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les histoires de chrislebo

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vanbruje

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Posts: 282
#6,211
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La fin ??? Merci pour cette suite et bonne continuation
chrislebo

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#6,212
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oui je pense que ces la fin................ de l'histoire
chrislebo

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Posts: 164949 Pictures: 3 
#6,213
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fantasme assouvi par la *****


J'avais une vingtaine d'années à l'époque, et hélas toujours puceau! En fait: aborder des filles me faisait peur.
Je satisfaisais mes ardeurs sexuelles en me masturbant dans des WC publics, où de multiples inscriptions évocatrices m'excitaient au plus haut point. Surtout celles où des hommes en invitaient d'autres à se faire sucer.
Je ne sais pas pourquoi cela m'excitait, mais je fantasmais sur le fait d'être un jour, en quelque sorte obligé de me soumettre à un tel acte, n'ayant pas l'audace de répondre aux propositions griffonnées sur les murs des WC.
J'y rêvais souvent, mais avec la peur d'une telle situation, et ça augmentait mon plaisir.
Un jour j'avais repéré un bloc de WC dans un groupe d' HLM pas très loin de chez moi. Je décidais de m'y rendre la nuit.
2h 00 du matin je garais mon auto à proximité et rejoignais à pied ce bloc de WC Public, en surveillant quand même que per***ne ne me voyait. j'y pénétrais tout excité mais à ma grande déception aucune inscription ne figurait sur les murs ou portes des 3 WC. Je m'apprêtais à partir quand j'entendis les voix de 2 hommes.
Je rentrais dans un des WC, mais je ne pus fermer de verrou, celui ci étant inopérant. Mon coeur s'affolait... et si l'on m'avait vu? qu'allais je pouvoir raconter pour expliquer ma présence à cette heure dans ces WC?
J'entendis que les 2 hommes rentraient dans les WC!
Je ne faisais pas de bruit, mais j'entendis:
- Tu crois qu'il est toujours là?
- Sûr, on l'aurait vu sortir!
La porte de mon WC s'ouvrit, et je découvris 2 beurs d'une trentaine d'années environ.
- Alors qu'est ce qu'on fait là à cette heure? On s'excite dans les WC?
- Non, j'avais juste envie de faire pipi.
- Mais t'es pas du coin, on t'a jamais vu ici?
- Je passais et...
- Arrête tes conneries, tu cherches de la bite?
- Non, comment çà?
- Allez arrête tes salades, t'es un PD en manque de bite, alors on va te soulager! assied toi sur le siège, tu vas nous sucer la bite!
- Non, mais vous êtes dingues!
- En plus il nous insulte? ça va être ta fête mon gars!
Je sentis que j'étais devant ce fantasme qui me guidait depuis des années, mais en même temps j'avais très peur. J'allais certainement être obligé à tailler 2 pipes à ces inconnus.
Un des deux gars s'avança vers moi et me poussa en arrière, je me retrouvais assis sur la cuvette du WC; Il s'approcha et me plaqua *** sexe sur la bouche.
- Alors ça t'excite petit? embrasse la à travers mon froc!
Je n'osais pas et je pris une baffe.
- Je continue ou tu t'y mets?
J'approchais ma bouche de la bosse qui déformait déjà *** pantalon de jogging, et je frottais mes lèvres en embrassant timidement l'endroit où je devinais *** sexe.
- Voila, c'est bien, continue comme ça! descend moi le jogging avec tes dents.
Je saisis le haut de *** pantalon et en tirant dessus je finis par lui descendre jusqu'aux genoux; J'étais devant un homme en slip; impossible de faire marche arrière, j'allais devoir le sucer!
- Continue de l'embrasser, tu la sens bien ma bite, hein? tu vas l'aimer, dit le que tu aimes faire des pipes!
- Oui, peut être, enfin je ne sais pas, je n'ai jamais fait ça!
chrislebo

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#6,214
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Attend, lève toi!
Je me levais.
- Regarde dit l'autre on dirait qu'il bande ce PD, il aime la bite j'en étais sûr!
- Tu vas te foutre à poil dit l'autre qu'on voit ça!
- Non, s'il vous plaît, pas ça!
- Tu veux encore des tartes dans ta gueule ou tu te déshabilles?
- Non, c'est bon! et je commençais à me déshabiller. Quelle honte! ils allaient effectivement voir que je bandais comme un dingue!
Je restais en slip et chaussettes.
- On t'a dit à poil! alors enlève le reste, et vite.
J'ôtais mes chaussettes et descendis enfin à regret mon slip, la queue dressée.
- Tiens mais mâte ça! il bande à en crever! petite salope, on va t'en donner de la bite!
Sur ce il me fait rasseoir de ***** et s'approchant, il me dit: passons aux choses sérieuses, baisse moi le slip et suce moi comme une chienne que tu es!
Je lui baissais le slip et découvris une queue impressionnante et circoncise. J'approchais ma bouche et commençais à la lécher de bas en haut.
- Et tu dis n'avoir jamais fait ça! sale PD, tu vas me la bouffer salope et me vider les couilles dans ta petite bouche et t'as intérêt à tout avaler mon sperme, avant de passer à mon copain.
- J'ouvris la bouche et laissai pénétrer sa queue; puis je fis des va et vient sur sa bite en serrant mes lèvres.
J'étais si excité que je cru un moment que j'allais décharger sans même me toucher.
- Regarde le comme il aime ça! un vrai dingue de la bite, on va bien s'amuser avec toi! tu vas en redemander...
- Je continuais mes va et vient et je le sentis se raidir.
- Je vais me vider le couilles, alors aval tout jusqu'au bout, compris?
- Oui, je répondis sans lâcher cette bite qui me limait la bouche, et je sentis plusieurs giclées s'écraser au fond de ma gorge. En même temps je me mis à jouir également.
- Il a joui le PD! tu vas lécher tout ton sperme pour laisser nos toilettes propres!
Je me mis à genoux et entrepris avec dégoût de lécher toutes les giclées qui s'étaient échappées de ma queue.
L'autre en profité pour passer derrière moi et m'agrippant, il me dit: Je vais t'enculer salope!
- Non pas ça s'il vous plaît!
- Mais bien sûr, tu vas encore nous dire que t'as jamais essayé!
- Mais c'est vrai, je n'avais jamais fait une pipe avant et encore moins subi une sodomie!
- Et bien il est grand temps de rattraper le temps perdu!
- Arrête de bouger où je vais te faire mal!
Il se frottait à moi et je sentais sa queue qui tentait de me pénétrer. J'allais me faire enculer dans ce WC.
L'autre s'approcha à nouveau de moi, et me dit! tu vas me la sucer à nouveau salope.
Il pénétra ma bouche et je sentis qu'il recommençait à bander, pendant que l'autre me limait les fesses.
Je me mis également à bander de nouveau! je n'en revenais pas comme j'étais devenu une salope qui aimait se faire défoncer les deux trous par ces beurs.
chrislebo

Member

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#6,215
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punition au travail


