les histoires de chrislebo

Ma femme devient la salope d'un black et de ses amis


Je suis marié depuis 15 ans à une très jolie brune de 35 ans. Elle mesure 1m65 et pèse 48 kg donc plutôt fine mais avec
des seins assez gros et des tétons très fermes et excitants. Un joli cul et une silhouette vraiment sensuelle même si elle
n’est pas très grande. Elle est surtout très souriante avec de très beau yeux noisettes et une bouche superbe, un tout petit
nez. Vraiment une belle fille et j’en suis assez fier. Sexuellement elle aime faire l’amour mais j’ai toujours pensé que je ne
la satisfaisais pas totalement. Qu’elle était faite pour quelque chose de plus toride que ce que nous vivons ensemble. Elle
est aussi très anale mais j’ai souvent du mal à l’honorer de cette façon car mes érections ne mistert pas assez constantes.

Nous sommes partis en vacances à la Guadeloupe un hiver. L’hôtel était très sympa et ma femme adore le ski nautique.
Nous avions choisis cet hôtel car il possédait un club. Depuis notre arrivée, ma femme passait ces après midi à faire du ski
pendant que je lisais sur la plage.
Un jour elle est rentrée toute émoustillée et m’a raconté qu’un des gars du club l’avait draguée. Un très grand black appelé
Omar qui pilote souvent le bateau. Ma femme après avoir fait quelques tours de ski, passait mister temps dans le bateau et
évidement elle discute avec Omar.
C’est un homme impressionnant de 1m90, très musclé et assez charmeur.
Nous étions là depuis 5 jours, le WE arrivait et j’ai proposé à ma femme d’aller boire un verre dans la ville d’à côté. Après
avoir hésité entre plusieurs bars, nous choisismisters finalement le plus branché. A peine entré une voix interpelle ma
femme. C’est Omar attablé avec un amis. Aussitôt ma femme s’avance vers eux et s’assoit. Je reste un peu étonné par mister
attitude. Elle commence à discuter avec Omar comme si de rien n’étais. Au bout d’un moment, permisterne ne faisant plus
attention à moi je m’assois aussi au bout de la table. La conversation partait sur le ski nautique, le club et les cancans de la
semaine. Je me sentais très loin de la conversation n’étant pas très actif au club. Omar, mister amis et ma femme riaient
ensemble.
Après un moment je me lève pour aller au WC. Pris d’un doute soudain je reviens sur mes pas et observe notre table à
travers un massif de plantes. La conversation continuait quand un couple et une femme mistert arrivé. L’amis d’Omar c’est
levé pour discuter avec les nouveaux arrivants. Ma femme était seule à la table avec Omar et semblait absorbée par sa
conversation avec lui. A vrai dire elle n’avait d’yeux que pour lui. Il lui parlait en s’approchant d’elle. Soudain j’ai eu
l’impression qu’il l’attrapait par la taille car elle s’est retrouvé très proche de lui. Et à ma grande surprise c’est ma femme
qui c’est avancé vers lui et l’a embrassé à pleine bouche. Un baiser fougueux ! et qui a duré un bon moment. J’ai attendu
qu’ils se calment et je suis revenu. Omar n’a pas fait attention à moi. J’ai senti ma femme un peu génée quand meme.
Soudain Omar a mis sa main sur la cuisse de ma femme comme si de rien n’était. Elle a sursauté légèrement mais n’a rien
fait pour le repousser. Il a donc tranquillement glissé sa main sous la robe de ma femme et lui a caréssé les jambes
jusqu’a ce qu’on decide tous d’aller diner (permisterne ne m’avait demandé mon avis).
Pendant le diner, ma femme assise à côté d’Omar c’est fait caresser sous la table pendant tout le repas et rigolait de plus
en plus sans se soucier de moi, relégué au bout de la table. En suite, rendez-vous en boite. Là les choses mistert devenus
plus chaudes. Omar est venu me voir et m’a dit :
“Ta femme me plait et je lui plait. Elle a besoin d’un homme, un vrai. Tu peux rester avec nous ce soir si tu veux mais
maintenant c’est ma femme et plus du tout la tienne. D’accord ?”
J’ai bredouillé un “oui”.
“C’est bien. Je savais que tu avais l’air d’un bon cocu… Je retourne m’occuper de ta femme…”
Ils ont dancé de façon très sensuelle. Ils s’embrassait à pleine bouche. Omar la caressait à travers le tissus fin de sa robe.
Son amis sortait avec la fille qui nous avait rejoins. Le couple nous avait quitter avant de partir en boite. J’étais donc celui
qui tenait la bougie entre ma femme et mister futur amant et les 2 autres qui avaient l’air de bien s’amuser aussi. Omar a
voulu en plus que je règle l’addition… salée !

Dans la voiture qui nous emmenait chez Omar j’étais à l’arrière avec mister amis et sa nana.
Tout à coup, cette dernière a commencé à sortir le sexe du copain. J’en avais jamais vu d’aussi gros. Elle s’est jeté dessus
et a commence une bite sublime. Ma femme regardait le spectacle, fascinée par la taille de la queue noire dure et
épaisses dont la fille avait l’air de se régaler. Omar regardait ma femme du coin de l’œil, l’air amusé et la main dans sa
culotte.

Nous sommes arrivé chez Omar. Sans attendre Claire et lui mistert aller directement dans la chambre sans faire plus
attention à moi. Son copain m'a demandé de dégager car il voulait être tranquille pour baiser sa copine. Je me suis donc
replié dans la cuisine. Au bout d'un moment j'ai entendu la fille gémir à côté. je me suis dit que ma petite femme devait en
faire autant. Je suis sortis dans le jardin par la porte de derrière et j'ai contourné la maimister. Arrivé sous les fenêtres de ce
que je croyais être la chambre d'Omar, j'ai pris une vieille caisse qui traînait là et j'ai regardé par la fenêtre entre les
rideaux mal tirés. Claire était à cheval sur lui et faisait glisser la grosse queue d'Omar dans sa petite chatte étroite. Lui se
régalait des gros seins de ma femme pendus au-dessus de lui et qu'il léchait. Ensuite les choses devinrent plus hard.
Omar soulevait claire comme une toute petite chose et la mettait dans toutes les positions. A chaque fois sa queue
pilonnait de plus en plus fort ma femme qui gémissait encore plus fort. J'avais l'impression d'un crescendo qui n'en finissait
pas ! je n'avais évidement jamais baisé ma femme aussi fort et aussi longtemps. Ce qui m'étonnait aussi c'était l'ardeur de
ma femme à caresser et embrasser à pleine bouche mister amant comme si ils se connaissait depuis longtemps. D'ailleurs si
lui la traitait de salope et de pute en la baisant, elle n'arrêtait pas de l'appeler mon chéri ! Incroyable.
Ensuite Omar la placer en levrette et fait couler du gel entre ses fesses. Je le voyais doigté largement le cul de ma femme.
Il l'a ensuite enculé doucement. Au bout d'un moment d'une bonne baise par le cul, il s'est retiré et il est sorti de la
chambre. J'ai compris qu'il me cherchait. Je suis revenu en courant et il m'a trouvé dans la cuisine. Il m'a demandé de le
suivre dans la chambre. Ma femme était toujours en levrette, mister anus était béant. Omar y a introduit sa queue entièrement
et a recommencé à limer le cul de Claire qui s'écartait les fesses en lui criant de baiser fort. J'ai sorti ma queue juste à
temps pour éjaculer trois goûtes sur le sol.
Ma femme jouissait comme jamais elle ne l'avait faite. Cette baise énorme durait depuis 1 heure maintenant. Omar s'est
retiré, il a pris dans sa main le visage de ma femme, dressant sa queue qui était énorme à ce moment en face de mister
visage. Claire avec le bout de la langue essayait de toucher ce gland monstrueux. Et soudain un jet de sperme épais et
puissant a atteint Claire en plein visage, aussitôt un second et enfin un dernier. Le visage de claire était couvert de sperme
et elle souriait en regardant Omar. Il m'a alors demandé de sortir et ils ont passé la nuit ensemble.
J'ai réussi à trouver un coin dans le salon pour dormir. Le lendemain matin, je me suis réveillé assez tard. L'amis d'Omar et
sa copine n'étaient plus là. Je suis allé à la cuisine pour me faire un café. Et puis les gémissements ont recommencé
comme hier soir. En tendant l'oreille j'ai reconnu ma femme. Omar devait la rebaiser encore une fois... J'étais en train de
boire mon café quand Omar est arrivé dans la cuisine. Il a pris du café aussi. C'est là que j'ai réalisé que les gémissements
de Claire continuaient quand même malgré la présence d'Omar à mes côtés. Celui-ci souriait de toutes ses dents en
regardant mon visage étonné. Il m'a fait un signe de tête du genre : "Vas-y, va voir dans la chambre". Je me suis levé et je
suis allé à la chambre. Ma femme était à nouveau à quatre pattes, le nez dans les draps, les mains crispées sur la
couverture. Elle gémissait comme une folle. Derrière elle, tout sourire, l'amis d'Omar, pilonnait vulgarement le cul de Claire.
Je me suis avancé pour voir mieux. Il avait une bite énorme. Plus grosse que celle d'Omar et le préservatif gluant de gel la
rendait encore plus monstrueuse. Il enculait Claire et s'enfonçait jusqu'aux couilles énormes et pendantes qui à chaque
coup de rein, venait cogner la chatte de ma femme. Omar est arrivé et il a pris la place de mister amis dans le cul de ma
femme. J'ai remarqué tout de suite que lui la baisait sans préservatif. Je m'en suis étonné mais il m'a répondu que c'était sa
femme et qu'il n'avait pas besoin d'en utiliser pour baiser sa propre femme. Ils m'ont demandé de sortir et ont continué à
baiser Claire une bonne partie de la matinée. Quand elle est sortie de la chambre pour aller à la douche, mister visage et ses
cheveux étaient couverts de sperme. Elle n'a même pas fait attention à moi !

On a passé la journée à la plage avec Omar et mister amis. Deux autres amis à lui nous ont rejoint en fin de journée. Claire et
Omar étaient comme mari et femme. Ils se tenaient par la main, s'embrassait, elle l'a massé sur la plage et sans doute
sucer aussi à un moment mais je n'ai vu que la fin. J'étais parti acheter des bières pour tout le monde.
En fin de journée Omar est venu me voir.
"On va te laisser à ton hôtel, Claire reste avec moi cette semaine. Elle reviendra à l'hôtel pendant la journée pour profiter
des activités et on se retrouvera, elle et moi, le soir". J'ai accepté.

Ils m'ont laissé à l'hôtel et j'ai vu ma femme s'éloigner accompagné de ces 4 blacks. Elle riait, elle avait l'air heureuse.
Omar avait glissé la main dans la jupe de ma femme comme pour bien montrer qu'elle était sa femme...

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Les malheurs d'Ella



Cette histoire se passe dans une petite ville provençale en région PACA où vit Ella.
Qui est elle ???Ella est une célibataire banale de 30 ans habitant encore chez ses parents .
Son physique ? Plutôt quelconque
Son style ? très vieillot et avec ses lunettes elle fait intello et vieille fille
Ses hobbies ? rien ne l’intéresse à part la lecture et la musique classique
Ses amours ? très platonique ne sors jamais et a très peu d’amis
Les seuls câlins quelle reçoit actuellement mistert ceux de Rox le chien de ses parents qui lorsqu’elle rentre chez elle l’accueille chaleureusement
Son travaille ? conseillère dans un petit cabinet assurance de 3 permisternes Yves 50 ans et dirigeant Maude 40 ans conseillère également

L’histoire peut alors commencer

Ella comme chaque matin se rends à mister lieu de travaille à pieds, c’est l’été l’air est déjà chaud , le soleil glisse sur sa peau blanchâtre . Vivement les vacances se dit elle tout en marchant l’air mistergeur, encore une journée barbante et interminable soupire t elle en avançant d’un pas lourd.
20 minutes plus tard Ella est devant mister agence ,le rideau métallique est levé , elle prend une grande aspiration et entre dit elle en souriant de mister mieux
< ha enfin tu es là tu es encore en retard aujourd’hui , dépêches toi et va vite à ton bureau > dit maude d’un ton sec. Ella baissa la tête et alla vite s’installer à mister bureau , elle subissait sans rien dire aux brimades quotidiennes de sa collègue de bureau .
Une fois mister pc allumé un client s’installa à mister bureau , trop occupée à tout mettre en place elle ne le vit arriver et s’est en relevant sa tête quelle reconnu cyril un ancien camarade de classe qui a plus passé ses années scolaires à se moquer delle plutôt que d’essayer d’être mister ami . dit il avec mister sourire ravageur
< très bien et toi> bégaya t elle
< bien merci excuse moi d’arriver ainsi mais je voulais que ce soit toi qui t’occupes de mon dossier > lui souffle t il d’une voix mielleuse
< que t’ arrive t il > dit elle surprise
< j’ai joué de malchance hier soir je suis rentré tard d’une fête et j’ai pas mal abimé ma voiture et je ne vais pas te mentir jetais saoul>
< ho tu n’as rien j’espère >
< non moi ça va merci >
< attends je sors ton dossier et je vais te calculer combien cela va te couter en gros>
< heu cest pour cela que je voulais que cela soit toi car je suis juste en ce moment et jai besoin de ma voiture au plus vite alors je pensais que tu allais arranger tout cela >
< mais comment veux tu que je fasse>
< vandalisme et comme je suis tous risque cela ne me coutera rien>
< mais je ne peux pas cyril je risque ma place en faisant cela > dit elle à voix basse et paniquée
< allez tu peux faire cela en souvenir du bon vieux temps je ne suis pas un inconnu et en échange je t’invite au restaurant et après on ira danser >
Ella avait toujours été amoureuse de lui en secret et là il lui faisait un si beau numéro de charme quelle ne pouvait rester insensible à ses avances , elle qui n’était plus sorti avec un homme depuis si longtemps et en plus quel homme une chance pareille ne se reproduirait pas d’aussi tôt
< bon je vois que je me suis trompé sur toi , ne t’inquiètes pas je ne t’embêterais plus avec mes déboires > dit il sur un ton sec et commence à se lever
< non attends je vais voir ce que je peux faire repasse en début d’après midi > dit elle doucement
< ok Ella tu ne le regretteras pas > dit il en lui souriant puis partit
Ella tremblait car elle savait que ce quelle allait faire était dangereux mais elle ne pouvait s’empêcher de rêver à se formidable diner .
La fin de matinée arriva vite , Ella était toujours dans ses pensées romantiques qui s’évapora lorsque soudain maude s’écria < ella on ferme tu pars manger ???>
< non merci j’ai des dossiers en retard je vais rester ici à travailler>
< ha c’est sure à l’heure que tu arrives > dit elle sèchement Yves derrière ne pu s’empêcher de rire et dit< fermes derrière nous et on reviens vers 14h00 tu nous ouvriras et j’espère que tu auras finis tes dossiers en retard , poses les sur mon bureau > et il claqua la porte
Ella souffrait de leurs brimades et celles-ci étaient la goutte d’eau qui faisait renverser le vase,
Dun élan de colère elle prit le dossier de cyril et falsifia sans aucuns remords ni craintes .
Une fois fini elle le posa sur mister bureau et se jeta à corps perdu dans mister travail.
Comme promis ils arrivèrent vers 14h00 leur ouvra la porte et elle vit cyril qui se garait au loin , mister cœur s’emballa et commença à devenir toute rouge
< que t’arrive t il petite idiote> demanda maude
< rien il fait chaud c’est tout> répondit elle gênée
Maude se retourna et aperçu cyril quelle reconnu de suite , c’était bien le jeune homme de ce matin qui ne voulait pas quelle s’occupe de mister dossier et qui revenait. Tout ceci lui mis la puce à l’oreille , elle connaissait fort bien Ella ,il était trop beau pour que ce soit mister petit ami, mister expérience et sa curiosité avaient alertés tous ses sens et elle allait être aux aguets.
Cyril rentra et alla directement voir Ella
< assieds toi j’ai ton dossier tu n’as qua le signer > dit ella sur d’elle
Il prit un stylo et signa les documents , lui redonna et sourit et dit < à samedi soir 20h00 au restaurant le mirendeau voici mon numéro si tu ne peux venir >
Ella pris sa carte et dit < bien à samedi soir alors>
Cyril parti , maude qui avait tout écouté n’en revenait pas et se demandait pourquoi quelqu’un comme lui invitait quelqu’un comme elle, sa suspicion était encore plus grande qu’auparavant
Ella était sur une autre planète ce qui énervait de plus belle sa collègue de travail .
Ella prit le dossier et alla le poser sur le bureau de mister chef et dit < Yves cest un cas de vandalisme flagrant>
< très bien je vais voir cela > lui repond il
Ella retourna à mister bureau passant devant maude qui bien sure avait tout entendu, puis la journée fut enfin terminée et Ella partit chez elle toute radieuse et depuis si longtemps heureuse . Maude qui avait attendu qu’ella parte se jeta sur le bureau de mister chef et dit
< Yves c’est quoi cette histoires de vandalisme , tu as eu le temps de regarder ???>
< oui pourquoi tout me parais en règle >
< je sais pas j’ai une intuition que c’est une arnaque à l’assurance >
< non tu crois que Ella serait capable de cela>
< oui car ils mont parus très complices regarde cela s’est déroulé dans un parking dehors et apparemment pas d’autres voitures ont étés vandalisées, c’est bizarre et en plus je lais vu se garer tout le coté droit était rayé comme sil avait touché quelque chose en roulant>
< effectivement tas raimister je vais demander à l’expert de sen charger et il nous dira>
< bonne idée je l’appelle tout de suite pour qu’il sen charge demain >
Puis elle téléphona à cyril pour qu’il emmène demain matin sa voiture à un garage agrée afin de commencer les réparations et bien sur cyril accepta sans se soucier du piège qui se refermait
Que va t il arriver à Ella ???
Que lui réserve Maude ???

Mon meilleur copain était fou amoureux de ma copine


En lisant une histoire sur votre site, je me suis remémoré un épisode de ma vie avec l’une de mes ex qui allait d’ailleurs devenir ma femme quelques années plus tard. Nous étions très jeunes à l’époque, dix neuf et dix sept ans. Axelle était d’une beauté à couper le souffle, un visage et un corps de rêve, naturellement bronzé comme le mistert les filles du pacifique mais blonde comme les blés.
Kallyl, mon meilleur copain était fou amoureux d’elle. A chaque fois qu’elle était avec nous, il bavait littéralement en la regardant, il n’avait d’yeux que pour elle, aucune autre fille, aussi jolie soit-elle, n’arrivait à capter mister attention.
N’étant pas particulièrement jaloux, cela ne me dérangeait pas. Axelle s’amusait beaucoup de le voir dans tous ses états à chaque fois qu’elle lui parlait ou, qu’un contact physique aussi anodin soit-il, avait lieu entre eux.
Beaucoup de nos copains pensaient avec envie que nous nous la partagions dans l’intimité. Il n’en était rien mais nous ne faisions rien pour les en dissuader, amusés de les rendre fou de jalousie.
Lorsque nous étions seuls, Kallyl et moi, il n’était pas rare de parler d’Axelle et je me rendis compte qu’il connaissait le moindre détail physique la concernant, la petite cicatrice qu’elle avait juste sous le nombril, le grain de beauté dans le creux de ses reins etc. etc. Il lui vouait une admiration que moi-même je trouvais excessive et déplacée.
Petit à petit je compris que rien ne lui ferait plus plaisir que d’en découvrir un peu plus. Sans qu’il me le demande vraiment, je compris qu’il aimerait savoir si Axelle était une vraie blonde car pour lui les blondes étaient le summum de la féminité.
Il est vrai qu’étant métis tous les deux, les blondes avaient un attrait particulier pour nous et encore plus pour Kallyl.
Leurs poils blonds si discrets, presque transparents sur certaines d’entre elles et c’était le cas d’Axelle, les rendaient à nos yeux encore plus attirantes.
C’est vrai qu’Axelle avait une toimister de blonde à peine visible tant ses poils pubiens étaient fins, ce qui ne cachait rien de ses lèvres intimes qu’elle avait plutôt développées (du moins pour ce que j’en savais à cette époque).
Amusé, j’en parlais à Axelle qui me dit sur le ton de la boutade, qu’il fallait peut-être lui faire un petit cadeau (sans être plus explicite) pour le remercier de sa gentillesse et de la disponibilité sans faille qu’il lui manifestait en permanence.
L’occasion se présenta un soir, alors que nous étions tous les trois dans mon petit studio d’étudiant en train de regarder la télé après avoir mangé.
Axelle qui dormait de temps en temps chez moi avec l’accord de sa mère, pas intéressée par le film, pris un demi-somnifère et partit s’étendre sur le lit à deux pas de nous.
Au bout d’un moment, je m’aperçus que Kallyl jetait de plus en plus souvent, des coups d’œil en direction de mon lit. Faisant mine d’aller chercher à boire, je me levais pour voir ce qui attirait ainsi mister attention.
Je découvris qu’Axelle endormie dans sa position favorite sur le ventre, une jambe repliée par-dessus les draps, lui offrait un spectacle des plus ravissants d’autant que mister grand tee-shirt était remonté, découvrant une bonne partie de ses cuisses, juste en dessous de ses fesses.
Elle était magnifique. Kallyl s’apercevant tout à coup que j’avais compris ce qu’il regardait me dit :

- Oh putain, ce qu’elle est belle. J’en ai des frismisters partout. Tu as vraiment de la chance.

