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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#3,151
 Down to the last message
Un internaute m’a suggéré de faire lire mes récits à mes amants et je trouvais l’idée plutôt excitante, ce fut en fait pire que cela.
Ils ont été à la fois flatté et vexé, de la façon dont je les décrivais, mais surtout, ils ont eu accès à une chose à laquelle je n’avais pas pensé, ce que je ressentais.
J’étais presque plus gênée de leur révéler mes sensations et mes envies, que de me faire baiser.
Je ne regrette pas pourtant de l’avoir fait et je suis même allée jusqu’à leur faire lire les innombrables mails que j’avais reçu où certains n’hésitaient pas à me faire des propositions de scénarios vraiment torride.
Ce fut finalement ce qui mit le piment qu’il manquait jusqu’alors car soyons honnête, je ne leur faisais lire que ceux qui m’excitaient vraiment, autant dire, moins de 10% de ceux que je recevais.
L’un des tous premiers scénarios qu’ils me firent réaliser, fut de les sucer en extérieur les yeux bandés.
Je pensais que l’on allait faire ça dans la campagne ou dans un bois et là je me suis bien trompé car le lieu fut le parking d’un restaurant routier.
Je ne sais pas à qui, ni combien de sexe j’ai pu sucer, mais par contre, j’ai mouillé comme une folle à le faire et je ne sais pas s’ils étaient encore tous là quand mes amants m’ont sautés dans la voiture sans m’enlever le bandeau, mais rien que d’imaginer que ça pouvait être le cas, j’ai eu un de ces orgasmes qui m’a foudroyée.
Je reconnais que ce soir là, je n’en n’ai eu qu’un, mais il m’a littéralement coupé en deux.
Ils ont remis cela une fois rentré, mais le désir n’y était plus.
C’était la première fois finalement que je faisais ça avec de vrais inconnus que je ne voyais même pas et je n’avais qu’une hâte, c’était de recommencer.
Ils m’ont baisé comme ça plusieurs fois les yeux bandés à leur appartement, mais il me manquait le frismister de l’inconnu.
Dans mes rêveries, je ne pensais plus qu’à ça, je me voyais toute nue au milieu d’inconnus lubriques, abusant de moi.
Franchir le pas est autre chose, mais cela m’obsédait de plus en plus.
Je leur ai demandé de renouveler la séance du parking, mais ils m’ont répondu qu’il fallait prendre mister temps, sinon que je n’avais qu’à y aller toute seule.
Ils m’ont fait languir plus d’un mois avant de me remmener dehors, en me promettant que là ce ne serait pas trois routiers que je sucerais, mais sûrement davantage et qui te baiseront peut être aussi.
Je regrettais ce soir là d’être venu en jeans, mais un regret de très courte durée car tous mes fringues ont fini dans le coffre.
Un gros frismister m’a parcouru le dos quand ils m’ont mis le bandeau et quand une dizaine de minutes plus tard, ils ont garé la voiture.
Ils mistert sortis à l’extérieur et je suis resté ainsi pendant un petit moment, seule à l’intérieur.
Je ne savais pas ou j’étais et je commençais à me faire plein de film dans la tête, j’avais peur et pourtant cela m’excitait vraiment.
J’ai enfin entendu des bruits de pas et des hommes qui discutaient : » Ils nous ont pas menti, elle est à poil dans la voiture ».
La portière s’est ouverte et ils m’ont faite sortir.
Je ne savais ni où j’étais, ni avec qui et pourtant j’adorais.
J’ai rapidement eu un sexe dans la bouche et des mains sur mes seins et mes fesses et un homme qui demandait si on pouvait me la mettre où on veut.
Et Hussein a répondu : » partout elle aime ça ».
On m’a allongée sur une table je suppose et l’un d’eux a lancé : » Eh les mecs si on lui rasait la touffe on y verrait mieux ».
J’ai voulu me redresser pour protester, mais j’ai juste failli m’étouffer avec le sexe qui s’est enfoncé dans ma gorge.
Quand j’ai senti les premiers coups de rasoir sur mon pubis je me suis raidi, mais je n’osais pas bouger.
Pour m’être déjà fait le maillot plusieurs fois, je savais qu’il suffit de pas grand-chose pour se couper, alors je les laissais faire et malgré moi je mouillais.
« On y voit pas mieux comme ça, l’escalope à l’air et juteuse à point ».
J’ai entendu : « attendez les mecs, faut mettre les capotes ».
Ils m’ont tiré vers le bord de la table et ont commencé à me prendre l’un après l’autre pendant que Khaled me disait à l’oreille : « ça te plait que ces salauds te baisent, qu’ils bavent sur toi comme des porcs, attends qu’ils s’attaquent à ton cul, tu va aimer ».
Je ne sais pas si c’est les paroles ou les mecs qui s’agitaient entre mes cuisses, mais je jouissais pas violemment comme la dernière fois, mais plus longtemps et en plusieurs fois.
On m’a libéré la bouche pour me retourner et me mettre le cul au bord de la table.
Le premier qui m’a investi l’anus l’a fait plus doucement que ce que mes amants me faisaient d’ordinaire et ouvrant la bouche pour la première fois, je lui demandais de ne pas m’enculer comme une pucelle.
J’ai senti comme une agitation derrière moi : « Vous avec entendu les gars, elle veut se faire ramoner la dame, faut lui en mettre un coup ».
Et pendant je ne sais pas combien de temps, ils se mistert relayés entre mes fesses avec une réelle ardeur.
Ce soir là, pour la première fois, j’ai découché, car premièrement mon mari était en déplacement pour trois jours, et deuxièmement je n’en pouvais plus.
La séance a dû durer 2 ou 3 heures, je ne sais pas trop, mais c’était vraiment très dur surtout quant le plaisir est au rendez vous.
Je suis d’ailleurs restée 3 semaines sans venir voir mes amants qui malgré mes remerciements regrettaient d’y être allé un peu fort.
Je leur ai dit que j’espérais que l’on pourrait remettre ça, mais pas tout de suite, et que je comptais sur eux pour que ce soit aussi bien voire encore meilleur.
Et pourquoi pas le mois prochain quand Serge sera revenu du Cameroun.
Cette histoire est totalement vécue, et je remercie celui qui en a donné l’idée à mes amants.
chrislebo

Member

Posts: 165123 Pictures: 3 
#3,152
Up to the first message Down to the last message
Avant de vous conter la suite, je tenais à remercier certains visiteurs de ce site, pour leurs mots gentils et leurs idées originales et je ne ferais aucun commentaire sur les mails injurieux.
J’avais gouté au frismister de l’inconnu et je ne vois plus comment je pourrais m’en passer dorénavant, ni où cela allait me mener.
Quand Serge est rentré, ils l’ont bien sur mis au courant de mes dernières péripéties et m’ont proposé un jeu, il s’agissait de m’emmener sur un chantier où je sucerais les ouvriers pour 5 euros avec 3 objectifs possibles :
Si j’atteignais 50 euros, ils me ramenaient chez les routiers.
Si j’atteignais les 100 euros, ils ne limitaient pas le nombre de participant.
Si je dépassais les 150 euros, ils me faisaient passer une nuit dans le foyer de Serge.
Ce que j’aimais dans ce jeu, c’est que finalement c’est moi qui fixais la frontière, mais si je me sentais capable d’atteindre les 3 paliers, je n’étais pas du tout sur de moi quand à mes capacités à faire face au résultat.
Le rendez vous était fixé au mercredi suivant, et j’ai passé 5 jours à réfléchir et à fantasmer là-dessus.
Réflexion et fantasme, mistert des points de vue diamétralement opposés, car ce genre de fantasme n’a rien de raimisternable.
Finalement, quand je suis monté dans leur camionnette, je n’avais toujours pas pris ma décision, je laissais le destin choisir pour moi.
Quand on est arrivé, je fus tout d’abord déçue, ils n’étaient que 7 et en faisant mon petit calcul mental, je ne pouvais pas aller bien loin avec si peu de candidats.
Hussein l’a tout de suite vu, et m’a gentiment dit que ce n’était qu’une mise en jambe, pour être sur de ne pas décevoir les autres ailleurs.
Encore une fois, le fait de ne pas savoir ce qui allait suivre m’a donné le frismister, il a en plus rajouté, ceux que tu auras sucé, pourront te baiser à l’œil s’ils le veulent.
Joignant le geste à la parole, ils m’ont totalement déshabillé et je me suis retrouvé à quatre pattes devant ces hommes alignés devant moi.
Pour la séance de fellation, cela se fit en moins de 20 minutes, mais la suite ne se passa pas comme prévu.
Les deux premiers me prirent assez rapidement en levrette, mais le suivant et 2 autres voulaient faire la même chose mais sans capote.
Le ton est monté, et je ne suis retrouvé balancée par terre, mes amants furent obligés d’en venir aux mains et cela mis un terme à la soirée.
C’était la première fois que cela se passait ainsi et j’ai eu très peur et rien à voir avec les frismisters que j’avais tant apprécié avant.
Il est très important de ne pas faire n’importe quoi et je ne le réalisais que maintenant, alors pour ceux ou celles qui croient que cela est toujours idyllique, je les préviens de prendre toujours un maximum de précaution, car il y a une grande différence entre un acte consenti et un viol, ce qui aurait pu m’arriver.
Finalement rassuré par l’attitude protectrice de mes amants, je décidais quelques jours plus tard de tenter de nouveau l’expérience.
Cela se passa différemment cette fois, ce fut sur un autre chantier et les hommes mistert entrés un par un pour se faire sucer.
Je n’ai joui qu’au retour quand mes amants m’ont pris ensemble dans un parking souterrain, en pensant aux 120 euros que j’avais récolté et aux conséquences qui allaient en découler.
Je posais juste 2 conditions, que cela se passe le mercredi de la semaine suivante car mon mari serait en déplacement, et que se soit moi qui m’épile le minou car la séance du rasoir la dernière fois aurait pu mal se passer.
Pour le reste, je leur laissais carte blanche.
Ils m’ont juste demandé pour ce soir là, que je mette un porte-jarretelle et des hauts talons, car c’était le choix des routiers.
Je ne vous dis pas dans quel état d’excitation j’étais, quand dans la voiture, je me suis retrouvé les yeux bandés dans cette tenue avec le sexe lisse d’une gamine.
Pendant tout le trajet, ils n’ont pas arrêté de faire des allusions à tous ces mecs en rut qui allaient me sauter et aux mètres de bites que j’allais prendre car eux même ne savaient combien ils seraient.
Je suçais Serge qui conduisait pendant que les deux autres n’arrêtaient pas de m’agacer le clitoris, je mouillais comme une folle.
Quand on s’est enfin garé, Serge se décida enfin à m’inonder les amygdales d’une belle quantité de sperme et je faillis presque m’étouffer tellement je fus surprise par le moment et la quantité, et cela les fis bien rire.
Et quand ma porte s’ouvrit, j’entendis : » et regardais, ils ont tenu parole, elle est sapée comme une chienne et elle a même rasé la touffe, putain ça c’est de la gonzesse.
Si le message est bien passé sur la ci bi, elle ne va pas être déçue la dame ».
Ils m’ont faite monter dans une remorque et allonger sur des sacs de je ne sais pas quoi.
« La dernière fois elle nous a tous mis sur les rotules, on va voir si on peux en faire autant ».
Dans ma tête, il y avait le feu et pas que là d’ailleurs, jamais je ne m’étais senti comme ça et j’ai eu un premier orgasme dès que j’ai senti le premier sexe se positionner contre l’entrée de mon sexe.
Après, je n’ai plus rien maitrisé, je sentais des mains partout, des sexes dans tous mes orifices et contrairement à la fois précédente, ils voulaient tous m’embrasser.
Et bien je peux vous dire que c’est aussi super excitant d’embrasser à pleine bouche tous ces hommes que je ne voyais pas.
Mais au bout d’un certain moment, même si ma tête en voulait toujours, mon corps n’était plus au rendez vous.
A la fin je devais davantage ressembler à un morceau de viande que l’on secouait dans tous les sens, qu’à une femme qui fait l’amour, d’ailleurs j’ai entendu leur satisfaction de m’avoir fait déposer les armes.
Je n’étais même plus capable de me mettre debout et m’ont gentiment porté jusqu’à la voiture où mes amants ont tant bien que mal réussi à me rhabiller.
Je les ai entendu dire dans l’espèce de brouillard où j’étais que j’avais réussi à en satisfaire une bonne douzaine avant de craquer et je ne sais pas combien mistert passés ensuite.
Ils m’ont ramené jusqu’à leur appartement ou j’ai dormi un bon nombre d’heures.
Le réveil ne fut d’ailleurs pas très brillant, j’avais la tête d’un soir de cuite et l’entrejambe et l’anus en feu, mais là pas de désir, mais de douleur.
Je sais aujourd’hui qu’il y a une limite à tout et que certains de mes fantasmes ne pourront rester que des fantasmes, si je ne veux pas me dégouter du sexe.
Mais bien que j’eus mis un certain temps à m’en remettre, je ne regrette pas de l’avoir fait, car même si cela risque de vous surprendre, savoir qu’il y a une limite est rassurant.
Et même si aujourd’hui je n’ai pas la moindre idée de comment cela finira, je trouve cela moins effrayant.
Je vous embrasse tous
chrislebo

