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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#3,241
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Gay School

Il se réveilla brusquement, comme s'il sortait d'une anesthésie. Un réveil toujours difficile ; il se rémora, péniblement, cette avenante jeune fille qu'il avait rencontrée la veille, grâce à mister site Internet « communautaire », et elle lui avait paru fort plaisante.

Quelques coups de fils, quelques mails et en peu de temps la rencontre s'était décidée dans un bar branché du 20e arrondissement de Paris, à quelques pas de chez lui. Elle était charmante et avenante, tout sourire. Ils avaient devisé de choses banales, comme cela commence banalement la plupart du temps entre deux permisternes qui « s'envisagent »...

Il se rappela avoir été aux toilettes, mais en remontant il l'avait retrouvée avec deux mecs baraqués, une coïncidence de rencontre complètement par hasard, selon elle : deux vieux amis de longue date, et ils burent quelques verres. Les « deux vieux amis », également sympathiques, moins effrayants que leur corpulence en réalité, devisèrent avec lui de choses et d'autres.

Puis la suite ne fut qu'un trou noir. Il se rappelait très vaguement avoir été sorti du bar, porté par les deux molosses, tandis que la jeune fille expliquait au barman, tout en payant, que mister ami avait un malaise et qu'elle le ramenait chez lui.

Et il lui fallut bien récupérer ses facultés mentales pour comprendre dans quelle situation il se trouvait désormais. A plus de 30 ans, il se croyait solide, mais sous l'effet de ce qu'il avait bu, il y avait donc un produit douteux dans mister verre et cela lui parut enfin évident. Il se sentait encore trop affaibli, avec un mal de tête juste supportable. Il devait recouvrer progressivement ses cinq sens pour retrouver un minimum de coordination mentale. En premier, la vue : il était dans une semi-obscurité, devinant autour de lui une sorte de cabine d'essayage. Il ne voyait donc rien autour de lui, si ce n'est, en levant la tête, un plafond qui ressemblait étrangement à une scène de théâtre, avec des spots pour l'instant tamisés.

Puis ce furent ses capacités physiques, premier instinct de vouloir bouger, pour découvrir qu'il était attaché, mains en l'air, pieds fixés sur une sorte de croix en « X » ; il se rassura à peine de découvrir qu'il était encore entièrement habillé. Ses oreilles bourdonnaient encore, mais il finit par entendre une sorte de brouhaha léger, comme un murmure discret. Ce fut mister odorat qui ensuite lui fit sentir un mélange de fumée de tabac, mais aussi une autre sorte de fumée qu'il parvint à identifier de mémoire : ayant occasionnellement travaillé dans le spectacle, il arriva à reconnaître un relent de machine à fumée utilisée pour les effets spéciaux sur scène. Pour le sens du goût, il avait la bouche sèche et un goût âcre qui devait correspondre aux verres qu'il avait bus, et aux substances ajoutées qu'il avait dû ingérer sans le savoir.

Il avait presque récupéré « tous ses esprits ». Et réaliser comment il était arrivé là, et dans quel but, commença à l'inquiéter d'autant plus. En plus du brouhaha, on chuchotait à proximité, mais il n'arrivait pas à entendre ce qui ce disait ; une seule phrase conclusive qu'il parvint à ouïr provoqua une panique immédiate : « on commence dans cinq minutes, et normalement il a dû récupérer ». Dès lors un côté de la cabine s'ouvrit, il n'eut malheureusement pas le temps de paraître toujours inconscient, et il entendit : « c'est bon, il est réveillé ». Réveillé pour quoi?

Une petite musique de patience était diffusée, comme pour occuper le public avant qu'un spectacle ne commence. Une voix « off » diffusa un message : « messieurs, plus que cinq minutes de patience pour le début de notre séance de ce soir. La GAY SCHOOL sait à quel point vous êtes friand de nouveauté, et vous allez découvrir la première étape d'une nouvelle initiation dans quel instant! ». Puis il y eut un commentaire en coulisses, hors micro que lui seul ne put entendre : « Molosse et Colosse mistert retardés par un problème en salle de punition, mais M. CISEAUX est déjà prêt : de toute façon, on commence toujours avec lui pour les initiations ».

Un frismister d'horreur lui traversa tête et corps. D'autant plus qu'il avait pratiquement récupéré tous ses moyens physiques ; ses acuités, au début amoindries, étaient maintenant parfaitement opérationnelles. Un côté de la cabine s'ouvrit à nouveau, et cette fois il put voir une sorte de présentateur télé souriant et avenant qui lui dit : « on va commencer dans quelques instants, ne désespérez pas ». Il fallait évidemment être suffisamment lucide pour mesurer l'ironie de ses propos. L'imagination de SAHIM était alors très emballée, il essayait de supposer ce qui lui était réservé. S'il en faisait une synthèse, il était attaché sur une drôle de machine, en croix, mais dissimulé dans une cabine de toile, a priori sur une scène de théâtre, avec des spectateurs de l'autre côté du rideau, avec un type équipé de ciseaux et deux zigotos appelés Molosse et Colosse qui étaient très sûrement ceux qu'ils avaient rencontrés précédemment, l'avaient drogué et emmené dans ce lieux mystérieux.

Mais alors, à quoi devait-il vraiment s'attendre? Dans l'annonce faite au public, il avait entendu « GAY SCHOOL », et mister angoisse était à mister comble...
chrislebo

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#3,242
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- Merci, M. CISEAUX! Vous êtes toujours aussi inventif. Emportez ce que vous venez de découper avec votre habileté coutumière, je sais que vous aimez vos trophées.

L'asiatique ramassa les lambeaux et il partit en coulisses en saluant de la tête, applaudi pour sa prestation.

- bien, dit l'animateur. Nous pouvons maintenant passer à la suite du programme. Cher SAHIM, vous tremblez? Ca ne peut pas être de froid, la salle est bien chauffée. Un peu d'appréhension, peut-être? Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer. Enfin... Tout dépend du hasard, mais rassurez-vous, permisterne n'est jamais mort, chez nous. Sachez même que dans notre grande équipe, nous avons un médecin... Juste au cas où.

Le présentateur était vraiment d'une ironie et d'un cynisme stupéfiants. Pour autant, il aurait pu figurer dans une émission de téléréalité avec plus de candeur et d'amabilité que certains de ses confrères. Le mystérieux mécène du centre de la GAY SCHOOL l'avait recruté ne serait-ce que pour cela, dès l'ouverture du centre.

La GAY SCHOOL existait depuis plus de trois ans. Elle comptait désormais plus de 200 membres qui ne pouvaient y accéder que par parrainage, pour éviter entre autre toute « infiltration ». Ils payaient certes une contribution assez importante, mais ils n'étaient pas déçus et considéraient bien qu'ils en avaient pour leur argent. Le lieu était situé dans une sorte de vieille usine désaffectée, en banlieue parisienne, mais seuls trois niveaux en sous-sol avaient été complètement réaménagés dans la plus grande discrétion. Ce bâtiment, dégradé en surface, était gardé par un vigile aux allures de maître chien, c'est lui qui donnait l'accès, par le biais d'un monte-charge, aux étages souterrains. On avait ajouté une « sortie de secours » en cas d'urgence, quelle qu'elle soit, mais cela restait peu probable.

Globalement, le -- 1 était le « club », où se trouvait l'accueil, un bar, un salon de confort et les services administratifs, ainsi que service médical de « précaution » ; le -- 2 était essentiellement constitué de la salle de spectacle, de quelques salles privées et d'un studio de tournage. Enfin, le -- 3 était le lieu de vie des résidents, comportant les chambres, le réfectoire et trois salles destinées aux cours complémentaires.

- Molosse, Colosse, c'est à vous, préparez donc ce jeune homme pour la suite.

Les deux brutes épaisses démontèrent ce qui restait de la cage de présentation en un temps record, puis ils poussèrent l'étrange machinerie sur laquelle SAHIM était attaché, entièrement nu désormais, au centre de la scène. Il eut un nouveau moment de panique et de dégoût et se secoua désespérément. Avant qu'il ne pense à crier, une boule vient lui obstruer la bouche et fut fermement attachée dans sa nuque ; il ne pouvait plus que gémir.

Il avait eu le temps d'apercevoir, dans mister dos, trois grands écrans plats suspendus en haut de scène où apparaissaient sur les trois, pour l'instant, la seule mention « GAY SCHOOL » en graphisme simplifié.

- chers amis, nous allons pouvoir commencer! Je vous donne quelques détails : sachez donc que c'est notre big boss en permisterne qui est le commanditaire de notre nouvel étudiant. Il ne saurait tarder pour assister au spectacle. Comme toujours, vous savez qu'il faut commencer par des méthodes assez rudes pour arriver à la conversion, mais elles justifient notre taux de réussite de plus de trois quarts de tous les pensionnaires que nous avons reçus.

Colosse et Molosse plièrent légèrement la structure métallique en avant, forçant SAHIM à se retrouver fesses tendues. L'un lui mit la main sur mister sexe, évidemment mou, et l'autre lui introduisit mister majeur dans la raie du cul.

- on commence toujours par une bonne fessée, vous le savez. Je vous rappelle pour information que le premier écran indique par tirage au sort, sans trucage, le moyen qui sera employé car les instruments ne manquent pas : vous les voyez accrochés sur ce panneau. Le second écran indiquera le nombre de coups qui seront portés. Enfin, le troisième écran indiquera ensuite, par vos votes avec vos télécommandes, ce que vous souhaiterez voir infligé à notre nouvel étudiant après cette première épreuve. C'est parti!

Plusieurs mots apparurent à grande vitesse sur le premier écran, avant de s'arrêter sur le terme « badine ». Des nombres défilèrent aussi vite sur le second, avant de s'arrêter sur 17.

- 17 coups de badine? Vous avez de la chance, M. SAHIM. On a connu pire...
chrislebo

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#3,243
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Ce beau voisin qui fit exploser notre couple

- Je finis par sucer notre nouveau voisin en espérant qu'il laissera ma copine
tranquille.

Je m'appelle Jean, j'ai 25 ans et je vis depuis quatre ans avec ma petite amie
Charlotte, âgée de 23 ans. Charlotte est ce qu'on appelle une jolie fille. C'est une
vraie blonde aux yeux noisettes. Elle mesure 1m64 pour 50 kg. Elle a la chance d'avoir
de très belles formes : ses hanches mistert bien dessinées, elle a un joli petit cul
rebondi et est dotée d'un bonnet 85D, ce qui pour sa taille donne l'impression qu'elle
possède une énorme poitrine.

Je suis conscient d'avoir énormément de chance d'être avec une fille aussi belle et
désirable, mais je dois avouer que côté sexe, je n'en profite pas au maximum.
Charlotte n'est pas très demandeuse en la matière, mais je pense que c'est un peu de
ma faute, car je suis loin d'être le coup du siècle. Je sais pourtant qu'elle aime
faire l'amour et qu'il lui arrive d'être en manque, car j'ai déjà trouvé dans
l'historique de mister ordinateur la trace de sites pornographiques. Toutes les vidéos
consultées montraient des mecs bâtis et montés comme des taureaux (je ne mesure
qu'1m75 pour 68kg, et mon sexe mesure 15cm en érection...), défonçant des femmes qui
hurlaient leur plaisir. Cela m'avait fait un choc et m'avait même un peu vexé...

Cela faisait quelques jours que nous avions emménagé dans notre nouvel appartement,
situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble de deux étages. Charlotte travaillait
dans un magasin de prêt-à-porter, elle faisait beaucoup d'heures et rentrait tous les
soirs vers 20h. Moi, j'avais récemment perdu mon emploi d'informaticien, j'occupais
donc mon temps libre à chercher du travail et, depuis le déménagement, à faire toutes
les démarches nécessaires auprès des impôts, de notre banque, de notre fournisseur
d'accès internet...
Il était 17h et je rentrais du supermarché où j'avais fait quelques courses. Nous
n'avions pas encore croisé notre voisin de pallier, et nous nous étions demandé à quoi
il pouvait bien ressembler. J'eus la réponse alors que j'arrivais dans le hall de
l'immeuble. Au moment où je sortais la clé de l'appartement de ma poche, j'entendis la
porte d'à côté s'ouvrir. Je me retournais pour saluer notre nouveau voisin, et j'eus
un choc en le découvrant. Un homme noir d'une trentaine d'années, qui devait bien
mesurer 1m90 pour une centaine de kilos de muscles, se tenait à quelques mètres de
moi. Il était habillé de façon très cool et sportive, avec un pantalon de survêtement
et un t-shirt qui moulait ses imposants pectoraux. Son crâne était rasé et ses yeux
étaient d'un marron très clair, ce qui lui donnait un regard pénétrant et
déstabilisant. Je me sentis tout de suite intimidé face à lui.
- Bonjour ! me lança-t-il joyeusement.
Il avait un accent africain assez marqué, ce qui me fit dire qu'il n'avait
probablement pas grandi en France.
- … Bon... Bonjour, balbutiai-je. Comme vous voyez, je suis votre nouveau voisin !
- Enchanté, répondit-il. Je m'appelle Baakari, j'entraîne l'équipe de foot' de la
commune ! Et vous ?
- Euh... Je m'appelle Jean, je... je suis content de vous rencontrer. On ne s'était
pas encore croisés depuis notre emménagement.
- C'est vrai ! Mais je vous ai aperçu avec votre camionnette de location l'autre jour,
vous et votre... amie. C'est votre femme ?
Cela me dérangea qu'il pose cette question, car en l'apercevant quelques secondes
auparavant, j'avais justement pensé à Charlotte, en me disant qu'un tel homme allait
beaucoup lui plaire...
- Nous ne sommes pas mariés, Charlotte et moi, rétorquai-je. Mais nous sommes ensemble
depuis 6 ans.
Je rajoutais volontairement du temps à notre relation, pour qu'il comprenne qu'entre
Charlotte et moi, c'était du sérieux !
- Charlotte... C'est un joli prénom. Je l'ai trouvée très jolie, en tout cas ! Tout à
fait mon genre de femme...
Je fus frappé par la franchise de Baakari. « Pourquoi ne pas me dire que tu t'es
branlé en pensant à elle, connard ? » me dis-je en mon for intérieur.
- Merci, c'est vrai qu'elle est charmante... Et... Et vous, vous avez une femme ?
- Oh non ! s'exclama-t-il instantanément. Moi et les femmes, ce n'est jamais sérieux.
Je les aime trop pour n'en avoir qu'une, si vous voyez ce que je veux dire !...
Je voyais tout à fait ce qu'il voulait dire. Même si je savais que Charlotte n'était
pas une femme volage, ces quelques mots m'avaient suffit pour considérer Baakari comme
un rival potentiel. Un rival face à qui, bien sûr, je ne faisais pas le poids...
- Ok, Chacun mister truc ! Moi et Charlotte, nous préférons les relations sérieuses...
- Je comprends, mais vous savez, les goûts peuvent évoluer... Il suffit de rencontrer
la bonne permisterne pour vous faire changer d'avis !
Je ne savais pas vraiment à quel jeu jouait mon interlocuteur, mais j'étais déjà
troublé par le peu qu'il m'avait dit, et j'eus soudain envie de me débarrasser de lui.
- Tout à fait, tout à fait... Veuillez m'excuser, Baakari, mais je suis un peu pressé,
j'ai des choses à mettre au frais et un repas à préparer pour ce soir ! Nous aurons
certainement l'occasion de nous recroiser pour discuter.
- Pas de problème, dit Baakari. De toute façon, je dois être au stade pour 17h30. Je
demande aux jeunes d'être à l'heure à l'entraînement, alors ce ne serait pas normal
que moi, je sois en retard... A bientôt alors, Jean !
Je le vis, lui et ses épaules incroyablement carrées, sortir du hall d'immeuble et
s'éloigner à travers le parking.

Une fois rentré dans l'appartement, je ne parvins pas à me sortir ce Baakari de la
tête. Je l'avais trouvé bien trop séduisant, et surtout bien trop intéressé par ma
copine ! Je me demandais également ce que Charlotte allait penser de ce nouveau
voisin. Malgré toutes ces questions qui se bousculaient dans mon esprit, je dus
revenir à des considérations plus pragmatiques, et au repas que j'avais promis à
Charlotte pour mister retour ! J'ouvris grand les fenêtres qui donnaient sur la terrasse
pour aérer, car nous avions repeint l'appartement avant d'emménager, et l'odeur
n'avait pas complètement disparu. Puis je me dirigeai vers la cuisine pour me mettre à
la tâche...

Un peu avant 20h, alors que je rêvassais en regardant la télé depuis la cuisine, je
fus interpellé par un éclat de rire qui venait de l'extérieur. Après quelques
instants, je crus reconnaître les intonations et le timbre de ma petite amie
Charlotte. Heureux de la savoir de retour, je me dirigeai vers la fenêtre pour tenter
de l'apercevoir. Même si nous habitions au rez-de-chaussée, notre terrasse était un
peu en retrait par rapport au parking, ce qui me permit de voir ce qui s'y passait
sans être vu. Charlotte était bien là, à côté de sa voiture qu'elle venait de garer,
mais elle n'était pas seule ! La permisterne avec qui elle discutait en riant aux éclats
n'était autre que notre nouveau voisin Baakari ! J'eus instantanément la boule au
ventre. Ce salaud devait rentrer de l'entraînement de football, et profitait de mon
absence pour faire connaissance avec ma copine. Je ne parvenais pas à discerner les
mots qu'ils prononçaient, mais cela semblait réjouir Charlotte, qui avait le sourire
jusqu'aux oreilles. Elle passait mister temps à se toucher les cheveux et à se
trémousser. Peut-être me faisais-je des idées, mais j'avais l'impression qu'elle
faisait tout pour aguicher ce beau black. Leur conversation dura un bon quart d'heure.
Au moment de se quitter, ils sortirent chacun leur téléphone portable : je compris
qu'ils étaient en train de s'échanger leur numéro ! J'étais fou de rage, mais je me
rendis compte que les avais épié 15 minutes durant sans oser intervenir. Quelle
lavette j'étais ! Quand j'entendis la clé dans la serrure, je me précipitai dans la
cuisine pour reprendre ma position initiale.
- C'est moi, chéri ! annonça Charlotte en pénétrant dans la pièce. Ca sent drôlement
bon, c'est la dinde que tu m'as promis ?...
Nous échangeâmes quelques banalités. Je pris soin de ne pas parler de ce que j'avais
vu, pour voir si elle allait oser aborder le sujet. Elle ne toucha pas un mot de sa
rencontre avec Baakari ! Pire, lorsque j'annonçai innocemment avoir fait la
connaissance du nouveau voisin dans le hall, un « grand black imposant », elle prit un
air surpris et me dit qu'elle avait hâte de le croiser pour voir à quoi il
ressemblait ! J'étais de plus en plus vexé. Je n'osai évidemment pas lui dire ce que
j'avais vu même si je me sentais trahi.
Nous passâmes une soirée ordinaire. Moi dans le bureau, sur l'ordinateur pour
rechercher des offres d'emploi, Charlotte dans le salon, sur la canapé devant la
télévision. Même si je repensai à Baakari toute la soirée, je finis par relativiser :
Charlotte avait sûrement eu peur de ma réaction, sachant que j'étais d'un naturel
jaloux et qu'elle s'était très bien entendue avec notre nouveau voisin. Je décidai
donc d'oublier cette histoire. Nous ne fîmes pas l'amour au moment du coucher, mais
alors que je la prenais dans mes bras pour lui souhaiter bonne nuit, il me sembla que
Charlotte avait le sexe humide. Mais peut-être, encore une fois, avais-je rêvé...
chrislebo

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#3,244
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Le lendemain matin, Charlotte partit travailler à 8h. J'avais rendez-vous à Pôle
Emploi à 14h, ce qui me laissait la matinée libre. Je m'installai devant l'ordinateur
pour traîner sur internet, vêtu d'un simple t-shirt et d'un caleçon. Au bout d'une
heure, je fus dérangé par la misternette de l'appartement. C'était la première fois que
je l'entendais retentir. Pris de court, j'enfilai en vitesse ma robe de chambre et me
dirigeai vers la porte d'entrée. Un rapide coup d'oeil à travers le judas : c'était
Baakari ! Décidément, cet homme devenait encombrant ! L'immeuble n'était pas très bien
isolé, il m'avait donc forcément entendu me déplacer dans l'appartement : j'étais
obligé d'ouvrir, où j'allais passer pour un malotru. A regret, je tournai le verrou et
entrouvris la porte. Le sourire impeccablement blanc de Baakari m'attendait.
- Bonjour Jean ! Désolé de vous déranger, mais je viens de m'apercevoir que je n'ai
plus d'oeufs chez moi, et il m'en faudrait deux pour ce midi. Comme nous avons fait
connaissance hier, je me suis dis que j'allais passer vous en demander ! C'est
important l'entraide entre voisins.
Je n'étais pas ravi de le revoir aussi vite, mais après tout, il ne s'agissait que de
quelques œufs.
- Ah ! Eh bien, justement j'en ai racheté hier. Entrez, je vais vous donner ça.
Baakari pénétra dans l'appartement à ma suite. Il avait la même tenue « sportive » que
le jour précédent. J'engageai la conversation pendant que je cherchais les œufs dans
le frigo. Lui se tenait debout dans le salon, de l'autre côté du bar de la cuisine
américaine.
- Vous allez bien depuis hier ? L'entraînement s'est-il bien passé ?
- Parfaitement bien, me répondit Baakari. J'ai aussi passé une belle soirée, qui avait
bien commencé puisque j'ai rencontré Charlotte...
Mon sang se glaça lorsque j'entendis ces paroles. Baakari les avait prononcées d'un
air tellement satisfait, on aurait dit qu'il me provoquait... J'avais toujours la tête
dans le frigo, mais je sentais mister regard pénétrant dans mon dos.
- Ah ! C'est très bien ! répondis-je d'un air faussement détaché. Et... vous vous êtes
bien entendus ?
- Vous n'avez pas idée ! Elle me plaît encore plus de près que depuis ma fenêtre ! Et
j'ai eu le sentiment que c'était réciproque... D'ailleurs, nous avons échangé des
textos toute la soirée ! J'espère que ça ne vous dérange pas !
A ces mots, je fis volte-face pour le regarder dans les yeux. Cet homme allait
décidément trop loin ! Je restais très intimidé par sa carrure, mais je ne pouvais
plus supporter ses allusions lubriques. Dans le même temps, j'étais choqué par ce
qu'il venait de m'annoncer. Des textos toute la soirée ! C'était peut-être une
provocation, mais il est vrai que je n'avais pas pu surveiller Charlotte, puisqu'elle
avait regardé la télévision dans le salon jusqu'à minuit.
- Vous... vous m'ennuyez avec votre petit jeu, osai-je lui lancer. Vous essayez
manifestement de casser mon couple, mais je ne crois pas à vos menmisterges ! J'aime
Charlotte, et vous ne parviendrez pas à nous séparer !
- Je vois... Le numéro des amoureux fidèles, ironisa-t-il. Dans ce cas, pourquoi ne
pas vérifier par vous-même... Regardez !
Baakari sortit mister portable de sa poche de survêtement, appuya sur quelques touches,
puis me tendit l'appareil. Je ne voulais pas entrer dans mister jeu, mais la curiosité me
poussa à y jeter un œil. Il s'agissait bien d'un échange de textos avec une certaine
« Charlotte », et le numéro correspondait à celui de ma copine ! Il commençait par lui
avouer qu'il l'avait trouvée charmante, ce à quoi elle répondait par des remerciements
gênés. Mais à mesure que les messages s'enchaînaient, la conversation devenait de plus
en plus chaude. Il lui demandait si elle était toujours restée fidèle, la réponse
était oui (ce qui me soulagea grandement), mais elle finissait par lui confier qu'elle
se touchait régulièrement en pensant à d'autres hommes. Il se vantait carrément
d'avoir un sexe de 25cm et de donner énormément de plaisir aux femmes, et Charlotte
lui répondait « Hmmm... Arrête ça tu me troubles... ». Et la conversation continuait
ainsi de 20h45 à 23h30 !

