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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#8,701
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J'essaie donc d'oublier l'incident, mais on refrappe à la porte.
Je me décide à aller ouvrir et à lui dire de m'oublier et de ne plus revenir.
J'ouvre la porte précipitamment et vais pour l'engueuler, mais je reste bouche bée et les yeux écarquillées. Le salaud est à poil. *** énorme sexe a demi dressé, me fait penser à ma jouissance de toute à l'heure, car c'est avec ce sexe que je me suis faite jouir toute à l'heure. Je n'ai aucune réaction, mes yeux ***t fixés sur ce merveilleux manche, et je finis par m'écarter de la porte pour les laisser entrer TOUS LES DEUX. Mais à mon grand désarroi, mon inconnu, laisse passer *** ami, et referme la porte sans entrer dans l'appart. J'entends ses pas dans l'escalier, il est parti. Je comprends alors, que si cet homme est là, c'est pour me faire l'amour. J'ai tout à coup l'impression d'être vraiment une pute. Une pute qu'on ne paye pas. Je vais devenir l'adresse de référence du sexe.
Je m'énerve alors :
— Foutez-moi le camp d'ici! salaud!
En guise de réponse, l'homme s'approche de moi, saisit mes tétons et les fait rouler entre ses doigts. Avec toutes ses émotions, je n'avais pas pris garde que les pans de ma sortie de bain s'étaient séparés, et ma poitrine était à l'air. Aussitôt mes tétons s'allongent, et c'est avec beaucoup de mal que je lui répète en resserrant les pans pour cacher mes seins:
— Foutez-moi le camp je vous dis!
Mais l'homme n'en a cure et au lieu de partir, il dégrafe *** pantalon et le baisse. Le coquin ne portant pas de sous-vêtements, c'est une queue d'une dimension encore plus importante que celle de mon 1er inconnu qui éblouie mes yeux. Alors, au lieu de lui crier pour la 3ème fois de partir de chez moi, j'ouvre les pans de ma sortie de bain, et la laisse tomber au sol. C'est entièrement nue que je m'approche de lui, m'accroupit devant lui, et sans même le prendre entre mes mains, j'ouvre la bouche et gobe le gland de l'homme. Adieu les belles promesses faites à Jacques. J'ai trop envie de cette grosse bite, trop envie de cet homme, je veux qu'il me fasse jouir autant que l'a fait mon 1er amant inconnu, ou plutôt mon premier client, car c'est indéniable, je me comporte vraiment comme une pute. Je me mets à sucer mon homme avec une rage effrénée. J'ai posé mes mains sur ses fesses, et les caresse en même temps, je gobe le sexe jusqu'au plus profond de ma gorge tellement loin que je manque déglutir. Cette bite est tellement belle, tellement grosse, que je ne peux pas y résister. J'ai le minou en feu et l'anus brûlant, alors n'y tenant plus, je me précipite au milieu du salon, me mets en levrette et lui crie:
— Viens! Viens me défoncer! Prends mon cul, prends ma chatte, fais ce que tu veux, mais défonce moi!
Il se met à genoux derrière moi, j'halète comme une chienne, il glisse *** monstre entre mes fesses, colle *** gland à mon anus. Il n'a pas besoin de ****** beaucoup, car mon anus ne s'est pas refermé depuis 2 jours. Lui est beaucoup plus ****** car c'est d'un seul coup qu'il me pénètre et ce jusqu'au fond. Je manque m'évanouir sous la violence du coup de bite, mais en même temps je jouis comme une folle en éjaculant comme il y a 2 jours. Le sol est trempée, l'homme en a reçu dessus mais il s'en fout, il entre et sort de mon anus à une vitesse folle, il me défonce littéralement. Il me prend si fort que je suis obligée d'avancer à 4 pattes dans le salon pour ne pas tomber. Puis ses mains passent sous mes bras. Il prend chacun de mes seins avec une violence terrible, il s'agrippe à eux et me défonce encore plus vite encore plus fort. J'ai le cul complètement démonté, et je jouis, je jouis et jouis encore, je jouis encore plus fort et encore plus rapidement qu'il y a 2 jours. Les jouissances se succèdent, et se suivent de quelques secondes à peine.
Je ne sais pas comment il se débrouille, mais il me fait basculer en arrière. Il se retrouve allonger sur le dos, et moi à califourchon de dos à lui, avec *** énorme sexe toujours au plus profond de mon cul.
Je lève les fesses en prenant appui avec mes mains sur *** buste, et de moi-même je monte et descend sur la grosse bite. Je m'empale littéralement, je me défonce, je glisse tout le long de l'immense hampe, chaque allée et chaque venue me semble interminable tellement ce sexe est long. L'homme a alors la mauvaise idée, de coller sa main sur ma chatte et de la frotter à toute vitesse en martyrisant mon clitoris. Je craque complètement, je jouis comme une dingue et un jet formidable gicle de mon minou. Une nouvelle fois je viens d'éjaculer. Mais je ne m'arrête, je ne peux pas m'arrêter c'est comme par automatisme, je continue de monter et descendre sur cette bite énorme. L'homme joue avec mon clito, enfonce ses doigts dans mon minou. De *** autre main il masse mes seins, je devrais plutôt dire que mes seins se massent contre sa main. Ma chatte est complètement ouverte, à cause de ces doigts qui me fouillent. C'est incroyablement bon, mon corps est secouée de spasmes et j'explose une nouvelle de fois de jouissance en hurlant:
— Ohhhhhhh je jouiiiiiiiss! Oh continue oui! oui! je suis ta pute! encule moi comme une pute! oh ouii oh ouiiiii ohh c'est bonnn! ohhh j'aime ta queue chéri! J'aime ta grosse bite dans mon cul!
Puis l'homme me repousse, il se lève, me saisit par le bras puis me pousse dans la chambre. Sans hésiter je saute sur le lit, me mets sur le dos, écarte les cuisses en grand et ondule des reins en le regardant pour qu'il vienne:
— Viens chéri! Viens défoncer ta sale pute! Oh ta queue m'excite! Ohh je la veux dans ma chatte! Oh que j'aime ta queue vieeeeens!
Et l'homme s'allonge sur moi. Il me pénètre sans attendre et à grands coups de boutoirs il me défonce la chatte. Il me baise et me baise encore, à toute vitesse, au plus profond de moi. Je ne sais comment il fait, mais là il est en train de toucher un point tellement sensible, c'est une sensation folle:
— Ohh chéri! Chéri! Ohhh qu'est ce que tu me fais, comment fais tu pour toucher ce point, n'arrête pas, n'arrête, je vais jouiiiir! Ohhh ouiiiii c'est trrooooooooooppp je jouiiiiiiiisss! Tu es mon hooommmmmmmmmeee!
Il sort de ma chatte, le temps de laisser gicler une nouvelle mon éjaculation. Ca gicle, gicle et gicle encore, je n'ai jamais pris un pied pareil, ce mec me rend dingue, c'est le dieu des baiseurs, je voudrais qu'il ne s'arrête jamais.
Il me met sur le côté, se colle contre mon buste et enfourne sa bite dans ma chatte d'un seul coup, je me cambre sous le choc en poussant un cri. Puis, je sens quelque chose sur mon anus, quelque chose de gros. Je comprends, le salaud va m'enculer avec le gode que j'avais laissé trainer sur le lit, pendant qu'il me baise. Le gode s'enfonce facilement, il se met a le faire aller et venir rapidement, pendant qu'il m'assène des coups de boutoirs phénoménaux. Je pousse des cris de plaisirs terribles, j'ai l'impression que je suis prise par 2 hommes en même temps et ça me rends folle de plaisir, d'autant qu'avec sa main libre, il pétrit mes seins, ******* les tétons, je deviens folle, et j'explose une nouvelle fois d'un plaisir fantastique. Il se met à pousser des cris rauques, je l'entraine dans ma jouissance tellement je me tortille sur sa queue. Il sort précipitamment de mon minou, me retourne, j'ouvre la bouche en grand. Lui, il enfonce carrément sa bite au plus profond de ma gorge. Je serre mes lèvres autour de la hampe. Il va et vient dans ma bouche comme si il la baisait, puis dans un cri de bête il envoie sa sève au plus profond de ma gorge. J'avale, j'avale au fur et à mesure qu'il se vide. Je bois *** sperme comme du petit lait et jouis en même temps, toujours en éjaculant, car non seulement la manière dont il s'est vidé dans ma bouche m'a rendu dingue de plaisir, mais en plus, le gode est encore bien enfoncé au fond de mon cul et vibre dans mes entrailles augmentant encore le plaisir. Je continue de le pomper quelques minutes pour bien le nettoyer et surtout profiter au possible de sa grosse bite dans ma bouche.
Une fois la belle pipe terminée, je m'allonge sur le lit épuisée. Lui sort de la chambre. Je suis surprise, d'entendre des voix dans le salon. Je n'ai entendu per***ne rentrer. Aurais-je oubliée d'éteindre la télévision? Je ne me souviens même plus l'avoir allumée.
Malgré ma fatigue, je me lève, en passant rapidement une nuisette transparente et ultra courte.
Lorsque je franchis la porte donnant dans le salon, je découvre 3 hommes assis dans le canapé. Au milieu d'eux, il y a mon 1er amant. Ils discutent vivement en riant, dans une langue que je ne connais absolument pas. Je comprends pourquoi aucun des 2 hommes ne m'a parlé, ils ***t tous roms. Là j'ai un sentiment de dégoût de m'être donné à ses 2 hommes, et je crains le pire en en trouvant 2 nouveaux dans mon salon.
Lorsqu'il m'aperçoit mon 1er amant dit quelque chose d'incompréhensible à ses acolytes qui se retournent vers moi à l'unis*** avec des airs vicieux et plein d'arrières pensées malsaines.
Ils font des commentaires sur moi que je ne comprends et c'en est d'autant plus humiliant. Pendant ce temps mon 2ème amant s'est rhabillé. Il se dirige vers le canapé. Mon 1er amant se lève, et prends le billet de banque que lui tend mon 2ème amant.
Là je ne comprends pas, ou plutôt j'ai peur de comprendre. Pourquoi le paye t-il? Lui dois t-il de l'argent, ou a-t-il tout simplement vendu mon corps? Je commence à me sentir vraiment pute. Et ces 2 hommes, qui ***t certainement là pour moi, vont-ils payer eux aussi? Sans doute le saurais-je plus tard.
Je sors de mes pensées brusquement. Car je viens de me rendre compte, que malgré mon dégoût, je me laisserai prendre par ces 2 hommes sans aucune résistance, pas une seconde je n'ai pensé à résister. Ils vont me baiser, c'est une évidence.
Mon 2ème amant sort après avoir parlé aux trois hommes en riant allègrement. Sans doute viens t-il de raconter ce que nous venons de faire.
Tout ce que je suis parvenu à tirer de leur conversation, c'est leurs prénoms:
— Mon 1er Amant s'appelle Ovidiu.
— Mon 2ème Amant Ciprian.
— Un des deux nouveaux Codrut.
— Et l'autre Cosmin.
Codrut, est très laid, bedonnant à outrance, il à l'air sale, il doit avoir dans les 60 ans, bref, écoeurant.
Cosmin, c'est pas mieux et même pire, il parait plus vieux que Codrut, il a les même caractérisques physique que Codrut, sauf qu'il un strabisme terrible, et que l'on ne sait pas qui il regarde, avec un bec de lièvre mal réparé. Une horreur.
Ce n'est pas possible, je ne vais quand même pas me laisser prendre par ce monstre. Codrut est un apollon à côté. Ciprian déjà, n'était vraiment pas terrible, mais bon, la grosseur de sa bite compensait sa physique ingrat, c'est d'ailleurs ça qui m'a fait craquer.
Ovidiu, se lève, serre la main des 2 hommes, en leur disant quelques mots en rom. Il sort de l'appartement. Je me retrouve seule avec ces 2 hommes qui me regardent en bavant.
Codrut me parle en rom. Bien sur je ne comprends rien. Alors il répète avec plus de virulence et fais un geste pour me signifier de retirer ma nuisette. Bien sûr, je m'y refuse. Non, il est hors de question que je me donne à eux. Codrut est très énervé, et baragouine dans sa langue. Je commence à flipper. Je flippe jusqu'à ce que, Cosmin retire *** tee-shirt. Lui il s'en fout de mon refus, il est venu là pour baiser, et il me baisera. Je sens que le viol est proche, j'ai peur. Je me précipite dans ma chambre, et la ferme à clé. J'ai une peur bleue, j'espère qu'ils vont partir et ne pas insister. Au bout de 2 minutes rien ne se passe. Je ne les entends plus parler. Peut être se ***t ils décidés à partir? En tout cas, je ne bouge pas de la chambre. Je resterais enfermée toute la nuit s'il le faut, mais je ne me donnerais pas à eux.
chrislebo

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#8,702 · Edited by: chrislebo
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Un brouhaha du diable, la porte explose et je vois apparaître Cosmin, puis Codrut. C'est la grosse panique. Je comprends pourquoi ils n'ont pas défoncé la porte de suite, ils étaient tout simplement en train de se déshabiller. Ils ***t laids horribles, leur graisse coule de partout, ils ***t poilus à outrance, de vrais singes. Pourtant, je retire illico ma nuisette sans même qu'on ne me le demande, car des bites comme celles que j'ai devant les yeux, je n'en ai jamais vu. Même Ovidiu et Cyprian ***t des enfants de cœur à côté. Elles ***t énormes, fantastiquement énormes.
Cosmin s'approche de moi. Il se penche, prend ma tête par derrière, et me roule une pelle. Je ne résiste même pas une seconde malgré sa laideur, *** bec de lièvre, je participe à *** baiser avec une volonté folle. Je laisse glisser ma main droite entre nos corps, puis je saisis *** sexe énorme dans ma main. J'en gémis tellement la grosseur de cette bite m'impressionne.
Je sens Codrut passer derrière moi, et ça m'excite terriblement de ne plus le voir et de ne pas voir ce qu'il fait. Mon baiser redouble d'intensité. J'en oublie la laideur de Cosmin, *** bec de lièvre, *** strabisme, *** ventre adipeux, je passe un bras autour de *** cou et tout en l'embrassant je caresse sa bite de l'autre main, et cette bite grossit, s'allonge encore, comment un sexe aussi gros, aussi lourd, peut il être dressé de la sorte, c'est inconcevable, et pourtant...
Je sens Codrut coller ses mains à mes aisselles et me soulever du sol avec une facilité déconcertante. Je sens sa grosse bite passer entre mes cuisses, elle n'essaie pas de pénétrer, la hampe est collée à ma chatte, c'est comme si j'étais assise dessus, comme si sa bite était la mienne. Là, je ne peux pas résister, je lache le sexe de Cosmin, passe mes mains en arrière derrière le cou de Codrut, et je donne des petits coups de reins pour frotter ma chatte sur sa longue hampe. Codrut me tient fermement en mettant ses mains sous mes cuisses. Je suis complètement ouverte, cambrée au maximum, les seins en avant, totalement offerte à Cosmin, à l'horrible Cosmin. Je le regarde, le voit en train de loucher sur mon corps nu et frémissant, il en bave d'envie. Je me mets à gémir comme une petite chienne. Cosmin prends mes seins dans ses mains et se mets à les caresser fermement. Mes tétons ***t terriblement allongés et Cosmin joue à les pincer, à les tordre, faisant monter ainsi un plaisir extraordinaire proche de la jouissance. Je pousse des petits cris en me tortillant et me frottant sur la hampe de Codrut. Mes cuisses s'ouvrent de plus en plus, je me sens dégouliner de plaisir. Cosmin continue de profiter de mes seins avec ses grosses paluches, ma respiration est forte, je frotte mon dos contre le torse de Codrut, pose ma nuque contre *** épaule, tourne mon visage vers le sien, sa bouche prend la mienne et je lui roule la pelle la plus outrageante que je n'ai jamais roulé. Le plaisir devient de plus en plus fort, presque insoutenable, je n'ai envie que d'une chose, c'est qu'un de ces 2 sexes me pénètre enfin pour pouvoir jouir et exploser de Bonheur.
Cosmin lâche alors mes seins. Moi je continue d'embrasser Codrut à outrance. Cosmin pose ses mains sur mes hanches, me tire en avant. Je glisse sur la hampe de Codrut, et au moment ou celle-ci s'échappe d'entre mes cuisses, le gland de Cosmin se colle à ma vulve trempée. Je ne peux résister à ouvrir les cuisses en grand, presque en position de grand écart. Ma bouche abandonne celle de Codrut et je me mets à gémir:
— Oooh! ouiii! Oooo Cosmin!! Cosminnnn je suis ta pute! ta sale pute! baise moi! baise ta pute!
La bite énorme de Cosmin se fraye alors difficilement un passage et parvient à pénétrer dans mon minou écartelé et trempée. Moi je pousse des cris de plaisir en me tortillant en secouant ma tête de droite à gauche tellement le plaisir est insoutenable. Codrut mes tient par les aisselles et Cosmin par les hanches, je me sens comme une poupée de chiffon entre mes mains. Puis au moment ou l'énorme gland de Cosmin heurte le fond de mon minou, c'est dans un grand cri, que j'explose de plaisir.
Empalée sur l'énorme pieu de Cosmin, je retire mes bras du cou de Codrut, pour les passer autour de celui de Cosmin et de me coller contre *** buste. Cosmin, tenant fermement mes hanches, me fait alors monter et descendre sur *** pieu en donnant en même temps de fabuleux coups de reins. Ma minou est tellement habitué aux grosses bites depuis quelques jours, que les coups de pistons glissent à merveille dans ma chatte complètement lubrifiée par ma cyprine.
Je pousse des gémissements de folies, j'ahane comme une dingue en me tortillant sur ce manche merveilleux. Codrut se colle contre mon dos, je contorsionne mon corps, pour passer un bas autour de *** cou. La queue de Cosmin toujours plantée dans ma chatte, j'ai un bras autour du cou de Codrut et un autour de celui de Cosmin, et je les embrasse tour à tour en dévorant leur langue.
Codrut parle à Cosmin en rom, ça m'excite terriblement que l'on parle de moi dans une autre langue en me baisant, j'imagine qu'ils me traitent de pute, de salope et tout un tas d'autre chose. Cosmin arrête alors de me faire monter et descendre sur *** pieu. Et là, je ne peux m'empêcher de hurler:
— Noonnnnn! Pas çaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!
Je hurle car Codrut vient d'écarter mes fesses, et tente de coller *** gland à mon anus. Je leur hurle que je ne veux pas, que je m'y oppose, et, dans le même temps, je me cambre au maximum. Je ne sais pas si Codrut comprend ce que je lui dis, que je lui hurle mon refus, en tout cas, il comprend une chose, c'est mon corps lui, ne peut pas résister. Mon cul à envie que cette énorme manche l'envahisse, le remplisse, et cela pendant que le pieu de Cosmin pilonne ma chatte.
Malgré moi, j'enserre la taille de Cosmin avec mes jambes. Ainsi je m'ouvre complètement, laissant tout le loisir à Codrut de coller *** gros gland sur mon anus. C'est ce qu'il fait. Sur le contact, je reçois des décharges électriques de plaisir. Mon anus brule tellement d'envie que j'ai l'impression qu'il se consume. Je sais que ça va faire mal, alors j'embrasse Cosmin à pleine bouche en gémissant comme une dingue. Me voyant excitée de la sorte Codrut rit de bon cœur en parlant à Cosmin qui est obligée de sortir sa langue de ma bouche pour éclater de rire à *** tour. J'aimerais comprendre ce qu'ils disent, mais rien que le fait de les entendre rirent, sans doute à cause de mon comportement de chienne en chaleur, me donne un plaisir proche de la jouissance.
Je reprends la bouche de Cosmin, car Codrut ***** sur mon anus. Je souffre, je ferme les yeux, je respire fort en dévorant carrément la langue de Cosmin. Je sens mon anus s'ouvrir lentement. Heureusement qu'Ovidiu est passé par là il y a quelques jours et que Cyprian m'a sodomisé avec le gode tout à l'heure, sinon j'aurais souffert le martyre.
Le gland de Codrut pénètre lentement, mais surement, tout au long de sa progression dans mon colon, je pousse des petits cris fous en lui disant:
— Ohhh ouii, ohh Codrut, bourre moi le cul salaud, enfonce ta grosse bite entièrement dans mon cul! Ohh ouiii, ta pute veut sentir tes couilles contre ses fesses!
Je ne sais vraiment pas si il comprend, toujours est-il qu'il n'hésite plus une seconde, et d'un grand coup de rein violent, il s'enfonce complètement et je sens effectivement ses couilles contre mes fesses. Je pousse un cri de jouissance extraordinaire.
Puis Codrut parle brièvement à Cosmin. Cosmin me prends fermement par la taille, Codrut agrippe mes fesses, puis le merveilleux se produit. Ils me font monter et descendre sur leurs bites, une dans ma chatte, une dans mon cul. Le plaisir est phénoménal, je suis dans un état second, je transpire, je suis secouée comme une poupée de chiffon. Les 2 bites me remplissent totalement.
— Ohh mes salauds! Mes amours, ohhh c'est bonn, ohh quel pied, je suis à vous, faites de moi ce que vous voulez, je suis votre pute, votre salope, votre chienne! Ohhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiisss!
Cette fois encore, je ressens ce liquide exploser de mon minou, inonder le sexe à Cosmin en coulant sur ses cuisses. Cosmin ne peut y résister. Il parle avec affolement à Codrut. Ils sortent de mes orifices, me posent au sol et me jette carrément sur le lit. Cosmin saute sur le lit, me retourne comme une crêpe, me saisit par les hanches pour soulever mes fesses. Je me laisse faire car je sais qu'il va me bourrer pour éjaculer dans ma chatte.
A mon plus grand bonheur, je sens ses mains écartées mes fesses. Il ne prend même pas le temps de coller *** gland à mon anus et de me préparer à la sodomie. Non, je sens sa bite pénétrer direct dans mon cul. Je dois être terriblement ouverte, béante. *** sexe va et vient à toute vitesse dans mes entrailles. Si fort que j'ai la sensation qu'il va me transpercer. Moi je hurle de plaisir, et je jouis en permanence pendant toute la sodomie. Je jouis sans discontinuer, je n'aurais jamais cru que ça puisse être possible, et il faut que ce soit cet être immonde, avec *** bec de lièvre, sa graisse et *** strabisme qui me donne ce plaisir de dingue.
Il m'encule quelques minutes, puis il pousse un cri de bête et en restant enfoncé au plus profond de mes entrailles, il envoie *** sperme brulant tout au fond de moi. Il m'entraine dans sa jouissance et encore une fois, mon minou gicle de partout. Il sort presque aussitôt de mon cul et se met à rire en parlant à Codrut.
Je tourne la tête vers eux et je comprends le pourquoi de leur hilarité. Ils ***t en train de regarder mon anus. Codrut fait un geste en joignant ses pouces pour former un rond d'au moins 7cm de diamètre. Je comprends que mon anus est béant et qu'une batte de baseball pourrait y rentrer sans problème. Ce geste m'excite au plus haut point. Alors je m'allonge sur le dos, lève les cuisses et les colle sur mon buste en écartant largement mes fesses avec mes mains. Je leur expose en gros plan mon anus béant, je veux qu'ils voient au plus profond de mes entrailles. Je veux qu'ils voient le sperme de Cosmin au plus profond de moi.
Codrut se met alors à parler avec Cosmin. A *** intonation et *** visage satisfait, je comprends qu'il vient d'avoir une grande idée. Cosmin explose de rire en l'approuvant.
Codrut ne perds pas de temps, il me saisit sans tendresse par le bras et m'oblige à me lever. Puis il se place derrière moi. Ses mains se posent sur mes reins, et je suis soulevée du sol. Je sens aussitôt *** gland se coller à mon anus. Je suis tellement béante que sa bite a trouvé le chemin sans que Codrut ne la guide avec sa main. Puis je me cambre en poussant un cri de plaisir car Codrut vient de m'empaler sur *** manche, jusqu'au plus profond de moi. Il a fait ça sans aucun ménagement, il a juste relacher la pression sur mes reins, et j'ai glissé le long de *** manche jsuqu'au bout.

Puis il se met à marcher dans la chambre, se dirige vers la porte, nous la franchis***s et entrons dans le salon. Chaque pas me secoue de plaisir, je sens le sexe bouger en moi et le plaisir que je ressens est incroyable. Gémissante, au bord d'une énième jouissance, j'apercois dans le salon, Ovidiu assis sur le canapé, comptant des billets de banques, avec 5 hommes autour de lui. Je me mets alors a pousser de petits cris de plaisirs, car, en me voyant empaler par le cul sur le manche de Codrut, les 5 hommes éclatent de rire. Je ne peux détourner mon regard de ce groupe d'hommes. *************** est totale, *************** est jouissive. Ce que je ressens à ce moment là, les secousses que me procurent les pas de Codrut, les éclats de rires des 5 hommes, et la vue d'Ovidiu comptant *** argent gagné grâce à mon corps, déclenche en moi un merveilleux orgasme. Les 5 roms (car bien sûr ce ***t des roms) éclatent de rire de plus belle, ça me rend dingue et à cet instant précis je sais que je vais me donner à eux sans aucune hésitation.
Codrut continue à me porter vers la salle de bain. Puis il m'extrait de *** sexe, me provoquant un nouveau spasme, et me met dans la baignoire.
Avec un fort accent français il me dit:
— Fais comme tout à l'heure! Ouvre tes trous!
Alors sans hésiter, je m'allonge dans la baignoire, rabats mes cuisses sur mon buste, exhibant ainsi ma chatte béante, et ouvre mes fesses avec mes mains pour montrer le cratère me faisant office d'anus.
Je vois alors Cosmin qui entre à *** tour dans la salle de bain. Je suis dans un état d'excitation terrible. C'est alors que Codrut et Cosmin se placent devant la baignoire, pour mater mes trous en profondeur. Je ferme les yeux de plaisir en essayant de m'ouvrir encore plus. Puis, tout à coup 2 jets brulants viennent fouetter mes fesses, puis remplir mon anus et ma chatte. Je comprends alors que les 2 salauds ***t en train de m'uriner dessus, au plutôt de se servir de ma chatte et de mon cul comme urinoir. Je pousse un hurlement terrible, et jouis comme jamais je n'ai joui. Cette *********** extrême, ce liquide immonde et brulant me remplissant les orifices intimes ***t merveilleusement jouissifs.
— Huummm! Ooooohhhhhhhh! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! Ohhhhh c'est bon! Ohhh je jouiiiiiissss!
Puis lorsque les jets se font moins puissants, ils font le tour de la baignoire pour mettre le sexe au dessus de mon visage. Ils se ***t retenus d'uriner sur la fin, pour en garder un peu. Et ce « peu », il le déverse sur mon visage. Ca pue c'est dégueulasse, immonde, et pourtant... Pourtant, j'ouvre la bouche et les 2 salauds prennent un malin plaisir à finir de pisser dans ma bouche. J'avale au fur et à mesure, c'est horrible, mais tellement jouissif. Lorsque plus rien ne sort, je me redresse dans la baignoire. J'ouvre la bouche devant le sexe de Cosmin. Aussitôt, il le plonge au plus profond de ma gorge, laissant quelques gouttes d'urine couler encore. Puis c'est autour de Codrut. Il me prend par la nuque, enfonce *** manche violement dans ma bouche. Je manque vomir sous la violence du geste. Il se met alors a aller et venir dans ma bouche, et y déverse un mélange de sperme et d'urine. C'est vrai que lui, n'avait pas encore joui. J'avale à petite gorgée en poussant des cris de plaisirs étouffés.
Codrut ouvre le robinet de la baignoire et l'eau coule sur mon corps, un vrai plaisir. Les 2 hommes repartent vers le salon. Moi je me lave avec fermeté pour me débarrasser de la souillure urinaire. J'ai tout à coup honte de ce que je viens de faire et de subir et cette honte fait monter mon excitation, car j'entends, provenant du salon les voix Cosmin et Codrut suivie par de nombreux éclats de rire. Sans doute racontent ils aux autres hommes que je viens de prendre mon pied en me faisant pisser dessus. Ca promet pour la suite.
Je sors de la salle de bain, juste couverte d'une serviette. J'entre dans le salon. Cosmin et Codrut ne ***t plus là. Ovidiu a disparu, me laissant avec ses clients.
chrislebo

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#8,703
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Je m'approche des 5 hommes sans peur ni dégouts, sans aucune hésitation. Sans hésitation car depuis le début j'ai décidé que je les voulais les 5 en même temps, je veux être remplie de partout. Ils m'entourent, je lâche ma serviette pour me mettre nue au milieu d'eux. Je me mets sur la pointe des pieds, passe mes bras autour du cou de l'un d'eux, pose mes lèvres sur les siennes. Nos bouches s'ouvrent et un long baiser baveux s'en suit. Je sens aussitôt tout un tas de mains partout sur mon corps. Un à un je les embrasse, des mains massent mes seins, d'autres mes fesses. Des doigts ********* mes tétons, d'autres fouillent mon minou, d'autres s'engouffrent dans mon cul. Très vite je suis au bord de la jouissance:
— Humm ouii! Baisez moi, enculez moi! Je suis votre pute! Venez défoncer votre sale pute avec vos grosses bites!
Peu à peu ce ***t des hommes nus contre lesquels je me love. Ca m'excite terriblement, ça m'excite tellement que je ne peux m'empêcher de me mettre à genoux. Je me retrouve devant un sexe merveilleux et bandant au maximum. J'ouvre alors la bouche et avance ma tête. La grosse bite s'enfonce dans ma bouche et je commence à aller et venir en faisant tourner ma langue autour du manche dressé.
C'est désormais 3 sexes que j'ai devant moi et je devine que les autres ***t derrière, faisant la queue (c'est le cas de le dire) pour se faire sucer.
Je prends les 2 sexes les plus proches dans chacune de mes mains, et tout en suçant ma proie je masturbe délicatement les 2 sexes. Je dégouline de partout, cette soumission volontaire me rend dingue de plaisir. Je pousse des cris étouffés par le gros sexe dans ma bouche. Puis je l'abandonne pour gober celui de droite, alors qu'un sexe se présente à ma main rendue libre par la bite que je suis en train de sucer. Je sens alors qu'on écarte mes cuisses, mes genoux glissent sur le sol, je me cambre. Un sexe se colle à mon anus béant, 2 mains me prennent par les hanches, et pendant que je suce et que je masturbe, ce sexe s'enfonce dans mon cul. Je ne peux résister et retire ma bouche de la bite que je suce pour crier:
— Ohhhhhh ouiiiii! ohhhh encule moi chéri! Encule fort ta sale pute!
Il se met à aller et venir dans mon cul comme un dingue. Je vais pour reprendre la bite dans ma bouche, mais mon partenaire a changé, et c'est une autre bite que je gobe. Je lui fais une pipe vigoureuse et je continue de branler tendrement 2 autres. Les sexes se succèdent dans ma bouche et dans mes mains et je m'applique à donner du plaisir à chacune d'entre elles. Mon enculeur sort de mon anus et c'est maintenant dans mon minou qu'il s'enfonce. Je jouis comme une dingue sans pour autant sortir la bite que je suce de ma bouche. Il me prend la chatte à toute vitesse pendant quelques minutes avant de ressortir.
2 mains me saisissent alors par la taille et me porte jusqu'au milieu du salon. Je vois alors un homme allongé sur le dos, masturbant *** sexe dressé. Je me mords les lèvres de plaisir. L'homme qui me porte m'installe de dos à celui qui est couché, et m'empale par le cul directement sur *** manche. Je pousse un hurlement de plaisir. Je ne peux m'empêcher de m'allonger sur lui. Il me soulève par les reins et donne des coups de reins pour m'enculer.
Je me tortille dans tous les sens, j'ondule sur le corps de mon sodomiseur. Je me cambre et me décambre autant que je peux pour bien que la bite aille au plus profond de moi. J'écarte mes cuisses au mximum, dévoilant ainsi aux autres qui me regardent en se masturbant devant. Je regarde celui qui est devant moi et, affolée par l'envie, par le besoin, je lui dis:
— Viens me baiser! Viens baiser ta chienne! Je vous veux tous les 2 en moi!
Le rom rigole. Il s'avance, se met à genoux. Il écarte mes cuisses pour s'insinuer et que sa queue s'approche de mon minou. Je gémis de plus belle, rien qu'à l'idée que ce manche merveilleux va lui aussi me pénétrer. Je pousse un cri, le gland vient de se coller sur ma vulve. C'est terrible, enfin je vais être prise par les deux trous comme j'en rêvais depuis quelques minutes, j'ai tellement aimé ça avec Codrut et Cosmin. Le rom s'enfonce dans mon minou et se met à aller et venir, pendant que l'autre s'astreint dans de fantastiques efforts à me sodomiser en même temps. Puis un 3ème rom s'installe à 4 pattes au dessus de mon buste de telle façon que sa bite soit juste devant ma bouche. Sans hésitation j'ouvre la bouche. L'homme enfourne sa queue dedans et se met à aller et venir jusqu'au plus profond de ma gorge, comme s'il faisait des pompes. Il baise ma bouche comme il baiserait ma chatte. J'explose de jouissance en m'étouffant. Puis on attrape mes poignets, les tirent. Je sens alors deux sexes se placer sur mes mains. Je serre les doigts, et tout en me faisant baiser, tout en me faisant enculer, tout en faisant une fellation, je suis désormais en train de masturber avec vigueur 2 merveilleux manches
Le plaisir que ces 5 hommes me donnent, mêler à la soumission, mêler à la dépravation à laquelle je m'adonne, me fait jouir sans discontinuer. Je suis sans cesse secouée de spasmes, je gicle de partout, je transpire à n'en plus pouvoir. Les jouissances se succèdent toujours plus violente les unes que les autres. Je ne peux même pas hurler ma jouissance tellement ma bouche est prise par cette merveilleuse bite. Pourtant, l'homme doit sentir que j'en ai envie, car il extrait *** sexe de ma bouche et je hurle:
— Encoooore! Enccoooore! Je veux toutes vos bites! Je suis votre pute, baisez votre sale pute, bourrez votre salope, votre chienne! faites de moi ce que vous voulez! Hummm ouiiii! Oh j'aimee çaa oh c'est boonn! ohh je jouiiiisss! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiss! Je jouiiiiiiiiiiiiiiissssssssss! Arrrrrrrrrrrrghhhhhhhhhhh!
Et une nouvelle fois ma chatte explose, une fois de plus j'éjacule, ca gicle de partout, souillant les hommes qui me donnent tant de plaisir. Aussitôt, le rom enfonce *** sexe dans ma bouche.
Puis le sexe enfoui dans mon cul s'échappe, et le gland se colle à ma chatte. Je n'en reviens pas, les hommes veulent me baiser ensemble. Ils veulent mettre leurs 2 bites en même dans ma chatte. Je devrais avoir peur, hurler, me débattre, mais bien au contraire, j'écarte mes cuisses encore plus. Je leur démontre que « oui », je veux 2 bites dans ma chatte. Ils éclatent tous de rire devant cet avilissement que je m'inflige moi-même. Je suis tellement ouverte par la position mais surtout par les multiples pénétrations que j'ai supporté, que c'est sans trop de difficulté que le sexe parvient à rejoindre l'autre au plus profond de mon ventre. J'explose une nouvelle fois en poussant un hurlement étouffé.
Mais je sens qu'on bascule mes hanches vers la gauche. Je sens les 2 sexes tourner en moi, c'est merveilleusement bon. Puis chose impensable, mon anus se retrouvant libre et ainsi offert, une 3ème bite se colle à mon anus et s'enfonce sans coup férir. Les 3 hommes se mettent alors à bouger en moi. Je suis prise par 2 bites par la chatte et une autre dans mon cul. La je ne tiens plus, je me débarasse de la bite dans ma bouche et je jouis, pousse des cris de bête, éjacule sans cesse en hurlant:
— Haaaaaaaaaaarrrrrrrrrrghhhhhhhhh! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! Défoonnnnnnnncez moiii!
Les roms n'en n'ont pas fini avec moi. L'homme qui m'encule sort de mon anus, et m'extirpe des 2 autres bites. Il me soulève par les genoux et je me retrouve à l'envers, comme si je faisais le poirier. Il me soutient en l'air en me tenant par les hanches. Malgré la position des plus inconfortables, j'écarte mes jambes au maximum, offrant ainsi mes trous béants à la vue de tous. Puis un rom s'approche, prend *** sexe dans sa main, il le dirige vers le bas, le colle à ma chatte, et s'enfonce d'un coup. Un autre se met tout à côté de lui, et s'enfonce lui aussi dans ma chatte en me faisant hurler. Un autre rom se met derrière moi, lui aussi dirige *** sexe vers le bas, mais le colle contre mon anus et s'enfonce sans ******. Je jouis une nouvelle fois quand j'en vois un 4ème arriver sa queue à la main. Il place *** gland contre mon anus, je retiens ma respiration. Il ***** quelques instants et je suis secoué par un orgasme tèl que j'en perds connaissance quelques secondes.
Lorsque je reprends mes esprits, je sens les 4 sexes qui vont et viennent difficilement mais surement dans mes 2 trous, c'est inimaginable, jamais je n'aurais cru qu'une telle chose puisse se produire. Le summum c'est quand le 5ème s'allonge sur le sol sur le flanc et présente sa bite à coté de mon visage. Je tourne la tête tant bien que mal, et je gobe le manche qui s'enfonce. C'est donc pendant que je suce cet homme que je me fais enfiler, défoncer par les 4 autres, jouissant à outrance quasiment à chaque aller et venue. On entend plus que les ahanements des 5 hommes, mes cris de jouissances, le flic floc de leurs sexes défonçant mon sexe et mon anus liquéfiés par le plaisir.
Puis les hommes changent de place. Ceux qui me baisaient tournent autour de moi, et m'enculent alors que les autres viennent me sodomiser. J'ai très mal au cou, mais le fantastique plaisir d'être prise par 2 bites en même temps me fait oublier cette douleur. Avec application, je m'astreints à sucer, à faire tourner ma langue autour du manche qui va et vient en moi.
Mes jouissances ***t permanentes, il n'y a pas une minute durant laquelle je ne sois pas secouée par un orgasme. Et plus je jouis, plus les 4 roms s'engouffrent dans mes orifices toujours plus violemment, toujours plus loin, toujours plus rapidement. Les orgasmes ***t de plus en plus violent, me transportant chaque fois au bord de l'évanouissement.
Puis l'un d'eux dit quelque chose que bien sûr je ne comprends. En tout cas les autres ont l'air d'approuver. Toujours est-il que c'est qu'en m'offrant une ultime jouissance, m'envoyant au nirvana du plaisir, qu'ils sortent un a un des mes trous. Ils ne prennent même pas le soin de me tenir, et tout mon corps s'écroule sur le sol.
Je suis épuisée et suis bien incapable de faire un geste, je m'évanouie.
Je suis réveillé alors par un violent coup de pied dans les côtes. Un rom est à côté de moi, tenant un verre devant mon visage. 3 autres ***t debout autour de moi, me regardant avec intérêt, alors que le 5ème est en train de me baiser à toute vitesse. Je recommence à gémir comme un dingue. Je m'aperçois alors que le verre est rempli d'un liquide épais et blanchâtre. Le rom tient le verre au dessus de mon visage. Ayant compris le but de la manœuvre, j'ouvre la bouche. L'homme incline le verre, le liquide se déverse lentement dans ma bouche. Les 5 hommes éclatent de rire, et ces éclats de rires mêlés au coquin qui ne cesse de me baiser, m'incite à être plus dépravée encore, et c'est à petite gorgée, que j'avale avec délectation ce merveilleux breuvage. Vous l'aurez compris, les 5 roms ont déversé les spermes dans le verre pour me le faire boire.
Puis tout à coup, je ressens comme une brulure dans le minou et celui-ci se met à dégouliner de partout. Je pars dans une jouissance phénoménale. Le rom qui me baise vient d'uriner à l'intérieur de mon minou, une odeur nauséabonde commence à envahir la pièce. Il urine, urine encore, il n'en finit pas d'uriner tout en continuant d'aller et venir en moi. Je jouis et jouis encore. Il parle à ses amis, qui une nouvelle fois se mettent à éclater de rire. Sans doute leur à t'il dit qu'il venait de pisser dans ma chatte. Puis il sort tout à coup de moi, comme un fou il se précipite vers moi, me prends par les cheveux pour me tenir la tête droite. Il tient *** sexe devant ma bouche que j'ai ouverte, puis il fini d'uriner en se vidant dedans. Ca coule de ma bouche, dégoulinant que mon cou, sur mes seins. Puis il pousse un cri rauque et explose. J'ai du sperme et de l'urine plein la bouche, et j'avale tout avec délectation.
Ca donne des idées à un autre rom. Lui, il rabats mes cuisses sur mon buste. Il s'enfonce comme une fleur dans mon anus et immédiatement il vide sa vessie dans mes entrailles tout en allant et venant. Pour la énième fois je jouis comme une dingue. Alors, les autres s'en donnent à cœur joie. Ils se mettent à pisser sur mon corps, mon visage, dans ma bouche que je garde ouverte pour m'avalir un peu plus. L'autre continue de m'enculer à toute vitesse. Moi, en jouissant toujours, en buvant toujours le breuvage immonde, je caresse mon corps pour étaler l'urine sur ma peau, j'ai envie d'en être imprégnée.
Mes caresses, le contact de ce liquide horrible dont je me sers comme un onguent, et l'autre qui jouit en moi après m'avoir enculée merveilleusement bien, me déclenche une ultime jouissance.
Je dis « ultime », parce que les hommes ont terminé d'uriner et l'autre est sorti de mon anus.
Les hommes s'écartent de moi. Je constate alors qu'Ovidiu est revenu. Moi je suis tellement épuisée que je reste allongée sur le sol. Les roms se rhabillent. Puis, ils vont vers Ovidiu pour lui glisser quelques billets dans les mains. Des fris***s parcourent mon corps.
Ovidiu met l'argent dans une de ses poches puis dit quelque chose à ses clients.
Il s'approche alors de moi, dégrafe *** pantalon, extrait sa merveilleuse queue. Je me redresse, sans me lever, puis prend *** sexe dans ma bouche. Il met alors sa main derrière ma tête pour me *****r à garder *** sexe au plus profond de ma gauche, et, il se met à uriner. Je suis complètement étouffée, tellement étouffée que je suis forcée d'avaler les grands flots de pisses à grandes gorgées. Ca dégouline de partout de ma bouche, j'avale, j'avale encore, mon corps est secouée de spasmes, je suis en train de jouir sans même que l'on ne me touche, juste parce qu'Ovidiu se sert de ma bouche comme d'un urinoir.
Une fois terminé, il sort de ma bouche, ragrafe *** pantalon sans même m'accorder un regard, puis raccompagne ses clients à la porte. Il revient dans l'appart, s'assoit sur le fauteuil et compte *** argent. Puis il dit:
— Ca suffira pour aujourd'hui.
Je le regarde alors et lui dis:
— Si je comprends bien, je suis ta pute!
Il me regarde d'un sévère:
— Oui! Ca ne te convient pas?
Et moi de répondre:
— Si!
Puis je rajoute:
— Mais demain je pars en vacances au Portugal avec mon mari, je ne reviens que dans 3 semaines.
Etonnement compréhensif, il répond:
— Ok pour dans 3 semaines! Note mon numéro de portable au cas où il y aurait un problème.
Je note *** numéro et il part sans même un « au revoir ».
Cette fois je ne dirais rien à Jacques notre couple n'y survivrait pas.
chrislebo