bonjour c'est cathy
je suis à mon travail depuis 7h du matin ,je travaille sur une machine et suite à une erreur de ma part tout une série de courrier à été envoyé à un mauvais tarif, coût de l'opération plusieurs centaines d'euros.
mon bien "aimé" chef fou de rage me fait immédiatement monter au bureau de la patronne.
après moultes explications, ma patronne me menace de me renvoyer sur le champ pour faute grave sauf si je peux lui rendre des services.
- non s'il vous plaît ne me renvoyez pas à mon âge je n'ai plus aucune chance de trouver du travail s'il vous plaît
- et puis de quel sorte de service je dois rendre?
- tu vas le savoir dès que la secrétaire sera là
cinq minutes plus tard la secrétaire entre dans le bureau avec mon dossier.
- bonjour cathy ce n'est pas la première fois que tu fais une erreur, mais celle-ci c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. je suppose que madame t'as demandé que tu nous rendes des services!
- oui bien sur
- ton choix n'est pas grand ou tu es renvoyée sur le champ ou bien tu dois nous obéir? j'attends ta réponse tout de suite
- mais que dois je faire?
- tu nous réponds oui ou non si c'est non tu rentres chez toi tout de suite!
- je ne sais pas que me voulez-vous?
la patronne prends la parole
- bon je vois que cathy n'est pas coopérative martine tu lui prépare une lettre recommandée avec A.R. puisque c'est comme cela .
elle se tourne vers moi
- c'est bon cathy tu peux rentrer tu n'as plus rien à faire ici!
- non attendez,je veux bien me plier à vos règles dés maintenant mais que dois-je faire
- ha! mais voila qui est mieux martine tu fermes le bureau à clé!
- oui sylvie
- cathy nous allons te demander de travailler pour nous mais pas dans l'atelier ce sera à l'extérieur,mais pour cela tu vas nous signer une lettre d'accord
- oui madame
quelques minutes plus tard la lettre était rédigé par la patronne "sylvie"
- tu signes en bas!
- j'ai signée, la lettre disait en gros que je devais faire tout ce quelles me diront sous peine d'être renvoyée pour faute grave
- c'est bien me dit sylvie
- maintenant tu te mets nue tout de suite!
- non mais ça ne va pas
- tu te mets à poil salope ou bien tu es virée tu pensais peut-être que tu allais faire du commercial
- je ne sais pas, mais vous me faite peur
- et bien oui tu vas faire du commercial mais avec ton corps ma chérie tu vas être le cadeau pour les clients
- non je ne suis pas une salope
- tu sais quelle est ta réputation dans l'atelier c'est qu'il n'y a que le métro qui ne te sois pas monté dessus alors maintenant tu bosses pour nous ou tu fous le camp mais si tu bosses pour nous tu pourrais te faire de jolie fin de mois
- réfléchie vite mais bien
jamais je n'aurais cru avoir une si mauvaise réputation
- bien d'accord
- alors maintenant tu te mets à poil
je me déshabille avec une peur que l'on rentre dans le bureau
- c'est bien penche toi en avant sur le bureau et tu écartes les jambes dépêches toi ma jolie pute
la patronne sylvie et martine se mirent toutes les deux derrière moi elles commencèrent à me caresser l'une de chaque côté de mon corps leurs mains me triturent les seins me fouillent le sexe et aussi mon petit trou elles changent de côté pour que je suce leurs doigts couvert de ma mouille
- et bien ma salope tu ne fais pas défaut à ta réputation tu mouilles comme une pute c'est nos futur clients qui vont être ravis
- comment cela des clients mais je ne veux pas!
pour simple réponse sylvie enfonce plusieurs de ses doigts dans mon sexe et *** pouce dans mon anus
- prépare toi dit-elle à martine tu vas me la baiser par tous les trous pendant c'est moi qui vais prendre les photos
lorsque je me tourne martine est nue c'est une jolie femme avec des seins bien ronds elle a mis une ceinture gode il est énorme
- n'ai pas peur ma biche tu vas aimer
*** gode est contre mon sexe elle le frotte
- écarte tes jambes m'ordonne sylvie
j'écarte les jambes sylvie me branle encore pour que je sois bien mouillée
je sent le gode qui rentre puis martine commence des vas et viens plus vigoureux qu'un homme le ferait je suis soumise à leurs désires
puis elle se retire et elle présente *** gode sur mon petit trou
- non pas ça je vais avoir mal
- la première fois oui mais après tu aimeras me répondit martine tu n'es qu'une pute
elle crache sur mon anus et enfile d'un seul coup *** gode cela me fit très mal pendant que martine me sodomise sylvie me branle d'une main et je suce *** autre main
je suis prise au piège je deviens la pute de ma patronne et de sa secrétaire
martine se retire aussi violemment qu'elle était entré et repris mon sexe
puis vint le tour ou ma patronne une fois nue mit la ceinture et elle aussi me viola
mais elle est plus crue que martine
- allez ma salope bouge ton cul prends la cadence deviens une bonne pute, tu as une dette à réglée ma salope et tu vas être notre objet sexuel tu vas faire la pute pour nos clients
et pendant qu'elle me prends et me traite de tous les noms elle change de trou régulièrement
- c'est bien salope tu baises bien maintenant à genoux tu vas nous sucer, martine tu lui met le collier et la laisse et surtout tu la prends en photos comme ça et aussi pendant qu'elle suce
une fois à genoux je dus sucer le gode bien le nettoyer puis prendre à tour de rôle les chattes des mes maîtresses je suis un objet sexuel
mais comme je suis à genoux en train de sucer sylvie, martine de nouveau se présente derrière moi et de nouveau me sodomise me déchirant encore un peu elle pousse tellement fort que mon visage s'écrase sur le sexe de sylvie qui râle de plaisir
- encore encore petite pute fais moi jouir ma salope lèche bien enfonce tes doigts dans mon cul ha!! oui c'est bon je jouis ma salope
mon visage est couvert de cyprine
- oui je viens c'est bon j'aime vous sucez et me faire sodomiser encore encore que c'est bon
et pratiquement toutes les trois ensemble nous avons jouis
- ce n'est pas fini allonge toi sur le bureau m'ordonne sylvie
une fois allongé sylvie prends mon sexe avec ardeur elle me suce lèche écarte bien les lèvres pour mieux enfouir sa langue enfonce *** pouce dans mon petit cul me mord mon clito tout cela à pour effet de me faire jouir quand à martine elle est sur moi les jambes écartées je la suce de *** sexe à *** petit trou c'est tellement bon que nous jouis***s encore et encore
- tu aimes me demande martine?
- oh oui j'aime jouir j'aime devenir votre objet
- c'est bien me dit sylvie tu peux t'habiller demain après midi tu nous rejoint dans le bureau car tu auras ton premier contact il va falloir que tu changes ta garde-robe
bottes bas résilles string assorti au soutien-gorge et un haut noir transparent et la jupe ultra courte plus un manteau tu te débrouilles mais demain tu dois être une pute
je me suis habillé en vitesse ou en suis je arrivée tout cela pour une erreur
comment vais je faire pour acheter tous les habits je verrais demain c'est un autre jour
mais pour le coup j'aime bien jouir dans toutes les positions je suis une vraie pute mais j'adore
chrislebo

Member

Posts: 164949 Pictures: 3 
#6,216
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Je suis au travail sur ma machine quand ma patronne me fait demander.
- Cathy vous montez immédiatement au bureau.
Je me demande quel mal ai je pu faire, je toque à la porte puis j'entre avec de la peur au ventre.
- Entre cathy, cet après midi tu vas accompagner des clients
me dit elle sans détour.
- Mais pourquoi madame?
- Tu veux que je te fasse voir la lettre que tu as signée!
- Non madame.
- As tu pris tes affaires!
- Non madame.
- Heureusement j'avais prévue cet oublie de ta part.
- Alors tu te changes immédiatement.
- comment ça! ici devant tous le monde!
Oui. Car je me trouve dans le bureau des secrétaires.
- Oui tout de suite! ne t'inquiète pas, ils ***t au courant pour toi.
Tous les regards se portent sur moi,le courage me manque mais le regard inflexible et dur de ma patronne me fait changer d'avis.
Je me déshabille entièrement puis la patronne " sylvie " me donne un sac dans lequel se trouve mes nouvelles affaires.
Je constate qu'il n'y a pas de soutien gorge et pas de petite culotte je n'ose rien dire de peur de représailles.
Je trouve un caraco noir en satin, une mini jupe noire en cuir, des bas résilles et une paire de bottes noires qui montent jusqu'aux mollets:
une fois habillée je suis rouge de honte.
Je ressemble à une prostituée.
- Très bien cathy te voila prête pour accompagner nos clients.
- Je ne pourrais jamais madame!
- Mais si tu vas pouvoir, pense à ton avenir et à la lettre que tu as signée!
- Oui madame.
Là pour le coup je suis, pour ma patronne, qu'une prostituée.
- Pour sortir tu mets ton manteau, mais dès que tu te trouve avec les clients tu ôte ton manteau et tu fais "au mot dis" tout ce qu'ils te disent! c'est bien compris cathy!
- Oui madame.
Le téléphone ***ne, j'entends ma patronne parler.
- Très bien je lui demande de descendre maintenant, bonne après midi messieurs, tu as entendue cathy ces messieurs t'attendent dans le hall d'entrée tout de suite et surtout n'oublie pas tu obéis au doigt et à l'oeil.
- Oui madame je descends.
Arrivée dans le hall quatre hommes d'âges entre 40 et 60 ans m'attendent.
- C'est vous cathy?
- Oui monsieur.
- Bien ne perdons pas de temps nous y allons.
Je me retrouve assise à l'arrière du véhicule" c'est un très gros quatre-quatre " entre deux des clients.
- Nous allons au restaurant car je pense que tu n'as pas eu le temps de déjeuner.
- Non c'est exacte je n'ai pas manger ce midi, il a fallu que je me change pour vous accompagner.
- C'est très gentil, mais vous êtes très ravissante, mettez vous à votre aise, retirez donc vôtre manteau s'il vous plaît Cathy.
Avec difficulté, bien que le véhicule soit grand, je retire mon manteau aidée je dois le dire par les deux hommes qui se trouvent à ma droite et à ma gauche, mon manteau fini sur la plage arrière.
J'essaie tant bien que mal de descendre ma mini jupe, car au moindre mouvement on voit le haut de mes bas résilles, ce qui fait plaisir à ces messieurs mais pas à moi.
- Détendez vous Cathy, nous n'allons pas te manger bien que tu sois très tentante: nous avons 45 min de route avant d'être au restaurant je pense que mes deux amis veulent faire de plus amples connaissances.
A peine a t'il prononcé ces mots que les deux hommes ce jette sur moi comme des fauves.
- Non s'il vous plaît!
- Pardon! me dit on, tu as bien signée un nouveau contrat avec ta patronne!
- Non ce n'est pas un contrat mais juste une lettre.
- Je pense que tu as mal lu les termes de cette lettre qui te lie à ta patronne corps et âme, surtout le corps, maintenant si tu veux je téléphone à Sylvie?
Un moment de silence.
- Alors?
- Non ne téléphonez pas.
- Bien mes amis elle est à vous faites en bon usage jusqu'au restaurant:
de ce fait les deux hommes m'écartent les jambes, ils me caressent les cuisses et en même temps s'occupent de mes seins.
- Lève tes fesses que l'on remontent ce qui te sert de jupe.
Ma jupe une fois remontée, ils deviennent comme des fous voyant que je ne porte pas de sous vêtements.
-Ouah! mais voyez vous ça c'est qu'elle est nue en dessous.
Une main est déjà sur mon sexe, elle le frotte, écarte les lèvres puis commence à caresser mon clito
- Hum!! mais tu mouilles ma cochonne, je sens que nous, tous les 5, allons bien nous amuser, elle a rai*** ta patronne tu es une chaude.
Les deux hommes dégrafent leur pantalon, chacun me prend une main pour que je m'occupe de leur sexe.
- Branle nous bien, après tu as juste le temps de nous sucer avant le restaurant.
Après les avoir bien branlé je me trouve avec un sexe dans la bouche tandis que *** collègue me prend en levrette.
J'aime cette situation.
Etre prise entre deux hommes comme une vulgaire pute.
Le véhicule s'arrête sur le parking, nous sommes arrivés au restaurant,
avant de descendre je vais pour prendre mon manteau.
- Non tu laisses ton manteau, tu n'en auras pas besoin.
J'ai honte de rentrer comme cela, ainsi vêtu une vraie pute me dis je.
Le maître d'hôtel nous réceptionne: messieurs, madame je vous emmène à vôtre table.
Celle ci se trouve dans une grande alcôve à l'abri des regards de tous.
- Avant toutes choses, Cathy je vous présente mes amis à vôtre gauche Eric à vôtre droite Gilles puis en face de vous Benoit et moi même Marc.
Marc nous sert à boire.
- Buvons à nôtre rencontre.
Il faut vous dire que je ne bois pas, c'est dire qu'au troisième verre j'ai d'étrange sensation de chaleur et de bien être.
Deux mains se pose sur mes cuisses.
"Soyez patient pour la suite"
Je suis sur mon ordinateur, j'ai chaud, très très chaud.
chrislebo

