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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#8,521
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Puis, remarquant Laure:

— Tu as ramené du renfort?
— Elle ne voulait pas me croire, dis-je en indiquant, d'un mouvement de tête, *** bas-ventre.
— Approchez-vous, nous dit-il.

Je m'avançais, en tirant presque Laure, maintenant très réticente, me sembla-t-il.
Il la contempla avec attention et ajouta:

— Elle est drôlement mignonne ta femme!

Puis il ajouta, de manière triviale:

— Elle aime ça, les grosses bites?

Je ne sais pas pourquoi, mais sans doute par bravade, j'ai répondu:

— Elle adore ça! Et aimerait voir la tienne...

Laure m'a alors retourné un regard étonné et outré. J'ai eu un peu honte de ma répartie.
Nous étions presque à deux pas de lui quand il se retourna, exhibant *** engin.

— Elle en a déjà eu de belles comme ça?

J'ai senti la main de Laure tressauter dans la mienne. Ses yeux se ***t exorbités! Elle a eu la même expression que moi tout à l'heure, elle a dit:

— Ce n'est pas possible!

Il branlait nonchalamment *** sexe, maintenant de plus en plus gros et d'une rigidité de plus en plus marquée.

— Tu en as déjà vu une grosse comme ça, ma belle? dit-il, en l'astiquant de plus belle.
chrislebo

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#8,522
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J'ai jeté un coup d'oeil vers ma chouquette: elle avait le souffle court, le regard fixe et vitreux, rivé sur le bel engin. Inconsciemment peut-être, ses lèvres s'étaient entrouvertes, comme mues par un désir de succion.
Il avançait maintenant *** bassin vers elle, se branlant d'une main et caressant de l'autre ses couilles, qu'il avait prestement extirpées de *** slip. Deux grosses boules pleines, à la mesure du reste. Moi aussi j'avais maintenant une érection pas possible et surtout, je regardais, fasciné, le visage troublé de Laure, tourné vers la verge offerte à sa vue.

Inconsciemment, *** corps s'était tendu vers l'objet chéri de ces dames et c'était elle, à ce moment, qui me devançait. Le type semblait s'en être aperçu, car il avait avancé *** bassin et sa queue s'était dirigée directement vers elle. Je devinais qu'il allait se passer quelque chose, je l'espérais même. J'avais envie de lui dire: "Prends la en main, chouquette."

Il a du le sentir lui aussi car soudain, il a dit, s'adressant à Laure.

— Branle moi! Belle cochonne, je sais que t'en meurt d'envie!

Laure, a alors tourné *** visage vers moi, en un regard interrogatif, qui semblait dire: "Tu crois que je peux le toucher?"
J'ai dit, en accompagnant mes paroles d'un geste la poussant vers l'avant:

— Prends la en main, chouquette, j'accepte ton désir!

Bon sang, qu'est-ce qui m'arrivait? Qu'est-ce qui me poussait ainsi à désirer voir ma femme caresser la bite d'un autre homme? A cette seule idée, mon sexe avait pris une vigueur incroyable! Comme au ralenti, j'ai alors vu la main de ma chouquette s'avancer vers la tige de chair tendue. Mon coeur s'est mis à battre très fort quand ses doigts se ***t repliés dessus.

Elle a étreint la grosse queue, d'abord avec hésitation. Le type a grogné de contentement.

— Oh oui, c'est bien, vas-y! Ai-je dit, dans un état second. Super, ma chouquette, branle la bien!
— Qu'elle est grosse et dure! A ajouté Laure, dans un souffle.

Elle s'activait maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains, du coup, couraient sur l'incroyable colonne de chair. J'ai reporté un instant mon attention sur le visage de Laure. J'ai remarqué alors le trouble profond qui l'habitait: sa respiration était devenue haletante, *** regard trouble était rivé sur le magnifique pieu et surtout, ses lèvres, comme entrouvertes, témoignaient de l'envie qu'elle semblait avoir de la sucer, elle est comme envoûtée!

— Oui, vas-y! Continuait à grogner le type. Ah! C'est trop bon! Vas-y!

Excitée par nos encouragements, car moi aussi j'avais ajouté de la voix, elle faisait courir ses doigts à grande vitesse sur l'énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l'avaler, elle se déchaînait comme une hystérique sur l'objet de *** excitation.

D'un coup de rein, le vigile a porté *** gland à l'approche des lèvres luisantes de ma chouquette. Pendant même un bref instant, il les a effleurées. Par moments, sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regardait, le regard vitreux de plaisir et s'écria:

— Qu'elle est grosse! Qu'elle est bonne!
chrislebo

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#8,523
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Régulièrement à présent, l'énorme gland venait à la rencontre de la bouche béante de ma chouquette, visiblement tentée de happer la bite tendue. J'ai extirpé à mon tour mon sexe, dur comme l'acier. Le spectacle de Laure agenouillée, le regard extatique qu'elle portait à l'énorme engin, m'excitait au plus au point. A un moment, elle a tourné *** visage vers moi et, comme si elle avait lu mes pensées, elle me demanda:

— Je peux la sucer?
— Oh oui! Vas-y, ma chérie, pompe-le!
— Oui, suce moi, a renchéri le vigile.

D'ailleurs, d'un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d'un coup l'énorme bite contre les lèvres humides de Laure. Le coeur battant, j'ai vu alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma chouquette!

Quelle sensation curieuse et troublante que d'observer ainsi sa femme, l'être le plus cher et le plus intime, agenouillée de la sorte devant un autre homme, pratiquant sur lui ce qu'il est convenu d'appeler une pipe! Quels sentiments étranges et complexes peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre, pour y puiser un intense plaisir! Car je me régalais à l'observer ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair!

Plus rien n'existait maintenant pour elle! Sans retenue, elle s'efforçait d'enfoncer le plus possible de la belle queue dans sa gorge. Plus rien ne comptait, semblait-il, pour elle, que ce plaisir qu'elle prenait à s'enfoncer profondément la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s'efforçait d'en avaler le plus possible, dans un bruit de succion de plus en plus ***ore.

Tout en me masturbant frénétiquement, je l'encourageais de la voix.

— Oui, ma chouquette! Régales-toi bien! Manges la toute! Suces la profond! Lèches lui les bourses!
— Quelle pompeuse, renchérit le vigile.

Il avait empoigné ses seins, maintenant, et les tripotait doucement.

Je m'apprêtais à lui caresser les fesses, quand un bruit sourd de porte a claqué.

— Quelqu'un arrive! A dit Laure, en se relevant tout d'un coup, affolée.
— Venez! A dit le vigile, la prenant par la main.

Tenant *** pantalon de l'autre, il nous a poussés vers les WC et a fermé la porte derrière nous. C'était de vastes toilettes, comme on les conçoit actuellement, prévues pour handicapés. Il y avait une barre d'appui le long du mur. Notre homme y a calé ses fesses et, comme naturellement, Laure s'est accroupie à hauteur de sa grosse queue.

Pendant que les bruits de pas se rapprochaient dans le couloir, nous avons tous retenu notre souffle. Quelqu'un est entré aux toilettes pour hommes et nous l'avons entendu uriner longuement. Ça a été comme une courte parenthèse car, dès que nous l'entendîmes sortir, Laure, comme une affamée, s'attaqua à la tige de chair.
chrislebo

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#8,524
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Il avait maintenant relevé *** pull de soie et avait mis à l'air ses seins gonflés. Il caressait ses tétons dressés. A mon tour, j'ai éprouvé le besoin de la toucher. J'ai glissé ma main sous sa jupe retroussée, jusqu'à sa chatte brûlante. J'ai passé mes doigts sous le léger tissu de *** string. Sa fente était gluante de mouille. Ma caresse a dû multiplier ses sensations, car visiblement elle se déchaînait à présent comme une folle sur le gros truc tendu.

Moi aussi, je m'enflammai, du coup. Je criai presque:

— Suces le bien, salope, tu aimes, hein, les grosses queues!

Et je la branlais frénétiquement.

— Bouffes lui ses couilles!

Elle m'écouta, elle suça, elle pompa, elle avala les grosses boules velues.
Elle s'interrompait par moment pour me souffler:

— Qu'elle est bonne! Qu'elle est grosse!

J'ai eu tout d'un coup envie de la prendre. Je me suis placé derrière elle et je l'ai prise par les hanches.
J'ai retroussé sa jupe, j'ai fait glisser *** string, puis me suis enfoncé sans résistance dans *** petit minou baveux. Bon sang comme c'était bon! Elle était trempée! Je me déchaînais, je la pilonnais sans ménagement. Ça m'excitait de la voir prise par ses deux bouches.

— Remonte bien sa jupe, que je puisse mater *** cul, a dit notre complice.

Curieuse requête que de solliciter d'un mari l'exhibition du derrière de sa femme! Pourtant, sans hésiter, je la remontais très haut, pour bien découvrir le somptueux postérieur. Complaisamment, Laure, d'ailleurs, se cambrait un peu plus.

— Quel beau cul! S'est exclamé notre ami.

Il s'est penché en avant et a caressé les fesses rebondies. Ses mains malaxaient les globes avec une grande douceur. Moi, de mon coté, de plus en plus enflammé, je m'enfonçai de plus en plus profondément dans la chatte douce et chaude de ma petite femme chérie.
chrislebo

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#8,525
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Elle avait maintenant cessé de sucer, tant je la secouais, accrochée simplement à l'énorme pieu de ses deux mains, le visage plaqué contre *** bas-ventre. Elle geignait de plus en plus fortement. A un moment, il s'est penché plus avant et, d'une ample caresse, il a écarté les deux globes de ses fesses pour glisser un doigt fureteur dans le petit trou de ma chouquette. Bon sang! Nous ne nous contrôlions plus. Nous haletions tous les trois comme des *********.

Laure, s'abandonnait sans retenue maintenant à ce doigt qui fouillait sa rondelle, et à mon chibre en feu qui s'enfonçait au plus loin qu'il pouvait. Plus rien ne comptait plus que cette frénésie de plaisir qui nous submergeait!

Qu'elle était bonne à prendre, ma petite femme chérie, tant sa chatte douce et baveuse m'enflammait de sensations merveilleuses! Je m'insérais avec tant de plaisir dans sa chatte coulante de mouille!
Soudain, le vigile s'est redressé, puis a porté la main à sa poche. Il en a extrait un préservatif de taille visiblement XXL, puis l'a enfilé sur sa bite de cheval. Avec autorité, il a ajouté:

— Passes la moi, maintenant.

Et il s'est porté à ma hauteur, la bite dressée, avec l'intention visible de prendre ma place. Docilement alors, je me suis retiré, un peu à contrecœur, de l'endroit tout chaud. Il a pris Laure par les hanches. J'ai eu peur, du coup: n'allait-il pas la déchirer? Comment un engin pareil allait-il pouvoir entrer dans sa petite chatte juteuse? Ca ne semblait pourtant pas être une inquiétude pour ma chouquette. Au contraire, même: il me sembla qu'elle s'était cambrée davantage, pour accueillir plus aisément l'énorme queue! J'ai alors vu avec trouble l'engin écarter les lèvres gonflées du minou de ma cochonne d'épouse. J'ai failli crier!

— Ce n'est pas possible! Tu vas la déchirer!

Mais en même temps, je regardais avec fascination la lente mais certaine progression de la grosse queue dans l'étroit fourreau de ma chérie. Sa chatte gourmande s'offrait sans remord à la pénétration monstrueuse! Elle hurlait sans retenue maintenant.

— Oh oui, c'est bon, trop bon!
— Tu aimes, mon amour?
— Oui!!!!!!!!!!!!!!!!
chrislebo

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#8,526
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Je n'aurais jamais cru la chose possible: il la fourrait avec une facilité surprenante!
*** vagin élastique acceptait sans difficulté l'étonnante pénétration. Ses mains crispées sur les hanches voluptueuses de ma chouquette, il s'enfonçait pratiquement tout entier. De mon côté, à voir Laure ainsi baisée, à l'entendre ainsi hurler *** plaisir, je prenais un pied fou. Je me branlais comme un ********.
J'encourageai le vigile de la voix.

-Vas-y, baises la bien! Défonces la! N'hésites pas, vas-y de bon cœur!

Je stimulais Laure aussi, la traitant de petite chienne, « ne réfléchit pas donnes toi à fond! »

— Tu aimes, hein, cochonne! Elle est bonne, sa queue! Tu te régales!
Prise par une queue de 26 cm et 55 mm lui change de ma 18-44!

Je me délectais à observer ainsi l'étonnante colonne de chair coulisser lentement, s'enfonçant d'abord, puis ressurgissant d'entre les lèvres enflées de sa chatte!

Le pubis du vigile, maintenant, claquait régulièrement contre les fesses de ma chouquette adorée.
Les cris allaient crescendo. De multiples orgasmes semblaient secouer Laure. Soudain, l'un d'eux, sans doute terrible, l'a secouée toute entière.

Elle sembla trembler de tout *** corps. Elle poussa un cri d'extase, comme une déchirure de tout *** être. J'ai essayé de glisser ma queue dans sa bouche, mais au contact seul de ses lèvres, j'éjaculais! Lui aussi semblait s'être laissé aller à jouir. Agrippé aux hanches offertes, il s'épanchait maintenant à longs jets dans l'intimité de ma chouquette, heureusement protégée par le préservatif.
chrislebo

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#8,527
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Pendant un moment, ils ***t restés comme soudés l'un à l'autre, comme pour prolonger le fort plaisir qui les avait unis. Puis, comme au ralenti, j'ai vu le sexe encore gonflé s'extraire doucement, comme avec regret, du ventre de Laure.

Histoire de conclure cette folle parenthèse Laure c'est remise à genoux sous mes yeux devant « K2 », elle a extirpée le préservatif rempli de 2 bonnes cuillères à soupe de sperme chaud et la vidé sur ses seins en étalant le sérum de l'énorme barre de sa main gauche, comme pour marquer le territoire provisoire de cette masse de muscle de 90 kg!
Puis elle repris l'engin en bouche pour aspirer les derniers centilitres de sperme pri***nier dans la colonne encore tendue, et léchouilla consciencieusement sa totalité, pour nettoyer l'inondation et remercier notre complice d'un soir...

Les choses ont été très rapides, alors. Qu'est-ce qui nous avait pris? ***geais-je, Laure remontait *** string et remettait de l'ordre dans sa tenue, pendant que le sperme déversé sur ses seins s'écoulait jusqu'au petit triangle endolori par les assauts bestiale du vigile.

Je la sentais maintenant honteuse, de *** côté.

Le vigile a essayé de nous retenir encore, nous invitant à passer boire un verre chez lui.

Visiblement, il aurait bien voulu prolonger la rencontre. D'ailleurs, pendant que Laure se rhabillait, ses mains ne cessaient de la peloter, comme pour un dernier contact.
Nous avons refusé.

Aussi, après l'avoir salué, nous nous sommes enfuis, un peu comme des voleurs.

Je n'en ai pas voulu à Laure. Au contraire, même: cette expérience a ravivé notre sexualité. Il me suffit de ***ger à ces moments pour qu'un désir profond s'empare de moi.

Mercredi nous retournons au cinéma, mais cette fois ci sans payer!
Piston? Et quel piston...
chrislebo

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#8,528
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Infertility Assistance


The news was humiliating to me but it was positively devastating to Kaki. My 24-year-old fiancee was convinced she was ready to get pregnant, and the fact that my sperm couldn't do the job, and that her own fertility was also marginal at best, came as a shock. We sat there with the doctor, reeling from the news, our marriage itself in jeopardy, I feared -- as getting pregnant was kind of the whole point, to her. She'd been saving her gorgeous body for our wedding night, and was driving me insane with the hot outfits she would wear, like right now -- her tight little curvy body packed into a cropped shirt, hip huggers, and heels, which I could tell were distracting the doctor from the seriousness of the situation.

She asked him about options. He mentioned artificial insemination, and she shook her head. She couldn't have a baby that way. She considered a moment, and squeezed my hand reassuringly, as she said, "What if we had a donor, and did it more... naturally. Is it possible? What are the chances?"

The doctor responded evenly that if it wasn't with me, then depending on the... uh, donor... she might be able to get pregnant.

"Like, if he had a really high sperm count," she offered.

He nodded. "Well, yes, that would help..."

"Is there anything else... that we'd have to look for?"

He was clearly squirming now. She was serious, looking for answers. She recrossed her long legs, oblivious to the effect this had on him. He blushed as he began: "Well, the way we would do it artificially -- and your best chances in any case -- would be with a fairly, uh, deep insertion, plenty of lubrication, and a high volume of seminal fluid, deposited with a healthy amount of *****." He'd said it as tactfully as possible, but the meaning was clear. I wanted to jump out of my skin with frustration and shame.

Kaki, however, wanted to make sure she had the facts straight: "So if we found a donor, you're saying our best chance would be... if he had a really big cock, and could, um, ejaculate... a lot, with a lot of power."

He nodded slightly. I don't think he'd ever had this exact conversation before.

"And I guess it would help if I was really turned on... for the lubrication."

The doctor was full on blushing now, and glanced my way briefly with what I presumed was sympathy. He met Kaki's huge brown eyes again to say, "Yes, all that would help your chances."

As we left the doctor's office, I half expected her to want to go trolling for such a guy right away, but to my great relief, she focused on the fact that she wanted to go through with the wedding -- and said nothing about actually trying to find a "donor." The only painful moment came when she mentioned that one of her exes, if he hadn't been such a jerk, would have fit the bill.

There was no way I was going to follow up on that, but I didn't need to: "He was huge. And powerful," she said. I really wanted to smash something right now. Not only was I not "huge," but she had barely even seen my average-sized cock in action -- because the most contact she'd had with it to date were a couple of hand jobs while we were making out -- so exciting to me that they were over in seconds, their results not something she paid much attention to, and which I quickly cleaned up.

She seemed to sense my uncomfortableness. "But he was an asshole," she said.

I couldn't help but remember that she'd told me how long they'd been together. Like a masochist, I had to ask:

"So why'd you stay with him six months?"

