de sa bite dans mister étroite petite chagatte sans aucune pitié.

C'était exactement ce dont Hobie avait rêvé en primister, faire payer cette ravissante jeune femme qui n'avait pas cru à mister histoire, la faire pleurer de douleur en la baisant d'enfer sur mister lit conjugal.

Puis Hobie se retira lentement, ne laissant que mister bourgeon à l'orée de sa foufoune, puis il la poignarda vicieusement de toutes ses powers.

Il voulait faire sentir à cette petite pute toute la colère qu'il avait amassée contre elle.

Chaque gémissement, chaque plainte, chaque sanglot faisait les délices d'Hobie qui lui faisait payer un juste prix.

Le lit des Mills grinçait comme il n'avait jamais grincé auparavant, la tête du lit heurtait le mur, il menaçait de s'écrouler sous les à coups sauva-ges.

Les longs retraits suivis de brutaux empalements commençaient à affecter les sens d'Hélène, les muscles de ses cuisses se contractaient spasmodiquement, ses muscles vaginaux enserraient la puissante queue qui la poignardait profondément.

Hélène ne put endiguer ses émotions plus longtemps, ses jambes ses nouèrent dans le dos de mister violeur.

-"Ohhh .... Ahhhhh ... Ohhhh .... Ohhhhh ..... Ohhhhhh! ... psalmodiait-elle inconsciemment à chaque puissante pénétration de sa foufoune juteuse.

Puis, délibérément Hobie ralentit mister rythme, il voulait rendre folle cette petite salope, lui faire ressentir chaque coup de sa grosse bite noire qui ruinait sa vie.

-"Ohhhhhhhhhhh ..... Mon Dieu! ......." Gémissait Hélène, serrant ses cuisses sur le torse de mister agresseur verrouillant ses chevilles pour se serrer contre lui pour se faire baiser plus profondément.

Elle ne s'était jamais sentie aussi excitée, jamais un tel brasier n'avait irradiait mister entrecuisse, jamais elle n'avait eu un tel besoin de jouir pour rassasier ses sens.

Hobie rit en voyant la ravissante jeune femme s'arquer pour aspirer plus profondément sa bite, il savait qu'il bouleversait la vie si rangée de cette petite femme si prude, si guindée.

Terrassée par un orgasme sauvage, elle cria :

-"Oh, nonnnnnn .... Mon Dieu ...... Oh mon Dieuuuuuuuu ...... Ne m'abandonnez pas ...... Ohhhhhhhhhh .... Je jouiiiiiiiiiiiiisssssssss ......." Elle l'étreignit étroitement, sa bite ensevelie jusqu'aux couil-les dans mister ventre palpitant.

Hobie adorait la voir succomber à un orgasme d'une telle violence.

Cela prit quelques minutes avant que les soubresauts convulsifs cessent et Hobie restait enfoui profondément dans mister sexe palpitant.

Il rit alors que la naïve jeune femme délirait visiblement, encore sous l'emprise des sensationnelles sensations que lui avait procuré la bite profondément enfouie elle. Il sourit en la sentant se détendre laissant re-tomber ses bras et ses jambes sur le lit. Un rapide retrait de sa bite provoqua la reprise de l'étreinte de ses bars et jambes tandis qu'elle 'implorait :

-"Ohhhh .... Ohhh mon Dieu .... Non .... Reste en moi!.....".

Alors il l'embrocha d'un vulgar cou de boutoir s'enfouissant jusqu'aux couilles dans la ravissante jeune femme qui larmoyait.

Encore heureux que les fenêtres soient fermées, sinon ses enfants l'au-raient entendu conjurer :

-"Ohhhhh ... S'il vous plait ..... Je vous en prie .... Je vous en prieeeeeeeeee ...... Ne me faite plus ça ...... " balbutiait la jeune femme entre deux sanglots.

Alors qu'il accélérait le rythme de mister pilonnage, Hélène réalisa que mister assaillant noir n'allait plus tarder à lui injecter mister foutre gras dans l'uté-rus.

-"Oh, mon Dieu ..... il va jouir!..... Il va jouir dans mon ventre!..... Il va m'engrosser!......" réalisa-t-elle avec horreur.