Member

Posts: 164949 Pictures: 3 
#6,217
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je suis de retour
toujours sur l'ordi de mon ami, je rêve, je fantasme ..................
j'ai chaud, j'ai le sexe en feu
c'est un volcan ...........
je suis donc à table dans ce restaurant.
Éric et gilles m'obligent à écarter les jambes , leurs doigts me fouillent
j'ai les mains posées sur la table, je me mords les lèvres pour ne pas crier ou gémir de plaisir et oui j'aime.
marc qui est face à moi me donne des ordres
- regardes moi salope et surtout tu ne fermes pas les yeux tu as compris?
je ne réponds pas, je fais juste un signe de la tête.
- as tu bien compris ce que je viens de dire tu réponds!
- oui j'ai bien compris: les mots ont du mal à sortir.
- c'est bien jolie pute.
- non je ne suis pas une pute n'y une salope.
- ce n'est pas du tout ce que nous à dit ta patronne.
- il parait que tu adores te faire prendre en levrette sur *** bureau par les secrétaires munies de godes ceintures.
elle nous a raconté ton passage à *** bureau suite à une faute de ta part.
mon sang se glace.
- il parait que tu adores te faire goder par une femme!
marc s'adresse à Éric
- retires lui *** chemisier je veux la voir à poil cette salope!
mais Éric au lieu de le dégrafer, il le déchire.
- oh non pas ça, mais comment je vais rentrer!
- ce n'est pas nôtre problème, tu trouveras bien une idée! tu as tout ton temps car on passe la nuit ici, nous avons retenu une chambre et de plus nous attendons d'autres invités, puis nous avons prévu aussi une petite sortie, tu en sauras plus mais pour le moment tu vas t'occuper de nous quatre.
- comment je ne vais pas rentrer chez moi!
- et mon mari! que vais-je lui dire!
- tu lui diras que tu as été à une soirée et que tu n'as pas pu rentrer
- maintenant tu vas branler gilles et Éric allez ma pute montres nous de quoi tu es capable.
- oui
- c'est bien tu deviens obéissante ma salope.
je descends, les mains Éric et gilles ont déjà ouvert leur braguette, ils ***t en érection.
- oh oui vas y salope! me dit Éric.
Gilles me prends la bouche avec violence, il me mord les lèvres, me suce la langue, je sens sa salive, j'aime!
Éric lui il suce mes seins, il les aspirent, il mord les tétons à m'en faire mal mais je sens que tout mon corps est chaud.
- tu es une sacrée pute me dit benoît.
leurs sexes ***t bien durs.
je regarde toujours marc qui est face à moi, puis il se lève, il dégrafe ***t pantalon et il se masturbe.
- tu te mets à genoux sur la table et tu me suce petite pute!
Éric et gilles me lâche pas mais pour longtemps.
je suis à genoux sur la table, enfin presque allongée.
je prends dans ma bouche le sexe de marc un sexe de bonne dimension.
il l'enfonce en totalité, je sens ses poils se coller contre mes lèvres
les va et vient ***t puissants, il enfonce ses doigts dans mes cheveux pour faire faire des va et vient avec ma tête et pour que *** sexe s'enfonce complètement dans ma bouche je me tiens à ces fesses, à chaque fois que *** sexe s'enfonce mes doigts lui griffes les fesses.
quand il le sort je joue avec ma langue autour du gland, j'adore avoir un sexe dans ma bouche pouvoir le sucer, le lécher, le mordre avec douceur.
- dis donc ma salope me dit benoît je ne savais pas que tu suçais aussi bien que cela, j'ai hâte que ce soit mon tour!
puis Éric et gilles me reprennent avec leurs doigts, mais là ils s'occupent de mes deux trous
benoît me demande de le regarder et là je vois qu'il a un camescope
- tu vois ma salope depuis le début tu es filmée.
- c'est pour immortaliser les bons moments que nous allons passer avec toi, et puis c'est surtout pour le cas ou tu ne veuilles pas nous obéir, nous aurons de quoi te rappeler à l'ordre ou bien tes enfants et puis ton mari aurons une copie de tes heures supplémentaires, alors ma salope, tu te lâches
- ta patronne nous a demandé de lui remettre une copie, alors donnes toi à fond
- non pas à ma famille elle ne doit pas savoir, je ferais tout ce que vous voulez, je suis prête à être vôtre pute.
- c'est bien.
chrislebo

Member

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#6,218
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- relèves tes fesses me demande gilles ce soir tu vas être nôtre salope
à ces mots je me cambre un maximum, il écarte mes cuisses.
- je vais te sodomiser comme une chienne, tu vas aimer et en redemander
je sens *** sexe qui frotte mon petit trou, mais j'ai peur qu'il me déchire
il ***** tout doucement.
marc donne moi le beurre pour une première fois ça va aider.
gilles enfonce ces doigts enduits de mayonnaise ça rentre sans trop me faire mal.
- ça y est ce coup ci tu es est prête.
pendant que je suce marc, gilles enfonce *** sexe dans mon petit trou, par petits coups il l'enfonce de plus en plus jusqu'au bout et là les va et vient commencent.
j'aime cette sensation, je ressens *** sexe s'enfoncer et ressortir
au bout de quelques va et vient je n'ai plus mal, je vais même au devant, je donne des petits coups de reins pour mieux sentir le sexe me défoncer mon petit cul.
Éric me branle avec ses doigts.
- mais c'est qu'elle mouille la petite pute.
- alors tu aimes bien te faire sodomiser demande marc qui se retire pour me laisser répondre.
- oui j'aime, je veux que vous me preniez par tous les trous en même temps.
- chez moi je n'ai droit qu'à la position du missionnaire.
- je veux être défoncée par vos sexes.
- je veux devenir vôtre pute, faites de moi ce que vous voulez.
Éric ce glisse sous moi et il positionne *** sexe sur le mien, il écarte les lèvres puis d'un coup sec il s'enfonce
j'aime c'est bon de ce faire prendre par trois bon et gros sexes,
benoît filme toujours il fait beaucoup de gros plans sur mon visage et mes deux trous.
je deviens une pute, une vraie salope, une chienne qui aime se faire défoncer par trois sexes en même temps.
- dis moi salope demande benoît?
- tu as trois filles m'a dit ta patronne, il va falloir que tu nous les présentes, elle ***t peut être aussi salope que toi.
marc se retire pour que je réponde.
- non je vous prie de ne pas toucher à mes filles , elles ont toutes une vie de famille.
- c'est justement la semaine prochaine, tu vas les inviter au restaurant pour une soirée entre filles et comme par hasard nous serons dans le même restaurant
- non je ne veux pas! pas mes filles.
- tu n'as pas vraiment le choix si tu ne veux pas finir sur le trottoir.
je suis anéantie, je ne sais plus quoi penser.
marc me ***** une nouvelle fois à le sucer, il augmente la vitesse des va et vient puis il se retire et il jouit sur mon visage
puis gilles dit:
- on change de position dit gilles, j'ai envie de me faire sucer par cette salope.
- avec plaisir dit marc je pense déjà à la semaine prochaine.
je pense à mes filles mais je jouis, je suis vraiment la dernière des salopes,
lorsque marc me sodomise mon trou est dilaté, il rentre *** sexe sans effort.
- c'est bon de te sodomiser, tu es une bonne salope.
- allez vas y me dit gilles suce moi bien je sens que je vais venir si tu continues à me pomper comme ça.
je le sens qu'il se raidit, puis d'un coup il crache tout *** sperme dans ma bouche.
- ha oui c'est bon ma salope, avales tout.
puis il tire sur mes cheveux pour bien enfoncer *** sexe au fond de ma bouche
je n'ai pas le choix, j'avale le tout.
quand au même moment mon corps se soulève, Éric est en train de jouir à *** tour.
- ho oui c'est ma pute je viens.
il me donne plusieurs coups de boutoirs , mon corps se soulève à chaque fois, j'adore puis il s'immobilise en s'arc-boutant.
là aussi je sens *** sperme couler dans mon sexe;
il n'y a que benoît qui ne m'a pas touchée toujours avec *** caméscope
marc prend la parole.
- ce n'est pas le tout de faire l'amour, mais il faut aussi se restaurer.
- la soirée ne fait que commencer.
- mais avant il faut faire un brun de toilette.
- cathy tu te mets à genoux et tu nous nettoies.
me voila donc encore une nouvelle fois à prendre dans ma bouche ces quatre sexes, ce qui ne me déplaît pas.
enfin de compte je suis mieux ici que chez moi.
chacun leur tour je les lèche, je les suce, puis ils jouissent dans ma bouche c'est là que pour la première fois je suce benoît.
puis une fois terminé marc nous demande de nous mettre à table.
- non toi cathy, toi tu passes sous la table ce sera ton repas.
- mais par contre avant de dîner nous allons trinquer, après plusieurs verres, je ne me sens plus, je suis toute chaude et prête à tout.
je suis dans un triste état, je n'ai plus de chemisier, ma jupe est tachée de sperme ainsi que mes bas et je n'ai pas de change.
- allez à table ma salope me lance marc.
je ne me fais pas prier, je me mets à genoux et me glisse sous la table
je prends un sexe dans ma bouche et un autre dans ma mains.
je fais plusieurs fois le tour de la table et en quelques minutes je reçois dans ma bouche et sur mon visage une grande quantité de sperme.
je me demande ce qui va m'attendre après le dîner, on verra.
je pense aussi à ce dîner que je dois organiser avec mes filles, que va t'il leurs arrivées, que vont-il nous faire.
mais cela est une autre histoire.
toute cette histoire n'est que fantasme , mais j'aimerais que cela ce réalise un jour sans mes filles.
vanbruje

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#6,219
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Merci pour ces textes, surtout le deuxième...
chrislebo

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#6,220
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Le neveu de ma femme s'est emparé de ma bouche et de mon cul