She glanced over at me. The look in her eyes was heart-breaking. I knew the answer. And there was no way she was going to say it out loud. It was at least in part because of his attributes.

So you can imagine I was in no mood at all for the arrival into town, a couple months later - on the week of our wedding - of an old college housemate who was that same kind of guy. Kyle was arrogant, a jerk to women, but good-looking, well-built, and, to hear him brag about it, well-hung. He'd always been a magnet for the hottest girls on our campus.

I'd lost touch with him, and he lived out of state, so I really didn't expect him to come to the wedding. But to my surprise, he showed up at a party one of my friends threw for us, the weekend before -- looking as cocky and chiseled as ever, with a sexy young nymphet named Ryan on his arm.

I don't think Kaki was even aware how much her sparkling eyes lit up when she took her first look at him. He was across the bar, taking off his sport coat, underneath which a tight t-shirt displayed his bulging and shredded arms and torso to full outrageous effect. I reluctantly introduced them, and as they talked, Kaki seemed to lapse into some sort of primal feminine persona - in the way she stood, moved, giggled, and repeatedly tucked strands of golden hair behind one ear, revealing that much more of her tanned bare neck and shoulder to his masculine gaze.

Within a few moments, we'd moved on to talk to other people, and I'd mostly put him and his hot date out of my mind, but Kaki hadn't. She'd run into Ryan in the ladies room, and came over to tell me that Kyle had said it was a shame we didn't have more time to catch up. So Kaki took the liberty of inviting the two of them over for a ***** after the party. She hoped I didn't mind. They were staying in a hotel and didn't know anyone, and she knew how I loved to show off my gorgeous home. If I wanted, I could even offer them the guest room.

It was the last thing I wanted. I didn't really like Kyle, and I always felt a little less-than, physically, and in terms of masculine confidence, in his presence. Kaki's reaction to him didn't help matters at all. But I didn't want to show any of that in front of her. But my mind didn't go to our fertility issue, which she had dropped in recent days. I was just aware of some level of understandable attraction between them, and it made me uncomfortable. I quietly agreed to the one *****, planning to make it stop at that.

Back at the house, that one ***** turned into two, and although Kaki was snuggled up next to me on the couch, she was completely engaged in conversation with Kyle and Ryan - mostly Kyle. She was also tipsy at this point, and to my surprise, suggested we all take a dip in the hot tub. Wouldn't you know, Kyle and his date had their luggage in the car and had packed swimsuits. So the answer was "yes." Oh, great. Now I would get to see what happened to their obvious mutual attraction when the clothes came off, with his awesome body easy to compare to my average one.

I was in the hot tub first, neck deep, not eager to show off my physique to the group. Ryan was next. She was an exotic brunette, dark-skinned, dark-eyed, with a gorgeous body bursting out of a tiny black bikini. But the real moment of "wow" came a moment later, when Kaki and Kyle emerged from the back of our house. They reached the double doors there at the same time, exchanging pleasantries, and him gesturing for her to go first. She did, and he placed a hand on her back softly, as if she were his date, escorting her toward us -- and letting it rest there a moment longer than I thought protocol allowed. Of course, Kaki didn't protest.

If it were a movie, they would've been walking in slow motion, as I drank in the perfection of both of their bodies. She had put on the most outrageously skimpy two-piece suit she owns, showing off the maximum amount of real estate on her smoking hot, super-tight little body, her long legs stunning atop six-inch wedges, with her voluminous blonde locks piled atop her head fetchingly. If I wasn't mistaken, she'd applied new, sexier lipstick to her wide, full lips, and was basically looking like she was ready for a photo shoot.

As for him, well, the torso bare was a tad bit more impressive than under a t-shirt. The man had the most ripped physique I'd ever seen, with a killer eight-pack, huge pecs and delts, and massive but super-cut arms. He wore loose fitting jams and I tried not to think about the pipe swinging behind them -- but for the first time, the horrible thought of her following through with her "insemination" plan in the very near future landed sickeningly in my consciousness.

We had another ***** in the hot tub, and heard a bit about how Ryan and Kyle had met a couple weeks ago, as she pushed her outrageous body up against his, and he let his hand absently stroke the side of her breast, right there in front of us. She was jet-lagged, as well as worn out from "last night" with him, and thought they should head back to hotel so she could go to bed. But Kaki, without asking me, offered up our guest room. They graciously accepted, and within minutes, Ryan was excusing herself to hit the sack, while her new man opted to have one more ***** with us.

We got out of the hot tub and moved to the living room, everyone still in their swimwear, and Kyle told us stories about his special ****** days, and some of the tricks he learned. My girl was curled up next to me on the sofa, Kyle in the chair opposite us. He stood up. "Come here, " he motioned to me. "Let me show you something."

Warily I rose, and Kyle, who towered over me at 6'5", grabbed my wrist, twisted it behind my back, and suddenly pushed me face first into the carpet. "See, that's a quick takedown," he explained to Kaki, who watched wide-eyed as Kyle pulled a zip-tie out of his overnight bag and looped it around my wrists, which he was holding behind my back. He pulled the cord tight and my wrists were bound together and immovable.

"What the hell are you doing?" I demanded.

"Then, if we really want to keep them in one place, we do the ankles," he explained, pulling my ankles together and zip tying them, as well!

"Take them off Kyle, come on, this isn't funny," I protested.

"Then, if they're doing too much talking, the standard item is a cleave gag..." he grabbed a rolled-up bandanna from his bag and pulled it over my head, and between my lips, pulling it tight and then tying it behind my head. I now couldn't speak, and could barely even make noise.

Kaki stared open-mouthed, in shock, as Kyle moved to sit back down, leaving me lying there on the floor, face down, helpless.

"What are you doing?" she asked. "You need to let him go."

"I will."

She looked at me with concern, but she didn't budge from her place, her legs curled up under her.

"Seriously, Kyle."

"I don't know, I think he looks good like that."

"I don't."

"I don't know why, but I am so full of energy right now."

"Well, maybe you should go join your girlfriend."

"She's not my girlfriend. And she's too worn out from last night, anyway."

"Oh, really. What happened last night?"

"I fucked her like an ****** for hours."

Kaki opened her mouth in momentary shock. "That's quite a mouth you've got."

"It wasn't my mouth. It was my huge cock."

I couldn't believe him! But she just laughed. "Oh, is that right?"

"I guess you could be the judge."

"Oh, you'd like that, wouldn't you?"

"I think you would."

"Keep dreaming, and go untie my fiance."

"I don't know," he said. "It might be good that he's restrained if his bride-to-be is about to see the biggest cock of her life."

"Oh, is that what's about to happen?"

He stood up. I was in shock. He was really going to do this! In one swift motion, he pulled his jams down to his feet.

His cock was totally soft, but its length hanging down was already the size of my proudest erection.

She acted unimpressed. "Look at you. I guess you proved your point."

"It's not hard yet. I might need a little assistance for that."

"Good luck with that."

"You taking your top off would probably help."

She looked up at his face. He was dead serious Then she looked at me. "Can you believe this guy?"
chrislebo

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#8,529
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He stood there, hands on hips, grinning at her, his cock beginning to twitch a little. She watched this. "Well, I have to admit, I am curious." You could tell by his cock he liked where this was going. She turned to me: "Maybe if we just give him his moment of glory, he'll let you go, and we'll go to bed. Please forgive me."

And with that, she reached behind her back and untied her bikini top! His cock really started to come alive as she tossed it on the floor. It never ceased to amaze me how beautiful Kaki's breasts are -- how high and round and full, and when her nipples were engorged and pointing forward and just slightly out and up like this, well... Kyle wasn't the only one starting to get hard.

But of course, the attention was all on him. She sat there, watching, as he laid his rising and lengthening shaft in the palm of his hand, staring back at her. She cupped her tits in both hands and made a pouty porn face for a moment, then giggled.

We both watched, open-mouthed, for the next few seconds, as the ***** engorged his monster cock, until it finally stood proud at its length of just over 11 inches (he claimed, and I don't dispute), with a magnificent oversized helmet, and a thickness that was truly weapon-like and intimidating. His nuts were similarly outsized, a pair of limes in a shaved sac the size of a grapefruit.

Kaki just stared. "So, do I top your record?" he asked playfully.

She nodded. "Jesus Christ, that's a big cock."

"Told you."

She looked over at me. You could see the wheels turning.

"Can you imagine what it feels like?" he asked. She didn't answer. She was imagining, all right.

"Damn, now you got me all revved up and nowhere to go," he grinned, starting to grab his jams.

"Sorry. I guess you could always go take care of yourself."

"You probably want a closer look before I put it away."

"I don't think so."

But he was taking a step in her direction. She looked at me, smiling as if this was fun game we were both participating in. "Well, we're not married yet, right? So fine, a closer look."

She was now in a kneeling position on the couch, legs tucked under her, as he approached. He didn't stop until he was standing right in front of her. In this position, the massive head of his cock was just about at nose level for her. I was squirming, out of my mind with rage and hatred and jealousy. And yes, a little turned on.

"I'm not going to touch it," she said, looking up at him.

"Nobody said you were."

She stared at the monster penis in front of her face, clearly fascinated, and obviously turned on.

"I bet you get a lot of blow jobs," she guessed.

"You could say that."

"Girls are probably scared of the size but fascinated and want to see it in action, see if they can make you cum, see how much you can shoot."

"That's normally how it works. They just love to touch it. What can I say? I have a good life."

She was too curious to turn away this opportunity. I watched in horror as she took one petite index finger, capped with a long French nail, and brought it toward his crown. She made contact, tracing around the helmet for a moment. His cock jumped and danced at her touch.

"Another few seconds, then I'm going to bed," he lied.

She looked up at him, surprised to hear this. But instead of letting him go, she decided she wanted to do one other thing. She wrapped her hand around the base of his shaft. He was so thick her finger tips couldn't meet her thumb. She looked up into his eyes again.

"I bet all the girls want to show you what a porn star they can be, and let you cum all over their faces and in their mouths."

"That's right."

"I bet you really wish I was going to be one of them right now."

"I do."

"Thhen they're probably too curious and turned on, and have to let you fuck them anyway."

"Usually."

I was watching this, rapt, unable to stop it, hoping she was finished with him.

"Well, it is a beautiful cock. You've got me there."

"So can I go now?" he teased. She was still holding his cock around the base, her mouth inches from his crown. She moved in closer. And let the point of her tongue reach out and flick at the head of his cock. His cock jumped again.

"You like that?" she asked.

"Yes."

"I bet you're really feeling like the alpha male right now, with my fiance down there, and me here."

"Kind of."

"I bet if you came in my mouth that would really complete the picture for you."

"It might."

Having done it once, she let her tongue make contact with his cock again. And then, in one quick, shocking motion, she engulfed his crown in her pretty mouth!

I couldn't believe this was happening! I wanted to look away. But of course, I didn't.

He groaned his approval, as she bobbed on the first couple inches of his cock for a moment, then pulled off, and began kissing, licking, wrapping her tongue around his shaft.

Victorious, he placed one hand softly on the back of my fiancée's head, holding it there. And she let him. One of her hands was stroking his shaft, the other playing with his huge nuts as he emoted about how good it felt.

"Oh, yeah, baby, suck my big cock," he enthused, glancing over at me, grinning. I writhed on the floor in agony. I might have killed him right now if I'd had a weapon. Instead, I watched him offer his to my girl's loving mouth, who was clearly not planning to stop any time soon.

It was an incredible sight, I had to admit. And she milked it for all that was worth. She kissed and licked and sucked on his huge cock for what seemed like an eternity, causing him to moan and groan in absolute ecstasy.

"I'm not going to let you cum in my mouth," she said between soft kisses to the underside of his shaft, just behind the crown. He was clearly getting close.

"Why, cause you want to see it?"

"No." she answered, running her tongue up and down the length of his cock, thinking about it. Then she changed her answer: "Well, yeah, I kind of do, actually..."

"Are you like those other girls... too curious to stop at a blow job, too turned on?" he managed to speak.

"Yeah, right. No. This is just me doing a crazy, tipsy, 'I'm not married yet,' freak show. Don't get any ideas."

Like it was all just casual fun between friends, nothing more than that. He chuckled, one hand still one her head, grabbing a clump of her hair now, and glancing over at me with a smile. We both knew this was practically as big, to his ego and mine, as if he was fucking her.

He pulled out of her mouth, her hands still on the base of his shaft and balls, his free hand now stroking the business end of his cock. Her mouth was closed, but she was smiling, and not looking away. Was she going to let him cum on her face?

The answer was yes. Suddenly, his cock went crazy. A MASSIVE rope of cum shot out of him, right over her head and onto the wall behind the couch.

"Fuck!" he exclaimed in release, adjusting his aim, so the next huge burst hit her on the cheek. Then he sprayed her pretty closed lips. Which she decided, to my ever-increasing shock, to open.

Loving life, he blasted more cum onto her outstretched tongue and deep into her mouth. She let him. He proceeded to shoot thick streams of cum deep into her mouth and all over her pretty face. She even let him re-insert his crown and clamped his lips around, it letting him pump his fluid right into her, and down her throat. She swallowed it all. He finally pulled out.

I stared in shock. Seeing another man's cum dripping off the beautiful lips of my angel, as she kissed his cock all over and painted it with her tongue, was the most electrifying and awful thing I've ever witnessed. She must have cleaned his cock with her tongue for ten minutes, patiently covering it from balls to crown, letting him scoop gobs of cum off her face with the head and then feed them to her eager little mouth.

Finally, she was done. "Yeah, I think you should let my man free now and go to bed." He pulled up his shorts, came over, bent down, cut the cords on my ankles, and then on my wrists. And without saying a word, retired to the guest bedroom. I got up on my knees, in shock, and reached behind my head to untie the bandanna, and remove the gag.

chrislebo

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#8,530
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I stayed there in the living room for a long time, reeling from what had just happened. I considered leaving, right then and there, but this was my house! Kaki was in our bed, asleep, I assumed. My mind raced with what she had just said, and what I had seen. Rage, ***********, resignation, mixed with some weird excitement -- my emotions were all over the map. Mainly, I just felt the wrongness, the unfairness of life. Kaki had held me off sexually for out entire relationship -- we shared a bed, at times, but the most attention my dick ever received from her was a quick hand job during a heavy make out session.

Now here Kyle waltzes back into my life, and within hours of meeting him, she's giving his huge cock a tongue-bathing out of a porn movie, lets him empty his balls all over her pretty face and in her mouth, and was now talking with excitement about letting him put it where he really wanted to: which was twelve inches up inside of her. I could **** the fucking guy, but of course, I wasn't going to. I could call the police on him for zip-tying me, but that seemed equally as ridiculous and unlikely. Finally, I just curled up on the couch -- scene of the crime, I know, but I couldn't get into bed with her, not now.

It must've been four hours later when I awoke with a start to the feeling of a body pressed up against me. It was Kaki, in a tank top and panties, and her hand had found my penis -- which was already hard. I turned to see her beautiful face. Her eyes were wet with tears. "I am so sorry," she said. "I can't believe what I did. I was really *****... but it's no excuse. It was so wrong..."

I gazed back at her. She seemed sincere. Her lips were so full, so soft, so kissable, as they moved toward me. I let her kiss me, turned on by the way she was pleasuring me with her hand. My breathing started to increase. "You like that?" she asked between kisses. I nodded, closing my eyes. "Was it at least... a little exciting, watching? I mean, like a porno? I know some guys fantasize..." I didn't answer, but perhaps my eyes betrayed the truth -- that despite the outrage, my cock had been hard the entire time, and my eyes never left the sight of her giving Kyle that world-class blowjob.

I was really moaning now from her touch, approaching orgasm. "I want you to know," she continued... "That if he were to agree to it -- I would want you to be there. I mean, to watch... maybe be involved in some way..."

I couldn't believe it! She was still thinking of approaching him about this! And yet... the feeling from what she was doing was so incredible, that I was moaning now, so close to orgasm.

"You like the sound of that?" she asked, misinterpreting. She slowed her stroking to extend my pleasure. "Does watching us sound... kind of hot? It's okay, you can admit it... I won't tell. Would you like to watch Kyle fuck me, with that great big cock of his?" My mouth was open, but no sounds were coming. It was truly heaven mixed with hell. Every time I started to say no, to stop her, she said something else: "You like watching him shoot his cum all over my pretty face, baby? You like seeing my lips wrapped around that thick shaft, and swallowing his hot cum...?" I could tell an orgasm was imminent -- there was no turning back. It was like I was mute -- so she continued: "God, there was so much cum, and he shot it so powerfully from that huge, gorgeous cock..." At that moment, of all moments, I lost it. My erection -- so much smaller than his, almost ridiculously so - jerked its release all over her hand. She smiled, satisfied: "That's it baby, let it out... it's okay..."

She sat there for a moment kissing me, then grabbed a kleenex and cleaned herself off. She gave me one last meaningful kiss, then got up to go take a shower.

I hoped against hope that Kyle and Ryan would make their exit before she came out. They did have a flight to catch, I thought. But no, it turned out they had plenty of time to stay for breakfast. I was making coffee when Kyle swaggered in, wearing only shorts, again showing off his outrageous shredded torso. He offered me a hand to shake, with a ********** grin on his face. "No hard feelings?" he asked. I ignored him. "Too many ******..." he continued. "I guess you could take it as a compliment," he said -- "that you scored a babe so hot that I couldn't resist..."

"You guys talking about me?" Kaki was approaching now, looking both adorable and crazy-sexy in a cut-off t-shirt, boy shorts, and wedges.

"As a matter of fact, we were," Kyle said, turning toward her. "Good morning." Rather than awkward and embarrassed around him, Kaki came right to him for what I assumed would be at most a mini-hug and air-kiss, but instead he bent down to give her a friendly smooch on the lips, which she accepted easily.

"That's a fucking hot outfit," he admired, eyes looking up and down her body, practically causing her to blush. "God, look at those tits," he observed to Ryan, who was now joining us, also mad sexy in a bikini top and tight cutoffs.

"She does have quite a body," Ryan agreed, smiling.

