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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#7,021
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Lundi 1er juin

Aujourd'hui, j'ai donc observé les hommes comme je ne l'avais jamais fait jusqu'ici.
Ils arrivent malheureusement à l'agence souvent accompagnés par celle qui peut être leur femme ou leur maîtresse.
J'avoue que, maintenant que je m'en sens la permission, j'éprouve « quelque chose », à scruter discrètement ce que j'entrevois de leur anatomie. Ce qui m'est plus facile quand ils s'entretiennent avec Muriel ou Andrew.

Je dois aussi admettre que j'ai même regardé ce dernier d'un œil différent. Mais il est bien sûr évident pour moi, qu'il est hors de question d'aller plus loin avec lui. C'est une satisfaction féminine purement platonique puisque j'en sais la concrétisation impossible. Et puis je ne dois pas me détourner de l'essentiel : la recherche d'un partenaire qui voudrait bien me prendre !
C'est vrai que mon désir résulte, en grande partie, de l'attirance physique que j'éprouve pour un homme. Mais ce qui me trouble bien davantage qu'une anatomie que je devine flatteuse, c'est la profondeur d'un regard en ce qu'elle porte en elle de promesses.
Lorsqu'ils me regardent, certains hommes semblent m'envelopper de toute leur attention et expriment une telle douceur par cette seule attitude que je me sens soudainement apaisée, rassurée quant à mon pouvoir de séduction et ma capacité à ne pas rester seule.

Il y a sans doute une part d'illusion, mais c'est un bien fou de pouvoir penser que l'homme si près de moi qui m'observe, n'a qu'un désir... être plus près encore, être plus proche de ce que je suis vraiment à cet instant précis. Comme si ses yeux soudainement attentifs pouvaient littéralement me toucher par une voie mystérieuse et atteindre cette contrée secrète de mes désirs les plus secrets.
Mais ces regards portent aussi en eux des signaux plus directs et évidemment charnels. La caresse de nos attentions qui se croisent et se confondent pendant quelques secondes et qui, soutenues, nous paraissent alors si longues, appelle d'autres caresses, d'autres attentions. Il n'y a rien de plus profond qu'un regard appuyé pour exprimer puissamment une envie d'aller l'un vers l'autre, si ce n'est déjà celle de faire l'amour.
Je peux paraître prétentieuse, lorsque « j'admets » être une femme qui attire les regards des hommes. Mais tu sais qu'il ne servirait à rien qu'avec toi, qui me connais si bien, je sois faussement modeste. Et puis il y a le soin apporté à mes tenues qui m'apparente parfois à une hôtesse de l'air en plus sexy, avec mes chemisiers au décolleté plus engageant, mes chaussures à talon qui dévoilent davantage mes pieds et mes jupes souvent plus courtes et fendues découvrant en partie mes cuisses. Tout cela joue d'évidence un rôle non négligeable dans l'attention que je provoque chez bien des hommes.
C'est touchant de voir la diversité de leurs attitudes à mon égard.

Il y a bien sûr, un nombre non négligeable d'entre eux qui ne laissent rien paraître de leur trouble en ma présence. Soit parce que je ne suis pas « leur type de femme », soit parce que l'amour qu'ils portent à leur moitié suffit à les contenter, soit encore qu'ils parviennent parfaitement à dissimuler leurs émotions.

Une majorité, je crois, ne peut s'empêcher de laisser traîner ses yeux sur certaines parties de mon anatomie. C'est amusant de voir le plus souvent ces hommes m'observer à la dérobée, que ce soit par timidité naturelle ou parce que la présence de leur compagne à côté d'eux les plonge dans une troublante dualité vis à vis d'un désir qu'ils ont du mal à cacher.
Mais ceux qui m'intéressent particulièrement ici, ce ***t les clients qui, loin de ressentir une quelconque honte à avoir du désir pour moi, n'hésitent pas à me regarder dans les yeux avec l'espoir que mon attention puisse répondre à la leur.

Bien sûr, je vais te parler ici de ceux que j'ai particulièrement remarqués et que je n'ai pas laissés indifférents, et finalement de l'espoir de concrétisation qui semble se dessiner pour demain.
J'ai ainsi réalisé une nouvelle fois, « grâce à Michel » qu'une nouvelle facette de ma per***nalité était en train d'émerger. Je me suis découverte soudainement « allumeuse », vis à vis d'hommes pour lesquels dans un premier temps, je ne voyais pas d'issue possible...
Ainsi, ce jeune marié qui s'est d'abord entretenu avec *** épouse au guichet d'Andrew et qui m'adressait des coups d'œil réguliers. Lorsque je les ai reçus finalement à mon bureau pour finaliser leur dossier, j'étais flattée mais aussi en partie gênée par ses regard particulièrement appuyés qui, tour à tour, parcouraient mon visage ou scrutaient ma poitrine avec cette troublante sensation de me dénuder.
Il y a eu ensuite cet autre jeune homme au beau visage, à la timidité évidente, mais qui avait tout de même l'audace de m'adresser de réguliers coups d'œil alors qu'il s'entretenait avec Muriel. Cela a évidemment comblé mon orgueil, de voir qu'il pouvait s'intéresser d'avantage à moi qu'à la charmante hôtesse qui lui faisait face, et j'avais moi-même du mal à détacher mon regard du sien, alors que j'avais face à moi une femme agaçante d'indécision. J'ai juste pu conclure de *** intérêt particulier, avant qu'il ne disparaisse, qu'il était davantage porté sur les femmes plus mûres.
Et puis il y a eu aussi ce vieux monsieur, envers qui je n'aurais pas même envisagé une conclusion sexuelle et dont j'ai soupçonné que nos regards échangés, alors qu'une fois encore nous étions chacun occupé à discuter avec un autre interlocuteur, étaient davantage de l'ordre de la satisfaction esthétique. J'ai dû finalement changer d'avis, quand j'ai vu à quel point il semblait également attentif à mes cuisses largement découvertes dans cette position et qu'il pouvait observer à loisir d'où il était. Je m'étais rendue compte ainsi, d'abord sans le vouloir, puis par jeu je l'admets, que le mouvement lent de croisement et de décroisement de mes jambes sous la table avait l'air de l'émouvoir.
Et puis il y a eu lui. J'ai remarqué qu'il était un peu plus jeune que moi, sans doute dans la trentaine. Quand ses yeux clairs ont croisés les miens, je me suis tout de suite dit qu'il fallait que je fasse quelque chose. Ce n'était pas de l'ordre du coup de foudre, puisque la pensée de Michel ne me quittait vraiment pas avec cette volonté de lui faire plaisir, mais nos regards se ***t accrochés comme l'expression d'une certitude : il fallait absolument nous revoir !
Bien sûr, pour compliquer le tout, lui aussi était accompagné d'une femme qui semblait plus jeune que lui, et qui par chance semblait vraiment concentrée sur les offres que lui présentait Andrew. Mon « bel homme », puisque je peux en parler ainsi, avec *** physique d'athlète musclé et plus grand que toi, tournait sa tête vers moi, sans trop craindre visiblement d'être repéré. Notre audace à nous regarder dans ce lieu public avec tant d'insistance était telle que le couple avec lequel je conversais n'a pu, lui, que s'en rendre compte, de même qu'Andrew.
Au bout d'un certain temps, je me suis dit qu'il fallait absolument que j'agisse, que je trouve un prétexte pour me rapprocher de lui physiquement jusqu'à sentir *** odeur, jusqu'à sentir cette douce caresse plus proche de ses yeux sur mon corps, sur mon visage, sur mes lèvres. Je me suis approché d'Andrew et j'ai prétexté l'incompréhension d'un point du dossier dont je m'occupais pour que nous changions d'interlocuteurs. Cela s'est passé sans difficulté, même si, ou peut-être grâce au fait que mon charmant collègue n'était pas dupe.
Quand je me suis retrouvée face à eux et surtout face à lui, je l'ai trouvé plus beau encore, avec *** visage un peu carré qui semblait volontaire, et ses traits fins. Sa bouche particulièrement m'a parue si sensuelle. J'étais également impressionnée par *** cou musclé qui lui donnait un port altier, et ses mains plus grandes et plus larges que les tiennes et pourtant bien proportionnées.
J'étais déjà conquise et ses beaux yeux bleus foncés qui me dévisageaient, m'invitaient à ne pas rester passive devant l'évidence.
Alors que sa femme était plongée dans un prospectus, j'ai encore inventé un subterfuge pour arriver à mes fins. J'ai prétendu qu'il manquait juste un élément et qu'il fallait que l'un d'entre eux revienne le récupérer dès demain, tout en gratifiant mon beau complice d'un clin d'œil dont je ne pus que mesurer l'audace, alors que je me mettais à rosir. Mais mes yeux n'ont pas quitté les siens et je suis certaine de cette lueur de contentement qui accompagnait magnifiquement *** sourire !
Voilà pourquoi j'ai la faiblesse d'être confiante pour lundi !
J'ai très envie de t'embrasser les couilles et de te sucer... en pensant à mon probable nouvel amant !
Ta chérie, à mon chéri adoré.


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soumis8

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#7,022 · Edited by: soumis8
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.......... W
chrislebo

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#7,023
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mais de rien ça me fais plaisir à moi aussi (de plus en Français:up2
chrislebo

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#7,024
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Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef
Je viens de terminer mon cours de Première-3 et range tranquillement mes affaires.
Mon portable ***ne. Un SMS de Patrice. – Patrice est mon ami depuis plus de trois ans, le seul point d'ancrage en région parisienne pour la provinciale que je suis. Depuis quelques mois, je le sens plus distant qu'avant, moins attentionné, mais il est vrai que ses responsabilités dans cette grande banque en temps de crise l'absorbent et qu'il est toujours entre deux avions, entre New York, Dubaï et Singapour.Nous avons prévu de partir en amoureux à Deauville ce week-end !
J'ouvre le message, et le sol se dérobe sous mes pieds : « Ne serai pas en France ce week-end, et t'annonce mettre un terme à notre relation à partir de ce jour ». Le goujat ! Me larguer ainsi, par SMS, avec un message genre lettre de licenciement, comme une vieille chaussette, à quelques heures de notre départ !
Je titube, éclate en larmes et m'assieds péniblement sur ma chaise de prof, devant une classe désertée. Je suis anéantie, les larmes ruissellent, j'oscille entre haine et dégoût.
Un bruit me fait sursauter. Quelqu'un est rentré dans la classe. Combien de temps suis-je restée ainsi, vautrée, le visage entre les mains ?
Je risque un œil : c'est Abou, un élève de Première. Que va-t-il penser de sa prof, pleurant, prostrée sur *** bureau ? Mon maquillage a dû couler et je dois donner une piètre image de moi.
Abou est un grand gaillard de dix-neuf ans, originaire du Bénin, piètre élève – du moins en espagnol – mais c'est un leader pour la classe, sans doute parce que c'est le capitaine de l'équipe de basket du Lycée et probablement le plus grand en taille ; il fait plus d'un mètre quatre-vingt-dix. Je l'apprécie plutôt, car j'ai l'impression qu'il m'aide à remettre de l'ordre dans la classe quand je suis victime de chahuteurs. Il me regarde, surpris, de ses yeux ronds :
— Heu... Ça ne va pas Mademoiselle ?


Je n'arrive même pas à lui répondre, les sanglots me bloquent la voix.
— Mais vous pleurez. Cela vous défigure, vous qui êtes si jolie !


Je n'ai même pas la présence d'esprit de réaliser combien ce compliment est déplacé venant d'un élève.
— J'ai oublié mon portable dans cette salle. Je venais le rechercher, me dit-il en m'observant de ses gros yeux et en se dandinant d'un pied sur l'autre.
— Bon, laissez-moi, maintenant que vous l'avez récupéré !
— Ah, non, Mademoiselle, je ne vous laisserai pas seule dans cet état là, rétorque-t-il d'une voix dont le ton autoritaire me surprend quelque peu.


Il s'approche de moi et a un geste étrange : il pose sa main sur la mienne. Je sursaute à ce contact. Ses mains ***t très larges, avec des doigts très longs, presque des mains de pianiste.
— Je suis sûr que vous avez un problème avec votre mec, que cela vous rend triste, mais telle que vous êtes gaulée, ça s'arrangera vite !


Moi qui fais la guerre en classe pour éviter l'argot, je ne relève même pas que j'ai un « mec » et que je suis bien « gaulée ». Je suis sensible seulement au message de réconfort que je sens dans ses propos.
— Je me sens si seule, maintenant, lui dis-je entre deux hoquets.
— Il faut rire, vous amuser, danser...
— Oh oui, j'adore danser...


Il hoche la tête, s'approche de moi et je sens *** souffle à l'odeur de tabac. Dans un élan de lucidité, je me dis que basket et cigarette ne font pas bon ménage...
— J'ai une idée, Mademoiselle, si vous aimez danser. Demain soir, nous fai***s une fête, chez un de mes oncles qui travaille à l'UNESCO. C'est vers Pontoise, je passe vous prendre vers 18 h. Donnez-moi votre adresse !


Sans trop réfléchir, je lui marmonne mon adresse qu'il note avec soin sur un bout de papier chiffonné qu'il sort de sa poche. Puis, dans un geste de galanterie surprenante de sa part, il serre sa main posée sur la mienne et me fait descendre de l'estrade. Je ramasse mon sac, mes cours et passe devant lui vers la porte. Au moment de la franchir, il me saisit par le coude et dépose un baiser sur ma joue. Je sursaute de surprise, m'attendant à tout sauf à çà...
— À demain 18 h, me souffle-t-il.

chrislebo

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#7,025
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J'ai vite oublié cet intermède en arrivant chez moi. Agacée par les programmes TV alors que j'aurais dû être dans un douillet petit hôtel de Deauville, je décide de faire le ménage à fond dans mon deux pièces, ce qui n'était pas arrivé depuis près d'un mois, Fourbue mais toujours animée d'une rage profonde envers Patrice, je m'endors tard en rêvant malgré moi des étreintes que je n'ai pas eues depuis trois semaines et que je n'aurai plus !
Durant l'après-midi du lendemain, je repense à l'invitation d'Abou. Accepter une invitation d'un de mes élèves de six ans de moins que moi est une chose dont je répugne. D'un autre côté, j'ai été sensible à ses gestes empreints d'attentions devant mon profond désarroi, et je ne veux pas rester à penser à mon ex-amant qui doit probablement passer du bon temps aux USA alors que je tourne en rond dans mon appartement. En plus, je suis invitée dans une mai*** de diplomate, il ne peut rien m'arriver de fâcheux !
Bon, je décide de ne pas prétendre une quelconque migraine et de me jeter à l'eau. Je ne sais trop comment m'habiller pour cette soirée, puisque la seule chose que je sais, c'est que je pourrai danser. J'opte finalement pour une tenue à la fois féminine et pas trop sexy, un petit tailleur noir gentiment décolleté avec une veste blanche, des escarpins assortis et des dessous coordonnés en vichy rouge et blanc.
À 18 h précises, la ***nette retentit, et j'entends la vois d'Abou :
— Elodie, nous vous attendons en bas.


Hum, il connaît mon prénom !
Abou est sapé comme un rappeur, costume et chapeau noirs, chemise blanche qui le fait paraître encore plus grand. La voiture dans laquelle il me fait monter est une vieille guimbarde américaine, rouge pompier. Il me présente le chauffeur, un dénommé Youssef, à la coiffure rasta, et les deux couples assis à l'arrière. Ce ***t tous « ses cousins », mais j'ai l'impression qu'il a un certain sens de la famille particulièrement élargi ! Je m'installe à l'avant entre Youssef et Abou.
Je constate très vite que notre chauffeur me reluque sans vergogne, et que ses yeux ***t plus accaparés par mon buste et mes cuisses que par la route. J'ai beau tirer sur ma robe pour rester décente, rien n'y fait. Comme il a tendance à accrocher de la main le tissu à chaque changement de vitesse, je me serre contre Abou qui, le plus naturellement du monde, finit par passer un bras par-dessus mes épaules.



La mai*** où nous arrivons est une vaste bâtisse en meulière sur deux étages avec un grand jardin et un hangar ouvert. Quatre musiciens accordent leurs instruments au fond de celui-ci, alors que des saucisses et des boulettes de viande attendent à côté d'un grand barbecue. Il y a environ une soixantaine de per***nes, à part trois ou quatre métis, toutes les autres ***t noires. Quelques gamins courent dans les jupes de grosses matrones qui tiennent des bébés à même leur hanche.
Je sens que l'arrivée de la seule blanche que je suis provoque un léger flottement, vite couvert par le *** des instruments et la reprise des conversations. Je suis frappée par la diversité des tenues. Certains hommes ont des costumes noirs ou gris, plutôt stricts, comme Abou, les autres ***t en jean avec des chemises aux couleurs vives ; quelques femmes ***t vêtues à l'occidentale, mais la plupart ont des boubous aux teintes chatoyantes. Les bretelles de leurs soutiens-gorge aux tons criards ***t clairement visibles, voire les soutiens-gorge eux-mêmes, et je me surprends à jalouser leur chute de rein particulièrement marquée et l'opulence de leur poitrine, moi qui ne suis pas habituellement complexée de ce côté-là (je fais du 85 C ou D suivant les modèles).
Abou est un cicérone particulièrement attentionné et visiblement très populaire. Les hommes lui font l'accolade et les femmes l'embrassent avec empressement. Il me présente un à un tous ses « cousins » dont j'oublie instantanément les noms... qui ***nent tous en « ou ». Lorsqu'ils parlent leur langue, je n'y comprends goutte mais, heureusement, ils s'adressent à moi en français, souvent avec un accent savoureux. Je suis un peu sur la réserve, car Abou me présente directement comme sa prof d'espagnol. Je le sens particulièrement fier d'être accompagnée par la seule blonde de la soirée, et qui plus est, sa professeur.
Les musiciens jouent des musiques très rythmées, et tout le monde marche en se déhanchant. Moi aussi, je me mets à déambuler aux accents du zouk, du rap ou du merengue. Abou m'offre un grand cocktail coloré et me rassure en me disant que la danse est le meilleur antidote aux effets que ne manque pas de me faire l'alcool. Nous croi***s plusieurs fois Youssef dont le regard est toujours aussi enveloppant, et qui tente de lier la conversation avec moi dès qu'Abou a le dos tourné. À part ce regard qui me donne l'impression d'être nue, je me sens bien...
Abou trempe une boulette de viande dans de la sauce colorée et me la tend. Je l'avale sans méfiance et la recrache dans une quinte de toux épouvantable. Pratiquement du piment pur ! Tout le monde éclate de rire, j'ai les larmes aux yeux et dois être plus rouge qu'une pivoine. Abou appelle une dénommée Naïma qui m'emmène gentiment dans une salle de bain plutôt défraîchie ; je constate les ravages subis par mon maquillage et maugrée d'être tombée dans ce piège. Elle me confirme que c'est une tradition, au Bénin, d'offrir aux étrangers des mets particulièrement épicés et de se moquer d'eux lorsqu'ils les avalent sans méfiance. Lorsque nous revenons, Abou m'attend avec un nouveau grand verre que je bois comme une assoiffée.
Deux nouveaux musiciens rejoignent l'orchestre, et la musique monte de plusieurs tons. Heureusement, il n'y a pas de voisins immédiats ! Les rythmes ***t géniaux, presque tout le monde danse. À tour de rôle, un couple rejoint le centre de la piste et danse autour des autres qui frappent des mains. Les poses ***t particulièrement osées et miment parfaitement l'amour, le bassin de l'un partant à la rencontre de celui de l'autre. Je suis grisée par cette atmosphère pleine de sensualité et d'érotisme, et lorsqu'Abou et moi sommes poussés vers le centre, j'y vais carrément, sans aucun préjugé, poitrine agressivement cambrée et ventre en avant. Abou danse particulièrement bien, un peu à la Mickael Jack***, et nous devons faire un bis sous un tonnerre d'applaudissements. Parfois nos sexes se touchent, parfois nos bustes se rejoignent. Cette musique est vraiment envoûtante. J'ai dû danser comme une ********* plusieurs heures de suite, avec de très brèves pauses dont profite Abou pour m'offrir toujours aussi galamment des grands cocktails aux couleurs chatoyantes et aux goûts fruités.


chrislebo

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#7,026
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Tout d'un coup la lumière a baissé, il y a eu une annonce dans leur langue et la musique est devenue douce. J'ai compris que le moment des musiques plus lascives, type slows, était arrivé. Tout naturellement, Abou s'est approché de moi et a passé ses mains autour de ma taille. Mes yeux arrivent juste à hauteur de *** buste où pend une petite croix argentée, et je dois lever la tête à attraper un torticolis pour le regarder. Je ne mesure qu'un mètre soixante deux, et il me domine d'une tête et demie.
Après plusieurs morceaux, il s'arrête un instant, puis revient avec une cigarette au goût acre qu'il glisse entre mes lèvres. Bien qu'assez peu portée sur les paradis artificiels, grisée par l'ambiance et la musique, j'aspire de longues bouffées. Voilà plus de cinq heures que nous nous déhanchons sur la piste...
Nous pouvons enfin parler, et je le remercie de m'avoir fait oublier mes chagrins grâce à *** invitation. Il me sourit, et ébauche une petite caresse sur mes cheveux, laissant ensuite sa main sur mon cou. C'est la première fois depuis notre rencontre dans la salle qu'il touche ma peau nue, et je sens des radiations grisantes descendre le long de ma colonne vertébrale et se perdre dans mes reins. Je m'abandonne à *** rythme, passe mes mains autour de ses épaules et fris***ne. Soudain, il glisse un doigt coquin dans l'entrebâillement de mon décolleté et me glisse d'une voie rauque :
— Je vois de bien jolis trésors !


