CuckoldPlace.com
World's Biggest Cuckold Community CuckoldPlace.Com! 124673 registered members can't be wrong!

  Live Sex    · Contact Us · Search ·  Sign Up  · Members Area · Polls · Chat · 
YOUCUCK.COM RECENTLY ADDED VIDEOS
CuckoldPlace.com /
Cuckold Stories Post /
 

les histoires de chrislebo

Rating: 63
 Page Page 63 of 322:  « Previous  1  ...  62  63  64  ...  321  322  Next »
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,861
 Down to the last message
Jeune fille impertinente


Bonjour je suis une femme de 18 ans !
Ayant atteint la maturité , cela me monta quelque peu a la tête et j'en fis voir de toutes les couleurs a mes parents.

J'étais serveuse dans un restaurant , resto-bar .
Un soir après mon chiffre je décides de m'asseoir sur la terrase.
Tout en parlant , il m'arriva de jurer sans vraiment m'en rende compte , mauvaise habitudes.
Le lendemain matin , Michelle ( Éducatrice Spéalisée ) est venue déjeuner ,
étant ma seule cliente pour le moment nous avions amplement le temps de discuter ,
elle me dit qu'elle en voyait de toutes les couleurs dans mister métier , qu'elle avait
souvent affaire a des '' jeunes a problèmes "" , qu'elle comprenait la jeunesse d'aujourd'hui.
Elle m'incita a m'ouvrir a elle , ce que je ne fis par orgueil de '' mes 18 ans '' .
Elle me dit que mon attitude des derniers temps la décevait , qu'elle avait vue en moi une jeune
fille pleine d'avenir , de maturité .. Mais que ce n'était plus le cas .. Elle me dit que
je manquais de vocabulaire ( Elle était sur le terrase la veille ) .
D'autres clients arrivèrent , je lui dit simplement de se mêler de ses affaires
et servit les autres ...
En payant elle me dit que nous étions pour reprende cette conversation que je le
veuilles ou non ..
Elle me donna mon pourboire , je lui ris au nez et le refusa !

Quelque jours plus tard je faisais mon épicerie , on se raconta dans une allée ,
elle me demanda comment j'allais , je ne lui répondis pas et la regarda hautainement !
Ayant finit mon épicerie , je me rendis a mon auto , il ne démarra pas !!!!
Michelle arriva entre temps et m'offrit mister aide , je ne répondis simplement pas .
Elle ouvrit le capot et regarda .. Elle me dit qu'elle avait trouvée le problème et qu'elle
était prête a l'arranger gratuitement mais a une condition ... Que je la suives chez elle
devant un apéritif , pour que nous puissions continuer notre conversation .
J'acceptai , je suis serveuse , je n'aie pas d'argent a dépenser dans mon auto !!

Rendue chez elle , j'étais mal a l'aise , de m'être comportée en enfant gâtée avec elle ,
elle était si gentille avec moi !
Elle s'assit donc a mes côtés sur le canapé , je remarquai que malgré ses 55 ans , elle
paraissait beaucoup plus jeune : Grande , mince , Gros seins qui semblaient encore fermes ,
des jambes à n'en plus finir , mises en valeur dans un très beau tailleur noir moulant.
Elle sentie ma gêne , d'être la auprès d'un étrangère et de m'être engagée a répondre a des questions
permisternelles.
Elle passa sa main dans mes cheveux et me dit que mister métier était d'aider les jeunes comme moi ,
que je n'avais pas a être génêe .
Je lui répliquai sèchement , qu'elle ne travaillait pas et qu'elle n'était pas payée en ce moment !
Elle me gifla.
Me dit qu'elle en avait assez de mon impertinence et que si elle faisait ça c'était parce-qu'elle
sentait que je valais mieux que tout ce que je tentais de devenir !
Je me mis a pleurer , n'étant pas proche de me mère et ayant peu connu mon père , ses paroles
''d'espoir'' qui m'étaient destinées me touchaient.
Elle me prit dans ses bras et me berca , jusqu'a ce que j'aille terminer de pleurer.
Je finis par me dégager délicatement de cette étreinte chaude et douillette , collée contre ses seins
et sentant mister parfum ........ Je pris conscience qu'elle m'attirait , mais c'était plus que sexuel
c'était du respect que je lui vouais.

Elle me demanda comment se passait mes cours , je dus lui avouer que mes notes étaient désastreuse
et que je séchais beaucoup de cours pour aller en boîte et pour fumer.
Elle me demanda , comment allait ma relation avec mon copain , je dus lui avouer honteusement
qu'il m'avait quittée , parce-que je l'avais trompé.
Elle me demanda comment allait ma relation avec ma mère , je dus lui avouer qu'elle n'avait plus le
contrôle sur moi et que je ne la respectais pas .
Elle me demanda comment allait ma vie sexuelle , je ne répondis pas .
Elle me regifla beaucoup plus fort cette fois ...
Nous sommes entre femmes me dit-elle doucement , réponds-moi ...
Je lui dit que sortant aussi souvent en boîte et étant célibataire , j'en profitais .

Elle me demanda si je voulais qu'elle m'aide .
J'avais besoin d'une certaine autorité dans ma vie et je sentais que Michelle
pourrait me l'apporter. Donc j'acceptais.
Elle me dit que si je voulais de mister aide je devais lui faire totalement confiance et
lui obéir pour tout !
J'acceptais ses conditions.

Elle me dit d'une voix douce mais autoritaire , de m'allonger sur ses genoux :
Que je méritais une fessée pour avoir été si vache avec elle.
Je m'exécutais.
Elle frappa plusieurs coups par dessus le tissu de ma jupe.
Stp Michelle Arrete ...
Allons Allons on joue les dures a cuire et quelques tapes sur les fesses nous font mal
Tap Tap Tap , je me mis a pleurer et me débattre mais elle me tenait fermement.
Elle s'arrêta finalement , mais ne me lâcha pas , je me sentais ridicule recevoir
une fessée a 18 ans.
Elle passa sa main sur mes fesses a travers mon tissu ...
Et je me supris de l'imaginer en train de faire la meme chose sous le tissu.
Elle retroussa ma jupe ...
Non , pas ça , Stp Michelle , Je m'excuse , pas ça , j'ai 18 ans.
Et alors quand on agit en gamine , on se fait punir en gamine.
Elle passa sa main entre le tissu de mon G-string et ma crac de fesses
et le descendit a mes chevilles .
Mais elle me fit languir avec des caresses sur mes fesses , le contact peau
a peau , me fit de l'effet .
Lorsqu'elle descendit sa main douce vers mon vagin , j'eus le réflexe de
resserrer mes cuisses.
Je reçus une claque sur une de mes cuisses , je les desserrais.
Elle me toucha , et j'étais morte de honte , j'étais mouillée.
Je me suis mise a pleurer ...
Allons allons , ma chérie n'aie pas honte de toi , tout cela est normal ...
Chutt chutt chutt je vois par ta réaction que ton éducation sexuelle est
très basique , nous remedirons a ce problème la aussi ...
Elle continua sa fessée ...
Une fois terminée elle m'envoya au coin , pendant qu'elle terminait mister verre
assise sur le canapé a m'observer.

Elle me dit ensuite de la suivre a sa chambre , elle me fit m'étendre
sur le ventre dans mister lit.
Elle m'appliqua avec une telle douceur une pommade.
Elle sècha mes larmes et m'embrassa tendrement , comme aucun homme
ne l'avait fait jusque la.
Je ne cessais de m'excuser et elle de me répéter que j'étais toute pardonnée.
En me collant contre elle mon entre-jambe se retrouva collé a mister genoux et
machinalement sans m'en rende compte je me mis a faire des va et viens.
Elle m'arrêta et me coucha sur le lit , elle me passe la main sur le vagin
rentra un doigt , puis 2 et 3 . Je me raidis elle laissa ses doigts et me caressa
les seins elle en rentra un 4e , Arrete Stp j'ai mal ! Elle ne m'écouta pas
avec mister pouce elle me titillait le clitoris pour finalement venir le renter avec
les 4 doigts. J'étais figée sur place j'avais sa main au complet dans mon vagin !!!!
Elle m'ordonna de me coucher sur le côté , je n'osais bouger avec sa main dans
mon vagin , MAINTENANT me cria-t-elle , mister crie me fit réagir ! Je m'exécutai.
Elle joua donc dans ma raie de cul ensuite avec mister autre main,elle plaça
mister majeur a l'entrée de mon anus ...... NON NON Michelle ! NON !
je suis vierge de ce trou la !!!!!!
Tant mieux me dit-elle j'aurai la satisfaction de t'avoir déviergée d'au moins une place.
Elle enduit mon trou de sa salive , le contact de sa langue sur mon anus me fit frismisterner,
elle entra un doigt , la douleur était atroce ... Elle ne s'arrêta pas a 1 elle en mit un
deuxième , je pleurais ....
Mais un coup les 2 doigts entrés , elle ne bougea plus ni les 5 doigts dans mon vagin , ni
ses 2 doigts dans mon anus , pour finalement tout faire bouger en même temps
frénétiquement.Mes larmes de douleur mistert vite devenu des larmes de jouissance.
Après mon orgasme , elle enleva ses deux mains , de mes deux trous en même
temps ... Ce fût merveilleux !

Je repris mes esprits en boule sur le lit , quand j'ouvris les yeux et regardais au pied
du lit elle me tentait mon verre avec un grand sourire ...
Je finis mon verre et voulus la réembrasser et tentais de passer ma mains sur ses
seins mais elle me repoussa et me dit que c'était assez pour cette fois ..
Mais je lui dis que j'avais envie d'elle , que je voulais lui donner du plaisir a
mon tour ..
Elle me gifla et me dit de ne pas oublier que c'était elle qui contrôlait.

Avant de partir , elle me donna une tape sur la croupe et me dit
d'être sage d'ici notre prochaine rencontre.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,862
Up to the first message Down to the last message
J'avais acceptée de remplacer au bar pour la soirée ...
J'avais du plaisir avec les gars du village , j'étais la seule
femme dans le bar a ce moment la et les gars me
draguaient. Je jouais le jeu sachant très bien que la
plupart étaient mariés , mais bon un flirt n'est pas une
aventure.

La porte de bar s'ouvrit et Michelle fit mister entrée,
je ne savais pas qu'elle viendrait ce soir.
Elle était tellement belle , mon coeur se mit a battre très vite.
Elle me commanda un rhum-coca et alla s'asseoir au fond
du bar alors que tout le monde étaient au comptoir.
J'allai lui porter sa boismister en me penchant elle me murmura
que quand elle irait a la toilette je devais la suivre.
Sa voix était dure , au fond de moi je paniquai.
Je répondis simplement oui !

Je servais les gars en gardant un oeil constant
sur Michelle , je ne voulais sourtout pas la manquer.
La soirée étant déja bien avancée , l'état des gars l'était aussi.
Ce qui faissait qu'il devenait de plus en plus entreprenant a mon
endroit.Je trouvais ce petit jeux drôle au début , mais maintenant
sous le regard dur de Michelle , j'aimais de moins en moins ça .

Elle se leva et alla a la toilette.
Je la suivis.
Elle referma la porte derrière moi , que fais-tu ?
Je remplace une collègue.
Tu sembles apprécier ta soirée , sais-tu que la plupart de
ces salauds mistert mariés , ont le double de ton âge et ne veulent que te baiser
LE SAIS-TU ??
Je baissai la tête honteuse .
Donne moi ta petite culotte !
Mais , je suis en jupe courte et ..
et il te tripote et tu as peur qu'il se rende compte que tu te promènes sans culotte !
DONNE !
Je lui donna , elle la renifla , en plus tu y prends plaisir me dit-elle découragée de mon
comportement. Je veux que tu y retournes et que tu fasses comme si de rien n'y était ,
tu as commencé a jouer a ce petit jeux stupide et bien joue le jusqu'au bout , tu devras faire
tout ce que je te dirai , c'est clair ?
Oui
Je sortis et peu de temps après elle vint s'asseoir au comptoir et rigola avec les gars.
Les gars nous mirent au défi de nous embrasser , Michelle refusa mais me dit que
devrait pimenter la soirée , elle mit une chanmister langoureuse et sexy et m'ordonna
de danser sur le comptoir , encouragée par les cris des gars je montai et m'éxectuta.
Elle me mit aussi au défi d'embrasser un homme et de faire une danse contact a un autre.
Ce que je fis sous mister regard satisfait mais dur.

Finalement au petite heure du matin tout le monde quitta , sauf moi
qui devait fermer et Michelle qui resta assise au bar.
Elle ne dit rien tout au long de la fermeture , moi non plus d'ailleurs ,
Je lui tenait rancune de ses ordes en public et elle elle m'en voulait pour mon
comportement de '' fille facile '' .
Un fois tout terminé je lui dis qu'il me restait plus qu'a verrouiller la porte ...
Elle me fit un signe de tête pour que je m'assois a côté d'elle.
Elle mit sa main sur la mienne et me demanda si je lui en voulait ,
je lui avouai que oui un peu ...
Elle passa sa main dans mes cheveux et sur ma joue et me demanda si j'avais retenue la
leçon.
Bien sûr , lui avouai-je , pas très fière de moi.
Je voulus l'embrasser mais elle me repoussa en me disant que j'étais sale ,
que je sentais le sexe , le désir et qu'elle aussi m'en voulait , car ce n'était
pas elle qui avait déclenchée ça.
Elle me dit que pour qu'elle me touche j'avais besoin d'une bonne douche.
Elle me dit d'embarquer avec elle , vue mon état d'ébriété.

Rendue chez elle , elle me déshabilla dans l'entrée sans ménagement.
Elle m'entraîna a la salle de bains , et fit couler le jet d'eau sur ma peau.
Je fus saisis l'eau était glacial , je me débattis , mais elle me tenait fermement ,
je postulais très vite , je savais que je l'avais méritée.
Ensuite elle me dirigea au salon , j'étais nue et j'avais très froid.
Elle est revenue avec un drap blanc elle m'obligea en m'enrouler très sérrée
dedans les bras collés au corps.
Elle me bascula sur le sofa et elle m'embrassa et me dit que nous avions besoin
de sommeil.
Je voulais me coucher auprès d'elle , mais elle refusa.
Elle entra dans sa chambre ou j'avais vue sur mister lit.
Elle ne ferma pas la porte et se déshabilla entièrement sous mes yeux.
C'était la première fois que je la voyais nue et le fait de ne pouvoir la toucher
était un vrai supplice.
Elle se coucha sur ses couvertes et se caressa , râlai bruyamment ,pour
finalement avoir un violent orgasme.
Elle se coucha finalement en me souhaitant , Beaux rêves !

Quelque heure plus tard une envie naturelle me réveilla ,
je ne voulais pas uriner sur mister canapé , mais j'avais tellement
envie ...
Michelle , Michelle , MICHELLE ...
Quoi ? me dit-elle toute endormie
Je dois aller au toilette
Retiens-toi
Elle me fît languir pendant 1hr30 !!!
En se réveillant elle enfila un peignoir et vint me voir , elle
inspecta des yeux le drap blanc et me sourit , je suis très fière me dit-elle.

Elle me déroula , et j'allai faire pipi.
En revenant au salon elle était debout près du canapé
avec une ceinture de cuir dans les mains.
Couches-toi sur le ventre et fais le décompte.
1,2,3,4,5,6,7,8
ARRETE ' ARRETE STP !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
On recommence a zéro je ne t'aie pas permis de pleurnicher.
1,2,,3,4,5,6,7........20
Elle arrêta finalement , j'étais en pleure.

Elle s'assie a mes côtés et mes caressa les fesses avec une grande douceur.
Ensuite elle me caressa l'entre-jambe , qui dégoullinait abondamment de mouille.
Elle lubrifiait mon anus avec cette mouille , elle se leva et se dirigea a sa chambre ,
j'attendais elle me dit de me rélever le derrière et de fermer mes yeux.
Je m'attendais a une autre fessée.
Je la sentis embarquer sur le canapé et je sentis quelque chose de gros,dur et froid
a l'entrée de mon anus.
UNE CEINTURE_GODE !!!!!!!!!
Non , non je t'en prie non !!!
Elle entra quand même facilement en moi , malgré ma virginité anale !
Je sentais de gros coup de bassin sur mes fesses endolories.
Je jouis très fort sans aucune gêne , de violents spasmes parcouru
mon corps pendant quelque secondes.

Une fois remise de mes émotions , je regardai Michelle qui était nue,
couchée sur mister lit , jambe écartillée.
C'est mon tour d'avoir du plaisir, allez vient nettoyer ta maîtresse ,
c'était la première fois qu'elle utilisait ce mot , j'adorai l'effet
que cela me procurait , MA maîtresse !
Je la mangeai avec soin et elle aussi eu un orgasme.
Je finis ma journée dans ses bras , alors qu'elle jouait
dans mes cheveux et me disait a qu'elle point elle ferait de moi
une '' Jeune femme épanouie '' !
Elle me remercia de lui avoir donné ma virginité anale ,
je l'embrassai et la remerciais d'être ma maîtresse.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,863
Up to the first message Down to the last message
Une Femme Temporaire


Je m'appelle Frank Hawkins, et mes voisins, Kathy et Billie Baxter.

Billie travaille dans une compagnie de vente d'ordinateurs, et Kathy à temps partiel dans un cabinet de notaire.

Je n'ai jamais compris pourquoi Kathy avait épousé Billie, c'est un vrai rebu d'humanité alors qu'elle est resplendissante. Chaque fois que je la reluque je me mets à bander come un âne.

Elle a de longs cheveux bruns qui cascadent sur ses épaules; mais ce que je préfère en elle ce mistert ses lèvres pulpeuses. Elle se tient généralement la bouche légèrement entrouverte comme si elle se préparait à sucer une bonne bite.

Je ne savais pas encore comment, mais je savais que je me la ferai.

Je vivais seul, Ma salope d'ex-femme Amanda m'avait quitté pour la simple raimister que je la giflais lorsqu'elle émettait une opinion contraire à la mienne.

C'est cet événement qui me plongeait dans mes problèmes actuels. Mes parents voulaient désespérément être grand parents. Ils étaient très heureux lorsque je m'étais marié, ils se voyaient déjà emmenant leur petit fils, ou leur petite fille à l'école puis dans la meilleure université.

Ils m'envoyaient de l'argent chaque mois pour les déposer sur un compte ouvert à mister nom. Je me servais de cet argent puisque je n'avais aucune raimister de le thésauriser.

Et voila qu'ils avaient pris un vol les amenant de la cote ouest pour me rendre visite pendant quelques jours.

Ils n'avaient jamais vu Amanda, nous nous étions mariés à Las Vegas et je leur avais envoyé quelques photos assez floues de notre mariage.

J'avais besoin d'une femme pour quelques jours si je ne voulais pas qu'ils me coupent les ressources, c'est là que les Baxter entrent en jeu.

Lorsque j'étais marié que nous sortions souvent avec eux.

Nous mangions au restaurant avant d'aller au cinéma, ou nous faisions un barbecue chez l'un ou chez l'autre tout en jouant aux cartes. Lorsque cette salope m'eut quitté je continuais à les fréquenter de temps à autre, me rendant souvent chez eux pour dîner. J'aimais flirter avec Kathy, Billie était visiblement jaloux, mais elle ne semblait pas s'en soucier.

Ce soir, en allant les rejoindre pour dîner j'avais décidé de mettre en œuvre un plan subtil.

Je leur dis que mes parents venaient passer quelques jours chez moi, et qu'ils me couperaient les vivres s'ils se rendaient compte que ma femme s'était envolée.

Billie pensait que j'étais un salaud de décevoir mes parents, Kathy gloussait en me traitant de "vilain petit garçon".

- Je suis d'accord avec toi Billie, et comme je ne veux pas les décevoir, j'aurai besoin de t'emprunter ta femme pour une paire de jours.

Je vis Billie s'empourprer alors que je poursuivais :

- Bien sur ce serait totalement innocent, je ne toucherai en aucun cas à ta femme! Ma chambre conjugale est meublée avec deux lits séparés, je donnerai à ta femme le lit de deux permisternes et je dormirai dans le lit d'une permisterne. Je resterai certainement très tard à discuter avec mes parents au salon, de ce fait ta femme sera totalement endormie bien avant que je monte coucher.

- Ce ne sera qu'un simulacre de vie familiale, une parodie. Mes parents m'envoient une forte somme d'argent tous les mois et je ne veux pas la perdre... Faite cela pour moi et lorsque ce sera fini je vous offrirai un séjour de trois jours à Mexico... Qu'en dites-vous?

- Je... Je ne sais as... Balbutia Billie...

- Cela me semble moche de mentir à tes parents pour quelques billets de banque!

- Ne joue pas les rabats joie Billie... Le coupa Kathy

- C'est juste pour quelques jours... J'aimerai bien prendre des vacances à Mexico, pas toi? Mais Frank, je veux que tu me promettes : pas un geste douteux!

- Vous avez ma parole d'honneur Kathy!

Le marché était donc conclu.

Kathy emménagerait chez moi la veille de l'arrivée de mes parents. Elle amènerait quelques valises de vêtements, des fleurs ces différentes choses qui montrent qu'une femme vit au logis.

Kathy avait encore sa robe de mariage, elle l'enfila et nous nous sommes rendus dans un studio pour faire quelques bonnes photos de mariage.

Tandis que le photographe développait les photos nous nous sommes rendus sur le mail. Je voulais acheter quelques peintures et une tenue sexy pour Kathy, elle voulait acheter une longue sortie de bain.

- Je ne veux surtout pas te donner des idées... Me confia-t-elle déterminée à me faire respecter ma parole.

De retour chez moi, Kathy se rendit dans la chambre pour enlever sa robe de mariage, je l'y suivis. Je lui roulais un patin passionné sur les lèvres et lui empoignant les fesses je la serrais contre mon corps.

- Arrête Frank... Tu n'es qu'un pervers! Ce n'est pas parce que de m'avoir vue dans ma robe de mariée t'as donné des idées que... Billie serait malade s'il savait que tu m'as m'embrassé!

- Je te rappelle quand même que tu m'as allumé toute la journée ma petite chérie! Et maintenant ôte moi ta robe de mariée ou c'est moi qui vais te l'arracher! De toute manière j'ai décidé de me faire ta petite chatte ma chérie!

- Tu m'as promis de ne pas chercher à avoir de rapports sexuels avec moi Frank!

- arrête de me rappeler cela salope... Fous-toi à poil... Si tu ne veux pas que je sois plus rude avec toi... Comment expliquerais-tu à Billie que t'es couverte de bleus?

- Ne me power pas à... Ce n'est pas bien!

- Je commence à perdre patience petite pute... Fous-toi à poil rapidement si tu ne veux pas que je te colle une raclée...

- Je t'en prie Frank... Le supplia-t-elle en commençant à se déshabiller.

- Dès que tu seras nue, agenouille-toi et viens me sucer la bite! Je veux être sur que tu comprennes où est ta place!

La larme à l'œil elle lui obéit servilement.

- Attends un peu avant de me sucer, j'ai envie de pisser!

Je pissais allégrement sur sa robe de mariage qui gisait au sol face à moi.

- C'est bon salope, suce-moi!

Cela faisait un bon moment que je rêvais à cela : Kathy à genoux devant moi faisant de mister mieux pour tailler une pipe.

- Regarde-moi dans les yeux quand tu me suces salope! Ne sais-tu pas que toutes les putes regardent dans les yeux les hommes qu'elles sucent pour savoir si cela lui plait?

chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,864
Up to the first message Down to the last message
J'avais l'intention de la baiser, mais sa fellation m'excitait tant que je n'avais aucune envie de l'interrompre, aussi empoignais-je sa tête, et la bloquais sur ma mentule alors que j'éjaculais à gros bouillon dans sa gorge.