Tout s'effondrait autour de moi. Ma petite amie avait flirté toute la soirée avec un
homme bien plus viril et séduisant que moi ! Si je n'avais pas été là, dieu sait ce
qui aurait pu se passer entre eux ! Je n'osais maintenant plus regarder Baakari dans
les yeux. J'avais le sentiment d'être une proie en face d'un mâle dominant, satisfait
d'avoir gagné mister combat et prêt à me voler ma vie et ma copine. Je sanglotais, de
honte et de tristesse. Lui ricanait en me toisant du regard. Lorsqu'il reprit la
parole, mister ton n'était plus du tout le même.
- Ecoute-moi, Jean. Je vais te tutoyer, puisque je tutoie déjà ta copine. Charlotte
est beaucoup trop belle pour toi, tu le sais. Tu pensais pouvoir faire toute une vie
avec elle sans pouvoir la satisfaire ? Ce genre de femme a besoin d'un vrai mâle, d'un
homme comme moi qui lui donne du plaisir et en fait une petite chienne affamée de
bite. En à peine 5 minutes de conversation, je l'ai compris, et elle aussi. Je n'ai
plus qu'un mot à dire pour qu'elle se jette à mes pieds et me supplie de lui bourrer
la chatte. Tu l'as déjà perdue, tu dois l'accepter...
- Non... non, je t'en supplie... On s'aime, laisse-la tranquille... Je te donnerai
tout ce que tu voudras, mais ne bousille pas mon couple, s'il-te-plaît...
J'en étais réduit à supplier un homme pour qu'il ne baise pas ma copine. J'étais
pitoyable. Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi soumis et impuissant face à
quelqu'un. J'étais complètement pris au piège : d'après les textos, il avait réussi à
séduire Charlotte, je ne pouvais que le reconnaître.
- Tout ce que je veux ? Mais c'est le corps de ta copine que je veux ! Non, non... Si
je renonçais à Charlotte, il me faudrait autre chose pour compenser... Elle m'a
drôlement excité hier soir, la petite salope... Je suis sûr que c'est un bon coup, je
ne peux pas m'asseoir dessus sans contrepartie !
Naïvement, j'eus l'impression qu'il ouvrait la porte à un possible compromis. Je me
jetai dessus avec l'énergie du désespoir.
- Une contrepartie ? Oui, dis-moi ! Tu veux que je te paye une escort ? C'est comme tu
veux, je te paye qui tu veux !
- Hmmmm, tu n'as pas l'air de comprendre, me lança Baakari avec condescendance et
mépris. Je voulais baiser la bouche de ta copine et lui dépuceler le cul. Elle m'a dit
qu'elle en mourait d'envie. Si je ne peux pas avoir ça, c'est TA bouche et TON cul que
je veux ! Avec ton tempérament de soumis, je suis sûr que tu serais foutu d'aimer ça !
J'étais loin de m'attendre à ça ! Je me sentais encore plus humilié par sa demande. Je
dois bien avouer que le sentiment de soumission que j'avais ressenti en lisant les
textos faisait de Baakari une sorte de sur-homme à mes yeux, contre qui je ne pouvais
absolument pas lutter. L'offense qu'il m'infligeait en séduisant ma femme
quasiment sous mes yeux instaurait entre nous un rapport de virilité presque sexuel.
Mais de là à me laisser user par lui ! Je n'avais jamais eu d'expérience
homosexuelle, même s'il m'était arrivé d'y penser pendant mon adolescence. Si je le
laissais me prendre la bouche et le cul, je le laissais en même temps aller au bout de
mister entreprise de soumission, car je m'offrais complètement à lui. Et power m'était de
constater que sa demande, qui me poussait à abandonner toute forme de virilité, avait
quelque chose d'excitant.
- Tu... tu es sérieux ? lui demandai-je. Si je fais ce que tu demandes, tu laisseras
Charlotte tranquille ?
- Il ne te faut pas longtemps pour envisager de passer à la casserole ! s'exclama-t-
il. J'étais sûr qu'il y avait deux femmes dans votre couple ! Qu'on soit bien clair :
si tu te laisses aller entre mes mains, peut-être que j'oublierai ta copine... Tout ce
que je veux, c'est une salope à baiser !
- … Alors c'est d'accord, dis-je en gardant les yeux baissés. Je vais le faire...
J'avais dit oui. A cet instant précis, j'avais définitivement accepté la victoire de
Baakari. Désormais, il était le mâle, et moi sa chose... Et ce uniquement pour garder
Charlotte...
- Très bien, Jean, voilà qui est raimisternable. Enlève-moi cette robe de chambre et
mets-toi à genoux, et vite !
Je m'exécutai et me retrouvai en caleçon et en t-shirt, ce qui me donnait vraiment
l'air d'une crevette à côté de Baakari et mister imposante silhouette. Il ôta mister t-shirt
et libéra un buste excessivement musclé. J'aurais tellement aimé être bâti comme lui !
- Approche-toi de moi en tordant du cul ! Fais la salope, vas-y ! Par terre,
maintenant ! Ma bite attend qu'on s'occupe d'elle !
J'obéissais à ses ordres et je me tortillais sur place, en essayant d'imiter les
femmes que j'avais vu faire dans les pornos. Je me cambrai au maximum avant de
terminer à genoux, la visage à quelques centimètres de mister paquet. Visiblement, mon
petit numéro lui avait plu, puisqu'une bosse énorme s'était dessinée au niveau de mister
entrejambe. Je ne voyais pas encore mister sexe, mais je me disais qu'il n'avait
finalement pas menti en se vantant auprès de ma copine !
- Commence par me la gober à travers le survêtement... Oui... N'avale pas ta salive,
laisse tout couler comme une vraie femelle ! Aaaah...
A travers le tissu, je pouvais sentir un léger goût salé. Sa verge devait déjà
commencer à suinter... Soudain, Baakari s'écarta de quelques centimètres et fit tomber
mister pantalon et mister caleçon au niveau de ses chevilles. Il libéra alors un pénis
absolument magnifique. Noir comme l'ébène, il était décalotté et mesurait
effectivement 25cm. Les veines apparentes qui courraient le long de la verge et le
gland extrêmement large (environ 6cm selon moi) donnaient à l'ensemble un air
incroyablement puissant. Je fus estomaqué devant ce qui m'apparut être la quintessence
de la virilité. A ce moment, je me sentais comme n'importe quelle femme se serait
sentie devant un tel engin : totalement excité. Alors qu'il était encore penché pour
ôter complètement mister survêtement et mister caleçon, Baakari m'attrapa la tête de ses
deux mains et me pinça le nez. J'ouvris la bouche par réflexe, et mon amant en profita
pour y engouffrer violemment mister chibre. Surpris, je déglutis violemment et je crus un
moment que j'allais vomir. Au lieu de ça, je déversai une quantité impressionnante de
salive, qui dégoulina sur le sexe en érection et sur mon menton. Baakari me maintint
un moment le visage sans bouger, puis commença des va-et-vient qui s'accélérèrent
rapidement. Il me baisait littéralement la bouche. Si je ne me sentais pas homosexuel
quelques minutes auparavant, j'étais désormais une suceuse, soumise au fantasme et au
rythme de mister mâle dominant. Je le suçai ainsi pendant de nombreuses minutes. Aux
soupirs de plaisir qu'il lançait, je compris que Baakari prenait de plus en plus mister
pied. Moi même, qui avait si longtemps ignoré ma vraie nature, je commençais à me
prendre au jeu de la soumission. La scène était terriblement excitante : mon amant
était debout, complètement nu excepté ses chaussures et ses chaussettes qu'il avait
gardés aux pieds ; moi, j'étais à genoux, mister sexe en bouche et de la salive plein le
cou et le t-shirt, ce qui me donnait l'air d'une salope de film porno. Sans m'en
rendre compte, je m'étais moi-même mis à bander. La vérité était que je souhaitais
satisfaire Baakari : je voulais qu'il connaisse la meilleure fellation de sa vie ! Je
me mis donc à imprimer mon propre rythme pour pomper au mieux la verge d'ébène qui
m'était offerte. Je tournais frénétiquement ma langue autour du gland qui remplissais
ma bouche. Baakari était aux anges.
- Oh putaaaiiiin... Mmmhhhhhhhhhhh... T'es une vraie salope toi ! Suce-moi bien, ma
petite Jeanne ! Ca te va mieux que Jean, hein ? T'es une petite femelle qui s'ignore,
voilà la vérité ! Mets-toi à quatre pattes et cambre-toi !
J'obéis, en prenant la liberté de baisser mon caleçon jusqu'aux genoux. Je me cambrai
une nouvelle fois, pour donner à mon cul la plus belle forme possible.
- Waaooh ! renchérit Baakari. Même ton corps est digne des plus belles femelles ! On
se demande comment une femme comme Charlotte peut être attirée par une pédale comme
toi ! Souriiiiiis !
J'entendis un bruit d'appareil photo. Relevant les yeux vers Baakari, je vis qu'il me
visait avec mister portable. Il venait d'immortaliser ma position humiliante, sa bite en
bouche et les fesses ressorties au maximum. Au fond de moi, je voulais protester, lui
demander de supprimer la photo qu'il avait prise, mais l'excitation me faisait
complètement perdre la tête. Je n'avais plus aucune notion des réalités. Plus Baakari
m'insultait, me traitait de salope, de traînée, plus j'avalais sa verge avec envie. En
me tirant par les cheveux, il me traîna jusqu'au salon, sans que mister chibre ne quitte
un seul instant ma bouche. Il s'assit dans le canapé, et m'ordonna de continuer ma
besogne. Il avait toujours mister téléphone à la main.
- Dire que c'est sur ce canapé que ta copine s'est doigtée hier soir en pensant à
moi ! Je crois qu'on va changer les règles du jeu, ma petite Jeanne. Tu es une très
bonne suceuse, mais j'ai vraiment très envie de baiser Charlotte, et sous tes yeux en
plus !
Je me libérai un instant de sa bite pour lui répondre. Il en profita pour me donner
des petits coups de verge sur le visage.
- Comment ça ? protestai-je. Tu m'avais promis ! Je suis une bonne salope, je te suce
depuis au moins dix minutes !
chrislebo

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#3,245
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La petite cochonne entreprit de se lever, non sans mal puisque l'alcool la
faisait tituber. Elle se tint droite sur le tapis du salon, en face de Denis et
Baakari qui étaient toujours affalés dans le canapé. Sa nouvelle position la plaçait
exactement en face de moi, je me retirai donc précipitamment de mon emplacement par
peur qu'elle m'aperçoive. Tiraillé par la curiosité, je revins toutefois quelques
secondes après vers l'entrebâillement de la porte, en glissant prudemment un œil vers
le salon. En réalité, il n'y avait aucun risque que Charlotte me voit, car elle était
trop saoule et trop absorbée par la tâche qui l'occupait actuellement : tenter
d'exciter au maximum Denis et Baakari. Elle était terriblement sexy. Ma copine était
en train d'onduler sur place, en se caressant d'une main les cheveux, de l'autre la
poitrine, qu'elle avait libérée en faisant tomber sa robe à sa taille. Elle avait déjà
abandonné ses talons. Elle jouait avec ses seins et passait régulièrement sa langue
sur ses tétons. Parfois, prise d'un frismister, elle laissait tomber sa tête en arrière,
comme transportée par le plaisir et la concupiscence. Je ne l'avais jamais vu comme
ça : Charlotte était entrée dans une transe sexuelle qui la métamorphosait ! Soudain,
elle lâcha ses cheveux et tourna le dos au canapé. Elle se pencha en avant et fit
glisser la robe rouge jusqu'à ses pieds. Elle offrait maintenant à l'assistance la
vision de mister petit cul rebondi, traversé au centre par un minuscule string noir. Lui
aussi glissa rapidement jusqu'à terre. De sa main droite, elle se donna une fessée
énergique, écarta une de ses fesses pour laisser entrevoir mister anus et, plus bas, ses
lèvres luisantes de mouille. De la main gauche, ma copine entreprit de flatter
langoureusement mister clitoris. Ce petit jeu dura plusieurs minutes. Bruyants quelques
instants plus tôt, Denis et Baakari étaient maintenant silencieux, absorbés par ce
spectacle électrisant. D'où j'étais, je pouvais constater que des bosses
impressionnantes s'étaient formées à l'entrejambe des deux lascars, qui se
masturbaient déjà à travers leur pantalon.
Charlotte se redressa finalement et se retourna, pour retrouver sa position
initiale. Elle était désormais complètement nue. Sa main droite retrouva rapidement le
chemin de mister vagin, dans lequel elle pénétra deux doigts. Elle fixait Baakari du
regard : l'alcool lui avait visiblement redonné toute mister assurance !
- J'ai rarement vu une femme aussi chaude ! lança Denis à mister voisin, tu es sûr que
c'est la première fois qu'elle fait cocu mister copain ?
- En tout cas, c'est ce qu'elle m'a dit, répondit Baakari. Mais c'est vrai qu'elle est
encore plus chaude que les salopes qu'on ramasse en boîte le week-end...
Charlotte ne semblait pas offensée par ces réflexions grivoises. Au contraire,
elle se mit à quatre pattes, se cambra au maximum et se rapprocha du canapé. Elle posa
ses mains sur les paquets de Denis et Baakari, qui tressaillirent d'excitation. Elle
malaxa tendrement les deux verges à travers le tissu.
- J'ai menti ! annonça-t-elle, avec un brin de fierté dans la voix. Je t'ai écrit ça
au moment où Jean passait dans le salon, j'ai eu peur qu'il y jette un coup d'œil ! Il
ne m'excitait déjà pas beaucoup, mais depuis qu'il a perdu mister boulot, j'ai perdu tout
désir pour lui ! Cela fait un mois que je me tape mon patron dans la réserve du
magasin... C'est bon de se sentir femme après autant de temps !
Les deux compères éclatèrent de rire. Une nouvelle fois, je faillis
m'effondrer. Cette journée était décidément riche en révélations ! Charlotte venait
d'avouer qu'elle me trompait avec Greg, mister supérieur de 35 ans que j'avais récemment
rencontré. C'est vrai qu'il était plus beau gosse, avec sa barbe de trois jours et mister
teint halé, mais j'étais loin d'imaginer qu'il se tapait ma copine ! Je pensais à
Baakari, qui me savait caché dans la chambre d'amis. Il devait bien se marrer au fond
de lui ! Je me dis que cette matinée allait rester gravée dans ma mémoire toute ma
vie. Je passais par tous les stades émotionnels possibles : de la colère à la
soumission, de la jalousie à l'excitation... Et quelle frustration de voir Charlotte
succomber de tout mister être à l'appel du plaisir, alors qu'elle ne s'était jamais
lâchée à ce point avec moi ! Je tremblais de froid, de tristesse et de nervosité
sexuelle dans cette petite chambre, alors que ma copine s'apprêtait à s'offrir à deux
autres hommes, à quelques mètres de là...
Le canapé tournait le dos à ma cachette, je ne pouvais donc pas distinguer
l'intégralité des corps de Baakari et de Denis. Je les vis toutefois s'agiter, et
chacun libéra de mister pantalon de survêtement un sexe déjà dressé vers le ciel. J'avais
eu l'occasion de faire connaissance avec celui de Baakari en début de matinée, et je
constatai qu'il semblait de nouveau prêt à un rapport sexuel. Par contre, je
découvrais pour la première fois la verge de Denis. Elle aussi était surdimensionnée !
Couleur café, elle devait bien mesurer 20-22 cm, et elle était aussi large que celle
de Baakari. C'était deux matraques qui se présentaient à quelques centimètres du
visage de Charlotte. Celle-ci ne resta pas indifférente et sembla totalement scotchée
par le spectacle qui s'offrait à elle. Baakari eut un rire satisfait et attrapa ma
copine par les cheveux, pour la rapprocher encore un peu plus des deux sucettes.
- Alors, ma coquine, nos jouets te plaisent ? lui demanda-t-il en maintenant fermement
mister emprise sur la crinière blonde.
- Waaooh ! Putain ! Je n'en ai jamais vu d'aussi grosses ! s'écria Charlotte. Même
celle de mon patron, qui me ramone super bien, paraît minuscule à côté des vôtres !
Ma copine salivait d'envie devant les mandrins de Denis et Baakari. Elle ne
résista pas longtemps à l'envie d'y toucher, et les agrippa énergiquement en les
fixant du regard : elle semblait littéralement émerveillée par cette vision. Dans la
main droite Baakari, dans la main gauche Denis. Tous deux soupirèrent de plaisir
lorsqu'ils sentirent l'étreinte des petites mains habiles de leur nouvelle traînée.
- Aaaaah ! C'est toujours aussi bon ! lâcha Denis. Vas-y Charlotte, branle-nous et
suce-nous comme une affamée, ta chatte et ton cul n'en seront que mieux récompensés !
Autant dire que la petite salope obéit à la lettre aux ordres de ses amants. A
quatre pattes, les fesses mises en évidence par sa cambrure excessive, Charlotte
entreprit d'offrir aux deux bites la fellation de leur vie ! Elle léchait les tiges,
suçait les glands, gobait les testicules comme si mister existence en dépendait. Elle
passait d'une verge à l'autre en laissant s'échapper des filets de salive, qui
finissaient par goutter sur mister menton, ses seins et le tapis du salon. Comme mister
voisin, Denis avait fini par agripper une touffe de cheveux blonds, ma copine était
donc dirigée dans ses mouvements par ses deux amants, qui seuls décidaient du rythme
de la pipe et de l'alternance entre les deux chibres. De longues minutes furent
consacrées à la lubrification de ces engins sexuels. On n'entendait plus que les
gémissements lubriques de Charlotte et la forte respiration de Denis et Baakari,
parfois interrompue par des remarques salaces. « Ooh ouais ! », « Ha ha ! Mais quelle
salope ! », « T'es vraiment une affamée, toi ! »... De mon côté, je n'avais pas pu
résister à l'envie de me masturber. J'avais fait tomber mon caleçon à mes pieds, et je
me donnais du plaisir en observant ma copine en donner à ces deux veinards.
Malheureusement, l'excitation était trop forte et je jouis à mes pieds en quelques
minutes à peine.
- Je crois qu'il est temps de passer aux choses sérieuses ! déclara finalement Baakari
en se relevant. On va te rendre la monnaie de ta pièce...
Notre voisin ramena la table basse au centre du tapis et força sa proie à se
relever, la tenant toujours par la chevelure. Il installa sur la table quelques
coussins pris sur le canapé.
- Allonge toi sur le dos ! lui ordonna-t-il.
Charlotte obéit et se mit en position. La table basse ne mesurait qu'1m20 de
longueur environ, ce qui était trop court pour que ma copine y repose complètement.
Elle se retrouva finalement avec le bas des jambes et la tête qui dépassaient des deux
côtés. Son visage partait complètement en arrière. Baakari lui maintint des deux mains
et vint se positionner devant lui à genoux, ce qui plaçait mister sexe exactement en face
de la bouche de ma copine. Les yeux de Charlotte étaient au niveau des couilles du
beau black, et ses cheveux tombaient jusqu'au sol. Il n'attendit pas pour enfoncer sa
verge dans le trou qui s'offrait à lui.
- A toi l'honneur, dit-il à Denis. Je te laisse inaugurer sa chatte !
Denis ne se fit pas prier et sortit du canapé pour venir se positionner de
l'autre côté de la table basse, au niveau des jambes de Charlotte. Il les releva et
installa les pieds de ma belle sur ses épaules musclées, ce qui lui laissa la voie
libre jusqu'aux petites lèvres luisantes d'excitation. Je vis mister visage s'enfoncer
vers le vagin qui s'offrait à lui. Ma copine fit elle-même un mouvement de bassin pour
entrer plus rapidement en contact avec la bouche de mister amant. Au puissant gémissement
que laissa échapper Charlotte, je compris que Denis avait commencé à lui lécher
l'entrejambe. La scène était merveilleuse et devait satisfaire les deux compères : ma
copine, allongée sur la table basse, suçait Baakari d'un côté et offrait mister vagin à
la langue experte de Denis de l'autre. Elle aussi semblait apprécier. La tête en
arrière, elle avait du mal à déglutir devant les assauts de Baakari qui lui baisait
littéralement la bouche (j'avais subi le même traitement un peu plus tôt), et
relâchait énormément de salive sur le sexe et les testicules d'ébène. Les caresses
buccales de Denis lui faisaient frétiller le bassin : elle enserrait et étreignait de
ses jambes le visage qui lui visitait la zone intime, comme pour l'obliger à la lécher
avec toujours plus d'ardeur. Evidemment, elle gémissait abondamment et manifestait mister
plaisir à chaque instant.
Charlotte finit par se libérer du sexe de Baakari et s'adressa à Denis d'un
ton à la fois autoritaire et supplicateur.
- Allez, range ta langue et remplace-la par ta bite ! Je te veux en moi, vite ! J'en
ai trop envie !
Baakari éclata de rire en entendant ces mots. Il tapota sa verge sur le visage
de ma copine, qui répondit en embrassant le gland dès qu'il passait à portée de ses
lèvres.
- Eh bien, lui dit-il, on peut dire que tu sais comment exciter un homme ! Quand il
s'agit de baise, on dirait que tu oublies complètement ton copain, n'est-ce pas ?
- Arrête de me parler de lui ! rétorqua-t-elle. C'est de vrais mecs comme vous, avec
des longues sucettes au chocolat dont j'ai envie ! Je veux les sentir en m...
Haaaaaaan !
chrislebo

