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les histoires de chrislebo

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soumis8

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Posts: 3142
#1,231 · Edited by: soumis8
 Down to the last message
bravo et merci pour l'histoire avec la dénomée Virginie!
vanbruje:
je faisais allusionà une série de textes publiés sous la plume d'un célèbre traducteur disparu, malheureusement,

ce serait pas Coulibaçà ou un nom comme çà?
chrislebo

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Posts: 164899 Pictures: 3 
#1,232
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Je suis une bonne lope pour vieux pervers actifs


Je suis un homme de 39 ans, plutôt mignon, sportif. Je fais pas mal de musculation.
Je suis marié mais bi. Parfois l’envie d’une queue me prends et alors je ne résiste pas longtemps. Je recherche mes
amants sur internet. Je ne suis que passif et docile. J’aime devenir la bonne petite salope obéissante du mec qui me baise.
Ma dernière rencontre était avec un mec mûr de 50 ans. Il est venu à mon bureau (je travaille seul) et nous sommes
descendu au WC du sous sol qui mistert toujours déserts. Il n’était pas très beau même plutôt laid mais j’aime ça m’offrir à
des vieux, laids, vicieux et dominants. On s’est enfermé dans les toilettes. J’ai enlevé mon pull et il a tout de suite pincé
mes tétons en m’enfonçant sa langue dans la bouche. J’ai répondu à mister baisé bien baveux en caressant sa queue à
travers mister pantalon. Il a baissé mister pantalon et moi aussi. Je bandais fort et je me suis mis a croupis pour le sucer. Il était
très poilu, mister sexe et ses couilles étaient poilus ainsi que mister torse. J’ai caressé ses tétons en avalant sa queue qui
grossissait. Il me traitait de salope et de pute en donnant des coups de reins pour que j’avale bien sa queue.
Après je me suis relevé. Il m’a retourné contre le mur et a frotter sa queue entre mes fesses en me branlant. Il a voulu que
je l’embrasse encore, sa langue et sa bouche était toute baveuse de plaisir. Il enfonçait mister doigt dans mon cul en
m’insultant. J’étais super excite !
Il m’a remis par terre, accroupis les jambes bien écarté. Il a pris ma tête entre ses mains et m’a baisé la bouche. J’ai senti
mister corps se tendre et il a jouis dans ma bouche. J’avais la tête coincé contre le mur et j’ai du tout avaler. Au même
moment j’ai éjaculer sur le carrelage des WC. Il est reparti aussitôt en me disant que la prochaine fois il me défoncerait le
cul. Il a voulu que je l’implore à genoux de venir me baiser. Je l’ai fais… Depuis j’attends cette future rencontre avec
impatience car je sens que je vais être encore plus salope et pute que jamais !

Je précise que je suis marié et que je me fais baiser par des mecs mais aussi parfois par ma femme (avec un gode
ceinture) ou par les amants de ma femme
chrislebo

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Posts: 164899 Pictures: 3 
#1,233
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Cette Histoire & l'une de mes préférées je sais pas si cela se termine comme ça mais si vous avez la suite (la fin) je suis preneur



Isabelle et Marc


Cette histoire date de 10 ans tout juste, alors que nous habitions le sud-ouest de la France.
Nous avions 30 ans, et ma femme, Isabelle, est une jolie blonde, petite, très mignonne, 90b, très coquine.
Dès notre arrivée dans cette région, nous avions acquis une jolie maimister dans un lotissement, et tout allait pour le mieux, jusqu'au jour où, 2 ans après, Isabelle vînt à perdre mister emploi de comptable.
Malgré mon salaire, les difficultés financières apparurent bientôt, et nous ne pûmes bientôt plus faire face aux remboursements du pavillon...
Notre voisin Jean-Paul, 61 ans, en pré-retraite d'une banque importante, au courant de nos difficultés, nous invita alors un soir à boire le café.
La discussion fût cordiale, amicale même, et il proposa de faire embaucher Isabelle dans la grande société industrielle dont mister fils était le PDG.
Nous avons alors pensé au miracle, car alors, toutes nos difficultés s'envolaient !
Alors que nous le remercions chaleureusement, il nous dit :
- Attendez, ne vous emballez pas comme ça, il y a une condition !!
Tombant un peu de haut, nous lui avons alors demandé laquelle ?
- C'est bien simple, je veux que ta femme m'appartienne sexuellement !
Ahuri, je lui répondis qu'il était fou, qu'il n'en était pas question....
Il nous dit :
- Alors, c'est vous qui voyez, vous allez vous débrouiller avec vos remboursements et vos dettes, et vous allez vous retrouver en HLM, couverts de dettes !
Isabelle et moi ne répondions plus rien...
Il ajouta :
- Je vous laisse réfléchir...la nuit porte conseil...je vous laisse jusqu'à demain soir pour me donner votre réponse...réfléchissez bien...!
Ce soir là, nous sommes partis, complètement misternés, ne sachant plus quoi faire...
En nous couchant, nous en avons longuement parlé avec Isabelle, qui disait que c'était un vieux vicieux, un pervers, qu'elle ne pourrait jamais...
Dans la nuit, elle pleurait, elle me réveilla en m'embrassant tendrement dans le cou, et me dit
- Tu sais chéri, il vaut mieux céder, je crois qu'il vaut mieux dire oui...
Je ne voulais pas, nous en discutâmes longtemps, mais nous avons fini par convenir, la mort dans l'âme, qu'il valait mieux céder, et ainsi aplanir nos difficultés.
Le lendemain, Jean-Paul nous attendait pour boire le café.
C'était l'été, Isabelle était en robe d'été blanche, légère et légèrement transparente.
Une fois assis dans le canapé, il demanda :
- Alors, qu'est ce que vous avez décidé ?
Isabelle lui répondit...
- Vous croyez qu'on a vraiment le choix ? C'est oui. Je suis d'accord.
Jean-Paul ricana :
- Eh bien vous voyez, vous voilà plus raimisternables !!
- Tu sais, depuis que vous êtes arrivés là, j'ai remarqué ta femme... Je l'ai même vue, plusieurs fois, allongée sur le transat, à se faire bronzer seins nus... Alors ma petite, à power d'allumer, il va falloir éteindre...
- Rassure-toi, tu vas passer ta première épreuve... J'ai appelé mon fils, pour ton embauche, il est d'accord... Je lui ai expliqué notre petit "contrat"...
- Alors, mardi, tu vas te présenter au siège de sa société, à 16 heures. Il va te recevoir pour régler les détails administratifs. Dès la première fois, tu vas te donner à lui !
- Pour la tenue, je te préviens, il n'aime pas les putes. Alors sois bourgeoise, bcbg...
- Tu as un superbe ensemble saumon... Tu mettras ça. Rien en dessous, juste un soutien-gorge et un slip. Pas besoin de bas, il fait chaud, ce n'est pas la peine d'en rajouter. Des hauts talons surtout, car il adore.
- Sois tendre, sois chatte, et offre-toi bien, c'est très important.
Isabelle se mit à sangloter...
- Pas la peine de pleurnicher ! Ca ne changera rien, et crois-moi, petite, ce n'est que le début !
Il alla chercher une bouteille de champagne et des flûtes.
- On va fêter ça !
Il déboucha la bouteille et nous servit. Puis il ordonna à Isabelle :
- Allez, toi, debout !
Nous étions assis lui et moi sur le canapé.
- Allez petite, marche un peu, que je puisse voir tes formes...
Il mit de la musique, Isabelle dût marcher....
Au bout d'un moment il se leva, je voulus me lever...
- Toi, tu restes assis, compris ?
Il s'approcha d'Isabelle, lui caressa lentement les seins, les fesses, le ventre...
Puis il l'embrassa dans le cou et dit à ma femme :
- Regarde la bosse que tu m'as mise dans le pantalon....
En effet, une bosse déformait sa braguette, et il se collait et se frottait à Isabelle...
Puis il dit :
- Ca suffit pour ce soir ! Rentrez, parce que ça va mal finir... Et je veux réserver le premier coup pour mon fils !
Nous étions le vendredi, inutile de vous dire que nous avons passé un week-end angoissé, ainsi que le lundi.
Le lundi soir, le téléphone misterna... C'était LUI.
- Vous passerez ce soir, après le repas.
Le soir venu, nous allâmes chez lui.
- Bien, le rendez-vous est calé pour demain, chez mon fils. Il t'attend. Vous passerez tous les deux me voir avant, vers 14 heures. Toi, habillée et maquillée !
Le mardi, à 14 heures, nous étions chez lui, comme il l'avait ordonné.
Isabelle avec mister tailleur, veste et jupe couleur saumon, et en hauts talons.
- Pas mal !! Pas mal du tout !!! Tu es très bandante comme ça....
Nous étions tous les trois sur le canapé.
- Lèves toi !
Isabelle obéit.
- Très bien... Enlèves ta veste et ta jupe !
Je tentai de protester...
- Ne t'occupe pas de lui, obéis !!
Isabelle retira sa veste, enleva la jupe, et apparût en sous-vêtements noirs, en jolie dentelle; soutien-gorge balconnets et slip brésilien....
- Pffff.... Tu sais y faire, toi !!!! Ton mari ne doit pas s'ennuyer avec toi... Il faut vraiment en faire profiter les autres !
- Allez, continue ! Retire le sous tif et le slip !
Isabelle pleurnicha, n'obéit pas....
- Tu m'écoutes, oui ???
- Je t'ai dit A POIL !!!
- FOUS TOI A POIL !
Isabelle, la mort dans l'âme, dégrafa le soutien-gorge qui tomba sur la moquette, et fit glisser la culotte le long des jambes...
Bras croisés sur la poitrine, elle attendait...
- Enlève-moi les bras de tes seins !!!! Plaque les le long de tes jambes, allez !!
Il émit un petit sifflement....
- Une vraie blonde, en plus... ! Il y a vraiment tout ce qu'il faut là où il faut !!
- Tourne-toi...
chrislebo

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#1,234
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Isabelle se tourna.
- Très jolies fesses.... Bien cambrée, en plus !!
- Bon, il se fait tard...Rhabille-toi, va te remaquiller, tout a coulé, et vas-y, mon fils t'attend !!
Il se mit à rire et me dit :
- Quant à toi, tu attends mister retour ici, avec moi !
Isabelle rentra chez nous, un quart d'heure après, j'entendis la voiture partir....
Jean-Paul mit la télé, nous bavardâmes...
Tout à coup, il dit :
- Tiens, il est 16 heures, elle doit entrer dans mister bureau !!
Il me dit :
- Bois donc une coupe de champagne, ça te fera du bien !
A 16 h 30 :
- A cette heure, elle doit être en mains, ils doivent être en train de s'amuser !!!
J'avais la gorge nouée...
Isabelle revînt à 18 h 30. Elle rentra chez nous. Jean-Paul l'appela au téléphone.
- Eh bien, nous t'attendons, qu'est ce que tu attends ??
- Elle arrive, elle prend une douche avant et elle vient.
Isabelle misterna, il alla lui ouvrir, elle entra, en jean et t-shirt.
- Voilà notre petite Isabelle !!
Isabelle vînt m'embrasser.
- Alors, ça y est ?? Embauchée ??
- Oui monsieur, ça y est, votre fils m'a embauchée, je commence demain.
- Bon très bien, voici la fin de vos ennuis... Mais on n'oublie pas notre petit contrat, hein ??
- ...
- Mais au fait, Isabelle, tu vas nous raconter vos petites galipettes... Comment cela s'est passé...?
Isabelle ne répondait pas....
- Tu vas répondre, oui ??? Ton mari voudrait bien savoir, nous étions comme deux imbéciles à t'attendre ici pendant que tu t'envoyais en l'air !
Isabelle ne répondait toujours pas....
- Je te préviens, tu vas nous raconter, parce que tu commences à m'énerver à faire la mijaurée !!
- Eh bien il m'a fait entrer dans mister bureau et m'a expliqué le poste, le salaire....
- On s'en fout !!! Et le reste ??
- Il m'a complimentée sur mon physique, ma tenue, et m'a demandé de me lever et de me déshabiller.
- Très bien ! Ensuite ??
- Je l'ai fait, j'étais en sous-vêtements, il m'a demandé d'aller plus vite, de me mettre nue.
- Quand j'ai été nue, il est venu près de moi, m'a touchée.
- Il t'a touchée... humm.... Où ?
- Eh bien les seins, les fesses, ..... le ventre ....
- Puis il s'est déshabillé également.
- Il m'a fait mettre à genoux.... Et j'ai dû lui faire une fellation.....
- Une fellation ??? Tu arrêtes de parler comme une bourgeoise ??? Il t'a demandé de lui tailler une pipe, non ??
- Oui....
- Alors dis-le ! Je veux t'entendre le dire !!! Allez !!
- Il m'a demandé de...... lui tailler une pipe.....
- Bien... Tu l'as bien sucé au moins ??? Longuement ??
- Oui... il aime beaucoup ce genre de caresse...
- Et ensuite ???
- Il m'a fait mettre debout contre mister bureau, et il m'a possédée...
- Hummm.... Et tu as jouis ??
- Non.....
- Petite menteuse.... Tu as jouis ????
- Alors ????
Isabelle fit "oui" de la tête...
- Ah tu vois.....!! J'en étais sûr... Attends, je vais l'appeler, on va avoir ses impressions !!!
Il composa le numéro, la ligne directe de mister fils...
- Serge ? J'ai Isabelle et mister mari chez moi... J'ai mis le mister, ils t'entendent... Alors, ça s'est passé comment ??
- Super, vraiment super... Dis donc, cette nana, elle est faite pour le lit... ! J'étais tellement excité que je lui ai mis deux coups ! Et encore, je n'ai pas eu le temps de m'en occuper !! En tous cas, nous n'allons pas nous ennuyer pendant les pauses déjeuner ou les voyages d'affaires...
- Tu vois, ton père te trouve de bons coups, non ??
- Ca, rien à dire, c'est une bonne baiseuse ! Et elle taille des pipes d'enfer...
- Bien, heureux qu'elle te plaise, je te laisse. Je t'embrasse !
Il raccrocha.
- Je crois que ça s'est bien passé vous deux, dis donc... Très bien, tu respectes tes engagements... Rentrez chez vous... Tu vas voir, ce soir, je suis sûr que ton mari va te baiser, il est très excité, tu sais....
Nous sommes alors rentrés à la maimister.....
chrislebo

Member

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#1,235
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Une fois rentrés chez nous, Isabelle me raconta l'entrevue.
Le fils à Jean-Paul avait été très correct, courtois...
Le poste qu'il lui proposait lui plaisait, était bien rémunéré, même mieux que celui qu'elle venait de perdre, et en plus, on lui ouvrait des perspectives d'avenir au sein de la société.
J'en vins alors à lui parler de la partie érotique...
Isabelle eût un peu de mal à en parler...
Il n'avait pas été grossier, ni macho... Il l'avait faite déshabiller lentement, avait profité du spectacle, l'avait pelotée et caressée partout, l'avait embrassée dans le cou, et délicatement masturbée.
Puis il s'était déshabillé à mister tour, Isabelle avait noté que lorsqu'il avait retiré mister slip, il était déjà en érection...
Ensuite, à genoux, elle l'avait sucé, puis lorsqu'il fût bien dur, il l'avait possédée...
Virilement, sortant mister sexe dressé pour mieux le replonger dans le vagin mouillé, et en diverses positions, debout, sur le fauteuil, sur le bureau, en levrette sur la moquette, agrémentant la saillie de mots crus, comme font tous les hommes excités par leur partenaire...
Il avait fini par jouir longuement sur ses fesses et ses reins...
Epuisés, ils étaient restés ainsi un moment, puis il lui avait donné un paquet de kleenex avec lesquels il avait essuyé le sperme qui coulait et maculait les fesses et le dos, puis Isabelle lui avait nettoyé le gland et la verge...
Il avait ouvert une bouteille de champagne, Isabelle avait apprécié ces quelques bulles...
Assis sur le fauteuil de mister bureau, il contempla Isabelle, entièrement nue, qui se levait pour se rhabiller, et il lui ordonna :
- Viens m'offrir ta bouche pour ranimer mon désir... J'ai envie de toi !
Isabelle vînt se mettre à genoux devant lui, et engloutit mister sexe pour une savante fellation, qui produit bientôt le résultat escompté : la queue était bien raide, luisante de salive, prête à remplir mister rôle...
Isabelle raconta qu'elle vînt elle-même s'empaler, face à lui, sur sa queue dressée...
Ils baisèrent ainsi un bon moment, lorsqu'il sortit mister sexe pour jouir sur la toimister blonde...
Encore une coupe de champagne, et Isa se rhabilla, non sans qu'il l'eût embrassée longuement en la caressant avant mister départ...
Je dois vous avouer que ce récit, fait par Isabelle, m'avait fortement excité, je ne ressentais plus la jalousie des jours précédents, mais une grande excitation !
Nous étions couchés, Isabelle avait un combiné pyjama short - t-shirt... Je la caressai rapidement...
- Enlève tout ! J'ai envie de faire l'amour !
J'aidai Isabelle à enlever le t-shirt, et, tout de suite, mon visage plongea entre ses jambes....
Je me mis à lécher goulûment la chatte de ma femme, léchant les lèvres, le clitoris, embrassant la toimister...
Je léchai chaque centimètre de cette chatte qui avait accueilli le sexe de mister amant, j'embrassai ces poils qui avaient été souillés par mister sperme....
J'étais ivre d'excitation, j'aurais voulu à ce moment la voir prise devant moi !!
Isabelle n'eût pas le temps de me sucer... je me relevai, lui écartai les cuisses, et tout de suite, la pénétrai...
Je la besognai à grands coups de reins, puis, me retirant, je la pris en levrette, en la tenant bien par les hanches, donnant de grands coups de reins, mon ventre claquant contre ses fesses, la secouant bien pour faire bouger ses seins...Isabelle s'offrait, tendant ses fesses...
- Tiens Isa....Tiens....Tiens....
- Tu aimes la bite...hein...tu aimes en prendre.....
Isabelle gémissait, criait...
- Il t'a bien prise, cet après-midi, .... Il t'en a mis aussi....petite putain...Tiens !!!
Je ne me contrôlais plus...
- Je vais jouir....Ouiii.....JE JOUIS !!!!!! oui.......
Je me plantai en elle, très profond, et me vidai dans sa chatte, tandis qu'elle partit en même temps en hurlant !
Je me retirai, allongé sur le dos, épuisé....
Isabelle s'allongea aussi, haletante, la chatte ouverte....le sperme commença à couler...
Isabelle alla faire sa toilette intime...
Lorsqu'elle revînt, elle me dit :
- Je ne t'ai jamais vu dans un état pareil !! Un véritable étalon.... On dirait que tu as pris un aphrodisiaque ! Tu m'as fais prendre un pied d'enfer !!
Je me levai pour la toilette, et me recouchai en câlinant Isabelle...
- Tu sais chérie, je dois t'avouer une chose...Ce que tu as fait cet après-midi, ça m'a mis dans un état !!
- Marc, je suis heureuse que tu le prennes comme cela, et qu'en plus, cela t'excite... Tu sais, je dois t'avouer que cet après-midi, ça n'a pas été désagréable... Il m'a prise, et cela m'a plu... Ca a été un peu humiliant au début, mais pendant, tu sais, on oublie vite...! Mais c'est toi que j'aime, ne l'oublie jamais ! Même si je dois me donner quelquefois à Serge, ce sera pour respecter notre promesse, et ce ne sera que physique... Et puis, beaucoup de femmes mariées ont des amants qu'elles cachent à leurs maris, toi, au moins, tu es au courant.... Il y a aussi des couples échangistes, nous en avions parlé une fois...C'est un peu comme ça...
Nous nous endormîmes, enlacés tendrement...
Le lendemain, Jean-Paul nous appela pour nous demander de venir le voir vers 21 h.
A l'heure dite, nous étions au rendez-vous, Isabelle dans une petite robe d'été légère.
Jean-Paul me fit asseoir dans le fauteuil, tandis qu'il se mettait lui à côté d'Isabelle, sur le canapé en cuir.
Il posa sa main sur la cuisse à Isabelle, la caressant négligemment...
- Dis donc, toi, j'ai mangé avec mon fils, à midi... Il m'a raconté.... Il paraît que tu es une chaude et qu'il ne faut pas t'en promettre... On va voir ça, rassure-toi...
Il caressait maintenant les seins, redescendait sur les cuisses... Il avait remonté la robe haut les cuisses....
- Maintenant, embrasse-moi...
J'avais la vision de Isabelle, embrassant notre voisin, qui aurait pu être mister père, et qui se faisait peloter, la main s'insinuait maintenant sous le vêtement léger...
- Allez ! Enlève vite ta robe... On va passer aux choses sérieuses...
Isabelle se leva, la robe passa par-dessus ses épaules... Elle apparût seins nus, juste vêtue d'un string noir en dentelle, et se rassit à côté de Jean-Paul...
Il l'embrassait dans le cou, sur la bouche, longuement... Puis il descendit sur la poitrine, suçant les tétons, léchant les bouts déjà érigés...
Je constatai qu'il avait passé la main dans le slip d'Isabelle, et qu'il la caressait et la masturbait frénétiquement....
Isabelle commençait à soupirer, et j'étais très honteux de la voir ainsi, offerte à notre voisin, cet homme qui avait 60 ans, et qui profitait de mister corps !!
Il lui retira mister slip, levant une jambe puis l'autre pour le dégager...
- Allez, suis-moi dans la chambre, pour ce qu'on a à faire, ce sera plus pratique !
Isabelle, nue, le suivit.
- Ne reste pas plantée là, allonge-toi sur le lit !
Il retira prestement sa chemisette et mister pantalon, il ne portait pas de slip, et avait une belle érection...
Il se coucha au côté d'Isabelle....
- Maintenant, ma puce, tu vas t'occuper de moi !
Isabelle l'embrassa dans le cou, lui embrassa le torse, puis descendit, descendit....
Il y eût un premier baiser rapide sur le sexe dressé, puis un second, et la fellation commença. Isabelle avait le sexe de Jean-Paul en bouche, et suçait...
- Humm.... Oui, suce-moi bien....
Isabelle enfonçait le sexe profond dans sa bouche, le ressortait pour titiller le gland de la langue, lécher le long de la hampe dressée, puis lécher les couilles durcies par le désir, pour reprendre en bouche et recommencer la fellation...
- Ahhh... oui, salope, pompe-moi bien à fond.....
Isabelle s'activait....
- Dis donc, elle est faite pour ça ta femme... Une vraie salope !!!
- Arrête !! Tu vas me faire jouir !! Et j'ai envie de baiser, moi !!
- Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette !
Isabelle obéit...
Il pointa le gland à l'entrée de la chatte de ma femme, puis la pénétra...
Isabelle gémit lors de la pénétration, puis les premiers mouvements du ventre de Jean-Paul, puis le rythme du coït...
Jean-Paul baisait maintenant Isabelle en cadence...
- Ah, salope, elle est bonne, ta chatte !
J'entendais clairement mister ventre frapper les fesses d'Isabelle en cadence, et je voyais ma femme possédée devant moi par Jean-Paul, qui lu maintenait les hanches en la baisant, et qui, quelquefois, s'amusait à lui peloter les seins...
Il se retira et s'allongea...
- Allez petite pute, viens t'empaler là dessus !
Isabelle l'enjamba, prit la verge pour la guider à l'entrée de mister sexe, et retomba sur la queue....
- Oui...voilà....Danse bien sur ma queue...bouge bien....
Au bout d'un moment, les signes que je connais apparurent, Isabelle gémit de plus en plus fort, cria, bougea de plus en plus vite...
- Ahh...oh oui...OUI....OUI...je prends mon pied...c'est bon...!!
Isabelle jouit, pendant que Jean-Paul, bien sûr, s'ingénia à accélérer le mouvement, afin de donner des coups de bite encore plus puissants dans la chatte de ma femme...
Isabelle épuisée, continuait à monter et descendre sur le pal qui lui transperçait le ventre...
- Attends, je n'ai pas jouis, moi... Il faut me finir...
Il la fit remettre en levrette et la pénétra...
- Tu vas voir, je vais te défoncer, ...
Il limait furieusement Isabelle...Tout à coup, il se retira...
- Ca y est !!! Je jouis...JE JOUIS...!!! Tiens salope...Prend mon sperme...Oui...Tiens...
Les longs jets gluants et blancs arrivaient sur les reins et les fesses d'Isabelle, en autant de flaques qui s'insinuaient et coulaient le long des globes charnus...
J'ai cru qu'il n'en finirait pas de jouir !!! Les jets se succédaient sans pouvoir arrêter...
Isabelle était couverte de sperme !
L'éjaculation se termina enfin, Isabelle, épuisée, s'affala sur le ventre, offrant la vision de ses reins et de ses fesses souillées....
- La salope, elle m'a vidé les couilles !!
Jean-Paul alla à la salle de bains, puis revint après sa toilette.
- Allez, vas te laver, tu as le cul plein de foutre !
Il lui lança une serviette avec laquelle Isabelle, tant bien que mal, s'essuya les fesses, puis elle alla prendre une douche rapide, tandis que Jean-Paul et moi allions boire un verre de champagne dans le salon...
- Dis donc, c'est un super coup, ta femme..... Une super baiseuse... Tu arrives à la satisfaire tout seul ??
Jean-Paul était toujours nu. Isabelle une fois douchée revînt parmi nous, et voulu se rhabiller.
- Non, toi, tu restes comme ça, tu es bien à poil, non ?? Fais nous profiter de tes charmes, et sert-nous à boire...
Isabelle fît donc le service entièrement nue, pour le plus grand plaisir de mister baiseur qui en profita pour lui caresser les fesses...
- Alors ma puce, tu as vu ce que je t'ai mis ?? Ca a eu l'air de te plaire, non ??
- Tu es une sacrée baiseuse ! Rassure-toi, j'ai plein de projets pour toi... Je t'en reparlerai en temps utile...
- En attendant, viens me sucer un peu, j'ai envie que tu me redonnes la trique !
Isabelle s'agenouilla devant Jean-Paul, et engloutit mister sexe dans sa bouche...
- Huumm... le pied.... Boire une coupe de champagne en se faisant tailler une pipe par une salope pareille.....
- Oui...suce bien... fais la grossir..... Sors bien ta langue....
Sous la savante fellation, la verge commençait effectivement à durcir, et au bout de quelques minutes, elle fût de nouveau opérationnelle...
Jean-Paul se leva d'un bond...
- Allez, mets-toi à genoux...
Isabelle à genoux, lui debout, il se masturba au-dessus de mister visage....
- Humm....Ca vient....oui...ça vient....
- Allez, finis-moi ! Pompe !!
Isabelle suça...
- Humm je vais jouir....Branle-moi maintenant....VITE !!!
Isabelle se mit à le branler frénétiquement...
Les deux premiers jets de sperme l'atteignirent en plein visage, le troisième sur les cheveux, et le quatrième sur le menton...
- Humm...ohh....Regarde ta femme comme elle est belle....pleine de foutre....
Isabelle retourna très vite à la salle d'eau, pour se nettoyer le visage et les seins sur lesquels le sperme coulait et faisait de larges traînées.
Ma femme réapparût vite, et Jean-Paul lui lança :
- On va arrêter là pour ce soir, car tu m'as vraiment vidé les couilles au dernier point... Tu baises bien, je suis content de toi... Maintenant, rentre vite avec ton mari, et fais lui la même chose, je suis sûr qu'il en crève d'envie...!
Nous sommes rentrés, Isabelle était épuisée, et ce soir là elle s'est endormie très vite, peletonnée contre moi, moi qui suis resté avec une envie furieuse en bas du ventre...
chrislebo

