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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#61 · Edited by: chrislebo
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Se raidissant, elle se tint immobile alors que Dushawn s'emparait de mister autre mamelon, elle remarqua alors que mister téton dardé se découpait clairement au travers de mister chemisier humide.

Quelques instants plus tard, ce mistert ses deux tétons qui se découpaient clairement.

Puis ce sale bâtard empauma ses nibards au creux de sa main, les empoignant fermement, puis il pinça ses tétins entre pouce et index gloussant en se rendant compte qu'ils étaient franchement érigés, il en conclut

- Alors chérie, on s'échauffe? .....

Lorsqu'il tendit la main dans mister dos pour dégrafer mister soutien-gorge, elle entendit clairement le bruit de la fermeture éclair qu'il descendait.

Quelques secondes plus tard, mister vêtement passait au-dessus de ses épaules avant de choir au sol, cette fois il mordillait ses mamelons au travers de mister fin soutien-gorge de dentelle.

Ses mains calleuses glissèrent dans mister dos pour dégrafer mister soutien-gorge, qui chut à mister tour sur la moquette, il pouvait maintenant mignoter ses nibards à même la chair dénudée.

- Owwwwwwwwwwwww...... souffla-t-elle alors que ce satané bâtard mordillait la tendre chair de ses mamelons pour la faire réagir.

Comme Amy reculait afin d'échapper aux lèvres de Dushawn qui lui mordillait un mamelon, mister dos heurta la porte alors qu'il bougeait la tête pour infliger le même traitement à l'autre téton.

Elle glapit de douleur alors que les dents acérées de Dushawn s'enfonçait dans la chair tendre de mister nichon, il se laissa alors tomber à genoux face à elle tout en tirant sa petite culotte vers le bas.

Puis il posa sa main gauche sur sa cuisse droite, alors que sa culotte chutait sur ses chevilles, il empoigna sa jambe et la posa sur mister épaule gauche.

- Ohhhhhhhhhhhhhh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuu! ..... S'époumona-t-elle alors que Dushawn plaquait sa bouche agile sur mister intimité.

Poussant sur sa jambe droite et sur le bouton de la porte qu'elle agrippait, elle chercha à échapper à mister emprise, à fuir cette langue fouineuse qui fouillait les replis de sa féminité.

Tremblante de nervosité et d'offense, elle sentait mister corps frémir sous les caresses de Dushawn qui lui dispensaient un plaisir qu'elle refusait de toutes ses powers, elle ne voulait surtout pas chavirer sous les assauts habiles de sa langue.

Cela lui semblait irréel, hideux, le comportement sexuel d'un déviant.

Sentant que sa malheureuse victime tentait désespéramment de ne montrer aucune émotion, mais à la façon qu'elle avait de gémir et miauler alors qu'il dégustait sa foufoune, Dushawn savait qu'il était en train de débaucher cette honnête et innocente ménagère mère de deux enfants.

A mister manque d'expérience avec les hommes plus encore qu'à ses caresses labiales Dushawn avait compris qu'elle allait bientôt céder çà ses caresses et qu'elle allait jouir sous les caresses de sa langue.

Lorsqu'elle se mit à mouiller comme une fontaine, Dushawn se régala de mister jus intime et amplifia les frétillements de sa langue dans ses babines embrasées... Avant de s'occuper de mister petit haricot magique, mister clito dardé! .....

Dès que sa langue flatta mister petit bouton érigé, l'adorable madame Renfro jouit en criant :

- Ahhhhhhhhh... Oh, mon Dieu..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhh......

Quelques instants plus tard, Dushawn laissa retomber sa jambe gauche au sol, puis il la prit sous l'aisselle et entraîna sa ravissante proie hébétée vers le lit avant de l'y déposer sans plus de cérémonie.

Il se dépouilla prestement de mister tee-shirt, de mister jean et de ses caleçons, puis il grimpa sur le lit et se jeta sur sa proie pantelante tout en flattant vigoureusement sa mentule déployée.

- Tu veux ma queue petite madame Renfro chérie, n'est ce pas? ..... Tu veux que ma grosse bite élargisse à nouveau ton étroite petite chatoune, n'est ce pas? ..... Je parie que tu en meurs d'envie depuis le soir d'Halloween... Tonnait-il hilare.

- Non, non..... Ce n'est pas vrai! ..... Vous avez tort de croire ça! ..... Je ne..... Je ne veux pas avoir de rapports sexuels avec vous! .... Je vous en prie... Pas ça... Non, pas ça...... Nonnnnnnnnnnnnnn.....

Soupirait Amy alors que Dushawn promenait mister gland entre ses babines gonflées.

Elle avait souvent pensé à sa gigantesque bite, en fait toutes les nuits depuis Halloween, alors qu'elle gisait étendue dans mister lit, à coté de mister mari, revivant mister vulgar viol.

- Aieeeeeeeeeeeeeeee... Vous me faites mal..... Je ne peux pas l'accueillir! ...... Elle est beaucoup trop grosse! ..... Non..... Ressortez là! ..... Criait-elle folle de douleur alors que l'épaisse colonne forait mister trou entre ses babines affolées.

- Oooh, Madame Renfro ta chatte est toujours aussi étroite! ..... Constata Dushawn, mister épaisse colonne étranglée par les muscles de mister vagin, il adorait l'entendre soupirer de douleur alors qu'il distendait irrésistiblement sa chatoune alors qu'elle le suppliait d'arrêter.

Lui empoignant fermement les hanches pour bien la maintenir en place, il parvint à enfourner encore plusieurs centimètres de mister gigantesque épieu dans sa cramouille endolorie, elle couinait et pleurnichait de plus belle alors qu'il l'élargissait de façon difficilement soutenable.

Un autre coup de boutoir et il se retrouva totalement enfoui dans sa chagatte rétive, ses couilles butant sur ses fesses rebondies.

- Ouf ça y est..... Ta jolie petite chatte est pleine de moi! ..... Je parie que monsieur Renfro ouvrirait des yeux comme des soucoupes en voyant que ta chatoune a pu si facilement avaler les 30 centimètres de mon gros gourdin! ...... Gloussait-il ravi.

Avec l'expérience qu'il avait accumulée depuis qu'il baisait des petites putes depuis ses 15 ans, Dushawn adorait faire chavirer des femmes inexpérimentées, les amenant à le supplier de les baiser alors qu'initialement elles s'y refusaient.

Lentement et délibérément, il ressortit sa bite de mister antre endolori puis il renfonça sa bite dans l'étroit conduit et se mit à coulisser lascivement.

Et voila que les mains posées sur ses épaules qui le repoussaient l'instant d'avant l'étreignaient fermement alors qu'elle verrouillait ses chevilles dans mister dos, s'arquant pour accroître la pénétration de mister estoc.

Elle sanglota et soupira soudainement :

- Oohhhhhh, oooooooooooooooohhhhhhhhhhhhh..... Ahhhhhhhhhhh..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh......

Elle commençait à participer activement à cette séance de baise que ne désirait pas, en ondulant de haut en bas sur sa bite dressée.

C'était le signal que Dushawn attendait pour se figer en pleine action alors qu'elle espérait de toutes ses fibres qu'il continue de l'enfiler.

Il aimait par-dessus tout contraindre les femmes qui se refusaient à lui quelques minutes plus tôt le supplier de les baiser à couilles rabattues, il raffolait les entendre balbutier :

- Que..... Que se passe-t-il? .....

- Pourquoi arrêtez-vous? ......

- Je veux que tu me supplies de continuer madame Renfro! ..... Supplie-moi de continuer à te sauter! .... La fustigeait-il.

Dents serrées Amy secouait négativement sa tête, mais elle s'arquait sur les talons pour absorber une plus grosse partie de mister énorme bite en elle! .....

Elle crispait ses muscles vaginaux sur la hampe conquérante l'invitant à reprendre mister pistonnage, mais il ne voulait pas lui accorder ce plaisir tant qu'elle ne l'aurait pas supplié de reprendre.

- Je vous en prie... Je vous en prie... Faite-le! .... Baisez -moi! ...... Le suppliait-elle humblement.

Mais ce n'était pas assez pour Dushawn qui voulait l'entendre mendier mister plaisir! .....

- Quoi, madame Renfro..... Que veux-tu que je fasse? .... Dis-moi clairement ce que tu veux! ..... Emploie ce mot commençant par un "b"...... Tu sais bien ce mot magique commençant par un "b"...... Je veux t'entendre prononcer ce mot débutant par un "b»......

Pantelant désespérément, Amy avait perdu tout contrôle de ses muscles vaginaux qui se crispaient et se desserraient tour à tour pour l'attirer profondément en elle.

- Mon Dieu...... Mon Dieu..... Faite-le...... Je vous en prieeeeeeeeeeee..... Haletait-elle éperdue.

Elle réalisait cependant qu'elle ne répondait à mister attente, elle savait pertinemment ce qu'il voulait entendre, en dépit de sa volonté elle s'entendit pleurnicher :

- Baisez-moi! ..... BAISEZ-MOI! .... BAISEZ-MOI avec votre grosse bite noire... BAISEZ-MOI espèce de bâtard! .....

Dès qu'il répondit à ses vœux, un orgasme fracassant le terrassa alors qu'elle miaulait :

- Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu...... Ahhhhhhhhhhhhhh..... Ohhhhhhhhh... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu......

- Ouiiiiiiii..... Oh, mon Dieu ouiiiiiiiiiiii... Oh oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...... Psalmodiait Amy alors que le musculeux athlète retrouvait le rythme de baise qui l'avait tant affolée la nuit d'Halloween.

Ces 30 centimètres de bite coulissaient de sa chatte détrempée, il laissait toujours mister gland en elle, Amy défaillait sous ses sensations irréelles.

Mais, lorsque mister tourmenteur se figea à moitié enfoncé dans mister intimité elle ne put que hurler

- BAISE-MOI...... BAISE-MOI.. Mais putain BAISE- MOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII..... c'est alors qu'il réclama vicieusement :

- Supplie-moi de t'engrosser madame Renfro..... Dis-moi que tu veux que te fourre un petit polichinelle noir dans le tiroir! ...... Supplie-moi de te mettre enceinte! .....

Après 10 secondes de silence pesant, Amy le supplia :

- Dushawn... Je t'en prie.... Fais-moi un bébé! .... Un petit bâtard noir! ....

Dushawn était certain qu'en fait que cette ravissante blanche ne voulait surtout pas qu'il l'engrosse, qu'elle ne prononçait ces mots que pour qu'il continue à jouir avec sa pine d'âne.

Mais il s'en foutait, il voulait juste entendre cette ravissante proie l'implorer de lui bourrer mister énorme queue au fin fond de sa moule.

Il savait sans aucun doute que, quels que soient sa religion et ses convictions morales, la somptueuse madame Renfro aurait recours à l'avortement plutôt que de donner naissance à un petit bâtard noir qui briserait mister mariage.

Il était bien certain d'une autre chose : la captivante madame Renfro était maintenant accrochée à ces sensations qu'il était seul à pouvoir lui prodiguer, le genre de sensations que seul un énorme chibre pouvait délivrer.

Il avait abandonné mister lent rythme de coulissage pour la marteler maintenant à la mode d'un marteau pilon, elle avait bouclé étroitement ses petites mains dans mister dois, lui griffant les épaules au gré de ses émois.

- Oh oui..... Oui... Oui... Oh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii..... baise-moi..... Encore...... Baise moiiiiiiiiiiiiiiiii..... Hurlait-elle secouée par ses frénétiques coups de bite.

- Veux-tu? ..... Veux-tu de ma chaude semence madame Renfro? .... Tonna-t-il en ralentissement délibérément le rythme de ses intromissions.

Consciente de mister ralentissement de rythme, elle haleta :

- Oh oui ... Gicle en moi! .... Crache ton foutre! ..... Emplis-moi la chatte de foutre! ....

Il se remit alors à labourer de profonds coups de boutoir, elle ne tarda pas à gémir :

- Oh mon Dieu. Je jouissssssssssssssss......

Bourrant sa bite dans sa grotte embrasée, il se vida frénétiquement les couilles au plus profond de mister tunnel d'amour en grommelant :

- Ahhhhh, je jouis chère madame Renfro, je jouissssssssssssssss..... J'espère bien t'engrosser! .... Chantonnait-il, alors que jet après jet il se vidait en elle.

Il savait qu'elle serait éperdue de honte lorsqu'elle reviendrait à elle, qu'elle ne voudrait plus qu'il la touche à cet instant, mais il avait l'intention de briser définitivement ses défenses en, commençant par rester imbriqué en elle lui faisant apprécier les vibrations de mister chibre profondément enfoui dans sa chatoune.
chrislebo

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#62
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Exactement comme il l'avait pronostiqué, une fois qu'Amy eut repris pied sur terre après l'intense orgasme qui venait de la terrasser, elle tenta désespérément de le repousser, cherchant de toutes ses powers à extirper sa bite de sa chatoune.

Cette bite qui lui procuré un plaisir insoupçonné lui semblait maintenant hideuse, d'autant plus qu'elle continuait à vibrer dans mister intimité.

Pire encore, Amy sentait que sa bite d'âne se déployait à nouveau reprenant vigueur.

Il coulissait lentement dans sa foufounette inondée, elle boucla à nouveau ses jambes dans mister dos, une seconde enivrante séance de baise débutait! .....

Vers 23 h 30, Amy empoigna mister téléphone comme le lui dictait Dushawn et fit mister numéro.

- Oh Terry, c'est moi..... Je vais quitter ma petite fête d'ici une quinzaine de minutes, je devrais rentrer un peu avant minuit! ..... J'arrive! ..... Informa-t-elle sa baby-sitter.

Une minute plus tard le portable de Dushawn misterna :

- Oui chérie, je dois aller te chercher? .... C'est d'accord, tu dis qu'elle quitte la fête où elle se trouve d'ici quinze minutes? ..... Que madame Renfro est sûrement une sacrée bonne femme! ..... Oui, peut-être bien qu'en fait elle ne s'est pas rendue à une petite fête, qu'elle sort pour se faire culbuter lorsque monsieur Renfro s'absente de la ville! .... Elle est bien trop guindée et fière pour faire cela! ..... C'est d'accord, j'arrive ma petite chérie! ....

Elégante et guindée, voilà deux mots qu'on employait communément pour la décrire alors qu'elle était agenouillée entièrement nue sur la moquette elle suçait et cajolait l'épaisse bite de Dushawn.

- Affole-toi madame Renfro, tu dois quitter ta petite fête dans le quart d'heure qui vient! .... Suce-moi bien ma chatte, fais-moi une gorge profonde! ..... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii...... grognait Dushawn savourant mister plaisir.

Les doigts enfouis dans ses longues mèches soyeuses, il guidait les mouvements de sa tête sur sa hampe la baisant en bouche et l'humiliant alors qu'il tonnait :

- Je pense pas même d'ici un million d'années que Terry puisse penser qu'une femme aussi élégante et guindée que puisse sucer n'importe qui à genoux sur une moquette sale, et encore moins tailler une pipe à mister petit-ami, n'est ce pas! ...... Et qu'en penserai ton mari ma chérie? ...... Je parie qu'il n'a jamais eu le plaisir de se faire sucer par toi, n'est ce pas! .....

Comme le lui avait enseigné le déviant Dushawn, sachant que cela lui plairait profondément, Amy avait empoigné la base de sa bite de sa main gauche ornée de mister alliance pour qu'il la voit bien alors qu'elle léchait et suçait mister épaisse mentule.

Sa main droite n'était pas inactive pour autant, elle caressait ses lourds testicules de la paume de la main.

Elle était profondément humiliée qu'il parvienne à lui faire avaler ses 30 centimètres de bite, et alors qu'elle titillait mister méat suintant, sa longue fut soudainement recouverte d'une épaisse sauce alors qu'elle sentait ses burnes se crisper dans sa main droite pour mieux projeter des flots de foutre dans sa bouche asservie.

Quinze minutes après minuit, Amy rangeait sa voiture dans le garage et dans la cuisine par la porte communicante.

Elle tremblait nerveusement, elle se sentait gênée, elle s'excusa de mister retard, mais ce qui la gênait le plus c'est ce qu'elle avait fait avec le petit-ami de Terry même si cela résultait d'un chantage.

Comme elle sortait de l'argent de mister porte-monnaie pour payer Terry, Amy sentit le regard de sa baby-sitter s'appesantir sur le devant chiffonné de sa robe.

Ramenant la jeune fille vers la porte d'entrée, Amy lui fit u grand signe au revoir, elle frémit en voyant Dushawn en arrière plan, ce maudit bâtard lui faisait signe en retour.

Dushawn remarqua le silence de Terry depuis qu'elle était entrée dans la voiture, aussi après un moment, sur le chemin de retour vers sa maimister, il lui demanda :

- Que se passe-t-il chérie? ......

Il ne put s'empêcher de lui donner une chiquenaude sur la cuisse pour l'encourager à répondre.

- Oh.... Madame Renfro... Je ne l'aurai jamais cru si je ne l'avais pas vu de mes yeux! .... Mais je pense qu'elle trompe mister mari! .....

- Qu'est ce qui te fait dire ça? ..... souffla Dushawn étonné de sa répartie.

- Le devant de sa jupe était fortement froissé, et je jurerai avoir vu des traces qui l'avaient décoloré! ..... Comme si quelqu'un avait sucé ses tétons au travers du tissu! ...... Et lorsqu'elle s'est retournée pour fouiller dans mister sac et me payer, il me semble bien avoir remarqué des taches au dos de sa robe... Des taches de sperme! ....

Il alla droit à la maimister de Terry et la débarqua rapidement du fait qu'elle avait classe le lendemain, Dushawn gloussait en constatant à quel point l'instinct de sa petite amie était sur.

Il se doutait qu'avec le devant de sa robe chiffonné et les traces de salive à hauteur de ses mamelons il serait difficile à sa "maîtresse" de cacher mister aventure d'autant plus que, comme il avait confisqué mister soutien-gorge, ses tétons pointaient sous sa robe.

Dans la chambre de motel peu éclairée, la ravissante jeune femme s'était surtout souciée du devant de sa robe en l'enfilant et n'avait pas remarqué les taches de sperme qui en souillaient le dos, traces laissées par Dushawn au cours de la nuit lorsqu'il avait essuyé sa bite poisseuse, couverte de leur jus, sur la robe, et si on ajoutait le non-port de soutien gorge.....

Une demi-heure plus tard, une fois qu'elle eut utilisé le dernier flacon de douche vaginale spermicide se trouvant dans la pharmacie de la salle de bain, flacon qu'elle avait acheté la veille en se doutant qu'elle en aurait l'usage en rentrant de mister rendez-vous avec ce pervers bâtard, Amy s'attarda sous les embruns de la douche bien chaude.

Inspectant ses miches, elle cligna des yeux en notant les marques de dents soulignant les aréoles.

Pensant soudain à mister gentil mari elle retint ses larmes qu'elle trompait au travers de cet immonde chantage auquel elle se soumettait à contrecœur.

Elle était partie fermement décidée à se soumettre à mister suborneur sans montrer ses émotions, elle avait misérablement échoué en hurlant mister plaisir ce qui amplifiait sa détresse.

Pourquoi me suis-je donnée à lui? .....

Je l'ai supplié de me prendre! ...

De me baiser! .....

De gicler en moi! .....

Je lui ai même dit que j'espérais qu'il m'engrosse! ....

Qu'il me fasse un petit bâtard noir! .....

Tout ça pour qu'il continue à me baiser! .....

Je ne suis rien d'autre qu'une pute! .....

Une fieffée salope! ..... Se flagellait-elle.
chrislebo

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#63
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Amy se frottait énergiquement, elle volait faire disparaître toutes traces de mister infidélité, elle frismisterna soudain en se voyant bannie de sa maimister, privée de ses enfants si mister infidélité venait à être découverte, même si tout avait commencé par un viol et s'était poursuivi par un ignoble chantage.

Elle était honteuse de la façon dont elle avait succombé ce soir à mister maître chanteur, se donnant volontairement à lui et participant délibérément à sa dégradation, elle ne se pardonnerait jamais ce comportement honteux.

Reposant le savon elle attrapa une serviette qu'elle passa doucement sur mister postérieur douloureux, les suites de l'enculade qui lui avait rudement fait subir Dushawn lorsqu'il avait récupéré de leur seconde séance de baise.

Elle ferma le robinet de la douche et ouvrit la porte de la douche et s'apprêtait à enjamber le rebord lorsqu'elle avala sa salive :

- Comment... Comment es-tu entré? .....

Elle recula apeurée, et se mit à trembler comme une feuille alors que Dushawn entièrement nu la rejoignait dans la cabine de douche ouvrant à nouveau les robinets.

- 'ai pris ton trousseau de clef alors que tu étais dans les vapes! ..... Je me doutais que tu passerais par le garage et que de ce fait tu ne noterais pas sa disparition......

- Et maintenant ma délicieuse madame Renfro lave-moi soigneusement la bite avant qu'on ne remette le couvert! .... Réclama-t-il sans vergogne.

Alors qu'elle le savonnait minutieusement, elle n'avait qu'une chose à l'esprit : elle venait d'utiliser mister seul flacon de douche vaginale! ....

- Quelques instants plus tard, elle laissait tomber le savon à ses pieds alors que Dushawn l'empoignant aux hanches la courbait en avant pour la fourrer à sa guise dans la cabine de douche.

Le lendemain matin, avant que les enfants ne se réveillent pour aller en classe, il initiait Amy dans l'art du 69.

Plus tard, la porte de sa chambre fermée, Amy avait rapidement fait déjeuner les enfants avant de les envoyer prestement prendre leur bus scolaire. Puis elle avait appelé mister employeur signalant qu'elle était malade et qu'elle n'irait pas travailler et était retournée dans sa chambre.

Puis les yeux braqués sur ce qui ressemblait à un gros serpent endormi elle s'allongea sur le lit et l'attrapa vivement, le sentant immédiatement répondre à ses caresses, se déployant dans toute sa gloire.

Amy avala sa salive, alors qu'elle commençait à tripoter sa grosse bite, Dushawn tenait les mains pour empaumer ses gros nibards.

Comme mister mari avait programmé une sortie similaire la semaine suivante Terry avait demandé à Terry de garder à nouveau les enfants pour qu'elle puisse participer à une autre fête de Noël.

Elle avait envoyé toutes ses cartes de vœux illustrées par une jolie photo de leur petite famille, à leurs parents et aux proches elle avait rangé les cartes en trop dans un panier sur le plan de travail dans la cuisine au cas ou elle aurait oublié quelqu'un.

Amy n'avait pas remarqué leur disparition ainsi que les enveloppes, Dushawn s'en était emparées.

A mister insu, le pervers bâtard avait planifié d'utiliser ces cartes pour souhaiter ses vœux les meilleurs à ses copains de l'équipe de basket qui se trouvaient sur le campus entraînement oblige, les conviant à une petite fête de Noël le week-end prochain à l'hôtel du "Crapaud excité"

Comme l'équipe était bien placée au niveau national, il ne faisait nul doute qu'elle engrangerait un grand nombre de point lors du tournoi de gym de l'école.

Aussi leur avait-il promis que la ravissante jeune femme sur la photo serait leur cadeau de Noël, il savait pertinemment que cela les encouragerait vivement à gagner le tournoi avec un nombre de points élevés.

Ce serait une véritable fête de fin d'année concernant les 5 joueurs de base et lui-même, bien entendu les 6 à profiter des charmes de la ravissante invitée seraient tous noirs.

fin de l'épisode
chrislebo

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#64
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Assise derrière mister bureau Carol Hasting surveillait ses élèves qui se concentraient sur un contrôle, elle se trémoussait sur sa chaise, visible-ment très énervée.

- Qui cela pouvait-il bien être? .... Etait-ce un élève de cette classe? ..... se demandait-elle affolée.

Elle baissa la tête et ferma les yeux désespérés, Carol aurait voulu pouvoir remonter le temps et revivre ses dernières vacances de Noël.

- Pourquoi l'ai-je laissé faire? .... Comment ai-je pu me montrer si faible? .... s'interrogeait-elle dans mister fort intérieur.

Se remémorant les photos qu'elle avait reçue il y a peu, elle devait convenir qu'il n'y en avait aucun doute quant au lieu où elles avaient été prises, de plus les deux dernières la représentaient.

- Oh mon Dieu, Si Carl venait les voir, Dieu seul sait..... Pat l'enfer il comprendrait vite que je l'ai trompé dans ce foutu hôtel! ..... se dit-elle dans mister fort intérieur.

Et de fait, si quelqu'un voyait cet enchaînement d'images il n'aurait au-cun doute sur les événements s'étant déroulés au Notel Motel.

On y voyait tout d'abord une vue de la devanture du Notel Motel avec mister enseigne géante au fin fond d'un parking où étaient garées différen-tes voitures.

La photo suivante prise plus prêt de l'hôtel montrait une conduite inté-rieure blanche garée dans le centre de l'hôtel devant une chambre en arrière plan.

On l'a reconnaissait clairement sur cette photo bien qu'elle ait les yeux froncés Carol se souvenait parfaitement de cet instant, on lisait sur mister visage le remords d'avoir commis le pêché d'adultère.

La photo suivante, celle ou mister jeune amant la tenait par le cou en quittant la chambre d'hôtel, permettait clairement de l'identifier comme le fils de leur voisin immédiat, par ailleurs un de ses élèves.

Quoiqu'elle connaisse beaucoup d'histoires relatant les amours de profs et d'élèves au cours de ces dernières années, sa relation ne serait pas aussi scabreuse, mister jeune amant ayant plus de 18 ans.

Bien que ce soit un de ses élèves, il avait plus de 18 ans comme la plu-part des élèves des classes de terminales du lycée.

Même si cette affaire ne ferait pas les choux gras de magazines natio-naux, il était certain que les journaux nationaux ruineraient sa bonne ré-putation parmi la communauté locale.

Et quelle que soit la publicité qui serait faite à cet événement, Carol savait que mister adorable mari ne le pardonnerait jamais cet adultère, d'autant plus que la capote dont ils s'étaient servis s'étaient rompues et qu'elle s'était malheureusement retrouvée engrossée par mister jeune amant lors de ces satanées vacances de Noël.

Il était exclu qu'il s'agisse d'une fille, bien que Carol l'aurait préféré, elle savait que mister maître chanteur devait être un homme.

- Pourquoi m'impose-t-il de me rencontrer dans la même chambre d'hôtel? ..... Que veut-il, de l'argent? ..... Combien? ..... Oh mon Dieu..... Et s'il voulait me rencontrer dans cette chambre pour... Pour me baiser! .... frismisterna-t-elle soudain secouée de hauts le cœur.

- Devrai-je subir me résigner s'il veut coucher avec moi? .... Qu'arrivera-t-il si je refuse? ... Irait-il jusqu'à diffuser ces ignobles photos? ...... tremblait-elle d'effroi.

Retenant ses pleurs, Carol frémit de dégoût à l'idée que mister maître chanteur puisse poser ses mains sur elle.

- Ce n'est pas seulement ses mains qu'il voudra poser sur moi! ..... Il voudra me fourrer mister sale pénis dans la chatte! .... se dit-elle soudain éperdue de honte.

Elle se repassait les détails de cette nuit cherchant désespérément à deviner qui l'observait dans le but de la faire chanter, Carol revivait ce qu'elle avait vécu lors de cette fête de Noël.

- Ce devait forcément être quelqu'un de ce groupe! ....

La réputation de Scott dans ce lycée n'était plus à faire..... Ils savaient tous qu'il multipliait les aventures avec des femmes plus vieilles que lui..... Mon Dieu, ce nuisible devait nous avoir suivis! ...... Et se référant à la réputation de Scott, il avait du en conclure rapidement que tout cela était fort louche! .... conclut-elle affolée.

- Ce doit être ça..... Et lorsque Scott m'a rejoint dans sur parking de l'hôtel il a commencé à prendre des photos..... attendant l'instant ou nous ressortirions de cette maudite chambre..... après avoir commis un adultère! ..... analysait-elle horrifiée.

Plus tard, dans la nuit après avoir longuement réfléchi à qui avait pu les épier lors de ces fêtes de Noël, Carol se repassait la tête de tous ses élèves se demandant qui cela pouvait -il bien être...... Bob Adams? .... Mike Goodhall? ..... Harry Cormell? ..... Trevor Masters? ..... Dennis Myers? ...... Qui pouvait bien être mister maître chanteur? ..... réfléchissait Carol.

- Je dois acheter mister silence..... Quel que soit le prix à payer! ..... se disait-elle, frismisternant à l'idée qu'elle devrait sûrement coucher avec lui en échange de mister silence.

Incapable de s'endormir, Carol restait étendue dans mister lit, se préparant au pire, se représentant chacun des jeunes mâles qui pouvait se trouver être mister maître chanteur.

Afin de se préparer à l'inéluctable rencontre du lendemain, Carol se les représentait l'un après l'autre, s'imaginant se déshabillant pour eux dans la chambre d'hôtel où elle avait déjà fauté.

Même si elle méprisait déjà ce maître chanteur inconnu elle devait ad-mettre qu'aucun de ses jeunes lycées ne se détachait plus que les au-tres dans ce rôle.

Ils étaient tous moins sportifs et musclés que Scott qui était la coquelu-che du lycée.

Mais de se représenter sa soumission entre leurs mains, Carol se ren-dait compte qu'ils étaient tous susceptibles de la faire chanter pour profiter lubriquement de ses charmes, et qu'elle devrait se soumettre servilement à toutes leurs volontés.

En sortant du repas de midi, le jeune Nate Manning, du haut de ses 18 ans révolus depuis six mois, observait attentivement l'adorable madame Hasting alors qu'elle ouvrait la porte de sa classe pour accueillir sa pro-chaine classe de math.

Seul majeur de sa classe à power de redoublement Nate était le plus cos-taud des élèves de cette classe de seconde.

- Hello madame Hasting Comment cela va-t-il? ..... salua-t-il railleu-sement sa prof adorée, tout sourire en hochant de la tête en sa di-rection.

Il était évident que sa délicieuse prof était nerveuse, troublée et qu'elle devait être mure pour entamer une fructueuse négociation.

