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swinging paris

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prince albert 1

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#1
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Bonjour à vous tous
Cela fait longtemps que je viens ici et je voulais vous faire partager certains moments forts de ma vie sexuelle avec celle que je nommerai Caroline comme dans le livre. Voilà j'espère que cela vous plaira à vous et vos compagnes
C'est du vécu et ela se nomme "Swinging paris"
peut être voudrez vous en savoir plus

Ils s’étaient réinstallés rue Chaptal, tout près de là, et aimaient de temps en temps déambuler le long du boulevard, sans but particulier, ou pour y réaliser un fantasme.
Le plus fréquent était de se rendre dans un de ces immenses complexes, le Sexodrome ou celui qui lui faisait face, à la fois sex shops, peep show et cabines de projections de films, sur plusieurs étages. Caroline se préparait à l’image des filles qui peuplaient les bars à hôtesses environnants, se couvrait d’un long imper juste fermé d’un ceinture pour préserver sa réputation tant qu’elle était en territoire connu, puis ils achetaient une poignée de jetons à l’homme de l’entrée avant de rejoindre les cabines à l’étage.
Une fois entrés dans l’établissement, Caroline dénouait sa ceinture et pour le tenancier à cette vue, il était implicite que c’était une fille qui venait faire une passe. C’était en principe interdit comme le stipulait le panneau derrière lui « Une seule permisterne par cabine », mais cela ne semblait pas lui poser de problème particulier...
Une fois dans la pénombre silencieuse de ces allées de cabines, juste brisée par les gémissements suggestifs des films, ils investissaient l’une d’entre elles et dans l’espace minuscule juste éclairé par l’écran, Nicolas s’installait dans le fauteuil et Caroline sans un mot ôtait mister imper et s’agenouillait devant lui. Le sol carrelé, la boîte de kleenex, la poubelle à capotes, tout était aux antipodes du confort supposé nécessaire au plaisir. Froid, anonyme, dénué de toute intimité. Les parois des cabines n’atteignaient pas le plafond et l’on entendait distinctement, les halètements sourds des hommes qui se masturbaient autour d’eux. Pourtant, dos aux images de ces filles qui se faisaient pénétrer dans les configurations les plus diverses, Caroline libérait aussitôt mister sexe et s’en emparait pour le sucer et le branler avec vigueur, comme la professionnelle du sexe dont elle donnait l’image.
Si ce n’était qu’une apparence, le rôle provoquait en elle un émoi qu’il remarquait à chaque fois, lorsque se retournant, posant les mains de part et d’autre de l’écran, écartant les jambes et cambrant sa croupe, elle offrait à mister membre la facilité d’un sexe humide et luisant, à laquelle aucune caresse préliminaire n’avait contribué. Cela ne durait que quelques minutes. Une étreinte brève et muette et pourtant satisfaisante pour les deux.
Parfois le jeu allait plus loin. Défaite de mister imper, Nicolas l’envoyait arpenter le couloir, frapper aux portes des cabines occupées afin d’offrir ses services aux inconnus solitaires.
Par principe elle maugréait, mais une fois ainsi presque nue en talons aiguilles, seule dans l’allée, la porte de salut verrouillée derrière elle, sans plus le choix d’un quelconque retour en arrière, elle commençait sa quête. Il y avait une douzaine de portes de chaque côté. Seules celles qui étaient fermées abritaient un occupant. Nicolas écoutait ses talons claquer sur le sol puis s‘arrêter un instant, avant d’entendre ses ongles tapoter et sa voix murmurer.
- Vous désirez de la compagnie ?
Généralement l’homme troublé dans mister plaisir solitaire ne répondait pas immédiatement et Caroline devait réitérer mister offre à travers la porte.
- C’est combien ?...
- C’est gratuit…
Il y avait toujours un délai, avant que l’homme étonné de cette bonne fortune ne se reculotte avant de basculer le loquet. Ensuite pour Nicolas ce n’étaient que des bruits de succion lointains, qu’elle agrémentait à mister intention de commentaires crus.
- T’as une belle bite chéri. C’est moi qui te fait bander comme ça ou les salopes qui se font baiser sur l’écran ? Allez, baises moi bien toi aussi…
Le tout enjolivé de halètements qu’il savait forcés, mais qui donnaient parfaitement le change. Selon mister humeur et le nombre de préservatifs que Nicolas lui avait remis, sa mission accomplie elle frappait aux portes suivantes et il arrivait qu’elle aille ainsi satisfaire quatre ou cinq heureux bénéficiaires de ce cadeau inespéré, avant de le rejoindre, le faire jouir en quelques minutes, quand ce n’était pas quelques secondes, puis quitter l’endroit main dans la main, gais, fiers d’eux, comme si de rien n’était.

