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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#9,541
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Quand il se retirait de la chatte de ma femme, j'ordonnais à celle-ci de prendre ce sexe encore bandant dans sa bouche et de bien le nettoyer. Je m'apercevais que mon patron n'était pas un habitué de ce genre de traitement.
« Votre femme m'étonne grandement, si seulement la mienne pouvait faire des choses comme celles-ci ! »
Nous sommes repassés à table, mais j'exigeais que ma femme retire sa robe et reste en soutien-gorge et porte jarretelles pour nous servir. Elle nous servait et restait à côté de nous pendant qu'enfin nous mangions un peu. De la voir debout, à moitié nue *** sexe bien exhibée qui laissait couler quelques gouttes de sperme m'excitait énormément.
Au moment du dessert, je proposais fruits ou gâteaux. Mais avant d'entendre la réponse, je proposais la spécialité de la mai*** : banana queen.
Mon patron me demandait ce qu'était ce banana queen. J'expliquais alors :
« Ma femme va nous porter des bananes, de la crème chantilly. Ensuite elle s'allongera sur la table sans *** soutien-gorge. La crème chantilly sera versée sur ses seins. Nous éplucherons nos bananes. Et avant de les déguster, on les glisse dans sa chatte, puis on les roule dans la chantilly entre ses seins. »
Mon patron ne se tenait plus et désirait vraiment des banana queen. La chose se mettait en place. Je voyais ma femme allongée sur la table, un coussin sous les fesses et les jambes bien écartées pour mettre en évidence *** sexe, une grosse boule de chantilly entre les seins. Mon patron prenait la première banane, l'épluchait sans quitter du regard la chatte de ma femme. Il introduisait alors doucement la banane dans *** sexe, et je le voyais faire tourner la banane, puis il la sortait et la promenais sur les seins de ma femme pour la recouvrir de chantilly. Il portait enfin le fruit à sa bouche et croquait voracement. Avec le bout qu'il restait, il recommençait. Il introduisait *** morceau de banane plein de chantilly dans la chatte et à ma grande surprise, c'est avec sa bouche qu'il allait retirer ce morceau. Ma femme gémissait de plaisir et moi je bandais très fort. N'y tenant plus je me déshabillais et demandais à mon patron de faire la même chose. En un instant, nous étions nus et on s'afférait sur ma femme, qui lui suçait les seins plein de chantilly, qui lui enfonçait une banane dans la chatte. Mon patron bandait lui aussi fortement.
« Je vais lui proposer un petit dessert à votre épouse ! », annonçait mon patron. Et je le voyais grimper sur la table, pour placer *** sexe entre les seins de ma femme et le recouvrir de crème. Il pressait les seins de ma femme pour se masturber entre eux. Sa bite allait et venait de plus en plus vite. Avant qu'il ne jouisse, je lui proposais à l'oreille un petit challenge.
Il était intéressé. Il s'allongeait à côté de ma femme.
« Ma chérie, tu vas venir poser ta chatte sur la queue de mon patron, et je veux que cela lui fasse grand plaisir ».
Je voyais ma femme s'accroupir au dessus du sexe tendu, les jambes bien écartées, la chatte grande ouverte dégoulinante de crème et de sperme. La chatte absorba le sexe en entier.
« Maintenant penche-toi bien en avant et ne bouge plus ».
Je prenais de la crème et en tartinais *** petit trou du cul. J'approchais ma queue et doucement je pressais contre *** anus. Il ne résistait pas bien longtemps et d'un coup je l'enculais profondément. Je commençais à bouger et je sentais le sexe de mon patron dans le vagin de ma femme. C'était comme si je le masturbais avec ma queue. Ma femme n'arrêtait pas de gémir de plaisir.
« Je sens votre queue qui frotte la mienne » annonçait mon patron. Cela me fit bander encore plus et j'activais mes mouvements. Mon patron lui aussi donnait de vigoureux coups de bite dans la chatte de ma femme. Je voyais les mains de mon patron caresser ses seins. Ses tétons étaient durs et érigés. Ma femme lui donnait un sein à sucer. Je finissais par jouir au fond de *** cul, mon patron continuait à la limer de plus en plus fortement. Je sentais ces coups de bite puissants au travers du vagin de ma femme. Elle, elle jouissait depuis un bon moment.
Finalement, dans un râle mon patron jouissait aussi.
Au bout d'un bon moment de repos, mon patron me regardait et de me demandait :
« Comment votre femme peut-elle accepter cela, la mienne est très prude et nos ébats ***t tristes et bien rares. Elle aime que je lui parle crument mais ne veux jamais passer à l'acte »
« Laissez réfléchir et peut-être, aurais je une solution »
Ma femme était encore allongée sur la table, le visage défait par toutes ces jouissances. Mon patron la regardait, puis il commençait à la caresser doucement. On voyait qu'il prenait du plaisir à caresser ce jeune corps féminin. Il s'attardait sur les seins, sur le sexe mais le tout avec une grande douceur. Ma femme avait l'air d'apprécier ces gestes d'après baise.
J'en étais un peu jaloux, je dois l'avouer !!!
Plus tard, après un bon café, mon patron nous invitait pour un diner intime chez lui.
chrislebo

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#9,542
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La surprise du chef

Mon patron avait tenu sa promesse pour une invitation à un diner intime. Il souhaitait provoquer une réaction de sa femme. Il aurait souhaité la voir se libérer et donner libre cours à tous ses phantasmes.
Pour cela je m'étais procuré un punch planteur martiniquais d'une grand douceur mais redoutable par ses effets euphorisants. Tout le monde connaît bien ses effets. J'avais l'intention de servir notre hôtesse plus de rai***. Mais je me gardais bien d'en avertir mon patron.
Pour cette soirée, je tenais à ce que ma femme soit nue sous sa robe. Je savais que mon patron serait ravi de cette initiative. Je demandais à ma femme d'être très attentive à notre hôtesse.
Nous arrivions vers les 8 heures du soir. J'étais agréablement surpris par notre hôtesse. C'était une belle femme mature d'environ 40 ans, bien en forme avec une superbe poitrine bien mise en valeur dans un chemisier blanc légèrement transparent. Elle portait une jupe plissée très classique juste au dessus du genou.
Nous prenions notre apéritif, et je constatais avec plaisir que mon patron s'était assis face à ma femme. Ma femme en profitait pour jouer avec ses jambes, les croisant, décroisant, légèrement écartées. Le regard de mon patron avait du mal à quitter l'entrejambe de ma femme. Quant à moi je discutais avec notre hôtesse des banalités quotidiennes tout en veillant à ce que *** verre soit toujours rempli.
Profitant de l'actualité, je lançais la conversation sur le droit à la fessée pour les enfants. Chacun donnait *** avis et le débat commençait à bien prendre, l'alcool aidant. Lentement j'orientais le débat vers la fessée en générale et surtout comme source de plaisir.
Notre hôtesse déclarait alors qu'elle n'avait jamais été fessée. Mon épouse lui déclarait alors tout de go :
« Quel dommage, pour moi c'est une source de grand plaisir de sentir des mains d'homme frapper mes fesses. La limite entre la douleur et le plaisir est bien mince. »
Mon patron en profitait pour remplir nos verres et je voyais bien que notre hôtesse avait bien du mal à rester cohérente.
Ma femme jouait avec le feu en racontant sa dernière fessée avec ***** détails. Je voyais mon patron devenir cramoisi, certainement la peur d'être annoncé comme spectateur !
Nous passions à table et effectivement le repas serait intime, la table était minuscule. Nous étions vraiment très proches l'un de l'autre. Mon patron assis à coté de ma femme et en face j'étais contre mon hôtesse. Celle-ci annonçait qu'elle ne comprenait pas pourquoi *** époux avait insisté pour diner sur cette table où nous serions serrés comme des sardines en boîte. Dés le début du repas je remarquai que la main gauche de mon patron passait souvent sous la table. Je faisais tomber ma serviette et je voyais les jambes de ma femme écartées et une main qui lui caressait le sexe. Je tentais alors de faire du genou à ma voisine. Au premier contact, je sentais sa jambe fuir. Au deuxième, sa jambe restait contre la mienne. Certainement l'effet de du punch qui commençait . Le repas se déroulait bien et le champagne excellent ne cessait de remplir nos verres. Je glissais ma main sur la jambe de ma voisine, je sentais un raidissement soudain des muscles sous le tissu du bas, mais je continuais ma caresse très douce. Mon patron relançait alors le débat de la fessée. Il expliquait que certain acte méritait vraiment une correction et que c'était le seul moyen de punir le ou la coupable d'un acte délictueux. Ma main progressait vers le haut et je remarquais avec plaisir qu'elle ne portait pas de collant, car je venais de sentir sa peau sous mes doigts. Je la regardais et je voyais bien qu'elle commençait à rosir. J'atteignais sa culotte et j'essayais de glisser un doigt vers sa chatte. Elle avait alors un fort mouvement de recul et renversait *** verre.
« Ma chère, que vous arrive-t-il ? » demandait alors mon patron.
« Rien, rien un sursaut stupide et peut-être trop d'alcool » répondait notre hôtesse.
« Je vais vous expliquer » lançais-je. Mon hôtesse posait sa main sur mon bras certainement pour m'avertir qu'elle ne voulait pas que je donne la vraie rai***.
« Votre femme se laissait caresser la jambe et quand je voulais toucher *** sexe elle a eu ce recul ******** annonçais-je crument.
A ces mots mon patron se levait et visiblement jouait très bien la comédie du mari bafoué. Après avoir sorti quelques propos peu amènes sur les femmes, il déclarait qu'une punition immédiate était nécessaire.
Ma femme se levait et prenait les mains de notre hôtesse dans ses mains et criait, presque hystérique « une fessée une fessée... » Elle attirait notre hôtesse vers le centre de la table. Notre hôtesse était au bord des larmes et n'arrêtait pas de me rejeter la faute de ce sursaut.
Mon patron se levait, passait derrière sa femme, l'obligeait à se lever et à se pencher sur la table. La tête de notre hôtesse était alors à quelques centimètres du visage de ma femme.
Mon patron soulevait sa jupe et la tenait levée.
« Mon ami, vous me m'était dans une position honteuse ! » Elle commençait à pleurer. Ma femme, doucement lui embrassait le visage avec une grande douceur en lui répétant que ce n'était pas grand-chose, une petite fessée.
Mon patron déclarait alors : « A vous de jouer mon petit, je vous dois bien cela »
Je contemplais ce fessier avec ses deux fesses bien rondes cachées par une très jolie culotte en soie. Doucement je faisais glisser la culotte vers le bas.
chrislebo

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#9,543
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« Mon dieu, quelle honte, vous laissez un homme me déshabiller, quel mari êtes vous donc », murmurait notre hôtesse.
A la première claque sur ses fesses nous avions entendu un sanglot. Ma femme prenait alors l'initiative de l'embrasser doucement sur les lèvres. Sans aucune réaction, notre hôtesse continuait à sangloter. Les baisers de ma femme, sur les yeux, les joues, les lèvres se faisaient plus insistant. A la deuxième de mes claques, nous avions la surprise de voir notre hôtesse répondre aux baisers de ma femme. Elle, aussi, se mettait à l'embrasser doucement sur les joues, sur les yeux, puis doucement sur les lèvres.
Quel beau tableau que ces deux femmes, qui se tenaient les mains, courbées au dessus d'une table. L'une avec une jupe relevée sur le dos et une culotte à mi-jambe et l'autre cambrée avec ses jambes bien écartées. Je cessais de donner la fessée et laisser les femmes s'embrasser. Les baisers devenaient de vrais patins. Ma femme faisait le tour de la table, sans lâcher les mains de notre hôtesse. Elles se retrouvaient debout, leurs lèvres soudées. Visiblement elles nous avaient oubliés. Ma femme lâchait une main et se mettait à caresser le dos de notre hôtesse en descendant doucement vers ses fesses. Bientôt elle posait sa main sur une fesse et la massais lentement. Notre hôtesse faisait de même sur la poitrine de ma femme. Elle caressait un sein presque tendrement. Ma femme, alors se séparait de notre hôtesse et enlevait sa robe. Elle apparaissait nue sur ses hauts talons. Ensuite elle entreprenait de déshabiller notre hôtesse.
Mon patron était statique et muet devant ce show.
Doucement ma femme déboutonnait le chemisier en laissant de petits baisers sur la gorge de notre hôtesse. Elle découvrait un soutien gorge avec ouverture sur le devant. Quant la fermeture lâchait, deux beaux seins apparaissaient. Ma femme doucement prenait un téton dans sa bouche et le suçait goulument. A notre surprise, notre hôtesse glissait sa main vers le sexe de ma femme. Pour lui faciliter le travail, elle écartait bien ses jambes et bientôt on devinait bien que quelques doigts s'étaient glissés dans sa chatte. Je sentais bien que mon patron voulait intervenir, mais je l'en empêchais.
Nous nous asseyions pour regarder ce spectacle. Ma femme entrainait notre hôtesse vers un canapé. Elle finissait de déshabiller sa partenaire. Notre hôtesse poussait ma femme sur le canapé et se mettait à l'embrasser sur tout le corps. Bientôt on voyait sa bouche collée au sexe de ma femme. Elle lui glissait ensuite deux doigts dans la chatte pendant que sa langue léchait le clitoris bien dressé de ma femme.
« Je ne connaissais pas ces talents à ma femme, cela doit être un souvenir du pensionnat de bonnes sœurs » déclarait mon patron. Et visiblement ces talents le faisaient bander. Je voyais bien qu'il avait du mal à se contenir. Je lui demandais alors de se déshabiller et d'aller aider sa femme à s'occuper de la mienne. Je voyais alors mon patron caresser presque amoureusement les seins de ma femme. C'était presque ridicule de le voir nu et bien bedonnant avec ces 2 femmes. Ma femme lui caressait le sexe et de temps à autre lui pressait les couilles.
Au bout d'un moment elle l'attirait dans sa bouche. Notre hôtesse continuait à s'occuper de sa chatte.
Je ne pouvais plus rester spectateur. Le cul de notre mature m'attirait trop. Je me déshabillais et m'approchais derrière notre hôtesse. Elle était accroupie sur le canapé, les fesses vers le haut. Je lui caressais *** fessier et doucement je m'approchais de *** sexe. Oh qu'il était mouillé. Une vraie fontaine, dans laquelle je n'avais aucun mal à glisser trois doigts. Elle accueillait cette gâterie visiblement avec plaisir. Mais je la laissais pour rejoindre ma femme.
D'autorité je lui mettais mon sexe dans la bouche et invitais mon patron à me rejoindre. Quel plaisir de voir ma femme suçer alternativement un sexe puis l'autre. Ses tentatives de nous prendre à deux restaient vaines. Très vite nous avions joui sur *** visage. Elle était couverte de sperme bien épais. Je passais ma main sur ce foutre, et je la tendais à notre hôtesse. Elle ouvrait bien grande sa bouche et je lui enfournais 3 doigts chargés de sperme. Elle me suçait les doigts avec un intérêt réel. Ce spectacle faisait rebander mon patron.
« Chéri, mets-toi à 4 pattes et offres ton cul à mon patron » ordonnais-je.
Elle obéissait et telle une petite chienne remuait *** cul devant le sexe de mon patron.
Visiblement, il choisissait de l'enculer lentement.
A ce moment notre hôtesse criait « Moi aussi je veux une queue, une queue dans ma chatte... »
Je lui montrais mon sexe en piteux état pour une pénétration. Alors elle prenait la bouteille de champagne qui trainait sur la table et me disait « Cela doit pouvoir me satisfaire ».
Je lui enfonçais alors doucement la bouteille dans la chatte. Elle était là à 4 pattes avec une bouteille dans le sexe et ne ménageait pas ces encouragements pour que je la fasse jouir.
Devant ce spectacle, nous entendions un grand han annonçant la jouissance de mon patron.
Il se retirait de ma femme rapidement, du sperme coulait encore de *** sexe. Je demandais à ma femme de nous montrer *** cul. Alors elle se tournait et nous présentait *** cul, les fesses bien ouvertes. On voyait *** anus dilaté d'où suintait une belle quantité de sperme. Je poussais la tête de notre hôtesse vers ce beau cul. Notre hôtesse après un instant d'hésitation se mettait à lécher la raie de ma femme. On voyait sa langue nettoyer chaque petite goutte que laissait échapper l'anus. Elle glissait même sa langue dans l'anus de ma femme. Ma femme appréciait fortement ce petit lavement. On voyait ses doigts caressaient *** clitoris vigoureusement. A ce spectacle mon sexe bandait fortement et je retirais *********** la bouteille et je pénétrais fortement notre hôtesse. Mon patron lui aussi avait repris des ****** et je le voyais glisser *** sexe dans la bouche de ma femme. Nous formions une bien belle chenille. A mon grand étonnement je voyais notre hôtesse prendre la bouteille de champagne et la diriger vers le cul de ma femme. J'arrêtais mon va et vient pour mieux observer. Elle avait longuement léché le petit trou de ma femme, il était donc lubrifié par sa salive et le sperme de *** mari. Le goulot pénétra très vite, les premiers centimètres aussi. Mais après je voyais bien qu'elle poussait fort pour faire entrer la bouteille. Je voyais l'anus de ma femme se dilatait. Elle abandonnait sa succion pour exprimer *** désaccord. Je voyais alors mon patron se saisir des épaules de ma femme pour l'empêcher de bouger. Sa femme retirait un peu la bouteille puis la repoussait un peu plus loin. Je voyais que le corps de la bouteille n'était plus très loin de pénétrer ma femme. Ses cris oscillaient entre la douleur et le plaisir. Mon patron encourageait sa femme en lui criant qu'elle l'excitait et c'est vrai que *** sexe avait l'air très tendu. La vision de ma femme le cul écartelé par une bouteille n'était pas pour me déplaire. Notre hôtesse continuait ses lents va et vient, poussant toujours un peu plus loin sa bouteille. Ma femme haletait et je voyais sa chatte humide coulait, elle prenait *** pied, la garce !!! Je redoublais d'effort pour bourrer la femme du patron, et à grand coups de queue je tapais mes couilles contre ses fesses.
chrislebo