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#8,704
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Le plaisir interdit, c'est comme l'alcool. Quand on se réveille le lendemain on est écœuré par ce que l'on a fait la veille. Bref, je suis en pleine déprime, je culpabilise de ce que j'ai fait la veille, de m'être comportée comme la plus chienne des chiennes, j'ai trompé mon mari en y prenant un plaisir terrible, sans aucune retenue, malgré ce que je lui avais promis quelques minutes après lui avoir avoué avoir couché avec Ovidiu. Je l'ai trompé 8 fois après ma promesse, et pire que ça, j'ai accepté d'être la pute d'Ovidiu.
C'est donc dans cet état de tristesse et de honte que je prépare ma valise pour me rendre à Toulouse retrouver Jacques.
Une fois ma valise prête, une fois que j'ai pris ma douche, pris mon petit déjeuner sans appétit, je pars de chez moi. Je prends un taxi, direction la gare pour un long trajet de 6 heures.
Lorsque j'ai réservé, j'ai pris le soin de choisir un compartiment à 4 places pour ne pas être dérangé par les voyageurs trop bruyant. Dans ce genre de compartiment, les gens ***t d'un certain âge et donc très calme.
Je trouve les gares sordides et mal fréquentées, aussi, je vais directement sur le quai et monte dans mon wagon bien avant le départ prévu. Je m'installe dans mon compartiment. Mes compagnons de passage ont eu la même idée que moi car les 3 autres places ***t déjà occupées. Comme je le pensais, ce ***t des per***nes âgées déjà plongés dans leur bouquin. Je m'installe, prends moi aussi un livre, décidée à lire pendant tout le trajet.
Le brouhaha des passagers qui s'installent commence et je me dis que j'ai eu une idée géniale en réservant cette place. La 1ère classe n'est plus ce que c'était. Le principal c'est que moi je sois bien.
Je parlais peut être un peu trop vite, car 3 jeunes maghrébins entre dans le compartiment et disent d'un ton méchant aux trois autres passagers :
— Hé les vieux cons ! Sortez de là c'est nos places !
Les pauvres vieux prennent peur, mais protestent tout de même en menaçant d'appeler le contrôleur. Un des voyous dit :
— Dégagez de là ou on vous arrache la tête !
Les vieux n'hésitent pas, prennent les bagages et sortent du compartiment !
Je m'insurge :
— Bande de voyous ! Vous pouvez pas laissez ces pauvres gens tranquilles après vous vous plaignez qu'on ne vous aime pas !
— Toi la salope ta gueule sinon on va te baiser pendant tout le voyage et c'est pas l'autre enculé de contrôleur qui va nous en empêcher !
Devant tant de violence je préfère me taire en me promettant de demander une autre place au contrôleur lorsqu'il se présentera pour demander les billets. Encore une fois les voyous auront gagnés, mais ma sécurité et ma tranquillité avant tout.
Le train démarre. J'ai les yeux plongés dans mon bouquin que je ne lis même pas. Je ne veux plus voir ces 3 cons tout simplement.
Ils rigolent entre eux de manière vulgaire. Ils parlent de leurs histoires de sexe. Ils parlent des filles françaises qui ***t toutes des salopes. Ils se racontent comment ils ont « baisé » celle-ci, ou sodomisé celle là, comment elles ont hurlé de plaisir en en redemandant encore, Ils se remémorent cette blonde qui leur a fait une fellation à tous les 3 en même temps. Ils se promettent d'en faire leur prostituée. Le plus costaud, raconte cette femme dans le métro qui ne portait pas de soutien gorge, le salaud lui a « tripoté » les seins pendant tout le trajet. Il se vante de l'avoir faite jouir, en lui pinçant les tétons, il rit du fait que per***ne ne soit intervenu pour venir en aide à la jeune fille. Il pense que c'est dommage qu'elle porta un string sinon il aurait pu la prendre dans le métro sans que per***ne ne bouge le petit doigt.
Je me sens mal à l'aise car je pense illico à Ovidiu qui m'a donné un plaisir fou en caressant mes seins dans le métro, et je prends conscience qu'il aurait pu me pénétrer sans que je ne lui oppose la moindre résistance. Je pense aussi au moment ou il a déchiré mon string au bas de l'escalier. Comment savait il dès le départ que je portais un string ? Il a bien vu que je ne portais pas de soutien gorge, comme aujourd'hui d'ailleurs, il aurait très bien pu penser que je ne portais pas de culotte non plus.
L'un des arabes demande à celui qui vient de raconter ses exploits :
— Et Ahmed ! Comment savais tu qu'elle portait une culotte ?
— Elle avait la trace du string sous sa jupe ! Comme cette conne là !
Je comprends illico que la conne c'est moi.
Je ne réponds pas et fais comme si je n'avais rien entendu
Il continue :
— Vous avez pas remarqué qu'elle n'avait pas de soutien gorge elle non plus ?

L'autre arabe :
— Tu es sûr ?
A ce moment, on arrache le livre de mes mains et le conteur dit :
— Regarde connard ! Tu vois pas les pointes qui sortent à travers sa robe et elle est tellement transparente qu'on voit le string blanc !
Je me mords les doigts d'avoir choisi une robe aussi courte et aussi légère. Je me mords les doigts d'avoir les tétons qui pointent à travers la robe, je me mords les doigts d'avoir écouté l'aventure de cet arabe, je me mords les doigts d'être EXCITÉE.
L'arabe me jette mon livre et j'essaie de me replonger dedans mais c'est impossible, j'ai besoin d'air.

Je me lève et sors du compartiment pour prendre l'air. Par bonheur, je croise le contrôleur. Je l'interpelle :
— Monsieur ! Il y a 3 voyous dans mon compartiment qui m'importunent! Pouvez-vous me changer de place ?
— Dans quel compartiment êtes vous ?
— Le 15 !
— Bon je fais le tour du train pour voir si je peux vous trouvez quelque chose ?
— Merci beaucoup Monsieur !
Je file aux toilettes pour me calmer. Je passe mon visage sous l'eau mais je n'arrive pas à me sortir de la tête l'aventure de l'arabe et me mets à la place de la jeune fille qui a jouie sous ses attouchements. C'est d'autant plus facile qu'il m'est arrivé la même chose pas plus tard qu'avant-hier. Et une question tourne dans ma tête : Aurais-je accepté que ce voyou me caresse comme l'a fait Ovidiu?
Et même pire que ça : Aurais je accepté qu'il me prenne dans le métro si je n'avais pas porté de string ?
Je connais malheureusement la réponse : OUI ! il est probable que cela se serait produit.
Ça me fait peur. J'ai peur car je suis seule dans me compartiment avec ces 3 voyous qui ont bien vu que mes tétons étaient dressés et qui savent donc que je suis excitée. J'ai peur car, si par malheur ils se mettaient à me caresser les seins, je crains que les laisserais faire. Je sais que je jouirai car je suis sûre que ce doit être terriblement jouissif d'être tripoté par eux. Le pire serait que je ne porte pas de string. Ils le sauraient de suite puisque ma robe est transparente. Je suis certaine que je passerai à la casserole, qu'il me prendrait par tous mes orifices comme mes roms l'ont fait hier. Ces roms qui m'ont tant fait jouir, qui m'ont tant remplie. Je sors de ma torpeur, car sans m'en rendre compte, j'ai glissé ma main dans mon string et je suis en train de caresser mon minou. Je suis tellement excitée par les paroles de l'arabe et par mes pensées, que mon minou en dégouline de plaisir.
Il faut que je me calme. Mais comment se calmer quand des idées folles tournent dans notre tête.
Je n'arrête pas de penser aux paroles d'Ahmed, mais aussi à celles de ses amis. Je repense à cette blonde qui les a sucé tous les 3 en même temps, ils voulaient en faire leur pute. Que feraient ils de moi si ils savaient que j'ai sucé 5 roms en même temps hier soir ? Certainement feraient-ils de moi leur prostituée comme Ovidiu l'a fait. Certainement enverraient ils eux aussi des clients chez moi pour me baiser, peut être même me mettraient ils sur le trottoir.
Mon état empire, je mouille à outrance, m'imaginant aguichant le chaland sur le trottoir au milieu d'autres prostituées. Ça devrait me faire peur, me dégouter, mais bien au contraire ça m'excite au plus haut point. C'est effrayant quand on sait que je suis devenue la pute d'Ovidiu en juste 1 soirée et que je ne m'y suis pas opposée une seule seconde. Oui c'est sur ! Ahmed ferait certainement de moi une prostituée si jamais je lui cédais et je suis à 2 doigts de céder.
Mon string me gêne, m'empêche de me caresser comme je le souhaiterais. J'ai envie de fouiller mon minou avec mes doigts en imaginant que ce ***t les trois voyous qui me touchent. Je retire mon string, et continue de me caresser tout en le tenant dans l'autre main.
On frappe a la porte des toilettes violemment, puis :
— Vous avez fini ! il n'y a pas que vous dans le train !
Je sursaute et illico mon excitation s'arrête net. Le con de passager qui a frappé m'a fait si peur que j'en ai échappé mon string dans la cuvette des toilettes.
Là, je suis vraiment dans la merde. Mon string flotte dans la cuvette immonde et il est bien sûr impossible de le récupérer et quand bien même le ferais-je, il est impensable que je le remette.
Je suis pétrifiée. Pourtant il faut que je sorte des toilettes car l'autre abruti recommence à frapper à la porte et menace d'appeler le contrôleur. Je n'ai pas le choix, je me rajuste, tire la chasse et le string disparait. Aléa Jacta Est.
Je sors des toilettes, rouge de honte. L'abruti lance un :
— Ah tout de même !
Je ne réponds pas et marche à pas lents dans le couloir du wagon, je ne suis pas pressée d'affronter les regards des jeunes arabes. J'ai l'impression que tout le monde connait mon secret, que tout le monde sait que je ne porte rien sous mes vêtements, d'autant que le soleil qui frappe sur les vitres du train rend ma robe encore plus transparente. J'ai la sensation que mon corps n'a plus de secret pour per***ne. J'ai la sensation que tout le monde voit que mon minou est totalement épilé.
J'arrive devant mon compartiment. Ah si seulement le contrôleur avait la bonne idée d'arriver maintenant pour me donner une autre place. Je prends ma respiration, ouvre la porte. Les 3 arabes ***t en pleine conversation à laquelle je ne prête aucune attention, préoccupée que je suis par le fait de rejoindre ma place située au fond du compartiment près de la vitre. Je suis donc obligée de passer devant au milieu d'eux pour m'assoir avec ce putain de soleil qui n'arrête pas de rendre ma robe transparente, j'ai l'impression d'être nue. Ils arrêtent de parler en m'apercevant. Je suis rouge de honte en rejoignant ma place car je sais pertinemment qu'ils suivent mon déplacement du regard. Ils savent, car c'est trop évident, que je n'ai plus mon string et il est clair dans leur tête que si je ne l'ai plus, c'est parce que je l'ai délibérément enlevée, et que, bien sûr, je l'ai fait pour eux. N'ayant pas d'autres choix, je m'assois et reprend mon livre pour cacher ma honte et ne pas avoir à affronter leur regard.
Ahmed dit 2 ou 3 mots en arabe, et les voyous éclatent de rire. Ça me rappelle hier soir quand les roms explosaient de rire en parlant de moi. Je me souviens quand Codrut a traversé le salon alors que j'étais empalée par le cul sur *** manche, les autres hommes qui attendaient leur tour ont éclaté de rire en me voyant ainsi et j'ai eu alors un orgasme extraordinaire. C'était merveilleusement humiliant, merveilleusement bon.
chrislebo

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#8,705
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Ahmed dit à un des voyous en français cette fois :
— Karim ! Raconte à Aziz la salope dans le troquet du XVIème!
Karim :
— Ah ouais ! Ça c'était vraiment une chienne !
Bon je suis un peu rassurée, car il passe à une autre histoire et semble m'avoir oublié.
Karim poursuit :
— On est allé avec Ahmed dans un troquet de bourges dans le XVI pour foutre un peu la trouille à ces enculés pleins de fric. Quand on est entré, tu les aurais vus baisser la tête pour ne pas croiser nos regards. On rigolait comme des tordus. On s'est foutu au bar et on s'amusait à mater tous ces cons avec des regards de tueurs. Au fond du bar, Ahmed repère une pétasse blonde, hyper bien gaulée. Elle était assise sur une banquette et *** mec en face d'elle. On commence à la mater, on lui fait des clins d'œil chaque fois qu'elle croise nos regards. Elle a du dire à *** mec ce qu'on faisait car il s'est retourné pour nous regarder. Ce con d'Ahmed lui a fait un doigt et je te dis pas comment le mec à flipper et a tourné la tête pour plus nous voir. Ahmed à traverser la salle avec sa bière et s'est assis sur la banquette juste à côté de la meuf, moi je l'ai suivi et je me suis assis de l'autre côté de la pétasse. Je te dis pas la panique. Le mec savait plus ou se mettre. Sa meuf l'a regardé avec un air méchant et lui a reprocher de ne pas intervenir. Le mec a baissé la tête comme un pédé de bourge qu'il est. Ahmed à dit a la meuf que *** mec a pas de couilles et qu'elle ferait mieux de le larguer. Et l'autre fiotte qui disait rien et avait la tête baissée. Je te dis pas comment la meuf était vénère. Ahmed continuait de draguer la blonde et a passer *** bras autour de *** épaule. Elle a essayée de se débattre mais Ahmed la tenait fort. Ahmed lui a touché un nibard. La meuf s'est mise a gueuler mais per***ne ne bougeait. Elle se débattait mais Ahmed a réussi a passer sa main sous *** chemisier. En se débattant les boutons de *** chemisier ont pété et elle s'est retrouvé les nibards à l'air. Cette pute n'avait pas de soutien gorge. Ahmed lui tripotait carrément le nibard et moi j'ai mis ma main sur sa cuisse. Elle avait une mini jupe. J'ai mis ma main sur sa chatte, dommage elle avait un string. Je me suis mis à lui toucher la chatte a travers *** string. La pute mouillait. Elle s'est levée brusquement. Ahmed l'a retenu. Elle lui a dit méchamment « je vais aux toilettes, j'ai le droit ? ». Ahmed a dit qu'il était ok mais qu'il gardait *** sac pour être sur qu'elle revienne. La meuf à dit « ok » et elle est partie aux chiottes en tenant *** chemisier fermé. On est resté avec le mec. On le traitait de tout et ce connard ne bougeait pas, il chialait. On était mort de rire avec Ahmed. La meuf est revenue et s'est assise entre nous.
Ahmed a défait tous les autres boutons du chemisier de la meuf et moi j'ai remis ma main entre ses cuisses. Tu sais quoi Aziz ? La salope avait enlevé *** string. Elle avait la chatte complètement à l'air. Je l'ai dit à Ahmed qui est venu constater de lui-même. Il lui a enfoncé trois doigt dans la chatte et il a dit tout fort « putain mais elle mouille cette salope ».

Une qui manque défaillir, c'est Miss Christine. Je suis rouge de honte derrière mon bouquin. J'ai honte parce que je n'ai rien sous ma robe, j'ai honte parce que j'ai fait comme cette fille : je suis allé aux toilettes pour retirer mon string. S'ils le savent, ce dont je ne doute pas, ils doivent me considérer comme une pute, aussi pute que la blonde. Oui, je suis comme la blonde, je suis comme la blonde car moi aussi je mouille terriblement à la différence que c'est sans que per***ne ne me touche, je suis donc pire qu'elle. Ce qui m'excite le plus c'est que la fille se soit donnée à eux, a pris un pied fantastique, devant *** mec qui avait peur d'intervenir. Qu'aurais fait Jacques à sa place ?
Karim :
— On lui fouillait la chatte tous les 2 et elle mouillait de plus en plus et on lui tripotait les nibards. Et tu sais ce qu'elle a fait cette pute, elle s'est retournée vers Ahmed et lui a roulé une pelle, et elle s'est retournée vers moi et elle m'en a roulé une à moi. Putain tu l'aurais entendu gémir cette salope ! Après on l'a amené dans les chiottes avec *** mec pour qu'il regarde. La pute nous a pompé a nous faire péter les couilles. Après on l'a tringlé l'un après l'autre devant sa fiotte qui chialait. La salope gueulait pour qu'on la baise plus fort. Après on lui a déchargé sur sa belle gueule de pute.
Aziz :
— Putain quel bol vous avez eu ! Dommage qu'elle soit pas dans le train ! Je lui en foutrais plein le cul pendant tout le voyage ! Ah bordel ! J'ai une de ces envies de baiser maintenant ! Je bande comme un taureau. Moi les salopes pareilles je les rate pas.
Ahmed renchérit :
— T'as rai*** ! Ce serait de la bombe en plus on est peinard dans le compartiment ! Y-a que l'autre enculé de contrôleur qui peut nous gonfler !
J'ai des fris***s dans tout le corps. Des fris***s de peur et de plaisir, je mouille à outrance et j'ai envie folle de jouir. J'ai envie de repartir aux toilettes pour me faire jouir avec mes doigts. Leur histoire m'a fait un effet terrible. Ce qui m'a excité le plus c'est que la fille se soit donnée à eux devant *** mec, elle a pris un pied phénoménal devant lui. Il a du ressentir une *********** terrible et c'est terriblement excitant. Qu'aurais fait Jacques à sa place ? Serait-il intervenu, ou m'aurait-il regardé jouir sous leurs assauts ? Le plaisir aurait-il plus fort ? Oui. Malheureusement oui, j'en suis quasiment certaine, je me serais donné à eux corps et âmes, et j'aurais jouie comme une dingue devant le regard désespéré de mon mari.
Aziz est dans tous ses états :
— Putain ! J'en peux plus ! Faut que je baise ! Faut que je me fasse sucer la queue !
Je sens mon livre m'échapper des doigts. Aziz est debout devant moi, il laisse tomber mon livre, puis approche de moi, sa belle queue à l'air. Je ne bouge pas, je n'ai même pas un mouvement de recul. Je me contente de regarder cette bite qui approche de mon visage. C'est le silence total. Les 3 jeunes arabes observent et se demandent si je vais ouvrir la bouche. Le gland du gros manche est a 2 cm de mes lèvres. C'est beau une queue d'arabe, bien raide, sans aucune peau, c'est gros, long. Et c'est en admirant ce merveilleux manche que j'ouvre la bouche, approche ma tête, et je gobe le gland d'Aziz.
Je n'ai pas eu la moindre hésitation, j'en avais trop envie. Les 3 hommes ***t ébahis, ils devaient s'attendre à de la résistance de ma part, ils s'attendaient sans doute à ce que je me précipite hors du compartiment, mais non, je suis encore plus pute que la blonde du bar. Karim le confirme :
— Oh la pute ! T'as vu ça Ahmed ? Tu lui montres ta queue et elle la suce! T'as même pas besoin de la draguer, t'as pas besoin de lui parler, tu te contentes de lui montrer ta queue et elle te pompe ! Jamais vu des putasses pareilles !
Je suis au bord de la jouissance. Mon comportement de salope, la queue d'Aziz que je pompe comme une déchainée en m'agrippant à ses fesses, et surtout les commentaires de Karim, secouent mon corps de spasmes.
Aziz :
— Oh putain ! Qu'est ce qu'elle est bonne cette chienne ! Je vous dis pas comme elle suce, elle est tellement gourmande que j'ai l'impression qu'elle me bouffe carrément la queue !
Je suis tellement excitée que mon corps boue. J'ai chaud, je transpire de partout. Aussi, je lâche les fesses d'Aziz tout en continuant de faire aller et venir ma bouche sur sa bite, je dégrafe un a un les boutons de ma robe. Lorsque mes seins jaillissent, Karim dit :
— Putain ! T'as vu la taille des nichons ? t'as vu comme elle pointe cette pute ?
Je continue de défaire les boutons, puis j'écarte les pans de ma robe, extirpe mes bras des manches, tout cela sans cesser une seconde de sucer mon Aziz. Je suis nue ! Je suis nue pour eux ! Et, si ils en doutaient encore, ils ***t certains maintenant qu'ils vont me sauter tous les 3.
Toujours en suçant Aziz (qui a une endurance incroyable pour ne pas jouir malgré la pipe féroce que je lui offre) après de multiples contorsions, je parviens à me mettre à 4 pattes sur la banquette. Mes fesses ***t offertes à Ahmed et Karim, je veux être leur objet de plaisir, je veux être leur sex-toy et jouir comme une dingue sur leur manches.
Aussitôt, je sens 2 mains écartées mes fesses, puis Karim s'exclame :
— Bordel ! Regarde le trou du cul ! Il est énorme ! C'est pas possible c'est un taureau qui l'a enculé cette pute ! Oh le garage à bite que c'est celle là ! On va nager là dedans !
Je suis au bord de l'explosion, je pousse des gémissements étouffés par la bite d'Aziz qui commence à faire des grognements de plaisir.
— Et la chatte ! t'es vu la chatte ! Elle mouille tellement qu'il y a une goutte qui pend du clito !
Un des deux à alors la mauvaise de cueillir cette fameuse goutte, *** doigt effleure mon clito et là je pars dans une jouissance terrible, m'obligeant à extirper la queue d'Aziz de ma bouche:
— Ohhhhhh ouiiiiiiiiii ! ouiiiiiiiiiiiiiii ! ohhh je jouiiiiiiiis ! preneeez moi !
Ahmed :
— Merde ! Elle jouit à peine tu la touches ! On est tombé sur le coup du siècle les mecs ! Combien il reste de trajet !
Karim :
— Environ 5h30 !
Ahmed s'adressant à moi :
— Tu sais qu'on va t'exploser le cul et la chatte pendant 5h30, sac à foutre ?
Moi en continuant de sucer Aziz qui est décidément d'une endurance incroyable. Jacques, lui, jouis en 10 secondes, et encore je suis très loin de le sucer aussi fort, aussi bien, que je ne suces Aziz. Jacques aurait explosé en 2 secondes alors qu'Aziz est déjà depuis 10 minutes dans ma bouche et ne jouis toujours pas. Ce qui est terrible, ce m'excite encore plus, c'est que j'aimerais que Jacques soit là pour me voir sucer cet arabe, pour qu'il voit le pied que je prends en suçant une grosse bite, qu'il constate que je préfère les grosses bites alors à *** petit a *** sexe de moineau. Pour qu'il voit l'endurance de mon Aziz, qu'il comprenne qu'il n'est vraiment pas à la hauteur.
Un long manche pénètre dans mon anus, il n'a pas eu besoin de ******, la bite est entrée toute seule, sans effort tellement mon trou du cul est béant et profond. Il est entré tellement fort que je pars dans une jouissance extrême. Là encore je suis obligée de sortir le sexe d'Aziz de ma bouche pour hurler :
— Arrgghhh ! C'est booooooooonnn ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiiiisss !
Ahmed ou Karim, je ne sais pas, me défonce littéralement, ses couilles frappent contre mes fesses tellement il va profond en moi.
Aziz dit :
— Oh putain ! Karim tu vas la transpercer en l'enculant comme ça !
Puis à la fin de sa phrase :
— Ooohh la pute ! Je vais larguer la purée !
J'enfonce sa bite au plus profond de ma gorge, et Aziz explose dans ma bouche. De long jets gicle dans ma bouche, j'avale tout au fur et à mesure, je n'en perds pas une goutte.
— Putain la salope à tout avalé ! Ah elle aime la bite celle là !
Puis voyant que continue de le pomper :
— Eh arrête salope ! Tu vas me tuer ! Lâche ma bite bordel !
Comme je n'arrête pas, il me donne une gifle d'une violence inouïe. Sur le coup, mes bras cèdent, et mon buste s'écroule sur la banquette. C'est la position idéale pour Karim. Je suis complètement cambrée, complètement ouverte, et *** sexe se promène en moi encore plus facilement, avec encore plus de violence et je crie de plus belle.
Puis sans sortir de mon cul, Karim me fait basculer, il s'assoit sans sortir de mon cul. Je me retrouve de dos à lui, empalé par le cul, sur sa grosse bite, à califourchon sur ses cuisses. Il m'attire vers lui en s'agrippant à mes seins, et à petits coups de reins il me sodomise à merveille. Je l'accompagne autant que je peux dans ses allées venues en ondulant des reins. La position est inconfortable mais ô combien jouissive. Je colle bien mon à *** buste pour me lover contre lui, je passe mes bras autour de *** cou, pour être bien offerte. Je pousse des cris de plaisirs continue :
— Hummm ouii ! Oh j'aime ta bite ! Ohh encule ta pute mon Amour ! Encule la fort ! Elle s'offre à toi !
Mon Minou est complètement ouvert, offert. Ahmed se déshabille en me regardant me faire défoncer l'anus.
— Regarde-moi cette pute Aziz ! Regardez la bite de Karim entrer et sortir ! Et sa chatte ? t'as vu sa chatte, on dirait une grotte !
Moi je gémis de plus belle, obnubilée par la bite parfaite d'Ahmed, longue épaisse, terriblement belle :
— Oh ouii ! Viens chéri ! Viens planter ta queue dans ma chatte de pute ! Défoncez moi tous les 2 en même temps !
Aziz :
— J'y crois pas ! C'est vraiment la reine des salopes ! Remplie la Ahmed! Vas y ! Défonce lui la chatte !
Ahmed s'approche, *** manche dans sa main, le masturbant lentement. Moi je respire très fort et gémis d'impatience. Lorsque le gland d'Ahmed se colle à ma vulve, Karim arrête de donner des coups de reins, j'arrête à mon tour d'onduler des reins sur *** manche, pour permettre à Ahmed de pénétrer dans mon minou.
C'est dans un long et terrible gémissement que le manche d'Ahmed pénètre en moi d'un seul coup. Il frotte mes parois et m'ouvre un peu plus, bien que je sois déjà béante.
— Ohhhh ouiiiiiiiiiiii ! Ohhhh c'est boooonnnn !
Ahmed commence alors a aller et venir. Doucement tout d'abord, puis quand Karim recommence à pilonner mon anus, Ahmed accélère la cadence, et va et vient en moi à toute vitesse et avec une violence telle, que j'en explose de plaisir.
Je hurle ma jouissance alors que ma chatte se met comme hier à gicler de partout à grands jets. J'éjacule comme une dingue :
— Argghhh ! Ouiiii ! Ouiiii ! Ouiii ! Oh jje jouiiiisssssss ! Je jouiiissss !
J'ondule comme une folle contre le buste de Karim. Il joue avec mes seins, les masse, les pétrit, les griffe. Puis il saisit mes tétons et tire dessus comme un dingue, il les allonge comme pour les arracher en les faisant rouler entre ses doigts.
Puis :
— Madame ! Je vous ai trouvé une pla....
Le contrôleur ne peut pas finir sa phrase. Il reste bouche bée devant le spectacle et moi je jouis une nouvelle fois. Je jouis de honte, d'***********, parce que le contrôleur auprès de qui je m'étais plainte du comportement des trois voyous, constate que je suis en train de prendre mon pied grâce à eux. Et il est évident qu'à ma façon d'onduler dans tous les sens, de hurler mon plaisir, ce ne peut pas être un viol.
Le contrôleur est tellement ébahi qu'il ne peut se résoudre à sortir.
Aziz lui dit :
— Eh toi le pèquenot ! t'as pas envie de te faire sucer ? il lui reste encore un trou !
Le contrôleur sort de sa torpeur, hésite, mais s'approche tout de même.
Je le regarde arrivé tout en criant mon plaisir en me bougeant de tout mon corps sur les 2 queues qui m'enfilent. Il grimpe à genoux sur la banquette pour que sa queue soit accessible pour ma bouche. Il dégrafe *** pantalon, le baisse en même temps que *** slip. Il bande comme fou, sa queue n'est pas aussi grosse que mes 3 chéris d'arabes, mais largement plus que celle de Jacques. Sa queue frétille d'envie, j'ouvre alors la bouche, il approche *** sexe, pose *** gland sur ma langue. Je l'enserre entre mes lèvres, je fais tourner ma langue autour du gland. Mais les secousses provoquées par les pénétrations violentes que je subis m'empêchent de le pomper convenablement. Alors j'extirpe *** sexe de ma bouche et dans un gémissement, je lui dis :
— Baisez moi la bouche !
Le contrôleur qui n'en revient pas dit :
— Mais quelle salope !
Puis d'un coup de rein, il s'enfonce jusqu'au plus profond de ma gorge. Je manque m'étouffer. Le salaud se met alors à aller et venir dans ma bouche comme un dingue, comme s'il voulait me punir de lui avoir fait perdre *** temps à chercher une autre place. Il explose dans ma bouche au bout de 3 minutes. C'est loin des 15 minutes d'Aziz, mais c'est, et de loin, beaucoup mieux que les quelques secondes de Jacques. C'est en pensant à cela que je jouis une nouvelle fois violemment.
Décidément, l'idée d'humilier Jacques m'excite terriblement et me fait jouir à outrance.
Le contrôleur se rhabille. Ahmed, tout en continuant à me baiser comme un dieu, lui dit :
— Dis-moi ! Tu pourrais pas nous ouvrir la fenêtre, on crève de chaud et le trajet va être long et épuisant.
Le contrôleur est d'accord, puisque je sens aussitôt l'air frais que mon corps. C'est vrai que ça fait du bien.
Le contrôleur sort. Je repasse mes bras autour du cou de Karim pour être bien offerte et bien profiter de l'air frais. Je remue de plus en plus en poussant des cris, en motivant mes hommes, en les suppliant de me prendre plus fort. Je me tortille tellement bien, que tout à coup, dans un même élan, ils explosent dans mon ventre et mon cul. Ça me rend folle et encore une fois mon minou gicle de partout.
— Oooooooooohhhh ! ouiiiiii ! je jouiiiiiis ! Ohhh vous êtes mes dieeuux! Mes amours, mes hommes ! Je vous aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimmee! Je suis à vouus ! Je suis votre puuuuuuute !
Au bout de quelques secondes, Ahmed sort de mon ventre et m'aide à me relever. Le manche de Karim sort de mon anus. Je m'allonge négligemment sur la banquette, nue, les regardant se rhabiller.
chrislebo