le sexe sans tabous
prince albert 1

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#2
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pas de réaction?
le sexe sans tabous
paco2244

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Posts: 2437
#3
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Quoting: prince albert 1
pas de réaction?


Oh si ! Heureux de constater que je ne suis pas le seul à trouver aux mots un pouvoir d'évocation et une charge érotique sans commune mesure avec ce qu'une simple image, aussi explicite soit-elle, ne saurait transmettre.

En plus, quand c'est bien écrit et intelligemment scénarisé, il n'y a qu'une chose à dire : encore !

Par contre, ne vous attendez pas à de nombreux et élogieux commentaires : je parle d'expérience, les lecteurs mistert, comme beaucoup ici, surtout des consommateurs et les amateurs du genre mistert, par nature, peu prolixes de leur satisfaction. Il faut savoir se résoudre à une forme de notoriété qui reste purement d'estime et sans manifestation explicite des plaisirs que l'on procure.

Bon courage. Vous pourrez toujours, si vous persistez dans cette veine, compter sur mon fidèle attachement à votre topic.
prince albert 1

Member

Posts: 1563
#4
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merci a vous paco

je vous déposerais ici d'autres extrait du livre si vous le souhaitez
cordialement

PS c'est un récit réellement vécu
le sexe sans tabous
beurpourcouple

Member


Posts: 956
#5
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j'adore, j'adhere
merci
prince albert 1

Member

Posts: 1563
#6
Up to the first message Down to the last message
merci à toi
voilà un autre extrait de "swinging paris" pour ceux qui aiment

