Elle exige les capotes seulement avec moi

Ca y est.
Après avoir tant insisté sur sa liberté et mister droit de faire l'amour avec d'autres hommes que moi, je viens d'observer un changement...
Elle refuse tout rapport avec moi sans capotes et elle me demande de faire vite : 5 minutes maxi.
Je l'ai questionnée pour savoir pourquoi ce changement mais elle refuse de me répondre, plutôt gênée...
Un autre indice intéressant : ses culottes qu'elle ne laisse plus trainer (lavage dés qu'elle rentre)... Intéressant non ?
Je vous tiens au courant...
François, cocu probable

Fantasmeur.......................

Même si c'est un fantasme, c'est pas grave...
La suite m'intéresse !

Lundi 13 octobre 22 heures, les choses se précisent...
Elle vient de rentrer et a filé direct à la douche après un petit bisou vite fait.
Genre "Je suis fatiguée, quelle journée j'te jure... et blablabla".
Mais voilà, entendant l'eau couler, je me suis glissé dans la salle de bain pour récupérer la culotte, témoin incontestable de ce que je cherche à comprendre.
D'ailleurs, le fait qu'elle sache que je sais (vous suivez ?) ferait bien mon affaire tant je ressens le besoin d'être cocufié. Les raimisters remontent à ma jeunesse mais ce sera l'occasion d'un autre message.
Bref, pas besoin de s'appeler Einstein pour décoder le langage du fond de la culotte en question : une large tache humide à l'odeur musquée impossible à confondre avec quoi que ce soit d'autre.
Ce bout de tissus a récupéré la semence d'un autre au sortir du sexe de ma femme. Et le résultat a été immédiat : j'ai éjaculé dans mon slip sans même me toucher. Authentique lavette que je suis. Les images qui ont défilé dans mon esprit et qui ont fait évacuer le sperme mistert indicibles...
Quelle va être sa réaction au sortir de la salle de bain d'ici 5 à 10 minutes ? Mon slip et mon short auréolés, sa culotte entre mes mains...
*
Fin du message (mal à l'aise dans mon slip gluant) : 22H19

ben on va attendre impatiemment de savoir alors...

Et un mytho supplémentaire ... 1 !

Ca promet...espérons que ce Christophe soit bientôt rejoint par d'autres amants...
Fanatique de l'infidelite feminine

