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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#1,201
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Et effectivement la vie de mister alliance et de sa bague de fiançailles ser-rés sur sa hampe avait sur lui le même effet que sur le pasteur Knowlton et le pasteur Mollway qui regardaient, ils étaient tous trois excités comme des poux.

La bouche sèche, Julie hésitait sur ce qu'elle devait faire ensuite lorsqu'il l'interrogea :

- "As-tu déjà sucé une bite auparavant ma chérie? ...."

- "Nnnn... Non..... " répondit-elle misérablement, mais soudain elle se coupa, mister esprit lui soufflant le contraire.

Provenant des profondeurs de mister inconscient une voix lancinante lui susurrait :

- "Tu as déjà sucé des bites auparavant..... Tu sais comment t'y prendre pour faire plaisir à un homme avec ta bouche..... Pointe le bout de ta langue et regarde monsieur Gibbons droit dans les yeux..... Tous les hommes adorent voir une adorable jeune femme agenouillée entre leurs cuisses les regardant droit les yeux tout en cajolant leur phallus! ...... Leur esprit est ravi de savoir qu'elle va lécher le méat de leur gland! ...."

Elle lui prodigua rapidement une caresse de la langue avant d'ouvrir la bouche en grand pour envelopper le bourgeon de ses lèvres purpurines.

Richard Knowlton, avait vu comment le pasteur Ralph Mollway avait ini-tié sa ravissante paroissienne aux enivrantes techniques fellatoires, puis il avait goûté les lèvres de la charmante apprentie sur mister propre pénis avant d'éjaculer un torrent de foutre au fin fond de sa gorge asservie.

Et maintenant la vue de cette adorable jeune femme suçant une énorme mentule noire lui procurait un spectacle enthousiasmant, d'autant plus excitant qu'elle arborait alliance et bagues de fiançailles, cette alliance qu'il avait lui-même bénie deux plus tôt.

Elle serrait les lèvres sur cette monstruosité noire qui lui emplissait la bouche la main gauche courant sur la colonne de chair tout en le fixant droit dans les yeux.

Ses idées étaient confuses, des pensées contradictoires envahissaient mister esprit, tout d'abord l'impression de se livrer à des gestes déplacés, mais elle continuait néanmoins à flatter le méat suintant du bout de la langue, alors qu'elle tenait fermement la bite de sa main droite.

Des pensées coupables la tourmentaient :

- "Oh mon Dieu... Que suis-je en train de faire? ......"

- "Oh mon Dieu..... Elle est encore plus grosse que la bite dont je rêve chaque nuit! ...."

- "Comment puis-je faire cela avec un autre que mon mari! ...."

- "Humm.. Je me demande bien quel goût a le sperme de monsieur Gibbons? ...."

- "Et c'est moi qui l'ait invitée à me rencontrer! ...."

- "Je lui ai même fait dupliquer une clef que je lui ai envoyée! ..."

- "Comment puis-je me conduire de façon si dépravée! ......"

- "Ohhhhhh, ses burnes mistert si grosses! ...."

Quant à Cecil Gibbons il voyait là se réaliser mister rêve le plus salace : se faire sucer par une rouquine appliquée à la tâche.

La première fois qu'il avait vu une photo de cette succulente jeune femme sur l'album souvenir du site internet de la congrégation, Cecil avait été décidé de la sauter...... Et ce de façon permanente, peu lui im-portait le coût! ......

Loin d'être un type en vue, Cecil savait qu'elle ferait jaser les chalands lorsqu'il se promènerait à mister bras.

Le fait qu'elle enseigne dans une classe primaire rendrait ses copains gagas! ......

De plus le fait qu'elle ait été mariée à un autre homme, un cornard de blanc, renforçait sa joie lorsque les nombreux jaloux apprendraient qu'il l'avait détournée de cet abruti de mari blanc.

Mais pour l'instant, sachant que ce vieux salaud d'Hollway et peut-être même mister jeune acolyte blanc pasteur de la jeune femme observaient sa performance, il ne put résister à les railler ironiquement :

- "J'ai appris que tu avais été initiée à l'art de la fellation, il y a une paire de semaines, par deux hommes avec des petites bites! .... Des saucisses minuscules comparées à l'éclair au chocolat que t'as maintenant en pleine bouche, he, he, he! ....."

Les deux pasteurs avalèrent leur salive tant ils étaient gênés de la com-paraimister, pourtant leurs bites étaient loin d'être minuscules, évidemment, comparées à cette monstruosité! ....."

En fait leurs deux bites réunies n'égalaient en longueur le chibre de Cecil Gibbons.

Richard et Mollway regardaient tous deux avec intensité, mâchoires serrées, les yeux rivés sur cette somptueuse beauté, si innocente et fidèle auparavant, sucer avec avidité l'extrémité de l'énorme bite noire de mister invité comme si elle ne pourrait jamais s'en rassasier.

Quelque chose au fin fond de l'esprit de Julie l'obligeait à dispenser le plus grand plaisir à mister "amant".

La façon qu'elle avait de le regarder pour vérifier si elle le satisfaisait pleinement alors qu'elle le suçait consciencieusement excitait d'autant plus les deux pasteurs qui se branlaient vigoureusement devant ce spec-tacle hautement pornographique.

- "Oh oui, c'est ça madame Morris... Comme ça...... Et maintenant suis la hampe..... Ahhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiii...... " l'encourageait mister hôte assis bien installé dans sa chambre.

Les yeux rivés sur l'écran ils continuaient à l'observer dispensant cette magnifique fellation à mister invité dans sa chambre conjugale, la jeune femme semblait se régaler de la monstruosité noire dont elle parvenait à gober le gland.

Avec une de ses menottes elle serrait la base de sa bite comme si elle tenait une bâte de base-ball, il subsistait encore une bonne vingtaine de chair noire en dehors de sa bouche, mais petit à petit mister chibre dispa-raissait dans la bouche de la chaude salope alors qu'elle approchait la tête de mister pubis.

Et maintenant la chevelure rousse montait et descendait tandis qu'elle lui dispensait une gorge profonde, avalant sa bite naturalesque loin dans mister arrière gorge.

Ebahis, ils virent les lèvres de l'adorable Julie toucher le dos de sa main serrée tout conte ses burnes, ce qui indiquait qu'elle était parvenue à avaler mister monstrueux chibre dans sa quasi-intégralité, il devait être en-foncé profondément dans on arrière-gorge.

Mollway et Richard pensèrent tous deux que c'était un véritable exploit pour une suceuse aussi inexpérimentée jamais ils n'auraient pensé qu'elle puisse y parvenir, bien au contraire ils auraient craint tous deux qu'elle s'étouffe s'il forçait mister arrière-gorge.

Elle les surprit encore plus lorsque, enlevant sa main droite posée à la racine de sa bite, elle termina mister oeuvre en absorbant les quelques centimètres de chair restant, enfouissant mister nez dans toimister crépue.

- "Ooh, oui, chérie! .... Ohhhhh, Madame Morris..... Ouiiiiiiiiiii..... Ohhhhhhh chérie t'es vraiment une bonne petite suceuse! ...." haletait Cecil une main enfouie dans sa longue chevelure rousse.

Poussant des hanches vers l'avant, il s'enfouit de quelques nouveaux centimètres s'enfonçant à l'orée de mister œsophage.

Puis il sentit mister ventre heurter la main de la jeune femme refermée à la racine de sa mentule.

- "Enlève ta main ma chérie..... Je veux m'enfoncer entièrement dans ta gorge! .... Allez chérie... Tu peux le faire! ...." l'encourageait Cecil.

A peine eut-elle entendu cet ordre, après un instant d'hésitation, la nerveuse jeune femme lâcha la colonne de chair sachant qu'il allait enfouir totalement sa monstruosité dans sa gorge.

Le nez planté dans sa toimister crépue, l'adorable Julie Morris frottait mister visage contre mister pubis, les deux spectateurs eurent tous deux la même pensée alors qu'ils s'émerveillaient :

- "Mon Dieu, mister mari voudra-t-il encore d'elle si on lui envoie des photos de cette fellation dans leur chambre conjugale..... Quel savoureux contraste entre chair blanche et chair noire......"

Pendant les quelques minutes qui suivirent, les spectateurs virent que la jeune femme poussait sur les cuisses de mister amant comme si elle voulait extraire mister énorme mentule de mister oesophage.

Mais ses mains puissantes posées sur sa nuque lui interdisaient tout recul, elle toussait et crachotait alors qu'il enfonçait ses derniers centimètres dans mister oesophage.

- "Ah... A ... A ... A... Ah... Ah... Ah... Ah... Ah... Ah.... Arg-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh..." Cecil clamait mister triomphe bien installé dans la chaleur de mister arrière-gorge alors que mister corps d'ébène frismisternait de tous ses membres.

Il devint alors évident que si elle tortillait de cette manière, alors que ses yeux roulaient dans leurs orbites, c'est qu'elle évidemment incapable de respirer avec cet obélisque planté dans l'œsophage

Heureusement Cecil Gibbons eut pitié d'elle et se retira de sa bouche se soulageant d'un déluge de foutre sur mister menton, un fleuve de semence lui couvrit alors le visage.

L'innocente institutrice d'école élémentaire n'avait sûrement jamais rempli ce rôle de réceptacle à foutre, elle n'avait jamais reçu un tel torrent de foutre qui lui couvrait le visage, le menton et le haut de mister corsage.

Agenouillée sur la moquette de sa chambre elle haletait tout en levant les yeux sur mister suborneur qui s'asseyait maintenant sur le petit fauteuil tout en se branlant machinalement.

Lentement elle se releva et se posta devant mister invité qui ranimait sa bite, Julie entreprit alors de déboutonner de mister chemisier souillé de foutre, exactement comme le lui avait prescrit le pervers moine en implantant ses ordres au fin fond de mister inconscient la semaine précédente.

Puis, se servant d'une partie intacte de mister chemisier elle s'essuya mister menton et mister visage empesé avant de défaire les boutons de sa jupe.

Elle jeta mister chemisier au sol et tendit alors le bras pour dégrafer les clips de mister soutien-gorge dans mister dos.

Son soutien-gorge défait, surmontant maintenant mister chemisier au sol, Mollway se pourlécha les babines alors que la charmante jeune femme se débarrassait de ses hauts talons puis roulait sa petite culotte de den-telle sur ses hanches.

Cela formait un bon petit clip pensait Mollway alors qu'il indiquait au pas-teur Knowlton :
chrislebo

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#1,202
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- "Lorsque j'ai interrogé mister cornard de mari, j'ai implanté une sug-gestion magictique l'amenant à se demander ce que pouvait bien faire sa charmante femme lorsqu'il n'était pas là..... Avec ce sorti-lège, imagine sa réaction si on le faisait visionner cette scène de sa femme suçant une énorme bite noire avant de se foutre à poil! .... Mais regardons! ...."

Richard Knowlton ne pouvait détourner les yeux de l'écran observant in-terdit la jeune femme qu'il avait mariée à Ken Morris se tenant sans aucune honte entièrement nue devant Cecil Gibbons qui se branlait cale-çon baissé sur les genoux.

Quelques secondes plus tard, les menus doigts manucurés empoignaient l'épaisse colonne se démenant pour lui rendre sa bandaimister démesurée.

Il était certain que si Ken Morris voyait ces images de sa ravissante épouse ramenant à la vie un énorme chibre avant de l'attirer dans leur lit conjugal elles s'imprimeraient de façon définitive dans mister esprit.

La captivante Julie Morris était étendue sur mister lit conjugal, jambes en l'air, grandes écartées, il était tout à fait évident que cette ensorcelante jeune femme inexpérimentée ne s'était jamais fait bouffer le gazon alors qu'elle haletait :

- "Que... Que me faites-vous? ...." Je vous en prie..... S'il vous plait..... J'ai trop envie..... Prenez-moi...... J'en ai besoin! ...."

Son embarras transparaissait sur mister visage lorsqu'il lui dit :

- "Je vais tout d'abord te bouffer ton enivrante petite chatte rousse! ...."

- "Ohhhhhhhhhhhhhhh... Mon DIeuuuuuuuuuuuuuuuuuuu... " miau-la-t-elle toute à mister émoi.

Elle empoigna ses cheveux crépus et serra ses cuisses nacrées sur mister visage couleur ébène pressant mister visage contre sa toimister, l'adorable jeune femme se cambrait de plaisir pour mieux éprouver les caresses habiles de la langue se promenant dans sa cramouille affolée.

- "Oh mon Dieu..... Oh, mon Dieu...... Oh mon Di-euuuuuuuuuuuuu......" rugissait-elle affolée.

- "Oh oui..... Oui..... Lèche ma foufoune..... Mange moiiiiiiiiiiiiiiiii..... Oh mon Dieu..... Oh, oui...... Que c'est bonnnnnnnnnnnnnnn... " gémissait-elle alors que mister corps et mister esprit succombaient à un premier orgasme fracassant.

L'ensorcelante jeune femme revint sur terre alors que mister "amant" se mettait en bonne position, il tenait ses chevilles dans ses mains.

Mollway poussa du coude Richard qui se tenait à ses cotés, l'invitant à savourer ce qui allait suivre, il lui dit :

- "Regarde ce qui va se passer lorsque Cecil Gibbons lui annoncera ses intentions en utilisant la phrase clef que j'ai implantée dans mister esprit ce qui cassera mister hébétude et la fera reprendre pied dans la réalité......"

La bite postée à l'orée de sa grotte enfiévrée, les chevilles fermement tenues, Cecil Gibbons sourit avant d'énoncer la phrase magique.

- "Madame Morris, je vais faire de toi ma petite chienne de blanche! ...."

C'était une phrase qui normalement ne devait pas se dire en sa pré-sence, elle servait à la ramener sur terre, et là elle brisait le charme elle constatait qu'il ne s'agissait pas d'un rêve, mais d'un événement qui se déroulait véritablement dans le grand lit de leur chambre à coucher conjugale.

Les yeux clignotant, incrédule le suppliait maintenant frénétiquement

- "Non... Non... Je ne veux pas..... S'il vous plait non..... Pas ça..... Non..... NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN....."

Sa plainte se terminait sur un ton suraigu trahissant sa douleur alors qu'il introduisait mister épais bourgeon noir dans sa petite chagatte si étroite, distendant sa foufoune comme jamais elle ne l'avait été.

- "CESSEZ..... ARRETEZZZZZZZZZZZ..... S'il vous lait..... Non...... C'est VIOL..... Arrêtezzzzzzzz..... Je vous en supplie..... Je n'ai jamais trompé mon mari! ..... " s'époumonait Julie

Mais ses supplications étaient vaines, l'épaisse colonne de chaire s'enfonçait irrémédiablement dans sa cramouille affolée, il l'élargissait quasiment au point de rupture.

- "Arrêtez... Je vous en prie..... J'ai mal... Si mal..... Oh mon DIeu... Vous me pourfendez en deux! ..... Je vous en prie..... S'il vous plait..... Je ne veux pas..... C'est un viol! .... Arrêtez... Je vous en prie... Arrêtez...... Je vous en supplie! ....." sanglotait-elle horri-fiée.

Cecil se réjouissait de la sentir lutter pour se libérer, mister ravissement de posséder mister enivrant corps blanc n'en était que plus grand.

- "Oh madame Morris, t'es si étroite..... Aussi étroite qu'une pucelle! .... Ah, oui... Je vais dévaster ta chatoune! .... Tu ne sentiras plus que ma grosse bite après ça! ..... Tu ne sentiras plus jamais plus la rachitique saucisse de ton cornard de mari lorsqu'il voudra te posséder! ....." sifflait Cecil alors qu'il pénétrait maintenant des territoires vierges de toute intromission, hors de portée de la bite de mister malheureux époux.

- "Owwwww... Owwwwwwwww..... Ohhhhhhhhhh..... Nonn-nnnnnnnn... " criait la jeune femme éperdue.

Témoins du viol de la ravissante jeune femme, les deux pasteurs se branlaient frénétiquement au travers du tissu de leurs caleçons, ils au-raient tous deux souhaité se trouver entre les cuisses de l'ensorcelante proie, à la place de Cecil.

Ce dernier leur offrait un véritable spectacle, extrayant d'abord ses 32 cm de la chatoune dévastée de la malheureuse avant de l'enfouir à nou-veau dans ses profondeurs intimes.

Le colosse noir accélérait le rythme de ses coups de boutoir, la monstruosité noire la pilonnait allégrement à la vitesse d'un marteau piqueur.

Sa malheureuse victime poussait des cris et des sanglots alors qu'elle essayait de lui donner des coups de pieds de le repousser de ses eux mains appliquées contre mister torse.

Mais soudain la situation changea d'aspect alors que Cecil se courbait pour lui mordiller le lobe de l'oreille lui susurrant le mot magique qui la confinait dans un profond état de stupeur magictique :

- "PPBN... " le sigle de "Pouffe Pour Bites Noires".

Sa révolte cessa instantanément, elle cessa de le repousser, elle se mit à caresser sa musculature dorsale de ses petites mains manucurées de prêt alors que ses cuisses se firent accueillantes, elle ne tarda d'ailleurs pas à les verrouiller dans mister dos, s'arquant pour mieux profiter de sa vigueur.

Les cris et les pleurs avaient cessé, ils étaient maintenant remplacés par des suites de halètements extasiés.

- "Faites-moi l'amour..... aimez-moi... Plus profond..... Encore plus profond..... Plus vite... Plus vite......"

Une union frénétique se tenait sur le lit conjugal, seulement ce n'était pas entre mari et femme comme l'annonçait le dominateur noir :

- "Je vais t'engrosser salope! ... Je vais t'engrosser sur le lit que tu partages habituellement avec ton mari! ....."

- "Ahhhhhhh..... Ahhhhhhh..... Je jouiiiiiiiiiiiiiiiisssssss....." miaulait alors la ravissante beauté.

Puis à voir l'énorme bite noire profondément implantée en elle, les muscles noirs du fessier de l'homme se crisper et se tordre, il fut évident que le solide gaillard emplissait sa chatoune distendue d'un torrent de foutre chaud.

Quelques instants plus tard, tout était calme et tranquille dans la cham-bre des Morris alors que le grand corps du colosse noir restait étendu sur le corps de sa somptueuse partenaire blanche.

Finalement Cecil Gibbons roula sur le flanc permettant à la caméra du portable de capturer l'effarant spectacle de sa bite d'âne sortant de la chatoune distendue de sa jeune "maîtresse".

Sa bite luisante, couverte de taches de sperme, centimètre après centi-mètre, réapparut à l'air libre avant qu'enfin, avec un "plop"misterore l'énorme gland sorte de la petite chatte endolorie, tout de suite suivi par un flot de crème épaisse.

On aurait dit un puits de pétrole bouillonnant sauf que la cramouille de Julie rejetait un bouillonnant trop plein de semence.

18 heures plus tard, la fenêtre de la chambre des Morris était grande ou-verte pour aérer la pièce et dissiper la lourde odeur de rut qui l'impré-gnait.

C'était presque un événement après cette nuit de baise non-stop à laquelle s'était livrée la paisible jeune femme et mister amant noir.

Non seulement Julie avait rebondi d'orgasme en orgasme, mais elle avait appris énormément de nouvelles façons de plaire à un homme, comme celle de se faire bourrer le trou du cul, ou même d'agripper le fut frémissant entre ses plantes de pied pour le branler.

Mais sa position favorite était celle de la levrette et celle où elle enfour-chait mister amant pour conduire elle-même la manœuvre avant qu'il n'explose au pus profond de mister utérus fertile.

Dès ces moments, Cecil Gibbons, désira fortement que cette ensorce-lante rouquine soir sienne définitivement, il trouvait que le plan ourdi avec Mollway se déroulait trop lentement, il devrait attendre l'année pro-chaine pour le voir aboutir.

Cecil connaissait le pouvoir de l'argent, et la suggestion de faire une im-portante donation au "PPBN" lui paraissait le meilleur moyen de faire avancer ses projets, même si le divorce de ce couple modèle ne pourrait que créer des remous dans la communauté de Presswood.

Serrer mister enivrante dulcinée entre ses bras impressionnerait certaine-ment les salopards qu'il côtoyait, ils regretteraient tous de ne pas être dans ses chaussures.

Les choses s'accélérèrent subitement lorsque le pasteur Knowlton demanda à Ken Morris de donner mister avis au conseiller marital sur la réussite incontestable de mister mariage.

Mollway avait alors magictisé le malheureux époux, lui intimant de briser rapidement mister mariage avec mister adorable épouse.

Dès cet instant, chaque nuit la photo qu'il avait visionnée, sous état d'magicse, dans le bureau du conseiller matrimonial lui revenait à l'esprit.

Et lors de la séance suivante avec Julie Morris, quelques temps plus tard, il implanta de nouvelles suggestions dans mister subconscient lui enjoignant de prendre rendez-vous, avec Cecil Gibbons, dans l'hôtel le plus proche... Les choses étaient maintenant en place pour le prochain scoop......
chrislebo

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#1,203
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Ce jeudi après-midi, après les cours, Julie se faisait prendre en levrette par Cecil qui lui emplissait la chatte de sa chaude semence, ce n'est qu'une fois de retour chez elle qu'elle enleva sa petite culotte trempée de foutre.

Elle utilisa le sous-vêtement souillé pour s'essuyer la chagatte d'où s'écoulait sur ses cuisses des ruisselets de foutre.

Roulant alors en boule la petite culotte glaireuse et la cacha au fond du panier à linge sale, avec l'idée de la laver ce week-end quand elle se rendrait à la laverie.

Mais, à mister insu, ce plan avait été implanté dans mister esprit par le démo-niaque pasteur qui maîtrisait mister esprit lors de sa dernière séance à mister bureau de conseiller conjugal.

Après s'être changé à mister retour du travail, Ken Morris ouvrit le panier à linge sale et y déposa sa chemise sale.

Mais quelque chose profondément implanté dans mister subconscient lui suggéra de fouiller le panier, d'y chercher la petite culotte de sa femme qu'il l'avait vue enfiler tôt le matin-même.

Il n'avait aucun doute sur le fait qu'il allait la trouver, bien que sa femme ne prenne sa douche qu'avant d'aller se coucher, mais il suspectait qu'il se passait quelque chose de louche.

Il la retrouva roulée en boule au fond du panier à linge, il grimaça alors et frémit de dégoût en l'étudiant attentivement.

Le portant à ses narines, il respira la profonde et prégnante odeur de sperme mâle qui l'imprégnait ce qui ne fit que conforter sa trouvaille de mares aussi suspectes que glaireuses empesant l'entrejambe.

Le samedi suivant au lieu d'aller travailler, il prétexta avoir projeté une partie de pêche avec ses copains, il avait donc enfilé sa tenue de pêcheur et était parti aux heures habituelles.

Il roula sans but, au hasard, puis revint chez lui et se gara dans l'allée du garage, projetant de prétendre qu'il avait oublié une partie de mister maté-riel.

Cependant, il était devenu évident dans mister esprit, et il le tenait pour sur, qu'elle avait un autre homme dans sa vie.

- "Le trompait-elle avec un voisin? ...... Est ce le jeune facteur qui l'avait séduite? ...... Etait-ce quelqu'un qu'il ne connaissait pas? ....." se demandait-il furieux d'être cocu.

Un peu pus tard, il ouvrait calmement la porte de devant

et la refermait silencieusement dans mister dos il jeta un coup d'œil circu-laire mais ne vit rien d'inhabituel dan s le hall et le salon.

Il n'y avait aucun bruit et il commença à se demander si Julie était re-tournée au lit bien qu'elle ait manifesté l'intention de s'habiller pour aller prendre un café avec ses amies, c'est du moins ce qu'elle lui avait dit lors de mister départ.

C'est alors qu'il entendit du bruit dans le vestibule, il chercha alors la source du bruit, on aurait dit des vagissements entrecoupés de miaule-ments, bientôt il comprit que ces bruits provenaient de leur chambre conjugale, c'est alors qu'il comprit que c'était sa femme qui émettait ces bruits incongrus.

- "Aahh..... Ahhh...... Aahh..... Aahhh! ....." grognait Julie alors que l'énorme queue de mister amant noir coulissait dans mister vagin.

- - "Oh... Oui..... Oui...... Plus vite... Encore..... baise-moi en profondeur! ....." l'encourageait-elle tendrement.

Elle se tortillait sur mister lit conjugal au rythme des allées et venues de l'énorme monstruosité de mister suborneur noir dans sa cramouille embrasée.

Ses yeux s'écarquillèrent d'horreur à la vue de l'homme qui se tenait dans l'entrée de la chambre, un visage qu'elle reconnut immédiatement.

C'était mister époux fou de rage et cependant frappé par la foudre qui la regardait avoir sa petite affaire adultérine avec mister amant, il fixait rageusement Cecil Gibbons qui continuait, à coulisser allégrement dans le vagin de sa femme infidèle.

Inutile de dire qu'après cela le mariage de l'adorable Julie Morris fut détruit.

Ken Morris avait projeté d'obtenir le divorce à mister bénéfice, il ne voulait rien laisser à mister ex femme qui l'avait si cruellement cocufié, mais mister plan fut rapidement hors de propos le lendemain lorsque deux brutes noires l'attirèrent dans un coin du parking sur mister lieu de travail et le ta-bassèrent violemment le rouant de coups avant de la balancer sur mister siège arrière.

Avant de refermer la portière, ses agresseurs le prévinrent que sa femme devait obtenir tout ce qu'elle souhaitait, que sinon, ils reviendraient prendre soin de lui et qu'ils lui couperaient les couilles, ils s'assurèrent ensuite qu'il avait pris bonne note de leurs menaces, ce qui était le cas.

2/6
vanbruje

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Posts: 282
#1,204
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Excellent texte qui fait, je crois, partie d'une "saga"... Est-il terminé ?
Enfin, une question : croyez-vous sincèrement que toutes ces lignes blanches qui allongent le texte au double contribuent vraiment à sa lisibilité ?
Merci et encore...
chrislebo

Member

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#1,205
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oui si tu regarde à la fin du texte 2/6 tu devrais en déduire qu'il en reste encore .....4 épisodes ahahhaha
chrislebo

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#1,206
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Le pasteur Knowlton venait tout juste de rencontrer la ravissante Kelly Garnimister, de retour de fac pendant les vacances d'été, qui venait réserver une date pour mister mariage au mois de juin, juste après l'obtention de mister diplôme.
Ils avaient discuté des procédures suivies par les candidats au mariage, il lui avait alors conseillé de visiter un célèbre conseiller matrimonial qui assistait la paroisse dans l'établissement de liens maritaux de bons alois.

En félicitant la jeune beauté de mister récent engagement, il prit sa main gauche pour admirer la bague de fiançailles, il s'imaginait déjà sa main si parfaitement manucuré lui délivrant une enivrante branlette!
La jeune fille sortant de l'église ressemblait à un ange se découpant sur le petit étang en arrière plan.
- Je vous remercie de prendre le temps de voir monsieur Mollway ce jeudi après-midi Kelly! La félicita-t-il.

- Pas de problème, pasteur Knowlton, il vaut mieux que je le fasse maintenant tant que je suis de retour..... Je suis certaine que les choses vont s'emballer à l'approche de mon mariage! Répliqua la ravissante future.

Lorgnant la somptueuse jeune fille vêtue d'un chemisier rouge et d'une jupe noire, rayonnante d'innocence il lui demanda de poser pour prendre un cliché d'elle qu'il pourrait éditer sur le site internet de la communauté pour aviser les paroissiens de mister prochain mariage.

Kelly s'exécuta gracieusement, elle était convaincue que sa photo serait vue par maints membres de la congrégation et non pas par une bande de noirs lubriques qui miseraient une forte somme d'argent pour être le premier à étrenner les charmes de la somptueuse future mariée.

Au même instant mister propre pasteur se demandait quelle prix atteindrait le privilège d'être le premier à se vautrer entre ses blanches cuisses!

Quant au pasteur Mollway, l'ex-pasteur Mollway plutôt, il avait volontairement abandonné le monde de la foi pour jouir de fortes sommes d'argent que des pervers versaient pour assouvir leurs appétits de chair blanche fraîche.

Et maintenant qu'il avait élargi mister emprise sur le jeune pasteur Richard Knowlton, il débouchait maintenant sur une exploitation de plus en plus fructueuse de l'album de presse de la congrégation..... Que ce bon pasteur en soit remercié!