Elle toussait et crachotait alors qu'elle cherchait à détourner la tête, mais je la tenais fermement l'obligeant à déguster ma semence onctueuse.

- Sais-tu ma chérie que tu dois toujours nettoyer la bite de celui que tu viens de sucer avant de te relever?

Elle se releva et enfila un jean et un chemisier sans oser me regarder.

Très bien, j'avais cassé sa résistance.

- Et maintenant comporte toi comme d'habitude et Billie ne saura jamais ce qui vient d'arriver!

Le soir même, comme elle préparait le souper, je lui dis de faire de mister mieux car j'avais invité Billie à manger avec nous.

Je vis à l'expression renfrognée de mister visage que cela lui déplaisait profondément, mais elle ne protesta pas.

- Tu porteras une mini jupe et cette petite brassière sexy que je t'ai achetée... Je veux que tu te fasses belle pour Billie!

Lorsque Billie arriva, je vis qu'il n'était pas plus content que sa femme.

- Puisque ta femme est chez moi j'ai pensé que tu aimerais te joindre à nous pour souper! Lui assénais-je un sourire railleur aux lèvres.

- Ce n'était pas vraiment nécessaire, je sais faire la cuisine!

J'ai particulièrement apprécié ce repas tandis que Billie et Kathy se regardaient extrêmement gênés. Ils ne parlaient sur très peu, je faisais donc les frais de la conversation.

- Billie, comme tu le sais, mes parents seront là demain, cependant Kathy ne se comporte pas comme le ferait ma véritable femme... Kathy, viens m'embrasser!

Elle s'approcha de moi et me donna un bisou sur la joue.

- Tu vois ce que je veux dire, cela ne ressemble en rien à un baiser de femme amoureuse de mister mari! Ne crois-tu pas que cela serait plus vraisemblable si elle m'embrassait sur la bouche?

- Je suppose que oui...

- Kathy, tu as entendu ce vient de dire ton mari! Embrasse-moi amoureusement sur les lèvres!

- Si ses yeux étaient des revolvers, je serai mort sur le champ, mais elle s'exécuta docilement. Bordel elle aurait pu me fourrer sa langue dans la bouche! Je lui ferai payer cet oubli plus tard!

Billie intervint alors :

- Je ne me sens pas très bien ce soir, je préfère rentrer chez moi!

Dès qu'il fut parti, Kathy, ivre de fureur me morigéna :

- Quel besoin aviez-vous de l'humilier?

Je n'aime pas que les femmes discutent mon comportement. Il allait falloir que je lui apprenne quelques bonnes manières...

Une fois qu'elle eut lavé et essuyé la vaisselle, nous nous sommes assis dans le salon et avons regardé la télé en sirotant quelques verres. Je savais que Kathy ne buvait pas habituellement, elle buvait surement parce qu'elle se doutait de ce qui allait arriver ensuite.

- Viens chérie, je me sens tout excité, aussi montons baiser!

Kathy s'était résignée, cependant elle protesta pour la forme :

- Je veux bien coucher avec vous, mais ne m'appelez pas chérie, c'est ainsi que mon Billie aime m'appeler!

- C'est d'accord, dorénavant je t'appellerai salope, et maintenant magne-toi le cul de grimper dans les étages, allonge-toi dans mon lit et attends-moi, j'arrive!

Je m'attendais à ce qu'elle proteste à nouveau, mais elle changea d'idée et monta l'escalier se dirigeant vers ma chambre. Je m'assis et m'envoyais une paire de verres de plus... Cela lui donnait le temps de se demander avec anxiété ce que je lui réservais!

Lorsque je montais coucher, Kathy faisait semblant de dormir.

- Réveille-toi stupide salope... Je veux que tu te réveilles et que tu fasses de ton mieux pour me satisfaire! Je ne baise pas avec un cadavre!

- Je ne me sens pas bien Frank... Je dois avoir trop bu...

- La prochaine fois tu on observera tes limites... Et maintenant vire-moi ce pyjama de merde et demain tu iras t'acheter plusieurs chemises de nuit sexy et tu me foutras tes maudits pyjamas aux ordures! Et maintenant prépare-toi à me donner satisfaction!

- Frank, je t'en prie, enfile une capote... Mon cycle est trop irrégulier pour que je prenne la pilule, c'est pourquoi Billie porte toujours un préservatif quand nous faimisters l'amour!

- Apprends stupide petite pute, que je ne mets jamais de capote! Je vais t'engrosser! Tu pourras envoyer Billie me remercier de faire de lui un père!

Mais on avait assez discuté... Je l'enfourchais et l'embrochais sans vergogne... Je suis très bien monté, mais elle m'accueillit aisément, tant sa chatoune était trempée... Je voulais prendre mon plaisir rapidement en la frustrant du sien, mais après quelques coups de bite elle referma ses chevilles dans mon dos et eut mister premier orgasme avant même que je ne gicle dans ses profondeurs... Lorsque je jouis, j'extirpais rapidement ma bite de sa foufoune embrasée, un second orgasme menaçait de la submerger!

Le lendemain matin, lorsque je me réveillais elle gisait sur le dos les draps et couvertures repoussés sous ses miches.

Je pense qu'elle voulait se faire baiser, mais j'avais une autre idée en tête.

- Mes parents vont arriver bientôt et je n'aime pas ton attitude... Tu ferias mieux de commencer à te comporter en femme aimante si tu ne veux pas que je déboucle ma ceinture pour te coller une rouste!

Mes parents arrivèrent peu de temps après le déjeuner.

Après moult embrassades, ma mère remarqua que Kathy était exactement la même que sur les photos de mariage, celles que j'avais fait encadrer et disséminé ça et là dans le salon.

Après souper, ils complimentèrent Kathy pour ses talents de cuisinière et e dirent que j'avais une sacré chance d'avoir une gentille femme comme elle!

Ils allèrent au lit assez tôt, ils étaient fatigués après leur long vol, je restais avec Kathy dans le salon, le temps de siroter quelques verres.

Kathy monta la première dans notre chambre et je la rejoignis lorsque j'eus terminé mon dernier verre.

Lorsque j'entrais dans la chambre, Kathy se tenait au pied du lit dans une affriolante chemise de nuit rouge, si fine que je distinguais clairement ses sombres aréoles et l'ombre de sa chatoune velue.

- Cela te convient-il mieux? Me demanda-t-elle un timide sourire éclairant mister visage.

- C'est bien mieux! Tu fais de gros progrès ma salope...

Elle semblait heureuse lorsqu'elle se plongea dans le lit à mon coté, elle m'enlaça tendrement, mais moi je voulais mignoter ses tétons, aussi écartais-je ses bras et embouchais ses mamelons.

Elle gémit sourdement alors que je suçais ses tétins... Même lorsque je la mordis assez cruellement, elle poussa un petit cri de douleur mais serra ma tête sur ses miches.

Le contraste de la douceur du satin avec la raideur de ses mamelons dardés m'excitait follement.

Je voulais la baiser à couilles rabattues avant de me vider les couilles dans ses profondeurs, mais je ne voulais pas qu'elle jouisse.

Je pense qu'une femme doit se concentrer sur le plaisir de mister mari, sans se soucier de ses propres émois. Une fois qu'elle a entièrement satisfait la lubricité de mister homme, elle peut alors assouvir ses propres besoins en se masturbant.

Je plongeais à nouveau en elle, légèrement ennuyé de la pénétrer aussi facilement. Une femme devait endurer un minimum de douleur lorsqu'on l'entreprenait.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,865
Up to the first message Down to the last message
En moins de deux minutes je sentis monter mister orgasme, je cherchais à le prévenir en lui mordant sauvagement le cou... C'eut exactement l'effet contraire...

Kathy eut un orgasme sauvage, ses tortillements m'amenèrent à gicler en elle précocement...

Je ne voulais pas la baiser de cette manière! Je volais sentir mister plaisir monter lentement et lorsqu'elle serait sur le point de jouir, cracher mon foutre et extirpais rapidement ma bite de sa chagatte la laissant frustrée.

Le lendemain nous tous sommes allé à la ferme de Knox Berry, un parc d'attraction peu éloigné de mon domicile.

Kathy se comportait maintenant comme je l'attendais. Elle gloussait souvent et riait tout en marchant à mon bras.

J'invitais à nouveau Billie à partager notre repas du soir, je voulais préciser leur rôle dans mon scénario. Lors de mister arrivée, j'expliquais à mes parents que Billie était notre voisin célibataire. Je leur indiquais que la femme de Billie était partie avec un autre homme et que, comme nous étions désolés pour lui, nous l'invitions souvent à dîner avec nous.

Ma mère était pleine de commisération à mister égard, et bien qu'il me jeta des coups d'œil furieux, il endossa mister rôle et nous remercia de notre gentillesse.

- Je pense qu'il aime bien ma femme... Je l'ai souvent vu la regarder avec des grands yeux émus... Kathy pourquoi ne pas lui faire plaisir, assieds toi sur ses genoux et embrasse le tendrement!

Kathy me dévisageait abasourdie, mais elle s'exécuta docilement.

Ma mère dit alors :

- Nous repartons après demain, ce soir nous vous invitons tous à déguster un bon repas et danser. Billie semble un bon gars, je suis certain que vous pouvez lui trouver une nana pour demain, nous allons bien nous amuser.

- Je connais justement la fille qu'il lui faut! Je vais la contacter... Dis-je un large sourire aux lèvres.

Cette nuit se déroulera comme les autres, une fois mes parents au lit nous sommes restés à partager quelques verres, puis Kathy monta se préparer pour moi.

La nuit dernière elle portait une baby-doll rouge, ce soir elle était noire.

- Aimerais-tu que je te refasse comme la première nuit que nous avons passée ensemble?

- Kathy, si tu veux me donner du plaisir, Dis-le franchement!

Rougissant comme une tomate elle reprit :

- Aimerais-tu que te suce comme il y a deux jours?

- Non Kathy, tu n'es as une bonne suceuse! Tu as besoin de t'entraîner... Auparavant je veux cracher mon foutre dans ta foufoune embrasée et t'engrosser si tu ne l'es pas encore! Et je veux que tu me parles vulgairement, cela m'excite énormément...

- Frank, je voudrais que tu me baises!

- C'est un bon début, mais dis m'en plus...

- Je veux que tu fourres ta grosse bite dans ma petite chatte!

- Ce n'est pas une petite chatte, mais une grosse chagatte baveuse, dis-moi que tu m'aimes...

- Je t'aime Frank, j'ai besoin n de sentir ta grosse mentule dans ma chatoune embrasée...

- C'est bien mieux... Et maintenant empoigne-ma queue, écarte les cuisses et enfourne mon gros chibre dans ta cramouille détrempée...

Sa douce main me branlait langoureusement, j'étais sur le point d'éjaculer avant même de la pénétrer. Je l'ai emmanchée d'un vulgar coup de boutoir et ais tout de suite craché mon foutre à la fin fond de mister utérus.

Elle gémissait tout en psalmodiant mon prénom alors qu'elle jouissait dès ma pénétrée.

Bordel, et moi qui voulait qu'elle ne tire aucune jouissance de notre baisouille.

Le lendemain, lorsque Billie protesta qu'il ne voulait pas de mister rendez-vous, je l'avisais qu'il était trop tard, j'avais déjà conclu le marché. J'avais payé 300 $ une prostituée pour le séduire et passer la nuit dans ses bras et un 200 $ un détective privé pour prendre des photos de leur rencontre.

Je passais une excellente nuit à danser et embrasser encore et encore sa femme devant lui alors que la prostituée lui caressait insidieusement les burnes. Lorsque nous sommes rentés à la maimister, mes parents gagnèrent tout de suite leur chambre, leur avion partait tôt dans la matinée. Je bus mon traditionnel coup de l'étrier en compagnie de Kathy avant d'aller coucher.

Kathy était désolée pour Billie.

- Je sais que je l'ai blessé en dansant dans tes bras alors que tu me roulais pelle sur pelle. Je l'ai vu clairement dans ses yeux...

Je ne voulais pas écouter ces giries

- grimpe à l'étage et fous-toi à poil.... J'arrive dans une minute, il vaudrait mieux pour toi que tu sois prête à m'accueillir.

Lorsque je gagnais notre chambre, elle était étendue dans notre lit dans sa froufroutante baby-doll rouge

- A quatre pattes salope! Je veux t'enculer...

- S'il te plait Frank, je n'ai jamais... Je n'ai jamais fait ça!

-Parfait j'adore être le premier à casser le cul des pucelles du fion! Prends ce tube de vaseline et lubrifie ma hampe...

J'adorais sentir ses mains se promener sur ma bite tendue, cherchant à la graisser de mister mieux pour diminuer la douleur de l'enculage!

Bien que je préfère me faire sa chatoune, je voulais trouver un moyen de jouir de ses charmes sans la faire orgasmer... Ce devait être le meilleur moyen...

- Et maintenant tortille ton cul et demande moi de te sodomiser et tâche d'être convaincante...

Je me réjouis alors de l'entendre me demander de lui dépuceler le trou du cul. Je ne parvins pas à la fourrer aussi rapidement que les autres nuits, mister anus était bien trop serré.

Comme je lui labourais lentement l'œillet annelé, je l'entendais, avec ravissement, sangloter, lorsqu'elle tourna la tête vers moi je vis de grosses larmes noyer ses yeux.

Dès lors les événements s'enchaînèrent rapidement.

Convaincu d'avoir couché avec une pute, Billie fut d'accord pour divorcer à l'amiable, Kathy récupéra la moitié de leurs avoirs, la moitié de la vente de la maimister, et la moitié de ses investissements.

Peu après je l'épousais, et elle accepta que je gère ses finances, on signa un contrat de mariage et je lui donnais une petite semaine pour aménager notre petit nid.

J'étais entièrement satisfait de la tournure des événements, mais, dès que Kathy ferai une erreur je serai obligé de lui filer une rouste pour lui montrer la bonne voie, mais cependant la vie me souriait.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,866
Up to the first message Down to the last message
The hyperlink is visible to registered members only!




The Boss


What a Day!

At the end of a long hard day Jill is just about to lockup the office and leave for home, the phone rings.

‘Hello, I was just leaving but if it’s that urgent I’ll be over to your office right away sir’.

‘Shit,’ Jill thinks’ why, did I pick up the phone?’

She locks her office and then makes her way over to the boss’s office. When Jill arrives she is just about to knock on the door when it opens and her boss invites her in telling her to take a seat. As she enters the room her boss closes the door behind them and then walks across the room to lean back against the front of his large desk about three of four feet away from Jill.

‘Is everything OK sir?’

‘Not really’, her boss replied, I’m quite concerned about the way you are dressed today, especially those trousers you are wearing.

‘Why’s that sir, I mean they are quite tidy.’

‘It’s not the look of them as such’ said her boss, ‘stand up a minute and I’ll explain.’

As Jill stands she is beckoned to move a little closer.

‘Right slowly turn around for me.’

‘That’s it, from where I am standing they are so tight I can see every detail including the out-line of your little knickers as well as the curve of you bum.’

Jill blushes and starts to speak when her boss walks towards her until he is only inches away. As he stands in front of her he takes her hand, placing it on the front of his trousers. Shocked, Jill tries to pull her hand away but her boss holds it there with his firm grip,

‘Feel that you tease, feel just how hard you have made me, just by looking at you bending over earlier. Now I think it’s time you help me do something about it don’t you.’

Jill is totally speechless as she feels the hardness of her boss’s cock through the material of his trousers, without another word she feels her boss unzip his flies and then he takes her hand and places it inside his open trousers. With a gasp, Jill takes hold of his hard cock and is amazed how big it feels to her. As she starts to rub her hand up and down this strange shaft Jill’s head is spinning in confusion, just how far does her boss expect her to go?

‘That feels good, now take it out fully.’

As Jill obeys, her boss leans forward and starts to kiss her, as their lips meet her boss powers his tongue into her mouth. Although she tries to resist in her confusion her mind is starting to tell her ‘this feels good’. With their breathing getting heavier and with the slow rhythm of her hand as she wanks her boss’s shaft Jill feels as if she is starting to totally succumb to this older man.
As the kiss continues Jill feels a hand between her legs, the fingers start to rub the front of her tight trousers teasing her wet pussy through the material.

Taking a step back and breaking away from the kiss her boss undoes his trousers completely, letting them fall to the floor along with his pants. As he does this Jill glances down to see his rock hard shaft sticking out in front of him, She lets out another gasp.

‘What’s wrong haven’t you seen one as big as this before Jill.’ Her boss says as he places her hand back on his throbbing cock.

Trembling Jill shakes her head and without a word lowers herself to her knees and takes hold of her boss’s cock once again, slowly she wanks it up and down staring at the shear size and length of it. After about thirty seconds Jill leans forward and with her tongue traces a line starting at the base and then slowly works her way up to the glistening tip as she holds the shaft firmly in her hand. With a circling action her tongue teases the head of this magnificent cock until she slowly opens her mouth and slides her lips over the end and lowers her head to take his cock into her mouth. She flicks her tongue along the underside of the smooth head sending shivers of delight through her boss’s body. Jill starts to suck gently as she bobs her head up and down, feeling the hot hard shaft glide in and out. She tastes the unfamiliar taste of his cock on her tongue. Her mind is racing now. Here she is sucking her boss’s rigid cock. The cock of a man much older than her and it feels so fucking good in her mouth. She is now totally under his command and will do any thing he tells her to do.

‘Wow Jill you certainly know how to give a good blowjob, this is so good but don’t get too carried away, I’ve got other plans for you.’

Feeling large firm hands lifting her to her feet she is stopped from performing the blowjob she is enjoying so much. Jill is led over to the desk and then told to bend over the desk. As she complies with her boss’s command, her trousers are quickly undone and then pulled down around her ankles along with her panties. The sudden feeling of cool air on Jill’s exposed backside gives her a tingling feeling and then she delights in just how vulnerable she is to her boss’s demands. Whilst pushing her down over the desk with one hand the other starts to explore between her legs, a large strong finger probing deep into Jill’s wet pussy. She knocks files and paperwork onto the floor, as she is spread-eagled across the wide desk. Enjoying the helplessness of the situation she tries to move her legs as far apart as the trousers around her ankles will allow to give this man better access to her waiting pussy.

Now with one hand on Jill’s hip, her boss takes his hot hard cock with his other and gently slides it over the sticky folds, parting her lips to find the entrance to her waiting pussy. As Jill feels the bulbous tip starting to enter her she tries to push back to meet him, only for him to withdraw and tease her.

‘Right young lady you are now going to get the fucking your teasing cunt deserves’ as the old man starts to ease his cock into Jills cunt. ‘God your tight, you obviously don’t get a cock like mine too often do you girl’

‘No never sir’ Jill whimpers as she tries to regain her breath. ‘Please don’t stop that’s sooo’

Suddenly she feel the shaft enter her in one long swift thrust, stretching her as it plunges into her cunt deeper than she has ever felt a cock before. As she tries to catch her breath this older man withdraws his cock and then thrusts in again, this time with so much power his heavy balls slap loudly against her. She braces herself by gripping the far edge of the desk as steadily he builds up a strong rhythm whilst holding onto her hips with both hands. The sensation building up in Jill is almost unbearable as she is being totally used by this horny old man, her legs start to weaken beneath her and she starts to tremble as her orgasm begins to build. Sensing she is about to come her boss slips his right hand up under her stomach and continues up against her bare skin, pushing up her bra as he reaches her firm breasts. After rubbing her swollen nipple for a short while Jill feels his large hand grasp her right breast and squeeze it hard. This is all that is needed to send her over the edge and into an earth shattering orgasm, the muscles in her pussy contract around his hard length inside her as if she is trying to draw him in even deeper, her entire body seems to be tingling, her head goes dizzy as she collapses onto the large desk in raptures of shear pleasure, her orgasm courses through her entire body.

Withdrawing his still hard glistening cock from Jill’s wet cunt her boss decides to change his position, leaving her feeling confused and wanting more.

‘Well then girl lets get you over here so that I can finish what you started with that teasing of yours’

Jill feels her self, being half carried over to the couch on the far side of the office and laid down. As her senses start to recover she realises that her boss has now removed her shoes, trousers and panties and is positioning himself between her spread legs, with a smirk on his face he slips his still swollen shaft into Jill’s now gaping pussy, he slips easily into her as the first fuck had stretched her love tunnel enough to take his man sized cock.

This time he enters her and starts to move in and out with long slow strokes, fucking with less urgency as he lowers himself down into her. Feeling his full weight on her, he starts to kiss her gently on the lips, she responds as their tongues entwine and they become completely engrossed in their moment of passion. ‘This feels so good’ Jill thinks to herself. Feeling this horny old mans shaft deep down inside her, deeper that she could ever imagine, deeper than her wildest fantasy.

‘Please don’t stop that’s lovely, you feel oh so good, that’s it fuck me, fuck me hard’. She bends her legs and draws her knees up beside him allowing his shaft to penetrate her as deep as possible. Lying back beneath her horny boss as he thrusts into her, enjoying the experience of another mans cock inside her. This old bastard certainly knows how to fuck she thinks as he holds his cock deep into her stretched cunt, feeling it deep in her tummy as he starts to rotate his hips, his course pubic hairs rubbing against her exposed clit sending sensational ripples of pure enjoyment through her sexy body. This he continues for some time before he starts slipping in and out in slow controlled full-length thrusts. ‘God please don’t ever stop, make love to me forever, please, please, you’re so deep in me, it’s good, yes good, good’

As he quickens his pace the sensation of her pussy being stretched and penetrated by the hard shaft of this old mans cock is absolutely breath taking. The enlarged purple head almost withdrawing before it is thrust fully back into her wet cunt. Her boss looks into her eyes and announces that she should be ready as he intends to come deep inside her whether she likes it or not! ‘I’m gonna fill that tight cunt of yours full of spunk girl’.

Jill can feel yet another orgasm building up as this old man continues to use her, his cock seems to grow even bigger inside her and then wham! – With a grunt he starts to come, he squirts jet after jet of his seed deep into her. As she feels the hot fluid being pumped onto her by this masterful cock Jill reaches another climax, she starts to come almost uncontrollably once again as her pussy contracts around this long hard shaft deep inside her – taking her as never before!

Laying in each other’s arms the intense feeling of their climax starts to subside and Jill feels sir’s semi hard cock slip out of her sticky wet pussy with a squelch. Looking down it is still impressive to her, still large and heavy against her inner thigh.

‘Right then girl I reckon that seeing that I’ve just given you what was probably the best fuck of your life you should repay me by finishing that blowjob you started earlier. As you have made me so horny I intend to make the most of it.’

Jill looks up at her boss with a look of pure lust as he stands up next to the couch and then positions himself next to her head kneeling on the edge of the couch. Reaching up Jill grabs hold of the sticky shaft and pulls it towards her willing mouth. She raises herself up to get a better angle before taking the head into her mouth, sucking noisily on it. With the heady taste of their combined juices on her tongue and the fresh smell of sex in the air Jill continues to lick and suck like a complete slut. ‘If he wants a blow job he’s going to get it’ she thinks to her self. Within seconds she feels his large heavy cock harden until it is fully erect. Whilst Jill holds the base of the shaft with her right hand she starts to bob up and down on the remaining several inches, occasionally stopping to just lick the sensitive end, teasing it with the tip of her tongue. Continuing like this for several minutes until the old man starts to move his thick cock in and out in a slow fucking motion. Jill allows him to continue until he is actually thrusting and fucking her mouth with his balls slapping against her chin. Being used like this turns her on even more and she slips her free hand down between her legs and starts to wank herself. As his speed increases Jill decides to take control again, she starts furiously wanking his cock with her right hand, whilst holding just the head in her open mouth. Their breathing quickens as she is wanking both him and her, he announces he is going to come. As the first jet of thick spunk fires into her mouth Jill closes her lips around the head of his cock she tries to swallow everything bit of spunk he has, at the same time she clamps her thighs tight against her own fingers as her starts to come herself. With the large amount of come being squirted into her sluttish mouth Jill is unable to swallow it all and has to pull back to direct the jets of hot fluid over her chin, with the final few squirts coating her neck and down onto her top.

