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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#6,781
 Down to the last message
Depuis une semaine maintenant que j'ai reçus cette lettre anonyme avec ces photos compromettantes. Chaque matin que je vais au travail j'ai l'impression d'être observé. Chaque soir que je reviens à la maison je suis nerveux à l'idée de trouver une enveloppe jaune dans mon courrier. Depuis ce temps je ferme mes stores et je suis aux aguets. Je n'ai refait aucune autre séance de self bondage, je ne me suis même pas masturbé une seul fois depuis.

Ce soir en entrant du travail il y avait une autre enveloppe jaune comme celle de la semaine dernière dans mon courrier. Je me suis empressé de monter chez moi et de m'enfermer à double tour pour ouvrir fébrilement cette enveloppe.

J'ouvre une lumière pour faire un peu de clarté, car avec tous les stores bien fermés ont y voit rien chez moi. Je m'installe à la table de la cuisine et déballe cette enveloppe probablement empoisonnée. Il n'y a qu'une lettre cette fois ci. Mais elle comporte deux pages. Je commence donc à lire...

Salut salope.

Tu vas lire attentivement cette lettre. Et tu vas faire tout ce que je te demande.

Premièrement tu vas ouvrir tout tes stores. Et je veux qu'il soit ouvert au complet, et tu ne les referme plus jamais. Ne lit pas le reste de cette lettre tout de suite. Va ouvrir tes stores immédiatement. Et sache que je te surveille. Allé va ouvrir tes stores.

Si tu continue à lire cette lettre et que tes stores ne sont pas ouvert alors sache qu'une de ces merveilleuses photos de la semaine dernière pourraient se retrouver collé dans le hall de ton immeuble. Allez ouvre tes stores MAINTENANT.

Je me suis donc levé, et j'ai fait le tour de mon appartement pour ouvrir tout les stores. Chaque fois que j'en ouvrais un je regardais pour voir si je n'apercevrais pas le voyeur aux enveloppes jaune. Mais sans succès. Je suis retourné immédiatement à la cuisine pour continuer la lecture de cette lettre.

Tu vas te foutre à poil immédiatement et aller continuer à lire la lettre dans ta causeuse au salon. Et sache que je t'observe, allez EXÉCUSSION SALOPE.

Fébrilement je retire tout mes vêtements et je vais m'assoir dans ma causeuse au salon. Mon cœur bat à tout rompre. Des sueurs froides parcourent tout mon corps. Je commence même à trembler.

Bien, alors chaque fois que tu vas entrer dans ton appartement à l'avenir tu vas te foutre immédiatement à poil. Interdit d'être habillé chez toi. De plus tu n'a plus le droit de fermer ta porte à clés lorsque tu es chez toi. Alors va la débarrer IMMÉDIATEMENT et revient te rassoir dans la causeuse.

Je me lève donc, je débarre ma porte d'entrée et je retourne m'assoir sur la causeuse. Il devait m'observer. J'étais rouge de honte.

Si tu m'as obéit jusqu'à présent c'est que tu es docile et que tu comprends que cela serait la catastrophe pour toi de ne pas obéir à mes ordres. Car il pourrait y avoir plusieurs de tes photos qui pourraient se retrouver dans le hall d'entrée de ton immeuble ou bien sur un babillard au centre commercial.

À partir d'aujourd'hui tu es en mon pouvoir et tu dois m'obéir sinon tu sais à quoi tu t'expose. Pour l'instant contente-toi d'avoir tes stores ouvert en tout temps et de te foutre à poil lorsque tu arrive chez toi. Et n'oubli pas de laisser ta porte débarré lorsque tu es la. Et obéit, car mes contacts me permette de vérifier cette dernière petite chose très facilement...

Je venais de perdre le contrôle de ma vie. Et dans quelle histoire on m'avait donc embarqué...Je me devais d'obéir à cette personne, car sinon ma vie pourrait être un enfer encore plus difficile. Était-ce un homme ou une femme? Que me voulait-elle exactement cette personne?

Pendant des jours entier je me suis foutu à poil en arrivant chez moi, sans fermer ma porte à clés, ni fermer les stores. Je me sentais observé à chaque minute. Et a aucun moment je ne pouvais voir qui pouvait bien me regarder et de quel appartement. Cinq jours on passés jusqu'à ce que ma boite aux lettres contienne à nouveau une enveloppe jaune...
chrislebo

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#6,782
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En ouvrant mon courrier ce soir encore une fameuse enveloppe jaune. Je me suis précipité à mon appartement, fermé la porte sans la barrer. Je me suis foutu à poil et je me suis dirigé en vitesse dans ma causeuse pour prendre connaissance de *** contenu.

Salut salope

Bien jusqu'à présent tu es très obéissant. Peut-être que je n'aurai pas à faire développer quelques photos pour les afficher un peu partout. Et en passant c'est bien de laisser ta porte ouverte lorsque tu es la

Cette dernière phrase m'a fait rougir elle savait vraiment que je laissais ma porte débarrée. Si non elle n'aurait pas pris le risque de se tromper et de perdre toute crédibilité. Mon état de stress était à *** comble.

À présent on va être un peu sérieux. Tu vas me faire une liste de tous les objets que tu utilises pour faire tes petites séances perverses et tu vas me dire à quel endroit tu les ranges. Tu vas me mettre cela dans un fichier word et tu va me l'envoyer à [email protected] . Tu incluras aussi à la fin de ta liste ton numéro de téléphone à la mai*** petite pute. Oui, oui tu as bien compris. Et tu sais pourquoi tu vas le faire... Je veux cela pour ce soir 20h00.

Je tremblais comme une feuille à l'automne. Il voulait mon numéro de téléphone. J'ai presque perdu connaissance. Jusqu'ou allait-il aller? Moi et mon goût pour l'exhibitionnisme, voila ou cela me conduisait. À présent je me trouvais dans une aventure diabolique sans possibilité de m'en sortir, à moins de faire face à tous les problèmes que j'aurais s'il mettait ces menaces à exécution. Je me remis à lire.

Chose très importante, demain matin lorsque tu partiras travailler je veux que tu laisse un double de tes clés près du pot de fleur à gauche de l'entrée de ton immeuble. Et ne rouspète pas. Tu n'as pas le choix n'est ce pas... Je sais que tu es rai***nable.

Dernière petite chose. Quand tu partiras n'essais pas de revenir et de regarder qui prendra possession des clés car cella déclencherait ma colère et tu sais...

Bonne nuit la salope.


J'étais sidéré. Cette per***ne me tenait à la gorge et m'étouffait de plus en plus. C'était vraiment comme un piège qui se refermait sur moi sans que je n'y puisse rien. J'avais l'estomac noué, mon appétit s'était envolé. Je tremblais et vacillais en me dirigeant vers ma chambre pour faire la liste de mes jouets bdsm.

J'ai tout sortie mes jouets et j'en ai fait la liste dans un fichier word. J'ai eu du mal à inscrire mon numéro de téléphone. Mes doigts n'arrivaient pas à appuyer sur les bonnes touches. J'ai senti une larme couler le long de ma joue. J'ai ensuite ouvert mon email, j'ai inséré le fichier word et j'ai finalement appuyé sur « envoyer ».

7h40, j'ai fermé l'ordinateur et je me suis fait couler un bon bain chaud. J'y suis resté pendant au moins 2h00. C'est l'eau qui s'était refroidit qui m'a sorti des limbes où je m'étais perdu. Je suis allé me coucher sans vraiment dormir de la nuit.

Le lendemain matin, je partais pour mon travail sans grand enthousiasme. Je laissais le double de mes clés près du pot de fleur et quittais mon appartement inquiet et bouleversé par ce qui m'arrivait...
chrislebo

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#6,783
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Ce soir je suis rentré chez moi fatigué et vidé. Non pas d'avoir travaillé fort, mais d'avoir pensé toute la journée à ce qui m'arrivait. Je me suis mis nu, c'était une routine maintenant pour moi. J'ai été porter mon linge dans ma chambre. J'ai tout laissé tomber dans l'ouverture de la porte lorsque j'ai aperçu tous mes jouets sur mon lit. Il était venu ici. Il avait fouillé dans mes affaires. J'avais la trouille. J'ai commencé à faire le tour de mon appartement pour voir si tout était là, quand soudain le téléphone s'est mit à sonner.

-Oui hello!

-Salut salope!

J'ai figé immédiatement. C'était une voix androgyne un peu robotisée. Je ne pouvais pas dire s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme.

-Alors on ne répond pas petite pute.

-Heuuu. Oui.

-Va voir au salon j'ai un petit cadeau pour toi sur la table centrale.

Je me dirige donc au salon et je vois sur la table une cagoule noire, un petit cadenas et une paire de menotte. Mon cœur s'est mit à prendre du rythme. Je recommençais à trembler comme la veille au soir.

-Tu vois la cagoule, tu vas la mettre et refermer le tout avec le cadenas. Ensuite tu vas lier tes poignets avec la paire de menotte dans ton dos et tu vas t'agenouiller au centre du salon. T'as compris.

-Heuuuu! Oui.

-Bien, alors tu vas raccrocher le téléphone et tu vas faire cela immédiatement et tu vas attendre. C'est moi qui ai les clés des menottes et du cadenas.

-D'aaaacord.

Je raccroche le téléphone, j'enlève mes lunettes et je commence à installer la cagoule sur ma tête. Elle couvre bien les yeux et laisse le nez et la bouche dégagés. Il y a une fermeture éclair derrière qui descend jusqu'à la base de celle-ci. C'est à cet endroit que l'on peut y glisser le cadenas. Une fois celui-ci installé il est impossible de retirer la cagoule. Je fixe finalement mes deux poignets dans mon dos avec les menottes. Puis je prends place à genoux au milieu du salon et j'attends.

L'attente est interminable. Si c'est lui qui a les clés, alors il va venir ici. Mes tremblements sont incontrôlables. J'ai très froid, le stress envahit mon corps, mon esprit ne peu plus réfléchir, c'est le néant.

Soudain j'entends la porte de mon appartement s'ouvrir. Cette personne inconnue entre chez moi. Moi qui suit au milieu du salon, nu comme un ver et dans une position peu enviable. J'entends les pas qui se rapprochent de moi. La personne semble s'être assise dans la causeuse. Je me sens observé, j'ai honte et je suis angoissé.

Après plusieurs minutes de ce traitement psychologique infernal la personne se relève finalement et s'approche de moi à nouveau. Un de mes seins se fait pincer violemment et se fait tirer vers le haut. Je n'ai pas le choix et je dois me lever. Ensuite la personne pince le bout de mon pénis et le tire vers l'avant elle me promène dans toutes les pièces de l'appartement. Je n'ai d'autre choix que de suivre.

Mon pénis a pris de l'expansion et j'en ai honte. Si je n'avais pas de cagoule mon bourreau pourrait surement voir que mon visage est rouge comme une tomate. Revenu au salon il m'oblige à me coucher à plat ventre sur la causeuse. Il me pousse les bras vers le haut du corps pour dégager mes fesses et là débute une fessée magistrale. Les claques fusent à une vitesse infernale. Je pleure, mais je n'ose crier car je ne voudrais surtout pas alerter mes voisins. La fessée est donnée avec tant de vigueur que je pense que mon bourreau est surement un homme. Ma cagoule est remplie de larmes qui ne peuvent s'échapper.

Finalement il m'oblige à reprendre ma position initiale, soit à genoux au centre du salon et me place les deux mains avec les paumes vers le haut. Soudain je sens qu'il y dépose dans chacune d'elle quelque chose. Puis j'entends des pas qui s'éloigne de moi et ma porte d'entrée qui s'ouvre et se referme.

Je prends quelques instants pour reprendre mes esprits et je commence à tâter les objets dans mes paumes. Ce sont les clés des menottes et du cadenas. De peine et de misère je réussis à me défaire des menottes, puis j'enlève la cagoule. Mes larmes coulent enfin sur mes joues. Mon cerveau est aussi embrouillé que ma vue. Je replace mes lunettes sur mon nez et je vais me passer une débarbouillette d'eau froide sur le visage.

Dans la salle de bain, face au miroir, je constate que mes fesses sont de couleur rouge vif. Elles sont devenues sensibles. Je peux même y distinguer l'empreinte des mains de mon bourreau. C'est incroyable ce qui vient de m'arriver. Un parfait inconnu, qui demeure de l'autre coté de ma rue est entré ici et m'a donné une super fessée. Dire que je pourrais le croiser sur la rue sans le reconnaître.

Je me fais un café et je vais m'assoir dans le salon. Non, je me ravise, mes fesses sont trop sensibles à présent. Je dois rester debout. J'essaie de me relaxer, mais sans grand succès. Puis, le téléphone...

-Oui hello!

-Tu vois salope, c'était seulement un petit aperçu pour te montrer que c'est moi qui contrôle ta vie à présent. Tu me dois obéissance. Tu as bien fait cela aujourd'hui. Et ne soit pas triste on va se revoir bientôt. En attendant n'oublie jamais les consignes.

chrislebo

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#6,784
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Quelques jours plus tard le téléphone retenti de nouveau à mon arrivé du travail.

-Oui hello!

-Salut petite pute...Écoute moi bien, ce soir tu vas aller à la banque et tu vas retirer $400. Tu vas les déposer sur ta table de cuisine. Demain je vais passer les prendre.

-Mais vous voulez avoir mon argent en plus...

-Ferme la idiot, tu n'y es pas du tout, j'ai juste quelques emplettes à faire pour toi et ce n'est pas moi qui va payer petit con.

-Heuuu, bien....

-Tu sais ce qu'il peut arriver si tu n'obéis pas salope.

-Bon, d'accord.

-Bien, et ne me déçoit pas. À plus tard connard.

Et il raccroche aussitôt. Une autre soirée à jongler à mon triste sort. Je suis passé à la banque en soirée et j'y ai retiré $400. J'avais l'impression que tout le monde sur mon passage savait pourquoi je retirais cet argent. J'étais dans un autre monde, rien de rationnel. En revenant chez moi en voiture, le paysage qui défilait devant moi me semblait abstrait. Je perdais le contact avec la réalité. Je ne pouvais plus penser par moi-même, de plus en plus quelqu'un d'autre prenait le contrôle de mon corps et de mon esprit.

Arrivé chez moi j'ai déposé l'argent sur la table de cuisine et après avoir pris une bonne douche je me suis mit au lit. Combien allait-il me soutirer encore. Devrais-je lui payer une mensualité. Ou tout cela me conduirait-il. Soudain le tintamarre de mon réveil me sort de ma torpeur. Sans m'en rendre compte mon esprit avait finit par laisser place au sommeil. Et finalement j'avais passé une assez bonne nuit.

Mais au passage dans la cuisine pour préparer mon petit déjeuner la liasse de billet vert sur la table a vite fait de me réintégrer dans la réalité. Angoissé et découragé je suis parti pour mon boulot sans grand enthousiasme.

Une journée comme les autres, stressante et pénible. L'esprit toujours vagabondant dans l'enfer de ma situation. Et lorsque j'arrivais chez moi le soir je ne savais jamais à quoi m'attendre.

Je ferme la porte et me déshabille. Je marche jusqu'à ma chambre pour mettre mon linge dans la boite à lavage. Je retourne vers la cuisine pour préparer mon souper, mais je fais un pas en arrière. Une chose à attiré mon attention. Mon ordinateur est en mode écran de veille. Il est venu fouiller dans mon ordi pendant mon absence.

Je bouge la souris, je prends quelques instants pour comprendre. Mon écran d'ordinateur est divisé en neuf écrans égaux et dans certain d'entre eux je peux reconnaitre les pièces de mon appartement. Ainsi dans le carré gauche en haut je peux me voir moi-même dans ma chambre. Je lève les yeux et j'aperçois une caméra dans le coin au plafond. Je regarde à nouveau sur l'écran et je remarque que je peux voir dans mon salon, ma cuisine, l'entrée et même dans la salle de bain.

Je fais le tour de l'appartement et constate qu'effectivement il y a des caméras partout dans les coins près du plafond. Dans la salle de bain cependant je ne les vois pas.

-Elles sont caché derrière le miroir salope.

J'ai fait le saut. Cette voie venue de nulle part, une voix androgyne et robotisé comme celle du téléphone. Il avait installé un système pour m'observer à distance, j'étais figé.

-Alors tu ne dit rien petite pute.

-Mais.... Euuuhhh

-Bien oui je t'entends aussi.

Ça alors, il peut me parler et m'entendre aussi, il me voit, il est en train de prendre vraiment le contrôle de ma vie.

-Que voulez-vous exactement.

-Tut... tut... tut... Apelle moi Maître Ordinateur quand tu t'adresse à moi à présent.

-Mais qu'est-ce....

-J'ai dit Maître Ordinateur, si non tu sais...

-D'accord Maître Ordinateur

-Bien, à présent écoute-moi bien sans dire un mot. Comme tu vois je peux t'observer grâce à ces merveilleuses webcams sans file. À tout les samedi matin à l'avenir tu vas changer les piles de toutes les caméras. Il y a un système de chargeur dans la petite chambre.

-D'accccorddd..

-Tu as oublié mon nom salope.

-Ok, d'accord Maître Ordinateur

-Bien, pour les piles des deux caméras de la salle de bain elles sont dans le garde robe de ta chambre, car j'ai du installer des miroirs sans thym pour camoufler les caméras au cas où tu aurais des visiteurs.

-Oui mais pour les autres Maître Ordinateur.

-Bien...Je vois que tu apprends vite petite pute. Tu n'auras qu'as dire que c'est un super système de sécurité.

-Oui Maître Ordinateur.

Ensuite il m'a détaillé le système. M'interdisant de fermer mon ordinateur en tout temps à l'avenir. S'il y avait une panne et bien l'ordi était doté d'une batterie backup. Il m'a aussi fait comprendre qu'a l'avenir il me serait interdit de naviguer sur le net à ma guise. Le seul temps ou je pourrais aller sur le net, c'est lorsque je verrais apparaître un icône dans la case noir au centre de mon ordi, la, il n'y a pas de fenêtre pour une caméra.

J'étais stupéfait. Plus de possibilité d'aller sur mes sites bdsm favori. Être épié 24 heures sur 24. Dire que je voyais le bdsm comme un jeu, mais la c'était devenu du sérieux...

chrislebo

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#6,785
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Samedi matin, je sors de la douche, il est 9 heures. Je m'essuie vigoureusement pour bien m'assécher. Quand soudain une voie vient me sortir du néant.

-La douche à été bonne salope.

-Euuuuu oui...

-On dit oui Maitre Ordinateur salle pute

-Oui Maitre Ordinateur.

-Tu vas t'habiller et tu vas aller chercher de la crème épilatoire à la pharmacie immédiatement et défense de mettre des sous-vêtements.

-Oui Maitre Ordinateur

-Allez dépêche toi et revient vite dans la salle de bain en suite.

-Oui Maitre Ordinateur.

Je me suis donc habillé en vitesse et j'ai filé à la pharmacie. J'ai acheté un kit d'épilation et je suis revenu immédiatement à mon appartement...

-Pas trop tôt salope, vite à la salle de bain et comme d'habitude à poil poufiasse.

-Oui Maitre Ordinateur

Je me suis dirigé en courant à la salle de bain et j'ai attendu les ordres.

-Je veux que tu te rase le sexe et la raie du cul petit con, et je ne veux plus un poil compris.

-Oui Maitre Ordinateur

Cela me faisait tout drôle de m'épiler ainsi tout en me sachant observé par cet inconnu. J'ai donc commencé avec les ciseaux pour enlever le plus de poil possible. Ensuite j'ai enduit mon sexe de la crème à épiler, puis j'ai attendu 10 minutes. Ensuite j'ai rincé mon sexe sous la douche et tous les poils ont disparut. J'ai ensuite savonné ma raie et délicatement avec un rasoir bic j'ai fait disparaître les poils autour de mon anus. Je me sentais comme un jeune garçon.

-Bien salope, et à l'avenir je veux que tu t'entretiennes et que tu sois lisse comme un bébé en tout temps.

-Oui Maitre Ordinateur

-Tu vois, je suis ton maitre et tu es mon esclave tu devras toujours m'obéir, je vais te faire franchir plusieurs étapes qui vont te mener à la domination total.

-Oui Maitre Ordinateur

-Je t'ai envoyé un fichier avec plein de questions, je veux que tu prennes la journée pour y répondre et que tu me le retourne ce soir à 6 heures. Et pas de mensonges salope, si non tu sais se qui t'attend.

-Oui Maitre Ordinateur

Je me suis donc dirigé vers ma chambre ou est mon ordi et j'ai cliqué au centre de l'écran sur l'icône du questionnaire. Car mon ordi à présent est totalement sous le contrôle de mon Maître. Je ne peux que cliquer sur les icônes qu'il veut bien me montrer. Si non je ne vois que les 8 écrans qui me renvoie les images de mon appartement. J'ouvre donc le questionnaire.

Âge :
Sexe :
Cheveux :
Yeux :
Taille :
Poid :

Adresse :
Téléphone :

Employeur :
Téléphone :

...... Et cela continuait ainsi en me demandant toute mes goûts, tendances, dépravations, tout ce que j'avais déjà essayé etc... Après ce questionnaire je n'avais plus aucun secret pour Maître Ordinateur. Cela m'avait pris toute la journée pour répondre. Il y avait l'équivalent de 50 pages de questions.

À exactement 5heures 45 je retourne le document complété à mon Maître.

-À présent va devant ta porte patio et masturbe toi devant ta porte.

-Oui Maître Ordinateur.

Je me suis donc dirigé vers la porte patio et j'ai commencé à me masturber.

-Oui c'est cela, plus vite salope et je veux que tu éjacules sur la vitre.

-Oui Maître Ordinateur.

Après plusieurs minutes de ce manège j'ai finalement jouit et éjaculé sur la vitre. Je voyais le coulis de sperme descendre le long de la paroi.

-Lèche ton sperme qui coule sur la vitre salope, allez plus vite que ça.

-Oui Maître Ordinateur.

Je me suis donc exécuté. J'ai léché mon sperme qui coulait. Je sentais que mon bourreau se délectait de me voir ainsi à sa merci dans une position honteuse. Il devait jouir de me voir exécuter tout ces ordres dans les moindres détails. Mais que pouvais-je faire d'autre. Si je n'obéissais pas ma vie deviendrait encore plus pénible. Je ne pourrais même plus me rendre à mon travail ou à l'épicerie sans que tout le monde me regarde avec dégoût et me harcelle et me rejette.

-Bien tu peux retourner à tes activités maintenant petite pute.

-Merci Maître Ordinateur.

Bon j'avais du temps pour moi maintenant, il était 19 heures 30 et comme nous étions en début d'été et qu'il faisait jour jusqu'à 21 heures. J'ai décidé de m'habiller et d'aller faire une randonné de vélo pour me détendre et ne plus penser à rien...

À suivre...

chrislebo

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#6,786
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Le dimanche il n'y a rien eu de spécial. Probablement que Maître Ordinateur était sorti. Le lendemain matin je suis parti travailler et la journée s'est déroulée comme à l'habitude. 16 heures 30 j'étais de retour chez moi. J'ai débarré ma porte, je suis entrée et je me suis déshabillé. J'ai pris mon linge dans mes bras et je me suis dirigé vers ma chambre. En passant près de la cuisine je me suis aperçu qu'il y avait un paquet sur la table. J'ai déposé mon linge sur une chaise et j'ai regardé plus attentivement ce colis. Il y avait une note.

Voici un petit film pour te distraire salope.

Une chaleur indescriptible a envahit mon corps. La personne qui me contrôlait avait encore pénétré chez moi. J'ai ouvert la boite et dans celle-ci il y avait un autre dvd. Je l'ai inséré dans mon player et j'ai regardé. Je pouvais me voir moi-même me masturber devant ma porte patio. Tantôt en plan éloigné, tantôt en plan rapproché. Un close up du visage, une vue d'ensemble. Un plan où l'on pouvait voir ma main masturber mon sexe jusqu'à être assez loin pour que l'on voit ma porte patio au centre de l'image et deux étages de l'immeuble en dessous et au dessus.

Ensuite on me voyait éjaculer dans la vitre. Puis en gros plan rapproché on me voyait lécher mon sperme. Je croyais le video terminée. Comme j'allais éjecter le dvd...

-Attend salope ce n'est pas fini reste assis.

-Oui Maitre Ordinateur

Je me suis assis de nouveau dans la causeuse et j'ai continué à regarder. La même scène recommençait, mais vu de l'intérieur. La caméra web du salon avait tout enregistré. J'avais la confirmation qu'il filmait tous mes faits et gestes.

-Bonne soirée salope, fait de beaux rêves.

-Merci Maître Ordinateur

Maître Ordinateur devait être occupé ce soir et me laissait à mon triste sort comme il le faisait souvent. J'ai vaqué à mes occupations après avoir soupé. Comme souvent, depuis que l'on avait pris possession de ma vie ce fut long avant que je trouve le sommeil.

Puis bizarrement j'ai été plusieurs semaines sans avoir de nouvelles de Maître. Était-il malade ou parti en vacance. J'observais quand même scrupuleusement ma routine. J'étais nu dans mon appartement, la porte débarrée et j'attendais les ordres de Maître...

chrislebo

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#6,787
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Près d'un mois s'était écoulé depuis le dernier contact avec Maître Ordinateur. Sans avoir la possibilité de naviguer sur internet et de faire quoique ce soit sans l'ordre de mon Maître alors je me défoulais dans le sport et la lecture.

Puis un soir après souper alors que je faisais ma vaisselle.

-Qui es-tu ?

Je fis le saut. Il y avait si longtemps que je n'avais pas entendu la voix de mon Maître. Et quelle question bizarre. C'était peut-être un nouveau jeu. Un nouveau défi qu'il me lançait.

-Je suis votre esclave Maître Ordinateur.
-Et que dois-tu faire?

-Et bien je dois vous obéir Maître Ordinateur.

-Et comment?

-Bien en faisant absolument tout ce que vous me demandez Maître Ordinateur.

C'était vraiment bizarre ces questions. De plus la voix androgyne émanant des haut-parleurs semblait un peu différente de l'habitude. Était-il toujours malade, un problème de voie, j'en perdais mon latin.

Il y avait eu un silence de quelques minutes. Cela m'avait semblé très long.

-Ou demeures tu esclave?
-Bien je demeure en face de chez vous Maître Ordinateur.

Pourquoi ces questions? Je ne savais plus quoi penser, de plus le ton était différent. Il ne me traitait plus de salope ou de petite pute. C'était déstabilisant. Peut-être voulait-il modifier la façon de me dominer. Voulait-il raffiner sa domination sur moi.

-Approche-toi de ta porte de salon et reste la.

-Oui Maître Ordinateur.

Je m'approche donc de la porte patio et je reste la. J'essais d'observer quelqu'un qui pourrait m'épier d'un des appartements d'en face. Mais je ne vois rien. Je suis resté ainsi pendant plus d'une demie-heure. Je me demandais bien ce qui se passait. Est-ce que j'allais passer la nuit ainsi? Puis la voix à retenti de nouveau.

-Allez c'est correct tu peux continuer ce que tu faisais.

-Oui Maître Ordinateur.

Et la voix s'est éteinte pour le reste de la soirée. J'ai regardé un peu la télé et je me suis couché de bonne heure. J'ai pensé et repensé à tout cela sans pouvoir trouver une vraie explication. Tout était tellement inhabituel.

Le lendemain matin j'ai repris le chemin du travail. J'étais heureux dans un sens d'avoir été recontacté par mon Maître inconnu. Je ne savais plus quoi faire de ma vie après avoir déjà passé trois mois en compagnie de cette personne qui gérait dorénavant ma vie.

chrislebo

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#6,788
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Deux jours on passé sans nouvelle de Maître. Puis le mercredi, j'avais à peine enlevé tout mes vêtements que la voie se fit entendre dans l'appartement.

-Met toi à genoux au milieu du salon.

-Oui Maître Ordinateur.

J'avais laissé mon linge près de la porte d'entré et je me suis placé, nu, à genoux, au centre du salon. J'attendais la suite impatiemment. J'étais toujours fébrile lorsque je ne savais pas se qui allait se passer ensuite.

-Met tes mains sur ta tête.

-Oui Maître Ordinateur.

Puis il c'est passé encore plusieurs minutes dans le silence. C'était comme d'habitude incroyable. J'étais la au milieu du salon à genoux les mains sur la tête et nu en plus. J'étais la à obéir à une voie d'un inconnu qui provenait directement du web.

-Tu dois m'obéir n'est ce pas ?

-Oui Maître Ordinateur.

-Tu dois faire exactement tout ce que je te dis sans rouspéter!

-Oui Maître Ordinateur.

-Si tu ne le fait pas qu'est ce qui peu t'arriver?
-Bien, vous pouvez divulguer les photos compromettantes de moi, Maître Ordinateur.

-Et aussi les films n'est ce pas ?

-Oui Maître Ordinateur.

Bien oui, depuis le temps que Maître Ordinateur me dominait, il avait amassé bien d'autre photos et films de moi dans des situations encore plus délicates. Mais pourquoi me posait-il toutes ces questions. Étais ce pour me préparer à accepter un nouveau défi tout en me rappelant la menace qui pesait sur moi?

-Va mettre ta cagoule de latex qui cache bien ta vue, mais qui laisse ta bouche dégagé.

-Oui Maître Ordinateur.

Je me suis rendu dans ma chambre et je me suis mit la cagoule en question. Une fois sur la tête je ne pouvais plus rien voir.

-Ferme la avec un cadenas, enferme tes deux poignets avec une paire de menotte derrière ton dos, laisse les clés du cadenas et des menottes dans le tiroir de ton bureau et retourne au salon dans la position ou tu étais tout à l'heure.

-Oui Maître Ordinateur.

J'ai donc fermé le cadenas sur les anneaux qui empêchaient d'enlever la cagoule et je me suis joint les poignets derrière mon dos en laissant les clés dans le tiroir de mon bureau. Je me suis dirigé au salon de peine et de misère, car je n'y voyais rien. Et je me suis mit à genoux au centre, du moins je pense.