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Cocu
bonjour, c'est mon histoire.
j'ai eu ma premiere experience a 17 ans avec un homme age dominateur.
j'ai ensuite a 18 ans rencontre une femme marie qui m'a depucele et apris a baise.
enfin, j'ai rencontre ma femme, j'avais 19 ans, elle 26, elle etait en cour de divorce, nous devions, nous cachais, nous faisions l'amour dans ma 2 cv, dans les bois, chez des amies. C'etait super meme si elle refuse les pipes et la sodomie.
Nous avons pris un appartement et avons eu 2 enfants.La je n'ai plus compte, nous n'avions pratiquement plus de rapport, je pouvais encore la caresser et la sucer, moi des fois j'avais le droit a une branlette. Ayant des besoins je pris l'habitude de me masturber avec ces sous-vetement. Un jour, je me suis fait surprendre, "tu me trompe avec mon slip, salope",je recu une paire de claques, "non, mais j'ai des envies","continu, de tout facon, ta petite bite molle n'est bonne qu'a cela", la surpris et rouge de honte, je suis reste sans voix, "allez astique-toi plus vite, PD"...je reussi a ejacule mais sans plaisir, "ressuie-toi et va faire une lessive", "au faite, tu dormira dans l'autre chambre a partir de maintenant". A partir ce moment, je ne l'ai plus vu nu, je n'ai plus vu ces sous-vetements
La situation dura 6 mois. Un soir en rentrant du travail, ma femme que je nommerais C me dit: "j'ai une copine Isa qui a besoin d'un endroit où dormir, nous avons de la place, elle arrive demain!", surpris, je lui repond "tu aurais pu m'en parlé", C: "J'aurais pu dire a tous le monde que tu te branle dans mes slips et que ta queue est molle!", je laisse donc tombé l'affaire avec une petite idée, draguer Isa. Le lendemain, je rentre, il y a deux valises dans le couloir. C me regarde, c'est ma <copine> Isa, moi: "Bonjour Isa", Isa me regarde de la tete aux pieds avec un petit sourire, C:"J'ai enlevé tes affaires de ma chambre, j'ai besoin de la place pour les vetements d'Isa. La, je tombe de haut, j'avais une autre idée en tete, Isa dans la chambre d'ami et moi dans le lit avec C. Gloups! La soirée fut un peu speciale, j'ai eu l'impression d'etre un pot de fleur, per***ne ne m'a adressé la parole. Finalement, je vais me coucher. Je suis bientôt reveillé pas des rales et des cris, C et Isa ***t en train de faire l'amour et pas qu'un peu. Je suis jaloux mais d'un autre coté, je suis excité, je bande, je me branle 3 fois, je joui rapidement et tres fort. Le lendemain, je descends pour le dejeuné, C et Isa arrivent les mains sur les hanches, durant le café, elles echangent des regards complices, j'ai l'air con! C et Isa ayant fini, Isa me dit: "Ta femme C est a moi maintenant, si tu ne veux pas te retrouvé à la rue, comme ta bite ne sert à rien, tu vas faire les taches ménageres!", pour info la mai*** appartient à C. Isa: "Alors!". Moi: "J'ai pas vraiment le choix".De ce jour, je me retrouve femme de menage, le soir et au boulot la journée.Les enfants grandissant, C m'annonce : "Ce week-end, les enfants vont chez mes parents.", moi : "Ah mais...", C: "je te demande pas ton avis".Finalement, elles se retrouvent toutes les deux, plus la femme de ménage, moi. La, elles se lachent, baisers langoureux, mains baladeuses...pendant que je fais le repassage. Soudain, Isa dit à C: "Tu crois qu'il bande!", elles se levent, me tombent dessus, je me retrouve à poil. Isa : "il bande le connard, va chercher des ceintures", un quart d'heure plus tard, je me retrouve attaché et baillonné. Isa : "C'est ton esclave, a toi de le dresser".La, je nage en pleine fiction mais je n'arrive pas à débander. Isa revient avec un sac à dos, C sous les directives d'Isa, commence par des coups de martinet, puis j'ai le droit aux orties sur les parties génitales enfin à la cire de bougie, cela fait horriblement mal, je pleure, je gemis mais dans un coin de mon esprit, J'en ai envie. Finalement, elles me laissent sur le tapis du salon. pour achever de m'humilier un peu plus. le lendemain, elles debarquent dans la salle de bain et chopent un fou rire en se moquant de ma bite inutile selon lors criteres. Je n'ai plus d'intimité durant ces séances.D'un week-end par mois, nous pas***s à tous les quinze jours, puis chaque semaine.Je souffre mais je commence à prendre l'habitude et à apprécier la situation.Cela durant trois mois.
Nous avons pris notre rythme, Isa ces marques, C est rayonnante. Elle s'habille de plus en plus sexy, les jupes ***t plus courte, les chemisiers plus transparents, les talons plus hauts, les slips ont disparu au profit des strings et les bas ont remplacé les collants. Je n'aurai jamais pensé un jour la voir ainsi, je suis fiere de ma femme meme si je puis la toucher qu'avec les yeux. Je ne vois ces sous-vetements que lorsque je fais la lessive mais elle doit etre superbe avec. La nuit, C à l'ecoute de ces cris de jouissance, prend un pied que je n'est jamais reussi à lui fournir. De mon coté, je suis heureux de la savoir combler meme si je ne participe pas. Le seul hic, c'est en famille, bien que C et Isa reste distante mais il y a des regards et de petits gestes qui ne trompent pas, mais tous le monde jouent le jeu, ne voyant ou ne voulant rien voir. Pour moi, meme si c'est trés génant, il y a une part de satisfaction, je suis fait cocu par une femme, per***ne ne peux le prouver, tous reste ambigue, c'est trés excitant.Un vendredi soir, Isa previent C qu'elle doit s'absenté pour une semaine pour un probleme familiale. Isa prépare ces valises, nous l'accompagnons jusqu'a la gare. Je suis soulagé, je vais pouvoir souffler un peu ce week-end. Lors du retour, C est triste, moi, je suis triste pour C. En fin de journée, C me dit : "Je vais prendre une douche, change les draps de ma chambre et nettoye le salon. Je m'execute. C revient habillé trés sexy avec un tailleur noir, des talons enfin par une tenue pour se detendre en fin de semaine. Elle me regarde, fiere de *** effet, je ne sais pas quoi penser, C : "Prevoir trois couverts", moi : "Ah!" un peu deçu, C : "Isa, ne veut pas que je reste seul, j'ai donc invité un collegue de travail", moi : "Tu le connais bien...", C : " Tu te souviens de la semaine de formation l'année derniere?", moi : "Oui..", C : "A l'hotel, il avait la chambre d'a coté, j'étais fatiguée, loin, nous avons un peu bu, il m'a proposé de dormir avec lui et nous avons fait l'amour, chaque nuit, il a un sexe énorme.", voyant mon regard, C : "Si tu es sage, tu ne seras pas attaché ce soir, je laisserai la porte ouverte, tu pourra regarder mais rien de plus", "Et comporte-toi normalement, P sait que tu sait que tu es cocu. Et le fait de faire l'amour avec moi, sachant que le cocu est à coté, c'est un de ces fantasmes.". Je prépare donc le repas. vers 19 h, on ***ne à la porte, C va ouvrir, P est grand, brun, plutot muscle mais pas le genre gonflette bref trés beau. C l'embrasse en me faisant un clin d'oeil. Ils s'installent sur le canapé, je vais chercher l'apéro, les mains de P ***t déja en train de caresser les formes de C, Il perd pas de temps celui-la et en plus il me jete des regards de defit, tu vois cocu! nous pas***s à table, pour nous pass***s au salon pour le café et le digestif, C se retrouve vite avec un sein à l'air et une main sous la jupe, C se met à genoux et ouvre la braguette de P, elle en sort un membre énorme, au moins 20 cm, je n'ai jamais un tel monstre, elle commence à le masturber lentement avec désir. P releve la jupe de C, Elle porte un culotte fendue rouge que je ne connais pas et commence à lui caresser le sexe et le clitoris, ils gémissent tous les deux, moi je n'en perd pas une miette, je bande trés dur, c'est trés excitant. heureusement, C se leve, prend la main de P, C: " Vient", il monte dans la chambre, je reste un peu dans le salon puis je monte dans ma chambre, je me deshabille, ma queue est gonflé, le glan est rouge, je m'allonge en imaginant C et P en train de faire l'amour.
J'entend des gémissements, je me leve et je me dirige vers la chambre de C, pas facile, c'est une vieille mai***, le parquet grince. Enfin, j'arrive devant la porte, je jette un oeil, C a l'énorme bite de P dans la bouche, je n'en reviens pas, <elle n'a jamais voulu avec moi, c'est rabaissé la femme>, P: "met-toi à quatre pattes", elle s'execute, il la penetre d'un coup, <cette position la, je n'y ai jamais eu le droit, non-plus>, je m'imagine à la place de P, j'ecoute C poussé des petits cris de jouissance, je suis au paradie, je bande comme jamais. P murmure quelque chose à l'oreille de C, elle se leve , ce dirige vers la porte, me regarde "Vient", elle m'allonge sur le lit, P me regarde encore avec defit, C prend sa queue en main et s'empale dessus en me regardant dans les yeux. Je bande mais je n'ose pas me toucher. C et P commence des va et vient de plus en plus rapide, C a les yeux vitreux, elle pousse de petit cri de plus en rapidement, elle eclate en hurlant, P grogne de plus en plus, il explose répendant *** jus dans la chatte de C. Ils 's'allonge fatigué en sueur, il y a une odeur, mélange de sueur et de sperme. P murmure à l'oreille de C, de nouvelles instructions. C : "met-toi debout, branle-toi façe à nous mais je t'interdis de jouir." C'est humiliant de devoir se branler devant ma femme et *** amant. C et P, me regarde se murmure des choses et se moque de moi, est-ce la situation, la taille de mon sexe...P ne semble pas du genre à avoir un faible pour les hommes mais sa bite reprend forme. Il donne encore des directives à C. Je me retrouve sur le dos, C approche et vient me chevaucher. Surprise, je n'aurai jamais pensé à cela, aprés si longtemps, j'ai du mal à me retenir, que c'est bon. Sa chatte est inondé de sperme et de mouille, c'est bizarre mais chaud et trés agréable. Soudain, je sens quelque chose de gros, c'est P qui encule C, La bite de P frotte ma queue à travers C, c'est la premier fois que je fais cela, c'est divin, nous bougeons chacun à notre vitesse, je suis le premier à jouir, c'est à s'évanouir, puis c'est C et enfin P. Nous sommes aux anges, C me jette un regarde en designant *** sexe : "Tu veux?", elle se met à quatre pattes, Je ne me fait pas prié, je la nettoye avec ma langue à fond, j'adore le gout de sa chatte mélangé au sperme de P et du mien, je me laisse emporter, je nettoye aussi *** petit trou qui est trés dilaté, C me laisse faire et semble meme vouloir que je continu, elle reprend *** pied. Nous endormons, je suis heureux, j'ai réalisé quelque chose que je n'esperais plus, regarder C faire l'amour avec un autre homme, la voir et l'entendre jouir, participer avec C à une double pénétration. Cette soirée restera dans ma mémoire. Le lendemain, P à pris une douche, C la raccompagnais nu jusqu'a la porte. Je demande à C: "Tu vas sous la douche", elle me repond :"Non, et toi non-plus, je veux que nous conservions l'odeur de cette nuit formidable", "Tu baise mal mais tu leche bien, je vais voir avec Isa, si elle est d'accord, tu pourra de temps en temps me nettoyer la chatte". C ma déesse, je l'aime!
Isa est revenu. Elles ont parlé, Isa n'est pas d"accord. Pas question, qu'un homme honore C. Isa est une castatrice. Ce week-end, je vais encore en prendre plein mon grade. Isa a fait des courses, C est d'accord, moi j'ai rien à dire. Isa a acheté des choses, Isa s'en prend à moi!
chrislebo

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Des coeurs en otage


Quand vous êtes laid et avez quarante deux ans, vous n'attendez plus grand chose des femmes. Vous mettez votre vie sentimentale et sexuelle en stand-by et vous vous masturbez sur les quelques instants de bonheur que vous avez pu avoir durant votre vie.
Pourtant, parfois...

C'est un pote et sa copine qui m'ont entrainé dans cette boite de nuit.
Je ne sais pas danser et je ne me sens vraiment pas à ma place. Je me console en regardant les petits culs qui s'agitent devant moi.
Les filles ***t belles, jeunes, mais surtout inaccessibles. Pour moi, du moins.
A la table d'à coté, il y a un couple de vingt ans tout au plus.
Enfin ! Quand je dis couple... Le garçon est seul car sa petite amie se déhanche comme une folle sur la piste.
Je n'arrive pas à détacher mes yeux de la fille. C'est une pure merveille blonde.
Cheveux mi-long, yeux bleus, une chemise blanche nouée sur le ventre, boutons ouverts créant un décolleté à faire pâlir le Marquis de Sade et laissant percevoir de petits seins bien blancs.
*** petit cul est couvert d'un mini kilt qui dégage ses jambes des cuisses aux genoux, le reste étant enveloppé dans de longues chaussettes blanches.
*** mec reste assis et comme moi, il la contemple. Il est tellement prit par la prestation de sa chérie, qu'il ne voit pas que je regarde la même chose que lui. Et c'est tant mieux.
« Bon ! Bruno ! Tu viens ? On y va ! »
Mes amis désirent partir.
« Heu ! Non ! Finalement, je suis bien ici. En plus, il n'est pas très tard. Ne vous inquiétez pas, je rentrerais seul. Ok ? »
« Bon ! C'est comme tu veux. A plus ! Salut ! »
Ils s'en vont et je les suis des yeux. C'est là que mon regard croise celui de la jeune blonde.
Elle danse toujours, mais elle me fixe et me sourit. Je suis un peu gêné et je tourne la tête vers *** copain. Il me regarde. Il n'a pas l'air en colère, mais semble plutôt triste.
D'un coup...je me sens moins bien.
Elle vient s'asseoir près de lui pour prendre un verre et se reposer un peu. Elle donne un bisou à *** mec et sort une cigarette.
Nous sommes à des tables différentes, mais sur la même banquette. Elle n'est pas à plus d'un mètre de moi. Je peux sentir *** parfum.
« Vous avez du feu ? »
Elle c'est pratiquement allongée, sa cigarette au bout des doigts. Sa chemise pendouille et je vois distinctement ses seins. Elle ne peut pas l'ignorer.
Je fouille ma poche, nerveusement, trouve mon briquet et je lui tends. Elle ne le prend pas, mais s'étire encore un peu plus pour que je l'allume.
La feu touche le tabac, mais ne s'enflamme pas. Elle n'aspire pas.
Interrogateur, je la regarde.
Ses yeux plongent dans les miens et brillent derrière la flamme. Sentant mon trouble, elle esquisse un sourire et aspire enfin. Le tabac s'embrase dans un petit crépitement presque inaudible, tout comme *** « Merci beaucoup. »
Elle fume sa cigarette sans s'intéresser à moi. Intérieurement, je me dis que c'est une belle allumeuse et je plains *** ami.
*** poi*** fini, elle retourne danser...juste devant moi. Ses cuisses frôlent ma table.
Je n'ose plus regarder *** mec.
Je suis fasciné par ce petit corps qui se tord et ondule. Je bande.
Soudain, nous nous retrouvons dans l'obscurité et les spots colorés ***t remplacés par une lumière noire.
C'est le moment des slows.
Elle me tend la main et ses doigts m'invitent à me lever. Je lui fais signe que je ne sais pas danser. En plus j'ai une énorme bosse dans mon pantalon. J'aurais l'air fin !
Mais ca, elle l'ignore et elle attrape mon poignet et me tire sur la piste.
Elle se jette littéralement à mon cou. Moi, bien sagement, je la prends par la taille. Sa chemise est nouée haut et mes mains se posent à même sa peau.
« Ho ! Pardon ! Je suis désolé ! »
Je les retire aussitôt, mais elle les reprend et les replacent sur ses hanches.
« Ce n'est pas grave. Tu vois que tu sais danser ! Serre moi un peu plus. »
« Heu ! Je ne sais pas si je dois... »
« Si ! Tu dois ! »
Et elle se plaque à moi.
Un peu dérouté par mon érection incontrôlable, qu'elle ne peut ignorer, je tente de me calmer, mais en vain.
Elle se frotte à moi, doucement. *** pouce caresse ma nuque et elle a posé *** menton sur mon épaule. Je sens sa respiration dans mon oreille et ses cheveux caressent ma joue.
********* mon sexe redevient plus dur que jamais.
Elle me regarde, amusée, me sourit et repose *** menton tout près de mon cou pour me murmurer :
« Ce n'est pas grave ! ».
Grisé par *** parfum, sa chaleur, j'oubli *** ami et m'aventure à la serrer plus fort.
Mes mains glissent dans *** dos et je sens ses seins s'écraser sur ma poitrine.
Si ca continu, je vais cracher ma purée dans mon froc !
J'aperçois *** ami qui se lève et qui se dirige vers les toilettes. Elle le voit aussi.
« On y va ! Vite !»
Ce n'est pas une demande, c'est comme un ordre, une évidence.
« Heu ! Ben non ! Ton copain...tu ne peux... »
Ses yeux bleus me lancent des éclairs. Elle ne semble pas aimer qu'on lui tienne tête.
« On y vas ! Maintenant ! Ne cherche pas à comprendre ! »
Je suis surpris et très embarrassé pour ce pauvre gars, mais pourtant, je la suis.
Nous ramas***s nos manteaux et une fois dehors j'appelle un taxi.
« Ou veux tu aller ? »
« Chez toi ! C'est bien, chez toi, non ? »
Je donne mon adresse au chauffeur. Il nous observe dans le rétro et il doit se dire qu'un type comme moi, a bien de la chance d'être avec une fille... comme elle.
Je ne sais pas trop dans quoi je m'embarque, mais c'est l'instant présent qui compte en ce moment. J'aurais bien le temps de me poser des questions demain.
Apres avoir inspecté mon appart, elle s'installe dans le canapé, jambes croisées, ses mains sur *** genou. Mon dieu qu'elle est belle.
Je lui offre du champagne et très sagement nous discutons de choses et d'autres. Elle n'est pas idiote et il est agréable de converser avec elle.
« Je ne connais même pas ton prénom ! »
« Moi, je connais le tien ! Bruno ! »
Elle s'amuse de mon air étonné.
« Rassure toi, je n'ai pas de don particulier. J'ai juste entendu tes amis t'appeler par ton prénom. Hihi ! Moi, c'est Fanny.»
« Fanny ! Humm ! C'est très joli ! Mais dis-moi Fanny...je repense à ton petit copain et... »
« Ha non, Bruno ! »
Elle pose *** verre et vient se poser à califourchon sur moi.
« Tu ne veux pas gâcher cette belle soirée ? T'inquiète pas pour ce mec, il ne compte pas. Embrasse-moi ! »
C'est le plus beau, le meilleur et le plus long baiser de toute mon existence.
Ses lèvres ***t douces, sucrées. Sa langue est agile, curieuse et fouille chaque recoins de ma bouche avec douceur. Nos salives se mélangent et font de grands filets lorsque par hasard nos bouches gourmandes se détachent, pour mieux se retrouver ensuite.
Sa chemise est dénouée, retirée et jetée loin dans la pièce.
Mes premières caresses sur ses seins confirment ce que je pensais. Ils ***t d'une douceur extrême, tiennent dans le creux de mes mains et *** fermes comme des pamplemousses un peu murs.
Ses tétons dressés appellent ma bouche et Fanny se penche en arrière pour mieux me les offrir.
Je les suce et les roule entre mes lèvres, tandis que mes mains caressent ses cuisses et remontent lentement sous *** petit kilt.
Quelle n'est pas ma surprise d'arriver à *** sexe sans trouver la moindre trace de culotte ou de string.
Mes pouces caressent les grandes lèvres, puis, les écartent et glissent dans la grotte humide.
La petite Fanny s'énerve sur ma braguette qui lui résiste un peu et libère enfin mon dard tendu.
Elle se redresse lentement, puis...se laisse remplir doucement par ma chair.
Apres une bonne décennie sans faire l'amour, qu'il est bon de retrouver la chaleur et la douce humidité d'un sexe féminin, d'entendre de nouveau de longues plaintes de plaisir, un souffle court, sentir des mains dans mes cheveux, sur mon visage.
Au petit matin, je la réveille doucement avec un copieux petit déjeuner.
Elle se cale dans le canapé que nous n'avons pas quitté, et remonte sur elle la fine couverture avec laquelle nous nous étions couverts pour dormir un peu.
Je pose le plateau sur ses cuisses et après m'avoir remercié, elle dévore ses croissants.
« Tu va bien, Fanny ? »
« Humm ! Oui ! Je me sens détendue comme jamais. »
Je repose *** plateau sur la table basse et je me glisse près d'elle sous la couverture.
Nous refai***s l'amour.
« Bruno ? J'aimerai rester là ! »

Voilà un mois qu'elle c'est installée chez moi.
Un mois de bonheur.
Un mois de sexe à toutes heures.
Un mois que je ne me sens plus laid.
Pourtant insidieusement, les choses changent.
Du jour au lendemain elle exige que je lui serve le petit déjeuner au lit, tous les jours.
Le ménage m'incombe entièrement à présent tandis qu'elle fait *** shopping, et le repas doit être prêt lorsqu'elle daigne enfin rentrer.
J'ai bien tenté d'exprimer mon mécontentement. Sa réponse fut très explicite.
« J'aimerai rester là, près de toi. Je suis bien, ici. Ne me donne pas l'envie de partir ! »
J'ai tout de suite repensé à *** copain en boite et à la tristesse qu'il affichait. Sans doute subissait-il le même chantage, la même pression.
Je repense aussi à ses années sans amour, seul. Alors...je me tais.
Je ne veux pas perdre cette peau douce, ses yeux clairs, ce petit chat qui se blottit encore contre moi, la nuit.

Peu à peu, je ne suis plus moi. Amoureux, mais paralysé par la peur de la perdre.
Je pense qu'elle le sait et elle en joue. A moi de ne pas tomber dans ses pièges.

Un vendredi soir...
« J'ai invité deux amis ce soir. Fais-nous un bon petit truc à manger. Mais par pitié, sois mignon et ne mange pas avec nous. Sers-nous, mais ne mange pas. Je veux être tranquille avec mes nouveaux amis et je ne voudrais pas qu'ils croient que...je ne veux pas qu'ils sachent que tu es avec moi. »
Elle a honte de moi, c'est évident. Elle ne veut surtout pas qu'ils devinent qu'elle se tape un vieux et un moche en plus.
Je m'effacerais donc.
Je prépare un poulet au curry. Je sais qu'elle en raffole.
Je mets la table pour trois per***nes tandis qu'elle se change avant l'arrivé de ses invités.
Elle arrive dans mon dos et passe ses bras autour de moi pour me serrer contre elle. Ses mains caressent mon torse et je passe les miennes derrière moi et les posent sur ses fesses.
« Ca sent bon, Bruno ! Tu t'es surpassé semble t'il ! »
« J'espère mon amour. Pour toi, rien n'est trop bon. »
Je me retourne et nous nous embras***s tendrement mais nous sommes dérangés par la ***nette de la porte. Immédiatement, elle court vers celle-ci en hurlant.
« J'arrive ! Me voici ! Me voilààààà ! »
Je n'avais pas encore vu sa tenue. Elle porte une longue robe de dentelle noire, très... trop transparente. Elle ne porte pas de soutien gorge et je peux voir sa poitrine sans problème au travers de la dentelle et voir également le petit string ridicule qui ne cache que *** coquillage.
« Whouaaaa ! My girl ! Tu es trop belle ! »
« Merci Eric ! Bonjour Vincent, tu vas bien ? »
« Quand je te vois, je ne peux qu'aller bien ! »
Putain ! C'est quoi ces deux espèce de bourgeois ? Ils ***t maniérés, gominés, habillés année quatre vingt. Je les déteste déjà !
L'un d'eux m'aperçoit. Il me fait un signe de tête presque imperceptible, l'autre m'ignore totalement. Pauvres cons !
Je me sens vraiment très mal, mais je suis sur que c'est un test que Fanny m'impose pour voir...pour voir, je ne sais pas quoi, en fait.
Ils se ***t installés dans le canapé de chaque coté de ma dulcinée. Ils ***t collés à elle comme des sangsues et ils ont passé un de leurs bras derrière sa tête. De leurs mains libres, ils ont prit les siennes et les lui embrassent de mille petits bisous. Ils ont vraiment l'air très con.
Je m'empresse de servir l'apéritif, juste pour qu'ils la lâchent.
Ils discutent, éclatent de rire pendant que je mets une touche finale à mon plat.
Le repas se passera bien. Pour eux en tout cas. Moi, je m'enferme à la cuisine pour ne pas entendre toutes leurs conneries.
Pour le café, ils repassent au salon. Je les sers et m'éclipse faire la vaisselle.
Lorsque je reviens, Fanny est à genoux, nue et saute d'une bite à l'autre pour les sucer. Mon cœur se serre.
J'ai envi de tout foutre en l'air, de jeter ces types hors de chez moi et de baiser violement Fanny pour la recadrer. Mais je n'en ferais rien, bien sur.
Près de la porte de la cuisine, il y a une chaise. Je m'assois et je les regarde prendre du plaisir, rongé par la jalousie.
Ils jouissent à tour de rôle dans la bouche de la petite blonde et je me dis qu'il y a une chance pour qu'ils s'en aillent. Mais bien sur, il n'en est rien.
Fanny se redresse, les prend par la main et les entraine dans notre chambre...dans MA chambre.
Je m'allonge dans le canapé, effondré par la tristesse, la jalousie. Je prends le coussin ou elle était assise pour sentir *** parfum. Je ne dormirais pas et passerais ma nuit à écouter les gémissements, les rires et les jouissances qui me parviennent de ma chambre, par la porte entrebâillée.
Au matin, vers dix heures, je leurs apporte le petit déjeuner. Je pousse la porte du pied et entre dans la chambre. Ils ***t encore en train de forniquer comme des bêtes.
Je pose le plateau sur une chaise près du lit et je sors. Ils ne m'ont même pas vu.
Vers midi, ils laissent Fanny épuisée et s'en vont, enfin.
Je vais la rejoindre.
Elle dort, nue, sur le dos, les bras en croix en travers du lit. Ses cheveux ***t collés par la transpiration. Sur *** visage, près de ses lèvres ou encore dans *** cou, il y a des traces de foutres séchés.
A mieux y regarder, j'en trouve aussi sur ses seins, *** ventre, sur un bras également.
Mon regard se pose sur *** joli minou, rougit par les assauts répétés. Il s'en écoule encore un filet blanchâtre qui glisse vers la raie de ses fesses.
Qu'est ce qui me prend ? Je deviens fou, ou quoi ?
Je penche mon visage vers sa fente meurtrie et y dépose un baiser. L'odeur de l'amour consumé parvient à mes narines et m'enivre. Je suis pris d'une envie irrésistible et je plonge ma langue dans le sexe souillé, malgré un léger soupçon de dégout.
Légèrement surpris par la saveur des jus mélangés, je suis ensuite pris de frénésie gourmande. Je suce, lèche aspire, bois. Je me débarbouille le visage de par l'orifice gluant.
Mon sexe rentre en érection comme jamais. Je n'en peux plus et libère mon membre. Je me jette sur Fanny endormie et la pénètre d'un coup.
« Qu'est ce que tu fais ? Tu es devenu fou ou quoi ! »
« Ho oui ! Je suis fou ! Fou de toi ! De ta chatte ! Laisse-moi te baiser ! Laisse-moi jouir dans ta chatte de pute ! »
Elle se débat, parvient à se dégager et me balance une gifle mémorable avant de disparaitre dans la salle de bain.
Assis au bord du lit, je reprends mes esprits tout en regardant mon sexe que je ne contrôle plus, qui éjacule sur la moquette en longs et puissants jets.
Je pleure.

Voilà deux semaines qu'elle ne m'adresse plus la parole.
Effrayé à la simple idée de la perdre, je redouble de petites attentions à *** égard. Mais ca la laisse de marbre. Je sais qu'elle peut partir au moment ou je m'y attendrais le moins.
Elle me tient par les couilles, c'est le moins qu'on puisse dire.
Ce soir, lorsqu'elle sort de la salle de bain, j'ai un choc. Elle est habillée exactement comme la première fois ou je l'ai vue en boite. J'y vois là un signe de détente, de rapprochement, d'autant plus qu'elle me sourie gentiment.
Je me lève du canapé et m'approche d'elle.
« Tu es... »
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase.
« Emmène-moi au cinéma ! »
« Heu ! Au cinéma ? Mais ou ? Que veux-tu voir ? »
« Emmène-moi dans la petite salle de mon ancien quartier. »
Elle a déjà attrapé *** manteau et se dirige vers la porte. Je chope mon blou*** et nous sortons. Je m'apprête à héler un taxi, mais...
« Non ! Prenons le métro ! »
Per***nellement, ca m'arrange. *** ancien quartier est à l'autre bout de Paris. Ca me coutera bien moins cher. Toutefois, cette envie soudaine de prendre un transport en commun, m'inquiète beaucoup. Surtout dans la petite tenue que cache *** manteau trois quart.
Il y a pas mal de monde, mais elle trouve quand même à s'asseoir sur un strapontin. Moi, je reste debout, appuyé à la porte du fond. Je l'observe.
Elle m'ignore complètement. Je la surprends à regarder les hommes, parfois même à leur sourire.
Je tremble à l'idée qu'elle puisse en accrocher un et partir avec, me laissant seul d'un coup. Mais à ma grande satisfaction, elle ne trouve pas chaussure à *** pied.
Sur l'escalator qui nous remonte à la surface, elle fait pourtant une ultime tentative d'harponnage.
Elle a repéré un type d'une cinquantaine d'années, quelques marches plus bas. Elle se penche outrageusement en avant, faisant mine de nettoyer une de ses chaussures. *** manteau remonte et dégage ses cuisses. Il ne fait aucun doute sur le spectacle qu'elle offre à cet homme.
Mais c'est sans compter sur moi. Je jette un regard agressif au type et celui-ci, préfère tourner la tête que de m'affronter. Fanny, heureusement, ne m'a pas vu faire.
Nous pénétrons dans le petit cinéma qui passe un film d'horreur et un film de cul, en alternance, toute la journée.
Bien sur, avec la chance que j'aie, nous tombons sur le film de cul.
Fanny se glisse dans la première rangée venue, bien au centre. Des types se retournent, bien que nous n'ayons pas fait particulièrement de bruit. Peut être *** parfum ?
En tout cas, voyant la jeune femme debout, déboutonnant lentement *** manteau, ils délaissent le film ou pourtant une belle femme se fait prendre en sandwich par deux étalons italien.
Fanny prend *** temps et fait durer le plaisir.
Elle retire lentement *** manteau, le pli et me le donne afin qu'elle ne soit pas embarrassée. Enfin, avant de s'asseoir, elle frotte délicatement sa chemise nouée avec la paume de ses mains, insistant bien sur sa poitrine, comme pour faire tomber des peluches imaginaires, puis, elle fait de même avec *** petit kilt.
Je vois les types s'agiter, se parler se lever et se rasseoir. Sans doute déjà bien excités par le film, ils doivent flairer la chair fraiche, le bon coup à ne pas rater.
Et je ne suis pas au bout de mes surprises.
Elle s'assoit enfin. Mais pour pouvoir poser sa nuque sur le dossier, elle glisse ses fesses jusqu'au bord du fauteuil. Ses genoux touchent le dossier de devant, alors, elle écarte ses jambes, en grand.
« Caresse-moi ! »
« Mais Fanny, ce n'est pas très... »
« Caresse moi ou vas t'en ! »
Je pose ma main sur *** genou et la remonte lentement vers sa cuisse. Enervée, trouvant que je manque d'audace, elle prend ma main et la pose sur *** minou, sous sa jupe qui se relève.
« Branle-moi ! Pauvre type ! »
Je mets le ton qu'elle emplois sur le stress de la situation, qu'elle est pourtant en train de créer, elle, toute seule.
Elle mouille comme une folle et je n'ai aucun mal à la pénétrer de deux doigts. Elle désire que je la branle, alors, je ne la ménage pas et la masturbe frénétiquement.
Elle ferme les yeux et respire fort. Aurait t'elle oublié que plusieurs paires d'yeux ***t braquées sur elle ?
Soudain, elle retire ma main.
« Arrête ! »
chrislebo