With a grunt her boss slowly encircles her mouth with his sticky cock until Jill reaches out and licks the last remaining drop of spunk from the tip.

Bending down her boss picks up her clothes and hands her the trousers. ‘You had better put these back on and get home to hubby; I’m going to keep the panties as a souvenir.’

Quickly Jill unashamedly gets dressed and noticing the time she starts to leave not believing they had been fucking for over an hour. ‘Until the next time then and mind how you go’ says her boss with a grin.

Walking across the now deserted car park to her car Jill is in a trance, the short drive home not even registering as if she is on autopilot. Pulling into the drive Jill parks her car; walking up the short drive she opens the front door.

Entering the front room Dave looks up to see his wife standing in the doorway looking dishevelled. ‘What the fuck have you been up to?’ ‘More like who the fuck you mean’ she replies and slowly walks across the room to Dave who is sitting on the settee. Looking closer he can see the traces of spunk in her hair and down the front of her top. Without saying a word Jill leans forward and starts to kiss Dave very passionately. His mind in turmoil, a mixture of jealous anger and pleasure. Knowing that Jill had obviously just sucked another mans cock, including the fact he had come in her mouth, something she would not normally let him do, had Dave instantly horny and wanting to know more. Changing from the submissive girl in her boss’s office Jill now felt in charge and wanted to make Dave wonder a bit more. ‘Right then, no questions just do as I say, kneel down and take off my trousers for starters’ she commands. Dave immediately obeys and from a kneeling position he undoes the front of his wife’s tight trousers and starts to peel them down her legs. With a feeling of complete shock Dave finds he is looking at Jill’s bare pussy, no knickers but very sticky with fresh spunk!
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,867
Up to the first message Down to the last message
Without giving her husband a chance to say anything Jill places her hand on the top of his head and pushes it towards her pussy. Holding his head still she slowly thrusts her cunt towards his face and starts to rub herself up and down on him, smearing the sticky juices over his face. ‘Lick me clean and if you do a good job I will tell you all about it.’ Hesitantly Dave sticks out his tongue and starts to lick, tasting her lover’s spunk as she pulls her pussy lips apart to give him better access. Licking and sucking Dave soon manages to clean all around her swollen pussy lips and into the hot sticky cleft in between her legs.
‘Sit back on the floor against the settee Jill demands as she completely removes her trousers to stand in front of her husband totally naked from the waist down. ‘This is just how I was dressed when my boss fucked me in his office, over his desk and on the couch. Now I want you to lick me properly and clean all his spunk from me. Do you think you can manage that Dave?’ She says tauntingly. He leans back with his head resting on the seat of the settee and looks up as his sexy wife starts to kneel on the settee, bum facing out into the room and a leg either side of her husband’s head. Dave thinks ‘there can’t be much spunk inside her from an old man like that’- (how wrong can you be?) but as Jill positions her self over his upturned face Dave notices just how puffy and stretched his wife’s pussy is. As she starts to lower her gaping cunt onto his face some of her lover’s spunk starts to ouse down from her well fucked cunt falling onto to her husband’s lips. With a giggle she squirms around rubbing the older mans spunk into his face. ‘Now do your job and clean me up fully, just like in your fantasy, only this time it’s for real. Just think about it, half an hour ago my boss had his big fat old mans cock where your mouth is, can you taste how wonderful it is? I love the taste of his spunky cock Dave and I bet you do don’t you? Before you ask, yes his cock is bigger than yours, much bigger and yes he gave me the best fuck I have ever had. Let’s hope you like the taste of his spunk because I am sure he has got a lot more where that came from.

As Dave gets to work licking and sucking his darling wife’s used pussy he feels as if his own cock is going to explode, he reaches down and pulls it out and starts to wank it as he savours the taste of Jills freshly fucked cunt. Sensing the movement of her husband’s hand behind her Jill turns and tells him to stop wanking. ‘Just concentrate on me’, she demands as she lifts herself off him turns and sits on the edge to the settee, spreading her legs wide before pulling her husband back towards her open cunt for him to continue with his clean up duties.

‘Now don’t stop until I have come.’

Dave continues as demanded, enjoying every second of it, licking his sexy wife is about the best thing he could think of doing right now. Tasting her creamy just fucked pussy and knowing that she had been given such pleasure by another man, an older one at that, given a greater pleasure than he could never achieve. After what seems like an hour of licking, Jill clamps her legs tight around her husbands head and starts to come, trembling as her orgasm courses through her whilst she thinks of the fantastic fuck her boss had given her and how good it was to suck that masterful cock.

When Jill is ready she tells Dave that he can get his cock out again. Eagerly he drops his trousers and kneels between his wife’s open legs; slowly Dave takes his rock hard cock and enters her sexy used pussy. Jill decides to tease him a bit. ‘That’s going to be a waste of time, after sirs massive cock I bet I won’t even feel you in me, oh well get on with it anyway.’ Dave slips into her stretched cunt and starts fucking her as fast as he can, she feels so wet and slippery as he slides his modest cock into his gaping wife, whilst she is still lubricated with another mans come. ‘I told Sir that I love his cock and he is the best fuck ever, much better than you, he thought it funny when I told him that I was going to make you clean me up with your tongue, what do you think of that eh?’

With all the teasing Dave can’t hold back any longer and explodes onto Jill, pumping his spunk into her, to mix with the remains of her lovers manly seed. Totally exhausted Dave slips his softening cock from his wife’s beautiful pussy and collapses between her legs, resting his head on her breasts as he wraps his arms around his wonderful wife, cuddling her as he thinks just how proud he is of her. Knowing just how lucky he is to have such a sexy gorgeous wife like Jill.

‘Well Dave, that was one hell of a day at work, mind you with a cock like that I am sure it won’t be the last time he fucks me. Just as long as you are here for clean up duties I could get used to this and so will you. I might even let you watch the master at work one day, just think how sexy that would be.’

…‘Now then Dave I’ll probably be quite late so don’t wait up. It won’t take me too long to sort out sirs PC at his house but I’m sure there is something else he wants me to deal with.’

Dave looks admiringly at his sexy wife as she leaves the house, thinking that the short dress she is wearing, not to mention her lacy undies will not stay on her for long when she gets to sirs house.

Arriving at her boss’s large house Jill rings the doorbell and waits in excited anticipation. Almost immediately the heavy door is opened and she is ushered into the house by her boss. ‘Glad you could make it Jill.’ He says as he places his hand on her sexy bum and gives it a gentle squeeze. ‘

Walking into the entrance hall she stops to be directed by her boss to which of several doors to take that lead off of the hallway as well as a staircase.

Without saying a word her boss walks up to her and starts kissing her. A kiss she returns with equal passion. It is soon clear that any intent of sorting out his PC has gone totally out the window. As their kiss continues she feels her boss’s hand slip under the hem of her dress and start to probe between her legs. His strong fingers pulling her panties to one side before they start to explore her hot pussy.

‘Wow, your not wasting any time are you sir?

Taking Jill by the hand this older man leads her to the stairs and takes her up to his bedroom at the top. Entering the room they both stand looking at each other in silence as they undress. The sexual tension is electric between them as they are soon completely naked. Holding out both hands her boss takes her hands and pulls her towards him, until their bodies touch. A shiver runs through her as she feels the warmth of his muscular body against her soft skin, as well of the firmness of his semi rigid cock against her tummy. They stand for a while just looking, gently caressing each other’s bodies.

Jill moves her hand slowly down her boss’s flat stomach and traces her slender fingers through his pubic hair until she reaches the base of his cock. She wraps her fingers around the shaft and feels the weight of it as is hangs semi hard between them. Excitedly she wanks her boss as she thinks of the fantastic feeling she will get as he slips this beautiful cock into her. With each second she feels it harden and increase in length until it is transformed into a solid shaft. Moving backwards without letting go of her ‘prize’ she draws him to the edge of the large king-size bed until they both flop back onto it with a giggle. As they land they start kissing again almost immediately, this time lying in each other’s arms, naked and desperate to fuck! Rolling onto her back Jill pulls her boss on top of her, guiding his hard cock towards the entrance of her waiting pussy. Gripping the hot shaft she rubs the head of his cock along the open entrance eager to feel him in her. Although it’s tight he slips into her wet pussy, it seems to adjust in size to accommodate his large cock.

‘I’ve been dying to feel you in me again sir; last time in your office was just fantastic. God you’re so big I cant get enough of you. I cant believe I went all those years without being fucked properly.’

‘We best make up for lost time Jill; you’re so tight when I first enter you it’s like fucking a virgin! Obviously hubby is not up to it in the fucking department then, so lets get fucking, I’ve got all night and you’re not going home until I’m totally satisfied.’

With that her horny boss starts increasing the pace as he fucks her with long hard thrusts. Withdrawing until just the tip of his long shaft is in her before swiftly plunging it back in deep. With each breathtaking thrust Jill feels a delightful tingly sensation course through her body as her first orgasm of many starts to build, taking her to new realms of ecstasy. His massive shaft has now stretched her enough to allow it to piston in and out smoothly, as her own juices lubricate it and combine to heighten their individual pleasure. Relentlessly her lover pounds away franticly, giving her every ounce of energy he has until with a grown he reaches his own climax, erupting in her emptying him heavy balls of all their manly seed. Jill feels the hot jets of spunk deep inside her, much deeper that Dave had ever managed.

‘Don’t stop sir, I’m coming’ I’m coming.’ She pleads as they reach their hot sweaty climax in unimister. ‘That’s it fuck me hard, yes give it to me hard, yes harder.’

With one final thrust her boss powers his cock into her as far as he can, holding it in as deep as possible as he grinds his pubic bone against her clit.

Eventually he relaxes and collapses on top of Jill exhausted, totally spent from giving her such a hard, fast fuck. She feels just as exhausted and has been completely satisfied by her horny boss. With his hard shaft still inside her come filled and totally used cunt, she still cant believe just how good it feels to be fucked by him.

With their first fuck over they lie lazily on his bed gently stroking and kissing in the start of what is to be several hours of sex until the early hours of the morning, sex in which Jill can just let herself go and enjoy without any inhibitions. Enjoy the sluttishness of sucking this old mans cock until he comes deep down her throat and the unbelievable feeling as he eases that long hard cock into her tight bum hole and fucks her arse for the first time!

Later…

As Jill wearily climbs the stairs and quietly enters her bedroom she notices it is almost 2.00 o’clock in the morning. Seeing Dave lying on the bed she slips out of her dress and climbs in next to him. Surprised she finds he is wide-awake and not arelax as she first thought! ‘Was it good love?’ he asks. ‘Unbelievable, it was just fantastic. Even better than when he fucked me in his office Dave.’

Jill stands up on the bed and then lowers herself over her husbands face, squatting just inches away from him. ‘Since you’re awake you can make yourself useful just like last time can’t you. Can you see where he fucked me with that big masterful cock of his, that’s it, now start licking. That’s good you know Dave, he might be better than you at fucking me but when it comes to licking you’re the best. So go on show me how good you are and lick me clean, I know you love it. Mmm… just taste all that old mans spunk in me Dave, make sure you clean it all out.’

Laying back Dave can see her gaping cunt where her boss has stretched her with his great big cock. It is gaping and full of his seed. As Jill lowers herself completely Dave notices the strong smell of fresh sex where her older lover has just fucked his wife. Sticking out his tongue he tastes their combined juices in his wife’s sexy pussy. His tongue easily enters her used cunt as he laps away, takeing her lover’s come as it drains down out of her, scooping it out as she squirms around sitting on his now wet face. Jill lifts herself up slightly and then swivels round to face Dave’s feet before lowering her sticky come filled pussy down over her husbands face again. Looking down she sees the bulge in the bed sheets where Dave’s hard-on is sticking up. Pulling back the covers she reaches down and grasps her husbands cock, squeezing if firmly.

‘I suppose you want me to wank you off don’t you? After a pause. Well…?’

‘Yes love I could come just thinking about him making love to you, but tasting your spunky pussy is almost too much. You taste so good love, I just love to clean your come filled pussy.’

As Dave gets back to ‘work’ as such Jill starts to slowly wank her husbands hard cock. It feels much smaller than her boss’s but just as hard. As she runs her fingers over hubby’s hard-on she starts to describe all the things she had got up to with her boss. ‘Just think of me naked on the bed with him, kissing him whilst I played with his big cock Dave, and imagine how good it felt to feel him deep inside me, especially as he came, the warmth of his naked sweaty body against me as he planted his seed in my tummy. ‘

Can you taste it Dave? All that seed inside your wife, another mans come eh. Go on lick it out and finish yourself off while I think of him fucking me.’

Dave reaches down, taking over from his wife by wanking his own cock as he cleans up after her lover.

All the teasing by Jill is sending Dave mad and when she starts to come as well he begins to tremble, sucking wildly on his wife’s totally used cunt. In her throws of orgasm Jill informs him just how good it was when her boss fucked her up the arse, spunking inside her for the third time that night. This is as much as Dave can take, letting fly with a huge jet of spunk that arcs through the air, splashing across his wife’s splayed legs and over his own chest.

‘I can see you needed that, you naughty little wanker you. Did the fact I let him fuck my bum do it for you eh? I knew it would, that’s why I let him do it, knowing you aren’t gonna, it’s out of bounds to you.’

Still recovering Dave lies below his sexy wife, face sticky with juices from her earlier lovemaking. ‘Like I said before darling, you can do whatever you want, I just love being hear to clean you up after. He can fuck you better than I ever could darling and I can show my love for you afterwards, just like tonight or after he fucked you for the first time in his office. You do what ever you want just as long as you tell me all the sexy details when you get home, its fantastic both ways. You get a good fuck from his masterful cock and I get to lick and worship your gorgeous pussy.

‘That’s it Dave, keep worshipping my cunt cos’ it’s sure gonna get a lot more of his cock inside it in the future, not to mention his thick spunk.’
vanbruje

Member

Posts: 282
#1,868
Up to the first message Down to the last message
Trois en un coup !!!!! Merci
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,869
Up to the first message Down to the last message
lol
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,870
Up to the first message Down to the last message
piegées


Bonjour je suis Élise un fille de 19a, et si j’écris sur ce site ce n’est guère par choix.
Voici mon histoire :
Il y a trois semaines de cela, j’étais seule chez moi, mes parents étant partis pour la semaine chez mes grands-parents, aussi j’invitais ma meilleure amie à manger le soir avec moi. On a mangé, pas mal bu, et l’on s’est mise à délirer un peu, c’était de plus en plus chaud. Titi ma copine me fit un streap tease d’enfer et une fois nue, je me suis mise à l’imiter.
Nues toutes les deux nous nous sommes caressées comme ça, je dirai de façon naturelle, j’aimais ses doigts sur mon bouton, sa bouche sur mes tétons et je lui rendais la pareille. Nous nous sommes rasées le sexe mutuellement, ce fut pour moi une expérience unique, voir apparaître mister sexe nu, lisse et franchement mouillé m’a donné envie de littéralement l’avaler. Ce fut évident pour les deux que nous finissions en 69. Je n’avais jamais autant joui que cette soirée, elle m’a fait jouir en me mordillant le clitoris, en me pénétrant de sa langue, pendant que je faisais de même, j’ai même doigté mister anus avec un plaisir malsain.
Tout cela c’est passé chez moi, au rez de chaussé dans la soirée, seulement voila, nous n’avions pas fermé les volets, et bien que les fenêtres donnaient sur le jardin, il y a au bout de celui-ci un chemin, comble de malchance ce soir-là, il y avait quelqu’un sur ce maudit chemin armé d’un appareil-photo avec zoom numérique et canon infrarouge pour faire des photos naturalières. Vous imaginez sans difficultés quels types d’animaux il a photographiés ce soir-là.
Mes parents rentrèrent de Bordeaux le dimanche, rien ne laissait supposer dans la maimister qu’il y avait eu une folle soirée dédiée à Lesbos deux jours auparavant. Titi et moi ayant des parents très stricts, il n’était pas question de laisser quelques traces que ce soit.
Le mercredi soir, j’ouvrais Outlook pour lire mes mails, quand je tombe sur un courriel particulier avec des pièces jointes, et là je me suis vue nue, avec Titi, je léchais ses seins, puis à genoux pendant que je rasais mister minou, enfin une photo de notre 69. Je suis devenue blême, quelqu’un nous avait vus et avait des photos. Le texte associé à ces photos ne laissait aucun doute, mister expéditeur était prêt à les envoyer à nos parents si nous ne lui obéissions pas. Désemparée j’appelai Titi, elle avait reçu le même mail et était aussi désemparée que moi, elle avait quand même compris que celui qui s’apprêtait à nous faire chanter, faisait partie de nos connaissances puisqu’il avait notre adresse.
Le mail précisait ceci : J’ai tout vu, vos minous rasés, vos seins, votre gouinage, si vous ne répondez pas à ce mail sous 24h, vos parents recevront ces photos, ainsi que toutes vos connaissances. Êtes-vous prêtes à m’obéir ?
Sans avoir de véritables choix, nous ne pouvions que répondre par l’affirmative, ce que nous fîmes la peur au ventre, qu’allait-il se passer ?
Nous ne recevions aucune réponse à notre mail quand le vendredi midi, celle-ci arriva.
Rendez-vous ce soir 22h30, devant l’église, soyez sans soutient gorge, ni culotte, une fois arrivées devant, asseyez-vous sur le banc. Élise tu banderas les yeux de Titi et tu attendras sagement.
Le soir nous étions au rendez-vous, je bandai les yeux de Titi qui pleurait de peur, et j’attendai la suite avec angoisse. 5 Minutes après notre arrivée je vis venir vers nous quelqu’un de masqué par une écharpe, il n’a pas dit un mot, il s’est approché de moi et a soulevé mon pull pour vérifier l’absence de soutien gorge, il fit de même avec Titi. Il nous fit entrer dans l’église ( dans notre village elle n’est jamais fermée), il me bandai les yeux, et j’ai senti ses mains sur mes seins, il me mordillait les tétons, il mit sa main dans mon jean et trouvant sans difficulté mon bouton, il se mis à me le pincer, je gémissais, Titi avait peur à m’entendre gémir, enfin il baissa mon jean et me fit jouir avec sa langue. Titi m’appelait, moi je jouissais, une fois mes esprits revenus, je fus prise de honte de me trouver seins et sexe nus dans ces lieux. C’est alors que, toujours sans un mot il me libera du bandeau et me donna un papier sur lesquels il y avait des ordres. « Tu vas gouiner ta copine, pendant qu’elle me suce, prévient là, et dis-lui de bien faire».
Je m’approchai de Titi et lui lu le texte, elle ne voulait pas, mais je l’ai rassurée, mes caresses faisaient leurs effets, elle se détendit, et pendant que je commençais à lécher mister sexe lisse, je vis approcher de sa bouche le sexe tendu de notre maître chanteur. Elle ouvrit ses lèvres et goba ce sexe sans difficultés, je mouillais comme une salope, à la fois excitée par le suc intime de ma copine et par cette fellation, il entrait et sortait de sa bouche, il lui frappait le visage de sa queue pendant qu’elle cherchait à le reprendre. Ce spectacle m’excitait terriblement, je léchais ses lèvres, aspirais mister clitoris, et je la sodomisais de deux doigts. J’ai joui sans me toucher et Titi fut prise d’un orgasme qui la tétanisa pendant que lui se vidait sur mister visage et mes cheveux. En voyant le visage de Titi plein de sperme je me suis mis à rire et elle aussi, les nerfs nous lâchaient sûrement, notre maître chanteur sorti de l’église et c’est là que j’ai vu une deuxième permisterne avec un appareil-photo sortir de confessionnal et le rejoindre. Qui étaient-ils ? qu’allait-il se passer ? Nous étions assommées sur ce banc d’église, les idées se bousculaient dans notre tête, mais avant tout sortir et se nettoyer avant de rentrer à la maimister, comble de sacrilège ce fut l’eau du bénitier qui nous permis de nous laver le visage et un peu les cheveux. Chacune d’entre nous espérait que cela allait s’arrêter tout en sachant que ce n’était qu’un début. Mais qui étaient-ils ?
La suite bientôt j’ai rendez-vous
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,871
Up to the first message Down to the last message
The hyperlink is visible to registered members only!


Teacher's Pet?



Classes started in the fall like any other year. I had been teaching since I graduated from college at the same school for the past 10 years. I didn't anticipate that this year would be any different. I was actually beginning to feel like I was finally hitting my stride. I knew my lesmisters, and I knew what worked for my students, and what the hard topics were.

When the final class of the first day rolled around, the excitement of the first day of school was beginning to wear on me. Like every year, summer break was a great respite, but as a teacher, I also got out of shape. People often don't realize that standing in front of groups of kids all day, talking and writing on the board, answering questions, and in general being in charge of a group of sometimes unruly kids can be exhausting if you are not in shape for it. This year started like no other, and I knew that in a week, I'd be back in the swing of things.

My last class was a senior only class. It was really a poorly devised last chance class for seniors who had struggled in in their first three years of high school math. All the kids who needed just one more year of math with a passing grade to graduate ended up in what everyone called "Math for dummies". Not only did the moniker bother me, but having it at the end of the day, all year long, was a terrible time of day to try and teach kids who really didn't like math. But, this year, it was my turn. All the math teachers rotated through this course, and I had enjoyed my 3 year hiatus from it, and it was time to do my duty.

As the kids strolled in, it was clear they all knew the drill. None looked at that pleased with being there, but they also knew that somehow together we were going to have to survive this or some of them would not be in the graduation procession come June.

As I was calling roll, reacquainting myself with the kids, one name came up that I didn't recognize. While I hadn't taught all of the kids in their earlier years, you pretty much know every kids on campus after three years.

"Mortisha Hanmister? Miss Hanmister?" I asked, looking around the room. "Miss-"

"-tress," a voice cut in. A few kids laughed at the joke. I found the source of the voice. She was hiding in the back of the room. She had long black hair, and wore a rather skimpy halter top. Her eyes pierced me as if she were staring through me.

"What?" I answered, both a bit startled by her piercing eyes as much as what I thought she or we had said.

"Tish, you may call me Tish," she said in a voice that belied her small frame and exuded confidence and directness that I didn't expect.

"Oh, ah yes Miss Hanmister, ah, I mean Tish. Welcome. Are you new to the school?" I asked, trying to recover.

"Yes, I am," she replied in a way that said 'and I'm not telling you anymore, so don't ask'.

I smiled at her, and getting myself refocused on the task at hand, finished taking attendance. The class went by rather uneventfully. Textbooks were distributed, and class expectations were covered. It was my normal first day speech, and I added in an extra few minutes for this group about how we would all need to work together since we all knew how important this class was to their futures. That last part got me some looks of absolute terror from those who really did want to graduate, but for whom math was real challenge, and from others, bored stares. Throughout, I noticed that Tish sat at her desk, hands folded on top of her textbook, eyes still drilling right through me. She followed every word I said, and seemed like she was deeply considering everything I said.