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#9,544
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« Oui, elle est bonne cette queue, plus longue que celle de mon mari, elle me fait du bien, ahhh c'est bon, je vais jouir, vous entendez mon cher, je vais jouir d'un autre homme » voila ce qu'elle hurlait presque.
Je lâchais tout mon sperme au fond de sa chatte, elle poussait de petits cris et *** mari se masturbait comme un fou en nous regardant. Ma femme aussi poussait *** cul vers la bouteille et hurlait à *** tour sa jouissance. Mon patron explosait de foutre, il nous arrosait de jets puissants. Il fallait quelques instants pour que cette tension retombe. Ma femme était allongée, une bouteille de champagne dans le cul, notre hôtesse était littéralement anéantie, *** cul lui aussi en l'air, les hommes avaient le sexe en berne.
« J'ai le cul en feu » ne cessait de murmurer ma femme. Je m'approchais alors d'elle et lui demandais « Cette punition était-elle bonne ? »
« Oui mon amour, oh oui » répondait-elle. Par pure malice j'appuyais encore un peu sur la bouteille, juste pour bien voir *** anus dilaté à l'extrême. Je pensais qu'il en avait fallu pas mal de grosses bites dans *** cul pour accepter un tel engin...
La soirée se terminait sur ces entre-fesses...
Le lendemain, la journée au boulot était surtout utilisée pour récupérer de la veille. Mon patron était passé me féliciter pour cet excellent repas. Mais ma surprise arrivait plus tard. Sur le coup de 16 heures j'ai reçu un appel de la femme de mon patron. J'avais un sentiment d'angoisse car je me souvenais de *** état d'ébriété...
« Mon cher, hier soir fut une révélation ! Je n'avais point connu autant de plaisirs depuis mes années d'internat au lycée de jeunes filles. Alors au risque de vous surprendre j'aimerai vous revoir. J'ai téléphoné avant à votre femme, et elle m'a raconté dans quelle situation vous vous amusiez à la placer. Je sais que je suis une femme mature, mais j'ai grande envie de combler quelques lacunes. M'accepteriez-vous comme deuxième esclave ? »
chrislebo

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#9,545
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Les 2 chiennes

Suite au coup de téléphone de Clara, la femme de mon patron, je décidais de le rencontrer. Il était étonné des propos tenus par sa femme. Il réfléchissait un court instant et me demandait d'attendre le lendemain pour reprendre contact avec sa femme. Le lendemain sur mon bureau, à mon arrivée, reposait un paquet avec une enveloppe scellée. Dans ce paquet une caméra numérique avec un disque dur permettant 4 heures d'enregistrement en haute définition, dans le pli juste quelques mots et non signé :
« Je veux tout voir, tout savoir, tout entendre, je compte sur vous ! »
Je demandais une autorisation d'absence pour le lendemain après midi et donnais rendez-vous à Clara chez moi.
Le soir en rentrant chez moi je suis passé chez le fournisseur pour « pouliches ». Après une brève conversation sur les avantages et inconvénients de la cravache, j'achetais 2 colliers pour esclaves ainsi que deux longues laisses, deux bustiers en cuir avec lacets dans le dos. Ces bustiers mettaient en valeur les seins sans les cacher, de véritables petits balconnets de plaisir.
Deux jupettes en cuir, fendue sur le côté complétaient ces achats. J'avais l'intention de les mettre sur une note de frais bien spéciale pour mon patron !!! Surtout la location de la voiture !
Je présentais la journée du lendemain à ma femme et elle n'était pas sans s'inquiéter de ce qui l'attendait. Je profitais lâchement de la situation. Plusieurs fois, elle venait, câline, en murmurant :
« Tu vas loin, trop loin ! Je ne pourrai pas faire cela ! Pas comme ça ! »
Alors je sortais ma cravache et après quelques coups bien assénés sur ses fesses et même un sur ses seins, elle m'annonçait sa totale obéissance pour le lendemain. Jamais je n'avais douté de sa soumission. Restait le problème de Clara ? Irait-elle jusqu'au bout ? A voir.
Le jour J, Clara ***nait chez nous vers 14 heures. Ma femme l'accueillait, elles échangeaient les bises habituelles, et pourtant je voyais bien que les lèvres de Clara frôlaient celles de mon épouse. J'intervenais en leur disant de rentrer et de se mettre nue.
Clara me regardait avec un air de refus bien prononcé. Je ne lui laissais pas le temps de réagir et je hurlais « A poil ! ». Voyant ma femme se déshabiller, Clara commençait sa mise à nu.
Finalement, j'avais devant moi deux femmes nues. Clara, dans un réflexe pudique cachait ses seins et *** pubis avec ses mains. Un coup cravache sur celles-ci, laissaient apparaître ses seins lourds et *** pubis bien trop poilu à mon goût. Je questionnais ma femme sur sa capacité à rendre cette toi*** plus excitante rapidement. Elle me répondait qu'elle pouvait la raser et laisser un peu de poil juste au dessus de la chatte. Je lui donnais mon accord. J'assistais à un rasage de Clara, debout, les jambes écartées, ma femme s'activant autour des lèvres du sexe.
A la fin, content du spectacle j'osais glisser un doigt dans la fente de Clara, et sans surprise je la trouvais mouillée. Elle me regardait en disant :
« Comment, vais-je expliquer cela à mon mari ? »
Cette femme m'étonnait, elle se laissait traiter comme une chienne, et elle se préoccupait de l'opinion de *** mari sur sa toi*** pubienne !!!
Commençait alors l'habillage de ces deux garces. Je serrais fortement les corsets sur leurs seins. Ceux de ma femme, de tailles respectables avaient l'air de vouloir exploser hors du corset, ceux de Clara avaient pris la forme de respectables petits melons. Toutes les deux avaient les tétons au dessus du corset. Je leur demandais de passer de très petits strings noirs. Dans leur tenue de cuir, elles étaient diablement excitantes. J'adorais la fente des jupettes qui remontait très haut sur la cuisse. Cette habillage les avaient excitées et j'avais devant moi deux collégiennes pubères. Je leur présentais alors les colliers en cuir, je passais le premier à ma femme. Le résultat était splendide, une vraie chienne, à surtout bien tenir en laisse. Ma femme tenait à placer le collier de Clara. Je la voyais s'activer sur *** collier, et je voyais aussi la main de Clara cherchait l'entre jambe de ma femme. Je les laissais badiner quelques instants. Puis j'annonçais notre départ en voiture.
La capote de la voiture était fermée, elles ne risquaient pas d'être trop vite remarquées par le voisinage. Je demandais à ma femme de passer à l'arrière droit et à Clara à l'avant droit. Luc était à notre rendez-vous. Clara, intimidée par la présence d'un jeune homme, me questionnait du regard. Je le présentais comme le reporter du jour, la mémoire des instants à venir. Je rappelais à mes deux chiennes que les ordres de Luc étaient des ordres, qu'elles ne s'amusent point à l'oublier !!!
Nous prenions la direction d'une nationale où transitaient énormément de poids lourds. On m'avait raconté, au bureau, que certaines aires de parking ressemblaient à des baisodromes en plein jour. Arrivés sur la nationale, je baissais la capote pour profiter du beau soleil. Et surtout pour essayer de faire profiter les autres usagers de mes passagères. Je demandai alors à Clara de glisser ses fesses vers l'avant et de bien écarter ses jambes. Je lui disais qu'elle pouvait placer ses pieds sur le tableau de bord.
« On va tout voir ! » s'écriait-elle.
« C'est tout à fait ce que je veux » répondais-je.
Le spectacle était charmant, une femme en mini jupe noir, string noir, les jambes bien écartées laissait voir ses jambes quasi intégralement, *** sexe masqué par ce bout de tissu, les seins bien à l'air et offerts à tout passant. Je demandais à ma femme de faire de même.
Je doublais lentement un premier camion. Sans effet.
Pour le second, je décidais au préalable de klaxonner violement. Puis j'avançais la voiture à la hauteur de la cabine du camion. Je voyais le chauffeur se préparait à m'agonir d'injures.
A la vue du spectacle de ces deux femmes, jambes en l'air, il restait la bouche ouverte, les yeux rivés sur les attributs de mes passagères. A la fin il me faisait un petit signe du pouce, sur ce, je me laisser dépasser par le camion et me glissais derrière lui.
« Les filles, je veux que vous excitiez ce chauffeur. Faites ce que vous voulez, mais je veux qu'il bande à péter *** pantalon. Je veux qu'il nous fasse stopper à la prochaine aire de parking ».
Profitant du peu de circulation, je me portais à nouveau au niveau de la cabine et attendais.
Je jetais un clin œil à l'arrière et je voyais ma femme tenir ses seins, les caresser, sortir un bout de langue coquin pour se lécher les babines (de vrais chiennes vous disais-je), d'écarter ses jambes, avancer *** bassin pour bien montrer *** string. Luc ne perdait aucun détail de ces mises en bouches érotiques.
Clara démarrait plus timidement. Elle, aussi, se caressait les seins, mais sans grande conviction. Je la sermonnais alors en lui promettant une fessée mémorable si elle n'elle n'y mettait pas plus du sien dans cette partie. Serait-ce le mot fessée, mais en tout cas je voyais Clara osait un peu plus. Elle promenait *** doigt sur sa chatte, au dessus du string. Elle montait et descendait le long de sa fente. Elle glissait un doigt dans le string, le ressortait puis lentement le portait à ses lèvres pour le lécher avec passion. Le chauffeur suivait tout cela avec avidité. La circulation m'obligeait à repasser derrière le poids lourd. Je félicitais les filles et leur demandais d'oser encore plus ! A nouveau à la hauteur de la cabine, je voyais alors Clara, littéralement écartelée, tendre *** string pour que le fin tissu sépare ses lèvres. On voyait alors deux lèvres de chair rose séparées par une bande de tissu noir. Clara se saisissait alors de ses lèvres et tirer sur celle-ci pour les écarter au maximum. Luc, quasiment debout dans la voiture, filmait ces plans avec grand professionnalisme...hum grand voyeurisme...
Ma femme, elle avait décidé d'ôter *** string, et présentait *** sexe glabre avec un doigt qui caressait *** clitoris. Elle avait porté *** string à sa bouche et elle jouait avec ce bout de tissu. *** jeu était assez excitant, mais je préférais celui de Clara. Je lui annonçais que je punirais *** manque d'imagination érotique !
Sur ces entrejambes, notre chauffeur me faisait comprendre par signe qu'il allait stopper à la prochaine aire et que je devais le suivre.
Je suivais le camion sur la voie d'accès au parking, notre camion se dirigeait vers une zone voisine de bosquets d'arbres. Je me garais, et visiblement notre chauffeur attendait que nous soyons les premiers dans l'arène. Au jugé, je dirigeais ma troupe vers une petite clairière visible depuis le parking. Je tenais me deux chiennes en laisse, et je voyais avec surprise et plaisir deux hommes descendre de notre camion. Un de petite taille, le chauffeur et un grand costaud à l'air bestial. J'expliquais alors la règle du jeu que je venais d'inventer.
« Voila, nos cobayes ***t deux, la première qui fait jouir *** partenaire en le suçant à gagner. Donc l'autre sera fouettée jusqu'à la jouissance du deuxième »
chrislebo

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#9,546
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Mes chiennes n'avaient plus l'air aussi joyeuses !!!
Les deux hommes arrivaient rapidement dans leur combinai*** de travail. Ils avaient un air surpris en voyant ces deux femmes tenues en laisse. Je leur expliquais que je sortais mes chiennes et qu'elles étaient à leur disposition, s'ils acceptaient la présence de la caméra.
Le grand s'approchait de ma femme, je voyais ses grandes mains s'avançait vers sa poitrine. Il lui malaxait les seins sans douceur et je remarquais une petite lueur d'angoisse dans les yeux de ma femme. D'une main il sortait *** sexe en érection, un assez bel engin bien veiné et déjà, il obligeait ma femme à le sucer.
L'autre homme était aux mains de Clara, et c'est le terme exact. Il se tenait debout bien cambré et Clara avait déboutonné sa combinai*** pour sortir *** sexe. Celui-ci était flasque. Clara me regardait, implorait presque mon aide du regard. Elle prenait le bout du sexe dans sa bouche, jouait avec sa langue sur le gland mais visiblement rien ne marchait.
A côté, les choses allaient bon train, ma femme avalait le membre qui entrait dans sa bouche, à chaque sortie elle glissait un coup de langue sur cette belle queue. A un moment, elle prenait le gland et se caressait les tétons avec. Visiblement, notre homme ne pouvait plus se retenir et il éjaculait une énorme quantité de foutre sur le visage et la poitrine de ma femme.
Je me tournais vers Clara, malgré tous se efforts, le sexe restait mou. Je prenais ma cravache et appliquais un coup sec sur ses fesses. Je continuais la punition, à chaque coup de cravache on avait l'impression de voir le sexe gonfler légèrement.
Je demandais alors aux chiennes de quitter jupette et string, de ne rester qu'en corset.
A cette vue, le grand reprenait des ******, sa queue se mettait à se tendre à l'horizontale. Quant à Clara, *** affaire progressait. Mes coups de cravaches ***naient sur de la chair et cela excitait *** partenaire. *** sexe grossissait dans la bouche de Clara et on voyait celle-ci mettre toute *** énergie à le pomper.
Le grand s'était approchait de ma femme, je voyais sa grosse main jouait avec sa chatte, glissait un doigt dedans, le ressortir, lui fourrait dans sa bouche en lui disant
« Tu mouilles salope ! » Tous ces gestes étaient brutaux, ma femme n'avait que des regards affolés. Visiblement c'était la première fois qu'elle se faisait tripoter par un vrai inconnu et pas par un partenaire choisi. Je prenais un grand plaisir à la voir ainsi manipulée.
« Et ton petit trou ? Comment est-il ? ». Je voyais alors l'homme retourner ma femme, s'accroupir, écarter les fesses et lui glisser un doigt dans le cul. L'homme ressortait *** doigt, le léchait abondamment puis se cracher dans la main pour aller humidifier le trou du cul de ma femme. Elle ne bronchait pas, mais ses fesses ne reculaient pas sous les assauts des doigts.
A ce moment, l'homme plaçait un préservatif sur sa queue avec adresse, attrapait ma femme sous les genoux en se tenant derrière elle, la soulevait en écartant les jambes de ma femme, et dirigeait ses fesses vers *** sexe tendu. Quelle ***** il avait ! Doucement il faisait descendre le cul de ma femme sur sa queue.
On l'entendait murmurer :
« Ma bite est à l'entrée de ton cul ...tu sens mon gland qui te *****...ca y est il est entré...alors ça te plait salope... »
On ne voyait plus la bite de l'homme, il avait les fesses de ma femme collées à lui.
« Tu sens mes couilles au porte de ton cul, hein ma salope ». Il se mettait à soulever et laisser redescendre ma femme avec un rythme de plus en plus rapide.
Je me plaçais devant ma femme et effectivement le spectacle valait le coup d'œil !!!
Je voyais sa chatte grande ouverte, ruisselante de cyprine et *** cul pénétré par cette belle queue.
Bientôt ma femme se mettait à encourager *** enculeur :
« Vas y...oh c'est bon... elle est grosse dans mon ventre... plus fort... ahhhh tes couilles je les sens... j'ai le cul en feu... trop bon...ahh... je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis... » Elle poussait des cris à affoler un troupeau d'éléphants. Je vous avoue ma jalousie à la voir ainsi jouir par le cul et je l'enviais presque...
Luc ne perdait pas un instant de cette scène, il filmait tout, tout en s'astiquant la queue comme un malade...
En fait depuis un petit moment, quelques voyeurs s'étaient approcher de notre clairière et ils ne perdaient pas une miette du spectacle.
L'homme continuait *** va et vient. La jouissance de ma femme durait encore.
Subjugué par ce spectacle, je n'avais pas vu un homme s'approcherderrière Clara, qui continuait à pomper *** chauffeur. Elle se tenait accroupie, l'homme s'était allongé, les fesses de Clara au dessus de lui. Il regardait la chatte de Clara tout en se masturbant.
« Elle est belle ta chatte... j'aime les chattes des femmes mures... j'aimerai que tu me pisses dessus... oh oui une grande giclée de pisse dans ma bouche... » Murmurait-il pour Clara.
chrislebo

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« J'aimerai coller mes lèvres à ton sexe... te sentir pousser pour uriner... couler ton urine dans ma bouche... chaude comme toi »
Je voyais les fesses de Clara bouger, visiblement elle appréciait les paroles de l'autre inconnu et cela devait l'exciter. Je décidais d'intervenir. Je lui demandais de se laisser aller et de pisser sur cet homme. *** regard était très expressif mais je ne comprenais pas le sens de *** expression. Je remuais la cravache et soudain je voyais un liquide dorée arroser l'homme. Celui-ci essayait d'avaler le maximum d'urine qu'il pouvait et on le voyait jouir à grandes giclées de spermes. Le chauffeur, sur ce, excité par ce, certainement, premier spectacle, éclatait en râlant dans la bouche de Clara. Elle continuait à le pomper soigneusement, jusqu'au retrait volontaire de notre chauffeur.
L'homme arrosé approchait sa bouche de la chatte de Clara et se mettait à la lécher consciencieusement. Visiblement il aimait la pisse et Clara avait décidé de jouer le jeu. Elle réussissait à faire jaillir quelques gouttes d'or. Deux autres voyeurs s'enhardissaient et s'approchaient d'elle la bite à la main. Je pensais la voir hésiter mais non !
Elle se redressait, allait vers eux et prenait un sexe dans chaque main. Elle regardait froidement ces hommes tout en les branlant. Je m'approchais d'elle et je continuais mon jeu de dressage :
« Tu dois faire jouir ces hommes en même temps sinon... la CRAVACHE ! »
Je la regardais masturber ces 2 queues avec application, le regard porté sur les visages des hommes. Je remarquais qu'elle aimait la position accroupie, les jambes accroupies. Moi aussi, car elle nous présentait sa chatte bien ouverte et *** beau cul bien charnu. Je bandais depuis un bon moment et j'avais bien envie de le baiser *** cul. Je jetais un regard à ma femme, j'étais rassuré (hum...), *** costaud continuait à lui pilonner le cul et *** ami le chauffeur avec une ardeur retrouvé tentait de glisser sa queue dans la chatte de ma femme. Je remerciais mentalement ces chauffeurs qui utilisaient des préservatifs. Délaissant ce spectacle je me tournais vers Clara, la relever, soulever sa jupe et présenter ma queue sur *** anus. Je l'avais déjà baisé mais pas enculé. Je mouillais un doigt et le glissais dans *** cul. Tout de suite après je poussai mon gland contre *** anus, je l'entendais protester, qu'elle n'aimait pas cela. Je n'écoutais rien et forçait *** cul avec une forte poussée. Je me retrouvais à moitié dans *** boyau chaud. Je lui demandais de continuer à masturber les 2 hommes et j'invitais Luc à se faire sucer car décidément, ce pauvre jeune homme manquait d'initiative. Quel spectacle, la femme de mon patron enculée, suçant un jeune et branlant deux inconnus. Je commençais à reculer ma queue et quand je sentais que mon gland allait sortir, je le repoussais doucement en avant. Je poussais jusqu'à coller mes couilles à ses fesses. Je restais un instant comme cela puis je me lançais dans une série de va et vient rapide.
Clara criait un instant avant que Luc ne lui replaçait sa bite dans la bouche, avide visiblement de jouir au fond de cette femme mature. L'amateur d'urine venait compléter le tableau en nous léchant, moi mes couilles et Clara sa chatte et *** cul. Je ne résistais pas longtemps à ce régime et je jouissais fort au fond de ses entrailles, suivi de peu par Luc et les deux hommes qui arrosaient le corps de Clara de belles quantités de sperme.
Apres quelques instants utilisés à récupérer je regardais ma femme. Elle était enculée et baisée par nos deux chauffeurs et un troisième larron lui caressait les seins tout en se faisant branler. Elle n'était donc pas en train de s'ennuyer. Luc, quant à lui faisait des effets de caméra, il filmait sa queue qui sortait de la bouche de Clara, lui demandait de garder la bouche ouverte pour bien cadrer le foutre au fond de la gorge de Clara, puis il filmait toutes ces taches de sperme sur le corps de Clara.......
Plus tard, dans la voiture sur le chemin du retour, les femmes avouaient avoir bien joui. Clara déclarait avoir fait jouir 4 hommes en même temps. Ma femme, médusée, la regardait.
Je déclarais alors :
« Ma chérie, tu as trois trous et deux mains, la prochaine fois tu devras faire jouir 5 hommes !!! »
« Et quant à vous Clara, nous vous ramenons chez vous ! »
Clara à ces mots, protestait vivement qu'elle devait se laver, se changer avant de rentrer. Je lui annonçais que *** mari l'attendait pour s'occuper d'elle et qu'il allait en plus avoir un film de ses activités en plein air. Clara se mettait alors à pleurer. Le dressage commençait pour elle...
Plus tard dans la soirée je recevais un premier texto de mon patron :
« Je l'ai baisée sans la laver, film excellent, bon boulot » et un peu plus tard :
« Un week-end dans notre mai*** de campagne vous intéresse-t-il ?
Vous voulez la suite ? Alors à dans une ou deux semaines
Dom Star
chrislebo

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Anaël et la grosse queue noire



Oula, je n'aurais peut être pas du faire ce concours de shots avec Marie il y a quelques minutes, la tequila ne m'a jamais fait de cadeaux! Elle m'a mise au défi de boire un mètre de shots (12 verres) plus rapidement qu'elle, citron et sel compris, la perdante paierait la tournée... j'ai gagné! Mais à quel prix!

