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Arabes, beurs et autres rebeux ...

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fabien

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#1
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Et pour ne pas effrayer les population avec un topic uniquement de "texte" voici aussi le transfert d'une petite contribution que j'avais fait sur je ne sais plus quel topic au titre des relations entre francaises et beurs ..
fabien

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#2
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voila les photos ... bloqu�es par je ne sais quel bug ...




fabien

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#3
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la suite ...




fabien

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#4
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Egalement d�j� vu .. la m�re et la fille succombent toutes deux ...




fabien

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#5
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Et oui ...


tax75

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#6
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fabien
Tu es le roi...
T'es le meilleur...
Ton r�cit est magnifique... il m'a valu une premi�re branle...
Et ensuite ls photos de la m�re et la fille avec un de mes fr�res, MMmmmmmmm ya pas mieux....
fabien

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#7
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Sur le topic "�jac pr�coce", j'avais par jeu, pos�e cette petite devinette, black ou beur ? sachant que je ne suis cherche pas vraiment � concourir dans cette cat�gorie des �jaculateurs pr�coces (on ne peut pas avoir tous les vices :tongue




fabien

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#8
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En fait, cette photo trouv�e sur le net ... retournait en moi un couteau dans une plaie pas vraiement cicatris�e .. j'en fit le r�cit �galement sur le topic "baiser au sens de kiss" ...
fabien

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#9
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Un r�cit en trois parties ...

1-Le voyage :

