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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#1,801
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Mike then turned her to look in the mirror. "Take a
look your new self."

Tammy looked and tears started to come down her face.

"You should have watched you mouth young lady. Now go
and fuck Angie"

Tammy walked over to Angie, removed Angie's shorts
and started to fuck her with her new tongue.

Next he took control of Carrie.

YOU ARE NOW A GIRL SLUT

YOU WILL DRESS AS A SCHOOL GIRL. IT WILL BE AS SEXY
AS POSSIBLE.

YOUR HAIR WILL BE KEPT IN A PONY TAIL DOWN TO YOU
KNEES.

YOU WILL REFER TO YOUR SELF IN THE THIRD PERSON.

YOU WILL CALL ME DADDY AND ANGIE MOMMY.

YOU WILL BE A GOOD LITTLE GIRL

Like Tammy, Mike made some physical changes to
Carrie. Her hair grew to her knees. Her mouth tuned
to a perpetual pout. Her pussy became hairless along
with the rest of her body except for her head. Her
breast grew to a 38 C cup.

Mike let her go. She looked up at Mike "Hello daddy.
Would you like to fuck Carrie?"

"Yes, I would."

Carrie immediately tuned around and bent over on all
four and put her ass up at Mike. Mike took off his
clothes and immediately started to fuck Carrie doggy
style. "Fuck Carrie. Fuck Carrie's pussy hard. Fuck
Carrie's brains out." Carrie kept yelling as Mike
rammed his cock home. Finally he shot his load deep
in Carrie's cunt. As Mike came Carrie did to. She
came so hard she almost ******.

Mike got up and looked at Angie and Tammy. Tammy had
make Angie cum with her new tongue and was now
helping Angie get dressed.

"What do you think of your new pet Angie?"

"Oh I love her Mike. She always liked to rule the
house. Now he can be ruled. And I love her tongue."

"Great. I'm going to take a nap. Why don't you take
the girls shopping before we leave?"

"Sure Mike, I'd love to."

The girls got dressed in their old clothes to go
shopping. Carrie had Tammy braid her long hair on the
way shopping.

When Mike woke up his girls where in the living room.

Angie was still dressed as she was.

Tammy was dressed in her new shear black body suit.
Wrapped around her neck was a 2-inch wide black
leather collar with a tag that said "Angie's Pet".
Her ass was shaped well by her 6-inch spike heals.
She followed Angie around the house always looking at
Angie's ass or pussy.

Carrie was dressed in a shier white button up top
that was skintight. Her nipples could be partially
seen through the shirt. The cuckolds brownie was unbuttoned down
to below her new breasts so that plenty of cleavage
was visible. She also had on a short plaid mini skirt
with white thong panties. Her legs had over the calf
white socks with 4-inch high black shoes.

Carrie walked up to Mike "Oh thank you daddy. Carrie
loves her new clothes so much."

"I'm glad Carrie. Now you girls pack up so we can
leave."

"We are already packed and loaded dear." Said Angie.

"Ok. Angie you drive your car. Tammy can drive mine.
Carrie you can ride on my lap in Angie's car."

They all climbed in and headed to their new homes.

Mike had removed Carrie's panties and put his cock in
her pussy. All the way home Carrie would slowly rock
her hips and massage Mike's cock.
soumis8

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#1,802
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la suite d'Isabelle....


Après les cours, nous nous retrouvons. Isa évite mon regard. Rien de bien extraordinaire ne nourri notre conversation, avec les copains et copines. Nous terminons les cours à 17 heures et nous décidons d’aller dans un autre café (La cascade) pour être plus au calme. Mais là encore, nous retrouvons une bande d’amis. Donc nous décidons de nous installer dans un petit parc. Enfin, nous sommes tranquilles.

» Qui parle le premier ? »
» Toi ! »
» Ok, si tu veux. Tu vois, Isa, tout s’est passé tellement vite que je ne sais pas si j’ai vraiment bien compris de quoi il s’agissait. Mais je sais qu’une chose est importante, c’est ce que m’a dit Ahmed. Enfin que tu attendais depuis 2 ans que je fasse ce que tu désirais et que je n’ai pas fait. C’est ça qui est important, Isa. »
» Pourquoi est-ce si important ? »
» Je pourrais te répondre que si je l’avais fait, nous n’en serions pas là, aujourd’hui, mais ce ne serait pas exact. Premièrement, si je ne l’ai pas fait, c’est que, sans doute, c’était le destin, en quelque sorte. Deuxièmement, c’est que je voulais te respecter, attendre, au moins nos fiançailles officielles après le Bac. Et je pense que tu aurais, pu, toi aussi prendre l’initiative. »
» Ce n’est pas à moi de prendre une telle initiative ! »
» Ah bon ? Tu l’as bien prise avec Ahmed ! »
» C’est pas pareil, tu étais là et le contexte a fait que… »
» Le contexte il bon dos. »
» Et toi alors, pourquoi tu m’as laissé faire, hein ? Pourquoi ? »

Je ne répondis pas immédiatement.

» Alors, parle ! »
» Je n’ai jamais fait l’amour et tu le sais. Sur la plage, lorsque j’ai vu Ahmed avec mister sexe géant, deux fois plus gros que le mien, qui te caressait et que tu te laissais faire, j’ai été très excité de regarder. J’étais tout bizarre et je bandais très fort. Et le soir, alors, tout c’est emballé, j’avais envie de voir comment il faisait. J’avais aussi envie de voir comment il fallait faire. Et aussi, toi qui te laissais faire alors que tu aurais dû le gifler. Je ne savais plus très bien où j’en étais, ni ce que nous étions en train de faire et cette situation m’excitait. C’était comme si j’étais un autre. »
» Tu as été voyeur, quoi ! »
» On peut dire ça . »
» Et ça te plait d’être voyeur de ta propre fiancée ? »
» Je crois que j’ai aimé ça, oui. »

Nous avons bavardé encore trente minutes au moins.

» Bon je dois y aller. »
» Tu pars où ? »
» Ben, chez moi ! »
» Déjà ? »
» Oui je dois aller faire des courses avec ma mère, chez Leclerc. »
» Ah bon ? Mais tu n’y vas jamais. »
» Oui mais c’est spécial, aujourd’hui. »
» Bon, moi qui voulais rester avec toi… »
» Demain ! »

Nous nous sommes embrassés et elle est partie. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne la croyais pas. Alors, j’ai décidé de la suivre. Elle allait à l’opposé de chez elle. Quinze minutes plus tard, elle arrivait devant chez Ahmed. Elle misterna et le portail s’ouvrit. Elle entra. J’étais fou de rage et de colère. C’était la première fois qu’Isa me mentait ainsi. C’est sans doute pourquoi, je m’en suis aperçu immédiatement. Je restai planté là, longtemps. Vers 20 heures, elle sortit et rentra chez elle. Cette nuit là je ne trouvais pas le sommeil. Le soir, je sortis du lycée sans qu’elle me voie et j’attendis, caché. Elle sortit à mister tour et je voyais bien qu’elle me cherchait. Puis elle fila. Je la suivis à nouveau. Elle alla encore chez Ahmed. Elle en sortit fort tard, passé vingt-et-une heures. Il en fût ainsi toute la semaine, sauf le vendredi soir. A vingt-trois heures elle n’était toujours pas ressortie. Je rentrai chez moi. Le matin, j’allais épier la maimister d’Ahmed. Vers onze heures je la vis. Elle courut chez elle. Je rentrai chez moi. A dix-neuf heures, elle vint et me dit qu’Ahmed voulait nous parler à tous les deux.

Arrivés chez lui, il nous invita à nous asseoir et nous servit le pastis.

» Daniel, j’ai dit à Isa qu’il fallait que je vous parle, enfin surtout que je te parle à toi. J’ai beaucoup de choses à te dire. »

J’étais à la fois très fâché et très curieux. Oh, je savais bien ce qui s’était passé toute la semaine. Depuis longtemps, Isabelle n’était plus avec moi le soir. Comme par défi je lui répondis :

» Je crois, oui ! »
» Ok, je vois que tu es un peu à vif, jeune homme, mais il faut te calmer. Alors écoute ! Voilà, Isa est venue chez moi tous les soirs de la semaine. »

» Je sais »

Isa me regarda, stupéfaite, et ses joues devinrent rouges.

» Tant mieux alors ! Donc, c’est moi qui ai demandé à Isa de venir, lundi. Je voulais lui parler de ce qui s’était passé le week-end et aussi lui parler de toi et de vous. Tu comprends ? »
» Non ! »
» Et oh Daniel, s’il te plait, sois cool, hein ! J’ai l’expérience que tu n’as pas et je sais ce qui s’est passé et pourquoi. Toi, non ! Enfin pas encore très bien, même si au fond de toi tu le ressens. Alors, si tu veux que je continue, cesse de te braquer, ok ? »
» D’accord, je vais t’écouter ! »
» C’est bien, mon gars ! Donc, Isa est venue lundi et nous avons fait l’amour. Et tous les autres jours aussi. Et surtout la nuit passée, elle est restée toute la nuit avec moi et nous l’avons fait plusieurs fois. Il faut aussi que je te dise que je l’ai enculée. J’ai pris aussi mister cul deux fois. Ceci étant dit, j’ai parlé de vous à Isa. Vous êtes et vous formez un jeune couple très beau et sympathique et je vous estime beaucoup. Bientôt vous vous marierez. Vous avez de la chance. Moi je ne suis qu’un vieil arabe de 52 ans et j’espère que vous avez aussi de l’amitié pour moi, malgré la différence d’âge. Bref, j’ai observé que tu étais un voyeur. Oh, ne t’en offusque pas, tu fais partie de cette catégorie d’hommes qui mistert ainsi, ce n’est pas une tare ni une maladie mais c’est ta permisternalité ! J’ai expliqué à Isa comment tu fonctionnais. Elle, par contre, c’est une femme sensuelle qui a et aura toujours de gros besoins sexuels. Et ça je te le dis à toi !
Alors, vous me direz, comment faire pour vous rejoindre ? Et bien tout simplement en vous connaissant bien et en assumant mutuellement votre nature. Il y a beaucoup d’amour en vous, l’un pour l’autre, c’est clair. Il ne vous reste qu’à évoluer vers votre sexualité et, non seulement l’admettre, mais aussi la forger, la partager et la vivre ensemble. Je peux vous y aider, si vous le voulez. Je pourrais au fur et à mesure de vos disponibilités et de votre volonté, vous connaître de mieux en mieux et ainsi vous aider vers cette évolution essentielle pour votre couple. Qu’en pensez-vous ? »

Je le regardais droit dans les yeux, puis Isa qui, elle, avait la tête baissée.

» Je vais te dire Ahmed, j’ai effectivement constaté que j’étais voyeur, voyeur de ma propre fiancée se faisant prendre par un homme. Depuis une semaine, je sais qu’elle vient chez toi pour… Pasmisters ! Cela m’a excité en permanence, le soir dans mon lit. Mais vois-tu, la décision appartient à Isa, c’est elle qui doit décider, si elle veut suivre ta proposition. »
» C’est respectable. Alors, Isa qu’en dis-tu ? »
» Le fait que Daniel soit là et qu’il ne dise rien ou plutôt qu’il me laisse l’initiative de notre relation, me confirme ce que tu me disais et que je dois aller, pour nous, dans ce chemin. »
» Peut-être, mais crois-tu que ça ne nuira pas à notre amour, Isa ? »
» Je t’aime de tout mon cœur Daniel et je veux vivre avec toi, mais j’ai peur que sexuellement ça ne colle pas tout à fait, car je crois qu’après ce que tu as vu le week-end dernier, tu aurais dû ou pu exiger que nous fassions l’amour et tu n’as rien fait. Au contraire, tu as préféré que je continue de voir Ahmed, tout en sachant bien ce que nous faisions. Je suis certaine qu’Ahmed à raimister, tu es profondément voyeur. Aussi, si ton amour pour moi est aussi fort que le mien, je crois que nous trouverons de cette façon à l’amplifier encore. »
» Bien exposé, dit Ahmed ! »
» Il ne me reste donc qu’à me plier à la volonté d’Isa. »
» Bien, c’est parfait. Mais comme je suis un homme respectueux de la liberté de chacun, je veux que vous réfléchissiez bien chacun de votre coté. Vous serez bientôt en vacances. Alors, vous allez me promettre de ne pas vous voir jusque là. Ainsi vous aurez tout le temps nécessaire pour bien prendre votre décision. Si vous êtes d’accord, vous vous retrouverez le premier vendredi soir des vacances et vous viendrez chez moi vers vingt heures. Je vous attendrais. Voilà, maintenant partez et à bientôt ! »

Nous nous sommes séparés sur cette décision unilatérale de notre ami et, durant plusieurs semaines, je n’ai pas vu Isa.

Ce vendredi 27 juin 2003, j’ai retrouvé ma fiancée, belle et radieuse au possible, légèrement bronzée et sexy comme je ne l’avais jamais vue. La minijupe au ras des fesses avec un tee-shirt moulant et court faisant ressortir ses beaux, fermes et énormes seins que l’on devinait sans soutien-gorge. Ses cheveux étaient lâchés, je me rendis compte qu’elle les avait coupés. Ses yeux bleu-vert illuminaient mister visage d’ange.

» Que tu es belle, je suis heureux de te revoir, Isa. »
» Tu es aussi très beau, Daniel, et je suis aussi heureuse de te retrouver, tu m’as beaucoup manqué. »
» Je t’aime, chérie ! »
» Je t’aime aussi, très fort. »
» Alors, que faimisters-nous ? »
» Moi j’ai réfléchi et j’ai même réfléchi en long, en large et en travers. Je suis persuadée que nous devrions faire comme Ahmed nous l’a proposé »
» Moi aussi, j’ai bien analysé ce que nous avons vécu et nos deux comportements face à cette situation. Je sais que pour toi, c’est quelque chose qui devrait te convenir. Pour moi, je voudrais être sur de pouvoir supporter et bien intégrer cette permisternalité de voyeur que je me découvre. Attendre et voir jusqu’où ! »
» Donc ? »
» Donc, je te suis ! »

Nous nous sommes longuement embrassés et main dans la main nous sommes arrivés chez Ahmed qui ne dissimula pas sa joie de nous revoir.

» Quelle joie, les enfants. Je suis content. Entrez ! »

Nous avons bu l’apéritif et avons parlé longtemps de tout et de rien. Mais surtout des malheurs de l’OM. Et le moment attendu arriva.

» Puisque vous êtes ici, tous les deux, c’est que vous avez choisi d’accepter ma proposition. Donc il n’est pas utile de vous demander d’exposer vos réflexions. Je préfère en venir directement aux conséquences. Pour Isabelle, il n’y a rien de spécial, les choses mistert simples, elle devra dorénavant faire ce que j’exigerai d’elle. Pour toi Daniel, c’est un peu plus complexe. Tu devras non seulement faire comme je te le dirai, mais tu devras toujours communiquer ce que tu ressens, ce que tu voudrais, tu dois parler. Pour que je puisse te guider il faut que je connaisse en permanence ton évolution psychologique et qu’Isa te réponde aussi à travers mister comportement ! Est-ce que vous avez compris ? »
» Parfaitement »
» Oui »
» Alors voilà ce que j’ai mis au point pour vous :

- Isa viendra chez moi chaque fois qu’elle le voudra, c’est elle qui viendra de sa propre volonté.
- Toi Daniel, tu viendras chez moi une foi par trimestre et tu me parleras.
- Tous les deux vous ne devrez vous voir qu’en ma présence hors du lycée et dans le lycée vous ne devrez pas parler de la situation.
- Au café vous pourrez vous parler mais pour échanger des généralités.
- Je déciderai de vous contacter ou non.

Avez-vous bien compris ? »

» Oui ! »
» Oui ! »

Je suis rentré chez moi et Isa est restée chez Ahmed.

L’année scolaire a passé très vite. Je me sentais mieux dans ma tête et les études me prenaient beaucoup. Je ne suis pas allé voir Ahmed, il m’en a dispensé. Isa et moi avons réussi notre Bac.

Vendredi 30 juillet 2004. Mon portable misterne. C’est Ahmed qui me demande de venir ce soir à 21 heures. J’y suis. Isa aussi. Elle est nue et il est nu. Ils mistert dans le jardin. Elle est assise sur sa cuisse et il la tient par la taille.

» Ah Daniel, ça fait longtemps, vient, prends une chaise. Alors, c’est bon d’être bachelier ? Et maintenant vous allez faire quoi ? »
» Moi je vais bosser chez mon père je serais comptable dans sa société, à La Penne. »
» Et toi, ma pouliche ? »
» Moi je vais entrer en école d’assistante sociale. »
» Parfait les enfants ! Mais alors, dites-moi un peu, c’est pour quand le mariage ? »

Un silence, puis je réponds.

» C’est que nous attendions cette réunion. »
» Ah, mais c’est bien ça alors ! »
» En fait, nous en avons parlé à nos parents et ils ont été d’accord pour nous aider. Nous nous marions le 14 août prochain. »
» Mais c’est qu’elle m’avait caché ça la petite. »
» Je voulais attendre que vous en parliez avec Daniel. »
» Je vois, je vois ! »
» Tu es invité, bien sûr. »
» Merci, Daniel ! »
» Et, je voudrais que tu sois mon témoin, dit Isa. »
» Ah ça, ça me fait grand plaisir, j’accepte. »
» Merci ! »
» Mais il ne faut pas croire que c’est fini. Je vais m’occuper de votre mariage sexuel. »
» Ah ! Comment ? »
» Vous le verrez en temps utile. Mais après cette bonne nouvelle, pasmisters aux choses sérieuses. Il faut que nous fassions le point sur l’année qui vient de se terminer. Je sais que vous avez tous les deux respectés votre engagement et que j’ai dispensé Daniel de mister parloir trimestriel mais il faut que je lui dise comment s’est comportée sa fiancée et que je recueille vos sentiments. Commençons par le comportement de la fiancée. Isa est très intelligente, elle a géré ses venues en fonction de ses règles car elle ne prend pas la pilule. Mais enfin, elle est venue plus que je ne le pensais. Dimisters, régulièrement, presque chaque jour, durant 1 semaine après ses règles et 20 jours pile après le début de ses règles jusqu’aux règles suivantes. Savant calcul. Enfin c’est pour te dire que nous avons passé beaucoup de temps ensemble, des nuits, des jours et quelques week-ends. Je peux dire que je l’ai bien baisée. C’est une obsédée, une vraie salope de la queue. Maintenant elle avale mes quantités de sperme avec gourmandise. Je te dis aussi que, coté cul, elle est aussi très friande, je l’encule très souvent. Et tu vois quand elle vient chez moi, elle doit être à poil, à ma disposition. Elle est belle, la putain. Maintenant je veux qu’elle te dise mister sentiment, allez Isa, à toi »

» Merci Ahmed ! Ce que tu dis est vrai. Je suis devenue une accro du sexe et de la bite, enfin de la tienne puisque je n’en connais pas d’autre. Mais c’est vrai, je suis venue autant que je pouvais et à chaque fois tu m’as rendu heureuse et je jouis souvent plusieurs fois de suite. C’est vrai aussi que j’adore te sucer et boire ton sperme. Coté cul, comme tu dis, j’ai aussi appris à aimer ça et maintenant j’arrive à jouir quand tu me sodomises. Pour mes sentiments. Amoureux, ils n’ont pas changé. J’aime toujours Daniel et je suis heureuse de l’épouser. Pour mes sentiments dimisters… cérébraux, j’en suis arrivée à aimer cette situation et à m’y complaire. Je sais que Daniel sait tout et qu’il accepte, donc, je suis tranquille. »
» A toi mon petit Daniel ! »
» Moi c’est complexe, très complexe, je m’y perds souvent d’ailleurs. Quelques fois, mes colères, mes chagrins et mes pleurs, même, m’ont engagé à tout arrêter, à rompre même avec Isa. Mais toujours mon amour pour elle a été le plus fort. Il y a eu des périodes de tristesse et de cafard, Isa me manquait trop. D’autres périodes d’indifférence où je travaillais sans arrêt.
Je suis aussi sorti avec des copains, mes parents. Mais il y a eu les périodes, nombreuses, où je pensais à elle et à toi, à vous. J’imaginais vos nuits, vos corps, enfin vos actes. Dans ces moments là, je me masturbais souvent. Mais ce n’était pas que les images que je voyais, il y avait aussi, et il y a toujours, comme l’a dit Isa, la cérébralité. J’ai souvent joui, seul, en pensant que ma jeune fiancée, si belle, était sans doute en train de se faire prendre par un homme qui pouvait être mister père, qu’elle jouissait avec lui, qu’elle lui avait offert mister corps de tous les coté, qu’elle lui avait offert ses virginités. Que je n’aurais rien de vierge d’elle ! Qu’elle a connu ta bite, que ton sperme coule en elle. De moi, rien ! Je ne sais pas si tu me comprends bien ? »
» Oh oui, je te comprends bien. C’est exactement ce que j’avais espéré et prévu. Tu es bien un voyeur, soit, mais tu es aussi un maso et un cocu qui se révèle. Tu sais ton cas est assez courant. Je vais vous aider à bien démarrer dans la vie de votre couple. Vous êtes totalement complémentaires. Vous avez 18 ans et des brouettes et moi, j’en ai maintenant 53.
Vous allez bénéficier de mon expérience. Et pour commencer, voici mes nouvelles instructions :

- Toi, Daniel, tu vas rentrer chez toi et tu vas attendre et organiser votre mariage.
- Toi, Isa, tu vas venir t’installer, en quelque sorte, chez moi et je t’aiderais aussi à préparer votre mariage.
- Je ne veux pas que vous vous touchiez. Vous pourrez vous voir pour la préparation du mariage, mais interdiction de vous toucher. Et nous nous retrouverons tous les 3, le jour J. »
Ainsi fut fait ! Mes parents nous ont prêtés leur pavillon d’Aubagne, déjà totalement aménagé.
Les parents d’Isa nous on acheté une Peugeot 307 avec un A rouge sur la lunette arrière.
Tout était à la perfection et le jour J arriva enfin.

Isa était resplendissante dans sa robe blanche de mariée. Ahmed nous attendait devant la Mairie, il embrassa sagement Isa sur les joues. Après la Mairie, la petite église nous maria religieusement. La fête fut splendide et un réel succès. Ahmed était pratiquement invisible.
A 2 heures du matin, nous nous sommes éclipsés avec ma femme. Je pris la route en direction de notre maimister mais Isa me dit :

» Non, on doit aller au cabanon d’Ahmed, il nous y a précédé. »
» Chez Ahmed. mais pourquoi ? Maintenant ? »
» Oui, mon chéri, allons-y ! Tu sais bien que nous devons y aller. »

A contrecœur, j’obtempérai et pris l’autoroute pour Marseille et la route des Goudes. Arrivés sur place, nous avons retrouvé Ahmed. Il avait ouvert du Champagne en entendant la voiture.

» Je vous souhaite une longue et heureuse vie de bonheur mes petits ! »

Nous avons trinqué avec lui. Heureux, nous l’étions.

» Bien maintenant, vous allez faire exactement ce que je vous dis :

- Déshabillez-vous ! Toi, Daniel, à poil complètement.
- Toi, Isa, tu gardes tes dessous et ton voile.
- Daniel, avec l’appareil numérique que tu vois posé ici tu prends des photos d’Isa. Il y a une carte de 128 Mo. Tu pourras prendre des centaines de photos.
- Une caméra est opérationnelle dans la chambre. Daniel tu feras attention à ne pas te mettre dans le champ.
- Daniel, tout es prêt maintenant, alors prépare-toi ! »

Il s’avança devant Isa et l’embrassa à pleine bouche, je pris des photos. Puis il l’amena dans la chambre, il alluma la caméra et ils s’assirent tous les deux sur le lit.

» Isa, ce soir c’est ta nuit de noces. Avec qui veux-tu la passer, avec ton mari ou avec moi ? »

Elle hésita un moment ! Elle ne s’attendait certes pas à cette question ( ni moi d’ailleurs ).

» Avec… Avec toi Ahmed ! »
» Et toi Daniel, a
soumis8

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#1,803 · Edited by: soumis8
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euh la suite.....

Isa, ce soir c’est ta nuit de noces. Avec qui veux-tu la passer, avec ton mari ou avec moi ? »

Elle hésita un moment ! Elle ne s’attendait certes pas à cette question ( ni moi d’ailleurs ).

» Avec… Avec toi Ahmed ! »
» Et toi Daniel, avec qui veux-tu que ta femme passe sa nuit de noces ? Avec toi ou avec mister amant ? »

J’étais piégé, j’étais pris au jeu et je bandais.

» Avec toi Ahmed ! »
» Bien ! Regarde Isa, ton mari bande de savoir que tu m’offres ta nuit de noces et il me laisse aussi sa place. Il te donne à moi, ce petit voyeur de mari cocu. Et toi ma belle salope, tu préfères ma bite pour ta nuit de noces. La bite d’Ahmed qui t’a dépucelée de tous les cotés et qui t’a prise depuis plus d’un an, alors que ton mari ne t’a jamais touché. Dis-moi Isa, tu veux vraiment d’Ahmed pour ta nuit de noces ? »
» Oui, je te veux ! »

Ahmed s’était déshabillé aussi.

» Viens sucer ta bite, sale pute et toi, le cocu, prends les photos ! »

Isabelle caressa le sexe, les couilles, Ahmed bandait de sa bite de cheval. Isa l’enfonça à moitié dans sa bouche. On voyait bien qu’elle en avait l’habitude. Pourtant énorme, elle la suçait sans problème, la bouche grande ouverte. On entendait le bruit de la salive et de la succion. Elle suça cette colonne avec passion durant un long moment. Je voyais ma femme s’activer, la bouche pleine de ce sexe d’homme qui était mister amant. Je prenais des photos en gros plan. Puis Ahmed prévint de sa jouissance imminente.

» Ouvre ta gorge, petite putain, ouvre ta gorge que j’enfonce ma queue pour y décharger mon sperme ! Ouvre bien salope, oui ça vient, oui je jouis, avale pute, avale ! Oooohhhhh Aaaahhhhhh, prends tout, bois mon sperme ! Ah, ça y est ! Tu as vu Daniel comme ta femme a bu mon foutre. Elle se régale la salope. Regarde, elle continue de me pomper jusqu’à la dernière goutte. »

Les photos prises laisseront voir cette fellation profonde et le sperme s’échappant de la bouche d’Isa. Elle lâcha la queue et me regarda fièrement.

» Daniel, donne-moi l’appareil et vient embrasser ta femme. Avec la bouche au goût de mon sperme ! »

Ce que je fis tandis qu’Ahmed prit trois photos. Il n’avait pas débandé. Sa bite était aussi grosse et rigide qu’avant l’éjaculation. D’une main il caressait le clitoris d’Isa et de l’autre ses seins. Moi j’avais repris ma fonction de photographe.

» Putain, elle mouille cette salope, elle a envie d’une trique. Je vais la prendre. Je vais la baiser à fond. Tu en as envie, dis-le ! »
» Oui, oui Ahmed j’en ai envie, j’en ai une envie folle ! »
» Mieux que ça ! »
» Ahmed, baise-moi, je suis ta pute, ta salope, baise-moi, nique-moi à fond ! »

Il releva les jambes d’Isa sur ses épaules. Elle était pliée en deux. Sa chatte s’ouvrait. On voyait sa vulve ouverte, humide et brillante. L’appareil crépitait. Le gland vint contre la chatte et je prenais quantité de photos à la suite. Le gland disparu dans le vagin. Isabelle exhala un long gémissement. La bite progressa et s’immobilisa quand elle fut entièrement absorbée jusqu’aux couilles. Ahmed resta ainsi quelques secondes.