La dernière fois que j'ai vu le neveu de ma femme, il avait 15 ans. C'était un beau jeune homme bien musclé, le visage un peu poupin, qui se prenait déjà pour un adulte mais se comportait comme un ado. Il était un peu coincé et très timide. Il est resté chez moi pendant un mois. Tous les jours, je me suis amusé à le dérider, lui faisant des chatouilles ou des plaisanteries sur *** âge. Quand il est reparti chez lui, je ne suis pas sûr qu'il ai apprécié.
Aujourd'hui, il a 20 ans et c'est moi qui lui rend visite. Il nous attendait dans la salle d'arrivée de l'aéroport. Je lui ai demandé de m'accompagner pour me montrer où étaient les toilettes. Arrivés là, je l'ai pris par le cou et j'ai commencé à le chatouiller.
Il m'a lancé un regard haineux et, posant la main sur mon torse, il m'a plaqué contre le mur. Puis, il m'a serré à la gorge. Je ne pouvais plus respirer. Il regarda autour de lui si quelque un assistait à la scène.
Ne voyant per***ne, il poussa la porte d'une des toilettes. Il me fit asseoir sur le couvercle en ouvrant la braguette de *** pantalon. Il sortit un sexe de belle taille et le présenta à mes lèvres. La situation ne souffrait pas d'équivoque. J'ouvris la bouche et il y introduit sa bite. Il l'enfonça violemment jusqu'à ce que mes lèvres touchent ses poils. Je sentis la nausée me gagner mais il n'en avait cure. Quand sa queue fut toute en moi, il me prit par les tempes et par de violents mouvement de hanches, il essayait d'aller plus profond encore. Ses couilles cognaient contre mon menton. J'avais mal à la gorge. Lui, devait avoir mal à sa bite,qui devait être échauffée, vue la vitesse avec laquelle elle s'enfonçait dans ma bouche. Ca n'a pas dû durer plus de deux minutes avant que les premières gouttes de sperme se mettent à couler. Il se retira alors, légèrement, laissant le gland sur ma langue, afin que j'ai le goût de *** sperme. Quand j'eu tout avalé, il me prit par la ceinture et me fit lever. Il me fit me retourner et j'ai compris. J'ai baissé mon pantalon et mon slip et me suis agenouillé sur la cuvette. Je me suis penché en avant et j'ai écarté mes fesses. Il a craché sur mon anus, y a posé *** gland et, d'un seul grand coup de reins, a enfoncé sa bite dans mon cul, jusqu'à la garde. Il a pris la mienne dans sa main et en cadence, il m'a baisé tout en me branlant. Nous avons joui ensemble. Lui dans mon cul, moi dans sa main.
Quand ce fut fini, il se pencha et chuchota à mon oreille :
- Quand tu habiteras ici, je viendrai te voir tous les soirs. Tu trouveras bien un prétexte pour te libérer. A nos rendez-vous, tu seras prêt, le cul à l'air et la bouche ouverte. Tu boiras mon sperme tous les jours et ma queue visitera ton cul autant que je le voudrai !
chrislebo

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#6,221
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Une semaine plus tard, le neveu de ma femme revint accompagné. Je n'avais jamais vu (à part au cinéma), d'armoire à glace aussi grand et costaud. Il devait mesurer plus de deux mètres et environ cent cinquante kilos. Il se planta devant moi et Carlos(c'est le prénom du neveu) me regarda avec un sourire goguenard. Le mastodonte commença à se déshabiller. Lorsqu'il enleva *** slip, il libéra un engin gros comme mon poignet. Carlos me mit à genoux devant lui et me dit à l'oreille :

- Mouilles-le bien, parce que tu vas l'avoir dans le cul !

Puis il se baissa pour m'enlever mes chaussures. Il défit ma ceinture et baissa mon pantalon et mon slip. Il les fit glisser sous mes genoux et me les enleva. Il me prit par le bras et me releva. Pendant ce temps, le balèze s'était allongé sur le sol, la queue dressée. Carlos me retourna vers lui et me fit enjamber le monstrueux engin. Je me retrouvais de nouveau à genoux, mais cette fois, le cul au dessus de la plus grosse bite que j'aie jamais vu. Le géant me saisit par une hanche et prit sa bite dans l'autre main. Il me forçat à m'asseoir sur *** gros membre jusqu'à ce que le gland touche mon trou. C'est le moment que choisit Carlos pour fourrer sa bite dans ma bouche. Il s'enfonça le plus loin possible pour m'empêcher de crier. Dans le même temps, le fort des halles, pesa sur mes hanches pour faire entrer *** gros engin dans mon cul. Malgré la salive dont il était enduit, le gland ne rentrait pas. Le costaud poussa plus fort.
J'étais sûr que le liquide qui coula était du sang. J'ai failli hurler, mais la bite de Carlos faisait un bâillon. Quand l'énorme gland franchit le sphincter, avec la ***** de la poussée, le reste du membre s'enfonça d'un seul coup et je me suis retrouvé assis sur les cuisses de mon agresseur, embroché comme un poulet. Carlos se pencha en arrière et commença à s'allonger. Mon enculeur, me poussa dans le dos pour que je garde la bouche pleine. Quand Carlos fut à l'horizontale, le mec dans mon cul s'était relevé,
Me poussant à quatre pattes. Une lueur de lucidité me fit comprendre qu'il allait me limer. J'ai essayé de me débattre mais l'autre me tenait fermement par les hanches. Quand il commença à bouger, j'ai eu le cul en feu mais, au bout de quelques secondes, j'ai éjaculé probablement tout ce que j'avais dans les couilles. J'ai souffert comme jamais, mais j'ai pris le plus beau pied de mon existence.

vanbruje

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Merci... pour ceux qui aiment... Bonne continuation
chrislebo

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#6,223
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merci à toi.... pour eux
chrislebo

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#6,224
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L'assistante sociale


L'assistante sociale

Catherine Pilon conduisait sa petite Volvo nerveusement. Au moment de se stationner, elle percuta la voiture d'en face. Elle sortit et marcha à petit pas nerveux vers le 440 boulevard du Phare. En plein milieu du quartier pauvre de la ville.

Ce n'était certainement pas le voisinage qui stressait Catherine. Elle était assistante sociale depuis 3 ans et *** travaille l'amenait quotidiennement dans des quartiers bien pire. À 26 ans, *** travail représentait la plus grande réussite de sa vie. Depuis l'enfance, elle rêvait d'aider les enfants en difficultés. C'était un travail très difficile où on devait intervenir pour aider des enfants qui vivaient dans des conditions médiocres et où on devait négocier avec des gens parfois dangereux. Néanmoins, elle pratiquait *** métier avec un enthousiasme sans failles, jusqu'au mois de mars dernier.

Elle ouvrit lentement la porte d'une mai*** miteuse qui abritait une demi douzaine d'appartements aussi petits que sordides. Elle se rendit au fond du corridor pour cogner à la porte de gauche. Ce faisant, elle fixait intensément ses souliers, *** cœur battant la chamaille. Ses jambes bardées de nylon noir tranchaient dans la chaleur de cette chaude journée de Juin. Un grognement roque venu de l'autre côté du mur de plâtre lui indiquât qu'elle pouvait entrer.

Trois mois auparavant, *** patron l'avait convoquée dans *** bureau. Elle était jeune et dynamique. Elle était belle et compétente. Elle serait la candidate parfaite pour finaliser ce dossier difficile, le dossier Dob***.

Réal Dob*** était un alcoolique notoire. À 45 ans, il vivait avec une femme et trois enfants dans des conditions très précaires. Suites à de nombreuses plaintes de négligences, les services sociaux on tenté à plusieurs reprises de sortir les enfants de 6, 4 et trois ans de leur misère, sans aucun succès. Le problème, c'est que Réal Dob*** était un avocat de formation, un petit génie de la justice qui n'avait jamais pratiqué, mais néanmoins très au fait de la loi. Comme les services sociaux n'ont jamais pu prouver légalement l'étendu des négligences subies par les enfants et comme rien d'officiellement criminel ne pouvait lui être reproché, le père Dob*** devait donner *** autorisation écrite pour pouvoir placer les enfants en famille d'accueil. Évidemment, Réal Dob*** refusait catégoriquement de signer quoi que ce soit.

C'est ainsi que Catherine Pilon s'est retrouvée avec le dossier Dob*** dans les mains. Alors qu'elle tournait lentement la poignée ternie du minuscule appartement, tout ceci ne voulait plus rien dire.

Elle entra lentement, presque sur la pointe des pieds. La porte donnait sur une minuscule cuisine d'une saleté repoussante. Dans le petit salon adjacent, Catherine pouvait voir Mr Dob***, de dos, une bière à la main, qui écoutait religieusement la télé. Assise sur un petit canapé, Mélanie Dob*** lui lança un regard éteins avant de retourner *** attention vers l'émission. Silencieusement, Catherine referma la porte et entrepris de retirer sa jupe, *** chemisier et *** soutien-gorge. Tout ceci ne pris qu'une ou deux minutes, mais ce fut suffisant pour que Catherine voie défiler les événements des dernières semaines dans sa tête.

********

Quand l'assistante sociale s'est présentée pour la première fois chez les Dob***, elle fut surprise par l'accueil relativement poli qu'elle reçu. Ses trois collègues précédents avaient dû faire face à un habile résumée juridique sur les services sociaux agrémentée d'une bonne dose d'injures. Il faut dire que Catherine Pilon était une beauté. Pas trop grande, avec des seins de taille moyenne qu'elle savait très bien mettre en valeur et une taille coupée au couteau. Elle avait l'habitude de faire affaire avec des hommes qui ne la regardait pas toujours dans les yeux. C'est la carte qu'elle osa jouer pour convaincre le père de lui céder ses enfants. Les résultats n'étaient pas au rendez-vous, mais au moins il acceptait de lui parler.

Rien n'y fit. Malgré le ton poli, les différentes rencontres se finissaient toujours par un refus catégorique de négocier quoi que ce soit. Le gars possédait des arguments juridiques vraiment solides. Un jour, la petite fille de 6 ans eu un accident qui l'emmena à l'hôpital. Bien que les parents n'aient été en rien responsables de l'accident, ils étaient également incapables de s'occuper de sa convalescence. Il fallait absolument convaincre le père de laisser sa fille aller temporairement en mai*** d'accueil. L'affaire est devenue émotive pour Catherine quand la petite fille terrorisée avait fini par lui dire à travers ses sanglots qu'elle ne voulait pas retourner chez elle.

Un soir, alors que les deux plus jeunes était dans leur chambre, la discussion entre l'assistante sociale et le père était en train de tourner au vinaigre. Les arguments juridiques de Dob*** se frappaient aux arguments médicaux de Catherine qui avait toujours le visage en pleur de l'enfant à l'esprit. Le ton commençait à monter sérieusement. Soudainement Réal Dob*** se tu. Après un moment, il regarda Catherine dans les yeux et dit :

-OK. Tu me suce et je signe ton foutu papier.

-Quoi! Pardon!

-Tu as compris la Minette.

-NE M'APPELEZ PAS MINETTE!

Il reprit très calmement, avec une voix douce, comme si il parlait à un enfant.