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#1,236
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Le lendemain de cette soirée chez Jean-Paul, nous avons été faire des courses à l'hypermarché du coin. Isabelle était mignonne, jean et t-shirt moulant.
Revenant vers 11 h, Jean-Paul était dans mister jardin, il héla Isabelle :
- Isabelle, viens voir ici, j'ai deux mots à te dire....
Isabelle alla le rejoindre dans le jardin, je les vis entrer dans la maimister, tandis que je débarquai les courses...
Isabelle ne revint qu'à midi...
- Mais..... que faisais-tu ? Cela fait une heure que je t'attends ??
- A ton avis ???? Pourquoi tu crois qu'il m'a appelée ??? Il m'a fait l'amour sur le canapé, voilà !!! Tu sais tout !!
Isabelle se dirigea vers la salle de bains, et j'entendis la douche couler...
Le repas fût assez tendu, mais il nous donna l'occasion d'évoquer le futur travail de ma femme, qui avait obtenu quelques jours de congés supplémentaires. Nous étions samedi, elle commençait le lundi suivant.
- Tu sais, Marc, il va falloir mettre ta jalousie dans ta poche et le mouchoir par dessus... Nous avons accepté leurs conditions, et il va falloir partager... Tu as compris qu'ils veulent disposer de moi comme ils l'entendent, et nous n'avons de toute façon pas le choix....
- Il y a des tas de secrétaires qui se font prendre par leurs patrons, j'en serai une de plus... Ce n'est pas bien original, et ça nous permet de garder notre maimister...
Je n'étais pas convaincu par les explications maladroites que me donnait Isabelle, je me mis à sangloter...
- Marc, mon amour, calme-toi ! C'est toi que j'aime voyons, il n'y a que toi... Les autres mistert des amants, des passades...
Le soir, Jean-Paul vînt, à l'heure de l'apéritif, nous voir...
- Vous viendrez tous les deux après le repas, j'ai envie de faire une série de photos d'Isabelle ! Nous en ferons plusieurs : en lingerie, nue, et bien sûr, en actions ! Marc, tu prendras les photos. Toi, Isabelle, prépare de la lingerie, tout ce que tu pourras trouver !
Jean-Paul finit mister Ricard et retourna chez lui.
- Je vous attends à 22 h ! Tâchez d'être à l'heure !
Isabelle alla dans notre chambre, et chercha dans notre armoire la lingerie exigée par mister amant : porte-jarretelles, bas, nuisettes transparentes, guêpières, bustiers, déshabillés transparent, soutien-gorge balconnets, strings brésiliens, ficelle...
Moi qui aimais tant la voir sexy, et qui lui offrait très souvent de la lingerie, cette lingerie allait servir à exciter mister amant, un homme de 60 ans !!
Mais, comme elle me le disait à midi, nous n'avions pas le choix...
Après le dîner, nous allâmes chez Jean-Paul, il avait préparé café et champagne, Isabelle tenait un sac qui contenait lingerie et talons hauts.
Jean-Paul fit l'inventaire du sac, et je vous passe les commentaires salaces qu'il formula à cette occasion !!
Il alla chercher un caméscope qu'il fixa sur un pied, et me donna un appareil photo et plusieurs rouleaux de pellicule.
- Bien ! On va pouvoir commencer, qu'en pensez-vous ?? Allez, Isabelle, A POIL !
Isabelle s'exécuta, et fût bientôt nue devant nous. Il brancha le caméscope...
Jean-Paul lui tendit différents effets de lingerie : soutien-gorge, slip brésilien, porte-jarretelles, bas noirs, et nuisette transparente.
Je fus obligé de prendre plusieurs clichés, Isabelle enlevant à chaque fois une pièce de sous-vêtements, en différentes positions et lieux du salon, sous les commentaires de mister amant :
- Cambre-toi mieux, offres mieux ton cul !
- Passes ta langue sur tes lèvres !
- Sors la langue !
- Ecarte ta chatte avec deux doigts !
Toute la lingerie fût essayée, et j'en étais déjà au sixième rouleau de pellicule et à ma quatrième coupe de champagne lorsque Jean-Paul décida :
- Maintenant, on va faire un peu d'action... On va passer dans la chambre !
Isabelle, qui n'était vêtue que d'un porte-jarretelles, de bas, et de hauts talons, s'allongea tout de suite sur le lit, pendant que Jean-Paul se déshabillait...
- Tu ne t'es pas ennuyée, à midi, mais rassures toi, je vais t'en remettre ! Ca fait plus d'une heure que tu m'excites, avec tes photos...
Nu, il rejoint Isabelle sur le lit, il se mit à genoux à côté d'elle.
- Allez, branle-moi un peu !
Isabelle prit le sexe déjà dressé dans sa main, et commença à le masturber en cadence...
- Alors, elle est belle ma queue ??
- Oh oui...elle est belle, et elle est grosse !
- Humm... plus grosse que celle de ton mari ??
- Oui...plus grosse....et plus raide.....
- Ah ça, quand je te vois, je peux dire que tu me mets une trique d'enfer... Continue à me branler... plus vite... allez !!
Isabelle intensifia le mouvement... le sexe gonflait à vue d'œil ....
- Eh bien, toi, qu'est ce que tu attends ?? Tu les prends ces photos ?? Tu ne vois pas qu'elle est en train de me branler ??
J'obéis, et le flash crépita de nouveau...
Sans qu'il lui demande, Isabelle arrêta de le masturber pour engloutir mister sexe dans sa bouche et lui faire une fellation....
- Oui, c'est bien... suce-moi... suce la grosse pine...
Je voyais ma femme en train de le sucer, les yeux fermés, cette grosse queue dans sa bouche, les couilles de mister amant butant quelques fois sur mister menton...
Sortant la langue, titillant le gland, léchant la verge pour la reprendre mieux en bouche...
- Bon, je vais te prendre !
Il se retira de la bouche, vînt au dessus d'Isabelle, la pénétra, puis leva ses jambes bien haut, pour les placer droites sur ses épaules, et commença à la posséder...
- Humm.... Ca y est, tu la prends bien....
Ma femme gémissait, tandis que la bite allait et venait en elle... Il la sortait quelquefois, pour mieux la replonger à fond...
Il décida au bout d'un moment de changer de position, et mit Isabelle en levrette, puis la pénétra immédiatement de plus belle...
- Je te prends bien là..... Tu la sens bien ma grosse queue, hein...??
Il tenait Isabelle par les hanches et donnait de furieux coups de reins... Isabelle criait maintenant sous les coups de boutoir de mister amant...
- Tu la sens bien ma queue ??? Réponds-moi, petite salope !!!
- Ou...iii... Oui... je la sens... elle est grosse... oui...
Il lima encore un moment Isabelle, jusqu'à la faire jouir....
- Ahhh !! Je viens... oui, je viens... je jouis... oh c'est bon salaud, c'est bon !!! Ahhhhh !!!
Isabelle était empalée, épuisée, hurlant, jouissant... Jean-Paul se retira, la queue dressée, luisante, se la frotta sur les fesses de ma femme, le long de la raie...
- Maintenant, je vais te la mettre dans le cul !
Isabelle réagit tout de suite :
- Non ! je vous en prie, pas ça ! Pas ça !
- Pas ça ??? Mais si Isabelle, je vais t' ENCULER !
Joignant le geste à la parole, il porta sa main à ses lèves, enduisit ses doigts de salive, qu'il porta à l'anus d'Isabelle, pour préparer la pénétration...
Isabelle résistait, portait ses mains à ses fesses pour l'empêcher...
- Tu restes tranquille oui ??? Je t'ai dit : en levrette !! Alors tu te mets à quatre pattes et tu obéis !
Il humidifia encore ses doigts et pénétra d'un doigt, puis deux, l'anus à Isabelle, qui gémit...
- Bon, tu es prête maintenant, je vais prendre ton petit trou !
Il pointa le gland sur l'anus...
- NON ! je ne veux pas ! je ne veux pas... je vous en prie... non...
Il ne s'occupa pas des plaintes de ma femme, le gland força le passage...
- AIE !!!! NON......non !!! Ca fait mal ! Non !!!
Le gland était déjà entré... Jean-Paul n'eût plus qu'à powerr un peu pour faire entrer la verge entière, ce qui entraîna un hurlement d'Isabelle...
- Ca y est... elle est rentrée.... Arrête donc de gueuler comme ça ! Ce n'est quand même pas la première fois que tu te fais enculer quand même !
Il commença à la prendre doucement, faisant aller et venir mister sexe dans le conduit étroit, puis accéléra le rythme, pour franchement aller et venir et posséder Isabelle dans mister intimité la plus secrète...
- Ah salope, il est bien serré, ton cul.... Tu aimes ça, hein ??
- Tu la prends bien....je te casse bien le cul....
- Tu aimes, te faire enculer devant ton mari ???
- Réponds !!!!
- Ahh.....ah....ahh....oui... oui j'aime ça....encule-moi....
- Rassure-toi, tu prends ce qu'il faut ! Tu en prends plein le cul....je t'encule à fond...
Il voulut changer de position...
Il s'allongea, et Isabelle dût s'empaler, dans l'anus, dos à lui...
Je vis ma femme prendre la queue elle-même, se la placer comme il fallait, et s'empaler sur la queue dressée...
Il la fit bouger en cette position, je la vis grimacer, la queue plantée dans le cul...
Puis il la reprit, toujours dans le petit, en levrette, et la fît jouir de nouveau...
Enfin, il se retira, pour jouir longuement sur ses reins et ses fesses.
Littéralement épuisée, Isabelle tomba sur le ventre.
- Dis donc, je lui ai mis sa dose... Regarde-moi la... elle est heureuse, non ??
Il regarda ma femme allongée, les reins et les fesses souillés de sperme :
- Un jour, je te ferai lécher mon foutre sur ta femme ! Je suis sûr que tu aimeras !
Il se mit à rire et alla se laver.
Quand il revint, Isabelle se leva et alla prendre une douche.
Je lui remis les 10 rouleaux de pellicule utilisés dans la soirée.
- Très bien ! Cela va faire de jolis albums souvenirs... Je vous montrerai ça quand ce sera développé.
Isabelle nous rejoignît, toujours nue, puis alla s'habiller.
Nous avons fini la deuxième bouteille de champagne, Jean-Paul ne manqua pas d'embrasser et de peloter encore Isabelle...
- Il est déjà 2 heures du matin ! Le temps passe vite ! Rentrez vite chez vous, parce que lundi, petite Isabelle, tu vas travailler !! Et tu sais bien que tu ne vas pas t'ennuyer, petite coquine....
C'est ainsi que se termina cette journée, ou plutôt que le dimanche commença....

chrislebo

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#1,237
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Nous sommes rentrés nous coucher à 2 heures du matin, après la séance photos passée chez Jean-Paul.
Isabelle, épuisée par les assauts de mister amant, s'endormit tout de suite, nue, tandis que je pris une douche, et, excité par la soirée, je me mis à me masturber frénétiquement, mon sperme ne tardant pas à maculer la paroi de la cabine de douche...
A 9 h 30 du matin, la misternette me tira de mon profond sommeil.
J'allai ouvrir, je trouvai Jean-Paul à la porte, un paquet de croissants à la main.
- Alors ? Encore au lit à cette heure ??
Il entra.
- Je vais aller réveiller la miss et lui faire deux-trois petits câlins... Toi, va préparer le déjeuner et tiens le café au chaud
Il se rendit directement dans notre chambre où je le suivis...
Jean-Paul ouvrit les volets... Isabelle se réveilla en baillant ...
- Bonjour ma puce ! On a bien dormi ??
Il tira brusquement le drap, dévoilant la nudité d'Isabelle...
- Montre-moi un peu tes trésors...
- Ohhh... Mais on a le bout des seins qui pointe... on a envie de câlins...
Jean-Paul enleva mister gilet, et commença à se déshabiller...
- Allez, toi, va préparer le déjeuner ! Ne reste pas planté là comme une cruche ! Au lieu de jouer le voyeur, vas nous préparer un bon café, nous en aurons besoin pour nous remettre de nos émotions !
Je me retirai, et allai préparer le petit-déjeuner.
J'entendis rire...soupirer...gémir...
- AHH ! Doucement.....dou...cement !
- Oui ! comme ça....oui c'est bon....C' EST BON....
- Ah, tu l'aime ma bite....! Tu la prends bien....
Le bruit de notre lit rythmait les paroles de Jean-Paul et Isabelle en train de faire l'amour...
- Je n'en peux plus !!! je vais décharger !!!! Ouiiii.....tiens ! tiens !!! je jouis !!
J'entendis le couple, épuisé, retomber sur le lit en soupirant et râlant...
Puis chacun alla faire sa toilette, Jean-Paul arriva le premier.
- Voilà une journée qui commence bien !
Je ne répondis pas.
- Tu vas arrêter de toujours faire la gueule, toi ??
- Tu sais, il va falloir t'y faire ! Ta nana m'appartient, et si tu fais la gueule chaque fois que je lui mets un coup, tu n'as pas fini !!
Je servis le café.
- Au lieu de tirer une gueule comme quinze culs, essaie de prendre la situation avec philosophie... Quand tu accepteras mieux la situation, et que tu seras plus coopératif, je t'autoriserai peut-être à participer... Pour l'instant, c'est plutôt mal barré, je te le dis !!
- Dans notre petit accord, tu dois être seulement passif. Il faut que tu comprennes une chose : il faut obéir et se soumettre !
Isabelle fît mister entrée, vêtue, si l'on peut employer ce mot, d'une simple nuisette noire, entièrement transparente...
- Viens sur mes genoux ma chérie !
Isabelle obéit, s'assit sur les genoux à Jean-Paul.
- Tu sais que ton mari joue les jaloux ? Il fait la gueule... Il n'y a pourtant pas de quoi, hein ma puce...
Il se mit à embrasser Isabelle dans le cou, lui caressant les seins et les cuisses...
- Embrasse-moi !
Le couple s'embrassa fougueusement...
- Bon ! on va déjeuner, parce que sens que ça va mal finir... tu es en train de me redonner la trique ! Regarde....
Il prit la main d'Isabelle qu'il posa sur sa braguette...
Isabelle se leva, s'assit, et nous attaquâmes le petit-déjeuner.
- Alors, demain, c'est le grand jour ? Tu tâcheras d'être sexy et désirable... Serge adore les femmes qui savent se mettre en valeur !
- Ce n'est pas tout çà, mais il se fait tard ! Je mange avec mon fils à midi, on va parler de toi, je te l'assure !!
Jean-Paul nous quitta.
Tandis qu'Isabelle allait se maquiller dans la salle d'eau, j'allai dans notre chambre pour aérer le lit, et mon cœur se serra lorsque je vis les traces encore humides sur le drap de la semence de l'amant à ma femme...
Nous avons décidé d'aller manger au restaurant, après un délicieux repas, nous sommes revenus à la maimister.
Isabelle était vraiment heureuse d'avoir retrouvé un emploi, elle me confia ce bonheur, même s'il était conditionné par l'accord que nous avions avec notre voisin. Elle me fit promettre de ne plus reparler de cela.
A quoi bon, de toutes façons, en faire une affaire d'état ? Elle me répéta que tout cela n'était que physique, et qu'il ne fallait pas que je prenne ombrage de savoir qu'elle avait ce genre de relations avec Jean-Paul ou mister fils.
A 18 heures, le téléphone misterna :
Jean-Paul nous invitait à l'apéritif !
L'angoisse me tenailla, car j'imaginais bien pourquoi il voulait nous faire venir ! Mais, de toutes façons, pourquoi résister... Je n'avais pas le choix de cette situation et ne pouvais que subir.
L'apéritif se passa bien, nous avons parlé de choses et d'autres, et Jean-Paul ne voulut rien de sexuel avec Isabelle. Il parla juste du lendemain, la première journée de travail chez mister fils.
- Nous avons beaucoup parlé de toi avec Serge, Isabelle !
- Tu sais, si tu respectes tes engagements, si tu sais être disponible quand il le faut, et répondre à ses désirs, tu n'auras pas à le regretter... Tu peux faire une belle carrière dans sa société...
- Désirable comme tu l'es, je pense qu'il n'y aura pas de problème... En plus, tu fais bien l'amour, alors...
- Tu as beaucoup impressionné Serge lors de votre première rencontre... Il m'a dit que tu lui as donné beaucoup de plaisir, que tu savais y faire... Continue à bien offrir ton corps...
- Enfin, une chose est sûre : il te veut !!
- Quant à toi, Marc, comme je te l'ai dis, essaie de bien comprendre la situation, et surtout, de l'accepter. Tu n'as pas le choix. Et puis, essaie d'en tirer parti : c'est plutôt excitant, comme situation, non ??
- Tu verras, dans quelques temps, tu me remercieras, et tu y prendras goût !
Nous sommes rentrés chez nous, et après le repas, Isabelle prépara ses affaires pour le lendemain, elle commençait mister travail à 9 heures.
La nuit fût calme, et le réveil misterna à 7 heures 30.
Après la douche et le petit déjeuner, Isabelle s'habilla, chemisier, jupe courte, et veste.
8 heures 20, c'était l'heure de partir.
Isabelle me fit un bisou sur la bouche et me gratifia d'un :
- Bisous chéri, bonne journée !
Elle était visiblement heureuse de retrouver un travail et de voir la fin de nos ennuis financiers.
Je me mis en route pour aller travailler, et un pincement apparût lorsque j'imaginai Isabelle à la disposition de Serge, la journée durant.
J'arrivai à la maimister à 18 heures, Isabelle me rejoint à 18 heures 30.
Rongé par la jalousie, mais également par une lueur d'excitation qui pointait au fond de moi, je lui demandai de raconter sa journée....
chrislebo

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#1,238
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Isabelle et Marc se rendirent donc dans divers magasins, afin d'acheter power lingerie et vêtements, tous plus sexy les uns que les autres.
Serge, le patron, avait donné des instructions précises : Isabelle devait être désirable, et constamment accessible à ses désirs sexuels...
Isabelle avait bien suggéré les périodes menstruelles, où elle serait indisposée, Serge lui avait objecté qu'il pourrait alors fort bien se servir et jouir de se bouche et de mister cul...
Le lendemain, Isabelle mit un joli tailleur, avec jupe courte et veste croisée, et juste ses sous-vêtements dessous, agrémentés d'un porte-jarretelles et de bas noirs.
Elle portait des hauts talons, Serge ne voulait plus qu'elle porte d'autres chaussures au bureau ou lorsqu'elle sortirait avec elle.
- Très joli ensemble, Isabelle ! Félicitations !! Vous avez du chien... Vous feriez bander un centenaire...!
Serge se leva de mister bureau, approcha d'Isabelle, l'embrassa, tout en passant la main dans l'échancrure de la veste, pour lui peloter les seins....
- Humm.... En plus, tu n'as rien dessous.... Rien que ton soutien-gorge... Tu es quand même une sacrée salope !!
Il continua à passer sa main dans la veste, Isabelle se laissait faire, puis il lui caressa le sexe à travers la jupe, puis remonta la jupe pour la caresser à travers le slip, pour finalement insinuer sa main dans la culotte....
- Tu commences à m'exciter, toi...
Il continuait sa manœuvre...
- Qu'est ce que tu attends, petite gourde ?? Dépêche-toi de te déshabiller !! Tu ne vois pas que tu me donne la trique ??
Isabelle enleva sa veste, sa jupe...
Serge était déjà nu...
- Très jolis sous-vêtements !! Mais j'ai envie de baiser ! Vire le sous-tif et le slip !