- Tout va bien madame Hasting? .... Vous me semblez abattue au-jourd'hui..... Puis-je vous aider en quoi que ce soit? .... s'enquit-il suavement.

- Non, mais je te remercie de me l'avoir proposé, j'ai juste de petits problèmes aujourd'hui..... lui répondit-elle en retour.

Nate savait pertinemment ce qui troublait mister adorable prof de math, d'autant plus que c'est lui qui avait tiré ces photos si compromettantes et qui lui avait réclamé un rendez-vous dans cette même chambre où elle avait fauté.

Comme madame Hasting allait franchir le pas de porte de sa classe, ses pieds délicieusement chaussés de hauts talons beiges, Nate se pourlé-cha les babines alors que sa bite tressautait dans on caleçon.

- Vous semblez si inquiète de voir votre mari visionner ces photos madame Hasting... Mais à 15 heures tu n'auras plus à t'en tracasser, lorsque je t'assurerai que je n'ai pas envie de les lui faire parvenir! ..... Tant que tu écarteras tes blanches cuisses pour m'accueillir au cœur de ta féminité! ...... gloussait-il joyeusement
chrislebo

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#65
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A 14 heures, à la fin des cours, Carol sentit ses mains trembler alors qu'elle regardait l'horloge accrochée au mur de salle de classe.

Elle quitta rapidement sa salle de classe de peur d'être en retard pour mister rendez-vous de 15 heures, qui devait lui permettre de sauver mister mariage en évitant tout scandale.

De peur de voir mister jeune amoureux impliqué dans cette affaire alors qu'elle portait mister bébé dans mister ventre, Carol ne pouvait se permettre de laisser diffuser ces photos l'incriminant.

Jambes tremblantes elle quitta mister établissement pour aller prendre sa voiture dans le parking terrifiée de ne pas arriver au Notel Motel à temps, les conséquences pourraient dévaster sa vie.

Assise au volant de sa voiture qu'elle venait de ranger juste devant la chambre 108 du Notel Motel Carol jeta un oeil sur sa montre pour cons-tater qu'il était juste 14 heures 54.

Elle jeta un oeil circulaire sur le parking se demandant ce qui l'attendait maintenant.

- Quel était l'ado qui l'attendait derrière cette porte? ..... se deman-dait-elle angoissée.

- Dois-je vraiment y aller? ...

- 'Ne ferai-je pas mieux de redémarrer ma voiture pour filer tout droit à la maimister? ....

Mais les images compromettantes repassaient dans sa tête elle se força donc à se diriger vers la porte de la chambre, qu'elle ouvrit lentement avant de pénétrer d'un pas hésitant dans cette maudite chambre 108.

Auparavant elle jeta un coup d'œil circulaire s'assurant que permisterne ne la connaissant ne puisse la voir entrer dans cette chambre d'hôtel de cet établissement en périphérie de la ville, dont on connaissait parfaitement l'usage que faisaient les utilisateurs de ces chambres louées à l'heure.

Ne voyant permisterne, elle tourna la cliche de la porte c'est alors qu'elle remarqua un court message collé sur la porte : Bienvenue, entrez ma-dame Hasting! .... La porte est ouverte elle nota alors que la porte n'était pas fermée et qu'il lui suffisait de la pousser pour qu'elle s'ouvre.

Elle sursauta en entendant une voix masculine aboyer alors qu'elle poussait la porte :

- Entrez madame hasting... Et refermez la porte dans votre dos...... Que nous ne soyons pas dérangés......

Serrant les dents elle referma la porte Carol vit que la pièce était totale-ment noire.

Comme elle avançait dans la pièce, elle se trouva finalement au chœur de l'obscurité alors que la porte claquait dans mister dos la faisant trembler de peur alors qu'elle balbutiait :

- Qui..... Qui..... Qui êtes-vous? .... S'il vous plait... Je..... J'ai pris de l'argent..... Je vais vous acheter ces photos! ......

Nate avait drapé des couvertures noires sur les vitres, il attendait dans l'obscurité que sa ravissante prof de maths arrive.

Il comptait sur le fait qu'elle serait incapable de l'identifier en étant plongé de la lueur vive à l'obscurité profonde, d'autant plus que lorsqu'elle entre-rait, elle aurait le soleil et sa vive luminosité dans le dos.

Sa venue lui confirmait que la possession de ces photos compromettantes la représentant, sortant, tendrement enlacé avec Scott Berger, d'une chambre d'un hôtel connu en tant que lieu de rendez-vous galant, lui donnait barre sur elle.

Forçant sa voix, éliminant toutes tournures familières, Nate comptait af-firmer mister emprise sur elle en la confrontant à mister pêché de luxure, il l'accueillit en la raillant :

- Monsieur Hasting sait-il qu'il est cocu? ..... Et de plus par, Scott Berger, un de vos étudiants! ..... Ma, ma... Ca va faire un drôle de bruit si ça vient à être connu! .....

- Je vous en prie... vendez-moi ces photos! ..... répondit d'une voix faible la ravissante jeune femme éperdue.

- Je ne veux pas de ton argent madame Hasting..... rétorqua-t-il la fouettant en adoptant un tutoiement des plus familiers.

- Ces photos ne mistert pas à vendre! .... Tu le sais très bien d'ailleurs! ..... Tu sais bien pourquoi tu te trouves avec moi dans cette chambre! ...... T'es ici pour me plaire suffisamment afin que je n'ai pas envie d'envoyer ces photos à ton mari par mail, ou que je les fasse parvenir à des journaux à scandales! .... N'est pas ma chère madame Hasting? ....... lui rappela Nate suavement.

- Euh, oui... ouiiiii... répondit-elle faiblement.

- Et maintenant, pour me prouver ta bonne volonté ma chère Carol, tu vas t'agenouiller entre mes cuisses et me tailler une pipe! ...... lui intima-t-il grossièrement.

Carol avala sa salive alors qu'un frismister glacé lui parcourait sa colonne vertébrale et que mister estomac se soulevait déjà de révulsion à l'idée de ce qu'il attendait d'elle.

Bien sur elle avait déjà sucé des bites auparavant... En fait une seule! ..... Celle de mister jeune amant dans le seul but de lui offrir un plaisir qu'elle n'avait jamais offert.

Et voila que maintenant ce pervers lui réclamait le même plaisir, il insis-tait maintenant :

- Viens ici Carol... Si tu savais depuis combien de temps j'attends cet instant! .... Depuis de longs mois, Cela fait longtemps que je t'imagine postée entre mes genoux suçant ma grosse BITE NOIRE! .....

Une boule se forma dans sa gorge en entendant ces mots, Carol venait de réaliser qu'en fait mister maître chanteur n'était pas l'un de ceux qu'elle avait soupçonné, car ils étaient tous blancs.

Un rai de lumière la figea alors, émanant de l'endroit où était assis mister maître chanteur sa grosse noire en évidence.

Alors que mister tourmenteur se branlait allégrement sa bite s'allongeait et s'épaississait encore, Carol réalisa alors qu'elle était bien plus grosse que celles de mister mari et de Scott.

- Qu'y a -t'il Carol, tout le monde dit au lycée que tu traites tous tes élèves de la même façon, quelle que soit leur race..... Eh bine maintenant tu vas devoir le prouver! .... Et magne-toi le cul ma chère Carol.....

- Nate... Nate Manning... Mon Dieu... C'est toi! .... C'est toi qui..... Mais comment...... Comment t'es-tu procuré ces photos? ..... balbutiait Carol en reconnaissant sa voix et la manière dont il avait prononcé les deux dernières phrases.

Carol cligna des yeux alors que soudain la lumière jaillit et Carol put constater que c'était bien Nate Manning qui était assis sur la chaise ar-borant un large sourire tout en flattant sa monstruosité et lui déclarant :

- Je faisais partie de l'équipe de surveillance de nuit lors de ton rendez-vous avec Scott..... Il ne pouvait pas savoir pas que j'étais là, je venais d'arriver sur le campus..... J'avais été très surpris de te voir en sa compagnie dans la voiture...... J'ai réagi en un dixième de seconde ma chérie! ..... Une... Deux... trois... Quatre..... J'avais déjà 4 photos! ..... rétorqua-t-il lui expliquant qu'il avait pris lui-même ces photos.

- A la huitième... Carol s'efforça de s'avancer vers mister souriant su-borneur.

Elle détourna mister visage alors qu'il la forçait à s'agenouiller entre ses cuisses, face à sa colonne d'ébène, Carol tremblait comme une feuille entendant les deux mains pour empoigner l'énorme pilon, cet énorme phallus qui faisait au bas mot 35 centimètres de long.

L'agrippant comme elle l'aurait fait d'une bête de base-ball incapable de refermer ses doigts sur mister épais diamètre, elle se mit à le branler consciencieusement tout en gardant mister visage tourné.

- Peut être bien que si je le fais jouir en le branlant, il me laissera tranquille ensuite..... Oh mon Dieu... Je frémis rien qu'à l'idée de le prendre en bouche! ..... frismisternait-elle de dégoût, le branlant de plus en plus vite dans l'espoir de le faire jouir manuellement.

Bien que fort expérimenté pour mister jeune âge, Nate avait couché avec sa première fille à l'age de 15 ans, il n'était pas de ceux qui tiraient leur coup prématurément, il gloussa en réalisant le plan de sa jolie prof.

Il se contentait de sourire l'admirant déployant tous ses efforts pour le faire jouir entre ses doigts, regardant la jolie Carol s'enferrer en s'entêtant dans sa sottise, pensant le faire gicler de façon prématurée.

Puis tendant ses deux mains il promena ses doigts dans sa douce che-velure soyeuse, il força la belle garce à approcher mister visage de sa bite déployée.

Il adorait la voir écarquiller les yeux en affichant mister dégoût.

Carol sentit des nausées la secouer alors que le jeune pervers prome-nait mister gland sur ses lèvres juste sou mister nez, une forte odeur de sueur et de pisse lui montait aux narines alors que mister estomac se soulevait en humant ces puissants remugles.

Tête tirée en arrière il empoigna ses mains pour presser sa bite contre ses lèvres, il tira alors mister visage en avant appliquant le jus pré sperma-tique qui suintait de mister méat sur ses lèvres purpurines, un peu comme s'il étalait mister rouge à lèvres.

Le gland pressé contre ses dents serrées il lui enjoignit :

- Ouvre ta jolie bouche ma chérie... Il est temps que t'embouches ma grosse BITE NOIRE! ......

- Mmmmmmffffff...... Mmmmmmffffffffffffff...... Mmmmmmmfffff! ..... frismisterna Carol alors qu'il enfournait mister énorme pilon dans sa bouche hagarde, lui écartant les mâchoires comme jamais elles ne l'avaient été.

Frémissante de révulsion alors que l'épais gland de chair heurtait l'entrée de mister arrière-gorge, elle tenta de le repousser de toutes ses powers, mais il maintenait fermement mister visage dans le bon axe.

Elle n'était pas de power contre ce puissant gaillard dont la bite épaisse s'enfonçait maintenant dans mister arrière-gorge, Carol ne parvenait pas à croire qu'on puisse la powerr à accomplir un acte aussi dégradant.

Accueillir Scott Berger dans sa bouche était une manière de plaire à mister jeune amant, c'était carrément l'opposé de ce qui advenait à cet instant.

Cet acte semblait si hideux que Carol s'efforçait d'endurer le vil adolescent qui commençait à la baiser en bouche, faisant coulisser âprement sa grosse bite noire entre ses lèvres.

C'est alors que le jeune Nate souffla :

- Oh prof chérie..... Oh mon Dieu... C'est si bon de te baiser! .... J'en rêve depuis si longtemps! ...... Si foutrement longtemps! .... Je ne vais plus tarder à tamidonner les amygdales! .....

Quelle qu'en soit la raimister le fait qu'il risquait d'éjaculer dans sa bouche ne lui avait même pas effleuré l'esprit?

Elle posa ses mains sur les cuisses de Nate cherchant de toutes ses fai-bles powers à le repousser pour extraire sa grosse bite de sa bouche, mais elle luttait en vain mister agresseur était bien plus fort qu'elle, il accrocha encore plus fermement ses cheveux et la retint en place alors qu'il grognait

- Ahhh prof.... Ohhhhhh Carol ... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais jouirr-rrrrrrrrrrrrrrrr...... Ca y'est je gicle dans ta bouche! ...... sa bite enfla encore dans sa bouche, Carol sentit les chauds jets de mister éjaculation s'écouler dans sa gorge avant de tracer mister chemin vers mister estomac.

Elle parvint à reculer la tête, de ce fait sa seconde éjaculation lui emplit la bouche, encore un jet et elle fut totalement pleine.

Incapable de recracher la semence qu'elle avait en bouche, Carol n'avait pas d'autre choix que d'avaler mister répugnant foutre alors qu'il continuait jet après jet à se vider les couilles dans sa bouche rétive.

De plus, circonstance aggravante il l'encourageait :

- Ah oui ma petite prof..... Comme ça... Ah ouiiiiii...... T'es une suceuse de première! ..... Ah oui, vide-moi les couilles ma prof chérie! ..... Bouffe tout ce foutre crémeux que je t'injecte en pleine gorge! ..... elle avala encore et encore, jusqu'à ce qu'ils e retire enfin de sa bouche asservie.

Carol avait besoin d'un bon bol d'air, mais cela n'était pas facile d'autant plus qu'elle avait maintenant des nausées, elle rampa jusqu'à la poubelle voisine.

- Arrrrrrrrhhhhhhh...... Arrrruuuckkkkk..... Aarccckkkkkkkkkk!...... elle vomit tout ce qu'elle avait avalé en plus du repas qu'elle avait pris peu de temps auparavant.

Elle se sentait si malade à cet instant, elle était si concentrée sur ses hauts le cœur, qu'elle ne se rendait pas compte qu'il descendait la ferme-ture éclair du dos de sa robe, puis qu'il déclipsait mister soutien-gorge, elle ne s'en rendit compte que lorsque des mains calleuses s'emparèrent de ses nichons pour les palper avidement.

chrislebo

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#66
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Un moment plus tard, Nate lui tendit une bouteille d'eau minérale en plaisantant:

- Avec les compliments du Notel Motel.....

La prenant sous les aisselles il la releva, Carol se tenait figée dans la lumière du spot lumineux alors qu'il descendait les épaules de sa robe sur ses bras, la robe bleue tomba au sol tirebouchonnant autour de ses hauts talons beiges.

Son soutien-gorge dégrafé la suivit de peu, le vil ado ne perdit pas de temps pour empaumer à nouveau ses nichons, cette fois il entreprit de les malaxer, les triturer alors que ses mamelons dardaient sous ces ca-resses indésirables.

- Bordel t'as de jolis tétons ma chérie! ..... s'enthousiasma-t-il la tournant vers lui pour lui mordiller les mamelons.

Quelques instants plus tard, étendue sur le lit, Carol se cachait le visage entre les mains, elle pleurait à chaudes larmes alors que mister suborneur roulait sa petite culotte sur ses cuisses, la repoussant sur ses chaussu-res.

En dehors du fait qu'elle devait powerr mister corps à se soumettre afin de lui permettre d'avoir des rapports sexuels, Carol tentait de se préparer à recevoir sa monstrueuse bite dans la chatte.

Mais elle ne s'attendait pas à ce qu'il enfouisse sa tête crépue entre ses cuisses, lui révélant ses intentions luxurieuses.

- Nonnnnnnn... Je t'en prie....... Ahhhhhhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhhh... couinait-elle alors que Nate lui bouffait la chatte à pleine bouche.

En expert dans le léchage de chattes juteuses, Nate travaillait gaillarde-ment les sens de Carol lui enseignant des choses auxquelles elle n'avait jamais souscrit.

En un rien de temps il la faisait miauler de joie alors que sa langue agile qui fouillait sa chatte inondée de cyprine la rendait folle.

- Bordel elle a le feu au cul, et je n'ai pas encore titillé mister clito! ..... pensait-il épaté de sa réaction enflammée.

- Mais lorsque je vais m'en occuper, elle va grimper aux rideaux! ..... conjoncturait-il ravi de l'aubaine.

Et bien sur lorsqu'il mordilla mister clito d'une bouche habile elle se mit à crier :

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhh... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh......

Nate se régala alors de mister nectar alors qu'un orgasme fracassant la terrassait, sa chatoune embrasée secrétait un flot de cyprine qui s'écoulait dans sa bouche avide.

Sortant de l'état de sidération dans lequel l'avait plongé mister violent or-gasme, Carol fut envahie par le remords et la honte, honte d'avoir joui de façon si éclatante.

Elle sentit alors un corps lourd peser sur le lit, puis un épieu charnu se promener dans sa fentine, elle paniqua alors, elle n'avait jamais expéri-menté de queue aussi monstrueuse.

Déjà elle sentait les dimensions extraordinaires de s bite qu'il tentait d'insérer dans sa chagatte réticente, elle le repoussa de toutes ses powers espérant échapper, du moins momentanément à l'inexorable empalement qui la guettait.

Le musculeux jeune gaillard n'aimait pas se voir repoussé, il empoigna ses hanches et s'élança, Carol hurla sa douleur :

- Aiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.....

- T'affole pas chérie... gloussa le pervers gaillard alors qu'elle coui-nait, il se pencha sur elle pressant sa bite sur sa foufoune, faisant pénétrer quelques 5 centimètres de plus dans sa cramouille dis-tendue.

- Bordel prof t'es aussi étroite qu'une pucelle! ..... Je suppose que ton mari et ton amant n'ont que des ridicules petites saucisses! ...... la raillait-il alors qu'elle sanglotait de plus belle alors qu'il s'enfon-çait inexorablement dans sa caverne endolorie.

Rafferrmissant ses prises sur ses hanches il continuait à forer mister chemin dans mister utérus asservi, plongeant de plus en plus profondément mister énorme mentule dans sa grotte jusqu'à ce que leurs deux toimisters s'emmêlent.

En voyant ses doigts griffer désespérément les draps, sentant ses cuis-ses largement écartées sous lui, Nate comprit qu'elle entendait rester passivement étendue sur mister lit, ne manifestant aucun émoi alors qu'il la baiserait à couilles rabattues.

Il s'en réjoui lui qui était décidé à stimuler ses sens, cela l'encourageait à déployer toute sa technique et mister art pour l'amener dans un premier temps à partager ses orgasmes, puis dans un second temps le supplier de continuer à la baiser à fond.

Lentement, comme un train quittant la gare, il débuta par des coups de boutoir mesurés, d'une profondeur moyenne avant d'amplifier et le rythme et la profondeur de ses pénétrations.

A peine cinq minutes plus tard, Carol secouait la tête de droite à gauche alors qu'elle agrippait les draps à pleines mains, plantant ses talons dans le matelas pour répondre aux assauts enfiévrés de mister maître chanteur qui faisait vibrer mister corps en dépit de ses intentions.

Elle figeait mister corps, essayant de dissimuler mister émoi, mais elle était de plus en plus faible... ses sphincters vaginaux se crispaient et décris-paient sur la grosse hampe alors qu'elle aspirait l'épaisse colonne de chaire qui coulissait allégrement dans sa moule embrasée.

- Ohhhhh... Ahhhhhh..... pleurnichait-elle, par à coup, c'était là les seuls signes qui trahissaient mister émoi avant que ne s'effondrent ses défenses, sa chatoune serrant fortement la bite tendue qui lui donnait tant de plaisir et s'enfonçait jusqu'à la racine dans on petit corps frémissant.

Nate sourit intérieurement, il avait compris plusieurs minutes plus tôt que ses défenses céderaient très bientôt, et il n'avait aucun doute la-dessus rien qu'à sentir ses sphincters jouer sur sa bite.

Et voilà que maintenant il constatait au travers de ses gémissements que sa capitulation était imminente, elle ne tarderait plus à le supplier de la baiser encore et encore! ......

Ses gémissements devenaient plus bruyants, plus fréquents, Nate se mit alors à la baiser sur un rythme accéléré, heurtant à tout coup le col de mister utérus, il sentit alors ses mains caresser mister dos alors que ses cuisses s'enroulaient autour des siennes.

Il allait maintenant lui porter le coup de grâce, il s'immobilisa à demi en-foncé dans sa grotte en feu, elle grogna alors :

- Pourquoi... Pourquoi t'arrêtes-tu? ..... il lui rétorqua alors :

- Dis-moi ma prof chérie, dis-moi ce que tu veux..... Dis moi ce que tu veux que je te fasse! .... N'hésite pas à parler crûment.....

Carol se mordait les lèvres, secouait sa tête de gauche à droite pour dire :

- NON... elle se refusait à succomber de façon si humiliante.

Mais cette grosse bite qui lui donnait un plaisir aussi intense qu'indésiré était dans une position d'attente, à moitié encastrée dans sa chatoune frémissante, alors que ses sphincters se crispaient et décrispaient sur l'épaisse hampe qui ne la comblait qu'à moitié, mister corps s'efforçait de le stimuler de façon à lui faire reprendre ses activités luxurieuses.

Bientôt ses envies devinrent trop fortes, elle capitula misérablement en grognant :

- Maudis sois-tu...... baise-moi... Je veux que tu fourres ta grosse BITE au fond de ma CHATTE..... Mon Dieu, baise-moi comme une SALOPE! ..... Prends-moi à fond..... Je veux sentir tes couilles contre mon ventre... enfonce-toi dans mon utérus! ...... Vas-y es-pèce de bâtard......

- Oh ouiiiiiiiiiiiiiii..... Ohhhhh, ouiiiiiiii..... Ahhhhhhhhhhhhhhh... En-coreeeeeeeeeeee... cette jeune prof si guindée, si prude, pante-lait comme une folle alors qu'il remettait à la baiser sur un rythme effréné.

Il retirait ses 30 centimètres de sa chatte pour mieux les y enfouir de nouveau, sur un rythme croissant, la martelant tel un marteau pneumati-que, la baisant d'une manière qu'elle ne pourrait jamais oublier! .....

Bientôt il sentit ses ongles griffer mister dos alors qu'elle se cabrait pour aspirer plus profondément sa bite dans sa féminité embrasée, elle était tout prêt à succomber à un fracassant orgasme.

- Oh mon Dieu... Je... Je Jouisssss..... Ahhhhhhhhhhhhhhh..... hur-lait-elle à pleins poumons alors que Nate se vidait les couilles dans mister intimité brûlante.

Une heure plus tard, après une session de jambes en l'air entre la somp-tueuse prof et mister jeune maître chanteur, il lui tendait une serviette pro-pre en commentant :

- Et une serviette propre, avec les compliments du Notel Motel..... Tu ferais mieux de prendre une douche bien chaude avant de ren-trer chez toi! .....
chrislebo

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#67
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Rassemblant ses vêtements et mister sac à main, elle s'enferma dans la salle de bain sachant qu'effectivement il valait mieux qu'elle se douche au cas où mister mari rentre chez lui avec en tête l'envie de lui faire l'amour.

Ouvrant mister sac, elle trouva le flacon de douche vaginale qu'elle avait eu la précaution d'emmener.

Rhabillée après cette douche chaude et reconstituante, elle sortit de la salle de bain, elle vit alors que le lit avait été refermé, que les couvertu-res qui masquaient les fenêtres avaient été enlevées, et que maintenant mister pervers maître chanteur finissait de nettoyer la chambre.

Lorsqu'il se dirigea vers la salle de bain, Carol balbutia :

- Tu... Tu avais promis de me donner ces photos. ....

Mais, alors que le jeune homme vidait la poubelle de la salle de bain dans mister sac à ordures, il trouva l'emballage et le flacon de sa douche vaginale vides, il l'interpella violemment :

- Bordel qu'est-ce que cela? .... Une douche vaginale? .... Tu t'es débarrassé de mon foutre? ..... Salope, Je n'ai pas trouvé de fla-con de douche vaginale dans la poubelle quand tu as copulé avec ce salopard de Scott dans cette chambre! ....

A la vue de sa fureur, Carol craignit pour sa vie alors qu'elle s'écartait précipitamment de lui, mais elle heurta le lit et tomba à plat dos dessus.

Elle se retourna et chercha à ramper pour s'enfuir, mes il attrapa ses chevilles et la tira sur le rebord du lit, puis il saisit l'ourlet de sa robe et le remonta pour saisir la ceinture élastiquée de sa petite culotte.

Sa petite culotte disparue, à quatre pattes, Carol sanglotait alors que le petit salaud lui fourrait sa bite dans la chagatte en lui annonçant :

- Alors petite pute, tu t'es débarrassée de mon foutre alors que tu as gardé celui de Scott dans ton ventre! ..... T'es une sacrée salope ma petite Carol..... Je vais te remplir à nouveau de ma semence, et comme tu as vidé ton flacon de douche vaginale....... Tu vas garder ma semence dans ton ventre tout comme tu avais gardé le foutre de Scott! ....

Après une rapide séance de baise en levrette, Carol toujours sans culotte sentait la semence de Nate s'écouler de sa chatte pour s'étaler sur la face interne de ses cuisses alors qu'il l'escortait jusqu'à la porte en ironisant :

- Maintenant que t'es bien emplie de foutre, tu peux rentrer chez toi retrouver ton gentil petit mari! .... Tu peux aller le rejoindre la chatte pleine de semence de nègre! ....

Retenant ses larmes alors que Nate lui pétrissait une dernière fois les nibards, elle l'entendit railler :

- Ne te tracasse pas ma petite chérie, je n'enverrais à permisterne tes photos..... A moins que tu ne viennes pas me rejoindre ici mercre-di prochain à la même heure! .....

Dès qu'elle eut franchi la porte de la chambre, l'infortunée Carol, les lar-mes aux yeux, se dirigea vers sa voiture alors que mister foutu salaud de maître chanteur terminait de nettoyer la chambre.

Cependant Carol ignorait qu'en fait non seulement nate nettoyait la chambre mais que de plus il rassemblait les caméras qui lui avaient permis d'enregistrer cette torride fin d'après-midi

Les images d'elle et Scott faisaient appel à l'imagination, mais celles ci ne nécessitaient aucune imagination.

Avec ces photos, il était sur de conserver la ravissante Carol dans ses griffes le temps qu'il voudrait, il avait déjà en tête de l'utiliser pour mister propre plaisir et pour gagner de l'argent, une jolie poupée comme elle devait rapporter gros, il en ferait mister gagne-pain.

Le lendemain, au lycée, Carol était ravie de ne pas avoir rencontré Nate de la journée.

Le jeudi, à la fin des cours elle se tenait à la disposition de ses élèves pour les aider à résoudre un problème de maths, ou pour les guider dans leurs études.

Comme ils avaient commencé un nouveau chapitre d'algèbre fort ardu et que l'heure des contrôles arrivait, il était normal que quelques élèves viennent solliciter mister assistance?

Elle avait désespérément envie de boire une tasse de café, mais elle ne voulait pas quitter les derniers étudiants qui faisaient la queue pour attendre mister aide, elle demanda à la fille qu'elle venait d'aider si elle pouvait se rendre aux bureaux pour lui ramener une tasse de café bien chaude.

Carol ignorait que Nate sortait au même instant du bureau du censeur après été vertement réprimandé pour avoir fumé dans l'enceinte de l'école.

Il surprit la secrétaire annonçant à la jeune fille :

- Dites à madame Hasting qu le contenaire de crème est vide, et qu'on sera bientôt ravitaillé...... Mais que pour on ne peut lui propo-ser qu'un café noir.....

Nate reconnut immédiatement le mug jaune décora d'une grosse fleur blanche qu'il avait souvent vu posé sur le bureau de sa prof de maths chérie.

Il réalisa alors qu'on était jeudi et que c'était le jour où madame Hasting aidait les élèves qui avaient des problèmes en maths.

Regardant à distance, il vit qu'il ne restait plus que deux élèves à faire la queue... Il eut alors une brillante idée..... Une idée directement soufflée par sa bite! .....

Lorsque mister dernier élève eut quitté sa classe, Carol entendit rémisterner les pas d'un nouvel individu qui pénétrait dans la classe, elle supposa que c'était juste un autre étudiant qui venait requérir mister aide.

Mais levant les yeux, elle avala sa salive à la vue de mister pervers maître chanteur s'approcher d'elle, elle le regarda avec suspicion poser sa tasse de café sur le bureau puis contourner le bureau pour s'asseoir dans la chaise vide que venait de quitter le dernier élève qu'elle avait assisté.

Elle se mit à trembler en le voyant poser une feuille de papier sur mister bureau lui demandant :

- Pourras-t résoudre ce problème ma chère madame Hasting? ...

Carol haleta sourdement en voyant l'énoncé du prétendu problème qui se résumait à un schéma : une chose + une autre = quoi?

- Tu ferais mieux de feindre de travailler sur ce problème ma petite chérie! ..... Juste au cas ou quelqu'un jetterait un oeil par la fenêtre en passant.....

Bien que le schéma dessiné sur la feuille s'avère drôlement cru, Carol dut admettre que Nate avait un certain talent d'illustrateur.

On y voyait la main gauche d'une femme ornée d'une alliance et d'une bague de fiançailles + la vue d'une épaisse bite = une image représen-tant les doigts de la main blanche empoignant la hampe de chair noire = une image montrant un jet de sperme se déversant dans la tasse à café.

Puis, alors que Nate feignait de s'intéresse à mister bloc notes alors qu'elle prenait mister stylo sur la tablette Carol ne pouvait que grincer des dents de dégoût alors que sa main gauche branlait servilement l'épais épieu de chair de mister maître chanteur jusqu'à obtenir le résultat décrit sur la der-nière image.

- Purttttttt. ...Purttttt! ..... ses couilles se vidaient en jets crémeux dans le mug.

Avant qu'elle ait pu relâcher sa prise sur la bite s'amollissant, Nate em-poigna sa main et la posa sur mister gland baveux, l'enduisant ses doigts et la paume de sa main des derniers reliefs de foutre suintant du méat.

- Et maintenant frotte tes doigts et ta paume sur tes lèvres et ton nez ma petite salope chérie! ....

Elle obéit à contrecœur, révulsée, elle dut humer et goûter la senteur acre et virile de mister foutre.