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#8,708
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« Arrête ! »
Je pense l'avoir fait jouir et j'en suis assez fier, mais il ne s'agit pas de ca.
Un type c'est assit près d'elle. Je ne l'avais pas vu. Il caresse le genou de Fanny, d'une main, tout en s'efforçant d'ouvrir sa braguette de l'autre.
Sa main disparait sous la petite jupe, qu'elle s'empresse de remonter jusqu'à sa ceinture, sans aucune pudeur.
La blancheur de sa peau dans l'obscurité fait ressortir le V, formé par ses cuisses et *** bas ventre. Le type n'en croit pas ses yeux.
Des spectateurs sentant qu'il se passe quelque chose, se lèvent et montent sur la pointe de leurs pieds pour essayer de voir.
Ils n'ont plus aucun doute lorsque Fanny dénoue sa chemise et l'ouvre en grand.
Les hommes quittent leurs places et se dirigent vers nous par les allées latérales.
Elle lui donne *** aide pour libérer *** membre et empoigne celui-ci sans hésiter.
Elle se tourne vers moi tout en continuant à se faire branler par l'inconnu et en lui rendant la pareille.
« Je crois qu'il va me falloir de quoi m'essuyer ! »
Puis elle se tourne de trois quart et plonge sa tête entre les jambes du type.
Il me regarde, me fait un clin d'œil et souri.
Je comprends que je n'arrêterais pas le délire de Fanny, alors je me glisse hors de l'allée et me dirige vers les toilettes. Un dernier regard à la salle avant d'y pénétrer. Des hommes debout me la cachent.
Près d'un lavabo il y a un distributeur d'essuies mains en papier. J'en retire un maximum et retourne dans la salle obscure.
L'attroupement autour de Fanny est considérable. Les hommes forment un cercle autour d'elle sur trois rangées. J'ai bien du mal à l'atteindre malgré mes suppliques.
« Pardon ! Laissez-moi passer ! Pardon ! Je suis *** mec ! Laissez-moi passer ! »
Entre deux types, je parviens enfin à l'apercevoir.
Elle est à genoux, empruntant deux fauteuils pour cela, afin d'être bien ouverte. Elle n'a plus sa chemise. Il ne lui reste que sa jupe roulée au bas de dos. Elle penche *** buste en avant pour sucer un type au dessus des dossiers tandis qu'un autre placé derrière elle lui bourre un des deux orifices. Je ne sais lequel. D'autres encore, caressent *** dos, ses fesses, ses seins et *** ventre dur comme l'acier.
Elle est magnifique.
Finalement, je me dis qu'elle est faite pour ca. Donner du plaisir.
Elle jouit sans discontinuer, d'un plaisir intense non simulé, sincère. Les hommes ne s'y trompent pas et même s'ils la baisent à la chaine, c'est dans l'ordre et le respect. Aucune bousculade.
A tel point que je me retrouve face à elle, sans le vouloir. Je libère mon sexe bandé pour lui tendre, heureux de pouvoir profiter de la situation et de pouvoir sentir ses lèvres sur mon gland. Mais le fait que je ne sois pas prêt, me trahi. Tous les hommes ont déjà leurs sexes libérés et tendus. Cet homme qui ouvre sa braguette devant ses yeux...ce n'est pas normal.
Elle lève la tête et m'aperçoit.
Sa bouche est baveuse et des traces de foutres barrent *** joli visage. Ses cheveux balancent aux grés des assauts et ses yeux plus bleu que jamais, brillent d'un éclat que je ne leurs connaissaient pas encore. Elle est radieuse et si...belle.
Je lui souri et pose mon gland sur le bord de ses lèvres. Elle me fait une toute petite grimace rigolote et me sourit à *** tour.
« Non, pas lui ! Poussez-le de là ! »
Et c'est un autre qui prend ma place.
En un instant, je sors de sa tête, je n'existe déjà plus et elle se régale d'un gros gourdin noir.
Dégouté, désarçonné et franchement perdu, je vais m'assoir à l'écart.
Je suis fatigué d'avoir le cœur serré. Fatigué de me demander si elle sera encore là demain. Fatigué de me faire rembarrer quand je la désire.
Fatigué aussi de ne pouvoir m'en passer.
C'est décidé, demain, je lui parle. Mais en attendant, elle s'éclate.
D'à genoux elle passe à assise, puis d'assise à allonger sur le dos à même le sol, puis en levrette. Je l'entends et la vois jouir pendant près de deux heures.
Et soudain.
« Bruno ! Bruno ! »
Et bien sur, j'accoure.
Elle est assise, essoufflée, cheveux collés et dégoulinante de sperme. Au près d'elle, sa chemise qui a du servir à essuyer X queues ruisselantes.
Quelques hommes ***t encore là, à se masturber en la regardant. Lorsque j'arrive près d'elle, il y en a un qui se vide sur sa poitrine en poussant des râles de bêtes.
Enfin ! Elle a besoin de moi, de ma présence. D'un coup toutes mes rancœurs s'effacent.
J'écarte gentiment les derniers voyeurs et je commence à la nettoyer doucement.
J'essuie *** visage, puis sa poitrine. J'éponge autant que je peux *** vagin dégoulinant.
Sa chemise est trop gluante pour que je la lui remette. En boulle, je la glisse dans la poche de mon blou***.
Apres avoir rabattu sa jupe, je l'aide à se lever, à enfiler et fermer *** manteau.
Dans le taxi qui nous ramène à la mai***, le silence règne. Je la regarde. Elle semble épuisée.
Il fait nuit noire depuis longtemps lorsque nous arrivons chez moi.
« Je vais te préparer un thé. Ca te fera du bien. Attend ! Je vais t'aider à enlever ton manteau. Hum ! Il est taché. Je l'emmènerais au pressing demain et je laverais ta jupe. Tiens ! Donne la moi aussi. Je vais te retirer tes chaussettes. Mince ! Elles n'ont pas été épargnées non plus ! »
Je suis à genoux et roule ses mi-bas sur ses chevilles pour lui ôter.
La voilà nue, devant moi. J'en suis tout ému. J'aimerais la prendre, là...tout de suite !
Mais !
« Tu aime quand j'ai la chatte poisseuse ! Hein ? »
Elle m'attrape par les cheveux et me colle le visage contre *** sexe.
« J'espère que ca ne te dérange pas ? Allez, lèche-moi ! Nettoie-moi la grotte bien à fond, laideron ! »
Si elle savait comme ce mot peut me faire mal ! Mais peut être le sait elle.
Ma bouche est collée à sa fente. Je la sens contracter et détendre *** vagin. Elle refoule ainsi toutes les sèves humaines qui se trouvent encore en elle.
J'absorbe tout se qu'elle me restitue, malgré la forte odeur et le gout amer et salé des sécrétions, espérant bien sa grâce et la permission de la couvrir, enfin, de mon corps.
J'ai nettoyé *** sexe au maximum et je me relève doucement sans détacher mes lèvres de *** corps.
J'embrasse *** ventre, *** nombril. Je m'attarde sur ses seins et aspire ses tétons. Je lèche *** cou et tente de l'embrasser.
Elle m'offre sa bouche comme au premier jour et je retrouve la douceur du premier baiser.
« Ho, mon amour ! J'ai tellement envi de toi ! J'ai tellement d'amour à te donner ! Laisse-moi t'aimer, mon amour ! »
Je lui dis ces paroles tout en l'embrassant, maintenant ses lèvres sur les miennes de ma main sur sa nuque.
De l'autre, je m'empresse de défaire ma braguette et de sortir mon membre prêt à exploser.
Contre toutes attentes, elle empoigne ma bite et me masturbe doucement en collant mon gland contre sa chatte bouillante. Elle mange mes lèvres à pleine bouche et nos respirations s'accélèrent.
Ma verge est prise de soubresauts. Je ne pourrais pas tenir, je vais jouir dans sa main.
L'a t'elle senti ?
Elle s'écarte d'un bond.
« Non ! Désolée, pas ce soir, je suis crevée ! »
Je sers ma queue dans ma main dans une ultime manœuvre pour empêcher ma jouissance, mais il est trop tard.
Une fois de plus, je crache ma purée sur la moquette, juste à ses pieds.
« Pourquoi fais tu ca ? Qu'est ce que tu attends de moi ? Tu veux me rendre fou ? Me détruire, m'achever ? »
chrislebo

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#8,709
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Pas de nouvelles de Fanny depuis une semaine.
Le lendemain de ma crise de nerfs, elle est sortie, sans un mot, et n'est jamais revenue.
J'ai fais le ménage comme un damné pendant deux jours pour qu'à *** retour elle retrouve un bel appartement. Puis, j'ai laissé tomber.
La table de salon est couverte de canettes de bière et de boites de pizza. L'évier de la cuisine déborde. ***t lit est défait depuis que je m'y suis couché et m'y suis masturbé. Depuis, je dors dans le canapé avec la télé allumée, non stop.
Mes nuits ***t agitées. J'alterne entre cauchemars et jolis rêves. Et là, je suis aux anges car c'est le cas.
Je vois ma belle Fanny pencher sur moi, léchant mes testicules avec tendresse et remonter sur ma colonne tendue. Puis elle l'engloutit avec avidité jusqu'à la garde.
Mon plaisir monte. Je transpire. Je vais jouir.
Je me réveille en sursaut.
« Fanny ! Fannyyy ! »
Ma queue explose et je jouis fort, très fort...dans la gorge de ma Fanny.
Elle est là, comme dans mon rêve, à s'occuper de mon dard. Je crois encore rêver.
Je n'ose pas parler pour ne pas casser le charme de cet instant magique.
Apres m'avoir bu et nettoyé, elle se lève.
« Tu ne serrais pas mieux au lit ? »
Et elle se dirige vers la salle de bain.
En trois secondes, je suis dans ma...sa chambre. Je défais les draps à la hâte, pour en mettre des propres. Une petite couverture et je suis déjà couché lorsqu'elle arrive.
Elle est nue sous une petite nuisette courte et transparente.
Je rebande comme un âne à la simple pensé que je vais la sentir près de moi. Mais elle fera bien plus et nous nous aimerons toute la nuit. Dans les quelques poses que nous avons faites, nous n'avons jamais évoqué notre brouille, ni *** absence.
Ce matin, je suis gai et de très bonne humeur. Je suis descendu chercher des croissants et je suis passé chez le fleuriste prendre un petit bouquet de violettes.
Je lui prépare un joli plateau et lui apporte au lit.
Elle a des cernes sous les yeux. J'en suis assez fier, c'est mon œuvre. Elle a joui plusieurs fois dans la nuit et a eu de nombreux orgasmes puissants.
« Merci ! C'est très gentil. Ca me fait vraiment plaisir. Hummm ! Elles sentent si bon ! »
Elle dévore *** petit déjeuner, puis :
« Tu me pardonnera, mais je crois que je vais dormir toute la journée. Tu m'as épuisé. J'aimerais que tu refasses un poulet au curry pour ce soir, j'ai un invité. »
J'ai un petit pincement au cœur.
« Heuu ! En tête à tête ? »
« Oui, s'il te plaît. Je te remercie. »
Elle se retourne et s'endort d'un coup.
Je me suis emballé trop vite. Je pensais vraiment qu'elle était revenue à des sentiments plus profonds avec moi. Doux rêveur que je suis. Il n'en est rien.
Mais elle est là ! Ma douce et tendre Fanny est là ! N'est ce pas cela le plus important ? Je pourrais être seul en ce moment. Alors...
Mon poulet est encore plus réussi que la dernière fois. Je fais une belle table pour deux et prépare des toasts pour l'apéritif.
« Comment trouve tu ma robe ? »
Elle porte une robe rouge, très courte. Sa taille est mise en valeur par une grosse ceinture avec une boucle ronde en argent, portée très basse. Si le décolleté est assez sage, il en est autrement de l'échancrure du dos qui plonge, jusqu'à la naissance des deux hémisphères fessier.
« Hum ! Tu es magnifique ! Elle te... »
Pas le temps de finir ma phrase. La ***nette retentie.
« Ha ! Le voilà ! J'arriveeee ! »
Je m'éclipse en cuisine. Je ne suis pas pressé de voir ce type.
« Vladimir ! Comme je suis contente que vous soyez venu ! »
« Fanny, vous êtes superbe, vraiment. J'ai amené ma chienne de compagnie. J'espère que cela ne vous dérange pas, au moins ? »
« Ho non, pas du tout, du moment qu'elle ne lève pas la patte sur les meubles ! Hihihi ! »
« Mais non ! Rien à craindre, c'est une femelle ! Hahaha ! »
Ces rires gras m'énervent au plus haut point. Je suis étonné que Fanny accepte un ******. Elle en a une peur bleu.
Je les entends s'installer. J'attends un peu et apporte l'apéritif sur un plateau.
Vladimir est un homme d'une soixantaine d'années, très grand, pas bien gros, arborant une moustache et une barbichette façon Napoléon III.
Près de lui, une jeune fille est à genoux, tête baissée et mains croisées dans le dos. Il la tient en laisse et lui caresse doucement les cheveux, tout en discutant avec Fanny. Voilà donc *** ****** de compagnie !
Elle a de très longs cheveux soyeux, noir corbeau, qui cache *** visage. Je ne peux le voir. Comme seuls vêtements, une mini jupe de cuir noir, très courte et un caraco seins nus en lanières de cuir, orné de clous argentés.
Je suis attristé pour cette fille et je file en cuisine pour ne pas avoir à supporter ce spectacle.
Mais de la cuisine, j'entends tout.
« Ca ne vous dérange pas si je la détache ? »
« Bien sur que non, Vladimir ! Elle a l'air bien brave, cette petite ! Quel âge a-t-elle ? »
« Bientôt dix neuf. Brave quand elle veut ! Il faut parfois se fâcher. Allez ! File à la cuisine, tu trouveras bien quelque chose à y faire ! »
Quand elle entre dans la cuisine, je suis en train de démouler un gâteau. Elle reste près de la porte, les mains toujours dans le dos et tête baissée.
« Viens ! N'ai pas peur ! Viens vite m'aider. Tiens-moi le plat s'il te plaît, je suis en train de me bruler. »
Elle s'approche et tient le plat. Je ne vois toujours pas *** visage, cachée par ses longs cheveux. Je pose le moule et passe ma main sous la chevelure. J'attrape *** menton et relève doucement sa tête.
« Nous sommes entre amis, ici. Tu n'a rien à craindre de moi. »
Je la découvre enfin.
C'est une jeune asiatique avec encore un visage d'enfant. Elle est resplendissante de beauté.
Je ne peux m'empêcher de la détailler. *** visage est fin et bien dessiné. Ses seins exposés à mon regard ***t menus, mais semblent d'une fermeté extrême. *** ventre est bien plat, légèrement musclé, dessinant de belles ombres discrètes.
« Comment t'appelles-tu ? Moi, c'est Bruno. »
« Vagina. Moi, c'est Vagina. »
« Vagina ? Mais ce n'est pas un prénom ca ! »
« Peut être, mais c'est ainsi que l'on doit m'appeler. »
« Allons ! Nous sommes entre nous ! Donne-moi ton vrai prénom, s'il te plait. »
Elle rougie un peu en me faisant de grands yeux de petite fille de manga.
« Thanh Thuy. Ca veut dire : Eau pure. »
« Et bien, eau pure, je suis ravi de faire ta connaissance. »
Elle est attendrissante et je ne peux m'empêcher de caresser amicalement, sa joue d'un revers de doigt.
C'est l'instant que choisi Fanny pour faire irruption dans la cuisine.
« Trois fois que je t'appelle ! Tu n'a rien d'autre à foutre que de draguer cette petite morue ! »
La jeune fille apeurée, court hors de la cuisine et retombe à genoux près de ***...je ne sais quoi... qui la rattache immédiatement au bout de sa laisse.
Elle remet les mains dans *** dos et se referme totalement sur elle-même en rabaissant sa tête une nouvelle fois.
« Je suis désolé Vladimir, il est impardonnable ! »
« Non, non, cher amie ! Ne lui en voulez pas. Vagina est très jeune, donc influençable. Cela ne se reproduira plus. Soyez en certaine. »
Je fais le service en cachant ma haine et ma colère, de façon à ne pas aggraver les choses pour Thanh Thuy.
A la fin du repas, ils s'installent dans le canapé et j'apporte les cafés.
« Monsieur Vladimir, permettez moi. J'ai préparé un plat chaud pour mademoiselle Vagina. Rassurez vous, il n'y aura pas de problèmes, je vous l'assure. »
Fanny est rouge de colère.
« Bruno ! Comment oses-tu ! »
« Non, laissez cher Fanny. C'est très gentil à lui. Elle n'a rien mangé depuis hier, je ne voudrais pas qu'elle tombe malade. C'est très gentil à vous, garçon. Merci beaucoup. »
Garçon ? Il m'appelle garçon ? Pauvre et sombre con !
Il détache la jeune fille et je l'entraine à la cuisine. Là, sans un mot, je la fait assoir au coin d'une table et lui sers une bonne assiette de poulet. Elle se jette dessus. Je veux bien croire qu'elle soit affamée.
Tout en étant aux petits soins pour ma nouvelle amie, j'écoute la discussion au salon.
« Elle est adorable. Ou avez-vous déniché cette merveille ? »
« Vous ne me croirez jamais. Je l'ai trouvé au fond d'une cave d'un HLM de banlieue, peu fréquentable. »
« Dans une cave ? »
Thanh Thuy lève les yeux vers moi. La honte se lit dans *** regard et je comprends que ce que j'entends est vrai.
« Oui, oui, dans une cave ! Figurez vous que je recherchais une belle asiatique. Je les adore, c'est mon péché mignon. Je désespérais de trouver lorsqu'un de mes contacts m'a informé qu'il avait entendu parler qu'une tournante se préparait dans une cité, avec une asiatique. »
« Une tournante ? »
La jeune asiatique détourne *** visage de moi et continu de manger.
« Oui, c'est cela. C'est la résultante d'une mauvaise rencontre dans un mauvais lieu, au mauvais moment. Un jeune homme lui a tourné la tête, et lui l'a « prêté » à ses amis. C'est très courant dans certaines cités de banlieue. La plupart du temps, ca se passe dans les caves ou les parkings. »
« Ha ? Vraiment ? »
« Je suis arrivé à temps. Avec un peu d'argent on arrange les choses facilement. »
« Vous l'avez sauvé en quelque sorte ! »
« Tout à fait, oui. »
Thanh Thuy semble furieuse et fait semblant de taper du poing sur la table.
Je chuchote pour que Fanny ne m'entende pas.
« Tu a l'air contrarié ? Ca ne va pas ? »
« J'étais consentante. Il ne m'a pas sauvé. Quel con ! »
« Tu étais... »
« Et alors ! Les asiatiques aussi aiment le cul ! Il est arrivé et a foutu ma soirée en l'air. Mon mec m'avait trouvé dix types. Le truc, c'était que je devais faire semblant de ne pas vouloir. Je devais me débattre pour les exciter à mort. C'était un jeu, quoi ! »
« Et tu l'aurais vraiment fait ? »
« Humm ! Oui ! J'en rêve depuis déjà un bon moment. Et de toute façon je le ferais au moins une fois dans ma vie, dès que l'occasion se présentera ! »
« Mais qu'est ce que tu fou avec lui ? »
« Mon mec a accepté l'argent. Ca m'a dégouté. Comme j'habitais chez lui, il a bien fallu que je me trouve un autre toit. Mais ca vas, je suis bien traitée, même si il est un peu dingue. Je baise à volonté, ca me plais, alors tout vas bien. Au moins, il est original. »
« Bon, d'accord, mais il est vachement vieux pour toi, non ? »
« Dis dont ! Elle n'est pas vachement jeune pour toi ? »
« Oups ! Tu viens de marquer un point. Nous pourrions peut être nous voir... ailleurs... seuls. Qu'en dis-tu ? »
chrislebo

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« Pas facile de m'échapper avec lui. Même la nuit, je dors au pied de *** lit.
« Tu me diras, avec Fanny, ce n'est pas mieux, elle ne me lâche pas une seconde. »
« Hé ! Mais dis dont Bruno ! Tu ne serais pas en train de me proposer la botte, là ? »
Merde ! Elle arrive à me faire rougir. Je noie le pois*** rapidement.
« Chuttt ! Écoute ce qu'ils disent ! »
Je me cache à l'entrebâillement de la porte pour les observer. Le type est assis dans le fauteuil et Fanny sur un pouf en face de lui.
« Ils parlent encore de toi, Thanh Thuy. »
Elle se lève et s'accroupie face à moi.
« Hé ! Qu'est ce que tu fais ? »
« Ose dire que tu ne me désire pas ! »
Elle pose sa petite main sur la bosse de mon pantalon.
« Thanh, c'est pas la question ! C'est plutôt que ce n'est pas le moment ! »
« Fais le guet et laisse moi faire. »
« Thanh ! Non, Thanh ! »
Mais déjà mon sexe est sorti. Ses petits doigts me caressent un instant, puis je sens la chaleur de sa bouche m'envelopper. Comment une tête si fine, peut elle engloutir autant de chair ?
Mais je ne peux pas être tout entier à mon plaisir et je dois rester très vigilant. Si Fanny venait à nous surprendre... dieu sait sa réaction. Je n'ai pas à tendre l'oreille, nous les entendons parfaitement bien.
« Elle est vraiment charmante. Vous avez beaucoup de chance. »
« Charmante et très docile. Ce qui ne gâche rien. De plus, si vous saviez comme elle est serrée ! C'est incroyable ! »
Je manque d'éclater de rire.
« C'est vrais ca ? T'es serrée ? »
« Continu comme ca et tu perdras toutes tes chances de le savoir un jour. »
« Rhoo ! C'est bon ! Je plaisante ! »
Imperturbable, elle reprend sa fellation. Et moi mon observation. Du moins, j'essais.
« Quand j'ai déposé mon annonce, je n'aurais jamais imaginé que ce puisse être une femme qui y réponde. »
« J'imagine que vous serrez plus rassuré que si c'était un homme. Ca je le comprends bien. »
De quoi parlent-ils ?
« Hoo ! Arrête, je vais jouir ! C'est trop bon ! C'est quoi cette histoire d'annonce ? »
« Et d'un, jouis, idiot ! Donne-moi ton jus ! Et de deux, j'en sais rien et je m'en fou ! »
Elle n'a pas fini sa phrase que je sens la base de mon pénis bouillonner. Je pousse ma queue dans sa bouche.
« Tiens ! Prends ! Prends tout ! Haa ! Bois tout ! Hummm ! »
La petite boit tout avec délectation. Elle n'en a pas perdu une seule goutte. Apres m'avoir bien nettoyé, elle range délicatement mon petit matériel, puis se redresse pour se jeter à mon cou et m'offrir un fabuleux baiser.
Sa bouche est si petite ! Comment a-t-elle pu me prendre tout entier ? Ceci explique peut être la rapidité avec laquelle elle m'a fait parvenir à la jouissance.
« En tout cas, ta bouche l'est ! »
Elle me regarde interrogative.
« Quoi donc ? »
« Ben ! Bien serrée ! »
Elle me donne de petits coups de poings tout en rigolant doucement.
« C'est bien que vous puissiez me la garder tout le mois. Vous m'ôtez une épine du pied. Vous verrez, elle est facile à gérer. »
« Elle a tout intérêt ! Je sais me montrer très autoritaire, vous savez ! »
Nous nous regardons. Un grand sourire barre nos visages.
« Tu vas rester un mois ici ! C'est génial ! »
Fanny se lève et s'approche du fauteuil. Lui, écarte les jambes pour l'accueillir. Elle prend la tête du type et l'appuit sur *** ventre en caressant ses cheveux.
« N'ayez crainte Vladimir ! Je m'en occuperais bien ! Faite moi confiance. »
Tout à coup, il commence à transpirer. Il perd le contrôle. Ses mains passent rapidement sous la robe et empoignent les fesses de Fanny. Il embrasse *** ventre, frotte *** visage dessus.
« Ho Fanny ! Fanny ! Vous êtes belle ! Je vous veux... là...tout de suite ! »
Je tire Thanh devant moi, pour qu'elle profite du spectacle. Elle n'est pas grande et je passe facilement mes bras par-dessus ses épaules. Je les croise comme pour l'envelopper et je caresse ses petits seins. Ils ***t si menus, mais d'une douceur incomparable et très réactifs. A peine mes paumes de mains posées, je sens les pointes réagir et gonfler.
Elle appuie sa tête contre moi et pose ses mains sur les miennes pour accompagner mes caresses. Je bande de nouveau et elle frotte *** petit cul contre ma bosse.
Au salon, ca bouge.
Vladimir pette un câble.
Il lève la robe et plonge *** visage dans l'intimité de sa nouvelle amie. Elle, ferme les yeux et se penche un peu, courbée par le plaisir en lui maintenant la tête contre sa fente.
Il lèche, lape comme un chien.
Il n'y a pas que lui qui soit excité. Je n'en peux plus non plus et j'imagine que ma petite asiatique n'est guère mieux. Elle ondule de plus en plus contre moi, tout en contemplant *** mentor.
Je laisse une main quitter ses seins. Elle glisse sur *** ventre, presse la micro jupe et se glisse dessous. Thanh ne porte rien et est lisse comme de la nacre.
Je sens *** entaille de chair sous mon index et mon majeur. Je caresse doucement de haut en bas, puis de droite à gauche, jusqu'à sentir l'humidité sur le bout de mes doigts.
Vladimir pousse Fanny contre la table et l'y couche. Il relève ses jambes et après avoir extirpé *** sexe, il l'a pénètre sans ménagement.
« Ho, oui ! Vladimir ! Baisez-moi ! Baisez-moi fort ! Hooo ! »
Tandis que mes doigts pénètrent la jeune fille, je sens ses mains qui cherchent à ouvrir ma braguette et sortir mon sexe dressé.
Incroyable ! Mes doigts confirment ! C'est vrai... Elle est serrée, très serrée.
Je n'en peux plus. Je la colle contre le réfrigérateur. Elle s'accroche à mon cou et enroule ses jambes autour de ma taille. Nos lèvres se rejoignent de nouveaux alors que je pénètre *** temple royal.
C'est un couloir de soie qui m'accueil, si étroit qu'il faut être fort pour en pousser les parois. Je suis ému d'y pénétrer, de l'envahir, de l'occuper. Je suis au paradis du soleil levant.
Sa douce respiration caresse mon oreille. Nulle *****, nulle **********, nulle impatience. Tout se fait dans la douceur et l'intimité d'une tendre complicité.
Dans le salon...
« Je viens, Fanny ! Je viens ! »
« Ho oui ! Donne-moi tout ! Jouis fort ! Remplis-moi ! »
Même les deux excités ne pourraient gâcher notre douce fusion.
Pourtant...
« Mais ils ***t ou les deux, làààà ! BRUNO ! Qu'est ce que tu fou ! Amène moi des lingettes et deux cafés ! Dépêche-toi ! »
Pas question de quitter la douce chaleur de Thanh.
« Ne bouge pas ! Je m'en fou, ne bouge pas ! »
« Non, Bruno ! S'il me trouve ainsi, je serais sévèrement punie. »
Elle m'embrasse une dernière fois, furtivement, et laisse retomber ses jambes à terre.
Je sens mon cœur se déchirer et ma tête bouillir de colère.
J'apporte des lingettes. J'ai vraiment envi de lui balancer en pleine face.
Lui, c'est installé de nouveau dans le fauteuil, tandis qu'elle est restée debout, robe relevée pour ne pas la tacher par le sperme qui coule le long de ses jambes. Elle a l'air ridicule devant cet homme qui, soulagé, n'a plus rien à faire de cette poupée.
« Putain ! Bruno ! Qu'est ce que vous foutiez là-bas ? »
« Nous finissions la vaisselle. Nous ne voulions pas vous déranger. »
Thanh entre dans la pièce et va droit vers Vladimir. Dès qu'elle se trouve à porté, il glisse sa main sous la petite jupe. La jeune fille rougie et baisse la tête.
« Et bien, jeune homme, vous faite très mal la vaisselle ! Elle est encore toute poisseuse ! Vagina, fou toi à genoux ! Tu serras punie pour ta stupidité. »
Inutile d'aggraver la situation. Je retourne à la cuisine, chercher le café. Lorsque je reviens, elle est de nouveau en laisse.
« Fanny, je dois partir. Je vous laisse donc le soin d'appliquer la punition. Vagina sera livrée pour une tournante dans une cité. Et vous, jeune homme, vous serrez chargé de l'organiser sous le contrôle de Fanny. Et n'oubliez pas que si elle est punie c'est en partie de votre faute. »
Thanh relève discrètement la tête pour croiser mon regard. Elle me fait un grand sourire complice. Elle ne pouvait rêver meilleure punition.

Fanny se méfie beaucoup et je n'arrive pas à communiquer avec Thanh. Je dors sur le canapé et elle est attachée au pied du lit de Fanny. Pas simple.
Le lendemain, elle m'envoie prospecter.

Je ne choisis pas la cité la plus pourrie. La sécurité de Thanh m'importe beaucoup. C'est une que je connais qui a ma préférence.
J'y traine un peu, semblant chercher quelque chose. Je veux attirer l'attention d'un groupe de jeunes.
J'ai du y parvenir, car l'un d'eux s'approche de moi. C'est le moment de vérité.
« Tu cherche quelque chose ? »
« Ca se pourrait, oui. »
« On aime pas les types qui tournent en rond, ici. T'es qui ? Tu veux quoi ? »
Le type ne semble pas commode et ses potes nous observent de loin.
« Rassure toi, je ne suis pas un flic. On m'a parlé de « tournante » ici. C'est vrai ? »
« T'es journaliste ? »
« Mais non ! C'est juste que s'il y a des tournantes dans le coin, j'ai peut être du matériel pour vous. Du premier choix.»
Je fouille dans ma poche et je lui sors une photo de Thanh, que Fanny avait habillée joliment pour l'occasion, afin d'attiser l'envie.
Il s'éloigne avec la photo et va rejoindre *** groupe d'amis. La photo circule de mains en mains. Ils discutent. Aucune émotion ne transparait. Et lorsqu'il revient me voir ...
« Samedi. Dix neuf heures trente. Je serais là. Tu ne me parle pas et tu me suis de loin avec la fille. On garde la photo. T'es prévenu, il risque d'y avoir du monde. Pas d'entourloupes, sinon... »
Je rentre transmettre le rendez vous à Fanny. Thanh est encore dans la chambre, alors je parle assez fort pour qu'elle m'entende.
Fanny semble surexcitée.
« Ca c'est parfait. Vladimir vat être content de moi. C'est génial. Il faudra faire des photos et des vidéos pour les lui montrer. Ho putain ! C'est trop cool ! »
Tout à sa joie, elle s'enferme dans la salle de bain en oubliant de fermer sa chambre à clef.
Je rejoins Thanh.
« Tu a entendu ? Tu vas l'avoir ta tournante. »
« C'est super, Bruno. Merci. Je suis déjà toute excitée. »
« Tu a intérêt à être en forme. Le type m'a fait comprendre que ca allait être musclé. »
« T'inquiète pas je vais les épuiser. Hihihi ! »
« Mais n'oublies pas. Autant pour les types que pour Fanny, tu n'es pas consentante. C'est bien compris ? »
« T'inquiète pas ! Au lycée, j'étais la meilleure en théâtre. »
Elle m'embrasse furtivement.
Je ne pourrais plus lui parler de la semaine.
chrislebo

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#8,711
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Samedi.
Fanny est nerveuse. Elle a sorti toutes les fringues de *** armoire. Elle ne sait pas comment habiller Thanh.
Finalement, se sera porte jarretelle et bas noir, escarpins hauts talons, jupe noire plissée et pour finir un gilet bordeaux un peu grand, fermé devant par des boutons pression. Bien sur, elle ne porte aucun sous vêtement. A ma demande, elle lui donne tout de même une veste pour le voyage.
« Ou allons nous ? Ou m'emmenez-vous ? Je ne veux pas faire de tournante ! S'il vous plait ? Ou allons-nous ? »
Elle avait rai***. C'est une excellente comédienne. Fanny tombe dans le panneau et lui met *** collier de chien.
« Je te préviens, si tu bronche je te passe la laisse et tu gouteras à la cravache ! »
Thanh a pu et a su se maquiller pour être encore plus désirable. Elle a lissé ses longs cheveux soyeux, qu'elle laisse couler sur ses épaules. Je la sens nerveuse, mais décidée. Nos regards se croisent furtivement plusieurs fois dans la journée. Lorsque ca arrive, elle me sourit ou me fait un clin d'œil rapide.
Elle est délicieusement belle.
Fanny enfile un jeans et un tee-shirt sous un blou*** de cuir, et nous voilà parti.
Dans le métro et le bus qui nous conduisent à la cité, les gens nous regardent. Il faut dire qu'il n'est pas commun de croiser une jeune fille portant un collier ********** de compagnie.
« Place Youri Gagarine. »
Nous sommes au cœur de la cité et à l'heure. Pourtant, près du banc ou nous avions rendez vous...per***ne.
La nuit tombe sur les barres HLM.
Nous sommes tendus tout les trois. Même Fanny se demande si nous ne ferions pas mieux de partir. Je le sens à *** attitude nerveuse.
Depuis un moment, sur le trottoir d'en face, des jeunes passent, seuls ou en petits groupes, pour entrer dans un hall d'immeuble. Démarches nonchalantes, mains dans les poches et casquettes vissées sur le crane. Le stéréotype de la jeunesse de banlieue. Ils nous dévisagent tous. Il est vrai que les deux poupées qui se trouvent avec moi, ne peuvent qu'attirer les regards.
« Le voilà ! C'est lui. »
A ces mots, Thanh est parcourue d'un grand fri***, qu'elle a bien du mal à cacher.
Elle me fait signe discrètement qu'elle a peur. De la tête, je lui indique que l'on peut encore partir, mais elle fronce les sourcils pour me faire comprendre qu'il n'en était pas question.
« Nous devons le suivre de loin, sans lui parler. »
« Ok ! Allons y, mais avant... »
Fanny sort la laisse de sa poche et malgré ses protestations, attache la petite asiatique.
Le jeune pénètre dans le même hall que tous les autres. Il ne fait plus de doute que nous allons bientôt retrouver tout ce petit monde.
Nous nous engageons à notre tour derrière la grande porte vitrée. Il y a un couloir ou *** alignées des boites à lettres pour la plupart éventrées. Un petit tourne à droite et nous sommes devant deux ascenseurs. Les témoins lumineux, indiquent qu'ils ***t dans les étages. Il n'y a per***ne.
Derrière nous, j'aperçois une porte entrouverte. J'y jette un œil.
Un escalier en béton, éclairé par une ampoule blafarde, disparait dans la pénombre du sous sol.
« Suivez moi, ce doit être par là ! »
Fanny me retient par la manche.
« Pas question ! C'est la pute qui ouvre la marche. Allez, avance ! »
Tout en la tenant en laisse, elle pousse Thanh dans l'escalier.
Je la vois morte de trouille, mais je sais qu'elle n'apprécierait pas que j'arrête tout.
L'escalier tourne. Une main légèrement en avant, elle laisse l'autre glisser sur le mur. Elle penche un peu la tête comme pour anticiper ce qui pourrait surgir au bout de notre descente.
Nous n'y voyons pas grand-chose mais bien que fermant la marche, je devine un long couloir, éclairé à peut prêt tout les vingt mètres. A notre gauche il y a un mur de béton et à droite des portes de bois cadenassées s'alignent aussi loin que l'on peut voir. A chaque lumière, un autre couloir s'enfonce sur la droite. Autant d'intersections qui nous font fris***ner.
J'entends un bruit derrière moi. Je tourne la tête. Le jeune est là qui me fait signe d'avancer. Au couloir suivant, trois jeunes nous bloquent le passage.
Mon contact me tape sur l'épaule.
« C'est qui la meuf en jeans ? »
« C'est une amie, c'est elle qui amène la fille. »
S'adressant à ses potes...
« Je m'occupe de lui, fouillez les nanas ! »
Le mec me tapote un peu partout alors que les filles se font carrément peloter. Ce n'est pas du gout de Fanny.
« Bas les pattes ! C'est elle la salope ! »
Les types rigolent et tirent Thanh dans une cave. Nous y pénétrons aussi.
Il y a cinq caves dont les cloi***s ont été abattues afin de ne plus faire qu'une longue pièce. Au fond, un matelas a été jeté à même le sol en terre battue. Sur le mur, deux anneaux pendent à hauteur d'homme. Il y est accroché des cordelettes de nylon.
Difficile de dénombrer le nombre de per***ne qui se trouve là.
La longue soirée de Thanh commence.
Sa laisse a été défaite et sa veste ôtée. Le jeune la fait avancer lentement vers le matelas entre deux rangées de jeunes hommes.
« Arrêtez ! Laissez-moi ! Mais qu'est ce que vous faite ! Laissez-moi ! Non ! »
Malgré ses cris de protestations, *** gilet a été ouvert et baissé sur ses épaules. Des mains se succèdent sur sa petite poitrine. D'autres soulèvent sa jupe, caressent *** cul ou sa chatte, ou bien encore ses cheveux, *** visage, sa bouche.
Lorsqu'elle arrive au matelas, *** gilet n'est plus et sa jupe ne résiste pas longtemps.
Sa beauté, sa resplendissante nudité contrastent avec cet endroit glauque, sale et puant.
Pendant un instant, je ne la vois plus. Elle a totalement disparu au milieu des hommes qui se bousculent pour la caresser. Le jeune intervient.
« Ho ! Poussez-vous ! Laissez la petite salope respirer ! Il y en aura pour tout le monde ! »
Il semble respecté car les types s'écartent immédiatement.
Il s'approche d'elle en montant lui aussi sur le couchage.
Thanh est debout sur la paillasse, dos au mur. Elle couvre sa poitrine de ses avants bras, en portant ses doigts à ses lèvres. Comme une petite fille apeurée, elle lève légèrement une jambe et la glisse devant l'autre pour tenter de cacher *** sexe.
« Je m'appelle Samir, et toi ? »
chrislebo

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#8,712
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« Vagina. »
« Vagina...Vagina. Vaginal ? Comme le vagin ? »
Ils éclatent tous de rire.
« Bon, écoute. C'est toi qui décide. Si tu veux que ca se passe bien, ca se passera bien. Si tu veux la merde, tu auras la merde. Tu comprends ce que je te dis ? Regarde-moi quand je parle ! »
Elle sursaute et fait un petit oui de la tête.
« Biennn ! On va te dire ce qu'on veux et toi tu fais. Ce n'est pas dur, tu vois ! Par exemple... »
Il défait sa ceinture ainsi que les boutons de sa braguette.
« ...par exemple, moi, je veux que tu me pompe à fond ! »
Elle ne bouge pas et rebaisse la tête.
Samir se fâche et l'attrape par les cheveux.
« T'a pas compris pouffiasse ! Je veux que tu me pompe ! Alors tu te fou à genoux et tu bouffe mon dard ! »
Il tire fort, obligeant la jeune fille à tomber à genoux.
« Bouffe ! »
Tremblante, elle plonge ses doigts dans le caleçon et sort sa première bite de la soirée.
Elle prend la main de Samir pour qu'il lui lâche les cheveux, et fait glisser le gourdin entre ses lèvres fines.
« Et ben voilà ! »
Plusieurs types se rapprochent pour la contempler sucer leur chef.
D'autres, viennent vers nous.
Un grand black s'approche tout près de Fanny et fait glisser un doigt sur ses cheveux.
« Salut chérie ! Tu sais que le black aime bien les poufiasses blondes ? »
« Oui, mais les blondes n'aiment pas ********* le black ! Ok ! En plus je ne suis pas là pour ca ! Alors dégage et vas t'occuper de la bridée. »
Il fait un large sourire qui laisse apparaitre une dentition parfaite, d'une blancheur incomparable.
« Putain ! Toi, t'a des couilles pour me parler comme ca. J'aime bien. J'adore les rebelles ! »
Il colle une main sur un de ses seins, en la glissant dans le blou*** ouvert. Sans attendre, elle lui claque l'avant bras pour lui faire lâcher prise.
« Pas touche ! C'est pas pour toi ! »
« Tu crois pouvoir me frapper ? »
Il claque des doigts et deux types passent derrière elle et tente de lui retirer *** blou***, malgré ses efforts pour se dégager.
« Moi, je demande pas la permission ! Je prends ! Surtout ici ! Tu crois vraiment que tu allais repartir comme t'es venue ? »
Le blou***, descendu dans *** dos, lui bloque les bras. Le black attrape le tee-shirt au niveau du col et le déchire en deux, libérant les deux seins blancs.
« Brunooo ! Aide-moi, merde ! Fais quelque chose ! »
Je vois là l'occasion rêvée de reprendre le contrôle de ma vie.
« Mais oui Fanny ! Je vais faire quelque chose ! Je vais me délecter de ce qui va t'arriver, mon amour ! »
Les types éclatent de rire et finissent de la débarrasser du blou*** et du tee-shirt. Puis, ils l'a tirent contre le mur, au pied du matelas pour l'attacher aux crochets avec les cordelettes.
A ses pieds, Thanh se fait prendre en levrette et suce un type en même temps. J'ignore combien l'ont déjà honorée, mais elle ne semble pas épuisée.
J'aide les types à retirer les bottines et le jeans de Fanny. La salope se débat comme une tigresse et les coups de pieds pleuvent de toutes parts. Mais c'est peine perdue et très vite elle est complètement dévêtue.
Les bras attachés, elle est beaucoup moins fière et nettement moins arrogante.
« S'il vous plait, détachez-moi ! Regardez, c'est moi qui vous ai apporté la petite salope et c'est comme ca que vous me remerciez ? Allez ! Détachez-moi, je vous en supplie ! »
Samir vient me voir.
« Si j'ai bien compris, t'es en compte avec cette morue ? Alors à toi l'honneur ! Paye-toi ! »
« Non, merci. Ca lui ferait trop plaisir que je m'abaisse à la baiser. Elle est à vous, je vous la laisse. »
C'est le black qui la besogne en premier. Lui aussi était en compte avec elle et il se sert copieusement et bien profond.
En fin de nuit, elle a rejoint Thanh sur le matelas. Celle-ci, bien que fatiguée, en demande encore et c'est en missionnaire qu'elle finit les quelques jeunes qui trainent encore dans la cave.
Fanny se fait sodomiser une dernière fois et s'écroule, épuisée. Elle aimerait bien se lever et partir enfin, mais c'est sans compter sur *** ami black qui ne voit pas les choses se terminer ainsi.
Il la couche sur le dos, bras le long du corps et s'assois sur *** ventre.
« Tiens, petite ! Viens poser ton minou sur sa face de putain ! »
Thanh, amusée, ne se fait pas prier.
Elle se glisse à genoux au dessus du visage de Fanny, face au black. *** vagin dégueule de foutre qui coule sur les cheveux et le front de la salope. Encore quelques centimètres et elle se contracte pour se vider sur *** nez, sa bouche et *** menton.
Le black à *** sexe entre ses seins et les presse pour se branler gentiment.
Je suis surexcité et je n'y tiens plus. Je sors mon engin et le tends à Thanh qui se fait un plaisir de lui offrir sa bouche comme refuge.
Elle a désormais posé *** fessier sur le visage de la nouvelle esclave. Elle étouffe ainsi ses plaintes et ses injures.
Le black dans un dernier râle, se vide dans le cou de la blonde. Il retire ensuite le collier de la petite asiatique et le passe à l'autre, sur *** foutre encore chaud.
Je craque et me vide à mon tour.
Thanh s'essuie avec les lambeaux du tee-shirt. Pour Fanny, c'est plus compliqué. Elle n'a rien pour éponger sa chatte ou *** visage. Elle renfile *** jeans et *** blou***.
Je la sens vaincue. Elle a les yeux hagards, ne sachant plus quoi faire, n'y ou se rendre.
Avec Thanh, nous remercions Samir et le black et nous leur avouons qu'elle était consentante. Ca les amuse beaucoup et ils nous font jurer de revenir les voir.
La petite se fait un plaisir d'attacher Fanny à la laisse, et nous voilà en route pour mon appartement.
Cinq heures du matin. Pas de bus. C'est à pied que nous rejoignons la station de métro, heureusement pas trop éloignée. Le vent frais fait plus ou moins sécher le foutre sur le visage de Fanny.
Elle a bien de la chance car à cette heure, un dimanche matin, il y a peu de monde dans le métro. Mais nous croi***s tout de même quelques per***nes qui n'oublierons jamais l'image de cette jeune fille blonde, maculée de foutre et tenue en laisse par une ravissante asiatique, dans un couloir de métro.
Après une bonne douche, nous dormirons toute la matinée dans mon lit, d'un bon et long sommeil réparateur. Fanny, quant à elle, restera attachée au pied du lit dans l'état ou elle était.
Quinze heures ***ne en même temps que la ***nette de la porte. Je vais voir et je tombe sur Vladimir.
« Bonjour mon ami ! Je viens reprendre Vagina. J'espère que... »
« Bougez pas, je reviens ! »
Je ferme la porte.
Thanh m'aide à remplir un sac poubelle des fringues de Fanny. Elle l'a détache du lit, lui passe collier et laisse et me l'amène.
Je l'a tire jusqu'à la porte d'entrée que j'ouvre et je la pousse dans le couloir sous les yeux effarés de Vladimir.
« Vagina n'est plus, vive Enculina ! »
Et je claque la porte.
Thanh explose de rire et de joie. Elle accoure et me saute au cou.
Insatiable qu'elle est, nous ferons l'amour jusqu'au soir.
Une nouvelle vie commence.
chrislebo

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What Happened


There's no way to start, but from the beginning.