-De un, je t'appelle comme je veut. De deux, tu m'énerves avec ta paperasse et de trois, j'ai le goût de me faire sucer. Alors, ou bien tu ramasse tes guenilles et Mélo s'occupe de moi, ou bien tu fais prendre l'air à tes tétons. Quand tu m'auras vidé les couilles, je signerai ton papier et tu pourras faire ce que tu veux de la petite pour 2 mois.

-C'EST DU HARCELLEMENT, J'APPELLE LA POLICE.

- Et tu vas leur dire quoi?

À ces mots, Catherine su ce qu'elle devait faire : quitter cette mai*** de fou et ne plus y revenir. En effet, il n'y avait pas de témoins. Elle jeta un coup d'œil à Mélanie Dob***. Comme toujours, elle avait le regard éteins et souriait bêtement en regardant *** mari qui fixait intensément l'assistante sociale. Jamais elle ne témoignerait contre lui. Il lui vint alors un profond dégoût pour cette femme qui acceptait tout de cet homme et ne faisait rien pour aider ses propres enfants.

La colère, les émotions, le visage de l'enfant en pleur, les nuits blanches à ***ger au dossier et surtout un immense sentiment de supériorité face à ces minables se mélangèrent pour exploser entraînant alors une réaction des plus inattendues.

Catherine se leva en fixant Réal Dob*** droit dans les yeux. Elle sortie l'autorisation du dossier, la plaça devant lui, porta les mains au premier bouton de sa blouse et le défit en disant :

- Signe.

- Suce d'abord.

L'assistante sociale était loin d'être une sainte. Bien que maintenant rangée, elle avait fait le bonheur de bien des jeunes hommes à l'université. Un homme est un homme. Une queue est une queue et cette queue n'est pas sûrement pas différente des autres. Elle mis de côté ses principes, *** amant et *** amour propre. Ce n'était plus un dossier comme les autres. Pour Catherine, c'était une guerre à finir avec ce minable qui manipule la loi et maltraite ses enfants. Elle allait lui montrer à ce salaud qu'elle n'avait pas froid aux yeux, qu'elle était plus forte que lui et que cette fois, il ne gagnerait pas.
chrislebo

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#6,225
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Elle retira sa sage blouse blanche tout en fusillant Dob*** du regard. Elle dégrafa d'un geste souple *** soutien gorge, exposant fièrement sa poitrine à l'homme qui lui souriait à pleine dent. Catherine était plutôt satisfaite de sa poitrine. Un bon B de bonnet qui compensait *** manque d'envergure par une fermeté spectaculaire. Ses aréoles roses étaient complétées par de superbes mamelons pointés. Le tout défiait la gravité et pointait légèrement vers le ciel. *** amant lui disait souvent qu'elle avait une poitrine de rêve.

-Pfioouuu... Pas mal tournée la Minette.

Catherine fixait durement le visage de l'homme. Ses cheveux sales et en batailles étaient striés de nombreux cheveux d'un blanc jauni par le tabac. Une barbe poivre et sel de plusieurs jours couvrait inégalement *** visage. *** hygiène était douteuse. Il dégageait une forte odeur de sueur et de tabac qui se mélangeait à une haleine d'alcoolique. *** corps semblait maigre et décharné, mais le bonhomme avait néanmoins un ventre très dur caractéristique des buveurs de bière. Bref, Réal Dob*** était dégueulasse.

-Allez la Minette. À genoux.

Sur ces mots, il recula sa chaise et baissa d'un geste vif *** pantalon de jogging taché. *** sexe apparu aux yeux de Catherine et ce qu'elle vit lui fit un choc. Le membre de Dob*** était en semi érection. Déjà, sa taille était supérieure à la moyenne, mais ce qui frappa la jeune femme, c'était sa laideur. Une queue mince et longue coiffée d'un gland violacé. Une queue usée, de couleur très foncé, zébrée de grosses veines mauves et parsemée de taches de décoloration blanches. Près de la base, il y avait une grosse tache brunâtre de laquelle sortaient de petits poils drus. Ses couilles étaient pendantes et très poilues.

-Hey Salope! Tu suces ou tu sors? J'ai assez perdu de temps avec toi.

Catherine reçu cette phrase comme une gifle. Elle ***gea à la petite fille, pris une respiration, ferma *** esprit et se dirigea vers le salopard. C'est à peine si elle entendit les petits « hun hun hun » stupides poussés par Mélanie qui gloussait en regardant le spectacle.

Elle s'agenouilla devant cet homme qu'elle détestait tant. Elle pris l'hideux pénis dans sa main et sans même se permettre une respiration, elle l'emboucha. Le goût était immonde, mais Catherine le remarqua à peine. Elle entreprit de téter le gland du bonhomme en le branlant avec vigueur.

Subitement, Catherine reçu une violente claque sur le côté de la tête qui lui fit perdre l'équilibre.

-Mollo Salope, Si j'veux me faire arracher la queue, j'vais aller me faire sucer par une chèvre.

-Mets les mains derrières ton dos.

Catherine repris *** va et viens. Dob*** admirait la chevelure brune de la beauté qui s'activait sur *** membre. Il ne croyait pas sa chance. Il avait fait *** offre pour se débarrasser de l'omniprésente fonctionnaire. Il n'aurait jamais cru qu'elle accepterait. La pipe de la brunette était tout a fait extraordinaire malgré le peu d'enthousiasme qu'elle y mettait.

-Mélo, va me chercher une bière.

La femme s'exécuta. Dob*** but sa bière à petites gorgée, la main gauche serrée autour de la queue de cheval de Catherine qui peinait à tenir le rythme imposé par *** tortionnaire. À l'occasion, il poussait avec ***** sur la tête de la pauvre femme pour qu'elle prenne la totalité de *** membre. Il la forçait à tenir cette position difficile tout en lui malaxant la poitrine et en lui étirant les mamelons. Catherine se mettait alors à gesticuler et à couiner jusqu'à ce que l'homme relâche la pression et lui redonne un rythme.

Combien de temps est-ce que ce manège a durée? Catherine ne pouvait le dire. *** esprit était complètement fermé. Une chose était certaine, elle avait perdu tout contrôle sur la situation. En dehors des efforts qu'elle faisait pour respirer et garder *** équilibre tout en maintenant le rythme qui lui était imposé, elle n'avait conscience que de ses genoux endoloris. Soudainement, Dob*** tira ses cheveux vers le haut, la forçant à se redresser pendant que lui se levait. Il pris la tête de Catherine à deux mains et se mis à la pilonner avec vigueur. Étouffant et incapable de maintenir *** équilibre, Catherine commença à se débattre en essayant de repousser l'homme en le frappant au ventre.

-Mélo, tiens les bras de la petite chienne.

Mélanie se leva en vitesse prenant solidement les poignets de l'assistante sociale en les tirants vers l'arrière. La femme était corpulente et dans l'état de choc et de panique où elle était, Catherine se retrouva totalement à la merci de *** agresseur. Celui-ci profita de sa position pour redoubler *** ardeur en enfonçant *********** sa queue gonflée et prête à éclater jusqu'au fond de la gorge de la suceuse qui croyait mourir tant ses épaules étaient douloureuses. Comme elle était incapable de respirer normalement, *** visage devint de plus en plus empourpré.

-Slurghhh, ungfffff, arghrgffh!

Les bruits de succion et d'étouffements envahissaient l'appartement. La salive et les différentes autres sécrétions éclaboussaient Catherine de toute part. Le mascara qui maculait *** visage était dilué par les larmes qui coulaient abondamment.

Finalement, Dob*** se raidit, lâcha un râle et plongea profondément sa queue dans la gorge de sa victime en déversant *** sperme chaud et visqueux dans *** oesophage. Il repoussa alors violement Catherine qui s'effondra un sol, secouée par de violents hoquets. Prise de nausée, elle vomit littéralement le foutre sur le plancher. Puis, elle resta immobile et sanglotante.

Dob*** passa par-dessus elle, pris un stylo, signa la feuille rapidement puis il ramassa *** chemisier et *** soutien gorge. Il se pencha vers elle. Essuya les dégâts avec ses vêtements. Il la prit par les cheveux, plaçant *** visage défait près du sien. Brandit le formulaire signé et dit :

-Tu suces bien. Tu aurais dû faire pute. Ça aurait été plus utile que de devenir une conasse de fonctionnaire qui passe *** temps à faire chier le monde.

-Prends ta maudite feuille et ne reviens plus.

-J'attends ma fille dans 2 mois.

Sur ce, il crachat au visage de Catherine. L'immonde déjection aveugla la femme qui ne pouvait se protéger. Dob*** la traîna jusqu'à la porte et il la projeta dans le corridor en même temps que ses vêtements et le formulaire signé.

Au moment où la porte se refermait, Catherine entendit le ricanement stupide de la femme qui disait :

-Han, Han, Han. T'as ben fait mon homme. Han, Han.

chrislebo

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#6,226
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Catherine ne souvenait plus très bien comment elle avait fait pour rentrer chez elle. Le tout avait durée une douzaine de minutes environ, mais l'aventure semblait avoir durée des heures. En fait, elle ne souvenait pas de grand-chose. Pendant les semaines qui suivirent, elle se demanda souvent comment le contrôle de la situation avait pu lui échapper à ce point. Souvent, la nuit, elle se réveillait en sueur, le cœur battant la chamaille avec un goût horrible dans la bouche. *** expérience lui revenait par brides et elle faisait des efforts constants pour enfouir ses pensées au fond de *** esprit.

Elle pris des vacances. À *** retour au travail, la situation pris une autre tournure. Elle était bien décidée à mettre le cas Dob*** derrière elle et à passer le dossier à un collègue. Cependant, la signature inattendue du formulaire avait propulsé Catherine au rang des stars de l'assistance sociale. Sa demande pour se retirer du dossier fut refusée. Au contraire, une promotion lui fut promise et elle reçu pour mission de négocier l'abandon définitive de tous les enfants du couple Dob***.

Grisée par l'attention et la promotion. Elle se rendit dans le foyer d'accueil où résidait la fillette. Ce qu'elle y vit la sidéra. La petite fille avait fait d'énormes progrès tant au niveau physique que sociale. Proprement habillée, elle rayonnait. Quand Catherine lui appris qu'elle devrait retourner chez ses parents, l'enfant éclatât en sanglot et dit :

-Non Madame Catherine, je ne veux pas retourner là-bas. Je veux rester ici.