» Voila, tu es bien prise par ma bite. La mienne, pas celle de ton cocu de mari qui prend les photos de ta nuit de noces avec ton amant. Tu la sens bien ? J’ai au moins cinq cm dans ton utérus, j’ai bien senti le passage. Tu es bien prise à fond ! »
» Oh oui, je le sais, je la sens bien, je suis ouverte, je la sens dans mon ventre, baise-moi encore ! »
» Voilà, je te baise. Je te fais l’amour, oui je fais l’amour avec toi, ma bite est dans ton vagin. »

Ahmed baisait Isa, doucement, avec power et régularité, comme un métronome. Sa queue énorme entrait et sortait entièrement. Elle devait bien être longue de vingt-cinq centimètres et mister diamètre aussi gros que mon poignet. La chatte était totalement écartelée par ce pieu qui la pourfendait. Isa criait mister bonheur. Des bruits, des clapotis se faisaient entendre. La bite s’enfonçait totalement et ressortait aussi presque entièrement et ainsi de suite, sans variations. L’acte se suffisait à lui-même, beau et grandiose, excitant et cérébral. Les photos en témoigneraient. C’était une prise de possession, un accouplement magistral.

Durant un bon quart d’heures Ahmed pistonna Isa ainsi. Elle avait joui au moins trois fois. Enfin, il se libéra :

» Je te donne mon sperme Isa, je dépose mon sperme dans ton ventre. »

La bite était entièrement enfoncée et Ahmed vibrait.

» Je jute dans ce corps encore juvénile, dans ce ventre de salope et de pute accomplie comme je l’ai voulue et faite. Là devant mister cocu de mari, je prends sa femme la nuit de ses noces. Qui pourra être plus cocu que lui, qui pourra être plus pute que cette salope qui offre mister utérus au sperme de mister amant devant mister mari. Ohhhh ouiiiiii, c’est fait, c’est accompli ! »

Isa n’avait dit mot. Elle semblait anéantie, presque somnolente. Ahmed retira mister sexe et je pris une dernière photo du vagin ouvert et suintant de sperme. Il m’entraîna dans la cuisine/salon et nous bûmes du Champagne glacé. Nous restâmes ainsi longtemps sans parler, regardant le ciel et écoutant le bruit des flots.

Isa nous rejoignit, nue et échevelée, elle semblait une déesse. Je remarquai que du sperme coulait sur ses cuisses.

» Vous faites quoi, j’ai soif ? »
» Tu veux quoi, lui demandais-je ? »
» Un coca glacé. »

Je repris ma place dans le fauteuil à coté d’Ahmed.

» C’est bien que tu sois là, Isa. Ecarte bien tes jambes ! Et toi Daniel, va sucer sa chatte »

Intérieurement fou de joie, je me levai calmement alors que je voulais me précipiter. Je tombai à genoux d’elle. J’avais mister sexe à vingt centimètres de mes yeux. Il était beau et les poils étaient collés par le sperme. Je me baissai encore et approchai ma bouche. Langue sortie, je suçais aussi loin que possible, ouvrant la vulve et me délectant du mélange qui sortait du vagin. Je buvais, je buvais.

» Stop, ça suffit ! »

Ahmed avait parlé. Il attira Isa vers lui et elle s’assit sur ses genoux. Ils restèrent enlacés. J’avais sommeil mais je ne devais pas m’endormir. Le soleil commençait à poindre. Le ciel était magnifique.

» Arrête Isa, tu vas encore me faire bander ! »
» Mais c’est ce que je veux mon cher. »
» Tu es insatiable mais j’aime ça. »
» Viens, alors, viens me prendre encore ! »
» Je viens, mais cette fois-ci je t’encule. »
» Comme tu veux, pourvu que tu me pénètres. »
» Vas te mettre en position, j’arrive ! »

Isabelle s’arracha de l’étreinte de mister amant et partit dans la chambre. Ahmed la suivit, presque immédiatement et je leur emboîtai le pas avec mon appareil photo. Là, Ahmed changea la cassette de la caméra avant de la remettre en marche.

» Daniel, prépare ta femme pour l’enculade, lèche-lui bien le trou de cul ! »

Quelle joie et quel plaisir ! Je touchais enfin ses fesses, les écartais et enfouissais mon visage dans le sillon fessier. Ma langue lécha l’anus un moment pour ensuite y pénétrer d’un petit centimètre. Je fus étonné de l’extrême souplesse de mister cul. Il me paraissait bien accueillant.
La salive et ma langue firent leur oeuvre et le cul d’Isa était prêt pour recevoir le sexe royal de mister amant. Ahmed bandait à la demande, le sexe droit et bien dur. Il pénétra Isa dans la chatte, la faisant gémir de plaisir. Il la baisa ainsi plusieurs minutes avant de se dégager.
Bien sûr, je prenais toujours les photos.

Debout, à cinquante centimètres d’eux, je voyais sur l’écran ( zoomé ) le gland appuyé sur l’anus d’Isa. Je me dis qu’elle allait souffrir. Ahmed poussa et la bite s’enfonça, au contraire, sans aucun problème, de toute sa longueur. Isa ne cria même pas, mais feula comme une chatte en chaleur. J’ai pris deux photos de la pénétration. La bite dans le cul, ma femme attendait.

» Alors Daniel, tu vois ma bite dans mister cul ? Elle est rentrée facilement. Le cul de ta femme est habitué à ma queue. »

Il commença alors mister va-et-vient et il encula Isa pour mister plus grand plaisir, non dissimulé.
Elle disait :

» Oui, chéri, oui, oui, encule ta pute ! J’aime ça, ta grosse bite qui m’encule. Oh c’est trop bon, je la sens qui m’ouvre. »
» Tu aimes ça salope, ton mari se régale de voir sa pute de femme se faire enculer. »

Isa se faisait enculer avec plaisir et elle jouissait ainsi. Je prenais différentes photos dont plusieurs de mister visage déformé par le désir. Ahmed ahanait et s’affairait, tout à mister » travail « . Lui aussi prenait du plaisir avec le cul d’Isa. Je n’en revenais pas. Il la pénétrait avec power sans ménagement comme s’il bourrait une chatte et d’ailleurs il le dit :

» Son cul est souple et on y entre sans problème, cette salope est la reine. »

Un long moment après, il éjacula en grognant fortement. Ils s’écroulèrent tous les deux. Ils restèrent ainsi, lui la bite fichée dans les entrailles d’Isa. Ils s’endormirent. Je me masturbai et je jouis.

Le réveil tard dans l’après midi, fut douloureux. La tête embrumée et les idées sombre.
J’errais seul. Je sortis me balader sur la plage en espérant je ne sais quoi. Aucune structuration des mes idées, de mes pensées, de mes priorités et des mes fantasmes. Rien, le néant. Je suis revenu au cabanon tard, vers vingt et un ou vingt-deux heures. Je trouvai Isa et Ahmed, sur la terrasse. Ils étaient toujours nus. Ils m’interrogèrent du regard, mais j’étais incapable de répondre quoi que ce soit. Je m’affalais sur un fauteuil et je me mis à pleurer. Pourquoi ? Je ne le savais pas. Je ne répondis à aucune des questions désespérées de l’un et de l’autre. Plus tard, un livreur apporta des pizzas et un plateau de fruits de mer, qu’Ahmed prit avoir enfilé un short. Il saisit l’occasion :

» Allez, viens manger, Daniel, viens il y a de quoi te régaler avec un bon vin blanc et du chianti ! »
» Viens, renchérit, Isa, allez ! »
» Je viens, parvins-je à dire. »
» A la bonne heure ! »

Assis tous les trois, je parvenais petit à petit à reprendre le dessus et à participer à la conversation. Encore plus tard, après ce bon repas, j’allais mieux et mon esprit était lucide. Nous étions nus tous les trois. Ahmed le constata et parla :

» Tu nous a inquiété, Daniel, nous pensions que tu étais fâché. »
» Il est un fait, c’est que je ne sais plus où j’en suis. Je viens de me marier avec la plus belle fille du monde et c’est toi qui en profites, c’est toi qui a tout reçu d’elle, tu as eu tout ses pucelages, tu viens de passer la nuit de noces avec elle, alors, avoue qu’il y a de quoi être perturbé, non ? »
» Ah ça, je m’y attendais ! Justement nous allons mettre les choses au point en toute amitié, Daniel . »
» Oui je veux bien. »
» Il n’est pas, à mon sens, utile de revenir sur le passé et de rappeler les conditions dans lesquelles tout est advenu, et aussi de revenir sur ton acceptation de la situation que nous connaismisters aujourd’hui. Mais si tu es d’accord, mettons les choses au point à partir de maintenant ? »
» Oui, pourquoi pas ! »

Isa se taisait nous laissant à notre échange verbal.

» Ok, alors voilà. Tu veux quoi, tu veux partir maintenant et emmener ta femme avec toi ? »
» C’est possible, mais il me faut l’avis d’Isa »
» Alors, Isa que réponds-tu à cette possibilité ? »
» Je réponds que ce serait une erreur. »
» Pourquoi, dit Ahmed ? »
» Parce que nous ne sommes pas allés au bout de ce que nous voulions, de ce que nous recherchons et Daniel démontre qu’il est encore un enfant, il n’assume pas. »
» Oui et j’ajoute que ce serait une catastrophe pour votre jeune couple, connaissant les attentes de chacun de vous. »
» Alors, dis-je, je suis dans l’erreur ? »
» Oui, mon chéri, il faut le reconnaître. »
» Que proposes-tu ? »
» Toujours de faire confiance à Ahmed, nous ne sommes pas pressés pour vivre notre vie d’adulte telle qu’il faut qu’elle soit pour NOUS. »

Ahmed intervint.

» Je vais clarifier les choses, tu vas comprendre. Isa, vient me sucer la bite maintenant ! »

Isa fit ce que mister amant demandait. Aussitôt je bandai fortement. Ahmed fouilla le sexe d’Isa avec ses doigts. Je la voyais onduler des fesses. L’Arabe m’ordonna de me masturber. Je le fis avec plaisir. Au bout d’un moment, il me dit :

» Daniel, vient derrière ta femme et pénètre sa chatte ! »

Je n’en revenais pas. Mon cerveau éclata. Je me levai à toute vitesse et guidant mon sexe je pénétrais pour la première ma femme ( et une femme en général ). J’entrai dans sa chatte comme si j’entrai dans un gouffre, large et béant. Je compris en une seconde ce qu’avait voulu me faire comprendre Ahmed. Déçu, je me retirai comme foudroyé par la vérité crue et je restais debout, immobile.

» Tu pourrais continuer, mais tu ne le fais pas. Tu as constaté qu’Isa n’a pas réagit et tu comprends pourquoi. C’est déjà un grand pas vers ce que tu dois intégrer et assumer. »

Isa cessa sa fellation et me sourit.

» Je vais dire les vérités simplement et après nous n’en parlerons plus :

- Daniel, ton sexe est en dessous de la moyenne, et Isa est habituée au mien qui est quasiment du double du tien, tant en longueur qu’en grosseur.
- Ta permisternalité, malgré tes quelques petites révoltes temporaires, est d’être voyeur et dimisters passif.
- Celle d’Isa est d’être soumise aux hommes qui la désirent.
- Vous êtes à la fois opposés et complémentaires.
- Vous vous aimez passionnément, mais d’un amour platonique.
- Jamais vous n’auriez pu vivre une sexualité » normale » de couple.
- Enfin, tu as, au fond de toi, un véritable fantasme de masochisme du mari cocu et Isa devra t’en faire découvrir les plaisirs et ceux qui mistert les siens. Voilà la réalité, Daniel. Isa ne peut pas jouir avec toi. Elle aura plaisir à te recevoir en elle, mais uniquement par amour. Ce ne sera jamais physique. Tu dois comprendre ça et c’est pareil pour mister cul qui est aussi habitué à ma grosse queue. »

J’avais écouté cette explication avec conscience. Ahmed avait raimister, je m’en étais rendu compte physiquement.

» Alors, me diras-tu ? Je te répondrais que c’est à vous de conclure, à vous de savoir et je vous propose de vous parler maintenant, tout de suite. »
» C’est bien Ahmed, tu as raimister, il faut que ce soit moi qui parle à Daniel, intervint Isabelle. Il faut que nous établissions maintenant notre futur. »

Puis s’adressant à moi, elle poursuivit :

» Mon chéri, depuis longtemps, nous avons grandi pratiquement ensemble et nous nous sommes aimés, jusqu’à désirer nous marier, et nous sommes mariés. Je t’aime, j’en suis certaine. Pourtant, nous sommes passés à côté d’une catastrophe conjugale. Et ça aussi j’en suis certaine. Nous sommes jeunes et nous ne savions pas. Maintenant nous savons. Je sais moi que, sexuellement, ça n’aurait pas bien fonctionné entre nous. Depuis plus d’un an que je fais l’amour avec Ahmed, je sais ce que je dis. Tu vois, la simple comparaimister de vos deux bites, suffit. La tienne est courte et fine, petite, alors que la sienne est longue et large, énorme comparée à la tienne. Je suis habituée à ce genre de sexe. Voilà ce que nous allons faire et j’espère de tout cœur que tu accepteras. Comme je le disais, depuis que je baise avec Ahmed, je suis un peu comme sa femme et j’ai besoin de lui. Alors, j’irais chez lui quand j’en aurai vraiment besoin. Et comme ça, tu ne seras plus mal à l’aise. Qu’en dis-tu ? »

Je restai quelque seconde à réfléchir :

» Je suis conscient de ce que vous avez dit, tous les deux, je vois bien la différence qui existe entre Ahmed et moi et je sais que les choses étant ce qu’elles mistert devenues depuis un an, il est impossible de revenir en arrière. Alors, moi, je vous propose autre chose, voilà : Ahmed, s’il est d’accord, sera toujours le bienvenu à la maimister et vous pourrez continuer comme jusqu’à présent, sans avoir à vous cacher de moi. J’accepte de te partager avec lui. Je ne veux aucune gêne entre nous. L’essentiel pour moi étant d’être toujours près de toi et de vous voir faire l’amour. Oui, car je sais moi aussi que je suis voyeur et qu’être cocu me convient parfaitement. Voilà ! »

Tous les deux restèrent muets.

Voila comment notre vie de jeunes mariés a commencé. La suite viendra probablement dans quelques temps. Nous n’avons qu’un mois de mariage derrière nous mais nous en avons encore beaucoup à raconter.
chrislebo

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c dans la boite merci
chrislebo

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Controlling Sarah


At 21, you were one of the most popular girls in
college. Friendly and co-operative, you had developed
many close friends and no real enemies. Home life was
pleasant and your family was extremely supportive in
anything you wished to do. You were the neighborhood
babysitter and for the past 8 years had used this as
one of your sources of income.

Summer was fast approaching and you were finished
classes in two weeks. Exams would then be over and it
would be time to relax and look forward to the summer.
No permanent job yet but with a part time job and the
babysitting, you would try to save enough for the last
year of college.

Getting home after classes, your mom informed you that
the Jensen's needed you tonight to look after their two
youngren. They paid real well so you reluctantly
accepted as you had planned to go to the movies with
your boyfriend. Oh well, he would understand so you
phoned Mrs. Jensen and said you would be over at seven.

You never felt all that comfortable at the Jensen's as
their mister was 15 and seemed to be overly occupied with
watching you all the time. April, their flower, was a
dream and at 8 was very easy to look after. Bobby, the
boy was a nerdy type who was preoccupied with computers
most of the time and was very good with them. The
parents didn't trust him to look after April, as he was
always mean to her so they insisted on having a
babysitter whenever they went out for any length of
time, longer than a couple of hours.

At seven you walked down the block and knocked on the
Jensen's door. Bobby answered and had his only friend
in the world, Jimmy, beside him, both with cuckolds brownie eating
grins a mile wide. They showed you into the living room
and said that Mrs. Jensen would be down shortly.

Mrs. Jensen soon entered and said they would be out
till well after midnight and you could relax on the
couch once the kids were in bed. Oh yeah, Bobby was
having Jimmy stay over so hope you didn't mind. With a
shrug, you said no problem. What else could you say?

The evening went smooth as you and April watched TV
while you could hear the boys in the computer room,
talking and giggling. At 9 sharp, April went to bed and
was soon fast arelax. It was quiet and you settled down
to watch some more TV when Bobby and Jimmy came in to
join you. Bobby asked if you would mind if they watched
a DVD he had just made. With no particular good shows
on, you agreed.

Silently, you slouched into the soft cushions of the
sofa and the first pics of the DVD came on the screen.
Your eyes slowly widened as the scenes flashed in front
of you. You recognized yourself right away, almost
naked and on your knees in front of your boyfriend.
There was no sound but it wasn't needed. Your breath
caught as the horror show continued and you could hear
the giggling from the boys.

There for all to see, you were slowly pumping the hard
cock in and out of your mouth. Your hand was closed
around the thin shaft and your head bobbed up and down
on the flared head. Speechless, you watched as your
boyfriend thrust his hips and you knew he was about to
fill your mouth with his seed.

Suddenly you screamed at Bobby to stop the show and
asked him what the hell he thought he was doing. You
were the adult here and he was the young. It was time
for you to take charge. With an evil grin, he moved
quickly to position himself overtop of you.

The brashness he displayed and the sure way he moved
surprised you. With as stern a voice as he could
muster, he told you that you would do as he wanted or
everyone in town would see you sucking cock. He would
show it to your parents, his parents and to everyone at
school. Also, he would put in on the Internet for all
to see. "See the beautiful Sarah sucking her boyfriend
until he came in her mouth," he said. "See her big,
bouncy tits with their hard nipples as her boyfriend
plays with them," he continued with a confident smile.

"Yes, you would do as you were told or else!" he told
you. He knew that as long as he was in possession of
the DVD, he could blackmail you to do anything he
wanted. Many, many hours it took him to formulate a
plan so he could be rewarded with having sex with the
beautiful Sarah.

You were in big trouble and the tears began to flow.
Crying, you pleaded with him to stop this silliness and
get rid of the DVD. Looking into his eyes told you that
he was not listening. Even at 15, Bobby was much
stronger than you and already a few inches taller.
Roughly, he pushed you into the soft cushions, as he
demonstrated his superior strength.

There was a way to get the DVD and not have him show it
to anyone, he told you with a smile. All you had to do
was exactly what you did for your boyfriend. It
shouldn't be too hard he told you, as you were already
very practiced at giving blowjobs. Then he said that
you had to suck Jimmy's cock, and then suck his. It
sounded so simple. Keeping your body pressed back into
the cushions, he continued in a very serious voice,
"Remove your top so we can see your beautiful breasts.

Crying louder and begging him to stop at once, the two
boys just sat there and stared at you. "Ok," he
suddenly said, "You don't have to do anything. I'll
just show it to your parents and see what they have to
say." "What do you think they will say?" he asked,
"when they see their flower giving blowjobs while
babysitting for the neighbors."

There was no way this show could be seen by anyone and
you just had to get it from him. Weeping and sobbing,
your whole body shook as his hands went to yours and
guided them to the buttons of your top. "Do it," he
ordered and looked you directly in the eyes.

Slowly, your trembling fingers undid one button at a
time until all five were open. Your hands were then
motionless as he slowly grabbed the open front and
moved the material to the sides, revealing the lacy
bra. The boys' eyes opened wide as the sexy sight was
revealed. Their breathing was now labored, as their
plan was proceeding better than expected. The erotic
show on the DVD was one thing but the sight of your
real breasts was overpowering.
chrislebo

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#1,806
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Now Bobby's voice had more confidence, as he knew he
had power over you. You would do anything to stop him
from showing the movie to anyone else. "Take off the
bra as we want to see your sexy breasts," he ordered.
Still weeping, you did as he requested, undoing the
front clasp and letting the stretchy material relax.
Again, he grabbed the material and removed it from your
chest and their breathing was suddenly silent. The two
gorgeous tits were there in all their beauty for them
to admire.

You felt absolutely helpless, as you realized he was in
control and you were powerless to resist his demands.
Your parents, or anyone for that matter, could not see
the DVD. With resolve, this was the only way to get it
away from him. Oh, why? You had told your boyfriend not
to do this sort of thing when you were babysitting but
after a session of heavy petting, you both gave in to
erotic lust.

Suddenly, a hungry mouth dropped to the exposed flesh
and devoured the extended nipple, which had hardened
from hitting the cool air. You flinched and began
crying harder as the sensitive bud was sucked hard by
Jimmy. Looking directly into Bobby's eyes, you begged
for mercy. You continued to sob and your slender body
shook from the weeping. Ignoring your pleas, he began
to feast on the free tit. Closing his hot mouth over
the nipple, he nibred on it until you could feel it
stiffen more, even against your will. No, no you begged
but the boys were determined to fulfill their fantasy.

You were now resigned to the fact that Bobby was the
master of your destiny and you were to follow his
commands. You would do as he said until you could find
a way out of this dilemma. Next, you felt his hand move
lower to the waist of your jeans and you sucked in your
breath as he touched your tummy. This enared him to
slip his fingers under the button and unfasten it. Then
the sound of the zipper being lowered roared in your
ears and your stomach muscles tightened as his hand
slipped beneath the elastic waistband of the panties.
Again the begging, no, no, no but he still wasn't
listening.

He was holding one of your arms against your side while
Jimmy held the other, and now he had the freedom to do
anything he wanted. When the slender finger slipped
into the wetness of your most private part, it felt
like someone punched you in the belly. Unable to move
away, you rolled your head from side to side, pleading
with them to stop.

Obediently, you let the strong hands push your shapely
legs apart. Wider, wider they were spread until it
allowed Bobby all the room he needed. His fingers
slipped down, into the wet slit and immediately pinched
the protruding nub. Rolling the most sensitive clitoris
between his strong fingers made your hips jerk up and
down, seemingly out of control. Many books and Internet
articles had given him the knowledge of what made a
woman's body respond, and now was the time to put what
he learned into practice.

The clitoris was the most vulnerable part of many women
and he attacked it with vigor. Rolling, pinching,
pulling and caressing the wetness, he made your hips
react to every movement. Your sobs grew louder as shame
and guilt now filled your mind. How could this be
happening to you? But you realized that the power this
young boy held over you was enough to make you submit
to his demands.

He had to speak louder the third time he said to you
that it was time to suck Jimmy's cock. "Get up and do
it now," he ordered, as he pulled his hand out of your
pants. Relief spread over you as suddenly nobody was
touching your body. Then you heard his orders and
looked to see Jimmy sitting beside you on the sofa. His
hips were sort of pushed into the air and he held them
there for you. You were to undress this boy and do what
Bobby ordered without any further delay. No, no you
kept pleading with Bobby, but he just smiled and
started to push you towards Jimmy. The tears ran down
your flushed cheeks but they had no affect on either
boy.

Numbly, you shifted off the sofa to a position between
Jimmy's spread legs and proceeded to undo his pants.
Slowly, you pulled the zipper down and revealed his
shorts. You could see the hardness pushing up and
waiting to be released. You hesitated long enough for
the sound of Bobby's voice to scold you for the delay.
Jimmy raised his slender hips in an indication for you
to lower his clothes and you obeyed. With a flop, the
long, hard cock bobbed up and down only inches from
your face.

Your eyes opened with surprise as the 6-inch rod
jerked, then stood proudly before you. This was not
your intended response and you felt guilty for letting
these boys power you to do this degrading act. Your
response should have been one of anger for what they
were making you do, not one of surprise at the size of
his cock. Not the most experienced at sex, you had been
with only three other boyfriends and all had been
slightly smaller than this.

Almost in a trance, you felt Bobby push your head
toward the weapon. Obediently, your dainty hand went
around the steel shaft, leaving 3 or 4 inches above
your fist. With a whimper, you succumbed to the demand
and brought the hot meat to your lips. Suddenly, Bobby
grabbed a handful of hair and pushed down to embed the
cock deep into your mouth. Holding you steady, you were
powerd to suck the young cock.

The heat from your hot mouth was enough to drive Jimmy
past the point of no return. His hips started to thrust
up and down and you felt his cock begin to pulsate.
Suddenly, the hot lava shot deep into your throat and
with a gasp from the loss of breath, you swallowed.
Then shot after shot of the burning liquid flowed down
your throat, and you were powerless to prevent it.
Swallowing as quickly as you could, some of the hot,
white cum still trickled down your chin.

You were so pre-occupied with Jimmy that you didn't
realize what Bobby was up to. He had shifted to a
position behind your kneeling body, and was admiring
the action. Reaching out, he grabbed the waist of your
jeans and rolled them down your thighs to your knees.
Raising your head off the still throbbing cock, you
protested his maneuver. Vaguely, you felt the last
couple shots of cum hit your flushed face as you looked
back at Bobby.

Jimmy sensed what was about to happen and put his hands
around your shoulders to hold your upper body against
his. Then Bobby grabbed the elastic waistband of your
panties and franticly you tried to reach back with one
hand. In one swift jerk, he lowered the skimpy silk to
join your jeans.

As Jimmy held you firmly, he lifted your hips and
removed your dignity, tossing the clothes to the side.
Then he slipped his narrow hips up against you, and
nudged your knees apart with his knee. Once apart, he
rubbed his hand across your now exposed flesh, which
made you jump from every touch. Moving his hips back
slightly, he exposed your tender ass cheeks. The sound
of a hard slap echoed through the room as he turned
your right cheek bright crimmister.
chrislebo

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#1,807
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Jimmy continued to hold you steady and Bobby leaned
forward to whisper into your ear, "Now you do as you
are told or else!" Then he moved back and slapped the
vulnerable ass, first one cheek, then the other as hard
as he could a few more times. Your ass was instantly on
fire and with a small whimper, you turned your face and
pleaded with him. "Bobby, please forgive me, I won't
resist anymore. Please don't spank me," you begged. You
now realized exactly who was the master and you said,
"I'll do what you want; I'll do anything you say."
Nobody had ever treated you like this in your life and
for some unexplained reamister, it had a profound affect.

Smiling with approval, he quickly removed his pants and
shorts while your remained motionless. Now naked below
the waist, he guided his hard shaft under your body and
let it rest up against your flat tummy. The meat burnt
your skin and your mind was totally confused. Leaning
forward again, he said softly into your ear, "Now I am
going to put my hard cock against your pussy." With
that, he reached down and grabbed his thick shaft.
Moving his hips back, he brought the head of his cock
to your wetness. You felt the flared tip push along
your wet channel, up and down through the wet juices.
Oh, how could this be happening, you kept repeating
over and over in your head.

Too much was happening all at once and you didn't see a
way to stop it. Soon his up and down movement had
soaked the flared head and it moved easily through the
wetness. Then he jerked his hips forward and threatened
to drive his cock into your pussy. Your free hand
quickly swung to the rear in an attempt to stop the
invasion. At the same time, Jimmy released the hold on
your body and reached under you to put his strong hands
on your tits.

You twisted your body, which caused you to wobble to
the side, and you had to place your hand on the floor
to regain your balance. This left Bobby free to worry
you and quickly he took advantage. A quick thrust split
your pussy lips and the head of his cock entered your
tight, little pussy. The intrusion powerd your upper
body to push into Jimmy and he once again brought his
hands up to your shoulders. Seeing what Bobby was
planning to do, he held you steady to give his friend
freedom to act.

You screamed loud as he pushed a couple inches of his
cock into you and it felt like the biggest cock of your
life. With a quick jerk forward of your hips, you
managed to remove his weapon and it slipped under your
belly again. Sensing your resistance, he knew it was
time for the ultimate offense and proceeded to
become your master.

Exposing your tender ass again, he rained a few more
slaps to the reddened flesh. This took your breath away
momentarily, and he leaned forward to be able to speak
into your ear. "This is your last chance, and if you
don't do as you are told, I will put the movie on the
web," he warned you.

Still sobbing from the slaps, you nodded your head.
"Yes Bobby, I am sorry. I'll do as you say, please give
me another chance," you begged. Without hesitation, he
ordered you to reach down and grab his cock. With a
whimper, you slowly reached your right hand under your
midsection, until it was touching the long pole. It
shocked your hand as the heat was intense, and then you
tenderly closed your small fist around the thick shaft.
The rod seemed to go on forever, and mesmerized you
moved your hand down to the base of the monster.
Holding still for a few moments, he became impatient.

