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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#6,571
 Down to the last message
Heidi et Marjorie regrettaient d'avoir répondu au téléphone.Les deux jeunes femmes
avaient reçu le même appel à quelques minutes d'intervalles. Un appel de leur beau-
frère Pascal qui leur avait à nouveau confié ce qu'il s'amusait à appeler des sex
missions ! Les deux jeunes femmes avaient encore présent à l'esprit les dernières sex
missions qu'il leur avait confié la veille.
Marjorie avait dû soulager entre ses seins *** vieux voisin qui ne s'était pas
contenté d'une cravate de notaire, aussi somptueuse soit-elle. La jeune femme avait dû
subir les assauts lubriques du vieil homme qui s'était montré bien plus vigoureux que
*** âge pouvait le laisser supposer. En plus d'avoir dû assouvir les fantasmes
débridés de *** vieux voisin, Marjorie avait été contrariée d'avoir dû laisser le
vieil homme la besogner devant la fenêtre sous les regards amusés de jeunes de ***
quartier qui avaient encouragé ce petit vieux qui prenait en levrette cette superbe
fille en s'accrochant à la plus belle paire de seins du coin.
De *** côté, Heidi se remémorait la vigoureuse double pénétration que les deux
ouvriers de *** mari lui avaient imposé dans *** propre lit. Une double pénétration de
plus de deux heures durant lesquelles les deux hommes avaient besogné ses reins et ***
ventre à tour de rôle. Les deux hommes s'étaient déchainés comme deux taureaux en rut,
trop heureux de besogner la superbe épouse de leur patron dans *** propre lit. Une
situation vécue comme une *********** par Heidi qui avait encore plus maudit *** beau-
frère à chaque fois que les deux hommes avaient éjaculé ensemble sur *** visage avant
d'échanger leurs places dans ses reins et *** ventre.
Que leur avait encore réservé Pascal ? Les deux jeunes femmes l'avaient vite
découvert. A leurs dépens une nouvelle fois.
Les deux ouvriers du mari d'Heidi avaient eu tellement de mal à oublier les deux
heures de la veille qu'ils étaient revenus accompagnés d'autres ouvriers. Michel avait
dû avoir les oreilles qui sifflent durant toute la journée. En effet, aujourd'hui la
sex mission d'Heidi n'avait pas duré deux heures mais la journée ! La pause de midi
n'avait pas été de tout repos pour Heidi qui avait passé une heure arcboutée en avant
sur la table basse de salon, subissant dans les reins les assauts on ne peut plus
virils des huit hommes qui s'étaient relayés pour offrir à la superbe épouse de leur
patron une heure non stop de sodomie ! et une bonne vingtaine d'éjaculations faciales
toutes plus humiliantes les unes que les autres. Surtout les dernières quand Heidi
avait reçu sur *** visage les hommages des huit hommes en même temps...Les ouvriers
avaient beau être repus de sexe, ils n'en n'avaient pas moins exigé d'Heidi une
fellation digestive chacun...La jeune femme s'était exécutée, recueillant dans sa bouche
le fruit du travail de ses lèvres expertes. C'était la première fois qu'Heidi recevait
autant de sperme sur *** visage...et dans sa bouche...Heidi avait découvert la haine que
suscitait *** mari chez ses ouvriers. Mais également la passion que certains d'entre
eux éprouvait pour elle. En particulier le plus jeune d'entre eux. Un certain Fabien
dont la fougue de la jeunesse ne l'avait pas laissée indifférente. Les sept autres
hommes l'avaient besognée mécaniquement, sans se soucier de *** plaisir à elle. Car du
plaisir elle en avait éprouvée lors d'une double pénétration. Quand les deux hommes
qui l'avaient pilonnée ensemble l'avaient besognée en cadence. Elle n'avait pas pu
s'empêcher d'éprouver du plaisir quand les deux sexes s'étaient touchés à travers la
paroi qui séparait ses reins de *** ventre. A ce moment précis elle avait fixé le
regard de celui qui était sous elle et qui lui malaxait les seins : le regard du
jeune.
- Hé Fabien mon gars ! On dirait que çà lui plait ce que tu lui fais ! Bravo mon
ptit !
chrislebo

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Posts: 164965 Pictures: 3 
#6,572
Up to the first message Down to the last message
Le jeune Fabien avait rougi tout en se retenant d'éjaculer dans le ventre d'Heidi. Le
sourire amusé et plein de tendresse d'Heidi l'avait tellement excité qu'il n'avait pas
pu se retirer immédiatement tant *** sexe était resté raide. Pas seulement à cause du
fait qu'il n'avait pas osé éjaculer dans le ventre d'Heidi mais aussi à cause du
regard de la jeune femme qu'il avait interprété comme un encouragement. C'en avait été
un puisque quand les sept autres hommes s'étaient levés pour prendre congé, le jeune
Fabien s'était enhardi et avait besogné Heidi une dernière fois debout contre le mur
de la cuisine. La jeune femme s'était empalée d'elle-même sur le sexe vigoureux de ce
jeune ouvrier qui lui vouait une passion si juvénile qu'Heidi avait gémi sous les
coups de boutoir de ce jeune étalon qui la clouait contre le mur avec une cadence de
marteau piqueur. Les sept autres ouvriers n'en n'étaient pas revenus.
- P....ain la salooooope ! Vas-y Fabien vas-y ! Là elle est ouverte, il a gagné le
gros lot le gosse, elle se laisse prendre à fond. A mon avis il va la transpercer.
C'était exactement la sensation éprouvée par Heidi. Et par le jeune ouvrier qui en
avait oublié ses bonnes résolutions en explosant dans le ventre d'Heidi avec la *****
d'un geyser. Il avait senti les muqueuses de la jeune femme aspirer *** sexe comme une
ventouse pour extirper ses dernières gouttes de sperme dont les jets avaient tapissé
le ventre de la superbe épouse de *** patron. Du coup, Heidi avait révisé *** jugement
sur la sex mission de Pascal. Au sentiment de honte d'avoir été l'objet sexuel des
sept autres ouvriers de *** mari s'était mêlé celui d'avoir pris du plaisir avec ce
jeune Fabien. Un visage d'ange et un sexe fougueux que la jeune femme s'était jurée de
ne pas oublier de sitôt...
De *** côté, Marjorie s'était félicitée de ne pas avoir à offrir ses charmes à un
vieux pervers comme hier avec *** vieux voisin. Encore que...Pascal ne lui avait pas
choisi une Sex mission de toute repos. Elle avait dû calmer les ardeurs des jeunes de
*** quartier qui avaient été bien chauffés par la séance d'hier. Elle les avait suivi
dans différents endroits de *** quartier. Un premier jeune s'était offert une séance
photo particulière dans un photomaton en compagnie de Marjorie. Protégé des regards
des passants par ses amis qui faisaient écran devant le rideau du photomaton, le jeune
homme était resté debout face à Marjorie, prenant bien soin de se positionner tous les
deux de profil pour faire apparaitre sur les photos les différentes phases de ce qu'il
souhaitait. Une fellation de profil avec une photo avec *** sexe forçant les lèvres
arrondies de Marjorie, suivie d'une photo avec *** sexe entièrement disparu entre les
lèvres, puis une autre avec *** gland déformant la joue gauche de la jeune femme et
enfin une dernière avec le fruit de ses allers et retour entre les lèvres de Marjorie
étalé sur le visage d'ange. Un deuxième jeune avait pris la relève, toujours de
profil, mais en ayant pris soin de déboutonner le chemisier de Marjorie et d'en
écarter les pans, libérant la poitrine de rêve qui faisait fantasmer tous les jeunes
du quartier, lui y compris. Ses amis en avaient été jaloux quand ils avaient vu les
photos apparaitre dans le bac de réception du photomaton. Sur la première photo ils
voyaient le gland de leur ami se positionner dans le creux du sillon des seins de
rêve. Sur la deuxième le sexe avait disparu dans le sillon, enserré par les deux seins
somptueux. Sur la troisième le gland réapparaissait au- dessus des seins avec du
sperme à l'orée de l'orifice. Du sperme étalé sur les globes bien ronds et fermes sur
la quatrième photo. Du coup, tous les autres jeunes s'étaient relayés dans le
photomaton et Marjorie avait dû cravater une bonne dizaine d'entre eux. Le dernier
était reparti avec la photo la plus excitante : celle des deux globes somptueux
recouverts des filaments de sperme des dix jeunes hommes...Marjorie avait pensé un
instant s'en tirer avec sa dizaine de cravates de notaires. Mais c'était sans compter
sur l'image qui hantait les jeunes témoins de la scène de la veille. L'image du vieil
homme incrusté derrière elle en train de s'agripper à sa poitrine de rêve. Une scène
que Marjorie avait dû revivre non pas une fois mollement comme hier mais dix fois et
bien vigoureusement aujourd'hui ! tant les dix jeunes hommes avaient voulu marquer
leur territoire en levrettant cette superbe créature blonde en s'agrippant à ses seins
de rêve. Marjorie avait subi par derrière les assauts des dix jeunes de *** quartier
qui s'étaient exhibés devant les jeunes d'une autre bande, prenant bien soin de
malaxer lentement les seins de rêve pour bien faire baver leurs rivaux. La soumission
de Marjorie l'avait fait traitée de p....te par les rivaux en question. Une insulte
confortée par la soumission de Marjorie quand les dix jeunes hommes s'étaient relayés
pour éjaculer sur *** visage et ses seins. Confortablement installé dans sa voiture,
Pascal n'avait rien perdu de la scène grâce au zoom de *** appareil numérique et aux
séries du photomaton que le chef de la bande lui avait offert en guise de récompense
pour leur avoir offert Marjorie. Pascal savait qu'il serait certainement amené à faire
appel encore à eux dans l'avenir. La chef de la bande l'espérait sincèrement quant à
lui. Car Pascal lui avait promis que la prochaine fois, la soumission de Marjorie
permettrait à sa bande de profiter encore plus de la jeune femme. Le chef de la bande
avait immédiatement pensé à la double pénétration, au gangbang et à la sodomie. Pascal
aussi...
chrislebo

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Posts: 164965 Pictures: 3 
#6,573
Up to the first message Down to the last message
Pascal était particulièrement fier des sex missions qu'il venait d'imposer à Heidi et
à Marjorie. En fait il s'agissait de passer à la phase suivante de sex missions déjà
en cours d'accomplissement par ses belles sœurs. En effet, cela faisait des semaines
qu'à sa demande Heidi remerciait avec ses lèvres *** moniteur au club de gym et que
Marjorie en faisait de même avec *** moniteur d'auto-école. Les deux hommes ne
s'étaient pas faits priés pour déformer les joues des deux superbes jeunes femmes qui
les faisaient fantasmer depuis leur première rencontre. Ils profitaient des lèvres des
deux jeunes sans retenue, leur imposant des fellations vigoureuses. Surtout le
moniteur de gym d'Heidi. Un grand gaillard de près de deux mètres et de cent vingt
kilos au corps bodybuildé superbement scuplté. Heidi avait flashé sur ce corps tout
en muscle dès leur première rencontre mais en femme mariée qu'elle était, elle s'était
refusée de céder à ses pulsions. Il lui avait fallu fournir de gros efforts car de ***
côté également, le moniteur avait été immédiatement attiré par la jeune femme. Sauf
que lui le lui avait fait comprendre. Le refus d'Heidi de répondre à ses avances ne
l'avait pas empêché d'en faire régulièrement à la jeune femme. Il faut dire que
Boubacar n'avait jamais vu une aussi belle femme dans *** Sénégal natal. Heidi
représentait le fantasme absolu pour le jeune originaire de Dakar. Une superbe
créature blonde aux cheveux ondulés. Une bouche à en rêver de fellations toutes les
nuits. Un visage digne de figurer une cible dans un cours d'éjaculations faciales. Des
seins de rêve. Et puis surtout, Heidi était un véritable appel à la sodomie. Boubacar
avait beau avoir connu de nombreuses femmes à la croupe cambrée au Sénégal, aucune ne
possédait la chute de reins incroyablement creusée d'Heidi. Un cul d'enfer surmonté
d'un visage d'ange...Depuis deux ans, Heidi l'avait éconduit à chacune de ses avances.
Mais la situation avait changé il y a quelques semaines. Cette fois-ci, Heidi n'avait
pas refusé ses avances. Boubacar s'était enhardi et s'était isolé avec la jeune femme
dans le vestiaire des hommes. Heidi lui avait fait comprendre que la situation était
nouvelle pour elle et qu'elle devait franchir les étapes progressivement. Elle avait
accepté de lui céder pour une fellation. Elle lui en avait offert quatre ! Boubacar en
avait souri. Quatre fellations à la suite. Et quelles fellations ! Heidi était digne
de participer à « fellations pour une championne »... Heidi s'était rapidement rendue
compte que la réputation de Boubacar n'était pas surfaite. Le jeune moniteur
superbement bodybuildé était une ***** de la nature dans tous les sens du terme. En
plus d'un corps de rêve, la nature l'avait doté d'un organe impressionnant. Boubacar
n'avait pas seulement un membre de cheval, il avait également une éjaculation de
cheval ! Heidi ne s'était pas attendue à une telle déferlante de sperme. Tant et si
bien qu'elle n'avait pas pris la peine de fermer les yeux au début de ce qui allait
être la douche de sperme la plus abondante de la vie sexuelle d'Heidi. Le terme douche
avait été le plus approprié au vu des nombreux jets blancs épais et gluants qui
avaient collé non seulement le visage et les yeux d'Heidi, mais également sa superbe
chevelure blonde ondulée.
- Excuse-moi Heidi, mais j'attendais çà depuis si longtemps ! Je n'ai pas pu me
maitriser !
chrislebo

Member

Posts: 164965 Pictures: 3 
#6,574
Up to the first message Down to the last message
Une fausse excuse puisque les trois éjaculations suivantes avaient toutes été
également mal maitrisées...Un moindre mal puisqu'Heidi avait offert ses lèvres à
Boubacar sous la douche du vestiaire hommes de la salle de gym. Le jeune moniteur de
sport n'avait pas débandé tandis qu'Heidi se lavait sous la douche, nettoyant
l'épaisse couche blanche que le superbe moniteur avait déposée sur *** visage et ses
cheveux. Heidi lui avait rappelé leur accord. Elle lui accorderait toutes les
fellations qu'il voudrait mais elle en resterait là pour l'instant. Il avait accepté
et s'était rué à nouveau à l'assaut de la bouche de la jeune femme. Comme elle venait
de se laver, Heidi s'était résolue à recevoir *** sperme dans sa bouche. Elle pensait
qu'après quatre éjaculations aussi massives le plus dur était passé. Mais Boubacar
s'était avéré une ***** surnaturelle de la nature ! Heidi avait dû déglutir les trois
séries d'explosions successives du jeune moniteur de sport entre ses lèvres.
Incroyable ! Elle avait l'impression d'avoir avalé les spermes d'une dizaine d'hommes.
Du coup, elle en avait presque remercié Pascal de ne lui avoir imposé que des
fellations avec *** moniteur de sport. Elle n'était pas pressée de recevoir le membre
de cheval de Boubacar dans *** ventre et encore moins dans ses reins...Mais elle savait
que le désir de vengeance de Pascal l'obligerait un jour ou l'autre à subir
*************** des assauts d'étalon de Boubacar. C'est pourquoi elle avait accepté une
autre ***********, celle des éjaculations surnaturelles du moniteur de sport.
Pendant des semaines, elle avait accordé des fellations à Boubacar dans les endroits
les plus insolites :
* dans les vestiaires hommes du club de sport à plusieurs reprises dont certaines
devant d'autres membres du club qui avaient encouragé le géant tandis qu'il déformait
vigoureusement les joues ravissantes de cette superbe blonde qui les faisaient
fantasmer depuis longtemps. Des encouragements qui s'étaient transformé en
exclamations d'admiration quand l'imposante colonne noire avait laissé échapper des
explosions aussi puissantes qu'abondantes qui avaient littéralement recouvert le
visage et la chevelure bouclée d'Heidi.
* dans les toilettes femmes du club. Boubacar était venu plusieurs fois rejoindre
Heidi dans les toilettes et la jeune femme avait été gênée quand en sortant de sa
cabine elle avait croisé d'autres femmes du club avec *** visage et ses cheveux
maculés d'épais filaments blancs.
* dans la piscine du club. En plongeant pour accorder une fellation sous-marine à
Boubacar, Heidi avait été autant excitée par la situation que par les dimensions
encore plus impressionnantes du membre de cheval du moniteur de sport qui semblait
avoir gonflé de volume sous l'eau. Le plus délicat pour Heidi n'avait pas été de faire
coulisser l'imposante colonne noire entre ses lèvres mais de coordonner sa respiration
avec les explosions massives de sperme dans sa bouche.
chrislebo