-Reste dans cette position quoiqu'il arrive. Ne bouge pas d'un poil avant que je ne t'en donne l'ordre, compris.

-Oui Maître Ordinateur.

Qu'allait-il se passer? Mon esprit envisageait toute sorte de scénario possible. C'était peut-être seulement pour utiliser *** pouvoir sur moi. Me faire faire des choses, juste pour voir mon obéissance. Le coté psychologique de l'exercice était enivrant. S'il fallait que les per***nes de mon entourage qui ***t vanille me voie dans cette position. OUFFF ! vision d'horreur. Il ne fallait pas. Et pour cela je me devais d'obéir.

Soudain j'entends la porte de mon appartement s'ouvrir. Une chaleur intense m'envahit alors. Étais-ce Maître ou une autre per***ne. La porte s'était refermée. Un voisin peut-être. On s'approchait de moi. Pas un mot. Je tremblais de peur et d'angoisse. Des goutes de sueur ruisselaient sur mon corps.

Soudain j'ai senti que l'on me pinçait un sein, puis je me suis senti tiré vers l'avant. La per***ne semblait me rapprocher de la causeuse. Puis deux mains m'ont plaqué contre un entre-jambe et j'ai été obligé de lécher celle-ci. Était-ce Maître Ordinateur?

Chose donc j'étais certain Maintenant c'est que Maître Ordinateur était une femme. Je goutais *** sexe ruisselant de plaisir. Il était juteux et odorant. En me pinçant les seins et en me plaquant le visage sur *** sexe elle m'obligeait à lui lécher avec vigueur. Après quelques minutes je l'ai senti prendre *** plaisir et elle à maculé le bas de mon visage de *** jus. Ces jambes se ***t serré de chaque coté de ma tête très fort. *** corps c'est tordu de plaisir. Elle m'a, pendant plusieurs minutes bien badigeonnée de *** nectar.

Puis, me prenant par un sein elle m'a redirigé vers le centre du salon pour reprendre ma position. Je l'ai senti s'éloigner et elle est sortie de l'appartement en refermant la porte. Je suis resté au centre du salon attendant de nouveaux ordres. C'était incroyable, elle s'était enfin vraiment servie de moi pour la première fois après ces presque quatre long mois. Décidément j'entrais dans une seconde phase de mon dressage. Quelques minutes plus tard le silence de l'appartement à été rompu.

-Tu va aller enlever tes menottes et la cagoule et tu pourras vaquer à tes occupations normales. Mais défense de te laver le visage ou de te brosser les dents pour ce soir.

-Oui Maître Ordinateur.

-Et à l'avenir tu va m'appeler Maîtresse Liane

-Oui Maîtresse Liane.

-Et demain lorsque tu arriveras chez toi je veux que tu dépose 350 euros sur la table de cuisine.

-Mais Maîtresse...

-Il n'y a pas de mais, obéit ou sinon...

-Oui Maîtresse Liane
chrislebo

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#6,789
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En arrivant chez moi ce soir j'ai déposé 350 euros sur la table de cuisine. J'ai allumé la télé et je me suis préparé un bon souper. Toute les nouvelles me semblaient bien banales. J'étais à l'étape du thé lorsque la voix de Maîtresse c'est fait entendre.

-Place-toi au milieu du salon à genoux avec la cagoule et les menottes comme d'habitude salope.

-Oui Maîtresses Liane.

Cela voulait dire qu'elle traverserait bientôt et que j'aurais droit à une séance de domination en règle. Fébrilement j'ai exécuté les ordres. En moins de deux je me suis retrouvé nu au centre du salon cagoulé et menotté. Quelques minutes plus tard effectivement ma porte d'entrée grinçait. Le bruit de ces talons aiguilles c'est rapproché et une violente sensation de douleur à traversé ma poitrine lorsqu'elle à empoigner mon sein avec une traction vers le haut pour me faire mettre debout.

J'ai senti ensuite qu'elle me tâtait le sexe. Voulait-elle me donner du plaisir pour une première fois. Cela commençait à m'exciter au plus haut point. Puis j'ai senti que mon sexe était compressé comme dans un étau, j'ai entendu clic et elle a cessé de me tripoter. Elle m'a attiré vers la causeuse et m'a obligé à m'étendre sur celle-ci sur le dos.

Puis j'ai gouté à nouveau à *** sexe juteux qui se frottait à ma bouche. Pendant plusieurs minutes elle à fait des mouvements de va et vient sur ma figure pour se procurer du plaisir. J'avais de *** jus qui coulait dans mon coup. C'était incroyable comment cette femme était ruisselante. Lorsqu'elle c'est approché de l'orgasme elle serrait de plus en plus mes seins endoloris. Je me forçais pour la faire jouir au plus vite pour qu'elle arrête sa *******. Puis dans un grand tremblement elle c'est laissé emporter. Elle est resté un peu sur mon visage et c'est ensuite relevé.

J'ai pu finalement reprendre mon souffle et abaisser mon rythme cardiaque. Elle est allée ensuite à la salle de bain faire un petit pipi, puis elle est reparti. Je suis resté sur la causeuse attendant les ordres de Maîtresse.

-Enlève les menottes et la cagoule esclave.

-Oui Maîtresse Liane.

Je me dirige donc à tâtons vers ma chambre et je réussis non sans peine à trouver les clés pour me libérer de ces contraintes. À ma grande surprise je m'aperçois en enlevant la cagoule que lorsqu'elle est venu elle m'a installé une ceinture de chasteté. Et moi qui pensais qu'elle me tripotait. Pour en avoir vu plusieurs sur le net, je savais que c'était une cb3000. J'ai essayé vainement de la retirer.

-Essaye pas, elle est bien en place et c'est moi qui est les clés. Et ne cherche pas le 350 euros sur ta table de cuisine j'ai du le prendre pour payer ce petit bijou. Ha ha ha...

-Merci Maîtresse Liane.

-Ha... Comme il est chou, il me re merci de pouvoir lui permettre de ne plus être en mesure de se procurer du plaisir. Ha ha ha...

J'étais figé, qu'est ce que cela pouvais bien signifier. Étais-je condamné à ne plus pouvoir me masturber le restant de mes jours. Plus aucun plaisir. Je resterais un simple outil de plaisir pour ma Maîtresse et moi rien. La dernière fois que j'avais joui c'était il y a une semaine, en dessous de mes couvertures tard le soir pour que m'a Maîtresse ne me voie pas. J'avais fais cela en silence et de façon très discrète.

-Bon va te reposer, maintenant. Car ce samedi tu va avoir une soirée bien rempli.

-Bien Maîtresse Liane.

Sur ce je suis retourné au salon pour éteindre la télé et me préparer pour faire ma toilette avant le coucher. Je me suis rendu compte qu'il y avait un dépliant sur la table du salon. J'en ai pris connaissance, c'était un petit manuscrit qui indiquait comment prendre soin de ces organes génitaux lorsque l'on porte la cb3000 pendant de longue périodes.

J'ai lu le dépliant, puis ensuite je suis allé prendre ma douche. En sortant de celle-ci tout en m'essuyant avec ma serviette je me suis rendu compte qu'il n'était pas facile d'assécher mon sexe avec cette cage de plexi. J'ai du sortir le séchoir à cheveu pour faire le travail tout en essayant de ne pas bruler mes bijoux de famille. Maîtresse Liane devait bien se bidonner en me regardant faire.

Une fois au lit cela à bien été, à part que le dodo sur le ventre est à proscrire avec ce truc entre les jambes, Et que me réservait donc ce samedi...
chrislebo

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#6,790
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Samedi matin, très tôt la voix de Maîtresse m'a réveillé.

-Lève toi, allez lève toi...

-Oui Maîtresse Liane

-Prend un bon déjeuner et tu vas faire le ménage de ton appartement bien comme il faut. Après le diner tu vas faire ta toilette de façon très soigné puis à 15h30 je veux que tu sois en place au milieu du salon avec ta cagoule et tes menottes compris.

-Oui Maîtresse Liane.

-J'espère que tu as rempli ton frigo de bière et de bon vin comme je te l'ai demandé cette semaine et que tu as acheté plein de croustille selon mes bons vœux.

-Oui Maîtresse Liane, Tout est dans le frigo et l'armoire.

-Et n'oublie pas, ménage impeccable et à genoux avec ton attirail au milieu du salon à 15h30.

-Bien Maîtresse Liane.

Je me suis donc levé, j'ai déjeuné et j'ai entrepris de faire briller cette appartement de célibataire. L'aspirateur, l'époussetage, le rangement etc... Puis après un diner très copieux j'ai fait ma toilette avec tous les problèmes que cela comporte. Le rasage de l'anus, le séchage du sexe, après une épilation rendu difficile à cause de la cb3000. Mais avec un peu de crème, une pince à cil et beaucoup de patience je me débrouillais pas si mal.

À 15h30 précises je me trouvais au centre du salon à genoux, menotte au poignet et cagoule sur la tête. Environs 15 minutes plus tard j'entendis Maîtresse arriver. Elle est passé près de moi et elle s'est assise dans la causeuse, puis elle à allumé la télé. Elle s'est relevée, puis me trainant par un sein elle m'a contraint de me coucher entre le mur et le fauteuil. Puis elle s'est assise de nouveau pour écouter la télé. Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu ainsi.

Puis le tintamarre de la ***nette d'entrée m'a sortie de mes ***ges. Mais qui pouvait bien me rendre visite en ce samedi après midi. Ma sœur? Ma mère? Un ami ? Mon corps réagissait violemment à cette situation. Je commençais à grelotter et à avoir des sueurs froides. Maîtresse c'est levé et à été voir qui c'était. Je l'ai entendu décrocher le combiné qui permet de voir qui est dans le hall d'entrée.

-Allo, oui entrée, c'est au septième étage, appartement 704... C'est à droite en sortant de l'ascenseur.

Puis elle raccroche. Mon dieu, elle avait fait monter *** interlocuteur. Enfin, il devait être au moins deux puisqu'elle avait dit monté. Et moi qui se trouvais nu dans un coin du salon. Cela ne m'aidait pas du tout à me contrôler. Les tremblements devenaient encore plus intenses. Puis la porte d'entrée c'est ouverte.

-Allo, comment ca va.

-Ça va très bien et vous?

-Bien merci.

-Entrée, ne restez pas la...Venez vous assoir au salon.

Pas vrai, elles les invitaient au salon. Et moi qu'est ce que je faisais là. Je me faisais le plus discret possible, très près du mur collé contre le fauteuil. Les pas se dirigent vers moi tous des talons hauts. Je suis crispé et anxieux.

-Vous voulez une bière les filles?

-D'accord pour moi....

-Moi aussi Liane.

-Très bien je vous sert ça en moins de deux...

La porte du frigo se fait entendre, et le glou glou de la bière qui descend dans les verres. Puis Maîtresse revient vers le salon et s'assoie.

-Alors Liane tu as été bien mystérieuse cette semaine, tu disais que tu voulais nous montrer quelque chose...

-Oui et moi il y a une chose qui me tracasse aussi depuis que nous sommes arrivées...

-Qu'est ce qui te tracasse Karine?
-Et bien le condo que tu as hérité de ton oncle le mois dernier, il n'était pas de l'autre coté de la rue.

Elle avait hérité de *** oncle le mois dernier. Mais alors, cela fait au moins quatre mois que je suis dominé, cela veux dire qu'au début c'est *** oncle qui m'a découvert et qui a tout manigancé.

-Justement Karine, il est de l'autre coté de la rue.

-Celui-ci, il est à toi aussi?

-Mais non Françoise, celui-ci appartient à ma surprise.

-Quoi tu veux dire que tu t'es fait un copain...

-Pas du tout, vous connaissez tous ma vision de la vie, pourquoi s'encombrer d'un homme lorsque l'on peu vivre complètement libre.

-Mais là je ne comprends pas du tout Liane, c'est tellement nébuleux ton histoire.

Je commençais à sentir la soupe chaude, bientôt elle allait me sortir de ma cachette, et n'ayant aucun choix cela allait être ma fête.

-Avance à quatre pattes au milieu du salon.

-Mais tu ne veux tout de même pas que je fasse ça Liane.

-Mais non Françoise, je dis cela à ma surprise.

-Ta surprise?

-Allez au milieu du salon esclave.

Ces derniers mots m'ont glacé le sang. Je savais que commençais ici ma vraie condition d'esclave. Elle me ferait faire tout ce qu'elle voulait. J'allais avoir la honte de ma vie et cela ne faisait que commencer...

Fin
chrislebo

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#6,791 · Edited by: chrislebo
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Maryse, naissance de la perversion


En cette belle journée d'été, Maryse se console d'être encore devant *** écran d'ordinateur en se disant qu'il ne lui reste qu'une heure avant de quitter *** bureau. On est mercredi, *** travail et ses horaires lui permettent d'avoir sa demi-journée, ce qui était très pratique lorsque ses enfants étaient plus jeunes. Maintenant qu'ils ont treize ans pour le dernier et seize ans pour sa fille aînée, elle profite de ce temps pour vaquer à ses occupations. Mais d'abord elle doit finir sa comptabilité si elle ne veut pas avoir *** chef sur le dos le reste de la semaine. Ce dernier déboule dans *** bureau, sans frapper comme toujours, accompagné d'un stagiaire à tout faire :
— Maryse, pourriez-vous me rendre un service ? Il faut que nous nous débarrassions de quelques cartons d'archives et je crois que la déchèterie est sur votre chemin...


Et sans lui laisser le temps de répondre :
— Bref, j'ai demandé au petit Martin de vous aider à charger les quelques cartons dans votre voiture. À demain.


Le pauvre « petit » Martin ne sait plus où se mettre, le chef comptable M. Ribière vient de le laisser en plan dans le bureau de cette dame qu'il connaît à peine avec une mission qui ne doit pas l'enchanter. Maryse laisse la surprise passer, puis elle demande au jeune homme de la rejoindre devant *** bureau dans une demi-heure pour l'aider. Il lui reste peu de temps, mais elle réussit à prendre de l'avance sur *** travail. Elle retrouve le jeune Martin devant *** bureau.
— Vous a-t-il dit au moins quels cartons devaient être jetés ?
— Oui, madame.
— Bon, je vais chercher la voiture et vous, vous commencez à sortir les cartons.


Les cinq cartons chargés, Maryse se dit que vraiment Ribière exagère, quel goujat. Mais par les temps qui courent, mieux vaut garder *** emploi. Et puis la déchèterie est sur *** chemin. Elle rentre sa voiture sur le terrain, voit deux utilitaires garés. Deux hommes ***t en train de jeter leur détritus, un à la benne de recyclage des déchets organiques et l'autre à la ferraille. La casse de voitures se trouve juste à côté. Un homme en tenue de chantier s'approche d'elle.
— Bonjour M'dame, vous avez votre carte ?


Maryse reste un moment interdite. Quelle carte ? De quoi parle-t-il ? En plus il a un regard lubrique, il la dévore des yeux.
— Euh bonjour... de quelle carte parlez-vous ?
— Ben, je dois savoir si vous habitez le coin et si vous avez bien payé vot'taxe pour jeter vos ordures chez moi !


Maryse se dit qu'en plus d'être lubrique, le bonhomme n'est pas très aimable...
— J'habite la ville d'à côté, d'habitude mon mari se charge de ça, mais là on m'a demandé de jeter des vieux dossiers...
— Ouais OK, j'ai pas toute la journée. Montrez voir votre carte d'identité et vous reviendrez demain avec vot'carte pour que je valide.


Elle fouille *** sac, sous le regard de l'employé qui n'en perd pas une miette. Pourtant elle est habillée sobrement comme toujours. Sa robe à motif vert est fraîche, mais elle la couvre jusqu'au cou. Elle lui tend sa carte d'identité.
— OK c'est bon, pour le papier, c'est la dernière benne. Par contre, faut revenir demain avec votre carte si vous voulez pas recevoir une amende.
— Merci.


Elle dirige sa voiture vers la dernière benne. Les deux autres hommes la regardent passer. Elle commence à être troublée par le comportement de tous ces hommes. Elle se dit qu'il vaut mieux qu'elle se dépêche de jeter tous ces papiers pour rentrer chez elle. Les cartons étant bien trop lourds pour elle, elle jette dossier par dossier dans la benne dont l'ouverture se trouve un peu au-dessus de *** visage. L'employé ne perd pas une miette de ce spectacle. Ce n'est pas si souvent qu'une femme vient lui rendre visite. Celle-là dans sa robe verte lui plaît bien. Il peut deviner une belle paire de seins qui ballottent à chacun de ses mouvements et ses fesses bien rebondies lui ouvrent l'appétit. Les deux autres non plus n'en ratent pas une miette. D'ailleurs ils se font quelques commentaires imagés qui ne laissent aucun doute. L'un d'eux s'adresse à l'employé :
— Eh Francis ! T'en reçois du beau monde aujourd'hui ! Tu nous avais caché ce joli petit lot.
— Moi, je lui p'loterai bien les nichons !


Et Francis de répondre :
— Ouais, tu peloterais n'importe quoi toi de toute façon !


S'en suivent des éclats de rire bien gras. Les hommes n'ont pas été très discrets et Maryse a tout entendu de l'échange et des premiers commentaires échangés. Et elle est mal à l'aise. Elle n'ose rien dire. *** cœur bat la chamade. *** souffle est plus court. Les efforts pour jeter ses fichus dossiers, se dit-elle. Mais elle sait qu'il y a autre chose, elle a une boule dans le ventre. Elle n'ose y croire, mais elle est excitée par les commentaires des ces vicieux. Il faut qu'elle se reprenne. Francis l'employé approche d'elle.
— Madame, n'oubliez pas de revenir demain. J'ouvre à 8 heures et je ferme à 17 heures 30. Sauf le mercredi où je ferme à 14 heures. D'ailleurs l'heure approche, faudrait vous dépêcher.


Le bonhomme s'en va sans même l'aider. Quel goujat, pense-t-elle. Et encore ce regard lubrique braqué sur sa poitrine. Il faut dire que les efforts (ou bien est-ce autre chose) lui font pointer les seins. Ses tétons tendent outrageusement le tissu de sa robe à travers *** soutien-gorge.
Les derniers papiers jetés, elle quitte la déchèterie. Pendant le trajet de retour elle ne peut s'empêcher de repenser à ces derniers moments à la déchèterie. Elle a été troublée par le regard des hommes et surtout celui de Francis. Sans parler de leurs commentaires. Arrivée chez elle, elle prend un bon bain, se prélasse puis s'occupe de la mai*** en attendant le retour de *** mari et des enfants. Elle ne parle pas de cet épisode qu'elle essaie d'oublier.
Le lendemain matin, elle décide de repasser à la déchèterie car elle ferme trop tôt le soir. Francis la voit arriver, mais il la laisse venir vers lui. Elle descend de voiture et, comme la veille, il la dévore des yeux. Aujourd'hui, elle s'est habillée d'un pantalon et d'un chemiser assez ample. Comme la veille *** regard est attiré par ces deux lobes qui bougent en cadence quand elle marche. *** regard la gêne, elle-même n'ose pas le regarder trop longtemps comme si elle risquait de libérer les pulsions de l'autre en le regardant.
— M'dame.
— Bonjour, je vous ai ramené ma carte.
— C'est bien, ça. Voyons voir...


il inscrit *** nom sur *** registre.



— Il me faut votre téléphone aussi, Madame Lépie.
— Pourquoi ?
— C'est comme ça. J'fais pas le règlement.


Elle lui donne *** numéro de portable machinalement.



— Merci bien.


Elle s'apprête à remonter en voiture quand Francis l'interpelle :



— Eh M'dame Lépie, la prochaine fois faudrait venir habillée plus sexy !


Elle est abasourdie par ce qu'elle vient d'entendre. Elle ne sait quoi répondre. Et il lui tourne le dos et s'en va dans la casse de voitures. Elle se dit que cet homme est un véritable goujat, vulgaire et répugnant. Et pourtant, le reste de la journée elle repense encore à cette phrase et au regard de Francis qui la déshabille, la transperce...
chrislebo

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Une semaine passe dans la monotonie de *** travail. *** mari lui annonce :
— Maryse, ma chérie, je suis désolé, mais dans trois semaines je dois partir en déplacement pour le boulot.
— Ce sera long ? Cela tombe mal, les enfants ***t justement chez leurs amis à cette période, cela nous aurait permis d'être juste tous les deux...
— Je sais, je suis désolé, mais je ne peux pas faire autrement. Je me ferai pardonner, promis.


Oui, mais elle, elle doit rester à la mai*** seule. Cela obscurcit un peu sa journée. Elle repense encore à sa discussion avec *** mari quand *** chef déboule dans *** bureau :
— Maryse, puisque vous connaissez la déchèterie, il faudrait y retourner aujourd'hui pour jeter encore quelques archives. À demain !


Encore ! Il a osé lui refaire le coup soi-disant avec humour ! Elle s'en prend à Martin qui est resté dans l'encadrement de la porte, en lui disant sèchement :
— Revenez dans une heure pour charger les cartons !


Le pauvre n'y est pour rien, mais il fallait qu'elle passe ses nerfs sur quelqu'un ! Les cartons chargés, elle remonte en voiture et se dirige vers la déchèterie. En route, elle repense à sa dernière visite et la dernière remarque de Francis se répète sans arrêt. Aujourd'hui, elle est habillée encore une fois de manière assez classique. Une jupe qui lui arrive aux genoux, un chemisier blanc fermé jusqu'au cou, des chaussures à petits talons. Mais pourquoi passe-t-elle en revue sa tenue ! Cela n'a aucun sens, se dit-elle. Mais une autre voix lui dit qu'elle pourrait ouvrir quelques boutons de *** chemisier. Elle s'arrête sur le bord de la route. Elle regarde autour d'elle, pas une voiture. Ce n'est pas étonnant à cette heure-là. Il est plus de 13 heures. D'ailleurs il faut qu'elle se dépêche. Elle défait ses deux premiers boutons et puis un troisième. Elle se regarde dans le rétroviseur. *** cœur bat à nouveau la chamade. Est-il possible qu'elle soit excitée à ce point-là ? Elle redémarre et arrive à la déchèterie. Cette fois elle est seule, il n'y a pas d'autre voiture. Elle s'arrête devant la benne de papiers et commence à jeter ses dossiers. Elle n'entend pas arriver Francis derrière elle et elle sursaute quand il lui adresse *** salut :
— M'dame Lépie. J'espère que vous avez votre carte aujourd'hui.
— Bon... Bonjour, M. Francis. Oui, je l'ai, la voici.


Elle lui tend la carte sous *** regard. Il peut voir la naissance de ses seins et le sillon entre les deux. Il a un sourire en coin. Elle est de nouveau bouleversée par ce regard libidineux. Elle n'a plus de doute sur *** excitation. Pourtant l'homme qui se trouve en face d'elle, dans sa tenue de travail tachée, n'est pas *** type. Il n'est pas très grand, il commence à avoir une petite bedaine. Il est mal rasé et coiffé n'importe comment. Bref il n'est absolument pas *** type d'homme. Après avoir noté les informations dont il a besoin, il la laisse en plan. Elle recommence à jeter ses dossiers.
— Je ferme dans dix minutes !
— Oui, oui, je me dépêche.


Toujours aussi aimable, se dit-elle. Mais *** trouble est bien là, elle en tremble ! Elle quitte l'endroit quelques minutes avant qu'il ferme. Sur le chemin, elle reçoit un SMS sur *** portable.
— La prochaine fois encore plus sexy !


À nouveau elle ressent une boule dans *** estomac. Les battements de *** cœur s'accélèrent. Elle ne peut voir le numéro, mais elle sait que c'est M. Francis qui lui a envoyé ce message. Elle l'efface et rentre chez elle. Elle décide de se calmer avec un bon bain, un thé et une sieste sur la terrasse au soleil.


chrislebo

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Une nouvelle semaine passe dans une monotonie relative. Les derniers événements ont beaucoup perturbé Maryse. Elle n'a rien dit à per***ne et *** mari met *** attitude sur le compte de *** déplacement qui approche. Le mercredi matin, elle s'habille plus légèrement. Les températures ***t chaudes et elle a fait quelques emplettes ce week-end pour renouveler un peu sa garde robe. Elle choisit de mettre une petite robe plissée avec un beau décolleté qui met sa gorge et sa poitrine en valeur sans être vulgaire tout en camouflant *** petit ventre. Elle se regarde dans la glace et est très contente de *** effet. Elle se doute que *** chef va encore débouler dans *** bureau pour l'envoyer à la déchèterie. Il est tellement prévisible. Elle sent une pointe d'excitation à l'idée de cette nouvelle rencontre.
Et *** chef ne manque pas de lui demander d'aller à la déchèterie. Martin en chargeant la voiture ne manque pas de la regarder à la dérobée. Cela la conforte sur *** apparence. Confortée certes, mais *** trouble grandit au fur et à mesure qu'elle approche de la déchèterie. Sa respiration est courte. Elle se demande même ce qu'elle est en train de faire. Puis elle se dit qu'elle ne fait rien de mal. Elle arrive enfin à la déchèterie qui est une nouvelle fois déserte. Elle gare sa voiture. Cette fois, elle ne veut pas se laisser surprendre par M. Francis qui ne se montre toujours pas. Elle est déçue de ne pas le voir. Elle ne peut pas partir sans s'être enregistrée, cela ne serait pas très honnête. Elle décide de partir à sa recherche. Elle se dirige vers les piles de voitures entassées et ne tarde pas à entendre un bruit. Une sorte d'écoulement. Elle regarde à travers les portières d'une voiture écrasée par les cinq ou six autres qui ***t au-dessus et se fige sur place.
Elle s'arrête de respirer. Le sang lui bat les tempes. Elle a l'impression que *** cœur bat tellement fort qu'on peut l'entendre à cent mètres à la ronde. Elle voit de l'autre côté M. Francis en train d'uriner sur la voiture. En fait, elle ne voit que le sexe mou de l'homme, duquel s'échappe un gros jet d'urine. Il a retroussé la peau de *** gland et un fois qu'il a fini d'uriner, il la fait aller et venir afin de se débarrasser des gouttes qui restent. Il remballe *** sexe dans *** bleu de travail et se dirige vers la benne. Maryse panique. Elle ne peut lui laisser deviner qu'elle l'a vu, mais comment faire pour retourner à sa voiture sans éveiller ses soupçons ? Le temps qu'elle réfléchisse à tout ça, il est trop tard.
— Alors, ça te plaît de me mater en train de pisser ?


Elle est tétanisée. Elle se relève brusquement. Il la regarde avec *** sourire en coin. Il parait encore plus pervers que les autres jours. Il regarde ses seins. Il caresse sa barbe naissante de sa main droite tandis que l'autre est sur sa hanche.
— Alors, ça t'a plu ?


Elle réalise qu'il la tutoie.
— Je suis désolée, je ne voulais pas... je venais me faire enregistrer...
— Ouais, je vais t'enregistrer, t'en fais pas.


Elle est toujours tétanisée.
— Bon, je vais fermer, rejoignez-moi à ma caravane derrière ce tas de bagnoles là. J'ai laissé ma pointeuse là-bas.
— Euh oui, euh mais...


Il ne lui laisse pas le temps de continuer qu'il s'en va fermer la grille de la déchèterie. Elle approche sa voiture de la caravane. Elle ne savait pas qu'il logeait ici. Et toujours cette boule dans l'estomac et sa respiration qu'elle ne contrôle plus. Un bref regard dans *** rétroviseur lui révèle le regard d'une proie affolée.
— Venez !


Elle n'a pas le choix, elle descend de voiture. Il ouvre la porte de sa caravane et lui indique de monter. Elle sent *** regard sur elle. Elle sait qu'il regarde ses fesses et ses jambes. Elle reste un instant figée quand elle voit les posters aux murs de la caravane. Là des femmes nues, exhibant leurs seins énormes et leur sexe rasé dans des positions impudiques, ici des femmes habillées de latex et un autre poster montrant une femme à la chevelure brune la bouche grande ouverte et tenant un sexe énorme qui lui gicle sur le visage une grosse quantité de sperme.
— Rentrez, soyez pas intimidée.


Il referme la porte derrière lui.
— Alors Maryse, tu m'as pas répondu ! Ça t'a plu de me mater ? Moi, j'aime bien te mater et je vois que tu as fait des efforts aujourd'hui. Ça te plaît de m'exciter, je le sais. Et je suis sûr que tu es toute excitée, toi aussi.


Maryse est tétanisée, elle est sous l'emprise de cet homme commun, vulgaire, qu'elle n'aurait jamais regardé, qui ne l'aurait jamais intéressée, elle en est sûre, mais la voilà seule dans cette caravane avec cet homme.
— Fous-toi à poil !


Que fait-elle là ? Elle regarde autour d'elle. Elle ne fait pas partie de ce monde et pourtant presque mécaniquement elle défait la fermeture éclair qui se trouve sur le côté de sa robe. Elle retire une première bretelle, laissant apparaître un sein pri***nier dans un soutien-gorge couleur chair. Puis l'autre bretelle tombe et la robe glisse sur ses hanches. Elle a encore un geste de pudeur en plaçant un bras sur sa poitrine. Elle ne se rend pas compte qu'en faisant cela elle exhibe un peu plus ses seins lourds devant *** voyeur. Lui observe sa proie avec *** petit sourire en coin. Il est fasciné par le spectacle. Il n'en rêvait pas autant. Il aime ses courbes, *** petit ventre lui donne plus de charme. Il se retient de s'approcher et de la peloter. Il veut qu'elle s'abandonne à lui.
— Le reste aussi.


Sans rien dire, les yeux baissés, elle défait *** soutien-gorge. Et elle est obligée de lui montrer sa poitrine pour retirer sa culotte couleur chair. Ses seins pendent quand elle se penche pour enlever le dernier morceau de tissu qui la protège du monde extérieur. Il adore ce qu'il voit. Elle a de belles aréoles roses. Et ses tétons ***t tendus, il sait que la température n'y est pour rien, elle est excitée !
— Tourne-toi, que je puisse te voir entièrement.


Elle s'exécute, elle tourne sur elle-même dans l'espace confiné de la caravane.
— T'es vachement bien foutue, tu sais. Faut que je prenne quelques souvenirs !