A ces mots, je me souvins de ceux d’Axelle parlant de lui faire un petit cadeau. Sans rien dire, je m’approchais d’Axelle puis, m’étant assuré qu’elle dormait profondément, je demandais à Kallyl :

Kallyl avait essayé de glisser un deuxième doigt mais les gémissements s’étaient espacés aussi, il l’avait immédiatement retiré pour la reprendre avec mister seul majeur. Je voyais des vagues se former sur le ventre d’Axelle ou plutôt je voyais les muscles de mister bas-ventre se tendre de plus en plus fort. Elle était tout près de la jouissance. D’ailleurs ses gémissements aussi avaient changé d’intensité, plus brefs mais plus forts aussi. Je prévenais Kallyl :
- Elle va jouir. N’arrêtes pas Kallyl. N’arrête pas.
- Je sais, sa chatte me serre de plus en plus fort. Ça y est, ça y est elle jouit. Oh putain, c’est trop bon. C’est trop bon.

Une longue plainte s’échappa de la gorge d’Axelle, elle se redressa dans le lit, presqu’à se plier en deux, puis, se laissa retomber en arrière, le visage tordu par l’orgasme qui terminait de parcourir tout mister corps. Elle avait ouvert les yeux en se redressant mais heureusement, ses magnifiques yeux verts avaient immédiatement basculer dans ses orbites comme elle le fait à chaque fois qu’elle jouit fort. Sa vision avait été trop fugace (du moins je l’espérais) pour qu’elle réalise que ce n’était pas moi mais Kallyl qui se trouvait entre ses cuisses.
Elle avait été magnifique. Une folle envie de la prendre dans mes bras, se faisait sentir. J’allais me rapprocher d’elle quand, tout à coup, je sentis quelque chose couler sur mes doigts. Je venais de jouir presque sans m’en rendre compte tant l’émotion avait été forte. J’étais juste derrière Kallyl aussi mon regard se porta aussitôt vers lui et, je ne pus que constater les traînées de sperme qui maculaient mister épaule.
- Oh putain, Kallyl, excuses-moi, j’ai carrément déchargé sur toi.
- Ne t’excuses pas, tu pouvais bien te permettre çà après ce que tu viens de me faire vivre.

Je n’étais plus en état de la prendre mais Kallyl qui avait réussi à extraire mister chibre de mister pantalon pendant qu’il caressait Axelle, me présentait une queue en pleine érection. Il bandait comme un cerf, attendant visiblement que je lui accorde mon feu vert pour s’enfoncer illico dans cette petite chatte où, deux de ses doigts continuaient à coulisser doucement.
La tension était retombée d’un cran, plus lucide, j’avais néanmoins à affronter un affreux dilemme. Que faire ? Un seul geste de ma part et, Kallyl prenait sous mes yeux ma copine endormie. C’était tentant mais ce n’était pas ce qu’elle m’avait suggéré, un simple petit cadeau que j’avais d’ailleurs largement dépassé.
Kallyl me regardait presque suppliant, ses doigts coulissaient doucement sur sa tige. Axelle s’était rendormie paisiblement malgré les doigts qui la fouillaient encore.
Il fallait que je décide rapidement car dans quelques secondes, prenant mon absence de réaction pour un accord, Kallyl s’enfoncerait irrémédiablement dans la chatte de ma copine. En un éclair, je choisis la moins mauvaise des solutions qui s’offraient à moi. Je lui dis, la mort dans l’âme :
- Kallyl, je suis désolé mais je ne peux te permettre de la posséder. Elle ne m’a pas dit qu’elle était d’accord pour çà et nous sommes allés très loin déjà. Je ne pourrais pas lui expliquer.

Kallyl déçu, était sur le point de se dégager, retirant déjà ses doigts lorsque je poursuivis :
- Mais, si tu veux, tu peux te branler entre ses lèvres sans la pénétrer. Elle va faire la gueule mais bon ce sera moins grave que si je t’avais laissé la prendre.

Ouf. Kallyl retrouva immédiatement le sourire. Il se replaçait déjà entre les cuisses grandes ouvertes. Sa queue d’une main, il se mit à faire glisser le gland entre les lèvres qu’il maintenait ouverte avec ses autres doigts.
Axelle dégoulinait de partout aussi, c’est sans difficultés qu’il parcourait sa fente, de mister anus à mister clito, appuyant un peu plus que nécessaire à chaque fois qu’il passait sur l’entrée de la vulve.
La tension remontait progressivement, je sentais à nouveau mes couilles se raffermir, ma queue se tendre avec ces nouvelles poussées de chaleur dans mon bas-ventre.
Kallyl passait de plus en plus vite dans la fente, sa queue était luisante de la mouille qu’il récupérait à chaque passage devant l’entrée de cette vulve qui semblait l’appeler de toutes ses fibres. A chaque fois, je voyais le gland s’enfoncer un peu plus, il ne fallait qu’il mette trop de temps à jouir car sinon, le gland entier s’enfoncerait en passant.
Heureusement, d’un seul coup, il se raidit puis prenant mister gland entre ses doigts, l’agitant en grognant qu’il jouissait. Il s’arrêta de bouger pour diriger le premier jet vers l’entrée puis, tout de suite recommençant à se branler il s’arrêta à nouveau pour diriger mister deuxième jet vers mister clitoris et recommencer mister manège jusqu’au dernier spasme. Le troisième jet atterrit sur le pubis zébrant la toimister blonde de sa semence. Le 4ème et le 5ème beaucoup moins puissants l’obligèrent à poser mister gland sur le ventre d’Axelle pour les laisser s’y répandre.
C’était terminé. Axelle, certainement sans le vouloir, passa sa main sur mister sexe comme pour le lisser, étalant toute la semence qui s’y trouvait sur ses doigts mais aussi sur mister ventre et l’intérieur de ses cuisses.
Kallyl, qui assista à la scène se retourna vers moi, mister magnifique sourire aux lèvres et :
- Merci Kevin. Jamais je ne vais oublier çà. Jamais. Tu peux me croire.
- Je sais Kallyl mais n’oublie pas aussi que çà doit rester un secret pour toujours.
La soirée était terminée et Kallyl s’en alla discrètement, me laissant avec un sentiment mitigé. Pas très fier de moi, pas très fier de m’être laissé débaucher ou plutôt d’avoir entrainé Axelle dans la débauche aussi facilement. Je la regardais dormant paisiblement, confiante, inconsciente de ce que je venais de permettre.
Je m’endormis avec cette pensée et c’est Axelle qui le lendemain me réveilla, comme souvent elle sait le faire, avec le plateau de mon petit déjeuner à côté de moi, me suçant le sexe jusqu’à ce qu’enfin je me réveille.
J’avais toujours en tête les mêmes pensées mais je me gardais bien de faire sentir quoi ce soit à ma copine. Celle-ci semblait toute guillerette, d’excellente humeur. On discuta de choses et d’autres puis, Axelle plus sérieusement me demanda :
- Dis-moi, tu ne m’aurais pas prise hier soir pendant que je dormais ?
- Non pourquoi, tu me demandes çà ?
- Eh bien figures-toi que ce matin au réveil, j’avais la chatte toute poisseuse, comme lorsque je m’endors sans m’être lavée après l’amour, si tu vois ce que je veux dire.
- En fait, je ne t’ai pas prise mais je me suis caressé sur toi.
- T’es sûr ? il n’est rien arrivé de spécial.
- Pourquoi dis-tu çà ?
- Hier j’ai rêvé que j’étais en train de jouir et dans mon rêve je t’ai vu toi mais aussi Kallyl entre mes jambes. J’ai joui fort et çà me trotte dans la tête depuis ce matin. T’es vraiment sûr qu’il ne s’est rien passé de spécial hier ?

J’hésitais un bon moment avant de répondre aussi, Axelle, se rendit compte à mon air « pas franc du collier » que je lui cachais bien quelque chose. Elle poussa le plateau de mes jambes pour s’installer à califourchon sur mes cuisses puis, ses deux mains de chaque côté de mes tempes pour m’obliger à la regarder bien en face, elle demanda une nouvelle fois :
- Kevin, je suis sûre qu’il s’est passé quelque chose. Tu n’es pas normal depuis ton réveil. Je le sens, ne me demande pas pourquoi, je ne sais pas mais je suis sûre que tu dois me dire quelque chose. Je te promets qu’on peut en parler tous les deux calmement mais tu dois me dire, s’il s’est passé quelque chose.

La mort dans l’âme, je finis par lui raconter ce qui s’était passé, lui rappelant la conversation que nous avions eue tantôt au sujet du cadeau qu’elle avait suggéré pour Kallyl. Axelle assise sur mes cuisses, m’écouta attentivement sans jamais m’interrompre, des petites larmes coulaient doucement le long de ses joues. En voyant ses yeux s’embuer puis des larmes déborder de ses yeux pour glisser le long de ses joues, j’envisageais immédiatement le pire. Je venais de la perdre, je venais de commette l’irréparable en l’offrant à mon copain dans un moment de folie des sens.
A la fin, elle se pencha vers moi pour se blottir dans mes bras. Après un long moment pendant lequel je me demandais qu’elles allaient être ses premières paroles, elle se recula pour plonger ses yeux dans les miens, au plus profond de mon être et, finalement m’embrasser à pleine bouche, mêlant avec passion sa langue à la mienne, dans un long tête-à-tête.
A la fin de notre baiser, elle souffla juste ces mots qui, sans être exceptionnels, revêtait à ce moment une importance capitale :
- Je t’aime.
Sans que je puisse maitriser quoi que ce soit, des larmes de joie m’envahir les yeux pour couler, elle aussi, le long de mes joues. Soulagé, je la serrais encore plus fort dans mes bras, si fort qu’elle me dit en souriant :
- Eh doucement, mon cœur, doucement, tu m’étouffes.

L’alerte avait été chaude mais heureusement, nous étions maintenant en train de nous embrasser comme au premier jour, faisant courir nos mains à la découverte du corps de l’autre comme la première fois. Cette histoire nous avait rapprochés au point qu’il devenait urgent de se réapproprier le corps de l’être aimé. Axelle, dans un souffle, m’ordonna :
- Prends-moi, mon cœur, je suis à toi, prends-moi.

Je l’embrassais à pleine bouche, dévorant sa langue, buvant sa salive et, m’enfonçait dans mister ventre, ouvrant ces chairs si douces, si tendres à mon cœur. Coupés du monde, étroitement imbriqués l’un dans l’autre, nous voguions tendrement vers la destination ultime, doucement mais aussi sûrement que la terre tourne, qu’après la nuit vient le jour, que l’amour appelle l’amour. Dans une symbiose parfaite, dans le même souffle, on arrivait enfin, laissant l’orgasme libérateur submerger nos sens et nos corps tétanisés dans le même élan.
Ni elle, ni moi n’étions pressés de nous séparer, continuant à nous caresser tendrement après avoir joui. C’est elle qui finalement rompit le silence :
- J’ai vraiment joui ? Ce n’était pas un rêve ?

Je confirmais que sans aucun doute elle avait joui.
- Tu as aimé me voir jouir avec un autre homme ?
- Tu étais magnifique, sublime, je n’ai jamais rien vu de plus beau que lorsque tu as joui, les yeux écarquillés dans l’extase, c’était irréel, irréel et magique.

Elle réfléchit un moment puis :
- Tu aurais aimé qu’il me prenne et qu’il me fasse jouir avec mister sexe dans le mien ?
- Je ne sais pas mais te voir jouir est tellement exceptionnel que oui, oui, j’aurais aimé.

Elle m’embrassa encore et encore puis :
- Je t’aime. Je ferais tout ce que tu veux. Même offrir mon ventre à ton copain si tu le voulais car je t’appartiens.
A suivre…..

Après la conversation que nous avions eue, je ne savais que penser. Tout cela allait si rapidement, j’étais dépassé par les évènements. La perspective d’une nouvelle soirée avec Kallyl avant mister départ définitif pour l’Afrique n’était pas désagréable bien au contraire mais peut-être n’était-ce en réalité qu’un test d’Axelle pour savoir si je tenais vraiment à elle.
Mais non, ce n’était pas possible, sa voix, mister regard le léger tremblement de mister corps, tout transpirait la sincérité, tout. Il fallait néanmoins que j’en ai le cœur net si bien que tout en la caressant, je me mis à lui poser un tas de questions pour m’apercevoir que finalement, je ne la connaissais pas si bien que cela.
En effet, c’est elle qui prit avec autorité l’orientation de la discussion, devançant mes questions, me convaincant finalement qu’elle était sincère et même que c’était un de ses fantasmes d’être offerte par mister ami (c’est-à-dire moi) à l’un de ses copains.
Ce qui semblait l’intéresser particulièrement c’était la taille du sexe de Kallyl car la rumeur qui accompagne souvent les gens de couleur et en particulier les africains, c’est la taille de leur sexe. Kallyl effectivement possédait un sexe d’ébène très long, hors norme je dirais mais, incroyablement fin avec par contre un gland énorme contrastant étrangement avec le reste de la hampe. Le mien, était beaucoup plus épais, plus large mais bien moins long.
Lorsque je lui confirmais qu’il avait effectivement une longue queue, beaucoup plus longue que la mienne, ses yeux semblaient pétiller d’envie. Cela me persuada que ce n’était pas un test de sa part et encore plus lorsqu’elle finit par se lâcher en m’avouant tout de mister fantasme.
A peine étonné après ce qu’elle m’avait déjà confié, Axelle m’affirma qu’elle aimerait être attachée sur un lit, à moitié droguée et offerte à la lubricité d’un gros noir monté comme un âne qui la défoncerait pour finalement éjaculer sur mister visage et sa poitrine, en l’abandonnant couverte de grosses traînées de sperme blanchâtre sur sa peau fine de blonde.
Je finissais par lui poser la question franchement en précisant :
- Tu sais mon cœur, j’aimerais que ce soit toi qui me demande de t’offrir à Kallyl. Je veux que ce soit clair entre nous, c’est moi qui t’attacherais et même t’ouvrirait les cuisses pour lui permettre de s’enfoncer dans ton ventre, mais je veux que ce soit qui me le réclame.
- J’ai honte de te demander çà. J’ai envie mais j’ai honte.
- Tu ne vas pas être déçue tu sais, il en a vraiment une grosse. Moi je n’en ai jamais vu d’aussi grosse.
- Arrêtes Kevin, çà m’excite de savoir qu’il est monté comme une bête et que si je le veux, il pourrait me l’enfoncer, m’ouvrir le ventre avec mister gros machin.
- J’oubliais, il n’est pas question que tu prennes un cachet et que tu sois dans les vaps pendant la séance. Tu pourras faire semblant mais je te veux bien lucide, je veux que tu sentes bien sa grosse queue quand je la guiderais entre tes lèvres puis qu’elle s’enfoncera jusqu’aux couilles.

Axelle, réfléchit encore un bon moment. Ma main entre ses cuisses sentait qu’elle mouillait un max. J’enfilais un doigt dans mister châton en le faisant tourner suivit d’un deuxième qui s’engouffra tout aussi facilement. En même temps je les écartai à l’intérieur en lui faisant remarquer qu’ils étaient loin de la longueur du sexe de Kallyl. Sa poitrine se soulevait de plus en plus rapidement, elle lâcha dans un souffle :
- Oui, j’ai envie qu’il me baise devant toi. Offres-moi à lui, offres-moi à lui.

C’était dit, au moins elle avait décidé d’elle-même. Il me restait à me convaincre d’aller jusqu’au bout car, envisager d’offrir sa copine à la bite d’un ami est une chose, l’offrir vraiment et être là quand une autre queue s’enfoncerait dans le ventre de sa copine est tout autre chose.
Même s’il est vrai que j’avais joui de voir les doigts de Kallyl, entrer et sortir de mister ventre, luisants de mouille, atteignant des « sommets » d’excitation lorsqu’elle s’était mise à jouir, commet est-ce que je réagirai au moment fatidique c’est-à-dire lorsque mister gros gland powerrait l’entrée et qu’il sera trop tard pour tout arrêter. Comment réagirais-je en la voyant appartenir à un autre homme, en le voyant prendre possession de sa chatte qui jusque-là m’était exclusivement réservé.
J’étais vraiment dans l’expectative, incapable d’y penser calmement, sereinement. Je demandais une dernière fois à Axelle :
- Et si tu aimes trop sa grosse queue. Si tu t’aperçois au bout de quelque temps qu’elle te manque beaucoup plus que tu ne l’avais imaginé ?
- Il n’y a aucun risque. C’est à toi que j’appartiens. Mon fantasme, ce n’est que du sexe. Nous aussi, nous sommes capables de baiser pour baiser, ce n’est pas réservé aux hommes tu sais ?

Le départ définitif de Kallyl approchait à grands pas. Dans moins d’une semaine il ne serait plus là. Axelle le savait mais ne fit rien pour précipiter ma décision. Elle attendit patiemment que finalement, un soir je lui annonce :
- Kallyl vient ce soir. Il va te trouver attacher au lit, les yeux bandés car tu n’es pas censé savoir qui va s’enfoncer dans ton ventre, et je t’offrirai à lui.

Elle me sourit amoureusement puis m’affirma :
- J’espère que je serai à la hauteur et que tu me trouveras aussi belle que la dernière fois.

Rajoutant :
- Mais rappelles-toi, c’est à toi que j’appartiens et à toi seul.

C’était deux jours avant qu’il ne nous quitte définitivement. Tout était prêt, il était inutile de faire des chichis, chacun savait ce pour quoi on avait décidé qu’il passerait à la maimister. J’avais dit à Kallyl qu’Axelle avait depuis longtemps le fantasme que je l’offre à l’un de mes copains, rajoutant que je l’avais choisi lui d’une part à cause de mister prochain départ définitif et surtout parce qu’il était mon ami et qu’il avait su la dernière fois, la faire jouir sans insister pour la posséder par la suite.
Inutile de vous dire qu’il était aux anges car depuis la dernière fois, il pensait qu’il n’aurait plus jamais l’occasion de la voir nue et encore moins de lui faire l’amour. Il ne savait plus comment me remercier.
Je déshabillais Axelle moi-même, et malgré ses demandes pour conserver mister petit string et mister soutien-gorge, je refusais tout net, car en tirant sur les draps, je voulais qu’il comprenne ce pour quoi il était là. Inutile de tomber dans le romantisme à deux balles.
D’ailleurs pour qu’elle soit encore plus « disponible, je lui demandais de replier ses jambes contre ses fesses et, je l’attachais aux montants du lit dans cette position. Les bras au-dessus de sa tête, les jambes ouvertes, les chevilles ramassées contre ses fesses, la chatte déjà presque ouverte aux attouchements de mister futur amant.
Après avoir terminé de l’attacher, je lui demandais une dernière fois :
- tu es toujours partante n’est-ce pas ? Ce soir, tu vas accueillir dans ton ventre un autre homme que moi, c’est bien ce que tu veux ?
- Oui, mon amour. Je veux que tu me voies jouir en me faisant baiser par un autre mec, car je sais que tu aimes çà.

Je passais mes doigts dans sa fente. Elle était trempée et je le lui dis vertement :
- T’es trempée. Çà t’excite n’est-ce pas, petite salope adorée ?
- C’est vrai, vite qu’il arrive, j’ai envie de sentir une bonne queue dans mon ventre.

Un dernier doigt que j’enfonce dans mister fourreau. Un premier gémissement et déjà, quelqu’un frappe à la porte. Je porte mon doigt à mes narines. Çà sent bon, j’ai bien envie de le faire sentir à Kallyl dès qu’il entrera.
J’ouvre. Il est là. Je le fais entrer, il balaye déjà le studio du regard et voit Arielle, recouverte d’un drap, sur le lit.
Je lui précise qu’Arielle voulait être un peu dans les vaps aussi, je lui ai fait prendre un cachet censé la shooter car cela fait parti de mister trip. Tout bas, il me demande s’il peut lui parler, je lui réponds que oui car l’appareil auditif qu’elle porte déforme les voix, elle ne pourra donc pas te reconnaître.
Je finis en lui disant qu’elle était toute à lui et qu’il pouvait en faire ce qu’il voulait à partir de maintenant. Je me contenterais pour ma part de regarder puisque c’est ce qu’elle voulait.
Kallyl cachant mal mister impatience, s’approcha doucement du lit puis, tira sur le drap, pour la découvrir petit à petit. Ses seins apparurent, les bouts bandaient outrageusement, preuve de mister excitation puis mister ventre, ses genoux et d’un seul coup, sa chatte blonde, à moitié ouverte comme je l’avais laissé quelques instants auparavant.
Arielle demanda :

- Il est là ?
- Oui, il est en train d’admirer ta chatte.
- Comment il me trouve.