Je lui souris... Il me rend mon sourire... C'est vrai que de tout là haut, il peut facilement plonger les yeux dans mon soutien-gorge. Dans la pénombre, je vois surtout ses dents quand il sourit et le blanc de ses yeux, mais je sens la caresse de *** regard coquin qui descend dans mon décolleté.
— C'est bien dommage qu'ils soient partiellement cachés. J'aimerais bien les libérer de leur pri***.


L'obscurité l'empêche de voir le rouge qui me monte au front. Je susurre :
— Chiche ? Est-ce bien rai***nable ?
— La liberté rend tout plus beau, me répond-il du tac au tac, citant un texte que j'avais fait étudier en classe à propos des Incas.


Je suis bluffée par sa réplique, et lui rétorque :
— Mais tu dois me le dire en espagnol !
— La libertad te hace mas linda, me répond-il.


Ce qui est une traduction pour le moins lointaine, mais qui me touche droit au cœur. Vais-je parvenir à faire d'Abou un brillant hispanophone Je suis émue, et il mérite récompense. Je m'arrange donc pour me rapprocher du coin le plus isolé de la piste, prends sa main et la pose sur la fermeture éclair dans le dos de ma robe. Comprenant immédiatement l'audace de ce geste, il la fait glisser à moitié et tente de faire sauter l'agrafe. C'est bientôt à deux mains qu'il s'escrime sans succès.
— Hum, j'aurais dû les mettre dans une pri*** s'ouvrant sur le devant, lui-dis-je, espiègle.
— Chiche, me répond-il à *** tour.


Il faut finalement que je lui donne « un coup de main » pour qu'il vienne à bout de l'agrafe récalcitrante. Comme il n'y a pas de bretelles, il s'en saisit directement et le glisse dans sa poche, puis reviens, d'un coup de doigt fripon, fermer derrière et tirer devant pour mater « mes trésors enfin libérés »...
Je me fais chatte contre lui, et ses larges paumes, jusque là plutôt sages, s'animent peu à peu... Les autres couples autour de nous flirtent aussi sans gêne.
L'une de ses mains remonte le long de ma cuisse en soulevant ma robe, l'autre m'enveloppe une fesse et la masse en douceur. Les radiations que génèrent ses caresses sur ma peau reprennent, je sens mes seins durcir, leurs bouts pointent. J'éprouve des fourmillements que je connais trop bien dans le bas-ventre. Je me frotte contre lui et sens *** membre durcir instantanément. Je dois lutter pour qu'il ne remonte pas ma robe jusqu'à la taille, avec sa main qui court le long de ma cuisse.
Il change de stratégie, et la glisse sur mes seins, en pinçant doucement les pointes à travers le tissu. J'ai la tête qui tourne, il me porte presque, puis, tout d'un coup, me passe un bras sous les genoux, me soulève et m'emmène vers la porte de la mai***. L'une de ses mains sous ma robe a même glissé sous ma culotte et glissé sur mes fesses. Il gravit les deux étages, comme s'il portait une poupée, et entre dans la première chambre. Sur le lit, j'ai le temps d'apercevoir Naïma, suçant goulûment un sexe masculin de belle taille tout en se faisant pilonner par derrière par un autre homme dont la coiffure rasta ressemble fort à Youssef.
La seconde chambre est vide, et Abou me dépose avec douceur sur le ventre... Je sens ma fermeture descendre, ma robe glisser, je me soulève un peu pour l'aider à ôter ma culotte et me retrouve plaquée, toute nue, la tête dans l'oreiller, par ses grosses paluches.
J'entends le froissement de ses vêtements sans pouvoir le voir car sa main maintient ma nuque. Il glisse l'autre sous mon ventre et me fait replier les genoux... Sa bouche râpeuse se pose à mi-chemin entre ma chatte et mon anus et entreprend un délicieux ballet entre les deux. C'en est trop, j'éclate en un violent orgasme avant même qu'il ne m'ait pénétrée. Mes cris se perdent avec ceux de la chambre voisine.
Je reprends doucement mon souffle, les battements de mon cœur s'apaisent. Ses doigts tracent de douces arabesques sur le haut de ma croupe. Je me sens si bien que je ne veux pas bouger. Il en décide autrement et me retourne avec douceur et fermeté. J'entrouvre les yeux et le vois se reculer, ses yeux pèsent sur mes seins, sur ma chatte. Ses yeux s'abreuvent de ma nudité...
— Tu es vraiment bonne, dit-il, retrouvant un vocabulaire en vigueur au Lycée !
chrislebo

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#7,027
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J'ouvre grand les yeux, et soudain LE découvre ! Je ne suis pas une oie blanche, mais jamais je n'avais vu un tel engin. En un éclair, je me remémore nos conversations d'adolescentes sur la virilité des blacks, et le jour où nous avions regardé entre filles une vidéo porno qui avait pour seul intérêt d'étayer nos conjectures...
IL est particulièrement orgueilleux, massif à la base, long et légèrement recourbé, avec un gros gland tout rose au bout entièrement décalotté... Abou doit être circoncis. En tout cas, il a bien perçu mon regard, et a un sourire fier en constatant mon étonnement. Il s'avance vers moi et fixe l'intérieur de ma chatte toute baveuse. Je tends la main vers *** braquemart mais il esquive et repousse mes genoux... Je sais qu'ainsi, je lui offre une vision totale de mon intimité ouverte... *** doigt effleure mon clito, je réagis au quart de tour... Il pousse mes genoux contre mes seins et passe mes jambes sur ses épaules en me disant :
— Ouvre-toi bien, Elodie, je vais te transpercer !


Je dois le supplier pour qu'il attrape dans mon sac un préservatif et se l'enfile en maugréant. Il ne lui couvre que le tiers du sexe, et si je ne suis pas, comme certaines, à mesurer les hommes au centimètre près, je reconnais que j'ai vu un peu juste... Une étrange idée me traverse l'esprit : cela devait être pour Patrice, les mois sans pilule !
Il repose mes jambes sur ses épaules et approche LA bête près de mon ventre. Il s'arrête juste à l'entrée, je sens *** gland sur mes petites lèvres. Puis fermement, inexorablement, il s'enfonce en moi et je le sens buter contre ma matrice. De nouveau, un violent orgasme me saisit, je n'ai jamais précédemment eu ce sentiment d'être autant « remplie », de plénitude de femme comblée dans tous les sens du terme... Lorsque je reprends mes esprits, Abou n'a pas bougé, le sexe toujours aussi gros, aussi dur, immobile bien calé dans ma grotte.
– On peut dire que tu pars vite, toi, ma coquine ! Cramponne-toi, ça va repartir !
Il entreprend de puissants et réguliers allers et retours entre mes reins. Une nouvelle idée saugrenue me traverse l'esprit. C'est étrange cette manière qu'il a de me faire l'amour comme il l'entend, à *** rythme, sans sembler se soucier de moi, inexorable et puissant, alors qu'il n'a que dix-neuf ans... Est-ce le reflet de *** caractère, une expérience des femmes déjà importante, ou une caractéristique innée des Blacks ?
Mais très rapidement, j'arrête de penser et reçois en moi ses coups de boutoir monstrueux... Et me voilà qui pars pour une troisième fois, sans qu'il arrête *** pilonnage de plus en plus intensif. Et lorsqu'il se met à gronder et que je sens, à travers le préservatif, ses longs jets de semence battre contre mon utérus, je repars pour une quatrième vague en feulant. Jamais cela ne m'était arrivé de jouir ainsi quatre fois de suite. Est-ce pour cela que je m'endors comme une masse ? Ou l'alcool, le **** et la danse ? Je l'ignore, mais je me colle contre le corps d'Abou et rejoins Morphée


Lorsque j'ouvre un œil, une pâle lueur glauque filtre à travers le rideau. Les papiers peints aux murs ***t élimés et de mauvais goût. J'ai un peu mal au crâne (ça, je le sais, c'est l'alcool) et surtout l'impression qu'un bataillon m'est passé sur le ventre. Mes muscles ***t endoloris comme jamais.
Ma robe, ma culotte, mes escarpins traînent sur le sol. Les vêtements d'Abou ***t, eux, soigneusement rangés sur la seule chaise. Il dort d'un sommeil profond sur le dos, une main posée sur mon sein. Comme je lui tourne le dos, j'essaie de me retourner sans le réveiller.
Il a toujours sa petite croix argentée sur le torse. Celui-ci est glabre et, lorgnant sur *** bas-ventre assez peu velu, je me demande comment on peut avoir une tignasse aussi drue et être si peu poilu sur le corps. Sa peau est tellement noire qu'elle paraît presque bleue, et le contraste de mes doigts sur sa peau me fascine... *** abdomen est du genre « tablette de chocolat », puissant et musclé. Je ne peux m'empêcher de le parcourir du dos de la main. Ma curiosité est bien entendu attirée par LA Bête, l'ayant finalement peu vue et même pas touchée lors de nos torrides ébats ; je me dis qu'il me faut tenter une reconnaissance subtile pendant qu'il ne m'impose pas *** rythme infernal.
Avec des ruses de sioux, j'arrive à ôter sa main de mon sein et à repousser *** bras sans l'éveiller. Je rampe sur le lit pour établir mon observatoire avancé entre ses jambes assez écartées. Ses bourses ***t incroyablement gonflées et pleines. Je les frôle, elles frémissent, pleines de virile semence. *** membre, bien qu'au repos, est imposant. L'attache est ferme, massive. Le gland me semble un peu plus rouge que la veille, et un petit filet s'en échappe. Encore une drôle d'idée me traverse l'esprit : la semence des blacks est-elle de la même couleur que celle des blancs ? Je ne vais quand même pas partir à la recherche du préservatif de la veille ! Et je me demande, une fois de plus, par quel miracle un bout de chair inerte peut autant grossir et devenir si dur...
La tentation est trop forte, je recueille dans ma main l'une de ses bourses, et n'arrive pas à prendre les deux à la fois... Immédiatement, LA Bête se dresse à la verticale, tel un ressort. J'arrête tout mouvement, à l'écoute de *** souffle. Il me semble qu'après une légère accélération, il retrouve un rythme normal et profond. Je soupèse *** « sac-à-bébé », comme l'appelle ma meilleure amie. Il est lourd, dense, frémissant de vies et de promesses. LA Bête est de plus en plus dressée, tel un mât. Je veux connaître *** goût, et me hisse sur les coudes pour en lécher le méat. De nouveau, immobilité totale, j'ai cru l'entendre grogner. Je me dis que jamais je n'arriverai à ingurgiter un tel mandrin sans me déchirer la mâchoire...

chrislebo

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#7,028
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C'est alors que je sens sa main venir se poser sur ma nuque et l'appuyer sans équivoque vers L'Objet de mon étude. Pourtant, ses yeux ***t clos, *** rythme respiratoire régulier. Rêve-t-il, ou joue-t-il avec mes nerfs ?
Devant la taille de L'Obstacle, je décide de jouer la diversion. Comme, enfant, j'adorais commencer les esquimaux par le côté, je joue de la langue de la base vers le sommet, en décrivant de petits cercles autour de *** énorme bourgeon final. Évidemment, sa main pèse de plus en plus fort sur ma nuque, et je vais devoir trouver un Plan B.
C'est à ce stade de ma réflexion que la porte de la chambre s'ouvre d'un seul coup et que je vois surgir le dénommé Youssef intégralement nu avec *** machin pointant en avant.
— Eh bien, la blanche, on s'amuse ? Viens, je vais t'en faire goûter une autre dont tu me diras des nouvelles !


Et il se campe assez près de moi en me matant avec ce regard si lubrique qu'il m'a déplu dès le début.

Je lâche LE Bâton d'Abou et tente de cacher ce que je peux de mon anatomie avec mes mains.
— Dis, Abou, tu me la prêtes un peu, ta petite salope blanche, qu'elle soit très gentille avec Youssef, elle paraît super bonne...


Bien entendu, Abou s'est réveillé, et sourit en me voyant me recroqueviller entre ses jambes pour tenter de masquer ma nudité.
— Tu sais, Elodie, dans notre culture, nous partageons tout avec nos amis, même les femmes. En plus, je suis sûr qu'avec ton tempérament, tu ne regretteras pas d'être partagée entre nous deux.


Il m'est arrivé deux fois dans ma vie, avec un ex, de faire l'amour avec deux hommes. Mais je trouve Youssef profondément repoussant et bondis comme une furie vers la salle de bain. Au diable mon exhibitionnisme.
La porte que j'ouvre n'est pas une salle de bain, mais une penderie étroite dont je dois tenir le loquet fermé, avec la main... J'entends les deux africains éclater de rire... Même Abou s'y met !
Ils me font comprendre qu'ils peuvent ouvrir la porte quand bon leur semblera... Je crie, sanglote, sans sentir un véritable appui de la part d'Abou. Je les entends parler dans leur langue Finalement, ils ouvrent la porte malgré mes efforts pour la retenir ; Abou me prend par la main et m'attire vers le lit. Youssef reste les bras ballants, le regard mauvais et inquisiteur.
— Tu sais, Elodie, on est venu avec la voiture de Youssef, et c'est lui qui nous raccompagne ! Enfin, comme tu n'es pas encore formée à nos coutumes, tu vas continuer à me sucer, et Youssef regardera.


Je manque de m'étrangler en devinant le sens du mot « encore » et la volonté de mon élève de me « former ». Je reprends peu à peu mon sang-froid et, le regard baissé, je m'approche DU Sexe d'Abou, qui se redresse à nouveau sous mes doigts. J'ai bien du mal à faire le tour de *** gland avec mes lèvres, et dois activer mes mains simultanément. Un bref regard derrière moi me révèle que Youssef se masturbe énergiquement en se rinçant l'œil.
Je reprends Abou entre mes lèvres et le taquine de la langue. Je sens *** plaisir monter peu à peu, mais soudain Youssef vient poser ses mains sur mes fesses et insère *********** ses doigts dans ma vulve. J'ai mal, les coups de boutoirs d'Abou ont laissé de douloureux souvenirs. En plus, ne veux pas qu'il me prenne sans préservatif. Je recrache Abou, qui grogne violemment. Je lui explique la situation, il fait signe à *** compère de s'approcher et prends ma main gauche pour la poser sur la queue de l'autre. Me voilà suçant mon amant tout en masturbant *** cousin...
Je sens la respiration de Youssef, s'accélérer et assez vite celui-ci éclate en longs jets qui me souillent les côtes et la croupe. C'est au tour d'Abou d'émettre un grognement bestial, il s'arc-boute et un flot de semence sous pression m'envahit la gorge. Je n'arrive pas à tout avaler et dois le recracher malgré moi. Il se redresse instantanément en râlant, dirige *** pieu entre mes seins en les serrant l'un contre l'autre... Cinq nouveaux jets puissants me maculent des joues jusqu'à la chatte. Nous retombons tous deux, prostrés et enlacés.


C'est une petite claque d'Abou sur la fesse qui me réveille. Cette fois, le soleil se répand dans la pièce à travers les rideaux. Il est déjà habillé, et *** costume noir paraît sortir de chez le teinturier. Je me lève péniblement, mon corps est couvert de sperme qui sèche, je suis fourbue, surtout le ventre et les reins. Je demande à Abou s'il y a une salle de bain, il hoche la tête en signe d'ignorance... Je ne vais pas ouvrir toute les portes, après ce qui s'est passé hier, à la recherche d'une douche. Je prends un drap à l'aspect déjà suspect et me frotte vigoureusement... C'est déjà ça ! Lorsque je ramasse ma culotte, Abou s'en saisit et la glisse dans sa poche. Hum, collectionne-t-il les dessous de toutes ses conquêtes féminines comme des trophées ?
C'est alors qu'Abou a un geste qui me fait complètement craquer. Il me prend, nue, dans ses bras, je sens le tissu râpeux de *** costume sur ma peau. Il se penche et m'embrasse... Un vrai baiser de cinéma, avec sa langue qui s'enfonce profondément dans ma gorge encore âpre de sa semence, qui va et qui vient comme un petit sexe. Je vacille, et il écrase *** puissant abdomen et *** torse contre mes seins. Lorsqu'il me relâche, j'ai la tête qui tourne, et dois m'agripper à lui.
Je me glisse sans plaisir dans ma robe chiffonnée et nous descendons... Nous croi***s une femme et quelques hommes en descendant. Abou les salue, je baisse les yeux en sentant leur regard sur mon corps, et devine le sens des commentaires dans leur langue. Je retrouve le petit cabinet de toilette de la veille et m'enferme. Mon visage me fait peur : j'ai de larges cernes mauves autour des yeux, un teint de papier mâché et les cheveux en bataille. Je pare au plus pressé et, avec des kleenex, essaie de faire disparaître les traces laissées par les hommes sur ma peau. Abou frappe à la porte, nous devons rentrer !
Nous reprenons les mêmes places dans la guimbarde, et très vite les « cousins » assis à l'arrière s'endorment. Abou pose une main virile sur ma cuisse et remonte le tissu de ma robe jusqu'à l'aine... Je suis toute nue dessous. Par trois fois, Youssef tente le même geste, par trois fois, je le repousse. À la quatrième, de guerre lasse, je le laisse faire en lui demandant d'être sage... Je niche ma tête dans l'épaule accueillante d'Abou et somnole...
Je suis réveillée par des rires et des coups de klaxon. Je réalise qu'ils ont profité de mon sommeil pour remonter les pans de ma robe sur mon nombril et que j'offre ma chatte aux regards gaillards de deux hommes dans une camionnette qui roule à côté de nous... Furieuse, je rabats ma robe et tance Abou. Il est vraiment capable du pire et du meilleur. Ils s'échangent dans leur langue des commentaires et s'esclaffent.
Nous arrivons chez moi, je descends, Abou tente à nouveau le coup du baiser cinéma. Je le repousse, je lui en veux de m'avoir exhibée à mon insu, et puis je ne veux surtout pas être reconnue avec lui dans mon quartier.
Dimanche, 18 h... Je me prélasse dans mon bain. J'y ai vidé un flacon entier de sels de bain, et je sens avec volupté mes pores se libérer des restes de sperme et s'ouvrir de nouveau à la vie. Seul mon minou ressent encore la violence des assauts qu'Abou m'a fait subir Mes neurones reprennent, eux aussi, vie. Jamais je n'aurais pensé vivre une aventure de 24 h avec une telle frénésie. Jamais non plus je n'avais atteint une jouissance sexuelle aussi intense et répétée.
Je m'en veux un peu de m'être ainsi « lâchée », et d'avoir succombé comme une débutante dans les bras d'un de mes élèves noirs, à la fois séduisant, craquant, maladroit (enfin... pas au lit) et macho ! Trois ans de routines sexuelles, trois semaines d'abstinence ne peuvent justifier mon comportement. Comme le disent mes lèves, j'ai « la honte » !
Mais il est impossible, pour moi, malgré moi presque, de donner une suite à cette liai***. Les rumeurs au Lycée vont bon train et certains profs ne ***t pas les derniers à les propager. Il y va de ma carrière à l'Éducation Nationale. Le seul hic, c'est que je retrouverai Abou mardi dans ma classe de Première-3...
soumis8

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#7,029
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Hum. Début d'histoire très prometteur.....
chrislebo

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#7,030
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Plus se rapproche mon cours avec la Première-3, et plus l'appréhension m'envahit. Quel va être le comportement d'Abou à mon égard après tout ce qui s'est passé entre nous ?
Je décide de faire une interrogation surprise, cela m'évitera d'avoir un rôle actif et me permettra de prendre de la distance . J'évite soigneusement le regard d'Abou lorsque les élèves rentrent en classe. Évidemment ça ronchonne lorsque j'annonce un devoir sur table, d'autant plus que la classe précédente, la Première-4, n'en a pas eu... Pendant une heure, mal à l'aise, j'évite tout contact visuel avec mon jeune amant. J'ai du mal à ne pas accrocher *** regard que je sens insistant, lorsque je suis à mon pupitre. Dès la fin de l'heure, je fais ramasser les copies et m'éclipse sans demander mon reste... Ouf, j'ai pu éviter le piège, je suis tranquille jusqu'à jeudi ; enfin, si je ne le rencontre pas dans les couloirs du lycée !
Le lendemain, tranquillement, je corrige les copies chez moi. C'est un exercice que je déteste, je trouve fastidieux de retrouver les mêmes âneries répétées dans la majorité des devoirs. Tout d'un coup, je sursaute : je suis arrivée à la copie d'Abou dans laquelle est glissée une lettre soigneusement pliée. L'écriture est plutôt enfantine et peu lisible. Je respire à fond et commence sa lecture (fautes d'orthographe corrigées !) :
Mon Elodie,

Tu es si sexy avec ta petite robe noire qui me permet de regarder tes seins par-dessus ou par les côtés. Pourquoi viens-tu au lycée en cachant ces trésors que j'ai tant caressés ? Tes jupes ***t démodées, tes chemises trop lâches... Je te veux bien plus femme !
Il est vrai que je prends soin, lorsque je viens au lycée, d'éviter tout ce qui pourrait exciter les jeunes mâles qui me font face de la Seconde à la Terminale. Déjà que certains profs me trouvent beaucoup trop jeune, malgré mes diplômes, pour faire des remplacements avec des adolescents presque adultes !
Je te demande de venir habillée comme tu l'es à la ville, en découvrant tes jambes et ta gorge.