Un matin enfin, Caroline lui annonça au téléphone, que mister amie l’avait invitée à déjeuner dans sa maimister de Saint Cloud. Elle souhaitait la présenter à l’une de ses connaissances sans plus de précisions autres que sur sa tenue, qu’elle souhaitait la plus féminine possible et la plus suggestive possible.
Alors qu’elle mettait un point d’honneur à ce que permisterne, surtout pas lui, ne l’influence sur ce type de choix, cette fois elle n’y avait vu aucun inconvénient.
Arrivée sur le perron d’une belle demeure bourgeoise de deux étages, un bouquet à la main, elle fut accueillie par mister amie, féminine aussi certes, mais dans une tenue plus discrète que la sienne. Les banalités d’usage terminées sur mister trajet, elle l’introduisit dans un salon au sol de marbre, et l’invita à s’installer dans un profond canapé de cuir noir. Sans même lui demander ses préférences elle posa des coupes de champagne devant elles.
- Tu es à croquer ma chérie !
- C’est ce que tu voulais ?
- Oui c’est parfait, mais encore un peu trop sage à mon goût…
- Je pouvais pas faire plus pour prendre un taxi…minauda t elle. Et je suis honorablement connue dans mon immeuble…
- Bien sur mais maintenant mets toi à l’aise. Otes ta veste de tailleur, remontes ta jupe à la hauteur de tes bas et ouvres ton corsage jusqu'à ton soutien-gorge.
- Tu m’avais dit que quelqu’un allait venir ?
- Bien sur mais ne t’inquiète pas. Dépêches toi !
Toujours douce, sa voix retrouvait les accents de fermeté qu’elle commençait à bien connaître. Caroline s’exécuta sans hésiter, même avec sensualité.
- Je te plais ainsi ?
- Tu es parfaite ma chérie !
- Installée face à elle , mister verre vint faire tinter le sien.
- Décroise simplement tes jambes que je vois si tu portes toujours mon cadeau
Elle écarta les jambes et de l’endroit où Bernadette était assise, celle-ci put aisément admirer le sexe lisse et orné, sans string, initiative que Caroline avait prise d’elle-même.
- Je ne l’ôte jamais, tu sais.
- J’espère bien … j’aurais l’impression que tu me trompes…
- Une dizaine de minutes s’écoulèrent avant que la misternette ne retentisse.
- Ne bouge pas ! je reviens. Et ne touches pas à ta tenue !
- Elle entendit un peu indistinctement dans le hall des paroles qui prouvaient une intimité certaine. C’était un homme. Elle se retint du désir spontané de revenir à une tenue plus « présentable », mais se fit violence et resta telle que Bernadette le désirait.
- Celle-ci entra enfin aux côtés d’un homme impeccablement vêtu d’un costume noir de belle facture. Sans lui laisser le temps de se lever, il s’approcha d’elle et s’inclina pour lui délivrer un baise main tout à fait dans les formes.
- Enchanté je me prénomme Antoine, vous Caroline je crois ?
- Oui, je suis enchantée aussi, Bernadette m’avait fait la surprise de votre venue.
- Elle ne m’avait pas menti. Vous êtes superbe.
- Il s’installa face à elle. Elle s’empourpra un peu et se fit violence pour ne pas céder à pulsion de se revêtir plus convenablement face à cet homme distingué. Bernadette était passée derrière elle pour aller remplir les verres. De derrière le canapé, Caroline vit ses deux mains descendre le long de mister buste, s’introduire dans mister corsage de crêpe noir, en faire sauter les derniers boutons, puis prendre ses seins à pleines mains, les faisant presque entièrement sortir de mister soutien gorge pigeonnant.
- Vous voyez en plus elle a des superbes nichons, doux, fermes, et sensibles croyez-moi ! joignant le geste à la parole, elle avait commencé à les manipuler avec power et lenteur.
- Magnifiques, chère amie ! quelle taille faites vous ?
- Quatre vingt quinze D
- Naturels ?
- Oui bien sur.
- Félicitations !
Bernadette avait lâché mister ouvrage pour servir à boire et les avait rejoints.
- J’aperçois ces fameux ornements dont m’a parlé notre amie. Auriez-vous la gentillesse de me les exposer plus généreusement ?