Whispering, he told you to rub the head of his cock
through your pussy lips. Unable to find a way out, you
did as he requested. Almost in a trance, you shifted
your body until the tip of his cock lightly brushed
against your inflamed pussy. The electricity almost
made you pass out as you slowly ran the tip down your
wet slit until it pressed on your exposed clitoris.
Quickly you moved the head up to the other reaches,
attempting to hold it there away from the love button

All he had to say was, "Sarah!" and you began moving
his big cock again. Down slowly and when it got to the
inflamed clit, he put his hand on yours and held them
firmly. Pressing directly against the center of your
being, he pushed harder so the head of his cock
squashed your clit. Then he jerked it violently all the
while remaining firmly on top of the throbbing bud.
After what seemed like forever, he knew it was time to
possess Sarah. Leaning forward, he gave you the next
offense command. "Sarah, I want you to put my big
cock in your pussy and do it right now!" he ordered.

There was no recourse, and you did as he requested.
Shifting your body with his help, you shuttered at the
size of his big cock. Bobby was only a boy but his cock
was certainly man size. For some unknown reamister, your
mind had a deep, burning desire to see his cock and you
vibrated with guilt.

Slowly you moved the head to the opening of your cunt,
and then held your breath as you pulled it forward.
Soaked with your love juices, it slipped easily into
your hot channel. With only 3 or 4 inches above your
hand, that was all you allowed in. You were surprised
that there was no pain or discomfort, as nothing this
big had ever entered your pussy, not even the large,
favorite dildo you kept in your bedroom.

Holding still, the passion seemed to build at a rapid
rate and you could feel the lust rush through your
loins. You were unable to hold still any longer and
began to move back and forth over the top half of his
cock, holding the shaft tightly in your fist. It seemed
to caress every nerve of your being and soon your
breathing became quite ragged.

Bobby held steady and was enjoying the moment. This had
all been perfectly planned for months and now was being
carried out with even better results than expected.
Neither boy had seen such a sexy, female body before
except for girlie magazines. They didn't realize how
good it felt to touch a real woman. Jimmy had already
climaxed but his cock was as hard as a rock again from
watching the scene in front of him. Actually, you could
feel his hardness pressing into your chest as Bobby
pushed you hard against him.

Needing fulfillment, Bobby moved his hands to your
round hips, spreading his strong fingers over the upper
region at your waist. Then he whispered something to
his buddy, and the next thing you knew Jimmy had
grabbed your arms, bringing them to the sides of your
body. By removing your hand from the steel shaft, it
allowed Bobby all the liberty he needed.
chrislebo

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#1,808
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You screamed loud from the pain as he pushed more of
the thick dick into your cunt. He then realized the
need to go slow to give your muscles time to stretch
and relax. Slowly, he pushed a couple more inches into
your pussy, and then withdrew. Newfound strength
enared you to plead and beg him to stop. Held firmly
between the two boys, Bobby was able to do as he
pleased. He began moving in and out more easily and you
were surprised that the pain subsided so quickly.

Soon he began to pump freely and he reached around your
hips, seeking your tender control button. Finding the
top of your spread pussy lips, he pinched the exposed
bud between his two fingers. Your tight channel was now
stretched enough to accommodate the first few inches of
his big cock and he moved his hips with more
determination. Fucking your cunt like no one before,
his fingers immediately robbed you of any remaining
restrain. His thrusting hips quickly consumed your
desire and loud moans escaped your throat. Nothing like
this had ever happened to you during sex and you felt
immense quilt for enjoying the rising passion.

Now when Bobby slapped your heated ass cheeks, it felt
like someone caressing your inner most secret desires.
A few love slaps quickly inflamed your flesh once again
and without hesitation, you pushed back hard. Slap,
slap, slap he rained the punishment over your baby
white ass and every time he hit you, the need for more
increased. The electricity met his hands and your body
quivered because of the high intensity.

The desire was so great that you didn't feel any pain
from his ramming more of the long cock into your heated
pit. He then helped you by grabbing your rounded hips
and pulling back. He felt his orgasm nearing and it was
time to sink all of his cock into the burning inferno.
Thrusting with all his might, he rammed the entire
length into your womanhood. This time your mouth opened
wide and your back arched as you cried out for him.

Suddenly a gigantic explosion erupted deep in your cunt
and your heart stopped when the head of his cock
crushed your cervix. It was so sudden and quick that
you couldn't believe it was happening already. Both
lovers stilled when the orgasm burst, each enjoying the
moment in their own way. No boyfriend had ever filled
you like this and his big cock seemed to caress every
part of your vagina. This young boy held every emotion
that was within your body and was about to give you
what no other man had given. As hard as you had
resisted, you were on the verge of loosing all control
and about to give your entire soul to this teenager.

In and out, slowly now, Bobby kept up the fucking until
he moved easily in the lubrication created by your
body. You hated yourself as the orgasm rushed over your
body. Your breathing became very ragged as the spasms
rocketed through your loins. To hide your shame, you
pleaded for him to stop. "No, no, no," your pleas
sounded but what were you pleading for? The orgasm
flowed and nothing was going to stop it now, not even
all your might. The bastard had taken your dignity and
powerd you to fuck him against your will.

You cried out in shame as you gave yourself totally to
the young boy. He took you through uncharted territory
as none of your previous boyfriends had given you such
an explosive orgasm. Your body shook violently from the
spasms and the attempt to quell the rising passion.
Tears flowed and the shame built from the realization
that you were his slave.

How such a young boy could have such stamina was
unbelievable and his thrusts intensified. The sound of
bare skin slapping against each other filled the room
and his friends fucking mesmerized Jimmy. This was the
most erotic sight he had ever seen. He reached under
the naked body to find the two firm globes, then his
fingers closed on the rock hard nipples. Twisting and
pinching them with more strength than was needed, only
seemed to build the fire in you. Any other time it
would have hurt but now the buds screamed to be
caressed.

Bobby's impending orgasm was nearing but he wanted to
hold out as long as possible. He slammed into the cunt
with all the power in his loins, then out till only the
flared head was held by the hot box. Then in and out,
he pumped with long strokes and he robbed you of the
last bit of dignity. Every muscle in your body tensed
as you went over the apex, then drifted down the far
side. Your love juices flowed to surround his cock and
soon the wet sounds roared through the room.

Slowly, your climax subsided but still your body clung
to his out of duty or obligation. You could feel his
need and the electricity flowed from his long cock,
shocking the walls of your pussy. Small tremors rocked
your lithe body as you continued down the mountain. For
some unexplainable reamister, your passion flattened out
but still far above the point where you could regain
control. Suddenly his fingers reached under your hips
and quickly found the wide spread lips. Closing over
the throbbing clit, he began to roll the protruding bud
vigorously in the wetness. Almost immediately, he had
your hips meeting his lustful demands and they thrashed
wildly back and forth.

Without warning, new erotic feelings filled your belly
and more juices began to flow to meet the big cock.
Easily it glided in and out of your cunt and touched
every nerve possible. Striking the cervix on every
entry, another powerful orgasm built, increasing to
newfound heights. Pressing your hands into the sofa,
you raised your upper body to allow Jimmy better access
to your tits. "Squeeze my tits," you begged him and
pushed your chest out farther. "Harder, harder," you
pleaded with him, as you needed the pain from his
worrying your nipples. Jimmy obliged and squeezed and
pinched as hard as he could which caused you to cry
out.

You had no idea where you were or what was happening to
your body. Suddenly, his orgasm was like a dam bursting
and it rolled over his entire body, as he was unable to
hold out any longer. The fiery heat from your loins
stole his remaining stamina and he blew his hot seed
into every deep crevice of your cunt. You threatened to
collapse from the intense fury as a second orgasm
exploded to join his. Both bodies madly thrust and
joined in erotic lust. The boy seemed to know exactly
what you needed and how rough you had to be fucked. It
felt like punishment and you told yourself you could do
nothing to prevent it from happening. They were too
strong and powerful to resist and you had to give into
their demands.

Bobby reached forward to grasp your hair and pulled
back. This powerd your body back even harder so his
cock slammed in to the hilt. This was the final straw
and your eruption caused sweat to run over your naked
flesh. The big cock swelled and jerked uncontrollably.
Like a gusher, the hot lava shot deep inside your cunt
and mixed with your juices. It presented a beautiful
picture, two sweaty bodies going over the top of erotic
passion and climaxing together. A woman being taken by
a boy to heights of sexual pleasure not known or felt
by her before.

Your cries of pleasure were loud and mixed with the
grunts and groans of the two boys. Even Jimmy was
overtaken by it all and he began pumping his rod with
all the passion of the couple in front of him. Eagerly,
he grabbed your head and powerd your hot mouth to the
tip of his cock, where it easily split your moaning
lips. You and Bobby were at the peak of orgasms and
quickly Jimmy rose to the occasion. Hot cum shot out of
his shaft into your mouth and quickly ran down your
throat. To keep breathing, you had to swallow and take
the white liquid as fast as you could. Hours ago this
sort of thing was not possible. You sucking and
swallowing cum, and fucking a big cock like an out of
control slut, didn't seem possible.

Slowly, the movement of the three bodies subsided and
came to a mere occasional twitch. Every muscle in your
body ached from being tense for so long. Your mind was
now blank, as the shattering climax had taken its toll.
You collapsed on the plush carpet and Bobby sank down
with you. All the while keeping his long cock buried in
your cunt, even in its semi-hard state. Jimmy loved the
feel of your large, firm breasts and put his hands on
them as he too sank into the carpet.
chrislebo

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#1,809
Up to the first message Down to the last message
It was only 11 o'clock and there were still a few hours
before Bobby's parents would be home. Normally they
stayed out till 2 or 3 and Mrs. Jensen had told you
that they would be late. She had said to relax on the
couch but certainly didn't mean with the two boys. And
when she said to look after the boys, she didn't mean
in this sort of way. Oh, how could this have happened
you thought, as your mind was now racing for answers? A
small shutter shot through your body as you thought of
what had just transpired. Two innocent 15-year-old boys
had been shown the sexual passions of a mature woman.
Guilt now filled your mind and you wondered what to do
now.

That was soon answered as Bobby began to stir. He had
fantasized for months about making love to you and now
that it had happened, he was not going to let it go
until he had experienced everything. No girl had ever
touched his cock with her mouth before and he needed
that feeling now. He moved to raise you up to a
kneeling position in front of him and he looked you
directly in the eyes.

He told you how beautiful you were and that he thought
you were the sexiest woman in the world. Normally this
type of compliment would have trilled you but tonight
it only brought deep shame. You almost had the DVD and
now you only had to do what he wanted to get it, he
told you. Pleading with him, you said that you had
already completed your side of the bargain and
shouldn't have to do more.

He moved to sit on the sofa and spread his muscular
legs to reveal his semi-hard cock. This was the first
time you had seen it and your eyes widened in
amazement. It was definitely the largest cock you had
seen and he didn't even have a hard-on. You could not
believe that you had fucked such a big one. With your
eyes fixed on his manhood, he grabbed it with his fist
and began pumping it with long up and down strokes.
Like magic, you watched it grow and grow until it stood
up long and proud. He shifted his fist to surround the
base and moved his prick around in a circular motion,
your eyes following it like they were in a trance. Five
or six inches remained above his fist and it was
overpowering to think of such a ramrod.

You are going to suck it, he told you and with that, he
pulled you into his lap. Like the obedient slave, you
were brought to the tip of his cock and he pressed the
head against your tightly closed lips. Holding out so
as to save face and not let this boy think that you
wanted any of this, you held your mouth closed with
every ounce of your strength. With a short jerk on your
hair, your mouth opened in protest and quickly the head
entered your hot cavity.

Unable to resist the control of this boy, he was soon
moving your head up and down on his length of steel. To
have some control on how much cock he shoved in your
mouth, your small right hand closed on the thick shaft
just above his own. Your fingers barely went around the
shaft, and with his hand and yours on the long pole,
the top 3 or 4 inches was allowed to push into your
mouth. Holding you perfectly in this position, you were
commanded to suck. Like a slave, you followed his
orders without hesitation. He smiled with satisfaction
as you started the expert blowjob, one that would
fulfill his next fantasy. The salty taste of semen was
present but that didn't seem to bother you as you
continued.

Vaguely aware of the movement behind you, you soon felt
Jimmy feeling the wetness of your pussy. Pushing
between your legs, he soon had them wide apart which
enared him to see his target. Trimmed neatly and
glistening from the mixed juices, the cunt looked
almost surreal. You felt him touch the tender lips and
slip a finger inside. Searching, he soon found the
sensitive bud. Closing on it, he rolled it back and
forth between his fingers. This caused your hips to
jerk and thrust in anticipation. Without control, they
were wanton and began to move to indicate they were
pleased with what he was doing. When his hot tongue hit
the slit, your head shot forward and a couple more
inches of cock was shoved down your throat.

In a matter of minutes, these very immature boys had
you starting to experience new throes of passion. All
movements began to get faster and more demanding. Bobby
wanted his cock sucked, Jimmy wanted to suck pussy, and
you needed satisfaction. The flames built deep inside
your loins and it was almost relief when you felt Jimmy
shift into position. With the quickness of a young lad,
he thrust his cock to the hilt in one strong push.

In seconds he was pumping with all his might and
strength. All the way in, then out till the flared head
of his cock felt the pussy lips. Grabbing your slender
hips, he began ramming in and out with the velocity of
a soldier. No one could stand this pace for long and
his cock soon began to swell in anticipation. He was
determined to hold back as long as possible so it could
last a long time.

Bobby's hips began to push up and down and he was
getting close to cumming as well. You had given many
boyfriends head but this time you were in for a
surprise. The large cock swelled and began to jerk, out
of control and jettimistered the hot cum. Shot after shot
entered your mouth, some flowing down your throat but
much trickling out the corners of your mouth.

There was so much cum, much more than any other guy you
had sucked. It seemed to go on forever and you began to
be afraid that you would fetish. Eventually, and with a
deep loud moan, his orgasm came to an end. This was
beyond belief, as you had given him the best blowjob.
All his plans and fantasies, and now this was far
better than anything he had dreamed.

Jimmy had reached a feverish pace and he began to shoot
his load deep inside your tight pussy. The heat of your
channel had taken its toll on him and his stamina.
Certainly not as big as Bobby, his cock was still
bigger than any other you had experienced. You
shuttered and moaned as the pit of your stomach reacted
to the fucking. Your hips pushed back hard and needed
to be fulfilled just as the two boys had been.

His fucking now brought on the orgasm and it exploded
with fury. Your cunt closed on the shaft and held it
tightly as your juices flowed to meet his. It was like
two lovers reaching an erotic climax and there was
nothing wrong with it. Everything was beautiful and the
two orgasms rocketed to a finish.
chrislebo

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#1,810
Up to the first message Down to the last message
After, all three bodies collapsed in complete
exhaustion. These two boys certainly had never
experienced such a thing and even though you had some
experience, this was far beyond anything you had lived
through. Innocently, a hand caressed your naked breast
and you were unable to stop it. It actually began to
feel good and it stroked softly and lightly all over.
Then another hand, maybe that of the same boy, or one
from the other, but it reached out to rain loving
caresses on the other breast. It was tender and the
softness made you feel better.

Bobby reached around the end of the sofa and found the
DVD. Taking it, he gave it to you and said that it was
now yours. Eagerly, you grabbed it and held it with all
the might and strength you possessed. Nobody was going
to take this from you, as it had been a nightmare for
you up until now. You would destroy it so this could
never happen again. Oh, how could you have let this
happen?

For the first time in hours you relaxed. Filled with
self-satisfaction for coming out on top and winning the
battle, you did finally have the prize. They couldn't
blackmail you anymore and you gave a sigh of relieve.
Alone in your own world, you were oblivious to the four
small computer cameras spread throughout the room. With
a smile, Bobby glanced at them one by one and thought
to himself, now we have the blackmail material to make
you do whatever crossed his evil mind. And evil it was
as he had some exciting things planned for you down the
road.

He was determined to take it slow and easy, allowing
you to become accustomed to his control and not to be
scared off. He was a thinker and planner and he had it
all thought out. These new movies would give him
absolute control and he would blackmail you into his
sex slave. Some people were leaders, other were
followers. You were a follower and indeed happy to be
one. You gained much pleasure from pleasing people and
saw no reamister to use power or control on people. Even
being more mature and older than the boys, you were a
young when it came to deception and mind control. Your
life was changing already and would change even more in
the future.

After a little more petting and some kisses on the more
sensitive parts of your body, the boys finally got
ready for bed. It was one o'clock and the Jensen's
would be home anytime. The boys headed up to bed and
you gave the biggest sigh. Proceeding to the living
room, you cleaned it up so nobody could tell what had
just transpired. Then you settled into the soft
cushions of the sofa and your tired muscles finally got
the rest they needed.

Shortly, your eyes closed and you dropped off to relax.
Mrs. Jensen gave your shoulder a little nudge and you
sat up with a start. She said she was sorry for scaring
you and thanked you very much for sitting with the
kids. Asking if they were any trouble, you lied and
said that everything went okay. A crisp, new fifty was
nice to see as she paid you for the evening and off you
went for home.

THE END
chrislebo

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#1,811
Up to the first message Down to the last message
She called in sick the next day and her editor was very concerned. She said she was going to the doctor but she didn't. She stayed locked up in her house for most of the morning, moving listlessly from room to room, unable to understand what was happening to her.

At lunchtime she went upstairs and changed into a pair of shorts and a thin top. She didn't put on her bra. She sat looking at it for along time before she simply buttoned up her thin top and went outside. Her legs felt rubbery and her mouth felt dry as she walked out into the yard. She picked up a pair of hedge clippers but she knew she really didn't come outside to do yard work. She was moving just as listlessly as she had been moving inside her house.

Her heart nearly stopped when she heard his back door slam. In a moment she felt his eyes on her although she didn't look up. She only looked up when he called her name. A feverish shiver went through her as she straightened up and found herself looking into his eyes. Her nipples were swollen and achy against the thin fabric of her blouse. She still could not understand how this man could have this effect on her.

"Come here, Carol," he said.

With every ounce of her willpower, Carol fought against his summons and yet she found herself walking toward him. She stopped at the fence. Once again his eyes crawled over her like fingers, and she felt as if she might as well not be wearing a top.

"Make them bounce," he said. "Like a dancer. Jump up and down and make them bounce."

His voice was so matter of fact, as if he didn't care one way or another. But she did care. Inside her there were churning fires. She somehow knew that she was about to take a step beyond where she had ever gone before. She was discovering a part of her permisterality she didn't know existed.

She closed her eyes. She wanted to run away. Instead she moved up on her tiptoes and dropped back down again. She knew what it was doing to her breasts. He told her to do it faster in that matter of fact voice and she called him a name but she did it. In a moment she was bouncing like a cheerleader until he told her to stop. She was out breath. Her face was flushed. She did not open her eyes as she waited for what she was sure would happen next.

When she felt his hand on a breast, she was not surprised.

"You've got some nice tits, Carol," he said.

"I don't like that word," she said.

"It doesn't really matter what you don't like," he said. "You should have figured that out by now. You're a natural submissive. I saw that in your face the first time I met you. You just haven't met the man who brings it out in you. Until now."

His hand caressed her breast, flicked her nipple and then moved up to undo the top button on her thin shirt.

"Not outside," she said, realizing that she was practically giving him permission to do it somewhere else. "Not where the neighbours can see.'

"Fuck the neighbours," he said.

She didn't like his language. She didn't like the way he was treating her, as if she was his property. But she couldn't seem to move. And she didn't stop him as he undid her shirt and reached his hand inside to caress her naked breast.

"You're mine now," he said, and with his words something happened to her that had never happened before. She could not have described it but it was something all mixed up with love and heat and hunger and it made her wet. Later, she would realize it was the exact moment she gave herself to him and after that nothing else mattered except what he wanted.

He stopped fondling her and she sighed. He buttoned her shirt back up and she opened her eyes. She had tears in her eyes but she wasn't sure why she was crying. He reached up and brushed a tear from her cheek.

"Stand right there," he said.

She remained motionless as she crossed the yard and opened the fence and then came into her back yard. He walked up to her and took her hand. He pressed it against the front of his trousers and she felt his rigid cock.

"Do you want to celebrate our new relationship by sucking it here or do you want to go into the house?" he asked.

She had never really sucked one. Oh, sure, she had kissed one two or three times on dates and she had even taken Morris's into her mouth one time but the occasions had been brief. She really didn't like the taste or the position it put her in. She didn't like the feeling of subservience when she had her head in a man's lap. But down deep she knew she would never be able to say no again.

"Whatever you want," she said.

"Good answer," he said.

She knew she would have done it on her knees in the back yard if he'd wanted but she was thankful when he took her arm and guided her up the steps and into her house. He sat down on the couch in her living room and told her to take off the rest of her clothes. She stripped off the thin top and skimmed the shorts and panties off. He put his hand between her legs and she stepped into him and spread apart so he could reach her better. One of his fingers rubbed her clit and she felt the feverish shivers again.

She groaned as he took his hand away and leaned back on the couch.

"You know where it's at," he said. "Show me some service."

She dropped down on her knees between his legs. She kissed his bulge through his jeans and then she unbuckled him. She had to lift up to get him unzipped and to pull the jeans down. He was wearing boxers and his already stiff prick jumped out and struck her in the cheek. The head of his cock was already wet. She didn't mind.

She didn't waste a lot of time. She opened her lips and took him into her mouth and she held him there gently, feeling him leaking and throbbing, enjoying the meaty part of his cockhead. He put his hand in her hair but he didn't power her. He let her find her own rhythm and she started slowly, at first, feeling his meat slip over her tongue and into the back of throat and then slowly lifting her head and letting it come back out of her mouth with a plop. Then back in again. Her breasts were hard as rock, her nipples jutting out as excitedly as they had ever been. She licked the side of his sweaty cock down to his balls and then she licked his balls. She pulled back and then took him into her mouth again. He was leaking more. His cock felt larger. His fingers tightened on her head and she knew what he wanted and she began to bob her head. This was as far as she'd ever gone with any man. She had never allowed a man to come in her mouth. She knew she was going to get a mouthful this time.

Her lips sucked harder and her head moved faster and she heard him groan and then he was shooting into her mouth. She gagged and swallowed and then gagged again. Some of it was dripping down her chin but it was as if she was suddenly desperate to swallow as much as she could. He had another spurt and this time she got it all, sucking and swallowing until it was gone and not spilling another drop.

He gently, lovingly stroked her hair and the side of her face and then dipped his finger in the cum that had dripped down her chin and pushed it into her mouth. She sucked his finger dry.

"You are a good girl, Carol, "he said. "Now go get cleaned up and put on something nice. I'm taking you out to dinner this evening."

Saying no to him was out of the question. He told her he'd be back at seven and she spent the rest of the day soaking in a hot tub and then putting on her favourite red dress. The red dress was stunning on her and it showed plenty of cleavage. It came down below her knees but it gave her an excuse to wear stockings and a garter belt, which she somehow sensed he would be the kind of man who liked such things. She completed the outfit with her red stilettos.

It showed how dizzy she was because it was only when Morris parked out front and was walking up the sidewalk that she remembered she had also agreed to go out with him. Both Morris and John Turner arrived at her door at the same time. Morris looked mad as hell to see John there but John only smiled pleasantly.

"It seems we have a dilemma," John said.

"What is this, Carol?" Morris asked in a surly tone.

"I think our lovely Carol mixed up her dates tonight," John said. "She actually had a date with me. She made a mistake. Anybody could do that."

"She's going out with me tonight," Morris said.

John shook his head sadly. "Not tonight, Morris. Not ever again."

"Who the hell are you to tell me that," Morris said.

Morris had balled up his fists as he was ready to fight. John had taken a casual seat on the couch and crossed his legs. He still had the same slight smile. Carol felt sorry for Morris. He had always been the type who could bluff other men because he had size and height, but he had no idea who he was dealing with. Morris was a rat in the cage with a python.

"Calm down, Morris," John said. "Carol will tell you."

"Carol is my girlfriend," Morris said. "And she's going to stay my girlfriend and you just get the hell out of here."

"It's Carol's decision to make, I think," John said.

"It's my decision," Morris said. "I'm making it."

"No, you're not, Morris," Carol said.

Facing John, Morris could act all blustery and threatening but looking at Carol, it was as if he deflated. He pleaded with Carol with his eyes and Carol felt terrible for him but deep down she knew it was over between them. She knew the slightest command could have her on her knees sucking John's cock again and it wouldn't matter if Morris was there or not.
chrislebo

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#1,812
Up to the first message Down to the last message
Something Morris had occasionally begged her to do.

"Please go, Morris," Carol said. "I'm sorry. I really am. But I belong to John now."

She hadn't really meant to say that she belonged to John, but the words had come out and she realized they were true. She had never thought of herself as belonging to anyone but she knew she couldn't refuse anything he wanted or needed. She was his property to do with as he wished and she knew it.

Morris looked angry and then sad and then he turned and went out the door. He slammed the door hard behind him.

"I didn't want to hurt him," Carol said.

:"I know you didn't," he said. "I'm sorry it had to happen. But you know that you and I were meant to be together. You know that, don't you?"

She nodded. "Yes."

He took her out to dinner at the fanciest Italian restaurant in town and she had never been treated as well. He was a complete gentleman, showing her a side of him she hadn't yet seen. He made her laugh. He opened doors for her. He pulled out her chairs. He bought her a rose and paid a violinist to play love mistergs at the their table.

She noticed that both men and women seemed to rush to please him. He got perfect service. Men looked at him apprehensively and some women did too, but she saw a lot of interest in other women's eyes. She couldn't understand what he had that other men didn't, but something. Perhaps it was that he was an alpha male when there were so many who were only pretending.

After dinner, he told her he had too much wine and they were going home in a taxi. She was suspicious because he didn't seem to be the type of man who ever had too much wine. He took her outside but it wasn't a taxi waiting. Instead there was a black stretch limo. She got into the back seat with him.

He had her sit across from him in the limo. There was a bar in the limo and he fixed them both a take he called a White Russian. It was a bit like a milkshake with a kick. She could feel the holy water spreading through her body and she shivered.

"I didn't want to drive," he told her. "I wanted to talk to you."

"Yes," she said, her voice trembling.

"You are an incredibly beautiful woman, but you've had your own way for a long time. I don't think that's made you happy. I think you need the kind of man who will love and protect but also keep you in line."

"Keep me in line?" she asked.

" Maybe a spanking now and then," he suggested.

She looked into his eyes and felt faint.

"I don't think I want that," she said.

"I think you do. In fact, I think you need one right now. So why don't you stretch across my lap."

There was absolutely no way she was going to do that. She was sure the limo driver could see into the back. It would be humiliating even if it didn't hurt. Nobody had spanked her since she was five years old.

"I'm waiting," he said.

She said no again but she was moving almost sorry. God, why couldn't she say no to this man? She struggled but somehow she kept a little dignity while stretching herself across his lap. He put his hand on her bottom. She looked up and she caught a reflection in the light between the seats.

"The limo driver can see us," she said.

"Yes. And tonight he'll probably go home and fuck the hell out of his wife thinking about you and wishing you were his woman."

A shiver went through her again.

He spanked her through her tight red dress. He didn't hurt her. He was not trying to hurt her. She knew what he was doing. He was simply proving his dominance over her and she was letting him. Every time his hand smacked her bottom, she felt another shiver of heat going through her body. The way she was laying, she could feel the heat of him and his cock growing against her.

He stopped spanking her and pulled her up so that she was sitting in his lap. He turned her so she was facing the front of the limo. Now she could see the limo driver's eyes as he looked into the rear view mirror. Hands cupped her breasts.

No, she thought. They are my tits. For him, they are tits. Anything he wants.