Kyle to Kaki: "Ryan got a little jealous last night when I told her what happened."

This was the last thing Kaki expected to hear him say: she just stared at them in a kind of guilty surprise.

Ryan chuckled. "The guy's ego is so big he just can't keep his mouth shut. With every new score, I have to hear the play-by-play right away."

Kaki decided to ignore the comment, and proceeded to help me fix breakfast, as our "guests" sat at the kitchen table. But Kyle couldn't keep his big mouth shut: "Kaki, you did something with your tongue, when I was cumming in your mouth, that was just INSANE. Maybe you could teach Ryan ...?"

I picked up a plate to throw at him -- I might have done it, too, but Kaki grabbed my arm, and turned to him: "Listen, I understand you're real proud of yourself about our little ******* silliness last night, but I have something serious I want to talk to you about."

Oh no, she was going to bring this up now? "Kaki -- " I tried to stop her.

"No, it's just to see if it's even a possibility," she said to me, then turned back to them: "The two of us have this little.... fertility problem. We want to have a baby together, but we can't make it happen together ..."

"Go on..." Kyle smiled, liking where this was going. Kaki was embarrassed, but she was also bold:

"I only want to get pregnant the natural way, but it might be hard unless the donor was somebody... well, someone with a high sperm count, who can provide a lot of it, and can really... get it up in there, if you know what I mean."

Kyle just turned to Ryan, dumbfounded. They both were. Then Kyle turned back to Kaki: "Honey, you know I'd be happy to fill you up with my cock and my cum, and I know you feel the same. We really don't need an excuse - "

"Shut up," Kaki cut him off. "I'm about two seconds away from saying forget it." That silenced him. "We're looking for someone, and I just thought, if it was a guy we knew, who fit the requirements that we'd want..."

Ryan's eyes were on me. "And he's okay with this?"

Before I could answer, Kaki did for me: "We have a lot to talk over, before we would go through with it. I'm just putting it out there. We'd do all the paperwork and everything -- so you'd have no responsibilities."

"Okay. Well, I'm going to have to think about it," Kyle said, serious now.

"Of course."

"And I'm sorry about all the comments. I can be a jerk sometimes."

"No problem."

As they left, he again approached me to shake hands. I wanted them out of there so badly that I shook, just to get him out. There was a glimmer in his eye as he squeezed my hand in his much bigger one, just a touch too hard to be comfortable. And they left.

I was hoping this would be the end of it -- that he could never to agree to such a thing, no matter how tempted the thought of a freebie with Kaki might be. And if not, maybe I'd talk Kaki out of it. There was no way this was actually going to happen.

But as soon as they were gone, Kaki turned to me: "Look, I know this is probably uncomfortable, weird, humiliating. I get it." I just looked at her. She truly had no idea. "And I want you to know, if they agree to it, you can have a free pass, too -- your choice. Maybe with Ryan, if she's game."

Me and Ryan? Excuse me? An exciting idea, but not quite consolation for what she was proposing. Plus I doubted Ryan would agree.

Kaki continued: "The thing is, I want to get married. I want to have a baby. I want to be with you forever - I don't anyone else. But I want to do this. This feels right to me. I know he's kind of an arrogant asshole, but... I mean, he's probably the best chance we've got, right?"

"Do you really realize what you're asking?"

"I am. I want this. I want to be pregnant. And this is how I want to make it happen. What I also want, more than anything else, is for you to agree to it. So it will be our baby. Otherwise..." She trailed off. What was she saying? That this was going to happen with or without me? I realized now just how much a priority a baby had been to her. Whenever we discussed marriage, pregnancy was always the first thing she would talk about.

I know what you're thinking. I should've left. All I can say in my defense is that you never saw Kaki. She was so screamingly hot, so incredibly out of my normal league, yet she had chosen me, for some reason. I was so completely infatuated with her, and the thought of giving her up, believe it or not, was actually worse - on examination - than what she was proposing. At least, it seemed even worse, at the time. And I did believe her when she said she would be mine forever after this. I did think she loved me, and that this was about her getting pregnant, and that was it.

And even if there was some real lust that she wasn't copping to for this guy, could I really judge her for that? I had lust for other people, includiig his date! And she'd slept with other guys before me. The only issue was my ego, which didn't want to be bested in this way -- especially by Kyle.

We didn't have to wait long for his answer. It was a yes. He called her to tell her the good news. And, she informed me with excitement, Ryan wanted to be a part of it -- and would be willing to "entertain" me as needed during a coming weekend when they would come and stay with us.

So this was really going to happen. Maybe with or without my approval -- or involvement. Kaki's baby doll eyes gazed into mine as I took this in: "I want you to be part of this, to be okay with it. Please don't say no. I love you so much. Don't make me have to make a hard choice I don't want to make."

chrislebo

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#8,531
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She knew I was in hell thinking about this. So later that day, she offered me one other consolation -- she wanted me to fuck her before he did. Might sound like not much of a consolation to you, but I'd waited months for this day, and thought I'd have to wait months more -- until our wedding night. As I considered this, I figured, I could still always back out of the deal after doing it, and at least I would've fucked her -- and before Kyle.

But wouldn't you know it? I couldn't get it up and keep it up. Thoughts of Kyle kept entering my head -- his huge outrageous cock, what she'd done, and what she was going to let him do... We tried everything, including her goading me again with talk about her and Kyle, thinking it had done the trick before -- that I was secretly excited by the thought of them together. "I bet you can't wait to see Kyle fuck me and make me cum, with his big cock so deep inside of me..." she cooed between kisses, her hand on my semi-hard penis. But this time, the talk only made it worse. It didn't help.

We had one last chance, the night before they were to arrive. I psyched myself up. She did an incredibly hot pole dance at a club for me, then we came home and she used her mouth on me, for the first time ever. But all I could think about was where that mouth had been before... on that enormous pole that made mine look like it should have training wheels. I went soft again, feeling totally frustrated. It was maddening. She tried to comfort me: "It's okay, baby. We have our whole lifetime for this..." But the thought of Kyle fucking her when I still hadn't made it all that much worse.

Still, her sexual availability and seeming compassion about it all made me want her that much more, and made the decision that much harder. I never actually told her I agreed. But I also never walked away. I figured there would always be time for that, if and when I felt I couldn't take it. Maybe you could call it silent protest, or just the ultimate form of being pussy-whipped. I backed into the weekend as if in denial it would really happen.

On the Friday they were set to arrive, I came home from work early, deciding to talk it out one more time with her, expecting to beat them there by hours. But to my surprise, they were already there. At least, Ryan was -- she was laying out by the pool with Kaki, both wearing micro bikinis. I asked where Kyle was. Taking a nap, was the answer. He'd been tired from the flight and collapsed right after arriving.

Ryan beckoned me to join her in the hot tub. God, she was hot. Was this going to be the beginning of a wild foursome? Might I even get lucky before he did? I didn't know, but I certainly wasn't prepared to make my stand right at this moment. So I got changed and returned. I lowered myself into the water with her, wondering what in the hell I was getting myself into. She took off her top. Her tits were gorgeous. She began teasing me, kissing me all over my face, straddling me on my lap, rubbing her breasts against my face -- but stopping short of letting me kiss back, or use my hands.

It might have been great, if it weren't for the running commentary: "God this is so hot. I can't believe this is really happening. You know, he's going to milk every second of this weekend. Your woman is going to get the fucking of a lifetime." I tried not to listen. I was hoping, and assuming, that once would be it. It seemed she could read my mind: "Come on, you think he's going to let this opportunity pass without making the most of it? Or she is?"

As I tried to think of a proper response, I saw the back door slide open, and Kyle appear, in jams and nothing else -- looking like the powerfully ripped stud he was. Kaki, wearing sunglasses, glanced over in his direction. I could tell she was nervous, and/or excited. He grinned in our general direction, then made his way over toward her.

"Hey baby," he said. They were about twenty feet away. We could hear every word.

"Hey," she said quietly, seemingly as unsure of where this was going as I was.

"I like your bikini."

"Thanks."

"Take your sunglasses off." It was the first of many orders he would give that weekend. She complied instantly, seemingly not minding that he didn't say "please." She stared up at him, eyes wide, and a little moist, it seemed.

He untied the drawstring of his jams, and let them drop to the ground! Ryan was still on my lap, but we were both paying more attention to this than to each other. "What are you doing?" Kaki asked, sounding more curious than upset.

"Did you miss me?" he asked her. She rolled her eyes. "Have you been looking forward to this?"

She weighed her words carefully: "I'm glad it's happening."

"I know it's because you want to get pregnant, but is there any, small part of you that's glad for any other reason?"

She gave him a look: why was he doing this? He grinned back at her. She finally nodded slightly, as if to say, "Can we stop this now?"

But he closed his eyes, liking her answer, one hand going to the base of his soft pipe, which was starting to rise a little. She watched this with some mixture of fascination and alarm. He opened his eyes again. "Is there any part of you that is, even right now... Excited?"

His cock was rising. She was trying not to look at it. But the tension of the moment was getting to her. He lifted one foot over her chaise so that he could stand over her legs now, facing her, his crotch maybe three feet from her face. His eyes bored into hers: "Is there?"

Her answer was very quiet, but immediate, and unmistakable: "Yes."

His cock was rapidly approaching full erection now as he stroked it, taking a step closer to her. And then another one. His tall, powerful shaft was now easily ten inches long, and was nearing her soft lips. "Could you show me?" he asked quietly.

She stared up at him in disbelief. His cock was now at full erection, and inches from her lips. She looked at it. Ryan and I stared. It felt like the key moment, that would decide the direction this entire weekend would go. Would she shut him down here, and keep things business-like? Or would she reward his incredible arrogance, submit to his cockiness, and make it clear to all of us that she was going to surrender herself completely to him for the weekend, and let him pleasure himself in her and on her, whenever, wherever, and however he wanted to?

We all waited. Finally, without a glance in our direction, Kaki slowly moved her mouth in his direction. He eagerly met her halfway. And she planted a slow, soft kiss on the underside of his shaft, just below the crown. His huge cock jumped at her touch. He took it in his hand, pointing it now at her lightly opened lips. She hesitated a moment, and then, making an even bigger decision, she opened her mouth a bit wider.

He immediately pressed his massive crown between my baby's opened lips, and she let them slide slowly around it, engulfing it. Her hands were still gripping the arm rests of her chaise. He had one hand on the base of his shaft. The other he now gently placed on the back of her head. She let him.

I couldn't believe this was happening! This was supposed to be an impregnation -- pragmatic, practical, and hopefully efficient. Tears were coming to my eyes. Ryan was softly chuckling. "Now you see what I mean?" she whispered in my ear, before circling it with her cool, wet tongue.

It felt insanely good, as she pressed her nearly naked body against me now, holding me there, crotch on mine, my head in her hands as she kissed my face, but I was transfixed at what was happening between Kaki and Kyle. He was feeding the first few inches of his cock into her opened mouth, and she was totally taking it. He was fucking her beautiful face, much more aggressively than the other time.

She lie there, long beautiful legs crossed, her body seemingly at rest, while her lips and tongue submitted to the onslaught of his cock, and pleasured it. I hated seeing him touch her hair, her head, her face -- which he hadn't done the other time -- and realized how ill-prepared I was to see him truly take my woman from me -- to see her surrender her body to his and let him do whatever he wanted to her. Obviously it seemed like that was what was going to happen now. This was going to be no perfunctory fuck. He was going to go to town on her, all weekend, and apparently, she was going to go along with that.

And she must have been in no hurry to get that special load of sperm for the impregnation, because as he was saying, "I'm gonna cum, baby," she only redoubled her efforts, taking more of his cock in her mouth, showing him that she was willing to do more -- way more -- to submit to his pleasure this time. One hand went to the base of the shaft now as he placed both of his on her head, while her other hand cupped and caressed his massive testicles, coaxing the cum out of his body and into hers.

Then, with a massive groan, I could tell he was ejaculating -- his cock was jerking, his hips thrusting, and her Adams apple moving furiously as stream after stream of hot cum made its way down her throat.

She kept her beautiful lips wrapped around his shaft as he pumped his fluid into her. She seemed content to swallow every drop, but while still ejaculating, he pulled out. Whether it was a show for my benefit or simply because he loved the visual of it, he proceeded to spray several more bursts of thick white fluid onto her face and neck, then chest and stomach. She kept her mouth open the entire time, taking whatever found its way there.


chrislebo

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We heard the shower turn on in the master bathroom. Dazed and glassy-eyed, Kaki looked over at me, puckering her lips and sending a smooch in my direction, then a wicked smile -- biting her lip, fingers of one hand going to her clit while the other caressed her left breast. For a moment I thought it was an invitation -- that maybe I could take her while he was in the shower, but before I could take a step in her direction, she was scurrying off toward the bathroom, seemingly insatiable in her desire now for her muscular new lover and his massive cock.

Instead it was Ryan who led me by the hand to the bed and gave me a playful shove onto it. I sat on the end of it and she began to strip, standing there in front of me, my eyes glued to her spectacular body. My knees were spread open, and she crouched down now to pull off my shorts, and inspect my modest manhood from close up. Her hand encircled the base of the shaft and her lips moved in for a quick kiss on the crown. It jumped as Kyle's had when Kaki first kissed it earlier today, but rather than submit to an explosive face-fucking as Kaki had, Ryan stood up and pushed me back on the bed, then climbed on top of me.

From this position, I could see through the opened bedroom door and the partially steamed glass of the shower, inside of which, my wife-to-be was on her knees, cleaning Kyle's massive cock with her lips and tongue, one hand on each of his huge thighs as he stood before her, hands on her pretty head. She licked his shaft softly and slowly, but didn't object when he ****** the crown between her lips again and thrust his hips slightly: in fact, she bent her head back so he could actually begin to push deeply into her mouth and a couple of inches into her throat.

Ryan was on top of me now, but I wasn't inside her: instead, her hand was stroking my cock, as she pressed her glorious naked torso onto mine and whispered sweet nothings in my ear, also watching the two lovers in the shower: "It's always how it is. Once they have a taste of that huge cock, they turn into fucking porn queens, wanting to give him more pleasure than any girl's ever given him before, wanting to feel that power inside them, and take as much cum as they can from him."

But Kaki didn't take him all the way to orgasm on this blow job. Instead, she came out to join us, closing the bathroom door as she did so. Ryan was still on top of me, my head now hanging off the side of the bed that Kaki was approaching. As if they planned this, Kaki stepped right into position, offering the distended lips of her pussy to my mouth, as Ryan continued to stroke my cock.

I knew Kyle's cock had been inside her, had stretched her, and filled her -- and was soon going to do more of the same. I knew it was him who had gotten her this wet, this turned on; and in all likelihood it was only he whose cock would be parting these lips and luxuriating in the conquest of my gorgeous young woman any time soon. And yet still I eagerly kissed them and let my tongue paint the inner edges of her labia, as she ground her wetness against my hungry mouth. Maybe I was starved for any sort of connection at this point, so I continued even as Ryan said things like, "That's it baby, get her ready for Kyle's big cock to make a baby inside of her -- we know you loved watching him fuck her..."

Ryan was on top of me now, hands holding my arms on the bed, tits lightly pressed against my chest, legs bent and perched atop my thighs -- but I wasn't inside of her. Kaki was murmuring her approval as I continued to lick her pussy with abandon. "Is that right, baby? Did you get all turned on watching your friend fuck me with that great big cock of his?" Of course I couldn't answer, my mouth buried in her wetness. "You like getting me ready to take some more of him?"

"Oh, yeah, he likes it," Ryan breathed. "He likes it so much, he told me he'd like to be part of things, to help pleasure you both, and maybe get a taste of that big cock himself."

"Is that right honey?" Kaki said. "God, that turns me on so much. I think you should do it. Just surrender to him -- maybe he'll let you suck his big cock -- we can both share in his cum, I think it's only right..."

Kyle had entered the room. Kaki bent forward at the waist -- Ryan caught her there for a wet kiss -- and then lowered her breasts onto my stomach, spreading her legs further apart while remaining in contact with my mouth, continuing to press against me as I watched, upside down, Kyle approach -- with his towering erection in his hand.

Ryan and Kaki were really holding me down now as Kyle got into position, cock inches from my face and even bigger than I imagined it could look up close. I tried to pull my face away as his massive crown loomed larger, approaching Kaki's pussy, but as it made contact there, pressing so easily now between her wet lips, she shuddered and said, "Please baby, keep sucking my clit, this is so hot..."

And so I left my lips clamped there as Kyle's shaft -- just centimeters away -- sheathed itself, inch by massive inch, into my baby's pussy again, his enormous testicles getting closer and closer to my eyes in the process. She squealed in delight as he slid in and out of her, and I got the most up close and personal possible look at his hugeness fucking her. He pulled all the way out of her so that his crown was practically touching my nose, then teased her, thrusting just the head past her outstretched labia again and again.

Eventually, he (accidentally or on purpose) missed his target, and his cock head popped me in the nose. Then, he thrust into her so deep and hard his ball sac swung and hit me there -- hard! -- and I couldn't help but marvel jealously at the weight and mass of his huge nuts as they slapped, now, several times in a row against my face.

I couldn't hardly move if I wanted to her the way she and Ryan had me pinned there, so I just had to endure this indignity, but things were about to get a whole, whole lot worse. Without warning, I felt Kaki lift herself up a few inches from my outstretched lips, and found Kyle's cock head now taking their place! I closed my mouth in a hurry, but he was pressing his huge crown up against my lips, his hands now grasping the sides of my face, and somehow seeming to ***** my jaws open.

"Take it, baby, we all want you to," I heard Kaki coo, as Kyle ****** the business end of his cock between my opened lips. "Just open wide and surrender, baby... he's going to make you do it anyway..."

What? He was going to make me? What kind of conspiracy was going on here? For the first time, now I felt Ryan's wet sex lower itself onto my hard cock -- a feeling so magnificent that I guess I did relax my mouth muscles, because, Kyle proceeded to drive his enormous crown the rest of the way past my llips and into my mouth. It was outrageous, the invasion -- and the impossible girth of his cock, which ****** my mouth open so obscenely wide in order to accommodate it. I was speechless and in shock as I felt the head of his cock slowly push itself onto my tongue, sliding deeper and deeper into me!

