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permettez-moi de vous présenter ma femme

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cpltrio1

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#1
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goldcaesar
superbe histoire . J'esp�re qu'il y a une suite!!
goldcaesar

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#2
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Merci. Voici la suite.

Un soir, en rentrant, je trouvai Vincianne particuli�rement radieuse. Elle semblait flotter sur un nuage de contentement. Je lui demandai les raimisters de cette humeur et elle me dit qu�elle se sentait bien, sereine, �quilibr�e, que tout �tait parfait. Je devinai qu�elle s��tait fait sauter cet apr�s-midi, en mon absence, et n�eus aucun mal � imaginer avec qui. Je me mis � bander � cette id�e. Vincianne partit faire � manger tandis que je m�isolai dans mon bureau pour me branler en imaginant l�apr�s-midi qui venait de s��couler. Tout � une excitation folle, je n�entendis pas ma femme entrer dans mon bureau pour me dire que le repas �tait pr�t. Elle me surpris la queue dans la main, en train de mater des images de sexe interraciales sur Internet, support visuel � ma branlette. Elle s�indigna aussit�t, de mani�re incroyablement vulgare. Elle me demanda si je faisais �a souvent, et depuis longtemps. Elle ne comprenait pas que je me branle plut�t que de la baiser le soir. J�avoue n�y rien comprendre moi-m�me.

Je ne pouvais supporter de me trouver ainsi chop� et, pi�tre d�fense, je lui demandai pourquoi elle s�envoyait en l�air l�apr�s-midi avec un mec plut�t que d�attendre que je la baise le soir. Je lui racontai que je les avais surpris, que j�avais regard�, qu�il semblait, en effet, bien mont� et qu�il pouvait, certainement, bien la faire jouir, mais que ce n��tait quand m�me pas bien. Je n�arrivais, n�anmoins, pas � mettre suffisamment de col�re dans mon r�cit pour dissimuler l�excitation que j�avais ressenti en les voyant, ni pour cacher l�excitation que j�avais, maintenant, � raconter ce que j�avais vu.

Je vis mister regard changer � mesure que je lui disais ce que j�avais vu. Si, au d�part, elle avait pu sembler coupable, elle comprenait, maintenant, ce que signifiait ma passivit� face � ses �bats. Elle avait compris qu�elle avait, d�finitivement, pris l�ascendant sur moi et qu�elle �tait devenue seule ma�tresse de mister destin. Elle me toisa, alors, d�un regard froid et me dit que je n��tais qu�un l�che, une fiotte, un puceau et qu�elle allait m�apprendre � �tre un homme. Penaud, je me laissai faire, je me laissai traiter comme une merde par cette femme que j�aime tant, mais � qui je suis incapable de fournir tout le plaisir dont elle a besoin.

Vincianne me prit par la main et m�emmena vers le garage, o� elle m�ordonna de me d�shabiller et de me coucher sur le sol. J��tai mes v�tements en frismisternant et m�allongeai sur le b�ton froid, la queue fr�missante au contact de la poussi�re. Ma femme posa mister talon haut sur mon dos et l�enfon�a doucement (encore une nouveaut� que je n�avais pas remarqu�, elle portait, maintenant, des talons, hauts et fins, et une jupe.) Elle fit, ensuite, descendre mister talon jusqu�� mes fesses, piqua celles-ci puis fit glisser mister talon entre les fesses, vers le trou du cul, qu�elle fr�la. Elle changea, ensuite, d�avis et m�ordonna de fermer les yeux jusqu�� ce qu�elle soit de retour. Je m�ex�cutai en bandant.

Elle revint deux minutes plus tard avec un assez long bout de cordage en nylon dont j�ignorais la provenance, et m�attacha les mains dans le dos de mani�re assez experte. Avais-je, vraiment, pass� tant de temps que cela loin de ma femme pour la voir chang�e � ce point ? Elle m�ordonna, alors de rester couch� � plat ventre sur le sol et saisit, alors, une cheville et l�attira vers mes poignets ligot�s, formant avec moi une sorte de petit paquet. Elle lia, ensuite, l�autre cheville aux trois autres membres. J�ignorais quelle �tait, pr�cis�ment mister intention, mais j��tais assez excit� pour l�honorer de toutes les mani�res qu�elle voudrait, ce soir. Elle n�avait, pourtant, je le vis assez vite, aucune intention de se faire prendre par moi. Elle �ta sa culotte, gardant sa jupe et ses talons. Elle me dit qu�elle avait pass� l�apr�s-midi avec Mabassa, qu�elle l�avait bien fait jouir dans sa chatte et qu�elle avait gard� le jus en elle. Elle glissa les doigts dans mister con et les porta � sa bouche, pas d�go�t�e. Elle me cracha, ensuite, un m�lange de salive, de mouille et de traces de sperme sur l��paule, ultime offense. Elle me laissa, ensuite, attach� sur le sol durant pr�s d�une heure. Sans m�me me toucher (et pour cause), je jouis deux fois, souillant le sol en b�ton sous moi.

Vincianne revint, ensuite, au garage et, avant de me d�tacher, elle me dit qu�elle avait bien r�fl�chi et qu�elle comptait bien continuer mister aventure avec Mabassa, et d�autres, si elle voulait et que je n�avais qu�� m�en accommoder. Elle me dit, �galement qu�elle �tait assez excit�e � l�id�e que je les avais regard�s et qu�elle voudrait recommencer cela, en sachant, cette fois, que je les matais, pour pouvoir me faire un film rien qu�� moi, parce qu�elle m�avait pardonn� et qu�elle voulait que, moi aussi, j�y trouve mon compte. A ce moment, ma femme devint exhibitionniste pour moi.
goldcaesar

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#3
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Vincianne d�cida, ensuite, qu�elle voulait que je la mate alors qu�elle se taperait deux mecs. Elle me dit : � - Je vais aller chercher deux gars et tu vas les regarder me baiser. Tu vas voir comment deux mecs peuvent se taper une salope comme moi. Je vais les choisir beaux comme des dieux, tr�s bien mont�s, tr�s brutaux. Je vais les faire juter comme des fous, sur mon corps et dans mon corps, pendant que tu les regarderas, sans pouvoir me toucher. As-tu une pr�f�rence quant � leur genre ? me demanda-t-elle. � Je veux que tu me ram�ne deux noirs, m�entendis-je d�clarer, mortifi� par ce cri du coeur. � Avec un rictus approbateur, elle alla se mettre une tenue de sortie pour aller draguer en bo�te. Elle me dit de m�habiller aussi, un jeans et une chemise, tout classique, gentil gar�on. En l�attendant, je dus r�primer un commencement d��rection, qui continua de plus belle lorsque je vis Vincianne descendre les escaliers, habill�e comme une vraie sale pute. Elle avait choisi une jupe en ska� noir ras de la chatte, un petit t-shirt rose tr�s moulant, des pompes � tr�s hauts talons et le collier que je lui avais offert pour no�l. Elle portait, �galement, un bracelet de cheville et un maquillage assez cors�. Je lui demandai o� elle comptait avoir ses entr�es dans cet accoutrement. � -T�occupe, je connais des endroits, me r�pondit-elle. �

Elle prit le volant de mon Audi Break et se dirigea vers un quartier de la ville o�, plus jeune, j�allais � l�occasion avec des potes pour mater les putes, se payer un peep-show ou sortir dans des bo�tes pas ch�res et o� tout est permis. Je n�y �tais pas venu depuis longtemps. J�ignorais que Vincianne y soit d�j� venue. Pas avec moi, en tous cas. Elle me dit qu�on avait pris ma voiture pour que je puisse partir si �a n�allait pas pour moi, qu�elle se d�brouillerait pour rentrer. Elle semblait quand m�me un peu mal � l�aise en sortant de ma voiture familiale, mais elle se dirigea sans h�siter vers une bo�te au n�on tapageur, d�o� sortait un hip-hop de folie. Le sorteur, un grand black tr�s baraqu�, la gratifia d�un regard approbateur et la laissa entrer. Essayant de la suivre, je fus irr�m�diablement bloqu� par cent vingt kilos de muscles d��b�ne. Je levai la t�te vers le cerb�re, me pr�parant � parlementer, doutant qu�il soit d�humeur � m��couter, mais ma femme lui dit : � - Laisse, Daniel, il est avec moi. � Le videur �clata de rire. Merci bien.

En entrant, je remarquai tout de suite que l�endroit n�avait pas grand chose � envier au reste du quartier. A part la musique qui d�chirait et le monde fou qui peuplait la bo�te, pas grand chose � voir avec les grandes bo�tes branch�es o� j�emmenais encore Vincianne de temps en temps, la laissant danser tandis que je vidais des verres avec les potes. La foule �tait m�tiss�e, c�est � dire qu�il y avait toutes les couleurs de m�tis, depuis les noirs d��b�ne jusqu�aux caf� au lait. Nous �tions les seuls blancs. En fait, je remarquai rapidement que j��tais le seul blanc dans ma t�te .Vincianne, qui attirait l�attention par sa tenue et mister attitude provocante, ne posait pas probl�me et se fondait entre les gens mais ma d�gaine ne collait pas aux lieux. Je me glissai dans un coin, me faisant tout petit pour me faire oublier, laissant Vincianne prendre possession de la piste.