At the end of class, the bell rang, and despite how lethargic some of the kids had appeared, they all bolted out the door at an amazing pace. All except Tish. As I was collecting my things, she continued to sit at her desk. I could feel her eyes still boring holes right through me. I tried to just keep packing my bag, but I couldn't keep my eyes down, and I looked up at her and met her gaze.

"Er...um...Tish, is there something I can help you with?" I asked in my best helpful teacher voice.

"Yes," she said, again with that confident voice of hers. She stood. It was only now with all the rest of the kids gone, and my view of her unobstructed that I could see all of her. As she walked to the front of the room, I was unable to not give her a once over. She wore knee high black boots with dark red laces that criss-crossed all the way to the front of the boots. Her skirt was a black, red, and white plaid, pleated, and almost Catholic school uniform-like except that it was way too short for a school uniform. A black belt was slung around her waist that served no purpose except as adornment. A worn skull belt buckle sat just below her navel. Lined with metal square studs, it sat at an angle, sitting high on one hip, and falling down on the other side. It helped to make her thin waist look even thinner. Her black halter top turned out to be more corset than halter top. It too had traces of dark red stitching that ran in vertical lines along her torso. The curves of the lines also accentuated her thin waist. As my eyes followed these lines up to her breasts, she cleared her throat. I realized that she was now standing just a few feet from me. I quickly moved my gaze to her face to find her smiling at me with a knowing smile. I was caught.

"Uh...Tish, what did you want?" I stammered.

"I just wanted to let you know that I look forward to your class this year. I hope that you can help me explore new things this year, won't you!?" she offered. It was both a statement and a question.

"Tish, that's great to hear you are taking your studies seriously. I'm always available to you and will do everything I can to help," I answered in my best veteran teacher I-know-more-than-you voice.

Something flashed in her expression, but I couldn't read it, and it was gone quickly. She smiled at me with a very practiced veteran student I-know-more-than-you-think look.

"Then we are in agreement. Thank you, Mr. Daniels."

With that, she winked, turned and walked out of the room. I couldn't help but watch her hips and ass sway back and forth with each step, heels clicking on the linoleum floor. Somehow, I knew that something bad had just happened, but I couldn't quite figure out what.

*******

The first few weeks of school went by in a rush of activity as it always does. Everything seemed to be off to a relatively good start. Kids seemed to be happy enough to be back from summer break, and I felt like I was back in stride. The bell rang, and the kids were taking their seats for the last class of the day. It was time for "Math for Dummies" again. The kids were clearly a little nervous as they watched me pull a folder off of my desk, stuffed with papers. Yesterday, I had given them a quiz, and everyone knew I was about to hand them back.

As I walked around the room, returning papers, I observed the usual reactions from the kids -- surprised jubilation, total disappointment, complete indifference, and simple satisfaction. No one had done too poorly, but the class grades did have a pretty typical bell curve. A few high marks, a few low, and lots in the middle. One student always has to have the lowest grade in the class, and this time, it turned out to be the new student, Tish. I had added a small note on her quiz, asking her to see me after class.

The rest of the class was spent reviewing the quiz questions and fielding questions from the kids. At the end of class, the bell rang, and as usual, the kids disappeared quickly. Tish remained in her seat as she had all year, hands folded on top of her textbook, her eyes drilling holes in me.

"Tish, I don't want to keep you long, but you didn't do so well on the quiz," I started, "Did you feel prepared for that quiz?"

"Yes and no," she answered quite directly, "I listen to you in class, and it always seems to make sense when you talk about it, but I guess I just didn't remember it as well."

"OK. I have noticed that you don't really take a lot of notes?"

"I learn better when I listen. I also learn well when I do, but writing things down never seems to help. Maybe I'd do better on a quiz if I didn't have to write my answers? I always thought that I would do better with an oral test, but the teachers in my last school didn't allow that."

"Hmm...well, perhaps that's true. I'll have to think about that. In the meantime, I'm happy to spend extra time with you after class to answer questions and give you extra help."

She smiled the same smile she gave me when we first met, and I had a feeling somehow this was all part of some grand plan. Unfortunately, no one had clued me into what that plan was.

"That would be great. Thank you," she answered, "We can start today."

I was a bit surprised that she was so eager to begin, but as a teacher, I was not going to turn her away. She moved to the front of the classroom. Right from the start, she started asking me to do problems on the board. She continued to pepper me with questions for another hour. Throughout, her piercing gaze burned holes in me, and I found that I could not look directly at her face. Instead, I averted my gaze, looking down at her hands, neatly folded on her book. Near the end of it, I suddenly realized that her line of questions was not one of a struggling math student. In fact, I started feeling like I was the one being quizzed. I wiped my brow, noticing that I was actually working up a little sweat trying to keep up with the questions Tish tossed at me. By now, I had run out of room on the chalk board, and moved to a side chalkboard that stood behind my desk.

chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,872
Up to the first message Down to the last message
"Tish, I'm starting to wonder if that oral test isn't a bad idea? You seem to be on top this when we talk about it," I said.

"Just a few more questions, please," she replied. Her voice carried as a command more so than a request. As I turned to the board, and began to write down another example to illustrate her last question, I heard her heels clicking on the linoleum. As I finished writing, I turned back to find her sitting on my desk, right behind me. Her legs were crossed, and one black booted foot pointed at me.

"You don't mind if I sit here? It's easier to see." Again, a statement, and not really a question. With most any other student, I would have objected. Both to her tone of voice, and for having been so brazen as to sit on my desk. However, something about her confidence kept me a little off balance, and frankly, I was more than a little intrigued by her. She knew more math than she was showing me, and there was more to this than just a little extra help, and I wanted to know what it was. The fact that she was wearing another mini skirt that barely kept covered her when she was standing, let alone sitting cross-legged on my desk provided her a little leeway truth be told. I tried to tell myself to be more professional, but by now, at the end of a long day, being peppered with questions by a confident, young woman, I found I was liking the attention.

She cleared her throat.

Caught again. I was lost in my internal monologue, staring at the junction of where her leg disappeared beneath her skirt. The thought was just formulating in my mind that I could see too much leg, and that she was either wearing a thong or nothing at all beneath the skirt when I heard her. I felt myself flush, my face felt hot as I looked up knowing that she had caught me staring at her again.

"Ah, no...no I don't mind Tish. Where were we? Oh, yes, this equation," I started and turned back to the board and did my best to explain the problem. I finished the problem, and looked back to her. As I did, a pencil dropped off of my desk to the floor.

"Oops," Tish said, "pick that up for me, won't you?"

Her voice carried as a command, and without even thinking, I knelt down and reached for the pencil. As I was doing so, I had to duck my head to avoid her booted foot. Tish moved to allow me to get to the pencil, and in doing so, she uncrossed her legs. As I looked up to avoid her foot as I started to stand, I found myself staring up her skirt. She was indeed wearing underwear, black satin ones in fact. I tried not to stare, but my eyes were glued in place for a moment too long, staring at what was clearly a wet spot on her panties. I tried to look like I hadn't even noticed and looked up at her only to find her looking down at me with that same knowing smile she gave me on the first day of class when she caught me staring at her breasts.

"You know," she said in a pensive sort of way, "seeing you this way, I do feel more on top of things."

I was frozen, kneeling on one knee, one hand still holding the pencil just inches from where I had picked it up. She brushed her hair from her face, pushing it behind her ear, then slid her hand down her neck. My eyes followed her hand as it descended toward her breasts. She was wearing another corset-like top. It was partly covered by her black denim jacket, but as close to her as I was, I could see that it was boned and had embroidered patterns on the satiny fabric. Her hand paused at the corset's edge, fingers playing with the lace.

"What do you think? Do you like your position?" I heard her question, but my mind was unable to process it. "Mr. Daniels? Do you like you position? Do you like you job?"

"Oh,...sorry Tish...er...um I like teaching, yes." I managed, standing back up and placing the pencil back on the desk.

"Good. Very good. I will be sure to give you rave reviews when I graduate in my senior survey...We're done for today. See you tomorrow."

With that, she pushed herself off of the desk, and walked from the room, hips swaying with each step. Again, I watched her exit the room. Her last words repeated themselves in my mind. Was she threatening me? Did I like my job? The senior survey was an annual event for seniors to provide detailed feedback to the school board about the school and the teachers. I went home that night, and couldn't get my mind off of Tish.

She was an enigma to me. She didn't really belong in my class, except that her quiz grade insured that she would stay. Her striking good looks were accentuated by her confidence. She dressed "goth" but from what I observed, did not hang out with the goth crowd which at this school was disconnected from the typical mainstream jock/cheerleader popular crowd. Instead, I had seen her with the popular crowd as well as the band kids, the goth kids, the geeks, the chess club...she seemed to move freely among all the different "castes" that make up a high school social scene. But beyond all this, I couldn't get her out of my mind because I knew she was paying a lot of attention to me, and I was unable to stop thinking of her. It was a cycle that I couldn't seem to escape. Getting caught looking up her skirt, and seeing her wetness on her panties only made my imagination go wild. I told myself that not only was it inappropriate, but it was just plain wrong for me to even have the thoughts that I was having.

I tried watching TV to get my mind off of her, but found that after two hours of channel surfing, that I was not really able to focus even on the simple predictable plot lines of a sit-com. I went to bed, and as I closed my eyes, all I could see were Tish's panties.

*****

"Do you like your position?" she asked. I looked up, and I was staring up her skirt, between her legs. Her black panties were spotted with wetness. Her hands rested on the edge of the desk, between her legs as she leaned down toward me. "Mr. Daniels? Do you like your position?" she asked again. I tried to speak, but nothing came out. One of her hands moved along the desk, toward her crotch. It slipped beneath her short skirt, and her finger along the edge of her panties. I watched as if in slow motion as her finger slipped beneath the edge of her panties, and pushed them aside exposing her pink lips. She was devoid of pubic hair. Her smooth lips parted slightly, wetness showing.

The bell rang, and kept ringing. Then all went black, and I realized that the sound was my alarm clock. I reached over and hit the snooze button. I opened my eyes, and found myself awake in bed. I had a vivid picture in my mind of Tish's pussy and her voice, "Do you like your position?" I also had a raging hard on. I closed my eyes, thought of my dream, and began to stroke myself. I thought about the dream and about the end of the extra help session the day before. Kneeling before her, seeing her panties excited me. Knowing that she knew I had seen her scared me. Her question clearly told me she knew I had looked up her skirt, even if by accident. At the same time, knowing she knew seemed to excite me too. Knowing that I shouldn't be thinking about a student let alone a girl a dozen years younger than me excited me. Finally, the fact that she didn't scream and run from me like I was a lecherous old pervert, and instead that she taunted me excited me even more. She hadn't closed her legs, and she hadn't seemed embarrassed. She was wet. Was she excited too? Had she dropped the pencil on purpose? She had told me to pick it up. My mind was racing with all these thoughts, and my hand was stroking my still rigid cock. I wondered what it would be like to lick her pussy. I began to fantasize that I had knelt before her sitting on my desk, wrapped my arms around her thin waist and pulled her panty covered pussy to my face. I could smell her arousal. She reached down, and pulled her panties aside, and I was reaching for her with my tongue. I could feel my balls tightening as I was about to cum.

My alarm clock blared again, the snooze alarm telling me it was another 10 minutes later. The sudden blaring sound was enough to jar me from my fantasy world. My real world thrust itself back into my consciousness, and I felt myself soften. Fate had denied me my orgasm, and I rolled out of bed, and made my way to the bathroom to get ready for another day of classes.

******

The school day flew by. Nothing out of the ordinary, just classes and kids. Kids were kids, and I had kept myself busy so that I didn't really have time to think about what had happened the day before until the last period of the day arrived. Today, unlike all the day's previous, Tish took a seat in the front row. While I didn't have assigned seats, kids tend to sit in the same place everyday. The boy who usually sat there walked to the seat, saw Tish, and was about to say something when Tish gave him a look. I couldn't see it, but it clearly delivered a message as the boy's shoulders slumped, his eyes dropped to the floor, and he quickly moved away to the back of the room like a scolded puppy dog.

Having her sitting up front, feeling her eyes locked on me, was disconcerting. Today she had on a black mesh top over a black bra. The top wasn't so revealing that it violating the school's dress code, but it was see-through enough that I could clearly make out the outline of her bra. Ankle high boots with steel stiletto heels, and fishnet stockings that disappeared beneath another tiny mini skirt. As I covered the new lesmister, I tried to ignore her as best I could, but sitting dead center in the front row, it was hard to not see her. Near the end of class, as I looked around the room at the students, trying to gauge if they were still following me, my eyes fell upon her's. She winked at me, and ran her tongue along her lips.

I stumred a bit in my lecture, and I tried to recover for the last 5 minutes of class. They were not my best five minutes as my brain tried to process what I saw, and what it meant. She was toying with me, and I knew it. She was gaining control, and I was helpless to stop her. When the class ended, she remained behind once again. I stood behind my lectern afraid that my cock might betray me.

"Tish...um...do you have questions about tonight's homework?"
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,873
Up to the first message Down to the last message
"Yes, I do. But I can't stay after school today. So, I thought you could help me later tonight?" she asked in a way that sounded more like a statement than a question. She looked up at me, and brushed her hair out of her face and swept it behind her ear, like she had the other day. Her hand, trailed along her lustrous hair down to the outline of her bra beneath her see-through top.

"Uh...sure, that would be fine," I answered, unable to refuse her. Visions of her wet panties flashed in my mind again.

"Good, I think this will work out fine my pet. I'll come to your place at 8 o'clock," she stated.

"What did you say?" I tore my gaze away from her breasts and back to her piercing eyes.

"I said, 'good, I think people will think I'm a teacher's pet'. So, see you at 8," she explained, winked at me, and exited the room. While I watched her hips and ass sashay out of the room, my mind tried to replay the last couple minutes. I had been so distracted by visions of her panties and the outline of her bra, that I had thought she had called me her 'pet'. I shook my head, and concluded I needed to refocus myself. Then my mind did successfully replay part of what she said, "I'll come to your place at 8 o'clock." My cock twitched and my heart skipped a beat while at the same time, my brain was screaming at me that I was in trouble. I knew tutoring a student at my home was not a good idea, especially an 18 year old female student -- and not just any female student, but one who clearly knew how to get into my head in bad ways.

I left school and headed home, trying to figure out how I was going to get out of this mess. When I got to my apartment, I started picking things up, not wanting it to be a mess when Tish arrived. Halfway through cleaning the dishes, I started talking to myself, "Why are you cleaning up for Tish when you know she shouldn't even be here? In fact, how the hell does she know where I live?" I kept talking to myself about what an idiot I was, and how I needed to just tell her that it was not appropriate for us to meet at my apartment. All the while, I was cleaning the apartment, and by 6 o'clock, it was spotless.

I powerd myself to eat some dinner, but I wasn't really hungry. I had a nervous pit in my stomach. I was rehearsing how to tell her that we needed to go to the public library or somewhere like that. Anywhere but here. The two hours between 6 and 8 o'clock were the longest two hours of my life. A combination of anticipation and a sense of doom filled my being as I watched the time tick by.

At exactly 8 o'clock, I heard a gentle knock on the door. When I opened the door, Tish was standing there, dressed as she had been in class, framed by the darkness of the evening and the soft glow of the light from the street lamps. I froze for a moment, unable to speak as her eyes looked through me.

"Are you going to invite me in?" she said impatiently.

"Oh, sorry, um, please come in. I'm sorry," I apologized. My heart skipped a beat as I realized I had just lost my opportunity to end it all or at least go some place else. Like a character in a B horror movie who only now realized he's just invited a vampire into his residence, I felt a knot in my stomach.

"Nice place you got here. I'm glad to see that you don't live like a slob like some single men. So, should we do it on the couch?" She looked at me, waiting for answer.

"What?"

"Did you want to study on the couch? Or sit at your dining table?" she asked like she was talking to a 2nd grader. "OK I'll pick. The couch it is," she announced, smiled, and move to the couch. As she sat, her miniskirt rode up her legs, but she didn't seem to notice or care. I could see that her fishnet stockings ended with a lace band. I tried to remain composed, and sat on the other end of the couch.

"OK. Tish, how would you like to do this?" I asked.

She looked at me with an impish grin on her face. She slid across the couch next to me, so close that her leg brushed up against mine.

"A good question...you do know why I'm here, don't you?" she asked in a leading way as if it was painfully obvious. Her panties, wet and shiny flashed through my mind again. Guilt washed over me. Things seemed to be speeding by me, out of my control.

"I'm sorry Tish. It was an accident. I didn't mean to see your panties!" I blurted out before I knew what I was doing. Silence. I was unable to avert my eyes. Tish held me with her piercing gaze.

"Mmmm you are going to be such a good pet. Much easier to train then I thought," she purred. I was now more confused than ever. I didn't understand what she was saying, but I knew I was in trouble. "Do you know what will happen to you if word got out that you were looking up the skirt of a poor innocent student? And then you invited her to your apartment at night, alone? Mister, you could be in big trouble."

"Tish! Please, it was an accident. I'm really a good permister. I'm not some perverted man trying to take advantage...What can I do to show you I'm sorry," I pleaded.

"Begging already? I knew I had you pegged from the day I met you," she said confidently. "First, let's establish some basic ground rules. I will go straight to the principal if you ever disobey me and tell him that I caught you looking up my skirt. I will tell him that you brought me here to your apartment. I will tell him that you threatened to flunk me if I didn't do as you asked. Don't you ever think that I won't do this. I can describe your apartment to prove that I've been here. I have written evidence that you made me stay after class with you. I've got you by the balls, mister!" she belted out her statements, and with the last statement, she reached over and grabbed my balls through my pants and squeezed just enough to show me that she meant business.

I gasped in pain, inhaling sharply. She truly had me by the balls, and my sense of foreboding came crashing down on me. I was going to lose my job. I was going to end up in the newspapers as a pervert. My mind locked up, unable to process anymore. My world shrank to the pain in my balls, and Tish's unyielding gaze.

"So, when I tell you to do something, I expect you to do it immediately. Got that?" she said this and added emphasis by giving my balls another squeeze. I winced in pain, and at the same time, I realized my cock was hard as a rock. Tish ordered me to my knees on the floor in front of her. I dropped to my knees as quickly as I could.

"I'll make you a deal. For the rest of the year, whenever I want, I may stop by and have you do things for me. You will obey, or I'll go to the Principal. At the end of the year, I'll have an A in your class, and then, I'll release you from your debt, and we'll forget that your perverted little mind ever dared look up my skirt."

I was dumbfounded at both the audacity of the offer, but I was equally dumbfounded by my ability to think of a way out of this. What did she plan to have me do? She sat relaxed on the couch, looking me over. Her eyes paused at my crotch. I knew she could see the tent in my pants.

"Hmmm you are enjoying this more than I thought you might. I'll take your silence as approval of our little deal. Now, my pet, a simple rule. You are no longer to address me by my first name, not even in class. You will call me Mistress out of class. In class, in front of the other students, you may address me as Miss Hanmister." I nodded in agreement. "I'm sorry, were you trying to communicate?"

"Ah, yes Mistress, I understand Mistress," I said. Part of me was still trying to figure out how I got into this mess, and how I was going to get out of it. Another part of me was aroused by her power, and wanted be sexually taken by this hot young woman. Lyrics from the Police sang in his head, "Temptation, frustration; So bad it makes him cry".

"Good, then lets get started with tonight's lesmister."

She had me kneeling in front of her massaging her feet through her fishnet stockings. As she raised each foot to me, I found myself unable to not try and steal a glance up between her legs and beneath her skirt again. She smiled as she saw me peeking.

"Yes, my pet, go ahead and look. It doesn't matter anymore does it now? You can look all you want, but you know it will only *** you more because then you'll want to touch."

She pulled her skirt up revealing a red satin g-string. She began asking me questions about the math as if we were sitting in class. I found myself on autopilot answering her questions, but totally mesmerized by her g-string. It was so skimpy that she was either shaved completely, or at least very neatly trimmed.

"Mmmm you are good with your hands. I will have to put them to good use sometime."

Our mathematical discussion continued, and it didn't take long for me to again conclude that she already knew the math. When she had me switch to her other foot, she began teasing my cock through my pants with the first foot. I was totally aroused. Her hand drifted down to her g-string, and she began sliding her fingers up and down along her pussy. I could see her arousal soaking into the fabric. By now, the math had faded away. I was fixated on her fingers, slowly stroking herself.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,874
Up to the first message Down to the last message
"You want this don't you? You want to touch me. I know you do. You want to taste me."

"...yes, Mistress..." I admitted. By now, fear for my job had dissolved. Now, my fear was that she would torment me. And torment me she did.

"Good. I'm glad that you are being honest with me. Help me remove my stockings...but don't you dare touch my pussy."

She raised her leg up off of the couch. I slid my hands down her leg, feeling the soft skin and toned muscles of her legs. My fingers reached to the lace bands at the top of her stocking, just inches from her moist satin covered pussy. I slid the stocking down her leg, again feeling her smooth skin. I repeated the process for the other stocking. She took both stockings, then stood. My face was just inches from her crotch. I looked up at her, and she smiled down at me. Her expression was defiant and confident. It said she knew that I was just inches from her sex, and she knew that I wouldn't move a muscle without her approval. She swung her leg over my head, exposing her crotch to me as she did so, then walked to the middle of the room. Turning to me, she pointed at the floor. Without getting off of my knees, I crawled to her and knelt in front of her again.

She walked behind me, then reached around me, and began to unbutton my shirt. When she had removed my shirt, she told me to stand. In short order my pants were piled around my ankles as were my boxers. I was frozen with anticipation. My cock was hard and stood at attention. A drop of precum glistened on the tip of cock.

"Get rid of those pants, and your shoes and socks too. You look like a fool standing there like that!" she spat. I kicked of my shoes, and then my pants and boxers. Last, I took of my socks, and kicked the whole pile to the side of the room.

Standing behind me, she took my hands, and I felt her wrapping her stocking around my wrists, binding them behind my back. Then, she reached around me, and I felt her hand on my cock. Her grip was strong, but gentle, warm. I instinctively moved my hips, trying to fuck her hand. Her grip immediately clamped down hard, and she whispered into my ear, "Did I tell you that you could move? Disobey me, and this will only be worse for you. Obey, and I may reward you beyond your wildest fantasies."

Reaching around me with her other hand, she looped the stocking around my balls, then around the base of my cock, then pulled the ends around my waist, pulling my cock up. She tied the ends of her stocking to my hands. Looking down, her harness effectively connected my wrists to my cock. As I moved my hands, it pulled on my cock, tightening the harness. Already my balls were purple, and the head of my cock was swollen and a deep red, engorged with red.

"There, that's better isn't it? I have needs that the boys in school cannot fulfill. You should do nicely. I own you now, and I will use you for my pleasures. Your needs are secondary. You will not cum unless I say you may cum. If you cum without permission, I will punish you, and I don't think you'll like that."

She started a slow circle around me, her finger tips reaching out and drawing imaginary lines on my body. She reached out and pinched my nipple, sending a painful jolt through my body that made her smile and giggle. Then she stood directly in front of me so close that my cock was resting against her stomach. She leaned forward, and took one of my nipples in her mouth, sucking on it, and licking it. I let out an involuntary moan as her mouth felt exquisite on my nipple. Then, she bit down. I gasped, and pulled away which only sent more painful waves through my nipple as she didn't let go with her teeth. A sudden smack rang out, and I felt a stinging on my ass. She released my nipple, and looked into my eyes.

"Did I say you could pull away from me? You will not move," she hissed, and then repeated her sucking on my other nipple. Again, she bit down, and I did my best to stand at attention without moving. After what felt like an eternity, she softened her grip, and went back to caressing my nipple with her lips and tongue.