Je m'aperçois que je ne vous ai pas décrit ma tendre épouse.
Tout d'abord, elle s'appelle Anne et elle est asiatique, vietnamienne précisément. Elle est assez petite (1m55), menue et a de jolis petits seins légèrement tombants.
Comme beaucoup d'asiatiques, mister sexe est naturel, donc empoilé, bien que cela reste raimisternable puisqu'elle n'a jamais eu besoin de raser les poils pour faire le maillot. J'essaierai me poster une photo d'elle mais c'est difficile car elle refuse absolument de poser nue, comme de nombreuses femmes en fait. Je préfère cela à vous poster une photo bidon comme certains n'hésitent pas à le faire...
Nous sommes mariés depuis une dizaine d'années et elle a aujourd'hui 42 ans.
Mais revenons à cette première nuit avec mister premier amant (et mon premier cocufiage) : Christophe.
Elle fut donc déçue mais aussi surprise par la première éjaculation de mister amant.
Déçue car ce fut rapide : après quelques caresses le long de la verge une fois le gland décalotté et sans même toucher ce dernier, la verge s'est mise à "danser" dans sa main (c'est là aussi le mot qu'elle a utilisé).
Puis, de longs jets de semence ont jaillit du gland congestionné pendant que Christophe lui disait des mots d'amour.
La surprise vient de l'abondance de la semence. En effet, Anne m'a expliqué que les bourses de Christophe lui avaient semblées toutes petites mais sans doute étaient elles remontées par le désir, ce que nous savons bien nous les hommes. Elle ne s'attendait donc pas à un jaillissement aussi fourni et il lui a fallu 5 mouchoirs pour absorber le sperme qui s'était répandu sur les poils du ventre et dans le nombril.
Christophe était rouge et tout honteux d'avoir pris mister plaisir d'une façon aussi égoïste. Aussi descendirent ils au bar de l'hôtel main dans la main pour prendre un rafraichissement en attendant mieux.
Elle me raconta alors la nature de leur échange, entrecoupé de longs et voluptueux baisés. En passant, elle me dit apprécier la façon dont Christophe prenait sa bouche : la douceur de sa langue et le "goût" salé de ses baisers profonds.
Christophe lui demanda ce qu'elle pensait de cette relation alors qu'elle était mariée et mère d'un enfant.
Mon épouse lui répondit que je ne luis faisait que rarement et très mal l'amour (ce qui est rigoureusement vrai) mais qu'elle m'aimait car mis à part l'aspect sexuel, j'étais un bon mari et un bon père. Elle rajouta que cela faisait longtemps qu'elle avait envie d'un homme en mesure de la satisfaire et que je n'étais pas contre cette option, bien au contraire.
Christophe fut surpris de cette réponse car lui avait le sentiment de tromper sa propre femme malgré l'intense désir qu'il ressentait pour mon épouse. Par ailleurs, il lui avoua être très possessif et se sentir mal à l'aise à l'idée que je puisse avoir des relations, même rarissimes avec la femme qu'il aimait.
Anne lui demanda comment il envisageait les choses.
Et Christophe, après quelques détours, lui demanda de choisir. En clair, s'ils faisaient l'amour après être remontés dans la chambre, alors il faudrait que ce ne soit plus qu'avec lui. Il voulait que seules ses mains caressent ma femme, que seule sa bouche honore la sienne et que bien sur, seul mister pénis puisse visiter le vagin conjugal.
Ma femme, connaissant mon désir rare mais tout de même existant, tenta une concession : que je puisse la pénétrer avec une capote.
Christophe pris le temps de la réflexion et déclara qu'il serait d'accord pour que je jouisse dans des capotes, mais seulement par masturbation pour ne pas risquer de souiller mon épouse, ni ses vêtements ou le lit où elle se repose, d'un autre sperme que le sien.
Ainsi fut conclut le pacte, scellé par un long baisé sucré par le cocktail qu'ils venaient de partager.
Main dans la main, ils remontèrent vers la chambre et vécurent leur première nuit d'amour telle que je vais vous la décrire.

J'espère bien en tout cas

Récit bien excitant.

J'espère bien en tout cas

Récit bien excitant.

................

J'attends la suite Nostromo !

Les testicules bien vidés contre l'utérus de ma chérie, Christophe continua a l'embrasser en touchant ses seins.
Ma femme m'a dit à ce sujet qu'elle avait rarement été aussi heureuse d'une part pour le plaisir physique qu'elle avait pris, mais aussi pour le plaisir cérébral de braver l'interdit et de me tromper, moi, mister mari et père de ses enfants.
Qui plus est, elle l'avait fait en sachant que cette situation me conviendrait et que je ne pourrai en aucun cas me satisfaire avec mister vagin ou le reste de mister corps. D'ailleurs, pour éviter tout débordement, elle m'impose de porter un jean bien serré lorsqu'elle me parle de mister amant et de leurs accouplements.
Ce soir là, Christophe attendit bien 10 minutes avant de retirer sa verge du vagin de mon épouse. Pour ce faire, il la surprit une fois de plus en relevant doucement sa nuque de façon à ce qu'elle voit bien ce que lui même appelait "le déboitement".
Il retira ainsi lentement le pénis, lequel quitta le trou par le prépuce très long ("tout pendant" selon les mots d'Anne) en faisant un tout petit bruit humide.
Christophe lui dit alors "regarde ce qu'on a fait comme c'était bon", alors que le sperme s'écoulait du vagin dans la raie des fesses de ma tendre chérie.
Anne me décrit le sperme de Christophe comme abondant, très abondant, et plutôt liquide contrairement au miens qui est épais et parsemé de petites "perles" un peu comme de la gelée, chose qui a toujours bien dégouté ma femme.
Son premier réflexe fut de s'essuyer mais Christophe l'en empêcha en disant qu'il ne fallait jamais laver tout de suite les "fluides de l'amour".
Il se leva et, une fois n'est pas coutume, pris ma femme de cours.
En effet, il se rendit aux toilettes en déclarant qu'il allait pisser. Mais il ne ferma pas la porte et se soulagea bruyamment devant elle.
Cette dernière était hallucinée et il s'en rendit compte, déclarant alors " Rien en doit être caché entre nous, tu verras tout de moi et je verrai tout de toi ma belle".
Cette nuit là, besoins naturels obligent, elle fut donc bien contrainte d'uriner devant mister amant qui se mit à rebander de plus belle pour une nouvelle étreinte... mais ce sera pour une autre fois.
*
Vous qui me lisez, vous devez vous dire que pour décrire aussi complaisamment l'amant de mon épouse chérie, je dois être un sacré malade doublé d'un pd refoulé.
Vous n'avez pas totalement tort et nous sommes certainement nombreux dans ce style sur le site.
Mais il faut que je vous dise pourquoi je suis comme ça car, pas une sorte d'auto analyse, j'ai compris que cela venait de ma prime adolescence et de deux garçons et un homme : Alain et Jean François (camarades de classe) et Michel (professeur de musique).
J'avais 13 ans... et je vous raconte ça dès que j'ai un moment.
Si ça vous dit bien sur.
Ciao - François