Les pleurs et la crise qui suivirent durèrent des heures. À travers ses larmes, la fillette supplia Catherine de la laisser au foyer d'accueil et de sauver ses sœurs. Le cœur complètement retourné par l'enfant, l'ego et la confiance gonflés par sa position au travail, l'assistante sociale commis sa seconde et plus fatale erreur.

-Je te le promets. Je vais vous sauver. Tu ne retourneras pas chez tes parents.

C'est ainsi que Catherine se retrouva à la porte de l'appartement des Dob***s, bien décidée à ne plus s'en laisser imposer par le gougeât et la ridicule femelle qui lui servait de femme.

Prenant *** courage à deux mains, elle frappa à la porte. Réal Dob*** ouvrit et *** visage poilu se fendit dans un large sourire.

-Hey Mélo! Devine Quoi? C'est la Minette du gouvernement.

-Tu ramènes la gamine?

-Heu, non. Je voudrais vous parler.

-Quoi? Moi qui croyait que tu venais pour me sucer!

Et au loin, toujours ce rire stupide.

-Han, Han, Han.

Catherine joua sa seule carte.

-Mr Dob***, lais***s ce malheureux épisode derrière nous et n'en parlons plus. Je suis venu pour vous faire signer l'abandon définitif de tous les enfants. Écoutez, votre fille est resplendissante et ne veut pas revenir. Alors, agis***s en adultes sérieux.

Réal Dob*** ne broncha pas. La nervosité de Catherine se transforma lentement en panique.

-Voici ce que je vous propose.

Elle sortit un nouveau formulaire de *** porte document tout en parlant rapidement.

-Vous signez cette décharge, je pars avec les filles et de mon côté je m'engage à ne pas vous faire arrêter pour l'agression que j'ai subie...

Réal Dob*** éclatât d'un grand rire ***ore qui ré***na un long moment dans le corridor. Essuyant ses yeux, il répondit en riant.

-Toi, t'es vraiment conne. Je comprends pourquoi tu as décidé de devenir fonctionnaire. Tu entends Mélo, la salope veut me faire coffrer.

*** regard se durcit soudain et il parla d'une voix dure, mais très calme. Il avançait lentement vers elle tout en la fixant droit dans les yeux. Dob*** était beaucoup plus grand que Catherine et celle-ci reculait lentement jusqu'à ce que *** dos s'appuie sur le mur du corridor.

-Écoute la Minette. De un, tu était consentante. De deux, j'ai un témoin et de trois, je doute que la méthode que tu as utilisée pour soutirer ma signature soit jugée acceptable par une cour de justice.

-Alors écoute moi bien petite chienne.

-La petite doit être de retour Vendredi prochain sur le coup de midi. Si jamais elle n'est pas là à l'heure précise, c'est moi qui vais porter plainte contre toi.

Catherine était sans voix, de plus en plus pale et tremblait. Dob*** se recula de deux pas, baissa *** pantalon de jogging et ajouta:

-Alors, à moins que tu n'aille le goût d'honorer ma virilité, à Vendredi.

Sur ce, il rentra chez lui. Pétrifiée, Catherine pouvait entendre derrière la porte le gloussement stupide de la femelle Dob***.

chrislebo

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#6,227
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Décidée à tenir sa promesse, elle retourna chez les Dob*** à chaque jour, parfois deux fois par jour. Elle essaya de convaincre le bonhomme de la recevoir pour discuter, mais elle ne réussie jamais à passer la porte. Au mieux, était-elle accueilli par un :

-Fout le camp!

Le mardi précédant le retour de l'enfant, Réal Dob*** ouvrit la porte. Il était complètement bourré. Avec une rapidité surprenante pour un homme dans sa condition, il repoussa de nouveau Catherine et la coinça contre le mur du corridor. Le geste démonta immédiatement la confiance de l'assistante sociale qui se mit à trembler comme une feuille.

Il se mit à parler d'une voix douce et ferme. On pouvait presque voir la folie percer à travers ses paroles. *** haleine était terrible et *** odeur, plus repoussante que jamais, était accentuée par la chaleur humide du vieux corridor pourri.

-J'ai fini de jouer avec toi. Alors voici ce qu'on va faire. Tu vas te présenter ici à 10 heures précises demain matin. Tu vas cogner à la porte. Tu vas entrer et te déshabiller. Tu vas garder que ta culotte, tes bas nylons et tes souliers. Assure toi d'être bandante. Tu vas me servir sans dire un mot jusqu'à 3h. Tu vas faire tout ce que je te dis sans piper un seul mot. Si je suis satisfait, je signe ton papier et on se revoit plus. Si tu te rebelles, si tu te défiles ou si je ne suis pas content de ta performance, je te fous dehors et c'est fini.

Sur ces mots, il passa une grande langue baveuse sur le visage de Catherine et retourna chez lui et sans rien dire.
chrislebo

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#6,228
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Cette journée fut la plus terrible de la vie de la jeune femme. Mille fois elle pris la décision d'abandonner les enfants Dob*** à leur sort et mille fois elle se ravisa. L'image des supplications de la fillette la hantait constamment.

Sa dernière nuit de sommeil remontait à plus d'une semaine. *** dernier repas à plus de 24 heures. Catherine était affaiblie, et très instable psychologiquement. Elle n'arrivait pas à réfléchir normalement. À de nombreuses reprises, elle avait crue, et souhaitée, que *** cœur arrête de battre.

Contre toute logique et sans réfléchir, elle mis l'ensemble de lingerie noir transparent que *** dernier amant lui avait donné. Elle déroula une paire de bas nylons neuf sur ses jambes, mis ses souliers à talon, sa jupe et *** chemisier le plus décolleté. Et en ce jour de canicule de début d'été, elle marcha d'un pas lent jusqu'à sa voiture et roula machinalement jusque sur le boulevard du Phare. Elle n'avait pas pris la peine de se maquillée. De toutes manière, depuis le lever du soleil, des larmes coulaient constamment des ses yeux gris.

******

C'est ainsi que Catherine se retrouvait maintenant chez l'affreux couple. Elle était maintenant presque nue. Elle n'osait pas bouger et attendait en silence la suite des événements.

Sans même se retourner, Dob*** lui lança :

-Il y a de la vaisselle à faire Minette. Ne met que de l'eau chaude, je veux que ça brille.

Catherine considéra l'imposante pile de vaisselle souillée qui couvrait le comptoir. Elle s'approcha lentement du lavabo.

-Allez fainéante, au boulot!

Sur ces mots, elle entendit un sifflement aigu et *** cul explosa dans une douleur cuisante. Mélanie Dob***, s'était approchée sans bruit et venait de lui administrer un sévère coup avec la baquette de un mètre qu'elle tenait à la main.

-Aaiiie!

-Ta gueule! fit la voix ***ore de Dob***. Si tu pensait venir ici pour jouer au fesses et prendre ton pied toute la journée, tu te trompe salope. Si tu veux te faire ramoner par ma queue, il va falloir que tu le mérites.

-Mélo, assure-toi que l'eau est bien chaude et que mademoiselle la putain de fonctionnaire travail. Ça va la changer un peu de la paperasse. Au boulot!

-Han, Han. fit Mélanie en touchant à l'eau brulante.

Catherine n'essaya même pas de retenir ses larmes quand la baquette de bois percuta de nouveau ses fesses. Elle plongea ses mains dans l'eau, poussa un petit gémissement de douleur en entrepris sa tâche.

La nouvelle bonne des Dob***s travailla sans relâche pendant près d'une heure sous les encouragements enthousiastes de la baguette de Mélanie. Les seuls ***s qu'on pouvait entendre étaient la télé et les ricanements de sa tortionnaire. Jamais Réal Dob*** ne jeta un seul regard à l'assistante sociale au corps ruisselant de sueurs et aux mains enflées par l'eau chaude.

Catherine laissa *** esprit être absorbé par sa tâche. Elle n'entendit pas l'homme s'approcher. Elle détecta plutôt *** odeur. Il était maintenant clair pour elle que Réal Dob*** avait porté une attention particulière à *** hygiène lors de leurs rencontres précédentes. C'était maintenant du passé. Il était évidant qu'il n'avait ni brosser ses dents, ni pris de douche depuis sa visite de la veille.

L'homme la pris par la taille, se collant contre elle en l'embrassant dans le cou, comme un amant attentionné. Ses mains remontèrent lentement vers ses seins qu'il se mit à serrer jusqu'à ce que Catherine grimace.

- T'as vraiment un corps d'enfer. Continue à travailler.

Ses mains explorèrent le corps de Catherine. Il s'attarda longuement sur ses seins, pinçant et étirant les tétons, malaxant avec ***** ses superbes globes. Il tata *** ventre comme un médecin, impressionné par la fermeté de celui-ci. Il explora ses fesses et glissa sa main dans la culotte de l'assistante sociale qui tentait tant bien que mal de poursuivre sa tâche.

-Ha! Je l'savais. Tu te rases la touffe. Un vrai salope.

Il continua ainsi ses manipulations pendant un bon moment, s'attardant parfois aux seins, parfois au sexe de la femme. Il lui écarta *********** les jambes pour avoir un meilleur accès à sa féminité. Il chercha maladroitement à lui insérer un doigt dans le vagin, puis revins derrière palper le cul de la belle qui essayait de ne pas trop gesticuler malgré *** fort instinct de répulsion. Pendant tous ce temps, elle pouvait sentir la solide érection de Dob*** qui faisait pression dans *** dos.

-Embrasse moi.

Comme elle était lente à réagir, il tourna lui-même la tête de Catherine d'un geste brusque qui lui soutira une grimace.

-Embrasse moi avec la langue salope.

Catherine entrouvrit lentement les lèvres. Sans hésiter, Dob*** plaqua sa bouche sur la sienne et sa langue se força un chemin entre ses lèvres. L'haleine de l'homme était tout simplement fétide. Ses mains puissantes empri***naient le visage de l'assistante sociale ce qui la privait de toute forme de défense. Dob*** lui bavait littéralement dans la bouche. Après ce qui lui sembla être une éternité, il se recula d'un pas.

-À toi, maintenant.