Member

Posts: 165123 Pictures: 3 
#3,153
Up to the first message Down to the last message
Je pense m’être faite désirer depuis quelques mois, mais ma situation a quelque peu changé.
Effectivement, deux événements important mistert venus perturber ma vie, Hussein a été arrêté pour situation irrégulière sur le territoire et Khaled a disparu sans laisser d’adresse.
Me voilà donc sans mes deux amants, ne me restant que Serge qui vivant en foyer, ne me laisse pas beaucoup de latitude pour mes joyeuses parties de jambe en l’air.
Avec beaucoup de prudence, un soir je l’ai accompagné dans le foyer en prenant bien soin d’être la plus discrète possible.
On a pu donc baiser dans sa chambre, mais je n’y ai pas pris un pied exceptionnel, alors pour me donner le frismister, il m’a emmené dans la douche à l’autre bout du couloir.
Il était certes prés de deux heures du matin, mais on été dans un bâtiment avec plus de 120 bonhommes qui n’avaient certainement eu pas l’occasion de voir une femme depuis un moment.
Il m’a sodomisé sous la douche avec la main sur le visage pour m’empêcher de réveiller quelqu’un et là j’ai vraiment pris mon pied.
Avec une petite anecdote qui va vous faire sourire, car pendant qu’il me travaillait le derrière, je m’étais introduit un savon entier dans la chatte pour corser la pénétration, et c’est surtout à ne pas faire car c’est très agréable pendant l’acte mais irritant au possible au bout d’une quinzaine de minutes.
Et malgré de multiples rinçages, je suis resté plus d’une journée avec l’entre jambe toute irritée.
Je n’ai pas voulu renouveler l’expérience, et comme Serge n’était pas d’une grande imagination, c’est moi qui lui ai demandé s’il ne connaissait pas quelqu’un chez qui on pourrait se rencontrer.
Il m’a laissé une dizaine de jours sans nouvelles, avant de me dire qu’il avait trouvé un appartement où l’on pourrait se voir l’après midi.
Je l’ai donc rejoint à l’adresse indiquée dont effectivement il avait les clefs.
La seule chose qu’il avait oublié de préciser, c’est ce n’était pas un, mais une amie qui occupait l’appartement et quelle ne fut pas ma surprise la troisième fois où j’y suis allé, de voir entrer cette femme alors que j’étais en 69 sur mon grand black.
Je ne l’ai pas vu tout de suite, et c’est seulement quand elle a ouvert la bouche pour commenter mon enthousiasme à le sucer.
« houa, elle l’aime ton gros machin ! »
Je me suis relevé vulgarement en entendant cette voix, me demandant encore comment je ne lui avais pas cassé le nez et je me suis caché les seins avec les mains.
«T’inquiètes pas madame, continue et laisse m’en un morceau quand t’auras fini »
Serge m’a attrapé par les hanches et comme une poupée de chiffon m’a renvoyé à mon ouvrage.
Et j’entendais la femme derrière moi faire des commentaires.
« Tu lui as mis ton machin dans les fesses, c’est encore tout ouvert »
Bizarrement, ça ne m’excitait pas vraiment, mais ça me faisait rire.
Elle s’est déshabillée, et le plus simplement du monde, elle est venue le sucer avec moi.
Je me suis relevé pour lui laisser la place et surtout voir à quoi elle ressemblait.
Elle devait avoir une dizaine d’année de plus que moi, une paire de fesse énorme et des mamelles de vache.
Je n’avais encore jamais vu une noire nue et qui plus est, avalant goulûment l’éclair au chocolat de mon amant.
Elle n’était pas vraiment belle, mais elle aimait le cul sans fioriture, car quand elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et a demandé à Serge de venir la lui mettre dans la chatte qu’elle s’écartait avec les doigts.
Il lui a tout mis d’un coup, et je regardais la scène devant moi, ne réalisant même pas que j’étais en train de me masturber.
Cela a bien duré une vingtaine de minute, il faut dire que c’était quand même pour lui la troisième fois de l’après midi et ce n’était pas pour déplaire à sa partenaire qui couinait bruyamment.
J’ai joui aussi, bien que n’étant que spectatrice de la scène.
On est resté plusieurs minutes à reprendre notre souffle et j’ai commencé à discuter avec elle.
Je vous passe mister accent que je n’arrive pas à retranscrire à l’écrit, mais alors que Serge s’était déjà rhabillé pour partir et que moi j’allais faire de même, elle me demanda si je voulais bien rester discuter un peu avec elle.
Je n’étais pas très à l’aise, mais je suis tout de même resté.
Elle a enfilé un peignoir et s’est rendu dans la cuisine pour nous préparer un café.
Bien qu’étant venu plusieurs fois, j’ai pris le temps de regarder un peu mister intérieur, qui certes ne respirait pas la richesse, mais qui était très propre.
Devant une tasse de café elle m’a demandé depuis combien de temps je connaissais Serge, si c’était du sérieux.
Elle eu l’air satisfaite quand je lui ai répondu que c’était juste pour le sexe et que j’étais marié.
« Toi au moins t’es franche et j’aime bien ! »
Bien sur c’est le sexe qui est resté au centre de la discussion, et elle m’avoua qu’elle aimait beaucoup ça, mais qu’avec les années et mister physique, ce n’était plus franchement souvent fête.
De fil en aiguille, elle me fit une proposition qui me plu beaucoup.
Elle me proposa si j’étais d’accord de me mettre en contact avec des hommes qu’elle connaissait, mais en me demandant de pouvoir aussi en profiter un peu.
Je lui précisais que j’avais prise l’habitude d’en avoir plusieurs en même temps et cela eu plus l’air de lui plaire que le contraire.
La première fois ce fut seulement avec Serge, mais il avait déjà du mal avec moi toute seule, alors je ne vous dis pas avec deux affamées.
Le seul truc original que j’ai vu ce jour là, c’est qu’elle lui mettait le doigt dans le cul quand elle le suçait et cela n’avait pas l’air de lui déplaire.
Elle me présenta ensuite à quelqu’un à qui elle dit le plus simplement du monde que je voulais juste me faire sauter par un noir.
Je fus un peu déçu, car bien que bel homme d’une cinquantaine d’année, il était un peu cours physiquement et bien que ce fût agréable, on ne peut pas dire que j’ai pris mon pied.
Je n’ai pas eu besoin de faire de commentaire, elle comprit de suite que c’était autre chose que je cherchais.
Elle me fit donc revenir la semaine suivante en m’annonçant qu’elle avait une surprise pour moi.
Quand je suis arrivé, il n’y avait encore qu’elle et elle me demanda d’aller me déshabiller et de m’allonger sur le lit.
J’ai entendu frapper à la porte et des voix d’hommes se mistert élevées dans l’entrée.
Elle les a fait rentrer dans la chambre, pour leur montrer qu’il y avait une petite bourgeoise blanche qui les attendait pour se faire sauter.
« Elle est pas bien grosse, mais elle a le feu au cul ».
Ils se mistert plutôt vite déshabillés et comme c’est souvent le cas, ce fut une séance de pipe en règle.
Malgré la taille tout à fait normale de leur sexe, j’y pris un grand plaisir car cela faisait de longues semaines que je ne m’étais pas offerte ce genre de plaisir.
J’ai un droit à une belle partie de baise dans les règles avec mon amie Annie (ce n’est pas mister vrai prénom) qui se chargeait de les remettre en forme quand ils avaient le pavillon en berne.
Là elle a réalisé ce que j’aimais vraiment, elle m’a d’ailleurs demandé clairement combien il m’en fallait pour me satisfaire, elle n’en revenait pas de l’ardeur que j’y avais mis.
J’ai recommencé deux autres fois avec les mêmes hommes en ajoutant toutefois des dessous provocant, car l’expérience aidant, je savais que cela motivait largement mieux les ardeurs.
C’est vrai que je les ai trouvé plus pervers de s’envoyer la petite blanche en porte-jarretelles et mon petit cul s’en est trouvé bien récompensé, ainsi que celui de ma copine qui a adoré sa première double pénétration.
Finalement avec une autre femme, c’était devenu beaucoup plus drôle et moins sordide.
Je trouvais d’ailleurs vraiment excitant, quand l’une des deux encourageait les hommes à en faire toujours plus, quand la complicité s’installe, deux femmes mistert finalement plus perverses que ces messieurs.
L’amalgame de la planche à pain au petit cul tout pale et la doudou noire toute en rondeur faisait fureur.
Cela faisait à peine un mois que nous nous connaissions, quand elle me demanda si je voulais l’accompagner danser au « Coconuts », une boîte créole à l’autre bout de la ville.
J’étais d’accord bien sur, mais il fallait attendre que j’eu une opportunité avec mon mari pour pouvoir sortir le soir, quand il était absent.
J’ai du attendre quatre semaine avant d’avoir enfin cette opportunité, qu’il parte faite un stage de cinq jours au Luxembourg.
Ce soir là, c’était sortie sans culotte et c’est moi qui devais servir d’appât pour la fin de soirée.
A l’intérieur, hormis une des serveuses, j’étais la seule blanche au milieu de tous ces noirs et bien que ma jupe m’arrivait à mi cuisse, je la trouvais tout à coup ridiculement minuscule.
La musique était sympa, le punch était bon et Annie connaissait plusieurs permisternes qui nous tenaient compagnie.
Finalement, s’il n’y avait pas eu l’alcool et la chaleur, je crois que cela aurait été une soirée tout à fait normale.
Mais ma faible résistance à l’alcool m’a rendu toute joyeuse et a fait gentiment s’envoler toutes mes inhibitions.
Je me suis donc retrouvé pour le plus grand plaisir de ma copine, au milieu de la piste de danse, à me faire draguer par tous ce qui passait à ma porté.
Pour le coller serrer, on peut dire que j’y ai vite pris goût au point de me retrouver bien souvent la jupe remontée sur mes fesses à l’air au milieu des danseurs.
Si Annie n’était pas intervenu, je crois que je me serais faite sauter au milieu de la foule.
Elle a discuté avec l’un d’entre eux qui nous a proposé de venir finir la soirée avec ses amis chez lui.
J’ai laissé mon amie prendre le volant de ma voiture car je n’étais plus en état de conduire et on les a suivi jusqu’à une résidence plutôt pas mal.
On était deux femmes pour neuf hommes au début et trois autres de plus qui les ont rejoints plus tard.
Même si ma copine avait plus de forme, c’était moi qui passais au pelotage en règle et quand j’ai passé la porte de l’appartement, j’avais déjà les nichons à l’air.
Je me suis dégagé pour demander à tous de s’écarter pour que je puisse finir de me déshabiller ce qui ne fut vraiment pas long, et que mon amie puisse sortir les rouleaux de capotes de mister sac.
« Maintenant je vous veux tous à poil et que vous déshabillez ma copine ».
J’ai commencé à danser toute seule, mais très vite fut entouré de partout par des sexes bien dur que je sentais se frotter contre mon ventre et mon dos.
J’ai fait le premier zouk de ma vie, embrochée devant et derrière et sans toucher le sol.
En moins de trente secondes, je criais mon premier orgasme, et ce ne fut pas le dernier.
Je suis passé de bras en bras, debout, couchée, assise, et je me faisais emboîter comme un lego.
Annie elle étant un peu plus difficile à manipuler se faisait prendre les trois trous allongé par terre.
Elle a tenu ainsi une bonne heure et demi, et moi une petite heure de plus, mais on a fini toutes les deux fourbus et saoules.
On a dormi chez le propriétaire de l’appartement qui a eu le droit à l’exclusivité au petit matin de nos bouches, unique orifice qui pouvait encore servir.
En partant, Annie a prit mister numéro de téléphone en lui promettant de le rappeler, et nous sommes rentrés en piteux état, mais heureuse de notre petite soirée.
On l’a rappelé quelques jours plus tard, mais à l’heure où j’écris ce texte, nous n’y sommes pas encore retournées.
vanbruje

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Posts: 282
#3,154
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Quel texte !!!! ... Il a déjà été publié dans ces pages...
Merci quand même
chrislebo

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#3,155
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zutttt
chrislebo

Member

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#3,156
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esclave de ma belle-fille


Bonjour, je vais vous compter ici l'histoire de ma déchéance. Je m'appelle Daniel, j'ai 42 ans et je suis prof de maths dans un lycée. Je me suis marié il y a 10 ans avec une femme sublime qui avait déjà une fille, Candice, d'un premier mariage. Celle ci a maintenant 18 ans et je dois avouer que j'ai toujours été très autoritaire avec elle, allant jusqu'à la rabaisser de temps en temps, lui faisant certainement payer le fait que du fait de sa présence, je n'avais jamais vraiment eu de vraie vie de couple avec sa mère. Je savais qu'elle m'en voulais mais j'avais pris tellement le dessus sur elle qu'elle n'osa jamais se rebeller.
La lassitude de la vie de couple aidant, j'avais une maitresse que je voyais régulièrement depuis presque 2 ans et ce jour ci, je profitais de l'absence de ma femme pour l'emmener chez moi. Les ébats étaient tellement torrides dans la chambre que je n'entendis pas la porte d'entrée s'ouvrir. Après une après midi de jouissance, je raccompagnais mon amante et me réjouissait de cette bonne affaire. J'étais bien loin d'imaginer que cette journée allait changer ma vie. En effet, quelle ne fut pas ma surprise en voyant que Candice m'attendait dans le salon, moi qui croyait qu'elle était en cours... Elle m'attendait tranquillement assise sur le canapé, vêtue d'un corsage, d'une petite jupe et de grandes bottes montantes au dessus du genou. Elle me regarda avec un sourire narquois pendant que je rougissais comme une pivoine. Elle me dit alors :
- Je crois que l'heure de ma revanche a misternée!
- Je ne vois pas de quoi tu veux parler, lui répondis-je en bafouillant
- Ne me prends pas pour une conne!!! Je t'ai surpris avec ta greluche dans la chambre et j'ai tout filmé avec mon portable!
Le monde s'écroula autour de moi. Si elle montrait le film à sa mère, j'étais bon pour le divorce. De plus, j'avais énormément de dettes de jeu quand je me suis marié et mon épouse m'a sauvé financièrement en épongeant ces dettes. Je lui devais donc énormément d'argent et un divorce m'aurait ruiné. Candice savait tout ceci et elle reprit calmement :
- Je te propose un marché. Je suis prête à ne pas montrer cette vidéo à ma mère si tu acceptes d'obéir au moindre de mes ordres. Tu m'as suffisamment humilié comme cela et il est tant que je prenne ma revanche. Je te laisse 2 minutes pour réfléchir. Si tu acceptes, je veux que tu t'agenouilles devant moi, les yeux baissés et que tu dises bien fort : j'accepte d'être votre esclave, maitresse Candice, et j'obéirai au moindre de vos caprices.
J'étais mortifié, cette petite peste me tenait par les couilles et comptait bien en profiter. Paradoxalement, cette situation m'excitait et je sentit mon membre se dresser et prendre une place considérable dans mon boxer. Je ne pouvais me défiler et au moment où elle me dit: il reste une minute, je m'avoua vaincue. A ma courte honte; je me mis à genoux devant cette fille que j'avais toujours rabaissé, je baissa la tête et m'entendis dire : j'accepte d'être votre esclave, maitresse Candice, et j'obéirai au moindre de vos caprices.
Elle me regarda d'un air ironique et me dis :
- C'est très bien, esclave. A partir de maintenant, tu devras me vouvoyer et m'appeler maitresse Candice. Je te donnerai le reste des règles petit à petit. Pour bien te rendre compte de ta soumission, je veux que tu embrasses mes bottes!
Je ne pouvais qu'obéir et je déposa, rouge de honte, un baiser sur chacune de ces bottes. Elle profita ensuite de ma position pour poser une de ses semelles sur ma nuque et la laissa bien 5 minutes, que je puisse bien m'imprégner de mon nouveau rôle, comme elle me dit... Elle voulut ensuite que je lui retires ses bottes et ses chaussettes. Il faisait très chaud ce jour ci , elle avait porté ces chaussettes toutes la journée. Une forte odeur s'en dégageait et elle me demanda à mon grand écoeurement de respirer ses chaussettes à pleins poumons. Elle me laissa faire 5 minutes puis alluma la télé et m'ordonna de lui lécher les pieds. L'offense était totale!!! Me voilà réduit au rang de chien!! Je voulu me révolter, puis je pensa au divorce et je me mis docilement à lui lécher les pieds, du talon jusqu'aux orteils. Elle insista pour que je passe ma langue entre ses orteils pour retirer toutes les impuretés et rigola en se moquant de moi. Elle me dit :
- Voilà ce qui t'attends. Tu devras me vénérer comme une déesse et te dire que mes pieds mistert désormais une de tes plus importantes préoccupations.
Voilà comment j'étais devenu le jouet de ma belle-fille de 18 ans... Elle fit durer l'adoration de ses pieds pendant une bonne heure. Elle regarda l'horloge et vit que sa mère n'allait plus tarder à rentrer. Elle me lança :
-Maman va arriver, on va s'arrêter là pour aujourd'hui mais tu ne paies rien pour attendre On se retrouve ici demain à 18 heures après mon footing. Je veux que tu m'attendes nu, à genoux, la tête baissée. Et dis toi que par rapport à ce qui t'attends demain, notre petite séance d'aujourd'hui n'est qu'un minuscule avant gout. Allez, files et sois à l'heure demain. Attends, je veux que tu embrasses la semelles de mes bottes avant d'accueillir maman...
J'exécutai ma dernière offense de la journée avec application, malgré la saleté évidente de ses semelles.Elle me regarda faire avec un air à la fois triomphant et méprisant et je pouvais bien imaginer mister string complètement trempé de me voir me ridiculiser devant elle.
Ma femme rentra 5 minutes plus tard et l'on passa la soirée en famille comme si de rien n'était. Je ne dormi pas de la nuit en pensant à ce qui m'attendait le lendemain et à ce qu'allait devenir ma vie
chrislebo

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le coup de la panne


cette histoire s'est passée il y a 2 mois. Tout commenca par un coup de téléphone de ma tante Martine, elle était en panne le long de la nationale. Je lui proposa de venir la dépanner et m'expliqua où elle se trouvait.
J'arriva sur le lieu, c'était un parking avec une vieille maimister qui devait être un ancien resto route. Je vis sa voiture mais permisterne à l'intérieur, je me gara à côté et sortis de ma voiture. A ce moment là, un homme bien portant m'appela, il était sorti de la maimister et me dit que ma tante m'attendait à l'intérieur. Je me dirigea vers la maimister et suivi l'homme à l'intérieur, arrivé devant une porte, il m'invita à rentrer. A peine j'avais franchi le pas de la porte qu'elle se referma avec l'homme juste derrière moi. Je regarda dans la pièce et là j'apercu Martine en culotte et soutif au milieu de la pièce et trois autres hommes autour d'elle. Un des hommes s'occupait d'elle, il la forçait à l'embrasser en même temps qui lui touchait les seins assez violement. Moi, j'étais figé dans le coin de la pièce. Martine essayait de se débattre mais mister adversaire était plus fort qu'elle. Sa main était descendue entre les cuisses et lui palpait la chatte à travers la culotte, les autres arrivaient près d'elle et lui sortirent les seins des balconnets et tiraient sur ses têtons, ils avaient déjà sortis leurs queue et se masturbaient tout en la touchant. L'un lui prit les cheveux et lui forca à se pencher pour lui prendre la queue en bouche, ce qu'elle refusa mais pas longtemps car il lui pinca violement un têton. La voilà penchée en avant et on en profita pour lui peloter le cul, deux mains se promenaient sur mister cul tout en forcant sur sa raie des fesses et entre les cuisses, ils la doigtaient, faisant rentrer sa culotte dans sa chatte et même dans mister anus. Puis d'un coup,l'un arracha sa culotte et se mit derrière elle guidant sa queue dans sa chatte et la pénetrant dans seul coup au fond de mister orifice. Le mec qui était devant jouissa à ce moment là dans sa bouche mais elle se retira et reçu des jets de sperme sur tout mister visage.
J'avais toujours le gros à côté de moi et celui ci m'obligea à me déshabiller, histoire que je ne parte pas, enfin c'est ce que je croyais. J'étais tout nu dans la pièce en train de regarder ma tante se faire baiser par trois mecs. Le gros à côté de moi avait sorti mister sexe et se branlait en me regardant et me dit: "tu ne vas pas rester là à ne rien faire, y a quatre queues et ta tante n'a que trois trous alors on va s'occuper de toi aussi, je tentais de fuir et une baffe me fit tomber par terre. En me relevant, une main m'attrapa les cheveux et une autre tenait une bite entre ces doigts. Je cria et d'un coup il enfonca sa queue dans ma bouche, je n'avait jamais sucé un mec, il avait un gout d'urine et plus il se démenait dans ma bouche plus sa queue grossissait, c'était lui qui imposait la cadence, je sentais sa bite au fond de ma gorge et d'un coup un liquide remplissa ma bouche, le salaud venait de juter, je voulus recracher mais il m'obligea à tout avaler. Pendant ce temps les autres s'occupaient de ma tante, un était dans sa bouche, un autre était en dessous d'elle lui baisant la chatte et le troisième lui doigtait le cul avec deux puis trois doigts, elle avait les larmes qui lui coulaient des yeux et puis d'un coup il retira ses doigts et présenta mister gland à l'entrée de mister anus et poussa doucement jusqu'au moment où toute sa queue était à l'intérieur. Il commenca des allers retours de plus en plus vite, il crachait de temps en temps pour lubrifier. Je dus me mettre à coté de ma tante pour sucer les queues qui venaient de se vider dans Martine. Et puis on nous mit face à face et là je compris que j'allais y passer aussi, un puis deux et même trois doigts fouillaient mon cul. Ca faisait super mal, surtout quand il les retira et poussa sa bite dedans. Voilà les quatre hommes occupés, un dans mon cul, un autre dans ma bouche et de même pour ma tante, on se faisait baiser comme des bêtes. Dès que un se vidait dans un cul, un autre prenait sa place. Il tenta même de me double pénetrer mais trop étroit donc c'est ma tante qui y a eu droit, deux queues dans la chatte et puis dans mister cul. Après deux heures de baise intense, les mecs n'en pouvaient plus. Enfin fini et bien non .L'un trouva l'idée que je baise avec ma tante et qu'on fasse les pires cochenneries, je dus lui lécher la chatte et l'anus et tout le sperme qui en coulait et elle aussi. Après un bon quart d'heure de fellation, ma queue commença à monter et je pus la pénétrer, on me força à y aller fort et à la traiter de sale pute, de salope. On était en missionnaire quand les trois hommes se rapprochèrent de nous et se mirent à nous pisser dessus et à rigoler. Je dus jouir en me branlant devant le visage de Martine, de longs jets de sperme venaient s'écraser sur ses joues dans sa bouche. Dix minutes après, on était seuls, gluants de sperme, d'urine.
chrislebo

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Primisternier


Tout s'était passé si vite. L'arrestation, pour quelques grammes de haschisch, la garde à vue avec sa fouille au corps, slip baissé, tousser trois fois pendant que le flic me faisait un toucher rectal avec mister index, la nuit passée dans une cellule puante, puis la mise en examen.

Puis le passage en flag, vite fait, vite expédié. J'avais pris 6 mois ! De retour dans la cage qui sentait la pisse et où l'on parquait les prévenus au tribunal, je m'effondrais en larmes, toute honte bue, devant les autres, qui me regardaient fixement avec un rictus sur leur visage de brute endurcie, comme si j'étais une proie...