Comme Nate se levait de sa chaise, il replaça la tasse de café sous mister nez, mais cette fois, le café était enrichi de sa virile crème onctueuse.

Carol avait des hauts le cœur en regardant le contenu de la tasse, des taches huileuses flottaient sur le café noir alors que vraisemblablement sa crème onctueuse avait sombré au fond de la tasse.

Elle croyait que mister épreuve était finie lorsqu'elle vit Nate se poster face au bureau, puis il tendit la main et retourna la feuille de papier elle put alors observer le dessin au dos qui la représentait buvant sa tasse de café.

L'idée de devoir boire ce café assaimisterné de sa semence lui faisait horreur, cela fut encore pire alors qu'elle arrivait au fond de la tasse, elle l'entendit alors intervenir :

- Vide la entièrement ma petite salope... Je veux que tu ingères la totalité de ma semence! .....

De retour dans la salle des professeurs, après avoir prestement lavé et rincé mister mug, Carol se précipita dans les toilettes pour dames.

L'estomac au bord des lèvres elle jeta u cou d'œil circulaire, par chance elle était seule dans la pièce, elle se rua alors dans un des cabinets et tenant ses cheveux en arrière elle vomit tripes et boyaux.

- Urckkkkkk..... Urrrrkkkkkkkkkkkkkkkk! ..... grognait-elle en se vidant l'estomac dans les toilettes.

C'était impensable la façon dont elle sombrait dans la déchéance depuis cette funeste nuit la veille de Noël.

Elle avait trompé mister mari, mister jeune voisin et amant l'avait engrossée et voila que maintenant elle devait se soumettre aux volontés sexuelles de Nate Manning mister pervers maître chanteur
chrislebo

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Aveuglement, Humiliation Viol


Frank est un divorcé âgé de 32 ans, il n'a jamais eu beaucoup de chance avec les femmes.

L'un de ses amis, Charlie, est tout mister contraire, il a une charmante femme, est sportif et se trouve être un gai luron.

Kris, sa femme et aussi une bonne amie de Frank, elle a 33 ans.

Frank a souvent eu envie de la sauter, mais il savait très bien qu'il n'en avait aucune chance, ce n'est pas le genre de femme à tromper mister mari! ....

Il sait pertinemment que Kris est traditionaliste, voire même prude et que pour elle, il n'est qu'un excellent ami. En fait, il ne lui apparaît pas comme un véritable homme! .... Il ne l'attire pas du tout, et Frank le sait bien.

Frank a d'autres excellents copains : Andy, Marty, Alex et Joe. Il leur a déjà parlé de ses fantasmes concernant Kris.

Ils la connaissent tout autant que lui.

- "Hey les gars pourquoi on ne la violerait pas cette salope! ...." proposa Andy l'œil égrillard.

- "Moi aussi j'aimerais fourrer ma queue dans sa petite chatte, et je suis sûr que vous aimeriez tous sauter cette chienne, Ouais Frank, Andy a bien raimister! ...." surenchérit un de ses copains.

- "Vous voulez dire qu'on devrait la baiser contre sa volonté? ... Hem, et pourquoi pas? .... J'aimerai lu faire voir que je suis un vrai homme! .... C'est d'accord les gars, on s'la fait! ...."

- " Mais comment allons-nous nous y prendre? ...." demanda Frank impatient de passer à l'action.

- "Vous le savez tous, que mister mari, Charlie doit faire un voyage d'affaires le week-end prochain. Elle nous prend pour ses meilleurs amis, aussi ne refusera-t-elle de venir souper en notre compagnie si on l'invite... j'ai quelques bonnes drogues... On les mélangera à ses boismisters... Cela amoindrira ses réflexes, elle restera toutefois parfaitement lucide..... En s'y prenant ainsi on pourra facilement la sauter..." exposa Frank.

- " Et lorsqu'on en aura fini avec elle on pourra la revendre à un de mes copains qui tient un bordel! ...." poursuivit Andy

- "C'est excellent les gars, on va faire comme ça! .... Je crois que tu as un équipement vidéo chez toi Frank? .... Je pense que cela fera un excellent film! ...."

Ils firent comme prévu, et l'insouciante jeune femme se rendit chez Frank pour partager leur repas, elle ne fut même pas surprise de constater que les quatre amis de Frank étaient là.

Ils avaient préparé un excellent repas et Kris ne voyait pas l'éclair lubrique qui brillait dans les yeux des 5 comparses lorsqu'ils la regardaient.

Cette petite soirée lui semblait épatante.

Elle portait une combinaimister de cuir noir qui la moulait sensuellement.

Plus tard, Frank l'invita à regarder une cassette vidéo en leur compagnie elle accepta de bon cœur.

Andy lui offrit un verre, une boismister savamment droguée, lorsqu'elle l'eut bu, elle demanda à Frank quel genre de vidéo il allait leur montrer.

- Oh c'est une surprise, je suis sûr que tu vas adorer! .... Mes potes aussi! ..."

Kris braqua ses yeux sur la télé pour voir ce qui allait suivre.

Son sourire se figea immédiatement.

- "Hey Frank qu'est ce que! .... Mais c'est un film porno! .... Ce n'est pas le genre de film que je regarde! .... Si c'est une blague, elle est mauvaise! ...." rugit-elle furieuse.

- "Oh, je suis désolé Kris, c'est vrai que t'as totalement raimister! ...C'est bien mieux de baiser que de regarder baiser! .... Allez les gars foutez-moi cette salope à poil! ..."

- "Par l'enfer, qu'est ce que.. Ce n'est pas drôle Frank! ..."

- "Je sais bien.. Mais nous on aime! ..."

- "Uhhhh... Que... Que faites-vous..... Je... Je ne veux pas... Mmmmh... Vous n'êtes que des bâtards! .... Vous m'avez droguée! ....." hurlait-elle.

- "Je suis désolé Kris chérie, mais tu dois bien comprendre, ainsi, c'est plus facile de s'amuser avec toi! ...."

Marty et Joe empoignèrent ses bras et l"immobilisèrent.

Kris cherchait à se défendre, mais la drogue ingérée minorait ses capacités de réaction.

- "Nonnnnnn... Je vous en prie..... S'il vous plait... Arrêtez! ..... Vous ne pouvez pas me faire ça! ....." s'époumonait-elle hystériquement.

Andy s'approcha d'elle et descendit la fermeture dorsale de sa combinaimister.

Avec l'aide des ses comparses il la dépouilla lentement de sa combinaimister et de ses chaussures.

Elle ne portait plus qu'un soutien gorge en soie noire une petite culotte en soie noire et une paire de collants noirs.

- "S'il te plait Frank, dis-leur d'arrêter! .... J'ai toujours pensé que tu étais un de mes meilleurs amis, tu ne peux pas me faire ça! ...." sanglotait-elle alors que de grosses larmes de désespoir coulaient sur ses joues.

Joe lui saisit les cheveux et lécha les larmes sur mister visage.

- "Mmmmmm.. C'est vraiment bon, salope ça me donne faim de toi! ..."

Il se mit alors à lui rouler ses collants sur ses cuisses très, très lentement, ils terminèrent par sa petite culotte et mister soutien-gorge.

Elle exposait tous les charmes de mister corps bronzé.

- "Wowwww.. Elle est vraiment ravissante! ... Quelle belle salope! .... Regardez-moi ses nichons bien fermes et mister cul bien rond! ...."

- "Elle est vraiment faite pour être baiser encore et encore....."

Ils prirent quelques photos de sa capiteuse nudité.

- "Hey les gars, seriez vous assez aimables pour tenir les cuisses de cette salope grandes écartées? ..." demanda Frank à ses acolytes.

- "Je voudrai savourer le parfum de sa chatoune! ..."

Marty et Joe lui tenaient les bras alors qu'Andy et Alex lui écartaient les cuisses en grand.

Affaiblie par la drogue, elle n'avait aucune chance de leur échapper, elle essaya bien, mais elle était sans powers.

Frank qui s'était déshabillé pendant ce temps s'approcha d'elle.

Il posa sa main droite entre ses cuisses, palpa sa chatoune et entreprit de la malaxer.

- "NONNNNNNNNNNNNNNN....." s'époumonait-elle paniquée.

Frank empoigna ses nichons de l'autre main et les pelota rudement.

- "NONNNNNNNN... Aaaaarrrrghhhhh..... Uhhhhhhhhhh! ...."

- "Cette salope semble vraiment bonne les gars! .... Mais sa chatte est encore sèche! ..... Mettez la au sol, je vais lécher sa foufoune! ...."

Ils firent ce que leur demandait leur copain, disposant Kris le dos au sol.

Ils tenaient ses bras et écartaient ses cuisses autant qu'ils le pouvaient.

Frank entreprit de lui bouffer la chatte! ....

Il parcourait de la pointe de la langue ses muqueuses intimes, puis la fora dans mister petit trou du cul affolé.

Kris était humiliée comme jamais elle ne l'avait été.

Ces gaillards se servaient d'elle comme on se sert d'une pute bon marché, et encore se refusait-elle à envisager ce qui allait suivre.

Frank la caressait maintenant intimement tout en mâchouillant ses tétons, d'un puisant coup de boutoir il enfouit sa pine raidie dans sa chatoune rétive.

- "AAAAArrrrrrrrrrghhhhhhhhh... Uuuuuuunhhggggggg... Oohhhhh nonnnnnnnnnnn! ..."

- "Hey si, Frank vas-y baise la à couilles rabattues! ...."

- "Bien au fond de sa chatte! ..."

- "Donne lui ce dont elle a besoin! ...."

- "Montre-lui que t'es un vrai homme! ...."

- "Baise la à fond bien cette salope! ...."

- "Encore, elle est à toi! ...."

Et Frank suivit leurs encouragements, il la baisa à couilles rabattues sans aucune pitié.

Kris hurlait sa douleur alors qu'il coulissait âprement dans sa chatte distendue, il lui malaxait vulgarement les nibards, pinçant sauvagement ses mamelons.

Elle ferma les yeux n'espérant qu'une chose, que cela se termine rapidement! ....

Mais Frank la saisit par les cheveux et la gifla violemment.

- "Regarde moi salope! ... Je veux voir tes yeux quand que je te baise! ...."

Sur ces mots il lui roula de power un patin, puis il jouit, il remplit la chatte de la malheureuse, qui sanglotait, de mister foutre chaud.

Le suivant fut Marty, i faisait environ 120 k et lorsqu'il grimpa sur Kris qui faisait un petit 50 kg, elle disparut littéralement sous lui.

Il glissa aisément dans la foufoune lubrifiée par le foutre de Frank et se mit immédiatement à la labourer à grands coups de boutoir.

Puis ce fut le tour d'Andy, de Joe et enfin d'Alex. Ils la violèrent tous tour à tour.

Mais mister calvaire ne s'arrêta pas là.

Comme ils se rendaient compte que la drogue ne faisait plus effet, il lui lièrent les chevilles aux poignets, le corps plaqué au sol.

- "On pourra plus facilement t'enculer disposée ainsi ma petite chienne! ..."

- « Non... Nonnn... NONNNNNNNNNNNNNNNNN... pas mon derrière... Je vous en prie... On ne m'a jamais... Jamais sodomisée......Je vous en prie! .... »

Frank alla chercher de l'huile dans la cuisine et en enduisit mister trou du cul.

Kris hurlait hystériquement.

Elle avait un cul somptueux, on l'aurait cru fait pour se faire enculer! .....

Frank se posta dans mister dos et lui écarta de power les fesses, puis il pointa sa grosse bite sur l'anus resserré et vierge, Kris hurlait de douleur autant que de honte.

- "Hey les mecs, c'est fou ce qu'elle est étroite... Mmmhhh... Oooohhh..... Ouiiiiiiiiii..... C'est vraiment un bon coup! ..."

Il coulissait sauvagement dans mister trou du cul, de plus en plus rapidement, sans se soucier de ses cris de douleur.

Cette grosse bite lui ruinait le trou à merde, mister oeillet était violemment distendu par cette vulgare intrusion d'une énorme bite bandée.
chrislebo

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#69
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Il empoigna ses nibards et les malaxa âprement

- "Arrêtez..... J'ai mal... Si mal... Vous êtes bien trop gros! ... Ungh... Ungh... Ungh... Arrêtez..... Aaaahhhhh. Nonnnnnnnnnn......"

Ses burnes frappaient sa croupe alors qu'il redoublait ses coups de boutoir, mister corps entier soubresautait sous le puissant assaut.

Frank se réjouissait de l'enculer, il voulait surtout humilier et dégrader la si jolie femme de mister ami.

Aussi se contrôla-t-il le plus longtemps possible voulant l'enculer le plus longuement possible.

Mais, après un bon quart d'heure, il explosa dans mister fion et le remplit de sa chaude semence.

Cette fois se fut au tour d'Andy de lui succéder. Il avait la plus grosse bite des 5 amis.

La malheureuse Kris ne se doutait pas de ce qui l'attendait.

Son trou du cul était bien lubrifié par le foutre de Frank aussi Andy n'eut-il aucun problème pour loger mister gland dans mister fondement distendu.

Mais pour ce qui était du reste de sa mentule! ....

Son oeillet était bien trop étroit, il se fit mal en tentant de fourrer mister énorme bite dans mister étroit goulot, mais il persévéra.

Kris était à l'agonie.

Elle se crut en enfer quand il bourra mister énorme bite dans mister trou du cul pourtant déjà élargi par Frank.

Une fois à moitié enfoui en elle il se positionna mieux pour pouvoir parfaire mister intromission.

Il se concentra quelques instants, compta jusque trois et d'un coup de rein d'une vulgarité inouïe il l'embrocha sur toute sa longueur.

Lorsqu'il se retira à l'orée de mister anneau, Kris se tétanisa et hurla :

- "Mon Dieu aidez-moi! ..."

Elle se remit à hurler alors qu'il entreprenait de l'enculer vigoureusement coulissant sans pitié dans mister anus distendu.

Lorsqu'il lui eut rempli l'intestin de foutre, le gros Marty l'encula à mister tour.

Puis ce fut le tour d'Alex et de Joe de la sodomiser.

Ils lui délièrent les mains quelques minutes et les relièrent dans mister dos, puis ils la forcèrent à s'agenouiller et lui posèrent un écarteur circulaire en caoutchouc dans la bouche.

Frank se posta face à elle et engouffra sa pine dans sa bouche maintenue ouverte.

- "MMMMMMMPPPPPFFFFFF! ....."

- "C'est bon ma chérie, et maintenant nettoie ma bite! ..." se marra Frank la baisant en bouche.

Il lui agrippa les cheveux et la força à s'empaler sur sa bite alors qu'elle se déployait à nouveau dans sa bouche asservie.

Elle chercha à repousser de la langue cette mentule puante, mais elle n'avait aucune chance d'y parvenir.

Il fourrait sa bite dans sa gorge, se réjouissant de vois mister visage afficher un tel dégoût, une telle douleur, il se mit à coulisser de plus en plus vite entre ses lèvres bloquées en position ouverte.

Andy se mit alors à lui fouetter les fesses avec sa ceinture, Kris s'étouffait de douleur, Frank adorait cela.

- «Super Andy, quelle sensation de sentir ses cris de douleur s'écraser sur ma bite! .... Fais la crier plus fort! .... »

Et Andy s'acquitta de cette tâche avec un plaisir grandissant. Il lui fouetta la croupe de quatre violents coups de ceinture, fou d'excitation Frank déversa mister trop plein de foutre au fin fond de sa gorge.

- «T'es vraiment une sacrée suceuse ma petite salope! ... Mmmmmm.. Tu ferais mieux de tout avaler! ... »grimaça-t-il alors que yeux fermés, elle ingurgitait mister foutre crémeux sans en perdre une goutte.

- "Hey Andy, passe-moi ta ceinture" l'interpella Frank.

- "Je vais la fouetter à mon tour tandis que tu lui mets ta bite en bouche! ... Tu verras comme c'est bon de se faire sucer tandis qu'on la fouette! ..."

Andy fourra à mister tour sa grosse mentule entre ses lèvres maintenues grandes ouvertes et guida sa tête tandis que Frank lui cravachait férocement les fesses avec sa ceinture.

Ils lui forcèrent tous, tour à tour la bouche tandis qu'un autre la fouettait sauvagement, la malheureuse Kris du avaler des litres de foutre.

Puis ils la délièrent et lui firent prendre une douche.

Une fois propre ses chevilles et ses poignets furent ligotés à nouveau, puis ils la laissèrent dormir, ils en avaient tout autant besoin qu'elle.

Le lendemain matin elle se réveilla parce qu'on la bougeai.

En se réveillant, elle vit Frank posté devant elle.

Il lui tenait les jambes levées en l'air, elle tremblait au rythme de sa chevauchée.

Ils repoussèrent ses jambes en arrière et les rivèrent à ses épaules.

Un sourire étincelant aux lèvres il la regardait droit dans les yeux en la martelant d'amples coups de pine. Ses mains étaient liées dans mister dos, elle ne pouvait pas l'empêcher de la violer.

- "Hey ma petite Kris chérie, t'aime pas te faire baiser de bon matin? ..." plaisanta cyniquement Frank un sourire démoniaque accroché aux lèvres.

Avant qu'elle puisse lui répondre, ils lui replacèrent en bouche l'anneau de caoutchouc qui maintenait sa bouche grande ouverte, Andy plongea sa grosse bite dans sa bouche, s'enfouissant profondément dans sa gorge.

Alex et Marty se contentaient de malaxer ses nichons tandis que Joe lui doigtait le trou du cul.

Frank jouit le premier, Andy la baisait toujours avec autant de violence en bouche, il cracha mister foutre quelques minutes plus tard.

- "Hey salope, c'est ton petit déjeuner, tu ferais mieux de tout avaler! ...." commenta-t-il explosé de rire.

Puis ils reprirent leurs activités.

Marty s'allongea dos au sol et ils disposèrent leur malheureuse victime qui se débattait de toutes ses faibles powers sur sa bite dressée.

- "Allez chérie, tu vas avoir une rude expérience maintenant! ...."

Andy et Frank la forcèrent à se pencher sur Marty, tant et si bien qu'Alex put enfourner sa grosse mentule dans mister trou du cul affolé, puis Joe s'enfonça dans sa bouche toujours maintenue grande ouverte.

Ils la baisèrent simultanément dans ses trois trous, ils la travaillaient âprement dans chacun de ses trous livrés sans défense à leurs initiatives lubriques.

Elle tremblait de tous ses membres sous les coups de rein puissants de ses violeurs déterminés à ne pas l'épargner.

Comme la veille tout était filmé et de plus Frank prenait des photos.

Ils la baisèrent à couilles rabattues pendant des heures, changeant de position à chaque reprise de façon à ce que chacun la viole par tous ses trous avant qu'elle s'évanouisse.

Enfin, à la nuit tombée les copains de Frank regagnèrent leurs pénates, le laissant profiter seul de sa proie.

Il lui enjoignit de se laver, il prit sa douche avec elle, puis de préparer le repas. Elle vaquait aux diverses opérations de cuisine entièrement nue, il ne manquait pas de lui caresser les fesses, les nichons, de lui fourrer un doigt dans la chatte lorsqu'elle passait à proximité, elle se laissait faire entièrement résignée.

Ils mangèrent en tête à tête, elle n'avait pas une seule fois tenté de s'enfuir, elle avait remarqué qu'il avait fermé les issues à clef, de toute manière il était bien plus fort qu'elle, elle n'avait aucune chance de s'en libérer ainsi.
chrislebo

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#70
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Billy Boy



Il s'agissait vraisemblablement de prises de vue caméra en main, l'image sautait un peu, mais les images étaient claires et bien lisibles.

Une jeune femme blanche était rudoyée par trois noirs qui la baisaient. La cassette commençait par un lent strip-tease de la jeune blanche, à la fin il ne lui restait que ses hauts talons et mister sourire.

Je crois que c'est le sourire qui me choqua le plus.

Une fois qu'elle fut nue, un noir trapu est entré dans le champ, ils s'assirent tous deux sur un lit. Ils s'embrassèrent et se caressèrent un bon moment jusqu'à l'instant où il décida de se faire sucer.

Visiblement l'homme se réjouissait de se faire sucer par une jeune femme blanche. Le mister était de mauvaise qualité, cependant je l'entendis lui dire qu'elle était vraiment une bonne suceuse. Le pénis du noir était d'une longueur normale, bien inhabituellement épais.

Dès que la femme vit la queue du noir, elle rampa sur lui, et guida de la main mister épaisse bite dans mister nid d'amour.

Elle s'empala sur la courte bite et, pendant plusieurs minutes elle se démena sur lui, se baisant elle-même, la caméra avait zoomé sur mister visage, et à l'évidence elle se préparait à jouir.

Cette image clôtura la première scène.

Puis l'image revint, la même femme se trouvait avec deux noirs nus. Ils étaient sur un lit et tandis que l'un la baisait en levrette, elle suçait l'autre, pendant les quinze minutes qui suivirent, ils échangèrent plusieurs fois leurs places.

Puis ils la prirent en sandwich, l'un en con, l'autre en cul. Le visage de la jeune femme exprimait une pure extase, elle hurlait et criait mister plaisir tandis que les deux hommes lui ravageaient ses deux trous.

Ils la prirent à trois pour la dernière scène, mister visage exprimait toujours le plaisir ressenti, mais elle affichait aussi des éclairs de douleur lorsqu'ils la rudoyaient avec ardeur.

Un moment donné, l'un des hommes saisit une spatule en bois et la frappa sur la chatte, l'amenant à se tortiller furieusement entre les deux hommes qui la tenaient étroitement serrées contre eux. La spatule frappa mister clito, elle poussa un hurlement aigu tandis que mister petit appendice s'érigeait fièrement.

Il s'agissait de la seconde cassette vidéo, elle était beaucoup plus significative que la première. Je sentais les larmes ruisseler sur mon visage tandis que je voyais la jeune femme se faire violer.

L'actrice principale en était ma femme, nous n'étions marié que depuis une semaine lorsqu'elle avait été enlevée.

Il n'y avait que quelques jours, bien qu'il me sembla que cela durait depuis une éternité.

Je m'appelle Bill Williams et nous étions en lune de miel, c'est alors que ma jeune femme, June fut enlevée.

Nous occupions une suite dans l'hôtel local et c'était la première fois que nous quittions l'hôtel en deux jours, jusque là nous avions dormi, mangé et fait l'amour. Une fois notre appétit amoureux apaisé, nous avions décidé de découvrir le site.

On commença par aller à la plage, June portait un tout petit bikini qu'elle n'avait jamais arboré chez nous.

Nous avons tous deux vingt cinq ans; elle est assez grande et bien proportionnée, ses yeux vert émeraude s'harmonisent parfaitement avec sa longue chevelure rousse, par chance elle n'a pas hérité de la peau trop pâle des rousses.

Son nez et mister front mistert couverts de taches de rousseur, sa peau est d'un brun mordoré. Elle a une belle poitrine bien ferme avec d'épais et longs tétons très sensibles, qui s'érigent à la moindre caresse

Nous avons passé une excellente après midi sur la plage, jusqu'au moment où il fit trop chaud, nous sommes alors retourné à l'hôtel et nous avons joué dans la grande piscine de l'hôtel le reste de l'après-midi.

J'ai alors commandé une cruche de la boismister fruitée locale, que nous avons vidé rapidement.

Lorsque le serveur amena un second pichet, je constatais qu'il observait ma femme. C'était un noir assez trapu, pas gros, mais trapu.

Alors qu'elle bougeait, une bretelle de mister glissa sur mister épaule, dévoilant un de ses seins jusqu'à l'aréole. Je savais qu'elle l'avait fait exprès, elle aimait provoquer. Si j'avais été moins jaloux, je n'aurai pas fait de commentaires et je ne l'aurai pas laissée seule, comme je l'ai fait.

- " Sacré spectacle " dis-je alors au serveur.

J'étais si imbu de moi-même que je me laissai aller à proférer des commentaires injurieux :

- "Je parie qu'il aimerait être à ma place? ...n'est ce pas? .."

Et encore si je m'en étais tenu à cette remarque ....

Il sourit à ma réplique mais se tut, je saisis alors la cruche et la lançait rageusement au loin.

- "Quel con ..." soufflais-je alors grossièrement de façon à ce qu'il entende mon insulte.

- "Jamais vu un tel abruti! ..." June gloussa et se tint coite.

- Le serveur s'immobilisa et se tourna vers moi, ses yeux me transpercèrent, il me sourit ironiquement et continua mister chemin.

- "Ce n'était pas très gentil, Bill," me gronda June.

- "Qu'aurais-tu fait, s'il avait replacé ma bretelle?"

-

- "En fait la vrai question est de savoir pourquoi tu l'as provoqué! ...."

June était une allumeuse, jusqu'ici cela m'avait amusé.

D'ailleurs c'est pourquoi je l'avais remarquée, elle accompagnait un autre garçon dans une boom et m'avait allumé puis avait flirté avec moi.

Une semaine plus tard nous étions ensembles, et je pense que le fait que je ne sois pas jaloux lui avait plu, bien que ce n'e soit pas la seule chose en moi qui lui ait plu.

- "C'est une bonne question ..." me répondit June, on éclata de rire, l'incident fut vite oublié.

C'est alors que je remarquai que deux cassettes vidéo que j'avais tournées avec ma nouvelle caméra avaient disparues.

J'avais filmé June dansant nue, puis se masturbant. J'avais essayé de nous prendre en train de faire l'amour, mais le résultat s'avéra plutôt nul. Je plaignis de ce vol au gérant de l'hôtel, mais il me fit comprendre que cela ne le concernait pas. Je reconnus qu'il était possible qu'elles aient été jetées aux ordures, par erreur.

Puis ce fut le tour d'une paire de petites culottes de June, des micros strings qu'elle avait spécialement acheté pour notre voyage de noce. Cette fois encore je me plaignais au gérant de l'hôtel, mais à nouveau il me fit comprendre que cela ne le concernait pas.

Il me sourit, me rétorqua ironiquement qu'il allait s'occuper permisternellement de l'affaire et me conseilla de dire à ma femme de racheter deux strings à la boutique de l'hôtel, sur le compte de l'hôtel bien sur.

chrislebo

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#71
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Puis je constatais qu'on avait enduit le volant de notre voiture de location d'une substance gluante, je nettoyais le volant et j'oubliais rapidement cet incident.

Plus tard, alors que nous revenions d'avoir fait des courses, June me confia que le fond de sa culotte de bikini était humide, elle rit et m'accusa de l'avoir léché. Rétrospectivement je pense que ces signaux auraient du m'alarmer, mais j'étais amoureux, je prenais des vacances avec une ravissante femme qui n'était autre que mon épouse.

C'est pourquoi je ne m'alarmais pas pour autant.

Le quatrième jour, June disparut, nous nous étions préparés à sortir ce soir là, impatient je lui que je l'attendais au bar de l'hôtel, elle me répondit que c'était d'accord et qu'elle me rejoindrait quart d'heure plus tard.

J'ai pris un verre, puis deux, cela faisait maintenant une demi heure, je remontais dans la chambre voir ce qu'elle faisait.

La chambre était vide, je suis redescendu dans le restaurant, peut-être m'avait-elle mal compris, je cherchais après elle, elle ne se trouvait ni au restaurant, ni au bar, ni à la piscine. Je demandais au permisternel s'ils l'avaient vu, mais permisterne ne put me répondre. Après une heure de vaines recherches, je m'affolais, je remontais dans notre suite pour appeler la police, et vit que le répondeur clignotait.

- "Hey l'enculé ... Si tu veux revoir ta femme, n'appelles pas la police! ...." me dit une voix d'homme que je ne reconnus pas.

- "Poses ton cul sur une chaise ....On te rappellera à 10 heures ... Pas de flic, trou du cul,., ou elle est morte! ..."

Je ne savais que faire, la logique me dictait d'appeler la police, mais j'avais peur qu'alors ils s'en prennent à June. Je me désolais, incapable de prendre une décision, enfin, 10 heures misternèrent, je saisis le combiné à la première misternerie.

- "Bill?...."

- "June chérie , ... Où es-tu? ...Est ce que ça va? ....." je l'entendais gémir ..

- "Réponds moi! ....."

- "Bill " reprit-elle d'une voix sourde.

- "Bill ..... Ils me ... Ohhhhhhhh .... Bill!"

- "June ... Que se passa-t-il? ...."

- "Ils me .... Ils me violent ....Ils mistert en train de me violer ...... En ce moment Bill! ......"

- "June ... Où es-tu?" hurlai-je dans le combiné, ses gémissements s'amplifièrent , un homme intervint alors:

- "Hey Billy .. Tu sais c'est vraiment un bon coup .....Elle a une adorable petite chatte .....Chacun d'entre nous l'a déjà baisé trois ou quatre fois ...... Et la nuit ne fait que commencer! .....Veux-tu la revoir vivante? .....Mon cher Billy ......"

- "Ca me parait évident ....." hurlai je à nouveau.

- "Que voulez-vous exactement? ..."

- "Hey mon cher Billy ... J'ai ce que je voulais .....Une belle rousse cuisses bien écartées qu'on fourre selon notre gré .....On te la rendra quand on aura plus envie d'elle ....... Un coup de fil aux flics et tu la récupères morte ..... T'as bien compris mon gars! ...."

- "Oh, oui j'ai compris! ...Ne lui faite pas de mal ......Je ferai ce que vous voulez" m'époumonai-je dans le combiné.

- "Ca vaut mieux mon cher Billy ...Tu gardes ton calme et tout se passera bien! ....." et il raccrocha.

Je courais vomir dans la salle de bain.

Ils me rappelèrent juste avant minuit.

- " Alors mon garçon? ...Ta salope veux te parler ....Elle a beaucoup de choses à te dire .... mon cher Billy ....." me dit la voix la voix d'homme.

- "Bill? ..."

- "Je suis là chérie ...Est ce que ça va? ...." j'entendais des hommes parler à l'arrière plan.

- " Dis lui ce qu'on t'as dit de lui dire! .....Juste ce que je t'ai dit ...."

- "Ils me violent encore et encore " j'entendais le claquement des chairs qui s'entrechoquaient.