Ses yeux s'agrandissent ! Là, cela va trop loin, mais elle a à peine le temps de répondre qu'elle voit un premier flash, puis un second.
— Vas-y, tourne ! Et prend des poses comme les salopes sur les posters ! Fais pas ta mijaurée, t'es comme elles, sauf que tu le sais pas encore, eh eh eh !


Maryse ne pense plus ou pense trop vite. Elle est perdue. Le souffle lui manque. Elle est très excitée par la situation et elle finit par l'admettre. Elle commence par tourner sur elle-même sous les flashes de l'autre. Il prend autant de photos qu'il peut. Elle commence à prendre des poses. D'abord en lui tournant le dos et en tendant ses fesses vers lui. Elle essaie de se cambrer au maximum. Elle transpire. Elle se replace face à lui et se malaxe les seins. Ils ***t lourds sans être trop fermes. Les tétons ***t tendus. Elle se caresse la toi*** qu'elle a fournie. Se retourne et écarte les jambes. Elle lui offre une vue des plus érotiques sur ses deux orifices. Sa chatte s'ouvre et M. Francis peut voir qu'elle mouille en abondance. Elle se tient à la paroi d'une main et se caresse le clitoris de l'autre. Et elle jouit bruyamment sous les flashes de cet homme. Elle ne tient plus sur ses jambes. Elle se retourne et s'assoit devant *** voyeur. Quel spectacle elle vient de lui offrir ! Il est heureux, jamais il n'aurait cru cela possible. Elle le regarde comme enfiévrée.
— C'était vachement bien ! Tu m'as excité à mort. Regarde !


Elle regarde *** entrejambe. *** bleu est déformé par *** membre tendu. Il baisse sa fermeture éclair et lui exhibe *** sexe tendu. De taille normale, mais tout veiné, ce qui excite Maryse. Il s'approche. Elle sait ce qu'il va lui demander. *** regard passe de *** sexe au regard de la brune qui se fait éjaculer dessus. Elle sait qu'elle va finir comme elle. Elle veut voir sa bite éjaculer. Il arrive à hauteur de *** visage.
— Suce !


Elle lui prend la tige et commence à le branler. Il continue à prendre des photos le salaud, mais elle est trop excitée pour s'en faire et cela participe à *** excitation. Elle se découvre une nouvelle facette, l'exhibitionnisme. Mais elle n'a pas le temps de penser. Elle veut qu'il lui éjacule dessus. Et à entendre ses râles cela ne va pas tarder. Elle ne le suce pas. Mais le branle vigoureusement. Elle sent la bite se tendre dans sa main. Il prend des photos par pur réflexe et soudain c'est l'explosion ! Un gros jet vient s'écraser sur *** front et ses cheveux. Puis un autre finit sur sa joue. Un troisième moins puissant arrive dans sa bouche qu'elle a ouverte de surprise. Le dernier se dépose sur *** sein gauche. Il grogne sa jouissance. Il reprend peu à peu ses esprits. Il prend quelques photos de Maryse couverte de *** sperme. Elle goûte *** sperme au goût fort, elle se sent... salope. Et cela lui plaît.
— Putain c'était bon ! Mais la prochaine fois quand je te dis suce, tu suces ! Sinon...


Elle ne répond pas. Elle est encore sous le choc de ce qui vient de se passer.
— Mets tes fringues... Non, pas tes sous-vêtements ! Ça, je les garde ! Va falloir faire encore mieux la semaine prochaine à la même heure. J'en ai pas fini avec toi !


Maryse se rhabille après s'être essuyée du mieux qu'elle le pouvait. Et quitte la caravane en compagnie de M. Francis qui va lui ouvrir la grille. Il faut maintenant qu'elle se dépêche de rentrer pour prendre une douche. Le retour est à nouveau rempli de visions de ce qui vient de se passer. L'excitation ne la quitte pas.

chrislebo

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#6,794
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Le lendemain, Maryse a d'abord du mal à se concentrer sur *** travail. Elle décide de ne plus penser à rien d'autre qu'à ses dossiers. Elle réussit à prendre un peu d'avance sur *** travail et c'est fière d'elle-même qu'elle quitte *** bureau. *** portable ***ne, elle l'ouvre et lit le message. Elle plonge à nouveau dans un état second lorsqu'elle lit le message :


La semaine prochaine je te veux en dessous très sexy
Le message est accompagné d'une photo d'elle toute nue tenant ses deux seins aux tétons érigés, les offrant au photographe. Elle est fascinée par le visage de cette femme offerte, *** visage. Elle peut y lire l'excitation mêlée à l'abandon de soi. De nouveau, elle ressent cette boule dans l'estomac. Elle monte en voiture et rentre chez elle en se remémorant tous les détails de *** aventure de la veille.
Alors qu'elle s'occupe des différentes taches ménagères, *** portable ***ne à nouveau. Elle peine à respirer, elle a tout à coup très chaud. Elle observe le portable posé sur la table qui ***ne. Quand elle trouve enfin le courage de répondre, elle entend la voix de *** mari. Elle reprend ses esprits peu à peu en le laissant parler. *** mari lui explique qu'il ne sera pas là avant 21h30 car il doit absolument régler des problèmes sur des dossiers concernant *** futur déplacement. Il est 19h30, cela lui laisse deux heures de libre. Sa fille est dans sa chambre en train d'étudier en écoutant de la musique et *** fils dans le salon sur ses jeux vidéo. Elle décide de prendre l'ordinateur portable et de s'installer dans sa chambre. L'excitation la prend peu à peu. Elle prend soin de fermer sa porte à clef pour éviter de se faire surprendre. Avant tout, il faut qu'elle transfère la photo d'elle, reçue sur *** téléphone. Elle décide de la garder et de la copier sur une clé USB. Elle s'observe dans cette position obscène. Elle n'imaginait pas pouvoir être aussi excitée par le spectacle qu'elle offre sur cette photo. Il y a encore quelques semaines, elle vivait une existence tout à fait convenable partagée entre *** travail, ses enfants et *** mari. Il est vrai que *** mari est de plus en plus accaparé par *** travail, mais cela n'explique pas qu'elle se soumette aux désirs d'un homme comme M. Francis. Tout les sépare, ils ne ***t pas du même monde. Elle a de l'éducation, une famille. Lui est vulgaire, il vit seul, il est pervers et elle... Non c'est impossible, elle n'est pas perverse. Elle referme l'ordinateur, prend soin de ranger la clé usb au plus profond de l'un de ses tiroirs. Elle ressort de sa chambre pour préparer le dîner. Elle s'affaire dans la cuisine. Elle essaie tant bien que mal de repousser les dernières pensées qu'elle a eues. Mais elle ne peut nier l'état d'excitation qui a été le sien.
Le week-end arrive enfin et c'est pour Maryse l'occasion de se promener en ville et d'aller voir les magasins et les nouveautés qu'ils proposent. Elle repense soudain à la demande de M. Francis en passant devant un magasin de lingerie. Plus par défi que par besoin elle rentre dans le magasin pour trouver de la lingerie plus affriolante, mais il n'en verra rien, se dit-elle. Elle prend la résolution de ne plus écouter la perversité de cet homme abject. Elle a fait une très grosse erreur, mais cela ne se reproduira plus. Armée de cette nouvelle résolution, elle rentre dans le magasin. Une charmante dame d'une quarantaine d'années l'accueille par un sourire :
— Bonjour Madame, puis-je vous aider ou préférez-vous regarder tranquillement ?
— Bonjour, je vais regarder ce que vous avez.


Il y a plusieurs ensembles qui lui plaisent bien. Mais elle se rend compte que tout ce qu'elle a sélectionné reste classique. Rien ne sort de *** ordinaire. Ils ***t certes très beaux, mais il leur manque ce quelque chose de sexy. Après quelques instants de réflexion et surtout d'hésitation, elle se tourne vers la vendeuse occupée à trier des articles.
— Euh, Madame, j'aurai besoin de vos conseils.
— Mais bien sûr. En quoi puis-je vous être utile ?


Après un léger moment d'hésitation.
— Voilà, j'aimerais faire plaisir à mon mari, mais je ne sais vraiment pas quoi prendre. J'avais pensé à cet ensemble bleu turquoise, mais j'ai peur qu'il trouve cela trop classique. Que me conseilleriez-vous ?


La vendeuse regarde les articles bleu turquoise, composés d'une culotte et d'un soutien-gorge à armature. Même s'ils ***t très beaux, ce n'est pas ce qu'il faut à sa cliente si elle veut quelque chose de moins classique. D'un regard professionnel, elle observe sa cliente afin de jauger sa taille, *** style ainsi que les couleurs qui lui iraient le mieux.
— Vous faites un 95D n'est ce pas ?
— Euh, oui, c'est exact.


Maryse se sent troublée par le regard inquisiteur de la vendeuse. Elle essaie de se calmer en se disant qu'elle n'est pas la première que cette vendeuse regarde ainsi, elle ne fait que *** travail. Mais le trouble persiste.
— Tout d'abord, si vous voulez surprendre votre... mari, il faut que vous changiez de style de lingerie. Je suppose que ce que vous avez choisi correspond plus ou moins à ce que vous avez l'habitude de porter ?
— Oui en effet.


Maryse se demande pourquoi la vendeuse a hésité en parlant de *** mari. C'est comme si elle savait ce qu'elle avait fait ou allait faire. Pourtant Maryse s'est juré de ne plus recommencer *** erreur.
— Bon, il vous faut quelque chose de plus épicé. Voilà, ceci devrait faire l'affaire. C'est une guêpière bleu nuit et noire qui devrait mettre vos jolis yeux bleus en valeur. De plus elle vous soutiendra bien la poitrine. Cela vous fera une superbe silhouette. Tenez, voici le string assorti.


Maryse regarde les articles, ils ***t très beaux, mais elle se demande si elle osera les porter. Elle rentre dans la cabine d'essayage et tire le rideau. Elle se déshabille, puis elle met le string et la guêpière. Sa poitrine est vraiment relevée et mise en avant. Cela lui fait une étrange impression. Elle se sent terriblement sexy, *** petit ventre est camouflé. Elle se tourne et regarde ses fesses. Elle n'imaginait pas que cela lui irait aussi bien. La guêpière se termine par quatre jarretelles qui ne demandent qu'à soutenir des bas-coutures.
— Comment cela vous va-t-il ? Je peux regarder ?
— Oui, vous pouvez.


La vendeuse ouvre le rideau, elle reste un instant à regarder sa cliente. Le spectacle qu'offre cette dame est très plaisant. Il ne manque que des bas et des talons à sa cliente pour parfaire le tableau.
— Là je pense que vous allez vraiment le surprendre. Vous êtes très belle dans cet ensemble. Attendez une seconde, je vais vous cherchez des bas.


La vendeuse s'absente. Maryse s'observe dans la glace. Elle recule un peu pour essayer d'avoir une vue d'ensemble. En effet, elle va en surprendre plus d'un. Non, elle va surprendre *** mari. Soudain elle se rend compte qu'elle est sortie de la cabine. Quelqu'un aurait pu la voir. *** cœur bat la chamade. Malgré l'excitation, elle se réfugie dans la cabine. Que lui arrive-t-il ? Elle est maintenant excitée à l'idée d'avoir été surprise dans cet ensemble de lingerie sexy. La vendeuse revient avec une paire de bas et lui présente. Elle referme le rideau pour les mettre. Même si elle se sent troublée, elle ne veut pas que la vendeuse se fasse des idées. Elle met les bas et ne peut s'empêcher de caresser ses jambes ainsi habillées. La sensation est très sensuelle. Elle attache les jarretelles puis rouvre le rideau.
— Vous êtes presque parfaite.


Maryse qui n'est pas si à l'aise que cela est surprise par le « presque ».
— Puis-je me permettre d'ajuster vos jarretelles ? Je vais vous montrer comment les mettre correctement.
— Oui, allez-y.


La vendeuse s'approche de Maryse et s'accroupit devant elle. Ses mains fines glissent légèrement sur les cuisses de Maryse lui provoquant des fris***s. Elle ne dit rien, elle ne sait quoi penser. La vendeuse ajuste les jarretelles de façon à ce que cela mette en valeur les fesses de sa cliente. Maryse est de nouveau excitée par la situation. Elle ne peut le nier. Ses pensées ***t tournées vers les mains de cette vendeuse qui s'affairent au niveau de ses fesses pour remettre en place les jarretelles. Elle sent leur douceur sur sa peau, cela l'électrise. Elle respire plus rapidement.
— Voilà, cette fois, vous êtes parfaite.


Maryse est troublée, elle est en lingerie devant cette inconnue et cela l'excite. Elle a du mal à retrouver une respiration normale. La vendeuse continue de la regarder en souriant. Maryse n'ose pas la regarder, elle bredouille des remerciements puis referme le rideau. Une fois seule dans la cabine, elle reprend peu à peu ses esprits. Elle est de plus en plus troublée par ses nouvelles sensations et ses nouvelles envies. Elle se change et ressort de la cabine, les jambes fébriles. Que lui arrive-t-il ?
— Je vais prendre la guêpière, le string et les bas...
— Très bien.


Elle n'ose pas regarder la vendeuse. Elle observe ses mains, si douces et si troublantes, manipuler ses articles et les ranger délicatement dans leur emballage.
— Voici, cela vous fera 120 Euros.


Après avoir payé, Maryse quitte le magasin sous le regard de la vendeuse. Elle a toujours *** sourire qui la trouble, comme si cette per***ne était capable de lire ses pensées les plus intimes. Il est temps pour elle de rentrer. Elle ne parle pas de ses achats à *** mari et les range au plus profond de *** tiroir avec la clé usb.
Durant le début de la semaine, Maryse redoute ce qui va se passer mercredi. Elle s'attend à ce que *** chef l'envoie une fois de plus à la déchèterie, mais elle ne veut pas. Dès qu'elle y pense, elle est partagée entre l'excitation et la peur de céder à nouveau à ce pervers.


Maryse se réveille avec une boule dans le ventre. La journée qu'elle redoute depuis plusieurs jours est arrivée. Elle a passé une nuit agitée, elle a rêvé qu'elle se retrouvait dans la caravane de M. Francis, entourée des modèles des posters. Elles la touchaient, la caressaient sous le regard vicieux de M. Francis. La vendeuse était là aussi avec *** sourire. Elle savait tout et l'observait sans cesse. Puis M. Francis approchait et elle se retrouvait avec *** sexe en main. Il lui répétait sans cesse de le sucer. Toutes ces images se ***t répétées sans cesse durant *** sommeil.
Après une douche réparatrice, elle se pose un dilemme. Va-t-elle ou non céder à la perversité de M. Francis ? Elle décide qu'il est nécessaire pour elle-même et pour *** amour propre de prendre la situation en main. Elle va donc porter sa nouvelle tenue pas pour M. Francis, mais pour elle-même. Maryse est décidée à ne plus se laisser faire. Elle s'observe avec *** nouvel ensemble de lingerie qui lui va à ravir. Elle opte pour une jupe droite arrivant aux genoux, un chemisier et des talons. Elle s'observe de nouveau, elle est habillée de façon classique. Le seul détail qui change, c'est sa poitrine qui est maintenue plus haut que d'habitude. Elle se trouve désirable et savoir qu'elle a une tenue aussi sexy en-dessous lui procure une petite pointe d'excitation.
Maryse s'attend à tout moment à ce que *** chef lui demande de retourner à la déchèterie, mais il n'en parle pas. En fin de matinée, elle ne l'a toujours pas vu. Elle est presque déçue, mais finalement elle se dit que c'est mieux ainsi. Elle n'aura pas à affronter M. Francis. Elle est partagée entre ces deux sentiments quand elle monte dans sa voiture pour rentrer chez elle. Soudain *** chef apparaît devant la voiture. Elle se sent toute fébrile, ça y est, il va lui annoncer qu'il faut qu'elle retourne là-bas, dans le lieu de sa perdition.
— Bonne après-midi, Maryse ! Pas de détour à la déchèterie aujourd'hui. Par contre la semaine prochaine prévoyez d'y aller. À demain.


Comme d'habitude, il ne lui laisse aucun choix. Elle se sent rassurée, mais il n'a fait que retarder l'échéance. Elle rentre chez elle. Quelques kilomètres avant d'arriver, elle décide brusquement de faire demi-tour. Il faut qu'elle l'affronte. Elle doit prendre le dessus.
Elle arrive à la déchèterie, il y a une voiture sur place. M. Francis est en train de discuter avec un homme d'un certain âge. Elle regrette d'être venue. Elle décide d'aller directement du côté de la benne destinée aux papiers. Elle descend de voiture. Fait mine de fouiller *** coffre. Le temps lui semble interminable. Mais qu'est ce qu'ils ont à se dire qui dure si longtemps. Soudain une idée lui traverse l'esprit. Il est possible qu'ils parlent d'elle. Il est possible qu'il lui raconte tout ce qui s'est passé la semaine dernière. Sa respiration est de nouveau difficile. Ses jambes peinent à la soutenir. Elle manque d'air. Elle a été totalement imprudente. Elle a perdu la tête. Soudain un bruit de moteur la sort de sa torpeur. Elle se retourne pour voir l'homme au volant de sa voiture qui quitte la déchèterie non sans l'avoir dévorée des yeux en passant. Ce regard plein d'envie la trouble encore plus. Elle essaie de ne rien montrer, de feindre l'indifférence, mais elle ne peut se duper elle-même.
M. Francis s'approche d'elle doucement en la regardant avec *** sourire en coin. Elle lui retourne *** regard. Elle essaie de ne pas montrer *** trouble. Elle se tient droite les jambes légèrement écartées. Lui s'arrête à quelques mètres d'elle pour pouvoir l'observer dans *** ensemble. D'un coup un verrou se débloque en elle. Elle décide finalement de céder à ses propres envies. Elle veut le voir la désirer. Elle veut l'exciter. Elle passe une main tremblante sur ses seins qu'elle sent tendus. Ils ***t très sensibles. Elle ne cesse pas de le regarder pendant cette caresse. Elle retire plusieurs boutons de *** chemisier pour lui donner un aperçu de *** décolleté. Il peut voir, sous le simple chemisier, la dentelle de sa lingerie qui rehausse superbement sa poitrine. Il l'observe avec envie. Il ne bouge pas, pétrifié par le spectacle qu'elle lui offre. Elle ouvre légèrement *** chemisier pour en offrir un peu plus à *** spectateur. Elle se sent terriblement désirée par cet homme commun, qui pourtant a réussi à lui dévoiler une facette de sa per***nalité qu'elle n'imaginait pas. Elle se cambre pour lui offrir *** décolleté. Ses mains glissent doucement sur *** ventre et le long de ses hanches. Elles descendent sur ses cuisses. Cette caresse est terriblement sensuelle. Elle est excitée par le regard de M. Francis qui n'ose plus bouger. Un coup d'œil sur *** entrejambe lui assure qu'il la désire. Elle passe sa langue sur sa lèvre supérieure. Elle se veut provocante. Elle tire doucement sur sa jupe pour la faire remonter le long de ses jambes. Peu à peu, elle dévoile ses cuisses. Il peut voir le début de la couture de ses bas. Il est au comble de l'excitation, il transpire. Il respire difficilement. Elle le rend presque fou. Elle continue de remonter sa jupe. Maintenant, il peut voir la peau nue de ses cuisses et les jarretelles qui tirent sur les bas.

Tout à coup, ils entendent le moteur d'une voiture. Maryse panique et rabaisse sa jupe. Lui sort de sa torpeur et après un bref coup d'œil en arrière se tourne de nouveau vers Maryse.
— Prends ta voiture et rejoins-moi dans ma caravane !


Maryse ne lui répond pas. Elle démarre, mais au lieu d'obéir, elle se dirige vers la sortie et rentre chez elle. Elle se sent forte, tout ce qu'elle a donné à ce pervers, elle l'a voulu. Elle ne lui a rien cédé d'autre. La situation l'a beaucoup excitée. Elle se sentait contrairement à la dernière fois, dominatrice. Elle contrôlait la situation.
Avant d'arriver chez elle, elle reboutonne *** chemisier pour redevenir la sage femme mariée qu'elle a été.
Elle ne tarde pas à recevoir un SMS sur *** portable. Elle se doute que c'est M. Francis.


Pourquoi es-tu partie ?


Elle lui répond rapidement :


C'est vous qui êtes parti. Il va falloir attendre la suite... s'il y en a une.


Elle sourit.

soumis8

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#6,795 · Edited by: soumis8
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2 histoires en français! Tu nous gâtes (car je suppose qu'on est assez nombreux à te lire, même si beaucoup restent muets. La deuxième histoire (la déchèterie) je l'avais lue voici quelques années, je ne sais sur quel site. Mais j'ai hâte de (re)lire la fin.
Merci encore
chrislebo

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#6,796
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oui tu n'es pas le seul à aimer lire le Français (j'en fais partie aussi :smile

merci
chrislebo

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#6,797
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Depuis ses exhibitions au magasin de lingerie et devant M. Francis, Maryse remarque de plus en plus les regards qui se posent sur *** corps. Elle y est de plus en plus sensible. Elle avait bien remarqué quelque fois ce type de regard, mais elle n'y prêtait pas attention. Et s'il lui arrivait de ressentir quelque chose, c'était plus du dédain. Maintenant tout a changé. Elle en est à rechercher ces regards, presque à les provoquer. Elle aime tout autant que ce soit un homme ou une femme qui la déshabille du regard, qui essaie d'apercevoir un peu plus que ce qu'elle dévoile. Ses tenues n'ont pas beaucoup changé. Mais elle laisse un décolleté plus généreux. Elle porte des robes ou des jupes un peu plus courtes sans être trop courtes. Ses dessous, par contre, ***t plus sexy, ils mettent ses formes beaucoup plus en valeur. Elle porte quelque fois des bas soutenus par des porte-jarretelles. Rien que le fait de porter ces dessous sexy suffit à lui provoquer une pointe d'excitation. La pensée que quelqu'un pourrait voir comment elle est habillée sous ses vêtements plutôt sages la trouble.
*** mari doit partir en voyage d'affaires mardi et les enfants partent chez leurs amis mercredi matin. Les préparatifs la tiennent occupée, mais elle attend avec une certaine impatience cette semaine de liberté. Elle va pouvoir s'occuper d'elle, faire ce dont elle a envie... d'autres pensées lui viennent, mais elle les refoule au plus profond d'elle-même.
Le mardi soir, elle accompagne *** mari à la gare. Elle s'est faite belle pour l'occasion, mais *** mari est bien trop préoccupé par *** déplacement. Elle se dit qu'il est bien trop stressé en ce moment... Une autre part d'elle est déçue qu'il n'ait rien remarqué. Pourtant elle porte un petit haut échancré avec un petit décolleté, une large ceinture, un pantalon moulant et des talons pour rehausser sa silhouette. Elle reste quelque temps sur le quai de la gare pour regarder le train partir avec *** mari à bord. Elle distingue les gens dans le compartiment. *** mari monte dans le train après l'avoir embrassée d'un baiser qu'elle aurait voulu plus passionné. Il s'installe ensuite, et après un bref signe de la main pour lui dire au revoir, il sort *** ordinateur pour se remettre au travail. Au moment où elle se décide à partir, elle remarque qu'un homme, dans le compartiment voisin de celui de *** mari, la dévore des yeux. Elle fait mine de ne pas le remarquer. *** regard la trouble. Elle est de nouveau prise par l'excitation. Elle peut deviner les pensées lubriques de cet homme et cela l'excite. Elle se cambre un peu plus pour faire ressortir sa poitrine. Négligemment, elle joue avec le tissu de *** haut dévoilant un tout petit peu plus la peau satinée du haut de ses seins. Elle l'observe discrètement en jetant quelques coups d'œil sans jamais croiser *** regard. Elle est très excitée. Elle sait que ses tétons dardent à travers le tissu. L'homme se détourne un instant et quand il la regarde de nouveau, il a un appareil photo. Il prend plusieurs clichés. À présent, elle est trop excitée, elle a peur tout à coup de ce qu'elle pourrait faire. Elle décide de quitter le quai sous le regard de *** photographe amateur.
Elle se dirige vers sa voiture le cœur battant à toute vitesse. Elle a recommencé à céder à ses pulsions. Qu'importe, elle ne peut nier *** excitation quand on la regarde avec envie, lubricité et surtout quand on la photographie...
Elle rentre retrouver ses enfants. Après le repas, elle vérifie que *** fils a bien pris toutes ses affaires, alors qu'il passe en revue les jeux qu'il a sélectionnés pour jouer avec ses copains. Après lui avoir dit bonsoir, elle le laisse jouer sur *** ordinateur dans sa chambre en lui faisant promettre de ne pas veiller trop tard. Sa fille, quant à elle, est prête. Sa valise bien plus grosse que celle de *** frère est enfin fermée. Elle décide de se coucher tôt pour être tout à fait en forme le lendemain. Maryse rentre dans sa chambre, et s'enferme à clef. *** expérience sur le quai de gare l'a beaucoup excitée et elle se dit que *** mari n'étant pas là, elle va se donner du plaisir elle-même.
Elle prend d'abord une douche pour se détendre. Elle enfile ensuite un peignoir. Elle allume *** ordinateur portable et s'installe confortablement sur le lit. Elle n'ose pas vraiment commencer, elle regarde ses e-mails, regarde les derniers potins, elle fait quelques recherches. Et au fil de ses recherches, elle tombe plus ou moins consciemment sur un chat pour adulte. Elle se crée un pseudo par curiosité, juste par curiosité. Et elle se lance sous le nom de F-exhib, elle ne trouve pas cela très original, mais qu'importe, elle ne restera pas longtemps sur ce site. *** entrée sur le site ne passe pas inaperçue. Elle est assaillie de messages privés plus ou moins courts, voir minimalistes. Elle commence à lire les échanges sur le chat après avoir écrit un bonjour timide. Certains ont l'air de bien se connaître. Elle a un peu de mal à trouver sa place. Elle reçoit un nouveau message d'un certain H-mateur. Le pseudo la fait sourire. Contrairement à la plupart des autres messages, *** H-mateur prend le temps d'écrire. Elle lui répond et ils commencent à discuter.
Après quelque temps, il lui demande si elle aime vraiment s'exhiber. Elle lui répond que tout cela est très nouveau pour elle. Elle lui explique que depuis peu de temps, elle est très excitée quand on la « mate ». Étant derrière *** écran, elle se sent comme protégée, hors d'atteinte. Elle essaie d'utiliser un vocabulaire plus fort, qu'elle n'a pas l'habitude d'employer. L'homme saute sur l'occasion et lui demande de se dévoiler devant sa webcam. Elle a un temps d'arrêt. Ses joues ***t en feu, une fois de plus, une boule se forme dans *** estomac. Elle se pose mille questions, mais une chose est sûre, elle est déjà excitée rien qu'à l'idée de se montrer devant cet inconnu. Elle lui dit que c'est la première fois sur internet. Elle ne veut pas montrer *** visage. Cela lui convient. Elle lui demande comment procéder. Il lui explique la marche à suivre. Elle suit ses instructions et *** image apparaît à l'écran. *** peignoir bien fermé ne laisse rien apparaître. Elle se place de façon à ne pas montrer *** visage. Elle est très excitée. L'homme apparaît maintenant à côté de *** image. Elle est très surprise de le voir entièrement nu. Sa webcam est braquée sur *** sexe rasé. Il repose sur ses bourses volumineuses complètement nues. Cette vision la pétrifie, elle ne voit que le sexe de cet homme qui l'attend.
Un message de *** mateur la rappelle à l'ordre. Il lui demande de lui montrer *** corps. Ses gestes ***t tout d'abord tremblants. Elle ouvre doucement *** peignoir dévoilant le décolleté de sa poitrine généreuse. L'homme commence à caresser *** sexe. Elle observe la réaction qu'elle provoque chez cet homme. Elle se caresse la poitrine à travers *** peignoir. Elle ferme les yeux quelques instants pour apprécier au maximum le plaisir qu'elle ressent à cette simple caresse, *** excitation augmente. Elle sort *** sein droit pour titiller *** téton. Un coup d'œil sur l'écran lui montre que *** mateur a maintenant une belle érection. Il envoie quelques messages d'encouragement. Quand elle sort *** deuxième sein, l'inconnu se masturbe frénétiquement. Ses messages ***t beaucoup moins subtils. Il s'oublie. Il la traite même de « salope ». *** excitation s'amplifie en voyant ce qu'elle provoque chez cet homme. Elle éprouve beaucoup de plaisir à s'offrir à lui, elle en éprouve encore plus à le provoquer. Elle le regarde se masturber en se caressant les seins. Elle les malaxe. Elle se pince les tétons. Jamais elle n'aurait fait cela avant. Elle présente ses seins à la webcam, les soulève et les porte à sa bouche. Elle se suce les tétons avec avidité.
Elle ouvre entièrement *** peignoir et montre à *** inconnu ses secrets les plus intimes. Elle mouille abondamment. Ses lèvres ***t ouvertes et brillent d'une humidité qui témoigne de *** état. L'homme se caresse toujours et lui dit d'en faire de même, de jouir devant lui. Il la traite de « chienne, de superbe salope.... ». *** vocabulaire se limite très vite. Tout *** être est tourné vers cette femme aux formes généreuses qui s'offre à lui. Elle se caresse le clitoris qui est d'une telle sensibilité qu'elle pense jouir d'un instant à l'autre. Il lui demande de se tourner. Il veut voir *** « cul ». Elle s'exécute, tout à *** plaisir de lui obéir. Elle se cambre pour lui offrir une vue des plus voluptueuse. Il lui demande ensuite d'ouvrir ses fesses pour qu'il puisse bien voir *** petit trou. Tout ceci excite beaucoup Maryse qui lui ouvre ses deux beaux globes pour lui montrer ce qu'elle n'a jamais montré à per***ne, ni même à *** mari.
Elle se caresse le clitoris en lui montrant *** petit trou. Il en veut plus, il veut qu'elle se doigte. Elle commence à pénétrer *** vagin coulant d'excitation. Mais ce n'est pas ce qu'il veut. Il veut qu'elle s'introduise un doigt dans l'anus. Elle fait mine de n'avoir rien lu, mais il revient à charge. « Encule-toi ! Tu m'excites à mort, salope ». Elle n'est plus elle-même. Elle sort ses doigts luisants et commence à caresser *** anus. Elle n'a jamais fait cela. Elle est presque honteuse d'obéir à cet homme, mais l'excitation l'emporte. Elle s'introduit doucement un doigt. Elle pousse, elle sent une résistance, mais elle réussit à se l'introduire. Elle essaie de ne pas gémir trop fort. Ce n'est pas tant *** doigt que la situation qui l'excite. Elle fait quelques va-et-vient, puis il lui demande d'introduire un deuxième doigt. Le deuxième rentre plus facilement que le premier. De *** côté l'homme se masturbe avec *****. Il est maintenant trop excité pour écrire quoique ce soit. Elle le voit se pétrifier et elle voit un long jet de sperme s'écraser sur *** ventre puis plusieurs autres. Elle le voit respirer profondément. Elle a toujours ses doigts en elle. Elle s'est arrêtée de respirer le temps qu'il a joui. Plusieurs sentiments se bousculent. Elle a fait jouir cet homme en lui montrant *** corps, sans le toucher cela lui donne une impression de pouvoir. Tout ce temps, cet homme pensait qu'il la dominait, mais c'est elle qui l'a fait jouir. Mais elle est aussi honteuse de ce qu'elle vient de faire, même si elle y a pris énormément de plaisir. Maintenant il essaie de lui demander des informations plus per***nelles, *** numéro de téléphone... Il veut la revoir. Elle s'esquive, il pourra toujours la contacter sur ce mail. Le plaisir qu'elle a éprouvé ce soir lui suffit... pour le moment. Elle ferme la discussion et l'ordinateur. Elle se couche et ne tarde pas à s'endormir et retrouve ses rêves érotiques qui s'étoffent à chaque nouvelle expérience.
Le lendemain matin, tout se passe très rapidement. *** fils part avec ses copains en discutant de tout ce qu'ils vont faire cette semaine, des jeux qu'ils ont prévus. Sa fille quitte la mai*** avec sa meilleure copine plus discrètement, elles se chuchotent leurs secrets. Une fois seule, elle prend plus de temps qu'à *** habitude pour choisir sa tenue. Elle décide de remettre la même tenue que la semaine passée pour reprendre *** « jeu » là où il s'est arrêté avec M. Francis. Sa poitrine soutenue bien haut monte et descend au rythme de sa respiration. En se regardant dans le miroir, elle se trouve désirable. Elle n'a pas boutonné *** chemisier jusqu'en haut. Elle a laissé un petit décolleté qui devrait lui attirer quelques regards. Elle se tourne, rien ne laisse deviner ce qu'elle porte sous sa jupe découvrant le bas de ses cuisses. Elle est prête. Elle récupère sa clé USB au fond de *** tiroir. Il faut qu'elle récupère les photos de M. Francis, mais elle ne sait pas trop comment elle va procéder.