I knew something was going on, I just couldn't say what. Several times, my wife and *** had acted nervous around me. Especially, my *** Chris. Loving and trusting Sharon, I couldn't imagine what was happening, was happening. But, once it unfolded, my perverted mind took over.

Anyway, one day, I got to work, only to be sent home. The office was shut down by a major power failure, within the building. One that wouldn't be fixed for a couple of days. I returned home, barely an hour after I left.

Chris had classes and Sharon was working at the Senior Center. As I approached the house, I noticed something between the shrubs and steps. It was a black camera bag, laying upside down, so it had obviously rolled off the steps.

At first, I thought it belonged to Chris. This one wasn't labeled and all of his stuff had his name plastered all over it. I opened it, and even the camera was plain. Chris always engraved his name on everything.

'Who the hell does this belong to?' I thought as I emptied the contents of the bag on the kitchen table. There was a card in the camera and a bunch of them in the bag, so I figured I'd look at one to see who was on it. That should tell me who owned the camera.

Sharon was in the video, walking around town. 'Ah, it is Chris,' he's filming his ****** shopping.' Then I got a shock. Sharon flashed her bare ass, in public, for the camera. Then she turned and pulled her sweater up. Her tits swaying in full view. 'What the fuck! What the hell's going on?'

The bare ass shot flashed in my mind, so I backed it up. Sure enough, when I looked closely, I could see her pussy. Sharon was exposing herself to our ***, in public. At least, I hoped it was our ***. No, I didn't! I damn sure didn't want it to be another man, either.

I turned it off and sat back, shaking. I couldn't think and pulled the card from the computer. I wanted to get rid of it and everything else in that bag. But, I couldn't. I had to see what else was on the card, what was on all of them. What else had they done? My wife and our ***, or, whoever was holding the camera.

After a few minutes of mental turmoil, I put the card back into the computer. The entire thing was, Sharon shopping and flashing the camera. She was doing it all over town. I never thought my wife would do something like that. Giving the camera full views, even in closeup, of her ass, pussy and tits. I fast-forwarded to the end and it was always the same activity.

I spotted a card that had Tim, written on it. I thought, 'Surely not, Timmy from next door.' I put it in and Sharon was doing dishes. Someone came in and it was Timmy. They exchanged 'Hi' and small talk. Then he walked over and pinned Sharon against the sink, from behind, as he reached around and grabbed her tits.

"Tim!" Sharon exclaimed. 'Yeah, that's it. Now turn around and slap the little ****.'

"Ya know what I need, Mrs. Thomas." He said as he pushed against her and went after her tits.

"Not now, Tim!" Sharon said as she tied to push back. "Can't you wait, until I finish the dishes?" 'What the fuck! What's this, can't you wait, ****?'

He jerked her blouse up, then her bra, exposing her tits and quickly grabbed them. "Aw, shut up and enjoy it, Mrs. Thomas. Ya know, ya want it."

He began pulling her nipples and she put her hands on the ledge to brace herself. Laying her head back, she moaned. He kissed her on the ear.

"Ya want me to fuck ya. Right here, Right now. Don't ya, Mrs Thomas?"

'WHAT! NO! FUCK HER! That little ***-of-a-bitch! We've known him since he was born. Babysat him, changed his diapers. He grew up with our ***, Chris, for Christ sake.'

He was already pulling her skirt up. "Say it, Mrs Thomas. C'mon, say it!" Sharon moaned and he slapped her ass. "SAY IT!" 'He's mine!'

Sharon weakly said, "Yes." As he pulled her panties down.

"Yes, what."

"I ... I want you to fuck me. Right here, right now."

"That's more like it, Mrs. Thomas." He said as he dropped his pants. "?Yur, m'slut, aren't ya?" He growled as he dry humped her asscheeks.

Sharon dropped her head, without saying anything.

"Ur my slut. Aren't ya? Huh?"

"Yes, Yes. I'm your slut." Sharon moaned wantonly.

Timmy moved back slightly and rubbed his cock on Sharon' pussy. "Ready. Tell me ta fuck ya, Mrs. Thomas. Tell me ta fuck ya."

"Fuck Me, Timmy. Fuck Me." Sharon moaned out loudly and pushed her ass back. The boy entered her to the hilt, in one movement. "Yes Baby, Yes. Fuck your slut."

'****, I've never heard Sharon talk like that.' He began thrusting into her as she pushed back to his pounding. Minute after minute after minute, he kept thrusting into her as she pushed back in response. 'Damn, I remember when I could fuck like that.'

After several minutes, the camera angle changed. It showed her juice running down her legs and dripping off his swinging balls.

"Gonna cum, Mrs Thomas. Ya want yur hot pussy fulla boy cum, don't ya, Mrs. Thomas?"

"Yes, yes, yessss. Give it to me. Gimme your cum."

His balls tightened as he slammed against her, filling her pussy with cum. Sharon began shaking harder than she had throughout the whole time.

"Oh God Yes, Timmy!" Sharon cried out.

When the boy finished twitching, he pulled out of Sharon' pussy and wiped his cock on her ass.

"Woo Hoo, that was a good fuck, Mrs Thomas. See ya, next time, I need ta get off." Then he kissed her bare butt and left.

It went black. The damn thing was over. 'Jesus Fucking Christ! I can't believe this ****.' Even though I was pissed as hell, I had a damn hardon. It turned me on, watching that young kid, fuck my wife as if he owned her.

I felt betrayed. I mean, how could she? If she walked in right now, I'd fuck her just like he just did. ***-of-a-bitch, this is turning me on. AND, Who The Fuck Is Holding The Camera!? My mind is telling me, it's our ***, Chris. Is he fucking her too? Is our ***, fucking his ******? I guess, if he is, it'll be on one of these cards.

The next card, I saw, had Jack on it. 'Jack? Jack? Jack, who? Jack, her boss? Jack, at the grocery store? Jack, at church? Jack, who?' I put it in.

Sharon was sitting on the couch, crocheting. I could hear the front door followed by footsteps. Then hands appeared on her shoulders.

Sharon glanced up, smiled and cheerfully said, "Hi there."

"Hi, Mrs Thomas. Guess you heard the door, huh?"

"Yes Jack, you weren't very quiet."

He came around and stood next to Sharon' legs. He was only visible from the waist down.

"What are you up to, Jack?" Sharon said, without stopping her crocheting.

"Well, Mrs. Thomas, you owe me something."

"And, what might you be referring to?"

"Come on, Mrs. Thomas. You said, you'd do something, if I graduated. I graduated top of the class. I even beat Chris and that bitch, Stephanie."

Sharon looked up. "Yes Jack, you did. And, I'm very proud of you. You went from almost failing, one year, to top of the class, the next."

He unzipped his jeans and pulled his half-erect cock out. "Well Mrs. Thomas. It's time you paid up and suck me off, like you said you would."

"Jack! You don't have to be so crude. Now, put that away, and sit down. We need to talk."

"Naw, the talkin was done, when you said you'd do it." He reached out and pulled her head to his cock. "Now, get to suckin me off, like ya said."

I recognized the voice. It was Jack Peter*** from down the street. His family moved here, when Chris was six. 'When did kids get aggressive like this. I mean, ****, when I was their age, I never woulda done that.'

"C'mon, Mrs. Thomas."

I could barely hear Sharon. Her voice was muffled from being pulled against the young man. "Jack. You have to let go, so I can."

Sharon moved back, took his cock in her hand and looked up at him. "Jack, can't we talk a little, relax and work up to it?"

"It's all I've thought about, since graduation, last week. Now, I want what you promised, not to talk."

"OK, OK! You'll get what I promised." Sharon said half-heartedly, as she stroked his now fully hard cock.

"Then, Do it, Mrs. Thomas! Suck me off, like ya said."

Sharon put his cockhead in her mouth and started one of her, very familiar to me, blowjobs. Her lips moving up and down his shaft, gripping tightly. Her tongue massaging as she moved her head back and forth. Tickling his balls, with her fingertips. Man, I could feel it myself.
chrislebo

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"Oh God, Mrs. Thomas. That feels good. I hope ya didn't lie. I really hope, ya didn't lie, about lettin me cum in your mouth. ... Oh, Jesus, Mrs. Thomas. That feels, really good!"

I noticed Sharon had moved her free hand between her own legs. She was rubbing away, getting herself off, as she sucked his young cock.

"Oh God, Mrs ..." The boy didn't finish. He grabbed Sharon' head and jammed his cock deeper in her mouth as he started cuming. His head fell forward as he grunted loudly while his body jerked in orgasm.

Sharon was having an orgasm of her own. Her lips were milking the boys spewing cock as her hand was buried in her pussy causing her to shake. As Jack' orgasm subsided, Sharon gripped his cock and sucked hard to get every drop of cum.

Letting his cock out of her mouth, Sharon leaned back and pulled her fingers out of her pussy. Jack' jaw dropped as he watched. She quickly licked and sucked her juices from her hand. Suddenly, Jack grabbed her legs and pulled them up, pinning her down.

"Damn, Mrs. Thomas! You ain't wearin panties!

"Jack! Please! Let me go!" Sharon objected and squirmed to get free. "I've kept my promise. Now, let me up."

"Ooooh, I don't think so, Mrs. Thomas. Yur pussy's all wet. And it ... it looks all red and swollen." He moved forward, touching his still hard, young cock to her pussy. "Bet a cock'd feel better n yur hand."

"Don't! Jack!"

He was moving his hips, rubbing his cock up and down her pussy. "You sure bout that, Mrs. Thomas? Yur pussy's gettin wetter and it sure feels hot. Ya sure, ya don't want me to?"

"No-o." Sharon said weakly with her eyes closed.

He pressed harder against her and began moving faster. His hard young cock was parting her pussylips and rubbing across her clit. Her hips began moving as she was responding to his movements.

"No, what, Mrs. Thomas? Ya want me to, don't ya?"

Sharon' breathing increased as her own movements matched his. She moaned, "Yes."

"Ya want me ta fuck ya, Mrs. Thomas? Do ya? Ya want fucked?"

It looked like she was trying to out move him with her hips and get his cock inside her. "Yessss! Fuck me."

He had a sly smirk. "Remember when I was little and you always made me say the magic word?"

"Yes, Please."

"Please, what, Mrs. Thomas?" He stopped moving but she was still trying to find the end of his cock, with her pussy. "Please, what?"

Sharon opened her eyes with a frantic look. "Oh God, Please! Jack! Please, Fuck Me!"

"That's better. You can put my cock in yur pussy, now." He said, as he let go of her legs and straightened up.

Sharon grabbed his cock with one hand and opened her pussy with the other, like a streetwalking whore. 'Oh, ****! I shouldn't be thinking my wife's a whore.' Wiggling her ass and pulling on his cock, she got the head in. She squirmed around and looked at him, pleadingly. But, he didn't move.

"Oh, God, Jack, Fuck me. We don't have much time." She was begging.

"Time? What ya mean, Mrs. Thomas?"

"My husband'll be home." She moaned as she wiggled around on the head of his cock, trying to urge him on.

"Yeah, ****, we don't want your ol' man catchin us." He said as he pushed his cock into my wife' pussy and started pounding away.

Sharon closed her eyes and started moaning with her head back as the boy pounded his cock into her pussy. '****! He can fuck!' She was getting wetter and wetter making the noise of their slapping together louder and louder.

"Show me yur tits, Mrs. Thomas. I wanna see them tits."

Without hesitation, Sharon pulled her top and bra up, in one motion. Her tits bouncing up and down, to the boys pounding cock.

"God, they're nice! Not saggy and wrinkled, like my moms." He said as he reached for them. "These things feel as good as my girlfriend'." Sharon moaned loudly and began shaking, obviously having an orgasm.

The boy began grunting as he mauled her tits and jack-hammered his cock into her pussy. Sharon was having multiple orgasms. I could tell from her flushed face and chest, along with her breathing, moaning and shaking.

I don't know what gave the boy his stamina. The beginning blowjob, youth, or a combination of both. But, for almost twenty minutes, it was rapid, full-length, blinding fast, thrusting into my wife. I have to admit, I haven't fucked her like that, for some time and was envious.

"Gonna cum."

"Not in me! PULL OUT!"

"Ohhhh!" He grunted. "Gawd! Too late."

"Oh ****! Do it Jack. Do it." Her legs wrapped around him as she grabbed his ass. "Unload your balls, Baby. Give it to me."

He looked like he was having a spastic fit, jerking around, as he dumped his load in her pussy. As he stopped cuming, he slowed down but kept thrusting, slowly, and fell on top of her.

Breathing heavily, he gasped, "Was I good, Mrs. Thomas? Was I good?"

"Oh My God, Yes! Jack! You were fantastic, baby, Fan-Tastic!" She replied as she kissed all over the side of his face. There was the sound of traffic, outside. "****! Charlie's home! ... Get out the back, quick!"

Jack jumped up. Pulling his pants up, he hurried toward the kitchen and back door. Sharon, moved a little slower, but still went quickly toward the bathroom. And, this card video went black.

I had to take a break. I couldn't believe, I had a painful hardon from watching my wife fuck two neighbor boys. Damn, this was the hottest porn, I've ever watched. I just didn't like it being my wife. At the same time, I was never more turned on in my life. My perversion had me wanting her fucking our ***, next.

I needed a *****, and I don't ***** much. I fixed myself a big one and walked around, mumbling to myself. The perversions in my mind, went into overdrive. I knew the cameraman had to be Chris. And, if he's recording his ****** doing these things, well, he must be tapping it too.

I was into my second glass when I started thinking about our ********, Sherry. Fuckin her. Hell, everybody, fuckin her. Mostly, I thought about my wife and those boys. And, our boy. Was there a video of it? There were a few left to watch. 'Jesus, I hope so.' I thought.

The next two were more of one or the other boy taking charge of Sharon. Like she had no choice in the matter. She was going to suck them off or fuck them, no matter what she was doing. She didn't really resist much, it seemed. Just letting them do what they wanted.

They fucked her, in the kitchen, the living room, bathroom and back yard. I got a start at the end of the last one.

The camera was looking into the kitchen from the outside. A hand came up, tapping on the window. Sharon looked out and smiled, then she turned and looked back. There I was, sitting in the living room, watching TV.

Sharon dried her hands and went outside. As soon as she was out the door, she unbuttoned her blouse and pulled it open. She was braless as she was a lot, in the evenings. The camera swung to Jack' smiling face. Then the camera swung back up to show me.

Sharon walked over to Jack, wrapped her arms around his neck and kissed him passionately. As they kissed, the camera went back and forth, showing me and then her with her young lover. After several minutes of kissing and Jack playing with her tits, she slid down in front of him.

She began undoing his pants and again the camera showed me. When it went back to them, she was already stroking his hard cock. Then she began blowing him. She put her hands on his hips and slowly took his entire length in her mouth.

A mouth only, blowjob. Slowly in, slowly out, keeping her hands on his hips. Every couple of minutes, the camera would go up to show me and back down to her sucking Jack. Several minutes passed as I watched this panning back and forth. I tried to think of when it could have happened.

When Jack put his hands on her head, I knew he was going to cum. Sharon moved her hands to his asscheeks and pulled him to her face. 'God, I love it when she does that.' When Jack finished cuming, she let his soft cock out of her mouth with a smile.

Slowly she stood and kissed him again and his hands went to her tits, like magnets. Jack pushed her back and bent to suck her tits. She held his head as he suckled each one several times. When he straightened, they kissed quickly and she went inside. The camera showed her sideways, facing me and buttoning her blouse, before going black.

'What's next? Fuckin her in the kitchen, with me in the background!' I fixed myself another *****. 'Better slow down dumbass, before you get *****.'

I went back and put the last card in. I had to focus, the shot was from outside the kitchen window, again. There was Sharon and I, sitting on the couch, watching TV. To the side, stood Chris. I shook my head and focused again. Sherry was on her knees, sucking Chris' cock.

'Holy ****!' I didn't expect that one. Sherry was only home for a couple of days, before starting summer classes. But, there she was, sucking her brother' cock. 'Wait a fucking minute! If that's all of us, who's holding the goddamn camera!?' (I found out later, no one was. Chris had it on a tripod.)

There Sherry was, going after her brother' cock, like her ****** had. With her ****** and I in the background. '****! Everybody's gettin some, but me!'

Sherry stood and bent over, sticking her ass toward Chris. She was watching her ****** and I as Chris entered her from behind. Chris fucked her for a bit, then she went back to her knees and sucked his cock. Evidently, she liked the taste of her pussy on his cock, cause she kept doing that rotation, until Chris unloaded in her mouth.

I was hoping this last one would show the ultimate, Chris fucking his ******. But, it didn't. The only other thing on this card, was Sharon giving a no hands blowjob to an unidentified young man. The young man was holding the camera. 'It's gotta be Chris.' I thought. 'It's gotta be.'

One thing was certain, Sharon was giving this young man's cock, special treatment. The irritating part was the camera bouncing around. Still, I could see her cheeks suck in as she pulled her pursed lips up his shaft. Her tight lips didn't break contact as she'd slowly go back down it's full length. As her head twisted from side to side, I could see that she was massaging his shaft with her tongue.

Ever so often I saw her tongue dart out and go side to side on his cock. Which always made the camera bounce around. The camera really moved around when the boy started cuming. Still, he somehow managed to keep Sharon getting a mouthful in frame. It might have been in one of the four corners, but he got the shot.

(I found out much later, it was Chris, Sharon sucked off. It was the first time, Chris got his ****** to let him use the camera, when they did something. AND, they had been fucking for some time.)

I got another *****, and I shouldn't have. I wished I had a much clearer head for what I was about to discover. Feeling depressed, about not finding a video of Chris fucking Sharon, I started to put everything away. I noticed something white, in the bottom of the bag.

I tried pulling on it, but it wouldn't come out. That's when I noticed four little hooks holding the bottom. I got them loose and lifted the bottom out of the bag. The white thing, was the corner of an envelope. 'Very Private,' was written on the envelope. In the envelope were two cards. One marked, 'M n M,' under that, 'got an A.' And the other, marked, 'M n M 2.'

My hands were shaking as I put the M n M card in. Hoping I'd struck gold, I hit play.
chrislebo

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#8,715
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Sharon was sitting on the couch, looking all prim and proper.

"Ready Mom?"

"Ready." Sharon said as she messed with her clothes.

"Remember, no names. Don't want him putting the two of us together. He needs to think it's me and the older woman I've been filming. Not, who we really are. OK."

"Yes, Honey! I kno-ow!" Sharon said as she rolled her eyes. "Quit messing with the camera and get over here."

Chris came into view and sat down. They began their little act. Him sipping a coke and her ******** something else. She was telling him about what she wanted him to do around the house. Then.

"I need you to fix some things." She said looking seductively and placed her hand on his leg.

Chris hum-hawed.

"I need you to fix me."

"Huh! What? Fix you."

Sharon began rubbing his leg. "Yes dear, fix me. I haven't had a man in a long time. ... And I need that fixed. ... Can you do that for me? Can you help me with my problem?"

"What ... um ... I don't know ... I uh I"

Sharon caressed his face, "Shhhh. Don't blow a gasket." She whispered as she got close to his face. She kissed him softly and continued in a whisper. "Just relax and do what comes naturally." She kissed him again and again, until he loosened up and they began making out.

'Well, here it is. I'm watching my *** and his ****** (my wife) making love. And, Jesus, I'm getting short of breath, sprouting a hardon and turned on as all hell.'

I emptied my glass and watched as the kissing and holding continued for minutes that seemed like hours. "Jesus Christ! Fuck her already!" I yelled out. It was the ***** talking and I shook my head. 'Oh ****! Get a grip.'

I shut everything down and went outside for fresh air. I needed to clear my head and walked around until the numbness in my face went away. Calmed down and the ***** effects cleared up, I went inside.

This time, I got myself a cup of coffee. As I headed for the computer, I heard noises out front. As I opened the door, Chris was digging around in the shrubs, next to the steps.

"What ya doin, boy?"

Chris jumped up, with a scared-caught look on his face. He didn't know I was home. Acting real nervous, he finally told me he had lost a school project. He thought he might have dropped it leaving the house.

I offered to help look for it and he got even more nervous. Finally, he started backing away, saying he must have left it somewhere else and besides he had a class to get to. 'Yeah, you should be nervous.' I couldn't help but chuckle to myself as I went back to the 'evidence.'

Calmer now, I restarted, M n M. I thought far to much time was spent showing them making out, but then again, this wasn't supposed to be just porn.

Finally, Sharon put his hand on her tit and the intensity of their kissing increased. From there, it only took seconds for Chris to start unbuttoning her blouse. He wasn't fast enough and Sharon helped. With the blouse undone, Sharon quickly shrugged it off.

Chris buried his face between her tits as he kneaded them. Sharon caressed his head for a few seconds and then unhooked her bra. She hugged him briefly then pushed him back to remove her bra.

Chris had a hungry look on his face as his ******' tits came swaying into view. His hands went to them and he again buried his face between them.

Sharon grasped his head and pulled him up into a kiss before guiding his mouth to her nipple. As he began to suck, her head fell back and she moaned.

"Oh yes, Honey, yes. That feels good." Then she moved him to the other one. "Mmmm." She moaned several times. After a couple of minutes, she moaned, "Bite them. Suck hard and bite them."

Chris did. I saw him suck hard, before his lips parted and his teeth clamped her nipple.

"Ahhhh, Yessss!" Sharon moaned loudly and thrust her chest forward.

Chris raised his head, stretching her nipple and pulling her tit into a cone shape. Sharon shivered. Chris opened his mouth and her tit fell back, jiggling. Again he sucked her nipple into his mouth to begin the process again.

He did this many times to both tits and had his ****** gasping, moaning, and wiggling beneath him. Sharon pulled his shirt off and jerked his head back to her tit so he could continue sucking and biting her nipples.

Breathing heavily, she began fumbling with his pants. Finally, with a look of pure lust on her face, she pushed him up. She jerked his pants down, exposing his hard cock. Precum, oozing from the tip.

She moved rapidly. Her hand barely closed around his cock before she licked the tip. A string of precum hung from her tongue to his cock. His cock was in her mouth. She moved so fast, the camera only caught a blur. Her head bobbed as she sucked him, like mad.

With his head back and his eyes closed, his ******' mouth on his cock had him shuddering from the exquisite sensations. 'Oh God, I know that feeling. Woo! Do I ever!' Sharon was sucking her ***' cock like she always does mine, her tits swinging wildly, beneath her. It was really something to watch.

In a couple of minutes, he began pulling his ass back, gasping, "Oh! Oh!"

Sharon knew he was going to cum. So did, I. She put her arm between his legs and grabbed his ass, keeping him from pulling away.

"Oh, God!" He cried out, as he shuddered and jerked. He was cuming.

Sharon was sucking down her ***' cum on video and I came in my pants, watching it. 'Whoa! Damn, I wanted to see it. But, I didn't know, it would make me cum in my pants. **** Fire! What'll watching them fuck, do to me!?' I quickly changed and just as a precaution, put a washcloth in my shorts.

I walked around a bit and damn if I didn't stay as hard as a piece of rebar, just thinking about Chris, fucking his ******. Going back, I just stared at the screen for a minute, before hitting play.

As they kissed, Sharon wiggled out of her skirt. Leaving her clad in garter-belt, hose, heels and my favorite, her lavender panties. She lay back, pulling the skirt off and dropping it. Spreading her legs, she ran her hands down her thighs to her covered pussy. Nothing was said. She lay there inviting him as she continued to rub her hands up and down her thighs.

I expected the boy to go right to it. But, he surprised me by picking up her leg and kissing her ankle. He kissed her around her ankle several times before kissing his way to her pussy. Once again, he didn't just go at it. He kissed, licked and nibbled her covered pussy as she moaned and wiggled.

With a smile, he pulled her soaked panties part way down and said, "I'm going to suck your pussy before I fuck you real hard."

"OoooH, I like tha-at. Go ahead, big boy, show me what ya can do."

Chris removed her panties and once again slowly kissed his way to the prize. Sharon played with her tits. He kissed the bend of her legs, on each side of her pussy several times, before licking right up the middle, from asshole to clit. Rolling her hips, Sharon moaned and shivered.

Watching Chris lick and suck his ******' inner and outer pussylips, had me trembling. Sharon was moaning, shaking and rolling her hips. I moaned along with Sharon as Chris moved up to lick and suck her clit.

Gasping and shaking, Sharon clamped her legs against Chris' head as she had an orgasm.

Chris shifted down a little bit and sucked just below her clit as he darted his tongue in and out of her pussy. Sharon began having rolling orgasms. And, damn, if I didn't feel like I was going to cum again.

Chris didn't let up on his ******, he kept licking, sucking and tongue fucking her flowing pussy.

I lost count of the number of times Sharon clamped her legs together or grabbed his head as she orgasmed.

"Oh ... God ... Please ... I ... can't ... take ... any ... more ... Fuck ... Me ... Please." Sharon gasped each word weakly.

Chris raised his head. His face was soaked. Sharon' cum was dripping from his chin. Smiling, he said, "That's what I've been waiting for. Say it again."

Sharon opened her eyes. "Please, please, I need your cock. Dear God, Please! Fuck Me, Now!"

She grabbed his ears and began pulling him up.

His ass came into view, followed by his balls with his cock sliding between her asscheeks. When his glans came to her still open wet pussy, he pushed forward, sinking completely into his ******.

"Yessss! Oh God, your cock feels hot. Fuck me, like you said. Give it to me, hard."

Chris started, full length strokes. Slamming into her with a soft thud, repeatedly. It was an almost unbelievable sight. Minutes passed and I couldn't imagine how he was keeping up that pace. Then I remembered, he was a distance runner, in high school.

Wham, wham, wham. He repeatedly slammed his cock into his ****** and she was moaning and whimpering with each thrust. Her ass wiggled and bounced until it began jerking around. I knew then, she was having an orgasm, which was also evidenced by the noise she made.

Over and over and over, he brought her to orgasm with his pounding cock. 'God, this is better than any porn, I've ever seen. ****, Fire, he can fuck.'

I noticed Sharon' cum ran down the crack of her ass, to pool up on the couch. 'Yeah, I remember that wet spot. Damn. Da-um. ... That was three weeks ago. Jesus! How long have they been doing this?'

Sharon' hands appeared on his driving ass, she was pulling him. "C'mon baby. Gimme your cum. Let me feel your cum." Chris hit overdrive, slamming into her faster. A blur on the screen. "Yessss, Baby, Yessss. Do it! Do it! Cummmmm!"

Chris slammed into his ******, quivering in place as he came deep in her pussy. He slowed to barely moving as his cock softened. But, Sharon wouldn't let go of her ***' ass. She held him in place, making sure he emptied his balls in her womb. (That, I learned, was the birth of Sharon' fantasy.) 'Holy ****!' I came in my pants again. 'I don't think, I can watch the other one. Not after cuming three times from this one.'

It ended with his soft cock slipping from her pussy. Then, both of her hands came down rubbing and pressing the lips together.

I couldn't watch anymore, not then, anyway. So I copied the cards and put everything in the bag. Then I put the bag, downstairs, in the bottom of my gunsafe.

That evening was ******. I was still reeling from my discovery. Chris was nervously searching for his camera bag. Sharon was discreetly trying to help him find it. There was an undescribable tension in the air.

The next day, I found out one of the rea***s Chris wanted to find that bag. He had a three week evaluation, coming up, for his application to Juilliard and part of his portfolio was in the bag. I had the stuff copied so I looked around the front steps to see if I could slip it out there. There was a space, big enough for the bag to fall through, on the garage side.

I took the bag out, rolled it over into that hole and reached down to tap it so it rolled under the steps. 'That should work.'

That day Chris got his confirmation letter and he needed to catch a flight to New York, in three days. I heard him tell his ****** that it would be useless to go now, since his portfolio was incomplete. "But, Mom! You don't understand! They don't like, 'Halfway.' My work has to be complete!"

I walked in. "What's going on? Did I hear you say, you aren't going? After all the work you've done."

"Dad! You don't understand! They won't take me with an incomplete portfolio! ... And, I've lost part of mine!"

The pain on his face and in his voice, made my knees weak. I made him tell me about this bag. He explained, how he had to put his stuff down on the steps, then pick it up in sequence so he could carry it to school. Only, when he got to school, that bag was missing.

After getting a flashlight and handing it to him, he looked again. He looked in the one place he hadn't looked, because he couldn't remember putting anything down over there. You should have seen the expression on his face, when he spotted the bag.

"Well, now that you found it. Show us what's in it."

Sharon let out a little gasp and the color drained from Chris' face. I thought he was going to faint. He recovered quickly. "Aw, dad, it's just that artsy fartsy stuff you always moan about."

"If that's what it is, I don't see why those schools cost so much." I replied in my 'Dad' way. And, I went on in he house. Then I found out, I was getting an unexpected paid vacation. The insurance company was going to cover our lost wages while repairs were made at work. Now I would be home until Chris left.
chrislebo

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#8,716
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Those last few days, Chris was gone most of the time, finishing an abstract film composition. What little time he was home, I made sure the two of them weren't alone for more than a few seconds at a time.

I did, however, spot a few intimate touches, between them. Chris, with his hand on Sharon' ass. Chris' upper arm, brushing across his ******* chest. Sharon' hand on his crotch. I knew the two of them wanted to do something before he left.

The night before we were to take Chris to the airport. Sharon and I went to bed. When my breathing steadied, Sharon slipped out of bed. I watched as she slipped off her panties and tip-toed out the door.

I looked down the hall as Sharon entered his room. I followed. As I looked through the door hinge gap, I saw Sharon standing there, kissing our naked ***.

"Oh, God, Mom! I want to fuck you, soooo bad." He moaned.

Sharon put her fingers to his lips. "Shhhh. That's what I'm here for. Your dad's home, we have to be quiet." They kissed again. "It has to be a quickie ... and you can't cum in me."

"AW, Mom!"

Sharon' hand quickly covered his mouth. "I can't go back to bed with your dad after you cum in me, now!" They began kissing passionately. Both sets of hands, going everywhere. Sharon pushed away. "Make it quick, and when you're ready, pull out. You can cum in my mouth."

I expected Sharon to lay on the bed. But she didn't, she turned around, bent and put her hands on her knees. Chris pushed his cock down and stepped to his ******. He rubbed his cock around a little and Sharon wiggled her ass. With one hand on her ass, Chris stepped forward, sinking his cock into her.

Sharon moved her hips and moaned, "Mmmmm, Yessss, Baby." As she began fucking his cock, she looked over her shoulder. "Make it fast, baby. And pull out. You can cum in my mouth." Then she moaned again as she lowered her head and increased her movements.

Chris didn't move at first, he caressed her ass with both hands. Moving his hands to his ******' hips and he began pouring it on.

Sharon dropped her head and moaned. "Oh God Yes, baby. Fuck me, fast."

The sound of their slapping together seemed loud. I went back to our bedroom door and I could still hear them. I went back to continue watching my wife and *** fucking. Live, not on the computer. Sharon' hand was in her mouth, I guess to keep herself quiet. Chris' ass was a blur, he was hitting it as fast as he could.

Suddenly, Chris pushed himself back. He was looking up at the ceiling. Sharon spun around and barely got his cockhead in her mouth before he started jerking as he came. Chris had held out to the very last second before pulling out. But, he did pull out, just as his ****** asked.

Sharon released his soft cock from her mouth and stood, slowly. For a split second they looked into each others eyes. Then Sharon wrapped her arms around his neck and they began kissing hungrily.

I hurried back to bed. It seemed like I barely got there, before Sharon returned. She got in bed, lay there for a few seconds then turned against me. Her arm came over me and she snuggled into me.

"Did you like what you saw?" My eyes flew open and my heart fluttered. I barely managed to not move or respond. She kissed my neck. "Answer me." I stirred a little and groaned. She moved her hand down to grab my hard cock. Squeezing it, she said, firmly, "John Calvin Thomas! I know you're not asleep. I saw you. Now answer, me."