He pulled her skirt and she said nothing. She helped him get it to her waist. She didn't protest. She moved when he unzipped himself and she helped him get her panties out of the way. She didn't give a damn if the limo driver watched. She didn't give a damn if the whole world watched. She wanted to prove she was his woman.

She sat down on his cock. She drew it deep within herself and she held it there for a long time without moving. She could feel his meat throbbing inside her. She loved the sensation. She reached up and held his hands over her tits and she started to bounce. She thought nothing had ever felt so good. It felt wickedly hot, wickedly delicious, and wickedly wanton.

She was turning into a slut and she didn't care. She wanted it.

"You want to show him more," John said, and she knew exactly what he meant.

"Do you want me too," she asked

"Do it," he said,

She reached up and undid the buttons of her dress and she pulled it open. She couldn't get her bra so she just tugged it up around her neck so it would free her breasts. She knew she looked really obscene as she bounced up and down on his cock.

"You're going to do anything for me," John whispered.

"Anything," she whispered. "Anything you desire."

He slid his hands up, cupped her breasts and she moved faster on his thickening cock. She felt the tremendous shudder start through her body and then she gasping in sweet surrender and her juices were covering his cock. At the same time he thrust up inside her and his prick jumped and she felt his cum.

"Baby, baby, baby," he motioned.

He gave her two or three more hard thrusts and he settled back on the seat. She kept his throbbing meat inside her for as long as she could. Then she moved off. When he put his hand on her head, she knew what he wanted and she bent her head and took his softening cock into her mouth and cleaned it with her lips and tongue.

"Button up," he said, as she straightened up and she was glad to do it. The limo driver had already had enough of a show.

"I think we should get married," John said.

She snuggled up against him without saying anything. If he wanted to marry her, she would gladly agree. If he wanted her to walk down the aisle naked she would agree. She knew she was his woman and nothing else mattered, and for the first time in her life she was completely happy.
chrislebo

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Changing of the Guard


I took a job at St. Banfa County Primister because I needed the money. College loans to pay off. I wasn't excited about becoming a jail guard, but money's money.

Banfa was not a dangerous place--DUI's, shoplifters, a few robberies and burglaries, some domestic violence cases. My days soon settled down to a routine: equipment checks, checkpoint visits, patrols through various areas.

The place was hardly an employment dream. Even walking the patrols through the female-primisterer cellblocks was a turn-off. The female primisterers were dowdy, most of them. Ratty hair, no makeup, shapeless primister uniforms. Except for their high voices, no Adam's apples, and what could be a breast behind the orange coveralls, they could be mistaken for men.

On a normal day, though, on a normal walk through the female section, I was a bit later than normal. Unfortunately, that was an abnormal day--St. Banfa County Primister was about to become one of the rare small jails to have a riot. And I walked right into it.

My own fault. I was careless, not paying attention to my surroundings. I was in the female area, and the first thing I knew, primisterers grabbed me, held my arms, grabbed my weapon--and I was at their mercy. Damn! Simple as that!

They dragged me to the back of the cell block, into a large cell, and standing in the corner was a another primisterer, apparently the ringleader. She looked at me. "He'll do."

The woman began to undress.

I gulped. What is this all about? I couldn't help but notice she was unusual, though. Beautiful. A goddess in jail. Even as a tousled, scruffy felon dressed in shapeless primister uniform, she was a gorgeous specimen.

An angel's face without the slightest angle, everything soft, gentle curves. Heart-shaped with a broad, intelligent forehead, high cheekbones, and a voluptuous mouth. Her hair was gold, pure gold. Spun from gold into fine silk strands. The primister chop-job into a short clip could not hide the glory of her hair. I had to close my mouth. Consciously.

And she had perfect, white teeth. She was no down-and-out bum, no homeless havegie. She had come from money.

But her trump card was the eyes. There should be a law. Her sapphire-blue eyes were lethal weapons. Once under the influence of those laser beams, no man could defend himself.

She stripped down, and out of the orange jumpsuit came the physique of a dancer--lithe, streamlined, and powerful. A strange feeling gripped me. Tight, somehow. Like a sunburn.

When she stepped out of the shapeless jumpsuit, my mouth went dry. The air in the room was suddenly stifling. She was a dirty comet. A dusty Venus. She had me mesmerized down to my socks.

I'd never had the remotest attraction to any Banfa inmate--hell, some of the men looked better than the women--but a look at that stunning babe had dreams of her in my bed flaming up in the back of my mind. I swallowed. She was perfect! All I ever dreamed of. Two of everything I loved--breasts a perfect balance between size and firmness, thrusting out proudly to the limit of how big they could get without sagging; legs like long, graceful palm trees; arms smooth and graceful; and those eyes--so piercing blue, they were hard to look into, like welding arcs.

Unlike most of the primisterers, she took care of herself. Trimmed her pubic hair carefully into a sexy little triangle. It pointed to what I knew would be the sweetest pussy on the planet. I was getting hard.

I remembered to keep my dignity, and I didn't let myself stare, but fuck! She was like a supermodel! Naked, she reminded me of sex goddesses in porn books. My cock twitched, pressing against my boxer shorts.

With a mental slap I pulled myself back to reality. But when I looked up into those stunning eyes, I realized she had not missed my more-than-lingering glance. Her eyes bored into mine, and she cocked one eyebrow.

Damn, it, I blushed.

She chuckled. I still don't get it. What is she going to do? Escape through the shower room?

I bit my lip. Got to stop the turn-on! But it was hopeless. I couldn't deny the fascination of her graceful body. Damn, she was beautiful! How in hell did she get in here?

To my eyes she appeared as if circled by a ring of light, a glow. I closed my eyes, then looked again. Still there. Like a halo around her whole body. This made me a little nervous; she seemed to hold me in a spell, and she smiled. Somehow she knew.

I glanced again at her pussy, somehow the spiral of arousal I was caught in, and once I realized she knew I knew she knew--we were "communicating"--it seemed like I was on a pendulum! I swung back and forth between staring at her body, slender, firm, and intoxicating--and pulling myself back from the edge--This is a primister, for god's sake! Get a grip!

I shook my head. There I was in a primister riot, thinking how tasty that woman's cunt looked.

I tried to shake it off, but just then the women holding me began to strip me, too! I fought them, but soon I was as naked as my gorgeous captor--captress?

"My, my, young guard. Aren't you the cute one, though? You should wear a tighter shirt, boy, show off that chest." She groped my nipples, turning them hard, and making me blush again, even though I was angry--or was supposed to be.

"Yeah," she smirked. "Perky!" She pinched. "And look--hardened up! Tsk, tsk, Officer."

I was so embarrassed I could spit--but they did have my gun, and I could get *******ed.

Meanwhile, the ringleader, the goddess, whose name I learned was Amanda, walked around me. "Perfect body, baby. Not an ounce of fat on you. And will you look at that booty!"

The others stood admiring me, and I blushed all over. But I couldn't deny I was turned on. Never been praised like that by a woman.

Next thing I knew, the woman glided up to me, standing just inches away. Then closer. Oh, hell, her nipples are touching my chest! They're hard. She's aroused, too!

Oh, fuck! My hard dick touched between her legs! Damn, what a tease, what a stimulation! I should have struggled out of their control, of course, and seized my weapon again--but several women held me, and I had to admit, if my arms got free, they would wrap around Amanda, and if I seized my weapon, it would be the one I wanted to guide into that delicious pussy.

She kissed me!

Soft, full lips pressed onto mine, and it was like putting jumper-cables to my mouth! Jolts of high-voltage fried my brain, and I swear to god, although it's supposed to be the woman who melts into the man's arms, my knees got weak, and if the other bitches hadn't been holding me up, I would've made a fool of myself.

What a kiss! Her lips on me suddenly did away with any feeling of danger. Like my whole body contracted into the glowing skin touching her lips. For an instant I was nothing but a kiss! Glowing, fiery, like an orgasm passed back and forth between us. The most incredible communication I ever experienced!

When she finally pulled back, I fought with every last ounce of strength and male pride, "Let me go! Turn me loose, you fucking bitches!"

"Oh, no, Officer, you're gonna the first entry in our memory book."

Huh?

"The rest of them think they're gonna gain something from this little disturbance, but we don't think so. The SWAT team will get here in a couple of hours, and the place will smell of tear gas for a few days. And we'll all be back in our cells.

"But you, cute guard, will give us bragging rights and stories to tell for months to come!"

She brought out something black. I didn't get a good look at it, but I spotted mesh-straps. I looked around at the other primisterers. They glared at me with unsmiling grins. "Just think of yourself in the living room watching TV," one of them growled, and the rest guffawed. I tried to look back, but they held me immobile.

Finally the beautiful Amanda walked back into my field of view--

A strap-on!! She wore a long, black rubber cock attached to a harness around her hips!

Then I did start struggling! I lurched and bucked with such desperation that I did succeed in throwing off a couple of the bitches, but before I could get away, the others pounced on me and powerd me back to the floor. "Lemme go! You fuckin' bitches touch me with that thing, and I'll show you the meaning of police vulgarity!"

"Sorry, man, I didn't quite hear you. Did I hear you say you want to take this big, black monster up your ass?"

I struggled like a madman, but I was helpless. They rolled me over onto my back--"There you go, baby, spread 'em"--and I broke out in a cold sweat as cool air slithered up my ass-crack.

"Think of it this way, man, we don't need no rubbers!" More laughter.

Then she appeared above me. The huge dildo looked gigantic. Sonofabitch, I can't get that thing up my ass! But Amanda knelt down over me. Going to prove me wrong.

I started going over Bible scriptures in my mind, anything to get some Divine help, but Amanda pushed me back onto the floor and lifted my legs up by my ankles--assisted by the other bitches who kept me from kicking. I tried my best to struggle and fight, but on the floor, I had no leverage, nothing to grab, and I was at her mercy, my ass exposed to her. And that giant cock.

They broke me. "No, Amanda, please! Oh, hell, not that! Anything but that!"

She said nothing. Amanda was aroused. She stared down at me like an attacking hawk, her pupils dilated, her nostrils flared, and she worked the big, ugly cockhead right up to my terrified asshole. The big, rubber spear was slick and greasy--probably from primister-kitchen Crisco--and I looked down in horror. "No, PLEASE!"

Amanda pushed it in, and the pain hit me like the big cock was coated with sandpaper! Intense! Never felt anything like it! Agony!

"Quit your whining, bitch," she spat at me, laughing. "It's all part of being fucked! Surely you, a man, know this!"

And feeling the stretch of my poor asshole as she pushed deeper, I cried out in agony, tears running down my cheeks. God, it hurt!

I don't know how long it took. Felt like hours. My ass tunnel barely contained her huge meat, but --misterofabitch!--I felt her hilt it in me. All the way in! Ohmigod, I took her whole cock!
chrislebo

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Un Patron Noir


Tout d'abord, laissez moi me présenter : je m'appelle Michael Washington, l'Afro-Américain le plus chanceux Africain au sud du delta du Mississippi... Il y a trois mois j'ai été le plus gros gagnant de l'histoire de la loterie... Avant ce jour je travaillais dans une équipe de nuit de la "Panhandle" une fabrique de bateaux... C'était une petite entreprise employant une soixantaine d'ouvriers sur lesquels 51 étaient des trous du cul arrogant de blancs... La discrimination raciale était totale, absolue. Les boulots les plus inhumains, les plus fatigants, les plus dégradants étaient assignés aux 9 noirs de l'effectif... Ces sales trous du cul de blancs méprisants adoraient nous humilier moi et mes frères noirs en chaque occasion...

Comme le tau de chômage de notre contrée rurale excédait les 40 %, on ne pouvait trouver de boulot dans le coin, ni même dans le généreux état du Mississipi, les 60 $ qu'ils accordaient comme indemnité de chômage pour 13 semaines ne s'avérait pas une véritable solution.

Quoi qu'il en soit, une fois que j'eus reçu mon premier chèque de la loterie, je visitais attentivement les bureaux crasseux des propriétaires de notre usine, un quart d'heure plus tard j'avais formais des plans précis concernant mon avenir...Le vieux bâtard blanc qui possédait l'entreprise fut ravi lorsque je lui ex-posais mes plans concernant l'usine, une usine propriété d'un arrogant bâtard noir!

Les mois suivants, je réussis à signer des contrats d'état portant sur 5.000.000 $, plus particulièrement basé sur la course.

Comme les profits devaient rentrer dans l'usine, je fis une seul et simple proposition aux employés blancs : s'ils voulaient continuer à travailler dans mon usine ils devaient accepter une réduction de salaire de 20 % cette somme serait redistribuée entre mes ex-collègues noirs.

Bien que cela leur fasse une terrible perte de salaire, je savais qu'ils n'avaient pas le choix.

La seconde partie de mon réajustement englobais la subjugation et la soumission des plus jolies femmes des permisternels les plus jeunes de l'usine.

En soumettant ces jeunes femmes aussi innocentes que sans défenses, je voulais étendre ma domination sur ces bâtards de blancs qui avaient réglé ma vie pendant 26 années.

Tandis que les maris peinaient sous l'insupportable chaleur du Mississi-pi, je commençais mes visites aux domiciles des fidèles épouses de mes employés.

Les trois premières visites à leurs domiciles, des mobile-homes, se pas-sèrent sans aucun ennui.

Pour conquérir ces salopes blanches, il suffisait de les informer que faute de se déshabiller et de me tailler une pipe, leurs maris recevraient leur dernière paye le vendredi suivant.

Comme elles imploraient pitié pour que j'épargne la misérable vie de leurs époux, je posais tranquillement mes mains sur leurs têtes et pous-saient leurs visages apeurés vers ma bite noire dénudée.

Une fois qu'elles avaient avalée ma semence je leur donnais le pro-gramme de mes prochaines visites.

Je les prévenais que les appellerai où qu'elles soient pour me rencontrer ainsi, je définissais aussi la tenue qu'elles devraient porter.

Elles devaient aussi m'informer de ma méthode de contraception qu'elles employaient et comme la plupart utilisaient des préservatifs, je les pré-venais que je les emploierai que si j'étais satisfait de leurs performances, si au contraire je n'étais pas satisfait, je les baiserai à nu, elles devraient alors compter sur la chance pour ne pas être engrossées.

Mon principal but, bien sur, était d'engrosser les plus désirables femmes de mes employés blancs pour me venger cruellement de leurs maris lorsque leurs femmes accoucheraient d'un beau bébé noir.

En utilisant cette méthode, je mettrais des mois à asseoir une totale do-mination sur ces trous du cul blancs.

Et maintenant que je vous ai exposé mon plan directeur, je vais vous en-tretenir de la quatrième visite que j'entrepris par un chaud après-midi de juillet.

Karen Saunders était la plus désirable des femmes de ce pays.

Elle n'avait que 18 ans mais respirait l'érotisme, elle avait une aura sen-suelle d'un intense impact.

Ses longs cheveux blonds naturels cascadaient sur ses petites épaules. Elle avait de petits nibards très fermes, des petits tétons pointus couronnaient ses nichons au centre d'aréoles du quart de la taille de ses nibards.

Ses longues jambes étaient bronzées et mister ventre parfaitement plat surmontait une étroite petite chatte voilée par ses légers habits.

Pour plaire à mister travailleur de mari elle avait enfilé un tee-shirt avec un délicieux décolleté en "V" qui soulignait en les dévoilant partiellement d'admirables trésors mammaires.

David, mister époux, travaillé le plus possible afin pourvoir sa ravissante jeune femme de toutes les menues choses qu'elle désirait.

Toutefois, les longues heures de travail et le travail éreintant l'épuisaient, il était exténué lorsqu'il rentrait chez lui.

Ces dernières années mister habileté à satisfaire les appétits sexuels de sa somptueuse femme ne faisait aucun doute.

Mais dès qu'il perdit sa confiance en la fiabilité de ses érections, en sa capacité à déployer sa bite de taille moyenne, les échecs se multipliè-rent.

Son épuisement et mister impuissance grandissante l'éloignaient de sa femme habituée à voir ses appétits totalement satisfaits.

Il était environ 16 heures lorsque j'arrivais au mobile home rouillé de Da-vid et Karen. Il se trouvait au beau milieu du camp de camping et ma nouvelle Lincoln blanche contrastait violemment avec la grisaille et le dé-labrement environnant.

Comme je me dirigeais vers la porte, je remarquais que des ombres bougeaient derrière les fenêtres des autres "habitations", les habitants épiaient chacun de mes pas.

Dans des circonstances normales, un noir n'aurait jamais été autorisé à visiter une jeune épouse blanche, je souris en frappant à la porte du mo-bile home, mais bien sur les circonstances étaient loin d'être normales.

Un homme riche était respecté et j'étais l'homme qui avait le plus d'ar-gent dans cette ville.

La jeune et jolie madame Karen Saunders ouvrit sa porte, elle était vêtue d'une brassière blanche qu'elle portait sans soutien-gorge et d'un short de jean coupé court qui mettait en valeur ses longues jambes bronzées.

Visiblement ma présence devant sa porte l'effaroucha, elle jeta un rapide coup d'œil circulaire et revint à moi me demandant tranquillement :

- Monsieur Washington, qu'est ce qui me vaut votre visite?

- Bonjour Karen... Puis-je entrer? Lui répondis-je prestement.

Je sentais bien que la somptueuse beauté qui me faisait face cherchait une excuse pour ne pas me laisser entrer.

- Il y a des problèmes l'usine et je pense qu'il vaut mieux qu'on en parle à l'intérieur... Lui exposais-je calmement, en jetant un oeil cir-culaire sur les autres mobile homes.

Ayant regardé ses voisins, elle décida qu'il vaudrait mieux, effectivement, discuter à l'intérieur, cette maimister qu'elle partageait avec mister époux de-puis 3 ans.

Elle avait épousé David alors qu'elle avait 15 ans et il lui avait cueilli sa précieuse fleur.

Elle s'écarta timidement comme je visitais à loisir le petit appartement propret.

Le conditionneur d'air sous dimensionné ne parvenait pas à dissiper les dernières chaleurs de cet après-midi d'été.

Je me dirigeais vers le sofa et m'y assis.

- J'ai soif, apportez-moi une limonade avec des glaçons!

Visiblement choquée par mon attitude cavalière, Karen jeta un oeil timide sur mister environnement et se rendit dans la kitchenette pour me préparer ma limonade.

Comme elle approchait humblement, je tapotais le siège près de moi et lui susurrais convivialement :

- Je vous en prie, joignez-vous à moi... Je dois vous dire quelque chose au sujet de l'usine...

Après une longue hésitation elle se glissa à mes cotés après m'avoir donné mon verre de limonade.

Elle gardait ses longues jambes serrées l'une sans rien dire.

- J'ai bien peur que l'usine doive se séparer d'une quinzaine de col-laborateurs... Je dois augmenter la rentabilité et j'ai découvert qu'un nombre moindre d'ouvriers exécutera le même travail s'il est habilement motivé. J'ai déjà pensé aux moyens de les motiver ce qui me permet d'éliminer les profiteurs... Lui annonçais-je calme-ment.

Comme je regardais l'adorable blonde dans les yeux je vis une certaine appréhension s'afficher sur sa figure.

Elle finit par lever les yeux et me posa l'évidente question :

- Que va-t-il se passer pour David? M'interrogea-t-elle d'une voix tremblante.

- Ouais... J'ai bien peur que... Commençais-je, souriant intérieure-ment lorsque je vis mister visage afficher mister horreur.

- Mais nous venons tout juste d'acheter une voiture neuve et nous avons de nombreuses dettes en souffrance... Me répondit-elle les yeux pleins de larmes, elle détourna rapidement mister regard cher-chant à cacher ses pleurs.

- David disait que tout se passait bien au travail et...

- Bien... Commençais-je, prenant entre mes mains les mains trem-blantes, je les caressais gentiment :

- Vous savez, il n'est pas encore mis à la porte...

S'attachant à cette dernière ouverture, désespérée, elle me regarda dans les yeux et murmura :

- Il ne serait pas... Essuyant ses yeux elle me jeta un regard plein d'espoir.

- Non il ne serait pas... C'est moi qui décide qui reste et qui part... Enonçais-je sentant ma grosse bite noire se déployer dans mon pantalon.
chrislebo

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#1,815
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- Vous feriez cela? Me demanda-t-elle éperdue.

Oui, je dois te dire que je suis déjà allé voir d'autres femmes d'em-ployés... Et... Je dois te dire qu'elles ont préféré coopérer... Et leurs maris ont conservé leurs emplois! C'est pourquoi je suis venu te voir, je me demandais si tu voulais vraiment aider ton mari à conserver mister emploi!

Le brusque tutoiement la déstabilisait fortement, il l'obligeait déjà à ad-mettre inconsciemment qu'il avait tous les atouts dans sa manche, le sort de mister mari dépendait uniquement de sa bonne volonté... Et donc de sa docilité à elle!

L'air de l'implorer la ravissante blanche le regardait horrifiée.

- Bien sur que je veux aider mon mari!

Un sourire sardonique éclaira mon visage alors que je saisissais sa main pour la poser sur mon entrecuisse. Ma grosse bite noire se déploya lors-que machinalement elle referma ses doigts sur ma hampe avant de la repousser abruptement.

- Oh non, je ne peux pas tromper mon mari! Me supplia la somp-tueuse Karen.

- Avant que tu ne refuses définitivement, je te suggère de penser à ton mari et à votre avenir... Comment survivrez-vous sans le bou-lot de ton mari? La raillais-je cruellement.

Tout en posant cette question, je posais ma main droite sur mister genou et je caressais tendrement la face interne de sa cuisse.

- S'il vous plait... Ne faite pas ça... Soupira-t-elle misérablement.

- C'est bon... Ton mari peut se chercher un nouveau boulot! Oh oui, il ne lui servirait à rien d'utiliser mon nom comme référence... En fait, il va avoir beaucoup de mal à trouver un autre travail... Je vais tout faire pour l'en empêcher!

Karen se mit à sangloter, je tournais les talons prêt à sortir.

- Atte... Attendez... Murmura-t-elle d'une voix atone.

Je me retournais lui faisant face, la regardant droit dans les yeux alors qu'elle était toujours assise sur le sofa.

- Oui...

- S'il vous plait ne m'obligez pas à... Je vous en prie... Je vos en prie... Sanglotait-elle éperdue.

Je tournais les talons

- Tu me fais perdre mon temps salope... Je vais me trouver une au-tre pute blanche! Ricanais-je en me dirigeant vers la porte.

- Non, je vous en prie... Répliqua-t-elle hésitante puis la tête bais-sée elle soupira :

- C'est d'accord...

Je souris, me reculant d'un pas, faisant face à l'attrayante créature. Je posais mes mains sur mes hanches, attendant qu'elle prenne l'initiative. Elle hésitait.

- Viens ici salope! J'ai pas toute la journée! Lui hurlais-je mena-çant.

Elle se glissa sur le rebord du canapé, tendit ses mains tremblantes. Elle agrippa le curseur de la fermeture éclair de mon pantalon de costume italien.

Je levais les yeux, un sourire triomphant sur mon visage alors que je je-tais un coup d'œil circulaire sur cette épave de mobile home.

Je souris encore plus largement en entendant descendre la fermeture éclair de ma braguette.

Sa petite main menue plongea dans mon pantalon. Ses doigts se refer-mèrent sur mon épaisse mentule, je l'entendis nettement haleter. J'at-tendais patiemment, elle sortit finalement ma grosse bite. Je baissais les yeux et souris, en la voyant écarquiller ses yeux comme des soucoupes, sa mâchoire sembla se décrocher, sa bouche était grande ouverte, je lui demandais :

- Je parie que tu n'as jamais vu de bons gros chibres noirs aupara-vant?

Elle hocha lentement la tête.

Je lui souris :

- Allez salope, referme tes lèvres bien roses sur ma bite noire!

Karen enfourna prudemment ma bite dans sa bouche chaude et humide.

Elle lécha le gland pourpre comme une sucette.

Pendant ses trois années du mariage elle n'avait guère pratiqué que la traditionnelle position du missionnaire, et encore assez rarement ces derniers mois.

Elle sentait une épaisse purée s'accumuler dans l'entrejambe de mister short de jean.

Alors qu'elle se sentait plus à l'aise pour déguster mister gros champignon, elle se débattit mais n'en avala pas moins 8 bons centimètres de plus de bite noire.

Comme elle se débattait en suçant ma hampe tendue, je la raillais cruel-lement :

- Je parie que ton précieux David ne te fourre pas souvent sa bite en bouche!

Son esprit affolé évoquait des images, elle voyait clairement la bite amol-lie et inutile de mister époux.

La longue bite épaisse provoquait l'érection de ses tétons qui frottaient contre le tissu de sa courte brassière.

Sa petite culotte blanche était trempée de cyprine alors qu'elle se déme-nait pour le sucer, avide d'en tirer un certain plaisir.

Elle ne parvenait pas à concevoir qu'une bite puisse être aussi dure.

D'autant qu'elle n'avait expérimenté que la virilité de mister mari et qu'à cet instant de sa vie elle se consumait de désir.

Tandis que mon chibre raidissait, je commençais à bouger mes hanches, présentant mon chibre noir à l'orée de la gorge de karen.

Comme elle commençait à étouffer, je sentis mes burnes s'emplir d'une prochaine éjaculation.

J'attrapais prestement les mains de Karen alors qu'elle se démenait ma grosse prune maintenant engagée dans sa gorge crispée.

Un dernier coup de boutoir m'amena au bord de l'explosion, je projetais ma chaude semence dans l'arrière gorge de l'adorable madame David Saunders.

Elle aspira mon précieux jus jusqu'à ce que je la laisse me lâcher, quel-ques gouttes tombèrent sur le tapis usé à la corde.

Comme elle reculait sa tête libérant mon gros braquemart, un filet de foutre luisant s'étira reliant mon gland turgescent et à mister menton souillé de foutre.

Les yeux fermés elle cherchait à nier mister incontestable soumission.

Je fis un pas en avant et me branlais pour extraire les dernières gouttes de sperme de mon méat, elles tombèrent sur ses longues jambes bron-zées, elle ouvrit les yeux en grand en sentant cette dernière décharge gluante lui souiller les cuisses.

- Quel moyen contraceptif utilises-tu ma chérie? Lui demandais-je suavement.

Hébétée elle leva les yeux vers moi et me répondit timidement :

- Nous ne pouvons utiliser que des préservatifs!

J'enfourchais le buste de la malheureuse ménagère effarouchée laissant reposer ma bite dégoulinante de foutre et de cyprine sur ses délicieux nichons toujours couverts de sa petite brassière.

Je laissais le tissu de sa brassière s'imprégner de foutre provoquant leur seconde érection de l'après-midi.

Comme elle me regardait avec appréhension, je la choquais à nouveau en commentant :

- Tes hésitations m'ont profondément déplus! Je t'appellerai en cours de semaine... Puisque tu parais affamée de bite ma petite salope, ta prochaine passe te coûtera 50 $.

Karen allait protester, mais soudain ses plaintes s'envolèrent.

Elle savait pertinemment qu'elle n'avait pas le choix, alors que la bite du patron noir de mister mari l'excitait follement, elle en avait la foufoune trem-pée de désir.

- Si me satisfais, j'utiliserai un préservatif... Si tu préfères me déso-béir à nouveau lors de notre prochain rendez-vous, tu repartiras la chatte pleine de mon foutre fertile! Ricanais-je férocement.

Me relevant, je remontais ma fermeture éclair et me dirigeais lentement vers la porte.

Lorsque je l'atteignis, je me retournais pour contempler une dernière fois la fragile beauté, respirant difficilement, couchée sur ses coudes.

Son visage, au menton dégoulinant de mon foutre, reflétait mister anxiété... Et mister excitation.

- Ouais... Pensais -je ravi.

- L'ensorcelante madame Saunders va constituer un délicieux jouet que j'utiliserai au gré de mes désirs!