Member

Posts: 164965 Pictures: 3 
#6,575
Up to the first message Down to the last message
* dans la salle de sport. Boubacar attendait que tout le monde soit parti pour
demander à Heidi de le prendre dans sa bouche tandis qu'il soulevait des poids allongé
sur le banc de musculation. Une sensation incroyable aussi bien pour le moniteur de
sport qui devait se concentrer à la fois sur la fellation d'Heidi et sur les poids
qu'il soulevait que pour Heidi qui sentait l'imposante colonne noire durcir encore
plus dans sa bouche en fonction des efforts de Boubacar. Pour ne pas décevoir le
moniteur de sport qui restait allongé sous ses poids Heidi empoignait le sexe
gigantesque et le dirigeait elle-même sur *** visage comme si c'était un rasoir pour
s'arroser le visage et plus particulièrement les joues et le bas de ses cheveux.
Une autre fois dans la salle de sport désertée par les autres membres du club, Heidi
avait fait des pompes pendant qu'elle faisait des pompes...C'est-à-dire que tout en
faisant ses pompes elle accordait une fellation au moniteur de sport allongé sur le
tapis de la salle. La fellation d'Heidi était rythmée par les mouvements de la jeune
femme qui montait et descendait appuyée sur ses avant-bras et qui prenait entre ses
lèvres l'imposante colonne noire qui se dressait hors du short de Boubacar. C'était
l'occasion pour Heidi de découvrir les éjaculations baveuses de Boubacar qui se vidait
comme une fontaine entre ses lèvres si abondamment que la jeune femme n'arrivait pas à
tout avaler. Ce qui expliquait les filets de sperme mélangés à la salive d'Heidi qui
dégoulinaient le long de l'imposante colonne noire, obligeant Heidi à baver ce mélange
excitant.
* Sur le parking du club de sport. Boubacar suivait Heidi jusqu'à sa voiture et
protégé derrière la portière ouverte de la jeune femme il se faisait offrir une
dernière fellation. Heureusement pour Heidi, comme il n'y avait plus de possibilités
de prendre de douche et que les kleenex ne suffisaient pas pour éponger les explosions
de cheval de Boubacar, ce dernier se contentait de vider ses dernières réserves au
fond de la gorge de la jeune femme. Ca l'amusait de savoir qu'en rentrant Heidi
embrassait *** mari après avoir avalé ses doses de cheval.
Pour Marjorie tout avait été simple. Enfin, si l'on peut dire. Cela faisait des
semaines que le moniteur d'auto-école avait flashé sur sa nouvelle élève. Une superbe
blonde au visage de pucelle mais à la poitrine de rêve. Une poitrine qu'il avait tout
loisir de contempler étant donné sa position à côté de Marjorie dans le véhicule.
Marjorie avait tout de suite vu le regard insistant de Gilbert sur ses seins. Elle n'y
avait pas vraiment prêté attention. Jusqu'à ce que Pascal lui donne comme sex mission
de séduire *** moniteur d'auto-école. Juste avec sa bouche pour commencer. Une
précision qui avait soulagé la jeune femme qui avait donc répondu sans trop de
craintes aux avances du moniteur. Elle avait commencé par l'empoigner tout en
conduisant, le masturbant énergiquement. Elle avait porté sa main droite à ses lèvres
pour en nettoyer le fruit de sa masturbation recueilli sur ses doigts. Le moniteur
avait pris le volant pour permettre à Marjorie de lui offrir la fellation tant désirée
! La jeune femme s'était penchée sur lui de côté et lui avait offerts ses lèvres aussi
douces que *** visage pur. Gilbert avait ouvert le chemisier de Marjorie pour palper
ses seins de rêve tandis qu'elle le suçait tendrement. Le contact des seins soyeux
avait déclenché chez lui une explosion prématurée. Il s'en était voulu de ne pas avoir
davantage résisté aux lèvres de Marjorie. Ce n'était pas grave puisque depuis lors, la
jeune femme lui avait offert à chaque leçon de conduite ses mains, ses lèvres et même
ses seins de rêve. Tout comme pour le moniteur de sport d'Heidi, les occasions
n'avaient pas manqué pour le moniteur d'auto-école de Marjorie :
* Dans la voiture. Le lieu privilégié pour les masturbations et les fellations de
Marjorie mais peu propices aux éjaculations faciales car le risque était trop grand de
tâcher également la voiture.
* A proximité de la voiture. Pour résoudre ce problème de tâches dans la voiture,
Gilbert avait décidé de faire des haltes dans des endroits à l'écart pour pouvoir
arroser à loisir le superbe visage de pucelle de Marjorie. C'est ainsi qu'il adossait
parfois la jeune femme à un arbre et la forçait à s'agenouiller pour lui offrir de
somptueuses fellations à l'abri des regards dans la campagne.
Et puis était arrivé le jour où le moniteur avait voulu passer à l'étape supérieure.
Marjorie avait redoublé d'efforts de fellation pour amadouer Gilbert. Mais devant ***
insistance de plus en plus pressante elle avait décidé d'elle-même de lui offrir de
quoi le faire patienter. Elle lui avait offert ses seins. Elle avait vu juste. Gilbert
s'était rué entre ses seins comme si c'était un sexe et il lui avait inondé sa
poitrine à plusieurs reprises.
Marjorie avait fini par s'habituer à ces séances où elle évitait la pénétration. Heidi
aussi d'ailleurs. Mais tout avait pris fin aujourd'hui. Le désir de vengeance de
Pascal les avait rattrapées toutes les deux. Leur beau-frère leur avait demandé de
passer à la phase suivante de leur sex mission. Avec un résultat au-delà de toutes ses
espérances !
chrislebo

Member

Posts: 164965 Pictures: 3 
#6,576
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Heidi était rentrée épuisée comme jamais de sa séance de sport. Et pour cause ! Car en
guise de sport, la jeune femme avait surtout subi les assauts plus que virils du
moniteur de sport bodybuildé monté comme un cheval et qui l'avait d'ailleurs montée et
démontée comme un cheval...Boubacar avait attendu ce moment depuis si longtemps qu'il
s'était déchainé dans le ventre mais aussi et surtout dans les reins d'Heidi. Le
moniteur de sport avait trouvé Heidi beaucoup plus docile que d'habitude quand il
avait explosé sur *** visage. Pour la première fois elle n'avait rien dit quand il
avait enveloppé sa monstrueuse érection avec ses cheveux soyeux. Elle n'avait pas plus
réagi quand il s'était masturbé dans sa chevelure et qu'il lui avait offert un
shampoing de sperme. Une attitude trop docile au goût de Boubacar qui avait compris
que c'était le moment ou jamais de tenter sa chance. Une minute plus tard il clouait
Heidi contre le mur de la douche à grands coups de reins si puissants que la jeune
femme avait la sensation qu'il allait la transpercer. Heidi n'avait pas eu le temps de
réagir à la brusque pénétration du membre de cheval du moniteur de sport. Elle avait
eu rai*** de craindre ce moment. Le sexe gigantesque la fouillait avec la puissance
d'un piston de locomotive. Boubacar s'amusait à déformer *** ventre comme il s'amusait
à déformer ses joues. Avec le puissance d'un taureau en rut. En l'occurrence celle
d'un étalon tant la gigantesque colonne noire s'allongeait au fur et à mesure de la
pénétration. Heidi n'avait jamais eu un sexe aussi grand ni aussi épais dans ***
ventre. Une véritable matraque noire dure comme de l'acier qui lui procurait des
sensations intenses. Boubacar suçait les seins d'Heidi tout en la martelant
vigoureusement contre le mur, jambes nouées derrière *** dos. Les coups de reins du
moniteur de sport étaient si puissants et si rapides qu'Heidi ne touchait même plus le
sol. La première explosion dans le ventre d'Heidi n'avait rien changé si ce n'est que
les jets avaient tapissé le ventre d'Heidi au point de faciliter encore plus la
pénétration du membre de cheval qui coulissait plus facilement. Heidi alternait les
cris et les gémissements sous la puissance des coups de reins. Boubacar était si
excité qu'il avait relâché *** étreinte, permettant à Heidi de glisser sur le sol. Il
avait écarté les cuisses de la jeune femme et s'était affalé sur elle. Heidi avait
senti les cent vingt kilos de muscles la plaquer contre le sol, enserrant le dos de
Boubacar avec ses mains et ses jambes, pour permettre au moniteur de sport de la
pénétrer encore plus vigoureusement. Le géant de Dakar avait compris qu'Heidi
s'abandonnait à lui. Il avait redoublé de vigueur et s'était déchainé dans le ventre
de la jeune femme. Une deuxième puis une troisième série d'explosions dans le ventre
d'Heidi n'avaient rien fait perdre de raideur au membre de cheval qui continuait
d'aller et venir à toute vitesse. C'est le moment qu'avait choisi Boubacar pour se
retirer et montrer sa monstrueuse érection à Heidi.
- Désolé Heidi mais tu es trop bonne et j'en ai trop envie depuis si longtemps !
Faut pas m'en vouloir mais je vais défoncer ton cul d'enfer chérie !
Heidi s'y attendait depuis leur première rencontre et les allusions faites par le
moniteur au sujet de sa chute de reins. Boubacar l'avait retournée à quatre pattes.
Elle avait senti le souffle du géant se rapprocher de *** dos. Puis elle avait senti
l'énorme gland gorgé de désir se présenter à l'entrée de ses reins.
- D'accord mais s'il te plait ! doucement pour commencer...il y a longtemps que je
ne l'ai pas fait et le dernier qui m'a enculée était deux fois et demi moins épais que
toi...et trois fois moins long...
- Ne t'inquiètes pas Heidi, je vais t'enculer en douceur pour commencer. Mais
après tu sais je ne garantis rien. Tu as le plus beau cul que j'ai jamais vu et je
pense que tu vas pouvoir me sentir jusqu'au fond.
Boubacar avait tenu parole. *** gland avait forcé lentement l'ouverture des reins
d'Heidi. Puis il avait enfoncé lentement *** membre de cheval, centimètre par
centimètre, élargissant en douceur l'étroit conduit d'Heidi qui n'avait pas menti. Ses
reins n'avaient pas été visités depuis longtemps. Une double situation qui excité
davantage le jeune moniteur de sport. Une croupe aussi fabuleuse presque vierge au
niveau du cul. C'était trop pour Boubacar ! Tant pis pour ses bonnes résolutions.
Heidi avait senti le membre de cheval s'épaissir dans ses reins. Boubacar ne
maitrisait plus sa monstrueuse érection, tout excité qu'il était de perforer un étroit
conduit aussi fabuleux et somme toute si peu exploré...et exploité...Boubacar venait de
décider de faire les deux. Il avait investi les reins d'Heidi d'une seule poussée,
enfonçant *** sexe gigantesque aussi loin que possible, c'est-à-dire jusqu'à la garde.
Heidi avait poussé un hurlement en sentant le membre de cheval déchirer littéralement
ses reins sur toute sa longueur.
- Salaud ! tu m'avais promis...
- Désolé chérie mais là tu m'en demandes trop. Un cul pareil je peux pas
résister et d'ailleurs je comprends pas que les autres aient pu résister. Surtout
qu'en plus tu encaisses du long et du bien épais ! La preuve, je touche le fond de
ton cul avec mon gland...
chrislebo

Member

Posts: 164965 Pictures: 3 
#6,577
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Heidi avait cessé de crier. Effectivement, la douleur passée, elle avait éprouvé une
sensation nouvelle et loin d'être désagréable. Le membre de cheval de Boubacar était
enfoncé dans ses reins jusqu'au fond. Elle avait éprouvé un sentiment de fierté
d'avoir pu recevoir dans ses reins l'intégralité de ce membre d'étalon. En revanche
elle avait eu du mal à accepter la suite : la ruée de cet étalon noir dans ses reins.
Boubacar s'était encore plus déchainé dans ses reins que tout à l'heure dans ***
ventre. Un véritable mustang qui l'avait chevauchée pendant près d'une heure. Et là,
Heidi avait accepté sans rechigner les éjaculations successives de Boubacar au fond de
ses reins, seule solution pour dégonfler le membre de cheval qui n'en finissait pas de
perforer ses reins. Le moniteur de sport avait sodomisé Heidi à quatre pattes sur le
tapis de la salle de sport, écrasant sous ses cent vingt kilos le dos de la jeune
femme qui avait fini à plat ventre, aplatie contre le sol par le corps bodybuildé qui
faisait fantasmer toutes les femmes du club. C'est sûr que si elles avaient pu voir
l'étalon noir en pleine action elles auraient certainement voulu être à la place
d'Heidi. Heidi qui avait ensuite été projetée contre le banc de musculation, arc
boutée en avant pour mieux accueillir le membre de cheval qui n'en finissait pas
d'investir ses reins à toute vitesse. Boubacar entrecoupait ses sodomies par des
explosions de sperme incroyables au fond des reins d'Heidi. A membre de cheval
explosions de cheval ! Boubacar poussait *** sperme au fond des reins avec *** gland
puis il lissait le reste sur les parois intimes, de manière à mieux coulisser pour la
sodomie suivante. Heidi gémissait de plus en plus fort. Le membre de cheval lui
procurait des sensations fortes et malgré elle de l'amour pour cet homme qui bandait
pour elle comme aucun homme avant lui. Tant et si bien qu'à la fin de la dernière
sodomie, quand Boubacar avait retiré *** membre gigantesque, Heidi s'était agenouillée
devant lui en signe de soumission et de remerciement et l'avait sucé tendrement,
aspirant ses dernières gouttes de sperme entre ses lèvres. Cette fois-ci, c'est elle
qui avait fait gémir Boubacar... Pour une fois c'était le cheval qui avait dompté la
cavalière. En effet, bien que monté comme un cheval, Boubacar avait monté Heidi et
même bien montée, au point de la démonter et de la badigeonner avec ses éjaculations
de cheval.
De *** côté, Marjorie avait eu fort à faire avec le moniteur d'auto-école. Gilbert
avait réclamé sa fellation et sa cravate de notaire habituelles. Et tout comme Heidi,
Marjorie avait trahi ses émotions, le moniteur trouvant la cravate de notaire de la
jeune femme trop énergique pour être honnête. Il avait besogné Marjorie sur le capot
de la voiture, écartant et relevant les jambes de la jeune femme au maximum pour mieux
la pénétrer et la clouer sur le capot. Il avait joui une première fois dans ***
ventre, accroché à se seins de rêve. Puis il l'avait retournée, penchée en avant sur
le capot pour la prendre en levrette, toujours accroché à ses seins par en dessous. Il
avait martelé Marjorie en ricanant.
- Bon alors maintenant que je suis en seconde, mon régime est trop puissant,
est-ce que je passe la troisième ou non ? Tiens prends en de la seconde ma belle !
Il s'était rué dans *** ventre à toute vitesse mais s'était retiré au dernier moment.
- Pour la vidange tu sais ce que je veux !
Marjorie avait repris le sexe raide entre ses seins et Gilbert s'était masturbé comme
un fou entre les globes soyeux et chauds.
- Aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh ! la voila ma vidaaaaaaaaaaannnnge !
Marjorie avait senti les jets brûlants sur *** cou et ses seins. Gilbert s'était
empoigné pour déposer ses derniers jets sur chaque globe droit et ferme.
- Maintenant on va passer à la manœuvre de recul. Vas-y recules ! je suis
derrière......
Marjorie avait compris ce que Gilbert attendait. Elle s'était accroupie à quatre
pattes sur le sol et avait relevé sa croupe. Gilbert s'y était enfoncé d'une seule
traite, faisant hurler la jeune femme dont c'était une des premières expériences en
matière de sodomie.
- Oh le joli petit cul ! Incroyable d'avoir un aussi joli petit cul avec une
poitrine aussi généreuse. Génial pour te prendre par derrière en s'accrochant à tes
seins.
Le moniteur d'auto-école avait sodomisé Marjorie pendant une demi-heure, lâchant trois
éjaculations au fond des reins de la jeune femme qui s'était senti honteuse d'avoir
été ainsi possédée. Pascal souriait en pensant à la réaction de Marjorie si elle avait
dû être possédée par Boubacar. Une idée à creuser pour l'avenir peut-être...
chrislebo

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#6,578
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La poupée Julien


Julien ne connaissait pas les couches et le latex. Du moins, il en avait déjà vu dans des clips ou des films, mais sans savoir ce que c'était vraiment.