En cette dernière occasion, Ralph savait qu'il parviendrait facilement à magictiser l'adorable future pour lui intimer de coucher volontairement avec le membre de la PPBN ("Parti Progressiste du Bienheureux Nestor") qui la désirerait le plus.

Le fait de rétrocéder 10 % des bénéfices à la caisse noire de l'église ne faisait qu'accroître mister emprise sur ce jeune imbécile de pasteur.

Comme le site web proposait un grand nombre de jeunes beautés belles sans soupçons, les clients pourraient choisir leur proie comme sur catalogue, le pervers vieux bâtard cherchait une possibilité aux clients lassés de se défaire de leur esclave en offrant une gamme étendue de partenaires parmi lesquelles choisir mister élue.

Conscient que les enchères étaient une activité dynamique sur internet, le vieux Mollway avait creusé cette idée, il ne lui restait à acquérir que l'expérience nécessaire pour atteindre mister but.

- Hmmmm cela devrait marcher! Au lieu que ce soit moi qui négocie avec les consommateurs du prix qu'ils veulent mettre pour acquérir la marchandise, si j'annonce une mise à prix de départ et le temps imparti aux enchères, elles devraient déterminer le vainqueur..... Finit-il par conclure ravi de sa réflexion.

Ayant contacté un jeune informaticien depuis deux semaines il disposait maintenant d'un appui logistique performant et évolutif.

Il avait demandé au jeune informaticien avec lequel il était en ligne de lui fournir un catalogue de joaillerie féminine prenant note de la façon de changer les photos et les textes par ceux lui convenant, puis d'éditer mister catalogue sur un site web discret permettant des mises aux enchères.

Le jeune gars lui avait même fourni un compteur décomptant le temps jusqu'au terme d'une vente, moment où serait annoncé l'offre gagnante, ce qui d'après lui rendrait les enchères d'autant plus excitantes et serait le moteur de la surenchère.

Il avait aussi appris comment diffuser de courts clips vidéos au cas où il aurait besoin de doper les enchères.

Pour doper l'intérêt des clients potentiels, Mollway avait décidé de leur offrir de quoi stimuler leurs libidos, il avait pensé commencer par diffuser quelques photos suggestives et une paire de courts clips vidéos.

- Vous pouvez être l'heureux gagnant qui obtiendra les faveurs de cette somptueuse beauté!
Assurait le texte lapidaire surmontant la photo de Kristin Corbett.
Il suffisait d'un click sur la photo de la jeune femme vêtue de sa robe bleue marine chargée de mister baise-en-ville pour qu'un court clip vidéo la montre évoluant sous magicse. Le spectateur pouvait alors la voir répondre aux questions qui lui étaient posées :

- As-tus déjà eu des rapports sexuels avec ton fiancé?

- Oh, non!

- Es-tu vierge?

- Oui!

- As-tu programmé de rester vierge pour ta nuit de noce?

- Oui.....

Une seconde photo de la ravissante jeune femme succédait au jeu des questions/réponses , le sous-titre recommandait :

- Faites une offre et vous pourrez peut-être le remplacer!

- Arrêtezzzzzzzzzzzz.... Arrêtezzzzzzzzzzzzzzzz.... Je vous en prie..... S'il vous plait ..... Nonnnnnnnnnnnnnn..... Arrêtezzzzzzzzzzzz..... Je vous en prie .... Ne me violez pas! ..... Je vous en supplieeeeeeeeeeeee..... Je ne veux passssssss..... Sanglotait la malheureuse Kristin Corbett cherchant à faire cesser l'infâme viol qu'elle subissait.

Alors que l'on voyait les puissantes mains noires la clouer sur le lit on l'entendit hurler d'une voix perçante alors que le colosse noir enfouissait sa grosse mentule dans mister étroite petite chatte :

- Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee! ..... C'était un cri exprimant toute sa douleur et mister offense alors qu'il plantait furieusement mister énorme chibre dans mister intimité révulsée.

Et alors qu'il coulissait âprement dans mister antre enflammé Kristin hurlait de plus belle :

- Nonnnnnnnnnnnnnn..... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn! .....

- Peut-être rêvez-vous de vous faire une ravissante rouquine? ...

Avait ensuite tapé Mollway :

- Alors cliquez sur la photo du bas et contemplez cette jeune beauté rousse, vous verrez comment nous l'avons magictisé et vous pourrez détailler ses charmes les plus secrets!

Puis le jeu des questions réponses reprenait :

- Quelle est ta position favorite en amour?

- J'ai toujours fait l'amour avec mon mari allongé sur moi! ..... Je crois qu'on appelle cela la position du missionnaire! .....

- As-tu déjà pensé à avoir des relations sexuelles avec un autre que ton mari?

- Jamais! ...

- Comment te sentirais-tu si un colosse noir était couché sur toi et te posséderait puissamment? ...

- J'en mourrai de honte!

- Vous Voulez en entendre plus?

Mollway lançait alors l'image suivante représentant madame Julie Morris empoignant à pleine main une bite bandée au travers d'un pantalon.

- Cliquez sur cette photo et vous verrez cette ravissante jeune femme en état d'magicse branler mister propre pasteur!

A peine avait-on cliqué sur la photo qu'un nouveau clip vidéo démarrait ainsi que le jeu des questions/réponses

- Dites-moi madame Morris avec vous déjà Taillé une pipe? .....

- Je ne vois pas ce que vous voulez dire! ..... Qu'est ce qu'une pipe? .....

- As-tu déjà accueilli un pénis ta bouche pour le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule! ....

- Oh non... Jamais! ....

- Et pourquoi?

- Parce que... Parce que c'est dégoûtant! ....

Puis le clip montrait comment il magictisait la somptueuse jeune femme pour qu'elle croit qu'il s'agissait de la mentule de mister mari....... Ignorant totalement que c'est la bite se mister propre pasteur qu'elle allait sucer avec avidement!

Ralph Mollway savait que le réseau de vaudou, réunissant une horde de vigoureux et pervers noirs, donnerait des sommes importantes pour assouvir leurs appétits de luxure et leur envie de posséder de somptueuses jeunes femmes blanches.

Il savait que le réseau d'amateurs était encore plus nombreux, mais pour l'élargir et lui faire atteindre une taille importante, Ralph devait spéculer.

Au travers des salons du réseau vaudou il avait indiqué l'adresse URL de mister site de vente aux enchères puis avait indiqué à tous qu'il devrait être prêt à fonctionner ce dernier vendredi en matinée.
chrislebo

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Depuis lors, après trois jours pleins écoulés, Ralph était totalement épaté de constater que mister site avait déjà était visité à 60.000 reprises.

Ayant reçu l'appel du pasteur Knowlton l'avisant de programmer une séance de conseil matrimonial pour une certaine mademoiselle Kelly Garnimister ce jeudi après-midi, le vieux Mollway se sentait tout excité à l'idée de recevoir cette jouvencelle d'autant plus qu'il avait appris que c'était une véritable beauté.

Sachant que la promise se tenait dans le bureau du pasteur Knowlton il questionna le jeune prêtre :

- Est-ce une véritable beauté? ....

- Oui! ....

- Blonde? ....

- Oui! ....

- Quel âge? ....

- 22 ans! ...

- Vierge? ...

- Je le crois! .....

- Qu'aimerais -tu qu'elle te fasse Richard? .... Qu'elle te branle ou qu'elle te suce? ....

- La seconde proposition! .....

Il avait enjoint au pasteur Knowlton d'updater le site web de l'église ce jour même, Mollway se contenta alors de copier la photo de la somptueuse promise pour la transposer sur mister site d'enchères, avec une annonce prévenant les éventuels enchérisseurs que les enchères concernant la ravissante Kelly Garnimister débuteraient ce vendredi.

Comme la session prémaritale devait avoir lieu jeudi après-midi, Mollway avait idée d'ajouter un clip vidéo de l'adorable jeune femme et plus spécialement l'instant où il lui demanderait si elle était vierge espérant qu'elle affirmerait que oui.

En fait si elle était vraiment pucelle cela ferait sûrement monter les enchères de façon considérable, peut-être même de 10.000 $.

En regardant la photo de la somptueuse jeune blonde qui posait dans un corsage rouge et une jupe noir très classique, il se demandait combien lui rapporterait cette jeune beauté, combien les clients mettraient-ils de plus si elle était encore pucelle.

Le jeudi après-midi, à l'heure convenue, l'adorable Kelly Garnimister arriva au bureau du conseiller matrimonial après avoir déjeuné avec ses anciennes condisciples de lycée.

Vêtue d'un chemisier blanc, d'une jupe jaune et de hauts-talons blancs elle se pointa juste après que mister pasteur se soit dissimulé dans le cabinet de toilette regardant par les fentes de la porte ce qui se passait dans le bureau.

Saluée par le vieillard qui lui sembla d'un abord affable, Kelly se dirigea vers le fauteuil des patients comme il le lui indiquait, elle s'assit sur ce fauteuil en tout point semblable à ceux que l'on s'attendait à trouver dans un cabinet de psychiatre.

Au cours de l'entrevue, conformément à ses prévisions, le conseiller marital cherchait plus à cerner sa permisternalité qu'à lui indiquer quoi faire et quoi proscrire dans les rapports entre deux jeunes mariés.

Et, lorsqu'il lui demanda si elle avait déjà été magictisée, et si elle avait des objections à être interrogée sous magicse pour fouiller plus profondément mister âme, les premières hésitations légitimes passées, Kelly explosa de rire en l'avisant qu'on n'avait jamais tenté de l'magictiser, l'assurant qu'elle ne croyait pas pouvoir être magictisée puisqu'elle n'y croyait pas.

Lorsqu'il lui demanda la permission de tenter l'expérience, elle rit et l'engagea :

- Bien sur, allez-y! .... mais je pense que vous allez perdre votre temps! .....

Il lui dit alors de se relaxer, Kelly sourit à pleines dents à la vue de l'étincelante gemme qui se balançait lentement devant mister visage, elle gloussa comme ces filles gnangnans qui passaient à la télé.

Deux minutes plus tard sous l'objectif de la caméra commençait le jeu des questions/réponses que Mollway allait s'empresser de déposer sur le site aux enchères.

- Quel âge as-tu Kelly? ....

- 21 ans, 22 dans un mois! ...

- As-tu déjà fait l'amour avec ton fiancé? ...

- Oh, non! ....

- Es-tu encore vierge Kelly? ...

- Bien sûr! .....

- Quelles libertés as-tu accordée à ton fiancé? ....

- Il m'a embrassé... Sur la bouche et m'a un peu caressée! ......

- As-tu déjà pris en main mister pénis? ....

- Nonnnn! .....

- As-t-il déjà glissé sa main dans ta petite culotte? ....

- Non..... Mais il a essayé! .....

- T'as-t-il déjà peloté les seins? .....

- Oui, mais seulement au travers de mon corsage! .....

A ce moment Mollway fit signe à mister complice de s'avancer à la tête du lit, puis il reprit mister questionnaire.

- As-tu déjà imaginé que ton fiancé remontait ton corsage et ton soutien-gorge pour empaumer tes seins et les palper lascivement? ....

- Oui! ....

- Aimerais-tu constater à quel point ces caresses mistert enivrantes? .....

- Oh oui! ....

- C'est bien ma chérie..... Décontracte-toi et imagine que c'est ton gentil fiancé qui te fait éprouver ces plaisirs! .....

Lorsque Mollway lui fit signe de s'installer à coté du lit, Richard bandait comme un cerf alors qu'il se postait au coté de l'infortunée jeune femme magictisée.

Ayant écouté les questions et les réponses Richard avait le souffle court, comprenant qu'il allait avoir le privilège de dévoiler les nichons de la belle zombie, l'idée qu'il allait la toucher aussi intimement le faisait frismisterner.

Se laissant tomber çà genoux, Richard tendit la main pour empoigner le bas du chemisier et l'extirper de la ceinture de la jupe.

Puis il déboutonna sans vergogne mister corsage.

Les deux pans de corsage écartés, elle se retrouvait en soutien-gorge blanc, Mollway se saisit de la caméra pour prendre quelques plans rapprochés du pasteur Knowlton profitant sans vergogne de l'état d'inconscience d'une ravissante jeune femme de sa congrégation.

- Hummmm en alternant les prise de vue, cela devrait ouvrir de façon fort attractive sa description... Pensait-il ravi.

Le "pasteur prend soin de ses ouailles" ce titre s'imposa brusquement dans l'esprit tourmenté du pervers Mollway alors qu'il matait Richard dénuder les deux collines jumelles en remontant les bonnets du soutien-gorge.

Il filmait le pasteur empaumant les deux rotondités jumelles puis étirant doucement les tétons dardés.

Puis il prit les mamelons en bouche et se mit à sucer allant de l'un à l'autre titillant avidement de la langue les doux tétins.

Mollway lui fit signe de se reculer pour se tenir en retrait, Richard s'exécuta docilement espérant que très bientôt Kelly lui ferait ce qu'elle n'avait jamais fait jusqu'ici, à savoir : ..... Sucer une bite!

Il écoutait Mollway implanter ses suggestions dans l'esprit candide de Kelly, il bavait d'excitation à la pensée de ce qui allait suivre. Le jeu des questions/réponses reprit alors :

- Kelly veux-tu faire plaisir à ton fiancé? .....

- Oui...

- Veux-tu lui plaire physiquement? .....

- Oh, oui.....

- Sais-tu que les hommes adorent que les femmes leur donnent du plaisir avec la bouche? .....

- Euh, non...

- Aimerais-tu apprendre à donner du plaisir à ton futur en te servant de ta langue et de tes lèvres? ....

- Oui...

Poursuivant cet échange il lui suggéra :

- Alors glisse tes jambes hors du sofa et assieds-toi ma petite chérie..... Comme ça, c'est bien..... Et maintenant agenouille-toi sur la moquette..... C'est ça... Et maintenant pasteur Knowlton va t'apprendre comment pratiquer avec ton fiancé! .....

En fait, ce film dépeignant comment un vraiment prédicateur prenait soin d'une jeune femme membre de sa congrégation, évidemment une splendide femelle, se verrait sûrement primé dans un concours de films pervers.

Et voilà que La ravissante future, suivant les instructions de Mollway tendait la main empoignant sa hampe vibrante d'une de ses petites mains manucurées.

- Ooooooooooooh... Kelly..... Mon, Dieuuuuuuuuuu! .... Oh ouiiiiiiiiiiii! .....

Visiblement, à l'entendre gémir, tu lui donnes beaucoup de plaisir avec tes mains! ..... Mais si tu veux plaire encore plus aux hommes, et plus spécialement à ton mari, tu devrais te servir de ton autre main pour le branler lascivement! ..... Oui comme ça..... Montre bien ta bague de fiançailles ornant ta main qui le branle aussi consciencieusement! ..... Rien qu'à la voir tu vas exciter bien des hommes! ....

- Et maintenant plonge ta main droite dans mister pantalon et palpe ses grosses couilles gonflées! .....

Richard regardait avec concupiscence la somptueuse jeune femme agenouillée, et savourait la vue de mister anneau de fiançailles brillant à mister index alors qu'elle le branlait divinement d'une main, mister autre main enfouie dans mister pantalon, lui caressant les burnes.

Frismisternant de plaisir sous ses caresses lascives, la bite tressautant entre les doigts de la dévouée jeune femme, Richard sentait sa bite enfler démesurément alors qu'il s'efforçait de toutes ses powers de se contrôler pour ne pas gicler prématurément...... Pour ne pas éjaculer sur mister innocent visage le souillant de mister épaisse crème gluante.

Il retint mister souffle en entendant Mollway intimer à sa jeune branleuse :

- Et maintenant ouvre tes lèvres et caresse mister gland luisant de la pointe la langue.....

- Aaaaaaaaaahhhhhhh..... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuu! ..... Gémissait Richard en lançant sa tête en arrière, il était sur le point de projeter sa semence sur le visage de Kelly alors qu'elle faisait reluire mister épais champignon d'une langue timide.

- C'est ça Kelly! ..... Et maintenant lèche la hampe du pasteur Knowlton sur toute sa longueur...

Continuait à la guider ce vieux pervers de Mollway, quelques secondes plus tard, il reprit :

- Un peu plus vite ma chérie! ..... C'est ça, et maintenant gobe sa grosse bite! ...... Prends le dans ton arrière gorge! .... Fais-lui une gorge profonde! .....

Richard ne pouvait plus résister, il tendit ses deux mains pour les poser sur la nuque de mister inexpérimentée fellatrice, enfournant sa bite au fin fond de sa gorge, se plantant jusqu'aux couilles dans sa bouche accueillante et il grogna sourdement :

- Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu! ....

Tout en observant attentivement la façon de s'y prendre de l'inexpérimentée fellatrice qui suçait sa première bite, Mollway lui dictait ses instructions :

- Lâche sa bite qu'il puisse s'enfoncer dans ton arrière-gorge chérie..... Plaque tes mains sur ses fesses et pousse le vers toi... C'est ça, absorbe toute sa bite dans ta gorge! .... Pense lui caresser les burnes... Chérie lorsqu'il sera sur le point de gicler dans ta bouche, tu sentiras ses couilles se raidir juste avant que le flot de foutre jaillisse! .....

A voir Richard congestionné augmenter sensiblement le rythme de ses coups de boutoir, il paraissait évident qu'il allait bientôt jouir, du coup Mollway lui donna de nouvelles instructions :

- Kelly, maintenant lève les yeux chérie..... Regarde ton pasteur dans les yeux alors qu'il gicle dans ta bouche! .....

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Oh oui..... Suce moi ma jolie Kelly! ..... Suce moiiiiiiiiiiiiiiiiii! .... A rggggggggggggg..... Grognait Richard en voyant la belle écarquiller les yeux alors que sa bite gonflait encore juste avant d'éjaculer.

Les mains accrochées dans sa logue chevelure blonde frismisternant à la vue de mister regard angoissé, Richard cracha de longs jets de foutre crémeux dans mister arrière-gorge.
chrislebo

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Alors que Kelly gargouillait et s'étouffait, forcée d'avaler la gluante purée qui lui emplissait la bouche et la gorge, Richard cracha un nouveau jet de foutre de façon à ce qu'elle savoure sa semence jusqu'à la dernière goutte.

Les couilles totalement vidées, la bite amollie de Richard glissa hors des lèvres de sa ravissante fellatrice, il recula d'un pas en vacillant.

Mollway lui tendait une caméra en lui demandant de prendre quelques plans rapprochés de Kelly Garrimister lui taillant une pipe.

Le vieux pervers se tenait maintenant face à la somptueuse blonde toujours agenouillée sur la moquette, il lui enjoignit :

- C'était très bien Kelly..... Et maintenant montre-moi si tu te souviens parfaitement de ce que tu viens d'apprendre! ....

Quelques secondes plus tard le vieux saligaud gémissait :

- Ah... C'est ça ma chérie... Oh, oui..... Lèche la bien... Oh ouiiiiiiiiiiiii, t'es vraiment une suceuse innée! .....

Puis Mollway souffla :

- Et maintenant lève les yeux chérie! ...... Je vais jouirrrrrrrrrrrrrrr! ..... Oh, doux Jésus, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! .....

Une heure plus tard, de retour dans sa chambre de jeune fille dans la maimister de ses parents chez qui elle passait ses vacances de printemps, Kelly enleva ses chaussures puis déboutonna mister chemisier jaune.

Elle le posa sur mister lit en attendant de le mettre dans le panier de linge salle dans la salle d'eau, puis elle dégrafa sa jupe jaune qu'elle avait l'intention de suspendre dans sa penderie en attendant de la remettre, c'est alors qu'elle remarqua une petite tache blanchâtre sur le devant.

Elle la gratta de mister ongle du pouce enlevant la matière qui souillait sa jupe, mais il demeurait cependant une légère décoloration.

Remarquant une autre tache au bas de sa jupe elle la jeta sur mister corsage en attente de lavage.

Ayant mangé des spaghettis à la sauce blanche le midi même, innocemment elle en conclut qu'elle avait du en faire tomber sur sa jupe, d'où les taches crèmeuses.

Dans le bureau de Mollway, le luxurieux pasteur venait tout juste d'enrichir les sites d'enchères avec les photos de Kelly posant à devant l'église avec en arrière plan les informations la concernant ainsi que des photos et le clip vidéo rapportant le questionnaire et ses réponses sous magicse.

La plus grande partie du clip se concentrait sur mister inexpérience et le fait qu'elle était toujours pucelle, qu'elle gardait sa fleur pour sa nuit de noce, sur ces commentaires, Mollway fixa le début des enchères à 25.000 $

Puis il compléta les informations en arrière plan, derrière la photo d'elle devant l'église :

Age : 21 ans.

Date de naissance : 22/04/1966.

Couleur des cheveux : Blonde.

Couleur des yeux : Bleus.

Taille : 1,72 m.

Poids : 60 kgs.

Occupation : Etudiante en dernière année de la "Meridian University", spécialisée en psychologie.

En ouvrant les sites d'enchères, pour éviter que des fonds qui lui soient expédiés ne s'égarent, Mollway avait

pris les contacts nécessaires dans le réseau pour que l'enchère gagnante parvienne sur le compte occulte de la PPBN.

Il avait juste à attendre le créditement de cette somme sur mister compte pour être assuré que tout marchait au poil.

En recevant cet avis, comportant le code de l'enchérisseur gagnant, il trouverait facilement mister nom et mister numéro de téléphone pour arranger les détails de la transaction sans pour celà laisser de trace de leur négociation.

Le temps c'est de l'argent aurait pu clamer Mollway alors que les enchères débuteraient vendredi et que Kelly Garrimister repartirait tôt le mardi matin.

Or il voulait asseoir définitivement l'emprise de ces suggestions magictiques sur mister esprit, il voulait être certain qu'elle répondrait positivement au mot clef, même si elle l'entendait par téléphone.

Dans ce genre de marché, une erreur serait très mal ressentie par le PPBN organisation que Mollway considérait comme l'élément le plus important du dispositif.

Dans la foulée des résultats des enchères il avait programmé une autre séance pour le lundi après-midi, déjà mister inconscient lui dictait de ne rien programmer pendant les deux heures suivant l'heure de mister rendez-vous.

Le vendredi midi les enchères débutèrent : 25.100 $, 25.300, 25.500, 25.750, 26.00, les enchères montaient rapidement.

Elles ralentirent quelques peu juste après 30.000 $, mais il semblait qu'in ne restait plus que des enchérisseurs sérieux s'efforçant vraiment de remporter les enchères.

Une heure plus tard, les 40.000 $ étaient atteints, Mollway s'excitait comme un pou en espérant que les enchères dépassent 50.000 $, ils furent atteints 5 minutes pus tard! ....

Puis les enchères s'emballèrent : 50.000 $, 52.000, 55.000, 58.000, 60.000, 65.000.

- Bordel ils voulaient vraiment remporter la joute et la fille.

Gloussait Mollway poussant du coude le jeune pasteur Knowlton qu'il avait invité à suivre en les enchères en sa compagnie, ce qui était normal vu qu'il s'agissait d'une de ses paroissiennes qui était vendue sur le net, un riche bâtard noir ne tarderait plus à s'offrir le pucelage de la somptueuse Kelly Garrimister.

Cinq secondes plus tard Mollway et Richard écarquillaient leurs yeux comme des soucoupes à l'énoncé des dernières offres : 70.000 $, puis la dernière clôturant le marché : 100.000 $.

L'heureux gagnant n'hésitait pas à débourser 100.000 $ pour s'offrir le pucelage de la ravissante Kelly!!!!

En envoyant un mail à l'enchérisseur gagnant selon mister nom et mister code, de conserve avec le montant de l'offre, Mollway espérait recevoir une réponse en retour avant lundi après-midi.

- Eh bien mon jeune ami, je voulais te dire que j'allais te faire parvenir 10 % de la somme pour toi ou à ta caisse communautaire puisque tu as fructueusement participé à cette vente! .... 10.000 $ mon ami! .... Me rejoindras-tu lundi? ..... Il faut qu'on vérifie que l'adorable Kelly se souvient bien de ce qu'on lui a suggéré cette semaine! .....

- C'est ta dernière chance de t'amuser avec cette innocente jeune femme, parce qu'elle ne sera plus vraiment innocente lorsqu'elle sera passée entre les mains de mister acheteur noir! ...... Tu pourras peut-être lui enseigner la façon de réaliser un bon 69! .... Elle te sucera tandis que tu lui boufferas le gazon! ..... Gloussa Mollway hilare.

A peine 5 minutes après qu'il ait notifié le succès de sa mise aux enchères ainsi que le code du meilleur enchérisseur que déjà un mail en retour le prévenait que la somme promise avait été versée sur le compte de la PPBN.

Le même mail l'informait que le gagnant attendait mister appel dans la demi-heure suivante.

Il devait contacter Amos Thompmister au (346) 745- 6789 poste 115, une réceptionniste vous prendra en charge.

Enclenchant le haut-parleur pour que le pasteur Knowlton puisse écouter la conversation, Mollway composa le numéro de mister interlocuteur.

La mâchoire leur en tomba lorsqu'ils entendirent une réceptionniste leur répondre :

- Bonjour, ici la réceptionniste de l'Université des Sciences, que puis-je pour vous? .....

Mollway lui demanda alors le poste 115, pour le pasteur Mollway du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor"...

La standardiste lui répondit de suite

- Je vous mets tout de suite en rapport avec le poste 115, le professeur Thompmister attend votre appel.

- Avant de me connecter pourriez vous me dire de quel département dépend le professeur Thommister, s'il vous plait? ... La coupa alors Mollway.

- Oh, le professeur Thompmister dirige le département de psychologie! ..... Répondit-elle en retour.

Ici le professeur Thompmister entendit-il alors une voix misterore retentir dans le téléphone.

- Professeur, le pasteur Mollway de l'association des "Pouffes Pour Bites Noires", je vous félicite d'abord d'être l'heureux gagnant des enchères... Comme vous le comprenez bien notre conversation doit rester strictement confidentielle, vous pouvez me parler en toute sécurité... L'informa Mollway.

- J'en suis bien conscient, pasteur Mollway..... Une connaissance mutuelle m'informé que vous aviez étudié l'magicse et que vous êtes devenu un maître dans cet art, j'ai moi-même quelques notions d'magicse, mais je suis loin d'être un expert! .....

- Peut-être accepterez vous de venir nous donner une conférence démontrant ce qu'un psychologue peut attendre de l'magicse dans sa vie professionnelle! ..... Et je peux vous assurer que cela serait extrêmement fructueux! ..... Exactement comme ce jour l'est pour moi! ....

Cette perspective intéressait Mollway qui se disait que celà pourrait effectivement être envisagé à l'avenir.

- A voir votre lieu de travail et votre profession, je suppose que vous connaissez les paramètres susceptibles de plaire à d'éventuels amateurs! .... Concéda Mollway.

Ce à quoi le professeur Thompmister répliqua :

- Eh oui, en fait juste un peu, mais je vais m'efpowerr de m'y intéresser de plus près dorénavant! ...... L'adorable Kelly Garrimister a suivi plusieurs de mes cours ces deux dernières années dont deux ce dernier trimestre menant au diplôme de psychologie.....

- J'étais curieux de découvrir votre site d'enchères la première fois que je suis tombé dessus, je n'en croyais pas mes yeux lorsque j'ai vu apparaître, en arrière plan, sa photo dûment renseignée sur mon écran! .....

- Vous ne pouvez pas savoir combien de rêves humides j'ai fait, dont cette adorable jeune femme était le sujet principal! ..... Elle croisait si sensuellement ses longues jambes ivoires en s'asseyant en classe, elle m'apparaissait le portrait même de la pureté et de l'innocence! ..... Bordel j'ai eu envie d'elle dès notre première rencontre dans la salle de psychologie 101, il y a deux ans maintenant! ....

Ce lundi, lorsque Kelly se rendit au bureau de Mollway, elle fut toute surprise d'y retrouver le pasteur Knowlton, mais elle fut tout de suite mise à mister aise par monsieur Mollway qui l'informa que Richard était là pour appréhender les étapes de mister intervention.
chrislebo

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Puis il secoua la tête en s'adressant au pasteur :

- Cette jeune dame m'a vraiment épaté en résistant à mes suggestions magictiques, mes techniques ne semblent pas opérer sur elle comme sur tous les autres.

Kelly était entièrement rassurée sur ce point, elle gloussa :

- Je vous avais prévenu! .... C'est juste parce que je n'y crois pas! .... Cela m'empêche de succomber à toute emprise magictique! .....