Isabelle dégrafa mister soutien-gorge, retira mister slip. Elle demeura en escarpins, porte-jarretelles en dentelle noire, bas noirs.
Elle sait ce que mister patron voulait.
Elle s'agenouilla devant lui. Le masturba. Le prit en bouche.
- Humm... une pipe pareille dès le matin... Rien de tel pour bien démarrer la journée... Suce-moi bien... Oui.... Comme ça... Doucement... doucement...
Isabelle s'appliquait. Le sexe gonflait entre ses lèvres, devenait de plus en plus dur, de plus en plus long...
- Arrête maintenant ! Je vais te prendre !
Isabelle se leva, se pencha, prit appui avec ses deux mains sur le bureau.
- Oui... offre bien ton cul... voilà...
Serge pointa sa queue à l'entrée du vagin et la pénétra.
- AH !
Il commença à aller et venir dans le sexe de la jeune femme.
- Huuum.... Oui, tu es bonne...
Serge limait doucement, accélérant peu à peu le rythme, arrachant des soupirs à la jeune femme qui sentait en elle le sexe, dur et gonflé, bouger en elle...
Soudain, alors que Serge était en train de faire mister travail de mâle, bien planté dans Isabelle, la tenant vigoureusement par les hanches, la secouant comme il fallait, tapant mister ventre et ses couilles contre ses fesses, faisant balancer ses seins en cadence des allers et retours frénétiques, la porte s'ouvrît, laissant entrer le vaguemestre de la société, qui venait apporter le courrier du directeur !
Michel, le vaguemestre, était un homme de 50 ans, célibataire endurci, qui vivait chez ses parents, et ne dédaignait pas lorgner les jeunes femmes qui passaient dans mister champ de vision. Il se plaisait également à quelques plaisanteries graveleuses sur les femmes et la sexualité, comme les célibataires en ont le secret !
Isabelle se releva brusquement, le sexe qui la pénétrait sortit d'un coup de sa chatte, elle plaça ses bras devant ses seins....
Mais Serge ne l'entendit pas de cette oreille....
- Qu'est ce que tu fais petite imbécile !
Il prît les bras de la jeune femme qu'il replaça en position sur le bureau, prît sa queue à la main,
- Tends ton cul !!
Isabelle obéit, et il la pénétra, sans ménagement, d'un coup, et la posséda vigoureusement...
Il donnait de furieux coups de reins, plantant sa bite au fond de la chatte, pour presque la ressortir à chaque fois...
C'est ainsi que Michel entra, et déposa le courrier sur le bureau, tout en contemplant le spectacle qui s'offrait à ses yeux : une jeune femme nue, juste parée d'un porte-jarretelles et de bas, perchée sur ses hauts talons, en train de se faire saillir, debout, fesses offertes, par mister directeur.
Serge limait, tenant fermement Isabelle aux hanches, qui, malgré la situation, ne pouvait rester insensible aux attentions de mister baiseur, et la nature étant ce qu'elle est, elle participait malgré elle à la situation, ne pouvant s'empêcher de laisser échapper quelques gémissements et quelques cris, au rythme de la queue qui lui envahissait le vagin, et la faisait frémir...
- Humm.... Ah.... Hummm..... AHH ! !
- Oui... tu aimes ça... tiens... prends ma queue....tiens...
- Michel ! Préparez-moi donc un café... en plus, vous profiterez du spectacle !
Michel, ravi de l'aubaine, alla dans le coin du bureau, brancha la bouilloire, et prépara un café lyophilisé à mister directeur....
- La demoiselle en prendra un aussi ??
Serge répondit, tout en limant le sexe offert...
- Oui, ça la remettra de ses émotions.... Mais je veux que ce soit elle qui réponde...
- Regarde le et réponds-lui !!
Isabelle hésita, subissant les assauts du mâle...;
- Eh bien alors, réponds-lui !!
Isabelle se força à tourner la tête, regarda avec honte l'homme qui la dévorait du regard...
- Ou...i..... Ou..i.... Ah !.... j'en....boirai un au..ssi !
Serge se retira brusquement.
- Allonge-toi sur le bureau !
- Ecarte les cuisses, imbécile ! Comment veux-tu que je te pénètre ?
Isabelle, morte de honte, dut écarter largement les cuisses, offrant ainsi mister sexe à la vue de Michel...
Serge la pénétra immédiatement, et leva les jambes sur ses épaules...
Il cramponna Isabelle, et la prit.
Michel prit la parole :
- Dites donc, Monsieur, elle n'aura pas perdu de temps !
- Vous avez raimister Michel ! A peine arrivée, elle y passait ! Une vraie putain ! Et je peux vous assurer qu'elle aime ça !!
Michel surenchérit...
- En tout cas, mister mari ne doit pas s'ennuyer !!
- Oh... vous savez, avec ce que je lui mets tous les jours, ça doit la calmer un peu... Mais c'est une chaude du cul, il lui en faut !
Isabelle n'en pouvait plus, elle avait atteint plusieurs fois l'orgasme, qu'elle avait manifesté bruyamment par des cris, devant ce voyeur...
Soudain, Serge se retira....
- AHH ! Ca y est ! Je jouis ! .... Tiens.... ! Tiens salope !
Les deux premiers jets de sperme atterrirent près du nombril en deux larges flaques, puis les trois suivants fusèrent sur la toimister, en de longues traînées gluantes et blanchâtres qui coulèrent légèrement le long de la fente et le long des cuisses...
Isabelle resta, épuisée, le ventre, le sexe et les cuisses maculées, allongée sur le bureau...
Serge alla dans le cabinet de toilette, revînt avec de l'essuie-mains, et le plaça à côté d'Isabelle.
- Tiens, essuie-toi et vas faire ta toilette, tu en as bien besoin !!
Isabelle se releva légèrement, prit le papier, et essuya le sperme, sous les yeux de Michel qui ne perdait pas une miette de la scène...
Isabelle se rendit dans le cabinet de toilette, se lava et rajusta mister maquillage, quand elle revint, elle voulut reprendre ses vêtements...
- Non, non ! tu restes comme ça ! Tu vas nous faire encore un peu profiter de tes charmes !!
Serge s'approcha d'elle, la fît pivoter, pour offrir mister dos à la vue de Michel...
- Que pensez-vous de ses fesses ?? Magnifiques, non ??
Il la fit se retourner :
- Et devant, ce n'est pas mal non plus.... Vous avez vu cette poitrine ?? Et cette adorable petite touffe blonde en triangle ??
- En plus, elle suce bien !!
- Je l'appelle R-A-J ! Rien A Jeter !!
Michel hocha la tête....
- Elle est vraiment magnifique... Tout ce qu'il faut là où il faut...
- Oui, je vais en faire quelque chose, de cette petite !
Isabelle buvait sa tasse de café, pendant que Serge, négligemment, et devant Michel, lui caressait distraitement les fesses...
Michel termina sa tasse de café, puis sortit du bureau.
Isabelle, debout, se mit à pleurer...
- Pourquoi....avez vous fait cela...??
- Quoi donc, fait cela ???
- Devant... devant lui.....??
- Ma petite, tu es là pour MON plaisir... Donc, tu feras ce que j'ai envie, c'est compris ??
Isabelle, vaincue, obéit...
- Oui monsieur... oui...
- Très bien ! Rhabille-toi et va travailler !!
Isabelle passa une très mauvaise journée.
Avoir été ainsi exhibée, nue, baisée, humiliée devant un autre que mister patron...
Elle avait bien tenté de résister, mais elle avait gémit, crié sous les coups de boutoirs qui lui martelaient la chatte.
Elle avait du, devant cet inconnu, tendre ses fesses, écarter les cuisses largement, offrant la vue de mister sexe ouvert et pénétré, recevoir le sperme de mister amant, le corps maculé, et s'essuyer, avant d'aller faire sa toilette intime.
Vraiment, elle se sentait très humiliée.
Serge l'appela vers 16 h 30.
Elle dut juste enlever sa veste et mister soutien-gorge, et se mettre à genoux, pour lui pratiquer une fellation.
Il était pressé, devait partir en rendez-vous extérieur.
La bouche habile d'Isabelle eut tôt fait de rendre le sexe long et dur, Serge arriva bientôt à l'extase, prit mister sexe en main, se masturba un moment et se soulagea sur les seins de la jeune femme.
Les jets longs et épais se succédèrent en longues traînées qui formèrent bientôt de larges flaques blanchâtres et dégoulinantes...
Isabelle, les seins maculés, couverts de sperme, traversa le bureau, vers le cabinet de toilette, ou pas moins de quatre essuie-mains furent nécessaires pour essuyer la masse gluante.
Elle prit alors une lingette parfumée pour nettoyer la peau.
Serge prit soin, à mister retour, de l'embrasser goulûment, de lui peloter et sucer les seins, ce qui fît gémir la jeune femme.
Isabelle rentra chez elle, après être passée à l'hypermarché faire quelques courses, et retrouva Marc qui venait de rentrer de mister travail.
Le téléphone misterna : Jean-Paul !!
chrislebo

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#1,239
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Il avait fait développer les photos, et nous priait de venir après dîner voir ce qu'elles donnaient.
Ces satanées photos, où Isabelle avait dû enfiler toute sa lingerie, prendre des poses obscènes, se montrer nue, ouvrir ses fesses et mister sexe, comme les filles que l'on voit dans les magazines porno !
Sans oublier la partie hard, où Jean-Paul l'avait prise, baisée et sodomisée, puis aspergée de sperme !!
Elle allait devoir revivre cela, avec sans doute les commentaires salaces de mister baiseur !
Les pizzas avalées, ils arrivèrent chez Jean-Paul vers 21 heures.
- AH vous voilà ! Entrez !
Il nous fît asseoir dans le canapé, et alla chercher 3 albums photo, remplis des clichés d'Isabelle.
Une coupe de champagne à la main, il détailla chaque cliché, s'extasiant, commentant, appréciant la qualité des photos et les charmes à Isabelle...
- Regarde celle-ci, comme tes tétons pointent bien sous la nuisette !
- Celle-là ne cache rien de ton corps !
- Tu ouvres bien ta chatte, on voit même ton bouton !
Il passa à l'album " hard "...
- Il n'y a pas à dire, tu es une sacrée pompeuse ! Regarde-moi cette pipe que tu me tailles !
- Là, tu es bien enfilée ! Il n'y a pas à dire, la levrette, il n'y a que çà ! !
- Là, tu la prends dans le cul !
- Regarde comme tu la prends à fond ! Tu l'as jusqu'aux couilles dis donc !
- Celle-là, empalée dos à moi, on voit bien ta chatte qui est libre... tu es empalée dans le cul ! Dans le cul la demoiselle !
- Voilà le foutre qui arrive ! Eh bien, tu m'as vidé les burnes ce soir là... ! Tu en as partout, regarde-moi ça ! Tu es pleine de sperme !
L'examen des photos prit plus d'une heure, heure pendant laquelle Isabelle et Marc furent morts de honte.
Isabelle parcequ'elle était l'actrice principale, et Marc parcequ'il devait sûbir les commentaires vicieux et les photos de sa femme en pleine action avec mister amant.
Il versa le reste de la bouteille de champagne dans les coupes.
- Ces photos mistert superbes ! Félicitations Isabelle ! Nous en referons d'autres prochainement !
- Cela constitue un press-book, si je veux te présenter à quelqu'un !
Marc intervint :
- Comment, à quelqu'un ???? Je ne veux pas que des autres voient ces photos !!! Isabelle est ma femme quand même !!!
- Toi, tu ferme ta gueule, je te l'ai déjà dis ! Ta femme m'appartient ! Tu es cocu, tu regardes, et tu laisses faire !
- C'est compris ??
Marc hocha la tête plusieurs fois.
- Bien ! J'aimerais ne plus le répéter !
Il s'adressa à Isabelle :
- Tu as déjà fait l'amour avec plusieurs hommes à la fois ?
Isabelle bafouilla...
- Comment... quoi ?
- Oui, tu m'as bien compris : toi avec trois ou quatre hommes pour toi seule... Ca t'es déjà arrivé ?
- Euh....non....non....
- Je te demande cela, parce que je vais montrer tes photos à plusieurs de mes amis.... Et les connaissant comme je les connais, ils vont vouloir te connaître, et que j'organise une petite soirée....
- Mais... vous êtes fou ! Je ne veux pas ! Je ne suis pas une putain !
- Ca, ma petite, que tu veuilles ou non, ce n'est franchement pas le problème ! Tu feras ce que je dirai !
- Quant à ce que tu dis, que tu n'es pas une putain, excuse-moi, mais lorsqu'on voit tes photos, on peut penser le contraire, non ?? En plus, quand on s'envoie en l'air avec mister voisin et mister patron, on peut dire qu'on a chaud au cul, non ??
Isabelle se mit à sangloter...
- Ne commences pas à pleurnicher ! Je te laisse quelques jours pour te préparer à cette soirée !
- Tu verras, ce sera sympa... Un matelas près de la cheminée, du champagne, et trois ou quatre hommes qui ne demandent qu'à te faire du bien...
- Cela va durer toute la nuit, tu seras épuisée et heureuse au petit matin pour les croissants...
- Quant à ton mari, comme il n'est pas sage, il restera à la maimister, il ne profitera pas du spectacle ! Tu verras, Marc, tu vas bien te branler en pensant que ta petite femme est avec ces messieurs, en train de dévorer leurs queues et d'en prendre dans tous les trous ! Je suis sûr que tu vas être épuisé toi aussi à power de t'astiquer !!
- Tu mériterais que je garde ta femme pour la nuit, mais je ne vais pas être vache ! Rentrez vous coucher, et toi, imbécile, pine la bien ! Mets-lui en, au lieu de toujours regarder les autres faire ton travail !
Nous rentrâmes à la maimister.
Isabelle pleura un moment, la honte des photos, et surtout l'annonce de la soirée prévue...
Isabelle livrée en pâture à un groupe d'hommes !
Livrée et offerte comme une putain !!
- Je vais aller lui péter la gueule à ce salaud !!
- Non... non... ne fais rien...ne fais rien, je t'en prie ! Nous perdrions tout, tu le sais bien...
- Nous trouverons bien un moyen d'échapper à ce qu'il manigance... Je dirai que je suis malade, j'inventerai...
Isabelle et Marc mirent du temps à s'endormir ce soir là...
Mais la fatigue aidant, ils finirent par sombre dans un profond sommeil.
chrislebo

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#1,240
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Je tenais à apporter une précision suite aux différents commentaires et encouragements. Cette histoire a déjà été publiée et retirée sur un autre site. Aldo37 est l'auteur de cette histoire, je n'en suis que le "passeur".
bonne lecture

Le lendemain, Isabelle se rendit au bureau.
Le téléphone misterna, la secrétaire de direction...
Isabelle, le directeur veut vous voir
La secrétaire avait un ton ironique qui en disait long sur ses pensées....
Isabelle prit l'ascenseur, monta les 5 étages, arriva au secrétariat.
Allez-y, il vous attend.
Isabelle était vêtue d'un tailleur crème, sans rien dessous, autre que la lingerie arachnéenne qui lui était imposée : soutien-gorge balconnets en dentelle noire, slip brésilien, porte-jarretelles et bas noirs.
Ah ! vous voilà ! J'ai une de ces envies au bas du ventre, j'ai pensé à vous toute la nuit !
Serge embrassa Isabelle, et, derrière elle, lui mordillant le cou, pelota les seins, et insinua la main dans l'échancrure de la veste, pour directement malaxer les seins de la jeune femme...
Peu après, il enleva les 3 boutons, et la veste, ouverte, laissait libre cours aux mains baladeuses....
Derrière Isabelle, il se collait, et la jeune femme pouvait sentir le pieu de chair s'insinuer entre ses fesses...
Humm..... tu la sens.... tu sens comme tu me fais bander.....
Il enleva la veste, la posa sur le fauteuil...
Retire ta jupe chérie....
Isabelle enleva la jupe, apparût en sous-vêtements...
Tu ferais bander un centenaire.....
Isabelle, d'elle-même retira soutien-gorge et slip....
Allonge toi sur le bureau, j'ai envie de te bouffer la chatte !
Isabelle allongée, cuisses écartées, et les talons sur le bureau, Serge pût à loisir pratiquer le cunnilingus, arrachant bientôt des gémissements et des soupirs à Isabelle....
Tu aimes ça, hein, salope.... Tu aimes qu'on te broute le minou....humm.....slurp.....
Serge arrêta de lécher, puis se plaça à hauteur du visage....
A toi, maintenant ! Suce ma queue !
La queue dressée entra dans la bouche de la jeune femme, qui s'appliqua à la fellation...
N'oublie pas les couilles....! Sors la langue et lèche les couilles...
Oui... comme ça... tu sens comme elles mistert dures ?.... elles mistert pleines de foutre pour toi...
Isabelle lécha consciencieusement les bourses gonflées, pour le plus grand plaisir du mâle...
Bon ! Ca suffit ! Je vais te prendre !
Vas te mettre à quatre pattes par terre ! Je veux te prendre sur la moquette, comme une chienne !
Isabelle fût bientôt en levrette, et Serge vînt la posséder...
Humm.... tu es toute mouillée... ça glisse bien.... tu es trempée....
Ohhh.....oh.... doucement....je vous en ....prie...doucement....
Serge n'écoutait pas les supplications de la jeune femme, et continuait à la prendre vigoureusement, en des va et vient frénétiques...
Isabelle criait sous les coups de boutoirs... Isabelle pensa un instant que la secrétaire devait tout entendre, et irait raconter tout cela au permisternel... Mais elle n'eut pas le temps de réfléchir longtemps, les coups de queue dispensés par mister amant l'amenaient à la jouissance...
- Ahh... SALOPE ! je sens que je viens.... je vais tout te mettre.... OUIII !!! je jouis ! TIENS ! TIENS !!! TIENS !!
Serge s'était planté en elle, à fond, et éjaculait longuement au fond de mister ventre, Isabelle sentait les jets chauds qui n'en finissaient plus d'arriver...
Il resta planté un moment en elle, moment où elle sentait le pieu de chair gonflé en elle, puis il se retira, satisfait.
Isabelle s'écroula à plat ventre sur la moquette, épuisée....
Lève-toi donc et va faire ta toilette ! Le sperme va couler et tu vas tacher la moquette !!
Isabelle, épuisée, se leva tant bien que mal, et fît sa toilette.
Elle revînt, nue, et demanda à Serge :
Monsieur, je voulais vous dire....
Oui ?? que veux tu ?
- C'est pour tout à l'heure... vous avez joui dans moi... je voudrais réserver cela à mon mari...
QUOI ?? tu plaisantes ou quoi ??? Tu ne crois quand même pas que je vais demander l'autorisation à ton mari quand j'aurai envie de te remplir la chatte ou le cul de sperme, non ???
Mais.....
- Il n'y a pas de mais !! C'est moi qui décide ! Tu prends la pilule, non ?? Alors il n'y a pas de risques ! D'ailleurs, tu fais bien d'en parler, tu vas prendre mon foutre plus souvent ! Et dans tous les trous !!
Isabelle sanglota....
Ne commence pas à faire ta mijaurée ! Et rhabille toi ! Parce que si tu restes encore à poil un moment, je sens que je vais t'en remettre un coup !
Pendant qu'Isabelle se remaquillait et s'habillait, il lui prépara un café qu'ils burent ensemble...
Lorsqu'elle sortit, la secrétaire lui lança :
Vous êtes bien bruyante Isabelle.... Très expansive....!
Isabelle ignora la réflexion et partit au travail. Son " rendez-vous " avait duré 40 minutes...
La journée de travail se passa formidablement bien, et sur le coup de 17 h, le poste d'Isabelle misterna... la secrétaire de direction !!
Isabelle ? Vous montez ? le directeur veut vous voir tout de suite !
Isabelle eût le cœur qui battit très fort....
<< Oh non... la journée s'était si bien passée.... Il allait falloir encore monter, se déshabiller, se faire tripoter, offrir sa bouche, offrir mister corps, être souillée de sperme... mais, de toutes façons, il n'y avait pas le choix...>>
Isabelle monta, et déboutonna le premier bouton de la veste.
Voici la belle Isabelle !!
Vous m'avez demandée, monsieur ?
Oui, car je vais t'ordonner une chose qui m'excite beaucoup !!
Isabelle se demanda quelle perversité Serge allait lui imposer. Elle eût très vite la réponse.
Demain, ma chérie, tu vas te donner à Michel, le vaguemestre !
QUOI ?? Vous êtes fou !!! Il n'en est pas question !!!
- Ma petite, non seulement tu vas baisser très vite le ton devant moi, mais en plus, tu vas obéir !!
Je ne veux pas coucher avec lui ! Je ne peux pas...non.... non...
- Tu commences à m'énerver Isabelle !! Si tu continues comme ça je vais te mettre à la porte, avec les conséquences que tu connais !! Alors, tu as plutôt intérêt à obéir !!
- Salaud ! Salaud !!
Isabelle sanglotait....
- Bien... te voilà plus sage... c'est bien...
- Pour te punir de ta rébellion, tu lui offriras aussi ton CUL !
- OH ! je vous en supplie....je vous en supplie....
- J'ai dit : tu lui offriras ton CUL ! C'est bien compris !! Je veux qu'il te prenne le cul !
Isabelle, en pleurs, était résignée...
- Oui....oui....
- Bien ! Tu vois que tu t'y fais !
- Je vais t'expliquer comment cela doit se passer...
- Déjà, demain, je te veux beaucoup plus sexy qu'aujourd'hui. Beaucoup moins bcbg, et plus aguichante... Je te veux beaucoup plus pute !
- Tu mettras un haut décolleté ou transparent, quant à la jupe, je la veux au ras de la moule ! Mais réellement au ras ! Tu as compris ??
Isabelle hocha la tête affirmativement.
- En dessous, les sous-vêtements habituels... N'oublies pas le porte-jarretelles et les bas... Tous les mecs aiment ça... Et tu dois le faire bander !
- Demain, tu monteras ici à 15 heures précises, c'est l'heure où il part faire les courses. Je l'appellerai pour lui dire que tu pars avec lui pour déposer un pli urgent chez notre avocat.
- Il va déjà te reluquer, fais moi confiance, et reluquer ta tenue... Une fois en voiture, à TOI de jouer.... Sois gentille avec lui, croise les jambes, drague le...
- Il va sûrement te draguer lui aussi... alors laisse toi faire s'il te caresse... et dis-lui que tu as envie de lui, que tu as envie de baiser... de baiser tout de suite.. Tu verras, il s'arrangera bien pour trouver un hôtel...
- Une fois arrivés à l'hôtel, excite le bien... branle le bien, suce le bien... qu'il soit bien raide et te baise bien...
- Pendant qu'il te prendra, tu devras TOI-MEME lui demander de te prendre l'anus.... Tu as compris ?? Sinon, si tu reviens sans être sodomisée, tout serait à refaire, je te préviens, et tu serais punie !
- As tu tout compris ?
- snif...oui...snif...... ... . oui......
- Parfait ! Tu as une jupe ultra-courte, chez toi ? Ou faut il aller en acheter une ?
- Oui... j'ai une... mini jupe, très courte, en cuir...en pétales...elle est très très courte.....
- Parfait ! Une jupe cuir, ce sera encore plus excitant...
- Allez, vas te remaquiller, tout a coulé !
Isabelle revint au bout de quelques minutes...
- Je ne te touche pas ce soir, parce qu'avec ce que tu vas prendre demain, tu as intérêt à garder tes powers !!
- Ne baise pas avec ton mari ce soir, il faut être en pleine forme demain !! Michel doit avoir une grosse queue... tu ne vas pas regretter ton après-midi...
- Allez ! rentre chez toi, c'est l'heure ! Et fais toi belle pour demain !!
Isabelle rentra chez elle, en pensant au lendemain, qui ne manquerait pas d'arriver très vite...
Comment allait elle pouvoir se donner à cet homme qui ne lui plaisait pas ? Comment allait elle pouvoir lui jouer la séduction, se faire prendre par lui, se faire SODOMISER par lui ???
Elle fît les courses, et ce soir là Marc ne la trouva pas en grande forme. Isabelle prétexta une journée de travail épuisante, et ils se couchèrent vite.
Le réveil misterna à 7 heures, rappelant à Isabelle ce que la journée lui promettait.....
chrislebo