Pour situer la soirée, mon amie Marie m'a convaincu d'aller boire quelques verres après notre service au restaurant où nous bos***s histoire de décompresser et, qui sait, faire de jolies rencontres. Généralement je ne suis pas super enjouée par ce genre de soirée, un peu timide dans les lieux publics, un peu complexée face au regard des hommes, je joue la petite souris qui préfère rester dans *** trou. Pourtant je ne suis pas repoussante, enfin je ne pense pas. Seulement voilà j'ai quelques kilos en trop et une peur panique qu'on me repousse... Mais certains soirs, je me laisse entrainer, je mets en valeur ma poitrine plutôt généreuse, mes lèvres pulpeuses, mes yeux émeraude et j'oublie que je ne rentre pas dans une taille 38 autour de quelques bières.

Je sens que ca monte, les murs autour de moi commencent à tanguer légèrement, les visages deviennent flous... Tout va bien. Autour de la table poisseuse, dans ce pub à tendance Reggae, l'euphorie a gagné tous les visages. Ça crie, ça rit, ca s'enlace, ca se chuchote au creux de l'oreille, ça s'émoustille, ça s'embrasse. Je laisse la sensation de bien être m'envahir, je suis bien.
Voilà que quelqu'un me tire de mon siège direction la petite piste de danse où Marie se trouve déjà en compagnie d'un jeune homme que je n'avais pas remarqué jusqu'à maintenant. Je flotte... ahhh l'alcool, je perds trop vite le contrôle lorsque j'en *****, mais c'est tellement agréable! Je regarde le visage de mon partenaire, je ne le connais pas non plus. Il me sourit et m'entraine dans un zouk endiablé. Je le suis, charmée par *** assurance. Il doit avoir une trentaine d'année, il est grand, 1m90 au moins, sa peau est noire comme la nuit et ses yeux encore plus sombres. A travers sa chemise je sens ses abdos, il doit être superbement bâtît. Il me dis quelque chose à l'oreille que je ne comprends pas bien à cause de la musique, il répète
- « Tu sais Anaël, pour bien danser le Zouk, nous devons avoir les bassins serrés au maximum »
Oui, donc déjà il connait mon prénom et j'ignore totalement pourquoi, mais bon, quelle importance, ce bel homme veut qu'on se rapproche, mais allons-y!
Il met sa main juste au dessus de mes fesses et me serre contre lui, et c'est reparti. C'est très agréable de se laisser guider, contrôler, il est ferme mais doux.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes rester à danser, ni combien de verres j'ai bu en plus dans la soirée, mais je me souviens qu'à un certains moment Marie m'a dit qu'elle partait avec Ernest:
« - Ana, j'y vais, tu veux que je te dépose ou Martin te ramène? »
Ok il s'appelait donc Martin, j'étais vraiment pas vivace ce soir! J'ai voulu répondre mais mon professeur de Zouk m'a devancé
« - C'est bon Marie, je vais la ramener moi, rentrez bien.
-Ok, parfait, alors bonne soirée » Dit Marie avec un petit clin d'œil.

Nous avons encore dansé quelques temps, puis je me suis rendue aux toilettes pour me rafraichir un peu, histoire de reprendre mes esprits. J'étais là, devant le miroir, en train de me tamponner le front avec un peu de papier humide quand Martin est entré dans la pièce. Il est venu se mettre derrière moi et je voyais dans le miroir qu'il ne souriait pas du tout. Il m'a alors embrassé dans le cou, doucement, de ses lèvres charnues, il a passé ses bras autour des miens et m'a attrapé les seins, d'abord avec douceur puis avec plus de vigueur, de fougue. Et moi qui respirait de plus en plus fort. Ça m'excitait qu'il soit si ferme, et ça m'excitait que la porte des toilettes ne soient pas fermée à clefs.
chrislebo

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#9,549
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- Tu sais que tu me fais bander Ana? Me chuchota-t-il.
Toujours derrière moi, il rapprocha *** bas vendre de mes fesses et, effectivement, je pu constater ses dires.
-J'aime tes nichons, j'ai envie de les lécher, de les mordre Ana, tu me laisserais faire n'est-ce pas ma petite salope.
Ce dernier mot me fit tressaillir, je n'avais pas du tout l'habitude qu'on me parle comme ca, mais, à ma grande honte, j'avais ressenti un certain plaisir.

Tout à coup, une femme entra, je sursautais et me détachais de Martin, réajustant ma tunique. Martin, lui, fit un grand sourire à la demoiselle qui ne dit rien mais se dépêcha de rentrer dans une cabine WC.
-Je crois qu'il est temps que tu me ramènes. Ai-je soufflé, à peine remise de mes émotions.
Nous sommes partis du pub et avons rejoint sa voiture. Sur le chemin Martin ne décrocha pas un mot, mais, à un feu rouge, m'embrassa langoureusement. Puis il posa sa main sur ma cuisse et la laissa jusqu'à notre arrivée. Je ne savais pas si je devais lui proposer de monter ou pas, il n'attendit pas que je me décide, il descendit de la voiture, fit le tour, et m'ouvrit la portière. Lorsque je suis sortie il m'embrassa à nouveau, plus sauvagement cette fois-ci, il me poussa contre la voiture et mis une de ses grosse mains sur mon sein droit et le palpa. Il pris une de mes mains et la posa de ***** sur *** entre jambes. Docile je me mis à le caresser et senti une bosse impressionnante se former.

- Toi t'as envie de ma queue, pas vrai salope?
Incapable de répondre, je gémis doucement.
-Mets toi à genoux de suite, dis t-il en commençant à enlever sa ceinture.
-Quoi? Tu rigoles, nous sommes au milieu de la rue, ai-je protesté
-Ferme là, y a per***ne dans cette rue, et puis la voiture nous cache, dit-il avec fermeté. Allez te fais pas prier, ça t'excite j'en suis sur.
Et comme pour confirmer ce qu'il pensait il passa une main sous ma tunique, descendit mon leggins sur mes cuisses et mis une main dans ma culotte.
-J'en étais sur, tu mouilles comme une chienne! Alors maintenant tu la fermes et tu me suces!!
Il avait rai***, j'étais ultra excitée, et même si je tremblais de peur qu'on nous surprenne, l'alcool n'était pas totalement dissout et je choisi de faire comme il disait. Je m'accroupie tout en restant adossée à la voiture et finit de dégrafer sa ceinture et *** pantalon. Je descendis un peu *** caleçon juste pour pouvoir sortir *** membre qui, au mon dieu, était énorme! Une matraque d'ébène d'au bas mot 25 cm et épaisse comme un salami. Je me jetais dessus telle la salope qu'il voyait en moi.
-C'est bon ça, tu es une vraie bonne suceuse, t'en ai pas a ta première espèce de trainée va, tu suces mêmes les clebs je paris pauvre salope!
Et plus il m'insultait, plus je le pompais fort, alternant le léchage de ses testicules et l'aspiration de sa grosse bite.
-C'est bon arrête je veux te baiser avant de gicler une première fois! Lève toi on rentre!

Je m'exécutais, et ouvris la porte de mon immeuble avec peine tellement je tremblais. Lui ne prit même pas la peine de refermer *** pantalon et, une fois dans l'ascenseur, m'ordonna de le branler jusqu'au 3eme étage. Une fois arrivés devant ma porte, je pris mes clefs et il me laissa à peine le temps de les tourner dans la serrure et de rentrer, il m'agrippa soudain par les cheveux, me tira vers le bas sur le sol du couloir de mon appartement, referma d'un coup de pied la porte d'entrée et m'obligea a avaler de nouveau *** imposant membre.
-Allez, avale moi tout ça, finalement j'ai envie de t'en mettre partout sur ta gueule de pouffiasse, pompe moi bien, lèche mes couilles aussi!
Il me parlait vraiment comme si j'étais une merde, j'en avais les larme aux yeux, mais je n'avais pas envie que ca s'arrête alors je faisais de mon mieux pour le satisfaire, essayant de ne pas vomir lorsqu'il s'enfonçait trop loin dans ma gorge. Parce que c'est-ce qu'il faisait, il me baisait littéralement la bouche en me tenant fermement la tête pour que je ne puisse pas atténuer ses coups de reins. Au bout de quelques minutes il se figea au fond de ma gorge et étouffa un long râle.
-AAHHhhhh ouaiiis! Putain je te gicle sur la glotte! Avale tout! Je veux pas que tu recraches!! Ohhh c'est bonn!!!
J'étais rouge écarlate car sa queue m'empêchait de respirer, j' étais obligée de tout avaler, et quand il daigna enfin se retirer, je mis plusieurs minutes à récupérer une respiration normale
-T'es une bonne soumise ma petite Ana, tu seras récompenser dans quelques minutes le temps que je me remettes! Et il alla dans la cuisine se servir un verre de whisky.

chrislebo

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#9,550
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Après m'être remise, j'entrais dans le salon où Martin s'était installé, le verre à la main.
-T'inquiète pas, je vais vite rebander si tu m'aides un peu, et je vais te faire ta fête, je vais te prendre la chatte comme ça ne t'es jamais arrivé. Et je vais t'enculer !
M'enculer? Mais je n'avais jamais fait ça, et je n'en avais pas du tout envie, surtout avec un engin comme le sien. Il dut capter dans mes yeux une lueur de terreur car il se mit à rire.
-Ah ah ah, tu as bien entendu, je vais t'éclater le fion. Ce soir Ana, t'es ma pute, et une pute, ca ne refuse rien si ça veut être bien payé à la fin!
Il m'attira vers lui et m'assis sur ses genoux en m'embrassant. J'étais emplie de doute et de peur, qu'avais-je fait de faire entrer un inconnu chez moi, un homme qui, de par sa carrure imposante, pourra faire ce qu'il veut de moi par la *****? Et si je lui demandais de partir maintenant? Après tout il ne va tout de même pas me violer! Si? Oh lala et sa bite, mais elle est trop grosse, même pour mon vagin, je vais avoir mal pendant des jours! Il faut que je lui dise de partir!
Mais il ne me laissa pas le temps de dire quoique ce soir, il m'allongea sur le canapé, et commença à m'ôter mon leggins, avec une étrange douceur, comme s'il avait entendu mes pensées. Il m'enleva également ma tunique et je me retrouvais en sous vêtement devant cet homme noir qui me regardait avec désir.
-Écoute, cette expérience, tu ne la regretteras pas, je te promets, lâche toi, laisse moi faire. Dit-il avec assurance.
Et il plongea sur ma poitrine dont il dégagea les tétons du soutien gorge pour les embrasser, puis les lécher, les téter, les mordiller. Il m'avait convaincu! C'était si bon, je fris***nais. Il descendit ensuite sur mon ventre, toujours avec sa langue et ses lèvres, pour ensuite arriver sur mon intimité, il fit glisser mon boxer le long de mes jambes et commença à me lécher avec adresse.
-C'est bien, t'es épilée entièrement, j'adore ça!
Il savait y faire, il ne fallut pas longtemps pour que je gémisse de plaisir. Il jouait avec mon petit bouton d'amour et je perdais la tête, c'était si bon! Je mouillais comme une folle, et lorsqu'il introduisit 2 doigts d'un coup dans grotte, un petit cri s'échappa de moi. Pendant qu'il me masturbait, il en profita pour passer sa langue plus bas, entre mes fesses, sur mon petit trou, ce qui eu pour effet de me filer la chair de poule comme jamais. Il s'y attarda un moment tout en remuant ses doigts dans mon vagin. Puis il posa *** pouce contre mon anus et poussa légèrement, je me contractais.
-Laisse toi aller, tu vas voir, tu vas adorer.
Et il enfonça *** pouce... ce n'était pas désagréable en fait, il changea ensuite de doigt et mis *** majeur, plus profondément, et ensuite *** index. Il me branlait la chatte d'une main, et me sodomisait de l'autre, et moi je soufflais de plaisir.
-Ok, ca suffit, il est temps que je te baise maintenant ma salope à moi!
Et là, plus de douceur, plus de tendresse, il me fit me lever avec rudesse, me retourna sur le canapé, la poitrine contre le dossier, m'écarta les cuisses et d'un coup, sans préambule, m'empala la chatte sur *** mastodonte!
-Aaaahhhh arghhh mais tu es fou, tu me fait mal!!! Hurlais-je les larmes aux yeux
-Ferme ta gueule sale putain, je t'ai dit que j'allais te baiser comme jamais, je tiens ma promesse. T'es une chienne! Alors je te monte! Je t'éclate la moule!!
Il sorti *** énorme queue pour la rentrer plus fort encore, recommença, encore et encore. Je criais ma souffrance mais après quelques minutes je commençais à ressentir des ondes de plaisirs m'envahir. Il me défonçais et me tirant les cheveux et moi j'en redemandais.
-T'aime ça, dis le que t'aime ça!
-Oui ouiii c'est bon, j'adore ta queue au fond de ma chatte, défonce moi!
Il me tirait les cheveux et me claquait les fesses. Il me poussa de nouveau sur le canapé, me retourna, passa mes jambes sur ses épaules et s'enfonça de nouveau en moi, plus profondément encore. J'avais l'impression d'être transpercé de part et d'autre de mon corps. Il se pencha et mordit un de mes seins, ce qui me fit hurler de douleur.
-Mais putain ta gueule je t'ai dit!
Et il claqua ce même sein avec sa main, je pu retenir mon cri cette fois ci.

chrislebo

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#9,551
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Après quelques minutes de ce traitement, il se retira, en nage, la bite toujours fièrement dressée et m'ordonna de me lever du canapé.
-Maintenant, trainée, tu vas te mettre à quatre-pattes par terre illico.
J'obéis sans broncher, après tout je prenais un pied d'enfer avec ce mec!
Une fois à quatre-pattes à même le sol, il me donna l'ordre de me cambrer au maximum.
-Comme une chienne qui donne *** cul au berger allemand du voisin, dépêche!
Il se pencha, mis sa main entre mes cuisses, récolta de la mouille sur ma chatte et l'étala entre mes fesses. Je savais ce qui allait se passer, la peur me saisit à nouveau, surtout en jetant un œil sur *** sexe, qui semblait encore plus gonflé qu'avant. Il s'agenouilla derrière moi, cracha sur mon anus, introduisit une nouvelle fois *** majeur puis *** index, fit quelques va et viens qui ne me firent pas mal une seconde.
-Tu vois, tu t'habitues, je savais qu'étais une belle salope, mais de là à accepter une première sodomie sans broncher, ça sa me tue!
Et là, il ôta ses doigts et posa *** gland sur mon œillet. Il poussa et la douleur m'envahit, les larmes coulèrent d'un coup.
-Ooohhh aïe aïe arrête Martin arrête, tu me fais mal!
-Tu rigoles ou quoi? Je vais te casser le cul! Prends ça
Et d'un coup il enfonça sa bite jusqu'à la garde dans mon fondement
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH AHHHHH Putain!!!! Ahhhh t'es taré, ah putain, ca fait trop mal!
Il n'en avait rien a faire de mes cris, de mes supplications pour qu'il arrête tout, il fit coulisser sa queue jusqu'à la sortie et la renfonça d'un coup, m'arrachant un hoquet de douleur, et il recommença encore. La douleur était immense et je me mis à me débattre. Il claqua mes fesses, m'attrapa un bras et le tordit dans mon dos pour que je cesse de gigoter. Cette posture m'obligeait à me cambrer encore plus.
-Arrête de te débattre, sinon je tu vas te péter le bras toute seule!
Je me calmais pour ne pas aggraver les choses. Il me ramonait le cul avec énergie. Je sentais toujours une grosse douleur mais bizarrement je commençait également à aimer cette douleur justement, elle était mêlée à autre chose, et même si chaque coup de butoir me faisait hoqueter, entre mes cuisses ma chatte recommençait à couler. Quelle salope j'étais!
-T'aime que je te dilate le cul, hein ma grosse salope! Je sens bien que tu mouilles! Vas-y, crie bien fort, j'adore ça, ça m'excite!
-Oh putain tu m'éclates le cul avec ta grosse queue, t'arrête pas putain oh oui!
-T'es qu'une truie qui aime se faire péter le cul, t'es bonne qu'à te faire défoncer, salooppe
Il ne me ramonait plus maintenant, il me pistonnait carrément, comme un fou, il s'était relevé sur ses jambes, avait lâché mon bras pour attraper mes cheveux et les tirait en m'insultant, à bout de souffle.
-J't'encuuuule! Je te casse le cul!!!! Puuuuute!
Et m'assena le coup de grâce en ce plantant au plus profond de mon anus et en expulsant de longues giclées de foutre avec des soubresauts. Je tombais à la renverse et lui sur moi, chuchotant des mots sans queue ni tête et en inspirant et expirant très fort
-salope... prise... truie... encore.... Pute.... Salope.... Salope... foutre... chienne...
Puis, il se releva, alla se rafraichir dans la salle de bain pendant que je m'assis, non sans douleur sur le canapé. Il revint, récupéra ses affaires, s'habilla sous mon regard interrogateur, je pensais qu'il resterait dormir au moins. Il pris quelque chose dans sa poche, une petite liasse de billet qu'il me jeta à la figure
-T'es une bonne pute, je reviendrais te voir pour te mettre ton compte
Et il disparu, claquant la porte sans un baiser, me laissant seule, humiliée mais heureuse
chrislebo