Tu peux venir avec ta robe noire, je l'adore, et sans que ta poitrine soit pri***nière de quoi que ce soit... Tu es si bonne quand tu danses, quand tu fais l'amour, quand tu prends ton pied. Voici mon numéro de téléphone, appelle-moi et donne-moi le tien. J'ai un plan pour nous deux ce week-end.

Je t'embrasse partout. Youssef qui est à mes côtés, aussi. Il meurt d'envie de te revoir.

Abou
Rajouté à la hâte, pendant le cours, un post-scriptum :
Comme j'étais avec toi ce week-end, je n'ai pas pu réviser mon cours. Ne me mets pas une mauvaise note !
Je suis estomaquée... Quel culot ! Il va me le payer !

Sa copie est une des plus mauvaises de la classe. Prise malgré tout de remords, je lui mets la moyenne qu'il ne mérite pas.

Je réfléchis à la meilleure manière de me sortir du guêpier dans lequel je me suis fourrée tête baissée, en succombant à ses avances comme une oie blanche. Enfin, je ne suis pas restée inactive, je me suis laissé envoûter, et je l'ai même un peu provoqué en dansant ou en lui permettant d'ôter mon soutien-gorge. Ma seule issue : l'ignorer et l'éviter !
Le jeudi, j'ai le cours de Première-3 juste après le déjeuner. J'ai du mal à avaler quelque chose, j'ai une boule dans le creux de l'estomac. Je ne peux pas à nouveau leur coller une interrogation écrite ! J'ai choisi avec soin une jupe de jean qui m'arrive au mollet et une blouse lâche serrée au cou. J'évite toujours *** regard et fais mon cours d'une voix blanche... Lors de la remise des copies, j'entends Abou m'interpeller :
— Mademoiselle, mademoiselle !


Il est toujours assis contre le mur du fond de la classe, pas loin de la fenêtre, à côté d'un dénommé Ahmed qui joue lui aussi dans l'équipe de basket. Je vais comme un automate vers lui... Il me montre sa copie posée sur *** bureau. Je me penche et regarde. Horreur, sa main s'est glissée sur mon mollet, remonte sous ma jupe, atteint déjà mon genou. Je m'éloigne d'un geste brusque mais il me glisse un papier froissé dans la main.
J'essaie de maîtriser mon souffle et mon émotion afin de calmer les mouvements de ma poitrine. Je dois avoir les joues rouges, j'ai l'impression que mes élèves le voient. Ont-ils perçu le brusque écart que j'ai fait lorsque j'ai senti sa main remonter le long de ma jambe ?
Le cours s'achève et je reste volontairement un bon moment avec une des élèves que je préfère afin de ne pas le croiser.

Ce n'est qu'une fois dans ma voiture que je sors le petit papier roulé en boule qu'Abou m'a glissé dans la main.
Tu ne m'as pas écouté, ta tenue est nulle à chier... Je viens chez toi ce soir à 18 h 30, fais-toi très salope, j'ai très envie de te baiser, tu vas aimer...

Abou
De pire en pire ! Je réfléchis à toute vitesse. Je ne vais pas rentrer chez moi ce soir à l'heure habituelle. Même seule, je vais me faire un McDO, puis un ciné. Je ne veux pas le voir chez moi.

Je n'ai pratiquement pas suivi le film, d'ailleurs un navet nul, et observe les alentours de mon immeuble en rentrant. Je m'engouffre dans mon appartement. J'ai réussi à l'éviter !

Reste le cours du vendredi après-midi, le dernier de la semaine. J'ai à nouveau choisi des vêtements particulièrement neutres. Je commence à savoir comment éviter *** regard qui pèse sur moi, et me garde bien de passer au fond de la classe derrière le dernier rang pour éviter tout risque de contact. Lorsque finit le cours, j'adopte le même stratagème et converse avec des élèves. Abou traîne un peu avant de sortir, et dépose un papier plié sur mon pupitre, devant tout le monde, sans même un regard. J'attends encore une dizaine de minutes et arrive à regagner ma Twingo en même temps qu'une autre enseignante.

Avant de démarrer, je déplie *** message :
Mon Elodie,

Je serai chez toi ce soir à 21 h, fais-toi très belle et très sexy, je te ferai l'amour toute la nuit comme on ne te l'a jamais fait, ce sera encore mieux que la dernière fois !

Abou

PS : Tu t'es vraiment fringuée n'importe comment aujourd'hui encore !

chrislebo

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#7,031
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J'appelle la seule vraie copine que j'ai en région parisienne pour lui proposer une sortie le soir même. Elle décline, elle a un plan avec *** mec. Puisque c'est comme ça, je me barricaderai chez moi ce soir !

En y arrivant, je vérifie que per***ne ne me guette, prends mon courrier et monte me fermer à double tour. Tant pis si mon réfrigérateur est presque vide !
Après une douche réparatrice, j'ouvre mon courrier. Les factures habituelles, un courrier de ma banque me signalant que je suis à découvert (c'est hélas fréquent) et une enveloppe avec seulement Elodie écrit à l'encre rouge. Étonnée, je l'ouvre. Elle contient une photo papier qui me fait sursauter : on y voit un sexe de femme blonde, jupe blanche relevée largement sur les hanches, qui me rappelle immédiatement le tableau de Gustave Courbet, l'Origine du Monde, si ce n'est qu'il est blond et beaucoup moins fourni, et qu'une main noire est posée, côté droit, dont le pouce en écarte nettement la grande lèvre, laissant apparaître les lèvres intimes. En arrière-plan, les visages du couple ***t visibles, à la différence du tableau de Courbet, mais celui de la femme a été rayé au stylo. Celui du black, bien qu'un peu flou, est reconnaissable : c'est Abou ! Je retourne la photo, où une écriture en rouge signale :
Elodie, tu dois être très gentille avec Abou !

Youssef
Une chape de plomb me tombe sur les épaules. Les salauds, ils m'ont prise en photo à mon insu lors du retour de notre folle nuit à Cergy, et je suis victime d'un chantage. Des images folles me traversent l'esprit. Victime de la traite des Blanches, je m'imagine faisant le trottoir rue Saint-Denis dans une mini robe moulante rouge pompier, nue dans une caravane de chantier attendant des ouvriers affamés de sexe, arpentant le port de Marseille à la recherche de marins en goguette privés de femmes depuis des mois ou, plus agréable, courtisane en robe d'apparat attendant le bon vouloir du Sultan dans le Harem de Topkapi, complotant contre ses rivales...
Étrangement, moi qui ai la larme assez facile, je ne pleure pas. Porter plainte ? Je suis majeure, ne semble pas du tout contrainte sur cette photo et suis à côté d'un de mes élèves tout juste majeur ! Bref, tout à fait consentante. Ai-je été droguée ? Trop de gens m'ont vu monter à l'étage dans les bras d'Abou la semaine dernière de mon plein gré, après avoir fumé un joint ! Voilà ce qui t'arrive, me dis-je, pour t'être laissé charmer par un jeune black de dix-neuf ans et avoir succombé à ta sensualité dans ses bras accueillants !
Je regarde à nouveau la photo. Les contours de mon sexe ***t bien visibles, l'entrée rose de ma chatte fait tache et poils blonds et peau blanche contrastent avec le noir profond de la main. En arrière-plan, le visage d'Abou, bien que flou, laisse deviner un sourire de fierté sur ses lèvres. Je n'arrive pas à voir si je suis identifiable car mon visage est trop crayonné. Ma décision est prise, je vais recevoir Abou ce soir, et il va me rendre des comptes.
Service minimum ce soir, un pantalon en jean, un grand t-shirt et aucun maquillage. Il ***ne, je lui ouvre, furieuse. Il me fait un grand sourire, il a dans les bras un joli bouquet et une bouteille de champagne. J'esquive *** baiser en le repoussant sèchement, pose ses cadeaux sans ménagement dans la cuisine et le fais asseoir de l'autre côté de la table du salon.
— C'est quoi, ça ? dis-je, en lui lançant la photo au visage.


De surprise ses yeux roulent dans ses orbites, et j'ai presque l'impression... qu'il pâlit !
— Ne me dis pas que tu n'es pas au courant !
— Heu, quand nous sommes rentrés, dimanche, on s'est arrêtés sur un parking. Youssef a pris cette photo avec *** portable, il voulait la montrer à ses copains !
— Et je suppose que vous en avez pris toute une série ?
— Non, juste une, car des mecs ***t arrivés en camionnette. Quand ils se ***t approchés, ils n'en ont pas cru leurs yeux. Nous avons déguerpi, et ils nous ont suivis. Et puis tu t'es réveillée...
— Et, bien entendu, ce n'est pas toi qui l'as déposée dans ma boîte aux lettres ?
— Non, ce n'est pas moi ; en fait, je n'ai fait qu'en tirer un exemplaire sur mon PC, car Youssef ne sait pas faire. Mais j'ai crayonné ton visage pour qu'on ne puisse pas te reconnaître s'il la montrait à d'autres !


Je regarde Abou, il a l'air sincère. Ce n'est plus le fier macho, il ressemble à un jeune garçon qui aurait poussé trop vite. Je cherche la faille. Sa version des faits paraît logique, ou tout au moins vraisemblable. Une grande lassitude me saisit, et j'éclate en sanglots...
Cela me fait du bien de pleurer. Je sens qu'Abou viens s'asseoir sur l'accoudoir à côté de moi, il passe délicatement *** bras autour de mon épaule et sèche mes larmes une à une avec un kleenex.

Je crois que je suis restée prostrée au moins un quart d'heure. Abou n'a pratiquement pas bougé, passant de temps en temps le revers de sa main avec douceur sur ma joue ou mes cheveux. Calmée, je prends délicatement sa main et la pose sur ma poitrine. J'ai besoin de réconfort. Ses doigts bougent à peine, et il me murmure :
— Elodie, je suis dingue de toi...


Je pose la main sur la sienne, la caressant doucement. La sienne s'anime très lentement, traçant des arabesques autour de mes seins. Il les pétrit à travers le tissu et mon soutien-gorge, je me sens mieux. Je soulève mon t-shirt, il me regarde, me sourit, et dit :
— Tu n'as pas mis un soutien-gorge avec la pression devant comme tu me l'avais promis !


Je me penche en avant pour lui en faciliter l'accès. Il finit cette fois par trouver l'ouverture de l'attache et libère délicatement mes seins. Ses grosses lèvres s'en approchent, et il me tète. Il ressemble à un bébé goulu. Des ondes parcourent mon corps, descendent dans mon bas-ventre. Je prends sa main, et la pose sur la braguette de mon jean. Je sens des ondes dans mon ventre ; il relève la tête, et m'embrasse goulûment. Encore le baiser cinéma ! Je ferme les yeux et tangue entre ses bras. Je fris***ne, je suis bien, j'ai à nouveau craqué ! Je sens *** cœur battre sous ma main glissée sous *** t-shirt. Nous restons sagement enlacés, sa main toujours immobile sur mon sexe, jusqu'à ce qu'il me dise d'une petite voix :
— J'ai faim !


Je me relève et, seins nus, vais vers la cuisine. Le joli bouquet et la bouteille de champagne ***t restés sur la table. J'arrange le bouquet, mets la bouteille au congélateur et inspecte *** contenu. Dans l'embrasure de la porte, Abou me regarde tel un chasseur sa proie. Et je réalise combien j'aime être sa proie !
— Je n'ai qu'une pizza surgelée !
— Super ! J'adore, dit-il en s'avançant vers moi et en effleurant mes tétons.
— Il est interdit de caresser la cuisinière pendant qu'elle opère, va donc mettre la table !


Nous partons tous deux d'un franc éclat de rire. Visiblement, il n'a pas l'habitude de mettre la table, et aucune idée de l'endroit où se rangent les couverts. Pourtant, ma cuisine est minuscule.

Lorsque j'apporte la pizza, il a rempli les coupes de champagne. Nous trinquons et, volontairement, j'appuie mes seins toujours nus sur *** épaule en le servant.
— Hum, j'aimerais aussi avoir ce genre de massage pendant tes cours, je suis sûr que j'apprendrais mieux l'espagnol !


Je rougis, nous trinquons à nouveau, il m'embrasse en recrachant dans ma bouche une rasade de champagne. Lorsque je lui sers une deuxième part de pizza, il accroche un doigt dans la ceinture de mon pantalon au passage, la dénoue et le descend sur mes chevilles. Je me retrouve en culotte, et m'excuse :

chrislebo

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#7,032
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— Ce n'est pas la plus sexy !
— Tu me la montreras au dessert, répond-il dans un éclat de rire partagé.


J'en profite pour me frotter à lui. Je trouve très sensuel de sentir le contact de ma peau nue contre ses vêtements. Il dévore presque toute la pizza, et je lui sers une glace.
— Ce n'est que mon premier dessert ! Tu seras le second ! me dit-il d'une voix rauque et pleine de promesses.


Je lui réponds en faisant glisser une langue gourmande sur mes lèvres, et nous finis***s le champagne.

La table desservie, Abou s'installe autoritairement sur mon lit en bas de jogging, il installe l'oreiller pour bien voir.
— Voila mon vrai dessert, le défilé des culottes et soutifs peut commencer !


Mon dressing est dans le petit couloir qui va à la salle de bain. J'en ferme la porte et, moqueuse, choisis d'abord un ensemble sloggy en simple coton blanc que je mets à la gym, style « petit bateau »
— Hum, ça ne vaut pas plus que 2 sur 20, et encore ! dit-il en m'imitant lorsque je rends les devoirs. Il va falloir équiper Mademoiselle en dessous plus seyants.


Je reviens avec un ensemble coordonné La Perla, rouge et noir, que j'adore, avec de troublantes transparences et des volants de dentelle. Je marche en remuant la croupe comme une professionnelle.

Il applaudit, et me donne 18/20. Je réalise qu'il bande. Je m'en prends à mon tour à sa ceinture et lui arrache en une fois pantalon et caleçon. LA Bête se déploie immédiatement en pointant vers le plafond. Il veut m'attraper mais je l'esquive et retourne vers la salle de bain. Je réapparais en porte-jarretelles blanc, string et soutien assortis. J'hérite d'un nouveau 18.
Je continue mon show, reçois pas mal de bonnes notes en prenant des poses de plus en plus lascives. SA Queue est de plus en plus grosse, et il se caresse négligemment. Je reviens finalement entièrement nue et en posant toujours. Cette fois, je me laisse saisir par les hanches et il me jette sans ménagement sur le lit. Je lui ai demandé de prendre les préservatifs qui restaient dans mon sac (souvenir de Patrice). À ma grande surprise, il s'éclipse puis revient avec un certificat récent, fait par le médecin du lycée, de dépistage. Comme quoi la prévention a du bon.
— Je vais pouvoir entrer en toi sans entrave et sentir ta peau de l'intérieur, mon adorable Elodie, et je vais te remplir de mon jus jusqu'à ce que tu en débordes.


Il n'en fallait pas plus pour me faire chavirer !

Raconter par le détail cette nuit brûlante avec Abou relève de l'impossible, tant il m'a comblé les sens. Cependant, je la résumerais ainsi.
J'ai aimé :
· Abou est un amant extraordinaire, très attentif à mes réactions et j'ai adoré la manière dont il a alterné la ***** et la douceur, le style macho et celui d'adolescent fragile.

· Sa manière de me remplir complètement, au sens premier du terme.

· *** incroyable fougue, et sa facilité à repartir à l'assaut de mon corps sans répit.

· L'originalité des poses qu'il m'a fait prendre, tout en reconnaissant que, vu la taille de *** Engin, celles qui m'ouvraient le plus, la levrette ou les jambes sur ses épaules, étaient pour moi les plus intenses.

· Le goût de sa peau et celui de sa semence.

· *** souci d'être patient, attendant ma jouissance et sa manière d'alterner moments forts et moments doux, même quand il était encore raide.

· La manière dont ma chatte s'est adaptée à *** Pieu, car, cette fois-ci, je n'ai pas eu mal après.

· Et tout simplement, sa présence à mes côtés au moment même où j'en avais besoin, et les moments de répit où je me lovais tendrement contre *** corps.

· Et c'est encore meilleur quand on peut se permettre d'éviter les préservatifs.
J'ai redouté :
· La réaction des voisins à mes cris de jouissance. Heureusement, ils étaient partis en week-end.

· Le moment où il a voulu me sodomiser, car je n'ai pas pu, IL était vraiment top gros !

Ce n'est que vers 11 h que je me suis réveillée, les sens totalement comblés, Abou dormant à côté de moi d'un sommeil pour le moins réparateur. *** visage reposé est celui d'un adolescent. Mes draps sentent l'amour, et je me suis souvenue des paroles de la chan*** : « Je l'ai serrée si fort que les draps s'en souviennent ». J'ai contemplé un moment le corps de mon jeune amant, ce sourire satisfait qui semblait flotter sur ses lèvres, l'ébène de cette peau d'homme que je n'aurais jamais imaginé dans mon lit.
Lorsque le corps est bien, l'esprit est plus agile. Il me faut coûte que coûte détruire les photos de l'Origine du Monde, du moins celles qui me concernent directement s'il y en a plusieurs. Par ailleurs, j'ai à nouveau craqué pour Abou, mais je ne le regrette pas, j'ai passé une nuit proprement merveilleuse. J'ai l'intime conviction qu'Abou était sincère lorsqu'il m'a raconté l'épisode de la voiture, et donc je dois en faire mon allié, pour récupérer ces photos ; mais il est manifestement sous l'influence de *** cousin (*** oncle ?). Comment m'en assurer ? Une idée germe dans mon esprit... EURÊKA, comme disait l'autre.
En me levant doucement pour ne pas l'éveiller, je me rends compte que je déborde de toute la semence d'Abou. Une douche réparatrice, mon déshabillé le plus coquin, et me voilà faisant le café.
Heureusement, il me reste deux croissants congelés. J'arrive avec le café fumant et les croissants. Il dort encore. Je repousse le drap et effleure *** Mandrin. Celui-ci se redresse, enfin à moitié, et mon bel étalon noir ouvre un œil endormi. Je joue avec L'Objet, il ouvre le second œil, et *** regard s'allume. Est-ce l'odeur du café, ou mon déshabillé ? Probablement, les deux, car il m'enveloppe la croupe d'une main pour la flatter et attrape un croissant de l'autre. Je lui baise les lèvres en le remerciant pour la plus belle nuit d'amour que j'ai jamais connue, lui tends un café fumant. Il s'étire, me palpe comme un maquignon et découvre ses belles dents blanches d'un ravissant sourire.


chrislebo

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#7,033
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Après une telle nuit d'amour, nous sommes en confidence ! L'air de rien, je lui suggère que c'est quand même mieux quand on est tous les deux sans Youssef pour me mater et le ***de sans en avoir l'air sur leurs rapports. Tout en continuant à m'effleurer des doigts, il m'explique que Youssef, c'est un peu comme *** père, qui est resté au Bénin, Que c'est grâce à lui qu'il a pu obtenir des papiers et étudier en France, et que, si je le connaissais mieux, je saurais l'apprécier. Je comprends parfaitement le double sens par mieux connaître, mais joue l'innocente (il m'arrive de l'être !).
Tout naturellement, cela m'amène à l'interroger ensuite sur les pratiques échangistes dans *** pays. Il me parle de liberté, d'envies, de nature. Mais je devine sans mal que c'est l'homme qui a toute la liberté de mœurs, et la femme celle de ne rien refuser, surtout pas celle de refuser d'écarter les jambes. Enfin, je ne peux pas jouer la féministe avec ce que je viens de vivre. Pendant ses propos, sa main continue à parcourir mon corps, mais j'ai plus le sentiment d'être flattée comme une belle pouliche que d'être caressée comme cette nuit. Ses yeux semblent me dire : cette chair est à moi.
Puis j'interroge Abou sur les papiers qu'il m'a fait passer concernant mon style de vêtement lors de mes cours. Il m'avoue naïvement sa fierté de coucher avec une blanche ce dont rêvent nombre de ses concitoyens, et avec une de ses profs en plus ; il me dit qu'il est sûr que la moyenne de la classe serait meilleure si j'attirais un peu plus le regard, me citant la prof de physique, une forte rousse au décolleté débordant. Je reste perplexe, mais ne le fais pas paraître, et lui dis :
— Chiche ?
— Chiche, mais à propos, ton soutien-gorge qui s'ouvre sur le devant ?