She raised her head again, and brushed her lips against mine. Her hand reached up and took ahold of both of my nipples. She pinched them gently, rolling them back and forth between her fingers and thumb. The sensation sent waves of pleasure through my body. I felt my cock twitching, aching to be touched. I was looking directly into her eyes as she touched me, then without the slightest hint in her expression, she pinched hard on my nipples. I powerd myself not to react, holding my position.

"Good, you are learning. I like to see you squirm in pain. It pleases me to see you suffer." As she spoke, her lips brushed mine. I could feel her warm breath on my face. "Now, its time you served me," she said, and reached down and grabbed ahold of my cock and pushed down, signaling for me to kneel. "On the floor, on your back."

I managed to lay down on my back. My hands secured behind me, raising my pelvis off of the floor. The stocking harness on my cock pulling tight on my cock and balls. She stood above me, looking down. Stepping over me, she stood with one foot on either side of my head. I was looking straight up between her legs. Her pussy barely covered by her red satin g-string. She slid a hand down her ass, and hooked a finger beneath the string that ran between her ass cheeks. She slid it aside, revealing her asshole.

"You want this don't you, you dirty slut? Lucky for you, I'm going to give it to you. But, if you so much as touch my pussy, you can kiss your life as you know it goodbye." At that moment, it occurred to me that my life as I knew it was already over. She knelt down, squatting over my face. Her pink rosebud just inches from my mouth.

"Stick out your tongue, slut. You are going to be my tongue-slut for the foreseeable future, and its time you started practicing." She reached a hand back, and pushed down on my forehead so I couldn't raise my head off of the floor. I reached with my tongue, my desire to taste her blinding any rational thoughts in my mind. She slowly lowered herself until the tip of my tongue just touched her. I worked to try and lick her, only barely able to do so. She lowered herself a bit more, and my tongue pressed against her rosebud. I pushed my tongue in circles around her asshole, lubricating it. I fluttered my tongue over her sacred hole, and I heard her groan with pleasure. Then, she lowered herself further, and sladyed me with her ass. I pushed my tongue hard against her rosebud, trying to tongue fuck her ass. I couldn't see as her ass covered most of my face, and what little I could see beyond that was shrouded by her miniskirt. She rocked back and forth on my tongue, grinding her ass onto my mouth and tongue.

I could feel my cock was harder than I had ever known it to be. I realized that being controlled by this young woman tapped into something I didn't know I had in my psyche. Sure I had fantasized about being with many a hot young student. Every young teacher has. But, this was different. I didn't just want the forbidden fruit, I wanted that fruit to take me. I wanted to give myself to her, be hers. And at this moment, I was.

I gasped for breath when I could as she rode my face, but my air supply was less important than pleasing her. I could hear her moaning with satisfaction with each stroke of my tongue. Her asshole had relaxed, and I found I could literally tongue fuck her ass now. I could sense that she was nearing an orgasm. I pushed harder with my tongue, wanting to give her that orgasm. Soon, she was shuddering with ecstasy. I could feel her ass clenching as her orgasm swept through her lithe supple body. She collapsed forward, taking her weight on her hands that now pressed hard on my chest. Her nails dug into my flesh as she worked to regain her balance and her control.

She raised herself up, and stood again over me. Legs still on opposite sides of my head. I could see that the front of her g-string was now soaked with her juices. She could see me looking, and smirked. She reached down, hooked her thumbs beneath the thin strings of her g-string, and pushed her g-string down her legs until it was stretched taught across my face, securely looped around her ankles. She positioned the wet satin on top of my nose. Her heavenly scent filled me.

"Yes, slut, smell me. Is it not the sweetest perfume in the world?" I took her aroma into my senses, and stared up between her legs. I could see her pussy lips, swollen with excitement, puffy. A drop of her juices dangled from her lips. As I had thought, she was totally clean shaven. What I hadn't expected were the piercings she had on her pussy lips. Rings tinkled faintly as they swayed with her bodies movement.

She stepped out of her g-string, then took the wet satin and pushed the inside of her g-string into my mouth. I sucked on it, tasting her on the fabric. "Yes, taste me my slut. That's all you're going to get tonight. In time, you may earn the true taste of my honey, but not yet."

Then, she used her foot to push my body, and roll me onto my stomach. My rigid cock made it awkward, and I could feel my hardness pressed against the carpet by my body weight. I felt her working on the stockings, and felt a slackening.

"You will clean my panties and my stockings tonight. Be gentle with my lingerie slut. I will come for it tomorrow night at the same time. I want you to stroke your cock for me tonight, but do not cum. Bring yourself to the edge at least 10 times tonight. That's an inequality if you didn't know that, just like us," she finished with a giggle, turned, and walked out of the apartment.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,875
Up to the first message Down to the last message
Chienne soumise


Bonjour. Je m’appelle Fabienne. J’ai 42 ans. Grande, brune, je suis plutôt pas mal il parait. En tous cas, c’est ce que me disent souvent les hommes. Je suis marié depuis 10 ans. J’ai 2 enfants. .. Je suis une bonne épouse, bonne mère de famille…Enfin…je l’étais…Ma vie a radicalement changé un jour de soldes !! Laissez-moi vous raconter comme je suis devenue une bonne chienne soumise…


Les soldes avaient donc commencé depuis 2 jours et, comme toutes femmes qui se respecte, je brûlais d’envie de faire les boutiques et de profiter des réductions à -50 % !Il faisait une journée de rêve...Le printemps pointai enfin mister nez et une douce chaleur réchauffait les cœurs, et les sens…Très élégante dans une jupe plissée, qui m’arrivait à mi-mollet, sur des collants clairs, je marchais d’un pas léger dans le centre-ville, les talons hauts de mes escarpins claquaient joyeusement sur le trottoir…J’entrais dans une boutique de prêt à porter que j’avais déjà repéré ; Elle se situai au fond d‘une ruelle. Je jetai un œil sur les robes, jupes et autres pantalons dont les réductions étaient vraiment alléchantes. Il n’y avait permisterne dans la boutique, à part la gérante. Une jeune fille d’une vingtaine d’années ; Grande, les cheveux court, en minijupe qui lui arrivait à mi-cuisses. Les talons de ses bottes la grandissaient. Elle me proposa mister aide et je lui demandais d’essayer une robe. Elle me dirigea vers la cabine d’essayage. Je tirais le rideau et me déshabillait.


J’étais en sous-vêtements, slip et soutien-gorge, n’ayant gardé que mon collant et mes escarpins quand, levant la tête, j’aperçu une camera vidéo pointer vers moi !! Outrée, j’appelais la gérante. Elle écarta le rideau et je me couvris la poitrine en me protégeant de la robe. Je lui demandais des explications sur la présence de cette caméra.
Elle m’expliqua qu’elle avait eu plusieurs vols et que par conséquent elle avait installé cette camera de vidéo surveillance. Ce qui n’était pas très grave, puisque ces clients étaient exclusivement féminines et qu’elle était elle même une femme. Folle de rage, je lui signalais que je trouvais cette attitude scandaleuse et que j’allais porter plainte pour *** de la vie privée. Le ton monta rapidement…La gérante voulut récupérer sa robe et elle me l’arracha, la déchirant !
- C’est malin ! Hurla-t-elle. Y va falloir la payer maintenant, je vous préviens…
Scandalisée, je refusais de payer…La gérante me regarda avec un air mauvais et m’agrippant les cheveux, elle me tira hors de la cabine. Me faisant couiner de douleur…
- Petite salope ! Me cria la gérante, tu vas voir comment je les mate les bourgeoises friquées comme toi…
Je tentais de me dégager, affolée par la tournure que prenaient les événements.
Elle me claqua les fesses violement et je me retrouvais vite à genoux devant elle. Elle me donna une gifle et des larmes me montèrent aux yeux. Pas du tout attendri, elle me força à courber l’échine, me mettant à quatre pattes sur le sol. Elle me cingla de nouveau les fesses !
- Non…Non…je vous en supplie, arrêtez, je vais vous rembourser…
Les coups redoublèrent sur mes fesses, je couinais, ondulant du cul pour tenter de me dégager…
Elle me releva et elle abaissa les balconnets de mon soutien-gorge. Méchamment, elle me pinça les pointes de mes seins. Je hurlais sous la douleur. Elle s’accroupit me caressant les seins.
- Tu vas aimer, salope, t’es pas la première tu sais, j’ai mon petit harem…J’adore humilier les bourgeoises dans ton genre…
Elle me poussa en arrière, me forçant à m’allonger; Elle se jeta sur moi, me léchant les tétons avec fougue. Me les mordillant...Je gémis…Se mettant à califourchon sur mon ventre, elle me malaxa les seins sans douceur en ricanant, une lueur lubrique dans le regard…J’essaie de la désarçonner, mais elle est plus forte que moi ! Je la supplie d’arrêter…Elle se pencha et ses lèvres se posèrent sur les miennes…Ecœurée, je résiste…Sa langue power le barrage de mes lèvres, elle s’enroule autour de la mienne. Je ressens soudain une douce chaleur dans mon bas-ventre...Mon corps mollit…Et je lui rends mister baiser. Sa main me caresse toujours ma poitrine. Elle se recula et elle déchira mon collant. Elle tira sur mon slip dégageant ma chatte. Elle passa ses doigts sur ma vulve…
-T’es trempée, petite salope…
C’est vrai, elle a raimister, je ne peux le nier…Je suis inondée…Je n’arrive pas a comprendre pourquoi. Je suis en train de me faire violer par une femme qui pourrait être ma fille, et je suis complètement excitée. Je sursautais quand mister index s’engouffra dans ma chatte. Puis un deuxième doigt…Elle fit des va et vient dans mon bas-ventre. Je donnais un coup de reins involontaire…Elle me titilla le clitoris…Elle le malaxa…Je ne résiste plus, je gémis de plus en plus, honteuse d’être traiter de la sorte…Elle me tapa sur les cuises et docilement, j’ouvris les jambes. Cela dura de longues minutes, je sentais l’orgasme arriver et je secouai la tête dans tous les sens, arquant mon corps, me mordant les lèvres…Elle s’arrêta soudain me laissant au bord de l’évanouissement !
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,876
Up to the first message Down to the last message
- Tu jouiras quand je te le dirais petite pute, t’es vraiment une salope !
Je fus mise à quatre pattes et je dus faire le tour de la boutique. Les coups sur mes fesses reprirent… La gérante, dont je ne connais toujours pas le nom, m’ordonna de venir renifler sa chatte. Elle releva sa jupe. Dessous, elle n’avait aucun sous vêtement. Sa chatte était rasée. Elle m’agrippa les cheveux et me força à venir lécher sa vulve dégoulinante. Je passais timidement ma langue sur mister clitoris. Elle appuya encore plus fort et je m’appliquais. Elle donna des coups de reins me traitant de pétasse.
Elle eu un orgasme et me repoussa violemment, le souffle court.
- C’est bien…tu sais y faire finalement…
Elle me releva et me força à me courber sur un bureau, les seins écrasés contre le bois. Je frémis quand je sentis qu’elle m’enfonçait un objet dans ma chatte. Elle le fit coulisser rapidement. Je poussais un gémissement plaintif. Je ne comprends pas de quoi il s’agit et je tente de tourner la tête…Je reçois un coup sur ms fesses.
- Ne te retourne pas salope…
Chaque injure m’excite encore plus, je mouille abondamment, je sens la cyprine qui coule le long de mes cuisses. Je suis dans un état indescriptible, il faut que je jouisse ou je vais devenir folle…Ma tourmenteuse agite l’objet dans mon vagin de plus en plus rapidement…J’halète, je gémis, mes ongles griffent le bois du bureau…L’orgasme déferla comme un tsunami, un cri jaillit de mes poumons me laissant pantelante…L’objet fut retiré et la gérante me retourna, me forçant à m’agenouiller à ses pieds, un sourire ironique aux lèvres.
- T’as pris ton pied, hein ma salope ?
Rougissante, je baissai les yeux…Elle me montra le gode avec lequel elle venait de me branler. Elle m’ordonna d’ouvrir la bouche et je dus le sucer comme une bite d’homme. Mes lèvres autour du sex-toy, je salivais dessus…


Je me relevais et me rhabillais, soulagée que cela soit terminé. Du moins, je le pensais….
La gérante, qui me dit s’appeler Kathy, me montra la camera au dessus de la caisse. Je frémis…Oh mon dieu !
- Si tu ne veux pas que la cassette atterrisse sur le bureau de ton mari ou se retrouve sur Internet, y va falloir revenir me voir. Tu passeras tous les jours. Change de fringues ! Tu t’habille comme une nonne…Dorénavant, jupes courtes, bas et porte-jarretelles. Je te veux comme une pute ! J’ai des copines à te présenter….




Je rentrai chez moi bouleversée parce que j’avais vécue. Je n’en parlais pas à mon mari, à permisterne d’ailleurs. Je ne portais pas plainte. Je ne sais pas pourquoi…Peut être parce que j’y vais pris du plaisir. Je vais tous les jours dans la boutique de Kathy, Maîtresse Kathy…Elle me fait subir les pires tourments. Elle m’oblige à me masturber avec des godes énormes...Elle me prête a des lesbiennes perverses qui me branle toute la journée. Je suis régulièrement attachée, bâillonnée et godée. Je suis fouettée par Kathy…J’ai même été loué a des vieux messieurs pervers qui m’ont baisé toute une journée…Puis a des jeunes qui m’on emmené dans une cave et qui m’ont partouzé…Parfois, il y a d’autres femmes avec moi, des épouses respectables qui mistert devenues comme moi des chiennes soumises….
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,877
Up to the first message Down to the last message
piegées 02



Donc pour reprendre là où j’en étais resté, après nous être nettoyées nous sommes rentrées chez nous. Le lendemain j’avais du mal à me lever, un mauvais pressentiment, non la fin de semaine se déroula sans encombres jusqu’au samedi. L’après midi de ce jour là le téléphone misterna c’était Titi elle parla à mon père puis celui-ci me l’a passa :
- Titi comment vas-tu ?
- Mal, j’ai reçu une photo de moi suçant dans l’eglise.
- Par mail ?
- Non par la poste, et j’ai failli ouvrir le courrier devant mes parents.
- Oh merde
- Et toi ? tu n’as rien reçu ?
- J’ai pas vu le courrier aujourd’hui, je demande attends.
Papa ! as-tu été relever le courrier ce matin ?
- Oui ma chérie, il y a une lettre pour toi sur le buffet.
- Attends je vais voir…
- Merde moi aussi, il y a une photo dedans.
- Laisse-la, derrière il nous donne un autre rendez-vous, je ne sais pas quoi faire, je vais craquer.
- On va lui dire qu’on ne veut pas, et tant pis, je crois pas qu’il va envoyer les photos à nos parents, on pourrait porter plainte pour chantage.
- Tu crois ? moi j’ai peur.
- Laisse moi faire, à tout à l’heure.
Sitôt raccroché j’ouvris mon portable et je répondai au 1er mail qu’on avait reçu en affirmant notre refus de continuer, et en le menaçant de porter plainte.
Le dimanche se passa sans problème, le lundi je retrouve Titi et nous partons les deux se balader ( nous ne travaillons pas ce jour là) en rentrant on s’arrête boire un verre au village et à ce moment là, le cantonnier s’approche de nous.
- Bonjour la jeunesse, vous voulez fumer ?
- Non merci on ne supporte pas le tabac.
- Et la pipe non plus ?
- Heu, tu veux quoi là ?
- Faut pas faire de bêtise à l’église, j’ai reçu une photo et je crois pas que le maire ou le curé aimeraient s’ils savaient.
- Attends une photo ? montre là !
Il sortit de sa poche la photo de Titi suçant et se faisant lécher par moi,
- Tu veux quoi pour te taire ?
- Ben une pipe aussi
- Ok où ?
- De suite dans l’atelier.
Nous l’avons suivi comme des zombies, nous sommes entrés dans l’atelier, il a fermé la porte et
- Allez les petites à poils je veux vous voir vous lécher les gouines, allez !
Obéissantes nous nous sommes mises nues, il touchait nos fesses.
- Putain les beaux culs, la chatte lisse les salopes, léchez-vous, je vais vous donner mon cigare.
Il a sorti un sexe raide de mister pantalon et l'a mis devant ma bouche.
- Suce petite c’est du bon, allez avale- moi ça.
Nous l’avons sucé à deux pensant finir vite, mais il tenanit bon.
- Oui, c’est ça sucez, vos deux langues, allez Elise en 69 avec moi, oui c bon je vais lécher mon premier minou imberbe putain, et toi Titi tu vas prendre le marteau et enculer ta copine avec le manche.
Horrifiée, je me suis mise en position, il léchait bien, je l’ai pris en bouche, avalé entièrement, massé les couilles, pendant qu’il me croquait le clitoris, je commençais à jouir et j’avais oublié le marteau, quand Titi mis un peu d’huile de moteur entre mes fesses.
- Oui, c’est ça, mets de l’huile et encule ta copine salope.
- Non, s’il te plait, Titi je t’en prie.
- Fais-le où c’est moi qui t’encule avec le manche de pioche.
- Pardon Elise.
Je sentis le manche s’enfoncer dans mon petit trou, Michel repris mister broutage de minou de plus belle, et la jouissance me gagna à nouveau, je n’avais rien ressenti de pareil.
- Allez-y faites moi jouir, Titi encule moi salope, Michel bouffe moi le clito, je viens…ha…
- Moi aussi avale.
J’ai fermé ma bouche sur mister gland et j’ai bu tout mister foutre.
- Et bien mes salopes, vous êtes chaudes, merci.
- Rends nous la photo s’il te plait.
- Oui, tiens la voila, mais je ne sais pas qui l’a mise dans ma boite à lettres, en tout cas si je le trouve je le remercie, vous êtes de sacrées putes
- Bon, tu ne dis rien à permisterne ok ?
- Promis, mais de temps en temps une petite pipe ok ?
- Non, une fois ça suffit.
Nous sommes sorties de l’atelier municipal, avec la photo dans mon sac, on commençait à se demander s’il en avait donné d’autres quand on vit arriver Jean, le simplet du village.
- Oh les filles, c’est vous sur la photo là ? vous êtes des égoïnes ? et là pourquoi vous mettez le zizi dans la bouche ?
- Tais-toi Non de Dieu, tais toi on t’expliquera tout.
- Ah non derrière il y a écrit que je pourrai tout faire avec vous cet après midi si je vous le montrais.
- Montre ! au non….
- Quoi, montre moi…au putain.
Le texte était le suivant :
Si vous ne voulez pas que tout le village reçoive ces photos, faites plaisir au gentil Jean cet après-midi, et faites tout ce qu’il vous demandera, il est si gentil.
- Bon Jean c’est d’accord, mais que cet après-midi.
- Oui, vous venez chez moi je vous attends.
- Chez toi ? comme tu veux.
- Oui chez moi, je vais pas laisser marmot tout seul.
- Marmot ? ton chien ?
- Oui, il s’ennuie quand je suis pas là.
- Comme tu veux.
Nous sommes parties, résignées mais sans se douter de ce qui allait arriver.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,878
Up to the first message Down to the last message
Il est 14h, on misterne à la porte, c’est Titi, nous partons chez Jean. Il vit seul depuis le décès de sa mère, il a la trentaine, c’est un gentil garçon mais un peu simplet, nous nous demandons ce qu’il va oser nous demander.
Il nous attend devant chez lui, il est excité comme tout.
- Alors les filles c’est vrai vous allez tout me montrer ?
- Oui Jean mais calme toi, ok ?
- Oui, mais tout me montrer même votre chatte et votre cul ?
- Arrête Jean, et entrons.
A peine entrées, nous sommes surprises Titi et moi par l’odeur, ça sent le vieux, le chien est là qui nous regarde, c’est propre mais bizarre, comme si rien n’avait bougé depuis des années.
Jean nous saute littéralement dessus il veut toucher nos seins, il nous masse les fesses.
- Calme toi, et attends on va se deshabiller pour toi ok ?
- Oui, à poils, à poils, à p..
- Oh tu n’es pas au stade d’accord ? tais-toi et regarde.
Nous nous déshabillons , et une fois nue Titi commence à me caresser la poitrine, le bout des tétons.
Jean est pétrifié, puis
- ça alors, vous n’avez pas de poils en bas ? je peux toucher aussi ?
- oui, viens, mais doucement.
Il fut d’une douceur angélique, il osa à peine toucher mes lèvres, puis il se baissa et me sentit le sexe, comme un chien le ferait avec une femelle.
- Alors ça sent bon ? montre nous toi aussi.
- Oui ça sent bon, je peux goûter ?
- Vas-y lèche le , regarde Titi comment elle fait.
Titi se mis à genoux devant moi et commença à me sucer le clitoris, à powerr mes lèvres avec sa langue sous le regard de Jean qui n’en perdait pas une. D’un coup il se releva et baissa mister pantalon, c’est alors que je vis mister sexe, il était énorme, au moins 20cm et très gros.
- Titi, matte la queue c’est énorme.
- Waouw, cette bite, montre la.
Jean, tout fier s’approcha de nous le sexe à la main, Titi fut la première à le prendre en main, puis se baissa et commença une superbe pipe. Elle avait du mal à l’enfoncer dans sa bouche, mais je voyai qu’elle prenait du plaisir à ce qu’elle faisait.
- Et moi alors, j’ai pas droit d’y goûter aussi ?
- Viens, elle est super bonne.
Nous nous sommes retrouvées les deux à genoux, suçant ce sexe à tour de rôle, Jean gemissait
- Oh putain, c’est bon, on m’avait jamais fait ça, oh oui c’est chaud.
On sentit mister corps se raidir et il nous envoya mister sperme dans la bouche, Titi cette salope avala tout.
- Bon alors tu as eu ce que tu voulais, on peut partir avec la photo ?
- Ah non, vous me montrez comment vous êtes égoïnes.
On s’est mise à rire,
- Ok vilain voyeur
En 69 Titi et moi commencions notre ouvrage, et comme à chaque fois, j’aimais retrouver le goût de mister sexe, la saveur de mister bouton et mister savoir-faire avec sa langue, très vite la jouissance montait en nous. Jean repris de la vigueur et voulu sodomiser Titi pendant que je lui broutais le minou.
- Oh ! non Jean, je ne veux pas, pas là.
Me rappelant du marteau, au contraire j’encourageais Jean a y aller.
- Laisse toi faire Titi, tu verras, c’est comme un manche de marteau, je vais te lécher la rondelle.
- Non Elise s’il te plait.
- Tu verras tu vas aimer.
Je mis deux, puis trois doigts dans mister petit trou, puis après l’avoir légèrement distandu, je pris la bite de Jean et la guida devant l’entrée interdite.
- Aie, non s’il te plait, arrete tu me déchires.
- AIEEEE, non ça fait mal.
- Ta gueule, on va nous entendre, et ça y est le gland est passé, détends toi et lèche-moi pendant qu’il finit.
- T’es une salope Elise.
Je repris le clito de Titi en bouche, excitée de voir mister cul offert et perforé par la bite de jean, Titi changeait doucement de ton dans ses gémissements, elle me reprit également en bouche tout en laissant monter en elle une jouissance qu’elle ne connaissait pas.

Jean accéléra le rythme, ce qui fit jouir Titi, dans sa jouissance elle me mordit le clito et je suis partie comme une folle. Jean se retira, et un filet de sperme sortait du cul de ma copine.
- Les filles c’était super bon.
- Merci, mais où peut-on se laver ?
- Dans la salle de bain, au fond du couloir.