Avec V�ronique et Fran�oise, deux de mes anciennes coll�gues, nous avions une amie commune qui devait se marier en juin dans le sud de la France aux environs de S�te. Comme elle nous avait invit�s � la c�r�monie, il nous apparu bien vite qu�il serait int�ressant de prendre quelques jours de cong�s autour de ce week-end nuptial pour faciliter notre s�jour et profiter un peu plus longtemps � cette occasion du soleil de bord de mer.
Ainsi, au motif de se renseigner sur la possibilit� d�obtenir des tarifs pr�f�rentiels et d�organiser un voyage et un s�jour en commun, V�ronique d�cida de s�occuper de l�intendance � charge pour nous la rembourser. Fran�oise ayant donn� mister aval � ce projet, il ne me restait plus qu�� m�occuper de mon cot� de louer un v�hicule une fois arriv� � destination pour nous d�placer avec toute libert� dans la r�gion.
Le vendredi matin, � la gare de Lyon, j�eu la surprise de voir arriver V�ronique avec un gar�on qu�elle me pr�senta comme mister petit ami. Elle m�expliqua que Karim aurait du �tre th�oriquement indisponible pour ce week-end et qu�elle n�avait jamais parl� de lui pour cette raimister. Mais finalement, comme il avait pu in extremis se lib�rer, elle pr�f�rait passer ce long week-end � l�h�tel avec lui plut�t qu�avec sa copine Fran�oise. Sa copine, de mister cot� pr�f�rant se rendre � cette c�r�monie avec d�autres amies sachant que V�ronique n�aurait sans doute gu�re de temps � lui consacrer pour des discutions � entre filles �.
Un peu g�n�, je lui bafouillait qu�elle aurait du me pr�venir, afin de que je la laisse en t�te a t�te avec mister petit copain. Mais elle me dit : mais non, non, pourquoi, au contraire. Karim est tr�s content de faire ta connaissance, je lui ai dis que vous avez plein de sujets d�int�r�t commun. Pendant le voyage, vous pourrez parler de foot ou de cin�ma, il aime la SF comme toi. Fran�oise, c�est pas pareil, elle voulait me parler de plein de trucs � perso � qu�on ne peut pas d�baller dans un compartiment de TGV.
Devant ma mine d�confite, V�ronique me dis � �a te g�ne vraiment que Fran�oise ne vienne pas avec nous ? Tu as l�air vraiment contrari� �.
En effet, j��tais passablement contrari� �Depuis le temps que V�ronique m�avait tap� dans l��il avec sa frimousse d�ange et mister joli petit cul, j�avais �t� d�j� fort marri de savoir qu�elle n��tait pas libre, mais en couple avec un d�nomm� Julien. Ses bonnes copines de la boite, m�ayant jur� qu�ils s�adoraient, je n�avais pas cru bon de tenter de vaines man�uvres d�approche vou�es � l��chec. Et l�, je d�couvrais que non seulement V�ronique avait quitt� Julien, mais aussi qu�elle n��tais pas rest� seule bien longtemps� Et je me mordais les doigts de n�avoir pas eu plus d�audace alors que sa vie de couple pr�c�dente �tait passablement branlante. Merci les infos de premier choix des bonnes copines �
Pour bien retourner le couteau dans la plaie, mais bien sur sans se douter qu�elle me torturait ainsi, elle me dit qu�elle ne connaissait Karim que depuis quinze jours, mais qu�il �taient d�j� tr�s amoureux.
� Vous avez plein de sujet d�int�r�t commun � � avait elle dit, la bonne blague. Je ne me voyais pas lui dire que le principal sujet d�int�r�t commun que je me trouvais pour l�instant avec Karim, c��tait mister joli petit cul. Mais sur ce coup la, Karim avait rafl� la mise et je me retrouvais comme un con � constater que celle que je convoitais avec une concupiscence avou�e et assum�e m��tait pass� une fois de plus sous le nez ...
Pendant le trajet, nous �tions dans un de ces blocs de quatre si�ges en vis-�-vis, je ne regrettais m�me pas que V�ronique n�ait pas mis de minijupe pour faire le trajet, car vu notre proximit�, je n�aurais de toute fa�on pas pu jouer au jeu imb�cile qui consiste � regarder le plus loin possible sous ce genre de v�tement un peu provocateur. Fid�le � ses tenues habituelles, V�ronique avait un jeans tr�s pr�s du corps. Cela ne me d�plaisait pas d�ailleurs, car j�ai toujours trouv� que ce genre de pantalon serr� mettait bien en valeur une chute de rein bien marqu�e et un petit cul adorablement moul�.
Pendant le trajet, je ne pouvais donc admirer de V�ronique que sa frimousse adorable et constater avec un petit pincement au c�ur que, vu la position de mister bras, la main de Karim passait sans doute mister temps � faire les montagnes russes sur le haut des cuisses de ma petite ch�rie blonde.
Pendant un long moment, et je ne sais plus pourquoi, nous avons �voqu� la premi�re guerre mondiale tous les trois. V�ronique, me rappelait fr�quemment � l�ordre car je n�avais pas l�air d��tre compl�tement � la conversation. Mais, � quoi tu penses ? tu as l�air ailleurs, me dit-elle plusieurs fois et assez amus�e de me voir autant � dans la lune �. Bien �videmment, je ne pouvais lui r�pondre la v�rit�. Que j��tais en train d�employer toute mon imagination � essayer de visualiser ce qui se passait sous la table entre les cuisses de mon interlocutrice. J�essayer de visualiser les doigts fouineurs de Karim, qui tels de bon petits soldats, �taient en train de parcourir le � sentier de la gloire � ou le � chemin des dames �. A l��poque, j�anticipais sans doute sur la sortie du film � indig�nes � car j�imaginais assez bien le � sentier � de V�ronique devenir l�incarnation de la � tranch�es des ba�onnettes � sous l�assaut fougueux des tirailleurs s�n�galais et autres goumiers alg�riens. Je me demandais m�me si cette tranch�e cachait un vaillant � poilu � ou une zone compl�tement ras�e par des tirs d�artillerie incessants.
fabien

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#10
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2) L�h�tel � la nuit