Comme *********** par l'ordre de *** bourreau, elle emmena *** visage vers ses joues poilus et commença à l'embrasser du mieux qu'elle pu. Dob*** brisa le baiser, retira *** chandail et lui ordonna:

-Encore. Cette fois mets-y du tient. Frotte toi sur moi comme une chatte en chaleur.

chrislebo

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Comme dans un rêve, Catherine s'exécuta. Elle repris *** baiser tout en frottant ses seins sur la poitrine velue de l'homme. Sans même s'en rendre compte, *** genou alla taquiner l'érection grandissante que le dégoûtant pantalon taché de Dob*** ne cachait en rien. Il souleva très haut sa jambe galbée de nylon. Il glissa une main jusqu'au sexe de Catherine et entrepris de fouiller le fond de sa culotte mouillé exclusivement de la sueur crée par cette journée torride. Il lui malaxa le vagin sans aucune délicatesse. La pauvre femme peinait à garder *** équilibre et devait s'appuyer d'autant plus sur *** bourreau pour ne pas tomber. Soudainement, il repoussa Catherine qui tomba vers l'arrière et se cogna durement contre le comptoir.

-Reprends ton boulot. Lui lança-t-il en se retournant vers sa femme.

La minuscule cuisine des Dob***s était dotée d'une petite table basse qui venait s'attacher au comptoir principale. La vue de la table maintenant libérée de sa vaisselle donna une idée au gougeât. Alors que Catherine se redressait et reprenait *** travail de plonge, Réal Dob*** agrippa sa femme par le bras et l'étendit sans ménagement sur la petite table. Ainsi, la tête de la femme se trouvait tout près de l'évier.

D'un geste rapide, Dob*** baissa *** pantalon, souleva les jambes de Mélanie haut dans les airs. Il retira d'un geste vif la vaste culotte de sa femme. Surprise par la tournure des événements, Catherine regardait sans bouger l'homme pénétrer sans ménagement sa partenaire qui poussa un long râle de plaisir.

Voyant l'assistante sociale ainsi figée, il lui lança à la figure la culotte rose décolorée et usée. Catherine l'attrapa par réflexe et eu un geste de dégoût. La vielle culotte sale était toute poisseuse des sécrétions de Mélanie. Dob*** remarqua le geste.

-Vas-y, sent la, Mets ton nez dedans. Respire l'odeur d'une vraie femme qui mouille pour *** homme. Ma Mélo, c'est pas une petite gouine frigide comme toi.

Machinalement, comme ***********, Catherine porta le vêtement à *** nez et respira l'odeur forte de la chatte de Mélanie. Pendant ce temps, Dob*** allais et venais à grand coup de queue dans le con de sa femme qui se lamentait de plus en plus.

-Han! Han! Han! Oui! Ouiii! Han! Ouuu!

-Allez salope, arrête de te rincer l'oeil, au travail!

Catherine repris *** boulot. Elle tentait en vain d'ignorer le couple qui baisait bruyamment tout près d'elle. Du coin de l'œil, elle observa Mélanie Dob***.

La femme était beaucoup plus jeune qu'elle en avait l'air. Pas plus propre que *** mari, les cheveux bouclés, gras et sales. Elle avait une très petite bouche qui restait toujours un peu entrouverte. Ses dents jaunies était croches et avançaient vers l'avant. Ses traits étaient lourds. Sans être obèse, Mélanie était grasse. Elle arborait un gros ventre mou qui bougeait comme de la gélatine sous les coups de queue de *** amant. Dob*** avait repoussé sa chemise de nuit pour libérer ses seins. Ils étaient mous, sans aucun tonus, les mamelons constamment en érection. À voir comment l'homme les maltraitait, ce n'était pas surprenant. Il pinçait littéralement les tétines de sa femme pour les tirer vers lui au point où Mélanie devait arquer *** dos pour suivre le mouvement. Elle ne semblait cependant pas ressentir de douleur de ces mauvais traitements, l'habitude peut-être. La femme avait une pilosité étonnante. Ses jambes n'avaient probablement jamais été rasées et *** sexe était complètement recouvert d'un poil noir et raide qui remontait haut sur *** ventre. Une chose était certaine, elle semblait prendre beaucoup de plaisir dans ce ****** coït.

-Hey la fainéante! Tant qu'à nous reluquer, approche.

Catherine franchit les trois pas qui la séparaient du couple. Dob*** lui agrippa le mamelon gauche et l'attira jusqu'à lui. Une main maltraitant le sein de sa femme qui se lamentait, l'autre pinçant et étirant le téton de l'assistante sociale, il dit :

-Avoue qu'elle est belle ma Mélo.

Comme elle tardait à répondre, Dob*** tira d'un coup sec sur le mamelon sensible.

-Aie!! Oui, elle est belle. Dit-elle d'une petite voix.

-Je l'savais. Les jeunes, vous êtes toutes des gouines. Ca t'excite de la voir jouir? T'es jalouse de ne pas avoir ma queue dans ta touffe?

Sur ce, il resserra sa prise sur le sein de Catherine qui répondit d'une voix éteinte ce que *** bourreau voulait entendre.

-Oui.

-Oui quoi?

-Oui ca m'excite.

-Alors ne te gêne pas salope. Branle-toi. Mets la main dans ta culotte. Montre moi comment tu te fais plaisir.

Catherine était pétrifiée. Alors que Mélanie manifestait *** plaisir de manière très bruyante, elle glissa la main dans sa jolie culotte et massa lentement *** sexe qui restait totalement sec. Ce geste sembla satisfaire Dob*** qui retourna *** attention sur sa femme et accentua la ***** des ses coups de queue. Ils restèrent tous trois ainsi pendant un long moment. Puis, l'homme ralenti *** rythme, pris Catherine par les cheveux et l'attira près de *** visage.

-Toutes des gouines... Vas-y. Montre-moi comment tu fais ça avec tes copines. Vas-y! Embrasse Mélo.

Les plaintes infinies de la mère Dob*** cessèrent aussitôt. À *** air interloqué, on devinait qu'elle était aussi surprise que Catherine et pas plus à l'aise avec la chose.

-Mais...

-Ne viens pas me faire croire qu'une petite chienne dans ton genre ne s'est jamais gouinée avec une autre fille. Embrassez-vous et faites ça sensuelle.

Il poussa durement Catherine vers la tête de Mélanie qui, bien que mal à l'aise, ferma les yeux, entrouvrit les lèvres et sorti le bout de sa langue dans un rictus qui aurait été comique dans d'autres circonstances. Dob*** repris *** pistonnage alors que Catherine, repoussant sa nausée, approcha ses lèvres de celles de Mélanie jusqu'à ce qu'elles les touchent chastement. Dob***, visiblement insatisfait, poussa un grognement.

-SHLACK

Il avait pris le bâton de 1 mètre et venait de frapper durement le cul de l'assistante sociale. Renversant *** mouvement, il assena un second coup tout aussi fort sur le cul de sa femme.

-Allez espèces de fainéantes, mettez-y du cœur.

Les deux femmes s'activèrent simultanément. Leurs langues se mirent à danser pour le plus grand plaisir de Dob*** qui redoubla de fureur, se projetant avec ***** au plus profond du con de sa femme. Mélanie sursautait à chaque coup de boutoirs. Plus pour garder *** équilibre que par pur désir lesbien, Catherine planta ses doigts dans le sein droit de Catherine dont la grimace apparu comme un signe de jouissance aux yeux de Dob***.

-Han! Han! Han! Haaaaa!!!!!

Mélanie s'abandonna à nouveau. Elle cria *** plaisir dans la bouche de Catherine *** cris ré***na dans le petit appartement. N'y tenant plus, Dob*** explosa profondément dans le vagin de sa femme en poussant un grognement rauque. Il se retira subitement pour s'asseoir sur une chaise, la queue luisante et le souffle court. Mélanie avait porté la main à sa chatte et se branlait furieusement tandis que Catherine, la main gauche toujours dans sa culotte, n'osait briser le baiser de peur de déplaire à Dob***.

-Bon. C'est assez les gouines. Gardez-en pour plus tard. La Minette, nettoie la touffe de Mélo avec ta culotte et retourne finir tes chaudrons.

Hésitante, Catherine enleva sa précieuse culotte et essuya délicatement le vagin de Mélanie qui dégoulinait de sperme et de sécrétion. Elle avait toujours su que certaine femme pouvait dégager des odeurs fortes, mais jamais elle n'aurait cru que quelqu'un puisse dégager des effluves aussi nauséabondes. Elle regarda sa culotte maculée et ***gea un instant à l'amant qui lui avait offert.

Cette pensée lui donna le vertige. Elle s'était préparée à être violée, baisée par ce grotesque per***nage. Elle était décidée et aurais pu vivre avec ces actes immondes tant elle voulait sauver ces enfants. Elle savait que Dob*** allait prendre *** corps. Elle croyait pouvoir garder le contrôle, avoir le dessus sur lui, du moins mentalement. Mais Catherine n'était pas prête à ce qui s'est passé. Il ne lui avait pratiquement pas touché. Elle avait certainement déjà été plotée plus hardiment sur des pistes de danse. Elle le réalisait maintenant, Dob*** avait gagné. Il l'avait détruite. Pas en la baisant, mais en l'humiliant. En l'humiliant d'une manière telle qu'elle n'aurait pu l'imaginer. À cette pensée quelque chose se brisa en elle. Elle ne pouvait plus lui résister.

N'ayant rien avalé depuis plus de 24h, elle prit conscience de la faim que la tenaillait. Du coin de l'œil, elle remarqua un muffin qui trainait sur la table. Désespérée, elle osa demandée avec une petite voix, presqu'une voix de gamine.

- Mr Dob***, j'ai très faim. Pourrais-je avoir quelque chose à manger SVP.
chrislebo

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#6,230
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Et l'homme de répondre en riant.

-Tu veux ma queue... Quelle salope. C'est dommage pour toi, mais elle a besoin de récupérer un peu. Prends plutôt ce gâteau.

Il prit le gâteau sec qui traînait là depuis des jours et l'émietta sur la table. Il en prit une partie dans sa main et la porta à sa bouche. Après l'avoir mastiqué pendant quelques secondes, il recracha la pâte devenue gluante dans sa main et s'approcha de Catherine. Il mit sa main libre sur *** épaule et appliqua une pression. Immédiatement, sans résistance, l'assistante sociale se mit à genoux, le visage à quelques centimètres de sa queue flasque. Dob*** avança la main et lui ordonnât :

-Mange

Sans dire un mot, elle se pencha vers la main ouverte. Elle mangea l'immonde bouillie directement de la main de l'homme. Exactement comme l'aurait fait un ****** dans une ferme pour enfants. Il lui fit nettoyer ses doigts sales et jaunis au tabac. Quand il fut satisfait, il l'agrippa par les cheveux, la redressa et la retourna à ses chaudrons en lui expédiant une claque ***ore sur les fesses.