"That's it, honey, take his big cock deep in your mouth where you want it," Kaki purred. "I want his cum inside both of us, baby, just relax and let it happen..."

"Oh, he's relaxed, alright," I heard Kyle sneer. "He's sucking my big cock like he was made for it -- his tongue is going crazy on my shaft, he's worshipping my hugeness and dying to swallow my jizz... I'm going to fucking fill his stomach with cum..."

"Oh, do it Kyle, this is so hot, make him yours!" I couldn't believe my fiancee was talking like this. She moved into position now to tease and suckle his enormous balls with her pretty little lips and tongue -- inches from my face, milking them so he could blast his cum into me!

Ryan had pulled off of me and was now perched on my chest, watching what was happening from close up: "God you're really making him suck your cock, this is so hot!" she enthused as Kyle worked his shaft back and forth, fucking my face with absolute masculine abandon, ******* his crown now against the back of my throat, which willingly in this position allowed him entrance...

"I'm ******* my cock down his throat," he gloated, breathing heavy now, nearing orgasm. "You're my fucking cockbitch -- take it, suck my big dick!"

If this trash talk bothered Kaki, someone should have told her pretty mouth, which was engulfing one of his giant testicles. Her delicate hands fondled the several inches of his shaft which was not impaling my helpless mouth, doing everything she could to pleasure his genitalia into its inevitable eruption inside of me.

When he neared ejaculation, I could tell -- things got very quiet, and if anything the six inches or so of shaft in my mouth seemed to get even thicker, and warmer, and begin to pulsate. When the cum came, it seemed to just rocket down that huge shaft and I could feel it spraying deep in my throat, and flowing down into my stomach.

"I'm cumming," he roared, "He's swallowing my fucking cum!" And I was, helplessly, for what seemed like several minutes. The girls just watched in absolute fascination, as finally he began to slide out -- as he had with Kaki -- only to then shoot rope after rope of thick fluid onto my face, and chin and neck. Soon it seemed my face was covered in his cum, which dripped slowly from m cheek down into my eyes, and he was using his head to scoop up drops and ***** them into my mouth, when he wasn't slapping my cheeks with his huge cock.

Kaki helped with the job, ravenously attacking his crown with her mouth again, eagerly licking up the cum from my face and neck -- kissing me softly in between licks, only to transfer more of his cum from her tongue onto mine. "I love you so much," she cooed as she did this. "Thank you for giving this to me..."

I lay there in shock after he was finished, the full weight of what this weekend was going to be now finally coming into real focus. Whatever it was to Kaki, it was clear that to Kyle, this was not just about fucking my woman. This was about humiliating me in front of her -- and ******* me to submit to him. It was about emasculating me. And this was only the beginning...

chrislebo

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#8,533
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Etape routière



Nous nous rendons assez souvent dans notre résidence secondaire, et ce, d'autant plus que nos enfants ***t grands et que nous pouvons les laisser sans crainte à la mai***. Nous aimons bien y aller, la région est belle mais surtout cela nous permet de nous détendre et nous permet de mieux récupérer de notre vie un peu trop stressante. Nous partons en général en fin de matinée, nous nous arrêtons dans un petit resto le midi pour arriver gentiment en début d'après-midi. Nous essayons à chaque fois de trouver un nouvel endroit pour manger quitte à sortir du parcours normal et à allonger un peu le trajet. Nous n'avions pas prévu d'y retourner avant trois ou quatre mois, mais j'avais décidé d'avancer la balade, mon épouse n'étant pas très en forme: une pré ménopause mal vécue qui avait doucement dégénéré en début de déprime. Le médecin de famille venait de lui prescrire des médicaments, les uns contre la dépression et les autres pour dormir. Cela faisait une semaine qu'elle avait commencé le traitement mais je prévoyais déjà de retourner consulter avec elle pour une médicamentation plus douce. Elle n'arrivait pas à émerger et à avoir toute sa tête avant le début d'après-midi et encore... Le seul point positif était que ces médicaments provoquaient un effet secondaire, ils levaient ses inhibitions. Cela retentissait sur *** activité sexuelle et elle était beaucoup plus disponible, consentante et coquine. Cela restait bien-sûr à confirmer, vu la prise récente de ces médicaments, mais je n'avais guère de doute étant donné l'évolution spontanée de sa libido. Attention, je ne dis pas qu'en temps normal Annie soit du type 'frigidaire', mais il lui faut de longs préliminaires, un cadre sécurisant et beaucoup de tendresse pour qu'elle puisse exprimer librement sa sexualité. Malgré tout, une fois bien excitée, elle me donnait satisfaction. Annie, bien que nouvelle quinquagénaire est très séduisante. Elle fait encore détourner le regard des hommes sur *** passage. Petite et menue avec des formes là où il le faut, les années l'ont relativement épargnée et elle parait facilement dix ans de moins. Ses seins ***t fermes et denses, *** fessier bien galbé, le ventre est musclé et plat, *** sexe bombé est accueillant et cerise sur le gâteau, elle a un visage d'ange. Elle peut comparer sans aucun complexe *** corps à des femmes beaucoup plus jeunes. De plus elle s'habille, à ma demande il est vrai, de façon franchement sexy, ce qui me plaît beaucoup. Trêves de gaudrioles, mon but est de l'aider un peu à reprendre le dessus et ce week-end ne pourra que lui être bénéfique.
Se rendre à notre résidence était assez facile, il faut dire que le trajet était principalement composé de routes à 4 voies, ce qui me permettait de rouler en bonne sécurité et dans un temps relativement court. Et nous voilà partis, Annie s'endormit à côté de moi dès les premiers kilomètres. Elle était très belle dans sa robe. C'était une robe courte classique en soie, boutonnée par devant, de couleur 'vert pâle'. Elle n'avait pas boutonné la partie basse de la robe qui s'était largement ouverte et laissait voir ses cuisses, le haut de ses bas, *** porte-jarretelles et *** minuscule string blanc qui rentrait dans le sillon de *** sexe épilé. Pour le haut, c'est moi qui, d'une main habile, tout en conduisant, ôta deux autres boutons et écarta un pan de tissu afin d'admirer un sein blanc, bien aréolée qui ressortait de *** soutien gorge ou plus exactement redresse seins puisqu'il ne cachait pas les mamelons. Je la laissais dans cette position et continuais ma route en rehaussant le chauffage de sorte qu'elle n'attrape pas froid. Cette demi nudité n'avait pas échappé à certains conducteurs car chemin faisant, quelques routiers, forts de leur position surélevée et de leur vue dominante m'envoyaient quelques appels de phares certainement pour m'inviter à me garer et pour combler madame. Cela m'excitait un peu et je décidais de m'en amuser. Je les doublais donc très lentement afin de leur faciliter la tâche pour admirer ma femme et ses attributs les plus charmants. J'imaginais leur émoi et leur frustration, mais comme disent souvent les plus jeunes: C'est pour le fun. Je n'avais jamais trompé ma femme et la réciproque était vraie, nous nous aimions depuis plus de trente ans et faisions la majorité de nos activités ensemble. Jaloux d'un côté comme de l'autre nous n'avions jamais laissé approcher quiconque, qui puisse mettre notre couple en péril. Annie avait de plus une morale judéo-chrétienne qui avait toujours mis des limites à toutes aventures et jeux sexuels non conventionnels. Alors faire jouer un peu à *** insu l'exhibitionniste à ma femme ne me déplaisait pas, mais sans aller plus loin, je ne tenais pas à voir ma femme se faire patouiller par d'autres hommes.
chrislebo

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Midi se profilant, je quittais l'axe routier principal afin de trouver, comme à notre habitude, un petit resto sympa. « Réveille toi » dis-je à mon épouse Petit à petit Annie sortit de *** sommeil mais elle était toujours sous l'emprise de ses médicaments. Nous roulions quatre à cinq kilomètres et découvrions une petite auberge en « bois et pierres » tout à fait typique. Seuls, quelques voitures et quelques camions étaient garés à côté, le long de la route. « On s'arrête ici? » Dis-je. « Si tu veux » me répondit Annie. Je garais la voiture, aidais ma femme à sortir de la voiture, refermais un peu le haut et le bas de la robe de sorte à cacher le string et les seins avant d'arriver devant l'auberge. Le menu était affiché à l'extérieur sur une ardoise protégé par un plastique. Il était simple mais séduisant: « Menu du jour unique: TOUT COMPRIS: Apéritif, terrine de canard, blanquette de veau, fromage, dessert et café / vin à volonté: 13 € » Après consultation réciproque, nous décidions que cela semblait correct, menu et prix et décidions de nous restaurer ici. En entrant nous aperçûmes quelques hommes, cinq à six représentants et autant de routiers d'après mes suppositions quand à leurs métiers, fort des véhicules garés devant l'auberge. « Bonjours messieurs » dis-je poliment. « M'sieur dame » fut la réponse tout aussi polie de la plupart des per***nes. La plupart d'entre eux était servi et mangeait. Nous voyant, l'aubergiste arriva, nous salua, nous proposa une table, se rinça copieusement l'œil sur la poitrine de ma femme via l'ouverture de sa robe, nous proposa l'unique menu, *** apéritif mai*** et nous laissa. J'aurais dû boutonner et le haut et le bas de la robe avec plus de célérité car à la moindre rotation, de ma femme, dévoilait sa poitrine et si *** sexe était à peu prés caché, le haut des bas et le porte-jarretelles étaient visibles une fois ma femme assise, les bords de la robe tombant de chaque côté. Enfin qu'importe, cette situation continuait de m'amuser et me procurait même un certain plaisir. Sans tenir une forme olympique, Annie reprenait ses esprits, petit à petit et commençait à discuter un peu. L'apéritif arriva, il s'agissait d'un punch créole plutôt corsé. « Fais attention ma chérie, ce n'est pas recommandé avec tes médicaments » Mais sans me répondre, elle sirota *** verre. Annie rit et me fixa: « Je suis bien mon amour, tu as bien fait de me proposer ce week-end, je me sens déjà mieux » Nous discutions de tout et de rien, des enfants, de leurs études, des petits travaux que nous aurions à faire sur notre mai*** et bien d'autres choses encore. Voyant l'aubergiste revenir avec le repas, elle prit mon verre et finit l'apéritif que j'avais laissé (conduite oblige). Je ne dis rien, heureux à mon tour de la voir un peu mieux bien que ses yeux soient trop brillants et la voix encore pâteuse et hésitante. Le repas servi, Annie mangea de bon appétit et bu du vin rouge rai***nablement. Pour ma part, je mangeais mais ne buvais plus, si je trouve certaines mesures qui touchent l'automobiliste, scandaleuses et une atteinte grave à la liberté individuelle, le fait de ne pas boire, notamment lorsque l'on prend la route pour de nombreux kilomètres tient plus du bon sens que de la répression. Plusieurs per***nes étaient arrivées depuis et l'auberge commençait à se remplir et chacun ou presque se rinçait l'œil sur les seins et sur ses cuisses ou plus de mon épouse. Nous finissions tranquillement notre dessert, notre résidence n'était plus très éloignée et per***ne ne nous attendait. « Je vais aux toilettes avant de partir » me dit-elle. Si au début l'alcool lui a donné un petit coup de fouet, l'effet s'est inversé et Annie donnait l'impression de « quelqu'un qui a bu un petit coup de trop », pas saoule, mais plutôt apathique. Elle prit *** sac à main, traversa la salle sans trop tituber et se dirigea vers le panneau « TOILETTES ». Je me disais qu'Annie était vraiment belle et sexy. Et l'intellect n'était pas en reste: forte d'un diplôme universitaire et d'une situation professionnelle correcte, elle amenait une contribution financière au couple qui nous permettait de vivre sans trop de soucis. La vie est une loterie et j'avais vraiment tiré le gros lot. Le repas terminé, je commandais un petit café en l'attendant. J'en profitais pour lire le journal qui était à disposition. Dix minutes plus tard ne la voyant pas revenir et désireux moi aussi d'alléger un peu ma vessie, je me levais à mon tour, traversais la salle et arrivais dans un couloir avec deux portes. Sur celle du fond on pouvait lire « wc », l'autre à côté était vitrée et donnait à l'extérieur. La porte était entrouverte mais Annie n'était plus là. Le local était spacieux et comprenait un évier, des serviettes bien pliées, rangées sur une étagère et le bidet. Le tout était très propre à l'image de l'auberge. La chasse d'eau étant en train de se remplir, je supposais qu'elle venait juste de sortir et qu'elle avait pris la porte sur l'extérieur, soit volontairement pour prendre un peu l'air, soit involontairement, ce que je pensais étant donné *** état. Quoiqu'il en soit, un peu d'air l'aiderait à retrouver ses esprits. Je pris donc le temps de faire mes petits besoins puis sortis pour emprunter à mon tour la porte vitrée. Elle donnait sur une grande cour non fermée qui elle-même donnait sur des champs dans lesquels gambadaient quelques poneys et chevaux. Un petit hangar était situé sur la gauche, formant un « L » avec l'auberge. Sur la droite, dans le hangar, une partie neuve était visible. Elle représentait environ un tiers de la largeur totale. Le reste du hangar, à gauche donc, s'étendait sur les deux tiers restants. J'avançais, curieux de visiter l'endroit mais surtout soucieux de trouver ma femme en supposant qu'elle soit entrée dans le bâtiment. J'entendis des voix d'hommes, hésitais, puis me décidais à m'approcher quand même pour demander s'ils l'avaient vue. J'avançais malgré tout discrètement.
chrislebo

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J'aperçus Annie qui discutait avec eux ou plutôt l'inverse. Ils étaient debout, à l'entrée du hangar. « Vous voyez bien que je ne vous avais pas menti » dit l'un d'eux. Ils faisaient partie des gens que j'avais catalogués comme routiers et qui étaient arrivés après nous, l'un était grand et obèse, l'autre plutôt chétif. Le « chétif » tourna un interrupteur qui commandait des projecteurs et ils s'enfoncèrent dans la partie non rénovée, maintenant bien éclairée. « Avant il n'y avait pas besoin d'éclairer mais depuis que la pièce a été faite, on n'y voit plus rien. Même la fenêtre installée à l'intérieur sur le nouveau mur ne suffit pas à laisser passer le jour » dit le chétif Ils lui montrèrent un vieux et volumineux pressoir et expliquèrent qu'avant cet endroit servait à faire du cidre et que la bâtisse avait plus de 200 ans. L'aubergiste était un ancien routier qui avait racheté l'endroit et l'avait transformé. *** épouse s'occupait principalement de la cuisine et lui de la salle. Il avait réhabilité l'ancien matériel tel que le pressoir pour *** plaisir mais avait refait à neuf l'intérieur du restaurant et construit cette partie neuve à droite sur toute la profondeur du hangar pour faire des chambres d'étape pour les routiers. Dans l'immédiat une seule chambre occupait toute la partie rénovée, faute de moyen pour construire les autres. Le hangar serait certainement rénové lui aussi, mais pour l'instant il avait uniquement installé des rideaux métalliques à commande électrique pour pouvoir le fermer. Les routiers, dont nos 2 compères, l'avaient aidé à faire cette pièce et lui garantissaient un roulement global plus que suffisant pour qu'il puisse vivre de *** investissement. En fait tous les routiers s'arrêtaient manger ici et râlaient même lorsqu'il n'y avait plus de place. En contre partie il louait la chambre pour seulement 10 € la nuit ou la journée et le repas était facturé un peu moins cher que celui affiché pour les per***nes de passage: représentants, touristes et gens de la région. En fait, d'où j'étais, je pouvais voir le mur récent muni d'une porte en façade et d'une grande fenêtre en liai*** avec l'intérieur. Je m'apprêtais à les rejoindre quand l'un d'eux dit: « Ca ne vous dirait pas de visiter une chambre de routier à tout hasard, vous verrez y'a tout le confort: lits, table, chaises, douche et même un réchaud à gaz et de quoi cuisiner un peu? » « Euh! , je ne sais pas » balbutia Annie Les deux compères s's'esclaffèrent. Je me rapprochais, toujours en évitant d'être vu. Annie était au milieu, elle tituba un peu et préféra s'asseoir sur une vieille table de ferme et posa ses pieds sur le rebord d'une grosse brouette en bois. Les deux pans de sa robe s'écartèrent et pendirent de chaque côté des cuisses et l'on put admirer une bonne partie de *** anatomie. Seul les seins restaient à peu prés recouverts. Elle leurs souriait bêtement. Le plus petit des deux, face au spectacle et au manque de réaction s'encanailla et posa une main sur un genou. « N'ayez pas peur ma petite dame, on ne veut pas vous faire du mal, bien au contraire » dit-il.
chrislebo

