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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#6,961
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De mon côté, la situation m'avait tellement excité que restais bandé dur comme de la pierre mais restais en arrière de sorte à ne pas être mordu par Molosse... Mais il semblait prendre aussi un plaisir certain, il me semblait discerner dans *** regard un apaisement !
Ma mère continuait de jouir très fort et comme une chienne prise en flagrant délire et *** visage était posé sur ma queue si bien que j'ai fini par la lui mettre dans la bouche... Ma mère au début surprise de mon initiative se laissa bien vite guidée par ma main posée sur sa tête qui imprimait un rythme certain et repris ses feulements étouffés... Molosse semblait d'accord de partager sa chienne du moment avec moi... Ma mère était notre chienne ! Molosse au bout de vingt minutes a fini par sortir de *** vagin laissant sa chienne pantelante mais toujours accrochée à ma queue... Il est allé ensuite se coucher devant la porte de la chambre face à nous. J'ai ensuite joui très fort dans sa bouche !
Nous sommes restés quelques minutes dans la même position afin de récupérer de nos émotions... Ma mère me demanda de la libérer de ses menottes et me confia qu'elle avait mal aux genoux ! Comme vous pouvez l'imaginer, rester aussi longtemps dans cette position n'a pas dû lui procurer que du plaisir !! Mais Molosse avant même que 'ai eu le temps de bouger, s'est levé et est revenu la truffe en avant et a recommencé à lécher la chatte encore toute baveuse de cyprine et de *** sperme... Ma mère surprise à nouveau par ce coups de langue laissa sortir de sa bouche un OUUUUUUHHH et dit "Il ne va quand même pas remettre ça ???? Je n'ai plus la ***** de rester dans cette position, n'y l'énergie d'être prise !" Mais Molosse activait *** léchage de sa chatte jusqu'à l'anus et ma mère bien que repue... reprenait malgré tout du plaisir et ses mmmmmm me le confirmait ! Nous ne savions pas que les chiens avaient coutume de remettre ça plusieurs fois de suite !! Ma mère maintenant jouissait pleinement des coups de langue rugueux de ******** et ne cherchait plus à se défaire de la situation, elle cambrait même *** cul vers Molosse ! Le chien avait donc en vu de remettre une sailli à sa chienne et ses pattes repassèrent de chaque côté de ma mère ! A nouveau ma queue se dressait devant l'excitation que ma mère éprouvait à se faire saillir de la sorte... Ma mère comme pour aider ******** cette fois-ci à arriver à ses fins plus rapidement baissait le cul pour lui facilité l'accès et la tige turgescente de molosse allait toucher à mainte reprise frotter le bord du con maternel mais ne rentrait pas au fond... Ce simple frottement déclenchait déjà chez ma mère des spasmes de jouissance.... jusqu'au moment ou ma mère se figea...
chrislebo

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#6,962
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et se crispa fortement ! Je sentais bien que le chien était rentré mais ma mère n'avait pas imaginé que le chien ne faisait pas la différence entre sa chatte et *** anus qui avait du s'ouvrir et se dilater sous les coups de langue du chien ! Molosse y allait sans vergogne et frappait sa femelle jusqu'au fond et ma mère hurlait de plaisir si bien et si fort qu'à nouveau des larmes coulaient sur ses joues... Elle gueulait "QU'EST CE QUE C'EST BON... OOOUUUIIIIIII VAS Y MOLOSSE... BAISE TA FEMELLE... BAISE MOI ENCORE... ENCORE !!! Ma mère prit d'elle même ma queue à nouveau dans sa bouche et savourait d'être ainsi possédée par ******** et *** fils !
Le chien à nouveau commençait à grossir et ma mère à cru tomber dans les pommes tellement il la distendait... écartelait... défonçait... et remplissait. Molosse à nouveau laissait sa semence se déverser dans le cul de sa chienne... ma mère !

Cela dura bien vingt minute encore pendant lesquels, elle a joui très fort et moi j'ai encore tout lâcher dans la bouche de cette salope de mère qui n'avait plus aucune limites... Molosse après s'être encore vidé, s'est retiré et cette fois a quitté la chambre ! J'en profitais pour me lever à mon tour et fermer la porte à clef et alla détacher les menottes... Ma mère était exténuée, vidée, lessivée ! Elle me dit vouloir aller directement dans la salle de bain prendre un bon bain et se laver de toute cette histoire ! Je l'aidais à se relever et l'amena dans le bain que j'avais préparé pour elle.
chrislebo

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#6,963
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Nous avons eu besoin de 2 jours de calme plat... pour retrouver nos esprits et digérer tout ce qui s'était passé... Ma mère avait repris ses habitudes et moi aussi d'ailleurs. Nous échangions sur le canapé, des caresses très prometteuses de nos désirs et ma mère assise à côté de moi se pencha près de mon oreille et me fît remarquer que Molosse qui était couché à quelques mètres devant nous se léchait la tige... avec entrain! Je souriais et regardais ma mère qui avait les yeux qui brillaient d'excitation... et dit " Et alors...?" "Et alors... Je crois que j'aimerais y goûter... Tu n'aimerais pas me voir le prendre en bouche...?" Ces phrases tombaient comme une massue sur ma tête... j'étais tout simplement ***né, mais l'adrénaline montait en une seconde et déjà je bandais. Ce chien avait fait de ma mère sa chienne et avait su par ses exploits, il y a deux jours passés, la soumettre à ses exigences les plus naturelles!
Je voulais que ma mère qui jusqu'ici avait tout fait pour me donner le plus de plaisir possible puisse avoir en retour... tout le plaisir et les expériences qu'elle souhaitait. Je lui intimais donc l'ordre de se lever d'aller mettre une tenue digne d'une chienne en rut qu'elle était... Ma mère folle de joie, est partie se changer et quinze minutes plus tard, la voici sur le devant de la porte du salon dans une tenue à faire pâlir tous les marquis de Sade... Une guêpière bustier blanche en dentelle avec bien sûr des attaches porte-jarretelles et des bas blancs avec des escarpins blancs vernis... et pas de culotte! Elle était sublime... tel un ange venu du ciel! Je pense aujourd'hui que le blanc exprimait le besoin qu'elle éprouvait à vouloir être salie et humiliée par cet ******. Tandis que ma mère s'approchait doucement de Molosse, j'en profitais pour descendre mon jeans et commencer à me branler... Ma mère s'agenouilla et commença par caresser l'arrière train du chien, qui se laissait faire. Il se mit sur le dos comme pour continuer à recevoir des caresses ou bien ce pervers de chien savait déjà ce qui l'attendait? En tout cas, ma mère profita de ce moment pour approcher *** visage de cette tige turgescente que Molosse avait su nettoyer avec attention et je pense qu'elle voulu lui montrer qu'elle aussi savait y faire... elle prit la bite du chien par *** embase comme pour le stimuler et d'ailleurs sa calotte se rétracta naturellement et laissait sa tige soyeuse et prête à être utilisée. Elle se mit à quatre pattes et approcha *** doux visage de sa bite et la prit avec douceur, comme pour ne pas affoler ******** de ses intentions! Il n'en fit rien et se laissait faire. Elle accentuait *** mouvement avec sa bouche et commençait à laisser échapper des bruits de succions et des gémissements... Ma mère était une merveilleuse salope, elle mouillait tellement que je voyais *** jus s'écouler le long de ses cuisses! J'étais super excité et je me suis levé pour les rejoindre. Je restais planté derrière elle, à savourer la vue merveilleuse de sa bouche s'activer sur cette bite *******! Elle y allait maintenant avec entrain et gémissait franchement de la situation. Je décidais à ce moment là de passer à l'action et commençais à agacer *** bouton d'amour... les gémissements se ***t vite transformés en grognements et *** cul ondulait ardemment. La position, sa tenue, l'entendre geindre... Tout était prétexte à faire monter mon excitation à *** paroxysme! Je n'ai donc pas résisté et je me suis calé derrière et j'ai rentré ma queue d'un grand coup sec. Ma mère tressaillit sous l'effet de mon inquisition et Molosse lui-même fît un léger bond! je m'accrochais à ses hanches tandis qu'elle continuait à pomper le chien avec envie et frénésie... et m'activais si bien et si fort que je ne pus m'empêcher de lâcher ses mots "VAS-Y MA SALOPE DE CHIENNE... TU AIMES CA... SUCER UN CHIEN PENDANT QUE TON FILS DEFONCE TA CHATTE !!!!" ce qui l'a fit jouir très rapidement et très fort et elle hurla "HHHOOOOO OUUIIIIIII MON CHERI J'AIME ÊTRE UNE CHIENNE QUI SUCE DES BITES DE CHIENS HHHOOOO OOOUUUIIII BAISE MOI COMME JE LE MERITE HOOOOUUMMMMMMM!!!!"
chrislebo

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#6,964
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Je l'ai cambré de toutes mes ****** et ai sorti ma queue et j'ai joui sur *** cul merveilleux et magnifique! Ses hurlements étouffés par la bite du chien me procuraient un tel sentiment de puissance.... Molosse se mit à *** tour à tout lâcher dans la bouche de sa chienne! Mais les quantités incroyables qu'un chien peut déverser ***t vraiment hallucinantes! Ma mère ne pouvait pas tout avaler et laissait les trois quarts se déverser à côté sur le sol... Ma main dans ses cheveux l'obligeait à nettoyer avec sa langue tout le foutre qui restait sur sa bite et à s'en délecter comme elle avait souhaité avant de débuter cette expérience!

Cette situation m'excitait toujours et j'ai bandé presque à nouveau, aussitôt et tandis que ma mère continuait *** nettoyage en règle, je frottais mon gland avec mon sperme contre *** oeillet dilaté par l'excitation extrême et je me suis engouffré à l'intérieur comme si c'était *** vagin... Je ne l'ai pas ménagé mais simplement défoncée, je collais le côté gauche de *** visage dans le sperme du chien resté au sol... et la labourais comme la femelle qu'elle voulait être! et ma mère pour me montrer sa soumission m'encourageait "OUUUIIII JE SUIS TA PUTE, TA CHIENNE... TA SOUMISE, JE NE MERITE QUE CA... D'ÊTRE SOUILLEE... HUMMMMMM BAISER TA FEMELLE DE MERE !!" j'ai finalement craché ma semence dans *** cul de put! je me suis relevé et suis partie m'asseoir sur le canapé... ma mère s'est levée et est partie vers la sdb en titubant...
Françoise est venue chercher Molosse quelques jours plus tard et a demandé comment le séjour s'était passé...? Très bien répondit ma mère, mais ton chien a des habitudes particulières... notamment celle de prendre tout ce qui lui semble bon pour lui! J'ai cru un moment que ma mère allait lâcher le morceau mais non heureusement, elle s'arrêta là. Françoise sourit et acquiesçait... Il m'était difficile de savoir si c'est parce qu'elle avait des aventures répétées avec Molosse comme ma mère ou si c'est parce qu'elle pensait à tout autre chose... Sur cela, elle déjeuna avec nous avant de reprendre la route avec *** chien.
Molosse qui restera pour toujours gravé dans nos mémoires!

chrislebo

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#6,965
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ma vie de chien

Bonjour, je m'appelle Rex ! Rien d'original ! et je n'ai rien à voir avec le Rex de la télé ! moi, je ne passe pas mon temps à courir après les voyous, bien au contraire ....et je n'ai rien non plus a lui envié, je suis largement aussi costaud que lui : un berger allemand magnifique ....
J'ai été adopté a trois mois, au début j'en ai voulus un peu a mon maitre de m'avoir arraché a ma mère, et puis au fur et a mesure je me suis sentis bien dans cette famille et de plus en plus je me suis tourné vers ma maitresse, Annie prenais bien soin de moi, j'étais lavé bichonné, la belle vie quoi ! ils ont deux enfants, un garçon de dix huit ans et une fille guère plus âgée, avec qui je m'entend très bien !!
Après mes six mois, au cours de ma toilette celle-ci portait un grand intérêt à ce que j'ai entre les pattes arrière ...ma bitte ....elle retroussait mon fourreau de poils, jusqu'au renflement que j'ai a la base, celui ci ne tardait pas a prendre une ampleur qu'elle qualifiait de monstrueuse....d'ailleurs mon maitre, Georges, a été chercher un mètre pour le mesurer ....
Vingt et un centimètres de long, cinq et demi de diamètre et pour les boules dix centimètres
- Ce n'est pas possible, disait Georges tu ne pourras jamais t'en servir!!....
Et une chose m'a marqué, une odeur particulière sortait de dessous sa jupe, une odeur de femelle ....
- Branle le, tu ne peu pas le laisser comme çà !!
Si je n'avais pas eu de poils on aurait put voir que je rougissais !! Sa main douce et fine glissait sur ma hampe, et, très vite des giclées liquides fusaient du bout de ma queue, çà n'en finissait pas, et, enfin çà dégonflait ....
Un soir, leurs enfants étaient couchés, ma maitresse en nuisette assise sur le bord du canapé a coté de mon maitre, a ouvert les cuisses, instinctivement mes oreilles ses ***t dressées .... elle caressais un triangle de poils blonds...
- Rex ... vient....
Obéissant je me suis approché l'odeur devenue familière était plus forte que d'habitude ...
- Lèche ma chatte...
De ses deux mains elle a écartés les poils une fente est apparue, luisante, elle a tressaille lorsque ma truffe froide s'est posée sur cette 'chatte' !! qui n'a rien à voir avec celle après qui je cours dans le jardin !!!
J'ai longuement reniflé... et puis je me suis enhardis, ma langue c'est avancée dans cette grotte ....et j'ai trouvé çà super bon, consciencieusement j'ai nettoyé les parois de la chatte, plus de cinq centimètres de langue était entrés, et plus je léchais plus çà devenait liquide, Annie poussait des gémissements de plaisir...ma queue gonflait dans *** fourreau ...
Elle a relevé mon museau jusqu'à ce qu'il soit en contact avec un petit renflement sur le haut de sa chatte
- Lèche bien là, mon bon chien !! Lèche le clito de ta maitresse !!... Ouiiiii va yyyyyy !!! C'est booooonnnnnnn, tu me fais jouiiiiir
Elle est retombée sur le canapé heureuse, Georges était nu et caressait une queue différente de la mienne mais pas vilaine pour un humain !!! Et moi, je suis revenu sur mon tapis pour me lécher la bitte qui suintait ...
- Demain nous essaierons... les enfants ne seront pas là ....
- Oui chéri, j'aimerais bien !! Mais vient me baiser maintenant !!! Je suis trempée !!!
Le lendemain ma toilette a été faite avec le plus grand soin, les phéromones d'Annie remontaient à mon naseau .... elle avait l'air fébrile ...excitée ...
- Couché Rex ...
chrislebo