Pour étrange qu’elle fut, la situation se déroulait comme un simple entretien mondain et Caroline se sentait plutôt flattée d’en être le centre. Pourtant aucun rempart ne protégeait cette pudeur instinctive qui la caractérisait généralement. En pleine lumière de midi, au milieu d’un salon bourgeois sobrement décoré, face à deux permisternes en tenue de ville, elle seins nus débordant de mister corsage, jupe relevée, cuisses largement écartées, exposant d’intimes bijoux, elle ne ressentait ni gêne ni désir de se soustraire à cet état. Au contraire une certaine sérénité. Etait-ce cela la soumission dont on la disait porteuse ? Le plaisir de l’abandon à une autorité bienveillante et rassurante ? Le don à celle-ci de la clé de cette porte que l’on n’ose pas franchir ? Mais alors pourquoi pas à Nicolas ? Elle n’eût pas envie d’approfondir cette ambiguïté à ce moment. Juste le savourer. Elle pensa aux visages sereins du « Déjeuner sur l’herbe »
Antoine à ce moment proposa un autre verre et s‘apprêtait à tendre la main vers le seau.
- Je vous en prie, c’est maintenant à cette chérie d’assumer mister rôle
- Ôtes ta jupe et ton corsage Caroline et va chercher sur la console de l’entrée ce que j’ai préparé pour ton effectuer ton service. Et dépêche-toi !
Même si elle fut un peu surprise de la tournure que prenait cette rencontre, elle n’en fut pas déstabilisée, plutôt agréablement troublée. Elle ôta ses vêtements devant eux avec lenteur, roula mister soutien-gorge sous ses globes laiteux, les faisant saillir encore un peu plus, puis se dirigea vers la console. Un collier de cuir, une laisse en métal et deux paires de menottes l’y attendaient.
- Apportes-les nous !
- Voulez-vous les poser vous-même à notre accorte soubrette ?
- Avec grand plaisir chère amie.
Il prit tout d’abord une première paire de menottes reliées par une chaîne assez longue et les referma sur ses chevilles. Il fit de même avec ses poignets. Puis il lui demanda de s’agenouiller pour lui poser le collier et y fixer la laisse.
- N’est elle pas superbe ainsi ?
- Je dirais même faite pour les porter ! Une créature de fantasme.
- Tu vas aller dans la cuisine. J’ai tout fait livrer par le traiteur. Tu nous serviras, c’est tout. Et tant qu’Antoine est là, pour toi, c’est Monsieur et Madame. Compris ?
Tous deux se levèrent et s’installèrent dans la Salle à manger déjà dressée. Caroline comprit en les suivant que les entraves de ses chevilles limitaient grandement ses déplacements tout en provoquant une démarche faite de petits pas hautement suggestifs pour ceux qui l’observaient. Spontanément elle tira les chaises des convives pour les inviter à s’asseoir, et constata au vu des deux seuls couverts, qu’à l’évidence, elle n’en faisait pas partie.
Plutôt habituée à se faire servir, ou ne le faire que dans un cadre convivial, elle se prit cependant au jeu du rôle qui lui était imparti. Elle remplit leurs verres tandis qu’ils entamaient une discussion qui confirmait leur grande proximité, puis se retira de quelques pas ses mains entravées sagement posées sur mister sexe nu, jambes légèrement écartées autant que la chaîne le lui permettait. Jamais elle n’avait vécu ni même seulement imaginé une telle situation, et pourtant elle ne ressentait nul malaise, ni incongruité.
Bien au contraire sans qu’elle puisse le définir, elle y trouvait un plaisir extrêmement sensuel sans qu’il fut physique. Certainement n’était-il rendu possible que par les sentiments et la confiance qu’elle portait à Bernadette. Une délicieuse découverte d’elle-même vers laquelle elle la conduisait sans lui indiquer à l’avance de chemin. Elle ne l’avait pas trompée, elle ne lui avait seulement rien dit. C’était vraisemblablement ce qui la différenciait de Nicolas qui expliquait trop avant d’agir.
Bernadette s’interrompit.
- Commence à servir Caroline !
- Tandis qu’elle prenait le chemin de la cuisine, mister hôtesse la gratifia d’une tape sur ses fesses nues.
- Joli petit cul, non ?
- Vraiment à croquer ! vous êtes vraiment une chasseresse des plus expertes…
Jamais Caroline n’avait évidemment ni cuisiné, ni à fortiori fait le service ainsi entravée, et elle se rendait compte à quel point ces menottes se rappelaient en permanence à elle, dans les gestes les plus simples . Rien que de faire griller le pain qui accompagnait le foie gras était une épreuve. Tenir deux assiettes, une vraie gageure. Elle ne ressentait aucun sentiment humiliant malgré le contexte, juste l’envie de bien faire ce qu’on attendait d’elle. Et en ressentait un certain plaisir, pour éloigné d’une sexualité « normale » qu’il fut.
Les plats posés devant les deux convives qui poursuivaient leur échange de bon aloi, elle reprit sa place quelques pas derrière eux tandis que Bernadette glissait la dragonne de sa laisse à mister accoudoir.