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J'hésitais mais plutôt que d'intervenir et tout arrêter de suite, je laissais les choses se faire. J'arrêterais ce jeu le moment opportun. Je me demandais ce que pensait ma femme à ce moment. Était -elle lucide? Jusqu'où irait-elle? Annie tenta d'enlever la main de *** genou. Mais le plus gros s'enhardit aussi et passa une main derrière le cou, sur une épaule, ce qui écarta le haut de la robe et dévoila un sein. D'où j'étais, je pouvais admirer le mamelon rose qui ressortait sur le blanc de la peau laiteuse de la glande mammaire qui avait nourri mes enfants. Je ne le voyais pas d'ici mais j'étais sûr que le téton s'était redressé, Les tétons d'Annie étaient très sensibles. Ma femme ne disait toujours rien et continuait de sourire tout en essayant de se libérer. La main du chétif monta pour caresser l'intérieur des cuisses au-dessus des bas. « T'as vu que j'avais bien vu dans le resto, elle est toute lisse, pas un poil » dit-il. Les 2 gaillards prenaient de plus en plus d'assurance. Bien que ma femme ait saisi *** poignet, Chétif s'aidant de l'autre main, avait écarté légèrement le string et frottait lentement et longuement la fente du sexe. De longs va et vient interminables qui s'attardaient à chaque passage sur le clitoris. Annie résistait de plus en plus mollement. Il introduit ensuite *** doigt dans le vagin. Elle avait toujours les yeux vitreux mais ses joues s'étaient rosies. Le gros pelotait avec amour le sein qui débordait. Il s'arrêta puis dégrafa tous les boutons de la robe, qu'il ouvrit entièrement. Il se baissa un peu et commença à téter les mamelles en titillant le bout avec sa langue. Ma femme à ce moment cessa complètement toute résistance. « Mets-toi debout » lui dit-il. Toujours sans protester, Annie se leva et Gras-double, lui ôta la robe qu'il lança dans la brouette. Elle était vraiment sublime dans sa petite tenue et ils s'arrêtèrent de la toucher pour mieux la contempler. « T'es vachement bien gaulée ma salope » dit Gras-double. « Profitons en puisque madame est une grosse cochonne et que *** mari bouffe pendant qu'on baise sa pute » dit Chétif. « Bande de cons » me dis-je tout bas. Se plaçant derrière mon épouse, gras-double recommença à passer les mains sous les seins. Il les soupesait, les tâtait, les écrasait. Ses doigts boudinés remontèrent peu à peu et titillèrent les bouts, Chétif se mit devant elle et l'embrassa avec fougue sur la bouche, enfonçant sa langue au plus profond. Annie pencha la tête attira Chétif et l'enserrant entre ses bras, lui rendit *** baiser. La situation évoluait mais la scène était troublante et je n'intervenais toujours pas. « Attend un peu » dit Gras-double « On va aller dans la chambre, si Dédé voit qu'on baise une de ses clientes pendant que *** mec est au resto, il va nous faire un caca nerveux » « T'as rai***, d'autant que *** mec risque de la chercher, je la tripote encore un peu, juste histoire de bien la faire mouiller ensuite je vais dire à Dédé que l'on se repose un peu dans la piaule et on se la tape » « Ok, fermes un peu les volets extérieurs! Fermes aussi le rideau métallique, que l'on soit tranquille! » Sans attendre, je m'esquivais rapidement profitant du laps de temps inconnu que me laissait Chétif pour ne pas me faire découvrir. J'aviserai plus tard J'arrivais au bar et demandais l'addition. Aussitôt dit aussitôt fait, il est vrai que le menu unique tout compris facilitait la vie. Je réglais, félicitais le patron pour *** repas et *** auberge, pris la veste d'Annie, la mienne et sortis normalement de l'auberge comme si mon épouse m'attendait dehors. Il fallait rapidement que je me décide. Sans trop prendre le temps de réfléchir, je rentrai dans la voiture, la démarrai et allais la garer devant le camion le plus éloigné afin qu'elle ne soit plus visible du restaurant. Je plaçais mes affaires dans le coffre, fermais la voiture et retournais au hangar par l'extérieur. Ceci ne me posa pas de problèmes particuliers, la bâtisse était en bord de route et aucune barrière n'empêchait de contourner et de passer par derrière. Je dus cependant passer devant la fenêtre extérieure de la chambre qui donnait sur la cour. Je devais faire attention afin de ne pas me faire repérer.
chrislebo

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#8,537
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Je jetais malgré tout un œil furtif par la vitre mais Gras-double était bien trop occupé pour me voir, il était à quatre pattes, la tête fourrée entre les cuisses d'Annie, en train de lui bouffer la foufoune et le cul. Ses grosses mains lui pelotaient les fesses et ils passait sa langue de l'anus jusqu'au clitoris. « Merde », la situation avait évolué plus vite que je l'avais prévue. C'est contrarié que je quittais la fenêtre. Je passais devant la porte d'entrée qui avait été fermée, pour m'introduire dans le hangar, toujours ouvert (ouf !). La lumière était éteinte mais il faisait suffisamment clair pour ne pas trébucher au premier obstacle venu et je me cachais derrière le pressoir. A peine deux minutes venaient de passer quand Chétif revint. Il actionna un boîtier et les rideaux métalliques se fermèrent. Le noir s'abattit! Chétif avait dû fermer les volets extérieurs car aucune lumière ne filtrait. Sur le coup j'eus peur de ne pouvoir me mouvoir dans la pénombre mais l'ampoule de la chambre s'alluma et la lumière que laissait passer la fenêtre fut suffisante pour pouvoir marcher normalement. Je m'approchai de la fenêtre. Elle était entrebâillée et un rideau en voile blanc la recouvrait au trois-quarts. Ainsi dans le noir, il y avait peu de chance que l'on me repère et je pourrais intervenir pour stopper tout cela dès que je le voudrai. La fenêtre entre-ouverte me permettait d'entendre ce que disaient les occupants de la chambre. Chétif n'avait pas repris ses occupations sur Annie, Gras-double allongé sur le lit focalisait maintenant sur les seins et les suçait avidement, les pointes étaient érigées et Annie commençait à gémir doucement. Il avait quitté le pantalon et *** sexe dressé dépassait de *** slip, je me demandai si je n'étais pas arrivé trop tard et si ma femme ne s'était pas déjà faite enfiler. « C'est bon, Dédé est d'accord, je lui ai dit que nous étions fatigués et de ne pas nous déranger pendant la sieste. « Y'a pas de lézard » qu'il m'a répondu. « Pour le mari j'ai été discret mais je n'ai pas tout suivi, Dédé m'a dit qu'ils étaient partis tous les deux, il a payé et c'est barré. Sa voiture n'est plus devant le resto » « T'as pas confondu la voiture » répondit Gras-double. « Ben voyons, quand tu m'as prévenu à la CB qu'une gonze à moitié à poil arrivait à ma portée dans une super bagnole, j'ai maté un max. Et j'ai regardé quelle voiture c'était, j'ai même relevé le numéro d'immatriculation des fois que je les aurai revus sur une aire de repos, on ne sait jamais! » « Ecoute, ils se ***t peut-être engueulés... Et puis on s'en fout, il s'est barré et on a sa chaudasse » dit Gras-double en conclusion. « Oui t'as rai*** » Gras-double lâcha les seins de ma femme pour quitter *** slip. Il possédait un sexe de bon diamètre et particulièrement long, au-dessus de la moyenne en tout cas. « Viens par-là ma salope » dit-il. Il se leva, s'assit sur une chaise, attrapa Annie et la plaça devant lui, les fesses au niveau de *** visage. « Tu m 'excuseras » dit Gras-double » Je me la suis déjà embourbée, quel panard, c'est une pute de première, elle s'est rebellée un peu au début et a appelé *** bonhomme, mais une fois, enfilée, elle a fermé sa gueule et a commencé à gémir de bonheur et à mouiller de plus en plus belle, c'est elle qui s'agitait sur ma queue comme une malade » A ces mots mon cœur ne fit qu'un tour, je n'avais pas su maîtriser la situation et pour la première fois de ma vie, je n'étais pas là pour ma femme. Annie venait de me tromper avec un pur inconnu et moche de surcroît et ce, par ma faute. Je ne savais plus ce que je devais faire, Ce qui ne fut pas le cas de Gras-double. Il prit Annie par la taille, elle écarta les cuisses, il pointa *** gland sur la vulve et se l'enfila de nouveau devant moi. *** sexe énorme l'empala en une seule fois, ma femme écartait les cuisses au maximum. Aidée par *** amant elle commença un lent va et vient, le membre entrait et sortait de ses chairs roses et humides, une grosse main vint lui écarter les lèvres ourlées et un doigt lui titilla le clitoris. Chétif s'approcha, l'attrapa par les cheveux, lui ouvrit la bouche avec les doigts qu'elle lécha puis il lui enfourna *** braquemard dans la cavité buccale.
chrislebo

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#8,538
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Il s'activa lui aussi avec une ardeur non feinte. Il ressortait *** sexe de temps à autre pour le frotter contre le visage et les lèvres afin de l'enfourner à nouveau. Gras-double hurla de plaisir, il venait d'envoyer *** foutre chaud dans le ventre de ma femme qui sentant les spasmes avait resserré ses cuisses pour en profiter au maximum et aussi donner plus de plaisir à *** amant. « Putain j'en pouvais plus » dit-il « tout à l'heure j'ai pu me retenir en t'attendant mais là, wouahh! » « Merde et remerde » me dis-je « j'aurais pu éviter qu'elle se fasse remplir ». Mais à vrai dire, je me mentais, j'étais en pleine érection et je jouissais de voir ma femme se faire baiser par deux inconnus. Ce fut au tour de Chétif de vider ses couilles dans la bouche et la gorge de ma femme. Elle avala tout le foutre sans en perdre une gorgée et ne lâcha prise que lorsque le phallus fut devenu tout mou. Il ressortit propre et nettoyé, exempt de toute trace de sperme. « Putain on a du mal à suivre » dit Chétif en regardant *** ami qui avait lui aussi les couilles vides. « Attend un peu, on va la goder en attendant de retrouver notre vitalité ». Gras-double se leva, alla dans le tiroir de la table et sortit tout un attirail sexuel allant du gode au martinet. « Hé hé, heureusement que les routiers ***t prévoyants » dit-il. Et ils allongèrent Annie sur la table la face en avant. Avant même qu'on lui demande de faire quoique ce soit, elle écarta les cuisses afin de laisser à ses deux amants toute latitude. Le sperme dégoulinait de sa chatte et Chétif muni d'un gros gode noir, s'en servit comme lubrifiant. Il remplit rapidement l'orifice avant de commencer de long va et vient. Ma femme continuait de gémir et Chétif décida de passer à la vitesse supérieure, il lui cracha plusieurs fois sur le trou de cul et entreprit une nouvelle pénétration, anale cette fois. Le gros gode entra difficilement dans l'anus et c'est seulement après plusieurs essais qu'il put commencer à introduire le vibro-masseur. C'est en avançant et en reculant l'outil petit à petit que chétif arriva à ****** et à dilater l'entrée et enfin à enfoncer la tête du gode dans le cul. Et comme on dit, quand la tête rentre, tout rentre. Mon épouse se plaignit à peine malgré la douleur, s'écartant au maximum pour favoriser sa sodomie. (Ce fut une journée où Annie écarta beaucoup ses cuisses) Le gode s'enfonçait lentement mais sûrement dans les intestins, Annie se trémoussait le cul et lançait des cris langoureux. Gras-double maintenait les fesses écartées des deux mains pendant que Chétif enfournait. On ne voyait maintenant, plus qu'une petite dizaine de centimètres ressortir de l'anus. « Putain ça bloque, je dois être arrivé au sphincter. Regarde si y'a pas de vaseline ou un truc gras » dit Chétif Gras double lâcha les fesses qui se refermèrent sur le gode et s'exécuta. Après avoir cherché à différents endroits, il trouva *** bonheur » « Pain de Végétaline, ça te va » « C'est pour les frites mais ça devrait faire l'affaire, amène! » Il ressortit lentement le gode du fion de ma femme, enduisit copieusement le bout du plastique avec la graisse à frite, enfonça des morceaux de végétaline dans le colon avec ses doigts et frotta l'entrée avec le reste du pain. Puis il reprit aussitôt la sodomie. « Elle n'a jamais dû se faire enculer, c'est tout serré! » Dit Chétif. En effet Annie m'avait toujours refusé *** petit trou, arguant que c'était contre nature. C'étaient deux sales cons qui ne la connaissaient que depuis quelques dizaines de minutes qui lui prenaient *** pucelage anal. J'en étais malade.
chrislebo

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#8,539
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Après quelques mouvements, et beaucoup de doigté, la résistance du sphincter fut vaincue. Ma femme lança un petit cri. Il ne restait plus rien de visible que le variateur de vitesse du vibro qui dépassait. Elle en avait au moins trente centimètres dans l'oignon. Chétif tourna la molette du capuchon et le vibro se mit en route. Annie se tordait dans tous les sens. Elle avait resserré les cuisses afin d'intensifier le frottement contre ses parois anales. Elle attrapa Gras-double par la cuisse, l'approcha puis elle lui prit le pénis toujours flasque, l'amena à sa bouche et commença à sucer le gros gland de notre homme. L'effet se fait sentir et Gras-double vit rapidement *** phallus reprendre forme et envahir l'espace buccal de ma petite chérie. Pendant ce temps, Chétif, qui lui aussi avait récupéré, enleva le gode de l'anus. Il présenta *** gland devant le trou du cul et reculant ses reins, comme pour prendre de l'élan, encula Annie sans coup férir. Tout rentra en une seule fois, jusqu'aux bourses. Et il commença à s'activer. Je voyais *** sexe entrer et sortir des intestins de mon épouse. Il la tenait par les fesses et donnait de grands coups de boutoir afin de l'enculer bien à fond. « Putain, elle me va comme un gant, on dirait qu'elle est faite pour ma queue » dit-il en haletant De l'autre coté, Annie engloutissait totalement le sexe dans sa bouche, elle fermait les yeux, elle était au bord de la jouissance remuant sa croupe comme une chienne en chaleur. Chétif s'activait aussi de plus en plus et c'est ensemble que Chétif et elle, crièrent de bonheur. Chétif venait de s'enfoncer *********** afin de lui injecter sa purée, bien au fond de *** superbe cul. C'était la première fois que ses intestins recevaient un nombre incroyable de spermatozoïdes. Gras-double lui partit peu de temps après. Il se retira de la bouche et lui envoya *** foutre en pleine face. Ses yeux, sa bouche étaient couvert d'un jus épais et jaunâtre. Elle dégoulinait de partout et essayait de récupérer ce qu'elle pouvait avec sa langue. Le moment de bonheur passé, gras-double reprit ses habits s'essuya un peu et s'habilla. « Qu'est-ce que tu fais ? » demanda Chétif. Il avait *** sexe qui ramollissait et qui ressortait doucement du puits à plaisir de sa maîtresse. « Habille-toi, j'te paie une bière » « Et ma chaudasse? » « On la laisse là pour l'instant, que veux-tu qu'on en fasse? Je suppose qu'elle va se vêtir et se casser, si elle est encore là quand on revient, je lui en mettrai un coup dans le cul, ma femme m'a toujours refusé *** petit trou et j'ai envie d'essayer ».
chrislebo

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#8,540
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Nos deux compères hilares et comblés réajustèrent leurs vêtements et partirent bras dessus, bras dessous arroser leurs prouesses. J'attendis un peu puis, toujours le sexe en érection, cherchais le moyen de sortir d'ici. Il faisait plus sombre au niveau du rideau en métal mais je trouvai rapidement le mécanisme électrique et actionnais la commande d'ouverture. Le rideau se leva avec le bruit caractéristique des portes mécaniques en métal, mais qu'importe, nos deux compères avaient maintenant les bourses à plat et je ne pensais pas qu'ils se souciaient encore de ma femme, enfin pas d'ici le temps qu'ils récupèrent. Je sortis du hangar et entrais par la porte de la chambre. Annie était sur le dos en train de se caresser l'entrejambes et les seins. Elle semblait sexuellement déchaînée et bien que mon sexe soit encore bien dur, je préférais maintenant m'éloigner de cet endroit et rejoindre au plus vite notre résidence secondaire, qui n'était plus très loin d'ici d'ailleurs. « Chérie, c'est moi » Elle s'arrêta de se caresser, se redressa, me sourit et m'attrapa pour m'embrasser. « Ca va » lui dis-je. « Ca va, ça va » me dit-elle, encore vaseuse. « Tu es un vrai coquin pour m'avoir organisé une fête comme ça » Elle parlait et agissait comme quelqu'un de drogué pour qui, une fois shooté, s'envoyer en l'air avec deux inconnus était chose normale. « Bon, on y va maintenant » lui dis-je doucement. Je retournais chercher sa robe dans la brouette, l'aidais à essuyer le sperme qu'elle avait sur elle, essuyais le surplus de végétaline qui avait fondu au contact de sa chaleur corporelle et dégoulinait de *** petit trou du cul (plus si petit que ça d'ailleurs), sur ses cuisses et l'aidais à se vêtir. Je finis de reboutonner sa robe et l'attrapais pour partir quand j'entendis une voix à l'entrée de la porte. « Tiens, tiens, on s'en va déjà s! » Je me retournais et découvris mes 2 compères accompagnés de trois autres hommes.
chrislebo