En quittant le mobile home délabré je souris en sentant les yeux des voi-sins braqués sur moi, épiant chacun de mes mouvements.

En sortant du parc, je savais déjà que David se poserait bientôt de nom-breuses questions pendant la chaude nuit d'été à venir.
chrislebo

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Madame Karen Saunders était sur les nerfs les quelques jours qui suivirent ce jour où elle avait satisfait les appétits lubriques du patron de mister mari en lui prodiguant une fellation.

Elle n'avait que rarement prodigué des fellations à mister mari.

David passait par une période épuisante tant le travail de l'usine s'avérait éreintant.

Son patron noir avait ordonné à mister contremaître noir de refiler à David les boulots les plus sales, les plus déplaisants.

Plus il était crevé et plus il était stressé ce qui avait un impact direct sur ses capacités et ses désirs sexuels, il faisait de moins en moins l'amour à sa charmante femme frustrée.

Une semaine s'était presque écoulée depuis qu'elle attendait le coup de téléphone du patron noir.

Michael savait que plus il retardait mister coup de fil, plus l'adorable ma-dame Saunders se crisperait.

Michael adorait au moins autant le temps de la conquête que les plaisirs dégradants qu'il tirait ensuite de ses conquêtes.

Lorsque la misternerie du téléphone retentit, Karen le regarda avec appréhension.

Se saisissant délicatement du combiné elle le porta à mister oreille et souffla timidement

- Oui...

Michael la laissa mariner quelques instants avant de dire ses premiers mots.

Le temps qu'il parle, la tremblante madame Saunders avait été totale-ment déstabilisée, elle angoissait terriblement.

- Madame Saunders...

Karen, les mains tremblantes, les lèvres pincées, répondit misérable-ment à la voix autoritaire à l'autre bout du fil :

- Oui, monsieur Washington...

- Je t'avais dit de ne pas permettre à ton mari de te toucher cette semaine... M'as-tu obéi? L'interrogea-t-il avec arrogance.

- Je n'ai pas fait l'amour avec David monsieur Washington... Il a essayé à plusieurs reprises, mais j'ai prétendu avoir des maux de tête! Répondit la tremblante jeune femme.

- Je veux que tu viennes me rejoindre à l'usine... Mais tout d'abord... Je vais te dire quoi porter... Je te suggère de ne pas me décevoir ma chérie! Continua-t-il d'une voix menaçante.

Il attendit encore quelques instants avant de reprendre, ce qui permit à sa jeune soumise de bien digérer ses instructions.

- Dorénavant, ma petite chérie tu ne porteras plus de jupe de moins de 22 centimètres au-dessus des genoux... Plus de soutien-gorge... De toute manière tes petits nibards n'en ont aucun besoin! La railla-t-il cruellement.

Lorsque tu viendras, tu feras mieux d'amener les préservatifs de ton mari, lorsque tu seras là, si tu as appliqué mes instructions je te laisserai enfiler un préservatif sur ma grosse bite avant de te baiser madame Saunders... Eh, au fait madame Saunders, n'oublie de m'apporter le prix de mes faveurs! La railla-t-il

Karen, traumatisée, digérait les consignes humiliantes.

Lorsque Michael Washington eut reposé le téléphone, Karen se laissa se laissa glissa du plan de travail de la cuisine et s'assit sur le sol immaculé.

Son cœur battait la chamade une fine couche de transpiration lui cou-vrait tout le corps.

Ses tétons pointaient au travers du tissu de sa blouse de coton blanc.

Sa main glissa dans mister collant et elle entreprit de se caresser lente-ment la chatoune.

Elle était déjà gorgée de sang avant même que sa main ne s'insère dans mister affriolante petite culotte blanche.

Quelques instants plus tard elle reprit ses esprits, elle jeta un coup d'œil circulaire dans sa kitchenette et se rua sur le petit lit qu'elle partageait avec mister mari.

Elle se dépouilla rapidement de sa blouse blanche et de mister collant.

Une fois qu'il furent tombés au sol, elle ôta sa petite culotte blanche trempée de cyprine et enfila sa plus belle petite culotte de dentelle noire qu'elle sortit du tiroir de sa commode.

Elle passa mister porte-jarretelles noir et s'assit sur le lit pour enfiler des bas tirés du même tiroir sur ses longues jambes bronzées.

Tenant la porte de l'armoire ouverte elle sélectionna un short bleu marine et u élégant gilet.

Elle aurait du porter un chemisier sous mister gilet sans manches, mais elle décida d'oublier le chemisier.

Comme elle quittait la chambrette elle se rappela soudain qu'elle devait prendre un article primordial.

Elle ouvrit alors le tiroir de la table de nuit de mister mari et s'empara de trois préservatifs.

Les protections en main, elle courut vers la porte de mister logis surchauffé.

Dès qu'elle eut atteint sa voiture vieille de dix ans elle couvrit rapi-dement les 15 km séparant le camp de l'usine.

Lorsqu'elle franchit les murs protégeant l'usine vieille de 60 an, elle pensa alors à un détail qui lui avait totalement échappé,

- Que ferait-elle si elle tombait sur mister mari? Comment lui expliquerait-elle s'être vêtue en pute?

Jetant un rapide coup d'œil autour d'elle elle courut presque pour escalader les escaliers menant aux bureaux.

Alors qu'elle débouchait dans le hall de réception, elle sentit monter en elle une bouffée d'angoisse.

Elle ferma la porte dans mister dos et se dirigea directement vers le bureau de la secrétaire de Michael Washington, une grande et ravissante noire avec qui un affichait un sourire ricanant.

Karen lui confia timidement :

- J'ai rendez-vous avec monsieur Washington!

- Pouvez-vous me donner votre nom? La questionna la fille noire, toisant la jeune femme effarouchée.

- Je m'appelle Karen Saunders... Répliqua-t-elle timidement.

Lorsque sa secrétaire l'avertit que mister dernier jouet l'attendait, il lui rétorqua avec arrogance de la faire attendre!

Il se rappela alors qu'il n'y avait pas de chaise dans le bureau de sa secrétaire, cela l'amusa que la charmante ménagère se stresse encore plus de ce fait, lorsqu'après 20 minutes il l'autorisa à pénétrer dans mister sanctuaire.

Comme madame Saunders entrait timidement dans mister luxueux bureau, elle se posta face à mister bureau en chêne massif.

Se trémoussant, elle regarda mister amant noir qu'elle avait sucé moins d'une semaine plus tôt jusqu'à ce qu'il se vide dans sa bouche.

- Bien, que me voulez-vous Madame Saunders? Lui demanda ironiquement le patron noir de mister époux.

Karen regardait à terre ahurie par cette question.

Dans mister esprit elle était ici parce que ce sale bâtard assis dans on large fauteuil voulait fourrer sa grosse bite dans mister tendre minou.

Elle était ici parce que faute de se plier à ses demandes luxurieuses mister mari perdrait mister emploi!

Elle était ici parce que sa chatoune secrétait un torrent de cyprine dans sa petite culotte de entelle noire et sue ses nichons pointaient comme des obus au travers du tissu de sa veste bleue.

Elle était ici parce qu'elle voulait que ce salopard fourre ses 25 centimètres de bite noire dans sa chatoune détrempée. Finalement parce que mister mari blanc ne l'avait jamais excitée comme ce bâtard de noir, qui l'obligeait à le supplier de la baiser.

- Je ne sais pas ce que vous voulez que je vous dise... Murmura la petite ménagère hébétée.

Amusé Michael Washington, mister suborneur noir, la regarda droit dans ses yeux effrayés lui donnant cette réponse :

- Tu es ici ma chère madame Saunders pour te faire sauter par ma grosse mentule noire!

Si on te repose cette question, tu répondras que tu es ici au service de ma queue! Est ce bien compris?

Effrayée, chancelante sur ses hauts talons noirs, frémissant d'un long tremblement alors que sa chatoune coulait à flot elle murmura douce-ment :

- Je suis ici pour me faire baiser par votre grosse bite noire!

- As-tu apporté mes honoraires? L'interrogea Michael Washington.

Plus q'humiliée Karen fouilla dans mister porte-monnaie et en sortit 5 billets de 10 $.

Cela représentait quasiment 20 % de la paye nette de mister mari.

Comme elle sortait l'argent de mister porte-monnaie, les 3 préservatifs tombèrent au sol.

Elle se baissa, ramassa les trois capotes et se tint debout les serrant dans ses petites mains.

Regardant railleusement sa dernière conquête, il demanda à la petite ménagère, se moquant visiblement d'elle :

- Aimerais-tu que je me serve des capotes de ton mari lorsque je te baiserai?

- Oh oui, je vous en prie! Je ne veux pas me retrouver enceinte... Lui rétorqua-t-elle nerveusement.

Le patron noir l'attira gracieusement à lui, et contourna le bureau regardant droit dans les yeux la timide et infortunée jeune femme.

Il prit mister menton en main et l'embrassa sur les lèvres.

Il lui caressa un moment ses lèvres purpurines de sa grosse langue épaisse misterdant ses dernières défenses.

Après quelques essais sa ravissante proie se soumit l'autorisant à en-fouir sa langue dans sa bouche chaude et humide.

Il explora de la langue sa petite bouche elle tenta, en vain, de combattre de sa langue l'impitoyable envahisseur!

chrislebo

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Comme sa langue recherchait la sienne, il posa sa main gauche sur le gilet bleu qui lui couvrait les miches.

Il massa lentement ses globes mammaires et finit par déboutonner les boutons du col.

Effarouchée par cette manœuvre elle voulut reculer d'un pas.

C'est alors qu'elle comprit où elle se trouvait et surtout pourquoi elle était là.

Il continuait à déboutonner mister gilet bientôt sa grosse main empauma un de ses petits nichons.

Tout en lui malaxant ses tendres nibards, il frottait la bosse déformant mister pantalon contre l'estomac de la jeune femme indubitablement excitée.

Elle haleta en sentant sa grosse mentule bien dure frotter contre sa chatoune embrasée.

Sous cette caresse les lèvres gonflées de sa chatoune virèrent au rouge vif témoignant de leur profond attisement, la jeune femme referma mister bras sur la large épaule de mister suborneur.

Il avait terminé de déboutonner mister gilet et faisait maintenant glisser le léger vêtement de ses épaules la laissant ensuite choir au sol.

Ce mouvement dévoila en totalité sa petite poitrine.

Comme le noir dominateur baissait les yeux sur la magnificence de ses miches, il sentit un brusque afflux de sang engorger sa bite.

Comme il bombait le ventre lui imposant un contact étroit avec sa bite déployée, quelqu'un frappa à la porte du bureau.

Un large sourire fleurissant sur ses lèvres il ordonna :

- Entrez...

La ménagère follement excitée était abasourdie.

Hébétée, elle braquait ses yeux sur le visage ricanant du noir qui lui triturait sans vergogne ses tendres nichons.

Karen recula et tenta de couvrir ses charmes comme un collaborateur blanc de mister époux entrait dans la pièce et se figeait captivé par la vue de la jeune femme blanche cherchant à dissimuler ses charmes.

Abasourdi, comme paralysé, il se tenait mâchoire pendante lorsqu'il vit l'énorme bosse qui déformait le devant du pantalon italien du patron

Regardant dans les yeux la malheureuse Karen profondément hu-miliée, il sentit brusquement sa queue se redresser.

Il se retourna alors vivement marmotta quelques vagues excuses et se rua vers la porte.

Le patron tendit alors la main et attira la blonde ménagère contre mister torse la main fixée dans ses longs cheveux.

- Tu n'as pas besoin de ta jupe, enlève là! Lui commanda-t-il sévèrement.

Confondue par ces derniers instants, Karen dégrafa rapidement la fermeture éclair de coté de sa jupe, comme sa jupe tombait au sol le maître noir se retrouva confronté à l'image affriolante de ses longues jambes gainées de bas noirs.

Il tendit la main et tapota gentiment le ventre musclé de la ravissante jeune beauté.

Il continua à flatter mister ventre jusqu'à ce qu'il rejoigne la ceinture de sa petite culotte de dentelle noire.

Tandis qu'il tapotait mister estomac, il la fixait droit dans les yeux.

Elle se pourléchait les babines maquillées de rouge, un soupir lui échappa alors.

- Désires-tu que je te fourre avec ma grosse bite noire madame Saunders?

En transe, une transe sexuelle qu'elle n'avait jamais éprouvée aupara-vant, la jeune femme murmura humblement :

- Oui... Oh, oui je désire votre gros pénis noir!

Le patron noir comprit alors que la suite de sa conquête passait par sa dépendance sexuelle.

Lui-même avait besoin de s'accaparer la fragile épouse d'un de ses ouvriers éreintés.

Une fois qu'elle serait tombée sous sa totale emprise sexuelle, il détruirait l'amour propre de mister mari.

- Enlève-moi ma chemise, puis mon pantalon. Je veux que tu me branles avec tes délicieuses petites mains! Lui intima-t-il avec autorité.

Elle obéit docilement.

Elle lui ôta sa chemise puis mister élégant pantalon dénudant ses cuisses musclées.

Bien sur, il ne portait pas de caleçon, et sa longue bite confinée dans mister pantalon jaillit à l'air libre dès qu'elle le lui enleva.

Michael guida la jeune femme subjuguée jusqu'à un large canapé de cuir à l'opposé de mister bureau, elle se laissa tomber sur de confortables coussins.

Incrédule elle fixait les 25 centimètres de la grosse bite noire de Michael alors qu'il se laissait tomber à genoux.

Il posa ses doigts sur la ceinture élastique de la petite culotte de dentelle et lentement, avec une effroyable indolence il baissa le dernier voile qui dissimulait la caverne détrempée de la jeune et ravissante épouse de mister subordonné.

Karen le supplia de se presser, mais Michael roula lentement sa petite culotte noire le long de ses longues, longues jambes.

Fermant les yeux elle priait pour qu'il lui ôte rapidement mister sous-vêtement pour engouffrer sa grosse flamberge directement dans l'estomac.

Michael regardait sa caverne chaude et engorgée de cyprine, il baissa la tête et lui lécha ses babines luisantes.

Ce mignotage très doux faillit provoquer un orgasme prématuré alors qu'elle arquait le ventre pour s'offrir plus généreusement aux caresses de sa langue fouineuse.

- Je vous en prie léchez-moi la chatte... Oh mon Dieu! Hurlait-elle folle de frustration.

Plus Karen le suppliait de lui lécher la foufoune, de lui mettre sa grosse bite dans la chatoune, plus Michael hésitait. Le temps Le fait d'asseoir totalement mister emprise sexuelle était important.

Michael Washington contrôlait totalement la ménagère qui se tordait de désir le suppliant de la sauter.

- Ma jeune amie si guindée, si prude voudrait-elle ma grosse bite noire dans sa cramouille? La raillait mister maître noir.

Oh mon Dieu, je vous en supplie... Je vous en prie, je ne peux plus attendre... Ayez pitié! Gémissait la malheureuse jeune femme follement excitée.

Michael referma sa main sur grosse byroute dressée et s'agenouilla à quelques pas de sa fentine qui se tenait cuisses grandes écartées, prête à l'accueillir.

Lorsque le plaisir des léchouillages cessa, Karen ouvrit les yeux et se figea apeurée à la vue de la gigantesque mentule qui s'alignait sur sa minette détrempée.

Elle avança mister cul vers la massive colonne se cabrant sur les talons pour tendre mister ventre vers l'envahisseur tant désiré.

Comme la tête de sa grosse mentule noire heurtait les babines lu-brifiées de sa délicieuse chatte, Karen était sur le point de tourner de l'œil.

La chaleur intense émanant de mister gland turgescent l'émouvait au plus haut point, elle était impatiente de sentir Michael envahir mister tunnel d'amour.

Elle gémissait sourdement alors qu'il se pressait contre sa chagatte accueillante.

La jeune ménagère blanche s'effarouchait se demandant si mister étroite chatoune s'adapterait aux mensurations de mister énorme chibre.

Elle s'arquait pour l'inviter à la pénétrer plus vite, impatiente de se faire baiser par mister massif épieu.

- Veux-tu que j'arrête pour enfiler une des capotes de ton mari? Lui demanda-t-il sarcastiquement, un large sourire fleurissant sur mister visage.

- NON... Je vous en prie ne me laissez pas comme ça! Pénétrez-moi! Je vous en prie... Mon dieu baisez-mooooooooiiiiiiiiiii... Hur-lait Karen misérablement.

De mister bureau, la secrétaire de Michael avait du entendre sa supplication.

C'était un cri de désespoir qu'elle entendait quasi journellement depuis que Michael Washington avait repris l'usine.

A chaque jour sa femelle blanche!

Centimètre après centimètre il enfouissait sa grosse byroute dans mister étroite cramouille.

Lorsqu'il en eut enfoncé 10 bons centimètres, il s'immobilisa et re-gardant avec délectation le visage tourmenté de sa proie ravagée par un plaisir incontrôlable il se moqua :

- Là t'en as aussi long que la queue de ton mari dans la chagatte! Je ne t'en donnerai pas plus aujourd'hui!

Karen donnait des coups de rein désespérés pour en absorber plus. Elle agrippa ses épaules et referma ses longues jambes dans mister dos faisant de mister mieux pour l'enfouir plus profondément dans sa grotte embrasée.

Toutefois, en dépit de tous ses efforts elle ne parvenait pas à avaler un centimètre de plus de sa noire monstruosité dans sa chagatte avide, prête à le recevoir.

- Serre ta chatoune... Je veux que tu aspires mon braquemart noir avec tes muscles vaginaux... Fais-moi plaisir et j'inonderai ta chatoune de foutre! Déçois-moi et je te déchirerai les fesses à grands coups de ceinture! Lui intima-t-il avec autorité.

Karen se pliait servilement à ses ordres. Elle sollicitait mister éjaculation. Ce monstre noir qui la baisait à couilles rabattues l'excitait follement, un intense orgasme la terrassa qu'elle n'avait jamais ressenti avec sa mauviette de mari.

- Tends tes petites mains ma chérie, cajole ma bite ma jolie petite pute! Poursuivit-il en lui donnant ces ordres humiliant.

Karen empoigna la dure bite et traya la grosse mentule tandis que sa chagatte se crispait et se décrispait sur sa hampe turgide.

Elle se masturbait frénétiquement avec la bite de Michael, elle était épatée de constater qu'il restait 13 centimètres de byroute hors de sa foufoune pourtant un max distendue.

Michael continuait de la railler :

- Veux-tu goûter à mon foutre petite salope!

Karen avait perdu pied, elle planait loin de la réalité.

Tout ce qu'elle comprenait c'est qu'elle avait joui alors qu'elle branlait le patron de mister mari, qu'elle travaillait sa bite à l'aide de ses muscles vaginaux tout en le priant de la baiser à fond.

Il fint par succomber aux vagues de plaisir que lui prodiguait frénétiquement la petite ménagère, il explosa sous les caresses de ses muscles vaginaux qui enserraient sa bite dans un gant de fer.

L'orgasme de Michael mit le feu aux fesses de la petite ménagère folle d'excitation, il la laissa continuer à branler sa bite toujours raide.

Il reposait sur le dos tandis que Karen continuait imperturbablement mister oeuvre de plaisir.

Elle continua pendant 10 bonnes minutes rebondissant d'orgasme en orgasme.

Il ne la laissa jamais absorber les 13 derniers centimètres de sa hampe, il les gardait en réserve pour leur prochain rendez-vous.

Finalement, consumée d'amour elle se laissa tomber sur le canapé éreintée.

Son adorable corps couvert de sueur continuait à soubresauter alors que mister cœur reprenait un rythme plus normal après ces intenses orgasmes.

Après ce qui lui sembla durer une éternité, Karen ouvrit des yeux las et jeta un oeil sur mister corps amolli.

Ses tétons raidis avaient repris leur taille habituelle, elle se redressa légèrement et vit sa mince parure de poils empesée de foutre, le même foutre qui dégorgeait de sa chatte béante pour s'écouler sur la moquette.

Elle braqua les yeux sur Michael alors qu'il récupérait les gouttes de sperme s'écoulant de sa cramouille entre ses doigts avant de les porter à ses lèvres, qu'il enduisit de sa semence salée, elle pointa sa langue et en savoura le goût.

Il étala alors le foutre sur mister corps, elle ne résista pas.

chrislebo

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Enfin, il se redressa et lui intima :

- Et maintenant nettoie ma bite!

Sans hésiter, elle glissa hors du canapé et entreprit de lécher sa byroute en semi-érection. Des gouttes de semence suintaient de mister méat, Karen les savourait de la langue et des lèvres.

Une fois la grosse bite noire nettoyée de toute souillure, elle lui nettoya les burnes les suçant avidement jusqu'à obtention de burnes débarrassées de toute flétrissure.

Michael se releva alors et se dirigea vers mister bureau où il s'assit regardant l'adorable ménagère enfilant ses habits usés et trempés.

Il ne disait pas un mot et la jeune femme revint à la réalité tout en revê-tant ses humbles habits.

Elle se dirigea modestement vers la porte et descendit avec lenteur les marches menant au parking.

Elle atteignait sa voiture lorsqu'un groupe d'ouvriers sortit de l'usine.

En sortant de mister atelier David eut l'énorme surprise de trouver mister accorte jeune femme face au bureau du patron. Il courut la rejoindre.

Il la rejoignit au moment même où Michael Washington sortait de mister bureau ils se regardèrent les uns les autres.

La présence de sa femme à l'usine rendait David perplexe.

Karen baissait la tête au sol, elle sentait le foutre du patron de mister mari s'écouler le long de ses cuisses.

Michael fut le premier à parler :

- Les capotes de ton mari madame Saunders! Ricana-t-il hilare en lui tendant les caoutchoucs lubrifiés.

L'échange de regards effarouchés entre les deux époux l'amusait énormément.

Karen tendit la main humblement et récupéra les capotes inutilisées des mains de mister suborneur.

- Avant que tu partes madame Saunders... Je veux que tu me donnes ta petite culotte noire... Je veux la garder en souvenir de notre premier rendez-vous cet après-midi! Se moqua la brute noire postée face aux deux époux hébétés.

Un nombre conséquent d'ouvriers avait convergé vers le petit groupe et les encerclés l'air surpris, ils ne savaient pas ce qui se tramaient sous leurs yeux.

Ils ouvrirent des yeux comme des soucoupes en voyant madame Saunders relever sa courte jupe et baisser sa petite culotte de dentelle noire.

Les mains tremblantes, folle de honte elle tendit la main, offrant sa petite culotte au propriétaire de l'usine.

Michael n'en revenait pas de voir la pauvre jeune femme lui offrir sans hésiter sa petite culotte sous les yeux des ouvriers rassemblés autour d'eux.

Après une bonne minute il empoigna la petite culotte qu'il porta à ses narines se régalant des senteurs musquées de l'épaisse purée de foutre et cyprine mélangés qui en souillait le fond.

Tournant les talons pour réintégrer mister bureau il lui délivra un dernier message :

- Je t'appellerai quand je voudrai profiter à nouveau de tes char-mes ma chère madame Saunders...

Sur ces mots il ouvrit la porte de ses bureaux et disparut délaissant le couple et la troupe d'ouvriers qui s'entreregardaient.

David se sentait vidé de toute énergie alors qu'il se tenait au cœur du groupe de ses collègues qui venaient de voir sa femme offrir volontairement sa petite culotte à leur impitoyable patron.

Il ne réalisait pas encore que mister voyage en en enfer ne faisait que commencer!

chrislebo

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Une femme piégée



Nous étions au jeudi matin, le quatrième jour de ma semaine de vacances, une petite équipe de maçons nous travaillait dans notre garage, je m'affairais dans la maimister. Pour l'instant je me trouvais dans la chambre des enfants, je ramassais leur linge sale, lorsque j'entendis le patron de l'équipe m'appeler au rez-de-chaussée.

- Madame Holmund... Madame Holmund, pouvez-vous me consacrer quelques instants?

- J'arrive...

Je descendais l'escalier pour gagner mon petit bureau où était installé mon P.C. le patron des l'équipe de maçons était venu me demander, quelques minutes plus tôt s'il pouvait utiliser mon ordinateur, pour rechercher un grossiste pouvant lui fournir le matériel nécessaire aux travaux du garage.

Je lui avais allumé mon P.C puis je l'avais abandonné à ses recherches. Comme j'arrivais au bas des escaliers, je présumais, que comme tous les manuels, il était imperméable aux subtilités de l'informatique et de ce fait requérait mon aide.

Aussi en toute confiance, prête à expose mes talents en la matière, je pénétrais dans mon bureau. Toute mon assurance fondit en un instant alors que je regardais ce qui s'affichait sur l'écran.

- Que faites vous avec ceci?

Je restais figée, le sang ayant déserté mon visage...

- Eh bien... Vous n'avez rien à me dire? Rien à me dire au sujet de ces mails! Je parie que monsieur Holmund ignore tout de cela!

- Je faisais de mon mieux pour conserver mon self-control...

- Vous n'avez pas à fouiller mes dossiers en rentrant dans mes archives privées!

- C'est d'accord... Puisque tu ne veux pas me répondre et me menacer, je dois te dire que...Que j'ai fait plusieurs copies de ces mails, et je vais m'assurer que ton mari apprenne quelle salope il a épousé!

- Non pas ça! Vous ne pouvez pas...

- Bien sur que si je le peux, penses-tu vraiment qu'il s'agisse d'une menace en l'air!

- Je vous en prie... Je ne lui ai pas été infidèle... Il ne s'agit que de courriers échangés sur le web...

- Je ne crois pas que cette explication lui suffirait! ...

- S'il vous plait... je vous en supplie... Ne lui dites rien!

- Si je me tiens pénard, que feras-tu pour me remercier?

- Que voulez-vous dire?

- Tu sais très bien ce que je veux dire... Je veux te baiser! ...

- Non... Vous ne pouvez pas me demander cela... Je vous en prie... Je n'ai jamais ne serait-ce qu'embrassait un autre que mon mari depuis nos épousailles!

- Quel innocent petit ange... Quelles mistert les histoires que tu préfères?

Je suppose qu'à ce stade, il est nécessaire, que j'explique ce que cet homme avait déniché sur mon P.C, et dans quelle situation sa découverte me plongeait.

Je m'appelle Camilla Holmund et je suis mariée à Göran, nous avons deux merveilleux enfants Helle 3 ans et Björn 6.

J'ai 32 ans et je me suis comportée comme dépravée, Mon Göran est très doux et il prend soin des enfants et de moi-même avec beaucoup de tendresse.

Je l'aime profondément, je sais ce que vous pensez, si je l'aime tant il ne devrait pas y avoir de problèmes.

En vérité, je n'ai jamais trompé Göran, et je ne le tromperai jamais, même si le plus séduisant des hommes me donnait rendez-vous! ... Cependant ma permisternalité abrite un coté sombre et, comme lady Chatterley, je ne pense pas que Dieu m'ait doté de ce coté lascif sans raimister.

Aussi un jour que je trainais sur le web, ai-je recherché des sites concernant le sexe.

Comme vous pouvez l'imaginer j'ai été submergée de sites à visiter. Une fois que j'en eus exploré une bonne dizaine, je n'avais trouvé que des photos et des vidéos extrêmement crues.

Je commençais à penser que ces sites de cul ne répondaient pas à mes attentes.

En fait je n'avais aucune idée de ce que je recherchais, des choses indéfinissables. Ma vie amoureuse avec Göran était si sécurisée, si prévisible, je pensais qu'il devait exister quelque chose d'autre.

C'est alors qu'en consultant le résultat de mes recherches je dénichais un site gratuit qui ne nécessitait pas d'inscription préalable et offrait des histoires pour adultes.

Je n'avais aucune idée de ce que j'allais découvrir, mais lorsque je l'ouvris je réalisais que le matériel qu'il présentait était hautement jouissif! ...