Apr�s avoir r�cup�r� un v�hicule � S�te, fait un peu de tourisme et d�n�s sur le port, nous arriv�mes � l�h�tel en soir�e. V�ronique s��tait d�brouill� pour r�server deux chambres cote a cote. Karim me fit un petit sourire entendu en me disant � bonne nuit � qui me tordit les intestins d�un ressaut de jalousie mal plac�e.
J�eu l�impression de lire dans le regard de V�ronique un instant de perplexit� devant cette proximit� g�ographique qui avait �t� pr�vue dans une autre configuration, � savoir une chambre qu�elle aurait partag� avec Fran�oise et non Karim. Pensait-elle � cet instant que cette situation risquait d��tre un peu g�nante pour eux, pour moi, pour eux et pour moi ?. Myst�re ... Mais, d�un coup mister visage s��claircit et avec un large sourire dans lequel je ne lu aucune malice tendancieuse, je la vis dispara�tre � mister tour dans leur chambre laissant � mon intention l��cho d�un autre � bonne nuit �.
Fatigu� par l�heure matinale de notre d�part de Paris et par une semaine laborieuse, je m�endormis assez vite, n�esp�rant pas trouver le sommeil du juste aussi rapidement.
Au milieu d�un r�ve dont j�ai totalement oubli� le contenu, je fus r�veill� par un bruit sourd et lancinant aussi r�p�titif qu�un m�tronome. Je regardais ma montre, il �tait 2 heures du matin. Apr�s quelques minutes de t�tonnement qui me furent n�cessaires pour recouvrer totalement ma lucidit�, je compris que ce bruit provenait de la chambre d�a cot�, celle de V�ronique et Karim.
Le c�ur battant, je me doutait un peu de ce qui se passait et au risque de me faire du mal, je collais mon oreille � la cloimister pour en avoir le c�ur net� Bien �videmment, en plaquant mon oreille contre le mur � m�en �craser le pavillon, j�eu la confirmation de ce qui se passait. Je pu ainsi tout d�abord d�crypter ce bruit sourd et lancinant qui m�avait r�veill�. Je compris qu�en fait, c��tait le bois de la t�te de leur lit qui venait percuter la cloimister � intervalle r�gulier. Inutile de vous faire un dessin sur ce qui peut engendrer, un mouvement de va-et-vient dans un lit�. Cette explication scientifique et rationnelle aurait du me satisfaire, mais bien �videmment en collant mon oreille contre cette fichue cloimister, j�eu l��tonnement de voir � quel point cette technique indiscr�te, que je consid�rait a priori comme rudimentaire, augmentait de fa�on inesp�r�e la qualit� d��coute... Alors que je m�attendais au mieux qu�a entendre des bruits de r�les �touff�s et quelques grincements de matelas, j�eu la surprise de quasiment pouvoir suivre une conversation en direct entre les deux tourtereaux. Les mat�riaux de la cloimister �taient ils de mauvaise qualit�, ou, emport�s par le feu de l�action, notre petit couple parlait-il particuli�rement fort en oubliant totalement le voisinage ? Peu importe �
Je ne vous cache pas qu�en les entendant eux m�me commenter leur partie de jambes en l�air, j�ai commenc� � m�astiquer s�rieusement la queue. J��tais � la fois fou de jalousie et ivre de bonheur d�entendre les mots crus et avides avec lesquels V�ronique, v�ritable petite pouliche blanche en chaleur, prodiguait des encouragements � l��talon arabe qui �tait en train de la saillir.
Il y eu bien entendus des poses, des respirations, des interludes et des moments de d�crue, mais � 3 h du mat, j��tais encore l�oreille viss�e contre la cloimister ne voulant perdre aucune miette de ce moment d�anthologie inesp�r�e.
Alors que j�allais commencer � flancher, un regain d�activit� derri�re la cloimister captiva mon attention avec des mots lourds de sous entendu � � Non ; non Karim, je veux pas, pas ce soir � �, J�avais l�impression de m�entendre dire moi-m�me dans ma t�te : Hou lala .. Quoi pas ce soir ? La petite V�ronique, n�aime pas pomper et nettoyer un gros zob apr�s s��tre fait piner la chatte comme une pute ? Ou alors � non, j�y crois pas �Ce serait trop excitant � Puis � la suite d�arguments assez volubiles mais dont j�ai mal per�u la teneur, j�entendit, V�ronique continuer � couiner mollement des � ah non, non, sil te plait, non �.
Impossible de savoir si elle �tait en levrette ou sur le dos jambes relev�es, mais le dialogue associ� ne laissait plus aucun doute.. C��tait bien une bonne sodo des familles qui �tait en train de se d�rouler derri�re cette satan�e cloimister �la fa�on dont V�ronique disait d�sormais � non � �tait particuli�rement excitante car totalement factice. En l�entendant parler, il �tait clair que dans sa bouche ce non n��tait plus un non de refus mais un non destin� � exciter encore plus mister partenaire. Un partenaire qui lors d�un enculage se d�lecte autant de faire c�der la r�ticence de la fille que de powerr mister petit trou.
Un autre truc m�avait r�trospectivement rendu fou, le � pas ce soir �. Lorsque qu�il se fut av�r� qu�il s�agissait bien d�une sodo en bonne et du forme .L�id�e que V�ronique ait �t� d�j� plusieurs fois mise par le cul par un mec qu�elle ne connaissait que depuis deux semaines �tait � la fois hallucinante et terriblement excitante. Tout cela n��tait cr�dible que si cette petite salope avait couch�e le � premier soir � et en ait �galement profit� pour se faire �largir la rondelle s�ance tenante suivi d�une s�rie de piq�re de rappel � intervalles r�guliers et rapproch�s.
J�avoue ne pas avoir pens� sur l�instant que le � pas ce soir � aurait pu �tre destin� � remettre � plus tard une pratique contre nature que V�ronique aurait pu vouloir envisager avec un peu de recul et de r�flexion pr�alable� Mais, la suite de ce que j�ai entendu a infirm� cette hypoth�se dilatoire, c��tait bien un � pas ce soir � au sens � pas encore une nouvelle fois � et non le report d�une inauguration.