Des amis, partis en vacances, lui avait laissé les clefs de chez eux, pour relever le courrier et arroser les plantes, un jour où il n'avait rien d'autre à faire, il avait décidé de se rendre chez eux. Il rentra donc chez eux. Julien savait qu'ils s'éclataient tous les deux: points de vue sexe, mais il n'avait jamais osé demander comment... Il décida de visiter leur mai*** de fond en comble. Il monta donc dans la chambre. Quand il ouvrit la porte et alluma la lumière, il vit que le lit était recouvert d'un drap noir luisant. Il toucha le drap. Sa matière était toute bizarre: une sorte de caoutchouc un peu gras au toucher. C'était du latex. Aux quatre coins du lit, il y avait des chaînes avec des larges bracelets en cuir. Julien comprit que ses amis s'éclataient dans le sado maso. Il essaya d'imaginer Elle, nue, attachée sur ce lit, mais l'idée la dégoûta. Il se détourna et ouvrit le placard.

Il vit alors accrochée à des cintres, plusieurs vêtements dans la même matière que le drap. Il resta médusé, mais sorti un cintre, pour voir. C'était une robe en latex noir qui avait l'air beaucoup trop petite. Il tira un peu dessus et se rendit compte que cette matière était élastique. Un autre cintre attira *** attention dans la penderie. Une longue chose rouge luisante. Il posa le premier cintre sur le lit et sortit l'autre. C'était une combinai***. Il l'analysa de haut en bas, et s'aperçut qu'elle pouvait recouvrir entièrement un corps. Elle couvrait les pieds, les mains, et aussi la tête. Il y avait un zip qui fermait la combinai*** du nombril en passant par l'entrejambe, jusqu'en haut de la nuque. Il regarda la cagoule de plus près et vit des ouvertures pour les narines. Il sentit qu'il y avait quelque chose à l'intérieur au niveau de la bouche. Quelque chose de rond et dur. Sur le dessus de la cagoule mais vers l'arrière, il y avait un tube, sûrement pour passer les cheveux, car il y en avait quelques uns restés accrochés. Là aussi, la combinai*** paraissait beaucoup trop petite. Dans le bas de l'armoire se trouvait aussi, quelque chose d'aussi étrange: des couches soigneusement pliée, il en posa une sur le lit. La combinai*** était un peu grasse, mais douce. Julien se rendit compte qu'il était en train de la frotter doucement dans ses mains.

Il lui vint une idée. Il regarda l'heure sur la table de chevet. Il n'était encore que le milieu de matinée, ses amis absent. Il allait essayer cette combinai***, mais juste pour voir... Il posa la combinai*** sur le lit. Autre chose attira alors *** attention. Une culotte en plastic rose pliée. Il la sortit. Il se déshabilla vite enfila la couche et la culotte par dessus. Puis il prit la combinai*** et l'enleva du cintre. Il la dézippa. L'intérieur était talqué. Quand il commença à enfiler les jambes, il se rendit compte qu'avec ce talc, ça glissait bien mieux sur la peau. Julien faisait la même taille que *** amie. Il avait les cuisses plus larges et la taille plus fine. Il força un peu au niveau des cuisses et des hanches, mais passé ce cap, cela fut plus facile.
Il monta un peu le zip dans le dos et commença à enfiler les mains dans les manches gantées. Là aussi, le talc facilitait les choses. Il allait s'intéresser à la cagoule quand il vit au dessus de la penderie une sorte de collier assez large, en caoutchouc très épais. Il le prit et le posa près de lui sur le lit.
Il se ré intéressa à la cagoule. Il commença à enfiler la cagoule en penchant la tête en avant. Le latex plaquait et tirait sur le dessus de sa tête, là ou il était en contact et tendu. Il continua de mettre la cagoule en place en l'amenant vers l'arrière et le bâillon boule fini par lui appuyer au niveau des lèvres. Il ouvrit un peu la bouche, mais il dut l'ouvrir en grand pour pouvoir mettre le bâillon dans sa bouche. Au même moment, la cagoule finissait de se mettre en place. Julien n'avait pas l'habitude d'ouvrir la bouche si grand, ça le gênait un peu. Mais il se concentra sur le zip pour ne pas coincer des cheveux dedans.
chrislebo

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#6,579
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Voilà. Julien était complètement recouvert par la combinai***. Il regretta de ne pas pouvoir se voir dans le miroir. Il pouvait à peine ouvrir les yeux et ne voyait qu'une lueur rouge. Une autre idée lui vint, il décida de passer la robe accrochée au cintre, il glissa cette dernière par dessus cette combinai***. Il passa ses mains sur tout *** corps et ses membres et sentit que le latex était bien lisse et bien tendu. Cette sensation ne lui déplaisait pas. Il s'assit et sentit la couche, une envie de pipi vint, c'était la première fois qu'il « se faisait dessus », mais rien, aucune sensation de fuites, la couche remplissait *** rôle. Il attrapa la cagoule et commença à la palper pour sentir comment elle se mettait. Julien se dit qu'il aurait dû regarder avant de ne plus y voir et il allait enlever la cagoule quand il se dit qu'il n'avait pas envie et qu'il verrait cela plus tard... Il se souvint d'un anneau, qui devait se mettre vers l'extérieur. Il positionna le collier à *** cou, mais il avait une forme particulière qui ne correspondait pas à *** cou. Il le retourna, ensuite ça allait beaucoup mieux. Il remontait bien sous la mâchoire et remontait bien le long de la nuque. Il mit en place les trois solides sangles dans des pièces qui paraissaient dures. Il ne ressentait pas bien les choses avec ses mains gantées, mais il sentait quand même que les ouvertures étaient de la taille des sangles.
Elles ressortaient de l'autre côté et Julien les tendit en tirant dessus fermement. Il avait un peu trop serré à *** goût et voulu les desserrer. Mais il ne trouva pas de système pour ouvrir. En fait, le collier lui serrait le cou, gênant la respiration, mais sans l'étrangler. Il lui empêchait aussi tous mouvements de la tête. Il commença à paniquer, et il voulu se voiler la face pour un moment en se disant qu'il n'avait qu'à profiter des ces nouvelles sensations et qu'il avait encore le temps pour se libérer. Il se dit que dans le pire des cas, il descendrait à la cuisine à tâtons pour prendre un couteau et couper les sangles. Il s'allongea sur le lit et commença à caresser *** corps. Il aimait vraiment cette sensation de seconde peau. Il avait l'impression d'être un autre.
Il fit glisser ses mains sur ses seins, sa tête, *** ventre, ses cuisses, et *** sexe... Il se mit à se caresser le sexe à travers le latex et la couche, puis ouvrit le zip à partir du nombril, jusqu'à *** entrejambe. Il prit assez vite *** pied, car il était déjà bien excitée. Il finit par s'assoupir.

Quand il reprit ses esprits, il était attaché sur le lit, bras et jambes écartés. Il sentait qu'on lui introduisait quelque chose dans l'anus. Il essaya de se débattre, mais ne pouvais rien faire. Les chaînes étaient bien tendues, le collier minerve l'empêchait de bouger la tête et d'ouvrir la bouche à cause du bâillon. Il poussait des gémissements. Une sorte de sangle large qui faisait le tour de sa taille plusieurs fois et était fixée de chaque côté du lit le serrait atrocement et la plaquait. On lui introduisait maintenant quelque chose dans l'anus. Il entendait une sorte de bruit de pompe à main et sentit l'objet dans *** anus gonfler. Ça gonflait et le dilatait petit à petit, *** ventre se remplissait de liquide. Il finit par se sentir presque déchirée. Le gonflage cessa. Il resta un petit moment comme ça. La per***ne lui mit des pinces aux tétons. Malgré le latex, ça lui faisait mal. Au bout d'un moment, ses tétons paraissaient engourdis et il ne sentait plus la douleur. Mais il sentit que petit à petits, ils étaient tirés vers le haut. Le ballon en lui fut dégonflés mais un gode vint le remplacer. Il resta en place environ cinq minutes, avant d'être changé par un gode de plus en plus gros. Julien prenait *** pied malgré lui. Il se dégoûtait de prendre *** pied, mais c'était tellement bon, qu'il ne cherchait plus à gémir, ni de se plaindre des douleurs au ventre, si ce n'est de plaisir. Bientôt, le gode fut enlevé et ce fut une main qui s'introduisit doigt par doigt dans *** anus. Ce fut plus long et douloureux pour Julien. Julien s'évanouit.

Quand il revint à lui, Julien était toujours sur le lit, mais plus attachée. Il était toujours dans la combinai***. Julien pensa de suite à poser ses mains sur la fermeture du collier, et celui-ci était débloqué. Aux douleurs qui le faisaient souffrir à l'entrejambe, il savait qu'il n'avait pas rêvé. Il se hâta de défaire la combinai***. Une fois la cagoule ôtée de sa tête, il vit qu'il était seul et qu'il portait à l'entre jambes, un énorme paquet de couches, il les enleva et s'aperçu qu'il n'y avait pas que le pipi dans la couche, cela le rebuta. Il se demandait vraiment qui lui avait fait subir toutes ses choses. Il n'y avait aucun bruit dans la mai***, donc per***ne. Julien se rhabilla vite fait et partit en hâte. Sur la route du retour, Julien pensa beaucoup à tout ça, il était fébrile et énervé. Il s'en voulait et en voulait à la per***ne qui lui avait fait ça.

chrislebo

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#6,580
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Les nuits suivantes, Julien fit beaucoup de rêves agités dans lesquels revenait la scène qu'il avait vécue. Le problème pour lui, c'est qu'il avait goûté, malgré lui, à des choses qui le répugnaient, mais en s'imaginant offert et transformé en poupée de latex, il était de plus en plus excité.

La semaine d'après, le même jour, il retourna chez ses amis. Il alla directement à l'armoire pour sortir la combinai***, mais il ne trouva rien d'autre qu'une sorte de ceinture de chasteté équipée d'un gode creux à l'intérieur assez large en diamètre en latex noir avec une large bague métallique à la base, et une cage en forme de pénis métallique à l'avant. Il y avait aussi une cagoule en latex noir assez épais aussi et une paire de gants longs d'un latex rouge. Julien ne résista pas et voulu se sentir dilaté de nouveau. Il enfila les gants, pris la ceinture qui était faite d'une armature métallique et la partie en contact avec la peau était garnie d'une couche de latex épais noir. La ceinture était ouverte. Julien repéra le verrou qui la verrouillait mais vit une clé posée au fond de l'armoire. Il prit la clé et la posa sur le lit près de lui, pour ne pas se faire avoir cette fois ci. Il positionna la ceinture et commença à glisser *** pénis et ses testicules dans la cage métallique, une fois fait, un clic se fit entendre, le tout était dedans. Le gode creux était vraiment large en diamètre, et il y allait doucement. Là, se fut plus dur. *** sexe était maintenant bien dilaté au diamètre du gode, mais *** anus se dilatait de plus en plus au fur et à mesure qu'il poussait le plug dedans. Il eut vraiment mal quand ce fut le diamètre maximum, mais juste après, le diamètre diminua fortement, de manière à se que le plug ne puisse pas ressortir tout seul. Mais de toute façon, il était fixé, comme la cage métallique, à la ceinture de chasteté. Sans trop hésiter, il clipsa la ceinture en la serrant le plus possible. Elle était large et lui faisait une taille très fine. Il se regarda dans le miroir de l'armoire et se fit un sourire très coquin. Il se dit qu'il devait avoir l'air d'une vraie salope comme ça. Il prit la cagoule et l'enfila. Cette cagoule avait des ouvertures aux narines, aux yeux mais elle était aussi équipée d'un bâillon- boule. La cagoule fut dure à mettre, à cause du latex très épais, et elle lui compressait le visage. Mais Julien aimait bien. Il se regarda de nouveau dans la glace. Puis la cache se mit à vibrer doucement. Il le sentit et posa ses mains au niveau de *** sexe pour chercher un interrupteur, mais il n'y avait rien. Les vibrations augmentaient progressivement d'intensité, et en même temps, se fut le plug qui se mit à vibrer, et de plus en plus fort lui aussi.