chrislebo

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#6,798
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La matinée passe rapidement. Elle a quelques dossiers qui lui prennent tout *** temps. *** chef passe la tête dans *** bureau et lui rappelle *** « rendez-vous » à la déchetterie. Elle a remarqué *** regard plein d'envie sur ses jambes et *** décolleté. Elle sourit, elle est certaine que M. Ribière la regarde autrement maintenant. Est-ce qu'elle le fait fantasmer ? Certainement. Elle rougit de sa façon de penser. Elle se remet sans plus attendre à *** travail.
Vers midi, Martin, le jeune stagiaire, se présente à *** bureau pour l'aider à charger la voiture. Il est moins timide qu'au début. Elle lui adresse un petit sourire et lui demande d'attendre quelques minutes, le temps qu'elle finisse *** dossier. Du coin de l'œil, elle peut le voir qui l'observe. *** regard passe des ses jambes légèrement découvertes à *** décolleté. Elle est assise à *** bureau, elle croise les jambes pour les lui dévoiler un peu plus. Il n'en perd rien. Il est comme **********. Elle fait mine de ne rien remarquer. Cette situation l'excite. Mais elle est aussi un peu confuse et troublée par *** attitude. Elle ne peut s'empêcher d'aguicher ce jeune homme. Tout en se cambrant légèrement pour lui offrir un meilleur aperçu de sa poitrine, elle lui dit : « Voilà... c'est terminé ». Puis elle se lève, mettant un terme à *** petit spectacle. Martin sort de sa léthargie et l'accompagne jusqu'à sa voiture pour charger les quelques vieux documents destinés à la déchetterie.
Sa petite exhibition l'a bien émoustillée. Elle se rend compte que cela devient de plus en plus naturel et surtout qu'elle en a de plus en plus envie. Elle aime les sensations que cela lui procure. Par contre, il lui faut absolument récupérer les photos que M. Francis a faites lors de *** premier écart. Elle se demande comment elle va pouvoir faire.
Elle arrive peu de temps avant la fermeture de la déchetterie. Elle ne le voit nulle part. Elle décide de se débarrasser des quelques dossiers qu'elle a dans *** coffre. Au moment de mettre le dernier, elle sursaute en entendant la voix de M. Francis :
— C'est bien que tu sois revenue ! La dernière fois tu m'as laissé sur ma faim. Rejoins-moi dans ma caravane quand t'auras fini !


Elle le regarde s'éloigner. Elle ne sait plus si elle doit le suivre ou pas. La dernière fois, cela est allé très loin. Elle se rend compte qu'elle est de nouveau dans un état second, le souffle court. Elle ne peut pas nier *** excitation et elle doit récupérer ses photos. Elle n'ira dans cette caravane que pour les photos...
Elle gare sa voiture devant la caravane. M. Francis l'attend à l'intérieur. Elle hésite encore à sortir de la voiture, mais elle finit par descendre et s'approcher presque machinalement de la porte. Elle s'arrête devant et elle reprend sa respiration avant d'ouvrir. Rien n'a changé depuis la dernière fois. Les femmes aux énormes poitrines des posters la regardent entrer. Elle voit M. Francis affalé sur la banquette, il regarde *** ordinateur portable. Il la regarde un instant, puis il tourne l'ordinateur pour qu'elle puisse voir ce qu'il y a à l'écran. Elle se voit sur une série de photos dans des positions indécentes. Viennent ensuite les photos où elle masturbe le sexe de M. Francis jusqu'à ce qu'il éjacule sur elle. Elle a l'air tellement offerte, avide... salope. Elle ressemble presque aux femmes des posters. Se revoir ainsi exposée la trouble encore un peu plus. Il fait une chaleur étouffante, elle a du mal à respirer. La moindre respiration provoque une petite friction sur ses tétons tendus. Cette sensation devient familière, mais cela n'atténue aucunement les effets. Elle est excitée, elle le sait... elle a peur de ce qu'il va lui demander et surtout de ses propres réactions.
— Allez, montre-moi ce que tu portes en dessous !


Maryse voit *** regard lubrique et *** sourire en coin. Ses mains se déplacent le long de *** corps en une caresse sensuelle. Elles passent sur *** ventre, puis sur ses seins. Elle empoigne ses deux globes et les serre l'un contre l'autre offrant ainsi un décolleté généreux à cet homme. Elle pousse un petit soupir quand elle malaxe ses seins devant lui. Elle déboutonne *** chemisier lentement pour faire apparaître la dentelle noire et bleu nuit de sa guêpière. Il ne bouge pas, il est fasciné par le spectacle de cette femme qui se dénude devant lui. D'un geste, elle écarte *** chemisier, ce qui fait ballotter ses deux seins maintenus bien haut par la guêpière. Elle retire *** chemisier et le laisse tomber à terre. Elle prend quelques poses lascives, elle tourne sur elle-même lentement. Un mouvement sur l'écran attire *** attention, il est en train de filmer la scène grâce à sa webcam. Cette situation l'excite encore plus. Quant à lui, il commence à se caresser à travers *** bleu de travail. Elle se penche légèrement pour descendre lentement la petite fermeture éclair de sa jupe. D'un petit mouvement de hanche, elle se libère de sa jupe. Elle est maintenant en sous-vêtement devant M. Francis qui se caresse avec plus de *****, les yeux exorbités. Il admire les jambes mises en valeur par des bas fumés tirés par des porte-jarretelles. Elle se tourne devant lui en se caressant le corps. Il peut maintenant voir ses fesses rebondies dévoilées par un string en dentelle assortie à celle de la guêpière. Il l'observe se pétrir les seins pour lui. Ils ***t tellement appétissants, volumineux et souples. Il sort *** sexe pour se masturber devant ce spectacle.
— Sors tes seins !


Elle lui obéit. D'une main, elle écarte la dentelle de la guêpière pendant que l'autre sort délicatement le sein. *** téton est érigé au milieu d'une belle aréole rose. Il le dévore des yeux. Elle sort l'autre de la même manière. Elle soupèse ses deux globes pour lui. Ils ont l'air lourd. Elle les pétrit de nouveau. Il adore ça et visiblement elle aussi car elle gémit doucement. C'est encore meilleur que devant sa webcam, pense-t-elle.
— Maintenant ton string !


Elle descend ses mains le long de *** corps. Elle passe ses pouces entre sa peau satinée et les côtés du string puis le descend doucement. Elle se tourne de trois quarts pour lui montrer ses fesses ainsi qu'un sein voluptueux qui pend lorsqu'elle se penche pour retirer le minuscule bout de tissus.
— Approche !


Elle n'ose pas l'entendre, elle n'ose pas lui obéir. Pourtant elle sait qu'elle ne peut plus se dérober offerte ainsi à cet homme. Elle ne peut plus nier ses propres envies. Elle est tellement excitée qu'elle n'a plus tous ses esprits. Elle regarde les posters de ces femmes offertes et se rend compte que finalement, elle est l'une d'entre elles.
— Approche !


Il n'en peut plus, il faut qu'il profite de ce corps offert. Il faut qu'il la touche, qu'il la possède. Elle s'avance langoureusement vers lui alors qu'il la regarde intensément. Elle s'agenouille entre ses jambes sans quitter *** sexe des yeux. Elle le caresse du bout des doigts. Il gémit. Il se laisse faire. Les doigts de Maryse glissent le long de *** sexe tendu jusque sur ses bourses, il en fris***ne. Il passe sa main dans la chevelure brune de Maryse, passe derrière sa tête. Il l'attire vers *** sexe. Il veut qu'elle le suce. Elle résiste un peu et finit par approcher *** visage. Elle ouvre sa bouche et glisse le long de sa verge. Il sent l'humidité et la chaleur de sa bouche sur *** sexe. Sa langue joue avec *** sexe. Elle le ressort doucement en serrant ses lèvres dessus. Elle n'aime pas trop prodiguer cette caresse à *** mari, mais la situation est différente, elle se sent une autre femme avec M. Francis. Elle se laisse aller à ses envies. Elle continue ses va-et-vient lentement, alors que les mains de cet homme ***t crispées dans ses cheveux. Tout à coup, elle sent le sexe se tendre encore plus. Il va jouir, elle ne peut se retirer, le veut-elle seulement ? Elle lui caresse les bourses alors qu'elle accélère *** rythme. Il se tend en grognant. Elle reçoit un premier jet copieux dans la bouche. Le goût n'a pas le temps de la surprendre qu'elle en reçoit un second lui remplissant la bouche. Elle serre plus fort les bourses de l'homme qui grogne en jouissant dans sa bouche. Elle laisse s'échapper le sperme autour du sexe qui la remplit. Elle reçoit d'autres jets plus menus. Le goût envahit ses sens. Elle se surprend à aimer cela. Elle avale ce qui est encore dans sa bouche alors que le reste coule sur *** menton, *** cou jusqu'à ses seins. Il la lâche enfin, elle se redresse. Il la regarde, ébahi. Elle se caresse et en le regardant, elle recueille d'un doigt la semence chaude qui coule sur *** corps. Elle le suce ensuite devant lui, sans le quitter des yeux. Elle ne se reconnaît plus, c'est une autre femme qui l'habite. Elle recommence à récolter un peu de sperme pour le savourer de nouveau.
— Tu me rends dingue ! T'es une sacrée salope ! Tu caches bien ton jeu...


Tout en lui parlant, il se caresse le sexe semi-dur. Elle est dans un état second. Elle a besoin de jouir maintenant qu'il a eu ce qu'il voulait. Elle s'assoit par terre les jambes bien écartées et commence à se caresser le clitoris puis la vulve en gémissant de bonheur devant lui. Elle adore ce regard lubrique qui la dévore. Elle s'introduit un puis deux doigts pour titiller cette petite zone sur le haut de *** vagin tout en caressant de *** autre main *** clitoris qui est gonflé de désir. Il peut voir les tétons de Maryse grossir un peu plus sous l'effet de l'excitation. Ses seins ***t tendus et gonflés. Sa peau prend une teinte rosée et elle pousse un cri de jouissance en se caressant frénétiquement. Sa jouissance ne dure pas longtemps, mais est très intense. M. Francis retrouve toute sa vigueur devant cette femme jouissante et offerte. Il se caresse. Il prend le temps de mettre un préservatif avant de se lever. Il prend les jambes de Maryse et lui indique de se mettre à quatre pattes devant lui. Toujours dans un état second, elle lui présente sa croupe en se cambrant au maximum.
Sa vulve est ouverte et accueillante. Elle est tellement mouillée qu'il s'enfonce d'un seul mouvement. Elle a un hoquet de surprise quand elle le sent entièrement en elle. Il l'empoigne par les hanches et s'enfonce vigoureusement en elle en mouvements saccadés. Il grogne alors qu'elle pousse des cris à chaque fois qu'il la pénètre entièrement. Elle ne tarde pas à jouir de nouveau. Il continue de la prendre. Puis il sort de *** vagin. Il présente *** sexe devant *** petit anus et il pousse. Il pousse très fort, elle sent sa résistance céder. La douleur qu'elle peut ressentir est atténuée par *** excitation. Elle se sent tellement salope qu'elle est prête à lui offrir *** dernier trou pour le satisfaire. Elle le sent envahir cet orifice qu'elle n'a jamais ouvert à per***ne. Elle gémit longuement tout le long de la longue pénétration. Il lui empoigne une touffe de cheveux et il commence une série d'allers-et-retours, tout d'abord lentement puis de plus en plus rapidement. Elle pousse à nouveau des cris lorsqu'il la pénètre. Il est totalement excité par cette femme offerte en levrette devant lui. Il s'enfonce de plus en plus brusquement jusqu'à ce qu'il jouisse bruyamment en elle. Elle le sent se tendre en elle. Elle adore ça. Puis tout se calme. Il se retire et se rassoit sur la banquette, le sexe pendant encore gainé de latex. Elle se retourne et s'approche de lui, toujours à quatre pattes. Elle lui retire *** préservatif et reprend *** sexe en bouche pour goûter de nouveau à sa semence. Elle le nettoie méticuleusement pendant qu'il lui caresse les cheveux. Après quelques instants, il se lève et avant de sortir dehors, il se tourne vers elle :
— On m'avait jamais vidé comme ça !


Elle le regarde quitter la caravane sans répondre. Elle se dit que c'est le moment de récupérer les photos et la vidéo. Elle a les jambes qui flageolent encore un peu, mais elle se précipite sur *** sac, trouve sa clé USB. Par chance il a déjà ouvert les répertoires contenant les photos et la vidéo. Elle copie tout et prend soin de supprimer définitivement les fichiers sur l'ordinateur. Elle récupère sa clé et éteint l'ordinateur. Elle commence à se rhabiller quand il revient de nouveau.
— Tu t'en vas déjà ? J'aurais bien remis ça, moi !
— Je dois partir, on m'attend à la mai***.


Elle dit cela d'une petite voix en espérant qu'il n'y décèlera pas *** men***ge. Maintenant que la tension et l'excitation ***t retombées, elle est honteuse de ce qu'elle a fait. Elle ne s'imaginait pas que cela irait aussi loin. Mais elle se justifie en se disant qu'il était nécessaire de récupérer les photos. Elle finit de s'habiller, et au moment de quitter la caravane, il lui claque les fesses.
— Va falloir que tu reviennes !


Elle ne répond pas. Elle monte dans sa voiture et rentre chez elle, sous le choc de ce qu'elle a fait avec cet homme. Ses fesses et *** petit trou lui rappellent jusqu'où elle a été cette fois. Malgré la honte, elle est satisfaite. Jamais elle n'avait pratiqué le sexe de cette manière bestiale. Elle ne peut se cacher qu'elle a adoré ça !
Peu de temps après être rentrée, elle reçoit un coup de téléphone de M. Francis.
— Tu m'as bien eu, salope !
— Vous comprenez, je ne pouvais pas vous laisser ces photos de moi... mais j'ai une proposition à vous faire.
— Je t'écoute.
— Je vous renverrai quelques photos sur lesquelles j'aurai effacé mon visage. De cette façon, vous garderez quelques souvenirs de nos rencontres. Et peut-être que je reviendrai... Qui sait ?

chrislebo

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#6,799
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Elle n'en revient toujours pas de ce qu'elle a fait avec M. Francis. Elle était terriblement excitée malgré la bestialité de la situation. Elle a osé des choses que jamais elle n'avait tentées et cela lui a plu... énormément. Rien que d'y penser, elle sent l'excitation la gagner de nouveau. Il faut qu'elle se rai***ne, elle ne peut pas continuer comme ça. Elle a dépassé les limites du convenable, elle a trompé *** mari. Toutes ces pensées se bousculent, mais elle a beau ressentir de la honte pour *** comportement, elle ne peut s'empêcher de penser à la jouissance qu'elle a ressentie.
Après un rapide repas, elle allume *** ordinateur pour regarder ses mails. Elle en trouve un de H-mateur, *** admirateur de la veille. Il lui écrit qu'il a adoré leur petit jeu de la veille. Il serait ravi de recommencer ce soir vers 21H. Elle sourit. Pourquoi pas, se dit-elle. Elle se connecte sur le chat. Comme la veille, elle reçoit différents messages qui la laissent indifférente. Elle a encore un peu de temps devant elle pour surfer sur internet. Cette fois-ci, ses recherches ***t centrées sur le sexe. Elle est dans un état second en regardant toutes ces photos de femmes se faisant prendre par derrière par des sexes monstrueux. Certaines se font éjaculer abondamment sur le visage. D'autres ***t prises par deux hommes à la fois. Toutes la regardent, l'air de dire : « tu es comme nous, une salope ».
Elle reçoit une invitation de *** H-mateur, qu'elle accepte. Ils discutent de tout et de rien. Puis il lui demande ce qu'elle a fait aujourd'hui. Elle hésite un instant, et finit par lui raconter *** aventure. Il n'en revient pas. Il veut des preuves. Cette discussion l'amuse autant qu'elle l'excite car elle sent *** partenaire très excité lui aussi. Elle l'invite alors à partager sa webcam, ce qu'il accepte avec empressement. Elle n'a pas pris le temps de se changer en arrivant. Elle commence à déboutonner *** chemisier pour lui montrer ses deux seins voluptueux soutenus par la guêpière. Il commence à se caresser en profitant du spectacle qu'elle lui offre. Il lui dit qu'elle est très désirable, mais que cela ne prouve pas qu'elle se soit fait baiser cette après-midi. La seule manière de lui prouver, c'est de lui montrer *** petit trou qui doit être encore rouge des assauts qu'il a subis. Elle retire donc rapidement sa jupe, ce qui fait monter d'un cran l'excitation de *** mateur. Il faut dire qu'elle est diablement sexy dans *** ensemble de lingerie. Elle se retourne et lui présente ses fesses bien rondes. Elle écarte *** string qui ne cache pas grand chose et lui offre *** petit trou. Elle peut voir sur l'écran qu'il est bien rouge et encore un peu ouvert. Il faut dire que M. Francis s'est acharné. Elle a adoré *** ardeur et sa bestialité au moment où il la sodomisait. Rien que d'y repenser, elle sent *** sexe mouiller. Elle lui dit :
— J'ai besoin de quelque chose en moi ! Mais je n'ai rien sous la main.
— Tu n'as pas de dildo ou de vibromasseur ? C'est étonnant de la part d'une nympho comme toi.
— Eh bien non. Comme je te l'ai dit hier, je ne me découvre des envies que depuis peu temps. Où pourrais-je en trouver un ?
— Tu as le choix, ou sur internet, ou dans un sex-shop...
— Mmmmm il va falloir que j'y pense rapidement.


Elle se caresse de plus en plus fort. Elle s'introduit même un doigt dans l'anus, ce qui l'excite encore plus. Elle le regarde se masturber comme un fou devant elle. Elle-même se caresse frénétiquement jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle se laisse aller à gémir bruyamment en le voyant décharger copieusement sur lui.
— Tu es un vrai cochon. Tu en as partout, c'est du gâchis !
— Et toi tu es une magnifique salope et gourmande en plus de ça !


Elle se caresse doucement en lisant cette dernière ligne. Il a sans doute rai***, se dit-elle. Il lui demande à nouveau s'ils peuvent se rencontrer. Comme la veille, elle esquive les questions trop per***nelles, avant de lui dire qu'elle doit le quitter pour aujourd'hui. Elle repense à ce qu'il lui a dit. Et si elle osait ? Elle regarde rapidement sur internet. Elle trouve des centaines de modèles, bien sûr, mais elle ne peut attendre plusieurs jours avant de le recevoir. Il va falloir qu'elle trouve le courage d'aller le chercher directement en magasin... dans un sex-shop. Elle regarde les adresses des magasins les plus proches. Elle en choisit un qui se trouve assez loin de chez elle... peut-être qu'elle ira le lendemain après le travail. Pour l'heure, elle a bien besoin d'une douche avant de se coucher.
Le lendemain est une journée monotone. Elle attend la fin avec impatience et évidemment la journée passe terriblement lentement. Elle a décidé de ne pas trop se laisser aller à ses nouveaux penchants au travail. C'est beaucoup trop risqué. Malgré cela, elle s'est habillée d'une robe arrivant au-dessus des genoux et très légèrement décolletée. Elle porte aussi une large ceinture pour mettre en valeur sa taille et cacher *** petit ventre. Elle a chaussé des petits talons qui la font légèrement se cambrer. Elle est ravissante. Elle attire quelques regards qu'elle fait mine de ne pas remarquer. Elle ne veut surtout pas se laisser aller à l'excitation qu'ils provoquent, sur le lieu de *** travail.
Une fois dans sa voiture, elle hésite encore à aller jusqu'au bout de sa démarche. Elle était si respectable avant sa rencontre avec M. Francis, maintenant elle est devient insatiable, tout l'excite. Elle a envie de sexe. Elle a envie de jouir. Il lui semble qu'elle a perdu trop de temps empri***née par *** éducation de petite fille sage. Elle se dit qu'après tout, il s'agit juste de rentrer dans un magasin pour y acheter un produit... pas n'importe quel magasin, un sex-shop et pas non plus n'importe quel produit, un gode. Sur ces réflexions, elle arrive à l'adresse trouvée sur internet. Le quartier n'est certainement pas le plus huppé de la ville. Une enseigne lumineuse rouge indique le sex-shop. De l'extérieur, on ne voit rien de plus. Un épais rideau ferme l'entrée du magasin sans vitrine. Une femme en bottes de cuir noir à talons aiguilles la regarde approcher, un petit sourire aux lèvres. Elle présente fièrement une poitrine volumineuse et débordante dans un corset à lacet. Maryse fait tout pour éviter *** regard. Elle a le cœur qui s'emballe. Elle est morte de honte, mais décide de rentrer dans le magasin. Une fois dans le magasin, elle est surprise par la chaleur presque étouffante qui y règne. Un homme assez jeune l'aperçoit. Il fuit *** regard. Il semble encore plus honteux qu'elle d'avoir été surpris par une femme dans cet endroit. Il se détourne rapidement pour ne pas affronter *** regard. Derrière la caisse, elle voit un homme bedonnant qui après lui avoir jeté un regard, se remet à sa lecture.
Le magasin n'est pas très grand. D'un côté, il y a de nombreuses publications qui semblent beaucoup intéresser le jeune homme. Au dessus des rayons de magasines, il y a plusieurs ensembles de lingerie et de combinai*** de cuir pour femme. Dans l'allée centrale, il y a de nombreux gadgets en tout genre. De l'autre côté, se trouvent les vidéos et au-dessus des rayons de DVD's, se trouvent d'autres ensembles de combinai***. Elle remarque un petit escalier qui descend au sous-sol. Le panneau, placé au-dessus des marches, indique qu'il faut prendre ses jetons à la caisse avant de descendre. À côté de l'escalier, se trouve une petite cabine d'essayage dont le rideau semble trop court pour remplir *** office correctement.
Le jeune homme quitte le magasin rapidement alors qu'elle se trouve dans le rayon des gadgets. Il y en a de toutes sortes. Elle voit des godes de toutes tailles, certains ***t vraiment très gros. Elle se dit qu'elle ne pourrait jamais s'introduire quelque chose de cette taille. Elle en voit composé de boules dont la taille augmente peu à peu. Certains ont des formes très bizarres. Comment choisir parmi toute cette diversité ? Le magasin propose aussi des sortes de martinets dont le manche est en forme de sexe. Elle aimerait essayer certains de ces modèles, cette pensée l'excite. Elle continue *** exploration et tombe sur des plugs. Certains ont une forme conique qui se rétrécit à la base. D'autres se terminent par une sorte de queue de cheval.
Le magasin propose toutes sortes de crèmes et autres pilules, elle passe rapidement devant ces produits. Elle voit toute sorte de vibromasseurs. Là encore la diversité est telle qu'elle ne sait pas comment choisir. Elle trouve d'autres accessoires comme des gants en cuir, et des masques. Elle se dit que cela serait très pratique pour ses petites séances devant sa webcam. Elle en choisit un qui recouvre le visage jusqu'à la base du nez. Elle a hâte de l'essayer. Elle retourne près des godes. Elle en choisit un dont la boite dit qu'il a été moulé d'après le sexe de vingt-cinq centimètres d'un acteur. Elle le trouve très gros, mais elle est de plus en plus excitée. La boîte indique qu'il a plusieurs vitesses de fonctionnement. Par contre il est assez cher. Elle prend aussi un flacon de lubrifiant vu la taille de *** choix. Elle a une boule dans l'estomac en choisissant tous ces articles. Elle regarde les combinai***s, mais le prix de ces articles la dissuade rapidement.
Maintenant, il va falloir qu'elle s'approche de la caisse avec ses achats. Tout à coup elle manque de courage. Elle regarde le caissier qui ne semble pas s'occuper d'elle. Elle hésite à tout reposer et à quitter les lieux au plus vite, mais ce serait ridicule. Elle s'approche et dépose les articles sur le comptoir. Il lève des petits yeux vers elle, puis il enregistre ses articles. Elle n'ose pas le regarder, mais elle remarque *** petit jeu. À chaque article, il semble chercher le prix et en même temps, il en profite pour regarder ses seins. Il lui annonce un prix qui la fait frémir.
— Eh bien c'est... assez cher...
— Je sais ma petite dame, mais ce ***t des articles de qualité qui vous satisferont bien.


Il la dévisage en lui disant cela. Elle est troublée qu'il lui parle ainsi. Elle ressent de nouveau toutes ces sensations qu'elle a quand elle se sent désirée. Elle ne peut pas contrôler *** excitation.
— Je peux vous faire un prix, mais cela ne dépend que de vous !
— Comment cela ?
— Et bien cela dépend de ce que vous accepterez... de faire pour moi !


Elle voit parfaitement où il veut en venir. Cet homme bedonnant, presque chauve qui la regarde avidement avec ses petits yeux. Elle le trouve abject, mais la situation et sa demande l'excitent de plus en plus. Osera-t-elle jouer le jeu jusqu'au bout ? D'une petite voix elle lui demande :
— Que voudriez-vous que je fasse ?
— Oh, mais beaucoup de chose ma petite dame. Mais pour ces articles, laissez-moi réfléchir... 20% si je peux vous peloter les seins, 50% pour une petite gâterie en plus !


Bien entendu, elle se doutait qu'il allait lui faire ce genre de proposition, mais elle est quand même surprise. Elle trouve la situation totalement irréelle. En venant dans cet endroit, elle savait qu'elle devrait faire face à des regards lubriques. Elle avait honte d'entrer dans ce type de magasin. Elle ne s'attendait quand même pas à ce que cela tourne ainsi.
— Comme je vous le disais, cela dépend entièrement de vous.


Elle hésite. Elle n'en revient pas d'hésiter. Il y a quelques semaines, elle l'aurait envoyé balader. Oui, mais il y a quelques semaines, jamais elle ne serait rentrée dans un tel magasin. Elle jette un coup d'œil autour d'elle, il n'y a per***ne dans le magasin. D'une voix troublée, elle lui dit :
— D'accord...
— D'accord pour quoi ?


Il veut l'entendre dire elle-même jusqu'où elle est prête à aller.
— ... D'accord pour... 50%

chrislebo

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#6,800
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C'est au tour du caissier d'être surpris. Ce qui n'était rien d'autre qu'un petit jeu sans espoir pour lui, devient tout à coup réalité. Elle est là devant lui, prête à lui offrir sa poitrine et à lui sucer la queue. Ses yeux s'agrandissent en remarquant les tétons pointés à travers le tissu de la robe de sa cliente. Il n'ose pas encore profiter de la situation. Elle se cambre légèrement pour accentuer la courbe de sa poitrine. Elle respire profondément. Ses mains ne quittent pas le comptoir. Il ose enfin approcher ses mains doucement. Il passe d'abord ses doigts le long de ses seins pour tester sa réaction. Voyant qu'elle ne réagit pas, d'un coup, il lui empoigne avec plus de *****. Elle a un sursaut de surprise en sentant sa poitrine serrée dans les mains de cet inconnu. Elle se laisse faire, elle se perd une fois de plus dans *** excitation. Il profite passionnément de la poitrine de sa cliente en la malaxant. Il la soupèse et apprécie *** volume. Elle ferme les yeux, elle apprécie les sensations que lui procurent ces mains inconnues. Elle ouvre grands les yeux en poussant un petit cri quand elle le sent lui pincer les tétons pour ensuite les tirer vers lui. Elle n'a d'autre choix que de se pencher un peu sur le comptoir. Il a un sourire carnassier maintenant qu'il profite pleinement de cette volumineuse poitrine.
— Viens me rejoindre !