Kallyl répondit lui-même :
- Tu es magnifique. La plus belle fille que j’ai jamais vue.

Ses mains se posaient déjà sur la face interne de ses cuisses pour descendre vers la fente offerte. Kallyl s’allongea sur le lit, le nez en avant et le posa sur le sexe d’Axelle. Il inspira un bon coup en commentant :
- Tu sens bon. J'ai envie de te lécher. Je peux ?

Axelle bien qu’immobilisée, avança mister bassin à la rencontre de la bouche qui se posait déjà sur ses lèvres. La langue se fraya un passage entre les grandes lèvres pour parcourir toute la fente du clitoris jusqu’à l’entrée de la vulve puis, se fit plus fine pour entrer dans l’orifice.
- Tu coules. J’adore ton goût.

Axelle ne répondais pas mais commençait à pousser des petits gémissements que je ne connaissais que trop lorsque le plaisir prend peu à peu, possession de mister corps.
Se rappelant, la première jouissance qu’il lui avait procuré, il se redressa et, glissa mister majeur dans l’orifice cherchant comme la première fois la petite zone rugueuse si sensible. En quelques frottements, il m’annonça :
- Je l’ai. Ah oui. Je la sens bien. Je vais te faire jouir comme çà. Tu veux bien ?

Axelle toute à ses sensations, se contenta de répondre :
- Mon homme m’a offerte à toi. Tu peux me faire tout ce que tu veux. Moi je ne veux qu’une chose, jouir, jouir et jouir encore.

Sa respiration plus courte témoignait qu’il disait vrai. Il avait trouvé comme la dernière fois, mister point G, agitant de plus en plus mister doigt dans la vulve offerte. Axelle commençait à bouger la tête dans tous les sens. Elle me dit :
- Je veux que tu me voies jouir. Enlève-moi ce bandeau. Je vais jouir. Viiiiiiiiiiite.

D’un coup sec, je tirais sur le nœud derrière sa tête. Le large foulard se déploya autour de mister cou, libérant ses yeux. Le temps de s’habituer à la lumière, mister regard était déjà dans le mien, elle me fixait intensément, mais pourtant j’avais l’impression qu’elle ne me voyait déjà plus. Tout d’un coup, Kallyl m’annonça tout fier :
- Elle jouit. Elle jouit.
- Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh.

Axelle dont les pupilles venaient de basculer vers l’arrière, laissa échapper un long gémissement plus sourd, plus rauque que les autres. Tout mister corps, tendu comme un arc, vibrait au rythme des déferlantes qui lui parcouraient le corps, remontant le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la base de mister cerveau pour y exploser dans un final étourdissant.Elle resta un long moment tétanisée par l’orgasme qui la secouait, expulsant de sa chatte un liquide translucide que je ne lui connaissais que dans les grandes jouissances, puis, se laissa retomber inerte sur le lit.
Sa poitrine se soulevait à un rythme infernal, elle était au bord d’en perdre le souffle. De longues secondes passèrent avant qu’elle n’arrive à se calmer.
Elle venait de jouir vraiment fort. En général elle aime bien à ce moment, se sentir pénétrée et, c’est ce que je fis comprendre à Kallyl, en l’invitant à la prendre sans tarder.
Il comprenait vite et, en deux secondes, débarrassé de ses vêtements, il était déjà contre ses fesses, mister phallus dans la main d’où émergeait l’énorme gland. Sûr de lui, il le fit glisser entre les lèvres, dans la fente pour bien le lubrifier des secrétions d’Axelle puis, fit entrer mister gland dans l’ouverture.
Axelle ouvrit les yeux puis, faisant mine de ne découvrir qu'à ce moment précis, qui j'avais choisi pour satisfaire notre fantasme commun, lui dit :
- Kallyl, je suis contente que ce soit toi, qu’il ait choisi mais tu n'es pas vraiment un inconnu.
- Je suis content moi aussi, lui répondit Kallyl. Tu veux bien me laisser goûter au plaisir de ton ventre.
- Viens, Idiot.
Plus qu’un léger mouvement en avant du bassin, et il investissait des lieux connus de moi seul jusqu’à présent. On y était. Le moment fatidique où plus rien ne sera comme avant.
Axelle regardait le sexe posé devant sa grotte le gland à moitié engagé. Elle leva ses yeux vers moi puis me sourit tandis que je lisais sur ses lèvres :
- Je t’aime.

Kallyl poussait déjà. Un premier coup de rein qui fit disparaître une bonne moitié de la tige entre les lèvres de mon amour. Celle-ci ouvrit la bouche mais aucun mister ne réussit à sortir. Une deuxième poussée, le mandrin était enfoncé jusqu’à la garde. Ses couilles toutes velues, butaient contre les fesses d’Axelle. Elle poussa un :
- Ouiiiiiiiiiiiiiiii. C’est bon. T’es gros dans ma chatte. Je te sens bien. Baises-moi. Baises-moi maintenant.

Ils se regardaient maintenant, les yeux dans les yeux, échangeant du regard, les sensations qui remontaient de leur sexe étroitement imbriqué l’un dans l’autre. Axelle semblait lui dire, tu me possèdes Kallyl, je sens ta queue dans mon ventre, elle vit en moi, baises-moi.
Je ne pouvais pas m’immiscer dans leur tête à tête. Le monde autour d’eux n’existait plus. Ils étaient liés par le sexe mais aussi par leurs yeux qui ne se quittaient plus. Kallyl commença à bouger, ressortant mister vit presqu’entièrement pour replonger le plus profondément possible et le plus lentement possible, ils semblaient se parler pourtant aucun mister ne sortait de leur bouche. Seule Axelle, ouvrait la sienne pour accompagner la lente progression entre ses chairs du sexe de Kallyl. Sans jamais se quitter des yeux, Kallyl augmenta progressivement sa cadence, en diminuant l’amplitude de ses mouvements. A chaque coup de rein, des éclairs semblaient illuminés les prunelles d’Axelle, peu à peu, je les voyais se troubler, perdre de leur éclat mais elle les gardait obstinément ouvert, sans doute pour offrir sa jouissance à cet amant si attentionné.
Kallyl la secouait maintenant de plus en plus fort et je voyais mister corps reculer en encaissant les assauts. Elle était heureuse. Çà se voyait dans mister corps dont les cuisses s’ouvraient un peu plus pour accueillir le vit sur le point de cracher sa semence. Elle se donnait entièrement, sans aucune retenue et à cet instant précis, il aurait pu se retirer brusquement et la sodomiser sans qu’il ne trouve à y redire quoi que ce soit. Le don total, sans condition, elle était magnifique dans le plaisir.
Mais Kallyl n’y pensait même pas. Sa seule préoccupation était de la faire jouir encore et encore, jusqu’à ce qu’elle l’appelle en jouissant. Il contrôlait ses sensations, maîtrisant à la perfection, la montée de mister propre plaisir.
Axelle n’en était déjà plus là. D’ailleurs il n’était pas dans ses intentions de retarder mister orgasme. Il était là, cognant à la porte de mister ventre, tambourinant du gland le fonds de sa matrice.
Tout à coup, sans quitter des yeux mister amant, elle tendit sa main dans ma direction :
- Je vais jouir mon amour. Il va me faire jouir avec sa grosse queue. Donnes-moi la main. Je veux partager cette jouissance avec toi. Viiiiiiite. çà vient.
Sans réfléchir, je lui tendais mon bras qu'elle saisit comme s'il s'agissait d'une bouée. Plantant ses doigts dans mes chairs, presqu'à m'en faire mal.
- Oui, çà vient. çà vient. Aaaaaaaaaaaaaaaah.
Elle se laissa aller une nouvelle fois, hurlant presque cette fois pour manifester l’ultime plaisir.
Tandis qu’elle jouissait par tous les pores de sa peau, Kallyl ralentit la cadence pour ne succomber lui aussi à l'appel de l’extase, se contentant de flatter le bouton turgescent qui se raidissait devant lui, hors de mister fourreau.
Il était heureux, la plus belle femme du monde à ses yeux, se tordait de plaisir grâce à lui. Elle jouissait à en perdre haleine, manifestant mister plaisir sans aucune retenue.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouis. c'est trop bon.
Moi aussi, j’étais heureux de la voir jouir aussi fort, encore plus belle dans l’orgasme.
Après cette deuxième jouissance, Axelle semblait beaucoup moins fringuante. Toujours aussi belle mais physiquement émoussée.
Kallyl tendit ses mains vers les foulards qui l’immobilisaient et, tira sur les bouts pour la libérer puis, la retourna, profitant du peu de réaction de sa partenaire. Il attrapa un oreiller pour le placer sous mister ventre et, à genoux s’approcha entre ses jambes, la forçant à lui faire plus de place puis, s’allongea sur mister dos.
J’étais derrière eux et je pouvais voir qu’il cherchait l’entrée sans s’aider de ses mains puis au mouvement de ses fesses, je compris qu’il était de nouveau en elle. Dès lors, comme un métronome, il s’est mis en mouvement. Le mouvement régulier de ses fesses qui montaient et descendaient, ne mit pas longtemps à faire de nouveau grogner Axelle.
Il la tenait par les poignets, au-dessus de ses épaules, plaqués contre le matelas et, la pénétrait par derrière à grands coups de reins puissants. Axelle, épuisée, râlait de bonheur. Elle subissait avec délices la puissance sexuelle de mister infatigable amant. Il avait passé sous mister ventre une de ses mains et, caressait de mister pouce, mister clitoris qui n’en demandait pas tant.
Elle se concentrait pour lui offrir un troisième orgasme. Elle tendait sa croupe pour mieux sentir le vit l’ouvrir, la pourfendre mais çà tardait à venir. Elle décida de prendre les choses en main et, lui fit comprendre de la laisser s’occuper de mister bouton elle-même ce qu’il accepta tout de suite, se concentrant lui, sur mister propre plaisir.
Là c’était mieux, en peu de temps, le plaisir pointait à nouveau mister nez. Elle continua à se masturber de plus en plus vite, se faisant gémir elle-même, concentrée sur ce bouton de chair en pleine effervescence.
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh.

Çà y était. Un nouvel orgasme la transperçait, rapide cette fois, presqu’insupportable dès les premiers spasmes terminés. Kallyl toujours sur mister dos, arrivait lui aussi, au point de non-retour. Les mains bien calées sur ses hanches, il se laissait aller, déversant sa semence en longues giclées dans le ventre accueillant.
C’en était trop pour moi, j’explosais à mon tour, sans même m'être touché.
Une soirée magnifique et un cadeau d'adieu inoubliable offert à mon ami grâce à la complicité de celle qui allait devenir ma femme.

Ma femme s'est faite piégée par 2 jeunots en déplacement sportif

Un soir alors que nous venions de faire l'amour, mon épouse m'a avoué une histoire qui, tout en me contrariant m'a passablement excité aussi je me décide à vous la raconter à mon tour, avec mister accord bien entendu.
Alymister est une sportive accomplie. Elle excelle dans de nombreux sports mais c’est en course à pieds qu’elle fait des merveilles. Il y a quelques mois, elle avait dû partir en déplacement, pour représenter notre territoire avec un groupe d’autres athlètes, sans que les conjoints ne puissent bien entendu faire parti du voyage.
Nous habitons dans un territoire français d’outre-mer et le moindre déplacement pour se frotter aux autres sportifs de la région du pacifique, nous oblige à prendre l’avion, ce qui signifie un éloignement de plusieurs milliers de kilomètres d’avec les proches.
C’est dans ce contexte qu’Alymister s’est retrouvée pendant plusieurs jours dans un pays étranger, dont la langue ne lui était pas particulièrement familière.
Deux jeunes, Melvin et Jamister, faisaient parti du voyage. Mon épouse m’avait déjà parlé d’eux car, bien que beaucoup plus jeunes qu’elle, ils ne manquaient jamais une occasion de la draguer, se permettant même des frôlements discrets mais loin d’être innocents lorsqu’ils lui faisaient la traditionnel bise.
Ma femme s’amusait beaucoup de cette situation mais je sentais bien qu’elle était malgré tout flattée de se faire draguer par d’aussi jeunes garçons, d’autant que lorsqu’elle était là, aucune fille ne semblait avoir le moindre intérêt à leurs yeux.
N’étant pas particulièrement jaloux, je ne voyais aucun inconvénient à ce qu’elle laisse perdurer cette situation, laquelle nous servait même de temps à autre lors de nos jeux amoureux, fantasmant sur des privautés que ces jeunes pourraient se permettre à mister égard.
Bref, au bout de trois ou quatre jours, Alymister accepta de prendre un verre dans la chambre des garçons, sachant pertinemment qu'ils allaient essayer de la tripoter voir plus si affinité mais elle se sentait suffisamment forte pour résister à leurs éventuelles tentatives. Ce qu'elle n'avait pas prévue, c'est que la solitude commençant à lui peser, elle était donc pas si forte que çà et surtout moins méfiante qu'à l'accoutumée.
Sans s’en rendre compte, elle qui est pompette après un simple panaché un peu trop corsé, Alymister prise par la discussion et les éclats de rire, ingurgita rapidement trois peut-être quatre cannettes de bière. Elle ne s’en rendit compte que lorsqu’elle voulut aller aux toilettes, frappée d’une incapacité temporaire à se lever.
Les 2 garçons s’étaient presqu’insensiblement rapprochés d’elle, la serrant de plus en plus près dans le seul canapé du petit studio.
L’atmosphère commençait à s’alourdir dans la pièce mais Alymister se sentait incapable de regagner sa chambre, ses paupières et ses jambes de plus en plus lourdes l’incitaient à s’installer confortablement pour récupérer et, c’est ainsi qu’elle sombra peu à peu dans un sommeil réparateur.
Elle sortit doucement de sa torpeur en sentant des lèvres parcourir les siennes et, une langue tentant de s’insinuer dans sa bouche. Instinctivement elle ouvrit la bouche. La langue s’engouffra aussitôt dans l’ouverture pour aller se lover contre la sienne.
Elle ouvrit les yeux, c’était Melvin qui lui dévorait la bouche avec passion.
En même temps, elle sentit sur sa peau nue, une bouche courir sur mister ventre. Là encore, instinctivement, elle tendit sa main vers mister ventre pour découvrir qu’elle n’avait plus sa jupe et seul mister minuscule slip brésilien protégeait encore mister sexe.
Les sensations étaient déjà fortes. Jamister car c’était sa bouche qui lui léchait le ventre et les cuisses, malgré mister jeune âge, savait y faire et mister corps commanda l’ouverture de ses cuisses.
En un éclair, elle analysa la situation et se rendit compte que les garçons étaient dans un état d’excitation avancée, elle aussi d’ailleurs car les caresses devaient durer déjà depuis un bon moment.
Son absence de réaction avait dû être perçue comme un accord dans l’esprit embrumé des jeunes. Un refus maintenant les ferait peut-être devenir nerveux et elle n’avait pas du tout envie d’être prise de power voire violée.
Elle prit le parti de participer activement en y tirant un maximum de plaisir. Il serait toujours temps de m’expliquer comme elle le fait en ce moment.
Dès que sa décision fut prise, elle repoussa tendrement Melvin toujours soudé à sa bouche, le forçant à se lever. Son bassin apparut devant ses yeux, il était déjà nu. Le sexe dressé comme un i, le gland frappant au-dessus de mister nombril ce qui lui fit penser qu’il était monté comme un âne ce petit salopard.
Le sexe énorme était circoncis, ce qui rendait mister gland encore plus gros. Un léger filet de mouille coulait sur le frein, le long de la hampe.
Elle passa sa main sous ses reins et d’un geste, fit glisser mister string pour offrir sa chatte à la bouche de Jamister. Ce dernier, plongea immédiatement mister nez entre les lèvres qu’il ouvrit de ses doigts, humant à pleins poumons les odeurs intimes de ma femme. Il dit à l’intention de mister compère :

- Oh putain, Melvin, tu ne peux pas savoir comme sa chatte sent bon. Il n’y a pas un poil c’est super bandant. Je vais la bouffer toute crue.
- Laisse m’en un peu quand même. J’ai super envie de sentir sa chatte, de la sucer.
- T’en fais pas. Y aura pour tout le monde, n’est-ce pas Alymister ?
- Si vous savez me faire jouir, vous pourrez faire ce que vous voulez.
- Alors prépares-toi à une nuit torride car tu peux nous croire, tu vas jouir et tu vas en redemander, dit Jamister.
- Ouais, c’est çà répondit ma femme. Et c’est moi qui décide quand vous pouvez jouir, pas d’éjaculations précoces sinon la fête est terminé.

Sur ces mots, elle empauma la grosse tige dressée devant ses yeux et, la langue en avant, commença à la lécher, d’abord sous les couilles velues en remontant sur la hampe en direction du frein, puis, telle un serpent, tout autour du gland, crachant déjà, sa pré-semence.
En avalant, le liquide qui s’écoulait en abondance du méat, mon épouse ne put s’empêcher de comparer avec le goût du mien, se disant :

- je suis vraiment une salope en train de sucer un jeunot pendant qu’un autre me farfouille la chatte avec sa langue mais il a vraiment bon goût celui-là. J’ai envie qu’il me gicle dans la bouche pour pouvoir goûter à mister sperme.

Sans plus attendre elle dit à Melvin :

- Je vais te sucer et je veux que tu jouisses dans ma bouche quand je te le dirais. Pas avant, on est bien d’accord, Melvin ?
- T’inquiètes pas. Je suis à tes ordres. Ma grosse queue est toute à toi.

Pendant ce temps, Jamister avait relevé les jambes de ma femme en la positionnant un peu de travers sur le canapé, la forçant à poser ses genoux sur sa poitrine, grâce à mister étonnante souplesse. Dans cette position, elle se savait complètement indécente, la chatte ouverte à l’extrême, mister anus bien visible mais il fallait bien çà pour exciter de jeunes loups comme Jamister et Melvin.
Ce dernier n’y tenant plus devant ce spectacle, bavait littéralement. Il enfila deux puis trois doigts dans le trou ouvert d’où là aussi, s’écoulait une mouille dont l’odeur l’énivrait au plus haut point.
Alymister accusa l’intrusion par un aaaaaahhhhh significatif. Çà y est. Elle m’avait permis à quelqu’un d’autre que moi, de pénétrer sa chatte jusqu’alors réservée exclusivement à mon usage permisternel.
Cette idée, la fit jouir sur le champ. Elle laissa échapper un râle significatif que fit dire à Jamister :

- Tu jouis déjà ma belle. T’est vraiment chaude toi ? Je sens qu’on va bien s’amuser tous les trois.

Alymister ne répliqua pas, les jambes tétanisées par sa première jouissance de la soirée. Melvin dont la queue était enfoncée dans sa gorge, se raidit en sentant ses dents se refermer sous l’effet de la jouissance mais heureusement, Alymister gardait malgré tout le contrôle.
Dès la fin de l’orage. Elle reprit sa fellation, se concentrant sur le gland et les freins avec sa langue, car après avoir joui, elle avait envie de sentir du sperme envahir sa bouche pour l’avaler ensuite. Ses doigts coulissaient en cadence sur la hampe et rapidement, Melvin lui souffla :

- Alymister, c’est trop bon. Je vais jouir.
- Retiens-toi Melvin, j’ai envie de sentir ta queue palpiter dans ma bouche mais je ne veux pas de ton sperme.

Melvin, les yeux fermés, essayait de se concentrer sur d’autres pensées que le sexe. Peut-être des opérations complexes ou des exercices à faire à l’entraînement pour faire tomber la tension. Enfin il parut se détendre un peu, mais Alymister qui sentait la jouissance lui échapper, redoubla d’ardeur.

- Alymister, arrêtes je t’en supplie. Arrêtes ou je vais jouir. Je me rends tu as gagné.
- Alors jouis maintenant lui répondit-elle en le délaissant quelques secondes.