Elle commen�a par embrasser du regard l�ensemble des mecs pr�sents, qui n��taient pas trop accapar�s par des filles, et rep�ra deux mecs bal�zes, habill�s tout en noir, qui guettaient la salle depuis le bar d�un air de pr�dateurs. Elle s�approcha d�eux et commen�a � discuter. Ils lui offrirent un verre, puis un autre et un troisi�me. Ils avaient compris qu�elle r�agissait assez vite � l�alcool. Je les voyais parler, faire des blagues, rire. Vincianne semblait tr�s � l�aise avec eux et cela me comblait de jalousie et d�excitation. Elle riait en s�appuyant � leurs �paules, � leurs bras et eux commen�aient � y croire et � la fr�ler de mani�re de plus en plus fr�quente. A un moment, je les vis s�esclaffer puis se tourner vers moi, les deux blacks arborant un air goguenard et ma femme une allure de d�fi.

Ils se dirig�rent vers la piste et commenc�rent � danser � trois, les deux blacks entourant ma femme, leurs trois corps ondulant au m�me rythme, un sandwich mouvant. Ils dans�rent vingt minutes, commen�ant � transpirer, de plus en plus coll�s, leurs sueurs se m�lant dans une mont�e d�excitation commune. Les mains des deux mecs coll�es sur le corps de ma femme, sur ses hanches puis, de mani�re de plus en plus pr�cise, sur le ventre, la naissance des fesses et des seins, puis presque � pleine mains. Durant ces vingt minutes, Vincianne me regarda cinq fois en tout et pour tout ; toute � mister excitation, elle m�avait presque oubli�. Les mecs, eux, me regardaient avec dans le regard un message de m�pris. Chaque fois, maintenant, que leurs mains se partageaient le corps de Vincianne, ils regardaient mon impuissance avec amusement. Ils l�embrassaient � tour de r�le, leurs langues roses s�enroulant avec la sienne. Elle avait, maintenant, oubli� ma pr�sence, toute � mister plaisir. Leur danse sentait le sexe et c�est pour �viter un r�el attentat � la pudeur qu�ils d�cid�rent de quitter la bo�te.

Je leur embo�tai le pas, traversant la bo�te en me faisant bousculer plus de vingt fois, affol� � l�id�e de manquer quoi que ce soit. Je restai bloqu� par Daniel qui matait, hors de ma vue, ce que je devinais �tre les pr�misses d�une partie de baise. Je tentai de me faufiler comme une anguille pour, moi aussi, profiter du spectacle. Merde, je n�avais pas mis ma femme � la disposition de ces mecs pour ne pas m�me pouvoir les mater. Enfin, je dis que j�avais mis ma femme � disposition, c�est une mani�re de parler. Avais-je, vraiment, eu le choix dans cette histoire ? Le videur bloquait la porte de toute sa masse, s�amusant de mes efforts vains, commentant la sc�ne invisible : � - Putain, elle est chaude ta femme. Elle va se faire d�foncer et elle a l�air d�en avoir vraiment envie. J�ai rarement vu une gonzesse aussi chaude. Elle a s�rement pas appris �a avec toi.� Il �clata de rire. Je finis par passer, fulminant.

Dans la ruelle devant la bo�te, ma femme se faisait embrasser par les deux mecs � la fois, leurs mains enfonc�es jusqu�au coude dans mister soutien gorge et dans sa culotte. Ses deux mains �taient pos�es sur les braguettes gonfl�es, les massant. Elle avait pench� la t�te en arri�re, offrant sa gorge � leurs langues. La vulgarit� de ce contact m��lectrisa. Je fon�ai vers la voiture, � reculons, pour ne rien perdre du spectacle. Je savais qu�il fallait ramener tout ce beau monde � la maimister si nous voulions �viter de nous faire embarquer. Heureusement, la voiture �tait parqu�e tout pr�s et, allumant les moteur et les phares, je revins en trombe vers l'entr�e de la bo�te. J'eus un moment de panique en ne les voyant plus, mais ils �taient juste pass�s de l'autre c�t� du coin, pour s�abriter un peu des regards. Ils en �taient, heureusement, au m�me point, continuant � se caresser, � se branler mutuellement. Je fis un appel de phares et Vincianne sembla se rappeler mon existence. Elle attira les deux mecs vers l�intimit� de l�habitacle.

Ils mont�rent � trois � l�arri�re, la lumi�re crue de la porti�re faisant ressortir leurs traits extasi�s. Vincianne s�assit entre les deux mecs et me dit de les ramener. Je ne dis mot. La promiscuit� avec moi semblait refroidir un peu les deux types qui avaient un peu l�ch� ma femme. � - Vous inqui�tez pas pour lui, leur assura Vincianne, il dira rien. Venez plut�t vous occuper de moi et toi, conduis. � Ce fut comme le signal de l�orgie. Un des mecs l�embrassa en lui saisissant un sein. Vincianne lui dit : � Oh, oui, Pierre, continue. � L�autre lui caressait les cuisses. Elle lui dit : � Vas-y, Fred, c�est bon. � Cela tint lieu de pr�sentations. Je ne crus pas bon de me pr�senter moi-m�me. J�ajustai le r�troviseur pour ne rien manquer et me mis en route. Je roulais tr�s lentement, matant le spectacle sur la banquette arri�re. Ils s�embrassaient tous les trois, leurs trois langues m�l�es, Vincianne immobilis�e entre ces deux gaillards. Les mains des deux types la caressaient partout jusqu�� ce que l�un d�eux s��loigne un peu pour lui �ter mister soutien-gorge. Elle garda mister t-shirt rose, remont� jusqu�aux �paules et je pouvais, � pr�sent, voir ses t�tons dard�s, tout roses, eux aussi, que la langue du premier mec (Pierre, je crois) l�chait avec d�lices. L�autre (Fred, sans doute), ouvrit la fermeture � glissi�re de sa jupe et la fit glisser, comme sa culotte, vers le sol. Elle �tait, maintenant, presque nue sur le cuir beige et sa chatte palpitait, luisante de mouille. Fred glissa sa main vers la fente et �carta les l�vres du bout du doigt. Vincianne faillit jouir sur l�instant.

Vincianne sentait mister corps picoter de partout, le contact de ces mains sur elle la ravageait. Elle ouvrait les jambes presque en �querre, les genoux relev�s, pour mieux faire p�n�trer les doigts en elle. Elle regardait sa chatte aspirer la main et le jus de ses nymphes briller sur la peau noire. Son corps �tait br�lant, la t�te renvers�e en arri�re, elle prenait un pied d�enfer.

Pierre commen�ait � se lasser de sucer les t�tons et remua pour attirer l�attention sur lui. Vincianne sortit de sa torpeur et l�attira vers mister visage pour l�embrasser, sa main cherchant le renflement du pantalon. Elle d�fit les boutons et fit jaillir la bite. Elle la regarda avec un air gourmand et resserra sa main autour de la base de la hampe, fr�lant les couilles dans le slip. Je n�arrivais pas � bien voir, ce qui fait que je me contorsionnai, essayant de modifier la position du r�troviseur. La voiture fit une embard�e. � - Fais gaffe, connard, me dit Fred. - Pardon, mais ce n��tait pas volontaire. -Ta gueule, me r�pondit-on, � l�arri�re. � Le ton �tait lanc�. Lorsque j�osai quitter � nouveau la route des yeux, Vincianne �tait en train de caresser la queue de Pierre, faisant coulisser sa main tout le long de la hampe noire, d�calottant le gland � chaque mouvement. Pierre soupirait d�aise. Pour ne pas rester en solo, Fred d�faisait mister pantalon et le fit glisser, avec mister slip, sur une queue magnifique, longue et �paisse, au beau gland circoncis. Vincianne, le visage radieux, agrippa la bite de sa main libre et, les jambes �cart�es, pos�es sur les jambes nues des deux types, elle les branlait avec conviction. Pierre avait repris la caresse de la motte de Vincianne et l�autre, qui avait pass� mister bras sous elle, lui caressait le cul. Ma femme frottait ces deux queues band�es contre ses jambes nues, branlant � l�unismister les deux potes qui n�en revenaient toujours pas. J�avais sorti ma bite pour me caresser. Pierre s�exclama : � Eh, regardez, la fiotte se tripote. T�aimes �a, hein, mater ta femme se faire troncher. Putain, mais c�est qu�il en a une belle. Dommage que ta femme n�en veuille plus. � Ils �clat�rent de rire tous les trois.

Ils en voulaient plus. L�un dit : � - Allez, suce-moi, viens go�ter mon gros bonbon. � Merde, si tu savais comme j�en ai r�v�, lui dit-elle. � Vincianne se pencha vers la queue de Fred et la prit entre ses l�vres, faisant le vide dans sa bouche. Putain, je ne l�avais jamais vu faire �a. Elle avait appris des trucs de fou ces deniers temps. Ses joues creus�es par l�aspiration, elle s�en prenait bien dix centim�tres dans la bouche. Sa main se referma sur la base de la pine et commen�a un va-et-vient tr�s limit� par les l�vres toutes proches. Puis, elle sortit un peu plus de bite et commen�a une fellation de reine. Les bruits humides qui peuplaient la voiture me rendaient fou. Je pouvais sentir l�odeur sucr�e de la mouille de Vincianne que ces mecs �talaient de leurs doigts, l�odeur aigre de leur sueur et celle, plus fade, des gouttes d�excitation qui perlaient sur le m�at de Pierre que Vincianne avait un peu d�laiss�.