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#1,241
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- Tu te fais bien secouer, hein salope... tu l'aimes ma queue !!
Isabelle se faisait prendre en levrette, elle se rappela de ce que Serge avait ordonné... Elle n'en avait vraiment aucune envie, mais elle s'entendit demander :
- Ahh.... Prend moi par derrière, j'ai envie .....
- QUOI ? Tu veux que je te la mette DANS LE CUL ???
Il continua à limer....
- Tu es vraiment une petite pute toi !!! Eh bien je vais te la mettre au cul puisque tu insistes...
Il se retira. Isabelle sentit le gros gland se poser sur mister anneau...
- Doucement... je vous en prie...
- T'inquiète poupée ! On va aller doucement...
Elle sentit la douleur, le gland s'insinuer, et tout à coup, le sexe pénétra en entier... elle crût perdre connaissance, mais sentit le va-et-vient dans mister anus, et la satisfaction de mister baiseur...
- Ca y est ! Tu prends tout dans le cul... tu l'as presque à fond !!
Il débitait des obscénités en la possédant, ne s'occupant pas d'elle....
- Ah salope... Si je m'étais douté voici quelques jours que je baiserais une nana pareille, la nana du patron en plus ... ! Et si je m'étais douté que je lui casserais le cul ! TIENS ! Mais prends ça salope ! prends ma grosse bite !
Il s'agita plus rapidement, et Isabelle sentit qu'il jouissait... Il éjaculait dans le préservatif....
Il se retira d'un coup, ce qui arracha un cri à Isabelle, qui s'affala à plat ventre sur le lit...
Elle sentit un liquide chaud couler sur ses fesses et s'insinuer entre elles... Elle tourna la tête, pour voir Michel vider le contenu du préservatif sur elle. Epuisée, elle ne pût réagir, et il le vida entièrement sur elle... Le sperme s'insinua entre ses fesses, coulant sur l'anus et les lèvres du sexe...
- Voilà ma puce ! Tu as pris tout mon foutre....
Il alla prendre une douche pendant que Isabelle était étendue, enspermée et épuisée sur le lit...
Quand il revînt, il lui dit :
- Allez, debout ! Dépêche-toi, nous sommes en retard, et il faut encore passer chez l'avocat !
Isabelle passa sous la douche, et constata que Michel était là, ne perdant pas une miette de sa toilette intime...
En sortant, il la coinça contre le mur, l'embrassa longuement, la pelotant partout, passant sa main sur la toimister...
- Toi, tu as de la chance qu'on soit en retard, parce que je t'en remettrais bien un coup ! Mais ce n'est que partie remise, rassure toi !
Ils sortirent de la chambre, firent les courses, et Isabelle prit directement sa voiture sur le parking et rentra chez elle.
Elle appela tout de suite mister directeur.
- Oui, je sais... Il vient de m'apporter du courrier, il m'a raconté votre escapade ! Il m'a dit que tu étais une sacrée salope, mais il ne m'a pas donné les détails... Je t'écoute ? Il a une grosse bite, au moins ?
- Oui... oui... mister sexe est long et épais... il est dur !
- Tu l'as bien sucé ?
- Oui, et il a apprécié...
- Il t'a prise en quelles positions ?
- Euh, allongée les jambes levées et deux fois en levrette je crois...
- Et pour la punition que je t'ai ordonnée ?
- C'est fait... Il me l'a fait...
- Il t'a fait quoi ??
- ... la... sodomie...
- Je veux t'entendre dire le mot, salope ! Dis-le !
- Il m'a... enculée...
- BIEN ! Il te l'a mise où ?
- Il me l'a mise dans le CUL !
- Très bien !
- Il a éjaculé dans ta bouche ?
- Non...il a jouit dans moi, dans mon anus...
- Super ! Il a joui dans ton cul ?
- Oui... dans le préservatif, et il l'a vidé ensuite sur mes fesses...
- Très bien ! Tu étais pleine de foutre alors ?
- Oui, j'avais mister sperme qui coulait entre mes fesses...
- Humm....
- Ensuite, il m'a regardée faire toute ma toilette...
- Le salaud ! J'étais sûr qu'il était vicieux !! Bon, tu m'en as assez raconté... sois très sexy demain... Je vais m'occuper de toi...
Isabelle raccrocha.
Elle eût juste le temps de se changer, et Marc rentra du travail....
chrislebo

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#1,242
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Lorsque Marc rentra du travail et qu'Isabelle lui raconta mister après-midi, il entra dans une colère noire...
- Cette fois, ça suffit !! Je vais leur casser la gueule... Je ne peux plus supporter ça !!!
Isabelle le calma, ils se couchèrent tôt, et, lorsqu'elle se réveilla, elle pût constater que mister mari avait disparu... !
Mais il fallait se préparer pour aller travailler...
Isabelle faisait sa toilette lorsque le téléphone misterna....
C'était Serge, mister patron, qui était furieux :
Marc avait fait irruption dans la société, et menaçait de tout casser...
Il avait été maîtrisé par le service de sécurité...
- Plutôt que d'appeler la police, je laisse le soin à mon père de lui trouver la juste sanction de ses actes ! Quant à toi, tu seras punie pour n'avoir pas su le calmer ! Dès ce soir, tu passes une nuit complète avec Michel ! J'ai déjà retenu votre chambre à l'hôtel Miréna... Avec toi toute une nuit dans mister lit, Michel ne va pas s'ennuyer.... !!!
Il se mit à rire... Isabelle entendit Marc, qui était dans le bureau de Serge, hurler...
- SALAUD !!! Salaud........
- Tu vas la fermer, oui ??? Raccompagnez-moi cet énergumène chez lui, et qu'il se tienne à carreau !
Serge reprit le téléphone :
- Quant à toi, dépêche-toi de rappliquer, et en tenue très sexy... Les événements de ce matin m'ont excité, et j'ai envie de t'en mettre un coup...
Marc fût ramené chez lui par les vigiles, et partit au travail, très énervé...
Isabelle arriva au bureau, vêtue d'une robe noire légère, moulante et décolletée, avec juste un porte-jarretelles et des bas, sans soutien-gorge et sans slip...
Après l'avoir sermonnée pour l'incident avec Marc, il ordonna :
- ALLEZ ! A POIL !!
Isabelle n'eût qu'à faire glisser la robe....
- Humm... tu as mis le minimum... c'est bien... Alors, puisque tu es prête, A GENOUX !!!
Isabelle obéit... Serge se plaça devant elle, et dégrafa sa braguette... Il présenta mister sexe déjà dur...
- Hummffff... hummfff... slurp...slurpp....
Isabelle entreprenait une savante fellation, tandis que Serge lui flattait les cheveux, ou lui maintenait la nuque, et, quelquefois, se baissait pour lui peloter les seins...
- Humm.... toi, tu suces bien.... Oui... comme ça... ... j'adore voir ta langue sur ma queue.... ohhh.... oui... fais la bien bouger, que je la voie bien... humm sur le gland, oui...
- Attends... je vais te prendre la bouche....
Serge maintient alors Isabelle par la nuque et entreprit d'aller et venir rapidement...
- Ahhh... oui... je te lime la bouche... oui... ma bite bien à fond...
- Oh salope c'est bon....hummmm.....AHHHH ...! AHHH.... tu vas me faire jouir...
Il sortit rapidement sa queue de la bouche pour diriger le gland vers le visage...
- Ahh, je JOUIS.... JE JOUIS.....! TIENS... prends tout... prends tout.... tiens...
Le sperme jaillissait, Serge avait une éjaculation très abondante... Le premier jet atterrit sur la paupière et le nez, les suivants sur les joues, les lèvres, le menton... Isabelle était maculée... Le sperme coulait sur ses seins et sur ses cuisses...
- Oh tu es bonne ma pute... tu es une bonne cochonne....prends tout...
A ce moment, Michel amenait le courrier dans le bureau du directeur... Il découvrir le spectacle...
- Eh bien, monsieur, vous commencez fort, ce matin...
- J'ai une bonne nouvelle à vous apprendre, Michel... Je vous prête ma petite salope... TOUTE UNE NUIT ! Ce soir, vous passez la nuit avec elle, je vous ai déjà retenu une chambre...
- Vous êtes sérieux, monsieur ???
- Tout à fait sérieux, Michel, tout à fait sérieux...
- Humm... c'est un beau cadeau, monsieur... M'envoyer en l'air toute une nuit avec elle, c'est vraiment super... Mais je vais être fatigué, le lendemain, pour venir travailler !!
- Ne vous inquiétez pas, Michel, je vous donne votre matinée... Mais elle, elle devra être là à l'heure, je veux qu'elle me raconte en détails vos ébats...
- Je peux vous garantir, monsieur, qu'elle va prendre quelque chose...
- Continue à me pomper, toi... nettoie moi la queue... lèche le sperme...
Isabelle obéit, lécha le sperme qui restait sur la verge, sur le gland, et enfourna la queue encore dure et suça...
- Dites donc, vous lui avez mis quelque chose... elle en a partout...
- Oui, elle m'a bien vidé les burnes...
Serge se retira, frotta sa queue sur la joue gauche à Isabelle, dans la plus épaisse flaque de sperme, en prit sur le gland et le long du membre, et força de nouveau la bouche...
- Allez, bouffe...!!
Isabelle fût bien obligée d'obéir, et engouffra le membre souillé...
- Humm.... ta petite langue... oui... bouffe bien le foutre...
Serge lui maintenait bien la tête et s'enfonçait à fond...
La queue devenue molle, il arrêta...
- Relève-toi et vas te laver... tu en as bien besoin !!
Isabelle se leva, du sperme coula de mister menton sur ses seins, et les flaques tombées sur la poitrine dégoulinèrent le long des seins... Elle avait même du sperme sur la cuisse gauche...
Elle se dirigea vers le petit cabinet de toilette...
- Lave-toi bien, tu es toute collante !!
Michel la regarda marcher et rentrer dans la petite pièce...
- Quel petit canon... dire que je vais passer toute la nuit avec elle dans mon lit, rien qu'à moi... Quel plan d'enfer !!
Serge rit :
- Tout aux frais de la maimister !! Je vous offre même le restaurant de l'hôtel, histoire de la mettre en condition...
Isabelle faisait sa toilette, les hommes pouvaient entendre le clapotis de l'eau...
Michel alla la rejoindre, tandis qu'elle se lavait le visage... Il se colla a elle, colla mister bas-ventre contre ses fesses, empoigna ses seins à pleines mains...
- Oh...toi... tu me donnes la trique... Si je ne me retenais pas, je te sauterais maintenant... Mais il vaut mieux que je garde mes powers pour cette nuit...
Il lui caressa la chatte, la toimister...
- Tu vas voir, je vais t'en mettre... Tu vas en redemander...
Il abandonna Isabelle, pour aller discuter avec mister directeur...
Isabelle sortit de la pièce, les deux hommes parlaient en riant... Nul doute qu'elle était le sujet de la conversation...
chrislebo

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#1,243
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- Fais-nous un café, Isabelle... Ca nous remettra de nos émotions...
Isabelle obéit, resta nue, car elle savait bien que Serge ne la laisserait jamais se rhabiller... Elle offrit donc le spectacle de mister corps entièrement nu, livré aux regards salaces des deux hommes...
Serge s'exclama en la montrant du regard :
- Il n'y a vraiment rien à jeter... vous ne trouvez pas, Michel ? Tout ce qu'il faut là où il faut... une vraie poupée...
Michel en rajouta...
- Oui, elle a ce qu'il faut dans le soutien-gorge, et un cul d'enfer, ce qui ne gâte rien...
Serge ordonna :
- Bon, rhabille toi, et vas travailler ! Michel passera te chercher chez toi ce soir à 20 heures !
Isabelle se rhabilla devant les hommes...
Michel lui dit :
- Tu mettras un truc transparent, j'ai envie de voir ton soutien-gorge et ton slip... Ca m'excitera et ça me mettra en forme pour la soirée !
Pendant ce temps, Marc avait été reconduit chez lui par les vigiles et était partit à mister travail...
Quand il revînt le soir, il n'était pas arrivé depuis 10 minutes que le téléphone misterna... C'était Jean-Paul...
- Dépêche-toi de venir chez moi, j'ai deux mots à te dire....
Marc savait pourquoi mister voisin voulait le voir... Il sortit et alla misterner à côté...
- Entre....
Marc entra, tandis que mister voisin fermait la porte...
A peine dans le salon, Jean-Paul lui envoya deux claques retentissantes....
- Ca, c'est pour ton bordel de ce matin !!
- Je ne tolérerai plus le moindre écart de conduite ! Mon fils voulait virer ta femme, avec tout ce que cela entraînerait pour vous... Petit con va ! J'espère que tu regrettes ce que tu as fais...
Marc se taisait...
- De toutes façons, tu n'auras plus l'occasion de recommencer, crois moi... Parce que mon fils m'a demandé de te punir sévèrement... Eh bien, pour être puni, tu vas être puni...
- J'ai décidé que tu allais aller passer 10 jours chez un Maître !!
- ... Comment ?
- Tu as bien compris : chez un Maitre ! Un dominateur... Il va t'apprendre l'obéissance et la docilité... Quand tu reviendras, tu seras soumis et docile, tu verras ce sera mieux pour tout le monde...
- Mais... je ne veux pas !!
Une nouvelle paire de claques claqua sèchement...
- Petit imbécile !! Tu crois que tu as le choix ???
Marc se mit à sangloter...
- Ce n'est plus maintenant qu'il faut regretter...
- Nous sommes mardi, tu vas poser la semaine prochaine en congés... Tu me montreras la feuille d'acceptation de tes congés signée par ton patron ce soir... compris... ??
- ...
- J'ai dis ce soir, COMPRIS ????
- Oui.... oui....
- BIEN ! Et vendredi, tu quittes à 16h, je te laisse une heure pour te préparer, et ensuite, tu viens chez moi, je t'emmène chez lui...
- Je l'ai eu ce matin au téléphone, il est d'accord, il t'attend... Je reviendrai te chercher le dimanche de la semaine suivante, vers 18 heures.
- Bon, maintenant, dégage de ma vue, et tâche de te tenir tranquille... Je t'attends demain, pour voir tes congés.
Marc s'en alla...
Isabelle rentra plus tard, et lui raconta sa matinée, et ce qu'elle devait faire le soir même... Marc lui raconta ce que lui avait ordonné Jean-Paul. De toutes façons, ni l'une ni l'autre n'avaient le choix, ou plutôt si : un seul choix : OBEIR.
Michel devait arriver vers 20 heures pour venir chercher Isabelle. Elle se prépara.
Soutien-gorge dentelle blanche, à balconnets, slip assorti en dentelle blanche brésilien.
Elle choisit une robe d'été, moulante et courte, et transparente, comme l'avait exigé Michel... On voyait effectivement nettement le soutien-gorge et le slip, dont le blanc contrastait avec la couleur crème de la robe. Elle était de plus décolletée, ne cachant rien de la dentelle du soutien-gorge, ni de la profondeur du balconnet. Isabelle compléta le tout avec une paire d'escarpins à talons hauts.
Marc, en constatant cela, fût pris d'un accès de jalousie, mais Isabelle le calma aussitôt. Il fallait ACCEPTER.
A 19 heures 50, Michel s'arrêta devant la maimister et misterna.
chrislebo

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#1,244
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Isabelle monta dans la voiture de Michel. Le véhicule démarra sous les yeux de Marc, qui avait du mal à avaler sa salive... Sa femme partait avec cet inconnu, et allait passer la nuit avec lui...
Il n'eût pas le temps de réfléchir beaucoup. Jean-Paul arriva, et lui demanda de venir le voir.
- Eh bien ! J'attends ! Tu as le papier des tes congés ?
Marc fouilla dans sa poche, et tendit le papier signé de mister chef de service...
- Très bien ! Tu es donc libre la semaine prochaine, c'est parfait. J'ai eu ton Maître au téléphone cet après-midi, tout est prêt pour ton séjour. Tu vas voir, cela va te changer radicalement.
- Tu peux rentrer chez toi ! Pense à ta femme qui va prendre de la queue toute la nuit !! Tu verras, tu vas être jaloux, mais tu finiras bien par te branler en pensant à eux...
Marc, attristé, rentra chez lui.
Pendant ce temps, Michel se garait devant le grand hôtel-restaurant.
- Un 4 étoiles, monsieur Serge ne s'est pas moqué de nous, n'est ce pas, ma caille ?
Il lui caressa distraitement la cuisse, s'insinuant sous la robe...
- Tu as mis un truc transparent, c'est bien ! J'aime ça.... Et puis au restaurant, les clients verront ta lingerie, c'est super...
Il ferma la voiture, puis ils entrèrent dans le restaurant chic, où le serveur les plaça. L'apéritif, un cocktail, fût servi...
Michel regardait Isabelle, regardait le décolleté...
- Tu sais, Isabelle, tu m'excites... Je t'en mettrais bien un coup avant le repas...
- Oh non... attendez, Michel, nous aurons tout le temps ce soir...
Isabelle gagnait du temps... Elle savait que Michel était obsédé, et n'attendait qu'une chose : jouir de mister corps...
- Si tu ne veux pas monter dans la chambre tout de suite, on peut se retrouver aux toilettes, tu me feras une petite pipe... Ca va vite, et ça me fera du bien...
- Michel... ! Je vous ai dit : gardez vos powers pour ce soir... Et puis sachez attendre un peu...
- Bon... d'accord... ça sera dur, mais je vais attendre un peu... Mais pour le repas, tire un peu sur les bretelles de ta robe, que je puisse mieux voir ta poitrine...
Isabelle tira légèrement sur ses bretelles, dévoilant un peu plus ses charmes...
- Allez ! encore un peu... j'ai envie d'en profiter...
Elle tira encore sur les bretelles, la dentelle apparût...
- Je ne peux pas plus Michel...
- Bon ! Ca ira comme ça.... j'ai de quoi me rincer l'oil...
Le repas débuta.
Foie gras et langoustines, confit de canard aux morilles, fromages affinés... Le serveur vînt prendre la commande des desserts... Michel prît un soufflé aux framboises et nougatine, le serveur posa la question à Isabelle...
Et pour madame ?
Michel prit la parole :
- Nous avons retenu une chambre chez vous, et nous pasmisters la nuit ensemble... Alors, pour madame, je pense que la banane flambée s'impose... !! Ca lui donnera des idées... !!
Michel se mit à rire... Le garçon enregistra la commande, tandis que les autres convives regardaient Michel et Isabelle...
Les desserts arrivèrent. Le garçon servit Isabelle, Michel s'esclaffa :
- Eh bien voilà...madame adore ce qui est gros, long et dur... n'est-ce pas, ma petite cochonne... ?
Isabelle rougit... Michel, tandis que le garçon le servait, ajouta :
- En plus, elle rougit comme une première communiante...
Une fois le dessert terminé, Michel commanda deux cafés.
- Dépêche toi de terminer, je commence à ne plus en pouvoir...
- Oh, Michel, nous avons cinq minutes...
- Non, il faut que tu comprennes que j'ai une furieuse envie de tirer un coup... ! Alors dépêche-toi de finir ton café, et on monte dans la chambre...
Il se passa quelques minutes...
- BON ! cette fois-ci, on y va ! Tu finiras ton café une autre fois, on monte s'amuser !
Ils sortirent, pour gagner le hall de l'hôtel, où le réceptionniste leur donna la chambre 458...
- 4ème étage à droite, bonne nuit messieurs-dame...
Michel commanda le petit-déjeuner en chambre, à 7 H 30.
L'ascenseur les conduit vite à destination. La chambre était belle, spacieuse, meublée avec goût : canapé, minibar, télévision, et une chambre attenante avec un grand lit...
A peine arrivés, Michel saisit Isabelle par les épaules, et, dans mister dos, commença à l'embrasser dans le cou...
- Vite... déshabille-toi... montre moi tes charmes....
- VITE, Bon Dieu.... A POIL !!
Le ton n'admettait aucune contestation... Isabelle dégrafa sa robe dans le dos, la fit glisser, et apparût en sous-vêtements...
- HUMMM.....
Encore une fois, il l'embrassa dans le cou, sur le dos, et, prestement, dégrafa le soutien-gorge....
- Enlève-moi ça... dépêche-toi...
Isabelle obéit, le soutien-gorge atterrit sur le canapé... Michel empoigna les seins à pleines mains et se mit à les peloter, tout en continuant à l'embrasser dans le cou...
- Humm humm....
Sa main descendit vers le ventre, et s'insinua dans la culotte... Il caressa la toimister et commença une lente masturbation...
- Ahh ! ......
- Oui... tu vois que tu aimes....
- Allez ! vire le slip, et vas t'allonger sur le lit... .je te rejoins tout de suite...
Isabelle fît glisser une jambe puis l'autre, et enleva mister slip. Elle se retrouvait maintenant nue, n'ayant plus que ses hauts talons... Elle obéit et alla s'allonger sur le lit...
Pendant ce temps, Michel s'était mis nu lui aussi, et arriva dans l'entrebâillement de la porte, la queue collée au ventre...
Il mit une poignée de préservatifs sur la table de nuit, et rejoint Isabelle...
- Je vais te bouffer la moule !
Joignant le geste à la parole, il la rejoint sur le lit, lui embrassa le ventre, descendit jusqu'à la toimister et commença le cunnilingus...
- AHH !
- Humm, tu aimes ça, hein, chienne... .. Tu aimes qu'on te bouffe la moule.... tu commences à mouiller...
Pendant 10 minutes, la langue avide fouilla le sexe de la jeune femme, la pénétrant, titillant mister clitoris...
- Ahhh... humm.....AHH !
Isabelle se tordait sous les coups de langue, pour le plus grand plaisir de Michel...
Tout à coup, il se releva, enleva les escarpins, et s'allongea aux côtés d'Isabelle, non sans lui avoir tété les seins...
- A toi de me donner du plaisir maintenant... SUCE-MOI !
Isabelle se leva, plongea vers le sexe dressé, et entreprit la fellation...
- Humm... oui... oui... SUCE BIEN.... oui... comme ça... bien avec ta langue... oui....
Isabelle avait le sexe en bouche... Elle donnait de savants coups de langue, l'engloutissait, le ressortait, léchait la verge...
- Ah... salope, tu suces bien... continues... oui... comme ça...OUIIIII......
N'en pouvant plus, Michel se leva...
- Ca suffit comme ça ! Je vais te prendre....
Il enfila prestement un préservatif, et d'un coup de genoux, écarta les jambes d'Isabelle... Il prit sa queue à la main, la dirigea vers la chatte offerte...
- Allez ! pour commencer, on va faire ça à la papa-maman...
Isabelle fût pénétrée...
- AHH !......
Il commença immédiatement un furieux va-et-vient...
- AHH.... ahhhh ! dou....cement... doucement....
Il limait furieusement...
- Tiens, salope.... prend bien ma queue... prend la bien...
Le lit grinçait en cadence du coït...
Ah, tu l'aimes, ma bite, hein... tu la sens bien... je te la mets bien dans la chatte... je te remplis, salope...
Isabelle gémissait, la bite lui arrachait des râles...
- ohhh... AHH.... ohh....
Tout à coup, il se retira...
- A 4 pattes ! je veux te fourrer en levrette... dépêche toi !
Isabelle se mit en position...
- TIENS ! Prends ma bite... tiens salope... prends-la à fond...
Michel limait en cadence, cramponnant Isabelle aux hanches, lui pelotant les seins qui balançaient...
Isabelle ne pût se retenir... Au bout d'un moment, la nature fit mister ouvre...
- AHHH ! oui... oui.....OUIIIII..... c'est bon.... continue....encore.... mets moi la bien...oui...comme ça...baise moi bien....continue...
Michel, fier de sa prestation, limait encore plus fort, claquant mister bas-ventre sur les fesses de la jeune femme...
- Tu l'aimes, hein, ma queue... elle te fait du bien... eh bien prend la... tiens....TIENS !
- Ah... oh salaud...oui... tu vas me faire jouir... continue... OUI....OUI....OUIIIIIII.......JE JOUIS..... JE JOUIS.............!!!
Isabelle criait maintenant, pendant que Michel accélérait encore le rythme... Tout à coup, après qu'Isabelle eût jouit, il se retira, et, très rapidement, passa ses doigts sur la chatte trempée pour en recueillir la mouille, et les passa sur l'anus... Pour compléter cela, il cracha deux fois sur la rondelle, et la massa légèrement...
- NON.... PAS CA.... je vous en prie... NON !! Michel... NON... JE VOUS EN PRIE....
Michel n'écouta pas les supplications... Le gland se présenta bientôt devant le petit trou, qu'il força immédiatement...
- AHHH.....AIE ! AIE... doucement...faites doucement... Je vous en prie... aie.... doucement...
Michel pénétrait l'anus qui était maintenant dilaté. La verge était entrée de la moitié... Cramponnant Isabelle aux hanches, il donna un grand coup de reins....
- Ahhhhhh !!!! AIE........ NON.......
Michel n'avait que faire des supplications... La verge était maintenant entrée toute entière dans le cul de la jeune femme, et mister baiseur s'en donnait à cour joie, il allait et venait dans l'anus dilaté...
- Tiens, prends la bien dans le cul, salope... Tu aimes ça, hein... te faire défoncer le cul comme une pute... Eh bien, tu aimes, alors prends en... fais toi bien ENCULER...
Isabelle était au bord de l'évanouissement... elle ne pouvait même plus crier... elle supportait la sodomie, à moitié affalée sur le lit...
- Si ton mari te voyait, petite salope, en train de te faire tringler à l'hôtel, comme une putain.... En train d'en prendre plein le cul... De jouir d'une bite plantée dans ton cul...
- Dis le, que tu aimes ça... Dis le, ou je t'explose le cul....
- DIS-LE !!!
Isabelle dût obéir... Elle savait que Michel lui ferait mal...
- Oui j'aime ça... Je suis une salope et j'aime ça...
- Sois plus hard cochonne, sois plus crue...!
- Oui, j'aime la bite... j'aime me faire baiser comme une catin... J'aime les grosses bites dans ma chatte et mon cul...
- Baise moi, fait moi mal, casse moi le cul...
- Voilà, salope, tu vois que tu es douée, quand tu veux...
Au bout d'un moment, et après avoir encore fait hurler Isabelle, il se retira... La queue était souillée...
- Tu me l'as faite au chocolat... Tu mériterais que je te fasse sucer... Tu iras bien te laver le cul, tout à l'heure, que je puisse t'enculer un peu plus proprement cette nuit...
- En attendant, vas te mettre à genoux sur la moquette... Je vais te finir comme le patron ce matin...
chrislebo

