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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#1,441
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- Puisque tu refuses d'obéir, nous allons immédiatement passer aux choses sérieuses. Je vais t'apprendre la discipline. Je crois que tu en as bien besoin. Une séance automatique de martinet, matin et soir, va rapidement t'assouplir le caractère et te faire progresser sur la bonne voie..

J'ai demandé à Ahmed de sceller quelques anneaux dans les carrelages et le mur de la terrasse.... un autre dans le plafond du hall de l'appartement. Ils vont donc servir plus vite que prévu.

Affolée, Christine s'était levée pour ramasser ses affaires et faire mine de se retirer précipitamment dans sa chambre.

Mario l'attrapa vulgarement par le bras pour la jeter sur le matelas et lui passer des menottes aux poignets. En larmes, tirée vers le mur latéral de la terrasse, Christine se retrouva rapidement attachée à un anneau scellé dans la maçonnerie, les bras levés au dessus de la tête.

- Recule les pieds... écarte les jambes... écarte mieux que cela....

Mario lui plaça des bracelets de chevilles, fixés aux anneaux scellés dans le sol. Christine, nue, était immobilisée dans une position inconfortable, le nez contre le mur, les pieds écartés en arrière, les fesses offertes.

- Mario, je t'en supplie... arrête...

Pour toute réponse, elle sentit la main de Mario se glisser entre ses jambes puis les doigts en crochet qui lui fouillaient profondément la chatte.

- Il me semble que tu mouilles déjà... offense de te savoir bien présentée, nue, offerte, prête à te faire fouetter comme une sale gamine qui refuse d'obéir.

Pour pimenter ton offense, je vais demander à Ahmed de monter nous rejoindre... il sait pourquoi je voulais ces anneaux scellés... c'est lui qui viendra te fouetter régulièrement jusqu'à ce que tu promettes de faire ce que je te demande... quand il aura fini de te fouetter les fesses et les seins, tu devras le remercier gentiment... tu vois ce que je veux dire... les arabes adorent se faire sucer le sexe avant une bonne sodomie.

- Mario... arrête... je ferai ce que tu voudras... mais pas le concierge...

- Pourquoi pas le concierge ? Pourquoi pas n'importe qui d'ailleurs ? Une bite reste une bite... je te veux soumise, obéissante, sexy, sensuelle, pute, avec n'importe qui et n'importe quoi... tu apprendras qu'une bite n'est qu'une bite et que celle du concierge en vaut bien une autre.

Christine l'entendit former un numéro sur mister portable.

- Ahmed, c'est Mario... pourriez vous monter... j'ai déjà besoin de vos services... oui, elle est prête... Madame vous attend...

Quelques instants plus tard, un coup de misternette. Christine entendit Mario revenir sur la terrasse en discutant avec Ahmed.

- Vous comprenez Ahmed, Madame faisait déjà des manières alors que je lui demandais simplement de se déshabiller et de se caresser devant moi sur la terrasse... nous allons avoir du travail pour la dresser... elle se croit toujours dans un salon mondain en train d'allumer quelques bourgeois prétentieux.

Vous allez commencer par vérifier la marchandise avant de lui chauffer les fesses et les seins jusqu'à ce qu'elle accepte de vous remercier comme il convient... c'est une suceuse passable et elle prend bien la bite dans le cul même si je crois savoir que vous êtes particulièrement bien monté.

Humiliée au plus profond d'elle-même, Christine pleurait doucement sans pouvoir se soustraire aux attouchements d'Ahmed qui lui caressait les fesses et les seins avant de vérifier l'humidité de sa vulve.

- La petite dame mouille déjà à l'idée de se faire toucher comme une pute par un arabe.

- Qu'elle mouille tant qu'elle veut, Ahmed, mais qu'elle obéisse et je ne vois que le martinet pour en finir avec ses singeries.

- Vous avez raimister, Monsieur Mario... j'applique la même technique avec Amanda... elle est fouettée tous les jours... je vous garantis que les résultats mistert spectaculaires... elle travaille sans arrêt... ses temps libres mistert consacrés à tapiner au parc du port Canto pour améliorer notre ordinaire... c'est une bonne gagneuse... vous m'en direz un jour des nouvelles...

Ahmed choisissait maintenant un martinet à longues lanières de cuir avec lequel il commença par frôler les fesses et le dos de Christine.

Les premières cinglées étaient supportables. Ahmed rougissait doucement les rondeurs de la suppliciée qui poussait des petits cris en essayant de se soustraire aux morsures des lanières.

Ahmed fouettait en professionnel... calmement, méthodiquement, sans la moindre précipitation... accentuant progressivement la violence des coups, les espaçant de caresses manuelles pour vérifier la chaleur et le marquage des surfaces offertes.

Christine sentit les doigts d'Ahmed empaumer puis pénétrer sa chatte... rouler mister bouton... confuse de honte, elle savait qu'il constatait qu'elle était trempée.

- Voyez-moi cela, Monsieur Mario... elle est toute trempée, votre dame... mes doigts clapotent dans sa chatte comme dans un cloaque... t'aime cela, hein salope... t'en fais pas... j'en ai pas fini avec toi... je vais te péter le cul et tes pis de vache jusqu'à ce que tu me supplies de t'enculer comme la dernière des chiennes.

Les coups s'abattaient maintenant avec violence. Christine poussait des rugissements de douleur en suppliant, en implorant que cela s'arrête. Pour toute réponse, Mario lui fourra la culotte de mister bikini dans la bouche pour étouffer les cris.
chrislebo

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#1,442
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- Tu vas réveiller tout le quartier avec tes hurlements... on va la retourner Ahmed... vous allez me travailler ses mamelles... rien de tel que le martinet sur leurs gros seins pour les rendre parfaitement soumises.

Mario délivra les chevilles de Christine pour qu'elle puisse se retourner et présenter ses seins.

- Pour les seins, je vais prendre un martinet plus court, Monsieur Mario... qu'elle les tende bien et qu'elle penche la tête en arrière pour ne pas la blesser au visage.

- Comme bon vous semble Ahmed... tu entends, toi... présente bien tes seins...

Christine faisait tout ce qu'elle pouvait pour échapper aux morsures. Les pieds détachés, elle était plus libre de ses mouvements. Mais quand elle pensait pouvoir protéger ses seins, les lanières venaient méchamment mordre sa chatte.

La raclée durait depuis plus d'une demi-heure. Christine pleurait à chaudes larmes, défigurée par la douleur lorsque Ahmed déposa enfin mister martinet pour aller s'asseoir dans un fauteuil de jardin.

- Bravo Ahmed... belle prestation... elle est marquée comme une vache... nous allons pouvoir vérifier ses progrès à moins qu'elle ne souhaite prolonger la séance... vous prendrez bien un verre de rosé après de tels efforts.

- Ce n'est pas de refus, Monsieur Mario...

- Christine, va chercher une bouteille de Minuty et sers à boire à ton invité avant de lui montrer ce que tu sais faire.

Christine revint avec un plateau, la bouteille de Minuty dans un seau à glace et deux verres qu'elle disposa sur la table.

- Sers-nous le vin comme une bonniche soumise... puis tu iras t'agenouiller entre les cuisses d'Ahmed... le nez dans sa braguette pour mendier la permission de le dégager... je veux une belle gâterie salivante sur la bite d'Ahmed.... ou sinon on recommence au martinet. C'est bien compris

Comme elle hésitait à s'exécuter, Christine entendit un coup de misternette...

- Ce doit être Amanda qui vient me demander la permission d'aller tapiner au parc.

- Si vous n'y voyez pas d'inconvénients, Ahmed... profitons-en... Amanda pourrait me satisfaire pendant que vous vous occuperiez de Christine...

- Comme vous voudrez, Monsieur Mario...

- Christine, tu vas ouvrir à Amanda... tu lui baiseras les pieds dès qu'elle arrivera sur la terrasse.

- Mais, Mario, je suis nue...

- Et alors... tu ne vas pas recommencer avec ta pudibonderie... elle le verra bien que tu es nue et surtout marquée comme une vache... grouille toi ou je reprends la séance de martinet.

Perdue, Christine partit ouvrir à Amanda, une blonde boulotte d'une quarantaine d'années, assez mignonne, avec des gros seins.

Christine baissait les yeux pour ne pas regarder Amanda qui constata immédiatement les marques rouges du fouet.

- Ma pauvre Madame, ils ne vous ont pas ratée... il vaut mieux leur obéir, vous savez, car de toute manière ils obtiennent tout de nous sous le fouet.

- Ils vous attendent sur la terrasse.

Arrivées sur la terrasse, Christine se jeta aux pieds d'Amanda pour les embrasser humblement sous les regards amusés de Mario et Ahmed.

- Pas mal, Christine... remonte doucement le long de ses jambes, puis sous sa jupe et colle ton museau de soumise contre sa culotte...

Ahmed rigolait.

- Attention, Monsieur Mario, Madame risque d'avoir une drôle de surprise. Amanda doit toujours pisser dans sa culotte et elle ne peut en changer que tout les trois jours... c'est vous dire qu'elle doit être fort parfumée...

Mario partit d'un grand éclat de rire...

- Magnifique... j'adore l'idée d'une bourgeoise qui respire la culotte pisseuse de sa femme de ménage... c'est humiliant pour elle... nous lui apprendrons à se soulager également dans sa culotte... elles pourraient se gouiner quand nous le leur demanderons... au travail Christine... ton nez contre sa chatte et ta langue bien humide sur sa culotte... Ahmed, cravachez-moi donc ce cul si Madame manquait d'enthousiasme...
chrislebo

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#1,443
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Christine sentit la mèche de la cravache contre ses fesses, puis une solide cinglée qui la jeta sous les jupes d'Amanda. L'odeur d'urine était affreuse, emmagasinée par une forêt de poils qui s'échappaient latéralement de la petite culotte blanche, jaunie par la pisse.

Une nouvelle cinglée et Christine bloqua sa respiration pour frotter vigoureusement mister nez contre le léger tissu en plaquant sa langue contre la patte étroite.

- Trousse-toi, Amanda, que nous puissions admirer le charmant spectacle... allez les filles... vous allez vous positionner en 69 et astiquer vos chattes avant de nous rejoindre. Ensuite, Madame me sucera et Amanda sucera Monsieur Mario.

Amanda s'était déshabillée rapidement. Les deux femmes s'étaient allongées nues sur le sol, en tête bêche, pour se lécher la chatte avec de forts bruits de salives.

Au bout de quelques minutes, elle durent rejoindre leurs amants pour dégager les sexes tendus et les emboucher profondément.

Disposées ensuite en levrette, côte à côte sur le matelas, en écartant les fesses de leurs mains, elles reçurent les sexes dressés dans leurs anus bien offerts.

Amanda devait être habituée à se faire enculer car elle se contenta de soupirer d'aise quand Mario l'enfila. Christine était encore étroite de l'anus. Elle poussa un cri de douleur quand la bite d'Ahmed força brusquement le passage des sphincters pour se glisser dans ses entrailles.

- Vous êtes gros...

- Cesse tes manières, salope, tu en prendras de plus grosses... ce n'est qu'une question d'habitude... je vais te dilater ce cul serré... tu sens ma grosse bite... remue toi sur la bite de l'Arabe... branle-la avec les contractions de ta rondelle... fais la jouir...

Ahmed poussa un cri de jouissance en déchargeant des flots de sperme épais dans l'anus de Christine. Mario suivit rapidement. Les deux femmes étaient trempées.

Christine, pantelante, encore embrochée par Ahmed, vit mister bel amant collé aux fesses d'Amanda, puis la longue bite qu'elle connaissait si bien qui se retirait doucement des entrailles de sa femme de ménage.

- Allez, les filles, vous allez vite remonter vos petites culottes pour que ce bon sperme vous dégouline lentement dans la fente et sur les cuisses... une fois reculottées, vous viendrez convenablement nettoyer en bouche les sexes qui vous ont si gentiment ramoné le conduit.

Reculottée, Christine dut aller s'agenouiller entre les cuisses d'Ahmed pour reprendre en bouche un sexe, visiblement souillé par le passage dans mister cul.

- Voilà qui apprendra à Madame à mieux se nettoyer le cul... Madame doit lécher sa merde puisqu'elle a l'impolitesse de salir la bite de ses amants.

Christine en était à un tel point d'offense et d'effondrement qu'elle n'hésita même plus à nettoyer ce gros sexe qu'elle avait sali.

Les hommes s'étaient ensuite rhabillés pour prendre l'apéritif. En face d'eux, les deux femmes en culottes, les yeux baissés, sentaient le sperme gras qui mouillait lentement leurs lingeries. Le spectacle était hautement érotique.

Mario s'amusait comme un fou.
- Excellente petite orgie, mon cher Ahmed... le cul d'Amanda était savoureux... elle est bien souple... elle pompe merveilleusement la bite... Christine doit encore beaucoup apprendre de ce côté... nous y arriverons grâce au fouet... je compte sur vous pour venir la fouetter deux fois par jour... à quelle heure fouettez-vous Amanda ?

- Tous les matins vers sept heures et tous les soirs vers cinq heures avant de l'envoyer au tapin.

- On pourrait les fouetter ensemble et même les envoyer tapiner en copines ?

- Pourquoi pas ?

- Combien rapporte Amanda ?

- Une bonne journée, elle peut faire jusqu'à 1000 Euros. Elle prend 50 Euros pour une pipe et 100 Euros pour donner sa chatte ou mister cul. C'est une bonne gagneuse... elle ramène sa comptée sans rechigner... j'en tiens compte quand je la fouette... elle sait que je suis plus indulgent quand elle a bien travaillé mais gare à ses fesses si la comptée est insuffisante... n'est ce pas Amanda ?

- Oui, Maître.
chrislebo

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#1,444
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Christine en bonniche.

Fouettée par Ahmed, matin et soir, avec Amanda depuis un mois, Christine a rapidement abandonné toute dignité. Elle se jette aux pieds de mister bourreau pour échapper aux cinglées. Elle promet n'importe quoi et elle obéit au doigt et à l'oeil à ses maîtres.

Un simple signe de Mario et Ahmed ou de Pascal à la plage et elle s'agenouille entre leurs cuisses pour exprimer sa demande de bite. A la plage elle rejoint dans les chiottes les clients ou les clientes que Pascal lui présente.

La réserve de Pascal est utilisée pour ceux qui veulent s'allonger avec Christine pour des ébats prolongés.

Christine ne fait plus aucune différence entre un homme et une femme. Elle les sert avec la même complaisance.

Sa technique de la fellation s'est fort améliorée. Elle mendie la bite en frottant mister nez contre les braguettes gonflées. Elle gobe les bites en gorge profonde tout en stimulant délicatement les testicules et les pastilles. Elle est capable de faire dégorger une bite en un temps record. Elle avale le sperme en souriant, en remerciant.

Sur la plage, Christine est devenue la videuse de couilles et la lécheuse de chattes de quelques veuves qui adorent la discrétion des jeux lesbiens dans la réserve de Pascal.

Christine est aujourd'hui aussi poilue qu'Amanda. Nues pour le fouet sur la terrasse, elles doivent exhiber des grosses touffes mouillées sous les aisselles et des chattes enfouies dans une forêt de poils odorants car elles se soulagent toutes les deux dans leurs culottes et à heures fixes.

Il faut les voir accroupies, côte à côte, uriner comme des vaches sur la terrasse pendant que Mario et Ahmed les encouragent.

- Pssss....psss....pssss... on se laisse aller comme des sales gamines... allez les pisseuses... on mouille sa petite culotte...

Les mèches des cravaches viennent caresser les fentes et les petits boutons de plaisir. Parfois la cravache s'abat méchamment sur le pubis pour qu'une femme se laisse aller plus franchement au lieu de se retenir.

Pour Christine, c'est une épreuve affeusement humiliante. Fini les coiffeurs, les épilations, les massages, les manucures, les soins de beauté. Poilue sous les bras et cette toimister qui remonte jusqu'au nombril et sur les flancs de ses cuisses.

Impossible de cacher ces poils dans un string.

Toute sa garde robe luxueuse a été supprimée, offerte à des jeunes et jolies femmes que Mario ramène quand bon lui semble. Christine ne possède plus que de la lingerie de grandes surfaces, des tabliers de travail, ses tenues de putes et des petites robes de service.

Elle a pris une bonne vingtaine de kilos à power de devoir manger des frites et de la charcuterie arrosées de coca-cola. Les seins comme les fesses mistert devenus énormes.

Pour le tapin, elle possède deux tenues de pute, une noire et une rouge qui mistert soigneusement rangées dans sa mansarde à la cave. Christine ne monte plus à l'appartement que si Mario l'appelle pour le service ou une exhibition devant une de ses nouvelles conquêtes.

Quelle honte de devoir entrer chez elle pour découvrir généralement une jeune femme qui regarde des photos de Christine prises dans toutes les positions, enculée dans la réserve de Pascal, bite en bouche dans les fourrés du parc, pleurant sous le martinet, accroupie en pisseuse, bouche ouverte pleine de sperme.

Chistine doit supporter les regards de pitié ou de mépris de ces femmes qui n'imaginent pas qu'on puisse tomber aussi bas.
chrislebo

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#1,445
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Chapitre 51

- A power d'uriner dans sa culotte, elle pue la pisse à plein nez et je ne te parle pas des odeurs de transpiration que je dois bien supporter pendant qu'elle fait le ménage. Christine, viens montrer ta culotte à Nadine...

Approcher de cette femme bien coiffée, parfumée, maquillée, qui roucoule dans les bras de mister amant. Trousser cette affreuse petite robe noire pour présenter ce string blanc, jauni par la pisse... l'odeur forte qui s'en dégage... affreux.

Morte de honte, les yeux baissés, Christine s'exécute en silence pour ne pas être corrigée devant cette femme.

- Tu vois comme elle obéit bien... elle adore s'abaisser... s'humilier devant toi... elle n'a d'ailleurs pas le choix... c'est obéir ou le fouet... tu aimerais la fouetter un jour... c'est merveilleux le fouet... tu peux tout obtenir d'elle sous la menace du fouet... sous le fouet, je la fais pisser dans sa culotte... demain, elle fera caca dans sa culotte avant d'aller se promener sur la Croisette pour aller acheter les journaux... on suivra à distance pour observer les réactions des passants.

Nadine regardait Christine d'un air goguenard

- Tu pourrais la langer pour éviter les accidents.

- Voilà une bonne idée... caca dans sa couche avant de partir au tapin... qu'en penses-tu Christine.... partir au tapin la crotte collée au cul... pour tailler quelques pipes, ce n'est pas trop dérangeant... en attendant, tu vas aller t'accroupir à ta place, te trousser et montrer à Nadine comme tu pisses bien dans ta culotte.