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Incapable de la satisfaire



J'ai laissé tomber ma femme pour Bénédicte, une femme plus jeune. Une femme très marrante, d'un physique un peu atypique, très mince et fine, peu de fesses et peu de seins, mais avec un je ne sais quoi qui me rendait fou. Elle venait de quitter *** mari. Elle avait reçu une éducation très catho, et n'était pas du tout du genre à provoquer les hommes. A 38 ans, je n'étais que le deuxième homme de sa vie.
Au début, tout se passa bien. Elle appréciait, je crois, les attentions que je lui témoignais. Tout cela était nouveau pour elle. Même physiquement, malgré la différence d'âge (j'ai 50 ans) et mon manque de sportivité, je trouvais cela très bien.
Très rapidement cependant, il est apparu qu'elle s'énervait souvent sur moi. Nos disputes étaient très fréquentes, et pour tout dire, incompréhensibles pour moi. Nous nous réconcilions toujours et elle disait m'aimer, mais le lendemain, c'était reparti, elle claquait la porte de mon appart et rentrait chez elle. J'étais prêt à n'importe quoi pour la garder, mais je n'identifiais pas ce qui n'allait pas. Je finis par me rendre compte qu'elle attendait autre chose, sexuellement. Elle m'avoua qu'elle éprouvait du plaisir, mais pas à la hauteur de ce qu'elle recherchait. Elle s'était toujours cachée à elle-même (à cause de *** éducation catho), ce besoin de sexe qu'elle éprouvait. Elle me disait que cela ne pourrait pas continuer, plus j'allais vieillir, plus le problème allait être aigu, d'autre part, elle n'avait pas envie de me quitter, mais elle pensait que cela se produirait immanquablement un jour.
J'étais désespéré, et ne savais que faire. Au bout d'une de nos nombreuses ruptures, qui avait duré plus longtemps que d'habitude, je finis par lui proposer honteusement de voir un autre homme. Elle me répondit avec sévérité que cela, elle ne l'accepterait jamais, et qu'elle me quitterait le jour où elle se donnait à un autre. Une autre dispute éclata, et elle finit par ne plus me voir. Je traînais souvent dans *** quartier et je remarquais très vite qu'une voiture noire était garée devant chez elle. Je vis un jour sortir un grand type, de *** âge environ, crâne rasé et mâchoire carrée. C'était donc *** nouvel amant.
En lui téléphonant, elle m'avoua que c'était un ancien collègue, qui lui tournait déjà autour quand elle était mariée. Je lui demandais comment ça se passait avec lui, et elle me dit avec cruauté que le sexe était extra, et qu'il la faisait jouir comme elle n'avait jamais connu cela. Cependant, elle m'avoua qu'elle regrettait ma gentillesse, ma conversation plus intellectuelle, et un certain train de vie que je lui procurais.
Cela me trotta dans la tête pendant quelques jours et je finis par revenir à la charge avec mon offre. Bénédicte mis du temps à accepter, mais finalement, un beau jour elle débarqua à l'appart avec deux valises et s'installa comme si de rien n'était. Nous connûmes de bons moments ensemble pendant près d'une semaine. Le week-end, elle s'éclipsait le samedi soir et ne revint que le dimanche en fin de matinée, toute langoureuse. Elle ne m'empêcha pas de lui faire l'amour. Le week-end suivant, cela recommença, et ainsi de suite toutes les semaines, où elle s'éclipsait une ou deux nuits ou soirées. Je ne pouvais m'empêcher d'être excité en la voyant se préparer pour ses rencontres avec Laurent, maquillage, bas noirs avec porte-jarretelles, nuisettes de soie noire. Elle m'avait garanti que Laurent ne sortait qu'avec elle et qu'ils avaient fait un dépistage sida.


Une nuit, alors qu'elle était rentrée vers trois heures du matin, elle vint se coucher sans se déshabiller entièrement ni se doucher. Elle était donc allongée à côté de moi portant l'odeur de l'homme qui venait de la prendre, et dans la tenue sexy qu'elle avait revêtue pour lui, pas pour moi.
Je sentais l'excitation monter et moi et je commençai à la caresser. Elle répondait mollement à mes caresses et me dit qu'elle était fatiguée, et que de toutes façons, je ne pourrais pas la faire jouir comme Laurent l'avait fait. *** mépris m'excitait encore plus, et, comme dans un rêve, je me sentis descendre le long de *** corps et je commençai à lui lécher le sexe. Elle avait dû se laver en quittant Laurent, mais il me semblait tout de même, en la léchant avec application, que je récoltait un peu de la semence de *** amant. Elle avait gémi pendant mes caresse, et lorsque je terminais mon travail, je l'entendis dire dans un couinement « et en plus , il aime ça, le cocu ».
J'avais mis le doigt (si l'on peut dire) dans un engrenage fatal.

chrislebo

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#9,553
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Le lendemain, j'entendis Bénédicte dire par GSM à *** amant, "que j'avais mangé les restes", et ils semblaient en rire beaucoup. Quelques jours se passèrent encore. Tout allait bien entre nous, mais je sentais que Bénédicte était de plus en plus hautaine avec moi. Elle ne se gênait pas pour téléphoner à Laurent devant moi, avec des allusions à peine voilées. Lorsque vint le week-end suivant, elle m'appela dans la chambre, où se trouvait un grand miroir, ainsi que la garde-robe, et me demanda de l'aider à choisir une tenue pour le voir. Le cœur palpitant, je choisis pour elle une guêpière noire à laquelle elle pouvait fixer des bas noirs. Elle prit des bas avec un dessin un peu lourd et vulgaire, me disant avec un clin d'œil « si c'est pour faire la pute, autant ne pas le faire à moité ». Je connut ***************, mais aussi le plaisir sulfureux, de me mettre à genoux devant elle pour l'aider à fixer ses bas, à enfiler sa petite culotte en dentelle noire sans l'accrocher à ses talons aiguilles. Me dominant de la hauteur de ses escarpins, elle était superbe. Et je me l'imaginais avec envie dans les bras de *** amant.
Quand elle rentra aux petites heures, elle avait manifestement bu, et rit beaucoup en me voyant tout contrit, l'attendant en pyjama rayé. Elle me fit baisser mon pantalon « pour voir dans quel état j'étais » et rigola franchement en voyant mon pénis redressé . « On est loin de ce que je viens de m'enfiler » me dit-elle, « mais on voit que tu t'appliques. Sois heureux, je t'ai ramené de bon restes, encore tout frais ». Elle se coucha sur la table du salon et releva sa jupe. Elle n'avais pas remis sa culotte. « Vient ici, mon gros cocu », dit-elle. Et je m'agenouillai devant la table et enfuit mon visage entre ses cuisses maigres et musclées. Tout de suite, je sentis le goût âcre du sperme de *** amant. Je n'éprouvais aucun dégoût, juste l'envie d'en profiter pleinement. Pendant que je la léchais, elle m'expliqua qu'il avait joui trois fois en elle, et qu'ils avaient décidé de me faire tout nettoyer, puisque j'aimais ça. Elle me dit « tu pourrais dire merci », et éclata de rire. Puis, l'idée lui venant tout à coup, elle prit *** GSM et composa un numéro, elle dit « je te passe mon cocu, il veut te dire merci ». Je pris le téléphone en tremblant et j'entendis une voix très virile et très méprisante me dire « alors lopette, qu'est ce qu'on dit, maintenant que je t'ai baisé ta femme ? ». « Merci ». « Merci qui ? Merci pourquoi ? » « Merci Monsieur, d'avoir bien baisé ma femme ». Il partit d'un grand rire « eh bien, on va bien s'entendre alors ! ».
Je repris ensuite mon nettoyage minutieux de la vulve de Bénédicte pendant qu'elle reparlait avec *** mâle de leurs étreintes de la soirée. A ma grande surprise (et délectation) j'entendais mon ex-petite catho utiliser des expressions comme « tu as bien baisé ta salope - j'ai adoré ta grosse bite bien dure qui me pénétrait – tu es mon mâle – vivement que tu me reprennes par derrière comme une chienne, etc. ».
Lorsqu'elle eut raccroché et soupiré un peu plus bruyamment sous mes coups de langue, elle me dit « et maintenant, ta petite récompense ». Je croyais qu'elle allait me permettre de la pénétrer, mais il n'en fut rien. Elle se mit debout sur la table, et m'ordonner de poser mon sexe sur le rebord. Ensuite, elle posait le bout de *** escarpin dessus, en maintenant une pression suffisante pour le coincer. « branle-toi avec ma semelle » me dit-elle. Honteux et confus, j'obéis. Sa semelle m'écrasait un peu, mais je tâchais de faire aller mes fesses en avant et en arrière, jusqu'à ce que je jouisse. Elle rit encore, puis alla se coucher
chrislebo

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des samedis inoubliables

Maintenant mon chef de services me regarde d'un autre oeuil. Paul lui a montré les photos et même un film avait été tourné a mon insu. Je passe pour une vrai salope. Quand je le suce ou qu'il me sodomise dans les archives, il ne prend plus de gants, il y va sauvagement. Les fellations se font de plus en plus profondes et quand j'ai des hauts de coeur il continue sans remords. Parfois je reste tard avec lui. Il me regarde me goder en se masturbant. J'aime qu'on me regarde cela m'excite. Je m'assied par terre entièrement nu les jambes en l'air bien écartées. J'introduis le gode lubrifié bien au fond de mon anatomie et je l'active en le regardant dans les yeux. Je me caresse les tétons et passe la main sur la cage posée pour m'empêcher de me masturber. Je prend mon plaisir autrement en excitant mon chef. Ca le rend fou et il se venge en me baisant par la bouche. La dernière fois nous avons failli nous faire surprendre par la femme de ménage. Elle avait entendu du bruit et venait voir ce qu'il se passait. Heureusement mon chef était habillé. Il est sorti du bureau pour dire qu'il faisait des heures supplémentaires.

Paul est revenu me chercher un samedi. Comme d'habitude j'ai fais le voyage nu dans le coffre. Entre temps il avait fait quelques travaux dans *** garage. Maintenant il pouvait m'attacher les bras en l'air et les pieds au sol. Au centre du garage là ou je me tenais je pouvais voir une allée allant de la nationale a la villa. Je voyais passer des voitures, si des gens se promènent a pied et tournent la tête, ils me verraient. Heureusement nous sommes dans un lieu isolé.
Il a commencé par écrire sur le torse ma condition, c'est à dire qu'étant un batard ceux qui verront les photos le savent. Donc des inscriptions sur tout le corps. Devant comme dernière en m'expliquant qu'il utilisait un feutre indélébile. Puis posa des pinces sur les seins puis enleva la cage sur mon sexe pour m'attacher les couilles avec un lien qu'il serra trés fort. La dessus il accrocha une autre ficelle avec des poids a *** extrémité. Ils pendaient entre mes jambes sans toucher le sol en me tirant les couilles. Il me baillonna. Nous étions que lui et moi. Il enleva sa ceinture et commença a frapper sur les fesses, mais aussi sur mon sexe. En remuant, les poids se balançaient accentuant la souffrance. Je gueulais mais le baillon laissa passer que des gémissements. En frappant, Paul récitait toutes les insultes possibles a chaque coup, une nouvelle insulte:

_"Salope, bâtard, chienne, pompe a foutre, buveur de foutre, pétasse, conasse, pédé, suceur de bites, etc, etc..."

Parfois il s'arrêtait pour venir me cracher au visage et prendre des photos et me demander si j'en voulais encore. Je secouais la tête pour dire non, mais il continuait. Les fesses me faisaient souffrir et le reste du corps aussi. Il arrêta enfin, enleva le baillon. Je le remercie:

_"Merci monsieur."

_"Dorénavant tu m'appelleras "Maitre". Tu seras mon esclave, je serais ton Maitre. Tu feras ce que je te demande. Si tu refuses je t'attacherais comme maintenant et je frapperais beaucoup plus fort. T'as compris?"

_"Oui Maitre."


Il m'enlève les pinces, les poids et me détache pour prendre la position du chien. C'est à dire a 4 pattes. Il caresse mes fesses meurtries en me flattant de ma docilité;

_"T'es un bon chien, pour te récompenser je vais te dilater le cul. Je vais commencer avec un gode puis je vais t'enfoncer la main entière. Je vais t'exploser le cul. Ok chien?"

_"Oui Maitre. Merci Maitre"

Il introduit un gode de bonne taille bien lubrifié et commença les vas et viens. C'était trés agréable. Beaucoup mieux que les coups de ceintures.Il me caressait la tête comme on caresse un chien. Il t'enduisis la main d'un puissant gel et me doigta en les enfonçant il tournait la main pour une meilleure pénétration et me demandait combien de doigts il rentrait.

_ "4 je crois Maitre."

_" Bien, bon chien qui sait compter. Maintenant j'entre le pouce."

Sa main rencontre des difficultés. Il me tient par l'épaule et insiste. Je gueule. J'ai vraiment l'impréssion qu'il me déchire l'anus.

_"Ta gueule pétasse, j'y suis presque. Serre les dents et ouvre ton cul de salope. Laisse moi entrer en toi chien-chien."

Je creuse les reins pour l'aider. En poussant fort il y parvient. J'ai sa main entière dans mon cul. Il ne bouge plus, moi non plus.

_"Tu vois? C'était pas plus difficile que ça. T'es vraiment une pétasse. Maintenant je vais te ramoner comme une poufiasse. Je veux t'entendre couiner comme une femelle en chaleur. La prochaine fois tu te feras fister par mes copains. Il te prendrons devant moi et je te pisserais dans la bouche. Tu avaleras sans perdre une goutte car tu es une vraie chienne. Un bon batard obéissant. N'est ce pas?"

Je prenais du plaisir à me faire insulter avec sa main enfouie, j'étais vraiment une sacrée salope. Il le voyait et accélérait le mouvement.Je ralais de plaisir. Je ne puis m'empêcher de dire:
chrislebo

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_"Merci Maitre. Merci Maitre de faire de moi une chienne. Je ferais tout ce que voudrez. Je suis une chienne haaaaaaaa, ho oui c'est bon."

_"Aboie chienne. Tu aimes ça on dirait"

J'aboyais comme je pouvais. Je ne savais pas qu'on pouvait prendre autant de plaisir en se faisant humilier de la sorte. Je ne pensais a rien, je n'étais que jouissance pure. J'avais les avants bras par terre le front sur le sol la croupe bien en l'air. Il me soulevait du sol avec la seule ***** de *** bras en continuant de limer. J'étais en nage, je transpirais de bonheur, a deux doigts de jouir. Il arrêta et retira sa main.

_"Léches mes chaussures femelle."

Je lui léche les pieds pendant qu'il s'éssuit les mains. Il me choppe par les cheveux.

_" Viens par ici petite fiote, je vais pisser dans ta gueule de salope."

Il m'entraine sans ménagements dans le jardin et m'éxplique comment prendre la position de l'urinoir. A genoux, assis sur les talons, les mains dans le dos, la tête légèrement penchée en arrière, et la bouche grande ouverte. Je m'exécute et il m'innonde.

_"Avale pétasse, t'es qu'un conard de gosse. Si tes parents te voyais ils te déshériteraient. T'es qu'une merde con comme un balai avec un trou du cul plus gros que ton cerveau."

Puis il se masturba dans le même orifice.

_"Samedi prochain je te réserve une surprise on verra jusqu'ou tu iras. Maintenant il est l'heure de te ramener. J'ai fini avec toi pour aujourd'hui."
chrislebo

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L'amant de ma mère


A l'âge de 20 ans je n'avais pas encore une sexualité bien affirmée. Mon allure androgyne, les cheveux longs, un corps svelte et imberbe, créait la confusion chez les autres ainsi que pour ma libido ! Avec mon corps svelte et un joli cul pommelé et cambré, j'étais conscient de plaire à certains hommes d'âge mûr. Je devais avouer avoir également une certaine attirance pour des per***nes du même sexe. Un beau paquet et une longue bite qui déformait un jeans avaient le don de me faire saliver.
Le plus souvent en rentrant du lycée, étant seul à l'appartement pendant plusieurs heures j'avais pris l'habitude de me travestir avec les dessous en dentelle de ma génitrice. Le fait de me contempler ainsi parée devant le miroir m'émoustillait au plus haut point. Je pris assez rapidement conscience de la féminité qui émanait de mon corps et je me mis à porter des porte-jarretelles, des bas et des petites culottes sous mes habits de garçon pour aller au Lycée. Même une fois l'heure d'aller se coucher venue, je chipais dans le bac à linge sale, une petite culotte portée par ma mère pendant la journée. Je me branlais dedans tout en m'endormant avant de sombrer dans les bras de Morphée toujours ceint par ce bout de tissu maculé de ma semence.
Je vivais alors avec une mère divorcée mais qui était encore très belle pour *** âge et surtout active sexuellement. Elle avait en conséquence, un amant qui était aussi notre voisin de palier. Cette relation était avant tout, pour elle, hygiénique, afin d'assouvir sa libido encore débordante. Une nuit que ma mère dormait avec *** amant dans sa chambre, une envie pressente me fit me lever au milieu de la nuit pour me rendre à la salle de bains commune pour faire pipi. Fidèle à mes habitudes, je portais un Dim up et une petite culotte en dentelle noire dont le gousset était encore blanc du mélange de la cyprine et de mon sperme sec. ***** de l'habitude j'avais négligé de fermer la porte à clef. Soudain, alors que j'étais en train d'uriner, assis sur la cuvette comme le ferait une fille, l'amant de ma mère poussa soudain la porte à moitié endormi et seulement vêtu de *** caleçon. Conscient de mon accoutrement et ainsi impudiquement exposé à ses yeux, sans échappatoire, j'étais tétanisé incapable de réagir. Il fut le premier à avoir une réaction après deux secondes d'hésitation, Il bredouilla des excuses et sortit précipitamment non sans avoir posé *** regard sur la culotte roulée sur mes chevilles ainsi que sur les bas. Je sentis une certaine nausée monter en moi, un mélange de honte et de désespoir à l'idée de le recroiser le lendemain.
Pendant plusieurs jours j'évitais soigneusement de croiser le regard de cet homme lorsqu'il était à la mai***. Un matin, alors que je le croyais parti plus tôt dans la matinée en compagnie de ma mère, je me rendais dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner en ce jour de vacance. A ma grande surprise, il était là, seul, attablé, en train de boire tranquillement *** café. Bien que cette fois je sois vêtu d'un tee-shirt et d'un caleçon, je ne pus m'empêcher de rougir. Ce fut lui qui brisa en premier la glace. "Tu sais que cela te va très bien les culottes de filles, ainsi que les bas d'ailleurs" me dit-il sur un ton enjoué avec un sourire en coin. Mon visage s'empourpra de plus belle et j'étais incapable d'articuler la moindre syllabe. Il sentit mon malaise et me dit: "Ne sois pas gêné, c'est naturel, tous les garçons de ton âge ont fait ça un jour pendant leur adolescence, même moi tu sais". Il avait l'air tellement compatissant. Je ne savais trop que penser de cela, cependant sa remarque me redonna confiance. C'était un bel homme, la cinquantaine, grand, relativement svelte mais avec des muscles noueux saillant à travers ses vêtements. Il avait les tempes gri***nantes, l'œil gris clair et vif. Pour la première fois j'éprouvais une certaine attirance pour cet homme, je ne le considérais plus comme l'amant anonyme de ma mère mais comme un amant potentiel. Comme s'il avait deviné ma pensée il me dit: "tu n es pas en fille ce matin? » Avec un nouvel aplomb je lui répondis que je ne faisais pas ça tous les jours et lui répliquais pourquoi vous aimeriez me revoir habillé en fille ? Et pourquoi pas ! Cette réponse de sa part provoqua chez moi un déclic. Je lui dis attendez moi ici je reviens. Je me dirigeais alors dans la chambre de ma mère pour enfiler des bas noirs, un porte-jarretelles et un string assortis ainsi que des petites mules à talons légèrement trop petites pour moi. Je revins dans la cuisine, ainsi accoutré, avec une démarche mal assurée, juché sur ces petits talons. A mon entrée dans la pièce, je sentis aussitôt que le souffle de cet homme, qui était l'amant de ma mère, était plus court et qu'il me dévorait des yeux. Je vis dans ses yeux brillants qu'il éprouvait du désir pour moi. Tout d'un coup fier de mon corps, je restais immobile et muet devant le plan de travail, sans oser me retourner, attendant sa réaction. Il s'enhardit après m'avoir complimenté sur ma beauté et sur le choix de mes dessous, il me fit alors cette proposition étonnante: "Ecoutes, je comprends que ce ne soit pas très facile pour toi de t exhiber ainsi chez ta mère mais si tu veux tu peux le faire tant que tu veux chez moi, en plus au lieu de le faire seul tu auras un public et crois moi je suis un sacré connaisseur en la matière. Il ajouta qu'il m'achèterait tous les dessous que je voudrais. Je parvins à articuler un "d'accord" à peine convaincu et je compris qu'à compter de ce jour là commençait pour moi, une aventure dont je ne maitrisais plus le déroulement
chrislebo