Je lui avoue qu'en fait, je n'en ai pas dans ma garde-robe... Il me propose de m'accompagner en acheter un. Pourquoi pas, pourvu que ce soit loin de mon quartier et du lycée pour ne pas être reconnue ? Puis j'interroge Abou sur les photos, il se renferme un peu et me dit qu'il est prêt à voir avec Youssef pour les récupérer.
Bien que ma douche soit petite, nous la prenons ensemble, nous savonnant mutuellement. Mon amant est particulièrement préoccupé par ma toilette intime, et je constate que, quand même, quand il bande, *** sexe est un peu moins dur que la veille !
Il est déjà tard quand nous finis***s nos ablutions, et Abou se dirige résolument vers le dressing où il a vu que je rangeais mes dessous. Il farfouille dedans et, après réflexion, me tend mon ensemble coordonné La Perla rouge et noir, en me précisant avec humour que le noir sied à une blonde ! Être l'objet de *** regard pendant que je l'enfile me fait un étrange effet. Un strip-tease à l'envers ! Le voilà devant ma penderie, où visiblement *** aisance est moindre. Il hésite entre ma fameuse petite robe noire et une petite jupe plissée turquoise qu'il choisit finalement, puis me tend un caraco orange. Visiblement, ce n'est pas un spécialiste de l'harmonie des couleurs ! Je le lui fais remarquer, et il opte finalement pour un corsage blanc, très simple, mais que je trouve beaucoup trop transparent vu la couleur de mon soutien-gorge. Il balaye d'un geste l'objection ; il est vrai que j'ai pu constater que les Béninoises ne se souciaient guère ni du mélange de couleurs, ni de la discrétion de leurs sous-vêtements !
Il y a du monde en ce samedi après-midi dans ce grand centre commercial. Dès l'entrée, je suis frappée par le regard des gens sur notre couple. Un sentiment de malaise m'oppresse, et j'ai l'impression, sinon d'avoir la peau noire, du moins d'être regardée comme un ****** sauvage ou une délinquante ; j'ai certes une jupe courte et un corsage assez transparent, mais les hommes me regardent encore plus lourdement, et les femmes chuchotent à notre passage.
Une blanche avec un noir ! S'ils savaient qu'il y a l'élève et sa prof d'espagnol !
Abou n'en a cure, probablement habitué à ce type d'attitude et me tient la main en regardant les vitrines. Nous mangeons un sandwich rapide et continuons notre promenade. Abou me pousse gentiment dans un magasin de lingerie. Je demande les modèles de soutien-gorge à ouverture sur le devant. La vendeuse nous propose plusieurs modèles, et j'opte pour un ensemble coordonné jaune transparent, avec un mini string (j'adore avoir des dessous assortis). Lorsque j'entrouvre le rideau pour appeler Abou pour voir le résultat, il arrive tout timidement en s'étonnant de me voir avec le string sur ma culotte. Je dois lui expliquer que c'est ainsi partout lors des essayages, qu'il est interdit, pour des rai***s d'hygiène, d'enfiler le slip directement sur soi ; il me dit que cela me va super et me suggère de garder sur moi le petit ensemble. J'en informe la vendeuse, ôte l'ancien, remets le neuf, mais au moment de sortir, Abou revient avec un shorty noir et le soutien-gorge assorti déniché je ne sais où.
— Essaie-les, me dit-il, ils ***t à croquer...


Abou m'a trouvé un ensemble digne d'un sex-shop : la culotte type shorty est largement fendue sur le devant et le soutien-gorge s'arrête sous la pointe des seins !

Ne voulant pas le contrarier, je fais un nouvel essayage, dès que la vendeuse apporte les tailles appropriées. *** sourire complice m'incite à croire qu'elle n'est pas étrangère au choix de ce modèle. Abou revient, toujours un peu moins timidement, jette un œil, et je vois sa bouche faire un O de satisfaction.
— Garde-les sur toi, me dit-il d'un ton dont la fermeté me surprend.


Me voilà devoir régler les deux ensembles, je vais de nouveau recevoir une lettre de mon banquier ! Au moment de sortir de la boutique, je me rends compte que je ne peux pas décemment traverser le centre commercial ainsi habillée, mes seins ***t apparents, alors que je subissais déjà des regards lourds. Je dois retourner en changer. Abou refuse et, grand seigneur, ôte sa veste et me la passe sur les épaules. Me voilà flânant avec sa veste qui ressemble à un grand manteau. Je dois en plus la serrer sur mon buste !
Merveilleux quand on est déjà trop (mal) regardée par les gens ! Je suggère donc à Abou une séance de cinéma qu'il accepte. Nous n'avons pas trop à attendre pour le film, et Abou, dans la queue, fait glisser sa veste sur mes épaules. Je croise *** regard que je trouve particulièrement coquin. Il me glisse à l'oreille :
— Quand viendras-tu ainsi faire ton cours au lycée ?


Il a décidément l'art de me faire rougir devant tout le monde et, lorsque nous gagnons nos places, je sens un vif intérêt masculin et de la réprobation féminine.
Je m'absorbe dans le film, mais rapidement je sens la main d'Abou, passée sur mon épaule, jouer avec les boutons de mon corsage, qu'il ouvre un à un. La salle n'est pas pleine, mais j'ai l'impression qu'un homme qui m'avait précédemment regardée entrer, assis à quelques fauteuils, me fixe avec insistance. Je confie mon anxiété à Abou ; non seulement le manège de ses doigts ne cesse pas, mais je vois un sourire éclairer la blancheur de ses dents.
Lorsqu'il ne me reste plus que le dernier bouton, il englobe mon sein gauche de sa main, joue avec mon téton puis avec la pression, qui cède assez vite : me voilà dépoitraillée au ciné ! Il titille mes pointes qui durcissent puis pose ses doigts sur ma cuisse. Je veux me rajuster, mais il arrête mon geste de sa main inactive. Sa paume migre en une douce caresse vers l'intérieur de ma cuisse, puis fait pression pour me ****** à m'ouvrir. Ses doigts remontent maintenant avec lenteur, je n'arrive pas à me plonger dans le film et évite de regarder mon voisin vers la gauche.
Il touche maintenant mon shorty et décrit de petites figures autour de *** ouverture. Il doit sentir que je deviens mouillée... Et c'est ma propre main, malgré moi, qui le pousse à entrer dans la fente du tissu. Là encore, avec une infinie délicatesse, il me caresse les lèvres du dos de l'ongle. Je m'ouvre encore plus, ma jupette remonte. Une onde de plaisir me traverse lorsqu'il frôle mon clitoris. Je m'agrippe aux accoudoirs, ferme les yeux, me mords les lèvres pour ne pas crier et un flot vient inonder ses doigts... Je tremble de jouissance pendant un long moment et lorsque j'ouvre les yeux, je vois *** visage tout près du mien, observant mon plaisir. Je dépose un baiser sur ses lèvres.
J'ai complètement perdu le fil du scénario du film. Maintenant, il me faut réparer les dégâts. J'ai la chatte toute poisseuse, les doigts aussi, et redoute de tacher mon chemisier en le reboutonnant. J'y parviens presque au moment où s'allument les lumières. Au moment où je me lève avec Abou, nous croi***s le regard du voisin qui nous gratifie d'un grand sourire et d'un geste éloquent... Nouveau fard !
La traversée du mail jusqu'au parking, emmitouflée dans la veste, s'effectue au pas de charge. Alors que je conduis, Abou s'amuse à nouveau à retrousser ma jupe et à jouer avec l'ouverture du shorty qui, décidément, l'excite au plus haut point. Je dois le réprimander sérieusement pour éviter l'accident. À peine arrivés chez moi, alors que je suis encore dans la cuisine, il me saisit par les hanches, m'assois sur la table, place mes mains en arrière, retrousse ma jupe et sort *** gros pénis sans même ôter *** pantalon. Il le glisse à même la fente de mon dernier rempart et entre sans résistance au plus profond de moi...
Je me dis que cet investissement aura eu une vie bien courte, puis les vagues déferlent, je suis au nirvana !
Il se rajuste après m'avoir inondée de ses sucs, car il doit partir, il a un match de basket et doit se lever aux aurores. Je regarde les grosses taches entre mes cuisses où se mêlent nos humeurs. C'est impressionnant de voir tout ce que peut cracher mon bel étalon noir. J'ai droit au baiser cinéma, il me demande mon numéro de portable. J'y mets une condition : qu'il s'engage une fois de plus à ne plus tirer sur PC ou papier les photos prises par Youssef avant que nous le rencontrions. Il jure la main sur le cœur, griffonne mon numéro et claque la porte.
Après une rapide toilette intime qui me confirme que mon shorty tout neuf n'a pas résisté à ses violents assauts et s'est déchiré sous ses coups de boutoir, je glisse sous ma couette et retrouve le monde des rêves des femmes amoureuses, comblées et épuisées...

chrislebo

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#7,034
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Difficile de quitter sa couette en ce dimanche matin pluvieux. Mais je dois aller au marché voir Irma.

Elle n'a rien de doux, c'est une vieille femme rabougrie, toujours vêtue de gris, à la voix nasillarde et haut perchée. Elle opère dans une arrière-boutique sombre, où elle exerce à la fois ses facultés de voyance et vend d'étranges mixtures crémeuses et de multiples poudres de toutes les couleurs. La plupart d'entre elles servent à guérir tous types de maladies, même celles de l'âme ; certaines ont des propriétés aphrodisiaques, et elle affirme avoir découvert la magique poudre bleue qui revigore ces messieurs fatigués bien avant qu'elle soit en pharmacie. J'attends qu'elle finisse de tirer les cartes à une ado probablement à la recherche du prince charmant, et lui expose ma requête. Elle lève un sourcil étonné, marmonne et, à l'aide d'une pelle, prend au fond d'un tiroir à même le sol, une poudre marron qu'elle verse dans un petit sachet.
— Dix minutes, rappelle-toi, dix minutes tout juste, me glisse-t-elle à l'oreille.


Je règle. J'ignore le prix au kilo du caviar, mais ça doit se valoir.
Trempée par une grosse averse, je rentre chez moi et m'astreins à ranger le capharnaüm laissé par la tornade Abou dans mon petit appartement en un jour et une nuit. Ce n'est pas Monsieur Propre ! Cela va de tous mes dessous sens dessus dessous (hum !) jusqu'aux serviettes de bain par terre, des draps remplis de souvenirs d'amours, aux taches suspectes et récalcitrantes sur la table de la cuisine. Loin d'être une fée du logis, cela me prend presque tout l'après-midi. J'en sors fourbue.
Ma mission de ménagère (de moins de cinquante ans heureusement !) s'achève tout juste lorsqu'Abou m'appelle. Il est de méchante humeur, car il a fait plus de deux heures de bus pour perdre, d'un seul panier, un match qualificatif. (Je ne peux m'empêcher de penser que j'en suis peut-être un peu responsable, vu l'énergie qu'il a dépensée dans mon propre panier la veille!). Il exige que j'aille faire mon cours du lendemain sans soutien-gorge ! *** ton est péremptoire, rien à voir avec l'amant attentionné de la veille, et il raccroche lorsque j'émets les plus vives réserves. Bien entendu, il ne décroche pas lorsque je le rappelle plusieurs fois de suite.
Devant un petit verre de blanc (mon remède contre la contrariété), je fais le point. J'ai absolument besoin d'Abou dans l'opération de récupération de l'Origine du Monde, version Youssef.

Je n'ai heureusement pas classe avec lui le lundi. Cela me laisse un peu de répit. Il me faut à tout prix l'avoir de mon côté ! Et puis, malgré moi, je l'ai dans la peau !
En m'habillant le lendemain, après une longue hésitation, je cède à la requête de mon jeune amant et passe un ample t-shirt rouge à même mon buste nu. Devant la glace, je dois constater que seul un œil exercé peut deviner mon audace. Je dois surtout veiller à éviter tout mouvement brusque de nature à faire tressauter mes seins.
Évidemment, je ne suis pas très à l'aise pour dicter mes deux cours de suite du lundi matin, mais c'est avec satisfaction que je finis le dernier sans encombre et sors de la classe. Soudain, dans l'agitation habituelle du couloir, une main vient se poser fermement sur mon sein. Je me retourne ***********, c'est Abou, il a un regard particulièrement trouble et un grand sourire de victoire éclaire soudain *** beau visage. Il retire sa paluche à regret et s'éloigne sans un mot, comme si de rien n'était. Je reste un moment interdite, quel culot ! Nous a-t-on observés ? Je me sens toute rouge, regagne ma voiture ; heureusement, un après-midi sans cours me permet de digérer l'audace de *** geste.
Le coup de téléphone d'Abou que j'attendais malgré moi n'arrive que tard dans la soirée...
— Tu n'as pas fait ce que t'avais demandé, Elodie !
— Oh si, tu l'as même vérifié toi-même, devant tout le monde, en plus...
— Non, tu as un peu triché, ça ne se voyait pas ! Demain, même chose, mais t-shirt interdit, et jupe au-dessus du genou ! Et quand je te ferai signe, tu t'approcheras de moi !


Jamais Abou ne m'avait parlé d'un ton aussi cassant. Je n'ose lui répondre, et lui rappelle seulement que je suis disposée à rencontrer Youssef pour la photo. Il accepte sèchement et raccroche.
Cette nuit-là, j'ai rêvé que je faisais un strip-tease rythmé par les musiciens de Pontoise devant toutes mes classes, les garçons tapaient dans leurs mains, hurlaient des obscénités à mon égard et se ruaient sur moi ! Le proviseur arrivait dans ma classe, me traînait dans *** bureau et voulait m'y violer !
J'ai bien du mal à choisir le corsage adéquat, le lendemain matin. Soit je suis trahie par de la transparence, soit le tissu adhère trop. J'opte finalement pour ce moindre mal, et choisis un corsage en coton jaune, avec une jupe bleue, droite, juste au-dessus du genou.
L'atmosphère de mon cours me paraît pesante. Je sens le regard d'Abou, du fond de la classe, peser lourdement sur moi. J'évite, une fois de plus, autant que je peux, de croiser *** regard. Après une demi-heure, je le vois s'agiter. Il met *** majeur dans sa bouche, et mime une fellation obscène, les yeux dans mes yeux. Les battements de mon cœur s'affolent. Je dois garder mon calme. Changeant sans justification le contenu de mon cours, je demande de traduire, chacun pour soi, un passage particulièrement ardu de Cervantès. Ça ronchonne, mais ça suit.
J'erre sans but au milieu des élèves en me rapprochant insensiblement d'Abou qui me fixe intensément, sans même avoir ouvert *** livre pour commencer la traduction. Arrivée derrière lui, je me penche, encadrant sa nuque de mes seins, comme si je lisais sa copie par-dessus *** épaule. Il me prend le coude d'une main pour me maintenir ainsi, et de l'autre défait mes deux premiers boutons. Il relâche sa pression, je me relève et croise alors le regard pétrifié de Kamel, *** voisin, sur la naissance de mes seins.

Comme un automate, je retourne vers mon pupitre. Kamel a-t-il vu le geste de *** copain ? Jusqu'où voient-ils ma gorge ?
Arrivée à mon pupitre, je baisse les yeux. La naissance de mes seins est bien visible. Mais Kamel continue à me fixer, tout comme Abou. Me reboutonner serait un geste d'aveu, visible par beaucoup ! Le pire est que mes tétons ont durci d'émotion et pointent sous mon corsage. Pour éviter les regards, je décide de les laisser plancher plus que le quart d'heure prévu. Ce calcul s'avère assez vite caduc, car lorsqu'ils ont fini, ils relèvent les yeux, et les regards, les uns après les autres, s'accrochent à ma poitrine sans plus la lâcher. Même les filles s'y mettent ! Je décide donc de faire ramasser les copies et finis le cours en corrigeant le texte ventre au tableau. Je ne sors de la classe, reboutonnée, que lorsque mon collègue prof de géo entre et arrive en retard pour mon cours suivant.


chrislebo

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#7,035
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À midi, je reçois un SMS d'Abou :
Elo, bravo, tu as des nibards toujours aussi superbes ! Mes potes n'ont fait qu'en parler pendant la récré. Je suis fier d'eux et de toi !
J'ignore si eux, ce ***t ses copains, ou mes seins ! Mais c'est peut-être un peu déplacé, cette volonté d'enseignante que j'ai de vouloir leur apprendre la précision des mots, dans un tel contexte !
Le soir venu, il m'appelle. *** enthousiasme pour ma prestation n'a pas décliné, et je me bouche les oreilles lorsqu'il me rapporte les commentaires que ses camarades auraient faits au sujet de mon buste.

J'ai du mal à ramener la conversation sur le rendez-vous avec Youssef pour la photo. Il me confirme que nous irons samedi soir chez lui, puis m'annonce tout de go :
— Pour vendredi, la même chose en haut, une jupe plus courte et surtout pas de culotte. Je te ferai signe quand tu devras t'approcher...
— Non, pas ça !
— C'est un ordre !


Et il raccroche...
Le ciel m'est tombé sur la tête, ce jeu va beaucoup trop loin. Tout ça est de ma faute, je paie mes excès comptant. En plus, je m'imagine ce qui m'attend si je vais chez Youssef, et mon plan pour récupérer l'Origine du Monde version Youssef tombe à l'eau. Je ******* mes méninges, il doit bien avoir une solution : je vais me faire porter pâle vendredi, et en profiter pour changer le lieu du rendez-vous !
J'appelle le proviseur le jeudi soir, et l'informe que je suis au fond de mon lit avec une forte fièvre. Je n'ai pas coutume de tirer au flanc, et je tourne comme une lionne en cage le vendredi matin.
Je reçois un coup de téléphone d'Abou, furieux, le vendredi après les cours. Je me fais très chatte avec lui, lui réitérant l'envie de lui faire des tonnes de câlins et de l'avoir entre mes cuisses, malgré ma prétendue fatigue. Je lui demande même ce qu'aime boire Youssef pour préparer la soirée ce samedi, qui, vu mon état, ne peut avoir lieu que chez moi. J'arrive à l'amadouer, il me rappelle peu après et m'informe que Youssef a finalement accepté de venir chez moi, et qu'il adore la bière.
Elodie, tu vas devoir jouer serré ; l'opération de récupération de l'Origine du Monde selon Youssef entre dans sa phase cruciale !
J'ai joué le grand jeu pour les recevoir ! Une caisse de bière au frais pour Youssef (je comprends maintenant pourquoi il a un début de bedaine), des petites bougies parfumées pour tamiser l'ambiance, string et soutien-gorge jaunes achetés avec Abou, porte-jarretelles et bas noirs, jupette noire et le caraco orange ajusté qu'Abou voulait pour notre sortie au centre commercial. Dans la glace, j'ai l'impression d'avoir une fille de mauvaise vie en face de moi. Je me suis maquillée comme un arbre de Noël, et jamais je n'avais eu à porter des vêtements avec des couleurs aussi peu harmoniques. Je m'arrose littéralement d'un parfum lourd et bon marché. Je suis prête !
Lorsque je leur ouvre la porte, mes deux lascars me regardent ahuris, comme des enfants affamés devant un caramel tropical. Leur bouche forme des O, leurs gros yeux roulent dans leur orbite. Je les fais rentrer et prends le bouquet qu'Abou m'a gentiment apporté. Visiblement, Abou avait fait part à Youssef de ma préoccupation concernant la photo et ils s'attendaient à tout sauf à ce type d'accueil torride de ma part.
Je virevolte, les frôle, et je leur sers à boire. Ils se ***t confortablement assis dans mes deux fauteuils. Youssef me mange littéralement des yeux et tente de me peloter sans douceur chaque fois que je passe à portée de ses grosses paluches. Sans l'encourager, je n'esquive pas ses gros doigts fureteurs.

Je mets de la musique, et esquive des pas de danse lascive. Je mime un effeuillage !
— À poil, à poil, m'intime Youssef.