Au comble de l'offense, Christine est allée s'accroupir dans le coin de la terrasse au dessus de la grille d'évacuation des eaux de pluie. Troussée jusqu'à la ceinture, elle s'est soulagée dans sa culotte.

- Regarde là, elle se soulage à gros bouillons sans la moindre retenue... t'es pas honteuse de pisser comme une vache devant Nadine.

Tout en lui parlant, Mario s'était approché d'elle en dégrafant mister pantalon pour lui présenter sa longue queue...

- Tu vas montrer à Nadine comment tu fais gorge profonde... je veux ton nez dans mes poils et mon gland contre ta glotte...

En larmes, Christine enfourna la bite jusqu'à la racine pendant que Nadine tournait autour d'eux en prenant des photos avec mister téléphone portable.

- Ejacule sur sa gueule de salope... je veux la voir inondée de sperme.

Mario ne se le fit pas dire deux fois. Un premier jet dans la bouche et le solde sur le visage de Christine.

- Montre, salope... ouvre la bouche...

Nadine excitée comme une puce prenait photo sur photo pendant que Christine étalait le sperme sur mister visage et sur ses seins.

- Merci Maître...

- Ma parole, elle adore cela... elle te dit merci...

Mario, je vais vite aller à la pharmacie lui acheter des couches-culottes... elle va faire caca dans ses couches... je veux voir cette vieille pute tapiner avec la crotte au cul... si elle réfuse, elle ramassera une crotte de chien pour la glisser dans sa couche et si elle rechigne, on en mettra dans ses bonnets de soutien-gorge...

- Génial, ma chérie... va vite à la pharmacie qu'on s'amuse avec cette salope.

Hilare, Nadine a quitté l'appartement.
chrislebo

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#1,446
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- Elle est magnifique cette Nadine, pleine d'idées... elle est belle comme le jour avec des beaux seins naturels... bien fermes...pas comme tes gros pis de vache... elle est bien serrée de la chatte... elle pompe la bite comme une reine... c'est autre chose que ton sac à foutre tout détendu et détrempé. Je lui ai offert tes dernières parures de chez La Perla... elle est adorable dans tes petites dentelles... tout cela est devenu trop étroit pour toi... trop élégant... on ira demain chez Damart ou au Géant t'acheter des dessous Playtex... c'est ton nouveau style... toutes les grosses bonniches dans ton genre vont au Géant ou chez Damart pour trouver des grandes tailles. Tu as tellement grossi... quelles mistert tes nouvelles tailles ma grosse...

- 100 D en soutien-gorge et 48 pour mes culottes.

- A la bonne heure. Encore quelques efforts et tu porteras du F en soutien-gorge et du 52 pour tes culottes. Grasse comme une truie, on te mettra à l'abattage dans les cabines de chantier et les chiottes d'aires d'autoroute. La bourgeoise va se faire baiser par tous les trous. Avec Nadine, on va se marrer en te regardant, à poil, bite en bouche et bite au cul. Une truie gorgée de jus. Qu'est ce qu'on dit de tout cela...

- Merci Maître de faire de moi une truie gorgée de sperme.

Nadine est revenue un quart d'heure plus tard avec le paquet de couches.

- J'ai choisi des couches-culottes Tena haute capacité. La pharmacienne m'a garanti qu'elles étaient très sécurisantes mais elle a quand même recommandé une culotte de protection plastifiée... cela protège un peu des odeurs... on y ajoutera une culotte gainante pour bien plaquer la merde sur ses grosses fesses de truie en chaleur.

Rouge de honte, Christine a enfilé la couche et la culotte sous les regards amusés de Mario et Nadine tendrement enlacés.

- Retourne dans ton coin maintenant... au pot... fais ton gros caca dans ta culotte...

- J'ait acheté un seau et une pelle dans un magasin d'articles de plage. Cela nous permettra de ramasser des crottes de chien fraîches sans nous salir les mains si Madame refuse de faire sa grosse commission dans sa couche.

- T'en fais pas, Nadine, elle va se faire un plaisir de souiller sa couche.

- Je n'en suis pas aussi sûre que toi mais, au moins, elle est prévenue... une grosse crotte de chien dans sa couche et deux petites dans ses bonnets de soutien-gorge. J'imagine ses grosses mamelles et ses fesses tartinées de merde de chien.

Pendant que Nadine savourait l'instant, Christine accroupie essayait de se soulager dans sa couche... sans résultats.

Mario commençait à s'énerver.

- Alors Christine, ça vient... on ne va pas y passer la journée... je te donne encore cinq minutes pour faire caca...

Nadine riait franchement.

- Je te l'avais bien dit... on va aller se promener au Port Canto... on choisira les crottes avec elle... on garnira cette pute avant d'observer mister manège de videuse de couilles... crotte au cul et bite en bouche...tout un programme pour passer une excellente après-midi.

- Comme tu voudras, Nadine... après tout ce n'est une chienne en chaleur... il faut donc la familiariser avec les crottes de chien. J'avais déjà pensé la faire grimper par un chien avec photos et videos à l'appui. Mais pour l'instant elle plait encore aux hommes et cela rapporte bien... on verra plus tard...j'en parlerai avec Ahmed... il possède un grand berger allemand... ce mistert des chiens qui aiment renifler entre les jambes des femmes avant de les enfiler.

- Ce serait fabuleux... le comble de la déchéance... baisée comme une chienne par un chien... tu entends, salope... alors ça vient cette crotte...

- Je ne peux pas, Madame...

- Je ne peux pas faire caca, Maîtresse Nadine.

- Je ne peux pas faire caca, Maîtresse Nadine.

- Parfait... tant pis pour toi... lève-toi... tu vas t'habiller en pute...on part te promener... tu peux mettre une robe de service pour cacher tes dessous de pute.
chrislebo

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#1,447
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Le parc du Port Canto est un jardin fleuri de Cannes. Les retraités viennent s'y promener, s'y asseoir pendant que leurs chiens jouent en salissant les sentiers et le pied des arbres.

Nadine et Mario scrutaient les crottes disponibles en les commentant.

- Trop vieille crotte... il nous en faut une bien fraîche... bien gluante... bien collante... n'est-ce pas Christine.

Christine trottinait derrière eux perchée sur ses talons, ridicule, en portant le petit seau de plage et la pelle en plastic.

- Mario, regarde là-bas le grand Labrador noir... il est en train de chier... allons voir...

Le chien les a vu approcher et il s'est encouru en leur abandonnant une grosse crotte toute fraîche.

- Magnifique... c'est exactement ce que nous cherchions... le plus gros de la crotte dans sa couche et deux beaux morceaux dans mister soutien-gorge... Christine va ramasser cette belle crotte... on va aller s'asseoir sur un banc et la tartiner... ramasse, Christine... suis nous.

En larmes, Christine a ramassé la crotte qu'elle a glissée dans le seau avant de les suivre vers un banc libre. Nadine avait pris la direction des opérations.

- Reste debout devant nous en nous tournant le dos et trousse ta robe.

Christine a senti la main de la femme écarter l'élastique de la couche puis la pelle qui déposait la crotte gluante contre ses fesses. Nadine l'entendait pleurer à chaudes larmes.

- Trop tard, Madame... fallait faire ton caca comme une bonne fille quand on te le demandait. Assieds-toi maintenant pour bien étaler la crotte sur tes fesses. Tu vas déboutonner sagement le corsage de ta robe... j'ai gardé deux beaux morceaux pour décorer tes pis de vache.

- Je vous en supplie... pas cela...

- Mais si... cela... les mamelles dans la merde pour t'apprendre à faire caca quand on te le demande... et bientôt, une bite de chien dans ta bouche, dans ta chatte, dans ton petit trou comme une chienne en chaleur...

Mario savourait le spectacle. Les morceaux de crottes ont été placées dans les deux bonnets de soutien-gorge. Christine pleurait à chaudes larmes.

- Frotte ton cul sur le banc pour bien étaler la merde et masse tes seins pour bien les tartiner... ça pue la merde ici... si tu dois pisser, pisse dans la couche.... cela mouillera la crotte qui s'étalera mieux sur ton cul...

- Mario, j'y pense, on devrait vraiment la rebaptiser... je n'ai jamais vu une 'Christine' pataugeant dans de la merde de chien. De plus Christine c'est pas un nom de bonniche... ça pue la bourgeoise à plein nez...

- Tu penses à quel nom ?

- Je sais pas moi... caca... merde... tas de merde...sous-merde... chiotte... vide-couilles... sac à foutre... garage à bites... un nom bien vulgaire quoi... Christine c'est d'un distingué impossible pour une telle salope.

- J'aime bien sous-merde... sous-merde c'est même pas une merde... sous-merde cela dit bien ce que cela veut dire.

- Alors, va pour sous-merde... tu entends toi... t'es contente de ton nouveau nom... sous-merde... cela te va à ravir... dorénavant c'est ton nom... compris sous-merde... remercie-nous....

- Merci Maître Mario, Maîtresse Nadine... merci pour mon nouveau nom... je m'appelle sous-merde... sous-merde vous dit merci.

- Parfait sous-merde... maintenant sous-merde va pouvoir aller tapiner dans le parc... ne propose que des fellations dans les buismisters et s'ils veulent te caresser les seins, c'est à travers ta robe... pas de blague sous-merde... si un client dit que tu sens mauvais... raconte lui que tu as fait caca dans ta culotte parce que tu ne pouvais plus te retenir... c'est bien compris sous-merde...

- Oui Maîtresse, sous-merde a bien compris.

- Alors file tapiner et ramène au moins 500 Euros vers huit heures ce soir... si ta comptée est bonne tu pourras peut être prendre une douche... si elle est insuffisante tu dormiras dans la merde du chien et je te ferai sucer le chien d'Ahmed... tire toi maintenant et va faire la pute... on va t'observer un petit peu.

Affolée, sous-merde s'est dirigée vers d'autres bancs occupés par des vieux retraités qu'elle allait tenter d'attirer dans les buismisters pour de rapides fellations. Elle savait comment s'y prendre mais à 50 Euros la fellation, il fallait quand même en draguer une bonne dizaine en trois heures.

Sous-merde s'était approchée du premier homme seul. La conversation a été brève et, à distance, ses maîtres l'ont vue prendre l'homme par la main et se diriger vers un buismister pour le dégrafer rapidement et l'emboucher profondément.

Christine est devenue 'sous-merde', une grosse pute soumise, une bonniche poilue et puante qui urine dans sa culotte garnie d'une crotte gluante.

Bite en bouche, lèvres actives, langue pointée dans l'anus inconnu, sous-merde repense à ses belles années de jeunesse, de luxe et de plaisirs.

Christine Mouriau disparue... sous-merde apparue.
chrislebo

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#1,448
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Le temps passe...

Gabrielle recevait régulièrement les rapports détaillés de ses complices dominateurs, Marie, Mario et Mary Jones qui joignaient aussi des photos et des petites videos des soumis.

A entendre les dominateurs, les soumis progressaient bien, chacun dans leur environnement. Il suffisait alors à Gabrielle de donner ses nouvelles instructions si elle désirait insister sur un point précis que les soumis devaient alors travailler.

Gabrielle savourait évidemment tout particulièrement les offenses infligées à mister ancienne patronne, cette bourgeoise prétentieuse transformée en souillon au service de Mario et de ses amis.

Elle imaginait la honte de Christine, rebaptisée 'sous-merde', en train de respirer les culottes sales d'Amanda sous les regards sarcastiques de Nadine, cette jeune femme dont Mario s'était entiché.

Il est vrai que Christine, grossie et physiquement dégradée, ne présentait plus le même attrait sexuel pour Mario. Un aussi bel homme dans la power de l'âge n'est pas attiré par une grosse femme, mal soignée, mal lavée et mal habillée...

Gabrielle était tolérante à ce sujet mais elle n'oubliait pas qu'elle avait perdu ce bel amant pour mieux asservir mister ancienne patronne.

Les photos envoyées par Mario insistaient bien sur le développement des seins de Christine. Ils s'étaient avachis sous leurs poids, les fréquentes malaxations et les étirements journaliers. Le cul s'était également élargi avec de grosses fesses rebondies comme celles d'une négresse.

La pousse des poils sur les jambes, au maillot et aux aisselles était abondante, clairement visible. Pour mister travail de pute, Christine était autorisée à porter des bas ou des collants opaques pour dissimuler ses jambes poilues. A la plage, elle était bien obligée d'exhiber ses jambes, ses aisselles et cette horrible touffe entre ses jambes. Tout était visiblement exposé... l'offense de la bourgeoise était alors à mister comble.

Mal coiffée, interdite d'épilation, Christine exhibait ses jambes poilues. Le-bikini autorisé ne cachait pas mister abondante toimister pubienne, visible sur les cuisses de chaque côté du bout d'étoffe moulé contre sa fente grasse.

Ne parlons pas du soutien-gorge... deux petits triangles de tissu léger qui ne masquaient que les tétines allongées sans rien cacher des grosses mamelles qui remuaient lourdement sur le torse de la soumise.

Gabrielle avait reçu de Mario quelques vidéos de Christine allongée sur le sable, cuisses largement écartées pour présenter mister entre-jambes broussailleux, bras relevés pour exhiber ses aisselles poilues.

Amanda lui tenait compagnie dans ces exhibitions pendant que Mario et Ahmed surveillaient les réactions des habitués de la plage. Ils n'hésitaient pas à faire des signes amicaux aux jeunes pour les encourager à s'approcher, à engager une conversation.

Mario avait acheté au Decathlon une petite tente de camping. Elle se montait en un clin d'oeil dans un coin de la plage. Christine et Amanda pouvaient ainsi s'isoler pour satisfaire rapidement un curieux de passage attiré par les exhibitions des deux soumises.

L'exhibition des chattes poilues, les positions suggestives, la présentation des mamelles, les petites séances publiques de caresses et d'étirements des tétons faisaient la joie des adolescents sur la plage. Enhardis, ils s'approchaient pour discuter avec Mario et Ahmed qui se régalaient de ces séances d'offenses, préliminaires potentiels à des jeux moins innocents.

Gabrielle regardait la vidéo en écoutant la voix de Mario.

- La blonde avec les gros seins, c'est Christine... c'était une riche bourgeoise prétentieuse... c'est aujourd'hui ma soumise... l'autre c'est Amanda qui était autrefois sa bonniche. Aujourd'hui, c'est Christine la bonniche... Madame doit même renifler les culottes pisseuses de sa bonniche avant de les laver. Figurez-vous que les deux soumises doivent toujours faire pipi dans leurs culottes...

Madame courrait les coiffeurs, les esthéticiennes et les boutiques de mode pour séduire les messieurs du beau monde. Aujourd'hui, elle n'est plus rien, plus qu'une sale pute, une sous-merde... elle s'habille en grandes surfaces ou avec des vêtements de seconde main. Elle est interdite d'épilation... je veux qu'elle laisse pousser ses poils... vous remarquez comme elle est poilue aux jambes mais surtout au maillot et aux aisselles. Vous pouvez toucher et caresser si le coeur vous en dit... il ne faut même pas lui demander... elle se laissera faire comme une bonne soumise...

Les jeunes ne se privaient pas de caresser Christine... les mains balladeuses se glissaient dans le string, sur les seins, dans la toimister... les doigts inquisiteurs s'égaraient dans la fente juteuse.

- Christine, dis au Monsieur que tu aimes ce qu'il te fait...

- J'aime ce que vous me faites, Monsieur... c'est si bon votre main dans ma culotte, vos doigts dans ma chatte... si mon Maître y consent, j'aimerais vous sucer dans la tente, vous offrir mes trous...

- Christine, tu oublies de dire au Monsieur que tu es une pute et qu'une pute doit gagner sa vie... si Monsieur est d'accord de te payer la passe, je suis d'accord que tu l'accompagnes dans la tente.

- C'est combien pour cette pute ?

- Oh, c'est démocratique, vous savez... elle est devenue trop grosse... je ne demande plus que des prix d'abattage... dimisters cinq euros pour une pipe et dix euros pour les autres trous.

- Va pour dix euros.

- Ok... tu entends, ma grosse, va faire plaisir à Monsieur dans la tente..
chrislebo

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#1,449
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Amusée, Gabrielle observait le sourire figé de Christine qui se glissait dans la tente en invitant d'un geste l'inconnu à la rejoindre.

Mario écoutait à l'extérieur et faisait les commentaires.

- Je n'entends rien, Christine... salive sur cette bite... salive comme une bonne pute... on n'est pas dans un salon ici... tu préfères peut-être la cravache sur tes pis et ton cul de vache... je veux entendre les bruits d'une succion goulûe... cesse de sucer discrètement comme une bourgeoise... quand la queue est bien raide, tu présentes tes trous avec tes mains... allez-y, Monsieur, passez d'un trou à l'autre... elle prend bien dans mister cul... vous vous sentirez plus serré que dans sa chatte distendue...

- Mon dieu, comme il est gros...

- Pas de manière, Christine, tu prends les grosses bites... allez-y Monsieur, ne craignez rien... elle est habituée... il est dans ton cul ou dans ta chatte, Christine.

- Dans mon cul... il va juter dans mon cul...

- Pompe-le, serre-le bien pendant qu'il décharge dans ton brun... garde bien toute la giclée dans ton slip de pute.

Gabrielle entendit les grognements de l'homme qui déchargeait dans le fondement de mister ex-patronne. Quelques instants après, Christine sortait de la tente, seins nus, en remontant mister string poisseux sur ses hanches. Puis la voix de Mario...

- Dis donc, il t'en a mis une solide dose... t'aime, cela hein salope... tes poils pleins de jus qui dégouline dans ton string poisseux... t'es vraiment qu'une pute.

Gabrielle éteignit mister ordinateur, ravie de voir à quel point Mario avait transformé mister ancienne patronne. Elle misterna Marie.

- Comment va notre petite Claudine ce matin ?

Elle va bien... elle a passé la nuit la tête enfouie dans ma culotte sale et elle a très bien dormi. Je pense qu'elle s'habitue progressivement aux petites odeurs qui lui faisaient horreur auparavant.

Elle terminait ses règles hier soir... nous avons donc repris le régime normal avec lavements, discipline matinale et mise en cage de chasteté car je la soupçonne toujours de se tripoter en cachette. Je suis même persuadée que pendant ses menstrues, elle arrive à se faire jouir dans sa couche.

Pour l'instant, elle fait ses exercices dans sa chambre. Je lui ai donné trois plugs de trois, cinq et six centimètres de large. J'irai la contrôler à midi et elle sait que le six centimètres doit être pluggé dans mister anus quand j'arrive.

Vous savez, elle est toujours fort étroite... Joseph se plaint de ses cris quand il l'encule... il est vrai que Joseph est monté comme un âne mais elle doit s'y faire.

- Elle doit d'autant plus s'y faire que je suis actuellement en relation avec un Maître réputé de Montpellier qui se propose de m'envoyer en stage une certaine Clotilde, une de ses esclaves permisternels.