Celle-ci était modeste mais propre, Titi me fit des reproches.
- Salope, qu’est-ce qui t’a pris de vouloir me faire enculer par cette queue.
- C’était excitant, et toi tu as hésité quand tu me l’as fait à l’église ?
- Ouais, mais c’est dégueulasse quand même,
- Dis tu crois qu’il y en a d’autres avec nos photos ?
- …
De retour dans la pièce, Jean était assis, mais il rebandait, incroyable, après deux jouissances il était de nouveau raide.
- Les filles vous voulez pas recommencer avec la bouche ?
- T’es increvable toi !
- Allez soyez sympa.
- Elise fais le, moi je me repose.
- Ok, tu veux pas te casser le cul deux fois c’est ça ?
- C’est malin.
Jean se couchai par terre et moi je commençais à le sucer, les fesses hautes ce qui permis à Titi de me caresser aussi.
Très vite je sentis une langue me lécher, mais je ne reconnaissais pas celle de Titi, puis un truc froid me toucher le minou.
- Titi, tu fais quoi?
- Rien, laisse toi faire, tu verras tu vas aimer, suce et laisse moi faire.
Je repris ma succion, mais un peu inquiète. La langue recommença à parcourir mon sexe, elle me paraissait énorme, elle s’enfonçait entre mes lèvres, écrasait mon clito et remontait sur mon anus.
- Jean tu aimes ce que fait Elise ?
- Oh putain oui j’aime ça.
- Et toi Elise ?
- Oui.
- Vous êtes des égoïstes vous ne pensez qu’a vous, Jean tiens bien Elise par les épaules s’il te plait.
- Et oh pourquoi ?
Sans avoir le temps de trop réagir Jean me coinça entre ses bras et la tête contre sa bite.
- Élise reprends le en bouche n’aie pas peur.
- Tu vas faire quoi ?
- Je pense aux autres moi.
Elle tapa sur mes fesses, et là je compris, Marmot, je l’avais oublié, il mit ses pattes sur mes flancs et avec l’aide d’Elise il me prit comme ça.
- Non pas le chien, salope arrete.
- Tu as voulu qu’il m’encule, assume.
- Pas le chien non, stop, arrete il gonfle, il ….
Titi ne disait rien, Jean non plus, on entendait que le chien qui haletait et moi qui gémissais en pleurs, le chien se colla à moi, une boule énorme se mit à gonfler dans mon vagin.
- Il est trop gros je vais éclater, je le sens trop, c’est trop………bon, mon dieu je vais jouir.
- Il te fait jouir le chien , petite chienne ?
- Titi, oui je vais jouir, je vais jouir.
Un cri sorti de ma bouche en sentant Marmot se vider dans mon sexe, je n’avais jamais joui comme cela avant, effondrée je ne fis même pas attention au bruit impudique que fit mon sexe quand Marmot se retira, j’était tétanisée au sol, Jean excité s’était branlé sur mon visage sans que je m’en aperçoive.
- Merci pour nous deux les filles.
- Ça va Elise.
- T’es dégueulasse d’avoir fait ça.
- Pardon mais on devient folle là0
Sans rien dire, nous sommes parties nous relaver, au retour Jean était habillé, il avait mis la photo sur nos habits, en nous voyant, il se mit à pleurer en nous disant que c’était la première fois qu’il faisait l’amour avec des filles et pas des putes.
Attendries nous l’avons embrassé et demandé qui lui avait donné la photo. Sa réponse nous stupéfia, mais enfin nous savions à qui on avait à faire, et pouvions, nous aussi préparer une vengeance..

vanbruje

Member

Posts: 282
#1,879
Up to the first message Down to the last message
Encore deux bonnes histoires, merci
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,880
Up to the first message Down to the last message
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,881
Up to the first message Down to the last message
Femme piégée pour mister plus grand plaisir


Voici l'histoire d'une femme piégée pour mister plus grand plaisir. Ma femme Isabelle est conseillère juridique et fiscale pour les entreprises, à ce titre mister métier l'amène à côtoyer de nombreux clients. Alors forcément, un jour…….
C'était en mars, un premier rendez-vous avec ce nouveau client, 45 ans, grand, beau, et un petit quelque chose de pétillant et coquin dans le regard. Tout de suite il lui a plu, mais il ne s'est rien passé de plus. Toutefois en rentrant à la maimister elle m'a fait part de mister trouble. Je lui ai demandé ce quelle ferait si elle se faisait draguer, elle m'a répondu d'un air provocateur qu'elle n'hésiterait pas. Je lui ai dit "chiche".
A la fin du deuxième rendez vous, Alex, mister client, a invité Isabelle au restaurant, il a su habillement amener la conversation sur le sexe, mister regard coquin, quelques compliments sur le physique d'Isabelle et allusions subtiles ont eu très vite raimister de ses dernières hésitations. Lorsqu'il l'a invité à prendre le café à sa maimister, elle savait quelle ne pourrait rien lui refuser. Pendant le café, ils se mistert regardés intensément, sans rien dire, il a posé sa tasse et c'est approché pour l'embrasser. Au moment où leurs langues se mélangeaient, Isabelle sentait déjà que sa petite culotte était trempée. Il la tenait par les hanches, puis tout en continuant de l'embrasser, il a fait glisser ses mains sur sa petite culotte déjà trempée en soulevant sa jupe. Ses doigts se mistert habillement faufilés derrière l'élastique et ont plongés directement dans sa chatte. Isabelle à gémit et écarté les cuisses pour mieux sentir les doigts lui fouiller sa chatte. Après 2 minutes de ce traitement elle décida d'ouvrir le pantalon d'Alex et de le sucer pour ne pas jouir elle-même tout de suite. Dès quelle sentit le sexe d'Alex dur et de bonne taille à travers le slip elle entreprit le sortir et le mis aussitôt dans sa bouche. Elle pris un grand plaisir à le sucer, lentement, en lui léchant tantôt les couilles tantôt la queue sur toute la longueur pour finir en avalant mister membre tout en roulant sa langue autour. Leurs regards se croisaient et en disaient long sur le jeu qui commençait.
Très vite, il l'obligea à arrêter sa pipe pour ne pas éjaculer dans sa bouche. Ils se déshabillèrent mutuellement et allèrent vers la chambre. Isabelle fut surprise en arrivant dans la pièce, elle était composée d'un grand lit, et les portes des placards et pièces attenantes étaient en miroirs. Ce qui permettait de se voir dans presque toutes les positions.
Ils étaient dans un tel état d'excitation, qu'à ce moment là rien ne pouvait les arrêter. Alex emmenât Isabelle au bord du lit, plaqué dans mister dos il la fit mettre à quatre patte sur le lit et entrepris de lui lécher sa chatte. Sa langue glissait de mister clitoris à sa petite rondelle, il aimait titiller mister anus et sa chatte en faisant vibrer le bout de sa langue rapidement, puis il montait et descendait lentement. Cela avait le don de mettre Isabelle dans tous ses états. Au bout de quelques minutes, Isabelle qui n'en pouvait plus se laissât glisser sur le coté et invitât Alex à venir dans sa chatte.
Il se coucha derrière elle et lui enfila sa queue jusqu'au fond, elle ne pu retenir un long gémissement. Ne voulant pas jouir trop vite, Alex entrepris de la prendre lentement, avec de grand aller-retour, Isabelle ne pu résister longtemps a ce traitement, elle aime tellement sentir une queue aller et venir lentement dans sa chatte quelle ne retarda plus longtemps mister premier orgasme.
A peine avait elle finit de jouir qu'Alex entrepris de changer de position. Il mis Isabelle sur le dos et la pénétrât à la missionnaire. Cette position permit à Isabelle de reprendre mister souffle un bref moment et de rouler une pelle fougueuse à mister amant. Elle entrepris ensuite de le chevaucher, elle adore s'enfiler elle-même une bonne queue dans sa chatte en regardant mister amant droit dans les yeux. Sa position lui permettait même de se regarder dans les miroirs de la pièce, ce qui l'excita encore plus. Alex profita de la position pour glisser un doigt dans la rondelle d'Isabelle. Son initiative fut accueillit le mieux du monde. Elle cambra encore plus les reins afin de lui faciliter l'accès à cet endroit si sensible chez elle.
Alex constata quelle mouillait aussi du petit trou. Ni tenant plus, il se relevât et décida de la prendre en levrette. A peine avait il commencer a donner ses premiers coups de reins qu'il lui glissât un doigt bien enduit de salive dans la rosette. Il avait trouvé un des péchés mignons d'Isabelle. Elle n'a jamais résisté longtemps à une bonne queue dans la chatte doublée d'un doigt fouineur dans mister petit trou. Le deuxième orgasme arrivât sans tarder et la laissât le souffle coupé quelques instants.
Alex, satisfait du résultat, décida de laisser sa chatte récupérer un peu. Isabelle lui en fut reconnaissante, mais c'était sans compter sur la perversité de mister nouvel amant. Alex obligea Isabelle à rester en levrette et ne retira sa queue de sa chatte que pour l'enfiler dans mister cul. Il pris un malin plaisir à l'enfoncer doucement dans mister petit trou déjà bien dilaté par un doigt vicieux et l'orgasme précédent. Sa queue rentra si facilement qu'il compris immédiatement qu'elle n'était pas vierge de ce coté là. Isabelle était ravie d'être tombée sur un amant aussi entreprenant Elle remuât mister cul en cadence pour bien accompagner les coups de reins d'Alex. Il lui murmura à l'oreille qu'elle était une vrai salope et qu'il avait bien vu quelle aimait se faire enculer. Il n'en fallut pas plus pour la faire jouir du cul (Isabelle très cérébrale réagit toujours fortement aux petits mots susurrés à mister oreille)
Après cela, ils firent une pose et Alex en profita pour aller se laver la queue avant de revenir s'installer tête-bêche et de recommencer à la lécher.
Il n'en fallut pas plus pour que l'excitation d'Isabelle reparte vers les sommets malgré ses deux orgasmes successifs. Isabelle adore les 69, se faire lécher la chatte tout en suçant une queue l'excite beaucoup.
Alex fit allonger Isabelle sur le coté, replia sa jambe sur sa poitrine en la pénétra en prenant appui sur ses mains comme s'il faisait des pompes. La sensation de la pénétration était extraordinaire. L'angle que formait la queue d'Alex faisait frotter le gland juste sur le point G. il la prenait lentement, elle réagissait par des gémissements de plus en plus forts. Il se pencha sur elle et murmura à mister oreille qu'il allait lui remplir la chatte de sperme et quelle devrait rentrer chez elle avec sa petite culotte trempée du sperme qui coulerait de mister con. Ces paroles ont provoquées chez Isabelle une montée d'excitation telle, quelle n'a pu retenir plus longtemps un orgasme qui la mis au bord de l'évanouissement. Au même instant, Alex prenait un pied d'enfer en lui remplissant effectivement la chatte de mister jus. Au bout d'une dizaine de minutes de récupération, Isabelle demanda ou se trouvait la salle de bain. Alex la regarda droit dans les yeux et lui dit en souriant mais sur un ton sans équivoque qu'elle n'avait pas besoin d'aller dans la salle de bain pour remettre sa petite culotte. Isabelle comprit alors que mister pervers d'amant allait effectivement l'obliger à rentrer à la maimister la chatte dégoulinante de sperme.
L'idée qu'en rentrant, mister chéri la baiserait en enfilant sa queue dans sa chatte pleine du jus de mister amant excitait beaucoup Isabelle. (C'est une vraie cérébrale)
Ce dont elle ne se doutait pas, c'est à quel point cette rencontre allait l'emmener sur les chemins du vice. Car c'était sans compter sur la femme de mister amant, mais ceci est une autre histoire.
Si vous souhaitez connaître la suite, ou si cette histoire vous inspire, n'hésitez pas à me le faire savoir sur mon mail.
Et pour vous amis(es) Nantais(es) libertins(es) et coquins(es)peut être que cette histoire vous donnera envie de prendre contact.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,882
Up to the first message Down to the last message
Voici la suite de l'histoire d'Isabelle et de mister amant.
Isabelle a revu plusieurs fois mistert amant, toujours dans sa maimister et dans la chambre, il avait le don de la faire jouir intensément. Chaque fois qu'elle rentrait à la maimister, elle était toute excitée de se faire baiser avec la chatte pleine du sperme de mister amant. J'avoue que la sensation et l'excitation psychologique de la situation me mettait dans un état d'érection comme je n'en connaissais dans aucune autre situation.
Isabelle avait rendez vous avec mister amant, à 14 heure 30, mais elle reçu un coup de fil du secrétariat d'Alex dans la matinée, une femme expliquât qu'Alex lui donnait rendez vous à 12 h30 pour déjeuner dans un restaurant
Isabelle acceptât et se rendit sur place à l'heure prévue. Lorsqu'elle arrivât dans la salle, Alex n'était pas encore là. En revanche, lorsque Isabelle donnât le nom d'Alex à la serveuse, celle-ci la guida jusqu'à une table ou était déjà installée une femme qu'elle ne connaissait pas.
La femme regarda Isabelle droit dans les yeux et lui intima l'ordre de s'asseoir.
Le ton était ferme et assuré. La femme enchaîna en se présentant, " je suis Léa, la femme d'Alex, je vous conseille de vous asseoir car ce que j'ai à vous dire sera d'une importance capital pour votre carrière".
Abasourdie, Isabelle s'assit machinalement. La femme lui dit " mon mari à bon goût, et il su choisir une vraie salope".
Des gens s'installaient aux tables alentour, Isabelle était gênée que les voisins de table risquent d'entendre ces propos. Elle sentait qu'il valait mieux écouter la femme sans la contrarier afin d'éviter un scandale en public.
Léa commanda deux apéritifs forts.
Ainsi donc, voilà la salope qui se fait mettre par tous les trous !
Vous voyez Isabelle je sais tout !
Et mieux encore j'ai tout vu ………!
Elle marqua un long silence auquel Isabelle n'avait rien à répondre.
Vous ne connaissez pas mon mari ! C'est un mordu de vidéo ! Il a tout filmé !
Comme je vous l'ai dit, j'ai tout vu ! J'ai même tout copié ! Lui dit elle en se penchant vers Isabelle.
A ce moment l'apéritif arrivât sur la table. Isabelle avait l'impression que le monde s'écroulait autour d'elle. Elle pris mister verre et le vida presque d'un trait, il faut savoir qu'elle ne boit jamais d'alcool, mais ce jour là, il lui fallait au moins çà pour accuser le choc. L'alcool lui permis de se ressaisir. " Je suis désolée, cela ne se reproduira plus, je vous l'assure ! " dit elle en tremblant d'émotion.
Léa se redressa
Et c'est tout ! J'ai sauté votre mari, excusez moi et au revoir !
Vous croyez que vous allez vous en tirer à si bon compte ! Lui lança Léa.
Autour, plusieurs permisternes s'étaient retournées et regardaient les deux femmes.
Isabelle ne savait plus ou se mettre. Il ne fallait surtout pas qu'elle énerve mister interlocutrice. Si cela se trouve il y avait peut être des gens qui la connaissaient et qui savaient ou elle travaillait.
" Au mon dieu ! " se dit elle " pas de scandale !"
L'alcool qui commençait déjà à embrumer mister esprit, plus la montée d'adrénaline, donnait à Isabelle l'impression de flotter au dessus de sa chaise.
Que me voulez vous ! Osa t'elle demander à Léa.
Quelle compensation croyez vous pouvoir m'offrir ma petite ! Demanda Léa en toisant Isabelle.
Isabelle n'en croyait pas ses oreilles.
Je n'ai pas d'argent ! Cru t'elle juger bon de répondre.
Léa éclata de rire. Isabelle ne comprenait plus.
Je vais être direct, Isabelle, si vous êtes capable de me faire jouir comme vous savez faire jouir mon mari, alors nous pourrons peut être trouver une solution pour éviter que vous ne soyez humiliée et licencié suite au scandale que je ferais dans votre entreprise !
Et ne croyez pas que vous serez quitte avec un ou deux orgasmes !
Mais déjeunons maintenant, nous reparlerons business après le dessert !

Isabelle n'en revenait pas, cette femme lui proposait rien de moins que de coucher avec elle. Ce pourrait'il qu'elle puisse s'en tirer à si bon compte ?
S'il n'y avait que cela, alors aucune hésitation D'autant plus qu'Isabelle avait déjà couché avec une copine il y a quelques années et que le sexe entre femmes lui avait bien plu.

Pendant tout le repas, Léa parlait de choses et d'autre. Isabelle se contentait de répondre, mais avait bien compris qu'elle avait à faire à une femme cultivée et très intelligente. Léa était presque chaleureuse. Isabelle ne pu cacher mister trouble, elle voyait défiler des images d'elle et de Léa en train de se caresser.
Elle sentait sa petite culotte s'humidifier.
A la fin du repas, Léa demanda à Isabelle de l'attendre dans les toilettes des femmes, le temps qu'elle règle l'addition. Le sourire charmeur de Léa ne laissât aucun doute à Isabelle. C'était maintenant et dans un lieu public en plus.
Isabelle n'en revenait pas, sa culotte devenait toute trempée. Après le traumatisme du chantage, Léa avait réussit à exciter Isabelle comme une pucelle devant sa première bite.
Isabelle aurait du se douter qu'avec un amant aussi pervers, l'épouse de celui ci avait probablement de quoi tenir, mais de là à imaginer que la femme serait pire que le mari……
Léa rejoignit Isabelle dans les toilettes et l'entraîna immédiatement dans la première cabine, elle referma la porte, s'approcha, et roula une pelle d'enfer à Isabelle.
Les mains de Léa se promenaient partout sur mister corps.
Léa trouvât très vite la petite culotte d'Isabelle, ….mouillée.
Je le savais ! Lui dit Léa
Tu es aussi excité à l'idée de jouer avec une chatte qu'avec une bite!
Ses mots excitèrent Isabelle, elle s'agenouilla et entrepris de lécher la chatte de Léa non sans lui avoir au préalable retirer sa culotte de soie avec une lenteur extrême accompagnée de caresses furtive sur les lèvres et le clito.
Léa était aux anges, le dos au mur, un pied sur la cuvette des toilettes, elle se faisait bouffer la chatte par une hétéro aussi douée qu'une vraie lesbienne. En moins de 5 minutes, elle jouit en serrant les dents tellement elle avait envie de crier. Quand Isabelle se releva, Léa l'embrassa avec fougue, mis les mains en appui sur la cuvette et ordonna à Isabelle de s'occuper de mister coté pile.
Isabelle s'agenouilla et commença à titiller la rondelle de Léa du bout de la langue. Lorsque Léa se tortillât les fesses en gémissant, Isabelle enfonça sa langue le plus loin possible et glissa un doigt délicat dans la chatte trempée de Léa.
L'orgasme fut si fort que les jambes de Léa se dérobèrent.
Jamais, une femme ne m'a fait jouir aussi fort avant ! Tu fais ça tous les jours ou quoi ?
Non, mais mon unique expérience d'il y à 12 ans, m'a bien plu, et puis je ne fais que ce que j'aimerai que l'on me fasse! Répondit Isabelle.
Léa sourit et entrepris de rendre la politesse, en femme du monde qu'elle était.
L'orgasme d'Isabelle n'avait rien à envie à celui de Léa.

Lorsqu'elles se rhabillèrent, Léa lança à Isabelle,
Tu as bien rendez avec Alex dans ½ heure ?
Oui!
Tu ne dois rien lui dire! Trompé mon mari avec sa maîtresse est un petit jeu qui va m'amuser un moment ! Et puis cela me plaît qu'il te saute!
Comment ? Lui répondit isabelle abasourdie.
Et oui, ma chérie, je veux que tu te fasse enfiler par mon mari, car tu me plais et je préfère qu'il te saute toi plutôt qu'une autre!
De plus nous allons être amener à nous revoir souvent ! Au fait ton mari n'ai pas au courant ?"
Pour Alex si ! répondit Isabelle
Et alors ? demanda Léa
Il adore baiser ma chatte pleine de sperme quand je rentre à la maimister!
Quoi ? Ton mari le sait et il en redemande ? Hum… je s'en que l'on va bien s'entendre ! Et il faudra que tu me le présente un jour !"
En attendant, file ou tu vas être en retard pour ton coup de queue de l'après midi, enfin je veux dire pour tes coups de queues de l'après midi !
Décidément tu me plais vraiment petite salope ! Et n'oublie pas que je suis loin d'en avoir fini avec toi, dorénavant tu ne peux rien me refuser, et crois moi ce ne mistert pas les idées qui me manque ! Tu verras !

