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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#1,141 · Edited by: chrislebo
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Cette histoire se suffit en elle même,

cependant elle est aussi la suite de Chantage et offense (Beauty Blackmailed & Boffed)

***********************************

Angoissée, elle fonça vers sa maimister, elle voulait y arri-ver avant mister mari pour se rafraîchir, elle appuya sur le champignon en jetant un oeil paniqué sur mister cadran de montre.

- Oh mon Dieu... Pourvu que j'arrive rapidement à la maimister pour prendre une douche rapide! ... Se di-sait-elle en elle-même.

Se regardant dans le miroir de courtoisie, elle vit que mister rouge à lèvres avait largement débordé, elle fouilla dans mister sac pour se rendre présentable juste au cas ou Jean serait rentré au domicile avant elle.

Le cœur battant la chamade, alors que mister irritation montait au vu de la densité de la circulation, Carol ne pouvait s'empêcher de revenir sur les événements de ces dernières semaines.

Les photos obscènes lui revenaient en tête.

- Oh Jean.. Je t'en prie pardonne-moi... Mais je ne pouvais pas vous laisser... Ni toi ni mes parents... Voir ces immondes photos...

Les yeux pleins de larmes, reniflant de honte, Carol se sentait encore souillée par le foutre que le rival de mister mari lui avait injecté dans sa foufoune embourbée.

Carol était si naïve et innocente qu'elle ne pouvait pas croire qu'on puisse être aussi vil que Rashid Akbar.

Juste trois semaines plus tôt, alors que mister mari était en voyage d'affaire, Rashid avait payé un groupe d'asiatiques pour qu'ils envahissent sa maimister.

Retenue captive dans sa propre maimister, elle avait alors découvert que c'était le pervers concurrent de mister mari qui avait dirigé la manœuvre.

Sous l'œil des caméras, accroupie sur la moquette, les abjects jeunes ados s'étaient masturbés face à mister vi-sage éjaculant leur foutre sur elle.

Elle avait tenté de détourner le visage, de ce fait les gi-clées de foutre blanchâtre s'étaient écrasées sur sa robe, mister chemisier, mister visage, mister cou et ses che-veux.

C'est alors que l'immonde Rashid avait fait un pas en avant en dégrafant sa braguette extirpent sa mons-trueuse bite noire de mister caleçon pour se branler sous ses yeux horrifiés.

Alors qu'un des bâtards de jeunes asiates lui tenait fer-mement la tête, le concurrent de mister mari gicla à jets saccadés sur mister visage grimaçant.

Ayant reçu plusieurs instantanés répugnants sur un mail de Rachid, instantanés extrait du film relatant sa souillure, Carol comprit tout de suite qu'elle ne pouvait laisser mister mari et ses parents les découvrir! ...

Elle s'était rendue au bureau de Rashid pour le supplier du lui rendre les photos et le clip vidéo ainsi que les co-pies qu'il aurait pu exécuter, acceptant en contrepartie à tenter de convaincre mister mari de lui revendre ses affai-res.

Carol frémir de dégoût en repensant à ce qu'elle avait du faire pour dissuader Rashid d'envoyer des copies des photos et vidéo de sa déchéance à mister mari et ses pa-rents! ...

Elle avait des nausées en se souvenant avoir été obligée de s'agenouiller entre ses cuisses pour tout d'abord branler sa monstrueuse pine à pleine main avant de l'admettre entre ses lèvres.

Jamais elle n'avait pratiqué une chose aussi immonde, même pour faire plaisir à mister bien-aimé mari! ...

Pire encore elle réalisa rapidement que Rashid avait l'in-tention de se vider les couilles dans sa bouche, il lui tenait fermement la tête l'obligeant à avaler servilement la totalité de mister foutre en dépit de mister écœurement.

N'étant pas parvenue à convaincre mister mari de céder ses affaires à mister rival lors de la semaine que Rashid lui avait accordé à cet effet, elle avait du le rencontrer à nouveau pour négocier un report de temps pour accom-plir sa mission.

Cette fois, en contrepartie elle dut payer un prix bien plus élevé... Beaucoup plus élevé! ...

Elle avait du coucher avec l'infâme rival de mister mari! ... Elle avait du copuler avec lui! ... Il l'avait sauvagement BAISEE! ...

Alors que jamais un autre homme que mister mari ne l'avait caressée intimement, voilà qu'elle rentrait chez elle l'utérus plein de l'immonde foutre de l'ignoble concurrent de mister mari! ...

Désespérée, elle sentait le foutre gras de mister suborneur suinter de sa chatoune inondée pour tremper le fond de sa petite culotte, honteuse elle avait bien du mal à ad-mettre les réactions de mister corps sous cet assaut.

- Mon Dieu... Pourquoi mon corps a-t-il répondu ainsi à ses caresses? ... Pourquoi m'a-t-il trahi aussi ignominieusement? ... Sanglotait-elle éperdue.

Elle tourna dans l'allée du garage s'arrêta et pressa le bouton d'ouverture de la porte du garage. Elle gémit en voyant la voiture de mister époux garée à sa place.

Elle se mit à prier pour qu'il soit suffisamment occupé dans mister bureau pour ne pas venir la saluer à mister en-trée.

Sortant de sa voiture elle referma la porte du garage et entra chez elle en empruntant la porte de communica-tion avec la cuisine.

Elle frémit en entendant mister mari la héler :

- Hello chérie...

Elle arbora un large sourire alors qu'il lui prenait tendrement les lèvres. Elle frismisterna en sentant ses muscles des cuisses se crisper, éjectant une nouvelle larme de foutre de mister infâme séducteur.

Elle mit fin rapidement à ces embrassades en le coupant :

- J'ai besoin de me rendre d'urgence dans la sale de bain! ... Je vais prendre une bonne douche bien chaude... Je me sens sale et poisseuse de sueur...

Et de fait elle ne mentait pas vraiment elle se sentait souillée par le foutre gluant de ce bâtard de Rashid! ...

Elle se déshabilla rapidement dans la salle de bain sus-pendant sa robe à la patère au dos de la porte. Elle dé-grafa ensuite mister soutien-gorge, puis l'ayant enlevé, elle observa minutieusement ses nibards meurtris dans le miroir.

Remontant ses mains, elle pressa ses mamelons de ses pouces, frismisternante alors qu'elle repensait aux sensations nouvelles qu'elle avait découverte alors que l'immonde rival de mister mari suçait ses tétons avec avidité.

- Oh mon Dieu... Soupira-t-elle en remarquant quel-ques suçons marbrant ses deux nichons.

Enlevant prestement sa petite culotte, elle contempla longuement l'épaisse couche de foutre en tapissant le fond.

Elle plongea nerveusement mister pouce dans l'épaisse purée.

Elle frotta mister pouce englué de glaire contre ses autres doigts, puis elle le porta à ses narines et en huma la forte odeur de semence virile.

Se regardant dans le miroir, Carol avala sa salive mur-murant à mister image :

- Tu n'es qu'une salope! ... Tu t'es fait baiser par un autre homme que ton mari cet après-midi! ... Un au-tre que ton mari t'a remplie de mister foutre! ... Pire encore, tu as expérimenté le meilleur orgasme que tu ais eu de toute ta vie! ...

Se dégoûtant profondément, elle frotta mister doigt enrobé de foutre contre mister menton et sa lèvre inférieure

- Tu n'es qu'un pute bon marché! ... Se châtiait-elle en frottant maintenant le fond bourbeux de sa petite culotte sur mister visage.

Les yeux pleins de larmes, elle regardait toujours mister image dans le miroir commentant :

- T'as vraiment l'air d'une pute de bas étage... Une pute au visage couvert de foutre gras! ...

Le visage bombardé par les embruns chauds de la dou-che, elle cura mister visage de l'épaisse couche de foutre qu'elle venait d'y déposer, le frottant encore et encore... Puis elle nettoya ses nibards frismisternant longuement alors que ses pouces pressaient ses tendres bourgeons mammaires.

Reposant le savon sur l'étagère, Carol caressa ses courbes voluptueuses de la main droite alors que sa main gauche plongeait lentement vers sa foufoune em-brasée.

Sa chagatte était si distendue depuis tantôt qu'elle pouvait maintenant glisser aisément 2 doigts dans sa ca-verne enfiévrée.

Ayant vu la dose importante de foutre qui avait suint de sa fentine pour poisser le fond de sa culotte, Carol pen-sa qu'elle parviendrait à en expulser la plus grande part de sa grotte souillée.

Extirpant ses doigts, elle frémit en constatant à quel point cette couche de foutre qui les engluait était dense.

Elle ne pouvait que constater l'épaisseur des glaireuses traînées jaunâtres qui gagnaient lentement le syphon de sa douche.

Elle extirpait encore et encore cet immonde foutre, po-tentiellement dangereux, dont l'infâme rival de mister mari avait consciencieusement tapissé mister tunnel d'amour.

Elle continua longuement de regarder l'épaisse purée qui traînée après traînée s'échappait par le syphon de la douche.

Elle ne parvenait pas à croire qu'il ait pu éjaculer un tel flot de foutre dans mister intimité.

Elle savait que cela ne suffirait sûrement pas à extirper la totalité du foutre menaçant de sa chagatte et que po-tentiellement elle était en grand danger de grossesse.

Carol ne pouvait s'empêcher de s'imaginer les 9 mois à venir, étendue sur le dos, cuisses grandes écartées, chevilles liées aux étriers alors que le gynécologue oeu-vrait entre ses cuisses.

Puis tandis que Jean tenait tendrement sa main, elle observait consciencieusement le visage de mister mari pour constater le choc qu'il afficherait en découvrant la conséquence de cet horrible après-midi.

chrislebo

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#1,142
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Finalement, après s'être frotté maladivement de façon à extirper le plus possible de semence de sa moule, Carol prépara une douche vaginale qui, espérait-elle anéanti-rait les derniers spermatozoïdes ayant résisté au curage minutieux de mister utérus.

Ayant terminé de se nettoyer elle rejoignit mister mari lui demandant de lui servir un martini gin bien sec, elle en avait bien besoin pour apaiser un tant soi peu la tension de ses nerfs.

Une paire de jours plus tard, elle se blottissait tout contre John qui regardait une vidéo à la télé, elle s'étendit sur le sofa, posant sa tête sur les genoux de mister époux.

Elle sentait sentir la main de Jean flatter sa tête, ses doigts courtant dans sa soyeuse chevelure noir corbeau.

Son mari semblait apprécier fortement ce film dont elle n'avait aucune idée du contenu, elle se demanda alors qu'elle serait sa réaction s'il visionnait la vidéo en pos-session de mister haïssable rival.

Elle se demandait comment elle parviendrait à convain-cre mister époux de revendre sa compagnie, elle hésitait cependant à revenir sur ce sujet.

Ils en avaient brièvement discuté la veille, mais Jean ne semblait pas très convaincu et elle ne voulait surtout pas le brusquer en la matière.

Promenant sa main sur le short de mister mari, elle ne pouvait s'empêcher de repenser à la dernière fois que mister visage s'était trouvé proche d'une virilité tendue.

Elle caressa lentement la grosse bosse qui déformait mister short et referma la main sur la bite tendue de mister mari. Elle se rappelait le grand nombre de fois qu'il avait tenté de la persuader d'embrasser mister gland turgescent avant de prendre sa mentule en bouche, elle avait toujours refusé de se livrer à des actes aussi pervers.

Elle se demandait avec curiosité qu'elle serait la réaction de mister homme si elle descendait la fermeture de sa bra-guette avant de le prendre en bouche pour le sucer avec avidité, lui faisant expérimenter tout ce que Rashid lui avait appris! ...

Se serrant contre mister mari, elle le sentit répondre à ses caresses.

Carol savait qu'il ne s'opposerait aucunement à ce qu'elle glisse sa main dans mister short pour y pêcher sa bite qui grossissait à vue d'œil, c'était un acte licencieux auquel elle ne s'était jamais livrée auparavant.

Elle observait la bite de mister mari s'expandre alors qu'elle la branlait lentement, elle se pencha alors sur mister ventre pour emboucher mister gros champignon palpitant.

Jean Nishimoto était abasourdi, pris totalement à l'im-proviste par les initiatives de sa ravissante femme.

Elle avait le visage si proche de sa queue qu'il en ferma les yeux rêvant qu'il avait enfin convaincu sa femme de lui octroyer une fellation.

C'était un rêve que Jean ne pouvait se sortir de la tête, il se demandait toujours ce qu'il ressentirait si sa femme lui suçait la bite! ... Mais elle avait une éducation si conservatrice, si "bien-pensante" qu'il savait que ce rêve resterait sûrement un vœu pieux.

Un frismister de plaisir courut tout au long de mister corps alors que sa douce Carol caressait sa bite palpitante.

Depuis quelques jours, Jean se demandait pourquoi mister adorable femme semblait si déterminée à ce qu'il aban-donne les affaires, à ce qu'il vende sa compagnie.

Il savait qu'elle travaillait à contrecœur dans la même entreprise que lui, elle avait trop souvent entendu dire que le travail en commun avait mené bien des couples au divorce!

Comme l'entreprise nécessitait de nouveaux investisse-ments et un profond changement de statuts, Jean com-mençait à penser qu'en fait, il ferait mieux de vendre la compagnie.

Peut-être bien que Carol voulait marcher de mister propre pas, elle avait souvent été approchée par différents clients qui voulaient l'embaucher dans leur boite, pen-sait-il.

-Oui c'est ça! ... C'est pourquoi elle semble si impatiente que je vende l'entreprise conjoncturait-il.

Sentant ses doigts se promener sur sa virilité, Jean sentait sa bite répondre à ces caresses affolantes, il priait pour que sa femme ait vraiment envie de s'amuser avec lui!

Jamais sa femme si prude et si réservée ne s'était comportée de façon aussi hardie, prête à glisser sa main dans mister short pour tirer de coté mister caleçon et s'empa-rer de sa bite frémissante.

C'est alors qu'elle empoigna mister chibre tendu et l'extirpa de mister short prête à l'emboucher avidement.

Jamais Carol ne s'était tenue le visage aussi proche de sa virilité. Il avait rêvé si souvent de voir mister visage s'approcher de mister pénis, il le lui avait d'ailleurs parfois suggéré.

Mais une telle requête avait toujours révulsé Carol lui répliquant vertement :

- T'es complètement fou si tu crois que je me livrerai un jour à un acte aussi répugnant! ...

Il avait pas mal réfléchi sur l'avenir de sa compagnie et les problèmes que cela posait et en était venu à conclure qu'il ferait peut-être bien de la revendre.

Sachant que Carol espérait vivement qu'il cède ses af-faires il lui vint la brillante idée de susurrer à sa femme :

- Oh chérie c'est si bon... Je sais que tu veux que je revende ma société... Pour ouvrir une agence de consultation... Si tu te montres gentille avec moi... Vraiment très gentille... Tu parviendras à me convaincre de vendre! ...

Excitée d'entendre mister mari lui faire cette proposition, elle gloussa en sentant sa virilité s'épanouir entre ses doigts, elle savait pertinemment ce qu'il entendait obtenir d'elle.

Toutefois elle savait qu'elle ne pouvait pas se comporter avec lui comme une pute expérimentée, possédant une certaine science de la fellation.

Son infâme rival lui avait appris quelques semaines plus tôt à prodiguer une gorge profonde...

- Tu vendrais vraiment si... Si... Si je me livrais à un acte aussi pervers? ... Tu... Tu sais que je n'ai ja-mais fait de choses aussi sale! ... Lui mentit-elle feignant une extrême nervosité.

Empoignant la bite de mister mari, elle comprit qu'elle pourrait sans problème lui prodiguer une fellation jubila-toire, sa bite ne faisait pas la moitié de la longueur et de l'épaisseur de celle de mister suborneur.

Se penchant en avant elle tendit la langue et caressa furtivement le gland turgescent de mister mari de la pointe, elle entendit Jean grogner mister plaisir.

En fait, profondément enfouie dans mister esprit, elle avait une terrible envie de comparer le fait d'avoir la bite de mister mari en bouche, à mister ressenti lorsque Rashid lui avait fait emboucher la sienne.

Se penchant en avant la bouche grande ouverte, elle prit en bouche le champignon palpitant de mister mari, tout de go il se mit à grommeler :

- Oh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Oh ma chérie... Suce moi... Encore...

Tout en branlant sa bite elle montait et descendait la tête sur sa hampe vibrante, épatée, elle l'entendit grogner :

- Oh chérie... Mon bébé... Je jouiiiiiiiissssssssss...

Sa main s'appesantit sur sa nuque, il ne voulait pas qu'elle cesse ses délicieuses succions, elle avala tout, le foutre qu'il lui injectait en pleine bouche.

Tout au fond de mister esprit, elle ne pouvait s'empêcher de comparer la pitoyable performance de mister époux avec celle qu'elle avait endurée auparavant.

Sa bite mesurait à peine la moitié de celle de Rashid et la dose de foutre qu'il lui avait propulsé en pleine bouche faisait à peine le tiers de l'éjaculation que mister suborneur l'avait forcée à ingurgiter.

- Oh chéri, c'était si bon... Si bon... S'exclama Jean en extirpant sa bite frémissante de la bouche de sa partenaire qui continuait à le sucer avec avidité.

Jetant un oeil sur elle il vit qu'elle le regardait un large sourire aux lèvres.

De toute sa vie il n'avait jamais espéré que sa prude jeune femme lui procura une telle fellation, exactement comme l'aurait fait une pro de la pipe! ...

Jean abritait un secret au fin fond de mister esprit, un de ses secrets dont jamais sa femme ne devrait entendre parler.

Lors d'un voyage d'affaires au Japon, bien qu'il aima profondément sa ravissante épouse, un de ses clients l'avait entraîné dans un bordel de la banlieue rouge de la ville.

Ayant vu une prostituée qui ressemblait à sa ravissante femme, il lui avait demandé de lui prodiguer cette fella-tion qu'il espérait tant que sa femme lui accorderait un jour.

Au cours de ce déplacement, chaque nuit, il était retour-né dans ce bordel se faisant tailler de nombreuses pipes par déférentes putes. Bien sur, chaque fois il s'imaginait que c'était sa somptueuse jeune femme qui lui accordait ce privilège.

Cette fellation qu'elle lui avait prodiguée était, et loin la meilleur qu'on lui ait accordée, les autres pipes fournies par toutes ces putes lui paraissaient bien pâles en com-paraimister.

Une pensée soudaine traversa mister esprit :

- Mon Dieu... Carol m'a sucée comme une véritable pro... Aurait-elle déjà sucé d'autres hommes? ...

Mais il avait conclu qu'il était fou d'avoir de telles idées. Il n'y avait aucune chance que ce soit possible... C'était

inenvisageable... Elle était si pure, si innocente! ... Ja-mais elle n'avait pu le tromper! ...

Cela ne changeait rien au fait qu'elle lui avait administré la plus jouissive fellation qu'il ait expérimentée.

Les yeux levés vers mister bien-aimé époux, Carol se pourléchait ses lèvres lustrées, elle le questionna :

- As-tu apprécié mon chéri? ... Me suis-je... Me suis-je bien débrouillée? ... Rappelle-toi ta promesse! ... Et je recommencerai chaque fois que tu le désire-ras! ...

Léchant le foutre engluant encore ses lèvres elle consta-ta que sa crème n'était ni aussi épaisse, ni aussi salée que celle de mister concurrent.

Quelques jours plus tard Carol soupira de soulagement lorsque Jean lui appris qu'il acceptait l'offre de la "com-pagnie de commerce du moyen orient".

Satisfaite de la fin de cette affaire, Carol voulait recouvrir le plus rapidement les originaux et les copies de l'im-monde vidéo que détenait l'immonde rival de mister mari.

Mais le fait d'ignorer si Rashid entendait mettre fin à mister chantage la tracassait fortement.

Cependant elle voulait être certaine qu'elle détenait bien les originaux et les copies avant que la vente ne soit effective, bien qu'il resta toujours la possibilité que ce salopard de Rashid garde une copie en sa possession.

Encore qu'elle savait pertinemment que ce serait la seule chance de s'assurer que ni mister mari, ni ses parents n'auraient connaissance de ces horribles images obscènes.

- Enfin ce cauchemar se termine! ... Concluait-elle pleine d'espoir.

Il fallait que Carol rassure les employés, "La compagnie de commerce du moyen orient" comptait laisser fonc-tionner leur compagnie en parallèle de la leur, de ce fait tous les employés devaient garder leur boulot.

Seuls Jean et elle-même quitteraient le navire une fois la vente finalisée.
chrislebo

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#1,143
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Une semaine après mister dernier sacrifice afin d'obtenir un délai pour que mister mari se prononce pour la vente de mister entreprise, tôt le matin, Carol décida de consulter ses mails.

- Oh mon Dieu... Frismisterna-t-elle vulgarement en découvrant qu'une fois encore elle avait reçu un mail du vil concurrent de mister mari.

Se rappelant les immondes mails qu'il lui avait envoyés auparavant, elle hésitait à ouvrir celui ci.

Comme elle avait encore plus peur de ne pas l'ouvrir ignorant ainsi le danger qui la menacerait, elle cliqua sur le message.

Paniquée, elle déchiffra avec horreur :

- Hello chérie... Ta protection est terminée... Aimerais-tu la renouveler? ... Si oui, téléphone-moi aujourd'hui que l'on puisse négocier un nouveau dé-lai... Sinon... Tu sais ce que je vais faire de ma vidéo et des photos... A t'entendre rapidement ma petite chérie! ...

Il avait joint les trois photos qui avaient accompagné mister premier mail, ces premières photos qui la montraient mains liées dans le dos, couverte de foutre de la taille aux cheveux! ...

Elle fit tout de suite le numéro de la"compagnie de commerce du moyen orient"

- Monsieur Akbar... S'il vous plait... Pour... Pour Ca-rol Nishimoto! ... Balbutia-t-elle éperdue.

Un frismister de peur parcourut brusquement mister corps, alors que la standardiste lui répondait :

- Monsieur Akbar attendait votre appel... Je vous le passe tout de suite.

Carol frémit en entendant la voix familière au bout du fil.

- C'est vous ma ravissante amie... J'ai attendu votre appel toute la matinée... Je me demandais si tu avais bien reçu mon mail...

- Mais... Mais... J'ai fait tout ce que vous vouliez... J'ai convaincu Jean de vous vendre sa compagnie... Il... Il m'a dit qu'il vous a rencontré il y a une paire de jours et vous avez réglé les conditions de la vente... Marmonnait-elle affolée.

Au bout du fil Rashid se mit à glousser, il se réjouissait d'entendre sa ravissante proie paniquer au bout du fil.

- Mais chérie... Rien n'est encore signé pour l'ins-tant... Il ne s'agit que d'une entente verbale... Et tu connais le seul engagement oral que j'apprécie vraiment, chérie... Tu comprends ce que je veux dire... Je parle du type d'accord oral que tu m'as prodigué il y a une paire de semaines...

Bouillonnant de dégoût, Carol se rappela le type d'ac-cord oral auquel Rashid se referait.

- Mon Dieu... Comment pourrai-je oublier cette horri-ble journée? ... Il m'avait obligée à me prosterner à genoux... Et j'avais du le contenter... Avec ma bouche!

Frismisternait-elle encore de révulsion à ce souvenir.

Carol pausa la main sur mister estomac secoué de nausées, se remémorant alors comment elle avait du avaler mister foutre gras avant de le vomir ensuite dans les toilettes du restaurant.

Tôt l'après-midi même, ayant bloqué mister après-midi et mister début de soirée, Nerveuse, Carol se dirigeait vers les docks.

Tournant sur la jetée 11, elle vit le navire de transport af-frété par la "compagnie du commerce du moyen orient".

Elle rangea sa voiture, puis gagna la passerelle qui re-liait le bateau au terminal.

Elle s'identifia auprès du marin posté au pied de la pas-serelle, elle le vit alors vérifier sur mister planning de bord avant de l'aviser :

- Vous devriez trouver monsieur Akbar à deux ponts d'ici, du coté de la cale N° 3 à l'arrière du navire.

Après moult hésitations Carol gravit la passerelle, chan-celant sur ses hauts talons blancs qu'elle portait le matin même à mister bureau.

En pénétrant sur le bateau, Carol trouva tout de suite l'escalier qui lui permit de descendre deux étages plus bas.

Se dirigeant vers l'arrière du navire, elle entendit retentir toute proche la voix familière de mister bourreau, a voix qui lui répondait lui sembla aussi assez familière, mais elle ne parvint pas à en identifier l'auteur.

Le claquement de ses talons sur le sol métallique avait signalé mister arrivée, le visage souriant de Rashid apparut en bout d'allée alors qu'il l'accueillait fort civilement.

- Par ici ma chérie... Tu es aussi ponctuelle que d'habitude! ...

Comme elle s'avançait timidement sur le seuil métallique de la cale, Carol regarda l'auteur de l'autre voix familière qu'elle n'avait pas identifié.

- Tu connais Dave, n'est ce pas ma chérie! ... l'inter-rogea Rashid.

Et de fait elle connaissait Dave Mathews dont elle avait repris le département financier dans la compagnie de mister mari.

Carol grinça des dents en observant l'arrogant banquier qu'elle méprisait profondément.

Même si Dave Mathews s'avérait jeune et élégant, Carol se détourna de lui, il semblait croire qu'il était un véritable cadeau aux yeux des jeunes femmes qu'il cô-toyait.

Il cherchait à la perturber, Carol lui avait soufflé mister poste et il avait été obligé d'aller chercher du boulot ail-leurs.

Carol se retrouvait face à face avec l'homme qui devait ruminer sa rancune envers elle.

Elle se rappelait clairement comment il l'avait appelée à plusieurs reprises pour garder mister poste de directeur fi-nancier dans la société de mister mari.