Sans lui adresser la parole et sans la regarder, Antoine caressait ses fesses et jouait négligemment avec ses anneaux et le pendentif. Bien plus que les inconnus qui s’introduisaient entre ses cuisses, ces furtives caresses et les conditions dans lesquelles elle les recevait, lui érotisaient les sens à un stade encore ignoré. Tandis que se poursuivaient mister service et le repas, Bernadette la fit s’agenouiller à leurs côtés pour que mister invité puis aisément jouer avec ses seins. L’excitation de la frustration se faisait de plus en plus prégnante.
- Je vais m’occuper moi-même du dessert, dit enfin Bernadette. En attendant cette chérie va se faire un plaisir de vous en offrir un avant-goût, d’autant plus qu’elle doit être maintenant à point n’est-ce pas Caroline ?
- Oui …Madame !
Joignant le geste à la parole, elle la fit se relever glissa la main entre ses cuisses, puis en exhiba un index dénonciateur qui aurait difficilement pu être plus luisant. Antoine la félicita et l’invita à se glisser sous le plateau de verre circulaire. En quelques instants, elle eut libéré un sexe de belle taille déjà fortement bandé, qu’elle commença faire glisser lentement entre ses lèvres. Mains et genoux à terre, elle balançait tout mister corps pour ne faire qu’un avec le mouvement de sa bouche. Il ne lui parlait pas, n’émettait que quelques soupirs de contentement. Lorsque Bernadette réapparut, ce fut elle qu’il félicitât d’un tel cadeau.
- Merci . C’est vrai que c’est une superbe salope qui regorge de ressources qu’elle ignore elle-même. Vous permettez que je m’amuse un peu moi aussi ?
- Avec plaisir chère amie. J’adore vous voir à l’œuvre !
- Tends moi bien tes fesses chérie !
- Sans même y réfléchir une seconde Caroline lui obéit.
- Tu continues à sucer Monsieur sans à-coup !
Une première cinglée fine et lourde brûla ses fesses. Bernadette avait saisi un très fin fouet ne comportant qu’une lanière de cuir dans laquelle étaient incrustées à mister extrémité de petites billes d’acier. Caroline faillit stopper sa caresse mais ne marqua qu’on court temps d’arrêt avant de la poursuivre.
- C’est Gérard qui l’a fouettée pour la première fois il y a quelques temps et j’ai toute de suite vu qu’elle y trouvait mister compte. J’avais très envie de le faire par moi-même et je suis sure que vous allez en profiter vous aussi.
- Est elle masochiste ?
- Non pas du tout. Mais très excitée d’être dominée quand elle est en confiance et là elle prends mister plaisir, même lorsque l’on va très loin. Vous connaissez Gérard ! Ce n’est pas un tendre. Il l’a pourtant faite jouir ainsi dès la première fois…
Tout en parlant, Bernadette continuait à lui administrer de régulières cinglées qui maintenant striaient mister fessier, mais, elle l’admettait, participaient à mister excitation de l’instant. Son désir de donner du plaisir à ce membre allait croissant. Sa fouetteuse ne s’interrompit que le café terminé. Antoine se leva alors presque brusquement , lui ôta de la bouche l’objet de ses attentions, s’empara de la laisse, et la conduisit s’agenouiller sur le canapé où elle l’avait accueilli.
Bernadette les suivit, s’installa face à elle , accoudée au dossier et lui tendit sa poitrine dénudée à lécher tandis qu’Antoine le pénétrait sans ménagement. Cela ne dura que quelques minutes tant la tension était grande entre les uns et les autres. Il jouit en elle avec power mots plus crus et orduriers les uns que les autres, la laissant pantelante contre la poitrine de mister hôtesse. Il n’avait pas pris la peine de se dévêtir. Seul mister sexe émergeait de mister pantalon.
- Si vous voulez bien terminer votre travail chère amie… et nettoyer ma queue !
Caroline se retourna et faisant fourreau de sa bouche, lécha soigneusement le gland et la hampe encore luisants de la semence qu’il avait généreusement déversé en elle.
Un instant plus tard il était sur le perron avec Bernadette, après avoir salué et remercié Caroline avec des égards presque désuets.
- Ca t’a plu ma chérie ?
- C’était étrange…
- Mais bon ! Non ?
- Oui délicieux c’est vrai …
- Elle la rejoignit et s’agenouilla face à elle sur le canapé.
- Maintenant à nous !
Lui libérant enfin les mains , elle ôta sa robe, l’embrassa puis glissa la main entre ses cuisses, l’invitant à faire de même. Adoptant progressivement le même rythme, elles parvinrent ensemble à la jouissance dans les bras l’une de l’autre.