A peine avait-elle prononcée cette phrase, que Melvin, explosa littéralement, vidant ses couilles de la tension insoutenable qui le clouait sur place. Des jets puissants de semence envahir instantanément la bouche d’Alymister, préparée au pire.
Dès le premier spasme, ma femme avait enfoncé profondément dans sa bouche la tige turgescente afin que le premier jet atterrisse directement tout au fonds de sa gorge et qu’elle n’ait qu’à déglutir pour l’avaler. Le 2ème et le 3ème suivirent le même sort. Ce n’est qu’à la 4ème salve, qu’elle fit glisser le gland sur sa langue pour recueillir le précieux liquide avant de le gouter tranquillement en laissant le reste de la jouissance lui envahir la bouche.
Lorsque la queue cessa ses soubresauts, elle leva les yeux vers sa victime toute penaude de n’avoir pas pu résister aux assauts de sa bouche. Elle lui tendit sa bouche et, lorsqu’il enfourcha sa langue dans la sienne, lui fit partager le goût de sa semence dans un baiser profond et torride.
Le jeune ne se déroba pas et accepta l’échange de sperme, sans doute pour se faire pardonner ou peut-être plus simplement parce qu’il y avait déjà goûté et qu’il aimait çà.

Alymister unit par la bouche avec Melvin sentit que Jamister venait de poser mister gland à l’entrée de sa vulve. Il se caressait doucement en faisant glisser mister gland entre les lèvres de sa chatte.
Elle l’arrêta dans mister entreprise en demandant une pause pour pouvoir se soulager la vessie car sinon, elle allait se faire dessus.
Conciliants, les garçons la laissèrent se dégager et disparaître dans la salle de bains. Elle ferma la porte derrière elle et tout en urinant, fit le point de se qui venait de se passer. Il était encore temps d’arrêter. Certes elle avait sucé Melvin, l’avait laissé jouir dans sa bouche, certes Jamister l’avait fait jouir avec sa bouche, lui fourrant plusieurs doigts dans la chatte mais pour l’instant, aucune autre queue que la mienne n’avait investi sa petite chatte.
Elle terminait de vider sa vessie et il fallait qu’elle prenne une décision rapidement. Que faire ? Se rhabiller et fuir comme une voleuse afin de sauver ce qui pouvait encore l’être ou rester et continuer ce qui avait été commencé ?
Le souvenir de cette queue posée à l’entrée de mister vagin raviva l’envie de se faire mettre. Elle en avait déjà trop fait. Il n’était plus temps de reculer et l’envie de sentir une bonne queue lui ouvrir le ventre était trop forte.
Elle débloqua la serrure et rejoignit les deux compères qui s’astiquaient lentement pour se maintenir en forme.
Elle reprit sa position, écartant ses jambes d’elle-même en les tirant vers sa poitrine et attendit. Jamister s’approcha et posa mister gland à nouveau devant l’entrée de sa chatte. Il leva ses yeux vers elle puis devant mister sourire, le fit glisser entre les lèvres remontant jusqu’au clitoris dardé hors de mister fourreau.
Melvin, installé à genoux à côté d’Alymister, se contentait de lui caresser les seins, descendant jusqu’à mister bas-ventre, jusqu’à effleurer le gland turgescent de mister copain.
Alymister fit sentir mister impatience d’être prise en bougeant mister bassin et l’entrée de mister vagin par des contractions dont les femmes ont le secret, ce qui libéra immédiatement un filet de mouille qui s’écoula vers mister anus.
Jamister, la queue à la main, fixait l’entrée intensément. Quand il vit les contractions à l’entrée et le filet s’échapper, il souffla :

- T’as envie de te faire mettre. Ta chatte bave d’impatience, elle appelle la queue, tu vas être servie ma belle.

Puis sans attendre plus longtemps, il posa mister gland devant l’entrée et, d’une poussée rectiligne s’enfonça doucement, appréciant chaque centimètre de progression dans le vagin accueillant.

- T’es trop bonne Alymister. Depuis le temps que je rêvais de çà, c’est encore meilleur que dans mes rêves les plus torrides.

Jamister regardait mister chibre s’enfoncer dans la chatte de ma femme. Il jubilait de la tenir enfin au bout de sa queue, de l’avoir épingler comme un papillon sur ce canapé d’hôtel.
Il se pencha sur elle et chercha sa bouche pour que la possession soit totale. Alymister ne refusa la langue qui cherchait à envahir sa bouche. Elle l’accueillit et la suça comme s’il s’agissait d’une petite bite, enroula sa langue autour d’elle pour l’affoler de ces caresses.
A coup sûr ces deux jeunes se souviendront longtemps de la nuit passée avec ma femme. Eux qui culbutaient plus souvent des jeunettes inexpérimentées, là, il était tombé sur une maîtresse amante, passionnée et avide de sexe, à la hauteur de leurs espérances les plus folles.
Pris par le plaisir, Jamister commença à s’emballer, ses coups de reins devinrent plus profonds, plus forts, plus bestiaux aussi. Alymister, à chaque coup de boutoir, laissait échapper une plainte sourde et profonde, témoignant de mister plaisir d’être secouée sans ménagement.
Elle passa ses jambes autour de la taille de mister jeune amant pour l’emprimisterner en crochetant ses pieds derrière lui, le forçant à la prendre plus profondément.
Les yeux dans les yeux, Alymister et Jamister, se regardaient, décryptant dans le regard de l’autre, le plaisir qui montait inexorablement.
Jamister avait du mal à garder ses yeux ouverts, de temps en temps, ses prunelles basculaient en arrière, comme au moment de l’orgasme. Son souffle de plus en plus court, s’accélérait en même temps que les mouvements de sa bite dans l’antre du plaisir. Alymister quant à elle, respirait à pleins poumons, aspirant un maximum d’air à chaque bouffée, inondant ses poumons d’oxygène, prête à laisser exploser sa jouissance qu’elle voulait calquer sur mister jeune etalon.
D’un seul coup, il se raidit une première fois, les yeux complètement révulsés, dans le néant, plantant mister vit au plus profond de sa chatte, pour expulser sa première salve de sperme. Cette vision fit partir Alymister à mister tour, qui se recroquevilla sur elle-même, traversée par un torrent de plaisir, ayant pris sa source dans sa chatte pour se diffuser partout dans mister corps, de ses reins à ses seins en passant par sa colonne vertébrale en direction du cerveau.
Elle serra mister amant de ses jambes et de ses bras tandis qu’il avait repris un lent va-et-vient dans ses chairs, finissant de jouir en maintenant ses sensations d’infime douceur de ce vagin maintenant inondé de sa semence.
Ils restèrent un moment accouplé comme deux bêtes, emboîtés l’un dans l’autre, sans bouger, savourant pour l’un la douceur de l’écrin qui l’accueillait et pour l’autre, le membre encore dure, qui lui remplissait agréablement le ventre.
Melvin avait assisté à l’accouplement en restant à sa place initiale. Sa queue avait repris de la vigueur et se tenait à l’horizontale à hauteur du visage des deux amants.
Jamister se redressa et tout naturellement pris entoura de ses doigts la hampe, entamant un lent mais savant va-et-vient. Sa queue toujours enfoncée dans le ventre d’Alymister, il posa ses lèvres en corolle autour du gland puis le flatta avec sa langue.
C’était la première fois qu’Alymister voyait un homme en sucer un autre. Une décharge électrique la secoua des pieds à la tête et immédiatement, elle sentit l’excitation la reprendre, la pointe de ses seins se durcirent tandis qu’un spasme de plaisir lui serra la chatte sur le membre encore en elle.

- çà t’excite on dirait dit Jamister, sentant les contractions du vagin sur sa queue.
- C’est une première pour moi. C’est excitant en effet.

Jamister suça mister copain quelques secondes encore puis, se leva en lui disant :

- Tu es prêt. Elle est à toi, prends-là maintenant. Elle n’attend que çà.

Melvin ne se le fit pas répéter deux fois. En deux secondes, il était entre les jambes d’Alymister. Son chibre avait totalement repris de sa vigueur. Il était énorme, long et piaffait d’impatience.
Alymister tendit sa main pour le prendre entre ses doigts puis, le dirigea entre les lèvres ouvertes, l’attirant tout de suite entre les chairs débordantes de secrétions mêlant sperme et sa propre jouissance.

- Vas-y. Enfile là moi bien au fonds. J’ai envie de sentir ta grosse queue m’ouvrir le ventre.

L’heure passait. Il devait être 2 ou 3 heures du matin car cela faisait bien deux ou trois heures qu’ils étaient en train de forniquer grave.
Alymister sentait le sperme de Jamister qui lui coulait entre les fesses. Cela n’avait pas l’air de déranger les garçons qui gardaient une trique d’enfer.

Melvin d’un coup de reins s’enfonça jusqu’à la garde. Grâce à l’abondance de sperme et de mouille, et la précédente pénétration, l’imposant chibre se fraya un chemin, épousant les chairs intimes de ma femme. Elle sentit pendant la progression ses chairs s’écarter, mister ventre s’ouvrir sous la poussée. Elle se dit en elle-même :

- Qu’il est gros, il m’ouvre le ventre. J’espère qu’ils ne vont pas vouloir me sodomiser car là, je vais le sentir passer celui-là.

On en était pas encore là et pour l’instant, Melvin, savourait à mister tour la douceur du vagin de ma chère épouse. Sans lui laisser le temps de s’habituer à mister calibre, il se mit en mouvement, ressortant presqu’entièrement du trou qu’il laissait béant en le quittant. Alymister sentait un vide entre ses cuisses à chaque fois qu’il sortait de sa chatte. D’instinct, elle croisa ses jambes dans mister dos, pour le garder en elle et sentir constamment mister imposante présence. Cette grosse queue lui faisait un bien fou. Des vagues de chaleur irradiaient en permanence mister ventre, se répandant dans le creux de ses reins pour atteindre sa poitrine et mister cerveau. Elle s’entendait crier qu’il lui faisait du bien, de ne pas arrêter, de la bourrer à grands coups de reins pour la faire jouir par tous les pores de sa peau.
Melvin, tel un métronome, trop content de prendre sa revanche, la tenait solidement par les hanches, s’enfonçant sans ménagement à chaque poussée, s’acharnant à la faire crier encore plus fort mister plaisir.
Alymister avait déjà joui deux fois sous les coups de boutoir, elle était complètement abasourdie, saoulée de plaisir, lorsqu’enfin, il se décida à la remplir de mister foutre. Dans un dernier coup de rein, il s’enfonça bien au fonds comme s’il voulait la crucifier aux coussins du canapé et, laissa échapper un râle de jouissance.

- Tiens Alymister, écarte bien tes cuisses que je te remplisse la chatte de mon sperme. Je jouiiiiiiiissssssssss. T’es trop bonne. Prends tout mon jus, c’est pour toi.

Ils restèrent eux aussi un bon moment, solidement ancrés l’un à l’autre quant tout à coup, Melvin, la tenant fermement contre lui, la fit basculer pour échanger leur place.
Alymister savait très bien ce que les 2 garçons avaient en tête. Elle n’avait jamais pratiqué de double pénétration mais l’expérience la tentait aussi elle se laissa faire, feignant malgré tout d’avoir peur de ce qui se préparait.

- Qu’est-ce que tu fais, Melvin. Je n’ai jamais fait çà. Vous me faites peur tous les deux.
- Tu as bien joui non ?
- Oui, j’ai bien joui mais là, c’est un peu hard, deux en même temps, çà me fait un peu flipper.
- Fais-nous confiance. Tu verras, tu vas prendre un pied d’enfer. Offre-nous ton petit cul, tu ne le regretteras pas.
- Bon ok, mais allez-y doucement et pas de Melvin dans mon cul ok ?


Fort de mister consentement, les garçons décidèrent de la porter jusqu’à l’un des lits afin de mieux s’en occuper. Alymister fut alors portée par Melvin, toujours bien emmanché entre ses cuisses jusqu’au lit où il se laissa tomber sur le dos, présentant le fessier à mister copain Jamister. Ce dernier s’installa entre les jambes de mister compère et commença à préparer Alymister en lui écartant les fesses à deux mains pour admirer sa raie et mister anneau. Alymister se laissa faire, tendant un peu plus mister fessier au regard inquisiteur, le membre de mister amant toujours fiché en elle.
Curieusement celui-ci ne débandait pas ou du moins à peine car sa grosseur même au repos valait celle d’une queue normale. Elle sentit la langue de Jamister parcourir lécher ses fesses puis descendre vers sa raie pour la parcourir jusqu’à mister œillet, pour s’y installer en l’ouvrant petit à petit.
Melvin se remit doucement en mouvement, elle sentit sa queue reprendre peu à peu de la consistance dans mister ventre, ce qui lui expédia une forte impulsion dans le creux de ses reins. L’envie de se faire prendre revenait, elle avait pourtant déjà joui quatre ou cinq fois.
Elle aussi remua lentement ses fesses, s’empalant sur le vit maintenant en pleine forme. Jamister quant à lui, les 2 mains sur ses fesses, lui ouvrait l’anneau et faisait coulisser aussi loin que possible, sa langue dans l’étroit conduit.
La sensation était agréable mais elle avait envie de se sentir remplie par là aussi. Elle se mit à genoux, toujours empalé sur le vit de Melvin mais le cul dégagé pour permettre à Jamister de se positionner derrière elle.
Sans broncher, elle le sentit poser mister gland sur sa rosette puis, pousser lentement sur mister anus. D’elle-même, elle poussa à mister tour pour faciliter le passage du gland. Elle sentait sa petite porte s’ouvrir sous la pression et d’un seul coup, la tête s’engouffra dans mister conduit. Jamister était maintenant dans ses sphincters, une dernière poussée pour passer ce dernier rempart et il sera enculée jusqu’aux couilles.
Là encore, elle s’empala d’elle-même, reculant d’un seul coup pour sentir ses sphincters céder. La sensation était forte, la douleur s’estompait rapidement pour faire place au bonheur de se sentir remplie en même temps par devant et par derrière. Elle avait envie de déféquer mais en réalité c’était ce gros mandrin, figé entre ses fesses qui lui rappelait ces sensations. Elle leur dit :

- Baisez-moi. Bougez maintenant que vous m’avez au bout de vos queues. Faites-moi jouir de vos queues.


Il ne leur en fallait pas plus pour que les deux compères se déchaînent dans les orifices. Leurs queues se frottaient l’une contre l’autre à travers la fine paroi. Alymister sentait monter en elle un nouvel orgasme, plus fort, plus profond. Elle se mit à les insulter, leur ordonnant entre deux cris de bête blessée, de la faire jouir :
- Petits salauds, c’est çà que vous vouliez. Me défoncer le cul et la chatte en même temps. Maintenant que vous avez ce que vous vouliez, faites-moi jouir comme je le mérite. Défoncez-moi, plus fort, plus fort, remplissez-moi, videz-vous en moi. Viiiite.

Les deux garçons tenaient fermement Alymister par les hanches, leurs doigts s’imbriquant entre eux pour parfaire leur union sacrée. Ils la besognaient en parfaite harmonie, synchronisant leur pénétration comme s’ils avaient fait çà toute leur vie.
Alymister sentait Jamister lui perforer le cul en la poussant sur le vit de mister compère et vice-versa. Rapidement, Alymister perdit pieds, ses magnifiques yeux verts avaient disparus, retournés dans ses orbites, frappés par la petite mort. Elle débitait une suite de mots incompréhensibles mêlant plaisir, chaleur, joie et mort. Enfin, elle se laissa retomber sur la poitrine de Melvin, terrassée une nième fois par la jouissance. Les 2 garçons, sans se préoccuper de la jouissance de leur amante, continuèrent sur le même rythme, pour jouir presqu’en même temps, l’un entre les fesses de ma femme, l’autre pour la deuxième fois dans sa chatte.
Après cette débauche de sexe, les 3 comparses étaient complètement vidés. Ils restèrent un moment accouplés, Alymister en sandwich entre ses deux jeunes amants et s’endormirent dans cette position.
Au petit matin, lorsqu’elle ouvrit les yeux, ses deux amants dormaient paisiblement à ses côtés. Elle ne profita pour s’éclipser rapidement et regagner le plus discrètement possible sa propre chambre.

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Dominated by Two Studs

Like most guys, I turned to the internet to satisfy my urges. For as long as I could remember I had fantasized about being powerd to serve a dominant man, suck his cock, be degraded and humiliated; basically I wanted to be treated like nothing more than a cum slut used for a real mans pleasure. Recently I had found a site that allowed you to post ads searching for other guys who were into the same thing I was into. I posted an ad saying that I was a younger (26) submissive guy looking to be dominated by a larger, older man. I also added that I was about 5'9, 160 pounds and smooth. I did not add that my cock was only a thin 5 inches hard, as I am quite embarrassed by it. Finally I said that I needed to be discreet as I had a girlfriend who did not know of my "other" life. I waited patiently over the next few days and received a few emails to my profile and ad, but nothing that really caught my interest. Then, on a Thursday, I received a message from a guy named Rick. Rick told me that he was a businessman from out of town and that he and a co-worker would be traveling to my city the next weekend for a conference. He indicated that he was 46, about 6'1, 210 pounds, hairy and had a thick 8 inch cut cock. Rick also told me that his co-worker, James, was 42, 6'0, 185 pounds and also had a large cock, thick and 8.5 inches. Rick went on to explain that they would be looking for some relaxation and relief after their conference, and they were in search of a cocksucker; he also said that they could both be very dominant and loved playing with cock slaves. He ended by stating that both men were married and therefore promised to be very discreet.

It took me about 20 seconds to read the email, but only about 5 seconds for my cock to get hard. Wow, these guys sounded exactly like what I was looking for! Not only did they have huge cocks but they were also dominant. I had never really thought of being with two guys at once, but I was immediately intrigued by the idea. I responded back that I was free this weekend and would love to meet up with them. A couple of hours later Rick emailed me back his hotel and room number and told me to be there precisely at 6:00 pm on Saturday wearing short running shorts with nothing on underneath and a plain tight white t-shirt. He also told me that once I walked into his hotel room I was required to do whatever Rick and James told me to do. If I wasn't willing to accept this then I should let them know right now so we didn't waste anyone's time. I emailed him back that I understood his instructions and would be there.

The next two days dragged on with me sporting a hard-on that I couldn't get rid of. All I could think about was Saturday night with Rick and James. Finally, Saturday evening arrived and I put on the clothes that Rick told me to and headed to the hotel. As I walked through the lobby of the hotel, it seemed that everyone was looking at me and the hard-on pushing up against my tight shorts. Of course, with the size of my cock, nobody probably noticed.

I rode the elevator up to Rick's floor and found his room. I was nervous and a little scared, but I knocked anyway. When Rick opened the door I was immediately drawn to his muscular physique.

"Hi, I'm Rick," he said, without a smile.

"I'm Dave," I responded.

"No you're not, from now on this evening you will be known as slut," Rick responded a little too loudly for my comfort. There were two ladies down the hallway a little bit and I was sure that they heard. "Do you understand?"

"Yes"

"Yes, what?"

"ummm, yes sir."

"Much better, come in slut." Relieved to be getting out of the hallway I followed Rick into his hotel room. Sitting on one of the beds watching a porno of a cute small blonde sucking a huge cock was James. James, like Rick, was very well built. Both of these guys made me look like quite small, which was more of a turn on for me.

"Good work Rick, this slut is cute and looks like he might be a good whore for us," James said.

"I guess we'll have to find out. Slut, you look pretty ridiculous in your short shorts and tight shirt, take them off," he ordered.

"Yes sir." I took off my shirt first and showed off my smaller frame. Being very conscientious of my small cock, I hesitated to take off my shorts. Rick didn't hesitate though, he grabbed me by the shoulders and pushed me down to the bed.

"When I tell you to do something, you do it immediately. If you can't follow our rules, you should leave now."

I was still a little stunned by being powerd down to the bed, but was also very horny. "Yes sir, I'm sorry."

"Good, now get up and take your shorts off." I responded by standing up and slipping out of my shorts. I was very self conscious about my cock and was humiliated to be standing naked in front of these two guys who both had their clothes on. What made it worse was that both guys started laughing when they saw my cock.

"Holy cuckolds brownie," James laughed, "no wonder you are a pussy little cocksucker, there is no way you could please a woman with that thing. I feel sorry for your girlfriend, you should have brought her with you so that she could experience a couple of real man cocks." I must have turned eight shades of red in front of them, but somehow James degrading me made my cock stand up even more.

"Look at that slut," Rick started in, "He likes being humiliated, what a whore. Slut, get on the bed and get up on all fours and stick your ass in the air." I did as I was told and got on my hands and knees with my ass presented. Rick grabbed both of my balls from behind with one hand and started to pull them down. I let out a slight cry when he did this and he quickly smacked my ass hard.

"James and I are here to do what we want with you, you do not speak or make noises unless we tell you to. Do you understand that?"

"Yes sir, I'm sorry, it won't happen again."

"Good," Rick said as he smacked my ass again.