Elle fait le tour du comptoir pendant qu'il défait la fermeture éclair de *** pantalon. Il en sort un sexe circoncis plutôt court et déjà bandé. Une petite goutte de liquide perle au bout de *** gland violacé. Il sort aussi ses bourses poilues en les caressant. Elle s'agenouille devant lui et commence par lui caresser le sexe. Ses doigts parcourent toute sa longueur et font le tour de la base du gland, provoquant un gémissement du caissier. Il lui relève le menton et lui indique de se mettre sous le comptoir. Elle s'installe à genoux sous le comptoir étroit. Elle reprend ensuite ses caresses. Elle passe maintenant sa langue le long de sa verge malgré l'odeur forte qu'elle dégage. Elle pose ses lèvres sur le gland puis elle descend le long de ce sexe, appréciant *** volume dans sa bouche. *** front frotte contre la bedaine du caissier. Elle entame un mouvement de va-et-vient. Le bruit qu'elle fait en le suçant l'excite un peu plus encore.
Tout à coup elle se fige en entendant la ***nette du magasin retentir. Quelqu'un vient d'entrer. Elle n'ose plus bouger. Si on la découvrait, elle mourrait de honte sur l'instant. D'un geste de la main, il lui ordonne de continuer. Après une hésitation, elle le reprend en bouche et, le plus discrètement possible, elle recommence à le sucer pendant que l'inconnu erre dans les rayons du magasin. Le client s'approche du comptoir et y pose quelque chose. Le caissier enregistre l'article et lui annonce le prix. L'autre cherche quelques instants sa monnaie, paye le caissier et quitte le magasin. Pendant tout ce temps, Maryse continue à sucer le sexe du caissier. *** cœur bat la chamade. La peur d'être découverte a décuplé *** excitation. Quand elle entend le client quitter la boutique, elle commence à le sucer furieusement. Elle a accéléré ses mouvements. Elle aspire *** sexe. Elle commence à se caresser frénétiquement d'une main jusqu'à la jouissance. L'homme n'en peut plus de se retenir. Il lui attrape les cheveux et la ***** à le garder en bouche. Et dans un râle puissant, il lui éjacule dans la bouche. Elle essaie d'avaler sa semence au fur et à mesure, mais elle en laisse s'échapper un peu. Elle sent le liquide couler le long de *** menton et s'écraser sur sa robe au niveau de *** sein gauche. Il la libère enfin en gémissant.
— Eh bien ma petite dame, vous avez bien mérité votre remise de 50% !


Elle lui sourit ravie. Il lui présente un mouchoir en papier pour essuyer le surplus de sperme qui macule sa robe. Elle se relève et retourne de l'autre côté du comptoir un peu flageolante. Elle paie ses articles avec 50% de réduction et s'apprête à quitter le magasin quand il l'appelle. Elle se retourne.
— Vous pouvez revenir quand vous voulez ma petite dame. Au revoir.


Elle sort, elle apprécie l'air frais quand elle entend une voix de femme.
— Eh bien, ma jolie, on a pris du bon temps à c'qu'on dirait ! Faudrait pas me faire trop de concurrence quand même ! Ça te dirait d'en prendre avec moi ?


Elle se retourne et voit la femme qui était à l'entrée du magasin tout à l'heure. Elle lui sourit et a une moue entendue quand elle remarque la tache sur le haut de la robe de Maryse. Elle reste un moment figée sur place. Elle regarde cette femme habillée d'une combinai*** de cuir comme elle en a vues dans le magasin. Sa poitrine déborde de *** corset qui accentue la finesse de sa taille. Ses bottes à talons aiguilles lui cambrent la silhouette. Cette femme sait très bien ce qui s'est passé dans le magasin. Elle la regarde comme si elle appréciait une marchandise. Elle était déjà troublée en sortant du magasin et le regard de cette femme ne fait qu'augmenter *** état. Elle trouve enfin le souffle pour lui répondre :
— ... Euh non... désolée... je dois y aller, on m'attend...
— La prochaine fois alors.


Maryse se retourne et se dirige vers sa voiture d'un pas mal assuré. Les sensations qu'elle a eues ont été trop fortes. Il faut qu'elle se calme avant de reprendre le volant. Elle essaie de respirer doucement pour se détendre. Elle démarre peu de temps après sa voiture pour rentrer chez elle.
Quand elle sort de *** garage, elle est interpellée par sa voisine, Mme Chelau. Elle vérifie rapidement que ses achats ne ***t pas identifiables. Elle se dirige ensuite vers elle en la saluant. Mme Chelau est une petite femme sèche d'une cinquantaine d'années. Elle porte des lunettes, ses cheveux châtain clair ***t coiffés assez court. Elle a toujours une attitude pincée et *** sourire comme *** regard n'est jamais franc. Elles discutent de la pluie et du beau temps et des autres voisins. Mme Chelau est une vraie concierge... puis cette dernière lui dit :
— Oh vous vous êtes tachée !


Maryse devient rouge pivoine et balbutie une histoire de café... qui ne convainc pas sa voisine inquisitrice.
— Ça ne ressemble pas à une tâche de café, enfin bon si vous dites...


Maryse essaie d'écourter aussi poliment que possible la conversation en prétextant une journée harassante au travail. Mais l'autre continue de plus belle en lui posant de nouvelles questions sur *** travail, ses conditions... Elle finit tout de même par lui dire au revoir. Elle rentre chez elle en essayant de ne pas se précipiter.
Elle ne peut attendre plus longtemps avant d'ouvrir ses paquets. Elle essaie tout d'abord le masque qui s'ajuste sur *** visage jusqu'au nez. En se regardant dans le miroir, elle se dit qu'ainsi per***ne ne pourra la reconnaître. Elle sort le gode de sa boite. Il est vraiment gros et épais. Elle se dit qu'elle a peut-être exagéré en prenant ce modèle. La texture la surprend, elle ressemble à s'y méprendre à de la peau. Il est parcouru de grosses veines qui la font presque frémir d'envie. Il y a une grosse ventouse à la base des deux grosses boules de ce sexe géant. Elle manque de le lâcher quand elle l'actionne. Il est pris de mouvement rotatif d'une ***** qui l'impressionne. Elle sélectionne une autre position qui entraîne un mouvement de va-et-vient dont elle peut faire varier la vitesse.
Elle se déshabille entièrement, puis elle se dirige vers *** armoire pour choisir une tenue dans laquelle elle va s'exposer devant sa webcam. Décidemment, elle se rend compte que sa lingerie est trop classique et rien ne va avec *** masque... Elle choisit un ensemble rouge à fines bretelles qui fera l'affaire. Elle est très excitée à l'idée d'essayer *** nouveau jouet sous le regard avide d'un spectateur. Elle passe ensuite un peignoir avant de s'installer sur *** lit. Elle cache *** jouet sous *** oreiller et démarre *** ordinateur.
Elle a de plus en plus de succès sur *** chat. Elle discute un peu avec d'autres internautes avant d'accepter l'invitation d'une certaine Mme XDom. *** interlocutrice est très directe et directive. Elle lui pose de nombreuses questions sur sa vie sexuelle. Elle semble très intéressée par les changements qui se ***t opérés chez Maryse depuis quelques semaines. Elle lui demande si elle est aussi excitée par le regard des hommes que celui des femmes. Maryse lui répond que oui, mais que les femmes savent être plus discrètes, et qu'il est plus difficile de les surprendre. Maryse finit par lui raconter sa dernière aventure au sex-shop. Mme XDom met un peu plus de temps à lui répondre et finit par lui dire qu'elle est une sacrée salope et qu'elle aimerait bien la voir en action. Alors que Maryse se serait offusquée qu'on la traite ainsi il y a quelque temps, elle est maintenant très excitée dès qu'on lui parle ainsi. Elle l'invite à brancher sa webcam et *** micro. Elle désire voir *** interlocutrice. La femme qui apparaît sur *** écran doit avoir une quarantaine d'années. *** visage fin est encadré d'une chevelure brune très courte. Ses yeux d'un bleu très clair ***t mis en valeur par un maquillage foncé. Elle est, elle aussi, en peignoir négligemment ouvert laissant apparaître un petit sein dont le téton pointu darde au milieu d'une petite aréole rose. Cette femme dégage une autorité naturelle qui trouble Maryse. Tout à coup elle comprend le pseudo de *** interlocutrice, Dom pour Dominatrice. Elle en est encore plus troublée. Mme XDom, après avoir passé sa langue sur ses lèvres, lui dit :
— J'aime beaucoup ton masque ma chérie. Il te va à ravir, mais j'aimerai voir le reste de tes charmes.
— Euh oui...


Avant qu'elle ait pu dire quoique ce soit d'autre, Mme XDom la reprend *********** :
— Dès lors que tu t'adresses à moi, tu finis tes phrases par Madame ! Au moindre manquement, il t'en coûtera.


Maryse est de plus en plus troublée. Elle se rend parfaitement compte de *** trouble et de l'excitation qu'elle ressent. Elle sent qu'elle commence à mouiller abondamment. Après tout qu'a-t-elle à perdre à jouer le jeu ? Si jamais cela va trop loin, elle peut tout arrêter en un clic. Elle lui répond timidement :
— Oui, Madame
— C'est bien, ma chérie, maintenant ouvre ton peignoir.


Elle ouvre doucement *** peignoir, pour laisser apparaître sa lingerie rouge. Elle se sent intimidée par cette femme qui ne laisse rien deviner de ses sentiments. Elle finit par le retirer entièrement.
— Cambre-toi... oui c'est bien, ma chérie. J'aime que tu m'obéisses. Passe tes mains dans tes cheveux... oui c'est bien... cambre-toi au maximum. Présente-moi tes beaux fruits.


Maryse obéit docilement à toutes ses demandes. Elle est de plus en plus excitée de se laisser diriger de la sorte par une autre femme. Elle lui présente ses seins en se cambrant. Cette position, bien qu'inconfortable, l'excite beaucoup et plus encore quand elle voit *** interlocutrice sourire en appréciant sa poitrine.
— Tu me plais. Je me demande jusqu'où tu serais prête à aller pour me satisfaire...
— Demandez-moi ce que vous voulez... je suis... à vous, Madame
— Je me demande si tu te rends compte de ce que tu m'offres. Mais soit j'accepte. Avant que nous fassions réellement connaissance, tu vas me montrer ce fameux jouet dont tu m'as parlé.


Maryse, le cœur battant, se retourne pour prendre le gode qu'elle vient de s'offrir. Elle lui présente ainsi ses fesses rebondies. Mme XDom n'en perd pas une miette. Elle sort le gode de sa cachette et le lui montre.
— Eh bien, ma chérie, c'est une belle taille. Tu as déjà eu un homme aussi gros en toi ?
— Non, Madame
— Quel dommage que tu ne sois pas avec moi.
— Oh oui, Madame
— Es-tu prête à faire exactement ce que je vais te demander ? Réponds-moi franchement.
— ... Oui... Madame
— Bien. Demain tu viendras à 19h à l'adresse que je vais t'envoyer par mail. Il faudra que tu sois la plus désirable possible. Tu apporteras aussi ton gros jouet. Pour ce soir nous allons terminer là. Je ne veux pas que tu essaies ton jouet avant demain. Tu ne te feras pas jouir non plus. Je compte sur toi ! Est-ce que tu m'as bien comprise ?


Maryse hésite. Dans quoi s'engage-t-elle ? Elle ne va quand même pas se présenter chez cette femme qu'elle ne connaît pas. Mais l'excitation l'empêche de se rai***ner complètement.
— Oui, j'y serai... Madame
chrislebo

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Le lendemain est une journée plus courte pour Maryse. Le vendredi, elle finit *** travail plus tôt, ce qui va lui laisser une soirée plus longue. Elle ne cesse de repenser à Mme XDom. Une fois l'excitation retombée, l'idée d'aller chez cette inconnue ne lui semble pas rai***nable. D'ailleurs *** comportement de ces derniers temps est totalement irrai***nable. Une partie d'elle voudrait se reprendre mais les dernières expériences qu'elle a vécues lui ont apporté tellement d'excitation et de plaisir qu'elle ne s'en sent pas capable. Elle n'en a pas la volonté. Le moindre regard sur *** corps réveille en elle une envie insatiable. Elle reste tout de même assez forte devant ses envies à *** travail. Ce lieu est beaucoup trop difficile à gérer. Malgré cette décision, elle s'habille de manière plus sexy tout en restant correcte. Elle porte aujourd'hui des talons hauts qui cambrent sa silhouette, une jupe tailleur bleu clair arrivant au-dessus du genou, une veste légère assortie par-dessus un petit chemisier blanc. Elle remarque les regards qui se posent sur elle. Certains de ses collègues osent quelques compliments qui la font sourire. Elle trouve très agréable d'être aussi désirée, mais elle reste ferme sur sa décision de résister à ses envies les plus folles au travail. Elle décide aussi d'envoyer un e-mail à la mystérieuse Mme XDom :
« Bonjour Madame, Je suis sincèrement désolée mais je suis obligée d'annuler notre rendez-vous de ce soir. Hier soir, j'ai été prise d'une folie provoquée par l'excitation. Je ne suis pas encore prête à vous rencontrer. Je serai heureuse de continuer à dialoguer avec vous si vous le souhaitez. Votre dévouée... »
Elle envoie *** email avant de quitter le bureau. Elle se dit qu'elle va profiter de *** temps pour aller flâner au centre commercial. Elle trouvera sûrement quelques petits achats à faire et puis il y aura du monde... Elle monte dans sa voiture et se dirige vers le centre commercial. Elle conduit sans penser à rien. La journée est ensoleillée, c'est très agréable. À un feu rouge, elle retire sa petite veste de tailleur. Elle est obligée de se contorsionner un peu pour ne pas l'abîmer. C'est alors qu'elle remarque le regard d'un ouvrier dans une camionnette sur sa gauche. Il l'observe sans se soucier qu'elle le remarque. Elle fait mine de ne pas le voir. Elle sent qu'elle est de nouveau prise par l'excitation de se montrer. Sa respiration s'est accélérée. Sa jupe s'est un peu relevée alors qu'elle retirait sa veste et elle offre à cet ouvrier la vue de ses cuisses nues. Elle prend dans *** sac un petit tube de rouge à lèvre et fait remonter un peu plus sa jupe qui est maintenant un peu plus haute sur ses cuisses. Elle se passe sensuellement du rouge sur ses lèvres tout en essayant de voir *** spectateur dans *** petit miroir. Il la regarde avidement et cela l'excite de plus en plus. Il lui semble que la température monte de quelques degrés dans sa voiture. Le feu passe soudainement au vert et la camionnette démarre. Elle se reprend et démarre elle aussi. Elle a maintenant une petite boule dans l'estomac. Elle ne sait pas ce que va lui réserver cette soirée mais elle commence bien. Elle a de moins en moins d'inhibition, cela l'effraie un peu, mais l'excite davantage encore.
Après s'être garée dans le parking couvert, elle se dirige vers les boutiques. Elle passe devant les vitrines sans grande conviction. Tout ce qu'elle voit est plutôt classique. Elle ne sait pas vraiment ce qu'elle recherche. Elle entre dans plusieurs boutiques, regarde les différents articles mais elle n'est pas satisfaite de ce qu'elle voit. Elle arrive devant une boutique qu'elle ne connaît pas. La vitrine présente des mannequins habillés de manière très sexy. Elle reste quelques instants devant cette vitrine. L'un des mannequins est habillé d'une mini-jupe blanche très moulante qui ne couvre qu'une toute petite partie du haut de ses cuisses. Le haut est de la même matière et fait ressortir impudiquement les tétons artificiels du mannequin. Des talons aiguilles blancs à la pointe argentée finalisent la tenue. Un autre mannequin porte des bottes à talons hauts, un short couvrant tout juste les fesses et un haut totalement ouvert à l'arrière et laissant deviner la forme de ses seins. Elle hésite quelques instants devant cette vitrine avant de se dire que c'est de la folie, elle ne peut se permettre de porter ce genre de tenue. Elle continue *** exploration de la galerie commerciale. Sans rien trouver. Tout lui paraît fade.
Elle se retrouve « par hasard » devant la vitrine qui l'a faite hésiter une demi-heure plus tôt. Elle se décide à rentrer pour voir ce que le magasin propose d'autre. Elle est accueillie par le sourire d'une vendeuse d'une trentaine d'années. Elle regarde les différents articles. La vendeuse lui demande si elle a besoin d'aide. Elle lui répond que pour le moment elle souhaite découvrir par elle-même ce que la boutique propose. Elle prend le temps d'observer la vendeuse qui s'affaire à remettre des tops en place. Elle est plus grande qu'elle, fine, ses longues jambes ***t mises en valeur par des bottes à talons aiguilles, le même modèle qu'en vitrine. Elle porte une jupe courte évasée qui ne cache rien de ses cuisses fuselées. Ses petits seins ***t libres sous *** haut moulant. Elle peut distinctement voir les petits tétons tendre le tissu. Elle est très troublée d'observer cette femme et *** trouble augmente encore plus quand elle remarque à travers le tissu un petit anneau suspendu au téton droit de la vendeuse. Elle veut essayer la jupe blanche moulante qu'elle a vue en vitrine. Elle souhaite juste voir par curiosité ce que cela donnerait sur elle. Elle choisit aussi le top échancré dans le dos de même couleur. Une fois le rideau de l'unique cabine d'essayage tiré, elle se déshabille et enfile la jupe ainsi que le petit haut. En s'observant dans la glace, *** excitation augmente. Elle est tout à fait impudique. La jupe couvre tout juste le haut de ses cuisses et moule indécemment ses fesses. Le petit haut est très sexy, l'ouverture du dos est très large et la met joliment en valeur. Si elle lève les bras trop haut, on peut apercevoir la courbure de ses seins soutenus par un soutien-gorge blanc. L'avant du haut est tendu par sa poitrine. La vendeuse lui demande si elle est satisfaite ou si elle veut qu'elle lui apporte une autre taille. Maryse ouvre le rideau et aperçoit une lueur furtive dans le regard de la vendeuse. Après un regard appréciateur, cette dernière lui dit :
— Il y a deux détails qui ne vont pas. Le premier, votre soutien-gorge. Avec un haut comme celui-ci, il ne faut pas en porter, cela gâche l'effet de l'échancrure du dos. Le deuxième, c'est que l'on voit le tracé de votre culotte, et avec ce genre de jupe il faut soit porter un string soit... rien du tout.


Maryse est surprise par cette dernière remarque et est prise d'un petit rire nerveux :
— Je ne pourrai jamais sortir comme ça sans culotte...


La vendeuse lui lance un regard coquin :
— Vous devriez essayer, cela peut être très excitant et amener du piment dans votre vie de couple...


Maryse referme le rideau en lui disant qu'elle va essayer sans le soutien-gorge. Quand elle ouvre de nouveau, elle peut voir dans le regard de la jeune femme une sorte d'envie. Elle lui dit :
— Je ne suis pas sûre que cela soit aussi joli que sur vous. Je n'ai pas les seins assez fermes je pense...


Maryse s'observe dans la glace en disant cela. Elle peut voir dans le miroir que la vendeuse observe ses courbes.
— Je trouve au contraire que cela vous va à ravir. Faites quelques pas... oui c'est très bien, cela vous va parfaitement. Vous allez rendre fou votre partenaire. En tout cas à sa place, je serais conquise...


La jeune femme l'observe sans retenue. Maryse se demande quelles idées peuvent traverser *** esprit. Elle sent ses seins libres caressés par le tissu. À chacun de ses pas ils se balancent légèrement. Elle adore cette sensation de liberté qu'elle avait presque oubliée. Elle retourne dans la cabine et se change de nouveau. Puis elle se souvient des talons aiguilles de la vitrine. Pourquoi ne pas les essayer aussi se dit-elle. Elle demande à la vendeuse s'il lui reste cet article dans sa pointure.
— Mais bien sûr. Je vais les chercher tout de suite.


Elle revient quelques instants plus tard, avec une boîte et la fameuse paire de chaussures. Elles ***t superbes, fines et blanches. Le talon est argenté. La jeune femme s'accroupit devant elle pour lui passer délicatement les chaussures à ses pieds. Elle lui soutient la cheville. Ce simple contact l'électrise, mais elle n'ose pas aller plus loin de peur de rompre la magie de l'instant. Elle se lève et marche un peu à travers le magasin. Elle pensait avoir plus de mal à s'habituer à la hauteur de ces talons. Ils l'obligent à se cambrer un peu plus encore. Cela fait ressortir sa poitrine et ses fesses. Elle imagine sans mal l'effet qu'elle produirait avec la petite jupe qu'elle a essayée et le petit haut. La vendeuse l'observe et lui dit :
— Vous semblez très à l'aise avec ces hauts talons, tout le monde n'a pas votre aisance. Ils vous vont à ravir.


Maryse rougit légèrement et remercie la vendeuse pour ses compliments. Elle se décide à prendre tous les articles qu'elle a essayés. Elle remet ses chaussures à talons qui lui paraissent bien bas après avoir essayé les autres. La vendeuse réunit les articles dans un sac et après avoir encaissé lui dit de ne surtout pas hésiter à revenir si elle a un souci avec l'un des articles ou pour toute autre rai***. Maryse la remercie de sa gentillesse et l'assure qu'elle reviendra.

chrislebo

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#6,802
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Elle continue à errer dans la galerie, puis une idée saugrenue lui traverse l'esprit. Elle a envie de voir l'effet qu'elle peut produire en portant cette nouvelle tenue. Rien que d'y penser, l'excitation la gagne. Il faut qu'elle trouve un endroit pour se changer. Elle ne peut pas revenir au magasin, cela serait absurde. Elle réfléchit, regarde autour d'elle puis elle aperçoit un panneau indiquant les toilettes publiques. Ce n'est pas l'idéal se dit-elle mais s'il n'y a per***ne, cela pourra faire l'affaire. Elle se retrouve dans un petit couloir éclairé de néons. L'ambiance est un peu glauque mais curieusement cela rajoute à *** excitation. Elle se sent presque fébrile. Elle ouvre la porte des toilettes pour dames. Il n'y a per***ne. Elle se dirige vers l'une des cabines du fond et s'enferme. Elle n'a pourtant pas couru mais elle est obligée de reprendre sa respiration pour se calmer un minimum. L'endroit est assez propre heureusement.
Fébrilement elle retire sa veste et *** chemisier. Elle hésite quelques instants puis se décide à retirer *** soutien-gorge. Elle passe ensuite *** nouveau haut. Elle apprécie la sensation de l'effleurement du tissu sur sa peau. Elle retire ensuite sa jupe tailleur et là encore hésite un instant. *** cœur bat la chamade. Elle ne peut quand même pas se balader les fesses à l'air se dit-elle. Et pourquoi pas. Après tout, elle s'apprête à se promener dans une tenue plus que suggestive. Elle arrête ses réflexions et retire en toute hâte sa culotte. Elle se rend compte de la folie de *** attitude mais elle a envie de vivre cette petite expérience. Per***ne ne saura qu'elle est nue sous sa jupe. Elle passe la jupe et après avoir baissé le couvercle, s'assoit sur la cuvette pour mettre ses nouveaux talons-aiguilles. La jupe est si courte qu'elle sent la fraîcheur du couvercle sur une partie de ses fesses. Elle la tire vers le bas mais elle peine à la couvrir décemment. Une fois habillée et ses vêtements jetés dans le sac, elle sort de la cabine. Elle est saisie par *** reflet. Sa tenue la change du tout au tout. Elle qui s'habillait toujours assez classiquement, est maintenant très provocante. Elle se tourne légèrement, et en s'observant, se demande si elle n'a pas été trop loin... La porte s'ouvre et une femme d'un certain âge la regarde avec désapprobation. Elle ne peut plus revenir en arrière et ce regard est comme un défi pour elle. Elle va assumer cette envie de se montrer et de provoquer le désir.
Elle sort des toilettes, et dans le couloir, elle croise un vigile à la carrure de rugbyman. Il la dévisage. Elle sent *** regard comme si c'était ses grosses mains qui lui parcouraient le corps. Les talons l'obligent à accentuer le déhanchement de sa démarche. Elle l'entend émettre un petit sifflement qui traduit *** plaisir de la regarder. Elle se retrouve dans la galerie de nouveau. Elle sent nettement la différence. Tous les hommes qui la croisent ne peuvent s'empêcher de la regarder. Leurs regards ***t tantôt discrets, tantôt appuyés. Certains lui sourient, d'autres restent la bouche ouverte. Elle croise un groupe de quatre jeunes dont elle entend les sifflements et les commentaires :
— Regarde cette nana ! Elle a une de ces paires de nibards...
— Elle a un cul d'enfer...
— Elle est bandante !


Cela la fait sourire. Elle ne s'offusque pas de leurs commentaires, au contraire cela l'excite davantage. Elle croise un couple dont l'homme s'arrête tout net de parler en la regardant. Sa partenaire lui donne un coup dans les côtes pour le rappeler à l'ordre et la fusille du regard. Elle semble attirer tous les regards. Elle croise celui de certaines femmes où se mêlent un brin de jalousie et de désapprobation quand ce n'est pas de l'envie. Elle sent ses seins bouger au rythme de ses hanches. Le frottement du tissu sur ses tétons les fait se tendre et lui procure un plaisir augmenté par le regard que les gens posent sur *** corps.
Elle s'arrête devant une vitrine autant pour observer le reflet des gens que pour regarder les paires de bottes qui y ***t exposées. Certains n'hésitent pas à lui regarder longuement les fesses alors qu'ils la croisent. D'autres se retournent plusieurs fois pour profiter le plus longtemps possible du spectacle qu'elle leur offre. Elle s'intéresse de près à une paire de chaussures en contrebas qui l'oblige à se pencher un peu. Elle offre ainsi sa croupe arrondie et moulée à la vue des passants qui n'en perdent pas une miette. Alors qu'elle admirait une paire d'escarpins, elle sent une main se plaquer sur sa fesse gauche et profiter l'espace d'un instant de leur fermeté. Elle sursaute en poussant un petit cri. En se retournant, elle voit un vieux monsieur s'éloigner d'elle et lui faire un petit signe de la main. Elle n'a pas vraiment eu le temps de réagir. La respiration haletante, elle ressent plusieurs impressions. D'abord une part de honte, elle s'est offerte dans cette tenue. Puis une satisfaction grandissante car elle sait qu'elle est excitante.

Avec toute cette excitation, elle a besoin de boire quelque chose. Elle se dirige vers un petit bar assez branché pour se désaltérer et surtout pour reposer un peu ses pieds. Même si elle n'a eu aucun mal à adopter ses talons, ils restent difficiles à garder longtemps aux pieds. *** entrée ne passe pas inaperçue. Les hommes l'ont tous vue et elle a senti leur regard carnassier sur elle. Elle se met au bar. Elle ne compte pas rester bien longtemps. C'est une femme brune au regard bleu qui sert au bar. Elle semble apprécier tout autant que les hommes du bar ce qu'elle voit. Elle s'approche :
— Qu'est-ce que je vous sers ?
— Euh, je ne sais pas... surprenez-moi avec un cocktail, répond Maryse en souriant.
— D'accord. En attendant tachez de ne pas créer d'émeute.


Elle lui fait cette dernière remarque avec un sourire enjôleur. Peu après elle lui apporte un cocktail glacé d'une couleur rouge.
— Et voilà pour la vamp de la soirée. Oh si, tout le monde vous dévore des yeux. Et je dirais que vous en êtes consciente...


La serveuse la laisse déguster *** cocktail à base de rhum et de liqueur de fraise. Elle ne tarde pas à être rejointe par un homme d'une quarantaine d'année. Il est tout d'abord assez discret, mais elle le surprend à plusieurs reprises regarder ses jambes ou sa poitrine. Ce petit jeu l'amuse. Elle est grisée par le désir des autres à moins que cela ne soit l'alcool qui commence à faire *** effet. Cet homme a un physique assez banal, la quarantaine, ses cheveux commencent à virer au gris par endroit. Il porte un costume dépareillé. Il appelle la serveuse et lui murmure quelque chose qu'elle n'arrive pas à entendre. Elle s'éloigne pour préparer un nouveau cocktail et le présente à Maryse en lui disant que ce dernier est offert par *** voisin. Maryse se tourne vers lui et lui adresse un petit signe de la tête en souriant pour le remercier. C'est la première fois qu'elle se voit offrir une bois*** dans un bar, cela lui plaît et lui fait peur en même temps. Que va-t-il se passer ensuite ? Va-t-il s'approcher, lui parler, lui faire une proposition indécente ? Elle est plongée dans ses réflexions l'estomac un peu serré quand l'homme s'approche d'elle et s'assoit à ses côtés. Elle n'ose plus le regarder. Elle est soudain prise d'un doute, elle est sans doute allée trop loin.
— Bonsoir, je me nomme Manuel, excusez mes manières un peu cavalières... mais il fallait que je fasse votre connaissance.


Elle trouve le courage de lui sourire. Elle remarque que *** assurance n'est que feinte.
— Bonsoir, je m'appelle Maryse.
— Maryse, puis-je me permettre de vous féliciter de votre audace ? Vous êtes à tomber. Vous dégagez une sensualité irrésistible.


Maryse se dit qu'il est vraiment direct. Il ne manque finalement pas tant que ça d'assurance...
— Vous attendez sûrement quelqu'un... une femme comme vous n'est sans doute pas seule.
— Je suis mariée mais ce soir je suis seule... mon mari est en déplacement. Je n'avais pas envie de commencer la soirée seule chez moi...


Maryse se demande ce qu'il lui prend, elle vient de l'inviter à aller plus loin.
— Je comprends tout à fait. Cela fait longtemps que votre mari est parti en déplacement ?
— Quelques jours. La mai*** semble vide sans lui et les enfants qui ***t aussi partis chez des amis. Je me retrouve donc abandonnée.