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#6,966
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Je me suis mis sur le dos, les pattes en l'air repliées, Annie est venus sur moi nue, je me suis retrouvé la tête entre ses cuisses, ses poils étaient déjà luisants, elle a retroussé mon fourreau,
Sa bouche chaude a pris possession de ma bitte, nous avons entamés un soixante neuf contre nature ... entre une femme et un ****** ....
Je l'ai léchée sur toute la surface, du haut de sa fente à un petit trou plus sombre ....
- Annie, je crois que c'est le moment, met toi a quatre pattes ....
Qu'allait-il se passer ?? ....elle se met comme moi !!!Mais mon instinct de mâle me dit que je vais pouvoir entrer ma queue dans cette chatte ....
- Rex !! Vient voir .... Sent mon chien ta maitresse à envie que tu la prennes.... lèche
Je deviens tout fou !! Je gambade autour d'elle en poussant des petits jappements de joie
- Calme-toi !! Vient là ...
Et soudain, j'ai la révélation !! D'un petit bond je ceinture les flancs de ma maitresse, qui a baissé sa tête sur ses avants bras, ma bitte sort et cherche maladroitement la faille, je tape un peu au hasard au risque de lui faire mal.... Mais Georges s'en saisie et me guide, un coup de riens et enfin je me retrouve au chaud dans cette gaine accueillante, mes coups de reins ***t de plus en plus rapides ....
- Tu veux tout rentrer chérie ???
- Hoooo Ouiiiii, aide-le ....
Et là ... le renflement naissant, à la base de ma bitte est comme aspiré, en quelques secondes il a élargit au maximum .... je ne peut plus bouger, pri***nier de la femme qui hurle de bonheur ....
- Chéri !!! Je suis pleine il va me faire craquer la moule !!! Hoooooo c'est booooonnnnnnn !!!! Je suis sa chienne !!!
Mes mouvements se réduisent ma queue, commence a gicler dans ce vagin étroit, tellement bien rendu étanche par le volume, que mon liquide fait gonfler la gaine, et se répand autour de ma queue.
Mon instinct de bête me dit que je dois descendre du dos de ma femelle, d'un coup de rein je me propulse et je me retrouve cul a cul avec Annie, mes couilles frottent su ses poils, je décharge toujours ... cela dure un temps qui me parait très long, accouplé a cette femme !!!
Mais soudain, mon sens de l'écoute me dit que quelqu'un vient d'ouvrir la porte d'entrée, mes maitre n'ont rien entendus et tourne le dos a la porte du couloir....
Une tête apparait ... celle de la fille ....elle observe avec des yeux tout ronds ....la bouche ouverte, elle voit clairement que sa mère se fait baiser par moi ...puis silencieusement disparait ....
Est-ce la surprise, je ne sais pas mais en tout cas, la pression qui m'uni a Annie cède lentement, et dans un grand flop je suis libéré, la bitte pendante qui goute encore, tandis que j'entends couler sur le carrelage une rivière de foutre ******, *** vagin se vide. Mais déjà je suis remplacé par la bitte de mon maitre dans la chatte distendue, je vais sur mon tapis pour me nettoyer avec ma langue de toutes les sécrétions mâle et femelle qui ***t présentes ....
chrislebo

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#6,967 · Edited by: chrislebo
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suite & fin de "ma mère ma chienne"
chrislebo

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#6,968
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Je pense qu'après cette expérience ma mère et moi avions tous deux fini de faire tomber les tabous. Plus rien ne pourrait plus jamais me choquer venant d'elle et de même pour moi vis-à-vis de ma mère! Nous avons continué nos jeux amoureux pendant encore plusieurs semaines mais de façon beaucoup plus traditionnelle... Cela était devenu même un peu gnian-gnian, mais j'avoue que ma mère me procurait toujours autant d'excitation, c'était juste que j'avais un peu fait le tour de tous les fantasmes possible que j'avais avec ma mère! Je l'avais prise par tous les trous et dans toutes les positions, dans tous les lieux qui nous excitaient... Comme les escaliers, la machine à laver, la table de la cuisine, sur la table basse du salon.... je l'ai baisée sur le capot de sa voiture, elle m'a bouffé la queue pendant que je l'ai forcée à se prendre le levier de vitesse dans la chatte puis dans le cul. Je l'ai baisée dans les chiottes d'un restaurant. J'ai craché sur *** cul, joui sur *** visage, sur *** dos et bien sûr dans *** cul, dans sa bouche et dans sa merveilleuse chatte toujours ouverte à mes désirs. Je l'ai menottée, baisée avec un ami, baisée avec un chien... qu'aurais-je pus rajouter de nouveau après ça...? Nous étions à cette période dans nos fantasmes extérieurs... Ma mère ne manquait jamais d'astuce pour trouver des lieux sympas comme une vieille mai*** abandonnée dans laquelle je l'avais baisée une semaine auparavant. Nous étions samedi en fin de matinée et elle nous avait dégotté un chantier fermé (dans lequel en tout cas, il n'y avait pas d'activité!). Ma mère, comme toujours pour me faire plaisir, revêtait une tenue de petite pute... Un corset bleu pastel avec des bas noirs, le corset laissait sortir ses deux petits seins qui pointaient de désir et des chaussures à talon bien sûr noir... une jupe noire très courte, un chemisier lui aussi noir ne laissant aucunement voir ce qui était en dessous sauf que ses merveilleux seins pointaient fièrement à travers *** chemisier! elle s'était bien maquillée avec du rouge à lèvre ce qui était assez rare... J'étais heureux de ce léger effort qui la laissait paraître un peu plus différente que d'habitude. Elle m'avait demandé de mettre un jeans sans caleçon en dessous... Je respectais *** voeu et j'étais donc vêtu de basket, jeans et tee-shirt. Elle me voulait confortable apparemment. Elle est venu me chercher directement dans ma chambre et je restais un peu sous le charme de cette femme dont la quarantaine arrivait à grands pas mais qui dégageait tellement de sex-appeal! mon sourire et mes yeux coquins laissaient deviner à quel point je la trouvais belle et bandante... ma mère! Nous voilà partis pour ce chantier de l'amour avec la petite appréhension coutumière de ces escapades. Dans la voiture, je ne pus m'empêcher de faire remonter ma main le long de *** bas à l'intérieur de sa cuisse jusqu'à *** string... Je constatais avec surprise que ma mère n'en avait pas mis... Je dis " Voilà beaucoup de petits changements super agréable... tu cherches à rompre les habitudes...?" Oui, mon chéri, je veux que tu ne te lasses jamais de moi et que tu te souviennes que je suis à toi et que tu peux me demander n'importe quoi!" Ses réponses avaient le don de créer chez moi des montées d'adrénaline! "Ha bon... n'importe quoi? "Oui n'importe quoi!!" répliquait ma mère presque vexée de l'avoir reprise... "C'est ce que nous verrons, en temps voulu, maman!" J'accompagnais cette phrase avec un clin d'oeil pour ne pas la vexer encore. Nous arrivions près du chantier et l'excitation montait pour nous deux avant de sortir, je l'attrapais par les cheveux pour l'attirer vers moi et l'embrasser langoureusement. Nous sommes ensuite sortis et avec attention nous avons commencé à explorer les lieux... Le chantier n'était pas prêt d'être fini, le gros oeuvre lui-même venait à peine d'être fini! Nous faisions attention ou nous mettions les pieds afin de ne pas se casser quelque chose... ce qui aurait été ridicule, vu la situation! soudain nous nous sommes retrouvés à l'étage, et ma mère me tira le bras vers une pièce qui sera certainement plus tard un grand salon avec une grande baie vitrée et une énorme terrasse sauf que les fenêtres n'étaient pas posées. Ma mère jouait la dominante comme pour m'énerver et me ****** à reprendre le contrôle! C'était gagné, je l'ai saisie par les bras et l'ai retournée dos au mur, puis plaqué ses bras contre le mur également et l'ai embrassée fougueusement... Ma mère répondait à l'intrusion de ma langue en la saisissant et suçant ma langue avec *****! Elle avait envie de quelque chose ********... Elle allait être servie! J'ai saisi ses cheveux dans une main et de l'autre j'ai défait les boutons de mon jeans... Elle me regardait fixement et attendait avec plaisir ce que j'allais lui imposer. J'ai descendu sa tête à la hauteur de ma queue et lui ai dit "Tu vas me sucer tout doucement mais en aspirant le plus fort possible !" Elle me fît un grand sourire avant de s'exécuter et commença une merveilleuse pipe à damner tous les saints! Ses deux mains étaient sur mes hanches et elle s'activait avec beaucoup d'amour... Elle savait comment faire pour m'amener au plaisir rapidement, j'ai alors dû changer de stratégie et comme ma main se trouvait toujours sur ses cheveux pour l'encourager. Je les ai saisis avec *****, je l'ai remontée et l'ai retournée. J'ai relevé sa mini jupe qui était déjà au trois quarts de ses fesses puis je lui ai claqué le cul avec l'autre main. Elle m'encourageait à *** tour à la malmener quelque peu... ce que je faisais avec beaucoup de plaisir! J'ai introduit mon pouce sans ménagement dans sa chatte trempée et j'ai écarté ses lèvres comme s'ils étaient de vulgaires bouts de chair... Je voulais qu'elle se sente comme une moins que rien! Ma mère commençait à gémir quand je lui ordonna de fermer sa gueule "Je vais te défoncer ta chatte de pute et t'enculer comme une sale chienne!!!" Ma mère n'a pas osé répondre afin de poursuivre le jeu encore plus loin dans sa soumission.
J'ai rentré ma queue jusqu'au fond de sa chatte sans ménagement et la défonçais littéralement et je ne pouvais l'empêcher de gémir comme une femelle qui venait chercher sa saillie! Mais, à chaque gémissement, j'en profitais pour lui infliger une claque sur le cul de toutes mes ******... ce qui avait le don de pousser *** plaisir encore plus! Soudain nous entendîmes des voix venir vers nous... Qui cela pourrait bien être? des hommes du chantier...? Non, le chantier est fermé, le propriétaire du terrain? ha voilà qui pouvait être une réponse... mais cela pouvait aussi être des badauds comme nous venus chercher l'aventure...? Nous allions vite être fixés! C'est deux gars du chantier qui venaient récupérer des affaires oubliés la veille!!!!! Comment cela était-il possible ma mère avait dit qu'il était fermé!!!!! Elle se serait trompée... Oui apparemment... ou pire encore... Je comprenais maintenant que c'était ce qu'elle avait voulu me faire croire!! Mon coeur battait la chamade et mon érection fléchissait... Je ne savais quoi penser! Ma mère vu que la situation ne prenait pas vraiment comme elle avait souhaité et m'avoua le stratagème en m'expliquant que c'était pour casser la monotonie que j'avais perçue! Je commençais maintenant à reprendre mon souffle car nous ne nous étions pas fait surprendre! Ma mère me dit "Qu'est-ce que tu veux faire? Si tu veux qu'ils partent alors tu n'as qu'un mot à dire, sinon ils feront tout ce que tu veux... enfin tout ce que tu veux qu'ils me fassent...
chrislebo

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#6,969
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Merde alors, ma mère était vraiment perverse! J'ai alors pensé que finalement, elle avait tellement cherché cette situation... qu'elle allait être servi copieusement si je puis dire!!! J'acceptais donc que les deux gars qui étaient à peine plus âgés que moi reste. Ma mère sourit et m'embrassait comme pour sceller notre accord et repris sa position m'offrant *** cul en pâture! J'appelais les deux gars et leur demandais de se foutre à poil et qu'ils avaient intérêt à être en forme car je voulais que tout le monde la défonce par tous les trous! Qu'il n'y aurait aucune limite à notre perversion... Elle voulait être une chienne soumise et remplie? Elle allait être fourrée au sperme et allait bouffer de la queue! Le premier des deux à s'approcher était un métis, il avait une queue énorme... Je ne savais pas qu'un monstre pareil pouvait exister!!! Le deuxième, un Italien je crois... très brun était moins bien loti mais restait de très belle taille! J'attrapais les cheveux de ma chienne et l'ai tournée face à ses deux nouveaux braquemarts en lui disant : "T'AS INTERET A T'APPLIQUER SALE PUTE!!!" FAIT LEUR VOIR CE QU'UNE SALE FEMELLE COMME TOI PEUT FAIRE AVEC 2 BELLES QUEUES COMME CA!!!"

Elle s'agenouilla et attrapa les deux queues et les faisait aller et venir très vite et fort dans sa bouche qui se déformait quand c'était celle du métis... quel plaisir de voir sa mère jouir comme ça!! Elle les dévorait, se régalait, gloussait de plaisir! Les deux gars en profitaient pour lui triturer ses tétons au travers de *** chemisier entre ouvert. Mon érection reprenait rapidement sa vigueur et j'ordonnais à ma mère de s'appliquer! Je dis au métis de se poser sur le sol, que cette salope allait s'empaler sur sa bite énorme! Il s'installa de suite sur des cartons vides et ma mère à qui j'avais retiré *** chemisier et fait rouler sa mini-jupe au sol, s'empala rapidement sur ce manche de taille disproportionnée... Ma mère dont la chatte ne cessait de couler gémissait bruyamment, je demandais au brun de venir se placer sur *** cul de pute... Le gars mouilla ses doigts pour la préparer un peu et l'enfila très rapidement... il y allait sans ménagement le bougre! Elle hurlait *** plaisir et n'arrêtait pas d'encourager ses deux amants de passage "BAISER MOI BANDE DE SALAUD, HHHOOOOOO JE VEUX VOS BITES PARTOUT DANS MON CORPS... HUMMMMMMM JE VEUX ÊTRE REMPLIE... ET DEFONCEE... COMME ON VOUS L'A DEMANDE!!

Je me plaçais devant *** visage déformé par le plaisir d'être ainsi malmenée, saisis d'une main ses cheveux et de l'autre *** menton et la força à prendre ma queue dans le fond de la gorge!! Ma mère failli déglutir tellement j'étais loin dans sa gorge et lorsque que ma queue ressortait, toute sa salive accumulée et mélangée à ma liqueur séminale coula sur *** menton et alla finir sa course sur ses seins! Ma mère était en furie et les coups de butoirs de ses deux amants la mettaient dans un état de surexcitation... Le brun fut le premier à jouir dans le cul de ma mère. J'ai joui à mon tour sur la bouche de ma femelle et le métis lui continuait ses va et vient profonds. J'ai alterné avec le brun en lui disant de venir se faire nettoyer la queue par cette salope qui ne rêvait que de ça! Je me suis à mon tour placé dans le cul profond et maintenant bien dilaté de ma mère et l'ai enculé avec vigueur... Ma mère hurlait de plaisir en continue... Je sentais contre la cloi*** l'énorme bite du métis. Ma position n'était pas assez confortable à mon goût, je l'ai alors retirée du pieu du métis et me suis allongé sur le dos, ma mère est venue planter *** cul sur ma queue et le métis s'installa à nouveau dans sa chatte, les pieds sur les épaules! Ma mère était traitée de tous les noms et insultée comme elle avait souhaité. J'ai déchargé à nouveau dans *** cul cette fois-ci et ma mère s'est ensuite positionnée à quatre pattes pour faire jouir le métis à *** tour dans *** cul... c'était un festival! J'en profitais pour me faire nettoyer la queue par cette chienne toujours plus avide de sensations fortes! Le métis ne ménageait pas sa monture et ma mère avait du mal à s'appliquer à me nettoyer correctement, il la faisait gueuler!!!
chrislebo

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#6,970
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Le métis arrivait au bout de ses ****** et *** visage se crispa, il sortit sa bite de *** cul et dégorgea de tout *** être sur le cul de cette salope... De longs jets s'écoulaient sur ses reins... je n'en revenais pas de voir autant de foutre se déverser comme ça sur elle... Elle gémissait encore tant l'émotion et le plaisir était intense. J'ai remercié mes deux compagnons de queue qui se ***t rhabillés et ***t repartis. Je m'occupais maintenant de ma mère avec soin et délicatesse après cette session très forte de sexe et je l'ai aidée à se rhabiller et nous sommes repartis à la mai***. Nous sommes restés vingt minutes au moins sous la douche à nous savonner et à faire des câlins tendres... Nous avons ensuite été faire l'amour dans sa chambre avec beaucoup de tendresse... Elle ne cessait de me dire qu'elle m'aimait et que j'étais *** fils adoré! Le lendemain matin avant de nous lever, nous avons à nouveau fait l'amour mais c'était beaucoup plus fort... Nous avions tous les deux les réminiscences des souvenirs de la veille...
chrislebo