Si vous souhaitez connaître la suite, ou si cette histoire vous inspire amis nantais, ou d'autre régions, n'hésitez pas à me le faire savoir sur mon mail.

chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,883
Up to the first message Down to the last message
Isabelle quitte le restaurant pour rejoindre mister amant, Alex.
Au moment où Isabelle sortait du parking, Alex l'appela sur mister portable. Il lui demandait de le rejoindre à l'aéroport. Il ramenait un client qui devait prendre mister vol à 14 h 30. Ensuite il pourraient prendre un verre sur place tout les deux et s'offrir une après midi hôtel plutôt que de prendre du temps à traverser Nantes.
Isabelle acceptât. Il aurait pu lui donner rendez vous sur la lune, elle aurait dit oui. Elle ne s'était pas remise du cocktail "chantage plus jouissance avec Léa " et réagissait encore un peu comme un automate.
Ce mélange d'inquiétude et de plaisir inattendu la perturbait.
Isabelle retrouva Alex dans un des salons chic de l'aéroport, ils se saluèrent poliment, d'une bise discrète, comme des relations de travail qui se connaissent depuis longtemps. Chacun devait faire attention, n'importe qui aurait pu les remarquer.
Mais leurs regards ne s'y trompaient pas. Isabelle fondit immédiatement en voyant l'élégance de mister amant.
En prenant leur collation, ils rigolaient de choses et d'autres. Isabelle était excitée de nouveau, mister amant avait un regard qui la faisait craquer et en plus Isabelle ne pouvait s'empêcher d'avoir des flashes sur ce qu'elle venait de faire avec Léa quelques minutes plus tôt. Bizarrement, cela l'existait encore plus. Elle n'osait pas imaginer que si elle continuait cette relation, elle allait vraiment devenir la salope de ce couple.
Isabelle se souvint de la demande de Léa. Elle ne devait rien dire à Alex. Tromper mister mari avec la maîtresse de mister mari excitait Léa. Cette pensée généra une montée d'excitation encore plus forte chez Isabelle; au fond d'elle-même ce jeu l'attirait.
Sa petite culotte était déjà toute trempée de la séance avec Léa, mais là, elle était bonne à essorer.
Une idée lui vint à l'esprit, les femmes aussi peuvent avoir des idées perverses (surtout Isabelle)
" Je n'en peux plus, j'ai envie de toi !" dit elle à Alex
" Moi aussi, je bande comme un fou, regarde la bosse de mon pantalon!" lui répondit Alex.
La vue du désir de mister amant et sa petite idée la mettait en émoi. Plus d'hésitation !
" Viens !" dit elle.
Ils se levèrent sans même finir leurs verres.
"Ou m'emmène tu" ? demanda Alex
" Tu verras, j'ai trop envie pour perdre du temps à chercher une chambre d'hôtel!"
En moins d'une minute ils avaient atteint un escalier qui descendait au sous-sol.
" Les toilettes ? " demanda Alex mi étonné, mi amusé.
" Ouuuuiiii!, cela me plait de te sauter dans les chiottes, petite salope !" lui murmura t'il à l'oreille.
Ils s'engouffrèrent dans les toilettes des hommes, heureusement il n'y avait permisterne. Ils entrèrent dans une cabine et s'y enfermèrent.
Immédiatement ils se jetèrent l'un sur l'autre. Leurs gestes étaient fébriles, leurs langues se mêlèrent sauvagement, Alex avait déjà la main dans la culotte trempée d'Isabelle alors qu'elle malaxait vigoureusement sa queue à travers le pantalon.
Alex s'accroupit devant elle et entrepris de lui lécher la chatte après avoir enlevé sa petite culotte. Ils étaient aussi fébriles l’un que l’autre, on aurait pu croire qu’il ne s’étaient pas vu depuis longtemps.
Isabelle posa un pied sur la cuvette des toilettes et s'appuya contre la cloimister de la cabine voisine. C'était vraiment trop bon, il savait s'y prendre ce salaud et Isabelle se revoyait dans la même position qu'Alex seulement 2 heures plus tôt alors que Léa était à sa place.
Ce souvenir n'allait pas l'aider à tenir longtemps, d'autant plus qu'Alex, fidèle à lui-même commençait à lui doigter le cul.
Une furieuse envie de sucer une queue obligea isabelle à repousser Alex. Cela lui permit de reporter mister orgasme à plus tard. (Isabelle préfère jouir sur une queue dans la chatte ou le cul)
Elle s'agenouilla devant mister amant, sorti avec peine sa grosse queue bandée et se l'enfourna direct dans la bouche.
Hummmm………quelle queue ! pensa t'elle. Elle reprit sa technique si savamment dosée, alternance de lèche queue, de suçage et de titillage de gland. Quand Alex lui attrapa la tête pour la repousser, Isabelle le regarda avec des yeux de petite fille innocente d'un air de dire
" C'est pas bon ?"
Alex lui répondit" salope, pas question que tu me fasses jouir si vite et comme ça ! Tu sais que j'aime trop t'en mettre plein la chatte ou le cul !
Elle lui répondit d'un air espiègle " et quel est le menu aujourd'hui ?"
Amusé par mister audace et mister coté nature Alex la provoqua en lui répondant;
" Je n'ai pas encore choisi entre, l'oignon farci et la moule fourrée à la crème entière! Tu as une préférence ?"
Oui……! Elle plongea mister regard dans le sien et ajouta " je prendrai la moule fourrée à la crème entière……en plat de résistance……..et l'oignon farci en dessert!"
" Adorable petite salope qui n'en a jamais assez ! Un jour je te prendrais avec un autre mec et à deux nous t'obligerons à crier grâce !"
" Prend moi tout de suite !" lui dit elle
Alex releva Isabelle et lui enfila sans préavis sa queue dans la chatte.
Elle l'accueillit avec un soupir libérateur dès qu'elle sentit mister gros machin la remplir.
Alex la prenait debout, face à face, elle avait reposé un pied sur la cuvette. Les grands mouvements amples d'Alex étaient accompagnés avec une parfaite synchronisation par les hanches d'Isabelle. On aurait dit qu'ils ne faisaient qu'un.
L'excitation d'Isabelle montait, se faire sauter comme la dernière des dernières dans les chiottes de l'aéroport lui plaisait vraiment et quand elle se rappelait pour la énième fois la séance avec Léa elle faillit jouir.
Tout à coup la porte des sanitaires s'ouvrit. Ils entendirent les voix de deux hommes..
Les nouveaux venus discutaient tranquillement en se lavant les mains. Isabelle et Alex les entendaient parfaitement car les cabines n'étaient pas fermées au dessus des cloimisters. Ils avaient interrompu le coït, mais Alex était toujours dans sa chatte. Ils se regardaient, Alex recommença à bouger. Isabelle regarda Alex d'un air suppliant pour qu'il arrête, elle ne voulait pas se faire repérer.
Tiens, tiens ! Se dit il, la petite bourgeoise reprend le dessus.
Il accéléra le rythme.
Le corps d'Isabelle frustré par cet arrêt intempestif n'avait que faire des deux bonhommes, sa chatte réclamait la suite.
Isabelle se mordait les lèvres pour ne pas gémir.
Tout à coup ils entendirent les portes des cabines à droite et à gauche de la leur s'ouvrir. Des bruits de braguettes et de ceinturons se firent entendre. Alex continuait de baiser Isabelle.
Les deux hommes se mirent à pisser. Les deux amants entendaient les cataractes des jets d'urines à droite et a gauche.
Alex murmura à l'oreille d'Isabelle; " s'il n'y avait pas les cloimisters, tu pourrais en prendre un dans chaque main et les branler!"
Sa chatte arrivée au point de non-retour, plus l'image des deux queues qu'elle branlerait déclencha l'orgasme.
Elle ne pu retenir un long gémissement.
Alex semblait avoir aussi été influencé par ses propres propos car il se mit à jouir dans la chatte d'Isabelle. Cela eu pour effet de prolonger et d'augmenter le volume du gémissement d'Isabelle.
Malgré le bruit des chasses voisines, les deux hommes avaient forcément entendu.
Isabelle n'osait plus respirer. Elle avait jouit sur la queue de mister amant en s'imaginant branler deux autres hommes et presque re-jouit lors que mister amant avait éjaculé dans sa chatte en présence des deux inconnus.
Isabelle et Alex entendirent les deux hommes chuchoter et éclater de rire avant que la porte des sanitaires ne se referme.
Isabelle était honteuse.
Alex souleva mister menton du bout du doigt.
Isabelle était rouge.
" Une des choses que j'aime chez toi, c'est ta façon de passer de bourgeoise à salope et de salope à bourgeoise !" lui dit il.
Isabelle sentait le sperme qui commençait à couler entre ses lèvres. Elle voulut s'installer sur la cuvette.
"hmm ! hmm ! Lui dit Alex en sortant sa petite culotte de sa poche de pantalon." Je croyais avoir été clair sur les règles du jeu.
"Désolée ! J'étais perturbée !" lui répondit Isabelle en enfilant sa petite culotte
Ils sortirent ensemble des toilettes et se séparèrent sur le parking.
Isabelle en rentrant à la maimister m'a tout raconté.
Comment elle s'était fait piégée au restaurant par Léa.
Elle n'a omit aucun détail sur ce qu'elle avait été "obliger" de lui faire et comment Léa lui avait rendu la pareille à mister tour.
Comment elle avait jouit lorsque Léa lui titillait la rondelle du bout de la langue tout en lui branlant le clito.
Isabelle était très soucieuse de la tournure des choses. Cette histoire de vidéo et de chantage l'inquiétait.
Je lui répondis que temps qu'elle n'en saurait pas plus, elle aurait intérêt à obtempérer aux désirs de Léa (savoir Isabelle soumise à ces deux pervers m’excitait beaucoup, la curiosité de voir la suite me tenaillait déjà)
Elle me précisa, que bien que perturbée à la fois par le chantage et le fait d'avoir jouit si fort avec Léa, elle lui avait obéit et rejoint mister amant comme Léa lui avait ordonné.
Isabelle n'avait rien dit à Alex conformément à la demande de Léa.
" Très bien ! Les prochaines fois qu'elle te contactera, tu essayera de savoir ce qu"elle attends de toi au juste!" lui répondis je
J'essayais de la comprendre, elle était partagée entre l'inquiétude liée au chantage de Léa et un certain plaisir pour ne pas dire un plaisir certain d'être contrainte d'obéir.
À mes yeux, Isabelle trouvait manifestement une satisfaction dans la soumission. Elle qui donne toujours l'apparence en société d'être très forte et plutôt dominante envers les hommes et les femmes qui l'entourent.
Alors qu'elle me parlait je l'imaginais avec sa maîtresse. Moi je n'en pouvais déjà plus de bander. Mais quand elle me raconta l'histoire des toilettes de l'aéroport avec power détails, je ne pu m'empêcher de lui dire qu'elle était une vraie salope.
" Tu vas me sucer, ensuite je te baiserais et pour finir je vais t'enculer !" lui promis je.
"Tu veux bien qu'on fasse un 69 !" me répondit elle avec mister air de sainte nitouche, en regardant ses chaussures.
" Toi alors !" Je m'installais sur le dos, elle retira mister slip et me chevaucha tête bêche en me collant sa chatte sur la bouche. Elle sentait très fort la mouille mélangée au sperme. Je commençais à la lécher.
" Oui c'est bon ! Oh chéri ! Ça m'excite que tu lèches ma chatte pleine du jus de mon amant ! Je vais jouir ! Oh, encore!
Effectivement, moins de deux minutes plus tard elle jouissait en se tortillant sous mes coups de langue et ne m'arrêtais qu'au moment ou elle me dit qu'elle n'en pouvait plus.
Je me plaçais alors derrière elle et la pris en levrette. Cela m'excitait d'enfoncer ma queue toute dure dans sa chatte encore pleine de sperme.
Isabelle remuait mister cul comme une vraie chienne.
Au bout de dix minutes je m'interrompis pour sortir ma queue et lui enfiler sa petite rondelle.
Dès que le coït anal commença, Isabelle se branla le clito. Avec tous les pieds quelle avait pris dans l'après midi, elle commençait à avoir du mal à jouir alors que mister excitation était toujours aussi forte.
" Alors, ton amant ne te l'a pas mise dans le cul, aujourd'hui ? "
" Non, mais heureusement tu est là pour y remédier mon chéri !"
" Et comment !"
Quelques minutes plus tard nous jouissions ensemble.
Son dernier orgasme de la journée fini de l'achever. Isabelle s'endormie immédiatement dans mes bras, le cul et la chatte remplis des spermes de ces deux hommes.

Amis nantais, ou d'autres régions, si votre profil correspond à celui d’Alex ou de Léa n’hésitez pas à nous contacter ou si vous souhaitez tout simplement connaître la suite des expériences d’Isabelle,
Peut être nous rencontrerons nous ?

chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,884
Up to the first message Down to the last message
Une autre fois encore, Isabelle avait retrouvé mister amant. Cet après midi là, il l'avait baisé dans de multiples positons sur le canapé de mister salon. Mais le moment le plus fort de la séance canapé avait été pour elle, quand après avoir sucer Alex jusqu'à presque s'étouffer, elle s'était fait enfiler dans une de ses positions préférées.
Isabelle était assise dans le canapé, Alex était à genoux par terre devant elle. Il lui releva les jambes à l'équerre et l'enfila sans ménagement. Heureusement trempée comme elle était (cela faisait déjà ½ heure qu'il la sautait en levrette, par derrière et face à face debout) cela ne la gênait pas de se faire bourrer comme la dernière des chiennes. En moins de 3 minutes, il la fit jouir intensément.
Après une pause et un grand verre d'eau, (ça donne soif tout ça) Alex lui fit visiter sa cave au sous-sol.
Isabelle s"était rhabillée pour ne pas avoir froid et de toute façon il fallait bien retourner au travail.
Alors qu'ils remontaient l'escalier, Alex attrapa Isabelle par le bras et l'embrassa. Il la pelotait franchement mais avec douceur. Isabelle en redemandait. Il la fit mettre en face de la montée des marches. Placé derrière elle il entreprit de lui doigter le cul d'une main glissée dans mister slip et de lui caresser les seins de l'autre à travers sa robe.
Isabelle se pencha en avant, ce qui fit remonter sa robe mi- cuisses jusqu'aux fesses. Lorsque Alex lui enfonça un doigt dans sa rosette mouillée et ouverte (effet systématique chez Isabelle après une jouissance vaginale) elle s'accrocha des deux mains aux rambardes de l'escalier en gémissant.
Le signal pour Alex était clair, il la rejoignit sur la même marche, écarta l'élastique de mister slip et lui enfila sa queue dans le cul.
Isabelle était tellement prête qu'elle n'y trouva que du plaisir (Même pas une petite douleur au début)
Alex commença ses va et vient dans mister cul. L'excitation montait vite chez Isabelle. Elle lâcha une rambarde, glissa sa main dans mister slip et se mit à se branler. (Quand Isabelle se branle en se faisant pénétrer la jouissance n'est jamais longue à venir)
Isabelle gémissait de plus en plus, Alex savait bien comment la faire jouir à coups sûr. Il accéléra imperceptiblement ses mouvements, et venait écarter sa rondelle à chaque retour de pénétration, mais sans ressortir entièrement sa queue. Alex maîtrisait chaque mouvement avec une précision diabolique. La rosette d'isabelle n'en palpitait que plus fortement, l'orgasme n'était pas loin. Quand Alex la sentit venir il lui murmura à l'oreille; " aujourd'hui, je vais t'en mettre plein le cul !"
Isabelle lui répondit " oui, espèce de salaud, mets m'en plein le cul, remplis moi !"
Aussitôt, l'orgasme se déclencha chez elle, elle jouissait si fort que ses jambes fléchissaient. Alex la tenait fermement par les hanches, il accéléra le rythme et se mit à la bourrer à fond. Isabelle criait maintenant, elle sentait les pulsions de la queue de mister amant au passage de chaque giclée de sperme, cela semblait ne jamais vouloir s'arrêter et prolongeait d'autant l'orgasme d'Isabelle.
Si Alex ne l'avait pas retenu Isabelle aurait finie à genou sur les marches tellement l'orgasme avait été fort.
Ils s’étaient séparés en fin d’après midi au final. Comme il était trop tard pour retourné à mister entreprise Isabelle appela mister mari. Sachant qu’il serait heureux d’entendre tous les détails de sa visite chez mister amant, elle l’appela sur mister portable. Son mari était déjà à la maimister. Il exigea quelle rentre immédiatement.
Arrivé a u domicile conjugale, Isabelle stationna sa voiture près de l’atelier vers le fond du jardin. Eric en sortit aussitôt et lui fit signe de le rejoindre à l’intérieur.
A peine eu t ‘elle franchie la porte qu’il l’attrapa par le bras et lui roula une pelle d’enfer. Isabelle n’avait pas eu le temps de prononcer un mot ( a quoi bon elle avait déjà tout raconter sur la route avec mister portable )
Dès leurs langues se délièrent, Isabelle s’accroupit devant mister mari, défit mister pantalon et pris sa queue a pleine bouche. Il était si excité qu’elle sentait mister sexe palpiter sur ses joues. Après une brève séance de fellation endiablée, elle se releva et " baise moi tout de suite sur l'établi mon chéri"
Il la saisit sous les bras et la posa directement sur le plan de travail, Isabelle allait se faire sauter exactement comme dans le canapé de mister amant deux heures plus tôt. La queue de mister mari qui n'avait rien a envie a celle de mister amant glissa dans sa chatte trempée. Isabelle gémissait de bonheur " oui ! Quelle est bonne " pensait elle tout en repensant à ce qu'elle faisait un peu plus tôt avec mister amant.
Se faire prendre par mister mari après mister amant était une situation qui avait toujours excité Isabelle au plus au point (à chacun et chacune ses fantasmes)
La pression montait, le rythme aussi, elle commençait à se sentir partir, elle perçut la respiration saccadée d'Eric. Ils allait jouir ensemble c'est sûr.
L'orgasme la prit au moment ou elle sentait les soubresauts du sexe de mister mari au fond de sa chatte. Ça y est il la remplissait de sperme. Elle qui s'était fait remplir le cul de sperme par mister amant, elle se retrouvait avec la chatte pleine de sperme également, cette pensée l'excita tellement qu'elle jouissait sans retenue au point qu'Éric dû lui mettre la main sur la bouche pour qu'elle n'éveille pas l'intérêt des voisins.
Ils s'embrassèrent fougueusement puis tendrement. Isabelle réajusta mister slip, qu'Eric n'avait eu qu'à écarter légèrement au moment de lui enfiler sa queue dans la chatte, puis elle se leva et suivit mister mari, la main dans la main, jusqu'à la maimister.
En chemin Isabelle sentait le sperme couler de sa chatte et imbiber mister slip, de mister petit trou elle sentait suinter le sperme de mister amant (car après un orgasme vaginale sa petite rondelle se dilate systématiquement, les femmes adeptes de sodomie connaissent bien ce phénomène, enfin pour la plupart)
Isabelle souriait en marchant.
Décidément, elle avait trouvé deux hommes parfaits pour mister tempérament sexuel. Un mari pervers qui la connaissait mieux que permisterne, qui aimait qu’elle se fasse sauter par d’autres hommes et un amant vicieux qui savait deviner exactement ce qu’elle aimait le plus, tant dans les situations insolites, que dans la façon de l’exciter et de la prendre ensuite.
Mais ce qui inquiétait Isabelle, c’était Léa, la femme d’Alex. Que lui voulait donc cette femme ? Elle faisait du chantage a Isabelle, l’obligeait a tromper mister amant, (ça c’était à moindre mal) et peut être même bientôt mister mari en l’obligeant a cacher à celui-ci quelques turpitudes aussi machiavéliques qu’inavouables et que Léa n’hésiterait sûrement pas à lui imposer. En tout cas c’est ce qu’elle commençait à craindre.
Mais cela est une autre histoire que je vous conterais bientôt.

Amis Nantais, ou d'autres régions, si votre profil correspond à celui d’Alex ou de Léa n’hésitez pas à nous contacter
Peut être nous rencontrerons nous ?
Ou si vous souhaitez tout simplement connaître la suite des expériences d’Isabelle, vos courriels seront les bienvenus.
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,885
Up to the first message Down to the last message
C'était il y a deux ans, Isabelle était seule à la maimister ce bel après midi d'été.
Il faisait chaud, elle se reposait sur un bain de soleil et s'endormit.

Au bout d'un moment la sensation d'une main qui la caresse la réveille à moitié
C'est très agréable
La main descend doucement dans mister dos jusqu'aux cuisses
Elle descend jusqu'aux chevilles, puis remonte lentement
À chaque montée et descente Isabelle sentait ces mains glisser de plus en plus vers l'intérieur des cuisses.
C'est bien là le style de mister chéri ! Se dit elle
Elle écarte doucement les jambes pour me laisser effleurer ses lèvres
Elle gémit, mais n'arrive pas à se réveiller
D'ailleurs le veut elle vraiment ?
C'est bon! Elle sent sa chatte s'humidifier
Son petit bouton commence à la démanger
Elle écarte franchement les cuisses
Mon doigt glisse dans sa chatte
Elle gémit plus fort
Çà y est elle est vraiment excitée
Elle soulève ses fesses, glisse une main sous mister ventre et se doigte le bouton
Une langue vicieuse vient titiller mister petit trou
Hum...c'est bon ! Me dit elle
Je continu et lui enfile un doigt dans la chatte que je fais doucement rentrer et sortir
Elle reste un long moment comme ça, toujours les yeux fermés pour mieux savourer mes caresses
Elle me répète régulièrement " encore....!"
Mais bientôt elle n'en peut plus et me dit " baise moi"
Maintenant elle à vraiment envie
Il lui faut une queue dans la chatte
Devant elle à quelques mètres de distance, elle entend une voix lui dire " c'est bon chérie ?"
Dans sa tête, entre sa torpeur et mister excitation, il lui semble que quelque chose ne va pas
Il lui faut quelques instants pour réaliser que c'est ma voix qu'elle entend
Mais alors.........qui m'a caressée depuis tout à l'heure ???
Elle se retourne vivement et découvre Alex, mister amant, assis sur le bord du transat
Un sourire coquin et l'oeil vicieux
" Vous êtes deux beaux vicelards tous les deux !! " dit elle contrariée d'avoir été abusée à l'insu de mister plein gré. Elle comprend alors que nous nous connaismisters déjà pour avoir monté ce plan.
" Et encore.... le meilleur reste à venir !" lui répond mister amant
hummmm......!.Fait elle, remise agréablement de sa surprise
Alex se relève, Isabelle assise au bord du transat a le nez à hauteur de sa braguette.
Elle tourne la tête vers moi et me dit;
" Maintenant que vous m'avez allumée il va falloir éteindre !"
Isabelle ouvre le pantalon d'Alex et prend sa queue déjà bandée dans sa bouche.
J'aime quand mister regard croise le mien, je lis dans ces yeux que cela l'excite de sucer une autre queue devant moi.
Elle ne me quitte pas des yeux et continu sa fellation. Je vois la queue d'Alex aller et venir entre ses lèvres, puis elle se met à le lécher sur toute la longueur avant de revenir titiller le gland du bout de la langue pour finir par renfourner la queue entière dans sa bouche.
Heureux Alex ! Il est aux anges, et cette salope d'Isabelle sait parfaitement quel effet elle nous fait.
J'ai moi aussi retiré mon pantalon et je me branle en les regardant.
Je vois qu'Alex risque de bientôt craquer. Il me fait signe d'approcher, manifestement il demande du renfort. Isabelle veut nous faire payer notre traîtrise.
Je m'approche, il ouvre mister bras pour m'inviter à me coller à lui.
Isabelle se retrouve avec deux queues à sucer juste devant sa bouche. Chaque main tient une queue, elle enfourne alternativement nos sexes durs dans sa bouche. Nous nous resserrons, nos queues se touchent, elle passe sa langue sur nos glands en faisant des huit, tout en nous regardant. Quelle salope!
Je me retire au bout de quelques minutes et vais chercher une couverture que j'installe sur la pelouse.
Je m'y allonge, Alex entraîne Isabelle jusqu'à moi
"Suce ton mari ! " lui dit il.
Elle se couche sur le coté, lui en profite pour s'allonger entre ses jambes.
Isabelle écarte les cuisses à 90° degrés, pas besoin de faire part d'invitation pour Alex.
Il plonge sa tête entre les cuisses d'Isabelle et commence à la lécher.
Hummmmmmmmm……! Ma queue dans sa bouche l'empêche d'en dire plus.
Alex suce aussi bien sa chatte qu'elle suce les queues. Il sait comment titiller, sucer, lécher, et alterne avec talent les trois techniques.
Les gémissements d'Isabelle s'accentuent, je la vois onduler du bassin.
J'ai compris, même si je ne peux voir dans ma position. Je sais à la réaction d'Isabelle qu'Alex vient de lui enfiler un doigt dans le cul tout en continuant mister cunnilingus.
A ce régime, elle ne tiendra pas longtemps, je la connais.
"Tu dois demander gentiment à Alex si tu ne veux pas jouir sous sa langue!" lui dis je
Demande lui; "Baise moi, je veux ta queue dans ma chatte pendant que je suce mon mari!"
Un zeste de pudeur la fait hésiter (elle n'a pas l'habitude de s'exprimer ainsi devant un amant)
Elle lâche ma queue et regarde mister amant d'un regard flou.
"Baise moi…………. je veux ta queue dans ma chatte pendant que je suce mon mari!"
Rien que de dire ses mots, Isabelle à faillit jouir, Alex s'est arrêté juste à temps. Quelle douce ***.
Il remonte se placer derrière elle et lui enfile sa queue d'un coup.
Isabelle pousse un long soupir et se remet à me sucer.
Je m'installe sur les coudes, et remarque qu'Alex à décidemment de la suite dans les idées. Il vient de lui renfiler un doigt dans le cul tout en la baisant.
Je ne donne pas deux minutes à ma chérie avant qu'elle ne prenne mister pied.
Gagné! L'orgasme arrive, elle remue mister bassin sur la queue et le doigt d'Alex. Elle lâche mon sexe et pousse un long râle, sa respiration devient saccadée, elle reprend ma queue dans sa bouche mais elle ne sait plus ce qu'elle fait.
Alex cesse lentement le coït. Isabelle repose sa tête sur mon ventre et garde les yeux fermés.
Nous n'omisters plus bouger pour la laisser encore dans sa plénitude……………
Puis, Alex recommence à caresser doucement mister corps
Lentement Isabelle sort de sa torpeur, elle nous sourit.
Elle m'embrasse sur la bouche, nos langues s'emmêlent.
Alex continu ses caresses en nous regardant nous embrasser.
Il embrasse mister corps. Moment de douceur…..
Elle se redresse, se retourne vers Alex et l'embrasse longuement à mister tour.
Il n'y à aucune jalousie chez les hommes, mais une grande satisfaction de la voir si heureuse.
Je lui caresse les fesses, à mon tour.
Isabelle continue de rouler sa méga pelle à mister amant et recommence à onduler du bassin sous mes mains. Elle n'a pas l'intention de s'arrêter là.
Elle s'écarte de mister amant, se retourne vers moi, me pousse pour m'allonger sur le dos.
Isabelle prend ma queue toujours en érection.
Elle s'assoie sur moi et s'enfile jusqu'à la garde.
Isabelle commence à monter et descendre.
Alex lui caresse les fesses à mister tour.
Isabelle arrête ses mouvements, cambre ses reins, et tourne la tête vers Alex.
Pas un mot, mais l'invitation est on ne peut plus claire.
Alex s'installe derrière Isabelle, sa queue vient en appui sur sa rosette. Il pousse lentement, elle s'ouvre facilement.
Isabelle se mord les lèvres, ferme les yeux.
Dès qu'Alex eu franchit l'entrée, Isabelle poussa un long gémissement et commença à monter et descendre sur nos queues. Nous n'avions presque pas besoin de bouger. Elle s'empalait maintenant elle-même avec un plaisir non dissimulé.
Je la voyais maintenant se passer la langue sur les lèvres. Pas de doute, elle aime le sandwich.
Sa respiration s'accélère de nouveau. Une queue devant, une queue derrière, elle qui est aussi sensible coté pile que coté face, cela risque de donner un cocktail détonnant.
Effectivement, je voie sur mister visage le plaisir monter. Je sens aussi quelle se retient.
Oui, je sais ! elle veut nous faire jouir avant tout.
Et nous, nous voulons d'abord la faire rejouir.
Elle remue de plus en plus fort, elle est décidée à nous faire craquer.
Alex semble d'ailleurs sur le point de tout lâcher, je vois mister regard commencé à flancher, il va partir.
Pour moi aussi c'est imminent.
Cà y est ! Alex jouit, il lui envoie tout mister jus dans le cul, cette image me fait partir aussi, j'envoie tout au fond de sa chatte.
Isabelle sent les soubresauts de nos queues dans sa chatte et dans mister cul, elle sait que nous la remplismisters de nos spermes.
Isabelle relève la tête, comme un loup qui s'apprête à hurler. Elle crie.
Un cri long qui vient du plus profond de mister ventre.
Malgré sa jouissance Alex continue, il garde un rythme parfait. Je le suis, moi aussi
L'orgasme s'éternise, un avion pourrait s'écraser dans le jardin cela ne la dérangerait pas, elle est partie trop loin, au septième ciel.
Nous continuons encore Alex et moi.
Puis d'un coup, isabelle s'affale sur moi.
Nous arrêtons.
Elle a sa joue contre ma temple, elle ne bouge pas, sa respiration se calme progressivement.
Alex s'est allongé, sa poitrine repose délicatement sur mister dos, il pose sa tête sur ses épaules.
Isabelle est blottie entre nos deux corps. Contact chaleureux qui se prolonge. Nous restons un long moment ainsi, sans bouger, sans parler. Privilège de partager un moment d'extase à trois. Bien que plus que partage, il faudrait parler de cumul. C'est comme si chacun avait profité non seulement de sa propre jouissance, mais aussi de celle des autres. C'est une sensation que je n'arrive pas à décrire avec les mots justes.
Nous avons passé l'après midi ensemble, à glander au soleil, nous nous sommes même endormis ensemble, Isabelle et Alex sur les bains de soleil et moi dans le hamac.
Journée inoubliable.
Si vous souhaitez connaître la suite, ou si cette histoire vous inspire amis nantais, ou d'autre régions, n'hésitez pas à me le faire savoir sur mon mail.
vanbruje