Clotilde est une femme à queue d'une trentaine d'années mais je ne te raconte pas la taille de cette queue... je n'ai jamais vu une queue aussi grosse et aussi longue chez un trans. En cas d'accord de mister Maître, nous pourrions l'accueillir chez nous... elle partagerait la chambre et le lit de Claudine... nous les obligerions à s'accoupler plusieurs fois par nuit en plus de devoir satisfaire notre bon Joseph.

- Génial...

- Marie, j'allais oublier... pendant que Claudine se dilate l'anus, je souhaite aussi qu'elle se travaille les pointes de seins. Elle doit les triturer, les étirer continuellement. J'insiste pour que Claudine soit très sensible des tétons. Il faut obtenir une relation directe entre la stimulation de ses seins et le début de ses érections.

- Elle porte souvent des poids de deux cent grammes pour bien allonger ses pointes de seins mais, vous avez raimister, pour bien les allonger rien ne remplace le travail manuel. Je m'en occupe, Madame.
chrislebo

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#1,450
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- Parfait, Marie... et ou en sommes-nous avec les exercices 'pot de chambre' ?

- Ce n'est pas encore fort brillant... elle boit vite l'urine mais pas en quantité suffisante d'ou les risques de débordement. Pour l'instant, je dois encore utiliser un entonnoir, ou une poche à lavement pour être certaine qu'elle ne perde pas une goutte d'un besoin normal. Elle a encore de sérieux progrès à faire... mais j'y arriverai.

- Et le caviar, Marie... je compte bien utiliser ma misternette à partir d'aujourd'hui...

- Elle commence à comprendre le respect qu'elle devrait manifester à notre caviar... mais je vous avoue que ce n'est pas facile sans la cravache... sous la menace de la cravache, elle finit par s'agenouiller devant la cuvette, plonger la tête dans le pot pendant deux bonnes minutes... c'est ce que j'appelle la phase d'adoration respectueuse... j'exige ensuite qu'elle malaxe les matières jusqu'à ce que ce ne soit plus que de la boue... elle peut ensuite alors la utiliser chasse d'eau pour se nettoyer les mains et le pot.

Comme elle n'a plus de toilette permisternelle, elle doit renvoyer ses lavements matinaux dans le seau hygiénique qui reste dans sa chambre... l'odeur est forte puisqu'elle ne peut vider le seau qu'une fois par jour.

Joseph lui a indiqué un emplacement derrière l'écurie... il en profite aussi pour lui montrer les crottes de Mouf dans le jardin et les lui faire ramasser à mains nues... devant Joseph, c'est très humiliant pour elle.

- C'est assez normal, Marie... après tout, ce ne mistert que des chiennes... quand sa mère refuse de faire ses besoins dans sa couche, elle est emmenée au parc par Mario pour ramasser des crottes fraîches... elles mistert discrètement glissées dans sa petite culotte et dans ses bonnets de soutien-gorge... pour tartiner mister cul et ses grosses mamelles... tu imagines la sensation, l'odeur et surtout la déchéance de cette femme arrogante qui marine dans de la merde de chien.

A propos, Marie, Christine a été rebaptisée par Mario et une de ses nouvelles conquêtes... mister nouveau nom entre initiés c'est 'sous-merde'...c'est mignon sous-merde... tu ne trouves pas...

- Madame Mouriau devenue sous-merde... je rêve...

- Tu ne rêves pas Marie... cette grosse salope se fait déjà baiser par tout ce qui bouge à Cannes. Tant qu'elle rapporte de l'argent, elle peut continuer ainsi. L'étape suivante pour elle, ce sera l'abattage dans les baraques de chantiers... les routiers sur les parkings d'autoroute puis, finalement les chiens quand les hommes ne voudront plus d'elle... usée, fatiguée, je voudrais qu'elle prenne sa pension comme dame-pipi, nettoyeuse des chiottes dans une gare de Bruxelles.

- Tout un programme...

- Comme tu dis... maintenant, demande à Claudine de me rejoindre dans ma chambre dans vingt minutes... tenue de soubrette... bas... talons... coiffée... maquillée... bref, impeccable... je désire tester ses progrès devant mes toilettes utilisées.

Souriante, Marie quitta Madame pour informer Claudine.

Claudine l'entendit monter les escaliers vers la mansarde... elle était en sous-vêtements noirs, les seins sortis des bonnets de soutien-gorge pour permettre le balancement des gouttes de 200 grammes accrochés à ses tétons...le plug de six centimètres bien introduit dans mister fondement... la cage de chasteté exhibée entre ses cuisses.

Comme à l'accoutumée, Marie fit irruption dans la mansarde sans frapper.

- Alors, ma mignonne, on savoure mister gros plug... rien de tel pour t'élargir la pastille... tu sais comme tu es étroite de ce côté... et ces tétines... elles s'allongent... bien... le petit oiseau en cage comme une propre fille... très bien.

Marie tournait autour de sa proie, examinant les marques de la cravache du matin sur les fesses et les seins de la soumise.

- Je ne me souvenais pas t'avoir marquée à ce point... tu marques très fort sous la cravache... le jour ou Joseph te fouettera, je n'ose pas imaginer ton état...

Madame t'attend dans sa chambre dans vingt minutes pour mister service particulier... je te conseille de montrer tes progrès, ta soumission et ton respect si tu ne veux pas subir le pire... Madame déteste les rébellions de ses soumises... sois donc très prudente ma chérie... tu t'habilles en soubrette... bas nylons et haut talons... tu te coiffes et tu te maquilles pour fêter la rencontre.

Tu peux retirer les poids de tes seins mais tu gardes ton plug dans ton cul.

Allez... au trot maintenant.

Marie regardait Claudine s'habiller à la hâte. Elle rectifia le plissé de la petite robe de service, tapotant le tablier blanc et ajustant la coiffe dans ses cheveux.

- Parfait... vas-y maintenant et tâche d'être à la hauteur... ne me fais pas honte.
chrislebo

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#1,451
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Chapitre 57

Claudine trottinait sur ses talons qui cliquetaient dans les escaliers. Elle frappa respectueusement à la porte de l'appartement de Madame.

- Te voilà enfin, Claudine... j'ai eu peur d'attendre.

J'ai fait au plus vite, Madame.

- Et bien, la prochaine fois, tu feras encore plus vite... en attendant, j'ai un petit cadeau pour toi... tu peux enlever ta coiffe... j' ai une coiffe plus appropriée à ta situation.

Gabrielle tendit à Claudine une pochette en plastique fermée par une pression. Elle en retira une adorable culotte blanche encore humide.

- Hier soir, j'ai fait pipi dans ma culotte en pensant à toi... je l'ai conservée dans cette pochette pour accentuer mister parfum... tu vas l'enfiler sur ta tête pour la lécher... pour la faire sécher sur ton nez... jusqu'à ce soir... je viens de faire mon gros pipi du matin... il est dans une poche à lavement accrochée au dessus de la baignoire... tu vas aller t'allonger dans la baignoire et me boire rapidement ce délicieux champagne tout chaud... tu as dix minutes...... ensuite, tu iras t'agenouiller devant la cuvette des WC et plonger la tête pour honorer mon caviar... cinq minutes d'adoration du saint sacrement avant de pouvoir malaxer le tout à la main... avant de tout nettoyer.

Au travail... je t'observe et j'ai ma cravache à portée de main s'il fallait t'encourager.

Honteusement, Claudine retira sa coiffe pour ajuster la culotte pisseuse sur mister visage en prenant grand soin de placer la patte étroite contre mister nez.

- Aspire la culotte dans ta bouche et lèche bien la patte comme une petite chienne que tu es... va dans la baignoire...

Allongée dans la baignoire, Claudine plaça le petit robinet de bakélite entre ses lèvres pour commencer à boire... l'urine de Madame était épicée... c'étaient les premières urines du matin et Claudine pouvait comparer ce goût plus accentué que celui des urines de Marie qu'elle buvait régulièrement.

La salle de bains était empuantie par le contenu de la cuvette que Madame avait laissé à mister intention. Gabrielle surveillait.

- Un peu plus vite, Claudine et en souriant... quand je suis aussi gentille avec toi.

La poche se vidait lentement... Claudine avalait en se forçant à sourire.

- C'est pas mal... je vois que tu commences à apprécier les pipis de femmes... je suppose que tu compares avec celui de Marie... on en reparlera... je veux que tu arrives à reconnaître mon urine entre toutes... une bonne esclave toilette doit en être capable...

Un gargouillis se fit entendre dans la poche pour signaler qu'elle se vidait.

Claudine quitta la baignoire pour aller s'agenouiller et plonger la tête dans la cuvette des WC.

Le pot était infâme, maculé de traînées brunes... trois gros étrons clairs flottaient mollement dans l'eau sale.

- Tu peux retirer ma culotte de ton visage pour avoir un meilleur contact avec ton cadeau... je ne voudrais pas que l'odeur soit filtrée... plonge bien ta tête dans le pot... ton nez doit être juste au dessus des crottes... plus bas la tête... j'ai dit plus bas la tête... attention Claudine...

Claudine entendit un sifflement puis la douleur de la cinglée de cravache qui la jeta littéralement dans le fond du pot, le nez contre les crottes.

- Cinq minutes d'adoration avant malaxation et nettoyage... n'oublie pas que tu as bien de la chance de ne pas devoir bouffer cette merde, espèce de sous-merde. Encore un signe de dégoût et je te tartine de merde pour toute la journée, c'est bien compris.

Affolée, Claudine plongeait sa tête dans le pot aussi loin qu'elle le pouvait en essayant de bloquer sa respiration pour diminuer l'odeur affreuse.
chrislebo

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#1,452
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- C'est mieux, Mademoiselle... pense à ce que tu es devenue... une sous-merde comme ta mère... une sous-merde juste bonne à renifler la merde des maîtres. Tu devrais en être fière... penses-y bien... répète le à haute voix... je ne suis qu'une sous-merde juste bonne à renifler la merde de mes maîtres...

Une nouvelle fois, la cravache cingla méchamment les fesses de Claudine.

- Alors, j'attends...

Le nez dans la merde, la voix retentit dans la cuvette qui faisait une sorte d'écho.

- Je suis une sous-merde, juste bonne à renifler la merde de mes maîtres.

- Continue... plus fort... je n'entends rien...

Durant dix minutes, Claudine répétait la même phrase... je suis une sous-merde juste bonne à renifler la merde de mes Maîtres.

- A la bonne heure... tu vois que tu peux y arriver quand tu y mets du tien. Maintenant, tu vas remettre ma culotte sur ton nez et me malaxer toute cette boue avant de tirer la chasse, nettoyer la cuvette et te laver les mains dans le pot... appelle-moi quand tout est bien malaxé... je viendrai vérifier.

Gabrielle se retira dans sa chambre pour appeler Joseph.

- Joseph, Claudine est en train de nettoyer ma toilette... pourriez-vous venir dans ma chambre et vous préparer à l'enculer... je voudrais votre avis sur l'étroitesse de sa chatte... vous savez que Marie la travaille maintenant avec des plugs de six centimètres. Dépêchez-vous, je veux que vous la preniez devant moi juste après mister service de 'pot de chambre'.

Joseph ne se le fit pas dire deux fois. C'est avec plaisir qu'il fit irruption dans la chambre quelques minutes après l'appel.

- Astiquez-vous déjà, Joseph... je vais aller vérifier ou elle en est et je vous l'envoie.

Gabrielle revint dans la salle de bains pour ouvrir toutes les fenêtres et jeter un coup d'oeil dans le pot.

- Parfait, ma chérie, tu peux tirer la chasse, frotter le pot et te laver les mains... tu retires le plug de ta chatte et tu rejoins vite Joseph qui va tester pour moi l'élargissement de ta chatte.

Trop heureuse d'échapper à sa situation, Claudine se dépêcha de tout nettoyer avant de se déboucher la vulve pour se présenter devant Joseph avec sa culotte pisseuse sur le nez.

- Comme elle est mignonne la petite Claudine... viens vite sucer, ma belle...

En écartant la culotte, Claudine enfourna le gros membre entre ses lèvres avant de lécher la tige, le gland et les bourses poilues.

Comme d'habitude, Joseph sentait mauvais mais elle avait une telle crainte de mister fouet à chien que Claudine s'appliquait intensément... la bite se dressait maintenant contre sa langue et au fond de sa gorge tant Joseph l'obligeait à l'absorber profondément.

- On aime la bite de Joseph... je vais te défoncer la pastille... trousse-toi salope et présente moi ta chatte...

Joseph s'était emparé des deux fesses qu'il écartait largement... Claudine sentit un jet de salive qui coulait entre ses globes puis le gland qui pointait contre mister petit trou.

Une poussée plus prolongée, un léger cri de Claudine... le gland était passé et toute la tige coulissait dans mister fondement. Joseph l'avait maintenant attrapée par les seins qu'il pétrissait sans ménagement.

Enfermée dans sa cage, Claudine sentit mister clitoris se tendre dans sa primister pendant que mister amant lui pistonnait la chatte endolorie... Heureusement, Joseph prenait mister plaisir rapidement et abondamment... Claudine l'entendait râler derrière elle... le sexe s'était gonflé dans ses entrailles avant de décharger de longues giclées de foutre dans sa chatte.

Elle le reprit longuement en bouche pour nettoyer amoureusement la bite qui venait de la ramoner... comme elle avait appris.

- Alors Joseph... comment est la petite ?

- C'est mieux, Madame... je dois avouer que les exercices de Marie lui ont bien assoupli la pastille... elle prend mieux la bite... elle fait moins de manières...

- Il faut avouer Joseph que vous êtes monté comme un âne...

- Madame est trop bonne mais il est vrai que la nature m'a gâté sur ce plan.

- Très bien Joseph... rangez-moi tout cela maintenant et conduisez la petite chez Marie qui doit en avoir besoin à la cuisine... Claudine, toi aussi, tu te rhabilles... tu remets ton plug dans ton cul et tu remontes ta petite culotte pour que le sperme de Joseph coule lentement entre tes fesses... tu gardes bien ma culotte sur ton nez jusqu'à ce soir.

A plus tard mes amis... maintenant j'ai du travail à terminer.
chrislebo

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#1,453
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Gabrielle attendait un appel de Mary Jones qui devait lui commenter les progrès de Micheline. Micheline vivait chez elle et au bureau depuis plusieurs mois.

Gabrielle voulait également rédiger une courte note de synthèse pour ses acolytes. Elle voulait une discipline stricte et des procédures communes à ses trois soumis.

Chers amis,

Grâce à vous, je suis tenue au courant de la situation et des progrès de nos soumis. Je ne sais comment vous en remercier.

Sous la surveillance de Mario, Christine est devenue une grosse pute à la disposition de ses nombreux clients à Cannes. L'ancienne bourgeoise raffinée n'est plus aujourd'hui qu'une souillon poilue, grasse et odorante qui mendie la bite à chacune de ses rencontres.

La petite Claudine a également bien progressé sous le contrôle de Marie et moi-même. Elle exhibe une magnifique paire de seins. Elle prend la bite de mieux en mieux... nous manquons un peu d'étalons pour la travailler plus régulièrement... Joseph vient pourtant de me confirmer qu'elle ne rechigne plus à se faire enculer alors qu'elle était encore fort étroite de ce côté.

Quant à Micheline, mister traitement hormonal s'est bien déroulé. Elle a développé une ravissante paire de seins, un gonflement des fesses et un radoucissement de sa voix qui est du meilleur effet. Elle gagne sa vie chez Madame Mary Jones comme bonniche et à l'agence immobilière comme femme de ménage.

Les deux jeunes assistantes de Mary Jones, Sandra et Maud, prennent un malin plaisir à la dominer, à l'abaisser et à l'humilier de toutes les manières possibles et imaginables.

Comme Micheline ne vit qu'avec des femmes, elle n'a pas souvent l'occasion de se faire prendre par des mâles... elle compense par l'utilisation méthodique de godes et de plugs pour bien se dilater la chatte.

Voilà pour les dernières nouvelles de nos petits protégés.

Je me permets maintenant d'insister sur les règles suivantes que je souhaite voir respectées par nos trois soumis.

1. Les soumis doivent respecter une hygiène stricte de leurs orifices. Un minimum de trois lavements chaque matin jusqu'à ce que les eaux de rejets soient parfaitement claires.

2. Les soumis reçoivent chaque matin une maintenance disciplinaire au fouet ou à la cravache qui leur être appliquée sur les fesses, sur les seins, parfois sur le sexe, avec une sévérité dont vous êtes les seuls juges.

3. Les féminisées portent en permanence une cage de chasteté pour éviter qu'elles ne se tripotent en cachette. Pendant leurs règles, les cinq derniers jours de chaque mois, les féminisés ne mistert pas purgés le matin. Il urinent dans leurs culottes qu'ils gardent mouillées sur eux sous des couches et une culotte d'incontinence. Il ne s'agit pas de remplir les couches mais simplement d'en maintenir l'humidité et l'odeur.

4. Les soumis se travaillent régulièrement les pointes des seins grâce à des pinces, des poids, des palpations et des étirements manuels répétés.

5. Les soumis se dilatent et se travaillent chaque jour l'anus avec des godes et des plugs. Ils mistert en permanence copieusement vaselinés pour assurer une pénétration facile que rien ne doit venir contrarier. Les sexes les plus gros comme les plus longs doivent être acceptés et ingurgités sans rechigner.

Le port de plugs progressifs ou d'un rosebud bien calibré, à longueur de journées, est chaudement recommandé pour éviter tout resserrement du conduit et s'assurer de la parfaite accessibilité anale du soumis.

6. Les soumis perfectionnent constamment l'art de la fellation et de la minette. Douceur veloutée des lèvres... langues actives... salivation abondante... léchouilles variées des plis, replis, testicules et de la fente culière... capacité d'ingurgiter aisément une bite sur toute sa longueur, en gorge profonde

7. Les féminisées mistert complètement épilées , soigneusement coiffées et maquillées. La soumise, par contre, est interdite d'épilation. Elle peut se coiffer et se maquiller elle-même pour les besoins de sa profession de prostituée.

On pratique donc la politique des contraires en féminisant les mâles à outrance alors que la soumise se voit retirer tout ce qui faisait autrefois mister plaisir et sa fierté.

Quelle offense pour une bourgeoise, autrefois soignée, que de se voir transformée en souillon poilue, mal lavée et mal habillée.

8. Tous les soumis doivent boire l'urine des Maîtres en quantité correspondant à un besoin normal. Ils doivent apprendre à reconnaître les urines de leurs Maîtres aux goûts et aux odeurs. Le port régulier et nocturne de culottes pisseuses sur la tête et sur le nez est chaudement recommandé pour habituer les soumis aux odeurs épicées.