I let out a deep sigh before turning to look into her eyes. "Yes and No."

"Explain."

"No, I didn't like seeing you with someone else. Yes, I liked what I saw."

"You didn't like it, but you liked it. You didn't say anything about it being our ***. That didn't bother you?"

I grimaced. "No. That's the part, I liked."

"How long were you watching?" I didn't answer, she squeezed my cock hard. "HOW LONG!"

"I followed you."

"What! Seriously? What made you do that?" Again, I didn't say anything. This time she jerked my cock upward, very hard.

I yelped, "Easy!" And tried to retreat into the bed. She widened her eyes and moved her head as she tightened her grip. "OK! OK! ... I found Chris' bag the other day."

"Oh! My! God! And ... and the videos were in it?"

"Yes."

"But, why did you suspect me and Chris?"

"You two on video."

"WHAT! That little ****! He was supposed to keep those hidden."

"They were hidden. I just happened to find them. In fact, the envelope was marked, 'Very Private.'"

"So, then. You know about me, Chris, Timmy, Jack and Paul."

"Paul! Paul who? There wasn't any Paul."

Sharon climbed up on top of me and kissed me. "We can talk about that later. Right now, I need to know what you are going to do."

"Do? What do you mean?"

"Well, you didn't get violent. You're not going on about divorce. Am I going to have to stop? Can I continue? Or, are you going to join in?"

"Stop, continue, Join in?"

Sharon kissed me again. "Yeah. Join in, honey. I really would like to continue, with you."

It all began running quickly through my mind. Yeah, I wanted her to continue. And, yeah, I wanted to be part of it. And, I wanted her to explain why she would let these boys control her. Plus, that little thought, deep in my mind, about fucking our big titted ********.

My trance was broken by Sharon kissing me again. "You're thinking about it aren't you?"

"Yeah, yeah, I am."

She raised up. "For ... or against?" She asked softly with a questioning look.

"For."

She came down on me, hugging and kissing. "I want you to show me what you saw."

"Show you?"

"Yes. Show me what you saw Chris do." I got out of bed and stood in the middle of the room. Sharon got up and came to me. "Why aren't you naked?"

I took off my t-shirt and shorts, Sharon wrapped her arms around my neck and began kissing me.

"I know you heard what was said, as well. So, you have to pull out and cum in my mouth, too." Then she turned around, just like she did for our ***.

What I saw, flashed through my mind and I imagined what our *** felt as he was presented his ******' ass and waiting pussy. My cock grew harder and throbbed. Just as our *** did, I put my hand on her ass as I pushed my cock down and stepped forward. I too, moved my cockhead around before stepping forward and entering her hot wet pussy.

Sharon moaned, just as she did when our *** entered her and began fucking me. I too caressed her ass with my hands, before taking hold of her hips. I paused, letting the feeling of her silky smooth pussy fill my mind as she squirmed.

"Oh God, Honey! Please, Fuck Me!" She blurted out, loudly.

I began slamming into her as hard as I could. Just as our *** had done, a little earlier. Unlike our ***, I had the luxury of being able to take as long as I needed. And if I could, I wanted to fuck her dry.

As we fucked, her whimpers became cries. And those cries got louder and louder. If Chris was awake, I knew he had to hear his ****** being fucked.

I was at the point, when I heard Sharon softly beg. "Dear God! ... Honey, Please ... please Cum!"

I was there and she didn't have to beg for it, but hearing it made me feel great. I stepped back. Sharon came around, grabbed my hips and took my cock completely in her mouth. I erupted so strongly, my breathing stopped and my mind went blank.

When I opened my eyes, Sharon was on her knees, looking up at me with my softening cock in her mouth. She let my soft cock slip from her lips and slowly stood. Wrapping her arms around my neck and touching noses, she paused before kissing me.

chrislebo

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#8,717
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Her tongue entered my mouth and I could taste the tanginess. It's not like I haven't tasted my cum before. Hell, I've eaten her pussy many times after fucking. Not just after. I love eating pussy, before, during and after sex.

The shock of my mouth being filled with it, made me pull back. Trapped, I couldn't get away. I tried to give it back to her, but she blocked me. 'What the hell.' I thought and swallowed it. When I did, Sharon increased the intensity of her kissing.

When Sharon slowed down and finished her kissing, we once again touched noses. "You didn't know, that's what I did to Chris earlier. Did you?"

"No. No, I didn't."

"Don't be mad."

"I'm not mad."

"Well. Now you know what it's like. Oh, I know you've tasted it before. But, now you know what a mouthful, is like."

We went back to bed. Sharon snuggled tightly against me. We lay quietly, for a few minutes.

"How are we going to do this, Honey?"

"What do you mean?"

"Well, Chris is terribly afraid of you finding out. That's why he's been so nervous around you. Especially since starting his film project."

A really perverted idea entered my head. I whispered it in her ear.

"Oh My God! Really! You'd do that!?"

"Yeah, I'd like to."

"Fuck Yeah, then! Let's do it! It'll completely blow him away."

The next morning, I remained semi-hard just thinking about what we were going to do. Sharon and I fixed breakfast as Chris packed and repacked again. At breakfast Chris went on and on about Juilliard and how he would graduate with two degrees, instead of one.

The time arrived for the trip to the airport and the beginning of my idea. Sharon remained inside while Chris and I loaded the car. When she came out, she was wearing her night-on-the-town halter-top, mid-thigh dress and spike high-heels.

Our ***' eyes bugged out and his jaw dropped. Sharon gave a slight wiggle, accentuating the fact that she was braless. Chris shivered as she sashayed past us and got in the backseat. I knew he'd want to sit in the back, so he could lean over and look down her dress.

He closed his eyes and shook his head, before reaching for the front door. I stopped him and pushed him back as I opened the back door. "Your Mom wants you to sit with her." I said smiling.

Chris leaned down and started getting in. Suddenly, he yelled out, "Mom! Oh ****!" Straightening up he smacked his head as he came back out of the car. He had a bewildered, wide-eyed look.

I grabbed his arm. "Take it easy, boy. Your Mom wants to give you a special, Good Bye." I winked. "Now, go ahead. Enjoy it." Then I helped him back in. I saw why he jumped. Sharon had pulled her halter top aside, exposing her tits. Smiling, I took my position as chauffeur.

I turned around to see as I backed out of the driveway. Looking at Chris, I said, "You and your ****** have until we get to the airport, to say goodbye." It would be over an hour. Sharon smiled and put his hand on her tit, then turned his face to kiss him.

As I drove down the street, I adjusted the rearview mirror so I could see. Sharon already had his cock out, stroking and kissing it. She winked and mouthed, "Thank You," before putting it in her mouth.

A couple of blocks down the street, Sharon' knee stuck up in the air. I twisted the mirror to see Chris' hand rubbing her pantyless exposed pussy. His head was laid back and his eyes were closed.

Before we reached the freeway, Sharon was on top of him, facing away. I imagined him sucking her tits as she bounced up and down. But, I couldn't see anything. Her dress was in the way. Finally, Chris pulled her dress up, to hold her ass. I could see her pussy pull out along his cock, as she bounced up and down.

****, it's hard to drive and watch two people fuck through the rear view mirror. I heard her moans and whimpers getting louder, until she pushed down on him and trembled. I don't know if Chris came or not, but Sharon sure as hell did.

When I looked again, Sharon was sucking his cock again. I noticed a car staying beside us. Moving the mirror, I saw Sharon' bare ass in the air. Chris must have been playing with her pussy, cause I could see something moving. The car next to us, had a clear view.

The car didn't come on around until Sharon dropped her ass. As it did, I looked to see a woman, smiling and giving me a thumbs up.

Sharon again straddled her ***. Only this time she was facing me. Her tits were flying up and down as he held her waist. And this time I could fully see his cock going in and out of her pussy. Pulling the lips out and rolling them back in on each bounce.

Sharon gasped out, "I love you, for this. Thank You J C." J C, my initials, that's what she calls me when she's pleased.

Chris had his ****** lay on the seat, so he could eat pussy. I couldn't see a lot, because her leg kept getting in the way. What I did see of him licking his ******' pussy and sucking it into his mouth, was an absolute turn-on.

The airport sign came up. "Better finish saying Goodbye, we're almost there."

"Which do you want, Baby? Pussy or mouth?"

"Your pussy, Mom. God, you know I want to cum in your pussy." He said almost pleading.

"It's a good thing, I put panties in my purse. Otherwise, the people at the airport would see your cum, running down my legs." She chuckled. "Get your cock in there and fill me up."

Chris started to get on top of her, but she said, "Wait! We need to turn sideways, so your ****** can see."

Sharon moved and Chris took his place. I had a perfect view as he buried his cock in his ******' pussy. "Fuck me hard, Baby. Fill mommy with boy cum."

I was swerving more, watching them finish. Hell, I swerved a lot during that drive. Chris pounded away into his ******' pussy, bringing her to almost screaming. We were almost to the parking lot before he came.

"Oh, Yessss. That's it, cum in mommy." Sharon moaned loudly as Chris emptied his balls. I thought I was going to cum in my pants, when I heard her.

We were at the gate. It's a good thing a machine dispenses the ticket. An attendant would have seen them.

As Chris pulled out, Sharon said, "Let me suck you clean, Baby." My view was blocked by him going up against the car roof.

Sharon put her panties on and straightened herself up, before we went in the airport. I had another nasty idea and retrieved her emergency panties from the glovebox.

In the airport, I kissed Sharon and whispered, "Put these on and give Chris the pair you're wearing," as I put the clean panties in her hand.

Sharon glanced at them and smiled real big, before hurrying off to the bathroom. Just before Chris entered the security check, Sharon hugged and kissed him. Then she took his hand and gave him the panties.

"Here's a souvenir of our saying goodbye." She said in her sexiest voice.

Chris looked at the panties and his face lit up as he smiled from ear to ear. Then he hugged me harder than ever. "Thanks Dad. You're the greatest." He walked away.

Sharon and I hung around and watched the plane take off. As it did, she caressed my face, kissed me and whispered, "Having his baby, is next."
chrislebo

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#8,718
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"What'd you do?"

"They were in the throws of passion. Close to finishing. I backed out and went to Sherry' room, to wait for her. We had a very long, emotional talk. And she confessed something that had me upset for a while."



" They began with oral sex, progressed to intercourse." Sharon chuckled. "Sherry blames her big tits on Chris."

"What? How does she figure that?"

"Chris was constantly sucking them. For hours and all night a few times. He sucked them so much, he had her producing milk and that scared the hell out of her. She made him stop until they dried up. Even now, if her boyfriends suck them much, the milk starts flowing. So, she's really careful about it."

My mouth watered as I thought of sucking my ********' 'Dolly Parton' tits. All I know is, my ******** has bigger tits than anyone in the family. Really big, for her size, and she doesn't like showing them. In fact, except at home, she dresses to de-emphasize and hide them.

"What did she upset you with."

"Her secret was what changed my mind about having sex with Chris."

And, What ... was ... this ... secret?"

"This is how it went. At the end of our talk she said there was something she would tell me when she left for school. I was on pins and needles, thinking she was going to tell me Chris got her pregnant and she had an abortion, or something."

"That ... wasn't it, was it?"

"No. That wasn't it. Here's what she said, word for word, 'I'm fucking Chris, instead of Daddy. And, some day, I'm going to.' Then she walked out and left for school. I was dumbfounded and dropped in disbelief."

Sharon told me how that bothered her at first and made her own bad thoughts grow. That was also when Chris' film class intensified. He looked worried all the time and acted sullen. She said she tried to talk to him about it, but he wouldn't tell her anything. That is, until she sat him down and demanded an explanation.

He slipped past her and rushed out of the room. Sharon decided to go after him and they ran into each other in the doorway. Chris had only ran to get his class assignments, to show her.

"This is why I'm going to end up failing." He said as he shoved the papers into her chest.

Sharon said the top paper had a big red zero on it. She couldn't understand it because all of his grades were 3.5 to 4.0 and she said, "How? How in the world did you get a zero?"

She said he was almost crying when he said, "Those are my assignments, Mom. Read them! I don't have any way to do them."

Sharon said the very first sentence said, 'No subjects under the age of thirty allowed.' She asked him what that meant and he answered, "Just read them, Mom, and you'll see." He sounded so pitiful she almost hugged him.

Sharon began reading. 'Mature woman posing - work, home, about town. Mature woman dressing - different outfits. Mature woman undressing - different outfits.' Then she said, her eyes got big, as she read, "Mature woman - exposed."

She said she asked Chris, "What does this mean, exposed?"

His reply was, "Exposed! You know, exposed. Nude! No clothes. Au natural. That's not all, Mom. Read the rest. I don't know how ... or anyone ... to do those. I'm sunk."

She continued reading, 'mature woman - exposed in public.' Sharon asked if that meant flashing or walking around nude. Chris told her flashing would do as long as it was in a public place.

Her stomach sank and churned as she read the next page. 'Mature woman, young man/. Mature woman teasing, young man/. Mature woman, touchy feely - making out, young man/.' She said she thought, 'This is just too much!'

The third page. 'Mature woman, young man/ - sex.' She said her heart began pounding and she wondered how they could require such a thing for a university class. Chris explained, "It is photographic art and that is the class title."

Sharon continued reading, 'mature woman, young man/ - oral - her/him - him /her - 69.'

Chris could tell from the expression on her face how she felt and he said, "You see, Mom. How the hell am I supposed to do that? I don't know how ... or who ... to talk to about that."

"Well, um, maybe I can help." Sharon said she told him.

She said, Chris replied, "You better read the last one, Mom. You better read the last one. I don't see how you can help."

She read on, 'mature woman, young man/ - intercourse - various positions, various places - explore the aspects of love, control and ***** (*****: relating to bondage and degradation) The final sentence was in big bold type, 'REMEMBER - DO ABSOLUTELY NOTHING WITHOUT 'SIGNED FULL CONSENT/DISCLOSURE FORMS' AND PROOF OF AGE'

Sharon said she hugged him and told him to let her see what she could do. Next came her confession.

"Honey, I had already had fantasies about our ***. And, at that moment, I knew I would go to bed with him." That reverberated through me.

Sharon said, she thought about the opportunity, handed her. She wanted their experience to be out of love not something he had to do for his degree. There was only one answer, of course. She was going to be, the mature woman, for Chris. There would have to be another young man, first. To draw Chris in, she would have to turn him on, watching her with someone else. Her first thought, not what happened.

Sharon said she waited a couple of days before telling Chris, since she couldn't find anyone, she'd do it.

She said Chris just stood there looking at her for a long time, before he said, "Are you sure, Mom?" She replied, "I'm sure, Honey." He immediately said, "It means, you're gonna have to get naked. And ... and have sex. Sex with someone, not dad."

Sharon said, she hugged him and whispered, "Don't think about that. I'm doing it for you. I'm doing it. For you."

Chris was hung up on the sex part and Sharon had to bring him back to his assignments. As she posed for him dressed, in stages of dress, flashing and finally nude, they talked. She said that during the flashing and nude shoots, she commented about him being turned on by his ******.

"Oh, Honey! He got so embarrassed. After a nude shoot, I walked up to him from behind, and put my arms around him. As I slid my hand down to his bulge, I whispered, 'Are you thinking about me? Huh?' He began trembling and said, he wasn't. As I squeezed his cock, I whispered sexily, 'This says different.'"

She said she moved around in front of him and kissed him, ready to give her *** a blowjob. Her hand once again went to his hard cock as she asked him, "Do you want me to take care of this? Hmmmm? I want to, but you have to say so." She was rubbing his hardon. "Seeing me, exposed, has made you horny for momma, hasn't it? Tell me, do you want mommy to suck your cock?"

She said he began shaking and she thought he might be cuming in his pants. He quit shaking and cleared his throat. He mumbled, barely audible, "Would you? Really? God, Yes! I want you!"

She kissed him and said, "I want you too, baby. But, I'm just going to suck your cock. Okay. I want to feel it in my mouth and taste your cum." As she slid down in front of him and undid his pants, he was shaking again.

His freed cock was oozing and the end was coated in pre-cum. It was evident that he had been on the verge of release. Stroking his cock and looking up at him Sharon smiled. Chris trembled and gasped when she stuck out her tongue and licked the end of his cock. She wondered what would happen when she put it in her mouth. 'Would he cum immediately?'

Keeping eye contact, she stuck out her tongue and opened her mouth. His cock slid up her tongue to her parted lips. As her lips closed around his cock head, his legs trembled and he moaned loudly. " Oh God, Mom!" But he didn't cum, he just shook and almost hyperventilated.

Sharon moved her lips tightly down his cock. Chris shook and repeatedly said, " Oh God." She had barely been sucking his cock for a minute before he erupted, filling her mouth with a massive load of sperm. " Oh Jesus! ****! Is this real? Did you really!?" Chris was still shaking as Sharon stood and hugged him.

Chris was completely blown away. His ****** had just given him a blow job in the living room. And the best part, was that he came in her mouth. Not on her chest like a girlfriend made him do.

Sharon made Chris go take care of his editing as she cleaned up, before I got home. He stayed in his room all evening. She figured, he was so nervous about what happened that afternoon, he couldn't face me.

A few days later, Chris got his grades for the latest work. He received a 3.9 and four 4.0 grades plus a 4.0 bonus. He said his professor really liked his model and wanted to meet her. Sharon liked his compliment and appreciation.

They talked about the next phase, 'sex with a younger man.' Who would it be? It couldn't be Chris, because he had to take the pictures and movie. They settled on Jack and would talk to him about it when that part of the assignment came up. First came them together, them kissing and touching, her flashing him and them nude.

Jack agreed after talking to Chris first and then Sharon. As things progressed, Sharon couldn't stand the idea of having sex with Jack before Chris. So, she decided to delay the shoot with Jack. I was going to be gone overnight and she decided to fuck Chris then.

Sharon said that when I left that morning, she knew they would have until five o'clock the next day. Her plan was to keep herself worked up for sex all day as Chris was at his classes. She would be dressed sexily, but not whorish, when he got home.

She prepared a nice meal and talked about how much she liked posing for him. Admitting it was hard at first, but once she got into it, it turned her on immensely. Chris asked her about that and she told him, "Because it's for you and I love the way you look at me."

Chris became a little embarrassed, but perked up when She told him she wanted him to take some pictures. By now all she had to do was act naturally as Chris clicked away with the camera. Chris didn't give instructions until she started flashing.

She noticed he wasn't photographing her, but her body parts. Knowing by the angle of the camera and how close he got.

Things were going as she wanted and she was excited. It was time for nudity and she told Chris, he had to remove an article of clothing each time she did. He looked surprised and then asked, "Are you serious?"

Her reply was, "Why yes, turn-a-bout is fair play." He became nervous and she quickly added, "Your ****** won't be back until tomorrow afternoon." She said she could see the wheels turning.

Then she said, he said, real low, "Well, uh, OK. I guess. Um, blouse first."

She began unbuttoning her blouse as he took pictures. When it was unbuttoned, she stopped and didn't move. A silent minute passed until he said, "Why'd ya stop?"

"Your turn." Sharon replied. "Article for article, remember."

Chris unbuttoned and removed his shirt. Sharon smiled, then opened her blouse, exposing her lace cup quarter-bra. Her nipples already hard and protruding. Slowly, she slipped it from her shoulders. Several pictures, standing, sitting, couch, chair, window.

The skirt was next. Sharon unzipped and said, "Well." Chris kicked his shoes off. Sharon said, "Uh, uh." Chris replied, "They're clothes." She shot back, "Not for this."
chrislebo

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#8,719
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Chris unzipped his pants and stopped, looking at her. Sharon pushed the skirt down a little. Chris pushed his pants down a little. She thought, 'The little ***** playing games with me.'

She wiggled. He wiggled and smiled real big. She dropped her skirt. He dropped his pants.

Sharon moved around so he could take pictures. Couch, chair, doorway, window, coffee table, floor. Chris followed, barely able to walk, with his pants around his feet. Finally, she stopped moving, long enough for him to remove his pants.

Wanting to build him up, she went to him. She paused briefly and looked him in the eyes, before wrapping her arms around his neck for a kiss. Slowly, his arms went around her. She made sure he felt her hunger, before she broke the kiss and returned to the couch.

Unhooking her bra, she cocked her head and looked at him. His t-shirt was off in a flash. Sharon settled back and took the bra off. Pausing, she let him take several pictures, before cupping her tits in her hands.

She said, sexily, "You like mommy' titties, don't you? ... Why don't you come and suck on them, so the nipples 'll stick out for your pictures." She said he had a look of hard lust as he moved toward the couch.

When he got to the couch, he knelt, placed his hands on each side of her and stared at her tits. She leaned forward and as she kissed his forehead, put his hands on her tits. He went after them like they were the only ones on earth.

She held and kissed his head before saying, "Slow down, Baby. You'll have them again. They aren't going anywhere." He slowed down. Still sucking greedily, he began moaning. She understood that her *** got off on nursing. That explained why he sucked his sister' tits, like she said he did.

More than stimulated enough, her juices flowing between her legs, she pushed him up. He had a bewildered expression on his face. Sharon told him, "Take the pictures to show what you've done."

Grabbing the camera, he clicked away, in closeup, to capture her red, swollen wet nipples. Slowly, he backed away to get all of her again. That is, until he noticed the wet spot on her panties. She said he was almost panting as he zoomed in, between her legs.

Hell, sitting there listening to her tell the story, had me turned on as much as watching them. No, ****, MORE. I had a hardon that was bent double in the confines of my pants. Shifting, I tried to relieve some of the pressure.

Sharon saw me and put her hand on my thigh. Moving her hand up between my legs she softly asked, "Something wrong?"

"It's bent."

"And, Hard." She moved her hand up and pushed it into my pants. "Pull over, someplace."

"Pull Over?"

"Yes. Pull ... Over ... And ... Fuck ... Me!" I looked at her and she had a mischievous look. "I want you to fuck me, with our ***' cum in my pussy. So, pull over." She had a hold of my cock and squeezed to emphasize, 'pull over.'

I took the exit and luckily there was a little road, lined with bushes. I headed for it as Sharon undid my pants. When I got stopped, she opened the car door and turned sideways, saying, "Get around here!"

Man! I haven't seen her like this, since we dated, years ago. I was like a dog going after a bitch in heat. My brain was in my cock and being drawn to a dripping pussy. '****, what have I become? What have we ...' My thought was broken by Sharon saying, "God, JC! I can't believe what I've become."

I stopped thrusting and looked down at her. "Don't stop, Honey, Please! Finish fucking me." I picked it up again, knowing that I wouldn't last long. I had almost came in my pants, twice, watching them on the way to the airport. Then her story was turning me on. My release built quickly and I thrust hard as it shot into her.

"Oh God, Yes! My husband ... and *** ... both in me." She was gasping. Slowly she calmed down. Still in her and shrinking her pussy squeezed my cock. "JC what have I become? I'm married. Teenage ********. PTO. I teach Sunday school. And ... and ... and I'm fucking three teenage boys. One is my ***."

It was like she was having a battle in her mind.

"Heaven help me, I Love It. I Love You! I don't want it to stop, Honey. ... I don't ... want it ... to stop." The pleading sincerity in her voice ********** the fact that I wanted it too. Then she did something, she hasn't done in a while. She pushed me back and cleaned my cock, with her mouth. "Mmmm, mmmm, yes. I can taste you both." She said as her tongue circled her lips.

I dropped to my knees, hugged and kissed her. I was as drawn into this as she was. Getting through this, with her, was all I wanted. We stayed like that for a couple of minutes, until a car honked. A cop stopped to see if we had car trouble. I don't know, how long he'd been there.

"I'm sorry, officer. It's my fault. I just had to have my husband."

He nodded his head and smiled. "Be careful folks. ... Some people aren't as understanding as I am." We got in the car and he watched, smiling, as we left.

We sat in silence for a few minutes as I drove slowly. Sharon put her hand on my thigh and softly asked, "Want me to continue?" In a daze, I didn't respond, but I heard her. She squeezed my thigh. "Well?"

I looked at her, "Huh?"

"Do you want to hear more?" 'Hell Yes! I want to hear everything!'

"Uh, yeah."

"You sure?"

"Yes, I'm sure. Talk."

"Where was I?" We both thought for a minute. But, I'm sure she knew right where she left off.

"Uh, Chris was taking pictures after sucking your tits." Out of the corner of my eye, I saw her smile. She was testing me.

"Yes, well. I began moving around the house, posing. Making sure he could get shots of both my tits and pussy. When I sat back down on the couch, I rubbed myself. Then I asked him, 'Don't you think it would look better, glistening wet?' He almost dropped the camera."

"I bet. I'd drop the damn thing too."

"Then I said, 'I think you should do to my pussy what you did to my nipples.' The camera came out of his hands, but he caught it before it hit the floor. I could see the hunger in his face as he licked his lips."

She said, half moaning, he said, "Really Mom, Really! You want me to do that?"

Sharon said she rubbed herself and scooted to the edge as she said, "Yes, Baby, I want you to do that. Mommy wants your mouth on her pussy. You have to get it ready."

Chris dropped to his knees and she knew from the expression on his face, he finally understood, he was going to fuck his ******. He crawled over and looked her in the eyes. She smiled and he closed his eyes as he kissed her between the legs.

Sharon said he kissed and sucked every inch of her pussy as hungrily as he had her tits. Giving her rolling orgasms. His lustful hunger left five hickeys on her pussy. When she couldn't take it anymore, she grabbed his head and pulled him up.

She said she kissed him passionately before licking her cum from his face. While she did so, she could feel his cock touching her pussy. "Time to fuck me, if you want to, Baby." His eyes got big and he flinched. "Go ahead, Chris. Push your cock in my pussy and fuck me, like you want to."

He kissed her hungrily and pushed his cock in at the same time. She was so wet and ready, there wasn't any resistance. When he bottomed out, he moaned out loudly, "Oh God, Mom. Mom! Oh Mom ... I Love You!"

She didn't know it at the time, but she was his first. He had been jerked off and sucked by girls. But, his ******' pussy was his first. Sharon chuckled, "Ya know, it's funny. I gave him birth and fucked him first."

He didn't move, except for shaking. Sharon discovered that was how he kept from cuming. He was concentrating and letting his body shake.

"Mmmm, you feel good, Baby. Do you like being back where you came from? I li ... Love it!" She whispered in his ear.

As Chris began moving his ass up and down, he moaned, "God! It's so warm and soft."

"Yes, Baby. And you're so hard and hot." She whispered back.

Sharon didn't know how long he'd last. She hoped he'd give her a good fucking, but she wasn't sure. A slight disappointment ran through her, when she felt him cuming, after a few short minutes. She wanted it to last. But, Chris didn't stop thrusting his cock into her. He kept going as he kissed and sucked her neck.

Sharon began fucking him back and had rolling orgasms. 'I'm fucking my ***. ... Oh, God, I'm fucking Chris! And, his cock feels so-o good.' She repeatedly thought as he kept pistoning into her.

Then she startled me. Squeezing my thigh she said, "Honey, that first time with Chris gave me the strongest orgasm, I ever had." She just went right on with her story.

"I felt him cum again and I went into a hard shaking orgasm. But, he didn't stop! He kept going and the sound of him fucking me was sloppy wet and loud. My orgasms got stronger and stronger, making me light headed."

Sharon squeezed my leg and was breathing hard. Remembering and telling me about her first time with our ***, was turning her on.

"My body began to tingle and shake. A big one was coming. I was loudly moaning, 'Oh, God, Chris! Please! Please!' Over and over. My mind wanted him to finish and let me stop having orgasms. As my last orgasm began to peak, Chris slammed into me, hard, as he came. I guess his body couldn't take any more either. I passed out from pleasure. We both passed out."

There was a pause and Sharon shivered. "You just got off thinking about it, didn't you?"

I glanced at her and she was looking down as she meekly answered, "Yes."

Taking a deep breath, she said, "John, I don't understand this. I just wanted to help Chris. I knew I had to have sex with someone else. I had to cheat on you, to help our ***. That little fantasy took over and I fucked my ***. From that point on, I wanted it all."

There was a long, tense pause. "You're not saying anything." She began to cry. "I don't want to lose you, Honey. I Love You!"

I put my arm around her and pulled the car over. Hugging her and kissing the top of her head, I said, "I Love You! And, I'm not going anywhere."

We sat and hugged for a few minutes, until Sharon said, "Get us home."
chrislebo

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The rest of the drive was in silence, holding each other. At the house, Sharon wouldn't let go of me to get out of the car. It was arms around each other into the house.

I tried stopping at the couch. Sharon kept us moving. Through the bedroom and into the bathroom. Sharon removed my clothes, then hers and pulled me into the shower. Hell, I always have liked showering together.

We washed each other with lots of kissing and hugging. We dried each other, and yeah, I always like that too. I went to get dressed and Sharon said, "Let's stay in our towels." With a sexy smile.

"What else do you want to know?" She said as we went down the hall. "I can talk as we fix something to eat."

"I want to know all of it. I want to know how those boys are making you have sex."

"They're not making me, Honey. That's for the assignments."

"Well, I believed it."

"Thank You. I guess. Hmmmm, I guess, I need to finish telling about our ***, Huh."

"Yeah, You do."

"Well, let's see. Oh, yeah. Chris was blown away by what we did. I took him to the shower and as we cleaned up, I told him we would continue, but it would have to be discrete. He didn't understand, at first. I explained the conditions and then he settled down.

After the shower, she asked him, "What do you want me to wear?"

"Could you just wear garter belt, hose and heels?" He replied.

She smiled and said, "I want you naked." Then she put on a set.

They small talked for a while as Chris took a few more pictures. After a while, they decided on a movie. But, not just any movie, Sharon got one of my hidden X-rated. Frequently, kissing and fondling each other.

Chris got it through his head that his ****** was letting him do whatever he wanted. He spent a lot of time sucking her tits as she cradled him in her arms. Sharon said as he suckled, she remembered him as a baby. After a while, she remembered what Sherry said about him sucking hers until she ******** and she made him stop. She didn't want to have to explain why she was producing milk.

She said Chris was hell bent on sucking something and moved between her legs. She already had hickeys there and he gave her hickeys, hickeys. She said that after that night, her pussy was so bruised looking from Chris sucking it and maybe the pounding he gave it with his cock, she was worried for a while.

"J C, He sucks my pussy until I can't take anymore and pass out. Not just my pussy but my tits too. I honestly have to make him stop."

I smiled to the thought and image of that, in my head.

Then Chris started fucking her. All night and all the next day, it was fuck, rest a while and fuck again. She was absolutely amazed at how his cock kept getting hard. Her pussy was hurting by the time I came home and she was wondering what kind of demon she had stirred up.

She said she barely had time to clean up and get dressed, before I walked in the door. I remembered, Chris barely said, 'Hi,' before disappearing into his room.

About an hour after supper, I went to bed. She said, Chris came to her wanting more, and ended up fucking her four more times as I slept. Sharon told him, that, could never happen again. Not with me at home and the only reason she let him, was because she saw me take a pill.

She was so sore, she had to delay the shoot with Jack for two days. She wouldn't let Chris fuck her, but she sucked him off, several times.

The shoot had to be done. Chris would barely have time to edit things before turning it in. Sharon was nervous about having sex with him. And, Jack was nervous about having sex with his best friends ******, as he watched. A woman he'd known since the first grade, even if he was nineteen.

Everything went fine, until the moment of penetration. Jack froze. Sharon had to get him in. She grabbed his hard shaft and balls as she started moving her pussy on his glans. His eyes were great big and he remained unmoving until her hot pussy slid down his shaft.

She said Jack closed his eyes let out a big sigh and moaned. Sharon found out after, that she was his first as well. In fact, she was the first female to see or touch his genitals, in any way.

Once Jack got going, he was like the energizer bunny, he just kept going and going. Position after position, he pounded away at her pussy. Kissing, biting, feeling her entire body. After over twenty minutes, she was on her back. Spreading her legs wide, she reached around and fondled his balls.

Jack thrust hard, grunted, and unloaded deep in her womb. Sharon said she could feel his cock throb and the ***** of a half dozen spurts of sperm. Then he began shaking wildly and collapsed on top of her.

Jack got real nervous and quickly left. She barely wiped herself off before Chris was between her legs, licking away. He got her off again before crawling up to give her a hard fucking. That's the way it went, from then on. After she fucked one of the others, Chris would fuck her, long and hard. She got to where she wouldn't clean up, she'd just spread her legs and wait for Chris.

Chris was getting pushy and trying things, even with me in the house. Sharon said, one day, she grabbed him by the ear and marched him into the bathroom. "Enough, young man! I am happily married, and want to stay that way. When your ****** is in the house, you respect that and stop groping me! Besides, It's not like we're not doing anything." Then she walked out and Chris sulked for a couple of days.

The next shoot with Jack, he was more relaxed. He even ate pussy and got her off, several times. And, he fucked her three times, really getting into it. That's when he first started saying Mrs. Thomas, during the shoots. Chris picked up on it and developed an idea for a situational theme shoot.

The third time with Jack, was the suck me off like you promised video. I said I'd seen it and Sharon went on.

The fourth time with Jack, Sharon was nervous because it involved bondage. It was about an older woman, tied up and blindfolded by her young lover. "I really don't know about doing something like that. I mean. What if your ****** comes home and finds me like that?" She asked Chris.

They put it off for one of my out-of-town inspection days. Again cutting it close, for Chris, to get it turned in, for review and grading. They talked about the idea of Jack calling Sharon, Mrs. Thomas, and being *****ful. That would lead to him tying her up and blindfolding her before they fucked. Sharon knew Chris wouldn't allow her to be hurt. Still, she insisted on having a couple of ******, first.

The following is a transcript and description, of that video. My shock, was recognizing the narrators voice. It was our ********, Sherry. 'They're all in it but me. I'm the odd man out.'

**********

"Wow! You look great, Mrs. Thomas." Jack said, as Sharon answered the door.

"Why, Thank You." She said smiling.

As they turned toward the living room, Jack fondled her ass.

"Ja-ck! Be good, now." She yelped.

"I'm always good, Mrs. Thomas. You know that." He said as he continued to touch her.

She turned to face him. "What's in the bag?"

"Something for later. You'll like it. I know, I will."

She cocked her head as she looked at him. He quickly kissed her. She let him but didn't kiss back. She turned and walked on in to the living room.

(She hesitated, hoping he'd sit and she could sit elsewhere to delay the inevitable.) He nudged her backward with his thigh. Having no choice, she plopped on the couch. He sat against her.

(Trying to distract him, she leaned forward to get the TV remote. His hand touched her lower back, sending a wave of excitement through her. She didn't understand, why she let this happen. Why, she let her ***' best friend control her like he did. She loved it and wished he would make it slow and passionate, some of the time.)

As she sat back, his hand came around and cupped her tit. "Jack, Honey. Please! Can't you slow down? We have plenty of time." (Her verbal surrender, letting him know, she wanted it too.)

(Jack wanted it his way, not hers. To him, she was his. He was going to do what he wanted.) He began kissing her neck. As he licked up her neck and kissed her ear, he began unbuttoning her blouse.

"I like your perfume, Mrs. Thomas. Make sure you wear it more." He said as his hand went in her blouse, under her bra to her tit. Kissing her, he squeezed her soft pliant flesh hard, causing her to moan and try to retreat.

She reached for his head. (Thinking maybe she could slow him down, with kissing. He wasn't going to be slowed down. He wanted to do something and there was no stopping him. After all, she was his. He's fucked her many times since that, reward blowjob.)

He pulled away. "Get your clothes off, Mrs. Thomas. Get 'em off, now." He growled, while pulling his shirt off.

She lowered her eyes and resigned herself to it, with a sigh. (No matter what she wants, it is going to be his way. And she thought, 'I can't help myself. I love him treating me this way.')

(Naked, she stood before him, her moist pussy tingling in anticipation. She knew he would give her a hard fucking, with his young cock.) Taking something from the bag, he stood. She couldn't see it. Pinning her arms to her sides, his arms went around her, pulling her tightly against him.

He kissed her, *****fully, hungrily and ****** her arms behind her back. (She felt something slip up her arms and tighten, drawing them together.) "Jack! What are you doing!" She exclaimed while struggling to free her arms. "Don't do this! Honey, Please! Don't do this!"

He kissed her, to shut her up. (She knew, he was going to do what he wanted.)

Playing with her tit, he whispered in her ear. "I'm going to blindfold you and tie you to that table. So I can take my time fucking your mouth and pussy. I'll leave you like that, if you give me any more ****."

(As his words sunk in, she realized the futility of resistance. Besides, she wanted it. She wanted everything Jack did to her.)

He pulled the blindfold out of the bag. As he put it over her eyes, he asked, "You don't want me to leave you for your family to find, do you?"