La lumi�re �tait vraiment insuffisante dans l�habitacle de cette voiture, la lumi�re des lampadaires ne me permettait que de voir � de trop rares intervalles la r�alit� de ce qui peuplait ma banquette arri�re. Vincianne d�cida, alors de s�occuper de Pierre, qu�elle n�avait cess� de branler de sa main libre, mais avec un peu de maladresse. Elle lui dit : � - Attends que je te fasse jouir, j�en ai tellement envie, je veux tellement que tu me souilles de ton sperme. � Elle approcha mister visage de la deuxi�me queue et flaira l�excitation. Elle admira la goutte transparente qui perlait au m�at, maintenant qu�elle avait cess� de le branler. Elle le lapa et s�en rengorgea, avant de plonger litt�ralement vers la bite. Elle semblait vouloir le faire jouir en quelques secondes. Il prit � peine une minute pour cela. Elle le pompait de plus en plus vite, le branlant en m�me temps.

Il avait pos� la main sur ses cheveux, d�un air protecteur et sentait venir le sperme du fond de ses couilles. Il n�annon�a rien et Vincianne, qui sentit contre sa langue, dans la bite, le foutre monter � l�assaut de sa bouche, se prit un v�ritable jet directement sur les amygdales. Elle le pompa encore, d�glutissant le sperme inconnu. Il grognait et crispait sa main dans les cheveux, les tirant et faisant un peu mal � ma Vincianne qui giclait elle aussi, les doigts de Fred dans la chatte. Le foutre que Vincianne n�avait pas r�ussi � avaler coula sur mister menton et sur mister t-shirt relev� et ses seins roses quant elle releva la t�te. Pierre �tait renvers� en arri�re, les yeux ferm�s, la queue mollissante couverte d�une pellicule de sperme et de salive. Vincianne essuya la queue de sa main et vint la frotter sur mon gland dress� en me murmurant : � - Ce n�est qu�un d�but, mon amour, tu vas d�guster��, puis porta le doigt � sa bouche.

Fred, lui, semblait vouloir jouir dans sa chatte et lui imprima une pouss�e dans le dos. Elle se pencha, donc, sur les genoux de Pierre et s�allongea tant bien que mal, la queue, molle, � pr�sent, tout contre mister visage. Fred lui �carta les jambes, se fraya un passage vers la chatte tremp�e et y apposa sa bite immense. Il poussa un peu, jusqu�� ce que la t�te presse entre les l�vres, et l�introduit jusqu�� mi-gland. La queue �tait en gros plan en plein dans le centre de mon r�troviseur, et je voyais les l�vres palpitantes, gorg�es de sang, comme appeler cette bite entre elles. De la mouille d�bordait de la chatte et le gland, vu par en dessous, avec sa sym�trie parfaite, charnu, brun fonc� tirant sur le noir, for�ait le passage entre les jambes tr�s blanches dans cette lumi�re crue. Nous �tions arr�t�s � un feu lumineux et je pouvais tout � loisir mater les premiers centim�tres de p�n�tration, les plus excitants � mon sens. L�interminable bite commen�a � p�n�trer la chatte de Vincianne, centim�tre par centim�tre. Chaque pouss�e �tait suivie par un l�ger retrait qui me d�voilait la hampe couverte d�une pellicule de mouille, des jus intimes de ma femme qui coulaient pour ces types.

Vincianne sentait la queue la ramoner. Elle pouvait percevoir les vibrations dans la bite de Fred, trop excit� pour se retenir longtemps, les veines palpiter contre ses muqueuses, le bourrelet du gland powerr les replis de mister vagin. Elle sentait le ventre muscl� du mec claquer contre ses fesses et fr�ler le trou du cul lors des pouss�es plus vigoureuses qui �cartaient les globes. La deuxi�me queue, contre mister visage, s�anima lentement, s�ouvrant comme une corolle. La bite se dressa et le gland sortit tout seul du pr�puce, lubrifi� par le sperme de sa jouissance pr�c�dente. Vincianne emboucha le long tuyau brun, prise en sandwich entre deux noirs qu�elle voulait faire jouir. Pierre, qui avait pris un peu de retard sur Fred, s�excitait � vitesse maximale. La petite salope qui frottait ses seins sur sa jambe et qui se faisait baiser par mister pote l�excitait au plus haut point. Fred allait et venait entre les jambes de ma femme, me jetant, � l�occasion, des regards d�ours en rut. Ils violaient ma femme et jouissaient de voir � quel point �a me ravageait.

Vincianne sortit la bite de Pierre de sa bouche pour les invectiver : � - Allez, les mecs, je veux vous sentir jouir, je veux vous sentir en m�me temps, me sentir inond�e de vous des deux c�t�s. Jutez en moi, bordel, souillez-moi de votre sperme. Je veux votre sperme. � Pierre juta pour la deuxi�me fois, je voyais les jets de sperme blanc jaillir de ce gland noir en rafales sur la joue et les cheveux de Vincianne, qui reprit cette bite en bouche pour l�essorer, tandis que Fred couina en se r�pandant en elle. Elle alla � la rencontre de cette jouissance, poussant mister p�rin�e contre la pine giclante, sentant les contractions de sa chatte jouissante vider compl�tement les couilles tendues. Chaque gicl�e la per�ait comme un poignard br�lant et ti�dissait en coulant de sa chatte sur le cuir. Elle d�bordait de sperme.

Nous arrivions � l�appartement. J�arr�tai la voiture et les laissai se rhabiller vaguement. Lorsque Vincianne voulut prendre ses affaires, Fred les confisqua et lui �ta mister t-shirt, l�obligeant � sortir nue de la voiture dans le parking. Je savais que le concierge, m�me � trois heures du matin, v�rifiait toujours qui rentrait et j��tais mortifi� � l�id�e qu�il la voie nue entre ces deux cerb�res. Je tentai de protester.
� -Ta gueule, c�est nous qui d�cidons. � fut la r�ponse.

Vincianne, qui connaissait aussi bien que moi les habitudes du concierge, mais que cela semblait plut�t exciter de se laisser faire, se dirigea lentement vers l�entr�e de la cage d�ascenseur, nue sur ses talons hauts, sans trop se presser, laissant au concierge tout le temps de quitter mister fauteuil et sa t�l� pour venir entrouvrir le rideau de sa loge. Nous marchions dix pas derri�re et v�mes parfaitement le rideau se soulever, s�abaisser machinalement, puis s�entrouvrir � nouveau, plus rapidement, pas tout � fait aussi discr�tement, comme sous l�effet d�une irr�pressible surprise.

Il resta ouvert tout le temps que mit Vincianne � traverser le parking. Elle accentua les mouvements f�lins de mister corps de salope pour lui, ondulant la croupe, offerte � ses yeux, consentante et excit�e. A coup s�r, ce soir, Vincianne aurait les faveurs d�un autre sperme, lorsque ce vieux porc se branlerait en pensant � ses seins fermes, mister ventre doux, ses fesses dures et ses poils de chatte soyeux et qu�il l�cherait mister sperme sur sa robe de chambre en imaginant que c��tait entre ses cuisses blanches.

Vincianne semblait avoir retrouv� de la vigueur et elle agrippa la queue que Fred avait sortie de mister pantalon, la branlant et s�agenouillant devant lui dans le parking, sous le regard du concierge invisible. Elle le prit entre ses l�vres, l�chant le gland, faisant ressortir toute la queue pour la frotter contre mister visage. Elle offrait � ce vieux mec tout pourri le spectacle de sa bouche adorable su�ant un noir dans le parking et la vue plongeante sur la chute de ses reins. Elle se tourna, alors, un peu pour qu�il puisse plonger mister regard sur mister trou du cul rose et jusque dans le fond de sa chatte encore d�goulinante de sperme, puis se releva. Elle ne voulait pas faire jouir Fred ici, ni que le concierge change d�avis et d�cide de sortir de sa loge. Elle pr�f�rait l�imaginer se branler plut�t que de devoir, ce soir, c�der � un chantage abject, devoir le faire jouir et se distraire de mister trip � trois.

Nous nous �clips�mes vers l�ascenseur, o� Vincianne monta, toujours nue. Fred la poussa brusquement en avant, ce qui eut pour effet de la coller � moi, pench�e en avant sur ses hauts talons, me dominant, et il lui fourra sa queue dans la chatte, d�un seul coup. Elle �tait encore lubrifi�e de toute la mouille qu�il lui avait soutir�e, et de la derni�re d�charge de Fred. Il entra comme dans du beurre. Elle souffla :
� Oh, si tu savais comme c�est bon, comme je le sens bien. Ta bite ne m�a jamais fait �a. Tu ne m�as jamais empal�e comme �a. Je t�aime. Je vais les faire jouir pour te faire plaisir. � Elle me plaqua sur les l�vres un baiser au go�t de sperme tandis qu�il la besognait. Je pouvais sentir les coups de boutoir de la bite passer � travers tout le corps de ma femme et, par ses l�vres, faire vibrer mon corps aussi.