Je mets mes mains en coupe pour leur offrir mes seins, lève sensuellement la jambe pour dévoiler string et porte-jarretelle. J'éteins l'électricité et, à la lumière des bougies, en me retournant, je fais glisser mon caraco, défais l'agrafe de mon soutien-gorge et, sans l'ôter complètement, me retourne vers eux. Ma silhouette se découpe en ombre chinoise sur le mur. Par la fente de ma jupe, très doucement, je dégrafe l'un des bas, et le fais glisser sensuellement sur ma jambe.
Pantalon aux mollets, Youssef a sorti sa pine et la tripote. Abou bande aussi à travers *** jogging, mais mon petit jeu le surprend visiblement, et ses gros yeux roulent de surprise dans leur orbite. Ma jupe est maintenant à terre. Youssef a saisi *** portable et me photographie sous toutes les coutures. Abou reste sidéré devant mon manque de réaction devant ce mitraillage en règle. J'ôte mon soutien-gorge et fais tressauter mes seins, puis fais glisser avec lenteur, par-dessus mon porte-jarretelle, en leur tournant le dos, mon string sur mes fesses. C'en est trop pour Youssef, qui le crochète violemment pour m'attirer à lui. Il me fait mal, et sa main empoigne ma vulve, ses doigts me pénètrent sans ménagement.


chrislebo

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#7,036
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— Tu vas goûter la bite à Youssef, et tu pourras plus t'en passer !


Abou a lui aussi dénudé *** Engin, il bande comme un taureau.
Elodie, attention, tu dois jouer serré !
Le gros black tente de m'asseoir sur sa pine, je l'esquive et m'agenouille entre ses cuisses, une langue avide en avant. Abou m'a contournée, m'a déplié les jambes. Il me caresse la chatte. J'avale le pieu de Youssef avec difficulté. Il est presque aussi massif que celui d'Abou, mais *** goût et *** odeur ***t repoussants.
Abou me pistonne à grands coups de SA Queue, ce qui me projette vers le membre de Youssef. Je suis au bord du vomissement, mais LE Membre d'Abou me chauffe délicieusement. Youssef m'a saisi par les cheveux, et s'agite dans ma gorge. *** plaisir monte, le mien aussi... Il m'inonde de sa semence en criant, mais Abou continue d'entrer et sortir de moi. J'éclate à mon tour, puis Abou lâche *** jus et s'affale sur mon dos. Je suis remplie de semence, dans la bouche, dans la chatte... Je ne veux pas avaler la semence de Youssef, et m'échappe à la salle de bain.
Nous reprenons peu à peu nos souffles et nos esprits. Je leur propose de manger un morceau, ils acceptent enthousiastes. Toujours vêtue de mon unique porte-jarretelle, je vais à la cuisine en prenant discrètement au passage le portable de Youssef. Je reviens leur servir à boire, Youssef m'assène deux belles claques sur les fesses en me traitant de « salope de petite femelle blanche » et rote en buvant sa bière.
Je retourne dans la cuisine pendant que se réchauffent les tranches de gigot que je leur ai achetées. Je vide toutes les mémoires du portable de Youssef (photos, numéros, adresses, etc.), déboîte légèrement sa coque et le mets dans un tiroir. Je mets la table, Chaque fois que je passe à portée de Youssef, j'ai droit à un tripotage en règle.
Mes deux blacks devisent vivement dans leur langue. Je devine que ma plastique est l'objet de leurs commentaires salaces et détaillés, car ils jettent des coups d'œil appuyés sur chacune des parties de mon corps les unes après les autres en s'esclaffant !
Rira bien qui rira le dernier !
Je les sers humblement, ils dévorent. Youssef tire plusieurs fois de suite sur l'élastique de ma jarretelle qui claque sur ma fesse, je finis par l'ôter de peur des marques.
— Bon, finie la plaisanterie, maintenant tu vas avoir le zob de Youssef dans ta chatoune. Tu ne l'oublieras jamais !
— Heu, vous avez des préservatifs ?


Youssef marque le coup, Abou opine dans mon sens. Je me garde d'avouer que j'en ai dans mon sac.
— Mais on n'en trouvera jamais à cette heure, tempête-t-il.
— Si, à la station-service, dis-je d'une voix soumise.


Youssef hésite, me regarde longuement. Il doit se dire que le jeu en vaut la chandelle, puisqu'il enfile *** pantalon sans même mettre *** caleçon et sort.

Abou me regarde étrangement et me dit :
— Elodie, tu m'étonnes !


J'ignore *** commentaire, range les assiettes et en profite pour récupérer le portable de Youssef et le poser sur ma table de nuit. Je sors ensuite le petit sac de poudre d'Irma.

Youssef ***ne, je lui ouvre, il arbore fièrement *** paquet de capotes tout en me pinçant méchamment un téton.
Je le regarde de manière très langoureuse et lui propose une bière avant l'effort. Il accepte, surpris de ma docilité apparente. Je la lui sers dans la cuisine en y incorporant la poudre marron d'Irma en regardant bien l'heure.
Je me laisse, très soumise, peloter par Youssef qui finit sa bière ; ses mains ***t ******** et douloureuses. Malgré tout je lui propose d'aller dans ma chambre pour la suite avec un clin d'œil allumeur ; bien que dans sa langue natale, je comprends la réponse.

Je me déhanche devant eux et leur dis :
— Cette fois, l'un après l'autre.
— Moi en premier, je ne l'ai pas encore baisée, clame Youssef comme je m'y attendais.


Je regarde ma montre, encore six minutes !
Je m'installe en levrette, la tête dans les bras sur l'oreiller, le cul bien haut et bien ouvert, les cuisses écartées. J'entends les réflexions des hommes, et Youssef, capote au bout du mât, m'embroche sans douceur. Il me saisit les seins et les tire *********** comme si j'étais une vache laitière avec des mamelles. Je me dis au fond de moi-même : « La traite des blanches, c'est au propre comme au figuré ! »
Sous ses coups de boutoir, mon coude heurte la table de nuit, *** portable s'ouvre et roule à terre en trois morceaux.
Plus que quatre minutes, Youssef me pistonne de *** mandrin. Il ne faut absolument pas que mes sens s'échauffent sous ses coups de piston. Je pense à l'enterrement de ma grand-mère, dont j'étais la chouchoute, à mon banquier, toujours menaçant, au gros collègue de chimie à l'haleine fétide, qui me poursuit de ses avances lorsque je suis seule avec lui dans la salle des profs, au jour où j'ai appris que j'étais nommée pour un remplacement dans le 93. Surtout rester sèche et frigide. Et soudain ce que j'attendais tant se produit : les coups de piston de Youssef faiblissent, je sens sa queue qui dégonfle et qui sort piteusement de mon antre, avec un préservatif rose qui menace de tomber au bout :
— Mais vous êtes nul, Youssef, vous ne bandez même pas !


*** appendice viril pend de manière ridicule, et la capote ressemble à une baudruche dégonflée qui s'y balance au bout. Un éclair de désarroi sincère traverse *** regard... Je reçois une violente claque sur les fesses, me retourne, il me vise la tête, furieux, mais Abou l'en empêche en retenant *** bras !
Éclate alors une violente altercation entre les deux noirs dans leur langue. Finalement Youssef, hystérique, ramasse *** portable en morceaux sur le sol, se rhabille et sort en claquant la porte. La fesse toute rouge, je me lève, prends dans la salle de bain un tube de vaseline, prends mon Abou par la main, la lui tends en flattant Sa Virilité encore en bon état et lui susurre :
— Mon Abou, ce soir, je t'offre la seule partie de mon corps que tu n'as pas encore explorée, car, ce soir, grâce à toi, nous avons réussi l'opération de récupération de l'Origine du Monde selon Youssef !

Épilogue
Abou a su se servir de la vaseline. Pendant deux mois, mes folles nuits avec lui ont continué. J'ai pu le convaincre de ne pas être trop exigeant dans les exhibitions au lycée (au moins, car ailleurs, il a continué à me demander des trucs coquins) contre des tenues plus féminines. Puis j'ai été mutée à la rentrée pour effectuer un nouveau remplacement loin dans la banlieue sud.
Nos rencontres se ***t espacées, et j'ai noué une liai*** avec un prof d'informatique de mon lycée du type gendre idéal, de trois ans mon aîné ; enfin, idéal le jour surtout, car les nuits, il ne parvient pas à me faire oublier mon Abou.
Et je voudrais ici remercier Abou (pardon pour avoir légèrement modifié ton prénom) pour tout ce qu'il m'a apporté s'il venait à me lire, car il m'a révélé ma plénitude de femme.
... Abou, « être une femme sensuelle, tu sais, c'est pas si facile ! »
soumis8

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On en redemande!
chrislebo

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#7,038
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ma vie de chien


Bonjour, je m'appelle Rex ! Rien d'original ! et je n'ai rien à voir avec le Rex de la télé ! moi, je ne passe pas mon temps à courir après les voyous, bien au contraire ....et je n'ai rien non plus a lui envié, je suis largement aussi costaud que lui : un berger allemand magnifique ....
J'ai été adopté a trois mois, au début j'en ai voulus un peu a mon maitre de m'avoir arraché a ma mère, et puis au fur et a mesure je me suis sentis bien dans cette famille et de plus en plus je me suis tourné vers ma maitresse, Annie prenais bien soin de moi, j'étais lavé bichonné, la belle vie quoi ! ils ont deux enfants, un garçon de dix huit ans et une fille guère plus âgée, avec qui je m'entend très bien !!
Après mes six mois, au cours de ma toilette celle-ci portait un grand intérêt à ce que j'ai entre les pattes arrière ...ma bitte ....elle retroussait mon fourreau de poils, jusqu'au renflement que j'ai a la base, celui ci ne tardait pas a prendre une ampleur qu'elle qualifiait de monstrueuse....d'ailleurs mon maitre, Georges, a été chercher un mètre pour le mesurer ....
Vingt et un centimètres de long, cinq et demi de diamètre et pour les boules dix centimètres
- Ce n'est pas possible, disait Georges tu ne pourras jamais t'en servir!!....
Et une chose m'a marqué, une odeur particulière sortait de dessous sa jupe, une odeur de femelle ....
- Branle le, tu ne peu pas le laisser comme çà !!
Si je n'avais pas eu de poils on aurait put voir que je rougissais !! Sa main douce et fine glissait sur ma hampe, et, très vite des giclées liquides fusaient du bout de ma queue, çà n'en finissait pas, et, enfin çà dégonflait ....
Un soir, leurs enfants étaient couchés, ma maitresse en nuisette assise sur le bord du canapé a coté de mon maitre, a ouvert les cuisses, instinctivement mes oreilles ses sont dressées .... elle caressais un triangle de poils blonds...

chrislebo

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#7,039
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- Rex ... vient....
Obéissant je me suis approché l'odeur devenue familière était plus forte que d'habitude ...
- Lèche ma chatte...
De ses deux mains elle a écartés les poils une fente est apparue, luisante, elle a tressaille lorsque ma truffe froide s'est posée sur cette 'chatte' !! qui n'a rien à voir avec celle après qui je cours dans le jardin !!!
J'ai longuement reniflé... et puis je me suis enhardis, ma langue c'est avancée dans cette grotte ....et j'ai trouvé çà super bon, consciencieusement j'ai nettoyé les parois de la chatte, plus de cinq centimètres de langue était entrés, et plus je léchais plus çà devenait liquide, Annie poussait des gémissements de plaisir...ma queue gonflait dans *** fourreau ...
Elle a relevé mon museau jusqu'à ce qu'il soit en contact avec un petit renflement sur le haut de sa chatte
- Lèche bien là, mon bon chien !! Lèche le clito de ta maitresse !!... Ouiiiii va yyyyyy !!! C'est booooonnnnnnn, tu me fais jouiiiiir
Elle est retombée sur le canapé heureuse, Georges était nu et caressait une queue différente de la mienne mais pas vilaine pour un humain !!! Et moi, je suis revenu sur mon tapis pour me lécher la bitte qui suintait ...
- Demain nous essaierons... les enfants ne seront pas là ....
- Oui chéri, j'aimerais bien !! Mais vient me baiser maintenant !!! Je suis trempée !!!
Le lendemain ma toilette a été faite avec le plus grand soin, les phéromones d'Annie remontaient à mon naseau .... elle avait l'air fébrile ...excitée ...
- Couché Rex ...
Je me suis mis sur le dos, les pattes en l'air repliées, Annie est venus sur moi nue, je me suis retrouvé la tête entre ses cuisses, ses poils étaient déjà luisants, elle a retroussé mon fourreau,
Sa bouche chaude a pris possession de ma bitte, nous avons entamés un soixante neuf contre nature ... entre une femme et un ****** ....
Je l'ai léchée sur toute la surface, du haut de sa fente à un petit trou plus sombre ....
- Annie, je crois que c'est le moment, met toi a quatre pattes ....
Qu'allait-il se passer ?? ....elle se met comme moi !!!Mais mon instinct de mâle me dit que je vais pouvoir entrer ma queue dans cette chatte ....
- Rex !! Vient voir .... Sent mon chien ta maitresse à envie que tu la prennes.... lèche
Je deviens tout fou !! Je gambade autour d'elle en poussant des petits jappements de joie
- Calme-toi !! Vient là ...
Et soudain, j'ai la révélation !! D'un petit bond je ceinture les flancs de ma maitresse, qui a baissé sa tête sur ses avants bras, ma bitte sort et cherche maladroitement la faille, je tape un peu au hasard au risque de lui faire mal.... Mais Georges s'en saisie et me guide, un coup de riens et enfin je me retrouve au chaud dans cette gaine accueillante, mes coups de reins ***t de plus en plus rapides ....
- Tu veux tout rentrer chérie ???
- Hoooo Ouiiiii, aide-le ....
Et là ... le renflement naissant, à la base de ma bitte est comme aspiré, en quelques secondes il a élargit au maximum .... je ne peut plus bouger, pri***nier de la femme qui hurle de bonheur ....
- Chéri !!! Je suis pleine il va me faire craquer la moule !!! Hoooooo c'est booooonnnnnnn !!!! Je suis sa chienne !!!
Mes mouvements se réduisent ma queue, commence a gicler dans ce vagin étroit, tellement bien rendu étanche par le volume, que mon liquide fait gonfler la gaine, et se répand autour de ma queue.
Mon instinct de bête me dit que je dois descendre du dos de ma femelle, d'un coup de rein je me propulse et je me retrouve cul a cul avec Annie, mes couilles frottent su ses poils, je décharge toujours ... cela dure un temps qui me parait très long, accouplé a cette femme !!!
Mais soudain, mon sens de l'écoute me dit que quelqu'un vient d'ouvrir la porte d'entrée, mes maitre n'ont rien entendus et tourne le dos a la porte du couloir....
Une tête apparait ... celle de la fille ....elle observe avec des yeux tout ronds ....la bouche ouverte, elle voit clairement que sa mère se fait baiser par moi ...puis silencieusement disparait ....
Est-ce la surprise, je ne sais pas mais en tout cas, la pression qui m'uni a Annie cède lentement, et dans un grand flop je suis libéré, la bitte pendante qui goute encore, tandis que j'entends couler sur le carrelage une rivière de foutre ******, *** vagin se vide. Mais déjà je suis remplacé par la bitte de mon maitre dans la chatte distendue, je vais sur mon tapis pour me nettoyer avec ma langue de toutes les sécrétions mâle et femelle qui ***t présentes ....
chrislebo

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#7,040
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Il y a quinze jours déjà que j'ai copulé avec ma maîtresse Annie, pratiquement tous les jours elle me fait sentir *** entre jambes, et si elle a le temps je la lèche, mais elle n'ose pas me laisser la monter lorsqu'elle est seule, comment lui faire comprendre que je serais doux!!
Une qui ne me lâche pas beaucoup non plus, c'est sa fille Léa, qui m'a vu accouplé à sa mère, de plus en plus souvent elle aussi me laisse approcher la truffe de sa jeune motte, *** odeur de jeune fille est très agréable ....
Et Léa me piste quand j'approche sa maman, pour voir ce que je vais faire ....
Hier soir, Annie m'a masturbé et sucé, puis, j'ai à nouveau monté sur *** dos, en présence de *** mari, là j'étais plus décontracté que la première fois, du premier coup je l'ai enfilé, je l'ai besogné un bon quart d'heure avant de rester collé à elle, Georges a même pris des photos, mais je n'aime pas le flash!!, à deux fois j'ai failli sortir intempestivement de ma femelle, au risque de lui ressortir tout *** appareil génital!!
Est-ce que la fille a entendu les élucubrations de sa mère?? Mais le lendemain matin elle ne tenait plus en place, très nerveuse elle demande à maman:
-- Maman, est ce que je peux emmener Rex en promenade??
- Heu ... oui ... si tu veux, mais tu fais bien attention qu'il ne t'échappe pas et surtout tu ne le laisse pas approcher d'une autre chienne ...
- Ha oui?? Et pourquoi? - parce que... parce que s'il sent une chienne qui a ses chaleurs il va la suivre ... et tu ne pourras pas l'en empêcher ...
Tien!! Serait-elle jalouse??? Bon, mais une petite sortie va me faire du bien!!Léa prend la laisse et m'attache, deux cent mètres plus loin elle me la sort
- Bon!! Rex je te détache mais tu ne t'enfuis pas!! Tu parle si je vais m'enfuir!! Je suis trop occupé à lui sentir *** petit derrière, cela ne la contrarie pas au contraire il me semble qu'elle me le tend, et tout comme sa mère çà commence à sentir la femelle ....
Nous arrivons dans un petit bois, elle prend un sentier qui ce rétrécit de plus en plus, moi çà ne me pose pas de problèmes mais pour Léa c'est plus dur, mais elle persiste, enfin nous débouchons dans une petite clairière tapissée de mousses. Tout de suite elle commence à jouer avec moi, ses mains frôlent tout mon corps, dessus dessous, jusqu'au moment ou je la bouscule un peu trop fort!! La gamine se retrouve les quatre fers en l'air, la robe sur le ventre, je vois un bout de tissu gonflé entre ses cuisses avec une auréole humide au centre ....
Appuyée sur ses coudes elle me regarde en riant aux éclats
- Regarde ce que tu as fait Rex!! Allez viens, approche ....que faisais tu à maman l'autre jour ... ?? Rex lèche moi .... Ici ....
chrislebo

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#7,041
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J'ai très bien reçu le message, mais entre les cuisses de sa mère il n'y avait pas d'étoffe. Mais bon ... j'ai léché un peu le tissus, *** odeur de femme est très douce, et pour aller plus loin, je ne vois qu'une solution.... délicatement je prends le bord entre mes dents et je tire d'un coup sec!! Voilà!! Sa chatte est nue!!!
- Hoooooo! Tu es fou?? Qu'a tu fais Rex, tu as déchiré mon slip ....tu es fou, je vais me faire gronder, bon çà ne fait rien ... aller, mange moi ma petite chatte maintenant ....
Je m'allonge pour être à la portée des lèvres entrouvertes, des gouttes de mouille ***t accrochées à ses poils bouclés, ma langue avance doucement pour essuyer ce duvet clairsemé, je trouve l'entrée de la grotte humide, tout comme sa mère elle mouille abondamment les gouttes n'en finissent pas de perler sur la cloi*** vaginale
- Hoooo Rex que me fait tu ... c'est booooonnnnnnn Ouiiiii enfonce ta langue encore .....Plus loin Ouiiiii!!!!! Je Jouiiiiii!!!!
J'ai du mal à tenir mon museau sur sa motte tellement elle gigote!! Mais au moins çà fait plaisir, elle part vite!!
- Viens là Rex couche toi, montre moi ta ... queue...Mais tu bande ... hoooooo, c'est çà que ta as mis dans la chatte de maman??? Elle a tout pris ....mon dieu çà dois faire mal.... mais je veux essayer tu veux bien Rex?? Aller je me mets comme elle; voilà viens sur moi ... mais doucement hein!!!
La gamine est à quatre pattes, je viens derrière pour la lécher encore et pour voir si cette petite vaginette peut absorber ma bitte pointue et dure ...
- Va y Rex monte sur moi ...je vais te guider dans ma fente, attend ne pousse pas encore ...
Elle est bonne elle!! Si je ne pousse pas çà ne va pas rentrer tout seul, aller un petit coup ... là... elle s'ouvre de deux doigts, j'ai trouvé l'orifice mais c'est très étroit... elle gémie, de peur ou de joie???
De toute façon je ne peux retenir mon instinct bestial, mes pattes avants enserrent la taille de Léa, je la secoue comme une poupée de chiffon, la chatte s'ouvre sous les coups, l'excroissance de ma hampe butte sur les lèvres bien lubrifiées en corolle ... çà y est!!!Elle vient de me prendre entièrement en elle, je suis plus à l'étroit que dans sa mère!!
- Nooooonnnn... Rex!!! Sort tu me fais mal!!!! Tu vas m'éclater ma moule ...hoooooo mon dieu je suis complètement remplie Ouiiiii c'est booooonnnnnnn Hoooo là là!!! Aller sort maintenant ....Rex!! Sort!!!! Mon dieu non ... je suis collée ...que faire .... Je suis perdue ....
Ma petite il fallait y réfléchir à deux fois, moi je fais mon boulot de baiseur de femme!!! Tient, voilà je me tourne dans l'autre sens, nous sommes cul à cul!!! Il n'y a plus qu'à attendre ....en tout cas je lui rempli le ventre, j'ai l'impression de lui déverser des litres de sperme ****** ....elle ne laisse rien fuir le joint est encore plus efficace qu'avec Annie
- Rex ... c'est bon ... tu me fais jouir... çà me percute le fond de mon utérus... tu va me faire un petit??? Haaa... je crois que çà dégonfle ...ouiii...je tire un peu ....Houaaaaa!!!!
Dans un bruit de ventouse énorme je suis éjecté du vagin ... je me retourne, çà lui coule le long des cuisses, j'ai pitié d'elle et à nouveau je lèche tout ce que je peux récupérer, çà suffit à la faire jouir une nouvelle fois!!! Elle a la chatte à vif!!!
Précautionneusement, elle finit de s'éponger avec ce qui reste de sa culotte et le jette!!!
- Hé bien mon vieux Rex avec maman et moi tu n'as pas finit de nous baiser!!!!
En arrivant je suis allée directement sur mon tapis!!! Crevé!!
- Léa, tu as fait courir Rex?? Il a l'air fatigué
chrislebo

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#7,042
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Life Changes


Cindy and I met while we were both working for a small company just a couple of years out of college. She was a cute little brunette, about 5'5", with a tight body. She had B-cup breasts and a nice little bubble butt. I was smitten quickly. Our relationship started slow, but once it got physical, it was fast and furious. We both really enjoyed sex and, although we considered ourselves open-minded, we did not push the limits of our physical relationship. We had vaginal and oral sex several times a week and we were satisfied with that... I thought. We were married within 18 months and had now been married for 7 years. We didn't have any kids because we were just too busy with our work. It was at this point that our lives changed. Or should I say this is when I discovered that it had already changed.