C'est vrai que je ne leur ressemblais pas du tout. Look " baba cool ", mince, voire gracile, le visage fin, de longs cheveux aux reflets blonds de fille, le nez aquilin, des yeux verts, qui me donnaient pas mal de succès au près des filles.

Tous me fixaient. Et je sentais comme un malaise... Oui, je me sentais vraiment très mal...

Ensuite le dépôt, se déshabiller pour une nouvelle fouille au corps, le slip à nouveau baissé devant un gardien vicieux n'a pas hésité à me rentrer cette fois deux doigts dans mon anus serré, bien sûr sans aucune préparation, ce qui m'a fait pousser un cri de douleur.

"Oh, nous avons là une petite chatte sensible ! Il va falloir qu'elle s'assouplisse ! Marcus va s'en charger... Tu vas voir pétasse... Il va être ravi d'avoir une nouvelle avec lui pour la dresser... "

Ces propos m'ont horrifié. Ils annonçaient le pire. J'avais déjà entendu ce genre d'histoire, mais je n'y croyais pas vraiment.

Après de multiples portes cadenassées, grilles, couloirs sinistres, je fus jeté dans une cellule minuscule qui était déjà occupée par un noir énorme, de plus de 1,80 m avec des muscles énormes et pesant au moins 120 kilos.

Il y régnait une odeur qui me prit tout de suite à la gorge, une forte odeur de sueur, une odeur de Black pas lavé depuis des jours, avec des relents de pisse et ce que je crus être une forte odeur de sperme. D'ailleurs il n'y avait pas beaucoup de doute à avoir, car mon compagnon de cellule portée un survêtement très épais et surdimensionné comme aiment à en porter les black, molletonné, qui avait dû être blanc à l'origine, mais qui était maintenant grisâtre, avec de larges auréoles encore humides aux aisselles, et devant, au niveau du bas ventre, autour d'une énorme bosse qui tendait le pantalon du survêtement vers l'avant, une large tache humide au milieu d'autres auréoles jaunâtres qui ne laissaient aucun doute sur l'activité à laquelle venaient de se livrer cet individu juste avant mon arrivée.

Ce type venait juste de ce branler et il avait visiblement éjaculé dans mister pantalon de survêtement, sans prendre même la peine de s'essuyer, et vu les nombreuses tâches à ce niveau on pouvait penser que c'était là mister habitude. Son éjaculation avait du être abondante, car malgré l'épaisseur du molleton, une énorme tâche s'étalait à l'avant. Un bombement énorme qui tendait le tissu pourtant épais et ample, ne disait long aussi sur la taille de mister membre, et sur ses pensées du moment. Il me regardait avec un sourire vicieux, sans dire un mot.

Ecœurés, faisant une grimace, n'osant pas me boucher les narines, vu la carrure du type, je jetai mes affaires sur le lit qui était libre, qui était celui du bas, car visiblement ce sale individu occupait celui du haut.

Ce type devait avoir un rang élevé dans la hiérarchie invisible de cette primister, car les gardiens qui m'accompagnaient lui avaient témoigné un respect inhabituel. Il ne dit pas un mot à mon arrivée, se contentant de masser sa grosse bosse et ses parties génitales à travers le pantalon de survêtement.

À peine suis-je dans le lit que l'extinction des feux arriva et la lumière s'éteignit immédiatement. Je me retrouvais seul avec ce malade, sale et puant qui ne disait pas un mot. Effrayés je me mis dans mon lit sans même me déshabiller et je me tournais contre le mur, très inquiet de ce qui risquait arriver, n'osant même pas fermer les yeux.

Le type continuait à rester assis et je l'entendais s'astiquer bruyamment dans le noir.
chrislebo

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Au bout d'un moment j'entendis un " viens me sucer connasse "

Je me figeais, n'osant remuer un cil, tremblant de trouille, muet, priant que cela en reste là.

Alors il se leva, marcha vers moi d'un pas lourd, rejeta en arrière les draps de mon lit, m'attrapa par le col, me souleva presque d'une power invincible, et me jeta sur le sol.

Il ne me projeta sur le sol de béton et je me blessai aux coudes. Je poussais un cri de douleur et je me mis en boule, prostré, incapable de résister à une telle vulgarité. Les coups de poings se mirent à pleuvoir. Dans la poitrine, dans le dos, et dans mon estomac tandis que je me pliais en deux pour éviter ses coups. Je criais, je lui demandais d'arrêter, je suppliais même. Il continua un moment, jusqu'à ce que je me mette à sangloter vraiment, et alors il se mit à me balancer des gifles vigoureuses qui ne firent tourner la tête.

Enfin il s'arrêta. Je n'en pouvais plus. Je pleurais à chaudes larmes, prostré par terre, secoué de terribles sanglots. Il profita de mon immobilité pour me mettre les bras derrière le dos et verrouilla une paire de menottes sur les poignets. Comment donc un primisternier pouvait-il conserver des menottes dans sa cellule ! Mais, j'aurais d'autres surprises de ce genre plus tard. Apparemment, ce primisternier là, avait des droits très spéciaux. Je me rappelais alors les égards qu'avaient eus les gardiens envers lui. Ce type devait être le roi de cette primister.

Encore plus incapable de me défendre qu'avant, je continuais à pleurer prostré sur le sol.

Alors mister comportement changea brusquement. D'hyper violent, il se radoucit. Il se mit à me parler doucement. " C'était nécessaire. Tu vas appartenir maintenant. Complètement. Tu seras toute à moi. J'ai besoin d'une bonne femelle ici. Et je vais te dresser pour faire de toi ma fiotte, ma putain, mon esclave. Ce sera dur pour toi au début, mais tu verras, tu t'y feras vite, et tu finiras même par aimer cela. Crois-moi, j'en ais brisé de plus résistantes que le toi. Arrête donc de pleurer sinon la danse va recommencer. "

J'essayais de me calmer, mais les larmes mais a coulé le long de mon visage. Alors il me prit dans ses bras, me porta sur mister lit, enlevant le haut de mister survêtement, dévoilant sa puissante poitrine nue toute recouverte de poils drus et frisés. Il était trempé de transpiration à cause de la lutte qui venait de se dérouler. Il se dégageait de lui une odeur extrêmement musquée et puissante, un véritable cocktail de phérormones viriles qui emplissaient encore plus que tout à l'heure l'étroite cellule.

Il m'allongea sur lui, passa mister bras droit puissant de mon cou, et coinça ma tête, mon nez enfoncé dans mister aisselle gauche, complètement rempli de poils drus très épais et longs, qui semblait avoir emmagasinés des litres de sueur tellement les poils étaient trempés. C'était totalement irrespirable, mon nez baigné dans sa sueur, dans sa toimister au point que je veux me demandais si l'air que j'y respirais était encore respirable.

Pendant que je me calmais lentement, n'oseront pas bouger, respirant bruyamment cet air fétide, il me caressait doucement sur tout le corps, me donnait des bisous dans l'oreille, me chuchote des mots doux.

" Petite chérie, ma douceur, ma femme, ma petite salope, ma suceuse, tu va être ma chatte... Ma petite femelle à moi... Mon esclave. Je suis ton Maître désormais. Tu dois apprendre ce que cela signifie l'appartenance totale. Ta vie est entre les mains. J'ai le droit de vie et de mort sur toi. Je suis ici à perpète, et je n'ai plus rien à perdre. Et d'ailleurs une chose frêle comme toi as besoin d'un protecteur dans cette primister. Sinon tu vas devenir la vide couille de toute la primister. Et tu ne tiendras pas très longtemps, tu finiras par te suicider rapidement. Tu n'as donc pas le choix. Je suis ton seul espoir ici. "

J'étais horrifié d'entendre ce discours, mais que pouvais-je y faire. J'étais à sa merci. Je me calmais lentement et une étrange torpeur commençait à m'envahir ses caresses. Son odeur musquée commençait à être moins désagréable. Je commençais à respirer plus lentement, inhalant à chaque respiration des goulées profondes de cette senteur si entêtante. Et en même temps ses caresses me faisaient du bien. Tant d'événements traumatisants s'étaient déroulés si vite. J'avais l'impression d'un peu de repos, d'un peu de calme, d'un peu d'apaisement.

Ses caresses devinrent plus insistantes. Il faisait maintenant courir ses doigts le long de ma colonne vertébrale, me tirant des frismisters et des petits tremblements nerveux. Je me sentais basculer dans un autre espace.

Sa main libre descendait lentement le long de ma colonne vertébrale et frôlait mes fesses. Elle se mit à les palper, puis il les serra dans sa poigne. Alors les caresses se firent plus viriles. D'abord quelques petites claques, de-ci delà, juste pour les faire trembloter. Ensuite les claques se firent plus dures, elles commencèrent à rémisterner dans la cellule et enfin ce fut une véritable avalanche de coups sur mes pauvres fesses qui dura en s'intensifiant de plus en plus au moins 10 bonnes minutes.

Au fur et à mesure que les coups pleuvaient mes fesses me brulaient de plus en plus, rapidement cela devint intolérable, j'essayais de me débattre mais je ne pouvais pas faire grand-chose avec les mains menottées dans mon dos.

Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! " Ouille, non pitié ! Arrêtez " Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! " Je vous en supplie...Aie... " Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Clac !

Cela n'arrêtait pas. Sur les fesses d'abord, qui devinrent rapidement toutes les deux d'un rouge écarlate puis sur les cuisses et même à l'intérieur des cuisses, le tout devenant de plus en plus douloureux.

Avec mes mains menottées dans le dos je ne pouvais pas beaucoup me débattre d'autant que j'avais toujours la tête coincée contre mister flanc, serré par mister bras puissant, et le visage enfoui dans le buismister humide de mister aisselle. Il semblait transpirer de plus en plus car ses poils étaient maintenant complètement trempés.

Vers la fin, totalement brisé, je n'étais plus qu'une chose toute molle qui s'abandonnait dans mister étreinte en pleurant à chaudes larmes.

Enfin les coups cessèrent de pleuvoir. Je respirais à grandes goulées l'air fétide de ses aisselles qui empestaient de sa transpiration.

Mes sanglots aussi se calmèrent. Alors les caresses recommencèrent, se faisant plus insistantes cette fois, dans le creux de mes reins, passant mister doigt entre mes fesses brûlantes, insistant sur mon petit trou, le titillant, le frottant de mister gros index habile. Il descendit même plus bas, sur mon scrotum, et s'enhardit même à me caresser les couilles.

Évidemment, même dans mon état de prostration, je ne pouvais pas rester insensible à ses caresses aussi précises. Mon sexe se mit à palpiter, à grossir, et finalement le salaud réussi à me donner une pleine érection.

J'étais partagé entre la honte que j'éprouvais de réagir ainsi et le plaisir que ses doigts commençaient à faire naître.
chrislebo

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#3,160
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Justement j'allais m'y employer quand il m'arrêta.

"Non. Pas maintenant ! Arrête. Viens respirer dans mes poils. Vient sentir la bonne odeur de ton Maître. Là où ca sent le plus fort. Tu vas t'habituer à mon odeur. Tu vas voir, elle va bientôt devenir ta drogue. Aucune femelle n'y résiste longtemps. Mais avant passe la camisole ma pute !"

Tremblant, j'enfilais la camisole trempée de sa sueur de ce black. Elle allait sécher sur ma poitrine, tout en exhalant lentement mister odeur si musquée et forte. Je baignerais dedans. Cette pensée me donna un haut le cœur, mais je n'avais pas le choix.

Je passais la tête et les bras. Le tissu me collait à la peau... Au milieu de la poitrine, le vêtement était pincé, puis s'évasait, encadrant mes mamelons et les faisant ressortir. Les manches courtes étaient ballonnées aux épaules, le tout me donnant une silhouette féminine. Sans parler de cette inscription stupide ! " Love me ! " De quoi j'aurais l'air avec ca... Heureusement que cela ne sortirait pas de l'intimité de cette cellule... C'est ce que je croyais dans ma naïveté...

Dés que j'eu terminé, il me tira sans ménagement par mes cheveux longs, blonds, qui me descendaient jusqu'aux épaules.

" Aie ! Vous me faites mal ! "

" Tais-toi connasse. J'ai le droit de te faire mal. Demande pardon poufiasse "

" Je... Aie... Excusez-moi, Maître, je vous prie de bien vouloir me pardonner Maître... "

Il me remercia par une gifle vigoureuse.

" Qu'est ce qu'on dit ? "

" Heu... je... Merci maître. Merci pour cette gifle. Merci beaucoup. "

" Tu vois, tu apprends vite, salope. "

Il me tint par le menton et approcha mister visage du mien, me regardant fixement dans les yeux... puis... il me cracha au visage... un énorme crachat. Que je reçu dans les yeux et sur le nez et qui commença à couler sur mon visage poupin, jusque sur mes lèvres que je maintenais serrées.

" Sort ta langue sale pute. Et lèche-toi bien les lèvres. Montre-moi que tu aimes bien mon crachat. " Dit-il en me tirant vigoureusement les cheveux.

Je sortais timidement le bout de ma langue et avec une grimace de dégout, je la fis tourner sur mes lèvres, rencontrant l'horrible salive de ce monstre. Je la rentrais aussitôt dans ma bouche.

" Qu'est ce qu'on dit ? "

" Merci maître. Merci pour ce crachat. "

" Il a bon gout ? "

" Oui Maitre. Il a très non gout Maitre. Merci encore. "

Petit à petit, je me sentais de plus en plus subjugué par la puissante virilité qui émanait de tout mister être. Progressivement, et en quelques minutes, non seulement ce type avait pris le dessus sur moi, mais je commençais à me prendre au jeu, et j'étais pris dans l'alternance de ses caresses et de ses coups et offenses comme dans une toile d'araignée. De plus en plus je me sentais paralysé, tombant dans un trou qui me faisait descendre de plus en plus bas.

" Ouvre grand la bouche maintenant "

J'ouvris ma bouche, en fermant les yeux, n'osant regarder ce qui allait se passer. Je sentis une chose gluante et chaude tomber dans ma bouche grande ouverte. J'ouvris brusquement les yeux. Un crachat ! Cet horrible type m'avait craché dans la bouche.

" Ouvre plus grand la bouche et garde les yeux ouverts. "

J'essayais d'ouvrir plus. Il s'approcha encore de moi à coller presque ses lèvres sur les miennes. Et laissa filler un long cracha qui tomba sur ma langue. Je frismisternais de dégout.

" Avale, chienne. "

Avec un haut le cœur j'avalais. Beurk. Cette sensation était horrible. Cette chose gluante passant mon gosier. Et coulant le long de mon œsophage.

" Qu'est qu'on dit connasse ? " dit-il en me prenant fermement les couilles et en les serrant.

Effrayé par la pression qu'il commençait à exercer, je m'exécutais. " M... Merci Maitre. "

" Passe cette chemise petite culotte de salope. Désormais dans la cellule tu seras toujours habillée en pute. "

Il me tendit une fragile petite culotte féminine, quasiment transparente, ornée de volants de dentelle à l'élastique et autour des jambes. En la prenant, je constatais avec stupeur qu'elle était ouverte à l'arrière, l'ouverture aussi étant bordée des mêmes volants de dentelle. Alors que je frémissais à l'idée de ce que cette ouverture laissait supposer, comme j'étais toujours menotté, il passa la fine culotte le long de mes jambes quasiment sans poils (car j'étais presque imberbe) et me fit lever mes fesses pour me l'ajuster à la taille.
chrislebo

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#3,161
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Chapitre 5

Le contact de la culotte était doux, rassurant. Je frémis quand il enveloppa ce qu'il appelait mon " clitoris " avec. Celui-ci d'ailleurs commençait à s'éveiller à nouveau au contact de cette délicieuse chose, qui je peux bien l'avouer me faisait fantasmer habituellement au point que j'avais déjà essayé de porter en cachette, pour quelques minutes les culottes de mes petites amies, histoire de tester ce que cela pouvait faire...

Cela me troublait beaucoup c'est sûr ! Alors, rouge de honte et de confusion, j'enlevais vite la petite culotte, qui s'accrochait à mon sexe en érection, et je me masturbais frénétiquement dedans. Je ne tardais pas à éjaculais, des jets puissants qui venait poisser le mince tissus diaphane, le petit paquet de dentelle que ma copine avait portée toute une journée contre mister intimité, qui avait recueillie ses moiteurs.... A la fin je la portais à mes narines, pour humer le mélange de nos fluides. J'avais un frismister de dégout, et je jetais vite la petite culotte en boule au fond du panier à linge sale.

Ainsi, ma vocation de travesti était restée secrète et je n'étais jamais allé plus loin.

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Effrayé à l'idée qu'il ait noté les frémissements qui parcourait mon " clitoris " pendant qu'il m'enfilait la culotte, je me pelotonnais à nouveau contre lui pour lui donner le change et remettais mon nez bien sagement et avec soumission dans mister aisselle puante.

" Bien. Maintenant tu vas passer ta tête sous l'élastique de mon pantalon de survêtement, salope ; et tu va venir renifler ma bites et mes grosses couilles bien poilues " dit-il en exerçant une pression encore plus forte sur mes couilles.

" Aie. S'il vous plaît... Non... pas ca... Je vous en supplie... J'ai trop honte... Pitié... Je ne suis pas pédé..."

" Obéie sinon je t'écrase les couilles. Tu vas voir je vais faire de toi une vraie pédale ! Une folle ! Et tu finiras par aimer cela ! "

Que pouvais-je faire ? Jusqu'où me mènerait-il ? Je n'osais imaginer la suite... Anéanti, complètement abattu et brisé par ses menaces et punitions, je m'exécutais une fois encore.

Je soulevais l'élastique de mister très épais et très ample pantalon de survêtement, comme aiment en porter les blacks en me demandant comment j'allais pouvoir respirer là-dessous. Immédiatement une terrible odeur vint surpasser celle, portant extrêmement prégnante, de sueur de noir qui régnait dans la cellule. Une odeur extrêmement musquée, acre, de sperme séché et de pisse me soula au point de me faire tourner la tête. Un instant je retenais ma respiration, hésitant à l'entrée de cet antre obscur où j'allais devoir m'engouffrer.

De mister autre main il poussa sous ma nuque jusqu'à ce que mon nez heurte sa hampe rigide, en érection, dure comme du bois et qui me semblait d'une épaisseur extraordinaire. Des poils très drus et incroyablement longs pour un type de sa race chatouillèrent mes narines. J'avais beaucoup de mal à respirer sous cette moiteur fétide. Il dégageait une telle quantité de phérormones qui me fit involontairement frismisterner.