Lorsqu'il lui demanda s'il pouvait essayer à nouveau, Kelly explosa de rire en s'allongeant d'elle-même sur le divan réservé aux patients, elle tendit ses jambes et poursuivit :

- Comme vous voulez, mais vous allez encore perdre votre temps! ....

Quelques instants plus tard, Kelly, suivie de ce bon pasteur Knowlton, quittait le canapé et se dirigeait vers une porte que Mollway avait ouverte.

La porte refermée et verrouillée Kelly se tenait dans une grande chambre à coucher devant les deux hommes qui s'étaient assis.

- Imagine que tu es chez toi et que tu te déshabilles pour prendre une douche, tu te trouves seule dans la pièce! .... Ote tous tes vêtements Kelly! ..... Lui intima Mollway d'une voix autoritaire.

S'étant débarrassée de ses chaussures Kelly commença par déboutonner mister chemisier, l'enleva et la posa sur le dossier d'une chaise vide.

Elle tendit alors mister bras dans mister dos et dégrafa mister soutien-gorge qui ne tarda pas à rejoindre mister chemisier.

Puis ce fut le tour de sa jupe, et de sa petite culotte de dentelles ce qui dévoila mister petit trésor blond.

Il lui enjoignit alors de s'approcher du grand lit et de s'allonger dessus, elle obtempéra sans aucune hésitation.

- Et maintenant Kelly, tu vas apprendre de nouvelles techniques pour combler de plaisir un homme en te servant de tes lèvres et de ta langue! ..... Te rappelles-tu ce que tu as appris la semaine dernière? .....

- Oui...

- Le pasteur Knowlton s'est à nouveau porté volontaire pour te permettre expérimenter ces pratiques! ..... mais cette fois, il t'enseignera en même temps comment s'y prend un homme pour combler simultanément de plaisir la femme qui prend soin de lui! ....

Lorsque le pasteur Knowlton eut grimpé sur le lit, instinctivement Kelly empoigna sa bite bandée pour la frotter contre ses lèvres entrouvertes, Mollway lui ordonna alors :

- Etends-toi sur le dos et ouvres les cuisses ma chérie... C'est ça... Plus largement...... Il faut que Richard puisse enfouir sa tête entre elles! ....

Rapidement des lapements et des gargouillements provinrent de l'endroit où s'affairaient les deux têtes ce qui fit dire à Mollway :

- C'est comme ça qu'un homme et une femme peuvent simultanément se donner du plaisir l'un à l'autre avec leurs langues et leurs lèvres! ...... Cette position est connue sous le nom de 69! ......

Tandis que pervers pasteur bouffait la chatoune de la jeune femme qui lui prodiguait une somptueuse pipe, Mollway lorgnait les longues jambes de la ravissante, sa bite tendait mister pantalon.

Le besoin de satisfaire mister fétichisme du pied le prit soudain, tandis qu'elle suçait avidement mister jeune ex confrère, il fit le tour du lit.

Pantalon ouvert, la bite extirpée de mister caleçon, il saisit les chevilles de la jeune femme et lui leva les jambes.

Se penchant en avant il entreprit de se branler entre ses plantes de pied qu'il avait refermé sur sa bite comme une sorte d'écrin.

- Oh, Kelly tu as de si jolis pieds! ...... Replie tes orteils vers moi..... Oh ou comme ça! .... Je vais te montrer comment dispenser du plaisir à un homme en te servant de tes pieds! ..... Comment faire gicler un homme en te servant de tes ravissants orteils! .... Ohhhhhh... Mugissait-il tout en continuant à se branler entre ses plantes de pied refermées sur mister organe tressautant.

Cette séance dans la chambre à coucher attenant au bureau plairait sans aucun doute, pourvu que sa virginité demeure intacte, il apprécierait le fait que sa jolie étudiante soit initiée dans l'art du 69! ....

Enfin les trois protagonistes de cette scène hautement pornographiques jouirent simultanément.

Le corps de Kelly se tortillait sauvagement alors que le pasteur grognait sourdement :

- Dieu soit loué! .... Alors qu'il éjaculait des torrents de foutre dans sa bouche accueillante et que Mollway lui enduisait les orteils et les plantes des pieds d'une épaisse substance gluante.

Alors que Kelly se trouvait toujours sous magicse, ils utilisèrent une serviette humide pour essuyer mister menton et la plante de ses pieds, avant de lui commander de prendre une douche dans la salle de bain contiguë.

Une fois rhabillée et de retour dans le bureau, Mollway implanta les dernières touches suggestives avant qu'elle retourne en fac le lendemain.

Une photo de mister professeur de psychologie à l'écran, il implanta dans mister esprit qu'elle devrait obéir à tous les ordres que lui donneraient le professeur Thompmister.

Quels que soient les actes sexuels qu'il lui impose, ils devraient s'effacer de sa mémoire immédiate tout en restant gravé dans mister subconscient.

Il enracina dans mister esprit tous les détails concernant mister généreux acheteur de façon à ce qu'ils soient opérants dès mister retour à la fac.

Dès le premier jour de mister retour en cours de psychologie suivant les directives d'une note émanant du professeur Thompmister concernant les appréciations de fin de semestre, Kelly se résolut de le rencontrer l'après midi même pendant les heures d'ouverture de mister bureau.

En fait, elle avait été programmée par Mollway, à la demande du professeur Thompmister, pour le rencontrer à la vue de cet imprimé mentionnant le fait qu'elle était une PPBN, une Pouffe Pour Bites Noires.

Assise dans le bureau du professeur, yeux écarquillés, l'esprit vide, elle flottait dans un monde irréel, il semblait que sa présence même dans ce bureau faisait partie intégrante de mister rêve.

La large main se glissant dans le V de mister corsage ne la perturbait pas, pas plus que ses doigts épais se glissant dans un des bonnets de mister soutien-gorge.

Des sensations étranges montèrent de mister entrecuisse lorsque les doigts de mister prof s'emparèrent de mister téton dardé.

Il empaumait maintenant totalement mister nichon alors qu'il relevait mister soutien-gorge pour atteindre le second nibard.

- Tu as bien fait de tailler une pipe à ton pasteur mademoiselle Garrimister! ..... Ca fait deux jours que je me branle sur ces images depuis que j'ai le DVD de tes exploits... Et maintenant montre-moi ce que le pasteur Mollway t'a ordonné de faire avec le pasteur de ta paroisse... Lui enjoignit le professeur Thompmister en enlevant sa blouse pour se planter face à elle.

Alors cette ravissante étudiante, cette jeune et fière jeune femme, tendit les mains pour saisir la ceinture de mister pantalon d'une main et le débraguetter de l'autre

- Ahhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiii... " Grommela-t-il alors qu'une petite main manucurée de frais, plongeait dans mister caleçon à la recherche de sa bite tendue.

Il avait pris la précaution fermer la porte à clef, dès qu'il l'avait placée sous sortilège magictique, il était ainsi sur que d'autres étudiants ne viendraient pas perturber mister rendez-vous.

- Ahhhhhhhhhhhhhhhh... Grommelait-il alors que la blanche salope titillait sa bite de sa chaude et agile langue.

- Ohhhhhhh, ouiiiiiiiii... Pantelait-il alors qu'elle se penchait sur lui empoignant de sa main gauche la base de sa mentule alors que sa main droite plongeait dans mister caleçon pour empaumer ses grosses burnes poilues.

Mais posées sur la nuque de la somptueuse blonde qui levait ses tendres yeux vers lui, il souffla :

- Oh oui ma petite chérie... Bouffe ma queue! ..... Avale ma bite au fond de ta gorge! .... oh, oui mademoiselle Garrimister! .....

Quelques instants plus tard, Kelly clignait des yeux alors que le professeur Thompmister lui tapotait le dos de la main lui demandant :

- Cela va-t-il mieux mademoiselle Garrimister? .....

Sortant rapidement de mister état de sidération, Kelly prit le verre d'eau qu'il lui tendait lui conseillant :

- Buvez ceci mademoiselle Garrimister... Vous me semblez un peu perdue! ...... Peut-être bien le contrecoup de cette cassure du printemps! .....

Réalisant soudain qu'elle se trouvait dans le bureau du professeur Thompmister, la tête vide, elle se demandait ce qu'elle faisait dans mister bureau lorsqu'il intervint :

- Ne soyez pas perturbée par cet imprimé Kelly, vous avez obtenu un bon A la dernière fois, il y a peu de chance que vous obteniez moins qu'un B cette fois! .....

La tête vide, Kelly ne parvenait pas à éliminer le goût de salé qu'elle avait en bouche, elle pensa fugitivement qu'il devait s'agir de relents du repas rapide qu'elle avait pris à la cafetaria en début d'après-midi.

Escortée jusqu'à la porte par mister prévenant professeur, Kelly l'assura que cela allait bien et q'elle allait rejoindre mister appartement pour y faire une petite sieste.

Le professeur Thompmister informa alors la réceptionniste qu'il se sentait mal et ne voulait plus voir permisterne pendant les heures d'ouverture de mister bureau, il rentra ensuite dans mister bureau et verrouilla la porte avant de s'occuper de ses caméras.

Tourné vers le moniteur télé, il appuya alors sur le bouton retour de la caméra qui avait enregistré la visite de Kelly Garrimister.

La bite dressée il sentait encore la savoureuse pression de ses lèvres refermées sur sa hampe, il sourit en regardant l'enregistrement de la pipe qu'elle venait de lui dispenser à mister corps défendant, cela faisait deux ans qu'il rêvait de la voir enfourner sa bite, dans sa bouche! .....

- Bordel, quel excellent premier retour sur investissement! ..... Gloussait-il ravi.

Ayant fini de dîner avec les filles de sa fraternité d'étudiantes, Kelly se rappela qu'elle avait un rendez-vous à 20 heures, cette programmation de nuit la surprenait un peu.

Il s'agissait de résoudre un problème concernant mister futur diplôme, le sujet ou la nature lui semblait très confus mais mister, la partie rationnelle de mister esprit lui dictait de faire vite.
chrislebo

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#1,210
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Elle jeta un oeil sur l'adresse sur la note qu'elle avait rangé dans on sac, elle se posait quelque question à mister sujet.

- L'adresse... L'heure..... Elle devait rencontrer un professeur! ....

Mais cet instant de lucidité disparut bien vite alors qu'elle remontait la fermeture éclair de sa robe, une robe bien trop élégante pour se balader sur le campus, mais qui l'était moins pour se rendre à un rendez-vous.

Lorsqu'elle appuya sur la misternette de la maimister répondant cette adresse à l'autre bout du campus, elle sursauta en voyant le professeur Thompmister lui ouvrir la porte.

- Entrez ma chère, je vous attendais! ..... Vous voulez toujours devenir membre de la PPBN, ne seriez vous pas..... Une Pouffe Pour Bites Noires? ..... Lui demanda-t-il sachant que cette phrase était la clef, que Mollway avait implanté dans mister esprit, la plongeant immédiatement sous état magictique.

Comme elle le suivait dans on appartement alors que trois caméras préprogrammées, enregistraient ses mouvements et dires, il lui demanda abruptement :

- Vous disiez que vous vouliez me rencontrer pour discuter de votre note de fin trimestre, n'est ce pas mademoiselle Garrimister! .....

Comme programmé dans mister esprit par Mollway lors de leur dernière rencontre lundi matin, elle hocha affirmativement la tête en murmurant :

- Oui.....

Elle tendit alors mister bras dans mister dos et descendit la fermeture éclair de sa robe, puis elle dégagea ses épaules et la laissa tomber en corolle autour de ses hauts talons.

- Vous avez gagné mademoiselle Garrimister je vous mettrai ce A que vous réclamez si vous continuez... Et que vous couchiez avec moi comme vous me l'avez promis! ..... Intervint alors le pervers professeur sachant que cette réflexion serait fidèlement enregistrée par les caméras.

Avec cela sur la bande, bien qu'il avoua coucher avec une de ses élèves, le motif de cette coucherie serait évident pour tous.

Une fois mister soutien-gorge enlevé, ses magnifiques nibards à l'air, le professeur Thompmister ne sut résister à la tentation, il s'approcha pour sucer ses nibards ses mains refermées sur sa nuque.

Une fois ses tétons dardés et durs, il se recula d'un pas pour lui permettre de poursuivre mister effeuillage.

Elle ne portait plus qu'une paire de hauts talons blancs, il décida de la déguster à nouveau, cette fois il s'agenouilla sur le tas de vêtements couvrant le sol, alors qu'il se penchait pour goûter à sa féminité, elle se mit aussitôt à couiner :

- Ohhhhhhh..... Professeur...... Professeur Thompmister...

Vrillant sa langue dans mister intimité embrasée alors que de la main il la maintenait en place, il eut la joie de la sentir rapidement jouir sous les caresses enivrantes de ses lèvres et sa langue butinant mister gazon, cette fois elle hurla :

- Aaaaaaaaaaaaaaaah..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.....

Toute pantelante de cet orgasme qui l'avait terrassée au plus profond de sa sidération magictique, elle se sentit entraînée sur le lit du professeur Thompmister uniquement vêtue de ses hauts talons.

Une fois dans le lit, il lui enleva gentiment ses chaussures afin de prendre ses orteils en bouche pour les lécher copieusement.

Toujours pantelante après mister intense orgasme elle sentit mister prof principal écarter ses cuisses en grand alors qu'il se vautrait dans le compas grand ouvert.

Elle tremblait comme une feuille alors qu'il lui suçait à nouveau les mamelons avant de lui rouler des pelles passionnées.

Dans mister état de confusion total, Kelly ignorait totalement que des caméras enregistraient chacun de ses gestes, chacun de ses gémissements, chacune de ses plaintes, alors qu'elle distrayait de ses charmes le professeur Thompmister.

Non seulement tout était enregistré, mais l'ordinateur cible était relié à un autre ordinateur à des centaines de kilomètres de la chambre du professeur Thompmister.

Les images étaient diffusées simultanément sur un écran dans un bureau de Presswood où deux hommes follement excités regardaient le déroulement de ce viol! .....

Son faux conseiller prénuptial et le pasteur de sa paroisse ne semblaient en aucun cas honteux d'avoir ouvert leurs braguettes pour se branler allégrement à la vue des ces images d'une haute pornographie.

- Que pensez-vous qu'il va faire maintenant? ..... Demanda le pasteur à mister complice, ce qui lui attira une remarque enflammée de mister comparse.

- Etes-vous stupide Knowlton, que voulez-vous qu'il lui fasse maintenant... J'espère qu'il va la tirer de sa torpeur, juste avant de la violer! .....

- Moi aussi! .... Répondit le pasteur d'une voix tremblante.

Alors que ces deux pervers savouraient les images de la future épouse en train de se faire violer par mister acheteur, un luxurieux professeur de fac, il était évident que ce bâtard noir se réjouissait de caresser ses longues jambes soyeuses alors qu'il lèchouillait et mignotait ses nibards.

Comme le musculeux prof noir remontait sur elle, agrippant les deux poignets de sa ravissante victime pour les tendre au-dessus de sa tête le pasteur Knowlton grommela :

- Il ne va plus tarder à le faire! .... Il lui léche le lobe de l'oreille en lui murmurant quelque chose..... Il va la réveiller de suite! ..... Et maintenant il lui ordonne de le serrer dans ses bras..... Elle verrouille aussi ses chevilles dans mister dos! ....

Clignant des yeux rapidement, cherchant à rassembler ses esprits alors qu'elle sortait de mister état de sidération magictique, Kelly haleta en reconnaissant le professeur Thompmister, le problème étant qu'elle ne l'avait jamais vu se comporter ainsi auparavant.

- Professeur Thompmister... Que se passe-t-il? ..... Où suis-je? ..... Balbutiait-elle hébétée.

Son suborneur prit mister temps avant de répliquer :

- Tu es dans mon lit ma petite Kelly chérie...... Et n'essaie pas de te sauver maintenant, ce serait inutile ma chérie! .... Tu es venue ici pour... Pour me demander de te donner un A bien sur...... Me proposant de coucher avec moi en échange! ......

A sa grande horreur, Kelly réalisa à cet instant qu'elle était totalement nue, et que le professeur Thompmister frottait mister corps nu noir contre le sien! .....

Pire encore, mister pénis se pressait contre sa féminité le gland quasiment engagé entre ses babines.

Cœur battant la chamade Kelly tremblait de peur alors qu'elle le suppliait :

- S'il vous plait... Non, non... Ce n'est as vrai! .... Je ne suis pas venue ici pour ça! .... Je vous en prie..... C'est un viol! ..... Arrêtez! ...... Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee...... " hurlait-elle terrifiée alors que mister pervers professeur plongeait mister gros membre noir en elle, fracassant mister hymen d'un seul élan.

Alors que les cris de douleur de Kelly emplissaient la chambre, cela semblait une douce musique aux oreilles d'Amos Thompmister qui pensait qu'un tel coup valait bien les 100.000 $ qu'il avait déboursé.

Plongeant une fois de plus au fond de sa grotte endolorie, il bourrait sa bite bien au fond de sa caverne virginale il y a encore peu, alors qu'elle couinait :

- Qwwwwwwwwwwwww... Arrêtez..... Arrêtez... Ca fait malllllllllllllll... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuu... A l'aideeeeeeeeeee.....

Amos explosa de rire et gloussa ironiquement :

- Ne crois pas que Dieu te vienne en aide ma chérie! .... En fait c'est moi qu'il a aidé, il m'a permis de profiter de tes charmes dans mon lit! .... he, he, he...

Kelly était pantelante de douleur alors que la gigantesque bite de mister suborneur pourfendait sa corolle vierge, la clouant sur le lit alors qu'elle tentait vainement de lui décocher des coups de pieds furieux.

Pire encore, mister monstrueux membre l'avait ruinée à jamais, il avait rompu mister hymen, et il lui distendait la chatte en attendant de projeter mister foutre au fin fond de ses entrailles fertiles.

- Non... Non... Je vous en prie professeur Thompmister... Je vous en prie arrêtez..... Vous risquez de m'engrosser! ..... S'il vous plait..... Non..... Je ne veux pas tomber enceinte de vos oeuvres! ...... Je ne veux pas de bébé! .....

Elle sanglotait lourdement alors qu'il la martelait maintenant de vigoureux coups de boutoir.

Dix minutes plus tard, Kelly gisait sur le flanc pleurnichant :

- Je veux mourir..... Oh, mon Dieu..... Faite que je meurs! ..... Laissez-moi juste mourir! .....

Son corps tout entier la faisait souffrir, mister vagin était tout endolori, elle avait copieusement saigné, elle sentit alors la main de mister vil professeur se poser sur mister avant-bras la replaçant à nouveau à plat dos.

Sanglotante, les mains posées sur sa poitrine endolorie, Kelly gardait les yeux fermés alors qu'il écartait ses genoux contemplant visiblement les ravages qu'il avait causé.

Il ouvrit largement sa fente ensanglantée de ses pouces, Kelly comprenait qu'il voulait amplifier le filet de foutre mêlé de sang qui s'écoulait lentement de sa chatte dépucelée, il voulait que l'on constate clairement sur le film qu'elle venait de se faire dépuceler.

Le pasteur Knowlton et le conseiller prénuptial Mollway projetèrent chacun un essuie tout souillé de sperme dans la corbeille toute proche, leurs deux bites se déployèrent à nouveau à la vue du professeur Thompmister plonger mister index dans la foufounette ensanglantée de sa malheureuse victime, puis le retirer pour le montrer à la caméra avant de lécher le doigt couvert de foutre et de sang.

Puis le bâtard noir se pourlécha les babines et leur sourit au travers de l'objectif d'une des caméras avant de se retourner sur la ravissante blonde qui se lamentait de plus belle.

Il plaça ses larges mains sous ses genoux pour les écarter en grand avant de plonger la tête entre ses cuisses pour lui bouffer mister minou ensanglanté, la faisant pousser un long gémissement :

- Ooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.....

Les doigts crispés sur les draps chiffonnés, secouant la tête de droite à gauche, Kelly essayait désespérément, de refuser de ressentir du plaisir, elle ne voulait pas que mister vil suborneur qui venait de dérober sa virginité et lui imposait maintenant un acte aussi pervers que dégradant la fasse vibrer de plaisir.

Dents serrées, Kelly ne pouvait plus résister, elle s'arqua sur les talons pour mieux s'offrir à la bouche qui lui butinait la chatte.

Elle lâcha alors les draps pour agripper le dos de mister professeur de psycho qui lui bouffait si habilement le gazon.

- Oh..... Ohhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Cria-t-elle soudain alors que tout mister corps tressautait sous l'effet d'un intense orgasme qui la submergeait toute.

Quelques instants plus tard, alors qu'Amos Thompmister s'était redressé abandonnant ses souillées de sang, il gloussa :

- Bordel, dire que je veux te baiser depuis le jour où je t'ai vu débarquer en salle 101! ....

Kelly pleurnichait :

- Vous m'avez violée! ..... Je vais me plaindre à la police! .... Vous irez en primister! .... Vous n'enseignerez plus jamais ici! .... Ni ailleurs! .....
chrislebo

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#1,211
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Alors qu'elle se plaignait, mi menaçante mi effondrée, il démarra un magnétoscope branché sur le moniteur télé. Un vidéo clip commença de défiler, on y voyait Kelly entrer dans la maimister du professeur Thompmister, le dialogue enregistré rémisterna alors à ses oreilles, il mentionnait le fait qu'il lui mettrait un A pour clore mister trimestre en échange de faveurs sexuelles! .....

Sur ces mots, elle se déshabillait totalement pour lui, sous aucune contrainte! .....

Le professeur Thompmister adorait l'air stupide et hébété qu'arborait maintenant mister visage alors que le clip démontrait à l'évidence qu'il s'agissait d'un marché passé volontairement entre deux individus et non pas d'un viol.

S'approchant du lit il l'agrippa rudement par la chevelure se servant de mister autre main pour presser mister gland poisseux sur ses lèvres.

- Tu ferais mieux de fermer ta gueule ma chérie au sujet de ton prétendu viol! .... Et maintenant ouvre la pour accueillir ma bite! ..... Grondait Amos en frottant sa bite sur ses lèvres et mister nez.

Comme elle ouvrait la bouche pour crier sa douleur naissant dans sa chevelure, il enfourna sa bite dans sa bouche étouffant ses cris.

Quelques instants plus tard, elle s'étranglait alors qu'il projetait des gerbes de foutre dans sa bouche rétive, puis, lorsqu'il la libéra, elle rampa vivement jusqu'à la corbeille pour y vomir tripes et boyaux.

Le professeur Thompmister n'avait plus aucun besoin de se servir de l'magicse se faire sa jolie étudiante, mister emprise était maintenant bien établie avec les vidéos qu'il détenait, en un mot il la faisait maintenant chanter.

- Aimerais-tu que tes parents sachent comment tu as obtenu ton A? ...... Je parie que ton fiancé apprécierait de voir comment tu t'es fait dépuceler par un nègre! ....

C'était les menaces qu'il lui avait faites si elle refusait de coucher avec lui chaque nuit jusqu'au jour d'obtention des diplômes.

Ainsi, de fin mars à la première semaine de juin, Kelly se força à écarter les cuisses toutes les nuits pour complaire à mister luxurieux maître-chanteur.

Elle apprit rapidement à avaler mister foutre sans hauts le cœur, et, en plus elle réalisa que mister pervers de prof adorait l'enculer alors qu'elle mordait mister oreiller à pleines dents chaque fois qu'il fourrait sa bite dans mister trou du cul.

Les bras chargés de roses et d'autres fleurs, juste après la cérémonie de remise des diplômes, Kelly se retrouvait à nouveau dans les bras de mister ardent fiancé, en compagnie de ses parent qui tous avaient pris un vol matinal pour assister à l'événement.

Kelly mettait ce jour en exergue pour, elle avait maintenant mister diplôme de psychologie en poche et la nuit dernière était la dernière qu'elle devait partager avec mister infâme suborneur.

Cette dernière nuit avait été si horrible, si pénible, le professeur Thompmister s'était rué dans mister appartement pour user une dernière fois de ses charmes, à la vue de la robe qu'elle devait endosser pour la remise des diplômes suspendue dans sa penderie, celle qu'elle portait actuellement, il avait voulu la voir vêtue de cette tenue de pied en cap.

Mais surtout il voulait qu'elle enfile sa robe pour qu'elle endure l'ultime offense de le sucer vêtue de cette tenue qui représentait tant pour elle et qu'elle devait porter le lendemain pour la cérémonie officielle.

Elle se figea en voyant le professeur Thompmister approcher de leur groupe, il se présenta de lui-même auprès de ses parents les saluant d'un misterore :

- Vous devez être monsieur et madame Garrimister, les parents de Kelly! ..... Elle m'avait dit que vous viendriez assister à la remise des diplômes! ..... Vous pouvez vraiment être rudement fier de votre fille, elle était la première dans tous les cours de psychologie..... c'était mon étudiante préférée ce dernier trimestre! .....

Forcée de présenter ce foutu bâtard à mister fiancé, Kelly frismisterna en le voyant serrer la main de mister futur poursuivant :

- Félicitations jeune homme... Vous êtes un sacré veinard d'épouser cette adorable jeune femme! ....

Lorsque la conversation retomba entre mister fiancé et le professeur Thompmister, Kelly soupira de soulagement. Elle avait eu peur que ce vil bâtard ne sorte une bombe du genre :

- Kelly sera une excellente épouse, c'est moi-même qui lui aie appris à écarter les cuisses pour accueillir un homme, à tailler une pipe en avalant la fumée, à se servir de mister trou du cul pour complaire à ses futurs amants! ....

Juste avant de leur souhaiter au revoir, après avoir encore discuté un petit moment avec ses parents, le cœur de Kelly sauta dans sa poitrine lorqu'il annonça à haute voix :

- Au fait je te remercie de m'avoir invité à ton mariage Kelly! ... Je dois justement me rendre à Presswood à ce moment pour veiller au recrutement local aussi serai-je sur place pour répondre à ton invitation! ....

En fait, elle ne lui avait jamais envoyé d'invitation et n'avait nulle intention de l'inviter d'ailleurs, elle voulait éviter que ce satané salaud de violeur qui avait abusé de ses charmes pendant de longs mois n'assiste à ses épousailles.

- Oh si vous venez à Presswood, nous serons heureux de vous avoir à souper..... Indépendamment des noces bien sur! .... Entendit-elle sa mère répliquer, ce à quoi il rétorqua :

- J'adorerai ça! ....

Elle dut subir mister accolade lorsqu'il s'approcha pour prendre congé et la féliciter de nouveau, il lui murmura alors à l'oreille :

- Réserve la suite nuptiale une nuit avant ton mariage... Tu leur diras, pour te justifier, que ce sera plus facile pour t'habiller avant de rejoindre l'église en partant de là! .... Nous pourrons ainsi baiser une dernière fois... La nuit précédant ton mariage! .... Je suppose que tu soupçonnes ce que tu devras porter pour cette nuit d'adieu..... C'est tout blanc et cela se porte avec un voile! .....

Puis il se recula la complimentant lourdement sous les yeux de tous alors que des larmes plein les yeux, elle dut se powerr à le remercier :

- Grand merci professeur Thompmister! ....

Et ce denier lui faisant un signe au revoir ajouta :

- On se reverra bientôt ma chère Kelly! .... Je suis impatient de te voir vêtue de ta robe de mariage! ....

Le soir même, Amos Thompmister passa u coup de fil au pasteur Mollway pour s'enquérir si, moyennant finance, en dehors des enchères il pourrait acheter les faveurs d'une des membres de sa communauté lorsqu'il se rendrait à Presswood pour assister au mariage de Kelly Garrimister.

La mention du nom de Kelly Garrimister éveilla un large sourire sur le visage alors qu'il gloussait à l'autre bout du fil, cette blonde beauté ne pouvait s'oublier.

Amos s'entendit répondre, à sa grande joie, que cela dépendait uniquement de ses désirs et du prix qu'il voulait y mettre, mais la vue de mister enchère lors de la vente de Kelly, le pasteur Mollway ne doutait pas qu'il puisse s'offrir les charmes de n'importe laquelle des femmes figurant sur le catalogue web.

Amos avança :

Je pense qu'elle doit se trouver dans le catalogue, mais je ne l'ai pas feuilleté, je viens tout juste de la rencontrer aujourd'hui..... Une femme élégante et fière! .... Une véritable beauté! .... Madame Patricia Garrimister... La ravissante mère de Kelly! ....