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#6,971
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Je vous ai parlé de Françoise, une amie de ma mère qui nous avait apporté *** chien Molosse à garder chez nous le temps de ses vacances. Nous sommes au début de l'hiver et ma mère m'annonce que *** amie Françoise sera chez nous vendredi soir pour dîner. Je me réjouissais déjà de sa venue car j'aimais bien cette femme et je la trouvais vraiment belle! La semaine s'écoula bien vite et le vendredi montra vite le bout de *** nez. Celui de Françoise aussi d'ailleurs mais je ne savais pas qu'elle viendrait avec *** ami du moment Abou, un grand noir imposant aux larges mains et au visage plutôt sympathique. J'étais déçu c'est sûr, mais je m'appliquais à ne pas le montrer et leur proposais de rentrer et de s'installer dans le salon le temps que ma mère finisse de se préparer. Je leur ai servi à boire et m'installais avec eux afin d'échanger quelques mots. La Conversation était sympathique et ma mère ne se fit pas beaucoup attendre. La voilà qui apparaissait tel un ange... Mon dieu que j'aimais cette femme qui était ma mère. Elle était vêtue d'un jeans ultra moulant, (c'est vrai qu'à l'époque c'était la mode) et d'un tee-shirt au col très largement échancré qui tombait sur l'épaule avec une fine ceinture à la taille et des escarpins noirs vernis aux talons vertigineux qui rappelaient la ceinture... Quelle femme sexy, me suis-je exclamé lorsqu'elle est entrée dans le salon. Elle s'approcha avec un large sourire et Abou qui était le plus proche de la porte se leva pour la saluer... ses yeux étaient rivés sur elle comme des aimants. Françoise à *** tour se leva et embrassa ma mère tout en lui glissant quelques mots à l'oreille... Je ne savais pas ce qu'elles s'étaient échangé mais ma mère a souri et lui a fait un clin d'oeil assez coquin... Je me levais et proposais à ma mère un verre de Champagne car c'est sa bois*** préférée. Nous voilà tous servit et en train de boire et de parler tous ensemble de tout et de rien, mais l'ambiance est vraiment bon enfant! Puis, ma mère se leva rapidement et s'en alla vers la cuisine en riant et en expliquant qu'elle avait oublié de commencer à préparer l'entrée du repas. Abou se leva aussi et lui proposa de l'aider, ma mère ne refusa pas *** aide et je suis resté avec Françoise... seul pendant bien vingt minutes à parler. Ses questions devenaient de plus en plus inquisitrices à l'égard de ma vie privée... J'entends par là qu'elle voulait savoir absolument si j'avais une copine? Si j'avais déjà eu des rapports sexuels et autres questions assez gênantes au début mais qui finalement m'excitaient plutôt et comme elle me plaisait beaucoup, je prenais un certain plaisir à lui laisser entendre que j'avais depuis quelque temps des rapports avec une femme très belle et bien plus âgée que moi. Elle souriait et avait les yeux rieurs et surpris tout de même. Elle me complimenta sur mes charmes et me dit que j'étais maintenant devenu un très beau jeune homme. J'étais certes flatté, mais je comprenais mal ce qu'elle me trouvait alors que je l'avais toujours vue avec des hommes plutôt exotiques! Abou, entra dans le salon et nous dit de venir à table. Je me levais et tandis la main vers Françoise afin de l'aider à se relever du fauteuil. Elle me regarda droit dans les yeux tout en se levant, me fit un très grand sourire et s'approcha de mon oreille et dit "Merci jeune homme, pour votre galanterie!" et finit ses mots par un baiser sur la joue. J'étais soufflé parce qui venait de se passer! Elle passa devant moi et avançait en chaloupant sa magnifique croupe dénudée. Elle portait une robe rouge sans décolleté devant mais qui offrait une superbe vue de *** dos accompagné par sa crinière blonde. La robe arrivait juste au-dessus des genoux, droite et une petite fente derrière qui laissait à peine entr'apercevoir la couture de ses bas et des escarpins rouges. Cette vision m'excita au point que je me suis mis à bander directement... sans appel!
chrislebo

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#6,972
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Nous voilà à table, à discuter, rire, boire, manger sans interruption. Ce moment était vraiment d'une grande convivialité. Nous avons beaucoup bu et les discussions finissaient comme vous pouvez l'imaginer toujours sur le sexe. Et mon dieu, que nous étions intarissable sur ce sujet... J'ai appris d'ailleurs à ce moment-là que Françoise avait déjà connu plusieurs relations saphique. Et que ma mère et elle s'étaient embrassées à plusieurs reprise lorsqu'elles étaient jeunes, pendant leurs soirées de débauche! Ma mère laissait parfois échapper quelques allusions sur nos ébats mais sans dire évidemment qu'il s'agissait de nous. Mais François à un moment a saisi la balle au bond et dit à ma mère: "Tu savais que ton fils a une relation avec une femme plus âgée que lui?" J'étais très gêné et je suis devenu rouge et ma mère répliqua "Mon fils est comme *** père... un vrai étalon!" un blanc se fit marquer et tout le monde s'est mis à rire. Heureusement pour nous que l'alcool était là pour masquer tout ce qui aurait pu être compris pendant le repas!!!
Le dessert arriva sur la table, un grand saladier rempli de fraise avec de la crème. Tout le monde se servait et ma mère commença à jouer avec une fraise la faisant entrer et sortir de sa bouche et dit " Cela ressemble au fruit défendu... non? " Françoise regardait ma mère et tout en l'imitant et ne se priva pas de rajouter " hummm *** parfum, *** goût et sa texture est tel que si ce n'était pas une fraise dont je raffole alors il faudrait que ce soit une queue!" avant de pointer le bout de sa langue toute fine dessus. Abou se mit à rire très fort et s'approcha de Françoise et pris avec sa langue la fraise, dans la bouche de Françoise et ils se ***t roulé une pelle très érotique! Ma mère, ne voulait pas les voir se gâter alors elle s'approcha de moi et prit mon menton de sa main et m'attira vers ses lèvres et m'embrassa très sensuellement que je suis resté tétanisé et mes mains n'avaient aucune réaction. Ce ***t les paroles de Françoise qui nous firent revenir à la réalité " Et bien je pense maintenant comprendre les expériences très matures de ton fils, maintenant! " Ma mère s'arrêta et me regardait fixement avec plein d'amour et de tendresse et reprit " Oui c'est vrai mais c'est aujourd'hui un mâle entreprenant et sûr de lui et je suis devenue sa femelle... Il peut faire de moi ce qu'il veut, ou il veut et quand il veut! " Abou ajouta, que j'étais très chanceux. Françoise ne semblait absolument pas décontenancée par la situation et même elle insista en répliquant: " Où il veut, quant il veut et comme il veut? " OUI répondit ma mère.
Et bien je voudrais bien voir ça! Françoise avait un sourire au coin des lèvres en disant ses mots. Je regardais ma mère et lui dit avec beaucoup d'affection: Je veux que tu ouvres mon pantalon et que tu me suces avec beaucoup de désir! Ma mère ne pouvait plus se contenir et ses mains prirent le pas tandis que ses yeux ne me lâchaient pas. La ceinture et les boutons de ma braguette se retrouvèrent bien vite défaits et mon pantalon en bas des jambes, ma mère passa sa main dans mon boxer et commença à me masturber doucement, j'ai alors descendu mon caleçon. J'entendis la voix de Françoise dire " En effet, Il a une belle queue... Tu avais rai***, s'il est aussi bon amant que *** père alors je comprends que tu ne puisses plus t'en passer!" Qu'est-ce que cela voulait dire... Mon père aurait sauté Françoise et ma mère??? Mais l'heure n'était pas aux questions mais à l'action et ma mère descendit *** visage, me décalotta le gland et goba ma queue d'un seul coup.

Elle s'affairait avec beaucoup d'attention sur ma queue et Abou ne put s'empêcher de me le faire remarquer! "Woaw... ta mère sait faire des pipes!!!" Ouai je répondis et encore tu n'as rien vu de ce qu'elle est capable de faire pour moi! La situation était devenue tellement excitante qu'Abou a défait les boutons de *** jeans et mit sa main sur la tête de Françoise et lui a dit "à ton tour ma belle! Montre à ce jeune homme ce que tu sais faire sur une queue!" Mais c'est la première fois que je voyais une bite aussi grosse et encore il ne bandait même pas complètement... Françoise s'appliquait à le faire bien bander et suçait avec beaucoup d'entrain. La bite d'Abou était tellement grosse que la bouche de Françoise se déformait. j'ai réalisé à ce moment-là vraiment la situation, j'étais en train de me faire sucer par ma mère devant mon idéal féminin, qui elle-même suçait *** mec!
chrislebo

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#6,973
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Je n'ai pas tardé à jouir tellement la situation était forte, j'ai posé mes mains sur la tête de ma mère et appuyer très fort au moment où l'éjaculation est arrivée et ma mère comme à *** habitude a tout avalé sans rien cacher de *** plaisir... Françoise aussi à reçu une sacrée décharge en pleine bouche, qu'elle a même suffoqué tellement il l'a inondée!

Nous sommes ensuite passés au salon et avons commencé les choses sérieuses.... Ma mère est partie dans sa chambre changer de tenue tandis qu'Abou et moi nous nous occupions de Françoise. C'est une femme tellement belle et d'une sensualité naturelle. Abou a baissé les bretelles de sa robe délicatement et défait *** soutien gorge et laissé ses deux gros et beaux seins lourd se revigorer d'être sortis. Françoise portait un porte-jarretelles rouge avec des bas noirs et un string en dentelle brésilien rouge et noir. Elle était entre nous deux et nous nous occupions chacun de l'un de ses gros seins blanc laiteux. C'était la première fois que je les voyais et je voulais profiter un maximum de ce moment alors avant de me jeter dessus, je l'ai sous-pesé et souligné du bout du doigt. Elle me regardait avec insistance et feulait alors qu'Abou appliquait une succion bien marquée de *** côté. J'étais aux anges et je commençais moi-même à le mordiller, le lécher, le sucer, l'avaler, l'aspirer de tout mon souffle, je voulais que ce sein soit mien pour un moment et je lui imposais à mon tour un certain traitement qui ne la laissait pas indifférente. Ma mère arriva et Abou, avant même que j'ai eu le temps de relever la tête s'est levé et la prise dans ses bras, ma mère l'a complètement déshabillé et a voulu elle aussi s'occuper et goûter à cette queue énorme. Françoise me déshabilla aussi rapidement et je l'ai basculée afin de lui bouffer sa chatte, je voulais y goûter absolument c'était vital... Mes premiers coups de langues ont été avec retenus, je voulais sentir *** parfum intime et je lui ai dit que sa chatte était délicieuse avec un parfum très agréable! Abou me fit des compliments sur ma mère et sa façon si per***nelle de sucer... Dans ma position, en relevant les yeux je pouvais voir ma mère de *** côté, accroupie en bas et porte jarretelle noir jouissait déjà de ne pouvoir prendre cette queue tout entière dans la bouche tellement elle était grosse. J'ai retourné Françoise, l'ai mise à quatre pattes et lui ai bouffé le cul et la chatte, elle jouissait fort et a eu *** premier orgasme. Abou avait maintenant mis ma mère sur le fauteuil et lui bouffait également la chatte comme il se doit et ma mère gémit sous les coups de langue certainement très affûté d'Abou. Il s'est ensuite relevé et a placé sa bite à l'entrée de sa chatte et est rentré doucement, centimètre par centimètre afin qu'elle s'habitue à la taille de *** membre. J'ai fait de même avec Françoise, je me suis calé derrière elle et observait *** formidable cul avec les bretelles du porte-jarretelles rouge fendre sa peau bien blanche. Je bandais très dur et j'ai frotté mon gland à l'entrée de sa chatte ruisselante de désir, elle gémissait et me priait de la prendre tout de suite. J'ai fait durer le plaisir de façon presque malsaine tellement *** envie était forte. Je voulais qu'elle en crève d'envie vraiment et mes très légers allers-retours ont eu pour effet de la mettre dans un tel état de d'attente et de transe que lorsque je suis rentré complètement et à fond jusqu'au col de l'utérus, elle a hurlé un OOOOUUUUIIIIII si fort qu'Abou s'est retourné et ma mère aussi afin de voir ce qui se passait!

chrislebo

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#6,974
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PRENDS-MOI !!! criait-elle et la synergie s'est si bien créée entre les deux couples que ma mère aussi criait sur Abou de la prendre sans ménagement sauf que lorsqu'Abou commence à y aller fort... Il faut être prêt à recevoir! Ma mère gueulait tellement il la défonçait et Françoise emmenée aussi par l'énergie de groupe me demandait de la traiter de salope, de pute, de sac à foutre et de la défoncer! Je ne me suis pas fait prier et je l'ai insultée, lui ai claqué les fesses si fortement, que la marque de chacun de mes doigts apparaissait clairement sur ses fesses. Abou et moi les avons installés sur le grand canapé toutes les deux et les avons prises en levrette encore pendant qu'elles s'embrassaient. J'appuyais très fort pour la faire cambrer au maximum, je lui ai craché sur le petit trou avant de lui dire que j'allais l'enculer comme il faut, Elle criait OUUIII VAS-Y BAISE MOI... DEFONCES MON CUL DE SALOPE!!!! Je suis rentré doucement dans *** colon tout étroit tandis que ma mère n'en finissait plus de jouir sous les coups de boutoir d'Abou. Ma mère lui dit qu'elle voulait aussi se faire enculer comme une pute! Abou me regarda et confirma qu'il avait rarement vu une telle furie et baiseuse! Il faisait aller et venir *** majeur dans le cul de ma femelle de mère et déjà il me semblait qu'elle avait orgasme sur orgasme... Mais lorsque que sa queue est vraiment venue à la rencontre de *** petit trou du cul alors là j'ai cru ne jamais l'avoir vu gueuler de cette façon... à part avec Molosse certainement!

Quant à moi je m'activais toujours dans le cul de cette charmante Françoise qui ne cessait de gémir... je commençais à arriver au bout, mais il n'était pas question de finir maintenant alors me vint une idée folle. Je suis partie chercher dans la cuisine un concombre que j'ai lavé et que j'ai apporté et j'ai fait positionner nos deux charmantes salopes cul-à-cul avec le concombre dans la chatte et nous nous sommes fait sucer pendant un moment... le temps de recharger un peu les batteries mais c'était *** compter le caractère fougueux de nos deux chiennes à disposition ! Françoise dit à ma mère que la dernière à nous faire jouir devrait prendre une double pénétration, Abou et moi. Ces salope avait de la ressource Françoise s'est mise à me pomper tellement fort que j'ai joui le premier... Mais le concombre faisait aussi *** effet et Françoise a joui en même temps que moi et Abou est venu pratiquement derrière moi à quelques secondes... Ma mère aussi a joui très fort et je pense qu'elle se réjouissait déjà de ce qui l'attendait!

chrislebo

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#6,975
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Abou, s'est installé sur le canapé et ma mère est venu s'empaler sur sa queue énorme, tandis que je me plaçais derrière le cul subliment bandant de ma mère et suis rentré pratiquement sans effort tellement Abou l'avait avant dilatée! Nous avons commencé nos va et vient, ma mère déjà hurlait sa jouissance et Françoise est venue s'accroupir sur l'accoudoir en cuir épais du canapé, au-dessus du visage d'Abou qui en profitait pour lui bouffer la chatte pendant que les deux se gouinaient encore. Ma mère avait du mal à entretenir ses embrassades avec Françoise tellement nous l'avons malmenée... La jouissance était trop forte et elle a eu trois orgasmes successifs. Repue, elle descendit et laissa sa place à Françoise qui voulait bien sûr aussi goûter à nos deux queue en même temps! Mais Françoise s'installa dos à Abou et par conséquent face à moi... C'est Abou qui était dans le cul de cette salope qui en fait n'attendait que cela! Et moi dans sa chatte à la baiser tout en la regardant dans les yeux... nous étions ********** tous les deux par le rythme des va et vient et *** visage malgré tout se déformait sous le plaisir et la douleur provoquée par nos queues qui ne lui laissaient aucun répit! Après deux gros orgasme et quinze minute de ce traitement, elle était repue et nous nous sommes dégagés. Ma mère s'est jetée sur la bite d'Abou. Françoise m'a enfourné et cette fois-ci je voulais jouir sur *** visage. Je voulais qu'elle prenne tout mon foutre sur *** visage d'ange et j'ai attrapé ses cheveux et ai accéléré la cadence si bien que j'ai baisé sa bouche sans ménagement. Au moment de jouir, Françoise a senti que la coulée de sève arrivait et elle-même, l'a retiré de sa bouche, m'a regardé dans les yeux et dit : VAS-Y JOUIS MAINTENANT SUR MOI, JE VEUX QUE TU M'INONDES DE TA SEMENCE... GICLE SUR MON VISAGE! J'ai joui d'abord sur *** visage à gros coup de jets, plusieurs saccades ***t venues se répandre sur *** front, ses cheveux, ses joues, *** nez... puis elle a pris ma queue dans sa bouche tout en me regardant et m'a pompé furieusement encore comme pour en extraire tout ce qu'elle pouvait contenir!