La discussion continue encore. Manuel est assez prévenant, il l'écoute, lui pose des questions sur elle, ce qu'elle fait dans la vie. Il lui offre un autre cocktail. Elle commence à se sentir plus à l'aise. Elle se confie à lui qu'elle ne connaît pas. Et puis elle commence à lui poser des questions.
— Êtes-vous marié ?
— Non.
— Pourquoi cela ?
— Di***s que ma situation professionnelle demande ... de la compréhension. Et que je n'ai pas trouvé la femme prête à en avoir. Et puis je tiens aussi à ma liberté. C'est peut-être plutôt cela d'ailleurs qui m'empêche de m'investir totalement dans une relation.
— Quel est donc ce métier qui demande tant de compréhension ?
— Je ne suis pas sûr que vous vouliez le savoir...
— Maintenant vous m'intriguez ! Allez, dites-le moi.
— Très bien, je suis réalisateur de films... pornographiques.


Maryse est comme paralysée. Il se moque certainement d'elle... non pourtant il semble dire la vérité. C'était donc cela qui provoquait *** manque d'assurance.
— Je... je suis désolée. Vous m'avez surprise. Ce n'est pas commun de rencontrer un réalisateur de films...


Elle ne trouve pas la ***** de dire le mot. La conversation prend une tournure qu'elle n'aurait pas imaginée.
— Oui c'est vrai. D'ailleurs je regrette mais il va bientôt falloir que je vous quitte. Je dois aller sur un tournage.
— À cette heure-ci ?
— Les horaires ***t très aléatoires... c'est aussi pour cela qu'une relation sérieuse est difficile à gérer. Je suis sûr que vous n'avez jamais assisté à un tournage quel qu'il soit ! Je sais que vous n'avez rien de prévu ce soir... peut-être que vous aimeriez m'accompagner ?
— Moi, non... enfin je veux dire, je n'ai jamais assisté à un tournage... encore moins d'un film...


Elle reprend *** souffle. Et pourquoi pas, se dit-elle ? Il ne lui propose pas de tourner, seulement d'y assister. Cela ne se représentera peut-être jamais. Qu'a-t-elle de mieux à faire ? Oui, mais elle ne le connaît pas... cet argument ne tient pas devant *** excitation croissante. Elle se laisse finalement convaincre par ses désirs.
— D'accord, je vous accompagne !
— Prenons ma voiture, ce n'est pas très loin d'ici.
chrislebo

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#6,803 · Edited by: chrislebo
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Il paye les consommations et la guide vers sa voiture, une Mercédès grise, intérieur cuir aux lignes agressives. Il lui ouvre la portière puis entre à *** tour. Le cœur de Maryse bat tellement fort qu'elle est sûre que Manuel peut l'entendre. Sa jupe ne cache rien de ses jambes croisées, et elle voit régulièrement Manuel les apprécier. Sa respiration est difficile, elle n'ose parler. Ils arrivent peu de temps après dans un pavillon imposant à deux étages. Il y a déjà trois véhicules sur place. Des câbles courent partout. Manuel la guide à l'intérieur. Dans une pièce, elle aperçoit deux femmes se maquillant en discutant. L'ambiance a l'air assez détendue. Un homme s'affaire aux réglages de sa caméra aidé d'un autre qui semble prendre des mesures de luminosité. Celui qui semble être le preneur de *** est concentré sur le boîtier électronique de *** micro. Des panneaux blancs réfléchissent la lumière des projecteurs et derrière eux, le décor apparaît. Il s'agit tout simplement d'un bureau éclairé d'une lampe ancienne et sur lequel ***t éparpillés des dossiers. Un écran d'ordinateur est posé sur la gauche. Derrière le bureau, il y a des étagères remplies de dossiers.
Maryse est presque déçue par ce décor simpliste. Manuel lui présente l'équipe, il les appelle tous par leur prénom. Il y a Jeannot à la caméra, le petit qui l'aide à mesurer la luminosité se nomme Pierre. Ce dernier la dévore du regard en souriant. Le preneur de *** se nomme Max. Manuel lui demande de le suivre afin qu'il lui présente les acteurs. Dans la pièce voisine, elle fait la connaissance de Bruno, un beau trentenaire aux yeux bleu et à la stature impressionnante. Il est habillé d'un costume rayé gris. Les deux femmes qui discutent ensemble se nomment Gina et Sophie. La première est une grande blonde à lunette, habillée d'un tailleur strict mais très court. La seconde est une brune aux yeux très clairs, aussi grande que Maryse. Maryse est étonnée par la taille énorme de sa poitrine relevée par le corset d'une tenue de soubrette aussi courte que sa propre jupe. Maryse peut très bien imaginer le futur tableau que les acteurs vont jouer devant la caméra. Les trois acteurs lui semblent très sympathiques. Ils lui demandent comment elle a connu Manuel. Sophie l'observe avec insistance. *** regard trouble Maryse, elle n'ose pas le croiser. Bruno est plutôt charmant, il essaie de la mettre à l'aise.
Un acteur n'est toujours pas arrivé mais Manuel décide de commencer le tournage. Il demande à chacun s'il a bien lu *** script qui ne tient qu'à une page. Puis les acteurs et les techniciens se mettent en place. Manuel indique un endroit ou Maryse pourra observer le tournage sans gêner les mouvements de chacun. Maryse se fait l'effet d'une voyeuse quand la scène commence, malgré les techniciens présents. La scène commence avec Sophie qui fait la poussière parmi les dossiers du bureau alors que Bruno tente sans succès de se concentrer sur *** travail. Ses yeux ***t attirés par le corps de Sophie qui fait tout pour se faire remarquer. Elle prend des poses aguicheuses qui ne cachent rien de ses lignes sculpturales. Elle se baisse devant le bureau les jambes tendues, montrant *** petit string coincé entre deux fesses rondes.
Maryse est de plus en plus excitée par ce qu'elle voit. La démonstration de Sophie est très convaincante. Elle s'approche de Bruno qui s'écarte de *** bureau pour que la soubrette fasse correctement la poussière mais surtout pour mieux l'observer. Les deux acteurs échangent quelques mots sans intérêts. Maryse n'entend plus rien, elle vit presque la scène. Elle n'est plus elle-même. Sophie ouvre le pantalon de Bruno qui ne porte visiblement pas de sous vêtements. Elle extirpe un membre imposant bien qu'encore mou. Il est parcouru de grosses veines et est complètement imberbe. Elle le caresse doucement, puis le serre et commence un lent mouvement de va-et-vient.
Maryse sent *** excitation croître au fur et à mesure que la scène s'intensifie. Sa vision se réduit à la main enserrant ce gros membre. Elle n'en a jamais vu de cette taille hormis dans les films ou photos qu'elle a pu regarder sur internet. Sophie écarte légèrement les jambes en les laissant tendues au maximum et se baisse sur le membre de Bruno pour le gober entièrement. Ce dernier prend du volume d'un coup en se gorgeant au maximum. Sophie gémit doucement alors qu'elle s'applique à sucer ce puissant sexe. Maryse se sent rougir de honte d'observer cette scène ou de vouloir être à la place de cette soubrette. Le cameraman approche des deux acteurs pour faire un gros plan. Bruno grogne de plaisir alors qu'il défait le laçage dorsal de la tenue de Sophie. Cette dernière se relève pour prendre *** souffle et pour offrir à la vue de tous sa magnifique poitrine libérée de *** corsage. Ses seins ***t en forme de poire, très lourds, aux aréoles assez larges. Ses tétons ***t tendus vers Bruno qui s'en empare pour les tirer, les pincer et pour finir par les sucer presque violement. Il presse *** visage contre un énorme sein qui se déforme. Sophie sourit, elle prend manifestement beaucoup de plaisir de ce traitement. Elle lui prend les cheveux et le ***** contre sa poitrine. Il la repousse ensuite. Il se lève alors qu'elle se retourne contre le bureau lui faisant dos. Elle se penche en avant, sa poitrine généreuse reposant sur la table. Il lui arrache *** string et s'agenouille derrière elle. Il commence alors à lui lécher ses lèvres intimes le visage pris entre ses deux fesses rondes.
Maryse prend appui contre le mur derrière elle. Elle trouve la scène tellement sauvage et tellement excitante qu'elle a du mal à tenir sur ses jambes. Les techniciens autour d'elle, même si elle les voit, n'existent plus. Elle sent sa propre poitrine tendre le tissu fin de *** haut. *** sexe s'humidifie et commence à couler. Elle a du mal à se tenir sur ses talons hauts. La scène s'intensifie quand Bruno se relève et s'enfonce d'un seul coup dans le sexe de Sophie qui pousse un cri strident. Il entame un mouvement rapide qui provoque à chaque pénétration profonde un cri de Sophie. Maryse peut entendre un clapotis qui lui permet de deviner l'état du sexe de Sophie. Bruno s'arrête ensuite quelque temps. Le cameraman se place autrement pour avoir un autre angle de vue. Puis Bruno reprend avec plus de vigueur encore. Cette petite interruption ramène la présence des techniciens dans l'esprit de Maryse. Ils ***t tous témoins, comme elle, de l'accouplement sauvage de Bruno et Sophie.
Manuel annonce une pose. Bruno est en nage. Il doit reprendre sa respiration. Manuel se tourne vers Maryse un sourire aux lèvres qui disparaît lorsqu'il la voit. Il lui demande si tout va bien. Elle lui assure que oui mais qu'il règne dans la pièce une chaleur qui l'étouffe. Manuel lui sourit de nouveau en lui répondant un « sans doute » qui laisse entendre qu'il n'est pas dupe. Pendant ce temps, Gina applique délicatement du gel sur le petit orifice de Sophie qui est toujours penchée sur le bureau. Elle semble apprécier cette nouvelle caresse, surtout quand Gina lui enfonce un, puis deux doigts en rajoutant du gel. Gina se s'attarde pas plus longtemps et se retire de la scène.
Manuel annonce la reprise et tout le monde fait silence. Maryse espère que per***ne n'entend sa forte respiration. Elle a les yeux rivés sur le petit trou de Sophie qui ne va pas tarder à être envahi par le sexe de Bruno. Elle aimerait tant être à la place de la soubrette même devant tous ces gens. Elle veut se faire prendre sauvagement aussi. Elle essaie de repousser ses pensées quand elle voit le sexe investir le petit trou étroit de Sophie. Bruno va lentement mais sa progression est inexorable malgré le râle de Sophie. Une fois complètement en elle, il fait une courte pause avant d'entamer une lente sortie qui semble interminable à Maryse. Puis de nouveau, il la pénètre de toute sa longueur. Il accélère peu à peu jusqu'à être pris d'une fureur sexuelle. *** bas ventre claque sur les fesses de Sophie qui peine à freiner les mouvements de Bruno. Ses seins frottent sur le bureau. *** visage est crispé, ses dents ***t serrées et elle râle de plaisir ou de douleur, Maryse ne saurait le dire mais elle voudrait être à sa place. Elle aimerait subir les assauts de Bruno, le sentir en elle. Bruno n'y tient plus, il se retire rapidement et Sophie se retourne face à lui le visage au niveau de *** sexe. Il éjacule en poussant un cri bestial. Sophie prend trois premiers jets copieux sur le visage puis elle ouvre la bouche et deux autres jets atterrissent sur sa langue. Elle fait face à la caméra au moment ou elle avale le sperme de Bruno. Un filet blanc coule le long de sa joue pour s'écraser sur *** sein. Elle le récupère du bout de *** index et le suce en souriant. Maryse a le cœur qui s'emballe, le feu aux joues et une boule dans l'estomac. Elle est au comble de l'excitation. Elle n'aurait cru qu'elle pourrait prendre tant de plaisir à regarder une telle scène de débauche. Elle sent l'humidité de *** sexe libre de toute entrave couler légèrement sur ses cuisses.
Manuel reçoit un bref coup de téléphone et annonce que Sergio arrive d'ici quelques instants. Il se rapproche de Maryse et lui demande de l'accompagner dehors quelques instants pour prendre l'air. Elle accepte avec joie.
— Vous aviez besoin d'un peu d'air frais, dit-il en souriant.


Il l'observe puis il s'arrête de marcher :
— Maryse... ne vous sentez pas offensée de ce que je vais vous proposer... Aimeriez-vous faire un petit essai devant la caméra ?
— Moi ? Devant la caméra... mais je... non ... enfin... et si quelqu'un me reconnaissait... vous n'y pensez pas...
— Vous pouvez tourner masquée.


Il lui fait un petit clin d'œil.
— Laissez-vous tenter. Je pense que cela vous plaira... ne dites pas le contraire, tout votre corps parle pour vous et puis la paye est bonne. Je vous laisse y réfléchir quelques instants, je dois voir quelques détails avec Jeannot.


Maryse ne le voit pas partir. Elle reste seule dans le jardin. Elle se repasse la discussion plusieurs fois en tête. À nouveau des sentiments opposés la partagent. Une mère de famille à la réputation irréprochable ne peut pas se permettre d'accepter, elle n'aurait jamais du se retrouver ici d'ailleurs. Irréprochable ? Depuis quelques semaines, sa vie a basculé dans la luxure. Elle n'est plus du tout l'oie blanche qu'elle était avant de pénétrer dans cette déchetterie. Elle a découvert une face de sa per***nalité qui l'effraie et l'attire en même temps. Elle a envie de céder à ses instincts sexuels, ses tabous ***t de plus en plus ébranlés. Elle se trouve sur le tournage d'un porno, dans une tenue à la limite de la décence. Elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle est déjà allée trop loin pour refuser de continuer. Le cœur battant, les joues en feu, elle rentre dans la mai*** pour accepter l'offre de Manuel.
— Manuel ? Je peux vous parler un instant ?
— Mais bien sûr Maryse.


Elle l'entraîne un peu à l'écart sous le regard amusé des acteurs et de l'équipe technique.
— J'accepte, mais à plusieurs conditions. Je ne veux pas qu'on puisse me reconnaître, je porterai un masque comme vous l'avez suggéré. Je ne veux pas que mon nom apparaisse et je souhaite un rapport protégé.
— Aucun problème. Vous serez donc masquée, pour le rapport protégé cela va de soi. Si toutefois vous vouliez continuer à tourner, je vous demanderai un test de dépistage complet. Ensuite, votre nom n'apparaîtra pas, mais je vous suggère un nom de scène... pourquoi pas Annabella ?
— Oui... Annabella... ça me plaît... je suis terriblement anxieuse.
— Vous allez vous en sortir. Avant qu'on ne commence, est-ce qu'il y a des pratiques qui vous dérangent.
— Je... non je ne crois pas... enfin je ne sais pas...
— Bon nous verrons cela au fur et à mesure. Sophie ? Pourrais-tu aider Annabella à se préparer. Tu lui trouves un masque pendant que je vais réfléchir à la scène.
— Mais oui avec plaisir.


Sophie s'approche d'Annabella et la prend par la main pour la conduire dans la pièce voisine. Elle se mordille la lèvre inférieure sensuellement en la regardant.
— Alors tu as décidé de te lancer ? Hummm, tu ne vas pas être déçue. Tu vas commencer avec Sergio je pense. Tu vas voir, il est monté comme un âne. Il peut être un peu ... ********* mais c'est si bon avec lui. Je pense qu'il va falloir que je te prépare à l'accueillir. Installe-toi confortablement sur ce canapé.


Annabelle s'assoit, mais n'ose pas ouvrir ses cuisses. Elle n'a jamais montré *** intimité à une autre femme.
— Écarte les cuisses ma jolie... Ohhh, mais tu ne portes pas de culottes ! Je savais que tu étais une vicieuse. Tu aimes te donner des sensations fortes. Tu es toute trempée...


Sophie lui caresse doucement les lèvres intimes recouvertes par un duvet sombre. Elle effleure de ses doigts *** clitoris qui est tendu par l'excitation. Ses lèvres ***t toutes ouvertes, prêtes à accueillir n'importe quoi pourvu que cela leur apporte du plaisir. Maryse sent un fris*** la parcourir des pieds à la tête. Elle se laisse aller à l'extase de cette simple caresse. Sophie est consciente de l'effet qu'elle a sur Maryse. Elle ressent une certaine fierté et *** désir pour cette femme augmente à mesure qu'elle voit les indices de *** excitation. Les pointes des seins de Maryse dardent à travers le tissu. *** sexe coule à flot autour de ses doigts. Elle la pénètre d'un doigt. Elle sent la chaleur et l'humidité de *** sexe autour de *** doigt. Elle trouve une petite zone plus rugueuse non loin de l'entrée de ce sexe béant qui fait immédiatement réagir Maryse. Elle se tend et pousse un long gémissement de plaisir. Sophie n'en revient pas de la réactivité de cette femme offerte. Elle aimerait pousser l'exploration de ce corps plus loin mais il faut qu'elle la prépare pour sa rencontre avec Sergio.
Maryse l'observe dans un semi brouillard de conscience. Elle est dans un état second. Les doutes et les appréhensions ont disparu. Elle voit Sophie saisir un tube de lubrifiant qu'elle fait couler entre ses fesses. Ses doigts ramènent le gel au niveau de *** œillet et l'étale tout autour. L'intimité de cette zone encore vierge il n'y a pas si longtemps la rend très sensible aux caresses. Elle sent un doigt la pénétrer sans effort, puis un deuxième ramenant encore plus de gel en elle. Elle écarte au maximum ses jambes pour permettre à Sophie de la pénétrer au plus profond. Sophie prend visiblement autant de plaisir qu'elle mais elle est obligée de s'arrêter. Manuel les surprend et le sourire aux lèvres leur dit que tout le monde est prêt. Il tend à Maryse un masque vénitien décoré de petites plumes et de paillettes dorées.
— Maryse... euh, Annabella pardon, je vais vous expliquer comment va se passer la scène. Vous allez entrer par cette porte quand on vous fera signe. Vous porterez votre masque et vous annoncerez que vous êtes le cadeau promis par Rafael. Il a fallu que je trouve quelque chose rapidement pour être raccord avec les autres scènes. En entrant vous surprendrez Sergio en mains avec Sophie et Gina. Les filles, vous laisserez votre place à Annabella qui lui fera une pipe. Sergio, tu te laisses aller sur les insultes. Ensuite, tu la placeras sur le bureau et en lui tenant les jambes, tu la besognes. D'après ce que j'ai vu elle est prête à en prendre plein les fesses, donc tu lui feras aussi les honneurs. Et tu finis par lui éjaculer sur le ventre. Les filles vous la caressez en même temps. Tout le monde a compris ? Alors en place.


Maryse est soudain prise d'une sorte de trac. Sa respiration est difficile mais elle se refuse à reculer. Elle passe derrière la porte. Elle entend sans comprendre les dialogues derrière la porte. Et puis c'est à elle d'intervenir. Elle met *** masque et après avoir frappé à la porte, elle entre les jambes flageolantes. Elle reste un instant tétanisée par la scène qu'elle voit. Sergio est debout, face à elle. *** sexe est comprimé entre les bouches voluptueuses de Sophie et Gina qui s'arrêtent. Maryse se reprend et dit *** texte comme elle peut. Au signe de Sergio, elle approche. Il la prend par les cheveux, l'oblige à mettre sa tête en arrière pour l'embrasser. Sa langue omniprésente, lui fouille la bouche. Il s'arrête et la fait se reculer un peu. Il lui lâche les cheveux et agrippe *** haut pour le tirer vers lui, libérant ainsi les deux seins volumineux de chaque côté du tissu. Il s'en empare pour les pétrir.
chrislebo

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Maryse n'avait pas vu la caméra jusqu'à présent. Mais elle sent la présence de Jeannot et de sa caméra. Puis elle sent le regard de toute l'équipe technique sur elle. La honte de se livrer à la caméra et aux regards de ces inconnus décuple *** plaisir. Elle sent les deux actrices lui caresser les jambes et s'insinuer sous sa jupe pendant que Sergio lui pétrit les seins. Il la reprend par les cheveux et l'oblige à s'agenouiller devant lui. Elle fait face à un sexe monstrueusement volumineux. Il est un peu plus court que celui de Bruno mais il est nettement plus large. *** gland est encore recouvert mais il ne demande qu'à s'échapper. Les bourses de l'acteur ***t volumineuses et complètement imberbes. *** corps est musclé et luisant de sueur.
Elle caresse d'abord ses abdominaux saillants puis descend vers *** sexe puissant. Elle le prend en main délicatement puis le serre pour le décalotter. Le gland apparaît maintenant violacé et fuselé. Elle le branle quelques instants. Gina déchire un petit sachet rose. Elle présente le préservatif à Maryse qui le place sur le gland avant de le dérouler interminablement sur toute sa longueur. Elle le lèche, puis elle prend le gland autour de ses lèvres et joue avec sa langue sur le pourtour. Sergio grogne, la prend par les cheveux et lui ordonne de le sucer profondément comme une salope. Il l'oblige à avaler la moitié de *** sexe. Le volume de ce sexe déclenche chez Maryse une envie irrésistible de le satisfaire. Elle reprend sa respiration, puis elle le suce bruyamment en essayant d'en prendre le plus possible en bouche. Sergio continue de la tenir par les cheveux en grognant des insanités. Maryse est déchaînée. Les filles aussi la traitent de putain, de bouffeuse de bite. Plus elle entend ces insultes, plus elle se déchaîne. Le regard de l'équipe la galvanise.
Soudain Sergio la tire de nouveau par les cheveux. Il la soulève presque pour la coucher sur le bureau. Il lui écarte les jambes en V, ce qui achève de remonter totalement sa jupe. Sans attendre, il la pénètre d'un coup jusqu'à ce qu'elle sente des bourses s'écraser contre ses fesses. Elle hurle sous l'assaut de Sergio qui lui empoigne les seins pour la pénétrer de plus belle. Ses mouvements ***t puissants. *** sexe l'envahit totalement et butte à chaque coup au plus profond. *** visage est crispé. Elle sent les mains des actrices sur tout *** corps. Gina lui fait sucer ses doigts pendant que Sophie lui caresse le clitoris. Sergio continue à la pénétrer sans relâche. Il lui tient maintenant les jambes pour permettre à la caméra de prendre des plans rapprochés de *** intimité. Elle se rend compte que tout le monde pourra la voir, que certains s'exciteront sur sa vidéo... et cela achève de la faire jouir une première fois. Elle se tend en se cambrant. Elle ne peut plus respirer alors que la vague de plaisir la transperce inexorablement. Puis elle se laisse aller, en gémissant. *** sexe est trempé, les pénétrations successives de Sergio produisent des clapotis indécents. Gina lui suce un sein alors que les doigts de Sophie s'activent toujours sur *** clitoris.
Elle ressent soudain un grand vide alors que Sergio se retire. Puis, sans lui laisser le temps de se reprendre, il pousse *** énorme sexe à l'entrée de *** petit orifice. Elle n'a pas la ***** de paniquer, juste de gémir plus fort alors qu'elle sent le sexe s'enfoncer et l'envahir peu à peu. Il se retire totalement pour reprendre sa pénétration plus profondément. Ses dernières résistances lâchent et Sergio l'envahit totalement. Elle ne sait plus si elle souffre ou si elle jouit de plaisir. Les doigts de Gina la rendent folle et elle se sent totalement livrée au sexe de Sergio et à la caméra. Il accélère le mouvement. Elle est violemment secouée par les pénétrations. Ses seins ballottent en tout sens. Elle s'agrippe aux bras des filles qui continuent à la caresser. Gina pénètre frénétiquement *** sexe de deux doigts alors que Sergio continue telle une machine, à la sodomiser. Elle n'arrive pas à crier, mais elle gémit et grogne *** plaisir. Quand elle sent les doigts de Gina frotter en elle, une seconde vague de plaisir manque de lui faire perdre connaissance. Sergio n'en peut plus, il arrache le préservatif et jouit abondement sur le ventre de Maryse. Une bonne quantité de semence arrive sur le tissu de *** haut alors que le reste coule sur *** sexe et ses cuisses. Sophie et Gina prennent la place de Sergio et s'appliquent à lécher les traits de sperme, lui apportant encore un peu plus de plaisir.
Maryse est épuisée par la scène. Manuel la rejoint et lui dit que c'était fantastique et criant de vérité. Elle se redresse et essaie de remettre un peu d'ordre dans sa tenue. *** top est maculé de sperme. Elle tire sur sa jupe pour la remettre en place et recouvrir *** sexe béant et trempé ainsi que ses fesses. Elle sent une douce souffrance au niveau de *** petit trou. Manuel l'accompagne jusqu'à l'écran de contrôle pour lui montrer la scène. Maryse a peine à croire ce qu'elle voit. Elle est déchaînée sur cette vidéo. Elle se voit jouir et en redemander. La caméra a filmé au plus près et elle voit les ravages que le sexe de Sergio a faits sur *** petit trou qu'elle voit béant, rouge et luisant. Un nœud a l'estomac, elle demande si elle peut avoir une copie. Manuel lui répond en souriant qu'il lui enverra un exemplaire du film. Elle accepte sans trop y penser. Puis Il lui fait un chèque pour sa participation et lui donne *** numéro de téléphone.
Sophie s'approche d'elle et lui propose de la raccompagner ce que Maryse accepte avec joie. Sophie lui demande quelques instants, le temps qu'elle se change. Elle réapparaît peut de temps après habillée d'un jeans serré, d'un tee-shirt lui moulant avantageusement la poitrine, de bottes à talons aiguilles et d'une petite veste en jean assortie. Maryse la suit jusqu'à sa voiture, une mini-cooper. Quand elle s'assoit, elle ressent un gêne entre ses fesses, mais cette sensation lui plaît et lui rappelle l'expérience intense qu'elle vient de vivre devant la caméra.
— Alors je t'emmène où ma cocotte ?
chrislebo

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Après cette journée Maryse est épuisée. Elle accepte avec joie la proposition de Sophie de la raccompagner. Il faut qu'elle récupère sa voiture restée au centre-commercial. Maryse n'arrive pas vraiment à réaliser ce qu'elle vient de faire. Pourtant, la gêne qu'elle ressent au niveau de *** petit trou est bien réelle. Elle est honteuse d'avoir cédé à ses pulsions. Et si *** mari et ses enfants découvraient ce qu'elle a fait... mais ces craintes n'atténuent pas le plaisir qu'elle a ressenti d'être filmée alors qu'un inconnu la prenait sauvagement.
Pendant le trajet, Sophie lui parle de sa vie, de *** petit ami du moment. Maryse lui pose quelques questions et Sophie semble ravie de *** intérêt. Elles arrivent sur le parking désert du centre-commercial, retrouvent la voiture de Maryse. Sophie se gare juste à côté.
— Voilà, tu es arrivée...


Sophie lui sourit, ses yeux ***t pétillants. Maryse ne sait plus trop quoi faire. Elle doit prendre sa voiture, rentrer chez elle et redevenir la petite femme sage qu'elle était. Mais Sophie exerce une sorte d'attirance, elle représente la liberté et l'interdit. Sophie prend cette hésitation pour un indice de l'attirance que Maryse éprouve. Elle lui prend une main et la pose tendrement sur sa poitrine généreuse. Le contact électrise Maryse. Elle en a la chair de poule. Ses yeux ***t rivés dans ceux de Sophie qui caresse doucement le visage de Maryse. Elle s'approche doucement et elle embrasse Maryse tendrement.
Cette dernière est tout d'abord paralysée mais sa bouche s'entrouvre légèrement. La langue de Sophie profite de cet abandon pour explorer doucement la bouche de Maryse. Leurs langues ne tardent pas à s'entremêler. La main posée sur la poitrine de Sophie exerce d'abord de légères pressions puis elle profite pleinement de la générosité de cette poitrine. Elle sent le téton durcir sous ses caresses. Après quelques instants, Maryse repousse légèrement Sophie qui lui sourit tendrement. Ses yeux pourtant semblent affamés. Elle la désire ardemment. Maryse éprouve une attirance pour cette femme si sûre d'elle, si libre mais elle n'est pas encore prête. Elle tente de lui expliquer ce qu'elle ressent, mais elle se perd, elle n'arrive pas à exprimer ses sentiments. Tout est confus. Sophie lui prend la main et lui susurre des paroles apaisantes. Elle fouille dans *** sac et en sort une petite carte.
— C'est mon numéro, n'hésite pas à m'appeler à n'importe quelle heure. Je comprends. Ne dis plus rien.


Elle lui dépose un dernier baiser sur la bouche et la laisse partir.

Maryse monte dans sa voiture, elle est toute fébrile. Ses gestes ***t incertains. Elle lance un dernier regard à Sophie qui lui sourit toujours avant de démarrer sa voiture. Sur le trajet, elle repense à cette soirée incroyable qu'elle vient de passer. Elle essaie de se souvenir du moindre détail. Certains moments ***t plus forts que d'autres comme ce vieil inconnu qui lui a peloté les fesses dans le centre commercial, les remarques des petits jeunes qu'elle a croisés, le tournage bien que ce moment soit assez flou et surtout ce dernier baiser de Sophie...
Heureusement, elle arrive chez elle au milieu de la nuit. Les risques d'être aperçue avec sa mini jupe et *** haut souillé de sperme ***t minimes mais suffisants pour la rendre nerveuse. Elle se rend compte, à sa plus grande honte, que cette situation l'excite. Après avoir vérifié que per***ne ne pouvait la voir, elle se précipite chez elle. Il lui semble qu'elle met une éternité à ouvrir la porte. Une fois à l'intérieur, elle prend quelques instants pour récupérer. *** cœur bat à toute vitesse. Elle peut s'observer dans le miroir de l'entrée. L'image qu'il lui renvoie est loin de celle de la femme sage qu'elle se prétendait être il y a quelques semaines. Elle aurait même été choquée de croiser une telle femme... mais aujourd'hui, elle se trouve dans un tout autre état d'esprit, elle a perdu le contrôle de ses envies. Elle se trouve outrageusement excitante et sexuelle.
Elle se dirige vers la salle de bain, aspirant à prendre une douche pour se calmer avant d'aller se coucher. Elle retire ses vêtements tout en s'observant dans le miroir. Elle se tourne et tente d'apercevoir *** petit trou qui continue de la gêner. Elle est surprise de constater qu'il s'est refermé bien qu'il soit encore rouge de l'assaut qu'il a subi. La douche lui fait le plus grand bien. Elle passe ses mains sur tout *** corps. Elle insiste sur *** intimité, ce qui lui procure de nouvelles sensations. La fatigue la pousse à aller se coucher sans prendre le temps de mettre sa chemise de nuit. Elle savoure sa nudité un moment avant de s'endormir.
Après une nuit agitée par des rêves érotiques, Maryse se réveille en fin de matinée. Elle commence sa journée par une nouvelle douche. Étant toute seule, elle décide d'en profiter pour rester nue. Le fait de s'occuper de l'entretien de la mai*** toute nue lui procure des sensations qu'elle n'aurait jamais imaginées.