" Voilà. Comme cela. Je veux t'entendre renifler comme une bonne chienne. Respire bien à fond les odeurs de ton Maître. Je viens de porter ce pantalon pendant quinze jours en me branlant plusieurs fois par jours dedans en pensant bien à celui qui aurait le bonheur d'en profiter. Tu es arrivé à temps. J'allais finalement le mettre au lavage. Mais maintenant que tu es là, je vais le garder encore un peu pour toi. Tu verras, tu finiras par adorer cela. Cela va devenir ta drogue. "

Il exerça une nouvelle pression sur mes couilles.

" Allez ! Renifle ! Je veux t'entendre ! "

J'accélérais ma respiration. Je me forçais à peine, tant il était difficile de respirer là-dessous. Ses effluves me faisaient tourner la tête, j'avais l'impression d'étouffer sous cette moiteur fétide. Sans compter la chaleur...

" Bien. Lèche ma tige maintenant. "

Surmontant mon dégout, je sortais timidement ma langue et la frottait sur la tige bien dure. Elle était humide de sueur et du liquide pré-spermatique qui coulait abondamment de mister méat. Le gout était acide et acre. Je léchais obséquieusement mister énorme bite, remontant petit à petit, malgré mon dégout, jusqu'au gland.

En arrivant juste à la base du gland, l'odeur se fit encore plus violente ! Mon Dieu, comment était-ce possible ! Ce type ne semblait jamais se laver la bite. Car le gland était décalotté et était couvert de sécrétions... Vous voyez ce que je veux dire... J'eus un mouvement de recul...

" Allons, allons, ne fait pas ta pucelle ! Lèche le gland salope. "

Je me mis à lécher ces sécrétions à l'odeur si forte... J'étais constamment parcouru de frismisters de dégout, et je luttais contre les hoquets de vomissements qui contractaient inexorablement mon bas ventre... Mais j'imaginais le pire si je lui vomissais dessus, et je parvins à me calmer et à me retenir... D'ailleurs au bout de quelque minutes, j'avais finalement remplit mon office, et le gland était propre... du moins toujours humide à cause de ma salive, mais en tout cas débarrassé de ces horribles sécrétions...
vanbruje

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Merci pour ces trois textes...
chrislebo

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#3,163
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La pression sur mes couilles se relâcha, le contact se fit plus doux, et il commença à me caresser les couilles et d'un doigt à frotter toute la longueur de mon pénis. De manière très douce, mais de plus en plus rapidement. Ma respiration s'accéléra involontairement. Je sentais des frismisters me parcourir l'échine, et mon pénis répondit à ses attouchements en grossissant et en durcissant...

" Oh ! Ma petite putain aime qu'on lui tripote le clito. Car on ne peut pas appeler cela une bite ! Un vrai zizi de petite fille ! "

D'un coup il y eu un flash. Des souvenirs remontaient malgré moi. Des moqueries dans les vestiaires lors de la gymnastique, lorsque j'étais petit garçon et ensuite même adolescent. Car j'étais loin d'être monté comme un étalon. Mon sexe, sans être minuscule, était largement en dessous de la moyenne... Alors, comparé à la monstruosité qui frottait actuellement mes narines et que je léchais maintenant consciencieusement, il y avait une différence énorme !

Je ressentais à nouveau cette honte... De me sentir différent... Des larmes me montèrent aux yeux... Ce salaud avait deviné mon point faible ! Et ses caresses qui se faisaient plus précises... sur mon gland qu'il avait décalotté maintenant... Malgré moi je soupirais de plus en plus...

" Alors salope, tu vois que tu aime cela. Continue donc putasse. Lèche-moi le gland maintenant. Nettoie le bien de toutes ces sécrétions que j'ai fabriquées pour toi. Grace à toi maintenant j'aurais la bite bien propre.... Enfin... rassure-toi... Je ne vais pas l'astiquer sous la douche... J'ai la peau sensible et le savon m'irrite. Mais comme tu vas me la lécher à longueur de journée, désormais, il n'y aura plus de dépôts... Là... C'est bien ma petite femelle... Voilà... Applique-toi bien... "

Ces sécrétions s'accrochaient à ma langue et se dissolvaient dans ma bouche. Le gout était acre. Je fermais les yeux en essayant de penser à autre chose et en réprimant des hauts le cœur. Et en plus je pouvais à peine respirer là-dessous.

" Ouvre la bouche pétasse et avale le ! "

Une nouvelle pression sur mes couilles me fit bien comprendre que je n'avais pas le choix, sinon celui d'obéir une fois de plus. Je tentais désespérément d'enfourner l'énorme et large gland, mais je ne réussis qu'en prendre la moitié dans ma bouche. J'avais peur de m'étouffer. Seigneur il était vraiment disproportionné !

" J'ai dit avale sale connasse de merde ! "

Cette fois il serra fort, ce qui me fit sursauter et j'ouvris mes lèvres du plus que je pouvais. Cette nouvelle tentative me fit presque avaler tout le gland et j'enfournais mister bout épais et dur comme du bois jusqu'à ce que mes lèvres se referment sous la corolle encore encombrée de sécrétions gluantes.

Mais là, il était à fond et butait sur ma gorge. Je n'osais plus bouger, forcée de respirer à fond par le nez et d'inhaler toutes ses effluves extrêmement musqués.

Sa main poussa sur ma nuque...

J'essayais d'avaler plus... Le gland énorme glissa dans ma gorge... Je me senti étouffer... Désespérément je tentais de rejeter ma tête en arrière... Enfin la pression se relâchât.

" Il va falloir que tu apprennes à le prendre jusqu'au fond de la gorge salope ! Mais pour une première fois je m'en contenterai. Pompe salope. Aspire et fait tourner ta langue sur la tête du gland. "

Je me mis à faire tourner ma langue comme il me l'avait ordonné. Elle n'avait pas beaucoup de place pour remuer dans ma bouche si encombrée. Alors je me rattrapais avec les suçotements. Je creusais mes joues et aspirait à fond. Du liquide pré-spermatique se mis à couler sous mes titillations. Au gout salé et acre que je fus bien forcé d'avaler. Je salivais beaucoup et ma bave coulait le long de la hampe en l'humidifiant.

" Je vais te délier les mains connasse. "

Il défit rapidement les menottes qui retenaient mes poignets derrière mon dos. Je poussais un soupir de soulagement car ma position était vraiment inconfortable. Mon soupir ne lui échappa pas.

" J'en ai rien à foutre de toi connasse. C'est pour moi que je fais cela. Tes mains vont me servir. Caresse moi les couilles putasse. Bien doucement et délicatement avec des doigts de fée. "

Je passais le bout de mes doigts aux ongles un peu long, sur les énormes bourses couvertes de poils drus et frisés. Les frottant doucement, les griffant avec délicatesses de mes ongles longs. Je lui tirais ainsi plusieurs gémissements. Et la chose monstrueuse cracha encore plus de liquide pré spermatique dans ma bouche étroite.

" C'est bien continue. Empoigne-la maintenant et branle-moi d'une main pendant que tu continue à t'occuper de mes couilles de l'autre.
chrislebo

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#3,164
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Ma tête toujours encapuchonnée dans mister épais pantalon de survêtement, transpirant, à moitié étouffé par les relents fétides, la tète me tournant de toutes ces odeurs fortes de male, indescriptibles, auxquelles je commençais à m'habituer maintenant et qui même commençaient à m'exciter, à croire que je devenais sensible à l'énorme quantité de phérormones que dégageait mister sexe, je commençait à le branler doucement tout en continuant à titiller ses couilles de mes ongles longs, triturant les poils épais et humides.

" Ah ! Oui ! Hum... c'est bon salope... Tu es encore maladroite mais je t'apprendrais... Oui... c'est bien... plus vite et plus fort avec ta main, sale merde... Encore connasse... "

J'accélérais mon mouvement de va et vient avec ma main sur la tige dure comme un tronc d'arbre. Elle était si grosse que mes doigts refermés en faisaient à peine le tour. J'espérais qu'il ne lui viendrait pas l'idée de m'enculer car sinon je serais estropié pour le reste de mes jours.

Le fait d'accélérer mon mouvement de branlette ne resta pas sans effet. Il répondit en poussant des gémissements et en m'insultant de plus belle.

" Oh ! Humm ! Tu es bonne salope ! Tu branle bien au moins sale connasse ! Plus vite sous merde, sale déchet, putasse, ou je te frotte les oreilles... "

En même temps il continuait toujours à caresser mon " clitoris ", s'attaquant au gland maintenant, l'en ayant décalotté et en frottant doucement mister pouce dessus. Il me tira des gémissements. Ce salaud savait comment s'y prendre. Ses mouvements s'accéléraient au même rythme que les miens. Je sentais des palpitations dans mister énorme verge qui se durcissait et grossissait encore plus. Mon plaisir aussi montait... montait... et j'étais vraiment au bord...

" Ah ! Oh ! Oui...... ! "

D'énormes jets gluants chauds et acres mistert directement allés gicler au fond de ma bouche... Sa poigne sur ma nuque se fit plus ferme et me serra dans un véritable étau. Je dus avaler mister jus sinon je m'étouffais. Une... deux ... trois ... quatre... cinq... les jets n'en finissaient plus... toujours aussi violents et consistants... Je senti mon excitation monter... monter... Mais au même moment ce salaud abandonna mon " clitoris " et sa poigne se serra sur les couillettes, les compressant fortement, les écrasant ce qui me fit pousser un cri étouffé de douleur et fit retomber immédiatement mon excitation et mon plaisir.

J'avalais tant bien que mal le liquide écœurant qui emplissait le fond de ma bouche. Pendant que ce salaud continuait à gémir en me serrant les couilles très fortement. Enfin sa pression sur ma nuque et mes couilles se relâchât...

Je libérais ma bouche de mister énorme gland, mes mâchoires crispées, engourdies d'avoir été autant écartelées si longtemps. Je ne savais plus où j'en étais. Ce salaud m'avait utilisé comme une vulgaire poupée gonflable, pour se vider ses grosses couilles dans ma bouche. J'étais devenu un vulgaire vide couille.

J'étais aussi frustré. Mon " clitoris " palpitait. Mes couilles me faisaient mal, d'avoir été autant serrées, mais aussi de ne pas avoir pu se vider. Je me mis à pleurer silencieusement, de honte, d'offense, et de désarroi.

Lui débandait doucement, la queue humide, le gland encore enduit de sperme mêlé de ma salive venant se pencher contre mon visage. Petit à petit mon excitation retombait. L'odeur qui régnait revenait au premier plan, me saoulant à nouveau d'effluves hyper-musqué. Cela sentait effroyablement fort là-dessous.

Alors il eu un geste qui en disait long sur la manière dont il me considérait. Sa main libéra mes couilles et vint essuyer sa bite suintante sur le fond de mister pantalon de survêtement et mon visage par la même occasion, le tout confondu, comme si je n'avais été qu'une sorte de kleenex que l'on utilisait pour se branler.

Il prit mes poignets, me les mis à nouveau dans le dos et le menotta.

" Voilà. T'est bien attachée. Car je ne veux pas que tu fasses joujou avec ton minuscule clitoris ma pute en chaleur. Tu es une esclave. Et une esclave doit rester chaste. Plus un esclave est frustré et plus il est attentif. C'est fini les branlettes ma salope. Interdiction de jouir et de te soulager. Je te veux en chaleur et tirant la langue de désir. Comme cela, tu verras, au bout de quelque temps tu ne penseras plus qu'à ma queue. Tu es bonne salope. Et en tant que femelle, tu prendras ton plaisir comme toutes les femelles. Uniquement avec ta chatte. Mais on verra cela plus tard. Maintenant je vais pioncer. Tu n'as pas intérêt à bouger de là-dessous. Respire bien l'odeur de ma queue, c'est ton Dieu maintenant. Allez dodo ma chienne... "

Il s'allongea confortablement sur le lit étroit, sans bouger. Au bout de quelques minutes, je sentis mister bas ventre sur lequel reposait ma tête se crisper. On aurait dit que.... Oh non ! Pas ca ! L'ignoble individu laissa échapper plusieurs vents absolument fétides, pétaradant pendant de longues secondes, se vidant de tous les gaz puants qui avaient fermentés dans mister rectum.

Cette fois cette odeur surpassait toutes les autres. C'était absolument ignoble ! J'allais retirer ma tête de l'ouverture de mister pantalon de survêtement, mais immédiatement sa poigne se referma sur mes couilles...

" N'essaye même pas ! Ne bouge pas d'un cil connasse ! Tu dois au contraire apprécier mes pets. Car cela vient de Moi. Et tout ce qui vient de Moi tu dois l'adorer comme un précieux Don de ton Maitre... Alors... qu'est ce qu'on dit putasse... "

" M... Merci Maître... Merci... "

" Merci de quoi ? "

" Merci pour vos pets Maitre. Je vous remercie de m'avoir fait don de vos pets. "

" Alors tu en veux encore connasse ? "

" Oui. Maitre, s'il vous plait, j'en voudrais encore. Pouvez-vous s'il vous plait péter encore pour moi ? "

" Tu en veux encore vraiment ? " Dit-il en me caressant la nuque d'une main, l'autre toujours fermement agrippée à mes couilles.

" Oui. Maitre, s'il vous plait, je vous en prie. Pouvez vous encore péter un peu pour moi je vous en supplie. "

" C'est bien connasse. Puis que tu aimes tant cela... en voilà tout une bordée... "

Et ce fut une véritable avalanche de pets, extrêmement odorants, qui sentait vraiment la merde que ce salaud devait avoir emmagasiné dans ses intestins. L'odeur était suffocante. Ces gaz devaient contenir fort peu d'oxygène ! J'essayais bien de me débattre un peu, mais immédiatement il me serra très fortement les couilles, ce qui me fis pousser un cri de douleur et me fis avaler une grande goulée de ces vapeurs fétides.

Etouffant à moitié, j'étais obligé de respirer plus vite, tenant à chaque respiration d'avaler un peu d'air frais en provenance de la mince ouverture de ce cloaque, grâce au petit filet d'air qui pouvait filtrer entre mon cou et le bord de l'élastique de mister survêtement si épais qu'aucun air ne pouvait filtrer à travers.

J'essayais finalement de ne pas bouger et de me calmer pour avoir besoin de respirer le moins possible, inspirant néanmoins à chaque inspiration ses vents répugnants.

Cela dura de longues minutes. Finalement au bout d'une demie heure, les odeurs enfermées dans un espace si confinée finirent quand même par disparaître petit à petit. Je pensais alors que j'allais enfin pouvoir m'endormir, mais rapidement, au bout de quelques minutes, il se mit à ronfler sourdement... M'empêchant ainsi totalement de fermer l'œil...
chrislebo

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C'est peu de dire que je passais une nuit difficile. L'odeur de ses pets était si irrespirable que je n'arrivais pas à retrouver mon souffle. Et elle mit très longtemps à se dissiper. Remplacée petit à petit par les effluves extrêmement musqués de sa bite et de ses couilles énormes et poilues.

Alors que je commençais à m'assoupir, sa bite poisseuse se redressa pendant qu'il ronflait. Ce salaud devait faire je ne sais quel rêve érotique... Dormait-il vraiment ou pas ? Je ne sais, en tout ca je senti sa main se reposer sur ma nuque. De crainte qu'il ne se mette à nouveau à martyriser mes couilles, par prudence, je me mis à lécher doucement le gland pour ne pas risquer de le réveiller au cas où il dormirait vraiment.

Au bout d'un moment, mister érection faiblit... Son énorme bite se ramollit et se reposer sur mon nez, tandis qu'elle suintait à nouveau... Au bout d'une heure environ cela se répéta encore... A nouveau je léchais et suçotait le gland, le nettoyant de mister liquide pré-spermatique.

La nuit se passa ainsi, entrecoupées de ses érections et de mes titillations dociles sur mister membre. J'étais ainsi complètement à sa dévotion, ses érections nocturnes rythmant mes brèves périodes de sommeil entrecoupées de cauchemar où je me voyais attaché bras et jambes écartelés au lit de fer, pendant que ce salaud me violait l'anus. Je criais sans arrêt de douleur, ce qui amenait un rictus sadique sur mister visage, pendant qu'il se branlait littéralement dans mon anus et envoyait à la fin d'énormes giclées de sperme qui me remplissait le ventre...

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Au petit jour, il se mit à bouger doucement... Ayant de nouveau une formidable érection. Cette fois ci je senti sa main sur ma nuque pour de vrai. Alors docilement je me mis à téter l'énorme gland, sans toujours pouvoir l'entrer complètement dans ma bouche.

Au bout d'un moment, il s'éveilla...

" Tu es bonne salope. Lèche-moi donc les couilles maintenant. "

Je délaissais donc le gland pour m'attaquer à ses énormes couilles poilues. Je sortis ma langue et commençait à lécher. Le gout était rance, âpre et l'odeur encore plus musquée que dans ses poils pubiens. Je léchais docilement, enlevant quelques poils frisés qui se collaient sur ma langue et venait la chatouiller. N'osant pas les recracher, je tentais de les avaler avec un haut le cœur. J'en étais maintenant réduit à bouffer les poils de ses couilles, après avoir bu sa sueur et mister sperme. Je frémissais en me demandant quelle serait la prochaine étape de ma dégradation...

Ce ne fut pas long à arriver... Alors que sa queue s'était ramollie, j'entendis...

" Remets ta bouche sur mon gland ! Et tu as intérêt à tout avaler ! Sinon je te broie les couilles ! "

Et sur ce, il joignit le geste à la parole, et commença à me les serrer à la limite d'une vraie douleur. Son autre main se plaquait contre ma nuque, m'empêchant tout mouvement de recul.

Maintenant docile, je commençais à lui sucer le gland, pensant qu'il désirait à nouveau une fellation.

" Arrête immédiatement connasse ! Pas d'initiative. Tu me suceras le gland quand je te l'ordonnerai. Contente-toi d'avaler ce qui va sortir... Et tu n'as pas intérêt à en laisser échapper une seule goutte ! "

Je frémis en entendant ces paroles... N'osant croire ce que cela signifiait... Lorsque... Un premier jet de pisse chaude et âcre me remplit la bouche... Surpris je n'osais rien faire.