- "Ils me baisent .... Bill .... Ils me fourrent continuellement depuis qu'ils m'ont enlevée ....." la voix d'homme lui dit quelque chose que je ne compris pas.....

- "Les bites noires se mistert succédées dans ma petite chatte ......Je les ai sucé et ils ont éjaculé dans ma bouche ......" j'entendis à nouveau murmurer à l'arrière plan.

- "J'aime quand ils jutent dans ma bouche ......Je savoure chaque goutte de sperme qu'ils m'envoient au fond de la gorge ... Je me régale .....Tout de suite je suis à quatre pattes.. Et l'un d'entre eux va ....." elle poussa un gémissement aigu.

- "Il me fourre Bill...."

- "Oh Mon Dieu, il me baise ....." et elle murmura "J'aime avoir une grosse bite noire dans la foufoune ....Il est si dure ..... Si long ....."

Il y eut alors une longue pause, je n'entendais que les halètement de June. Le mister était faible mais j'entendais toujours le claquement des chairs qui s'entrechoquaient, et le coulissement d'une grosse queue dans une moule.

- "T'es toujours là Billy?" reprit le ravisseur.

- "Elle se prend une très grosse queue dans la chatte! ....Cette salope me dit combien elle apprécie les grosses bites.. Hey mon gars, aimes-tu ses épais mamelons? .... Est-ce qu'elle couine quand tu les mords? ....T'es toujours la mon gars? ....On va encore tirer beaucoup de plaisir de mister corps ....On te rappelle demain matin ...."

Il raccrocha alors que j'entendais nettement June pleurer.

Je me couchais, désespéré, me réfugiant dans l'alcool. C'est la misternerie du téléphone qui me réveilla.

- '"Bonjour mon cher Billy ...T'es encore couché? ....."

me dit la voix du ravisseur alors que je venais à peine de porter le récepteur à mon oreille.

- "Ouvre ta porte de chambre ..... il y a quelque chose pour toi sur le seuil .... On te rappelle plus tard ....."

Je courus ouvrir la porte, j'avais le secret espoir de découvrir ma femme sur le seuil. Ce n'était pas le cas, je trouvais la première des cassettes vidéo, elle était de mauvaise qualité, sans intensité, la seconde était bien meilleure! .....

On n'y voyait June se faire baiser par deux de ses ravisseurs noirs, un à la fois ....Encore et encore la même scène ..... A certains moments elle apparaissait droguée .....Elle avait les yeux vitreux et du milieu à la fin de la cassette, elle n'offrait plus aucune résistance! .....

Je m"illusionnais peut être, mais cela répondait à mes voeux, ils ne cachaient pas leurs visages alors qu'ils violaient ma pauvre petite femme. Je reconnus le serveur que j'avais rudoyé, je me précipitais pour le voir dans l'hôtel, il ne se trouvait nul part.

Bien que je ne sois pas affamé je prenais un léger déjeuner, ils me rappelèrent vers trois heures dans l'après-midi.

- "Billy , mon cher petit gars " me dit gaiement le ravisseur, " je sais que tu m'as cherché partout dans l'hôtel ...Mais qu'aurais tu fais si tu m'avais trouvé? ......As-tu apprécié la cassette? .......Ta salope est devenue ma pute ......Une vraie chienne ..... Elle adore se faire baiser .......Un sacré coup en réalité ......Elle m'a dit que permisterne ne l'avait jamais enculée ........ T'as oublié ce pucelage? .......

- "Je vous ai reconnu sur la cassette" dis-je grinçant des dents.

- "Je veux que vous me rameniez ma femme, ou j'amène la cassette chez les flics, ils vous reconnaîtront à coup sur.... Et vous irez en primister! ...."

- "Raconte pas d'conneries mon p'tit Billy " répliqua-t-il éclatant de rire :

- "Il y a deux semaines j'étais loin d'ici, et en quelques heures je peux être loin d'ici ... IL vaudrait mieux pour toi et ta femme que je reste ici ...... Tu vois ce que je veux dire ....

- "Pourquoi nous ...?"

- "Fallait pas m'provoquer mon p'tit gars .......Par ailleurs j'ai aimé les couinements de June la première fois que je l'ai fourrée ....Tu lui demanderas combien de fois on l'a fait jouir moi et mes amis ......C'est une vraie machine à orgasme ta p'tite femme ... Ah, au fait mon garçon .....Je dois envoyer une cassette des performances de ta femme à quelques copains, je t'en ferai une copie .....Je dois te quitter maintenant .....Ma p'tite pute blanche se réveille ... Ta femme devrai-je dire ......Et elle réclame une bonne grosse bite noire! .... A bientôt mon gars ....."

J'avais des nausées, et un instant je crus que j'allais vomir de nouveau. Je n'avais jamais été aussi désespéré, désarmé, je me débrouillais pour obtenir le nom du serveur qui avait *******pé ma femme.
chrislebo

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#72
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Il se faisait appeler Reggie Thomas, mais je doute que ce soit mister vrai nom. J'allais d'une extrémité à l'autre, que j'appelle ou non les flics, j'étais sur d'une chose : elle était vivante et ne semblait pas blessée.

Si j'appelais la police, je sentais que Reggie mettrait ses menaces à exécution, je devais la récupérer vivante quelque soit le prix à payer, je m'étais demandé, lorsque nous avions échangé nos voeux ce qui adviendrait si June continuait à allumer les hommes, j'en avais maintenant une foutue idée.

Je reçus la seconde cassette le lendemain matin, je la regardais attentivement, je voulais savoir si elle était droguée ou non, mais on ne pouvait vraiment le déceler Je n'eus pas de coup de fil de la journée, il était presque minuit lorsqu'on frappa à ma porte, je trouvais la troisième cassette sur le seuil..

Frismisternant d'appréhension, je mis la cassette dans le magnétoscope, une part de moi voulait regarder le film alors qu'une autre part refusait de voir les images.

Le visage de Reggie apparut à l'écran.

- "Hello mon cher garçon .....comment ça va? ..... Tu représentes exactement le genre de mec que je méprise ..... Ce qui vous arrive à toi et à ta petite chérie est loin de me désoler... en particulier depuis que je t'ai vu jeter la cruche... j'espère que tu vas aimer cette bande .....Je me suis montré inventif ... Ta petite salope a appris plein de choses vicieuses ......Au fait je lui ai fait percer les mamelons ... On y attaché une chaîne comme ça on peut la promener en laisse ... Bien que mister collier de chien aurait suffi pour ça ......A ton avis qui me fait une pipe? ......."

-

La caméra se recula et je vis ma femme agenouillée entre ses cuisses lui faisant une fellation, ses petites mains semblaient encore plus blanches enserrant sa grosse bite noire. Elle tenait l'épaisse hampe à deux mains, mister visage allait et venait sur sa grosse mentule?.

- "Prends ton temps foutue salope! ... Tu vas en sucer des dizaines avant la fin de la nuit .... Allez continue ... Qu'en dis-tu mon gars? ....."

L'image disparut, une autre image de June nue, tenue en laisse, un collier de chien au coup, elle se tenait au milieu de la pièce.

Un homme que je ne reconnus pas la promena en laisse autour de la pièce, elle le suivait sans hésiter, je pouvais entendre des rires dans l'arrière mister.

Plus tard, ils l'emmenèrent dans un lit, et là ils la baisèrent de différentes façons l'utilisant selon différentes combinaimisters.

Ils la prirent en sandwich, une bite en con une autre en cul...... puis ils lui fourrèrent deux bites ensembles dans la chatte elle hurla pendant toute cette séquence, Ils la travaillaient alternant les pénétrations et les retraits, lorsqu'une bite se retirait, l'autre s'enfonçait

Il me semblait évident qu June était au delà de toute résistance, elle se pliait à toutes leurs demandes sans aucune hésitation.

A peu près au milieu de la cassette, ils se firent encore plus inventifs : Ils attachèrent quelques ficelles aux anneaux de ses mamelons et ils utilisèrent ces liens comme des rênes tout en la fourrant, je vis que certains d'entre eux tiraient vigoureusement sur ces rênes, uniquement pour la faire souffrir, mais elle ne parut pas s'en plaindre.

Un autre fit courir une des ficelles entre ses cuisses, ainsi lorsqu'il donnait des coups de boutoir, la ficelle entaillait profondément sa fente, June gémissait de douleur, ses tétons étaient anormalement enflés, ils étaient deux fois plus gros que d'habitude.

Elle chercha à se cambrer pour atténuer la douleur de la ficelle qui lui cisaillait le clito. Puis ils firent un concours : c'était à celui qui se montrerait le plus inventif pour lui enfoncer des objets dans sa pauvre moule. Ravagée.

Un de ces salauds lui enfonça un poismister cylindrique dans la chatte, peut être bien une anguille, toujours est-il qu'il était en vie, ses soubresauts provoquèrent un orgasme qui ravagea les reins de June. L'image s'éteignit, et le film reprit dans la salle de séjour.

Une voix off ordonna :

- "Fais le spectacle pour ton petit mari ..." la caméra suivit les déplacements de June.

Il y avait une bouteille de vin sur la table basse , June enfourcha la table, alignant sa chatte sur la bouteille, elle s'accroupit lentement et le goulot de la bouteille disparut dans sa fente écartelée, je remarquais fugitivement que sa toimister semblait bien moins fournie, on devait d'ailleurs lui avoir rasé car en certains points il paraissait glabre.

Elle s'accroupit encore plus et le col de la bouteille disparut lentement, absorbé par sa cramouille, Reggie la rejoignit et appuya fortement sur ses épaules.

- "Eh, Billy, crois-tu qu'elle arrivera à tout absorber? .... On va tellement lui élargir le connil qu'elle ne sentira même plus ta petite queue de blanc! ...."

Il appuya fermement sur ses épaules,elle grogna sentant la bouteille lui évaser impitoyablement la chatte.

- "Qu'en dis-tu June? ..... Veux tu avaler toute la bouteille? .....

Elle secoua la tête en signe de refus mais murmura sourdement :

- "Ca m'est égal, .... Fais ce que tu veux!......."

- "Et si on te l'enfonçait dans le cul? ....Montre nous jusqu'où tu peux te l'enfoncer dans le trou du cul! ...."
chrislebo

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#73
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June se releva, entraînant la bouteille dans mister mouvement. On distingua alors un pop misterore lorsque Reggie la lui retira.

Il dressa la bouteille, l'alignant sur mister anus, et elle s'accroupit de nouveau, elle l'absorba le col entièrement, il appuya sur ses épaules, la bouteille s'enfonça encore dans mister boyau, lui évasant exagérément le goulot, elle poussait des cris aigus. Eclatant de rire Il la laissa se relever.

- "Mon gars tu disposes maintenant d'une vraie salope, tu peux lui enfoncer ce que tu veux dans la chatte et le cul, elle accepte tout .....n'importe quand ... N'importe comment ....."

La scène prit fin, et la séance de baise reprit, je notais qu'il y avait trois nouveaux noirs, ils virent vers elle, ils semblaient frais, et très vicieux.

Ils la prirent un à la fois, puis deux et enfin tous les trois ensembles.

Cela dura environ une heure, puis une nouvelle équipe les relaya, ils étaient quatre cette fois.

Longtemps après, la lubricité des participants apaisée, la caméra s'attarda sur June étalée sur le lit, cuisses grandes écartées, du foutre s'écoulant de sa chatte gonflée.

- "Hey Billy, t'aimerais bien qu'elle nettoie tout ce foutre .... Sa petite chatte à servi de garages à bite à bien des queues noires cette nuit ... Ils se mistert tous vidés les couilles dans mister utérus ....Bon, c'est d'accord les gars, vous pouvez encore en profiter si vous en avez envie ......"

La cassette était finie, elle se rembobina.

Je la visionnais pour la troisième fois, j'étais honteux de sentir mon excitation monter en regardant la dégradation de ma femme.

Une chose me semblait flagrante, June avait largement apprécié ce qu'elle avait subi, tout au moins la plus grande partie, elle recommencerait rapidement à allumer les hommes!

June rentra à l'hôtel à trois heures du matin, je l'entendis frapper timidement à la porte, j'ouvris la porte et me trouva confrontée à une jeune femme crottée, sale, souillée, ne portant rien d'autre qu'un chiffon drapé sur ses hanches. Sa belle chevelure rousse était toute poisseuse, engluée de foutre sec et plus frais. Elle était couverte de foutre de la tête aux pieds.

Je lui tendis la main, mais elle hurla :

- - "Non ... Pas avant que je prenne une longue douche .....Pendant ce temps tu vas faire nos valises qu'on quitte ce putain de trou à rats au plus vite .....Je veux rentrer à la maimister ...."

Il me semblait que June, ma jeune femme si policée avait acquis un langage cru et populaire que je ne lui connaissais pas, je m'attendais à ce que beaucoup de choses aient changé en elle.

Notre malheureux voyage de noce n'avait duré que trois semaines, nous n'en parlions plus.

Je voulus aborder le problème une paire de semaines plus tard, mais June se refusa à en parler, aussi ai-je cessé de lui proposer de voir un psychiatre, elle ne consentit qu'à faire des tests sanguins.

Apparemment ils ne lui avaient transmis ni maladies sexuelles ni SIDA, et à part quelques contusions, quelques muscles froissés ou élargis, elle s'en tirait bien.

J'avais l'impression que faire l'amour la dégoûtait aussi pris-je la décision d'attendre mister bon vouloir, attendre le moment où elle penserait avoir suffisamment récupéré.

June travaillait au domicile, elle travaillait sur des programmes informatiques, elle reprit mister travail, mais sans beaucoup d'enthousiasme, il semblait qu'elle le faisait uniquement parce qu'elle devait le faire, je n'utiliserai pas le terme de zombie, bien que mister comportement s'en approcha.

En tout cas, elle se montrait particulièrement gentille avec moi, elle était très plaisante, elle recommença à m'embrasser, mais on ne se roulait plus de pelles lascives avec la langue.

Elle avait limité ses contacts avec ses amies, même avec sa meilleure amie, la gentille Tammy MacCall.

Tammy me demanda ce qui n'allait pas, mais je ne lui répondis pas, ce n'était pas à moi de lui dire quoi que ce soit.

Chaque jour j'espérais que tout redeviendrait normal, et chaque jour j'étais désappointé.

Une nuit, alors que June s'était couchée, je mettais une des cassettes dans le magnétoscope et je m'asseyais dans le noir pour la regarder. C'était la second bande, je passais les images au ralenti, je voulais voir le moment où ils l'avaient frappée avec la spatule en bois, je n'avais pas mis de mister, mais je l'avais assez regardée pour avoir la bande mister en tête, les claquements bruyants de la spatule heurtant mister clito, et les couinements, les plaintes de ma femme.

En passant la bande au ralenti, je distinguai clairement sa vulve enfler sous les coups, je me branlais lentement en regardant les grosses bites violer tous ses orifices.

- "Tu te comportes comme un fils de pute! ..." dit la voix de June dans mon dos.

Humilié, je rangeais ma bite dans mon caleçon, elle contourna le sofa etr s'assit à mes cotés.

- "Je pensais que tu avais détruit ces cassettes? .."

Cette question déguisée m'embarrassait fort, effectivement je lui avais dit que j'allais les détruire, et j'en avais vraiment l'intention, mais au moment crucial, je n'avais pas pu le faire.

Lorsque j'avais reçu ces cassettes, je n'acceptais pas la fatalité et je voulais ne jamais oublier ce que j'avais vu, ce qu'elle avait subi.

Au moins j'avais essayé de les détruire, mais je savais maintenant que les avoir conservée changeait tout.

La cassette se terminait.

chrislebo

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- "Les as-tu toutes prises avec toi? ...." je hochai la tête, incapable d'émettre un mister.

- "Je ne me rappelle plus clairement leur contenu! ...Peux tu me les repasser?...."

Je me relevais et substituait la troisième cassette à celle terminée. Je ne savais pas si c'était bien ou mal, mais je ne voyais pas d'échappatoire. Peut-être que ce serait une bonne thérapie, peut-être que cela l'aiderait à récupérer.

June regarda la cassette très calmement, silencieusement, puis soudain, elle se mit à nommer les acteurs.

- "Celui là, c'est Charles "murmura-t-elle identifiant un noir qui la prenait en levrette. Elle citait leurs noms alors qu'ils la baisaient jusqu'à l'os : Travis, Jack, George, Thomas, Clinton et bien sûr Reggie. Elle ne connaissait pas le nom des derniers venus.

Apparemment, Travis était un sinistre bâtard sadique, c'était lui qui lui avait étiré si douloureusement les tétons, c'était aussi lui qui lui avait asséné des coups de spatule sur le clito.

- "Travis a été le premier à m'enculer " me dit-elle calmement, sans même hausser le ton, elle retrouvait le langage coloré qu'elle employait juste après mister viol.

- "Au moins il avait consenti à me lubrifier l'anus avant de me casser le cul! ..."

Nous la regardâmes se faire prendre en sandwich par deux hommes, puis embrochée par ses trois trous, et toute les vicieuses combinaimisters qu'ils avaient inventées à mister intention.

Je regardais fixement June, cherchant à déterminer l'impact de ces images qui pouvaient la perturber gravement. Elle restait très calme, même sereine.

- "Bandes-tu?" me demanda-t-elle soudain.

Je ne savais pas très bien comment répondre à sa question, aussi hochai-je la tête de bas en haut.

- "Cela t'excites donc de me voir baisée par ces salauds de nègres! ..."

Honteux, Je hochais à nouveau la tête. Ma réponse muette ne sembla pas la perturber outre mesure.

- "Alors viens coucher, et montre moi à quel point t'es excité!....."

Nous nous ruâmes dans le lit, les préliminaires étaient inutiles, nous avions tellement envie de baiser!

Je l'avais à peine pénétrée que déjà June jouissait, elle rebondit d'orgasme en orgasme avant que je ne me vide en elle. Je n'avais jamais femme aussi chaude que June, je pensais que cela allait prendre la nuit pour apaiser sa lubricité. Heureusement je bandais à nouveau, nous avons baisé comme des bêtes.

Puis pour la dernière fois, nous avons vraiment fait l'amour, doucement, tendrement, nous nous endormîmes enlacés dans les bras de l'autre. Je savais maintenant que les choses se régularisaient entre June et moi.

Je savais cependant que je tuerai avec joie ce salaud qui m'avait 'appelé Billy, mon p'tit gars....

chrislebo

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#75
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Tout semblait se passer comme si la vue de ces cassettes elle était repartie d'un bon pied.

Elle était redevenue ma June adorée et c'était fantastique de refaire l'amour avec elle, elle revoyait mister amie Tammy

En fait au printemps, à quelques exceptions près, June avait repris un comportement des plus normal.

Elle se rasait régulièrement la toimister, et bientôt lassée de se faire, elle se fit faire une épilation électrique, j'aimais le contact de mister pubis glabre.

L'autre changement, c'est qu'elle conservait le langage populaire de ses suborneurs.

J'en avais oublié les cassettes, June les avait transférées sur un DVD et je savais qu'elle le regardait parfois, alors que je travaillais.

Cela ne me gênait pas outre mesure.

Elle avait gardé un autre témoignage de ces jours difficiles, ses mamelons étirés semblaient toujours être érigés, même lorsqu'elle dormait.

Tammmy MacCall la visitait fréquemment, c'est une petite brune, un peu joufflue, avec une grosse poitrine, une forte permisternalité, et une belle plante.

Lors de nos noces, on s'était beaucoup amusé à tenter de deviner si ses gros nibards rentreraient dans sa robe de demoiselle d'honneur.

Elle travaillait aussi dans l'informatique, ce qui leur faisait une chose de plus en commun. Elles étaient amies depuis leurs années collège.

Un après-midi, alors que je rentrais plus tôt que d'habitude, je trouvais June et Tammy visionnant le DVD rapportant les aventures sexuelles de June, je ne savais que dire.

C'était un viol, mais elle ne semblait pas le considérer ainsi, le terme de viol ne lui semblait pas bien adapté.

En tout cas, j'arrivais comme d'ordinaire dans le salon lorsque j'entendis le mister familier de la cassette, j'avais vu la voiture de Tammy parquée devant la maimister, c'est pourquoi je savais qu'elle était là.

J'étais assez surpris que June partage ce DVD avec quelqu'un, même avec une amie aussi proche que Tammy.

- "Mon Dieu, June!" s'exclama Tammy.

- "Je ne l'aurai jamais cru si je ne l'avais pas vu de mes yeux!.... C'était donc ça votre voyage de noce! ...."

- "Eh oui c'est ainsi ..... C'est mon voyage de noce ....." je me glissais silencieusement dans l'entrée, les écoutant attentivement.

- "En deux jours, j'me suis fait baiser plus que les autres femmes en 1 an."

- "As tu pensé en mourir?"

- "Oh , oui tu sais ... C'était l'enfer ......D'abord j'ai été terrifiée ... Je croyais qu'ils allaient me tuer ....."

- "Sacré tempérament " murmura Tammy se penchant pour mieux voir ce qui se passait à l'écran.

- "T'as vécu le rêve de bien des femmes .... Se faire violer par des noirs impitoyables ..... C'est quand même mieux que de toujours manger des patates!...."

Les deux filles gloussèrent en choeur.

- "C'était pas des patates, mais qu'est ce que j'ai eu comme sauce! .....A eu tous ils ont bien éjaculé deux litres de foutre .....Le plus souvent dans ma chatte ....."

- "Tu veux bien me faire une copie de ce DVD? ... J'aimerai bien le regarder quand je me gamahuche avec mon gros boute joie."

- "Non seulement je peux, mais je veux t'en faire une copie!" rigola June.

- "Mais pourquoi un gode? ....Qu'est devenu ton dernier ami?...... Celui dont je n'ai jamais retenu le nom! ....."

- "C'est de l'histoire ancienne " répliqua Tammy

- "Bon Dieu, faut que j'arrête de regarder ce film, je sue comme une truie et je suis en train de tremper la surface de ta chaise.... Sais-tu comment les contacter? ......"

June ne répondit pas.

- "Je suis désolée pour ton copain, ...Que s'est-il passé? ...."

- "Oh c'est bien simple.... Il ne connaissait que la position du missionnaire et ne se montrait pas très empressé au lit .....Un p'tit coup en vitesse et bonsoir madame .....Ce que je veux vraiment, c'est des gars comme ça!" dit-elle pointant mister doigt sur l'écran.

- "Un homme capable de me baiser plus de cinq minutes ...."

- "T'aurai besoin d'u homme comme Bill".

- "C'est toujours bon pour un couple d'avoir des orgasmes fastueux!"

- "t'es une belle salope de me dire ça ....Comment se comporte t-il par rapport à ces gars ...... A-t-il vu la cassette de ton viol? "

- "Par l'enfer ... Il me fait l'amour plusieurs fois chaque nuit ....Je n'ai jamais à le lui demander .... Il est toujours prêt .....Vraiment Tammy, il s'est comporté comme un amour face à tout ça ........ Aucun jugement .... Pas de reproches ......Il a accepté ce qui était arrivé .....Tammy je ne suis pas aussi conservatrice que tu le crois ...Te prêter Bill ne me créerait aucun problème ... Note bien que j'ai dit prêter ......"

La conversation prenait une tournure des plus captivantes.

- "D'accord Tammy? regarde .....C'est une partie fort intéressante ...C'est la première fois qu'ils m'ont fait grimper aux rideaux, c'est ainsi qu'ils disaient, j'avais une bite dans le cul, une seconde dans la chatte et j'en suçais une troisième ..."

- "Jusqu'ici je pensais que ce n'était pas possible! "rigola Tammy.

- "Oh Mon Dieu, c'est vraiment incroyable, je n'ai jamais vu une aussi grosse bite, je parle de celle que t'as dans le cul"

- "Oh oui, elle vraiment énorme! .... C'est Travis le sadique enculé de sa mère, il aime faire mal, .....Tu vas avoir du mal à le croire, c'est la première bite que je prenais dans le cul! ....."

- "Je croyais que Tommy Thornton t'avait enculée lorsqu'on était au lycée " commentaTammy, les yeux rivés à l'écran.

- "Cela m'étonnait bien que ce bouffeur de chatte t'ait enculée! ..." se marrait Tammy.

- "Tu parles il a bien essayé de m'enculer, mais il n'était bon que pour une chose, il aimait me bouffer le gazon, c'est la seule raimister pour laquelle je flirtais avec lui!".

- "Bill t'encule t-il? "demanda Tammy....Cela fait plus d'un an que vous êtes ensemble ..."

- "Par Dieu non, Bill est un fouteur de minet ... Je ne pense même pas que l'idée d'emprunter l'autre voie lui soit venue! ...même pour changer ....Ce n'est pas que je m'en plaigne ..... Ce que fait Bill est toujours très bien fait .... Tu devrais l'essayer tu verrais bien ....."

- "Nous avons échangés des petits amis auparavant, mais je pensais que c'était fini maintenant que tu étais mariée!" commenta Tammy.

- "Evidemment, je n'ai plus qu'un homme à échanger ..... Enfin, tant pis .....Si ça ne t'intéresse pas ...!" répondit June."En tout cas, tu peux m'emprunter Bill quand tu veux! ...."

- "Tu ne me provoquerais pas si tu savais à quel point je peux être salope! ...." rigola Tammy,et elle ajouta :

- Cela fait deux mois que je n'ai pas baisé ......et pourquoi voudrait-il baiser avec moi alors qu'il t'a toi dans mister lit!".

- "Je ne plaisante pas Tammy " continua June "Bill sauterait sur l'occasion de te baiser ... J'en suis sûr .....Tes nibards l'ont toujours fasciné ... Dis-le moi quand tu te sentiras prête .....Flute je n'ai pas vu le temps passer, il faut que je prépare le repas!....".

- "N'oublie pas de me faire une copie de ta cassette " rappela Tammy, "Elle est vraiment super ... Tu sais, il ne faut pas que tu la montres à n'importe qui! ....."

Je ressortais de la pièce discrètement et je revins dans la cuisine en claquant la porte.

Les deux copines me rejoignirent dans la cuisine, rouge et haletante bien qu'elles affichaient un air nonchalant.

Je roulais un palot à June, et les surprenaient toutes deux en faisant de même avec Tammy.

- Tammy cherchais encore à reprendre haleine lorsque je les quittais pour me changer.

chrislebo

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#76
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Le soir même, alors que nous étions au le lit, June me demanda :

- "Pourquoi as-tu roulé une pelle à Tammy tout à l'heure? ... Cela ne me gêne pas, mais tu l'as drôlement choquée ......."

-

- "Je suis arrivé quand vous regardiez la cassette " confessais-je "J'étais un peu vexé parce que je ne suis pas un objet qu'on échange ......Je t'ai entendu proposer à Tammy de m'emprunter ....J'ai voulu savoir si elle appréciait ton offre ....."

Après une courte pause, June constata calmement :

- "Oh .....Je vois... Qu'as tu entendu exactement? ...."

- "Je suis arrivé alors que sur le DVD tu te faisais baiser par trois hommes en même temps .....J'en ai entendu assez pour te dire que je connais une petite femme qui va se faire enculer ce soir ......J'y ai déjà pensé, mais tu as raimister ... Je suis tout d'abord un chasseur de foufoune, mais ce soir, je sens que je vais faire une exception! ....."

Et cette nuit, je l'ai enculée pour la première fois, mais comme j'étais libre de choisir, je l'ai prise aussi plusieurs fois par la chatte, June m'offrit mister anus sans aucun problème, je n'ai pas joui dans mister trou du cul, je préférais me vider les couilles dans sa chagatte.

- "Je dois t'avouer quelque chose "me murmura-t-elle à l'oreille, j'allais sombrer dans le sommeil, mais ces quelques mots attirèrent mon attention

- "J'ai reçu un mail de Reggie! "...."

- "Quand ça? .."

- "Ce matin même......Il voulait savoir si je pensais encore à sa grosse bite noire ...."

- "Comment a-t-il déniché ton adresse e-mail? ..."

- '"Elle figure sur ma carte professionnelle ....." me répondit June et elle ajouta :

- "Ils ont fouillé mon sac lors du viol .....Je suppose que c'est comme ça qu'il l'a eue ....Pas un d'entre eux ne savait où l'on habite...."

- "Ta carte ne comporte-t-elle pas aussi ton numéro de téléphone? ..."

- "Non je pense qu'il n'y a que mon numéro professionnelle à Chicago" ... Je réfléchissais un long moment à ces révélations.

- "Et que lui as-tu répondu?"

- "Rien pour l'instant, ...Je n'ai pas répondu à mister mail ......Je voulais savoir comment tu le prendrais auparavant ....."

-

Je ne savais pas encore comment me comporter face à cette information, d'une part, j'aurais aimer tuer de mes propres mains ce bâtard, mais j'étais assez honnête avec moi même pour admettre que d'autre part que la cassette avait été pendant longtemps mon principal sujet de préoccupation, mais maintenant que June semblait en avoir pris mister parti ......

- "Réponds à ce bâtard si tu le veux! " concédai-je finalement.

- "Cependant réponds moi franchement : que vas-tu répondre à la question concernant sa grosse bite?"

June resta muette un long moment, je pensais qu'elle s'était assoupie contre mon épaule.

- "J'ai toujours été franche avec toi mon chéri ... Et j'entends bien continuer à l'être .... Je ne veux pas de menmisterges entre nous ..... Dans cet esprit de vérité, je lui répondrai que j'ai souvent pensé à sa grosse bite .......Pas seulement à la sienne d'ailleurs, mais aussi à toutes les bites qui m'ont pénétré ces jours là ......."

Cela ne me choquait pas, il était évident qu'elle devait y penser, et comme on regardait le DVD presque tous les jours ....

- "Ils m'ont utilisée pendant quasiment 48 heures ......Je n'ai pu dormir qu'environ 8 heures .....Permisterne ne pourrait oublier cela ....Ni même s'empêcher d'y penser! ....

- "Quand tu diras à ce pourri que t'as souvent pensé à sa grosse queue, précise lui bien que je possède un port d'arme .....Tu pourras ajouter que moi aussi je me rappelle sa saloperie de queue noire qui t'as fait grimper au rideau! ....."

