Bernard cocu et rabaissé.

Je suis Bernard 42 ans et j'ai un physique banal � souhait.
j'ai �pous� Isa il ya 8 ans et l'ai fait entrer dans la petite PME o� je travaille.
Ce fut le d�but de mes d�boires, elle a alors tap� dans l'oeil de mon chef d'�quipe qui pour la s�duire a commenc� � m'humilier assez syst�matiquement.
Frank n'est ni plus beau ni plus capable que moi mais c'est le genre de mec dont on dit qu'il n'est pas "la moiti� d'un": marrant , fort en gueule et frimeur, il a su monter les �chelons alors que je suis serviable, discret et peu s�r de moi.
Il me fait tourner en bourrique toute la journ�e et m'appelle Barnab� car il trouve que j'ai "une bonne t�te de vainqueur". Au d�but Isa trouvait que je devais me r�volter. Mais quand je parlais � Frank du "probl�me", il me disait que c'�tait pour rigoler et qu'on �tait copains, qu'il ne fallait pas casser l'ambiance au boulot.
A power, Isa a fini par se joindre aux rieurs et � valoriser sa position de chouchou de "Frank la vedette". Les d�rapages se multipliant j'ai fini par prendre des coups de pied au cul quand j'essayais de m'arr�ter pour parler � ma femme. Mes coll�gues aussi se d�tournaient de moi et je mangeais seul quand Frank ne m'invitait pas � leur table.
A la maimister ma femme ne parlait plus que du "chef" et ma pr�sence semblait l'agacer. D�valoris� et humili�, j'avais du mal � bander au lit et Isa n'�tait pas souvent dispos�e � m'aider un peu.
Elle s'est mise � retouner au bureau apr�s d�ner pour aider Frank qui semblait d�bord�. Puis elle a trouv� plus pratique de manger avec lui ces soirs l�. Travaillant trop, elle se refusait � moi et ne m'appelait plus que Barnab� comme au travail.
En fait mon "copain Frank" �tait devenu mister amant et la baisait quand il voulait lui et sans aucune retenue.
Si vous le souhaitez je vous raconterai comment j'ai fait cette d�couverte.
Comme toujours avec moi il suffit de demander.

Raconte nous tout stp

En fait au boulot tout le monde �tait au courant, ils n'�taient pas discrets et Frank m'envoyait faire une course quand il avait une petite envie.
Un jour que je m'�tais d�p�ch�, j'ai surpris Isa compl�tement nue agenouill�e devant Frank (habill�) qu'elle su�ait.
Elle s'est tourn�e vers moi et semblait amus�e par la t�te que je faisais.
Frank m'a dit que si je voulais me battre il le comprenait tr�s bien et qu'on pouvait sortir tout de suite pour r�gler �a. Il aurait bien aimer me rosser pour m'�craser d�finitivement.
Ma femme semblait impressionn�e par cette virilit� de brute, elle me regardait comme un sous homme sans l�cher sa bite en �rection. Je baissai la t�te et sortis alors qu'elle s'�tait d�j� remise � le sucer avec avidit�.
Le soir m�me, Isa rentra tr�s tard. Elle me r�veilla et me dit que Frank �tait l� et qu'il fallait que je leur laisse le lit. Un peu perdu je bafouillai mais mister regard �tait dur, elle n'avait d�j� plus sa jupe et semblait press�e. Elle m'�jecta du lit, Frank entra le sourire aux l�vres et elle ferma la porte derri�re moi.
Je dormis sur le canap� et j'eus friod car j'avais oubli� de leur demander une couverture.

tres belle histoire la suite

Humm, encore, je branle ma petite bite ...

raconte la suite loppe
recherche une vide couille et sont cocu résident ou en vacances sur le 66

euh...
love to see about cuckoldry

C'est super, ce truc...mais quand m�me va-t-elle se contenter d'un seul amant ?
Fanatique de l'infidelite feminine

Merci pour les encouragements appr�ciables dans cette travers�e du d�sert.

Apr�s ce soir l� je n'ai plus ma�tris� grand chose. Frank avait les cl�s et d�barquait � l'improviste, amus� de voir "ce con de Barnab�" en pyjama d�s 8 H du soir assis sur une chaise parce que sa femme n'en voulait pas sur mister canap�.
D�s qu'il arrivait il lui enlevait sa culotte et n'h�sitait pas � lui glisser un doigt dans le cul pour bien me montrer qu'elle n'�tait plus � moi.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais plus "acc�s" � Isa.
Elle m'avait expliqu� un matin que nous deux c'�tait fini, qu'elle n'�tait pas faite pour coucher avec une cloche, j'avais vers� quelques larmes craignant de la perdre et l'avait implor�e maladroitement. Elle m'avait gifl� pour me calmer et m'avait annonc� (� mon grand soulagement) qu'elle pouvait me garder tant que je ne serais pas un poids pour elle et tant que ma paye continuerai � rentrer.
Mon seul grand plaisir �tait d�sormais de me branler � ses c�t�s les soirs o� l'autre ne venait pas (elle a peur de dormir seule). Mais un jour cela finit par la g�ner...