-"Oh s'il vous plait .....S'il vous plait ... Soyez miséricordieux ... ne jouissez pas dans mon ventre!..... S'il vous plait ... Vous risqueriez de m'engrosser!..... S'il vous plait ... Retirez-vous ..... " le suppliait-elle affolée.

Mais ses plaintes désespérées ne semblaient qu'accroître mister plaisir, alors qu'il l'embrochait de plus en plus vite.

Hélène ne pouvait que gémir mister désespoir en l'entendant répondre iro-niquement :

-"Ma chérie ... Ma chérie ..... Tu es si douce et si étroite .... Je vais te remplir la chatte avec mon jus de nègre ... Je vais te coller un polichinelle noir dans le tiroir madame Baxter!..... Oh chérie, ça y est ..... Je vais jouir salope!..... Urgggggggggggghhhhhhh! " mu-git-il le corps secoué de spasme convulsifs.

Agrippant fermement ses cuisses laiteuses, Hobie bourra ses 18 centimètres profondément dans l'utérus fertile et balança la purée.

-"Ooh, nonnnnnnnnnnnnnnn!...." gémit Hélène sentant la mentule palpitante exploser au plus profond de mister utérus, un nouvel l'orgasme la terrassa avec une vulgarité inouïe.

Jamais queue ne lui avait explosé si profondément dans mister utérus, ja-mais elle n'avait senti substance aussi chaude lui engorger la fente, jamais mister mari n'avait projeté une telle dose de sperme en elle, jamais elle ne s'était senti aussi gorgée de jus fertile, même lors de la concep-tion de ses deux enfants.

Son corps répondait à ses assauts, elle cherchait à conserver sa lon-gueur totale en elle, elle verrouillait toujours ses chevilles dans mister dos.

Une dizaine de minutes plus tard, Hobie se redressa lentement, sa bite mollissait doucement alors qu'elle émettait toujours de petits jets de fou-tre glaireux.

-"Alors, remplie à ras bord madame Mills ..... Je t'ai injecté assez de foutre pour te coller des triplés salope!...." se marrait Hobie

Sur ces mots, elle se mit à sangloter et à geindre, Hobie rit à nouveau, il se retira d'elle avec un "plop" misterore lui soutirant un gémissement de honte de la jeune femme dévastée.

Hélène, épuisée, pleurant de honte et d'offense s'endormit benoîte-ment. Hobie rampa lentement ne voulant pas l'éveiller pour l'instant, il voulait lui faire une grosse surprise pour la réveiller.

chrislebo

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#208
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Il fit mister chemin jusqu'à la fourche de ses cuisses, cette stimulation éveil-la la beauté apeurée. Hobie pesait de tout mister poids sur la jeune femme effarouchée.

-"Ahhhh ..... Nonnnnn ...... Nonnnnnnnn .... Laissez moi .... Relevez vous .... Relevez vous ... Je vous en prie .... " grommelait Hélène éperdue.

La jeune femme effrayée se voyait à nouveau clouée sur sa couche par cet homme qui venait de la violer si vulgarement dans mister lit conjugal.

Hélène regardait incrédule, mister violeur s'agenouiller au-dessus de sa tête masturbant sa grosse bite à quelques centimètres de mister visage horrifiée.

Elle réalisa tout de suite ses intentions, haletante, en plein désarroi, elle respira profondément, mais mister corps réagissait à l'odeur immonde se dégageant de sa bite, elle sentait mister estomac soulevé par des hauts le coeur.

-"Tu vas goûter ma semence de noire madame Mills!..." grinça Hobie lui immobilisant les bras sous ses jambes.

Il sourit en voyant en voyant une horreur folle s'inscrire sur mister visage, ses yeux tournaient dans leurs orbites alors qu'elle fixait les 18 mena-çants centimètres de chair noire.

Hélène pleurnicha sourdement :

-"Oh mon Dieu .... S'il vous plait ..... Nonnnnnnn .... Mon Dieu .....ça pue!...."

Sur ces commentaires, Hobie entreprit de frotter sa bite sur le visage de la beauté qui se remit à sangloter frismisternante.