Nous arriv�mes � notre �tage et Fred se ret
cpltrio1

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#4
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goldcaesar
vite , la suite .
manloser

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#5
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Oui oui, il faut continuer avec plus de dialogues c'est hyper bandant pour ma tite queue. Je pense � Nancy ma femme. J'aimerai tellement la voir ainsi aussi.
goldcaesar

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#6
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Nous arriv�mes � notre �tage et Fred se retira d�elle, ce qui la fit g�mir. Je m�engageai prudemment vers la porte, v�rifiant que permisterne ne sortirait d�un d�ner prolong� pour tomber nez � nez avec une salope � moiti� p�t�e et totalement � poil second�e par deux grands noirs qui lui fourraient des doigts dans le cul. Nous arriv�mes sans encombres � la porte et entr�mes.

Vincianne m�ordonna de servir � boire � ses deux amants, un Jack Daniel�s sec pour Fred, une vodka glac�e pour Pierre et Vincianne. Ils s�install�rent sur le canap�, Vincianne nue, les jambes �cart�es entre les deux mecs baraqu�s, encore habill�s. Apr�s avoir vid� cul sec mister verre givr�, Pierre le frotta contre les seins de ma femme, �rigeant imm�diatement ceux-ci et produisant un regain de sexe dans la pi�ce. Apr�s avoir joui deux fois dans la bouche de ma femme, il voulait, manifestement, lui aussi lui inonder la chatte. Il se d�shabilla tandis que Vincianne embrassait Fred � pleine bouche, tout en fouillant dans mister pantalon � la recherche de la queue immense qu�elle fit jaillir pour l�emboucher aussit�t.

Pierre prit ma femme sous les hanches et la posa sur le canap�, en position d�attente de levrette. De l� o� j��tais, je pouvais voir la chatte palpiter dans l�attente du plaisir. La fente s�ouvrait sur des relents de foutre, elle luisait des liqueurs de la soir�e. Pierre, pas d�go�t�, empoigna sa queue band�e et l�approcha du trou o� elle se glissa avec facilit�, d�un coup, jusqu�� la garde. Vincianne, de plaisir, l�cha la queue qu�elle su�ait, pour l�emboucher de plus belle une fois la surprise pass�e. Elle me jeta un regard o� se r�v�lait sa jouissance. Elle me disait secr�tement que rien de ce qu�elle avait connu jusque l� ne l�avait fait jouir � ce point. Je ressentais de la jalousie, mais aussi une impuissance totale face � cette situation. Je me sentais exclu, paralys�, et j�aurais incapable d�aller les rejoindre, m�me si on m�avait invit�, ce qui n��tait pas le cas. Ma femme m�excluait, comme pour me signaler que sa jouissance ne d�pendait, � pr�sent, plus de moi, qu�elle avait pris mister ind�pendance, que j��tais invit� � mater, sans plus, que ma pr�sence de voyeur lui suffisait.

Pierre s�agitait en elle, ses couilles fouettant le clitoris � chaque mouvement de bassin, les boules noires piqu�es de poils frisott�s, pleines, encore, de liqueur, accompagnaient la rapide cadence de la p�n�tration. Je pouvais voir cette hampe noire coulisser de tout mister long dans la chatte de ma femme, le gland appara�tre, � l�occasion et replonger en offrant � ma femme autant de jouissance qu�elle me causait de d�licieux tourments. Pierre avait gliss� dans le cul de Vincianne un doigt qui, je le devinais, pouvait sentir la p�n�tration � travers la paroi de l�anus. Je m�approchai, en proie � une excitation sans bornes.

� -T�es s�re qu�il veut pas une bite dans le cul, ton mec, dit Pierre, parce que mon pote serait pr�t � la lui mettre. � Je me reculai, un peu effray�, tandis que Pierre, Fred et Vincianne �clataient de rire. La queue de Pierre sortit de la chatte de ma femme sous les pulsations du rire, avec un bruit mouill�. Riant, mais d��ue, elle l�attira � nouveau contre elle avec une moue c�line et faussement implorante : � -Ne l�effraye pas, dit Vincianne, il est un peu timide, un peu l�che, mais c�est un gentil gar�on. Regarde, c�est un peu gr�ce � lui si vous me baisez pour le moment. �Allez, t�inqui�te pas, mec, ta femme, elle nous fait bien assez bander comme �a, dit Fred. � Ouais, merci pour ce cadeau, mec, t�es trop bon pour nous, ricana Pierre. � Reviens en moi, dit Vincianne, finis-moi.�

Pierre pr�senta, � nouveau, sa bite � l�entr�e de la fente o� elle s�engouffra d�une pouss�e. Il besogna Vincianne une ou deux minutes, juste le temps de faire monter sa propre jouissance. Il se foutait que cette chienne jouisse encore. Tout ce qu�il voulait, c��tait se vider d�finitivement les burnes et pouvoir rentrer dormir. Il empoigna les globes des fesses et approfondit le rythme, heurtant � chaque coup de boutoir le fond de la chatte. Il ne tarda pas � sentir monter un orgasme vulgar, qui se construisit aux tr�fonds de sa colonne vert�brale et monta de chaque membre � la fois, vers le centre de mister corps, vers la lib�ration. Il se retint le plus longtemps possible, jusqu�� la douleur presque, puis laissa jaillir sa jouissance en s�effondrant sur le cul cambr�. En trois coups de queue, il se vida de quelques gouttes de foutre br�lants, la queue travers�e de spasmes.

Vincianne sentit � peine le jaillissement du sperme, mais elle jouit de sentir sur mister dos ce grand mec baraqu� s�abandonner totalement � cette jouissance ultime, la derni�re de la soir�e pour lui, de sentir qu�il lui avait donn� tout mister sperme, que plus rien, en lui, ne subsistait pour une autre. Elle jouit de se dire qu�il n�oublierait jamais cet orgasme mythique, ni les deux autres. Il se retira d�elle et elle emboucha le tuyau d�j� mollissant, purgeant les ultimes millilitres de foutre en caressant les burnes vides. Pierre, �puis�, au bord des larmes tant mister plaisir avait �t� intense, alla s�allonger de l�autre c�t� de la pi�ce.

Fred, qui avait �t� d�laiss� le temps que mister pote se tape l�orgasme de sa vie, voulait, lui aussi, que cette chienne re�oive mister foutre. Il l�allongea sur le dos et, lui �levant les jambes serr�es l�une contre l�autre, posta sa bite luisante de salive contre les poils du vagin d�o� suintait le sperme de mister pote. Une fine coul�e se frayait un passage entre les poils, et se mettait en orbite autour de l�anus, s�agglutinant de mani�re obsc�ne. Il pointa mister gros gland brun vers la grotte et s�y enfon�a doucement. Les jambes serr�es prolongeaient la chatte, enserrant la longue queue comme dans un vagin infini. Il la besogna, les jambes blanches pos�es contre mister torse muscl� d��b�ne et mister cou de taureau, les pieds joints contre ses cheveux. Il l�cha les jambes �pil�es, sentant sous sa langue les poils qui repoussaient secr�tement.

Fred changea de position pour un classique mais efficace missionnaire. Il passa � cette position sans sortir sa bite, ce qui dut tirebouchonner les entrailles de Vincianne et se mit � la baiser pour de bon. Le ventre aux muscles saillants claquait contre le ventre d�licieusement bomb� de ma femme, la sueur de Fred venait tremper la peau s�che de Vincianne. Le salon se peuplait de fragrances lourdes et ent�tantes. Vincianne semblait s�en d�lecter. Elle appelait l�air de sa bouche extasi�e.

Prenant mon courage � deux mains, je voulus me rapprocher pour me faire sucer. � D�gage �, me dit Fred, d�un air patibulaire, en d�tournant la t�te du nichon qu�il su�ait, � elle te sentirait plus, de toutes fa�ons. � Je ne demandai pas mon reste et retournai vers mon fauteuil.

Vincianne me jeta un regard trouble, comme pour me demander de ne pas les interrompre et elle enroula ses jambes et ses bras autour de Fred, l�attirant plus encore contre elle, comme pour se d�fendre contre toute incursion de ma part. Elle voulait tirer de lui, comme de Pierre, la quintessence de l�orgasme, une inoubliable jouissance. Fred, allong� sur elle, le visage plong� dans sa chevelure, les mains agripp�e aux fesses, le corps entier en contact avec celui de Vincianne, sentait monter mister plaisir, lui aussi, comme une power imp�tueuse.