Julien se précipita sur la clé, mais il n'arrivait pas à la rentrer dans le verrou. Ce n'était pas la bonne clé! Il chercha dans l'armoire quand tout à coup il reçu une petite décharge électrique au niveau de *** sexe. Il se redressa d'un coup. Puis il reçu une autre décharge au niveau de l'anus. Les vibrations étaient très fortes maintenant. Une nouvelle petite décharge. Julien se laissa tomber sur le lit en arrière et essaya de tirer sur la ceinture pour la faire bouger, mais il n'y avait rien à faire. Les décharges étaient de plus en plus rapprochées, un coup au sexe, un coup dans l'anus. Des fois aux deux endroits en même temps. Soudainement, alors que la cage et le gode vibraient plus doucement, il y eut une décharge dans les deux endroits, de six secondes.
Julien se cambra en poussant sur ses cuisses, en mordant le bâillon boule et en gémissant très fort. Quand ça se calma, sa respiration était saccadée, il était en sueur. Il retira la cagoule, mais ne savait pas quoi faire pour la ceinture.
Il rechercha une autre clé, mais ne trouva rien. Il dut se résigner à remettre ses habits par dessus pour vite se sauver de là. Il était venu avec un pantalon jogging en lycra blanc et assez transparent, un slip dessous et un petit débardeur en lycra moulant bleu qui s'arrêtait au dessus du nombril. Il ne remit pas *** slip mais à la place un couche culotte par dessus la ceinture, enfila le débardeur et le pantalon. Non seulement la couche se voyait au travers, mais en plus elle dépassait largement au niveau de la taille. Julien voulu courir de la mai*** à sa voiture, mais avec la couche et la ceinture, ça n'était pas bien possible. Il marcha vite.

chrislebo

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#6,581
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Au moment où il allait ouvrir sa voiture, une autre voiture se gara juste à côté de la sienne. C'était la fille d'une voisine, qui avait à peu près *** âge. Il ne se connaissait que de vue. Julien lui esquissa un sourire et fit un petit signe de la main, et il vit que la jeune fille regardait ses fesses et la couche avec un sourire narquois. Julien se glissa vite dans sa voiture, démarra et partit sans demander *** reste. Il priait pour que le système ne se mette pas en marche quand il conduisait. Mais il put rentrer chez lui sans "encombres". Il se hâta dans l'immeuble, s'arrêta dans le hall pour relever *** courrier, il avait des lettres et un colis. Il entra dans l'ascenseur pour monter chez lui. Au moment où la porte se ferma, il reçu une décharge dans l'anus assez violente, puis les deux appareils se mirent à vibrer au maximum. Julien cria et se cambra, dos à la paroi. Heureusement, il n'y avait per***ne d'autre dans l'ascenseur. Les vibrations continuaient, mais Julien serrait les dents et put atteindre *** appartement. Au moment où il ferma la porte, les vibrations s'arrêtèrent, mais il reçut une nouvelle décharge au sexe. Puis plus rien.
Julien souffla un instant et chercha quelque chose pour crocheter le verrou. A chaque fois qu'il essayait, avec des trombones ou des épingles, il recevait des décharges. Il finit par se laisser tomber sur le canapé et se mit à pleurer. Il s'en voulait d'avoir cédé à la tentation comme ça. Puis il se dit qu'il fallait qu'il se calme, qu'il pense à autre chose avant de s'énerver et de faire n'importe quoi. Il allait réfléchir pour trouver une solution. Il se força à s'intéresser à *** courrier. Des factures et des publicités. Comme d'habitude.
Et le paquet. Il n'avait rien commandé. Il l'ouvrit, et sur le dessus, il y avait un DVD et l'inscription "à lire en premier". Il le posa à côté puis sortit un sachet blanc avec quelque chose dedans. Il l'ouvrit. Il reconnu la matière au toucher. Il en sortit un habit en latex transparent qu'il déplia.
C'était une combinai***. Elle couvrait tout le corps, les mains et les pieds et remontait bien au cou. Julien prit le DVD et le mis dans lecteur intégré à sa télé. Une vidéo se mit en route. Il resta bouche bée quand il se reconnu. Il avait été filmé la semaine dernière chez ses amis. On le voyait se déshabiller et s'habiller en latex, s'allonger sur le lit, se caresser et jouir. Ensuite un texte défila à l'écran. Le message lui disait qu'il avait été filmé la semaine dernière et s'il était venu aujourd'hui il avait de nouveau été filmé. Il lui disait aussi que pour éviter que ces vidéos ne tombent entre les mains de ses parents, il devait mettre les habits en latex qu'il recevrait, même en public; il n'y avait rien d'autre comme contrainte. Le message expliqua pour finir que si il avait essayé la ceinture de chasteté aujourd'hui, il trouverait la clé au fond scotchée du paquet. Il se jeta sur le carton et prit la clé. Il ouvrit la ceinture et s'enleva doucement le plug et sorti *** sexe endolori de la cage.
L'écran qui était resté noir à la fin du message en afficha un nouveau, lui ordonnant de mettre uniquement la combinai*** qu'il avait reçu, un jogging noir ainsi qu'un polo noir sans manche. Avec ça, il devait mettre des tennis. Il devait se rendre accoutrée ainsi dans une certaine boutique où des chaussures plus adéquates avaient été commandées à *** nom. Julien hésita, puis se déshabilla. Une fois nue, il enfila la combinai***. Elle avait déjà été enduite de cette huile siliconée qui la rend brillante. Julien alla se voir dans le miroir de la salle de bain. Il avait sur lui une seconde peau en plastique. Ça l'embêtait de le reconnaître, mais il se trouvait bien dedans. Il se caressa.
Une fois qu'il eut jouit, il se mit à la recherche d'habits correspondants le plus à ce qui lui été demandé de porter. Il se regarda dans le miroir. Il se trouvait hyper sexe, limite vulgaire, mais se qu'il n'aimait pas, c'est que la combinai*** et la brassière lui aplatissaient trop le sexe, déjà petit.
chrislebo

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#6,582
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Il s'en alla à la boutique. Il dut traverser quelques rues. Il eut droit à quelques sifflets et railleries de gars assis en terrasse de bars, il sentait les regards vicieux des hommes et ceux accusateur des femmes sur elles.

Il entra dans la boutique dans laquelle il n'était jamais venu. La vendeuse l'appela pourtant de suite pas *** nom et *** prénom. Elle lui demanda de s'asseoir et des quitter ses tennis pendant qu'elle allait chercher ce qu'elle avait pour lui. Elle revint quelques instants après avec une grande boite. Elle en sortit des sortes de cuissardes qui étaient plus un mélange de talons aiguilles et de bas en latex noirs. La vendeuse lui fit essayer. Elle l'aida à les enfiler. Vu qu'elles étaient déjà latexées, c'était assez facile à mettre. La vendeuse ne paraissait pas choquée de voir Julien dans cette tenue. Elle était habillée d'une robe longue en lycra. Julien voyait par transparence qu'elle avait dessous un string noir et une brassière noire. Quand la vendeuse se pencha, Julien aperçu par l'ouverture du dos nu que la brassière était en latex... Voilà pourquoi elle n'était pas choquée de voir quelqu'un avec cette matière. Les bas en latex des cuissardes remontaient jusqu'en dessous de fesses.
Ils étaient mats. La vendeuse prit un aérosol et pulvérisa de l'huile siliconée dessus. Julien senti le froid. La vendeuse étala l'huile en massant le latex avec ses mains. La vendeuse lui dit de marcher un peu pour voir si ça lui allait. Julien n'était pas très à l'aise avec les talons très hauts et très fins. Il était obligé de se cambrer, et sa démarche faisait vulgaire. Il fit quelques pas et la vendeuse lui dit qu'ils devaient aller dans l'arrière boutique car elle avait autre chose à lui remettre. La vendeuse passa devant et Julien la suivit, du mieux qu'il put. Elle ouvrit une porte métallique qui paraissait lourde et entra, suivie de Julien. C'était une sorte de couloir qui menait à une pièce plus grande. Dans la pièce, il y avait deux fauteuils, dans laquelle la vendeuse invita Julien à s'asseoir. Elle lui servit un verre de jus d'orange et sorti une pochette plastique. Elle s'assit face à Julien et ouvrit la pochette. Elle en sorti un corset en latex très épais noir et rouge. Julien devait le mettre avant de repartir. Elle aida Julien à quitter *** jogging et polo, et lui mit le corset par dessus la combinai*** transparente. Elle lui fit rentrer le ventre et souffler pour le creuser le plus possible. La vendeuse serra tellement la taille que Julien avait du mal à respirer. La vendeuse lui dit qu'il allait vite s'y habituer. Julien commença à se sentir fatiguée, ses paupières devinrent lourdes. Il regarda le jus d'orange, puis la vendeuse.
Celle-ci laissa glisser sa robe à ses pieds. Elle était en sous vêtements en latex. Julien la vit sortir une seringue et des outils d'un tiroir et elle piqua le bras de Julien, qui sombra dans un sommeil profond.

Quand il émergea, Julien ne voyait pas grand chose. Il comprit qu'il avait une cagoule en latex sur la tête. Cette cagoule avait de petites perforations au niveau des yeux, des narines et de la bouche. Il commença à se redresser mais il sentit une douleur au niveau de sa poitrine. Il perdit connaissance. Quand il se réveilla réellement, il avait toujours la cagoule. Il se redressa pour se relever et il sentit sa poitrine lourde. Il regarda et toucha ses seins, une vraie poitrine de femme, ils étaient devenus gros comparés à leur taille normale, et à chaque téton pendait un anneau. Julien cria. La porte de la sorte de chambre sans fenêtre où il se trouvait s'ouvrit. La vendeuse entra, mais dans une tenue d'infirmière en latex blanc. Elle expliqua à Julien que pour pouvoir continuer, elle avait du subir quelques transformations, mais que d'autres viendraient. Julien demanda ce qu'elle entendait par continuer, et qu'il ne voulait pas continuer quoi que ce soit.

chrislebo

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#6,583
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Calmement, la vendeuse infirmière lui répondit qu'il n'avait plus le choix maintenant, qu'il était rentrée dans une longue spirale qu'il l'amènera à la perfection. Elle aida Julien à se lever et l'emmena devant un grand miroir.
Julien avait aux pieds des ballets boots. Il avait beaucoup de mal à marcher. Il découvrit *** nouvel aspect. Julien était nue, mis à part la cagoule. Elle observa *** corps. Ses seins avaient été gonflés et percés, à la place de *** pénis : un sexe de femme, aux lèvres de *** sexe pendaient une multitude d'anneaux, et sa taille était aussi fine qu'avec le dernier corset qu'on lui avait mis, sauf... qu'il n'avait pas de corset! Julien se débattit et voulu s'enfuir en courant, mais les ballet boots la gênait trop. Un homme entra. Il était très musclé et portait un boxer ainsi qu'un débardeur avec cagoule intégrée en latex noir. Il saisit Julien et l'emmena jusqu'à une sorte de lit et avec l'aide de l'infirmière ils l'attachèrent. Le lit pouvait pivoter et se redresser. Julien se retrouva bientôt vertical, face à un autre grand miroir.
L'homme sortit d'un tiroir une série de poids. L'infirmière expliqua à Julien, "du moins maintenant c'était Julie *** prénom", qu'il allait tester la solidité de ses anneaux et que si elle avait mal elle pouvait toujours crier, mais que l'endroit était parfaitement in***orisé. L'homme accrocha des poids aux anneaux des seins, puis à chacun des anneaux des lèvres de *** sexe. Après avoir torturé un moment Julie, l'infirmière lui fit une injection. De nouveau le noir.

Quand elle reprit conscience, Julie se découvrit des seins de la taille de gros melons. La peau était distendue, les anneaux toujours là. Sa taille était encore plus fine, et les lèvres de *** sexe n'avaient plus d'anneaux, mais étaient...
cousus !

Julie se trouvait encore dans le lit vertical. Elle hurla. L'infirmière arriva.
Elle portait une combinai*** en latex bleu avec des ouvertures aux seins. Des seins généreux en sortaient, percés eux aussi. Elle lui expliqua qu'elle avait profité de la chirurgie elle aussi. Ensuite elle lui expliqua qu'elle allait lui enlever sa cagoule pour lui montrer *** nouveau visage, car ils lui avaient apporté quelques petites retouches esthétiques d'une part, mais aussi pour lui couper l'envie de rentrer chez elle et de se plaindre. Elle enleva délicatement la cagoule. Julie n'en cru pas ses yeux. Elle avait l'impression de voir quelqu'un d'autre. Ou plutôt quelque chose d'autre... Elle n'avait plus un cheveux ou un poil nul part. *** crâne était lisse. Ses sourcils n'existaient plus, ses paupières avaient été comme taillées, ses yeux paraissaient globuleux et ronds, comme les poupées. Elle ne pouvait presque plus les bouger. Sa bouche avait été transformée aussi. Elle n'avait plus aucune dent et ses lèvres avaient tendance à dessiner un "O" tous seuls. Elles avaient été gonflées. A *** nez pendait un anneau planté dans la paroi nasale. Elle était méconnaissable.
L'infirmière lui expliqua que ses tendons d'Achille avaient été sectionnés pour qu'elle ne puisse pas courir et que si elle criait trop, ses cordes vocales subiraient le même traitement. Elle lui dit qu'il ne restait plus qu'une étape.
L'homme musclé arriva et détacha Julie. Il lui mit un collier de chien, y accrocha une laisse et la traîna derrière lui. Elle avait vraiment du mal à marcher. Elle devrait toujours se déplacer avec ces ballets boots maintenant.
L'homme l'entraîna dans un couloir. L'infirmière les suivait. Ils s'arrêtèrent devant une grande vitre. Il y avait un homme à quatre pattes dans la pièce.
Julie reconnu *** ami. L'infirmière expliqua que c'était un de ses esclaves depuis longtemps et qu'il était chargé de lui ramener des sujets compatibles à ses projets et qu'elle allait le remercier tout de suite de lui avoir apporté Julie sur un plateau. *** beau-père était dans une combinai*** en latex noir, il n'y avait que sa tête qui n'était pas recouverte. Il avait un bâillon-boule dans la bouche. L'infirmière entra dans la pièce et Julie la vit prendre un gode ceinture. Le gode était énorme. Elle se le mit puis elle vint se placer à genoux devant l'homme à quatre pattes. Il lécha le gode et le mouilla de sa salive.
Elle se leva et vint se positionner de nouveau à genoux derrière lui. Elle pressa le bout du gode contre *** anus et commença à le pénétrer doucement.
Julie se rendit compte qu'il devait vraiment en avoir l'habitude car le gode d'un diamètre énorme rentra facilement dans *** anus. Elle accéléra la cadence jusqu'à le secouer vraiment.

chrislebo

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#6,584
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L'homme musclé tira Julie par la laissa stoppant net cette vision. Il l'amena dans une pièce dans laquelle se trouvaient des appareils et un grand cylindre avec une partie vitrée. Il enleva le collier à Julie et ses ballet boots. Il lui mit des gants et des chaussettes en latex rouges. Sur la tête, il lui mit une cagoule rouge elle aussi mais elle était anatomique. Elle épousait les formes de sa tête, de sa bouche, de ses yeux. Du plafond descendait un tuyau souple dont il lui mit l'embout dans la bouche. Il mit des sortes de petits bouchons dans les narines et lui apposa sur les yeux des sortes de lunettes de natation, mais sans lanières. Il lui accrocha ensuite les pieds en position jambes écartées à des anneaux fixés au sol, et les bras à des chaînes qui pendaient accrochés à niveau d'épaule au murs de chaque côtés. Julie était donc bras et jambes écartés et respirait par le tube. Avec un ******** à peinture, il lui enduisit ensuite le corps d'une couche de latex liquide rouge. Julie resta ensuite plusieurs heures suspendue, quand l'homme revint remettre une couche. Julie était maintenant complètement recouverte de latex rouge. Dans les moindres recoins.
Quand le latex fut sec, l'homme vint avec l'infirmière et ils détachèrent Julie.
Ils l'installèrent dans le caisson cylindrique. Ils changèrent les sortes de lunettes de Julie, lui remirent un autre tube qui venait du caisson dans la bouche. Ils lui dirent de bien rester au centre du cylindre, que ça n'allait pas durer très longtemps. Julie entendit une sorte de turbine se mettre en route doucement. Cela dura un petit moment, puis il y eu une sonnerie et l'homme appuya sur un gros bouton rouge. A ce moment, une violente rafale d'air extrêmement chaud traversa le cylindre. Puis un liquide tiède envahit de suite après le caisson. Julie crut mourir. Elle resta un moment dans le liquide où elle sombra dans l'inconscience.