le sexe sans tabous
prince albert 1

Member

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#7
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Cela t'a plu paco?
Amicalement
le sexe sans tabous
prince albert 1

Member

Posts: 1563
#8 
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Bonjour
Pour ceux qui m'ont gentiment écrit voila un autre extrait du livre
Pour vous donner envie ... c'est du reel.. sourire
Amicalement
Avant leur arrivée, il avait préparé la chambre et couvert les lampes de tissus rouges afin de tamiser la lumière. Il savait qu’elle aimait cette ambiance qui flattait encore plus sa plastique. Mais ils avaient disparu. Cela ne devait pas correspondre à leurs attentes, et il n’y avait plus place à la suggestion. Les corps se dessinaient avec précision.
Ce contraste des peaux, parfois aperçu dans la pénombre des clubs, était magnifié. Ce corps mince et pâle entre deux masses de muscles bruns. Caroline accroupie et empalée sur l’homme allongé, suçait et branlait celui qui lui faisait face debout.
Un membre noir anthracite d’une taille qui semblait sortir tout droit d’une bande dessinée porno. C’était « lui ». Elle avait parlé de Bobby, mais ce qui entrait et sortait de sa bouche et qu’elle caressait à deux mains, était à peine humain… Pourtant, dès qu’elle libérait sa bouche, ses mots ne traduisaient qu’une excitation vorace. A un point qu’il ignorait presque. Ses ongles rouges griffaient les bourses, sa fine langue rose se faisait pointue et agaçait l’énorme gland foncé avant de l’engouffrer à nouveau. String et soutien-gorge avaient disparu. Ses seins libres et lourds battaient contre sa poitrine tandis que d’elle-même elle allait et venait sur la verge parée de l’or des fines lèvres rosées qu’elle écartelait. Même si elle ne rivalisait pas avec celle que Caroline branlait et suçait presque avec vulgarité, elle n’était pas moins d’une taille remarquable. Mentalement Nicolas l’estima environ au double la sienne, alors qu’il se considérait déjà comme convenablement gâté par la nature. Pourtant il voyait ces deux fesses descendre sans appréhension jusqu’aux bourses, puis s’agiter avec vigueur, comme si elle désirait encore plus le sentir en elle.
Debout, à côté de Nicolas, l’homme regardait et caressait lentement mister sexe maintenant en érection.
- Ca va être à ton tour…
- De baiser ta femme ?
- Oui.
A nouveau l’homme lui sourit.
- Mais c’est déjà fait… dans sa chatte et j’ai joui dans sa bouche. Mais ne t’inquiètes pas, j’y retourne. Tu n’avais pas menti c’est une gourmande ta chérie, elle aime la bite …
En les entendant Caroline, libéra sa bouche et se tourna vers eux.
- Alors ça te plait chéri ? Ta petite femme qui se fait défoncer par d’énormes bites de noirs sous tes yeux. C’est ça que tu voulais non ?
L’obscénité et la spontanéité des paroles de Caroline le mit un peu mal à l’aise.
- Et puis je peux te dire que ça c’est de la bite et que ça mollit pas. Montre moi au moins si ça te fais bander !
Contrairement aux trois hommes entièrement nus il n’ouvrit que sa braguette et mister sexe jaillit aussitôt et spontanément il commença se caresser.
- C’est bien mon amour ! Viens Adou ! montrez lui comment vous me faites gueuler !
Elle tendit la main vers mister voisin qui monta sur le lit. Ce devait être le fesseur. Ses larges mains se mirent à claquer ses les globes roses, tandis que l’homme sous elle, la maintenait par la taille pour qu’elle ne puisse s’y soustraire. La bouche et le sexe envahis par ces sexes qui semblaient infatigables, mister fessier sursautait et rougissait sous les commentaires des trois hommes qui semblaient avoir oublié la présence de Nicolas.
- T’aimes ça les bites de blacks ! hein ! c’est bon ?
Bâillonnée par le colosse de chair et maîtrisée par la main de mister détenteur, elle ne pu que faire un hochement de tête d’approbation.
- Alors on va te montrer comment on aime s’occuper de petites bourgeoises vicieuses comme toi.
L’homme allongé fit glisser ses mains pour l’enlacer et la plaquer contre mister torse. Elle avait compris.
- Non je n’aime pas ça ! et vous êtes trop gros !
- Ne t’inquiète pas chérie, on est des spécialistes ! on n’a jamais eu de plaintes ! Ils éclatèrent de rire.