Ses p�n�trations se faisaient plus rapides et plus profondes, mister gland se dilatait encore, ses burnes �taient si tendues qu�on aurait cru qu�elles voulaient rentrer en lui. Je pouvais voir la bite, maintenant �norme, aller et venir dans ma femme, sans presque plus sortir d�elle, mais semblant entrer un peu plus loin � chaque coup de hanche. Les fesses de Fred s��taient serr�es comme un �tau et tout � coup, alors qu�il se lib�rait, toute tension s��vanouit d�un coup. Les fesses s��cart�rent et je pus, � nouveau, voir la queue dont le puissant ressort s�animait au passage du sperme lib�r�. L�anus palpitait, de m�me que celui de Vincianne, � mesure qu�il la remplissait d�une abondante production s�minale. Les orteils de Fred et de Vincianne s��taient tordus en tous sens sous la jouissance. Ils s�ab�maient l�un en l�autre, ma femme se l�chant en m�me temps, chaque goutte de sperme jaillissant en elle produisant un orgasme, chaque spasme de la bite giclante faisait se resserrer sa chatte autour du membre, attirant plus encore de sperme.

Fred glapissait, les couilles s�ass�chant, les yeux ferm�s sur des fulgurances rouge�tres. Il bavait sur la joue de Vincianne qui, les yeux ouverts sur un monde connu d�elle seule, ressentait chaque centim�tre carr� de la peau de Fred, de mister torse, du haut de ses cuisses, de mister ventre contre elle, de ses mains sur ses fesses. Elle ressentait la peau incroyablement douce du gland � travers les flux de fluides m�l�s, rapidement perdre de mister volume, les veines de la hampe all�ger leur pression sur les parois de mister vagin, les burnes se d�tendre en �lastiques rondeurs. Elle avait l�impression de d�border de sperme, que sa chatte �tait, maintenant, dilat�e par un trop plein de ce foutre �tranger qui s�insinuait partout en elle, poussant vers les replis secrets de mister ut�rus, poussant, toujours plus loin en elle, � l�assaut de mister corps, comme il �tait programm� pour le faire. Elle suivait le trajet de ce sperme en imagination, le r�vant au fond de mister vagin, dans mister ut�rus, dans ses veines, puis dans tous ses membres. Elle voulait accueillir ce mec en elle, pleinement. Elle refusait de le l�cher.

Elle empoigna les couilles et les malaxa pour en extraire tout le suc. Les doigts blancs d�licats p�trissaient les bourses brunes, les ongles s�enfon�aient dans les poils cr�pus, la paume s�offrait comme un reposoir aux productives testicules. Fred s��carta doucement, la queue sortit, � regret, de la chatte englu�e et, molle � pr�sent, vint se poster � l�entr�e de la bouche de Vincianne, pour �tre nettoy�e. Elle la prit avidement et t�ta les liqueurs m�l�es. Fred remit la bite propre dans mister cale�on et se rhabilla, tout comme Pierre. Ils se dirig�rent vers la sortie, jetant vers ma femme �tendue, d�vast�e, un dernier regard, comme pour dire : Ce n�est qu�un au revoir.

En partant, ils me gratifi�rent d�un sourire de m�pris : � Vas-y, branle-toi bien en pensant � cette soir�e, parce que ta femme, maintenant, elle s�est tellement fait d�foncer la chatte qu�elle sentira plus ta queue de puceau. A la limite, si tu lui baises l�oreille� Ah, ah ah. Taste Black, never come back, mec, t�aurais d� y penser plus t�t� � Ils claqu�rent la porte, tr�s contents d�eux. Je restai seul avec Vincianne qui continuait � clapoter sur le canap�.
cpltrio1

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goldcaesar
on ne peut que se douter de ce que tu as ressenti . L'as tu bais�e apr�s? Comment cela a-t-il �volu�? Merci pour ce r�cit superbe
sclave69

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#8
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Superbe r�cit goldcaesar

Merci beaucoup !
sclave69 - moderateur
goldcaesar

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#9
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Deux jours apr�s cette escapade, un samedi, nous �tions � l�appartement, lisant chacun un livre devant le feu, Vincianne �tait habill�e d�une jupe en tweed et d�un cardigan en cashmere beige sur sa peau blanche. La misternette de la porte retentit � deux heures de l�apr�s-midi. Comme nous n�attendions permisterne, j�interrogeai Vincianne du regard, qui me rendit ma question muette. J�approchai de la porte, en proie � des sentiments contradictoires. En jetant un coup d�oeil par l�oeuilleton, je vis le concierge, Monsieur Denis, mister �ternelle pipe au bec et mister �ternel surv�tement informe et douteux couvrant mister corps informe. Ce mec, la soixantaine, particuli�rement us� par la vie, nous inspirait des sentiments contradictoires, o� se m�laient la piti� et le d�go�t.

J�ouvris et sentis imm�diatement que la visite n��tait pas commune. Il me toisa de sa petite taille et de toute mister autorit� minable de concierge et m�annon�a que tout cela ne se passerait pas comme �a, qu�il ne pouvait tol�rer que l�on rentre dans l�immeuble � des heures pas possibles en y amenant des ind�sirables. Dans l�absolu, je me foutais de ce que ce mec pouvait penser. Il �tait, � tout prendre, notre employ�, c�est � dire que c��tait nous, et non lui qui d�cidions de la politique de l�immeuble. Enfin, en partie, tout du moins.

Je ne pouvais, n�anmoins, �viter de penser qu�il pouvait nous causer de graves ennuis et que, tant que nous vivions dans cet immeuble, il disposerait d�un pouvoir de nuisance important. Je n�ignorais pas, non plus, que ma position professionnelle ne pouvait assumer un scandale. Aussi, je me fis penaud, comme un enfant pris en flag�, et acquies�ai � tous ses commentaires. Vincianne se garda bien d�appara�tre, consciente que cela ne ferait qu�empirer les choses. Monsieur Denis, n�anmoins, semblait ne pas l�entendre de cette oreille. Il se d�montait la t�te pour tenter de regarder par dessus mon �paule. Mes tentatives pour l�en emp�cher �taient vaines, il finit par apercevoir Vincianne, qui attendait dans le salon. Imm�diatement, il se crispa. Je vis instantan�ment le tissu peau de p�che de mister surv�t� se tendre sur sa bite. Il n�avait pas du rester inactif depuis deux jours et il s��tait sans doute si bien branl� en pensant � elle qu�il r�agissait au quart de tour. Il me toisa et je commen�ai � comprendre que le seul moyen de sortir de cette situation �tait de lui donner satisfaction, d�une certaine mani�re. Etait-il venu, d�s le d�part, avec cette intention ou l�avait-elle effleur�e en voyant ma femme, je ne saurais dire. J�appelai Vincianne.

Elle sortit du salon, m�fiante, et se raidit devant l�aspect peu engageant de Monsieur Denis. Il la salua et, alors que je pensais qu�il allait reprendre le couplet qu�il m�avait servi, il sembla h�siter devant la beaut� calme de Vincianne. Sa d�termination, n�anmoins, devait �tre bien tremp�e car il s�adressa � elle en ces termes : � -Madame, ce que vous avez fait est tr�s mal et je vais devoir en r�f�rer au conseil de g�rance. On ne peut pas se balader toute nue dans les communs, c�est contraire au r�glement. Est-ce que je fais �a, moi ? � Non, lui r�pondit Vincianne, qui avait compris o� il voulait en venir et qui s��tait r�sign�e, vous avez raimister, je m�en remets � votre discr�tion. � Son visage se d�composa et il commen�a � bredouiller tandis que Vincianne entrouvrit mister cardigan sur sa peau nacr�e, r�v�lant mister soutien gorge blanc pur. Elle prit le concierge par la main et le fit entrer dans le hall, accompagn� de mister odeur de pipe et de patates.

A peine � l�int�rieur, elle l�agrippa par la queue � travers le tissu douteux et commen�a � le masser, tandis qu�elle fourrait mister visage entre ses seins. Il en avait les bras ballant d��tonnement, et faillit avoir une attaque lorsque, sur mon ordre, elle baissa sa jupe et sa culotte pour le laisser voir mister corps. Il matait comme un malade, mais ma pr�sence semblait le bloquer compl�tement. Vincianne lui dit que je devais rester, que c��tait � prendre ou � laisser. Il �tait beaucoup trop excit� pour laisser tomber et il se r�signa. Il approcha ses grosses mains calleuses de ses fesses pour les caresser et glissa un doigt entre les jambes jusqu�� caresser la chatte encore s�che. Vincianne me jetait de fr�quents coups d��il � la fois apeur�e et tr�s excit�e. Je l�encourageai du regard � aller plus loin.

Elle �ta mister cardigan et mister soutien gorge, se retrouvant compl�tement nue devant ce porc en training. L�offense qu�elle devait ressentir semblait un moteur pour mister excitation. Elle me regarda, pour se donner du courage, et plongea dans le stupre pour sauver les apparences. Elle frotta mister corps contre le tissu, sa peau d�licate contre le synth�tique brun t�ch�. Une tache, particuli�rement, retenait mon attention, � hauteur de l�aine, un peu luisante. Une tache de sperme, � n�en pas douter, qui c�toyait des souillures de nourriture du matin (j�esp�rais) et de d�chets de jardin. Je savais qu�il n�avait pas jardin� depuis le week-end pass�, aussi sa salet� pouvait-elle �tre dat�e. Je frismisternai en pensant � l�odeur qu�il d�gageait et qui devait �tre ent�tante depuis l� o� le flairait Vincianne. Cela semblait, au contraire, l�exciter, contre toute attente. Elle �carta les jambes et frotta mister pubis contre la hanche de Monsieur Denis, sa chatte effleurant le sperme s�ch� qu�elle avait, elle aussi, rep�r�. Lorsqu�elle �carta mister corps, je vis que mister excitation �tait mont�e en fl�che et qu�elle avait, comme un escargot, abandonn� au tissu spongieux une tra�n�e de mouille. Elle se frotta � nouveau sur lui, arquant mister corps contre le concierge tandis qu�il continuait � lui p�trir les fesses. Sa chatte s�approcha du renflement du surv�t� du concierge et elle se frotta de plus belle, les l�vres de sa chatte aspirant presque le tissu entre elles.