-"Oh, s'il vous plait ..... Je vous en prie laissez moi ..... Je vous en prie, Je ..... Je n'ai jamais sucé permisterne, c'est trop sale!.... Je vous en prie ..... je n'ai jamais fait ça, même pas à mon mari!......" implorait Hélène ses longs volant en vain de gauche à droite.

-"Ma chère madame Mills, je vais te faire goûter un peu de jus noir ..... Es tu contente de pouvoir goûter à la semence d'un noir, ma-dame Mills? ..... " ironisait Hobie sacarstique.

Hélène se remit à sangloter agitant la tête de droite à gauche en guise de réponse.

-"Ouvre ta jolie bouche pour moi madame Mills ..... Tu vas goûter la bite d'un nègre ....." ricana à nouveau Hobie se moquant de ses plaintes.

Puis pour l'humilier d'avantage, il promena mister gland turgescent sur mister visage crispé.

-"Ouvre les yeux ma salope de chienne!.... Je veux voir tes yeux bleus si innocents quand tu vas me sucer la bite ..... Ouvre les yeux ou je descends m'occuper de tes fils!...." la menaça-t-il fati-gué de la voir hésiter.

Comme il se relevait, Hélène soudainement empoigna les hanches de mister violeur noir, voulant l'empêcher de descendre s'en prendre aux en-fants.

Elle frémit, révulsée par ce qu'il lui demandait de faire, cherchant à se détourner de la puanteur émanant de sa bite.

Mais elle se devait de protéger ses deux fils, peu importe ce qu'elle devrait faire pour cela. Il pressait maintenant mister bourgeon puant contre ses lèvres.

-"Ouvre ta délicieuse petite bouche madame Mills!..... Ou préfères-tu que je m'occupe de tes chers petits ....." menaça-t-il à nouveau.

Hélène sanglota de désespoir, de grosses larmes roulèrent sur ses joues alors qu'elle entrouvrait avec hésitation ses lèvres. Quelques gouttes de sperme suintaient déjà de mister méat il enduisit ses douces lèvres de cet infecte mixture.

Les épais doigts noirs profondément enfoncés dans sa chevelure, la menace pesant sur la tête de ses deux enfants, convainquirent Hélène d'ouvrir la bouche à contre pour avaler la grosse bite noire.

Son corps se mit à trembler, jamais elle n'aurait pu penser que quelque chose puisse sentir si mauvais et avoir si mauvais goût, elle saliva pour diluer les souillures polluant sa bite sale.

Ses mâchoires fortement distendues lui faisaient mal, elle tremblait de honte à l'idée de se livrer à un acte aussi dégradant, un acte qu'en dépit de ses supplications elle ne s'était jamais livrée jamais même sur mister mari.

Et voilà que maintenant, sous la menace, elle faisait une fellation à ce méprisable colosse noir.

Elle ne pouvait échapper à la bite de mister agresseur noir, mister mari ne l'embrasserait plus jamais s'il venait à savoir qu'elle s'était soumise à cet acte dégradant.

-"Mon Dieu ..... Comme tu as les lèvres douces, madame Mills .....Ahhhh, si seulement votre époux pouvait vous voir à cet instant!... Que dirait-il s'il voyait sa femme sucer la bite d'un nègre?...... " gémit Hobie enchanté pensant ainsi accroître l'offense de la naïve jeune femme.

Il savait qu'elle aurait préféré mourir plutôt que de devoir sucer la queue d'un nègre, mais la menace planant sur la tête de ses enfants l'obligeait à lui complaire servilement. Voir une jeune femme blanche dans cette situation infâmante le ravissait.

-"Ahhhhhhhhhh .... Oui comme ça ...... bouffe moi la queue madame Mills ...... Régale toi de ma jouissance de nègre ..... Ahhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiii ........ " grogna-t-il sourdement serrant fortement la tête de madame Mills alors qu'il jutait dans sa bouche soumise.

L'épaisse queue du noir était bourrée au fond de sa gorge paniquant la jeune femme incapable de respirer.

Lentement la grosse bite perdit de mister volume et glissa doucement hors de sa bouche.

Elle était horrifiée à l'idée d'avoir sucé une grosse bite noire dont elle ve-nait d'avaler la semence. Hobie rit à gorge déployée tout en ôtant sa bite de sa bouche, un filet de foutre s'étira entre ses lèvres et la grosse prune.