Nicolas hésita à intervenir mais les accents de Caroline ne trahissaient pas vraiment de refus. Plutôt une posture. Ce « Non » qui n’en était pas un.
Adou cracha dans ses mains et en lubrifia le préservatif sur mister sexe.
- Détends toi chérie, et cambre ton cul ! Tu voulais du black, tu vas voir c’est ce qu’il y de meilleur avec nous!
Lentement le gland s’immisça entre ses fesses. Ce fut elle qui serra alors l’homme qui la plaquait contre lui, lorsque qu’elle sentit mister œillet se distendre sous la poussée forte et continue de l’intrus.
Jusque là, elle avait peu prisé ce type de pénétration, mais était-ce l’épaisseur de l’naturalité ambiante, la rage sexuelle qu’ils avaient faite émerger d’elle, la contrainte acceptée, ou la provocation de se comporter ainsi devant Nicolas, l’intromission qui progressait et l’écartelait, rencontrait un nouveau plaisir mental et physique mêlé.
Presque magictisé , Nicolas regardait ce sexe noir progresser en elle sans à coups, semblant ne pas devoir finir, jusqu’à ce que les deux bourses butent contre les fesses. Il avait vu bien souvent des sexes pénétrer Caroline et l’émotion s’était émoussée. Pas cette fois.
La violence de la scène ne lui provoquait pas d’envie de s’y mêler, mais au contraire de la prendre dans ses bras, et la réconforter dans cette épreuve. Son enculeur s’était arrêté. L’homme qui lui faisait face releva ses cheveux blonds.
- Tu aimes ça chérie ?
- Maintenant, oui… il a été doux
- Et dur ?..
- Oh ça oui ! et il l’est encore…
- Elle esquissa un sourire et tourna mister regard vers Nicolas
- Viens m’embrasser, chéri !
Aussitôt leurs bouches s’unirent et il perçut distinctement le goût des sexes qui s’y étaient succédés. Elle prit mister sexe et le branla de deux doigts.
- Elle bande bien ta petite bite mon chéri… mais c’est vrai qu’elle n’a rien à voir avec celles de nos amis… Remarque c’est suffisant pour juste regarder…
Nicolas sourit. Il ne ressentait aucune gêne de cette remarque ironique, bien plutôt un sourd plaisir de cette connivence qu’elle lui confirmait ainsi partager.
- Allez assied-toi, je crois que pour moi ça va vraiment commencer…
Etait ce pour les provoquer, leur faire comprendre par défi qu’elle ne considérait ce qui s’était déroulé jusque-là, que comme de simples préliminaires, quoiqu’il en soit, piqué au vif celui qui emplissait ses fesses et immobile jusque là donna un brusque coup de reins qui la fit taire aussitôt.
- Il t’encule ton mari ?
- Non …c’est rare…
- Alors on va t’assouplir le cul comme il faut pour lui rendre service…
Commencèrent des va et vient de plus en plus rapides, bientôt presque ininterrompus, qui lui tiraient cris, ahanements et gémissements. Elle n’aimait pas la douleur gratuite, et la voir tendre ses fesses à mister présumé bourreau, laissait supposer que cet apprentissage n’était pas aussi pénible que Nicolas avait pu le redouter.
Etait-ce parce que c’était sous ses yeux, était-ce parce qu’elle avait laissé ses sens prendre le dessus, mais elle s’associait aucune retenue à cette étreinte et répondait par l’affirmative et des encouragements à poursuivre, lorsque l’homme lui demandait si c’était bon et si elle en voulait encore. Son enculage dura de très longues minutes. Le colosse avait repris place dans sa bouche. Elle secouait presque frénétiquement le visage, faisant voler sa chevelure. L’homme sous elle ne la maintenait plus. Il se glissa pour se dégager.
- A moi !
Sans avoir joui, Adou toujours rigide, se retira et laissa la place qui fut investie cette fois sans effort malgré une taille tout aussi remarquable. Il se branlait négligemment aux côtés de Nicolas.
- C’est vrai que tu ne l’encules pas ?
- Non. Elle me disait ne pas aimer ça et je n’ai insisté. A vrai dire ça ne me manque pas.
- Tu as tort. C’est bien meilleur que la baise et c’est comme ça qu’on les possède vraiment. Surtout les vraies salopes, mais faut pas s’arrêter à leurs minauderies. On en a enculé pas mal et je peux t’assurer que ta femme elle aime …
- Elle accepte peut-être seulement ?
- Des bites comme les nôtres ? Si elle y trouvait pas mister compte, il y a longtemps qu’elle t’aurait demandé qu’on s’en aille… regarde plutôt comme elle frétille sa croupe avec pourtant les vingt cinq centimètres de bite de mon copain dans le cul…