Je faillis juter, en croyant entendre Karim dire � je suis sur qu�il �coute � �, mais je me suis retenu miraculeusement, en essayant de rester concentr� malgr� mon pauvre pavillon d�oreille qui continuait � �tre martyris� pour la bonne cause. Je ne suis pas certain d�avoir bien entendu cette phrase. Peut �tre est-ce � tu crois qu�il �coute � ? Ou � si on nous �coute � ?� En tout cas, le fait que les toutes les op�rations sodomites avec power d�tails crus et croustillant se d�roul�rent sans que les deux protagonistes ne baissent le ton, m�incita a penser que nos deux tourtereaux trouvaient un motif d�excitation suppl�mentaire dans cette � exhibition auditive � qu�ils s�adressaient peut �tre et surtout � eux-m�mes.
Les r�les extatiques et les encouragements de V�ronique ainsi que les saloperies les plus d�gueulasses que d�bitait Karim en proc�dant � l�enculage de ma petite ch�rie ne pouvaient pas ne pas me faire exploser � br�ve �ch�ance. Karim me donna le coup de gr�ce lorsque je cru l�entendre prononcer cette phrase d�finitive mais qui �tait pourtant un mod�le de correction par rapport � ce que j�avais entendu avant � je t�ai tout mis, petite salope �savoure avant que je ressorte.. � .Ces mots me firent un effet imm�diat et je me mis a juter en ayant en m�me temps dans un flash, la vision de V�ronique empal�e jusqu�� la garde sur un zob qui ne pouvait �tre que titanesque.
Apr�s cette derni�re saillie qui fut donc anale, la fatigue des uns et des autres pris le dessus et je m��croulait sur mon lit froid alors que de l�autre cot� le silence tomba sur ce qui �tait encore il y a quelques minutes un lieu de passion amoureuse et de tumulte sexuel.
fabien

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#11
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3 - L�h�tel � le jour

Le lendemain matin nous nous retrouv�mes dans la salle du petit d�jeuner, les mines fatigu�s des uns et des autres ne laissant gu�re de doute sur la r�alit� de ce que nous avions v�cus pendant la nuit. Ce n��tait donc pas un r�ve, mais les pr�paratif du mariage de Sabine facilita le d�port de la conversation �vitant les traditionnels � tu as bien dormis, t�as l�air fatigu�.. � qui n�auraient pu qu�entra�ner des menmisterges inutiles.
Le reste du samedi fut consacr� � la c�r�monie et � toutes les manifestations qui s�ensuivirent jusqu�� l�aube du dimanche, c�est vers midi que nous avons de nouveau �merg�s. En me levant, je trouvais un petit mot de V�ronique mis sous la porte de ma chambre pour me dire que Karim dormait encore et que de mister cot� on pouvait la trouver en train de prendre un bain de soleil au bord de la piscine.
Jetant un coup d��il par la fen�tre, je vis en effet V�ronique allong�e sur un transat dans un petit bikini vert et noir fort seyant. Je restais plus de deux minutes sans bouger � la contempler, l�chant du regard toutes les parties de mister corps tant d�sir�. Puis, je la vis farfouiller dans mister sac de plage et en extraire mister t�l�phone mobile. Les deux fen�tres �tant entrouvertes, j�entendis tr�s distinctement une misternerie de portable retentir � cot�, puis la voix de Karim lui confirmant qu�il descendrait � avec ce qu�il faut � apr�s avoir pris sa douche.
Trouvant ce programme intriguant, je me mis moi m�me sous la douche en comptant reprendre mes observations � mister issue.
Tout en me s�chant, je me mis l�g�rement de biais pour ne pas �tre rep�r� par V�ronique que je me remis � contempler mais cette fois la queue � l�air pour faciliter une gentille petite branlette en hommage � sa beaut�. Puis, je vis appara�tre dans mon champ de vision Karim en maillon de bain et avec un imposant tube de cr�me solaire dans la main. C��tait donc, �a le � ce qu�il faut �. Esquissant un sourire, je m�amusais moi-m�me de voir avec quel esprit mal tourn� tout mot ou expression �tait pr�texte � sous-entendu et double sens.
Mais la r�alit� que j�avais sous les yeux �tait simple et sans ambigu�t�, tout en posant sa main sur le haut de la cuisse de V�ronique, Karim lui prodigua un interminable � french kiss � puis il s�accroupit aupr�s d�elle pour commencer � lui enduire le corps de cr�me solaire.
Je ne sais pas si c��tait une illusion de mes yeux fatigues ou un effet d�autosuggestion, voire tout simplement la r�alit� mais il me semblait que le slip de bain de Karim avait nettement augment� de volume depuis l�instant ou il avait commenc� a promener ses mains onctueuses sur le corps de V�ronique.
Karim faisait manifestement plus que de passer de la cr�me solaire � V�ronique, ses mains jouaient dangereusement avec les limites du petit bout de tissu qui cachait mister minou, tentant m�me quelques incursions mal r�prim�es par la demoiselle. Ce man�ge devenait de plus en plus chaud, jusqu�au moment ou V�ronique sentant sans doute instinctivement un regard pos� sur elle, leva les yeux vers ma fen�tre. J�eu le r�flexe stupide de me projeter en arri�re, avouant ainsi que mon observation n��tait pas innocente mais charg�e d�une bonne dose de voyeurisme. Je me maudissais d�avoir eu ce r�flexe malheureux et inutile, alors qu�il m�aurait suffit au contraire de faire lui un signe de la main amical avec un sourire entendu.