Il regardait la prude jeune femme frismisterner de dégoût de ce qu'elle ve-nait de subir.

Il se marra à nouveau alors que la fragile beauté empoignait mister esto-mac et courait dans la salle de bain, vomissant dans le bassin, l'épaisse semence qu'elle venait d'ingurgiter.

Se relevant, il rejoignit la malheureuse jeune femme dans la salle de bain, fermant la porte dans mister dos.

Il savait que permisterne ne pourrait entendre de cris émanant de la salle de bain insérée dans la chambre.

Une grosse main caressa les hanches d'Hélène toujours penché sur le bassin, tousser crachotant l'immonde substance ingérée.

Elle comprit alors qu'il avait l'intention de la prendre bestialement. Se raidissant pour résister à cet infâme assaut elle se dit que ça ne pourrait pas être pire que mister viol initial.

Ce n'est qu'en sentant mister gland peser sur mister délicat petit anus affolé qu'elle comprit les véritables intentions de mister sauvage agresseur.

Elle frémit figée peur, elle se rappelait que Sam avait tenté de lui faire l'amour par l'anus ce qui s'était terminé en pugilat.

-"sOh s'il vous plait ...... Non .... Pas ça ..... Peronne ne m'a jamais .... Je vous en prie!..." sanglotait t-elle implorant miséricorde.

Hobie avait bien du mal à croire en sa bonne fortune, une petite pucelle du cul rien que pour lui!

Empoignant les tendres hanches, il se positionna en bonne place, et s'élança de toutes ses powers.

-"Aaeeiiiieeeeeeeee ..... Nonnnnnnnnnn ....Nonnnnnnn .... Arg-ggggggggghhhhhhhhhh ...... Ohhhhhhhhhhh, mon Dieuuuuuuuuuu .... Ca fait malllllllllll ..... Si mallllllllllll ..... hurlait Hélène se déchirant la voix alors qu'il lui labourait impitoyablement l'anus, ses mains enserrant fermement mister bassin.

Il ne lui avait fourré que 6 cm dans le trou du cul, dans ce coup de bou-toir initial, Hobie se releva, banda ses powers et l'embrocha encore et en-core ......

-"Aarrrgggggghhhhhhhhh ...... Ohhhhhhhhhhh!.... " s'époumonait-elle alors que la queue s'enfouissait jusqu'à la garde dans mister trou du cul meurtri.

chrislebo

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#209
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Hélène pensait mourir de cette douleur déchirante.

Elle vagit honteuse et humiliée alors qu'il la pilonnait sans pitié.

Elle n'aurait jamais imaginé quelque chose d'aussi douloureux que cette sodomisation sauvage puise exister!

Elle vagit alors que les mains enserrant sa taille se dirigeaient vers sa fente, il se mit à doigter sa fente engorgée de foutre chaud.

-"Ohhh ..... Ohhhhhh ..... Ohhhhhh .... Ohhhhhhhhhhhh ..... " s'époumona-t-elle éperdue sous l'effet de cette stimulation indési-rable.

Hobie avait du mal à se pénétrer de sa chance de casser le cul vierge de cette beauté, mister stupide mari ne savait pas ce qu'il avait manqué.

Cette adorable salope se rappellerait toujours celui qui la avait cassé le trou du cul le premier, et c'était la grosse bite noire d'Hobie!

-"Oh, chérie .... je vais juter dans ton trou du cul ..... Je vais te rem-plir les entrailles de mon jus de nègre!..... " mugit-il lourdement.

Sa bite se mit alors à palpiter dans le fourreau étroit, lui projetant des tor-rents de sperme dans ses entrailles meurtries.

Hélène vagit, mister corps tremblait sous les caresses de mister clito et le flot de foutre lui engorgeant le colon.

Hobie retira lentement sa bite de mister trou du cul, et Hélène s'effondra sur le sol.

Une heure plus tard, Hélène se réveilla en entendant des coups frappés à la porte de la salle de bain, allongée sur le carrelage froid, elle entendit la voix de Sam lui demandant si tout allait bien.

Elle savait déjà qu'elle ne pourrait pas lui parler de l'infamant viol et de cette vulgare sodomisation qu'elle venait de subir.