9. Par simple souci d'hygiène, les soumis ne doivent pas manger les excréments de leurs maîtres et de leurs chiens mais ils doivent absolument les honorer et les respecter. En cas de faute, il ne faut pas hésiter à les tartiner de merde, même de merde de chiens pour les humilier, les abaisser et leur faire comprendre qu'ils mistert devenus de vulgaires sous-merdes. Une sous-merde doit être régulièrement remise à sa juste place.

Tous les soumis mistert en charge de la propreté parfaite des toilettes des Maîtres qui ne tirent jamais une chasse d'eau après utilisation. Les soumis doivent honorer les contenus, malaxer les matières, nettoyer les pots.

10. Les soumis ont évidemment interdiction d'utiliser les toilettes réservées aux seuls Maîtres. Ils se soulagent dans leurs seaux hygiéniques, dans les jardins, sur les bouches d'égouttage et à tout endroit jugé approprié par leurs Maîtres.

11. Pendant leurs menstrues, les soumis feront caca dans leurs culottes qu'ils conserveront souillées et puantes sur eux pendant toute la journée de travail. La nudité complète ou partielle, l'habillement des soumis est fonction des circonstances et des desiderata de leurs Maîtres qui évalueront les situations respectives et les offenses possibles qui en résultent.

L'effet de surprise est plus efficace que l'habitude d'une règle qui enlèverait toute charge émotionnelle à une tenue trop automatique.

12. L'humilité, l'obéissance immédiate, le sourire en exécutant les ordres et les remerciements appuyés après utilisation mistert de stricte rigueur.

13. Les soumis mistert à la disposition de leurs Maîtres à qui ils doivent demander la permission pour faire n'importe quoi. Les Maîtres ordonnent, autorisent ou refusent en fonction de leurs humeurs. Ils mistert la loi des soumis qui n'ont qu'un seul devoir étant l'obéissance absolue et immédiate.

Je réfléchirai à d'autres impositions que je vous communiquerai ultérieurement.

J'insiste encore tout particulièrement sur la nécessité de punitions sévères et régulières comme de l'imposition publique de lourdes offenses aux soumis pour éviter toute révolte intérieure et tout retour à l'ancienne situation.

Je vous prie de croire, chers amis, à l'expression de mes sentiments très amicaux.

Gabrielle Mouriau
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#1,454
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Rêveuse, Gabrielle relut mister texte avant de l'imprimer pour l'expédier à ses acolytes. Elle terminait sa lecture lorsque le téléphone retentit.

- Allo, Gabrielle... Mary Jones à l'appareil.

- Mary, je suis enchantée de vous entendre... j'allais vous appeler... je terminais justement une note à votre intention... comment va notre petite Micheline ?

- Elle va remarquablement bien. Grâce à la doctoresse Foucart, elle est devenue une femme appétissante avec de gros seins très aguichants. Je suis enchantée de ses services à domicile et tout se passe fort bien au bureau même si la situation n'est pas toujours facile à vivre pour elle.

- Que voulez-vous dire ?

- Vous savez, Micheline doit servir trois femmes qui savent aujourd'hui tout ce qu'elles peuvent en obtenir... la pauvre petite rentre parfois le soir complètement épuisée.

- Dois-je en conclure qu'elle passe mister temps à forniquer ?

- Forniquer est un grand mot... que voudriez-vous d'ailleurs que les petites fassent avec cette petite queue ridicule dans sa cage... non, il ne s'agit pas de fornications mais plutôt d'offenses à répétition. Maud et Sandra mistert passées Maîtresses en la matière... je trouve cela assez amusant.

- Je comprends... racontez-moi cela...

- Vous savez, nous ne faimisters que suivre vos conseils à la lettre et les trouvailles de Marie pour Claudine nous ont évidemment beaucoup inspirées.

Micheline commence généralement sa journée par la maintenance disciplinaire au bureau après vérification pointue de mister épilation et de mister hygiène interne. Elle doit attendre les petites à genoux, en sous-vêtements, dans leur bureau.

Les filles adorent la cravacher après avoir examiné la propreté de mister plug, la douceur de ses jambes, de ses aisselles, de mister pubis.

Il faut l'entendre pleurer, couiner, implorer pour que cesse la punition. Rien n'y fait. Elle n'en sort que bien marquée aux fesses et aux seins qu'elle doit présenter aux gamines. Ce mistert deux fouetteuses exceptionnelles qui savourent chaque cinglée. Micheline doit compter les coups et remercier à travers ses larmes. C'est du grand spectacle.

Après le fouet, sans se rhabiller, pluggée, elle doit nettoyer tous les bureaux. coiffée d'une de nos culottes portées et je vous assure que ces culottes mistert bien épicées pour mieux l'humilier... chaque matin, la petite culotte du jour l'attend sur un bureau, soigneusement emballée dans une pochette en plastic. Micheline commence à reconnaître sa donneuse mais elle se trompe encore souvent.

Il faut ensuite voir notre Micheline s'activer sur ses talons pour tout nettoyer pendant qu'on se moque d'elle.

Contrairement à Claudine, Micheline peut boire un besoin complet directement à la source... plus permisterne ne se déplace aux toilettes pour un petit besoin. Il suffit d'appeler... 'pot de chambre'... elle vient immédiatement se mettre en position entre les cuisses de sa donneuse, bouche grande ouverte, prête à boire rapidement ce qu'on voudra bien lui offrir.

Je finirai même par croire qu'elle aime cela car elle n'en perd pas une goutte à condition de régler un peu le débit.

Pour les gros besoins, c'est évidemment aux toilettes ou sur la chaise percée... nous avons acheté cette chaise confortable pour ne plus devoir nous déplacer... Micheline est agenouillée, la tête entre nos cuisses, les mains sur la lunette... nous y dépomisters délicatement nos fesses. Elle peut ainsi savourer nos émissions gazeuses et l'odeur des crottes qui se déposent dans le pot.

C'est elle qui nous nettoie le derrière avant de se mettre en position d'adoration, le nez dans le pot pendant dix bonnes minutes.

Comme vous l'aviez suggéré, elle malaxe ensuite les étrons pour les transformer en boue odorante avant de tirer la chasse ou de vider le seau, de nettoyer la cuvette et d'aller se laver les mains.
chrislebo

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#1,455
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Cette semaine, elle avait ses menstrues... c'est donc en couches-culottes qu'elle a exécuté ses tâches. Comme elle doit faire caca dans sa culotte, sous sa couche, pendant ses règles, elle sent fort mauvais et nous avons préféré l'enfermer dans un cabinet qui avait été copieusement souillé au préalable.

Bref, notre ancien patron, féminisé, est devenu un véritable pot de chambre et une nettoyeuse de chiottes dégueulasses.

- Magnifique tout cela... mais qu'en est-il de sa sexualité ?

- Toute sexualité directe lui est interdite puisqu'elle est continuellement cadenassée dans sa cage. Nous utilimisters régulièrement sa langue grâce à cette chaise astucieusement percée... cela lui permet de nous lécher longuement chaque fois que nous en ressentons le besoin... vous devriez essayer... c'est vraiment très agréable... Micheline est devenue une insatiable brouteuse de chatte, une langue de velours qui se balade absolument partout.

- Elle lèche les culs ?

- Bien entendu... vous savez, les gamines mistert parfois un peu négligées mais je peux vous assurer que Micheline les nettoie admirablement à la langue... elle a tellement peur de ces deux petites qu'elle est prête à n'importe quoi pour leur être agréable.

- Je comprends bien... mais Micheline devrait quand même rencontrer des hommes... des vrais... depuis qu'elle a été enculée par ce bon Joseph, elle n'a plus connu le mâle... ce n'est pas sain... nous devrions envisager une solution.

- C'est exact... nous lui en parlons souvent en admirant sa jolie poitrine, ses belles fesses, ses longues jambes... je crois qu'elle aussi en rêve mais nous n'avons pas grand chose sous la main... auriez-vous une idée ?

- Rien de précis pour l'instant, sauf à vous envoyer Joseph de temps en temps et j'attends l'arrivée d'une trans soumise que mister Maître devrait m'envoyer prochainement.

- Ce serait très bien... je vais y réfléchir de mon côté... pourquoi ne pas commencer avec Joseph... nous serions ravies de voir Micheline se faire enculer au bureau par mister ancien jardinier... cela nous donnera peut-être des idées.

- Parfait, commençons par là... je vous envoie Joseph demain matin... préparez vos jeunes collaboratrices et que Micheline se tienne prête vers 11 heures du matin pour cette prise en main.

- Ok, Gabrielle... nous nous réjouismisters de recevoir Joseph au bureau... tout sera prêt pour l'accueillir... il y avait autre chose.

- Non rien de spécial... je voulais juste prendre de vos nouvelles et de celles de Micheline mais je vois que tout évolue bien.

- Ne craignez rien... tout va bien... alors, à bientôt Gabrielle... je vous retéléphonerai après la visite de Joseph pour vous raconter tout cela.

- Au revoir Mary...

Gabrielle raccrocha le téléphone avant de demander à Joseph de la rejoindre dans mister bureau.

- Joseph, vous vous rendrez demain matin à l'agence pour enculer Micheline qui est en manque de mâle... donc pas de bêtises ce soir... je veux que vous soyez en grande forme... tout se passera sous le contrôle de Mary Jones et de ses collaboratrices...

il s'agit donc de ne pas me décevoir... réfléchissez déjà aux offenses que vous pourriez infliger à votre ancien patron... je veux qu'elle mendie votre bite comme la dernière des salopes... j'adore l'idée de la voir bite en bouche, puis bien enculée devant mister ancien permisternel... écoutez-les car elle mistert pleines d'idées dès qu'il s'agit d'humilier Micheline...

- Parfait, Madame... vous pouvez compter sur moi... je me mets au vert pour préparer la petite séance de demain... je vous garantis qu'elle va s'en souvenir.
chrislebo

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#1,456
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Le lendemain matin, Joseph se pointait à l'agence à 11 heures précises. Maud et Sandra l'accueillirent dans leur bureau.

- Monsieur Joseph, vous pouvez vous asseoir à l'ancien bureau de Mary... elle n'en a plus besoin depuis qu'elle a pris la direction de l'agence... elle occupe le bureau directorial de Michel Mouriau... quant à Micheline, elle n'a plus besoin de bureau... elle a trop de travaux ménagers...

Les deux filles partirent d'un éclat de rire tandis que Joseph prenait place dans l'ancien fauteuil de Mary.

- Voulez-vous un café ?

- Volontiers.

Joseph terminait mister café lorsque Micheline fit irruption dans le bureau.

Quelle surprise pour Joseph de découvrir cette jolie femme en sous-vêtements roses, bas et porte-jarretelles, talons aiguilles noirs, coiffée, maquillée, une petite culotte sur le nez... Joseph remarqua également les longues estafilades qui barraient les fesses et le haut des seins bien développés.

- Micheline, raconte à Monsieur Joseph ce que tu viens de faire...

Micheline leur jeta un regard suppliant... il vit Maud se lever et se diriger vers une armoire pour en retirer une fine cravache de cuir noir.

- Pitié, Madame, je vais tout raconter... je vous le promets.

- Dépêche-toi alors, espèce de conne, et sois précise ou je te caresse les fesses et les seins.

Va te mettre à genoux entre les jambes de Monsieur Joseph... c'est un homme, tu sais ma chérie... un vrai... un homme avec une grosse bite... pas une petite bite ridicule dans ton genre... d'ailleurs, tu dois t'en souvenir... nous croyons savoir que tu l'as déjà sucée cette bite... et même l'avoir reçue dans ta petite chatte... tu vas raconter ta sale petite histoire en frottant ton nez contre sa braguette pour bien montrer à Monsieur Joseph que tu as envie de sa bite dans ta bouche et dans ton cul de pute...

Au bord des larmes, Micheline vint se mettre en position entre les cuisses de mister ancien jardinier qui s'amusait visiblement.

- T'as pas honte... quelle lopette... frotte bien ton nez contre ma braguette et raconte tes petites crasses, Micheline... quand je pense d'où tu viens... quelle salope...

Micheline cachait mister visage contre la braguette odorante, frottant mister nez pour mendier la bite.

- Raconte...

- Maîtresses Maud et Sandra m'ont sévèrement fouettée ce matin parce que je n'ai pas reconnu immédiatement l'odeur de la culotte souillée ... je m'habitue pour le moment au divin parfum de la culotte de Maîtresse Mary... après le martinet, elles ont chacune utilisé les toilettes et je les ai accompagnées pour assurer mon service de pot de chambre.

J'ai bu leur champagne... j'ai honoré leur caviar... j'ai malaxé les matières et j'ai tout nettoyé juste avant que vous n'arriviez...

Micheline terminait mister discours lorsque Mary Jones est entrée dans le secrétariat.

- Ma parole, on dirait que Micheline cherche quelque chose dans la culotte de Monsieur Joseph... ne sois pas si pressée de trouver ta friandise, Micheline... frotte ton nez et renifle bien... je parie que cela doit sentir le négligé... elle adore les petites odeurs...

- Pour ça, Madame, elle va être servie... Madame Gabrielle insiste pour que je me lave le moins possible... la petite Claudine doit aussi se familiariser avec les bonnes odeurs.

- Tant mieux, Monsieur Joseph... mais figurez-vous que je viens d'utiliser le seau hygiénique pour une grosse commission... je voudrais que Micheline l'enlève de mon bureau avant de tout parfumer... elle devrait aussi me frotter le cul... y voyez-vous un inconvénient ?

- Bien au contraire.

- Alors Micheline, tu attends quoi...


chrislebo

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#1,457
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Rouge de honte, Micheline passa dans le bureau directorial, mister ancien bureau, pour récupérer le seau rempli et revenir le déposer au milieu du secrétariat.

- Montre à Monsieur Joseph ce que tu dois faire quand tes Maîtresses font caca...

Micheline s'était agenouillée devant le seau dont elle retira le couvercle pour y plonger la tête. Une forte odeur se répandit dans la pièce.

- Plus profond, la tête... le nez contre les belles crottes de la directrice... plus bas... j'ai dit plus bas... tête basse et fesses hautes comme si tu mendiais la bite dans ton cul...

Joseph se régalait. Quel rêve que de voir mister ancien patron, féminisé, en sous-vêtements, le nez dans un seau hygiénique contenant les gros besoins de sa collaboratrice d'il y a quelques mois.

Les femmes discutaient entre elles de choses et d'autres tout en faisant des commentaires graveleux sur la position de Micheline.

C'est Sandra qui suggéra que Joseph encule Micheline pendant qu'elle respirait le contenu du seau.

- Qu'en pensez-vous, Monsieur Joseph ? Cette malheureuse ne sait plus ce que c'est qu'une vraie bite, un gros sexe raide dans mister cul... elle a évidemment une série de postiches mais cela ne vaudra jamais un membre bien vivant, bien chaud qui lui ramone la chatte... l'idée de la voir enculée en respirant une chiotte me plaît assez... c'est quand même fort humiliant...

Joseph écoutait attentivement.

- C'est vous qui décidez... je l'encule ou vous voulez même dans les chiottes... de toute manière, c'est là qu'elle finira... toutes ces travesties terminent dans les chiottes, dans la pisse et dans la merde.

- Tu entends cela, Micheline... finir dans la pisse et dans la merde... c'est pas un beau programme pour une pute de ton espèce... baisse la tête et hausse ton cul ou je te cravache... mendie la bite de ton jardinier...

La voix étouffée par le seau, on entendit la supplication de Micheline.

Maître Joseph, je rêve de me faire enculer par votre belle grosse bite pendant que je respire le caviar de Maîtresse Mary... défoncez-moi la pastille... j'ai tellement envie de sentir votre grosse matraque me ramoner le trou... je promets de vous la nettoyer en bouche... je ferai tout ce que vous voudrez mais enculez-moi.

- A la bonne heure... vous voyez Monsieur Joseph qu'elle commence à comprendre... il est vrai qu'une bite d'homme, elle en rêve depuis qu'elle est traitée aux hormones... vous avez vu les seins qu'elle se paye... quand vous voudrez, Monsieur Joseph.

Joseph se déculotta pour exhiber mister sexe monstrueux sous les regards admiratifs des trois femmes qui n'en revenaient pas.

- Quelle bite remarquable, Monsieur Joseph, nous en avons rarement vu d'aussi grosse... c'est autre chose que le minuscule zizi de Micheline... on peut comprendre pourquoi sa femme est partie avec le beau Mario... se faire baiser par un crayon... ce n'est pas ce qu'il y a de mieux...

- Tu es prête Micheline... j'espère que tu t'es bien vaselinée à la chatte... tu vas te mettre en levrette... fesses hautes... tête dans le seau hygiénique.

Sandra avait placé le seau puant au milieu du secrétariat. Micheline prit la pose indiquée, cul offert; tête basse dans la puanteur.

Joseph s'était disposé derrière elle. Il pointa mister énorme mandrin sur la rosette qui résistait... il empoigna les seins de la malheureuse pour les pétrir sans ménagement.

- Quelles mamelles, ma pute... tu es prête... détends-toi... quand le gland est rentré, la tige s'avale sans histoires.

Joseph poussait mister sexe en l'attirant vers lui... Micheline poussa un cri de douleur lorsque la bite se fraya un passage. Bon prince, Joseph lui laissa un instant de répit pour la laisser s'habituer à la pénétration.

- Tu la sens bien... la grosse bite de ton jardinier dans ton cul... on va la ramoner ta cheminée... tu voulais du mâle... tu vas en avoir... ton cul va dégouliner pendant toute la journée... vas-y... serre et pompe la bite qui t'encule...

Lentement, Joseph s'était mis en action, sortant et rentrant mister membre monstrueux jusqu'à ce que le gland sorte facilement avant de se réintroduire immédiatement avec le bruit des testicules qui frappaient contre les fesses de la malheureuse.

Les femmes regardaient avec amusement la séance en faisant des commentaires que Micheline devait entendre.

- Quelle pute... elle aime la bite...

- Regarde comme elle prend bien maintenant... la bite rentre et sort de mister cul comme dans du beurre.

- C'est quand même affreux pour elle... respirer la braguette de mister jardinier et se faire grimper comme une chienne en respirant un seau d'aisance... tout cela devant ses anciennes employées

- Pauvre Micheline... quelle déchéance... heureusement qu'elle en profite pour prendre mister pied... tu aimes la bite, Micheline... remercie Maître Joseph qui prend la peine de t'enculer...

- Merci Maître Joseph de prendre la peine de m'enculer...

- A la bonne heure... si tu es prête... je vais t'envoyer la purée...

Joseph avait accentué le rythme de sa possession. Micheline le sentit se raidir dans mister cul puis les soubresauts de sa bite qui lançait de longues giclées de sperme dans mister fondement.

Micheline ne bougeait plus se contentant de savourer l'humidité qui avait envahi ses entrailles. Elle sentit le membre se dégonfler puis sortir lentement de sa chatte trempée.