Ma mère aussi a eu le droit à *** feu d'artifice surtout qu'Abou a déversé des litres de sperme, c'était incroyable de voir ça, ma mère n'a jamais pu tout avaler tellement la quantité était importante... Mais le plaisir aussi fût de grande quantité! Ils ont passé la nuit entière à la mai*** et ***t repartis le lendemain vers midi.

Cela restera un très grand souvenir pour ma mère et moi. Je n'ai jamais revu Abou et Françoise... c'est une autre histoire!
soumis8

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#6,976
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Même si le sujet n'est pas ma tasse de thé (ni de café d'ailleurs!), mille mercis pour ces recits en francais!
chrislebo

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#6,977
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la pute a mon chéri


Je m'habitue peu à peu à la présence du rosbud dans mon cul, la sensation est nouvelle et pas désagréable une fois passé le moment de l'introduction qu'en aux pinces à seins je les ai presque oublié.
Je ramasses les nombreux sextoy's posés sur la table pour les ranger dans notre chambre bien à l'abri du regards des enfants. Alors même que j'étais à l'étage, la ***nette retendis. Je m'arrête de suite pour écouter qui c'est, j'entends thierry qui discute avec un homme dont la voix ne me dit rien du tout. Thierry m'appelle...
A quoi il joue, il sait très bien que vu ma tenue je ne peux pas me présenter comme cela. Il insiste un peu mais je maintiens mon refus.
Il remercie l'inconnu, l'invitant à repasser un autre jours.
-Qui c'était?
-Un démarcheur d'une société de peintures, il veut savoir si l'on souhaite faire la façade. J'ai sa carte de visite. Pourquoi tu n'es pas descendu?
-Bien je n'avais pas le temps de me changer.
-Qui t'a demander de te changer? tu m'a déçu et désobéi c'est pas bien je m'en souviendrais.
-Oh chéri excuse moi.
-Évites la prochaine fois: que dirais tu d'aller prendre l'air au parc, j'ai envie de faire quelques photos.
-Si tu veux mon chéri.
Je mis mon manteau de cuir, et nous sommes partis bras dessus bras dessous au parc qui se situe à deux pâtés de mai*** de la notre. Tout du long, j'étais partagée entre la crainte de rencontrer des parents d'élèves et qu'ils puissent un seul instant découvrir à quel jeux pervers que nous adorions thierry et moi, j'avais à cet effet remonter le col du manteau pour dissimuler le collier, et par un sentiment de fierté d'avoir osé cette audacieuse promenade. Nous nous sommes isolés et thierry à pu faire toute les photos de moi dont il avait envie; plus d'une centaine, il me prit même entrain de faire pipi. Je pense que seul un homme qui promenait *** chien s'est douté de notre manège parce qu'il nous a suivi un petit moment s'arrêtant lorsque nous aussi nous marquions une pause.
Tierry qui a l'oeil partout, défi sa braguette, sorti sa bite."suce moi"
-Ici?
-Ben tu crois qu'elles font ça ou les putes aux bois de boulogne?
J'entrepris immédiatement la queue de thierry, il mit moins de 5min à se répandre dans ma bouche. Il lâcha un merde à ce moment là.
-Qu'es ce qu'il y a?
-Tu fais chier tu me fais jouir trop vite.
-C'est pas grave chéri, je tentais de le rassurer mais il est vrai que thierry n'a jamais été très endurant au lit.
Nous sommes rentrés à la mai***, thierry est monté à *** bureau, moi j'ai commencé à préparer le repas et une jolie table, avec le bougeoir argent de notre mariage qui d'habitude ne sortait que pour noël.
Je suis allée me faire un brin de toilette, je passais un oeil dans l'entrebâillement de la porte du bureau il était sur internet surement, je le laissais tranquille.
Dans la salle de bain j'ôte les pinces de mes seins, me les caresses pour leur faire reprendre une forme normale. J'enlève mes bottes, et m'accroupis pour ôter le rosbud. J'ai un peu d'appréhension à le faire ressortir, peur de ressentir une douleur. Je prends mon courage, souffle un grand coup et tire dessus. Je ressens une inflammation divine de mon anus, qui dure quelques minutes.
Aux retour des toilettes, j'entreprends un toilettage intime en bonne et du forme, j'évite toutefois de me caresser la chatte, je veux garder cette excitation en moi et pour lui.

chrislebo

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#6,978
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Je remet le rosbud en place avec facilité et sans plus d'appréhension je rejoins thierry au bureau, il est en train de constituer un dossier d'image des photos de l'après midi, du parcs. Il me les fait défiler, et je me vois tour à tour sur le fauteuil jambes grandes ouvertes, au parc à poil entrain d'écarter mes fesses exposant le brillant du rosbud etc etc...lorsqu'il referme le dossier je vois qu'il a appelé celui ci "ma pute adorée" je l'embrasse tendrement dans le cou et pose ma mains sur *** sexe. Je lui glisse à l'oreille quand es-ce que tu va me la mettre? Il repousse ma caresse.
Je suis déçu mais je sais déjà que ce soir je vais jouir, je remarque un nouveau dossier intitulé X.
J'essaie de lui prendre la souris pour l'ouvrir mais il m'en empêche, nous jouons quelques instant tout les deux évidement thierry a le dessus.
-Tu veux vraiment voir?
-Ben oui c'est porno c'est ça? c'est ce qui t'excite gros cochon?
-Je te laisse regarder pendant que je vais prendre ma douche!
-Oui chéri mais interdit de branlette, garde en pour ta petite pute..
On rigole,thierry partit, j'ouvre le dossier. La première photo qui apparait et le visage d'une jeune femme recouvert de sperme elle en a partout, dans les yeux, la bouche, cela lui coule du menton, la deuxième est plus classique des fantasmes masculins: ce ***t deux femmes au corps parfait en 69, il en a plusieurs dans des positions diverses.
Je continue à faire défiler les photos lorsque je m'arrêtes sur une qui me fait fris***ner immédiatement, c'est celle d'une femme en corset de cuir noir, elle est penchée buste sur la table en bois massif qu'elle tient de part et d'autre, elle a de grande cuissarde. Nous nous ressemblons, cela ne fait aucun doute, je fais défiler les photos suivantes, il s'agit d'une série et il ne fait aucun doute que cette femme reçoit une punition, ces fesses ***t rouges, même *** dos. Je la retrouve quelques instants plus loin attachée sur un X en bois des poids au seins et à ses lèvres intimes, elle a un collier avec une boule dans la bouche.
La dernière série la concernant la montre sur une espèce de tréteaux capitonnés bras et jambes attachés, la chatte et le cul humide, on devine qu'elle vient de se faire prendre.
Sans même m'en rendre compte je suis entrain de me caresser, je zappe les photos suivantes qui ***t une succession de trio hhf ou ffh avec des blacks, blondes,asiatiques, pour retomber sur une petite série d'une asiatique justement qui est ficelée comme un rôti dans des positions très variées j'avoue que j'aime bien et la trouve belle.
Lorsque thierry revient: je suis sur une série ou les femmes se font sodomiser se ***t des gros plans, vraiment pas glamour voir écoeurant. "Ah c'est cela qui t'excite cochonne? Tu aimerais te faire défoncer la rondelle?"
je ne réponds même pas à sa provocation, je me lèves pensant passer à table mais thierry se rassois et m'installe sur ces genoux.
"Tu n'a pas fini de les voir"
Il attrape la souris et pose *** autre main sur le haut de ma cuisse, la glissant entre mes jambes.
"Mais je vois que cela t'excite ces photos, cochonnes que tu es"

chrislebo

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#6,979
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Les photos suivantes ***t des femmes réalisant des doubles pénétrations, puis il y en a quelques unes ou elles se fistent la dernière de cette série la femme a carrément la mains dans *** cul,je trouve celà hallucinant.
Le dossier se finit par trois photos de filles se pissant dessus.
Thierry referme le dossier.
"Tu vois ce qui t'attends maintenant, tu veux jouer à la pute mais il va falloir que tu assumes tes choix."
-Si c'est cela qui t'excite? qui te dit que je n'y prennes pas goût..mais faudra que toi aussi tu assure.
-Fait moi confiance je vais te matter moi petite pute.
-Arrête tu m'excites quand tu fait ton gros dur.
-N'oublie pas que je t'ai payé pour 24h alors fait gaffe à ton cul...
-Tu me veux comment: là sur le bord du bureau, dans le cul? Désolé chéri je suis déjà pleine.
Joignant le geste à la parole j'écartais mes fesses, penchée sur le bureau. Tout en rigolant et pleine de provocation, je reçus une claque magistrale sur les fesses qui m'arracha un cri..
-Aieee
-Insolente
-Aie une deuxième sur l'autre fesse.
Le souffle coupé je me relève, le regarde, il sourit " tu l'a bien cherché celle la, vas te voir dans la glace"
J'avais les 5 doigts de sa main sur chaque fesse.
On prit l'apéritif au comptoir de la cuisine, lui sur un tabouret, moi debout entre ses jambes, au tout début il prit la laisse de MARIUS (c'est le chien de mes beau parents) qu'il avait accroché à mon collier et il tirait dessus à chaque fois que je cherchais à bouger tant est si bien que j'arrêtais.
Deux fois il demanda d'aller allumer les bougies et lorsque je m'approchais de la table, il tirait sur la laisse. En me disant qu'il avait changer d'avis, et il me ramenait entre ses cuisses.
Il mit sa cuisse entre les miennes et me demanda de me frotter la chatte dessus comme font les chiens en chaleur..il me fit boire le champagne bouche ouverte langue bien sortie.
-Allez pendant que je finis la bouteille tu vas me sucer les couilles et que les couilles je te préviens.
-Oui
J'enlevais *** pantalon et *** slip et à genoux j'entrepis ses couilles, les léchant, les gobants une après l'autre c'était pas très agréable tous ces poils dans la bouche mais je me faisait un devoir de m'appliquer.
J'entendais ses gémissements et ses compliments.
Je me redressais lorsqu'il tira sur la laisse. Il n'emmena dans la chambre, me demanda de choisir un gode, je pris celui qui me semblait être le plus proche de la taille de *** sexe à lui.

chrislebo

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#6,980
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-Non pas celui la prends l'autre juste au dessus.
Il faisait 18cm pour un diam de 4, couleur chair très réaliste avec une veine qui courrait le long, il y avait même les testicules.
je m'assoie dessus pendant tout le diner. Thierry m'observait à chaque fois que je me levais mais encore plus à chaque fois que je me rasseyais à plusieurs reprises il me fit lever et rassoir pour rien ou si juste pour le plaisir de me voir me goder. Je jouis peu avant le dessert, je ne sais pas si thierry s'en est aperçu, mais je sentais ma chatte complètement dilattée et humide alors que je me levais pour débarrasser, thierry me demanda de faire la vaisselle à la main, je me mis donc à l'évier avec mes beaux gants mappa jaune, avec le noir de mon corset cela rappelait la couleur de ma mini cooper. Il prit quelques photos de moi jambes toujours écartées, les mains dans le bac, puis il me retira le rosbud et m'encula directement, j'ose le dire mais je le sentais à peine, j'avais plus d'excitation à sentir ses mains plantées dans mes hanches que sa bite qui me limait le cul..je l'encourageais "oui baise moi, encule moi oui"
-Ta gueule petite pute.
Il ne tint pas au delà de 3 minutes et jouit dans mon cul, il me remit le rosbud pour empri***ner sa semence en moi.
-Finit la vaisselle et je vais t'apprendre à te taire quand je te baise.
-Excuse moi je ne savais pas.
Il s'échappa à l'étage, lorsqu'il redescendit *** café l'attendait, il avait descendu la cravache et le martinet qu'il avait maladroitement essayer de dissimuler dans les coussin du canapé.
-C'est pas ma faute chéri si tu es trop excité, c'est peut être parce que c'est nouveau pour toi. Tu sais moi aussi je jouis plus vite et plus fort que d'habitude.
-Si c'est de ta faute à m'encourager comme tu le fais cela me fait jouir..ne m'adresse plus la parole quand je te baise dorénavant. Et pour t'apprendre je vais te punir mais comme je suis gentil tu aura le choix cravache ou martinet?
-Mais je connais ni l'un ni l'autre comment veux tu que je choisisse?
-Très juste, alors tu auras cravache et martinet
-Ohh non?
-Si si comment tu veux te mettre!!
j'eus le flash de la fille sur la photo.
-Sur la table?
-Allez va
Je plaquais ma poitrine sur la vitre froide de la table et lui tendais mon postérieur..
Après avoir passé plusieurs fois la cravache entre mes cuisses il commença à me fesser, il s'arrêta à la dizaine, me demanda si cela allait et si j'étais prête pour une autre série de 10.
-Oui
Les dix suivantes furent plus douloureuses parce qu'il tapait plus fort et parce que j'avais le cul chaud.. mais j'aimais oui je n'ai pas honte j'aime la cravache, il voulu s'arrêter je lui en réclamais dix de plus.. et gode pour contenir mes cris qui parfois s'échappaient sans contrôle.
Je mordais à pleines dents dans le gode de latex à chaque coups qui s'ablataient sur ma croupe en feu. On atteignit les 30. Exténuée sur la table je ne compris même pas se qui m'arriva lorsque thierry me mit *** pouce dans la chatte et effleura mon clitoris, il sortit de ma chatte un flot indécent de liquide translucide, mi eau mi urine ,thierry le reçu en pleine figure..
Je venais de découvrir que je pouvais être une femme fontaine

chrislebo

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#6,981
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pendant que sa fille est au lit


Salut , je me présente Tonio 1m70, les yeux bleus cheveux châtain, assez sportif.
Cette histoire m'est arrivée alors que je travaillais comme chauffeur de car scolaire.
J'allais chercher des enfants âgés entre 3 et 11 ans pour les emmener à l'école.
J'arrive devant l'école et une maman (***ia) se trouve devant l'école, je ne l'ai jamais vu auparavant, elle est grande 1.90 avec de longue jambe fine et très sensuelle, des cheveux coupé au carré de couleur blond et une jolie petite paire de fesses avec une poitrine de 90C.
J 'arrête le bus devant l'école et la maman viens vers moi, j'entrouvre mon carreau, elle se présente, bonjour je suis nouvelle dans la région et il paraît que le bus passe à domicile chaque matin est-ce vrai?
Je la regarde très sensuelle et lui réponds que oui et qu'il est possible que je vienne chez elle prendre ses enfants.
Elle me donne *** adresse et me demande s'il serait possible que je passe demain matin, je lui réponds a nouveau que oui et lui signale que je passe vers 06.45 hres chez elle le lendemain.
Le lendemain j'arrive devant chez elle et klaxonne, ***ia sort en nuisette transparente avec un joli soutien noir que j'aperçois au travers, pour le bas elle porte déjà un leggings.
Sa plus grande fille âgée de 9 ans prend place dans le bus, ***ia me demande si je peux repasser après mon service avec les documents à remplir car elle est en panne de voiture, j 'avoue que l'idée de la revoir seul me procure une légère érection.
OK ***ia je reviens vers 09.00 hres avec les papiers.
Je fini à 08.30hrs à l'école, j'ai été reprendre ma voiture et les papiers au bureau et me rends chez ***ia, en secret j'espère qu'elle est toujours en nuisette et cela m'excite à nouveau, j'arrive devant sa porte et ***ne.
***ia m'ouvre en tenue de sport, un petit haut moulant juste sur le haut de ses seins et le ventre à l'air, et toujours ce petit leggings noir sur ses fesses, elle me fait entrer.
Je la suis et matte discret *** joli cul sur le haut de ses fesses, je découvre un tatouage de fée.
Entre Tonio, je fessais ma gym, j'entre, elle me dit que sa plus petite fille Victoria est au lit, cela me déçoit car...
Je la suis, ***ia m'invite a m'assoir face a elle, intrigué j'obéis, tu veux un coca Tonio, me lance ***ia?
Volontiers et quelques glaçons aussi.
Elle ouvre le frigo et me sert avec des glaçons un coca très frais en se retournant j'aperçois ses bouts de seins pointer sous sa blouse.