" Avale sale putasse. Sous merde. Connasse. Tu as intérêt à tout avaler. Comme je suis un bon Maître, je vais te laisser le temps d'avaler entre chaque jet. Mais ensuite il faudra que tu apprennes à me boire directement à la source, avec des gorgées rapides, pour m'éviter de me retenir... C'est à toi de t'adapter à ton Maitre et pas l'inverse. Mais pour cette fois... "

Jets après jets, il se vidait dans ma bouche, tenant fermement mes couilles au cas où j'aurais fait mine de ne pas avaler... C'étais sa pisse du matin, la plus acre et chargée... Le gout était atroce. Je le forçais à avaler, jets après jets qui venaient s'écraser au fond de ma gorge, attentif à ne pas m'étrangler.

Finalement, les giclées diminuèrent, puis cessèrent totalement.

" Suce-moi un peu le gland maintenant. Profite bien de la dernière goutte salope ! "

Enfin, il me libéra. Sa poigne sur ma nuque se fit caresse, tandis que mes larmes coulaient abondamment sur mon visage et que j'étais secoué de sanglots.

" Tu peux cesser de sucer mon gland, connasse. "
chrislebo

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#3,166
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Alors j'éclatais totalement en pleurs. Secoué de spasmes, je tremblais et criait doucement " Non... Non... Pourquoi... Pourquoi faites vous cela... Je vous en prie... Arrentez s'il vous plait... "

" Pourquoi ? Ah, Ah, Ah. Tu ose me demander pourquoi ! Mais regarde-moi. Regarde la grosseur de mes couilles. Elles mistert encore pleines là. Elles ont encore besoin d'être vidées. Et pas seulement une fois. J'ai de gros besoins. Trois, quatre, cinq fois par jour au moins. J'ai donc besoin d'une vide couille. C'est la nature, et tu n'y peux rien. Et à par toi qui donc pourrais me servir de vide couille dans celle cellule ? Hein ? "

" Mais... Mais... Moi... je ne suis pas comme cela... Je ne suis pas pédé... Je ne veux pas devenir votre vide couille. Je vous en supplie, respectez moi Monsieur. "

" Alors, dis-moi, qu'est ce que tu est donc ? "

" Mais... Mais.... Je suis un homme comme vous... Et vous me traitez comme la pire des putains... Laissez-moi, je vous en supplie encore... "

" Un Homme ? Ah, Ah, Ah, comme c'est drôle. Mais t'es tu bien regardé ? Et je ne parle pas seulement de ton zizi minuscule qui a du faire rigoler bien des filles, et des garçons aussi. Tu as les cheveux longs, fins, avec des reflets blonds, un joli minois, presque pas de poils, et la peau douce comme celle d'une fille. Allons... Ne me dit pas que tu es un homme. Tu es une petite femelle, une lopette, et tu le sais très bien au fond de toi, n'est ce pas ? "

" Non... Non... Rien ne vous autorise à dire cela. Je ne sui spas comme cela. Je ne suis pas gay. Je suis hétérosexuel. Je n'ai jamais été avec des hommes. J'ai déjà eu des copines... et.... "

" Tu me fait rigoler connasse. Tu es une soumise dans l'âme et je m'y connais crois moi. Rappelle-toi bien... A l'école, comment te traitaient tes petits camarades... Ils se moquaient toujours de toi n'est ce pas... ? C'est toujours toi qui prenait les coups, hein ? Tu étais leur souffre douleur, avoue le... Rappelle-toi bien... Remonte dans tes souvenirs... Ceux que tu as voulus effacés... N'ais-je pas raimister ? "

Alors tout d'un coup les souvenirs affluèrent. Tout ce que j'avais refoulé et cru si bien oublier. Comment à chaque récréation, pour un prétexte quelconque, j'étais à chaque fois entouré par les garçons les plus robuste, par terre, recroquevillé, qui me donnaient des coups de pieds et m'insultait, me traitant de lavette. Comment cela recommençait à chaque récréation. Et comment à chaque fois je revenais jouer vers eux, espérant me faire accepter, qu'ils me respectent enfin... Vain espoir. Pourquoi donc revenais je vers eux au lieu de les ignorer et de me trouver d'autres camarades de jeu plus tranquilles... Non.... Non... Je ne voulais pas l'admettre... Non... Je ne recherchais pas cela... Non... Je n'aimais pas être traité ainsi... Et cette honte qui m'envahissait à chaque fois... Et qui était devenue une sorte de drogue... Qui marquait chaque récré... Et cela recommençais... encore et encore.... comme maintenant...

" Tu sais, tu auras besoin de moi. Tu es trop faible pour t'en sortir toute seule ici. Tu as besoin d'un protecteur. Si tu es avec moi, permisterne n'osera te toucher... Sinon, tu seras la pute de toute la primister.... Ils finiront par te tuer... Rien que pour s'amuser un peu... Il y a de vrais sadiques ici... Crois-moi... "

Devant cette évidence, les larmes se mirent à nouveau à jaillir. Je pleurais doucement comme une fille. Cherchant la consolation de bras puissant. Et malgré moi je me retrouvais la tête sur sa poitrine, le visage enfoui dans ses poils. Cherchant un coin où me nicher, rongé par la honte et la confusion. Trouvant finalement ma place, le nez dans mister aisselle qui me dégoutait tant hier au soir. Et voilà que j'y revenais de moi-même. Recherchant ses senteurs puissantes, fortes, protectrices. Dans les bras d'un vrai homme qui pourrait me défendre dans cette primister horrible... Mais que je devrais satisfaire en échange... Telle était l'horrible réalité.

" Alors ma douce... plus de rébellion ? Tu accepte ton sort ? Devenir ma petite femelle, rien qu'à moi ? Et faire tout ce que je t'ordonnerai de faire sans discuter... "

" Oui... oui... je promets... Monsieur... "

" Appelle moi Maître, compris ma douceur ? "

" Oui... oui... Maître. "

" Crois moi j'aurais encore besoin de te punir... Car ton dressage n'est pas terminé... Mais je ne te ferais jamais souffrir par plaisir, compris. "

" Oui... Maître... "

" Tu acceptes donc par avance toutes les punitions que je t'infligerais ? "

" ... O.... Oui... Maître... "

" Je vais bien m'occuper de toi, crois moi. Tout à l'heure, nous irons à la douche, tu te laveras à fond et nous en profiterons pour faire disparaître tous ces vilains poils que tu as sur les jambes, les bras ton pubis et aussi un peu sur la poitrine. Tu passeras d'abord de la crème dépilatoire avant de te doucher, et ensuite, tu finiras le reste au rasoir. Je te veux la peau lisse comme celle d'une fillette. A oui, j'ai oublié de te dire, les douches se prennent collectivement bien sûr... "

" Oh non... je vous en prie... Pas devant les autres... Non... Pitié... J'aurais trop honte ! Oh non... Ils vont savoir... "

" Evidement qu'ils vont savoir que tu es désormais ma femelle ! Et d'ailleurs tu as intérêt à que cela se sache si tu veux qu'on te laisse tranquille. Plus tôt toute la primister sera au courant, gardiens y compris, et mieux cela vaudra pour toi ! Et d'ailleurs, à partir de maintenant, je ne veux plus que tu discute mes ordres ! C'est compris pétasse ! "

" Oui... Maître... Pardon Maître... Je ne le ferais plus, je vous en prie Maître. "
chrislebo

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#3,167
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" Tu reconnaît que tu as désobéie alors .... "

Comment aurais-je pu désobéir à une consigne dont j'ignorais complètement l'existence il y a moins d'une minute à peine ! Ce type était fou ! Ou alors, pire, il était encore plus tordu que je ne l'imaginais ! Pour éviter je ne sais quelle punition qu'il était, j'en étais sûr, tout prêt à me faire subir, j'abondais dans mister sens.

" Oui Maître, je reconnais que je vous ai désobéi Maître. C'est ma faute Maître. Pardon. Je vous prie de bien vouloir m'excuser Maître. "

" Voilà qui est bien. Faute avouée est à moitié pardonnée... Mais à moitié seulement... Pour que je te pardonne complètement, je suis malheureusement obligé de te faire subir la punition que tu mérite ! "

" Mais.... "

" Pas de 'mais'. Ne recommence pas à discuter mes ordres. Je dois te dresser convenablement, et la première des choses et de t'apprendre le respect que tu dois à ton Maitre. Compris connasse ! "

" Oui Maître. Merci beaucoup de me dresser Maître. "

" Bien... Descends du lit... Voilà... Casse-toi en devant et mets ta tête sur le bord du lit, les pieds par terres et les chevilles bien écartées. Voilà... Tu vois quand tu veux... "

Je suivis ses ordres. Ce n'était pas facile en ayant les mains menottées derrière le dos. Je devais ramper comme un ver sur le lit pour me mettre en position puis faire basculer mes jambes par terre, prendre appui sur le sol, les écarter...

" Ecarte tes chevilles du lit ! Je veux que seul ton visage soit sur le bord du lit.... Voilà... encore plus loin les pieds.... Et plus écartés encore ! Enfin ! Tu es longue à comprendre ma connasse ! "

Comme le lit était très bas, dans cette position, ma tête était beaucoup plus basse que mes fesses. J'étais littéralement cassée en deux, et mon postérieur était exagérément cambré. De plus, avec les cuisses complètement écartées, mes fesses s'entrouvraient, et à ma grande honte, je dévoilais à ce salaud toutes mes parties intimes et mon petit trou plissé, à peine entouré de quelques poils blonds frisés, et bien encadré par les volants de ma petite culotte quasiment transparente.

Je frémissais en imaginant le tableau, certainement très affriolant pour ce pervers, que je lui offrais bien malgré moi. Certainement, cela allait l'exciter et ce salaud risquait de vouloir m'enculer avec mister énorme pieu !

Avec mister pied, il donna un coup à chacune de mes chevilles, pour me faire écarter encore plus les jambes. Je maquais m'étaler sur le sol, et cette positon était très inconfortable, presque douloureuse. Je ne pourrais jamais tenir bien longtemps dans cette posture obscène.

Je me tenais coite, n'osant bouger un cil. Tremblant de crainte de ce qui allait suivre.

Je l'entendis qui ouvrait mister placard et fouiller à l'intérieur. Il revint vers moi, se courba en deux pour se mettre à ma hauteur et me présenta un objet bizarre. Une sorte de gode miché, mais qui ne faisait pas plus de sept ou huit centimètre de longueur, et muni à la base d'une lanière en cuir avec une boucle métallique, comme une boucle de ceinture, et de laquelle sortait un court tuyau en latex se terminant par une poire.

" Ouvre grand la bouche connasse ! "

Ce que je prenais pour un godemiché était en fait un bâillon ! Docilement j'entrouvrais mes mâchoires. Il y enfourna l'objet et boucla la sangle sur ma nuque, m'ôtant toute possibilité de recracher. L'engin était assez épais et suffisamment long pour s'enfoncer au-delà de ma luette, ce qui me donna des hauts le cœur. Je poussais de petits gémissements, me demandant combien de temps cet objet violerait mon orifice buccal. Une fois bouclé, il était totalement impossible de recracher cet objet.

Sa main se referma alors sur la poire. Et il pressa. Je compris alors immédiatement à quoi cet ustensile était destiné. A chaque pression, le gode bâillon se gonflait, écartant encore plus mes mâchoires, remplissant toute ma bouche et faisant gonfler mes joues. C'était un vrai supplice, qui je l'apprendrais plus tard, était pratiqué au moyen âge sous le nom de la " poire d'angoisse " et visait à étouffer les cris des suppliciés. Heureusement, cet ustensile là était en latex et n'était pas vraiment douloureux, même si mes mâchoires écartelées commençaient à me donner des crampes. En tout cas le but était atteint. Il m'était totalement impossible d'émettre le moindre cri. Les seuls misters que je pouvais encore proférer n'était que de petits gémissements.

" Vois-tu, ton dressage ne fait que commencer. Il faut que ton corps m'obéisse entièrement. Je vais te reconditionner complètement. "

En disant cela, il passa sa main entre mes cuisses, et entrepris de me frotter très délicatement ce qu'il appelait mon " clitoris " avec mister index à travers le mince tissu de ma culotte féminine, comme s'il lutinait les lèvres intimes d'une fille.

Evidement, au bout de quelques minutes, mon " clitoris " répondit rapidement à ses attouchements, et se mit à gonfler dans la mince culotte et à la déformer. Sa réaction ne se fit pas attendre...

" Salope ! Je t'interdis de bander ! Une femelle ne bande pas ! Je vais te l'apprendre sale connasse ! "

Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan !

Cette fois c'étais à coup de martinet qu'il me cinglait le cul ! Ce type avait donc aussi un martinet dans sa cellule !

Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan !

Des lanières ne tardèrent pas à s'infiltrer entre mes fesses, et à me cingler les couilles ! Je tentais de hurler de douleur mais le bâillon m'en empêcha et ne pus émettre que quelques grognements, tandis que des larmes coulaient sans interruption de mes yeux. S'il continuait ainsi, ce fou allait me faire éclater les couilles...

chrislebo

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Heureusement il s'arrêta au bout de quelques coups. Inutile de dire que mon début d'érection avait immédiatement cessé et mon " clitoris " s'était vite rétracter pour retrouver sa dimension la plus minuscule, comme s'il avait été plongé dans un bain d'eau glacé !

" Voilà ! Tu commence à comprendre sale pute ! "

Et il recommença à me frotter le " clitoris " de haut en vas à travers la mince culotte. Cette fois j'essayais de me concentrer pour tenter de penser à autre choses qu'aux frismisters qui me parcourait le bas de la colonne vertébrale afin d'éviter une nouvelle punition.

Mais je ne puis résister bien longtemps... Mon " clitoris " connut à nouveau des frémissements, et commença de nouveau à réagir...

Vlan ! Vlan ! Sa réaction ne se fit pas attendre...

Cette fois deux coups suffirent, et ma tentative d'érection s'arrêta net...

Ses caresses recommencèrent à nouveau... Puis au bout d'une minute, de nouvelles flagellations courtes mais cinglantes. Cette fois il faisait bien attention à ne pas viser mes couilles...

Et le cycle recommença... Encore et encore... Bientôt je ne réagissais plus, la douleur prenant le pas sur tout le reste...

" Voilà, je vois que tu commence à t'y faire... Ne t'en fait pas, bientôt tu ne banderas plus du tout... Ca t'évitera bien des punitions dans le futur. Pour commencer, dés aujourd'hui tu vas porter une cage de chasteté... Fini les petites branlettes, a douce. Je te veux chaste et frustrée pour que tu ne penses plus qu'à la bite de ton maître. Et uniquement à mister plaisir. Ton plaisir tu le prendras uniquement à travers ta chatte lorsque je te ferais l'honneur de bien t'enculer à fond. Tu vas voir... Tu vas devenir très sensible de ce côté... "

Une cage de chasteté ! Je n'avais aucune idée de ce que cela voulait dire... existait il donc des ceintures de chasteté pour homme ? Comme au moyen âge pour les femmes de croisés ? J'étais perdis dans mes pensées, tandis que ce salaud titillait toujours plus rapidement mon " clitoris ". Mais j'étais dans un tel état de prostration que ces caresses ne me faisaient plus rien et que je pleurais et sanglotai en continu, incapable de pouvoir m'arrêter, et complètement déprimé.

Je n'entendis même pas qu'il ouvrait à nouveau mister placard et fouillait à l'intérieur... Puis s'approcher tout près de moi... Tout à coup je sentis quelque chose de froid et gluant entre mes fesses... Son doigt m'en tartinait le trou... Puis la pression se fit plus insistante... Le doigt pénétra à l'intérieur pour pousser le gel froid dans mon anus...

Je poussais un petit gémissement, ce n'était pas si désagréable.... surtout que ce salaud faisait tourner mister doigt, et tout d'un coup vint se poser sur ma prostate. Ce fut comme si un éclair de plaisir me traversait le corps ! Je n'avais jamais connu une telle sensation ! C'était vertigineux !

" Ah ! Salope ! Sensible de la chatte on dirait ... Tu vois ma femelle, ton plaisir est ici... Tu en veux encore ? "

Je restais silencieux, complètement dérouté par ce qui venait d'arriver... Etais-je en train de devenir pédé ? L'avais-je ignoré durant toutes ces années. Un fort sentiment de honte me submergea. Je me mis à rougir de la tête aux orteils, et à trembler... Je ne savais plus où j'en étais... Mais ce plaisir... si intense et si fort... c'était vraiment trop bon...

" Alors ma pute... tu en veux encore ? Et bien ne sois pas muette... Dis-le ! "

" Heu... Je.... oui... Encore... s'il vous plaît... "

" Oh tu ne vas rien obtenir de moi si tu me parles comme cela. Je suis ton Maître, ne l'oublie pas, j'en ai rien à foutre de toi pauvre connasse de merde ! Crois-tu que ton plaisir compte ? Il n'y a que le mien, tu entends connasse ! "

Sur les derniers mots, sa voix monta, et le ton qu'il employa était empli de colère. Sa réaction fut immédiate ! J'eu droit à une vingtaine de claques extrêmement violente sur mes fesses avec ses mains aussi puissantes que des battoirs. Effondré, je me mis immédiatement à sangloter...
chrislebo

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#3,169
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Quand l'avalanche de coups fut terminée, je sanglotais toujours... J'eu extrêmement honte de moi quand je m'entendis dire : " S'il vous plait, Mon Maitre, je vous en supplie, caressez moi encore au fond de ma chatte de salope Maitre, pitié, encore... "

" Quelle pute ! Toutes les mêmes ! De vraies salopes ! Avoue que tu es une chienne en chaleur, sale pétasse ! "

" Oui Maître. Pardon Maître. Mais je suis une chienne en chaleur Maître "

" Alors tu va avoir ma bite ! Hein, avoue que c'est ca que tu veux ! "

" Oh ! Non ! Pitié ! Pitié ! Pas ca ! Elle est trop grosse ! Elle va me déchirer ! "

" Faudrait savoir ce que tu veux ma connasse ! Oui... Non... OUI... NON... On dirait une vraie femelle ma parole ! "

" Pitié Maitre, Pitié... Je vous sucerai encore si vous le voulez.... Oh oui Maître, c'est si bon d'avoir votre grosse queue dans la bouche... Oui Maître, je vous en supplie, laissez moi vous sucer encore... "

J'étais stupéfait de mes propres paroles. Mais c'était ca ou être littéralement cassée en deux... La trouille me faisait comporter en vraie pute. J'eu à nouveau honte de moi... Je continuais...