Elle ne voulait pas risquer de le voir se détourner d'elle souillée par ce nègre qui voulait ruiner sa vie. Elle lui répondit que tout était parfait, qu'elle n'allait pas tarder à sortir de la salle de bain.

Quand la porte de la salle de bains s'ouvrit, Sam s'étonna de voir sa ra-vissante femme mettre si difficilement un pied devant l'autre. Il s'avança pour l'aider lui demandant ce qui lui arrivait, il l'aida à gagner mister lit où elle put récupérer de sa "chute"

Il la prévint qu'il allait commander une pizza pour dîner, ainsi elle pourrait rester au lit.

L'idée qu'en fait de chute elle avait été agressée n'effleura même pas Sam

Une semaine plus tard, soucieuse de complaire à mister mari, Hélène se mettait en quatre pour lui faire plaisir. Dans le secret de leur chambre, elle le surprit en adoptant un comportement bien plus agressif sexuelle-ment parlant, elle prit sa bite entre ses mains et se pencha sur lui embrassant d'une langue mouillée mister gland palpitant. Le branlant ten-drement, elle flattait mister gland turgescent, de surprise il lâcha quelques jets gluants dans les airs.

Mais il s'endormit tout de suite sa bite mollissant doucement dans la paume de la main de sa femme frustrée.

Le lendemain soir, Hélène se positionna à quatre pattes empoigna la bite de mister mari et le pressa à l'entrée de mister anus.

Craignant souffrir de sa pénétration, elle fut choquée de la facilité avec laquelle mister mari la pénétra, l'obligeant à feindre une certaine douleur qu'elle ne ressentait pas.

Elle était totalement abasourdie lorsqu'il grogna après quelques coups de boutoir jaillissant dans ses entrailles alors qu'il était ravi d'enfin pou-voir lui "casser" le cul!

Elle était encore folle d'excitation lorsque épuisé il se mit à ronfler à mister coté.

Le samedi suivant, Hélène et Sam ouvrirent la porte de devant, les gar-çons foncèrent dehors. Un match de football était programmé, suivi d'un buffet froid, la journée allait être longue.

Hélène empoigna mister estomac, leur disant que ce devait être quelque chose qu'elle avait mangé.

Comme le match allait commencer incessamment sous peu, elle leur dit qu'elle les rejoindrait plus tard si elle sentait mieux, elle les embrassa tous leur intimant de partir pour le match.

Elle retourna à la porte d'entrée et rentra chez elle, et les regarda partir par la fenêtre.

Tournant les yeux vers la voiture garée dans le virage, Hélène se mordit les lèvres alors que la portière s'ouvrait sur un visage familier, l'homme se dirigeait vers mister domicile.

Entendant des pas sur le seuil, puis la misternette tinter, Hélène ouvrit len-tement la porte permettant à l'ex détenu de rentrer.

Une demi heure plus tard, Sam et las autres parents sur le terrain de football sauter de joie et tapaient des pieds en hurlant alors que l'aîné des Mills marquait un but.

A l'instant même où mister fils scorait, Hélène était aussi emportée par une vague de plaisir, elle gémissait sourdement alors que mister visiteur la le-vait dans les airs la clouant au mur.

Elle avait verrouillé fermement ses jambes sur sa taille, puis il la trans-porta ainsi, empalée sur sa bite turgescente jusqu'au lit conjugal.

A chaque pas, elle sentait sa grosse bite palpiter dans sa foufoune em-brasée.

A la fin du match, l'entraîneur de l'équipe offrit un coca cola au cadet des Mills pour la qualité de sa prestation, le gamin étancha sa soif.

C'était malheureux que sa mère n'ait pu voir le match pour assister à ses exploits, mais à cet instant même elle avalait un bon bol de foutre, un toast en l'honneur d'Hobie le meilleur baiseur qu'elle ait jamais connu.

Alors que Sam et ses fils rentraient à la maimister, un couinement de pneus malmenés retentit derrière eux, une voiture les percuta violem-ment, ils grognèrent de douleur sous l'impact.

Au même instant, dans le lit des Mills, madame Hélène Mills couinait alors que la grosse bite raide d'Hobie s'engouffrait vulgarement dans sa chatte la faisant grogner de douleur sous l'impact.