chrislebo

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***ia sourit et me demande ce que je regarde comme ça, un peu gêné au début je détourne les yeux.
***ia me dit qu'elle est veuve depuis peu, *** mari est mort, alors qu'il creusais un puis dans le jardin, d'une émanation de gaz.
Depuis elle vit seule.
Moi je suis toujours les yeux fixer sur ses seins, qui pointe bien sous le tissu de sa blouse.
***ia s'approche et me dit, je vois que j'te fait un peu d'effet Tonio, je n'avais pas remarquer que mon jeans était tendu.
***ia pose alors le verre sur la table et se penche vers moi, dépose un doux baiser sur mes lèvres et me sourit.
J'te trouve très mignon me dit ***ia, je lui réponds qu'elle est splendide et que ses seins ***t magnifiques, tu peux les toucher tu sais me dit ***ia et elle pose ma main sur sa blouse.
Le tissu collé sur ses seins, je passe lentement ma main et caresse ses tétons dessous, ***ia gémit lentement et se serre les lèvres, je glisse ma main sous sa blouse et palpe plus ses seins, je soulève sa blouse et aperçoit deux magnifiques seins que je m empresse de gober l'un après l'autre, ***ia se laisse aller et se cambre vers la table vitrée de la cuisine.
Je mordille ses tétons et descend une main sur *** leggings entre ses jambes, je la sent tremblante et frémissante.
***ia me dit, ca fait longtemps que per***ne ne m'a toucher et elle se relève devant moi, puis s'écarte un peu, je repousse la chaise et ***ia me dit qu'elle aime particulièrement prendre les choses en main.
Je reste assis sur la chaise.
Tu sais Tonio, je suis prête à tout sauf à avaler me dit ***ia et pose sa main sur ma queue déjà bien tendue dans mon jeans.
***ia dégrafe mon jeans et le fait tomber sur le sol, elle baise mon caleçon noir moulant et sort ma queue de 17cm par 6 de diamètre tendue.
Hummm quel belle bite dit ***ia et l'embrase sur toute la longueur, mon mari était aussi gros mais pas si long Tonio.
***ia cambrée du haut de ses jambes ses seins à l'air, gobe toute ma bite dans sa bouche et la garde quelque instant au fond de sa gorge, elle me regarde droit dans les yeux et commence un va et viens avec sa bouche sur ma queue, quel bouche ***ia, avale moi bien, comme ça oui. J'ai omis de vous signaler qu'elle à un piercing sur la langue se qui accentue encore plus la pipe!!!
***ia me branle alors en même temps, je sent alors mon sperme sur le point de gicler une première fois et retire ***ia.
Tu veux pas jouir dans ma bouche Tonio?
Mais tu m'a dit que tu n'avaler pas ***ia?
Beh oui mais je recrache tout par la suite Tonio et elle se rue alors sur ma bite et me suce plus fort encore, je ne peux me retenir que quelques instant et lui lâche alors de grosse giclée en bouche, elle en avale quelques gouttes puis en me suçant je vois mon sperme sortir de sa bouche, hummmmmmmmmm oui ***ia avale moi bien encore.........
Puis ***ia se relève la bouche pleine de sperme et recrache tout dans un verre.
La suite très bientôt...
chrislebo

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***ia se relève alors et crache mon sperme dans un verre, soudain sa petite fille crie, ***ia monte à l'étage calmer sa fille et revient dans la cuisine, cette fois en tenue plus sexy.
Elle porte une nuisette avec les seins sortis et nue en dessous, je peux voir sa chatte rasée et *** cul se dandiner dans l 'escalier.
Tu ne vas pas en rester là tonio, me dit ***ia?
J'ai très envie de sentir ta bonne grosse bite me défoncer et tu sais que j'aime prendre les choses en main.
***ia arrive vers moi et me reprend la bite en bouche, elle palpe mes couilles et descend un doigt vers l'entrée de mon cul, cela me fait bander plus fort encore dans sa bouche et ***ia me sourit avec ma queue entière dans sa bouche.
Elle me doigte plus profond le cul et je gémit, hummmmm ***ia, per***ne ne m'avait jamais fait ça, j'ai un peu mal au début mais la suite est meilleur.
une fois ma queue durcit à nouveau, ***ia se redresse et se cambre, les seins sur la table vitrée de la cuisine et m'ordonne de lui lécher la chatte.
J'en meurs d'envie je lui lance, je m'agenouille sous ***ia et ma langue glisse lentement sur toute la longueur de sa chatte.
Hummmmmmm encore Tonio...........
Enfonce ta langue................
ma langue entre dans sa chatte qui dégouline à grosse goutte.
OHHHHHHHHHHHHHHHHHHH vas-y salop bouffe moi la chatte lance ***ia.......
Surpris d'entendre ses paroles sortir de sa bouche, j'aspire alors *** clito en bouche et le mordille.
OHHHOUIIII t'arrête pas: putain mange mon clito...........
je pose deux doigts sur *** cul et les entre d'un coup sec.
AIE OHHHHHHHHHHHHHHHHHH PLUS fort tonio..............;
mes doigts fouille alors *** cul et je mord plus fort *** clito.
D'un coup la chatte de ***ia se mets à pisser,
OHHHHHHHHHHHHHHHJE JOUIIIIIIIIIIIIIII me crie ***ia, mes doigts entièrement dans *** cul et sa pisse m'inonde le visage.
Mais je ne veux pas en rester là et ***ia non plus, je me redresse et d'un grand coup de rein, j'encule ***ia.
Ma queue pénètre *** cul violemment.
OHHHHHHHHHHHHHHHHH TONIOOOOOOOOOOOOOOO
Ca fait si longtemps, mes couilles claque sur *** clito et j'accéler le va et vient

OHHHHHHHHHH OUIIIIIIIII DEFONCE MON CUL SALOPARD............

chrislebo

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#6,984
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je pose alors deux doigts sur sa chatte et les entre bien à fond, ma bite fait de long va et vient en sortant à chaque fois dans *** cul ce qui fait hurler plus encore ***ia.


PUTAIN quelle bite Tonio...........


Je sors alors de *** cul et entre dans sa chatte, pour mieux la baiser.

***ia écarte plus les jambes et ma queue entre au fond de sa chatte, HUMMMMMMMMMMM c'est trop bon Tonio baise moi bien mon sale petit chauffeur ..................


Je sens alors le sperme monter dans ma bite qui défonce les deux trous ouvert de ***ia.

Je veux te gicler sur les seins ***ia viens là devant moi
***ia me sourit, s'agenouille devant moi, Viens Tonio gicle sur moi


J'me branle qq instants devant *** visage, ***ia ouvre sa bouche et sort sa langue avec *** piercing bleu

OHHHHHHHHHHHHH, ***iaaaaaaaaaaaaaaaaa mon sperme gicle à gros jets sur *** visage et recouvre ses seins.

***ia reçoit du sperme dans sa bouche et le recrache sur ses seins..........


Je colle ma bite au fond de la gorge de ***ia et elle avale toute ma queue pour la nettoyer.

***ia se relève et se passe les mains sur ses seins recouvert de mon sperme et les enduit


***ia se lèche les doigts et viens m'embrasser d'un long baiser tendre.

chrislebo

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#6,985
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Lettres d'une femme mariée
Mon chéri,
La clé que tu trouveras dans cette enveloppe est celle du vieux secrétaire du grenier. En l'ouvrant tu découvriras dans la partie droite plusieurs liasses de lettres qui te sont adressées.
Je sais qu'en les lisant, je vais te faire de la peine... J'ai la certitude, pourtant aujourd'hui encore, que je ne pouvais agir autrement !

À côté de notre vie quotidienne faite d'un amour si tendre où tu as su m'apporter tant de satisfactions, je me suis mise à vivre une vie parallèle.
Cette autre vie, c'est aussi la mienne.

Cette Lauranne que tu n'as pu connaître et qui est pourtant bien ta femme, je ne sais si tu auras le courage de la découvrir. À la fois je le désire et je le redoute.
Je veux en tous cas que tu saches que je n'ai jamais douté de mon amour pour toi. Cet amour s'est seulement transformé.
Si tu pouvais seulement, malgré tout ce qu'ils te révèlent, découvrir cette succession de récits comme un témoignage réel, bien que singulier, de mon amour pour toi.
La relation que j'ai avec celui qui n'était à tes yeux que mon patron est venue s'immiscer dans l'espace qui existait entre nous. C'est un monde où la passion est aussi importante que la tendresse.
J'espère que tu comprendras que la situation que j'ai voulu te décrire n'a pas été simple à vivre pour moi, dans un moment où tu étais finalement toi-même plutôt insouciant. Je ne pouvais évidemment me confier à toi directement, mais tu as bénéficié, sans le savoir, des débordements de désir et de tendresse que cette relation nouvelle a révélés en moi.
Ma fidélité, d'une certaine manière, je l'ai mise toute entière dans celle à te rapporter les faits tels que je les ai vécus dans les moindres détails.
Pourtant, je dois reconnaître que la description qui t'est faite est tout sauf celle d'une épouse fidèle !
Mon nouvel employeur a exigé dès le début que je rédige cette correspondance régulière comme un gage indéfectible de l'attachement que j'avais pour lui. Il m'a avoué bien plus tard que cela l'excitait beaucoup d'imaginer qu'un jour, je pourrais être prête à tout te révéler en assumant pleinement mes actes dès que ce serait possible, c'est à dire dès que j'aurais quitté définitivement le foyer conjugal...
Il était convenu dès le début, que je garde cet espace de liberté de ne pas lui faire lire certaines de mes lettres, si je le désirais. Il voulait ainsi que j'exprime mes sentiments avec la plus grande sincérité. Mais il lui arrivait cependant régulièrement de me demander de lui en dévoiler une de mon choix qu'il souhaitait que je lui lise à voix haute, ce qui le rendait fou d'excitation.
Ainsi, souvent, après la lecture de celle-ci, il me faisait l'amour.
Cela peut te paraître incroyable, mais j'avais l'impression dans ces moments-là d'être un peu avec toi, de ne pas réellement te tromper, puisque j'allais un jour tout te révéler, même si cela devait l'être bien des jours plus tard.
Paradoxalement, te décrire avec la plus grande franchise ma relation passionnelle avec celui qui, pour toi, n'est que le patron de mon agence, me rapprochait en quelque sorte de toi. Je crois que tu as dû ressentir quelque chose, car j'avais l'impression que tu devenais plus amoureux à la mesure de l'amour naissant qui grandissait en moi, sans que tu le saches alors, pour un autre homme. D'ailleurs tu me disais souvent ne m'avoir jamais vue aussi radieuse.
Maintenant que les enfants sont partis faire leur vie, je sais que tu auras la ressource de refaire la tienne, si ce n'est de m'oublier. Tu es un homme séduisant et beau qui sait apporter le confort et le réconfort, et tu n'auras pas de mal à séduire d'autres femmes.
Quant à moi, je ne pouvais plus continuer à vivre dans cette double réalité.
Je ne pouvais éternellement te mentir.
J'ai conscience que cette révélation me sépare définitivement de toi et de cette vie douillette et tendre qui, pendant de longues années, a été la mienne.
Sache que, si je ne me suis jamais sentie aussi heureuse, c'est en grande partie grâce à toi. Mais ce que m'apporte cet homme, tu ne peux pas me l'offrir, et d'ailleurs je n'aurais jamais osé te le demander.
Il est inutile que tu cherches à me contacter. Nous avons tout mis en place pendant ces derniers jours pour ne pas être joignables. Je peux seulement te dire que nous voyagerons beaucoup et que je ne cesserai probablement pas de t'écrire, mais je ne t'enverrai mes lettres qu'en quittant les lieux où je les aurais rédigées.
Je te couvre une dernière fois de mille baisers, mon petit mari chéri que j'aurais aimé pouvoir serrer une dernière fois dans mes bras.
Ta femme qui t'aime

chrislebo

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#6,986
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lundi 27 avril

Mon cœur,
Je viens de quitter l'agence et, avant de venir te rejoindre, je me suis installée dans le café d'en face.
Il y a beaucoup de bruits autour de moi, mais cette agitation ne me dérange pas...

Je suis sur un petit nuage !... Je ne sais comment te décrire ce que je ressens. Il y a la joie, bien sûr, de me sentir redevenir quelqu'un, maintenant que j'ai à nouveau un travail, mais aussi de l'excitation qui me rappelle l'exaltation que j'avais lorsque j'étais collégienne et que j'étais tombée sous le charme d'un garçon pour la première fois !
Aussi, je ressens une fébrilité un peu folle à écrire ces lignes, et même si je sais que c'est absurde, je crois que je me sens amoureuse.
J'avais préparé cet entretien en ayant conscience que dans ce genre de rencontre il y a toujours une part de séduction.

Tu m'as d'ailleurs encouragée à porter ce tailleur qui, selon toi, m'allait à ravir, parce qu'il mettait en valeur ma « jolie silhouette ». Tu me disais aussi que l'on pouvait apprécier davantage la finesse de ma taille et l'honnête volume de ma poitrine, dont je dois avouer être assez fière. Et puis, il y avait ce généreux décolleté que tu m'as encouragée à mettre et que tu m'as assuré n'être pas vulgaire. Tu m'as même incitée à mettre des porte-jarretelles et ces bas de soie au discret motif. Ceux-là même que je ne porte d'habitude que pour te séduire davantage ou lorsque nous allons à une soirée et cela, malgré le fait que je dévoile largement mes jambes sous cette jupe moulante, fendue sur le côté.
À vrai dire, il a fallu tous tes talents de persuasion pour me convaincre de m'habiller ainsi, alors que je craignais que le relief de mes jarretelles soit visible pour un œil attentif, sous la finesse du tissu.

Pour toi, cette sensualité que je dissimulais sous mes vêtements me rendait encore plus radieuse et plus « femme », et mettait ainsi toutes les chances de mon côté dans un tel entretien pour un métier de relation avec la clientèle.

Tu me disais l'importance de la première impression lors d'un entretien d'embauche.
J'ai conscience de pouvoir plaire aux hommes. Du moins, je me sais désirable, tout en sachant l'aspect superficiel et intéressé du regard qu'ils portent souvent sur moi.
Durant mes études, j'avais de nombreux garçons qui me tournaient autour, mais j'étais aussi très timide, et les quelques aventures que j'ai eues avant de te rencontrer n'étaient en rien torrides.
Avec toi, Damien, j'ai connu quelque chose de fort, même si je soupçonne, précisément à cet instant, que ce n'était pas de la passion. Tu étais beau, gentil et rassurant, et tu avais de l'argent, ce qui ne gâchait rien, pour moi qui était d'une origine plus modeste.

Nous avons, durant des années, construit notre vie selon mes désirs, et nos deux enfants ont pu eux-mêmes accéder au confort matériel et à la jouissance d'une relation stable et heureuse.
Mais aujourd'hui, je me sens bouleversée et ce que je viens de vivre, je ne m'en croyais pas capable !
J'étais très intimidée en rentrant dans l'agence. Pour m'accueillir, une jeune femme et un jeune homme à la fois beaux et avenants m'orientèrent vers la porte du bureau du patron en me demandant de patienter un instant. En attendant, je me mis à feuilleter des magazines de voyages qui ne parvenaient pas à capter mon attention.J'étais distraite par la voix grave qui me parvenait derrière la porte. Visiblement celui qui devait m'accueillir avait une discussion plutôt vive au téléphone avec *** interlocuteur.

Avant même de le voir, je me rappelle de ce côté vulgaire qui est si étranger à toi :
— Espèce de connard ! Tu n'es qu'un petit branleur ! J'attends cette livrai*** depuis une semaine ! Démerde-toi, sinon t'auras affaire à moi !


On ne peut pas dire que cela me rassurait.

Il s'écoula encore quelques minutes, lorsque la porte s'entrouvrit.

Avant de le décrire, je dois te parler de l'expression de *** visage qui curieusement me laisse un souvenir ému. Il était visiblement encore sous l'effet de la colère, mais lorsqu'il a levé les yeux sur moi, il s'est soudain attendri pour me gratifier d'un sourire radieux qui contrastait violemment avec ce que je venais d'entendre.
*** attitude était même un peu mielleuse, mais curieusement tout cela me flattait.