Quand elle se réveilla, elle était sur le lit. L'infirmière vint l'aider à se lever et l'amena devant le miroir. Elle lui expliqua que maintenant sa peau et le latex avaient fusionné, qu'elle serrait comme ça le restant de sa vie. Julie se regardait, elle était devenue une poupée de latex vivante. Le latex faisait partie d'elle. Elle lui expliqua aussi que maintenant le sexe lui était interdit, ses lèvres avaient été cousues, mais elle pouvait toutefois toujours uriner. Les seuls plaisirs qu'on lui laisserait si elle le mérite, seraient la sodomie où de sucer des queues d'hommes ou autres... Julie, qui avait toujours eu un comportement plus ou moins soumis accepta rapidement sa nouvelle condition et fut rééduquée en tant que poupée sexuelle vivante...
chrislebo

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#6,585
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Le Détective


Je m'appelle Eric. J'ai 55 ans, je suis divorcé. Pendant plus de 25 ans, j'ai été flic. Aujourd'hui, j'ai ouvert une agence de détective privé... Enfin, agent privé de recherche, c'est la dénomination officielle. J'enquête sur l'espionnage industriel, les per***nes disparues et bien sur les femmes, ou maris, infidèles. Justement, la femme que je suis en train de suivre aujourd'hui a un amant. Du moins, c'est *** mari qui le pense et il m'a demandé d'amasser des preuves. Elle s'appelle Caroline, 41 ans. Très belle. Blonde, grande, fine et élancée. Très bourgeoise. Je suis en train de la suivre au volant de ma voiture depuis *** départ de chez elle. Elle habite un superbe hôtel particulier en plein cœur du XVIème. *** mari est avocat international, pas souvent là, mais des revenues confortables, très confortables. Elle stoppa et fit un créneau garant sa BMW Cabriolet. Je fis de même, trouvant une place par miracle! Je m'emparais de mon appareil photo numérique équipé d'un puissant téléobjectif. J'allais devoir prendre des preuves de l'adultère. Enfin si adultère, il y avait. Caroline ouvrit la portière et descendit de *** cabriolet exhibant par la même occasion ses jambes gainées de noirs. Sa jupe se retroussa dévoilant des cuisses fuselées. Elle referma la portière et se dirigea vers un café. Ses talons aiguilles claquant sur le trottoir. Elle s'assit à la terrasse du café et croisa les jambes. Je traversais la rue et entrais dans l'immeuble en face du café. J'avais une vue superbe sur Caroline et malgré la distance, grâce à mon télé, je ne pouvais pas rater les photos. Il ne me restait plus qu'à attendre...


Je n'attendis pas longtemps. Un type grand, la quarantaine sportive, élégant, vint s'asseoir à coté d'elle. Ils s'embrassèrent fougueusement. Caroline lui prenant la nuque. Clic, première photo, première preuve, ça commençait très bien. Le garçon s'approcha et ils commandèrent des cafés. Le type posa une main possessive sur la cuisse de Caroline et remonta la main. Caroline pouffa et je la vis distinctement poser sa main sur la sienne pour l'arrêter. Mais le bellâtre n'a pas l'air d'accord du tout. Il continue, remontant la jupe le plus haut possible. J'aperçois l'attache d'un porte-jarretelles. Le garçon revint à ce moment là et je fus persuadé, à voir sa tête, que lui aussi, il avait vu. Caroline repoussa précipitamment la main de *** amant. Elle est toute rouge. L'homme l'embrasse de nouveau, ses mains ***t vraiment baladeuses. Je n'en perds pas une miette et je commence à avoir la trique. Caroline décroisa ses jambes, visiblement à la demande de *** amant, et elle entrouvrit légèrement les cuisses. Je n'en pouvais plus! Quelle salope! Soudain, l'homme se leva et prenant Caroline par la main, il l'entraîna dans le café!

chrislebo

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#6,586
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Je restais un instant décontenancé, merde... Je fais quoi moi maintenant? Je sortis de l'immeuble et me précipitais vers le café. J'allais voir le garçon.
- Dites moi, le couple qui était en terrasse...
Il m'interrompit avec un clin d'œil...
- La bourgeoise qui montre à tous le monde qu'elle a un porte-jarretelles?
Je lui adressais un sourire complice...
- Elle même...
- Ils ***t descendus en bas, aux toilettes...
Je descendis le plus silencieusement possible les escaliers. J'arrivais aux dernières marches quand j'entendis Caroline chuchoter:
- Non attends! Tu es fou, on pourrait venir...
- Je m'en fous, j'ai trop envie, ma chérie...
Je jetais un rapide coup d'œil. Caroline se débattait dans les bras de *** amant, qui tentait de lui relever sa jupe... Il appuya sur ses épaules et elle se retrouva accroupi devant lui, exhibant *** cul.
Elle s'activait de ses doigts manucurés sur la braguette du pantalon de *** amant et elle en sortit *** sexe déjà gonflé.
- Suce moi, caroline...
- Oh, Alain, qu'est ce que tu me fais faire....
Elle ne semblait pas spécialement choquée ceci dit... J'étais caché par un pan de mur et je commençais à mitrailler. Caroline engouffra la bite d'Alain dans sa bouche. Ses lèvres rouges s'arrondissant autour du sexe. Les joues déformées par l'épaisseur, elle commença la fellation. Sa tête montant et descendant sur la bite dressée. Alain appuyait sur la tête de Caroline qui avalait entièrement la queue de *** amant. Il donnait des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans sa bouche.
- Vas y ma chérie, suce moi...
Caroline gloussa et le pompa avec encore plus d'énergie. Je prenais des tonnes de photos et je bandais comme un cerf. Caroline sortit le sexe de sa bouche et lui titilla le gland avec sa langue. Elle lécha la hampe et replongea dessus, salivant sur la bite. De *** autre main, elle lui malaxait les couilles. Soudain, Alain la releva et la poussa vers le mur. Elle poussa un petit cri quand farfouillant sous sa jupe, ses doigts s'enfoncèrent dans sa chatte. Il faisait coulisser *** index et *** majeur et Caroline secouait la tête de droite à gauche en gémissant. Puis, s'accroupissant devant elle, il entreprit de lui lécher la fente la faisant gémir de bonheur. Elle posa sa main sur la tête de *** amant. Le salaud lui bouffait la chatte. Ma petite bourgeoise gémissait sans discontinuer. Alain se releva et de nouveau poussa Caroline vers le lavabo. Il la courba en avant, releva la jupe autour de sa taille et l'embrocha d'un coup arrachant un cri rauque à Caroline. Les mains posées sur ses hanches, il se mit à la pilonner violemment. Je photographiais Caroline en train de se faire défoncer par *** amant dans ces toilettes sordides. Le mari allait apprécier... Alain pilonnait Caroline qui poussait des feulements, ondulant de la croupe. Le ventre de *** amant venait claquer contre ses fesses qui tressautaient à chaque coup de reins. Il accéléra soudain la cadence la faisant gémir encore plus fort et il sortit précipitamment, retournant Caroline qui s'accroupit d'instinct et avala le sexe de *** amant. Elle le pompa quelques minutes et il éjacula avec un grognement lâchant sa semence dans sa bouche.

chrislebo

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#6,587
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Ayant photographié toute la scène, je remontais précipitamment et tout aussi discrètement les escaliers. J'étais content de moi. J'avais la preuve que Caroline avait un amant. *** mari allait être ravi... Enfin, si on peut dire...J'attendais la sortie du couple adultère. Caroline ne tarda pas, elle c'était refait une beauté, redevenant une sage bourgeoise bcbg, femme aimante et mère de famille exemplaire. Elle regagna *** Cabriolet et repris la route de *** hôtel particulier. Je la suivais, encore sous le choc de ce que je venais de voire. Bandant comme un fou, je ne rêvais que d'une seule chose: baiser à mon tour cette superbe bourgeoise....


Caroline rentra chez elle directement; J'attendais un peu dans mon véhicule. Hésitant sur la conduite à tenir. Bien sur, je devrais rentrer chez moi, écrire mon rapport pour le mari cocu et lui remettre... mais... Il y avait peut être une autre solution qui s'offrait à moi. Je pris ma décision et je montais voir Caroline.

Elle ouvrit et sembla surprise en me voyant.
- Monsieur?
- Bonjour madame, dis je d'un ton poli, je suis détective privé, puis je entrer?
Elle resta un instant immobile, figée...
- Détective? Mais...
- Comme à la télé oui, je peux?
Et je rentrais, la poussant presque. Elle protesta énergiquement.
- Mais pour qui vous prenez vous, enfin!
- C'est votre mari qui m'a engagé.
Je la vis distinctement blêmir sous *** maquillage. Elle balbutia:
- Comment, mon mari? Mais... Je ne vois pas... Pourquoi...
- Vraiment? Vous ne voyez pas chère madame dis je avec un sourire en coin.
Je lui montrais les photos sur l'écran de mon appareil. Je crus qu'elle allait s'évanouir.
- Votre époux va être très déçu de votre attitude, il est très amoureux. Il demandera le divorce, tous les torts seront pour vous, vous n'aurez pas de pension alimentaire...
- Que voulez vous? demanda t'elle d'une voix blanche...De l'argent?
- Non, c'est vous que je veux...
Elle recula terrorisée.
- Comment ça?
- Je veux vous baiser!
Elle me regarda, essayant sans doute de voir si j'étais sérieux ou non. Mon expression dut la convaincre que je ne plaisantais pas.
- Obéit! Si tu ne veux pas que ton mari reçoive mon rapport et qu'il continue de croire que t'es une bonne épouse.
Blanche comme un linge, Caroline remonta sa jupe dévoilant le porte-jarretelles. Elle ne portais pas de string sous sa jupe.
- Pas de sous vêtements? Déjà prête pour se faire enfiler, t'es une vraie salope...
Elle rougit violemment mais ne dis rien. Je lui demandait de marcher dans l'immense salon. Ses talons claquaient sur le parquet. Puis elle dut ouvrir *** chemisier de soie dévoilant ses seins empri***ner dans un soutient gorge en satin. Je prenais des photos d'elle. Cambrée sur la table, cul à l'air. A genoux, langue pendante. Cambrée sur ses talons, ouvrant *** cul à deux mains. Puis, je la poussais vers un guéridon et la cambrait en avant. Je sortis ma bite et l'enfilais sans ménagements. Elle poussa un gémissement. Je la défonçais comme un fou, haletant, lui donnant de furieux coups de reins. Caroline gémissait et le guéridon grinçait. Trop exciter, je ne tardais pas à jouir, lâchant mon sperme sur ses cuisses et ses bas de luxe.


Je me rajustais et Caroline se releva. Elle voulut baisser sa jupe mais je l'en empêchais. Je l'obligeais à me raccompagner sur le palier, jupe troussé, seins à l'air, mon foutre souillant ses cuisses.
- A bientôt, Caro.
Paniquée, elle gémit:
- Mais... Vous ne me donner pas les photos?
- Pas tout de suite... On va se revoir, une salope comme toi, je ne vais pas te laisser tranquille. On va bien s'amuser, ma chérie. A partir de maintenant, t'es disponible pour moi, quand je veux, ou je veux et surtout avec qui je veux....
Je partis dévalant les escaliers abandonnant cette femme de bonne famille, respectable et respectée que je comptais bien transformer en pute....


chrislebo

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#6,588
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Maintenant que je tenais cette salope de bourge, je comptais bien lui en faire baver. Les affaires n'allaient pas très fort en ce moment et je commençais à me dire que j'allais me lancer dans une activité beaucoup plus lucrative. Caroline pouvait me ramener un max de blé après un dressage intensif... Et le dressage allait commencer tout de suite. Je montais chez elle et ***nais à sa porte. Elle devint blanche en me reconnaissant et j'entrais. Elle se tenait devant moi les bras ballants. Elle portait un pull fin moulant sa poitrine et une jupe courte sur des bas couleurs chair.
- Bien dormi Caro? demandais je, ironique.
Elle me fusilla du regard mais ne répondit pas. Je sortis une caméra numérique et lui montrait.
- Tu sais que je possède des clichés compromettants, n'est ce pas? Si tu ne veux pas que ton mari les retrouve sur *** bureau, tu devras m'obéir. Tu feras tout ce que je te demande sans rechigner.
Elle baissa la tête et bafouilla...
- Oui...Je ferais tout ce que vous voudrez...
- On va commencer par faire un film!
Elle rougit violemment.
- Marche un peu dans le salon, ondule du cul, comme une chienne en chaleur...
Elle obéit et elle avança dans *** salon pendant que je la filmais.
- Retrousse ta jupe...
Elle s'exécuta et j'arrêtais net de filmer!
- T'as mis des collants! Viens par ici.
Effrayée, elle s'approcha de moi, j'avais parlé d'un ton sec et elle appréhendait ce qu'il allait lui arriver. Je l'agrippais par les cheveux et l'emmenais vers le guéridon ou je l'avais baisée hier. Je lui fessais le cul violemment à travers le nylon. Elle criait, sanglotant. Je lui déchirais *** collant qui se retrouva en lambeaux.
- je t'interdis de mettre des collants sauf sur mes ordres! Que des bas et des porte-jarretelles! Pareil pour les sous-vêtements, que sur ordre. Tu dois toujours être disponible, comme une bonne putain... D'ailleurs vient par ici, montre moi ta chambre, je vais faire le tri dans tes fringues...
Elle se releva et me conduisit vers sa chambre à coucher.
Dans le couloir, j'aperçu la laisse d'un chien posé sur une petite table.
- t'as un chien?
Elle me regarda, surprise.
- Euh...Oui, Milou.
- Il est ou?
Je venais d'avoir une idée.
Caroline cria et *** chien apparut, remuant la queue. C'était un épagneul noir. Il grogna en me voyant mais des que je lui caressai la tête, il se calma. Je me penchais et lui enlevais *** collier.
- Tiens salope, maintenant, c'est toi la chienne.
Je mis le collier autour du cou de Caroline et lui accrochait la laisse. Elle baissa les yeux, honteuse.
- Allez! A quatre pattes, comme une chienne!
Elle réprima un sanglot et s'exécuta. Je tirais sur la laisse et elle me suivit la jupe troussée dévoilant *** cul. Milou nous suivait et par moment je le voyais qui essayait de renifler le cul de sa maîtresse.
Nous montons les escaliers, ce qui ne fut pas évident pour chienne Caroline qui peina. Je lui fessais le cul avec la laisse pour la faire accélérer. Elle gémissait de honte et de dégoût chaque fois qu'elle sentait la truffe de Milou reniflant *** cul ou sa fente.
- Oh...Je vous en supplie, écartez mon chien ...
- Pourquoi, il a droit à *** petit plaisir lui aussi...
Nous arrivons dans sa chambre et je me dirige vers sa penderie. Je fais le tri rapidement dans ses vêtements. Je jetais d'office tous les pantalons, je ne la voulais plus qu'en jupes. Je jetais également les jupes trop longues. Je jetais aussi tous les sous-vêtements qui n'étaient vraiment pas sexys. Dieu merci, ils n'y en avaient pas beaucoup. Caroline appréciant visiblement la lingerie fine. Idem pour les chaussures, je me débarrassais de tout ce qui n'était pas des talons aiguilles...
Ce fut Caroline elle-même qui dut aller chercher un sac poubelle et y fourrer tous ses vêtements. Nous redescendons ensuite l'escalier. Caroline toujours tenue en laisse, tenant entre ses dents le sac poubelle.
chrislebo