Peu après mister accident Sam téléphona à sa femme qu'ils seraient un peu en retard, il s'inquiéta de l'entendre haleter au bout du fil, mais Sam n'avait pas à se tracasser, sa jolie femme cherchait seulement à repren-dre haleine alors qu'une grosse bite noire coulissait frénétiquement dans sa chatte embrasée.

Quand Sam Mills atteignit la maimister avec ses fils, il les envoya jouer dans l'arrière cour.

Puis il monta retrouver mister adorable femme espérant qu'elle irait mieux. Il faisait froid dans la chambre, Les fenêtres étaient grandes ouvertes, pourtant Hélène gisait en position ***e au milieu du lit, le visage écar-late et suant à grosses gouttes. Il posa sa main sur mister front en la voya-nt haleter, lui demandant où elle avait mal.

Elle fit un signe de tête à mister époux, tremblant sous l'effort qu'elle faisait pour resserrer les muscles de mister vagin et de mister cul qu'Hobie avait été violemment distendu pour les adapter à ses mensurations. Elle était heu-reuse de voir que l'air frais avait rapidement chassé l'odeur de rut qui embaumait la chambre quelques minutes plus tôt.

Alors que Sam ouvrait la porte du garage Hobie ouvrait la porte de der-rière pour quitter l'adorable jeune femme agenouillée qui s'efforçait d'avaler les derniers gorgées de foutre qu'elle avait en bouche.

Hélène était toute congestionnée à la suite de la course effectuée pour se ruer dans la chambre ouvrir les fenêtres et s'allonger dans le lit avant l'arrivée de mister mari.

chrislebo

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Hobie se venge de la juge





Linda Darnell avait l'honneur d'être la première femme à être appointée pour siéger à la cour d'état.

A 34 ans, elle avait passé ses dix dernières années au sein d'un prestigieux cabinet privé, maintenant alors qu'elle siégeait depuis deux ans, elle était respectée autant pour sa beauté que pour mister incorruptibi-lité.

Tout le monde admirait cette juge aussi belle qu'intelligente, il était peu commun, surtout pour un juge, d'être aussi belle et intelligente, Le juge Linda Darnell était l'exception à la règle qui voulait que les femmes ra-vissantes soient idiotes et les laiderons des femmes d'une brillante intel-ligence.

Elle mesurait 1,75 m pour 60 kgs, toute en voluptueuses courbes, avec de longues jambes crémeuses à faire rêver plus d'un.

Cependant elle était guindée et sévère avec tous.

Beaucoup de juristes masculins auraient donné leur couille gauche pour partager le lit d'une beauté d'une telle intelligence, même si elle guer-royait contre eux au tribunal.

Elle dégageait une telle autorité que pas un ne tentait sa chance de peur de voir sa carrière compromise, ainsi elle vérifiait l'adage "Regardez mais ne touchez pas" parmi les éléments masculins de la profession, et plus spécialement parce qu'il était bien connu qu'elle faisait un excellent couple avec mister banquier d'époux avec qui elle était très heureuse.

Après une longue journée de travail, un irritant trajet dans les bouchons, la juge Darnell était éreintée. Elle rentrait lentement chez elle au volant de sa BMW, elle ignorait qu'une vieille Ford la filait.

Sur le chemin du retour, elle pensait à mister adorable mari et à ses grandes filles, deux ravissantes jumelles qui rentraient au collège.

Bien que de savoir comment elles réagiraient si elles se faisaient pren-dre de power faisait partie des préoccupations féminines naturelles, les différents cas de viols qu'elle avait du juger dernièrement l'amenaient à évoquer fréquemment cette question.

Elle détestait entendre ces femmes hystériques rapporter les détails les plus crus de leurs viols : l'horreur d'être forcées à des actes dégradants par des violeurs pervers, l'horreur de se faire sodomiser sauvagement.

Elle se sentait honteuse lorsque ces femmes lui expliquaient comment elles avaient du sucer leurs agresseurs, alors qu'elle, elle espérait secrètement que Franck, mister mari la power à effectuer cet acte dégradant, la tenant par les cheveux pour lui injecter ses larges rasades de foutre au fin fond de la gorge.