" Oui Maître, votre bite sent si bon... Et votre semence est si savoureuse. Laissez moi la gouter encore, j'en ai très envie je vous en prie Maître. "

Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Il me donna une dizaine de claques très rapides, de toute sa power, avec ses mains énormes.

Toujours au bord des larmes, j'éclatais de nouveau en sanglot. Le corps secoué de hoquets, mon nez coulait, et je mouillais abondamment de mes larmes le drap de mister matelas où ma tête était couchée.

" Tu n'a pas encore compris que j'en ai rien à foutre de toi et de tes désirs de pétasse, pauvre connasse ! Excuse-toi pour cela sale pute de merde ! "

" Oh pardon Maître, pitié, je vous prie humblement de bien vouloir me pardonner. Excusez-moi Maitre. "

" Tu dois apprendre à ne jamais dire non ! Compris salope ! "

" Oui Maître. Merci pour votre punition Maître. Je l'ai bien mérité. "

" Voilà, cela commence à entrer dans ton crane de pétasse... Maintenant je vais t'enculer. Tu m'as vraiment trop excité avec toutes tes pleurnicheries... On dirait une gamine ! Mais comme je ne veux pas trop t'abimer, je vais me contenter de rentrer le gland, et sans bouger. Juste pour t'habituer... La prochaine fois j'irais plus loin... Qu'en dis tu pétasse ? "

" Oui Maître... J'ai peur Maître... "

" C'est normal que tu ai peur, pucelle. Détends-toi... présente bien ta croupe... Voilà... Présente bien ta chatte... Je vais bien la lubrifier avec du gel... Voilà... Tu sens mon doigt entrer dans ta chatte de femelle ? "

" Oh... oui... Oh... c'est bon Maître... "

" Tu vois que tu apprécie salope. Dis le que tu es une salope qui aime se faire prendre la chatte "

" Oh... Oui... J'aime Maitre... Oh Maître... c'est bon... je suis une salope qui aime se faire prendre la chatte, Maître... "

" Je vais entrer un deuxième doigt pour t'assouplir maintenant... Détends toi encore... "

" Oui... Oh... Aie... Ca fait un peu mal Maître... Excusez-moi... "

" Sent comme je te travaille la chatte en faisant tourner mes doigts dans ton trou de pute en chaleur... Tu aime cela avoue, sale trainée ! "

" Ooooh... Oui... Encore... ; c'est bon Maître... S'il vous plaît continuez Maître.... Encore comme toute à l'heure Maître... "

" Oh non pas question de toucher ton point sensible là maintenant... Tu es tendue comme un arc et tu risquerais de jouir en crachant ton jus de femelle... Pas de jouissance... Tu as compris ! Je veux te sentir frustrée, pantelante... Une vraie chienne en chaleur... "

" Hum... Oh... Oui... C'est si bon Maître... "

" Je vais entrer un troisième doigt maintenant pour te rendre béante, que tu sois prête à accepter mon gland dans ton trou à bite de femelle... Voilà... ca y est... "

" Aie ! Ouille ! Aaaah... Pitié, j'ai trop mal Maître... Ah ! "

" Ta gueule connasse. Tu vas devoir t'y faire sous merde... "

Il continuait à ma triturer l'anus, étirant mon ouverture sensible de ses gros doigts boudinés et musclés... les faisant tourner à l'intérieur comme pour les récurer tout en l'enduisant de gel qui maintenant dégoulinait sur mes couilles... Comme si je mouillais... comme si j'étais une vraie femelle en chaleur....
chrislebo

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#3,170
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Je sentis mister bâton rigide entre mes fesses... Je n'osais dire un seul mot de peur de prendre une nouvelle punition... Je transpirais... J'avais peur... J'essayais de me détendre... Ensuite le bout d'un objet dur, rigide, sur ma rosette... Puis la pression... progressive... mais de plus en plus forte. Puis la pression se relâche... Puis encore plus forte... Et d'un coup, empoignant mes hanches, d'un coup de mister manchon énorme, rigide comme du fer, Vlan ! Le gland est entré d'un coup, me déchirant la rondelle... Ca me cuisait... me faisait atrocement mal... Je me mis à sangloter, le corps secoué de sanglot... Lui heureusement ne bougeait plus... Mais je sentais don énorme bite qui palpitait en moi... Je ne sais pas quelle longueur avait violé mon intimité anale encore vierge il y a quelques secondes. Mais ca faisait rudement mal...

Pour me consoler, il se mit à me caresser la nuque, me mordilla le cou penché sur moi, ce qui me fit frismisterner... Ce salaud savait y faire... ensuite ses mains abandonnèrent mes hanches et ses doigts virent se poser sur mes tétons... les pinçant... les étirant... les triturant... doucement... mais fermement, à la limite de la douleur... Cela m'envoya des frismisters de plaisir dans toute la colonne vertébrale... Mais j'étais incapable d'avoir une quelconque érection.... au contraire, il semblait que mister énorme bite en moi supprimait toutes mes capacités d'homme et me rendait totalement impuissant...

Frismisternant, je continuais à avoir le corps secoué de sanglots... Mais bientôt la douleur s'apaisa un peu... Mes sanglots se calmèrent... Alors il commença à bouger un peu en moi, sans sortir no enfoncer le gland, il poussait légèrement et se retirait... Cela relança la douleur... Je gémissais... Ce salaud pris cela pour des gémissements de plaisir... Ces caresses se firent plus précisent... Maintenant ce n'étais plus mes tétons qu'il triturait... Mais mon clitoris... Qui en réponse se mis à frémir... et à palpiter lui aussi... Il referma ses doigts sur le prépuce, et me tritura le gland, finissant par me faire pousser des gémissements de plaisir. Mon " clitoris " se mis à grossir...

Mais avant que je puisse profiter de ces caresses, il prit la réaction de mon " clitoris " pour un signal, ses doigts abandonnèrent mon clitoris à sa solitude, ses mains se posèrent à nouveau sur mes hanches et ... Han... d'un coup de rein, il s'enfonça d'un ou de deux centimètres en moi !

" Ah ! " Je poussais un cri de douleur ! Ce salaud était en train de me déchirer... La douleur se faisait cuisante...

" Ta gueule sale connasse ! Je ne veux pas t'entendre... je veux seulement entendre tes gémissement de plaisir tu as compris pauvre merde ? "

En disant cela il se mit à me triturer le clitoris à travers ma petite culotte, mais sans aucun ménagement, tantôt comme il le ferait d'un pis d'une vache, puis le tordant, ou l'écrasant ou le pliant en deux. Ma nouille était suffisamment molle pour pouvoir se prêter sans douleur à ces manipulations. Mais la manière vulgare avec laquelle il le tiraillait en tous sens, ainsi que la douleur vive que je ressentais dans mon anus, m'empêchait totalement de bander.

" Alors la fiotte ! Tu ne bandes plus, hein, quand ton Maître est dans ta chatte... Tu as compris que tu n'étais qu'une femelle... Tu vas voir, j'ai une méthode pour te rendre totalement impuissant... Crois-moi... Quand tu sortiras de là, tu ne pourras plus rien baiser... Ta seule ressource de plaisir sera de te faire baiser... Te de faire mettre... Sale pute ! "

Il continua pendant un moment.... m'écrasant parfois aussi les couilles quand il sentait mon clitoris frémir... Je poussais alors un nouveau cri de douleur...

Puis sa main remonta sous mon déshabillé, s'empara d'un de mes téton.... et se mis à me le pincer... juste le bout...

" Aie ! Aie ! S'il vous plaît Maître... "

" Alors pétasse... dis moi si ca te fait du bien de sentir ma grosse bite dans ta chatte hyper serrée de fiotte... Avoue... Tu aimes cela hein salope ! "

" Oui.... Maître.... Merci.... Encore... Je vous en supplie Maître.... Prenez-moi Maître... Je suis votre femelle, Maître... "

Pendant ce temps il avait pris mon sein à pleine main et c'était maintenait lui qui était comprimé, tiraillé... Le bout pincé.... Tiré comme pour l'allonger... Puis pincé encore et encore...

Je haletais... transpirais... Ne savant plus où j'étais avec cet énorme mandrin qui m'envahissait... Tout d'un coup, il m'empoigna par les hanches et ... Han ! Il s'enfonça encore plus en moi d'un coup, violant encore plus mon ouverture qui me donna l'impression de se déchirer...

" Ah ! Oh ! Pitié ! J'ai mal... j'ai mal.... j'ai mal... Pardon... Maître.... Aie... Aie... "

" Ah ! Salope ! Tu as le cul trop serré... Tu me serres la bite comme dans un étau... Je peux à peine bouger pour me branler dans ton cul de sale pédé....
chrislebo

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#3,171
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Et il se remit à nouveau à m'écraser ma nouille en la pressant.... Effondré sur le lit, je sanglotais doucement, prise de tremblements incontrôlés... Mes jambes ne me soutenaient plus... Je n'avais plus aucune power et j'étais comme une chiffe molle entre ses mains et sa queue... Sa Queue ! Le salaud s'enfonçait maintenant en moi sous un autre angle, baratant mister membre épais dans mon conduit anal bouillant et trop serré pour l'épaisseur hors norme de cette tige dure comme l'acier qui me perforait.

Tout d'un coup... Il trouva l'angle... Son gland vint heurter ma prostate... Ce fut comme si une décharge électrique parcourait tout mon corps...

" Oooooooooooooh .... Aaaaaaaaaaah... Oui... Encore... Encore... "

Maintenant il bougeait en moi doucement, changeant souvent d'angle... La douleur commençait à s'apaiser... Je me balançais d'avant en arrière au rythme de ses saillies... Comme la chose mole et passive que j'étais devenue... Une poupée gonflable... qui pleurait de honte et gémissait de plaisir à la fois.

Il fallait bien que je l'admette... Je commençais à aimer cela... Malgré la douleur et la vulgarité de ce viol... Je me sentais dépossédé de mon propre corps... Je n'étais plus que sa chose... mister objet... mister branle bite... à mister service.... de sa puissance... de sa power... de mister odeur entêtante de black transpirant dans cette cellule étroite et étouffante... Avec cette chaleur moite qui nous enveloppait.

De temps en temps, il trouvait à nouveau l'angle... Touchait ce que dans ma tête j'appelais déjà " mon petit bouton d'amour "... Me transformant en femelle... petit à petit modelant mes pensées d'une autre manière... Je savais maintenant ce que c'était que de subir la Loi du Mâle... Saillie je l'étais comme toute les femelles du monde natural sur terre... Je n'avais qu'à subir et à me laisser aller... Espérant qu'il trouverait le bon angle.... offrant mes fesses... Tentant moi aussi de me présenter sous le bon angle... Pour mieux le sentir... Bouger en moi et faire monter mon plaisir...

Le salaud savait y faire... Il me bourrait maintenant comme si ma " chatte " avait été une vraie... Cela faisait toujours mal, mais à chaque fois mister gland dur et disproportionné venait buter contre ce bouton d'amour... Je criais maintenant... Mais à ma grande honte c'était des cris de plaisir...

" Ah ! Ah ! Oh ! Oui... Hum... C'est bon Maître... encore... "

Bientôt je sentais quelque chose d'humide et de chaud dans ma culotte. Oui.... Sans même m'en rendre compte mon clito se mettait à couler doucement de grosse quantité de.... sperme ? J'apprendrais plus tard, qu'en pistonnant ma prostate ce salaud m'avait littéralement " trait ", c'est à dire fait sortir mon sperme sans éjaculation, par massage vigoureux de la prostate, et donc aussi sans orgasme... et sans plaisir...

En attendant j'étais littéralement anéantie de honte... J'étais devenu un vrai pédé, une tapette, qui criait de plaisir pendant qu'on l'enculait. Mais c'était trop bon... Jamais je n'avais ressentit un tel plaisir... si intense et profond... Et qui durait... durait... semblant ne jamais devoir s'arrêter...

Le plaisir se logeait uniquement dans mes entrailles... J'étais devenue une vraie femelle qui jouissait (presque) du cul et mouillait pour mister Mâle tandis que celui-ci la prenait.

Je ne savais plus où j'en étais... Plaisir... Honte... Plaisir... Honte... les deux se mêlaient si intimement.... Je n'arrivais plus à faire la différence...

" Ah ! Putain ! Salope ! Ah ! Oh.... je vais me vider dans ton cul pétasse ! "

Son sexe se mit à palpiter, durcir et grossir encore... Et d'un coup il s'enfonça jusqu'aux couilles en moi. Je poussais un long cri de douleur. C'est à ce moment que ce salaud lança ses jets brulants et puissants dans mon anus. Son éjaculation semblait ne jamais vouloir cesses. Finalement, après plusieurs jets cela cessa...

Puis il s'effondra sur moi, mister membre toujours rigide et logé au fond de mon anus qui me faisait toujours mal. Sous mister poids je pouvais à peine respirer. Il transpirait à grosses gouttes, qui venaient couler jusque sur moi.
chrislebo

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#3,172
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Alors il se mit à me donner des bisous dans le cou, avec beaucoup de tendresse.

" Alors... ma pute... on dirais que tu as aimé te faire mettre par ton Maître... Hein réponds ! "

" Oui... oui Maître... C'était très bon Maître, je n'avais encore jamais ressenti cela Maître... Merci infiniment Mon Maître. "

" Ah ! Mais ma parole ! On dirait que la connasse est amoureuse ! Ah ! Ah ! "

Son rire sarcastique me fit mourir de honte... 'Amoureuse' de lui ? Comment aurais-je pu ? Et pourtant... c'était bon de le sentir calme et épuisé sur moi, mister poids écrasant, et mister membre qui commençait doucement à diminuer de volume... devenait moins dur... Tandis que je sentais sa semence au fond de mes entrailles... Tandis qu'il me bécotait dans le cou si tendrement...

Nous restâmes là ainsi un bon moment, lui toujours sur moi m'écrasant de mister poids, et mister sexe toujours incroyablement si rigide... Je fermais les yeux et je sentis une douce torpeur et une sorte de plénitude nouvelle m'envahir...

Mais je n'eu pas le temps de m'endormir... vulgarement, il se redressa et décula d'un coup sec, ce qui raviva la brulure de mon anus et me fit pousser un cri.

" Lève ton cul salope de merde. Je ne veux pas que le sperme qui va couler de ton cul souille mes draps. Lève le bien à fond... "

Je levais mon cul autant que je pouvais...

" Ne bouge surtout pas trainée ! "

J'avais bien trop peut de ses réactions vulgares pour oser bouger un cil. Il fouilla dans mister placard, revint vers moi et appliqua une petite tige semi rigide à l'entrée de mon anus.

" Ne bouge pas. C'est un tampon très absorbant pour les règles des femelles. Comme ca tu conserveras ma semence en toi bien au chaud. Dommage qu'on ne puisse pas te féconder... Je suis très fertile tu sais. "

Oh... un tampon... Il me traitait vraiment comme une femelle... Aux petits soins pour moi... Il allait me guider dans cette nouvelle vie... J'avais si honte, si peur de lui, de sa power, de sa puissance de sa virilité... Mais c'était si bon d'être sous lui, saillie comme une chienne, subir mister pilonnage, être sa chose...

Mais je fus vite tirée de ma rêverie, il me remit vulgarement sur pieds et m'envoya une paire de baffe vigoureuse.

" A genoux putasse ! Tu va nettoyer tes saloperies maintenant ! Regarde ma bite ! Encore toute humide de mon sperme et surtout il y a des traces de merde ! Regarde de plus près connasse ! Tu as souillée ma bite avec ta merde de pédé ! "

" Pardon Maître... Je ... Je ne l'ai pas fait exprès Maître... "

Cette réplique m'attira une nouvelle paire de baffes.

" Renifle tes souillures, sale truie ! "

Il empoigna mes cheveux et m'attira à elle. Le gland était encore tumescent, rouge, gonflé... Mais il y avait ces traces... Pas seulement des restes de sperme gluant collé contre sa bite épaisse... mais... des traces.... Oh... j'avais si honte.... Des traces de l'intérieur de mon cul... Des traces brunes fort prononcées, plusieurs estafilades de merde... et qui sentait fort la merde... qu'il avait pistonné au fond de mon cul...

J'hésitais... essayant de respirer par la bouche pour atténuer l'odeur assez forte qui se mêlait aux relents musqués de mister sperme.... J'avais donc la bouche ouverte, c'est ce qui me perdit... Il en profita pour y enfourner le gland avant que j'ai eu le temps de réagir...

" Humpf ! "

J'avais le gout de cette bite dans ma bouche. Le gout de mister sperme mélangé à celui plus acre de ma merde... J'essayais de le repousser mais il maintenait fermement ma tête sur mister gland et enfonçait sa bite au plus profond de ma gorge.

" Suce ! Lèche ! Morue ! Nettoie l'instrument que tu as souillé, truie ! "

Avec sa grosse bite enfoncée au fond de ma gorge, je salivais beaucoup, ce qui eu pour effet de dissoudre rapidement toutes les sécrétions qui la recouvrait, et pour ne pas m'étrangler je fus bien obligé d'avaler le tout, salive et sécrétion dissoute, avec des hauts le cœur à moitié réprimé, sachant que si je me mettais à vomir sur lui, la punition serait terrible.

Au bout d'un moment, sans doute jugea-t-il que je m'étais suffisamment appliqué, toujours est-il qu'il retira mister gland de ma gorge, et que je pus enfin respirer normalement, avec de gros filets de salive dégoulinant de mes lèvres sur ma chemise de nuit.
chrislebo

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#3,173
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Son sexe avait maintenant ramolli et était presque retourné à sa taille normale qui était aussi hors norme... Mon Dieu ! Ce salaud veut déjà rebander ! Il veut encore se faire sucer.... Du moins, c'est ce que je croyais. La suite n'allait pas tarder à me donner tord...

Docile, je la pris en bouche. Le gout du sperme avait disparu après tous mes léchages. Toutefois, il y avait à nouveau une grosse goutte sur le méat. Incroyable ! Ce type venait à peine d'éjaculer que déjà mister sexe se mettait à couler. En fait, on aurait dit qu'il n'arrêtait pas de couler. Je léchais la goutte de liquide pré spermatique au goût salé, et presque aussitôt une autre goutte se forma, plus claire celle là...