Je dois admettre que je haïssais toujours autant cette saleté de bâtard.

- "Ca fait un beau sujet de conversation! " rigola June.

- "Ce serait dur d'évoquer tout ça avec nos parents, lorsqu'ils viendront nous voir! ....

- "Oh oui maman .... C'est Reggie un ami qu'on a connu en voyage de noce ...."

Mes idées de vengeance m'assombrissaient, mais cette fois je ne pus me retenir de rires aux éclats. Nous nous sommes tus pendant un long moment et je me rendormais lorsque June reprit :

- - "T'aimerais te faire Tammy?.... Je crois que c'est vraiment un bon coup! ....Bill, tu dors? ..."

Comme je ne savais pas quoi lui répondre, je fis semblant de dormir, pensant que c'était vraiment une drôle de conversation entre époux.

Finalement vendredi arriva, j'escomptais passer un bon week-end, June ne m'avait plus rien dit me concernant ou concernant June.

En fait l'ironie voulait que nous pensions à lui tous les deux, mais pas dans les mêmes termes ni pour les mêmes raimisters.

La curiosité me démangeait, mais j'attendais que June me fasse des confidences. Je pensai souvent à l'attirance de June pour les grosses queues noires, ainsi qu'à mister semi viol.

Je suis sûr que je pensais celai parce que j'avais été réduit au rôle de spectateur passif, que je n'avais absolument pas pu influer sur les événements.

Le fait que June avait été défoncée par de nombreuses bites noires ne m'ennuyait pas trop, ce qui m'ennuyait c'est de n'avoir eu aucun contrôle sur ces événements.

Je veux dire, que je savais que June était loin d'être vierge lorsque nous nous sommes mariés, nous avions vécu longtemps ensemble avant de nous marier sous la pression familiale, et je savais qu'elle avait eu des relations sexuelles avant de me connaître. En fait elle avait été très active dans ce domaine.

Ce que je détestais le plus, c'est le sentiment de peur que m'avait inspiré cette épreuve, et en réalité je haïssais Reggie de m'avoir fait ressentir cette terrible peur.

J'étais encore dans l'entrée lorsque June me tendit un verre de bière fraîche, habituellement je bois directement à la cannette.

- "Merci chérie" dis-je acceptant le verre, "Ta journée s'est bien passée? ..."

- "Une excellente journée" me répondit June me souriant.

- 'Et toi, comment s'est passée ta journée?"

Je lui répondis que c'était la même routine que d'habitude, je me changeais et nous nous assîmes dans le patio.

June était inhabituellement joyeuse, et je pensais qu' elle attendait quelque chose qui n'allait plus tarder.

- "Bill, te rappelles-tu m'avoir dit de recontacter Reggie? ...." j'acquiesçai d'un hochement de tête.

- "Je l'ai fait, je lui ai dit que tu serais content de le recevoir ....." gloussa-t-elle joyeusement.

- "Que tu serais heureux de le prendre pour cible ...Il ne m'a pas répondu, aussi je pense qu'il décline mon invitation".

- "Pitié" soufflai-je sourdement.

- "Oui, mais ce même jour j'ai entendu parler de Travis ...."

- "Vraiment? ....le sadique m'exclamai-je tout surpris."

- " Oui, le sadique ..."

- "Il veut être sûr que tu comprennes qu'il n'avait rien à voir dans mon *******ping ...." j'attendais la suite.

- "Je lui ai répondu que tu le savais bien ....."

- "C'est très bien" concédais-je sourdement. "Je ne lui mettrai que trois balles dans le coffre au lieu des six que je destine à Reggie ... Pourquoi se soucie-t-il de ce que je pense?......."

- "Il voudrait me baiser à nouveau ....." cette précision me surprit.

- "Je suppose que ce que tu veux vraiment savoir, c'est si je suis d'accord?... Et toi aimerais-tu qu'il te baise à nouveau? ...."

- "J'aimerai bien" me répondit-elle me passant la main dans les cheveux.

- "Peut-être pas Travis en permisterne, d'ailleurs, mais quelqu'un dans mister genre"

Enfin, elle se libérait. Je réfléchissais tandis qu'elle allait rechercher de la bière. Lorsque qu'elle fut revenue, je lui dis que si Travis savait où nous habitions, Reggie le saurait rapidement.

Je lui expliquais que si je revoyais Reggie, cela se terminerait mal et que je risquerai de me retrouver en taule;

En tout état de cause ce serait une sale situation, June hochai la tête tandis que je parlais.

- "Je pense que t'as raimister ..." me rétorqua-t-elle piteusement, affichant une tristesse certaine.

- "Regarde moi dans les yeux June" avançais je après un long silence.

- "Tu aimerais te faire violer à nouveau par des noirs? ... Un gang bang en fait .....Pourquoi ne pas chercher des participants plus proches que cette bande de trous du cul? ..... par l'enfer, la ville est pleine de noirs qui ne demandent qu'à te baiser!.....Au moins ainsi on pourrait contrôler la situation ......"

- "Tu veux dire que tu serais d'accord?... Que je pourrai me faire baiser par des grosses bites noires? ......C'est bien ce que tu sous entends? .....".

En fait, je n'y avais jamais pensé, mais, à power de regarder la vidéo, tout cela s'était banalisé lentement, June avait goûté à la marginalité et elle voulait recommencer.

- "Tu es vraiment le meilleur des maris dans ce putain de monde!....En fait ..... Ce viol était aussi dramatique qu'intense .....C'est du moins ce que je ressens maintenant! .... Es-tu sûre que tu pourras assister à un gang bang ou je me ferai défoncer le connil et le trou du cul encore et encore?......"

- " En fait, j'en bande rien que d'y penser " lui répondis-je vulgairement.

- "Mais cette fois, je veux y assister, et même y participer, mais laisse moi te poser une question, ......Lorsqu'il ce salaud t'assénait des coups de spatule sur le clito, tu m'as dit qu'il t'avait fait très mal, était ce donc si méchant? ...."

- "Bigrement méchant même! ...Tout au moins les premiers coups que j'ai reçu .....Mais lorsqu'il m'a frappé sur le clitoris, il était si sensible, que j'aurai joui au moindre souffle l'effleurant ... Mon clito semblait autonome .....On pouvait dire la même chose de mes tétons ......J'ai eu un tel orgasme que je me suis presque évanouie....La frontière entre plaisir et douleur est très étroite ... J'ai appris cela! ....Je n'ai aucune envie d'être martyrisée, mais je ne pourrai sûrement pas condamner celui qui me martyriserait.... "

- "Veux-tu que je te frappe le clito? ....."

- "Je pense que c'est quelque chose qui t'arrive comme ça, ... Pas quelque chose que l'on planifie ......Tu as bien vu qu'il fallait deux hommes pour me tenir cuisses grandes ouvertes ... Tu l'as bien vu! ....Je pense qu'en fait cela fait partie des choses qui vous arrivent comme ça, sans les avoir voulues .....C'est la partie du DVD que tu préfères, n'est ce pas? ...".

Je dus bien admettre que c'était vrai.

- "Pourquoi ne le ferais-tu pas à Tammy, c'est le genre d'expérience qu'elle voudrait connaître! ..."

- "J'aimerai bien, mais Tammy est très musclée, il me faudra bien trois autres hommes pour m'aider, tout seul,je n'ai aucune chance d'y parvenir! ..."

- "Je t'aiderai" me répondit June toute souriante...... la tête du lit d'invité est assez solide pour me supporter lui tenant les jambes en l'air, assise sur mister torse pendant que tu lui asséneras des claques sur la chatoune"

La proposition de ma femme me laissait pantois.

Pantois mais cependant intrigué, il apparaissait que plusieurs options différentes se faisaient jour, June allait préparer un plan pour me livrer Tammy, tandis que je planifierai mister gang bang.

chrislebo

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#77
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Je pensais avoir de gros problèmes pour trouver des participants à mon projet, et le premier était que je n'avais pas la moindre idée de l'endroit où je pourrai dénicher des volontaires, bien sûr, la vile était pleine de noirs, mais je n'en connaissais pas un seul, du moins c'est ce que je pensais. Plus je réfléchissais, moins je trouvais de solutions valides.

Un des jours qui suivit ma conversation avec June, à la quincaillerie locale, je tombais sur ancien pote, Benny Carter.

Il m'informa rapidement qu'il était maintenant procureur, je discutais avec lui à bâtons rompus en attendant mon tour.

- "Au fait Bill, te rappelles-tu Ross Greene, il était en classe avec nous .....Il vit ici maintenant." me dit-il comme nous sortions du magasin.

Et comment que je me souvenais de Ross, un colosse noir, le joueur le plus grand et le plus musclé de l'équipe de football américain du lycée? Ross tremblait toujours dans des magouilles minables,

- " Eh bien, je le représente actuellement" poursuivit Ben comme je hochais la tête.

- "Ce bon vieux Ross, il trempe toujours dans des magouilles? ...

- "Il possède une librairie pour adulte qui a été saccagée il y a quelques jours,..... Tu l'as probablement lu dans les journaux.

En fait, il trempe dans des histoires de prostitution .... Je le mentionnais, parce que, si je me souviens bien, que vous étiez copains au bon vieux temps..."

Ross Greene, cela ne pouvait pas tomber mieux. Mes parents avaient rapidement fin à notre relation, ils pensaient que Ross exerçait une mauvaise influence sur moi, c'était vraiment d'ailleurs, et c'est ce qui m'attirait chez lui.

Je me débrouillais pour me procurer le nom de sa librairie, je me proposais de renouer avec lui.

Le remplacement de mon bouton de misternette attendrait encore quelque temps, pour l'instant, une visite Ross s'imposait.

Je n'avais jamais fréquenté les librairies pour adulte auparavant, mais j'avais visité d'autres boutiques spécialisées, sa librairie correspondait à mes attentes.

On y trouvait des piles de livres et de magazines empaquetés au centre du magasin, divers objets érotiques étaient pendus au mur.

Une enseigne au néon indiquait le chemin à suivre pour trouver les machines vidéo, une femme âgée, les cheveux teints en bleu était assise à coté de la caisse, je faisais un tour de salle avant d'approcher la douairière.

- "Vous cherchez quelque chose? .." s'enquit la vieille femme.

- "Je cherche monsieur Ross Greene ..."

- "Avez-vous rendez-vous avec lui? ..."

- "Non ... En fait je suis un de ses vieux amis " annonçai-je rapidement, ajoutant :

- "En fait un copain de lycée" elle me jeta un coup d'oeil soupçonneux, m'observa un bon moment et appuya sur un bouton au mur.

Presque immédiatement, une véritable montagne noire apparut.

- "Un de tes vieux copains" annonça la vieille femme me désignant du doigt.

Ross avait bien changé depuis nos années lycée, il me dévisagea un bon moment et soudain un large sourire éclaira mister visage.

- "Enfant de salaud" beugla-t-il s'avançant vers moi.

- "C'est bien toi Bill Williams ..." il m'étreignit entre ses bras musclés, il me serrait à m'étouffer contre mister buste.

- "Juste Bill pour toi" souriais je en me dégageant de mister étreinte musclée,

- "J'ai rencontré Ben Carter dans une quincaillerie en ville, il m'a dit que t"habitais dans le coin, c'est pourquoi je me suis empressé de te faire une petite visite. ..."

- "Mon vieux copain" beuglait Ross en me dévisageant,

- "T'as pas tellement changé, toujours aussi pâle ... Es-tu sûre que ta visite ne choquera permisterne dans ton entourage? ......"

Ross n'avait pas apprécié outre mesure les raimisters de notre séparation.

- "C'est bon ... N'en parlons plus si tu veux bien ....Je prends mes décisions moi-même maintenant ... J'ai entendu dire que tu avais des ennuis? ..."

- "Une tonne d'emmerdes oui ...'

- "Mary, on va prendre un pot" hurla-t-il à la vieille femme m'entraînant hors de sa boutique vers le petit bar du coin.

En dégustant un bon café, nous discutâmes le bout de gras, histoire de découvrir ce que nous étions devenus.

- "Dis-moi comment se fait-il que je te retrouve dans une librairie? ..." lui demandai-je, les premiers échanges terminés.

- "En sortant du lycée, je me suis engagée dans les powers aériennes ..... Je me suis barré ..... Je me suis marié ...... J'ai divorcé.....Un de mes oncles possédait une librairie en ville ...... Trop petite pour y travailler à deux ......Aussi il m'a financé et j'ai ouvert cette boutique .....La meilleure affaire que j'ai jamais faite ....Juste une licence à acquérir ... J'ai remboursé mon oncle dès la première année et je me suis installé .......J'ai acheté la maimister, j'en avais marre de payer une location ..... J'ai un travail légal et je paie mes impôts comme n'importe quel citoyen ordinaire ...."

- "Et en ce qui concerne les bruits comme quoi tu ferais dans la prostitution?" Ross sourit, et jeta un cou d'oeil panoramique histoire de s'assurer qu'il ne traînait pas d'oreilles indiscrètes.

- "Cela dépend de ta façon d'appréhender les choses, Billy" répondit Ross baissant le ton.

- "Je profite d'une faille dans la loi ....." et changeant de sujet :

- "Hey, j'ai appris que tu venais de te marier, c'était dans les journaux ...." j'admis qu'effectivement j'avais fait le grand plongeon. Je ne sais toujours pas pourquoi, mais je racontais à Ross, en détail, le déroulement de notre voyage de noce, le rapt .... et ses conséquences actuelles!

- "Je voulais à tuer ce bâtard, ... Et les autres salauds de participants ....."

- "Et elle qu'en pense-t-elle? ..."

Je lui répondis que June avait maintenant tourné la page, après une longue période d'indécision, je lui révélais aussi que June rêvait de revivre ces événements, il fronça les sourcils de surprise.

- "Je peux le comprendre " répliqua-t-il après quelques instants de réflexion......Elle a aimé se faire baiser par des grosses bites noires, et elle voudrait retrouver ces sensations inattendues ......Ca arrive souvent ....." Nous avions déjà vidé plusieurs tasses de café, plus que de raimister.

- "Retournons à la boutique, on va discuter de ton problème ...."

Il y avait plusieurs clients dans le magasin, apparemment de bons clients, Ross les appelait par leurs noms, la vieille femme semblait gênée, mais elle encaissait imperturbablement leur argent.

- "Que fait cette vieille femme dans ta boutique?" lui demandai-je alors que nous nous asseyions dans mister bureau.

- "C'est tout une histoire .....C'est une ancienne call-girl..... Elle a gagné énormément d'argent ... Elle a eu des hauts et des bas ....... Son métier est diversement apprécié .......Depuis elle dirige une petite troupe de call-girls ...... Je l'ai prise dans ma boutique parce qu'elle a besoin d'un lieu sûr où exercer ......"

Il s'appuya contre le dosseret de mister fauteuil et m'étudia attentivement.

- "Que veux-tu faire pour ta femme, mon cher Billy? "j'avais essayé de le persuader d'arrêter de m'appeler ainsi, mais, j'avais abandonné ....

- "Je ne vois que deux solutions : ou tu refrènes ses envies et vous allez rapidement vous brouiller, où tu l'encourages et tu rentres dans mister jeu! ......

- "C'est aussi ce que je me dis ...."

- "As-tu une photo de ta femme? ..." Je lui montrais une photo que je montrais rarement, elle était torse nue, j'avais pris cette photo juste peu avant notre mariage .... Il jeta un oeil attentif sur la photo ...

- "ElUn beau petit lot! .... elle a l'air bien chaude .....Tu devrais me la présenter ...." C'était exactement ce que j'avais en tête, mais je fus surpris qu'il réagisse si vite.

- "J'ai exactement ce qu'il lui faut ...." ajouta-t-il avec un sourire démoniaque.

Je dus attendre dimanche après-midi pour le présenter à June, Ross avait été pris une bonne partie de la nuit précédente. Ca tombait bien, Tammy aussi était fatiguée et avait été indisponible la nuit précédente. J'indiquais à Ross le chemin de ma maimister et lui promit un bon repas et que la bière à volonté.

En le quittant, je m'étais procuré des entraves pour chevilles et des menottes, Ross m'avait assuré que c'était ce qui convenait le mieux, y ajoutant de la bande velcro et des sangles afin de ne pas marquer les corps. Je voulus savoir pourquoi il voulait des menottes, il me répondit qu'il les utiliserait pour immobiliser June, et peut être bien pour me paralyser.

Je pensais en avoir assez dit sur ma vie actuelle et mes préoccupations.

Il mit un vibro aspirateur dans mon sac et me conseilla de l'utiliser sur le clito et les tétons de June.

- June ne savait pas que Ross était noir et costaud...... Je voulais qu'elle soit surprise en le voyant..... Je lui avais juste dit que j'avais invité un vieux copain d'école à partager notre repas, dimanche midi.... Cela lui suffisait, la vue des menottes l'excitait beaucoup plus.
chrislebo

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#78
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J'ai une vieille passion, lorsqu'il fait beau et que l'on dispose d'un grill, je me transforme en cuisinier. June a appris à me laisser faire, j'avais acheté des grillades et de la bière, j'allumais le barbecue, mon boulot était terminé, Tammy et June installées sur de confortables fauteuils dans le patio,se chargeaient de surveiller la cuismister

Le temps que cela cuise, on avait vidé quelques verres de vins et quelques cannettes de bière. Comme attendu, les convives bien échauffés, la discussion dévia sur le sexe.

- "June m'a dit que tu avais visionné le DVD de mister rapt, Bill? "intervint Tammy ajoutant :

- "As tu aimé? ....." Je lui répondis qu'en effet j'avais apprécié le visionner.

- "Et quel moment préfères-tu? ...."

- "Difficile à dire Tommy .... En fait j'aime la totalité du film ...... Il est aussi chaud et excitant du début à la fin ........"

- "D'accord, mais y a bien un moment que tu préfères aux autres! ......"

- "En fait, je préfère deux moments : lorsque qu'elle s'empale sur une bouteille, et lorsqu'ils lui maltraitent les mamelons ...."

- "Eh ben Bill "s'exclama Tammy riant aux éclats,

- "Moi mon moment favori c'est lorsqu'elle reçoit des coups de spatule sur le clito ... Combien de fois as-tu regarder cette scène en bandant? ...."

- "C'était sauvage "ajouta Tammy

- "Elle aurait pu être blessée ...."

- " Ca ne fait pas si mal que ça, tu sais Tam" répliqua June

- "Ca a rendu mon clito hyper sensible, mais rien que le fait d'être nue et sans défense change toute la situation......As-tu déjà essayé le sado-masochisme ou quelque chose du même genre? ....."

- "Comme quoi? ...."

- "La soumission par exemple ...."

- "Ah oui, ce genre de choses ..."

- "T'as déjà essayé oui on non!!!!"

- "C'est pas comme toi June,... J'ai toujours eu une petite vie rangée moi!......" la conversation s'éternisa sur ce thème.

- " Allez viens avec moi! Tammy" dit June se levant et lui saisissant un pied.

- "Tu vas essayer! ..." Tammy protesta sourdement.

Je vidais mon verre attendant que June m'appelle.

Peu de temps plus tard, je gagnais la chambre d'ami, Tammy gisait nue sur le lit, membres tendus vers le haut et le bas, chevilles et poignet liés à la tête et au pied du lit.

Tammy maudissait June et lui ordonnait de la délivrer, lorsqu'elle me vit dans la chambre, elle se débattit furieusement.

Elle menaçait June de terribles représailles corporelles, elle rougit, empourprant sa grosse poitrine.

- - "Du calme chérie ... Laisse toi aller .....Tu voulais savoir ce que ça fait, c'est bien ce que tu voulais? .....Ce soir tu es notre petite chienne et tu vas faire tout ce qu'on veut .......Tu veux que Bill te bouffe la chatte? .......C'est une de ses spécialités, il fait ça très bien .......Montres lui Bill ...."

Je me déshabillais et prenais place sur le lit, je saisissais ses cuisses la maintenant immobile le temps d'insinuer ma langue dans ses replis onctueux.

- June me caressait les couilles; Tammy respirait de plus en plus difficilement alors que je lui bouffais langoureusement le gazon, sa grosse poitrine était érigée, je la suçais jusqu'à ce qu'elle explose à deux reprises.

- "Occupe toi de mister clito, contentes toi de quelque petite tapes" me dit June me tendant une spatule que je m'étais procuré à l'épicerie du coin.

J'assenais quelques coups de spatule sur le clito de Tammy, elle poussait des hurlements à réveiller les morts, heureusement nous n'avions pas de voisins proches. Je repris les légères claques sur mister clito.

Tammy hurlait et se tortillait, elle pouvait voir mister clito gonfler sous les coups, encouragé par June je cessais les coups et saisit mister clito entre mes lèvres.

A peine avais je mister clit entre les dents que Tammy était secoué par un fulgurant orgasme, elle gémissait et baragouinait je ne sais quoi, mais ses paroles étaient étouffées, je levais la tête pour voir pourquoi, June s'était installée tournée vers moi, mister entrecuisse reposant sur mister visage.

- "Tammy m'a déjà bouffé la moule" me dit June.

- "Ne fais pas attention à ça ... T'en apprends tous les jours n'est ce pas? ......."

Je n'aurai jamais pensé que Tammy était une bouffeuse de chattes.

- "Continue de la sucer ......Et maintenant fourres lui ta bite dans la moule ... Et baise là jusqu'à l'os."

Je fis ce que June voulait, je lui mordillais le clito rapidement, puis je la fourrais, m'enfonçant jusqu'aux couilles dans sa cramouille détrempée, au même instant, June remua vivement sur le visage de Tammy.

- "Cette salope m'a mordu" m'expliqua June en grimaçant.

- "Si tu recommences tu vas me le payer ma petite Tammy" la menaça June.

- "Je suis désolée ma June chérie..." murmura Tammy misérablement.

- "Je ne le referai pas .....Je te le jure ..." alors qu'une fois de plus elle sentait un puissant orgasme monter.

- "Reviens sur mon visage ... Je te jure .... Je ne te mordrai plus ......"

Ne sachant pas si Tammy suivait ou ne suivait pas une certaine contraception, je me retirais, June me terminait alors dans sa bouche.

Je m'étendais à leurs cotés et regardais, June jouer avec le corps de Tammy mister clito gonflait encore sous ses caresses lascives, lorsque June se releva, je suçais les tétons de Tammy, un instant plus tard, je rampais sur mister corps et me faisait une cravate de notaire entre ses grosses mamelles.

A chaque passage devant ses lèvres, Tammy me suçait le gland, je compris tout de suite que ce devait être une sacrée suceuse.

Nous avons délivré Tammy, puis quelques instants plus tard, ce fut June qui se retrouva entravée sur le lit. Après tout l'occasion était trop belle.

J'avais été trop doux avec Tammy, elle se montrait bien plus cruelle avec June, en quelques minutes le clito de June fut rouge écarlate et avait doublé de volume.

June se mit à grincer des dents lorsque Tammy saisit mister clito dardé entre ses lèvres, elle ne put le supporter bien longtemps, poussant un long cri de lamentation elle jouit encore et encore sous les caresses de Tammy.

Quelques instants plus tard Tammy s'allongea contre le flanc de ma femme et se mit à jouer avec ses tétons étirés.

- "Tu sais chérie ....." dit soudain Tammy

- "J'ai vraiment aimée être entravée ......Tu sais pourquoi? ..."

June se tourna vers elle et hocha la tête, sa respiration était encore hachée,

- "Te rappelles-tu la première fois que tu m'as demandé de te sucer la chatte? .....Ca avait été divin ....... Tu te souviens ..... Ensuite, chaque fois que tu te sentais bien excitée tu me mettais ta chatte sur la figure et tu jouissais quand je te suçais .......Chaque fois qu'un de ses amants la laissait insatisfaite, notre petite June venait se faire sucer ... Tu ne m'as jamais rendu la pareille, mais ce soir ...Je jure bien, que ça va être ton tour de me bouffer le gazon ....."

Sur ces mots, Tammy gagna la tête du lit et se disposa tournée vers moi, mister entrecuisse reposant sur les lèvres de June.

- "Et maintenant tu vas me bouffer le chatte pendant que je sucerai ton petit mari ...." Elle me fit signe de prendre position sur le lit pour qu'elle puisse m'emboucher.

C'était étrange de voir Tammy habituellement douce et tendre se comporter ainsi.

Tammy s'avérait une sucrée suceuse de bite, en un rien de temps elle m'a fait jouir dans sa bouche, l'instant d'après, elle s'étendait sur June et elle se faisait un 69.

June cessa toute résistance et participa pleinement à ce 69 de gouines qui me faisait un fol effet.

Je découvrais ce que deux jeunes femmes pouvaient faire ensemble, un homme n'y avait pas sa place mais je me contentais du rôle d'observateur fasciné.

J'étais épuisé bien avant la fin de la nuit, c'était une nouvelle découverte pour moi, deux femmes étaient capables d'épuiser n'importe quel homme
chrislebo

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#79
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Ross ma femme June, June mon vieux copain Ross."

Ils se regardèrent étonnés, Bien plus June que Ross d'ailleurs, elle me murmura :

- "Il est pour moi? ...."

je hochai affirmativement la tête.

- "Bordel! " me souffla Ross l'enveloppant d'un regard admiratif.

Elle portait un short blanc et un léger corsage sans manches.

- "Tu m'avais dit qu'elle était jolie, Mais t'étais bien en dessous de la vérité mon vieux Billy".

- "La bière est prête dans le patio ... Suivez moi ...."

- "Je vous rejoins dans un instant" nous dit June

- "Je termine la cuisine et je me change."

Comme si je ne savais pas qu'elle ne portait que mister chemisier et sa blouse! ...

- "Ta femme, c'est une vraie poupée ... Si elle est aussi chaude que tu le dis ..... Je pense à quelque chose qu'elle aimerait certainement ......"

Qu'entendait-il par là?

- Assis dans le patio, nous savourions un bon demi bien frais.

- Je pense qu'elle aimerait que je lui fourre ma grosse bite dans la foufoune" s'exclama Ross d'une voix forte. "On ferait bien mieux connaissance! ...."

A cet instant, June sortit de la maimister. Elle l'avait forcément entendue, elle avait enfilé un short plus petit et un tee-shirt si fin qu'on voyait clairement mister soutien-gorge balconnet noir.

- "Comment est la bière?..." demanda June.

- "Dois-je en sortir d'autres?"

- Je l'assurai que ça suffirait.

- - "Il ne nous manquait que votre douce présence ... " la complimenta Ross "Venez vous asseoir à mes cotés .... dit-il s'installant sur le canapé "Il n'est pas très large mais on a juste assez de place..." elle s'exécuta, il posa sa grosse main sur sa cuisse bronzée.

- "Racontez moi votre voyage de noce ..." avança Ross.

Le salaud, sans aucune hésitation, il abordait ce sujet périlleux.

- "On m'a dit que c'était toute une aventure! ....Avec un certain goût de pénis noir ... N'est ce pas? "

June me jeta un coup d'oeil moqueur tout en hochant la tête.

- "On m'a dit aussi que les grosses bites noires vous manquez ..... Je suis juste celui qu'il vous faut!......." ajouta-t-il posant sa main dans mister entrejambe.

- "Qu'en pensez vous?"..."

Je vis la main de June saisir sa bite au travers de mister pantalon.

- "C'est bien ainsi "sourit-elle espièglement.

- "Si elle était un peu plus grosse, on pourrait dire que c'est une belle bite!...."

- Nous nous sommes regardés quelques instants interloqués, et Ross pouffa d'un rire communicatif.

- "Et en plus elle est drôle! ...J'adore les salopes qui ont le sens de l'humour! ....Ne te tracasse pas pour ça ma jolie June ... Je pense être assez bien monté pour t'exploser ta petite chatte" s'exclama-t-il vidant sa bière.

June n'était pas une grande buveuse de bière, elle préférait les cocktails, où même un bon vin.

- "Quand t'auras ma bite dans la moule ... Tu ne feras plus la fine bouche" martela Ross ... Allez sors là de mon jean et admire la grosse bite qui va bientôt te défoncer! .....T'es pas prête de revoir une telle mentule!....."

June me regardait fixement, elle me fit un signe de tête, les événements s'accéléraient.

June semblait sereine, c'est une main tremblante, seul témoignage de mister émoi, qu'elle tendit vers sa fermeture éclair.

Il l'aida en se levant, un long gourdin jaillit de sa braguette, une colonne d'environ 35 centimètres de long, June qui la mesura plus tard trouva effectivement 36 centimètres, et d'environ 7 centimètres de diamètre.

- Sa vue coupa le souffle à June, cette grosse bite était vraiment impressionnante, elle prit le gourdin de chair en main, et l'étudia quelques instants, rêveuse, d'autant que sous ses manipulations elle grandit et grossit encore, ça en devenait effrayant.

- "Finalement, dit June,tout doucement, je crois qu'on peut effectivement considérer que c'est une belle bite "

Bien sur on aurait pu en rester à, mais June le l'entendait pas de cette oreille, on aurait dit qu'elle craignait qu'elle ne prenne encore de l'ampleur si elle la relâchait.

- "Alors June, penses-tu que ta jolie petite chatte rousse pourra avaler mon gourdin noir? " lui demanda Ross ironiquement.

Elle fit un signe de tête, sans quitter des yeux l'énorme phallus elle semblait fascinée par l'aspect de la grosse queue de Ross.

- "Est que les noirs qui t'ont baisé avaient un membre d'une aussi belle taille? ...."
chrislebo

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#80
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June secoua la tête en signe de dénégation.

- "Lèves toi et montres moi comment t'es foutue ma jolie petite salope ......vires tes fringues et montre moi où tu vas te la mettre ma queue ...."

June n'obéit pas assez vite à mister goût, il saisit un de ses tétons au travers du tee-shirt et du bonnet de soutien-gorge et le pinça assez fort, elle comprit le message et s'empressa de se débarrasser du tee-shirt et du soutien-gorge.

Il l'arrêta avant qu'elle n'enlève mister petit short, il lui dit de faire quelques pas, de contourner la table.

- "Nom de Dieu .... j'adore ses grosses mamelles blanches " s'esclaffa Ross tout guilleret.