Rick grabbed my balls again and it took everything I had not to make a whimper. "Much better slut," Rick told me. "Now get off the bed and get on your knees, where a sissy is supposed to be." I immediately did as Rick told me, scared to be punished again. I was also still a little humiliated to be naked while these two men were still clothed, but the offense did very little to bring my erection down.

"Look at how horny that little slut is," James pointed out again, "you do realize that you are not getting any tonight, right slut? We are not pussy little cocksuckers like you, so we will not be touching that little oversized clit of yours."

"Yes sir," I responded, "I realize I am only here to make sure that you two real men are taken care of tonight."

"Good, why don't you get started then," Rick joined in as he stood up and moved next to me with his cock at face level only inches from me. "Take my cock out and get it hard, slut." I didn't hesitate, I undid his pants button and unzipped the fly and pulled out a semi-erect cock that was as thick as any I had ever seen. I must have let out a slight gasp, because Rick laughed and asked if I liked it.

"Yes sir, that is a very nice cock."

"That's right slut, this is why the ladies come to me for sex and probably laugh at you when you pull out that little thing between your legs. Maybe after I use your mouth I'll call your girlfriend over and show her how a real man fucks." I heard what he was saying and it scared me, but I was mesmerized by his cock. I reached back out and grabbed it and started to jack it off as it wasn't erect yet. Rick immediately slapped my face, not as hard as he did my ass, but hard enough to get my attention. "You are a cocksucker, you only use your mouth to get me off."

"Yes sir, I'm sorry," I responded. I then opened my mouth and took his cock in my mouth. It did not take long for it to get to its full size. Before I knew it my mouth was completely full with this mans massive cock, it could hardly fit in my mouth it was so thick. Rick didn't care though. Instead of letting me suck his cock he decided to just start face fucking me. I wasn't ready for this and it caught me off guard. Immediately I started gagging and drooling and I tried to pull back a little but Rick grabbed my head and continued fucking me.

"Yea, take that cock you little bitch. I've got a three day load waiting for you. Choke on that real mans cock you fucking whore!" I didn't have much of a choice, Rick was bigger and stronger than me and even as I tried to get away there was nothing I could do, so I kept my mouth open as wide as possible like a good slut as this man fucked it.

"Yea, ram that little pussyboy's mouth," James jumped in as I realized he was standing right next to me, jacking his cock only inches from my face. "Watching you fuck that little whore's mouth is hot!" Rick continued to pump his cock in my waiting mouth and just as I thought I wouldn't be able to take anymore he let out a quick moan, pulled his cock out and squirted a huge load all over my face and opened mouth.

"Swallow the cum that got into your mouth slut." Rick ordered me. I did as I was told, then two seconds later James grabbed my head and said "Open up" and shot another huge load all over my face and in my mouth. "Swallow it," I was again ordered. And again, I did as I was told, the taste was a little bitter but I was able to get it down without gagging. I was able to feel the hot cum all over my face and was not sure what I should do with it. I did not want to make them mad and be punished again so I sat there waiting for instructions. Because the cum was covering my eyes I could not see anything, but I was definitely able to hear the next thing that happened.

"These we are going to use for an insurance policy, shall we say," Rick said as he snapped four or five pictures of me splattered with cum all over my face and two semi-erect cocks inches from my mouth. Oh cuckolds brownie, I thought this is not good. "Don't worry slut, everything will be just fine as long as you continue to do what we ask."

James grabbed a small washcloth and wiped the cum away from my eyes. "The rest, he says, stays on until it dries. Now put your clothes back on, we're done with you for tonight."

I got up and put my short shorts and my white t-shirt back on.

"Okay slut, you may go now, but James and I are going to be back in town next weekend for more business and we will definitely be calling you. We will have a few more things in mind than what we did tonight, so you better be ready."

"Yes sir," I said, a little nervous about what he meant, but not surprisingly, my cock was still hard. I walked out of the hotel, again with a hard cock barely poking at my shorts, but this time with dried cum all over my face. I was now sure that everyone was looking at me. I made my way out of there as quickly as possible and got to my car. The urge overtook me and I masturbated right there in the parking lot thinking about what James and Rick had done to me and also about what was in store for me next weekend.

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A Changed Man


It had to happen one day I guess. I had such a collection of porn on my hard drive, that it was inevitable that one day my wife would stumble across it. It wouldn't have been so bad if it was average, everyday porn, but my collection consisted of more 'specialist' images. There were pictures of shemales with big hard cocks dressed in suspenders, pictures of submissive men bound and punished by a Mistress and even some pictures of out and out gay sex. Then there were the stories which I had downloaded. Tales of men being enslaved by strict Mistresses and turned into submissive slaves or even feminised completely and being powerd to take female hormones and dress as slutty women before being whored out to suck cock.

My wife went mad, yelling at me and calling me a pervert for what seemed like hours. Eventually, she said "Right! You seem to like the idea of becoming a sissy slave! Well. guess what? Its gonna happen - from now on you will be MY slave!" The look on her face told me she was deadly serious and when she ordered me to remove my clothes I tried to complain but she threatened to pack her bags and leave me so I had no choice but to comply.

As I stood naked before her, she started to point and laugh at my cock, telling me how pathetic and useless it was. "Your tiny dick was never much good to me anyway!" she laughed, "I can't remember the last time it gave me an orgasm" she continued, "Well from now on its not even gonna come near me! You will never have the pleasure of fucking me again" she said. Before I could say a word, she carried on - "If I want sex, I will go out and find myself a REAL man. One who doesn't want to be a girl. You will only service me with your tongue. Whenever I want." She then ordered me to remain standing where I was as she disappeared off into the bedroom.

Before I could even begin to analyse the situation I was in, she returned carrying some of her underwear. "Now then, my slut" she said, "Lets see what you look like in these". She handed me the underwear and ordered me to put it on. I began pleading with her, but again she threatened to leave me for good. I pulled on the black panties. The feel of them made my cock start to harden which didn't go un-noticed. "I see my slut likes her new clothes!" I blushed and then put on the suspender belt. Rolling the first stocking up my leg made me get even more erect and by the time the second one was on, my erection was obviously bulging out in the panties. The bra matched the panties and when I had all the items on, my wife told me to start masturbating. Rubbing the front of my panties she told me that if I didn't do as she said there would be big trouble. With the mood she was in I knew I had to do what she wanted.

I reached into my panties, pulled my cock out and slowly began to masturbate. "Close your eyes dear", she said "I want you to look like you're enjoying it!". As I stood there stroking my cock I was suddenly aware of a flash! Quickly opening my eyes I saw my wife with our digital camera in her hand. "Carry on!" she snapped at me, so I reluctantly started to masturbate again, aware that she was taking a lot of pictures of me in my humiliating position. Soon I was on the verge of cumming. For some reamister I was finding my predicament a bit of a turn on and the feel of the female clothes made me even hornier. "Stop!" she commanded. "Take your hand off your cock NOW!". She knew how close I was to shooting my load and as I released my grip my cock stood bobbing in the air with a drip of precum glistening on the tip. She put the camera down and moved behind me where she quickly grabbed my wrists. Before I knew it, both my hands were tied behind my back with the cord from her dressing gown which was hanging nearby. She then moved back to stand in front of me and looked down at my still hard cock. "Mmmmmm, it looks like all this is making you pretty horny, slut! Do you like to be dressed as a girl for me?" she asked.

I guess I took too long to answer as suddenly she grabbed my balls and squeezed them really hard in her hand. As I cried out in pain, she just laughed and told me that this was just the beginning. She then told me to get my sissy ass into the spare bedroom and spend the night thinking about what the future might have in store for me. With that, she pushed me out into the hall and slammed the door behind me.

That first night passed very slowly for me as I lay on the small single bed dressed in female underwear with my hands securely tied behind me. My aching cock was hard for most of the night but I couldn't get my hands free to touch it. My mind was racing with thoughts of what she might decide to do with me now that things had got this far. Although I was scared, I was also excited at the prospect of becoming her slutslave. If only I'd known just how far she intended to go...

Part Two - Training Begins

She woke me early in the morning and untied my hands before sitting down beside me on the bed and telling me that today was the first day of the rest of my life. From now on I was only to address her as Mistress and I was not allowed to speak without permission. If I did not follow her commands and do exactly what she requested at all times she would not hesitate in sending the photos she had taken of me the previous night to all of my friends and family. She told me that my body was now her property to use however she wanted.

Things were starting to get serious I thought as I stood washing myself in the shower she had instructed me to take. I was still feeling horny though and wanted nothing more than to jerk myself off but my wife was standing in the doorway watching me to make sure that I didn't touch 'her property'. Once I had dried myself off she told me to go into her bedroom to put on the clothes she had decided I was to wear. I couldn't believe what I saw laid out on the bed. She couldn't really expect me to wear these things! "Get dressed slut!" she ordered. I tried to complain but was silenced with a hard slap on the ass and the threat of my lady seeing the photos. Quietly I dressed. "There you go" she said, "that wasn't so bad was it? Now look at yourself in the mirror and see what a slut you look". Slowly I walked over to the full length mirror in the corner of the room. I looked ridiculous. Black fishnet stockings, suspender belt, silk black oanties and a black basque were topped off with a small leather mini skirt and a white blouse. "Hmmm I can see theres still alot of work to be done before you're a proper little slut" my wife laughed! "Now come with me"...

I meekly followed her into the lounge. In front of the TV she had placed a hard wooden chair. Several lengths of rope were laying beside it on the floor. I followed her instructions and sat on the chair with my legs apart, facing the TV. Within minutes my hands were tied behind me and my ankles were tied to the front chair legs. She then told me that she was going out and without another word, she pressed play on the VCR, turned and left. The TV lit up and straight away I recognised one of my favourite porn films playing on the screen in front of me. Damn! I thought I'd hidden those somewhere she'd never find them! This particular film was a hardcore BDSM movie starring a big titted shemale submissive getting thoroughly used at a bondage party. Immediately, my erection sprung back into life, still bursting with the need to cum it seemed like forever until the end credits started to roll on the TV screen.

The tape rewound itself, only to begin playing again almost straight away. My cock was straining under my skirt as I watched the shemale onscreen get fucked anally by a group of guys when suddenly I heard the door open and my wife entered the room carrying lots of bags. "Well well," she said "judging by that bulge in your skirt I'd say you've had fun while I've been gone". She then went on to tell me that she'd been out buying a few 'surprises' and alot of sexy new outfits for herself. All on MY credit card of course. To my horror, she then informed me that she was going out tonight looking for a bit of casual sex with a real man. I hung my head in shame, knowing that she meant what she said. "By the way, I've bought you something slut" she said and reached into one of the bags. It was another video tape which she slotted into the VCR before I could see what it was. Again she pressed play and left the room.

I wasn't expecting what I saw appear on the TV screen. Gay porn. Hardcore footage of a bondage scenario featuring a submissive male being put through his paces by some well hung guys. He was tied, whipped, powerd to his knees and made to suck cock until eventually he was taken in the ass by the biggest cock I've ever seen. My own cock throbbed and my balls ached as I watched. I've fantasised for so long about being fucked by other men and in my current position the images on screen were making me incredibly horny. Just then my wife returned, only this time she was naked. "Enjoying yourself, slut?" she asked. When I didn't answer, she roughly grabbed a handful of my hair and yanked my head back. "Answer me!" she yelled. "Yes....Mistress" I replied quietly. "Good. Now I'm gonna untie you and see what you can do with that tongue of yours slut".

She untied me from the chair, but kept my hands tied behind my back and then went over and sprawled on the sofa with her legs wide open and her beautiful cunt exposed. "Now slut" she said, "get over here and get that mouth to work on my pussy". I didn't need telling twice and quickly knelt in front of her and leant forward, bringing my lips to her cunt. I went to work on her with my tongue, and she grabbed my head and pressed my face hard into her hot pussy. It didn't take long to bring her to orgasm and her whole body shuddered as she pressed harder on the back of my head. When she had recovered her composure, she again made me sit, tied to the chair watching gay porn while she disappeared off to get ready for her night out. The scent of her pussy on my face, and the porn on the TV meant that my cock was still hard and throbbing.

My balls ached and I wanted to cum so badly that I thought I would do anything to get an orgasm. When she came back into the room she looked stunning. There was no doubt that if she wanted a man tonight she would have no trouble getting one. I begged with her not to go and to untie me but she just laughed. I begged her to at least let me have an orgasm, but again she laughed. "That cock belongs to me now" she said, "and I'll decide when it gets to spurt its little load. Now be a good slut and watch your film while I go out and have a little fun. I'm really very horny now and I can't see any cocks round here big enough to satisfy me". She laughed and with a slam of the door she was gone.

It must have been quite late when she got back. I'd had to watch the gay porno at least 4 times over. My cock was still bulging as I watched the guys in action on screen. I wondered what it was like to suck cock and get a mouthful of cum, or feel a big hard cock slide inside my ass. I've always been totally straight but have often wondered about what it would be like with another man. "Hello my slut" my wife said as she walked in. "I hope you've been good while I've been out!" She was obviously a little takes as she started to tell me about her night.

She had gone to a club and before long was approached by the handsome, muscular owner who was obviously only after one thing. His name was Tom. He got what he wanted. My wife explained in great detail about how they had sneaked off to his office at the end of the night. About how they had fucked like a couple of horny teenagers right there on the desk. She told me that he had a huge thick cock and a big pair of cum filled balls. "In fact," she said, "I've got something to show you". Reaching carefully into her handbag I couldn't believe it when she pulled out a used condom. The end hang heavily, full of Tom's cum. "I didn't like to waste it!" she laughed as she approached me with the condom. "See that? Thats the cum from a REAL man."

The condom was held right in front of my eyes and I could clearly see the thick white cum inside. "Tilt your head back and open your mouth!" she ordered. I shook my head and she reached under my skirt and grabbed my balls. Hard. Squeezing them until I reluctantly tipped my head back and opened my mouth. "Good slut," she purred and with that, she turned the condom upside down over my face and with her other hand squeezed the cum out and into my mouth. I gagged as the cold, slimy spunk dripped onto my tongue and into my mouth. "If you want to be a slut, you'd better get used to the taste of cum" she laughed as she emptied the entire contents of the condom into my mouth. There was so much of it that I had no choice but to swallow the spunk of this man who had just fucked my wife. My wife seemed very pleased and lifted my skirt to reveal my still rock hard cock protuding over the top of my panties. "Hmmm...I bet you'd like to fuck me now" she said as she pulled my panties down exposing my throbbing cock. I franticly nodded and begged "Yes Mistress...please let me fuck you!" She laughed and then proceeded to roll the used condom onto my penis. "THAT is the nearest your pathetic cock is ever going to get to my pussy!" she sneared before getting up and leaving the room to go to bed.

I was left tied to the chair, with the aftertaste of cum clinging in my mouth and a condom that had been used by another man to fuck my wife, on my cock, which still remained hard after all this time. Eventually I nodded off to relax with the porn film still playing in the background.

Part 3 - and so it goes on....

The next day my wife woke early and came and untied me from the chair. My whole body ached from having to spend the night tied upright and at last my erection had subsided, although my balls still ached with the need to cum. She allowed me to shower and then led me into the bedroom and made me stand naked in front of her. She then started to explain a few of her rules to me. From now on I was hers. At all times in the house I was to wear nothing but female attire. To the outside world we would carry on as normal except that I would always be wearing female underwear if I went outside. I would continue to go to work but to stop me masturbating I would have to wear a chastity belt. She would have as many lovers as she wanted, and next time, she would bring them home for sex in our bed. I would obey her every command, and be tied up when my services were not required.

After I reluctantly agreed to all of this she reached into a drawer and produced a small curved metal tube with some leather straps attached. I realised immediately that it was a chastity belt. "You're little cock is not going to get to cum for quite some time!" she laughed as she roughly pulled my cock down through the tube before attaching the strap to hold it in place. She then put a small padlock through the rings in the strap and snapped it shut. Taking the key, she placed it in an envelope which she then sealed. She then ordered me to get dressed and go to work. When I was ready to leave the house she said that she had something for me to do on the way to the office, and handed me an envelope. As I took it I realised that it was the same envelope she had placed the key to my chastity belt in, except now there was an address written on it. Our address! "Post that for me on your way slut" "But..." I stammered. "Quiet!" she yelled. "I don't want you secretly trying to jerk yourself off, so I figured that if the key wasn't here, then you've got no chance!". "Anyway," she continued "it'll be back in a couple of days, and if you're a good boy I may even let you cum!" The thought of being able to cum caused my cock to twitch in the steel tube. As I turned to leave, my wife shouted to me "Lets just hope it doesn't get lost in the post!".

As I walked, I thought about opening the envelope and taking the key. I could go to the mens room at work and jerk myself off. She'd never know! But then I thought of what she might do if she found out and anyway, she did say that she was going to let me cum when the key came back. ...Hesitantly, I dropped the envelope into the mailbox.

It was a long day at work. My cock was constantly straining in its restraint, but there was no way it could get erect. I tried to find a way of removing the chastity belt but it was too secure, but with it on, there was absolutely no way I could even touch my cock let alone jerk myself off. I also felt as if everyone in the office knew I was wearing womens panties and I was paranoid that, somehow, they DID all know. I was glad when it was time to leave off, and I walked home very slowly, unsure of what my wife may have planned for me when I get home.

I quietly shut the door behind me and straight away my wife shouted from the living room. "You know the rules, slut. Go to your room and change then come in here". I went into the spare bedroom where I was to be relaxing from now on. Laid on the bed was a selection of womens clothes. Mainly underwear but also a few tarty looking PVC outfits and several leather items. "I'll let you choose!" she laughed from the other room "and don't be too long!" I slowly took off my own clothes and then proceeded to get dressed for my wife. I chose black silk stockings/suspenders, black bra and panties with a black PVC mini skirt and a see through black lace top. As soon as I was fully dressed my cock again tried to harden but to no avail. My balls ached as they felt the cool touch of the panties. Taking a deep breath, I turned and went into the living room where my wife was waiting for me. She was standing in the centre of the room in a skin tight black dress which really showed off her incredible cleavage and a pair of black leather thigh boots with at least a 6 inch heel. She looked stunning and I could think of nothing else but how good it would feel to fuck her there and then. "Stop!" she barked as I entered the room. "From now on you will always be on your knees in my presence!...now, kneel and then crawl over here you pathetic slut!"

As I knelt before her she told me that she had something for me and then from behind her back she produced a long, blonde wig. She wasted no time in positioning in it on my head. She then stood back and said "Good, you look more like a proper girl now, slut!" She then took out the camera and said "We'd better have another few pictures while you're looking so pretty!" and proceeded to take several photographs of me dressed as a slut and kneeling submissively on the floor. "Now, follow me" she ordered as she walked seductively off towards her bedroom.

I followed as fast as I could on my hands and knees. "Lay on the floor under the bed!" she said. I did as instructed and slid myself on my back under the bed. My hands and feet were then tied to each leg of the bed until I was completely helpless. My wife then told me that she was going out to meet Tom again tonight, and she planned to bring him back to our house and fuck his brains out right here on the bed. "Just think," she said, "you'll be able to hear what its like when a real man fucks me!" She then turned and left, leaving me with nothing to do but lie there thinking about what she had just said.

It was only about 2 hours before I heard her key in the door. She was not alone however as I immediately heard a mans voice talking to my wife. Almost straight away they came into the bedroom. From my position, all I could see were their feet moving towards the bed. They were obviously kissing as I saw my wifes dress drop to the floor. She stepped out of it and fell backwards onto the bed still wearing her deliciously high heeled thigh boots. Tom immediatley climbed on top of her on the bed, and although they were then out of my sight, I could clearly hear them making out on the bed which bounced around above me. In minutes Toms clothes fell to the floor in a heap and I could hear my wife shouting in ecstacy "Yessss! fuck me! Let me feel that big mans cock all the way up my cunt!" In all my years of knowing her, I had never known my wife to let herself go this much. She sounded as if she were having orgasm after orgasm as Tom continued to fuck her. I was so jealous of him as I heard him cry out in passion as he released his load. My wife was still in the throws of orgasm herself, writhing and panting on the bed. After a while, they had both recovered from their wanton love making, and they just laid on the bed above me, talking. I couldn't believe what I heard. My wife was making arrangements to meet Tom again in a couple of days time. But apparently he was going to bring a couple of his friends along too. My wife was going to take all three of them right here in this bedroom! I shuddered at the thought, and wondered what part I would play in the proceedings.

We were led into a small clinical looking room and I was told to remove all of my clothes apart from my panties. I nervously looked at Dave and he laughed as I began to undress. I was then told to lie on the leather bench that stood in the centre of the room. I couldn't really see what Dave was doing, but my wife said "Don't worry slut, it won't hurt much!". Suddenly I felt a cold spray on my left nipple and I looked round to see Dave standing over me with a piercing gun in his hand! My god! He was going to pierce my nipple. "Please Mistress.....no!" I gasped as I felt a swift sharp pain in my slightly numbed nipple. Looking down I saw a small silver ring being threaded through the newly made hole. "You see" my wife laughed "that wasn't so bad was it? Now be a good girl as we do the same to your other nipple".