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#9,557
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Le lundi suivant comme convenu je me rends chez mon voisin de connivence. Je terminais mes cours à 15h. J'avais 3 bonnes heures devant moi avant que ma mère ne rentre du boulot en plus je n'avais que le palier à traverser pour rentrer chez moi.
Je ***ne alors à sa porte un peu fébrile, ce jour là je portais un string noir avec *** porte jarretelles assortis ainsi que de beaux bas nylons à couture, le tout emprunté à ma mère à *** insu bien sûr. Le tout était soigneusement camouflé sous un jeans et des chaussettes.
J'entends du bruit derrière la porte puis soudain elle s'ouvre sur mon futur nouvel amant du moins l'espérais-je du fond de mon cœur.
En effet depuis notre petite conversation, je n'avais cessé d'épier cet homme magnifique qui faisait tellement jouir ma mère il me suffisait d'entendre leurs ébats nocturnes, il faut dire que ma mère est du genre jouisseuse qui se lâche niveau décibels !
« Bonjour Paul »
« Bonjour....
Au fait nous n'en n'avons pas parlé quel prénom de fille souhaiterais-tu porter ? »
Je me sentis d'un coup tellement embarrassé et décontenancé, je n'y avais pas ***gé.
« Que dirais tu de Sarah ? » me demanda-t-il.
« Oui c'est joli » lui répondis-je.
« Tu comprends Sarah fut mon premier amour de jeunesse et tu lui ressembles tellement ! »
Il me fit entrer.
D'un pas hésitant je pénétrais dans *** appartement. Il était meublé avec goût et me paraissais très classe loin de notre appartement dépouillé. En effet ma mère se saignait aux quatre veines pour payer mes études et nous n'avions pas beaucoup d'argent à la mai***.
Paul sent mon trouble et me propose un « ***** » pour me décontracter. J'accepte *** offre et me love dans *** confortable canapé en cuir fauve en attendant *** verre.
2 minutes plus tard, il me tend alors un cocktail de sa fabrication, en tant qu'ancien barman de boîte de nuit, il faut dire qu'il en connait un rayon.
« Alors ma belle as-tu mis de beaux atours pour moi aujourd'hui ? » me demanda-t-il.
Sans même répondre je me lève et commence à descendre mon jean lentement pour qu'il puisse bien apprécier mon mini striptease rien que pour lui.
Petit à petit je dévoile mon porte-jarretelles puis mon string et enfin mes bas gainant mes longues jambes, en effet je fais un bon mètre quatre vingts, ce qui a tendance à pas mal exciter les hommes.
Paul reste sans voix.
J'enlève maintenant mon T-shirt, dévoilant à mon hôte un torse totalement glabre, j'ai en effet de la chance à 20 ans je n'ai aucun poil sur cette partie de mon corps.
Paul retrouvant d'un coup sa voix me dit...
« Tu es vraiment très belle Sarah, nous allons faire de grandes choses ensemble tu verras. »
chrislebo

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#9,558
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Paul me tend alors un paquet cadeau.
Je l'ouvre rapidement tellement excitée à l'idée de voir ce que contient cette boite. Je me sens tellement nerveuse.
« Oh ! » ma bouche s'arrondie de surprise, je découvre une magnifique guêpière.
« S'il te plais Sarah pourrais tu la passer pour moi ? »
« Oh Paul il ne fallait pas elle est superbe »
« Ne t'ais je pas dit que j'allais bien m'occuper de toi ? Je vais te constituer ta propre garde robe tu n'auras plus à prendre les dessous de ta mère. »
« Viens suis moi dans la chambre... »
Sans même réfléchir j'emboîte les pas de mon «amant », maintenant c'est sur, je désire trop goûter à sa queue.
« Sarah si tu le souhaites tu peux aller te préparer dans la salle de bain attenante à la chambre. »
Pendant que je m'exécute dans la salle de bain, j'entends Paul qui se déshabille dans la chambre. L'excitation est à *** comble et a pris le pas sur ma nervosité.
Je me presse donc d'ajuster la guêpière noire assortie à ma lingerie. Cela m'affine délicieusement la taille. Sur la tablette du lavabo bien en évidence je vois un tube de rouge à lèvres et un crayon eyeliner.
Paul étant divorcé depuis bientôt 5 ans je supposes qu'il les a laissé là à mon attention, sans trop réfléchir, je commence à m'appliquer le rouge sur mes petites lèvres. C'est un rouge sang très violent qui me fait une bouche goulue.
Maintenant l'eyeliner. C'est plus difficile à mettre il faut bien passer le crayon à la base des cils, je me concentre alors bien à l'aide du miroir.
Voilà c'est bien, la vision dans le miroir me trouble, ainsi maquillée et parée de cette guêpière, je ressemble tellement à une femme, les seins en moins. Voir ainsi mon reflet dans le miroir me fait immédiatement bander. Cela à pour effet de déformer mon string. Heureusement pour moi j'ai un très petit sexe ce qui fait que même en bandant mon petit clito ne dépasse même pas de *** écrin de dentelle.
En arrivant à la porte de la chambre je vois Paul entièrement nu étendu sur *** lit. Mon dieu quelle bite ! Elle est énorme ! tout d'un coups la peur me saisie. Jamais je n'arriverais à enfourner ce pieu de chair en moi.
Paul conscient de mon trouble me dit alors.
«N'ais aucune crainte ma chérie tu vas voir je vais bien te préparer tu n'auras pas mal. J'ai du gel anal parfumé et chauffant tu verras c'est très agréable. »
Je me rapproche lentement du lit, visiblement ma tenue fait *** effet car Paul bande comme un taureau, je me sens à la fois inquiète et terriblement fière de susciter une telle excitation chez un homme. Pour moi c'est une première.
« Sarah as-tu déjà sniffé du poppers ? »
« Non c'est quoi ? » lui demandais je.
« Tiens, ouvre ce flacon et renifles profondément à chacune de tes narines, tu verras tu te sentiras plus relax et tes muscles vont se relâcher, y compris ton sphincter. »
Je le regarde alors étonnée.
« Mon sphincter ? »
« Oui ton trou du cul va être plus souple et tu accepteras plus facilement mon gourdin chérie. »
Sans trop réfléchir j'inhale profondément par mon nez les effluves de ce petit flacon. La tête me tourne un peu mais au bout de quelques secondes je me sens plus détendue.
« Pas***s aux choses sérieuses ma chérie, SUCE MOI ! ».
chrislebo

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#9,559
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D'une main je lui saisis la bite et de l'autre je lui caresse le torse, tout en passant ma langue sur ses couilles bien pleines et poilues puis je remonte doucement le long de sa verge. Une fois arrivée au niveau de *** gland, Paul appuie sur ma tête pour me faire comprendre qu'il voulait que je le prenne tout en bouche. Je commence alors un va et vient un peu maladroit du à mon inexpérience mais je sent le corps de Paul qui réagit, il se tend et laisse échapper des grognements de plaisir. *** excitation est de plus en plus grande, il glisse vers le bord du lit. Soudain il relève ses jambes toujours écartées, j'en profite pour mieux lécher et malaxer ses couilles, ainsi accessibles. Mon amant est maintenant sur le dos, les jambes en l'air et bien écartées. Nous sommes l'un et l'autre dans un état second. J'abandonne alors sa bite et je me concentre à lécher uniquement ses bourses. Ma langue se rapproche de plus en plus de la raie de ses fesses. Cela semble lui plaire car il soulève légèrement *** cul et écarte ses fesses avec ses mains m'indiquant ainsi le chemin à suivre. Ma langue se promène de ses couilles à *** anus, je m'attarde sur *** petit trou. Paul m'encourage à continuer, c'est tellement bon ! Tout en continuant à travailler *** trou du cul avec mon index, je reprends ma pipe de plus belle. Au bout de longues minutes de travail acharné sur *** membre, en titillant en particulier *** méat avec la pointe de ma langue, je sentis tout d'un coups *** sperme jaillir. Je fus au début surprise mais j'appréciais vite le goût de ce liquide blanchâtre visqueux et épais.
« Tu es vraiment douée pour tailler des pipes ma chérie ! »
J'étais fier d'entendre Paul me complimenter, mais je me sentais un peu frustrée de n'avoir pas jouie.
C'est alors que l'amant de ma mère et désormais également le mien pris un bas nylon et enfila sa main à l'intérieur. Ensuite il entrepris de me branler ainsi en prenant bien soin de décalotter mon gland et de faire coulisser le bas sur la peau délicate de mon sexe. Ce dernier ne devait pas faire plus de neuf centimètres en érection mais cette sensation tellement soyeuse et agréable me fit un effet immédiat. En 30 secondes j'eus l'orgasme de ma vie, d'ailleurs le sperme coulait à flot de mon sexe et maculait le bas.
Je compris ce jour là que j'étais éjaculateur précoce !
Paul heureux de *** fait me dit :
« Sarah, dorénavant tu ne jouiras que par ce moyen là ou par ton anus ! Je ne veux plus que tu te branles. C'est bien compris ? »
Un peu surprise par cet élan d'autorité, je me rebellais quelque peu.
« Non mais ça va pas ? Je fais ce que je veux de ma vie et ce n'est pas toi qui vas me dire ce que j'ai à faire. »
« Vraiment ? » me répondit il, avec un petit sourire en coin.
« Regardes petite sotte, tu vois sur mon bureau, la webcam de mon ordinateur ? Hé bien tout à été enregistré, il y a même quelques voyeurs de ma liste sur MSN qui ont du profiter du spectacle. »
Tout d'un coups je me sentis désemparée, mon cœur battait la chamade, je sentis mon visage s'empourprer. Un sentiment de honte terrible me submergea.
« Petite conne tu croyais peut être que tu allais te taper le mec de ta mère comme ça et aurevoir ? »
« Idiote ! Maintenant tu seras mon petit vide couille per***nel, tu seras à ma disposition. Mon « fucktoy » comme disent les anglo-saxons. »
Je restais prostrée sans voix.
« Si jamais tu refuses, cet enregistrement ira directement dans les boîtes mail de tes amis de la fac, ainsi bien sur qu'au travail de ta mère chérie, qui verra qu'elle a engendré non pas un mâle mais une lope femillisée. »
Je ne savais plus ou me mettre, j'avais débandé depuis longtemps, mon petit sexe pendouillait entre mes jambes. Je sentis les larmes affluer aux coins de mes yeux. Je chialais comme une gonzesse ! Merde Paul à rai*** je suis une vraie fillette.
« As-tu bien compris Sarah ? À partir de maintenant tu es à mon entière disposition »
Je bredouillais un oui quasi inaudible.
« Très bien, commençons maintenant alors ta mère ne rentre que dans une heure j'ai largement le temps de goûter à ton cul de pucelle... »
chrislebo

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#9,560
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Le lendemain, je rentrais de la fac vers 16h. J'avais passé une très mauvaise nuit, en repensant à mon *********** et au moyen de pression dont disposait maintenant mon voisin. J'avais pleuré une bonne partie de la nuit. Je haïssais Paul, mais que pouvais je faire ?
Il m'avait donné RDV en bas de notre immeuble, de plus il m'avait dit de m'habiller normalement cette fois pas de dessous féminins sous mes habits de garçon. Je devais juste porter un plug tout au fonds de mon cul afin de « le dilater convenablement » selon ses propres dires. Encore une *********** pour moi qui ais du me rendre dans le seul sexe-shop de la ville afin d'acquérir l'objet. Je me sentais si mal à croiser le regard libidineux du vendeur derrière sa caisse, avec la peur au ventre de croiser une connaissance dans ce lieu de débauche. Je choisie rapidement un plug pas trop gros et je m'empressais de payer pour rentrer rapidement à l'appartement. Une fois arrivée, je dus bien lubrifier l'engin avec de l'huile d'olive, n'ayant rien d'autre sous la main, et ainsi j'ai pus me l'introduire sans trop de difficultés.
Cette sensation plutôt désagréable au début, finie par devenir supportable. Je m'avouais même que cela devenait agréable en marchant dans la rue de sentir ce mini sexe au contact de mon intimité.
16h10, il est tant pour moi de retrouver mon maître chanteur au local à poubelles.
« Bonjour Sarah ! »
Paul me fit sursauter.
« Mes respects maître. », j'avais compris que je devais appeler ainsi mon nouveau maître faute de quoi mes fesses me cuiraient sous les coups de sa cravache.
« Viens salope suis moi... »
Nous nous dirigeâmes vers les caves de la résidence, après un long dédale de couloirs mal éclairés, la faute à des ampoules cassées, nous arrivâmes enfin devant une porte. Sûrement la cave de Paul.
Il déverrouilla la porte et me fit entrer.
Je le sentis me suivre et refermer la porte derrière nous, il faisait noir je ne distinguais rien, puis enfin la lumière jaillie.
Stupéfaction ! La pièce était remplie d'objets de *******, une croix de Saint André un cheval d'arçon munis de chaînes aux 4 angles...
Je sentis mes jambes flageoler elle ne me portaient plus, un petit cri m'échappa.
« N'est pas peur petite chienne tu vas voir on va bien s'amuser tous les deux. »
Il me releva et me fis mettre à poil.
Heureux de voir que je portais mon plug il me félicita, tout en me flattant les fesses de sa main.
« Bien maintenant mets ça ! »
Mon affreux voisin me tendit une guêpière à balconnet, ainsi que de faux seins à placer sur mon torse, pour le bas il m'avait réservé une culotte PVC ouverte à l'entrejambe pour laisser libre l'accès à mon intimité, ajouté à cela des bas autofixants en latex également. Sans oublier une paire d'escarpins aux talons hauts perchés, de pointure 40, mais comment connaissait il ma pointure ?
Je me dépêchais d'enfiler tout ça. Je devais bien admettre que la sensation de cette matière sur mon corps eut un effet immédiat sur mon petit sexe qui commençait à bander.
A la vue de la bosse dans la culotte, Paul me dit :
« Eh bien ma petite chienne il semblerait que tu commences à prendre goûts à nos petits jeux ! »
« Tu vas voir tu vas adorer la suite, ajuste cette perruque sur ta tête ».
Il me tendit un très mignon carré brune du type de celui d'Uma Thurman dans pulp fiction, sauf que là j'étais plutôt fagotée comme l'esclave latex aux prises avec le flic ripoux dans une cave un peu plus loin dans le film.
Là mon maître me fit prendre position sur le cheval d'arçon, me fixa les membres aux liens, je me trouvais ainsi entravée à la merci de tout et de tous !
C'est le moment que choisi Paul pour sortir un caméscope et *** pied.
Il commença à me filmer sous toutes les coutures et s'attardant sur mon visage très reconnaissable malgré la perruque. Je me sentais tellement à sa merci mon image livrée au public quelle *********** !
« Au fait » me dit il.
« Hier j'ai bluffé je n'avais pas branché la Webcam, par contre maintenant on va faire un beau porno avec toi comme actrice principale à toi la gloire à moi l'argent pauvre petite conne naïve ! »
Le sang avait quitté mon visage j'étais livide. Cette fois j'étais perdue, pour sûr mon visage allait se retrouver sur les écrans de nombreux pervers à travers le pays et même dans le monde maintenant avec Internet !
Et les réjouissances allaient commencer.
Paul dégrafa *** pantalon et me présenta sa bite.
« A toi de jouer Sarah suce moi du mieux possible, tout le monde te regardes »
chrislebo