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#8,541
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« Oui on part maintenant » répondis-je sèchement. « Madame n'est peut-être pas de cet avis » rétorqua Gras-double « Hein! , Madame ? ». Il s'approcha d'elle pour l'attraper par la taille mais avant qu'il ne l'ait touché, je lui envoyais un uppercut dans le ventre qui le plia en deux. Avant que j'ai pu lui donner l'estocade, ses compagnons m'attrapèrent et me maîtrisèrent sans violence. « Vous savez que nous serions en droit de porter plainte contre vous » me dit l'un d'entre eux. « Moi aussi pour le viol de ma femme » répondis-je du tac au tac « Quel viol? , madame a toujours été consentante et vous? vous étiez où? vous vous êtes barré en la laissant seule, elle s'est vengée, c'est tout. » dit Chétif « De plus, le rideau du hangar était fermé, vous l'avez ouvert. Je suppose que vous cherchiez quelque chose à voler avant de partir? » Ne pouvant dévoiler la vérité, je demandais à nouveau de nous laisser partir. « Si madame ne veut plus de nous » dit Chétif « vous pourrez y aller » En disant cela, il s'approcha d'Annie, lui passa la main sous la robe et lui pétrit le sexe. Pour mon plus grand regret, à peine vingt secondes plus tard, Annie écarta de nouveau les jambes, embrassa goulûment Chétif, lui ouvrit la braguette et sortit *** sexe encore mou pour lui caresser le bout du gland... « Baisez-moi » dit-elle en les regardant. « Attachez le avant qu'il blesse quelqu'un » dit Gras-double en me regardant avec un sourire narquois. Ce qui fut dit, fut fait et je me retrouvais rapidement ligoté sur la chaise de la chambre avec un bâillon sur la bouche. Chétif, encore rassasié appela ses amis et dit: « Elle est à vous les gars! » Les trois nouveaux lascars l'entourèrent et lui ôtèrent à nouveau ses vêtements, elle se retrouva rapidement uniquement vêtue de *** porte-jarretelles et de ses bas. Ils l'allongèrent dos sur la table. Un grand balaise, aux cheveux roux, lui écarta les cuisses, se baissa et commença à explorer l'intimité d'Annie avec sa langue, s'attardant longuement sur le clitoris qui avait maintenant la taille d'un haricot. Il lui aspirait sa liqueur d'amour dans un bruit de succion. Puis il se redressa, ouvrit sa braguette sortit *** phallus petit mais très épais, la prit par dessous les cuisses et s'introduisit en elle. Ma femme s'ouvrit à lui, à croire qu'elle avait fait cela toute sa vie. De *** côté elle n'était pas restée inactive puisque les deux autres nouveaux avaient sorti leurs queues et qu'elle s'activait avec frénésie sur elles, suçant et branlant alternativement l'une et l'autre. Le premier à lui remplir la gorge fut le petit chauve, il s'essuya la bite dans ses cheveux et alla, les couilles à l'air se reposer sur le lit. Elle avala, déglutit et reprit *** activité. Je remarquais que chétif et Gras double n'étaient plus là. Je redoutais qu'ils soient partis chercher d'autres copains à eux. Un petit bout de temps après, Rouquin déchargea à *** tour dans mon épouse, la remplissant d'une partie de lui-même qui en d'autres temps aurait pu la féconder et arrondir *** ventre. Il ne restait plus qu'un homme, typé nord-africain très longiligne qui s'activait dans sa cavité buccale. Il jouait avec ma femme, se retirant de la bouche pour qu'elle sorte sa langue afin de continuer à le sucer, frottant *** gland contre le visage, les yeux, le nez, les seins. Il s'accroupit au dessus de sa bouche et elle lui avala les deux bourses le faisant parfois grimacer de douleur. Elle lui lécha l'anus comme pour le nettoyer, tentant de lui introduire le bout de la langue dans le colon. (J'ai toujours soupçonné ma femme d'un petit fantasme lesbien, qui à priori se confirmait) La place étant libre devant, il décida de changer de jeux, il fit le tour attrapa le gode noir en passant et le donna à Annie qui se l'enfourna aussitôt dans la bouche et le suça comme une vraie bite.
chrislebo

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#8,542
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Il la retourna, lui passa les deux pouces entre les fesses et les écarta. Il ajusta sa grosse bite à l'entrée du trou noir et l'encula à *** tour. Il lui ramona l'anus se retirant presque entièrement et en s'enfonçant au maximum, Annie avait l'air de bien aimer ça car elle poussait des petits feulements de plaisir. Il pénétrait lentement dans *** orifice et se retirait, il recommença plusieurs fois l'opération. Puis il se retira complètement, il regarda autour et lui et aperçu le pain de végétaline. Il alla rapidement le chercher puis s'enduisit la main droite avec. Une fois bien grasse, il passa un doigt dans le cul d'Annie, puis deux, puis trois. Annie se trémoussait. Il continua, sa main était fine et allait et venait, rentrant plus loin à chaque fois. Il prit *** temps et finit par la rentrer complètement dans le fion. On ne voyait plus que *** poignet. Il força encore un peu le passage et l'os du poignet disparut. Annie était aux Anges. On entendait ses râles « Encore, plus loin, hum! » Je n'avais jamais imaginé que mon épouse pouvait être aussi salope et lubrique. Malgré ses airs de petites bourgeoises, elle se dévoilait aujourd'hui, comme une nymphomane lubrique et perverse. Je ne pensais pas non plus qu'elle fût capable de se faire bourrer tous les orifices avec des diamètres pareils. J'imaginais déjà des fêtes dans notre mai*** où je la livrerai à mes amis pour des gangs bang endiablés. *** amant retira sa main, l'anus était tout dilaté, une canette de bière aurait pu rentrer sans problème. Il recommença l'opération mais cette fois ci dans la foufoune, la main n'entra pas aussi loin mais elle rentra. Il la travailla ainsi quelques minutes s'arrêtant de temps à autre avant qu'elle ne jouisse pas. Puis il ressortit la main, Annie avait ses deux trous complètement dilatés « Qu'est ce qu'ils foutent à côté? » dit Rouquin en entendant le rideau du hangar se lever. « T'inquiète! » dit Nord-africain, on a prévu une petite surprise. Rouquin regarda par la fenêtre du hangar et s'exclama: « Oh les cons! » Nord-africain reprit sa place dans la bouche de ma femme en maintenant sa mâchoire d'une main afin de donner la pression qu'il voulait sur sa verge et il éjacula. Il maintint la mâchoire pour s'assurer qu'elle avalerait bien toute sa semence, ce que docilement, elle fit. Il reprit le vibro et lui remis dans la bouche. D'où J'étais, je ne voyais rien, je remarquai qu'ils avaient allumé les projecteurs mais c'est tout. Nord-africain regarda ma femme et lui dit: « Aimerais-tu avoir une belle surprise ma chérie? » « Humoui, moui » répondit-elle la bouche pleine. « Alors t'excites pas sur le vibro ma poulette, si tu aimes sucer, tu vas être servi » dis Rouquin Il lui ôta le gode de la bouche l'attrapa par la main, la mit debout et dit: « Viens chérie, comme tu as été très sage, mes potes et moi, on t'a fait un cadeau de choix » Et tous les quatre passèrent la porte, éteignirent la lumière et m'enfermèrent à l'intérieur, la bite en feu. Annie n'avait plus l'air d'être sous l'emprise des médicaments et elle était au comble de l'excitation.
chrislebo

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#8,543
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J'essayais en vain de me libérer. J'entendais uniquement des voix, des rires et le rideau métallique se refermer, mais ne voyais plus ce qui se passait. « Allez vas-y » « Allez un petit effort, ton mari sera fier de toi, hé hé » « Là c'est bien » etc. etc... A l'aide du bout de mes pieds, bien que ligotés j'arrivais lentement à faire glisser la chaise sur le sol et j'avançais ainsi, petit à petit, vers la fenêtre. Encore un effort à faire et j'y étais. Je m'installais le plus confortablement possible et suis stupéfait de ce que je découvris. C'était tout bonnement aberrant. Elle est assise sur un tabouret devant le sexe énorme d'un poney de bonne taille qui commençait à bander. A coté d'elle se tenait Rouquin qui lui tenait les mains autour du sexe de la bête. Elle avait du effectivement retrouver ses esprits car elle rechignait à branler le quadrupède. Voyant cela, Rouquin la souleva et s'assit sur le tabouret Il brandit fièrement *** phallus revigoré par la scène et sans qu'elle ait eu le temps de protester se l'enfila sur le bout de la queue pour la seconde fois. Annie se secoua, essaya sans beaucoup de conviction de s'échapper, mais rouquin la tint fermement. Il lui caressait alternativement les seins et le clitoris. Peu à peu, l'excitation et le désir prirent le dessus elle cessa de s'agiter sauf pour mieux s'empaler sur *** amant. Excitée par Rouquin et les recommandations qu'il lui prodiguait à l'oreille, c'est elle seule qui timidement attrapa le phallus du poney à deux mains et commença à le masturber. Le poney avait la taille d'un petit cheval avec des attributs plus que représentatifs. Ma femme savait vraiment y faire avec les bites, la bête était maintenant en pleine érection. *** sexe devait mesurer au moins 60 centimètres de long, pour un diamètre de sept à huit centimètres. Les autres routiers maintenaient la bête qui essayait de grimper sur ma femme comme sur une jument. Annie se faisait toujours usiner par *** amant, il lui parla à l'oreille, elle ouvrit la bouche en grand et présenta le gland du poney sur ses lèvres. « Bravo » crièrent les routiers, heureux d'arriver à leurs fins « Quelle truie à bite celle là, c'est la première fois que je vois une salope pareille » dit l'un. « T'as rai***, quel panard cette nana » répondit l'autre. Elle fit lentement pénétrer la bête dans sa cavité buccale et constatant que cela ne lui posait pas de problèmes, enfonça le pénis ****** plus loin dans sa gorge. Annie avait englouti une bonne dizaine de centimètre et avait commencé un long va et vient, sa bouche était complètement remplie. Rapidement le poney eu des soubresauts et éjacula dans la gorge et sur le visage de ma femme. Ne pouvant avaler assez rapidement, le sperme giclait à la commissure des lèvres et coulait sur le menton. « Y ***t rapides ces bestiaux » dit l'un des hommes. Elle avala le plus de sperme qu'elle pouvait, il était beaucoup plus abondant que le nôtre et semblait beaucoup plus liquide. Elle avait l'air de beaucoup aimer cela et ne voulait plus lâcher la bite du bourrin. Annie n'était pas loin d'un autre orgasme, la sentant venir, Rouquin se retira de sa chatte et dit : « Attend ma belle, soit pas si pressée, on a une, enfin, deux autres surprises »
chrislebo

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#8,544
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Pendant que les autres acolytes emmenaient le poney vidé, Gras-double attrapa Annie et la posa à quatre pattes sur le bout de la table. Je me demandais ce qu'ils allaient encore lui faire subir comme cochonnerie? Rouquin, la quéquette toujours en érection, monta sur la table devant elle, se mit à genoux et présenta sa bitte, Annie s'en saisit d'une main et lui administra une pipe magistrale. Un second poney fut amené et Gras-double le masturba pour le durcir. Une fois la bite bien raide, Chétif vint lui donner un coup de main. Il attrapa le poney par la crinière et l'approcha lentement. Il lui fit mettre les sabots avant sur la table, les pattes avant de chaque côté d'Annie. Gras-double frotta le gland du poney contre la vulve ouverte de ma femme. Sentant le sexe tout prêt, elle donnait de petit coup de rein en arrière pour en profiter. La croupe d'Annie était offerte, elle creusait le dos et écartait grand les cuisses. Gras-double écarta les lèvres ruisselantes et roses qui ne demandaient qu'à se refermer sur le phallus du petit cheval. Il frotta à nouveau le gland gorgé de désir sur la vulve, Gras-double jouait avec ma femme et le cheval sentant que chacun d'entre eux voulait appartenir l'un à l'autre. Il plaça le gland bien à l'entrée, entre les deux lèvres tout en continuant à branler le phallus. Puis petit à petit, à chaque fois qu'il masturbait le poney vers le vagin, il enfonçait d'un centimètre le sexe monstrueux de la bête. Ma femme essayait d'écarter encore plus les cuisses mais elle était vraiment au maximum, elle reculait de plus en plus sa croupe. Les hommes eux s'étaient regroupés devant *** visage et ils lui remplissaient la bouche à tour de rôle en la patouillant de partout. Ses seins furent malaxés, pétrit, sucés, aspirés. « Et si on allait chercher le mari qu'il profite un peu du spectacle » dit Chétif « Oh! oui » dit Gras-double « C'est même lui qui va faire enfiler sa pétasse par la bête » Sans attendre deux lascars ouvrirent le rideau et vinrent me chercher. Essayant de partir rapidement de la fenêtre, je basculais et m'étalais avec la chaise sur le sol. La lumière jaillit et ils me découvrirent par terre une grosse bosse dans le pantalon. « Mais c'est qu'il matait, le coquin » dit le Chauve « Regarde ça, il bande comme un âne » répond le Nord-africain. Ils me relevèrent, me détachèrent et m'emmenèrent à côté du poney. Gras-double lâcha la bite du cheval pour me la mettre dans la main. « Fais gaffe, si tu ne le guides pas par le sexe, il va la perforer » me dit-il en me parlant du cheval J'attrapais donc le sexe de la bête, autant pour que mon épouse ne soit pas blessée, que parce que j'avais envie de participer à l'orgie. Annie ne s'était même pas aperçu que c'était moi qui guidais l'opération. Le poney bougeait beaucoup et je dus le contenir afin qu'il n'entre pas d'un seul coup dans *** nid d'amour. Quinze bons centimètres étaient maintenant enfoncés, quinze centimètres qui sortaient et entraient au rythme du poney. Ma femme était comme folle, elle dégoulinait tant elle mouillait, ses sécrétions lui coulaient le long des cuisses, je sentis que le plaisir allait la submerger dans peu de temps Le poney la baisait et donnait la cadence. Je caressais les seins de ma femme de mon autre main. Contre toute prudence, je lâchais le cheval et profitant que la bouche de ma femme était disponible, j'ouvrais ma braguette, grimpais sur la table et investis sa cavité pour me soulager. Elle m'aspira littéralement, j'eus l'impression qu'elle allait me soutirer le sperme avant même que j'ai éjaculé. C'est le cheval qui partit le premier, d'un coup de rein qui fit avancer Annie, il remplit ma femelle de sa purée. La quantité lui gonfla la chatte et déborda de chaque coté. Les hommes enlevèrent rapidement le second poney et en présentèrent un troisième. Il l'avait déjà excité et il était prêt à l'action. Il prit la place de *** prédécesseur sur la table. Nord-africain prit le sexe de la troisième bête avec une satisfaction non dissimulé. Avec le pain de Végétaline, il lui enduisit le sexe et l'avança vers le cul d'Annie. Il écarta les fesses de sa main gauche et présenta le gland à entrée de l'anus. Il procéda par petites touches, attentif au moindre cri et à la moindre crispation de ma femme. *** but n'était visiblement pas de lui faire mal mais bien de lui procurer du plaisir. Au bout de quelques minutes, Annie avait plus de vingt centimètres de bite dans le cul et d'après sa réaction, se faire enculer par un cheval lui plaisait énormément. Au bout d'un moment c'est le cheval qui dicta sa cadence, J'avais l'impression qu'il s'enfonçait de plus en plus. Il éjacula avec un bruit nasal et de nombreux soubresauts, Annie prît *** pied en même temps que *** amant cheval, elle hurla de plaisir. Je lui inondais la bouche à mon tour, lui attrapais les cheveux et la pénétrais jusqu'au fond de la gorge tant mon excitation était grande.
chrislebo

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#8,545
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On retira le poney, Annie s'affala sur la table: La tension était tombée et tous les désirs assouvis. Le silence revint, un silence pesant. Je ne savais plus vraiment comment me comporter, ni avec ma femme, ni avec ses amants. A priori les autres étaient tous dans le même cas. Contrairement à ce que je croyais je remarquais que tous les désirs n'étaient pas assouvis: Le chauve était encore en érection. Je saisis l'opportunité et dis à mon épouse: « Tu ne pourrais pas faire quelque chose pour lui? » « Bien sur mon amour » me répondit ma femme, l'air radieuse. Et les autres se mirent à m'applaudir, et à me taper dans le dos. « Allez viens, ramène-toi, on te paie une bière » me dirent-ils. Pendant que nous remettions nos vêtements, Annie se remit à quatre pattes devant le Chinois qui n'en pouvant plus lâcha la sauce aussitôt qu'il l'encula. (Décidément *** cul avait beaucoup de succès) Une fois toutes les couilles vidées et les tenues remises en ordre, Annie me demanda d'aller chercher une autre toilette dans la valise pendant qu'elle prenait sa douche. Les autres ramenèrent les poneys au champ et nous nous donnions tous rendez-vous au bar de l'auberge. J'allais à la voiture, prenais quelques rechanges et retrouvais ma femme dans la chambre, elle avait fini de se laver et s'essuyait. « Tout est propre et récuré » me dit-elle, honteuse « Tu peux vérifier si tu veux. Tu sais, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'étais sur un petit nuage et quand j'ai réalisé ce que je faisais, il était déjà bien trop tard » Et des larmes coulèrent de ses joues. « Ne t'inquiètes pas ma chérie, je ne t'en veux pas, bien au contraire, si cela t'a plus, nous aborderons notre sexualité d'une façon plus coquine » lui répondis-je en souriant *** sexe était encore tout gonflé mais plus rien ne dégoulinait, ni devant, ni derrière. « Habilles-toi maintenant » lui dis-je Elle s'exécuta, elle remit *** redresse-seins, enfila le body en dentelle rouge qui ne cachait pas grand-chose de sa poitrine et ajusta la mini-jupe en cuir rouge que je lui tendis. « Pas de slip? » me dit-elle « Pourquoi faire » lui rétorquai-je! Elle m'embrassa langoureusement et nous partîmes rejoindre le restant de la troupe. En rentrant dans l'auberge Annie eu malgré tout le droit à des sifflets admiratifs. Annie se campa sur un tabouret de bar les jambes bien écartées vers la clientèle qui ne la connaissait pas. « On pourra se revoir » demanda Gras-double « Bien sûr » répondis-je d'autorité sans laisser le choix à mon épouse, ce qui de toute façon n'aurait pas changé la réponse. Chacun nota l'adresse de l'autre et chacun reprit *** chemin. Ma voiture était la plus loin. Je passai la main sur le cul d'Annie puis lui relevai la jupe pour lui peloter le cul et sentir sa peau. Elle marchait les jambes un peu écartées. « Tu as mal » lui dis-je « Ca me chauffe un peu, surtout l'anus, mais c'est tenable et ça va se passer » me dit-elle. J'entendis des bruits de pas, me retournai pour apercevoir Gras-double qui nous rejoignait rapidement. « Attendez, je vais à mon camion, on finit le chemin ensemble » Il nous rattrapa. Voyant que je tenais ma femme par la fesse, il nous demanda : « Je peux tenir votre femme aussi » « Oui bien sûr » répondis-je. Il se mit de l'autre coté, releva la jupe et attrapa *** autre fesse et nous allâmes ainsi jusqu'à *** camion qui était juste devant notre voiture. Arrivés entre le camion et notre voiture, je pris Annie par la taille, la plaquait contre moi en lui relevant la jupe.
chrislebo