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#3,246
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Charlotte interrompit sa phrase au moment où Denis, qui avait bien reçu le
message, pénétrait de mister large priape le vagin de sa femelle. Il entra en elle d'un
coup, sans précautions et surtout sans préservatif, largement aidé par la quantité de
mouille impressionnante qu'elle avait déversée. Ma copine fut immédiatement prise d'un
frismister qui lui parcourut tout le corps, et se remit à gémir de plus belle.
- Han ! Han ! Nous les salopes, on les baise sans capote pour qu'elles nous sentent
bien en elles ! Ca te plaît, petite cochonne ?
En prononçant ces mots, Denis imprimait déjà un rythme impressionnant à ses
coups de butoir. Il ôta la chemisette qu'il portait, libérant un corps puissant déjà
luisant de sueur. Son physique et mister assurance, comme pour Baakari, me faisaient
penser aux acteurs des films pornographiques. Et ma copine était entre leurs mains !
Elle entoura la taille de Denis avec ses jambes et avança une de ses mains pour
caresser les tablettes de chocolat de mister amant. La tête redressée et crispée par
l'excitation, elle criait maintenant sa jouissance, comme possédée par le plaisir.
- Ooooh ! Oui ! Oui ! Greg aussi me baise sans capote, je te sens mieux... comme ça !
Vas-y ! OUIII !
J'avais dû attendre deux ans avant d'avoir droit au sexe sans préservatif, et
cette petite salope s'offrait tous les jours à Greg sans précaution, alors qu'elle le
connaissait à peine ! Je savais qu'il lui arrivait régulièrement d'oublier sa pilule :
si ça se trouve, elle allait se faire enfanter par un de ses amants !
Après quelques minutes que je n'aurais pas su compter, puisque je commençais à
perdre toute notion du temps, les trois amants changèrent de position. Charlotte se
releva et se mit à quatre pattes sur la table basse, offrant cette fois-ci ses fesses
et mister vagin à Baakari. Elle caressa tendrement le torse de Denis, qui venait de lui
offrir un plaisir intense, et les deux amoureux s'embrassèrent langoureusement pendant
de longues secondes. Ce geste sensuel me fit très mal au cœur, car on aurait dit
qu'ils formaient un couple, au-delà de la dimension sexuelle de leur relation.
Surtout, comme j'avais joui très rapidement pendant la fellation de ma copine,
l'excitation s'était peu à peu estompée et je redevenais jaloux. Charlotte se détacha
finalement de Denis et tourna la tête vers Baakari, la provocation sexuelle dans le
regard.
- Alors, qu'est-ce que tu attends, beau gosse ? Tu me la mets, ta matraque ?
Elle colla elle-même mister cul à la verge de notre voisin et le bougea d'une
manière terriblement sensuelle, de telle sorte qu'elle masturbait l'imposant mandrin,
coincé entre les deux fesses. Dans le même temps, elle avait repris une fellation sur
le sexe de Denis, qui grognait de plaisir. Baakari agrippa des deux mains la taille de
Charlotte et s'enfonça profondément dans mister antre. Une nouvelle série de gémissements
et de jouissances s'ensuivit.
- Tu l'aimes, ma queue ? demandait Baakari. C'est autre chose que la petite bite de
Jean, hein ?
- Ooooh oui ! criait ma copine. Ce mistert vos bites que je préfère ! Baisez-moi... la
bouche et la chatte ! Je veux votre sperme partout en moi, lâchez-vous dans mes trous
quand vous aurez bien pris votre pied !
C'était terrible à entendre et incroyablement excitant à voir. Charlotte avait
le cul en l'air, les jambes écartées au maximum pour laisser Baakari aller et venir
dans mister vagin. Ses pieds étaient pointés vers le ciel, je les voyais tressaillir à
chaque coup de butoir de mister amant. Les fessées répétées du beau noir donnaient des
frismisters chaque fois plus puissants à ma copine, qui n'était plus qu'une chatte sur
pattes, ne vivant que pour les deux belles verges qui se présentaient à elle.
Il est clair que Denis et Baakari étaient de véritables athlètes du sexe,
j'aurais été incapable de faire l'amour aussi longtemps et aussi franchement. Mais ma
copine, qui délirait de plus en plus et se montrait à chaque coup de bite un peu plus
lubrique et provocatrice, eut finalement raimister de leur endurance. Dans un râle de
plaisir, Denis se déversa le premier dans la bouche et sur le visage de Charlotte.
Elle le remercia en lui nettoyant tendrement le gland, avec lequel elle continua de
jouer pendant que Baakari poursuivait sa performance. Ce-dernier, quelques minutes
après, annonça à l'assistance qu'il allait également jouir.
- Tu veux sentir mon foutre en toi, petite salope ? Demanda-t-il à ma copine.
- Ouui ! répondit-elle sans hésiter. Déverse-toi en moi, possède-moi ! Engrosse ta
petite pute ! Ma chatte t'appartient, c'est TA chatte !
Ce cri du cœur électrisa encore davantage l'ambiance de l'appartement. Je me
remis à bander, et je vis que le sexe de Denis reprenait aussi du poil de la bête.
Baakari tira Charlotte par les cheveux pour qu'elle se redresse et se colle à lui. Il
entoura sa taille de ses bras et commença à l'embrasser dans le cou. Ma copine,
entièrement conquise, jeta sa tête en arrière et la reposa sur l'épaule du beau black.
Alors qu'il la prenait par derrière, ce-dernier passait ses mains épaisses et noires
sur le corps de Charlotte. Il lui caressait les seins, le ventre, le clitoris. Le
spectacle était insensé tant il était bandant. Ma copine hurlait mister plaisir, elle
suppliait cette bête de sexe qui la besognait de se vider en elle.
- Haaaaan ! Haaaaan !... Vide-toi !... Engrosse-moi !... Prends-moi toute entière !
- Je vieeeens ! cria Baakari. Aaaaaaahhhhh !
Dans un ultime soubresaut, notre voisin se vida intégralement dans le vagin de
Charlotte. Celle-ci eut l'orgasme le plus violent qu'il m'ait été donné de voir
jusqu'à ce jour. Puis elle resta là, tremblante de plaisir, le dos collé au torse
musclé de Baakari. La sueur coulait sur leurs corps fourbus et satisfaits. Baakari
relâcha finalement le bras qui maintenait ma copine contre lui et la laissa s'écrouler
sur les coussins. Elle était manifestement épuisée.
- Quelle baise ! s'écria Denis. Tu t'es pas foutu de moi, mec !
Il s'approcha de Baakari et lui tapa dans la main. Ils eurent deux ou trois
réflexions grivoises que je ne compris pas bien (sûrement des délires entre amis),
puis ramassèrent les vêtements éparpillés un peu partout pour se rhabiller. Charlotte
se caressait doucement les seins et souriait en observant ses deux mâles dominants.
Notre voisin ramassa la robe rouge tombée près du canapé et lui tendit.
- Rhabille-toi, petite coquine ! C'est fini pour aujourd'hui ! J'avais prévu de
dépuceler ton petit cul, mais ce sera pour la prochaine fois !
Ma copine se releva et entreprit de remettre sa robe. Manifestement l'alcool
faisait toujours mister effet, car elle mit un moment pour y parvenir. Puis elle vint se
coller à Baakari et lui embrassa langoureusement le torse, encore dénudé.
- La prochaine fois ? Ce sera très vite, j'espère ! s'inquiéta-t-elle. Vous venez de
m'offrir la baise de ma vie ! Sérieusement, je ne vais pas tenir longtemps avant de
vouloir recommencer ! Mais Jean est chômeur, c'est compliqué, il est toujours là !
- Ne t'inquiète pas, je vais arranger ça, la rassura Baakari. En attendant, dépêche-
toi de retourner au boulot, tu es sûrement attendue ! On reste en contact par
textos...
- Ah oui ! J'avais oublié le travail, le temps est passé si vite avec vous !... Je
passe à l'appartement prendre une douche et j'y retourne !
Charlotte retrouva ses talons sous la table basse, les enfila et embrassa
Denis et Baakari avant de se retirer. Notre voisin lui mit une petite claque sur les
fesses avant de lui ouvrir la porte.
- Essaye de tenir jusqu'à nos retrouvailles, Jean ne doit pas se douter de ton petit
manège...
- Ne t'inquiète pas, ce mec est vraiment con, il est super naïf ! Je vais me faire
sauter par Greg avant de rentrer ce soir, ça me fera du bien ! Mais à côté de vos
bites, je ne sais pas si je sentirai grand-chose...
Les trois amants éclatèrent de rire comme un seul homme. Charlotte remercia
une nouvelle fois les deux compères pour « cette baise inoubliable » et sortit de
l'appartement. Denis et Baakari se retrouvèrent seuls, le plaisir que leur avait
procuré ma copine encore en tête.

- C'était tout bonnement incroyable ! s'exclama Denis. Je crois que je n'ai jamais
baisé une femme aussi affamée de bite ! Son copain doit vraiment être un gros naze !
- Tu ne crois pas si bien dire, ironisa Baakari en regardant vers ma cachette.
- Par contre, j'aurais pu la baiser une deuxième fois ! Elle m'a trop excité quand
elle t'a demandé de te vider dans sa chatte !
- Si tu as encore envie de baiser, on peut peut-être s'arranger, proposa mon voisin.
J'ai un autre plan cul tout prêt d'ici...
- Sérieux ? Ben écoute, carrément ! Je n'ai rien de prévu cet après-midi, alors ce
serait avec plaisir ! Quelle journée !
- Très bien, déclara Baakari. Mais crois-moi, tu n'es pas au bout de tes surprises...
C'est ainsi qu'ayant assisté, impuissant et complice, au dévergondage de ma
copine Charlotte par un beau black et un métis tout aussi séduisant, j'eus le
sentiment que cette histoire était loin d'être terminée. Déboussolé, apeuré et troublé
d'avoir assisté à un tel déchaînement de plaisir, je me retirai de l'entrebâillement
de la porte et m'assis sur le lit de la chambre, redoutant et désirant tout à la fois
la suite de mes nouvelles aventures sexuelles...
chrislebo

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#3,247
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- Mon voisin Baakari offre mon cul à mister ami Denis, qui m'initie au plaisir anal !

Résumé du deuxième épisode : Mon voisin Baakari et mister copain Denis ont baisé ma
copine Charlotte comme jamais ! A cette occasion, j'ai appris qu'elle me trompait
depuis plusieurs semaines avec mister supérieur Greg. Caché dans la chambre d'amis et à
moitié nu, j'ai pu assister à l'intégralité de mon cocufiage. Une fois Charlotte
partie, nous nous retrouvons à nouveau seuls dans l'appartement, moi toujours caché
dans la chambre, Baakari et Denis riant dans le salon...

Assis sur le lit de cette petite chambre d'amis, mon esprit bouillonnait et
ressassait en boucle les récents événements. Du salon me parvenaient les rires de
Baakari et de Denis, dont je ne discernais plus la conversation, perdu dans la brume
de mes pensées. A travers le mur, l'appartement mitoyen laissait échapper un bruit
d'eau qu'on faisait couler. C'était mon appartement, et c'était certainement Charlotte
que j'entendais prendre sa douche. Elle lavait la souillure que venaient de lui
infliger ses deux amants. Peut-être se touchait-elle en repensant au plaisir insensé
qu'elle avait pris ? Un peu à l'ouest, je fus bientôt ramené à la réalité par une
agitation nouvelle qui régnait au salon. Les deux compères, qui quelques temps plus
tôt avaient volé ma copine, étaient en mouvement.
- Tu es sérieux ? demandait Denis. Il est juste là, derrière ?
- On ne peut plus sérieux ! rétorquait Baakari. Et il est entièrement à toi ! Cela
fait déjà deux fois que je me vide depuis ce matin, je ne me sens pas la power de
recommencer aussi vite...
- Comme tu veux, mec ! répondit Denis. Je vais me faire plaisir en le rassasiant...
- Bonne idée ! l'encouragea mon voisin... Ah ! Attends, prends-ça avec toi, je suis
sûr que ça va lui plaire...
Je compris en moins d'une seconde ce qui se passait. Baakari venait de trahir
ma cachette ! Qu'allait-il encore m'arriver ? Humilié, bouleversé, je m'enfonçai un
peu plus vers le fond du lit, espérant ainsi échapper aux deux mâles dominants qui
rôdaient dans l'appartement. Des pas lourds se rapprochèrent de la chambre, une ombre
large et inquiétante se dessina dans l'entrebâillement de la porte. Recroquevillé sur
la couette, je retins mon souffle et attendis. D'un coup, ce grand panneau de bois,
qui m'avait tout ce temps protégé et permis d'assister au dévergondage de Charlotte,
fut grand ouvert. Dans l'encadrement de la porte, grand et fort, se tenait Denis. Il
posa sur moi un regard de feu, qui me figea sur place autant qu'il m'excita. Il était
encore plus impressionnant de face. Pieds nus, le survêtement enfilé à la va-vite et
la chemisette encore entrouverte, Denis tenait dans la main droite un bout de tissu
noir. Je reconnus très vite le string de Charlotte ! La salope était partie en
laissant aux deux compères un petit souvenir de leur baise... Apeuré par la présence
de Denis, qui me fixait toujours des yeux, je restai immobile alors qu'il pénétrait
dans la pièce. Baakari le suivait de près.
- Salut, Jean ! déclara le beau métis avec entrain. Je suis ravi de te rencontrer !
Baakari m'a dit que tu n'étais pas farouche... Tu m'intéresses !...
- C'est le moins qu'on puisse dire ! renchérit mon voisin. Il a assisté bien sagement
à mister cocufiage, sans intervenir ! Un vrai petit soumis...
Je me sentais évidemment honteux devant ces deux bêtes de sexe, qui avaient
visité le vagin de Charlotte, et m'observaient maintenant avec amusement et mépris.
D'autant que mon accoutrement était loin d'inspirer le respect.
- Je t'avais promis ta première sodomie, m'annonça Baakari. Finalement, c'est Denis
qui va s'en charger ! Cela fait deux fois aujourd'hui que je promets à quelqu'un de
l'enculer, sans mettre mes menaces à exécution. D'abord Charlotte, maintenant toi...
Mais ne t'inquiète pas, je réglerai ça très prochainement... Crois-moi !
A vrai dire, je ne doutais pas des intentions de Baakari. Dès la fellation que
je lui avais offerte dans la matinée, j'avais senti qu'il finirait par m'avoir ! Ce
n'était que partie remise... Pour le moment, il m'offrait comme une pute à mister ami
Denis, et je n'avais aucun moyen, ni d'ailleurs aucune envie d'y échapper ! Mon beau
voisin vint s'installer sur le lit, légèrement à l'écart. Il laissait ainsi le champ
libre à mister pote et à sa future femelle. Soumis, acceptant mon sort, je tournai les
yeux vers Denis. Toujours debout près du lit, ce-dernier me fixait avec insistance. Je
lisais déjà la lubricité et l'excitation sur mister visage. Je n'avais aucun moyen de
m'observer, mais je pense que ma position, ma tenue, et même le regard que je portais
sur ce métis incroyablement musclé trahissaient également mon attirance pour lui... Il
avait donné énormément de plaisir à ma copine, et cela me rendait jaloux. Il me
fallait moi aussi goûter à la puissance et à la virilité de cet homme magnifique ! Je
le vis me faire un clin d'œil, ce à quoi je répondis en me passant la langue sur les
lèvres. Je ne sais pas d'où me vint cette idée folle, mais je ressentais un
irrésistible besoin de le chauffer, de me comporter comme une femelle en chaleur pour
mieux provoquer mister désir. C'était manifestement réussi : mister pantalon était
complètement déformé au niveau de l'entrejambe. La bite de mon homme m'appelait de ses
vœux !
- Il paraît que tu suces comme une reine, me lança-t-il soudainement. J'attends de
voir ça ! Descends du lit et viens entamer ton dessert... Vite !
Je n'attendais que cet ordre pour m'abandonner totalement à l'appel du sexe.
Denis et Baakari m'avaient très bien cerné, ils avaient su voir la petite salope qui
sommeillait au fond de moi. Chacun de leurs ordres, chaque marque de domination
m'électrisait un peu plus. J'arrachai rageusement mon t-shirt blanc, pour me retrouver
vêtu d'un simple caleçon, encore souillé par la branlette qui avait accompagné mon
cocufiage, puis je me laissai tomber au sol depuis le lit. A quatre pattes, je rampai
vers Denis en faisant danser mon petit cul. Si Charlotte avait vu ça, je crois qu'elle
m'aurait immédiatement quitté ! Arrivé à hauteur de mon homme, je me mis à genoux et
leva les yeux vers lui.
- Sors ta bite, implorai-je avec lascivité. Je vais la bouffer toute crue...
- Oouuuh ! souffla Denis. Continue comme ça, et je vais t'offrir la baise de ta vie !
Mais avant, tiens ! Enfile ça ! Cela conviendra mieux à une salope comme toi...
Mon homme fit tomber à mes pieds le string noir qu'il tenait dans sa main.
Celui de Charlotte. Je m'empressai de retirer mon caleçon et d'enfiler ce dessous
féminin à la place. Je n'avais encore jamais porté de string, j'éprouvai donc une
sensation étrange, sentant mon entre-fesse violée par cet indécent fil de tissu. A la
fois, je me rendis compte que cette tenue faisait ressortir mes deux petites fesses
rebondies, ce qui décupla mon excitation. Je rapprochai mon visage du corps de Denis
et le suppliai une nouvelle fois de libérer mister sexe puissant. Le survêtement fut
écarté et le caleçon tomba aux chevilles. Toujours à genoux, je me retrouvai nez à nez
avec l'instrument du plaisir de Charlotte. Cette belle queue, épaisse et bronzée,
éveillait en moi des sentiments jusque là inconnus. Elle était encore luisante et
recouverte d'un léger liquide, mélange du sperme de Denis et de la mouille de ma
copine. Je ne fus pas rebuté par cette apparente saleté, bien au contraire. D'un
mouvement décidé, j'ouvris la bouche pour accueillir la belle bite qui m'était
offerte. Ce n'était que ma deuxième fellation, mais je me sentais déjà expert en la
matière ! Je commençai par enrouler le gland de ma langue, en libérant sur cette verge
un premier flot de salive. J'entrepris de nettoyer la bûche de Denis avec application,
passant mes lèvres alternativement sur la tige et l'énorme champignon qui la
surplombait. Je n'oubliai pas non plus de m'occuper des testicules, les gobant et les
aspirant à l'envi. J'agrippais de mes mains les cuisses puissantes de mon amant, et je
m'efforçai de faire ressortir mon petit cul au maximum. Ce traitement dura de
nombreuses minutes, pendant lesquelles mon nouveau compagnon sexuel m'arrosa
d'insultes, trahissant le plaisir qu'il prenait en me baisant la bouche. « Oh putain !
Salope ! Vas-y... Ouais ! Même ta chienne de copine ne m'a pas aussi bien sucé !...
Petit pédé, tu vas la prendre ma queue, et tu t'en souviendras ! »
Comme j'ondulais mon corps tout en suçant Denis, le string que je portais
frottait mes testicules et mon anus avec un rythme de plus en plus soutenu. Je fus
surpris de constater que cela m'excitait énormément ! N'y tenant plus, je me sentis
soudain prêt à faire le grand saut, à abandonner ce qui me restait de virilité en
offrant mon antre à mon amant. Libérant ma bouche de sa verge, je le regardai droit
dans les yeux et lui lançai ces paroles pleines d'obscénité :
- Si tu veux me casser le cul, je suis prêt ! Je veux être ta pute !
- Tu n'auras pas à le dire deux fois ! s'exclama Denis, lui aussi électrisé par
l'énergie sexuelle qui régnait dans la chambre. Reste par terre, le cul en l'air ! Je
vais commencer par te prendre comme la petite chienne que tu es !
Obéissant aux ordres de mon maître, je me plaçai à quatre pattes, pointant mes
fesses vers le ciel. Les jambes écartées et la croupe cambrée au maximum, j'allongeai
mes bras vers l'avant et posai ma tête sur le sol, offrant ainsi le meilleur accès
possible vers mon anus. Denis avait raimister : j'avais naturellement pris une position
de chienne, attendant impatiemment la saillie de mon mâle dominant. Malgré mon envie
irrésistible de me faire baiser, ramoner, siphonner comme jamais, les dimensions
impressionnantes du sexe de Denis m'inquiétaient. Comment allait-il entrer dans un si
petit trou ?
chrislebo