Me maudissant de ma b�tise, au bout de trente seconde, la curiosit� �tant la plus forte, je pointais de nouveau le nez a la fen�tre de la fa�on la plus discr�te possible, mais Karim avait disparu. J�entendis des pas dans le couloir et mon c�ur se mis � battre imaginant d�j� Karim venant frapper � ma porte pour me dire qu�il n�aimait pas mon comportement de voyeur.
J��tais d�j� en train de pr�parer mentalement ma d�fense en me disant que j�avais bien le droit de regarder par la fen�tre et que c��tait plut�t a eux de ne pas se donner en spectacle. Mais, rien ne se passa. J�entendis en effet Karim rentrer dans leur chambre .Sans doute �tait-il venu reposer le tube de cr�me ou y faire tout autre chose. Mes craintes �taient vaines et absurdes. Qu�est-ce que l�on peut �tre cr�tin lorsque l�on se sent coupable.
Je repris ma place a mon poste d�observation et je vis V�ronique faire des signes en direction de notre �tage, ces signes s�adressaient bien sur � Karim qui avait du appara�tre � la fen�tre. C��tait fascinant de voir le regard et le sourire qu�elle lui prodiguait, alternant signe de la main et bisous envoy�s a la vol�e. Puis, d�un coup mister sourire se fit plus discret comme g�n� et mister attitude sembla presque inqui�te. Tout en jetant des regards furtifs dans toutes les directions autour d�elle, d�un geste lent sa main glissa vers le bas de mister maillot.
Pendant d�interminables secondes, la gorge s�che j�ai entendu l�instant ou elle allait oser �carter le petit morceau de tissu qui cachait la faille essentielle. La � faille �, mot qui r�misterne si bien avec � saillie �. V�ronique jouait manifestement avec Karim le jeu de l�exhibition complice. J�ai attendu, rempli d�un fol espoir, l�instant crucial, mais elle n�en fit rien. Sa main remonta lentement, s��loignant du triangle des Bermudes qui risquait d�engloutir mon regard affam�. J��tais encore frustr�, na�f que j��tais de croire qu�elle allait prendre le risque que quelqu�un d�autre dans h�tel, la voit se mettre la chatte � l�air m�me si � cette heure tous les clients �taient sans doute en train de d�jeuner en ville.
D�une impulsion brusque, elle se leva et se dirigea vers le hall pour rejoindre leur chambre sans manquer de jeter un petit coup �il narquois vers ma fen�tre.
Peut �tre un quart d�heure plus tard, nous primes un repas l�ger en badinant sur les sujets tournant autour des gens que nous avions rencontr�s au mariage de Sabine. V�ronique et Karim n�avaient gu�re envie de bouger mais comme avions encore le v�hicule de location jusqu�au lendemain matin, je proposais que nous passions l�apr�s midi � la plage plut�t que de rester au bord de la piscine.
Tr�s bonne id�e, repris V�ronique d�autant que j�adore me baigner sans maillot, on se sent tellement mieux comme �a, et pour bronzer partout c�est bien le plus simple. Karim faussement ou r�ellement intrigu� fit une petite mou dubitative � ah bon, on peut faire le faire dans le coin ? ��V�ronique lui rappela qu�il y avait � Agde un plage naturiste mondialement connue et que bien sur, comme elle est n��tait a quelques dizaine de Km, il suffisait de s�y rendre. Tu n�a rien contre Fabien, tu n�a rien � cacher dit-elle ? Appuyant sa question d�un petit regard coquin�
Le sang me montait de nouveau a la t�te �V�ronique �tait en train de me dire devant mister mec qu�elle comptait passer l�apr�s midi a poil sous mes yeux �j��tait de nouveau tortur� a l�id�e de la voir la foune � l�air et l�obligation dans laquelle j��tais de payer de ma permisterne. L�id�e de me mettre a poil devant mister petit copain et le fait que j�allais powerment souffrir gravement de la comparaimister m��tait difficilement supportable. Sans parler du fait qu�en se promenant ainsi avec un couple amoureux dans la cit� naturiste, j�aurai � tenir une chandelle qui m�apparaissait de plus en plus br�lante.
Je soup�onnais m�me V�ronique de ne faire cette proposition aux seules fins que je la refuse, ou que je leur propose de leur laisser les clef de la voiture afin qu�ils y aillent seuls.
Essayant de ne rien laisser para�tre de mon trouble, je me dis que je n�avais finalement rien � perdre. Le fait que je connaisse cette cit� naturiste pour y �tre all� moi-m�me dans d�autres circonstances fit beaucoup pour me rendre cette proposition finalement raimisternable. Mais sans faire �tat de ces pr�c�dents, je me tournai vers Karim, et je lui laissait le dernier mot en lui disant : bon ok, si toi �a te va, moi �a me va aussi�. Devant mister hochement de t�te approbateur, je me retournais vers V�ronique � et bien allons y.
fabien