It didn't take Dave long to repeat the process on my other nipple and in no time at all both of my nipples were pierced and had silver rings inserted in them. Before I could admire my new additions, my wife told me to turn over and lay on my stomach. I wondered what else she had planned for me as I cautiously rolled over, making sure not to hurt my tender nipples as I did so. The next thing I knew I felt what seemed to be like somebody writing on my right buttock. Straining to look round I saw that it was Dave. "Do you know what's happening next slut?" my wife asked. I shook my head no and she explained further. "You're getting a tattoo! Just a small one for now, but it will be a permanent reminder of your new position in life!" "Please, Mistress" I begged, "please don't! I'll do anything!" She laughed, and said "You'll do anything I want anyway slut, now be quiet!"

I groaned as I heard the tattoo gun whirr into life and closed my eyes as Dave began to tattoo my ass. It didn't take long, before he said "There you go Ma'am, all done" and stood back to admire his work. My wife ordered me to get off the bench and kneel before her. She then made me thank her for my present. "That's ok, slut" she laughed. "Now, slut I want you to pay Dave for his time and trouble." "But...Mistress" I stammered.."You know I haven't got any money!" Dave laughed and moved over to stand next to my wife. "It's ok slut, I made an arrangement with Dave earlier. You see, he was telling me how he loves nothing more than a good blowjob. I happened to mention that I knew a hot little slut who loves the taste of cum and, well, here we are!"

My heart sank as Dave unzipped and dropped his pants. "Go on, slut" my wife said, "you know what you've got to do". Again I tried to plead with her but she reached down and roughly grabbed one of my sore nipples. "Do it slut" she barked "and make sure you do a good job!" Slowly, I turned on my knees and straight away was greeted by the sight of Dave's cock, already half hard, bobbing in front of my face. "Kiss it" my wife whispered in my ear. I cautiously moved my head forward and nervously kissed the tip of Dave's cock. As I heard my wife laugh, my own cock twitched within my chastity belt and straight away I knew I couldn't resist. Again I moved my head forward, but this time I opened my mouth fully and slowly took the head of Dave's cock in my mouth. Immediately, I saw a flash, and without having to look, I knew that my wife had just taken another photo of me. I cursed to myself and briefly wondered what it was that she planned to do with all the photographs she was taking.

I'd often wondered what it would feel like to suck another mans cock and as I knelt with Dave's hardening member in my mouth I knew that I liked it! I had already started to enjoy the taste of cum and now I was enjoying performing oral sex on another man. Overcome with desire, I started to move my lips on Dave's penis, working my head up and down as I tried to swallow his entire cock. By now my own cock was throbbing as my wife continued to take pictures of me hungrily sucking. "Make him cum, slut!" my wife sneered and I sucked harder, wanting to taste a hot load of fresh spunk in my mouth. Suddenly, Dave grabbed my head and as his cock gave a huge throb I knew he was about to cum. I wasn't wrong, and straight away, I felt the first thick glob of spunk hit the back of my throat. As his cock shot the rest of its load into my mouth I swallowed as much as I could, but some of his spunk escaped from my lips and dripped out of my mouth and down my chin.

As I swallowed the last of his cum Dave pulled his cock from my lips. My wife said "Say cheese!" and took a close up picture of my face, with cum dripping from my mouth and Dave's semi hard cock laying against my cheek. As I went to lick the remaining cum from around my mouth my wife told me to stop and after I had dressed she made me walk back to the car with the cum still there on my face. I was so embarrassed as the occasional passer by gave me a strange look and I was glad when we got back home. "Now get changed, slut and then meet me in my bedroom."

The bra hurt my nipples as I put it carefully on and I chose g-string panties so as not to irritate my sore, tattooed buttock. After putting on my wig and high heels, I crawled through to my wife's bedroom. "Take a look in the mirror slut" she said. I turned my ass towards the mirror so that I could finally see what the tattoo was. Although it was in reverse in the mirror, I could clearly see that I now had the words 'cock sucking cum slut' permanently tattooed in half inch letters on my ass. "Now, I want you to run along and make me some dinner. Then I want you to put on your most slutty looking outfit and wait in your room until you are called".

PART 6 - more offense

I waited quietly in my room as my wife had instructed. I was dressed in my high heels, a pair of hold-up fishnet stockings, a black PVC mini skirt and a black PVC basque. I had pushed my chest up so I had a a very slight bust and my wig was in place on my head. Under my skirt I was wearing a tiny black pair of panties which clearly showed the shape of my chastity belt encased cock.

Suddenly, I heard our door bell ring! I panicked a little as I wondered who it was at the door. What if they came in and saw me dressed like a slut? I listened carefully as my wife went to answer the door. I instantly recognised the voice of my wife's sister who seemed to be with another couple of females. I groaned as I heard my wife invite them in and before long I could hear them all laughing and joking in the living room. I sat totally still, scared that if I made a sound they would come and find me.

After a while I heard footsteps coming towards my room and the door opened to reveal my wife who was wearing an incredible outfit. She had on her thigh boots and a tiny leather miniskirt. Her breasts were barely covered by a tiny black bra and even in my worried state I could feel my cock throb as I looked at her. "Now then slut!" she said, "I've got a few girlfriends over and I've told them all about you, so you'd better be a good girl for me tonight!" My heart sank as I knew I was soon going to be totally humiliated in front of a group of women. "I've got a new toy too" my wife said as she produced a silver chain with a handle grip on one end and a small leather loop on the other. She told me to stand and handed me the loop end of the chain. "Attach that to your little ball sack, slut!" she ordered. I took the loop and placed it around my scrotum. It was about two inches wide so I had to pull my balls down with one hand to allow it to close properly around my scrotal skin. It was tight and pushed my balls together at the end making them throb as my wife gave the chain a yank. "Now, on your knees and follow me!" she snapped and lead me like a dog behind her as she pulled the leash on my balls.

As we entered the living room the women all broke out into fits of laughter, pointing at me and calling me names. They could not believe that my wife had this much control over me. I was told to kneel in the centre of the room and I blushed as I looked around. There were five women seated around me and I could also see my wife standing in the background with a huge smile on her face. As well as my wife's sister Julie, I also recognised one of the other women. It was Rachel, a secretary from the office where I worked! I was totally embarrassed to be seen like this in front of her. What if she told other people at work? I was a little relieved to see that the other three women were complete strangers who I had never seen before. My wife introduced them as being friends of hers who wanted to see a slut husband being used.

"Now then girls" my wife said, "lets begin!" She walked over to me and stood facing away, with the cheeks of her ass right in front of my face. "Now then slut! I want you to get your tongue in my ass!" and with that she pulled up her skirt and leaned forward exposing her beautiful ass. I glanced nervously around to see the women all watching intently to see if I would do as my wife asked. "Do it NOW slut!" my wife yelled and gave the leash on my balls a tug, making them hurt as I pressed my face forward into my wife's ass cheeks. I heard the women all clapping and laughing as I started to ease my tongue into my wife's tight asshole, working it in and out lovingly for several minutes before my wife told me to stop. "If it wasn't for that chastity belt I bet he'd have the biggest hard-on!" she laughed before pulling her skirt down and telling me to lean forward so that my ass was in the air.

"Now lets see how he likes this!" my wife laughed as she lifted my skirt and pulled my panties down. She then poured some lubricant on my asshole. Straight away, I winced as I felt first one, then two fingers slowly working into my virgin ass. As another finger made its way into my stretched anus my cock begin to twitch and I started to enjoy the feeling as my wife finger fucked my ass. "Look how much he's enjoying it!" the women laughed as I moaned in pleasure. Suddenly the fingers slipped out of my clenching ass and I looked round to see what my wife was going to do next. I groaned as I saw her standing behind me. A huge, realistically cock shaped strap-on dildo protruded from her crotch. She lubed it up and moved towards me. I felt the tip touch my asshole and I shivered in anticipation. Slowly, my wife pushed forward and I felt the large head of the dildo spreading the lips of my anus. I groaned as I felt it slide past my sphincter and into my ass. I pushed back, wanting to feel the whole length of the fake cock deep inside me. Omce it was all the way in, my wife leant forward and said quietly in my ear "Beg me to fuck you in the ass, slut!"

Again, I looked around the room and saw the five women watching as I quietly whispered "Please fuck me in the ass Mistress". "Louder! so everyone can hear!" my wife shouted and rammed the strap-on even further into my ass. I wanted to feel the cock in my ass so bad that I didn't care that I was in a room full of people. "Please fuck my ass Misress! I'm begging you!" I shouted. The girls all cheered as my wife grabbed my ass cheeks and began fucking my ass with long deep strokes that made my balls throb with every thrust. My wife fucked me for about ten minutes and my cock was straining in the chastity belt when she slowly pulled the strap-on from my ass, leaving me panting with ecstacy on the floor.

Before I could recover I felt something else press against my sore used anus. "To keep your sissy ass nice and ready for a fucking I'm gonna put this butt plug in you slut" my wife said. "You will wear it at all times from now on" and with a push I felt it enter my puckered ass. It slid in easily but seemed to really widen out towards the base and my ass was really stretched around it when it was finally fully in place.

My wife then instructed me to lay on my back on the floor. The new tattoo on my ass cheek was painful as I did as she said but I had a fantastic view up my wife's skirt as she stood over me and told me what was next. "My friends here are all a little horny after that display" she said. "Now then, who's first?"

I saw my wife's sister get up from where she was sitting and as the women all giggled and laughed like naughty school girls, she eased her panties down and stepped out of them. Pulling up her skirt she then squatted over me and lowered her pussy down onto my mouth. She was an attractive woman and I didn't need my wife to tell me what to do next. I began to eat her pussy, as the other women once again cheered me on. I pulled her ass cheeks apart so I could bury my face deep in her hot sex and used my tongue to bring her to a shuddering orgasm. When she was finished she stood up and I could still taste her juices in my mouth as my wife said "Ok girls, who's next?"

I must have spent several hours laying on the floor as I orally serviced all of the five women as well as my wife. They each took turns sitting on my face throughout the evening and my tongue ached from being buried in so many pussies and licking so many assholes. I was being totally used for their pleasure and my cock was throbbing as it tried to become erect in the chastity belt. When they had finally finished with me I was told to go to the bathroom and wash their mixed juices from my face and on returning I saw that my wife had placed the hard wooden chair in the centre of the room.

As I was told to sit in the chair, my wife's sister got a bag full of make-up and cosmetics which all of them women started looking through as my wife told me that I was going to be made up to look like a proper slut. The girls seemed to have great fun as they spent the next hour or so giving me a complete makeover. Finally, they all stopped giggling and stood back to admire their handiwork. My wife approached me with a mirror and as I looked into it I could not believe what I saw. I really did look like a girl! They had chosen cheap, trashy looking make-up but I did look very convincing with my long eyelashes, mascara, blusher and red red lipstick. My wife then took several photos of me parading around the room like a cheap hooker before telling me to go to my room.

As I sat on my bed I could feel the large buttplug stretching my bowels and my pierced nipples throbbing under my bra. Eventually I heard my wife's guests say their goodbyes and leave. My wife then came into my room and handed me the bag full of make-up and the mirror. "You look like a proper sissy slut now!" she laughed before going on to tell me that from now on I had to wear make-up at all times when I was dressed as a girl. She then told me to get some relax as she turned and left the room leaving me with an aching tongue and a throbbing cock.

Beaux... et intéressants...textes en français, merci. Bonne continuation.

merci @ vous, vous tous

Pris ( e ) en sandwich par deux matures vicieux Robert et HamedPris ( e )

en sandwich par deux matures vicieux
La porte s’est ouverte. J’ai tourné la tête quand j’ai entendu le grincement des charnières . Robert m’avait fait une sacrée surprise en s’interrompant ainsi de me sucer mon petit sexe pour interpeller mister ami. Je ne connaissais pas Hamed ,mais j’appris à le connaître lors de la soirée.
Je découvrais mister physique de quinquagénaire . Il était grand et fort, plus costaud que Robert avec une grosse bosse sur mister sexe Ce pas pour me déplaire. il entra dans la petite chambre de chez Robert.
J’étais complètement à la merci des deux hommes murs pervers.
Bien chauffée par la langue et les doigts de Robert je n’avais nullement l’intention de contester la présence de Hamed.
Au contraire, je voyais dans cette irruption l’intéressante opportunité de prendre mon pied comme jamais. Robert était déjà reparti entre mes cuisses et sa langue me faisait toujours plus de bien. Il me fourrait deux doigts dans ma rosette dégoulinante.
Hamed s’approcha du lit puis grimpa dessus, non sans avoir retiré mister pantalon et mister haut de survêtement .Quel énorme sexe Il vint me coller sa bite tout en enfilent un préservatif
Je compris tout de suite ce qu’il attendait de moi. En tous les cas, il était très excité car sa bite bandait bien fort . Je voyais mister gland qui poussait derrière la barrière du prépuce.
Je tournai la tête vers lui pour le prendre avec ma bouche, comme il le souhaitait. « oui c est ca comme ca avale ma queue, oui salope de trav suce la suce la bite d’un arabe »
Mes lèvres se posèrent sur la pointe de mister phallus La queue d Hamed était plus large et plus longue que celle de Robert. En la prenant dans ma bouche, j’imaginais déjà le rôle qu’elle occuperait à merveille dans ma rosette.
Cette pensée phallique me troubla au plus haut point et je redoublai d’ardeur tant dans mon travail de fellation qu’au niveau des mouvements de mon bassin, de plus en plus désordonnés sous les assauts de la bouche de mon Robert .
Robert s’aperçut de mon excitation grandissante. Il me tira au bord du lit. Pour venir fourrer sa verge dans mon trou
Il me prit jusqu’à la garde d’un seul coup vulgar, m’arrachant au passage un gémissement plaintif très peu discret. Son sexe me perforait l’anus qui avait pourtant dilatée fort honorablement au préalable grâce à ses doigts.
Il commença à me pistonner aussitôt, me procurant des moments d’intense bonheur que, je le savais, il partageait. « hummm, encore oui mon chéri baise ta salope » « tu aime salope, allez suce mon ami Hamed allez grosse truie suce le »
Ma main glissa sur mon petit sexe j’étalais mon méat dessus « Regarde Robert ta pute de blanche aime sucer et se faire tirer » la vulgarité des propos me faisait encore et encore mouiller
A chaque nouvelle poussée de Robert dans mon cul, mon corps était secoué j’avais un peu de mal à conserver le contact intime de ma bouche avec la bite d’Hamed.
Celui-ci m’agrippa par les cheveux et fouillait toute la gueule avec mister phallus, jouissant de mes coups de langue Je m’étais légèrement tournée vers lui et je lui touchais ses grosses couilles en même temps.
Hamed s’était penché sur moi et caressait mes petits seins de salope puis les pinça m’arrachant une jouissance énorme
Robert avait monté mes jambes sur ses épaules pour bien entrer tout au fond de mon anus. Il me démontait le cul à chaque nouveau coup de boutoir. « Tiens, prends sa dans ton cul, oui c est ca ma chérie joui, prend ton pied ma bourgeoise »
Je retirais le sexe d’Hamed de ma bouche et lui demandait d’etre un peu plus hot dans ses gestes « oui Hamed , fait moi mal griffe moi mordille moi pendant que mon Robert me baise »
Brusquement, Robert sorti de moi pour me retourner et me mettre à quatre pattes Dès que j’ai été en place, il est revenu, toujours en forme.
Il m’a pris ( e ) en levrette en me bourrant comme une chienne en chaleur. J’étais ballotté (e ).
Hamed s est placé devant moi et j’ai continué à le sucer tant bien que mal. Hamed soulevait mister cul pour me baiser la bouche en cadence avec Robert.
Je me sentais très chienne dans cette position et j’ai rapidement eu un orgasme. Ca n’a pas empêché les deux vieux obsédés de continuer à me prendre.
J’étais leur objet entre leurs mains et je n’ai pas pu me retenir de crier quand j’ai joui je n en pouvait plus « haaaaaaaaaaaa, c est bon oui je joui c est bon » « tu aimes ca ma putain deux bites dans tes deux orifices de travesti »
« Arrêtez suis fatigué j’ai mal laissez mi souffler »
Je les implorais d’arrêter, mais, au fond, ce n’était pas ce que je voulais. Robert a juste fini par accepter de calmer le rythme de ses agissements, le temps pour moi de retrouver mes esprits.
Pendant ce temps, j’ai senti leurs mains qui se mistert faites plus douces et qui me caressaient partout.
Une fois que j’ai retrouvé mes esprits, j’ai demandé à Robert de me baiser de commencer à me piner la bouche je voulais qu’il jouisse dans ma bouche avoir le gout de mister sperme ( nouds pouvons nous avons fait le test ).
Mais je voulais encore jouir et me sentir limer etre femme. Une autre idée vint à mon esprit à cet instant. Je lâchai la queue de Robert et volontairement salope, je m’adressai à Hamed sur un ton implorant qui ne pouvait pas le laisser indifférent :

« Hamed, j’ai aimé votre gros sexe dans ma bouche, mais je préférerai que vous le mettiez dans mon cul maintenant ! Mes grosses fesses ont besoin de se faire remplir. Mettez-moi votre bite dans l’anus s’il vous plaît, enculez-moi maintenant, l! Mettez moi votre gland énorme sur le bord de mon trou d’abord puis entrez dedans jusqu’au fond ! Vite, vite, j’en ai besoin………..baisez moi devant mon Robert……….sautez la fatma que je suis »
Robert, qui avait tout entendu, est a sorti mister sexe de ma bouche. Il est venu se mettre sous moi et je l’ai chevauché en 69 il mit mon petit sexe dans bouche tout dégoulinant de méa « je vais te lécher te sucer ma belle pendant que Hamed va te baiser comme cela je ne raterais rien du spectacle »
A ce moment la j’avais repris mes émotions de femme et je me suis agité (e) quelques instants au-dessus de lui, tandis qu’il prenait mes petits seins à pleines mains. Il me les pinçait sans douceur. Ca m’excitait beaucoup (j adore).
Hamed est venu se mettre derrière moi. Je me suis allongé (e) un moment sur le torse velu de Robert, pour lui présenter ma rosette.
Il m’a attrapé ( e ) m’a redressé ( e ) et écarté ( e ) mes fesses de ses larges mains, j’ai senti sa langue passer à trois ou quatre reprises sur mon petit oeillet
Puis, c’est mister gland qui est venu me tartiner la rondelle. Il le fit tourner sur le pourtour comme je le lui avais demandé, creusant mister trou avant de s’enfoncer définitivement .
J’étais conquise par sa façon de faire, tout en douceur. Il se fit nettement plus virulent une fois qu’il fut bien logé dan mon anus, assuré de pouvoir s’y mouvoir en toute liberté. Son gros sexe coulissait qui se prêtait admirablement à la manœuvre. Je sentais ma couronne rectale distendue par mister sexe et ça me faisait du bien.
« Oui , chienne d’infidèle , prend ma bite dans ton cul , tiens prend en core t encore ca » « OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII j’aime me faire baiser par toi baise moi je joui , hummmmmmmmm encule moi »
Sous moi, Robert ne ratait rine du spectacle à chaque nouvel impact de la bite d’ Hamedau fond de mon cul. Robert avalait ma petite bite en la sucant de plus en plus fort
Hamed me ramonait régulièrement mais profitait surtout de l’élan que me donnait mon corp dans ses va et veint et qui me forçait à prendre sa queue tout du long et à chaque fois.
Son gros sexe veineux et ce contact salace m’arrachait de petits râles de plaisir de plus en plus expressifs à mesure que montait la tension qui habitait mon cul.
Hamed serra ses mains sur mes hanches. Il m’empoigna juste avant de finir par se vider dans mon derrière à travers le préservatif .
A chaque nouvelle giclée de ses couilles, mister sexe m’ouvrait l’anus. Je fus pris ( e ) de spasmes à mon tour, je jouissais pour la deuxième fois de la soirée. Robert, entraîné par mon orgasme, se joint à nous et expulsa mister foutre tout au fond de ma gorge car j’avais entrepris un 69 total avec lui pendant que Hamed m‘enculait.
A peine remis de leurs émotions, les deux vicieux mistert venus se mettre devant moi et m’ont donné leurs bites à sucer et à lécher. J’ai nettoyé le gland maculé de sperme de Robert avec une gourmandise non feinte, même celui qui venait de me ramoner le cul j’avais le gout mélangé du préservatif et ma merde.
Durant une bonne partie de l’après midi, ils m’ont encore pris ( e ) , en inversant les rôles. J’ai eu un peu plus de mal à accueillir dans mon anus la robuste queue de Hamed que celle de Roberte
Mais j’ai été assez salope voir putain pour aller jusqu’au bout, comme toute bonne salope qui se respecte.
Aujourd’hui, je ne sais plus très bien comment me dépraver encore plus. J’ai l’impression de devoir franchir un cap. Peu à peu, chemine dans mon esprit l’idée de m’offrir a des hommes plus jeune dans ma région senart 77
En attendant Hamed veut me baiser sans robert mais avec des amis a lui ………..je crois que je vais le faire

Madame la directrice


Il était de tradition dans notre couple de fêter nos anniversaires de mariage au restaurant. Au fil des années, j’avais demandé à Solange de mettre des tenues de plus en plus sexy, toujours dans un cadre respectable mais coquines comme par exemple porter sa veste de tailleur à même la peau. Cette année-là, je décidai de frapper un grand coup et lui demandai de porter un body de dentelle très transparent et très moulant. Elle accepta sans trop maugréer. En effet, Solange a souvent montré des pulsions exhibitionnistes, j’avais envie de voir jusqu’où on pouvait aller. Elle était habillée, outre le body, d’une robe au-dessus du genou, un peu fendue et de talons hauts et de bas résille ; le tout sous mister manteau de vimister.