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#8,546
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Je l'embrassais furieusement et montrais du doigt *** cul à Gras-double qui comprit le message. Il lui écarta les jambes et caressa sa féminité. « Oh! Non pas encore » dit ma femme en se dégageant du baiser. Mais je ne lui laissais pas le choix, je l'enlaçais fermement et repris sa bouche. Gras-double sortit *** phallus de nouveau gorgé de désir, l'ajusta au niveau de l'anus et encula de nouveau Annie (ça devenait vraiment une habitude) Au bout de quelques minutes je lâchai Annie et dit à *** amant: « Attend, on change de coté » Il acquiesça, je retournais Annie qui était sur le chemin d'un nouvel orgasme, ouvris ma braguette, sortis ma verge et sodomisais ma femme pour la première fois de ma vie. Gras-double l'embrassait maintenant, il la prit sous les cuisses et lui enfila le minou. Nous sentions nos verges respectivement au travers des chairs qui séparaient le sexe de l'anus. Sans mot se dire, nous nous accordâmes sur la cadence. Nous la baisions en chœur et en pleine coordination. Sentant mon plaisir monter, je me calmais un peu attendant les signes précurseurs de la jouissance des autres partenaires. Gras-double fit de même afin d'attendre Annie. Dès qu'elle commença à jouir, nous reprîmes la cadence et eurent tous trois un plaisir intense. Nous attendîmes que nos sexes ramollissent et que les muscles intimes de ma femme nous chassent de *** corps. Nous nous essuyâmes avec du papier sopalin et réintégrèrent nos véhicules. Puis nous reprîmes la route.
Je ne regrette pas cette journée qui nous a ouvert les yeux sur d'autres plaisirs. Cela a effectivement modifié le cours de notre vie et apporté beaucoup d'autres aventures que j'écrirai peut-être un jour si cela vous intéresse. Un dernier petit conseil, Si vous êtes un homme et que vous n'avez jamais essayé la sodomie, faites-le c'est super. Pour les femmes, cela dépend, certaines adorent, d'autres non. Mais comme pour juger, il faut avoir essayé...
chrislebo

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#8,547
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histoire de femmes



Je suis une femme de quarante cinq ans, assez bien foutue avec quelques rondeurs qui ne me dérangent pas du tout, une poitrine assez imposante d'un bon 95 D, depuis mon divorce je vis seule dans un petit pavillon d'une ville bretonne. Mes enfants étant mariés, je partage mon temps entre mes loisirs et mon travail.
A propos de mon travail, je travaille dans un cabinet d'experts comptable, nous sommes quinze femmes pour un seul homme qui se trouve être le patron. Nous travaillons chacune dans un bureau fermé par des vitres ce qui nous isole phonétiquement mais pas visuellement.
Pour ce qui est de ma vie affective et sexuelle, c'est le calme plat. Ayant toujours été fidèle à mon mari je ne ressens pas encore le besoin de sexe surtout, et surtout pas dans le genre de relation ou je me suis laissée entraîner.
Un jour, une de mes collègue me demande de l'aider pour emmener quelques documents aux archives. Il est pratiquement l'heure de terminer mon travail, je suis donc un peu réticente mais j'accepte quand même. En montant l'escalier pour nous y rendre, mes yeux se trouvent à hauteur des fesses de cette femme et je me rends compte que sous sa mini jupe je peux distinguer les formes de *** string. Nous commençons le rangement tout en discutant de choses et d'autres mais après plusieurs minutes, la conversation dévie petit à petit vers le sexe et sachant que je vis seule , elle me demande:
- les nuits ne ***t pas trop longues toute seule?
- non, je n'ai jamais été une bête de sexe
- moi je ne pourrais pas rester sans relations sexuelles plus de deux ou trois jours
- pourtant, tu vis toujours seule, tu n'as pas trouver l'homme qui te convienne?
- tu sais, je préfère la compagnie de femmes, les hommes ne m'intéressent pas: ça te choque?
- non ça ne me dérange pas du moment que toi et tes partenaires y trouvent du plaisir
- dois je comprendre que si j'essayais avec toi, ça ne te dérangerait pas?
- je n'ai jamais eu de relation avec une autre femme et cela ne m'intéresse pas du tout
Et tout en s'approchant de moi elle me dit:
- on dirait que notre conversation t'excite j'ai l'impression que tes seins vont transpercer ton soutien gorge et ton chemisier
A ce moment elle pose sa main sur mon chemisier et commence à me caresser les seins. Il est vrai que malgré mon semblant de réticence mes seins pointent fièrement et je sens l'excitation monter en moi à vitesse grand v. Elle continue de me caresser et me dit:
- tu n'as pas l'air très farouche, on pourrait bien s'entendre toutes les deux
A ce moment, elle passe *** autre main sous mon collant et ma culotte et se dirige tout droit sur mon clitoris qu'elle excite aussitôt. Mes jambes ont du mal a me porter, je suis coincée contre une étagère et je me laisse ainsi fouiller la chatte qui maintenant est complètement trempée. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir, je suis divinement bien, je ne pensais pas qu'une femme puisse m'exciter à ce point. Mais tout à coup ,elle stoppe net ses caresses et me dit:
- tu ne dois pas jouir, je dois te dire que mon plaisir c'est de dominer mes partenaires, si tu acceptes de jouer avec moi, demain en arrivant au travail tu me remettras ton sous tif et ta culotte et à partir de ce jour, je ne veux plus que tu portes de sous vêtements. Tu peux partir, je n'ai plus besoin de tes services
La nuit suivante, je n'ai pas beaucoup dormi, cette idée d'être soumise me faisait peur et m'excitait en même temps. En m'habillant le matin, je décide de ne pas mettre de sous vêtements. Je me rends à mon travail et dans la matinée je vais dans le bureau de Dominique, ma collègue et je lui remet discrètement mes sous vêtements, elle les déplie sur *** bureau et porte ma culotte à ses narines. Je suis rouge de honte, si quelqu'un arrivait.
- ne rougis pas tu viens d'accepter ta nouvelle vie de soumise, je pense que je vais bien m'amuser avec une salope de ton genre. Voici mon adresse, tu passeras chez moi ce soir.
La journée me paru une éternité, j'étais partagée entre l'excitation et l'appréhension. Après mon travail, je me rends directement chez Dominique. Je ***ne et après quelques instants, elle m'ouvre la porte et me dit sèchement:
-entres, vas dans le salon et fous toi à poil.
Je me dirige vers le salon et je commence à me déshabiller à nouveau je me sens excitée. Mon chemisier et ma jupe se retrouvent au sol, je ne suis plus vêtue que de mes escarpins, Dominique me regarde, me jauge comme si j'étais une marchandise qu'elle avait envie d'acheter
-ça te plais de te foutres à poil devant moi, tes seins pointent déjà et je suis sure que ta chatte est trempée, ça promet de belles aventures.
A ce moment, elle passe sa main sur mon sexe et me fait lécher ses doigts mouillés, elle me laisse quelques instants et revient avec une toile cirée, de la mousse à raser et un rasoir; elle étend la toile cirée sur le sol.
-Allonges toi sur le dos et écartes bien tes cuisses, je vais te raser, je te veux parfaitement lisse.
J'exécute ses ordres, elle commence à me raser et après quelques minutes je n'ai plus aucun poils sur le sexe.
- Tu es une vraie fontaine, tu mouilles comme une chienne, mets toi à quatre pattes je vais aussi te raser entre tes fesses.
Au bout de quelques minutes, elle me dit:
- Voila tu es parfaitement lisse, comme j'aime, vas dans la salle de bain, tu pourras te regarder dans la glace, tu verras comme tu es mignonne ainsi. Profites en pour prendre une douche et reviens dans le salon ensuite
Après quelques minutes, je reviens dans le salon, Dominique est assise sur le canapé, elle est complètement nue
- alors comment te trouves tu?
- c'est assez bizarre, c'est la première fois que je suis rasée ainsi.
- il faudra t'habituer, car désormais je te veux toujours ainsi. Maintenant, approches toi, tu vas me faire jouir avec ta bouche, allez salope lèches moi bien la chatte et tu avales toute ma mouille.
- Mais je n'ai jamais fait ça.
- tu n'as pas le choix, tu as accepté d'être soumise, tu dois exécuter mes ordres et dépêches toi.
Elle écarte ses jambes, je me met à genoux entre ses cuisses et je commence à lui lécher le sexe, je dois avouer que cela m'excite et d'une main je me caresse la chatte mais tout à coup elle s'aperçoit que je me branle.
- laisses ta chatte sale pute je t'interdis de te branler, c'est moi qui vais jouir, toi tu n'as pas le droit.
Après quelques minutes, je sens qu'elle se crispe, elle m'attrape les cheveux et me maintient la tète entre ses cuisses, elle coule abondamment, j'avale tout et je trouve *** goût délicieux. Après avoir bien jouit , elle m'ordonne de me rhabiller et de m'en aller....
chrislebo

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#8,548
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Une semaine s'est écoulée depuis le soir ou je suis allée chez DOMINIQUE et depuis je ne l'ai revu que dans le cadre du travail , juste un "bonjour" le matin et rien de plus. Je me dis que celle qui se dit être une amante maîtresse, ne l'est en fait pas tant que cela.
En ce matin de décembre, il fait froid et je me décide donc à mettre un string sous une jupe assez ample ainsi qu'un soutien gorge sous un pull lui aussi assez ample bien que très échancré, une paire de bas, des escarpins avec des talons assez hauts et pour finir un manteau. Me voici prête pour me rendre à mon travail. Au beau milieu de la matinée, DOMINIQUE entre dans mon bureau et, sur un ton très sec, me dit:
-Bonjour, viens avec moi aux archives, je voudrais vérifier quelque chose.
Je me dis qu'elle a du s'apercevoir que je portais des sous vêtements et je crois avoir trouvé une bonne excuse quand je lui dis:
-Attends moi un instant, je dois aller aux toilettes
-Non viens immédiatement, une salope comme toi, doit pouvoir se retenir de pisser.
Je la suis donc et nous nous rendons aux archives. Elle ouvre la porte, me laisse entrer la première et referme à clef derrière nous.
-Déshabilles toi, j'ai l'impression que tu n'as pas respecté certains de tes engagements.
Je commence à ôter mes vêtements, d'abord mon pull et ensuite ma jupe. je n'ai plus sur moi que mes sous vêtements, mes bas et mes escarpins.
-C'est bien ce que je pensais, tu n'as pas respecter notre pacte, je t'avais ordonné de ne plus mettre de sous tif ni de string. je veux voir tes mamelles pointer sous tes fringues et je veux pouvoir accéder à ta chatte sans être génée par un string.
A ce moment, elle sort un couteau de sa poche et coupe les bretelles de mon sous tif ainsi que l'élastique de mon string. Mes sous vêtements se retrouvent à terre.
-Habilles toi. Ce soir tu me rejoindras dans ma voiture, je dois te punir. Elle ramasse mes sous vêtements et les met dans sa poche.
Je remets mes effets et redescends à mon bureau . Toute la journée , je suis excitée, je sens mon entre jambes qui s'humidifie à chaque fois que je pense à ma nouvelle vie de soumise.
Le soir arrive, il fait nuit, je quitte mon travail et je me rends aussitôt à la voiture de DOMINIQUE qui est garée sur le parking de l'entreprise. En entrant à l'intérieur, je sens une vague de chaleur qui m'envahit. je le lui fais remarquer aussitôt.
-Quelle chaleur, c'est intenable tellement il fait chaud dans ta voiture.
-C'est vrai, mais si tu as trop chaud, tu peux te déshabiller.
-Tu as rai***, je vais enlever mon manteau.
-Non tu n'as pas compris, déssapes toi complètement.
-Je ne peux pas me mettre nue ici, pas sur le parking de l'entreprise.
-Il va falloir que tu arrêtes de discuter mes ordres, tu dois faire ce que je t'ordonne et à chaque fois que tu discuteras, tu seras punie. C'est clair?
J'ôte donc mon pull et ma jupe, je sens à nouveau l'excitation monter en moi. Dominique passe sa main entre mes cuisses et trouve mon sexe humide
-Tu vois salope ça t'excite de te foutre à poil, tu es déjà trempée.
Nous partons pour une destination que je ne connais pas mais je m'aperçois très vite que nous allons vers le centre ville. Tout à coup elle me dit:
-Mets tes pieds sur le tableau de bord et écartes bien tes cuisse. Caresses toi la chatte et n'oublie pas ton petit trou.
J'ai compris que je ne devais plus discuter, je commence à me caresser. Avec une main je malaxe mon clitoris et avec l'autre je chatouille ma rondelle. Le plaisir monte en moi et je commence à gémir. Je ne ressens plus aucune gène à m'exhiber ainsi devant DOMINIQUE. Nous sommes arrivées en plein centre ville, beaucoup de monde rentre de leur travail et DOMINIQUE se fait un plaisir de laisser passer les gens sur les passages cloutés. A un moment, nous sommes en double file, un camion est à ma droite et DOMINIQUE en profite pour klaxonner, l'homme qui est au volant se tourne vers la voiture et voyant le spectacle que je lui offre, il baisse sa glace et crie.

-Je peux vous accompagner? vous allez ou?
Ma collègue baisse la glace qui se trouve de mon coté et lui crie:
-Non car la salope qui est à coté de moi est pour l'instant en apprentissage. Une autre fois peut être.
La voiture redémarre, nous prenons maintenant la direction de la foret. Encore quelques kilomètres et nous nous engageons dans un petit chemin. Pendant tout le trajet, je n'ai pas cesser de me caresser. Tout à coup, la voiture s'arrête, DOMINIQUE se tourne vers moi:
-Tu t'es bien amusée? tu as toujours aussi chaud?
-Je n'avais jamais connu cela mais j'avoue que c'est très excitant de se caresser en sachant qu'à chaque moment quelqu'un peut nous voir et c'est vrai qu'il fait de plus en plus chaud.
-Ce n'est pas qu'il fasse plus chaud mais tu es tellement excitée que ta température a encore monté. Pour te rafraîchir, tu vas descendre de la voiture et marcher devant.
Je ne réponds pas, je descends de la voiture et je marche. Le froid me saisit, mes tétons pointent tellement il fait froid . Je continue encore quelques mètres uniquement vêtue de mes bas et mes escarpins . DOMINIQUE est restée dans la voiture qui me suit tous feux allumés. Tout à-coup, elle baisse sa glace et me crie
- Arrêtes de marcher, tournes toi, écartes bien tes jambes et caresses toi à nouveau.
Ma main se dirige vers mon sexe et après quelques instants à chatouiller mon clitoris je sens mon entre jambes qui s'humidifie à nouveau. DOMINIQUE descends de la voiture et vient vers moi. Elle me regarde et passe ses mains sur mon corps, la douceur de cette carresse m'excite.
-Allonges toi sur le capot et écartes bien tes jambes, tu en as bien profité mais maintenant, c'est moi qui vais m'amuser.
Je suis affalée sur le capot, les bras et les jambes écartés. Elle me caresse les seins, me tord les tétons et descend ensuite vers mon sexe. Tout à coup, elle fait entrer trois doigts dans mon sexe trempé et commence des va et vient violents je me laisse aller, je sens que je vais jouir mais tout à coup cette caresse s'arrête.
-Tournes toi, je veux voir ton cul tu t'es déjà fait enculer?
-Non
-Quel honneur pour moi je vais te dépuceler de ce coté.
A ce moment elle sort un gode énorme de *** sac et sans aucune attention, elle me l'enfonce entre les fesses. Je hurle de douleur, j'ai l'impression d'être écartelée.
- Tu peux crier, per***ne ne t'entendra.
Elle commence à faire bouger cet énorme sexe dans mon cul qui se dilate petit à petit, la douleur s'estompe pour faire place au plaisir. J'apprécie finalement de me faire défoncer le cul. Après une dizaine de minutes de ce traitement, DOMINIQUE s'arrête, elle me pousse et prend ma place sur le capot de la voiture, elle soulève sa jupe et là, je m'aperçois qu'elle ne porte pas de culotte, elle me dit:
- Viens me lécher la chatte, maintenant c'est à toi de me faire jouir.
J'approche ma bouche de *** sexe et je commence à lui lécher le clitoris, je ne suis pas une experte mais je sens que la respiration de DOMINIQUE s'accélère et au bout de quelques minutes elle attrape mes cheveux et me plaque la bouche sur *** sexe. Elle crie à *** tour de jouissance. Après avoir repris ses esprits, elle me repousse et me dit:
-Tu es une bonne chienne tu as réussi ton examen de passage, tu as réussi à me faire jouir. Allez en voiture, je dois rentrer.
Nous partons en voiture, je cherche mes vêtements mais elle m'interrompt
-Restes nue, tu vas te réchauffer en te caressant.
Tout le long du retour, je me caresse sans aucune pudeur, je suis heureuse.
Nous arrivons sur le parking de l'entreprise ou je dois reprendre ma voiture, je vais pour m'habiller avant de descendre mais elle me dit.
-Je n'ai pas de temps à perdre, descends à poil, tu t'habilleras dans ta voiture et surtout jusqu'à notre prochaine rencontre, je t'interdis de te faire jouir.
Je descends entièrement nue de la voiture pour monter immédiatement dans la mienne. Je m'habille, je suis heureuse mais en même temps frustrée de ne pas avoir joui. J'attends déjà avec impatience notre prochaine escapade .
chrislebo

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#8,549
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Ce matin du mois de janvier, je ne travaille pas et j'en profite pour traîner un peu plus longtemps au lit. Je vois le jour pointer au travers des rideaux. Des pensées érotiques me traversent l'esprit, je pense à ma nouvelle vie de soumise il y a encore quelques temps, je n'aurais jamais pensé vivre une chose pareille et pourtant cela me plaît, cette femme m'a comme envoûté. Rien que de penser à tout cela, je sens que ma petite chatte s'humidifie, je ne peux me retenir de passer une main sur mon entre jambe et effectivement mon sexe est déjà trempé. J'effleure mon clitoris et je commence à me faire plaisir. Tout à coup le téléphone ***ne, je suis obligée d'interrompre ma petite séance de masturbation. Qui peut bien m'appeler à cette heure? Il n'est que huit heure, je prends le combiné qui est à coté de mon lit , je reconnais aussitôt la voix de ma nouvelle amie DOMINIQUE
- Bonjour ma chérie, que fais tu ce matin?