Lorsque la main du concierge revint vers la chatte, il crut qu�il allait exploser. La mouille abondante qu�il cueillit au creux de sa paume �tait un cadeau inesp�r� pour lui, le genre de choses qu�il n�avait jamais re�u de toute sa vie. Il baissa mister visage vers les seins de Vincianne pour les t�ter, ce qui eut pour effet un nouveau jet de mouille. Depuis toutes ces ann�es, aucune femme ne l�avait m�me regard� et voil� qu�une belle bourgeoise, jeune, bien foutue se frottait, toute nue, contre lui. Le fait qu�elle n�ait pas vraiment le choix de faire cela l�excitait � fond. Il assumait sans aucun complexe le r�le de la contrainte qu�on lui avait fait endosser. Cette femme qu�il obligeait � s�avilir contre lui, bien loin de la prendre en piti�, il avait la ferme intention de l�exploiter jusqu�au bout. Une pute, voil� ce qu�elle �tait, qui se faisait sauter par des n�gres. Son mari, une p�dale qui laissait faire.

Vincianne s�excitait de s�humilier ainsi, et frotter mister clitoris contre la bite � travers le tissu lui envoyait des d�charges �lectriques dans le corps. Elle n�avait jamais imagin� qu�elle pourrait s�exciter avec ce vieux porc qui la matait impudiquement chaque fois qu�elle passait dans le hall, qui, pour toute communication, grognait dans sa loge et qui sentait la bouffe et la pipe. Lorsqu�il lui appuya sur la t�te pour la faire s�agenouiller, elle coula comme une fontaine. Elle agrippa le pantalon de jogging et le baissa d�un coup sec, faisant appara�tre un slip kangourou un peu douteux gonfl� par la bite du concierge. Elle embrassa le membre � travers le tissu, flairant les odeurs qui lui montaient � la t�te. Elle glissa sa langue dans l�entreb�illement du slip d�tendu pour l�cher les couilles velues, massant la bite. Les effluves qui l�emportaient se faisaient de plus en plus lourdes, la sueur qui venait aigrir les couilles lui titillait les papilles.

Elle s�enivra des parfums prol�taires, � genoux, offerte au plaisir du vieux mec. Elle fit glisser d�licatement le slip jusqu�� apercevoir les poils gris blanc du pubis, une couleur qui sembla l��lectriser, puis le haut de la queue surgir comme un diable d�une boite. Ce vieux schnock bandait comme un fou, une sorte de chant du cygne de l�excitation, il semblait avoir rassembl� tout mister potentiel pour cette ultime bataille. Vincianne accompagne d�un air gourmand la r�v�lation du sexe hors du slip. Malgr� l�excitation, je prenais cette queue en piti�. Par rapport � ce que Vincianne s��tait pris dans la chatte deux jours avant, on aurait dit un jouet, mais elle ne semblait pas s�en formaliser. Sans doute, depuis jeudi, sa chatte s��tait-elle d�j� referm�e, comme un �crin pour le prochain bijou. Elle empoigna la queue d�une main, et les couilles de l�autre. Je crus que le concierge allait juter � la seconde, tant mister visage s�empourpra. Sa veille bite, depuis longtemps priv�e de femmes, qui ne connaissait plus que le rude contact de sa main, palpitait, comme anim�e d�une vie propre, � l�id�e de ces r�jouissances.

Vincianne commen�a � masturber la bite, doucement, sans d�calotter le gland, juste en massant la hampe courtaude, mais large, largement vein�e, sa main glissant sur la peau, l�autre effleurant les couilles tr�s poilues, comme stri�es de flocons de neige. Elle fit, ensuite, glisser le pr�puce sur le gland et lui administra un baiser sur le m�at, avant de l�encercler de sa langue. Elle l�emboucha et le t�ta comme une folle, le nez enfoui dans les poils blancs, le faisant gonfler plus encore, aspirant dans sa queue tout le sang de cet homme. Ses mains s��taient referm�es sur les fesses molles, attirant plus encore dans sa bouche la pine bondissante.

Le concierge croyait r�ver. Sa pine coulissait dans cette bouche br�lante comme dans une chemin�e de volcan. Il lui ramonait la bouche et chaque fois que les papilles de la langue fr�laient la peau de mister gland, il ressentait dans la colonne vert�brale des d�charges de plaisir. Cette petite pute, cette b�cheuse, qui ne lui avait jamais rien offert d�autre que des regards distraits et distants, s�occupait, maintenant, de sa bite pour de bon. Elle semblait aimer �a, en plus, et il mit tout en �uvre pour la satisfaire, m�me s�il �tait d�cid� � faire passer mister propre plaisir avant tout. Il lui poussa la t�te vers mister corps, fouillant sa chevelure brune, ses cheveux si doux et si fins qu�il ne les sentait pas de ses gros doigts ab�m�s par le travail. Il n�aurait jamais pens� qu�il pourrait encore se taper une si jeune fille. Il y a quelques ann�es, il s��tait encore envoy� quelques prostitu�es, mais elles �taient bien moins jeunes que celle-ci, et bien moins fra�ches. Sa bouche, bien que br�lante, �tait ferme, les l�vres dures, mais abandonn�es. Le visage sans rides o� disparaissait mister gros membre frip� l�excitait � mort.

Ma femme n�en revenait pas de ce qu�elle sentait comme potentiel de jouissance dans ce vieux type. Il semblait ne plus avoir bais� depuis des ann�es. La t�che de sperme sur mister fute d�montrait bien qu�il se branlait encore, mais, en tous cas, cela faisait certainement des ann�es qu�il ne s��tait plus fait sucer. Ca l�excitait au plus haut point et elle se remit � mouiller comme une fontaine. Elle �tait pr�te � le faire exploser avec sa bouche quand il lui agrippa le menton, bien d�cid� � se faire jouir dans sa chatte. Il lui dit : � Hein, que tu vas bien me faire jouir, petite tra�n�e. Tu vas me faire jouir dans ta petite fente. Depuis toutes ces ann�es que tu me m�prises, tu ne t�en doutais pas, hein, que tu couinerais pour que je te baise. Dis le moi, que tu veux que je te baise. � Oh, oui, j�en ai envie, lui dit-elle, d�une voix rauque, j�ai tr�s envie de votre grosse queue en moi, que vous me fassiez jouir et que vous vous l�chiez en moi. �

Il l�allongea sur le banc du hall, une perle louis XVI, et elle �carta ses jambes blanches, s�offrant � l�homme. Il approcha sa grosse bite de la fente de Vincianne et y frotta mister gland pour l�ouvrir. Elle s�abandonna avec un chuintement, laissant le passage, et la l�vre caressa le bourrelet du gland. Elle me jeta un coup d��il, comme pour me faire voir qu�elle ne m�avait pas oubli�, que ma pr�sence la rassurait et lui permettait de se livrer corps et �me � ce mec.

Il p�n�tra sa chatte gluante d�un coup, heurtant le fond tendre de mister gros gland. Vincianne, qui avait, depuis quelques semaines, pris l�habitude de jouir � r�p�titions, s�abandonna une premi�re fois. Les poils blancs et r�ches se m�laient, maintenant, comme du velcro aux poils soyeux de Vincianne. Il avait perdu le souvenir du contact �lastique d�une jeune chatte, l�impression de sentir sa queue comprim�e dans un �tau de soie humide et mouvant. Pour la premi�re fois depuis des ann�es, il n�avait pas l�impression de flotter dans un vagin �cartel�, mais se ber�ait de la douce illusion de d�fricher cette grotte sombre. Sa queue, pourtant petite et lubrifi�e par des tonnes de mouille, semblait se nicher dans ce trou serr�, poussant la t�te � la recherche de toujours plus de profondeur.