- Je suis invité à partager leur souper un soir suivant le mariage de leur fille, aussi aimerai-je que vous me prépariez le chemin pour la baiser chez elle..... Dans mister lit conjugal! .....

Puis visitant le catalogue sur le web, il ajouta :

- Je vois que l'on peut aussi disposer des charmes d'une femme de pasteur... Est-ce toujours valable? ....

- Bien sur! ....

- Et merde j'aimerai aussi me faire la femme d'un pasteur! .... Ce serait fantastique! .....

Puis la conversation roula sur la possibilité de faire une démonstration de ses connaissances et pratiques dans sa classe, après le départ de Kelly Garrimister, le professeur Thompmister désirait la remplacer par une ravissante future élève de dernière année avec de longs cheveux noirs qu'il avait repéré dans la classe d'avant dernière année.

Kelly, ses parents et mister fiancé visitèrent la ville pendant deux bonnes journées avant de prendre le vol de retour au bercail.

Il était temps maintenant de régler l'organisation de mister mariage, il restait tant de détails à peaufiner.

Vérifiant sur mister agenda toutes les choses qu'elle devait faire tout au long de ce mois, elle réalisa que ses journées seraient bien remplies d'ici le soir des noces.

Tout d'abord déplacer l'enterrement de sa nuit de jeune fille qui devait initialement avoir lieu la veille du mariage, mais comme elle avait rendez-vous avec le professeur Thompmister tôt dans cette même soirée dans la suite nuptiale......

- Mon Dieu ce foutu bâtard... Il veut me baiser dans ma robe de mariée! ....

Grinçait-elle des dents, frémissant à l'idée de porter sa tenue souillée par leurs ébats lorsqu'elle prononcerait ses vœux de mariage.

Puis elle devait réaménager certains engagements pour se libérer une journée entière, cela prendrait un moment, mais elle devait y parvenir sans faute.
chrislebo

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#1,212
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Elle soupira de soulagement lorsque ce fut fait et elle inscrivit un A sur à cette date sur mister agenda.

Regardant ce A qu'elle venait d'inscrire sur la page blanche elle frismisterna se rappelant la dernière fois que cette lettre avait été mentionnée, lors de la scène enregistrée sur vidéo qui avait permis au pervers professeur de la faire chanter en la plaçant sous sa coupe..... Celle ou elle s'offrait à lui en échange de l'obtention d'un A pour clôturer mister année! ....

Ce A lui rappelait aussi cde salopard, mais il s'agissait cette fois du A pour avortement, elle se retrouvait enceinte des oeuvres de ce sale pervers qui l'avait trombinée à longueur de nuit ces derniers mois.

C'est le matin même de la remise des diplômes que Kelly avait découvert que ce bâtard l'avait engrossée, mister test de grossesse avait confirmé que ses nausées n'étaient pas dues à une simple indisposition.
chrislebo

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#1,213
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L'été était arrivé, il était temps de préparer sa visite à Presswood, Amos Thompmister était extasié à l'idée de coucher avec ces ravissantes beau-tés.

Il était certain que cela lui avait coûté une somme rondelette, mais il avait conscience "qu'il en aurait pour mister argent".

Il ne s'agissait pas de se rendre dans un bordel pour se faire une pute qui lui ouvrirait obligeamment ses cuisses en service commandé, tout comme pour n'importe quel client qui paierait le prix requis.

Cette excursion à Presswood allait lui permettre de s'envoyer de savou-reuses jeunes femmes, sophistiquées, élégantes... Et surtout blanches.

Le professeur principal de psychologie de l'université Méridienne, mem-bre de la PPBN avait été éberlué de voir en vente sur le site du PPBN la succulente Kelly Garrimister?

Cette somptueuse jeune femme fréquentait les cours de psychologie qu'il dispensait à l'université Méridienne, elle avait suivi plusieurs de ses classes et, depuis un bon moment, il avait secrètement envie de se faire cette ravissante jeune fille.

Il s'avérait par ailleurs que la somptueuse jeune fille habitait la ville de Presswood où le PPBN venait tout juste d'implanter un bureau où l'on pouvait sélectionner et acheter des jeunes femmes sur catalogue.

Désirant se faire les charmes de la belle Kelly Garrimister depuis plusieurs années, Amos ne pouvait pas laisser passer cette occasion de la possé-der.

Il savait grâce au diamant qu'elle portait au doigt qu'elle était fiancée, elle devait sûrement se marier l'été qui suivrait l'obtention de mister diplôme!

Et, ayant visionné sa performance sous magicse avant que la vente aux enchères ne commence, il avait décidé de gagner les enchères la concernant d'autant que lors de mister interview sous emprise magictique elle confirmait qu'elle réservait sa virginité pour sa nuit de noce cet été.

Il avait gagné le droit d'user et d'user des charmes de la ravissante Kelly lors des vacances de printemps ce qu'il avait bien l'intention de faire dès mister retour de vacances, il avait d'ailleurs mis en oeuvre mister plan dès qu'elle avait pénétré de nouveau dans sa classe de psycholo-gie.

Son pasteur avait implanté dans mister esprit de le visiter pendant ses heu-res de soutien en fin de journée.

Depuis le début de la journée Amos attendait pour cette fin d'après-midi un premier retour sur investissement, il comptait bien se servir de la clef implantée dans mister esprit par mister vendeur, qui la placerait sous sa totale emprise.

Bien que la ravissante jeune femme ait les yeux grands ouverts, mister es-prit ne fonctionnait plus, il n'enregistrait plus rien, il lui semblait évoluer dans un rêve et tout ce qui se passait dans mister bureau faisait partie in-tégrante de mister rêve.

Le sachant le professeur Thompmister inséra sa main calleuse dans le V de mister décolleté posant ses doigts épais sur mister soutien-gorge en den-telle.

Il titillait d'un doigt expert mister mamelon bourgeonnant puis il empauma totalement mister nichon repoussant mister soutien-gorge pour mieux cares-ser mister nibard.

- Tu as drôlement bien sucé ton pasteur mademoiselle Garrismister! Je me suis branlé ces deux derniers jours sur la copie du DVD que m'a envoyé ton maître! Et maintenant montre-moi ce que le pas-teur Mollway t'as enjoint de faire au pasteur Knowlton! Lui intima-t-il en sortant sa main de mister décolleté pour se poster face à elle.

Et la ravissante étudiante en Psychologie Avancée, cette jeune fille pure et guindée, tendit la main pour dégrafer sa braguette.

- Ahhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii... Gémit-il alors que sa petite main manucu-rée plongeait dans l'ouverture de sa braguette à la recherche de sa mentule bandée.

Il avait pris la précaution de verrouiller la porte de mister bureau dès qu'il l'avait activé sa dépendance il savait qu'aucun étudiant ne viendrait per-turber cette heure de réunion.

- Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... grognait-il alors qu'elle promenait la pointe de sa langue sur mister, méat turgescent.

- Ohhhhhh... Encore! Pantelait-il alors q'elle le branlait habilement de sa main gauche ornée de sa bague de fiançailles alors que sa main droite enfoncée dans mister caleçon triturait lascivement ses grosses burnes velues.

Il posa alors sa main sur la nuque de la blonde beauté, aux yeux bleus grands ouverts, la regardant dans les yeux il souffla :

- Je vais jouir ma chérie... Avale ma semence... Avale tout... Oh oui comme ça mademoiselle Garrismisternnnnnnnnnnnnn!

Et plus tard cette nuit même, guidée par les suggestions magictiques implantées dans mister esprit, elle lui rendait visite à mister domicile afin de discuter de sa note moyenne du dernier trimestre.

Une fois la somptueuse jeune fille totalement sous emprise, attirée dans mister antre, il avait décidé de s'emparer de sa plus grande fierté, sa virgi-nité!

Comme elle était sous dépendance il lui était facile de s'emparer de sa précieuse virginité qu'elle tenait à conserver intacte pour l'offrir à mister fu-tur mari lors de leur nuit de noce!

Dès qu'il se mit à la caresser intimement il l'allongea sur mister lit alors que toute la scène était capturée par une caméra en service.

La sortant vulgarement de mister état de stupeur,

Amos prit un énorme plaisir à replonger la ravissante jeune fille dans la réalité.

Il l'observait attentivement alors qu'elle clignait des yeux, hébétée, puis elle pantela en le reconnaissant.

- Professeur Thompmister... Que se passe-t-il? Où suis-je? Balbutia-t-elle, ce à quoi il répondit sans vergogne :

- Tu es dans mon lit ma petite Kelly chérie... Tu me pries de te met-tre un A... En échange de rapports sexuels!

L'horreur envahissait Kelly Garrimister, en réalisant qu'elle se trouvait entiè-rement nue contre mister prof qui frottait mister musculeux corps noir contre le sien.

Les yeux écarquillés d'épouvante, elle sentait sa bite bandée se presser dans sa fentine.

Terrifiée elle le supplia :

- S'il vous plait... Non... Nonnn... Ce n'est pas vrai... Je ne suis pas venue chez vous pour coucher avec vous! Nonnnnnn... C'est un viol! Arrêtezzzzzzzzzzzzzzzzzz!

Il ne prêtait aucune attention à ses lamentations, et se prépara à fractu-rer mister hymen, elle hurla alors qu'il donnait un violent coup de boutoir.

- Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!

Son cri d'horreur emplit la chambre, ce hurlement lui semblait une douce musique, cela valait bien le prix payé!

Projetant une nouvelle fois mister bas ventre en avant, il planta mister épaisse mentule dans sa fente virginale, elle cria de plus belle :

- Owwwwwwwwwwwwwww... Arrêtez.. Arrêtez... J'ai mall-lllllllllllllllll... Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuu... Aide-moi...

Amos riait à pleines dents, et gloussa :

- Dieu ne peut rien pour toi, ma chérie! En fait, d'une certaine façon il est à mon coté heh, heh!

Son corps lourd clouait la frêle jeune femme sur mister lit alors qu'elle ten-tait vainement de lui décocher des coups de pied.

Son investissement s'avérait productif il lui avait permis de ruiner la vie de cette naïve jeune blonde, de saccager mister pucelage avant d'éjaculer sa fertile semence au fin fond de mister utérus alors qu'elle sanglotait :

- Non... Non... S'il vous plait professeur... Arrêtez... Je vous en prie... Vous risquez de m'engrosser!

Toute la scène avait été capturée par la caméra et n'importe quel spectateur qui la visionnerait en conclurait que Kelly Garrimister l'avait visité pour obtenir un "A" en couchant avec mister prof, dès cet instant la naïve jeune femme avait du se plier à un chantage qui faisait d'elle l'esclave sexuelle de mister prof.

Le jour de la remise des diplômes, Amos s'était débrouillé pour se rendre à la salle de réception ou étaient réunis les parents et amis des impé-trants.

Il frismisternait de joie à l'idée de rencontrer le connard de petit blanc qu'il empêchait de cueillir la précieuse fleur de sa fiancée.

Il voulait féliciter l'adorable jeune fille, il l'embrassa sur les joues et lui su-surra à l'oreille :

- Réserve-nous la suite nuptiale la veille de tes noces! Raconte à tes parents que cela sera plus facile de t'y habiller pour te rendre à l'église! Je veux te baiser une fois encore... La nuit précédant ta nuit de noce! Tu revêtiras ta robe blanche et ton voile de mariée!

Il frémit aussi en rencontrant l'élégante et sophistiquée madame Patricia Garrimister, la mère de Kelly.

Bien qu'il n'ait pas reçu d'invitation à la noce, il s'esclaffa :

- Il me reste à te remercier pour ton aimable invitation ma chère Kel-ly... Cela tombe très bien, je dois justement effectuer du recrute-ment dans une ville voisine de Presswood, je serai donc sur place et parfaitement disponible pour répondre à ton invitation!

Il avait à peine formulé ses remerciements que la mère de la future ma-riée insistait pour qu'il vienne partager leur repas après la noce, avant qu'il ne quitte Presswood.

Cela engageait Amos à prendre contact avec le pasteur Mollway, le per-vers ex-pasteur qui avait manigancé la mise en vente des charmes de la délicieuse Kelly.

Deux semaines après la remise des diplômes et une bonne semaine avant la cérémonie de mariage, Amos put voir au travers de mister écran, le professeur Mollway placer l'élégante et sophistiquée mère de la ma-riée sous mister emprise magictique.

Dans mister bureau, l'insouciante beauté s'engageait à apporter mister sou-tien aux bonnes causes de l'église et plus particulièrement à guider les futurs époux pour que leur futur couple soit aussi réussi et harmonieux que le leur.

Une fois la mère de la mariée sous suggestion magictique, le pasteur Knowlton responsable de la congrégation de Presswood se glissa dans le bureau.
chrislebo

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#1,214
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Il observait le professeur Mollway amplifier mister emprise

sur sa délicieuse proie à venir, lui posant des questions qui devenaient de plus en plus intimes.

- Comment t'appelles-tu?

- Patricia Garrimister!

- Quel âge as-tu?

- 43 ans!

- Travailles-tu?

- Oui!

- Que fais-tu?

- Je suis la principale du lycée de Presswood!

- Depuis combien de temps es-tu mariée?

- 22 ans!

- As-tu déjà trompé ton mari?

- Non, jamais!

- Avais-tu déjà eu des rapports sexuels avant ton mariage?

- Non!

- As-tu déjà pensé à faire l'amour avec un autre que ton mari?

- Non!

- As-tu déjà fait une fellation?

- Non!

- As-tu déjà été sodomisée?

- Non!

- As-tu déjà entendu parler de la légende concernant les bites des noirs?

- Oui!

- Penses-tu que c'est vrai?

- Je ne sais pas!

- T'es-tu déjà demandée si c'était vrai?

- Oui!

Ce jeu de question réponse était destiné à implanter dans mister esprit afin de créer un puissant désir de résoudre les dernières questions.

Puis le pasteur Mollway empoigna mister téléphone, la seconde suivant la ligne directe du pasteur Thompmister misternait, il décrocha pour prendre le coup de fil du pervers pasteur.

Un coup d'œil sur mister moniteur affichant le numéro de l'appelant lui avait suffi pour constater que ce coup de fil provenait de mister "complice" qui avait placé madame Garrimister sous suggestion magictique.

Comme la somptueuse épouse n'avait jamais eu de relations sexuelles en dehors de mister couple Amos était assuré d'être le premier étranger à tremper mister biscuit dans la chatte de cette femme fidèle au corps si af-friolant.

Son investissement lui permettrait par ailleurs d'être le premier à l'enculer, il allait lui fracasser mister pucelage anal!

De plus le pasteur Mollway allait implanter une gerbe de suggestions l'amenant à rêver de lui toutes les nuits à venir se demandant comment se passerait une séance de baise avec le prof noir de sa fille chérie.

Il avait par ailleurs implanté dans mister esprit qu'elle devrait appeler mister mari dans la cuisine de façon à donner à Amos le temps de glisser de la drogue dans leurs verres, un puissant assommoir pour mister époux et un puissant aphrodisiaque dans le sien!

Cette conversation terminée Amos regardait l'écran de mister ordinateur sur lequel les deux complices abusaient de la malheureuse Patricia Gar-rimister, il ne pouvait vraiment pas les blâmer de profiter des charmes que la délicieuse madame Garrimister ne pouvait leur refuser.

Il paraissait évident que le vieux Mollway était un fétichiste du pied, il avait tout de suite pris position face à ses jambes tendues.

Il avait alors entrepris de les lui caresser lentement sa main partant du genoux pour se glisser sous la jupe. Puis cette main réapparaissait, des-cendant jusqu'à ses chevilles pour les délester de ses hauts talons.

Il mignotait maintenant ses plantes de pied et ses orteils soigneusement manucurés tout en se débraguettant pour extraire sa grosse mentule rai-die de mister caleçon.

Il la fourra ensuite entre ses plantes de pieds dont il se fit un soyeux fourreau, visiblement il prenait grand plaisir à cette pratique.

Pendant ce temps, le jeune Pasteur Knowlton n'était pas resté inactif, il se branlait énergiquement au coté de la somptueuse paroissienne qu'il convoitait.

Il tendit la main pour agripper mister poignet gauche la refermant sur sa hampe raidie.

Son alliance et sa bague de fiançailles étincelaient alors qu'elle manipu-lait sa mentule bandée, c'était vraiment très excitant.

Quelques instants plus tard, lorsque les deux hommes eurent satisfaits leurs appétits lubriques, la charmante femme gisait sur le lit la jambe repliée, le pied reposant sur le rebord d'une chaise.

Il était visible qu'ils avaient tous deux éjaculés sur elle, des larmes de sperme gouttaient de ses orteils et de sa plante des pieds de l'éjaculas du pervers Mollway, alors que sa main était engluée du foutre du jeune pasteur Knowlton

Dix jours plus tard, un mercredi soir, le pasteur Knowlton se trouvait d'en mister église pour conduire la répétition du mariage de Kelly Garrimister et de mister fiancé.

A l'insu du pasteur Knowlton, mister acolyte avait gagné mister domicile peu après mister départ pour l'église.

Mollway avait appelé l'adorable Neil Knowlton un peu plus tôt, le fait de prononcer la phrase magique "Pouf Pour Bites Noires" lui avait permis de l'inviter à recevoir un visiteur peu après le départ de mister mari.

Une fois que le pasteur Mollway eut fait les présentations il lui annonça :

- Le professeur THompmister n'a jamais baisé avec une femme de pasteur auparavant... Aussi m'a-t-il demandé de lui arranger ce rendez-vous avec toi! Tu vas t'occuper de lui tandis que ton mari est à l'église ma chérie! Mais d'abord sers-nous un verre de vin ma chère madame Knowlton!

Amos prit mister verre des mains de la somptueuse jeune femme et s'ap-procha d'elle, il la sentit trembler de tout mister corps alors qu'il lui caressait le dos.

Il se pourlécha alors les babines en contemplant la ravissante épouse du jeune pasteur vêtue d'une élégante robe bleue marine et de hauts talons blancs.

Avec impatience il descendit la fermeture éclair dorsale de sa robe puis glissa sa main dans sa robe.

Il l'entendit retenir sa respiration alors qu'il titillait un mignon petit téton au travers de mister soutien-gorge de dentelle.

De sa main libre il dégrafa le clip dorsal de mister retrousse-téton une se-conde plus tard il baillait lamentablement. Il put alors empaumer la totalité de mister nibard dénudé en glissant sa main sous le bonnet du soutien gorge détendu, puis il flatta mister jumeau, ses tétons s'érigèrent avec power.

Quelques instants plus tard, dans la chambre qu'elle partageait habituel-lement avec mister mari, la robe de l'adorable Neil chuta sur ses chevilles autour de ses hauts talons blancs.

Une seconde plus tard, mister soutien gorge l'y rejoignait. Puis ce fut le tour d'une affriolante petite culotte blanche.

Si Richard Knowlton avait pu jeter un oeil dans sa chambre à cet instant, il aurait vu la fine main manucurée de sa jeune femme se poser sur des épaules noires musculeuses, la tête rejetée en arrière alors qu'elle miau-lait de plaisir sous les caresses de l'athlétique noir qui lui butinait avide-ment le minou.

C'était un délice de voir la belle femme du pasteur lui agripper la tête et ses doigts crochant ses cheveux crépus.

- Ooooooooooooooooh... Oh, professeur... Ooooooooooooohhh... Ahhh, ahhhhhhhhhhhhhh... ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Couinait-elle alors que mister doux nectar coulait à flot dans sa bouche ensorce-lante.

Il recula sa tête, ne titillant plus les babines de sa partenaire de la pointe de la langue, Amos butinait la chatoune de la jeune femme du pasteur avec expertise alors qu'elle coulait toujours à flot dans sa bouche.

La scène était savoureuse alors que cette douce femme de pasteur à l'air si ingénue lui agrippait la chevelure en hurlant et criant :

- Bouffez-moi... Bouffez-moi la chatte, professeuuuuuuuuuurrrrrrrrr!

Depuis qu'il avait demandé si la jeune femme du pasteur Knowlton faisait partie du cheptel de l'association et qu'il avait décidé d'user ses charmes une nuit entière, le vieux pervers était sûre qu'elle aussi avait un profond besoin de satisfaire ses appétits sexuels, certain que seul un type parti-culier de relation pouvait maintenant satisfaire ses appétits de stupre... Celles fournies par une bonne grosse bite boire!

Il connaissait ses besoins secrets, ces besoins qu'elle avait développé depuis mister viol initial pendant les vacances de l'année dernière!

Il était important pour la belle Nell Knowlton de protéger mister image de respectabilité, celle de la digne femme du pasteur de cette communauté.

Elle avait tu mister viol, ainsi que ses débordements avec de nombreux hommes noirs, c'était quelque chose qu'elle ne pouvait s'expliquer que cette attirance irrésistible pour ces expériences sexuelles illicites.

Puis l'infâme ex pasteur qu'elle pensait un ami s'était mis à la faire chan-ter l'obligeant à coucher avec lui puis la prostituant à de nombreux noirs musculeux qui s'acquittaient d'une somme conséquente pour user et user de des charmes en toute liberté d'une jeune femme qui semblait si innocente.

De plus le fait qu'elle soit la femme d'un pasteur la rendait d'autant plus excitante aux yeux de ses clients.

Bien qu'elle soit toujours bourrelée de remords après avoir écarté les cuisses pour un autre que mister mari, Nell n'avait pas eu d'orgasmes satisfaisant depuis des semaines alors que ce professeur Thompmister lui procurait un orgasme d'une intensité diabolique.

Elle comprit alors en le voyant serrer les cuisses autour de sa tête qu'il entendait bien qu'elle lui procura les mêmes délices.

Désireuse de le satisfaire pleinement, elle déboucla rapidement sa bra-guette et extirpa sa grosse mentule noire de mister caleçon, et entreprit de la sucer avec avidité. Elle enveloppait sa hampe de la langue, flattait mister méat de la pointe de la langue puis redescendait lascivement jusqu'à ses burnes.

Son obscène performance lui parut surtout si incongrue lorsqu'elle en-tendit ce pervers bâtard exploser de rire en ironisant :

- C'est la meilleure fellation qu'on m'ait faite depuis longtemps, ja-mais je n'aurai soupçonné que tu sois aussi experte et enthou-siaste!

La ravissante femme du jeune pasteur était disposée à quatre pattes, elle sentait qu'il ne tarderait pas à agir!

Elle priait pour qu'une chose lui arrive, elle ne voulait pas qu'il explose dans sa bouche alors qu'elle avait désespérément besoin de le sentir en-fouir mister gros chibre noir dans sa chatoune affamée.

Elle jeta un oeil vers le professeur tout en continuant à lui tailler une sa-voureuse pipe, elle le supplia alors :

- Je vous ferai jouir dans ma bouche plus tard... J'ai trop envie... De vous sentir en moi! Je vous veux... Je veux que me vous me bai-siez à couilles rabattues!
chrislebo

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#1,215
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Amos ne parvenait pas à croire que cette chienne, cette licencieuse pe-tite salope, puisse être l'innocente femme d'un pasteur.

Elle était menue et minuscule, bien plus petite que lui, c'était un délice de se faire une telle salope dans le lit qu'elle partageait ordinairement avec mister mari.

Prenant la femme entre ses bras, il la posa sur le lit avant de la dépouil-ler prestement de ses vêtements.

Il était évident que cette adorable salope était en manque, elle se masturbait énergiquement d'un doigt habile alors qu'elle gémissait à pleine gorge.

Au pied du lit, Amos était tout surpris de la facilité avec laquelle sa petite chatte avait avalé mister épaisse bite, démontrant par ailleurs qu'elle était loin de l'image de la douce et innocente femme du pasteur qu'elle se donnait en public.

Pendant ce temps le pasteur Knowlton qui devait animer la ré^pétition de la cérémonie de mariage avait appris qu'elle avait du être annulée au dernier moment.

Bien qu'il aurait pris grand plaisir à assister à la répétition de la cérémonie de la charmante future, sachant pertinemment que mister vil professeur de fac avait l'intention de la baiser la veille de sa nuit de noce dans sa suite nuptiale le lendemain soir, il dit au revoir aux fiancés leur donnant rendez-vous le samedi.

De ce fait il rentrait chez lui plutôt que prévu, sa mâchoire se décrocha à la vue de la voiture de l'ex-pasteur Mollway garée devant sa porte.

La dernière fois que Mollway s'était rendu chez lui Richard avait été obli-gé de l'inviter à souper, puis il était parti sous le prétexte d'assister à l'agonie d'un de ses paroissiens laissant le champ libre au pervers pasteur Mollway qui pouvait ainsi faire ignominieusement chanter sa femme l'obligeant à coucher avec lui.

Nell pensant que mister mari ignorait tout de ses escapades extra conjuga-les elle s'était soumise à ses volontés toute la nuit, se faisant baiser à couilles rabattues sur le lit qu'elle partageait ordinairement avec mister ma-ri.

Richard savait que Mollway avait été chercher un excellent client à mister arrivée à l'aéroport cet après-midi se chargeant de le divertir pour cette soirée, mais il avait pensé qu'il s'agissait de boire quelques verres avant de dîner dans un bon restaurant.

Il n'avait jamais suspecté que Mollway avait un autre type de divertisse-ment en tête pour mister client, que sa ravissante jeune femme serait char-gée de le distraire pendant cette soirée.

- Le foutu bâtard! Maudit-il Mollway déçu à l'idée que ce pervers avait combiné d'offrir sa délicieuse femme à mister client sans même le prévenir.

Ayant précédemment assisté à la retransmission du viol de la ravissante Kelly La Garnimister, l'étudiante de psychologie par mister pervers prof de fac, il avait vu à quel point il était bien monté.

Et voilà que ce dernier se déshabillait dans sa maimister pour procéder à la même séance de baise qu'il avait imposée la jeune Kelly.

Tandis que ce sale bâtard se désapait, Nell allongée nue sur le lit il en-tendit Mollway glousser :

- J'ai chauffé cette ravissante femme de pasteur à votre intention mon cher! Elle a été privée de grosses bites noires depuis plu-sieurs semaines! N'est ce pas ma chère madame Knowlton?

Il observa attentivement sa femme en chaleur alors qu'elle se tortillait sur le grand lit conjugal, Richard saliva d'impatience en la voyant écarter en grand ses cuisses invitant par ce geste mister invité à la chevaucher rapi-dement.

Puis elle pantela :

- Oh s'il vous plait monsieur le professeur... Pressez-vous... Cette attente est trop longue!

Pour Richard qui avait fait l'amour avec mister adorable petite femme le matin même, il était évident qu'elle avait simulé sa jouissance et ses cris d'extase pour lui faire plaisir, afin de lui faire croire qu'il était extrême-ment viril.

Ce n'était sûrement pas le cas ce que semblait démontrer ses actuelles supplications :

- S'il vous plait... Je vous en prie... Baisez moiiiiiiiiiiii... Mon Dieu, ce que j'ai besoin de bons coups de bite! Cette attente est bien trop longue! Ca fait si longtemps...

Au début il crut bien que mister étroite petite chatte ne parviendrait pas à avaler une si énorme bite, obligeant Amos à agripper fermement ses hanches pour forer mister trou dans sa minuscule chagatte.

Il sourit soudain en la sentant s'ouvrir à mister épais envahisseur.

Il l'emboutit tout d'abord lentement, plongeant juste mister énorme gland dans sa fentine, puis la ravissante salope ouvrit en grand ses cuisses aspirant avidement la grosse colonne bandée dans sa grotte enfiévrée.

- Oooooooooooohhhh oui... Oui... Oh ouuuuuuuuuuuuuuui! Coui-nait-elle alors qu'il plongeait dans ses profondeurs intimes, levant ses jambes pour verrouiller ses chevilles dans mister dos.

Amos Thompmister savait que ce n'était que le début d'un été enthousias-mant alors que la chatte de la ravissante jeune femme qu'il baisait jus-qu'à l'os enserrait sa grosse bite comme un gant étroit.

Elle faisait la moitié de mister poids et semblait si menue que rien ne lui semblait meilleur que de se la faire sur mister lit conjugal.

- Ugh... Ugh... Ugh... Ugh... Ohhhhhhhhhhh... Gémissait-elle chaque fois qu'il s'enfonçait en elle comme un marteau piqueur la clouant à mister matelas.

De mister poste d'observation en dehors de la maimister, Richard observait attentivement l'impressionnante séance de baise qui se déroulait ses yeux égarés.

Il pensait entendre mister cœur battre dans ses oreilles, mais il réalisa sou-dain que c'était le bruit produit par la tête de lit battant contre le mur chaque fois que le professeur Thompmister embrochait puissamment sa gentille femme.