(The thought of that, raced through her mind, causing her stomach to churn.) "No. Please! Do anything you want."

Sitting her on the table, he tied her legs. Then he freed her arms, laid her down and retied her arms to the table. He jerked her forward, so that her head fell from the table and looped a rope over her neck, to keep her from moving.

He paused briefly to kiss her as he mauled her tits. Pinching and pulling her nipples, causing her to cry out through the kisses.

He moved around, freed her legs to raise them up and tie her thighs and calves together. Then he tied them down. Opening her up like a clam.

(Helpless now, she wanted his cock. Her pussy flowed as she licked her lips.)

"Fuck Me." She moaned. He slapped her pussy. "Oh God, Please Jack. Baby. Fuck me hard."

He rubbed her mound with his hand as he moved forward and touched his cock to her pussy.

She rolled her head and moaned, "Yes! Oh Yes, Baby. Fuck, your slut."

With a scowl on his face, he shoved his cock into her. She yelled out, "AaaaH!" And he began slamming his cock into her as hard as he could.

"How's that, huh? Like ... that ... do ... you?" Saying a word on each ****** thrust.

She moaned and rolled her head around. (Yes! You stupid boy! She thought. I love it! Why else do you think, I let you control me!)

He was breathing hard and sweating from his exertion and slowed to a stop. But, not before she had a body shaking orgasm. Pulling his cock from her pussy, he walked around and shoved it in her mouth. Licking and sucking, she willingly accepted it.

(Yes, Yes, feed me your cock. Let me taste my pussy on it.)

Satisfied, he stepped back, taking her treat away. Her lips and tongue searching for it.

"Whew, Mrs. Thomas. I thought you wuz gonna get me off there for a sec'n. I'll cum when I'm ready, Mrs. Thomas. Mouth, pussy or both. When I'm ready." And he walked away.

Licking her lips, she squirmed a little.

(She wanted his young hard cock and would do anything to have him ravage her. God, I wish he'd come back and fuck me!)

Jack came back and began wiping his soft cock across her face. She opened her mouth and stuck out her tongue, knowing not to do anything more, unless he said so. Reaching for her tits, he gently played with them and said, "Catch it, Mrs. Thomas. Get my cock in your mouth." He twisted her nipples between his thumbs and forefingers as she did so.

She did her best to bring him to full hardness as he played with her tits. (Moaning and getting into it she thought he might fill her mouth with his first load.)

Jack abruptly stepped back, grabbed and squeezed his cock. (She had obviously brought him to the brink. But, he wanted her pussy. He loved cuming in this woman, he's known most of his life.)

Walking around, he rubbed his cockhead up and down her pussy. She moaned and wiggled.

"Please, quit teasing and Fuck Me!" She begged, rolling her head from side to side.

Jack was doing what he wanted, not what she wanted. "When I'm ready, Mrs. Thomas. When I'm ready." His voice, firm but soft.

He took his time working the head of his cock into her. When she felt her pussy slip over the flange she squeezed his cock. "That's it, Mrs. Thomas. Work your pussy."

(He didn't have to tell her to. It was automatic, for her pussy to try and hold on to a cock.)
chrislebo

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When she began moaning, he pushed into her. She gasped and moaned out, "Yessss! Oh God, finally." Even though restrained, she tried fucking him. He smiled and began slow thrusts.

Her breathing became more rapid and her moans got louder.

[This is where Chris and Jack got a surprise interruption. No one had locked the front door. Timmy was standing in the doorway. His mouth open and his eyes bugged out from seeing Sharon tied up while Jack fucked her and Chris filming it.

He had seen Jack coming over and decided to see what was going on. Timmy didn't need to knock at our house, he was like family. Hell, we've known him since he was born, being one week older than Chris.

Chris kept the camera going and went to talk to Timmy.

Jack had stopped, frozen by being caught. Sharon moaned out loudly, "Don't stop baby! Please keep fucking me!" Jack' cock deflated.

Sharon didn't know what was happening and she kept begging. "Please baby, please. Don't stop. I need your cock, Baby. PLEASE!"

A hand motioned Jack to continue and he moved slowly. Then the camera circled again, going around beside Jack, to look up to Sharon' head. Timmy came into view. Again the hand motioned. Timmy unzipped his pants.

As Timmy pulled his cock out, Jack apprehensively said, "Got a surprise for ya, Mrs. Thomas."

Again the hand came out and Timmy touched his now erect cock to Sharon' mouth. She gasped and flinched. Then she opened her mouth, thinking it was Chris. The hand again and Timmy moved forward, sinking half his cock in Sharon' mouth.

Sharon isn't stupid. It didn't take her long to figure out the cock in her mouth, didn't belong to her ***. She liked being plugged at both ends and went with it for the enjoyment.

Most of this was edited out.]

The movie picked back up with, "Got a surprise for ya, Mrs. Thomas." And Timmy' cock entering her mouth.

She sucked it, like she knew who it was.

"Ya don't care whose cock is in your mouth, do ya, Mrs. Thomas?" Jack said as he continued slowly fucking her.

"No." She mumbled with it sliding back and forth in her mouth.

"And, I ain't tellin ya. Not now anyway. Maybe next time, I tie ya up, I'll let ya see who it is."

(She didn't care. She loved getting it from both ends. The way they see-sawed, it was like one cock passing all the way through her. Pleasuring both her mouth and pussy.)

In his excitement, Timmy was tensing as he neared the point of cuming. Jack noticed and asked, "Ya want him to cum in your mouth, Mrs. Thomas?"

The look on Timmy' face was priceless, as she said, "Yes," with his cock in her mouth.

"Pull out and let her tell ya." Jack said. As Timmy pulled his cock from her mouth, Jack said, "Tell him, Mrs. Thomas. Tell him where you want him to cum."

Through excited gasping she said, "In my mouth. ... I want you to cum in my mouth."

"See. She's m'slut. Give it to her. Cum in her mouth, like she said."

With his eyes wide, with excitement, Timmy put his throbbing cock back in her mouth.

(He wanted to cum in her mouth, from the start. Now, he was free to do so, without guilt. Relaxing, he went for it. Never having done something like this, shooting his load down her throat was going to be a great, first experience.)

His face took on the look. He began jerking. She began gulping. "That's it man, yeah. Coat her tonsils." Jack spurred him on as she increased her suction.

His first blowjob and she was giving him the full treatment. He doubled over and began quivering because her warm sucking mouth was causing all of those sensitive nerves to fire at once.

Jack started slamming into her. "Now it's my turn, Mrs. Thomas. Gonna fill your pussy, with boy cum."

Timmy' cock fell from her mouth, trailing cum across her cheek. She began rolling her head and moaning loudly.

Jack slammed into her as he came, making her yelp. "There y'are, Mrs. Thomas. Nuther load a boy cum, for my slut."

After Jack pulled out, Timmy disappeared. Jack freed her legs and put her panties on. Then he freed her arms and removed the blindfold. She started to get up.

"Uh, uh! Lay there, I'll get your clothes." Jack got her clothes and helped her get dressed.

She started to get up and Jack pushed her back down. "I need to clean up, before my husband gets home." She said meekly.

"Nah, I want you like that."

She tried to get up again. "But!"

He pushed her down, grabbed a tit and kissed her.

(She knew it would be Jack' way. She would kiss her husband, "Hello," with Jack' cum inside her.)

Jack had another nasty thought. "It's gonna be a few minutes. Scoot up, you can suck my cock, while we wait."

She looked at him, pleading, but complied.

"Yeah, that's it. You like sucking my cock, don't you?"

"Yes."

"Good. You can suck it, till I hear him come in the door. That way, you'll kiss him after sucking my cock."

(Yes, she thought. Yes, I'll kiss my husband after sucking your cock and with your cum in my pussy. Yes. Yes. Yes.)

After several minutes, there was the sound of a car. A minute passed and the front door,opened and closed. Jack left.

She wiped her mouth with the back of her hand, sat up and got off the table.

**********

This was how Timmy entered the picture and when Sharon found out it was him, she was elated. She had wanted Timmy instead of Jack, because she liked him more. Feeling guilty about what was being done behind my back, she insisted no more people be involved.

But, Chris needed one more assigned theme.
chrislebo

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I wanted to know more about these boys crude treatment of Sharon. Manhandling her. Her saying, she is their slut. It worried me. Sharon told me that it was just a segment of assignments.

"How many?" I asked.

"A dozen or so." She replied.

Her reply echoed in my mind and I thought, 'How many of these things have they made?'

"I have to admit, that it is a little thrilling. But, I don't want to be thought of like that, or treated that way, all the time."

She went to Chris' room and came back a couple of minutes later. Smiling, she said, "I know a couple of his hiding places," as she held up a card. It was labeled, 'They control her.' The card was full of short film clips.

The first was Sharon in the back yard, working in her flower bed. She looks up and smiles as Timmy says, "Hi'ya, Mrs. Thomas."

"Hi-e." She replied, sweetly.

"What'ya doin?" He asked as he walked over to her.

"Spreading these out a bit. They've gotten root bound."

"I think my root's a little bound, too." He said rubbing his crotch.

"Tim-my! Must you always be so crude?"

"Aw, you know you love it, Mrs. Thomas." He said as he unzipped his pants. "Now, how about takin care a my root?"

She looked up and smiled. "Wait'll we go inside."

"You're takin care a roots, Mrs. Thomas. So, take care a mine. Now!"

Smiling meekly, she turned toward him and reached for his exposed cock.

As she stroked it, he said, "Get to it, Mrs. Thomas. Suck it. Unbound my cock, Mrs. Thomas."

She leaned forward and took him in her mouth. Right there, in broad daylight, in the backyard.

"Yeah, that's it. Suck my cock like a good slut, Mrs. Thomas. That's what ya are, you know. My slut." He closed his eyes as her lips went tightly up and down his cock.

Then it was a couple of minutes, of Sharon bobbing her head on his cock.

"Before I come in your mouth, tell me what you are, Mrs. Thomas."

Sharon grasped his cock, moved her head back and looked up at him with lust filled eyes. "I'm your slut, Baby. Your ... Slut. I wanna eat your cum."

"Get back at it, slut. Go for the gold. I'm ready ta feed ya."

Sharon went back to sucking him off. In less than a minute, he grabbed her head and jammed his cock down her throat. She gagged and gulped as he emptied his balls. He let go of her head and his spent cock slipped from her mouth. She licked her lips and smiled.

"Oooo, Weee, Mrs. Thomas. Ur one good cock sucker. Tell ya what. I'm gonna come back this afternoon for a fuck. I want ya in heels, no panties. And, when I walk in, you bend over for it."

Sharon looked down and meekly said, "OK."

"What's gonna happen this afternoon, Mrs. Thomas?'

"I'm going to wear heels. No panties. And, as soon as you walk in, I'm to bend over to be fucked."

"Yeah, that's right, Mrs. Thomas. See ya later." He left and the camera went back to Sharon, kneeling there smiling.

The next scene was the follow up. Timmy came in the house. They said, "Hello." Then Sharon turned around and presented herself for fucking. No foreplay, just here's my pussy, fuck me.

He entered her unready pussy **********, causing her to cry out. Without a word, he fucked her hard and fast. After cuming, he wiped his cock on her ass and left.

The ending shot was her bent over with cum dripping down her legs from her pussy.

Another, was Sharon in the basement, doing laundry.

"Hey, Mrs. Thomas. Where ya at?" Timmy called out from upstairs.

"Down here." Sharon replied.

Timmy came bouncing downstairs. They smiled at each other.

"Wow Mrs. Thomas! You look good, even when ya work." "Why, Thank You, Timmy."

"Yeah, I can almost see them tits a urs, through that dress."

"Timmy! The 'compliment' was ruined, when the 'redneck' started."

"Aw, you always say that stuff, but you know ya like it. An I can see them puppies movin round." Sharon smiled. "Ya wearin panties? I can't tell."

"Yes! I'm wearing panties. Now, can't you talk about something else?"

He had made his way behind her. Quickly, he reached out and grabbed her from behind. His hands on her tits, he pulled her back and kissed her neck. She closed her eyes and moaned.

"Get them panties off. I wanna taste ur pussy."

"Timmy, Honey. Let me finish, and we can go up to bed."

"Get them panties, OFF SLUT! I wanna taste ur pussy, RIGHT NOW!" He was still kissing her neck and nibbling her ear. She sighed, pulled her dress up and wiggled out of her panties.

"Can we, please, go to bed, Honey?"

"Shut up, slut! N git on that washer!" He growled, spun her around and lifted her up. "Ya want me ta eat ur pussy, for I fuck ya. Don't ya, Slut?" He said, as he pushed her legs apart.

"Yes, yes, use your slut, baby. I'm yours, use me."

"That's right, Mrs. Thomas. Ur mine ta use. Ain't nobody, been in there today, have they? Don't want no surprises, when I stick my tongue in that hot hole a urs." He said as he leaned in to smell her pussy.

"No, baby. Nobody's been there." Sharon softly said, waiting for him to do as he wanted. She wanted it too, because he very seldom took care of her instead of making her service him in some way. She caressed his head.

He licked the length of her pussy, sending a shiver through her. He smiled, and began licking all over, in earnest. Sending continued shivers through her body. He began sucking her inner and out lips, into his mouth, between licks causing her to tremble and hold his head.

It wasn't until he moved to her clit, that she shook violently, causing her tits to dance under the dress.

"Damn, Mrs. Thomas! Ya got a hair trigger, today. I'm gonna let ya have another one a those before I fill ur pussy with boy cum." After a couple of licks, he looked up and said. "Git that dress off. I wanna look up n see them tits."

Sharon pulled the dress off, leaving her completely naked with tits swaying. Timmy looked up, smiled and began licking her pussy again. He was watching her tits jiggle as she trembled from the sensations his mouth was giving her pussy.

He stayed at it longer, this time, before he tongued her g-spot and nosed her clit, for the final push to her orgasm. She was gasping and shaking so much, her bouncing tits were a blur.

His tongue came out. The tip touching the bottom of her pussy. Curling up, it parted her lips and entered her vagina. Continuing upward, it curled around to her g-spot as his nose rubbed her clit. He did this several times.

Sharon was really shaking. Her fingers curled through his hair as she gripped his head. She was having a long hard orgasm.

Finally, his head continued up. His tongue lifted her protruding, hard, throbbing clit and he sucked it into her mouth.

That was it for Sharon. She was having a massive orgasm. Her legs clamped against his ears as she doubled over, shaking violently and pulled his head against her pussy. The only thing Timmy could do was keep tonguing and sucking while she had this orgasm of orgasms.

When her whimpers and shaking subsided, Sharon released Timmy' head. He looked up smiling and said, "Da-um, Mrs. Thomas, ya had a bigun! I had ta swallow fast, ta keep from drownin on ur cum."

Sharon' eyes were closed and she continued shaking as he stood. She was still dazed by her orgasm, when Timmy pulled her off the washer and spun her around.

"Time ta fuck ya." He said as he pushed her head down on the washer. With one hand on the small of her back, he rubbed his cockhead all over her pussy. "What ya want, Mrs. Thomas? Huh? What ya want?"

"Fucked." Sharon moaned.

"Huh, what's that?"

"Fucked! I want fucked!"

"Why's that, Mrs. Thomas?"

"Cause I'm a slut. I'm your (he slammed into her, causing her to cry out) SLUT."

Holding her hips, buried completely in her, he asked, "Whadaya, say?" "Please."

"No-o!"

"Fuck Me! Fuck Your Slut!"

Smiling, he started full length, rapid thrusts. Pulling back on her hips with each forward lunge. Sharon was moaning and holding on to the washer to keep from being driven forward by his hard thrusts.

Looking down, he watched her pussy pull out along his cock and fold back in with it, repeatedly. Her tits, swung wildly, beneath her. Each time he drove it home, she moaned or whimpered as he grunted.

He kept at it, never slowing up, until Sharon cried out, "Oh, God, Baby! Please cum. Cum in your slut. ... Oh God, Please Cum In Your Slut. Give It To Me!"

I don't know if it was her words or if he was ready, but, with a grimace on his face, he slammed into her hard.

Sharon cried out, "Yessss!"

"There Slut ... Fillin ... your ... cunt ... with ... boy ... cum." Each word emphasized with a hard push into her.

Moaning and gasping whimpers, Sharon writhed on his spewing young cock. He held himself against her as all movement came to a stop.

"Pick up ur panties and put 'em on. Don't want my cum runnin down ur legs, when I pull out."

Sharon obeyed. As he pulled out, she pulled her panties up.

"Clean my cock off, slut. I can't go to school smellin like your cunt." Sharon got on her knees and began licking him clean. "Don't forget my balls. You juiced them up too." Once again, she did exactly as he said.

Satisfied, he pulled his pants up and left. It ended with Sharon on her knees. She licked her lips and wiped her face with her hand.

All of these were basically the same. One or the other, would come in, grab her tits, ass or pussy and either fuck her or have her suck them off. With total indifference. Calling her a slut and having her say she was. Making her do the nasty clean up.

Yes, it was a turn on, watching it. But, I still didn't like her being treated that way. Sharon explained, they were through with that. And, Chris got double grades from the review committee, the class, and the professor.

My further shock was yet to come, after Sharon sucked and fucked me. She told me about her and Sherry. Chris needed a ************** theme and since he was fucking both of them, he wanted them to do it.

"I'd never eaten pussy or messed with a woman. And, besides, honey, I'd rather do it with Sherry than some unknown girl."

I'd find out about that, later. It sank in that they were all having sex and I wasn't getting ****. I mean, hell, Sharon wasn't fucking me any more than normal. And, Sherry sure as hell wasn't giving me any, not even looks at her voluptuous body. My *** was getting more pussy than a porn star, from his ****** and sister. I was getting pissed about being the dumbass husband, supporting the family fucking, and Sharon could feel my mood change.

"What's the matter, Honey?"

"I think you know! Until I found that bag, I was just the idiot husband, whose family was fucking behind his back!"

Without giving her a chance to respond, I got up and left. I had to resolve this new found conflict in my mind. I quickly dressed and left the house. Knowing better than to drive, I walked and thought. Thought about what a dumbass I was for all of this fucking going on under my nose.

I love Sharon and never would have thought of any of this. The idea of her fucking someone else, irritated me. Yet, I liked watching it, especially with our ***. And, the tiny thought of Sherry had grown into a full out desire to fuck and suck her pussy dry. But, I wasn't getting any!

I just walked and thought, walked and thought, until my cell rang.

"J C, Honey. Where are you?"

"Uh, don't know." I said, looking around. I really didn't know where I was. I was just walking and thinking.

"J C, Please tell me where you are. You've been gone almost two hours. Let me come and get you!"

I looked around and realized, I had almost walked to the next town, eight miles away. "Uh, take the cemetery road, west, I'll wait here."

"How far?"
chrislebo

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"Just take the road!" I hung up and sat down.

It seemed to take longer than I thought it shoud, for her to get there. When I finally saw the car, I thought, 'What'd she do, fuck one of her boys first!' But, she didn't, she got me something cold to *****, on the way. I was bitter, because I wasn't getting any. That was going to change and it was Sharon who was bringing it about.

She pulled up and I sat there. Looking at her, I couldn't help but smile. '***********! I still love her!' She got out of the car and brought me the ice-tea. Without saying anything, she let me *****. When I stood up, I almost dropped the tea, when she hugged and kissed me.

I let her drive. After we got going, she said, "You know, I think I know what's bothering you."

"Oh?"

With a big smile, she said, "Yeah, and I've taken care of that."

"And, just how have you taken care of what's bothering me?"

"I called, Sherry. She's on her way home."

"But, she'll miss classes."

"It won't hurt. Besides, she's wanted what I asked her to do, for a long time."

'Now what? I gotta watch my ******** fuck somebody!' "OK, just what did you ask her to do?"

Her foot came off the gas as she looked at me smiling. "Why, Fuck You, Of Course!"

I got lightheaded and dizzy, "What! You asked her to come home and have sex with me. And, and, she's coming!"

"Sure! That is your problem, isn't it? Everybody's getting some, but you. Now, I can watch you and Sherry. Like you watched, me and Chris."

The realization of it sank in. 'Damn! I'm really going to make love with my 'Sexy Little, Big Titted, ********!' I got weak again.

We didn't talk, the rest of the way home. I sat there thinking about what I'd do, and how I'd do it. All fantasy. And in this case, reality turned out to be much, much better.

Since it was going to be several hours before Sherry got home from school, I wanted to know about this Paul fella. I couldn't think of any Paul that we knew or the kids knew.

"So, tell me. Is that Paul, the other man, I have to worry about?"

Sharon looked down. "Oooo, yes and no. He is the other man." That was a punch in the gut. "But, you don't have to worry about him."

"WELL! Who is he?"

Still looking down she softly said, "Paul Finley."

'Paul Finley ... Paul Finley.' I thought. "I don't know a Paul Finley."

"Yes you do. Him and his wife, used to live behind us."

"So, the two of you've been at it for a long time."

"No-o!" She said, exasperated. "We only did it twice, for Chris. Besides, you know he's old enough to be my ******."

That's when it hit me, who he was. 'Fin ... Ol' Fin.' "You mean, Ol' Fin and his wife Lu something or other?"

Her eyebrows shot up to make a point. "LU ANN! Her name was Luann and his name is Paul."

"She ..."

"Died of cancer and he moved to an apartment."

"So how did you two ..."

"Get together? Well, Chris needed a Father/******** shoot. He wasn't about to talk to you about it, so he asked me to think of something. At first I couldn't, then I remembered what Luann told me about Paul."

"What's, he hung?"

"OOOOOOO!" Sharon growled in irritation. "Why are you men always worried about someone having a bigger cock than you do?"

"Maybe, cause you women are always slobbering over them."

"Oh, we are not! As long as it gets hard, a cock is a cock."

"And, Tits are tits. Don't get upset when I look."

"OK, OK! Now can I get back on subject?" I nodded, yes. Sharon shook her head and rolled her eyes. "Luann told me Paul had an ejaculation problem."

When Sharon said that, I thought 'premature ejaculation' and said that. "No-o. He has a hard time ejaculating. To the point that often, he doesn't. He would go at it for hours, until she would go dry and get raw. She had to buy lubricant, by the box. Any way, I asked her one time, if she ever helped him with oral sex. And, she said, 'Oh, No. Never!'

"You saying, she never gave him a blowjob?"

"That's right. I found out, for sure from Paul. She never sucked his cock or let him eat pussy. She considered it, 'Just Plain Nasty,' to do that sort of thing."

"Whoa! I thought, everyone performed a little oral."

"Not, LuLu, as Paul called her. Anyway, I figured he was an old man who didn't live around here and was alone for a while. I looked him up and gave him a call. He agreed to meet me for lunch, one day."

"So, you just, up and asked him to fuck you."

"No-o! Stop the smartass!"

"Yeah, OK. Sorry."

"You will be, if you keep it up. ... We small talked and I found out he wasn't involved with someone. Then I told him about Chris' studies. He wasn't offended by it, so I told him about needing someone for a Father/******** shoot."

"What'd he say?"

"He just looked at me. I put my hand on his and said, 'I'm asking you to be my ******, for it.' And, his eyes got big."

"And?"

"After a long pause, which had me thinking he wouldn't, he smiled and said, 'Really! You want me to be in a love scene, with you?' I squeezed his hand and said, 'Not a love scene, an intercourse scene. He said, 'Goddamn, you're serious, aren't you?' I said I was and he agreed to wait for my call."

Sharon said she made the arrangements with Chris and called Paul. When he got to the house, he was nervous, because he'd never done anything like that before. They took it slow. Chris had them posing in and out of the house, doing things.

Then Chris had them bumping into each other, inside. When Chris told Paul to put his hand on Sharon' ass, he slowly did it. Sharon said, she caressed his cheek and then kissed him. But, he didn't loosen up until she put his other hand on her tit.

Sharon said, she said, "Do you understand now, dad, that I want to help you with anything. Anything at all. Now that mom's gone." Then she turned into him, wrapped her arms around his neck and kissed him.

He loosened up more and his hands began to roam. They moved down to the small of her back and paused before one moved to her ass and squeezed. She wiggled and leaned back, his hands came up and began fumbling with her blouse.

She helped him remove it, and then took his hands and put them on her sides, and said, "Undo my bra."

"You shoulda seen the look on his face, when I shrugged my bra off and put his hands on my tits."

"I can imagine. If someone did that to me, I'd have a look too."

"A tit hound, like you wouldn't. You'd just start in on 'em."

"Anyway, he just played with 'em for a bit. Until I pulled his head down to them. Then he went nuts, licking, kissing and sucking them."

"I bet! It's not everyday an otherwise strange woman, does that for a guy."

"Yeah, you'd love it." I smiled, cause I would.

*

"I put a hand between his legs. He was hard, so I began taking off his pants. He didn't stop going after my tits, until they dropped. Then his head shot up and he looked at me, in surprise.

I kissed him, dropped to my knees and pulled his shorts down. I looked up and smiled as I took his cock in my hand. He said, 'Ah, um, uh. You sure you want to do that?"

'Uh huh, I'm sure, dad.' I said, before I licked the underside of it. A shiver ran through him. When I put it in my mouth, his whole body jerked and he moaned, 'OH God!'

His legs started trembling. I didn't know if he was going to stay on his feet, because the more I sucked, the more his legs shook.

His hands went for my head, several times, until I put them there. That helped him quit bobbing up and down so much. He moaned out, loudly, 'Dear God! This is fantastic! Oh, My!' And he really started shaking.

I'd only been sucking his cock for about five minutes, when it got harder, signaling he was about to cum. He tried pulling back and stepped back. But, I stayed with him and kept sucking. I tickled his balls and his cock throbbed as the first spurt blasted into my mouth.

'Aaaaaaaah, Gaaawd!' He cried out and began shaking, uncontrollably.

Boy did he cum a lot, it was all I could do to get it all. He was grunting and gasping as he shook all over. I couldn't understand it, Luann said he had a hard time ejaculating, yet here he did it like the rest of you. 'Build Up and Blast Off.'
chrislebo

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Chris had to stop filming. Paul just wouldn't stop thanking me for what I'd done. He had never came in a woman's mouth before. Or, had a blowjob, for that matter.

Since, I did what I did, he wanted to do the same thing. But, the only pussy he'd tasted was Luann' after he played with her. In fact, she saw him lick his fingers one time and wouldn't kiss him for days.

He was apprehensive about it and didn't want to look like a fool on camera. So, Chris left the room. We both finished undressing and I began kissing him to loosen him up again. His hands went everywhere, my tits, my ass, my pussy, all over.

After a couple of minutes, I whispered in his ear, 'Are you ready to taste my pussy?' He shivered and softly said, 'Yes.' I settled into the big chair, raised and spread my legs, and said, 'Do anything you want, Paul. Anything, at all.'

Slowly he got on his knees and ran his hands over my legs. Then he looked at me and said, 'You know. I always wanted to eat Lulu' pussy. She never would let me.' Then he leaned forward and buried his face in my pussy.

For the longest time, he stayed like that. Then slowly, he began kissing. Then he began licking and moaning. I think he wanted to eat pussy, so much, for so long, that he was in heaven at being able to.

He was doing great, and I told him so. He licked and sucked every inch, from asshole to clit and leg to leg. He even tried getting his tongue as far into me as he could, wiggling it around. I let him give me a strong flowing orgasm. He didn't flinch at the flow, in fact he hungrily lapped it up.

I made him quit and he pouted. When I called Chris back in and told him Paul was ready for his pussy eating scene, his expression changed. Paul is one pussy eating hound. In fact, the second shoot, has him eating my pussy more than anything else.

Chris got him giving me several strong orgasms as his hands roamed all over my body. He even played with and pulled my nipples during the last and strongest orgasm. An orgasm that had me writhing and almost screaming. I had to take a break and recover, so we cuddled and kissed a while. Then remaining naked, we snacked.

We were back on the couch and I rubbed Paul' leg. He already had a hardon. Kissing him, I whispered, 'You want something else, don't you Daddy?' He groaned and I grasped his cock. 'You want to fuck me, don't you?' He shuddered and thrust his hips. 'I want that too, Daddy. I want you to fuck me.'

Slowly, he got up and between my legs. He had a look of pure lust on his face as I rubbed his cockhead all over my pussy. He began breathing heavily and I whispered, 'Go ahead, daddy. Fuck your little girl.'

He pushed in a little and hesitated. My pussy was so wet and ready, he could have buried himself to the hilt, if he wanted to. He took it slow. I don't know if he was savoring the feel of a pussy again or afraid of what he was doing.

Slowly, teasingly, he worked his cock all the way into my pussy, giving me an orgasm in the process. Once in he kissed me and softly asked, 'Are you sure about this, Honey?'

I wrapped my arms and legs around him and said, 'Yessss, Daddy, Yes. Fuck me. Fuck your baby girl, like you did, Mom.' He shuddered and began thrusting.

He did it beautifully. Hard thrusts, building in tempo, causing me to have rolling orgasms building to the big one. Just as my orgasm peaked, causing me to moan loudly while my pussy spasmed on his cock, he almost came to a stop.

I knew he didn't cum, but he came normally when I sucked him off. After thirty minutes of this, with me having a dozen orgasms and beginning to dry out, I figured it out. I had him lube us up and I paid attention to him.

I could tell by his expression, he was concentrating on the fucking. Then as it was building in me, his expression would change. He was concentrating on the pleasure. When he did this, he would almost stop, losing the pleasure and have to start again.

It was something, I never would have guessed. His mind wouldn't let him feel the pleasure and do the act, at the same time. I watched him several more times. Not just to figure it out, but because I was having more orgasms than I've ever had. So many, they were draining me of energy.

I thought, if he can't fuck and get off at the same time. How about, if he is fucked instead. I pulled him down and whispered, so it couldn't be heard, 'I want to get on top and fuck you.' He started to pull out and I stopped him with my legs. 'Stay in and roll over.'

Once on top, I cowgirled him and it was working. His expression was building lust since he was being fucked, instead of fucking. I pulled his face to my tits, inviting him to suck. That held him off for a while, letting me build to another strong orgasm.

'Yessss, Daddy, yes! ... Fill my pussy with cum, Daddy! ... Fill my pussy with cum!'

He did. Grabbing my ass he slammed into me, hard. I could feel his cock throbbing as his hot cum blasted into me.

Ooooh, God! Yes, Daddy! Yessss!' I almost screamed.

'Aaaaaah, God!' He groaned, loudly.

It really was intense, J C. One of the best fucks, I've ever had."

"Gee, Thanks! That makes me feel good."

"Damn It, J C! Don't do that! You know I love you, and I wouldn't tell you about it, if I didn't."

I was humbled, because I knew Sharon loved me as much as I loved her. The phone rang and she went to answer it.

I sat there, absentmindedly stroking my cock, and thinking. Not about what she had just told me, but, about her and her ******, doing it. That will never happen, cause her parents are both gone.

She startled me a little, running her hands down my chest. She whispered, "That was Sherry. She'll be here in 15. She said she was starved, so I ordered pizza." She kissed my cheek. "Now, leave that thing alone and wait for your ********."

I heard her, but, I was still kind of lost in a thoughtful daze. Sharon slapped my hand. "I Said, Leave That Thing Alone And Wait For Your ********!"

I stopped, turned to look at her and she kissed me. "C'mon, let's get dressed. Sherry and the pizza will be here soon."

I followed, loving the site of her naked backside in front of me.
chrislebo

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#8,725
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We dressed and went to the kitchen to get all the pizza extras ready. Neither of us heard Sherry come in. I caught movement and turned to look.

'Holy Fucking ****!' My eyes bugged out and my jaw dropped. There stood Sherry, looking absolutely beautiful. I had never seen her dressed like that before, ever. She even accentuated her breasts.

Sharon noticed and said, "Oh, Hi, Hon. Wow, you should do that more often. Look what it's doing to your ******."

She was right, I was almost panting. Mouth open, eyes bugged, I was taking in the beauty before me.

Sherry giggled. "Like my outfit, Daddy?" She giggled again and wiggled. "I got it for you. Just for you." She turned side to side.

I was blown away. My normally wrapped up little girl was a full blown voluptuous woman. She was wearing black thin strap high heels, lavender toenail polish. A snug, mid-thigh, light blue dress, that accentuated her body, especially her breasts. A diamond studded blue ******. Lavender lipstick and very light lavender eye shadow. Her long dark hair pulled back and tightly braided.

"Turn around, Honey. Let him see all of you."

Looking at me sensually, Sherry did a slow turn. Oh, man, my mouth was watering. I couldn't believe my little girl was this beautiful.

No thought of societies morals. No thought of betraying my wife. No thought of wronging my ********. My only thought was of fucking her tight, hot, wet pussy.

The doorbell rang. "Ah, pizza's here." Sharon chirped. I was in a daze and didn't care.

"Mom, wait a minute. Did you ask for Ryan to deliver?"

"Yes. And I'm curious as to why you'd ask for that peanut head."

"*************, super-jock got injured and lost his scholarship. Now the only thing he's good for, is delivering pizza. Him and his jock buddies made my life hell. Now, I want to show him what the 'frumpy ugo,' really looks like."

Her statement even brought me out of it, and we looked at her, like, "HUH!"

Sherry smiled, cupped her tits, and said, "I'm gonna be a little naughty, when I open the door."

We waited as she went to get the pizza. After a couple of minutes we heard the door slam and Sherry laughing loudly. She was still laughing, when she got back to the kitchen. We asked what happened.

"When I answered the door, his eyes bugged out as he saw me. I said, 'Now where did I put that money,' as I exposed my right breast. 'Oh, not there,' I said and exposed my left breast. 'Oops, not there, either,' I said and gave a little wiggle. He was trembling. I raised my dress and reached into my panties, 'Here it is!' I squealed.

He almost dropped the pizzas and I thought he was going to faint. I handed him the money, took the pizzas and said, 'Now you have something to get off with.' And, I slammed the door."

"That was really bad, Sherry!" Sharon said, seriously.

"It's comeuppance, for how he treated me, Mom. Believe me, him and his jock friends, deserve much worse. I'd like to cut their balls off, so dickheads like them can't procreate."

"****, I think, I would of passed out. If you did that to me."

With a sly sexy smile, Sherry cocked her head, and said, "OH, I'm gonna do much more than that to you, Daddy. Much more."

She was on me in a flash. Arms around my neck, she had me in a lip lock. And, damn, I felt that kiss, all the way to my feet.

"Alright, little lady! Back off now. There's plenty of time for that." Sharon said, kind of laughing.

My brains, immediately went to my hardon.

Sherry loosened her grip and gave me a couple of pecking kisses, before stepping away. She patted my cock and said, "Calm down, Daddy. Herbie's gonna meet his Love Bug, soon enough."

For a moment, my mind went totally blank. Then I thought, 'Damn! In a few short days, I've went from thinking I had a normal family. To, openly having, full family sex!'

Then Sharon came over and whispered, "Mmmm, J C. I think, she's gonna turn you every which way but loose."

We settled down to eat, with me trapped between two women. One of which, I couldn't stop looking at. After a few minutes of small talk, about the town, school and home, it got quiet for a minute.

Then sherry said, "Mom, I have to let you know something."

"What, Sweetie."

"You've been setup."

"Huh! What? What do you mean?"

"You encouraged Chris to do his photography. He chose film school, instead of college, like me. His plan was to get you to pose for him and then work you into bed."

"But, he was so innocent and embarrassed when it happened."

"All part of his plan, Mom. If fact, that night after you agreed to pose for him, he called me. He said, you'd agreed to pose. Then he said, 'I'll be fuckin mom soon. Then we'll get you and dad together.' I made him promise to show me everything."

Sharon and I looked at each other, in surprise.

"It wasn't easy, driving back here to see everything at night. I missed a lot of *****, but still managed to keep my classes up. And, most of what Chris had you doing, was my idea, not his."

"So, you're saying, the two of you manipulated all of this?"

"We-ll, actually ... ME. I knew from the beginning, that if I could get my brother and ******, together. Then, I could have what I wanted. Which was, Daddy."

"But, why?"

"Because, I'm in love with Daddy. So we started having sex and planning on how to have what we wanted. Or, so Chris, thought."

"Oh! And what if we end this, right now?"

"You won't, you like it too much."

"You're awful sure of things, little lady."

"Admit it Mom, you love what you've been doing. Once you posed, the only obstacle was Daddy. You sure as hell, didn't do anything, but, get more and more involved. ... And, right now, I'm betting, he wants to fuck me way too much to stop." Sherry paused, looking at me with a sly, coy smile. "I'm right, aren't I? You want to plow your little girls field."

"Yeah, yeah, I do. And, your ******* going to watch."

"See Mom, nobody has to pretend anymore. We can all have the sexual relationship we want."

Sherry kissed me and reached across to grab her ******' blouse. Pulling her to us, Sherry kissed her ******. "Now, let's take this to the livingroom and get more comfortable."