- Tu vas vite remonter ta culotte pour bien savourer ta giclée... ensuite tu nettoies la queue baveuse de Maître Joseph pour le remercier.

Micheline remonta sa petite culotte poisseuse sur ses hanches avant de se positionner entre les cuisses du jardinier pour le prendre en bouche et le lécher soigneusement.

- Lèche les couilles aussi... il y a du jus sur ses couilles...

Micheline releva la bite pour lécher consciencieusement les testicules poilues et odorantes sous les regards narquois de Joseph et de l'assistance.

- Elle est trop mignonne quand elle nettoie mister amant... on voit qu'elle aime cela... vous avez raimister Joseph... cette petite finira mal... elle aime trop la bite.

Rhabillé, Joseph prit encore une tasse de café avant de prendre congé tout en promettant à Madame Jones de revenir régulièrement pour enculer Micheline.

- Vous venez quand vous voulez, Joseph... ce n'est même pas la peine de prévenir... la petite est là tous les jours et ce sera toujours une bonne surprise pour elle de vous rencontrer... n'est ce pas Micheline...

- Oui Madame... je serai ravie de revoir Maître Joseph chaque fois qu'il le souhaitera.

- Il vous suffit donc d'en parler avec Madame Gabrielle mais pour nous c'est quand vous voulez... elle est à votre disposition.

Enchanté d'avoir enculé et humilié mister ancien patron, Joseph prit congé pour aller faire mister rapport à Madame Gabrielle.

FIN ?
soumis8

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#1,458 · Edited by: soumis8
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...................................
vanbruje

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#1,459
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Waouh ! Quel texte ! Et combien de lignes blanches inutiles : deux mille... ?
soumis8

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#1,460 · Edited by: soumis8
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......................................
chrislebo

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#1,461
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Comment je suis devenu bi


Nous sommes partis pour une semaine en stage de formation à Bordeaux, avec mon collègue Pascal. Pascal a 35 ans, grand, brun, sportif.

Nous sommes partis la veille, le dimanche après midi pour être à l'heure le lundi, car les cours débutaient à 8 H 30.

Pascal avait réservé l'hôtel un peu tard, et du fait de salons professionnels, nous n'avions pu avoir qu'une chambre à deux lits.

Arrivés à Paris, nous avons déposé nos bagages à l'hôtel et nous sommes allés dîner.

Une fois rentrés à l'hôtel, nous nous sommes couchés, et je me suis endormi profondément.

Dans la nuit, j'ai été un peu réveillé par une drôle de sensation : Je sentais quelque chose me frotter le visage, le nez, les lèvres, je pensais peut être à une mouche qui se posait sur moi.

Mais, tout à coup, je me suis VRAIMENT REVEILLE : Ce que je ressentais sur le visage était DUR, je me réveillai en sursaut, c'était un SEXE d'homme !!!!

Pascal était monté sur mon lit, il était NU, et, à genoux, me promenait mister sexe sur le visage !!

Je voulus me lever, mais il me repoussa en arrière, et mis ses deux genoux sur mes deux épaules, me bloquant.

Il me dit : " calme-toi ! Calme toi "…

Je détournai le visage, ce qui ne sembla pas le perturber : il me donna plusieurs coups violents de mister sexe sur la joue, comme pour me " battre ".

Il me tira la tête pour me remettre face à lui, dirigea mister sexe sur mes lèvres : " allez, SUCE ! " " Suce…suce "

Je ne voulais pas, fermais les lèvres obstinément.

Il continua à tenter de powerr mes lèvres avec mister sexe raide.

Tout à coup, mister bras partit en arrière, et il se mit à me caresser le sexe à travers mon slip !

Il le caressait, ou empoignait sexe et boules avec sa main ; " allez, bande un peu… excite toi un peu… " " Tu as un petit paquet dis donc… "

Il arrêta pour tenter encore de powerr ma bouche...

Il me dit " Bon, tu vas me lécher un peu les couilles ! "

Il se rehaussa, pour placer ses couilles sur mes lèvres.

J'étais dégoûté, mais je ne pouvais rien faire, j'étais bloqué totalement.

Je résistais, mais j'avais maintenant ses couilles sur mes lèvres, sur ma bouche : je ne pouvais rien faire, j'étais même étouffé.

Et ce qui devait arriver arriva : je dus un peu ouvrir la bouche pour reprendre mon souffle, et il en profita pour appuyer plus, et, ainsi, ses couilles pénétrèrent entre mes lèvres.

" C'est bien " dit-il …

J'avais maintenant ses couilles bloquées entre mes lèvres.

Il me dit : " Allez, maintenant, LA LANGUE ! "

" Allez, bouges ta langue ! "

Je ne bougeais pas, mais au bout d'un moment, vaincu, je bougeais un peu ma langue sur ses boules.

" Ah, ça commence à venir… c'est bien… "

" Tu vois que ce n'est pas si terrible "

" Bien…. "

" Bon, je vais me retirer, mais après tu me lécheras les couilles en sortant la langue… C'est COMPRIS ?? "

" Tu ne feras pas la mauvaise tête... Tu lécheras bien ??? "

Vaincu, je fis " oui " de la tête.

Il retira ses couilles et le plaça, pendantes, au-dessus de ma bouche.

Je fus bien obligé d'être " coopératif ", et de faire ce qu'il voulait.

C'est ainsi que je lui léchai les couilles, sortant ma langue.

" Oui. Comme ça… "

" Sors bien ta langue… Sors la bien "

" Fais la bien bouger "

Au bout d'un moment il me dit : " Bon, maintenant, tu vas me bouffer le cul ! "

Je lui dis " non… non ! Pas çà "

Il m'a répondu : " Fais pas chier… Tu vas me BOUFFER LE CUL je te dis "

Il se retourna, et ses fesses arrivèrent sur mon visage.

" Ecarte mes fesses avec tes mains et LECHE ! "

J'étais étouffé.

Au bout d'un moment, je dus obéir.

C'est ainsi que je dus… enfin tu me comprends… Je dus faire ce qu'il voulait.

" Ah oui… c'est bon…. "

" Ah oui ta langue sur mon cul… "

" Lèche... lèche-moi bien, salope "

Cela dura un moment.

Il se retira, revînt face à moi.

" Retire ton t-shirt ! "

J'obéis, je me relevai doucement pour enlever le t-shirt, tandis qu'il se reculait, prenait mon slip à deux mains, le tirait brusquement pour le faire descendre le long de mes jambes.

" Allez ! Le slip aussi ! "

Il me caressa partout, le sexe, les couilles, le ventre, le torse…

Me retourna sur le ventre pour caresser mes fesses…

Puis me rallongea sur le dos.

" Bon, tu vas me sucer, maintenant ! "

Il bandait toujours, revînt sur moi.

Je ne voulais pas…

" Puisque c'est comme ça, tu vas me bouffer le cul ! "

Il se remit en position, et je dus recommencer à lui donner cette caresse.

Je lui léchais l'anus depuis un long moment, je n'en pouvais plus, j'étouffais à moitié.

Il me dit " si tu veux arrêter, tu SUCES ! C'est compris ?? "

Il me laissa encore lui lécher l'anus, puis demanda " alors, tu SUCES ?? "

Vaincu, je fis " oui " de la tête.

Il se retourna.

Il me fît me lever, mis les deux oreillers pour me surélever la tête. Puis il approcha mister sexe.

" Pour commencer, je vais te la mettre en bouche. Tu n'auras rien à faire. Je vais t'apprendre. "

" Pour t'habituer, je vais TE PRENDRE LA BOUCHE. Ensuite seulement, tu apprendras à pomper "

Il me mit mister sexe dans la bouche, qu'il enfonça, enfonça, je crus étouffer.

J'avais une drôle et terrible sensation d'avoir la bouche envahie par ce gros machin de chair, et je me rendais compte que moi qui étais tant excité de voir SUCER des femmes, et qui les traitait de " salopes ", je me trouvais maintenant dans leur position, avec un sexe à sucer.

Il sembla satisfait (moi j'étais à moitié étouffé) et commença à faire des allers et retours dans ma bouche, de plus en plus rapides.

Je salivais beaucoup, j'étouffais, mais il s'en fichait et continuait à aller et venir. Il sortit trois fois sa queue pour me laisser reprendre mon souffle, pour me la remettre de plus belle quelques instants après...

Au bout d'un moment, il se retira et me dit :

" Allez, lève toi et vas te mettre à genoux par terre "

J'obéis.
chrislebo

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#1,462
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Il vînt près de moi et me dit :

" Bon, maintenant, tu vas SUCER "

Il se tenait devant moi, la queue dressée à hauteur de mon visage.

Quant à moi, je me trouvais dans une chambre d'hôtel, ENTIEREMENT NU, à genoux devant un homme qui attendait que je lui suce le sexe. Je n'avais pas d'autre choix que d'obéir, il était 2 heures du matin.

Il m'a dit

" Branle-moi un peu pour commencer … ALLEZ ! "

J'obéis.

Je lui pris la queue, et le masturbai doucement.

" Bon, maintenant, POMPE-MOI "

Je pris la queue en bouche, il appréciait, me tenait quelques fois la tête. Puis il me guida dans la fellation.

" Maintenant SORS TA LANGUE ! "

" Ta langue sur le gland… "

" Lèche-moi la queue… lèche les couilles.. Bouffe mes couilles… oui... remonte maintenant "

J'obéissais.

Puis il me remit la queue en bouche, pour continuer la fellation.

Tout à coup, il dit

" AHHH SALOPE… JE VAIS JOUIR !! "

Avant que je ne réagisse, il se retira de ma bouche, pris sa queue à la main, et se mit à JOUIR SUR MON VISAGE !

Je n'avais pas eu le temps de réagir, de me retirer que j'avais reçu le premier jet sur le visage, sur l'œil, le sourcil et le nez. Machinalement, par réflexe, je fermai la bouche et les yeux, et je sentis le reste arriver, jusque dans mes cheveux.

Il semblait avoir une grosse éjaculation, car ça dura un moment.

Je sentais le sperme dégouliner et couler le long de mes joues, du menton, pour tomber sur la poitrine et les cuisses.

Lui jouissait et parlait.

" Tiens, prends tout, salope "

" Prends mon sperme, oui "

Quand ce fût fini, il frotta mister sexe contre une de mes joues, puis tenta de powerr ma bouche avec le gland, mais je résistai.

Satisfait, il se recula.

J'essayai d'ouvrir les yeux, mais je sentais que j'avais un sacré placard de sperme sur la paupière gauche…

Je pus néanmoins ouvrir les yeux, je vis du sperme sur ma cuisse et je le sentais couler sur mon visage.

Il me dit :

" Allez, VAS TE LAVER !! Tu as du foutre partout !! "

J'allai à la salle de bains, et quel CHOC lorsque je me vis devant le miroir !!!!

J'avais le visage couvert de sperme !

J'en avais plein sur l'œil, la paupière et la joue gauches, une traînée dans les cheveux, le nez balafré par deux jets, sur les lèvres, et plein sur le menton ! Il en avait coulé sur ma poitrine, et j'en avais même sur une cuisse !

J'ai du prendre 4 mouchoirs en papier du distributeur de la salle d'eau, avant de pouvoir prendre une douche !

Il prit ensuite lui aussi une douche, revînt dans la chambre où je m'étais remis au lit. Il me dit :

" Non, non … tu viens DANS MON LIT !!! "

" Je veux t'avoir disponible si j'ai une petite envie !! "

Je ne voulais pas, je lui dis que je n'aimais pas les hommes, etc.

Il me dit :

" NE DISCUTE PAS : CHANGE DE LIT ! "

Je ne voulais pas.

Il dit :

" Tu veux que je vienne te chercher ??? Tu as envie de te faire défoncer le cul tout de suite, A SEC ?? "

Devant la menace, je tirai le drap, et me levai.

" Tu as remis ton t-shirt et ton slip ???? "

" RETIRE CA TOUT DE SUITE : A POIL ! "

Je commençai à être angoissé.

J'enlevai mon t-shirt.

" Alors, tu l'enlèves, ce slip ?? "

Puis le slip.

Et je me couchai dans mister lit, où il vint me rejoindre.

Là, il commença à " s'occuper de moi " …

Il se mit à me caresser la poitrine, tenta de m'embrasser mais je me détournai, alors il m'embrassa dans le cou..

Puis descendis sur ma poitrine, lécha et suça mes seins.

Je tressautai légèrement…

" Tu aimes ça, hein… petite salope "

Puis il se mit à me caresser le sexe, les couilles.

" Ecarte tes jambes ! Allez, écarte ! "

Puis il se mit à me masturber…

Doucement d'abord, puis de plus en plus fort. Je ne pus retenir une érection, qui s'amplifia.

"Tu as l'air d'aimer ça, dis donc… ma salope "

Il accélérait...

Je commençais à gémir…

A gémir de plus en plus.

" Ahh… ahh… oui…. oh oui… "

Me sentant " prêt " il arrêta tout …

Je me rendis compte que j'étais offert, cuisses largement écartées, le sexe dressé.

Il me toucha intimement.

" Mais, ma parole, tu AS LE CUL QUI MOUILLE !!!! "

" Tu es une VRAIE SALOPE QUI S'IGNORE, DIS DONC… "

" Tu vas voir, demain, ton petit cul !!!! "

Il recommença à me masturber…

Je n'en pouvais plus…

Je sentais monter le désir et il s'en rendait compte, accélérait la masturbation…

" Non… non … pas ça… non… "

Il se ficha de mes supplications, continua de plus belle..

Je ne pus me retenir plus longtemps, je jouis en criant.

Le sperme gicla sur mon ventre…

Lorsque je repris mes esprits, honteux d'avoir JOUI, je me soulevai pour regarder les " dégâts ", j'avais du sperme plein le ventre.

" Eh bien dis donc, tu as pris ta dose de FOUTRE, toi, ce soir !!! "

" ALLEZ, VAS TE LAVER ! "

J'obéis, et je revins dans la chambre et m'allongeai à côté de Pascal qui me dit :

" Dis donc, quand tu jouis, tu ne fais pas semblant : tu GUEULES COMME UNE PUTE !! "

" Tu as dû réveiller la moitié de l'hôtel !!! "

" Demain, j'irai acheter quelque chose pour étouffer tes cris, et te bâillonner un peu "

Je protestai, mais il rétorqua :

" Non, de toutes façons, c'est OBLIGE, tu ne peux pas GUEULER comme çà à l'hôtel, on aura des problèmes "

" Et de toutes façons, il faut que je te prenne le cul, alors tu vas gueuler encore plus fort !! "
chrislebo

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#1,463
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3 heures du matin, je croyais en avoir fini, mais non : Pascal m'ordonna de me mettre à quatre pattes sur le lit.

J'obéis, il examina mes fesses, les écarta, regarda mon anus…

" Ca ne va pas, ça… "

" C'est plein de poils !!! "

" Demain, tu iras acheter du dépilatoire au supermarché et je t'épilerai… Entre les fesses d'abord, que tu sois bien accessible, et puis aussi autour des seins, et sur le ventre, au-dessus de ta toimister "

" Je te veux lisse et propre pour ton dépucelage ! Ce sera plus agréable pour tout le monde, tu verras !! "

" Ah, j'y pense… n'oublie surtout pas d'acheter du GEL INTIME, si tu ne veux pas trop souffrir… Ainsi ma grosse queue glissera mieux et tu auras moins mal ".

Il embrassa une de mes fesses et m'autorisa à me rallonger.

" Allez, couche toi et dors... tu l'as bien mérité, tu as bien " travaillé " ce soir… "

" J'ai envie de t'ATTACHER, mais je n'ai rien sous la main… ce sera pour demain, j'achèterai ce qu'il faut "

Il éteint la lumière.

" Allez, dors bien, petite salope "

Avant de m'endormir, je me rendis compte de la situation, j'avais sucé un mec, je lui avais léché les couilles et l'anus, j'avais reçu mister sperme sur le visage, et il m'avait touché partout, et masturbé à fond... Et il m'annonçait que le lendemain il allait me SODOMISER….

Et je me trouvais NU, dans SON LIT !

Je m'endormis, épuisé.

La nuit fût courte.

Le réveil misterna à 7 heures.

Je me retrouvai, tout surpris, NU dans lit d'un homme.

Pascal s'était réveillé aussi.

Je me levai, j'allai aux toilettes.

A mon retour Pascal s'était levé, il alla aux toilettes, prit sa douche, et moi la mienne.

A mon retour je voulus m'habiller.

Il m'en empêcha.

" Et ma petite pipe du matin ?? "

Je protestai, lui dis que je ne voulais plus, etc.

Il me répondit :

" Ecoute, il faut bien que tu COMPRENNES UNE CHOSE : je te veux SOUMIS ! Ici, c'est moi qui commande, et tu es là pour MON plaisir, compris ?? "

" Si tu m'emmerdes, je raconte tout à ta femme... Alors tu as intérêt à OBEIR ! "

" Alors, pour commencer, vas te mettre EN POSITION !! "

Vaincu, j'ai alors été me mettre à genoux à côté du lit.

Il est venu, et je lui ai pratiqué sa fellation.

Cela a duré un moment, jusqu'à ce qu'il prenne mister plaisir de la même manière que la veille …

" ahhhh.. Je jouis… prends tout sur la gueule, salope… "

" Tiens. Prends mon sperme…. "

Je me relevai, direction la salle de bains, pour me laver le visage.

Nous sommes ensuite descendus prendre le petit déjeuner, j'avais l'impression que TOUT LE MONDE voyait le SPERME sur mon visage !!

J'étais mort de honte.

La journée de stage se passa, et j'allai au supermarché acheter ce qu'il voulait, un tube de dépilatoire, et un tube de… GEL INTIME, ainsi que des préservatifs.

De retour dans la chambre, Pascal m'attendait.

Il contrôla mes achats.

" C'est bien, tu y as pensé… Regarde ce que je t'ai acheté… "

Il ouvrit un sac, et en sortit … Deux paires de MENOTTES !!

" Ce sera pratique : je pourrai t'attacher chaque poignet aux barreaux du lit, pour te PRENDRE, par exemple, et encore t'attacher les poignets avec une paire et les chevilles avec l'autre pour la nuit, ou pour te laisser seul dans la chambre "

Puis il prit un autre sac, et en sortit un BAILLON, ce genre de bâillon SM, avec une boule retenue par deux sangles.

" Voilà pour te faire taire un peu… ainsi tu pourras GUEULER tant que tu voudras, permisterne ne t'entendra… "

" Pour ton DEPUCELAGE, ce sera pratique "

Je n'eus pas le temps de protester.

" Qu'est ce que tu attends pour te mettre A POIL ?? "

Je ne répondis pas…

" ALORS ???? Tu as compris ce que je t'ai dis ??? A POIL !!! "

Je commençai à me déshabiller.