Puis il avait alerté mister mari, cherchant à obtenir sa réin-tégration dans ses fonctions, mais Jean l'avait alors avi-sé qu'il ne pouvait rien pour lui, il avait promis à mister épouse d'avoir les mains libres en ce qui concernait le département financier si elle venait travailler avec lui.

- Madame Nishimoto... Je suis si heureux de vous rencontrer à nouveau... Je n'ai jamais eu le plaisir de vous reparler depuis... Depuis pas mal de temps... En fait depuis que vous avez pris en main le département financier de la compagnie de votre mari... Me spoliant de mon poste! ... Vous ne vous êtes jamais demandé ce que je suis devenu après cette terrible épreuve... Vous m'avez presque em-pêché de retrouver un poste dans une banque... Vous rendez-vous compte de tout cela délicieuse madame Nishimoto? ... La questionna-t-il un rictus aux lèvres.

- Dave est mon partenaire financier dans cette re-prise, ma chérie! ... Lorsque je lui ai signalé que j'avais besoin de fonds pour acquérir la "Compa-gnie Nishimoto de vente et transport ", Dave pensa tout d'abord qu'il s'agissait d'une plaisanterie, il se figurait que jamais votre mari ne me revendrait mister affaire! ... Mais mon cher Dave se montra beaucoup plus intéressé lorsque je lui révélais que j'avais des appuis à l'intérieur de la compagnie... L'aide de la très sexy épouse de jean Nishimento elle-même... L'avisa Rashid hilare.

Il semblait à la malheureuse Carol que le sol se dérobait sous ses pieds en entendant le banquier lui préciser d'une voix ironique :

- Akbar m'averti que vous aviez accepté de l'aide r dans cette affaire... Et comment vous avez orale-ment scellé le marché! ...

Carol avala sa salive et, paniquée fixa le ricanant Dave, réalisant que l'arrogant banquier savait pertinemment qu'elle s'était agenouillée entre les cuisses de Rashid pour sucer mister énorme queue noire! ...

Retenant ses larmes, Carol se sentait défaillir, ses jambes ne la supportaient plus! ...

Carle était figée par la peur alors que Rashid s'approchait d'elle l'avisant :

- Dave m'a proposé un fantastique tau d'intérêt... Mais il avait besoin d'un encouragement décisif... Ma chérie...

Rashid posa alors sa main sur ses fesses qu'il pelota rudement avant de poursuivre :

- Comprends-tu quel encouragement pourrait amener Dave à m'accorder ce tau exceptionnel qu'il ma proposé? ... Pourquoi n'escorterais-tu pas Dave jusqu'à la cabine du capitaine à l'avant du cargo pour m'aider à le convaincre de tenir sa proposition! ...

Frémissante de révulsion Carol réalisait ce que sous-entendait Rashid... Elle faisait l'objet de la négociation... Il la prostituait pour s'assurer le concours de ce bâtard de banquier! ...

Un moment plus tard, Elle remontait l'allée menant à la cabine du capitaine, l'impudent Dave Mathews lui tenait fermement l'épaule.

De grosses larmes ruisselaient sur ses joues, Carol reniflait misérablement alors qu'il commentait ironiquement :

- L'arrogante et fidèle madame Nishimoto va payer mon exclusion de la compagnie maritale... Elle veut me dédommager en s'agenouillant à nouveau comme une pute sur ses genoux... Pour sucer ma bite comme elle a sucé la grosse mentule noire du concurrent de mister mari! ... Vous n'êtes qu'une pute madame Nishimoto.. N'est ce pas? ... Et je vais te baiser comme la chienne que t'es au fond de ton âme! ...

Arrivée dans la confortable cabine du capitaine, Carol se tenait au centre de la salle alors que mister bourreau prenant un siège et lui intimait :

- Tu as entendu ce que t'as dit monsieur Akbar! ... Il ne te reste plus qu'à me convaincre de l'aider! ... Commence par te débarrasser de ta robe... montre-moi ton corps voluptueux petite pute! ... Effeuille-toi pour moi! ...

Totalement résignée, Carol tendit le bras dans mister dos pour descendre le curseur de sa robe vert tendre.

Refrénant ses larmes, elle descendit sa robe sur ses hanches.

Elle grinça des dents alors que Dave Mathews commen-tait :

- Tu n'es qu'une pute de bas étage ma petite chérie! ... Jean sait-il qu'il a épousé une pute? ... Tu lui as bien caché ton jeu n'est ce pas sale chienne! ... Quand je pense qu'il croit que sa femme est la plus douce et la plus fidèle des compagnes! ... Tourne-toi vers moi salope! ...

Carol cherchait désespérément à penser à autre chose, cherchant à chasser de mister esprit ce qu'elle était obligée de faire.

En sanglotant, elle laissa tomber sa robe sur la moquette, s'entortillant autour de ses chevilles.

Elle ne portait plus que mister soutien-gorge de fine den-telle, sa culotte assortie et ses hauts-talons.

- Et maintenant ton retrousse tètes! ... ordonna mister bourreau.

Folle de honte elle dégrafa mister soutien-gorge qui chut au sol tandis qu'il poursuivait :

- Et maintenant expose tes charmes les plus secrets... Ta délicieuse foufoune! ...

Elle roula sa petite culotte sur ses hanches qui ne tarda pas à rejoindre sa robe encerclant ses hauts talons blancs.

Et maintenant ma chère madame Nishimoto monte ton adorable petit cul sur le lit! ...

Elle se dirigea lentement vers le lit.

- A quatre pattes salope! ... Lui intima-t-il autoritaire-ment.

Tête basse, figée par la honte et l'offense, Carol jeta un oeil sur le coté en entendant un bruit de vêtements que l'on

quitte.

Il se déshabillait promptement dans sa hâte de la rejoin-dre sur le lit.

Elle grimaça en sentant le lit s'affaisser, déjà les mains de Dave lui palpaient rudement la croupe tandis qu'il in-tervenait à nouveau :

- Salope de chienne je ne te raconte pas le plaisir que je vais prendre à te sauter! ... Exactement comme la pute que tu es vraiment! ...

Il caressait la tendre texture de ses fesses il ne croyait pas encore à sa bonne fortune! ...
chrislebo

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#1,144
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Après avoir été évincé par cette foutue salope, il avait maintenant la possibilité de faire payer mister attitude à cette satanée salope! ...

- S'il vous plait... Je vous en prie... Je suis désolée... Ne me faites pas ça... Je vous en prie... Le sup-pliait-elle pitoyablement.

Ses pleurs et ses lamentations ne faisaient que renpowerr sa bandaimister.

Agrippant ses tendres hanches, il l'empala de toutes ses powers en grognant lourdement.

- Je te baise enfin foutue salope! ....

- Nooooooooooonnnnnnn... Mon Dieu... Nooooooooonnnnnnn! ... Sanglotait Carol alors que l'homme qu'elle méprisait tant, planté dans mister dos, introduisait vulgarement sa bite dans sa fentine.

- Ohhhhh... Ohhhhhhhhh... Ohhhh... Ohhhhhhh... Ohhhhhhh... Grognait Carol alors que Dave Mathews allait et venait allégrement dans sa foufoune maintenant correctement lubrifiée alors que mister pubis venait heurter ses douces fesses à chaque coup de boutoir...

- Oh mon Dieu... Nooooonnnnn... Faites que je ne ressente rien d'autre que du dégoût! ... Adjurait-elle Dieu alors qu'involontairement ses sphincters vagi-naux se crispaient sur la bite de mister suborneur.

En sentant ses muscles intimes se serrer et se desserrer sur sa bite palpitante, Dave se moqua de sa ravissante jeune proie :

- T'as l'air d'aimer ça chérie! ... Oh chérie tu jutes comme une salope maintenant! ... Exactement comme une petite chienne en rut! ...

Cependant Dave voulait qu'elle se rappelle toute sa vie de ce jour.

Rashid lui avait confié qu'il avait été le premier à glisser sa bite dans sa bouche, mais que jusqu'ici il ne l'avait pas encore enculée, Dave pensait qu'il était concevable qu'elle fut encore pucelle du trou du cul! ...

Une poignée de main avec Rashid avait clôturé leur en-tente, il lui avait offert d'être le premier à casser le cul de la somptueuse petite pute en échange du taux d'intérêt exceptionnel qu'il lui offrait.

Alors que la jeune femme s'empalait maintenant d'elle-même sur sa grosse bite, Dave sourit, il savait qu'il au-rait bien vite l'occasion de se farcir mister trou du cul qu'il espérait bien vierge! ...

Lui flattant lascivement la croupe, il empoigna fermement ses hanches extirpant lentement sa mentule de sa chagatte accueillante.

Carol venait tout juste de s'adapter au rythme que lui imposait mister bourreau, lorsque étonnée elle le sentit se retirer de sa moule embrasée, elle était juste sur le point de jouir! ...

Pantelante, elle se tourna vers lui, le sentant promener mister gland dans sa raie culière. C'est alors qu'il se mit à presser mister gros champignon contre mister anus effrayé.

- Que... Que faites-vous? ... L'interrogea-t-elle frénétiquement détournant mister visage à la vue de mister cruel rictus.

Ses mains agrippaient fermement ses hanches, alors que mister gland turgescent frappait à la porte de ses reins, elle tendit les mains empoignant la tête du lit, cherchant à échapper à mister étreinte en rampant.

- Je vais te donner une bonne leçon ma petite chérie... Eructa-t-il pressant férocement mister gros champignon contre mister anus affolé.

- Oh mon Dieu... Non... Pas ça! ... Je vous en prie... Pas ça... Je ne l'ai jamais fait... Sanglotait-elle éperdue.

Dave sourit à cette confirmation, il savait maintenant qu'il serait le premier à casser le cul de cette somp-tueuse salope.

Il raffermit sa prise sur ses hanches, sa bite était prête, en grognant sourdement il donna un féroce coup de rein.

- Allons y chérie! ...

- Aieeeeeeeeeeeee... Arretez... Arrêtezzzzzzzzzz... Hurlait-elle desespérée.

Ses plaintes réjouissaient grandement Dave... Se plan-tant dans mister anus virginal, il rit de ses lamentations iro-nisant grassement :

- Tu n'es qu'une sale petite chienne en chaleur, sa-lope! ... Je vais t'enculer pour te remercier de m'avoir chassé de mon poste de directeur! ... Qui est-ce qui, en dédommagement, va se faire enculer maintenant? ...

- Owwwwwww... Owwwwww... Arrêtez... Je vous en prie arrêtez... a fait malllllllllll... Sanglotait Carol affolée.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Je ne pourrai pas en supporter plus! ... Oh mon Dieu... Faites moi mourir... Priait-elle, jamais elle n'avait enduré d'expérience aussi douloureuse.

En entendant rire cet homme qui la sodomisait sauva-gement, elle comprit qu'elle ne devait attendre aucune pitié de sa part, il ferait en sorte d'accroître encore sa douleur et mister offense! ...

- Oh mon Dieu.. Comment peut-on être assez pervers pour se livrer à des actes aussi dégoûtants... Se demandait-elle horrifiée.

- Ma chérie, t'es si étroite... Foutrement étroite... T'as vraiment un succulent petit cul madame Nishimoto! ... Se gargarisait-il en lui défonçant la rondelle.

- Si doux et si chaud... Bordel j'en crois pas ma bite! ... Dire que te dépucelle le trou du cul! ... S'esclaffait-il hilare.

Coulissant sauvagement dans mister intestin rétif, le lit grinçant sous les virils assauts, Dave sentait sa mentule vibrer follement. Il se mit à grogner :

- Oh chérieeeeeeeeeeeeeee... Oh ouiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais me vider dans ton délicieux petit cul! ...

Figée par la douleur, Carol demeura à quatre pattes sur le lit, frémissante de douleur alors que Dave Mathews extirpait sa bite souillée de mister trou du cul meurtri.

Elle frismisternait d'offense, il lui tapotait la croupe tout en ricanant :

- Et maintenant tu vas pouvoir ramener ton petit cul si fidèle à ton bien-aimé salope! ... Tu pourras lui dire que tu as aidé à la vente en offrant tes fesses aux investisseurs...

Le corps de Carol était secoué de spasmes de douleur émanant de mister fondement ravagé.

La douleur était intense, de plus sentir un flot de foutre gras suinter de mister anus endolori pour s'étaler sur ses fesses était vraiment insupportable.

- Te voilà avec un trou du cul tout neuf ma salope! Ricana encore mister suborneur ravi.

- Au revoir ma chérie... Je rentre à la banque finali-ser les prêt consenti à monsieur Akbar! ... Cela va me rapporter un sacré bonus, mais pas aussi suc-culent que celui que tu viens de m'offrir! ... Gloussa-t-il railleusement.

- Que se passe-t-il madame Nishimoto... T'es tétani-sée... Tu ne peux plus bouger un cil! ... Ton petit trou du cul te brûle après le sort que je lui ai fait subir? ... Se moqua-t-il ironiquement.

Puis il fit le tour du lit yeux braqués sur la ravissante jeune femme sanglotant de honte et de douleur dont le visage se trouvait à peine à quelques centimètres de sa taille.

Sa bite raidit de nouveau à la penséehumilier une fois de plus la fière jeune femme qui fustigeait ses sens.

Il lui saisit sa noire chevelure à deux mains en gloussant :

- Tu vas me nettoyer la bite salope, avant que j'enfile mon calecif! ... Après tout ce ne mistert que les dernières traces de ton pucelage anal! ...

Carol était à nouveau au bord des larmes tant il lui faisait mal en lui tirant les cheveux.

Dès qu'elle ouvrit la bouche pour se plaindre, il enfouit sa grosse mentule dans sa bouche.

Elle frismisterna de toutes ses fibres en sentant la puanteur de cette bite honnie et mister goût révulsant! ...

- Allez salope... Grouille-toi de nettoyer minutieusement mon chibre! ... Lui ordonna l'ar-rogant banquier alors qu'il grognait de plaisir en la baisant en bouche.

- Oh oui, ma chérie... Oh, oui... Ohhhh... Oh, oui... Lèche encore ma bite... Cajole-moi...

- Lèche-moi!... Ahhhhhhh, oui... Comme ça... C'est excellent!... Lèche encore ma bite ma chérie... Gémissait Dave fou de plaisir alors que sa pauvre proie se démenait de mister mieux sa bite en pleine gorge.

C'était l'ultime offense qu'il pouvait infliger à cette sa-lope qui lui avait ravi mister poste! ...

Il coulissait de plus en plus furieusement entre ses lè-vres gonflées, enfonçant sa bite frémissante de quelques centimètres dans mister arrière-gorge.

L'estomac soulevé de nausées alors que la révulsante bite coulissait dans sa bouche, Carol priait pour sortir de ce cauchemar, pour qu'on arrête de lui faire subir de tel-les violences.

- Oh mon Dieu... Sucer Rashid était une chose... Mais cet immonde salopard m'oblige à sucer sa bite alors qu'il vient tout juste de me sodomiser! ... Bâ-tard... Ce que j'aimerai mordre sa répugnante bite puante, la déchirer et la balancer par le hublot! ... Pensait-elle haineusement.

Mais ce n'était qu'un vœux pieux, elle savait qu'elle ne pouvait pas se le permettre, sa vengeance serait terrible. Elle était entièrement à la merci de ce pervers, elle se remit à cajoler sa bite de façon à en finir au plus vite.

Dave frismisterna de plaisir en la sentant reprendre ses succulentes sucions, il était au bord de l'explosion.

- Oh ma chérie... Mon petit cœur... Tes lèvres mistert si douces... Ahhhhhhhhhh... Oh oui comme ça... Lèche-moi encore... Oh ouiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais jouir... Je jouis... Avale mon foutre... Avale tout mon foutre... Ahh-hhhhhhhhhh... Oh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Grognait-il éper-du de plaisir.

Il tenait fermement sa ravissante proie par ses longs cheveux soyeux noirs, Dave était conscient de ses re-gards suppliants, elle essayait de tordre mister cou en tous sens pour déloger la bite qui vomissait mister foutre gluant dans sa bouche révoltée.
chrislebo

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#1,145
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Dave se réjouissait de la voir se débattre mais il la tenait fermement l'obligeant à avaler sa semence sa bouche en étant remplie à ras bord.

Il la vit soudain étouffer, ses yeux roulèrent dans ses orbites, elle suffoquait.

Il rit à pleins poumons alors que la somptueuse salope palissait à vue d'œil.

Extirpant mister gros chibre de sa bouche gonflée, il rit à gorge déployée alors que la jeune femme empoignait mister estomac à deux mains secouée d'immondes nau-sées, ses lèvres s'entrouvrirent alors qu'un flot de sperme gluant jaillissait de sa bouche s'étalant sur mister menton.

Révoltée par cet acte barbare qu'elle avait subi, elle sentait mister estomac se retourner.

Elle se pencha sur le rebord du lit sur le point de vomir tripes et boyaux.

Elle allait souiller le sol de la cabine du capitaine du navire, heureusement mister bourreau attrapa la poubelle et la plaça sous sa tête.

Finalement une fois mister estomac soulagé, elle se laissa tomber sur le confortable matelas, reniflant pitoyable-ment toute honte bue.

Son bourreau avait fini de s'habiller et quittait la cabine riant à pleine gorge.

C'est alors qu'elle entendit la porte de la cabine s'ouvrir à nouveau, elle jeta un oeil anxieux et vit Rashid qui souriait railleusement en se moquant :

- J'ai entendu que tu as fini par conclure un accord oral avec Dave... Tu utilises vraiment tous tes charmes pour subjuguer tes interlocuteurs... Prête à écarter à nouveau tes cuisses en grand? ...

Elle n'avait tiré aucun plaisir, aucune satisfaction de sa copulation forcée avec Dave Mathews, elle ne pouvait cependant empêcher les muscles de ses cuisses de se crisper à l'idée d'accueillir la grosse bite noire de Rashid dans sa foufoune impatiente.

Mais Rashid ne se déshabillait pas pour la rejoindre sur le lit, Elle se retrouva entièrement nue entraînée le long de l'allée par mister maître chanteur qui lui tenait l'épaule.

- S'il vous plait Rashid... dites-moi où nous allons... Je vous en prie... Laissez moi enfiler une robe... Tout le monde... Tout le monde peut me voir entiè-rement nue... Le suppliait-elle affolée.

Comme ils approchaient de la cale à l'autre bout du navire, elle entendit retentir la voix de quelques matelots.

Alors que Rashid s'avançait la poussant devant lui dans le large hall, Carol tentait de dissimuler ses charmes de ses mains et de ses bras sous l'œil captivé de six asiati-ques qui reluquaient ses charmes dénudés.

Les tenues de ces hommes étaient répugnantes, couvertes de saletés et de poussière à power de travailler dans la cale.

La sueur dégoulinait le long de leurs corps à power de travailler dans cet atmosphère surchauffé.

Rashid s'exclama

- C'est le moment de faire une pause les gars! ... Je vous ai amené une petite récompense pour récompenser votre travail de la semaine dernière...

L'un des hommes, apparemment le contremaître donna ses ordres, sous sa direction ses hommes étalèrent une épaisse couverture verte sur le sol de la cale.

Cherchant toujours à dissimuler de mister mieux ses char-mes elle vit le contremaître donner un nouvel ordre, ils commencèrent tous à se foutre à poil.

Puis le grimaçant contremaître lui empoigna le poignet et l'entraîna vers la couverture étendue au sol.

Comme les spectateurs enthousiastes applaudissaient et sifflaient elle se retrouva étendue à plat dos sur la couverture.

Elle ne pouvait rien faire d'autre que fermer les yeux., alors que le contremaître empoignait ses cuisses les ou-vrant en grand.

- Oh mon Dieu... Ohhhhhhhhhh... Ohh-hhhhhhhhhhh... Frémit-elle alors qu'il enfouissait mister visage entre ses cuisses.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Oh Doux Jésuuuuuuuuuuuuuuuuusssssssss... s'écriait Carol alors que l'Asiate parcourait sa fente d'une langue agile.

Quelques instants plus tard, alors que le contremaître lui bouffait toujours le gazon, elle le sentit changer de position.

une colonne de chair bien raide heurta alors ses lèvres.

Quelques secondes encore et elle se mit à sucer la bite de l'homme qui lui bouffait si délicieusement la chatte.

Les spectateurs applaudirent à la vue de leur chef chercher à s'installer en position de 69.

Soudain Carol le sentit tourner sur lui-même et quelques secondes plus tard elle se retrouvait allongée sur lui pour un très classique 69, elle suçait avidement la bite de cet homme qui dégustait voracement sa chatoune.

Le contremaître était un expert du bouffage de gazon, il utilisait avec habileté sa langue, Carol frémissait de plai-sir alors que mister jus intime lui inondait la bouche.

Ses grognements de jouissance étaient étouffés par l'énorme bite qui lui emplissait la bouche alors que sa tête coulissait gloutonnement sur sa hampe.

Quelques instants plus tard un succomba à un orgasme intense alors que la bite qui lui emplissait la bouche ex-plosait entre ses lèvres caressantes.

Cette fois elle ingurgita la totalité de sa semence sans aucune hésitation.

Comme le contremaître épuisé avant besoin de récupérer, les 5 marins s'approchèrent au plus près de la couverture, réclamant leur tour.

Un des hommes s'étendit sur le dos, ses acolytes empoignèrent Carol pour l'empaler sur sa virilité dressée.

- Ohhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhh... grommelait-elle en s'embrochant sur l'épaisse mentule.

A quatre pattes, une paire de mains lui agrippèrent les cheveux, relevant mister visage de façon à ce qu'elle puisse emboucher une autre bite raidie.

Incapable de dire un mot, la bouche encombrée par un gros chibre, elle fut reconnaissante à Dave de l'avoir dé-floré analement plus tôt, lui évasant le goulot, la bite qui s'enfouissait maintenant dans mister trou du cul était au-trement plus épaisse que la sienne.

Elle du empoigner à deux mains les bites deux hommes qui ne la fourraient pas pour les branler au rythme de la sauvage chevauchée qu'elle endurait.

Elle était en parfaite position pour satisfaire simultanément les 5 Asiatiques, c'était une chose qu'elle n'avait jamais envisagée même dans ses cauchemars les plus sombres, la réalité la détrompait imparablement.

Jamais Carol n'oublierait cet après-midi de débauche. Elle avait satisfait, en même temps, les appétits de 5 hommes, couverte de foutre, elle gisait maintenant sur la couverture. Son trou du cul, sa bouche, sa chatte étaient pleins de foutre, quant aux deux marins qu'elle branlait, ils avaient éjaculé sur ses cheveux et mister visage.

Comme le contremaître se montrait à nouveau opérant ainsi que deux de ses compagnons, elle dur se remettre à genoux.

Immédiatement une grosse bite s'enfouit dans sa bou-che alors que deux autres l'embrochaient en cul et en con.

Aussitôt les trois autres matelots poussèrent de vifs en-couragements les poussant à se presser car eux aussi voulaient reprendre les débats.

Carol ne put s'empêcher de jouir encore et encore ou-blieuse du temps qui s'écoulait alors qu'ils la baisaient de façon répétée toute l'après-midi.

La semaine suivante, les papiers officiels de cession fu-rent signés dans la salle de conférence de la compagnie Nishimoto.

Une fois les divers documents signés, Rashid Akbar se fendit d'une allocution coin cernant les ex-employés de la compagnie qui allaient maintenant rejoindre mister consortium.

Carol poussa un soupir de soulagement en lisant le message que Rashid lui avait fait parvenir une demi-heure avant le début de la réunion.

Assise derrière mister bureau elle ne pouvait s'empêcher de repenser à cet enchaînement d'événements qui avait débuté 2 mois plus tôt.

Elle avait maintenant perdu le compte des hommes qui avaient satisfait leurs appétits sexuels en abusant de ses charmes.

Cela avait été le plus souvent épouvantable, humiliant, elle avait été totalement ravagée par leurs abus, cepen-dant elle ne pouvait nier qu'elle n'avait jamais autant joui qu'entre les bras de Rashid Akbar alors qu'il la forçait à recevoir mister énorme chibre dans mister étroite petite fou-foune.

Maintenant qu'elle pensait avoir fait le nécessaire pour écarter la menace de cette horrible vidéo, elle était dé-terminer à ne plus appartenir qu'à Jean mister mari.

C'est alors que mister téléphone intérieur bourdonna, sa secrétaire lui annonça que monsieur Akbar voulait la rencontrer.

- Dites-lui de monter... Lui répondit-elle légèrement stressée.

Elle prit une profonde respiration, elle voulait paraître calme et confiante aux yeux de mister ex maître-chanteur.

Bien qu'elle ne puisse nier la crispation soudaine de ses muscles des cuisses alors qu'un flot de cyprine inondait sa fentine émue détrempant le fond de sa petite culotte.

Lorsque le concurrent de mister mari pénétra dans mister bu-reau, la porte refermée par sa secrétaire, Carol sentit un frismister de nervosité lui parcourir tout le corps alors qu'il se retournait sur la porte et la verrouillait.
chrislebo

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#1,146
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Puis il approcha de mister bureau et lui tendit une boite emballée comme un cadeau.

Arborant un sourire éclatant il l'avertit benoîtement :

- Comme promis voici l'original et cinq copies de ton clip vidéo! ... J'ai gardé une copie pour mon usage strictement permisternel... Pour t-assurer que je ne m'en servirai plus comme moyen de pression j'ai rédigé et signé un document qui te met à l'abri de tout chantage en employant cette copie.

En lisant le document, Carol poussa un gros soupir de soulagement, il était rédigé sur du papier à l'en-tête de la compagnie de Rashid Akbar, signé par Rashid et mister notaire.

Il statuait que pas une partie du film qui avait été tourné la nuit de mister agression ne pourrait être utilisée pour la contraindre à obéir de quelque façon que ce soit à Ras-hid, s'il transgressait cet engagement Rashid devrait leur revendre la société si chèrement acquise à 50% de sa valeur! ...