In the living room, Sherry put on some music and pulled me back up to dance. After a minute, she kissed me and looked at her ******.

"Aren't you supposed to have a camera, Mom? We don't want your lover to miss anything."

'Damn!' I thought. 'All of this has been manipulated by our ********. Because she wants to fuck me, her ******. ... Well, I'm going for it. Because, all of it has turned me on, like a ***********.'

I completely forgot about Sharon as Sherry and I dirty danced. Moving to the music, we kissed and gropped all around the room. I haven't done that, since Sharon and I were first married. Pretty soon, Sherry started undoing my clothes. I started to reciprocate and she stopped me.

"Uh, uh! I'm stripping you. Then you're going to watch as I strip, for you."

She kept us dancing as she slowly removed my clothes. Then she pushed me down on the couch. She began a slow sensuous dance. She stopped and looked back over her shoulder.

"I went and learned how to dance in a strip club. This is just for you, Daddy. You're little girl wants to turn you on."

Pushing a button on the stereo, Sherry started her show. And, Damn, it was good. I've never been to a strip club, but I have seen stuff in porn. Her dance, sure as hell had that beat by a long ways.

My cock got hard quick. Especially, when her magnificent tits came into view. ****, I believe, I got harder and longer than normal. Sherry noticed and her smile got bigger and bigger. I saw something, too. Her nipples had little white drops on them. I hadn't believed it, but she really was full of milk.

She was right in front of me and cupped her tits in her hands. "Like 'em, Daddy? They're all me. Nothin' fake about these babies." She leaned down. "Open wide. I got a surprise for you."

I opened my mouth as she brought her tits close to my face. Squeezing, she shot a stream from each tit, into my mouth. It surprised me, that she didn't miss.

"Don't be so surprised, Daddy. I've had plenty of practice, aiming these babies." She squirted into my mouth again. "Does it taste good?"

I licked my lips. "Yeah, yeah it does."

Sherry chuckled. "Well, from now on, you can suck 'em anytime you want."

She gave me a half dozen, rapid fire streams from each nipple, before sticking the left one in my mouth. Putting my hands on her back, I held her and sucked greedily, my mouth filling with her sweet nectar.

"Ummmm, yeah, Daddy, you do like it. God, it feels good, to finally have you sucking on them. Instead of having to fantasize all the time."

She cradled my head in her hand as she fed me each tit for several minutes. Moaning repeatedly she would pull my face against her each time.

I was sucking down my ********' sweet milk hungrily. And, although well fed, I was light headed from the effort. Sherry pulled back, my mouth still sucking as she kissed me. My mind was in a fog. Hell, I was high on a new ****, my ********.

I didn't even realize she slipped on down, until she grasped, licked my cock and said, "My turn to suck something, Daddy." She briefly put the head of my cock in her mouth and twisted her head around. "Mmmm, yeah! The real thing." She put my cock back in her mouth and pushed her lips tightly all the way to the base of my shaft.

I trembled from the sensations and remembered the video of her sucking her brother' cock. She was moving slow, as if to savor the moment. With her tongue licking around, her lips moved tightly up to the head of my cock and then back down. God! She had me shaking.

It didn't take my talented ******** long, to bring me to the precipice, with her mouth. My cock hardened, painfully, preparing to deliver semen to her hungry mouth. She stopped, squeezing my balls and cock, with her hands.

"Uh, uh, Daddy! Your first load goes in my pussy. I'll ***** cum, later. After you fill my pussy." She kissed the end of my cock and then dragged her tits up my body to kiss me. "You ready to fuck your little girl? Huh? You ready to pound your cock into your baby girl?"

I almost came, just from hearing her talk like that. "Yessss! Yessss!" I managed to say in a moaning mumble.

She raised up and I felt her rubbing the head of my cock on her pussy. Her lips parted and the end of my cock got very warm. "Feel how hot my pussy is, Daddy? It wants the cock that made it, real bad." She dropped, impaling herself on my cock and I felt her button pressing into my skin.

"God, Yes!" She almost screamed. Her huge tits danced around as her whole body shook while she was grinding against me.

Damn right, it felt good. Her pussy was hot and her uterus felt like a vibrator, gripping my cock. She began bouncing on me. Hissing, "Yes, Yes, Yes." Each time she slammed herself down on my cock.

She was going to bring me off quick. Her pussy was hotter and tighter than her ******.' Slamming down, hard, on me, she fell forward, moaning. She already had an orgasm. That stopped me from filling her pussy with cum. I began thrusting, as best I could with her pressing against me.

"Oh God, Daddy!" Sherry was moaning, wantonly, in my ear. "My fantasies were never this good."

"Not even with your brother?"

"Even with him, I thought about you. ... This is better. Lots, lots, better." She pushed up to start bouncing again.

"Oh, Jesus, Sherry." I moaned, due to her full length bouncing on my cock.

"Yes, Daddy, Yes! If I could, I'd get all of you inside me!" She reached down and pulled my head up, between her tits. "Fuck me, Daddy! Oh ... God ... I'm ... Gonna ... Cum ... A ... Gain."

As she shook violently, she was squeezing my head so tightly against her chest, I thought she was going to break my neck. When she relaxed, I gasped for air, while being slapped by her tits. She was off to the races again, and I thought, 'Damn! She's gone crazy.' All I could do was hang on for the ride.

I pushed sideways to suck a tit and she eased up a bit. 'Ah, sucking her tits, mellows her out.' So, I increased my suction and tonguing her aureole. It put her into a cantor, allowing me to thrust along with her.

"Yes, Daddy. I knew it'd be good. Jesus, you have no idea." She shuddered and the inside of her pussy got hotter. Especially that sleeve, rippling up and down my shaft.
chrislebo

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#8,726
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I was wanting to cum, but just then, Sharon whispered in my ear. "I understand, now. I want this, too. All of it." She kissed me, passionately, as her words rolled around in my head and our ********' pussy got hotter.

"Our *** is going to breed me. Just like you are breeding our ********." Sharon kissed me again as her words burned through my brain.

I couldn't hold back, my cock had a mind of its own becoming hard as steel as sperm rushed forth into Sherry' womb.

Sherry fell forward, shaking violently. "Yessss, Daddy! Oh, God! I feel your hot sperm filling me!" We were both gasping as Sharon caressed our heads.

When we both caught our breath, Sherry whispered, "How did you know, Mom?"

"You did everything for your lover. And, you're ovulating. It stands out, like a neon sign. Oh, yeah, I saw this months, unused birth control pack, in your purse."

"You don't care, Mom? Really?"

"The one you should ask, is your ******. He is, after all, the one you were trying to trick."

I was in a fog. Here was my wife and ********, casually talking about me getting my ******** pregnant. And, then, there was that, 'Our *** is going to breed me,' statement. And, you know what? I didn't mind. In fact, I actually liked the idea.

"Is it, Okay? I mean, can I have your baby, Daddy?"

I hugged her and kissed her, before answering. "Yes, Baby, Yes. Let's have a baby." Then I whispered in her ear, "We can watch your ****** and brother make one too."

"Oh, Ye-ah!" Sherry squealed as she wiggled against me. "Um, Daddy. You're still hard. Let's go again, so's you can give me some more sperm."

"OKAY, BABY. But, this time, I want on top."

Sharon kissed me. "How about, taking it to the bedroom, this time."

"Can you carry me in there, like this, Daddy? I want to keep your cock in my pussy."

I thought, 'Damn! I don't know. I haven't done that in a while.'

"C'mon, honey. Carry her in there, like you used to do me." Sharon whispered and kissed my ear.

It took a little effort, but I got up and started to the bedroom. She didn't seem that heavy, but after a couple of steps, I had to change the way I was holding her. Raising her up, I quickly moved my hands to her ass. She came down hard on my cock, moaned and tightened her arms around my neck.

Every few steps, she would shiver, her firm tits grinding their hard nipples into my chest. While her clit felt like a rock pushing into the base of my cock, her hot clenching pussy flowed like a spring. All while she chewed on my neck and ear while moaning louder and louder.

'Jesus Christ! My ******** is one orgasmic little lady! And, I Love It!'

Just as we entered the bedroom, she shook violently and exclaimed, "OH God, Daddy!" I was maneuvering to lay her on the bed. "Can you fuck me, like this, Daddy? Can you? Oh Please, this feels so good! Please, Please! Fuck me, like this, Daddy. PLEASE!"

At that moment, I'd of fought a grizzly, bare-handed. So, hell yes, I'd fuck her like that! I started and she began mewing immediately.It had been a while, since I fucked her ****** like that. But, I guess, it's like riding a bicycle, you never forget.

Getting into the rhythm, I had her swinging out and back, the full length of my cock. I don't know what gave me the strength, but she felt light as a feather. Out she'd go, to come back against me with a loud slapping thud. Each time she would yelp and bite my neck or shoulder. And shake, yes, she was constantly shaking. Like she was having one continuous orgasm.

Suddenly with gasping breaths, she cried out, "Oh God! Daddy ... Daddy ... Please cum ... before I ... pass ... out."

I'd been trying to hold out and was more than ready. My cock stiffened and once again, I filled my ********' pussy with the sperm, she wanted. Half way through my throbbing ejaculation, she screamed, biting my shoulder and went completely limp. It was all I could do to keep from falling down, but I managed to get us to the bed.

Lying there out of breath and in a daze, my mind was overwhelmed. It seemed forever, but was only a couple of minutes before my ******** moved, snuggling against me.

Reaching up, she turned my face toward her, and whispered, "I Love You. More than you know." Then she kissed me hungrily.

At that same time, Sharon moved between my legs and began licking my sex coated limp cock. 'Jesus, this is like a porn movie! I just fucked my ******** and my wife is cleaning my cock with her mouth.'

When Sherry quit kissing, she stayed nose to nose, caressing my face. Sharon crawled up over me and kissed her ********. Sherry went after her ******' kiss, hungrily. Mom was letting ******** taste the sex she just had with her ******.

After kissing Sherry, Sharon kissed me and said, "You two take a shower. I'm going to get a fresh battery and some snacks."

Of course, I've washed my ******** before, but this was the first time as a woman. A full grown, sexy, voluptuous woman. And I loved the feel of her, from head to toe. She though, got a first, washing her ******, from head to toe. And, he loved it, believe me.

After our snacks, Sherry proceeded to keep me fucking until I passed out from exhaustion. I don't remember how many times, just that it was half the night. I was awakened by something warm on my already growing erection.

Looking down through slepy eyes, I saw Sherry pulling on my cock with her mouth. She smiled and then raised up.

"Breakfast's almost ready. But, first, I wanna ***** cum."

'Damn! She's a little nympho.' 'Oh, Honey. I don't know if there's any left."

"There is. Guys never run out. Now lay back and let me ***** from your fountain."

My head fell back on the bed as she ran her mouth tightly down my cock to its base. 'Oh, man. She's gonna **** me.' Her mouth felt so good, I wanted to shoot a load down her throat. A couple of minutes later, I did and she didn't miss a drop.

Thankfully, she slowed down during the day. I did get to be on top, playing with her tits and pulling her nipples as I thrust spastically into her pussy. My favorite position used to be, Cowgirl. Now it's, Standing up. And, I do it, every chance I get. Both with Sherry and her ******.

Before she left to go back to school, for a few days, she sucked me off. She said, she wanted the taste of my cum, to tide her over, till she got back.
chrislebo

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#8,727
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Chris called and we found out he would be gone for three weeks, from that day. Sharon decided to have a private tryst or two with Timmy. I didn't mind because I knew he was just a fill in for her ***. Every couple of days, Sherry would come home for a night of sex with me. It was on those nights that Sharon got together with her young stud.

A week and a half into our arrangement, Sherry came for the night and Sharon went out with Timmy. It was the first time she was gone all night. I did worry a little for her safety. The next day at supper, she explained her night and said it was time to start her turn.

"What do you mean?"

"In a minute. First let me tell you about last night."

"Okay."

"Timmy took me to a Frat Party."

"He's not in school."

"Yeah, but all his friends are. Anyway, he took me to the party and it got pretty raunchy. There was sex, everywhere."

"And, So, What? You joined in?"

"No. Well, Yes. Kinda."

"Is that like a little pregnant?"

"I could tell, Timmy was hoping. But, no, I didn't let him fuck me there."

"Well? What was, kinda?"

"I sucked him off." (I chuckled.) "There was this room full of mostly, sorority girls, and I took him in there. Kissing and hugging him, I told them I was his ****** and I was there to show them how to properly suck a mans cock."

"Whoa." I said as I imagined it.

"I got on my knees and sucked him off, making a big show of swallowing his cum. I stood up and kissed him, then I said, 'Now you young ladies know how to suck my ***' or any other mans cock.' They were all open mouthed in shock. We left, got a motel room and fucked all night."

"Really! You did that?"

"Yes. Yes, I did. And, I'll tell ya. I thought about fucking him in front of everybody. Like the others. I even thought about letting some of them take turns. I just couldn't. Even though I'm doing what I'm doing, I'm not that kind of slut."

"But, still, you sucked him off, in a room full of people."

"I did it to shock their minds. Besides, I'll never see them again."

"Now they're thinking his ****** sucked him off, in front of them. You better be careful about that sort of thing."

"They'll think it's a college prank. Anyway, last night was going to be Timmy' last for a while and I let him do whatever he wanted. He took it hard, at first. Then, he almost fucked me raw."

"Like Sherry does me, when she comes home?"

"Worse."

"Huh?"

"He took my ass!"

"He, What!"

"It wasn't ****. We got into that, Mrs. Thomas, thing. And, well, I wanted it to happen, too. God, it hurt! ****, it still hurts."

"So, your young stud, got your virgin ass. Is he your ass fucker, now?"

"NO! Definitely, not! ... I, um, I want to again. But, not with him. And, most certainly, not for a while."

"Why not with him?"

"Well, I had been his Mrs. Thomas, for a while. It was early morning and he started pushing the limits. Using more ***** and talking to me in a degrading manner."

"Oh. Go on."

"He secured my wrists with his belt and tied it to the bed. He began fucking me from behind and slapping my ass. Much harder than normal. I noticed he was pulling out and rubbing his slick cock in my crack."

"Did you tell him, not to do you there?"

"No. I was getting turned on by the thought and wanted it. I thought he'd take it easy."

"But, he didn't."

"No, he didn't. He was fingering my ass, as he fucked me. Suddenly, without warning, he jammed his cock in my ass. I screamed, at the top of my lungs. He covered my mouth with his hand and said, 'Shut up, and take it, Bitch.' Then he grabbed my hips, for leverage."

"You couldn't get away?"

"I was pinned and had to take it. I begged him to slow down and take it easy. He kept giving me full length, hard thrusts and said, 'Since you're cutting me off, Mrs. Thomas. It's your ass, my way. So, shut the fuck up!' I decided to let him get it over with."

"Do you want me to do something about it?"

Sharon put her hand on mine, and said, "No J C. Please, just let it go. I was going to continue, occasionally, with him. But, not now. My ass, was the last thing he gets. Ever!"

"That was it? He didn't do anything else?"

"He didn't do anything else. Just came in my ass, roughly retrieved his belt and left me laying there. Crying and ********."

"I think, I ought'a beat his ass!"

Sharon put both hands on mine and squeezed. "No J C, No, Please! It's done. And, it's over for him."

"Yeah! Well, he's not welcome here, anymore! And the kids better go along with it."

"That might be a problem, with Sherry. They used to date. I called Chris, this morning. He won't guarantee, he won't punch him in the face. Or, kick him in the balls. Please, J C. That's all over. Let's just go on, together."

"Still think, I ought'a beat his ass! It's gonna be hard not to do something, if he comes around."

"He won't. His teenage brain, got even."

"Ok, Ok. That leaves, this turn of yours?"

"Well. I've went off birth control." I looked at her dumbfounded. "You know! For me and Chris."

"Oh! Yeah! Wow! I drew a blank."

"It means, the only pussy you get for a while, is our ********."

That echoed in my head and I thought, 'Wow. My wife is telling me, I can only fuck our ********. Whom, I am getting pregnant. Because, she is fucking our ***, so she can get pregnant. ... Man! How twisted.'

"J C." My mind was still running through things and her voice was way off in the distance. "We can still have oral sex."

I shook my head, trying to clear the fog. For the next week, the routine was, fuck my ********, get sucked off by my wife. I was having more sex than I ever had. Including my honeymoon.

Two days before Chris was to come home, Sherry arrived early. She gave me her usual, passionate hug and kiss. Then she walked over and handed her ****** something. Sharon looked at them, smiled real big and grabbed her in a bear hug.

"Congratulations, Mommy!" Then she winked at me. "You're a daddy again, J C."

My legs shook as I smiled and thought, 'Oh, ****. I've broken the big taboo and got my ******** pregnant, for real. The hot fantastic sex is now the reality of life. There's no turning back, now.'

Sherry turned, looking at me, "Daddy?" She said with a questioning, coy, look. Smiling, I held out my arms. She came at me and jumped up locking her legs around my waist. "We did it! We did it! We did it!" She repeatedly exclaimed as she kissed me.

"Yeah, Baby! We sure did."

"Now it's moms turn. And, I can't wait, to watch." She whispered in my ear. She kissed me again and jumped down. "C'mon guys. Let's go out to eat. My treat."

The air among us felt strange. I asked Sharon if she was, Okay. She kissed me and said, "I'm fine, J C. It's just that, now I'm nervous about me and Chris."

"Bad, nervous? Or, good?"

"Just, nervous."

"So, you want to back out?"

"Oh, No, No, No, No! I want to! My pussy's been tingling since I went off birth control. ... It's ... It's my age."

Sherry heard her. "Oh, Mom! You're not old. And. You have all of us."

"Hmmmm. Guess, you're right, honey. ... I'll forget that, and complete our family. I Love All Of You. Now, let's just plan."

At the restaurant, all they could talk about was the coming babies and their respective *******. I had to tone them down a couple of times, but, mostly they kept it low. I didn't think anyone heard, until the couple behind us started to leave.

The woman was talking through gritted teeth. "Don't get any ideas! Just because, I gave our *** a blowjob. I, Am Not, letting him, Fuck Me!" They quickly left and I thought, 'At least we're not the only perverts in town.' Then I thought, "Gee. I wonder how many ******s are doing their ***s.'

We headed for the car with me sandwiched between two hot women. As we were walking, Sherry asked, "Mom, can you drive?" Her hand dropped between my legs.

"Sure, I guess. Why?"

"Until now, everything has been to get me pregnant. I want Da ... Um, Cal, in my mouth." (From that point on, she mostly called me Cal, short for my middle name, Calvin.)

Sharon stopped us and looked at our ********, smiling. "Okay, Honey. I'll drive and you can suck your ****** off."

"Great! I can't wait for him to empty his balls in my mouth, so I can finally taste his cum."

"Oh, you are such a nasty girl." Sharon squealed.

"Hey! You two. I'm not a sex toy."

"No, but, you are ours." Sherry said sexily.

"Just like, we're yours." Sharon said, equally as sexy.

We arrived at the car and Sharon opened the back door with a big smile. "Mr. Thomas. Miss Thomas. I'm your driver, Mrs. Thomas." I chuckled at that as Sherry climbed in, then I followed. "Enjoy yourselves, Mr. and Miss Thomas." Sharon said as she patted my ass.

Sherry was fast. I didn't see her do it, but when I sat back, she was sitting there with her big dripping tits exposed. "Would you care for an after dinner, aperitif? Mr. Thomas."

"Isn't that supposed to be a *****, before the meal?"
chrislebo

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#8,728
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"Since you ask. I've been ********. You get a flavored ***** after the fact. And, I get the meal."

"Oh. ... You are a smart one. Aren't you?" "Well," Sherry shook her shoulders, "you gonna turn them down?" Smiling, I leaned down and started sucking as she caressed my head. "Didn't think so." She moaned. '******** feeding ******.' I thought.

Sherry let me suckle each breast as she caressed my head, letting me get several mouth fulls of her warm sweet milk. God, I love those tits. I measured once. Her aureole are a full three inches in diameter. Her nipples are five eights of an inch in diameter and stick out a full inch. Suck hard and they're even longer.

She pulled away and kissed me. "My turn." Continuing to kiss me, she undid my pants. I didn't think, I could get any harder, but her mouth proved me wrong. The way she was working me over with her mouth and tongue, I was painfully hard. Like a piece of steel.

"Jesus, Sherry! Damn!" I moaned, trying to keep from cuming too quick.

I heard her hum, before raising her head. "Mom told me how you like it." She said as she rolled my balls in one hand and stroked me with the other. "When you're ready, I'm gonna suck it like a straw. I wanna taste it all, as you cover my tongue with cum. Then, I'm gonna roll it around in my mouth, before I swallow it." It was the sexiest voice she'd used.

Hearing her words almost sent me over the edge. I concentrated hard, because I wanted, no, loved her mouth. I held out for a couple of minutes, before my cock and body stiffened. Sherry pulled her mouth back to the tip of my cock and stroked me with her hand as I erupted. **** fire, it felt like I was shooting cannon balls.

The look on her face was incredible. I felt like I came a gallon, my cock pulsing and body jerking. After I settled down, I saw her swishing it around in her mouth before swallowing. The end of my cock never left her mouth. Sherry kept gently sucking, driving those sensitive nerve endings crazy.

"Bout home! I drove as slow as I could without being pulled over. Almost had a wreck at the finish." I thought Sharon was just trying to be funny, but she circled around and showed us the skid marks, where she almost hit somebody.

When we got in the house, Sherry rapidly maneuvered her ****** to the couch and began eating her pussy. I stood dumbfounded for a minute before sitting. I barely settled when Sherry raised her head and wantonly said, "Fuck me, please. Fuck me." Sharon was laying back with her eyes closed.

Even watching our ******** eat her ******' pussy, after that blowjob, the most I could get was, half mast. But, I knew it'd come on with the right incentive. Moving behind her, I rubbed my cockhead up and down on her pussy. I got harder and thought, 'Yeah! I knew you'd rise to the occasion.'

Sherry rolled her ass to my movements. "Yes. Yes. Fuck me." She moaned, not taking her mouth from her ******' pussy. Hard again, her pussy seemed to pull me right in. Sherry moaned, loudly. And, so did her ******.

I didn't have to do much, my ******** was doing it all. Rolling her hips and hunching on my cock. With each forward movement, her ****** would shiver and moan. As would Sherry.

I could tell Sharon had a lot of little orgasms and at least four, body jerking ones, that left her gasping. Sherry also did the same thing, her pussy going wild on my cock and her cum was running down my legs.

Without warning, Sherry did a nasty. She moved away from us and pulled her ****** down in front of me. "Suck me off his cock, mom, and get his cum." Sharon was already moving to my cock with her mouth open. "Give it to her. Shoot it down her throat." Sherry said as she rubbed my chest and kissed me. I could taste her ******' pussy and shaking, I came, hard.

Later, Sharon and I were on the couch. She kissed me passionately. "I love you, J C. Please don't ever leave me."

"I ain't going anywhere, willingly."

"Then, you really don't mind if our *** gets me pregnant?"

"Did you mind, me and Sherry?"

"No ... Yes ... No."

"Well, which is it?"

"I didn't mind the fantasy. At first, that's all this was. But, then, it became real and much, much better than fantasy. I have to admit though, I was jealous about you getting our ******** pregnant."

"Even though you thought about and wanted our ***?"

"Yes."

"What changed?"

"I don't really know. When I watched you and our ********, that first time, I thought of how you accepted me and our ***. It just all fell into place and felt right. Now I'm consumed by it. I can't wait to see our ********' stomach grow with your baby. And, my stomach grow at the same time, from our ***' baby."

I kissed her with all the passion I had and whispered, "Me Too."

The time passed quickly and Chris was due home. Sharon told me I was picking him up while they stayed home. I knew Chris would be disappointed that his lover mom wasn't there, and he was. They had been texting while he was gone and I mean some very nasty texts. Sharon kept the secret not mentioning the pregnancy plans.

On the way home we picked up take out for a quick meal. I knew Sharon was wanting to get her *** between her legs as soon as possible. Chris was surprised to see his sister at the house. He was all excited, telling us as we ate about his trip. He was accepted and already had a mentor or something that was impressed with his work.

Something was in the works as both women were maneuvering us around. Sharon disappeared when we went to the living room, while Sherry kept us occupied. Sherry glanced down the hall and got us to go outside. She talked about a yard party that was news to me.

Going back in, Chris took the lead. Sherry pulled me into the hall, kissed me, put her finger to her lips then pointed at the living room. We peeked in. Sharon was wearing a silk robe, hose and high heels. Chris approached her and she held her hand up, stopping him.

Chris had his back to us as Sharon spoke softly. "Do you remember what you talked about?" Chris must have had a questioning look. "Your fantasy."

Chris' head turned and cocked to the right. There was silence for a minute.

"Your ... Ultimate Fantasy?"

Chris looked around and Sherry pulled me back, whispering, "Moms moment."

We peeked again as Chris whispered, "What about dad?"

Sharon smiled from ear to ear and said, "Your ****** knows and gives us his blessing."

"God! Really! You're not teasing me, are you, Mom."

Sharon still smiling and giggling, said, "No Baby, I'm not," as she slipped off the robe. There she stood, garter belt, hose, heels, ribbons and bows. Bows covered her nipples, held in place by a ribbon. And a bow covered her pussy also held in place by a ribbon.

"Wow!" Chris gasped. (I wish, I could have seen his face.)

"Well Baby. If you still want to be a daddy, unwrap your present. Mommy is fertile and ready."

Chris' legs were shaking and he stumbled on the first step toward his ******. His hands were shaking as he reached for the ribbon and bows at her breast.

"It's tied in back, Hon." Sharon said as she moved his shaking hands around. She kissed him as he untied the knot. He stepped back, the ribbon dropped, but the bows remained. She shook her shoulders. Her tits quivered, but the bows stayed put. "Remove them, gently. They're taped on."

Chris pulled gently on the bow, stretching his ******' tit out. Then he looked closely at it before slowly peeling it off as Sharon smiled. His face was still close and she pulled his mouth to her nipple. Smiling and moaning, she lay her head back.

Chris released his ******' nipple and again they kissed with hungry passion. The other nipple needed revealing and again Chris pulled slightly on the bow. He jerked the bow off with one fast movement.

"Ow-w! That hurt!" Sharon squealed. Chris immediately started kissing and sucking her nipple. She caressed his head and closed her eyes.

Sherry whispered in my ear, "I've got cameras set up, so it's all being recorded. I shivered, knowing I could watch it later.

They parted. Chris looked down at the lower bow. His hand slowly moved towards it. Sharon covered it with her hands causing him to look up.

"This one, you best remove gently! But not here." She paused for effect and it was killing me. "Carry me to your bed. I'll remain in, Your Bed, until you give me, Your Baby."

"But ... But Dad."

"Oh, Honey. Get it through your head. Your ****** has his. I can't fuck anyone but you, until you give me a baby. Do you understand, now?"

"Yeah. I just never thought it'd be like this."

"You thought it would be a sneak around."

"I guess so."

"No Baby. You get me exclusively, until I'm pregnant. Now, take me to your bed and breed me." Chris scooped her up in his arms and headed for his room. As he turned, he saw us and hesitated.

Sharon kissed his cheek, and said, "Your ****** and sister are going to watch you plant your seed. Go on, now, take me to your bed and breed me like your ****** has your sister."

'What the hell is going on? Was my ********, a consolation prize because my wife, is indeed, in love with our ***.' What followed, led me to believe that more.

Chris lay his ****** on his bed and began to undress. Sharon caressed her body and watched him longingly. Naked with his erection straining, pointing upward she smiled.

"Did you do as I asked, this week?"

"Yes." He answered so low, I barely heard him.

Lustily, she said, "Good. That means you'll have more for my womb." Then she spread her legs and caressed her thighs. "Unwrap your gift, Baby. Moms pussy is yours."

Chris was visibly shaking as he looked at the bow between her legs. Slowly he got on the bed, between her feet. He paused again, staring at the bow, before reaching out and caressing her thighs. Sharon closed her eyes and let out a moaning sigh. The object of her surrender was finally taking possession.

She moved her hands out of the way giving him unencumbered access. As his hands reached the bow, he bent and kissed her inner thighs. She moaned and squirmed. His face moved in close as he slowly peeled the bow from his ******' pussy. As the bow came free, his mouth took its place.

"Sharon let out a loud, "YES!" And grabbed his head. "Oh, Yes, Yes, Yes! Suck my pussy. Get it ready for your cock. Oh! God! Yes! Get me ready to breed!"

I was weak kneed. The tone of her voice, her words, her expression. This was a woman, in love. I was seeing and hearing the same woman that made love to me, to have our ********. One of which, was now making love with her, for the same purpose.

Sharon was reacting with rolling orgasms as her *** pleased her pussy with his mouth. Kissing, licking, sucking and tongue fucking her until she was gasping, whimpering and shaking uncontrollably.

After bringing his ****** to the point of passing out, Chris raised his head. Sharon moaned, her body and breathing slowly coming to rest. Chris kissed her pussy and slowly kissed his way up her body, briefly pausing at her tits. Sharon didn't rush him.
chrislebo

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#8,729
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As ****** and *** kissed, Sharon grasped his cock with one hand and cradled his balls with the other. In a soft, sexy, wanton voice, she asked, "Are you ready, my love? Hmmmm? Are you ready to give yourself back to me and make your baby." His cock was trapped between her wrists as her hands caressed his balls.

"Ye-us! Yes, I want it, Mom." He moaned and sounded like he was begging.

Sharon placed the tip of his cock between her lips. "Do it, baby, do it. Plant your seed, in mommy." Slowly, Chris pushed his cock into her. "Oh, yes, Baby. Yes. Breed me." Chris didn't move, he was just kind of, shaking. "Fuck me, Baby. Please!" Sharon moaned as she began rolling her hips.

Slowly, Chris pulled his cock out of his ******' pussy and pushed back in again. Her arms were around his neck and her ankles were locked at his waist. Her expression was one I had seen, 18+ years ago and now the product of that fucking was giving it to her again.

After just a few strokes, Chris froze and started shaking. "Ooooh, God! Mom."

"Yes, Baby."

"Your pussy, it's ... it's"

"What, Baby?"

"It's so fucking hot! And, and, something inside is stroking my cock!"

"I know, Baby. I know. That's my uterus going for your sperm. All of me wants to drain your balls. Just let yourself go and fuck me." Her voice was soft, sensuous and yearning hot.

Sherry kissed me and said, "Let's watch, while I suck your cock and you finger my pussy." Without waiting for a response, she had me in her mouth and I played with her already wet slit.

Chris slowly began moving again. I think he liked the new feeling of her pussy and wanted to make it last. I also knew that feeling would cause him to fill her pussy, soon. He had more control than I gave him credit for and brought his ****** to the highest peak of repeated orgasms.

Sharon had him locked in coital fertilization position. Arms and legs wrapped around him. Making it impossible to withdraw completely and keep him stroking into her uterus. I have felt that hot yearning uterus of hers milking the cum from my cock, so I knew my *** was in heaven.

Anyway, Chris slowly increased the speed of his strokes until with a loud grunt, he slammed into his ****** and began his orgasmic jerks. "Ungh, ungh, ungh." His ****** was grinding her pelvis back against him.

"Yes, Chris, Yes! Empty your balls in mommy. Give it to me. Give it all to me." Sharon softly, wantonly whispered. Chris stopped moving and slowly tried to pull out. "No, Baby! Stay in me. You can go again. I know you can. You've done it before." She said as she nosed him before kissing him.

Again, I knew the feeling of her hungry pussy and smiled as I watched it clenching our ***' cock. Chris was up to it and started the slow process again. In all, our young stud, did it five times before collapsing on top of his ******. Whose pussy was still clenching his spent young cock.

Sharon kept him there, unfazed by his weight. Holding his soft cock inside her, with no intention of letting him go. Sharon kept her *** at the job, four more times, until she too, passed out. All total, her *** fucked her 19 times straight, in five sessions, with short breaks, over four hours. He could have had enough sperm for it all and toward the end, must have been driving what was there deeper.

When they finally parted, not a single drop exited her pussy.

During all of this, Sherry didn't let me cum. She stopped at the crucial moment, driving me nuts. When ****** and *** passed out, Sherry brought me off. Her cum had soaked my hand and ran down my arm to the elbow, to drip on the love seat. I came so hard after not being allowed to for four hours, that I almost passed out as well.

Sharon and Chris remained exclusive to each other for over a week. What I liked best, was Chris insisted that his ****** wear only, garter belt, hose, and heels, while at home. They fucked like rabbits, all over the house. I heard Chris ask if she would suck him off once, and Sharon replied, "No, Baby. It all has to go in my womb, until you're a daddy."

Sherry came to the rescue and gave him the blow job he longed for, while Sharon was gone once. Every time Sharon left the house, she wore as little as possible. And, as soon as she came home, everything came off except what her *** requested.

Most of the time, Chris bent her over and fucked her before she could get away from the door. The stuff she brought in would be scattered on the floor as he pounded his cock into his ******' pussy.

I knew the deed was done, when I went to bed one night, to find Sharon there. She was smiling and holding the pregnancy tests in the air. "I'm a mommy, Honey! You're wife is a mommy, again."

"Does Chris Know? And, Sherry?"

"Nope. He's turning some stuff in at school. Said he'd be back at midnight. I'll tell him then. Of course our ******** knows. She helped me with the tests. ... I've missed you so much! I want you to fuck me." She began kissing me like crazy. "I'll spend this last night with Chris. After I tell him. Then, your wife is yours again."

Sharon was on me like a teenager. No, we were on each other like teenagers.

Me and my ********. My wife and our ***. PARENTS. The new life journey began.
chrislebo

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The Dance Instructor


My favorite gift of all time was given to me by husband, Charles. Charlie, as I like to call him is a wonderful, hardworking guy to whom I've been married for over five years now. Charlie has two left feet and hates to dance... but I love it modern, disco, jazz, you name it; I love to dance to it.

My gift was for a three month session at a local dance studio. We meet two nights a week and have the opportunity to learn a variety of dances from the simple Foxtrot to the energetic East and West Coast Swing to the sexy and provocative Latin American Salsa and Tango. I particularly enjoy the Latin American dances both for the lively music and the wonderful rhythm of the dance steps.

Life with Charlie was good. He worked hard as a first responder with the local fire department. Charlie did not fight fires but was a well trained paramedic who went out on ambulance runs and also responded to house fires in case there were injuries. I owned a hair salon and was holding my own as the business continued to grow. I once worked for my friend Diane but had operated my own shop for about two years.

I must back up a few months to tell my story. It was early spring when I started my class. Charlie had given me a certificate for dance lessons for my twenty-fifth birthday. I couldn't wait to begin and after making the necessary arrangements, I was set to start on Tuesday.

On Monday night, Charlie and I had dinner and after cuddling for a few minute headed to bed. "Thank you for giving me the dance classes," I told Charlie as I leaned in and kissed him sweetly. Charlie grinned and slid beneath the covers. My nightgown was gone in a matter of seconds and Charlie commenced to kiss and nibble on my erect nipples. My small, firm breasts delighted at his touch.

He soon slid lower and after pausing to twirl his tongue through my navel, kissed his way toward my moistening slit. He quickly slid through my neatly trimmed bush and pleasured me by first running his tongue through my cunt lips before settling in on my clitty. I moaned my approval as Charlie brought me to orgasm for the first time that night.

"Ummmm," I moaned as he continued to eat me. Fellatio was one of Charlie's specialties and my pussy was certainly enjoying his efforts. He inserted a couple of fingers inside me and I gasped as I ran my fingers through his short hair in an effort to show my approval. Charlie continued to lick me to another orgasm and then slid up between my legs.

Charlie tenderly inserted his erect cock into my quivering cunt as I moaned with delight. His uncut cock is nice and long and although not very thick, he really is a good lover. He kissed me hotly as he slowly started to stroke his cock inside me. He massaged my tits and kissed me deeply as he made love to me.

Charlie is not much for words in the sack and he was rather silent that night as he stroked his cock in and out of my slick hole. I'm not much of a talker either but Charlie says I moan a lot and get pretty loud when I cum. I'm usually unaware of any of this as I am concentrating on my own orgasm. I guess you could say that I'm the selfish lover while Charlie is the generous one.

Charlie squeezed my ass and kissed me sweetly as he continued his machine like thrusts inside me. Soon, he began to increase his tempo and I knew what was soon to come. I bucked my hips toward his every thrust and soon he was exploding inside me. He moaned as his cock filled me with his hot juice. "Mmmm," I moaned as I came while Charlie finished inside me. I jumped up and cleaned myself up and brought a warm washcloth for Charlie. He was sound asleep as I washed his cock. I slid into bed beside him and soon I was out too.
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