Elle grignote devant la télé qu'elle éteint au bout d'un moment tant la pauvreté des programmes l'exaspère. Elle s'installe dans le canapé pour lire une revue, elle apprécie ce moment de quiétude qui est soudain dérangé par la ***nerie du téléphone. C'est *** mari qui l'appelle. Cela lui fait tout drôle de lui répondre alors qu'elle est toute nue. Il lui annonce qu'il sera de retour le lendemain. Maryse cache sa surprise, *** déplacement devait être plus long.
Après avoir raccroché, elle sent *** cœur s'accélérer. Les souvenirs de ses dernières aventures lui reviennent à l'esprit, elle en est honteuse. Elle se dit qu'il faut absolument qu'elle arrête ses écarts de conduite. Elle rentre dans sa chambre, en vérifiant que ses derniers achats ***t bien cachés, elle ressort le gode qu'elle n'a pas encore essayé.

Elle glisse les doigts dessus, la texture ressemble à s'y méprendre à la peau humaine. Il est assez lourd, sa longueur et *** diamètre lui rappellent le sexe de Sergio. Elle sent *** sexe s'humidifier.

Elle se mordille les lèvres hésitant à aller plus loin. Que fait-elle de ses résolutions ? Elle ne fera rien de mal en se donnant du plaisir... Elle réussit à résister à ses pulsions. Elle est très fière d'elle. Le reste de la journée passe assez vite entre ses différents préparatifs pour le retour de *** mari, le rangement et ses envies qu'elle repousse courageusement.
La journée du lundi passe très vite. Elle a quelques dossiers à traiter qui lui demandent toute *** attention. Elle éprouve tout de même une certaine appréhension en pensant à *** mari. Se rendra-t-il compte de quelque chose ? Est-ce qu'elle pourra lui cacher ses aventures ? Va-t-elle lui avouer ses débordements ? Non, il ne doit rien savoir ! Jamais...
Elle quitte le travail le ventre noué. Arrivée chez elle, elle commence à préparer le repas comme elle l'a toujours fait auparavant. Rien dans *** attitude ne doit la trahir. De toute façon c'est fini, elle ne cédera plus. Il faut qu'elle se débarrasse de *** gode... dommage, se dit-elle, qu'elle ne l'ait jamais essayé. Elle le range au plus profond de *** armoire sous une pile de vêtements.
*** mari rentre exténué de *** voyage d'affaire. Il lui raconte en détail tout ce qu'il a fait, ses relations avec les clients, les accrochages... Elle a du mal à se concentrer sur *** récit. Elle culpabilise de *** attitude pendant *** absence et elle culpabilise encore plus de ses envies toujours présentes. *** mari ne tarde pas à aller se coucher, s'excusant de la laisser s'occuper de tout mais il est vraiment fatigué et il ne rêve que d'une bonne nuit de sommeil.

Maryse au même moment essaie de repousser les visions érotiques voire pornographiques qui ne cessent de s'imposer à elle. Alors qu'elle fait la vaisselle, elle est honteuse de toutes ses pensées. Elle est mariée, mère de famille. Comment peut-elle agir ainsi ? Elle essaie d'oublier tout cela en allant se coucher. Une fois encore le sommeil tarde à venir. *** mari dort déjà à côté d'elle alors qu'elle revoit les images de ses dernières aventures. Elle en ressent encore une gêne entre ses fesses. Elle finit par s'endormir.
La routine reprend dès le lendemain. Elle prépare le petit déjeuner pour *** mari qui le dévore en quatrième vitesse avant de se précipiter au travail. Elle finit de se préparer en optant pour une jupe longue, un chemisier, des dessous et des talons. *** miroir lui renvoie l'image d'une femme sage. Elle se dit qu'elle pourrait pimenter légèrement sa journée en omettant de mettre sa culotte. Elle ne fait rien de mal, per***ne ne s'en rendra compte. L'idée de se promener nue sous sa jupe lui procure déjà un certain plaisir accompagné d'un léger sentiment de culpabilité vis-à-vis de *** mari qu'elle repousse en se disant qu'il ne se passera rien de répréhensible.
À *** bureau, elle ressent une certaine peur à l'idée que quelqu'un pourrait se rendre compte de *** audace, mais elle constate que cela l'excite aussi. Elle a l'impression que tout le monde peut deviner sa nudité. Elle a remarqué le regard de certains hommes sur *** corps. Auparavant elle n'accordait pas la moindre importance à ce genre de regard, elle en ressentait tout au plus du dédain. Maintenant ces regards lui donnent un indice du désir qu'elle provoque et cela l'excite. Au cours de la journée, la température augmentant, elle a défait les deux premiers boutons de *** chemisier, dévoilant la naissance de ses seins tout en restant tout à fait décente.
*** chef qui n'est pas le dernier à se rincer l'œil, est venu la voir à plusieurs reprises sous prétexte de lui demander des éléments sur tel ou tel dossier. Elle a bien vu que *** regard était plus souvent plongé dans le décolleté de *** chemisier que sur ses notes.

Elle ressent une très grande excitation à se dévoiler ainsi et à provoquer le désir autour d'elle.

Maryse est totalement excitée en fin de journée. Elle rentre chez elle, se met à l'aise pour attendre *** mari. Ce dernier rentre une bonne heure plus tard. Il est toujours autant préoccupé par *** travail qui lui prend toutes ses ressources. Cette période est très stressante pour lui, se dit Maryse. Elle voudrait lui faire l'amour mais il n'est visiblement pas en état et elle a peur de faire le premier pas. C'est toujours lui qui était en demande, elle a peur qu'il se rende compte de ce qu'elle est devenue si elle se jette sur lui. Elle ne veut pas éveiller le moindre soupçon. Cette prudence nécessaire la frustre énormément.
Le lendemain, à nouveau elle prépare le petit déjeuner pour elle et *** mari qui s'empresse une fois de plus de le finir pour partir à *** travail. Maryse sent la frustration l'envahir. Elle décide comme la veille de ne porter aucune culotte. Elle a besoin de ces sensations pour se sentir vivre malgré la honte et la culpabilité qu'elle peut éprouver. *** envie est plus forte.

Elle choisit une jupe plus courte arrivant à mi-cuisse, un haut moulant sous lequel elle ne met pas de soutien-gorge et des talons qui améliorent sa cambrure. En s'observant dans le miroir, elle hésite. *** reflet lui renvoie l'image d'une femme sensuelle et sexy. Elle ne peut pas aller à *** travail dans cette tenue. Et pourquoi pas ? se dit-elle. Elle a le droit d'être sexy et elle n'est pas indécente.
Dès *** arrivée, elle se rend compte qu'elle ne passe pas inaperçue. Les hommes la dévorent des yeux. Cela lui plaît énormément et elle sent l'excitation monter. Ses tétons durcissent et tendent le tissu de *** haut moulant. Per***ne ne peut les ignorer. Elle se dit qu'elle a été trop loin, mais elle ne peut plus reculer et n'en a pas la moindre envie.

Elle se réfugie dans *** bureau. *** chef n'a de cesse de venir lui poser des questions comme la veille. Il a du mal à cacher *** intérêt pour sa poitrine. Elle a honte de *** comportement mais *** corps la trahit. Elle se sent mouiller, elle espère que cela ne marquera pas sa jupe, ce qui serait le comble de ***************. Ses tétons ***t plus durs que jamais. Elle est obligée de se rendre à l'évidence, elle est une fois encore excitée de se montrer ainsi.
En fin de matinée, *** chef lui annonce qu'il faut qu'elle retourne à la déchetterie. Cette fois-ci, il l'aidera à charger sa voiture. Elle se doute que ce vieux cochon veut profiter encore un peu de la vue qu'elle lui offre. Elle est agacée de devoir retourner à la déchetterie. Elle ne comptait pas revoir M. Francis. Cette perspective la panique un peu car elle se trouve dans une tenue très suggestive qu'il va prendre pour une invitation. Elle reprend confiance en se disant qu'elle a le choix, que c'est elle qui décide et elle est déterminée à ne plus tromper *** mari. Ce qu'elle a fait ces dernières semaines ne doit plus se reproduire.
*** chef remplit sa voiture de vieux cartons. Elle se demande s'il n'a pas fomenté tout cela pour continuer à l'observer, ce qu'il fait dès qu'il le peut. Il ne se cache même plus. Il regarde directement ses seins. Elle décide de l'exciter encore un peu plus en se cambrant bien pour les faire ressortir. Elle se dit que le pauvre homme va faire une syncope tant il est rouge. Cela l'amuse et l'excite de voir l'effet qu'elle produit sur *** chef.
Une fois la voiture chargée, il bredouille un remerciement pour le détour qu'il l'oblige à faire. Elle ne daigne pas y répondre. Elle monte en voiture et se dirige vers la déchetterie. *** assurance diminue à mesure qu'elle s'en approche. Arrivée à l'entrée, elle est paniquée à l'idée de revoir M. Francis. Elle arrive avant la fermeture, il n'y a qu'elle sur le site. Elle se gare devant la benne à papier. Elle décharge les vieux dossiers. Elle sursaute en entendant derrière elle la voix de M. Francis :


chrislebo

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— Alors tu t'es décidée à revenir. Tu m'as fait attendre, c'est pas bien ça. Tourne-toi et regarde-moi !


Maryse est pétrifiée. L'adrénaline lui parcourt le corps. Lentement, elle se tourne pour lui faire face sans oser le regarder.
— Je suis certain que tu es toute excitée, salope. Tes gros tétons ne demandent qu'à se montrer. La vache ils tirent tellement le tissu qu'on dirait qu'il va se déchirer ! Tu me fais sacrément bander !


Maryse lève les yeux vers l'entrejambe de M. Francis et elle constate que *** bleu de travail est déformé par l'érection de sa verge. Elle sent *** propre sexe mouiller à cette vision. Elle devrait pourtant se révolter d'être traitée ainsi par cet homme malsain mais comme les premières fois, elle est trop excitée par la situation. Si *** mari la voyait ainsi, elle en mourrait de honte.
— Tu m'attends là ! Je vais fermer le portail. J'ai pas envie qu'on vienne nous déranger, je vais bien m'occuper de toi !


Il se dirige vers l'entrée. Elle pourrait remonter dans sa voiture et quitter cet endroit sordide mais au lieu de cela, elle lui obéit et reste à l'attendre sans bouger. Elle a honte de *** attitude mais c'est plus fort qu'elle, cet homme exerce une telle influence sur elle. Elle le détaille de loin alors qu'il ferme la grille. *** bleu de travail est maculé de tâches. Il n'est pas très attirant mais elle trouve qu'il se dégage de lui une assurance irrésistible. Quand il revient, elle baisse de nouveau les yeux. Elle est restée alors qu'elle aurait pu décider de partir. Sa respiration s'est accélérée, elle se sent envahie d'une chaleur presque étouffante. Elle peut encore fuir, mais une partie d'elle refuse de bouger.
— Nous ne serons plus dérangés ! Maintenant enlève tes fringues.


Maryse regarde autour d'elle. Elle suffoque presque. Elle n'est pas à l'abri des regards, quelqu'un pourrait l'apercevoir de la route. Pourtant, elle ne peut s'empêcher d'obéir au désir de M. Francis. Elle enlève *** haut, libérant sa plantureuse poitrine. M. Francis l'observe sans bouger, un petit sourire de satisfaction au coin des lèvres. À chacun des mouvements de Maryse, sa poitrine se balance. Ses tétons dardent au maximum, ils ***t très sensibles. Elle défait maintenant sa jupe et M. Francis ouvre grand les yeux sous la surprise de voir qu'elle ne porte aucun sous-vêtement.
— Eh bien ma petite salope, tu te balades le cul à l'air maintenant. T'as besoin de te faire baiser on dirait. T'as bien fait de venir me voir. Allez suis-moi, on va se mettre bien peinards chez moi.


Elle est contrainte d'abandonner ses vêtements sur place pour le suivre. Elle garde ses talons. Elle est très excitée d'être nue, le risque qu'on l'aperçoive lui fait peur et en même temps décuple ses sensations.

Elle le suit dans l'allée en savourant les caresses de la brise sur sa peau. Elle est dans un état second. Elle est assaillie de sensations. *** cœur se fige en entendant une voiture passer au loin sur la route, le conducteur l'a certainement vue. Elle n'ose pas regarder en arrière de peur qu'on la reconnaisse.
Même si elle en a honte, elle adore s'offrir ainsi. M. Francis a accéléré le pas. Il prend de l'avance sur elle. Elle n'ose pas aller plus vite, chacun de ses pas fait ballotter ses seins. Il entre précipitamment dans sa caravane pour en ressortir peu de temps après, un appareil photo à la main.

Il prend des clichés de Maryse au milieu des vieilles carcasses de voitures. Il y prend un immense plaisir. Maryse en voyant l'objectif sent une décharge d'adrénaline la traverser. Elle ne résiste pas longtemps et s'abandonne à *** photographe.
Elle prend d'elle-même des poses suggestives, d'abord timide cachant au mieux ses seins et *** intimité puis de plus en plus osées. Elle se tourne et se penche sur le capot d'une carcasse en se cambrant au maximum. M. Francis prend des photos en continu, grognant *** approbation. Il lui en demande plus, la traite de tous les noms. Cela rend Maryse complètement folle. Elle s'abandonne de plus en plus lui donnant tout d'elle-même. Elle lui présente sa poitrine, se serre les seins pour faire ressortir encore plus ses tétons déjà tendus. Le plaisir qu'elle prend à s'offrir ainsi la fait gémir. Plus rien n'existe que *** plaisir et l'objectif.
M. Francis rentre de nouveau dans la caravane, elle commence à le suivre. Arrivée à la porte, il en ressort et lui tend un long manteau.
— Tiens mets ça. Tu vas m'emmener chez toi.


Maryse reprend conscience. Elle ne peut l'emmener chez elle, c'est de la folie. Si *** mari la trouvait avec lui ce serait la fin de tout. Mais quelque chose la pousse à prendre le manteau et à le revêtir. Elle est terrifiée par ce qu'elle fait mais ne peut s'arrêter. Elle marche devant lui le manteau serré à la taille. Elle l'entend prendre de nouvelles photos.
— Ramasse tes affaires et mets-les dans le coffre.


Elle en profite pour lui offrir une pose des plus sexy, penchée dans le coffre, les jambes écartées et bien tendues alors qu'elle range ses affaires. Il prend de nouvelles photos, puis il s'approche et elle sent ses mains se poser sur ses hanches. Il soulève *** manteau et lui caresse les fesses. Elle s'abandonne en gémissant. Ses mains rudes parcourent ses fesses et leur sillon. Elle soupire. Il s'agenouille derrière elle et elle sent *** visage mal rasé se poser sur sa peau. Il écarte ses fesses et sa langue lui parcourt le sillon. Elle crie presque en sentant cette langue humide l'explorer.
Il lèche avidement sa chatte trempée. Il la lèche de *** clitoris à l'entrée de sa grotte. Il se délecte de ce fruit juteux. *** doigt caresse l'entrée du petit trou alors qu'il enfonce au plus profond sa langue dans le sexe baveux de Maryse. Il accélère les mouvements de sa langue en s'attardant sur le clitoris de Maryse qui gémit de plus en plus.

Elle se tend alors qu'elle sent un doigt lui pénétrer l'anus. Il le tourne en elle, la faisant gémir longuement. La langue de M. Francis s'acharne sur *** clitoris et sa jouissance éclate dans un cri perçant. Elle a peine à se tenir debout tant sa jouissance l'a vidée de *** énergie. M. Francis se relève, le visage mouillé. Il prend quelques clichés supplémentaires de Maryse le manteau relevé, la chatte trempée.
— Allez, emmène-moi chez toi maintenant. J'ai envie de voir où tu crèches.


Elle se met au volant, elle est encore bouleversée par sa jouissance. Elle n'arrive pas à se rai***ner. *** manteau s'écarte laissant apparaître le galbe de ses cuisses. Si elle n'y prend pas garde, elle risque de dévoiler *** intimité. M. Francis reprend quelques photos avant de monter en voiture et lui demande de démarrer. Ils quittent la déchetterie après qu'il ait refermé la grille. Sur la route, elle est dans un état d'excitation extrême. Malgré la tension qui la tenaille, elle est libérée de tous ses tabous. Elle sait qu'elle sombre à nouveau dans la luxure, elle en aura des remords mais aucun regret.
Elle s'arrête à un feu rouge à côté d'un motard. Tout d'abord il ne remarque rien, mais quand M. Francis écarte un peu plus les pans du manteau de Maryse, il s'aperçoit qu'il a une vue plongeante sur le sexe de cette femme. La surprise ne l'empêche pas d'en profiter au maximum.

M. Francis caresse maintenant le sexe humide de Maryse qui n'ose pas tourner la tête. Elle regarde fixement le feu en ressentant les doigts de M. Francis lui procurer des fris***s. Elle a honte de se montrer ainsi mais elle adore cela. Le motard a relevé sa visière pour profiter au mieux du spectacle.

Maryse se trémousse sous les caresses appuyée de M. Francis sur *** clitoris qui darde outrageusement. Quand le feu passe au vert, Maryse démarre laissant le motard en plan. M. Francis abandonne ses caresses pour la laisser se concentrer sur sa conduite. Il ne parle pas durant le trajet la laissant à toutes ses interrogations et ses doutes.

chrislebo

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Elle est terrifiée à l'idée d'être surprise avec M. Francis par des voisins. Elle gare sa voiture ; heureusement elle n'aperçoit per***ne à cette heure-ci. Elle se précipite vers la porte d'entrée suivie de M. Francis qui n'a pas oublié *** appareil photo. Ils rentrent dans la mai***. Il fait le tour du rez-de-chaussée. Elle n'arrive pas à croire ce qu'elle est en train de faire, elle a amené chez elle ce pervers.

Il visite le salon en faisant le tour des photos de famille exposées ici et là. Elle est restée dans l'entrée sans oser bouger. Quand il repasse devant elle, il lui demande de retirer *** manteau et de le suivre. Sans poser de question, elle lui obéit docilement. Il entre dans la cuisine, trouve le réfrigérateur dans lequel il prend une des bières du mari de Maryse. Elle est nue devant cet homme encore habillé. Elle se sent soumise et elle a honte de trouver cette situation aussi excitante.
— Viens me sucer !


L'ordre la tire de sa léthargie. Elle s'approche de lui lentement, puis s'accroupit devant lui en écartant les jambes. Elle lui sort *** sexe trapu. Elle est momentanément repoussée par *** odeur forte. Elle commence d'abord à le branler lentement en décalottant le gros gland luisant. Puis elle le prend totalement en bouche pour le sucer. Elle l'entend grogner sous ses caresses buccales et elle en tire un certain plaisir.

Elle le regarde se crisper alors qu'elle a toute la longueur de sa tige dans sa bouche. Sa langue joue tout le long de ce sexe tendu. Sa main caresse les bourses pleines de cet homme à qui elle ne peut rien refuser. Il lui prend les cheveux en la regardant droit dans les yeux. Elle sent qu'il est sur le point de jouir. Il l'oblige à prendre tout *** sexe en bouche, sa salive coule autour de cette tige le long de *** cou.

Il se crispe un peu plus, et se libère dans un grognement ******.

Le premier jet de sperme lui remplit la bouche. Elle sent la chaleur de sa semence l'envahir. Un autre jet l'oblige à avaler ce qu'elle peut. Il continue de se déverser dans sa bouche en grognant, plié sur lui-même sous la puissance de sa jouissance. Elle recueille le liquide qui s'échappe de ses lèvres et le suce devant ses yeux ébahis. Il y en a un petit peu qui s'est écrasé sur le sol carrelé de la cuisine.
— Montre-moi ta chambre !


Elle se relève et le précède. Il profite au maximum de la vue de *** postérieur qu'il prend en photo dans l'escalier. Elle se retourne pour être sûre qu'il la suit alors qu'il prend des photos de *** corps dénudé. Elle est très nerveuse à l'idée de lui ouvrir la porte de sa chambre. Cette pièce représente l'intimité de *** couple, pourtant elle l'invite à y pénétrer.

Un grand lit occupe la plus grande partie de l'espace. Deux armoires font office de rangements. Il lui demande laquelle est la sienne. Elle lui montre d'un signe de tête n'étant pas capable de parler tant elle est nerveuse. Il est toujours habillé alors qu'elle ne porte que ses talons. Elle est soumise au moindre de ses désirs. Il ouvre *** armoire, apprécie les différentes tenues. Il tire les tiroirs, en sort quelques lingeries qu'il respire. Il fouille les moindres recoins alors qu'elle est de plus en plus nerveuse. Quand il sort *** gode, elle est mortifiée par la honte. Elle n'ose plus le regarder. Il lui lance un sourire pervers.
— Je vois que tu es encore plus cochonne que je le croyais ! C'est un sacré morceau !


La honte la paralyse. Elle ne répond rien à M. Francis. Il jette le gros gode sur le lit. Il commence doucement à se déshabiller. Il prend *** temps. Elle trouve la ***** de lever le regard pour l'observer. Elle se demande comment elle a pu succomber à cet homme si banal, pourtant dès qu'elle croise *** regard elle se retrouve à sa merci. Il lui demande de s'allonger ; il se place entre ses jambes qu'il écarte puis *** visage descend vers sa chatte. Elle le voit s'approcher de *** sexe. Elle est sur le point de s'offrir à lui dans la chambre conjugale.
Elle se rend compte de ce qu'elle fait pourtant elle n'empêche rien, au contraire, elle ouvre un peu plus ses jambes. Il écarte ses lèvres et commence à lui lécher le clitoris qui est très sensible. Elle soupire de plaisir. Elle sent un gros doigt glisser en elle sans rencontrer la moindre résistance tant elle est mouillée. Il titille cette petite zone rugueuse qui se trouve non loin de l'entrée de sa chatte. Cette caresse associée à celle de *** clitoris lui procure un plaisir immense. Elle se cambre pour essayer d'amplifier *** plaisir. Il continue inlassablement à la lécher et à la caresser. Elle sent la jouissance monter dans tout *** corps et elle explose tout à coup en inondant le visage de M. Francis qui continue sans relâche à la boire.
Elle se détend peu à peu profitant au maximum des caresses de *** amant. Soudain elle sent quelque chose pousser à l'entrée de *** sexe. M. Francis s'est emparé du gode et est déterminé à la pénétrer avec. Il pousse dessus avec ***** et elle le voit entrer en elle. Elle absorbe cet immense sexe sans peine. Elle le sent déformer ses parois internes. Elle pousse un long râle durant la pénétration qui dure une éternité.

Il actionne le gode à pleine vitesse. Elle pousse un cri en sentant le gode s'activer en elle. Elle a les bras écartés, les poings serrés. Elle gémit de plaisir. Le gode toujours en elle, il la retourne avec une ***** incroyable. Elle se retrouve à quatre pattes, les fesses en l'air, gémissant *** plaisir dans les draps.
Il sort le gode d'un coup avec un bruit de succion humide. Elle sent sa mouille couler le long de ses cuisses. M. Francis pousse alors la tête du gode à l'entrée de *** petit trou. Elle hurle alors qu'elle le sent la pénétrer et lui dilater l'anus. M. Francis fait quelques va-et-vient avant de lui enfoncer au plus profond de ses entrailles. Elle est en sueur, sa respiration est forte et saccadée. Elle est totalement offerte à ce pervers qui lui fait tant de bien. Elle le sent ensuite lui pénétrer la chatte de *** sexe.

Elle a deux sexes en elle. Elle n'aurait jamais imaginé qu'elle prendrait autant de plaisir à se sentir ainsi possédée par les deux trous. Elle gémit alors à chaque pénétration. Elle crie *** plaisir quand il actionne le gode à pleine vitesse en la pénétrant de toute ses *****s. Elle est littéralement pistonnée. Le lit est secoué dans tous les sens.
Elle entend les bruits humides de *** sexe à chaque pénétration. M. Francis grogne *** plaisir qui dure plus longtemps car elle l'a déjà vidé une fois dans la cuisine. Il profite de ce corps offert. Ses mains ***t agrippées aux hanches de Maryse. Il lui sort le gode de *** petit trou et le jette sur le lit. Il la sodomise d'un coup. Le gode l'a bien élargie. L'idée de profiter de cette femme fait monter en lui la jouissance. Il se retire de *** anus dilaté et la retourne. Il éjacule bruyamment sur le corps de Maryse qui en reçoit sur les seins, la gorge et même sur le visage.

À chaque jet qu'elle reçoit *** corps réagit par un soubresaut de surprise. Elle est maculée de sperme. Elle sent le liquide poisseux et chaud couler le long de ses seins. Elle l'étale sur sa peau dans un état second. M. Francis est en sueur, il tient encore *** sexe ramolli dans sa main. Ils ***t tous les deux abasourdis par ce qu'ils viennent de vivre. Seul le vrombissement du gode vient perturber la scène.
M. Francis s'essuie les mains sur les draps, puis il prend *** appareil pour immortaliser la scène. Il la prend en photo sous tous les angles. Maryse se laisse aller à prendre de nouveau des poses suggestives. Elle lui ouvre ses lèvres intimes pour qu'il prenne des gros plans de *** sexe baveux et rougi par les pénétrations. Elle empoigne ses fesses pour qu'il puisse photographier *** petit trou dilaté. Elle s'empare du gode et se pénètre la chatte sous l'œil attentif de l'appareil photo. Elle se masturbe lentement en savourant *** abandon total devant *** photographe.

chrislebo

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Elle actionne le gode tout en le faisant aller et venir en elle. Elle gémit en fixant l'objectif de l'appareil photo. M. Francis n'en revient pas. Il prend autant de clichés qu'il le peut. Il se dit que cette femme est insatiable. Elle empoigne le gode à deux mains pour se pénétrer. Il voit ce gros sexe déformer le sexe de cette femme qui était si réservée la première fois qu'il l'a vue. Il jubile de l'avoir libéré sexuellement et de pouvoir en profiter. Elle continue de se masturber les jambes bien écartées, puis elle augmente la vitesse du gode et elle jouit bruyamment sous les assauts de ce sexe mécanique.
Elle est épuisée. Elle se rend compte que l'après-midi est déjà bien entamée mais elle n'ose pas mettre dehors *** amant. C'est avec soulagement qu'elle le voit se relever, s'habiller. Il la regarde et lui dit :
— Quand peux-tu revenir me voir ?


Maryse hésite à lui répondre. Une part d'elle ne veut pas s'engager dans cette relation, l'autre se dit qu'elle y est déjà. Elle culpabilise mais elle n'est pas prête à laisser tomber toutes ces sensations.
— Je suis libre le mercredi après-midi...
— Il va falloir que tu trouves du temps en plus. Nous n'en avons pas fini tous les deux ! Une nana comme toi a besoin de sexe. Débrouille-toi pour venir me voir avant.


Il sort de la chambre. Elle le raccompagne toujours nue et maculée de sperme. Elle lui demande d'être discret. Il en rigole. Il sort de la mai*** le plus naturellement du monde. Elle le suit du regard par la fenêtre. Quelques instants plus tard sa voisine fait *** apparition. Heureusement qu'il n'est pas sorti de chez elle plus tard, il aurait été surpris par cette concierge. Maryse se dépêche de remonter dans sa chambre pour remettre de l'ordre. Le drap est tout froissé et taché, elle doit le changer. Elle ouvre en grand la fenêtre pour aérer la pièce qui dégage une forte odeur de sexe.

Il faut qu'elle cache *** gode qu'elle décide finalement de garder tant il lui a apporté de plaisir.

Après la chambre, elle doit prendre une douche. Elle s'abandonne au plaisir de sentir l'eau couler sur sa peau et ne voit pas le temps passer. Elle s'affole en voyant l'heure tardive. Elle s'habille en vitesse et descend à la cuisine pour préparer le dîner. Elle fera simple, elle n'a pas le temps de faire autrement.
*** mari rentre un quart d'heure plus tard alors qu'elle s'affaire à préparer le dîner. Il dépose sa sacoche dans l'entrée et commence à lui raconter sa journée interminable. Il s'assoit à la table et tout en lui donnant les détails de sa dernière réunion, il lui fait remarquer qu'il y a de la sauce par terre. Maryse reçoit comme une décharge électrique. Elle se retourne en essayant de cacher *** affolement. Elle se précipite pour effacer les traces qui pourraient trahir la fellation qu'elle a offerte à M. Francis un peu plus tôt dans la journée. *** mari lui demande si tout va bien car elle semble perturbée.
— Ce n'est rien. Le travail. J'ai pas mal de dossiers à traiter, je pense que demain je vais devoir rester plus tard. Je n'aime pas ça... mais bon, là il faut vraiment que je termine au plus vite. Tu comprends ?
— Mais oui je comprends. Je serais mal placé de te dire le contraire.