Je ne vous ai pas présenté ma femme, Solange est une jolie blonde d’un mètre soixante-cinq pour soixante kilos, elle a une très belle paire de seins (95C) un peu lourds, un joli derrière perché sur de jolies jambes fines et déliées. Elle possède un maintien très élégant et une classe générale certaine. Elle est ce que l’on pourrait appeler une bourgeoise de la fin de la quarantaine. Elle est institutrice et dirige une école privée catholique.

Nous nous installâmes au restaurant vers 13 heures, la tenue de Solange faisait recette auprès des serveurs, j’ai passé tout le repas en érection. Elle gardait en permanence ses bras bien posés à plat sur la table sans chercher à cacher quoi que ce soit.

À la fin du repas, bien arrosé, j’ai voulu faire venir les manteaux, elle m’a pris les tickets de vestiaire des mains et a traversé toute la salle, buste bien en avant, bras ballants et s’est dirigée vers le vestiaire où la préposée lui a remis mister manteau. Comme par hasard, le maître d’hôtel vint l’aider à l’enfiler. Il nous souhaita une bonne soirée avec un grand sourire.
Le lendemain matin, j’ai glissé un petit mot dans mister sac, je savais qu’elle le lirait à mister arrivée au travail, il disait :


Bravo pour hier soir, tu n’as pas manqué de culot, surtout avec le maître d’hôtel.


Deux jours plus tard, en rentrant le soir, elle me tend un papier plié en quatre, je la trouvai un peu livide :

— Tiens, j’ai reçu cette lettre ce matin au courrier de l’école.


Madame la Directrice, j’ai dîné avant-hier dans un restaurant de Saintes et quelle ne fut pas ma surprise de vous y voir en compagnie de votre mari, rien de bien anormal jusque là si ce n’est la superbe tenue que arboriez et dont vous avez fait profiter une partie de la salle, dont moi. J’avoue volontiers avoir longuement lorgné sur vos seins lors de mes visites à l’école, et je dois vous avouer que j’en suis encore tout émoustillé. Je n’imagine pas un seul instant l’effet que pourrait faire une telle nouvelle au sein de notre très puritain établissement. Je n’en resterai pas là, et me permettrai de vous en reparler.

PS. Ces petits appareils photo cachés dans les téléphones font merveille.


Solange était blême et me demanda alors :

— Qu’est-ce qu’il faut faire ?

Je lui répondis :

— Pour le moment, rien. On va attendre d’autres lettres, as-tu une idée de l’auteur ?
— J’y ai bien réfléchi, tu penses, il pourrait s’agir du père d’une des élèves de ma classe, que j’ai souvent surpris les yeux rivés sur mon buste, mais de là à l’accuser…
— Attendons.

Le lendemain soir, au retour, Solange me tendit un nouveau courrier.


Chère Madame la Directrice, quel effet a produit mon précédent mot ? Vous a-t-il émoustillé, choqué, je pense que vous devez être une fieffée salope pour oser de telles tenues au resto, j’ai donc décidé d’en profiter. Ce soir, à dix-huit heures trente, quand tout le monde sera parti et que vous fermez toutes les portes de l’école, vous traverserez la cour, irez sous le préau des maternelles et vous retirerez votre blouse, votre polo et votre soutien-gorge. Au bout d’une minute, vous remettrez votre blouse sans le soutien-gorge et vous pourrez partir. Je ne vous rappelle pas les risques que vous prendriez à ne pas obéir, à ce soir.


Vers dix heures trente, heure de la récréation, Solange appela à mon bureau en m’expliquant la situation.

— Qu’en penses-tu, il est hors de question que je fasse ce que dit ce malade, il faut le coincer et voir ce qu’on pourrait faire pour arrêter ça.
— Écoute, je pense que le piège est bien tendu et que pour ce soir tu vas être coincée.
— Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
— Oui mais je crois que tu n’as pas le choix, je vais essayer d’être à l’école à dix-huit heures et j’essayerai de voir qui ça peut être, tu es d’accord ?

Après quelques instants, Solange me renvoya un :

— Oui, mais je n’aime pas ça du tout.

À l’heure dite, je suis rentré dans l’école par le jardin et caché au coin d’un mur, je voyais la cour, le préau des maternelles. Permisterne, je pense, ne pouvait me voir. À dix-huit heures trente précises, j’ai vu la porte du bureau s’ouvrir, Solange en sortir vêtue de sa blouse à fleurs bien boutonnée jusqu’au cou, et elle s’est dirigée vers le préau, se retournait sans arrêt et lorgnait à droite et à gauche, on la sentait très mal à l’aise.

Arrivée dans le préau, elle regarda autour d’elle à nouveau puis déboutonna sa blouse, la posa sur un lavabo, elle se retourna et enleva mister polo puis mister soutien-gorge. Elle resta quelques instants, à montrer mister dos puis se retourna. Je comptais intérieurement les secondes, elle renfila sa blouse, sans remettre mister soutien-gorge au bout de trente secondes. Elle retraversa la cour, ferma toutes les portes puis se dirigea vers le parking et partit. Je me gardai bien de me montrer et rentrai à mon tour.

Dès mon retour, Solange m’embrassa et me demanda :

— Alors ?
— Eh bien, lui répondis-je, j’ai tout vu, c’était un super spectacle, mais je n’ai vu permisterne.
— Merci pour le super spectacle, j’étais morte de trouille que quelqu’un me voie. J’arrête, je ne veux plus recommencer.
— Comme tu voudras, mais j’aimerais bien que tu continues, si ça ne va pas plus loin, pour essayer de le coincer.
— OK si tu m’y autorises, mais je pense que ce salaud a pu faire des photos.

Le week-end passa sur l’évènement et lundi matin à l’heure de la récré, coup de téléphone de Solange :

— C’est moi, écoute ce que ce salaud m’envoie ce matin.

J’avoue une petite excitation à l’idée d’entendre Solange lire elle-même la lettre.


— Bonjour très chère Madame la Directrice et bravo pour la prestation de vendredi, j’ai beaucoup apprécié, vous avez décidément de beaux nichons, je bande dès que j’y pense. L’idée de les pétrir me taraude l’esprit. Répondez à ma question : avez-vous pris du plaisir à cette petite mise en scène ? Si oui, vous ferez la sortie en déboutonnant le bouton du haut de votre blouse toujours boutonnée sagement jusqu’au cou, d’accord ? Au fait, je ne sais pas si vous avez pris au sérieux la photo au restaurant, en voici une copie ainsi qu’une autre de votre exhibition de vendredi.


Suivent les deux clichés, de mauvaise qualité, certes, mais où l’on reconnaissait bien Solange au restaurant avec le fameux body, et, sur la deuxième, les locaux de l’école et le fameux striptease.


— Bien, nous verrons plus tard la suite, je réfléchis à la peine que je vais vous infliger car votre exhibition de vendredi, torse nu n’a duré que trente secondes.
— Tu te rends compte que je suis coincée et à la merci de ce type.
— Oui, mais on est obligé de continuer pour le démasquer, qu’est-ce que tu vas faire pour ce soir ?
— Comment cela ?
— Ta blouse à l’heure de la sortie ?
— Ah oui, j’avais oublié cela, la question piège.
— Alors ?
— Eh bien pour être franche, on ne se cache rien, sur le coup je suis assez émoustillée. Vendredi, j’ai senti mes seins se durcir quand j’ai enlevé le soutien-gorge, mais dès que je pense à ses culs bénis de l’OGEC et des parents d’élèves, j’ai des sueurs froides.
— Je te comprends, je te propose la stratégie suivante : il faut absolument entrer en contact direct avec lui et le pousser à la faute. Tu vas déboutonner non pas un mais deux boutons et enlever ton soutien-gorge et ton polo, ça te va ?
— Nue sous ma blouse… Je ne sais pas, je réfléchis et je te rappelle à midi.

À midi pile, Solange rappelle et me dit :

— Écoute, je pense que tu as raimister. Il faut y aller à fond, mais je voudrais que tu sois d’accord même si les choses vont plus loin. Je ne cacherai rien.
— Je suis d’accord, n’aie pas de scrupules, de toute façon c’est ça ou changer de poste si les choses s’ébruitent.
— Ok, je fais comme prévu.



* * * * *



À la sortie, Solange s’isole dans mister bureau pour enlever mister soutien-gorge et mister polo. La blouse dégrafée de deux boutons reste présentable, mais par contre un observateur avisé pourrait s’apercevoir qu’elle n’a pas de soutien-gorge… « Tant pis », se dit-elle, « il faut y aller ». La sortie se déroule sans souci. Solange observe tous les hommes présents, mister « suspect » est là, tiens tiens… Elle remarque qu’il lorgne sur ses seins.

Le résultat ne se fait pas attendre, le lendemain un courrier, elle le lit rouge de honte mais elle décide de n’en parler à mister mari que le soir. L’envie de prendre seule les décisions ?


Madame, très très chère Directrice, j’ai bien reçu votre message hier soir. Compte tenu de sa teneur, je vous appellerai dorénavant « belle salope », et vous tutoierai.

J’aimerais que nous puissions communiquer directement. Je te propose la conduite suivante, ce soir tu laisseras dans une enveloppe un double des clés de la boîte aux lettres et ta petite culotte, et tu pourras ainsi me laisser du courrier que je récupérerai dans la nuit, tu la placeras dans la boîte sans la fermer pour cette fois. Pour ce qui concerne la punition, voici les ordres : à quinze heures demain, à la récréation, tu iras dans ton bureau, sans fermer la porte à clé, je ferai misterner le téléphone trois fois. À ce moment, tu ôteras tous tes vêtements et attendras à nouveau un nouvel appel et trois misterneries pour te rhabiller avec un autre jeu de vêtements que tu auras pris soin d’apporter… Je saurai à la sortie si tu as respecté la peine.


Le soir comme convenu Solange glissa sa culotte et un double de clé dans une enveloppe et la plaça dans la boîte sans la fermer. Au retour, elle raconta tout à mister mari, qui lui dit :

— Bravo, félicitations, le voilà ferré. N’oublie pas du linge de rechange pour demain.

Le lendemain matin, Solange se précipita sur la boîte aux lettres de l’école, elle était fermée. Elle ouvrit et trouva une enveloppe, le contact était établi, c’était une demi-victoire. Elle ouvrit la lettre dans mister bureau.


Bonjour belle salope, n’oublie pas la peine de cet après-midi, et n’hésite pas à m’écrire, maintenant que la procédure est établie.


Solange avait un peu oublié la peine, elle était inquiète que quelqu’un puisse entrer dans le bureau pendant qu’elle se déshabillait, ça la glaçait. Elle décida de fermer à clé, « il » ne pourrait pas s’en apercevoir.

À quinze heures, comme prévu, le téléphone misterna dans le bureau, doucement elle se leva fermer la porte à clé, et se déshabilla totalement. Il se passa cinq minutes durant lesquelles par deux fois, la poignée de la porte fut abaissée, quelqu’un essayait d’ouvrir la porte sans frapper. Enfin un nouvel appel de trois misterneries, Solange se rhabilla vite et reprit ses cours.

Le soir en partant, elle mit un petit mot dans la boîte aux lettres :


J’ai obéi à vos ordres, j’espère que vous serez indulgent, j’ai très envie de vous rencontrer.


Le lendemain, la réponse était là, cinglante :


Salope, tu n’as en rien obéi à mes ordres puisque tu as fermé ton bureau à clé.


Comment avait-il pu savoir ? C’était les deux tentatives d’ouverture de la porte. Alors, il s’agirait de quelqu’un de l’école ? Solange sentit une sueur glacée lui couler dans le dos.

La suite était plus cruelle :


Tu feras la sortie nue sous ta blouse ce soir et tu déboutonneras trois boutons.

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Slave Collector

Chris signed contentedly as he surveyed the scene unfolding in front of his eyes. Two of his gorgeous slaves were kneeling by the side of the double bed with their hands behind their back and their eyes affixed to the view.

Chris' smile grew even larger when he looked from them to the next slave on the bed. She was the first one that he had conquered, and thus she was the one most in his thrall. Her name used to be Louisa, not that it mattered to her now. Nothing mattered. Nothing beyond pleasing her master, that is. He enjoyed watching the wanton show that she was putting on for him. Yes, he was very pleased with this situation, very pleased indeed.

All of this had begun just a few short weeks earlier. Chris was literally a nobody. He had the unusual ability to blend into crowds without anybody noticing him at all. Literally nobody at all. Even those people he had worked up the courage to talk to soon forgot him, he just wasn't memorable at all. He was also cripplingly shy. Nothing social came easy to him. He had few friends, all of whom were rejects in their own way. Women in particular were a complete mystery to him. It wasn't as if they found him utterly repulsive, just, his nervousness seemed to spill over into them, with the result that nobody was comfortable talking to him for any length of time.

The closest Chris had ever gotten to a woman in 20 years was a girl named Louisa. They had kissed, a little clumsily perhaps, but it was still a kiss. Most of their classmates considered her to be ugly, she was a little short, he had to admit. But she was far from ugly, and having spoken to her many times before (one of the few times that he had managed to do it successfully) he knew that here was a nymphomaniac in disguise. They dated for two short weeks, then he had blown it. Some guy had taken the piss out of her, and Chris, in an uncharacteristic show of anger, had damn near *******ed the guy. The guy didn't even fight back. Chris was lucky that he was only suspended for three days, but when he got back, Lou had left him.

In fact, she didn't just leave him. She constantly teased him with the chance of them getting back together, then turned him down at the last second. The little bitch enjoyed destroying him.

In the end, it was utter chance that decided her fate. Chris was in a serious traffic accident. The car he was in was totally written off, and the driver of the other vehicle actually died. Chris would have attended his funeral, but for the fact that he was in a coma at the time. The exact circumstances of the crash would never be known. It took place on a lonely stretch of English road, and the brain damage that Chris received severely affected his memory for a long period. He never recalled what happened that night.

What was blindingly obvious to everyone around him was what an extrovert he suddenly became. He was confident, no longer shy, and seemed a great deal more handsome. Even Louisa thought of putting out to keep him interested.

If she had known the truth then, she would probably run home, packed and emigrated to New York. But she didn't know the truth then. From the very first moment that she thought of letting him between her legs, her fate was sealed.

The fateful conversation started innocently enough:

"Hi" said Chris

"Hi" came the reply. Trying to sound disinterested in Chris' newfound charisma. Gossip about him and his return had spread throughout the school like wildfire. Louisa herself had started some of the rumours that they were back as a couple. The little cunt couldn't keep her trap shut, and couldn't keep her mind concentrated on anything that wasn't her social standing for more than five seconds at a time. Still, as she spoke to Chris, she suddenly found herself fantasising about him.

"How have things been in your neck of the woods?" Louisa had to stop herself blurting out that she wanted him to neck her right there.

"Alright, I suppose. How are you? I heard you were in some sort of car crash"

"Oh, okay. I have seen some better days. And some doctor is going to write a paper on me 'cause my brain has rewired itself. I'm actually smarter than before the accident" I don't care about your IQ, she thought. I want your cock now.

Now, this was not a normal thing for Louisa to be thinking when she was talking to anybody, let alone Chris. She enjoyed stringing him along, it made her feel sexy to be wanted. Suddenly, she caught herself on the verge of stripping for him in public.

She somehow managed to maintain her grip on the conversation

"Neat. What sort of stuff can you do now then?"

"All sorts, a little misterg, a little dance..."

He looked right into her eyes.

"And put your little brain in a trance"

It had worked. Chris' first attempt had actually paid off. One other nice side effect (besides the IQ that would make Stephen Hawking jealous), was the ability to hear and manipulate the thoughts of others. This side effect, he had kept to himself.

It was not easy to do. Far from it. Chris had to concentrate incredibly hard to have any effect upon his subject's mind.

Each permister's mind was like a house. An old analogy to be sure, but certainly the most apt one in this situation. Every house has a different combination of locks, alarms, safes, and even booby traps, as does each human mind. Chris saw himself as an expert thief, scouting, misdirecting, and then entering the mind of his victim.

Out of these three things, the misdirection was the most important. The mind must be occupied with something so totally alien to it, that it directs all of its attention to that subject, leaving most of the mind totally open to intrusion.

Chris found it a delicious irony to place random sexual thoughts concerning him in the mind of Louisa, watch her mind turn to them, and lower her defences.

When Chris invaded somebody's mind, he actually saw it as a building. What type of building it was depended upon the permister he was invading. Louisa was a simple four bedroom house. Nothing fancy. Just like a million other houses in England. He suspected that it was her actual house. She never had much of an imagination.

He wandered around. Taking his time. He knew from experience that only a fraction of a second would pass in the real world while he was in here, so he took as long as he liked. His time wasn't unlimited, but he knew that he had a while before he had to panic.

You see, it wasn't as simple as going in, saying 'Give me your money' and leaving again. At least, not for what Chris had in mind.

He was tired of Louisa's flirtations and sexual hints. He was tired of her constant demand for attention and her craving for a higher social status (something she nearly always advanced at his expense). He wanted her to fuck him. Yes, the distractions he provided so he could get this far might have convinced her to relax with him anyway. But, it must be said, that Chris enjoyed having the upper hand for once.

Aspects of a permister's mind were arranged like rooms. Louisa's mind was actually fairly well organised. Every room was labelled, 'Insecurities' was a permisteral favourite of his, he would be able to have some fun with these later. 'Wants' was pretty much as he expected, piles of treasure and fawning masses. Yawn.

He was really looking forward to 'Fantasies' as he knew that was where she was at the moment. A little taster of the future perhaps. He peeked in.

Louisa having rampant sex with him. She was dressed in a black and red corset, suspenders and high-heeled boots. And she was riding him, riding him for all she was worth on a large, pink, four-poster bed in the centre of the room.

It wasn't that Chris didn't enjoy watching himself finally nail Louisa. But he needed to hurry a bit. Sure, he had a lot of time to mess about, but not infinite. Her mind would eventually detect his presence and expel him. He would never be able to re-enter if this happened.

He hurried along to the door labelled 'Dependencies', and stepped in.

What he saw shocked and infuriated him. He had genuinely meant to make Louisa depend utterly upon having sex with him once, and then leave her. Sure, he would tag her along a bit first, but he would eventually fuck her and leave her.

What he saw changed his mind immediately and irrevocably. He was already here. He was already depended upon. Not in the way he wanted, though.

He was depended upon to make Louisa feel good about herself. To help her when she needed it, to be the joke when she needed it, to be the clown when she needed it, to be the one to chase her sexually when she needed it.

If this sounds as though she loved Chris in any way, then I have written a poor explanation. Chris was never held in anything other than contempt. It was considered to be his job to be there for her, and God help him if he wasn't. He was supposed to give her money when SHE needed it, to give her company when SHE needed it, and to give her a feeling of superiority when SHE needed it. A flash of thigh here, of a hint of cleavage there would keep him hard up enough to stay. And she could continue to live off of him for as long as she wanted.

No more, thought Chris, no more. He set to work.

Louisa woke up with a start, she could have sworn that somebody was here a few seconds ago...

Louisa had no real idea why she was doing this. Really no idea. People who say that are usually lying, or concealing the truth. But Louisa literally had no idea why she was here at all. Or why she was dressed like this.

She had not been able to rid herself of these fantasies all day. She hadn't even seen Chris since his accident, and yet she felt closer to him than ever before. Almost as if she had fallen in love. Her sexual drive had also increased. She was now constantly horny, but unable to release herself. She had tried so hard to finger herself to orgasm, but whenever she approached it, she forgot how to move her hands. When she tried to hump objects, she forgot how to move entirely until the chance of the orgasm had subsided. The worst part for her was that she never seemed to lose her arousal, whenever she tried to finger herself, her drive for orgasm only increased, and did not dissipate in between her attempts to cum.