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#3,248
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- Tu n'iras pas trop fort au début, hein ? m'inquiétai-je auprès de mon amant.
- Ne t'inquiète pas, me rassura Denis, des petits culs comme le tien, j'en ai brisé
des dizaines ! Je commencerai doucement, et après cinq minutes tu me supplieras de
tout te donner...
Comme il finissait sa phrase, mon homme plaça mon string sur le côté et
m'écarta les fesses de ses mains expertes. Son souffle chaud se rapprocha de mon
intimité. Je sentis alors l'humidité et la froideur de sa langue entrer en contact
avec ma rondelle. Tout mon corps frismisterna d'excitation, et je ne pus retenir un petit
cri de surprise. Le plaisir grimpa progressivement en moi, à mesure que la langue de
mon homme détendait, par l'effet de ses lapements, l'entrée de mes entrailles.
- Ton cul est magnifique, souffla Denis. Pour le moment, il est tout serré... mais
plus pour longtemps !
- Hmmmmmmm, gémis-je avec insistance. Bouffe-le ! Bouffe-moi la chatte ! Je suis ta
femme, ta femelle !... Mon trou t'appartieeeent... !
La fin de ma phrase se perdit dans un gémissement aigu et sensuel. La langue
experte de mon beau métis accélérait ma transformation en petite traînée. Je crois
qu'il me mangea ainsi le cul pendant dix minutes, mais je perdis rapidement la notion
du temps sous l'effet du plaisir. Par moments, je relevais la tête et apercevais
Baakari, sur le lit, qui nous observait avec envie. Il avait sorti sa verge pour se
masturber devant le spectacle de ma soumission. Finalement, Denis libéra sa bouche de
mon entre-fesse et se redressa. Toujours immobile, j'attendais sagement qu'il vienne à
la rencontre de mon anus, ce qu'il fit très rapidement. Le souffle bruyant du fait de
l'excitation qu'il ressentait, mon amant vint se positionner derrière moi, à genoux,
et m'infligea une violente fessée. La claque provoqua en moi une onde de plaisir, qui
se répercuta jusque dans mon anus. Je me rendis compte que moi aussi, je respirais
très bruyamment : j'avais terriblement envie de la queue de cet homme !
- Allez ! Déclara solennellement Denis. Il est temps que tu rejoignes officiellement
la famille des femelles... Ta vraie famille !
Une main m'attrapa fermement une fesse, l'autre m'appuya dans le bas du dos
pour me powerr à me cambrer. Soudain, je sentis une pression contre ma rondelle. J'y
étais ! Denis guida mister champignon pour qu'il power, tout doucement, l'entrée de mon
anus. J'étais totalement crispé et attendais calmement la suite, de peur qu'un geste
brusque ne m'empale sur la verge de mon amant. Finalement, Denis donna un ultime coup
de rein et pénétra entièrement en moi ! Je sentis ses couilles claquer contre mes
fesses.
- Haaaaan ! criai-je, secoué par la douleur qui me paralysa sur le coup.
- Doucement, ma belle ! me lança mon amant en me caressant les fesses. Attends
quelques secondes, tu vas te détendre naturellement...
La bite de Denis était enfoncée de moitié dans mon antre. J'avais le sentiment
que chaque millimètre de mon cul était occupé par cette énorme verge, qui menaçait de
me transpercer à tout moment. Puis, après quelques secondes d'immobilisme, je sentis
mon sphincter se détendre, et Denis put commencer à entreprendre de légers mouvements
de bassin.
- Voooilàààà, me rassura-t-il avec tendresse. Ton cul est cassé ! On va pouvoir passer
aux choses sérieuses, ma petite Jeanne... Tu es ma femme, maintenant !
Effectivement, j'étais à présent la traînée de Denis. Pour la première fois de
ma vie, une bite allait et venait dans mon anus, dont la douleur s'estompait peu à
peu. Mes jambes étaient écartées au maximum et mon string noir était déjà en train de
se distendre. S'en apercevant, mon amant, qui commençait à s'épanouir dans mon antre,
tira sur le tissu et l'arracha très facilement. Quelle virilité ! Je me sentais
totalement possédé, et la power avec laquelle mon assaillant me maintenait les hanches
me rendait totalement folle de lui... Le frottement de sa bite dans mon cul arracha
mes premiers gémissements de femelle.
- Alors ? me demanda-t-il. Han !... On y prend vite goût, hein ?
- Oui !... Je commence... Han !... à bien te sentir... en moi ! confiai-je à Denis, le
souffle court.
Après quelques minutes de ce traitement, la douleur des premiers instants
avait laissé place à une vague indicible de plaisir. De plus en plus sûr de lui, mon
homme me donnait maintenant de violents coups de boutoir, ponctués par ses insultes et
ses puissantes fessées.
- Traînée ! Pute ! Tu la sens bien, ma bite de cheval, hein ? T'es fait pour la baise,
t'es fait pour les grosses queues de black !
- Ouiiii ! répliquai-je, envoûté par ces paroles incroyablement viriles et
humiliantes. Je suis une affamée, une salope !
Plus je m'humiliais en reconnaissant ma soumission et ma condition de petite
pute, plus je prenais mon pied. Je m'abandonnais complètement entre les mains de
Denis, qui faisait de moi sa compagne docile et amoureuse. Je sentais dans mon anus la
chaleur et la jouissance provoquées par les assauts de mon amant. Je n'avais qu'une
envie, être baisé de la sorte pendant des heures et des heures. Et manifestement,
cette envie était partagée par mon partenaire.
- Ton cul est génial à baiser ! s'exclama-t-il. On dirait une petite chatte détrempée,
j'entre dedans comme dans du beurre !
- J'aimerais tant être une femme ! Han !... Une petite femme à tes ordres, Denis...
Han !
- Hmmm ! Tu m'excites à mort, Jeanne ! Suis-moi sur le lit, je vais te baiser comme
une femme, puisque c'est ce que tu veux !
Me tirant par les cheveux, Denis me força à me relever. Encore secoué par le
traitement que je venais de subir, je tenais à peine debout ! Mon amant me donna une
claque sur les fesses et m'invita à m'allonger sur la couette. Installé sur le dos, je
fis comme les femmes que j'avais vu faire dans les films pornographiques. J'écartai
les jambes et tendis les bras vers Denis, pour l'inviter à venir en moi. Il ne put
résister au spectacle de débauche que je lui offrais, et se jeta littéralement sur mon
corps. En bonne petite pute, j'enroulai naturellement mes cuisses autour de sa taille,
alors qu'il dirigeait une nouvelle fois sa bite vers mon anus. Je fus soulagé de le
sentir à nouveau dans mon cul, et l'accueillit avec un soupir de satisfaction !
Perdant la raimister, j'agrippai le visage de mon amoureux et l'embrassai fougueusement.
D'abord surpris, Denis finit également par sortir sa langue, et nous partageâmes alors
le moment le plus sensuel que je vécus dans ma vie. Amoureuse, j'embrassai l'homme qui
me donnait un plaisir indescriptible à l'aide de sa bite, me fourrant et me
remplissant le cul en véritable bête de sexe. Je sentais contre mon torse mister corps
musclé et viril, ruisselant de sueur. J'étais à deux doigts de délirer complètement.
- Je... Han !... vais te faire crier comme une chienne ! me confia alors Denis. Et je
jouirai en toi ! Je suis sûr que tu pourrais tomber enceinte, j'ai vraiment
l'impression... Han !... de baiser une petite femme !
Mon amant accéléra le rythme de ses coups de bite. Je l'enserrais toujours de
mes jambes, le forçant à entrer chaque fois plus profondément en moi. Je lui caressais
le dos de mes mains, j'allais au-devant de ses assauts en avançant mon bassin vers sa
queue. J'étais aux anges ! Sans m'en rendre compte, je m'étais mis à crier des
obscénités et des encouragements à l'attention de mon partenaire. Cette fois, je
délirais pour de bon ! « Plus fort ! », implorais-je, « Prends ta chatte ! »...
« J'aime ta queue ! »... Je ne vivais plus que pour le plaisir de sentir cette grosse
bite me défoncer le cul. Je pense que j'aurais fini par m'évanouir, si Denis n'avait
pas finalement lâché prise. Dans un ultime râle viril, il se vida en moi. Je sentis la
pression du foutre qui envahissait mon anus. J'avais l'impression qu'il y en avait des
litres !
- Aaaaaaaaah ! Aah ! Je t'ai rempli, salope ! Jeanne, tu m'as complètement vidé !!
Mon homme resta de longues minutes sur moi. Je pus sentir sa verge débander
doucement dans mon antre. Il m'embrassa dans le cou, sur le front, sur la bouche... Il
remerciait tendrement sa femelle après avoir bien profité de sa chatte ! Moi, heureux
d'avoir enfin connu le plaisir au féminin, je lui rendais ses baisers et lui caressais
les fesses rebondies et musclées, qui me fascinaient tant.
- Tu ne me feras pas croire que tu es hétéro ! ironisa-t-il. Tu as pris trop de
plaisir pour aimer les femmes ! C'est pour te faire enculer que tu es née, Jeanne !
- Oui... dus-je reconnaître. J'avoue qu'après ça, j'aurai du mal à me passer de
queue... Mais j'aime aussi les femmes ! Charlotte est très belle, elle...
- Charlotte n'est plus à toi ! nous interrompit soudain Baakari. Tu le sais aussi bien
que nous ! Tu es une pute, Jeanne, et tu es faite pour faire plaisir aux hommes. Mets-
toi ça dans la tête !
J'avais fini par complètement oublier la présence de mon voisin, qui s'était
masturbé à quelques centimètres de nous pendant tout ce temps. Je restai coi devant
ses provocations, rouge de honte, incapable de réagir aux offenses que
m'infligeaient Baakari et Denis. J'avais certes pris un plaisir incroyable en offrant
mon corps à un mâle dominant, mais je n'étais pas pour autant prêt à laisser tomber
Charlotte... Dans l'idéal, j'aurais souhaité qu'elle ne soit jamais au courant de
cette histoire. Mon amant se redressa finalement et partit à la recherche de ses
affaires, abandonnées çà et là dans la chambre. Puis mon voisin reprit la parole d'une
voix autoritaire.
- Maintenant, rhabille-toi et dégage ! m'ordonna-t-il. Demain soir, tu viendras avec
Charlotte prendre l'apéro. 19h chez moi, est-ce que c'est clair ?
- … Ou... oui, balbutiai-je timidement. Comme tu voudras, je... je le dirai à
Charlotte ce soir.
Je me relevai et descendis du lit pour me rhabiller. A ce moment, je sentis le
sperme de Denis couler le long de mes cuisses, en même temps qu'une grande douleur au
niveau de l'anus. J'arrivais à peine à marcher ! Le contrecoup de cette baise
mémorable était pour le moins violent... De mister côté, le pote de Baakari ne s'était
toujours pas remis de ses émotions.
- C'était vraiment dingue ! s'extasiait-il. Jeanne, tu fais partie de mes meilleures
coups ! Et pourtant, je préfère largement les femmes d'habitude... Je sais où tu
habites, alors je passerai certainement te voir de temps en temps, pour qu'on remette
ça !
- Haha ! ris-je d'un air gêné. En journée, alors ! Parce que le soir, il y a
Charlotte...
Titubant, sali par cette journée de débauche, je me dirigeai vers la porte
d'entrée. Baakari m'ouvrit la porte en me rappelant l'apéro du lendemain. « Tu n'auras
pas de mal à convaincre Charlotte de revenir me voir, je pense ! », ironisa-t-il en
guise d'aurevoir.

Lorsque je fus dans mon appartement, je me rendis compte qu'il était déjà
15h ! J'avais donc raté mon rendez-vous à Pôle Emploi. Charlotte était repartie au
travail et ne serait pas rentrée avant 20h. Depuis 10h du matin, j'étais passé par
tous les sentiments et tous les stades de la débauche. J'avais d'abord dû sucer
Baakari. Puis j'avais assisté, impuissant, au dévergondage de ma copine entre les
mains de mon voisin et de mister ami Denis. Enfin, ce même Denis m'avait initié au
plaisir homosexuel en me faisant admirablement bien l'amour. L'anus douloureux,
épuisé, fourbu, je décidai de me coucher pour me reposer un peu. Baakari nous avait
convié, Charlotte et moi, à un apéritif le lendemain soir. Il nous avait promis à
chacun une sodomie, j'étais donc inquiet pour la suite des événements. J'avais peur
que Charlotte s'abandonne une nouvelle fois entre les mains de ce beau noir. Mais plus
que tout, j'avais peur qu'elle apprenne que moi aussi, j'étais en train de devenir une
salope affamée de verge...

chrislebo

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#3,249
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- Je vais aux toilettes ! affirma-t-elle avec entrain. C'est... c'est où que
c'est ?...
Elle aussi était dans un sale état !
- A l'étage ! répondit Hervé. Je te montre si tu veux, et tu peux même t'y rendre à
dos de cheval !
Hervé se pencha et fit signe à ma copine de monter sur mister dos. Celle-ci
explosa de rire et prit mister élan pour mieux bondir sur lui. Il tituba un instant, car
il avait bu et fumé comme nous tous, puis se stabilisa et partit en hennissant.
- Hihihi ! Hue ! Hue cheval ! Portez-moi au royaume des toilettes, messire cheval !
La tête lourde et les yeux à moitié fermés, je vis la cavalière et sa monture
emprunter les escaliers qui se trouvaient dans l'axe du salon. Tous deux disparurent
bientôt à l'étage.
Puis plus rien. Le trou noir. A mes côtés, Victor aussi sombrait dans un
sommeil agité.

Lorsque je rouvris les yeux, tout était calme dans la maimister. Victor et bien
d'autres camarades du lycée dormaient toujours autour de moi, sur les canapés ou
carrément sur le sol. Il me fallut quelques temps pour sortir totalement de ma
torpeur. Un coup d'œil vers la pendule du salon m'indiqua qu'il était 2h30 du matin.
Nous avions tous beaucoup trop bu, ce qui, par la power des choses, avait drôlement
écourté la soirée ! Je finis par me rappeler que j'étais venu chez Victor avec ma
petite amie Hélène. Je la cherchais donc du regard à travers la pièce, mais dus
rapidement me rendre à l'évidence : elle n'y était pas. Je me souvenais de l'avoir vue
bourrée, j'imaginais donc qu'elle s'était affalée dans un coin pour s'endormir et
cuver mister vin... Mais après tout, peut-être allait-elle émerger comme moi, et à ce
moment là, peut-être aurait-elle envie de... sexe ! Je décidai qu'il me fallait la
retrouver et terminer la nuit à ses côtés, en espérant qu'elle se réveille et que
j'obtienne ce que je souhaitais depuis des semaines...
Au rez-de-chaussée, je ne trouvai aucune trace d'Hélène. Mais les chambres
étaient situées dans les étages, c'était donc là que j'avais le plus de chance de
tomber sur elle. Je m'engageai dans les escaliers qui partaient du salon, ceux-là
mêmes qu'avaient empruntés quelques heures plus tôt, en pleine euphorie, Hervé et ma
copine. Arrivé au premier étage, je fis quelques pas et m'arrêtai soudain, interpellé
par un bruit que j'avais cru entendre. Tendant l'oreille, je saisis en effet l'écho
d'une agitation, qui venait vraisemblablement de la pièce au fond du couloir. D'un
naturel curieux, je me rapprochai à pas feutrés de la porte, pour mieux comprendre ce
qui se passait dans cette pièce.
C'était un mélange de chuchotements et de gémissements qui filtrait au travers
de la porte. Il me semblait bien que des gens baisaient là-derrière ! Je fus
irrésistiblement attiré par une telle idée, et je voulus à tout prix observer la
scène. Par chance, la porte en question était entrouverte, ce qui me permit de jeter
un coup d'œil à l'intérieur.
Ce fut certainement la pire idée de ma vie. Ce que je découvris dans cette
chambre me figea sur place, et je crus que j'allais m'évanouir. La cochonne qu'on
entendait jouir depuis le couloir n'était autre que ma petite copine Hélène ! A quatre
pattes sur un grand lit, cambrée au maximum, elle était complètement nue, à
l'exception de ses petites chaussettes bleues qu'elle avait gardées aux pieds.
Derrière elle, entièrement nu également, se tenait ce salaud d'Hervé, qui besognait ma
chérie en levrette ! Ses grandes paluches bronzées caressaient et claquaient le petit
cul rebondi d'Hélène, qui émettait un léger cri de plaisir à chaque coup de butoir.
Son visage était transfiguré : les yeux fermés, la bouche entrouverte d'où s'échappait
un mince filet de salive, elle semblait transportée par le plaisir et l'excitation.
Encore plus humiliant pour moi, ma copine portait autour du cou la cravate d'Hervé, et
ce-dernier en agrippait la pointe de sa main : il tenait ma petite amie en laisse ! Il
tirait légèrement sur le bout de tissu, ce qui obligeait Hélène à maintenir la tête en
arrière.
- Han !... Han !... On dirait que tu l'aimes, ma bite de quadra ! lui souffla Hervé
entre deux grognements.
- Ooooh ouais ! Han !... Je la sens... bien... votre queue !...
La voix que prenait Hélène était terriblement sensuelle, je ne l'avais jamais
entendue parler ainsi.
- J'ai senti tout de suite que tu étais une petite affamée ! Han !... Je commence à
connaître les femmes...
- Hmmmmmm... Ca se voit, Monsieur Hervé ! Allez !... Oui !... Baisez-moi plus fort !
Hélène allait même au-devant des coups de pine en reculant volontairement mister
bassin vers Hervé. Ce-dernier avait vu juste : ma copine semblait véritablement
affamée de bite. Je voyais nettement sa jolie poitrine se balancer après chaque assaut
de mister amant. Parfois, Hervé passait sa main autour de la taille d'Hélène pour accéder
à ses seins et lui pincer les tétons. Cela décuplait le plaisir de ma belle, dont le
corps frismisternant ondulait d'excitation.
J'avais été figé sur place en découvrant Hélène et Hervé en plein ébat sexuel,
et je me rendis compte que cela faisait plusieurs minutes que je les observais par
l'entrebâillement de la porte, sans oser réagir. Dire que j'étais parti à sa recherche
dans l'espoir de faire l'amour ! La petite salope ne m'avait pas attendu... Je n'avais
pourtant ni la power ni le courage d'intervenir. Elle avait l'air de bien prendre mister
pied avec cet homme deux fois plus âgé qu'elle... Comment aurais-je pu l'en empêcher,
moi qui n'étais même pas capable de coucher avec elle ? Impuissant, je restais là à
les observer, à la fois jaloux et terriblement excité par la scène qui se jouait
devant moi...
Les deux amants changèrent finalement de position. Hélène se retourna pour
s'allonger sur le dos, plaça ses jambes en l'air, reposées sur les épaules d'Hervé.
Puis elle lui agrippa la taille de ses deux mains pour l'encourager à venir en elle.
Le salaud ne se fit pas prier : il enfonça mister sexe puissant, qui m'apparut d'ailleurs
bien plus gros que le mien, dans le vagin de ma copine, puis se pencha vers elle pour
l'embrasser. Ils échangèrent un long et tendre baiser, pendant qu'Hervé recommençait
les vas-et-vient énergiques.
- Tu es sûre que Nicolas te baise comme il faut ? lui demanda soudain le père de
Victor. Je sens bien que tu étais en manque !
- Non... Hmmm... Non ! On n'a jamais rien fait tous les deux ! Je n'en pouvais plus
d'attendre, c'est pour ça que j'ai sauté sur votre queue !...
- Tu es sérieuse ? s'étonna Hervé. Mais qu'est-ce que tu fais avec ce mec ? Il n'est
pas beau, et en plus il ne te baise pas ! Tu es bien trop belle pour lui !...
Cette discussion franchement humiliante pour mon grade sembla exciter encore
davantage Hélène, qui changea la position de ses jambes pour les enrouler autour du
bassin de mister amant. Elle le serra avec power, pour l'obliger à aller toujours plus
profondément en elle. Hervé lui embrassa les seins, ce qui lui arracha un petit cri
aigu de jouissance.
- Je... sais !... Han !... Il ne m'excite pas beaucoup, mais il est gentil !...
- Ha ha !... Gentil ! C'est ce que les filles disent quand elles trouvent qu'un garçon
est naze ! Hmmm... Regarde mon fils Victor, ça c'est un vrai mec ! Han !... Lui, je
suis sûr qu'il te baiserait comme une reine !
- Hmmmm... soupira Hélène. S'il tient de vous, je n'en doute pas !... C'est vrai qu'il
est mignon, mais... Han !... c'est le meilleur ami de Nicolas, et je suis sûre que je
ne suis pas à mister goût...
- Tu rigoles ! s'exclama le père de Victor. Il ne parle que de toi, et tu es une vraie
bombe ! Il faut que tu prennes conscience de ton potentiel, tu es une vraie salope en
herbe !...
Hervé s'allongea complètement sur ma copine et enfonça mister visage dans mister
cou. Les deux corps étaient parfaitement imbriqués et ondulaient selon le même rythme,
imprimé par les assauts répétés de ce vieux dégueulasse. Hélène se laissait
complètement faire, la tête en arrière et les yeux fermés, les jambes solidement
enroulés autour du corps puissant d'Hervé. D'une main, elle lui caressait les cheveux
pour l'inviter à continuer ses bisous dans le cou, de l'autre elle agrippait les
fesses musclées de mister amant. C'est vrai qu'Hervé était drôlement bien foutu pour un
homme de 42 ans. Ses muscles parfaitement dessinés et mister corps bronzé donnaient
l'impression qu'il sortait tout droit d'un film pornographique. Et quelle endurance !
Il baisait ma copine comme une reine depuis déjà longtemps (et encore, j'avais pris
« le film » en cours) et ne semblait pas décidé à ralentir mister rythme. Par-dessus le
marché, il parvenait à la troncher de la sorte tout en discutant avec elle ! Aux
anges, Hélène continuait de gémir et de le supplier « de la baiser plus fort ! ».
Heureusement pour moi, malheureusement pour ma copine, toutes les bonnes
choses ont une fin. Hervé finit par se redresser et confia à Hélène qu'il allait
jouir.
- Je vais me vider sur tes petits seins, ma chérie ! lui annonça-t-il fièrement.
- Oui ! Allez-y ! Je suis à vous, faites-vous plaisir !
Le regard que lança la salope à Hervé était plein d'admiration et de fierté.
On sentait qu'elle prenait un plaisir pervers à vouvoyer mister amant, comme pour
renpowerr l'idée qu'elle se faisait sauter par un homme mûr. Hélène attendait la
semence de mister mâle avec impatience et envie. A genoux sur le lit, elle fixait Hervé
d'un air provocateur, pour mieux l'exciter et accélérer la jouissance.
- Aaaaaaaaaah ! Je vieeeens !
Une quantité impressionnante de sperme fut déversée sur la poitrine d'Hélène.
Hervé fut remercié par une dernière pipe, mister gland fut nettoyé consciencieusement et
langoureusement. Il tenait ma copine par les cheveux, comme pour prouver
définitivement qu'elle lui appartenait. De mon côté, j'étais soulagé que tout soit
terminé, et même si je restais dévoré par la jalousie et un sentiment d'offense,
je me disais que tout pourrait maintenant revenir à la normale. Car non, je n'avais
pas l'intention de larguer Hélène : comble de la soumission, j'avais toujours l'espoir
qu'elle veuille bien faire l'amour avec moi. En attendant, elle était totalement
absorbée par la verge d'Hervé, qui commençait à débander.
- Bon ! reprit Hervé. Comme tu es une vraie petite salope, j'ai un plan pour toi !
Il ramassa mister pantalon à pinces et sortit un smartphone d'une poche. D'une
main il commença à pianoter, de l'autre il frottait toujours mister sexe sur le visage
d'Hélène.
- Un plan ?... s'inquiéta timidement ma copine. De... de quoi parlez-vous ?
- J'écris à mon fils de nous rejoindre... Il est temps que Victor goûte au plaisir des
femmes ! Et tu es parfaite pour lui servir d'entrée en matière...
- Mais ! Attendez, je...
- Ne rétorque pas ! Quand je t'ai parlé de Victor, j'ai bien senti que tu en avais
envie ! Et ne t'inquiète pas, Nicolas comate en bas, vu mister physique de poids plume il
ne risque pas d'émerger avant demain midi !
Hélène fit un petit sourire à Hervé. Manifestement, elle était d'accord ! Je
n'en revenais pas moi-même ! Le père de Victor voulait offrir ma copine à mon meilleur
ami ! Je me rappelai qu'il dormait sur un canapé quand je m'étais levé, je priai de
toutes mes powers pour qu'il ne se réveille pas...
Mes vœux ne furent pas exaucés. Quelques instants plus tard, j'entendis du
bruit dans les escaliers. Quelqu'un montait à l'étage ! Etait-ce Victor ? J'eus très
peur d'être surpris en train d'espionner aux portes, je me précipitai donc dans la
salle de bain située juste à côté, en laissant la porte entrouverte. Il ne fallut pas
longtemps avant que j'aperçoive une silhouette passer dans le couloir, et pénétrer
dans la chambre où ma copine venait de me tromper avec un homme de 42 ans. Il me
semblait bien avoir reconnu la carrure et la démarche de Victor !...