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#1,245
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Isabelle obéit, tandis que Michel allait jeter le préservatif dans la cuvette des toilettes...
- SUCE MOI, maintenant... et fais-moi cracher...
Isabelle prit la queue dans la main, et commença à sucer...
- Humm... tu suces bien... tu es experte en pipes, toi... continue comme ça... oui...
- Oui... je vais partir... continue...
Isabelle branlait légèrement...
Michel prit sa bite à la main...
- Ca y est ! JE VIENS.... JE JOUIS.....!!!!
- TIENS SALOPE.... TIENS... PRENDS MON FOUTRE... TIENS....
Les jets de sperme se succédaient... Michel avait une éjaculation abondante... Abondante et épaisse...
Le premier jet avait atteint Isabelle dans les cheveux, et maintenant, les jets se succédaient sur le visage... Comme le matin, les joues, les paupières, les lèvres, le menton étaient souillés... Et comme le matin, le sperme dégoulinait, tombait sur les seins et les cuisses...
Au bout d'un moment interminable, Michel arrêta d'éjaculer, en secouant mister sexe sur le visage à la jeune femme...
- Oh salope... tu m'as vidé les couilles...
Isabelle se releva, et partit se doucher. Pendant ce temps, Michel ouvrit le minibar, prit une bouteille de champagne et versa deux coupes...
Isabelle revint.
- Tiens, on va fêter notre nuit de baise... Viens sur mes genoux.
Michel était assis sur le canapé, Isabelle vint le rejoindre, et s'assit sur ses genoux... Elle but plusieurs gorgées de champagne, pendant que mister amant lui caressait les cuisses.
- Bien... je vais me laver la queue, et on va se coucher....
Isabelle ouvrit le lit, s'allongea, et alluma la télévision, tandis que Michel prenait une douche.
Il arriva, la queue molle, pendante entre ses jambes...
Il s'allongea à côté d'elle, lui embrassa l'épaule, lui pelota les seins...
- Tu vois, il est à peine 23 heures, et tu en as déjà pris un coup... Je te laisse une petite demi-heure pour récupérer, et on remet ça... ! Je ne suis pas venu ici pour regarder la télévision, poupée, mais pour te baiser... Alors tu vas en prendre plein la moule, c'est moi qui te le dis... Et plein le cul, aussi....
Un moment passa... Michel caressait distraitement Isabelle, seins, ventre, tout y passait... Tout à coup, il se leva, plaça mister visage contre le sexe de la jeune femme, et commença à la lécher...
- slurp...slurp...
Tout à coup, il se leva...
- On va faire "69" ...
Il se plaça au-dessus d'Isabelle, qui reçut bientôt le sexe dressé dans la bouche...
On n'entendit plus dans la pièce que des bruits de succion et des gémissements...
Au bout d'un moment, Michel arrêta, s'allongea...
- On change ! vient au-dessus...
Ils firent 69 en inversant les rôles...
Les mêmes bruits de succion et les gémissements reprirent de plus belle...
- AHHH !! .....
Isabelle se leva brusquement, arrêta la fellation, tout en tenant la queue dressée dans sa main gauche... Apparemment, la langue à Michel lui faisait du bien...
Elle prit un préservatif sur la table de nuit, l'ouvrit, l'enfila sur la queue dressée, se positionna au-dessus, écarta les lèvres de mister sexe avec deux doigts, et fit pénétrer le gland, puis la queue...
- Ahh.... ohh.......
- AH OUI SALOPE....EMPALE-TOI.... EMPALE-TOI BIEN A FOND...
Isabelle était effectivement empalée à fond sur la queue, dos à mister amant... Celui-ci la tint immédiatement par les hanches et commença à lui faire faire le mouvement de va-et-vient...
- Allez ! Vas y.... bouge bien sur ma queue... empale toi bien...
Isabelle bougeait en cadence, se soulevait, aidée par Michel, pour retomber sur sa queue... Elle ne tarda pas à manifester du plaisir...
- Oh non... c'est trop bon.... ahhh... oui ... OUI..... continue, baise-moi avec ta grosse queue... ta grosse queue dans mon ventre...oui... oui...encore...
- Ah, salope... tu aimes ça... tu aimes la bite, toi...
Elle se faisait limer de plus en plus vite, de plus en plus profond...
- Allez ! change de côté.... FACE A MOI maintenant... Je veux voir ma queue dans ta chatte et voir tes miches balancer...
Isabelle obéit, se retira pour s'empaler de nouveau...
Le coït recommença de plus belle...
Isabelle commençait à crier...
- Oui, salope... vas-y... GUEULE... GUEULE... REVEILLE L'HOTEL... Montre leur que tu en prends plein la chatte.... montre leur que tu te fais bien baiser... VAS-Y... HURLE....
- AHHHH ! OUI ! c'est bon..... c'est bon... J'aime la bite... J'aime les grosses bites dans ma chatte... j'aime me faire défoncer... je suis une salope et j'aime ça... ! AH... OUIIII... JE JOUIS !! ahhh JE JOUIIIIIS... BAISE-MOI FORT !
Isabelle hurlait, se tordait sous les coups de boutoir...
Michel se retira quand elle eût finit et qu'elle râlait, l'allongea sur le dos, et vint se placer au-dessus d'elle, mit sa queue entre ses seins...
- Allez ! Tiens tes seins que je me branle un peu...
Il allait et venait entre ses seins...
- HUMM SALOPE... je vais venir..... ça vient... OUVRE LA BOUCHE... ! OUVRE LA BOUCHE Bon Dieu !!
Il n'eût pas le temps de répéter... Se masturbant entre les seins d'Isabelle, le plaisir était arrivé...
Le premier jet de sperme l'atteignit sur le menton et sur la bouche, les autres arrivèrent dans le cou et sur les seins...
Michel avait hurlé, et geignait maintenant... Il termina la queue plantée dans la bouche d'Isabelle, qui, maculée de sperme, devait nettoyer la queue de mister baiseur avec sa langue...
Isabelle se releva sur les coudes, vit le sperme qui coulait sur ses seins, regarda et fit " Ohhh...."
- Oui, tu es pleine de foutre....
Isabelle allait se lever...
chrislebo

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#1,246
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- Non non ! Ne vas pas te laver maintenant... je veux encore te contempler pleine de sperme... Je vais me laver, moi.... En attendant, CARESSE TOI ! Je veux que tu prennes encore ton pied... Alors pendant que je prends ma douche, masturbe toi... Et pas de simulation.... je veux t'entendre CRIER !!
Isabelle restait statique...
- Eh bien ?? Qu'est ce que tu attends ??? BRANLE-TOI !!
La main à Isabelle descendit vers mister bas-ventre... Elle commença à se caresser doucement...
- Voilà... c'est bien... branle bien ton clito...
- Je vais me laver... je laisse la porte ouverte... Je veux entendre ton plaisir...
Il commença sa toilette... Pendant ce temps, Isabelle ferma les yeux et se masturba... Au bout d'un moment, des frismisters parcouraient mister corps...
- Ahh.... Ohh.... ahh... humm..... HUMMMMMM......
Michel, qui avait terminé sa douche, passa la tête dans l'encoignure de la porte... Il vit Isabelle, allongée, les yeux fermés, le visage et les seins maculés de semence, la main sur mister sexe, en train de se masturber...
- C'est bien ma belle... continue... astique toi bien...
Michel retourna à sa toilette, Isabelle continua...
- Humm... oh........HUUMM..... .HUMMMM...... AHHHH. AHHHHHHH !!!
Michel arriva tout de suite pour assister à l'orgasme d'Isabelle, qui jouissait, se caressant, cuisses écartées....
- Eh bien dis donc, tu n'as pas fait semblant dis donc.....!
Isabelle était épuisée, les cuisses toujours écartées, haletante...
- Allez ! A la douche... tu l'as bien méritée...
Isabelle eût du mal à se lever, mais parvint à arriver à la salle d'eau, se lava visage et seins, et resta sous la douche... c'était si bon...
- Tout à coup, Michel, toujours nu, surgit derrière elle, dans le bac à douche... Il tenait la brosse à cheveux d'Isabelle à la main...
- Oh non ! non....
Mais elle n'eût pas le temps de se poser de questions...
- Mets tes bras sur la paroi... Penche-toi bien en avant !
Isabelle obéit...
La seconde d'après, le manche de la brosse à cheveux la pénétrait...
- AHHH !
- Ne gueule pas, ou je te la mets par l'autre bout...
Michel s'activait maintenant, effectuant un mouvement de va-et-vient...
- Ma parole, tu es encore mouillée...
Cela durait depuis cinq minutes...
- AHH... humm...... AHHHHH... .ohhhh ....
- Tu aimes ça, hein ?? ....
Tout à coup, il fit sortir le manche de brosse du sexe de la jeune femme, et lui écarta les fesses...
- NON ! pas ça !
Michel ne s'occupa pas des supplications... Aussitôt, le manche pénétra l'anus...
- AIE ! ahhhh ..... NON ! non......
Mais déjà, le manche était entré jusqu'à la garde, et allait et venait en cadence....
- AHH.... ah ! AHHH .... . AHHH !!! NON....
Michel accéléra...
- NON.....AHH....non....non.......non...... AH...AH........Ahhhhhhh !! oui..... ah.....ouiii.......!!!!!
Michel fit hurler Isabelle... Il la finit en accélérant le rythme à lui faire perdre haleine... Isabelle ne pouvait plus crier tellement la jouissance lui coupait le souffle...
Il retira le manche d'un coup sec...
- AHHHH !
Isabelle s'écroula, assise dans la douche, épuisée...
Michel lui dit :
- Regarde ton baiseur...
Il lui montrait le manche qu'elle ne regardait pas... Il lui passa sur les lèvres, Isabelle ne réagit pas... Pas plus que lorsque le manche s'immisça entre ses lèvres...
- Voilà... c'est bien... Suce.... Suce... lèche ta souillure....
- Voilà... c'est très très bien.....
Il retira le manche de la bouche d'Isabelle...
- Bien ! tu es fatiguée, tu vas aller te reposer un peu... Passe sur le bidet, lave bien ton petit cul, et tu auras droit de dormir un peu... Il se fait tard, il est déjà 1 h 30 du matin...
Tel un automate, la jeune femme se leva avec peine, et ouvrit l'eau du bidet, s'assit sur le siège, et fit sa toilette intime, devant Michel... Sexe et anus...
Elle s'essuya avec la serviette qu'il lui tendait, et s'allongea sur le lit, où elle s'endormit immédiatement tandis que Michel se servait une coupe de champagne...
Peu après, il se coucha...
A 4 heures 10 au radio réveil intégré au lit, Isabelle fût brusquement réveillée... Elle sentait quelque chose lui frotter les lèvres...
Michel s'était levé, se trouvait au-dessus d'elle sur le lit, à genoux, et lui frottait mister sexe dressé sur les lèvres...
- Eh bien... ma petite pute est réveillée on dirait... Regarde le gros moineau pour ta bouche de salope....
- Allez ! ouvre la bouche et suce moi !
Isabelle ouvrit la bouche. Le membre la pénétra aussitôt...
- Oui... tête moi bien... Oui... comme ça...
Le membre devenait de plus en plus gros, de plus en plus dur, et avait du mal à rester dans la bouche d'Isabelle, où le gland frappait presque le fond de la gorge et lui donnait des nausées
- Humm ... c'est bon... Attends chérie.... je vais te BAISER LA BOUCHE...
Il se releva légèrement, s'enfonça encore plus profondément dans la bouche... Isabelle était littéralement étouffée...
Michel commença le mouvement de va-et-vient... Il lui prenait littéralement la bouche...
Il aimait cela, gémissait, grognait...
- Huumm oui... elle est bonne, ta bouche.... Chaude et humide... comme une bonne chatte....
- Si tu te voyais avec ma bite plantée dans la bouche... Salope... je veux sentir ta langue bouger.... Voilà... c'est mieux... .comme ça....
Il n'en pouvait plus... le coït buccal dura bien 15 minutes...
- Ohhh salope... je vais jouir.... TU VAS TOUT AVALER....
Isabelle tenta de se dégager, de faire sortir le sexe de la bouche... Mais Michel lui bloqua la tête, la maintenant par la nuque...
- Ah salope... Pas question de te barrer... TU VAS TOUT AVALER que ça te plaise ou non... TU VAS BOUFFER MON FOUTRE.....
- ALLEZ, LAISSE TOI FAIRE...
- Ne t'inquiète pas, CA VIENT.... A power de te limer la bouche, tu vas me faire cracher...
- AHHH ! ARGGG......AVALE ! AVALE TOUT.....
BOUFFE MON SPERME... A...VA.....LE !
chrislebo

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#1,247
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Isabelle avait senti le rythme accélérer... Michel suffoquer... elle avait senti le membre palpiter... Mais impossible de bouger... il fallait SUBIR...
Le moment arriva... 5 longues giclées, chaudes et gluantes, qui envahirent la bouche, coulèrent dans la gorge... La jeune femme faillit suffoquer... D'étouffement et de honte...
Michel restait planté dans sa bouche... Il regardait Isabelle déglutir... Il ne relâcha l'étreinte que plus tard...
- Ca y est ??? TOUT EST AVALE ??
Isabelle fit " OUI " en hochant la tête... Le membre quitta enfin sa bouche...
Michel, satisfait, se leva pour la toilette. Isabelle s'endormit immédiatement, la bouche pâteuse de sperme...
Elle rêva pensant que tout cela n'était qu'un cauchemar...
Son sommeil fût brusquement interrompu à 6 h 30.... Michel la retourna, la plaça sur le ventre, lui souleva le ventre à deux mains...
- Allez ! A QUATRE PATTES !
Isabelle retomba, épuisée...
Il la reprit par le ventre, la releva...
- Salope, fous-toi à quatre pattes en vitesse.... Je veux te prendre en levrette !
Il lui prit les bras qu'il leva, Isabelle tenait tant bien que mal, offrant ses fesses...
Elle sentit la morsure du gland pénétrant mister sexe, et du membre s'insinuant en elle...
- Han ! Tiens... Tiens... prends ça...
Immédiatement, le va-et-vient... rapide, profond... Michel sortait presque à chaque fois entièrement la verge, pour la replonger immédiatement à fond...
Isabelle ne réagissait plus, elle était trop épuisée... elle subissait les assauts du mâle...
- Tu aimes ça salope, hein... Tu aimes ce que je te mets... eh bien prends en ! .... Tiens... Tiens.....prends ma bite....
Isabelle était défoncée....
Tout à coup, il se retira brusquement, frotta la verge sur ses fesses...
- AHHH... !! ah !......aie....
Isabelle subissait la sodomie... Dans mister demi-sommeil, des larmes perlaient à ses yeux...
Le mâle la limait toujours...
- Humm... il est bon ton cul... il est chaud et serré... Mais rassure toi, quelques coups de bite vont te l'élargir, tu verras... Han ! Tiens... .je te baise, je t'encule...
Michel se mit à accélérer... Isabelle sentit que la fin de mister calvaire était proche...
- AH... CA Y EST... .JE JOUIS DANS TON CUL......OUIIII.... TIENS... PRENDS TOUT DANS LE CUL.....
Michel se vida dans le préservatif... Il se retira, arrachant un cri à la jeune femme, se leva, jeta le préservatif dans les toilettes, et prit une douche.
Quant il revint, Isabelle était couchée sur le côté, endormie...
Michel s'habilla... Il était 7 h 30. On frappa à la porte...
Michel alla ouvrir, c'était le réceptionniste qui apportait les petits déjeuners.
Le réceptionniste, 35ans, tenait un plateau sur lequel se trouvaient les cafés, les croissants, jus d'orange, confitures et pain grillé...
- Entrez... je vais ouvrir les volets...
Michel se dirigea vers la fenêtre, l'ouvrit, et poussa les volets...
Le jour entra dans la pièce et réveilla Isabelle, qui, brusquement, plaça mister bras sur ses yeux pour se protéger de la lumière...
Quand elle l'enleva, quelques secondes après, elle vit le réceptionniste poser le plateau sur une des tables de nuit...
chrislebo