Je pensais que tous deux avaient oublié ma présence, je pensais pouvoir lui faire confiance, et soudain, je n'en étais plus si sûr.

- "Viens ici ma petite pute blanche et frottes toi les seins contre ma grosse queue ..." June vint vers lui et s'agenouilla, elle prit sa grosse bite en main et la frotta contre ses seins.

- "Seigneur Dieu, Je n'ai jamais vu une telle monstruosité ......" murmura-t-elle effarée.

Il étira ses deux tétons, June ferma les yeux.

- "Oui, on va bien s'amuser ma petite chienne" dit Ross riant aux éclats.

- "Montre moi ton connil, petite salope "ajouta-t-il,

- "vire ton short et montre au bon vieux Ross ta délicieuse petite foufoune."

June obéit, elle enleva mister petit short et se tint entièrement nue devant Ross, je remarquais que mister clito était encore gonflé, ultime témoignage de sa nuit de débauche, je vis aussi que ses babines luisaient d'humidité, indice évident de mister émoi.

Ross lui fit signe d'approcher, elle vint vers lui, enfourchant ses jambes, Ross la regardait dans les yeux lorsqu'il l'empoigna par mister clito dardé et l'attira à lui.

Elle poussa une plainte gutturale, qui s'amplifia lorsqu'il inséra un doigt dans sa chatte, de l'autre main il la pencha vers lui et il prit ses lèvres, lui roulant un luxurieux palot, puis il introduisit un second doigt dans sa moule, et entama un vigoureux branle.

Elle poussait des petits cris plaintifs alors qu'elle accompagnait des hanches les mouvements giratoires des doigts dans sa chagatte, l'orgasme montait. Ross retira ses doigts de sa foufoune et promena mister gland dans les replis de sa fente détrempée, ses hanches tremblaient alors qu'elle émettait des misters incompréhensibles. C'était très excitant, bien plus que la cassette.

Ross joua avec les charmes de June pendant quelques minutes l'excitant considérablement. Puis il la saisit aux cuisses qu'il écarta impitoyablement amenant sa cramouille fiévreuse au contact direct de mister épaisse colonne.

Je regardais totalement fasciné cette grosse verge disparaître lentement dans sa petite chatte rousse. June se pencha, offrant ses tétons aux lèvres de Ross, elle miaulait comme une chatte en chaleur, ses abdominaux se contractaient et se détendaient sur un rythme élevé, elle jouissait, je les contournais pour changer mon angle de vue.

Sa grosse colonne était maintenant entièrement dans mister ventre, ses fesses reposaient sur ses cuisses, je m'accroupis afin de mieux voir lorsqu'elle se souleva, elle ne garda que le tiers de mister gourdin enfouit dans sa grotte, je voyais clairement ses muqueuses se retrousser, accompagnant les mouvements de l'épaisse hampe, elle se laissa retomber vulgarement s'empalant jusqu'à l'os puis recommença mister petit manège, au début elle se mouvait lentement, mais peu à peu elle accéléra le rythme poussant un cri aigu chaque fois q'elle s'empalait jusqu'à la racine.

Je bougeais, les regardant cette fois de coté, je la voyais se visser sur sa monstrueuse colonne. Ross, des dents, étirait un de ses tétons elle avait les yeux fermés, mister visage affichait un sourire extasié, elle ne m'avait jamais parue aussi belle, elle ouvrit les yeux alors que je me tournais vers elle, elle me sourit, elle cessa un instant sa chevauchée, le temps de me rouler une pelle, puis elle reprit sur le même tempo.
chrislebo

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#81
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"Ou est votre chambre Bill? ...... Montres moi le chemin ...." me dit Ross se relevant, June toujours empalée sur sa grosse bite.

- "On sera mieux sur un lit ..." Je lui indiquais le chemin de la chambre d'hôte.

- Alors ma petite salope tu aimes avoir ma grosse queue dans ta petite chatte de blanche? ...." demanda Ross la déposant sur le lit avant de s'enfouir à nouveau dans sa caverne distendue.

- "Oh ,oui ... Doux Jésus .... Ouiiiiii......" haleta June.

- "Baise ta petite salope blanche ..... Fourre ta grosse bite noire dans mon chaton .......Baise moi jusqu'à l'os .......Mon salaud ......"

Son orgasme montait de seconde en seconde, du bout du lit je voyais que Ross se démenait maintenant dans un véritable marécage, elle avait coulé comme une fontaine, je n'aurais jamais cru qu'une femme puisse secréter autant de cyprine en un si court moment! ....

Ross la baisa allongé sur elle pendant une bonne quinzaine de minutes, il la disposa en levrette et la baisa comme une chienne, June l'encourageait, elle le suppliait d'amplifier mister rythme, d'approfondir ses empalements, ....

Une puissante odeur de musc envahit la chambre, c'est encore quelque chose qu'on ne peut pas apprécier sur une vidéo, ça et le bruit ténu d'une bite coulissant dans un étroit pertuis bien lubrifié.

- "Allez, à toi de me baiser ...." suggéra Ross s'étendant sur le dos.

- "Lèves ton cul et viens faire le boulot! ....."

June s'installa sur lui, le chevauchant, elle guida mister membre gluant dans sa chatte crémeuse, puis elle le chevaucha comme un cow-boy monte un bronco sauvage.

Cela ne prit que quelques minutes, et Ross grogna et déchargea un flot de foutre dans mister utérus, elle continua sa chevauchée alors que le foutre dégoulinait le long de sa hampe poissant mister pubis avant de s'écouler en une large flaque sur le drap. Son trou du cul vibrait au rythme de ses coups de boutoir, on aurait dit une cible mouvante.

Dans un grand soupir, June roula sur le flanc et resta étendue sur le dos cuisses grandes ouvertes, le chaton englué de foutre.

Je montais sur le lit, m'installais entre ses cuisses et plongeais ma queue dans mister cloaque marécageux, lorsque ma pine fut bien graissée, je me retirai et m'enfouissais dans mister trou du cul, June poussa un glapissement aigu et jouit immédiatement, j'étais heureux de la faire jouir tout comme Ross, on pouvait compter sur ma mentule.

June était insatiable, elle s'impatientait voulant avoir de nouveau la monstruosité de Ross dans mister ventre. On la baisa en sandwich dans un bel ensemble, elle en voulait encore! .....

Malgré mes craintes elle insista pour que Ross l'encule, je me sentis vexé de la voir réclamer cette gâterie que je venais de lui prodiguer, il dut batailler ferme pour s'enfouir dans mister étroit trou du cul, le distendant irrémédiablement.

Il était presque 9 heures lorsque la faim nous obligea à cesser momentanément notre séance de baise, June prit une douche tandis que j'allumais le barbecue, Ross me regardait sortir les steaks marinés et les disposer sur le grill.

- "Le problème est plus sérieux que je ne le pensais!.... "

Je lui demandais ce qu'il entendait par là ...

- "C'est ta salope ...Une bite noire ne lui suffira pas longtemps .....Il va falloir trouver du renfort avant qu'elle nous tue d'épuisement ... Est-elle toujours aussi chaude? ".

Je l'assurai que ce n'était pas toujours le cas, qu'aujourd'hui c'était spécial, elle retrouvait pour la première fois le goût d'une bite noire.

- "Peut-être bien ..." s'exclama Ross

- "On lui a suffit pour cette nuit, mais la prochaine fois j'amènerai d'autres participants, je trouverai facilement des volontaires pour baiser ta pute de femme ...... Je me demande bien combien il faudra de queues pour la combler!....."

Nous retournâmes au lit vers 10 heures et la fête reprit, à minuit, cherchant un deuxième souffle, tout comme Ross, je me demandais combien il faudrait de bites pour l'épuiser?....

Elle laissa Ross repartir chez lui vers 3 heures du matin, je dormais déjà depuis un bon moment lorsqu'il partit.

fin
chrislebo

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#82
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Bobbie en campagne éléctorale



La campagne pour élire les représentants d'état au sénat allait bon train, le sénateur actuel se retirant au profit de Brian Wilmister, mister équipe et un groupe de volontaires faisaient activement du porte à porte pour lui gagner des suffrages.

La diffusion de brochures et de tracts étaient très importante, elle présentait une farouche opposition aux autres candidats

Brian savait pertinemment que sa ravissante femme était un excellent atout dans sa campagne, exactement comme si c'était elle la détentrice du siège qu'il détenait.

Chaque sortie publique de sa femme charmait les masses, mister charisme séduisait la jeune génération qui se bousculait pour se porter supporters volontaires.

Comme le district des élections sénatoriales était très vaste, Brian avait besoin de toutes les aides possibles, et mister équipe de proches collaborateurs estimait qu'elle était la permisterne idéale pour devenir le fer de lance des volontaires.

Bobbie Wilmister était à la tête de différents comités locaux, elle avait gar-dé des contacts avec ses sœurs de confraternité estudiantine, était conseillère de maints clubs de gym féminine elle n'avait même pas à le demander pour que ces groupes se portent volontaire pour aider à l'élec-tion de mister mari.

Estimant qu'il avait besoin d'encore plus d'aide, Brian Wilmister avait de-mandé à mister fils John si certains de ses coreligionnaires de "Roosvelt Hill" aimeraient se porter volontaire dans mister équipe.

En tant qu'étudiant de première année à "Roosevelt Hill", John jouait dans l'équipe de base-ball des premières années avec la bande de co-pains qu'il fréquentait depuis l'école primaire.

Ses copains avaient compris à la vue de sa maimister et du quartier où il habitait qu'ils n'étaient pas nés du même coté de la barrière.

Son père aurait voulu qu'il passe sa scolarité dans les établissements privés, mais sa mère biologique avait insisté pour qu'il fréquente l'école publique, plus pour emmerder mister ex-mari, c'était encore une façon de lui nuire après leur amer divorce.

Et Bobbie sa belle-mère, bien qu'elle voulut le meilleur pour lui, n'avait pas la parole en matière d'éducation.

De ce fait, John, discuta de cette campagne avec ses copains : Jamister, Derek, José, Juan, et Sam.

Jamister et Derek étaient noirs, José et Juan d'origine mexicaine, et Sam l'Asiatique venait de Chinatown.

En fait, John était le seul blanc de cette petite bande de copains, que beaucoup d'autres élèves craignaient d'affronter.

Peut-être était ce du fait qu'il s'était senti otage du divorce de ses parents qui l'avait amené à se lier avec cette bande de voyous crainte de pas mal de gens.

John était anxieux de voir sa belle-mère réussir dans sa campagne de recrutement de volontaires, aussi lorsque Jamister lui dit :

-"Je serais heureux de participer à la campagne d'élection de ton père? ...."

-"Ta belle-mère s'est vraiment montrée très gentille avec nous lors de la petite fête donnée pour ton anniversaire en fin d'année sco-laire... La saimister de base-ball est terminée, je pourrai aider ta belle-mère pour cette campagne! ...."

Conscient que sa belle-mère travaillait tard le soir pour mettre la campa-gne au point, il répondit à mister pote :

-"On va aller la voir et lui demander comment on pourrait l'aider! ..."

Une journée de travail intense attendait les volontaires, madame Bobbie Wilmister leur donnait brochures et tracts à distribuer, et donnait ses ins-tructions à chaque équipe.

Etant donné que certaines zones étaient particulièrement dangereuses pour ses permisternes seules, surtout pour des femmes, elle formait des équipes, ou chaque équipier était sensé veiller sur l'autre.

En fait la sécurité de la campagne était sa plus grande préoccupation.

Elle disposait maintenant d'une centaine de volontaires, cette masse grossissait encore, mais le but à atteindre était de 200 volontaires et le recrutement ralentissait.

Quant à Bobbie, elle était bien placée pour savoir à quel point les habitants de ces zones pouvaient être vils et brutaux, spécialement les jeu-nes hommes.

Elle ne voulait pas faire campagne dans ces endroits considérés comme zones de non-lois, mais ils faisaient partie du district sénatorial et chaque voix compterait dans cette élection.

Elle se bornait à regretter que mister beau-fils fréquente l'enseignement public d'autant plus que les copains qu'il fréquentait ne se signalaient par leur moralité.

C'est grâce à mister beau-fils qu'elle avait connu cet envers du décor, qu'elle avait compris que leur vie était surtout faite de dépravations.

Lors de la dernière fête d'anniversaire de mister beau-fils; elle avait tout na-turellement invité ses meilleurs amis, quand bien même elle n'approuvait pas qu'il fréquente ces gaillards particulièrement vulgaires et grossiers.

Tout d'abord il y avait eu cet incident lorsque Derek avait jeté un oeil concupiscent sous sa jupe alors qu'elle se penchait en avant pour servir des parts de pizza

Qu'un jeune homme la reluque aussi audacieusement l'avait affolée.

Son époux tenait à ce que John ait droit à une fête d'anniversaire réus-sie, d'autant plus que cette fête offrirait la possibilité de faire des photos qui seraient très appréciées par les électeurs.

Comme ils seraient deux, mister mari et elle-même pour chaperonner la petite fête, Bobbie pensait que tout se passerait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Et en fait cela se passa très bien, jusqu'au moment où mister mari dut s'absenter pour se rendre de toute urgence à une réunion au Capitole.

A l'insu de Bobbie, alors que mister mari était parti, les copains de mister beau-fils se débrouillèrent pour qu'une somptueuse jeune blonde capte l'attention de mister fils et monopolise assidûment sa présence à ses coté.

Puis un de ses "bons amis" les informa que l'un des jeunes avait un malaise, sûrement une overdose! ....

Bobbie, très inquiète le suivit alors qu'il retournait auprès de mister pote.

Elle ne fit pas attention au fait que ce dernier se soit réfugié dans sa chambre conjugale où il gisait sur le grand lit en proie à des sortes de convulsions.

A la vue de ses yeux retournés, Bobbie demanda à ses copains d'appe-ler le 911 pour qu'on leur envoie une ambulance.

En se retournant, elle vit le jeune homme raccrocher le téléphone sans avoir passé l'appel puis il referma la porte de la chambre.

C'est alors que le gaillard allongé sur le lit plaqua sa main sur sa bouche, elle s'était retrouvée piégée dans sa chambre conjugale, dans sa propre maimister avec ces voyous de banlieue.

Comme mister mari avait du partir plus tôt que prévu, mister beau-fils s'amusant avec ses autres amis dans l'arrière court, Bobbie se retrouvait sans défense entre les mains de ces jeunes pervers.

Ils déchirèrent sa petite robe d'été, puis la dépouillèrent de ses sous-vêtements, puis le jeune noir qui avait feint d'être malade s'allongea sur elle.

Sa grosse main toujours plaquée sur sa bouche il la pénétra vulgarement, ses cris étaient étouffés, permisterne ne pouvait les entendre à l'ex-térieur de la maimister.

Bobbie ne parvenait pas à comprendre comment un jeune gaillard pou-vait être doté d'un tel instrument, il lui distendait douloureusement la fou-foune avec un énorme pénis bien plus grand et plus épais que celui de mister mari.

Comme il n'avait pas mis pas de capote, les éventuelles conséquences de ce rapport forcé avec ce bâtard de noir la paniquèrent soudain.

Consciente des horribles conséquences, mister offense fut d'autant plus grande qu'ils riaient en chœur et la raillaient :

-"Peut-être bien que je vais te coller un petit polichinelle, noir dans le tiroir..." jubilait mister agresseur.

A la manière dont il l'avait prise, la grimpant tel un natural il était évident que ce jeune pervers avait une certaine expérience, il se vantait d'ailleurs d'avoir déjà engrossé trois naïves jeunes filles.

Lorsque le jeune voyou noir eut satisfait mister lucre en projetant des jets fumants de foutre au fin fond de sa matrice, ce fut au tour du latino de la sauter à mister tour, il écarta ses cuises en grand et sans aucune hésitation il plaqua sa bouche sur mister entrecuisse qui ruisselait du foutre de mister prédécesseur.

Elle n'en croyait pas qu'on puisse être aussi dépravé, il léchouilla sa fou-foune engorgée du foutre de mister ami.

Mais bientôt elle se tortilla sous ses caresses labiales, s'arc-boutant, lui donnant le plaisir infâme de la faire jouir en dépit de mister dégoût, de sa révolte.

Un à un, les autres trois membres du gang étaient entrés la chambre conjugale pour participer à leur tour au viol de la somptueuse bourgeoise alors qu'un tiers restait de garde dans le vestibule.

Ils l'avaient possédée en bouche, en con et en cul, elle n'aurait pas pu être plus maltraitée.

Et lorsque le dernier jeune voulut la baiser à mister tour, voulant se faire sucer comme les autres, Bobbie refusa avec la dernière énergie gardant les dents serrées étroitement alors que le jeune asiate frottait sa bite sur mister visage.

Par la suite elle se demanda si elle n'aurait pas mieux fait de sucer sa queue plutôt que de le voir éjaculer à jets nourris sur mister visage et dans ses cheveux.

Remerciant le dernier groupe de filles de la fac qui avait distribué des tracs cet après-midi, elle leur en redit un paquet et fixa leur prochain lieu d'intervention pour le lendemain à la fin des cours.

Et, comme la dernière supportrice quittait le local, elle lui demanda :

-" Hey Jenny, met la pancarte "fermé" sur la cliche et verrouille la porte en sortant s'il te plait! .... Eteins aussi les lumières si tu veux bien, je pense que je ne verrai plus de volontaires aujourd'hui... Merci... "

Se tournant pour ranger la table, où étaient rangés tracs et docs, contre le mur du fond, Bobbie les yeux dans le vague sourit en pensant que ce soir elle pourrait enfin rentrer assez tôt chez elle.

Elle était loin de se douter que la porte était restée déverrouillée la pancarte "fermé" suspendue à la cliche.

chrislebo

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#83
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Jenny venait tout juste de fermer la porte lorsqu'un copain de fac lui indi-qua :

-"John, nous a demandé de passer voir si sa mère avait encore besoin de volontaires pour distribuer des tracts...."

Et l'ingénue Jenny, sans rien suspecter avait rejoint ses copines, permet-tant aux ainsi aux jeunes mâles de pénétrer subrepticement dans le lo-cal.

La porte était maintenant verrouillée dans leur dos, ils se faufilèrent dis-crètement vers le bureau où la lumière était encore allumée dans le fond du local, où ils avaient prévu de venir surprendre l'insouciante madame Wilmister.

Le dos tourné vers la porte elle prenait des photocopies dans un bac à feuille pour les disposer sur la table contenant les tracs prêts à être dis-tribués.

Se retournant pour prendre quelques feuillets dans le bac à courrier, elle haleta soudain effrayée à la vue des 5 gaillards qui s'étaient glissé dans le local, de surprise, elle laissa tomber au sol feuillets qu'elle avait en main.

Laissant les tracs s'éparpiller sur le bureau elle tourna les talons pour fuir alors que les jeunes pervers s'approchaient d'elle.

-"Hello madame Wilmister... On a entendu dire que tu cherchais des volontaires! ...." l'interpella Sam l'Asiate qui était le premier à atteindre le bureau.

-"Des volontaires... pour être les premiers à se faire sucer la bite dans ta jolie bouche! ....." gloussa-t-il grossièrement.

-"Ou préférerais-tu jouir d'un nouveau soin de visage avec l'onc-tueuse crème de la bite à Sam? ..... Te rappelle t u la dernière fois? ....... Quand tu avais refusé d'accueillir ma bite dans ta bou-che? ....... J'avais alors promené mes couilles sur ton visage... On peut recommencer si c'est ce que tu désires! ....." ironisait-il cruellement.

Elle n'avait aucune chance de s'échapper du cercle de ses athlétiques jeunes hommes qui l'entouraient, tout de suite, comme elle le craignait deux d'entre eux la prirent par les bras et la forcèrent à s'agenouiller au sol.

Un de ces voyous, dans mister dos, avait saisi ses cheveux et la forçait à regarder le pervers Sammy Tong tendant la main vers le haut de la te-nue de base-ball qu'il portait.

C'est alors qu'il lui cracha au visage :

-"Tu sais être le receveur perd de ses charmes à la power! .... Tou-jours être obligé de porter une coquille pour se protéger les burnes des chocs du base-ball! ..... Je suis ravi de pouvoir enfin virer cette coquille si inconfortable! ...."

Bobbie aurait aimé mourir là, à l'instant, où ce diabolique jeune homme porta sa coquille sous mister nez et sa bouche, la forçant à humer cette protection qui avait englobé ses parties génitales.

Elle se débattait entre les mains qui immobilisaient ses bras, cherchant désespérément de briser leur étreinte pour fuir cette odeur répugnante.

Sa puanteur l'étourdissait alors qu'il l'interrogeait ironiquement :

-"Alors madame Wilmister, aimes-tu mon odeur corporelle? ..... J'ai une sorte de fétichisme... Je me lave rarement les couilles pendant la saimister de base-ball! .....

Voyons voir, Je crois que je ne me suis pas lavé les burnes depuis le troisième match, il y a un mois de cela! ....."

Lorsqu'enfin il enleva la coquille de mister visage, Bobbie souffla et se réjouit d'aspirer quelques goulées d'air frais.

Mais cela avait offert l'opportunité à ce pervers de se poster devant elle et d'enfouir mister épaisse bite dans sa bouche rétive.

Et maintenant le lubrique asiate faisait coulisser d'avant en arrière sa grosse queue entre ses lèvres asservies, alors qu'il la tenait par les che-veux ce qui lui permettait de maintenir sa bouche dans le bon axe.

-"Ah... Ahhh... Ahhhh..... Oh madame Wilmisternnnnnnnn..... J'en ai rêvé de cette savoureuse pipe! ..... Argggghhhhhhhhhh... Arggggghhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh....." râlait le salopard en bourrant sa bite au fin fond de sa gorge pour y projeter des torrents de lave crèmeuse .

Le trop plein de sa gorge lui remplit la bouche de foutre épais et goûteux.

La tête tirée en arrière elle fixait le jeune efflanqué qui lui ordonnait :

-"Avale mon foutre madame Wilmister! .... Je ne connais rien de meil-leur que l'épaisse soupe chinoise! ..... Un rien grumeleuse non? ... Le même goût que la savoureuse soupe aux oeufs! ......" gloussait le pervers asiate.

-"Oh oui comme ça... Suce... Encore... Avale tout... Ah oui, sais-tu que les Chinois débutent toujours leur repas par un bon bol de soupe bien chaude! ..... Profites en bien, j'ai encore une bonne dose de foutre en resserve dans mes couilles! .... Ah..... Ah... Ahhhhhhhhhhhhh.....".

Bobbie sentait mister estomac se soulever de dégoût, l'ignoble potion for-mant une petite dans mister estomac, révulsé.

Elle avait de violents hauts le cœur et se sentait profondément humiliée d'avoir du faire cela, c'est alors qu'ils lui saisirent les bras et la traînèrent sur le bureau qu'elle venait tout juste de ranger.

Une paire de main remonta sa jupe bleue marine et s'inséra sous la cein-ture élastiquée de sa petite culotte. La familière voix du gaillard nommé José précisa :

-"Je suis le premier volontaire! ...."

Une seconde plus tard il poursuivit :

-"Cette fois je veux lui bouffer le gazon! .... Bordel je veux savourer mister nectar! ...."

-"Ahhhhhhh... Ohhhhhh..... Oh! ...... Nnnnnnnnnnnnnnn......" gé-missait Bobbie alors que ses cuises étaient maintenant relevées sur les épaules de José.

Il lui bouffait avidement la chatte comme s'il n'avait pas mangé de la journée.

-"Nnnnnnnn... Nnnnnnnnn..... Nonnnnnnnnnnnn... "pleurnichait-elle subissant impuissante les lapements de José dans sa fentine asservie.

-"Oh mon Dieu... Oh mon Dieu... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuu... " miaulait-elle s'arc-boutant sur les talons lorsque l'habile lécheur dénicha et titilla mister clito hyper sensible.

Pantelante après cet orgasme intense qui venait de la terrasser, Bobbie se retrouva poussée sur le devant du bureau, les pieds reposant au sol.

Un instant plus tard, sa jupe relevée exposant ses fesses nues érigées sur les orteils elle gémissait :

-"Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnn.... Arrêtez..... Arrêtezzzzzzzzzzz....." le jeune voyou nommé Derek riait derrière elle :

-"Ah t'as vraiment un trou du cul très étroit ma chère madame Wil-mister..... Tout aussi étroit que la dernière fois que je t'ai enculée! ..... Oh oui, que c'est bon.... Mais je sens comme une grosse merde qui obstrue ton boyau! ..... On va bien voir ce que ça donne.... Elle est drôlement serrée du trou de bale... Fais moi taire de cette pute José!... " entendait-elle mister sodomiser ordonner au bâtard qu ve-nait de lui bouffer la moule.

Le jeune latino se trouvait maintenant derrière le bureau il lui tenait les cheveux, il la bâillonna de mister épaisse bite qu'il inséra, sans plus atten-dre dans sa bouche

Les bras tendus le long du bureau par deux membres du gang, Bobbie frémit en sentant qu'ils refermaient ses mains sur leurs bites tendues dans leurs shorts de base-ball.

Elle se retrouvait sodique sans aucune pitié, forcée de sucer un autre voyou alors qu'elle branlait deux autres bites gluantes de deux membres du gang! .....

Pendant ce temps, Sammy Tong avait empoigné sa caméra digitale et, debout sur la table aux brochures il enregistrait la scène de viol en détail.

Et cet instant il zoomait sur Derek sur qui baisait frénétiquement ma-dame Wilmister, à sa façon de s'agiter sa grosse bite enfouie en elle il était visible qu'il ne tarderait plus à lui délivrer un bon lavement.

-"Uh... Uh.... Uhhhhhh.... yeahhhhhhhhhhhhh...." grognait-il en s'enfouissant jusqu'aux couilles dans mister trou du cul totalement asservi.

Son corps d'ébène tressautait, alors que ses fesses se crispaient, il était évident pour tous qu'il était en train d'asperger ses muqueuses anales de mister jus crémeux.

-"Ah bordel, que c'est bon..... On s'accorde vraiment bien tous les deux madame Wilmister... " s'esclaffa-t-il avant de clamer :

-"Quel est le prochain volontaire? ...."

-"A mon tour... Je suis volontaire pour être le premier à lui prendre la chatte comme le jour de l'anniversaire... Je veux faire mieux que la dernière fois...... Je veux la baiser jusqu'à l'os cette fois ci! ......" s'emballait Jamister se saisissant sa bite à pleines mains ajoutant :

-"C'est d'accord madame Wilmister, tu vas profiter de ma bite...... Je bande comme un âne à l'idée de te grimper! ..... Regarde bien madame Wilmister, vois-tu quel point elle est bandée! ..... Je vais bientôt te la fourrer en totalité dans ta petite chatte si étroite! ..."

Bobbie fut alors retournée, dos au bureau étendue longitudinalement.

La tête rejetée sur une arête du bureau, les jambes étendues jusqu'aux genoux de l'autre coté, elle voyait avec anxiété, les hooligans changer de position.

Jamister prenait position entre ses cuisses, le jeune asiate qui allait de lui fourrer sa bite en bouche s'entendit alors interpeller :

-"Bouge de là Sam, fais toi branler..... Je vais offrir à un traitement spécial à madame Wilmister! ...."

Bobbie n'aurait jamais cru pouvoir être aussi profondément humiliée, mais elle n'allait pas tarder à se rendre compte à quel point elle se trom-pait.

Forcée d'ouvrir la bouche sous l'impitoyable pression exercée sur mister menton, elle ne put lutter contre l'introduction dans sa bouche d'une énorme bite noire, celle qui sortait tout droit de mister trou du cul.

Elle l'entendit alors gronder railleusement :

-"Allez madame Wilmister, nettoie ma bite! ... Elle est couverte de merde! ..... De ta merde... Quoi que se passe-t-il? .... Tu n'aimes pas le goût? ..... Et moi qui pensais que les bourgeoises aisées aimaient les esquimaux vanille/merde, hey, hey, hey..."

Jamister était prêt à la baiser royalement.

-"Oh ouiiiiiiiii... t'es toujours aussi étroite! ..... Oh oui madame Wilmister, je suis déterminé à te posséder à fond cette fois! ..... J'espère faire un petit frère à Johnny! .... Tu vas aimer madame Wilmister... Que penserais-tu d'une petite fille, j'adorerais te faire une petite fille! .... Comme aux trois dernières ados que je me suis fait..... Chacune d'entre elle prend maintenant soin d'une charmante petite fille de mes oeuvres! ..." se vantait-il tout en la labourant vigoureusement.

chrislebo

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#84
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Sammy avait vu le trépied dans le coin de la pièce il l plaçait actuelle-ment sur la table et y fixait la caméra.

Attiré par l'action qui se déroulait sous ses yeux, il braqua la caméra sur les participants et il sauta pour es rejoindre.

A la vue des jambes finement galbées de madame Wilmister s'agitant dans les airs, il s'approcha et en saisit une qu'il entreprit de caresser langou-reusement.

Il la débarrassa rapidement de ses hauts talons exhibant ses petits pe-tons manucurés, il fit de même avec mister autre chaussure puis et agrip-pant ses chevilles il verrouilla ses mollets dans le dos de mister copain à la peau d'ébène.

Puis il resserra les plantes de ses pieds sur sa bite qui se déployait à nouveau, il voulait prendre mister plaisir de cette façon originale.

Simultanément, alors que Bobbie s'avérait incapable de refréner le puis-sant orgasme qui la terrassait toute, elle sentit la bite qui la fourrait profondément s'expandre avant d'exploser enfouie au cœur de mister utérus fertile.

Totalement défaite, Bobbie réalisait que c'était le pire moment pour se faire emplir de sperme, elle y avait échappé la dernière fois, mais sa chance pourrait très bien s'arrêter là! ....

Elle sentait l'humidité gagner mister entrecuisse tout comme elle entendait les clapotis sourds de la grosse bite coulissant toujours dans sa chatte inondée de foutre.

Soudain tout lui sembla trempé de foutre autour d'elle, doigts ses pau-mes de mains, et plus surprenant encore ses orteils et ses plantes de pieds, alors qu'une forte averse de foutre lui explosait en plein visage, sur mister menton et ses joues.