Entendant couiner et gémir mister adorable petite femme alors qu'elle se faisait divinement baiser, l'entendant supplier mister suborneur de la baiser plus profondément il réalisa à quel point il était inefficace au lit, jamais elle ne l'avait supplié ainsi de la baiser jusqu'à l'os lorsqu'ils faisaient l'amour ensemble.

Puis, en observant les deux corps qui convulsaient de conserve en se frottant âprement l'un contre l'autre, il lui parut évident qu'il éjaculait au fin fond de sa grotte fertile.

Le deuxième soir de mister excitant séjour à Presswood, le professeur Amos Thompmister avait été pris en charge par les fiancés pour aller sou-per avec les parents de la future.

Amos savait pertinemment pourquoi Kelly s'était fait accompagner de mister fiancé pour venir le prendre à l'hôtel et l'emmener chez ses parents.

La petite salope savait que si elle était venue chercher mister hôte il en au-rait profité pour s'ouvrir l'appétit en goûtant à ses charmes avant de l'amener chez ses parents.

- Je l'aurai allongée jambes grandes ouvertes sur mon lit pour goûter sa savoureuse petite huître juteuse, mais cela attendra bien demain soir, la nuit précédant ses noces! Gloussait-il en mister fort intérieur.

Kelly Garrimister savait très bien ce qu'avait en tête cet homme qui la fai-sait ignoblement chanter.

Elle avait été violée, mais elle ne pourrait jamais le prouver, déjà qu'elle ne comprenait pas au fond d'elle-même pourquoi elle s'était rendue au domicile de mister pervers professeur pour évoquer sa note finale, d'autant plus qu'elle était en tête de sa classe.

Mais la cassette qu'elle avait visionnée semblait prouver qu'elle s'était rendue chez lui pour négocier l'obtention d'un "A", et depuis sous la menace de voir cette vidéo envoyer à ses parents, mister fiancé, et ses proches, elle livrait ses charmes à mister abject prof qui en avait abusé chaque nuit lors de ce dernier trimestre.

Kelly représenta mister vil bâtard de maître-chanteur à ses parents.

Jetant un oeil sur sa montre Kelly se mit à espérer que la demi-heure à venir passerait rapidement et qu'elle partirait sans problème, mister fiancé l'ayant momentanément laissée tomber pour rencontrer ses vieux co-pains qui préparaient l'enterrement de sa vie de vieux garçon.

Elle n'avait pas pris conscience que mister pervers professeur avait des intentions lubriques concernant sa mère qu'elle considérait comme une femme élégante et sophistiquée à qui elle voudrait ressembler plus tard.

Depuis qu'il l'avait rencontrée le jour de la remise des diplômes, Amos avait envie de la plier sous mister joug.

A l'insu de Kelly, l'organisation criminelle à laquelle appartenait le pro-fesseur Thompmister, connectée avec la paroisse qu'elle fréquentait avec ses parents, lui avait vendu sa mère tout comme elle l'avait vendue à mister pervers maître chanteur trois mois plus tôt.

De même que pour elle le professeur Mollway avait implanté les graines de sa dépravation dans l'esprit de sa mère le jour où elle avait pris ren-dez-vous avec lui pour régler les détails de leur cérémonie de mariage.

Et, tout comme elle avait subi des suggestions magictiques, la corrompant profondément, sous emprise elle avait sucé la bite du pasteur Knowlton alors que le professeur Mollway implantait divers ordres dans mister esprit.

Une fois sa fille et mister futur gendre partis, Patricia Garrimister sentit mister cœur cogner comme jamais dans sa poitrine alors qu'elle s'asseyait au coté de l'athlétique professeur Thompmister.

Depuis une semaine, sachant que le prof de fac de sa fille dînerait avec elle et mister époux, elle n'était pas parvenue à s'enlever l'image de cet homme de la tête.

Chaque nuit dans mister lit, elle avait pensé à cet homme comme jamais elle n'avait pensé à un homme auparavant, elle en était bourrelée de re-mords.

- Pourquoi cet homme lui faisait-il un tel effet?

- Qu'allait-il arriver?

- Rien que la pensée de sentir ses larges mains glisser sur mes jambes nues... Oh, mon Dieuuuuuuuuuu! Sa grosse... Bite noire... Me martelant profondément... M'embrochant jusqu'à la ra-cine!

Elle en rêvait toutes les nuits.

La culpabilisation associée aux pensées les plus viles là déprimait pro-fondément elle se demandait pourquoi cela lui arrivait maintenant après tant d'années de mariages heureuses pendant lesquelles elles n'avaient jamais eus de pensées aussi malsaines.

En fait ces pensées avaient été implantées dans mister esprit lorsqu'elle se trouvait sous emprise magictique du pervers Mollway, dans mister bureau alors qu'elle avait les yeux rivés sur une photo d'Amos Thompmister.

Il en profitait pour la caresser lubriquement, malaxant ses nibards au travers de ses vêtements avant de glisser une main sous sa jupe pour lui palper sa chagatte au travers de la fine texture du fond de sa petite culotte.

Et depuis ce jour, chaque nuit les mêmes pensées lubriques la torturaient, elle se demandait ce qui était vrai dans ces légendes concernant la taille de la bite des noires!

Tout en sirotant les margaritas servis par monsieur Garrimister, Amos sen-tait la nervosité de l'adorable femme du foyer; d'autant plus qu'il connaissait les idées le concernant implantées dans mister cerveau par Mollway.
chrislebo

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Tom Garrimister lui tendait les clefs d'une voiture garée à l'extérieur l'invi-tant à s'en servir pour la durée de mister séjour à Presswood, puis il s'excusa devant sortir pour mettre les steaks à griller au barbecue, d'après Mollway mister hôtesse serait incapable de lui résister s'il posait sa main sur la sienne pour jouer avec sa bague de fiançailles et mister alliance.

Et de fait mister geste opéra comme par magie, il l'entendait panteler, sans retirer sa main, alors qu'il jouait avec ses anneaux.

Il l'observa attentivement, s'assura que le mari était toujours dans l'arrière cour et se pencha sur la frismisternante beauté et pressa ses lèvres sur les siennes.

Amos était conscient de mister émoi, il l'entendait haleter, il inséra sa langue dans sa bouche puis il posa main sur ses cuisses dénudées remontant sous sa jupe.

Une langue fouineuse inspectait sa bouche, des doigts se glissaient sous les élastiques de coté de sa petite culotte pour frétiller dans sa fente engluée de cyprine, et tout cela cessa brusquement au bruit d'ou-verture la porte du patio.

Alors qu'elle le regardait fixement, Amos porta sa main à mister visage et lécha la cyprine couvrant mister index.

Se rasseyant à table après avoir servi le repas, Patricia ne parvenait pas à croire à ce qui s'était passé dans le salon un peu plus tôt.

- Qu'ai-je fait?

- Comment ai-je pu l'autoriser à... Frismisternait-elle nerveusement.

Ils n'étaient que trois, la soirée était douce, Patricia avait drapé une nappe sur la table extérieure, ils dînaient ainsi de façon fort informelle et détendue dans le patio.

Après être restée assise un bon moment, Patricia se figea en sentant le professeur Thompmister lui faire du pied, elle ne savait pas quoi faire, et ne trouvait pas la power de le repousser.

Elle sentit alors mister pied frotter le talon des ses chaussures.

Quelques instants il avait réussi ce qu'il avait entrepris, il lui avait enlevé mister haut-talon.

Et maintenant il appuyait sa jambe contre mister pied nu la forçant à réali-ser :

- Mon Dieu il veut me faire du pied avec mon mari assis à nos cotés!

Son esprit lui disait bien que c'était absurde, mais elle se sentait incapa-ble de repousser sa jambe, loin de cela elle agrippait mister pantalon de ses orteils et entreprit de lui caresser lascivement les jambes.

Après dîner, alors que Tom Garrimister gagnait le bar pour préparer des boismisters fraîches, Amos tendit la main pour la caresser à nouveau et jouer avec mister alliance en lui susurrant :

- Tu iras chercher le dessert que tu as préparé dans la cuisine, lorsque Tom reviendra appelle le pour qu'il vienne t'aider... Tu pourrais te passer de dessert, j'ai prévu de t'offrir un gros éclair au chocolat un peu plus tard!

A ces mots, il la vit avaler sa salive silencieusement, il empoigna alors sa jambe sous la table et posa mister pied sur la grosse bosse déformant sa braguette.

Alors que mister époux revenait du bar, Patricia retira mister pied et ré enfila sa chaussure, et attendit que mister mari soit pour annoncer qu'elle s'occu-pait du dessert.

Un instant plus tard, elle apparut à la porte du patio et appela mister mari :

- Tom peux-tu venir m'aider à transporter le plateau.

Comme le mari se levait lui tournant le dos Amos sourit à la sémillante épouse qui le regardait par-dessus l'épaule de mister conjoint verser une drogue dans la boismister de Tom.

Lorsqu'ils revinrent à table, Amos se réjouit de voir sa proie trembler à chaque gorgée que mister mari sirotait.

Les hommes ayant terminé leurs desserts, madame s'étant abstenu de prendre des douceurs, ils s'assirent confortablement dans le patio, Amos et Patricia dans le sofa, Tom à leur gauche dans un fauteuil.

A peine le café servit, Tom se retrouva hors jeu, la ravissante madame Garrimister haletait nerveusement alors que leur invité promenait ses mains brûlantes sous sa jupe lui caressant les cuisses à même la peau.

C'est alors qu'il lui laissa un choix ignominieux :

- On baise ici sur le sofa, avec ton mari à nos cotés, ou on monte à l'étage baiser dans la chambre que tu partages habituellement avec ton mari.

Patricia était figée bouche grande ouverte, elle ne parvenait pas à dire un mot alors qu'une des mains de mister invitait inspectait ses charmes sous sa robe et que l'autre lui massait gentiment le cou dégrafant avec habileté le crochet qui fermait le dos de sa robe.

Il descendit alors la fermeture éclair dorsale de sa robe Patricia arriva alors à bafouiller :

- N... Non... pas ici, pas ici... J'ai trop peur que Tom ne se réveille et nous voit faire!

Une fois ces mots dits, il la fit se relever et ils prirent le chemin de la maimister.

Posant la main sur l'épaule du malheureux mari drogué, Amos gloussa

- Dors bien mon coco dans le patio, j'ai à faire avec ta femme à l'étage, dans le lit que tu partages habituellement avec elle!

A l'étage, dans la chambre principale, Patricia se tenait figée les yeux rivés au grand lit qu'elle partageait habituellement avec mister époux, alors que les mains calleuse d'Amos passaient sa robe par-dessus ses épau-les.

Puis le zip d'une fermeture éclair que l'on baisse retentit brisant le si-lence de plomb juste troublé par les halètements de Patricia, il lui mur-mura alors à l'oreille :

- Je sais que tu meurs d'envie de connaître un vrai mâle ma chère madame Garrimister... Alors n'hésite pas plus longtemps, tend la main et introduit là dans mon pantalon! T'as aujourd'hui la chance de vérifier que ce que l'on colporte au sujet de la taille des bites noires est tout à fait vrai! N'hésite plus et fourre ta main là où elle doit être!

Alors que sa robe jonchait maintenant le sol elle avança la main vers sa braguette, comme il ne portait aucun sous-vêtement, sa bite se mit im-médiatement à vibrer entre ses doigts manucurés de frais.

- Ooooooooooh... Ooooooooooh... Ohhhhhhhhh... Pantelait-elle alors qu'il empaumait ses nibards dodus.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Haleta-t-elle alors qu'il faisait rouler ses tétons entre pouce et index les amenant à darder immé-diatement, en réaction elle referma fermement sa main sur sa mentule, elle se sentait toute ébranlée de constater sa taille invrai-semblable.

L'habile langue qui mignotait mister cou se dirigea lentement vers le lobe de mister oreille elle se sentait totalement à la merci des mains du sédui-sant professeur alors qu'il lui susurrait :

- As-tu déjà vu une bite aussi grosse que celle que tu as en main ma chère madame Garrimister!

Elle secoua négativement la tête tout en serrant fermement l'objet de mister ébahissement entre ses doigts.

Il laissa la ravissante ménagère lui caresser avidement la bite de ses doigts manucurés alors que mister autre main plongeait dans sa braguette s'emparant de ses grosses couilles velues, Amos savait pertinemment qu'elle mémorisait la taille de ses couilles et bien d'autres choses en-core.

Glissant la main dans la poche de sa veste il en sortit un portable faisant office de caméra, qu'il avait activé dès leur sortie du patio.

Il tendit la main pour le poser sur une commode toute proche du lit, il s'assura alors qu'il était disposé de façon à filmer la totalité du lit et des scènes qui se déroulaient sur ce dernier.

Il en sortit ensuite un deuxième portable caméra et plaça celui ci sur la table de nuit afin de filmer sous un autre angle, les deux portables étaient reliés à un ordinateur dans le bureau du pasteur Mollway où Mollway et mister complice le pasteur Knowlton épiaient cet instant ou la fidèle et distinguée madame Garrimister expérimenterait sa première bite noire!

Un des écrans s'alluma, révélant sous les yeux enthousiastes des deux complices ce qui se passait dans le la chambre des Garrimister.

La somptueuse madame Garrimister robe et soutien-gorge enlevés se fai-sait malaxer les nibards par Amos Thompmister.

Bras collés au corps, ils devinaient ce qu'elle faisait aux mouvements de ses avant-bras et de ses coudes.

Bien que le professeur Thompmister resta impavide elle lui mignotait les burnes d'une main tout en le branlant de l'autre.

Amos retourna l'obéissante Patricia de façon à ce qu'elle lui fit face puis il lui roula un patin baveux alors qu'elle continuait à le branler.

Puis Amos appuya sur ses épaules la poussant à se mettre à genoux et lui suggéra ;

- Il est temps de déguster l'esquimau au chocolat que je t'ai promis! Allez ma chère madame Garrimister viens profiter de cette succu-lente crème que je te réserve!

Et, tandis qu'elle enroulait sa langue autour de mister chibre Amos posa ses mains sur sa nuque en grognant :

- Ahhhhhhhhh... Bordel ce que tu suces bien!

Alors que mister adorable hôtesse avalait maintenant la totalité de sa bite il se remit à gémir :

- Ahhhhhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhh... Bouffe ma bite! Avale toute la crème que je vais te cracher au fond de la gorge!

Quelques instants plus tard, les deux mateurs, les yeux rivé à l'écran, observaient ravis l'athlétique prof de psychologie se soulager dans la bouche accueillante de la principale du lycée local.

Lorsqu'il se retira, un filet de foutre relia un instant ses lèvres au méat luisant d'Amos, ce détail excitait follement les deux voyeurs.
chrislebo

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#1,217
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Elle avala la chaude semence qui formait une mare crèmeuse dans mister estomac qui se soulevait de dégoût.

Ils regardaient maintenant les deux écrans le second transmettait les images du portable posé sur la table de nuit, les deux pasteurs obser-vaient la ravissante madame Garrimister étendue sur mister lit conjugale, Amos lui caressait lascivement les cuisses, le contraste entre sa grosse patte noire et la chair blanche des cuisses de Patricia était follement ex-citant.

Puis il lui ôta rapidement ses hauts talons, ses orteils s'agitaient mainte-nant à l'air libre.

Puis il lui roula sa petite culotte de dentelle blanche sur les chevilles dé-voilant mister petit trésor blond comme les blés.

- Oooooooh... Ooooooooooooh... Ooooooooooooooooooooh... Couinait-elle bruyamment.

Il était évident pour les deux spectateurs que la fidèle et guindée ma-dame Garrimister ne le serait plus très longtemps.

Elle crispait ses mains sur le drap alors que ses jambes recourbées re-posaient sur les épaules de mister suborneur.

Elle couinait de plus en plus alors qu'on entendait clairement le profes-seur Thompmister laper sa juteuse fentine engorgée de cyprine.

Il était évident que la ravissante principale de lycée succombait à un in-tense orgasme alors qu'elle hurlait :

- Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuu... Je jouuuuuuuuuiiiiiiiissssssss... Son corps tremblait de toutes ses fibres les orteils pointés sur le portable posé sur la commode, la sublime madame Garrimister venait de succomber pour la première fois à un butinage de chatoune.

Elle était totalement molle lorsqu'elle reprit pied sur terre.

Amos la positionna alors à sa convenance jambe après jambe puis il pointa sa grosse bite sur sa cible et la pressa à l'orée de sa grotte em-brasée.

Puis il se pencha à mister oreille et lui murmura :

- Tu es vraiment bonne baiser ma petite salope!

Cette phrase ne devait pas être prononcée devant elle, cette phrase avait été implantée dans mister esprit par le pervers Mollway ; c'était la clef pour la faire reprendre pied dans la réalité.

Brutalement revenue à elle en entendant prononcer cette phrase, Patri-cia sombra dans un état de choc en réalisant dans quelle situation elle se trouvait.

Elle comprit tout d'abord qu'elle se trouvait dans mister lit conjugal dans leur chambre principale.

Puis elle réalisa qu'elle était entièrement nue et que le prof de psycholo-gie de sa fille était étendu sur elle, il était lui aussi entièrement nu!

Et pire encore, sa "grosse chose bandée" se pressait contre sa fente in-time.

- Que se passe-t-il?

- Que faites-vous?

Je vous en prie... Non.. On ne peut pas... Je ne le veux pas faire... Faire l'amour! Le suppliait-elle ses yeux roulant dans leur orbite alors que pour toute réponse il pressait de plus en plus sa bite contre mister intimité pour toute réponse.

Le regard d'horreur que lui envoyait la ravissante femme éperdue ne faisait que l'exciter encore plus, sa bite se déployait encore alors qu'il donnait de petits coups de reins pour tester sa perméabilité.

Amos éclata de rire en voyant ses yeux lui sortir des orbites, mister visage affichait mister désespoir il frismisternait de l'entendre se lamenter :

- - Nonnnn... Pas ça... Je ne veux pas... Nonnnnn... Elle est bien trop grosse! Trop épaisse... Nonnnnn! Aieeeeeeeeeeeeeeee!

Avec un plaisir évident Amos lui bloqua les poignets au-dessus de sa tête et la clouant impitoyablement sur le lit qu'elle partageait habituelle-ment avec mister époux.

Comme elle sanglotait et pleurnichait, Amos gloussait :

- Oh je réalise enfin mon rêve, je rêve de te baiser depuis la remise des diplômes! Bordel ce que t'es étroite! J'avais tant envie de te dévaster la chatte! La bite de ton mari ne doit être qu'un petit flû-tiau pour que tu sois restée aussi étroite!

Il la chevauchait allégrement sans tenir compte de ses lamentations et de ses plaintes qui ne faisaient que l'exciter davantage encore.

Il ne se souciait pas de lui procurer de plaisir, Amos était d'autant plus heureux qu'elle se débattait pour tenter d'échapper au viol de mister corps.

- Ahhhhh... Ahhhh... Ahhhhhhhhh... Ugggghhhhhhhhh... Oh, je jouis... Je vais gicler en toi a chérie! Ohhh ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii...

Les yeux braqués sur le plafond de sa chambre, Patricia ressentait un méli-mélo de sensations, elle se demandait déjà :

- Comment ai-je pu autoriser ce pervers à pénétrer dans ma cham-bre? Un viol! Il m'a violée...

Patricia tentait de se convaincre elle-même de cela, mais elle devait en-core s'expliquer pourquoi elle avait laissé ce bâtard la caresser longue-ment avant le repas, allant jusqu'à appeler mister mari pour qu'il puisse verser un soporifique dans sa boismister.

Elle savait pertinemment ce qui allait advenir une fois que mister mari au-rait succombé au somnifère, d'autant plus que le professeur Thompmister lui avait clairement annoncé mister intention de la sauter sur mister lit conju-gal.

Ses cuisses étaient douloureuses à power d'être écartées en power, les lèvres de sa chatoune se crispaient spasmodiquement après mister vulgar assaut, Patricia grognait de douleur alors qu'Amos la repoussait sur le flanc avant de la disposer à quatre pattes.

Alors que ses grosses mains calleuses pétrissaient ses fesses, Patricia comprit qu'il allait la prendre de nouveau, mais cette fois il allait la grim-per comme une bête, comme un chien prenait sa chienne dans la rue.

Elle se rappelait cet épisode ou toute jeune lors d'une visite au zoo elle avait vu un étalon monter sa pouliche afin de la féconder.

- Il va me prendre comme une chienne en chaleur! Il va faire de moi sa petite chienne! Pensait-elle affolée.

Elle frismisterna en sentant l'épais champignon se glisser dans mister con lu-brifié, prise par surprise elle sentait qu'il s'était enfoncé aisément jusqu'aux burnes dans sa chatoune engorgée de foutre, mais il s'était retiré immédiatement laissant sa cramouille aspirer de l'air.

Elle ne comprit pas pour autant qu'en fait le démoniaque prof avait plon-gé mister estoc dans sa caverne lubrifiée pour la graisser correctement, il avait besoin que sa bite soit correctement huilée pour accomplir la tâche qu'il s'était fixée, plonger mister épaisse bite dans mister trou du cul vierge.

Sentant le gland turgescent presser mister oeillet Patricia se mit à paniquer tentant de se dérober en s'éloignant en rampant.

Mais il la tenait fermement aux hanches, l'attirant à lui en fait tout en donnant de violents coups de reins.

- Aieeeeeeeeee... Arrêtezzzzzzzzzzzzzz... Arrêtezzzzzzzzzzzzz... J'ai maaaaaaaaalllllllllllll... trop maaaaaaaaaaaaaaaalllllllllllllllll... Se lamentait-elle misérablement.

- Aieeee... Aieeeeee... Aieeee... Aieeee... Aieeeeee... Aieeee... Couinait-elle désespérément à chaque coup de rein propulsant la mentule d'Amos dans ses reins douloureux.

Sachant que sa performance était retransmise sur les écrans du bureau de Mollway, que ces deux hommes avaient déjà assisté à la défloration de l'adorable fille de madame Garrimister quelques mois plus tôt, il leur of-frait maintenant le dépucelage anal de sa mère, Amos adorait l'entendre se plaindre lamentablement à chaque coup de bite dans mister étroit trou du cul.

- Bordel elle était si étroite! Pensait-il alors qu'il s'enfouissait une fois de plus dans ses reins.

Il savait d'après l'étroitesse de mister oeillet et ses soupirs qu'en fait c'était la première fois que cette belle femme sophistiquée se faisait sodomiser.

- Owww... Oww... Oww... Oh, arrêtez... Je vous en prie arrêtez! Professeur... Professeur Thompmister... Je vous en prie... Arrêtez, s'il vous plait! Ca fait maaaaaaaaaaalllll... Se plaignait-elle alors qu'il la martelait sans merci.

Il la tenait fermement aux hanches pour l'empêcher de lui échapper, Amos jeta un oeil vers le bas pour voir les traces de sang qui maculaient le gland de sa bite, ce qui le fit glousser joyeusement :

- Oh, madame Garrimister, je crois que je t'ai foré un nouveau trou du cul! Ouais, je sais bien que je t'ai déchiré le périnée, mais cela t'appréciera de te faire enculer très bientôt.

Il lui lâcha les hanches alors qu'il continuait à la labourer de grands coups de bite, il empoigna sa blonde chevelure soyeuse et allongea mister autre main par delà sa taille pour la doigter lubriquement.

Frottant mister clito sensibilisé, Amos rit aux éclats alors qu'il remarquait :

- Il faudra t'oindre le trou du cul avec un bon gel madame Garrimister... Tu vas me rejoindre à mon hôtel mardi prochain et je te fourrerai comme une reine toute la journée... Je t'en donnerai plus que tu as jamais rêvé ces dernières semaines!

Au travers de la douleur qui la tétanisait toute, Patricia parvint à déchif-frer mister dernier commentaire :

- Il sait que toutes les nuits j'ai rêvé qu'il me sautait, que je me de-mandais à quoi cela ressemblait de faire l'amour avec un noir pour la première fois... De faire l'amour avec lui!

- Oh mon Dieu comment puis-je me réjouir qu'il me caresse et me doigte... Tandis qu'il me sodomise! D'autant plus qu'il me traite comme une pute bon marché, il attend ma visite mardi matin à mister hôtel!

- Ohhhhh... Ohhhhh... Ahhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhh... Ohh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Pantelait-elle alors qu'il se vidait les couilles dans les profondeurs de mister intestin ravagé.

Lorsqu'il retira sa grosse bite de mister trou du cul endolori, elle s'effondra sur le lit conjugal, Patricia était toute engourdie à power d'avoir été écarte-lé et déchiré, mister cul pointait toujours en l'air du foutre s'égouttant de sa chatoune et de mister trou du cul sur le couvre-lit.

Elle entendit le professeur bouger dans la salle de bain adjacente, le ruissellement de l'eau lui fit comprendre qu'il se lavait avant de partir.

Elle avait besoin de temps pour récupérer ses fonctions corporelles, elle réalisa soudain qu'elle devait prendre une douche vaginale pour esquiver tout danger de procréation.

Une fois le professeur Thompmister partit Patricia trouva enfin la power de se glisser hors du lit pour gagner la salle de bain.

La main en coupe pour capturer les coulées de foutre qui s'écoulaient de sa chatte et de mister trou du cul elle ouvrit le cabinet de toilette pour y chercher un flacon de douche vaginale là où elle les stockait.

Elle avala vulgarement sa salive, et tendit la main pour trouver u des deux flacons qu'elle avait rangé là la semaine dernière.

- Ou se trouvaient-elles? Se demanda-t-elle brusquement, elle était sûre de les y avoir rangées après les avoir achetées dimanche dernier au havestore.

Elle cherchait frénétiquement sur les étagères du cabinet de toilette, pensant qu'elle avait pu les poser sur une mauvaise étagère, elle tenta de retracer ses gestes ce dimanche dernier en rentrant de la pharmacie.

Puis se retournant, elle vit le reflet orange des flacons de douche vaginale qui dépassaient de la poubelle.

Elle saisit les deux flacons vides jetés dans la poubelle, un long frismister courut le long de sa colonne vertébrale en réalisant ce que ce pervers bâtard avait fait ; il avait ouvert les deux flacons et les avait vidés dans la douche avant de partir, la forçant à conserver sa fertile semence en elle.
chrislebo

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#1,218
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Depuis que mister fiancé lui avait glissé sa bague de fiançailles au doigt à Noël, Kelly Garrimister, attendait fiévreusement l'instant cet instant ou elle deviendrait madame Bill Hendricks.

Et depuis ce moment jusqu'à mister retour aux vacances de printemps elle bâtissait des châteaux en Espagne au sujet de sa noce en juin.

Mais les choses avaient dramatiquement basculé après mister retour à la fac de psychologie à la fin des vacances, et maintenant Kelly n'était plus qu'une boule de nerfs, elle se sentait indigne de Bill car elle n'était l'inno-cente jeune fille qu'il croyait épouser.

- Comment?

- Pourquoi?

Se demandait-elle au fond d'elle-même sans trouver de raimisters objecti-ves.

Elle se rappelait s'être rendue dans le bureau du professeur Thompmister, mister professeur de psychologie pour discuter de mister dernier devoir... Mais elle ignorait totalement ce qui s'était passé dans la période de six heures une fois ses cours terminés.

Elle se rappelait seulement s'être brusquement retrouvée nue dans les bras du professeur Thompmister qui la chevauchait âprement.

- Violée... Il l'avait violée... Cet horrible bâtard l'avait violentée... Tremblait-elle les yeux pleins de larmes.

Elle ne comprenait toujours pas ce qui avait pu la conduire à lui rendre visite à mister domicile pour terminer nue dans ce lit où cet ignoble pervers avait cueilli mister précieux pucelage.

Elle abandonna bientôt ses menaces de tout rapporter à la police lors-qu'il lui fit visionner une cassette où on la voyait clairement lui proposer de se donner à lui en échange d'une bonne note de fin d'année un "A", une chose qu'elle ne se rappelait avoir dite à aucun moment.

Comme elle avait toujours été en tête de sa classe et qu'elle savait que mister travail valait un "A" il n'y avait aucune raimister de lui proposer un tel marché, alors que cette saloperie de cassette prouverait à tout le monde que c'était bien le cas!

Kelly avait paniqué en se réveillant bien plus tard couverte de sueur et la chatte engorgée de foutre et de cyprine.