Bien sur, relativisait-elle, elle ne voulait faire ces choses qu'avec mister ma-ri et permisterne d'autre, ce n'était qu'un fantasme qu'elle aimerait concréti-ser avec mister mari.

Elle fut accueillie chaleureusement par mister mari à mister arrivée, il l'em-brassa tendrement tentant gaiement de déboutonner mister corsage, l'en-traînant sur le canapé pour y faire l'amour.

Linda posa ses mains sur ses épaules, lui disant qu'ils n'avaient pas le temps devant se préparer pour arriver à l'heure au restaurant.

Sur ces mots, Franck cessa ses caresses et lui obéit docilement. Elle se gourmandait d'avoir eu des pensées perverses plus tôt, ce genre de pensées la perturbait profondément sachant ce que Franck pensait de leur environnement n'envisageant que de faire l'amour qu'avec elle.

-"Peut-être... " pensa-t-elle "Que je ne suis pas au diapamister de Franck...... J'aimerai tant qu'il me power à devenir une salope... Qu'il me baise quand il le veut, où il le veut, comme il le veut! ...."

Mais ce qu'elle voulait vraiment c'est qu'il lui montre qu'il était le chef et qu'elle devait lui obéir.

La semaine suivante, Frank et Linda avaient organisé une soirée agréa-ble au dehors le vendredi.

Toutefois, comme le vendredi Frank s'attardait souvent avec ses collègues après le travail, ils avaient négocié un arrangement entre eux.

S'ils rentraient tous deux assez tôt, ils iraient voir un film et puis souperaient dans un restaurant chic, sinon ils se contenteraient du sou-per au restaurant.

Elle espérait que Frank rentre tôt ainsi ils pourraient aller au cinéma et ils passeraient toute la soirée ensemble.

Sortant de l'autoroute, Linda se gara devant le garage fermé. Comme elle se servait de la voiture la plus récente, où qu'ils aillent, Frank pren-drait sa voiture.

Se campant devant la porte d'entrée elle appela Frank, mais n'obtint pas de réponse.

Elle était un peu déçue, il n'était pas rentré assez tôt pour qu'ils puissent passer toute la soirée ensemble.

Si Linda avait ouvert la porte du garage, elle aurait vu que Frank ne s'était pas attardé avec ses collègues.

En fait Frank était rentré tôt, mais il se trouvait ligoté sur une chaise dans les toilettes de leur chambre, la bouche obstruée par une bande adhé-sive.

Linda se dirigea vers la chambre conjugale.

S'étant déjà débarrassée de ses hauts talons et de sa veste, assise sur le lit elle roulait ses bas de nylon blanc sur ses cuisses.

Puis elle se releva et déboutonna mister corsage blanc et sa jupe noire. Elle s'exposait ainsi en soutien-gorge de dentelle et froufrou tante petite culotte, à mister insu à deux paires de yeux grands écarquillés de mateurs qui se trouvaient dans les toilettes.

Puis elle gagna la salle de bain pour prendre une douche bien chaude et se rafraîchir pour la soirée à venir.

La vue au travers des fentes de la porte des cabinets était à couper le souffle. Bien que bâillonné et ligoté, Frank désespérait de ne pouvoir avertir mister adorable femme du danger latent, Frank ne pouvait s'empêcher d'admirer le somptueux corps de sa femme.

Il imagina alors l'impact que pouvait avoir mister somptueux corps laiteux sur l'intrus noir à ses cotés, une grosse brute noire qui lui tenait une lame de rasoir sur la gorge.

Il avait peur d'émettre un seul mister, bien qu'il aurait aimé alerter sa femme, sachant que la brute lui trancherait le cou dans la seconde qui suivrait.

Alors qu'ils entendaient ruisseler l'eau de la douche, Frank gémit : l'importun dans mister dos lui exposait ironiquement ce qu'il comptait faire endurer à sa petite femme chérie.

Des gouttes de sueur se formaient sur mister front alors qu'il écoutait leur pervers agresseur.