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#6,589
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Revenue dans le salon, je veux terminer mon film. Je donne des instructions à Caroline.
- Retire ta jupe et ton pull. Dis-je tout en filmant.
Elle retira sa jupe dévoilant ses jambes fines et se débarrassa des restes du collant déchiré. Elle se retrouva en soutien-gorge devant moi.
- Enlève moi ça!
Elle passa les mains dans *** dos pour dégrafer le sous-vêtement. Ses seins apparurent ronds et fermes.
- Tire sur tes pointes!
Elle obéit, se mordant les lèvres tous en se pinçant les bouts. Ses pointes devinrent vite rouges.
- Retire ton slip maintenant...
Elle ôta *** slip ne se retrouvant plus qu'avec ses talons aiguilles. Elle tenta dans un geste de pudeur de cacher sa fente.
- Enlève tes mains! Mets les sur ta tête!
Elle n'eut pas la ***** de résister et elle se retrouva les mains sur la tête s'exhibant sans retenue.
Je filmais en gros plan sa chatte. Elle voulut serrer ses cuisses et je lui ordonnais de les écarter.
- Accroupis toi, montre tout.
Je lui fis tirer sur ses poils et écartés ses lèvres intimes. Elle s'exécuta en hoquetant de honte... Elle plongea ses doigts dans sa fente et les retira, les montrant à la caméra. Ils étaient humides...
- Tu mouilles ma salope! ça te plaît d'être exhibée comme une pute...
Je lui fis prendre des positions obscènes. Debout, jambes écartées au maximum, dévoilant sa chatte. Penchée en avant pour je puisse filmer *** trou du cul. Allongée sur le sol, jambes relevées et bien écartées exposant ses lèvres intimes. Je lui ordonnais de se toucher la chatte et elle réprima un sanglot, me suppliant de lui épargner cette ***********.
- C'est justement de t'humilier qui me fait bander, alors obéit!
Caroline se caressa devant la caméra, s'enfonçant deux doigts dans *** vagin et massant du pouce *** clitoris. Elle gémissait, trempée.
- Arrête toi salope! Tu vas jouir...
Caroline s'arrêta, le souffle court. Je lui ordonnais de se relever et lui palpait le corps sous toutes les coutures. Enfonçant mes doigts dans sa fente, *** trou du cul puis dans sa bouche. Elle salivait sur mes doigts. Je triturais ses seins, jouant avec, suçant les bouts. Je la tirais par la laisse et la forçait à se mettre à quatre pattes sur la table basse du salon. Je positionnais la caméra de façon à filmer Caroline. Celle-ci attendait, passive, soumise. Je la cambrais en avant et touchai sa vulve, étirant ses lèvres. Elle poussa un gémissement. Je me dégrafais sortant mon sexe qui me faisait mal tellement il était dur. Je m'enfonçais dans sa fente et Caroline poussa un petit cri. Je la pris par les cheveux et je la limais ***********. Mon gros ventre allait buter contre ses fesses. Ses seins ballottaient. Je fis encore plusieurs va et vient et je ressortais brusquement. J'enfonçais mon index dans *** anus et Caroline tressailli.
- Non, non... Pas ça, je vous en supplie, je n'ai jamais été...
J'éclatais de rire.
- T'as jamais été enculée? Tu vas voir, tu vas adorer!
Je tournais mon doigt dans *** trou du cul, le faisant coulisser de plus en plus vite. Je pointais mon gland sur l'ouverture des reins et je la pénétrais d'une ******* poussée la faisant crier de douleur. La tenant solidement aux hanches, je la ramonais violemment. J'entendais les halètements de Caroline. Je ressortais ma bite et replongeait dans le cul de cette bourgeoise friquée avec un plaisir sadique. Elle ondulait du bassin, bougeant ses reins, s'empalant d'elle même sur ma queue. Elle secouait la tête dans tous les sens, gémissant sans discontinuer. Sentant le plaisir monter dans mes reins, je sortis précipitamment et allait devant le visage de Caroline. J'éjaculais, lâchant des traînées de sperme qui allèrent s'écraser sur *** front et *** nez...


Je lui ai dit que j'allais mettre le film sur internet et elle a eu l'air terrifiée. Pour y avoir déjà été, je savais qu'il existait des sites ou on pouvait prendre contact avec des mecs pour des gangs-bangs ou des soirées d'abattage, je comptais bien y emmener chienne Caroline pour sa formation avant de la mettre sur le trottoir... Il faudrait que je mette aux points les tarifs... Je lui demandais *** numéro de téléphone portable pour la joindre plus facilement. Elle me le donna sans protester...
chrislebo

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#6,590
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Le lendemain, je laissai tranquille Caroline ce qui me permis de créer un blog sur le Net que j'intitulais « Chienne Caroline ». Je mis en ligne les photos et le film. Je mettais également une annonce pour recruter des mecs de toutes races, du moment qu'ils étaient TBM, très bien montés... J'indiquais également que je recherchais des endroits tel que cave, entrepôt, sauna, bar, pour y organiser des soirées d'abattage. J'appelais ensuite un pote à moi, Franck qui travaillait dans un commissariat de quartier. Je l'avais connu quand je faisais encore parti de « la Grande Mai*** ». Nous nous entendions bien tous les deux à l'époque surtout pour aller sauter les putes qu'on embarquait sans vraiment leurs demander leurs avis. On en avait même racketté quelques unes. C'est suite à une plainte de l'une d'entre elles que j'avais du quitter la Police, mais je n'avais jamais dénoncé Franck.



J'ai donné rendez vous à Franck chez moi. Il débarque et je lui montre sans tarder le blog.
- C'est qui? Tu la connais? me demanda-t-il en matant le film mettant en scène Caroline.
Je lui expliquais toute l'histoire.
- Ca doit très excitant de soumettre une bourgeoise des beaux quartiers, me lança t'il.
- Tu vas pouvoir t'en rendre compte par toi même, je vais l'appeler...
Je composai le n° du portable de Caroline. Elle répondit très vite.
- Salut salope, tu t'habilles sexy et tu viens chez moi immédiatement...
J'entendis Caroline bafouiller des excuses.
- Mais... Mais, ce n'est pas possible, j'ai déjà des rendez vous...
- Tu les annules! Tu mettras le tailleur noir sexy que j'ai vu dans ta penderie hier, aucuns sous-vêtements à part un porte-jarretelles. Et tu amèneras ta laisse et ton collier...
Je lui donnai mon adresse dans le 1er arrondissement.



La ***nerie de la porte d'entrée retentit à 14h précise. J'allais ouvrir. J'avais déjà installé la caméra de façon à tous filmé. Franck était complètement excité à l'idée de baiser une bourgeoise salope...
Caroline entra vêtu de *** tailleur noir cintré. Ses longues jambes gainées de bas fumés émergeaient de la jupe courte. Ses talons aiguilles vernis la faisaient paraître encore plus grande. Elle s'était fais un chignon la rendant encore plus distinguée. Je la détaillais de haut en bas ce qui fit rougir Caroline.
- Soulève ta jupe!
Elle me regarda, affolée, jetant un œil vers Franck qui l'observait, goguenard.
- T'inquiète! C'est un copain...
Elle baissa la tête et leva lentement la jupe de *** tailleur chic dévoilant des bas accrochés aux jarretelles. Elle retroussa sa jupe entièrement, elle ne portait pas de string.
Je jubilais intérieurement! Elle m'avait obéit...
Franck s'approcha de Caroline et lui posa la main sur les fesses. Caroline sursauta et tenta de se dégager.
Fou de rage, je me jetais sur elle, l'agrippant par le bras.
- Ca ne va pas non! T'es une pute, ma pute! Si je veux qu'un pote à moi te baise, tu ne dis rien!
Des larmes vinrent perler sur ses paupières...
Franck massait délicatement la vulve de Caroline. Sous la veste de *** tailleur, elle portait un haut rouge décolleté moulant ses seins. Je tirais et dégageais ses nibards que je malaxais sans vergognes. Je lui suçais les pointes. Maintenant, l'ambiance est devenue très chaude. Franck contraint Caroline à l'embrasser sur la bouche et celle ci émet une protestation étouffée.
- Non, non, laissez moi...
chrislebo

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#6,591
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Je m'approchais d'elle, l'air menaçant.
- Qu'est ce que je viens de te dire! Tu ne dois pas protester! Je te préviens, je connais des proxénètes à qui je pourrais te prêter pour qu'ils te dressent! Ils ne sauront pas aussi gentil que Franck et moi!
Caroline me regarda une lueur de panique mais aussi d'incompréhension dans *** regard.
- Des proxénètes? Mais...Pourquoi faire?
J'éclate de rire.
- Vraiment? Tu ne vois pas...
Elle blêmit nettement en comprenant que *** petit univers tranquille de bourgeoise oisive venait de s'écrouler définitivement.
- Mais... Ce n'est pas possible, bafouilla t'elle, vous voulez me prostituer?
- En échange de mon silence, oui.
Caroline eut alors une réaction que je n'avais pas prévue, elle fit demi-tour et elle voulut s'enfuir, courant maladroitement sur ses talons aiguilles.
Franck et moi nous la rattrapons et nous empoignons Caroline qui se débat. Nous l'entraînons dans ma cuisine.
- A poil, salope!
Terrorisée, elle s'exécute. Tremblante, elle enlève la veste de *** tailleur et *** haut moulant. Elle retire sa jupe ne restant qu'en porte-jarretelles et talons aiguilles. Je lui demande si elle a emmené *** collier et sa laisse de chienne soumise et elle répond « oui » dans un murmure inaudible.
Franck parti les chercher dans *** sac à main. Il revint avec et accrocha le collier autour du cou de Caroline qui portait déjà un luxueux collier de perles. Le contraste entre ce luxe et ce collier en cuir de *** propre chien était très excitant. Ca plairait aux internautes. Franck accrocha la laisse à l'anneau et il s'amusa à promener sa chienne dans la cuisine. Caroline, à quatre pattes, fit le tour de la table. J'allais reprendre la caméra pour tout filmer. Franck tannait le cul de notre chienne avec sa ceinture le faisant rougir ce qui arrachait des cris de douleur à Caroline. J'arrêtais de filmer et allait prendre une serviette que je roulais en boule et enfonçais dans la bouche de Caroline qui émis un gargouillis affolée. Je dénichais du ruban adhésif et nouai le tout autour de sa tête.
- Voila, comme ça, elle ne nous emmerdera plus.
Gémissement étouffée de Caroline, mâchoire totalement déformée...
Nous la relevons et la courbons en avant sur la table de ma cuisine. Nous l'écartelons sur la table l'attachant avec le ruban adhésif. Ses poignets ***t liés aux pieds de la table ainsi que ses chevilles. Elle est totalement à notre merci... Ses jambes ***t écartées au maximum dévoilant bien sa chatte et *** cul. Je reprends la caméra et filme en gros plan et prenant toute fois bien soins de ne pas filmer nos visages ni celui de Caroline. De toute façon, au pire, je pourrais flouter les visages sur le site.


Caroline gémit et se débats dans ses liens. Je décide de mettre les choses aux points et de lui expliquer les conditions de sa nouvelle vie.
- Écoute mois salope, à partir de maintenant tu m'appelleras « Monsieur », Franck aussi. Comme tu ne travailles pas et que ton mari est souvent absent, tu viendras me voir tous les jours ou je viendrais chez toi. Pour l'instant t'es en formation, mais avec le film et les photos que j'ai déjà mis sur le site que j'ai créé, je commence déjà à avoir pas mal de demandes de rendez-vous. J'en connais beaucoup qui rêve de se taper une belle bourgeoise comme toi.
Grognement étranglé de Caroline.
- J'ai déjà mis au point les tarifs. Tu vas me rapporter une petite fortune...
- Il faudra que tu nous donne les jours ou ton mari sera absent. Lança Franck tous en fouillant dans mes tiroirs.
Il sortit une spatule en bois et sans ménagement enfonça le manche dans l'anus de Caroline qui se cabra en poussant un hurlement étouffé.
Je lui donnais des claques sur ses fesses qui rougirent rapidement. Franck fit coulisser le manche dans le cul de caroline.
Puis, il le retira et se tourna vers moi
- Il faudrait faire des achats ...On a besoin de godes, de baillons, menottes, fouets. Vêtements de putes aussi, qui soient bien vulgaires et des déguisements sexys...
- On l'emmènera dans un sex-shop demain.
Tout en discutant, nous continuons d'enfoncer divers ustensiles dans la chatte et le cul de notre bourgeoise. Je sortis un concombre et je l'enfonçais dans la chatte de Caroline. Frank filmait la scène en rigolant. Je faisais coulisser le concombre rapidement et caroline gémissait de plus en plus fort. Elle bougeait dans ses liens. Je la branlais sans ménagement, je voulais la voir jouir. Le corps de Caroline se cabra soudain et resta inerte sur la table de la cuisine, le concombre encore enfoncé dans sa fente....
chrislebo

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#6,592
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Nous détachons Caroline et lui enlevons *** bâillon improvisé. Franck voulut changer de pièces et nous retournons dans le salon. Je tiens Caroline par la laisse et elle avance à quatre pattes derrière moi, ses seins ballotant à chaque mouvement.
Elle fut contrainte de nous servir un verre de whisky. Uniquement vêtue de ses escarpins et de *** porte-jarretelles cela faisait une soubrette très sexy... À chaque passage devant nous, nous lui enfonçons nos doigts dans sa fente, et elle gémit à chaque fois, le regard chaviré.
Nous sommes assis dans mon canapé. Nous l'obligeons à s'accroupir devant nous.
- Suce-nous, salope!
Elle commença à s'exécuter quand je la rappelais à l'ordre
- Tu n'oublies rien? aboyais-je.
Elle resta un instant décontenancée...
- Heu...Non, je ne vois pas...
Frank la releva en la tirant par les cheveux défaisant *** chignon strict et elle poussa un couinement.
Il la courba sur ses jambes et lui fessa le cul violemment en criant:
- Tu dois appeler ton maitre « Monsieur », qu'on ai plus à te le dire!
Il la lâcha et elle se remit devant nous à genoux.
- Je vais vous sucer, monsieur...
Elle défit ma braguette de ses mains aux ongles vernis...
Elle eut un sursaut en voyant ma bite jaillir comme un ressort. Elle hésita et Franck dut lui frapper le cul avec la laisse pour qu'elle avance la tête vers ma bite. Mon gland heurta ses lèvres pulpeuses, se promenant dessus, elle eut une mimique dégoutée. Pendants ce temps, Franck s'accroupis et enfonce ses doigts dans sa fente faisant coulisser ses doigts.
- Quelle salope! Elle est trempée!
J'appuyais sur la tête de Caroline et elle avala ma queue avec une grimace de dégout.
Sous mon regard impérieux, elle s'applique. Je sens sa langue titiller mon gland. Elle me pompe maladroitement au départ puis de mieux en mieux. Ses joues ***t déformées par ma bite. Franck réclama sa part et elle dut s'interrompre pour le libérer. Elle nous suce à tour de rôle maintenant, alternant entre la bite de Franck et la mienne. Elle nous branle tous les deux en même temps. Elle donne des coups de langue sur la bite de Franck et ensuite suce la mienne. Sous nos ordres, elle suce nos couilles. Puis, nous la forçons à avaler nos deux bites; Les larmes aux yeux, elle tente tant bien que mal, d'accepter nos queues dans sa bouche. La mâchoire complètement déformée par l'épaisseur de nos sexes que nous enfonçons le plus loin possible dans la bouche de cette bourgeoise bien née... Elle a plusieurs fois un haut le cœur...