Son cauchemar lui revint à l'esprit lui rappelant qu'elle se trouvait allon-gée entièrement nue contre le corps du professeur Thompmister qui frottait mister épaisse mentule dans sa fentine.

Lorsqu'il avait insinué qu'elle avait proposé de coucher avec lui en échange d'une bonne note elle l'avait désespérément supplié :

- S'il vous plait... Non... Non... Ce n'est pas vrai... Jamais je ne suis venue pour vous proposer un marché aussi ignominieux... Je vous en prie... Non, c'est un viol! Arrêtez!

- Aaieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee! hurla-t-elle alors qu'il saccageait mister précieux hymen.

Son cri de douleur avait empli la pièce mais elle ne réalisait que ses pleurs et ses ris semblaient une douce musique aux oreilles du professeur Thompmister alors qu'il s'engouffrait en elle.

Alors qu'il fourrait vulgarement sa monstruosité dans sa caverne inviolée Kelly criait de plus belle :

- Owwwwwwwwwwwwwwwwwwwww... Arrrêtez! Arrêtez! J'ai mall-llllllllllllll! Oh mon Dieuuuuuuuuuu... Aidez-mooooooooooi!

Les pensées de Kelly s'orientaient maintenant trois semaines en arrière, le jour de la remise des diplôme alors que sa famille et mister fiancé la féli-citaient chaleureusement le professeur Thompmister s'approchait d'eux.

Alors que mister vil professeur s'approchait d'eux leur souhaitant le bonjour et la congratulant en public, ce sale bâtard lui avait susurré à l'oreille :

- Réserve la suite nuptiale la veille de votre nuit de noce! Prétexte que ce sera plus facile pour toi d'y enfiler ta robe pour te prendre à l'église... On baisera une fois encore... La nuit précédent ta nuit de noce! Tu porteras ta robe de mariée ave le voile et tout le tralala!

Et ce soir dans la suite nuptiale, Kelly vêtue de sa tenue de mariage, se regardait dans le miroir en pied, retenant difficilement ses larmes, elle frémissait à l'idée que ce sale pervers allait de nouveau profiter de ses charmes.

Depuis l'âge de 5 ans elle rêvait de se voir toute vêtue de blanc avant d'épouser mister prince charmant et voilà que mister rêve s'était écroulé, elle se comportait en pute... Une sale pute de bas étage!

A une journée de ses noces, ce jour dont elle avait rêvé depuis sa plus petite enfance, Kelly se préparait à l'impensable, un autre homme que mister futur mari allait user de mister corps dans la suite nuptiale alors qu'elle serait vêtue de sa robe de mariée.

Elle savait pertinemment qu'elle trompait honteusement mister futur époux de la façon la plus méprisable, mais elle l'aimait tant qu'elle ne pouvait supporter l'idée même de le perdre, même si cela impliquait que pour le garder, elle devait se soumettre aux actes dégradants que mister maître-chanteur lui imposait.

Kelly priait pour que ce soit la dernière fois, espérant que la distance en-tre mister lieu de vie à venir et la ville universitaire où évoluait mister maître chanteur le dissuaderait de poursuivre ses assiduités, bien qu'elle sus-pecta que mister chantage s'aggraverait encore dans le futur.

Le professeur Amos Thompmister venait de pénétrer dans le complexe hôtelier de "Pinewood" où mister ex-étudiante et mister futur marié devaient célébrer leur mariage le lendemain.

Une fois installé dans l'ascenseur il pressa le bouton pour accéder au dernier étage où se situait la suite nuptiale.

Il jeta alors un oeil sur sa montre, il arrivait juste à l'heure prévue, 17 heures 30, la future épouse devait l'attendre vêtue de sa tenue de ma-riée.

Il sourit alors que l'ascenseur montait se demandant à quoi elle ressem-blait vêtue de sa robe blanche.

Tremblante comme une feuille alors qu'elle regardait le cadran de sa montre, Kelly sentit un long frismister froid lui courir le long de la colonne vertébrale.

- Mon Dieu je vais encore devoir subir cet infâme dépravé! J'en suis malade! Pensait Kelly en ouvrant nerveusement la porte de la suite nuptiale pour y admettre mister ignoble prof de fac.

Il se tenait face à elle, souriant ironiquement de toutes ses dents, il re-ferma la porte dans mister dos et planta mister épaisse langue dans sa bouche pour lui rouler un patin baveux, elle en frismisterna de répulsion.

Le professeur Thompmister ne tarda pas à frismisterner de plaisir en sentant mister ex-étudiante lui embrasser le gland de la façon qu'il lui avait apprise alors qu'il avait glissé les mains sous mister voile blanc pour lui tenir la tête.

C'était exactement le genre de cajolerie qui faisait si bien vibrer sa bite, les lèvres refermées sur sa hampe turgescente, elle titillait de la pointe de la langue mister sensible méat.

- Ah oui... Ohhh, tu te rappelles à quel point j'aime ces caresses! Ouiiiii, lèche-moi! Promène ta langue sur toute la longueur de ma mentule! Ahhhhhhhhhhhhh... Et maintenant prends la en bouche! Oh oui comme ça... Ouiiii... Oh ouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii!

Cette épreuve était terrible pour Kelly, elle avait refermé sa petite main gantée de blanc sur l'épaisse hampe de mister ex-professeur alors que l'autre main plongeait dans mister caleçon pour lui mignoter ses grosses burnes noires.

Il lui tenait la nuque au-dessus de mister voile blanc tout en s'arquant sur les talons pour approfondir la pénétration de sa bite dans sa bouche as-servie.

- Oh oui ma petite salope... Où se trouve ton futur époux? Il enterre sa vie de garçon? Ce stupide petit blanc ne se doute sûrement pas de ce que fait sa petite chérie cette nuit! S'il pouvait seulement voir ce qui se passe dans la suite nuptiale à cet instant même? Allez suce ma grosse bite noire! Oh oui... Ouiiiiiiiiiiiiiii... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... psalmodiait le pervers bâtard tout en se vidant les couilles dans sa bouche soumise.

Quelques instants plus tard, elle se sentait si dégoûtée d'avoir été utili-sée comme un simple réceptacle à foutre par le pervers prof de fac...

Son estomac se contractait alors que mister foutre s'épandait dans mister ventre, allongée sur le dos sur mister futur lit de noce, c'est alors qu'elle en-fonça ses talons dans le matelas pour s'arc-bouter

- Aggggggggggg... Ahhhhhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhhh... Couinait Kelly alors que le professeur Thompmister s'écroulait sur elle.

Il lui avait enlevé sa petite culotte et parcourait de la pointe de la langue sa fentine embrasée la rendant folle!
chrislebo

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#1,219
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Pendant les trois mois qui avaient suivi la fin mars, Kelly avait baisé tous les soirs à plusieurs reprises avec mister infâme maître chanteur pour, de-puis trois semaines ne plus avoir aucun rapport sexuel, le corps de Kelly répondait maintenant à toutes les sollicitations de mister ignoble suborneur, elle était toute secouée par un orgasme qui la ravagea longuement sous les caresses expertes de la langue de mister ex-professeur de fac.

Forcée d'être mister esclave sexuelle lors de ces derniers mois, dévastée par de nombreux et incontrôlables orgasmes toutes les nuits de cette longue période, ce bâtard l'avait transformée en une salope lubrique né-cessitent de nombreux rapports sexuels.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Je... Je Jouisssssssssss! Cria Kelly alors qu'il emplissait sa chatte de mister épaisse semence crèmeuse. Bras en croix sur le lit, ses mains gantées empoignant fermement le couvre-lit, mister jus intime coulait à flot sur la langue qui la migno-tait si délicieusement.

Se débarrassant de sa veste Amos déboutonna fébrilement sa chemise et s'en dépouilla lestement avant de déboucler sa ceinture, quelques secondes plus tard, pantalon, chaussures et chaussettes enlevées, il empoignait la robe de mariée de sa proie pour la tirebouchonner autour de sa taille. Laissant courir ses mains sur ses jambes gainées de nylon, il la positionna selon ses vœux, et planta mister épaisse bite dans sa chatte frémissante.

A sa grande surprise le premier coup de boutoir ne fut pas décisif, il écla-ta de rire :

- Bordel je ne pensais qu'elle se resserrerait tant en trois semaines!

S'enfonçant de plus belle en elle sa bite la pénétrant à cœur il ajouta :

- On va s'arranger pour faciliter les choses pour ton cornard de petit mari!

Les yeux baissés sur la jolie future mariée portant la tenue qu'elle arbo-rerait le lendemain pour la cérémonie de mariage, Amos se réjouissait de voir ses yeux se remplir de larmes alors qu'elle sanglotait désespé-rée.

La bite bourrée au fin fond de sa caverne brûlante, à sentir ses sphinc-ters vaginaux se crisper sur mister épaisse mentule, Amos savait qu'il comblait de félicité les sens de cette petite salope, il s'esclaffa :

- Ah oui ma petite chérie... Comme ça... Bien à fond... Je t'ai man-qué! Je vais bien te ré-élargir la chatte, que vas penser ton futur quand il engloutira sa bite dans ton trou à bite? Il ne voudra ja-mais croire qu'il dépucelle une jeune chatte vierge, c'est sur! Tu feras bien de le faire mariner quand il ira au lit avec toi!

Chevauchant fougueusement la jolie future, Amos lui dispensa une mémorable séance de baise alors qu'elle verrouillait ses jambes autour de mister torse

- Mon Dieu ce que j'aimerai que mister fiancé voie sa précieuse à cet instant même, qu'il se rende compte quelle petite pute était sa fu-ture épouse!

- Penses-tu qu'il saura te satisfaire! Qu'il te baisera à point! Que cela te suffira hein salope! Ironisait Amos se moquant de sa mal-heureuse proie.

Il la martelait maintenant au rythme d'un marteau piqueur, elle se mit à trembler de tous ses membres alors qu'elle s'arc-boutait en couinant :

- Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu!

Un orgasme incongru la terrassait vulgarement alors qu'il projetait un long jet de foutre au fin fond de sa caverne engorgée, puis il se retira projetant les dernières giclées de foutre sur la face interne de sa robe de mariée.

Une demi-heure plus tard, Amos traversa en rampant le lit puis tendit les mains pour empoigner les chevilles de la future mariée, la tirant au pied du lit, il la fit ensuite se retourner pour la disposer à quatre pattes.

Il retroussa le dos de sa robe de mariée sur ses reins dénudant sa croupe charnue, il caressa la douce chair blanche alors qu'il se disposait à sa convenance.

D'un coup de rein vulgar il engouffra sa bite dans mister tendre anus savou-rant le cri aigu qu'elle poussa :

- Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!

L'attirant en arrière, il l'empala jusqu'à la racine sur sa mentule bandée, ses couilles velues frappant ses fesses alors qu'il gloussait :

- Tu cries à chaque fois que je t'encule ma douce chérie!

Une fois rhabillé, Amos jeta un oeil sur la jeune femme sanglotante alors qu'elle demeurait à quatre pattes, sa robe de mariée tirebouchonnée au-tour de sa taille mister beau cul blanc dressé en l'air.

Amos gloussa à la vue du flot de foutre épais qui s'écoulait de sa cha-toune et de mister trou du cul.

Tendant la main pour caresser la douce chair soyeuse de sa croupe il l'informa :

- Très bien, je suppose que je ferai mieux de te laisser te reposer pour que tu te prépares à l'épuisante journée qui t'attend demain! Garde-moi une danse demain soir... Ce sera la première fois... Que je danserai avec une ravissante épouse que j'aurai sauté la veille de sa nuit de noce! Et si ton cornard de petit blanc ne par-vient pas à satisfaire tes appétits sexuels, passe un coup de fil à ton vieux professeur il résoudra tous tes problèmes!

Le soleil brillait le lendemain après-midi la cérémonie de mariage, ani-mée par le pasteur Knowlton, devait se tenir dans l'arrière cour du com-plexe hôtelier.

Le pasteur Richard Knowlton ne pouvait s'empêcher de rire à l'idée de présider à cette cérémonie d'autant plus qu'il avait ruiné l'innocence de la jeune future.

En fait, alors qu'elle se trouvait sous l'emprise magictique du pasteur Mollway courant mars, il avait eu l'occasion de jouer avec ses miches, de sucer ses mamelons dardés.

Et pour couronner le tout il avait eu l'honneur d'être le premier homme à sentir ses pulpeuses lèvres se refermer sur mister chibre tendu, tout comme il avait été le premier à lui faire goûter mister foutre épais.

Plus tard, lors de la lecture des cartes indiquant les places de chacun autour des grandes tables Amos s'était retrouvé entre deux délicieuses jeunes femmes, à sa gauche l'adorable femme du pasteur Knowlton qu'il commença immédiatement à peloter sous la table, et à sa droite la ravissante madame Kristin Goodman, l'ex mademoiselle Kristin Corbett, qui s'était mariée un an plus tôt, il savait qu'il se taperait cette succulente jeune femme deux jours plus tard.

Déjà la charmante Kristin avait reçu l'infâme coup de fil lui enjoignant de disposer de ce jour précis où elle devrait dispenser les plus savoureux plaisirs sexuels qu'elle pouvait offrir à un client qui louait ses services, sinon mister aventure précédant mister mariage deviendrait de notoriété pu-blique.

Les présentations faites Kristin Goodman se trouvait assise entre le prof de fac de la mariée et mister délicieux amoureux.

Cherchant à profiter au mieux de cette joyeuse liesse Kristin faisait mister possible pour calmer sa nervosité à l'idée du rendez-vous qui l'attendait avec un inconnu qui selon mister interlocuteur avait loué ses services sexuels.

Son interlocuteur l'avait prévenue que si elle ne donnait pas toute satis-faction à mister client, il montrerait à mister mari si confiant des photos et une vidéo d'elle baisant avec ce colosse noir qui lui avait ravi sa virginité.

Kristin repensait à cette journée passée avec mister suborneur noir dans une chambre d'hôtel de l'aéroport, c'était ce même homme qui l'avait rejointe dans la suite nuptiale le jour de ses noces alors que mister jeune mari était parti faire une partie de golf avec ses témoins et qui l'avait baisée à couilles rabattues dans mister grand lit nuptial lui dispensant les seules jouissances qu'elle ait éprouvées pendant sa lune de miel.

Cela s'était passé pendant un voyage programmé de mister calendrier pro-fessionnel, un rendez-vous qu'elle ne se rappelait pas avoir consigné sur mister agenda.

Elle était arrivée dans sa tenue de travail bleue marine, guindée et élégante, elle avait regardé un homme noir qui lui semblait familier s'approcher d'elle l'avisant :

- Je m'appelle Julius Simpmister... L'homme qui doit te faire femme aujourd'hui même! Suis-moi!

Son voisin, le professeur Thompmister lui semblait être un parfait gentle-man, affable et sympathique.

Comme tous les invités parlaient entre eux, Kristin se tourna vers lui pour lui demander :

- Avez-vous prévu de séjourner quelques jours dans notre petite ville professeur?

- Oh oui, je pense rester à Presswood quelques jours, cette petite ville me semble bien plaisante! Pourriez-vous me suggérer quel-ques loisirs agréables? Je n'ai qu'une seule de programmée en vérité! Lui répondit l'aimable professeur tout sourire.

- Quel genre de loisir vous intéresse vraiment professeur? Et qu'avez vous noté pour l'instant sur votre agenda? Poursuivit Kristin.

Portant la main à mister menton, se ménageant une pause comme s'il ré-fléchissait, alors que le bruit de la salle les environnait, Amos se pencha sur l'adorable brunette et lui susurra :

- J'ai un rendez-vous fort excitant de programmé lundi! Laissez moi vous conter ce que j'ai en tête... Vous ne me croirez pas mais... Une adorable brunette doit me rejoindre dans ma chambre d'hôtel à 8 heures et je vais disposer de ses charmes toute la journée! Son mari pense qu'elle sera à mister travail alors qu'elle se livrera à moi, parce que je détiens certaines photos extrêmement compro-mettantes d'elle baisant avec un autre que mister mari... Baisant dans une chambre d'hôtel avant qu'ils se marient!

Kristin écarquilla les yeux d'horreur en réalisant que le professeur Thompmister décrivait sa situation exacte et les arguments déployés par mister maître chanteur pour la contraindre à se prostituer.

Discrètement il lui montra une photo renfermée dans la paume de sa main, une photo d'elle entièrement nue tirée le jour où elle avait perdu sa virginité.

Et voilà que maintenant ce pervers posait sa grosse main calleuse sur mister genou dénudé.

Elle comprit alors que le professeur Thompmister savait depuis un bon moment qu'elle était sa proie désignée.

Sa main grimpait lentement sous le revers de sa jupe lui caressant sans pitié la face interne des cuisses, elle ne pouvait que se figer alors qu'il lui murmurait à l'oreille :

- Je sens que ça va être un vrai plaisir de te baiser ma petite salope chérie! J'espère pour toi que tu prends la pilule parce que moi je ne mets pas de capote et je ne saute pas du train en marche! Oh oui je sens que je vais prendre mon pied!

Plus tard dans la soirée, alors que les invités dansaient au mister d'une musique lascive, l'estomac de Kristin se souleva lorsque le professeur Thompmister demanda à mister mari la permission de la faire danser.

Naturellement mister mari, inconscient de ce qui se tramait approuva convivialement.

- Bien sur mon ami!

Elle chancelait sur ses jambes en plaçant sa petite main dans la large main noire de mister suborneur, Kristin savait très bien que ce salaud de bâtard qui lui souriait de toutes ses dents voudrait plus que lui tenir la main lorsqu'ils seraient sur la piste de danse.

Tremblante de peur elle se mit à transpirer d'angoisse en suivant le professeur Thompmister qui la guidait sur la piste de danse l'entraînant dans un coin obscur à l'autre bout de la salle.

A la fin du slow Amos lui sourit railleusement en commentant :

- Nom d'un chien, ma chère madame Goodman vous dégoulinez de sueur, prenez donc mon mouchoir...

En fait la malheureuse jeune femme avait besoin d'un mouchoir pour es-suyer, non pas sa transpiration mais le foutre poissant ses doigts.
chrislebo

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#1,220
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Lorsqu'il s'était préparé pour venir à la réception, il n'avait pas enfilé de caleçon et avait déboutonné discrètement sa braguette sous la table avant de gagner la piste de danse.

Une fois en place sur la piste il avait positionné l'adorable jeune femme de façon à ce que mister coté gauche se trouve face au mur, permisterne ne pouvait donc se rende compte que sa main allait et venait dans mister pan-talon ouvert.

Amos avait retiré alors sa pochette noire de sa poche de poitrine et l'avait tendue à la jeune femme alors qu'elle susurrait aigrement :

- Vous n'êtes qu'un bâtard! En s'emparant du mouchoir de la main droite.

Il la regardait fixement souriant de toutes ses dents lorsqu'elle le transfé-ra dans mister autre main pour nettoyer les doigts poisseux de foutre de sa main gauche.

La main posée sur sa taille, il la ramena à leur table il la vit avec ironie froisser le noir mouchoir pour le dissimuler à la vue de tous;

Elle l'avait divinement branlé sur la piste de danse sous la promesse de la ramener à leur table une fois qu'elle l'aurait fait juter entre ses doigts.

Juste avant d'arriver à leur table, il lui murmura à l'oreille :

- Ne cours pas aux toilettes, une fois que nous serons assis à notre table, je veux te voir remonter tes doigts jusqu'à ton visage pour mieux humer l'odeur de ta menotte.

Une fois assis à table, elle empoigna mister sac à main qu'elle avait laissé sur sa chaise, elle l'ouvrit lestement et y fourra discrètement le mouchoir souillé de foutre.

Se pliant à l'humiliante demande de mister suborneur elle frismisterna de dé-goût tant l'odeur de ses doigts la rendait nauséeuse.

Elle sentit mister estomac se soulever lorsque penché sur elle il lui susurra :

- Lundi matin je te ferai avaler une bonne dose de mon foutre.

Et, comme mister mari était tourné vers mister autre voisin de table, elle sentit la main du vil professeur se poser sur ses cuisses pour en palper lascivement la chair tendre, elle frismisterna dévastée de honte en le sentant tendre le doigt pour suivre les contours de ses babines au travers de mister fond de petite culotte.

Elle serra les dents en le sentant glisser ses doigts sous la bordure élastique de sa petite culotte pour lui palper la chatoune en toute liberté.
chrislebo

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#1,221
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Ce dimanche matin, le professeur Amos Thompmister était chaudement accueilli par le Pasteur Knowlton qui l'avait invité assister au service la veille au soir.

Comme la femme du pasteur Knowlton s'avançait pour le saluer, Amos senti une

bouffée d'excitation l'envahir alors qu'il tendait sa main pour prendre la sienne la saluant avec déférence :

- Ravi de vous revoir madame Knowlton...

Sentir la main de la voluptueuse beauté trembler dans la sienne le réjouissait profondément.

Il était bien normal qu'elle soit aussi nerveuse en saluant l'homme qui avait longuement abusé de ses succulents charmes la veille. Toute tremblante elle prit place à mister coté.

Assis juste à coté de l'adorable femme du pasteur sur le deuxième banc de l'église, il appréciait vivement de la voir trembler de peur alors qu'il pressait sa cuisse contre la sienne.

Amos connaissait les méfaits commis par le pasteur Knowlton à l'encontre de ses paroissiennes mais il ignorait que ce dernier l'avait observé longuement en train de baiser sa femme la nuit dernière.

Mais Amos se réjouit encore plus de voir Troy et Gwen Bannister les re-joindre, c'était le couple qui avait partagé leur table lors de la réception de mariage la veille au soir.

Il les salua convivialement alors qu'ils prenaient place à leur coté sur le même banc, Amos savait que c'était le pasteur qui avait déterminé les places occupées par ses paroissiens.

Assis entre les deux somptueuses femmes, une qu'il avait baisé jusqu'à l'os et l'autre qu'il mourrait d'envie de sauter, Amos bandait comme un âne alors que la messe commençait à peine.

Dressé dans sa chaire, le pasteur Knowlton représentait bien le pilier de sa paroisse, l'image d'un homme respecté de tous, permisterne ne connaissait ses sombres secrets intimes qu'il ne mettait en oeuvre qu'en de strictes occasions privées.

Son adorable épouse Nell était un exemple de cette ignorance, elle igno-rait totalement que mister mari savait parfaitement qu'elle avait été violée puis soumise à un horrible chantage, pas plus qu'elle ne savait qu'il se tenait à la fenêtre de leur chambre la dernière nuit observant avec exci-tation le pervers professeur, assis à mister coté à cet instant, se la faire à couilles rabattues.

Le pasteur Knowlton avait découvert la fascination de mister épouse pour les peaux noires, il savait que c'était tout à fait forcée au début mais que c'était vite devenu sa drogue, il épiait avec perversité les ébats de sa femme avec toutes les grosses bites qu'elle accueillait dans mister intimité.

Mais mister secret avait été éventé par un tiers, il avait été lui-même filmé matant les ébats de sa femme, il avait alors été l'objet d'un chantage, mister maître chanteur avait exigé un important prix en échange de mister si-lence et de la non-divulgation de la cassette vidéo, il lui avait tout d'abord obéi à contrecœur, mais maintenant sa participation aux méfaits qu'ils commettaient était toute volontaire.

Le pasteur Knowlton prenait un soin particulier de ses paroissiennes et plus particulièrement de celles qui étaient fraîchement mariées ou sur le point de convoler.

Non seulement il recevait leurs vœux maritaux, mais encore partageait-il la couche de ces jeunes femmes qu'il accueillait confraternellement dans ses bureaux.

La veille au soir, à la demande du pasteur Knowlton, Troy et sa ravis-sante épouse s'étaient assis en compagnie du couple de jeunes mariés à la table du professeur Thompmister.

Troy et sa famille étaient membres de la congrégation depuis de longues années et la photo des jeunes mariés avaient été publiées dans le jour-nal de la paroisse et sur le site web la semaine suivant leur mariage qui avait eu lieu à Bridgemont, dans la ville native de la jeune épousée.

Après leur mariage et la lune de miel, les nouveaux mariés devaient venir habiter Presswood ou les Bannister possédaient plusieurs terrains où construire une maimister.

Le professeur Thompmister avait vu la photo des jeunes époux alors que le pasteur Knowlton avait usé de des charmes de la jeune mariée.

Lors de la réception de mariage, la ravissante madame Gwen Bannis-ter lui avait tapé dans l'œil, il l'avait reconnue d'après la photo parue sur le site web de la paroisse montrant l'époux et mister adorable épouse qui rejoignait maintenant la congrégation du mari.

Elle irradiait dans la tenue rose qu'elle arborait alors qu'elle se mêlait en compagnie de mister mari à la foule des invités gravitant autour de la pis-cine en attendant l'ouverture des portes de la salle de réception.

Se pourléchant les babines, Amos concluait que les 25.000 $ qu'il avait versé pour sauter ce morceau de choix pendant les presque 24 que du-rerait la réception, s'avéraient vraiment une bonne affaire.

Quelle beauté! ... Elle paraissait si douce dans sa tenue toute rose, du rouge aux lèvres aux orteils vernis en rose, une vraie symphonie en rose! ... Elle lui aurait paru encore plus adorable sans un seul vêtement, ses adorables petons posés sur mes épaules.

Bordel ce que je vais aimer grimper cette salope! ... Méditait-il lascive-ment.

Amos fixait attentivement le jeune couple enamouré qui prenait place face à lui de l'autre coté de la table, il ne put s'empêcher de se pourlé-cher les babines par anticipation à la vue du magnifique diamant ornant mister annulaire.

L'éclat de ce diamant brillant à mister doigt accroissait follement mister excita-tion.

- Oooooh... Ils mistert à peine mariés depuis un mois et je vais pouvoir user des charmes de la jeune épouse cet après-midi même! ...

Cet éclatant diamant briller de mille feux lorsque ses doigts seront refermés sur ma grosse hampe noire! ...

- Prend-elle la pilule? ... Mon Dieu j'espère bien que non! ... Si elle ne la prend pas, dans 9 mois elle pourrait bien écarter ses somptueuses cuisses pour donner naissance à un petit bâtard noir! ... Bordel, si cela arrive, j'espère seulement que mister mari se trouvera dans la salle de travail pour assister à l'événement! ... Gloussait-il au fond de lui-même.

Troy Bannister sa pavanait fier comme un paon, il était visiblement ex-trêmement fier de présenter mister exquise épouse à ses nombreux amis qui attendaient eux aussi l'ouverture des portes de la salle de réception.

Il était vraisemblablement enchanté que Gwen ait accepté de déména-ger à Presswood pour y entamer leur vie conjugale, elle venait par ail-leurs d'être titularisée sur un poste d'institutrice élémentaire à l'école de Presswood.

Ils avaient tous deux 23 ans et leur avenir ne pouvait pas paraître meil-leur.

Il était très fier de la somptueuse beauté de sa jeune femme, une beauté dont chaque homme dans la salle aurait aimé partager le lit! ...

Ils étaient assis à la même table que le couple Knowlton, leur invité et un autre couple de jeunes gens.

Quelques semaines plus tôt, juste après que mister mari l'aie présentée au pasteur Knowlton le premier dimanche suivant leur installation à Presswood en tant que mari et femme, Troy et Gwen acceptèrent avec enthousiasme de participer aux journées de formation à la vie maritale initiées par le pasteur Knowlton.

Le fait qu'ils étaient jeunes mariés rendaient essentielles leur participa-tion à ces cours.

Comme les entretiens avec le conseiller conjugal, menant les travaux, nécessitaient d'être individuels, il tombait bien que ce dimanche après-midi Troy se soit engagé à jouer au Soft-Ball avec ses vieux copains, Gwen en profita pour programmer une entrevue avec le conseiller mari-tal ce même après-midi.

Troy était le seul petit ami que Gwen avait eu depuis qu'elle l'avait ren-contré lors de ses premières années de collège.

Elle avait eu bien du mal à résister à la tentation de se donner à ce jeune homme qu'elle aimait, mais elle s'était débrouillée pour ne lui accorder que des caresses très intimes de façon à le faire patienter.

Ce matin, après s'être rendu à l'église, le jeune couple s'était longuement enlacé pour fêter l'anniversaire du premier mois de leurs épousailles.

Langues entremêlées ils s'étaient excités l'un l'autre comme ils adoraient le faire Troy Bannister aurait aimé que sa femme, tout comme cette nuit lui taille une savoureuse pipe d'une langue agile, l'amenant à se vider les couilles dans sa bouche et sa gorge emplies de sa semence.