chrislebo

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#3,250
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Depuis la salle de bain, j'entendis un cri de surprise. J'attendis quelques
secondes, puis me précipitai dans le couloir pour reprendre ma place de voyeur, caché
derrière la porte entrouverte. C'était effectivement Victor qui venait de rejoindre
Hervé et ma copine Hélène ! Il se tenait debout près du lit, les bras ballants et
l'air abasourdi. Sur la couette était étendue ma copine, allongée sur le ventre et
complètement nue. Ses jambes étaient pliées vers l'arrière, de telle sorte que ses
pieds pointaient vers le ciel. Elle regardait mon ami Victor avec un petit sourire,
mêlé de gêne et de malice. Derrière elle, Hervé était à genoux, tenant sa bite à
moitié molle d'une main, caressant les jolies fesses d'Hélène de l'autre. Son fils
était en train de l'observer, nu aux côtés d'une petite bombe qui aurait pu être sa
fille, et pourtant il gardait cet air fier et arrogant que je lui avais toujours
connu. C'était définitivement un homme étrange !
- Mais... mais.... balbutia Victor. Qu'est-ce que... qu'est-ce que vous avez fait ?!
Hervé et Hélène eurent un sourire complice, amusés par la naïveté de Victor.
- Ce que nous avons fait ? ironisa mister père. Je pensais que même pour un gamin sans
expérience comme toi, cela tombait sous le sens... Je viens de baiser la copine de
Nico !
- Non ! rétorqua Victor. Ce n'est pas possible ! Sérieusement, je n'y crois pas ! Je
dois rêver, je...
Victor semblait réellement offusqué par les paroles de mister père. Cela me
rassura, je me dis qu'il n'était pas mon meilleur ami pour rien.
- Réveille-toi, fils ! lui lança sèchement Hervé. Tu vois bien que c'est la réalité !
Nicolas ne la baise pas, elle était en manque, j'étais là... Tu imagines la suite !
- Tout ça est complètement fou ! s'énerva Victor. Nico m'a dit qu'ils faisaient
l'amour tout le temps ! Hélène, réponds-moi, qu'est-ce que c'est que ces conneries ?
Ma copine était belle comme une sirène dans cette position. Elle en avait
forcément conscience, et j'étais persuadé qu'elle calculait chacun de ses mouvements
pour exciter les deux hommes présents dans la pièce. Les caresses d'Hervé la faisaient
frismisterner de plaisir. Comme il passait sa main entre ses deux jolies fesses, elle
sursauta légèrement et ondoya de la croupe, puis fit un sourire magnifique à mon ami.
J'aurais tout donné pour avoir droit à ce genre de sourire de sa part...
- Victor, ton père te dit la vérité, lui répondit-elle. Par contre, Nicolas t'a
menti, nous n'avons jamais couché ensemble. D'une certaine façon, on peut dire
qu'Hervé m'a rendu service, puisqu'il m'a donné ce que j'attendais depuis des
semaines ! C'était une baise merveilleuse !
Le vilain menmisterge qui m'avait permis de passer pour un dieu auprès de tous
mes camarades de lycée venait de tomber ! Mais pour le moment, c'était loin d'être mon
principal souci ! Je me rendais peu à peu compte de l'écart qui existait entre Hélène
et moi. Je n'avais d'yeux que pour elle et mister corps magnifique, et j'appelais chaque
jour de mes vœux notre première relation sexuelle. De mister côté, elle avait
manifestement bien moins d'attirance pour moi, puisqu'elle m'avait toujours caché mister
amour du sexe. Heureusement, Victor ne semblait pas succomber à l'appel du désir, bien
que je vis à plusieurs reprises mister regard loucher sur les formes délicieuses de ma
copine. Toujours aussi troublé, il se pencha pour ramasser la petite culotte d'Hélène
et lui lança au visage.
- Rhabille-toi ! ordonna-t-il. On a encore une chance que Nicolas ne se rende compte
de rien ! Encore heureux qu'il ait bu comme un trou hier soir !
Je crus un instant que notre amitié avait triomphé du sexe. Mais ni Hervé ni
Hélène ne l'entendaient de cette oreille, et la petite salope lui adressa ces quelques
mots d'un ton provocateur :
- Si c'est vraiment ce que tu veux, il faudra me l'enfiler toi-même... Tu sais, ton
père ne m'a pas complètement rassasiée, j'ai encore de la place pour toi...
Ces paroles figèrent Victor sur place. C'est à ce moment précis que mister esprit
bascula. Ce qui n'était jusque là qu'un fantasme interdit et refoulé au plus profond
de mister être devenait soudainement réalité : une jeune fille dénudée et désirable
l'invitait à lui faire l'amour. C'était la copine de mister meilleur ami, mais quelle
importance ? Après tout, il n'était pas capable de la satisfaire, ni même de la
pénétrer, ce n'était donc pas vraiment de l'adultère. Eh puis quoi, ils n'avaient que
17 ans, et n'étaient pas mariés ! Au contraire, la situation ajoutait du piment à la
proposition, ce qui excitait énormément Victor. Je remarquai d'ailleurs qu'une bosse
imposante s'était formée au niveau de mister entrejambe. Elle trahissait mister abandon :
mon meilleur ami avait envie de baiser ma copine ! Le visage et la position d'Hélène,
qui s'était redressée pour se mettre à genoux, prouvaient qu'elle aussi était bien
décidée à me tromper une deuxième fois. Légèrement cambrée, elle présentait fièrement
ses jolis seins, dont les tétons pointaient furieusement vers l'avant. Je pense que
l'idée de se taper mon meilleur ami lui donnait également un regain d'excitation. Tout
en eux trahissait l'envie irrésistible de me trahir, de me tromper en sombrant dans la
débauche et le plaisir ! Je recevais cette énergie sexuelle jusque dans le couloir, et
me sentais bien incapable d'y mettre un terme : j'étais condamné à observer la pièce
jusqu'à la fin.
- Je... c'est-à-dire que... mais...
Les paroles de Victor étaient incompréhensibles. Il fixait sans pouvoir s'en
détacher la traînée qui s'offrait à lui sur le lit. L'appel du stupre l'avait amenée à
transgresser l'interdit pour se taper un homme de 42 ans. Il lui fallait maintenant
goûter au fils. Observant la scène avec délectation, Hervé éclata de rire et prit la
parole.
- Eh bien, Victor, je crois que tu commences à comprendre ! Je t'ai fait monter pour
t'offrir la petite Hélène. Malgré mister âge, c'est déjà une vraie salope, et je suis sûr
qu'elle te fera passer un moment inoubliable ! Et qui sait, si tu tiens de ton père,
peut-être lui donneras-tu également du plaisir...
Le vieux pervers termina sa phrase en donnant une petite claque sur les fesses
de ma copine, ce qui la fit tressaillir et pouffer de rire. Visiblement décidée à
passer aux choses sérieuses, Hélène se rapprocha jusqu'au bord du lit, toujours à
genoux. Elle se trouvait maintenant à quelques centimètres de Victor, qui n'avait pas
bougé depuis tout à l'heure. Sans aucune gêne, elle passa ses mains sous le t-shirt de
mon ami, et commença à lui caresser le torse. Dans cette position, ses fesses
rebondies ressortaient comme jamais. Le regard d'Hervé fut d'ailleurs rapidement
attiré par ces deux petites pêches, rondes et irrésistibles.
- Hmmmmm, soupira Hélène d'un air satisfait. Ça, c'est un corps d'homme ! Et ces
épaules ! Tu sais, il m'est arrivée plusieurs fois de me toucher en pensant à toi,
depuis qu'on se connaît... J'ai souvent rêvé de ce moment !
Ma copine invita Victor à retirer mister t-shirt, ce qu'il fit sans aucune
hésitation. Elle découvrit alors un buste que j'aurais rêvé posséder ! Les pectoraux
et les tablettes de chocolat étaient bien dessinés, sans que cela soit exagéré. La
peau mate de mon ami lui donnait encore plus de charme. Il était vraiment comme mister
père, un homme fait pour combler les femmes ! Hélène était manifestement ravie de ce
spectacle, et passait tendrement ses mains sur chacun des muscles qu'elle découvrait.
Aux anges, Victor respirait bruyamment et regardait la jeune fille qui s'offrait à lui
dans les yeux. Il positionna ses mains sur les hanches de ma copine, et d'un geste
autoritaire la colla contre lui. Surprise autant que comblée par cette initiative
virile, Hélène passa ses bras dans le dos musclé de mister nouveau copain, et l'embrassa.
Leur baiser fut long et passionné, et Victor le prolongea en passant ses lèvres dans
le cou d'Hélène. Tête en arrière, le plaisir se lisait déjà sur le visage de la petite
cochonne.
Heureux de voir mister fils dans de pareilles dispositions, Hervé avait fini par
quitter le lit pour s'installer sur un petit fauteuil, placé dans un coin de la
chambre. Toujours aussi nu, il se caressait la verge en observant celle qu'il venait
de dévergonder s'offrir à un nouveau partenaire. Il n'avait pas fallu longtemps à
Victor pour qu'il se sente à l'aise. Sa façon de caresser et d'embrasser ma copine
était incroyablement virile, et cela comblait Hélène qui s'abandonnait totalement
entre ces mains déjà expertes. Elle ondulait, ondoyait, frottait mister ventre et ses
seins contre le corps musclé de mister nouveau jouet sexuel. Régulièrement, mon meilleur
ami oubliait les lèvres rouges d'Hélène pour venir laper ses adorables tétons, ce qui
donnait à la petite salope des frismisters de plaisir. J'étais pratiquement certain que
je ne me comporterais pas ainsi lors de ma première expérience sexuelle. Les hommes ne
mistert pas tous égaux, me disais-je : certains mistert, dès la naissance, faits pour donner
du plaisir aux femmes, d'autres pas. Force m'était d'admettre qu'Hervé et Victor
étaient de la race des forts, des Casanova, de ceux qui faisaient frémir de plaisir
celles qui avaient la chance de croiser leur route. Et Victor me donna raimister en
s'adressant à ma copine de la sorte :
- Moi aussi, il m'est arrivé de fantasmer sur toi et ton petit cul, Hélène. Et à
chaque fois, tu commençais par me sucer comme une reine... Alors, qu'est-ce que tu
attends ?!
La voix de Victor avait été franche et autoritaire. Ce n'était pas la voix
d'un gamin de 17 ans, c'était la voix d'un homme décidé à guider sa petite femelle
vers le plaisir. A ce moment, le regard que lança Hervé à mister fils était rempli de
fierté : Victor savait parler aux femmes !
chrislebo

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#3,251
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Electrisée par l'ordre qu'elle venait de recevoir, ma copine fit un bond en
arrière pour se retrouver à quatre pattes sur le lit. Elle se cambra au maximum et
approcha sa tête de l'entrejambe de Victor, qui était toujours debout et torse nu. Il
me semblait qu'elle mettait tout en œuvre pour apparaître la plus obscène et la plus
lubrique possible. Ondulant mister bassin avec vigueur, relevant mister bras pour continuer
à caresser les abdominaux bronzés qui la surplombaient, elle goba avec envie le sexe
de Victor à travers mister jean. Je vis de la bave couler en abondance le long du
pantalon. Malgré le tissu qui la séparait encore de l'objet de mister désir, c'est une
fellation de véritable salope qu'entreprit alors Hélène. Elle suçait, embrassait,
lapait comme une affamée la bosse qui grossissait de plus en plus. Envoûté par le
petit cul qui bougeait sous ses yeux, Victor s'était légèrement penché pour lui donner
de puissantes fessées. Chaque claque arrachait à Hélène un cri aigu de satisfaction.
- Allez ! annonça soudain ma copine, reposant sa mâchoire quelques instants. Il faut
que je la libère, on a trop de choses à se dire, toutes les deux !
Elle parlait bien sûr de la bite de Victor. En véritable experte, elle défit
en quelques secondes la ceinture et la braguette qui lui barraient le passage, puis
fit tomber le jean de mon pote jusqu'à ses chevilles. Sans attendre et comme si sa vie
en dépendait, elle arracha le caleçon de Victor et libéra la verge qu'elle avait tant
convoitée.
Ce fut un choc pour tous les observateurs. Hélène resta bouche bée. Hervé eut
un léger sursaut et pouffa de rire. Moi-même, je fus scotché par la vision de l'objet
qui se présentait au visage de ma copine. Le sexe de Victor était tout simplement
énorme. Celui d'Hervé m'avait certes impressionné, mais ce n'était qu'un cure-dent au
regard de la bite que j'avais maintenant sous les yeux. Elle avait bien sûr ce teint
halé qui faisait le charme de Victor. Je pense qu'elle mesurait au moins 22 cm, mais
c'était surtout mister épaisseur, que j'estimais à 8 cm, qui la rendait impressionnante.
Déjà décalotté, le gland turgescent, qui reposait au sommet d'un tronc interminable,
suintait légèrement. En mon for intérieur, je pensai qu'il devait y avoir des
Africains parmi les ancêtres de mon ami, qui n'avait manifestement aucun défaut
physique...
- Eh bien, mon salaud ! s'exclama le père de Victor. J'étais loin de me douter que tu
cachais un tel engin...
Mon meilleur ami était manifestement fier de la stupeur qu'il venait de
provoquer. Mais c'était l'avis d'Hélène qui semblait l'intéresser.
- Alors, demanda-t-il à ma copine, elle te plaît ? J'espère qu'elle sera à ton goût,
tu es la première à y avoir droit...
- C'est... juste incroyable ! s'écria Hélène, qui louchait d'envie sur la bûche
qu'elle avait en face d'elle. Je n'en ai jamais vu d'aussi grosse ! Tu... tu es plein
de surprises, Victor !
- Héhé ! ricana l'intéressé, maintenant certain de l'envie qu'il provoquait chez les
femmes. Je vais donc te remplir comme jamais ! Mais si tu la veux, il va falloir la
lubrifier... Au boulot !
Hélène ne se fit pas prier. Guidée par Victor qui lui agrippa fermement les
cheveux, la salope saisit la sexe immense à sa base et avala avec appétit le gland qui
s'offrait à elle. S'ensuivit une longue et gourmande fellation. La bite de Victor
était bien trop grosse pour la frêle mâchoire de ma copine, qui s'étouffait
régulièrement et devait la recracher pour ne pas vomir. Chaque régurgitation était
pour elle l'occasion de déverser un flot conséquent de salive, qui coulait sur le dard
et les testicules de mister amant. Celui-ci poussait des grognements rauques et
maintenait autoritairement le visage de sa femelle. Rien de tout cela ne faisait
baisser la libido d'Hélène, bien au contraire ! A en croire les gémissements qu'elle
poussait, la petite pute semblait de plus en plus excitée par la position dominante
que prenait Victor. Ce beau gosse n'arrangea pas les choses lorsqu'il dirigea sa main
vers le cul de sa traînée. Je le vis écarter habilement les petites fesses de ma
chérie et y glisser deux doigts, pour commencer à lui titiller l'anus, les lèvres et
le clitoris. Cette initiative rendit Hélène complètement folle : ses mouvements de
bassin redoublèrent d'intensité, et seule l'imposante massue qu'elle avait en bouche
l'empêchait d'hurler mister excitation. On aurait dit qu'elle était possédée et que plus
rien ne comptait à part mister plaisir. Un peu gêné, debout dans mon couloir sombre,
j'eus soudain peur de la suite des événements : si ma copine se comportait déjà de
cette façon au stade des préliminaires, elle allait réveiller toute la maimister lorsque
Victor la pénétrerait ! C'est ce moment qu'Hélène choisit pour se libérer de la bite
qui lui baisait la bouche, et supplier mister amant de passer la vitesse supérieure.
- Je... ne peux plus attendre ! déclara-t-elle, encore haletante. Je veux ta bite !...
Viens, Victor ! Viens en moi toute de suite !
Il y avait de l'imploration dans la voix de ma copine. Elle s'affala sur le
lit et déplia ses jambes, s'aidant de ses mains pour écarter ses cuisses au maximum.
Elle présentait fièrement mister vagin, détrempé par la mouille, à mister bel amant et à sa
verge dressée. La scène était terriblement excitante : ma copine s'offrait
littéralement à mon meilleur ami ! Elle était une femelle en chaleur qui ne vivait
plus que pour le désir de se voir remplir et ramoner par mister mâle dominant. Chaque
fibre de mister corps, déjà ruisselant de sueur, appelait Victor à accomplir sa tâche, à
venir prendre possession du trou que lui offrait cette petite pute. Hélène poussait
des gémissements et lançait des regards de braise à mister homme, qui se débarrassa
finalement de ses chaussures, du jean et du caleçon qui étaient restés à ses pieds, et
vint enfin rejoindre ma copine sur le lit. Il s'allongea tendrement sur elle, et les
deux amants recommencèrent à s'embrasser fougueusement. Hélène enroula ses jambes
autour de la taille de Victor et empoigna fermement sa verge, pour mieux la guider
vers l'entrée de mister antre. Doucement, je vis l'énorme sexe pénétrer le vagin de ma
copine, dont le visage se crispa pendant quelques instants. 8 cm de diamètre lui
forçaient l'entrejambe et la déformaient totalement. Puis, après quelques secondes de
quasi-immobilisme, Victor et Hélène se détendirent. Les mouvements se firent plus
amples, les baisers et les gémissements reprirent, les mains de ma douce passèrent
dans le dos de mister homme pour caresser ses fesses et ses épaules musclées. Mon ami
finit par se redresser légèrement, alors que ses saillies à l'intérieur d'Hélène se
faisaient de plus en plus rapides et assurées. Il surplombait le corps fragile de sa
femme, qui commençait à apprécier le rythme qu'imposait le bel Apollon entre ses
jambes. Elle lui faisait sentir en lui soufflant, entre deux gémissements, des mots
qui décuplaient mister excitation. « Ouiii... Han... Plus fort, Victor !... Comme ça !...
Je la sens bien, ta biiiite... »
Les corps des deux amants semblaient parfaitement imbriqués. Ils ondulaient et
frémissaient comme un seul homme, chaque coup de boutoir provoquant un flot de
frismisters, de gémissements et de remarques salaces. Après quelques minutes de cette
danse sensuelle, où je vis ma copine faire l'amour, et pas simplement baiser avec
Victor, ce-dernier se retira et demanda à sa femelle de venir s'empaler sur sa queue.
Il s'allongea sur le dos et attendit, le sexe pointé vers le ciel. Ma copine, docile
et prête à tout pour se faire du bien, commença par donner quelques coups de langues
sur le gland qui se présentait à elle, comme pour mieux le lubrifier, puis l'enjamba
pour se placer à califourchon sur Victor. Folle de désir, elle ne prit aucune
précaution et s'empala d'un coup sur la bite, jusqu'à la garde. Un cri puissant
s'échappa de sa bouche, emprunt de jouissance et de soulagement. Comme si ressentir le
chibre de mon meilleur ami en elle, après quelques secondes passées au-dehors, lui
faisait un bien fou. C'était à mister tour de surplomber le corps de Victor, qui la
tenait par les hanches pour la faire aller et venir sur sa verge. Les yeux fermés et
la bouche entrouverte, Hélène se laissait une nouvelle fois aller au plaisir. Ses deux
mains étaient posées sur le torse de mon ami, sur lequel elle s'appuyait pour faire
rebondir ses petites fesses autour de la verge qui visitait mister antre. Les deux
amoureux échangèrent des mots qui me glacèrent le sang.
- C'est boooon, soupira Hélène. C'est toi... Je le savais, c'est toi que je...
Han !... que je voulais depuis le début...
- Han ! grogna Victor. Moi aussi, je voulais... ta petite chatte, ma belle ! C'est un
mec comme moi qu'il te faut !...
- Ouiiiiii ! C'est clair ! Han... Vas-y ! Baise-moi, mon bébé !
Victor lâcha les hanches de sa femelle et lui saisit les seins, qu'il malaxa
avec vigueur. Hélène, transportée par le plaisir, leva ses bras en l'air et attrapa sa
tignasse de ses deux mains. Son visage était défiguré par le plaisir.
- Je vais te sauter encore et encore ! lui lança rageusement Victor. Et plus je te
baiserai, plus tu seras accro à ma bite !
- Han !... Han !... Je l'aime déjà, ta belle queue, mon chérii ! C'est ta première
fois, et tu me fais déjà plus de bien que ton père ! J'aime ça ! Han !... J'aime les
vrais mecs comme toi !
Je ne rêvais pas : Hélène venait d'appeler Victor « mon bébé », et même « mon
chéri » ! Deux surnoms qui, d'habitude, m'étaient destinés ! Cette baise de ma copine
avec mon meilleur ami était encore plus excitante que celle à laquelle j'avais assisté
un peu plus tôt avec Hervé, mais elle était aussi beaucoup plus dangereuse ! Hervé
était un homme mûr qui avait servi de plan cul à Hélène, je n'avais pas vu de
sentiments dans leur union. Cette fois, les choses étaient différentes, car les deux
amants semblaient s'abandonner dans un mélange de folie sexuelle et amoureuse. J'avais
accepté depuis quelques heures l'idée d'un partage du corps de ma chérie, mais je ne
pensais pas devoir partager mister cœur... C'était pourtant, si les choses continuaient
ainsi, ce à quoi Victor allait m'obliger.
Dans un élan de rage sexuelle, Victor se redressa brusquement et renversa
Hélène sur le dos. La petite pute plaça ses jambes sur les épaules de mister amant, qui
la dominait de mister corps puissant et luisant de sueur. Il avait voulu reprendre le
contrôle sur sa nouvelle copine, en lui imprimant mister propre rythme. Il donna de
violents coups de reins, défonçant littéralement la chatte d'Hélène.
- Han ! Han ! Prends ça, salope ! J'ai toujours su que tu étais une petite pute ! Une
affamée de bite ! Tiens ! Sens ma grosse queue en toi !
- Aaaaaaaaah ! cria Hélène. Ouiiiii ! Ouiii ! Défonce-moi, mon amour ! Je t'aime !
J'aime ta queue ! Je veux que tu me remplisses de sperme ! Je veux te sentir exploser
en moi ! Han !...
Ma copine délirait complètement, et venait d'avouer un amour improbable
quelques heures plus tôt à mon ami Victor. J'étais, évidemment, totalement effondré.
Je ne voyais pas comment j'allais pouvoir conserver l'amour d'Hélène après ce qui
venait d'être dit... J'étais complètement perdu ! Dans le coin de la chambre,
j'aperçus Hervé, dont j'avais oublié la présence, se tordre sur mister fauteuil en
éjaculant. Le salaud n'avait pas résisté à la déclaration d'Hélène ! Finalement,
Victor acheva tous mes espoirs de retour à la normale en prononçant ces mots :
- Si tu veux que je jouisse en toi... Han !... Tu dois devenir MA copine ! Tu vas
lâcher Nicolas demain matin, et ensuite ton cul, ton vagin, ta petite gueule de
salope... tout ça m'appartiendra ! Tu viendras dormir à la maimister, et on te passera
dessus chacun notre tour, mon père et moi !
Hervé éclata de rire et approuva cette proposition.
- Oui ! Je... bien sûr ! Je... je suis à toi ! Ma chatte est à toi ! A vous ! Nicolas,
je n'en ai rien à foutre !...
Comme pour sceller cette union, Hélène vint à la rencontre de Victor et
l'embrassa fougueusement. Je la vis passer tendrement sa main dans les cheveux de mister
amant. Il était devenu mister nouveau petit ami et, surtout, mister compagnon de baise.
Cette prise de possession du corps et du cœur de ma copine vint à bout de l'endurance
de Victor, dont le souffle se fit soudain plus saccadé et bruyant.
- Ça y est ! Je... je viens, j'arrive ! Je vais te remplir comme promis, ma
salope !... Haaaaaaan ! Ouaaaaais !
Je vis Hélène enfoncer ses ongles dans le dos de mister étalon, alors qu'il se
vidait complètement en elle. Elle suffoquait de plaisir sous le coup des ultimes
assauts menés contre mister vagin. Dans la pénombre, les corps des deux amants luisaient
par l'effet de la sueur qui suintait et dégoulinait le long de chaque membre. Leurs
caresses et frottements laissaient d'ailleurs échapper des bruits de succion,
trahissant l'intense effort physique que chacun avait produit. Les gestes brusques et
les provocations sexuelles laissèrent bientôt la place aux baisers et aux mots doux.
- Reste en moi ! supplia Hélène. Je veux encore te sentir, je veux que tu débandes en
moi !... C'était si bon... si bon !
- Oui, ma chérie... lui promit Victor. Tout ce que tu voudras... Tu es à moi,
maintenant...
Hélène adressa un sourire amoureux à mister petit ami.
- Je n'en reviens pas, reprit-elle, je n'avais jamais ressenti ça de toute ma vie ! Je
sens que je ne pourrai plus me passer de ta queue ! Au lycée, ce sera trop dur de
passer la journée sans y goûter... Je pense que les toilettes vont devenir notre
repère pendant les pauses !...
- C'est clair ! répondit Victor avec enthousiasme. Ta chatte est géniale, je ne
pensais pas prendre autant de plaisir pour ma première fois ! Vivement les vacances,
que je puisse te baiser à longueur de journée ! D'ailleurs, on part une semaine à la
montagne avec mon père pour la Toussaint, tu pourrais peut-être nous accompagner ? Tu
ne seras pas déçue ! N'est-ce pas, Papa ?
Hervé eut l'air surpris, mais également ravi par l'idée de mister fils.
- Aucun problème ! s'exclama-t-il. Si ta copine tient le choc, nous pourrions la
prendre comme une reine pendant toute la semaine...
- Ce sera avec plaisir ! acquiesça sans hésiter mon ancienne copine. Ces vacances
seront inoubliables !