Vincianne sentait, elle aussi, la queue fureter en elle, � la recherche d�un coin pour s�y blottir, comme pour attendre la jouissance au chaud, tout au fond. Elle sentait les couilles lourdes se lover � l�entr�e de mister cul, le massant du m�me mouvement rotatif que la queue dans ses entrailles. Le concierge s��tait affal� sur elle, les mains sous les fesses de ma femme, maximisant les surfaces de contact, l�enveloppant de mister corps un peu gras, coulant sur elle comme un nappage, fondant r�ellement. Elle sentait le pouvoir de l�abandon total de ce type, qui suait sur elle, en pleine extase. Je pouvais deviner sa jouissance � se laisser ainsi sauter devant moi par le genre de permisternes que je n�aurais jamais imagin� m�me pouvoir la regarder. Plus il �tait laid et vieux, et suant, plus Vincianne prenait mister pied. En s�offrant, ainsi � lui alors qu�elle me gardait � distance, elle me signifiait que sa jouissance lui appartenait, que je n��tais qu�un pion. Elle laissait le mec lui l�cher les nichons avec volupt�, jouissant des coups de langue qui faisaient un contrepoint aux coups de queue. Elle s�abandonna lorsqu�il lui murmura au creux de l�oreille : � Tu aimes �a, te faire baiser par des vieux, hein, si tu savais comme j�en ai r�v� de ce moment, comme je me suis bien branl�, souvent, en pensant � toi, � ton cul, � ta petite moule, comme j�ai jut� pour toi. � Oh oui, dit-elle, jutez pour moi, en moi, sur moi, baisez-moi. � Tu parles que je vais te baiser, salope, je vais te faire crier, je vais te faire crier mon nom.- Oh, oui, Monsieuuuuuuuur, g�mit-elle. �

Monsieur Denis, la bite plus dure qu�il ne l�avait eue depuis des ann�es, pilonnait Vincianne avec m�thode, repoussant de sa queue dans la chatte une mouille d�goulinante. Les jus de leurs plaisirs m�l�s clapotaient et coulaient sur le tissu du banc. Il sentait chaque pulsation du corps de ma femme r�pondre aux pressions de mister propre corps. Les muscles de la chatte serr�e malaxaient sa queue et le bourrelet de mister gland r�pait contre les parois roses. Il �tait fou des bruits humides que produisait leur union, et fou du plaisir qu�il donnait � cette femme et qu�elle lui donnait en retour. Il me regarda d�un air de piti�, comme s�il voulait insister sur le fait que c��tait lui, et non moi, qui la baisait et en jouissait. Il se pensait sup�rieur parce qu�elle miaulait sous sa queue, qu�il devinait qu�elle ne jouissait pas comme �a de moi. Tout cela semblait l�exciter au plus haut point. Il la baisait � pr�sent en me regardant, et j��tais comme le miroir de sa jouissance. Chaque moue de ma part l��clairait sur ce que devait ressentir Vincianne, chaque contraction d�envie et de frustration sur mon visage le renfor�ait dans sa domination.

Vincianne sentait monter les orgasmes les uns apr�s les autres, per�ant mister corps comme ce dard en elle. Elle m�offrait des regards troubles, reflets de mister abandon. Elle �tait seule face � sa jouissance, et j��tais rel�gu� au rang de spectateur. Plus encore que quand les deux noirs l�avaient prise, elle prenait conscience de ma passivit�, de mon impuissance et de mon trouble devant sa fente viol�e par cette mis�rable queue. Elle me jetait des regards de d�fi, comme pour me dire que si elle s�envoyait celui-l�, elle pouvait se faire sauter par n�importe qui, elle me signifiait qu�elle se ferait baiser par le premier venu. Elle observait mon regard, qui ne pouvait se d�tacher de la queue qui entrait en cadence dans sa fente, et elle bougea un peu, roulant sur une fesse et �cartant les jambes, pour me faciliter la vision. J�eus alors un aper�u id�al de la p�n�tration, et de la dilatation du sphincter sous les coups de la queue irr�guli�re. Les veines de la bite du concierge butaient sur les poils de la chatte de Vincianne et sur les l�vres gorg�es de sang, avant de s�y engouffrer, lubrifi�es par la mouille abondante. Les couilles venaient battre, au travers des fesses �cart�es, le cul rose et palpitant. Chaque pouss�e de la queue dans le corps de ma femme rapprochait Monsieur Denis de l�orgasme, le gland frottant les parois tremp�es, et chaque fois que la queue ressortait, les l�vres semblaient vouloir se d�tacher de la chatte pour la suivre, comme soud�e � cette vieille bite.

Le concierge commen�a � perdre le rythme, annon�ant secr�tement mister plaisir, et elle le fit p�n�trer plus loin encore en elle, arquant mister bassin pour lui offrir un r�ceptacle pour mister foutre, lubrifi� par les orgasmes qu�il lui avait donn�s. Elle l�encouragea � jouir : � Allez, c�est bon, l�chez-vous, je vous attends, donnez-moi ce que vous voulez, ce que je veux, lib�rez-vous en moi, jouissez. Allez-y, putain, jouissez, je veux sentir votre sperme. N�h�sitez pas, je suis � vous, je suis votre pute, rien que pour vous, donnez-moi votre sperme. � Il ne r�sista pas longtemps � ce traitement verbal et Vincianne sentit les couilles durcir plus encore et se contracter contre mister cul, la bite pulsa en elle, les gicl�es montant � l�assaut du membre et, expuls�es du gland, coul�rent comme de la lave en elle. � Ah, putain, je viens, je viens, s�exclama le concierge. � La paresse des flux de sperme, bav�s plut�t que projet�s, la d��ut, mais l�abondance du foutre la combla. Elle se sentit r�ellement remplie de sperme, le recevant comme une rivi�re puissante plut�t que comme un torrent imp�tueux. Elle sentait avec volupt� les flots dans mister vagin, brass�s par les ultimes sursauts de la queue, si ti�de, qui la massait. En faisant jouir ce vieux mec, elle accueillait en elle un nouveau sperme, encore, qui venait secr�tement l�enduire comme un baume.

Il ahanait, se vidant de ce qui lui semblait des si�cles de foutre accumul�.Il s��crasait contre les seins de Vincianne de tout mister poids, �crasant mister ventre ferme de sa bedaine mollissante, en cet instant, le plus accompli des hommes. Son sperme lourd et br�lant coulait de mister gland en flux continu, inondant la petite pute qui s��tait offerte et qui l�avait bien fait jouir. Ses fesses molles �taient contract�es de plaisir et des spasmes de jouissance traversaient mister corps, de moins en moins fr�quents, de plus en plus profonds. Monsieur Denis retira sa bite mollissante de la grotte de ma femme avec un plop ! Elle �tait laide, � pr�sent, frip�e et luisante; elle retournait se r�fugier dans les poils blancs. Le gland se posta juste au dessus du pubis, sous les efforts du concierge pour se relever. Le vagin ouvert sur les restes de jouissance, laissait apercevoir les muqueuses souill�es de traces blanch�tres. Une grosse goutte de sperme jaun�tre coula encore paresseusement du m�at sur les poils soyeux, de mani�re plus obsc�ne que tout. Je jouis � ce moment-l�, tout seul, dans mon froc.

Monsieur Denis passa devant moi sans un mot, mais avec dans le regard tout � la fois de la piti� et du d�fi. Son sperme clapotait encore dans le ventre de ma femme, coulant entre ses jambes maintenant serr�es et souillant mon banc. Et moi, il voyait s�agrandir sur ma braguette une tache plus sombre, l�aveu de ma faiblesse. Ce serait peut-�tre la derni�re fois qu�il se taperait une petite salope comme �a, mais au moins, il l�avait bien fait jouir, pensait-il. Il enfila mister slip, remballant dans mister intimit� tous les jus m�l�s, les siens et ceux que ma femme avait fait couler pour lui, et qui maculaient mister sexe et ses co
cpltrio1

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goldcaesar
grand merci!!
fawi

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La suiteeeeeeeeeeeeeeee
et toi tun'est jamais soumis a ta femme ou a ses amants ?
goldcaesar

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La suite

Nous avions d�m�nag� depuis quelques semaines et il me semblait que Vinciane avait, quelque peu, r�fr�n� ses d�sirs adult�res. Un peu effray� par la tournure qu'avaient pris les �v�nements depuis quelques mois, je sentais comme un apaisant r�pit cet emm�nagement dans notre nouvelle maimister.

Le quartier ne portait pas, sp�cialement, au fantasme, en raimister de l'�ge tr�s avanc�, ou trop peu, de nos charmants voisins.

Je revins � la maimister, en fin d'apr�s-midi, ce jour-l�, et fus �tonn� de trouver la voiture de ma femme devant le garage. D'habitude, elle rentre apr�s moi, mais je supposai qu'elle avait rapport� du boulot pour la soir�e. Je me garai, donc, puis fis le tour de la maimister et, passant le portail, me dirigeai vers la porte, lorsque j'entendis des hal�tements venant du hall d'entr�e. Convaincu que Vinciane avait remis �a, je fis le tour par l'autre c�t� et ouvris la porte de la buanderie, pour �pier un peu sa nouvelle conqu�te.

M'approchant sur la pointe des pieds, je vis Vinciane � croupetons, nue, avec ses grandes bottes en cuir, celles avec les talons hauts, qui me plaisaient tant parce qu'avec elles, le cul ma femme atteignait juste ma queue et que je n'avais, donc, pas � me contorsionner pour la sauter. Elle �tait accroupie, mister petit cul adorable pos� sur le cuir noir, la chatte b�ante et humide entre les talons.