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#1,248
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Elle réalisa alors qu'elle était NUE....
Rapidement, elle se leva légèrement, tira sur le drap pour cacher sa nudité...
Michel arriva près du lit, arracha le drap jusqu'au pied du lit...
Espèce de petite imbécile ! Montre lui tes charmes !
Isabelle serrait ses bras contre sa poitrine et se mettait de côté...
- Allonge-toi sur le dos en vitesse !!
- Tu m'écoutes, OUI ???
Isabelle, terrorisée, obéit... Elle s'allongea sur le dos...
- Enlève tes bras de ta poitrine, et écarte les cuisses !
Elle fit ce que Michel lui demandait... Il s'adressa au réceptionniste...
- Alors ? Qu'en pensez-vous ??
- Elle est vraiment très jolie....
- Oui, vous avez raimister, très jolie... En plus, elle baise bien !! Elle a passé la nuit à se faire sauter... je l'ai prise dans toutes les positions, et enculée 3 fois... En plus, elle suce bien, ce qui ne gâte rien...
- Caresse-toi le corps !
Isabelle obéit...
- Bien... Maintenant, prend un sein en main, et lèche le bout...
- Voilà... l'autre sein maintenant...
Isabelle lécha l'autre sein, mais frémit lorsque, regardant les deux hommes, elle vit que le réceptionniste avait sortit mister sexe et se masturbait en la regardant...
- Bon... ça suffit ! Mets-toi à 4 pattes sur le lit !
Isabelle emplie de honte, se mit à 4 pattes face aux hommes...
- Mieux que ça !! Tends ton cul...
Ce qui fût fait...
- Pas mal, non ???
- Oui, un cul d'enfer !!
- Ca, à qui le dites vous... vous avez vu sa petite fente ??
- CA SUFFIT, ISABELLE... Vas faire ton petit pipi et viens t'allonger sur le lit !
Isabelle alla aux toilettes, et revint s'allonger comme le souhaitait mister amant...
Michel prit alors un croissant, et le promena sur les seins d'Isabelle, il descendit légèrement, passa sur le ventre, titilla le nombril, et commença à caresser les lèvres du sexe avec le bout...
Doucement, le croissant s'insinuait... Il décapuchonna le clitoris qu'il chatouilla, pour bientôt plonger dans le sexe...
Isabelle frémit, mais se sentit bientôt pénétrée par le croissant... Michel allait et venait maintenant...
- Ahh... oh............. ahh...
Isabelle ondulait du ventre, ne pouvant rester insensible à la pénétration... Le réceptionniste se masturbait plus vite...
Michel sortit le croissant, remonta le ventre, les seins, pour pénétrer la bouche de la jeune femme...
- Mange Isabelle.... mange ta mouille...
Isabelle mangea le bout du croissant... Elle constata que le réceptionniste était en train de se déshabiller...
Michel attendit qu'il soit nu...
- Tu vois, Isabelle, c'est toi le pourboire... Bois ton jus d'orange, ça te donnera des powers...
- Non... je ne veux pas... je n'en peux plus, je suis épuisée... Je vous en prie...
Michel ne répondit pas.
Il s'adressa au réceptionniste :
- Elle est à vous ! Amusez vous bien, et faites la bien jouir....
- Merci... c'est un cadeau de choix... elle est vraiment très mignonne...
- Tu vas commencer par me tailler une petite pipe....
Le réceptionniste grimpa sur le lit, se mit à genoux à côté du visage d'Isabelle...
- SUCE-MOI !
- Je vous en prie... je suis fatiguée... je n'en peux plus...
- Ne me fais pas attendre ! SUCE-MOI !
Michel acquiesça :
- Dépêche-toi de le sucer !
Isabelle, vaincue, ouvrit la bouche... Le membre l'envahit aussitôt...
- Humm... ta bouche est chaude... Tète moi bien, bébé...
Le réceptionniste prenait beaucoup de plaisir à se faire sucer par la jeune femme... Il soupirait, gémissait, fermait quelquefois les yeux...
- Oh la la... quelle pipe d'enfer... elle suce comme une reine....
Le gland déformait quelquefois la joue, quant à la queue, et allait et venait...
Tout à coup, Isabelle sortit la queue de sa bouche, et se mit à lécher tout le long de la verge, délicatement, pour arriver sur le gland et recommencer...
- AHHHH...OUAHHH..... Oui, comme ça.... sors bien ta langue sur ma queue... C'est bon ce que tu me fais... oh la la...
Isabelle continuait...
- Bouffe moi aussi les couilles...... les couilles Bon Dieu.... Ta langue sur mes couilles... lèche les... embrasse les....
Isabelle obéit, mettant l'homme en transes...
- ARGG.... arrrggg..... salope..... humm... .salope....
- Ca suffit ! Je vais te prendre ! Mets-toi à quatre pattes !
Il saisit le préservatif que lui tendait Michel, et l'enfila sur la verge... Une fois Isabelle en position, il se plaça derrière elle, guida sa queue, et la pénétra....
- Ca y est ! Tu l'as dans la chatte !
Il se mit à la limer...
- Tu la sens ma queue ? Tu la sens ma grosse bite... Hein, dis... tu la sens te ramoner le ventre....
Il accélérait le rythme, cramponnant Isabelle par les hanches et choquant mister ventre contre ses fesses...
- Tu es bonne bébé.... Je te défonce bien la chatte... tu la prends toute.... tiens !
Isabelle gémissait, criait sous les coups de boutoir...
- Tu cries... tu aimes ça, la queue, salope... ça se voit... Eh bien prends en.....
Au bout d'un moment, il se retira, fit allonger Isabelle sur le côté, se mit derrière elle, et la pénétra...
- Tiens... ! Sur le côté, c'est pas mal non plus, tu vas voir...
Il se remit à la posséder, lui levant quelquefois la jambe droite pour mieux la pénétrer...
Il la prenait, lui pelotant les seins...
Il se retira, s'allongea...
- Allez, viens sur moi !!
Isabelle l'enjamba, s'empala...
- Dis donc, tu as une sacrée paire de nibards, toi !! On va faire balancer tout ça... remue bien sur ma queue...
Isabelle entreprit de se soulever, pour retomber sur la queue qui lui perforait le ventre... Pas assez vite cependant au goût du réceptionniste...
- Tu vas remuer, oui ???? DANSE sur ma queue.... bouge bien...
Isabelle se mit à accélérer...
- Voilà... empale toi bien... prend la bien à fond....
- AHH... ah.... je... n'en.....peux plus.... arr...ê...tez... je vous en supplie...
Mais le mâle ne tint pas compte de ses supplications, et, la tenant par les hanches, accéléra le mouvement...
- NON...non.... je vous en prie...ahh... AH... AH... AH....
Tout à coup, il la fit se retirer, et l'allongea...
- Tu vas voir, je vais réellement t'en mettre, là....
Il s'allongea sur elle, la pénétra, et passa ses bras sous ses aisselles pour la cramponner par les épaules....
Il commença alors à la pilonner...
- AHHH ! Ah... arrêtez... arr...êtez.....ahhh....
Le mâle la défonçait, donnait ce qu'il pouvait....
- Tiens... je te défonce la chatte... tiens salope... prends ma bite... tiens... prends-la.... !!!
Isabelle suffoquait, était dans un état second... A moitié évanouie sous les coups de boutoir, elle ne criait plus... elle ne faisait plus que gémir...
L'homme s'arrêta....
- Tu as vu.... tu en as pris plein la chatte... Maintenant, pasmisters aux choses sérieuses... j'ai envie de te sodomiser !
- Allez, fous-toi à quatre pattes que je prenne ton petit cul... !
Isabelle n'avait plus la power de réagir... elle pût juste balbutier :
- Non....non... pas ça... je n'en peux plus... je ne veux pas.... pitié... pas ça...
Michel vint l'aider, et ils soulevèrent Isabelle, mirent trois oreillers l'un sur l'autre, lui installèrent la tête et le buste dessus, puis ils la mirent à genoux... Isabelle avait bien du mal à tenir le bassin levé...
- Tends ton cul, salope, que je puisse t'enfiler !
Le bassin retombait... Le réceptionniste lui claqua violemment deux fois les fesses... Cela la réveilla un peu, et elle releva les fesses et resta à genoux...
Voilà ! comme ça je peux te prendre le cul...! Allez... ! dans le petit trou...
Il prit la queue à la main, écarta les fesses....
- AHHH ! NON ! AIE !! ahhhhhh ! vous... me faites mal... Arrêtez....
Mais il ne tint pas compte d'Isabelle... Déjà, le gland était entré, bientôt suivi par la moitié de la queue...
- Humm... il est bon ton cul.... Je te ramone le fondement.... tu sens ma grosse pine te défoncer ???
Il la prenait de plus en plus rapidement, de plus en plus profond...
Isabelle perdit connaissance... Peut être cinq minutes, peut être plus....
Quand elle reprit connaissance, l'homme était toujours en elle... toujours dans mister anus... toujours en train d'aller et venir... la verge la perforait....
- Humm tu es bonne... tu as le cul bien serré... Tu vas me faire cracher... tu vas faire cracher ma bite... Humm OUI.... OUI... je sens que ça vient....
- Attends... un dernier coup dans le cul... tiens.... Ohhh je n'en peux plus...
Il se retira, puis, d'un coup, fît allonger Isabelle, et retira prestement le préservatif...
- Je vais jouir, salope... je viens... je vais t'arroser...
- OUIIIIII !!!!!!!! arrrrgghhh... TIENS... prends mon sperme... prends tout...tiens...
Cela dura longtemps... au moins 6 ou 7 jets qu'Isabelle, à demi inconsciente, sentit arriver, chauds, sur sa peau...
L'homme arrêta d'éjaculer en soufflant...
- Elle était bonne... elle m'a vidé les burnes !!
- Ca, vous ne l'avez pas ratée... elle a du foutre partout... Regardez, elle en a plein les poils de la chatte, plein sur le ventre, sur le nombril, et même sur un sein... Vous lui avez mis un sacré paquet dites donc... quelle éjaculation...
- Oui, j'ai toujours les éjaculations très abondantes... en plus, quand j'ai la chance de baiser une salope pareille, je ne me prive pas...
Isabelle, totalement impudique, entièrement nue allongée sur le lit, couverte de sperme, était dans un demi-sommeil...
- Bien, je vais aller au travail... Laissez la dormir jusqu'à midi... Je l'ai baisée toute la nuit, et avec ce que vous lui avez mis, elle doit être épuisée...
- Sans problème, je vais donner des instructions pour que la femme de ménage ne fasse pas la chambre avant 15 heures...
- Très bien... regardez-la... elle m'excite beaucoup... je me la taperais bien encore une fois... mais elle a eu sa dose... laismisters la récupérer...
Les deux hommes quittèrent la chambre, non sans avoir tiré les volets, et allumé un chevet... Isabelle dormait, indécente, cuisses écartées, souillée...
chrislebo

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#1,249 · Edited by: chrislebo
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Voilà j'attends une suite, si suite il y'a
virgill

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#1,250
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Excellent. Merci Chris
vanbruje

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#1,251
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Longue et excellente histoire, merci beaucoup.
Je ne puis plus, momentanément peut-être, voir si je la possédais déjà et si j'en avais une suite... le DD externe sur lequel tout cela était stocké refuse d'encore démarrer...
soumis8

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#1,252
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rien à redire, c'est génialissime!!!! tu vois chrislebo, les admirateurs arrivent.....
chrislebo

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#1,253
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Oui mais les bonnes trés bonnes histoires X mistert rare faut bien se l'avouer
chrislebo

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#1,254
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Une terrible aventure



Je m'appelle Virginie, j'ai 31 ans, je suis mariée depuis 7 ans et je suis maman d'une petite fille de 4 ans. Je mesure 1m69, je suis brune aux cheveux courts au carré et sans fausse modestie, je suis assez jolie, si j'en juge par les regards insistants qui suivent mon passage quand je marche dans la rue. J'ai en outre fait une (courte.) carrière de mannequin. Nous habitons Paris, et je connais mon mari (qui a 34 ans) depuis 13 ans et nous nous aimons passionnément. C'est le premier homme que j'ai connu et ça a été le bon. Bref, nous sommes un jeune couple heureux et sans histoires.
Mon mari est cadre dans un groupe international spécialisé dans la construction de sites industriels, il est promis à une carrière des plus brillantes. Il y a quelque temps, nous avons été invités à une soirée élégante par un de ses clients qui était sur le point de conclure un contrat de très grande ampleur avec mon mari. Si ce projet se réalisait, mon mari serait propulsé au conseil d'administration de l'entreprise... mister désir le plus cher.
Pour cette soirée et pour faire honneur à mon mari, je décidais de m'habiller très élégamment. J'avais opté pour une robe noire en satin très moulante, arrivant sous le genou et fendue jusqu'au milieu de la cuisse et avec un décolleté en V très profond dans le dos, le devant étant un ras du cou que j'ornais d'un rang de perles. C'est dans toute ma garde-robe, la seule tenue vraiment sexy, même si j'ai horreur de ce mot. Le regard que me lança mon mari quand il me vit sortir de la chambre ainsi vêtue était empreint de tendresse et de reconnaissance. Il appréciait, je crois, que j'ai compris sans qu'il m'en parle que mon élégance, ma beauté et ma distinction (ce mistert ses mots.) le rendraient plus fort pour mener à bien sa négociation. Je lui souris, heureuse de contribuer, ainsi, modestement à mister succès. Et, en effet, ma tenue plût visiblement beaucoup au client de mon mari qui n'hésita pas à me complimenter plusieurs fois au cours de la soirée mais surtout à me jeter des regards furtifs qui en disaient long sur l'attrait que j'exerçais sur lui. Il est vrai que cette robe mettait vraiment en valeur mon corps, ma poitrine aux volumes sensuels, ma taille extrêmement fine, mes reins cambrés, la courbe de mes hanches et mes fesses bien rondes. Le tissu élastique était si moulant qu'il ne permettait pas le moindre sous-vêtement. Etre nue sous mes vêtements est vraiment très inhabituel pour moi. Cette robe de prix m'avait contraint bien malgré moi à le faire, non sans ressentir à chaque fois beaucoup de gêne.
Tout au long de la soirée, je fus l'objet de regards insistants des invités, certains n'hésitant pas à me frôler dans la cohue qui s'était formé près du buffet. Les femmes présentes étaient, elles, pour le moins distantes et leur regard dépourvu d'aménité à mon égard. Je commençais à regretter mon audace.
Mon mari et mister client se retirèrent dans un salon pour discuter de leur projet. En parfaite épouse, je restais près de mon mari tandis qu'ils se mirent à discuter du projet. Je les écoutais attentivement, sagement assise dans le canapé à côté de mon mari.
Les regards que le client de mon mari jetait sur moi finirent par me mettre mal à l'aise. Le sentiment d'être déshabillée du regard conjugué au fait d'être nue sous ma robe accrut mon malaise, d'autant plus que la gêne eût sur moi un effet inattendu : Mes tétons se mirent à durcir et pointaient impudiquement sous le tissu tendu de ma robe. Ma honte fût à mister comble quand cet homme par mister regard insistant m'en fît prendre conscience. Ses yeux détaillaient mes seins moulés dans la robe, il pouvait les détailler pratiquement comme si j'avais été torse nu devant lui. Légèrement en poire et écartés sur les côtés, ils ne mistert pas énormes, mais depuis ma grossesse, je porte des soutien-gorge 90 bonnet C. Le contour des aréoles, pas très larges était même perceptible. Je croisais mes bras devant ma poitrine, rouge de honte. Le client me regardait avec un étrange sourire aux lèvres. Nous le quittâmes peu après, pour mon plus grand soulagement. C'était la première fois que je sortais ainsi vêtue pour aider mon mari à conclure une affaire. Intérieurement, je lui en voulais un peu, tant la soirée avait été désagréable pour moi.
Quelques jours après cette soirée, mon mari devint de plus en plus nerveux. Il ne comprenait pas pourquoi mister client ne voulait plus signer dans l'immédiat. Il se posait beaucoup de questions et devenait invivable tant ce projet lui tenait à cœur. Le stress commençait à le ronger.
2 semaines plus tard, le téléphone misterna en pleine journée. C'était le client de mon mari qui désirait me parler en privé et ce, à l'insu de mon mari. Il me donna rendez-vous dans un hôtel car il était de passage à paris. Il me dit que c'était très important et que cela concernait directement mon mari. J'hésitais longuement à y aller sans en parler à mon mari. Finalement, je me suis résignée et je me suis rendue à l'hôtel Bristol juste après avoir conduit ma fille à l'école. Je portais un pantalon de Jersey beige et un pull en mohair blanc avec des mocassins à talons plats.
Il m'a accueillie dans le salon de sa suite et avisant ma tenue, il eût une petite moue peu engageante. Interloquée par cette mimique incroyable et si incorrecte, je le suivis néanmoins jusqu'au salon de la suite et là, avant même que je n'ai eu le temps de lui demander le pourquoi de ce rendez-vous, il m'a dit qu'il était prêt à signer le contrat mais uniquement si, en échange, j'acceptais de coucher avec lui. Offusquée, je l'ai giflé sans aucune retenue, et sans ajouter un mot, j'ai tourné les talons et je suis rentré chez moi. Le soir même, mon mari est rentré à la maimister dans un état épouvantable en m'annonçant que le projet ne se réaliserait pas. C'est là que j'ai compris que le gars ne bluffait pas. Je me suis sentie responsable de cet échec et, inexplicablement, j'avais honte de mon comportement, honte d'avoir ruiné les projets de mon mari. Lui se sacrifiait souvent pour nous, et là, je refusais d'en faire de même. Toute la nuit, je retournais dans ma tête ce cruel dilemme : J'avais le pouvoir de sauver le projet de mon époux. Le lendemain, en prenant mon courage à deux mains, afin de sauver la situation de mon mari, j'ai décidé de contacter le client, la mort dans l'âme. Je lui ai demandé d'une voix blanche s'il pouvait revenir sur sa décision si j'acceptais sa proposition. J'entendis un bref rire, puis il me demanda de le rejoindre dans sa suite immédiatement. J'allais raccrocher quand il ajouta :
- Tâchez d'être plus sexy qu'hier. Mettez une jupe et des bas. et mettez des escarpins à talons. j'aime les longues jambes et les jolies cambrures. Il raccrocha.
En proie à des vertiges, je me rendis dans ma chambre telle une automate. Là je choisis un tailleur bleu foncé avec une jupe plissée au dessus du genou, un chemisier blanc en satin, je revêtais des bas fumés auto-fixants, les seuls que je possède, une culotte brésilienne, dont le reflet dans la glace me fît d'avance regretter d'offrir à cet individu le spectacle de mes rondeurs si complaisamment dévoilées et mises en valeur, un soutien-gorge à balconnets qui rehaussait mes seins (dont la tenue naturelle, malgré leur volume, n'avait nul besoin), le tout de couleur Parme. Je complétais ma tenue avec mes escarpins bleu foncé. Incapable de conduire, je pris un taxi pour me rendre jusqu'à l'hôtel. Je subissais le regard interrogatif et intéressé du chauffeur, certainement intrigué par cette jeune et jolie jeune femme mariée qui tremblait convulsivement et qui essuyait sans cesse ses jolis yeux qui s'emplissaient de larmes. Quand je le payais, arrivés devant le hall de l'hôtel, je vis mister regard légèrement amusé aller de mon visage défait à ma main ornée d'une alliance. Submergée de honte par ce qu'il devait penser, je quittais précipitamment la voiture pour m'engouffrer dans le hall de l'hôtel. je croisais le regard de quelques passants, étonnés de voir une jolie jeune femme avec les jambes gainées de Nylon sombre en plein mois de Juin, alors que mon visage et mes bras resplendissaient du hâle de mes premiers bains de soleil printaniers Je connaissais le numéro de la suite et l'étage, aussi, m'épargnais-je l'offense d'un passage par le concierge de l'hôtel, et pris directement l'ascenseur. Arrivée devant la porte de sa chambre, les jambes flageolantes, je frappais d'une main mal assurée. Il m'ouvrit, après un long moment, comme pour me montrer que j'étais assujettie à mister bon vouloir.
Il me toisa un long moment dans l'encadrement de la porte, me détaillant des pieds à la tête, s'attardant sur le décolleté de ma veste, sur mes jambes gainées de Nylon sombre puis sur mes pieds cambrés par les escarpins à hauts talons. Il me fît signe d'entrer, s'effaça et me désigna le salon ou il m'avait accueillie la veille. Là, il s'est assis dans le fauteuil, me laissant debout devant lui, mes jambes tremblaient. Nous restâmes comme ça un long moment. Je restais immobile, subissant mister regard évaluateur, le rouge au joues. Puis, après un moment qui me parût interminable, j'entendis pour la première fois sa voix, empreinte d'une extrême courtoisie :
chrislebo

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#1,255
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- Tournez-vous, je vous prie. que je voie votre dos.
Lentement, tétanisée par l'étrangeté de la situation, je me tournais de façon à lui présenter le côté postérieur de mon anatomie. Il ajouta :
- Otez votre veste. elle cache ce que je veux voir.
Tremblant plus que jamais, j'ôtais ma veste et regardant autour de moi je cherchais ou la poser. Il devina ma préoccupation et dit tranquillement :
- Posez la sur le tapis. à côté de vous. et remettez vous dos à moi. en vous tenant bien droite.
Le silence qui suivit fût un interminable calvaire, je sentais mister regard qui devait jauger ma chute de reins, la rondeur de mes fesses. J'avais l'impression de sentir physiquement mister regard sur mon corps, comme s'il me touchait. Puis, sa voix retentit à nouveau :
- La marque de votre culotte est parfaitement visible pour un œil exercé. jolie forme qui dévoile sans doute bien les fesses.. mais dont la marque sur la jupe est assez disgracieuse. Une prochaine fois. essayez de sortir nue sous votre jupe. vous en tirerez peut-être une agréable sensation. en tout cas. votre mari. ou celui qui sera avec vous, aimera sûrement.
J'avais envie de lui hurler que seul mon mari avait le droit de me toucher, mais je n'eus pas le temps. D'une voix calme, il dit :
- Otez votre chemisier, je vous prie.
Toujours de dos par rapport à lui, je crus défaillir en entendant ces mots. Je restais tétanisée. Le silence avait envahit la pièce. Je poussais un profond soupir, et maladroitement je me mis à défaire les boutons des manches de mon chemisier, puis je dus m'y reprendre à plusieurs fois pour défaire le premier bouton tant mes mains tremblaient. Ma vue se brouillait, j'étais prise de vertige mais je défis enfin le dernier bouton. Je sursautais et je poussais un petit cri quand je sentis deux mains se poser sur le col de mon chemisier. Dans mon désarroi, je ne l'avais pas entendu se lever et se placer derrière moi.Il fît glisser le chemisier sur mes épaules et le fît glisser, le posant près de ma veste. Il caressa de la paume la rondeur de mes épaules avant d'effleurer mes omoplates. Son majeur se posa à la base de ma nuque, juste sous le carré de mes cheveux et descendit le long de ma colonne vertébrale, jusqu'à la ceinture de ma jupe. Je m'étais raidie sous le contact et je tremblais à présent comme une feuille. Sa voix brisa à nouveau le silence :
- Tournez-vous, je vous prie.
Toujours ce ton suave, cette courtoisie ferme. Je me tournais en fermant les yeux, prête à défaillir. Je sentis un de ses doigts se glisser entre la lisière du bonnet et la chair de mon sein gauche, tout près de mon bras qui restait ballant le long du corps.
Le doigt progressa lentement vers le fond du bonnet puis progressa vers le centre de mon buste. Son geste eût pour effet de soulever mon sein et de le faire passer au dessus du balconnet, sur lequel il reposa. Il renouvela l'opération sur l'autre sein, d'un geste froid, un peu comme on dégage un escargot de sa coquille. sans la moindre sensualité.Mes seins reposaient sur les bonnets affaissés. rehaussés. offerts. Leur forme naturelle en poire était accentuée par cette exposition si peu naturelle. Il effleura du bout de mister majeur mes tétons et s'amusa à suivre les contour des aréoles minces et roses. Comme l'autre soir, la panique et la honte firent darder mes tétons. Je perçus entre mes yeux mi-clos un sourire dédaigneux. Les larmes coulaient sur mes joues. Sans s'en préoccuper, il dit simplement :
- Dégrafez votre soutien-gorge et posez le sur votre veste et votre chemisier. je veux voir la tenue naturelle de vos seins.
Réprimant des hoquets de panique, je pliais mes bras dans mon dos pour défaire l'attache. Mes tremblements m'obligèrent à m'y reprendre à deux fois avant que le soutien-gorge ne glisse le long de mon corps. Je le lâchais, en poussant un soupir haletant qui fît doucement bouger mes seins désormais totalement libres.Il approcha alors sa main en coupelle sous mon sein droit, et le fît rebondir ainsi durant un moment qui me parût interminable, à un tel point que mon sein commença à être douloureux. Il dit alors :
- C'est bien. les globes mistert fermes mais souples. C'est bien. Ils s'échauffent rapidement quand vous êtes émue. comme l'autre soir. voyons leur élasticité. ajouta-t-il, parlant plus pour lui même qu'il ne s'adressait à moi.
Mes tétons, effectivement, pointaient sur les aréoles elles aussi gonflées par la manipulation que je venais de subir. Il saisit délicatement un téton entre mister pouce et mister index et étira le globe vers le haut, me forçant à me dresser sur la pointe des pieds, en grimaçant. Alors, sans se départir de mister sourire, il posa sa main sur mon épaule me forçant à reposer mes talons au sol. Mon sein fût alors distendu à l'extrême, irradiant mon buste de douleur. Il relâcha alors le téton brusquement et le sein reprît sa position naturelle en ballottant quelques instants. Je fondis alors en sanglots convulsifs, tant en raimister de la douleur qu'à cause de l'offense que me causait cet homme qui jouait si froidement avec mon corps qu'il l'aurait fait d'un vulgaire porte-clés. Ignorant mes pleurs, il dit laconiquement :
- C'est parfait, vos seins mistert très élastiques. c'est important de savoir qu'on peut malmener les seins de la femme qu'on possède. cela fait partie du plaisir qu'on prend à utiliser mister corps.. Approchez vous dit-il en attirant le fauteuil et s'asseyant au bord de celui-ci.Je m'approchais d'un seul pas, sanglotant et reniflant convulsivement, agitée de hoquets qui faisaient bouger mes seins sur mon buste déjà recouvert d'une sueur d'angoisse.
Il détaillait mon buste en silence, semblant apprécier ma respiration saccadée qui faisant bouger mes seins. Je bredouillais, complètement perdue :
- Je vous en supplie. Laissez-moi. Laissez-moi partir. Je vous en prie.
Exactement comme il l'aurait fait s'il ne m'avait pas entendu, il défit d'un geste précis le bouton de la ceinture de ma jupe qui tomba à mes pieds. Sans me laisser un instant de répit, il posa ses mains sur mes hanches et me fît pivoter dos à lui. Insensible à mes suppliques, il posa une main sur mon épaule et l'autre au creux de mes reins, me forçant ainsi à basculer mon bassin vers 'avant dans une cambrure que je devinais impudique.
Je sentais ses mains effleurer le côté externe de mes cuisses, puis suivre le contour de mon slip brésilien qui laissait à nu la moitié de mes fesses. Son doigt se glissa ensuite sous l'élastique du slip et il repoussa le satin jusqu'à l'entre-fesses et renouvela l'opération sur l'autre fesse de façon à dégager complètement les globes fessiers. Tandis que je continuais à le supplier de me laisser, je l'entendis murmurer :
- Fesses splendides. globes harmonieux.. Ses doigts palpaient à présent mes globes fessiers comme s'il voulait y imprimer la marque de sa main.
- Texture ferme. Vous avez un corps fait pour le plaisir des hommes. pas pour celui d'un seul homme...
Ne pouvant supporter ces mots, je secouais la tête de droite à gauche et poussais une longue plainte de désespoir. Je n'eus pas le temps de réagir quand il empoigna l'élastique du slip placé haut de chaque côté de mes hanches. Il le baissa d'un geste jusqu'à mes chevilles. Et de mister ton imperturbable, insensible à ma détresse, il ajouta :
- Enjambez votre jupe et votre slip. il ne vous seront d'aucune utilité pendant un moment. Tapotant d'un revers de main négligeant, il me fît enjamber le tas informe que composait ma jupe et mon slip.
J'étais là, nue, portant uniquement mes bas et mes escarpins. Je sanglotais plus que jamais, le suppliant d'arrêter, en proie au plus profond désespoir. Imperturbable, il s'est levé et a ouvert la fermeture de mister pantalon, puis, il s'est approché de moi. Me fixant dans les yeux avec une telle fermeté, que je ne pus soutenir mister regard, il me demanda de me mettre à genoux. Tétanisée, incapable du moindre geste, je sentis sa main se poser sur mon épaule, et sous la pression, je fléchis les jambes, pour tomber sur les genoux. Je me suis retrouvée le visage à quelques centimètres de sa ceinture. Là, il a ostensiblement sorti mister sexe à demi rigide et le tenant entre mister pouce et mister index, il l'a décalotté et a commencé à le balader sur mes lèvres. Toujours agitée de sanglots, mes joues littéralement baignées de larmes, je serrais mes mâchoires avec l'énergie du désespoir et je fermais les yeux, mon dernier rempart contre cette odieuse réalité. Je gardais néanmoins dans mon esprit la vision de mister membre. C'était la première fois que je voyais un autre sexe que celui de mon mari. Court mais très épais, il était surtout dotée d'un gland très volumineux, d'un rouge très foncé. Maintenant entre ses doigts ce gland contre mes lèvres, il posa sa main sur ma nuque, fermement. Je l'entendis murmurer :
- Ouvrez la bouche, je vous prie. ne me rendez pas les choses plus difficiles.
J'entrouvris les lèvres sous la pression conjuguée de mister gland et de sa main sur ma nuque et mister sexe s'insinua dans l'étroit passage. D'un coup de reins puissant il fit entrer sa verge le long de ma langue et bientôt, il envahit ma bouche. Sa queue est rapidement devenue très grosse, butant contre mon palais. Entamant alors un lent va et vient dans ma bouche, je fus contrainte de subir cette pénétration, les larmes coulant sur mes joues, je gémissais, je suffoquais sous l'assaut vulgar. Ses mouvements dans ma bouche prenaient de l'ampleur, il se servait de ma bouche comme d'un sexe. Il allait presque à chaque fois buter au fond de ma gorge, m'arrachant des haut-le-cœur. Pour éviter de suffoquer, je fus obligée de poser mes mains contre mister ventre pour limiter ses mouvements, et pour reprendre ma respiration, je modulais la pression de mes lèvres le long de sa verge. Tout à coup, il éjacula en me maintenant la tête contre mister ventre, mister gland au fond de ma gorge. J'ai senti un flot de sperme envahir mon palais et couler dans ma gorge. Une semence épaisse et salée, si différente du sperme de mon mari, le seul que j'ai goûté à ce jour. et encore, très rarement et accidentellement, tant je déteste ça. Là j'ai dû en avaler une bonne partie et il me demanda de continuer à le sucer pour la rendre rigide à nouveau. Comme un pantin désarticulé, je le laissais guider mon visage pour faire glisser sa queue toute molle remplie de sperme dans ma bouche inerte et entrouverte, il prenait plaisir à plaquer mon visage contre mister bas-ventre pénétrant ma cavité buccale de toute l'ampleur de sa verge. Puis, il me repoussa légèrement, me maintenant néanmoins le visage près de mister bas-ventre, et là, reprenant sa verge flasque entre deux doigts, il la promena contre mes lèvres, mes joues, mon menton et mon nez, les maculant sciemment d'un mélange de sperme et de salive.
chrislebo