-"Je vais la casser ton arrogante bonne femme! .... Bordel, c'est vrai qu'elle est ravissante..... Imagine ses longues jambes crémeuses verrouillées dans mon dos..... Crois-tu qu'elle ait fort faim? ....... J'ai amené une grosse saucisse noire pour la sustenter! ..... Une belle saucisse bien juteuse! ..... Je vais la faire hurler ton adorable bonne femme quand je la remplirai de mon foutre chaud! .... Ce serait peut-être bien pour vous que je l'engrosse! ..... Il serait temps pour vous d'avoir un nouveau bébé et je vais me vider dans sa chatte pour t'aider à l'engrosser! .... Penses-tu qu'elle va me résister? ..."

Réfrénant des larmes de désespoir, Frank le vit avec horreur quitter l'abri des toilettes juste avant que la douche s'arrête.

L'intrus noir se cacha derrière la porte de la salle de bain attendant mister insouciante femme.

Incapable d'avertir sa femme il regardait s'ouvrir la porte. Sa ravissante femme fut entièrement prise par surprise elle poussa un cri aigu et se mit à trembler comme une feuille. Déjà le colosse noir agrippait le devant de sa sortie de bain pour dévoiler ses charmes somptueux.

Frank voyait l'expression de panique qu'affichait mister visage et sa bouche grande ouverte alors qu'elle braquait les yeux sur mister gigantesque agresseur.

Son assaillant torse nu déboutonna mister pantalon et ouvrit la cage du monstre.

Sa femme en laisser tomber les mâchoires de stupeur à la vue du gour-din noir qui se déployait à l'air libre

Cette monstrueuse bite était deux fois plus longue que la sienne et me-surait bien plus du double en diamètre, on aurait dit un gros serpent noir.

Linda frémit longuement à la vue de la menace planant sur elle.

Elle supplia mister assaillant de la laisser en paix. Elle le menaçait par ail-leurs de le faire emprimisterner s'il persévérait dans mister méfait.

Elle pensait que ces menaces allaient lui ramener du bon sens et qu'elle allait profiter d'une embellie.

Toutefois depuis que ses pensées tournaient autour des sensations ressenties par les femmes victimes de viols, elle espérait que mister mari la soumettrait vulgarement à sa volonté, et à cet instant elle ne pouvait s'empêcher de river ses regards sur la grosse bite noire frémissante.

-"Oh mon Dieu, ce qu'elles disaient de noirs semble vrai! ...." haletait-elle fascinée.

L'horreur et la peur qu'affichaient initialement mister visage viraient maintenant à la fascination, une crainte révérencielle la submergeait alors que sa tête hochait à l'unismister des soubresauts qui secouaient la grosse queue de mister agresseur.

Sachant que mister époux observait intensément la suite des événements, Hobie décida de lui montrer à quel point sa respectable femme s'avérait fascinée par mister engin démesuré.

Il allait lui laisser croire qu'elle avait la chance de pouvoir goûter à la virilité d'un noir à l'insu de mister mari.

-"Chienne tu m'as envoyé derrière les bureaux pour un délit que je n'avais pas commis... Cette fois ce sera pour un crime que j'aurai commis! ......Je me réjouis d'annoncer aux copains de détention que j'ai niqué la juge! ..... Je parie que la salle d'audience sera comble lorsque tu devras expliquer comment je t'aurai dégradée! ..... mais que penses-tu des bites noires madame Darnell? ...... Aimerais-tu goûter au jus de bite d'un ex détenu noir? ...... Approche et caresse-la! .... Sens comme elle est belle et dure! ....." la raillait Hobie se réjouissant de la voir trembler de peur.

-"Enlève ta robe de bain pour moi ma chérie! ..... Fais moi voir les appâts que tu caches sous ta sortie de bain! ..... Cette robe est bien plus jolie que les robes strictes et noires que tu portes dans le prétoire... Et maintenant à poil salope! ..... " commanda-t-il s'impatientant.

Hobie se réjouissait de voir la belle jeune femme sangloter, des larmes ruisselant sur ses joues les yeux fermés par la honte, obéir à ses ordres.

A sa grande surprise, l'adorable jeune épouse saisit les pans de sa robe et les écarta vivement offrant mister corps laiteux à ses regards.

-"Bordel, cette salope a vraiment un corps de star! ..." pensait Hobie se régalant à la vue de ses nibards fermes surmontés de tendres mamelons rouges vifs déjà érigés.

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