Je sentis ma gorge se nouer et mes jambes défaillir. Depuis mes dix ans, celui
qui, chaque novembre, accompagnait Hervé et Victor en vacances à la montagne, c'était
moi ! Cette année, c'était mon ex copine qui allait prendre ma place au chalet, pour
s'offrir sans retenue aux fantasmes et aux lubricités de ces deux bêtes de sexe !
J'eus le sentiment d'avoir tout perdu. Pourtant, les ébats incroyablement excitants
auxquels je venais d'assister me poussaient à reconnaître l'évidence : je ne méritais
pas une fille aussi belle et chaude qu'Hélène. Ce genre de fille était destiné aux
hommes, aux vrais ! Hervé et Victor en faisaient partie, pas moi... Meurtri, je
tournai les talons pour retourner me coucher au rez-de-chaussée, seul et toujours
puceau.
- Mais ?! entendis-je alors que je m'éloignais. Qu'est-ce que je sens ? Tu rebandes,
mon salaud ?
- Hmmmm... répondit la voix de Victor. Oui, je crois qu'on n'est pas prêt de dormir,
ma puce ! Tu vas subir mes assauts toute la nuit !


vanbruje

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#3,252
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Grandiose... merci... Je réitère mes bons vœux.
chrislebo

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#3,253
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alors doublement merci hahaahha
chrislebo

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#3,254
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Ma femme, ma pute


Ma femme, ma pute,
J’ai connu Julie, elle n’avait que 20 ans et habitait un petit hameau dans les Ardennes. Jolie, naïve et mince, elle travaillait pour l’épicier du village et nous, nous campions dans les environs.
Mes copains et moi aimions camper sauvagement dans des endroits comme le bord d’un bois ou d’un champ ou encore dans une prairie pas trop loin d’un village. Citadins venant de la capitale nous aimions allez dans les bals et fêtes des petits villages Ardennais.
C’est au cours d’une fête de village, en plein été que, je connu Julie, belle comme une rose et gaie comme un pinmister. On la draguait tous les quatre mais c’est avec moi qu’elle se laissa aller et le soir même derrière une étable, je la dépucelai.
Ma pauvre Julie, n’y connaissait rien en sexe et me laissa faire tous ce que je voulais d’elle. En une semaine, je fis le tour de mister corps et explorai toutes les positions du « Kamasutra »
Julie acceptait tous ce que je lui faisais, sans poser de question mais, sans être active, elle-même. Je me rendis compte qu’elle était assez soumise et comme elle avait un corps de rêve je décidai de la ramener avec moi à la ville.
Ses parents malgré leur côté catholique extrême furent d’accord de se débarrasser d’une fille trop grande et un peu simplette.
Nous nous sommes mariés six mois plus tard et c’est au bout de 2 ans de mariage que je commençai à me lasser de ce corps magnifique mais tellement inerte et sans initiative.
Nous n’allions plus camper entre copain et c’est avec un collègue de travail que, je liai connaissance plus intimement. En l’invitant chez moi, Ahmed, c’est mister nom, fit évidemment, la connaissance de Julie.
Il n’arrêtait pas de me complimenter sur Julie et la dévorait des yeux lorsqu’il était chez moi. C’est alors qu’un soir, j’avais, comme souvent invité Ahmed à souper qu’il se passa un évènement qui allait changer ma vie et celle de Julie.
Nous avions terminé le repas depuis plus d’une heure et nous buvions un alcool au salon. Julie dans la cuisine finissait la vaisselle.
- Ça,… C’est mon disque préféré ! Dit soudain Ahmed.
C’était un slow lent et entraînant qui était dans les hits du moment. C’est vrai que j’aimais aussi ce disque et qu’il donnait vraiment envie de danser.
- Tu me permets ? Dit Ahmed en prenant la main de Julie qui venait d’entrer au salon.
- Mais, oui ! Vas-y ! De plus, elle aime danser ! Dis-je sans plus d’attention que ça !
C’est lorsque, je vis ma petite femme dans les bras enlacé d’Ahmed qu’une érection pas possible me prit.
Je bandais de les voir l’un contre l’autre se dandiner, se frotter et tournoyer au rythme de cette chanmister. Je vis aussi parfaitement la main d’Ahmed dans le dos de Julie, descendre par moment sur les hanches de Julie et cette dernière se plaquer le pubis contre Ahmed comme pour échapper aux caresses de celui-ci.
Au bout de deux minutes, je me levai et alla directement aux toilettes me masturber en imaginant Julie nue dans les bras d’Ahmed.
Cela me travailla l’esprit toute la semaine et surtout lorsque, je voyais Ahmed au travail. Je dois avouer que pendant toute la semaine, je fis l’amour à Julie comme au premier jour et je du me masturber une douzaine de fois pendant la semaine rien que de penser à ça !
- Qu’es-ce que tu fais demain ? Demandais-je à Ahmed ce vendredi après-midi.
- Heu !... Rien… Rien de spécial !... Pourquoi ?
- Tu n’as pas envie de venir à la maimister pour souper ?
- Heu !... Oui ! Si tu veux ! Je n’ai rien de prévu…. C’est gentil de ta part d’autant que, je suis déjà venu samedi passé !
- En fait… heu !... C’est Julie qui m’a demandé de tes nouvelles ! Mentis-je.
- Ah ! Fit Ahmed l’œil soudainement intéressé.
- En fait elle a bien aimée de danser avec toi et comme moi, je ne danse pas souvent…Tu comprends ?
- Ben, si cela ne te dérange pas, je veux bien danser toute la soirée avec ta Julie.
Il en bavait, le salaud et moi, je bandais à m’en faire mal. On discuta encore quelques instants sur la plastique du corps de Julie et je compris qu’Ahmed serait près à lui faire mister affaire si je lui en donnais mon autorisation.
Connaissant la situation familiale d’Ahmed, je le savais seul depuis plusieurs mois, sa femme l’ayant quitté. Je savais aussi qu’Ahmed n’était pas du genre à aller voir les putes. Pour lui, payer une femme pour la baiser n’était pas concevable. Je lui fis comprendre sans le lui dire ouvertement que je n’étais pas contre qu’il baise ma femme devant moi.
- Tu sais, la libido de Julie n’est pas terrible mais, je suis sur qu’un jour, un mec, trouvera le déclic pour la rendre plus active.
Ahmed ne dit rien mais visiblement, voyait déjà Julie sous lui. Je voyais dans mister regard autant d’étonnement que d’envie lorsque, je lui en fis part.
Le samedi soir, je demandai à Julie de s’habiller sexy et d’être très gentille avec Ahmed. Elle me regarda avec inquiétude et fit quelques objections.
- Tu sais, mon chéri, ton Ahmed à déjà les mains baladeuses et ne rêve que de me mettre dans mister lit.
- Ah ?... Tu… Tu crois ? Fis-je innocemment.
- Samedi passé, il a déjà essayé de m’embrasser et puis, j’ai bien senti contre moi mister sexe tout raide !
- Je suis sur que cela t’as excitée, non ?
- Mais, mon chéri !... Je ne veux pas te tromper !
- Ah ! Tu avoues, avoir envie d’Ahmed ?
- Tu… Tu es fou ! Je… Je ne peux… Je ne… Fit-elle troublée par notre dialogue.
- Écoute ma chérie, soit simplement gentille avec lui et si une main s’égare n’en fait pas un « patakèse »
- Tu es devenu fou, ma parole !
- Mais, non chérie, mais Ahmed est dans une mauvaise passe, à cause de sa femme et un peu de chaleur humaine lui fera du bien !
Qu’es-ce que je pouvais déconner ! Pourtant et à mon plus grand étonnement, Julie ne dit plus rien et mister regard en dit plus long qu’aucune parole. Elle avait aussi envie de coucher avec Ahmed, cela se lisait dans ses yeux.
« Putain » Pensais-je, je crois que ce soir ma vie va changer.
Julie redescendit habillée comme au temps où on allait en boîte, avec une super mini-jupe et un chemisier noué sous sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge et on pouvait voir ses tétons pointés sous le tissu.
Ahmed ne pourra résister pensais-je en voyant Julie dans cette tenue. Je me levai et lui roulai un patin baveux. J’agaçai ses tétons, que je savais sensibles et descendis une main sous sa mini-jupe. Je passai mes doigts sur le devant de mister string et senti de suite l’humidité qui y régnait.
J’agaçai un peu mister clito à travers le tissu dans le seul but de l’exciter et aussi qu’elle soit en demande sexuelle. Je savais qu’Ahmed allait arriver d’un moment à l’autre et il me fallait une Julie en état de transe pour que mon plan s’accomplisse parfaitement.
Julie fit des soupirs d’extase et se colla à moi. Je l’a repoussai gentiment tout en continuant de triturer mister clito et ses tétons.
chrislebo

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#3,255
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emmanuelle z 3


Je m'admire mais comme la psyché n'est pas devant un autre miroir je n'arrive pas à me voir assez bien .
Comme folle , je pense à la webcam de l'ordinateur mac que mon époux a installé pour les enfants et pour discuter par skype , j'y suis nulle mais je l'allume et essaie d'ouvrir photo booth , cela fonctionne et je peux même me voir sur le grand écran de la télé plasma oh je suis assez salope , et comme je me rend comte qu'un programme m'enregistre , je re-pianote et me voilà sur le net .
Oh la carte du club indique un site et un mot de passe , je me lance , oh je vois le chat vidéo des membres , j'ai juste le temps de mettre un loup de dentelle , et je me branche , EMMANUELLE B….. , j'y suis j'ai des appels qui s'affichent !!!
Des chiffres s'affichent, je demande, qu'est ce, un pseudo d'homme me répond que ce mistert les offres de comptes bancaires à l'intérieur du club, de quoi payer tout et le superflus ( des lingeries tenues accessoires dîner etc) la somme de 1000 est proposée par un Mohamed , il me crédite si je reste 15 min en Webcam , je précise masquée , il accepte , comme j'hésite il m'insulte , je frémis et accepte l'invitation je me vois sur l'écran partagé et le voit lui , un gros arabe , sa tête me dit quelque chose , oh mais c'est le propriétaire de Gag. Une boutique de vêtements de luxe où je laisse plusieurs milliers d'euro par an . Il m'a toujours permis des paiements échelonnés et m'a toujours fait très bien conseiller par ses vendeuses !

Je tremble qu'il me reconnaisse , et moi qui ai mis mon prénom usuel sur le site : emmanuelle !
Il me dit que je pourrais être une de ces bourgeoises salopes qui viennent le narguer dans mister magasin de vêtements , je frémis , il m'ordonne de me changer et de lui montrer ma garde robe .
Je crains que nickel débouche dans le champ heureusement étroit de la caméra, et discrètement je l'emmène dans la cuisine dont je ferme la porte battante tant bien que mal , puis j'ouvre mes tiroirs de commode et les portes de mon placard dressing .
Oh ma robe de cuir noir C. Puerari y trône avec mister encolure carrée et ses fermetures éclairs déco qui vont des coins de l'encolure jusqu'en bas devant et derrière et celles des aisselles jusqu'en bas sur les côtés, elle vient de mister magasin !
Je la masque vite , et lui montre mes dessous eres , dior etc , sur l'écran je vois que 4 permisternes se mistert branchées , avec des demandes assez osées . Mohamed lui s'est tu mais il décroche mister tel en souriant , je suis mal à l'aise , il me laisse ôter le corset , les bas , et comme je veux mettre un joli body mauve transparent eres à balconnet demi seins ,mon portable misterne ,, je regarde . je défaille cela provient du magasin Gag! Je décroche et Mohamed ( ce n'est pas mister vrai nom) m'interpelle Mme F …… j'ai bon souvenir de votre robe puerari , il me semble que votre époux pensait que les fermetures étaient vraies , si vous venez au magasin MAINTENANT( le ton ne souffrait pas la discussion) je pourrais vous arranger cela .
Je suis foudroyée , il est près de 23 h , j'essaie de reprendre pied , "Mohamed" insiste , vous êtes très jolie en slip latex noir , mais si vous venez vous pourrez faire modifier votre robe pour en tirer grand parti! Je pleure et oubliant que d'autres permisternes peuvent me voir j'ôte mon loup de dentelle , il me remercie de ce oui muet et dit m'attendre dans la ruelle derrière le magasin : cela donne sur l'atelier !
Mais j'ai mon chien , osais je en dernier recours . Cela ne me gène pas dit il , et vous ?
Je suffoque et éteint l'ordinateur ,j'ôte le slip latex et met un body eres mauve bcbg, je vais mettre ma robe de cuir Puerari et des bottes assorties un manteau de vimister et je met mon collier assorti à celui de nickel.
Dans la cour devant la maimister je fais monter Nickel dans la Range ..
Je descend vers le centre d'Aix et vais me garer devant le palais de justice . J'ai gardé ma perruque rousse et mon maquillage outrancier et les regards mistert assez perturbants pour une bourgeoise en folie .
Je descend avec Nickel en laisse et me perd dans des petites ruelles en évitant de penser aux nombreux éclairs des photos de "touristes " ou de photographes professionnels?
J'hésite devant la porte qui ne paye pas de mine dans la ruelle derrière le magasin mais elle s'ouvre et "Mohamed " est là devant moi nu le sexe dressé !!!! bonjour chère emmanuelle , voulez vous être bourgeoise ou salope ? décidez vous ! l'ordre claque.
Je me mord les lèvres : bourgeoise et salope si cela est possible je balbutie, il me fait rentrer et narquois mais gentil , il me suggère : regardez bien les caméra de surveillance vous allez être immortalisée avec ce charmant chien en laisse ,comme vous bientôt .
Je me retrouve dans l'atelier où yamina une couturière est là mais nue en tablier , elle a un collier de chienne et les tétons percés . Chère Emmanuelle vous serez dans cette tenue très bientôt! Je répond stupidement oui Monsieur.
Il me dit alors vous désirez transformer cette robe bcbg en robe de salope , madame B.. J'acquiesce en pleurant . Il me fait ôter la robe et me montre où Yamina va débloquer les fermetures .
Je suis en body eres mauve transparent aux balconnets ½ seins et escarpins à talons, et je dois signer un ordre de modification de la robe avec un descriptif manuscrit :
Réaliser les ouvertures des fermetures éclairs du genou gauche au coin gauche de l'encolure , du coin droit de l'encolure au genou droit , du bas de la robe sur les côtés jusqu'aux aisselles à fin de pouvoir être exposée de façon indécente.
Je tremble en écrivant la fin de la phrase et je marque " lu et approuvé en pleine connaissance des conséquences" .
Nickel sent mon trouble et semble excité il essaie de me lécher , j'essaie de le calmer mais Mohamed me coupe et me propose un ensemble de deux colliers cuir larges cloutés en cuir rouge identiques un pour lui un pour vous ! je tremble mais me laisse mettre le collier avec devant moi les écrans de contrôle du magasin où je suis parfaitement visible .
Juste à ce moment mon téléphone misterne , c'est michel mon époux , je triche et dit que j'ai été invitée à une soirée chez Gag , et mohamed qui dit fort Mme B alors nous serions ravi de vous faire plaisir en vous laissant mannequin pour la soirée . Michel a entendu il venait me dire qu'il n'arriverait que demain midi et sachant mon intérêt pour la profession de mannequin , il se croit gentil en me poussant à profiter de cette offre . J'ai les yeux humides .
Mohamed me tend un contrat pour m'exhiber en club et internet non masquée , en tenues de bourgeoise chaude ou de pute , je signe et sous la dictée je dois rajouter que je défilerais avec mon chien !
chrislebo

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#3,256
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battu par une petite fille


J'étais jeune à l époque et je suis allé chercher ma petite frangine au parc à côté de chez nous.
Ma sœur était en train de jouer avec trois copines. Je lui ai demandé de rentrer à la maimister mais elle me répondit qu'elle voulait rester encore un peu, alors je lui est dit non, qu'il fallait qu'elle rentre de suite!
Elle changea de ton en me disant que je n'étais pas celui qui commandait à la maimister et que les parents savaient où elle se trouvait, et qu'elle rentrerait bientôt!

Mon sang ne fit qu'un tour en voyant que ma sœur, cette gamine, osait me contredire surtout devant ses copines!
Je la saisissait brusquement par le bras pour lui faire comprendre qui était le patron!
Je ne sais comment, mais en se débattant ma sœur m'envoya un coup de genoux dans les parties... La douleur me fit me retrouver à genoux devant elle!
Ma sœur fut surprise de me voir comme cela et elle était fière devant ses copines qui n'en revenaient pas qu'un garçon soit là devant elle, à genoux, et tordu de douleur !
Je finis par me relever en me tenant les parties et je vociférait des insultes qui ne firent qu'attiser de nouveau la colère de ma sœur qui n'hésita pas à me gifler et me donner des coups partout...

Curieusement je me mis à bander, voyant que je me faisais tabasser par ma sœur cadette et je me mis à rougir de honte!
Je ne voulais plus me défendre et encaissa la volée qu'elle me donna !
Je me suis retrouvé à nouveau par terre en suppliant ma sœur d'arrêter !
J'avais jouis !
Et je n'osais pas me relever de peur que la tâche sur mon short soit visible.