A l'insu de Gwen, ce charmant professeur assit à mister coté sur le banc de l'église, se réjouissait de la rencontrer cet après-midi même.

Le bâtard noir possédait les fonds nécessaires et avait accepté de payer la somme réclamée pour que le conseiller matrimonial la place sous état magictique dans mister bureau de façon à ce qu'il puisse bien la connaître... Très intimement en fait!

A cet instant même cet homme qui semblait avoir les yeux rivés sur sa bible observait en fait ses longues cuisses blanches qui apparaissaient au-dessus de sa jupe noire et le diamant qui brillait à mister annulaire.
chrislebo

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Si l'entrevue de Gwen avec le conseiller matrimonial s'avérait un succès, Troy Bannister ne serait plus très longtemps le seul à user des charmes de sa ravissante femme! ...

La messe terminée, Amos se joignit aux Bannister et au pasteur Knowl-ton accompagné de mister épouse pour profiter des rafraîchissements of-ferts par la paroisse.

La bite d'Amos tressauta d'impatience en entendant le pasteur Knowlton commenter :

- Je suis très heureux de voir Gwen se joindre à notre congrégation! ... Tout juste mariée et installée à Presswood 2 semaines après leur lune de miel elle se dévoue déjà pour nous aider gracieuse-ment dans la conduite des cours de formation conjugale! ... Je suis si heureux, nous avions vraiment besoin qu'un jeune couple se joigne à nous pour conserver un certain équilibre entre les âges des différents groupes participant à ces menées.

- Chère amie, vous trouverez en Monsieur.

Mollway un conseiller très amical et efficace, et il vous mettra tout de suite à l'aise! ...

Quand ils eurent tous vidés leurs verres de ponche, Troy Bannister an-nonça :

- Eh bien nous allons nous quitter maintenant... Je vais tout d'abord emmener Gwen jusqu'au restaurant pour prendre une rapide colla-tion avant qu'elle ne se rende à mister rendez-vous avec le conseiller matrimonial.

Sur ce Amos tendit la main au jeune homme et le félicita :

- J'ai été enchanté de vous rencontrer vous et votre ravissante épouse... Toutes mes félicitations pour avoir fait de cette ravis-sante jeune femme votre épouse! ...

Puis il tendit la main à la jeune épousée, sa bite vibrait d'excitation dans mister caleçon en serrant dans sa main la menotte manucurée de sa future proie.

- Oh chérie, encore une paire d'heures et ta ravissante petite main se refermera sur ma grosse bite! ... frismisternait-il par anticipation.

Quelques heures plus tard, caché dans les toilettes avec le pasteur Knowlton ils mataient tous deux le vieux Mollway saluer la jeune mariée alors qu'elle pénétrait dans le hall de réception. Amos se prenait d'amitié pour le jeune pasteur et se sentait un peu coupable d'avoir sauté sa ravissante femme ce jeudi soir! ...

Il n'avait aucunement conscience qu'en fait le jeune pasteur avait épié toute la scène par la fenêtre de la chambre.

- Je sens que mon ami Knowlton préférerait participer à l'action plu-tôt que la mater! ... Mais bordel quand j'ai vu Molly magictisée par Mollway s'agenouiller, J'ai vraiment assisté à la meilleure leçon de fellation délivrée par maître en la matière! ... Bordel quel spectacle! ... Réfléchissait Amos se remémorant la première fellation délivrée, sous emprise magictique, par la prude Kelly Garismister dont ils avaient assisté au mariage la nuit précédente.

Le jeune et innocente Gwen Bannister était ravie de se voir si chaleureu-sement accueillie dans la congrégation, et de se voir sollicitée par le pas-teur pour participer aux travaux de la cellule d'initiation à la vie conjugale.

Une fois que monsieur Mollway se fut présenté et lui ait donné un ques-tionnaire à remplir en vue de sa participation aux différents travaux, elle entreprit de le renseigner tandis que l'ancien pasteur maintenant conseil-ler marital gagnait mister bureau pour préparer l'étape suivante comportant une session d'magictisme qui permettrait à la jeune femme de répondre aux questions sans aucune hésitation.

Elle ne se doutait absolument pas à ce qui l'attendait vraiment une fois franchie la porte du bureau, ni ce à quoi servait véritablement la session d'magictisme.

Amos et le pasteur Knowlton observaient attentivement la naïve jeune épousée s'allonger sur le divan de psychiatre, alors que l'ex-pasteur s'occupait maintenant de la placer sous magicse.

De leur cachette les deux pervers épiaient le vieux Mollway qui plongeait sa proie dans un état de suggestion de plus en plus profond ce qui allait lui permettre de dévoiler ses secrets les plus intimes.

- Comment t'appelles-tu? ...

- Gwen Bannister...

- Quel âge as-tu? ...

- 23 ans...

- Travailles-tu? ...

- Pas pour l'instant, mais je commencerai à travailler à la mi-août...

- Quel sorte d'emploi? ...

- Un emploi d'institutrice à l'école maternelle de Presswood...

- Depuis combien de temps es-tu mariée? ...

- Un mois exactement aujourd'hui...

- Quel est ton nom de jeune fille? ...

- Hamilton...

- As-tu programmé, avec ton mari de fonder une famille? ...

- Oui...

- Tout de suite? ...

- Cela pourrait arriver accidentellement, mais nous avons plus tôt prévu dans un an ou deux...

- Prends-tu la pilule? ...

- Non...

- Ton mari utilise-t-il des capotes quand vous faites l'amour? ...

- Oui...

- As-tu déjà baisé avec un autre que ton mari? ...

- Non...

- Etais-tu vierge le jour de ta nuit de noce? ...

- Oui...

- As-tu déjà pensé à baiser avec un autre homme que ton mari? ...

- Jamais, absolument jamais...

- As-tu déjà fait une fellation à ton époux? ...

- Oh non, non...

- T'as-t-il déjà sodomisée? ...

- Oh non...

- As-tu déjà entendu parler du mythe concernant les hommes noirs? ...

- Oui...

- Penses-tu que ce soit vrai? ...

- Je ne sais pas...

- T'es-tu déjà demandé si c'était vrai? ...

- Oui...

Ces questions et réponses obtenues sous magicse étaient maintenant bien implantées dans mister esprit, ce qui devait entraîner une forte pro-pension à découvrir la vérité quant à la dernière question! ...

La ravissante blonde était maintenant sous l'emprise d'un état magictique profond, Mollway lui intima alors d'obéir à ses instructions, ses yeux semblaient totalement vide alors qu'il ordonnait :

- Donne-moi ta main droite que je puisse t'aider te remonter sur le sofa.

Et, un fois qu'il l'eut aidée à se redresser, Mollway posa sa main sur sa taille et poursuivit :

- Suis-moi ma chérie, laisse-moi te guider...

Sur ces mots il la guida vers un lit situé dans un coin de la pièce, tout en lui caressant lascivement la croupe.

Il l'aida ensuite à s'allonger à plat dos dur le lit tout en entreprenant de lui palper ses longues jambes.

Il lui indiqua alors :

- Tu vas ressentir énormément de plaisir à être caressée... Imagine que c'est ton mari qui te câline... Que cela t'excite profondément... Que cela te donne envie de faire l'amour avec lui...

Alors que la somptueuse jeune épousée était allongée sur le dos, Moll-way bloquait la vue sur le pied du lit alors qu'il lui caressait maintenant les cuisses.

Le pasteur Knowlton soupira à l'oreille d'Amos :

- Le vieux Mollway est fétichiste du pied... Je parie qu'il a une folle envie d'éjaculer sur ses pieds...

De fait cela semblait exact, déjà le corps tressautant, il jouissait.

Puis il se tourna vers eux, leur faisant signe de venir le rejoindre pour participer à l'action.

Sortant de leur cachette ils s'approchèrent du lit, ils se rendirent alors compte que Mollway avait ôté les hauts talons noirs de l'adorable blonde il les avait enlevés alors qu'ils étaient couverts de foutre, il s'était vidé les couilles sur ses pieds...

Le Pasteur Knowlton, était enthousiaste à l'idée de quitter mister rôle de spectateur pour participer activement à la dégradation de leur somp-tueuse proie.

Ayant entendu les réponses aux questions du conseiller Mollway l'idée d'être le premier à glisser sa grosse pine entre ses lèvres charnues lui faisait monter des gouttes de pré-sperme au méat.

Il savait que ce genre de pensée étaient bien viles et perverses mais il savait parfaitement qu'il était maintenant bien loin d'obtenir un jour sa rédemption, qu'il continue ou pas ses méfaits.

Et comme de plus il s'excusait lui-même, prétextant d'une trop grande faiblesse envers les tentations de la chair...

Poste-toi à sa tête Knowlton... Délivre ta bénédiction spéciale à notre nouvelle paroissienne... Je vais la déloquer, qu'on découvre les secrets qu'elle cache sous sa prude robe noire... Intima Mollway tout en laissant courir sa main calleuse sur ses longues jambes sexy.

Tandis que le pasteur Knowlton prenait place à la tête du lit, le conseiller Mollway renforça mister état de suggestion en ajoutant :

- Pense au plaisir que tu vas délivrer à ton bien-aimé en te servant de tes douces lèvres... Tous les hommes adorent que de ravissantes femmes accueillent leur pendis vibrant dans leur bouche... Même si certaines femmes peuvent penser qu'il s'agisse là d'un acte dégradant imagine à quel point un homme peut être fier de voir une adorable jeune femme comme toi se soumettre à mister désir...

- Et maintenant ouvre bien la bouche comme si tu communiais... Oui comme ça... Et maintenant tend la langue... exactement comme si le pasteur Knowlton déposait une hostie sur ta langue dans mister église... Oui... Oui... Comme ça ma petite chérie... Ecarte un peu plus les lèvres... Oui comme ça...

La conseillait Mollway en la voyant obéir docilement à ses ordres.

En voyant le visage du jeune pasteur afficher un plaisir béat, l'entendant grogner sa satisfaction, alors que tout mister corps frismisternait alors que sa bite coulissait aisément entre ses lèvres hospitalières, Mollway se de-mandait si mister excitation ne devenait pas trop forte pour qu'il puisse conserver plus longtemps le contrôle de ses sens, et s'il n'allait pas délivrer une abondante communion sur le visage et dans la bouche de la somptueuse jeune épouse dégradée par leurs soins.

Pendant ce temps Amos avait disposé la jeune beauté sur le flanc pour qu'elle s'occupe plus facilement du jeune pasteur.

Comme le pasteur Knowlton lui tenait fermement la nuque alors que sa bite coulissait allégrement entre ses lèvres, Amos dégrafa le curseur dorsal de sa robe et l'agrafe de mister soutien-gorge de dentelle noire.

Puis replaçant l'adorable jeune femme sur le dos, il tira la robe vers le bas passant ses genoux et ses chevilles avant de la lui ôter. Puis ce fut au tour de mister affriolant soutien-gorge, il put ensuite saisir entre index et pouce les mamelons dardés de ses somptueux nibards.

Il sourit en voyant ses tétons se raidirent. Il saisit alors à deux mains la ceinture de sa petite culotte noire et une seconde plus tard découvrait ses blondeurs intimes.

- Ohhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhh... Oh doux Jé-suuuuuuuuuussssssssss... Oui comme ça... Oh Gwen... Caresse moi du bout de la langue... Ahhhhhh... Ahhhh... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... groga alors les pasteur Knowlton alors qu'il se vidait les couilles dans sa bouche hospitalière.

- Avale madame Bannister... Avale tout ce bon foutre chaud dont le gentil pasteur vient de te faire don... A partir de ce jour, tu adoreras le goût de la semence masculine ma petite chérie! ... Lui implanta immédiatement mister magictiseur dans mister esprit embrumé.
chrislebo

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Une fois que Mollway eut préparé le terrain en ajoutant quelques suggestions magictiques additionnelles, persuadant la jeune épouse qu'elle devait dorénavant extérioriser ses émotions lorsqu'elle ferait l'amour avec mister "mari"', Amos se releva et enfourcha le corps de sa succulente proie.

Il regardait sa bite vibrer d'impatience et frémit de joie en entendant Mollway poursuivre :

- Tend la main entre ton "mari" et toi! ... Prend sa bite en main et commence à la branler langoureusement! ... Sens-tu comme sa bite est raide et épaisse, c'est tellement il a envie de te posséder! ...

La vue des fins doigts manucurés refermés sur sa bite lui plaisait autant que de se faire branler! ...

- Et maintenant guide ton "mari" qu'il te pénètre! ... Frotte mister gland dans ta fentine! ... Enduis sa grosse prune de ton succulent jus! ... Lui indiquait Mollway.

- Oui... Oh oui ma petite chérie... C 'est ça... Ecarte tes cuisses en grand ton "mari" est follement excité... Sa bite est bien plus grosse que d'habitude! ... Tu dois bien le sentir... Commentait-il à l'usage de la succulente jeune femme éperdue de désir.

- Tu sens la bite de ton mari! ... Caresse ses bras musclés... Remonte tes jambes si sexy et verrouille les dans mister dos! ... Oui... Comme ça... Sers-toi de tes cuisses pour l'inviter à t'investir... Invite-le à te faire l'amour... montre-lui que tu veux qu'il te BAISE! ... L'instruisait-il.

- Excellant... Serre sa bite avec tes muscles vaginaux... sers-toi de tes sphincters pour enserrer sa grosse bite... Montre à ton "mari" à quel point tu as envie de lui, ma chère madame Bannister... Excite le encore en utilisant des mots vulgaires, ma chérie... Conseillait Mollway en observant attentivement la séance de baise qui se dé-veloppait dans le lit.

Ses doigts minutieusement manucurés caressant les épaules et les avant-bras musclés d'Amos, ses splendides jambes ivoirines refermées dans mister dos, Gwen pantelait :

- Oh Troy... Ohhhhhhh fais-moi l'amour... Oh ouiiiiiiiiiiiii... T'es si grooooooooooosssssssss... Haletait-elle le corps couvert de sueur alors qu'elle cherchait à s'adapter aux dimensions inusitées de mister "mari". Elle écarta encore plus ses cuisses, ses orteils vernis se tendant comme aimantés par le plafond.

- Oh mon Dieu... BAISE-MOI... BAIUSE MOOOOOOIIIIIIII... Ohh-hhhhhh... Tu me distends la chatoune... Arrrrggghhhhhhhhhhh... Grognait-elle éperdue de plaisir.

- Ohhhhhh... Bordel ce qu'elle est étroite... Elle m'épluche quasi-ment la queue... Grommelait Amos alors qu'il enfouissait sa bite de quelques centimètres de plus dans mister étroite fente, il la pénétrait maintenant de quelques bons 10 centimètres, à peine la moitié de la taille de mister énorme chibre.

- Mmmmmmmmmmmm... Mmmmmmmmmmm... Grondait-il alors qu'un plaisir douloureux le submergeait à chaque coup de boutoir. Il était ravi de distendre la chatoune de cette somptueuse salope, avec sa bite visiblement bien plus conséquente que celle de mister époux, maintenant l'étroite moule de la nouvelle épousée lui rabo-tait véritablement durement mister épaisse mentule.

Il coulissait avec peine dans mister étroit chaton, Amos se réjouissait en repensant que mister mari utilisait toujours une capote, il réalisait qu'il allait être le premier à emplir le ventre de cette ravissante salope de mister fou-tre crémeux! ...

- Oh chérie... Oh oui... Je vais t'engrosser! ... Je vais te foutre un petit polichinelle dans le tiroir... Délirait-il enthousiaste.

Il la martelait maintenant la jeune chienne à la vitesse d'un marteau pilon il espérait vivement que les caméras enregistraient bien cette séance de baise qu'il faisait durer à sa guise.

Peut-être bien que dorénavant il arrêterait de temps à autre, bien sur en acquittant mister écot, pour avoir le privilège de baiser à nouveau cette succulente pute mais cette fois elle serait pleinement consciente, elle s'offrirait à lui après qu'il lui eut dévoilé les images de leur exceptionnelle séance de baise.

Il savait qu'elle devrait se soumettre et écarter ses ravissantes cuisses pour lui par peur que mister mari apprenne mister infidélité

Il savait par ailleurs que cette ravissante petite salope serait bientôt obli-gée d'écarter ses cuisses en grand, et d'ouvrir ses lèvres charnues pour servir les nombreux membres du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" lorsqu'ils publieraient les images de sa dégradation sur le web en la présentant comme la nouvelle petite pute au service des noirs.

De retour à l'instant présent, il coulissait maintenant avec aisance dans sa foufoune convenablement élargie :

- Oh chérie... Je t'ai vraiment bien distendu la chagatte... Ton mari va se demander si c'est sa bite qui a rétréci la prochaine qu'il te fourrera... Il ne sentira plus grand chose quand il plongera sa ridi-cule petite bite dans ta caverne dilatée... Dorénavant il te faudra vraiment une grosse bite pour te remplir la chatoune! ... Sûrement une grosse bite noire! ... Rigolait Amos en continuant sa chevau-chée sauvage.

- Ah oui... Oh, oui... Je vais jouir... Je vais t'engrosser... Oui... Oui... Oh, ouiiiiiiiiiiiiii... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Fris-misterna-t-il en bourrant sa mentule au fin fond de mister utérus, lui remplissant giclée après giclée mister utérus fertile.

Les trois hommes se tenaient autour du lit, les yeux rivés sur cette ravis-sante jeune épousée qu'ils venaient de violer, souiller et dégrader à ja-mais! ...

Ils commencèrent alors à se congratuler avec power de compliments sa-laces.

- J'aurai vivement souhaité que le mari puisse voir mister innocente épouse à cet instant! ... Qu'il voie ce flot de foutre s'écoulant de sa chatoune! ... Commentait Amos hilare.

- Regardez les gars, elle se pourlèche les babines... Elle savoure le goût du sperme imprégnant sa bouche! .... A coup sur, c'est la première fois qu'elle reçoit ce genre de communion! ... Ajouta le pasteur Knowlton affichant un large sourire.

- Bordel elle a vraiment de très jolis pieds! ... reprenait Mollway.

Le pasteur Knowlton concluait alors :

- Quelle succulente façon d'accueillir une nouvelle paroissienne dans notre congrégation! ...

Puis le pasteur Knowlton s'empara de sa main gauche et la posa sur sa bite qui se déployait à nouveau, la vue de mister alliance, symbole de mister indéfectible union, accroissant encore sa bandaimister.

Amos se posta à sa tête, lui saisit le menton l'amenant à accueillir sa bite luisante de foutre en pleine bouche.

Le vieux Mollway, quant à lui, cherchait à resserrer ses plantes de pied sur sa hampe, ses orteils toujours poisseux de foutre cherchant à goûter à ce contact lubrique avant de se faire une branlette entre ses pieds et d'éjaculer à nouveau sur ses orteils.

Les trois pervers bâtards cherchaient à satisfaire leurs graveleux appé-tits aux dépens de leur délicieuse proie, ils étaient sur le point de jouir à nouveau.

Un peu plus de dix minutes plus tard, la jeune beauté toujours sous hyp-nose tendait la main pour prendre

une serviette de toilette mouillée pour suivre les instructions de Mollway :

- Utilise cette serviette pour te nettoyer les mains et les pieds! ...

la regardant obéir docilement il ajouta :

- C'est ça ma petite chérie! .. Essuie tout ce foutre qui embourbe tes doigts et tes orteils, sans oublier de nettoyer ton alliance couverte du sperme de ton gentil pasteur! ...

Comme elle se penchait pour essuyer ses pieds et ses orteils Mollway gloussa :

- N'oublie de nettoyer la semence entre tes orteils, je t'ai vraiment couvert foutre les orteils! ... Hey, hey, hey ...
chrislebo

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Puis Mollway poursuivit :

- Et maintenant file dans la salle de bain à ta droite et prend une douche bien chaude pour curer ton corps de tout ce foutre qui le couvre! ...

A cet instant Amos intervint en se désignant du doigt, il avait payé une forte somme pour se payer les charmes de la belle et voulait en profiter à fond.

Il attendit alors que Mollway ait conforté les suggestions implantées dans l'esprit de l'adorable blonde avant qu'il n'ajoute :

- Monsieur Thompmister va t'aider à te laver le dos sous la douche... Hey, hey, hey et je pense qu'il va vraiment te faire du bien sous cette douche! ...

Amos demanda alors au vieux pervers :

- Pourriez-vous chasser de mister esprit toute notion de douleur lors-qu'elle repensera à cet épisode? ... Parce que si vous le permettez, je vais lui casser le trou du cul, m'emparer de mister pucelage anal! ...

Amos se réjouit en s'entendant répondre :

- Donne-nous quelques minutes et tu pourras y aller! ... Je veux enregistrer ses expressions et ses sentiments tandis que vous serez tous deux sous la douche et que tu l'auras disposée à ton gré! ...

La porte de la salle de bains fermée, Le pasteur Knowlton et l'ex pasteur Mollway regardaient le moniteur qui retransmettait les images de luxure enregistrées par la camera.

Ils observaient attentivement Amos installant la jeune épouse sur le banc disposé contre le mur de la douche. Bientôt elle reposait la tête et les épaules posées sur le banc alors qu'il se postait dans mister dos.

Il caressait les globes charnus de mister opulente croupe d'une main douce, alors que de mister autre main il disposait mister gland au centre du cratère annelé de mister petit anus insouciant.

Puis il empoigna d'une main ferme ses hanches de façon à s'assurer une excellente prise.

Ils le regardèrent avec intensité et avalèrent leur salive alors qu'Amos donnait un brusque coup de rein et sans aucune pitié explosait le goulot resserré de mister anus tremblant lui arrachant des cris perçants :

- Nonnnnnnnnnn... Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuu... Arrêteeeeeeeeee... Ca fait mal... Maaaaaaaaalllllllllll... Troy, arrêteeeeeeeee...

Ces hurlements de douleur émanaient aussi bien du micro que directement de la salle de bain.

- Arrête... Oh, mon Dieu... Arrêteeeeeeeeeeeeeee... hurlait-elle, mais ces cris ne faisaient qu'encourager mister ignoble sodomiseur à continuer à lui casser le cul! ...

Une demi-heure plus tard, Gwen Bannister secouait énergiquement la main du conseiller matrimonial l'avisant :

- Que le temps a passé vite... J'espère vous avoir bien aidé dans la future conduite de la paroisse... Nom d'un chien, tout ce que je me rappelle c'est de m'être réveillée sur le sofa presque deux heures après m'y être étendue...

Mollway avait effacé tous les événements de cet après-midi de sa mé-moire, mais lui avait suggéré de repenser à eux la nuit dans mister lit.

Ces réminiscences devaient la corrompre, l'amenant à se demander ce qu'elle éprouverait à se faire pénétrer par une grosse mentule noire, comme celle que devait avoir le professeur Thommister qu'elle avait récemment rencontré lors de mister mariage et sur les bancs de l'église.

A partir de ce jour, madame Gwen Bannister ne retrouva toujours le même plaisir en faisant l'amour... Mais pas avec mister mari... Mais avec d'autres hommes et spécialement des noirs... Mais c'est une toute autre histoire

Mollway avait aussi implanté dans mister esprit qu'elle était désormais membre du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" et, que lorsqu'elle entendrait une phrase définie elle devrait obéir en tout point aux requêtes des autres membres.

A la mention de cette phrase spéciale, Gwen devait se comporter comme une pute expérimentée, elle devait faire la fortune de l'organisation en tant que Pouffe Pour Bites Noires.

Ils ajoutèrent plusieurs suggestions dans mister esprit afin de l'asservir totalement lorsqu'elle reviendrait dans le bureau du conseiller où qu'elle rencontrerait le jeune pasteur ou le vieux conseiller au gré de ses déplacements.

Non seulement ils avaient programmé de se servir d'elle selon leurs désirs lubriques, mais encore Mollway avait-il installé des suggestions lubriques dans mister esprit qui lui intimaient d'allumer vicieusement certains hommes de Presswood.

Plus tard ils implantèrent même l'ordre de séduire le vieux concierge noir de l'école élémentaire l'invitant à la baiser à couilles rabattues sur le bu-reau de sa classe! ...

FIN DE L'HISTOIRE
chrislebo

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Je suis une bonne lope pour vieux pervers actifs


Je suis un homme de 39 ans, plutôt mignon, sportif. Je fais pas mal de musculation.
Je suis marié mais bi. Parfois l’envie d’une queue me prends et alors je ne résiste pas longtemps. Je recherche mes
amants sur internet. Je ne suis que passif et docile. J’aime devenir la bonne petite salope obéissante du mec qui me baise.
Ma dernière rencontre était avec un mec mûr de 50 ans. Il est venu à mon bureau (je travaille seul) et nous sommes
descendu au WC du sous sol qui mistert toujours déserts. Il n’était pas très beau même plutôt laid mais j’aime ça m’offrir à
des vieux, laids, vicieux et dominants. On s’est enfermé dans les toilettes. J’ai enlevé mon pull et il a tout de suite pincé
mes tétons en m’enfonçant sa langue dans la bouche. J’ai répondu à mister baisé bien baveux en caressant sa queue à
travers mister pantalon. Il a baissé mister pantalon et moi aussi. Je bandais fort et je me suis mis a croupis pour le sucer. Il était
très poilu, mister sexe et ses couilles étaient poilus ainsi que mister torse. J’ai caressé ses tétons en avalant sa queue qui
grossissait. Il me traitait de salope et de pute en donnant des coups de reins pour que j’avale bien sa queue.
Après je me suis relevé. Il m’a retourné contre le mur et a frotter sa queue entre mes fesses en me branlant. Il a voulu que
je l’embrasse encore, sa langue et sa bouche était toute baveuse de plaisir. Il enfonçait mister doigt dans mon cul en
m’insultant. J’étais super excite !
Il m’a remis par terre, accroupis les jambes bien écarté. Il a pris ma tête entre ses mains et m’a baisé la bouche. J’ai senti
mister corps se tendre et il a jouis dans ma bouche. J’avais la tête coincé contre le mur et j’ai du tout avaler. Au même
moment j’ai éjaculer sur le carrelage des WC. Il est reparti aussitôt en me disant que la prochaine fois il me défoncerait le
cul. Il a voulu que je l’implore à genoux de venir me baiser. Je l’ai fais… Depuis j’attends cette future rencontre avec
impatience car je sens que je vais être encore plus salope et pute que jamais !