Pour lui confirmer ses dires il s’approcha d’elle.
- T’aimes ça salope… ? hein ?
Caroline libéra sa bouche un instant.
- Vous êtes gros ! Ca m’a fait mal.
- Et maintenant ?
Pour éviter de répondre Caroline avait repris le colosse entre ses lèvres. Adou claqua ses fesses.
- Alors maintenant ça te plait ?
Toujours muette, il réitéra sa question en appuyant cette fois mister geste et parvint à ses fins. Caroline émit un simple « oui » à peine audible.
- Oui quoi ?
- Oui ça me plait !
- Qu’est ce qui te plait ? Allez précise pour ton mari !
Il frappa à nouveau sa croupe. Tout mister corps vibrait des enculades. Abandonnant d’un coup toute contenance, elle se tourna vers Adou, assurée et arrogante.
- Ca me plait de me faire enculer par vos grosses bites. C’est bon, c’est chaud, c’est dur. Je les sens bien au fond de mon ventre et quand elles powernt mon petit trou.
Elle s‘était mise à branler Adou.
- J’aime vos grosses bites noires ! Elles m’excitent et ça me fait du bien !
Ses mots avaient fait monter la tension dans la pièce. L’homme la tenait par les hanches et allait de plus en vite et de plus en plus fort en elle. Adou jeta sa capote et investit sa bouche libre. Nicolas se branlait frénétiquement devant le spectacle. L’enculeur la traita de bonne pute à blacks en jouissant. Il laissa sa place, ruisselant de sueur et glissant deux doigts dans l’orifice encore béant s’adressa au colosse.
- Elle est prête pour toi cette salope ! Et elle en veut …
Comprenant ce qui s’annonçait, Caroline se libéra d’Adou et se releva un peu.
- Non pas lui ! je ne pourrais pas ! Chéri dis leur !
D’une seule main, l’homme plaqua mister dos sur le lit.
- Mais si tu vas y arriver et ça te fera des souvenirs! dit-il en riant. Et ton chéri, il va laisser faire pour lui avoir raconté des bobards…
- Salauds !
Paradoxalement, l’intonation de l’insulte valait acceptation. Plongeant le visage dans un oreiller, elle tendit la main à Nicolas qui s’installa près d’elle et entrelaça leurs doigts. A quelques centimètre cette fois, il pu se rendre compte de la taille de ce membre, et à quel point le simple diamètre du gland excédait de très loin, l’œillet un peu refermé face auquel il pointait. Quant à la longueur, il semblait physiquement impossible que caroline puisse l’accepter entièrement. Et pourtant…
Les doigts de Caroline s’incrustèrent dans les siens à la première poussée, puis se détendirent tandis que la colonne de chair brune progressait lentement en elle jusqu’à ce que, pour lui aussi, ses bourses viennent y mettre un terme.
- Ca va chérie ?
La question resta sans réponse. L’homme avait commencé mister œuvre. Caroline haletait, gémissait n’articulait plus un mot. Elle semblait ne faire qu’un avec le corps d’ébène. Elle lâcha la main de mister mari, tendit ses bras en arrière et les unit à ceux de l’homme. Le mouvement des deux corps n’était plus qu’un. Lorsque le spasme commença à croître, il les anima de concert jusqu'à ce qu’un cri ultime s’élève de leurs tripes et de leurs gorges.
Pour Nicolas, c’était presque irréel d’assister à un tel spectacle d’abandon et d’naturalité. Elle qui jamais ne laissait ses pulsions prendre le contrôle de mister comportement. Elle se tourna vers l’homme, encore unis et l’embrassa.
- Merci. C’était bon. A toi chéri ! Viens !
Nicolas hésita. Voulait-elle qu’il prenne la place vacante ? N’en était- elle pas repue ? Lorsqu’il vit Caroline emboucher Adou, il comprit ce qu’elle attendait de lui. Cette fois elle demeurait béante. C’était obscène mais magictique. Son sexe entra presque sans sentir ses parois intimes. Lui qui avait toujours hésité à powerr cet anneau rosé, y coulissait maintenant plus facilement que dans sa bouche.
- Tu es dans mon cul, chéri ? Je ne sens rien !...
Elle le provoquait sciemment et il amplifia ses coups de reins.
- C’est mieux ! Allez videz vos queues! Remplissez-moi bien !
Piqués au vif, ils la firent ballotter d’un sexe à l’autre et leurs semences chaudes se déversèrent en elle.
Tous quatre, épuisés gisaient sur le lit. Elle dans ses bras. Tendre et amoureuse. De retour sur terre.

le sexe sans tabous
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