"Honey, I'm heading to the mall. I've got a few things to get. You need anything?" My wife was yelling over the top of her car at me. I had been cutting the grass in the front yard and had to stop the mower once she got my attention. I was getting ready for a cookout that we were planning.

"No, I can't think of anything." I yelled back across the yard.

"Okay. Bye." She said as she climbed in and left.

I completed the front yard, moved to and finished the back, and was working on trimming a couple of branches in the back when Cindy appeared in the door from the back of our garage. She signaled me over to her and I put down the tree trimmers and headed that way. By the time I got there, she was gone. I looked around, saw that the door to the house was not completely closed and entered the house from the interior garage door into the kitchen. There was Cindy, standing about 5 feet inside the door, looking hot and flushed like she had been exercising. I looked at her questioningly.

She grinned, turned around, and bent over from the waist. As she did, she raised her skirt up and displayed her gorgeous, well toned ass to me. She had no panties on so I could also see her pussy lips winking at me. I was a little shocked, but instantly hard. I stepped up behind her and put my hands on her ass.

I grinned, ran my hands over that little bubble butt of hers, and said in a tantalizing way, "Can I help you with something, hun?"

"Oh, god. I'm so horny, just fuck me John. I gotta have some dick, now!"

Although we had always had a great sex life, this was completely new and different. I was even more shocked than I was initially, but decided to play along, thinking this was a new game that she had come up with to put some pizzazz into our sex life. "I'm sorry, did you want something from me?"

"Please, John, fuck me, pound me, spank me, ***** me, just give me some fucking dick!"

Now I was flabbergasted. But my little head was starting to take control so I immediately dropped my shorts and started rubbing my right hand down her ass crack, over her little asshole, and onto her pussy. My god! She was already soaking! She groaned when I did it and arched her back, giving me more access to her shaved lips.

I decided to tease her a little more. "Well, let's see. What have you done to deserve this?"

Her face turned and she looked at me in a pleading way. "Nothing, sir. But I need to cum. Can you please fuck me and make me cum?!"

This just kept getting stranger and stranger... and more torrid! Did she actually just say "sir"? Was she getting some ideas from someone at work, the internet, where?

I was not thinking about that too closely with my wife's beautiful ass in my hands and my now extremely hard and leaking dick sticking out towards it. I just leaned forward and started sliding my sword into her hot, wet sheath.

"Oh, fuck yes. Pound me!" she uttered while moaning.

I was lost in the sex now. I started pounding her. I grabbed her hips roughly with my hands and pulled back on them at the same time as my hips thrust forward. I was burying my dick in her with each stroke, my balls slapping against her until they began drawing up, ready to spew. She kept moaning and I kept pounding. This was not making love; this was pure unadulterated sex for pleasure. She loved it and I did, too. I suppose I should have thought more about her actions at the time, but I was horny, too, and was enjoying the completely physical encounter.

She stayed in that position, her hands on her knees, as I slammed my dick into her. I looked down at how hard I was holding her hips where my fingers were gripping tight enough that there might even be marks left on them. Her beautiful moon globes were bouncing against my thighs as I watched how her lips were stretched around my dick.

It seemed like I was pounding her for about 30 minutes, but it had probably only been about 10. She started bucking and I knew her orgasm was approaching.

"Oh, fuck. I'm going to cum!" She yelled. "Please, may I cum?!"

I hesitated for a second, not sure I heard this correctly, then finally said, "Yes, babe, cum. Cum all over my big, hard dick!"

And she did. She bucked and moaned and screamed about how great my dick was. It was such a turn on; I blew my load immediately after her, burying my dick as deep as I could with each spurt.

When I was finally done, I let my dick slip out of her and went and sat down on a kitchen chair. I looked back at her, still standing there, bent over, with her hand on her knees. "That was amazing!" I said to her. "What was that all about? You called me 'sir', pleaded with me to fuck you, and then asked permission for an orgasm. Have you been reading up on ********** or something?"

Cindy finally stood up and looked at me with something strange in her eyes for a moment. Was she ashamed of it? Was she just reticent to reveal it? "No, I heard about it and decided it might be interesting to try it." There was something about the way she said it that was not quite right, but I couldn't put my finger on it.

I guess I decided not to look a gift horse in the mouth, as they say, and just let it drop. I had satisfied my horny desires and my wife had turned me on beyond belief. I had just gone back outside to work on the branches when I heard a loud commotion from across the street. It sounded like yelling and shouting. I walked to the front of my house and looked across the street at the house belonging to Emily and Robert, two acquaintances of ours. They were not really friends. They had moved in about 6 months ago and we had not really socialized much with them yet. Emily was yelling and throwing something at Robert's car as he backed out of the driveway really fast and sped off down the street. She was standing there in shorts and a tank top, her thick mane of auburn hair disheveled, red-faced, and drawing great deep breaths. She was definitely worked up about something.

I crossed the street and tried to be neighborly. "Are you okay, Emily? Did something happen over here?"

It took her a second to focus on me. She was still so worked up that she took a couple more deep breaths to calm herself, looked at me, and said "No, everything is not alright. Come, I'll show you what's wrong!"

I wasn't sure I really wanted to get involved, but she led me into her house and I followed, trying to be supportive. It was already obvious that she and Robert had had a very nasty fight from what I saw outside. Once in the house, I could see that some things had been thrown around the room. I continued to follow her past the living area and down the hall to what I assumed was the master bedroom. She led me in and pointed to the bed. It was almost completely stripped, with sheets lying all over the floor and the sliding glass door to the backyard that they had in their bedroom stood open. I looked at her for further information. It was a messy bed and the door was open. Did she get that worked up over that?

She could see my confusion, I guess, because she started into her explanation.

"I started to go shopping this morning and forgot my wallet. I had taken it out of my purse earlier. I came back and heard moaning back here. I thought Robert was... well, you know, taking care of business. Instead as I flung open the door, I see that there is a woman on her hands and knees on the floor and he's fucking her. My husband is on the floor fucking another woman in my bedroom! Fucking bastard. All I could see was his ass as he flexed it to bury that little dick of his in her. At first, they were so worked up and fucking so hard, they didn't even notice me. I stood there, unable to make a move, as I watched my husband of 9 years fucking the **** out of some home-wrecking bitch! I decided to slam the door and I did. He looked up when he heard the door slam and he and the woman both jerked, although I didn't get to see her face. He immediately pulled out and turned to grab me. The woman's clothes were on the floor right next to her and she grabbed them and ran out the sliding door. She was a small shapely woman and she got out of here quickly and naked. Robert held me long enough to let her get away or I would have strangled the little bitch. Then, when he let me go, I started hitting and kicking him. He took off; trying to dress as he left, but I kept throwing things at him. By the time he got in his car, I think I got a couple of good shots in."

She then turned to me. I was standing there in shock. I couldn't believe the story she told me. I didn't know what she expected me to say, so I said what I thought was the safest thing, repeating her comment, "Yeah, fucking bastard!"

She smiled a little at that. "I didn't even get to see who the little bitch was, but she ran out the back and had to get dressed somewhere. Maybe someone saw her. I'll find out who it is. I'll also make that bastard pay for all this. I'm not letting that fucker back into this house... ever!"

"Okay." I tried to start extricating myself from the scene. I hated getting involved in domestic disputes. "If you need help with anything, let me know."

She turned and smiled just a little, trying to be nice, her voice returning to a normal volume. "Thanks, John. I appreciate your concern. And if you hear anything about a naked woman running through the yards, trying to get dressed, let me know. I want to find out who little horny bitch was. She was in such a hurry; she did leave her panties behind. Little bitch had worn some fancy lace panties over to entice my soon-to-be ex-husband. Here, look at this."

She held up some very see through red-lace panties. They had the words 'It's all yours' embroidered on the front. My eyes got very large and I stared at them. She looked at me funny. "What is it?"

I just kept staring at panties that were exactly like the ones my wife had worn for me last Valentine's Day.
chrislebo

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#7,043
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I just kept staring at the panties that were just like the ones my wife had worn for me last Valentine's Day. They were in the hands of our neighbor Emily from across the street. She had found them when she caught her husband fucking a woman in their bedroom. She had only seen the woman from behind, but had just finished telling me what had happened in her home when she caught her husband fucking the woman. I had to think clearly about this. I had been married to my wife for seven years and there was no indication of this kind of activity. Was this the only pair of panties like that? Or was it a common item that was available in some local store? If so, what were the odds that a woman with the same pair would end up fucking the guy directly across the street from me? Was that why my wife was so fucking horny and without panties when she came home and asked me to fuck her hard and nastily? Was she really cheating on me?

I had a zillion questions and no answers, but I was determined to get some... just not from Emily.

"What's the matter?" Emily asked me. Her eyes narrowed as if she knew what I was thinking. Or at least she had an idea that maybe it was my wife who was over here. "Do these look familiar to you?" she finally asked accusingly.

"No."

"I don't know what your wife looks like naked from behind, but if these were her panties and she was fucking my husband, you'd tell me right?"

Her tone was getting nasty. I figured I'd better at least try to get the upper hand until I found out what was going on, so I responded quickly and harshly. "Yes, I would tell you. My wife came home from shopping a long time ago, so it's not her. Don't even think such a thing!" That seemed to placate her a little and I knew I had to get out of there. "Well, I'm really sorry about what you found out about your husband, but I should get home."

She had softened a little and was starting to look depressed. "Okay. Thanks for coming over. I just can't get over the whole thing. Sorry to bring you into it." "That's okay. Call me if you need anything." I said as I moved quickly, but not too quickly towards the door. I wanted to ask her if she had family in the area or a close friend she could call, but I was afraid that it would start a new conversation and I needed to get home.

She let me go and stood there in the doorway watching me as I went home. I know because I turned to look back after I crossed the street. She was still standing there, looking very forlorn, her eyes staring at nothing. I was stricken by the fact that I may have just lied to her while she was in such a terrible state, but I had other more pressing things to deal with right now.

I threw open the door and rushed into the house. "Cindy! Where are you?!" I yelled as soon as I had closed the door.

"Right here!" she said as she came down the stairs from the second story. She was wearing her robe and her hair was wet. She had just finished a shower.

"I want you to do me a favor." I said, firmly, but no longer yelling.

"What?" She eyed me suspiciously.

I didn't want to give her too much time or room for evasion so I just said it straight out. "I want you to go up and get those red lace panties that you wore for Valentine's Day and that say 'It's all yours' on the front."

She tried not to show it, but the recognition was there in her eyes. She had been caught. My pretty little wife was a cheating, home-wrecking, slut.

She finally answered me, but I already knew the truth by her hesitation and the way she looked at me. "I don't know where they are, but I can go see if I can find them."

"Don't bother. I know where they are." I said in a defeated manner.

"You do?" she asked me quietly, her eyes widening.

"Yes. I just saw Emily and Robert having a big fight and him driving away. I went over to make sure she was alright. She told me she had caught her husband in the act of fucking some woman. A woman who, in her hurry, left a pair of red lace panties with 'It's all yours' stitched on the front." I was continuing to get louder and madder and I could see her shoulders start to slump and sag. I had her now. "The pair that you wore for me on Valentine's Day is now in the hands of Emily across the street. Now tell me why I shouldn't kick your ass out right now!"

Cindy looked up at me. She was completely defeated. She said "It's a long story about how it happened, and you have every right to kick me out." She turned toward the stairs. "I'll go get dressed and leave."

What?! I was so angry I could strangle her. She was just going to leave? No fight? The way she said "long story" made me want to know more. What exactly happened and how did this come about? I had to know.

"Wait!"

She turned. Tears were rolling down her face and she wouldn't look up at me. She just stood there, sobbing gently and waited. I was very angry, but I've loved this woman for most of my adult life and now I couldn't just let it go at that. "Come down here. I want to know this long story."

She trudged down the stairs like a lost waif. I was still angry, but I felt sorry for her. I was hoping that she was not just playing to my love for her; that she was really sickened by all this.

Finally, once she was sitting she started talking. The damn burst and the words spilled out, washing over me. I couldn't even think to ask questions or anything until she was done.

She overheard a woman at work talk about doing it for her husband where she was his slave for the weekend. Over the next year she started surfing the net for people who did dom/sub for a short time so that she could understand how they did it. She claimed she was just curious at first. But soon she became enamored with trying it. There was something drawing her in; leading her to take whatever chances she had to take to try it. The hard part was how. She learned from the internet that there were more serious people who actually lived the lifestyle full time, but she didn't want that. She just wanted a taste; a chance to test how she liked it; to push her limits and see what it was all about. Her main problem was how to introduce the idea into our relationship. Since we had an established relationship with how we treated each other, she wasn't sure that would work and she claimed to have hinted at it with me, but that I didn't seem interested. (I was completely unaware of these hints.) So next she searched and found a place on the net where people advertised for doms or subs for some temporary play. She had studied them for quite some time and had joined a site to find someone to "test" it with. She was very nervous about it, but after finding there was someone in our town, she was tempted. She exchanged emails with him over about three months, until finally submitting (so to speak) to his request to get together and do it. The most coincidental thing was that the guy turned out to be Robert, right across the street. They met the first time for lunch in order to set the ground rules and the first time they had decided to "play" had been today. It turned out that all he wanted to do was fuck her and as soon as they started and he had told her to undress he put her on all fours and started in. It had only been about 2 minutes before Emily came through the door. She was completely humiliated, scared, and horny as hell; hence her desire to get fucked as soon as she walked in the door here at home.

By the time she was done, she had stopped crying a little and I was still stunned. I was stunned at both the story and at her description. The logic did not make sense to me, but it must have to her because she appeared to be pouring her heart out and there was no hesitation or appearance of trying to moderate the story.

She had been looking down the entire time until she stopped. She looked up at me to see my reaction. I was unable to say anything immediately. I just stared. She erupted into tears again, placing her head in her hands and sobbing heavily. The only words that came out now were "Oh, my God!" in amongst the sobs. I was hurting for her. I was furious with her and wanted to toss her out, but at the same time I wanted to take her in my arms and comfort her. I was confused by my conflicting feelings, but then I figured that if we were going to get on with our lives, separately or together, we had better stop the crying and come to a resolution. Wait! Did I just think about a life together still? Could I actually forgive her this kind of transgression?

She finally stood up; shoulders slumped, head down and started for the stairs. I couldn't face seeing her like that, so I stepped forward and wrapped my arms around her to try to provide some comfort and at least get her calmed enough to face the rest of the day. She flinched. Maybe she thought I was going to take out my anger on her right there. When she realized I was trying to hug her, she plastered herself to me and kept sobbing, throwing in "I'm so sorry!" every minute or so.

I just stood there and held her; 110 pounds of sobbing, quivering flesh. I was going over in my mind all the things that had happened and where I really wanted this to go. End it? Continue it? I was so conflicted, but I could not see myself without her. The fabric of our lives were so interwoven that I wasn't sure I could identify myself without her.

Finally, I pushed her back away from me and lifted her chin up so that our eyes met. I tried to calm and steady my voice. I took out as much of the anger and recrimination as possible. "Look. Just go upstairs and take a hot bath and we'll talk about this after we are more rational."

The small ray of hope in her eyes, or maybe it was just thankfulness that I was not yelling and screaming any more, was all I needed to know. She was still in love with me. She was just obsessed with this idea. I had heard that many people today were obsessed with internet porn to the detriment of their entire lives. Some ideas, they just couldn't get out of their heads. So if I was going to have any type of relationship with her that meant dealing with her obsession.

She headed upstairs to do what I had suggested and I was left alone with my thoughts. I never remembered any hints about developing a little dominate/submissive relationship with her. I knew this because I kind of liked the idea, but would never have done it without her and I had not planned on bringing it up. It was one of those things that I had determined would be one of those lifelong unfulfilled fantasies. But maybe things could change. Could we change our relationship like that? Did people who did this kind of thing start it at the beginning of their relationship, or did it develop and grow slowly? I didn't know for sure, but I was thinking of a way to arrange for her to have her submissive fantasy come true, and maybe push her a little outside of her comfort zone. That would either cement the idea in her that she loved the **********, or get her over it.

I went upstairs after a while and she was just getting out of the tub. I looked at her beautiful slim body, and decided what I was going to do.

I walked slowly over to her while she wrapped the towel around her and stared at her. She started to cower a little and I stopped. I reached out, took her hand and pulled her into an embrace. I hugged her and she hugged me back... hard. I leaned down and whispered in her ear. "Okay, my little slut, you will not get dressed for the rest of the day. You will remain naked at all times. Now finish drying off, go lay face down on the bed, and prepare for your punishment."

She stiffened a little, but said "Yes, sir." I realized how much I loved the sound of that and how much it meant to me this morning during our passionate fuck in the kitchen. I was going to push her and see if she really wanted it and if I did, too.

I walked up to the bed and sat down. My wife was lying there face down, naked, scared, and completely at my mercy. I was already enjoying it. I could see that she was trembling slightly. I didn't know if that was because she was cold from being naked with wet hair, or in anticipation of what was to come. I reached out and placed my hand on her ass. She flinched a little. It was so smooth and gorgeous. I loved her ass. It was probably her best physical asset.

chrislebo

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"Are you ready for the first stage of your punishment?"

"First stage?" She tried to turn and look at me.

I smacked her ass hard enough to make a loud slapping sound. "That was a yes or no question, my little slave girl. Now answer it!"

"Yes, sir."

I turned and straddled her, sitting on her calves. I stared at her ass some more, doing nothing, letting the anticipation rise. "I want you to count out each stroke of your spanking, saying the number and 'Sir' after each one. Is that clear?"

"Yes, sir." She responded meekly and started to visibly tremble.

Smack! I struck her and she responded "One, sir."

I then started laying them on her ass; striking hard enough that her ass turned to a blazing red and I gave her enough time to count them out until we got to 25. She was not crying, but whimpering with each count now. I was enjoying spanking her and I was hard as a rock. I could not tell if she was enjoying it, but at this point, I was taking out some of that anger that I still had from finding out that she was being fucked by the neighbor. After 25 swats, I decided that the next level of punishment was going to be a little different. I got up and stood by the bed. She didn't move. I loved the feeling of control that she was giving me and that I was enjoying.

"Now get up, go downstairs and get me a beer and meet me in the den."

She immediately obeyed. My dick stayed very hard watching my beautiful wife get up, her tits bouncing nicely, and then walk downstairs with her fire-engine red ass. I followed her to make sure I could see it all the way down until she disappeared into the kitchen. I went to the den and sat down on the couch.

She joined me in the den and handed me the beer. She remained standing after handing it to me to see what was next. I was impressed. I was thinking that she would sit down and I would have to correct her. I smiled up at her and noticed that she was staring at the floor, her eyes downcast and not even trying to look at me.