-"Bordel, elle est couverte de foutre! ... " s'esclaffa Sammy Tong avait repris sa caméra en main et filmait mister visage.

Elle tendait les bras de chaque coté du bureau ses doigts et ses paumes dégoulinant de foutre épais.

Les jambes dressées en l'air d'épaisses larmes de foutre gouttaient de ses orteils et de ses plantes de pied sur ses hauts talons posés au sol.

Des flots de foutre s'échappaient de sa chatte béante s'étalant au sol.

Sammy et Derek avaient déjà craché deux fois leur foutre, ils se retirè-rent et décidèrent de regarder leurs copains oeuvrer.

Alors que sammy les suivait de mister objectif, José Juan et Jamister s'empa-rèrent chacun d'une chaise qu'ils disposèrent autour du bureau.

Juan se tenait face au bureau, Jamister et Juan de chaque coté, tous trois à proximité du visage de Bobbie. Comme ils se branlaient tous trois les yeux rivés sur le visage de Bobbie, leurs intentions semblaient éviden-tes.

Ils se parlaient l'in l'autre se questionnant :

-"Es-tu prêt? ....."

Ils se vidèrent les couilles au même instant éclaboussant le visage de leur proie effondrée de longs jets de sperme crémeux et chauds.

Jets après jets ils visaient ses joues, mister front, mister nez, mister menton, mister cou... recouvrant la totalité du visage de madame Wilmister d'une épaisse crème de beauté.

Restée seule dans mister bureau de campagne, Bobbie trouva finalement la power de rouler sur le flanc et de s'asseoir sur mister bureau souillé de sperme.

Les lambeaux de ses vêtements jonchaient le sol, à l'exception de ses sous-vêtements qu'ils avaient emmenés en guise de trophées.

Bobbie était contente de toujours garder quelques vêtements dans mister bureau au cas ou elle serait invitée à dîner ou qu'elle devrait se faire prendre en photos.

Sortant une tenue de ce cabinet de toilette, elle enfila un autre chemisier, une nouvelle jupe et une veste qui dissimulait ses mamelons dardant au travers de mister chemisier.

Elle dut même changer de chaussures lorsqu'elle se rendit compte que les siennes étaient gluantes de la semence de ces mâles qui avaient disposé à leur gré de ses charmes.

Ce n'est que très tard qu'elle rentra chez elle ce soir là, un peu après mister époux, Bobbie avala sa salive lorsqu'il lui demanda :

-"Les copains de Brian mistert-ils passés te voir ce soir? .... Il m'a dit qu'il en avait marre de recruter de nouveaux volontaires dans sa fac, et que ses meilleurs amis lui avaient répondu qu'ils viendraient la voir en fin d'après-midi! ...."

Comme mister beau-fils étudiait dans le salon, Bobbie haleta nerveuse-ment en répondant à mister époux :

-"Oui, ils mistert tous venus! ..... Et se mistert tous portés volontaires! ...."

Elle n'avait pas menti à mister mari, mais le mot "volontaire" avait certai-nement été utilisé dans un sens différent par mister mari et ces jeunes per-vers.

Elle frémit en repensant à ce qu'ils lui avaient dit avant de la quitter, qu'ils reviendraient le lendemain qu'ils se portaient à nouveau volontaire pour la servir permisternellement.

Cette nuit même, dans mister lit, Bobbie se tourna et se retourna se de-mandant ce qu'elle pouvait bien faire dans cette conjoncture où elle se trouvait sachant qu'aussi bien la fête d'anniversaire de John que la soi-rée précédente avaient été scrupuleusement filmées par Sam Tong.

-"Que va-t-il arriver si je refuse de me plier à leurs désirs lubriques? .... Diffuseront-ils ces horribles vidéos? ..... Brian voudra-t-il divor-cer? ... De toute façon cela anéantirait sa campagne d'élection! .... La femme du futur représentant de l'état au sénat baisant avec de multiples jeunes de diverses races, cela ferait la une de tous les journaux à scandales! .... Je ne pourrai jamais plus me montrer en public! ...." ces questions roulaient dans sa tête.

-"Penses-bien à ce que tu dois faire! ..." s'ordonnait-elle convulsi-vement.

Elle pensa pendant quelques instants partir au loin, mais cela ne changerait rien au problème, sa vie en serait tout autant dévastée, ce n'était là qu'une option entre toutes.

Le lendemain matin, Bobbie avait décidé ce qu'elle ferait pour éviter des conséquences trop graves, elle se rendit dans mister cabinet de toilette pour y prendre un sac de voyage et revint avec vers sa garde robe.

Elle saisit alors quelques tenues dans la garde-robe et les rangea dans le sac, ainsi que plusieurs paires de chaussures, puis ouvrant la com-mode elle prit des sous-vêtements qu'elle fourra à leur tour dans le sac.

Bobbie avait pris sa décision, en ce qui concernait ce qu'elle ferait ce jour même en quittant sa luxueuse demeure.

En posant mister sac dans la voiture, Bobbie refaisait la liste de ses be-soins.

C'est alors qu'elle réalisa ce qu'elle avait oublié, elle se rua dans sa mai-mister.

Attrapant un autre sac plus grand encore, elle empoigna plusieurs draps de bain et une poignée de gants de toilettes. Elle saisit une poignée des torchons en pensant soudain qu'elle en aurait bien besoin pour nettoyer les traces leurs "amours" autrement qu'avec ses vêtements déchirés.

-"Mon visage, mes mains, mes pieds... Tout mon corps était trempé du foutre de ces salopards! ...."

Elle arriva la première à 8 heures et quart et ouvrit le bureau comme d'habitude Bobbie emmena ses sacs dans le cabinet de toilette de mister bureau.

Elle s'empara des torchons, qu'elle mouilla dans l'évier et, de retour dans mister bureau à quatre pattes elle nettoya les tâches suspectes qu'elle avait oubliées d'effacer la veille au soir dans mister nettoyage hâtif avec ses vêtements déchirés.

Elle frémit en voyant qu'elle avait oublié de nombreuses mares de foutre maintenant séché, se félicitant d'être venue assez tôt ce matin, avec des torchons, pour les effacer.

Comme elle nettoyait le sol, Bobbie s'effaroucha en entendant une voix qui s'adressait à elle :

-"Bien le bonjour madame Wilmister, j'ai séché ma première heure de cours aussi puis-je me porter volontaire pour te servir à cet instant même....."

Elle frismisterna sombrant dans l'anxiété, elle se tourna regarder vers le jeune Asiatique qui gloussait :

-"Oh, oh... Tu vas me donner un petit acompte ce matin! ...."

Il s'approcha alors d'elle en baissant la fermeture éclair de sa braguette.

-"Allez madame Wilmister, faudrait-peut être te magner l'cul si tu ne veux pas qu'on nous surprenne... Normalement tes amies doivent arriver d'ici dixc minutes puisque le bureau est ouvert de 8 h 30 à 18 heures..... Il faudrait pas qu'il te voie en train de sucer ma bite! .....

De plus tu devras avaler tout mon foutre si tu ne veux pas que je te fasse un nouveau masque de beauté ni risquer de tâcher ton superbe chemisier! ....." rigolait-il sardoniquement.

Elle s'exécuta alors docilement engloutissant la bite frémissante du jeune asiate dans sa bouche avant de faire aller sa tête d'avant en arrière au rythme de ses savoureuses succions.

Dix minutes tout juste après la porte du bureau s'ouvrait alors que sam-my lui souhaitait une bonne journée soulignant :

-"Je suis vraiment très heureux de m'être porté volontaire ce matin même madame Wilmister..... Je reviendrai ce soir avec les copains une fois l'entraînement de base-ball terminé! ..."

Comme le pervers voyou sortait du bureau les volontaires de la ligue fé-minine entraient dans le bureau?

Après avoir salivé longuement et pourléché ses lèvres pour effacer toute trace suspecte de mister activité des minutes précédentes, Bobbie afficha un large sourire serein espérant que mister visage ne soit pas trop em-pourpré.

Dans mister dos, Bobbie tenait le torchon qu'elle venait d'utiliser pour effacer les dernières traces de foutre séché derniers témoins de ses activités lubriques de la nuit dernière, le même torchon qu'elle venait d'utiliser les flets de foutre s'étalant sur mister menton quelques secondes plus tôt

chrislebo

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#85
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Bobbie Et Les Copains De Son Beau-fils


Madame Bobbie Wilmister, ex Bobbie Thompmister, avait maintenant 26 ans et était la femme d'un politicien renommé.

Mariée depuis maintenant pour deux ans au sénateur Brian Wilmister, il semblait que mister seul souci était de capter l'affection de mister beau-fils John. Lorsqu'elle avait épousé Brian, mister aîné de 20 ans, elle savait que mister problème principal serait d'apprivoiser mister beau-fils. Comme Brian et mister ex-femme avait la garde conjointe de leur fils, Bobbie savait que ce serait difficile de capter sa confiance.

Son amour pour Brian l'avait déterminée à réussir.

Lorsqu'ils s'étaient mariés, John avait 14 ans il était à l'orée de l'adoles-cence.

C'était sa mère biologique, Anne qui avait décidé de l'inscrire dans une boite privée, mais, une fois divorcée, rien que pour contrarier Brian, elle l'avait inscrit au collège "Roosevelt", le collège publique local, qui avait une assez mauvaise réputation quant à la qualité de l'enseignement dis-pensé.

Brian tenta en vain de faire inscrire John dans un collège privé proche, principalement pour que mister électorat sache que mister succès électoral ne l'empêchait pas d'envoyer mister fils dans une minable école publique.

Comme Brian lui accordait toute l'attention possible en fonction de ses disponibilités, Bobbie se sentait obligée d'accompagner John dans cer-taine de ses activités.

Elle repensa à l'équipe de base-ball dans laquelle jouait John les week-end où Brian en avait la garde. Brian avait dit à John d'inviter ses co-pains à la pizzeria proche pour fêter leur victoire. C'était la première fois qu'ils invitaient ses équipiers.

L'équipe était formée de jeunes de différentes nationalités, la plupart des joueurs faisaient partie des classes les plus basses de la société. A la table de John s'étaient assis deux jeunes noirs, deux mexicains et un asiatique.

On voyait clairement qu'ils n'étaient pas du même monde, ces jeunes que John présenta comme ses meilleurs copains semblaient bien plus matures que lui.

Alors qu'elle aidait à ravitailler les différentes tables, Bobbie ne se sentait pas à l'aise avec "les meilleurs amis de John", en particulier avec l'un d'eux nommé Jamister, un athlétique jeune noir un jeune punk antipathi-que.

Lorsqu'elle s'était penchée pour poser le plateau sur la table, elle l'avait vu se pencher en avant jetant un oeil indiscret sous sa jupe.

Elle avait rougi d'embarras lorsqu'elle se recula et observa le rictus qu'af-fichait mister visage.

Elle remarqua ensuite que John n'avait pas vu faire mister ami, mais que les autres avaient remarqué mister geste audacieux et que sa gêne les fai-sait glousser.

Cet incident s'était passé deux mois plus tôt, et depuis, Bobbie avait tou-jours trouvé une excuse ou une autre pour éviter d'assister aux parties de base-ball lorsque ses amis étaient là.

Depuis cet incident, elle ne parvenait pas à chasser l'image de ce gros-sier ado de mister esprit.

Son expérience avec les noirs était très limitée, mister dernier contact avec un noir remontait à quatre ans plus tôt, juste avant leur mariage, lors-qu'elle avait été agressée et violée par un vieux sans-abri noir. C'était advenu lors de l'anniversaire de la première année d'existence d'un foyer pour sans-abri où elle remplaçait Brian.

Elle en avait été si honteuse qu'elle n'avait rapporté cette triste expé-rience à permisterne de peur du scandale et de peur de voir Brian se dé-tourner d'elle.

Bobbie se remémorait ce funeste épisode et le chantage qui en avait ré-sulté, elle avait été forcée de subir les assauts de mister violeur décrépit sous la menace de le voir mettre en circulation des photos d'elle nue et souillée.

Elle avait eut peur d'être sous l'emprise de cet infâme vieillard pour long-temps, mais la chance tourna une semaine après sa dernière soumis-sion.

La semaine suivante, la lecture des journaux lui appris que mister ignoble maître chanteur avait été tué et que ses maigres possessions avaient été brûlées.

Elle ne s'était jamais sentie aussi heureuse que lorsqu'elle avait lu l'an-nonce de mister décès.

Elle avait immédiatement appelé le directeur du foyer pour s'enquérir de l'accident, et avait appris que mister corps avait brûlé dans un incendie vo-lontaire, de même que ses maigres avoirs, il n'avait été identifié que grâce à mister empreinte dentaire.

Comme le seizième anniversaire de John aurait lieu le week-end où Brian avait la garde, il lui avait dit qu'il ferait une fête grandiose.

Brian tout excité lui avait dit d'inviter ses copains de base-ball et quel-ques filles pour danser autour de la piscine.

Bobbie n'aimait pas trop cette idée, d'autant plus que les meilleurs amis de John y participeraient et plus spécialement l'arrogant Jamister.

En privé elle chercha à dissuader Brian d'organiser cette fête, lui disant que ses amis n'étaient pas du même monde que mister fils et que cela pourrait entraîner des problèmes.

Mais Brian pensait à ses électeurs qui seraient ravis de voir des photos de l'anniversaire de mister fils dans les journaux locaux, montrant que les amis de mister fils faisaient partie des minorités.

En fait il avait loué les services d'un photographe professionnel pour tirer quelques clichés qui feraient sa promotion. Cela ferait bien dans sa pro-chaine brochure de campagne quand il briguerait le congrès.

Dans l'abri que John et ses amis utilisaient parfois comme vestiaire, les cinq meilleurs amis de John l'attendaient.

Pendant mister absence, ils pouvaient librement faire des bons mots sur lui et sa famille.

Les plaisanteries de Jamister étaient les plus applaudies, c'est lui qui les faisait le plus rire.

-"Mon Dieu, je ne peux pas oublier le physique de sa belle mère ....Les gars, j'aimerai tant lui ouvrir mister corsage et lui mordre ses magnifiques nibards ..... Merde alors, je donnerai n'importe quoi pour me rouler avec elle dans ses draps!"

Juan, un des deux jeunes mexicains rit :

-"Bordel Jamister, le jour où tu t'es penché pour regarder sous ses ju-pes, t'étais sur le point de l'agripper pour la violer sur la table!" ... Je ne peux pas dire que je te le reproche, moi aussi j'aimerai la voir enrouler ses longues jambes autour de mon torse!.... Jamister elle t'aurait fusillé des yeux si elle avait pu ce jour là, depuis ce jour elle ne vient plus suivre les parties de base-ball!

Sam, l'asiatique grommela :

-"Eh merde ...... Depuis ce jour à la pizzeria, je jute en rêvant d'elle toutes les nuits! ... Ses lèvres mistert si charmantes!.... Je rêve de les voir serrée autour se ma bite! ... Eh merde, si madame Wilmister posait ses lèvres sur ma queue, j'éjaculerai sur le champ, lui arro-sant le visage de foutre."

Derek le second noir gloussa en ajoutant :

-" Moi je rêve de mister étroit petit cul bien blanc ..... Les mecs Je la baiserai jusqu'à l'os et je la ferai jouir! ... Je parie qu'elle encore pucelle du trou du cul! ... Et quand je l'aurai enculé, je vous la donnerai à partouzer, ce serait un gang bang d'enfer! Et toi qu'en penses-tu José? ....."

José le second mexicain, descendit sa braguette, et sortit sa grosse bite pour se branler :

-"Hummmm, si je pouvais être seul avec elle, je lui écarterai ses longues jambes et je planterai ma langue dans sa fente, je la ren-drai folle, l'amenant à se tortiller et à gémir sous mes caresses!"

Fermant les yeux José grogna :

-"Ohhhhhhh ... madame Wilmister Je te boufferai ... je te boufferai le gazon!..."

Sur ces mots, un jet de foutre jaillit de mister méat s'étalant sur le sol de l'abri, ce qui fit éclater de rire ses compagnons.

Un moment plus tard, ils saluèrent l'arrivée de John lui disant qu'ils l'at-tendaient avec impatience.

C'est alors qu'il les invita à la petite fête que mister père et sa belle mère donnaient pour ses seize ans.

John leur dit de ne pas se tracasser pour trouver sa maimister, mister père chargerait quelqu'un d'aller les chercher et de les ramener chez eux après la fête.

-

Le week-end suivant, Brian et Bobbie jouaient les chaperons pour l'anni-versaire de John.

Brian avait loué les services d'un surveillant de baignade en cette occa-sion, précaution utile quand les jeunes utiliseraient la piscine. Afin de ne pas déparer, Brian portait un short et une chemise, Bobbie avait enfilé une robe d'été sur un maillot une pièce.

Mais Bobbie n'avait pas réalisé à quel point la vue de ses longues jam-bes sexy remuerait les jeunes ados, nourrissant leur trique.

Pendant que John recevait ses invités, ses "meilleurs amis" discutaient ensemble dans la piscine lorgnant les longues jambes de madame Wil-mister qui revenait vers la piscine bavardant avec des filles invitées à la pe-tite fête, Jamister dit à ses copains :

-"Eh les mecs, je vais me rapprocher de ces jolies jambes blanches!.... "

Ils le regardèrent alors traverser la piscine pour se poster à quelques mètres de madame Wilmister. Ils le voyaient yeux collés au spectacle qu'elle offrait, se pourléchant les babines de la langue.

chrislebo

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#86
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Il leur sembla que Jamister respirait difficilement alors qu'il déshabillait des yeux la ravissante femme toute proche de lui. Puis ils comprirent que Ja-mister se branlait dans l'eau, rêvant que la délicieuse madame Wilmister ver-rouillait ses chevilles sur mister visage écartant en grand ses cuisses pour se faire baiser!

Lorsque ses yeux roulèrent dans leur orbite, et devinrent vitreux, et que sa tête tomba dans l'eau, ils surent que sa semence se mélangeait à l'eau de la piscine.

Alors les autres 4 "meilleurs amis" de John, rejoignirent Jamister pour profi-ter eux aussi du ravissant point de vue et se branler.

Un somptueux repas sur le coté de la piscine s'ensuivit, les invités enfilè-rent les tenues de danse qu'ils avaient amenées dans des sacs. Puis le lourd tempo de la musique des ados envahit le salon de danse.

Brian et Bobbie aussi avaient revêtu des tenues plus appropriées, Brian avait enfilé un pantalon habillé sur une chemise de sport et Bobbie une très jolie robe d'été et des hauts talons blancs, elle avait programmé de danser quelques slows.

Un heure après le début des danses, il y eut du remue ménage à la porte d'entrée, on réclamait Brian, des incidents en ville. Il se précipita pour aller résoudre le problème. Bobbie anxieuse, réalisa qu'elle restait seule pour chaperonner ces jeunes ados excités.

C'était juste ce que craignait Bobbie, elle avait remarqué les regards concupiscents que lui avaient jetés toute la journée les "meilleurs amis" de John. Elle espérait que la soirée se déroulerait sans anicroche avec tous ces jeunes voyous invités par John, et elle priait pour que Brian re-vienne rapidement, avant la fin de la soirée.

Affairé, John dansait avec toutes les filles, elles voulaient toutes lui sou-haiter un bon anniversaire, Sam qui sortait de la cuisine où il s'était servi un verre d'eau fraîche, avait surpris les raimisters du remue ménage à la porte, il informa les autres membres du gang que monsieur Wilmister avait une sorte de problème politique qu'il était parti régler, et que vraisembla-blement, il serait absent toute la nuit.

Immédiatement Jamister réunit ses troupes leur clamant :

-"Quelle coup de pot, on va pouvoir profiter de l'absence de mon-sieur Wilmister, c'est notre nuit ... Je vais me glisser entre les cuisses de cette somptueuse salope ... Et maintenant écoutez ... Voilà ce que nous allons faire!...."

Lorsqu'ils virent madame Wilmister accaparées par quelques filles, Jamister et José se glissèrent dans la maimister à la recherche de la chambre conju-gale. Ils trouvèrent rapidement la chambre éclairée par les lumières de la piscine, Jamister inspecta la pièce. Puis ils revinrent vers les autres mem-bres du gang qui les attendaient impatiemment, Jamister les avisa :

-"Eh les mecs .... Regardez ce que je vous ramène ...... Ca sent bon la femme ......"

Ils regardaient avec une certaine gêne une petite culotte blanche en dentelle que Jamister avait trouvé dans un panier à linge sale.

Jamister la porta à mister nez humant à pleines narines les ensorcelantes fla-grances intimes, puis il la passa à mister complice le plus proche de lui.

-"Je m'suis déjà fait des chattes blanches, mais laissez moi vous dire les gars .... C'est le morceau le plus classieux que j'ai jamais vu!...... A coté d'elle toutes les autres blanches mistert des cageots!..... " grommelait Jamister alors qu'à mister tour José respirait à plein nez les parfums enivrants de la petite culotte.

-"Toutes les blanches pleurent lorsque je leur fourre ma mons-trueuse bite dans la fente ... Je dois les bâillonner pour les empê-cher de hurler à la mort lorsque je les bourre!...... Les mecs elle sent le propre, la chatte entretenue .... Nous saurons bientôt à quel point la chatte de madame Wilmister semblera propre, et bien entre-tenue avec ma grosse bite plantée dedans ... Avez vous remarqué comme elle a frismisterné quand je lui ai serré la main en arrivant ... Eh bien elle va frismisterner encore bien plus tout à l'heure! ..." écla-ta-t-il de rire.

Pour mettre mister plan en place, Jamister avait besoin de danser avec la sul-fureuse Jenny, une jeune fille pour laquelle John en pinçait. Il savait que madame Wilmister n'aimait pas cette jeune salope, elle la considérait comme une garce blanche.

Jamister connaissait la faiblesse de Jenny, mister goût immodéré des bites noires depuis qu'il l'avait dépucelée un an plus tôt.

Jenny faisait tout pour lui, tout ce qu'il lui demandait juste pour se faire baiser à nouveau. Tout en dansant, il lui dit qu'il avait besoin qu'elle lui rende un petit service, il fallait qu'elle capte l'attention de John le reste de la nuit, qu'il ne se soucie plus d'autre chose qu'elle.

Bobbie faisait sa ronde autour de la piscine, elle filmant quelques scènes avec sa caméra vidéo, tout en s'assurant que tout allait bien, qu'il n'y avait pas de problèmes.

C'est alors que José se rua affolé vers elle, le souffle court il lui dit :

-"Madame Wilmister .... Madame Wilmister .... Il y a un problème avec Jamister ..... S'il vous plait .....Venez voir ...... Il a ingurgité un cocktail de médicaments pour se droguer il y a un quart d'heure et mainte-nant il tremble comme une feuille en délirant ..... On l'a allongé alors qu'il vacillait dans la maimister."

Affolée, Bobbie le suivit rapidement jusqu'à sa chambre. Bobbie était si inquiète qu'elle ne fit pas se demanda comment ni pourquoi il avaient pris le chemin de cette salle là!

Le commutateur dans le couloir allumait deux appliques à la tête du lit, ce qui donnait peu de lumière, mais assez cependant pour que Bobbie voie Jamister étendu sur mister lit, mister corps tressautait convulsivement alors que ses yeux roulaient dans ses orbites.

Totalement paniquée, Bobbie se pencha sur l'ado qui convulsait, lui col-lant des gifles, l'appelant , apparemment il faisait une overdose.

-"Oh mon Dieu ..... Ca ne peut pas m'arriver!..... Appelle le 911 .... Dis leur de nous envoyer une ambulance ..... " hurla-t-elle à José qui se relavait de mister chevet.

Giflant le visage de l'adolescent noir qui paraissait drogué, ne l'entendant pas répondre, elle se tourna vers lui et vit qu'apparemment la panique figeait José, il n'avait pas fait un mouvement pour appeler le 911.

-"José .... Secoue toi ...... Appelle le 911 qu'on ait de l'aide ...... " hurlait Bobbie au jeune mexicain qui écarquillait les yeux.

Finalement le message parut parvenir à l'esprit de José qui se dirigea vers le téléphone, mais à, mister grand étonnement l'ado ferma la porte de la chambre au verrou.

Soudain une large se posa sur ses lèvres, elle vit le jeune mexicain rire en tendant le bras vers la caméra qu'elle avait posée sur une chaise en entrant, ce n'est qu'alors que José se mettait à filmer qu'elle comprit que le piège se refermait sur elle, qu'il était tombée dans un traquenard.

Les cris étouffés de Bobbie se perdaient dans les bruits et la musique de le fête, les autres invités ne risquaient pas de les entendre. Elle chercha à se débattre, mais les jeunes qui la violentaient avaient une power in-croyable pour leur âge

C'est alors qu'elle entendit Jamister lui dire :

-"C'était très gentil de ta part de nous inviter tous pour fêter l'anni-versaire de John ..... Je veux juste t'en remercier permisternellement ... Et te montrer à quel point j'apprécie ce geste ....."

Elle se débattit encore cherchant à s'éloigner alors que le jeune ado la clouait sur le lit et se glissait sur elle.

Dans sa lutte pour se libérer et s'enfuir, elle perdit ses hauts talons, puis on l'extraya de sa robe d'été, la déchirant en lambeaux avant d'en jeter les débris au sol.

Uniquement vêtue de mister soutien-gorge et de sa petite culotte, Bobbie rampa sur le lit cherchant à s'enfuir, soudain des grosses mains l'agrip-pèrent, la retournèrent et lui placèrent les bras au dessus de la tête, ses petites mains perdues dans la large patte d'un des ados.

Au moment où elle allait hurler, ils lui bourrèrent un vêtement soyeux dans la bouche, la petite culotte qu'ils avaient dérobé plus tôt dans sa commode.

Son agresseur l'épinglait sur le lit se nichant entre ses cuisses grandes écartées.

Puis elle sentit Jamister se penchait sur elle et lui arracher mister soutien-gorge. Elle se recroquevilla et hurla lorsque des dents, s'empara de mister téton gauche le titillant d'une langue raidie.

Elle sanglota, des larmes perlèrent eux coins de ses paupières, mister corps tremblait alors qu'elle s'efforçait de repousser tout plaisir. Toute-fois, elle ne put empêcher que d'indésirables frémissements parcouru-rent sa colonne vertébrale ses muscles vaginaux se crispèrent sur sa bite.

-"Vous ne me croirez pas, mais la propre et prude madame Wilmister n'aime pas les individus comme moi, du moins si j'en crois ses tressaillements et mister dégoût la dernière fois qu'elle a du me serrer la main.... On va voir si tu vas tressaillir et soupirer de dégoût quand je vais te faire sentir quelque chose de spécial!.... " ricana Jamister.

Sur ces mots, il glissa sa main entre leurs deux corps et d'une brusque secousse lui arracha sa petite culotte l'agitant en l'air en témoignage de sa totale défaite

Puis il se pencha en avant, la bite tâtonnant à l'orée de sa foufoune, se réjouissant de l'éclair d'horreur, puis il appliqua sa main sur la culotte lui garnissant la bouche.

-"Mmmmmmffffffff ....... Mmmmfffffffff ........Mmmmmfffffffff!....." ces misters étouffés émanaient de la gorge de Bobbie qui sentait la virilité de l'ado la pénétrer impitoyablement.

Cuisses grandes ouvertes sur mister lit conjugal, elle ne parvenait pas à croire ce mal qu'on lui faisait, elle ne comprenait pas comment un jeune ado pouvait s'avérer si déterminé.

-"Mmmmmmmffffffffff ...... Mmmmmfffffffff!........." tentait-elle de hur-ler alors que le pervers ado forait mister chemin dans mister étroite pe-tite chatte.

-"Oh mon Dieu .... Mon Dieu ..... Il est tellement pus gros que Brian!...." réalisait-elle affolée.

Jamister s'exclama :

-"Ahhh, madame Wilmister, tu es si bonne à baiser .....Awww ouiiii ..... Enserre ma bite ...... Continue de l'étreindre comme ça ...... Ohhhh ouiiiiii ....... madame Wilmister ... Ca te change de te faire baiser par une vraie bite d'homme!...... Je vais faire un demi frère ou une demi-soeur à John ... je suis un bon géniteur madame Wilmister ...... J'ai déjà engrossé trois petites salopes blanches au collège .....Tétais la suivante sur ma liste madame Wilmister ......" se vantait-il.

Jamister commença alors à aller et venir dans la chatte de la sanglotante beauté, ajoutant :

-"Je vais enlever ma main de ta bouche et je vais t'enlever la petite culotte qui te bâillonne madame Wilmister ..... Crie si tu veux, tout le monde viendra voir pourquoi tu cries ... Fais leur voir à quoi res-semble une future femme de représentant au congrès avec une grosse bite d'ado noir dans la foufoune ...... Ca fera bien dans les journaux lorsque nous leur dirons comment tu nous a invités à visi-ter ton lit pour s'y amuser avec toi, comment tu as voulu goûter à de jeunes queues noires!....... penses-tu que John te respecteras encore quand il lira que tu as invité ses "meilleurs amis" pour te faire ta fête dans ton lit? ......"

chrislebo

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#87
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Bobbie était profondément choquée, confondue humiliée de se faire ****** par ce jeune voyou.

Cela ne peut pas m'arriver se répétait-elle, mais elle ne parvenait pas à rassembler ses idées, pas avec ce jeune salaud qui allait et venait dans mister étroite petite chatte.

Elle réalisait petit à petit qu'il avait dit vrai, qu'appeler au secours ne fe-rait que dévaster sa vie en offrant mister déshonneur en pâture à de nom-breux témoins. Elle sanglota misérablement et le supplia :

-"Ononnnnnnnn ....... Nnonnnnnnn, s'il vous plait ....... Arrêtez ...... Je suis une femme mariée ........ Vous êtes les meilleurs amis de John!......"

L'ado qui la grimpait lui répondit en se plantant encore plus vulgarement au fin fond de mister utérus, elle se lamenta pitoyablement :

-"Oaieeeeeeeee ...... Nonnnnn, s'il vous plait ...... Oh mon Dieu .....Nonnnnnn ...... Arrêtez!.... "

Bobbie ne s'était pas encore aperçue que ce pervers adorait quand une jeune et ravissante blanche le suppliait hystériquement de cesser ses assauts.