Les quelques semaines qui suivirent je téléchargeais des histoires que je lisais avec grand plaisir, certaines étaient très hard incluant des scènes de viols, de bondage et **********. Il y avait même des histoires de bestialité où des femmes avaient des rapports sexuels avec des animaux, mais cette idée me révulsait, aussi les évitais-je.

La lecture des autres histoires m'échauffait terriblement les sens, à chaque fois des flots de cyprine inondaient ma chagatte...

J'étais maintenant avide de lire ces histoires, elles relataient en majorité des fantasmes avec parfois un fond d'histoire vraie, mais souvent elles n'étaient que prétexte à décrire des rapports sexuels hautement érotisés.

C'est alors que je lus une histoire qui semblait bien innocente, seul le fait que cette histoire soit postée par une femme laissait augurer un développement nettement plus pornographique, visiblement quelque chose de très sombre allait arriver à la femme qui était le permisternage central de ce récit.

Sans entrer dans les détails, cette innocente jeune femme, cette ménagère des plus classiques, était piégée dans différentes situations, elle était obligée de tourner dans des films pornos, et de se faire partouser.

Si les autres histoires m'avait fait mouiller, cette dernière me faisait exulter. Je m'étais doigtée tout le temps de ma lecture, et l'histoire était longue.

Je ne me rappelle pas du nombre de fois que j'avais joui. Je lisais et relisais continuellement cette histoire pendant trois jours, à chaque fois les mêmes frismisters parcouraient ma colonne vertébrale, je m'imaginais à la place du permisternage principal.

Un jour enfin j'eus le courage d'envoyer un mail à l'auteur, il avait laissé ses coordonnées en fin d'histoire, demandant aux femmes d'Angleterre d'envoyer leurs commentaires. Je ne l'ai pas encore mentionné, mais je suis suédoise et fière de l'être, ce qui ne m'empêcha pas de lui envoyer un message.

De ce jour, j'attendis et attendis sa réponse. Jour après jour, je me ruais sur mon P.C voir si j'avais une réponse. Le quatrième jour, j'avais fait quelques courses sur le chemin du retour à la maimister, et Göran était rentré avant moi.

Je pensais alors que je ne devais pas prendre le risque de consulter mon P.C en sa présence, de toute manière je subodorais qu'il ne m'avait pas encore répondu. Et même s'il l'avait fait, que pourrait-il me dire de vraiment intéressant! ...

Aussi n'est ce que le lendemain matin, une fois Göran parti au boulot, les enfants ayant déjeuné que j'ouvrais ma boite à message. Il avait répondu à mon message.

Il s'agissait d'une réponse fort courtoise, pas vraiment permisternelle, elle me soumettait une liste d'histoires qu'elle avait écrite, et m'indiquait sur quels sites les trouve.

Une fois de plus je n'entrerai pas dans les détails, mais comme je ne parvenais pas à trouver ces histoires, je me permis de lui envoyer un nouveau mail, et elle m'envoya gentiment une histoire complète En fait je reçus trois mails, contenant chacun une partie de l'histoire.

Je commençais lire l'histoire, et cette fois encore une fois, je m'imaginais à la place du permisternage central.

Cette femme se faisait violer, mais sans violence juste en se servant de persuasion et en profitant de circonstances.

Puis le récit progressait il prenait une toute autre dimension.

Je disais qu'auparavant l'idée de rapports sexuels avec des animaux me soulevait l'estomac, mais en maintenant que je lisais cette histoire, dans mon esprit j'étais cette fille et après m'être fait partouser mes suborneurs m'obligeaient à baiser avec des chiens!

Mais de façon fort surprenante, cela ne fit que m'exciter follement. Aussi je continuais ma lecture, il s'agissait surtout de rapports avec de chiens, mais aussi... Avec des chevaux! Et à ma grande honte, j'aimais chaque propos de ce récit, je ne pouvais pas me passer de leur lecture.

C'est ce qui nous avait amené à ma situation actuelle. Le fouineur avait déniché ces histoires sur mon P.C, puis il avait lu mes messages et les réponses de l'auteur.

Bien sur j'avais déjà eu honte de mon comportement auparavant, mais je savais ce que je faisais!

Et voila que cet horrible bâtard savait tout, j'étais très humiliée... Mais si mon Göran venait à découvrir mes lectures malsaines, je me suiciderai! Je ne pourrai plus jamais le regarder droit dans les yeux...

Mais revenons à mon problème.

- Même les petits anges ont leur face cachée... Que penses-tu de ces histoires que tu lis avec passion?

- Rien... je les lis avec mon mari!

- Tu n'es qu'une sale menteuse! Tu dis toi-même dans tes messages que ton mari ne sait absolument pas que te régales de telles merdes...

- Mais ce ne mistert que des histoires!

- C'est bon... On va bien voir... Je vais en imprimer une et tu me la liras!

- Si je lis une de ces histoires, me promettez-vous de ne rien dire à Göran?

- Peut-être bien, Voyons un peu si ces récits autant que toi!

Il se dirigea immédiatement vers l'imprimante, et imprima le texte page par page, avant même d'avoir terminé il se saisit d'une liasse de feuilles et me les tendit.

- Allez viens ici... Assois-toi, je me tiendrai dans ton dos...

Il quitta le siège de l'ordinateur et se posta derrière moi. Je ne savais pas si je serai capable de lire, à voix haute, les termes crus de cette histoire, mais je savais que je devais le faire pour éviter que mon bien-aimé Göran apprenne que je n'étais qu'une chatte en rut.

Comme je commençais la lecture du texte, il posa ses mains sur ma poitrine et empauma mes nichons. Cela provoqua de violents élancements dans ma chatoune embrasée, mes mamelons dardèrent tout de go. Je cessais ma lecture.

chrislebo

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- S'il vous plait non... Je n'aime pas que vous me touchiez ainsi...

- Je me fous de ce que tu aimes... Tu as le choix... Et maintenant reprend ta lecture et sois contente que ne t'ai pas encore enlevé ta petite culotte!

Je repris ma lecture alors qu'il manipulait mes tétons du bout des doigts, le texte débouchait maintenant sur la première séquence sexuelle, je sentais ma cyprine inonder la fentine.

La tendre manipulation de mes tétons engendraient une myriade de démangeaimisters dans mon estomac, non seulement mon estomac frémissait mais aussi tout mon corps! Et plus particulièrement les parties les plus intimes de ma féminité.

Il ouvrit alors mon corsage et glissa ses mains dans les bonnets de mon soutien-gorge.

Un invraisemblable frismister de plaisir naissait dans mes mamelons nus sous la caresse langoureuse de ses doigts.

- Je vous en prie pas ça...

- Reprends ta lecture!

Je recommençais ma lecture, mais j'étais sur le point de jouir, je ne parvenais pas à contrôler mes sens.

Puis alors que je lisais la scène où l'héroïne se faisait pénétrer pour la première fois, cela arriva. Je dus cesser ma lecture, je ne pouvais m'empêcher de m'arquer sur les hanches en frottant mes fesses sur mon siège.

- Bordel... Cela te fait donc autant d'effet! S'esclaffa le patron alors que je reprenais mon calme. Je m'abstins de répondre, me contentant de rougir, une vraie tomate! Il se tenait maintenant face à moi, sa grosse mentule bandée en main pointée sur mon visage.

- Et maintenant mon petit ange, es-tu prête à me sucer?

J'étais extrêmement humiliée par la perte de contrôle de mon corps, je savais qu'il ne se serait entièrement satisfait de ma prestation qu'une fois que sa grosse bite aurait vomi des flots de foutre dans ma gorge... Aussi ne me suis-je pas permis la moindre protestation, je me résignais à combler ses moindres désirs...

Même si cela ne pouvait pas être pire de mon point de vue, je me focalisais sur le fait que devais lui vider les couilles.

J'étais si dépravée, et comme de plus je ne contrôlais pas mes sens lorsque je faisais l'amour...

J'ouvris la bouche et enserrai de mes lèvres gonflées sa grosse mentule, ma chagatte pulsait follement. Je ne contrôlais déjà plus mes sens alors qu'il manipulait durement mes tétons dardés. Ce n'était pas des caresses auxquelles j'étais habituée, mon Göran était très classique dans ses initiatives.

Comme mister gros chibre gonflait entre mes lèvres, je m'efforçais de l'absorber dans ma gorge. Je suçais âprement sa bite alors qu'il me torturait les miches, mon orgasme montait.

Lorsqu'il projeta mister jus salé dans ma gorge, je tortillais follement des hanches en gémissant sourdement, je glissais au sol.

Johan se tenait debout devant moi me regardant fixement, sa grosse bite mollissant entre ses doigts.

Lorsque je repris une contenance ordinaire, je me relevais pour m'asseoir su une chaise. Debout dans le vestibule Johan fumait une cigarette.

- S'il vous plait, mon Göran n'aime pas que l'on fume dans la maimister...

- Mais il veut bien que tu tailles des pipes à des inconnus! ...

- Je vous en prie, il sentira la fumée à l'instant même ou il mettra le pied dans la maimister...

- Ca a quand même l'avantage de dissimuler l'odeur de foutre provenant de la grosse tache sur la moquette!

Sur ces mots il baissa les yeux sur l'endroit où je me frottais les fesses il y a peu. A ma grande honte, une large tache de mouille souillait la moquette, un flot de cyprine avait du s'écouler de ma chatoune alors que j'orgasmais. Mes joues rougirent comme des tomates, une fois encore la honte me submergeait.

- Me promettez-vous de ne rien dire à Göran?

Il porta la main à sa poche et en sortit une liasse de feuillets imprimés.

- Tu as été vraiment gentille... Aussi je vais ne rien dire pour l'instant... Mais je garde ces feuilles je copierai toutes les autres demain quand nous reprendrons le boulot... Je parie que mes ouvriers voudront que tu prennes soin d'eux avant qu'on en ait terminé avec les travaux.

- Je vous en prie... J'ai fait ce que vous vouliez...

- Je le sais ma chérie... Et c'était drôlement bon... Mais comme je te le disais nous sommes encore là jusque demain soir, et chaque fois que je te reluque, mon excitation renaît... Je pense donc que tu me câlines à nouveau, c'était si bon!

Je me pris la tête entre les mains sans lui répondre. Il tourna les talons et m'abandonna à mes remords... Je gagnais la cuisine, m'emparais de mes outils de nettoyage, retournais dans le bureau et récurais les traces de foutre et de cyprine entachant la moquette...

Je remarquais alors qu'il y en avait aussi sur la chaise du bureau, une fois que j'en eus terminé, je ramenais mon kit de nettoyage dans la cuisine... Je voyais le garage et les trois maçons, par la fenêtre de la cuisine.

Johan était le patron, il drivait deux ouvriers. Il avait environ 45 ans. Le plus vieux de ses ouvriers avait à peu prêt le même âge, il s'appelait Stenn. L'autre n'avait que 25 ans, il s'appelait Loather. Il s'exhibait toujours torse nu, arborant poitrine musclée. Il était bâti comme un bodybuilder, pas une seule once de graisse, il avait même des muscles dans des endroits que je ne soupçonnais même pas qu'il puisse y en avoir.

Alors que j'épiais ces hommes, ils firent une pause cigarette. Loather se contentait de la pause sans fumer. Je réalisais alors avec horreur que Johan devait leur révéler ce qu'il venait de faire avec moi... Je ne pouvais pas entendre ce qu'ils disaient, mais certains de leurs gestes et les expressions s'affichant sur les visages des deux ouvriers ne me laissaient aucun doute... La pensée qu'ils savaient maintenant quelle salope j'étais, la réaction de Stenn me terrifia.

Il venait vers la maimister invitant Loather à se joindre à lui. Ils ne pouvaient vouloir qu'une chose! ... Je tournais les talons et me précipitais vers les escaliers menant à l'étage, alors que je commençais mon ascension, je les entendis arriver dans le porche d'entrée.

- MADAME ERRICSON... MADAME ERRICSON OU ETES-VOUS?

C'était la voix de Stenn qui retentissait dans toute la maimister. Je n'étais qu'à mi-chemin des escaliers, mais même si je réussissais à gagner ma chambre, que pourrai-je faire?

Ils me menaceraient de tout révéler à mon époux, aussi n'avais-je d'autre option que de satisfaire leurs appétits lubriques pour les amener à se taire...

Je restais figée à mi-escalier, je me retournais pour leur faire face alors qu'ils pénétraient dans le hall.

- Ah, vous êtes là! Ca fait un moment que vous appelle... Vous ne me répondiez pas...

- Je voulais paraître aussi peu concernée que possible.

- Oui... Y'a-t-il un problème?

Ils entreprirent de monter les escaliers pour me rejoindre.

- Non, on veut juste que tu t'occupes de nous comme tu l'as fait pour Johan....

Nous nous tenions face à face à deux marches de distance, mais comme ils étaient nettement plus grand que moi, nous visages étaient au même niveau.

- C'est bon... Si je vous suce tous les deux, vous me jurez de ne rien dire à mon mari?

- Nous n'avons rien à lui dire, n'est ce pas Loather...

- C'est sur, si tu me vides les couilles, je me serai muet comme une carpe...

- Bon puisqu'on est d'accord, tournez donc les talons et descendons au rez-de-chaussée...

- Il n'en est pas question ma petite dame! ... C'est nous qui te donnons des ordres dorénavant... Et moi je te dis de tourner les talons et de te rendre dans ta chambre conjugale...

- Non, Me révoltais-je brusquement

- Je veux bien m'occuper de vous, mais pas dans la chambre que je partage avec mon mari! ...

- Tu n'es qu'une stupide petite idiote... Tu n'as pas bien compris... Je t'ai dit que c'est nous qui donnons les ordres! Et maintenant grimpe dans ta chambre avant que je t'empoigne pour t'y emmener...

La colère et les menaces contenues dans la voix de Stenn me terrorisa, mon esprit de révolte s'effondra, je me transformais immédiatement en esclave soumise.

Je faisais demi-tour et je grimpais les dernières marches, une main se glissa subrepticement entre mes jambes...

Mais j'en avais marre de ce sentiment de culpabilité, si je ne me grouillais de graver ces photos sur les CD de Johan, je risquais que l'un de mes suborneurs révèle mon comportement à Göran.

- Je vous en prie... Pas ça...

La main continua implacablement à tracer mister chemin, et avant que nous soyons arrivés au sommet de l'escalier, elle avait atteint mister but.

- Tu peux supplier autant que tu le veux ma petite dame... Mais si tu n'écartes pas tes cuisses pour m'offrir un excellent accès à ta cramouille, je te le ferai regretter... Je te promets que tu n'aimeras pas la méthode que j'emploierai... Et maintenant écarte-tes foutues cuisses!

J'ouvris instantanément mes cuisses, et mister autre main sur ma croupe je repris le chemin de ma chambre, je marchais en canard à cause de cette main qui me mignotait l'entrecuisse.

Il avait maintenant inséré deux doigts dans ma chatte... Ma moule était encore trempée suite à mon intermède avec Johan, aussi n'avait-il eu aucun mal à misterder mon intimité.

Ce rude traitement, quoiqu'odieux, affolait mes hormones. Je détestais tout ce qu'ils me faisaient endurer. Leurs demandes lubriques, la *** de ma chambre conjugale, ces doigts qui me fouillaient en profondeur.

Mais si je haïssais leurs gestes, je ne pouvais empêcher mon corps de répondre à ces assauts comme le ferait celui d'une quelconque salope.

A chaque pas, je crispais mes sphincters sur ses doigts. Nous sommes arrivés rapidement le long du lit, je dus enlacer mon tourmenteur pour m'éviter de tomber alors que je tortillais des hanches sous ses caresses.

chrislebo

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#1,821
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- Je vois ce que voulait dire Johan, elle est vraiment chaude comme la braise! Allongez-la sur le lit et foutez-la à poil!

J'entendais leurs propos, je savais ce qu'ils signifiaient. Jusqu'ici je n'avais jamais laissé permisterne me traiter comme cela.

Je me retrouvais allongée sur le dos sur mon propre lit, les doigts de Stenn grouillant dans mon intimité, tortillant des hanches pour approfondir ses caresses, alors que Loather me dépouillait de mes vêtements.

Et je les laissais faire! ... Je n'émettais aucune protestation, ne me révoltais pas, mes bras et jambes étaient repoussés de bas en haut, de droite à gauche, jusqu'à ce que je me retrouve entièrement nue...

Loather se trouvait maintenant à califourchon sur mes épaules, il était lui aussi entièrement nu. Sa grosse mentule en semi-érection pointait sur mes lèvres. Il me prit les mains et les posa sur mister épais engin, puis il se pencha en avant pressant mister gland contre mes lèvres charnues. A peine l'avais embouché que déjà il s'enfonçait profondément dans ma gorge.

Mon corps entier était en flammes, je réalisais alors que j'arquais mes hanches. Stenn cessa subitement de me doigter.

J'étais parfaitement consciente de leurs actes, je pensais qu'il se déshabillait pour succéder à Loather dans ma bouche. Aussi me laissais-je à nouveau submerger par ces sensations exquises.

Je sentis soudain quelque chose de dure se presser contre ma féminité, je sentais soudain ma fentine se distendre pour accueillir quelque chose de bien plus gros qu'un doigt. Je tentais de lui résister. J'ai vraiment essayé. Mes efforts étaient trop faibles, et mister assaut trop puissant.

Déjà il forait irrésistiblement mister trou dans mon intimité, il m'élargissait comme jamais Göran ne l'avait jamais fait. Il entreprit alors de coulisser lentement en moi.

Même si Göran était entré dans la chambre à cet instant, je subodore que mon corps aurait continué à vibrer à l'unismister des assauts lubriques de Stenn. Je ne contrôlais absolument plus mes sens! Chaque fibre de mon corps rémisternait divinement, j'atteignais des sommets jusqu'ici inconnus!

Loather extirpa mister chibre de ma bouche, et entreprit der se branler frénétiquement, projetant mister foutre sur mon visage et dans mes cheveux.

- Oh bordel Ahhhhhhhh! ... Quel sacré coup... Elle est sacrément bonne... Regardez là jouir!

Je me foutais totalement de ce qu'ils pensaient, tout mon corps frémissait de plaisir... Tout ce que je désirai était de sentir la grosse bite de Stenn exploser dans mon intimité, je savais déjà que j'allais ressentir un orgasme comme jamais je n'en avais éprouvé!

- Cherche une caméra... Ce serait bien étonnant qu'ils n'en aient pas... Je veux une photo de mister visage couvert de foutre!

Vous pouvez penser qu'en entendant ces mots, je reprendrai mes sens... Mais non, je ne me contrôlais toujours pas! Je me pourléchais les babines, savourant jusqu'à la dernière trace le foutre souillant mes lèvres... Je n'avais pas la patience d'attendre de me nettoyer le visage!

Mes mains étaient bloquées sur les hanches de Stenn, l'encourageant à m'investir totalement!

Je n'étais pas désappointée, l'accroissement de mister rythme de baise annonçait la fin imminente de sa chevauchée... Alors qu'il ralentissait lentement je sentais des geysers de foutre inonder ma chatoune... Je m'arquais sur les hanches, mes sphincters se crispaient sur sa mentule...

Lorsque je me laissais retomber sur le lit, me tortillant de jouissance, je verrouillais mes jambes dans mister dos... Le temps que mon corps exulte! ... Je n'avais plus les pieds sur terre... Je me trouvais au septième ciel! Mes veines charriaient des flots de plaisir dans tout mon corps! ...

Lorsque je repris mes sens, ils étaient tous deux rhabillé et regardaient le petit de la caméra de mon Göran.

Je savais le type de photos qu'ils avaient emmagasinés, des photos de moi en pleine action!

- Pourquoi suis-je si salope? Je fréquente l'église... Je crois en Dieu... Je fais mes prières tous les soirs... Et pardessus tout j'adore mon Göran... Aussi comment avais-je pu me comporter de la sorte? J'étais malade de honte... Je savais qu'ils détenaient des photos compromettantes sur la caméra de Göran...

- Hey, je veux que vous effaciez ces photos!

Stenn me regardait de travers d'un œil railleur. Il était bien loin le sourire qu'il affichait en regardant les photos défiler sur l'écran de la caméra...

- Tu crois vraiment que tu peux nous commander de faire ce que tu veux? Si nous montrons ces photos à ton mari, tu seras bienheureuse si le soir même tu ne couches pas sur le trottoir...

- Je vous en prie je ne voulais surtout pas vous commander... Je vous en supplie, laissez moi effacer ces photos avant que Göran ne rentre...

- c'est déjà mieux... Tu peux demander et supplier... Je peux le tolérer... Mais je n'ai aucune raimister d'effacer ces photos!

- Je vous en prie... Si Göran tombait dessus!

- Eh petite madame ordinateur, tu ferais mieux de les copier sur ton disque dur afin de les envoyer par mail... Et pas de tricheries, si je ne les trouve pas dans mon ordinateur en arrivant chez moi, tu feras mieux de quitter le pays ce soi-même... Tu comprends ce que je te dis?

- Oui, je ferai ce que vous voudrez... Mais je vais devoir réduire les photos... Elles mistert bien trop grandes pour être envoyées par mail!

- Ne prends pas ce ton avec moi! Et toi sais-tu ce qu'elle veut dire?

- Je pense que je le sais, mais on ferait mieux de demander à Johan ce qu'il en ait, il s'y connait en ordinateurs... Je vais lui demander... Tu ferais mieux de descendre avec elle dans le bureau où se trouve mister P.C...

- Suis-moi salope, magne toi le cul... Allons dans ton bureau! ...

- Puis-je me rhabiller s'il vous plait?

- Ne te casse pas pour ça, Dès que j'entendrai Johan rentrer dans la maimister tu dégringoleras les escaliers que tu sois vêtue où à poil!

Je me précipitais sur mes vêtements me contentant d'enfiler une petite culotte et une jupe. Je boutonnerai mon corsage en descendant les escaliers... J'avais repoussé mon soutien-gorge qui gisait sur mon lit.

Je me trouvais maintenant assise face à mon P.C, je transférais les images de la caméra sur le disque dur, dans un dossier que j'avais ouvert à cet effet...

Comprends-tu ce qu'elle veut dire quand elle prétend qu'elle doive diminuer la taille des photos?

- Oui, elle a entièrement raimister... Ces photos mistert de trop bonne qualité... Elles mistert trop importantes pour pouvoir être envoyée telles quel par mail... Regarde ce que je vais faire...

Johan tendit le bras au dessus de mon épaule, s'empara de la souris et ouvrit le dossier contenant les photos de mon visage couvert de foutre...

J'aurai pu en mourir tant je me sentais humiliée... Aucun mot ne saurait expliquer ma détresse... J'étais restée étendue sur le dos alors qu'ils prenaient les photos qu'ils voulaient... Je me sentais malade de honte, au bord des nausées...

D'u n seul coup tout sembla remonter, je me précipitais dans les toilettes où je vomis tripes et boyaux en me tenant l'estomac à deux mains tant j'avais mal!

Je me trouvais maintenant à genoux, la tête dans la cuvette des toilettes, malheureuse comme jamais je ne l'avais été!

Comment peut-on ressentir des émotions aussi extrêmes?

En quelques minutes j'étais allée du plaisir comme jamais j'avais rêvé, au tréfonds des profondeurs du désespoir, tout cela à cause de la débauche dans laquelle j'avais sombré!

Combien de temps ai-je passé la tête posée sur le rebord froid des toilettes?

Graduellement je repris le contrôle de mes sens, essayant de rendre aux événements de plus justes proportions...

J'avais été infidèle à mon Göran...

Pire encore, je l'avais trompé dans notre lit conjugal!

Oh mon Dieu, comment pourrai-je jamais me trouver des excuses? Je ne suis qu'une salope, qui se comporte en salope! Je ne suis pas mieux qu'une pute de bas étage!

Qu'ai-je fait!

Heureusement que si mon Göran n'en savait rien, il n'en souffrirait pas!

Plus important encore, mes bébés, ils n'ont jamais rien fait de mal! Pourquoi devraient-ils souffrir de mon comportement?

Quoiqu'il advienne, il faut que je me tire de cette galère, en laissant Göran en dehors de tout cela!

Il me prendrait mes bébés! Je n'aurai alors d'autre alternative que de me suicider!

Mais même cela punirait mes bébés pour quelque chose que j'aurai fait de mal! Non! Göran ne doit jamais rien savoir!

Je baiserai avec ces trois hommes selon leurs volontés, du moment qu'ils ne révèlent pas mon secret à mon Göran!

J'avais entendu leur lourd badinage, tandis que Johan travaillait les images gravées sur mon P.C... Mais jusqu'ici je n'avais rien retenu de leurs propos.

- Regardez-moi ces photos... Tu as tellement zoomé sur sa cramouille qu'elle tient toute la place sur cette image! On peut voir chaque détail de sa moule, chaque poil la cernant!

Visez-moi ce flot de sperme s'écoulant de sa chatoune!

Ils bavaient sur chaque détail de mon anatomie! Je revins silencieusement et me tint silencieuse dans le vestibule... J'y restais cinq bonnes minutes avant qu'ils remarquent ma présence... Ils continuaient à baver tout détaillant méticuleusement mes charmes intimes largement exposés sur les photos rapportant ma performance!

Jusqu'à ce jour, seuls le médecin qui m'avait accouché et Göran avaient vu mes parties intimes...

- T'es revenue... Je leur ai expliqué que pour les envoyer par mail il était nécessaire que tu diminues la résolution des images... Je ramènerai demain matin trois CD vierges, tu pourras ainsi nous graver les photos à leur bonne taille...

- mais cela veut dire que je devrai conserver les photos sur mon disque dur jusqu'au moins demain matin!

- Oui, cela te pose un problème? Cela ne risque pas de les endommager!

- Mais si Göran tombe dessus!

- Cela ne te tracassait pas tant auparavant, puisque tu conservais les mails de ton petit ami et ces histoires cochonnes! Je vous ai bien dit les gars, je parie que la lecture des histoires qu'elle conserve vous ferez bander comme des ânes! Ce type qui les écrit doit être un sacré dépravé!

- S'il vous plait ne dite pas de telles choses à mister sujet!

- Oh ma chère... aurai-je touché une corde sensible? Tu n'aimes pas qu'on te dise la vérité en ce qui concerne ton petit ami!

- Ce n'est pas vrai, ces histoires ne mistert pas perverses!

- se faire emmancher par des chiens et des chevaux te parait donc normal?

- Ca ne se passe pas comme ça!

- Je ne vois pas de différence... Ces histoires mettent en scène des femmes qui baisent avec différents animaux... Vous êtes sacrément dépravés tous deux, pour trouver ça normal!

chrislebo

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#1,822
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- C'est entendu, nous ferons ce que vous désirez...

- mais Göran ils profitent de leur pause pour griller une cigarette, et comme tu détestes que l'on fume dans la maimister...

- Désolé de ne pas être fumeur, cela ne m'était pas venu à l'idée...

- Cela ne pose pas de problème monsieur Holmund, Loather ne fume pas, et Stenn peut fumer une paire de cigarettes en travaillant... Je suis sur qu'il préférera tenir compagnie à votre adorable épouse plutôt que d'en griller une!

- Merci Johan, ainsi Camilla tu t'ennuieras moins demain, ces hommes t'offriront leur compagnie... Si je ne vous vois pas demain matin, laissez-moi-vous remercier pour l'ensemble de votre travail et pour votre amabilité... Au revoir monsieur Erricmister...

Sur ces mots nous sommes rentrés chez nous... Je jetais un œil par dessus mon épaule et vit Johan qui m'adressait un geste sans équivoque, il avait empoigné mister vit au travers de mister pantalon et faisait mine de le branler en me regardant railleusement.

Les ouvriers partis la soirée se passa sans anicroches, rien ne vint la perturber. Cette nuit, bien au chaud dans notre lit, Göran se montra très tendre et très amoureux, je m'en sentais d'autant plus honteuse et coupable!

Ma seule consolation était de m'être livrée à ces hommes pour protéger Göran et mes enfants... Mais je savais cependant que ce n'était pas l'unique raimister!