" D'ailleurs, à partir de maintenant, dès que tu rentres dans la chambre, que ce soit à midi, à notre retour à 18 h, ou en revenant du dîner, tu TE METS SYSTEMATIQUEMENT A POIL, sans que je te le demande, COMPRIS ? "

" COMPRIS ???? "

Je hochai la tête.

" Et puis aussi, à partir de maintenant, tu laisses tomber les SLIPS ! Je te veux sans rien sous ton pantalon ! Ton petit cul à l'air ! "

J'eus très honte d'entendre ça.

J'étais maintenant en slip.

" Allez, vire le slip ! "

Une fois nu, il me dit :

" Allez, va prendre ta douche, JE VAIS T'EPILER "

Je suis monté dans la baignoire, je me suis douché.

Puis il est arrivé, habillé, avec le tube de dépilatoire.

" Mets tes mains derrière la nuque, je te veux soumis "

J'obéis.

Il commença par me mettre cette crème autour des seins, où j'avais des poils, puis sur le ventre, au-dessus de la toimister.

" Tourne-toi, et penche-toi les bras en avant contre le carrelage, je vais te faire le CUL "

Il écarta mes fesses et étala la crème.

" Bon, il faut attendre 3 minutes. Reste debout, mains derrière la nuque "

Au bout des 3 minutes il fit couler l'eau au robinet, puis avec la spatule, enleva la crème et m'épila.

Seins, ventre, et entre les fesses.

" Voilà ton petit cul tout nu…. Et ACCESSIBLE…. "

" Tu me fais déjà BANDER, mais j'attends tout à l'heure ".

" Viens dans la chambre "

J'obéis.

" Bien, mets-toi face au bureau, à la glace, et BRANLE-TOI ! "

" Mais… je ne peux pas faire ça !!! Je ne peux pas faire ça, là, comme ça… "

" Espèce de petite pucelle, tu ne vas pas me dire que tu ne te branles pas !!! "

" Alors, AU TRAVAIL, ASTIQUE-TOI !!!! "

Je dus obéir, et m'employer à faire ce que Pascal voulait de moi.

Je commençai à me caresser maladroitement, mais bientôt cette caresse fit que j'étais en érection, et que je commençai à gémir…

" Tu vois que tu aimes ça, salope…. Continue !!! "

Au bout d'un moment, je n'en pouvais plus… je le dis à Pascal…

" Eh bien, continue, et jouis sur le bureau !!!!! DEPECHE TOI "

J'obéis…

" Ah…OUI….. OUIIIIII…. OUII……. Ah. " (Il est vrai que je crie beaucoup quand je jouis)

" Dis donc, tu gueules comme une vraie salope, heureusement que j'ai prévu le bâillon pour tout à l'heure !!!!! "

Sur le bureau, s'étalaient de longues flaques de semence…

" Eh bien, tu n'as pas fais semblant, toi tu avais les couilles bien remplies… je t'ai pourtant branlé hier soir… "

" Tu sais ce qui te reste à faire : NETTOIES MOI CA AVEC TA LANGUE !!! "

Ecœuré, je refusai.

" Tu vas faire ce que je te dis, espèce de petite salope ! Tu vas LECHER TON FOUTRE, et me nettoyer ça... Et tâches de TOUT AVALER ! "

Vaincu, je me penchai pour commencer à faire ce que Pascal ordonnait. Je sortis la langue pour laper la première ligne de sperme…

Tandis que j'étais penché, Pascal en profita pour peloter mes fesses, les ouvrir, et … m'introduire un doigt !!

Je me relevai, criai…

" Laisse toi faire !!! Je vais te doigter pendant que tu bouffes ton sperme ! Tu sais, tout à l'heure, c'est un autre calibre que tu prendras "

J'obéis.

Je léchai tout le sperme, pendant que Pascal m'introduisait un, puis deux doigts, et me prenait….

Je gémissais, soupirais…. J'AIMAIS CELA.

J'aimais cette situation humiliante et le fait d'être soumis.

Après avoir léché et avalé tout le sperme, je voulus aller à la salle de bains, mais Pascal s'y opposa : " pas question de te rincer la bouche ! Tu restes avec la saveur de ton sperme ! "

Il me donna un mouchoir en papier pour juste m'essuyer les lèvres.

J'avais la bouche pleine de SPERME….

" Tu sais que tu as un BEAU PETIT CUL, toi ?? Un vrai cul de gonzesse… je vais bien m'en occuper, tout à l'heure "

Nous allions sortir dîner, j'allais m'habiller…

" Tu as compris ce que je t'ai dis ?????? PAS DE SLIP ! Le slip, c'est fini pour toi ! LE CUL A L'AIR SOUS LE PANTALON, maintenant !! "

La honte me submergea…

Mais je fus bien obligé d'obéir.

" Et quand nous rentrerons, tu achèteras des pantalons PLUS MOULANTS, et surtout moins épais… que chacun puisse constater que tu ne portes pas de slip ! "

" C'est la grande mode pour les nanas, cet été, ces pantalons blancs avec l'arrière transparent… je vais t'en procurer un, que tout le monde puisse profiter de ton joli petit cul ! "

" Tu es prêt ? On descend ! "
chrislebo

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Une fois dans la rue, nous avons marché un moment, et Pascal est entré dans un magasin " SOPHIADES "

Il a justement vu sur les présentoirs ces pantalons à la mode.

Devant la jeune vendeuse, il m'a dit :

" Tu fais combien de tour de taille ? "

J'ai répondu " 42 ".

" Eh bien je prends le 40 !! "

La jeune vendeuse contenait mal mister sourire, et j'étais pétri de honte.

Pascal prit le chemin de l'hôtel.

" On ne va pas dîner ? "

" Si, mais tu enfiles ton pantalon avant !! Je te veux sexy pour ce repas !!! "

Arrivés à l'hôtel, fidèle aux " consignes ", je me déshabillai entièrement. Pascal me fit remettre le haut, puis seulement le pantalon blanc, qui était un pantalon de femme…

Il me fit me regarder devant le grand miroir à côté de la porte, effectivement, si le devant, à la taille, n'était pas transparent, le derrière l'était parfaitement, et on devinait tout à fait. MES FESSES !

" Mais… je ne vais pas sortir comme ça ????? "

" Mais si, les femmes sortent bien ainsi, non ?? Et ça t'excitait, quand tu en voyais, non ?? "

" SUPERBE…. Tu as un cul magnifique…. "

" Regarde-toi dans la glace... On devine tout à fait tes FESSES…. Superbe…. "

" Allez, on va faire un tour en ville avant d'aller manger… que tu " allumes " un peu les mecs "

Nous sommes d'ailleurs descendus nous balader en ville, et il est certains que des mecs qui nous dépassaient (et même des femmes ou des couples) me regardaient qui en souriant, qui en me " draguant " carrément.

Le repas se passa normalement, pizza et glace.

Retour à l'hôtel à 22 heures.

Je me déshabillai immédiatement, ce fût facile, je n'avais déjà pas de slip à enlever. Une fois NU, Pascal me dit :

" VAS TE LAVER ! Et lave-toi bien le CUL, surtout !! "

Je filai sous la douche.

Lorsque je revins, j'eus le cœur serré : Pascal avait préparé les deux paires de menottes, attachées chacune par un bracelet, de chaque côté du lit…

Le bâillon boule était posé sur l'un des oreillers, et sur l'autre le tube de gel intime…

Je n'eus pas le temps de réfléchir plus…

Pascal, habillé, m'enlaça, m'embrassant dans le cou et me pelotant les fesses…

" Tu sais que tu m'EXCITES, toi ?? Tu sens ma grosse queue… tu me fais BANDER "

" Humm… j'ai envie de te défoncer le cul… ton joli petit cul… "

Pascal me CARESSAIT PARTOUT…

Il se déshabilla en un temps record.

Une fois nu, il ordonna :

" Maintenant, tu vas me TAILLER UNE PIPE ! "

" A genoux, en vitesse ! "

J'obéis et me retrouvai à ses pieds.

" Et tâche de faire durer le plaisir ! Ensuite, c'est le grand jour… ton DEPUCELAGE ! "

Je pris mister sexe déjà dressé en bouche et m'appliquai à lui prodiguer une fellation…

" Voilà…suce moi bien… "

" Fais moi bien grossir… "

" humm… oui… SORS BIEN LA LANGUE…. Oui… comme ça… sur le gland… "

" Ah… tu me suces comme une vraie salope… Prends ma queue dans la main, branle moi doucement, et lèche moi les couilles ! … "

J'obéis…

" AH OUI… comme ça…. Ah ta langue oui … "

Il était de plus en plus raide, le gland semblait prêt à exploser…

Je repris la queue et bouche et continuai la fellation…

" CA SUFFIT MAINTENANT ! JE VAIS TE PRENDRE ! "

" Allez, vas te mettre en position sur le lit ! A QUATRE PATTES ! "

Je grimpai sur le lit, il vint près de moi, et m'attacha les poignets aux menottes, aux deux barreaux du lit.

Puis il prit le tube de gel…

Bientôt je le sentis badigeonner de gel mon intimité...

Puis, brusquement, il introduit un doigt, puis deux, dans l'anus… Ce qui me fit gémir.

Il était en train de faire pénétrer le gel.

Quand ce fût terminé, il vint vers moi, se mit à genoux sur le lit.

" Allez, DANS LA BOUCHE ! "

Je dus le sucer encore un moment.

Il se retira, et prit le bâillon boule, me le posa.

Puis il prit sur le chevet un préservatif, l'enfila sur mister sexe. Et il se plaça derrière moi…

" Tends bien ton CUL ! Mieux que ça… "

Il écarta mes fesses et je sentis tout de suite le gland se positionner sur mon petit trou…

" Calme toi... Arrête de bouger… plus tu bougeras, plus tu auras mal… Décontracte toi… "

Il poussa…

Je crus étouffer sous mon bâillon…

J'eus très mal, mais je ne pouvais crier…

" C'est bien… le GLAND est passé… tu l'as dans le cul… "

" Je vais faire rentrer le reste… "

Il poussa encore vivement…

Je sentis la colonne de chair m'envahir profondément….

" Voilà… tu l'as toute en toi… je vais te la mettre jusqu'aux couilles… Encore un petit effort… "

Il poussait, poussait… J'avais l'impression qu'un fer rouge me pénétrait…

Soudain, je sentis mister ventre et ses couilles contre mes fesses…

" CA Y EST … TU L'AS BIEN À FOND …. "

A ce moment, il commença à me prendre, et à effectuer le va et vient …

" Humm… tu es bien serré…. Il est bon, ton CUL…. "

" Que c'est bon de baiser une VIERGE….Tu la sens ? Tu la sens bien à fond ?? "

Il me tenait par les hanches, allait et venait en moi.

Je subissais cette longue tige de chair qui me déchirait.

Quelquefois, il venait peloter mes seins, pour ensuite me tenir les hanches.

Je me mis à vouloir empêcher sa pénétration à fond. Il me donna plusieurs violents coups de queue en avant.

" TU TE CALMES, OUI ?? TIENS ! TIENS ! "

Cela me fit très mal et je le laissai faire comme il voulait.

Tout à coup, il sortit entièrement sa queue, me tapota les fesses avec le gland, pour me pénétrer à nouveau..

" AH SALOPE… tu es belle, comme ça… le cul tendu et ATTACHEE…en train de te faire baiser à fond… "

" Petite PUTE… il est bon, TON CUL !!! "

Tout à coup….

" AHHH…. OUI !! AHHHHH !!! JE …. JE JOUIS…. OUI….. TIENS…. TIENS…..AH SALOPE…. PRENDS TOUT …. TIENS…………. "

Il me chevauchait carrément…. Il était littéralement planté en moi… Il eut encore un soubresaut, redonna un petit coup de queue…

Il resta planté en moi un moment, râlant…

Puis il se retira…

Je m'affalai sur le lit, allongé sur le ventre.

" Ahhhh… oh…. Tu as le cul bien OUVERT, c'est bien… "

Puis il retira le préservatif, qu'il vida sur mes fesses…

Je sentis le sperme chaud …

Puis il écarta mes fesses.

"Tu as le cul en sang ma chérie… Ne t'inquiètes pas, c'est normal… Tu viens de te faire casser le cul, tu es un peu déchirée… A power de te faire prendre, tu verras, ça s'arrangera… "

Il me laissa allongé, souillé de sperme, attaché et bâillonné et alla se doucher.
chrislebo

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#1,465
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A mister retour il me détacha, enleva le bâillon.

" Allez, à la douche, et ensuite, sur le bidet ! "

J'allais me doucher, il me regardait.

" Bon, ça suffit la douche ! Viens te laver le cul maintenant ! "

Je dus m'installer sur le bidet et faire ce qu'il demandait.

Quand ce fût terminé, il m'embrassa dans le cou, me pelotant les fesses en même temps…

" Humm… tu sais que tu as un beau petit cul, toi…. Tu me plais…. "

Revenant dans la chambre, il détacha les deux paires de menottes.

" Viens ici, toi… "

Il me prit un bas qu'il mit derrière mon dos, je sentis le bracelet claquer sur mon poignet, bientôt suivi de mon deuxième bras.

J'avais les mains attachées derrière le dos.

" Bon… maintenant, je vais te mettre un peu à prendre le frais dans le couloir…. "

" QUOI ?? Mais tu es fou ??? "

" Non, non… tu vas un peu aller dans le couloir… tu vas voir c'est très excitant… Tu vas trembler chaque fois que tu entendras une porte s'ouvrir, ou l'ascenseur bouger… "

" Avant de sortir, l'accessoire indispensable.. "

Il prit un préservatif enveloppé, me le mit entre les dents…

Il me poussa vers la porte, l'ouvrit, et me fit sortir, et referma la porte.

Je me retrouvai NU, les mains attachées dans le dos, dans le couloir des chambres du 3ème étage, tenant un préservatif entre les lèvres….

Je pensais alors que si un homme, il y a souvent des VRP dans les hôtels, arrivait et me trouvait ainsi….

Il ne se passa pas un quart d'heure que je frappai du pied à notre chambre.

Pascal ouvrit.

" Puisque c'est comme ça, tu resteras UNE DEMI HEURE DE PLUS ! "

Et il claqua et referma la porte à clef.

J'entendis plusieurs fois des bruits dans les chambres, et aussi l'ascenseur.

Heureusement, permisterne à notre étage.

Cela faisait bien une heure que je me trouvais dans le couloir.

Je pensais que Pascal me ferait rentrer bientôt et que je ne craignais rien.

J'avais tort…

L'ascenseur descendit au rez-de-chaussée.

Il remonta, et, malheur… s'arrêta à notre étage !!

En sortit un homme d'une quarantaine d'années, qui me regarda, surpris.

Je m'étais tourné de côté, sexe contre le mur, mais exhibant par le fait mes fesses, et mes mains menottées….

" Bonsoir…. "

Je ne répondis pas, j'avais le préservatif entre les dents….

Il partit dans le couloir, ouvrit sa porte de chambre qu'il referma.

Je fus soulagé.

Malheureusement pour moi, dix minutes après, il la rouvrir, et me fit signe du doigt de venir vers lui.

Je ne bougeai évidemment pas.

Il sortit alors, vint me chercher.

Il me prit par le bras.

" Viens avec moi ! "

Il me fit entrer dans la chambre, referma à clef.

Il retira le préservatif de ma bouche.

" Tu as tout prévu, dis donc…. "

" Il faut que je vous explique….. "

" M'EXPLIQUER QUOI ?? "

" Tu es À POIL dans le couloir de l'hôtel, les mains attachées, et un préservatif entre les dents !! CELA SEMBLE ASSEZ CLAIR sur ta recherche, non ??? "

A ce moment, il me toucha le sexe, et commença à me masturber…

Je me raidis, je bougeai.

" ET ALORS ?? Tu vas te CALMER, oui ?? "

" Laisse toi faire ! "

Je ne bougeai plus.

Il me masturbai en cadence, me caressais les fesses.

" Bien… tu BANDES… Tu vois que tu aimes ça… "

" Je vais te VIDER tout de suite… Je ne veux pas que tu prennes du plaisir tout à l'heure ".

Il me conduisit à la salle de bains, me positionna devant le lavabo, et me masturba de plus belle.

" Allez, vas y... ne te retiens pas... JOUIS !! "

Il accélérait, je n'en pouvais plus….

" AHHH… Arrêtez… je vous en prie…. Arrêtez… "

" Allez, vas y… jouis… "

Je ne pus me retenir….

" AH... NON… non… ohhh ahh…. Oui…. Oui……OUIIII ! "

Les jets de sperme se succédèrent dans le lavabo.

" Maintenant, tu vas me nettoyer tout ça ! AVEC TA LANGUE ! "

" Oh non, je ne veux pas, je vous en prie ! "

" LECHE TON SPERME ! ET AVALE TOUT !! "

Je dus obéir.

Il me fit pencher, et je dus tout lécher, et tout avaler.

" Monte dans la baignoire, je vais te nettoyer la queue ! "

J'enjambai le bord.

Une fois dans la baignoire, il me décalotta le gland et fît ma toilette. Il lava mon sexe, mes fesses, mon intimité.

Il me sécha et de déshabilla.

" Maintenant, il est temps de passer aux CHOSES SERIEUSES…. "

Il me conduit dans la chambre, me tenant par les menottes.

" Tu sais que tu as un beau CUL, toi ?? "

" Pour l'instant, tu vas me faire bander… A GENOUX ! "

Il me fit ployer et mettre à genoux.

" POMPE MOI LA QUEUE !! Et en vitesse ! "

Je dus engloutir le membre, qui déjà, devenait dur.

" Oui... suce moi bien… fais moi bien bander… "

" Elle est bonne, ta bouche… oui... suce moi bien… "

" Oui... comme ça… comme ça… Ahhh…… ! "

" JE N'EN PEUX PLUS !!!! JE VAIS TE BAISER !!! "

" Oh non pas ça... NON ! "

" TA GUEULE ! J'AI ENVIE DE TE BAISER ! De toutes façons, tu es attaché… alors… TU ES BIEN OBLIGE D'Y PASSER !!!! Que tu le veuilles ou non !
chrislebo

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" Viens près du lit ! "

Il me fit approcher du lit…. Une fois à côté il me poussa le dos.

" Voilà ! Allonges toi la face et le buste sur le lit ! " Voilà … Comme ça … "

" Voilà… CUL BIEN OFFERT… C'est bien… Cambre toi un peu plus… comme ça… bien … "

" Je vais chercher la capote ! "

Il revint, j'entendis le bruit de l'ouverture du préservatif, et je l'entendis aussi l'enfiler.

" Je ne t'ai pas fait trop attendre ??

"Voilà, je suis prêt.

Il s'agenouilla derrière moi.

Il enduisit mon anus de salive.