C'était bien plus que Carol n'espérait obtenir comme as-surance de sa bonne foi.

Le téléphone intérieur bourdonna de nouveau et sa se-crétaire l'avisa :

- Votre mari est en ligne...

Carol empoigna nerveusement mister combiné et répondit immédiatement :

- Hey chéri...

Puis elle l'écouta préciser la raimister de mister appel avant de répondre :

- Oui... Monsieur Akbar est ici... Dans mon bureau... Il est arrivé un peu plus tôt pour ajouter une paire d'articles à notre convention... Tout est en ordre... Non... Ce n'est pas la peine que tu viennes me rejoindre... On te rejoint tout de suite dans la salle de conférence...

Se levant elle s'adressa à Rashid :

- Je vous accompagne à la salle de conférence...

A sa grande surprise Rashid lui empoigna l'épaule et la tourna lentement vers lui.

Pantelante plus d'excitation que de peur, Carol lui jetant un oeil suppliant alors qu'il précisait :

- Il n'est nul besoin de nous précipiter ma chérie... La conférence ne commencera pas avant une bonne quinzaine de minutes...

Comme il se penchait sur elle, elle entrouvrit les lèvres et permit à sa langue fouineuse de s'entortiller autour de la sienne.

Quelques instants plus tard, agenouillée sur le sol de mister bureau Carol regardait Rashid déboucler la ceinture de mister pantalon avant de le laisser choir au sol.

Son caleçon rouge se trouvait à quelques centimètres de mister visage, l'avant en était déformé par une bosse fort conséquente.

Pointant sa langue Carol suivit le contour de la masse charnue qui gonflait l'avant de mister caleçon. Tendant ses mains elle roula mister caleçon sur ses hanches délivrant l'énorme virilité de sa primister.

Quelques secondes plus tard, elle lui taillait une savou-reuse pipe.

Une fois arrivée dans la salle de conférence, Carol s'as-sit à coté de mister mari alors qu'on servait le café.

Il lui demanda si elle voulait un peu de crème avec mister café, Carol ne répondit pas... Elle avait bien assez de crème dans mister estomac... Une bonne pinte de crème épaisse provenant des couilles de l'homme qui se tenait face à mister mari.

Se pourlèchant les lèvres, elle vérifia qu'il ne subsistait aucune trace de mister forfait sur ses lèvres charnues, qu'elle avait bien ingurgité la totalité de la substance crèmeuse qu'il avait éjaculé dans sa bouche quelques minutes plus tôt à genoux dans mister bureau.

Assise à la table officielle elle fut toute surprise de voir que Rashid avait retenu la proposition de mister mari d'ouvrir une agence de consultant financier.

Elle fut encore plus surprise lorsque Rashid précisa qu'il retenait d'autant plus ses services en tant que consultant indépendant qu'il appréhendait sa profonde connais-sance des arcanes financières de la société.

Carol comprit qu'il lui offrait ce poste du fait de ses com-pétences, mais certainement surtout à cause de ses ap-titudes orales...

Rashid observait attentivement Jean Nishimoto et sa somptueuse femme assis

à mister côté.

- Si seulement cet imbécile savait que sa femme n'est qu'une chaude petite chienne! ... Bordel quelle succulente pipe elle m'a taillée dans mister bureau! ... Mon DIeu... Qu'elle semble sexy avec ses lèvres luisantes de mon foutre! ... Pensait-il ravi.

En la voyant passer constamment sa langue sur ses lè-vres, il comprit rapidement qu'elle savourait encore le goût de mister éjaculation! ...

A la vue de sa réaction lorsqu'il avait notifié qu'il enten-dait la retenir en tant que consultante financière après la vente, Rashid soupçonnait, qu'elle refuserait courtoise-ment mister offre.

Il pensait que lui ayant donné la bande vidéo et cette let-tre certifiant l'abandon de tout chantage à mister égard à l'aide de cette vidéo, elle devait s'imaginer être à l'abri de tout danger.

Il avait décidé de fait de ne plus utiliser ce clip ni les pho-tos extraites de ce film pour la faire chanter.

La vidéo qu'il avait d'elle agenouillée dans mister bureau lui suçant avidement la bite plus celle enregistrée dans la cabine du capitaine lorsqu'elle prenait soin de Dave Ma-thews et celle de mister gang bang dans la cale dans les bras des 6 asiatiques lui suffirait amplement! ... Glous-sait-il au fin fond de mister esprit.

FIN DE L'HISTOIRE.
soumis8

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#1,147 · Edited by: soumis8
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.............................
vanbruje

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#1,148
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Très belle et (très) longue histoire... Merci
virgill

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#1,149
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Excellent merci Chris
soumis8

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#1,150
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ben tu vois Chrislebo que je suis pas le seul amateur! il suffit de poster en français, lol!
chrislebo

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#1,151
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oui & je suis étonnamment surpris
chrislebo

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#1,152 · Edited by: chrislebo
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Une jeune épouse si innocente


Une jeune épouse si innocente ...Angoissée, elle fonça vers sa maimister, elle voulait y arri-ver avant mister mari pour se rafraîchir, elle appuya sur le champignon en jetant un oeil paniqué sur mister cadran de montre.

- Oh mon Dieu... Pourvu que j'arrive rapidement à la maimister pour prendre une douche rapide! ... Se di-sait-elle en elle-même.

Se regardant dans le miroir de courtoisie, elle vit que mister rouge à lèvres avait largement débordé, elle fouilla dans mister sac pour se rendre présentable juste au cas ou Jean serait rentré au domicile avant elle.

Le cœur battant la chamade, alors que mister irritation montait au vu de la densité de la circulation, Carol ne pouvait s'empêcher de revenir sur les événements de ces dernières semaines.

Les photos obscènes lui revenaient en tête.

- Oh Jean.. Je t'en prie pardonne-moi... Mais je ne pouvais pas vous laisser... Ni toi ni mes parents... Voir ces immondes photos...

Les yeux pleins de larmes, reniflant de honte, Carol se sentait encore souillée par le foutre que le rival de mister mari lui avait injecté dans sa foufoune embourbée.

Carol était si naïve et innocente qu'elle ne pouvait pas croire qu'on puisse être aussi vil que Rashid Akbar.

Juste trois semaines plus tôt, alors que mister mari était en voyage d'affaire, Rashid avait payé un groupe d'asiatiques pour qu'ils envahissent sa maimister.

Retenue captive dans sa propre maimister, elle avait alors découvert que c'était le pervers concurrent de mister mari qui avait dirigé la manœuvre.

Sous l'œil des caméras, accroupie sur la moquette, les abjects jeunes ados s'étaient masturbés face à mister vi-sage éjaculant leur foutre sur elle.

Elle avait tenté de détourner le visage, de ce fait les gi-clées de foutre blanchâtre s'étaient écrasées sur sa robe, mister chemisier, mister visage, mister cou et ses che-veux.

C'est alors que l'immonde Rashid avait fait un pas en avant en dégrafant sa braguette extirpent sa mons-trueuse bite noire de mister caleçon pour se branler sous ses yeux horrifiés.

Alors qu'un des bâtards de jeunes asiates lui tenait fer-mement la tête, le concurrent de mister mari gicla à jets saccadés sur mister visage grimaçant.

Ayant reçu plusieurs instantanés répugnants sur un mail de Rachid, instantanés extrait du film relatant sa souillure, Carol comprit tout de suite qu'elle ne pouvait laisser mister mari et ses parents les découvrir! ...

Elle s'était rendue au bureau de Rashid pour le supplier du lui rendre les photos et le clip vidéo ainsi que les co-pies qu'il aurait pu exécuter, acceptant en contrepartie à tenter de convaincre mister mari de lui revendre ses affai-res.

Carol frémir de dégoût en repensant à ce qu'elle avait du faire pour dissuader Rashid d'envoyer des copies des photos et vidéo de sa déchéance à mister mari et ses pa-rents! ...

Elle avait des nausées en se souvenant avoir été obligée de s'agenouiller entre ses cuisses pour tout d'abord branler sa monstrueuse pine à pleine main avant de l'admettre entre ses lèvres.

Jamais elle n'avait pratiqué une chose aussi immonde, même pour faire plaisir à mister bien-aimé mari! ...

Pire encore elle réalisa rapidement que Rashid avait l'in-tention de se vider les couilles dans sa bouche, il lui tenait fermement la tête l'obligeant à avaler servilement la totalité de mister foutre en dépit de mister écœurement.

N'étant pas parvenue à convaincre mister mari de céder ses affaires à mister rival lors de la semaine que Rashid lui avait accordé à cet effet, elle avait du le rencontrer à nouveau pour négocier un report de temps pour accom-plir sa mission.

Cette fois, en contrepartie elle dut payer un prix bien plus élevé... Beaucoup plus élevé! ...

Elle avait du coucher avec l'infâme rival de mister mari! ... Elle avait du copuler avec lui! ... Il l'avait sauvagement BAISEE! ...

Alors que jamais un autre homme que mister mari ne l'avait caressée intimement, voilà qu'elle rentrait chez elle l'utérus plein de l'immonde foutre de l'ignoble concurrent de mister mari! ...

Désespérée, elle sentait le foutre gras de mister suborneur suinter de sa chatoune inondée pour tremper le fond de sa petite culotte, honteuse elle avait bien du mal à ad-mettre les réactions de mister corps sous cet assaut.

- Mon Dieu... Pourquoi mon corps a-t-il répondu ainsi à ses caresses? ... Pourquoi m'a-t-il trahi aussi ignominieusement? ... Sanglotait-elle éperdue.

Elle tourna dans l'allée du garage s'arrêta et pressa le bouton d'ouverture de la porte du garage. Elle gémit en voyant la voiture de mister époux garée à sa place.

Elle se mit à prier pour qu'il soit suffisamment occupé dans mister bureau pour ne pas venir la saluer à mister en-trée.

Sortant de sa voiture elle referma la porte du garage et entra chez elle en empruntant la porte de communica-tion avec la cuisine.

Elle frémit en entendant mister mari la héler :

- Hello chérie...

Elle arbora un large sourire alors qu'il lui prenait tendrement les lèvres. Elle frismisterna en sentant ses muscles des cuisses se crisper, éjectant une nouvelle larme de foutre de mister infâme séducteur.

Elle mit fin rapidement à ces embrassades en le coupant :

- J'ai besoin de me rendre d'urgence dans la sale de bain! ... Je vais prendre une bonne douche bien chaude... Je me sens sale et poisseuse de sueur...

Et de fait elle ne mentait pas vraiment elle se sentait souillée par le foutre gluant de ce bâtard de Rashid! ...

Elle se déshabilla rapidement dans la salle de bain sus-pendant sa robe à la patère au dos de la porte. Elle dé-grafa ensuite mister soutien-gorge, puis l'ayant enlevé, elle observa minutieusement ses nibards meurtris dans le miroir.

Remontant ses mains, elle pressa ses mamelons de ses pouces, frismisternante alors qu'elle repensait aux sensations nouvelles qu'elle avait découverte alors que l'immonde rival de mister mari suçait ses tétons avec avidité.

- Oh mon Dieu... Soupira-t-elle en remarquant quel-ques suçons marbrant ses deux nichons.

Enlevant prestement sa petite culotte, elle contempla longuement l'épaisse couche de foutre en tapissant le fond.

Elle plongea nerveusement mister pouce dans l'épaisse purée.

Elle frotta mister pouce englué de glaire contre ses autres doigts, puis elle le porta à ses narines et en huma la forte odeur de semence virile.

Se regardant dans le miroir, Carol avala sa salive mur-murant à mister image :

- Tu n'es qu'une salope! ... Tu t'es fait baiser par un autre homme que ton mari cet après-midi! ... Un au-tre que ton mari t'a remplie de mister foutre! ... Pire encore, tu as expérimenté le meilleur orgasme que tu ais eu de toute ta vie! ...

Se dégoûtant profondément, elle frotta mister doigt enrobé de foutre contre mister menton et sa lèvre inférieure

- Tu n'es qu'un pute bon marché! ... Se châtiait-elle en frottant maintenant le fond bourbeux de sa petite culotte sur mister visage.

Les yeux pleins de larmes, elle regardait toujours mister image dans le miroir commentant :

- T'as vraiment l'air d'une pute de bas étage... Une pute au visage couvert de foutre gras! ...

Le visage bombardé par les embruns chauds de la dou-che, elle cura mister visage de l'épaisse couche de foutre qu'elle venait d'y déposer, le frottant encore et encore... Puis elle nettoya ses nibards frismisternant longuement alors que ses pouces pressaient ses tendres bourgeons mammaires.

Reposant le savon sur l'étagère, Carol caressa ses courbes voluptueuses de la main droite alors que sa main gauche plongeait lentement vers sa foufoune em-brasée.

Sa chagatte était si distendue depuis tantôt qu'elle pouvait maintenant glisser aisément 2 doigts dans sa ca-verne enfiévrée.

Ayant vu la dose importante de foutre qui avait suint de sa fentine pour poisser le fond de sa culotte, Carol pen-sa qu'elle parviendrait à en expulser la plus grande part de sa grotte souillée.

Extirpant ses doigts, elle frémit en constatant à quel point cette couche de foutre qui les engluait était dense.

Elle ne pouvait que constater l'épaisseur des glaireuses traînées jaunâtres qui gagnaient lentement le syphon de sa douche.

Elle extirpait encore et encore cet immonde foutre, po-tentiellement dangereux, dont l'infâme rival de mister mari avait consciencieusement tapissé mister tunnel d'amour.

Elle continua longuement de regarder l'épaisse purée qui traînée après traînée s'échappait par le syphon de la douche.

Elle ne parvenait pas à croire qu'il ait pu éjaculer un tel flot de foutre dans mister intimité.

Elle savait que cela ne suffirait sûrement pas à extirper la totalité du foutre menaçant de sa chagatte et que po-tentiellement elle était en grand danger de grossesse.

Carol ne pouvait s'empêcher de s'imaginer les 9 mois à venir, étendue sur le dos, cuisses grandes écartées, chevilles liées aux étriers alors que le gynécologue oeu-vrait entre ses cuisses.

Puis tandis que Jean tenait tendrement sa main, elle observait consciencieusement le visage de mister mari pour constater le choc qu'il afficherait en découvrant la conséquence de cet horrible après-midi.

Finalement, après s'être frotté maladivement de façon à extirper le plus possible de semence de sa moule, Carol prépara une douche vaginale qui, espérait-elle anéanti-rait les derniers spermatozoïdes ayant résisté au curage minutieux de mister utérus.

Ayant terminé de se nettoyer elle rejoignit mister mari lui demandant de lui servir un martini gin bien sec, elle en avait bien besoin pour apaiser un tant soi peu la tension de ses nerfs.

Une paire de jours plus tard, elle se blottissait tout contre John qui regardait une vidéo à la télé, elle s'étendit sur le sofa, posant sa tête sur les genoux de mister époux.
chrislebo

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Elle sentait sentir la main de Jean flatter sa tête, ses doigts courtant dans sa soyeuse chevelure noir corbeau.

Son mari semblait apprécier fortement ce film dont elle n'avait aucune idée du contenu, elle se demanda alors qu'elle serait sa réaction s'il visionnait la vidéo en pos-session de mister haïssable rival.

Elle se demandait comment elle parviendrait à convain-cre mister époux de revendre sa compagnie, elle hésitait cependant à revenir sur ce sujet.

Ils en avaient brièvement discuté la veille, mais Jean ne semblait pas très convaincu et elle ne voulait surtout pas le brusquer en la matière.

Promenant sa main sur le short de mister mari, elle ne pouvait s'empêcher de repenser à la dernière fois que mister visage s'était trouvé proche d'une virilité tendue.

Elle caressa lentement la grosse bosse qui déformait mister short et referma la main sur la bite tendue de mister mari. Elle se rappelait le grand nombre de fois qu'il avait tenté de la persuader d'embrasser mister gland turgescent avant de prendre sa mentule en bouche, elle avait toujours refusé de se livrer à des actes aussi pervers.

Elle se demandait avec curiosité qu'elle serait la réaction de mister homme si elle descendait la fermeture de sa bra-guette avant de le prendre en bouche pour le sucer avec avidité, lui faisant expérimenter tout ce que Rashid lui avait appris! ...

Se serrant contre mister mari, elle le sentit répondre à ses caresses.

Carol savait qu'il ne s'opposerait aucunement à ce qu'elle glisse sa main dans mister short pour y pêcher sa bite qui grossissait à vue d'œil, c'était un acte licencieux auquel elle ne s'était jamais livrée auparavant.

Elle observait la bite de mister mari s'expandre alors qu'elle la branlait lentement, elle se pencha alors sur mister ventre pour emboucher mister gros champignon palpitant.

Jean Nishimoto était abasourdi, pris totalement à l'im-proviste par les initiatives de sa ravissante femme.

Elle avait le visage si proche de sa queue qu'il en ferma les yeux rêvant qu'il avait enfin convaincu sa femme de lui octroyer une fellation.

C'était un rêve que Jean ne pouvait se sortir de la tête, il se demandait toujours ce qu'il ressentirait si sa femme lui suçait la bite! ... Mais elle avait une éducation si conservatrice, si "bien-pensante" qu'il savait que ce rêve resterait sûrement un vœu pieux.

Un frismister de plaisir courut tout au long de mister corps alors que sa douce Carol caressait sa bite palpitante.

Depuis quelques jours, Jean se demandait pourquoi mister adorable femme semblait si déterminée à ce qu'il aban-donne les affaires, à ce qu'il vende sa compagnie.

Il savait qu'elle travaillait à contrecœur dans la même entreprise que lui, elle avait trop souvent entendu dire que le travail en commun avait mené bien des couples au divorce!

Comme l'entreprise nécessitait de nouveaux investisse-ments et un profond changement de statuts, Jean com-mençait à penser qu'en fait, il ferait mieux de vendre la compagnie.

Peut-être bien que Carol voulait marcher de mister propre pas, elle avait souvent été approchée par différents clients qui voulaient l'embaucher dans leur boite, pen-sait-il.

-Oui c'est ça! ... C'est pourquoi elle semble si impatiente que je vende l'entreprise conjoncturait-il.

Sentant ses doigts se promener sur sa virilité, Jean sentait sa bite répondre à ces caresses affolantes, il priait pour que sa femme ait vraiment envie de s'amuser avec lui!

Jamais sa femme si prude et si réservée ne s'était comportée de façon aussi hardie, prête à glisser sa main dans mister short pour tirer de coté mister caleçon et s'empa-rer de sa bite frémissante.

C'est alors qu'elle empoigna mister chibre tendu et l'extirpa de mister short prête à l'emboucher avidement.

Jamais Carol ne s'était tenue le visage aussi proche de sa virilité. Il avait rêvé si souvent de voir mister visage s'approcher de mister pénis, il le lui avait d'ailleurs parfois suggéré.

Mais une telle requête avait toujours révulsé Carol lui répliquant vertement :

- T'es complètement fou si tu crois que je me livrerai un jour à un acte aussi répugnant! ...

Il avait pas mal réfléchi sur l'avenir de sa compagnie et les problèmes que cela posait et en était venu à conclure qu'il ferait peut-être bien de la revendre.

Sachant que Carol espérait vivement qu'il cède ses af-faires il lui vint la brillante idée de susurrer à sa femme :

- Oh chérie c'est si bon... Je sais que tu veux que je revende ma société... Pour ouvrir une agence de consultation... Si tu te montres gentille avec moi... Vraiment très gentille... Tu parviendras à me convaincre de vendre! ...

Excitée d'entendre mister mari lui faire cette proposition, elle gloussa en sentant sa virilité s'épanouir entre ses doigts, elle savait pertinemment ce qu'il entendait obtenir d'elle.

Toutefois elle savait qu'elle ne pouvait pas se comporter avec lui comme une pute expérimentée, possédant une certaine science de la fellation.

Son infâme rival lui avait appris quelques semaines plus tôt à prodiguer une gorge profonde...

- Tu vendrais vraiment si... Si... Si je me livrais à un acte aussi pervers? ... Tu... Tu sais que je n'ai ja-mais fait de choses aussi sale! ... Lui mentit-elle feignant une extrême nervosité.

Empoignant la bite de mister mari, elle comprit qu'elle pourrait sans problème lui prodiguer une fellation jubila-toire, sa bite ne faisait pas la moitié de la longueur et de l'épaisseur de celle de mister suborneur.

Se penchant en avant elle tendit la langue et caressa furtivement le gland turgescent de mister mari de la pointe, elle entendit Jean grogner mister plaisir.

En fait, profondément enfouie dans mister esprit, elle avait une terrible envie de comparer le fait d'avoir la bite de mister mari en bouche, à mister ressenti lorsque Rashid lui avait fait emboucher la sienne.

Se penchant en avant la bouche grande ouverte, elle prit en bouche le champignon palpitant de mister mari, tout de go il se mit à grommeler :

- Oh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Oh ma chérie... Suce moi... Encore...

Tout en branlant sa bite elle montait et descendait la tête sur sa hampe vibrante, épatée, elle l'entendit grogner :

- Oh chérie... Mon bébé... Je jouiiiiiiiissssssssss...

Sa main s'appesantit sur sa nuque, il ne voulait pas qu'elle cesse ses délicieuses succions, elle avala tout, le foutre qu'il lui injectait en pleine bouche.

Tout au fond de mister esprit, elle ne pouvait s'empêcher de comparer la pitoyable performance de mister époux avec celle qu'elle avait endurée auparavant.

Sa bite mesurait à peine la moitié de celle de Rashid et la dose de foutre qu'il lui avait propulsé en pleine bouche faisait à peine le tiers de l'éjaculation que mister suborneur l'avait forcée à ingurgiter.

- Oh chéri, c'était si bon... Si bon... S'exclama Jean en extirpant sa bite frémissante de la bouche de sa partenaire qui continuait à le sucer avec avidité.

Jetant un oeil sur elle il vit qu'elle le regardait un large sourire aux lèvres.

De toute sa vie il n'avait jamais espéré que sa prude jeune femme lui procura une telle fellation, exactement comme l'aurait fait une pro de la pipe! ...

Jean abritait un secret au fin fond de mister esprit, un de ses secrets dont jamais sa femme ne devrait entendre parler.

Lors d'un voyage d'affaires au Japon, bien qu'il aima profondément sa ravissante épouse, un de ses clients l'avait entraîné dans un bordel de la banlieue rouge de la ville.

Ayant vu une prostituée qui ressemblait à sa ravissante femme, il lui avait demandé de lui prodiguer cette fella-tion qu'il espérait tant que sa femme lui accorderait un jour.

Au cours de ce déplacement, chaque nuit, il était retour-né dans ce bordel se faisant tailler de nombreuses pipes par déférentes putes. Bien sur, chaque fois il s'imaginait que c'était sa somptueuse jeune femme qui lui accordait ce privilège.

Cette fellation qu'elle lui avait prodiguée était, et loin la meilleur qu'on lui ait accordée, les autres pipes fournies par toutes ces putes lui paraissaient bien pâles en com-paraimister.

Une pensée soudaine traversa mister esprit :

- Mon Dieu... Carol m'a sucée comme une véritable pro... Aurait-elle déjà sucé d'autres hommes? ...

Mais il avait conclu qu'il était fou d'avoir de telles idées. Il n'y avait aucune chance que ce soit possible... C'était

inenvisageable... Elle était si pure, si innocente! ... Ja-mais elle n'avait pu le tromper! ...

Cela ne changeait rien au fait qu'elle lui avait administré la plus jouissive fellation qu'il ait expérimentée.

Les yeux levés vers mister bien-aimé époux, Carol se pourléchait ses lèvres lustrées, elle le questionna :

- As-tu apprécié mon chéri? ... Me suis-je... Me suis-je bien débrouillée? ... Rappelle-toi ta promesse! ... Et je recommencerai chaque fois que tu le désire-ras! ...

Léchant le foutre engluant encore ses lèvres elle consta-ta que sa crème n'était ni aussi épaisse, ni aussi salée que celle de mister concurrent.

Quelques jours plus tard Carol soupira de soulagement lorsque Jean lui appris qu'il acceptait l'offre de la "com-pagnie de commerce du moyen orient".

Satisfaite de la fin de cette affaire, Carol voulait recouvrir le plus rapidement les originaux et les copies de l'im-monde vidéo que détenait l'immonde rival de mister mari.

Mais le fait d'ignorer si Rashid entendait mettre fin à mister chantage la tracassait fortement.

Cependant elle voulait être certaine qu'elle détenait bien les originaux et les copies avant que la vente ne soit effective, bien qu'il resta toujours la possibilité que ce salopard de Rashid garde une copie en sa possession.

Encore qu'elle savait pertinemment que ce serait la seule chance de s'assurer que ni mister mari, ni ses parents n'auraient connaissance de ces horribles images obscènes.

- Enfin ce cauchemar se termine! ... Concluait-elle pleine d'espoir.

Il fallait que Carol rassure les employés, "La compagnie de commerce du moyen orient" comptait laisser fonc-tionner leur compagnie en parallèle de la leur, de ce fait tous les employés devaient garder leur boulot.

Seuls Jean et elle-même quitteraient le navire une fois la vente finalisée.
chrislebo

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#1,154
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Une semaine après mister dernier sacrifice afin d'obtenir un délai pour que mister mari se prononce pour la vente de mister entreprise, tôt le matin, Carol décida de consulter ses mails.

- Oh mon Dieu... Frismisterna-t-elle vulgarement en découvrant qu'une fois encore elle avait reçu un mail du vil concurrent de mister mari.

Se rappelant les immondes mails qu'il lui avait envoyés auparavant, elle hésitait à ouvrir celui ci.

Comme elle avait encore plus peur de ne pas l'ouvrir ignorant ainsi le danger qui la menacerait, elle cliqua sur le message.