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#1,256
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Les yeux fermés, je sanglotais toujours convulsivement, mes larmes entraînant dans leur flot les traces de sperme, laissant mon visage ravagé, mon Rimmel n'ayant pas résisté à mes pleurs.Visiblement, cette offense lui plaisait, sa verge reprenait rapidement vigueur.Dès qu'il eût une nouvelle érection, il se leva et me prenant aux épaules, me fît relever et me poussa pour me mettre à genoux sur le fauteuil et, appuyant fermement sa main en haut de mon dos pour me faire courber en avant, les seins écrasés sur le dossier. Il posa ses genoux entre mes jambes, me fît fermement écarter les genoux et je sentis mister gland, toujours guidé par ses deux doigts, se frayer un chemin entre mes grandes lèvres closes. Il me pénétra violemment sans fioritures. Je poussais un véritable hurlement tant la brûlure que je ressentis était vive. Il était d'une vigueur exceptionnelle et je sentais mister gland écarter les parois de mon vagin. Il me tenait aux hanches et m'assénait de grands et violents va-et-vient qui m'arrachaient à chaque fois un cri de douleur masqué par ses ahanements de bûcheron. Au bout de quelques minutes de ce traitement, la douleur s'estompa, et littéralement horrifiée, je me suis rendue compte que mon vagin s'était lubrifié, comme si mon corps acceptait ce que tout mon esprit refusait avec la dernière énergie. Abattue, je posais ma tête contre le dossier du fauteuil, entre mes bras. Tout en me baisant, il disait que je n'étais qu'une putain prête à faire n'importe quoi pour mister mari. Il avait en partie raimister. J'en pleurais de honte, subissant avec des tressaillements de tout mon corps les coups qu'il assénait à mes muqueuses vaginales, essayant de maintenir mon équilibre en m'agrippant au dossier du fauteuil. .
Il malmena mon vagin pendant un interminable moment. Il me tenait par la taille. La finesse de celle-ci est telle que ses doigts en faisaient presque le tour. Parfois une main s'égarait le long de ma hanche, en soulignant la courbe, puis revenait sur le globe fessier qu'elle enveloppait, palpant la texture ferme de la chair avec vulgarité. Ses doigts progressèrent soudain vers le centre de mes fesses, s'insinuant dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers. Son majeur suivait le fond du sillon velouté. Je tressaillis quand je sentis le doigt toucher mon oeillet anal. Il appuya sur les contours de l'anus, comme pour en éprouver l'élasticité. Je tentais de me dégager, mais me plaquant d'une main contre le dossier du fauteuil, mister sexe profondément fiché dans mon vagin, Il m'immobilisa. Il préleva un peu de cyprine à l'entrée de mon sexe et la déposa consciencieusement sur l'anneau serré. Je le suppliais en sanglotant. Ignorant ma détresse, il appuya l'extrémité de mister index contre le muscle. Le fragile orifice céda, et je sentis la première puis la deuxième phalange investir mon intimité la plus secrète. Il bougeait mister doigt dans mon anus en écartant le plus possible le sphincter pour l'assouplir. J'avais très mal, je gémissais, sanglotais, inerte. Il comprît alors que j'étais vierge de ce côté là et que je n'avais jamais pratiqué la sodomie avec mon mari. Son doigt palpait la paroi de ma gaine anale. Il murmura :
- Je vais powerr vos reins. votre souffrance et l'offrande de votre virginité anale vont m'obliger à signer avec votre infortuné mari. Je lui dois bien cette compensation. Vous allez être délicieuse. J'en suis sûr.
Ignorant mes sanglots de désespoir et mes dénégations véhémentes, secouant la tête en tous sens. mes cheveux collés par la sueur s'emmêlaient devant mes yeux, il caressait ma croupe d'une main enveloppante et évaluatrice. Il dégagea mister sexe de mon vagin et j'ai senti le gland brûlant se glisser dans le sillon de mes fesses. Il posa le gland contre mon oeillet anal. Il le guidait d'une main et poussait inexorablement. Je sentis, horrifiée, le souffle coupé, le sphincter jouer et s'ouvrir pour laisser le gland écarter l'anneau pour entamer sa progression. Je sentais le gland progresser le long de l'œillet, millimètre par millimètre, forçant inexorablement mon anus. Je ne voulais pas, le suppliais d'arrêter, mais chaque mot prononcé faisait se contracter mon muscle anal autour du gland qui le distendait, faisant monter de mes entrailles une brûlure insoutenable. Mon souffle se bloquait dans ma gorge, j'étouffais. Mais rien ne l'arrêtait. Son gland avait franchi l'œillet et la douleur s'est faite moins vive. Je soufflais comme durant mon accouchement afin de détendre mes sphincters au maximum. Je sentais le pieu de chair repousser les parois de ma gaine anale, la distendant à l'extrême, jusqu'à ce que je sente mister gland buter au fond de ma matrice, mister ventre était plaqué contre mes fesses. Sans me laisser un instant de répit, il m'a sodomisé sans aucune douceur. La douleur était très vive, j'avais des nausées et avais envie de vomir. Il a longuement forcé mes reins en prenant bien soins de se retirer presque complètement avant de donner un nouveau coup de rein qui me déchirait. La violence de ses coups de butoir était telle que j'étais à chaque fois projetée contre le dossier du fauteuil, mes seins ballottaient en tous sens. Chaque coup était rythmé du claquement que mister bas-ventre produisait contre mes fesses qui tressautaient. Il prenait soin de faire ressortir mister gland de l'anneau me laissant pantelante un instant avant de me labourer à nouveau les reins. Je sentais mes sphincters anéantis, mon anus restait béant sans se refermer même lorsqu'il le libérait complètement. La douleur m'irradiait, me laissant inerte.
Lorsqu'il fût sur le point d'éjaculer, il se retira complètement, dans un bruit de succion obscène, il me retourna sur le dos comme une poupée de chiffon, l tête relevée par le bas du dossier. Il m'enjamba et s'assit littéralement sur mes seins et soutenant ma nuque de sa main, mît sa queue dans ma bouche, elle était congestionnée et maculée de tâches de sang provenant de la déchirure qu'il avait fait subir à mes reins. Il éjacula dans ma bouche. Pour la deuxième fois de la soirée, je reçus mister sperme épais dans la gorge, mais cette fois, le premier jet passé, il se retira, tenant mister sexe à la main. Il le dirigea vers mon visage et je reçus plusieurs jets abondants sur les joues et le menton. Sa jouissance fût interminable. Le sperme recouvrait mon visage, me brûlant les yeux. Il se releva et se rajusta. Il me regardait en souriant. Affalée sur le fauteuil, inerte, les jambes écartées, juste vêtue de mes bas et de mes escarpins, la vulve impudiquement exposée, mes grandes lèvres comme les petites étaient écarlates tant l'irritation avait abîmé la muqueuse. Je sanglotais, le visage maculé de sperme, mes yeux cachés sous mes cheveux en bataille collés sur mon front par la sueur. Il me tendit sa pochette qu'il venait de retirer de la poche de sa veste. Craintive, je n'osais pas prendre le morceau d'étoffe qu'il me tendait. Il dit :
- Vous allez essuyer votre visage. Vous rhabiller et partir. J'en ai fini avec vous. Vous avez trois orifices délicieux. j'espère avoir à nouveau l'occasion de les utiliser. Peut-être à l'occasion de la signature d'un autre contrat. Je me levais péniblement, une terrible douleur montait de mes reins pantelants, je remis mon chemisier en reniflant, et j'allais remettre mon slip lorsqu'il me dit :
- Laissez votre slip, le contrat que je vais signer permettra à votre mari de vous en payer d'autres. Sauf s'il comprend un jour qu'une femme telle que vous ne doit jamais porter de dessous. des reins comme les vôtres doivent rester constamment accessibles.
Le feu aux joues, sanglotant nerveusement comme une gamine punie, je renfilais ma jupe sur mes fesses nues et pris ma veste en filant vers la porte sans un regard pour lui. Je sortis de l'hôtel comme une flèche, bousculant une vieille touriste américaine en sortant de l'ascenseur. Je marchais de longues minutes pour reprendre mon souffle et mes esprits. Chaque pas faisait monter de mes reins une douleur terrible, comme si le sexe de cet homme était toujours fiché au creux de mes reins et continuait à me déchirer. L'air qui s'insinuait sous ma jupe, entre mes fesses nues et le long de ma vulve encore entrouverte apaisait à peine ma douleur. Au bout d'un long moment, je me décidais à arrêter un taxi. Je m'engouffrais à l'arrière, pelotonnée le long de la portière, je donnais mon adresse au chauffeur d'une voix cassée et enrouée. Son sexe n'avait décidément rien épargné, ma gorge comme mes reins et mon sexe allait longtemps rappeler à ma mémoire les outrages que j'avais subi. Arrivée chez moi, je téléphonais à ma mère, lui demandant d'aller chercher ma fille à l'école et de la garder pour la nuit, prétextant une migraine terrible. Je laissais sur la table de la cuisine un mot à l'intention de mon mari m'excusant pour la même raimister de ne pas l'attendre. je me dévêtais en hâte et courait dans la salle de bains. Je pris une longue douche pour me laver de tout ce que j'avais subi. Au souvenir de certains passages, je fus prise de nausées et j'eus juste le temps de courir aux toilettes pour vomir. J'enfilais un pyjama de coton et me glissais dans les draps. Je n'entendis même pas mon mari rentrer.
Il a signé mister contrat le surlendemain et n'a jamais su pourquoi mister client était revenu sur sa décision... Mais mon esprit n'est plus jamais tranquille et cette aventure me hante toujours. Cela fait six mois. J'ai peur.
chrislebo

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Cuckolded By My Son


It's amazing how little you can be aware of what's going on around you, right underneath your nose, even right in front of your eyes sometimes. By the time I was in my forties, I thought I had everything set just the way I wanted it. My wife, Laura, was still beautiful, a curvy redhead with slight plumpness she had gained with middle age, which only served to give her a happy, healthy glow. Even though our sex life had stagnated recently, she seemed happier than ever in the weeks leading up to the events that would change my life and my outlook completely. Our mister Adam had just turned eighteen and had grown into a tall, broad shouldered, strappingly masculine man who was desired by every girl at school. Yes, I thought, there's little more a man could want from his home life than a beautiful wife and a handsome, popular mister. Well, I was about to learn just what can happen to a man with a home life like that.

Like I said, my wife and I hadn't been having much of a sex life at all lately so I was somewhat thrilled and excited one evening to see her come into the bedroom wearing a very sexy shear dark blue babydoll that barely covered her round, peachy arse, and just about revealed the black lace thong she wore beneath. I've always loved sensual women's lingerie, the soft feel of the material against skin, the way it hung from and clung to all the right places, enhancing already beautiful curves, so it was quite something to see Laura dolled up like this as she hadn't for quite a while. She came over and began to kiss and stroke me, pulling all my clothes from me until I was completely naked and my arousal at this sudden turn around in her behaviour all too clear.

"Why don't we try something a little different tonight, honey?" she said in a rich, seductive tone, "Something to spice things up a bit."

"Anything you want," I said, incredibly turned on by her sexy undies and suggestive tones.

"I want to be in control," she said, "I want to tie you up."

My heart skipped a beat in excitement, I'd never seen this kinky side to her before and it was really something that was getting me pretty hot and flustered. She had obviously been planning this as she took out a short length of rope. Doing nothing to resist, I happily let her lead me to a chair and sit me down in it, my cock now growing to a semi-hardon. She sat herself astride me, her large breasts heaving just inches from my chest, I looked down at her impressive cleavage, bordered by the thin material of her blue babydoll, her breasts looked even better. I had a silly grin on my face as she leaned in, pushing her breasts against me, kissing my lips, as she fed the rope around, tying my hands behind me and then to the chair itself. I was helpless to move, my hands were tightly tied and I couldn't get up, but that didn't matter, I wouldn't want to get up from this, my wife's sensual curves in sexy lingerie touching against my bare flesh.

Just then, however, came something much more unexpected. I heard the door open and someone come into the room but Laura in my lap prevented me from seeing who it was. I knew, however, that Adam was the only other permister in the house and felt a flush of embarrassment run right through me which, in an instant, *******ed off my growing erection and left my cock pretty flaccid once more. After all, it was bad enough to be discovered, to have your only mister walk in on you having sex, but even worse for it to be in this compromisingly kinky situation. I couldn't imagine the thoughts and the embarrassment running through his mind on seeing his man naked, tied to his chair and his lady in sexy lingerie astride him.

I was a little surprised when, instead of making a hasty exit, he came in and shut the door behind him, walking over to us. I could tell now that it was indeed our mister, dressed in jeans and a tight T-shirt that showed off his rippling muscles. Far from being surprised or ashamed to have discovered us like this he seemed pleased, and possibly a little amused.

"That's good," he said with a little laugh, "That's just right."

Now right beside us he leaned down and ran his hand along the bare flesh of my wife's far shoulder, caressing her softly, while his other hand turned her face towards his which he had brought down close to our level.

"You look amazing, mum," he smiled, "That is a very sexy, very flimsy little thing you're wearing there," his hand ran down her arm to her narrow waist and wide hips where the folds of the shear babydoll fell around it.

"Mmm hmm," Laura giggled at his gentle touch, "I'm glad you like it. I wore it specially for you."

"That's a good girl," Adam replied.

As he said this, the hand that cupped her chin pulled her face toward his and he leaned in to kiss her. Their faces were just inches from mine as all I could do was watch open mouthed. This was no affectionate kiss such as a mister might occasionally give his loving lady, no this was far more passionate and lingering than that. They stared into each other's eyes as their lips pressed together and their tongues rubbed across one another. I couldn't remember the last time she had kissed me like that. As they broke from the kiss, my wife sighed with pleasure.

"What the....?! What's going on?" I was finally able to stammer, shocked and confused but what I was watching, my mister french kissing my wife, his lady, just inches from my face.

"Come on mum, get off that pathetic loser and come here," Adam said, commandingly, and Laura obeyed, getting up from sitting astride me, she stood in front of our mister in the middle of the room, "Now, how about a kiss for your loving, affectionate mister," he said with a charming yet lascivious tone.

She was only too eager to respond and began to plant tender, eager, wet kisses all over his lips as her hands ran across his firm, toned chest. She pulled his T-shirt up over his head, to reveal that fine, muscular torso and began to move her kisses down until she was covering his chest with them, while she lustfully stroked her hands over his solid muscles. I had to admit, he was quite a figure of a man, I could see why all the girls wanted him so much with a hot body like that. I gasped as I caught myself in this thought. What the hell was I thinking? The weirdness of what I was watching must be to blame for my mind even dwelling for a second on what a fine, toned, hunky body my eighteen year old mister had.

"Can somebody please tell me what the hell is going on here?" I said, becoming red faced and angry, tied naked to a chair as I watched my wife make out with my mister, I was thinking that they were playing some joke on me, some cruel trick but I couldn't work out what or why.

"God you're stupid," my mister turned to me for the first time, "Isn't it obvious what's going on?"

"No," I said, struggling to get up but my wife had tied my hands well and tightly, "I don't understand what you two are doing?"

"It's quite simple really, dad," Adam continued with a nasty grin as he pulled Laura close to him, her big breasts pressing against his bare chest with only the thin shear material of her babydoll in between, his hands rubbing her large, round arse, "A beautiful woman like mum needs a real man to satisfy her and it's pretty obvious you're not up to the task. So, I've been filling in instead, giving her what a woman like her needs and deserves!"

"It's sooo good," Laura purred lasciviously as she cuddled up against her mister, "We've raised such a stud," she said directing a triumphant look at me.

Laura was now unbuttoning his jeans and pulling them down around his ankles. My mister was now almost as naked as me, only his hot, hunky body was something more to behold than my unremarkable, skinny one. I was still struggling to take in quite what was happening here.

"No," I said, "I don't believe it. I can't believe you, Laura, would have sex with your own mister!"

"Mmmm," she sighed again, "I know it's sooo wrong but that's what makes it feel sooo great. Well, that and he's such a studly lover. Not like you at all, honey."

She pulled down his boxers and released his cock and I couldn't help but gasp once more. My mister's dick was incredible, at least eight inches long and hugely thick, becoming hard already at his lady's touch. I could hardly take my eyes of the firm, hard, veiny beast, it somehow consumed all my thoughts for the moment. I had never seen anything so strong, so powerful and masculine.

"It's really something," cooed my wife, down on her knees, stroking her hand up our mister's shaft, "It's the most beautiful dick I've ever seen."

"You see, dad, this is what a real man looks like," Adam said to me, glancing dismissively at my own cock, barely half the length of his, "This is how I've been showing mum what she's been missing and now I'm going to show you too. It's time you learnt what it takes to be a real man."

My wife was now kissing the head of our mister's huge cock as it became hard and erect, flicking her tongue gently over the end as she stroked her hand up the shaft. I stared, dumbstruck once more, all my attention on my mister's glorious, engorged meat and my wife's pink lips as they brushed across it.

"Oh yeah, oh come on, mum, suck my cock," my mister moaned as his lady licked up from the base of his shaft.

Adam began to moan as his lady licked his massive, firm cock. They almost seemed to forget I was there, powerd to watch this strange sight, they were so into what they were doing. Laura opened her lips and let our mister's dick slide between them, making it wet and slick, going down deeper and deeper until her face was almost buried in his crotch, her throat taking in an incredible amount of his meat. She pulled all the way back and I could see my mister's dick harder than ever, the veins throbbing, covered in his lady's slick saliva, the head glistening with his pre-cum. Withdrawing her mouth from her mister's cock for a second, Laura gasped.

"Mmmm, that tastes good, I just love to go down on my mister's big cock," she glanced significantly at me.

"And you suck cock so well, mum," he gave a big grin as he pushed her head back onto his engorged member.

Soon, Laura was bobbing her head back and forth, slurping eagerly over his cock while her hand began to play with his balls. Adam had his head back, his eyes were almost glazed over with pleasure, he was gasping in short, sharp breaths.

"Oh, oh yeah, that's it mum. Suck me. Suck my monster cock. Show your pathetic husband what he's missing out on," he encouraged her as she eagerly continued to go down on him.

It was a sight like nothing I could ever have imagined, my wife in a sexy blue babydoll, on her knees giving my mister an incredible blow job and all deliberately in front of me, tied to a chair. I wanted to look away, to close my eyes, but I couldn't, in spite of my feelings of disgust, I was absolutely engrossed, my wife's beautiful, lingerie clad, feminine curves and my mister's hard, masculine body and long, thick cock held my attention like nothing else before. I couldn't even think of anything else and the fact that they were lady and mister just made it more fascinating.

"Ahhh, yeah, mmmm," my wife gasped as she let my mister's cock slip out of her mouth again, "I need you to fuck me, honey. Fuck me hard, my hung studly mister. Show your daddy what he's missing out on."

She got down on her knees on the floor, facing away from him and towards me. My mister got down behind her as she turned to look over her shoulder and begged him once more to fuck her hard. He pulled her babydoll up around her waist and exposed all of those lovely round arse cheeks of hers. Pulling her little thong aside, he slid his dick inside her. I could see her face right up close as she looked up at me and I saw her eyes widen and her mouth open in an "O" of exquisite pleasure as our mister pushed his huge cock inside her wet, waiting pussy.

"Oh baby, oh my God, fuck yes!" she sighed and gasped as Adam pulled out and thrust back inside her, "That's it baby, fuck your lady, fuck her harder! Oh, ohhh, oh yess!"

"God I love you mum," our mister sighed as her began to penetrate her deeper, thrusting harder and faster, "You're so beautiful, I love your hot arse and you sure know how to fuck!"