Nous décidons d'en finir. Nous la repous***s et nous masturbons devant *** visage. Elle ouvre la bouche et tire la langue. Je jouie le premier aspergeant ses cheveux de mon foutre. Frank me suit, libérant des trainées de sperme qui vont s'écraser sur *** front, ses lèvres, ses yeux. Comme ultime ***********, elle doit nous nettoyer la bite en nous suçant encore de longues minutes....


Caroline a remis *** tailleur bcbg, redevenant une élégante bourgeoise du XVIème arrondissement. Je lui redonne ses instructions pour demain.
- Demain, tu t'habilles encore très bourge mais toujours sans aucuns sous-vêtements. Je vais t'emmener faire des courses rue Saint-Denis dans un sex-shop. N'oublie pas ta carte bleue, c'est toi qui paie....
chrislebo

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#6,593
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Elodie est une jeune secrétaire de 24 ans qui travail dans une petite entreprise commerciale. Elle est blonde aux yeux verts clairs, les cheveux coupés au carré, elle mesure 1m65. Elle est très belle malgré quelques kilos en trop, mais qui ***t bien répartis, notamment dans ses deux gros seins bien ronds et dans ses fesses bien pleines. La patronne de l'entreprise est elle aussi assez jeune. Elle s'appelle Caroline, elle a 28 ans. Caroline est une sublime métisse d'1m68. Elle a des longs cheveux noirs, le visage bien dessiné, des lèvres pulpeuses, les yeux bruns et la taille fine. Mais malgré sa taille fine Caroline a elle aussi deux beaux seins mais plus petits que ceux d'Elodie, ainsi qu'une paire de fesses vraiment attirante. C'est simple le corps de Caroline est parfait. Caroline est une célibataire lesbienne, mais évidemment per***ne dans l'entreprise ne le sait. Cela fait deux ans qu'Elodie est la secrétaire de Caroline, et depuis deux ans Caroline fantasme sur sa secrétaire blonde. Sans jamais avoir osé passer à l'acte. Les deux femmes s'entendent très bien au travail, elles rigolent ensembles mais ne se voit jamais en dehors de l'entreprise. Elodie vivait avec *** copain depuis deux ans mais il l'a quittée la semaine dernière pour une autre fille, il lui a appris qu'il la trompait depuis plusieurs mois. Elodie est donc logiquement perturbée en ce moment, elle sourit moins, parle moins et semble moins concentrée. Caroline s'aperçoit de ces changements mais ne souhaite pas interroger sa secrétaire sur sa vie privée.

Aujourd'hui Caroline arrive à *** entreprise peu après 9h30, comme tous les jours elle salue la dizaine de salariés présent dans les différents bureaux. C'est une patronne respectueuse et appréciée de ses employés. Puis elle entre dans le bureau de sa secrétaire, c'est un passage obligé pour atteindre le sien.
"-Bonjour Elodie. Comment tu va aujourd'hui?
-Bonjour Caro ça va et toi? J'ai mis le courrier sur ton bureau comme d'habitude, il y en a pas beaucoup se matin." Vu leur peu de différence d'âge les deux femmes se tutoie. Elodie à répondu avec un sourire forcé, mais Caroline ne veut pas la questionner.
"-Ça va très bien. Ok merci pour le courrier, tant mieux si il y en a peu. A plus tard."
Caroline entre dans *** bureau pose sa veste et *** sac à main, s'assoie à *** bureau et écoute le message sur *** répondeur. Le message est celui de monsieur Martin, un important client qui est très en colère. Il reproche à Caroline de ne pas être venue à deux reprises à des rendez-vous pour affaire. Il dit qu'il va immédiatement aller chez les concurrents. Caroline est surprise par ce message car elle ne se souvient pas avoir eu de rendez vous récents avec ce client. C'est Elodie qui s'occupe de prendre les rendez vous et de les noter sur l'agenda de sa patronne. Caroline utilise l'interphone pour appeler sa secrétaire.
"-Elodie viens dans mon bureau tout de suite avec l'agenda, s'il te plait.
-J'arrive."

chrislebo

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#6,594
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Elodie prend l'agenda et entre dans le bureau de sa jeune patronne. Elle lui tend l'agenda et Caroline regarde aux pages d'hier et avant-hier. Il n'y a pas de rendez vous de notés avec monsieur Martin.
"-Dit moi, est-ce que monsieur Martin a appelé pour prendre rendez-vous avec moi récemment?
-Euh...oui avant hier et hier aussi car tu n'y es pas allé la première fois. C'est ce qu'il m'a dit.
-Pourquoi tu n'as pas marquée ces rendez-vous sur l'agenda? Et pourquoi tu ne m'en as pas parlé?
-Je croyais l'avoir fait. T'es sur que je ne t'en ai pas parlé?"
Caroline est en colère contre sa secrétaire.
"-Non tu ne m'en a pas parlé! C'est un double oublie grave tu comprends?! Monsieur Martin était un important client, tu le sais en plus!! C'est une faute professionnelle!!"
Elodie reste debout devant le bureau de sa patronne, elle ne dit rien, elle baisse les yeux. Au bout de quelques secondes des larmes commencent à perler sur ses joues. Elodie est toujours immobile, elle sanglote en silence. Caroline, qui s'aperçoit que les nerfs de sa secrétaire lâchent, se lève et s'approche de celle-ci puis lui dit sur un ton calme et posé.
"-Qu'est-ce que tu as Elodie? C'est à cause de se que je viens de te dire que tu pleure?
-Non Caro, c'est juste que je ne suis pas dans mon assiette en ce moment. Pardonne moi. Mon copain ma quitté pour une autre, j'étais cocu depuis plusieurs mois. Je sais que ça n'a rien à voir avec le travail mais j'ai du mal à me concentrer depuis une semaine. Je suis vraiment désolé."
Elodie continue de pleurer, Caroline la sert délicatement dans ses bras pour la consoler, comme le ferait une amie. Mais cela fait deux ans que Caroline fantasme sur sa secrétaire. Elodie porte une jupe moulante et un chemisier fin qui met en valeur se deux gros globes. Caroline sent se corps chaud contre elle, et cela lui donne des idées perverses, pendant qu'Elodie continue de sangloter sur *** épaule.
"-Ecoute, je crois que tu as besoin de repos, je t'accorde ta journée et si tu veux se soir tu peux venir boire un verre chez moi vers 20h. Nous parlerons de tout ça, si tu souhaite en discuter avec moi bien sur.
-C'est très gentil, merci beaucoup Caro. Je viendrai avec plaisir se soir, ça me ferra du bien de parler.
-De rien, tu sais ça fait deux ans que tu es ma secrétaire, alors si je peux te remonter le morale ça me fait plaisir. Maintenant rentre te reposer. A se soir chez moi. Repose toi bien Elodie.
-D'accord à ce soir, encore merci Caro."
Elodie quitte le bureau de sa patronne, récupère ses affaires et rentre chez elle. Caroline explique aux autres employés qu'Elodie ne se sentais pas bien sans donner plus de détails. Puis elle poursuit sa journée de travail comme si de rien n'était.

A 18h Caroline quitte *** entreprise, elle rentre chez elle, prend une douche, puis enfile une robe bleu légère, qui laisse apercevoir la naissance de ses seins et qui s'arrête au dessus du genou, ainsi si elle se baisse trop l'on aperçoit *** string assortit à la couleur de sa robe. Elle ne porte pas de soutien gorge et ajoute à cela une paire de chaussures à hauts talon qui la grandis de quelques centimètres. Puis elle attend l'arrivée d'Elodie en regardant la télé.
A 20h10 on ***ne à la porte de *** petit pavillon. La jeune métisse se lève et va ouvrir. Elodie est là, elle porte un simple jean, un t-shirt qui fait ressortir ses deux grosses mamelles et une paire de chaussures basses.
"-Bonsoir Elodie. Ça va mieux? Tu t'es bien reposée?
-Bonsoir Caroline. Oui merci. C'est très gentille de m'inviter se soir. Je suis heureuse de pouvoir parler à quelqu'un."
Elodie est toujours sur le pas de la porte. Elle regarde sa patronne. La robe bleue contraste avec la peau caramel de Caroline. Elle trouve sa patronne très élégante et se sent ridicule dans *** jean et *** t-shirt.
"-Ta robe est vraiment belle. Je suis désolé d'être habillé si simplement.
-Ne t'en fais pas. Ton t-shirt te met très bien en valeur."
Elodie rougit légèrement, elle sait que *** t-shirt laisse tout deviner de sa poitrine opulente.
"-Vient, rentre, fais comme chez toi. On ne va pas discuter sur le pas de la porte."
Elodie rentre et Caroline lui fait visiter la petite mai***, qui se compose d'une chambre, d'un bureau, d'un grand salon, d'une petite cuisine, d'une salle de bain, d'un WC et d'une cave. Les deux jeunes femmes s'installe sur le canapé et commence à discuter en buvant un verre de vin blanc.
Elodie explique ses problèmes de cœur à sa nouvelle confidente. Caroline l'écoute avec attention et la conseil comme le ferait une amie. Les deux femmes discutent pendant deux bonnes heures et la bouteille de vin est vide. Caroline fixe les seins d'Elodie. Elle a l'habitude de là voir porter des chemisiers au bureau et là dans se t-shirt moulant, les seins de sa secrétaire ***t encore plus attirants. Elle a remarquée qu'Elodie l'avait reluqué à plusieurs reprise. Alors lorsque celle-ci lui demande si elle n'est plus en colère pour ses fautes professionnelles. Caroline décide de sauter sur l'occasion pour faire une proposition à sa secrétaire, en manque d'affection.
"-Maintenant que tu m'a expliquée les rai***s de tes fautes, je ne suis plus en colère contre toi, au contraire tu peux compter sur moi pour t'aider moralement... Mais tu comprendras, que deux erreurs comme celle que tu as commises ne peuvent rester impunis. Les autres salariés ne comprendraient pas.
-Tu n'es pas sérieuse?! Je ne peux pas perdre mon emploi. Je croyais que tu voulais m'aider à retrouver le sourire?!

chrislebo

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#6,595
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-Bien sur, je suis ton amie. Mais je suis aussi chef d'entreprise. Je n'ai pas vraiment le choix, sinon je te garderai.
-Je t'en supplie! Si tu me licencie je ne m'en sortirais jamais. S'il te plaît garde moi!"
Caroline voit de la détresse dans les yeux vert clair d'Elodie. *** regard est un véritable appel à l'aide. Bien sur Caroline ne souhaite pas licencier sa secrétaire, elle veut juste la mettre dans une situation qui l'oblige à accepter *** offre. Et en voyant se regard inquiet elle se dit que c'est le bon moment.
"-Ecoute Elodie. J'ai une solution à te proposer qui pourrait te permettre de garder ta place. Mais je te préviens c'est un peu...spécial."
Elodie est encore plus inquiète.
"-Euhh... va-y propose.
-Voilà, tu es clairement en manque d'affection et de repères, tu as besoin de quelqu'un pour te guider, quelqu'un en qui tu as confiance, quelqu'un qui t'aime et qui ne te décevra pas. Je te propose de devenir ma soubrette."
Elodie à cru s'évanouir lorsqu'elle a entendu ce mot. Pendant quelque secondes elle croit avoir mal compris. Mais le regard dominateur de la jeune métisse ne trompe pas.
"-Euhh...Ta soubrette... C'est à dire???
-C'est à dire, t'installer chez moi et être à mon services. Satisfaire le moindre de mes désirs, même sexuelle évidemment. En gros je te propose de devenir ma chienne."
Puis comme pour appuyer ses propos et finir de convaincre sa secrétaire. Caroline se lève, se place face à Elodie et commence à se caresser le corps au travers du tissu de sa robe. Elle plote ses seins, ses tétons pointent légèrement, elle caresse ses cuisses puis se retourne et se penche, de manière à ce que *** string soit bien visible. Caroline voit qu'Elodie n'a pas détournée le regard. Elle est sous le choc et en même temps sous le charme de cette jeune et sublime métisse.
"-Si tu accepte ma proposition. Je promets de te rendre heureuse. J'ai de l'argent tu ne manqueras de rien, tu conserveras ton emploi. Au travail tout sera comme avant, mais une fois ici tu devras m'être totalement soumise. Bien sur si tu n'es pas une bonne soumise: tu seras soumise. Tu devras me donner du plaisir et je te promets que si tu es sage tu en prendras également. Jamais je ne te trahirai. Tu l'as compris je suis une lesbienne dominatrice, cela fait deux ans que je fantasme sur toi et se soir j'ai compris que nous étions faite l'une pour l'autre. Je veux t'aimer à ma façon. Maintenant je vais aller dans ma chambre me changer. Si tu es encore là lorsque je reviens alors c'est que tu accepte ma proposition, dans ce cas là je veux que tu sois nu. Si tu refuse, la porte est ouverte tu peux partir, mais dans ce cas inutile de venir travailler demain, tu recevras ton chèque pour le licenciement."
Elodie n'a pas bougé d'un pouce, durant tout le discours de Caroline, elle la fixait en restant immobile. Caroline va dans sa chambre. Elle retire sa robe, *** string et enfile un corset en cuir blanc qui s'arrête sous ses seins, de manières à les soutenir pour les faire ressortir. Le corset s'arrêtant juste au dessus de *** pubis, elle met un string en cuir blanc également et des bas blancs, puis une autre paire de chaussures à hauts talons. Le blanc de ses <<vêtements>> contraste avec sa peau métissée. Elle est vraiment magnifique. Elle fouille dans *** armoire et trouve un collier en cuir ainsi qu'une laisse et une paire d'escarpins à talons plats. Au moment de retourner dans le salon, Caroline n'entend aucun bruit mais elle est persuadée qu'Elodie l'attend totalement nue. Non pas parce qu'elle aurait peur de perdre *** emploi, mais parce que Caroline sent que l'amour qu'elle porte à Elodie est réciproque. Pendant que Caroline se changeait, la jeune secrétaire est resté sous le choc de la proposition de sa patronne. Elle réfléchie, elle ne peut pas perdre *** emploie, mais elle n'est ni lesbienne, ni soumise. Elle pourrait partir, mais la déclaration d'amour de Caroline avait l'air sincère et puis elle à l'image de Caroline qui se caresse, dans sa tête. Finalement à ***** de réfléchir, Elodie n'a pas bougée, elle est toujours assise sur le canapé et bien sur elle est toujours habillée lorsque que sa patronne redescend
chrislebo