" Arrête de t'extasier devant ma grosse bite sale pute! Je sais qu'elle n'a rien à voir avec ta petite nouille, sale pédé. Contemple bien la bite d'un vrai homme. Ca dois te changer de lorgner ton zizi quand tu vas faire pipi, ma fille ! Prends la en bouche j'ai dit ! Tu me fais répéter la connasse de merde ! Obéis immédiatement morue ! "

Cette fois, je la pris en bouche sans broncher et je commençais immédiatement à faire tourner ma langue autour, en bonne petite pute soumise que j'étais devenu.

" Arrête immédiatement connasse ! Ferme bien ta bouche de fiotte autour du gland et avale ! Tu as bien compris ! "

Avec mister gland en bouche je fis un petit " oui "' de la tête, ne comprenant pas ce qu'il voulait... Mais au bout de trois secondes... Je compris.... Un jet chaud, puissant, venait s'écraser au fond de ma gorge. Surprise je tentais de m'échapper et de retirer ma tête... Mais déjà il avait serré sa poigne puissante sur ma nuque...

Manquant m'étrangler, j'avalais à la hâte la première gorgée. Ce fut horrible. Le gout d'abord. Acre, acide, râpeux, épais. Sa pisse devait être très foncée car le gout était très fort. Heureusement il n'y eu qu'un jet de pisse... J'étais réduit à l'état d'urinoir...

" Alors ma belle.... Apprécies-tu la pisse de ton Maître. Désormais cela sera ton devoir... Tous les matins je soulagerai ma vessie dans ton estomac de truie. Ca te servira de petit déjeuner. Mais je n'ai pas fini, et tu as intérêt à tout avaler sans en laisser perdre une goutte. Salope ! Les premières fois ce sera à petits jets... Ensuite, quand tu en auras un peu plus l'habitude, il te faudra tout avaler d'un coup. Comme une bonne pissotière. "

Il raffermi encore plus sa poigne puissante sur ma nuque en serrant ses énormes doigts autour, et laissa échapper un autre jet, qui ne me surpris pas cette fois. Je m'y attendais... J'avalais docilement le deuxième jet... Complètement brisé, effondré... Puis encore un autre. Et encore et encore...

Un jet. Avaler la gorgée. Respirer. Un jet. Avaler la gorgée. Respirer....

Encore... et Encore... C'était lui qui commandait mes respirations. Je dépendais de lui. Au début il envoya de petits jets. Un par un. Espacés. Mais qui suffisaient à me remplir la bouche et que je devais déglutir immédiatement. Puis ce salaud cassa le rythme. Il envoya deux jets de suite, que je dus avaler an trois gorgées rapides. Puis un temps mort. Puis un jet. Il jouait avec moi. J'étais concentré sur sa bite, sur les jets de pisse qui giclaient dans ma bouche pour pouvoir les avaler, respirant rapidement entre deux larges goulées. C'était comme si ma vie dépendait de lui. Une fausse manouvre et je risquais de m'étrangler.

Toute la pisse bien épaisse de sa nuit. De honte les larmes me montaient aux yeux et coulaient à nouveau sur mon visage.

Cela dura longtemps, ne semblait plus s'arrêter. Enfin les jets intermittents stoppèrent tout à fait. Il se retira de ma bouche, pris mister gland entre ses doigts, et lâcha deux petits jets sur mon visage baigné de larme. Par réflexe je fermais les yeux. C'était horrible. L'odeur était très forte. Puissante. Comme dans une pissotière où la pisse a marinée pendant des heures. Il ne s'arrêta pas la. Deux ou trois autres jets virent souiller ma chemise de nuit. Elle était maintenant complètement trempée de pisse. C'était horrible. Cela puait. Je sentais sa pisse à plein nez.
chrislebo

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#3,174
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"Tu laissera la pisse sécher sur toi. Comme cela tu seras bien parfumée avec l'odeur de ton maitre. Tu m'appartiens et je t'ai marquée avec ma pisse putasse. Maintenant tu vas te raser salope. Je ne veux plus voir aucun poil sur tes jambes, torses, fesses bas ventre et aussi à tes aisselles. Je te veux lisse comme une vraie femelle qui se rase les jambes pour plaire à mister Homme. Va t'installer près du lavabo et dépêche toi pendant que je matte ton cul salope.

" Oh non pitié. Pas cela. Tous les autres vont le voir... Et que vont-il penser de moi. S'il vous plait je vous en supplie Maitre... "

" Ah ! Ah ! Ah ! Si tu coirs que tous le monde ne connaît pas mes gouts dans cette primister ! Il n'y a qu'à te regarder pour comprendre de suite que tu es faite pour être ma femelle. Et comme tu es dans ma cellule, tout le monde sait désormais que tu es ma pute. Et d'ailleurs, comme je te l'ai expliqué, cela te protège au contraire. Sinon ils vont tous t'enculer à la chaine la prochaine fois que tu iras aux douches, si tu y va sans ma présence. Je suis ton protecteur et ton maitre. Obéie connasse, de suite ! "

Je me relevais titubante... trempée de pisse... et je m'approchais du lavabo, ouvrait le robinet et je m'apprêtais à me jeter un peu d'eau sur ma figure souillée de pisse...

" Stop ! Pas question connasse ! Je t'ai parfumée à ma pisse ! Pas question d'enlever mon parfum ! Tu le garderas sur toi toute la journée... Pour être sur que toutes tes pensées seront tournées vers moi, Ton Maître! Compris connasse ! "

" Oui... Maitre... Pardon Maître... Excusez-moi "

" Prends du savon. Et commence par les jambes pétasse ! "

" Oui... Maitre... "

Avec un gant de toilette sale qui trainait là, et un morceau de savon, je savonnais mes jambes. Puis je pris le rasoir en main et commençait à me raser. Je n'avais pas beaucoup de poils. Mais le rasoir jetable se remplissait rapidement. J'étais obligé de le nettoyer souvent. Pour me faciliter la tâche je posais un pied sur un tabouret, me penchant en avant, lui dévoilant mon cul comme une fille toute à ses soins intimes.

Le plus difficile fut de raser l'entre fesse. Je devais écarter une fesse d'une main, et passer le rasoir de l'autre, à l'aveugle, exposant mon trou à ses regards pendant que ce salaud se branlait en me matant.

Pour raser sous mes couilles, je dus poser un pied sur le lavabo, l'autre sur le sol, faisant une sorte de grand écart, cuisses largement écartées... Me mettant dans une position extrêmement impudique.

" Hum... Salope ... Tu fais exprès de me montrer ta chatte de pucelle pour m'exciter, sale pute... Continue... applique toi bien connasse, sinon je t'arracherai les poils qui reste avec les dents. "

Les jambes une fois finies, je passais à ma poitrine, puis aux aisselles. Quelques derniers coups de rasoir dans le bas du dos et c'étais terminé.

Une fois terminé je remettrais ma chemise de nuit trempée de pisse qui puait horriblement. J'en frismisternais de dégout.

" Tu vas faire maintenant un café à ton Homme, ma belle. Dépêche-toi pouffiasse ".

Je fis rapidement chauffer de l'eau sur un petit réchaud électrique que je mélangeais à du café soluble dans un bock. Je m'avançais vers lui et le lui tendis.

Il s'assit sur mister lit, arrêta de se tripoter les couilles et le sexe qu'il avait de nouveau en érection.

" Mets-toi tête bêche sous la couverture, ta tête sous l'ouverture de mon jogging et lèche moi les couilles connasse. "

Je m'exécutais, retrouvant une fois de plus l'odeur épouvantablement musquée qui réglait là-dessous, pris mister énorme tige entre mes doigts pour l'écarter et entrepris de lécher ses couilles velues et rances de transpirations. Le gout était horriblement piquant et ses poils durs frisés râpaient ma langue. Toute ma salive y passait et j'étais obligé de rentrer souvent ma langue dans ma bouche pour l'humidifier.

" Plus bas salope ! Lèche-moi sous les couilles maintenant ! "

Je rentrais plus ma tête dans cet antre moite et chaud formé par l'ouverture de mister jogging cartonné tellement il était empesé de mister sperme séché qui sentait horriblement fort, d'une main je relevais ses énormes couilles grosses comme deux balles de tennis, et je léchais les grosses boules velues recouverte de poils noirs drus et frisés.

J'étais à nouveau ivre de mister odeur musquée de male en rut. Cette odeur que je commençais à connaître si bien maintenant, qui désormais faisait partie de mon univers. Je sentais à nouveau une excitation dans mon bas ventre, je commençais à apprécier cette situation, le plaisir d'obéir, de se soumettre, l'abandon de ma volonté, l'ivresse de la soumission qui me rappelait tant de souvenirs de mon enfance. Je me rendais compte petit à petit que l'a était ma place, au pied de cet homme si fort, si puissant, si sûr de lui même et de mister pouvoir, alors que je me sentais faible, sans volonté. Mais c'était si bon de se laisser aller.
chrislebo

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#3,175
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Je ne sais pas s'il avait décelé un changement dans mon attitude, peut-être un ramollissement de tout mon corps qui manifestait que je m'abandonnais à lui. Mais il commença à me frotter le " clitoris " à travers ma petite culotte, le frottant doucement de mister pouce sur le gland calotté, puis, dès que mon " clitoris " commençait à grossir un peu, sa main puissante glissait sur mes couilles pour les serrer fortement, me faisant pousser un petit gémissement de douleur ce qui stoppait instantanément mon début d'érection.

Ce petit jeu continua pendant de longues minutes, tendis que je léchais maintenant mister gros gland dur et suintant. Puis il me demanda de le prendre en bouche. J'élargissais au maximum mes petites mâchoires pour avaler cette énorme tétine que j'arrivais maintenant, avec un peu d'entraînement, à prendre complètement dans ma petite bouche.

Je commençais à le suçoter lorsque, soudain, sans prévenir, il lâcha un énorme pet misterore à l'odeur extrêmement puissante qui remplit de mister horrible puanteur l'étroit espace où je respirais avec peine. Par réflexe j'essayais de me dégager mais sa main se rabattit en une forte claque sur ma tête. Je continuais donc à le sucer, bien obligé de respirer par le nez l'odeur épouvantable de ses gaz. Cette fois cela sentait vraiment la merde comme s'il venait de chier à quelques centimètres de mes narines. Dans un espace si étroit, l'odeur persistait longtemps. Peut-être en compensation, peut-être pas pure perversité, il recommença à me frotter le " clitoris ".

Je ressentais à nouveau du plaisir tout en respirant l'odeur épouvantable de ses vents. Impression de dégoût et de plaisir mêlé. Comme s'il voulait que je commence à apprécier l'odeur de l'étron, qui très certainement, résidait, prêt à sortir, à l'orée de mister anus.

" Place ton nez dans ma raie, connasse. Frotte-le dans les poils gluants de mon cul. Et respire fort que je t'entende bien respirer. Imprègne-toi bien de mes odeurs putasse. Voilà... Rempli toi bien les narines avec le gras de mon cul. Encore... Ne bouge plus... Attends... Je sens un gros pet qui a envie de sortir... Ah... C'est bon... ca soulage à peine

À peine avait-il terminé de dire cela, que mister anus se relâcha et fit entendre un long pschitt qui souffla directement mon nez. C'était d'une puanteur extrême. C'était comme s'il venait de chier directement sur mon nez. Je retenue ma respiration un bon moment. Mais comme il maintenait sa poigne sur ma nuque, et que j'avais mister gros gland en érection dans ma bouche, je suis bien obligé de respirer par le nez. Pouah ! Quelle horreur ! J'inhalais deux fois, le souffle coupé. C'était irrespirable. Je manquais d'air. Je crus que j'allais étouffer. Mais sa poigne ne maintenait toujours.

" Lèche mon cul maintenant connasse. Sort bien la langue. Prends mes poils en bouche et suce-les. Il y à de la merde durcie accrochée aux poils. Suce là ! Peigne mes poils avec tes dents ! Lisse les poils. Tu es mon lèche cul connasse. Nettoie moi le cul putasse ! "

C'en était trop pour moi.... Il allait trop loin. Le " charme ", ou plutôt l'état second dans lequel je me trouvais, le manque de sommeil, la stupéfaction, la peur, tout cela disparût en un instant à mes yeux et la réalité me sauta au visage : j'étais en train de lécher le cul d'un nègre, de lui suçoter le gland, et de respirer ses odeurs dégoutantes de male pas lavé et extrêmement négligé. Il puait vraiment et c'est était assez.

" Non... Non... Je ne ferais pas cela ! C'est trop. Ca suffit. Je me plaindrai au Directeur de la primister. "

A peine avais-je prononcé ces mots, qu'il me fit vulgarement tomber du lit. Je tombais sur le sol en ciment, prostré, les larmes aux yeux sous la violence de l'attaque.

" Sale pute, connasse de merde ! Tu vas prendre ta rouste "

Et ce fut une volée de coups de pieds, dans les couilles, le ventre, les fesses, les reins. Je ne savais plus dans quelle position me mettre pour éviter la volée.

" Piété Maître ! Aie... Non... Pitié... Arrêtez, je vous en supplie ! Ouille... "

Puis sa poigne puissante serra mon cou, me força à me lever, me faisant tenir droit. Et ce fut une volée de coups de poings dans l'estomac, mais il me forçait à me redresser à chaque fois avant de me donner de nouveau coup. J'avais le souffle coupé. Je pleurais abondamment, les larmes inondaient mon visage, ne pouvant plus respirer.

Ensuite, pendant que je sanglotais, secoué de spasmes, recroquevillé sur le sol, il m'attacha les poignets par devant, me releva à nouveau, fit passer la corde qui liait mes poignets dans les montant du lit supérieur, mon visage faisant face au lit double. Il prit alors un gros ceinturon en cuir large et épais, style ceinturon militaire, et entrepris de me donner une volée de coups sur les fesses, les cuisses, le bas du dos, à toute power.

La douleur était insupportable. Je criais, le suppliait sur tous les ton, mais rien n'y faisait. Il continuait toujours de frapper comme un fou. Au bout d'un moment, anéanti, je m'écroulais, sur mes bras tendus attachés aux montants du lit supérieur. Je pleurais à chaude larmes, secoué de sanglots incontrôlables, mes larmes coulaient sur mon visage sans interruption, et je fus pris d'une sorte de crise de nerfs, criant, balbutiant des mots incompréhensibles. Mon nez coulait aussi. Je secouais la tête, tremblait, le suppliant de toute mon âme d'arrêter cet enfer. Mon derrière, mes cuisses étaient en feu et me brulait atrocement.
chrislebo

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#3,176
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" Alors connasse, as-tu compris la leçon ? Ou dois-je continuer ? ".

Il dut répéter plusieurs fois la question, tellement j'étais secoué de sanglots et incapable de prononcer des paroles compréhensibles.

" Je répète ma question, sale merde, tu m'entends pauvre connasse ? "

" Oui... Maître.... Pardon Maître... Oui j'ai compris Maître... Je ferais tout ce que vous me demanderez Maître... Pitié Maître... "

" Alors dis à ton Maître que tu l'aime ! Dis le putasse ! "

" Je ... Je... Je vous... aime... Maître... "

" Mieux que ca connasse, je veux entendre de vrais mots d'amour ou la danse recommence, pauvre conne ! "

" Merci... Maitre... Je vous aime Maitre.... De tout mon cœur Maître... Je vous aime de toute mon âme Maitre... "

" Encore, putasse de merde ! Des petits mots doux j'ai dit ! "

" Oh Maître adoré... Mon chéri... Mon Amour... Mon Amour de Maitre... Mon Mari adoré... Je suis votre femelle aimante pour la vie.... Mon doudou d'amour... "

La douleur, le choc me faisait délirer. Je ne savais plus où j'en étais. Je parlais de manière automatique. Des mots me sortaient de la bouche sans que je ne puisse les contrôler.

" Voilà, c'est bien, ma petite chienne adorée... Ma femelle à moi... Ma putain préférée... Mon épouse... Moi aussi je t'aime... Tu es jolie... et féminine... comme j'aime les sales pédales dans ton genre... Tu es à moi... Toute à moi... Je suis ton Dieu ! Tu as compris ! "

En disant cela, il passa sa main musclée sous ma chemise de nuit trempée de sa pisse odorante, et se mis à me masser la poitrine, frottant mes mamelons de ses gros doigts, les faisant rouler, les pinçant sans excès, les tirant, les titillant... Je ne restais pas insensible à ce traitement. Malgré moi, je ne sais comment, je me mis à pousser de petits gémissements de petits râles, comme une vraie chienne en chaleur.

" Oui... Tu aimes ? Ça te plaît on dirait, ma petite salope, ma chienne à moi. Je t'excite, sale pute ! "

" Oh oui ! Vous êtes gentils, Maitre. Continuez, je vous en prie, mon maître adoré. "

" Alors si tu veux que je continue, demande-moi si je t'aime. Les femelles mistert toujours inquiètes de sa. Elles veulent toujours qu'on leur dise qu'on les aime. Elles veulent qu'on soit attentionné envers elles. Qu'on pense à elle. Alors faut comme elles ! "

" Oh mon maître. Est-ce que vous m'aimez maitre ? J'ai besoin de savoir combien vous m'aimez mettre. "

Pendant que je disais cela, que je prononçais ces mots qui me remplissaient de rompre jusqu'au plus profond de moi, il de suçoter le lobe de l'oreille ce qui me faisait et sommet malgré moi, me couvrait de petits baisers dans le coup et sur la nuque. C'était si bon, si doux après toute cette vulgarité. Je poussai à nouveau de petits gémissements et je m'abandonnais, me sentant devenir toute molle, toute volonté brisée.

" J'aime ma lécheuse de cul, ma suceuse, mon vide couilles, ma pissotière, ma sale petite pédale en chaleur. "

Il faisait exprès d'alterner la douceur avec les offenses. Pour moi, tout cela sait par se confondre dans mon cerveau profondément perturbé.

" Bien, je vois que tu as compris la leçon. Puisque tu es devenue obéissante, tu va pouvoir maintenant accepter ta punition pour m'avoir fait l'affront d'un refus. Tu as compris pauvre connasse de merde ? "

" Oui j'ai compris Maître. Oui. Pitié Maître. "

" Bien tu vas recevoir encore 40 coups de ceinturons, soit 20 sur chaque fesse. Je veux qu'après chaque coup, tu compte les coups, et tu me remercie à chaque fois. Et tu me demanderas de continuer jusqu'aux 40 coups. Tu as bien compris salope ? "

" Oui, Maître, j'ai bien compris. Maître, merci Maître.