Elle m'a appelé " ma chérie " c'est sans doute la première fois qu'elle me dit cela depuis le début de notre relation.
- Bonjour DOMINIQUE , je n'ai rien de spécial de prévu.
- Très bien, moi j'ai prévu quelque chose pour toi. Viens me rejoindre à la mai*** le plus vite possible.
- D'accord, je serai chez toi dans une heure environ car pour l'instant, je suis au lit, je dois prendre mon petit déjeuner, faire ma toilette et m'habiller.
- Je veux que tu sois chez moi le plus vite possible, ne fais pas de toilette, tu la feras chez moi et ne t'habilles pas, nous gagnerons du temps, prends juste un petit déjeuner.
- Je ne peux pas aller chez toi comme ça, je suis entièrement nue,
- Tu n'a pas à discuter, c'est simple, tu viens à poil à la mai***,
Je n'ai pas le temps de répondre que déjà, elle a raccroché.

Je reste encore quelques instants étendue sur mon lit, cette conversation au téléphone n'a eu pour effet que de m'exciter encore plus. Je passe à nouveau ma main sur mon sexe, je suis tellement excitée que je recommence à me caresser, j'écarte mes jambes au maximum et d'une main je frictionne mon clitoris et de l'autre je caresse l'entrée de ma grotte, j'entre même deux doigts dans ma chatte baveuse et je les fais aller et venir de plus en plus vite. Après quelques minutes de ce traitement, je suis sur le point de jouir mais je décide de stopper net cette séance afin de rester excitée pour me rendre chez mon amie. Je me lève, je prends mon petit déjeuner très vite. Maintenant que je suis sur le point de partir, je me demande bien comment je vais me rendre chez DOMINIQUE entièrement nue. Je dois prendre ma voiture dans le garage, traverser une bonne partie de la ville avant d'arriver chez elle. Je n'ai pas le choix, j'y vais. Arrivée dans le garage, je démarre la voiture, j'ouvre la porte, je sors mon véhicule mais je suis obligée de ressortir de la voiture pour fermer la porte , la haie de sapins qui entoure la mai*** me cache bien des regards. Le parcours en ville se passe plutôt bien, je ne rencontre pas beaucoup de monde sur mon trajet et je roule assez rapidement pour ne pas être vue. J'arrive maintenant chez DOMINIQUE, le portail de sa propriété est ouvert, je rentre, j'arrête ma voiture, je descends et parcours les quelques mètres qui me séparent de la mai***, je ***ne, après quelques instants qui me paraissent interminables, DOMINIQUE m'ouvre enfin la porte.

- Entres, est ce le froid ou le fait de te promener nue qui fait que tes tétons pointent si fièrement?
- Je crois que c'est le froid.
-Moi je pense plutôt que ça t'excite de te promener à poil et je suis sure que tu es déjà trempée.
Et elle passe sa main sur mon sexe qui effectivement est déjà bien humide.
- Tu vois je le savais allez vas t'asseoir au salon.
Je m'installe sur le fauteuil et DOMINIQUE s'assoit sur le canapé en face de moi et me dit:
- Alors tu vois ce n'est pas si compliqué de se promener à poil en ville un samedi matin et en plus ça t'excite, tu es une jolie salope mais pour avoir discuté mes ordres, je vais te punir et en plus je remarque que les poils de ton sexe ont repoussé, tu n'est même pas capable de t'épiler. Approches toi de moi.
Je me lève et me place devant elle.
-Écartes tes jambes, tout ton rasage est à refaire.
Elle prend dans ses mains quelques poils de mon bas ventre en m'attirant vers elle, cela me fait mal, j'ai l'impression quelle va me les arracher. Elle se lève sans lâcher cette touffe de poil et me ***** à la suivre.
- Suis moi je vais te donner la punition que tu mérites et là crois moi ton excitation va surement s'atténuer tant la douleur va être terrible ensuite je te raserais à nouveau.
Nous montons un escalier, elle ouvre une porte, je suis toujours fermement maintenue par les poils de mon sexe. Je découvre un grenier dont le sol est couvert d'une moquette. Toute la charpente est apparente. Elle m'emmène dans le milieu de cette pièce, prend une corde, m'attache les poignets et me suspend à une poutre. Elle va ensuite chercher une barre d'écartement me la pose aux chevilles et la tend au maximum, je suis carrément écartelée
- Voila grosse salope tu es prête pour ta punition.
Elle commence a me donner quelques claques sur les fesses et sur les seins elle prend entre ses doigts mes deux tétons et les pince fortement, j'ai mal mais elle les tord dans tous les sens et les étire. je commence à hurler de douleur et plus je hurle plus elle tire sur mes seins tout en rigolant. Elle lâche enfin mes tétons, ils ***t tout rouges, elle sort ensuite un martinet qui était placé sur une poutre et revient vers moi.
- Je vais te passer l'envie de discuter mes ordres.
Les premiers coups de martinet frappent mon dos et mes fesses, je ne sais combien de coups tombent sur moi mais la douleur est intense, je crie de douleur mais DOMINIQUE continue sans relâche de me punir.
-Tu peux hurler ma chérie, per***ne ne t'entendra.
Elle tourne autour de moi et commence à me frapper les seins déjà meurtris par la séance de tout à l'heure, des marques rouges apparaissent bientôt sur ma peau. Les coups ***t maintenant dirigés vers mon entre jambe et lacèrent mon sexe offert. Après plusieurs minutes, mon supplice cesse enfin, mon corps est couvert de stries rouges. DOMINIQUE s'est maintenant adoucie elle me caresse le corps avec tendresse même avec amour.
-Tu es encore plus belle comme ça, plus excitante avec toutes ces marques, on voit que tu es vraiment ma petite esclave chérie.
Et là, elle se met à me lécher les seins, après la douleur, le réconfort, je suis bien dans cet état de soumise . Elle va ensuite chercher un appareil photo et elle prend plusieurs cliché de mon corps meurtri.
-C'est pour ma collection per***nelle comme ça en regardant ces photos tu seras toujours avec moi. Maintenant je vais te raser
Elle étale de la mousse sur mon bas ventre et ensuite commence *** rasage, après quelques minutes, je suis à nouveau toute lisse et elle en profite pour reprendre quelques clichés de mon sexe imberbe. Elle me détache, enfin ma punition est terminée et nous redescendons au salon.
-Assieds toi sur le fauteuil et écartes bien tes jambes, j'ai une surprise pour toi.
Au bout de quelques minutes, la ***nette retentit. Je me mets debout pour aller me cacher je ne sais ou mais à ce moment, DOMINIQUE me prend par le bras et me rasseoit dans le fauteuil
- Je t'interdis de bouger et gardes bien tes jambes écartées, c'est ta surprise qui arrive ......
chrislebo

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#8,550 
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Je suis donc assise dans un fauteuil, complètement nue, pendant que Dominique va ouvrir la porte, après m'avoir ordonné de rester les jambes bien écartées et les bras le long du corps. J'entends une autre voix dans l'entrée, une voix de femme que je crois reconnaitre. Elles arrivent toutes les deux dans le salon et là, stupeur, la femme qui accompagne Dominique n'est autre que Véronique, la femme de mon patron. Véronique est une jolie femme, brune, d'environ quarante ans. Elle est vêtue d'un chemisier blanc légèrement transparent qui laisse voir un soutien-gorge également blanc qui renferme une volumineuse poitrine et une jupe assez courte. Pour couronner le tout, elle est perchée sur des escarpins avec des talons vertigineux. Je remarque qu'elle tient une petite mallette, Dominique fait les présentations :

— « Regarde, Véronique, je te présente celle que ton mari pense avoir comme employée modèle. En fait, c'est une salope en chaleur qui ne pense qu'au sexe et à s'exhiber en tous lieux et en toutes circonstances. Je suis en train de l'éduquer et je suis sûre que d'être exhibée ainsi, devant nous, elle mouille déjà ! »

Et au même moment, elle passe un doigt sur mon sexe qui, il est vrai, est complètement trempé. Elles s'asseyent toutes les deux sur un fauteuil situé en face de moi, Véronique pose la mallette à ses pieds. Pendant quelques minutes, elles discutent de choses et d'autres, sans vraiment s'occuper de moi, mais tout a coup, Dominique s'adresse a moi :

— « Mets-toi debout et viens te placer en face de nous, en écartant tes jambes au maximum ! »

Je m'exécute aussitôt.

— « Mets tes mains sur ta tête, qu'on puisse t'examiner. Regarde, Véronique, comment la trouves-tu ? »
— « C'est vrai qu'elle n'est pas mal foutue, elle devrait plaire à mon mari, ainsi qu'a ses amis, pas trop de cellulite, juste les nichons qui tombent légèrement, elle a le sexe bien lisse, par contre, elle a des traces de coups de martinet sur le corps, tu l'as punie ? »
— « Oui, je suis obligée, car elle a toujours tendance à discuter mes ordres. En plus, elle n'est pas foutue d'entretenir *** rasage, j'ai dû la raser avant que tu n'arrives ! »

Puis s'adressant à moi :

— « Tournes-toi que l'on voie ton cul, écarte bien tes fesses avec tes mains et penche-toi en avant ! »

Et s'adressant à Véronique :

— « Bien que sa chatte soit très ouverte, *** cul reste très serré et c'est pour cela que je t'aie fait venir, car si je veux la présenter à ton mari et à ses amis, il faut que *** cul soit bien plus ouvert ! »
— « Elle n'a jamais été enculée ? »
— « Je l'ai enculée avec un gode, mais elle a encore l'œillet trop étroit, il va falloir lui élargir *** orifice. As-tu amené tout ce qu'il fallait pour cela ? »
— « Oui, j'ai tout prévu ! »


À entendre cette conversation, je comprends que Dominique et Véronique ***t complices et qu'elles ont bien l'intention de me livrer à des hommes, dont mon patron et que je devrai assouvir toutes leurs envies. Cette idée m'effraie et des tas de questions me traversent l'esprit. Qui ***t les amis de mon patron ? Que vont-ils exiger de moi ? Que vais-je devenir entre leurs mains ? Je suis plongée dans mes pensées quand Véronique ouvre sa mallette. Je découvre une multitude de plugs, de godes et de godes-ceinture, de longueurs et de diamètres différents. Je sais que tous ces ustensiles ***t destinés à dilater mon sexe et mon petit trou et quand je vois le diamètre des plus gros, la panique m'envahit et j'en fait part à Dominique :

— « Dominique, s'il te plaît, ne m'enfonce pas ces choses énormes dans mes orifices, je vais avoir trop mal ! »
— « Tu ne peux pas dire que tu vas avoir mal avant de les avoir reçu en toi. Il se peut que ton corps de salope se prête très bien à tous ces godes. De toute façon, tu n'as pas le choix, nous allons te dilater les orifices et pour que tu restes docile, nous allons t'attacher ! »

Moi qui étais, depuis un bon moment, toujours penchée en avant, en écartant au maximum mes fesses, je me retrouve à quatre pattes, les jambes écartées et attachées pour que je ne puisse les refermer. Mes bras ***t ligotés derrière mon dos, ce qui fait que je me retrouve le visage plaqué au sol. Dominique et Véronique ***t, maintenant, derrière moi. Je suis offerte à leurs regards et je sais qu'elles peuvent faire de moi ce qu'elles veulent. Cette situation commence à m'exciter et je sens que mon entrejambe s'humidifie. À ce moment, Dominique passe la main sur mon sexe et se rend compte de mon excitation !

— « Regarde-moi ça, de savoir qu'elle va s'en prendre plein le cul, ça la fait mouiller ou, peut-être, est-ce le fait d'être attachée ? »
— « Ou peut-être, les deux ! », reprend Véronique.

À ce moment, je sens un gode qui ***** contre mon œillet, il me semble plus gros que celui avec lequel Dominique m'avait sodomisée lors de notre sortie en forêt. Mon cul s'ouvre assez facilement et Véronique me l'enfonce, sans ménagement, d'un seul coup ! Une terrible douleur envahit mon ventre, j'ai l'impression que mes entrailles ***t perforées, je crie de douleur !

— « Tu peux hurler, salope, per***ne ne t'entendra, nous allons te dilater le cul avec des godes de plus en plus gros ! »

Pendant ce temps, Dominique fait aller et venir le gode entre mes fesses et au bout de quelques vat et vient, je sens l'excitation monter en moi, la douleur a disparu et je recommence à mouiller. Dominique, qui me caressait la chatte, s'en aperçoit immédiatement.

— « Je crois que tu vas pouvoir passer à la taille supérieure, car notre chienne est déjà très excitée ! »
— « C'est vrai que *** cul s'ouvre assez facilement, c'est génial de nous avoir déniché une salope de ce genre ! »

Tout en parlant, Véronique a retiré le gode qui était dans mon cul et me le présente devant la bouche afin que je le nettoie avec ma langue. Je prends ce jouet entre mes lèvres, ce n'est pas très agréable, mais j'accepte tout de ces deux femmes dont je suis devenue l'objet sexuel. Pendant ce temps, Dominique a passé un gode-ceinture au diamètre impressionnant. Elle le présente à l'entrée de mon cul et essaie de le faire entrer, mais vu la taille de l'engin, mon œillet ne s'ouvre pas assez, elle ***** l'entrée, sans résultat, pendant que je hurle de douleur, Véronique intervient :

— « Mettons-lui du gel, il faut absolument que ça rentre, il faut la défoncer ! »

À ce moment, elle prend un tube de gel et m'enduit le cul. Le produit rafraichit mon œillet et un sentiment de bien-être m'envahit, elle me frictionne l'anus pendant un instant et je sens, aussitôt, le plaisir monter en moi. Je sens à nouveau Dominique *****r mon entrée et comme par enchantement, mon cul s'ouvre à nouveau et je sens ce gode énorme me remplir le cul. Dominique commence à faire aller et venir cet engin dans mes entrailles. Je ressens un plaisir immense, je ne pensais pas que l'on pouvait avoir tant de plaisir avec un gode de cette taille, logé au fond de ses entrailles. Pendant ce temps, Véronique caresse mon clitoris et je sens le plaisir monter en moi, je vais jouir ! Dominique, qui me connait bien, sent mon excitation :

— « Nous avons fait du bon travail, non seulement, on lui a bien éclaté le cul, mais en plus, elle semble y prendre du plaisir. Elle est prête pour d'autres aventures, nous avons le droit à une récompense. SI tu veux, Véronique, je t'autorise à faire ce que tu veux d'elle ! »
— « Je te remercie, je peux faire tout ce que je veux ? »
— « Absolument, c'est ta chose, autant que la mienne ! »

En entendant ces mots, Véronique se déshabille entièrement, c'est une très belle femme avec une forte poitrine qui se tient très bien et un sexe complètement épilé. Les deux femmes me détachent et m'allongent sur le dos. Véronique vient se placer au-dessus de mon visage, *** sexe est à quelques centimètres de ma bouche :

— « Allez, lèche-moi bien, je veux jouir sous tes coups de langues ! »

Pendant ce temps, Dominique, toujours harnachée du gode-ceinture, a pris place dans mon vagin et me défonce littéralement avec cette énorme queue artificielle .Je deviens une salope soumise entre leurs mains et le pire, c'est que j'aime ça ! Je lèche le sexe de Véronique pendant que Dominique me défonce Après quelques minutes, Véronique se laisse aller et elle jouit ! Sa cyprine envahit ma bouche, elle jute abondamment et j'avale tout. Je ne tarde pas à jouir également sous les assauts de Dominique qui n'a pas encore joui. Elle se retire de mon sexe et vient, à *** tour, se placer sur ma bouche pour que je lui suce le clitoris, elle ne tarde pas à jouir également.

Après cette séance, je crois que je vais pouvoir rentrer chez moi, mais Véronique, remise de sa jouissance, dit à *** amie :

— « C'est vraiment très agréable d'avoir trouvé une salope de ce genre, nous allons bien nous amuser avec elle, ainsi que tous nos amis. On va pouvoir assouvir tous nos fantasmes. Par contre, si tu veux que *** cul reste bien ouvert, il va falloir lui mettre un plug dans le cul et l'obliger à le garder tout le week-end ! »

Moi qui croyais en avoir fini avec ces deux femmes, je me retrouve, à nouveau, jambes écartées et Dominique m'enfonce un énorme plug dans le cul. Il rentre, d'ailleurs, très facilement !

— « Voilà, ainsi, tu vas pouvoir renter chez toi et garde bien ce plug dans ton cul toute la fin de semaine ! »
— « Pourrais-je prendre une douche et m'habiller avant de partir ? »
— « Ah, mais c'est vrai, tu ne t'es pas lavée ce matin, remarques tu n'es pas sale, mai j'ai une idée pour que ça vaille la peine de te laver, je vais te souiller, j'ai une envie pressante, suivez-moi ! »

Là-dessus, Dominique me prend par la main et m'entraine dans le parc qui entoure la mai***. Véronique nous suit, nous sommes toutes les trois entièrement nues et je me demande ce qui va encore m'arriver. Je suis très vite fixée sur mon sort.

— « Allonge-toi sur l'herbe, j'ai très envie d'uriner et tu vas me servir de chiottes et toi, Véronique, tu n'as pas envie e te soulager ? »
— « Si effectivement, mais moi, je vais lui donner à boire, elle a eu très chaud cette cochonne ! »

Je m'allonge sur l'herbe, elles me font écarter les bras et les jambes et elles s'installent à califourchon sur moi, une au niveau de mon visage et l'autre sur mon corps. Après quelques secondes, je sens un jet d'urine gicler sur mon visage et un autre coule sur tout mon corps. Véronique, qui se trouve à hauteur de ma bouche, me demande d'avaler *** urine. J'ouvre ma bouche et je déglutis pour boire sa pisse .Après s'être soulagées sur mon corps et dans ma bouche, les deux femmes me renvoient chez moi, nue et souillée d'urine, sans même avoir le droit de prendre un douche. Elles me claquent le cul en rigolant pour me faire monter dans ma voiture. Je suis arrivée à un tel niveau de bassesse que j'en ai honte et pourtant, je trouve du plaisir entres les mains de ces deux femmes.

Que m'arrive t il ? Jusqu'où vont-elles m'entraîner ?
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