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#6,596
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Caroline est heureuse de voir qu'Elodie est encore là. Elle entre immédiatement dans *** rôle de maîtresse.
"-Je suis heureuse que tu sois restée, mais je t'avais demandée d'être nue. Tu commence déjà à me désobéir!"
Elodie ne sait pas quoi répondre. Elle ne souhaite pas vraiment être la soubrette de sa patronne, mais elle ne souhaite pas partir non plus.
"-Euh... Caro attend je..... Je ne veux..."
<<CLAK!>>
"-AIL!!
-Ta gueule salope!! Je t'ai dit de te mettre à poil!! Et maintenant quand nous sommes toute les deux, tu m'appelle maîtresse!!"
Caroline à violemment claqué Elodie, sa joue est toute rouge. La jeune secrétaire est désorientée, elle ne réagit pas.
<<CLAK!>>
"-AAHH!
-Bouge ton cul de te foutre nue. Sinon c'est moi qui vais le faire et je ne suis pas douée pour la douceur!!"
Elodie comprend qu'elle n'a plus le choix. Elle se lève, retire ses chaussures, *** jean et *** tee shirt. Elle est maintenant juste en string. Ses deux gros seins se dressent fièrement.
"-Tu ne portais même pas de soutien-gorge, t'es vraiment une salope, je crois que je vais me faire plaisir avec toi. Enlève ton string!!"
Elodie hésite puis s'exécute. Elle est nue devant sa patronne. Une petite touffe de poils blonds entoure ses grandes lèvres. La jeune femme se sent honteuse, humiliée, se qui fait encore plus rougir ses joues déjà marquées par les claques.
"-Cela fait deux ans que j'attends ça, je ne suis pas déçu. Je vais te mettre ton collier de chienne. Il y a une clochette dessus pour que je sache ou tu es, et un anneau pour que j'attache ta laisse. Je veux aussi que tu mettes ses bas. Le tablier c'est pour les tâches ménagères, je te conseille de prendre soin de tes affaires, sinon tu sera sanctionnée."
Elodie a écouté les consignes en silence. Elle est complètement perdue. Elle prend les bas et les enfiles, en faisant attention de ne pas les filer. Puis Caroline lui mets le collier et y accroche la laisse en cuir.
"-Maintenant tu va me faire du bien. Montre moi si tu sais donner du plaisir à ta maîtresse. Si tu fait ça bien tu sera récompensée mais si tu fait ça mal tu subira ta première punition."
Elodie qui n'a jamais eu de relation lesbienne a peur de mal satisfaire sa maîtresse
"-Mais Caro tu sait que je n'ai jamais fait l'amour à une fille."
<<CLAK! CLAK!>>
"-AH AH CA FAIT MAL!"
La jeune métisse vient de frapper sèchement les seins de *** esclave.
"-T'es conne ou quoi?! Je t'ai dit de m'appeler maîtresse et de m'obéir!!"
Caroline retire *** string et s'assoie au bord du canapé en écartant les cuisses. *** sexe est totalement épilé. Elodie abandonne un peu plus *** amour propre en s'agenouillant entre les cuisses de sa dominatrice. Ne sachant pas trop comment s'y prendre, elle décide de faire se qu'elle même aime se faire lorsqu'elle se masturbe. Délicatement la jeune blonde caresse les seins de sa maîtresse. Puis elle lui caresse les cuisses, remonte sur les seins, les embrassent, suce les tétons, les lèches...
"-Arrête de faire durée! Je ne t'ai pas demandée de me faire l'amour, je t'ai dit de me faire jouir. Alors bouffe moi la chatte blondasse!!"
chrislebo

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#6,597
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Elodie obéit. Elle embrasse le mont de vénus de la jeune métisse, elle lui lèche la fente, sa langue cherche le clitoris, le sort de *** capuchon, Elodie le masse délicatement avec un doigt. Sa langue glisse le long des lèvres vaginales. Pour une première fois elle se débrouille très bien. Caroline mouille abondamment mais elle se retient de jouir. Elodie à maintenant enfoncer un doigt dans la moule rosée de sa maîtresse et commence à la masturber. Caroline se concentre pour ne pas jouir, elle ne veut pas montrer qu'Elodie à réussie. Elodie qui s'en est rendu compte décide de donner le coup de grâce. Elle veut mordiller le bouton de sa maîtresse, mais elle s'y prend mal et le mort trop fort. Se qui fait mal à Caroline.
"-AAHHH!!! Salope tu ma mordu le clito!! Tu a osé me faire mal!! Tu va me le payer sale traînée!!
-Pardon, je suis désolée, je n'ai pas fait exprès, pardonnez moi maitresse. S'il vous plaît!"
Caroline se lève, remets *** string, prend la laisse de sa chienne et la tire pour la faire se lever. Puis elle prend une clé dans un tiroir et emmène sa chienne, en tirant sur la laisse, devant la pièce fermée au premier. Caroline ouvre la porte avec la clé. Dans la petite pièce il y a un lit d'une place, une petite armoire et surtout deux bracelets accrochés au mur.
"-Voilà ta chambre de pute!!"
Elodie veut dire quelque chose mais le choc psychologique l'empêche de parler. Elle se sent encore plus humiliée. Elle comprend qu'elle va devoir vivre dans cette pièce comme une vulgaire esclave. Caroline tire sur la laisse pour la forcée à avancer et l'installe dos au mur puis lui accroche les poignets avec les bracelets. Elodie est terrorisée, elle est immobilisée, les bras en croix, complètement offerte. Caroline va chercher dans sa chambre un martinet. Puis elle se place en face de sa soubrette et commence à lui asséner des coups sur ses gros seins.
<<CLAK! CLAK!! CLAK!!! CLAK!!!>>
"-AAAAHHHHH!! PUTAIN!!! OOOOHHHH!! AAAAHHHH!!
-Tu va sentir ta douleur ma grosse!! Je vais t'apprendre à me faire mal, salope!!"
<<CLAK!! CLAK!! CLAK!!...>>
"-AAAHHHH!! STOP!!! OOOHHH!! PARDON!! AAAAHHH!!
-Je vais défoncer tes mamelles de vaches!!"
<<CLAK!!! CLAK!!! CLAK!!! CLAK!!!...>>
"-AAAAAHHHH!!! STOP!!!! AAAAHHHH!!! AIL!!!"
Au total Caroline assène une vingtaine de coups sur les seins de sa secrétaire. Ils ***t marqués par les lamelles de cuir du martinet. Une fois la punition terminée, Caroline détache *** esclave qui se laisse tomber par terre épuisée.
"-Maintenant enlève tes bas et va te coucher. Bien sur tu n'a pas le droit de te caresser sans mon autorisation. Demain matin je te réveillerais en attendant je ferme ta porte à clé. Elodie obéit et Caroline quitte la petite chambre en fermant derrière elle. Elodie a honte d'elle même. Tout s'est passée si vite, la voilà esclave sexuelle de sa patronne. Elle ne sait pas se qui l'attend demain et s'endort en pleurant de honte et de douleur à cause de ses seins très endoloris.

chrislebo

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#6,598
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Le lendemain matin à 6h la maîtresse métisse vient réveiller *** esclave. Elle ouvre la porte de la petite chambre et vient secouer sa soubrette encore endormie.
"-Lève toi ma grosse cochonne!!! Debout lève ton cul!!!"
Elodie sursaute et mets quelques secondes à réagir et à se rappeler de sa situation. Caroline tire les cheveux de la blonde pour l'obliger à descendre du lit. Celle-ci se retrouve au sol à genoux aux pieds de sa maîtresse.
"-On t'a pas appris à dire bonjour?! Tu veux me mettre de mauvaise humeur dès le matin?!
-Non pardon, bonjour maîtresse, vous allez bien?
-C'est bien ma coquine. Ça va merci, et toi tu aime ta chambre d'esclave?"
Il est évident qu'Elodie déteste cette pièce mais elle ne souhaite pas être punie pour commencer la journée. Alors elle répond en souriant:
"-Oui, merci maîtresse de m'offrir tant de confort.
-Bien, je t'ai amenée ton petit déjeuner, là bas dans deux gamelles.
-Merci maîtresse."
Elodie voit dans un coin de la pièce, deux gamelles en plastique, avec dans l'une d'elle, du café et dans l'autre, deux tartines de confitures. Elle sent les larmes montées, comment peut elle accepter une telle situation. Mais au fond d'elle un sentiment de reconnaissance envers sa patronne l'empêche de se révolter.
Caroline regarde *** esclave avec un sourire jubilatoire.
« -Mange! Et ne laisse rien dans les gamelles!! Je viendrais te chercher pour te préparer à aller travailler. »
Caroline quitte la pièce et referme derrière elle. Puis elle va prendre *** petit déjeuner dans le salon. Une fois qu'elle a fini elle remonte chercher sa secrétaire qui a vidé ses deux gamelles.
"-C'est bien tu as tout mangé. Maintenant viens avec moi dans la douche. Tu va me laver.
-Avec plaisir maitresse."
Les deux femmes entre dans la salle de bain. Elodie est déjà nue, les marques du martinet ***t encore légèrement visible sur ses gros seins. Caroline retire *** peignoir et entre dans la douche. Elodie en profite pour mater le corps bronzé de sa maîtresse. Puis elle entre à *** tour dans la douche.
"-Maintenant tu va me laver. Fait ça bien, délicatement, sans rien oublier. Et je t'interdis de me masturber, c'est clair?
-Oui maîtresse, j'ai compris."
Elodie fait couler de l'eau sur le corps parfait de sa dominatrice, puis elle la savonne le plus délicatement possible sur toutes les parties du corps. Enfin elle la rince et l'essuie avec application.
Caroline jubile de la domination qu'elle à réussie à imposer à Elodie. Mais elle sait que si elle veut la garder, et la faire tomber amoureuse. Elle ne doit pas seulement la dominée, mais aussi lui donner, de temps en temps, du plaisir.
"-Puisque tu ma bien laver et que depuis ce matin tu es une bonne salope soumise, je vais te faire un cadeau. Je vais t'apprendre à faire jouir une femme. Va t'allonger sur le canapé du salon et attend moi."
Elodie obéit, tellement heureuse de savoir qu'elle va prendre du plaisir. Caroline la rejoint quelques minutes plus tard avec dans la main, un gode en plastique dur. Il fait une vingtaine de centimètre de long mais semble d'une épaisseur supérieure à celle d'un sexe humain. Elodie est un peu inquiète, elle à peur d'avoir mal, car *** ex copain n'était pas monté comme un âne.
« -Je vais te faire jouir. Je te conseille d'être attentive à ce que je vais te faire, car les autre fois c'est toi qui devras me faire jouir! Écarte les cuisses et laisse toi faire.
-Oui maîtresse. Merci maîtresse. »
Caroline dépose beaucoup de salive dans sa main et l'étale sur le vagin de *** esclave. Puis elle masse légèrement *** clitoris pour le faire sortir de sa capuche, ce qui fait frémir la jeune blonde.
Puis Caroline présente le gode à l'entrée de la fente, Elodie lance un regard effrayé à sa maîtresse, avec si peu de préliminaires elle est sur d'avoir mal. Mais Caroline n'en tient pas compte, et pousse d'un coup sur la verge en plastique. Le gros gland plastifié ***** l'entrée de la grotte d'Elodie, qui grimace, et le gode s'introduit d'un coup sec dans sa fente, en lui dilatant les chairs et tapant au fond de *** trou. Se qui arrache un cri à Elodie qui manque de s'évanouir sous le coup de la douleur.
"-AAAAHHHHHH!!!
-T'inquiète pas, tu va finir par aimer ça!"
La jeune métisse entame des vas et vient très intense. A chaque fois elle retire entièrement le gode et le renfonce d'un coup sec, faisant hurler Elodie.
"-OOOOHHHH!! J'ai mal!!! C'est trop gros!! AAHHHH!!"
Mais au bout de plusieurs minutes d'un tel traitement, le sexe d'Elodie s'habitue à la dilatation. La jeune femme commence à ressentir du plaisir. Caroline qui s'en aperçoit, utilise sa main libre pour lui peloter ses grosses mamelles.
"-T'aime ça ma traînée?
-Oui maîtresse... Oh oui, c'est bon...Hum oui!!"
Caroline intensifie encore plus la pénétration et utilise maintenant sa deuxième main pour jouer avec le clitoris de sa soubrette. Celui-ci est gorgé de sang, à chaque caresse Elodie reçoit une décharge électrique. Elle sent la jouissance montée en elle.
"-Ouii maitresse, oui encore, ouii!!! Ouiiiiiiiiiii!!!!"
Elodie jouie comme jamais ça ne lui est arrivé. Mais Caroline continue de la pénétrer toujours sur le même rythme. Elle continue de masser et de pincer *** petit bouton, qui est maintenant tellement sensible que chaque caresse fait mal à Elodie.
chrislebo

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#6,599
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"-S'il vous plait doucement avec mon clito.......Ohh putain ouiii!! Ouii encore!! Ouiiiiii!!!!"
Elodie jouie une deuxième fois, et Caroline continue encore de la baiser. La jeune blonde est épuisée, elle à du mal à garder les yeux ouverts, les lèvres de *** vagin lui font mal, tellement les va et vient les irrites.
"-Je vous en prie, maitresse stop. Je vais m'évanouir, stop!"
Caroline ne répond pas, elle continue de faire rentrer et sortir le gode de la chatte de sa secrétaire, et de maltraiter *** clitoris. Elodie est au bord de l'évanouissement. Mais malgré tout elle sent une fois de plus le plaisir monter dans *** ventre. Elle jouit encore une fois, mais sans pouvoir crier, tellement elle est épuisée. Puis elle s'évanouie de plaisir.
Caroline stop alors sa pénétration. Elle retire le gode et le lèche pour le nettoyer. Elle aime le gout des sécrétions vaginal de sa soumise. Puis elle la réveil en lui tapotant les joues. Elodie ouvre les yeux, elle a du mal à reprendre ses esprits tellement la baise fut intense.
"-J'espère que ton appétit sexuelle de nymphomane est satisfait!
-Oui merci beaucoup maitresse. Je n'ai jamais autant joui.
-J'espère que tu t'en souviendras car la prochaine fois c'est à toi de me faire jouir. Maintenant va prendre une douche et va te raser la moule intégralement. C'est dégueulasse tes poils sur la chatte!!
-Oui maitresse, merci maitresse.
-Dépêche toi, dans 40 minutes on part travailler. Je vais te prêter des affaires à moi et se soir en sortant nous passerons récupérer tes affaires chez toi."
Elodie va prendre une douche rapide et s'épile la fente intégralement. Elle trouve qu'elle ressemble à une pute, mais elle n'a pas le temps de pleurer sur *** sort. Lorsqu'elle sort de la salle de bain, Caroline lui tend une robe noire et un chemisier blanc.
"-Tu mettra également les bas et les chaussures que je t'ai donnée hier soir. Tu ne mets pas de sous vêtements, les salope comme toi n'en ont pas besoin.
-Mais si je ne mets pas de sous vêtements tout le monde va le voir. Je vais passer pour une putain.
-Et alors tu en es une!!"
Elodie enfile ses vêtements. La robe étant une taille trop petite, elle moule outrageusement les fesses de la jeune blonde, on distingue clairement la raie de ses fesses et l'on voit qu'elle ne porte rein en dessous; Idem pour le chemisier, il presse ses gros seins et même si il n'est pas transparent, il laisse deviner ses mamelles non cachées. Elodie est rouge de honte, elle à peur de la réaction de ses collègues.
"-Les autres employés vont se moquer de moi.
-N'ai pas peur, tu m'appartiens, je te protégerai si il te touche trop. Pour hier, tu leur dit juste que tu ne te sentais pas bien. Et travail, quand tu viens dans mon bureau et que nous ne sommes que toute les deux, tu redeviens ma soumise. C'est bien compris?
-Euh... oui maitresse."
Les deux femmes partent dans la voiture de Caroline, direction leur travail. Elodie est très inquiète pour cette première journée de travail comme soumise.
soumis8

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#6,600 
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Vraiment, Chrislebo, tous ces textes en français, cela fait plaisir. Merci.
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