Paniquée, elle déchiffra avec horreur :

- Hello chérie... Ta protection est terminée... Aimerais-tu la renouveler? ... Si oui, téléphone-moi aujourd'hui que l'on puisse négocier un nouveau dé-lai... Sinon... Tu sais ce que je vais faire de ma vidéo et des photos... A t'entendre rapidement ma petite chérie! ...

Il avait joint les trois photos qui avaient accompagné mister premier mail, ces premières photos qui la montraient mains liées dans le dos, couverte de foutre de la taille aux cheveux! ...

Elle fit tout de suite le numéro de la"compagnie de commerce du moyen orient"

- Monsieur Akbar... S'il vous plait... Pour... Pour Ca-rol Nishimoto! ... Balbutia-t-elle éperdue.

Un frismister de peur parcourut brusquement mister corps, alors que la standardiste lui répondait :

- Monsieur Akbar attendait votre appel... Je vous le passe tout de suite.

Carol frémit en entendant la voix familière au bout du fil.

- C'est vous ma ravissante amie... J'ai attendu votre appel toute la matinée... Je me demandais si tu avais bien reçu mon mail...

- Mais... Mais... J'ai fait tout ce que vous vouliez... J'ai convaincu Jean de vous vendre sa compagnie... Il... Il m'a dit qu'il vous a rencontré il y a une paire de jours et vous avez réglé les conditions de la vente... Marmonnait-elle affolée.

Au bout du fil Rashid se mit à glousser, il se réjouissait d'entendre sa ravissante proie paniquer au bout du fil.

- Mais chérie... Rien n'est encore signé pour l'ins-tant... Il ne s'agit que d'une entente verbale... Et tu connais le seul engagement oral que j'apprécie vraiment, chérie... Tu comprends ce que je veux dire... Je parle du type d'accord oral que tu m'as prodigué il y a une paire de semaines...

Bouillonnant de dégoût, Carol se rappela le type d'ac-cord oral auquel Rashid se referait.

- Mon Dieu... Comment pourrai-je oublier cette horri-ble journée? ... Il m'avait obligée à me prosterner à genoux... Et j'avais du le contenter... Avec ma bouche!

Frismisternait-elle encore de révulsion à ce souvenir.

Carol pausa la main sur mister estomac secoué de nausées, se remémorant alors comment elle avait du avaler mister foutre gras avant de le vomir ensuite dans les toilettes du restaurant.

Tôt l'après-midi même, ayant bloqué mister après-midi et mister début de soirée, Nerveuse, Carol se dirigeait vers les docks.

Tournant sur la jetée 11, elle vit le navire de transport af-frété par la "compagnie du commerce du moyen orient".

Elle rangea sa voiture, puis gagna la passerelle qui re-liait le bateau au terminal.

Elle s'identifia auprès du marin posté au pied de la pas-serelle, elle le vit alors vérifier sur mister planning de bord avant de l'aviser :

- Vous devriez trouver monsieur Akbar à deux ponts d'ici, du coté de la cale N° 3 à l'arrière du navire.

Après moult hésitations Carol gravit la passerelle, chan-celant sur ses hauts talons blancs qu'elle portait le matin même à mister bureau.

En pénétrant sur le bateau, Carol trouva tout de suite l'escalier qui lui permit de descendre deux étages plus bas.

Se dirigeant vers l'arrière du navire, elle entendit retentir toute proche la voix familière de mister bourreau, a voix qui lui répondait lui sembla aussi assez familière, mais elle ne parvint pas à en identifier l'auteur.

Le claquement de ses talons sur le sol métallique avait signalé mister arrivée, le visage souriant de Rashid apparut en bout d'allée alors qu'il l'accueillait fort civilement.

- Par ici ma chérie... Tu es aussi ponctuelle que d'habitude! ...

Comme elle s'avançait timidement sur le seuil métallique de la cale, Carol regarda l'auteur de l'autre voix familière qu'elle n'avait pas identifié.

- Tu connais Dave, n'est ce pas ma chérie! ... l'inter-rogea Rashid.

Et de fait elle connaissait Dave Mathews dont elle avait repris le département financier dans la compagnie de mister mari.

Carol grinça des dents en observant l'arrogant banquier qu'elle méprisait profondément.

Même si Dave Mathews s'avérait jeune et élégant, Carol se détourna de lui, il semblait croire qu'il était un véritable cadeau aux yeux des jeunes femmes qu'il cô-toyait.

Il cherchait à la perturber, Carol lui avait soufflé mister poste et il avait été obligé d'aller chercher du boulot ail-leurs.

Carol se retrouvait face à face avec l'homme qui devait ruminer sa rancune envers elle.

Elle se rappelait clairement comment il l'avait appelée à plusieurs reprises pour garder mister poste de directeur fi-nancier dans la société de mister mari.

Puis il avait alerté mister mari, cherchant à obtenir sa réin-tégration dans ses fonctions, mais Jean l'avait alors avi-sé qu'il ne pouvait rien pour lui, il avait promis à mister épouse d'avoir les mains libres en ce qui concernait le département financier si elle venait travailler avec lui.

- Madame Nishimoto... Je suis si heureux de vous rencontrer à nouveau... Je n'ai jamais eu le plaisir de vous reparler depuis... Depuis pas mal de temps... En fait depuis que vous avez pris en main le département financier de la compagnie de votre mari... Me spoliant de mon poste! ... Vous ne vous êtes jamais demandé ce que je suis devenu après cette terrible épreuve... Vous m'avez presque em-pêché de retrouver un poste dans une banque... Vous rendez-vous compte de tout cela délicieuse madame Nishimoto? ... La questionna-t-il un rictus aux lèvres.

- Dave est mon partenaire financier dans cette re-prise, ma chérie! ... Lorsque je lui ai signalé que j'avais besoin de fonds pour acquérir la "Compa-gnie Nishimoto de vente et transport ", Dave pensa tout d'abord qu'il s'agissait d'une plaisanterie, il se figurait que jamais votre mari ne me revendrait mister affaire! ... Mais mon cher Dave se montra beaucoup plus intéressé lorsque je lui révélais que j'avais des appuis à l'intérieur de la compagnie... L'aide de la très sexy épouse de jean Nishimento elle-même... L'avisa Rashid hilare.

Il semblait à la malheureuse Carol que le sol se dérobait sous ses pieds en entendant le banquier lui préciser d'une voix ironique :

- Akbar m'averti que vous aviez accepté de l'aide r dans cette affaire... Et comment vous avez orale-ment scellé le marché! ...

Carol avala sa salive et, paniquée fixa le ricanant Dave, réalisant que l'arrogant banquier savait pertinemment qu'elle s'était agenouillée entre les cuisses de Rashid pour sucer mister énorme queue noire! ...

Retenant ses larmes, Carol se sentait défaillir, ses jambes ne la supportaient plus! ...

Carle était figée par la peur alors que Rashid s'approchait d'elle l'avisant :

- Dave m'a proposé un fantastique tau d'intérêt... Mais il avait besoin d'un encouragement décisif... Ma chérie...

Rashid posa alors sa main sur ses fesses qu'il pelota rudement avant de poursuivre :

- Comprends-tu quel encouragement pourrait amener Dave à m'accorder ce tau exceptionnel qu'il ma proposé? ... Pourquoi n'escorterais-tu pas Dave jusqu'à la cabine du capitaine à l'avant du cargo pour m'aider à le convaincre de tenir sa proposition! ...

Frémissante de révulsion Carol réalisait ce que sous-entendait Rashid... Elle faisait l'objet de la négociation... Il la prostituait pour s'assurer le concours de ce bâtard de banquier! ...

Un moment plus tard, Elle remontait l'allée menant à la cabine du capitaine, l'impudent Dave Mathews lui tenait fermement l'épaule.

De grosses larmes ruisselaient sur ses joues, Carol reniflait misérablement alors qu'il commentait ironiquement :

- L'arrogante et fidèle madame Nishimoto va payer mon exclusion de la compagnie maritale... Elle veut me dédommager en s'agenouillant à nouveau comme une pute sur ses genoux... Pour sucer ma bite comme elle a sucé la grosse mentule noire du concurrent de mister mari! ... Vous n'êtes qu'une pute madame Nishimoto.. N'est ce pas? ... Et je vais te baiser comme la chienne que t'es au fond de ton âme! ...

Arrivée dans la confortable cabine du capitaine, Carol se tenait au centre de la salle alors que mister bourreau prenant un siège et lui intimait :

- Tu as entendu ce que t'as dit monsieur Akbar! ... Il ne te reste plus qu'à me convaincre de l'aider! ... Commence par te débarrasser de ta robe... montre-moi ton corps voluptueux petite pute! ... Effeuille-toi pour moi! ...

Totalement résignée, Carol tendit le bras dans mister dos pour descendre le curseur de sa robe vert tendre.

Refrénant ses larmes, elle descendit sa robe sur ses hanches.

Elle grinça des dents alors que Dave Mathews commen-tait :

- Tu n'es qu'une pute de bas étage ma petite chérie! ... Jean sait-il qu'il a épousé une pute? ... Tu lui as bien caché ton jeu n'est ce pas sale chienne! ... Quand je pense qu'il croit que sa femme est la plus douce et la plus fidèle des compagnes! ... Tourne-toi vers moi salope! ...

Carol cherchait désespérément à penser à autre chose, cherchant à chasser de mister esprit ce qu'elle était obligée de faire.

En sanglotant, elle laissa tomber sa robe sur la moquette, s'entortillant autour de ses chevilles.

Elle ne portait plus que mister soutien-gorge de fine den-telle, sa culotte assortie et ses hauts-talons.

- Et maintenant ton retrousse tètes! ... ordonna mister bourreau.

Folle de honte elle dégrafa mister soutien-gorge qui chut au sol tandis qu'il poursuivait :

- Et maintenant expose tes charmes les plus secrets... Ta délicieuse foufoune! ...

Elle roula sa petite culotte sur ses hanches qui ne tarda pas à rejoindre sa robe encerclant ses hauts talons blancs.

Et maintenant ma chère madame Nishimoto monte ton adorable petit cul sur le lit! ...

Elle se dirigea lentement vers le lit.

- A quatre pattes salope! ... Lui intima-t-il autoritaire-ment.

Tête basse, figée par la honte et l'offense, Carol jeta un oeil sur le coté en entendant un bruit de vêtements que l'on

quitte.

Il se déshabillait promptement dans sa hâte de la rejoin-dre sur le lit.

Elle grimaça en sentant le lit s'affaisser, déjà les mains de Dave lui palpaient rudement la croupe tandis qu'il in-tervenait à nouveau :

- Salope de chienne je ne te raconte pas le plaisir que je vais prendre à te sauter! ... Exactement comme la pute que tu es vraiment! ...

Il caressait la tendre texture de ses fesses il ne croyait pas encore à sa bonne fortune! ...

Après avoir été évincé par cette foutue salope, il avait maintenant la possibilité de faire payer mister attitude à cette satanée salope! ...

- S'il vous plait... Je vous en prie... Je suis désolée... Ne me faites pas ça... Je vous en prie... Le sup-pliait-elle pitoyablement.

Ses pleurs et ses lamentations ne faisaient que renpowerr sa bandaimister.

Agrippant ses tendres hanches, il l'empala de toutes ses powers en grognant lourdement.

- Je te baise enfin foutue salope! ....
chrislebo

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- Nooooooooooonnnnnnn... Mon Dieu... Nooooooooonnnnnnn! ... Sanglotait Carol alors que l'homme qu'elle méprisait tant, planté dans mister dos, introduisait vulgarement sa bite dans sa fentine.

- Ohhhhh... Ohhhhhhhhh... Ohhhh... Ohhhhhhh... Ohhhhhhh... Grognait Carol alors que Dave Mathews allait et venait allégrement dans sa foufoune maintenant correctement lubrifiée alors que mister pubis venait heurter ses douces fesses à chaque coup de boutoir...

- Oh mon Dieu... Nooooonnnnn... Faites que je ne ressente rien d'autre que du dégoût! ... Adjurait-elle Dieu alors qu'involontairement ses sphincters vagi-naux se crispaient sur la bite de mister suborneur.

En sentant ses muscles intimes se serrer et se desserrer sur sa bite palpitante, Dave se moqua de sa ravissante jeune proie :

- T'as l'air d'aimer ça chérie! ... Oh chérie tu jutes comme une salope maintenant! ... Exactement comme une petite chienne en rut! ...

Cependant Dave voulait qu'elle se rappelle toute sa vie de ce jour.

Rashid lui avait confié qu'il avait été le premier à glisser sa bite dans sa bouche, mais que jusqu'ici il ne l'avait pas encore enculée, Dave pensait qu'il était concevable qu'elle fut encore pucelle du trou du cul! ...

Une poignée de main avec Rashid avait clôturé leur en-tente, il lui avait offert d'être le premier à casser le cul de la somptueuse petite pute en échange du taux d'intérêt exceptionnel qu'il lui offrait.

Alors que la jeune femme s'empalait maintenant d'elle-même sur sa grosse bite, Dave sourit, il savait qu'il au-rait bien vite l'occasion de se farcir mister trou du cul qu'il espérait bien vierge! ...

Lui flattant lascivement la croupe, il empoigna fermement ses hanches extirpant lentement sa mentule de sa chagatte accueillante.

Carol venait tout juste de s'adapter au rythme que lui imposait mister bourreau, lorsque étonnée elle le sentit se retirer de sa moule embrasée, elle était juste sur le point de jouir! ...

Pantelante, elle se tourna vers lui, le sentant promener mister gland dans sa raie culière. C'est alors qu'il se mit à presser mister gros champignon contre mister anus effrayé.

- Que... Que faites-vous? ... L'interrogea-t-elle frénétiquement détournant mister visage à la vue de mister cruel rictus.

Ses mains agrippaient fermement ses hanches, alors que mister gland turgescent frappait à la porte de ses reins, elle tendit les mains empoignant la tête du lit, cherchant à échapper à mister étreinte en rampant.

- Je vais te donner une bonne leçon ma petite chérie... Eructa-t-il pressant férocement mister gros champignon contre mister anus affolé.

- Oh mon Dieu... Non... Pas ça! ... Je vous en prie... Pas ça... Je ne l'ai jamais fait... Sanglotait-elle éperdue.

Dave sourit à cette confirmation, il savait maintenant qu'il serait le premier à casser le cul de cette somp-tueuse salope.

Il raffermit sa prise sur ses hanches, sa bite était prête, en grognant sourdement il donna un féroce coup de rein.

- Allons y chérie! ...

- Aieeeeeeeeeeeee... Arretez... Arrêtezzzzzzzzzz... Hurlait-elle desespérée.

Ses plaintes réjouissaient grandement Dave... Se plan-tant dans mister anus virginal, il rit de ses lamentations iro-nisant grassement :

- Tu n'es qu'une sale petite chienne en chaleur, sa-lope! ... Je vais t'enculer pour te remercier de m'avoir chassé de mon poste de directeur! ... Qui est-ce qui, en dédommagement, va se faire enculer maintenant? ...

- Owwwwwww... Owwwwww... Arrêtez... Je vous en prie arrêtez... a fait malllllllllll... Sanglotait Carol affolée.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Je ne pourrai pas en supporter plus! ... Oh mon Dieu... Faites moi mourir... Priait-elle, jamais elle n'avait enduré d'expérience aussi douloureuse.

En entendant rire cet homme qui la sodomisait sauva-gement, elle comprit qu'elle ne devait attendre aucune pitié de sa part, il ferait en sorte d'accroître encore sa douleur et mister offense! ...

- Oh mon Dieu.. Comment peut-on être assez pervers pour se livrer à des actes aussi dégoûtants... Se demandait-elle horrifiée.

- Ma chérie, t'es si étroite... Foutrement étroite... T'as vraiment un succulent petit cul madame Nishimoto! ... Se gargarisait-il en lui défonçant la rondelle.

- Si doux et si chaud... Bordel j'en crois pas ma bite! ... Dire que te dépucelle le trou du cul! ... S'esclaffait-il hilare.

Coulissant sauvagement dans mister intestin rétif, le lit grinçant sous les virils assauts, Dave sentait sa mentule vibrer follement. Il se mit à grogner :

- Oh chérieeeeeeeeeeeeeee... Oh ouiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais me vider dans ton délicieux petit cul! ...

Figée par la douleur, Carol demeura à quatre pattes sur le lit, frémissante de douleur alors que Dave Mathews extirpait sa bite souillée de mister trou du cul meurtri.

Elle frismisternait d'offense, il lui tapotait la croupe tout en ricanant :

- Et maintenant tu vas pouvoir ramener ton petit cul si fidèle à ton bien-aimé salope! ... Tu pourras lui dire que tu as aidé à la vente en offrant tes fesses aux investisseurs...

Le corps de Carol était secoué de spasmes de douleur émanant de mister fondement ravagé.

La douleur était intense, de plus sentir un flot de foutre gras suinter de mister anus endolori pour s'étaler sur ses fesses était vraiment insupportable.

- Te voilà avec un trou du cul tout neuf ma salope! Ricana encore mister suborneur ravi.

- Au revoir ma chérie... Je rentre à la banque finali-ser les prêt consenti à monsieur Akbar! ... Cela va me rapporter un sacré bonus, mais pas aussi suc-culent que celui que tu viens de m'offrir! ... Gloussa-t-il railleusement.

- Que se passe-t-il madame Nishimoto... T'es tétani-sée... Tu ne peux plus bouger un cil! ... Ton petit trou du cul te brûle après le sort que je lui ai fait subir? ... Se moqua-t-il ironiquement.

Puis il fit le tour du lit yeux braqués sur la ravissante jeune femme sanglotant de honte et de douleur dont le visage se trouvait à peine à quelques centimètres de sa taille.

Sa bite raidit de nouveau à la penséehumilier une fois de plus la fière jeune femme qui fustigeait ses sens.

Il lui saisit sa noire chevelure à deux mains en gloussant :

- Tu vas me nettoyer la bite salope, avant que j'enfile mon calecif! ... Après tout ce ne mistert que les dernières traces de ton pucelage anal! ...

Carol était à nouveau au bord des larmes tant il lui faisait mal en lui tirant les cheveux.

Dès qu'elle ouvrit la bouche pour se plaindre, il enfouit sa grosse mentule dans sa bouche.

Elle frismisterna de toutes ses fibres en sentant la puanteur de cette bite honnie et mister goût révulsant! ...

- Allez salope... Grouille-toi de nettoyer minutieusement mon chibre! ... Lui ordonna l'ar-rogant banquier alors qu'il grognait de plaisir en la baisant en bouche.

- Oh oui, ma chérie... Oh, oui... Ohhhh... Oh, oui... Lèche encore ma bite... Cajole-moi...

- Lèche-moi!... Ahhhhhhh, oui... Comme ça... C'est excellent!... Lèche encore ma bite ma chérie... Gémissait Dave fou de plaisir alors que sa pauvre proie se démenait de mister mieux sa bite en pleine gorge.

C'était l'ultime offense qu'il pouvait infliger à cette sa-lope qui lui avait ravi mister poste! ...

Il coulissait de plus en plus furieusement entre ses lè-vres gonflées, enfonçant sa bite frémissante de quelques centimètres dans mister arrière-gorge.

L'estomac soulevé de nausées alors que la révulsante bite coulissait dans sa bouche, Carol priait pour sortir de ce cauchemar, pour qu'on arrête de lui faire subir de tel-les violences.

- Oh mon Dieu... Sucer Rashid était une chose... Mais cet immonde salopard m'oblige à sucer sa bite alors qu'il vient tout juste de me sodomiser! ... Bâ-tard... Ce que j'aimerai mordre sa répugnante bite puante, la déchirer et la balancer par le hublot! ... Pensait-elle haineusement.

Mais ce n'était qu'un vœux pieux, elle savait qu'elle ne pouvait pas se le permettre, sa vengeance serait terrible. Elle était entièrement à la merci de ce pervers, elle se remit à cajoler sa bite de façon à en finir au plus vite.

Dave frismisterna de plaisir en la sentant reprendre ses succulentes sucions, il était au bord de l'explosion.

- Oh ma chérie... Mon petit cœur... Tes lèvres mistert si douces... Ahhhhhhhhhh... Oh oui comme ça... Lèche-moi encore... Oh ouiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais jouir... Je jouis... Avale mon foutre... Avale tout mon foutre... Ahh-hhhhhhhhhh... Oh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Grognait-il éper-du de plaisir.

Il tenait fermement sa ravissante proie par ses longs cheveux soyeux noirs, Dave était conscient de ses re-gards suppliants, elle essayait de tordre mister cou en tous sens pour déloger la bite qui vomissait mister foutre gluant dans sa bouche révoltée.
chrislebo

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Dave se réjouissait de la voir se débattre mais il la tenait fermement l'obligeant à avaler sa semence sa bouche en étant remplie à ras bord.

Il la vit soudain étouffer, ses yeux roulèrent dans ses orbites, elle suffoquait.

Il rit à pleins poumons alors que la somptueuse salope palissait à vue d'œil.

Extirpant mister gros chibre de sa bouche gonflée, il rit à gorge déployée alors que la jeune femme empoignait mister estomac à deux mains secouée d'immondes nau-sées, ses lèvres s'entrouvrirent alors qu'un flot de sperme gluant jaillissait de sa bouche s'étalant sur mister menton.

Révoltée par cet acte barbare qu'elle avait subi, elle sentait mister estomac se retourner.

Elle se pencha sur le rebord du lit sur le point de vomir tripes et boyaux.

Elle allait souiller le sol de la cabine du capitaine du navire, heureusement mister bourreau attrapa la poubelle et la plaça sous sa tête.

Finalement une fois mister estomac soulagé, elle se laissa tomber sur le confortable matelas, reniflant pitoyable-ment toute honte bue.

Son bourreau avait fini de s'habiller et quittait la cabine riant à pleine gorge.

C'est alors qu'elle entendit la porte de la cabine s'ouvrir à nouveau, elle jeta un oeil anxieux et vit Rashid qui souriait railleusement en se moquant :

- J'ai entendu que tu as fini par conclure un accord oral avec Dave... Tu utilises vraiment tous tes charmes pour subjuguer tes interlocuteurs... Prête à écarter à nouveau tes cuisses en grand? ...

Elle n'avait tiré aucun plaisir, aucune satisfaction de sa copulation forcée avec Dave Mathews, elle ne pouvait cependant empêcher les muscles de ses cuisses de se crisper à l'idée d'accueillir la grosse bite noire de Rashid dans sa foufoune impatiente.

Mais Rashid ne se déshabillait pas pour la rejoindre sur le lit, Elle se retrouva entièrement nue entraînée le long de l'allée par mister maître chanteur qui lui tenait l'épaule.

- S'il vous plait Rashid... dites-moi où nous allons... Je vous en prie... Laissez moi enfiler une robe... Tout le monde... Tout le monde peut me voir entiè-rement nue... Le suppliait-elle affolée.

Comme ils approchaient de la cale à l'autre bout du navire, elle entendit retentir la voix de quelques matelots.

Alors que Rashid s'avançait la poussant devant lui dans le large hall, Carol tentait de dissimuler ses charmes de ses mains et de ses bras sous l'œil captivé de six asiati-ques qui reluquaient ses charmes dénudés.

Les tenues de ces hommes étaient répugnantes, couvertes de saletés et de poussière à power de travailler dans la cale.

La sueur dégoulinait le long de leurs corps à power de travailler dans cet atmosphère surchauffé.

Rashid s'exclama

- C'est le moment de faire une pause les gars! ... Je vous ai amené une petite récompense pour récompenser votre travail de la semaine dernière...

L'un des hommes, apparemment le contremaître donna ses ordres, sous sa direction ses hommes étalèrent une épaisse couverture verte sur le sol de la cale.

Cherchant toujours à dissimuler de mister mieux ses char-mes elle vit le contremaître donner un nouvel ordre, ils commencèrent tous à se foutre à poil.

Puis le grimaçant contremaître lui empoigna le poignet et l'entraîna vers la couverture étendue au sol.

Comme les spectateurs enthousiastes applaudissaient et sifflaient elle se retrouva étendue à plat dos sur la couverture.

Elle ne pouvait rien faire d'autre que fermer les yeux., alors que le contremaître empoignait ses cuisses les ou-vrant en grand.

- Oh mon Dieu... Ohhhhhhhhhh... Ohh-hhhhhhhhhhh... Frémit-elle alors qu'il enfouissait mister visage entre ses cuisses.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Oh Doux Jésuuuuuuuuuuuuuuuuusssssssss... s'écriait Carol alors que l'Asiate parcourait sa fente d'une langue agile.

Quelques instants plus tard, alors que le contremaître lui bouffait toujours le gazon, elle le sentit changer de position.

une colonne de chair bien raide heurta alors ses lèvres.

Quelques secondes encore et elle se mit à sucer la bite de l'homme qui lui bouffait si délicieusement la chatte.

Les spectateurs applaudirent à la vue de leur chef chercher à s'installer en position de 69.

Soudain Carol le sentit tourner sur lui-même et quelques secondes plus tard elle se retrouvait allongée sur lui pour un très classique 69, elle suçait avidement la bite de cet homme qui dégustait voracement sa chatoune.

Le contremaître était un expert du bouffage de gazon, il utilisait avec habileté sa langue, Carol frémissait de plai-sir alors que mister jus intime lui inondait la bouche.

Ses grognements de jouissance étaient étouffés par l'énorme bite qui lui emplissait la bouche alors que sa tête coulissait gloutonnement sur sa hampe.

Quelques instants plus tard un succomba à un orgasme intense alors que la bite qui lui emplissait la bouche ex-plosait entre ses lèvres caressantes.

Cette fois elle ingurgita la totalité de sa semence sans aucune hésitation.