Puis vint la pénétration.

" AHHH !!!! NON !!!!! "

" TU VAS LA FERMER, OUI ??? Tu vas réveiller tout l'hôtel !!! "

Il se releva, alla chercher une serviette dans la salle de bain.

" OUVRE LA BOUCHE ! "

Il me m'enfila la serviette dans la bouche.

" Voilà, tu seras plus silencieuse, maintenant ! Remet ta tête face sur le lit ! "

Il me repénétra….

" Mfffffffff….. !!! "

" Ah... Ca y est … tu la prends dans le cul … "

Puis il me posséda…

" Humm… il est bon ton CUL….. Je te défonce…. "

" Bien en levrette… comme une pute….. Tu es serré, SALOPE…. C'est bon… "

" Je t'enfile… je te mets TOUT… tu AIMES CA…. Hein ??? Tu aimes la queue, toi… ça se voit…. "

" Eh bien, TIENS ! TIENS !!! Prends là, prends ma bite…. ! "

Il accéléra….

" Oh petite pute... tu vas me faire cracher…. OUIIIIII ….. OUI………AHRGG ….. PRENDS MON SPERME… Prends tout dans le cul… TIENS…… "

Il se vida dans le préservatif, puis se retira.

Il m'enleva la serviette de la bouche.

" Petite salope, tu m'as vidé les couilles ! "

Il me fit remettre debout, me guida vers la porte.

" Tu m'as fais jouir, maintenant, DEGAGE ! "

La porte se referma sur moi.

J'étais à nouveau dans le couloir….

J'allai frapper à la porte de notre chambre.

Pascal m'ouvrit et me fit rentrer.

" Tu t'es fais embarquer, j'ai vu ça…Tu n'étais plus dans le couloir… En plus, je t'ai entendu CRIER…. "

" Viens voir… tourne toi, et penche toi "

Il me fit pencher et ouvrit mes fesses.

" SUPERBE… Tu as encore le cul OUVERT, dis donc… "

" J'ai l'impression que tu viens de te faire ENCULER à fond…. Je me trompe ??? "

Je ne répondis pas.

" Alors ?? Je me trompe ?? "

" Non, je viens de me faire prendre "

" Ah oui ? Par qui ??? "

" Par un mec, 2 chambres à côté. Il m'a vu dans le couloir et m'a emmené dans sa chambre "

" HUMM… Intéressant… tu l'as bien sucé ? "

" Oui, il m'a fait sucer "

" Il avait une grosse queue ? "

" Oui, une grosse, il m'a fait mal "

" Je vois, tu saignes un peu…. Mais c'est le métier qui rentre "

" BON... Tu as bien travaillé pour ce soir… Je t'enlève tes menottes, et tu vas te laver le cul "

J'obéis.

Pascal était déjà couché quand j'eus fini. J'allai le rejoindre dans mister lit, NU.

" Bien… Je ne t'attache pas pour cette nuit, mais tâche d'être DISPONIBLE si j'ai une petite envie : sois docile et soumis, c'est tout ce que je te demande…. Et met toi bien dans la tête que ton CUL M'APPARTIENT … "

" Allez, bonne nuit, et ne te branle pas : si tu as une envie, tu me SUCE, compris ?? "

" Oui... oui... J'ai compris…. "

Je m'endormis tout de suite…

Plus tard dans la nuit, je fus vulgarement tiré de mon sommeil :

" VITE, DANS LA BOUCHE !!!! Ta bouche, vite !!! "

Pascal me réveillait pour que je le suce. Il dirigea ma tête vers mister membre.

" OUI….SUCE BIEN….vas y…. "

" OUI…comme ça…. Suce moi bien…ahhh…. Oui… "

" Pompe moi... oui… ton cul… tu m'excite…. "

Soudain, il se retira, et jouit sur mon visage, sur ma joue…

" Tiens, prends mon sperme…ahhhhhh…..oui…….. …. "

Epuisé, je me couchai sur le côté sans même m'essuyer et me rendormis.

Le lendemain matin, lorsque le réveil misterna….

" Eh bien ma petite cochonne…. Tu m'as encore bien sucé la queue, cette nuit, dis donc… "

" Regarde, tu as mon foutre séché sur la joue !!! "

" Allez, VAS TE LAVER en vitesse ! "

Après la douche, nous nous sommes habillés, moi toujours sans slip, et sommes descendus au petit déjeuner.

J'eus la surprise de trouver mon baiseur, l'homme qui m'avait emmené dans sa chambre la veille, et qui avait abusé de moi.

Il me reconnût et vint nous voir.

" Bonjour… je me suis bien amusé avec lui, hier, dites donc… C'est vous qui l'aviez mis " à disposition " dans le couloir ?? "

" Bonjour ! Oui en effet… j'étais sûr qu'il " trouverait preneur "… eh eh … je vois que cela a été fait… "

" Oui j'ai beaucoup apprécié sa bouche et mister cul…. "

" Dites moi, il me reste une demi-heure avant de rendre la chambre… J'aimerais qu'il monte dans ma chambre, j'ai envie de m'amuser un petit peu !! "

" Sans problème… !!! Il n'attend que ça !!! Rejoignez votre chambre, il déjeune et je vous l'envoie dans cinq minutes… "

Il remonta par l'ascenseur.

Je protestai :

" Non.. je ne veux pas y aller…. Je n'ai pas envie… il m'a fait mal, hier… "

" Ecoute ! Tu n'es pas là pour discuter ! " Tu vas monter en chambre et te faire baiser ! " " Compris ??? "

" Je ne veux pas…. "

" TU MONTES ET TU TE FAIS BAISER !!! J'AI DIS ! "

" Lèves toi et monte en chambre ! Tu es là POUR CA ! "

Ravalant un sanglot et posant ma serviette, je me levai et pris l'ascenseur.
chrislebo

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J'arrivai, sa porte était entr'ouverte et il était déjà nu.

Je refermai.

" EH BIEN ?? Qu'est ce que tu attends pour te DESHABILLER ??? "

J'obéis.

" Allez, viens vite me SUCER ! Ensuite je M'OCCUPERAI DE TON PETIT CUL ! "

Je le suçai longuement.

" BON… Maintenant, je VAIS TE PRENDRE !! "

" Mets toi à quatre pattes sur la moquette ! Je vais te prendre par terre ! "

Il me pénétra sans douceur, je criai.

" Tu vas la fermer, oui !!! "

" TIENS… Prends ma grosse queue, salope ! "

Il me lima, m'arrachant des cris. Je remarquai qu'il m'avait pénétré sans préservatif.

Il bougea, me lima en me faisant bouger… Tout à coup….

" ARRRG…. OUIIII….. AH JE VIENS !!! TIENS ! TIENS !!! PRENDS TOUT SALOPE ! TIENS !!!! "

Il jouissait EN MOI… De nombreux jets de sperme m'envahissaient.

Il se retira.

Je voulus aller me laver.

" Non, non !!! Pas le temps ! Je dois rendre les clefs ! Tu restes comme ça ! Tu garderas mon sperme dans le cul ! Serre les fesses que ça ne coule pas !! "

Et dire que je n'avais pas de slip !!! Heureusement, j'avais un pantalon foncé.

Je redescendis au petit déjeuner que Pascal avait terminé, il m'attendait dans un fauteuil, à la réception.

" Ca y est, vous avez fait vos " affaires " ?? "

" Une demi-heure, tu es dans les temps, c'est bien !!! "

" Il t'a bien baisé ?? "

Je racontai tout.

" Oh oh SUPER !!!! Tu as tout pris dans le CUL ???? Magnifique …. En plus tu n'as pas de slip… CA VA COULER…. Tu as intérêt à serrer les fesses ma cocotte !! " " Allez, on va à notre formation "

J'arrivai honteux.

Au bout de 20 minutes je sentis que le sperme commençait à couler. J'allai en hâte aux toilettes, et me nettoyai comme je pus avec du papier hygiénique. Mon entrejambe était un peu mouillé, le sperme avait coulé.

Quand je revins, je trouvai un message sur mon ordinateur, un mail. Il était de Pascal.

" …. A la pause, tu iras m'attendre dans les toilettes … J'ai envie de me faire sucer… Sois discret. "

La pause arriva à 11 H.

J'obéis et me rendis aux toilettes.

Il arriva bientôt.

" Entre dans les toilettes et assieds toi sur la cuvette ".

J'obéis, il referma à clef. Puis il se mit debout devant moi, et défit sa braguette.

" Eh bien ??? Qu'est ce que tu attends ??? AU TRAVAIL !! "

Je sortis mister sexe en commença a sucer.

" DEPECHE TOI, on n'a pas le temps… Accélère un peu !! "

Je me mis à l'ouvrage…

" Voilà… comme ça… c'est bien… je ne vais pas tarder à venir… "

" Tu prendras tout dans la bouche, compris… "

Je fis oui de la tête, j'avais mister sexe en bouche.

Il gémit… commença à se cabrer, et, soudain, bloqua ma nuque avec sa main….

" OOHHHH…..AHHH…..OUI…..prends ça… oui… bouffe tout…. "

Je reçus les jets de sperme chaud dans la bouche, je crus étouffer. Il se retira enfin, rangeant sa queue.

J'avais le sperme dans la bouche. Je me levai, ouvrit les toilettes, et crachai tout.

" La prochaine fois, tu AVALES ! Compris ??? "

" Oui…. "

Nous sortîmes. Je voulus aller au lavabo. v " Non, non !!! Pas question !! Tu ne te rinces pas la bouche !! "

" Je veux que tu aies le goût de mon SPERME dans la bouche toute la matinée !! "

C'est ainsi qu'effectivement, j'eus le goût de mister sperme dans la bouche jusqu'au repas.

FIN
chrislebo

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Esclave des petites culottes


Amy et moi étions juste mariés depuis un an lorsqu'elle m'a forcé pour la première fois à sucer le sexe d'un homme. Ce fut une initiation particulièrement humiliante car ce n'était pas un sexe ordinaire mais une sorte de monstre qui venait juste de se retirer retiré de sa chatte après qu'elle ait été longuement limée par ce membre. J'avais alors 22 ans et mon amie 28.

C'était une magnifique Maîtresse, extrêmement jolie, avec de beaux cheveux blonds et un visage à rendre fou de luxure. Ses seins étaient petits mais délicieusement dressés et excités avec des mamelons et des aréoles roses très féminins et le plus admirablement formés, avec un tour de taille de seulement 56 centimètres, un cul et des hanches extrêmement féminin sans être trop larges et des jambes longues et belles avec juste cette plénitude voluptueuse de la cuisse qui m'a toujours excité. Elle était vive, sûre d'elle et arrogante, suprêmement consciente du fait qu'elle était très désirable avec ses lèvres pulpeuses et humides et extrêmement bandantes.

Il faut dire également qu'elle a eu la plus jolie chatte rose et juteuse et qu'elle était une sacrée chasseuse de queues toujours affamée et qui naturellement n'avait aucune difficulté trouver régulièrement des bites de belles tailles. En même temps, elle prenait un plaisir sans égal dans le fait de m'exciter de la manière la plus impitoyable et (ce que je découvrais à mon dépend !) était une dominatrice cruelle et impitoyable une fois qu'elle détectait le plus faible indice de faiblesse ou de tendance à la soumission chez l'homme ou le garçon.

Amy et moi étions fait pour nous entendre car je suis d'un caractère très docile en mon et, bien sûr, un amateur efféminée de petites culottes et de collants. J'avais bien peu d'expérience avec les femmes, bien que j'aie baisé plusieurs fois avec des prostituées de première qualité que j'aimais reluquer. Mais, bien que je n'étais pas manifestement attiré par les hommes, mon principal fantasme était de sucer leur sexe et je portais souvent, secrètement, ai des petites culottes féminines (même des slips et des bas avec des jarretières) et j'ai parfois dormi dans une chemise de nuit.

Ce qui m'attirait le plus dans Amy c'était sa nature arrogante et le fait qu'elle devinait rapidement, par des interrogatoires complets et fermes, toutes mes petites perversions qui semblaient l'amuser et qu'elle encourageait activement. De mister côté, elle aimait mon côté soumis et ma docile obéissance, bien que je sois sûr elle était également beaucoup attirée par le fait que j'étais très riche et qu'avec ma nature de larve je lui donnerais tout qu'elle voudrait.

Amy m'avait clairement indiqué qu'elle était une dominante confirmée et qu'il n'était pas question de mariage à moins que je convienne formellement et solennellement qu'elle dirigerait sans partage et que je lui appartiendrait totalement et que j'obéirais docilement à tous ses ordres et subirait tous ses caprices. Elle m'avait également clairement indiqué dès le début que je ne devrais jamais compter sur sa fidélité. Elle avait des besoins intenses de sexe et en outre, a-t-elle dit, elle n'aimait que les très grosses queues.

Au début de notre relation elle m'avait incité à baisser mon pantalon et s'était beaucoup amusée de me trouver portant une jolie paire de bas fins en Nylon rose. Elle a vulgarement plongé sa main dans ma petite culotte et en a sortie mon sexe et mes testicules ridiculement petits pour les inspecter en se moquant de sa taille et les manipuler d'une manière plutôt brusque.

Après m'avoir sucé jusqu'à une pleine érection, elle m'a cruellement assuré que mon équipement était insatisfaisant et risible et qu'il ne la satisferait jamais. Aussi elle continuerait à faire l'amour avec tous les autres hommes qu'elle souhaiterait, que je ne devrais y faire aucune objection, et que je sois attaché pour assister à ses ébats amoureux sans pouvoir m'y opposer. D'autre part, je devais naturellement lui rester strictement fidèle. Ma nature soumise servile n'a pu résister à une domination féminine si implacable et j'ai volontairement accédé à ces conditions.

Au début, Amy a tout fait pour m'attirer vers elle (et entre autre m'enchanta avec ses fellations sophistiquées et très habiles); Néanmoins, elle m'a incité à porter une chemise de nuit transparente pour être dans le lit avec elle chaque nuit après notre lune de miel et m'a obligée à porter des petites culottes quotidiennement. Elle m'avait acheté quelques jolies nouvelles petites culottes et des chemises de nuit comme cadeau de lune de miel). Elle m'a aussi prié de passer de longues heures à genoux pour l'amener avec ma langue à de nombreux orgasmes tandis qu'elle s'étendait dans un fauteuil, avec ses culottes ouvertes, et ses jambes bien écartées, tandis que je prenais appui avec mes mains sur les bras du fauteuil, et que sa chatte se frottait sans vergogne contre mes lèvres pour réclamer les caresses de ma langue.

À ces occasions elle employait envers moi un langage très cru et je recevais des exhortations comme: "collez votre museau ici, petit porc", ou "léchez mon clitoris plus durement espèce d'abruti paresseux" ou, "placez votre langue plus haut sur ma chatte, espèce d'inutile larve !", Et ainsi de suite. Quand le travail de ma langue la portait à l'orgasme elle écrasait souvent ma tête entre ses cuisses puissantes ou tirerait durement mes cheveux ou sur mes oreilles dans mister délire de jouissance. Il serait contraire à la vérité de prétendre qu'un tel comportement manifestement dominant et le traitement méprisant qu'elle m'imposait ne m'excitaient pas au plus haut point.

Même pendant notre lune de miel elle a démontré de manière décisive, et naturelle, sa domination sans pitié et mon statut de sous mâle. Je fus mis immédiatement et scandaleusement cocu. Elle flirtait avec un bel homme dans notre hôtel et une après-midi, en présence de ce monsieur, je reçus l'ordre catégorique et honteux de rester hors de notre pièce pendant quatre heures tandis que ma nouvelle épouse et le monsieur s'envoyaient en l'air.

Rougissant intérieurement et extérieurement d'offense devant le monsieur grimaçant, je me suis néanmoins docilement exécuté. Plus tard, Amy m'a dit, sans cacher mister plaisir, que l'homme était tellement plus membré que moi et qu'elle avait baisé avec power comme jamais.

Elle m'a fait agenouiller et enlever la petite culotte qu'elle avait mise après avoir reçu mister sperme en elle, et j'ai été obligé de lécher l'entrecuisse de la petite culotte qui était enduite d'un mélange collant et poisseux de jus de la chatte de mon épouse et du suintement des dépôts crémeux du sperme de monsieur.

J'ai revu plus tard ce monsieur me souriant d'une manière méprisante et supérieure. Il devait penser que j'étais une dégouttante mauviette pervertie, de l'avoir laissé baiser mon épouse sur pendant notre lune de miel - et bien sûr il avait raimister! Je l'imaginais fiévreusement faire l'amour à Amy, ce qui était la preuve de la profondeur de ma perversité, tandis que ce que je regrettais le plus c'était que je n'avais pas pu observer ce fier macho mettre sa queue bien raide dans la chatte de mon épouse et la limer copieusement.

Après notre lune de miel, Amy affirma sa domination rapidement et fortement. Elle m'a fait jeter tous mes sous-vêtements masculins et m'a obligé à porter quotidiennement un joli ensemble composé d'une petite culotte et d'une chemise de nuit. Au bout de quelques jours j'ai dû mettre en plus des portes jarretelles et des bas (ou de temps en temps une gaine serrée), et la chemise de nuit remplaçait maintenant mon pyjama chaque nuit.

Le plus humiliant est qu'elle m'a parfois incité à porter un jupon ou un dessous de robe que je devais replier à l'intérieur de mes pantalons ce dont je restais honteusement conscient tout au long de la journée. Bientôt, suivant les ordres d'Amy et sous sa direction, j'avais accumulé une collection de lingerie fine presque aussi étendue que celle de mon épouse.

Elle a commencé à sévir autrement. J'ai été brusquement averti qu'elle préférait dormir seule, et elle pris la chambre à coucher principale, qui était magnifique dans notre appartement luxueux, alors que j'étais banni dans une petite salle à l'étroit, qui était à l'origine la chambre à coucher d'un domestique, où il m'a été donné pour seuls meubles un lit dur étroit et une chaise droite et dure.
chrislebo

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Le matin je devais être levé le premier pour m'habiller dans de jolis sous-vêtements et bas me rendre vite dans la chambre d'Amy, quand elle m'appelait en misternant une cloche, de lui apporter le journal et de lui servir un petit déjeuner léger au lit.

Il m'était également requis quotidiennement de laver et de repasser ses sous-vêtements, bas et chemises de nuit et de maintenir ses chaussures et ses bottes toujours impeccablement cirées. Je devais également nettoyer et frotter sa salle de bains (que je n'étais plus autorisée pour employer), y compris la cuvette des toilettes.

Plus tard elle a décidé de se séparer de notre bonne et de notre femme de ménage. Elle trouvait que leur présence dans les pièces de maimister à toute heure était un obstacle à ses abus envers moi et, comme elle l'a gentiment précisé, j'étais désormais assez bien qualifié pour exécuter toutes leurs fonctions, tandis que les salaires que je leurs payaient pourraient maintenant être utilisés pour augmenter mister allocation permisternelle déjà très élevée. Ainsi je suis devenu un domestique entièrement occupé par les tâches ménagère et sa femme de chambre.