Tellement lope ce mec !

Ca fantasme depuis 5 ans !

Il y a plus de 3 ans BOISSENART déjà avait démasqué ton statut de fantasmeur affligeant...

Le genre de pédale qui pose un lapin quand un couple fait l'erreur de l'inviter car en bonne lopette, il n'a pas de couilles... Et bobonne veille et le dirige...
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ahhh BOSSENART et le bel océan , la fine équipe de l'époque où quand 3 neuronnes s'étaient données la main

Nostalgique hein le bel océan , t'en avais trouvé un bon là de poto

Sûrement qu' à cette heure là ils doivent se séguer derrière leur petit pc
snarual

hé nostromo mon ami , mais qu'est ce qu'il faisait le tempêtuex océan hier , un samedi à 23 h 12 à te répondre via mister ordinateur

je pensais benoitement qu'un mâle de mister acabit était en train d'innonder la Belgique de sa sainte semence , en bon étalon qui se respecte

Bon toi et moi qu'on se branle derrière l'ordi , ça mon ami c'est notre qutidien de lopette cocu de merde

Mais lui , un samedi soir à 23 h 12 , non là franchement je comprends pas

Non , imagine qu'il se secoue la nouille aussi , non je peux pas y croire, un mâle dominant comme lui ... dis moi nostromo que c'est pas possible !!!

Tout fout le camps niostromo je te le dis , tout fous le camps
snarual

Haha Excellent
Nous au moins on s'assume se faire couler la nouille le samedi soir !
Tu sais que grâce à l'océan en colère (et à toi aussi snarual), j'ai vachement réactivé mes lectures
J'en ai ma petite bite toute irritée et j'ai presque envie de redémarrer mon histoire qui en avait au moins fait bander un
D'autant que, même si une grande partie est fantasmée (j'avoue et j'assume), la base est que je suis bien un cocu et qu'il n'y a plus que ça qui me fait bander
Enfin, bander c'est vite dit
Je serai bien incapable de satisfaire une femme comme le ferait l'océan, surhomme de mister état, pauvre merde que je suis

J'oubliais
Je suis effectivement une lope absolue / Et je le sais
Tiens, je vais reprendre le clavier et essayer de vous dire pourquoi (opération vérité)
Dès que je peux
*
Dicton du jour : Un Océan a toujours besoin d'une lope à écraser. C'est sa raimister d'être. Vénérons l'Océan, remercions la lope

Et bien quelle littérature vous faites à deux !!!
Vous devriez vous accoupler ça donnerait peut-être quelque chose !

Enfin on aura au moins eu la confirmation que tous tes récits Nostromo, ne mistert que fantasmes...et que tu vas bientôt nous narrer dans le cadre de ton "opération vérité" en quoi tu es une "lope absolue"...