-"Aieeeeeeeee ....... Nonnnnnnnnn, s'il vous plait ...... Nonnnnnnn ...... Mon Dieu, nonnnnn, Jamister ....... Je vous en prie!....... J'ai mal ...... Vous me faites mal .......Oh, s'il vous plait ...... J'ai si mal!......." pleurnichait maintenant Bobbie."

Mais ses plaintes et ses pleurs ne faisaient que stimuler mister agresseur qui s'enfouissait rageusement dans sa chatte meurtrie.

-"Oaieeeeeeeee ....... Ohhhhhh, s'il vous plait ...... Oh, mon Dieu ...... Arrêtez ..... Je n'en peux plus ....... J'ai si mal!...... " se plai-gnait-elle d'une voix rauque.

Bobbie n'avait jamais été possédée de façon aussi cruelle, aussi ********, tout mister corps lui faisait mal, elle n'était plus qu'une boule de dou-leur.

Elle entendait rire le sadique ado qui la violait si rudement, lui agrippant les hanches il faisait exécuter des mouvements giratoires à mister bassin ce qui amplifiait encore sa douleur, elle pleurait complètement désespé-rée.

Soudain il sortit de mister ventre, elle soupira soulagée, mais déjà, avec une vulgarité inouïe il plongeait à nouveau dans sa fente meurtrie provo-cant des douleurs à peine supportables.

-"Oh mon Dieu .... Oh, mon Dieu .... Il n'a pas mis de capote!...." s'aperçut-elle avec horreur, et pourtant elle ne pouvait empêcher ses muscles vaginaux de répondre à ses assauts, se crispant et se décrispant sur la bite l'envahissant, l'étreignant comme pour la traire.

Inconsciemment elle s'arc-bouta, puis verrouilla ses chevilles dans mister dos l'étreignant fébrilement.

Tracassée par les conséquences éventuelles de cette vulgare union elle le suppliait :

-"S'il vous plait .....Je vous en prie Jamister .....Retirez vous ...... Reti-rez vous .... S'il vous plait .... Je vous en prie ...... Je vous en prie .... Je ne veux pas être enceinte!...."

-"Oh oui madame Wilmister ..... Oohhhhhhh, yeahhhhhhhhh ...... Je vais bientôt jouir ...... Je vais te coller un polichinellle dans le tiroir ........ Uhhhhhhh ..... Je jouiiiiis!..... Ohhhhhhhh .. ohhhhh, ouiiiiiiiii .. Madame Wilmister ....... Uuhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!......." grogna Jamister mister corps musclé secoué de spasmes convulsifs

A la vue de ses fesses crispées, il était évident pour tous qu'il projetait mister jus épais dans la ravissante madame Wilmister.

La vidéo se focalisait sur les jambes de madame Wilmister nouées dans le dos de l'ado et sur la jointure de leurs deux corps d'où s'écoulaient des filaments de foutre blanchâtre.

Quelques instants plus tard, Jamister se releva se retirant lentement de sa foufoune meurtrie, il grogna alors qu'avec un "plop" misterore sa bite quit-tait l'étroite chatte, il regarda intensément la délicieuse madame Wilmister qui sanglotait toujours en se retournant sur le coté pour se lover en posi-tion ***e.

Attrapant un lambeau de la robe déchirée, il s'essuya la bite puis se rha-billa.

José posa la caméra sur une chaise et se déshabilla à mister tour et plai-santa lourdement :

-"J'espère que je n'ai pas mis trop de sauce dans ton dîner!...."

Puis il dit à José qu'il allait lui envoyer un gars qui le filmerait en train de prendre mister plaisir.

Comme José quittait mister pantalon, la porte de la chambre s'ouvrit sur le souriant Juan qui saisit immédiatement la caméra pour s'acquitter de sa tâche. Grimpant dans le lit, il caressa le corps blanc et soyeux de la ma-dame Wilmister qui sanglotait toujours, il se pencha sur ses nichons et sai-sit un téton entre ses lèvres, le titillant de la pointe de la langue.

Il repoussa la mère de mister copain sur le dos et s'allongea sur elle tout en mordillant mister autre mamelon.

Séparant les cuisses de madame Wilmister, José admirait les courbes vo-luptueuses du corps de la mère de mister "meilleur ami", il distinguait clai-rement la substance crémeuse dont mister pote avait recouvert mister repas, cela ne diminuait en aucun cas mister appétit.

Puis José l'enfourcha tête bêche, riva sa bouche à sa foufoune, bite à 10 cm de mister visage, déterminé à affoler les sens de la jeune femme.

-"Ohhhhh, mon Dieu ...... Nonnnnn!....." criait la jeune beauté dé-sespérée.

S'étant parfaitement positionné, José bougea ses hanches pour lui im-poser de se taire, s'enfouissant dans sa bouche rétive, il entendit ses cris s'étouffer :

-"Mmmmffffffff!......."

Bobbie s'accrochait au lit, l'ensorcelante langue affolait ses sens. Elle secoua la tête, cherchant à recracher la bite de l'ado, révulsée par l'acte dégradant qu'il lui imposait.

Son corps se cambrait sous les sensations voluptueuses qu'elle ressen-tait entre les cuisses, sa langue enivrante la rendait folle, elle frémissait comme feuille au vent.

Inconsciemment, elle se tendit la bouche vers la pine de José, et elle commença à monter et descendre sur sa bite dressée, sa bouche se ventousant sur le gland.

Juan se réjouissait de voir mister copain José faire sortir de ses gonds la ravissante madame Wilmister, à la façon dont elle se tortillait sur le lit, il sa-vait que José la rendait folle en lui bouffant le gazon. Soudain la scène se déroulant sur le lit s'emballa, ils jouissaient tous deux de concert dans la bouche de l'autre.

Il était évident qu'un orgasme d'une rare intensité venait de terrasser la belle madame Wilmister, il était tout aussi évident qu'il se vidait les couilles dans la bouche accueillante de madame Wilmister.

Juan filma José roulant sur le flanc, sa bite glissant des lèvres de la bel-le madame Wilmister asservie.

Braquant la caméra sur le visage de la mère de mister "meilleur" copain, il devenait évident qu'elle avait pris mister pied avec José, mister visage illumi-né en témoignait clairement.

La caméra captura mister regard horrifié alors qu'elle rampait vers la tête du lit, penchant la tête hors du lit. Son estomac se rebellait,elle recra-chait le jus dont José lui avait empli la bouche.

Lorsque José se releva, Juan posa à mister tour la caméra sur une chaise. Il sortit, c'était le tour de Juan de s'la faire.

Juan se déshabillait à mister tour lorsque Derek entra dans la chambre s'emparant de la caméra.

Pour l'instant, madame Wilmister ayant recraché la plus grosse partie de l'épais foutre gisait sur le rebord du lit, toujours secouée de spasmes nauséeux.

Juan grimpa sur le lit, profitant de l'occasion de coucher avec la pleurni-charde madame Wilmister.

La repoussant sur le dos, il vit qu'elle essayait de s'abstraire en fermant étroitement les yeux. Il n'en fut que plus déterminé à prendre mister temps pour l'amener à le supplier de la baiser.

Ayant eu l'occasion de faire jouir pas mal de greluches, Juan savait comment manipuler une femme pour la préparer à jouir. Se penchant sur elle, il lui titilla un téton puis l'autre de la pointe de la langue, puis il lui caressa tendrement la chair douce de la face interne de ses cuisses, ses doigts se promenant aux environs immédiats de ses babines sensibles, mais se contentant de les effleurer.

Encore et encore il la caressait lascivement la jeune femme anxieuse, jusqu'au moment où elle referma les cuisses emprimisternant ses mains à proximité de sa fente qui s'embrasait.

Il sut alors qu'il l'avait amenée au point voulu, prête à grimper aux ri-deaux, elle le supplia :

-"S'il vous plait ..... Je vous en prie Juan ...... S'il vous plait ....... Ca-ressez moi ..... Caressez moi la fente ........ Le clito ......."

-"Ohhhhhh, 'oui ...... Oui, Juan ..... Là ..... Juste là ...... Oohhhhhh, ouiiiiiii!...." gémissait Bobbie alors que de deux doigts taqu_ins il lui triturait le clito, elle se cambrait l'invitant à poursuivre :

-"Ahhhhhhhhh .... Oui ....... Ohhhhhh .... Ohhhhhh! .......".

Elle sentit alors qu'un engin plus épais avait remplacé les doigts taquins, se frottant contre mister clito enflammé. Voulant se faire pénétrer elle ver-rouilla ses chevilles dans mister dos, cherchant à l'attirer en elle.

-"S'il te plait ...... S'il te plait ...Juan ... Je te veux ..... Je t'en prie Juan ... Baise moi ......Baise moi ..." le suppliait-elle misérablement.

La caméra enregistrait l'énergique union qui se déroulait dans le lit mari-tal de madame Wilmister. Mais la ravissante madame Wilmister s'y faisait bai-ser par un des "meilleurs amis" de mister fils. La caméra capturait les sup-plications de madame Wilmister :

-" Oh Juan .... Oh ... Baise moi ..... Oh oui ... Plus profond ... Encore ... Oh ouiiii .... Plus profond ...."

La caméra enregistrait ses doigts crispés dans le dos de l'ado, jambes serrées sur mister torse l'attirant tout contre elle alors que ses hanches al-laient à la rencontre de sa bite fouineuse.

Quelques instants plus tard ils jouissaient en choeur bras et jambes emmêlés.

Pendant ce temps Derek se préparait à prendre mister tour, enfin Juan se releva, enfila ses vêtements et partit à la recherche de Sam.

Lorsque Sam entra dans la chambre, il vit Derek enfourchant madame Wilmister. Il s'empara à mister tour de la caméra vidéo et filma un nouvel épi-sode de l'avilissement de madame Wilmister.

-"Je vais m'faire mister petit cul tout blanc ....." se vanta Sam regar-dant l'objectif tout en disposant madame Wilmister à quatre pattes.

La bite en main il s'agenouilla dans mister dos, lui caressa sa croupe cré-meuse et se positionna entre ses fesses palpitantes. L'agrippant ferme-ment par les hanches, souriant une dernière fois à la caméra, il s'engouf-fra vulgarement dans on oeillet affolé.

-"Mmmmmmmfffffff ...... Mmmmmffffffffff! ....." elle allait pousser un hurlement, fort heureusement la main de Sam l'avait bâillonnée à temps, seuls des misters étouffés franchirent ses lèvres.

La douleur était incroyable, elle était quasi certaine qu'il l'avait déchirée.

Elle entendit alors Derek qui l'avisait :

-"Je vais ôter ma main madame Wilmister .... Si tu veux crier, tu peux y aller, les enfants accourront, ce sera un vrai régal quand ils ver-ront ma bite noire te défoncer le cul!......."

-"Oh, oh ..... Mon Dieu ..... S'il vous plait .... Je vous en prie ..... Vous me déchireeeeeeez ..... " se lamentait Bobbie entre ses dents serrées.

Sa douleur était absolue, mais elle n'osait crier de peur d'attirer des té-moins. Elle, ne pouvait pas se permettre de voir les ados accourir et être témoins de mister ignoble dépravation. Elle n'avait jamais eu aussi mal au-paravant, c'est avec incrédulité qu'elle constatait à quel point ces jeunes pouvaient être brutaux, elle était certaine que mister périnée avait volé en éclat.
chrislebo

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-"Oh mon Dieu ..... Mon Dieu ..... Arrêtteeeeez .... S'il vous plait ar-rêtez .....Ohhhhhh ... J'ai si malllllll!..... " pleurnichait-elle sourde-ment.

-"Oh, mon Dieu .... Arrêteeeeeez ..... Arrêteeeeez .... Ne me faites pas cela!....." sanglotait elle humiliée jusqu'au fond de l'âme.

-"Mais chérie ... C'est si bon de t'enculer ..... Ton trou du cul est si serré ...... " s'exclama Derek comme il commençait à la chevaucher en levrette.

Ca le réjouissait vivement d'entendre cette jeune femme se lamenter alors qu'il lui cassait le cul avec sa grosse bite noire.

-"Bordel ..... Ouai chérie .... Tu pleurniches comme une chatte en chaleur!...." se marrait Derek en glissant sa main sur mister bas ven-tre, lui effleurant les babines à la recherche de mister clito.

Bobbie pleurait de honte en le sentant aller et venir dans mister fourreau étroit, mister corps frismisternait sous les doigts qui lui arrachaient des fré-missements de plaisir irradiant mister clito.

Elle avait la bouche grande ouverte à la recherche d'air elle cherchait désespérément à contrôler ses sensations.

-"Non .... Non .... Nonnnnnn...... Oh ... Oh mon Dieu ....... S'il vous plait non ..... Mon Dieu ...... Je ne peux pas ...... Je ne veux pas ...... Je jouiiiiis ..... Ohhhh!....." grogna-t-elle alors que mister corps était secoué de spasmes convulsifs, mister sphincter anal se crispait et se décrispait sur l'ignoble envahisseur.

Puis elle sentit, de même qu'elle l'entendait, le jeune ado la labourer en-core et encore, mister corps en sueur butant contre sa croupe asservie.

Sans merci l'énergique ado ahanait dans mister cul, pour finalement s'en-fouir jusqu'aux couilles dans mister boyau plus du tout secret se déversant à gros bouillons dans ses entrailles frémissantes. Il mugissait lourdement :

-"Ohhhhhhh .... Ohhhhhhhh, Madame Wilmister ..... Ouiiiiiiiiiii ..... C'est bonnnnnnn ...; .. Ahhhhhhhhhhh!......"

Bien que Derek se fut retiré, Bobbie demeura à quatre pattes sanglotant éperdument. Comme Derek descendait du lit, Sam grimpa à la tête écar-tant largement ses cuisses se postant juste en face du visage de ma-dame Wilmister qui sanglotait toujours.

Bobbie secouait la tête de bas en haut, inconsciente que sa chevelure venait taquiner la grosse bite jaune de l'asiatique.

Finalement ses bras plièrent et elle s'effondra la tête posée sur le rebord du lit, essayant de cacher la honte qu'elle ressentait.

Mais mister visage rencontra la bite de Sam lorsqu'elle tomba en avant. Soudain des doigts épais s'infiltrèrent dans sa chevelure, lui relevant le visage tandis que le jeune ado introduisait sa bite entre ses lèvres.

Elle se refusait à sentir de nouveau un jeune se vider les couilles dans sa gorge, aussi serra-t-elle les dents étroitement.

Elle le sentit presser avec frénésie mister bourgeon contre ses lèvres cher-chant à forer mister trou entre ses babines.

-"Ah ..... Aah ..... Aah ...... Ah ..... Ahhhhhh!..." haletait Sam pani-quairt, sa bite faisait des allers et retours sur l'avenant visage de madame Wilmister, mais il ne parvenait pas à s'introduire dans sa bouche ... Il avait attendu si longtemps pendant que Derek se dis-trayait avec la voluptueuse madame Wilmister qu'il était au bord de l'explosion, mais il voulait exploser dans sa bouche, lui inonder l'ar-rière gorge.

Désespérément il agrippait ses cheveux cherchant à lui faire desserrer les mâchoires, mais alors que mister gland remontait le long de sa joue, il grommela :

-"Aaahhhhhh ...... Ahhhhh ...... Ohhhhhh, merde alors ..... . oh, la salope .....Je ... Je .... Je jouis!......" il lui tirait la tête en arrière lorsqu'il explosa sur mister visage, on aurait dit une lance de pompier projetant ses jets sur le visage de madame Wilmister, Derek explosa de rire :

-"Tu croyais pas gicler si vite hein Sam .... Englue lui tout le visage .... Etale ta crème sur ses joues ..... Fais lui un bon masque facial ..... Elle ressemble vraiment à une putain comme ça!......."

Ils appelèrent Jamister qui se marra à plein poumon en la voyant gisant sur le lit, couverte de sperme, anus et chagatte suintant, il lui conseilla d'aller se doucher rapidement, elle devait reprendre une contenance normale.

Affolée à l'idée qu'on puisse la voir, ainsi, elle se rua dans la douche, elle n'y était pas installée de deux minutes que Jamister surgissait nu, il la lava tendrement lui réclamant le même service, il fouilla longuement mister inti-mité, mister anus alors qu'elle nettoyait sa hampe, ses bourses, enfin pres-que tendrement il la fit se pencher en avant, beurra copieusement mister anus de savon et s'engagea à mister tour dans cette voix étroite, heureu-sement le terrain avait été préparé par Derek.

Bien que bien plus gros il put s'imposer sans trop de douleur dans mister anus meurtrit, lui massant le clito du pouce, il avait enfoncé trois doigts dans sa grotte qu'il gamahuchait férocement ....... ils frémirent en semble et se virent terrassé par un fulgurant orgasme qui les amena à commu-nier étroitement enlacés ...... Ils se séchèrent comme de vieux amants, se rhabillèrent ...... Bobbie prétexta une légitime fatigue pour rester dans le salon, il la quitta la menaçant tranquillement :

-"Chère madame Wilmister tu as vue ce qu'on a enregistré ... Si tu veux que cela reste entre nous ...... Pas un mot à permisterne ... Si-non ...... Des copies de cette cassette circuleront rapidement ....... On pourrait les intituler : Une femme de représentant du congrès en campagne! ......."

-"Non ... Non ...Je vous en prie ... Je ne dirai rien ...... Vous pouvez être sur ...;"

-"Alors à bientôt madame Wilmister ... On est appelé à se revoir ..... t'es vraiment une trop bonne salope pour qu'on te laisse tomber ...." et sur cette promesse, il rejoignit la fête.

Au même instant les véhicules chargés de raccompagner les jeunes fi-rent leur apparition, John chercha des yeux sa belle-mère, il s'attendait à ce qu'elle surveille de près les opérations de départ.

C'est alors que Jamister l'avisa :

-"Ta belle-mère se sentait fatiguée, elle est partie se reposer dans le salon, elle a dit qu'elle te faisait confiance pour prendre en main les opérations. Veux tu qu'on t'aide? ...."

Sam intervint alors :

-"Ta belle-mère est au salon, je viens de l'y voir, elle somnole sur le sofa, elle doit faire un peu de fièvre, elle a le visage trempé de sueur ....."

La semaine suivante, Lorsque Brian revint ayant récupéré John après un match, il avisa Bobbie :

-"les meilleurs amis de John mistert tous venus me remercier de les avoir invité, il se mistert vraiment amusés ..."

Heureusement, elle était dans l'ombre, permisterne ne remarqua qu'elle rougissait jusqu'à la racine des cheveux.

-"Ils se mistert tous inquiétés de toi, et de savoir quand tu reviendrais les voir jouer ..... Ils disent que t'es leur porte chance, ils n'ont plus gagné depuis le dernier match auquel tu as assisté ....... Par ailleurs Jamister veut te faire voir une casette vidéo et des photos qu'il a pris de la fête .... Il m'a dit de te dire qu'elles mistert très réussies, qu'il est certain qu'il ne manquera pas d'amateurs ......"

-Cette fois elle blêmit, le message était on ne peut plus clair, elle se soumettait à Jamister et faisait ses quatre volontés ou bien ....... " Le piège se refermait sur elle, sa vie basculait.

FIN
chrislebo

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Brie Falls Behind the Eight Ball



Brie could not be happier. She sat next to her brand new husband Billy as
he drove their convertible sports car down the highway. She admired her
husband's handsome face and hard athletic body for probably the millionth
time. She was very much in love and she felt lucky to have snared such a
handsome guy.

Brie shouldn't have worried about finding a husband. She had the pick of a
long list of men and Billy was very grateful to have been at the top of the
list. Any man would have died to be with a woman like Brie. Her body could
only be described as luscious, her face bordering between beautiful and
cute. Cute was more a description of her manor. She was young, 19 years old
and naïve. It would only be time before the experiences of life turned her
into a sophisticated beauty.

They had been on the road for about an hour. It was Saturday and they had
been married shortly after noon. They attended the reception after the
wedding and then hit the road. Their honeymoon plans took them from their
home town in Louisiana to Florida with a stop somewhere in Mississippi.
Billy couldn't wait for that night when he could introduce his virgin bride
to the joys of sex. Billy, who was two years older than Brie, was not
greatly experienced sexually himself but he had learn a few of the finer
points from his best friend's older female cousin.

Brie was not totally ignorant of sex herself although she had insisted that
she and Billy wait for their wedding night to have intercourse. At Billy's
constant badgering she did concede to give her husband to be oral sex
although she wouldn't allow him to go down on her. Over the year before the
wedding Brie had demonstrated a natural ability at oral sex and had found
that she loved to perform it on Billy any chance she got.

That was precisely what popped into Brie's mind as they sped along down the
highway. Billy had suggested they take the back roads so that they could
enjoy the countryside. Brie was now glad he suggested that for a different
reamister. The road wasn't very crowded so Brie figured she could have a
little fun with Billy. She slowly leaned across the console putting her
left hand behind Billy's neck. While she scratched his neck with her
manicured bright red nails she snuggled her cheek against his.

Billy turned and smiled at his beautiful new wife. Brie gave Billy a quick
peck on the lips before he had to return his attention to the road. She
wasn't finished with him yet. Brie began to nibble at Billy's face and
neck. She hoped that she could distract her husband while her right hand
began to work on his zipper.

"What are you doing babe?" he asked sweetly.

"You'll see," was Brie's reply.

Soon she had her right hand in her husband's pants. With s*******ed hands she
guided Billy's rapidly hardening cock out of his pants. In the year that
she had known Billy's cock she had fallen in love with it almost as much as
she loved its owner. To Brie it was huge. To many women it would be
considered large at seven inches. For Brie, it was all she knew and she
couldn't imagine a cock larger than her husband's cock. This added to her
attitude of being a lucky girl to have married Billy. Not only did she love
his company but she loved his body as well.

Brie kissed her way down to Billy's lap. He straightened in the drivers
seat to give his bride more room to work. She quickly latched onto the
object of her desires. Billy had already hardened to full length and Brie
went right to work on her deep throat technique. She knew that this really
turned Billy on to have his cock buried deep in her throat. Brie had
learned over the months that she seemed to have a natural talent for taking
Billy's cock down her throat without gagging. At first she gagged a bit but
her enthusiasm and plenty of practice had resulted in a very good technique
and plenty of pleasure for Billy.

It didn't take Brie long to put Billy over the edge. Plenty of licking and
sucking, not to mention that exquisite feeling of Brie's throat clutching
his cock started Billy's cum on its journey from his large balls to his
wife's warm and inviting mouth. Brie excepted the load with glee. She was
amazed at first when she found that she loved the taste of sperm. She had
heard from her older sisters that sperm was foul tasting. That may have
been their experience but Brie was happy to learn that they were wrong in
her case. She sucked down all Billy had to offer. She then worked the tip
of her tongue into the piss hole of his cock looking for leftovers.

Having accomplished her task she licked Billy's cock clean and tucked her
favorite part of her husband back into his pants. Billy was grateful to his
wife for her service. He was also grateful that he had managed to stay on
the road during her expert blow-job. He looked at her with a mix of
adoration and admonishment. He said, "Baby that was great but next time let
me pull off. It was all I could do to stay on the highway."

Brie dropped her head and said, "I'm sorry, Billy, but I just couldn't help
myself. I'm so happy now that we are married. I just wanted to make you
feel as good as I do."

Billy returned, "Believe me baby, you've made me feel like I'm in heaven. I
get turned on just looking at you, you're so gorgeous. I'm a very lucky
guy." He added, "I'm looking forward to tonight when I can return the favor
and give you the pleasure that you've given me for so long."

Brie blushed, "I can't wait for that myself. I'm sure that it will be
wonderful."

Billy said, "Baby, you are wonderful. I'll probably have to spend the rest
of my life keeping guys away from you."

Brie smiled sexily and said, "Billy, you don't have to worry about other
guys. This woman is all yours and I'll do anything to make you happy."

Billy smiled and leaned over to kiss his wife. They spent the next hour
enjoying the scenery. When they reached Mississippi they continued the
journey on the coastal road where they stopped at a particularly appealing
beach. Brie had been hoping for this and was prepared. Under her top and
shorts was a two piece bathing suit. Billy had been equally prepared. They
parked the car and wiggled out of their shorts and shirts.

Billy loved to watch his new wife in a bathing suit. They had known each
other for two years. He was always taking her swimming or boating back
home. She created quite a stir in her hot bathing suits. Brie didn't
disappoint Billy on their honeymoon either. Under her clothes she wore a
very brief bikini that showed off her 35D-24-35 figure. They played in the
surf for a while, kissing and groping each other from time to time. Billy
thought about taking his beautiful wife right there on the beach but
unfortunately the beach was not deserted.

After cooling off they headed down the road again. As dark neared, the
couple entered a small town in Mississippi and stopped at a motel. As much
as Billy wanted to take his new bride to bed he felt that he could wait for
a little while until after they had had dinner. He asked the motel manager
about a nearby restaurant. The manager suggested a place about a mile down
the road.
chrislebo

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#90 
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Billy and Brie unloaded the car and settled into the motel room. Billy
filled Brie in on the restaurant and she disappeared into the bathroom to
freshen up and get dressed. Billy pulled on some jeans and a button down
shirt and waited for Brie.

Ten minutes later Brie emerged and Billy dropped his jaw. She was wearing a
lacy red bra and matching thong panties and nothing else. Her dark brown
hair had been fluffed up and her smoldering brown eyes begged her new
husband to take her bed. Billy had never seen his wife in such a state of
arousal. He got up immediately and took her into his arms. Billy kissed his
wife passionately tasting the red lipstick on her full lips. Brie moaned
with pleasure. It had been hard to resist going all the way with Billy
before they were married. She knew painfully that she had a healthy sex
drive. She usually required the assistance of her hand at least twice a
day.

The overriding fact about waiting was that Brie was not on the pill. The
last thing the couple needed was a pregnancy before they were married. Now
that they were married there was no worry of scandal. In fact, it was their
hope that Brie returned from the honeymoon pregnant.

Brie now had Billy in her arms and she knew he would take care of her
needs. As the newlyweds continued to kiss, Brie heard Billy groan.
Unfortunately, it wasn't a groan of passion but a groan coming from his
stomach. Brie broke away from her husband and regarded him with a concerned
look on her face.

"What's wrong," Billy asked?

Brie replied, "I'm sorry baby, you're famished aren't you?"

Billy answered, "I'm OK Brie, just a little hungry, that's all."

Brie retreated to the bathroom and grabbed her shorts and top. Billy
followed her and grabbed her waist and pulled her to him. He kissed her
neck trying to regenerate the lust she showed before his stupid stomach
started to growl. Brie would have nothing of it. Billy knew that it was
that ladying instinct that most southern women had. A man's stomach came
before anything else. Billy also knew that despite her sweet and naïve
permistera Brie had a stubborn streak as well. She had made up her mind that
they would get dinner before they consummated their marriage.

Off to the restaurant they went, Billy with his hard cock painfully
arranged in his jeans and Brie with food for her new husband on her mind.
The restaurant turned out to be a more of a bar than a restaurant. The
newlyweds parked the car and entered the place a little concerned about
finding a decent meal. The place looked a little run down on the exterior
but the inside was not unlike the place back home that Billy and Brie spent
many a weekend having a good time. As the juke box played country music
several patrons consumed what appeared to be decent food while others
played pool on the other side of the bar.

Brie pointed the pool tables out to Billy and smiled. Billy smiled back as
he recalled the fun he'd had playing pool back home. Billy was quite a pool
player and had paid his way through college with his winnings. Billy
pointed out a sign that directed them to the bar to place their order. A
rather rough looking character was tending bar. He regarded Billy and Brie
as they approached, especially Brie. Her tank top hugged her large breasts
and ended above her belly button. Her denim shorts were equally snug and
ended high on her thighs in cuffs.

Billy interrupted the bartender's stare by requesting a menu. The man
handed Billy two menus and directed them to a booth on one side of the bar.
The service was no frills but the food was good. Billy was amused a little
by the fact that the bartender/waiter seemed to always talk to Brie
breasts. She noticed too and blushed. The man was a bit crude with his
behavior but otherwise seemed harmless. They finished their meal and
returned to the bar to pay the tab.

As they turned to head for the door, Brie asked Billy if he would like to
pay a little pool. Billy whispered into Brie's ear, "I'm sorry, but I have
a date back at my motel room with a hot woman."

Brie grinned at Billy and teased, "Play me one game and I'll make it worth
your while."

Billy rolled his eyes and said, "OK, but lets make this quick."

Brie jumped with excitement causing her chest to bounce out of control.
Billy just shook his head. Brie acted very naïve but Billy had a suspicion
that she knew what she was doing. Brie got the rack while Billy went to the
bar to pay for the table and get the billiard balls. Brie set the balls in
the rack. Brie wasn't nearly as good as Billy but he had taught her to be a
decent player. As a handicap Billy would have to sink his balls twice when
they played eight ball. He also had to break and if a ball fell in it was
considered Brie's. She always had the first shot. In this way it made the
games more even resulting in Brie winning about as many times as she lost.

Billy soon realized what Brie meant by making it worth his while. She
strutted around the table with each shot stretching her voluptuous body
over the edge of the pool table with each shot. Billy didn't know whether
to look at her cute round ass or dangling swaying breasts. Billy wasn't the
only one. Several of the bar patrons had notice Brie's act as well. If she
had known about the other men watching, she would have been paralyzed with
embarrassment. As it was, she ended up teasing Billy into losing the game.
She jumped up and down again as the cue ball stroked the eight ball into
the appropriate pocket.

Before Billy and Brie could leave, a man approached Billy and asked if he
would like to play a friendly game. Billy politely declined. The man
offered to play a game for fifty dollars. Billy was tempted. This would pay
their motel room bill and leave them more money to spend in Florida. On the
other hand he had this exquisite female creature on his arm that he knew
was aching to have wild sex with him. Billy politely declined again. Before
the man could say anything Brie whispered into Billy's ear, "Fifty dollars
for only a few minutes work."
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