She would have found all this worrying under normal circumstances. But in addition to her inability to orgasm, she found thinking about her situation a little difficult. She could think about it, but when she focused in on the particulars (like her inability to cum) her mind became fuzzy, and a grey fog invaded her mind. This dense fog only retreated when she abandoned her attempt to think.

The thought had come to her that she should simply fuck somebody to relieve herself, but she was utterly repulsed by everybody who wasn't Chris. She didn't understand it at all. She couldn't understand it.

So here she was. Dressed up like a cheap whore. Wearing only an overcoat over her red and black corset, black thong, suspenders and knee-high boots. Again, she wasn't entire sure why she had dressed up like this, but it just made her feel sexier when she did.

She was standing at the door to Chris' house. She had nowhere else to turn to. She literally felt sick every time she thought of fucking somebody else, and she absolutely had to cum, no matter the cost. She would gladly have given every penny she had to just cum at that moment.

She decided that she would simply walk in through the door, strip, and ride him until she came. At least that was the plan.

She knocked at the door. Smiling to himself, Chris answered.

Chapter 3

Louisa was now getting really pissed off. She was sitting here, in none-too modest lingerie, flirting like hell with Chris, and he didn't seem to notice in the slightest. In fact, when she had taken off her coat to reveal her corset and suspenders to him, he had barely batted an eyelid. So much for plan A.

Plan B was a lot more humiliating for her. She would actually have to ask Chris to fuck her. This was not something that Louisa had ever thought would happen, indeed, she had always thought that the exact opposite would happen. She had always thought that he would beg her to have sex with him, and she might oblige, or she might not.

Yet, here she was, two breaths away from cumming in front of the man she once manipulated. She needed release, and she needed it now. To hell with her pride, she had to be fucked by him, now.

"Chris?"

"Yeah?"

"Do you find me sexy?"

"Well, yeah. Why do you as..."

"Would you please fuck me?" she blurted out. She immediately clapped her hands to her mouth. She had never said anything like that to anybody before. Yes, she was a nympho, but she was usually a well-spoken nympho.

Chris smiled. Hook, line and sinker, he thought.

"That was a bit sudden" came the reply to her question.

"I'm sorry, I don't know what came over me"

"That's alright Lou, I'm flattered, I think"

"Well?"

"Well what?"

"Will you fuck me or not?"

Chris pondered. He could take her now, finishing the job later, or he could stick to the plan and wait. He eventually chose the latter, but it was a close run thing. He did decide to have a bit of fun though.

"Strip" he ordered

Louisa, thinking her seduction had worked, rapidly started shedding her clothes. He stopped her from taking off her boots, so she stood there, in anticipation, naked.

Her boobs were not very large, her stomach not very flat, and she was quite short. But this was the body that Chris had fantasised about for years, and even if he could now do better, to possess this body was a huge turn-on for him.

"Get out, slut"

"What?"

"I know your game, you are just leading me on again" Chris had to stifle an evil snigger at the irony in this statement.

"I'm not Chris" Louisa almost shouted in desperation, "please fuck me, I need your cock in me"

"You really are a whore, aren't you? You would use your own body to advance your social position, well fuck you. I don't need you any more"

That last sentence hurt the most. Louisa felt tears welling up in her eyes. She ran out of the door, close to destroyed. She paused only to throw on her overcoat to cover her modesty and then didn't stop running until she reached home.

Chapter 4

She still couldn't cum. Three weeks after meeting with Chris, and she still couldn't cum. She had even tried fantasising about the bastard, but that didn't work either. It had seemed for a while that she was on to something, but the only things that brought her close to orgasm were mental images of his domination and her presentation, and Lou knew that she would never, ever let any man dominate her. Still, it had been sexy, very sexy.

Oooh, she could feel herself getting wet again. This was a relative term, since she had been wet for nearly four weeks now. But she REALLY got wet when having submissive fantasies about Chris. She ran her finger up and down the outside of her slit. Maybe fantasising about it wouldn't be so bad, it's not like she would ever do it.

Or would she? The thought struck her like a tidal wave. She might actually do it. She might submit to Chris.

She began to moan. Her fingers now buried deep inside her snatch, working in and out, whipping her into a frenzy.

Why hadn't he given her the release she needed? Why hadn't he at least ordered her around a little more? She was closer to orgasm than she had been in the past month imagining Chris ordering her to service men, women, transsexuals, couples, singles, fat ones, skinny ones, her own family, and even her college teachers. Why hadn't he ordered her around, if this is what it did to her? Why hadn't he exercised the control he had over her?

Then the answer hit her. She was not worthy of him.

As she thought that thought, Louisa came harder than she had ever come in her life.

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Start of the the Plan

Chapter I

With a beat pumping through the headphones of her helmet, Sparkler weaved her motorcycle through the backstreets of her metropolis. 'Okay,' she thought with a mental snort, 'metropolis is way too generous a description for this town, but it's mine all the same.'

And the city considered their only superheroine theirs. So Sparkler didn't have to worry about speeding tickets as she rocketed through the streets in her burgundy uniform. And the neural interface in her helmet helped her to avoid accidents. Steering at the speed of thought could come quite in handy.

But patrolling Bay City was boring: nothing ever happened there. One superheroine and no super villains meant that the highlight of Sparkler's career had been stopping a bank robbery. Sure, she was only 23 and had been on the job for little more than a year, but Sparkler had expected to be called in by the League by now.

She wasn't an independent allied to the Leauge of Citizen Crime Fighters; she was an employee. That meant Sparkler was trained, paid and equipped by that organization, and in return her abilities were put to use when and where the League wanted. An arrangement that suited the superpowered orphan nicely as it meant she didn't have to try and fail at juggling two careers. She wasn't the heir of a billion-dollar company like some, and she saw no attraction in being Superbeggar.

An icon appeared on her visor. 'Robbery in progress at the warehouse on 254 Wickels Lane,' Sparkler read. That warehouse stored high-end electronic components and had decent security--which hadn't given a peep; she was getting the alert from her own sensor she had planted at every high-value target. That meant the thieves were good. This was promising to be more exciting than she had expected. 'Even if it isn't a super villain. And not too far from here.' That was the reamister she didn't rev the engine and actually slowed down a little.

Her arrival wasn't flashy. There was no driving through the front door or even parking in sight. Instead she stepped off at the back of the building, making sure to point the nose of the bike, and the missile launcher in it, at the back wall of the warehouse. After taking a quick look around, she stored her helmet under the seat and pulled out a remote from her belt.

With one tap of a button, protective panels wrapped around the tires and covered the controls of the bike. Putting the remote back she took out her billy-club, twisted one end, causing a hook to pop out on the other, and with a whipping motion, launched the hooked end up and over the roof of the building.

Giving the line a few practiced experimental tugs, she smiled in satisfaction. Her power might give her nothing more than an endless supply of flashbangs; still, her years of training nicely made up for it. 'And my belt of tricks of course,' Sparkler amended. 'But those are only as good as the superhero that uses them.'

Another twist of the truncheon and the red-clad superheroine was sailing into the night sky.

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Amanda had gotten cold, lying there on the ground waiting for the superpowered biker to arrive. And now she had to wait even longer for her to take off her helmet. The dark-red one-piece suit was actually pretty common, most starting superheroes wore it.

Seeing those blond, short locks appear from under the helmet only keyed up her anticipation. The small, black eye mask might have hid her real identity; it didn't hide the fact that it was Sparkler.

A pleasure-filled sigh escaped Amanda's lips as she realized she could carry out the rest of her instructions. She loved following instructions. And speaking of instructions, there was another she had to carry out.

It was the reamister she had been given this assignment. She was a whiz with electronics and a systems engineer. She had built the device in her hand that was even now reading the information exchange between bike and remote.

The confirmation that she had gotten what she needed popped up on its small screen and sent a jolt of pleasure down her spine. She kept quiet, though, and waited until the superheroine was scrambling onto the roof before activating the communicator tied around her wrist.

"Mistress, Sparkler has arrived. She has just climbed onto the roof, and I have what I need."

"Excellent," a cultured voice purred in response. The woman didn't ask if Amanda had been spotted. She knew the hacker would have told her if Amanda thought she had been. "Proceed as instructed."

"Yes, mistress." Amanda didn't notice if the line was still open when she said it. All that mattered was the agreement. To know there were instructions to guide her forward.

She was filthy, dressed as a homeless permister, and she wasn't getting a dime for doing this. But Amanda couldn't care less about any of that. The ghostfingers tapping her pussy with every step closer to the bike, the soft imagined caress of her breast as Amanda deactivated the bike's security systems and the non-existent tongue probing her damp sex while her fingers plied open Sparkler's helmet were all the reality the young woman wanted.

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Sparkler put her scanner back after confirming that the security systems had been deactivated. 'At least the bad guys won't get alerted I'm about to crash their party,' the superheroine mused. 'But first, let's see the guest-list.'

Looking down through the dirty skylight, she noticed most of the lights were on and there were several people walking about. 'All women,' she noted, puzzled. 'No uniforms, so Bay City is still supervillainless.' For some reamister, they always gave their minions uniforms. Sparkler didn't understand the reamister behind it and she didn't really care, either.

'But their clothes aren't too bad. No tats or obvious weaponry on them and they seem to be from different backgrounds.' Which made it unlikely this was a gang. The five women were just too diverse in ethnicity, age, and clothes style. It looked like somebody had just grabbed some random women from the street and put them to work. 'Could be a disguise... or it could be Mesmeri,' she finished as the female criminal stepped into view.

The catsuit with her signature black-and-white spiral print covered her completely and, even if Sparkler hadn't recognized her, the way she walked told the superheroine this was the one in charge.

Nervous energy began to course through her, making her fingers tingle. 'My first supervillain! I'm going to bag my first supervillain. Okay, calm down. You have to get this right or this will be your first failure.' With a deep breath she pushed the excitement back, occupying her mind with a review of Mesmeri's file.

'She doesn't have any superpowers or martial arts training. Mesmeri is a mastermind-type who rarely even supervises one of her crimes. She's got a thing for mind control gizmos and women.' That explained the crew; they literally were plucked off the street.

'Been in the game for...ehm, 10 years or so?' Sparkler grimaced. Mesmeri was one of the smaller fish. The only reamister she wasn't plain small fish was because she managed to elude capture so often. In 10 years, she had rarely seen the inside of a jail cell and never long enough to actually get a trial. 'But most of those times have been in the last few years; she's slipping,' the crime fighter reamistered.

With another handy tool from her belt, she carefully lifted a single pane of glass from the skylight. She secured the hook on her billystick so that it would detach if she yanked right.

After another quick survey to make sure she hadn't been spotted and to finalize her plan of attack, she jumped into the fray. The whir of the cable alerted the criminals when Sparkler was about halfway down, but that was alright; she'd counted on it.

She only held onto the baton with one hand, leaving the other free. Pointing it down and at the thieves, she didn't give them any warning or demand of surrender. A beam of intense, white light illuminated the people below her. Cries of shock and dismay filled the warehouse as the blinded women stumred around while Sparkler smugly landed on the floor. The lenses in her mask protected her from her own attack.

'Got every single one of them, even Mesmeri,' she gloated. Not that she was going to take any chances. With her billystick still reeling in its hooked end, she dashed forward and knocked out two of the disoriented women. Another, a latina, wearing a pantsuit of all things, had recovered enough eyesight to notice the superheroine and sprang upon her.

Sparkler didn't feel any need to coddle the mesmerized henchwomen. She planted her metal billy club in the woman's stomach. Mesmeri's thief folded over it then slumped to the floor, vomiting as she went down.

'Four left, and their eyes have recovered. Until I flash them again,' she added with a smile. Two of them were still blinking but all four had now turned to face the crime fighter. One of those four was Mesmeri and she was the only one who didn't assume a combat stance. The other three actually looked like they'd had some martial arts training, but Sparkler was confident she could take them.

"Welcome Sparkler! Nice of you to drop in," Mesmeri quipped.

Sparkler felt a flash of annoyance. She'd gotten the drop on the supervillain, so the superhero was supposed to start the witty banter. "Hello Mesmeri. Seems age is catching up to you, 'cuz you're losing."

Mesmeri didn't seem fazed and Sparkler cursed that faceless outfit. It obscured a lot of tells. "You don't know until you try," the villainess calmly retorted. "Girls, this woman is threatening me." She didn't add anything more but she didn't have to.

Like berserkers, the three women stormed Sparkler. The lack of coordination between them made the superheroine's job a lot easier. She simply deflected the kick of one of her attackers into the body of another, tangling those two up. A quick succession of palm thrusts disared the third, whom she then quickly used as a human shield to stop the needle Mesmeri had fired at her.

The woman's eyes fluttered and she sunk deeper into ***ness. Sparkler let go of the dead weight and brought her hands up to blind her remaining opponents when the sound of two people running echoed through the cavernous room.

"Hold it right there," a man behind Sparkler commanded. The sound of two guns being cocked punctuated the order. Turning her head slightly, she saw they wore blue uniforms.

'Security guards,' the crime fighter concluded. "Thank you for the assist but I have things well in hand. Why don't you call the police while I finish subduing them."

She had thought backup had arrived, so the security guards' next words came as quite the shock. "What are your orders, my Lady?" Sparkler could now feel the guns being aimed at her back.

"Fire on her if she moves without my say-so," Mesmeri ordered in that maddeningly unperturbed voice. A chorus of "Yes, my Lady" answered it.

'Stupid, stupid, stupid,' Sparkler berated herself. 'How did you think she would get the security systems deactivated, you dolt? She got to the guards and let them do it for her.' But there were only two; she could take them. She readied herself to move when Mesmeri's voice interrupted her.

"I wouldn't do that if I were you. Turn around and take a close look at the guards," the supervillain invited her.

Sparkler did so and grimaced at what she saw. Both men had tents in their trousers, but that wasn't what had made her grimace: it was the explosives strapped to each of their chests. And the wires which led from each guard's bomb to his right hand.

"As you can see, I have armed hostages. I am sure you could disarm them, but that will trigger the dead-man's switch. Even if you avoid the explosion yourself, even if you manage to take one out while keeping the bomb on him from going off, there is simply no way that you can prevent the other from shooting you as you keep pressure on that switch."

Sparkler gritted her teeth as a dozen plans were postulated, then discarded. 'Dammit, she's right. One of them is going to die even if I do everything right.'

"But there is a way you can save them both, a way that everyone can walk away from this..." the criminal's voice trailed off.

"Let you go, you mean?" The words tasted foul, and the first hints of offense began to color her thoughts. 'Instead of my first collared supervillain, this is going to be my first royal screw-up.' Getting innocent people *******ed, however, would be an even bigger screw-up. "But how could I possibly trust you?"

"Simple, you will hear my orders for the guards. You will closely listen as I order them to keep you here for an hour until, say, a watch beeps. Then they will disarm the bombs, lower their guns and forget they ever met me. Yes, I'm even throwing their free will into the pot. They'll be safe from me from then on. Well, as safe as anybody else." Her voice turned amused and Sparkler had to stamp hard on the burst of anger it triggered.

"Do we have a deal?"

Chapter II

Sparkler scowled as she stomped back to her bike. She'd just spent an hour standing still while two zoinked-out security guards held her at gunpoint. After that, she'd spent an hour with the police after she'd called them in. Having to admit to them that Mesmeri got the drop on her had not been fun.

She'd given them a description of the van and the women with her adversary, but that was everything she had. No names had been used and license plates had been missing from the vehicle. So the only good Sparkler had managed to do tonight was saving two people from getting blown up or arrested as accessories to the theft. Instead, they were admitted to the hospital to see if Mesmeri had kept her word.

Even the watch Mesmeri had used as a timer couldn't be used as a clue; it had belonged to one of the security guards. The bombs might give up a clue and of course the police would try and find out when and where the guards had come into contact with Mesmeri.

The superheroine consoled herself. 'At least they'll keep Mesmeri's involvement quiet for now. That should keep the League from sending "help" and give me time to right this mistake instead.'

Absent-mindedly, she deactivated the protective coverings on her bike and retrieved her helmet. She donned it while she climbed aboard. 'Better not go home right away. I need to calm down or I'll trash something. Probably something real expensive and way too delicate.'

Her helmet's systems turned on at the same time she started up the bike and a flickering display greeted her. The edges of her display were awash in psychedelic colors that flowed like waves. Less annoying was that the audio system had turned to her favorite radio station on its own.

Sparkler suppressed the urge to climb off the bike and kick it. Or bash her helmet against a wall. 'Argh, will anything go right tonight?!' Taking a few deep breaths, she tried not to think of Mesmeri for a moment. 'No, calm down. Just listen to the music and go for a ride.' Not that techno was calming music but it wouldn't leave her angry either. Just pumped. 'You'll feel better afterwards.' Oh yes, she knew just what she was going to do with that energy too. 'And then you can find Mesmeri and kick her shapely ass!'

That wasn't helping her control her anger, but it did direct her ire away from expensive things the crime fighter would have to ask the League to replace if she trashed them.

So she rode away from the scene of the crime and towards the highway. As she hit the I-41, the flickering settled down, leaving Sparkler to look at the world through a broken kaleidoscope. 'Don't think,' she reminded herself, 'just ride.'

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Amanda's bare feet paddled across the carpeted floor. Her smelly clothes lay forgotten on a pile next to the door. She'd just come out of the shower and her hair was still damp but she couldn't wait any longer. If she hadn't wanted to look her best for Mistress she wouldn't have even taken the shower.

She took a now familiar position on her chair, her legs thrown over armrests to better expose her snatch to the webcam. The seating was stained and still damp but she simply sat in it and waited for the computer to boot up. Activating the appropriate program her eyes went even softer as the screen showed a black-and-white spiral.

There had been a time when she would have just looked at it and shook her head. A time when she thought it foolish that something like that could magictize people. Now it sucked her in and owned her mind in a moment. Her hands began to type her report without conscious thought. She didn't know what she was typing, exactly, although she knew she had carried out her instructions successfully.

Having sent the message, she waited, her puffy sex already wetting from how unresisting she was, how completely automatic her compliance had become. Words appeared on the monitor. Amanda didn't really read them or remember what they said, but she understood them.

With a moan, she activated reward program 05 and shuddered as her well-trained mind began to imagine a s*******ful tongue swirling around her clit. Her mouth began speaking, reminding her whom she should be grateful to. "Thank you Mistress. For allowing me to obey. To obey is bliss."

In the middle of the screen, a display counted down the time she had left until the program completed.

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Sparkler drove straight through the wall and the short tunnel it hid. Behind her the powerfield came back on, hiding the fact that this was one of the entrances to her base. It wasn't large, and a lot of space was used up by a suitably-big screen hiding a powerful computer and a few other machines, like an automated med-bay.

Above her she had a basement apartment where she could be Emily West--something she did more than she originally hoped for when she took this assignment. On the other hand, she'd had a breakthrough in two cases because she used her Emily West permistera. It had its uses.

Bopping her head to the beat, she stepped off and made her way to the computer. Rainbow colors were still obscuring the edges of her vision but she'd gotten used to them. She took off her gloves and threw them on a workbench as she passed it. The protective gloves were great for fighting, but they made typing a real pain.

It wasn't until her head hit the backrest of her chair that Sparkler realized she was still wearing the helmet. 'And now I'm getting forgetful,' she thought, exasperated. There was no anger in the thought, though; that had drained out of her with the ride.

She had to blink after taking it off, a little disoriented by the sudden change in view. Removing her eye mask helped because it allowed her to rub her eyes. It didn't stop her from calling up Mesmeri's file. Emily wanted to get to know her opponent better.

The file's information was pretty much a more-detailed version of what she remembered from her briefing. She still skimmed it. 'Real name: Shelley Cook, former psychiatrist, mind control, planner, likes to recruit superheroes, highly intelligent, blah blah blah.' Really, no nugget of information that would point toward her likely hangouts. The League had only found one that was really Mesmeri's base, and it had been destroyed completely to cover her escape.

But the file did have something Sparkler had lacked. It gave her adversary a face. Mesmeri's hair was cut like her own but was raven black. Her features were mature, but she still looked good.

It was her eyes, however, that really drew Emily's attention. Brown, so dark they were almost black, staring into the camera without fear or anger. This had been taken after she'd been captured, which made the look of commanding confidence even more impressive.

There were more photos of Mesmeri, photos taken of her in action. Although most of that action consisted of her watching confidently as others fought for her, including several superheroes.

Emily clicked through them; they didn't tell her much. She did stop at one that showed gas being sprayed from her fingers into some unsuspecting cop. 'That makes two weapons she's got on her: dart launcher and gas dispenser. Both in her hands and both non-lethal.'