A genoux, donc, elle su�ait avec d�lectation le fils des voisins d'en face, un rouquin de quinze ans, je pense, envelopp�, d�j� bedonnant, toujours mal habill� et qui, bien qu'il fut timide, semblait au comble du bonheur en ce moment. Il �tait appuy� sur l'escalier, le visage au comble de l'excitation. Sa queue assez longue et �paisse, qui sortait d'un buismister de poils roux, avait la m�me couleur laiteuse que mister ventre mou. Elle �tait, d�j�, couverte d'une abondante salive et tressautait de plaisir, le gland mauve fonc� et tr�s �pais, tendu comme une peau de tambour, au m�at ouvert sur des gouttes d'excitation. Vinciane et moi avions d�j� parl� de ce mec, qui, � n'en pas douter, devait �tre puceau. Son comportement habituel �tait une adolescente morgue, fondamentalement d�plaisante, mais qui devait bien avoir ensorcel� ma femme pour la pousser � se l�cher de la sorte.

L�, il faisait nettement moins le malin, tout entier concentr� sur ce qui lui arrivait, � la fois fier et incr�dule. Sur ses baskets, pendait un pantalon militaire et un slip gris�tre et mister ventre d�j� trop imposant d�bordait d'un tee-shirt d'une quelconque universit� am�ricaine o� il ne mettrait jamais les pieds. Les mains de Vinciane caressaient ce ventre mou, ces fesses adipeuses, ces couilles remplies de s�ve, se perdant dans l'adoration d'un corps p�le.

Il avait pos� sur la t�te de ma femme une main agit�e de spasme de plaisir, qui se refermait sur des touffes de cheveux. Vinciane l�chait la fine queue sur toute sa longueur, laissant courir sa langue habile au long des renflements de chair, descendant jusqu'aux couilles o� mister nez s'enfouissait, s'exaltant des odeurs musqu�es, le visage press� contre la hampe, les seins touchant les jambes. La main libre s'�tait, d�j�, perdue dans mister buismister et, cherchant le clitoris de mani�re fr�n�tique, elle se fourrait trois doigts dans la chatte. Elle comprit vite qu'elle ne devait pas insister trop longtemps si elle voulait qu'il lui fourre sa queue dans la chatte car, excit� comme il l'�tait, il aurait pu jouir � tout instant. Elle remonta de sa position et posa la main du type sur sa chatte tremp�e. Il cueillit dans le creux de sa paume un jus abondant et, maladroitement, l'�tala sur le haut des cuisses et sur les poils. Excit�e � p�rir, Vinciane poussait en avant mister pubis d�licat, s'offrant � la main inexp�riment�e, guidant la caresse avec ses hanches.

Elle se tourna vers la rambarde de l'escalier et lui pr�senta mister cul pour qu'il glisse sa bite entre les jolies jambes. Maladroitement, il empoigna la hampe et la guida vers la grotte humide o� la mouille �tait si abondante qu'il ne pouvait manquer sa cible. Il la manqua, pourtant, dans mister excitation, heurtant le clitoris de mister m�at et arrachant � Vinciane un petit cri de jouissance. Elle s'empara du membre et le glissa en elle, d�licatement, laissant au type le plaisir de ma�triser sa premi�re p�n�tration. Il attendit quelques instants que la chaleur qui entourait mister gland se fasse plus famili�re puis mister instinct natural le poussa en avant, d'un coup de reins, jusqu'au fond.

A ce moment, je vis que l'enti�ret� de la queue �tait entr�e dans la grotte de ma femme et que les poils roux, l�gers et graciles des couilles, venaient se m�ler aux poils bruns, plus drus de ma femme. Le mec laissa sa queue un moment enfonc�e, profitant de la premi�re p�n�tration qui lui �tait offerte, s'habituant aux palpitations d'une chatte, � la chaleur tendre, aux flux de mouille qui, d�j�, s'�coulaient le long de mister membre, au doux contact des fesses charnues contre mister bas ventre. Le cul de Vinciane semblait anim� de soubresauts et la l�g�re bedaine du type se blottissait au long du sillon. Il aurait pu, manifestement, rester dans cette position des heures, mais Vinciane commen�a � bouger lentement mister bassin d'abord en mouvements rotatifs qui massaient la bite en elle, puis d'avant en arri�re, laissant coulisser la queue.

Le fils du voisin restait les bras ballants, la bouche entr'ouverte sur un plaisir nouveau. Il sentait mister excitation monter vite, bien trop vite, au rythme des caresses des douces muqueuses contre mister gland extasi�. Toutes les fois qu'il s'�tait branl� depuis sa pubert�, il avait r�v� de ce moment, de cette premi�re mont�e du plaisir, de cette premi�re relation sexuelle. Il n'avait jamais envisag� que cela se passerait avec une femme plus �g�e que lui, et mari�e, en outre, mais il prenait les choses comme elles venaient, profitant de l'instant.

Il ne pensait pas � bouger et Vinciane, que cela g�na au d�but, prit le pli de cette nouvelle exp�rience. Elle avait l'impression de se branler avec le mec, d'utiliser sa bite comme un gode, mais, � la diff�rence du plastique, la queue r�pondait � ses frottements en grossissant plus encore et en s�cr�tant une d�licate liqueur, qui annon�ait le plaisir et lubrifiait plus encore la fente tremp�e. Elle adorait le m�lange des s�cr�tions, l'intimit� procur�e. Elle voulait cette queue en elle comme un natural en chaleur, battait mister cul contre ce membre dress�, sentant chaque veine, chaque bourrelet lui comprimer les parois du sexe. La peau infiniment douce, lubrifi�e, lui p�trissait les entrailles. Elle voulait si fort lui soutirer mister liquide br�lant.

Le type ahanait sur le dos de Vinciane, poussant loin en elle mister corps et construisant sa jouissance au creux de mister ventre. Il sentait si fort la pr�sence de mister sexe en elle qu'il en devenait comme fou. Il humait avec d�lices les odeurs chaudes qui s'�chappaient de la chatte malax�e et de sa queue devenue �norme. Il saisit les seins menus de ses grandes mains et commen�a � les p�trir, arrachant � ma femme des petits cris, � la fois plaintifs et rauques. Elle se sentait remplie de ce membre, jusqu'aux plus profonds replis de mister ventre, offrant mister intimit� � ce type, s'abandonnant � ses pulsions de salope, les poils de la chatte englu�s de mouille blanch�tre. Les tressautements du sexe en elle et l'excitation mal ma�tris�e l'�lectrisaient.

Il sentit monter du fond de mister ventre une jouissance extr�me. A la diff�rence de ses branlettes, il sentait qu'il pouvait se laisser totalement aller, sans craindre de souiller ses draps ou sans stress de devoir saisir un mouchoir en papier, mister esprit et mister corps pouvaient, tout � loisir, converger vers le plaisir ultime. Son corps, naturellement, avait maintenant calqu� mister rythme sur celui de ma femme. Il sentait venir des tr�fonds de mister corps des vagues br�lantes, converger vers sa bite. Pour la premi�re fois, il allait juter dans le ventre d'une femme, le remplir de mister jus chaud, le tapisser de ce qui lui semblait des litres de foutre. Il sentait la jouissance de Vinciane, les spasmes de sa chatte se refermer sur lui, la mouille abondante � laquelle mister sperme se m�lerait bient�t, les palpitations des muqueuses qui allaient recevoir sa semence. Bient�t, grognant, il ne put plus se retenir et, comme un flot in�puisable, il commen�a � laisser mister membre se vider en elle. Cela commen�a, pour lui, par la presque douloureuse sensation du sperme montant le long de sa hampe, mais il se laissa aller bien vite et, de mister m�at, explosa ce qui semblait un litre de foutre, en un flot continu et bouillant, expuls� du gland en longues saccades, sa bite clapotait dans la chatte distendue et inond�e, le trop plein d'un sperme tr�s liquide coulait sur les l�vres et les poils de Vinciane et sur ses couilles, avant de tomber en vastes flaques au sol.

Vinciane poussait ses fesses contre lui, aspirant mister sperme au fond de mister ventre en puissantes et profondes gicl�es. Les grognements bestiaux l'�lectrisaient. L'abondance de cette �jaculation entra�na l'un des orgasmes les plus forts que ma femme ait jamais eu. Les spasmes de mister ventre attiraient plus loin encore en elle la semence fluide, � l'assaut de mister ut�rus. Cette bite en elle semblait ne jamais finir de jouir, et elle savait que cette jouissance avait �t� construite au creux de sa chatte, que c'�tait mister exp�rience qui avait conduit ce mec � un tel plaisir, que ce gar�on qui se vidait en elle lui offrait toute la power de mister premier v�ritable orgasme et qu'il ne l'oublierait jamais. Elle sentait les vagues de foutre comme autant d'hommages � mister corps, comme le premier acte d'une vraie sexualit�. Le sperme �tait br�lant, comme si le gar�on avait conserv� pour elle, pour sa premi�re fois, une r�serve secr�te de semence au plus profond de lui, qu'elle avait lib�r� par toute mister exp�rience, et m�me si elle savait que faire jouir un jeune type comme �a n'est pas la chose la plus compliqu�e du monde, elle se r�jouissait de la puissance de mister �jaculation.
Nicolas

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#13 
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Toute bonne histoire, Caesar...merci!
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permettez-moi de vous présenter ma femme
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