Comme le contremaître épuisé avant besoin de récupérer, les 5 marins s'approchèrent au plus près de la couverture, réclamant leur tour.

Un des hommes s'étendit sur le dos, ses acolytes empoignèrent Carol pour l'empaler sur sa virilité dressée.

- Ohhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhh... grommelait-elle en s'embrochant sur l'épaisse mentule.

A quatre pattes, une paire de mains lui agrippèrent les cheveux, relevant mister visage de façon à ce qu'elle puisse emboucher une autre bite raidie.

Incapable de dire un mot, la bouche encombrée par un gros chibre, elle fut reconnaissante à Dave de l'avoir dé-floré analement plus tôt, lui évasant le goulot, la bite qui s'enfouissait maintenant dans mister trou du cul était au-trement plus épaisse que la sienne.

Elle du empoigner à deux mains les bites deux hommes qui ne la fourraient pas pour les branler au rythme de la sauvage chevauchée qu'elle endurait.

Elle était en parfaite position pour satisfaire simultanément les 5 Asiatiques, c'était une chose qu'elle n'avait jamais envisagée même dans ses cauchemars les plus sombres, la réalité la détrompait imparablement.

Jamais Carol n'oublierait cet après-midi de débauche. Elle avait satisfait, en même temps, les appétits de 5 hommes, couverte de foutre, elle gisait maintenant sur la couverture. Son trou du cul, sa bouche, sa chatte étaient pleins de foutre, quant aux deux marins qu'elle branlait, ils avaient éjaculé sur ses cheveux et mister visage.

Comme le contremaître se montrait à nouveau opérant ainsi que deux de ses compagnons, elle dur se remettre à genoux.

Immédiatement une grosse bite s'enfouit dans sa bou-che alors que deux autres l'embrochaient en cul et en con.

Aussitôt les trois autres matelots poussèrent de vifs en-couragements les poussant à se presser car eux aussi voulaient reprendre les débats.

Carol ne put s'empêcher de jouir encore et encore ou-blieuse du temps qui s'écoulait alors qu'ils la baisaient de façon répétée toute l'après-midi.

La semaine suivante, les papiers officiels de cession fu-rent signés dans la salle de conférence de la compagnie Nishimoto.

Une fois les divers documents signés, Rashid Akbar se fendit d'une allocution coin cernant les ex-employés de la compagnie qui allaient maintenant rejoindre mister consortium.

Carol poussa un soupir de soulagement en lisant le message que Rashid lui avait fait parvenir une demi-heure avant le début de la réunion.

Assise derrière mister bureau elle ne pouvait s'empêcher de repenser à cet enchaînement d'événements qui avait débuté 2 mois plus tôt.

Elle avait maintenant perdu le compte des hommes qui avaient satisfait leurs appétits sexuels en abusant de ses charmes.

Cela avait été le plus souvent épouvantable, humiliant, elle avait été totalement ravagée par leurs abus, cepen-dant elle ne pouvait nier qu'elle n'avait jamais autant joui qu'entre les bras de Rashid Akbar alors qu'il la forçait à recevoir mister énorme chibre dans mister étroite petite fou-foune.

Maintenant qu'elle pensait avoir fait le nécessaire pour écarter la menace de cette horrible vidéo, elle était dé-terminer à ne plus appartenir qu'à Jean mister mari.

C'est alors que mister téléphone intérieur bourdonna, sa secrétaire lui annonça que monsieur Akbar voulait la rencontrer.

- Dites-lui de monter... Lui répondit-elle légèrement stressée.

Elle prit une profonde respiration, elle voulait paraître calme et confiante aux yeux de mister ex maître-chanteur.

Bien qu'elle ne puisse nier la crispation soudaine de ses muscles des cuisses alors qu'un flot de cyprine inondait sa fentine émue détrempant le fond de sa petite culotte.

Lorsque le concurrent de mister mari pénétra dans mister bu-reau, la porte refermée par sa secrétaire, Carol sentit un frismister de nervosité lui parcourir tout le corps alors qu'il se retournait sur la porte et la verrouillait.

Puis il approcha de mister bureau et lui tendit une boite emballée comme un cadeau.

Arborant un sourire éclatant il l'avertit benoîtement :

- Comme promis voici l'original et cinq copies de ton clip vidéo! ... J'ai gardé une copie pour mon usage strictement permisternel... Pour t-assurer que je ne m'en servirai plus comme moyen de pression j'ai rédigé et signé un document qui te met à l'abri de tout chantage en employant cette copie.

En lisant le document, Carol poussa un gros soupir de soulagement, il était rédigé sur du papier à l'en-tête de la compagnie de Rashid Akbar, signé par Rashid et mister notaire.

Il statuait que pas une partie du film qui avait été tourné la nuit de mister agression ne pourrait être utilisée pour la contraindre à obéir de quelque façon que ce soit à Ras-hid, s'il transgressait cet engagement Rashid devrait leur revendre la société si chèrement acquise à 50% de sa valeur! ...

C'était bien plus que Carol n'espérait obtenir comme as-surance de sa bonne foi.

Le téléphone intérieur bourdonna de nouveau et sa se-crétaire l'avisa :

- Votre mari est en ligne...

Carol empoigna nerveusement mister combiné et répondit immédiatement :

- Hey chéri...

Puis elle l'écouta préciser la raimister de mister appel avant de répondre :

- Oui... Monsieur Akbar est ici... Dans mon bureau... Il est arrivé un peu plus tôt pour ajouter une paire d'articles à notre convention... Tout est en ordre... Non... Ce n'est pas la peine que tu viennes me rejoindre... On te rejoint tout de suite dans la salle de conférence...

Se levant elle s'adressa à Rashid :

- Je vous accompagne à la salle de conférence...

A sa grande surprise Rashid lui empoigna l'épaule et la tourna lentement vers lui.

Pantelante plus d'excitation que de peur, Carol lui jetant un oeil suppliant alors qu'il précisait :

- Il n'est nul besoin de nous précipiter ma chérie... La conférence ne commencera pas avant une bonne quinzaine de minutes...

Comme il se penchait sur elle, elle entrouvrit les lèvres et permit à sa langue fouineuse de s'entortiller autour de la sienne.

Quelques instants plus tard, agenouillée sur le sol de mister bureau Carol regardait Rashid déboucler la ceinture de mister pantalon avant de le laisser choir au sol.

Son caleçon rouge se trouvait à quelques centimètres de mister visage, l'avant en était déformé par une bosse fort conséquente.
chrislebo

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Pointant sa langue Carol suivit le contour de la masse charnue qui gonflait l'avant de mister caleçon. Tendant ses mains elle roula mister caleçon sur ses hanches délivrant l'énorme virilité de sa primister.

Quelques secondes plus tard, elle lui taillait une savou-reuse pipe.

Une fois arrivée dans la salle de conférence, Carol s'as-sit à coté de mister mari alors qu'on servait le café.

Il lui demanda si elle voulait un peu de crème avec mister café, Carol ne répondit pas... Elle avait bien assez de crème dans mister estomac... Une bonne pinte de crème épaisse provenant des couilles de l'homme qui se tenait face à mister mari.

Se pourlèchant les lèvres, elle vérifia qu'il ne subsistait aucune trace de mister forfait sur ses lèvres charnues, qu'elle avait bien ingurgité la totalité de la substance crèmeuse qu'il avait éjaculé dans sa bouche quelques minutes plus tôt à genoux dans mister bureau.

Assise à la table officielle elle fut toute surprise de voir que Rashid avait retenu la proposition de mister mari d'ouvrir une agence de consultant financier.

Elle fut encore plus surprise lorsque Rashid précisa qu'il retenait d'autant plus ses services en tant que consultant indépendant qu'il appréhendait sa profonde connais-sance des arcanes financières de la société.

Carol comprit qu'il lui offrait ce poste du fait de ses com-pétences, mais certainement surtout à cause de ses ap-titudes orales...

Rashid observait attentivement Jean Nishimoto et sa somptueuse femme assis

à mister côté.

- Si seulement cet imbécile savait que sa femme n'est qu'une chaude petite chienne! ... Bordel quelle succulente pipe elle m'a taillée dans mister bureau! ... Mon DIeu... Qu'elle semble sexy avec ses lèvres luisantes de mon foutre! ... Pensait-il ravi.

En la voyant passer constamment sa langue sur ses lè-vres, il comprit rapidement qu'elle savourait encore le goût de mister éjaculation! ...

A la vue de sa réaction lorsqu'il avait notifié qu'il enten-dait la retenir en tant que consultante financière après la vente, Rashid soupçonnait, qu'elle refuserait courtoise-ment mister offre.

Il pensait que lui ayant donné la bande vidéo et cette let-tre certifiant l'abandon de tout chantage à mister égard à l'aide de cette vidéo, elle devait s'imaginer être à l'abri de tout danger.

Il avait décidé de fait de ne plus utiliser ce clip ni les pho-tos extraites de ce film pour la faire chanter.

La vidéo qu'il avait d'elle agenouillée dans mister bureau lui suçant avidement la bite plus celle enregistrée dans la cabine du capitaine lorsqu'elle prenait soin de Dave Ma-thews et celle de mister gang bang dans la cale dans les bras des 6 asiatiques lui suffirait amplement! ... Glous-sait-il au fin fond de mister esprit.
soumis8

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#1,158 · Edited by: soumis8
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..............................
vanbruje

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Quand il n'y en a plus... il y en a encore...
Mais est-ce la fin ?
Merci encore
chrislebo

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#1,160 · Edited by: chrislebo
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La fin de l'histoire oui
chrislebo

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Humiliated


I was headed to the river for an evening of fishing. My favorite river abuts a golf course and there is a network of service roads and cart paths through the woods between the course and the river. As I walked down one of the roads, I suddenly came upon a golf cart and someone in the woods nearby.

As I approached, I heard, "Hey, I know you."

It was a guy that I had worked with at my previous job and from the sound of him, he was trashed. I got closer and could see he was takeing a beer and there was another on the cart. After a short conversation, it was obvious that my first impression was correct, he was hammered and he was a rather obnoxious takes at that. He kept going on about what a great golfer he was, he called himself "The Birdie Machine". I kept thinking what an idiot he was and just wanted to get out of there as quickly as I could. Finally, he puttered off in the golf cart and left me alone.

I continued along to the river and began to fish, losing myself in what I was doing as I usually do while I'm on the water. After a while, I thought I heard something and glanced back into the woods and saw a golf cart parked just into the woods on one of the passing trails. I thought it rather odd, but didn't give it too much more thought and continued to work my way upstream. About half an hour later and several hundred yards upstream, I heard the noise of the golf cart again and realized that he was following me upstream and watching me from the woods. I wondered what he was up to, but I thought I probably knew him well enough to say that he didn't mean any harm, which led me to think either he was just curious and having a takesen adventure or he was checking me out. Despite always having been straight and how obnoxious he was, I found myself just a little turned on by the idea of him peeping at me from the woods. I continued my fishing and from time to time I could hear noise of one sort or another that let me know that he was still around, though I'm sure he was trying to be undetected. I realized that my cock was starting to get hard, I was turned on, but I told myself I just had to take a leak.

I decided that I'd give him a little thrill and step into the woods within eyeshot of him to relieve myself. I angled to the woods just far enough away from him that he wouldn't panic and think that I saw him. I stepped into the woods and was sure to select a spot hidden from the cart path, but clearly within sight of where I could see him trying to hide behind a tree. I shed my fishing gear and then dropped my waders and quickly pulled my cock out of my pants to pee. It took me a minute to get things flowing due to my partial hard on, but I finally started to take a long piss, much to my relief. I could see him out of the corner of my eye and I found that as my bladder drained my cock was getting harder until finally I had stopped peeing altogether and my cock was becoming fully erect. I was embarrassed that I was getting hard from this jerk watching me, but I couldn't deny that my cock was now standing straight up in front of me. Almost sorry, my hand slid up the length of my cock and slowly back down. I could see still from the corner of my eye that he was now standing fully in the open, but I didn't turn to look at him. I did begin to slowly stroke my cock. It throbbed achingly and I stroked harder and faster. I became more and more turned on that he was watching me stroke myself.

"Can I suck you?" It was almost a whisper and I jumped despite knowing where it came from and perhaps even expecting it.

I didn't answer, but turned slowly towards him and moved my hand away from my cock. He went to his knees in front of me and his mouth quickly sucked my cock inside. His mouth moved up and down my hard shaft, sucking and licking and nearly buckling my knees.

"I'm going to cum", I warned him, but undeterred, he continued sucking until I felt my cum boil up from my balls and erupt into his mouth. He sucked and licked until I was done shooting and then stood, stroking his own cock which he had freed from his pants and begun working over while he had been sucking me.

"Would you do me?" he asked tentatively. His lack of assuredness was in such contrast to his brazenness earlier, I knew that he thought I might just as likely tell him to fuck off. My eyes dropped to the meat that he was holding in his hand. It was large and thick and though I'd never done anything like this before, I knew I wanted to suck it. Before I really even knew what I was doing, I was on my knees in front of him taking his fat cock into my mouth. As soon as I felt the heat of his swollen cock on my lips and tongue and tasted the salty precum oozing from him I knew that I was born to suck cock. I devoured what I hadn't known that I'd been missing all my life. It was quickly obvious to him that I was not just doing him a favor and his bravado quickly returned.

"Oh yea, you like that don't you?" I could hear the smile in his voice as he said it and all I could do was moan back, "mmmmm". "That's it, suck it, suck my cock". He was growing more confident, and more obnoxious as it became more and more apparent how much I craved his cock.

Suddenly, he pushed me back away from him and I fell back on the ground. He stepped forward and stood over me stroking his cock and I just stared, wanting nothing in the world more than to get his cock back into my mouth. "You knew I was looking didn't you?" "Yes" I admitted, struggling forward and groping with my mouth for his cock. He pushed me away again, "You fucking cock sucker. You let me ask you first like I'm the fag didn't you. You're the fucking fag cock sucker aren't you?"

"Please", I croaked as I struggled against his hand pushing against my forehead.

"Look at you, groveling for my cock. Beg me for it fag."

"Please. Please let me suck it. Please, oh god, please just let me suck your cock, please", I begged, knowing that I was surrendering all control to him. At that moment I'd have said anything, done anything to have his cock in my mouth. His hand moved around from my forehead to the back of my head and he suddenly pulled me forward and shoved his cock into my mouth. "Mmmmm" I moaned as I felt his hot cock fill my mouth again.

"That's it. Keep sucking bitch, I got a mouthful for you in a minute."

"Mmmmmm", I moaned without thinking, just needing his hot load like a fish needs water.

"Yea, you're not just a cock sucking fag, you're a cum loving slut aren't you", he taunted pulling his cock out of my mouth.

"Yes", was my instant reply, "Cum in my mouth, on my face, please, oh god I need your cum, please, I'll do anything, please."

He pushed me back again and this time, straddled me, leaning forward and beginning to roughly fuck my face. I tried to relax my throat and keep from obligation. I was in heaven gagging on his cock. It became my whole world, that beautiful cock, the smell of it, the taste of it, the hardness being powerd into me Shoved down my throat, his balls slapping my chin and his sweaty pubic hair matting against my nose and eyes. Then in an instant it was gone, but before I could moan my disapproval the first hot splash of cum landed across my cheek.

"Oh yes" I practically sobbed, "yes, mmmm" as I licked at the underside of his shaft and felt it lift up and away from me as another hot pulse of cum shot out onto my face.

His hand tilted his cock down and pushed it back into my mouth as I sucked him clean and milked the rest of the cum from him hungrily.

He stood over me and looked at my lust crazed face, covered in his cum and saw my hand stroking madly at my own swollen cock. He grabbed my knees and powerd them back roughly until they were so far back that they were on either side of my head. I felt his cock against the crack of my ass and then suddenly he was inside me. The penetration was so sudden and unexpected that I gasped and moaned loudly.

"Now you're really my bitch", he grunted as he felt my ass contract around his cock.

"Fuck me", I gasped.

He pounded almost straight down into my ass. I was bent practically double and my cock was just above my face. I watched it throb with every thrust of his cock into my ass. His pace quickened and I could feel my balls pull tight. First a short pulse and then a steady deluge of cum poured from my cock onto my face as I felt the hot wetness of him filing my ass. He thrust forward one last time and grunted then stumred back against a tree. I lay on the ground in front of him and my legs fell back to the ground as I sprawled limply. My face was covered in cum, both his and my own and I could feel his last load starting to seep from my asshole and down between my cheeks. He pulled his pants on and stumred away to the golf cart and left me there. It was some time before I could finally gather the strength to dress and go home.

I fell quickly to relax, but the next day I awoke and could think of nothing else. I thought perhaps that I could get it out of my head and go on with my life if I wrote it down. I sat at my computer and wrote my experience in every detail that was burned into my mind. I was shocked to suddenly find that I was bi and embarrassed at what a slut I was, but the thought of sharing my offense with others was too much to resist. I posted my story on Literotica then threw my legs over my head and stroked myself until I came on my face again.
chrislebo

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Over the next couple of weeks I struggled with accepting my bisexuality and just the idea of the intense arousal that I felt during my offense next to the river and with how much I had loved sucking cock and being fucked by that obnoxious bastard. The fact remained though that every time that I thought about it, my cock became painfully hard and I secretly craved it again. Having the whole story posted on Literotica was just more delicious offense. Some wrote to tell me how much they wish it had happened to them and others, my favorites, wrote to tell me what they'd do to me if they got the chance or even told me to do things to myself for them. Each day I checked my email for feedback. One day I received a note that I was shocked to find:

"This story sounds familiar. We know a lot of the same people and if you don't want them all to receive a copy of your story with your name posted to it, you better be at my house at 8pm on Saturday. Obnoxious jerk, eh? You think I humiliated you then, wait until Saturday, asshole.

- "The Birdie Machine"

I was panicked now. I couldn't go, who knew what he'd do. I didn't exactly portray him in a positive light, he had to be pissed, but I couldn't not go either. What if he sent my story out to all kinds of people I knew?

I was terrified as I approached his house on Saturday night.

I knocked on the door and he answered. He smiled, but it wasn't a friendly smile. He said nothing but "strip". There was no point in trying to reamister with him. I took off my clothes. I felt my cock rising and tried desperately to think of something else to keep from getting hard.

He said "Go to the TV and turn it on." I did as he told me to and a porn film began playing. A guy was on a low table with five or six guys standing over him stroking themselves. I stared as they each began shooting their loads all over the guy on the table. I turned to face him and he snickered. I looked down and my cock was hard.

"I thought you'd like that one you slut". His words stung but there was no denying it anymore. Now that I was facing him I was horrified, but shamefully aroused, to see that there was a video camera on a tripod facing me and on the couch there were several dildos.

"Don't worry, the camera's not on, I'm not going to film you." I breathed a sigh of relief and he quickly followed with, "You turn it on, you're going to film yourself." My heart dropped and I hesitated. "Turn it on and tell the camera what a whore you are and that you can't get enough cock in your ass or cum on your face." I froze. "Do it now unless you want everyone to know how much you loved it before, I'm just going to keep this between us unless you piss me off."

I went to the camera and turned it on. I stared into the camera, "I'm a cock loving whore and I can never get enough cock in my ass or enough cum on my face". My cock throbbed and I'm sure that I looked like I meant it, worse, I did. He walked over and picked up one of the dildos, placed it on the coffee table in front of me and told me to suck it. I knelt on the floor in front of it and bent forward taking it in my mouth.

"That's it, show me what a good cock sucker you are and then I'll let you suck mine. Suck it good. Let me see you swallow it to the base bitch."

I was becoming more and more aroused. I wanted to show him that I could take the whole thing and I wanted to taste his cock in my mouth again.

"That's it, look at the camera while you suck it."

I looked into the camera with lust filled eyes as the fake cock bottomed out in the back of my throat.

He dropped a tube of lube on the table in front of me. "You can use this before you fuck yourself if you get right to it."

I didn't hesitate. I squirted the lube into my hand and stroked up and down the shaft of the dildo. I straddled the table and when I felt the head against my asshole, I sat down slowly powering it into my ass. I moaned.

"Yea fuck yourself. You love that don't you?"

"Yes" I humped up and down on that fake cock and felt like I was going to cum any second.

"Stop and lean forward"

I obeyed with a whimper, I was so close to cuming.

"That one must not be big enough. You want a bigger one don't you?"

"Yes" came my reply without hesitation.

He reached down and pulled the dildo out of my ass and went to the couch and grabbed a much larger one. I was nervous when I saw the size of it, but I panted with anticipation. The fat head of the dildo rubbed up and down the crack of my ass until I felt it settle over my partially opened hole. He pushed it forward and buried it into me in one stroke, powering a gasp and a moan out of me. "That's more like it, isn't it?"

I could hardly breathe or talk for a minute, then managed to croak "Yea".

"Okay, ride that one now, bitch"

I sat back up and began to slide up and down the huge dildo that was now plowing my ass. I forgot about everything else, him, the camera, everything except the sensation of that cock filling my ass to the fullest, sliding out to my tight ring and then plunging back in.

"Lay back on the table and fuck yourself so the camera can get a good view", he interrupted and I quickly lay back, pulling my knees up towards my chest and reaching around my legs with both hands to grip the dildo and fuck myself harder with it. I panted loudly with each thrust. I didn't care if the camera recorded it. I didn't care if he saw it. I didn't care about anything but fucking myself with that beautiful fat cock. I moaned louder and fucked myself wildly. I wasn't even aware that he was still in the room until his cock came into view above my face. He was stroking it.

"I'm going to cum all over your face, that's what you want, isn't it?"

"Yes"

"You wish there were more guys here don't you?"

"Yes. I wish the room were full of guys taking turns feeding me their cum and fucking me."

"That's good, because that camera is making a webcast and it's going out live to anyone that wants to watch. What do you think about that?'

"I don't care. I want them to see. I don't care, I just want more cock.", I panted truthfully and totally out of control.

"Well you better give them the address then", he mocked.

I whimpered and moaned, gave the address and kept straining to get more of the dildo into my ass.

It didn't even seem like five minutes later and suddenly I felt my hands being pushed away from the dildo. I looked down and a guy named Bob that I had once fired was standing naked between my legs. He just looked at me and said, "I knew you were a sick fuck. Believe me, I'm going to enjoy this even more than your slut ass." He pulled the dildo out and shoved his cock into me.

I saw a flash of light and thought at first it was from the pain of his huge cock, but then I noticed that the front door was open and there were headlights outside. The guy from the coffee shop that I frequent walked in. "I'm not gay but I couldn't resist coming over here to cum on your face", he laughed.

Then there were at least five guys standing over me stroking their cocks while Bob roughly fucked my aching ass. I reached up and took hold of two of the cocks and stroked them. The first one started to cum. I remember the first blast landed on my cheek, everything was a blur after that. One cock after another, as many as I could get my hands on or my mouth around. Load after hot load landing all over my body. Some of the guys that fucked me came in my ass, others pulled out and came on my crotch or on my stomach. It could have gone on for hours or days, I didn't know and didn't care. No matter how many times I tasted hot cum, felt it sprayed all over me or felt another cock filling my ass it was never enough. Sometimes I noticed a face, my ex-boss, guys that had worked for me, but all I really cared about was another cock.

I woke up later, I don't know how much later. I was still lying on the coffee table. My arms and legs were hanging limply over the sides. My hair was matted with what had to be fifty loads of cum, every inch of my face, chest and stomach was caked with cum. I struggled to lift myself up onto my elbows and noticed a huge puddle of cum on the table under my ass. I tried to struggle to my feet and barely had the strength. My ass was so sore that I could hardly walk. There was no one else around and so I struggled into my clothes and stumred towards the door. As I passed the camera, I could hear it still running.

I never found out many that were there, but that night made me a toy for a not very exclusive club around the area. I went to the hardware store two days later, when I was well enough to walk again, and the clerk told me that the paint I was looking for was in the back room. When I walked out back, he pushed me over a stack of boxes and yanked my pants down. "I've been wanting some more of this", he said as he shoved his cock into me. He fucked me until he came and then walked out. Later, I went to pick-up my dry cleaning and the guy at the counter told me it was $20 and a blow job. My mister's principle asked for a conference with me and I thought he was in trouble until he and one of the gym teachers bent me over a desk. One of them fucked my ass and the other fucked my mouth. When they'd finished with me by pulling out and cuming on my back and my face, they sent me out without letting me wipe it off. They told me not to worry because everyone in the office had seen my show anyway. I know that I should be ashamed but instead, no matter how many times and places I'm used throughout the day, I end the day with a hard cock, thinking about be used until I finally have to jerk off and lick one more load from my fingers.
chrislebo

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I Couldn't Help It


Okay, so it wasn't exactly what my wife had in mind when she bought me a membership at a local gym for Christmas. At forty, I wasn't exactly out of shape but after a few years of sitting at a desk all day and staring at a computer screen, the muscle tone on my 6'-2" body had pretty much gone to hell. So, in no small part because it was a gift from her, I trudged obligingly off to the gym every night after work.

While I never did quite understand the benefit and allure of sweating and gasping like a dying man while subjecting myself to a stair-stepper or treadmill, I did fully appreciate the sight of so many of the tight young female bodies that seemed to frequent the place at that time of day. But what shocked me even more was my reaction to being in a men's locker room for the first time since high school. While I had never been attracted to other guys, I found myself lingering longer and longer in the shower room, covertly sneaking peeks of guys soaping up there firm bodies and cocks.

At first, I told myself it was just a guy thing – comparing my own body and equipment to everyone else's. But then, during the day, I found myself thinking more and more about some dangling young cock I'd seen during the past week, a thought that both shocked me and gave me a hard-on at the same time. I finally justified it by telling myself that I'd never really do anything with another guy, that with sex at home becoming more and more infrequent due to the long work days we both had, it was just an image to stimulate myself with while I jerked off at home when my wife was gone.