"You may sit on the floor next to me." I thought I might as well enjoy this sexually so I said. "Take my pants off and suck my dick until I cum in your mouth. But don't just suck it... worship it."

There was no hesitation on her part. She immediately starting undoing my pants, removed them, and then kneeled down in front of me. She slowly licked up my shaft and took a good suck on the head. She pressed it against my stomach and started licking and sucking on my balls. She was doing very well and I was already leaking pre-cum. She was never a bad cocksucker, but this already felt a little different as she put more effort into it. She licked back up to the head and started fondling my balls while she started sucking my cock. She took me down as far as she could, then came back up, using her tongue to tickle the tender spot just under the mushroom head. She rolled her tongue all the way around the head and then slowly took the whole thing into her mouth again. After three round trips like this, I knew that I was going to come soon. I had been hard for a while and the spanking had been quite thrilling. She knew it, too, so she started bobbing on my dick and I grabbed her head and started helping.

"Don't spill a drop!" I managed to say right before I came, holding her head still as I thrust and spasmed, shooting several big loads into her hot mouth. And she didn't. She kept milking my dick until she had gotten all my cum and sucked me dry.

When she came off my dick, she looked up at me and smiled. She looked perfectly content. "How was that blowjob, sir?"

"That was fucking wonderful!" I replied. "Now lay down here on the couch with your head on my lap while I ***** this beer and watch TV." She complied.

I watched a little TV and just ran my hand over her back and ass, occasionally running my finger down along her ass-crack and across her tightly puckered anus. It had never been penetrated as far as I knew. I was going to do that in a while, but after about an hour of her getting comfortable and her ass color slowly fading, it was time to push her limits another way.

I got up and told her to get on the floor on all fours, face on the floor and ass high in the air. She did it immediately. I told her to wait there. I walked out the front door and across the street to see if Emily was still home. She was. I had contemplated what might happen when I told her the truth, but I had to take this step.

She answered the door and I could tell she had been crying. "Oh, hello." She seemed very depressed.

"How would you like to get back at your bastard husband?"

She looked at me for a few seconds, trying to ascertain my meaning or where I was going with this. Then she narrowed her eyes and stared at me closely. "I would love to. What did you have in mind?"

"First, I have discovered it was indeed my wife who was fucking your husband." Her eyes went wide and she set her mouth grimly. I continued before she could say anything. "When I found out, I was going to throw her out, but it appears that the only reason she was doing it was because she thought your husband would teach her a little about domination and **********. It's a long story, but all he really wanted to do was fuck her, which he had just started for the first time when you showed up."

She finally spoke one word. "Bastard."

"Yes, well, I have made my little bitch wife my slave for now and I paddled her ass for it. Now she's in the den, on her hands and knees, naked, and awaiting my next command. I thought you might want to come over and assist me on disciplining the little slut."

She got an evil grin on her face. "Definitely."

We slowly walked back to my place and I told her my plan. She made a recommendation that shocked me and almost made my dick hard just thinking about it, so we decided to go with her idea.

When we got in there, Cindy was still there, ass up high. Her little rosebud was showing and her pussy wet and ***** engorged. She must be turned on by all this or she was playing with herself or both. She couldn't see Emily at first, but when we got around to the couch and we both sat down, she turned her head that direction and saw Emily. Her eyes went wide and she started to say something, but to her credit, she held it back. She looked at me and it appeared that she might start crying again.

"Okay, Cindy. I want you to come over here on your knees and ask for forgiveness from Emily for fucking her husband."

She crawled over, already starting to sob, placed her head in Emily's lap and starting sobbing. She kept repeating "I'm so sorry, Emily." Emily looked a little shocked.

I reached over and slapped her ass hard. "Tell you what you are sorry for!"

"I'm so sorry I was fucking your husband." Cindy seemed really upset now.

"Are you really sorry?" Emily lifted Cindy's head and looked at her.

"Yes, Emily, I am very sorry." She was calming down a little, seeing that Emily was not overly angry.

"Okay. Thank you for apologizing. My husband will not get off so easily. He's the one that swore an oath. Now I want you to help me get even with my husband."

Cindy looked at her questioningly. She looked over at me, too, and you could see she was waiting for the other shoe to drop.

Emily stood up and said to Cindy. "Undress me and your husband and get him ready to fuck me."

Cindy stared for a second, and then looked at me. I nodded. She pulled down Emily's shorts and underwear in one pull. I could see her glance at Emily's shaven pussy, the lips clearly visible. Then she stood up and lifted Emily's tank top over her head. Finally, she removed Emily's bra and I got to see this auburn haired woman in the altogether. She was about 5'8", auburn hair, pale skin that didn't seem to take to the sun much. Her tits had a little sag, but that's because they appeared to be large and heavy. You couldn't tell in the bra she was wearing today because it was a heavy-duty bra to be used when exercising. Her ass was larger than my wife's but still in good shape. Her pussy, being completely shaven, looked delightfully edible.
chrislebo

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Cindy then took my clothes off quickly. I was already hard, so getting me ready to fuck Emily was a moot point, but she sucked my dick a couple of times and jacked it to make sure. Then she looked up at the two of us expectantly.

I looked at Emily and she got down on all fours and pointed her ass at me. I stared at it hungrily, the first new ass and pussy in my life in over 8 years. Cindy also seemed to be amazed at this and stared openly.

I got down on my knees and right behind Emily. "Cindy, check to make sure that Emily is ready to be fucked. Make sure she is wet. If she isn't, make her wet." I thought that would be a push too far, but Cindy nonchalantly put her hand up to Emily's pussy and ran her fingers through the pink gash. I was a little shocked, and my dick twitched at the sight of my wife touching another woman's pussy. It appeared that this scene had been having an effect on Emily, too, because my wife's fingers slid easily along the gash and came back wet.

"She's ready, sir." Cindy stated quickly, looking up at me. I thought I might still see some hesitation in her face, but she was ready to serve.

"Now guide my hard cock into Emily's wet pussy." Cindy obeyed. And she didn't just aim it and let me push it in, but she actually reached with her left hand and parted Emily's lips while with her right she pulled my dick forward to put it in.

I pushed and it started to enter slowly, but Emily was so fucking tight! "Fuck, Emily, your pussy is small! You are so tight!"

"That's because my husband has a long, but skinny dick. You are much larger around."

I looked down and watched as I worked it all the way into her. It was glorious. I noticed that Cindy was watching, too. I slowly pulled all the way out and turned a little towards Cindy. I pushed on her head and she knew exactly what I wanted. She dove down and engulfed my dick. Emily turned her head and watched. Cindy licked it clean and seemed more intent on sucking my dick than I had ever seen. Hmmm! Maybe she likes the taste of pussy on my dick... or maybe just pussy in general!

I pulled away from her and placed my dick back into Emily. I started fucking her pretty good. She was rocking into my thrusts and moaning. Suddenly, Cindy reached under us and started rubbing Emily's clit.

"Oh, fuck yes, baby. Rub my clit. Make me cum all over your husband's fat dick."

Cindy took that as a command and seemed to increase her ministrations. Emily began to groan and finally came in great shudders.

"Hmmm. Oh! Yes! Fuck! Don't stop!" Emily was muttering just loud enough to be heard. When she finally stopped cumming I was close so I whipped it out of her pussy and jacked it off for a few seconds until I shot a big load of cum all over her ass and asshole, and dripping down onto her pussy. I sat back on the floor and looked at Cindy who was sitting there watching the whole thing.

"Clean up my dick." She did so with gusto. Then I got a better idea seeing that Emily was still there on all fours, except she had leaned forward to put her head on top of her hands on the floor. Her ass and pussy were on display with cum running down her legs, so I lifted Cindy's head from my dick and commanded . "Clean my cum off Emily."

Cindy looked at me, then at Emily's cum-covered ass, and finally back to me. I pointed and she obeyed. She crawled over to Emily's fantastic behind and bent over. She started licking where the drips were running down Emily's legs. Emily flinched, having not heard me give the command. She lifted her head up and looked over her shoulder. I'm not sure who she thought it was, but her eyes got big when she realized it was Cindy. In the meantime, Cindy licked up to Emily's pussy and licked the cum off and continued up across her asshole, eliciting a moan from Emily. She finished by cleaning up Emily's ass and then turned to me and said "Thank you, sir, for your cum."

I chuckled at that and was amazed that she had sexually touched another woman. She seemed to really enjoy being ordered around. We had never even discussed her touching another woamn and here she was doing it. My anger over her earlier transgression was forgotten at that moment. Then Emily got up and turned around. She looked at Cindy and said to her in graphic terms "Thank you for cleaning your husband's hot cum off my pussy and ass. You can clean the cum off my pussy and ass any time."

Cindy looked down, blushed slightly at what she realized she just did, but then said "You are welcome, Emily. I'm sorry I fucked your husband, but you can have mine any time."

I gaped at that. I stared at Emily and she stared at me. Wow! This day has been one surprise after another.

Emily finished dressing and leaned over to kiss me. "Thanks for that. I'll be sure to tell me husband about it... after the divorce!" Then she leaned over and tweaked one of my wife's nipples. Cindy squeaked, but appeared to enjoy it and smiled. Emily just laughed, looked at me and said "Well, good luck with this one!"

After Emily left, I pulled Cindy up next to me on the couch. I held her face, looked directly into her eyes, and asked her how she felt about what had happened.

She looked down sheepishly, finally looking back up directly at me. "I loved every minute of it. I even loved it when you ordered me to lick your cum off Emily. I have never touched another woman's pussy, or licked her pussy or ass, and today I did. It actually turned me on to know that you were making me do it. It was something that I previously considered 'forbidden', but you ordering me to do it meant that I had to. It wasn't my decision."

"I'm still a little shocked, too." I responded. "Is this something you want to continue?"

Cindy looked at me and smile. "Yes. I was so turned on knowing that I was doing it for you. It was not only fulfilling my fantasy of being dominated a little, but it was by someone that I love and enjoyed doing it for. I want to do it whenever you want... sir." She added the last after a wry smile and a pause.
chrislebo

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I sat there and reviewed the day's events.

I had found out that my wife Cindy had been searching elsewhere for someone to dominate her, afraid to try it at home with me. After poking around the internet, it turned out that our neighbor across the street had "volunteered", but had only wanted to try to fuck her. They were caught by his wife and then I found out. I was going to throw her out on her ass, but something about the idea appealed to me; and then there was the fact that I still loved that damn woman!

Instead, partly because I wanted to try it and partly just to get back at her, I spanked her, made her blow me, ****** her to help me fuck our neighbor Emily (the one whose husband had volunteered to dominate her), and even had her lick my cum off Emily's body. She had stated that she loved every minute of it. Apparently, it had been one of her secret fantasies that she felt we could not do. However, once we had been through her punishment, she was looking to continue her temporary "enslavement", and I was willing to try to learn, too.

We were still sitting on the sofa and she had admitted her desire to continue, so I asked her who at work she had heard describe it. She admitted that it was a woman named Jennifer who lived a couple of blocks away. Jennifer did not discuss it with Cindy, but she overheard her telling another woman about it. I considered having her ask Jennifer over, but thought that it would have to wait. For now, it was approaching 3pm and we had 6 guests arriving for a cookout at 6. It was three couples that we had known for a while and used to work with before changing companies. Since they were not current fellow employees and they didn't live right next door, I decided to push Cindy some more.

"Are you sure this is what you want?"

She looked directly at me for about 30 seconds, and I could see the wheels turning. "Yes. I am completely enthralled with what just happened and I am going to put myself in your hands for this. I know that you love me, because you didn't immediately throw me out. I also know that what we just did was partly to make me do it just to get back for me fucking with Robert. I'm okay with that. For some reason, every part of it excited me more than I have ever been before. I want to do whatever you want to do and I hope that we can stay together and enjoy this."

I looked at her closely. I was mulling what to do next and decided that we'd start by seeing how far she would go with some friends. "Do you know that little yellow sundress that you have?"

"Yes, sir." She said, returning to the submissive talk.

"I want you to wear it tonight for the party... without anything else under it."

She looked at me and I could see what she thought of that. It was fairly thin. Not transparent, but thin enough and tight enough that everyone would know that she had nothing on. However, to her credit, she did not consider it for long. "Yes, sir."

I smiled and got up. "Now come into the shower with me and get me ready for the party."

She followed me upstairs, prepared the shower, got in with me, and washed me very thoroughly. I let her wash my ass and dick, but I kept her from spending too much time on it as I wanted to recover from the afternoon and be ready for some evening fun.

Finally, at 6:15, a little late, the guests started arriving. Cindy was a vision in the yellow dress. She didn't look slutty, but if you looked closely, you could see her nipples poking against the fabric and tell that when it stretched over her ass that there was nothing underneath. I couldn't wait to see her backlit by the sun outside. I knew that it would be easy to see a perfect outline of her body.

I started the grill and cooking and the guys gathered with me while Cindy discussed work and other things with the women in the kitchen.

There was nothing but small talk and finally the food and ****** were all ready and we sat down on the deck to enjoy the meal. I watched Cindy closely to see how she looked. She looked fantastic to me, but then she always had. In that little sundress you could see that there were no underwear lines and if you looked closely, that her nipples were noticeable. I was watching my guests to see who was checking her out. The guys were just checking her out briefly, but nothing too obvious. However, one of the women, Sam (Samantha), was almost staring every time Cindy was near her. I could see her making sure that she and Cindy touched and rubbed against each other. This was a very surprising development. I didn't know what to think of it at first. I looked at her husband Bill and he was chatting with the others, not really paying attention to Cindy or his wife. Nobody was paying attention to me, so at one point, when I was standing behind most of the folks retrieving beers, and Sam was ogling Cindy, I stared at her until she noticed it. She looked at me, knowing she had been caught staring at Cindy, and blushed... deeply. There was definitely something going on there.

I went back to the normal banter and every once in a while looked up at Sam. She would glance up at me periodically and then look away quickly. I decided to push it.

I noticed when Sam finished her wine and since the wine was in the house, I waited until she went inside to go get more. I immediately stood up and asked if anyone else needed anything from inside and followed closely on her heels. She turned her back to me and proceeded to pour the wine, trying to ignore me. For a second I took in her physique. She was tall and thin, with probably A-cup tits. She was above average looking, but she and her husband always seemed to hint of being a little staid. She was wearing a jean skirt that went to her knees and a white buttoned princess blouse that showed a hint of her skin colored bra. I decided not to let her ignore me. I walked up directly beside her, put my arm around her shoulders and said, "Cindy really does look ravishing tonight, doesn't she?"

Sam almost dropped the bottle of wine. "Sorry. I didn't mean to stare. I was trying to figure out if she was wearing anything under it, and I guess I stared too long."

Push, push. "I thought maybe you were checking out her assets." I said it with a chuckle like I was kidding; but of course I wasn't. "And just to verify it for you, yes, that dress is the only thing she is wearing. Anything else you'd like to know?"

She just looked at me, apprehension on her face.

I continued on. "She sure does look good in it, doesn't she? You can see her nipples all the time... and her ass is just too perfect."

Sam blushed and looked up at me. "She always has been a beautiful woman. I would never have the nerve to go without a bra or panties in front of a bunch of people."

"It wasn't her choice or decision."

Now Sam looked at me closely. "You made her do it?"

"Yes. I ordered her to and her submissive side agreed."

Sam's eyes widened a little and she looked at me with her eyes downcast a little. "Are you guys doing a dom/sub thing now?

"Yes." I answered. I looked at her and she suddenly was extremely attractive to me. I think it was the way she had lowered her eyes; like she wanted me to dominate her as well. I decided at this point I had nothing to lose. "And while we are on the subject, I want you to remove your panties, too. Right now. Right here. Give me your panties."

"Wait a minute. I don't know what you think...." She started talking but I interrupted her.

"You know you want it. I could see it in your eyes when you asked about me and Cindy. Yes, we are doing the dom/sub 'thing'. So please remove your panties before I punish you for disobeying."

Sam stared at me. I could see her hesitation, but this was a good thing. She wasn't screaming at me or pissed off at me making such an assumption. She just looked a little unsure about it, and I gave her a second and then snapped my fingers. "C'mon. Get on with it."

Without another word, Sam looked around to make sure she was out of sight of the others, and then raised her skirt up to reach her panties. I was standing next to her and could see her tight little ass and the hint of her sex as she reached for the sides of her panties. She instantly pulled them down to the floor, letting her skirt slide back down before I saw very much, and stepped out of them. She stooped down, picked them up , and handed them to me. They were just a bit damp. I didn't know if that was sweat or she was getting turned on, so I slowly raised them to my face to smell them. Sam watched, enraptured by this. When I got them to my nose I took a good whiff and said "Hmmm. Your pussy smells very good. I think you are getting turned on by this, aren't you?"

"No!" Sam answered me quickly. I raised my eyebrows at her questioningly and held her panties up to my nose. She lowered her gaze and said quietly. "Yes."

"Are you turned on by the fact that you gave your panties to me? That someone ordered you to do it? Or were you already turned on by my wife's predicament?"

"Yes... to everything." She whispered, her eyes still downcast.

Outstanding! I was going to push this to the limit, but first I wanted more ****** to flow. She watched me closely as I put her panties into my pocket and grinned.

"I see you poured yourself another glass of wine. ***** it all right now and pour yourself another."

She obeyed and I knew I was going to get her ***** to push her. I also had to work on her husband.
chrislebo

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We went back outside and the party continued; nobody else even aware of my exchange with Sam. I noticed that she was ******** pretty heavily and getting *****. I also noticed that Bill was ******** heavily.

Finally, as the party was winding down and folks started to leave, I made sure that Bill and Sam were the last two left by keeping Bill busy discussing baseball. We went inside and I asked them to sit when we got to the den and also asked if they wanted anything else to *****. Everyone said yes, including Cindy, who I also noticed was a little *****. I came back in with the ****** and handed them out. Bill was sitting in the easy chair, leaning back, and the two women were sitting on either end of the couch. I sat between them, Cindy on my left, and put my hand on Cindy's leg. She looked at me, smiling and blushing a little. She already had an idea of what I was going to do. I slowly pulled her upper leg off the lower one because she had sat with them crossed. She put it down next to the other one, but I pulled them open a little. Not much, but enough so that there was some room there. Bill didn't seem to notice. He was jabbering on about something with his favorite team. When I turned to Sam, however, she looked right at me and then looked down at my hand, which I had left on Cindy's leg. I moved Cindy's legs a little further apart without taking my eyes off Sam. She watched intently. I then looked down at Sam's legs and smiled at her. She knew what I wanted and she did the same as Cindy; she opened her legs to about the same width... and blushed.

I didn't hear anything from Bill, so I looked over and I could see that he was a little more interested now in Cindy's legs. He couldn't see up between them, but I knew that he was aware of her lack of panties. I'm sure everyone had been all night. Now, as I slowly opened her legs a little more, her dress started riding up. All that was hidden now was her pussy because it was still in shadow. Bill had completely stopped talking. He was mesmerized by Cindy's display. I looked at Sam and she was watching the display and looking up at her husband. She said nothing. I then took my right hand and put it on Sam's leg, just above the knee where there was bare skin. She flinched, but didn't say anything or move. I started pulling on her leg, too, and after some initial resistance, she started opening her legs as well. Soon, I had hers as wide as Cindy's and her pussy was just out of sight. I looked over at Bill and he was staring at what I was doing.

"So, Bill." I said. He looked up at me. "Did you know that both our wives are without panties?" He stared at me for a second. Then he licked his lips and looked from one to the other.

"Sam?" He turned his eyes toward his wife. "Do you have any panties on?"

"No." Sam answered, lowering her eyes. "John ordered me to remove them earlier."

"Oh." That was all Bill said for a while. I let the tension build a little longer, trying to see how far they would let me push it. "Why? Did you tell him about us?"

"Bill!" Sam blurted out. I jerked my head toward her and looked at her stricken expression. This was obviously something that was not supposed to be known.

I turned back toward Bill and eyed him closely. He wouldn't meet my eyes. I turned back toward Sam and said "Tell me now what you are talking about or I'll punish you right here and now."

Sam lowered her eyes for a moment and then looked up at me with her head still tilted down. She spoke so softly, I could barely make out what she was saying. "Bill and I wanted to try what you and Cindy are doing, but we both found out that we like to be dominated and neither of us is very good at dominating the other."

I was shocked for a second and then I smiled. "Well, Sam, Bill, I'm not very good at it either. Cindy and I just started today." They both looked at me a little surprised. "For me right now, it's purely a voyeuristic and sexual thing. I haven't gotten too far into it, but I think we will try a little something tonight."

I looked at the three of them. Bill looked stricken, Sam looked resigned and had lowered her eyes, but Cindy was smiling and almost glowing.

"Cindy and Sam, bring over one of the dining room arm chairs. Then undress Bill and put him in it." I saw them get started and I went out to the garage to get my duct tape and some clean rags. I was going to tape Bill up, but the duct tape would be tough on the skin without some padding.