Il me fit asseoir face à *** bureau et je me souviens du trouble rencontré, alors que j'étais en train de le dévisager, pendant les fractions de secondes qu'il mit pour s'installer face à moi.
Il y avait avant tout, cette odeur capiteuse qui saturait l'atmosphère et que j'aurais jugé vulgaire sur un autre que lui, mais que je ne jugeais pas.

Sa corpulence était un peu massive, voire trapue, encore une fois à l'opposé de toi, avec un ventre plutôt proéminent, propre à la cinquantaine de celui qui se laisse un peu aller.

Lorsqu'il commença à s'asseoir derrière *** bureau dont la transparence me laissait distinguer sa silhouette enrobée, mais cette fois-ci de face, je découvris un visage qui n'était ni beau, ni laid, de type méditerranéen, pas très bien rasé. Je percevais des cernes sous ses yeux, ce que je mis sous le compte de la charge de travail d'un homme tel que lui qui a des responsabilités.
Il était maintenant calé dans *** fauteuil et *** attitude était plus qu'affable. Il semblait ravi comme un enfant qui découvre un nouveau jouet, mais je lisais dans *** regard bien plus qu'un désir enfantin.

J'arrêtai de l'observer avec trop d'insistance car sa façon de me scruter devenait pesante et me mit mal à l'aise. C'était à *** tour de me dévisager, ou plutôt de me déshabiller du regard.
Nous avions à peine échangé une parole que je me sentis prise d'un trouble totalement nouveau.

J'ai parlé de *** visage qui était quelconque, mais ce qui l'était moins, c'était ses yeux noirs à l'expression intense à cet instant et qui, lorsqu'ils croisèrent les miens, après s'être attardés de façon interminable sur diverses parties de mon corps, me semblèrent d'une profondeur in***dable comme si je devais m'y noyer !
J'étais complètement accrochée par ce regard que je soutins pendant plusieurs secondes, tout en réalisant qu'une telle attitude pouvait être interprétée comme l'aveu impudique d'un désir de femme pour un inconnu.

En vérité c'était comme si, en me dévisageant, il venait littéralement de lire en moi et que je ne devais rien devoir lui cacher !
— Vous êtes absolument ravissante ! Je dois avouer que je ne m'attendais pas.


Il se ravisa alors, comme s'il avait peur de se livrer davantage...
— Êtes-vous très motivée par ce travail ?


Je lui répondis franchement qu'il correspondait exactement à ce que j'attendais. Mais il continua aussitôt :
— C'est quelque chose que je ne dis jamais, surtout lors d'un premier entretien, mais je dois avouer que j'aimerais vraiment voir une femme telle que vous travailler avec moi ! Je sais combien une per***ne aussi belle peut présenter d'atout dans une agence telle que la notre, dont l'objectif premier est d'apporter du rêve, de l'évasion.


Il marqua alors une pause. Je me sentais terriblement tendue et en même temps excitée par ses propos. L'attention qu'il venait de me porter et cette douce sensation de dépendance, faisait que je me sentais totalement en sa possession et prête à accepter bien des choses. Mais, j'étais en même temps troublée parce que je n'avais pas même montré mes compétences pour ce poste, et je craignais qu'il se méprenne sur la femme que j'étais vraiment.
— J'ai aussi des exigences qui peut-être vous paraîtront bizarres... mais j'attends un engagement sans faille de la part de mes employés. Il est très important pour moi que vous sachiez bien que c'est moi qui décide de ce qui se passe ici. Il faut que vous ayez toujours présent à l'esprit qu'à la base du sérieux que j'exige de vous dans une telle activité, ce que j'attends, c'est surtout que vous me soyez fidèle !


Ce mot fidèle me paru immédiatement dans toute *** ambiguïté mais celui qui était déjà mon nouveau patron, dissipa celle-ci d'une façon encore plus troublante :
— Vous dites dans votre CV que vous êtes mariée.
— En effet.
— Vos enfants ne vivent plus avec vous ?


J'étais étonnée par cette remarque, mais je n'hésitai pas à lui répondre :
— Le dernier vient tout juste de se marier.
— Parfait ! Je pense que vous êtes naturellement très attachée à votre mari, aussi je vous demanderai un travail régulier en dehors des heures à l'agence qui, si vous l'acceptez, vaudra acceptation d'embauche.


Encore une fois, il y eut un long silence pendant lequel j'observai ses doigts un peu trapus mais, tout en pensant à la finesse de tes propres mains, mon chéri, je réalisai que j'avais envie de toucher ou d'être touchée par ces mains là.
— Ce que j'attends de vous, c'est que vous écriviez régulièrement une lettre à votre mari, mais que vous la gardiez près de vous. Ce que je veux, c'est que vous y exprimiez avec la plus grande franchise possible ce que vous ressentez à mon égard et, pour que cela soit possible, je vous demande de garder ces lettres dans un endroit qui soit secret aussi pour moi-même. De temps en temps, je vous demanderai seulement de me lire une d'entre-elles de votre choix. C'est pour moi un gage de fidélité indispensable pour une bonne relation de travail ! Bien sûr, per***ne d'autre que vous, que moi-même ou que votre mari un jour, ne doit prendre connaissance de l'existence de cette correspondance !


Je ne m'attendais évidemment pas à un tel contrat ! Avant même d'avoir réfléchi, je me mis pourtant à lui répondre, ce que j'aurais répondu à n'importe quelle question :
— C'est comme vous voudrez.


Il n'en fallait pas plus pour le contenter, au moins pour le moment, car il se releva et il ne m'échappait pas que ses yeux s'attardaient pesamment sur ce qu'il pouvait voir de ma poitrine alors que j'attendais pour ma part un signal avant de me redresser. Tout en contournant le bureau, je sentis *** regard glisser sur mes cuisses.
Il me prit la main comme on prend la main d'une « dame », à l'ancienne, pour me faire signe de me relever. Ses doigts étaient brûlants et sa peau un peu moite.

J'étais maintenant debout face à lui, à quelques centimètres, et *** parfum puissant, un peu trop fort, emplissait mes narines.

Il me regardait à nouveau de la tête aux pieds sans dire un mot ! Je n'ai jamais ressenti ça à un tel point et surtout aussi vite, mais j'avais une envie folle qu'il me prenne dans ses bras et qu'il me serre très fort contre lui !

Au lieu de cela, il a reculé d'un pas et m'a adressé un large sourire :
— À demain ! J'ai déjà confiance en vous et je pense que vous ne me décevrez pas ! J'espère que vous avez confiance en moi...


Je me mis alors à lui sourire à mon tour et j'étais assez fière de parvenir à ne pas rougir devant lui. Mais alors, il m'adressa à nouveau la parole !
— C'est une très bonne idée d'avoir mis des porte-jarretelles. J'adore les femmes qui portent des sous-vêtements sexy, n'hésitez surtout pas les jours suivants !


Cette fois je devais être écarlate et je n'osai plus croiser *** regard en quittant la pièce, comme une gamine prise en faute !

chrislebo

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#6,987
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mardi 28 avril

Mon tendre chéri,
Hier, de retour de mon premier rendez-vous, tu m'as complimentée sur mon tailleur fuchsia qui découvrait mes « superbes » jambes gainées de soie à mi-cuisse.

Je venais à peine d'être embauchée par celui qui n'était alors que mon nouvel employeur, mais je me souviens t'avoir embrassé avec toute l'énergie possible. Tu me trouvas vraiment sensuelle et j'avoue que tes propos n'ont fait que confirmer ce que je devinais ce jour-là. Mon bonheur n'était pas dû au simple fait d'avoir enfin trouvé du travail !
J'étais, bien sûr, heureuse de retrouver un poste dans une agence de voyage qui correspondait parfaitement à ma formation et à mon désir, mais l'entretien que je venais de passer, telle une élève appliquée auprès de mon nouveau patron, avait produit un curieux effet.
Au retour de ce premier rendez-vous, j'avais une envie si forte de toi, que je t'ai léché avidement les lèvres pour te pénétrer de ma langue. Tu m'as *********** agrippé les fesses sous l'effet de la surprise. Pendant que tu caressais le haut de mes cuisses nues, en frôlant du bout des doigts mes porte-jarretelles... J'ai alors fait sauter l'agrafe de mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine. Je portai ce jour-là un chemisier de satin et j'éprouve encore de l'émotion en pensant aux caresses de mes bouts de seins gonflés contre ton torse.
Je n'ai pu m'empêcher de te pousser doucement vers notre chambre tout en continuant à t'embrasser, comme si je devais boire un divin nectar issu de tes lèvres. Je me suis mise alors torse nu et puis j'ai libéré ton sexe déjà gorgé de désir ! J'ai arraché ma culotte et relevé ma jupe pour faire glisser ton membre dans mon intimité que je savais déjà chaude et onctueuse.
J'avais envie de te regarder fixement, et le fait de te sentir en moi m'apaisa.

En même temps, alors que je savourai ta présence, je pensai à lui... à cet homme que je venais de rencontrer et qui avait eu le pouvoir de me trouver enfin un travail.
J'avais désormais besoin, plus que tout, de tendresse, et cette envie folle de partager jusqu'à la duplicité de mon émoi. J'aurais voulu même, si j'avais cru cela possible, que tu sois mon confident, mon complice.
Je t'ai parlé de *** âge, la cinquantaine et du fait qu'il m'avait mise tout de suite à l'aise.

Tout en continuant de parler, je te massai la verge doucement avec mon sexe.

Je t'ai dit qu'il m'avait demandé de parler de mes motivations et que j'avais alors exprimé combien je désirais ce poste. Pendant ce temps, je te gardai en moi en bougeant le bassin avec une lenteur voluptueuse et, alors que je te chevauchai, ma voix était à peine altérée par de faibles soupirs de jouissance.
Je t'ai alors parlé de *** ton flatteur en me disant que je correspondais exactement au profil qu'il recherchait.

J'ai ressenti à cet instant que le fait de continuer, malgré tout, à te parler de cet homme devait te troubler.

Ta voix n'était pas habituelle lorsque, comme un garçon timide, tu t'es mis à me demander s'il avait cherché à me séduire. Curieusement, était-ce sous l'effet de la jouissance, alors que je ne cessai de te caresser de mon vagin, ou parce que je me sentis alors avoir un pouvoir sur toi, je me souviens avoir esquissé un sourire en te disant que tu plaisantais, que c'était un entretien purement professionnel et qu'il avait été très correct.
Tu étais persuadé en tout cas que je lui avais « tapé dans l'œil », et tu m'as dit alors ne jamais m'avoir vue aussi radieuse !

Je sais que je souriais vraiment et essentiellement cette fois parce que j'étais flattée. Alors que je me laissai envahir par le plaisir, mes yeux cherchèrent vainement à croiser les tiens, mais je n'arrivai plus à me contrôler et je me sentis partir...
Avec le recul, je crois avoir été totalement impudique en t'offrant le contact de mon postérieur se frottant contre tes doigts et le spectacle de mon abricot d'amour presque imberbe qui coulissa sur ta verge tout en la lubrifiant...
Et puis il y avait surtout le fait de continuer à te parler, sans plus réaliser ce que je disais.

Je me souviens t'avoir dit qu'il n'était pas sans charme mais pas très beau non plus. Un peu trop enrobé et, qu'au moins dans *** apparence, il ne devrait pas te plaire, avec *** côté un peu m'as-tu-vu et macho. Et puis j'ai dû t'avouer que malgré tout, il me faisait bonne impression, qu'il m'inspirait confiance.

Ce dont je me souviens aussi, c'est que ce jour-là, j'ai joui comme cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps...
Plus tard dans la soirée, j'ai pensé que j'étais peut-être allée trop loin et, qu'en te montrant à quel point j'étais excitée, tu devrais forcément te douter qu'il s'était passé quelque chose.
Mais ce matin, quand je suis partie avec ma jupe blanche plus courte encore que la veille et un chemisier échancré, je n'ai senti aucun reproche de ta part ; plutôt un sentiment de fierté, puisque tu m'as dit que j'étais plus séduisante et plus belle que jamais.
Ce que tu n'as pas remarqué ce jour là, c'est que j'avais encore mis des porte-jarretelles et ce n'était pas, cette fois, sur tes conseils. Et qu'il suffirait que je sois assise, pour qu'apparaissent au-dessus de mes bas de soie claire, le haut de mes cuisses nues ! J'avais mis également une fine culotte de dentelles qui, par de menus frottements à chacun de mes pas, agaçait délicieusement mes petites lèvres.
Arrivée à l'agence, je ne le vis tout d'abord pas. Et puis en entrant dans *** bureau, il me gratifia d'un bonjour un peu sec sans même lever *** regard vers mon visage. En le voyant essentiellement attiré par les courbes de ma silhouette, je ne pus m'empêcher de penser à *** côté décidément rustre et macho ! Mais dès qu'il a plongé ses yeux dans les miens, j'étais à nouveau prête à fondre.
Il m'a demandé de l'attendre dans *** bureau tout en lisant le dossier de présentation de mon nouveau travail.

Il n'y avait là rien que de très classique pour moi à l'égard d'un métier que j'avais déjà exercé. Il insistait sur le devoir d'information à la clientèle, la capacité à convaincre, l'appât qu'il fallait exploiter concernant les promotions, le fait de donner le sentiment que l'offre proposée avait quelque chose d'unique, même pour les produits standards. Bien sûr, l'accent était mis sur la patience et l'amabilité. Tout cela me paraissait tout à fait naturel et, dans ce document officiel, il n'était évidemment pas question du contrat bien particulier qui me liait à mon patron.
À vrai dire, je ne savais pas quelle était la nature profonde de ses exigences, même si le simple fait d'écrire ces lettres singulières qui t'étaient adressées, impliquait d'évidence des rapports bien plus étroits que ceux que l'on entretient d'habitude avec un supérieur. Il m'a dit ensuite, en quittant la pièce, de revenir dans quelques instants.
J'étais assez tendue, une fois la lecture du rapport achevée, et l'attente me parut interminable.

J'ai eu alors le loisir d'observer certains objets qui parsemaient *** bureau.

Il y avait quelques petites figurines d'origines diverses qui, bien que discrètes, lorsqu'on y prêtait une réelle attention avaient toutes en commun leur caractère sexuel explicite : que ce soit cette Vénus africaine en ivoire, à la poitrine et au fessier généreux ou un phallus dressé qui basculait de façon lancinante, à côté d'un coupe-papier aux motifs également érotiques.
Outre les inévitables photos de paysages paradisiaques, se trouvaient aux angles opposés de la pièce, un peu dans la pénombre et visibles de *** seul bureau, des photos « artistiques » de femmes passablement dénudées et lascives, aux origines les plus diverses. S'il en était besoin, j'avais la confirmation du goût certain de mon employeur pour les jolies femmes.
Il y avait ainsi une superbe Noire à la poitrine arrogante, dont le corps quasi-nu recouvert d'huile, brillait sous un soleil de plomb. Plus loin, une Asiatique au corps menu, bien que parée d'un voile de soie, ne masquait pas grand chose de *** anatomie, sous l'effet à la fois de l'humidité moite qui faisait adhérer le tissu à sa peau et d'une lumière directe qui révélait *** entrecuisse à la sortie d'un bain. Plus loin encore, c'était une Indienne dans une position plus impudique encore, parce qu'elle paraissait dérobée par le photographe, qui soulevait *** sari pour se livrer à des ablutions intimes...
Mais ma « petite visite » fut interrompue par le bruit de ses pas.

Quand la porte s'ouvrit, je ne pus m'empêcher de sursauter. C'était déjà la deuxième fois que je me sentais prise en faute...
— Mes photos vous plaisent ?


Cette fois, je ne savais quoi répondre.

Dans ma tenue « d'hôtesse d'accueil » apprêtée avec soin, je me sentais mal à l'aise. Sans doute qu'il ressentit cette situation puisque ses premiers mots furent pour me rassurer.
— Vous êtes parfaite ! Je vois que vous avez le sens de ce qui peut plaire à la clientèle. Vous êtes à la fois tout à fait classe et, en même temps, diablement séduisante dans ce petit tailleur qui met vos formes délicieuses particulièrement en valeur.