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Je m'appliquais du mieux que je pouvais pour arriver à faire jouir mon tortionnaire. Plus vite il aura joui plus vite je serais libérée de ces liens.
Du moins c'est ce que je croyais.
Je m'appliquais à bien faire le tour du gland avec ma langue agile tout en m'attardant sur le méat, zone érogène par excellence de l'homme.
« Lèches moi les couilles pétasse ! » Me lâcha t'il.
Je m'exécutais sans rechigner, je pouvais même dire que bien qu'étant dans la position d'un viol, je commençais à prendre goût à mon travail de suceuse.
Tiens au fonds de moi je m'exprime au féminin, comme c'est étrange !
« Mais dis-moi petite chienne il semblerait que tu aimes de plus en plus me sucer, tu bandes salope ! »
Je sentis mes joues rougir comment cacher mon excitation elle était évidente aux yeux de Paul.
« Ne t'inquiètes pas ma Sarah tu vas voir, on va bien s'occuper de toi. »
Nous mais de quoi parle t'il ?
Je n'eus pas le temps de trop cogiter car je recevais de longs jets de foutre au fonds de ma gorge. Paul m'appuya sur la tête pour m'obliger à tout avaler.
Je n'eus d'autres choix que de déglutir la semence de mon amant dirigiste.
Je fis une petite grimace qui ne manqua pas d'échapper à Paul.
« N'ais crainte, tu verras tu finiras par aimer le sperme à ***** d'en boire, crois moi c'est comme ta sale pute de mère elle en redemande à chaque fois. Telle mère telle fifille non ? » Paul partit à rire à gorge déployée.
« Paul pourrais-tu me libérer maintenant ? »
« Comment ? »
« Pardon maître, pourriez vous avoir l'obligeance de me libérer s'il vous plait ?
« Pourquoi cela, la soirée ne fait que commencer ma chérie en plus un bon porno dure minimum 1h15 nous n'en sommes qu'aux préliminaires. »
Mal à l'aise sur mes talons hauts je commençais à avoir des crampes dans les jambes.
« Maître s'il vous plait ! »
Sans me répondre Paul, ouvrit la fermeture éclair de mon slip latex et saisis une verge en bois. Sans crier gare, il me fouetta avec ***** sur les fesses et sur mes petites couilles !
Je criais comme une folle !
« Tu peux toujours gueuler tant que tu voudras ici per***ne ne t'entendra »
Je subis ces outrages pendant près de 5 minutes, mes fesses devaient avoir virées au rouge violet, quelle horreur !
Tout d'un coup, j'entendis frapper à la porte de la cave. Je ne pouvais rien voir car j'étais dos à la porte. J'entendis des pas se rapprochant.
« Regardes Sarah, j'amène du renfort. »
Je découvris alors Mamadou et Abdel, deux jeunes racailles du HLM.
Mon dieu quelle horreur, Mamadou est le beau-frère de mon autre voisine de pallier. Je sentis mon cœur cogner fort dans ma poitrine. Ma vie s'écroulait tout à coups.
Mamadou fut le premier à réagir :
« Eh! Bien qui l'eu cru ? Ce petit gars bien discret et toujours bien poli est une belle salope on dirait. Hummm j'ai envi de ton boule de lopsa »
« OK les gars elle est à vous, la caméra tourne faites-vous plaisir et n'oubliez pas que le titre du film c'est La tournante de Sarah dans les caves de la cité.
Mon calvaire ne faisait que débuter.
Le premier à se mettre en action fut Abdel qui en bon queutard avait déjà sorti sa bite de *** survêtement pour me la placer direct dans la bouche, en n'oubliant pas de me traiter comme la dernière des putes de la « casba » en des termes très orduriers.
« Putain, tu avais rai*** Paul elle est bonne suceuse cette pétasse, tu nous as dégoté un sacré sac à foutre, on va bien la remplir cette chérie ! »
Pendant ce temps mamadou ne perdais pas le sien et me doigtait le cul, avec violence, un doigt puis deux, pour finir avec quatre doigts dans l'anus, je me félicitais d'avoir portée mon plug, pendant plusieurs heures, malgré ça la douleur était importante.
Du coin de l'œil je voyais Paul qui utilisait au mieux la caméra pour choisir les angles de prises de vues les plus avilissantes et « pornos » possible.
Je perdais la notion du temps et je n'entendais plus mes assaillants parler, j'étais dans un état second à la merci de ces trois hommes, incapable de réagir, je me laissais violer telle une simple poupée de chiffon, je devrais plutôt dire telle une poupée gonflable. Je n'étais d'ailleurs rien d'autre pour mes voisins de HLM en cet instant !
Mais d'un coup une douleur violente me fit réagir, j'étouffais un cri, du fait que la bite d'Abdel me remplissait la bouche, je faillis tomber dans les pommes.
Je compris que Mamadou venait de me pénétrer l'anus d'un coup jusqu'à la garde, j'avais l'impression que me sphincter se déchirait sous les coups de butoir de mon baiseur, je pouvais sentir ses grosses couilles battre mon cul en cadence !
« Encore meilleur que ta pute de mère ! Il faut dire que toi tu es étroite du cul tu n'as pas déjà été ramonée par tout l'étage, comme la salope qui te sert de mère »
Je n'en revenais pas de cette révélation, bluffait-il ? Ma mère avait-elle vraiment couchée avec tous les mecs de notre étage ? J'étais en état de choc.
C'est ainsi totalement résigné et incapable de réagir que je reçus le sperme d'Abdel au fonds la gorge de longs « jets » de sperme, qui débordait de la bouche tellement il éjaculait abondamment.
Quelques minutes plus tard ce fut le tour de Mamadou qui grogna de bonheur tout en me remplissant le cul de sa semence. Je ne mis pas longtemps à sentir un mélange de sperme mêlé à du sang qui coulait sur mes couilles et le long de mes jambes.
« Regardez les gars, elle a ses règles cette pouffiasse » Fit Paul en rigolant.
« C'est dans la boite mais pour bien faire, il me faudrait une autre séquence pour compléter cette cassette, dis moi Abdel c'est pas ton frère qui élève des pitbull ? »
« Oui c'est vrai, il doit d'ailleurs passer avec le mâle dominant de la meute qu'il ne peut pas garder dans *** chenil, il attaque tous les autres. Je dois m'en occuper en attendant le prochain combat de chiens qui aura lieu le mois prochain. »
C'est alors avec une peur viscérale que je vis l'œil de Paul s'éclairer d'une lueur démoniaque et lubrique à la fois
chrislebo

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Les mamans de l'école primaire



Comment expliquer mon attirance pour les femmes mariées, et en particulier mon désire pour les mères de famille : peux on y voire une forme d oedipe, une névrose, une perversion innée ?

Rien ne vaux le récit de mes aventure libidineuse pour mieux vous faire comprendre la nature de ma perversion, a commencer par ce que je suis en train de faire actuellement : et oui ! je vous le donne en mille je baise une maman, et pas n importe laquelle d'ailleurs, puisque il s agit de la femme de mon petit frère : a quatre pattes sur le lit conjugale comme je le lui ai ordonnée, sa jupe troussée, ainsi que *** string en dentelle mauve baissée a mi jambe, je la besogne fermement par derrière, faisant grincer le sommier, claquant mon ventre ferme et musclé contre ces fesse potelée :


- alors Marie, tu aime toujours autant te faire monter par ton beaux frère ?


Elle ne peux que répondre par un vague grognement toutes a *** plaisir adultère :


- pas la peine de repondre ma salope, tu mouille comme une vraie fontaine, mes couille en ***t toutes poisseuses, tient prend ça dans ton cul ma cochonne !


et de lui mettre un bon coup de rein qui la fait râler plus fort, et frémir de tous *** corps. Pour faire bonne mesure je lui gifle *** gros joufflu lui faisant pousser un petit cri de douleurs surprise :


- mais c est qu on a pris du poids depuis l accouchement ma grosse !!!


Elle n est pas spécialement belle, avec un corps sans relief quoi que doté d un cul un peux plus rebondi que la moyenne. Ce qui m avais surtout excité chez elle, outre le fait qu elle soit la femme de mon frère, c est *** coté pincée et rai***nable issue de *** éducation : de confession chrétienne, elle considérais le mariage comme un engagement sacrée, qu on devais chérir pour la vie, croyant au vertus de la fidélité et autre faribole.... bref je m étais fait un plaisir de la séduire dans le dos de mon frère, réveillant ses pulsion de femme réprimée par les cours de catéchisme de *** enfance, elle c étais alors montrée veule et soumise.


Je me souvient parfaitement de sa première infidélité : cela c étais passé dans *** appartement, alors que j avais envoyer *** mari faire une course inutile au supermarché du coin. Je l' avais coincé par derrière contre la table du salon, lui troussant sa robe d une main et serrant méchamment sa gorge de l autre, la forçant a courber ses reins et baisser elle même sa culotte avant de l enfiler.

Je lui avais fait dire sous la contrainte de ma main serrant sa gorge que désormais elle serait ma salope a moi, avant d être une épouse pour *** mari. Elle c étais soumise avec une langeur et un plaisir qu elle avait réprimée en se mordant les lèvres, pour étouffer les cris de jouissance qui montait en elle, et aujourd hui :


-allez remue moi un peux tous ça, bouge ton gros derrière que je sente bien mon pieux te ramoner, petite salope....


Et oui, je fait d elle ce que je veux bien quelle soit la femme de mon frère, elle m obéit au doigt et a l oeil soumise a mon bon plaisir, contrairement a *** mari : selon mes directives, elle n a plus de relation sexuelle avec lui, je lui permet seulement de le masturber lorsqu ils ***t au lit, mais *** cul *** sexe et sa bouche me ***t réservé.

Lorsqu je m invite chez eux alors que mon frère est au travail, elle doit me recevoir comme *** véritable maris, et m embrasser comme une femme aimante, bien quelle me craigne et me déteste, tous en me désirant. Elle a adoptée une attitude de plus en plus hautaine avec *** maris, reportant sur lui *** *********** de soumise.


Entre moi et mon petit frère Daniel, il en a toujours été ainsi : une rivalité dont je suis toujours sortis vainqueurs, et ce depuis le tous débuts. Enfant j avais déjà la préférence de ma mère, *** 1er enfant sur qui elle avais concentrée toutes *** affection, considérant mon frère venus au monde 3 années plus tard comme une erreurs.

J étais le plus beau beau, le plus vigoureux, le plus volontaire, la préférence que me donna ma mère creusa encore l écart entre lui et moi ; il devins de plus en plus renfermé, alors que moi je m épanouissait, conscient de ma supériorité.

chrislebo

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Plus tard, que se soit au collège ou au lycée, j étais non seulement bien meilleurs éleve que lui, mais j avais aussi beaucoup plus de réussite que lui avec les filles.

Quant par chance, il arrivais a nouer une idylle romantique avec une de ces amies, je n avais aucun mal a la séduire pour la lui fauchée sous le nez, et ensuite lui raconter avec délectation et ***** détaille toutes les cochonnerie que j avais pue faire avec sa tendre amie, a telle point qu il n osa plus me présentée ces connaissances féminine de peurs que je les lui fauche.

Ainsi pour l anniversaire de ces 17 ans, il avais invité sa petite amies du moment, une charmante rouquine trop belle pour lui qu il connaissait depuis l enfance : je m étais alors permis de la dépuceler dans sa propre chambre pour le remettre a sa place. Quant il nous découvrit en pleine action, alors que je baisait sa copine en levrette, *** aire surpris et effondré déclencha instantanément mon éjaculation dans le sexe de sa petite amie qu il considérais alors comme sa futur épouse.


Finalement il rencontra une femme qui consente a l épouser, ayant bien pris soin de la choisirez dans un milieux qui m étais étranger - elle faisait partie de la même association caritative que lui - afin d être sure que je ne la lui faucherait pas.

Après 1ans d un heureux mariage, j avais fait de sa femme mon jouet sexuelle, usant et abusant d elle dès que j en avais l occasion.

Arriva alors se qui devais arriver : elle tomba en ceinte de moi, ce n étais d ailleurs pas vraiment un hasards, car j avais calculer mon coup pour être sure de lui faire un enfant, allant j jusqu a remplacer dans *** dos ces pilules contraceptive par des placebo.

Désormais, un de mes grand plaisir est de l asticoter sur cette preuve vivante de *** infidélité, tous en la baisant chez elle :


- alors, espèce d ignoble salope, comment se porte le môme ? l enfant qu on a fait sur le dos de ton maris ! j espère que vous vous montrez digne de *** éducation, après tous il vient de mes couilles, tu devrais me remercier salope : grâce a moi tu a un belle enfant fort et vigoureux, alors que mon frère t aurait sûrement fait un beaux gâchis, a l image de sa vie de se loser!

Tous en ponctuant mes phrase de coup de bite, je gifle *** cul en cadence,


- alors tu n a rien a dire salope d infidèle ?


Toutes a *** plaisir, elle hurle sa jouissance alors que ma 1ère décharge de sperme vient taper contre sa matrice : l' évocation de notre fils èléctrise systèmatiquement ma bite, et elle aussi n est pas indifférentes a l' idée que *** fils est de moi.

Cette situation m'excite a telle point, que lorsqu je voix le 'père' et le fils réunis, je sens une érection monter en moi a l idée des perspectives d *********** possible : a sa majorité j' ai prévu d' apprendre a Alex que je suis *** vrais géniteur preuve consanguine a l' appuie, et ceci en présence de *** père et de sa mère. J imagine d ici la tête que fera mon frère quant il réaliseras que même en tant que maris et père, je l ai ridiculisé devant sa famille.


Affalé contre le lit, le cul relevée et la tète enfouie dans l oreiller, ma belle soeur reprend ces esprit alors que j' essuie ma bite sur les draps du lit. Elle trouve la ***** de se rebeller pour me traiter de salop et me demander pour la énième fois de la laisser tranquille, j' en rigole un bon coup avant de lui lancer :


- je suis peut être un salop, mais tu ne vaux pas mieux que moi : il a suffit que j évoque ton fils pour te faire jouire comme une truie, et dire que tu est ma belle soeur!


Rougissante de honte elle abandonne la partie résignée, puis se tournant vers le réveille elle constate qu il est justement l heure d aller chercher *** fils qui est en classe de CP.

Se redressant sur le lit, elle me demande :


- va donc chercher Alex a l école


- tu veux que j aille chercher mon fils a l école ?


Elle comprend que je veux l entendre dire de sa bouche :


- oui! va donc chercher ton fils a l' école, espèce d' ignoble salop !


Je lui répond avec un sourire au lèvre :


-mais avec plaisir ma petite salope, après tous c est se que font tous les père de famille attentionné non ?


Avant de partir, je saisie *** string (je lui en offre régulièrement pour qu elle les portes spécialement pour moi) sur le lit, et lui essuie l entrejambe avec avant de le glisser dans ma poche :


- tu connais mon péché pignon ma belle(et oui, je suis aussi un grand fetichiste...)

Je quitte alors l' appartement pour partir en direction de l école
chrislebo

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Esclave de ma femme et *** amant

Je suis un homme de 42 ans, je suis gros, bien gras avec une petite bite et un gros cul. Il faut dire que quand je lui faisais l'amour, je la traitais de vide-couilles, et que j'aimais l'enculer à sec. Il y a deux ans, ma femme a décidé que je n'étais plus baisable et m'interdit donc toutes relations sexuelles. J'ai donc le droit de rester mais uniquement pour lui servir de soubrette et de défouloire. Elle prend beaucoup de plaisirs à m'humilier et à me faire souffrir. Le gros tas que je suis doit être puni en permanence à cause du gras que je possède et ************ doit être le quotidien des gros tas à p'tite bite me dit elle tous les jours. De plus, puisque mes attributs sexuels ***t tellement dégoûtant, il ne peuvent servir pour le plaisir d'une femme et doivent donc être torturés tellement ils ***t laids. Elle ajoute que, bien entendu mes couilles, ma bite et mon trou du cul devront souffrir en priorité.

Cela fait deux ans maintenant que je lui sert de serpillère. Au début, elle m'a juste privé de sexe. La frustration fut difficile mais excitante et je me masturbais tout le temps. Le soir elle rentrait fatiguée et je devais lui préparer à manger. Elle m'autorisait à lui caresser les pieds pour la détendre. Ceci provoquait chez moi une érection systématique et je devais me cacher dans les toilettes après pour me masturber. Un soir elle rentra plus tôt et j'étais dans la salle de bain en train de me branler. Elle ouvrit la porte et me trouva entièrement nu, le gras du bide pendouillant, à quatre pattes sur le tapis, la main sur la bite qui astiquait. Je lui tournais le dos, et le spectacle que je lui offrais était celui de mon gros cul écarté, les couilles pendantes et ma main droite à l'ouvrage. Je fus couvert d'insultes, le premier coup de pied partit et atteignit directement mes couilles. La douleur fut énorme, je m'effondrais au sol en essayant de protéger mes parties, elle me traitait de gros porc dégueulasse, de tas de graisse répugnant. Le deuxième coup de pied toucha la raie de mes fesses et l'impact eut lieu directement sur l'anus, la douleur fut aussi très violente. J'étais prostré au sol et elle continuait à m'insulter. Elle me fit relever en me tirant les cheveux et me traina à quatre pattes jusqu'au salon en prononçant toutes les choses dégradantes qu'elle pouvait imaginé: j'étais mort de honte! Elle me giffla à plusieurs reprise et me dit alors qu'elle m'interdisait de me branler, d'éjaculer et de bander. Se rendant compte immédiatement qu'elle ne pourrait pas me contrôler, elle m'ordonna de me connecter sur un site d'articles sexuels et de chercher les ceintures de chasteté. Elle prit *** temps pour choisir et m'ordonna de commander et de payer une cage de chasteté qui maintenait ma queue en position de repos, empêchant ainsi tout érection et toute masturbation, et forçant mes couilles à être écartées le plus possible. Le système se fermait avec un cadenas dont elle garderait la clef. Elle indiqua elle même la taille de l'article: la plus petite existante. Je dûes payer moi même l'objet en question. En attendant la livrai***, je fût obligé de vivre nu à la mai***, de façon à ce qu'elle puisse surveiller l'état de ma bite en permanence et je n'avais pas le droit de rester seul dans une pièce pour que je ne touche pas. Même pour faire mes besoins elle me surveillait, en profitant pour m'innonder de commentaires insultants sur mon odeur. La nuit elle m'attacha les mains dans le dos pour être sûre que je ne me touchais pas. Deux jours plus tard, le produit fut livré. Elle s'empressa de l'installer. Histoire de m'humilier, elle enfila des gants de chirurgien pour toucher ma « nouille ». Le logement pour la verge était vraiment étroit et je dûes m'y reprendre à plusieurs fois pour l'enfiler. Puis elle saisie mes testicules et tira violemment dessus pour fixer la barre de maintien. Elle attacha le cadenas. Elle rigolait et me trouvais ridicule. Pour vérifier l'efficacité du produit elle se déshabilla entièrement. Cela faisait deux ans qu'elle ne s'était pas mise nue devant moi. Elle se tourna dans tous les sens en me montrant de près les poils de sa chatte, ses nichons, la raie de *** cul en me disant:

Alors, ça te fais envie gros porc, ça t'excite? Tu peux même plus bander hein, gros tas de merde.

Elle se tourna et écarta ses fesses:

Aller, renifle! Ça pue, t'aime ça, hein!

Ma queue essayait de gonfler mais la coquille m'en empêchait. La douleur était atroce, j'avais mal à la bite. Impossible de se secouer la nouille. Je voulais la prendre, je voulais m'astiquer, je voulais juter mais impossible! Elle cria:

Quel pied! Pendant toutes ces années où tu m'as prises, sans me demander mon avis, où tu m'as ****** le cul alors que j'aimais pas ça, où tu t'es soulager dans ma bouche, où je n'ai été qu'un vide-couilles! Alors maintenant je vais te priver de soulagement sale porc! Elle me cracha dessus.