So it was on a Friday night that I found myself standing in the locker room shower, pretending to let the hot water soothe my muscles, eyes half-closed, but watching a 20-something guy standing under a shower head on the opposite wall, slowly lathering his cock and ass. It took my breath away. Soft, his cock hung down a good six or seven inches, and was as thick as any I'd seen in permister over the past six months. His dick slithered between his fingers as he soaped his crotch, and his cock grew a bit stiffer. I stood there, hot water pouring down my back, eyes partially closed, and wondering what it would be like to be kneeling in front of him as he fucked his meat into my mouth.

"Hey! What are you looking at, faggot?"

My eyes snapped open wide and my heart began pounding, and I suddenly realized that my own six-inch cock was now semi-hard from my daydream.

"Uh, me? I...uh...nothing...I mean...what are you talking about?"

"You know damn well what I'm talking about you little queer! You've been eyeing my cock ever since I stepped in here."

"No, I...you've got it all wrong...I'm just showering...you know, the hot water feels so good," I babred, grateful that we were the only two people in the shower room at the time.

"Bullcuckolds brownie!" he spat out as he walked toward me. "I ever catch you staring at me or anyone else in here again, I'll permisterally kick your ass, you hear me?" he asked, poking a finger in my chest.

My hard-on had shriveled, and for a moment I thought he was going to hit me. And at about six feet and a 175 pounds of solid muscle, I figured it was going to hurt. But instead of hitting me, he angrily spit on my foot and stormed out of the shower. "Fucking dick-lover! They ought to throw your ass out of the club."

My heart was still pounding. What the hell had I been thinking? A forty year old man acting like an idiot, and caught in the act. I stood alone in the shower for another ten minutes, my toes and fingers starting to shrivel, when I finally got the nerve to slowly venture back into the locker-room area. Fortunately, he was gone. I quickly dressed, vowing that this was the last time I'd be showing my face in this gym, and wondering what I'd do with myself every night until my membership ran out and I could just go home after work. After quickly toweling myself off and dressing, I quickly cleaned out my small locker and headed toward the front door, thinking irrationally that every eye in the place was on me as I finally reached the exit and headed out to the safety of the parking lot. Or so I thought.

"Hey, faggot!" he yelled as he stepped out from the shadows where he'd been waiting for me. People walking across the parking lot toward the gym stopped to see who had shouted and who was the target of his ire. My heart came into my throat as people stared, and I prayed there wasn't anyone around who actually knew me.

"Yeah, you," he said loudly as he strode toward me. "You a full-blown queer? You get off watching cock in the shower room?"

"Look," I replied hastily, scanning the parking lot again, "this is just a misunderstanding. I was just taking a—"

"Misunderstanding my ass. I saw you watching me. You like the show, huh? Like a little cock on the side? Does your wife know?" he asked, spotting my wedding ring.

"I'm not... Please, not so loud, this is just a misunderstanding, I wasn't staring at you."

"What's the matter? You don't like admitting you're a fag?"

"No, I'm not. I'm married, I've got a mister in high school, I don't—"

"Oh, that's great," he bellowed. "Your kid know you like to suck dick?"

More people stared as they heard his question. I turned an even deeper shade of crimmister.

"Please, could you keep your voice down? People are staring, and it's not what you think. Can we go somewhere private, I can explain."

He eyed me for a minute. "Fucking fag. Yeah, I guess so, my car's right over there. I can't wait to here this limp-wrist excuse."

He led me toward a car parked nearby, and I crawled into the passenger seat, relieved that we didn't have to continue the conversation within the earshot of the other people entering and leaving the gym. He crawled into the passenger seat, his short gym shorts riding high up on his legs as he plopped into the seat.

"Okay, talk. You got two minutes."

"I was just taking a shower, you've got this all wrong. I pulled a muscle during my workout, and I thought standing there for a while in the hot water would help."

"That's a fat lie."

"No, really, it's the truth. I bent down to pick up one of the free weights, and the next thing I knew, something just popped. I guess it must be old age," I nervously kidded, hoping it would break the tension. "It's happened before, and the heat usually takes it away, so I thought—"

"I don't blame you."

"You don't...what?"

"I can't actually blame you for looking," he repeated, his voice softening somewhat. "I do have a nice cock."

"I...it...no, you're not listening, I'm not—"

And it was then that I suddenly realized that he was fingering his cock through his shorts. As I stared down in horror toward his lap, I could see the head of his thickening meat peaking out from the bottom of his shorts, until a fill two inches of cock was exposed.

"I knew it."

My eyes snapped back up as I suddenly realized that I'd been caught for the second time that evening staring at his cock.

"I see you looking at it. Don't worry, nobody can see us, and nobody'll ever know. Look, it's getting harder and harder for you."

I tried not to look, but I couldn't resist staring at the monster growing in front of me.

"You want to touch it?"

"No, no I'm not—"

"It's okay, really. You know you want to feel it. Just once, go ahead."

"No, no really—"

"Mmm, it's really getting hard now."

He caught me dropping my eyes instinctively into his lap. Three inches of fat cock now stood out as it slithered down the leg of his shorts, growing harder every second.

"C'mon, just a quick feel."

"I can't."

"Sure you can, no one will know. Just touch it once, feel how thick it is."

To this day, I don't know what came over me. I slowly reached my hand across his lap, no longer thinking about my wife or my mister or what I was about to do. I just reached into his lap and curled my fingers around his thick cock, marveling at the size and heat it emanated. He lifted his ass off the seat and re-adjusted his shorts, allowing his dick to be fully exposed and standing at attention. My fingers slowly began to slide up and down his 8" pole. He groaned.

"Oh yeah, that feels good! You like that? I knew you would. Look at that, you're jerking me off. You ever do this before?"

"No, never," I replied honestly, swallowing hard.

"Oooh, that feels so good. Squeeze it a little harder while you jerk it. Oh yeah, like that," he moaned. "Hey, you want to kiss it? Just once though, I guess that'd be all right."

For the second time that night, we went through the routine...me saying I couldn't, him saying that it would be okay, me saying I wasn't like that, him responding that no one would know. The conclusion though was inevitable. I'd like to be able to say I resisted the hand on the back of my head, tugging me slowly toward his stiff pole. I'd like to say I came to my senses and leaped from his car. But I didn't. And when my head reached the tip of his cock, when I could smell my first scent of cock, I just opened my mouth and he slid the head inside.

"Oh, fuck!, he gasped, his hands on the back of my head. "That feels so fucking good. Take more in, you're terrific." His fingers slide around my head, feeling my lips, stretched widely around his cock. "Oh man, you are so good. You sure you never did this before?"

I groaned my denial around the cock stuffed in my mouth. The more he talked and complimented me, the more I wanted to please him. Another inch of shiny wet cock slid into my mouth.

"Oh yeah, that's it! Let me fuck it in and out of your mouth. Oh man, what a fucking cocksucker you are."

And there it was. For the first time in my life, I was actually sucking another man's cock. A cocksucker. A real cocksucker. I took another inch into my stuffed mouth and gagged as it hit the back of my throat. He laughed from above me.

"That's it fag, eat that cock, gag on it! Bob your head on it, like that, up and down, up and down. What a fucking cocksucker, you are sooooo good."

For the next five minutes, I licked and sucked his cock, stroking the base of his dick up and down with one hand, while my other hand scratched lightly across his big swollen balls. He kept up a running conversation, calling my fag and whore, all the while fucking my face with his thick meat. His breathing was growing faster, and more shallow, and I suddenly realized what was going to happen. I jerked my head off his cock and gasped.

"Please, you can't cum in my mouth. Tell me when you're gonna cum and I'll jerk you off. I promise!"

"You better, you little dick lover," he gasped. "If you let me hang..."

"No, no I won't, I promise. Just tell me when."

He responded by taking the back of my head and powering my mouth down deep over his throbbing meat. His hips thrust up harder and faster now, gagging me every time the head of his cock tried to power it's way into my throat

"That's it cocksucker! Deeper! Faster! My fucking balls have a nice big load of cum for you! Eat me, suck it, eat that big fat cock, you cocksucker. I'm gonna fucking cum any second!"

And then it happened. His thick piece of meat suddenly grew even harder and fatter, stretching my swollen lips even wider around it. His fingers wrapped into the hair on the back of my head, and he suddenly stopped moving, holding my head down on his cock. For a second, I struggled to pull off, but to no avail, and then my mouth was being flooded with wave after wave of hot cum spurting from the head of his cock, obligation me, squirting into my throat, my mouth filled, and cum seeping from my around my lips! I can't honestly say that his cum tasted sweet or salty, or that I was repulsed or turned on by the act. I just instinctively began to swallow as quickly as I could, trying desperately not to fetish to death. He was shouting as his balls emptied their thick load into my mouth and belly. And then he collapsed back down into his seat.

"Oh god, oh fucking cuckolds brownie, that was one great blowjob. You really are a Class-A cocksucker faggot. You like eating my cum, don't you? You love that thick load in your mouth and down your throat and in your belly," he said, not waiting for or expecting any kind of a response. He held my head in place, his cock softening in my mouth. Finally, he pulled my head off his cock, my lips swollen, cum running down my face and somehow smeared in my hair.

I sat up, and before I could say anything, my eyes focused in the darkness and my heart sank. Two teenage girls, were standing at the open car window watching the show. They had pulled into the lot and were walking toward the gym when he'd apparently spotted them and waved them over to witness the blowjob I'd been giving him. I panicked as they laughed hysterically now.

"Great blowjob, mister. Gee, Steve, I'm jealous, he sucks cock better than we do. And he swallows too!"

All three started laughing at me at the same time.

"Yeah, the faggot does know how to suck a mean cock. Get the fuck out of my car now. You got what you needed, didn't you? A nice hot load of dick juice!"

"Oh my god, " I sputtered, "please, I don't know what came over me. I've never...it isn't what you—"

"Get the fuck out, I said!"

I scramred out of his car, wiping cum from my face as I tried to melt into the darkness and avoid catching the eye of any other gym goers.

"Hey, cock whore!" he shouted after me. "I'll see you around."
chrislebo

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I Learn My Place



The inspiration for the details of "She Learns Her Place" (another story I've posted here) is a fantasy that occurred to me a few years ago. I can't really be sure why I had it, but it has definitely stuck with me over the years, and I never fail to get very turned on when I think about it. In this fantasy, I'm in the submissive role.

Anyway, the fantasy follows about the same lines, but involves a guy named John who I went to high school with and, among other things, had a near perfect body - especially his pecs, his abdomen and his arms ... and a perfect butt too. He was on the swim team for years, and it showed. Not only was I jealous of his body, but I found that, over the years I knew him, I was attracted to him physically. But, I have to admit I never "liked" him in the way that I was attracted to women.

Nothing ever happened between us, and aside from the fantasy, I don't think I really would have wanted it to. But I've always liked to keep the idea in the back of my head, and wonder what would happen if I someday had the opportunity. It's sort of my "forbidden fantasy."

This particular fantasy takes place in the present. He arrives in town for a job interview, and he stays in the apartment where my wife and I lived. His arrival is matched by a heightened sexuality, as I can tell right off that my wife also notices his physical attractions, which have not been diminished at all by the passage of time.

The first night after he arrives, my wife and I have very passionate sex ... because we know he is there in the next room. Although my wife and I say nothing to each other, we are both fantasizing that John would join us, and hoping that he hears us, or walks by the half open door and watches us.

The sexual tension builds over the next two days, but nothing happens. Early Friday morning, I leave to take my wife to the airport for a week-long business trip. When I return, John is up in the kitchen, wearing only his tiny bikini underwear, of course. He didn't expect that I would return so quickly, and that I would have a perfect view of his perfect body ... or did he?

That day was his big interview, and we got together afterwards to celebrate. He chose the meeting place : an outdoor bar down near the river, that on Friday afternoons does quite a "singles" business. It's not the classic singles' bar, but it's filled with young, unattached people who are looking to spend some time with the same. Being married, I'm not out for this sort of thing, and I'm just wearing jeans and a simple shirt. But John is single, and looking good in his suit and the dress shirt stretched tight across his chest.

While we're there, many women come up to us, and once they look at my ring finger, they're glad they don't have to make conversation with me and they can just home in on John. He loves every minute of it, and he loves having an audience. And I love watching him. In fact, I couldn't choose who I'm more jealous of, him or the women swarming around him. Eventually, some dancing starts, and I get to sit back and watch him, watch his body, watch his power over these women, and enjoy my hard-on.

There's an element I've very recently added to this fantasy. At one point, John comes back and rejoins me after dancing, and his dance partner actually takes an interest in talking to me. She starts to flirt with me, and very expertly, being not at all obvious. Eventually, she convinces me to come out and dance with her, which I am not entirely reluctant to do, as she is very attractive.

While we dance to a quiet number, she simply seems to enjoy holding me and having my company. Me too. After a moment, she starts to talk, very quietly, without pushing me. She mentions how good John looks, and I admit that I notice how well he's doing. She convinces me to admit that I'm jealous, but not exactly of him. She gets me to say that I like watching him. Then, she throws me off by saying that she knows how I feel, she knows that it's nice to watch. Becoming defensive, I tense up ... and there's where we get the line, "I'm not saying that you have to watch . . . he could watch . . . I could watch."

The fact that she sees my desires so well throws me off, though, and is the excuse for me to leave. John doesn't object, he'll meet me back at my place.

Of course, when I get back, I'm entirely frustrated and turned on. But instead of relieving my tensions by touching myself, I only frustrate myself further by slipping into microfiber boxer briefs and a t-shirt. I try to watch some TV, but my hard-on never relaxes. But that's just what I want, isn't it?

Eventually, John comes back, very "up" from his evening. I find this very stimulating, but I'm even more stimulated by the impression that he's done something more than dance with the attractive young women that filled the bar that evening. I have to twist around to hide my erection from him.

But I don't make things easy for myself, or shrink away from my opportunity. I suggest that we share a joint, just like we did in high school, and he happily agrees. When I come back out, he has of course changed into his t-shirt and silk boxers-stretched tight across his beautiful round buns.

You know what happens. We talk, and somehow the conversation turns to the perfection of his body. But we're two guys, right? Although we are entirely familiar with hard-ons, we know that they're intended for women, not men, right?

So when I notice that he's got just about the biggest, stiffest shaft I have ever seen (in fact, the only full erection I've ever seen before, other than my own), I can just tell myself that it must be the remnants of his earlier activities, and I should just try to ignore it, like I'm trying to ignore my own hard, pulsating cock, which must be perfectly obvious under my skimpy boy-cut briefs.

John, of course, is simply amused by my predicament and, after taking off his shirt, continues to talk about some imagined imperfections in his perfect pectorals. And of course, using this excuse to run his hands lovingly over his chest.

By this point, I grow silent, now completely magictized. I can only sit meekly and watch his performance, being too shy to make the first move. This permits him, without saying a word, to reach down and move his shorts aside and reveal his deliciously hard shaft to me, and to slowly stroke himself, all as I simply sit there, transfixed.

Finally, as if he realizes that I am at his command and will do only as I am told, he reaches over and, after one final glance at me, takes each side of my head in his hands and lowers my mouth onto his hard cock, before pushing it past my lips and into my mouth.

As I've never sucked a man off before, I don't know exactly what to do. But I know what I like and I try to do it for him. Apparently, I'm eventually a success, and he comes. But that's not all that I'm willing to do for him. Never does a word pass between us, but for the rest of that evening I explore every inch of his perfect body, serving and pleasing him as best I can, without ever a thought to satisfying my own throbbing cock, until I eventually pass out from the sheer exhaustion of my pleasure.

I wake up the next morning, on the couch next to him. We're both naked. For a minute, I'm frightened and confused, wondering how to explain what happened between us. Eventually, I gather up my courage and turn to look at him. I begin to mumble some story about how I didn't know what I was doing, and I hoped he wouldn't get the wrong impression.

He just looks back at me, impassive. Then it seems that he's getting impatient with having to listen to my miserable story, and I'm momentarily worried. But instead of getting angry at me, he just reaches over and casually flips me over on my stomach. He doesn't even have to be powerful with me, and I of course shut up immediately. He calmly spreads open my legs and takes me from behind. He hadn't done so last night, and as it's the first time I've been penetrated, it's not easy. But he's very strong, and he gets himself all the way in, and he comes inside of me. And I come too.

Then he just as calmly pulls himself out and goes off to take a shower. And the only thing I can wonder is if I have permission to move.

Of course, for the next week, I belong to him completely. We don't talk much, and I don't even care to wonder whether he's my friend or not. But I enjoy pleasures I never knew were possible.

Even after my wife returns, and my normal life resumes, I take every chance I can to sneak away and be with him. He knows that he has me completely under his control and he enjoys it. He even calls sometimes, when he knows my wife and I are home together, and he tells me to leave and come over to his place. Sometimes, he doesn't even let me take a shower before going back home.

That was about the end of my fantasy. But, a few years later, I thought up the next episode. I know that some time passed before this occurred to me because we had since moved from our apartment to a two-level home.

One night, I had to work late and I called home to tell my wife. She told me not to worry, that she had plans with some friends and she might not even be home when I got home, so I shouldn't bother calling. Nothing unusual in that.

Happily, the project I was working on is postponed so I can leave the office at about 7:30 pm. I'm happy that I'll just have a relaxing evening to myself. But I'm way more happy when I arrive home and see John's car parked outside our house. Thinking that he must have just came over to see if I was there, I very expectantly bound into our house, the erection already pushing against the fabric of my slacks.

As soon as I enter the living room, I hear sounds from upstairs. The sounds of John fucking someone. At first, I'm completely thrown off. He's never involved anyone else ... we've always been alone together. But then again, I am intrigued by the idea, and I begin to sneak upstairs.

Imagine my shock and horror when I round the corner of the stairs and see . . .

... my wife thrusting herself up and down very excitedly on John's massive cock, as he lies back on our very own bed . . . the same bed where he had so often taken me when my wife was away!

After a moment where I stand transfixed, staring at the sight in front of me, I simply retreat downstairs. A thousand and one ideas are filling my head, not least of all that my wife is cheating on me. All of the instances when she was away during the past few months begin to flood back to me, as I realize that she had plenty of opportunities. All those nights I was working late at the office ....

I also cannot shut out the noises I hear from upstairs. She's expressing herself like she never had when she made love to me. She's telling John how she's absolutely dying for his cock ... how she can't wait for him to make her come ... and when she does, it's louder and more intense than I had ever done for her.

But actually, what I'm really thinking is that I can't blame her. I too was a slave to John's cock, and I knew why she was doing what she was doing. I knew it ever since that first night when he was in our apartment ...

So, I turn around and sneak back upstairs again. This time, John is on top of her, pushing his perfect torso up on his muscular arms, and I have a perfect view of his chest and abdomen as he thrusts into my wife. And again, I just stand there, transfixed. And he looks up, and sees me. But he only gives me that same look of indifference, and keeps on pounding my wife.

Like a zombie, I walk into the room, saying nothing. At first, my wife is so carried away that she doesn't even see me. But when she does, she panics. She starts saying, "oh my god, oh honey, it's not what you think, I couldn't help myself," etc.

John is much calmer. He just stops his thrusting, pulls out of her and stands in front of me. He looks at my wife and says, "Don't worry baby, he's not angry at you. At least, not for the reamisters you think."

When my wife looks at me, and sees that instead of being angry, I'm just staring with meek desire at John's body, she slowly calms down. Instead of being worried, she begins to get even more turned on ... turned on by John's power over me.

John looks at me, with that same impassive look, "Well, the time has come, Mark. Why don't you show your wife the way things are now. Why don't you show her what you really want to do."

And that's what I do. I drop to my knees, and ...
chrislebo

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As I knelt meekly before John, my mind was reeling from the discovery that I was not the only one who was in thrall to his gorgeous body. Frankly, during the whole time that I was carrying on with him - submitting to him - I actually hadn't been thinking about my wife. The effect he had on me was so powerful that it seemed to sever any connection between him and my "normal" life. When I was serving him, it was as if I was in another world. I could only wonder what my wife's reaction would be ...

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When I first realized that you had walked in on John fucking me, I had panicked. Seeing you, my husband, standing there snapped me back to reality. It was as if I realized for the first time that, well ... technically anyway ... I was cheating on you.

Since that first day he had appeared in our home, there was something undeniably magnetic about him. He was so different from you ... physically, and in other ways ... that I didn't even associate the two of you as being in the same category.

I'll always remember the first time he wrapped his arms around me, and leaned against me ... at that moment I absolutely melted. His lips against my neck ... his breath against my cheek ... I'm getting goose bumps right now just thinking about it. All I wanted to do was lay back and let him have me, right then, the first time he ever touched me.

In the following weeks, when he seduced me ... took control of me ... it was as if I was losing myself in him. I was helpless to resist the pleasure his body provided to me. And I became so consumed with serving him in every way possible that I never even stopped to think about you.

But that all changed when I saw you sink to your knees, right there in our bedroom, so willingly, in front of him. Even though you knew he had just been fucking me ... fucking my brains out, actually ... I understood there was nothing else you could do ... that you were helpless, too.

And that understanding was just incredibly erotic for me. It was as if by seeing your presentation to him, directly in front of me, your wife, that I could share in some of his power over you ... as if it were flowing through me. Believe me ... seeing his cock just inches away from your face filled my head with incredible images ... and I understood that somehow my participation would make John's domination of you complete.

By having me, your wife, take a part in your sucking John's cock, John would demonstrate his complete control over you ... and your complete presentation to him. And it was so thrilling to know that I could be a part of this, that I could serve my lover in this way.

Servicing John's cock is something I have always given a great deal of thought to. Kneeling between his strong legs ... his body stretched out on the bed, or the couch, or in his Mustang. Watching his entire body react as I suck and pull on his growing cock. Even though I suspected that you are a good little cocksucker, I took a point of pride in thinking that I am even better.

Still, I was eager to help you ... guide you ... to put you in your place by telling you just how to do it ... just how John really likes it. Sharing some of my little secrets and techniques with you. So you would know your place.

All of these thoughts passed through my mind in a flash as I lay there in bed, my pussy still wet and warm from the pounding he had just given me. I glanced over to his eyes to see him look down at you for a second ... before I saw his soft, long lashes lower, and his eyes close.

"Do it John," I heard myself say.

Then, I watched John tease us both, bringing his hands up to his chest ... running them over the firm muscles, down to his wash board abs ... into the dimples inside his hip bones ... until his huge hands and long fingers rested on his hips, framing his cock ... his hard, thick cock ... just aching to be touched.

I looked back down to you, and couldn't describe the look of pleasure on your face. I slid off the bed and, in an instant, was kneeling at your side.

You ran your hands up his muscular thighs, and slowly curled your fingers around the shaft standing in front of you. And very slowly started to glide your fingers up the length, and then back down ... very slowly, very deliberately ... as if trying to memorize every detail of it ...

I leaned towards you ... and quietly spoke...

"Can you imagine how much I love servicing him ... servicing John's wonderful cock ... the attention I lavish on it. It's a pleasure unlike any other ... one to be enjoyed ... savored ...

"Open your lips, wet them with your tongue ... bring your lips just inches away from the tip. Feel the heat, even without touching it. Slide your tongue out, and brush it very gently across the tip ... very slowly ... feel how smooth, feel the heat. Spread your tongue across the tip ... feel what it's like when you get it wet ... feel how it twitches in your hand ... "

"Very slowly run your tongue along one side of it ... not missing an inch ... feel how thick and hard it is ... every spot your tongue covers makes it even harder. When you get to the base, slide around to the other side, and slowly work your way back up ... never let your tongue leave his cock."

While I watched you slavishly stroke with your tongue ... I reached over and took your hand ... gently guiding it up and between his thighs. Showing you how to gently cup his balls ... moving your fingers around them ... gently teasing them and stroking them ... .

"Don't stop your tongue ... "

Then sliding your hand a little further back ... to that spot I know he can't resist ... the spot I never resist when I'm servicing him ... just past his balls and the base of his cock, but not too far between his cheeks ... he may only be able to take so much.

I drop my hands when it's obvious your fingers are content with their task, so to speak. And I look up to see his cock shiny ... wet from your slow tongue bath ...

I watched for a moment ... watched your hands, your fingers ... watched your tongue as it serviced every inch of him. Looked up at John ... mouth parted, chest panting, eyes closed ... with the most intense look of pleasure on his face ...

I knew much more guidance wouldn't be needed from me ... I knew then what a good little cocksucker you are.

I reached up and ran my fingers through your hair ... letting it run between my fingers until I had my hand on the back of your head. I very gently pushed your head towards him ... and as his cock pushed against your lips, you instantly parted them and eagerly took it in your mouth ...

"Gently ... slowly ... "

You wrapped your lips, and I watched his tip disappear ... as I slowly guided you down his shaft. Very slowly ... to allow you to adjust ... take it all in ...

"Feel the heat ... feel how hot it is ... how hard and thick ... so powerful and strong ... and the power to unleash it is all yours ... "

When you had eventually taken it as far into your mouth as you could, I gently slid you back off ... and then let go. You instantly wrapped your lips around him again, and eagerly slid back down his cock.

John was starting to moan, to whimper a little even ... and my hand had no sooner left the back of your head than his was there. I knew I didn't need to guide you much more ...

"Suck on him, Mark ... "

I saw your cheeks hollow a little as you sucked his cock into your mouth, and a loud moan escaped John's lips. You didn't need my help anymore ...

I quietly sat back and watched ... watched you touch him ... lick him ... suck him. All on your own ... with the only encouragement coming from him.

Watched you pull and suck on his hard shaft ... making it even bigger and harder ... watched your fingers stroke and tease him ... his balls swelling with each stroke of your lips and tongue.

You each fed off of the pleasure of the other ... harder ... faster ... deeper ... louder ... quicker ... more, more, more ...