Je précise que je suis marié et que je me fais baiser par des mecs mais aussi parfois par ma femme (avec un gode
ceinture) ou par les amants de ma femme…
chrislebo

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Une terrible aventure


Je m'appelle Virginie, j'ai 31 ans, je suis mariée depuis 7 ans et je suis maman d'une petite fille de 4 ans. Je mesure 1m69, je suis brune aux cheveux courts au carré et sans fausse modestie, je suis assez jolie, si j'en juge par les regards insistants qui suivent mon passage quand je marche dans la rue. J'ai en outre fait une (courte.) carrière de mannequin. Nous habitons Paris, et je connais mon mari (qui a 34 ans) depuis 13 ans et nous nous aimons passionnément. C'est le premier homme que j'ai connu et ça a été le bon. Bref, nous sommes un jeune couple heureux et sans histoires.
Mon mari est cadre dans un groupe international spécialisé dans la construction de sites industriels, il est promis à une carrière des plus brillantes. Il y a quelque temps, nous avons été invités à une soirée élégante par un de ses clients qui était sur le point de conclure un contrat de très grande ampleur avec mon mari. Si ce projet se réalisait, mon mari serait propulsé au conseil d'administration de l'entreprise... mister désir le plus cher.
Pour cette soirée et pour faire honneur à mon mari, je décidais de m'habiller très élégamment. J'avais opté pour une robe noire en satin très moulante, arrivant sous le genou et fendue jusqu'au milieu de la cuisse et avec un décolleté en V très profond dans le dos, le devant étant un ras du cou que j'ornais d'un rang de perles. C'est dans toute ma garde-robe, la seule tenue vraiment sexy, même si j'ai horreur de ce mot. Le regard que me lança mon mari quand il me vit sortir de la chambre ainsi vêtue était empreint de tendresse et de reconnaissance. Il appréciait, je crois, que j'ai compris sans qu'il m'en parle que mon élégance, ma beauté et ma distinction (ce mistert ses mots.) le rendraient plus fort pour mener à bien sa négociation. Je lui souris, heureuse de contribuer, ainsi, modestement à mister succès. Et, en effet, ma tenue plût visiblement beaucoup au client de mon mari qui n'hésita pas à me complimenter plusieurs fois au cours de la soirée mais surtout à me jeter des regards furtifs qui en disaient long sur l'attrait que j'exerçais sur lui. Il est vrai que cette robe mettait vraiment en valeur mon corps, ma poitrine aux volumes sensuels, ma taille extrêmement fine, mes reins cambrés, la courbe de mes hanches et mes fesses bien rondes. Le tissu élastique était si moulant qu'il ne permettait pas le moindre sous-vêtement. Etre nue sous mes vêtements est vraiment très inhabituel pour moi. Cette robe de prix m'avait contraint bien malgré moi à le faire, non sans ressentir à chaque fois beaucoup de gêne.
Tout au long de la soirée, je fus l'objet de regards insistants des invités, certains n'hésitant pas à me frôler dans la cohue qui s'était formé près du buffet. Les femmes présentes étaient, elles, pour le moins distantes et leur regard dépourvu d'aménité à mon égard. Je commençais à regretter mon audace.
Mon mari et mister client se retirèrent dans un salon pour discuter de leur projet. En parfaite épouse, je restais près de mon mari tandis qu'ils se mirent à discuter du projet. Je les écoutais attentivement, sagement assise dans le canapé à côté de mon mari.
Les regards que le client de mon mari jetait sur moi finirent par me mettre mal à l'aise. Le sentiment d'être déshabillée du regard conjugué au fait d'être nue sous ma robe accrut mon malaise, d'autant plus que la gêne eût sur moi un effet inattendu : Mes tétons se mirent à durcir et pointaient impudiquement sous le tissu tendu de ma robe. Ma honte fût à mister comble quand cet homme par mister regard insistant m'en fît prendre conscience. Ses yeux détaillaient mes seins moulés dans la robe, il pouvait les détailler pratiquement comme si j'avais été torse nu devant lui. Légèrement en poire et écartés sur les côtés, ils ne mistert pas énormes, mais depuis ma grossesse, je porte des soutien-gorge 90 bonnet C. Le contour des aréoles, pas très larges était même perceptible. Je croisais mes bras devant ma poitrine, rouge de honte. Le client me regardait avec un étrange sourire aux lèvres. Nous le quittâmes peu après, pour mon plus grand soulagement. C'était la première fois que je sortais ainsi vêtue pour aider mon mari à conclure une affaire. Intérieurement, je lui en voulais un peu, tant la soirée avait été désagréable pour moi.
Quelques jours après cette soirée, mon mari devint de plus en plus nerveux. Il ne comprenait pas pourquoi mister client ne voulait plus signer dans l'immédiat. Il se posait beaucoup de questions et devenait invivable tant ce projet lui tenait à cœur. Le stress commençait à le ronger.
2 semaines plus tard, le téléphone misterna en pleine journée. C'était le client de mon mari qui désirait me parler en privé et ce, à l'insu de mon mari. Il me donna rendez-vous dans un hôtel car il était de passage à paris. Il me dit que c'était très important et que cela concernait directement mon mari. J'hésitais longuement à y aller sans en parler à mon mari. Finalement, je me suis résignée et je me suis rendue à l'hôtel Bristol juste après avoir conduit ma fille à l'école. Je portais un pantalon de Jersey beige et un pull en mohair blanc avec des mocassins à talons plats.
Il m'a accueillie dans le salon de sa suite et avisant ma tenue, il eût une petite moue peu engageante. Interloquée par cette mimique incroyable et si incorrecte, je le suivis néanmoins jusqu'au salon de la suite et là, avant même que je n'ai eu le temps de lui demander le pourquoi de ce rendez-vous, il m'a dit qu'il était prêt à signer le contrat mais uniquement si, en échange, j'acceptais de coucher avec lui. Offusquée, je l'ai giflé sans aucune retenue, et sans ajouter un mot, j'ai tourné les talons et je suis rentré chez moi. Le soir même, mon mari est rentré à la maimister dans un état épouvantable en m'annonçant que le projet ne se réaliserait pas. C'est là que j'ai compris que le gars ne bluffait pas. Je me suis sentie responsable de cet échec et, inexplicablement, j'avais honte de mon comportement, honte d'avoir ruiné les projets de mon mari. Lui se sacrifiait souvent pour nous, et là, je refusais d'en faire de même. Toute la nuit, je retournais dans ma tête ce cruel dilemme : J'avais le pouvoir de sauver le projet de mon époux. Le lendemain, en prenant mon courage à deux mains, afin de sauver la situation de mon mari, j'ai décidé de contacter le client, la mort dans l'âme. Je lui ai demandé d'une voix blanche s'il pouvait revenir sur sa décision si j'acceptais sa proposition. J'entendis un bref rire, puis il me demanda de le rejoindre dans sa suite immédiatement. J'allais raccrocher quand il ajouta :
chrislebo

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#1,227
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- Tâchez d'être plus sexy qu'hier. Mettez une jupe et des bas. et mettez des escarpins à talons. j'aime les longues jambes et les jolies cambrures. Il raccrocha.
En proie à des vertiges, je me rendis dans ma chambre telle une automate. Là je choisis un tailleur bleu foncé avec une jupe plissée au dessus du genou, un chemisier blanc en satin, je revêtais des bas fumés auto-fixants, les seuls que je possède, une culotte brésilienne, dont le reflet dans la glace me fît d'avance regretter d'offrir à cet individu le spectacle de mes rondeurs si complaisamment dévoilées et mises en valeur, un soutien-gorge à balconnets qui rehaussait mes seins (dont la tenue naturelle, malgré leur volume, n'avait nul besoin), le tout de couleur Parme. Je complétais ma tenue avec mes escarpins bleu foncé. Incapable de conduire, je pris un taxi pour me rendre jusqu'à l'hôtel. Je subissais le regard interrogatif et intéressé du chauffeur, certainement intrigué par cette jeune et jolie jeune femme mariée qui tremblait convulsivement et qui essuyait sans cesse ses jolis yeux qui s'emplissaient de larmes. Quand je le payais, arrivés devant le hall de l'hôtel, je vis mister regard légèrement amusé aller de mon visage défait à ma main ornée d'une alliance. Submergée de honte par ce qu'il devait penser, je quittais précipitamment la voiture pour m'engouffrer dans le hall de l'hôtel. je croisais le regard de quelques passants, étonnés de voir une jolie jeune femme avec les jambes gainées de Nylon sombre en plein mois de Juin, alors que mon visage et mes bras resplendissaient du hâle de mes premiers bains de soleil printaniers Je connaissais le numéro de la suite et l'étage, aussi, m'épargnais-je l'offense d'un passage par le concierge de l'hôtel, et pris directement l'ascenseur. Arrivée devant la porte de sa chambre, les jambes flageolantes, je frappais d'une main mal assurée. Il m'ouvrit, après un long moment, comme pour me montrer que j'étais assujettie à mister bon vouloir.
Il me toisa un long moment dans l'encadrement de la porte, me détaillant des pieds à la tête, s'attardant sur le décolleté de ma veste, sur mes jambes gainées de Nylon sombre puis sur mes pieds cambrés par les escarpins à hauts talons. Il me fît signe d'entrer, s'effaça et me désigna le salon ou il m'avait accueillie la veille. Là, il s'est assis dans le fauteuil, me laissant debout devant lui, mes jambes tremblaient. Nous restâmes comme ça un long moment. Je restais immobile, subissant mister regard évaluateur, le rouge au joues. Puis, après un moment qui me parût interminable, j'entendis pour la première fois sa voix, empreinte d'une extrême courtoisie :
- Tournez-vous, je vous prie. que je voie votre dos.
Lentement, tétanisée par l'étrangeté de la situation, je me tournais de façon à lui présenter le côté postérieur de mon anatomie. Il ajouta :
- Otez votre veste. elle cache ce que je veux voir.
Tremblant plus que jamais, j'ôtais ma veste et regardant autour de moi je cherchais ou la poser. Il devina ma préoccupation et dit tranquillement :
- Posez la sur le tapis. à côté de vous. et remettez vous dos à moi. en vous tenant bien droite.
Le silence qui suivit fût un interminable calvaire, je sentais mister regard qui devait jauger ma chute de reins, la rondeur de mes fesses. J'avais l'impression de sentir physiquement mister regard sur mon corps, comme s'il me touchait. Puis, sa voix retentit à nouveau :
- La marque de votre culotte est parfaitement visible pour un œil exercé. jolie forme qui dévoile sans doute bien les fesses.. mais dont la marque sur la jupe est assez disgracieuse. Une prochaine fois. essayez de sortir nue sous votre jupe. vous en tirerez peut-être une agréable sensation. en tout cas. votre mari. ou celui qui sera avec vous, aimera sûrement.
J'avais envie de lui hurler que seul mon mari avait le droit de me toucher, mais je n'eus pas le temps. D'une voix calme, il dit :
- Otez votre chemisier, je vous prie.
Toujours de dos par rapport à lui, je crus défaillir en entendant ces mots. Je restais tétanisée. Le silence avait envahit la pièce. Je poussais un profond soupir, et maladroitement je me mis à défaire les boutons des manches de mon chemisier, puis je dus m'y reprendre à plusieurs fois pour défaire le premier bouton tant mes mains tremblaient. Ma vue se brouillait, j'étais prise de vertige mais je défis enfin le dernier bouton. Je sursautais et je poussais un petit cri quand je sentis deux mains se poser sur le col de mon chemisier. Dans mon désarroi, je ne l'avais pas entendu se lever et se placer derrière moi.Il fît glisser le chemisier sur mes épaules et le fît glisser, le posant près de ma veste. Il caressa de la paume la rondeur de mes épaules avant d'effleurer mes omoplates. Son majeur se posa à la base de ma nuque, juste sous le carré de mes cheveux et descendit le long de ma colonne vertébrale, jusqu'à la ceinture de ma jupe. Je m'étais raidie sous le contact et je tremblais à présent comme une feuille. Sa voix brisa à nouveau le silence :
- Tournez-vous, je vous prie.
Toujours ce ton suave, cette courtoisie ferme. Je me tournais en fermant les yeux, prête à défaillir. Je sentis un de ses doigts se glisser entre la lisière du bonnet et la chair de mon sein gauche, tout près de mon bras qui restait ballant le long du corps.
Le doigt progressa lentement vers le fond du bonnet puis progressa vers le centre de mon buste. Son geste eût pour effet de soulever mon sein et de le faire passer au dessus du balconnet, sur lequel il reposa. Il renouvela l'opération sur l'autre sein, d'un geste froid, un peu comme on dégage un escargot de sa coquille. sans la moindre sensualité.Mes seins reposaient sur les bonnets affaissés. rehaussés. offerts. Leur forme naturelle en poire était accentuée par cette exposition si peu naturelle. Il effleura du bout de mister majeur mes tétons et s'amusa à suivre les contour des aréoles minces et roses. Comme l'autre soir, la panique et la honte firent darder mes tétons. Je perçus entre mes yeux mi-clos un sourire dédaigneux. Les larmes coulaient sur mes joues. Sans s'en préoccuper, il dit simplement :
- Dégrafez votre soutien-gorge et posez le sur votre veste et votre chemisier. je veux voir la tenue naturelle de vos seins.
Réprimant des hoquets de panique, je pliais mes bras dans mon dos pour défaire l'attache. Mes tremblements m'obligèrent à m'y reprendre à deux fois avant que le soutien-gorge ne glisse le long de mon corps. Je le lâchais, en poussant un soupir haletant qui fît doucement bouger mes seins désormais totalement libres.Il approcha alors sa main en coupelle sous mon sein droit, et le fît rebondir ainsi durant un moment qui me parût interminable, à un tel point que mon sein commença à être douloureux. Il dit alors :
- C'est bien. les globes mistert fermes mais souples. C'est bien. Ils s'échauffent rapidement quand vous êtes émue. comme l'autre soir. voyons leur élasticité. ajouta-t-il, parlant plus pour lui même qu'il ne s'adressait à moi.
Mes tétons, effectivement, pointaient sur les aréoles elles aussi gonflées par la manipulation que je venais de subir. Il saisit délicatement un téton entre mister pouce et mister index et étira le globe vers le haut, me forçant à me dresser sur la pointe des pieds, en grimaçant. Alors, sans se départir de mister sourire, il posa sa main sur mon épaule me forçant à reposer mes talons au sol. Mon sein fût alors distendu à l'extrême, irradiant mon buste de douleur. Il relâcha alors le téton brusquement et le sein reprît sa position naturelle en ballottant quelques instants. Je fondis alors en sanglots convulsifs, tant en raimister de la douleur qu'à cause de l'offense que me causait cet homme qui jouait si froidement avec mon corps qu'il l'aurait fait d'un vulgaire porte-clés. Ignorant mes pleurs, il dit laconiquement :
- C'est parfait, vos seins mistert très élastiques. c'est important de savoir qu'on peut malmener les seins de la femme qu'on possède. cela fait partie du plaisir qu'on prend à utiliser mister corps.. Approchez vous dit-il en attirant le fauteuil et s'asseyant au bord de celui-ci.Je m'approchais d'un seul pas, sanglotant et reniflant convulsivement, agitée de hoquets qui faisaient bouger mes seins sur mon buste déjà recouvert d'une sueur d'angoisse.
Il détaillait mon buste en silence, semblant apprécier ma respiration saccadée qui faisant bouger mes seins. Je bredouillais, complètement perdue :
- Je vous en supplie. Laissez-moi. Laissez-moi partir. Je vous en prie.
Exactement comme il l'aurait fait s'il ne m'avait pas entendu, il défit d'un geste précis le bouton de la ceinture de ma jupe qui tomba à mes pieds. Sans me laisser un instant de répit, il posa ses mains sur mes hanches et me fît pivoter dos à lui. Insensible à mes suppliques, il posa une main sur mon épaule et l'autre au creux de mes reins, me forçant ainsi à basculer mon bassin vers 'avant dans une cambrure que je devinais impudique.
Je sentais ses mains effleurer le côté externe de mes cuisses, puis suivre le contour de mon slip brésilien qui laissait à nu la moitié de mes fesses. Son doigt se glissa ensuite sous l'élastique du slip et il repoussa le satin jusqu'à l'entre-fesses et renouvela l'opération sur l'autre fesse de façon à dégager complètement les globes fessiers. Tandis que je continuais à le supplier de me laisser, je l'entendis murmurer :
- Fesses splendides. globes harmonieux.. Ses doigts palpaient à présent mes globes fessiers comme s'il voulait y imprimer la marque de sa main.
- Texture ferme. Vous avez un corps fait pour le plaisir des hommes. pas pour celui d'un seul homme...
chrislebo

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#1,228
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Ne pouvant supporter ces mots, je secouais la tête de droite à gauche et poussais une longue plainte de désespoir. Je n'eus pas le temps de réagir quand il empoigna l'élastique du slip placé haut de chaque côté de mes hanches. Il le baissa d'un geste jusqu'à mes chevilles. Et de mister ton imperturbable, insensible à ma détresse, il ajouta :
- Enjambez votre jupe et votre slip. il ne vous seront d'aucune utilité pendant un moment. Tapotant d'un revers de main négligeant, il me fît enjamber le tas informe que composait ma jupe et mon slip.
J'étais là, nue, portant uniquement mes bas et mes escarpins. Je sanglotais plus que jamais, le suppliant d'arrêter, en proie au plus profond désespoir. Imperturbable, il s'est levé et a ouvert la fermeture de mister pantalon, puis, il s'est approché de moi. Me fixant dans les yeux avec une telle fermeté, que je ne pus soutenir mister regard, il me demanda de me mettre à genoux. Tétanisée, incapable du moindre geste, je sentis sa main se poser sur mon épaule, et sous la pression, je fléchis les jambes, pour tomber sur les genoux. Je me suis retrouvée le visage à quelques centimètres de sa ceinture. Là, il a ostensiblement sorti mister sexe à demi rigide et le tenant entre mister pouce et mister index, il l'a décalotté et a commencé à le balader sur mes lèvres. Toujours agitée de sanglots, mes joues littéralement baignées de larmes, je serrais mes mâchoires avec l'énergie du désespoir et je fermais les yeux, mon dernier rempart contre cette odieuse réalité. Je gardais néanmoins dans mon esprit la vision de mister membre. C'était la première fois que je voyais un autre sexe que celui de mon mari. Court mais très épais, il était surtout dotée d'un gland très volumineux, d'un rouge très foncé. Maintenant entre ses doigts ce gland contre mes lèvres, il posa sa main sur ma nuque, fermement. Je l'entendis murmurer :
- Ouvrez la bouche, je vous prie. ne me rendez pas les choses plus difficiles.
J'entrouvris les lèvres sous la pression conjuguée de mister gland et de sa main sur ma nuque et mister sexe s'insinua dans l'étroit passage. D'un coup de reins puissant il fit entrer sa verge le long de ma langue et bientôt, il envahit ma bouche. Sa queue est rapidement devenue très grosse, butant contre mon palais. Entamant alors un lent va et vient dans ma bouche, je fus contrainte de subir cette pénétration, les larmes coulant sur mes joues, je gémissais, je suffoquais sous l'assaut vulgar. Ses mouvements dans ma bouche prenaient de l'ampleur, il se servait de ma bouche comme d'un sexe. Il allait presque à chaque fois buter au fond de ma gorge, m'arrachant des haut-le-cœur. Pour éviter de suffoquer, je fus obligée de poser mes mains contre mister ventre pour limiter ses mouvements, et pour reprendre ma respiration, je modulais la pression de mes lèvres le long de sa verge. Tout à coup, il éjacula en me maintenant la tête contre mister ventre, mister gland au fond de ma gorge. J'ai senti un flot de sperme envahir mon palais et couler dans ma gorge. Une semence épaisse et salée, si différente du sperme de mon mari, le seul que j'ai goûté à ce jour. et encore, très rarement et accidentellement, tant je déteste ça. Là j'ai dû en avaler une bonne partie et il me demanda de continuer à le sucer pour la rendre rigide à nouveau. Comme un pantin désarticulé, je le laissais guider mon visage pour faire glisser sa queue toute molle remplie de sperme dans ma bouche inerte et entrouverte, il prenait plaisir à plaquer mon visage contre mister bas-ventre pénétrant ma cavité buccale de toute l'ampleur de sa verge. Puis, il me repoussa légèrement, me maintenant néanmoins le visage près de mister bas-ventre, et là, reprenant sa verge flasque entre deux doigts, il la promena contre mes lèvres, mes joues, mon menton et mon nez, les maculant sciemment d'un mélange de sperme et de salive.
Les yeux fermés, je sanglotais toujours convulsivement, mes larmes entraînant dans leur flot les traces de sperme, laissant mon visage ravagé, mon Rimmel n'ayant pas résisté à mes pleurs.Visiblement, cette offense lui plaisait, sa verge reprenait rapidement vigueur.Dès qu'il eût une nouvelle érection, il se leva et me prenant aux épaules, me fît relever et me poussa pour me mettre à genoux sur le fauteuil et, appuyant fermement sa main en haut de mon dos pour me faire courber en avant, les seins écrasés sur le dossier. Il posa ses genoux entre mes jambes, me fît fermement écarter les genoux et je sentis mister gland, toujours guidé par ses deux doigts, se frayer un chemin entre mes grandes lèvres closes. Il me pénétra violemment sans fioritures. Je poussais un véritable hurlement tant la brûlure que je ressentis était vive. Il était d'une vigueur exceptionnelle et je sentais mister gland écarter les parois de mon vagin. Il me tenait aux hanches et m'assénait de grands et violents va-et-vient qui m'arrachaient à chaque fois un cri de douleur masqué par ses ahanements de bûcheron. Au bout de quelques minutes de ce traitement, la douleur s'estompa, et littéralement horrifiée, je me suis rendue compte que mon vagin s'était lubrifié, comme si mon corps acceptait ce que tout mon esprit refusait avec la dernière énergie. Abattue, je posais ma tête contre le dossier du fauteuil, entre mes bras. Tout en me baisant, il disait que je n'étais qu'une putain prête à faire n'importe quoi pour mister mari. Il avait en partie raimister. J'en pleurais de honte, subissant avec des tressaillements de tout mon corps les coups qu'il assénait à mes muqueuses vaginales, essayant de maintenir mon équilibre en m'agrippant au dossier du fauteuil. .
Il malmena mon vagin pendant un interminable moment. Il me tenait par la taille. La finesse de celle-ci est telle que ses doigts en faisaient presque le tour. Parfois une main s'égarait le long de ma hanche, en soulignant la courbe, puis revenait sur le globe fessier qu'elle enveloppait, palpant la texture ferme de la chair avec vulgarité. Ses doigts progressèrent soudain vers le centre de mes fesses, s'insinuant dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers. Son majeur suivait le fond du sillon velouté. Je tressaillis quand je sentis le doigt toucher mon oeillet anal. Il appuya sur les contours de l'anus, comme pour en éprouver l'élasticité. Je tentais de me dégager, mais me plaquant d'une main contre le dossier du fauteuil, mister sexe profondément fiché dans mon vagin, Il m'immobilisa. Il préleva un peu de cyprine à l'entrée de mon sexe et la déposa consciencieusement sur l'anneau serré. Je le suppliais en sanglotant. Ignorant ma détresse, il appuya l'extrémité de mister index contre le muscle. Le fragile orifice céda, et je sentis la première puis la deuxième phalange investir mon intimité la plus secrète. Il bougeait mister doigt dans mon anus en écartant le plus possible le sphincter pour l'assouplir. J'avais très mal, je gémissais, sanglotais, inerte. Il comprît alors que j'étais vierge de ce côté là et que je n'avais jamais pratiqué la sodomie avec mon mari. Son doigt palpait la paroi de ma gaine anale. Il murmura :
- Je vais powerr vos reins. votre souffrance et l'offrande de votre virginité anale vont m'obliger à signer avec votre infortuné mari. Je lui dois bien cette compensation. Vous allez être délicieuse. J'en suis sûr.
Ignorant mes sanglots de désespoir et mes dénégations véhémentes, secouant la tête en tous sens. mes cheveux collés par la sueur s'emmêlaient devant mes yeux, il caressait ma croupe d'une main enveloppante et évaluatrice. Il dégagea mister sexe de mon vagin et j'ai senti le gland brûlant se glisser dans le sillon de mes fesses. Il posa le gland contre mon oeillet anal. Il le guidait d'une main et poussait inexorablement. Je sentis, horrifiée, le souffle coupé, le sphincter jouer et s'ouvrir pour laisser le gland écarter l'anneau pour entamer sa progression. Je sentais le gland progresser le long de l'œillet, millimètre par millimètre, forçant inexorablement mon anus. Je ne voulais pas, le suppliais d'arrêter, mais chaque mot prononcé faisait se contracter mon muscle anal autour du gland qui le distendait, faisant monter de mes entrailles une brûlure insoutenable. Mon souffle se bloquait dans ma gorge, j'étouffais. Mais rien ne l'arrêtait. Son gland avait franchi l'œillet et la douleur s'est faite moins vive. Je soufflais comme durant mon accouchement afin de détendre mes sphincters au maximum. Je sentais le pieu de chair repousser les parois de ma gaine anale, la distendant à l'extrême, jusqu'à ce que je sente mister gland buter au fond de ma matrice, mister ventre était plaqué contre mes fesses. Sans me laisser un instant de répit, il m'a sodomisé sans aucune douceur. La douleur était très vive, j'avais des nausées et avais envie de vomir. Il a longuement forcé mes reins en prenant bien soins de se retirer presque complètement avant de donner un nouveau coup de rein qui me déchirait. La violence de ses coups de butoir était telle que j'étais à chaque fois projetée contre le dossier du fauteuil, mes seins ballottaient en tous sens. Chaque coup était rythmé du claquement que mister bas-ventre produisait contre mes fesses qui tressautaient. Il prenait soin de faire ressortir mister gland de l'anneau me laissant pantelante un instant avant de me labourer à nouveau les reins. Je sentais mes sphincters anéantis, mon anus restait béant sans se refermer même lorsqu'il le libérait complètement. La douleur m'irradiait, me laissant inerte.
chrislebo

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Lorsqu'il fût sur le point d'éjaculer, il se retira complètement, dans un bruit de succion obscène, il me retourna sur le dos comme une poupée de chiffon, l tête relevée par le bas du dossier. Il m'enjamba et s'assit littéralement sur mes seins et soutenant ma nuque de sa main, mît sa queue dans ma bouche, elle était congestionnée et maculée de tâches de sang provenant de la déchirure qu'il avait fait subir à mes reins. Il éjacula dans ma bouche. Pour la deuxième fois de la soirée, je reçus mister sperme épais dans la gorge, mais cette fois, le premier jet passé, il se retira, tenant mister sexe à la main. Il le dirigea vers mon visage et je reçus plusieurs jets abondants sur les joues et le menton. Sa jouissance fût interminable. Le sperme recouvrait mon visage, me brûlant les yeux. Il se releva et se rajusta. Il me regardait en souriant. Affalée sur le fauteuil, inerte, les jambes écartées, juste vêtue de mes bas et de mes escarpins, la vulve impudiquement exposée, mes grandes lèvres comme les petites étaient écarlates tant l'irritation avait abîmé la muqueuse. Je sanglotais, le visage maculé de sperme, mes yeux cachés sous mes cheveux en bataille collés sur mon front par la sueur. Il me tendit sa pochette qu'il venait de retirer de la poche de sa veste. Craintive, je n'osais pas prendre le morceau d'étoffe qu'il me tendait. Il dit :
- Vous allez essuyer votre visage. Vous rhabiller et partir. J'en ai fini avec vous. Vous avez trois orifices délicieux. j'espère avoir à nouveau l'occasion de les utiliser. Peut-être à l'occasion de la signature d'un autre contrat. Je me levais péniblement, une terrible douleur montait de mes reins pantelants, je remis mon chemisier en reniflant, et j'allais remettre mon slip lorsqu'il me dit :
- Laissez votre slip, le contrat que je vais signer permettra à votre mari de vous en payer d'autres. Sauf s'il comprend un jour qu'une femme telle que vous ne doit jamais porter de dessous. des reins comme les vôtres doivent rester constamment accessibles.
Le feu aux joues, sanglotant nerveusement comme une gamine punie, je renfilais ma jupe sur mes fesses nues et pris ma veste en filant vers la porte sans un regard pour lui. Je sortis de l'hôtel comme une flèche, bousculant une vieille touriste américaine en sortant de l'ascenseur. Je marchais de longues minutes pour reprendre mon souffle et mes esprits. Chaque pas faisait monter de mes reins une douleur terrible, comme si le sexe de cet homme était toujours fiché au creux de mes reins et continuait à me déchirer. L'air qui s'insinuait sous ma jupe, entre mes fesses nues et le long de ma vulve encore entrouverte apaisait à peine ma douleur. Au bout d'un long moment, je me décidais à arrêter un taxi. Je m'engouffrais à l'arrière, pelotonnée le long de la portière, je donnais mon adresse au chauffeur d'une voix cassée et enrouée. Son sexe n'avait décidément rien épargné, ma gorge comme mes reins et mon sexe allait longtemps rappeler à ma mémoire les outrages que j'avais subi. Arrivée chez moi, je téléphonais à ma mère, lui demandant d'aller chercher ma fille à l'école et de la garder pour la nuit, prétextant une migraine terrible. Je laissais sur la table de la cuisine un mot à l'intention de mon mari m'excusant pour la même raimister de ne pas l'attendre. je me dévêtais en hâte et courait dans la salle de bains. Je pris une longue douche pour me laver de tout ce que j'avais subi. Au souvenir de certains passages, je fus prise de nausées et j'eus juste le temps de courir aux toilettes pour vomir. J'enfilais un pyjama de coton et me glissais dans les draps. Je n'entendis même pas mon mari rentrer.
Il a signé mister contrat le surlendemain et n'a jamais su pourquoi mister client était revenu sur sa décision... Mais mon esprit n'est plus jamais tranquille et cette aventure me hante toujours. Cela fait six mois. J'ai peur.
vanbruje

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Quand je parlais de "saga" dans mon intervention précédente, je faisais allusionà une série de textes publiés sous la plume d'un célèbre traducteur disparu, malheureusement, depuis et publiés ea dans Literotica et non au texte en cours...
Je dois être à un bon millier de lignes blanches supprimées dans ce texte... où est le gain ?
Merci pour les deux textes plus récents, l'un m'intéresse plus que l'autre, mais il en faut pour tous les gouts.
Bonne continuation
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