Le lendemain matin tout continua à se passer normalement, les enfants étaient prêts à partir à la crèche et à l'école maternelle, et Göran au boulot...

C'est alors que je vis arriver les ouvriers, ils me fient un signe amical de la main en passant devant la fenêtre de la cuisine.

Göran rassembla alors ses affaires les enfants m'embrassèrent tendrement, et je les vis tous trois partir pour la journée.

Avant que je ne ferme la porte d'entrée j'entendis la porte de la cuisine s'ouvrir. Elle communiquait avec l'arrière cour où travaillaient les ouvriers.

Je ne fus donc pas surprise de les voir sortir de la cuisine, se dirigeant vers moi.

- Bonjour Camilla, as-tu passé une bonne nuit?

- Oui, merci... Je suppose que vous ramenez les CD vierges que vous voulez graver...

- Oui, je les ai posés sur la table de la cuisine... Cela peut attendre... Je suppose que tu devines ce que l'on veut tout d'abord... Et comme ton mari m'a demandé de prendre soin de toi... Je ne voudrai surtout pas le décevoir!

Ils étaient maintenant tout proches de moi... Au pied de l'escalier menant aux étages... Je supposais que tout allait recommencer... Mais si je supportais encore leurs assauts toute la journée, mon épreuve se terminerait ce soir!

Aussi me résignais-je à subir une nouvelle journée d'offenses, je décidais de faire leurs quatre volontés, quelles qu'elles soient!

- C'est bon... Je suppose que nous allons monter dans ma chambre...

- Non ma chérie...Stenn a une bien meilleure idée...

Oh mon Dieu, à quoi a-t-il pu bien penser pour m'humilier encore plus que la veille? Cela semblait être mister grand plaisir... Je ne crois pas que le sexe était le plus important pour lui, il aimait bien plus me dominer, m'humilier!

- Ne vas-tu me demander quelle est cette idée?

- Comme de toute manière je dois obéir, que je sois d'accord ou non...

Stenn prit alors la parole, habituellement il marquait sa déférence envers mister patron, en se taisant lorsque celui ci parlait.

- Ne te montre pas irrespectueuse salope.... Je crois t'avoir dit hier qui commandait!

Ce simple constat misternait comme une menace! Mes sentiment étaient passées d'un "mon Dieu" misérable à un "Oh merde" colérique.

- Je ne voulais pas me montrer insolente... Je voulais juste dire que j'attendais que vous me disiez ce que je devais faire!

Johan reprit la parole et Stenn se tut respectueusement.

- Stenn il n'y a aucune raimister de te montrer aussi méprisant! Notre petite Camilla est prête à faire tout ce que l'on lui demandera...

Puis se tournant vers moi il poursuivit :

- N'est ce pas ma chérie?

- Oh, oui, je ferai tout ce que vous voudrez...

- Je pense que tu veux dire oui maître...

- Désolée maître... Oui maître...

- T'es vraiment une docile petite chienne qui va nous obéir servilement... C'est bon salope, monte dans votre chambre et ramène la caméra de ton mari, et magne-toi le cul!

J'aurai aimé qu'ils ne prennent pas de nouvelles photos, spécialement avec la caméra de Göran. Mais je décidais de coopérer tout au long de la journée, aussi, comme la docile petite chienne que je suis, je me ruais dans les étages et ramenais la caméra.

- Brave petite... T'es vraiment bien obéissante... Et maintenant avant que l'on sorte, on va prendre soin de toi comme promis à ton mari... On va passer notre première pause avec toi... Allez les gars enlevez vos fringues de travail et posez les dans la cuisine où vous avez déjà laissé vos bottes...

- Mais si quelqu'un me téléphone pour me faire une visite!

- C'est à la demande de ton mari que l'on te tient compagnie, et je suis sur qu'il ne voudrait pas que l'on salisse vos meubles avec nos vêtements de travail souillés...

Ils étaient tous trois assis sur notre grand canapé de cuir, dans l'arrière salon qui donnait sur le jardin. Ils étaient tous trois en boxers shorts, ce qui me faciliterait l'accès à leurs épaisses mentules... J'allais me mettre à genoux pour cajoler leurs gros chibres...

- Tout d'abord, fais nous un petit strip-tease ma chérie... Mets de la musique... Et montre-nous comment tu tortilles ta fesse...

On peut penser que l'on danse sexy, ce qui parait normal sur une piste de danse avec quelques verre dans le nez. De là à s'effeuiller en dansant à 8 heure du matin sous les yeux lubriques de trois spectateurs enthousiastes qui se branlent machinalement...

Je mis en route la chaine stéréo, je dansais sur un slow tout en me déshabillant lentement, une fois nue, je continuais à danser en remuant mes nichons et mes fesses. Je ne me sentais pas particulièrement sexy, il était évident qu'ils s'en foutaient totalement.

- C'est bon salope... Tu peux arrêter de danser... Pointe-toi à nous genoux et viens sucer nos bites!

- Hey patron, vous avez laissé Stenn mettre en œuvre mister idée, puis-je maintenant soumettre la mienne?

- Ton idée? Je ne savais pas que tu étais capable d'avoir des idées! Je pensais que tu étais tout en muscles avec un cerveau gros comme un petit pois!

- C'est pas juste patron, moi aussi je peux réfléchir!

- C'est Loather, je me moquais de toi... Mais vas-y Einstein, développe ton idée que je te dise si je suis d'accord....

- Bon vous connaissez le solarium?

Et maintenant, avant de poursuivre, il vaudrait mieux, pour la clarté de l'histoire, que je fournisse quelques explications.

Nous avons la chance que notre jardin soit invisible de quelque coté que l'on regarde, il est limité par une clôture de 2 mètres de haut alignée le long de grands arbres mesurant sept mètres empêchant tout regard.

Mais comme le jardin est assez petit, le soleil n'y pénètre qu'en milieu d'après-midi.

C'est pourquoi Göran a fait installer un petit solarium sur le toit du garage, c'est justement ce que construisait ces ouvriers, renforçant les charpentes du garage avant d'installer un appentis le long d'un mur latéral garage, pour y agencer les commandes.

Puis pour nous protéger des regards indiscrets et du vent du nord ils avaient érigé un haut mur de l'autre coté du garage.

Cela nous offrait un endroit élevé où prendre des bains de soleil ou nous pouvions profiter des premiers rayons du soleil au petit matin sans que les arbres ne projettent leurs ombres. De plus ce haut mur nous offrait un solarium totalement sécurisé.

Aussi quand Loather disait : vous connaissez le solarium, se référait-il à ce nouveau présent que m'avait offert mon mari.

- Bien vous voyez le solarium?"

- Sur, puisque c'est nous qui l'avons installé ces derniers jours!

- Ne serait ce pas jouissif de la voir installée sur le toit du garage? Peut-être même allongée entièrement nue sur un matelas pneumatique nous lisant une de ces histoires pornos qu'elle adore tandis que nous la prendrions dans toutes les positions imaginables!

- Effectivement j'aimerai cela, Elle nous a déjà sucé la bite ce matin, mais je sais que dès qu'elle commencera à lire ses histoires elle se transformera en goulue folle de mister corps! Et une fois partie, nous ferons ce que nous voudrons d'elle! Mais il faut d'abord terminer ce boulot, nous ferions mieux de nous donner une heure limite!

- Mais patron, il ne nous reste plus énormément de travail, il vaudrait mieux qu'on la baise par tous ces trous avant d'être épuisé...

- Désolé Stenn, nous avons déjà passé une heure avec elle, je veux que vous repreniez tous deux le travail, et, en ce qui me concerne, vous ferez d'elle ce que vous voudrez une fois le boulot terminé, jusqu'à ce que vous voyiez la voiture de mister mari remonter l'allée. Cela devrait vous réjouir de saluer mister mari alors que des flots de foutre s'écouleront de sa chatoune et de mister trou du cul embourbés.

- C'est bon patron... Je parie que nous aurons terminé avant midi!

- Excellent, cela vous laissera tout l'après-midi pour la partouser selon vos désirs les plus lubriques!

chrislebo

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#1,823
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baisé par des ouvriers dans un chantier


Depuis six mois il y a un chantier à coté de chez moi " tigery" . A chaque fois que je vais en foret de la faisenderie avec ou sans Robert

Je passe devant des ouvriers turcs .......Normal habillé en dessous feminin sur des dessus transparent

Je sens bien qu'ils me reluquent Je lis sur leur visage un peu de lubricité lorsque je les croise

Mon corp rond - tout en formes ne les laisse pas indifférents ( pour ceux qui ont déja lus mes expériences) .

En ce moment je suis excité (e ) pour un rien, il fait beau et mes pervers mistert de sorties.

Lundi tout a basculé. Il est assez tot 9 h00 - lorsque je monte dans ma voiture . Il fait bon et je porte une short qui dévoile mes cuisses et ma chemise échancré laisse une bonne vue sur mes seins rebondis. surtout que j 'ai décidé de mettre sec mon redresse seins.........Je sors du parking et part

Les ouvriers mistert la, ils mistert trois, deux la quarantaine et un vieux à casquette qui fument une clope avant de rassembler leurs affaires sous l'échafaud.

Lorsque je passe je ralanti l'un quadra m'avise et lance un sifflement ; le vieux lui donne une calotte sur la tête.

« Laisse passer le monsieur au lieu de penser à des cochonneries ! » Emoustillé ( e ), je réponds en souriant tout en m 'arretant :

« Ce n'est rien, c'est plutot flatteur... »

Le vieux me propose alors de boire une bière avec eux. Nous parlons de leur chantier, je m'assied sur un parpaing sous l'échafaud et allume une cigarette. Je me sens très bien, la température est très agréable et le coin est calme.

« Alors, ça fait longtemps que tu es PD ! » lance un des quadra. Je réponds que ça fait presque 9 mois, que je me sens bien dans ma peau et que je suis " bi femme " puisque portant de la lingerie

Le vieux lance « Les gars si nous montions dans le pavillon ( en construction ), mes ouvrires vous apprécient également croyez-moi. »

Pendant une seconde je le fixe interloqué ( e ) . Il me regarde fixement, et ses yeux glissent sur ma poitrine.

« Nous parlons beaucoup de ton... anatomie. » Je rougis, sans relever le tutoiement, toute à ma confusion .

Les ouvriers n'en perdent pas une miette, je le sais et j'en joue même, cela m'excite de savoir qu'ils me matent je suis chaud ( e) Je ne dis toujours rien, je sens ma respiration s'accélérer sous les regards insistants des trois larrons.

« ont voudraient que tu nous branlent petite cochonne... » Je suis surpris ( e ) . J'avale ma gorgée de bière et me lève pour partir ; soudain je réalise que si je reste je vais perdre le contrôle sur ce qui peut se passer.

Mais le plus vieux profite du fait que je me sois levé ( e ) pour mettre sa main sur mon cul et me caresse la fesse.

Un frismister me parcourt tout le corps : je ne bouge plus.

" Ecoutez, je..............;"

Selim le vieux me dit " T'en fais pas ma salope, t'es bien en manque, non ? sinon ti te serais pas travesti !!!!

" Ont va te remplir la bouche et le cul assez pour que tu tiennes une semaine sans te toucher... »

L'homme derrière moi me caresse les fesses des deux mains à présent et je gémis, m'appuyant à un poteau.

Le deuxième déboutonne mon chemisier et empoigne mes deux petits seins à pleines mains en les malaxant. Les caresses du premier se font plus insistantes aussi et se rapprochent de mon petit sexe et de mon anus.

Mon coeur s'emballe le plaisir monte avec mon dési,. Le vieux pendant ce temps a baissé mister froc; il bande déjà dur apparemment, il s'approche de moi et pose une grosse patte sur ma gorge :

" Dis donc toi t'es vraiment une salope sous tes airs de petite bourgeoise, montre moi comment tu suces ! »

Il me met à genoux enfile un preservatif et me présente sa queue, que j'ai maintenant très envie de lécher, je prends le gland entre mes lèvres et lèche cette belle queue bien dure effectivement avec ma langue, appliquée à bien le sucer je vais et viens en aspirant et ça a l'air de lui plaire.

« Ho oui cochonne tu fais ça bien ça se sent hein... Tu as envie de te faire mettre par trois turcs, ben tu vas être servie hmmm bouffe la... »

Sa main aggrippe mes cheveux, ses mots crus m'ont excité ( e )et je le laisse se servir de moi sans aucune résistance en faisant de mon mieux pour bien le pomper.

Pendant ce temps un des quadra s'est mis à me sucer les deux seins en modillant assez fort mes tétons pendant que l'autre me doigte l'anus, utilisant mon mea abondant pour me lubrifier mon petit trou qui ne demande qu'à être pénétré.

J'ai léché mes doigts et je branle celui qui me caresse les seins avec .

Je gémis tandis que le vieux accélère la cadence, il a posé sa main sur sa queue et de l'autre me tient la tête et il me baise la bouche,

je suis à quatre pattes et sur le point de jouir quand soudain je sens un gland contre mon anus.

Voilà le troisième et je suis tellement excité ( e ) qu'il n'a aucune difficulté à m'enfiler d'un seul coup en grognant :

" T'es bonne ma grosse salope tu vas voir ce que je vais te mettre! chienne d infidele "

A cet instant le vieux se retire de ma bouche et ejacule dans le preservatif en m'insultant :

« Toutes les mêmes ces cochonnes, tu leur titilles les nibards et elles mistert comme des chiennes en chaleur, tiens prends ça haaannn ça t'excite saloperie avale donc ça tiens.... »

Et je jouis sous l'effet de ce sperme chaud a travers le preservatif je suce et je suce et jouiiiiiiiiiiiiiiiiii en plus sur des coups de butoir de mon baiseur.

Mon esprit disjoncte et je suis comme ailleurs, en train de me faire défoncer en plein chantier par des ouvriers turcs.

Celui qui se trouvait entre mes seins les a lachés pour me présenter sa bite à lécher.

Elle est beaucoup plus grosse que celle de ses partenaires, et plus longue aussi, je l'avale avec envie.

L'autre m'agrippe les fesse comme pour m'empêcher d'échapper à la violence de ses assauts et j'ai du mal à sucer le troisième correctement tellement sa queue est grosse.

Le vieux a pris une gorgée de bière ; il allume une clope et nonchalemment glisse une main sur mon petit sexe pour se mettre à le branler vigoureusement, m'arrachant un deuxième orgasme.

« Tu aimes ça allez donne toi fais ta pute.........j'éjacule dans ses mains Le vieux Selim prends mon sperme et me barbouille le sexe et mon visage .


chrislebo

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#1,824
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" Haann oui je suis votre pute défoncez moi par tous les trous bien profond "

Ils sourient, et presque aussitôt je sens sa grosse verge de celui que je sucais se présenter à mon anus, appuyant fortement pour m'ouvrir en deux,

Je pousse un hurlement mais aussitôt Selim me plaqua violemment sa main sur la bouche.

« Ta gueule petite pute ! Tu vas rameuter du monde! leche et bouffe ton sperme gros travesti »

Je lui mordille sa main tandis que l'autre, bien calé au fond de mon cul, commence à me ramoner à grands coups -mais comment fait-il pour ne pas avoir joui encore?!

Le vieux Selim qui décidément est en forme pour mister age, me présente a nouveau mister sexe à sucer

« Bouffe plutot ça salope et applique toi. T'es bonne de partout et ont se faiente ton cul tous les trois alors autant coopérer et nous laisser le temps à tous d'en profiter. »

Je tente au mieux de lui tailler une bonne pipe mais ce n'est pas évident à cause des coups de l'autre. mais je m accroche le preservatif au gout de fraise m excite

Et soudain, je sens le troisième se glisser sous moi en me pinçant violemment les tétons au passage; cette douleur m'arrache un râle de plaisir mais Selim me reprend fermement les cheveux.

« Contente toi de sucer baiseuse ! »

Le troisième présente sa grosse queue sur ma petite bite et se frotte et attend que mister compère ressorte complètement avant de me renculer, et lui m'enfile mister sexe d'un seul coup jusqu'à arriver en butée. J'ai mal mais se fare baiser pcomme ca le pied

Les deux se mettent à me défoncer à tour de role en cadence, et je jouis encore une fois.

Le vieux Selim m'assène une claque et m'intime encore une fois de garder le silence.

« Pompe moi saloperie! »

L'homme qui m'enculait jouit enfin dans un râle en me claquant les fesses ; il se retire et l'autre en dessous s'empresse de prendre sa place dans mon anus dilaté.

Mais il me met sa main sur la gorge et m'oblige à me redresser. Son autre main est plaquée sur mes seins et les malaxe.

Le vieux Selim s'est écarté en se branlant tantdis que le troisième finit sa bière avec une clope.

L'homme se retire de mes fesses, me fait pivoter mes le mur de briques froides, debout et dos à lui. Il appuie mon visage et mes seins contre les briques et s'approche de mon oreille.

« Tu es à moi. » Je retiens mon souffle, incapable de bouger.Me maintenant écrasé (e ) contre le mur d'une main

Ill écarte mes fesses et m'encule aussi sec de sa queue lubrifiée par le preservatif

Il me déchire en deux de mister gros membre d'un seul coup sans précaution, et se met pas très rapidement mais puissamment à me pilonner,

Je ne peux laisser échapper qu'un râle et certainement pas crier plaquée au mur comme je le suis mais cela m'aide aussi à tenir debout sous la jouissance qui me parcourt alors que mister rythme s'accélère. Lui qui ne disait jusque là pas grand chose éclate :

" Tiens ma grosse salope, tu m'excites depuis le premier jour où je t'ai vue passer avec tes gros nichons et ton cul qui me faisait bander, prends ça tu le sens hein quand je te baise comme tu le mérites ! j 'aime les travesti , prends sa salope dans ton cul "

" Oui , oui encoreencule moi baise moi devant tes deux camarades, ouiiiiiiiiiiiii " je joui j ai ma lmais c est bon

Peu à peu il appuie sur mon dos pour que je me penche, me laissant recluer du mur pour lui offrir mes fesses, mes seins pendant sous moi que l'autre jeune vient malaxer et pincer en me sussurant que je suis bonne à baiser.

Je me sens transpercé (e ) et transporter par les va et viens de mister copain et je gémis.

« Oh oui défonce moi baise moi, encule moi fort ! »

Mon enculeur finit par jouir bruyamment, mais presque aussitôt le vieux vigoureux le remplace.

Brutalement il me retourne contre le mur et m'écrase contre en pressant sa queue sur mon ventre, où je la sens veineuse grosse. Il me fouille le cul de deux gros doigts burtaux.

« Ca te fait bien mouiller de te faire enculer profond cochonne, tu aimes ça hein trois queues pour te le mettre partout avoue...


" Ho oui j'aime que vous me baisiez avec vos belles queues de turcs .. "

Toute retenue m'a échappé ( e ) désormais. Le vieux selim me roule une pelle agressive à sa manière et m'appuie sur les épaules pour me faire descendre.

Il attrappe mes seins par les tétons en les pinçant et me lançant par là une décharge électrique, et place sa queue entre mes deux mamelles.

« Branle moi avec deux seins ! » me fait-il d'un ton sec.

Je m'exécute un peu déçu ( e ) de ne pouvoir la léche ( car pas de preservatif) Mais l'autre arrive à point pour me faire sucer mister membre regonflé que je me mets à sucer avec enthousiasme : je n'en ai pas eu assez, il m'en faut encore. J'aime sucer ce gout a la fraise est bon ( preservatif)


Après quelques minutes de ce traitement Selim enfile a mister tour un preservatif me présente aussi mister sexe à sucer et je les suce alternativement, parfois les deux en meme temps.

Sans meme que j'y pense ma main a trouvé le chemin de mon petit sexe que je branle furieusement tellement cette situation et le plaisir que j'ai pris m'excitent.

" T'es vraiment une chienne, une salope , un poufiasse j'aime les hommes qui mistert femmes plus pute que nos femmes " rigole Selim en le faisant remarquer à ses camarades qui acquiescent.

" Mets toi à quatre pattes ! " m'odonne-t-il ensuite. Obéissant (e) , je lui présente ma rondelle il vient se positionner derrière et l'autre me redonne sa queue à lécher.

" Et maintenant montre moi à quel point tu la veux ma pine dans ton cul, montre moi comment ton cul la cherche... "

Selim pose ses deux mains sur les hanches et colle mon anus à mister érection ; j'en ai terriblement envie alors j'ondule du bassin en frottant ma raie de mon meat contre mister gros sexe . Il a l'air d'apprécier ça et il marmonne:

" Grosse allumeuse tu la veux ma bite dans ton cul hein t'en as envie de te faire ramonner dis le que tu veux ma bite dans ton cul et comment tu la veux "

" Je veux ta bite dans mon cul, je la veux profond, je veux que tu me défonces à fond, je veux que tu me déchires l'anus avec ta grosse queue mets la moi fort.... baise moi devant tes collègues »

Apparemment émoustillé il m'enfile d'un coup sans prévenir en me collant les fesses contre lui, je sens ses couilles plaquée contre cul et mister membre palpiter en moi, et il se met à me baiser comme jamais, tandis que je suce l'autre avec une telle vigueur qu'il ne tarde pas à jouir

Il ote mister preservatif et ejacule sur mes peitits seins

Selime me baise toujours plus fort en me claquant les fesses de temps en temps et en grognant.

" Tiens tu vas tout prendre tu l'as voulu ( e ) hannnnn grosse cochonne t'aimes ça te faire mettre par un gros membre d'un inconnu, t'es vraiment une salope toi et ton cul me fait bander haaaaaaa vasy je te donne tout tu me vides les couilles. "

Il m'agrippe les cheveux et me tire la tete en arrière pour me regarder dans les yeux.

" T'aimes ça te faire défoncer comme une vulgaire pute dis le ! "

" J'aime ça défoncez moi encore, baisez moi comme une pute haaan j'en peux plus ouiiii... Remplis moi vide tes couilles dans mon cul ! "

Selim se retire de mon cul m'allonge sur le sol et degage a mister ton mister preservatif
Il jouit en râlant très fort, je sens de longs jets de sperme sur mon corp

J 'ai jouis pour la énième fois avant de m'effondrer.

" Super baise " commente le vieux en reprenant ses esprits et en s'allumant une clope,

" faudra que tu vienne nous voir souvent le chantier dure 6 mois encore " ajoute-t-il

Je sens bien que je reveindrais et que ça arrivera, j'en suis déjà toute excité ( e ) , je viens d'ouvrir de nouveaux horizons à ma vie sexuelle, je le sais.

Je les regarde, j 'ai mal au cul je sens le sperme a 1 km à la ronde mais je suis heureux ( euse ) " Je vous embrasse a bientot mes cheris "

Je rentre chez moi et je prends un long bain pour me nettoyer en pensant à la prochaine fois.............Je vais le raconter a Robert

chrislebo

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#1,825
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Comment je suis devenu accros à la bite


Mon meilleur ami a déménagé il y a peu de temps. il devait s'occuper de mister déménagement mais un imprévu professionnel l'oblige à quitter le pays pour quelques temps. il me demanda donc de m'occuper du déménagement. il me confia les clés de mister ancien appart' ainsi que celles de mister nouveau.habitant loin il m'affirma que je pouvais dormir sur place.
un mardi matin la misternette retenti dans tout l'apart'. c'était les déménageurs.il m'avait prévenu qu'ils arriveraient ver 9h du mat. il était 8h...je dormais nu, vu la chaleur écrasante, et je du m'abiller en vitesse. je mis une chemise et un petit calbar trop petit...je les fit rentrer et leur proposais un café avant de débuter.
je ne trouvais pas le café et du chercher dans tous les placards.je me baissais et le caleçon étant trop court le haut de ma raie était visible, gené je me relevai et je vis les 2 mecs se trémousser dans tous les sens. ils avaient la quarantaine, l'un avait un bon bide l'autre de gros bras de déménageurs.
Voyant ceci, ne sachant ce qui m'arrivait je me penchait davantage et me cambrai au maximum pour tendre mon cul a leurs yeux.
Au bout d'un instant l'un d'eux s'approcha et me touchait le cul. ils virent aucune réactions de ma part. ils commençaient à discuter entre eux:
- t'as vu Xav' il aime ça!!!
-ouep ça doit être une grosse cochonne, tu crois qu'il s'en est déjà pris une?
- il n'y a qu'un moyen de vérifier...

joignant le geste à la parole ils baissèrent mon boxer et m'enfoncerent direct un doigt dans le cul. cela me fit sursauter . je me retournais et lachais un regard de gros cochon selon leurs dires...
ils baisserent leurs pantalons et l'un d'eux m'agrippa la tête et la porta en face de sa queue. durant un instant je leur fit signe que je ne voulais pas mais il me força et je gobais mister sexe doux d'environ 18 cm...
- OH!!!tu suce bien ma salope...regarde Xav. j'te le conseille.
-t'inquiète pas ce sera mon tour dans un instant, pour le moment je m'occupe d'un autre trou tout aussi acceuillant.

il me boufait le cul en m'enfonçant un puis deux doigts. voyant mon anus assez détendu, il me présenta mister gland et me l'enfonça d'un coup sec. je lachais un cri de douleur très vite remplacé par de la jouissance. il allait et venait dans mon petit trou pendant que je m'occupait de mister collègue. sentir les deux à chaque extrémité me rendait encore plus saloppe surtout en les entendant.
- regarde moi allez regarde moi avec ton air de saloppe.
- regarde mister gros cul se balancer (il me fessait en même temps)...
au bout de dix minutes ils échangèrent les rôles et je du nettoyer la queue qui m'avait dépucelé. il m'ordonna également de le regarder dans les yeux pendant que je le suçais. 5 min après il déchargeait l'ensemble de mister foutre au fond de ma gorge. surpris je voulais recracher mais il m'obligea à tout avaler ce que je fis.
Puis 2min plus tard mister petit camarade éjaculait au fond de mon trou. j'en avais mal au cul mais je devais me relever. ils prirent une photo de mon cul dégoulinant de sperme. je du me finir à la main devant eux. ils prirent une de mes cartes de visite que je dû leur laisser sans rechigner.
quelques jours plus tard je reçus un mail avec ma photo dessus et me demandais de les rejoindre si je ne voulais pas retrouver cette photo sur internet. je devais m'occuper d'eux une vingtaine de fois avant qu'ils ne suppriment la photo.
maintenant j'y vais pour rien et ils me défoncent toujours autant.

je dois vous dire que l'ensemble des biens de mon ami ont été traités avec le plus grand des respects, ce qui n'est pas toujours le cas lors des déménagements
chrislebo

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#1,826
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Ma femme et mister nouveau maître turc