Nothing else in the world existed, except the two of you ... right in front of me. I watched John's body ... tense, flex ... he was getting close. He started to hump against your face ... feeding his cock to you ... telling you not to stop. And the entire time I knew how wonderful that massive cock felt in your mouth ...

John started to pant ... and then moan ... and then scream ... my ears practically rang as I heard him start to come. You braced yourself with one hand wrapped tight around the base, and the other against his hip ... they were flailing against your face so fast you almost couldn't keep up. His hands in your hair, his hips thrusting against you, his cock fucking your face.

And I watched your face as that cock exploded in your mouth ... knowing how wonderful that feels ... as you struggled to keep all that you had milked out of him in your mouth ...

But that's not where you stopped, of course. John was ready for a lot more that evening, and on into the night ... and you were ready to do whatever he told you ... and I could just sit back and watch.

In my memory now, it's just a series of images ... exhilarating, erotic images.

John standing tall in front of you ... stroking his cock. Pumping and pulling on it ... while you wait for his load with an eager mouth and face. Watching it spray from his cock onto your waiting tongue ... against your cheek ... down onto your chin.

Then I was begging ... begging the two of you to let me clean you up. Sucking what was left of the juice out of his cock. And then turning to your face. Licking the warm fluid off your chin ... sucking it off your cheek ... and sliding my tongue into your mouth to share the taste with you.

I saw you naked in bed. John's hands all over your body. First massaging your muscles ... relaxing you like he always did me ... casting that spell over you like I always felt. So content, so happy, you didn't want to move ... you could stay there just like that forever. Completely under his control.

John leaning forward on you ... his naked body sliding against yours. His hands grabbing your ass. Sliding down along your back ... his hips pushed against your ass. Guiding his cock up and inside of you, while he pulls against your hips for leverage. Your face against the bed ... sighing and moaning against it. His pace getting harder and faster with each thrust inside of you. Reaching around you to grab your hard cock ... pumping on you as he thrust inside of you ... all you can do is lay there and enjoy it. Making your cock explode as you feel his cock empty inside of you.

The sweat from bodies ... the fluids from the sex ... all mixing and making your ass almost too slippery to hold on to as he slides against your body.

I just kept seeing his strong hands manipulating your body ... in every which way he wanted to. You powerless to do anything about it. Not that you wanted to. You were just as happy to lay back and surrender ... to lay back and just let him have his way with your body. Your hands, your mouth, your cock, your ass ... all his to play with as he pleases.

And the whole time you seemed so happy to be there and to be his toy for the night.
chrislebo

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#1,166
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It Started On My Day Off


I took a mental health day off from work. I was laying on the couch watching television when the doorbell rang. I wasn't expecting anyone, so was slow to get up. It was my neighbor, Cedric. He was in workout clothes, with a gym bag, and said he didn't have his keys. He was going to go get his wife's keys, but wanted to shower before going to her office. I didn't exactly get along with Cedric. He didn't respect my parking places, and he often played his music too loud after 11PM. We had a few cross wrods, but nothing ever got physical. I could just have easily turned him away, but he was in need. I told him to hold on while I went upstairs and secured my room. We were neighbors, but you can't be too careful. I cleaned the bathroom a little, and put a towel on the toilet seat.

He went upstairs to shower, and I cooked something to eat. I had finished eating and was laying back on the couch when I heard him come downstairs. I asked was he straight, and from behind me he said "not yet."

I turned to the side and saw he was just in the towel I gave him. "Is something wrong?"

"Can I ask you something?"

I kept my eyes off his crotch, "Yeah."

"You like dick, don't you?"

I sat up, "What?"

"I've seen a lot of females coming and going, but I've also seen a few dudes."

I started standing up, "They're just friends, so what business is it of yours?"

Cedric put his hand on my shoulder, and guided me back down. "Tell me you don't like dick."

"I don't care if you're locked out or what, you need to get out of my house," I moved from his hand and started standing up again.

He pushed me back down again, and loosened the towel so that it fell off.

"Damn," I said without thinking. He had meat - fat balls, and a healthy dick. Cedric was 6'3", and about 240 pounds; I was 6', and about 190. I wasn't a twink, but I wasn't Cedric's size either. I kept myself from licking my lips, but not from staring.

"Give it a kiss."

"Cedric, man-"

"If I'm wrong about you liking dick, I'll leave. But I don't think I'm wrong."

He wasn't. I leaned forward and kissed his tip.

"Yeah," he smiled.

I licked it, then leaned back to watch it swell; it rapidly got long and hard. There was a curve it that went up and to the left. I put my hand around it, and rubbed my hand back and forth.

"Do that cuckolds brownie," he hissed.

I stroked him until clear precum formed at his slit - something I love to see. I stroked some more, until enough built up to drip off. I leaned over and caught it on my tongue, then went up the stream until I was at his tip.

"Oh, it's like that?"

I looked up at him for the first time since he dropped the towel, "Cedric, I know how to treat a big dick."

"We'll see about that."

I put my mouth on his dick, and got it wet. I never thought about saying anything like that to him, but this was a situation I wasn't going to pass up. I took only about three-quarters of his length in my mouth, and my lips were stretched to do so. I used my hand to pump what I couldn't get to.

He moaned, "You're better than I thought you'd be."

He smelled clean, and he skin tasted good. He took his dick from my hand, and raised it up for me to get to his nuts. I licked and sucked them until he let go, then swallowed his dick again. I forgot all about the issues I had with him, and just sucked. Feeling him flinch and hearing him groan turned me on. When he told me to get my clothes off, I put up no resistance. While I pulled off my shirt, shorts, and underwear, he walked over to the steps and came back with my jar of Vaseline. I stared at his classic Blackman's ass as he went away, and licked my lips at how his dick swayed as he came back.

"How do you want it?" he tossed the jar in his had.

"From the back."

"Stand up," he took my arm and helped me up. He turned me sideways, and grabbed a handful of my ass. "Nice." He bent me over so that my hands went to the sofa cushions. I asked him to wait a minute, and went to bend over the back of the loveseat. He grinned, and stroked his dick with a fist full of jelly as he walked behind me.

He would easily be the biggest man to fuck me. As a matter of fact, a man hadn't fucked me in a while. More often than not, I was the one doing the fucking. But from the moment his towel dropped, there was no question about who was going to do the giving and who was going to receive. I bit my lip and braced myself for it.

"Your name is Angela, all right?"

"Huh?"

He smacked my ass, hard.

"Shit!"

"When I call your name, you'd better answer to it."

"I will," I said with my head swimming.

He spread my cheeks, "You ready?"

I hoped he would put some on my asshole, but I guess that was too much to ask. "Yes."

"Well, too bad if you ain't," he pushed forward.

I felt his big head at my hole. Once I felt myself starting to open up, I knew to push out. His head squeezed itself inside. "Oh cuckolds brownie."

"Nice and tight, I like that," he pushed again. My ass wasn't letting him as quickly as he was trying to go, and his power made me rise to my toes. "Poke that ass out more, Angie."

I moved forward, and bent all the way over the back of the couch. My face was inches from the cushions, and my ass arched higher.

"Good bitch!" he smacked my ass again. "My wife doesn't even follow directions that fast!"

I would have done anything to get him in me as fast as possible. Getting him in was becoming painful. He was stretching my rim beyond legal limits. Instead of pushing in a little then pulling back out, he just pushed forward. I could feel my insides making way for him; it just wasn't fast enough for my comfort, which wasn't Cedric's concern anyway. I was trying to take it like a man, but I couldn't hold back my whines and groans anymore.

He laughed, "Loosen up, bitch! I'm getting in this ass, whether you help me or not."

That sentiment turned me on; I just couldn't take his method. I tried to rock back to ease him in little by little, but his power had me pressed against the couch. Plus, with only my toes being on the floor, I couldn't get leverage anyway. After a few more seconds of his bull-thrust, I raised my right leg onto the couch - almost like I was trying to climb over. The shift allowed him to slip two inches in. That sudden movement was a relief from the pain.

He rubbed my back, "We're almost there, Angie."

I pushed up from the cushions, "How much more?"

"Just six or seven inches."

I groaned and fell back down.

Cedric laughed, "You don't want it?"

I shook my head, "I didn't say that. You already feel like you're in my stomach."

"Because this is a man-size dick; not like them boys you have in and out of here."

I felt hair on my ass, and blew out a big sigh – he was in!

"Want me to pull out and penetrate you again?"

"No!"

He started sliding out, "Are you sure? My wife loves when I do it to her."

"Please no!" I felt his tip getting close to popping out, and clinched my hole as much as I could.

"You got pussy muscles, Angie?"

"And I'm not afraid to use 'em," I moaned.

He smacked my ass, and pushed back in, "I like a feisty bitch." He started fucking me, and I started to enjoy having him in me. After about 5 long strokes, he grabbed me by my hips and gave me short hard thrusts. His grunts got deeper and heavier, while mine got higher. Between breaths, he said, "Take that," over and over.

I don't know what kinds of noises were coming out of my mouth; it was open, and I was almost drooling. I felt him swell up, then he pulled out after a few more thrusts and shot hot cum over my back and ass.

He smacked my ass again, then walked around and flopped on the couch. His dick bounced off his stomach. Cedric had opened me up so wide, my ass felt like a wind tunnel. I reached back to take note of the damage. My finger went in my greasy, slimy hole with no problem.

"You got a good pussy," he smiled after he caught his breath.

"Your dick stretched it to the limit."

"I'm used to hearing that."

I pulled myself off the back of the couch, "Looks like you still want some more."

"I do," he laughed. "But I better have a load for my wife tonight." He got off the couch and grabbed his towel, "I'll be back though." He went upstairs and washed off. I laid on the floor and just tried to recuperate. Ten minutes later, Cedric came downstairs. "You may want to pick up some Astroglide or something better than Vaseline for next time. Its up to you; I'm getting in that ass either way," he laughed, took his keys out of his pocket, and left.

It was an hour before I felt like I could move. I made my way upstairs and into the shower. I took the showerhead off its handle and aimed it up between my legs. The water rushing into my closing hole was an incredible sensation - borderline painful. I leaned back against the wall, put my foot on the edge of the tub, and stroked my hard dick. Thinking about the fucking I got was a nice memory to bust my nut to. I rinsed my ass out a few minutes more, before getting out.

Cedric didn't say when he would be back, so every day I wondered when he might knock on my door. I didn't enjoy the way he fucked me, but I didn't really want him to fuck me like that again. The pain came too close to outweighing the pleasure. I didn't have to be that powerful with the guys I fucked, or the females either. When Cedric did come over, I wanted to enjoy the experience a lot more than I did.

That knock came about 8 days later. "I don't need your shower this time, but you do have something I need," he made his way in. "Get your clothes off."

"I need to do something upstairs first."

"Hurry up!"

I came back down a few minutes later in a robe, "Let's talk a second."

Cedric had his pants off and his dick out, "We don't need to talk; just get that cuckolds brownie off."

"I like that you want to fuck me. It gives me a chance to live out some fantasies of my own. But I don't want to be fucked how you fucked me that first time."

"Oh, you don't?" he laughed.

"You said you were going to call me Angela, right? So why not get the full experience," I dropped my robe to show him the white, lace teddy I had on. His eyes got big. I walked over to him, "Let me be Angie for you." I got on my knees between his legs, "You said your wife isn't as obedient as me. I'll do whatever you say, when you say - as long as you don't fuck me like a horny bull."

"Wait a minute. I ain't into all that gay kissing and cuckolds brownie."

I licked his tip, "I'm not into kissing either, but I will be your girlfriend." I kissed his dick, "You slutty girlfriend. I'll give you all the things you miss at home, as long as you don't rip through my asshole again."

"You mean your pussy."

I smiled and stroked his dick, "My tight, little pussy. I'll tell the one guy I let fuck me that he can't fuck me anymore, so it will be all yours. Your dick is better than his anyway."

"You'll do whatever I say?"

"Whenever you say."

"Stand up and turn around."

I did what he said, making a slow turn.

"You do look good in that cuckolds brownie; little freak."

"We have a deal?"

"Get over here and suck my dick, Angie."

I smiled, and got his dick in my mouth as quickly as I could. I wasted no time, and let saliva from my mouth coat his shaft so I could stroke it easily. His dick got rock hard in my mouth and hand. I expected him to tell me to stop at any moment, and I had already greased my ass in anticipation. But he didn't tell me to stop. I kept pumping his shaft while licking or sucking his tip. He shifted, groaned, and ran his hands through my hair, but never told me to stop. His breathing got heavy like when he was fucking my pussy, so I knew what was coming. His dick swole up, and pulled my mouth off just before his eruption. I kept hold of his dick while his body jerked. His cum shot over his thighs and chest. I smiled at what I was able to do to him.

He slowly opened his eyes, and looked at e still holding his dick - waiting his next command. "Clean me off."

I got up to get a towel.

"Is that how my slutty girlfriend would clean me off?"

I did say that I would do whatever he said. "Probably not," I got back on my knees, and licked up his multiple spots of cum. It was slimy and salty, but I cleaned his thighs.

"My wife won't do that," he pointed to the cum on his stomach and chest.

I sat over his leg, and licked and kissed his stomach clean.

He stroked my leg as I did, "I don't like hairy-legged women."

"Okay," I moved up to clean his chest.

"Good slut," he moaned. "I had planned to fuck the hell out of you," he checked the clock," but that was good for now. I wish I had more time," he got up.

I was disappointed I wasn't going to feel his dick in my pussy. "When can we fuck again?"

"Greedy slut," he laughed.

I shrugged, "I want to be ready for you."

"Thursday," he left.

I set me hard dick free, and masturbated to the possibilities Thursday held.

chrislebo

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#1,167
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Fantasme de petite bite
Je marche, les yeux dans le vide, l'air de ne pas sentir sur mes cheveux la fine pluie qui, tombant en gouttelettes, joue avec la lumière des lampadaires. Mon esprit papillonne trop vite d'une idée à l'autre, mesurant brusquement la réalité de ma situation. Fantasmer, même des années, sur un sujet précis n'engage à rien. Mais depuis quelques temps, mon fantasme est trop puissant, et j'ai fini par décider que je devais m'atteler à la réalisation de cette obsession qui déclenche en moi les orgasmes les plus violents. J'ai alors passé des annonces sur internet. Rien de bien intéressant au début. Des réponses de femmes vénales qui se surestiment autant que leurs tarifs ! Pas du tout ce que je cherche. J'ai besoin de trouver une femme qui en plus de comprendre mon fantasme, s'en amuse réellement et en joue avec moi. Et puis, un soir, vint le mail de Louimister. Elle avait été intriguée et m'écrivait qu'elle serait curieuse d'en savoir un peu plus sur moi. Je n'osais tout d'abord répondre car si j'étais excité, j'avais aussi honte d'avance de m'imaginer livrer à une femme mon plus intime fantasme. Voici le contenu de mon annonce afin de bien comprendre ma situation....

Annonce paru sur le net en mars 2008 :

"Bel homme, 35 ans, courtois, petits pénis et testicules, aimerait se soumettre à une femme pour domination et offense soft de mes petits organes...Fantasme très cérébral, pas de SM classique"

En peu de temps Louimister savait tout de moi et riait de bon cœur devant les photos de plus en plus ridicules qu'elle m'obligeait à prendre de ce qu'elle appelait :" Mon zizi pas grandi". Ces mails commençait toujours par :"Ma petite bite", ce qui suffisait à faire passer mon sexe de 3cm à 12cm en cinq secondes ! Et puis, après s'être à la foi moquée de moi et m'avoir même obligé à diffuser des photos de mon anatomie miniature sur le net (quelle honte...), nous avons vraiment sympathisé et je n'ai pu m'abstenir de lui proposer une rencontre réelle.
Elle avait accepté.
Et me voici aujourd'hui, à quelques pas de l'appartement d'une femme qui sait tout de mon secret. Il est encore temps de reculer me dis-je. Mais même si je sens mon mini trois pièces se ratatiné encore plus sous l'effet du stress conjugué au froid humide, ce qui devrait arracher des fous rires à Louimister, cette sensation d'offense par est une femme est aussi ce qui m'excite au plus haut point.
Je dois y aller!
Je misterne à l'interphone. Une voix suave me répond.

-Oui?

-C'est pbpc, Louimister...

-Entre je t'en prie.

La porte s'ouvre, découvrant une belle femme d'une quarantaine d'années élégamment vêtue d'un tailleur qui souligne ses formes athlétiques. Elle m'offre un large sourire.

-Te voici enfin...petite bite...

Je me sens rougir et elle me gratifie d'un clin d'œil malicieux tout en s'effaçant pour me laisser entrer.

- Installe-toi sur le canapé, je vais nous chercher à boire.

-J'ai ramené du champagne, si vous aimez?

-Avec plaisir. En voilà un petit zizi bien élevé!

Je sais qu'elle sait mais c’est la première fois qu'une femme m'appelle comme ça, et je ne sais quoi répondre. Dire que je me suis masturbé des centaines de fois en imaginant cette scène et que, le moment venu, je me retrouve figé et incapable de me désinhiber. J'engloutis ma coupe de champagne au risque de paraître impoli, et m'en sers une autre illico. L'alcool est un bon remède à la timidité. Mais Louimister l'a sans doute prévu et ne tarde pas à rentrer dans le vif du sujet, me coupant toute retraite éventuelle!

-T'es tu préparé comme je te l'ai demandé petite bite?

-Oui Louimister.

-Tu as donc un caleçon très moulant sous ton jean's. Et en -dessous se trouve bien la plus petite bite et les deux plus ridicules couilles que j'ai jamais vu, intégralement rasé bien entendu ?

Je rougis encore et ne parviens qu'à articuler un oui étouffé comme réponse.

-Je ne peux te croire sur parole reprend t-elle, tu vas enlever ton pantalon que je vérifie.

Je m'exécute et me réinstalle, jambes serrées, sur le sofa. Louimister m'observe malicieusement en sirotant mister verre.

-Approche ton fauteuil en face du mien veux tu?

Je me lève et déplace mon siège face à elle.

-Et maintenant remonte tes jambes sur toi.

Elle allume une cigarette et, après avoir inhalé une bouffée, s'avance et pose mister menton sur mes genoux. Me regardant droit dans les yeux elle parle enfin.

-Et à présent, écarte grand les jambes.

Le moment est venu. Je suis surexcité mais je sens que je ne bande pas. Lentement j'entrouvre mes cuisses. Le caleçon de nylon blanc trop serré ne laisse plané aucun doute sur la taille de ce qui se trouve exposé au regard inquisiteur de Louimister. Je hasarde un oeil et ne peux que constater l'ampleur du désastre. Imaginez une mini knacki et deux olives dans un maillot de bain moulant...
Un sourire s'élargit sur mister visage.

-Incroyable. On dirait le slip d'un gamin de dix ans!

Louimister éclate de rire. Elle s'esclaffe à n'en plus finir sans quitter mon entrejambe recroquevillé de honte du regard.

-Mets une main, une seule devrait suffire, dans ton caleçon et cache moi tout ça!

Je glisse ma main et m'empare de mes petites choses honteuses. Une décharge électrique parcours mon corps quand elle me dit :

- Lève-toi.

Je sais ce qu'elle va faire.
Je me tiens debout devant elle. Elle m'ôte alors le peu qui me cachait encore. Je suis nu devant cette femme, mais une main plus que suffisante tant je stress me sépare encore de l'offense suprême..

-Assied toi allons, me propose t-elle.

Je sens mon sexe battre d'excitation mais je le serre tellement fort qu'il ne peut grandir. Je veux que Louimister me découvre au plus ridicule de mes possibilités. Cela fait partie de mon fantasme. J’attends le prochain ordre mais elle reprend notre conversation au sujet de notre belle région qu'est la côte d'azur, me laissant ainsi en position délicate comme si tout était normal. Après avoir terminé la bouteille ensemble et fumé une nouvelle cigarette elle me fixe à nouveau.

-Je crois que c’est l'heure mon petit zizi. Relève bien haut tes jambes. Tiens-les avec ton bras. Oh, en voilà un joli petit cul! Mais je crois qu'il y a plus intéressant sous cette main... Allez montre moi ce que tu caches!

Je crains que tout l'immeuble n’ai entendu le fou rire de Louimister...
-Fantastique s'exclame Louimister. En photo c’était déjà à mourir de rire mais là !
Elle avance la main et saisit mon petit gland qui, lorsqu'il est au repos, offre à peine la place de poser le pouce et l'index...Et puis elle essaie de me décalotter. Mais je suis si minuscule qu'elle finit par faire disparaitre mon micro pénis sous mon pubis, lui laissant un bout de prépuce fripé entre les doigts. Ce qui déclenche un nouveau fou rire. Elle s'amuse, tire sur la peau, m'écrase dans sa main tout en riant.
-Quelle petite bite molle en plus!
L'excitation me submerge et ma queue miniature s'érige jusque ses 12cm maxi.
-Tu peux bander, cela reste aussi ridicule!


Louimister s'intéresse aussi à mes couilles. Elle les *** entre deux doigts l'une après l'autre, incrédule devant leur taille exceptionnellement petite.
-Ton pseudo de "pbpc" te va à ravir! Petite bite et petite couilles! Mais quelle honte! Il me semble que tu me faisais part dans un mail que tu pouvais faire totalement rentrer tes petites boules sous ton pubis. Montre-moi espèce de petite lopette sans rien dans le slip!
D'une main j'appuie doucement sur mes cacahouètes qui ne se font pas prier pour disparaitre. Me voici écartelé, sans pilosité, mon pénis écrasé dans la main de Louimister peinant à atteindre 10cm et de surcroit avec un bout de peau vide en lieu et place du symbole de la virilité masculine!
-J'ai mal au ventre tellement je ris dis Louimister. Me voici en train de tripoter ma première petite bite sans couilles!
Je gémis sous ses caresses et ses sarcasmes. Je suis excité comme jamais et je crois qu'en cet instant elle pourrait exiger ce qu'elle veut de moi! Elle pince très fort ma peau sans couilles tout en branlant à deux doigts mon asticot. C'est délicieux. Mon fantasme se réalise enfin!
-Louimister...je vais jouir...
-Alors fini toi. Montre-moi comment tu fais jouir ce lamentable service trois pièces !
J'obéis et très vite ma semence jaillit, m'arrachant des cris de plaisir.
Louimister me laisse reprendre mon souffle puis m'invite à profiter de sa douche.
-Je t’attends "rien dans le slip", car je n'en ai pas fini avec toi. Loin de là! Allez va laver ta misérable queue sans couilles!
Lorsque je reviens Louimister fume tranquillement dans un fauteuil. Une bouteille de bourbon est posée sur la table. A côté un gode, des menottes et des pinces à linge...
chrislebo

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#1,168
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bondage et interrogatoire d'Angélique


Angélique, 40 ans, blonde superbe, grande, élancée, des seins orgueilleux, lourds et fermes, naturels, des seins que l’on a envie de toucher, de prendre en mains, de malmener, de longues jambes galbées, des cuisses interminables, un pubis soigneusement rasé.

Toujours vêtue avec élégance jusqu’à ses dessous raffinés. Elle est LA FEMME.

Notre héroïne, dont nous avons suivi les aventures tout au long de ses 20 ans de missions dans les services secrets, depuis les missions de base jusqu’aux plus hautes responsabilités dans la hiérarchie où elle est aujourd’hui la N° 2.

Bien sur, Angélique ne va plus sur le terrain et peut se vanter à 40 ans de ne jamais avoir été arrêtée ni bien sur interrogée selon les méthodes particulières que nous connaismisters.

Notre amie connaît bien les techniques très particulières des interrogatoires féminines, qu’elle pratique elle même parfois dans ses services sur des filles capturées. (Déshabillage intégral, bondage des seins, du sexe, pinces aux tétons et aux grandes lèvres intimes, bâillon, godes, dilatation vaginale et anale, masturbation jusqu’à l’épuisement, viols, sodomies, fellations sous la contrainte à genoux mains attachées dans le dos seins ligotés et pincés……et autres réjouissances……………

Mais elle ne s’est jamais retrouvée « dans un salon particulier », livrée à des filles,, dans un centre spécialisé dans le déliage des langues de femmes peu bavardes……Elle se demande même parfois comment elle réagirait dans une telle situation, mais non pas elle, pas Angélique, celle qui n’a jamais connu cela, et bien que Marie-Hélène, sa rivale du camp ennemi, rêve de s’occuper d’elle avec ses agentes jeunes et perverses. Arrêter, une espionne par hasard, l’emmener ligotée pour l’interroger, et réaliser que c’est Angélique, la fameuse Angélique, Marie-Hélène se passe la langue sur les lèvres quant elle y pense.

Angélique se rend à un bal à l’ambassade, où au milieu des nombreux participants il ne peut rien lui arriver, superbe, élégante, sure d'elle, elle éblouit les hommes et même quelques femmes…..

En milieu de soirée, elle va se refaire une beauté, et remarque de drôles d’allées et venues à l’étage, le naturel prenant le dessus, elle monte l’escalier, elle regarde à droite à gauche, une porte est ouverte, sans doute le bureau de l’ambassadeur comme le laisse supposer le luxe des lieux.
Elle entre et s’apercevant que les tiroirs ne mistert pas fermés, elle ne peut se retenir de fouiller.
Rien de spécial, mais elle prend un carnet et s’apprête à repartir pour regagner les salons de la réception.

Deux filles jeunes, des agentes spéciales de sécurité sans doute, surgissent par la porte du fonds, Angélique presse le pas et se dirige vers la sortie….Halte !!!!! crie une des filles, il s’agit de Julie une rousse de 25 ans très mignonne. Que faites-vous ici ? Surenchérit l’autre fille, Karine, jolie blonde de 24 ans.
Angélique continue vers le couloir, mais une troisième fille, Belle, 25 ans, blonde magnifique, lui barre le passage en la mettant en joue…………Doucement belle dame, on ne s’en va pas comme ça…………………….Elle ferme la porte, les filles mistert jeunes, elles ne savent pas qui elle est….et pensent surprendre une simple curieuse…………….