Voilà , je ne pouvait plus me masturber et elle allait en profiter un maximum. A partir de ce jour, elle me traita vraiment comme une merde qui devait lui obéir.

Elle me dressa la liste de ce que je devais faire: le ménage: en particulier les WC qui devaient toujours être niquel! Quant elle chiait, elle ne passait jamais la brosse et ne tirait pas la chasse. A la place de la brosse, elle estimait que mes ongles était parfait pour ça. Elle me forçait à nettoyer après chacun de ses passages et en général m'obligeait à rester le nez au dessus de la cuvette pendant plusieurs minutes avant de m'autoriser à nettoyer. Les WC lui étaient réservé et m'étaient complètement interdit d'utilisation. Le reste de la mai*** devait être toujours propre. Pour mes besoins elle décidait de où et de quand.

La cuisine: je devais me nettoyer les mains avec une brosse très dure avant chaque préparation. Moi je n'avais droit qu'à ses restes dans la gamelle du chien où elle jetait touts ses restes et crachait dedans. Quelque fois, elle urinait dans la gamelle avant de me servir. Je devais bien entendu la finir jusqu'à la dernière miette.

La lessive: je devais nettoyer, repasser et ranger tout ses vêtements mais avec des gants car j'étais sale. Mes vêtements étaient limités à une seule tenue pour aller travailler. Tous le reste fût jeter. Plus de slips ni de chaussettes. Il me restait un pantalon, une chemise, une paire de chaussure qu'elle acheta deux pointure en dessous de ma taille pour que je souffre le plus possible. Le reste du temps je devais être à poil. Je ne pouvais nettoyer mes vêtements que quand elle me le disait et à la main.

Je n'avais plus le droit au lit conjugal et je dormais par terre devant la porte de la chambre, entièrement nu bien entendu. Je fus raser autour de mon sexe ridicule et dans la raie des fesses. Je devais aller au travail tous les jours avec mes chaussures trop petites. A la fin de la première semaine elle m'a dit de venir devant *** bureau. Elle avait préparer des courriers que je devais recopier et signer. Le premier était un contrat dans lequel je signais que j'approuvais d'être en totale soumission à ma femme et que j'acceptais de faire absolument tout ce quel me demandais. Le second était un courrier où je reconnaissait avoir tripoté sa petite nièce Audrey qui avait douze ans en donnant des détails de ce que j'étais censé lui avoir fait subir (doigt dans l'anus, fellation) et elle ajouta des photos polaroids de sa nièce qu'elle avait photographiée nue dans les vestiaires de la piscine. Elle rajouta:

10 ans que je supporte ta graisse, maintenant tu vas en prendre plein le cul et tu ne peux même pas refuser, gros tas de merde!

Le troisième était un courrier comme quoi puisque j'étais impuissant, j'autorisais ma femme à avoir toutes les relations sexuelles qu'elle voulait avec qui elle voulait et que c'est volontairement que je renonçait à toute relation sexuelle avec elle. Le dernier était une lettre à mon banquier où j'ordonnais le virement de mon salaire sur le compte de ma femme tous les mois. Elle me tenait par les couilles. Elle me précisa que: comme je l'avais fais souffrir pendant dix ans, j'allais souffrir au moins autant et que par conséquent je serais corrigé tous les jours au martinet et que je devais trouver ça normal et la remercier à chaque coup que je recevrais et en réclamer d'autres. Je devais bien entendu l'appeler Maîtresse. Elle me demanda de commander sur un internet des gods de gros calibres pour que je comprenne à quel point la sodomie était un grand plaisir ainsi qu'un plug pour que le plaisir soit permanent. Le surlendemain, le colis était là et moi j'étais allonger sur le ventre sur la table basse, les pieds et les mains attachés à chaque pied de la table. Elle mit des gants de chirurgien m'écarta mes grosses fesses et essaya de m'enculer avec *** gros god. Cele ne voulais pas rentrer. Elle dit:

Tu ne m'as jamais lubrifier le cul avant de m'enculer, tu disait que tu jutais plus fort quand tu m'enculais à sec! Alors ça va rentrer à sec!

Elle posa le god à l'entrer de mon trou du cul et sans le lâcher elle se retourna et s'assis dessus. Le god força le passage et me défonça littéralement le cul. J'ai crû que mon cul allait explosé, la douleur fût horrible, j'hurlais. Elle m'attrapa par les cheveux et me dit:

Alors? Tu vas juter plus fort, gros tas de merde?

chrislebo

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Elle m'astiqua le trou du cul pendant vint minutes sans s'arrêter. Je risquais pas de bander entre le douleur et la coquille. Elle ajouta:

C'est trop fatigant, je vais trouver une autre solution.

Elle me mit le plug dans le cul avc interdiction de l'enlever, je devais le porter tout le temps et surtout dans la journée en plus de la coquille. J'avais l'impression d'avoir une grosse crotte dans le cul que je n'avais pas le droit de chier. Pour faire mes besoins je devais la supplier de m'autoriser. Comme elle ne voulais pas que j'utilise les toilettes ni que je salisse le jardin. Elle me faisait patienter plusieurs heures avec mes envies d'uriner ou de déféquer. Quand l'envie était trop forte et que je me tortillais par terre à poil avec mon plug et ma coquille, elle prenait le collier et laisse du chien qu'elle m'obligeait à mettre et elle m'emmenait dans la rue à quatre pattes et à poil. Quand elle avait trouver un endroit qui lui plaisait (souvent un lampadaire entouré de crottes de chiens et recouvert d'urine de chiens) elle m'obligeait à renifler les crottes et l'urine par terre puis me disait de retirer le plug de mon cul, de le nettoyer en le lèchant et ensuite de chier au milieu des crottes de chiens sans uriner, ce qui était très difficile. Mais après quelques bons coups de pieds dans les couilles j'ai appris à chier sans uriner. Une fois terminé, elle me disait de remettre le plug sans me torché. Ensuite elle m'emmène dans des coins à orties où je devais entrer à quatre pattes, cuisses bien écartées et où je peux uriner en m'aspergeant le plus possible. Une fois fini nous pouvions rentrer à la mai*** toujours dans la même position. Là, bien entendu, j'étais fortement corrigé parce que je sentais mauvais. Ma toilette était faite au jet d'eau froide et à la brosse en chiendent. La raie de mes fesses et mes couilles étaient récurés dans la douleur.

Après trois mois de ce traitement, ma femme me dit un soir qu'elle sortait. Elle m'attacha sur la table basse le cul en l'air et me fouetta longuement le cul et les couilles. A vingt heure elle sortit et ne rentra qu'à deux heures du matin. J'étais toujours attaché. Elle n'étais pas seule. Elle entra dans le salon et dit:

Je te présente mon gros tas de merde de mari. Comme tu peux le voir c'est une vrai lopette. Je le garde pour me défouler et pour qu'il me refile sa paye.

Un homme répondit:

Et tu t'es fais mettre par un gros tas pareil? Avec une bite aussi ridicule?

Oui, mais maintenant c'est fini et j'en profite bien! Je trouve aussi sa nouille ridicule mais comment est la tienne?

L'homme baissa *** pantalon, puis *** slip. *** engin état énorme. Ma femme s'écria:

Voilà ce que j'appelle une bite! Je peux toucher?

Avant même que l'homme est répondu, ma femme tenait le sexe dans ses mains. Elle le manipulait dans tous les sens et *** autre main caressait les grosses couilles de l'homme. L'homme lui dit:

Tu es une gourmande?

Oui, je n'ai pas baisé depuis deux ans à cause de ce gros porc. Mais je vais me rattraper.

Elle avala littéralement le sexe de l'homme qui avait triplé de volume. Elle qui avait horreur de me sucer avant. Je n'osais pas parler de peur des représailles. Ma nouille était enfermée depuis trois mois et mes couilles recevais des coups tous les jours.

L'homme bandait comme un âne. Je n'avais jamais vu ma femme comme ça. Elle suçait d'une ***** incroyable. L'homme lui arracha chemise et jupe. Ils étaient assis sur le canapé. Elle finit de le déshabiller. Avant de la mettre à poil il lui demanda:

Tu veux qu'on aille dans un endroit plus tranquille?

Non, je veux qu'il voit ta grosse bite dans ma chatte? C'est bon qu'il voit ce à quoi il n'aura plus jamais droit. D'ailleurs s'il essaye de ne pas regarder tape lui sur les couilles.

C'est très douloureux tu ne croies pas?

Sûrement, mais ça lui fait le plus grand bien.

D'accord!

Je ne pouvais même pas éviter de regarder. Il lui enleva *** soutien-gorge et sa culotte. La chatte de ma femme était totalement ouverte, dégoulinante. Elle se releva et s'assit sur le sexe de l'homme. Ma tête était située juste devant l'homme assis, ses couilles à hauteur de mes yeux. Je vis les fesses de ma femme s'approcher de l'énorme gland. Plus elle s'accroupissait, pus ses fesses s'écartaient, je reconnu l'odeur si particulière de *** anus. Ma nouille se mit à bander, mais la douleur de la coquille me rappela à l'ordre. Je n'avais jamais vu ma femme avec une telle envie de baiser. J'avais envie d'elle et malgré la douleur de la coquille, ma nouille continuait à essayer de bander. L'énorme gland pénétra le sexe de ma femme. Elle cria, comme si *** premier orgasme fût instantané:

Que c'est bon!!!!!!!!!!

Toujours accroupie sur l'homme, elle astiquait le sexe de l'homme en remuant *** cul frénétiquement. A chaque pénétration elle hurlait, sa chatte dégoulinait abondemment. Ma femme sentait vraiment fort de la raie et l'odeur de sa mouille venait se rajouter. Il lui dit:

A quatre pattes!

Elle se retira, lécha l'énorme bite et se mis à quatre pattes en haletant:

Oui!!! Prend moi comme un chienne...

Ma femme était là devant moi à quatre pattes, telle une chienne. Je n'en pouvait plus! Il lui dit:

T'es une vrai salope!

Il lui fessa le cul. Elle gémit fortement. Il la repénétra en continuant de lui fesser le cul, elle hurla de nouveau. Elle avait un nouvel orgasme provoqué par la fessée. Elle cria:

Oui!!!!!!!! Tape sur mon gros cul de salope! Vas-y!

Il lui saisie les nichons et lui tortilla dans tous les sens tout en l'astiquant à fond et en lui tapant sur le cul. Elle hurlait de plus en plus fort. Il la traitait comme une chienne et elle adorait ça. Il lui dit:

T'es vraiment une sale chienne, en plus tu sens de la raie, tu vas me faire juter! J'ai pas de capote!

Tu n'as qu'a te retirer et juter dans la raie de mon cul.

Elle n'avait pas finit sa phrase que l'homme retirait sa grosse bite et la plaçait dans la raie de *** cul en jutant de longues giclées puissantes. La raie du cul de ma femme était remplie de jute. Il dit:

T'as une serviette pour que je t'essuie?

Non! j'ai mieux!

Elle laissa glisser ses genoux du canapé et se retrouva à quatre pattes par terre, le cul à auteur de ma tête. Elle m'ordonna:

Lèche gros tas de merde et avale bien tout gros porc.

Elle approcha *** cul de ma bouche en disant:

Vas-y! Je suis sûr que tu vas aimer le goût de mon trou du cul et de la jute d'homme, grosse pédale! Sinon, je dis à un vrai homme de t'exploser les couilles.

Tu penses que ton mari est une pédale?

Non, je pense qu'il a horreur de ça mais je pense aussi que c'est moi qui décide pour lui.

Ca me donne une idée...

Je m'executais, je lèchais toute la quantité de sperme répandue dans la raie de ses fesses, et j'avalais consciencieusement toute la jute. C'était dégoutant et j'avais envie de vomir. Ma nouille n'en pouvait plus.

Maintenant, ils étaient assis sur le canapé et il lui parlait à l'oreille. Ils s'embrassaient, elle lui caressait doucement le dessous des couilles pendant qu'il manipulait ses nichons avec douceur. Elle rigolait de plus en plus et finit par dire:

C'est une super idée!
chrislebo

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#9,566
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Ils partirent dans la salle de bain. L'homme prit *** téléphone et composa un numéro en partant. J'entendis la douche coulée et leurs rires pas discrets. J'étais toujours entravé sur la table basse. Près de trente minutes plus tard quelqu'un frappa à la porte. Ma femme, toujours à poil, alla ouvrir la porte. Une voix d'homme me parvint. Un homme gros entra dans la pièce. Il fixa les yeux sur moi et eut un large sourire. L'homme etait petit, très gras, et avait l'air très sale. Ma femme s'approcha de moi et me saisit par les cheveux en me disant:

Alors gros porc! T'adore le sexe et ça te manque? Et bien tu vas en avoir du sexe mais pas comme tu aimes. Tu disais assez souvent que tu aimais pas les PD que ça te dégoutait. Moi j'ai envie que tu sois humilier complètement, j'ai envie que tu saches ce que c'est d'être enculé à sec, j'ai envie de te voir pris par autre homme aussi dégoutant que toi!

Non Maitresse pas ça!

Mon insolence fut récompensé par une bonne claque sur les couilles. Elle se retourna vers l'homme gros et lui dit:

Alors, il paraît que tu aimes le cul des hommes, alors profites-en, tu peux lui faire tout ce que tu veux, il est là pour être utiliser!

Tout ce que je veux???

Oui, défoule toi sur lui, il t'es entièrement offert...

Je peux le prendre et le faire souffrir?

Autant que tu veux! Et tu pourras revenir régulièrement, mon mari a bien le droit à une sexualité aussi...

Elle éclata de rire. Ma femme et *** amant s'installèrent sur le canapé pour profiter du spectacle tout en continuant de s'embrasser et de se tripoter. Le gros se déshabilla rapidement. Il était très gras, *** ventre pendait et il avait une bonne grosse bite et deux belles couilles. Il s'approcha de moi. Il me souleva la tête en me tirant par les cheveux et me mit un grande gifle à travers la figure en me disant:


Hum!!! Que je vais me régaler mon gros!

Il sentait la sueur, l'urine et le vin. Il contourna la table et vint se placer derrière moi. Il me tripota les fesses en les malaxant puis commença a écarter mes deux énormes globes. Il vit mon plug dans le cul et dit:

Je vois que tu aimes ça, tant mieux je n'aurais pas besoin de me retenir, je pourrait ****** autant que je veux...

Il retira le plug et m'enfila deux doigts dans le cul sans ménagement. Il me fouillait littéralement le cul. Plus que la douleur c'était la honte et le dégout qui me tenaient. Il me saisit les couilles et les malaxa fortement. La douleur fut vive. Il regarda ma femme et dit:

Elle est ridicule sa bite! Vous avez bien fait de l'empêcher de s'en servir. Quand on a une bite si petite c'est normal qu'on vous empêche de l'utiliser!

Ma femme éclata de rire pendant que *** amant lui tripotait la chatte et la raie du cul. Le gros refit le tour de la table, prit une chaise et vint s'asseoir devant moi, sa bite, qui avait grossie et durcie, à hauteur de ma tête. Il me souleva la tête en me tirant les cheveux et m'enfourna sa bite dans la bouche. Sa bite puait l'urine. Il ne s'était sûrement pas lavé depuis plusieurs semaines. Ma femme gémissait tout ce qu'elle savait en disant:

Putain que c'est bon! Regarde cette lopette sucer une bite! Oh quel pied! Lèche moi!

*** amant se mit à la lècher, lui bouffant la chatte et le cul pendant qu'elle me regardait sucer. Le gros s'astiquait à fond dans ma bouche. Sa bite était bien dure et s'enfonçait jusqu'à la glotte. Il attrapa le martinet par terre et commença le traitement de mon cul tout en continuant à se faire pomper. Il fit durer le plaisir plus de dix minutes. Mon cul était en feu. Il se retira et fit le tour de la table, il écarta mes fesses et m'enfila sa grosse bite de ***** dans le cul. Il me dit:

Je préfère à sec, je bande mieux!

Ma femme eut un orgasme en entendant ces mots et hurla:

Vas-y! Défonce le à sec ce gros tas de merde!

Le gros m'explosa le trou du cul. Et se mit à m'astiquer à fond. Il passa la main sous la table, attrapa mes couilles et les tira très fort en les tordant. J'hurlais! Ma femme s'approcha de moi et me dit:

Maintenant, voilà ce que tu vas vivre au quotidien. Tu regarderas ce à quoi tu n'as plus droit pendant que tu seras obligé de faire ce que tu ne veux pas!

Elle repris sa position de chienne et *** amant l'enfila immédiatement. Pendant qu'il l'astiquait et que le gros me défonçait le cul, elle me disait:

Alors c'est bon d'être le vide couilles?

Le gros n'avait pas lâché mes couilles qui me faisaient énormément souffrir. Il cria:

Ca vient!!!

chrislebo

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#9,567
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Je sentis de grandes giclèes dans mon cul! Il bandait à fond et était vraiment au fond de mon cul.

Ma femme hurla de plaisir, *** amant gicla sur *** dos et sur ses fesses. Elle me dit:

Maintenant t'es vraiment un vide couilles et un PD! Tu es vraiment un sous-merde!

Elle lècha avec plaisir le sexe de *** amant. Le gros fit de nouveau le tour de la table, me fourra sa bite dans la bouche et me dit:

Nettoie ça comme il faut, elle est pleine de merde et de jute! Prend ton temps nettoie bien et avale bien tout.

Il resta longtemps dans ma bouche et je m'appliquais à nettoyer. Sa bite se ramolie au bout de cinq minutes. Il dit:

J'ai envie de pisser, où ***t les chiottes?

Ma femmes lui répondit:

Tu as la bite dans un urinoire, profites-en! Et si il y en a une goutte qui déborde, brise lui les couilles!

Il se déversa dans ma bouche, j'avalais le plus vite possible en pensant à mes couilles et je réussie à ne rien laissé débordé. J'avais la nausée, je me dégoutait, mais je voulais de plus en plus obéir à ma femme. *** amant essuya le sperme sur les fesses de ma femme avec un mouchoir et essuya le mouchoir sur ma gueule en prenant soin de bien en étaler partout. Le gros demanda à ma femme:

Je peux jouer encore un peu avec!

Bien sûr! Tant que tu veux!

Le gros me détacha et me fit mettre accroupit devant les autres, le cul vers eux. Il dit à ma femme:

Je vais lui mascagner le trou cul pour qu'il comprenne bien, et aussi parce que j'en ai envie.

Il me mit un grand coup de pied dans l'anus qui me fit tomber au sol. Il me releva par les cheveux et dit:

Tu ne dois pas bouger, sinon c'est la même chose dans les couilles.