Member

Posts: 282
#1,886
Up to the first message Down to the last message
A nouveau merci... il y a une invite pour la suite... aurons-nous le plaisir de la lire ?
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,887
Up to the first message Down to the last message
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,888
Up to the first message Down to the last message
The hyperlink is visible to registered members only!



Maid Wife


"Apart from that she wouldn't wear stockings and suspenders." Jim complained to Angus, a colleague in the office. It was one of a list of criticisms he voiced in complaint since she had phoned telling him she was leaving. The trip to the sub office was going well and Jim would soon be returning home, only to an empty apartment, which he wasn't looking forward to.

Angus had patiently half listened to the moaning while they worked. With a smile on his face he told Jim. "My wife wears what ever I want her to. Last year she went to a magictist to help give up smoking. To save him magictising her from scratch each session he used a phrase to put her into a magictic state. He calls it a password. I found it out and have been using it to add my own instructions." Feeling he had revealed too much of a permisteral, perhaps even sordid, tale he shut up to concentrate on preparing the report for Jim.

Jim felt the embarrassment creep upon them both. He didn't now the man well only arriving from head office a few days ago, yet they seemed to be getting on, but it occurred to him this might be a set-up. "Well it must be a disappointment that she wears them only under magicsis, isn't it?" Jim asked, trying to sound casual. He might as well see where this was going and with a little encouragement Angus continued.

"It was, but I worked out something. I suggested she was itchy wearing tights and shouldn't wear them. After that worked I suggested she felt uncomfortable not wearing anything on her legs, so obviously, she started to wear stockings - those stay up ones, you know with elasticised tops. I suggested they might fall down leaving her embarrassed in a supermarket. To avoid the embarrassment she should hold them up with suspenders. After sometime repeating it all, she's now taken to wearing stockings and suspenders all the time." He boasted.

"That sounds very convenient, having a wife who panders to your whims. Well worth the trouble I'd say. Do you have more plans for her?" Looking a little sheepish Angus changed the direction of the conversation back to the company accounts.

"What you were telling me this morning sounds intriguing. Perhaps you could give me some hints for my next girlfriend. So I could get her to give in to some little whim or other." With a little encouragement Angus was soon sharing his experience and explained the mistake made in directing her too directly toward what he wanted to achieve.

"It's not so easy. You can't just tell her to do something she wouldn't normally do. You would have to build up to it with lots of little commands. It's tricky." They fell into silence for a while thinking their own private thoughts.

"What's the first step? How do I get her magictised to start it all off?" Jim asked. Angus was enthusiastic with the chance to share this new found game with someone so wrote down the number of the magictist.

"What if the next girlfriend doesn't smoke? How could I get her to go?"

Angus thought about this seriously although Jim was still sceptical about the whole idea so it didn't matter that much - he just played along. He merely wanted to find out what Angus had been up to since he was so enthusiastic about it.

"You could tell her someone at work had lost weight through magicsis, pretend to get the number from one of the girls in the office. After all women always want to improve their figure. That's something I'm working on with Melody."

It was true Jane had always been on some diet; it was something he disliked about her, all those fad diets spoiling an evening out at a restaurant. He had to join her eating only carbohydrates or not eating them, avoiding fat as though it were a demon or subsisting on vegetables. "You could be on to something there Angus." He said.

Seeing Jim was taking it seriously he decided to make him an offer. "You could come round on Friday evening if you like and I'll show you how it's done." Angus offered.

Before Angus could take back the suggestion Jim agreed. "That would be great. Perhaps you could help with me out with the next girlfriend." He laughed, although this was an empty statement as there was no way he could possibly let Angus near a girlfriend of his. Not wishing to return home this seemed like an amusing diversion to what would have been a lonely weekend.

Next day was Friday and the end of the day had arrived after many conversations, which intrigued Jim to distraction. He was looking forward to this demonstration that Angus was just as eagerly planning.

***

Walking in to the house the first impression was of an ordinary, neat and tidy home, with nothing out of place. When Melody walked into the lounge it was she that looked out of place, significantly. In the conservatively fashioned home there stood a dream of womanhood that any man would lust over. Angus was around forty yet this woman looked a young thirty something. Long dark hair flowed over bare shoulders and under the fringe were long eyelashes, a pretty little nose and wide full lips.

What struck him most were the clothes. It was a French maids outfit, low cut with a very short hem. "Take his coat then bring us takes." Angus ordered, without a please or thank you which would have earned any husband a rebuke before a guest or not. So perhaps Angus had achieved all that he had boasted about.

With his coat neatly folded over her arm Melody asked, "What would you like to take, sir."

Still in a state of shock he moved his attention from the deep cleavage, struggling for an answer. "A beer please." He stammered. He was sure she gave a slight curtsey before disappearing with the coat.

"So what do you think? It's worth a little trouble setting things up to achieve such a co-operative wife. Don't you think?" Angus asked.

Jim noticed the gleam in his eye as though he were showing off a new sports car. "It's a great idea Angus." He said, while his mind spun around full of ideas of his own. "That's amazing. She doesn't behave as though she were in a trance yet I can see what you have achieved and I'm impressed." For the first time since their conversations he seriously thought of trying it out on a girlfriend.

When she walked back into the lounge with takes their conversation stopped with Jim in mid sentence too embarrassed to continue.

"Here are your takes gentlemen. For you, Sir, a beer. For you, Sir, a martini."

With a closer look he noticed the waist of the dress was pinched in tight giving her a devastating figure, exaggerating the breasts as well as exaggerating a pair of long legs. "There must be a damn tight corset under there." He thought. When she bent over him it looked as though the huge breasts were about to swing forward right out of the dress into his face. He was excited, intrigued and embarrassed all at the same time. His wife was in the room while Angus continued to discuss her though Jim felt unable to join in the conversation being too self-conscious.

"Let me see those suspenders. That's right lift the dress up. Higher." Angus ordered. Without the slightest hesitation at all she lifted the hem with both hands, showing them both a pair of tight black suspenders over pale white thighs, holding up a pair of sheer stockings.

Her legs were long and shapely he thought, but it was the glimpse of black panties that really caught his eye, which he tried to ignore out of a sense of decorum before Angus. At twenty-six Jim was the youngest area account manager, confident in the job, yet here he knew he was out of his depth feeling unsure of how to behave in this unusual situation.

chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,889
Up to the first message Down to the last message
As she served another round of takes the phone rang. Jim was concentrating his attention on her movements around the room so missed the beginning of the conversation.

"I'll have to go. My lady is ill. I'm sorry about this. Damn. It's going to take too long to bring her round and I wanted to keep her like this for the whole weekend. It's an experiment, as I usually keep her under for only a couple of hours at a time. Look I won't be long, could you look after her for me until I get back." Angus asked.

Jim was a little overawed by the prospect of being left with the woman. She was no longer this man's wife but an overpowering image of a sexy maid, not a real permister at all. He nodded absently.

While hurriedly donning his coat Angus added instructions as he thought of them. "If someone comes round send her upstairs out of the way and tell them I'll be back soon. Best not let them in if you can help it."

Jim nodded at each of the instructions feeling he should say something yet unable to make his mouth work, even when he managed to think of something to say. The circumstances were so overwhelming it left him tongue-tied. The door finally closed on his newfound friend and confidant. He felt strangely alone as though he were there with a mannequin.

Melody was busy refreshing the snacks emptying peanuts into a bowl and checking the glasses. Hearing her husband say he had to leave pitched her stomach into turmoil. She felt like shouting at him to stop, yet carried on as ordered acting as the maid. With an outward appearance of disinterest over what her master did she sashayed back to the kitchen for another beer. Inside hot fury welled up where she wanted to shout at him, "What the hell do you think you are doing leaving me with this young man." Yet she couldn't say a word of protest.

It was bad enough he had introduced a stranger into their home, leaving him here was an outrage. Melody had tolerated Angus' little games knowing it would please him and relieve her of making an effort. This was just too much to tolerate.

After another take had been politely delivered and only five minutes had passed he asked her rather timidly, "Would you do anything I ordered?"

To the hesitant question came an immediate and brief answer. "No." The answer was impassive not what should have been an imperious rebuff.

From somewhere inside his head came the question. "Why?"

A moment's hesitation brought forth an explanation. "You have not given me the password." She said, again in a matter of fact way as though discussing the weather. It was only a slight relief to say this for she still felt humiliated to be serving this young man in her own home dressed like a tart.

After asking some innocuous questions, something occurred to him, so he asked, "You have brought me takes and are talking to me, though I haven't given you a password. How so?"

She told him, "My master has ordered me to bring you food and takes as you want. I have been ordered to speak normally in the house in case someone visits unexpectedly. It is a general command to talk to anyone normally just in case our game is interrupted." She said then abruptly turned on a high heel making her way back to the kitchen.

"Well at least you haven't been ordered not to answer questions." He thought. He held his breath in anticipation of the next answer. Careful not to make it an order he asked, "What is the password." Jim watched intently expecting there had been a command to block the answer to this vital question. Seeing the hesitation confirmed this was so.

Melody wavered in fear seeking a way to avoid the answer, and then replied, "No smoking in the gallery." On hearing herself betrayed by her own lips the anger melted leaving fear. A moment ago she had been protected from direct orders only to be left so very vulnerable to embarrassment, or worse. She was sure there were limits to how far he could push her but small little naughty things could be so dreadfully humiliating.

Hesitantly he repeated the password.

The reply was involuntary yet immediate after so long practising the game, "I am awaiting your order, Master."

Nothing had changed in the room as she stood as before quit still, serenely patient. Only his whole perspective of the lounge and everything in it, including her, had changed dramatically. It seemed he was now her master with all that she had to offer placed at his disposal. He wondered what he had time for and what he should have her do first.

"Show me your suspenders. Lift the dress higher. Up around your waist." He directed. He could feel himself licking his lips on having such a better view of those delectable black panties from when Angus had been there. "Turn around to face the television. Bend over." He ordered.

"I knew it." She thought. Bending over was such a small thing to do yet dressed in the silly short dress made it so demeaning and even worse knowing she couldn't resist the instruction. Feeling the silk panties pull tight around her bottom, between her cheeks, was perfectly all right before Angus yet here it was so very terrible. It wasn't just having her head down that brought the red pounding to her face.

His breathing had become ragged as he watched the silk panties fold tightly between her cheeks. Drawn toward her he dropped to his knees. "Can I touch your bottom?" He asked in a whisper.

With eyes tight shut she tried to block out what was happening hoping it would soon be over. It was a shock to hear him speak so close behind her. Without a thought she responded automatically. "You may do anything you want with me, master." She said.

A shiver went through her body hoping this wasn't true, surely not, it couldn't be. How long would it before Angus returned? What would the young pest do with her? If only she had listened more to that conversation on the phone she might have realised Angus was leaving the house, leaving her helpless. She might have managed some protest or tried something to prevent this awful situation. She had been too long playing his games until now the subservient role was so very strong it was difficult to resist.

His hands had already begun to pull the panties away from a pair of soft cheeks he found hiding there. Her crotch was inches from his face, which was demanding a lot more attention than he was giving it. He found her swaying a little, backwards and forwards. She had been taught to be an attentive servant to a master, obviously without specific direction that it should be Angus and only him. It was more than likely she had been continuously and repetitiously commanded to obey a master and now he was that master. For how long though, when would her husband get back to the rescue?

With small movements she was swaying toward him as though tempting him with her sex. Swaying before his nose was her crotch, shaved clean to perfection, which was another of the services performed for her master. It didn't make it any easier that this young tormentor was so handsome.

He held back telling himself this was a colleagues wife he had just pulled the panties from. More concerned with what would happen if he were caught, in the throws of passion on their lounge carpet, he pulled himself back to the armchair. He had to calm down and think.

The telephone rang. He jumped in surprise. Turning in the chair he picked up the phone and murmured, "Jim, hello." Still in a dream state he listened to Angus.

"I'm sorry Jim, can you stay on a little longer. I'm at the hospital. I might be here some time."

He looked at Angus' wife, bent double, with a pair of black panties around her ankles. Her luscious cheeks were framed perfectly by stockings and suspenders. A pair of tumescent lips protruding between the thighs glistened with wetness. He cleared his throat. "Sure, no problem. How long do you think you'll be?"
chrislebo

Member

Posts: 164695 Pictures: 3 
#1,890 
Up to the first message 
Jim gently replaced the phone with a shaking hand. Angus had told him he would be at the hospital for some time and why, though Jim had only heard he was to look after Melody. Perhaps Angus didn't realise how deeply she had been magictised or was relying on the password protecting her from Jim giving direct commands. After all she had never been left with someone else or even been in the presence of someone while magictised.

Melody heard Jim talking to her husband on the phone wanting to shout for help, wishing for him to speed back to her rescue. Why had she been left like this at a stranger's mercy? If it were a game it was devilishly cruel. He hadn't actually touched her nonetheless she had never been so humiliated, bending over displaying her body so rudely. In her own lounge she had been put into this degrading situation with a complete stranger. Anger left her shaking.

Jim couldn't keep his eyes off the delicious sight before him. The little black dress was up around her waist. The suspender straps curved around white cheeks clasping tight the seamed stockings. Her delectable arse was perfectly framed. Little involuntary movements of her legs thrust the lips between tightly clasped thighs as though her pussy were winking at him.

The enticing sight of her rear brought him close like a snake being charmed across the room by the swaying of her hips.

Hearing him move up close transformed the anger in an instant to fright, 'No! Stop.' She wanted to scream only the words wouldn't sound.

"I want to kiss you." He said.

It took a moment for the words to reach into a mind reeling from fear. 'No. Just let me go.' She thought. Involuntary words left her lips as programmed. "Yes, master." A fleeting moment of relief lifted her spirits at the thought of being able to move from this shameful position. Kissing him would be preferable to what she thought was about to happen while bent over with her panties around her ankles.

Feeling his breath upon her bottom she froze in fright. Again she wanted to cry out. His lips touched hers. Her hazel eyes opened wide in dread. It wasn't her mouth he was kissing he was doing it to her down there. Clasping her legs together was no good her lips were protruding between them. A shiver quaked her belly. An anguished groan escaped her pursed mouth on feeling a tongue brush between those lips.

'No! Please leave me alone.' Melody whimpered, only the sound was a shuddering out rush of breath. Realising she had pushed herself against him brought on a distraught whimpering. Feeling his tongue enter brought with it a need for more. The whimper changed to a yearning moan. When he sucked her pussy into his mouth she moaned in pure pleasure all thoughts of resistance washed away on a tide of desire.

In one last desperate attempt she yelled with her mouth wide, 'Stop. Please stop.' Only the words were merely a guttural sound from her belly. Trying not to give in to her body the gyration of her hips was more a pulling away than the forward push it pleaded for.

"I want to fuck you." He said. The words vibrated against her bud sending a shiver through her tummy, tingling her nipples. "Yes, master. Oh! Yes master. Yes please!" She moaned, at last giving way. Only a distant fading part of her mind remained to cry in despair.

Devouring great gulps of air he rose up in one powerful motion to lunge into her. Lifting her onto tip toe with the momentum of the thrust he held her there a moment. Lowering her whole body with his penis he felt her grip tightly not wanting to lose the feeling of fullness. Instinct taking over his body he began to piston his hips with her taking up the rhythm.

Like a machine over wound they desperately moved as one, breathed as one, cried out together in magnificent heaving breaths of sound. "I'm coming. Come." He shuddered, gripping her breasts powerfully.

She needed no order to obey. The ultimate thrust filled her body sending quaking lava heat out from her sex washing through every nerve. Outside was a stiff unmoving thing while inside was awash with fire. The grip upon her breasts hurt wonderfully.

Not wanting the wonderment to end she gripped his deflating penis until with a feeling of loss it slipped from her. She flopped upon the floor in an untidy heap upon him. Wanting to push him away, to run away, and the need to hold him equally charged her mind with emotion.

Jim wrapped his arms around her. Brushing her hair to one side he kissed her forehead. "You had better go upstairs and shower. Go to bed and relax." He told her.

Reluctantly Melody dragged her feet up the stairs away from her lover but there was no choice she was impelled to obey. She wanted to stay with him clinging on to the warmth of the afterglow of the most satisfying orgasm ever experienced. Guilt swept over her at the thought and the realisation she had wanted him. It was easy to understand. He was young and handsome and it had been so naughty, such an illicit affair.

Without thought she entered the guest bathroom, ***ly refraining from using the on suite. Not wanting to enter their bedroom after being used like that, it wouldn't be right, while glowing from a marvellous orgasm with a stranger. Why hadn't he thought to command her to forget, it would have made things so much easier? Then again it had been an experience to remember. Frightening yet so very much a pleasure.

Jim listened to the sounds of a shower eventually followed by the muffled patter of feet on soft carpet, the closing of a door brought silence to the house. Still on edge he waited the return of her husband. Angus didn't look the aggressive type but he had just taken his wife, what if he found out. They weren't really friends as such but at the very least it would cause a scene and how could they work together after this?

Even the street noises had ceased in the early hours of the morning. Jim was on edge. Startled by the sound of a car pull up in the drive he jumped out of the armchair. Grabbing a book from a shelf he settled back down attempting to look comfortable and casual as though nothing had happened.

"Hi, Jim. Thanks for holding the fort. Do you want a take I could use one. I didn't know you were interested in trains?" Angus said over his shoulder.

Jim looked at the book in his hands. The illustrations of steam locomotives obviously upside down, fortunately the plain red cover hadn't revealed the mistake. Slamming it closed he walked into the kitchen attempting to sound nonchalant. "She's upstairs arelax. I hope that's alright."

"Oh. Yea. Thanks. Mother is relaxing too." Angus voice didn't betray his feelings, sounding light hearted as though returning an off hand remark.

Jim caught a glimpse of tears in his eyes as Angus turned quickly to the kitchen counter. When handing over the glass they had been wiped away. "Mmm. Nice Scotch. So what happened?"

"Mother is dead. That's it. She went peacefully. Didn't know what was happening. Thanks for looking after things Jim. Could you tell them in the office I won't be in. Monday."

Jim made the usual commiserations glad that Angus was keeping his emotions to himself and quickly left. It was a fraught drive home trying to remember the way still not used to the hire car. He wanted to speed back to the sanctuary of the hotel room yet managed to keep within the law. Had he broken the law back there?

*** Next morning she wondered where her lover was, what he was doing. It would have to be a naughty one off, it could never happen again. She had only allowed her husband to carry on with the silly magicsis thing to keep him happy. At least he paid her more attention than his hobby even if the sex had been a little one sided. Now it would have to stop. He didn't have to know about what happened last night but somehow she would have to tell him it couldn't go on, just in case. What if someone else, some stranger took her like that? It was too terrible to think about.

Still not having worked out how to broche the subject of magicsis with him she served breakfast. He seemed more distracted than usual and she became afraid he had found out. When he told her his lady had died in the night the weekend became a *** of unbearable guilt. He was still unaware that she knew about the magicsis so she kept quiet, giving him space. Fortunately he kept to his room intent on the hobby, reading and planning trips that never happened, as he often did. It was his way of dealing with emotional issues and it seemed to work for him.
 Page Page 63 of 322:  « Previous  1  ...  62  63  64  ...  321  322  Next »
Rating: 63, 26 votes.
Cuckold Stories Post CuckoldPlace.com / Cuckold Stories Post /
les histoires de chrislebo
Up to the first message Up to the first message
Your reply Click this icon to move up to the quoted message
   More...
» Username  » Password 
Only registered users can post here. Please enter your login/password details before posting a message, or register here first.
 
Online now: Guests - 315
Members - 56

Page loading time (secs): 0.123

Press | Advertise | Webmasters | Terms Of Use | Privacy Policy | 18U.S.C.§2257 | Statistics | RSS