Je n'étais pas insensible à toutes ces flatteries qui émanaient de l'homme auquel je n'avais cessé de penser lorsque j'avais choisi soigneusement ces vêtements.
— Est-ce que vous avez commencé à rédiger vos lettres ?


Je lui ai répondu que oui, aussi naturellement que si j'avais terminé de taper un rapport de travail.
— Rassurez-vous, je ne vous demanderai pas tout de suite de m'en faire la lecture. Il faut au moins que vous ayez le choix entre plusieurs.


Je savais que je m'étais soumise à ces comptes-rendus ************* sans savoir encore à quelle occasion tu pourrais toi-même les lire. Mais je ne lui posai pas davantage de questions.
— Je vais vous laisser auprès de Muriel et d'Andrew à la boutique pour qu'ils vous accompagnent dans votre première confrontation à la clientèle. Mais je sais, de toute façon, que vous ne me décevrez pas ! Par contre, j'aimerais vous demander pour aujourd'hui une dernière faveur.


Curieusement, je devinai encore une fois que je ne pourrais que lui dire oui, alors que j'ignorais la nature même de sa requête...
— Je voudrais que vous me montriez ce que vous cachez sous votre jupe pour savoir si... si vous êtes attentive à ce que je vous ai dit.


Je ne pus m'empêcher de penser alors au tableau de l'Indienne que je venais de voir.

Pour ne rien faire paraître de mon émotion, je décidai de regarder fixement cette photo. Je n'étais plus moi-même, c'était comme s'il venait de s'adresser à une autre que moi. Je m'aperçus pourtant alors, que le plus simplement du monde... c'était bien moi, ta petite femme d'habitude si timide, qui était en train lentement de relever sa jupe de mi-cuisse jusqu'à la taille !
J'étais littéralement sous *** emprise et je réalisai que, si telle était sa volonté, il était capable de m'emmener très loin, dans des territoires pour moi aussi inconnus que la plupart de ces destinations qu'il me fallait aider à vendre pour le satisfaire.
Curieusement le temps paraissait suspendu et je n'entendis bientôt plus que le frottement du tissu sur mes bas, sur mes dessous de dentelle et ma peau nue.

Ensuite ce fut le doux bruit de sa respiration lente et profonde alors qu'il s'était placé à genoux sans que je m'en sois rendue-compte. *** visage était proche, au point que je sente la douce caresse de *** souffle entre mes cuisses.
Je ne pus réfréner mon envie de baisser les yeux pour découvrir mon patron prostré, comme en prière, qui semblait fasciné par le spectacle de mon intimité parée de minces pièces d'étoffe et de dentelle.
Je ne sais combien de temps tout cela a pu durer, mais comme la veille, un désir irrépressible commençait à me gagner. Ce n'étais plus me serrer entre ses bras qui aurait pu alors me satisfaire... mais qu'il enfouisse sa tête entre mes cuisses et qu'il y fourre sa langue comme un chien gourmand pour y goûter un succulent nectar !
J'avais l'impression que j'allais vaciller sur mes jambes qui se tendaient sous l'effet d'une excitation grandissante, quand il se releva en s'appuyant à mes poignets, pour les abaisser doucement, afin que je rajuste ma jupe.
— J'avais envie de voir ce que vous allez cacher aux clients de l'agence alors qu'ils seront si près de vous... et que vous avez peut-être caché à votre mari !


C'est vrai que je n'ai pas voulu, dès aujourd'hui, te mettre dans la confidence des dessous sexy que j'ai décidé de porter. C'est un secret intime, que finalement je n'étais prête à partager qu'avec mon troublant employeur. Je pense que tu ne peux pas comprendre... même si je sais qu'à partir de maintenant, plus je te dissimulerai de choses sur la nature de cette relation nouvelle, plus un fossé irrémédiable risquera de se creuser entre nous...
En même temps ma conscience se libère un peu, à l'idée qu'un jour tu liras ce texte et qu'ainsi ce men***ge trop lourd à porter te sera révélé...
Ton épouse pleine de pensées tendres pour *** mari...
chrislebo

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mercredi 29 avril

Mon amour,
Tu peux penser que les mots tendres qui ponctuent mes lettres ont quelque chose d'artificiel voire d'un peu sadique. Je peux comprendre qu'ils soient cruels pour toi en ce moment où tant de vérités, sans doute douloureuses, te sont dévoilées ; mais sache que je n'y mets aucune malice... et que c'est même l'absence d'arrière-pensées qui m'interdit de feindre avec toi une artificielle froideur.
Si je t'appelle mon chéri, mon amour, c'est que malgré l'intensité de ce que je vis, malgré tous ces bouleversements et ceux que je suis peut-être amenée à connaître, je sais que tu resteras toujours un être cher auquel je ne pourrai m'empêcher de penser avec la plus grande tendresse. Cet amour qui a duré entre nous plusieurs années, rien ne peut nous le retirer. L'amour naissant que je te décris, autant que je le décris à moi-même, ne fait que succéder au nôtre, sans l'effacer pour autant. Je sais seulement qu'il ne peut y avoir de place dans une vie de femme comme la mienne pour deux hommes aussi importants que vous.
Tu dois te demander comment je peux te comparer à un être que je connais si peu, toi qui m'as tout donné ! Mais c'est précisément là le problème, aucun homme ne peut tout donner à une femme. Il se révèle en moi depuis si peu de temps des désirs, une soif de posséder, de vivre des sensations que tu ne pourras jamais m'offrir. Je ne peux pas t'en faire le reproche, et je me dis que tu feras sans doute une rencontre toi-même avec une femme qui t'offrira d'autres horizons et d'autres sensations... alors tu comprendras peut-être ce que je suis en train de vivre !
Bien sûr, tu dois penser que c'est facile pour moi de te dire cela aujourd'hui, moi qui partage ma vie entre deux hommes que j'aime. Ce que je peux admettre, c'est que t'écrire ces lettres c'est aussi pour moi la possibilité de rester avec toi à chaque instant où je suis avec lui, puisque je sais que j'aurai à t'en rendre compte...
Ta chérie qui t'aime tendrement.

chrislebo

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jeudi 30 avril

Mon doux chéri,
Excuse-moi ! Excuse-moi d'être si directe et si crue dans les descriptions que je vais te faire. Mais je suis tenue au compte rendu le plus sincère et je souhaite trahir le moins possible la vérité, à l'égard de lui, mais aussi de toi...
Je savais qu'en arrivant ce matin, il allait se passer quelque chose de plus sérieux et je ne me suis pas trompée. Pourtant tout avait commencé au contraire d'une façon banale. Michel était venu me voir, toujours avec ce regard « baladeur » et peut-être un peu inquisiteur, mais comme les autres jours, il semblait satisfait de ma tenue. Je ne souhaite pas m'attarder la dessus si ce n'est pour te dire que j'assume de plus en plus le fait de m'apprêter le matin dans le but premier de le séduire et de séduire, selon sa volonté, les clients de l'agence...
Ensuite, je ne l'ai pas revu de la matinée, mais l'activité était assez soutenue ce matin et je n'en n'ai pas trop souffert.

Je me souviens particulièrement d'un couple de jeunes mariés dont l'époux semblait plus attentif à la profondeur de mon décolleté qu'aux propositions de voyages que je leur présentais. Visiblement il aurait aimé découvrir autre chose que des contrées lointaines.
Alors que je ne voyais jamais Michel le midi, il s'est proposé de m'emmener au resto.

C'était un lieu fréquenté essentiellement par de jeunes cadres « actifs » du quartier de l'Opéra où se trouve notre agence. Il était visiblement fier de me faire passer pour sa maîtresse ! D'un certain côté avec ce qui s'était passé entre nous, je savais bien que notre relation, malgré la quasi absence de contact direct, avait déjà quelque chose de puissamment charnel !
En marchant dans la rue à ses côtés, je constatai pour la première fois qu'il n'était pas très grand. Bien sûr je portais des talons assez hauts, mais il arrivait tout juste à ma hauteur.

En nous regardant tous les deux alors qu'il venait de glisser sa main, un peu boudinée et toujours moite dans la mienne, comme si nous étions de jeunes amoureux, je ne pus m'empêcher de penser au contraste que nous formions aux yeux des passants qui nous croisaient sur le trottoir...
Lorsque je suis à tes côtés en public, j'ai l'impression parfois que nous offrons l'image d'un couple « équilibré » qui attire l'attention, un peu comme ceux qu'on voit dans les publicités. Nous sommes tous les deux grands et sveltes et je sais par expérience que tu as comme moi cette faculté de séduire d'emblée sans trop d'effort. Avec lui c'était différent. Je me rends compte que les regards plus encore qu'à tes côtés étaient focalisés sur moi.
Il faut dire que j'étais habillée de façon sexy et presque provocante avec ma jupe courte et fendue qui dévoilait mes cuisses. Mais cela était dû aussi à l'effet de contraste de mon « amoureux » à la démarche sans élégance, les pieds légèrement écartés, qui trahissait un côté trop sûr de lui, accentué par le fait qu'il portait une chemise largement ouverte. Sur *** torse parsemé de poils bruns reposait une lourde chaîne d'argent. La grosse chevalière qu'il avait à *** doigt ainsi qu'un bracelet assorti à sa chaîne accentuait *** aspect clinquant, un peu superficiel.
Il n'a rien des hommes qui m'ont jusqu'ici attirée, et peut-être bien que dans un autre contexte, je l'aurais trouvé ridicule. Mais aujourd'hui je suis à ses côtés, il me tient la main et je me sens bien !
Ces regards qui ***t plus encore focalisés sur moi en ces moments où je suis avec lui, finalement, ne ***t pas pour me déplaire. Il n'a ni ton élégance, ni ta beauté, mais peut-être que c'est cela qui me rassure.
Avec lui, je ne me sens pas en compétition et les quelques coups d'œil sarcastiques que je devine, qui laisseraient penser que je suis auprès de lui pour l'argent, me laissent indifférente. Et puis tu sais que ce n'est pas vrai ; qu'avec toi, je n'ai jamais manqué de rien, et si mon nouveau compagnon montre davantage « qu'il a du fric », il n'a probablement pas plus d'argent que toi... Bien sûr, il est « à l'aise » et cela a de l'importance pour moi et il faut avouer que cette aisance se traduit aussi par un comportement plus ostentatoire dans sa générosité pour moi.
Plus j'y pense et plus j'ai des rai***s de penser que tu détesterais faire sa connaissance. Que tu détesterais tout ce qu'il représente... De toute façon je ne souhaite pas votre rencontre et puis je doute qu'elle se réalise un jour.
Je pense que notre per***nalité est souvent faite de contradictions et que bien des souffrances résultent de ces confrontations subies entre deux désirs opposés. Je suis bien avec lui, je suis bien avec toi, mais être à vos côtés, indépendamment de la ******* de devoir penser à ce que chacun penserait de l'autre, c'est aussi mettre en relation deux parts contradictoires de ma véritable identité et me mettre ainsi en face de mes propres lâchetés !
Je préfère vivre ces relations en parallèle sans avoir la certitude encore de celle qui prendra le pas sur l'autre.
Pour revenir au déroulement de cette journée qui marque un tournant dans ma relation avec lui, nous nous sommes donc retrouvés au restaurant, pour la première fois longuement, l'un en face de l'autre.
Il m'a posé beaucoup de questions sur toi. Je ne lui ai rien caché de l'attachement que j'avais encore à ton égard et il en paraissait ravi ! Il l'était plus encore de constater, lorsqu'il a pris mes mains dans les siennes, que je ne me dérobai pas.
Il ne savait pas combien j'attendais cet instant d'un contact prolongé avec lui, combien je me sentais heureuse de pouvoir plonger mon regard dans le sien tout en buvant ses paroles si flatteuses.
— Vous ne pouvez pas savoir ce que cela représente pour moi, de partager ce précieux moment auprès d'une femme aussi belle que vous. Au risque de vous choquer, dès que je vous ai vue, je vous ai imaginée d'une façon précise... entièrement nue devant moi ! Comme si vous étiez l'apparition de la femme parfaite que j'ai toujours espéré rencontrer. J'avais l'impression de lire en vous un désir irrépressible que j'avais jusqu'ici gardé enfoui en moi. J'ai connu, je dois l'avouer, beaucoup de femmes, mais en vous voyant debout si proche, j'avais comme la révélation pour la première fois de percevoir ce qu'est vraiment la féminité.


Bien sûr, au fond, j'ai pensé que ce discours, il l'avait tenu avec bien d'autres femmes et je devine ta conviction à se sujet. Mais j'avais terriblement envie de le croire ! Comme la chaleur de ses mains, c'était une chaleur si douce qui m'enveloppait toute entière,jusqu'au bout de mes pieds. J'ai ressenti alors un léger picotement délicieusement sensuel qui bientôt fut perceptible à la pointe de mes seins.

Je sais que tu dois penser que je suis folle, que je te raconte là des histoires de midinettes. C'est peut-être vrai. Je crois que je suis folle de lui !
Tout doucement, il m'a demandé de me déchausser, pour moi aussi lui offrir la jouissance d'une « douce chaleur », celle du plat de mes pieds gainés de soie, caressant les siens.
Nous sommes restés longtemps comme cela après le dessert, pour en savourer un plus succulent encore, celui de ce plaisir tactile, sensuel, éminemment sexuel aussi, comme si malgré la table qui nous séparait, nous ne formions qu'un, dans l'entrelacement de nos mains, les caresses de nos pieds presque nus...
Comme la veille, j'étais soudainement possédée d'un désir terriblement violent et irrationnel. Un instant j'eus la vision exquise de cet homme se jetant sur moi pour m'arracher mes vêtements et me pénétrer à même le sol. Ce qui me tira de ma rêverie, c'est le regard de concupiscence avide qu'il porta clairement sur moi comme s'il était au même instant animé des mêmes intentions.
Je ressentis dans tout mon être ce qu'il m'avait dit tout à l'heure. C'était comme si j'étais vraiment nue devant lui ! Il semblait deviner avec une telle ardeur ce que dissimulaient mes vêtements que je me sentis plus impudique encore, ici au milieu de ce restaurant, que si je m'étais retrouvée dans le plus simple appareil dans un lieu plus intime.
— J'ai envie que nous partions d'ici !... Voulez-vous revenir dans mon bureau ?


Cette phrase suscita chez moi un sourire involontaire lié au souvenir des douces paroles, pas si lointaines, où il me conviait pour la première fois à pénétrer dans *** lieu de travail.

En revenant dans la rue, main dans la main, j'aurais voulu encore ignorer la présence des passants pour le voir réaliser un désir fou : qu'il vienne glisser ses doigts chauds et humides sous ma petite culotte, qui l'était bien davantage !
Quelques instants plus tard, c'est précisément dans *** bureau que nous nous retrouvions et que je me dis qu'enfin il allait faire cesser mon supplice. Mais au lieu de se jeter sur moi, il me demanda à nouveau de m'asseoir et s'installa dans *** fauteuil !

