Comme promis...
Quoting: Odin et Freyja
On devrait leur decerner une medaille et pourquoi pas une place dans le defiler du 14 Juillet.
Taratatata, tagada, tsoin, tsoin !!
Cette nuit, j’a fait un drole de reve : Maude, Laureen, M-A, Corinne (Madame Osiris), Joelle (la femme de Bernat) et Freyja invitees aux festivites du 14 juillet. Nos 6 grosses cochonnes nationales, les meilleures ravageuses de braguettes de l’Hexagone mises a l’honneur pour celebrer la prise de la pastille par des sans-culottes, voilà du symbole charge de sens, comme dirait Bernard-Henri Levy.
La prise de la pastille, c’est tout un programme : Bertrand Delanoe en a des fremissements dans les sphincters tant ca lui rappelle de bons souvenirs… C’est un peu sa fete, a l’embrayage parisien (oui, l’embrayage, c’est la pedale de gauche). En plus, c’est genial, ca correspond a la mise en plage de mister grand projet a lui qu’il a realise avec ses petites mains manucurees : Paris-Plage, que les inities appellent Homolulu…
C’etait super bien chiade, mon reve. Deja, au petit matin, nos belles salopes verifiaient dans le detail le contenu et l’etat des braguettes de tous les troufions de sexe raide alignes autour de l’Arc-de-Triomphe, pour etre bien sur que le matos etait astique de frais, reluisant comme un canon de FAMAS tout neuf, et que les chargeurs en rouleaux etaient bien alimentes.
Apres, y’avait la facon de pavoiser les lieux… Y z’avaient foutu un preservatif geant sur la bite egyptienne au nœud taille en pointe, facon Caran d’Ache, que Napo 1er a rapporte de ses vacances chez les bougnoules et qu’est plante au milieu de la place de la Concorde. Z’avaient emballer le chibre en granit avec un gros bout de latex tricolore, parfume curacao-vanille-framboise : ca t’avait une gueule du tonnerre. Rachida Dati, la plus grosse bouche gouvernementale s’etait empressee d’aller lecher le truc au lieu de suivre le spectacle, tellement elle est conne. Avec cette reflexion : « Ouaahhouuuh, un mec qu’au un manche comme ca, c’est powerment un mec super-important ! Faut que je lui montre comment je suce, ca m’aidera powerment pour ma carriere !! »…
Devant, y’avait la tente avec Nabo 1er au milieu, sa grognasse (le porte-manteaux mange-disques), et toutes les huiles qui ne demandaient pas mieux que de se faire vidanger par nos ravissantes pompes a foutre preferees : pour le confort de la fornication, z’avaient reformater le camping provisoire en lupanar geant. Plus de fauteuils en velours rouge, mais des matelas confortables, du Dunlopillo de competition, du Treca grand luxe, modele special partouze.
Pour l’arrivee des super-salopes, on faisait dans le grandiose, le majestueux, l’inhabituel : un dirigeable en forme de bite qui se stabilisait au-dessus de la place, et les six bombes qui se faisaient charaputer, pardon : parachuter, sur zone. Magnifique ballet aerien avec vue imprenable sur leurs entrecuisses nus sous une petite jupette a volant descendant du ciel. Les petits chanteurs a la croix de bois qui avaient, du coup, plutot la tige en acier, entonnaient « Un jour, la petite Huguette, tripote-moi la bite avec les doigts… » repris par les chœurs de la Garde R?publicaine. Et la foule de refoules aphones devant ces founes (je l’aime bien, celle-la !) se foulait le cou, folle de leur con (pas mal non plus…), pour ne rien rater de ce merveilleux spectacle !
Traditionnellement, la revue debute par les grandes ecoles : les Polytechnichiennes d’abord, avec tricorne, porte-jarretelles, soutifs sans bonnets et bas noirs, collier cloute autour du cou, escarpins et rien d’autre, histoire de verifier qu’elles pourraient servir a autre chose que de resoudre des equations algebriques. Puis les Seins-Cyriennes, Casoar sur le crane, le plumeau tricolore dans le prose et les loches a l’air : pour faire des pompes correctement, quand on est une dame, il faut une bonne capacite pulmonaire qu’il convient de verifier sur pieces. Et je rappelle, pour ceux qui ne connaitraient rien a la hierarchie militaire, qu’une jeune lieutenante qui veut officier avec un superieur, doit d’abord passer mister brevet d’aptitude au grade de suce-officier !!