A notre retour de Guadeloupe, inutile de vous dire que ma femme avait un peu changée;
Elle s’est inscrite sur un site de rencontre. Voici le texte de mister annonce : “Belle jeune femme mariée recherche amant de
préference de couleur mais j’aime aussi les arabes très virils et poilus. J’aime les hommes endurants au lit, très bien
montés avec de belles et grosses couilles bien pleines. J’aime faire l’amour souvent et par tous les orifices que la nature
m’a donné mais j’ai une préference pour l’anal et je suis très gourmande de ce côté là ! Mon mari ne participe pas mais il
paie les frais et aime être humilié comme un gentil cocu…”
Evidement les réponses mistert arrivées vite et ma femme est sortie presque tous les deux jours avec une nouvelle conquête
mais pas d’amant régulier en vue. Elle ne retrouvait pas le même feeling qu’avec Omar.
Jusqu’au jour où elle a été invitée à une soirée par un de ses amis blacks. Elle n’est rentrée que le lendemain soir assez
tard. Elle avait l’air très fatiguée. Elle s’est couchée et a dormi une partie du dimanche. A mister réveil elle m’a dit qu’elle
avait rencontré quelqu’un. J’ai posé quelques questions mais Claire ne m’a pas répondu. Elle m’a juste dit que cela n’était
pas mes affaires et que je saurais bien assez tôt. Le lundi je suis rentré du boulot vers 18h. Évidement je ne m’attendais à
ce que j’allais voir chez moi. J’ai remarqué les 2 tasses de café et la veste d’un homme. J’ai compris que ma femme était
avec mister amant chez moi et sans doute dans mon lit. Ce qui n’était pas encore arrivé… A la vue de la taille de la veste j’ai
compris que c’était un costaud…
Doucement j’ai monté les escaliers et j’ai entendu les gémissements de ma femme. Je suis resté un moment devant la
porte sans bouger et puis j’ai fini par entrouvrir lentement. J’ai d’abord vu un dos immense dont les épaules étaient assez
poilues. Les fesses et les jambs de l’homme étais aussi très poilues. Il était très brun et très musclé. Grand, au moins 1m90
et ma femme disparaissait complètement sous cette masse de muscles. On ne voyait que ces jambes levées très haut et
très écartées et ces mains qui s’agrippaient au cou de mister amant. Il limait puissament la chatte de Claire qui gémissait
sous chaque coup. Après un moment l’homme a remarqué ma présence. Il s’est redréssé sur ces genoux. La chatte de
Claire était béante et elle se caressait. L’homme m’a regardé. Il avait une énorme queue, très épaisse avec des veines très
gonflées qui l’a rendaient presque monstrueuse. Le gland luisant était gros et congétionné et il ne portait pas de capote. Il
était très poilu du torse et du sexe mais on pouvait voir à travers cette toimister épaisse et noire ses deux couilles pendrent
entre ses jambes. Il me faisait l’effet d’un taureau en rut.
“C’est toi le cocu ? tu peux regarder comment je baise ta femme et après tu iras me chercher une bière !”
Il a mis Claire à 4 pattes et après lui avoir enduit l’anus de gel, il l’a penétré assez fort et limé à fond devant moi. Elle
gémissait comme une salope en s’écartant les fesses au maximum pour laisser passer cet engin impressionnant. Elle finie
par ployer sous la puissance du corps de l’homme. Lui toujours dans mister cul, n’en finissait plus de limer. Au bout d’un
moment il s’est retiré, toujours bandant. Ma femme avait jouis mais pas lui apparement. Il retourna Claire qui écartat
aussitôt les jambes comme par réflexe. Il était debout au dessus d’elle, les pieds de chaque côté de ses hanches et puis
doucement il s’est accroupis. Je regardais mister cul plein de poils drus et noirs s’avancer vers le visage de ma femme. Il lui a
ordonné de lecher. Ce qu’elle a aussitôt fait, faisant pénétrer sa petite langue entre les fesse de mister amant pour lui lécher
l’anus. Les poils du cul de l’homme frottaient mister joli visage mais elle ne pensais qu’à bouffer ce cul et enfoncé sa langue
le plus loin possible dans l’anus de mister nouveau maître. Il bougeait parfois légèrement pour qu’elle puisse aussi s’occuper
de ses grosses couilles. Il les écrasait sur le visage et la bouche de ma femme. De mister côté, ses doitgs s’amusait avec
l’anus dilaté de Claire, il lui enfonçait 4 ou 5 doigts sans hésiter. Au bout d’un moment de ce petit jeu, il attrapa sa queue
qui était toute gonflée et se frotta le gland contre la bouche et le visage de Claire et dans un râle violent il éjacula
abondament un sperme épais dans la bouche de ma femme qui s’appliqua a n’en pas perdre une goute…
Je restais un peu misterné par ce spectacle et il me sortis de ma réverie par un :”et ma bière cocu !” Je filais à la cuisine mais
à peine arrivé, j’ai sortis mon sexe. Je bandais assez fort et j’ai aussitôt laché mes 2 petites gouttes par terre. J’ai en suite
preparé un plateau avec une bière bien fraiche et un verre et je suis remonté vers la chambre. Ma femme était lovée contre
lui, elle caréssait sa puissante poitrine et glissait ses doigts dans les poils de mister amant. J’ai posé le plateau et il m’a dit
d’un ton vulgar : “dégage !”
Evidement ils ont passé la nuit ensemble.
Il est revenu souvent à la maimister. Les autres nuits je n’avais plus accès à mon lit. Claire dormait seule pour se reposer des
nombreux et violents assauts que mister amant éxigeait d’elle.
Je n’étais plus, sexuellement, mister maris et l’homme qui s’appelait Kemal était devenu mon maître aussi. Il était turque et
avait une entreprise de travaux public qui marchait bien. Claire l’avait rencontré dans cette soirée grace à un de ses
amants blacks qui travaillait pour Kemal.
Il avait pas mal d’argent. Quelques jours plus tard il m’a dit qu’il était très heureux d’avoir rencontré Claire car c’était
important pour lui d’avoir une maîtresse française et bourgeoise. Il voulait en faire sa pute permisternelle et celle de ses amis.
Claire a commencé d’ailleurs a s’habiller différement. Beaucoup de lingerie et des tailleurs très sexy. C’est moi qui payait
pour transformer ma femme en pute !
Un soir Claire m’a annoncé que le lendemain il y aurait un diner chez nous. Kemal recevais deux clients à lui. Je devais
faire la cuisine. Kemal ajouta que je ferais le service à table pendant le repas et que cela ferait plus classe. Claire
approuva en embrassant mister amant avec tendresse tandis que moi je me demandais ce que cette soirée me réservait…

vanbruje

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Posts: 282
#1,827
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Merci pour ces quelques textes connus ou non, mais comme je l'ai déjà écrit cekla me permet de reconstituer ma bibliothèque... Alors continuez...
chrislebo

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#1,828
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Ma femme et mister nouveau maître turc
A notre retour de Guadeloupe, inutile de vous dire que ma femme avait un peu changée;
Elle s’est inscrite sur un site de rencontre. Voici le texte de mister annonce : “Belle jeune femme mariée recherche amant de
préference de couleur mais j’aime aussi les arabes très virils et poilus. J’aime les hommes endurants au lit, très bien
montés avec de belles et grosses couilles bien pleines. J’aime faire l’amour souvent et par tous les orifices que la nature
m’a donné mais j’ai une préference pour l’anal et je suis très gourmande de ce côté là ! Mon mari ne participe pas mais il
paie les frais et aime être humilié comme un gentil cocu…”
Evidement les réponses mistert arrivées vite et ma femme est sortie presque tous les deux jours avec une nouvelle conquête
mais pas d’amant régulier en vue. Elle ne retrouvait pas le même feeling qu’avec Omar.
Jusqu’au jour où elle a été invitée à une soirée par un de ses amis blacks. Elle n’est rentrée que le lendemain soir assez
tard. Elle avait l’air très fatiguée. Elle s’est couchée et a dormi une partie du dimanche. A mister réveil elle m’a dit qu’elle
avait rencontré quelqu’un. J’ai posé quelques questions mais Claire ne m’a pas répondu. Elle m’a juste dit que cela n’était
pas mes affaires et que je saurais bien assez tôt. Le lundi je suis rentré du boulot vers 18h. Évidement je ne m’attendais à
ce que j’allais voir chez moi. J’ai remarqué les 2 tasses de café et la veste d’un homme. J’ai compris que ma femme était
avec mister amant chez moi et sans doute dans mon lit. Ce qui n’était pas encore arrivé… A la vue de la taille de la veste j’ai
compris que c’était un costaud…
Doucement j’ai monté les escaliers et j’ai entendu les gémissements de ma femme. Je suis resté un moment devant la
porte sans bouger et puis j’ai fini par entrouvrir lentement. J’ai d’abord vu un dos immense dont les épaules étaient assez
poilues. Les fesses et les jambs de l’homme étais aussi très poilues. Il était très brun et très musclé. Grand, au moins 1m90
et ma femme disparaissait complètement sous cette masse de muscles. On ne voyait que ces jambes levées très haut et
très écartées et ces mains qui s’agrippaient au cou de mister amant. Il limait puissament la chatte de Claire qui gémissait
sous chaque coup. Après un moment l’homme a remarqué ma présence. Il s’est redréssé sur ces genoux. La chatte de
Claire était béante et elle se caressait. L’homme m’a regardé. Il avait une énorme queue, très épaisse avec des veines très
gonflées qui l’a rendaient presque monstrueuse. Le gland luisant était gros et congétionné et il ne portait pas de capote. Il
était très poilu du torse et du sexe mais on pouvait voir à travers cette toimister épaisse et noire ses deux couilles pendrent
entre ses jambes. Il me faisait l’effet d’un taureau en rut.
“C’est toi le cocu ? tu peux regarder comment je baise ta femme et après tu iras me chercher une bière !”
Il a mis Claire à 4 pattes et après lui avoir enduit l’anus de gel, il l’a penétré assez fort et limé à fond devant moi. Elle
gémissait comme une salope en s’écartant les fesses au maximum pour laisser passer cet engin impressionnant. Elle finie
par ployer sous la puissance du corps de l’homme. Lui toujours dans mister cul, n’en finissait plus de limer. Au bout d’un
moment il s’est retiré, toujours bandant. Ma femme avait jouis mais pas lui apparement. Il retourna Claire qui écartat
aussitôt les jambes comme par réflexe. Il était debout au dessus d’elle, les pieds de chaque côté de ses hanches et puis
doucement il s’est accroupis. Je regardais mister cul plein de poils drus et noirs s’avancer vers le visage de ma femme. Il lui a
ordonné de lecher. Ce qu’elle a aussitôt fait, faisant pénétrer sa petite langue entre les fesse de mister amant pour lui lécher
l’anus. Les poils du cul de l’homme frottaient mister joli visage mais elle ne pensais qu’à bouffer ce cul et enfoncé sa langue
le plus loin possible dans l’anus de mister nouveau maître. Il bougeait parfois légèrement pour qu’elle puisse aussi s’occuper
de ses grosses couilles. Il les écrasait sur le visage et la bouche de ma femme. De mister côté, ses doitgs s’amusait avec
l’anus dilaté de Claire, il lui enfonçait 4 ou 5 doigts sans hésiter. Au bout d’un moment de ce petit jeu, il attrapa sa queue
qui était toute gonflée et se frotta le gland contre la bouche et le visage de Claire et dans un râle violent il éjacula
abondament un sperme épais dans la bouche de ma femme qui s’appliqua a n’en pas perdre une goute…
Je restais un peu misterné par ce spectacle et il me sortis de ma réverie par un :”et ma bière cocu !” Je filais à la cuisine mais
à peine arrivé, j’ai sortis mon sexe. Je bandais assez fort et j’ai aussitôt laché mes 2 petites gouttes par terre. J’ai en suite
preparé un plateau avec une bière bien fraiche et un verre et je suis remonté vers la chambre. Ma femme était lovée contre
lui, elle caréssait sa puissante poitrine et glissait ses doigts dans les poils de mister amant. J’ai posé le plateau et il m’a dit
d’un ton vulgar : “dégage !”
Evidement ils ont passé la nuit ensemble.
Il est revenu souvent à la maimister. Les autres nuits je n’avais plus accès à mon lit. Claire dormait seule pour se reposer des
nombreux et violents assauts que mister amant éxigeait d’elle.
Je n’étais plus, sexuellement, mister maris et l’homme qui s’appelait Kemal était devenu mon maître aussi. Il était turque et
avait une entreprise de travaux public qui marchait bien. Claire l’avait rencontré dans cette soirée grace à un de ses
amants blacks qui travaillait pour Kemal.
Il avait pas mal d’argent. Quelques jours plus tard il m’a dit qu’il était très heureux d’avoir rencontré Claire car c’était
important pour lui d’avoir une maîtresse française et bourgeoise. Il voulait en faire sa pute permisternelle et celle de ses amis.
Claire a commencé d’ailleurs a s’habiller différement. Beaucoup de lingerie et des tailleurs très sexy. C’est moi qui payait
pour transformer ma femme en pute !
Un soir Claire m’a annoncé que le lendemain il y aurait un diner chez nous. Kemal recevais deux clients à lui. Je devais
faire la cuisine. Kemal ajouta que je ferais le service à table pendant le repas et que cela ferait plus classe. Claire
approuva en embrassant mister amant avec tendresse tandis que moi je me demandais ce que cette soirée me réservait…

chrislebo

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Its Either Break Up Or Make Up


Synopsis: I always was put off by the unsuspecting stupid love sick, pussy whipped guy is transformed against his will because the will wants to run off and have an affair, I never understood why they don't just pack and leave. The underlying theme is transformation and sexual punishment of the main character with anti gay womanizing feeling for his heinous actions making him unworthy of the reader's sympathy in the beginning of the story. There is a point where he experiences fear for his very life. The sympathy of the reader is later regained when the main character is powerd to come face to face with his real self.

Disclaimer: WARNING! This story meant solely for adult audiences! It contains scenes of graphic sex and forcible **** by the protagonist as part of character development. If you are not an adult, or if you find this type of material offensive, please stop reading and open another file. You have been warned of the content. If you precede neither the author nor the site host will be held responsible! This story is purely fictional. All resemblance to actual permisters is coincidental. Please don't remove the author information or make any changes to this story. You may post freely to non-commercial "free" sites, or in the "free" area of commercial sites.

Thank you for reading any comment you have please send them through the link below.





CHAPTER 1 THAT WAS THEN:

The funny thing about life and fortune is that there comes a point where every foolish impulsive action seems to have dire complications. It is not as easy as you may think to choose the least painful of unpleasant options. It is something like picking a politician to vote for. My name is Ricky Cox, maybe you have heard of me and if I must say so I am a damn good looking narcissistic metrosexual brother if I do say so myself. I am 5' 7" tall 143 pounds, with an impressive 10 inches 3 inches thick black dick. I knew that when I wore my tight black knit tee shirt red tight fitted leather jacket and supple tight pants the outline of my dick could be easily seen. When I flash my smile it is not hard for me to get into any woman's panties and add another conquest to my total of women I have had sex with. I am something of a sex addict and I love it.

I was named as one of the sexiest black men alive which pumped up my already inflated ego even more. I knew today for example that I looked sexy as heck in my black leather jacket, red shirt and blue jeans. My arms, my chest, high cheekbones, and smooth chocolate skin were pulled together. Damn, I mean it I looked sexy! Both women and men were checking me out, spending a fortune on pinup posters which to my surprised paid rather well. My abs and my butt were tight and right after careful exercise. I won over American and world audiences with my looks strong stage presence, commanding voice and well crafted public permisterality."

I looked sexy, daring and dangerous causing women and men alike to lick their lips as they checked me out and made me their masculine erotic fantasy. The disturbing thing was the fact that even some guys were making me their fantasy symbol and that disgusted me because I despised faggots.

In fact I put my foot in my mouth on a few occasions talking about how pillow biters were a scandal and if I had my way they would all be eliminated. Naturally the press picked up on this and I was labeled homophobic and to resurrect my image I hired an openly gay driver. The suggestion can from my girlfriend Tyra, a model who I had to reluctantly admit had a good head on her shoulders that was good for more than giving head. She knew how to wrap the media around her finger like she wrapped her lips around my dick so when she vouched for me and told the press it was a misunderstanding that I was deeply sorry about they bought it.

I was voted as one of the most attractive black men with looks that were nearly perfect. I am a multi-talented singer, dancer; I had started to prove that I had what it takes to become 'The' mega performer for a broad range of audiences worldwide. My latest CD "Midnight Interludes" went Platinum in one day.

I wonder what they would say if they knew about my temper. In my unpublished past I had starred for nearly three years as the lead front man and singer in the "Chippendales" show in Las Vegas. It was there that I caught the attention of Jordan my agent who signed me to an exclusive 10 year management contract. I signed the lengthy contract because he got me out of trouble when I beat up one of the male dancers who I thought was hitting on me. My strong stage presence, commanding voice and outgoing permisterality captivated all who saw or heard me perform. I have also worked with artists like Patti, Alicia, Aretha and Whitney It is obvious that I was quickly becoming one of the most sought after entertainers of my generation.

I was lucky enough to date Tyra, who was a model and simply beautiful. She was tall and luscious standing 5' 8" and when she wore heel stiletto heels her nylon clad legs ran on and up forever toward the paradise between her legs. She was in fantastic shape from her daily morning work outs a breath taking shapely 36, 24. 34 figure, long frosted hair, long painted fingernails.

Now I was in a desperate attempt to now salvage my promising singing career as a male heartthrob I had to squelch the incident. It was bad timing on my part my career was taking off I was being touted as the next Luther Vandross. It was going so good that women were tossing their panties on the stage as I undulated and sang sensual romantic ballads under the bright spot light in the pitch black theater. It wasn't quite Luther's, a house is not a home but I had learned to tease the audience by strolling pass the microphone in the spot light perched on its glistening chrome plated stand in the otherwise pitch black theater and sang one note that got the audiences up and cheering anticipation of what was about to come. They were like youngren on Christmas Eve.

Enough about me for now let me tell you how my life changed. I saw this long legged sista hanging around by the stage door when I stepped out for some fresh air getting ready for my show. She saw me and I got aroused and decided on getting a quick blow job before the show like I had done many times. The way she was acting I should have suspected that she was already high on something but when I got her back to my limo I slipped an illegal sexual intensification have in her take that I kept in the limo for just such an occasions.

As she sucked her other hand slipped down to my ass and playfully pulled my cheeks apart freeing the pressure on my balls. She started stroking my cock and gently fucking my ass.

She asked "are you going to show me how much you love a good blow job, by giving me a pint of cum?" Her finger left my balls to press against the star of my anus, my eyes flare wide, and as I was about to push her away she moved back to my dick and I relaxed. I can't deny that it's a wicked pleasure, feeling her finger message the bud of my asshole like that and move away, but I'm still scared the first time that she did it.

As she sucked the pressure of her finger slowly increases until her fingertip poked through the ring of muscles of my ass and quickly past the second ring until she was embedded within my rectum. There I was with her mouth buried on my dick seconds away from cuming and her finger buried up my ass and my body shuddering like it has never done before building to an orgasm that I would remember for the rest of my life.

"Oh yes", I said, "I'm about to cum already, and you better hurry before it's too late." She started to stroke my dick faster. I started thrashing about as I came closer to cumming.

I threw my head back on the pillow and started to yell "I'm cumming. I'm cumming." She saw my balls tighten; she felt my ass clinch around her finger and my dick swell. She pulled her finger out of my ass and I shot rope after rope of thick juicy cum out of my dick.

Her hand played with my balls just rough enough as she buried her nose all the way into my pubic hair. Her talented throat was swallowing repeatedly, squeezing my shaft, as she buried it deep in her soft hot mouth. Her saliva dripped from the corners of her mouth, and ran running in little rivers around my swollen balls before running down into my ass crack. I felt my muscles clench and I knew I was going to cum. She started fucking my cock with her mouth letting her finger rubbed my asshole.

"Oh I'm cumming," in one deep swallow she took my whole dick in her throat again and suddenly she slipped two fingers up my ass." As she said that she rammed her finger in my ass and I let out a loud scream. "This caused me to shoot spurt after spurt and she swallowed every drop. Never pausing, she started sucking the head of my cock gently rubbing the spent shaft keeping it hard, still looking at me. She let the head of my dick pop out of her mouth leaving her lips glistening with my cum.

She gave me a fantastic blow job wrapping her ruby red cock sucker lips around my dick and sucking on it before I climax like a kid trying to get those last slurps of milkshake. As she tried to drain every drop of cum out of my dick I pulled my dick out of her mouth my orgasm now on auto pilot and sprayed loads of thick streams of semen all over her face ruining her makeup.

chrislebo

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I shudder, my eyes having lost focus once more as I concentrated on the feelings. I didn't notice that my breathing was hard and labored the shudders of delight riding through my body, seeming to pinpoint at my dick. Her finger began to saw back and forth within me, eased by the copious amount of juices my ass had created. As my body relaxed to the ministrations of her fingers, she slipped them out of my ass.

She smiled at my embarrassment and told me. "I know your gonna tare my ass up with this big dick after your show I have a surprise for you."

"No Ahhhh ...Ahhhh baby doll, I can't see you tonight how about tomorrow."

"My name is Vickie."

"Yeah Vickie, is tomorrow okay?"

"That is okay" she said.

"Good give your address and number to my driver; I have to run it is almost show time."

I tapped on the divider window and the driver lowered the window. "Get Vickie's number and address for me then come on in and watch the show. There are a whole lot of fine honeys out there tonight wearing next to nothing"

I zipped my pants and rushed out of the limo it was time for me to go on stage. Apparently after she gave James her number and address she blacked out and fell on the floor in the back seat out of my driver's sight. When he put the pen in the glove compartment after first dropping it on the floor and looked back the back seat appeared empty so he thought she had got out to go in and see the show just as he was. But when my driver James escorted my girlfriend back to the car and opened the door for her, she was greeted by the sight of a relaxing woman on the floor of my limo with her mini skirt hiked up immodestly over her hips exposing her red flowered skimpy panties and to Tyra's surprise the head of the woman's dick sticking down between the elastic of his panties.

She gasped and thankfully in a low voice, "Who is this fucking half naked 'transvestite' in the back of your car?"

As I looked over her shoulder into the back seat I was at a lost for words, I had no idea how I was going to explain this but I knew I had to get out of here quickly. She had accused me of cheating many times but she never had any real evidence, worst yet it was a man who had given me a blow job I panicked and just pushed Tyra in the car got in and slammed the door shut before the crowd could build trying to get autographs photos and a look in the car.

"Get this fucking car out of here right now, drive you stupid faggot drive!" I yelled.

Tyra asked, "What the fuck is going on here? Have you been having sex with a man in a dress?"

"No baby it is not how it seems," I said.

"They why is he relaxing on the floor in the back of your car?" she asked.

"Uhhh," was all I could respond.

"Did you have sex with him?" she screamed.

"No I didn't have sex with him, driver you were here tell her, go on tell her that I didn't have sex with the transvestite, you were in the front of the car," I pleaded sure he would cover for me sure he wanted to keep his job.

James responded, "Miss he is telling the truth he just brought her to the car so she could give him a blow job. He was going to have sex with her later but you surprised him by flying in for his show and showing up at his concert. I got her number and address on this pad up here in the glove compartment so I could send her flowers and a cheap peace of jewelry when he dumped her. I didn't even realize that he had picked up a guy, these days you never really know who is on the downlow."

"You liar your trying to tell me that you didn't have sex with her? You mean that you just didn't have sex yet, who do you think you are Bill Clinton? We are over!" Tyra screamed.

"No baby I didn't realize it was a guy you can't leave me, I am your man."

"You my man I don't think so? Huh wait till I tell everybody that you cheated on me with a transvestite," she screamed.

"No, no you can't do that! You will ruin me, I am 100% man, your man and you know it when you are on the end of my dick moaning Oh baby yes!" I said.

"I don't know you anymore! How many dicks have you been on yelling Oh baby yes! Just don't talk to me," Tyra said.

"Okay just don't do anything foolish," I said.

"You're telling me not to do anything foolish; I wasn't the one getting a blow job from a man. I am going home! James, I am not going to Ricky's house take me directly home now!"

"Okay Hon" James replied.

"How dare you call Tyra Hon?

"I am sorry it just slipped out," said James.

Seizing on the opportunity to change the subject "How did it just slip out?"

"Easy she was my ex-fiancée," he responded leaving me momentarily speechless.

"Ex-fiancée... Ex-fiancée? Tyra and you were going to get married?" I repeated.

"Yes we were lovers in high school and college until I realized that I was more interested in men so we parted as friends.

Then I thought to myself, "They have a history I am screwed."

All I could do was sit back and try and plan what I was going to say to get out of this mess. If I said anything now I knew it would be a mistake. All I wanted to do was beat James's ass for telling Tyra about my blow job. I knew that when this was all over and things were calm I was going to pay someone to beat his ass. I knew I couldn't do it my self James was 6 foot three and 230 pounds and all muscle. I was going to have it done when I was out of town so I could deny it.

James, my driver and to my surprise Tyra's ex-fiancée pulled up and her house and she reached for the door to get out.

"Let me get the door for you please baby we need to talk," I asked.

I hurried out of the car hoping to open the door and allow me to watch her to swing her long shimmering stocking covered legs out of the car carefully placing her 4 inch heel pumps on the flagstone of the drive way. Her skirt rose up exposing her garters and stocking tops for a brief moment. Before I escorted Tyra to her door I ordered my disloyal driver to take the still relaxing transvestite in the back seat and drop her off at her place then come back and pick me up.

I reached out my hand trying to take Tyra's but she just looked and me with distain and spurned it as she searched through her purse for her key. She walked ahead and I admired the shape of her shapely round ass as she wiggle

walked on her 4 inch heels and short tight skirt.

We entered Tyra's house and after I closed the door I turned around to see that she was headed to the living room.

"Baby we need to talk," I said.

"I really don't think we have anything to talk about, why don't we just go our separate ways because you are not the man I thought you were."

"What do you mean go our separate ways?" I asked.

"Exactly what I said we don't need to make an issue out of this, it was bad enough you cheated on me before with all those bitches and now I find out now fucking with transvestites, another Teddy Pendergrass."

Then she strode over to the bar and took a glass and with some tongs she filled it with ice from the mini bar fridge, added a wedge of lemon, Pepsi and Bacardi Select. She reached over for a stirrer and mixed her take before taking a healthy unladylike gulp.

"No baby it is not that way," I said.

"I was there it is that way so why don't you just get out of my house and leave me the fuck alone."

Come on Tyra, let's get over this, and just imagine that one day our wedding will be certainly in one of the most romantic settings for any weddings.

How do you envision our wedding? I imagine a beach wedding with old stone cut walls that will witness us "whispering the words "I Do" in this beautiful setting. It was perfect peaceful and romantic atmosphere for our day with you in your beautiful white gown looking ravishing and me in my tuxedo looking fabulous. We can recite our own wedding vows on the beach while the sun melts into the blue waters behind us? And a gentle sea breezes drift through the air blowing your veil.

We are going to do it right none of the hassle well will get there several days early and get settled so we can enjoy ourselves to the fullest. A place of plain serenity, beauty and impeccable surrounding nature, it is already a divine stage of its own. Because of the natural beauty, there will minimal work that needs to be done in decorating. We can have our assistants arrange for a day of pampering at European-style spa for the bridal party.

Astounding views of the ocean greeting us from every angle along the coastline, making romantic walks along the beach hand in hand. Imagine the sun beating down through cloudless blue skies, warm crystal clear waters gently lapping a fine sandy beach for as far as the eye can see long stretches of white sandy beaches, crystal clear turquoise waters protected by the coral reef.

I think a beach wedding would be a wonderful and because it will be intimate and private moment of a wedding with our trusted and closest friends and relatives. A sunrise or sunset atmosphere will definitely provide a picture perfect and spectacular background for our wedding rituals. The beautiful setting would certainly produce snapshots that are worth more than a thousand words.

"I see you have this all planned out," she said.

"Yes I have been thinking about it all my life."

"Interesting I must admit that sounds beautiful you could be a wedding coordinator," she said.

"No never only women and fags are wedding coordinators," I scoffed.

"Interesting," was all she said.

"I don't know I don't know why you don't just go home I want to be alone and digest what I just learned.

"Come on baby don't be this way, you know I can make you feel better lets go to bed, my dick is hard and all for you."

"Why would I waste my time going to bed with you? Maybe we can find you another guy or better yet a transvestite to rock your world. After all we both know that Mr. macho Ricky Cox is secretly a sissy."

"Stop saying that cuckolds brownie," I yelled.

"What's wrong Mr. Macho is your slip showing?" she snickered.

Something snapped and I lost my temper and rushed over to her and slapped her on the hand knocking her take all over her and on to the hard wood floor.

Enraged I grabbed her slender shoulders and shook pulling her up and pushing her forward followed immediately by pulling her tarring her blouse. I grabbed frantically at her dainty flowered front closing bra but I only managed to break the strap over her left shoulder which infuriated me and I flung it to the floor.
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