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#12
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Un jour peut-�tre, je raconterai la suite ...
tax75

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#13
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fabien
Et tu l'illustreras en ilmages ?
fabien

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#14
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C'est vrai que j'aurai pu illustrer la partie 3 "l'hotel le jour" par Karim sous la douche ...


fabien

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#15
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Je vous pr�sente Marie qui dialogue souvent avec Mouloud grace � la magie du net .. bien remarquer la web cam en bas � gauche


fabien

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#16
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Mais que voit elle la demoiselle ? en attendant une prochaine rencontre ..
Mouloud1.wmvAttached file: Mouloud1.wmv
 
panos_yogi

Member

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#17
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What can I say? I am sorry you are writing in French...
Panos
fabien

Member

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#18 · Edited by: fabien
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k� ki di lui ?
Gil Nobody

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#19
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fabien
Ben il se demande comment te f�liciter vu qu'il ne sait pas �crire en fran�ais...

"Que puis-je dire ? Je suis d�sol�, vous �crivez en fran�ais..."

On le fait � sa place : excellents tous tes derniers posts !
lopette48

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Posts: 133
#20 · Edited by: lopette48
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.
fabien

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#21
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Damned ... j'espere que ce r�cit est pure fiction sinon j'aurai des vrais scrupules � mettre
tax75

Anonymous

#22
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fabien
Toujours aussi excellent.
La qualit� de tes mesages est meilleure � chaque fois, et celle de nos �rection pour ces petites putes n'en est que plus dure...
fabien

Member

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#23
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Merci tax75, et que pense tu du r�cit de lopette48 ? �difiant non ..
lopette48

Member

Posts: 133
#24 · Edited by: lopette48
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.
joanna

Member

Posts: 6
#25
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Super vos fantasmes sur les rebeus! encore �a mexite !


lopette48

Member

Posts: 133
#26 · Edited by: lopette48
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.
joanna

Member

Posts: 6
#27
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ne m'en veut pas mais ta copine a eu raimister de t'avoir quitter pour ce rebeu. j'orai fait pareil! faire l'amour avec un blanc c'est trop banal !
la suite de l'histoire stp ! bisous
lopette48

Member

Posts: 133
#28 · Edited by: lopette48
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.
Micka

Member

Posts: 59
#29
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pour illustrer...


tax75

Anonymous

#30 
Up to the first message 
joanna
Bonsoir
Je vois que tu appr�cies la baise rebeu ... Cool et bienvenue..
- Tu as quel age ?
- A quel age as-tu connu notre fa�on de baiser la blanche ?
- Tu es d'o� ?
- La tunisie tu connais ?
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Arabes, beurs et autres rebeux ...
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