Je retiens ton appréciable dicton: Vénérons l'Océan, remercions la lope !
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Bon, alors voilà les origines de la lope
Comme dit précédemment, autant une partie de ce que j'ai écris est fantasmée (une partie seulement), autant cette petite histoire est des plus authentiques
Cela remonte à ma découverte de la sexualité, les premières érections, les premiers orgasmes non encore accompagnés d'émission de semence
J'avais 13 ans et cela s'est produit pendant les vacances d'été
Des érections de plus en plus tenaces, le soir et le matin, puis tout le temps (cela attirait un étrange regard de nos voisins de plage lorsque je me changais sans la moindre gêne puisque je ne savais pas du tout ce qui se passait)
Des carresses naturelles sur ce drôle de zizi qui était jusqu'à présent tout mou et qui ne me servait qu'à uriner
Puis des contractions qui mettaient longtemps à venir, qui me faisaient trembler et même parfois mal en même temps ainsi qu'un plaisir insoutenable
Puis quelques gouttes au bout du gland, puis de petits jets tout clairs puis de plus en plus épais... Je croyais que j'étais seul comme ça. Haha
Mais dès la rentrée, mon professeur de musique (Michel, une cinquantaine d'années, mince, pianiste de mister état) a, lui, tout compris tout de suite et s'est dit que c'était une bonne occasion de satisfaire ses envies. Mais cela, je n'allais le comprendre que bien plus tard
Les cours se passaient le soir de 7 à 8 dans une salle à notre disposition, où nous êtions donc seuls
Michel avait pris l'habitude de faire la bise lorsque j'arrivais. Il y tenait beaucoup
Ses "bises" étaient très appuyées mais il était assez malin et patient pour une très lente progression de façon à ne pas m'effaroucher
Les bises devinrent donc plus longues avec une accolade appuyée qui me métait à la fois mal à l'aise et en proie à un étrange sentiment qui se traduisait invariablement par une érection. Michel le sentait, attendait, progressait pas à pas
Il m'expliqua un jour que deux amis comme nous se faisaient des bises sur la bouche et que ces dernières devaient durer assez longtemps pour nous rapprocher et nous sentir en confiance
Complètement niais que j'étais, j'acceptais ces accolades et embrassades qui, lentement, arrivèrent inévitablement à l'ouverture des lèvres et au contact des langues
Chaque cours débutait ainsi par 5 minutes complètes (parfois plus) d'embrassade et de mélanges de langues comme il disait joliment. Très honnêtement, j'en garde un souvenir merveilleux. Son haleine était toujours fraiche, un peu salée. Il ne se privait pas d'envoyer beaucoup de salive dans ma bouche et attendait de même en retour. Il ne m'a jamais forcé et j'y prenais un plaisir évident, passant finalement la totalité du cours à têter sa bouche amoureusement, ses grandes mains entourant totalement ma tête et mon cou.
Puis il m'indiqua qu'il était important de passer nos mains dans nos culottes, que c'était vraiment une preuve de confiance entre nous. Il m'apprit ainsi à caresser mister pénis et ses testicules, faisant de même, en appuyant sur notre amitiè et notre complicité. Précisant aussi bien entendu que jamais mes parents ou qui que ce soit d'autre devait en entendre parler. Car c'était notre secret d'amis
La suite est tellement évidente aujourd'hui... Il me demandé de baisser ma culotte et baissa également la sienne pour que nous puissions ne plus rien nous cacher
Son pénis, hoooo mister pénis, me restera à jamais en mémoire
Il était très rouge au bout, long, reposant sur 2 testicules très gonflés. Je dirais aujourd'hui qu'il devait mesurer 17 ou 18 cm, avec une verge plus étroite que le gland qui, une fois décalotté, pulsait au cadence et doublait largement la circonférence de l'organe
C'est à ce point que le lopage commence vraiment, car Michel était un homme un vrai et m'expliqua que étant donné mister âge, je devais m'occuper de mister pénis et ne pas toucher au miens à moins qu'il le fasse ou qu'il m'autorise à le faire. Je dois préciser également que Michel utilisait toujours le nom plutôt médical des organes : pénis, prépuce, frein, méat, urètre, anus, scrotum, prostate, semence... il m'a appris tout ces mots et m'a indiqué à quoi ils correspondaient
J'avançais donc lentement mais surement vers ma première masturbation d'un pénis autre que le mien...
A suivre

Mouais !
Un peu limite ton histoire avec un prof pédophile, non ?
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TIEN JE TE CROYAIT TOMBER AUX OUBLIETTE TOI AUSSI...

@soumis8
Bah, rien ne se perd jamais sur le net et il est facile de reprendre là où on était

S'ET COMME LES PROFESSIE DE NOSTO D'ANUS DE SAINT REMIE, TU REPREND LES QUATRETRAINS OU TU VEUX.
ENFIN S'ET JUSTE MON AVIS HEIN. .