I didn't know what to do or say, tied naked to a chair, my beautiful wife on her knees being taken from behind by our studly mister, her face in beautiful ecstacy facing towards me. All I could do is run my eyes along her beautiful, curvy body and down to where she was impaled on my mister's impressive dick. And then something even more unexpected happened, I felt a stirring in my groin and, to my incredible shame, noticed that I was getting an erection. I couldn't quite believe it, but the sight of my gorgeous wife giving herself up to passionately thrilling sex was turning me on. The more the hardness of my cock grew as I watched helpless as I was cuckolded by my own mister, the more embarrassed I became and yet I still couldn't tear my eyes away from that round, peachy arse and the cock penetrating beneath it.

"Can't stop watching can you?" my mister said dismissively in my direction, breaking me from my focus on his thick, hard cock and my own growing arousal, "What's it like seeing your wife finally really satisfied by a real man?"
chrislebo

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Finally, I slipped on the crimmister coloured babydoll that my wife had given me. Obviously I didn't have her incredible figure but I attempted to fill out the cups with tissue paper. I also had a little red thong that I slid up my newly smooth legs and over my now quite hard cock. The feel of satin on my skin was very sensual and really managed to get me completely imagining myself as a hot slut desperate for my mister's cock. Finally, I put my feet into the shoes, a surprisingly good fit although walking in the four inch heels was a little difficult at first. They did, however, enhance the femininity of my legs, making them look quite shapely really.

Delighted with my new appearance and the promise of what was to come of it, I eagerly tottered in my heels from the bathroom, back to the bedroom, where my wife in her stockings was cuddling up to my naked mister on the bed, her huge, round breasts pressed against his firm muscular chest. They both looked up as I came in dressed in babydoll, heels and wig.

"Wow, sissy," my mister laughed, "I didn't really think you'd go through with that. You must be desperate for cock. I can't believe my dad's such a queer little slut!"

"Yeah, but he does make a sexy bitch, doesn't he honey?" my wife giggled, I blushed and my hard cock twitched in excitement.

My mister got up and walked over to me, looking me over, his hard, naked body just inches away from mine. I was quivering with eager anticipation as my hung mister ran his eyes over my body, barely concealed by the babydoll. There was a small but distinct bulge growing in the front, through the material of my thong, as my erection grew harder.

"Alright, sissy, you'll do," my mister grinned, "You look enough of a dirty slut whore to suck my hard cock. Come over here mum, you can teach that sissy ex husband of yours how to suck your mister's big, hard dick."

My wife came over and knelt beside me, the two of us looking like a pair of hot women, totally submitting to this one hard cock in front of us. She gave me a little teasing smile before diverting her attention back to our mister's thick, throbbing meat. She reached her hand up and began to stroke along the length of the shaft. Licking her lips, she bent her head down to kiss the swollen, purple head.

"Come on sissy, I'll show you how to worship your mister's incredible cock," she said, smiling at me before licking along the underside of his shaft.

I reached over with my hand and followed hers in holding my mister's dick and stroking up and down the cock. I had never masturbated anyone but myself and my mister's cock was significantly longer and thicker than mine, my hand barely reached around its full thickness. Still, it was a thrill to feel it, warm and hard and alive in my hand, my own cock was getting ever harder at the sensation of playing a dirty slut, pleasuring a hard cock.

Following my wife's lead, I leaned my head in until I was right on top of my mister's meat, it looked even more huge this close up, the veins running along it sticking out before my eyes. Tentatively at first, I stuck out my tongue to lick the warm, hard flesh. As my wife began to wrap her lips around our mister's cock, taking the head inside her mouth and circling her tongue around it. I began to lick up and down the length of my mister's shaft. Adam, meanwhile, was having the time of his life, as his cock was worshipped by the mouths of both of his parents, dolled up in sexy lingerie.

"Oh yeah," he moaned, "Come on, suck your mister's hard cock. That's it sissy. You never made much of a dad, but you take to being a cocksucking sissy pretty easily. You must take after your wife, she gives great head, you know."

I kissed my mister's dick and was thrilled to see the mark of my bright red lipstick smudged on his shaft, a reminder of the dolled up slut I had become this evening. Meanwhile, my wife was taking about half our mister's hard length into her mouth and going up and down on it, bobbing her head back and forth as I drooled all over the remaining length, using my hand now to play with his balls, massaging them in the hope of encouraging some of that thick, tasty cum once more to shoot out across my face and my wife's gorgeous tits.

"Mmmm, mum, you suck cock soooo goood," he moaned again, "But let the sissy have her go too. I want to see what my former daddy can do now he's a sluttish whore."

My wife let Adam's cock slip from between her lips and moved over so she was kissing his shaft and then taking his balls in her mouth.

"Oh honey, I love the taste of your cock sooo much, my hot, studly mister, I could just suck you all day long," she said, "Let's see what your sissy daddy can do."

I now took my wife's place, with my mister's firm, thick member sticking right in my face. My wet, painted mouth was barely big enough to fit around his thickness, but I did, taking the head into the moist warmth of my mouth, licking my tongue inside his foreskin to taste the salty pre-cum. This egged me on, making me think of the delicious taste and delightful offense that would be in store for me if I got my hunky mister to blow his load all over my made up, feminised face. I might not have been as s*******ed as my wife at going down on a monster cock, but I was eager. And I managed to take a decent amount of my mister's length down my throat before withdrawing and taking it back in.

"Ahhh," I gasped for air, letting my mister's manhood slip from my mouth for a moment, "I love your cock, mister, it's incredible! Now I know why my wife had to turn her back on me and turn to loving this incredible meat!"

"Shut up, sissy, and suck it," my mister commanded, taking hold of my face and pushing me back down, deeper onto his dick.

"That's it," my wife giggled, covering the rest of his shaft with soft kisses, "Oh yeah, the sissy's really loving it now, getting face fucked, having her throat invaded by her mister's meat."

There was little I could do but kneel there and take it, staring up at my mister's strong, imposing form, as he shoved his dick in and out of my red lips, fucking my throat, making me understand who was in control, who wore the trousers in my household and who were just the cock loving whores. There was nothing I could do to stop my mister violating my mouth, but I didn't care, I loved submitting to his hard manhood. As he continued to fuck my mouth, I reached my hand down and began to rub my own rock hard dick through the sensual satin of the babydoll I still wore. My cock was straining against the little red thong I had on underneath but I loved the feel of it. I could tell that I was going to cum myself soon.

"Oh, aaah, aaaaaaah," my mister grunted, "You'd better be ready for cum, sissy, because it's coming soon. Oh fuck, yeah, OH Here it comes!!"

He pulled his massive member from my mouth and my wife started to furiously jerk him off.

"Cum for me honey," she sighed, "Cum all over your sissy slut daddy's face!"

"Oh yes, my studly mister, please cover me with your warm, sticky cum!" I sighed and pleaded.

And that seemed to be enough to send him over the edge. Suddenly I felt a stream of warm liquid hit me in the face. My wife continued to stroke Adam's cock, milking him for as much cum as he could give. Meanwhile, he continued to shoot his load, covering my face with his salty, sticky juices. I licked my lips and opened my mouth wide, hoping to catch my mister's tasty cum inside. My wife now joined, kneeling beside me, hoping to get herself a little of my mister's spunk. Soon her face was as sticky as mine and her grin almost as wide.

Meanwhile the erotic thrill of my mister's cum filling my mouth was enough to send me over the edge as well. My hand rubbing my hard little dick through my satin thong made me spill my own load, creaming inside my sexy lingerie. My wife noticed the "o" of pleasure on my painted red lips and followed it obviously down my satin clad body to where there was a clear wet patch in my crotch.
chrislebo

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#1,259
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"Oh, sissy," she giggled, "Did your mister's hard cock make you cum. You've ruined those perfectly good panties!"

I blushed a red colour almost as deep as my babydoll. But I was also glowing with pleasure, pleasure only enhanced by my wife and mister being there to see me dressed in feminine lingerie, filling my panties with sticky cum. The offense and embarrassment were just even more of a turn on. I knew that after tonight, things would never be the same again.

That night, I slept at the foot of my former bed as my wife and mister cuddled up together. My soft, feminine body was dressed in a silky chemise and my mouth was stuffed with my thong from before. As my wife and mister caressed and kissed, I lay there and listened, sucking my own cum from my dirty, stained panties. It was clear to me now that this would be my life from now on, no longer the man of the house, but the submissive sissy who would do anything to worship the cock of the real man of the house, my mister.

My wife and mister continued to make me dress in feminine clothes and, in exchange, I was occasionally allowed to suck my mister's beautiful cock, or lick his cum from my wife's hot body. Things took another strange and new turn a few weeks later. I had got pretty good at making myself look like a sexy slut and was beginning to really enjoy my new feminine life. On this particular day, Laura had made me dress in a pair of knee high PVC boots with six inch heels that made it very difficult to get about anywhere. I also wore a matching black PVC mini-skirt that barely covered my thighs and black lace panties beneath. I was wearing no bra, instead I just wore a tiny, tight red PVC halterneck top that exposed my midriff. Once again I wore the blonde, shoulder length wig and painted my face in heavy, slutty make up and bright red lipstick. I looked like a cheap hooker but that was just the way that I liked it, not to mention the way my wife and mister wanted it.

I was upstairs when I heard the doorbell ring and Laura going to answer it. Suddenly, I froze in fear, nobody had ever seen me like this, in my slutty feminine form, except for my wife and mister. I was terrified lest my secret identity as a submissive sissy who liked to watch his own mister fucking his wife was known to the world. I could hear several voices downstairs before footsteps coming up to the bedroom where I waited.

"Come on sissy," my wife said, coming into the room, dressed in a little black dress and stockings, "There's some people waiting to see you downstairs."

"What? No," I said, stubbornly, "I can't go in front of people like this," I looked down at the way I was dressed, just like a whore, "I just can't."

"Don't be stupid, sissy," she replied, "You're coming down and that's that. Don't forget who's in charge around here. If you want to keep tasting that juicy cock then you'll do just what we want!"

What was I to do? I was so much under the thumb of anything my wife and mister wanted that I could no longer resist any offense. Anything they demanded of me, I not only did, but liked it and was rewarded at the end with the nice, salty cum I had come to love so much. I guess a stronger man would have refused, but then a real man wouldn't have let themselves get into a situation where their wife thought them so little of a man she slept with her own mister. A real man wouldn't have let his mister power him to dress like a slutty woman to suck his cock. So I guess there was no pretending I was a real man anymore. And I guess I was always going to do what Adam and Laura asked of me.

So, I found myself tottering downstairs after my wife, struggling to walk in my six inch heeled kinky PVC boots. Although I was so submissive as to follow any command, I was still getting pretty nervous, my heart was in my mouth. Who were these people? Why did my family want to introduce me to them? And what on earth was going to happen? I was incredibly nervous but also could feel my cock becoming a little aroused at the prospect of some strange new things that might happen.

My wife opened the door of the living room and walked in, with me coming through behind her. I don't know what, or who, I expected to see as I entered the room, but still, when confronted with what was there, I got the shock of my life. My hunky mister was there, sat on the sofa in jeans and a tight t-shirt that showed off his rippling muscles, but there were three other people in the room as well. Three people that I recognised, that I knew very well. Next to my mister on the sofa sat my wife's sister, Helen, and across the room, still standing, were my nephews, her two misters, Matt and Chris.

Helen was a couple of years older than my wife, taller and skinnier, without my wife's curves and incredible breasts. She was not quite so beautiful but still looked pretty great for a woman in her late forties. She was dressed in a simple blouse and knee length skirt. Her misters were aged 19 and 21, both tall and thin as well. They were quite good looking although not such incredible specimens of muscular masculinity as my mister. To be honest, I had seen them grow up and had not ever really thought of them as possibly vigorous, sexual kinds of guys but they were at that age now where they had to be. Helen, however, I had occasionally entertained fantasies about, such as is quite usual, I imagine, with the close sisters of your wife, or something similar.

My wife's family was quite close and I knew them all pretty well. They came to visit quite often but still I was shocked to see them today. Maybe that was something to do with the way I was dressed. For a second, all three of them looked at me blankly, trying with a little confusion to place me and failing to recognise who I was, before all of a sudden, Helen's jaw dropped and she gasped.

"Good God, Steve, is that you?" she said, shocked.

"Uncle Steve," Matt, the older of my two nephews said, "What the hell are you wearing?"

"And why?" said his brother.

"It's not Steve anymore," said my wife, "We just call him 'Sissy'."

"I don't understand," Helen went on.

"He wasn't satisfying me as a husband," my wife said, "He's not much of a man, so we thought he'd make a better slut."

"Who's we?" Chris asked.

"My new lover and me," Laura grinned. Adam had got up from where he was sitting and was now standing beside her, he took her in his arms and they began to passionately french kiss in front of the whole family.

"Oh My God!" Matt gasped with shock.

"Urrgh," echoed his brother, "What the fuck? That's disgusting!"

But they still stood there, watching their cousin make out with their aunt, not doing anything to stop it or to leave the room. I knew that feeling, like me they were fascinated by the scene playing out before them, the naughty ********** lady mister embrace was so wrong that it was an incredible turn on to watch. Even after seeing them at it so much these past few weeks, I still felt my cock grow hard to see his hard body press against her curves. He broke from the kiss but still held her in his arms, his hands caressing her round bosom through the material of her black dress. He turned with a smug look to Matt and Chris.

"Come on, guys," he said to his cousins, "Don't pretend you hadn't thought about it. Older women are so hot and they really know how to please a man. I bet you've thought about sucking on your lady's tits or burying your cock in her warm, wet pussy."

Matt and Chris looked a little unsure of what to do or say but I could see that even if the thought of fucking their sexy lady hadn't occurred to them before, it certainly was now. Chris let his eyes wander over to her, I saw him run his gaze over her body, especially dwelling on those long, smooth legs of hers. Meanwhile, she had got up of the sofa too and had come over to where Adam was caressing and kissing his lady. Helen ran her hand across her nephew's muscular chest.

"Well, sis, I can't say I blame you," she said to my wife, with a naughty smile, "He's quite a man. I wouldn't mind having a taste of him myself!"

I was shocked. I certainly hadn't expected that. I never thought my sister-in-law would be so easily persuaded into something that was so strange and wrong but she seemed really keen and eager to have a piece of her hot nephew, my manly mister. I could see why she wanted it so bad, after all so did I, but still I was surprised at how quickly and eagerly she acted on her impulses. In no time at all, my wife and her sister had stripped Adam of his tight t-shirt and had pulled his jeans around his ankles as they pushed him back to sitting on the sofa. His massive cock was already semi-hard as his aunt knelt down before him and began to stroke it with her hand, making it warmer and harder every second. It looked so good, so strong and hard and masculine, I just wanted to get a taste too, and I didn't care that my sister-in-law and her misters would watch.

I soon found myself joining my wife in kneeling before my mister's growing erection as my wife's sister continued to stroke it. I was down between his thighs, kissing up the inside of his leg as my wife licked her tongue around the head of his cock, her sister still stroking it. The two sisters looked each other in the eye and laughed even as they continued to pleasure my mister's dick with their hands and mouths.

"I guess you're just as much in need of a real man's cock as I am, sister," my wife said.

"I've never seen one like it," her sister confirmed, "It's incredible, so long and thick."

The two sisters kissed each other across the hard cock and then began to transfer their kisses to the thick, hard meat itself, while I knelt under them and began to lick my mister's balls. Adam now pulled my wife up to sit beside him and began to kiss her again as he slipped her dress from her shoulders and unstrapped her bra, letting those incredible breasts spill out.

"Wow, nice tits, auntie Laura!" Chris said on watching his cousin bury his face in Laura's breasts as she ran her hands over his muscular chest.

My nephews were obviously beginning to warm to the idea of their family's ********** fun, although I could no longer see what they were doing with my face buried between my mister's legs. I began to move my attention to his thick, veiny cock. As Helen began to lick the shaft, I flicked my tongue across the quivering head and inside the tip of his foreskin. Helen looked at me and grinned at the sight of the man that had married her sister, dressed in a PVC skirt and boots, face painted like a slutty whore, sucking on his own mister's cock.

"Wow, you really do make quite a hot sissy slut," she said, moving her free hand to run across my rubber clad body, "And you do seem so keen on a nice hard cock!"
chrislebo

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Between us, me and my sister-in-law continued to suck and lick all over my mister's hard cock while his attention was entirely on his lady, playing with her great, round breasts and then running his hand down inside her panties and fingering her wet cunt. She began to gasp and sigh.

"Oh, honey, oh yes, you're making me so wet, my hunky mister, I want to feel you inside me," she moaned.

Meanwhile, thanks to me and Helen, Adam's cock was firm and twitching and just waiting to fuck his beautiful lady. I could see that Helen was as much into sucking and submitting to this fine piece of manhood as I was. It seemed like Adam had all the women in the family just desperate for that nice hard cock of his. And even for the men it held quite a fascination. Like me before, my nephews were obviously beginning to get a dirty thrill from watching my wife and my mister getting together, a thrill only enhanced by seeing their own lady on her knees before their cousin's big, fat cock.

"Oh God, mum's quite a cocksucker!" sighed Matt.

"Well, Sissy Uncle Steve isn't too bad either," his brother laughed.

I turned back to look at them for the first time and saw that they had dropped their pants and pulled out a pair of six inch cocks that, while not as enormous as my mister's, were certainly more impressive than my own. While watching their lady and uncle suck on their cousin's monster dick, they had both begun to masturbate their own cocks. Obviously, seeing the rest of their family engaged in hot, ********** sex, they had no qualms about revealing the turn on it was for them in watching.

"Sissy, it looks like your nephews could do with a bit of oral relief," my mister said, looking down at me, "Go and use your cock lust on them, I don't need a sissy boy like you when I've got two hot real women like mum and Aunt Helen."

I turned and went over to my hot, young nephews, kneeling before them, as my wife began to straddle my mister, lowering her wet pussy onto his hard cock as her sister continued to lick the base of his shaft. Meanwhile, I looked up at my nephews and took each of their cocks in one of my hands. I smiled lustfully up at them and began to stroke their warm, firm meat.

"What are you doing?" Matt complained as I masturbated his member, "I don't want some sissy man touching my cock. Aaahh, mmmm," he moaned, the sigh of pleasure escaping his lips contradicting what he was saying.

"Don't you?" I said, "You know what a hot slut like me can do for you."

I flicked my tongue gently across the head of his dick, making it tremble with anticipation.

"I don't care of this sissy is our uncle," Chris said as I squeezed and stroked his firm cock, "I want those hot slutty lips round my cock. Come on sissy, you like the taste of your mister, why not suck on your nephews?"

I was only too happy to oblige. Turning the attention of my tongue between Matt and Chris, circling my tongue around the head of one cock while my hand stroked the other, then swallowing half the length of the second cock while I jerked the first. Although neither cock was quite as fascinatingly big and thick as my mister's monster, together they made up for it by giving me so much length of man meat to run my mouth over. As I began to properly go down on first one and then the other, even Matt's feeble protests diminished.

"Stop doing that, you freak. You're my uncle, you shouldn't be doing this. Aaaah, mmmm. Oh, don't...Don't stop, slut. Mmmm, yes, suck my cock, sissy bitch."

"Oh yeah, sissy, suck us. Run that tongue of yours all over your nephews' cocks," Chris moaned.

I pulled the two together so the heads of their cocks were almost touching and wrapped my lips around both heads as my hands vigorously stroked the lengths of their shafts. My own cock was now getting pretty hard at being in the centre of this ********** orgy. There was a quite obvious bulge in the front of my tight little PVC mini-skirt but I didn't care, I loved the way the lace of my panties made me feel, rubbing up against my erection.

Meanwhile, across the room, I could see my wife bouncing up and down on my mister's massive dick, sighing and moaning as he buried his face in her huge tits. Helen was now licking both her nephew's cock as it entered Laura's pussy and also turning her tongue to pleasuring her sister's clit. Laura couldn't help but scream and moan at the double stimulation of her mister and sister.

"Oh yes. Fuck yes, this is incredible. Fuck, there's nothing like fucking your mister, unless it's fucking your mister and your sister!" she cried, "Your cock is so big and hard inside me, mister, and, sister, your tongue feels great on my cunt!"

"Mmmm, mum, I knew you'd enjoy getting more of your family into this fuckfest," my mister gasped as he shafted his lady's pussy, "And it gives the sissy a chance to get a proper fucking too, and from his family!"

Hearing this, Chris pulled his cock from my mouth, allowing me to concentrate on taking the full length of his brother inside me. It was easy after being used to my mister's huge dick. Meanwhile, Chris had moved around behind me and was slapping my arse in its tiny, tight little mini-skirt.

"I'm gonna get myself a piece of this tight, sissy arse," he said, "How would you like your nephew's cock inside your little arse, sissy?"

I pulled Matt's cock out of my mouth for just long enough to gasp, "Oh yes! Please, nephew, I'd love that," I was a little surprised at myself, but I guess it should have been obvious from my dressing in sissy female clothes and worshipping cock with my mouth that before too long I'd get a cock in my panty wearing arse as well. Even though I hadn't much considered it before, as soon as Chris mentioned it, I knew that I really wanted it, to totally submit to a hard cock by feeling it penetrate deep inside me, and my own hot young nephew's cock at that. "Come on, fuck my little virgin arse. I'm just a sissy slut for cock and I want one inside me now!"

Chris pushed my skirt up around my waist and pulled my panties around my knees. I was kneeling in a doggystyle position, with my mouth still wrapped around his brother's hard dick. He pulled my arse cheeks open and slid his cock, slick and wet with my saliva into my arse hole. It was something of a tight fit as he pushed hard up into me, making me pretty light headed but still I was urging him on, deeper into me, loving the feel of giving up my submissive sissy arse to a hard cock, being penetrated from both ends by my nephews.

Finally, he was most of the way inside me, and he began to withdraw, but only before slamming back into me, quicker and harder, even as his brother took control of fucking my face, leaving me completely helpless, sandwiched between my nephews and their hard cocks as they pushed me one way and then the other, always leaving me penetrated and filled with the cock I desired so much. I had no control over the situation but that was just how I liked it, I was in heaven, submitting to being used by my family's cocks. I hadn't realised it until recently but this was the greatest pleasure I could imagine, especially with one cock buried deep in my arse, stimulating me in places I didn't know were there.

Anyone who would have come into the room at that moment would have seen a sight that would have been pretty unbelievable to witness. On one side of the room, there was my mister, naked, toned, muscular, with a monster cock buried deep in the pussy of his busty lady, dressed in nothing but stockings and heels, who was riding him for all she was worth while her sister, her blouse torn open to reveal her breasts, her skirt up around her waist, licked her pussy while fingering her own. Meanwhile, on the other side of the room, there was me, the sissy man of the hung stud, feminised and dressed in PVC boots and skirt with slutty lipstick and make-up, being double penetrated by my nephews, one big cock in my mouth, the other taking my anal virginity.

"Oh yeah, you're so tight, bitch," Chris moaned, "Your arse feels soooo tight on my cock. I've never had such a good fuck."

"Mmmm," moaned Helen, fingering her wet pussy, "It's good to watch my misters enjoying such a good fucking but mummy needs to feel a cock inside her too!"

Leaving her sister bouncing up and down on my mister's cock, she walked over to our side of the room and got down on the floor beside me. My shiny black skirt hung around my waist and my lace panties were down around my knees as her mister buried his cock in my tight arse, my own naked dick swung back and forth, leaking pre-cum. She moved herself underneath me and slid my little cock into her wet, waiting pussy so that as her mister shafted my tight little arse, it pushed my crotch forward, penetrating deeper inside her.

"Oh God, yes. Fuck, that's it," she sighed, "Keep fucking this sissy's arse, mister," she said to Chris, "Fuck him harder, push him deeper inside me. Oh fuck, it's like fucking my mister."

"Mmmm, mum, that's so hot," Chris said, really tearing into my arse now, his lady egging him on seemed to make him want to fuck me harder than ever, "I love the thought that fucking my sissy uncle is fucking you too!"
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