Des tâches telles que la lessive des dessous d'Amy étaient en principe très agréable pour moi, étant donné ma nature docile. L'exécution de corvées si intimes, et même si serviles, pour une femme dominatrice était beaucoup ce qui a fait appel à moi. Cependant, mes fonctions de blanchissage mistert devenues beaucoup plus avilissantes car le renfort intérieur d'entre jambes des petites culottes de mon épouse était souvent enduit des vestiges secs et durcis des fuites de mister sexe et du mélange collant du sperme des messieurs avec ses propres sécrétions intimes.

Avant de commencer la lessive j'étais obligé de séparer ces knickers fortement salis et, alors qu'Amy se tenait prêt de moi et me harcelait, j'étais forcé de me mettre à genoux et de lécher longuement les traces collantes de ses exploits de rut avec d'autres hommes.

J'avais droit à une correction douloureuse si ses petites culottes n'étaient pas rendues immaculés et sans aucune tâche apparente sur le renfort intérieur d'entre jambes. Je devais les frotter avec une brosse à dents dans des efforts épuisants pour rendre ses culottes à leur état primitif. Souvent, particulièrement avec les slips blancs, il était impossible de supprimer complètement les taches. Néanmoins aucune excuse n'était acceptée et, toutes les fois que cela se produisait, j'ai devais supporter une correction.

Ces petites culottes souillées étaient jetées et, naturellement, je devais en acheter un slip de remplacement de sorte que mon épouse pouvait aller chez un autre homme qui le lui abaisserait et la remplirait à nouveau de sperme qui, à mister tour, suinterait et s'écoulerait goutte à goutte hors d'elle sur le renfort intérieur d'entre jambes de la petite culotte fraîche. Et ainsi le processus se répétait.

Avec ces évolutions Amy a commencé à me permettre de moins en moins satisfaction sexuelle. D'abord elle a tout à fait cessé de sucer mon sexe. Ensuite je n'ai été autorisé à la baiser qu'une fois par semaine seulement et, après quelques semaines de ce régime, elle a brusquement annoncé qu'elle avait décidé que le fait de pouvoir la pénétrer n'était plus compatible avec mon état de soumis.

En outre, elle a ajouté, mon sexe était si petit qu'elle pouvait à peine le sentir quand je l'introduisais en elle, et elle n'obtenait désormais sa satisfaction exclusivement avec les puissants sexe de ses messieurs, bien que je puisse de temps en temps être employé pour lécher sa chatte quand elle était excitée et qu'aucun monsieur n'était disponible.

Elle a aussi décidé que le fait de la baiser sur sa bouche était un privilège trop intime pour quelqu'un de ma nature servile. Et, elle a crûment et cruellement ajoutée, que je devais "garder à l'avenir mes pattes de pédé loin de ses seins, cuisses et fesses ".

En même temps je savais pertinemment que mon épouse permettait très fréquemment à d'autres hommes d'abaisser ses petites culottes élégantes et de l'apprécier pleinement. En effet, elle a rendu ce fait tout à fait clair pour moi en rentrant à la maimister très tard dans la nuit et m'incitait en souriant à examiner l'entre jambes humide et collant de ses petites culottes.

Elle prenait du plaisir à me faire 'agenouiller, abaisser ses culottes et lécher sa chatte suintante de sperme et le fond de ses petites culottes trempé de sperme, alors qu'elle décrivait les longs plaisirs qu'elle avait reçus en étant baisée par un certain jeune porc vaillant et les copieux caillots de crème que ce monsieur avait éjaculé en elle.

Occasionnellement elle a employé notre appartement pour baiser avec d'autres hommes tandis que j'étais condamné à rester dehors jusqu'à, peut-être 2.00 heures du matin ou même, occasionnellement, pour toute la nuit. Bien plus humiliantes étaient des soirées où j'étais strictement confiné dans ma pièce austère tandis qu'Amy était baisée à plusieurs reprises par un monsieur dans notre splendide chambre à coucher. Est-ce que ce monsieur savait qu'un mari esclave féminisé était confiné en chemise de nuit et petite culotte dans une autre partie de l'appartement, cela je ne pouvais pas le savoir.

Une fois ou deux j'eut le fantasme d'ouvrir la porte au monsieur et pour me montrer à lui. Je me rappelle qu'une fois Amy a embrassé passionnément un homme devant moi tandis qu'il mettait scandaleusement sa main sur le haut de sa jupe, caressant et pelotant mister cul à travers sa culotte lilas, avant qu'elle le conduise jusqu'à sa chambre à coucher et qu'il me souriait avec mépris.

Naturellement de telle situation m'accablait de honte mais aussi, étant donné mes travers pervers, m'excitait désespérément. Amy laissait parfois la porte de sa chambre à coucher ouverte en ces occasions, et, si je laissais également la porte de ma pièce ouverte, je pouvais entendre ses gémissements et cris perçants pendant qu'un gros porc la transportait à l'extase à plusieurs reprises.

Mon propre soulagement sexuel était maintenant limité au fait de pouvoir rejoindre très brièvement mon épouse dans mister lit une fois par semaine. Lors de ces occasions hebdomadaires, elle se déshabillait de manière érotique devant moi, en grimaçant méchamment pendant qu'elle exposait et balançait devant mon nez ses jolis seins que je n'étais plus autorisé à toucher. Elle entrait dans le lit en gardant ses bas et sa petite culotte et se tournait immédiatement pour me montrer mister dos.

Elle m'excitait maintenant d'une manière très sadique, en m'obligeant à être dans le lit avec elle dans cette situation, l'usage de mes mains étant strictement réglementé. Elle m'a excité et m'a torturé en m'interdisant de toucher ses seins tentateurs ou de caresser ses cuisses pleines ou mister bas-ventre serré dans sa petite culotte. Je devais continuellement conserver mes mains légèrement posées sur ses hanches tandis que, ma culotte baissée, j'étais autorisé à embrasser seulement mister cou et le dos de ses épaules nues, tandis que je frottais mon sexe contre les pleines courbes de mister beau cul à travers le satin diaphane de sa culotte qui l'enserrait étroitement.

Et je devais frotter frénétiquement mon sexe tourmenté contre mister cul culotté. Une minute ou deux seulement de ce frottement rêche, impermisternel et humiliant, après une semaine d'abstinence totale imposée, suffisait habituellement pour m'amener à l'éjaculation, éclaboussant de flots de sperme la culotte de mon épouse. Alors je devais enlever sa petite culotte et la laver soigneusement.

Ce fut le sommet de mister indulgence sexuelle envers moi et même ceci n'a pas duré longtemps. Au bout de quelques mois de cette pratique, elle m'a annoncé qu'elle ne pouvait plus supporter sentir mon sperme collant la salir à travers sa culotte, et qu'à l'avenir mon soulagement sexuel se restreindrait à des masturbation sans contact avec elle, et ce seulement quand elle m'en donnerait la permission expresse.

Ces masturbations devaient être exécutées en sa présence de sorte qu'elle puisse surveiller et superviser ma dégradation. Habituellement elle ne me permettait qu'une masturbation hebdomadaire, bien que parfois elle saute une semaine pour me rendre fou d'excitation pendant deux semaines.

Elle prenait plaisir à taquiner mon sexe affamé en soulevant assez sa jupe pour me montrer le haut de sa cuisse nue au dessus de la jarretière avec juste un petit aperçu de culotte moulant mister sexe galbé, tout en me raillant et se moquant de mes insuffisances, m'humiliant en me rappelant les nombreux messieurs qui avaient un accès facile et fréquent à ses seins, à sa bouche, à ses cuisses et à sa chaude chatte.

Tandis qu'elle se permettait gratuitement cette petite exhibition, je devrais rester à genoux, avec ma culotte baissée, et me pomper jusqu'à ce que j'aie éjaculé.

Amy organisait de temps en temps une variation particulièrement humiliante de cette scène. Elle se tenait jambes écartées et me faisait agenouiller sur le plancher avec ma tête entre ses jambes de sorte que je puisse regarder directement sous sa jupe. Je devais alors sortir mon robinet hors de ma petite culotte knickers et me lancer dans une masturbation frénétique en étant stimulé par la vue de ses cuisses nues, sa jarretière et des lèvres de mister sexe moulant l'entre cuisse serré de sa petite culotte.

Elle agrémentait cette situation de remarques méprisantes à mon égard, raillant la fébrilité avec laquelle je me masturbait et éclatait de rire quand quelques flots de sperme venaient éclabousser mon ventre.

Naturellement j'ai compris assez tôt que j'étais systématiquement réduit par degrés à une position servile, tout à fait vile, et humiliante. Une partie de moi s'est rebellée contre ceci mais, malheureusement, ma perverse attraction envers la soumission était l'élément le plus fort dans ma nature et j'ai progressivement accepté chaque nouvelle étape de ma propre dégradation.

Amy, en effet, ne refusait pas complètement tout contact intime. Il y avait, en fait, un contact très intime pour lequel elle a insisté. Fréquemment quand elle souhaitait aller pisser, elle me commandé de la suivre aux toilettes, et alors de me mettre à genoux et d'enlever sa culotte. Je devais me tapir entre ses jambes bien écartées pendant qu'elle vidait par à coups sa vessie, tandis que je devais mettre mes doigts dans le jet d'or. Quand mes doigts étaient entièrement trempés de pisse je devais les lécher et sucer lentement tandis qu'elle ricanait.

Une fois vidée, elle se levait et me présentait sa chatte pour que je tende en avant ma langue afin de lécher les gouttes de pisses accrochées aux poils de mister pubis. Alors elle essuyait sa chatte avec un morceau de papier de toilette et m'obligeait à lécher le papier avant de le mettre dans les toilettes. Enfin, après m'être lavé les mains, je devais remonter sa culotte et la remettre soigneusement en place afin qu'elle ne fasse aucun plis sous sa jupe, puis tirer la chasse des toilettes.

L'esprit cruel et inventif d'Amy ajouta une nouvelle dimension à ce rituel d'offense uro. Nous sortions dîner dans un restaurant environ deux fois par semaine et chaque fois, avant de partir de la maimister, je devrais préparer un petit récipient remplit de mister nectar. A la fin du repas je devais verser cet additif dans mon café et puis avaler lentement cette boismister tandis qu'elle souriait gentiment et s'enquérait avec sollicitude si j'en avais aimé la saveur. Elle était très imaginative et trouvait toujours de nouveaux moyens de dégrader une esclave lopette.
chrislebo

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L'esprit cruel et inventif d'Amy ajouta une nouvelle dimension à ce rituel d'offense uro. Nous sortions dîner dans un restaurant environ deux fois par semaine et chaque fois, avant de partir de la maimister, je devrais préparer un petit récipient remplit de mister nectar. A la fin du repas je devais verser cet additif dans mon café et puis avaler lentement cette boismister tandis qu'elle souriait gentiment et s'enquérait avec sollicitude si j'en avais aimé la saveur. Elle était très imaginative et trouvait toujours de nouveaux moyens de dégrader une esclave lopette.

Un jour, j'étais en train de repasser une particulièrement fine et élégante culotte en dentelle que j'avais acheté pour Amy en provenance de Paris. Dans un moment de maladresse, j'ai laissé une seconde de trop le plat du fer à repasser sur la broderie fine et le résultat fut une légère marque de roussi qui rendait la culotte pratiquement non utilisable. Je confessai cet épisode de négligence a Amy avec beaucoup d'appréhension, mais à ma surprise, elle reçu la nouvelle très calmement et remarqua seulement qu'elle devrait régler complètement cette affaire dans quelque temps.

Environ trois jours plus tard elle a remarqué en passant que le temps était venu de régler la question de la petite culotte roussie et m'avait ordonné d'enlever mes sous vêtements et ma brassière. Sans comprendre du tout pourquoi, je me suis exécuté. Amy s'est alors assise sur une chaise rigide et droite et m'a demandé de lui apporter l'article que je trouverais sur sa table de chevet.

Je suis allé jusqu'au boudoir de Madame et à mon étonnement j'y ai vu une grande palette en bois, de la sorte utilisée pour jouer au ping-pong, sur la table en question. Je la lui ai rapporté et je lui ai dit avec indignation "sûrement, vous ne pensez pas que vous allez me fesser comme si j'étais un enfant?"

"Certainement pas", elle a répondu de façon glaciale, "ce que je vais vous faire, je ne le ferais jamais à un enfant. Ce que je vais faire est de flageller votre foutue sottise pour votre négligence et votre honteuse incompétence qui a ruiné ma petite culotte française préférée. Abaissez maintenant votre culotte à vos genoux et allongez-vous le long de mes cuisses."

J'ai essayé de fanfaronner et j'ai répondu que je ne ferais jamais une telle chose, que je n'étais pas un natural domestique ou un esclave à battre.

"C'est précisément là où vous avez tort", a-t-elle répondu calmement. "Vous êtes tout à fait exactement mon natural domestique et mon esclave et je vais écorcher la peau de votre derrière toutes les fois que j'en aurais l'envie. Baissez maintenant votre culotte immédiatement et venez au-dessus de mes genoux ou je ferais mes valises et vous ne me reverrez plus jamais."

Elle était en train de franchir une étape importante et rétrospectivement je suppose que j'aurais du alors la laisser partir. Ma terrible erreur s'est faite à ce moment. Ma soumission l'a emporté et j'ai franchis le Rubicon. Bien que rougissant de honte, j'ai docilement abaissé ma culotte à mes genoux et je me suis allongé sur ses genoux. Elle avait tiré vers le haut sa jupe et, malgré mon agitation, mon robinet affamé s'est rapidement raidi quand il est venu en contact avec ses cuisses gainées de bas.

Je n'avais été jamais battu avant et la douleur de la première claque de la lourde palette, qu'elle a livrée avec toute sa power et sa vigueur, était terrible tandis qu'elle a claquais férocement ma fesse gauche. Mon érection a immédiatement disparu et j'ai hurlé comme un bébé, mais avant que je puisse entièrement assimiler la douleur un nouveau coup aussi méchant a claqué sur ma fesse droite.

Amy ne prévoyait certainement pas de me donner une fessée symbolique mais plutôt une sévère rossée douloureuse. Le supplice était inimaginable car elle me frappait six fois avec une power d'athlète, alternant de la fesse gauche à la fesse droite.

Accablé d'une douleur fulgurante, je me mis à pleurer et j'ai crié et l'ai pitoyablement priée de s'arrêter.

"J'avais l'intention de vous donner seulement six coups", elle a commenté calmement. "Mais votre insolence et réticence dans la soumission vous donne droit à une bonne rossée méritée et vous en avez gagné trois de plus".

Les trois coups supplémentaires ont été donnés avec méchanceté et voulaient vraiment faire mal, sur ma fesse droite, et ces coups répétés sur la même partie tendre a transformé en natural torturé criant de douleur.

La flagellation terminée, mon épouse m'a jeté avec mépris de ses cuisses et je me suis tapi en chialant sur le plancher, ayant l'air sans aucun doute pathétique et ridicule avec mon cul écarlate, mes fesses rouges flamboyant et les larmes qui coulaient jusqu'en bas de mon visage tandis que ma culotte était toujours autour de mes genoux.

"Pensez vous que vous traiterez mes dessous avec le respect approprié et que vous ferez attention à l'avenir?", s'enquis fraîchement Amy.

"Oui, oui, je le ferais", je pleurais.

"Alors mettez-vous à genoux, embrassez la palette et remerciez-moi de vous avoir corrigé ".

Je me suis mis sur mes genoux, j'ai embrassé la palette qui m'était présentée et murmuré, "merci de m'avoir corrigé".

"Ce n'est pas assez bien", elle a répondu. "Je veux l'entendre clairement et avec une note de repentance dans votre voix. Et dorénavant vous m'appellerez toujours "Madame" ou "ma Dame" et, si vous oubliez, vous serez rapidement soumis à nouveau aux punitions très sévères avec la palette".

"Merci beaucoup Madame de me corriger", j'ai dit avec vrai sentiment de soumission.

Amy a souri. "Voilà qui est mieux, mais ne pensez vous pas que vous vous en tirez un peu facilement, misérable larve", a-t-elle dit. "Je viens juste d'acheter une chose qui vous sera incommode à porter pendant un certain temps et vous rappellera votre transgression et vos fonctions".

Elle est allée vers mister bureau et a sorti d'un tiroir un objet étrange en caoutchouc rose dur, dont je ne pouvais pas deviner la nature.

"Mettez-vous sur vos genoux, espèce de petit pédé dégoûtant, et redressez votre cul bien en l'air", elle a ordonné grossièrement.

Incapable d'imaginer ce qu'elle avait préparé, je me suis mis humblement à genoux, j'ai mis ma tête vers le bas et j'ai poussé mon cul nu et flamboyant vers le haut. Du coin de l'oeil j'ai vu ma Dame mettre un gant de latex et l'ai puis sentie appliquer une sorte de lubrifiant graisseux sur mon anus.

Mon agitation s'est accrue. Soudainement j'ai senti une pénétration cruelle et douloureuse, car l'objet en caoutchouc rose était pressé fermement contre mon anus. Il semblait être encore plus large et m'a violé terriblement jusqu'à ce que soudainement l'intrusion énorme se soit logée dans l'endroit et je ressentis une sensation atrocement inconfortable de complète dilatation.

"J'ai vous ai pluggé", a annoncé gaiement Amy. "Ce petit objet possède un renflement pratique de sorte qu'il ne devrait pas s'échapper. Mais, pour en être tout à fait sûre, vous mettrez par dessus une culotte serrée et un porte jarretelles serré. Ensuite vous exécuterez vos taches normales et porterez le plug pendant trois heures. Et il en sera de même pour les deux jours suivants."

Elle a ri nerveusement. "Je pense que vous aurez un petit problème pour vous asseoir. Si vous avez le temps pour faire une pause vous devrez le faire allongé sur votre ventre. J'espère que cela permettra de vous rappeler le soin extrême que vous devez mettre en manipulant mes dessous. Allez maintenant mettre votre porte jarretelles".

"Oui, Madame ", je murmurais misérablement pendant que je marchais avec lenteur et difficulté, tâchant d'adapter ma démarche au port de ce gode énorme qui était fermement enfoncée au fond de mon anus et de maintenir ouvert mon sphincter.

Je compris que maintenant Amy avait déjà décidé de me battre et de me discipliner de manière dégradante de façon régulière et, qu'ensuite, il ne s'est jamais passé une semaine sans que Madame trouve une excuse quelconque pour me battre. En plus de la palette extraordinairement douloureuse, elle a acheté une grosse courroie en cuir courte fixée à une poignée en bois.
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