Apres l’enseignement, les elites, c’est la regle. La, nos egeries du paf etaient mises a contribution. Maude, rebaptisee pour l’occasion Madame Kolwezi, se faisait sauter dessus par la Legion tandis que les berets rouges du 1er RPIMA defilaient sur Marie-Alessandra, qui les conna?t tous par leur prenom, positionnee en levrette sur le milieu de la chaussee au debouche des Champs, face a la tribune (y’avait meme du marquage au sol pour que permisterne se gourre). Maude, coiffee de la « tarte » caracteristique de l’unite, etait en train de se faire troncher par le 13eme bataillon de chasseurs alpins de Chambery, couverte de foutre blanc comme leur uniforme, sur une luge entre les chevaux de Marly. Et Joelle, deguisee en sirene, sucait a la chaine les plongeur de combat en combinaimister avec palmes et masque du Commando Hubert dans le grand bassin !! Grandiose…
Retour au moment tant attendu : le defile des troupes motorisees. Seize chars Leclercs alignes avec le canon repeint couleur mandrin braque vers le ciel (rappelons que l’engin est equipe d’un canon de 120 mm à ?me lisse d'une longueur de 52 calibres – soient 52x120mm=6.24m - et d’une frequence de tir de 12 coups/minute : ca devrait suffire pour satisfaire nos donzelles…). Au milieu, avancant au pas, un porte-chars du 1er r?giment de Spahis de Valence, sur lequel tronait Laureen en combinaimister resille camouflee et plateformes a talons aiguille, cernee et entreprise avec ardeur par tous les blacks en service dans l’unite. Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, on cloturait ce grand moment en voyant passer Corinne, attachee nue, sauf le casque et les rangeos, ecartelee sur la grande echelle de la brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris au grand complet, chaque soldat du feu grimpant a mister tour les barreaux pour carrer le leur dans le berlingot en feu de la luronne. Toutes sirenes, dont elle, hurlantes !!
Un peu de repit et de repos avec le traditionnel passage, annoncant la fin de la revue, des legionnaires a pied. Pas lent, bite sortie du pantalon et chantant a tue-tete a ces dames « Tiens, voilà du boudin », les vaillants sapeurs avaient, pour l’occasion, belle intention, epile leur legendaire tablier en ticket de metro et Maude, toujours aussi facetieuse, remplacait le fameux chapeau chinois, juchee sur une perche, en faisant tintinnabuler les clochettes accrochees aux multiples anneaux qui decoraient mister con.
Durant tout le spectacle, Freyja en domina-cuir etait restee aux commandes : le petit Nicolas, nu et a quatre pattes entre ses cuisses, tenu en laisse, lui bouffait la moule avec ardeur, lui qu’a la langue si bien pendue, pendant qu’elle s’occupait buccalement des membres du corps diplomatique de l’Afrique Equatoriale en poste a Paris. Brice Hortefeux et Eric Woerth enfumaient a tour de role la taupiniere de Carlita. Rama Yade, secretaire d’Etat chargee des Doigts de l’Homme, se faisait fister par Xavier Bertrand et Francois Fillon, concurrents pour occuper la meme place, tandis que Bertrand Delanoe, Khadafi et Jack Lang se faisaient deglinguer le potiron par les membres des service de securite. Enfin, Michel Alliot-Marie se faisait remarquer en vidangeant le burnier de la derniere promotion des commissaires de l’ecole de Saint-Cyr-en-Mont-d’Or, hurlant a chaque giclee de foutre sur mister profil basque : « Encore, encore, ca rend la peau lisse, ca rend la peau lisse !! ». Quant a Christine Lagarde, a la recherche de la corne d’abondance pour combler les deficits et soucieuse de nos approvisionnements petroliers, elle inventoriait manuellement le dessous des djellabas des invites de la future Union pour la Mediterranee, selectionnant les plus gros tuyaux avant de les emboucher avec l’espoir que les prix baissent enfin a la pompe…
Tout ce beau monde filait ensuite dans le parc de l’Elysee pour la traditionnelle garden-party, ou Corinne Lepage et Nathalie Kosciusko-Morizet l’avait precede pour se brouter le gazon en paix avant que la pelouse ne soit envahie par les invites. Au moment du depart, la patrouille de France avait fait un dernier passage, lachant en lieu et place du panache de fumee tricolore une pluie de capotes consciencieusement remplies de la semence de tous les valeureux defenseurs de la Nation ayant participe a la revue. Paris englue, Paris badigeonne, Paris enfoutre, mais Paris bordelise !!! Allons z’enfants de la partouze, le jour de baise est arrive…
… Me suis reveille sur une note un peu triste… Rachida Dati, errant seuls dans les rues luisantes de sperme et interpellant les rares niqueurs encore presents, culotte sur la tete et pantalon sur les chevilles, pour leur demander, hagarde, desesperee et la bouche ensanglantee, s’il savait comment se faisait-il qu’elle n’arrivait pas a faire ejaculer la bite geante, la-bas, sur la place ?? La pauvrette, elle se voyait deja foutue a la porte du gouvernement pour faute professionnelle grave et incompetence notoire ! Et Fadela Amara, qui apres avoir dechire de rage et de depit sa carte de membre fondatrice de « Ni putes Ni Soumises », etait retrouvee au milieu de la nuit, hagarde et lechant a quatre pattes les paves des Champs-Elysees a la recherche des ultimes restes du bombardement spermique du matin, repetant sans cesse les memes mots : « Faut pas gacher, faut pas gacher »…
Heureusement, mon journal du matin m’a apporte une bonne nouvelle : Carla serait enceinte ! Mais d’apres les participants a la garden-party, on ne sait pas encore avec precision qui serait le pere : la base aeronavale de Landivisiau, l’escadron de la Garde Republicaine a cheval ou Luthor, le labrador anti-explosif de la brigade cynophile de la Gendarmerie nationale ?…
Me demande si j’ferais pas mieux d’arreter de consulter le topic d’Odin en sirotant de la vieille prune avant d’aller me coucher, moi ??!!