Au deuxième coup j'acceptais la douleur et je ne tombais pas. En tout il me mit dix coups dans le trou du cul. Je ne pouvais même pas le toucher tellement la douleur était forte. Il me fit retourné, me giffla et me dit:

C'est bien! Ta femme à dit que tu devais tout accepter!

Ma femme riait, elle me dit:

Tu ne peux rien refuser sinon j'envoie le courrier et les photos au sujet de ma nièce à ses parents. C'est ce que tu veux?

Non!

Alors tu as aimé tous ce qu'on t'as fais?

Oui Maitresse!

On peut te le refaire quand on veut?

Oui Maitresse!

Qu'est ce que tu es?

Une sous-merde, un gros porc, un gros tas de merde, un PD et un vide couilles!

Bien! Alors ton amant a été gentil avec toi, il t'a bien enculé et défoncé le cul, et il t'a pas brisé les couilles parce que tu as bien obéis?

Oui Maitresse!

Bien alors je veux qu'il te donne cinq grands coups de pieds dans les couilles!

Mais Maitresse.....

DIX! Et tu l'appellera chéri!

Oui Maitresse!

Le gros me fit mettre à quatre pattes au milieu de la pièces, jambes écartées et couilles pendantes, le cul vers les spectateurs. Le gros visa bien et m'explosa les couilles d'un coup de pied, j'hurlais de douleur et dit:

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

Ma femme était aux anges, elle me dit:

C'est bien gros porc! Allez va lécher le cul de ton chéri!

Le gros se tourna et écarta *** énorme cul. Il avait des traces de merdes plein la raie du cul. Je le lèchais consciencieusement. Ma femme s'approcha de moi et me dit:

Comme tu a été une bonne lopette obéissante, je vais t'autoriser à juter, mais avec quelques conditions. Tu devras te masturber devant nous trois, au bord de la table basse, les couilles posées sur le bord de la table. Tu auras 60 secondes pour juter sur la table,mais attention tu ne devras pas jouir avant les 60 secondes, ni après. La première giclèe devra sortir à 60 seconde pile. Si tu jutes avant: dix coups de pieds dans les couilles. Si tu n'as pas juté à la 60ème seconde: dix coups de pieds dans les couilles. Pour te faire plaisir je te caresserais les couilles avec mes orteilles. Allez au boulot!

Elle m'enleva la coquille et je me mis en position. Elle regarda sa montre et mis le pied sur la table. Elle cria:

Go! Allez vas-y mon gros porc tu peux y arriver!

Ses orteils entrèrent en contact avec mes couilles. Ma femme ne m'avait pas touchée depuis plus de deux ans. Je fus très touché de cette attention et je me mis à bander immédiatement. Elle comptait toutes les cinq secondes.Au bout de trentes secondes j'avais déjà envie de juter. Je lâchai ma queue pour ne pas jouir tout de suite. Ma femme arrêta ses caresses sur mes couilles et appuya très fort dessus en me disant:

Tu ne dois pas arrêter de t'astiquer!

Je repris le mouvement et elle repris ses caresses. Elle continuait de compter, je faisais tout pour me retenir. Les quinzes dernières secondes furent horrible et elle décomptait à la seconde en disant:

14, allez vas-y mon bon toutou,13, tu vas y arriver, 12, t'es un bon chienchien,11,....

A la 60ème seconde je laissait toute la sauce partir. Il y eut de longues giclèes sur la table basse. Ma femme m'écrasa les couilles avec *** pied et s'exclama:

Regarde moi cette pédale qu'on peut dresser comme un petit chien! Je te les presses bien car t'es peut-être pas prêt de rejuter gros tas! Allez t'arrête pas d'astiquer, je veux les vider!

Elle pressait de plus en plus fort et j'astiquait alors que plus rien ne sortait. Elle me fit continuer pendant une minute puis m'ordonna de me lâcher et enleva *** pied. Elle me dit:

Allez nettoyes maintenant, lèches moi tout ça et avale bien!

Je lèchais et avalais mon propre sperme. Ma bite débanda vite. Ma femme me remit ma coquille. Le gros excité par ma prestation dit:

Oh c'était joli ça! Ca me donne envie. Allez tourne toi!

Il me prit comme une chienne et se vida les couilles pendant que femme rebaisait avec *** amant. A la fin le gros partit après que je lui ai embrassé la bite, le cul et la bouche en lui disant Mon Chéri. Ma femme et *** amant allèrent se coucher dans la chambre conjugale. Quant à moi je dormis tout nu attaché devant la porte de la chambre avec ma coquille et mon plug dans le cul. Ma femme à beaucoup gémit et jouit pendant toutes la nuit
chrislebo

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#9,568
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ma copine deux black avec des très grosses queues

C'étais 1 semaine après notre histoire en boite ou elle s'était fait passé dessus par 6 mecs.
Elle voulait recommencer celui lui avait vraiment plus de pouvoir me cocufié avec mon consentement.Mais elle voulait bien plus que sa maintenant elle voulait m'humilier et moi sa m'exité beaucoup.Elle voulait que j'ai l'air ridicule que les mecs quelle se tapent soit bien mieux monté que moi.
On c'est donc mis à cherché des mecs bien monté pour elle et je dois dire qu'on à vite trouvé deux blacks grand bien bâti et très bien monté l'un avait une queue de 22par5 et l'autre 24par5 donc deux belle queue pour que ma chérie prennent un pied d'enfer.
Moi je pensé que j'allais simplement être attaché dans un coin de la chambre mais apparement elle avait concocté un scénario des plus macabiélique pour m'humilier et pour que ************ soit totale elle c'est permis d'inviter des potes à moi 5 exactement et trois de mes ex copines avec qui j'étais resté en très bon termes.mes amis arrivèrent avant les deux amants de ma femme moi je découvrai *** plan au fur et à mesure que le temps passait nous buvions donc l'apéro tous ensemble quand tout à coup elle se leva pour porté un toaste.Etonné tous le monde ce tue pour écouter.
"je porte un toast au plus merveilleux des hommes (moi) qui me permet de le trompé quand je veux avec qui je veux."
Et elle ce rassis.per***ne ne savait quoi dire et tous le monde me regardé d'un air dépité sauf mon meilleur ami qui était là l'autre soir.je leva et dis:"et oui j'aime sa ,sa me plait de la voir ce faire sauter."
et la tous le monde se rassura et ils commencèrent à poser des questions du genres vous êtes échangistes?toi aussi tu couches avec d'autre nana?.....et bien non je ne couche pas avec d'autre nana je suis simplement un cocu.
à ce moment les deux amants de ma chérie arrivèrent ma copine fit les présentations et dit :"cela vous dit de voir un film de cul en directe live"j'en croyais pas mes oreilles mais je ne croyais pas non plus que me très ex répondirent en même temps oui vas y clara on te regarde.mais potes était comme des fou et moi aussi mon jean étai de plus en plus sérré.
bref avant de commencer sa ma copine décida de continuer encore l'apéro pour que tous le monde n'ésite pas à ce mettre à l'aise.
nous en étions à peu près à la 6eme tourné quand tous le mondes semblé etre bien chaud et à parler que de cul.la clara me dit d'aller chercher le scotch américain je savais ce qui m'attendais en effet une fois revenu dans le salon elle me dit "mais toi à poil"puis demanda à mes ex de m'attacher les main derierre la chaise les chevilles aux barot et de sctcher la queue dans la raie du cul pour que je ne bande pas.mais jamias j'aurai pensé qu'elle me fasse sa.mes ex étaient très exité surtout sandra la plus salope des trois.
une fois bien attaché ma petite chérie ce mis à poil en deux seconde.puis elle se mit à genoux devant les deux black qui ce demandaient là ou ils é-taient tombé.mais cela ne là pas empéché de sortir leur queues enormes qu'elle commença à branlé puis à les sucé cela etait vraiment beau a voir mes 5 potes d'enfances trois de mes ex qui maté ma copine en train de sucer deux grosses queues.
elle alternai entre les deux essayant de les avaler en entier je voyais sa fente mouiller comme pas possible elle ce mit debout et les deux mecs se désabillérent complétements elle ce mits sur l'un deux et s'enfonça la sa queue dans la chatte et la tous le monde entendi *** râle de douleur et de bonheur en enfourchant cette grosse queue l'autre gars ce mit debout afin de pouvoir ce faire sucer plus aisaiment
au bout de 5 minutes elle tourna la tête vers mes pote et leurs dit allé les gars sorté vos queues et branlé vous ils ne se firent pas prier puis la sandra dit et nous clara peut ce foutre à poil nous aussi et ma copine leur dit oui alez y si voulais y des gros godes dans la chanbre sous la table de nuit.
et voila clarisse sandra et anna qui ce foutent toues trois à poil et partirent dans ma chambre pour cherche les godes sandra sorti la premiere un le plus gros gode dans la main droite et dans la main gauche le gode ceinture que clara ce sert pour m'enculer et la sandra dit à clara alors en plus d'être cocu c'est une lopette clara repondit oui c'est une vrai salope ce mec vous pouvais l'encler si vous voulais .
et voila comment je me suis retrouvé devant mes potes qui savait rien de sa à part mon meilleur ami entrain de me faire enculer à grand coup de gode ceinture par sandra pendant que ma cherie ce fesais sauter par ces deux amants l'un deux etait dans *** cul et l'autre ce fesait sucer puis là elle dit allé les gars prennait moi en double pénétration aussi tôt dit aussi tôt fait la voila entre les deux black et elle joui comme une folle les deux gars ***t au bords de l'explosion l'un de se lève lui ouvre la bouche et ce branle et lui gicle dans la bouche et la je la vois qui avale
et l'autre gars continu à la ramoner et finit par jouir dans sa chatte et la je vois je jus coulé elle à la chatte remplie de sperme le mec se retire et là elle ce plaça devant moi et dit allé lèche petit cocu.sandra m'enculer toujours et clarisse et anna ce servait de godes entre elles mes potes ce finissait en ce branlant mais clara leur dit stop arretez venez gicler sur le cocu ils hesitèrent une seconde puis se leverent ce mette en cercle autour de moi et se branlent et la je craque je vire sandra de mon cul et me mais à genoux pour commencé à les sucer ils ce ***t tous laissé faire et tous giclé dessus c'étais génial j'étais couvert de sperme.voila maintenant tous le monde étai content et avis jouis aux moins une fois.nous avons donc finit par reprendre de l'apéro pour finir par rebaiser mais cette fois tous le monde à essayé tous le monde mais sa c'est une autre histoire.
chrislebo

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#9,569
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Comment j'ai humilié mon homme ...

En général à la maison, je suis soumise. Mais parfois j'aime me "venger" un peu des affronts que me fait mon homme Mad ... même si je sais que je le payerai plus tard.
Voilà ce que j'ai fait une fois ...

"Hier soir, nous devions nous faire une petite soirée en amoureux. J'y pensais depuis longtemps et j'en avais très envie. Et puis au dernier moment, vers 19 heures, tu m'as appelée pour me dire que tu avais un "rendez-vous pour le boulot, un repas qui finirait très tard" et que je ne devais pas t'attendre.

Grrr, j'étais furieuse. En plus je savais très bien que tu n'étais pas au boulot mais que tu avais certainement rencontré une jolie fille ... et j'ai ruminé ma vengeance un bon moment ... et puis j'ai eu une merveilleuse idée ...

Tu n'es carrément pas rentré ce soir-là mais j'ai fait comme si de rien n'était, comme les autres fois ...

Le lendemain soir, tu es rentré du boulot en me disant que tu avais envie de moi, que je t'avais manquée. Mon oeuil oui !!!

Alors je t'ai répondu clairement : "tu me prends pour une conne ou quoi ? tu crois que tu vas me baiser comme ça, sans te faire pardonner ?"
Tu m'as répondu "que veux-tu ?"
Je t'ai dit "Va dans le salon et attends-moi !"

Je suis allée me changer, j'ai mis des sous-vêtements ultra sexy et une robe moulante en velours rouge que tu adores.
Quand je suis revenue, je t'ai ordonné de me faire jouir sans ton sexe ni tes mains, juste avec ta bouche.
Je me suis assise sur le bord du canapé et tu t'es mis au travail ...

Du bon boulot ma foi ... Ta langue était agile, pénétrante, tu me suçais le clito. Excitée par cette situation de domination un peu nouvelle pour moi, j'ai joui très vite, *********** ...
Tu avais le visage trempé de mouille et j'ai aimé ça.

"Voilà ... ça va mieux maintenant ?"
"tu crois que ça suffit ? que je vais te pardonner en 5 mn de lèche ??? Tu te trompes pauvre imbécile ! Je vais te faire faire quelque chose de plus compliqué que tu n'as jamais fait ... Viens dans la chambre maintenant !"

Tu m'as suivie ...
Je t'ai déshabillé et je t'ai fait mettre un slip trop petit, bien serré.
Je t'ai attaché sur la chaise, les mains derrière le dos, avec des menottes.
Puis j'ai attaché tes jambes, les cuisses bien écartées.
Puis je t'ai baillonné bien serré, que personne ne puisse t'entendre. Tu bandais comme un âne ...
Je te l'ai fait remarquer : "dis donc tu bandes bien fort aujourd'hui ... je vrais croire que tu aimes être dominé finalement ! Mais tu ne sais pas ce que j'ai prévu pour toi aujourd'hui ..."
J'ai allumé l'écran de l'ordinateur et je suis partie dans le salon brancher ma caméra.
Je suis revenue, tu avais maintenant une vue imprenable sur le salon.

"Je vais aller me masturber devant toi dans le salon ... mais tu ne pourras pas te toucher ... mmm ... je vais aimer penser à toi impuissant devant ces images, tu ne peux pas imaginer !"

Je suis repartie au salon et j'ai commencé à me caresser devant la caméra. Je t'imaginais coincé là-derrière, la bite en feu, frottant contre ce slip trop petit et un peu rêche, ton gland blessé et excité par le contact du tissu sans pouvoir te toucher ...

La sonnette a retenti ... j'ai souri à la caméra et je t'ai dit "mon chéri, voilà la suite de ta punition ... Hier, en ton absence, je suis sortie. Je suis allée en boite seule et j'ai chauffé tous les mecs séduisants que j'ai vus, je les ai fait bander, j'ai touché, tâté, vu ... pour choisir celui qui aurait la plus grosse bite, plus grosse que la tienne ... Et le mec que j'ai choisi, il est là, il arrive ... Lui et moi allons nous faire la plus grosse soirée sexe qui soit. Je vais me faire défoncer le cul sous tes yeux, juste pour mon plaisir ... A tout à l'heure !"

J'ai oublié de vous dire que mon mec est un peu jaloux. Il déteste voir le regard des autres hommes sur moi (il ne pense pas aux femmes l'andouille !), alors imaginer que qq me touche, j'étais sure que ça le rendrait furieux lui aussi ... mais la fureur est proche de l'excitation Twisted Evil
chrislebo

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#9,570 
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Je suis donc allée ouvrir la porte et j'ai ramené mon bel inconnu dans le salon. Je lui avais expliqué qu'il y avait une cam ... mais pas que mon homme serait à regarder. Je voulais garder ça pour moi.

J'ai embrassé direct le mec, et j'ai commencé à toucher sa verge à travers *** pantalon. Je la sentais grossir à travers le tissu ...
Il m'embrassait lui aussi et pétrissait mes seins généreux à travers ma robe. Je l'ai fait asseoir sur le canapé, juste là où mon chéri m'avait léchée qq minutes avant. j'ai ouvert sa braguette et j'ai commencé à le lécher, le sucer, le pomper.
Je mettais bien sa bite au fond de ma bouche, bien profondément. Je voulais que tu voies bien ça, petit con derrière ta cam ...

j'imaginais tes yeux exorbités et ton sexe en rut. parce que même si tu étais furieux, j'étais sure que ton sexe, lui, aimerait ça, me voir baiser avec un autre ... Et que tu ne puisses pas le maitriser, ça devait te rendre encore plus furieux.

J'ai léché le mec ... il gémissait et je le sentais au bord du plaisir ...
Alors je me suis arrêtée et je lui ai demandé de me rendre la pareille.
Je lui ai dit "fais-moi jouir avec ta bouche et après ça tu pourras me baiser, me prendre, me fourrer ! vas-y !"
Il s'est agenouillé devant moi comme tu l'avais fait ... et il a commencé à me faire un cunni d'enfer ...
Sa bite était plus grosse que la tienne ... mais sa langue aussi !!!
Je n'avais jamais senti une langue aussi grosse, je le jure. Non seulement il me titillait, me suçait, m'aspirait mais sa langue pénétrait mon intimité. J'avais l'impression de vivre un cunni en même temps qu'une pénétration, un truc de fou.

Et j'ai pris un pied d'enfer, j'ai joui à ne plus savoir où j'en étais. J'ai hurlé de plaisir ... et encore plus à penser que tu me voyais me laisser faire par ce mec !

Ensuite, j'ai fait asseoir le mec et je me suis empalée sur *** sexe. Mes seins étaient devant sa bouche, j'avais les jambes autour de *** buste. J'ai fait qq mouvements de bassin et j'étais tellement excitée de mes précédents orgasmes que j'ai joui très vite une nouvelle fois ...
Alors je lui ai proposé de me prendre par derrière pour qu'il jouisse à *** aise.

Je me suis mise à 4 pattes, de profil par rapport à la caméra ... je voulais que tu voies bien tout ça !
le mec a touché ma rondelle avec *** gland. Il était tellement mouillé de moi et moi, tellement excitée qu'il a pu rentrer tout de suite.
Comme à l'habitude, le premier passage a été douloureux, comme si on me transperçait le cul jusqu'au ventre et j'ai crié...
Mais après, il a fait des va-et-vient en moi, bien serré, sa grosse bite dans mon cul.
Je me suis masturbée avec les doigts pendant qu'il me pénétrait et j'ai joui encore une fois ...

Et puis dans l'excitation, il a fait un mouvement trop fort et il est sorti de mon cul pour éjaculer sur mon dos !
Et là, ma vengeance était parfaite ...

J'étais bien, en pleine jouissance ...

J'ai dit au mec "C'était bon, excellent même ... Au plaisir de te revoir, je garde précieusement ton numéro, mais là ... faut que je récupère. Tu connais le chemin ?".
il est parti ...
Alors, encore trempée de *** sperme je suis retournée dans la chambre ...
Et ce que j'ai vu m'a fait beaucoup plaisir ... toujours attaché, tu avais joui toi aussi !!! tu avais éjaculé dans ton slip, tout trempé de ton jus intime ...
Je me suis alors assise sur tes genoux, dos contre toi, et j'ai frotté mon dos plein du sperme de cet inconnu sur toi ... JE te sentais frémir contre moi et gémir, essayant de parler malgré le baillon ...

Alors je t'ai enlevé le baillon ... et tout ce que tu as trouvé à dire, ça a été "tu vas me le payer salope !!!!!"
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