When I came back the two girls were just finishing getting his boxers off. He was not very big, but he was hard already, apparently enjoying the attention. Once they sat him down in the chair, I ordered them to get undressed. Cindy only had to raise her dress over her head, but Sam took her time, seemingly a little embarrassed. With Bill I wrapped a small rag around his left wrist and duct taped it to the arm of the chair. I did the same with this right wrist, and both ankles. He didn't even try to move or say anything as I did it.

As I undressed I had the women sit on the couch and told them not to touch anything. Once undressed, I decided that we should tease Bill a little.

"Sam, Cindy, come over here." I stood a couple of feet in front of Bill. "Take turns sucking my dick." Cindy immediately dropped to her knees on my left, but Sam hesitated. She was now naked in front of a friend and her husband and had been ordered to suck the friend's dick. I could tell that she was trying to look to Bill for approval. "Don't look at your husband. I'm your master and you will do what I say, when I say to do it!" I smacked her on the ass with my hand, the flat slap resounding loudly. She whimpered a little and kneeled in front of me on the right. I loved it! Cindy, after having sucked my dick a few times, pulled it out and turned it toward Sam. Again she hesitated. I grabbed her head and pushed it onto my dick. She opened her mouth and took it in. Once she started, she seemed to try to do a good job, but was still a little tense. I could see Bill staring, watching closely, but he still had an erection sticking straight up. I was ready for the next step soon.

"Sam, stand up in front of me, facing Bill." She obeyed very quickly that time. Cindy tried to grab my dick and start sucking again. "Just a second Cindy." I said as I pulled my dick back. I was going to have to pace myself if I was going to last very long.

"Sam, bend over from the waist, putting your hands on Bill's arms." She did so, and seemed to be looking more at his dick than his face. I took my right hand and ran my fingers down her ass, across her asshole, and onto her pussy. I let them glide through her swollen pink slit and found that she was as excited as the rest of us. She moaned her approval. It was time to fuck!

"Cindy, guide my dick into Sam." She did the same as before, holding Sam's lips open as she guided my dick to Sam's personal oven. Sam jumped a little at Cindy's touch, but stayed in place. I slowly eased my dick forward and Sam moaned. "Sam, I want you to describe exactly what is happening and what you are feeling to your husband." She moaned again.

"He's fucking me!" she said to her husband.

"No, describe it like an erotic novel." I prompted.

She got better real fast. "His big, hard dick is slowly sliding into my soaking wet pussy. Oh, it feels so good." She was going to make me cum as well, because this talk was really turning me on. I then grabbed her hips and started taking long, hard strokes. "Oh, Bill, now he's taking his cock and burying it deep into my pussy. He is pounding me!" I loved it.

I noticed that Cindy was just watching, so I had her get involved. "Cindy, move under Sam and suck her tits." Cindy immediately crawled under Sam and started sucking on her nipples like a nursing ******. I could hear her slurps.

"Oh, Bill!" Sam was really into it now and getting ready to cum. "Oh, fuck, she's sucking my tits, pulling on the nipples and John is hammering my pussy. My clit is on fire... oh, ****, I'm gonna cum! Oh, fuck, don't stop fucking and sucking. I love it, fuck yes, I love it! FUCK! ARRRGGGHH!" And when Sam came, it was like holding a vibrator on the end of my dick. She shuddered so much and so fast that I thought she was vibrating her whole body. It was too much for me and I exclaimed "I'm cumming, too!" and thrust and shot, thrust and shot, and thrust and shot some more. I came for like a minute, just thrusting in for each spurt. Sam was almost collapsing under me and Cindy and I were holding her up. I looked over Sam and could see that Bill was watching her closely, his eyes were as big as melons and his dick was wet and leaking pre-cum.

I finally pulled out and Cindy came out from under Sam. Sam slowly rolled onto the floor, gasping for breath. I looked at Bill and could see that his dick was hard and leaking pre-cum. He looked like he needed to cum badly after watching his wife get fucked. I was going to go easy on him this first time. I saw Cindy looking at his dick and decided that she should be able to enjoy some, too.

"Cindy, Bill looks like his dick is about to explode, don't you think?"

"Yes, sir, I think so."

"Do you want to relieve his pressure?"

Cindy looked up at me. "Yes, sir."

"Okay. Suck his dick, catch his cum in your mouth and then give it to Sam."

Cindy immediately crawled over to Bill to start sucking. Sam looked shocked at what I had asked Cindy to do. She didn't say anything, just watched as my wife took only two sucks before her husband groaned and shot his load into Cindy's mouth. I knew Cindy could take a load because she had proven able to hold an entire load in her mouth before and showed it to me. This time she stayed on Bill until he was done and then pulled off, her mouth closed and her cheeks puffed out. Bill looked like he was more relaxed now that he had cum, but he was staring at Cindy, watching her crawl over to Sam. She pushed Sam flat onto her back and got over her mouth. At first, Sam appeared to not want to participate and wouldn't open her mouth. But I cleared my throat and she knew that she had no choice. She opened her mouth and Cindy opened hers and let the cum pour out into Sam's mouth. Sam flinched and closed her eyes. I didn't know if she even regularly tasted cum, but she was now. With her eyes closed, Sam didn't see Cindy lowering her face to hers. Suddenly, Cindy smashed her mouth onto Sam's sharing the cum and kissing her deeply. Sam's eyes flew open and she seemed shocked by being kissed by Cindy. Bill was staring. He had a great view of Cindy as she kneeled over Sam and I'm sure he could see all of her ass and pussy. I smiled broadly, seeing that Cindy was really beginning to open up. Then Sam reached up and grabbed Cindy by the neck and started really making out with her. My dick started rising at the sight, even though I had just cum. I loved this turn of events.
chrislebo

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#7,048
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Finally, the two women came up for air. They looked at each other closely and smiled. Then they looked at me.

"Crawl over here." I ordered them.

They both turned and crawled over to sit at my feet. I was amazed and enjoying this immensely. I figured, who wouldn't?

"How are you two feeling, now?"

"Fantastic!" Cindy immediately answered.

"Sam, tell me the truth, how do you feel?"

She raised her eyes to mine slowly. "I feel so good, I don't know what to say. I've never had a woman give me cum and kiss me and I loved it. I loved it when you were fucking me. ****! I loved it all!"

I smiled and looked at Bill. "Bill?"

"I'm okay. I'm still a little shocked, but I think I liked it."

I grinned at him. "You know you loved it! Don't lie to me!" He looked away.

"Okay, ladies, take the duct tape off of Bill and everyone get dressed. Bill and Sam, I want you to go home, but there are two conditions. First, you two cannot have sex or make yourself cum in any way this week. I want you back here on Friday having not cum at all this week. If I think you have disobeyed me, I'll take a strap to you. Now, go!"

Everything was accomplished quickly and after Bill and Sam left I looked at Cindy. "That was fucking amazing!"

Cindy smiled. "I'm glad you liked it, Master. That's the first time I've heard you use that term, and I think it scared Sam a little."

"Good! We're going to play with her a little this week, okay?"

"Yum! I'd like that, sir."

We headed up to bed and I was planning the next event in my mind. Hmmm. Maybe I needed to do some research into this stuff!
chrislebo

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#7,049
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I decided I couldn't wait until Friday and I had an open afternoon at work on Thursday, so I called Cindy in the morning and told her to call Sam about lunch. I wanted them both to meet me at the Italian restaurant in the mall between our home and office. I told her that she and Sam were to wear skirts with light colored blouses and were forbidden from wearing bras and panties. She giggled.

She was happier than she had been in a while. After admitting her desire to be dominated, we had played at it for the first time last weekend. After that, even without the domination, she had been insatiable all week. As soon as I got home, she would greet me in the nude and attack me. The last two nights she had immediately given me a blowjob, and then after dinner we fucked like rabbits until we were exhausted. Did I mention that I was deliriously happy, too? No need.

I got to the restaurant at 11:45, the reservation was for 12:00, but the table was ready so they showed me to the table. It was near the back, set up against the wall and was a small semi-circular booth. I sat on one side and waited for my ladies. When they showed up I wasn't disappointed. Cindy had worn a short plaid skirt that was about mid-thigh and a white button down blouse. It was almost the school girl look and I could just make out her areolas showing through the material. Sam had worn a calf-length peasant skirt that had a slit in the side and a thin dressy t-shirt. When she came in and the air-conditioning hit her, I could see her nipples extend immediately. They looked scrumptious.

I rose to meet them and greeted Sam first. "Hello, gorgeous." I managed to get a slight blush out of her with that. "You get in first and sit in the back." Then I turned my attention to Cindy and gave her a quick kiss. "Hello, my sweet wife. How are you today?"

"I'm great!" Cindy grinned and sat down next to Sam. I sat on the other side of the semi-circle so that Sam was between us.

"Should we have some wine?" I asked them both.

"Yes!" Cindy responded immediately.

"I'm not sure. I have to go home and fix dinner for Bill tonight. I usually cook a big meal on Thursdays." Sam said. I could see she was wondering what was going to happen this afternoon. She had followed my directions on the manner of dress, but the dress was a little longer than I wanted.

"No problem. It's only noon. You can handle a little wine. I'll call Bill later and tell him if you can't get home to fix him dinner."

She voiced no further objections so I ordered a bottle of wine, and then we ordered our lunch. As soon as the waitress was gone I said to Cindy. "Unbutton some more buttons. I want to see some cleavage!" Another one of my fantasies that I thought would always remain a fantasy was to make my wife flash a little. She had voiced the same desires this week for the first time, and I thought I would start working on this.

Cindy laughed and immediately opened three buttons. Now her blouse was open to the middle of her breasts and you could see her cleavage. I could see Sam checking it out.

"You like her breasts, Sam?" As soon as I asked that, she blushed again and looked down. "Don't worry. They are, after all, fabulous tits." My wife beamed and made sure she sat up straight. "They are really firm and the nipples are fantastic. Go ahead, feel them!"

Sam hesitated, but she looked directly at Cindy's tits and Cindy pushed her chest out a little.

"Sam, what did I just order you to do?" She started to reach for Cindy's tits.

"No, first tell me what I said. Then do it."

"You told me to feel Cindy's tits."

"Good girl. Now do it, but not for too long. We don't want Cindy to get too carried away."

Cindy chuckled at that, and Sam reached over and stuck her left hand into Cindy's blouse, feeling her right breast. She squeezed the entire thing and then ran her fingers across the nipple as she withdrew her hand. Cindy moaned a little and both her nipples hardened and poked out against her blouse.

Just then the waitress brought lunch. Sam jerked her hand back and looked away. The waitress put the plates on the table and when she met my eyes she smirked. She must have seen what was going on. I just smiled. When she walked away, I checked her out more closely; a little chunky, but nice tits and ass. She was wearing a white shirt and black skirt. It seemed that that was the standard restaurant dress as everyone was in white on black. I leaned over a little to watch her go and Cindy followed my eyes. She smiled at me.

"See something interesting, sir?" She got into her sub role very quickly.

"Yes, as a matter of fact, I do. That waitress seemed to know what was going on over here and I think she likes it."

Sam looked a little stricken. "I don't want her to think that I'm a slut!"

"Sam... Sam." I turned to her and patted her hand on the table. "You are a slut, my dear. My personal little slut."

She looked at me a little shocked, her mouth open. Then she closed her mouth, lowered her eyes, and said, "Yes, sir."

"Sam, look at me." She raised her eyes and looked at me. "Sam, after the other night, I thought being controlled like this turned you on and it was something you liked. Are you not turned on right now? Aren't you enjoying this?"

"Yes, sir." She lowered her eyes again. "I like it." She hesitated, searching for the right words. "It's humiliating and scary, and I sometimes want to protest against it, but at the same time, I want you to make me do it. I can't really explain it, even to myself; except that I want you to make me do things that I'm uncomfortable with and sometimes humiliate me. I find that even when I'm scared and humiliated, I'm so turned on that I get soaking wet." She put her hands over her face. "What's happening to me?"

"Nothing's happening to you." I tried to calm her fears. I put my hand on one of her hands and Cindy put hers on the other as we soothed her fears. "There are people like this all over the world, and just because you are a little different from the boring folks doesn't make you a bad person. It just means that other things turn you on."

She looked up at me, with a pleading look. "Really? It's okay?" I couldn't believe how innocent and naïve she seemed.

"Yes, Sam, it's okay. There's nothing wrong with you. Some people like dark beer and some like wheat beer, and some don't like beer at all. It's the same with sex and everything else. Everyone is different and that's what makes the world interesting and exciting!"

She managed a little smile. "Okay, thanks... I think."

After we had finished our food, I decided to turn up the heat by making her more uncomfortable. "So tell me Sam, did you like it when Cindy kissed you and swapped Bill's cum with you last Saturday?"

She didn't raise her lowered eyes, just meekly said. "Yes."

"Have you ever had any experiences with a woman before?"

"No." Sam said it quickly, but the way her eyes started to look up at me and by the surprise on her face, I could tell that maybe that wasn't the complete truth."

"C'mon, Sam. You can tell Cindy and me. After all, we're all fuck buddies here."

She hesitated, glancing at Cindy, who was grinning widely, then me, and then around the nearby vicinity.

"It was when I was in college. My roommate and I were out bar-hopping. She met this guy and we were all ******** heavily. When we got back to the room, I kind of stayed out of the way because I could tell that she wanted to... you know... fuck the guy. They were just getting ready to have sex when he got sick and ran into the bathroom and threw up. That kind of killed the mood for them and he staggered out of our place to go home. My roommate came back and said she was still very horny. I didn't say anything, but then she was suddenly cuddling up to me in bed. She started running her hands all over me, and I was ***** and horny, too. The next thing I know, she is going down on me. The next morning I woke up and we both acted like it didn't happen. We never did anything like that again."

"Did you have an orgasm from her?"

"Yes." I could barely hear her answers.

"Did you return the favor?"

"No, we were so ***** that after that we both just crashed."

Just then the waitress came to clear the dishes. She asked if we needed dessert, but we all declined and I asked for the bill. Before she came back with it, I decided to play some more.

"Cindy, unbutton one more button. Then open your blouse so that both tits are on display. Sam, reach over and hold her left tit until the waitress brings the bill back. I want her to see you fondling Cindy."

Cindy just beamed her approval and complied immediately. Sam hesitated, but then, after looking at me, did as I commanded.

When the waitress returned, she hesitated when she first saw what was going on. Then she grinned and put the bill on the table. Before she could leave I spoke to her.

"Don't you think my wife has great tits?" I said it quietly, but loud enough for her to hear.

She turned and stared directly at Cindy's tits and Sam holding the left one. "Oh, yeah! Those are some really good tits!" Then she reached out and tweaked Cindy's right nipple! Cindy squealed a little and smiled. The waitress looked back and me and then Sam. Sam blushed and looked down, but didn't remove her hand. The waitress then turned to me and said. "You should see my little bitch. She has large double-D tits and I love to make her show them off."

I was a little startled, but I think I recovered nicely. I looked at her nametag. "I would love to see that, Christina."

She reached down and picked up the bill and my credit card that I put on top of it. "I'll be right back."

Hmmm. I thought she was going to say something else, but she didn't. What did that mean? I was hoping she was going to get involved with us, but there was no hint of it.

"Okay, ladies, that's enough." I wanted them on display for the waitress, but somebody less understanding may wander by. Sam immediately put her hand in her lap and Cindy closed her blouse. "But don't button up." I told Cindy.

Cindy smiled at me. Her beautiful tits would be barely contained this way, but she was really enjoying her new found freedom. Of course, so was I.
chrislebo

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#7,050 
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Christina brought my credit card and the bill back for me to sign. I signed it and took my credit card. Christina stayed there waiting. Then, after I had signed, she handed me a slip of paper. I opened it and it had her name and phone number on it. I looked up at her and smiled.

"Thank you, Christina. I look forward to seeing you again."

She looked at me and smiled. "How about this afternoon? Today is my early shift and get off at 2. My roommate Josie will be home."

I looked at Sam and Cindy. Cindy was smiling and nodding her head. Sam still refused to meet my eyes.

"We'd love to. Just tell us where."

She took a pen and wrote down an address. It was only a couple of miles away.

"We'll be there." I said.

"Make sure you bring the shy one." Christina said looking at Sam. "I like 'em like that."

Sam suddenly looked up and met Christina's eyes. Christina blew her a kiss and Sam blushed more than I could believe and then looked down again.

"She'll be there." I said to Christina.

"I can't wait. These two look delectable." She turned towards me. "And I think you will be fun as well."

We still had some time to ****, so I decided to have some fun with the two beauties at my disposal. I asked Cindy to go into the ladies' room and make sure there was nobody present so that I could sneak in there with them.

Once she had checked, and smuggled me into the ladies' room, we all went into the handicapped stall. I pulled out my cell phone and smiled at Sam. "Sam, what's Bill's cell phone number?" She provided it to me and I entered it into my phone. "Okay, Sam. Take off all your clothes. Cindy, you get undressed, too. I want you both naked."

They undressed and I pulled out my rapidly hardening dick.

"Sam, get down on your knees and place my cock on your tongue." She did, very obediently. I was impressed at her quick response. I then took a photo and handed my phone to Cindy. Sam's eyes blinked, a look of shock and dismay in them, but she said nothing. "Sit back and relax, Sam. Cindy, send this photo to Bill. We'll give him a couple of minutes and then call him. When we get him on the phone, I want you to describe everything that Sam does to me in graphic detail."

Cindy looked at me lustily and sent the photo. I made Sam stay there, sitting back on her heels, waiting my next command. After we waited for a couple of minutes, I had Cindy call Bill.

"Hello, Bill. Did you see the photo?" He must have said yes.

"Pretty good wasn't it?" She paused for a response. She looked at me and said to me. "He loves the photo. He's sitting at his desk in his office." Then back to Bill she said. "Okay, Bill, now I'm going to describe the blowjob that Sam is going to give my husband while we are in a public bathroom in a restaurant." I provided further instructions. "Bill, John wants you to make sure you sit with your lower body under the desk because he wants you to jack off to your wife sucking his dick and cum at the same time he does. Got it?" She turned back to me. "He said he's ready." That was pretty quick.

I looked at Sam and said loudly so that Bill could hear it. "Okay, slut, give me a nice, sloppy blowjob."

She looked up at me with some trepidation, but also with a newfound lust. She immediately went to work on me and Cindy described it to Bill.

"Hmmm. This really looks good, Bill. She's slowly licking around the mushroom head, teasing my husband's very hard dick. He really likes your slut's mouth. Now she's licking down along the bottom of the shaft to his balls. She wants to lick those cum-buckets so that she can get a big load. She's getting his entire crotch wet with her saliva. Now she's coming back up his cock, which is dripping pre-cum, and taking it into her mouth. She is bobbing her head up and down like a good cock-sucker. She was only taking the head at first, but is slowly allowing it deeper and deeper into her mouth. My husband likes this a lot. Now he's putting his hands on her head so that he can just fuck her face like the little whore she is. I can see her swirling her tongue under the head trying to get him to dump that big load of jism into her cute little mouth. I bet she just loves swallowing cum. I bet we could get her to suck off a bunch of guys in here if we wanted to. Oh, boy, she is really going to town now, trying to get my husband to give it to her. She must be really hungry for his spunk. Oh, my, here it comes. My husband is really thrusting his cock into her mouth and I can see him clenching his ass to shoot his cum into her. There it is... oh, yes, he just keeps cumming and cumming. Wow! Sam is swallowing and swallowing. She keeps sucking and licking it, trying to get every drop of cum out of my husband's balls. She must be addicted to cum. Whew! She can really suck a cock! Now my husband is letting go of her head. She just let his cock pop out of her mouth. I can see that she swallowed it all; her mouth is empty. She looks so happy there on her knees with a big load of cum in her belly. Does she suck your cock like that, Bill?"

I was catching my breath. Between the blowjob and the verbal description, I was so fucking turned on! I couldn't believe how well my wife described it to tease Bill. He must have cum buckets, too.

"She doesn't suck your cock like that? Well, Bill, maybe we'll let her suck you next time... but, then again, maybe not."

I took the phone back from my wife. "What did you think of that?"

"That was unbelievable!"

"Did you cum all over the floor and the bottom of your desk?

"Yes, I did. A lot."

"Good. See you later." I hung up the phone. I was still in the women's bathroom with two beautiful naked women.

Then we heard a voice. "Okay, guys, this is Christina. I suggest you get yourselves together and get out of here. A woman came in here to go to the bathroom while you were in here and complained to me that someone was describing a blowjob out loud. You'd better find a more discrete place for this party. I'll see you at 3pm."

We scrambled for our clothes. I was laughing and Cindy was giggling. Sam was almost in shock. She couldn't believe that she had given a blowjob to me while it was described to her husband and overheard by a stranger. Finally, she got dressed as well and we slipped out individually and made our escape. It would soon be time to be at Christina's house.
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