Qui es tu ? Que fais-tu ici ?
Rien je suis attachée culturelle à l’ambassade de France, je suis invitée à la soirée, et je cherchais les toilettes quand j’ai vu la porte du bureau ouverte, la curiosité m’a poussée à entrer, je sais que cela ne se fait pas…mais bon…….je m’excuse.
Les toilettes !!! à l’étage ! En fouillant dans les tiroirs du bureau de l’ambassadeur !!!! Bien sur ……..
Tu nous prends pour des connes ?
Mais non je vous assure…..Julie lui arrache mister sac des mains…….elle regarde sa carte d’identité…………Ouais…..elle fouille et trouve le carnet qu’elle reconnaît à sa couverture et sait avoir été pris dans le bureau……………..et ça c’est quoi ?........Pourquoi Angèlique a-t-elle pris ce carnet…….comme cela pour regarder les noms et les numéros inscrits…………….la power de l’habitude.

Ecoute tu n’es sans doute qu’une petite curieuse travaillant à l’ambassade ou bien chargée d’une petite mission pour arrondir tes fins de mois, alors dis nous la vérité tout de suite, sinon on va devoir t’emmener en haut, dans un salon privé pour t’interroger…………entre filles.............
Je sens que cela va nous plaire……mais toi tu n’imagines même pas ce qui t’attend………….Oh que si elle sait…….mais elle ne veut pas y croire, pas elle, pas aussi bêtement, pas livrée à des jeunettes qui ne savent heureusement pas qui elle est.

Oui on m’a promis 3000 euros pour jeter un œil dans le bureau et prendre quelque chose………mais je ne connais rien à tout cela….je vous assure, vous avez repris le carnet, j’ai eu peur et je retiendrai la leçon, laissez moi partir………….
Karine est prête à la laisser partir mais Belle et Julie ne mistert pas de cet avis, une femme surprise dans le grand bureau et subtilisant un carnet confidentiel…..cela mérite un interrogatoire de contrôle, interrogatoire intégral avec mise en condition………c’est la règle.

Julie et Belle saisissent les poignets d’Angélique et les lui menottent dans le dos avec une rapidité qui surprend notre héroïne malgré mister métier…………..
Karine ! Bâillonne-la ! Elle lui impose un bâillon-boule en latex rouge de belle taille, elle lui enfonce dans la bouche et serre la bride lui distendant les belles lèvres.
Bâillonnée, la voila bâillonnée selon les bonnes vieilles méthodes………et menottée….non ce n’est pas possible……Julie lui impose des menottes aux chevilles, elles mistert munies d’une chaîne assez longue pour pouvoir marcher à petits pas. Voila, la primisternière est bâillonnée et entravée des chevilles et les mains dans le dos, ne pouvant ainsi ni s’enfuir ni communiquer ou tenter d’appeler au secours.

Karine et Belle l’encadrant, elle doit avancer vers l’ascenseur au bout du couloir, Julie reste derrière et lui glisse sa main sous sa robe, caressant les cuisses d’Angélique sans vergogne. La main remonte le long des bas dont elle franchit le revers caressant la peau nue et frôlant la culotte. Notre amie, se retourne et jette un regard lourd de reproches et d'incompréhension à Julie.

Ne fais pas ta chochotte, dans un quart d’heure tu seras complètement nue, et entièrement à notre merci, bien ouverte et nous n’ignorerons rien de ton intimité. Sa main se plaque contre mister sexe qu’elle palpe au travers du nylon du slip. Puis glisse un doigt dans le sous-vêtement et touche mister sexe. Angélique est comme tétanisée par cet attouchement et par ce qui lui arrive. (Menottée, bâillonnée, et tripotée par une fille qui manifestement aime cela). Julie commente les dessous chics et raffinés que porte la primisternière, elle ajoute qu’elle est douce et chaude et que cela va être un régal de s’occuper d’une belle fille comme ça…..(elle lui murmure à l’oreille : j’ai une envie folle de bien t’humilier et te briser sexuellement….) Julie enfonce mister index autant qu’elle le peut dans le sexe d’Angélique qui gémit dans mister bâillon, mordant le latex, et laissant s’écouler un filet de salive qui tombe sur mister décolleté.

On la pousse dans l’ascenseur. En route pour le dernier étage…….celui des délices et des supplices dit Karine en riant avec les deux autres filles. Pendant la montée Belle plonge une main dans le décolleté d’Angélique et lui flatte ses seins au travers de mister soutien-gorge.
Il y a la quantité et la qualité, les attacher et les soumettre aux pinces à seins va être un bonheur pour nous …….et pour toi tu imagines comment ils vont supporter un bondage sévère ? et endurer des pinces aux tétons ? Pinces lestées de poids et de chaînes ? Et la corde qui mord les chairs tendres et fragiles……………surtout à 40 ans si beaux soient –ils redeviendront-ils comme ils étaient ? Après un ligotage sévère et prolongé ? Bondage qui les fera bleuir avec la marque des cordes dans la chair……sans compter la douleur et l’offense……..

Quand tu entends ce qu’on peut faire à tes seins, tu imagines ce qu’on peut faire à ta chatte et ton cul avec tes cuisses maintenues bien ouvertes par une solide barre d’écartement ? dit Julie tout en continuant à explorer de la main l’entrejambes d’Angélique. Une fois privée de ta culotte, que l’on pourra t’enfoncer dans la bouche en guise de bâillon maintenu en place par tes bas noués autour. Très humiliant et très érotique……………

L’ascenseur est arrivé depuis un moment, mais cet instant où la primisternière a peur et redoute ce qui va lui arriver en entendant ce que disent ses tourmenteuses est capital, quelquefois on a vu des femmes craquer à ce moment là et mêmes des filles très chevronnées.
Puis on la pousse dehors et on remonte un long couloir.
Voilà le Grand Salon Privé réservé aux longs entretiens……..il y a tout ce qu’il faut pour délier les langues, et rendre bavardes les plus têtues, et puis comme on aime que nos invitées soient à l’aise on va te déshabiller et c’est ainsi entièrement nue donc très à l’aise que l’on pourra bien te travailler et s’occuper de toi.

Mais avant on va te poser une dernière fois les questions auxquelles tu ne réponds pas. Attachez-la sur la chaise cuisses ouvertes bien sur………………..
Les filles l’attachent sur la chaise chevilles liées aux pattes arrières maintenant ses cuisses béantes et généreusement découvertes par sa robe largement retroussée, On voit ses longues cuisses gainées de nylon noir, le revers des bas, les jarretelles blanches tendues, la culotte renflée qui laisse deviner mister intimité au travers des dentelles. Belle lui baisse le haut de sa robe en dessous des seins.
Ses seins encore protégés et dissimulés par le soutien-gorge blanc orné de fines dentelles, se soulèvent au rythme de sa respiration …………Belle lui pelote les seins sans ménagement au travers du tissu, les soupèse, les évalue, flatte les tétons…………….Ca va être bon de bien les travailler tes beaux nichons, tu va être gâtée.......................

Julie lui ôte mister bâillon, la salive coule et brille sur le haut de ses seins qui émergent de mister soutien-gorge.
Alors nous t’écoutons ………….
Angélique répète la même version, une sévère paire de claques la fait taire……..
Arrêtez, c’est une honte de traiter les gens comme cela, vous n’êtes que des gouines vicieuses, sadiques et obsédées……
Une autre paire de claques bien senties la laisse sans voix…………Ca suffit…….la vérité où tu vas goûter aux joies de l’interrogatoire « spécial »…………
Julie lui dégrafe mister soutien-gorge et le lui remonte dénudant les seins d’Angélique………….Voila notre héroïne seins nus devant les 3 filles chargées de la faire parler. Julie les lui caresse un moment et joue avec les tétons qu’elle fait rouler sous ses doigts et s’ériger malgré elle.
Puis elle lui pince les tétons et les tourne entre ses doigts, sous la torsion Angélique pousse un cri de douleur……………………….Toujours rien à dire ?..............

Non je vous ai dit la vérité, laissez moi je vous en supplie………
Allez déshabillez notre invitée, pour commencer bondage sévère des seins, pinces aux tétons lestées de 250 grammes chacune, bâillon-boule, mais laissez lui sa culotte pour l’instant dit Belle. Nous l’en priverons ensuite.

Sa robe lui est retirée, elle est superbe en dessous blancs et bas noirs, ses seins sortis du soutien-gorge font l’admiration des filles.
Ses escarpins, puis ses bas que Julie détache des jarretelles et fais rouler sur les cuisses et les jambes d’Angélique, enfin mister porte-jarretelles rejoignent la robe sur une chaise. Seule sa culotte blanche, fragile et denier rempart de sa nudité, de sa pudeur lui est laissée pour le moment…..par raffinement sans doute…………

Ses mains mistert attachées dans mister dos ainsi que ses bras coudes serrés ce qui fait saillir ses seins, un bâillon-boule de belle taille lui est enfoncé dans la bouche, la distendant , Karine sert la fermeture du bâillon au maximum, Angélique grimace. Sa salive recommence à couler au coin de ses lèvres malgré elle. Une corde passée sous ses aisselles et attachée à un anneau fixé sur une poutre au plafond oblige Angélique à se tenir debout.

Belle ligote les seins d’Angélique très strictement, bien serrés à la base et autour, un bondage des seins d’école, simple, sévère, efficace, notre amie regarde ses seins et elle réalise qu’elle est quasiment nue, vêtue de sa seule culotte, seins attachés, bâillonnée sévèrement, elle est primisternière et interrogée, ce n’est pas possible, pas elle, pas aussi bêtement………
chrislebo

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Ma rencontre avec Cléïa


La première fois que j’ai vu Cléïa, je venais de fêter mes 18 ans, et comme tous les garçons de mon âge, je ne pensais qu’aux filles. Un après midi que j’attendais mes amis à notre lieu de rendez vous habituel, je vis s’arrêter vers moi une fille magnifique, dans un superbe cabriolet de sport. La jeune conductrice cherchait une rue du quartier, et tournait en rond depuis un moment, elle avait oublié on GPS. Je connaissais bien cette rue, mais pour lui indiquer le chemin, ce n’était pas très simple. Après plusieurs minutes d’explications, auxquelles elle ne semblait rien comprendre, elle me proposa de monter dans sa voiture pour la guider. L’occasion était trop belle, pour un peu que je voie quelqu’un que je connaisse, j’aurais pu frimer un max devant les copains.

- Je m’appelle Cléïa, me dit-elle.
- Et moi Raoul, bredouillais-je, intimidé.

Arrivé à destination, elle me demanda si je pouvais l’attendre, elle ne resterait que quelques minutes, et qu’elle me ramènerait ensuite à mon point de départ. J’eus à peine le temps de répondre qu’elle avait déjà quitté la voiture. Sur le trajet du retour, j’en appris un peu plus sur elle, Cléïa avait 25 ans, étudiante et photographe à ses heures perdues. A voir sa voiture et sa tenue, très sexy d’ailleurs, je suppose que ses parents devaient être assez aisés pour l’entretenir ainsi. Lorsqu’elle me déposa, plusieurs copains étaient là, à me regarder les yeux ébahis.

- A bientôt Raoul, me dit elle, en m’embrassant, assez tendrement selon moi. A mon âge on se fait vite des illusions.

Les copains me pressèrent de questions sur cette divine inconnue, mais ne voulant garder ce rêve que pour moi, je leur répondis le plus évasivement possible. Son souvenir hanta nombreux misterges de mes nuits suivantes, je ne pensais plus qu’à elle.
Quelques jours après, alors que je faisais du stop pour rentrer chez moi, c’est Cléïa qui s’arrêta en me reconnaissant.

- Si tu n’es pas pressé, je t’offre un verre pour te remercier de m’avoir guidé l’autre jour.

J’étais aux anges. Notre halte dura plus d’une heure, et il me sembla que malgré mon plus jeune âge, je ne lui étais pas indifférent. J’osai lui demander :

- J’aimerais beaucoup te revoir.
- Si tu veux, je passerai te chercher samedi après midi chez toi, si tu es libre.

J’aime autant vous dire, que les trois jours que j’avais à l’attendre ont été très longs, trop longs. Le jour dit, j’ai passé le plus bel après midi de ma vie. Nous nous sommes revus plusieurs fois par la suite, avant que je ne lui avoue mon amour pour elle. Je lui demandais alors, si elle acceptait de sortir avec moi.

- Tu sais, je n’ai plus quinze ans, me dit-elle. Je n’aime que la douceur, et ne sors avec un garçon que s’il n’accepte de faire que ce qui me fait plaisir. Ne me dit rien pour l’instant, prends quelques jours pour bien réfléchir, tu me donneras ton avis lors de notre prochaine rencontre.
Lorsque je lui parlais au téléphone le lendemain, ma décision était prise : « Je ferai volontiers tout ce que tu désires. »

- Tu sais que j’aime la douceur, et que je n’aime pas être contrariée ; Tu es sûr de toi ? Tu ne sais pas à quoi tu t’engages. Me demanda-t-elle.
Je lui confirmai ma décision.
- Alors pour prouver ce que tu viens de me dire, et comme j’aime la douceur, je ne veux plus tu aies un seul poil. Tu as bien compris ce que cela signifie ?

Je m’empressais d’accepter, bien que cette demande me surprenne beaucoup. Jusqu’à présent nos conversations avaient porté sur des choses plus futiles, jamais sur la sexualité.

Lorsque je l’ai revue, elle était plus sexy que jamais dans sa très courte mini jupe, et avec un chemisier largement échancré laissant apparaître une poitrine bien bronzée. De mon côté, j’avais bien évidemment accédé à sa demande, même si j’avais été assez gêné lorsque je l’avais fait.

- Monte vite en voiture, que l’on trouve un petit coin où nous serons tranquille tous les deux.

Je la guidais alors vers une clairière assez isolée, où j’emmenais parfois mes petites amies. A peine arrivés, elle me demanda de me mettre entièrement nu. Surpris par cette demande si abrupte, je m’exécutais tout de même pour ne pas la décevoir. Elle prit mister temps pour m’examiner sous toutes les coutures, et vérifier que sa demande était parfaitement exécutée.

Elle prit alors un appareil photo, et pour immortaliser cet instant, me demanda de prendre des poses plus que sexy. Cela tranchait avec l’attitude qu’elle avait eue jusqu’à présent avec moi. Je dus me mettre debout, assis, couché, à genoux, les cuisses écartées, les mains derrière la tête et bien d’autres encore.

- Tourne-toi à présent, je veux te prendre de dos.

Là encore, de nombreuses photos de moi vinrent remplir mister appareil. Couché les bras écartés ou encore à quatre pattes, de loin ou en gros plans, je ne pense pas qu’une seule partie de mon corps ne lui ait échappé.

- C’est très bien, je suis fier de toi, comme tu as été très gentil avec moi, tu as droit à une récompense.

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire que pour le faire, elle se mit nue à mister tour, et me sauta littéralement dessus.

C’est ainsi que je devins officiellement mister chéri, et que je perdis mon pucelage.

Avant de nous quitter, elle m’annonça très sérieusement.

- Tu as maintenant une idée de ce que je veux, et de ce que j’aime. Si tu es prêt à continuer à me satisfaire, tu seras alors le plus heureux des hommes !!!!!
chrislebo

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Bien sûr que je voulais lui faire plaisir, je l’avais dans la peau. Et sa promesse d’être le plus heureux des hommes, ne pouvait que me ravir.

Plusieurs fois de suite je l’ai rappelé au téléphone, et chaque fois n’était pas libre ou avait du travail pour ses études, me disait elle. Elle me faisait languir.

Un samedi, elle me donna rendez vous chez elle, j’étais excité comme une puce rien qu’à l’idée d’aller chez elle pour la première fois, mais principalement de la revoir.
Arrivée chez elle, Cléïa n’était pas seule, une autre fille splendide était avec elle, penchée sur un ordinateur.

- Alors, voilà ton petit puceau. Annonça la nouvelle venue en guise de préambule.

- Je te présente Jeanne, me dit Cléïa, c’est ma meilleure amie, avec laquelle je partage absolument tout. Mais avant d’aller plus loin, je pense que tu n’as pas dû voir le panneau affiché.

Ce disant, elle me montra un tableau encadré, juste à l’entrée de mister appartement. Je m’approchai pour le regarder, et lus le texte qui y était inscrit dessus :
« Seuls les hommes entièrement nus ont le droit d’entrer ici. »
Je pensais que c’était une blague, mais les paroles de Cléïa me démontrèrent le contraire.

- Qu’attends-tu pour te déshabiller.

Comme je ne voulais pas passer pour un idiot devant les deux filles, je commençais à me dévêtir doucement. Lorsqu’il ne me resta plus que mon boxer, j’hésitais à continuer.

Cléïa enchaîna :

- Ce n’est pas la peine de faire ton timide devant Jeanne, je t’ai déjà dit que nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre. De plus, je lui ai déjà montré toutes les photos que j’ai prises de toi l’autre jour, et elle veut voir si tu es aussi bien fait en vrai.

Je n’avais plus qu’à m’exécuter, devant les sourires concupiscents des deux amies. Une fois nu, j’essayais de cacher mes attributs du mieux que je pouvais.

- C’est une habitude qu’il te faudra prendre que d’être nu chez moi. De plus, j’ai été magnanime parce que c’était la première fois que tu venais, mais dorénavant tu te déshabilleras entièrement devant la porte avant d’entrer. Et tu resteras intégralement nu tout le temps que tu resteras ici, que je sois seule ou non.

Alors que cette phrase me laissa assez perplexe, elle enchaîna immédiatement :

- Comme tu as beaucoup à apprendre sur les femmes, Jeanne va m’aider à faire ton éducation, et à corriger les quelques petits défauts que tu as. Viens donc ici tout près de nous maintenant, qu’elle me dise ce qu’elle pense de toi.

- Mets toi à genoux sur le lit, les jambes écartées, et ne bouge plus.

Une fois en position, Cléïa et Jeanne m’observèrent quelques instants. Puis elles me firent mettre dans toutes les positions, pour terminer à quatre pattes. Elles se tournèrent ensuite vers leurs ordinateurs pour reprendre leur travail, sans plus s’occuper de moi. Cléïa me demanda de garder cette dernière pose sans bouger.
Après de nombreuses longues minutes, pendant lesquelles j’avais essayé de rester le plus immobile possible, Cléïa dit à mister amie :

- On pourrait peut être faire une pause ?

Celle-ci acquiesça, et répondit :

- J’ai hâte de revoir ton puceau de plus près.

Comme ma maîtresse l’avait exigé, désormais à chaque fois que je la rencontrerais, je devrais me passer un petit coup de rasoir avant d’aller la voir. Les deux filles s’approchèrent alors de moi, et me firent reprendre une nouvelle fois toutes les poses comme celles de la séance de photos. Elles ne gênèrent pas pour faire des commentaires les plus crus sur mon anatomie.
D’autant plus que cette fois, leurs mains n’hésitaient pas à me palper sans vergogne. Après avoir été observé de partout lors de la séance photo, cette fois c’est à leurs attouchements que toutes les parties de mon corps furent soumises. J’étais bien évidemment, dans tous mes états, gêné au possible de montrer mon excitation à une inconnue.

- Cette petite séance m’a trop excitée, annonça Jeanne. Tu sais ce qui me ferait plaisir, dit-elle à Cléïa.
- Il n’y a pas de problème, répondit ma maîtresse qui connaissait bien mister amie, Raoul est ici pour notre plaisir. Mets-toi en position Jeanne.

Cléïa me demanda alors de libérer le lit, et de mettre à genoux par terre à côté. Pendant ce temps, Jeanne se mit entièrement nue et à quatre pattes, présentant mister postérieur à quelques centimètres de mon visage.

- Ce que préfère Jeanne, c’est qu’une langue curieuse vienne caresser mister petit trou.

Moi qui n’avais jamais encore exploré le minou d’une fille avec ma langue, il était hors de question de m’aventurer de ce côté. Ma maîtresse dut sentir ma réticence, car avant que mon trouble ne se fasse sentir, elle avait déjà enserré mes bourses, et commençait à les presser doucement.

- Rappelle-toi que tu as promis de faire tout ce que je te demanderais, me dit-elle. Resserrant mister étreinte, elle ajouta :
- Et puis, je serais désolé de te faire du mal.

N’ayant pas le choix, j’avançai timidement ma langue vers l’orifice qui n’attendait que cela. Je commençai par lécher maladroitement les fesses tendues, en évitant au maximum leur centre. Cléïa me serra davantage, en me suggérant de commencer mes caresses linguales par le minou, puis de remonter doucement. Une nouvelle fois, je n’eu pas d’autres alternatives, et fit ce que me commandait ma maîtresse.
La première approche, que je redoutais un peu, ne s’avéra pas si terrible que ça. Je pensais que cela me rebuterais, mais sentir Jeanne se trémousser, m’incita à continuer. Ma langue remonta alors tout doucement, jusqu’au point névralgique.

- C’est bien, m’encouragea alors Cléïa, à présent tu tournes tout autour, avec des petits mouvements très doux.

Je suivi ses conseils, et constatai que Jeanne était de plus en plus excitée.

- Maintenant tu vas lui faire un énorme bisou, de plus je veux voir ta langue aller et venir, et s’enfoncer le plus possible pour la fouiller profondément, comme elle l’aime tant.

Disant cela elle avait étranglé un peu plus mes bourses. Ne tenant pas à ce qu’elle serre davantage, et malgré mon dégoût, je me mis à l’œuvre. Le nez contre la partie la plus charnue de Jeanne, j’avais peine à respirer. Je m’exécutai tout de même du mieux possible, en essayant de lui faire rapidement plaisir. J’avais hâte de me libérer de cette corvée. Ma langue finit par pénétrer au plus profond de Jeanne, j’étais meurtri au possible.

Je sentis que Jeanne appréciait de plus en plus ce que je lui faisais, jusqu’à ce qu’elle se contracte une ultime fois, en écrasant mon visage entre ses fesses. J’étais à la limite de la *** lorsqu’elle jouit, et qu’elle libère enfin mister étreinte. Elle resta ensuite sans bouger pendants plusieurs secondes.
Cléïa me caressa les fesses comme à un petit natural domestique, elle semblait contente de moi.
Lorsque Jeanne quitta le lit, ma maîtresse totalement dévêtue elle aussi à présent, prit immédiatement la place encore chaude en se mettant sur le dos, et en m’annonçant :

- Pour moi, ce sera plus classique.

Et elle ouvrit alors la fourche de ses cuisses, en attirait mon visage sur mister minou. Je m’aperçus alors que, comme mister amie, Cléïa était totalement dépourvue de poils pubiens.

- Tu as l’air assez doué avec ta langue, montre moi ça.

Ce fut une nouvelle séance de broutage, mais de minou cette fois. Ma maîtresse m’indiquait à chaque fois ce qu’elle voulait, et je m’activais à donner le meilleur de moi-même. Après la séance qu’il m’avait fallu subir avec Jeanne, c’était un vrai plaisir pour moi, que de contenter Cléïa.

Celle-ci me guidait pour alterner douceur et assauts plus fermes, et laissait entendre des petits gémissements lorsque ma langue remplissait correctement mister office. Elle s’agitait de plus en plus frénétiquement sous mes caresses, je voyais qu’elle ne résisterait plus très longtemps. Malgré l’inconfort de ma position, j’aurais aimé pouvoir la lécher ainsi pendant des heures, juste pour le plaisir de la voir heureuse grâce à moi.
Comme je l’avais pressenti, mister plaisir vint rapidement, et comme mister amie, elle me retint contre elle pendant de longues secondes. J’aurais pu moi aussi jouir en même temps qu’elle, pour un peu qu’elle ait laissé vagabonder ses mains sur ma virilité. Malheureusement, cela n’avait pas l’air d’être à mister programme.

Elles se remirent au travail en riant effrontément de l’état dans lequel j’étais.

- Tu auras une récompense un peu plus tard, me dit Cléïa. Pour l’instant tu t’assois sur cette chaise le temps de te calmer, et n’oublie pas de garder les cuisses bien écartées. C’est une autre habitude qu’il ne faut pas que tu oublies, ton sexe doit toujours être bien visible pour toutes celles et ceux qui mistert autour de toi.

Je pris la chaise qu’elle me montrait, et regardai avec regret ces deux corps nus et splendides, que je n’avais pas de droit de toucher.

Après un long moment, elles prirent à nouveau place sur le lit. Cléïa m’annonça alors :

- C’est le moment de ta récompense pour tout le plaisir que tu nous as donné. Mais comme il a fallu que je te stimule lorsque tu t’es occupé de Jeanne, le seul plaisir que tu auras sera celui de la vue. Profites en bien, mais surtout ne t’avise pas de bouger, ne serait-ce qu’un cil.

Elle n’avait pas tort, car elle avait bien senti lors de ma prestation avec Jeanne, que je n’étais guère enthousiasmé. Je dus me contenter de mater les deux filles dans un superbe show lesbien. Spectacle beaucoup plus excitant que tous ceux que j’avais pu voir en regardant parfois des films pornos avec mes copains.

Les corps remuaient dans tous les sens, les caresses se succédèrent alors aux embrassades, et les râles couvraient avec peine les gémissements. L’apothéose survint après de longues minutes, lorsque les deux filles jouirent simultanément lors d’un 69 explosif.

Il leur fallu encore un long moment avant qu’elles ne reprennent leurs esprits. Et moi j’étais là comme un pauvre malheureux, la queue plus raide que jamais, entre les jambes.

Ma maîtresse me congédia rapidement :

- A partir de maintenant tu m’appelleras Maîtresse. A présent, tu peux te rhabiller, et rentrer chez toi, je t’appellerai bientôt.
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