Je me trouvais démunie. Je ne savais ce qu'il attendait ! J'avais tellement à lui offrir.
Au bout d'un instant qui me paru interminable, il fit glisser *** siège vers le mien pour se retrouver assis face à moi. Il se baissa alors et pris délicatement ma cheville droite pour la relever avec la même attention que celle que l'on porterait à cueillir une fleur fragile. À vrai dire, je ne me sentais plus du tout forte à ce moment là, et je me serais bien laissée cueillir toute entière.
Pour l'instant il ne semblait convoiter que l'extrémité de ma jambe. Il se mit à me masser délicieusement la cheville, remontant doucement jusqu'au mollet et au pli du genou mais, alors que je pensais qu'il allait pousser *** investigation plus loin vers un territoire qui ne demandait qu'à être exploré, il redescendit à ma cheville pour la libérer de la fine lanière qui la couvrait ! Il fit glisser ensuite ma chaussure qui tomba doucement en un bruit feutré sur la moquette et se mit alors à me masser la voûte du pied, procurant chez moi une sensation à la puissance érotique des plus exquises !
D'un côté, j'aurais souhaité que ce moment dure une éternité, et en même temps je voulais qu'il me pénètre. Je me surprenais alors à imaginer *** sexe et c'est le moment qu'il choisit pour me mettre en contact avec lui.
Il approcha un peu plus *** siège et souleva encore mon pied pour le faire glisser entre ses grosses cuisses qu'il venait légèrement d'écarter. Je ressentis alors à travers le tissu de *** pantalon *** membre en érection, à la fermeté pour moi véritablement flatteuse.
J'avoue que cette sensation de pouvoir sentir sa verge sous mon pied était des plus agréables et que ce contact électrisait tout le bas de mon corps, lorsque je fis glisser, dans un mouvement régulier, mes orteils le long de sa braguette. Bien sûr, le relief que je découvris ainsi, et que j'imaginai venir bientôt en moi, n'était pas d'un volume spectaculaire ! *** sexe paraissait plus court que le tien, mais aussi plus massif, à l'image du reste de sa corpulence.
Sans même m'en rendre compte, j'étais bien en train de le branler ! En vérité, c'est l'étreinte de plus en plus forte de sa main sur ma cheville, pour accompagner et accélérer le mouvement de ma jambe, qui me fit m'en rendre compte.
C'est alors que je pris l'initiative de me libérer de sa main pour ôter ma seconde chaussure et venir blottir, bien au chaud, mes deux pieds contre *** sexe. J'osai ainsi avec une certaine témérité soutenir *** regard sans bouger, comme si soudainement je me sentis la ***** de prendre la direction des opérations. J'écartai légèrement les cuisses pour lui offrir, comme la veille, mais de façon plus avantageuse, une vue sur ma petite culotte.
Je saisis l'occasion, tant j'étais parvenue à capter *** regard à la naissance de mes cuisses, pour reprendre un massage lascif de sa verge bandée, en faisant cette fois coulisser l'intérieur de mes pieds. Dans le silence feutré de la pièce, le crissement de mes bas contre *** pantalon ne faisait qu'attiser l'atmosphère puissamment érotique qui se dégageait de notre petit jeu, plus du tout innocent.
Pourtant, au moment où j'écris ces lignes, je ne me suis pas encore donnée physiquement à lui. Je veux dire que nous n'avons pas fait totalement l'amour. Il s'en est presque excusé. En fait, c'est lui qui a très vite repris le contrôle, en me demandant seulement de le branler ainsi jusqu'à la jouissance !
Il a voulu me rassurer en m'affirmant qu'il n'était pas fétichiste, qu'il souhaitait faire durer le plaisir ! Il m'a juste demandé de te faire l'amour ce soir-là de la façon la plus débridée en pensant très fort à lui, et d'en rendre compte dans ma prochaine lettre.
Mon cœur, je te quitte... pour savoir que je vais te retrouver tout à l'heure afin que tu me fasses l'amour comme je l'adore. À ce moment, je ne t'ai pas encore fait totalement cocu, mais je pense que dans cette nuit où je vais te laisser savourer particulièrement le contact de mon corps, je vais franchir un pas de plus, car c'est à lui que je penserai...

Mille baisers.

chrislebo

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Samedi 2 mai

Mon chéri,
Hier soir, je voulais me donner entièrement à toi, mais j'avais peur que tu te doutes de quelque chose. Pour « t'allumer », je me suis approchée, alors que tu étais allongé en train de lire, vêtue de ma nuisette transparente, en dessous de laquelle je portais les sous-vêtements qui avaient été les miens durant toute cette journée. Cela m'excitait de me dévoiler à demi nue en pensant que j'attisais ton désir par la vision de ma petite culotte, celle-là même qui, quelques heures auparavant, avait tellement troublé Michel... Il en était de même de mon soutien-gorge dont l'armature en partie visible n'avait pas contribué qu'un peu à émouvoir mon nouveau soupirant, comme elle avait ému ce jeune mari, à l'accueil de l'agence...
Je t'ai laissé me regarder avec complaisance... j'aurais aimé que ce soit lui qui me voie ainsi, quasiment nue, et déjà je me prenais à l'imaginer à ta place.
Ce soir-là, bien plus que d'habitude, j'ai fermé les yeux quand nous avons fait l'amour. Je ressentais ton odeur et le grain soyeux de ta peau me rappelait que j'étais dans tes bras, mais je pensais à lui autant qu'il est possible. Avec un effort de concentration qui témoignait de la ***** de mon amour, je me plaisais à m'imaginer m'abandonnant à ses caresses, et laissant pénétrer mes chairs intimes de *** sexe humide et chaud !

J'ai joui comme jamais et tes compliments soutenus ce soir-là m'ont montré que cela t'avait plu ! Ce qui m'a rassurée sur ma capacité à le séduire !
Le lendemain, j'étais plus heureuse encore de reprendre le travail. Je n'avais jamais connu auparavant ce délicieux privilège d'être payée pour faire ce que j'adore le plus au monde : satisfaire au mieux les volontés de l'être que j'aime.
Chaque jour, il me faut trouver des vêtements appropriés qui puissent séduire, attirer les regards, sans jamais franchir les bornes de la vulgarité... et puis je dois aussi convaincre les femmes, si je veux emporter des contrats...
Depuis que j'ai ce travail, tu as sans doute remarqué à quel point j'accorde de l'importance à mon apparence, et le temps que j'y consacre avant de partir le matin. Et encore, tu ne sais pas la plupart du temps... ce que je porte en dessous.
J'ai pour ma part bien compris le message de mon séduisant employeur. Michel attend de moi que je sois plus féminine encore lorsqu'il s'agit des vêtements que lui seul sera, s'il le souhaite, amené à découvrir... Il prétend qu'en portant une lingerie des plus sexy, je suis plus performante encore dans mon pouvoir de séduction vis-à-vis des hommes. Je sais également que si tel est *** désir, je serai capable de ne rien porter en dessous...

Mais pour l'instant en tout cas, il accorde une extrême attention à ce que je choisisse une lingerie intime.
Ainsi dès ce matin, il a souhaité que je le rejoigne à *** bureau. Et à l'instant où la porte s'est fermée, il m'a demandé de venir tout près...

J'étais intimidée, surprise, mais aussi flattée d'attirer *** attention.
— Je ne vous ai pas dit à quel point j'apprécie le port altier de votre buste, la beauté que je devine et en partie que je vois de vos seins... Aujourd'hui, j'aimerais faire connaissance un peu plus avec eux...


Ces propos, comme tout ce qui émanait chez lui d'un désir à mon égard, diffusaient en moi comme une douce chaleur.

Je ne me vivais plus alors comme l'employée de mon supérieur, mais comme la femme mariée qui s'apprêtait à succomber aux exigences que lui soumettrait *** nouveau maître.

L'une de celles-ci étant, qu'à travers la rédaction de ce courrier que je t'adresse, j'aie toujours présent à l'esprit que la relation que j'ai avec cet homme n'est pas anodine. Que dans ce jeu délicieusement pervers qui se développe entre Michel et moi, il y a avant tout une relation adultère... avec la saveur singulière de l'interdit... le plaisir que je dois avouer d'avoir à te tromper, même si, je te le rappelle, c'est sans volonté de te faire souffrir...
Je n'aurais jamais imaginé la satisfaction profonde, attisée par ce léger sentiment de culpabilité et d'insécurité, que toi, mon petit mari chéri, tu me procurerais indirectement.

Comment t'expliquer à toi le plaisir que je retirais de la conscience pleine et entière que j'étais en train de te faire cocu ?
J'ai retiré mon chemisier. Il a pu dès lors entrevoir ma poitrine que tu aimes tant et dont tu sais également que je suis si fière... Un peu par orgueil et dans le désir de retrouver les sensations que j'éprouve à exhiber mes seins nus sur la plage, j'ai ôté l'agrafe de mon soutien-gorge... Mais d'un geste ferme qui m'a surprise et un peu déstabilisée, il a bloqué mon bras !
— Je ne souhaite pas que vous me montriez tout ! En tout cas, pas tout de suite... Je veux d'abord apprendre à les découvrir, à les apprivoiser...


Et pendant qu'il me disait cela d'une voix assurée mais douce, il s'est levé et m'a serrée dans ses bras très fort tout en m'invitant à me rajuster...
Tout cela, comme le contact de *** torse contre le mien, m'excitait terriblement et je sentis mes mamelons gonflés contraints par l'armature de ma parure de dentelle, plus fermes et imposants que jamais. Cette sensation d'être trop à l'étroit avec une pièce de vêtement que j'avais pourtant l'habitude de mettre avec toi me révélait le trouble physique particulier qu'il était le seul, pardon de te le dire mon chéri, capable de provoquer en moi.
J'avais l'impression de vivre une véritable métamorphose, comme si une part cachée de ma féminité se développait à *** contact ! Curieusement, ce sentiment trouble de sentir ma poitrine serrée dans mon vêtement sexy me donnait l'impression d'être plus impudique encore que si j'avais été nue.
J'éprouvais, dans ce contact inédit de ma chair, à la fois le contour enveloppant de l'armature et le dessin des motifs de dentelles qui laissaient entrevoir bien des aspects de ma poitrine.

Il ne pouvait pas échapper à l'observateur avide que j'avais devant moi que mes tétons, dont la pointe tendait le tissu, exprimaient un désir puissamment érotique envers lui !
*** attitude encore fut différente de celle que j'attendais... Au lieu de s'approcher pour me sucer les mamelons que je m'apprêtais bien volontiers à lui offrir, il m'observait sagement et esquissa tout juste un geste timide qui frôla à peine et brièvement ma poitrine. Mais ce contact furtif provoqua chez moi un plaisir d'une ***** étonnante et je ressentis instantanément sur tout le corps un agréable fris***...

Il baissa alors la tête, pour la blottir entre mes seins, alors qu'il semblait vouloir savourer l'odeur qui se dégageait, mêlée de parfum et de sueur au creux du sillon accueillant de ma poitrine...
Après quelques minutes de pure tendresse où *** visage semblait vouloir trouver refuge contre moi, il parut vouloir inverser les rôles. Une fois assis dans *** confortable siège de bureau, il me fit comprendre d'un seul geste qu'il souhaitait que je vienne sur ses genoux. Je n'avais aucune rai*** de lui témoigner la moindre réticence... et en un instant j'avais mes cuisses posées sur les siennes !
Le bonheur que j'avais à être simplement là, sur ses genoux, avait quelque chose de presque enfantin. Il y avait une part d'innocence en une attitude qui pouvait sembler naturelle... J'avais envie d'être contre lui, comme il semblait avoir envie d'être contre moi... Mais cette posture perdit de *** naturel dès qu'il glissa sa main entre mes cuisses à la recherche d'une autre chaleur moins innocente !
À la sensation de ses doigts contre ma fine culotte déjà passablement humide, je savourais pour la seconde fois ce contact directement sexuel !

Je me sentais curieusement toute petite et un peu honteuse, car je savais que les lentes caresses qu'il me prodiguait ne dissimulaient plus rien de mon état d'abandon à la moindre de ses exigences.

Littéralement, je me sentais fondre sur lui. Je savourais avec délectation le fait qu'il me branle avec une si grande douceur, un peu comme aurait pu le faire la seule caresse du vent... vu l'état dans lequel je me trouvais déjà, prête à réagir à la sollicitation la plus légère !

Il avait, pendant ce temps, approché sa bouche. Du bout de la langue, délicatement, il s'est mis à laper le bout d'un de mes seins, ce qui provoqua en moi des fris***s aussi inattendus que délectables...
Sans même m'en rendre compte, et peut-être, au début, tout juste pour chercher un soutien, j'avais glissé ma main dans *** entrejambe contre la couture du pantalon...

De la façon la plus naïve et, pour une fois, sans attendre sa permission, j'ouvris habilement sa braguette et introduisis mes doigts à l'intérieur de *** slip. *** petit sexe était encore tout mou mais déjà chaud et gluant dans le creux de ma main. Curieusement, j'avais envie de le dorloter comme on le fait d'un ****** familier. En même temps, sa consistance modeste, alors que je savais qu'en état d'érection, il était tout à fait à même d'offrir tout le plaisir auquel peut aspirer une femme, m'amena à lui donner un surnom : « ma petite coquillette » !
Elle était là, blottie dans ma paume et, une fois encore, nos rapports de domination semblèrent s'inverser. De la femme un peu timide et soumise qui s'était blottie sur les genoux de *** maître, je me sentais devenir la maîtresse d'un jeu érotique et pervers où c'était moi qui le dominait, assise sur lui et possédant au creux de ma main l'objet de sa possible jouissance.
Mais je n'avais pas l'intention de le faire souffrir bien longtemps en le plaçant dans une intenable attente. Sa « petite coquillette » m'inspirait plus que tout de l'affection et je me mis à la caresser avec autant de douceur et d'application qu'il en mettait maintenant à flatter mes seins de sa bouche et de sa langue légèrement râpeuse...
Nous étions en train de nous masturber l'un l'autre, mais cela était venu avec un tel naturel et une telle douceur que cet échange de caresses avait encore la saveur d'une relative innocence, hormis le fait que ce contact émanait aussi d'une femme mariée, jusqu'ici, en tous points honorable...
Par moments, il glissait *** visage dans le creux de mes seins pour y frotter *** joli nez, me léchant au plus profond de ce que lui offrait mon décolleté...

Ses petites mains un peu massives avaient entrepris, d'une façon que je dois avouer à la fois habile et tout à fait agréable, de caresser au travers du tissu mes mamelles qui me semblaient être devenues encore plus lourdes et gonflées que tout à l'heure !
Sa verge commençait flatteusement à réagir à mes caresses manuelles et occupait maintenant un volume tout à fait convenable. Alors que je chatouillais ses bourses du bout de mes doigts qui glissaient et se faufilaient le long de ses poils, *** gland m'arrivait désormais au poignet qui était maintenant humecté d'un chaud liquide fluide, prémisse, sans aucun doute, d'une prochaine sécrétion plus onctueuse et épaisse...
Mais à nouveau, je ne contrôlais plus vraiment la situation. Il avait glissé *** majeur dans ma culotte et pénétré ma fente d'amour... *** doigt me baisait d'une façon sublime et sa paume massait divinement mon clito...

Aussi je m'étais lovée plus encore contre lui et, ayant relevé les jambes, le bas de mon corps n'était plus en contact avec lui que par mes fesses qui se frottaient à ses cuisses au rythme de ses caresses.
Au bout de quelques minutes, la crème épaisse et gluante qui recouvrait mes doigts m'annonçait la fin prochaine de nos jeux érotiques.

Mais je fus bientôt surprise par la brusquerie avec laquelle il arrêta de me branler... pour me glisser doucement à l'oreille, et j'ai encore l'impression de ressentir le souffle de *** haleine, ces mots qui firent tressaillir mon corps abandonné :
— Retirez votre culotte ! Je veux la garder tout humide avec moi... et que vous rentriez à la mai*** cul nu sous votre jolie jupe, pour retrouver votre gentil mari !


Terriblement frustrée par l'interruption soudaine de nos ébats, je me mis à faire glisser la pièce de dentelle effectivement humide et odorante... Il la porta alors à ses lèvres et à ses narines, comme s'il voulait s'imprégner profondément de ma saveur de femme !
Il me regardait désormais droit dans les yeux, et *** beau regard noir me donnait le vertige. C'était comme s'il parvenait à absorber une partie de moi, comme si je devais lui avouer qu'aujourd'hui, après ce qui venait de se passer... j'étais encore plus « sa chose », *** employée, la petite épouse modèle d'un autre, mère de famille en pleine maturité, mais surtout la servante soumise à ses moindres caprices...
Je me sentais possédée ! Comme on l'est d'un être cher... ou d'un démon !
Alors que je termine cette lettre, j'ai selon sa volonté posé mes fesses nues sur la banquette en cuir du café. Vu mon état d'excitation et la chaude liqueur qui doit perler encore de mes lèvres intimes, je pense que celui ou celle qui me succédera sur cette banquette se posera peut-être quelques questions...
Je ne sais pas si tu es rentré à la mai***, mais si c'est le cas et que tu es un peu trop curieux, je crois que toi aussi tu auras ta petite surprise, s'il te venait l'envie de glisser tes mains sous ma jupe !

Ta femme, ton épouse, qui t'adore... et te trompe.

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