" Bien, puis je commence la punition que tu mérite connasse ? "

" ... Oui... Maître... Vous pouvez commencer Maître... "
chrislebo

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Chapitre 20

Vlan ! Un coup terrible cingla ma fesse droite.

" Ah ! Pitié Maître. Merci pour la punition Maître "

" Tu as oubliée de compter connasse. Ce coup là ne compte donc pas ! "

Vlan !

" Un... Merci pour la punition Maître. Pouvez-vous me donner un autre coup s'il vous plaît Maître ? "

" C'est bien putasse. Tu vois que tu comprends vite. Tu ne comprends que ça. Tu ne comprends que les raclées, hein connasse ? C'est ce qu'il te faut des raclées, sale putain ! "

" Oui Maître, vous avez raimister maître. Je suis une connasse qui ne comprend que les coups Maître. Merci Maître. Pouvez-vous continuer s'il vous plaît Maître ?

Vlan !

" Un... Merci Maître. Pouvez-vous me donner un autre coup s'il vous plaît Maître ? "

Vlan !

" Dis que c'est bon pauvre conne. Dit que tu m'aime, sous merde. "

" Deux. Merci Maître. C'est bon Maître. J'aime quand vous me frappez Maître. "

" Puisque tu aimes tant cela en voici un autre, sale pute de merde ! "

Vlan !

" Trois. Merci Maître. Je vous aime Maître. "

" Tu vois bien que je t'aime puisque je te bat connasse ! "

Vlan !

" Trois. Oh Merci Maître. Aie... Aimez-moi encore Maître. Montrez-moi encore combien vous m'aimez Maître. Occupez vous bien de moi Maître. "

Vlan !

" Tu veux me plaire sale pute ! "

Vlan !

" Quatre. Ouille ! J'ai mal Maitre. Pitié Maître ! "

" Connasse, dis que tu m'aime quand je te fais mal putasse ! J'aime ca truie ! Regarde comme tu me fais bander sale pute. J'adore punir mes femelles, ca m'excite énormément ! "

Vlan !

" Cinq... Ah ! Je vous aime parce que vous me faites mal Maitre. Je suis heureuse de savoir que vous bandez pour moi en me punissant Maître. Ainsi je pourrais bien profiter de votre grosse bite Maître. "

Vlan !

" Tu me fait bander comme un âne putain ! Voilà deux coups bien sentis pour me défouler, mais on n'en comptera qu'un seul, connasse. Le deuxième c'est un cadeau de ton Maître adoré ! "

Vlan ! Vlan !

" Six... Merci de votre cadeau Maître. Merci de me montrer que vous m'aimez tant Maître. Votre salope est heureuse de savoir qu'elle vous fait bien bander et que vous prenez tant de plaisir à la punir, Maître. "

Vlan !

" Tu me suceras autant que je veux chienne ? "

Vlan !

" Sept. Merci Maître. Oui je vous sucerais à fond selon votre bon plaisir Maître. Je vous lècherai les couilles aussi Maître. "

Vlan !

" Est-ce que tu me lèchera aussi le cul connasse ! "

Vlan !

" Huit... Oui merci Maître. Je vous lècherai le cul même s'il est sale pour vous montrer combien je vous adore Maître. "

" Tout à l'heure je vais te donner la plus grand preuve d'amour chienne "

Vlan !

" Neuf ! Oh merci Maître. Encore des coups Maître. Qu'est ce que c'est cette preuve d'amour, Maître ? "

" Je te ferais boire ma pisse connasse. Tu vois à quel point je t'aime truie ! "

Vlan !

" Dix ! Merci Maître. Oh Maître, vous m'aimez tant Maître, je m'en rends compte maintenant ! "
chrislebo

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" Mais je ferais encore plus pour toi sale pédale, pissotière puante ! "

Vlan !

" Onze ! Oh merci Maître. Merci infiniment de faire de moi votre pissotière puante. A quoi pensez-vous encore Maître ? Quelle autre preuve de votre amour pour moi Maître ? "

Vlan !

" Tu ne t'en doutes pas pauvre conne ? Allez devine ! "

Vlan !

" Douze ! Merci, merci Maître. Pardonnez moi d'être aussi conne Maître, non je ne vois pas Maître "

" Est-ce que tu aime mes odeurs chienne ? "

Vlan !

" Treize. J'ai mal, vraiment mal Maître. Vous me faites très mal Maître, mais je vous supplie de continuer Maître. "

La crise de nerfs me repris, je bavais, mon nez coulait, il me semblait que j'épuisais toutes les larmes de mon corps, j'étais à nouveau secoué de sanglots de manière incontrôlable... Je délirais...

" Pitié Maître. J'ai trop mal Maître. Arrêtez, je vous en supplie Maître... "

Vlan !

" Non ! J'aime trop ca connasse ! Tu vas recevoir toute ta punition ! Et puisque tu as osé me demander d'arrêter alors que ton seul but doit être mon plaisir et seulement mon plaisir à moi, quoiqu'il t'en coute, alors je vais recommencer la punition à zéro ! Tu as bien comprise connasse ! "

" Oui maître, j'ai bien comprise Maître. Je vous supplie de recommencer Maître. Merci de me montrer votre amour si fort maître. "

Vlan !

" Un... Merci à nouveau Maître. "

Vlan !

" Alors dis-moi quelles mistert les odeurs de moi que tu aime, sale tapette ! Est-ce que tu aimes renifler mes aisselles ma pédale ? "

" Deux... Aie ! Merci Maître. Oh oui ! Ca sent très fort sous vos aisselles Maître ! Ca sent très fort la transpiration ! J'aime sentir quand vous avez beaucoup transpiré et que les poils de vos aisselles mistert luisants de gouttes de sueur. "

" Tu aimes sentir l'odeur des blacks pauvre pédale ! Des blacks qui ne se mistert pas lavé depuis une semaine et qui ont transpiré en faisant de la gym tous les jours ? Tu as toujours aimé cela avoue le ! "

Vlan !

" Trois ... Ca m'a beaucoup toujours très troublé Maître. Vous sentez si fort Maître. Et votre odeur est si musquée... Votre odeur de mâle noir, si beau Maître, si prégnante... j'ai très honte maître, mais cela me trouble beaucoup, je dois vous l'avouer Maître. "

" C'est normal, je ne sens pas la petite tapette efféminé blanche comme toi ! Et mes couilles ? Tu aimes l'odeur de mes couilles ? "

Vlan !

" Quatre... Merci... Oh oui Maître. Elles mistert si grosses, au moins deux fois plus grosses que les miennes, elles semblent si pleines, mistert si noires, si velues... Et leur odeur me fait vraiment tourner la tête Maître, je vous jure, c'est vrai ! "

Vlan !

" Connasse ! Ne me parle jamais plus de tes couilles où je te les arrache ! Une tapette comme toi n'a pas de couilles ! Tu n'as que des ovaires ! De tous petits ovaires ! J'espère que tu as bien comprise ! Et mon sperme, est ce que tu aime mon sperme connasse ? "

Vlan !

" Cinq. Encore Maître. Oui Maître, votre sperme sent si fort. Om est si épais, globuleux. Et surtout abondant. Oh oui Maître, vous avez beaucoup de sperme Maître.

" C'est bien chienne... Je vois que le dressage commence à faire mister effet. Mais nous avons le temps... Tu va voir... Tu vas encore progresser... Pour l'instant ce ne mistert que nos " fiançailles " Tu verras quand nous serons vraiment mariés pour de bon... Et ma pisse, est ce que tu aime mon pisse connasse ? Ce n'est pas du pipi de fillette ca ! "

Vlan !

" Six. Oui Maître. Votre pisse sent fort aussi. Elle est très foncée... Très acre et acide. Je vous remercie de me laisser boire votre pisse pour me prouver combien vous m'aimez Maître.

" Hum ! Je vois que j'ai affaire à une connaisseuse ! As-tu déjà gouté de la pisse connasse ? Je l'espère, sinon ca veux dire que ce que tu dis su ma pisse ne mistert que des menmisterges, car tu ne peux pas faire de comparaimister... Alors lopette ? Serais tu une sale petite menteuse ?

Vlan !

" Huit... Oh non Maître. J'ai honte... Maître... Mais je dois vous l'avouer, j'ai déjà gouté ma posse... Par curiosité... Pour voir le goût qu'elle avait... "

" C'est bien la preuve que tu es une pauvre tapette connasse ! "
chrislebo

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" Et mes pets ? Est-ce que tu aimes aussi l'odeur de mes pets ? Réponds truie ! "

Vlan !

" Neuf... Aie ! J'ai mal Maître... Oh... Ils me font tourner la tête Maître. Ils sentent si fort.... Ils mistert si... envahissant quand je suis la tête sous votre jogging Maître... "

" Ils sentent quoi connasse ! Tu n'as pas dit ce qu'ils sentaient pauvre merde ! Dis-le ! "

Vlan !

" Dix... Ils sentent.... Ils sentent.... fort.... la ... merde Maître. Ils sentent votre merde Maître. "

" Et alors ? Tu aimes ? Tu aimes donc l'odeur de ma merde connasse ? C'est bien vrai cela ? "

Vlan !

" Onze... Merci Maître. Oui Maître, c'est dur au début de sentir vos pets mais maintenant je commence à m'y habituer maître. "

" Et ma merde ! Mes gros étrons ! Mes boudins bien noirs et épais, bien dur, plus durs et plus gros que ton petit clito de tapette, tu me montreras combien tu aimes la sentir chiennasse ? "

Vlan !

" Douze... Merci... Oui je la sentirais pour vous Maître. Pour vous montrer à quel point je vous aime ! "

" Et bien tu vas la renifler ! Tout à l'heure ! Quand j'irais m'asseoir sur la cuvette pour chier, tu te mettras à genoux entre mes jambes, tu prendras mon gland en bouche sans le sucer, et tu avaleras ma pisse, ton nez dans mes poils pubiens ! Et je chierai ! Tu entends connasse ! Je chierai pou que tu puisses enfin sentir l'odeur de ma merde ! Comme tu auras la bouche prise, et que tu seras forcée d'avaler ma pisse, tu devras respirer à fond entre deux goulées de ma pisse âcre, et tu RESPIRERAS l'odeur de ma MERDE ! Je te tiendrais la tête et tu ne pourras pas bouger. Et tu la sentiras tant que j'en aurais envie. J'aime bien rester longtemps assis aux toilettes, sans tirer la chasse, pour que l'odeur s'imprègne bien dans toute la cellule. Ca dégoute les gardiens quand ils entrent, mais toi tu vas aimer cela n'est ce pas ma petite pute adorée ? "

Vlan !

" Treize. Oh c'est trop Maître, j'aurais trop honte Maître. "

" Tu t'habitueras, cela fera partie de ton dressage... Je te masserai le clito une fois que j'aurais pissé pour te donner un peu de plaisir.... Mais si tu bandes je t'écraserai les couilles ! Car tu n'a plus le droit de bander bien compris ! Il faut que tu associe l'odeur de ma merde au plaisir, mais sans pouvoir bander ! Que tu t'habitue, pour notre nuit de noce ! Car tu sais ce qui arrivera lors de notre nuit de noce connasse ? "

Vlan !

" Quatorze. Oh... j'ai mal... j'ai très mal maitre... "

Une nouvelle crise de nerfs... j'étais épuisé... Prêt ou " prête " à n'importe quoi pour arriver au bout de mon calvaire... " Que se passera-t-il Maître ? "

" Tu es curieuse ! Hein ! Comme toutes les femelles ! Impatiente dés qu'on leur parle de cadeau ! Avoue ! "

Vlan !

" Quinze ! Oui Maître. Dites le moi je vous en supplie. Dites moi quel cadeau vous me ferez ! "

" Je te ferais cadeau de ma MERDE connasse ! Je te CHIERAI EN BOUCHE putasse ! Tu seras heureuse ma chienne ? "

Vlan !

" Seize. Oh merci Maître " Je ne savais plus ce que je disais... J'avais trop mal... trop honte... Que ce cauchemar se termine vite ! Qu'il me laisse 5 minutes tranquilles, que je récupère ! "

" Je te chierai mon gros étron dans la bouche. Je t'aurais mis un écarte bouche comme ca tu ne pourras pas fermer la chiotte qui te sert de bouche... Tu ne pourras pas ferme tes lèvres... Juste remuer ta langue de pute pour lécher mon étron... Le laisser fondre dans ta bouche comme un gros bonbon... "

Vlan !

" Dix-sept Maître. Oh Maître... Mais je risque de m'étouffer Maître. "

" Non connasse ! Car tu pourras respirer par le nez. On gardera le bout de l'étron qui n'aura pas pu entrer dans ta bouche. Tu la mettras dans une gamelle pour plus tard... Quand l'autre se sera complètement dissous. Pour ne pas sentir l'odeur de ta bouche pleine de merde, ta bouche de chiotte vivant, tu t'allongeras sur le dos, et je te mettrais une serviette sur la tête pour ne pas être dérangé par les odeurs. "
chrislebo

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Vlan !

" Dix huit Maître. Oui Maître je ferais tout ce que vous voudrez " Il délirait, c'est sûr. Il était fou d'excitation. Je voyais mister gros gland qui bavait sans interruption...

" Et ton clito de salope ! Fini les branlettes ! Tu porteras une cage de chasteté ! Et avec des pointers à l'intérieur ! Toute tentative d'érection te sera extrêmement douloureuse ! Tu apprendras vite à réfréner tes désirs ! Au bout de quelques mois de ce traitement, tu auras tellement bien appris à contrôler tes érections que tu seras devenu totalement impuissant ! Tu n'auras plus jamais d'orgasme ! Ainsi tu ne pourras plus avoir du plaisir que par ta chatte ! C'est pourquoi tu t'occuperas bien de ma bite, et que tu chercheras constamment à m'allumer comme toutes les salopes ! Pour avoir ma bite dans ton cul de lope ! "

Vlan !

" Dix-neuf Maître. Aie... J'ai très mal Maître. " Je ne comprenais rien à ce qu'il disait. D'ailleurs c'est à peine si je l'entendais, tellement j'avais mal, la douleur irradiait tout le bas de mon corps...

Cela continua encore, et encore. Vingt, puis trente et finalement quarante coups. Enfin le dernier. Je tremblais. Je pleurais tellement que la morve me coulait du nez, je tremblais de la tête aux pieds. Je n'avais jamais eu aussi mal. Mes fesses, mes cuisses, devaient être en charpie. La douleur irradiait tout le vas de mon corps... Je n'étais plus qu'une chose tremblante à sa merci.

Finalement, il me releva en m'empoignant par le bras. Je me mis péniblement debout, tremblant, le visage ruisselant de larmes, je n'arrivai arrivé à me tenir droit à cause des coups de poings qu'il m'avait donnés dans le ventre. Il me redressa en serrant la main gauche sur mon cou, mais tremblant à moitié, et me mis quatre superbes claques sur le visage. Je suffoquais.

" Maintenant, il faut te laver la chatte ma chérie. Pour être bien propre et ne pas souiller la bite de ton Mari. N'est ce pas mon cœur ? "

Je balbutiais un " Oui... Maître... "

" Il faudra te laver la chatte tous les matins. Je vais te montrer... "

Il sorti de mister placard un bock muni d'un long tuyau en caoutchouc qui venait se fixer à l'extrémité d'un plug à la tête très renflée. A la jointure du tuyau et du plug, un robinet permettait d'ouvrir ou d'interrompre le flot. Un autre petit tuyau partait aussi de l'extrémité du plug et se terminait par une petite poire... Je regardais, interloquée, ce dispositif étrange...

" C'est un nécessaire à lavement muni d'un plug gonflable... Une fois dans ta chatte de pédé, je gonfle le plug qui te bouche ainsi hermétiquement ton trou de salope. J'ouvre le robinet et le liquide peut alors s'écouler à l'intérieur de toi. Pour bien te nettoyer, chérie. Puis quand je juge que tu en as assez pris, je ferme le robinet et je peux alors retirer le tuyau. Ainsi le plug peut rester en toi et tu peux garder le liquide dans ton ventre aussi longtemps que je le désire... pour bien te nettoyer tout l'intérieur chérie... "

Il fit couler l'eau chaude du robinet et remplis le broc à moitié environ....

" Pour une première fois, on va se contenter d'un demi litre... Mais tu verras, avec un peu d'entrainement tu pourras en avaler plus d'un litre. Maintenant à quatre pattes chienne, et relève bien le cul ! "

Il accrocha le broc emplit à un des montants du lot double, bien en hauteur, lubrifia légèrement le plug et l'enfonça d'un coup sans ménagement dans ma " chatte ". Cette intromission vulgare me fis mal, mais je poussais un gémissement et serrait les dents sans crier, pour ne pas le mettre à nouveau en colère. Mes fesses me faisaient déjà tellement mal...

Ensuite il actionna la poire du plug, ce qui le fit grossir, et grossir encore en moi. J'avais l'impression qu'on m'écartelait l'intérieur de l'anus. En même temps, cet engin appuyait fortement sur ma prostate, ce qui n'était pas désagréable, bien au contraire. Je me mis à gémir doucement...

" Oh... ma petite salope aime ca on dirait... Ca te plait quand on appuie sur ton point d'amour, hein dis moi ? "

" Oui... Maître.... C'est... une sensation... bizarre Maître.... Mais c'est bon Maître... "

Il fit bouger le plug tout gonflé en moi, l'appuyant encore plus sur ma prostate... Je sentis une nouvelle sensation bizarre... Comme si j'urinais... Quelque chose coulait de mon sexe, comme si j'éjaculais... Mais je n'avais pas de contraction et pas d'orgasme... Cela coulait en long filament au bout de mon sexe...

" Oh... mais on dirait que ma petite chérie mouille comme une grande... Voilà que ton clitoris se met à couler... Humm... J'adore... Il va couler de plus en plus crois moi. Car désormais, fini les branlettes, plus d'orgasmes, tu n'auras de plaisir qu'avec ta chatte comme une bonne femelle... Mais, nous verrons cela plus tard... Pour l'instant contentons nous de te nettoyer comme il faut ma chérie... "

Il s'écarta de moi et ouvrit en grand le robinet fixé au plug. Immédiatement le flot gicla au fond de mes entrailles... C'était très chaud, mais pas brulant, et pas désagréable... Ca coulait.... ca coulait encore et encore... Bientôt cela me remplit tout l'intestin (du moins j'en avais le sentiment), et j'avais l'impression que mon ventre se mettait à gonfler...

Pendant ce temps il me caressait doucement le ventre et les fesses...
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