Je suis rentré penaud, rouge de honte.
J'attendis devant le portail de la maimister, et vit arriver ma sœur.
Je me mis à genoux devant elle, et la supplia de ne rien raconter de tout cela; en échange je ferai tout ce qu'elle me demanderait.
Elle accepta et raconta aux parents que je m'étais battu avec des garçons qui embêtaient ma sœur et ses copines !
chrislebo

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#3,257
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Après la raclée magistrale que me mit ma sœur (Hélène, c'est mister prénom), je l'évitais du regard.
J'évitais de l'approcher, pendant quelques jours. J'avais peur si elle venait a parler à mon autre frangine qui avait
un an de plus que moi et qui partageait sa chambre.
Mais le soir dans mon lit, je revivais ce moment avec grand plaisir.
Et puis un matin, Hélène, me dit qu'elle avait a me parler de suite. Lâchant toute chose, je fonçais
vers elle et m’entraîna dans sa chambre. Elle me dit qu'il était temps de la servir!
Je ne me rappelle plus ce que je lui répondit, mais je savais que je devais faire la partie de ménage qu'elle devait faire!
Son lit et diverses choses et surtout lui porter mister cartable le soir a la sortie de l'école , quand je pouvais sortir du collège avant elle.
je lui répondis tout mais pas ça!
Porter le cartable d'Hélène devant ses copines!!!!
Et puis quoi encore!!!
Hélène se leva du lit et me mit une gifle magistrale et me menaça de raconter a ma grande sœur ce qui c'était passé!
Voyant la détermination et le pouvoir physique qu'avait Hélène sur moi (dans mon short, je bandais dur!), j'abdiquai sans condition devant cette gamine !
Je fis le lit sans rien dire signe de ma soumission!
Hélène partit a l'école sans rien me dire, et je me retrouvai seul dans sa chambre.
Permisterne n'était a la maimister, j'en profitais de fouiller les tiroirs ou les filles rangeaient leurs culottes!
J'étais en extase! Je ne savais pas laquelle choisir!
j'en pris une et la renifla, en pensant que sûrement c'était peut être dans cette culotte qu'Hélène me mit ma première raclée!
Et là je mis a jouir fortement!
Maintenant j'étais sur de moi, que j’appartenais a Hélène et j'aimais jouir sous ses coups!
Mais comment lui avouer?
Une petite fille, ne pense pas a ça, pour elle c était sûrement un jeu!
Bien que dans mister regard, on pouvait deviner que de battre un grand garçon, n'était pas monnaie courante dans cette époque des années fin soixante!
Je vous rappelle qu'il y avait un feuilleton qui était pour moi, le meilleur et qui s'appelait chapeau melon et bottes de cuir .
Je bandais quand madame Peel, se battait contre des hommes!
J'en ai même joui, mais discrètement!
Hélène était ma madame Peel!
je lisais aussi des romans photos ou l'actrice faisait du judo contre des méchants, et gagnait toujours!
vanbruje

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#3,258
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Des histoires peut-être un plus récentes, mais bonnes tout de même, merci
chrislebo

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#3,259
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Arriva, ce qui devait arriver, et finissant le collège avant Hélène, je suis allé la chercher a l'école et j'étais pas vraiment bien, j'avais peur que les copines d'Hélène,me fassent des remarques, mais malgré cela j'étais en transe de plaisir!
J'étais un peu en recul, quand les premières filles mistert sorties, j'étais rouge de honte en m'imaginant que toutes les filles étaient au courant!j'avais baissé les yeux, et cela n’empêcha pas une copine d'Hélène de me faire une remarque désobligeante dans le style ça va? tu n as pas eu trop mal?
je ne répondis pas mais tous ces yeux de filles pointaient sur moi tout en gloussant que c'était lui, le garçon qui avait été rossé par une fille!
Et c est a ce moment qu'est apparue Hélène, fière de me voir là tout penaud!
Elle me tendit mister cartable et sans un mot je lui est pris.
là c'est vraiment jouissif, je ne savais plus comment éviter de bander et surtout de jouir!
les filles mistert passées devant moi avec un rire salace et je l'ai suivi jusqu'au parc ou elles avaient l'habitude de jouer a la marelle, saut de cordes etc....
Hélène m'a dit de m'asseoir et de lui faire les devoirs et tout ça devant ces copines!
Je lui ai répondu, que ce n'était bien pas de l'aider a tricher (ou dans un style comme ça).
Elle m'a demandé si je voulais que cette gamine me remette une raclée, et là je me suis tu et j'ai ouvert le cartable et pendant que ma frangine jouait avec ses copines, je lui ai fait ses devoirs!
Maintenant pour moi tout était clair, j'étais devenu lâche et peureux devant Hélène, ce qui m'a valu le surnom de peureux! (tout est véridique) par ses copines!
ma frangine était le chef!
Cela avait du marqué une copine d Hélène, car quelques années plus tard, on avait quitté la région pour le sud. Quand cette fille était voir Hélène, pendant ses vacances sur la cote et n'avait hésité a me jeter au visage, le terme de peureux!
Hélène et sa copine en avait ri tout en relatant ce qu'elle m'avait fait subir lorsque Hélène était gamine!).Mais ce qu'ignorait sa copine, c'est qu'Hélène avait été pire quand nous étions seuls!.
Enfin je l'espère!
Genre se retrouver nu a faire la chambre d'Hélène en sa présence et de se moquer du petit bout de quéquette qui était raide!
C'était la honte, mais j'y ai trouvé un grand plaisir!
Et la fois ou Hélène me surprit a jouer a la poupée, mais pas ce que vous pensez!
j'étais nu sur le sol de la petite remise qui était devenu un débarras,
et avec une culotte que je reniflais (culotte portée la veille par ma petite soeur et que j'avais prise dans le panier de linge de la salle de bains)
je donnais des positions de karaté ou de judo a la poupée qui me frappait sur mon zizi!
Et là, naturellement je finissais par jouir de plaisir étant vaincu par une poupée!
C'est a ce moment qu'est rentrée Hélène, et qui me vit dans cette situation burlesque!
elle se moqua de moi, comme jamais on s était moquer de moi!
j'en pris pour tous les grades!
Et pris de court, je finis par lui avouer que c’était mon fantasme favori de me faire battre par une fille!
je lui montrais ma collection de poupées que l'on pouvait contorsionner dans tous les sens pour leur donner l apparence d'une combattante!
Mes romans photos (enfin, en y avait deux ou trois) et les culottes qui avaient disparues!
et bien contrairement a ce que je m attendais, Hélène, m'avoua, que de m'avoir mis la raclée devant ses copines l'avait excité ( pas a en jouir, comme moi)!
Alors pour mister silence, elle me fit jouer a chapeau melon et bottes de cuir!
Hélène était la gentille et moi le méchant!
et là elle se mit a me mettre des coups de manchettes, une projection (ratée) et je suis retrouvé a jouir devant elle nu !
Elle fut d ailleurs étonné de voir bavé mon pénis!
j'étais rouge mais fier de cette situation, enfin Hélène savait ce qui me plaisait!
Et comme gage de bonne foi, elle me montrait pour la première fois sa chatte avec quelques poils!
j'étais aux anges, je n'avais jamais vu de chatte de ma vie!
être battu par un sexe dit faible était pour moi l'apothéose, et j'aime encore cela aujourd'hui, avec mon épouse qui elle, me gifle dans les supermarchés, et de temps en temps je fais pipi dans la culotte de femme que je porte.

chrislebo

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#3,260
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Sale petite pute !!!!


"Je t'attends au Grand hôtel sale petite pute, Chambre 86, ne me fait pas attendre surtout."

Message envoyé. Il est 21h20.

Attendant sournoisement cette fille, une salope sans aucune commune mesure, cigarette à la main, déglutissant quelques lampées de bière chaude et amère.
Anxieux et totalement submergé par l'excitation, je ne pense qu'à ce moment, cet instant ou elle franchira le seuil de la chambre pour n'être plus qu'un jouet, mon jouet, uniquement et strictement présente pour combler le moindre de mes désirs, le moindre de mes caprices, être ma chienne dévouée, puisant le fond de ton âme, souillant et rougissant ton corps de mes assauts répétés et vicieusement sauvages.

Laissant trainer à portée mes accessoires de supplication, Ceintures de cuir brun et noir à boucle...l'une souple, l'autre rigide...ainsi que des objets anodins me permettant de ne lui laisser aucun répits, ses orifices m'appartenant et ne devant en aucun cas refuser mes ardeurs féroces.

Il me tarde de la saccager, de la rompre, de lui montrer que mister corps ne lui appartient pas, qu'il m'appartient.

Le timide coup sur la porte achève mes pensées salaces. C'est la pute que j'ai commandé.

Ouvrant la porte tout en restant dans la pénombre, une obscurité volontaire, elle entre, timidement , sans un mot.

"Ferme les yeux salope je ne veux pas que tu me regardes, tu ne me verras pas, tu n'en as nullement besoin"

Refermant la porte derrière moi, mister ultime issue était condamnée, elle était ma chose, mon objet à cet instant précis, je recouvrais alors ses yeux d'un bandeau très serré...puis allumais la lumière afin d'observer.

"Tu m'as fait attendre sale petite pute, j'ai horreur de ça" dis-je en la poussant violemment à l'intérieur de la chambre.
La trainant sur le lit en palpant mister corps , découvrant enfin mon objet de plaisir, objet que j'allais user et souiller.

Je lui tirais les cheveux en arrière, tout en frottant mes mains sur sa chatte et mister cul rebondi à travers mister pantalon noir, attrapant ses seins généreux sous mister haut. Mon sexe était droit et dur à travers mon jean que je pressait également contre elle.

"Déshabille toi !"

Ce qu'elle faisait, debout devant moi qui m'étais assis pour contempler ma chienne. Elle déboutonna mister chemisier, timidement , lentement, dévoilant un soutien gorge noir en dentelle.

"Plus vite salope, t'es pas la pour jouer au cartes mais uniquement pour me vider les couilles"

Je me levais pour la dévêtir de power, la vue de ses formes dans ce porte jarretelle et ces bas me donnant l'envie violente de la baiser et d'investir tout mister corps de ma queue gonflée. Et tandis que j'ôtais mister ultime rempart de dentelle, je la poussais sur le lit, reluquant perversement sa chatte et mister cul offert.

"écarte bien les cuisses que je vois ce que je vais fourrer"

Me dessapant à mon tour, je me jetais sur elle comme un natural sur sa proie, fouillant ses orifices de mes doigts, les enfonçant dans sa bouche de putain.

"Tu mouilles déjà sale pute, qui t'as dit que tu en avais le droit..tu m'appartiens pétasse, et ton plaisir aussi"

Une volée de fessées tomba sur mister cul, sa peau rougissant immédiatement, j'agrippais sa peau, ses formes généreuses, les griffait, les mordais....

"A genoux sac à foutre, tu vas avaler ma queue maintenant".

Ma queue raide et dur vint s'empaler dans sa bouche, une bouche de suceuse avide de queue, elle n'aspirait, m'avalait la queue tel la petite pute vicieuse qu'elle était réellement.

"Tu as une bouche faite pour la bite, bouffe moi les couilles salope, comme une bonne petite chienne"

Tandis qu'elle me léchait les couilles, ma queue venait fouetter mister visage, elle était couverte de sa bave...tirant sur ses cheveux je lui enfonçait à nouveau ma queue dans sa gorge..

"C'est tout ce que tu sais faire sale pute, je vais souiller la moindre partie de toi, jusqu'au fond de tes entrailles tu seras salie"

Et pendant que je lâchais ces mots, j'enfonçais ma queue profondément en tenant sa tête comme une vulgaire poupée gonflable, faisant des vas et vient , baisant sa bouche à pipe. je sentais ses mains essayer de me repousser, je poussais encore plus fort, sa salive était abondante, elle étouffait sous mes coups de reins dans sa gorge, et je sentais ses dents.... une douleur qu'elle allait regretter...

Je tirais alors ses cheveux la relevant vulgarement et la jetant sur le lit....

"Tu m'as fait mal sale trainée, tu n'as aucun droit t'es mon jouet, ma chienne, ne bouge pas!"

Elle était allongée sur le ventre, j'attrapais alors la ceinture brune souple, repliant doucement la boucle dans ma main, et lui assena de grand coups sur sa croupe.... ses fesses se marquaient, et, comme un enfant laissant ses empruntes dans la neige pure du matin, je prenais un malin plaisir à marteler mister corps avec ma ceinture, mister dos, ses flancs, les coups pleuvaient sur tout mister corps.. chaque centimètre carré de mister corps était malmené sous ce cuir.

"A quatre pattes sale pute, j'ai envie de te défoncer ta chatte, écarte tes jambes"

chrislebo

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#3,261
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Ma queue prit possession d'elle, violemment, sans ménagement, je la sentais se crisper en me recevant dans sa chatte déjà humide. Mes mains vinrent s'écraser sur ses fesses, mister dos....sous le rythme effréné de mes coups de bassin dans sa chair. Elles attrapaient ses cheveux, tirant sa tête en arrière pour reluquer mister visage, elle gémissait cette pétasse.

Mes mains pétrissaient sa peau, mes ongles se plantant sur mister corps, la griffant, laissant derrière eux de longues traces violacées. Mes dents se serraient sur mister cou, sur mister dos, les marques de mes dents sur elle me plaisaient, elle était ma pute, rien qu'une pute soumise au moindre de mes vices.
Comme pour la défoncer le plus profondément possible, j'attrapais alors mister cou, le serrant fortement , l'étranglant presque, mes ongles dans sa chair, mes coups de bassins dans sa chatte ruisselante se faisait plus destructeurs que jamais.

"Tu n'es plus assez étroite , t'es vraiment qu'un garage à bite, tu mouilles trop salope, ta chatte ne m'amuse plus, suce moi la queue encore, nettoie bien ta mouille dégueulasse"

Mes mots sortaient instinctivement tandis qu'elle recevait toujours de violentes claques sur les fesses, mes doigts visitaient mister trou du cul bien plus étroit, qui annonçait un plaisir décuplé..
Elle me pompait avidement, elle acceptait mister état de pute à merveille.

"Défonce moi" furent les seuls mots qui sortirent de sa bouche.

"De quel droit tu m'ordonnes,tu n'es rien, une poupée gonflable ne parle pas, les chiennes ne jappent pas sans mon ordre"
Je la repoussais la trainant sur le lit, sur le dos.

"Bouge pas salope, ça va t'apprendre"

Saisissant l'autre ceinture, cuir noir et rigide, longue ceinture, l'air siffla un instant , laissant place au claquement sur sa peau et mister gémissement de douleur.... J'assenais plusieurs coups, chaque cri m'incitant à taper plus fort, chaque partie de mister corps réclamant la rougeur de la peau martyrisée. Ses cuisses, mister ventre , ses seins, n étaient plus que de la viande pour moi, elle subissait mes coups, lacérée de part en part par le cuir dur de mon instrument.

Je la trainais au rebord du lit, lui enfonçant un objet énorme dans sa chatte échauffé par ma queue.

"regarde moi ça comme t'es excité ma salope, une vraie pute , n'importe qui pourrait te baiser car tu n'es rien d'autre qu'une videuse de couilles"

Continuant à maltraiter mister corps, je rentrais progressivement ma queue dans mister anus. Elle souffrait de mon intrusion , je souillais mister dernier orifice, indélicat, perversement. Je défonçais mister cul offert, un cul de princesse rabaissée au rang de moins que rien, de pute dégueulasse et vicieuse et elle adorait ça....Elle jouissait sous mes coups de queue, mes claques sur mister corps, elle gobait mes doigts pénétrant sa bouche...

J'attrapais mister visage serrais sa mâchoire, serrant mister cou, chienne sans nom, mes ongles transperçait sa peau ,totalement ravagée par mes coups, par ma queue, mes mains....elle ne ressemblait plus à la femme qui fut devant le palier de cette chambre.

"Approche toi, viens prendre mon foutre sur ta gueule, tu mérites que ça, du foutre, sur toi, en toi, dans ta bouche , j'ai envie de te remplir de mon sperme chaud petite pute, ouvre bien la bouche"

J'enfonçais ma queue dans sa bouche, nettoyant celle ci de sa propre mouille, elle se donnait du mal pour m'avaler, je la retenais pour lui baiser encore la bouche, ravager sa gorge de salope, la giflait lorsque je sentais ses dents...

Je giclais, sur mister visage, dans sa bouche, elle était maintenant souillé par ma semence, inondée sous mon foutre abondant, elle était salie, je voyais ses yeux maintenant que j'avais oté mister bandeau pour voir ses yeux, crispés par le plaisir, la douleur, le rabaissement...et cela m'excitait....

"Tu es dégueulasse , viens la, je vais te doucher..." je la trainais par les cheveux jusqu'à la salle de bain....la fit mettre à genoux devant moi....

Ma queue au dessus de mister visage, encore ruisselante de bave, gonflait, cette salope ne méritait que cette attention la, je lui pissais dessus, sur mister corps meurtri par les coups, sur sa bouche salie , souillée par ma queue et mon foutre, sa bouche lapait ma pisse.....tu étais mon jouet fidèle, ma véritable salope, et tu me le prouvais en buvant ma pisse, bonne et brave chienne. Mon urine coulait tout le long de mister corps, formant une marre dans laquelle elle croupissait...

lâchant ses cheveux, et sortant quelques mots :

"C'est bien ma chienne, prend tout ce que je t'offre....maintenant lave toi c'est pas terminé..."

Elle nettoyait la pisse et le sperme et revint vers moi, je l'attrapais , la posant sur le dos.
Alors que je lui frottais fortement mister clitoris, mon autre main la lacerait , je la mordais profondément, je marquais sa chair, étranglais mister cou, pinçait ses gros tétons durcît d'excitation.

"maintenant tu peux jouir salope"

J'observais mister visage, inquisiteur... je labourais sa peau, elle jouissait, gémissait, sous mes doigts fermes.

Ma salope m'avait vidé, c'était une bonne chienne. Je caressais les plaies, les parties cramoisies de mister corps, tout mister corps marqué était parcouru de la douceur de mes mains, je serrais mister visage, caressait sa peau, ses tempes, la mordait plus tendrement...
chrislebo

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#3,262
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Un soir



Un soir ,après une dispute avec mon mari,je décide d’aller voir un film a la dernière séance .Deux semaines qu’il ne m’a pas touché ,deux semaines que je n’ai pas senti la chaleur dans mon ventre alors qu’il est en feu.
J’entre et je m’installe dans le coté droit au fond de la salle , le film commence et trois hommes entre a ce moment , ils s’assoient a coté de moi, 1 a droite de moi 1 a gauche et le troisième homme derrière .
Je suis habillée d’une robe légère, arrivant a mi-cuisse , je suis entrée dans ce cinéma sans vraiment d’arrière pensées, mais la les idées les plus folles me traversent l’esprit.C’est un petit cinéma privé ,le film qui passe est la femme objet, a cette période de l’hiver il n’y a pas grand monde dans la salle, a l’écran une femme est a genou en train d’avaler un sexe ( blog ) entièrement dans sa bouche.



Au bout de 10mn je sens une main frôler la mienne , puis ce frôlement devient plus soutenu.
Ce frôlement me gêne et je décide de retirer ma main , a ce moment je sens une autre main frôler ma cuisse , je regarde l homme qui maintenant pose sa main sur ma cuisse et je lui dis « non » sur ces mots ,l’autre pose sa main également sur mon autre cuisse et essaie de remonter sa main .
je me demande que faire, mais je ne suis pas venue pour dire non, mon mari n’avait qu’a me baiser et on ne se serrait pas disputé et même si par défi , je lui ai lancé mon string a la figure en sortant de la maimister ,je ne porte pas de dessous, ma chatte crie famine!
Mais la , je suis trop entouré , 3 hommes, c’est peut être trop , j’ai envie d’arrêter , je resserre mes jambes comme pour dire non a cette main.
Mais cette main continue a avancer et des autres surgissent également de l’arrière qui se posent sur ma poitrine et commence a malmener mes gros seins , tirer mes pointes, les malaxer avec power, il retirent mes tétons qui durcissent très vite,il triture mes tétons qui lancent des ondes électriques dans tout mon corps,je n’avais encore jamais était maltraité ainsi par mon tendre époux, la douleur est agréable.
Ma nuque bascule en arrière , les mains powernt mes jambes a s’ouvrir , je lèche le cou de l’homme derrière moi ,qui pétris mes gros seins, les yeux clos ,ma langue se promène sur sa peau, lentement je le sens tourner sa tête, je sens des lèvres ,il aspire ma langue,je sens sa bouche sur la mienne , je répond en aspirant sa langue , elles se mêlent, nos salives aussi , un baiser puissants , il sort sa langue et je m’amuse a la sucer comme un sexe ( blog ), nos lèvres se ressoudent , je garde les yeux fermés
Les deux hommes devant moi, commencent a relever mes jambes , celui de derrière lâche mes gros seins et les maintient bien haute par les cheville en m’écartant.
Je réalise alors que j’offre ma nudité a leurs yeux.
« Regarde moi cette salope on dirait quelle aime ca en fait , elle se promène a poil »
et celui de derrière de renchérir
« Avec une bouche pareille ,elle doit bien pomper cette videuse de couille » tout en sortant mister sexe ( blog ) et le placer dans ma bouche en maintenant ma tête.
je suis électrisée, oui je suis en manque de sexe ( blog ), ca lui apprendra a ne pas baiser sa femme, l’homme derrière moi power ma bouche jusqu’à la gorge,je ferme les yeux.Il n’est pas très long, le bout de la bite est plus gros que la hampe ,ses couilles mistert énormes, elles viennent battre mon menton .
vanbruje

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Merci pour cette suite et les textes suivants, à vous lire...
chrislebo

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#3,264
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Ma grande sœur, Gilda prenait sa douche.
J'ai regardé par le trou de la serrure, si je pouvais l'apercevoir nue!
Je signale qu'il n y avait permisterne a part nous deux.Ma frangine ne le savait pas car j'étais rentré plutôt que prévu .
Comme j'avais aperçu ses affaires et qu'il n'y avait permisterne a l'étage, j'en ai déduis que Gilda était sous la douche, (nous étions en été). J'avais envie de la voir nue, je me suis dit que c'était le bon moment!
J'attendis patiemment et je finis par la voir sortir du bain, et prendre une serviette.
Elle s'essuya et je finis par voir cette chatte avec plus de poils que ma petite frangine.
J'étais heureux et je bandais un max!
Mais je ne sais pourquoi, elle se mit a regarder dans ma direction et demanda si quelqu'un était là !
Prit de panique, je me sauvais avant qu'elle n'ouvre la porte.
Elle ne savait pas qui c'était!
Le soir venu, Hélène me demanda de venir dans leur chambre. Je m'exécutais et pénétra dans la chambre de mes deux frangines.
Elles étaient là, toutes les deux assissent sur le lit de Hélène .Je lui demandai ce qu'elle voulait.
Hélène me regarda fixement et me demanda ou j'étais cet après midi.je lui répondit :
"Bien au collège, pourquoi?"
Hélène me répondit:
" Menteur, je suis sur que c'est toi!"
Je ne savais pas quoi répondre!
"C'est toi qui a regardé Gilda ,toute nue dans la salle de bain, non?"
J'étais terrifié, comment avait elle pu le savoir?
Je ne répondis pas et tenta de sortir de la chambre.
Mais c'était sans compter sur Hélène, elle me barrait le chemin!
Que faire?
Me prendre une raclée devant Gilda par cette gamine, ou alors avouer?
Tant pis je risquais le tout pour le tout,et je tentais une sortie!
Mal m'en prit, en quelques secondes Hélène, me balança deux ou trois manchettes, et quelques coup de poings très rapides qui me firent très mal.
Je m écroulais devant elle !
KO, en quelques secondes!
Gilda , était stupéfaite de voir ça!
Moi par terre et Hélène qui me demandait de me relever!
Lâche et peureux, je restais au sol!
Hélène, me reposait encore une fois la question de savoir si c'était moi.
Restant au sol, je finis par avouer que c'était bien moi le coupable!
Gilda n'en revenait pas comme Hélène m'avait mis ko!
Hélène me força a demander pardon a Gilda a quatre pattes
et là vraiment, c'était bon!
Je bandais fort et à tel point que Gilda vit une bosse se formée sur mon short.
Je ne savais plus comment me mettre !
Je suppliais Hélène de partir, elle avait gagné!
J'avais envie de jouir, mais je ne pouvais pas lui dire!
Et malheureusement j'ai joui.
Et là sous les rires moqueurs des deux filles, je sorti la queue basse, rempli de honte,avec une tache énorme sur le short!
maintenant deux filles savaient que j étais un peureux!
Gilda n'a rien dit aux parents, toute contente d'avoir un larbin a sa disposition!
maintenant c'était a moi de faire leurs corvées!
et je peux dire que Gilda, m'en a fait baver
chrislebo

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#3,265
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Nathalie dans le métro


Je me prénomme Nathalie. J’ai 42 ans, j’ai deux enfants, deux garçons de 18 et 20 ans. Je suis mariée avec Alain depuis 22 ans. Alain est un peu plus âgé que moi. C’est un homme qui s’est fait tout seul. Il a commencé comme garagiste. Il est aujourd’hui à la tête d’une petite entreprise ; mister garage emploie 25 permisternes aujourd’hui. Au début de notre mariage je travaillais avec Alain pour l’assister.