*** men***ge lui est venu tout naturellement et cela la culpabilise. Elle n'ose pas le regarder et continue de préparer le dîner. Il reprend le récit de sa journée sans lui poser plus de questions, ce qui la rassure. Elle essaie de se concentrer sur l'histoire de *** mari mais a vraiment beaucoup de mal. Il ne semble rien remarquer. Elle se demande si elle a bien effacé toutes les traces de sa folle après-midi. Une fois de plus, elle s'est laissée prendre en photo par ce pervers et cette fois elle ne pourra pas lui subtiliser comme la dernière fois. Il la tient et à sa plus grande honte, cela lui plaît.
Elle monte se coucher plus tôt que d'habitude. Sa journée l'a exténuée. *** mari ne tarde pas à la rejoindre. Elle est mortifiée à l'idée qu'il se rende compte de quoi que ce soit. Elle se dit qu'il va forcément remarquer quelque chose. La scène est encore tellement présente dans *** esprit. Le contraste entre les événements de l'après-midi et la soirée est saisissant. Elle était une autre femme, assoiffée de sexe et de sensations fortes. *** mari l'embrasse doucement avant de se tourner pour s'endormir presque immédiatement, la laissant seule face au souvenir de la sauvagerie sexuelle de *** après-midi.

chrislebo

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#6,809
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Aujourd'hui, le tailleur strict de Maryse l'excite encore plus que d'habitude. Elle voit une lueur dans les yeux de M. Francis qui lui fait un peu peur, même si *** corps réagit tout autrement. Elle sent ses tétons pointer à travers le tissu de *** soutien-gorge et de *** chemisier. *** entrejambe s'humidifie. Elle sait ce qu'elle doit faire quand elle le voit prendre *** appareil photo. Elle commence langoureusement à retirer sa veste, tournant sur elle-même, gonflant sa poitrine. Elle ouvre doucement *** chemisier sous les flashes impatients de l'appareil de M. Francis. Elle est dans un état second, peu à peu elle laisse sa vraie nature l'envahir. Elle retire *** chemisier, laissant apparaître la dentelle noire et bleue nuit de *** soutien-gorge. Elle se cambre pour offrir à *** photographe des poses plus excitantes les unes que les autres. Elle descend la fermeture de sa jupe en regardant l'objectif.
Elle ne peut s'empêcher de penser un instant à *** mari. Elle est prise de remords mais l'excitation est trop forte. M. Francis réussit à prendre ces instants de doutes qui rendent la situation encore plus forte. La jupe glisse le long des jambes gainées de soie de Maryse. Le porte-jarretelles tire sur le haut des bas de soie fumée. Elle défait *** soutien-gorge en tentant de cacher sa poitrine dénudée grâce à ses bras. Les poses ***t très érotiques. D'un regard de M. Francis, elle sait qu'il faut qu'elle montre ses seins généreux. Elle retire doucement ses bras. Ses mains glissent le long de *** corps et tirent sur le string qui peine à cacher *** intimité. Elle le descend en tournant le dos à l'appareil et en gardant les jambes bien droites. Elle perçoit un grognement, témoignage de l'excitation de M. Francis. Elle en tire une étrange satisfaction. Elle se retourne et ne manque pas de remarquer la bosse qui déforme *** pantalon. Il lui intime l'ordre de se caresser, ce qu'elle fait avec empressement.
Elle était déjà trempée à l'idée de le retrouver, *** striptease n'a fait que l'exciter davantage. Elle se place dans le canapé, les jambes largement ouvertes. Elle montre toute *** intimité baveuse à *** voyeur qui n'en perd rien. *** cœur bat à une vitesse incroyable, elle tremble alors qu'elle transpire à cause de la chaleur. Elle frotte *** clitoris qui darde fièrement. Elle gémit et grogne, alors qu'une vague de plaisir la submerge. Elle s'arrête soudain, vidée de toute énergie, les doigts trempés. Elle a les yeux fermés mais elle peut entendre que M. Francis continue de la prendre en photo avec avidité pour immortaliser ce moment toujours unique de l'orgasme.
— Cette semaine, j'ai créé un site internet.


Cette annonce, si simple au premier abord, fait l'effet d'une explosion de peur pour Maryse. Elle se doute déjà de la teneur de *** site. Elle ne peut pas le laisser faire. Elle ne peut pas le laisser l'offrir ainsi à tous ces voyeurs. Tous auront accès à ses photos les plus intimes, les plus perverses. Elle ne sait quoi dire, elle est tétanisée. Elle voit M. Francis lui sourire. Il savoure les émotions qu'il entraîne chez Maryse. Elle le sait, il se sert d'elle. Pourtant elle est toujours revenue vers lui, presque malgré elle. Elle trouve le courage de s'exprimer faiblement.
— Vous ne pouvez pas me faire ça... j'ai une réputation...


Il rit fortement.
— Une réputation ? Ouais, je vois ça, tous les mercredis !


Elle rougit, ne sait plus quoi faire. Il a rai***, elle est revenue d'elle-même.
— Je... S'il vous plait... Non...


Il la regarde en souriant dédaigneusement. Il savoure sa peur.
— Bah ! Je ne compte pas montrer ton visage même si je pourrais ! Je suis sûr que de savoir que des milliers de gars vont se branler sur tes photos te fait de l'effet. J'ai créé un forum pour qu'ils puissent faire des commentaires ou même faire des commandes. Je vais me faire un peu de pognon avec ton cul ! Y'aura un partie payante où je mettrai les photos hards qu'on va faire ensemble.


Elle l'écoute sans respirer. Elle ne sait pas comment prendre cette nouvelle perversion de sa part. Pourtant, à sa plus grande honte, elle se rend compte qu'il a rai***. Savoir qu'ils seront des milliers à la regarder, à avoir envie d'elle et même à se masturber sur elle, l'excite énormément. Elle savait depuis quelques semaines qu'elle avait des pulsions d'exhibitionnisme mais pas à ce point-là. Cet homme la conduit sur les chemins d'un monde de perversités qu'elle n'aurait jamais pensé exister.
Elle, la mère de famille si rangée, s'est perdue dans ce monde dès qu'elle est entrée la première fois dans cette déchetterie. Il lui montre alors le fruit de *** travail. *** ordinateur affiche une première page de mise en garde indiquant que le site est réservé aux plus de dix-huit ans. La seconde page affiche un menu simple avec une première photo du corps d'une femme dévoilant ses jambes mises en valeur par des bas maintenus par un porte-jarretelles. Elle a un choc en se rendant compte que cette femme, c'est elle. On ne voit pas *** visage fort heureusement. Il passe dans une galerie affichant les photos prise la semaine passée. Elle est *********** par l'écran. Elle se revoit poser pour lui, le résultat est affiché devant elle, devant des milliers de per***nes. Elle respire difficilement, *** estomac est noué. Mais, à sa plus grande honte, elle se rend compte qu'elle se caresse machinalement.
Il accède à la partie payante grâce à un code et là, elle est presque choquée par les photos qu'il lui montre. Est-il possible qu'elle ait fait tout cela ? Elle se voit prise en levrette par M. Francis, leurs visages ***t floutés mais elle n'a aucun doute. Elle voit des gros plans de *** petit trou rempli par le sexe de *** amant. Elle voit des gros plans de *** petit trou dilaté, ouvert et rougi par une sodomie sauvage. Elle est subjuguée par toutes ces photos, elle ne peut pas cacher *** excitation, d'ailleurs M. Francis non plus. Il a sorti *** sexe et le masturbe lentement à mesure que les photos défilent. La série se finit par une éjaculation copieuse sur sa poitrine offerte.
— Je savais que ça te plairait. Tu joues les saintes mais tu n'es qu'une salope.


Maryse ne réagit pas à ces mots crus. Elle est encore sous le choc de ce qu'elle vient de voir. Elle entend M. Francis prendre de nouvelles photos. Il approche d'elle et lui présente *** sexe devant la bouche. La pensée de se refuser lui traverse l'esprit mais elle ouvre la bouche sous la pression de ce sexe. Elle accepte peu à peu toute la longueur. M. Francis fait quelques va-et-vient dans sa bouche avant qu'elle commence à réagir. Sa langue joue autour de la tige. Ses mains remontent le long des jambes de M. Francis. L'une d'elle agrippe les bourses alors que l'autre enserre le pieu à sa base. Il grogne en voyant Maryse devenir vorace sur *** sexe. Elle s'active à le sucer telle une affamée. Il réussit à prendre quelques clichés malgré l'excitation. L'un de ses mains empoigne les cheveux pour l'obliger à le prendre plus profondément. Les bruits de succions et les gémissements décuplent leur plaisir.
Tout à coup, M. Francis oblige Maryse à se retirer en lui tirant les cheveux. Elle le regarde alors qu'il pousse un grognement bestial tout en prenant des photos en rafale. Un jet de sperme s'écrase avec lourdeur sur le front et les cheveux de Maryse. Un second la macule du nez jusqu'au menton. Le troisième moins puissant s'étale sur la bouche entrouverte de Maryse qui laisse le liquide visqueux couler le long de *** menton et de *** cou pour arriver doucement sur *** sein droit. Le reste de la semence de M. Francis coule le long de la main de Maryse. Elle libère le sexe, ses yeux ***t embués par l'excitation. Il lui demande de lécher le sperme sur ses mains ; il prend des photos alors qu'elle lèche devant l'objectif le fruit de sa jouissance.
— Ces photos vont faire un tabac ! Allez, rhabille-toi, tu peux rentrer chez toi, j'ai du boulot.


Elle reprend ses affaires et se rhabille sans rien dire. Il a toujours une façon dédaigneuse et humiliante de la congédier. Pourtant, elle revient chaque mercredi.
À *** travail, Maryse affiche une nouvelle assurance. *** chef, M. Ribière, ne la voit plus du tout de la même manière. Il lui a confié quelques dossiers importants qui l'ont fait remarquée par sa direction alors que *** chef semble très perturbé. M. Ribière est obnubilé par Maryse, il ne pense plus qu'à elle. Cela se ressent dans *** travail qui devient négligé. Dès qu'il le peut, il se retrouve dans le bureau de Maryse pour apercevoir *** décolleté, admirer ses jambes... Maryse n'est pas dupe, mais elle en rajoute en accentuant ses poses ou en écartant légèrement ses jambes pour faire remonter un peu sa jupe. Elle adore le rendre fou, mais elle reste toujours distante. Elle joue avec cet homme qui, il n'y a pas si longtemps, avait une attitude odieuse avec elle.
Un jour, le directeur convoque Maryse dans *** bureau. Elle se demande ce qui se passe. Elle craint d'être allée trop loin, quel scandale ce serait si elle était renvoyée à cause de *** attitude. Que dirait-elle à *** mari ? Elle entre dans le bureau du directeur. *** cœur bat la chamade. M. Ribière est là debout à la regarder s'introduire dans le bureau. Elle voit dans *** regard l'envie et la frustration. Quand elle croise le regard de *** directeur, elle est rassurée. Il lui sourit et lui demande de s'asseoir. Elle s'installe en croisant les jambes. M. Ribière a du mal à en détacher *** regard. M. Turvan, *** directeur, la félicite pour *** travail :
— M. Ribière ne tarit pas d'éloges à votre égard. Il m'a fait part des dossiers que vous aviez traités à la perfection et je vous en remercie.


Elle jette un œil sur M. Ribière qui rougit un peu. Elle se dit qu'il a peut-être fait ça pour qu'elle lui soit redevable. Malheureusement pour lui, elle ne lui accordera rien, mis à part un sourire et un petit signe de remerciement de la tête. Elle sourit à M. Turvan qui continue :
— Parmi ces dossiers, il y en a un d'une grande importance, le M34, vous voyez certainement celui dont je parle. J'aimerais que vous encadriez la mise en place des actions que vous avez préconisées dans notre filiale parisienne. C'est une grande opportunité d'évolution dans votre poste que je vous offre. Le déplacement à Paris ne devrait pas durer plus de quelques jours, mais je pense que vous devrez y aller régulièrement pendant un temps. Qu'en dites-vous ?


Maryse est surprise. Elle s'attendait à un scandale et la voilà propulsée responsable. Elle regarde M. Ribière qui la dévore des yeux en affichant un sourire vorace.
— Quelle sera ma position hiérarchique sur ces dossiers ? Est-ce que M. Ribière m'accompagnera ?


M. Turvan répond sans hésitation :
— Vous êtes maintenant responsable au même titre que M. Ribière. Vous me ferez des rapports réguliers et j'attends de vous et de M. Ribière un travail d'équipe. Si vous avez besoin de conseils dans votre nouveau poste, je pense que M. Ribière se fera un plaisir de vous conseiller. Mais je suis sûr que vous avez la finesse et le doigté pour mener à bien vos futures missions.


Cela fait comme un choc à M. Ribière qui ne s'attendait pas à ça. Il a failli protester mais s'est ravisé. Il pensait que Maryse lui serait redevable. Il aurait pu ainsi utiliser de sa position hiérarchique pour profiter de ses charmes. Tout *** plan tombe à l'eau en quelques secondes. Il a permis à Maryse de grimper les échelons tout en mettant sa position en danger et tout ça, pour quelques éventuelles faveurs sexuelles. Il s'en veut mais n'y peut plus rien. Il perd un peu de *** assurance alors que Maryse remercie chaleureusement M. Turvan.


chrislebo

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Maryse est extrêmement fière et heureuse. Elle a réussi à avoir une promotion intéressante. Il va falloir qu'elle s'organise pour les enfants avec *** mari, mais cela ne devrait pas poser de problème. Quand elle revient dans *** bureau, elle commence à préparer un plan pour fêter ça dignement avec *** mari. Elle commande un dîner chez le traiteur pour le soir même. La surprise sera totale. Une petite voix se fait peu à peu entendre alors que la journée passe. Ces déplacements vont lui donner de nouvelles excuses pour satisfaire ses nouvelles pulsions sexuelles. Paris devrait lui offrir de nombreuses opportunités. Elle envoie un SMS à M. Francis pour lui annoncer la nouvelle. Il répond sans tarder en lui demandant quand est prévu le prochain déplacement. Elle lui renvoie la date non sans une pointe d'excitation en espérant secrètement tout en le redoutant qu'il l'accompagne. Le SMS suivant est très direct et lui intime l'ordre de passer le chercher à la date convenue.
Le soir, la surprise est totale pour le mari de Maryse. Il est très heureux pour sa femme et la félicite. Ses enfants ***t très fiers de leur mère. Le repas est apprécié de tout le monde et se termine assez tard. *** mari se fait même câlin et lui fait l'amour tendrement. Maryse, même si elle apprécie ce moment, n'est pas tout à fait présente. Une partie d'elle pense au dernier SMS de M. Francis et à ce qu'il lui réserve pour ce premier déplacement en fin de semaine. Elle trouve difficilement le sommeil tant elle pense aux moments intenses qu'elle a vécus dernièrement et à ceux qu'elle va vivre bientôt.
La veille de *** déplacement à Paris, elle prépare sa valise. Elle doit rester deux jours sur place, elle doit dormir à l'hôtel. Il lui faut donc prévoir un change pour le travail et, non sans excitation, elle prévoit quelques tenues pour le soir, toutes plus osées les unes que les autres. Le lendemain, après que ses enfants ont quitté la mai***, elle sélectionne une lingerie sexy sous un tailleur serré. Elle a l'allure parfaite de la femme active. Des talons aiguilles complètent sa tenue déjà très sexy tout en étant très classe. Elle charge sa valise dans le coffre et comme convenu fait un détour jusqu'à la déchetterie pour prendre M. Francis. Elle se gare devant *** logement et vient frapper à la porte. Il lui dit d'entrer. Il l'attend dans *** canapé usé. *** matériel est prêt. Il ne se sépare plus de *** ordinateur et de *** appareil photo. Il a aussi un sac bien rempli sur la table basse. Il la détaille d'un regard appréciateur. Il parait satisfait de sa tenue. Il se lève et prend ses affaires sans rien lui dire.
*** attitude ne surprend plus Maryse qui se plie totalement à la volonté de cet homme. Sur la route, elle raconte à M. Francis comment s'est déroulée l'entrevue avec *** directeur et le désappointement de M. Ribière. Il sourit et ajoute quelques commentaires salaces illustrant ce que M. Ribière avait certainement l'intention de lui faire subir. Bien malgré elle, Maryse est excitée par ces propos. À la vue d'un panneau annonçant une aire d'autoroute, M. Francis lui dit de s'arrêter pour qu'il aille se soulager. Maryse gare la voiture non loin des toilettes. Elle descend, heureuse de ce petit arrêt. M. Francis lui demande alors de le suivre. Elle rougit, comprenant qu'il veut qu'elle aille dans les toilettes des hommes avec lui. Elle regarde autour d'elle. Il y a quelques véhicules, mais per***ne ne semble se diriger vers les toilettes. Elle sent une décharge d'adrénaline la traverser alors qu'elle se décide à lui obéir. Il entre dans une cabine malodorante, un peu étroite, elle le suit en se collant à lui pour qu'il ferme la porte. Elle est toute tremblante. Pourtant elle devrait être habituée à ses demandes perverses mais c'est chaque fois plus fort qu'elle. La décharge d'émotions contradictoires l'empêche de garder le contrôle. Elle a peur d'être surprise par un inconnu et pourtant la situation l'excite énormément.
— Sors ma bite et tiens-la pendant que je pisse !


Cette demande si humiliante provoque chez Maryse une excitation intense. Elle se penche en tremblant pour ouvrir *** pantalon. Elle en extirpe le sexe encore mou de M. Francis et le tient alors qu'il se libère. Elle est surprise par la pression de l'urine, le jet éclabousse d'abord le bord de la cuvette avant qu'elle vise correctement le fond. Elle est troublée par le bruit important provoqué par le jet finissant sa course dans le fond de la cuvette. Elle est comme *********** par cette vision. Elle secoue le sexe mou de M. Francis pour libérer les dernières gouttes. Ce faisant, elle le sent grossir rapidement dans sa main. Il lui demande alors de s'asseoir sur la cuvette, ce qu'elle fait avec empressement tant elle est excitée. Sans ménagement, il lui enfonce *** sexe dur dans la bouche. Elle n'a pas le temps de se révolter contre le goût de ce sexe. Elle est trop excitée par la situation pour cela. Elle enserre le sexe chaud avec ses lèvres et joue avec sa langue autour du sexe. Elle gémit de bonheur. Il commence alors des va-et-vient puissants dans sa bouche, allant au plus profond qu'il peut. Elle salive énormément autour de *** sexe. Il lui prend la tête avec les deux mains et s'enfonce puissamment dans sa bouche et il jouit en grognant dans sa gorge alors qu'elle écarquille les yeux sous la puissance des jets de sperme qui l'envahissent. Elle ne peut faire autrement que d'avaler le liquide gluant et chaud.
Il se retire enfin sans qu'elle arrête de serrer *** sexe avec ses lèvres. Il sort alors *** appareil photo pour immortaliser l'instant. Elle se laisse faire encore sous le coup de l'intensité de la situation. Il ouvre ensuite la porte et elle sort de la cabine après lui. Elle croise le regard lubrique d'un homme dont le sourire en coin montre qu'il a deviné ce qui s'est passé dans cette cabine. Comme si cela n'était pas suffisant elle l'entend murmurer un « salooope » appréciatif qui lui provoque une nouvelle sensation *************** mêlée de plaisir. Elle n'ose pas pousser le vice à le regarder en face et préfère suivre M. Francis sans délai.
Ils arrivent enfin dans Paris et après avoir laissé la voiture dans le parking de l'hôtel, ils se rendent à l'accueil. Une femme d'une trentaine d'année leur souhaite la bienvenue et demande le nom de la réservation. Maryse reçoit ses clés et M. Francis l'accompagne jusqu'à sa chambre au second étage. Elle pose ses affaires, prend un bonbon à la menthe pour tenter de camoufler le goût très prononcé de la semence de *** amant. Elle remet un peu d'ordre dans sa tenue, en vérifiant que rien ne trahit ce qui s'est passé quelques heures plus tôt. Ils conviennent de se retrouver dans la chambre après sa réunion.
Elle est très bien accueillie dans la filiale. Elle sait que *** charme et sa nouvelle assurance y ***t pour beaucoup, mais elle trouve cela très prometteur. Les réunions s'enchaînent avec les différents services et la fin de journée arrive enfin. Elle se voit proposer de passer la soirée avec une partie de l'équipe mais refuse gentiment en leur disant qu'ils ne ***t vraiment pas obligés de sacrifier leur soirée pour elle. Elle remarque que certains hommes de l'équipe ***t déçus par ce refus mais elle ne peut se permettre d'accepter alors que M. Francis l'attend. Elle se demande ce qu'il lui réserve pour cette première soirée parisienne. Elle sait qu'il lui demandera encore de franchir les limites de la bienséance. Elle sourit à cette idée car elle n'est plus certaine de savoir où se trouvent ces limites.
Maryse rentre dans la chambre. M. Francis l'attend assis sur un fauteuil, appareil photo en main. Il lui dit de se changer avec les affaires qui se trouvent sur le lit. Quand elle regarde les affaires, elle est intriguée de ne voir qu'une paire de bottes à talons aiguilles, un corset noir et un manteau. Elle l'interroge du regard, mais visiblement il n'y a rien à dire de plus. Elle sait qu'il va lui faire vivre une séance d'exhibitionnisme. Elle sent *** sexe s'humidifier à cette idée alors qu'elle se rend compte qu'elle n'a plus aucun remords de se dévoiler, au contraire. Elle commence à se dévêtir langoureusement. Ses hanches bougent au rythme d'une musique lancinante qu'elle imagine. Elle se tourne pour qu'il puisse admirer ses fesses rondes et pulpeuses. Elle enlève *** chemisier en cambrant sa poitrine. Elle sent *** sexe s'humidifier de plus en plus alors qu'elle s'effeuille devant ce pervers qui prend photo sur photo. Elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle se retrouve en lingerie et talons hauts. Elle prend quelques poses suggestives avant de libérer sa poitrine opulente. Ses tétons ***t dressés par l'excitation. Elle se mord la lèvre inférieure, ce qui lui donne, elle le sait, un air très salope. Elle aime se sentir ainsi offerte à l'appareil photo. Elle n'a plus de complexes devant l'objectif. Elle sait qu'elle est excitante et que les internautes se masturberont devant ses photos. Certains d'entre eux renverront même des photos de ses clichés couverts de leur sperme. La première fois, elle a été étonnée mais flattée par cette vision. Ensuite à chaque fois, cela l'a excitée.
Elle réagit au moindre stimulus sexuel depuis qu'elle a rencontré M. Francis et plus c'est pervers, plus elle réagit. Parfois elle en a honte mais elle ne peut rien contre l'envie de recommencer. Elle commence par mettre les bottes à talons aiguilles. Ils ***t vertigineux. Sa silhouette est magnifiée par ces talons. Ses jambes semblent interminables et *** dos est bien cambré, poussant sa poitrine en avant et ses fesses en arrière. M. Francis prend plusieurs nouveaux clichés puis il se lève pour l'aider à enfiler *** corset. Elle le met en place, les bonnets ne servent qu'à soutenir sa poitrine qui reste nue. Il serre le lacet, lui coupant le souffle. Quand elle se voit dans le miroir de la chambre, elle ne peut qu'apprécier la taille de guêpe que cela lui donne. Elle ressemble à l'une de ces pin-up des années 50.
Bien que le corset soit assez inconfortable, elle se trouve très désirable. Le corset ne cache rien de *** intimité ni de ses seins, au contraire il les met en valeur. M. Francis lui tend le manteau. Elle sait qu'elle va devoir sortir dans cette tenue. Elle est fébrile, mais très excitée à l'idée des sensations qu'elle va ressentir. Elle passe le manteau qui ne cache que le haut de ses cuisses. Elle serre la ceinture autour de sa taille amincie par le corset. Elle se sent terriblement sexy.
M. Francis la guide hors de la chambre après avoir pris les clés de la voiture. Ils traversent le hall d'accueil sous le regard amusé de l'hôtesse. Il lui dit que ce soir, il aimerait la conduire dans un endroit particulier dont il a entendu parler. C'est lui qui conduit. Ils traversent Paris et arrive dans le 16ème dans une petite allée. Il s'arrête et allume le plafonnier. Il lui demande de retirer *** manteau. Elle le fait non sans une pointe de peur et d'excitation. Pendant quelques minutes, il ne se passe rien et puis tout à coup, elle voit des ombres s'approcher de la voiture. Elle a très peur, mais elle ne bouge pas. C'est une chose de se montrer devant une caméra, mais c'est totalement différent devant un vrai public de pervers. Elle sent *** ventre se nouer et pourtant elle sent sa poitrine se gonfler et ses tétons se dresser. *** sexe s'humidifie alors qu'elle voit un premier homme sortir un sexe de taille moyenne. Il se masturbe en la regardant. Un deuxième homme s'approche plus près, lui aussi sort *** sexe plus petit. Ils se masturbent en la regardant. M. Francis ouvre légèrement les fenêtres pour qu'elle puisse les entendre.
La fraîcheur de la nuit ne fait rien pour la calmer. Elle regarde ces sexes tendus avec envie. Elle ne se reconnaît plus. Elle est terriblement excitée, ses doigts parcourent *** corps, s'attardant sur ses seins et *** sexe trempé. Elle les entend lui dire qu'elle est magnifique, que c'est une salope. Ils ne tarissent pas de qualificatifs sur *** corps. Ils veulent la toucher. Plusieurs hommes se ***t joints aux deux premiers. Elle ne voit que des sexes de toutes tailles se dresser devant elle. M. Francis abaisse le dossier du siège de Maryse au maximum. Elle se retrouve presque allongée, elle offre une meilleure vue sur *** corps en chaleur. Elle se caresse vigoureusement le clitoris alors que les autres astiquent leur sexe. M. Francis abaisse encore un peu plus les vitres, permettant aux autres de passer un bras. Ils ne se gênent pas pour caresser le corps de Maryse. L'un d'eux lui empoigne un sein, la faisant gémir un peu plus. Un autre lui caresse les cuisses en remontant vers *** sexe humide. Elle sent des doigts investir sa grotte. Elle se laisse faire, elle s'abandonne complètement au plaisir. Elle entend un bruit humide quand il actionne ses doigts dans *** vagin. Elle gémit de plus en plus les yeux fixés sur les verges.
Tout à coup, elle entend un homme grogner, il éjacule copieusement sur la vitre à demi ouverte. Plusieurs jets viennent s'écraser sur la vitre avec un bruit mat. Elle jouit aussi à ce moment-là en serrant les doigts qui l'explorent. D'autres mains viennent profiter de *** corps. L'un des hommes tente de se faire caresser par Maryse qui est dans un état second mais il éjacule sans qu'elle le touche à l'intérieur de la voiture. Maryse en reçoit sur les seins. Elle étale la semence encore chaude sur sa poitrine généreuse. Elle voit un homme se faire masturber par un autre qui éjacule sur la voiture et dans la main de *** masseur. Après quelque temps, les vitres ***t maculées de sperme. M. Francis, qui a fait de nombreuses photos, ferme les vitres et redémarre la voiture, signalant ainsi que le show est terminé. Il conduit jusqu'au parking de l'hôtel où il se gare dans un coin sombre.
En descendant de la voiture, elle entend M. Francis descendre la fermeture éclair de *** pantalon, elle se réjouit à l'idée de le faire jouir dans ce parking glauque. Elle fait le tour de la voiture et s'accroupit devant lui pour lui sucer *** sexe tendu au maximum par l'excitation. Elle le suce bruyamment comme il aime. Elle se dit qu'elle a l'air d'une prostituée, cette idée l'excite un peu plus. Elle prend toute la longueur de *** sexe en bouche, manquant parfois de s'étrangler.
Il la relève avant de jouir trop rapidement et la retourne contre le capot. Les jambes tendues et écartées, elle lui présente ses fesses rondes. Elle est ouverte par l'excitation. Il s'approche et présente *** sexe dur sur *** anus. Elle aime tellement qu'il la prenne comme une chienne par cette entrée. Elle lui dit de lui défoncer le cul car elle est très excitée. Elle s'entend dire ses paroles comme si elle était une spectatrice de la scène. Elle a perdu toute retenue, mais elle n'a pas le temps de penser plus. Le sexe, d'une poussée, se retrouve au plus profond de *** ventre. Elle crie quand elle sent les bourses velues de M. Francis s'écraser contre *** sexe. Il la prend par les cheveux et commence à la chevaucher presque *********** pour *** plus grand plaisir. Elle est utilisée comme un objet sexuel, cela lui plait même si une part d'elle aurait été révoltée il n'y a pas si longtemps. Elle sent *** pénis la remplir et la quitter par à-coups. Elle gémit sous la ***** des pénétrations. *** petit trou doit être distendu. Ses seins ***t écrasés sur la carrosserie, ses tétons frottent contre le métal. Puis elle le sent se tendre encore plus. Il jouit avec ***** en elle. Maryse sent les jets de sperme éclabousser ses intestins. Elle jouit *********** avant de s'affaler sur le capot. Il se retire dans un bruit humide et moite. Elle se redresse toute tremblante de l'intensité de la situation. Elle sent le sperme s'écouler de *** petit trou, alors que M. Francis la guide jusqu'au hall d'accueil. Ils passent devant l'hôtesse qui les observe incrédule. Elle a certainement remarqué le filet de sperme sur les cuisses de Maryse ainsi que sa coiffure défaite. Maryse n'ose pas la regarder, la honte l'envahit en-même temps qu'un délicieux sentiment de satisfaction.
Maryse prend une douche réparatrice qui lui donne le temps de se remémorer tout ce qui vient de se passer. Elle n'en revient pas. Elle s'est une fois de plus laissée aller à ses penchants les plus pervers révélés par M. Francis. Quand elle sort de la douche, c'est pour le retrouver devant *** ordinateur. Il a posté de nouvelles images sur *** site et il lui dit qu'il commence déjà à avoir des retours positifs. Elle ne peut s'empêcher de venir voir les commentaires des internautes. Elle se penche sur l'ordinateur, habillée d'une simple serviette. En effet, les commentaires vont bon train. Certains restent courtois mais ceux qui l'excitent ***t les commentaires les plus vulgaires, les plus directs, la traitant de tous les noms. Elle aime ça, bien qu'elle en ait honte.
Ils passent la nuit pour la première fois ensemble. Elle s'attendait à trouver cela bizarre, mais elle aime se retrouver aux côtés de cet homme qui a su lui révéler sa perversion. Elle sait que beaucoup ne peuvent pas comprendre les sentiments qu'elle éprouve, mais elle n'en a que faire. Elle est assoiffée de nouvelles sensations.
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