Avec les années, l’aisance venant, j’ai arrêté toute activité professionnelle. Je suis brune, plutôt féminine. J’aime prendre soin de moi, tant de mon corps que de mon apparence vestimentaire. Avec les années ma vie amoureuse avec Alain s’est distendue. Aujourd’hui il s’occupe peu de moi, se consacrant à mister activité professionnelle ; il me fait rarement l’amour, et avec peu d’appétit et d’attention.

Ce jour de juin, je portais une petite robe courte, en coton, blanche, une étoffe un peu épaisse en nid d’abeille. Je portais des sandalettes blanches, nue pieds, à talons moyen. J’avais pris le métro à la station Franklin Roosevelt. J’étais monté dans le dernier wagon du métro, à la dernière porte. Je m’étais tenue debout durant la durée du trajet.

Quelques jours après, je recevais un étrange courrier chez moi, à mon nom. J’ouvrais l’enveloppe : une photo de moi, prise sur le quai de métro. Il n’y avait aucun doute, c’était moi, dans ma petite robe blanche courte, sur le quai de la station Franklin Roosevelt ! La photo était accompagnée d’un petit mot, signé « un admirateur qui vous veut du bien ».

« Chère Nathalie – il connaissait mon prénom ! – je vous ai trouvé très belle samedi dernier dans le métro. J’aimerais vous revoir samedi prochain. Vous me feriez très plaisir si vous portiez la même robe. »

Je dois avouer que je ressentais un léger trouble à la vue de la photo et des mots que je lisais. Le samedi suivant, j’avais hésité. Mais ma curiosité l’avait emportée. Le matin je m’étais souvenue que je devais mettre ma petite robe blanche. En la passant je ressentais une curieuse sensation, comme l’impression de faire quelque chose de défendu.

Sur le quai de la station, j’observais attentivement les gens. La rame de métro arriva, je montais, je me tenais debout comme la dernière fois agrippée à la barre verticale. J’étais entourée de diverses permisternes. Je regardais autour de moi : rien de particulier. J’attendais que quelque chose se produise, mais finalement rien ne se passa…

Je rentrais chez moi, presque déçue. Quelques jours après, je recevais un courrier, identique à celui que j’avais reçu la semaine précédente. Mon cœur se mit à battre un peu plus fort. J’ouvrais. Une photo : l’entre cuisses d’une femme, une petite culotte en dentelle blanche fine, les contours flous d’une robe courte blanche. Je regardais attentivement, m’attardant sur le détail de la dentelle de la petite culotte. Nul doute possible, c’était ma petite culotte de samedi dernier, c’était moi, prise sous un angle sous lequel je ne me connaissais pas.

Fébrilement, je lus le petit mot : « Chère Nathalie, je vous ai trouvé très belle et très sexy samedi dernier dans le métro. J’aimerais vous revoir samedi prochain. Vous me feriez très plaisir si vous portiez la même robe et si cette fois vous ne portiez pas de petite culotte. »

Le samedi suivant, ma curiosité l’avait encore emportée. En m’habillant et passant ma petite robe blanche je me sentais toute émoustillée, en pensant que je jouais avec le désir d’un inconnu. Avant de partir, j’hésitais encore, puis hardiment je me décidais à enlever ma petite culotte, dans l’entrée de l’appartement. Je m’accroupissais, faisait glisser la dentelle sur mes cuisses. Je fourrais ma petite culotte dans mon sac à main.

Sur le quai de métro, je redoublais d’attention. Je dévisageais des inconnus, avec une insistance qui m’était totalement étrangère. Je me rendis compte que mon attitude n’étais pas appropriée, suscitant des regards dérangés ou parfois insistants de la part d’étranger. Dans le métro, je me tenais sur mes gardes essayant de me tenir debout, pieds joints, même si je fus plusieurs fois un peu bousculée.

Je rentrais chez moi, je remettais ma petite culotte en place, avec la sensation que rien ne s’était produit. Quelques jour après, je reçu un petit paquet dans lequel je trouvais un nouveau courrier. Une nouvelle photo indiscrète : mon entrecuisse, sous ma petite robe blanche, je reconnaissais ma fente ourlée, et la couleur brune de ma toimister. Je me sentis rougir, la chaleur me montait aux joues alors que je lisait le mot joint :
chrislebo

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#3,266
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« Chère Nathalie, je vous ai trouvé très désirable samedi dernier dans le métro. J’aimerais vous revoir samedi prochain. Vous me feriez très plaisir si vous portiez la même robe, sans petite culotte, bien sûr, et sans oublier de porter le petit cadeau qui se trouve dans le paquet. »

J’ouvrais entièrement le paquet : je découvrais des boules de geisha ! Deux boules roses dures, liées entre elle par une petite chaine, la chaine se prolongeait et se terminait par un petit anneau. Je cachais ce « cadeau » un peu encombrant dans un fond de mes tiroirs.

Le samedi suivant avant de m’habiller, j’étais toute excitée. Je passais ma robe blanche. Je me sentais mouillée et chaude entre les cuisses. Je retroussais ma robe et je m’asseyais sur le rebord du lit avec en main le cadeau de l’inconnu du métro. J’écartais mes cuisses, puis posait la première boule sur le bord de mes lèvres, avec mon index je poussais la boule, mes lèvres s’ouvrait comme une bouche, comme si mon sexe avait faim.

La boule se glissa en moi sans difficulté, trouvant mister chemin dans mon vagin lubrifié. La seconde boule trouva sa place, en poussant la première un peu plus profondément en moi. Seule sortait de ma fente quelques centimètres de chaine terminée par un petit anneau. Ma sortie dans le métro fut, hélas, sans histoire. Si ce n’est que les deux boules lovées en moi, me gênaient un peu. Excitantes lorsque mon sexe les avait englouties, elle me procurait une sensation dérangeantes. Je sentais aussi la petite chaine qui sortait de ma fente se balancer sous ma robe.

Lorsque je rentrais chez moi, je filai dans ma chambre. Je retroussais ma robe en m’asseyant sur le coin du lit. Mes doigts tirèrent petit anneau, doucement une boule apparu à l’orée de me fente, puis l’autre luisante de ma cyprine, laissant un vide en moi. J’effleurais mes grandes lèvres avec mes doigts. Je les sentais gonflées, ma fente s’ouvrait comme une fleur, humide de désir. Je frottais ma vulve avec le plat de ma main. Tandis qu’une douce chaleur m’envahissait, une irrépressible envie de jouir montait en moi. Mon index parcourait ma vulve et caressait mes lèvres ourlées.

Puis un irrépressible désir entraina mon doigt vers mon clitoris que je sentais en attente d’être caressé. Je frottais mon clitoris vigoureusement. Je jouis longuement et intensément par vague d’orgasme successive que mon doigt provoquait de plus belle. Essoufflée et comblée, je remis ma petite culotte, rajustais ma robe et rangeais mon jeu de boules.

Le mercredi suivant, un nouveau courrier de mon admirateur inconnu. Une photo de moi, sous ma robe, chaine pendante de ma fente ! Comment avait il réussi cela sans que je le remarque ? Le petit mot contenait les quelques lignes suivantes :

« Chère Nathalie, samedi dernier vous étiez très belle et très érotique. En découvrant la photo de votre entrejambes, je fus pris d’un violent désir. J’aimerais vous rencontrer. Malheureusement, je dois partir en voyage cet été. Je prendrais contact avec vous en septembre. Un admirateur qui vous veut du bien. »

Je du me résigner à attendre l’automne.
vanbruje

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#3,267
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Encore merci
chrislebo

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#3,268
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Comme je le disais précédemment dans une histoire, Gilda, ma grande frangine , fut admirative de la façon dont m'avait corrigé ma petite frangine!
Hélène m'avait fait avouer que le voyeur, c'était moi!
Le lendemain, Gilda avait décidé, que moi, le peureux, je devais non seulement faire les corvées d’Hélène mais en plus les siennes! Sinon, elle dirait tout aux parents!
Et me mit une gifle pour voir ma réaction.
Mais à côté de Gilda, se trouvait Hélène.
Alors de peur de me retrouver encore humilier , je ne répondis rien!
Gilda avait compris, que j'étais lâche et me remis une autre gifle, un peu plus violente.
Là, je lui demandais d'arrêter car moi aussi, je pouvais lui rendre!(malgré la présence d’Hélène)!
Il fallait montrer à cette garce, qu'il restait un peu de mâle en moi!
Gilda, n'attendait que ça, et me mis un coup de pied dans les couilles.
je m'écroulai dans un gros râle!
Hélène se mit a rire en me voyant a genoux en disant (si j'ai de la mémoire) que je devais aimer me faire battre par les filles ou quelque chose comme ça!
Là, j'avais vraiment mal!
Entre Gilda et Hélène ça fait une différence!
je ne bandai pas, je vous l'assure!
Et à cet instant Gilda, me poussa sur le sol d un coup de pied sur l'épaule et demanda qui était le chef!
Je n'osai pas répondre que mon chef était Hélène!
Hélène prit ma défense, en disant à Gilda, que c'était elle qui m'avait battue, la première.
Gilda n insista pas, et me dit que je serais leur boniche!
Je lui répondis que je ferai ce qu'elles voudraient!
Mais comme je le disais précédemment dans une histoire, Gilda, ma grande sœur , fut admirative de la façon dont ma petite frangine, m'avait fait avouer que le coupable qui la regardait toute nue par le trou de la serrure, c'était moi!
Et là, Hélène, me dit de lui montrer (à Gilda), ma cachette avec toutes mes poupées,les romans photos et les culottes qui avaient disparues!
Rouge de honte et tremblant de peur devant mes deux frangines, je les emmenais à ma cachette.
Gilda et Hélène me traitèrent de tous les noms !
Gilda, me dit sous la menace de me frapper qu'elle voulait que j'essaie une culotte sur moi.
J'avais honte, j'essayai de ne pas me montrer dans cette situation ridicule, j'implorais Hélène, mais rien n'y fit, et je m'exécutais!
Nu, je mis une culotte de Gilda et je ne sais pas pourquoi, je mis a bander si fort que j'ai cru avoir pété, la culotte!
Gilda me fit marcher dans la pièce comme une fille.
Rouge de honte, mais heureux d’être le jouet de ces deux filles, j'éjaculais dans et au dehors de la culotte sous les rires de mes deux frangines!
Je crois que ce fut le plus gros plaisir, que j'ai eu quand j'étais jeune!
chrislebo

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#3,269
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elle me rosse devant mister futur amant


C'est arrivé le mois dernier. Ma copine et moi étions sur une plage près de Nice et on était en train de repartir pour aller dîner. On venait de se rhabiller. Il n'y avait plus grand permisterne à proximité. On était assez chargés. Je me suis chargé du plus lourd et Nadia s'est mise à se moquer."T'es sûr que c'est pas trop pour toi ? Tu es déjà crevé d'avoir tenté en vain de me rattrapper à la nage ? "Nadia a toujours été bonne nageuse et, curieusement, on ne s'était jamais défié sur ce terrain là. Aujourd'hui, oui, et je l'avais sentie un peu troublée d'avoir gagné si facilement. Et là, tout à coup, elle a eu besoin de me dire ça. C'était pas grave mais je me suis senti piqué au vif et, comme j'étais en train de boire à ma bouteille d'eau, je lui en ai jeté à la figure pour me venger. Elle était trempée et il fallait encore traverser le quartier où se trouvait notre hôtel. Elle m'attrappa par le bras :" C'est malin. Comment je vais faire maintenant, regarde ma jupe. Allez, file-moi ton pantalon de jogging. Tu mettras une serviette autour de la taille" "Tu rêves." "File-moi ton froc, Bernard. Tu veux que je le prenne de power ? On va pas se battre quand même" " Tu es folle ou quoi ?" "Ben quoi, tu as peur de la déculottée ?" Elle me regardait dans les yeux et commençait à me pousser en arrière. J'ai lâché mon sac et et j'ai tenté de la repousser. Nos mains se mistert enlacées et on s'affrontait en riant. Elle a ccentué sa pression et a commencé à me faire fléchir. J'ai tenté de résister puis , d'un coup sec, elle m'a fait forcé à poser un genou dans le sable. "Les deux genoux mon chéri. Voilà. C'est bien. Alors? " "Alors quoi?" "Je te lâche et tu me donnes ton pantalon?" "Non !" " Comme tu veux". Et alors là, elle s'est déchaînée. Elle m'a fait basculer et je me suis retrouvé sur le dos. Elle s'est lourdement installée sur mon torse et m'a bloqué un bras puis l'autre le long du corps entre ses cuisses. Je me débattais comme je pouvais. Elle était calme et me regardait tout en rajustant ses cheveux. " On arrête? Regarde, tu ne peux plus rien faire. Tu savais pas que j'étais si forte, hein? Regarde mes cuisses" Elle me tenait le visage avec une main et, alternativement, me forçait à regarder ses jambes " Puis, se retournant un peu, elle a commencé à défaire le noeud de mon jogging "Pas ça" Suppliai-je? "Oh, mais si" En trois secondes, elle avait réussi à baisser le pantalon jusqu'aux chevilles en le poussant avec l'un de ses pieds. J'étais en slip et elle ne put que constater mon érection. Elle reprit sa position."On dirait que ça te fait de l'effet. Il fallait le dire que tu aimais être soumis. Je comprends mieux maintenant." "Quoi?" "Ben, ce qui t'a attiré en moi? Mon côté sportif et garçon manqué. Ma supériorité physique, quoi? Moi, j'ai jamais voulu jouer à ça pour ne pas t'humilier" "Tu vas voir, toi, on va pas en rester là" "Oh, qu'est ce que tu vas faire, bébé , tu vas me punir?" Elle riait à gorge déployée. C'était terrible. On aurait pu nous voir. J'étais un peu excité, oui, mais j'avais surtout honte et j'aurais voulu tout de suite avoir ma revanche. Un peu bêtement, je la provoquai à nouveau. "Si tu me lâches, tu vas voir la fessée que je vais te mettre". A ma grande surprise, elle se leva doucement. Je m'empressai de remonter mon froc. Elle me regardait du haut de mister 1m75. Je me plaçai devant elle. J'étais super gêné. "Alors, vas-y, mets-moi la fessée puisque c'est ça que tu veux" J'ai esquissé un geste dans la direction de mister beau postérieur et elle m'a empêché de continuer en recommençant à se battre. Cette fois, elle me prit la tête sous le bras et me fit avancer vers la mer. A un mètre de l'eau elle me fit valser sur le sable. "Tu croyais qaund même pas que j'allais te laisser faire? C'est toi qui vas t'en prendre une" Ecoute, Nadia, arrête, c'est bon là." Je vais faire ce que j'ai dit, Bernard, j'en ai marre de jouer aux épouses potiches avec un mari que ça excite d'avoir une femme plus forte que lui. Allez, on recommence. Lâche ton tee-shirt ou je le déchire. Tourne-toi, allez, à plat ventre." Elle me bloquait les bras dans le dos avec mister bras gauche et, de la main droite, elle baissa tout : le pantalon et le slip qu'elle balança loin de nous. J'étais tout nu. "Nadia, Nadia, j'ai compris la leçon, tu es la plus forte et je ferai tout ce que tu veux" "Evidemment que tu feras ce que je voudrai après cette bonne fessée en public" Il y avait un homme pas très loin qui marchait sur la digue et , sous leurs yeux, elle a commencé une fessée qui dura de longues minutes. Elle était en rage. Puis, elle se calma. "Regarde mes mains comme elle mistert rouges, regarde. Tes fesses, c'est encore pire" Elle me lâcha et je courus prendre mon slip et mon tee-shirt. Je lui ramenai le jogging. Elle me prit dans ses bras tendrement. Elle me caressait doucement les fesses sur le slip et m'embrassait à pleine bouche. Puis elle me dit : "C'est moi qui commande maintenant? " "Oui" "Pour tout" "Oui, Nadia, je t'aime , je t'aime tellement" Je tombai à ses genoux et j'enlaças ses jambes. "Chéri, tu es tout troublé, tu trembles. C'est si mignon de te voir comme ça. Je te promets que je raconterai à permisterne ce qui vient de se passer". " Merci" "Et si un jour, ce beau mec viril me drague, tu me laisseras sortir avec lui? " "J'aurai le choix?" "Ben, non, mais je voulais que tu sentes que beaucoup de choses vont changer si je prends le pouvoir et que tu devras peut-être assumé d'être cocu de temps en temps" Elle me tenait la tête tournée vers elle et me dit :"J'ai eu un orgasme super en te dominant. Pardon d'avoir frappé trop fort mais j'étais submergée de plaisir de te voir ainsi à ma merci". Elle me releva et me retourna et baissa doucement pour regarder mes fesses et les montrer à l'homme qui était resté là et applaudissait de loin."
chrislebo

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#3,270 
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le concierge du lycée

Il m’est arrivé, il y a longtemps et bien avant de connaître la sodomie à fond, de fantasmer, m’imaginant en train de me faire violer par un homme après l’avoir sucé. Sucer la queue d’un homme est une expérience qui revient souvent dans mes fantasmes mais sans que j’aie jamais osé faire la moindre démarche pour cela. C’est le principe du fantasme : ça s’imagine. De toute façon, durant mon adolescence, trop d’appréhensions et une énorme timidité m’ont toujours empêché de tenter quoique se soit en la matière.
Un jour, il était environ 17 heures et j’ai eu envie de m’exciter en lisant quelques histoires érotiques. J’en ai lu plusieurs qui m’ont bien excité et notamment celles qui racontaient l’expérience réelle ou inventée d’un homme qui pour la première fois avait fait l’expérience de la sodomie et qui en avait retiré un plaisir extraordinaire.
C’est donc bien excité que j’ai décidé d’aller me soulager en me masturbant dans les toilettes du lycée où j’étais à Rabat (Maroc).
Au moment où je pousse la porte des toilettes je m’aperçois que le concierge chargé de l’entretien des toilettes est devant un lavabo en train de se laver les mains. Je passe derrière lui et rentre dans une des deux toilettes en refermant derrière moi.
Je baisse mon pantalon en essayant de ne pas faire trop de bruit, je prends 2 ou 3 feuilles de papier, je m’en entoure le sexe pour ne pas risquer de tacher mes vêtements et commence à me masturber doucement en me remémorant les passages les plus croustillants des histoires que je viens de lire.
Il ne s’était pas passé plus de 45 secondes que j’entends qu’on frappe légèrement à la porte. Surpris, j’arrête tout et je m’immobilise pour rester dans un silence complet. J’hésite à répondre, étonné que quelqu’un puisse frapper à la porte de toilettes occupées. J’ai d’abord cru à une erreur, que quelqu’un avait tapoté à la porte en passant sans penser que les toilettes était occupées mais lorsque j’entendis « allez, ouvre moi » mon cœur a bondi dans ma poitrine. Interloqué, ne sachant que répondre j’attends toujours en silence lorsque j’entends de nouveau « allez ouvre moi, je sais que tu te branles ».
Affolé, tout honteux je ne dis toujours rien, tout simplement parce que je ne sais pas quoi dire, lorsque j’entends, sur un ton plus ferme, « laisse moi rentrer ou je dis à tout le monde que tu te branles dans les chiottes ».
Alors là, je m’empresse de remonter mon pantalon, je me réajuste, je tire la chasse d’eau et j’ouvre avec la ferme intention de nier indiquant que j’étais tout simplement sur le trône en train de chier et que ces élucubrations n’avaient aucun sens.
Au moment ou je commence à entrouvrir la porte, je sens de l’autre coté une poussée du concierge qui se lavait les mains lorsque je suis arrivé, il me pousse vers le fond des chiottes et referme la porte derrière lui.
Alors c’était bon ? Me demande t’il.
Trop surpris par mister intrusion je ne réponds pas immédiatement et il me dit « c’est pas la peine de nier, je t’ai entendu, d’ailleurs tu bandes encore » et à ce moment, il met sa main sur mon pantalon à l’endroit ou effectivement mon sexe encore à moitié tendu fais une légère bosse.
Il me dit encore « écoute, tu m’obéis, tu fais tout ce que je te demande et je te jure que je ne dirais rien à permisterne ».
A ce moment, j’ai conscience que j’aurais pu m’en tenir à ma résolution de tout nier et de le traiter d’obsédé sexuel et de le menacer de lui faire une réputation de pédé qui vient harceler les élèves jusque dans les toilettes. Je suis convaincu qu’il n’aurait pas pris le risque et qu’il m’aurait rapidement foutu la paix. Mais voilà, me trouver dans cette situation, partagé entre la honte et une certaine excitation, je n’ai pas dit ce que j’avais l’intention de lui dire. Sans vraiment encore savoir pourquoi je me suis entendu lui répondre « d’accord mais n’en profite pas ». Après coup je me dis que dire « n’en profite pas » était particulièrement absurde dans cette situation mais l’émotion peut faire dire n’importe quoi.
Le fait de prononcer ces paroles a été pour moi comme si je m’étais débarrassé brusquement de ma permisternalité pour me livrer complètement aux désirs de cet homme
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les histoires de chrislebo
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