Catherine se remis à l'ouvrage dans un silence complet. Ni Mélanie, ni Dob*** ne dirent un mot pendant de longues minutes. Les seuls bruits provenaient de la gorge de Dob*** qui buvait sa bière à grandes lampées.

Il se leva soudain. Il s'approcha du comptoir, toujours nu, et pris un grand verre resté sale et taché malgré tous les efforts de Catherine. Sa queue à la main, il urina par petits jets dans le verre. Une fois le contenant rempli, il le tendit à Catherine qui regardait le plancher. Elle prit le verre tout chaud dans ses mains.

-Bois

Lentement, très lentement, elle porta le verre à ses lèvres. C'est à peine si elle remarqua l'odeur fétide qui s'échappait de l'urine encore chaude. Elle versa le liquide dans sa bouche en grimaçant et l'avala à petites gorgées sous les regards amusés du couple fou. Elle vida le verre sans broncher. *** cerveau ne semblait plus fonctionner. Elle ne gouta pas plus la déjection de Dob*** qu'elle la senti. Il l'avait brisée psychologiquement. Elle n'habitait plus *** corps. L'énormité de *** geste s'inscrit néanmoins dans *** esprit d'une manière telle qu'elle ne put plus jamais fréquenter une toilette publique et resta allergique à l'odeur de l'urine.

Elle réprima une forte nausée et repris *** travail sans dire un mot. Dob*** sorti en ricanant une bouteille de whisky bon marché et en pris une longue gorgée. Il s'approcha de Catherine, la prit par la taille et fit mine de l'embrasser.

-Beuuurk! Tu pus de la gueule.

Il tira la tête de Catherine vers l'arrière et versa une bonne rasade de whisky directement dans sa gorge. Frapper par la ***** du breuvage, le jeune femme s'étouffa et régurgitât une partie du liquide, puis elle tomba à genoux. L'agrippant de nouveau par les cheveux, il tira la pauvre assistance encore au sol jusqu'à sa chambre.

-Moi et la Minette, on va faire une sieste.

Il lança Catherine sur le lit aux draps souillés. Celle-ci se roula instinctivement en boule. Dob*** la rejoignit aussitôt et l'enlaça en cuillère. Il passa *** bras gauche sous elle et agrippa un de ses seins. Il écart largement les jambes de la belle afin d'avoir un meilleur accès à sa féminité. Sans hésitation ou précautions, il enfouit maladroitement deux doigts dans sa chatte sèche. Il lui marmonnait des choses incompréhensibles dans l'oreille tout en lui léchant le cou. Ainsi immobilisée, Catherine se laissa aller. Après un moment, les maladroites manipulations de Dob*** firent place à un ronflement ***ore.
chrislebo

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#6,231
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Catherine dormit d'un sommeil fiévreux où les images des ses tourments se bousculaient. Elle se réveilla en sursaut, une douleur cuisante lui déchirant les jambes. Elle était maintenant sur le dos, Dob*** lui écartait les cuisses au maximum et frottait *** pénis durci sur *** sexe. Il l'empala sans avertissement, lui tirant un long râle de douleur que Dob*** confondit avec du plaisir. Il se laissa tomber sur elle et approcha *** visage tout près du sien.

-Tu jouis sale chienne.

-Ça t'as excité de nous voir baiser salope. Je sais que depuis que tu es arrivée que tu veux ma queue. Tiens! Prend là!

Sur ce, il donna un violent coup de bassin qui fit cogner la tête de Catherine contre le mur.

Il s'écrasa de tous *** poids sur sa proie. Il la baisa ainsi, lentement et longuement. Sa langue envahissait la bouche de Catherine. Elle avait du mal à respirer coincée sous l'imposant mâle. Ainsi écartelée, ses cuisses étaient douloureuses, ses jambes tremblantes. À chaque fois qu'elle tentait de les baisser, Dob*** les relevait violemment. Bientôt, des crampes commencèrent à ******** Catherine. Elle gesticulait pour échapper à la douleur, mais elle restait toujours bloquée sous la masse de l'homme qui voyait dans ces mouvements involontaires des signes de jouissance.

Catherine s'abandonna à nouveau. Elle repris conscience au moment où Dob***, dégoulinant de sueur, se vidait en elle. Ses grognements cessèrent et il s'écrasa de tout *** poids sur Catherine. Rapidement, il se mit à ronfler.

Catherine ne su jamais vraiment combien de temps elle resta au lit, mais quand Dob*** la libéra, elle dû rapidement reprendre ses tâches ménagères. Les cuisses et la chatte collés de foutre, elle du récurer la salle de bain du couple et laver à la main les sous vêtements tachées de Mélanie et de Dob***.

Elle travaillait en silence quand Dob*** s'approcha d'elle.

-Viens la Minette, il te reste un travail à faire et il est presque 3 heures.

Ces mots ré***nèrent comme un coup de tonnerre. Pour la première fois depuis le matin, Catherine pris conscience que *** tourment aurait peut-être une fin. Elle repris espoir.

Dob*** la pris par les épaules et la tourna face à la table. Les yeux de Catherine s'ouvrirent au point de sortir de leurs orbites. Le formulaire de libération des enfants était proprement ouvert à la page de la signature, un stylo posé à sa gauche. Les battements de cœur de l'assistante sociale s'accélérèrent. Au moins, elle aura réussi à sauver les enfants.

L'homme la pris doucement par la taille. *** pénis de nouveau en érection faisait pression dans *** dos. Il lui glissa à l'oreille.

-Un dernier coup pour la route Minette. Penche toi sur la table et écartes les jambes.

Catherine obéit doucement. Les seins écrasés sur la table collante, elle écarta les jambes. *** vagin obstinément sec fut de nouveau envahie par ce sexe tant haie. La position était inconfortable, mais Dob*** la limait en douceur.

Soudainement, Catherine senti un gel froid et visqueux se répandre entre ses fesses. Du pouce, Dob*** se mit à étendre le gel sur *** anus. Les sens soudainement en alerte, elle comprit bien vite où il voulait en venir.

La sodomie avait toujours été *** ultime tabou. Elle n'avait jamais accepté de caresses anales. Elle avait toujours été claire avec ses partenaires. *** anus était interdit. *** plus grand cauchemar était que *** amant la pénètre accidentellement. C'est pourquoi elle n'avait jamais été à l'aise avec la levrette et les positions où l'homme se retrouvait derrière elle.

Catherine se mit à se débattre furieusement. Dob*** faillit perdre l'équilibre. Il attrapa les poignets de la belle et les ramena *********** derrière *** dos.

-Mélo, aide moi

Mélanie s'avança et mis tout *** poids sur les épaules de Catherine, la clouant littéralement à la table, pendant que *** mari lui attachait les poignets. Après s'être débattu avec l'énergie du désespoir, Catherine se mis à sangloter, puis à pleurer. Dob*** lui assena 4 magistrales claques sur les fesses et il plaça *** gland directement sur l'anus vierge.

-Vas-y doucement Ré, la petite a peur.

La voix de Mélanie se voulait réconfortante. Les quelques fois où *** mari l'avait enculée, elle avait toujours ressentit beaucoup de douleur. Rien n'y fit, Dob*** poussa avec *****, mais l'entrée était difficile à pénétrer. Il dû se reprendre à trois reprises avant de faire passer la couronne de *** glands dans l'œillet de Catherine.

-AAAAAAAAAH!!!!!!
chrislebo

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#6,232
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Le crie strident fit trembler les murs. Dob***s s'enfonça profondément en elle et sans dire un mot. Il commença à pistonner sans ménagement *** anus vierge.

- NON!!! NON!!! PAS CA!

-Tu croyais t'en tirer si facilement?

-AAAAH!

-D'habitude, j'aime pas trop l'enculade, mais tu as tout un cul la Minette.

-PITIÉ! J'en peu plus!

-Ta gueule.

-ARRETEZ! Je vous en pris!

-T'as vraiment le boyau serré toi.

- SVP!

- J'ai dit TA GUEULE! Prends ma queue et arrête de te lamenter salope.

-AAAHHHHH!!!

-Quand je pense que je t'ai graissé le cul. J'aurais dû te casser l'anneau à sec.

Le reste des supplications de l'assistante sociale se perdirent dans ses pleurs. Le formulaire d'abandon était trempé de larmes et de salive. Dob*** était sans merci et cognait de plus en plus durement sur le cul de la pauvre femme dont le ventre frappait le bord de la table à chaque fois. Dob*** se retira complètement à plusieurs reprises pour replonger au plus profond de Catherine en grognant. Une fois les couilles vidées, il repoussa Mélanie et s'écrasa de touts *** long sur la femme sanglotante. Il pris le stylo et signa le formulaire.
chrislebo

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#6,233
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ÉPILOGUE

Catherine ne su jamais très bien comment elle s'était retrouvée dans sa voiture. Quand les policiers l'on trouvée, elle était simplement vêtu d'une vielle chemise de nuit sale. Elle dû être interner pendant un an et ne repris jamais *** travail.

Quelques semaines après les événements, l'enquête policière aboutie à l'arrestation de Dob***. Après un dur procès marqué par les confessions de Mélanie et le témoignage troublant de Catherine, il fut condamné à 15 ans de pri*** pour chantage, viol et séquestration. À la sortie du palais de justice, Dob*** croisa sa victime devant l'ascenseur. Il la regarda droit dans les yeux et lui dit :

-J'aurais jamais cru que tu boirais ma pisse. Tu es vraiment un bon coup la Minette.
vanbruje

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#6,234
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Bon texte qui me fait penser aux traductions du regretté Coulybaca. Merci et bonne continuation.
chrislebo

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#6,235
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Domination ***********


Je m'appel Romain j'ai 20 ans je vis avec ma sœur Chloé 25 ans et ma mère Léa 45 ans. Elles ***t toute les deux brunes aux yeux bleus. Chloé est physiquement presque parfaite, *** seul défaut ***t ses trop petit seins. Ma mère est toujours belle pour *** âge malgré quelques kilos en trop mais plutôt bien répartis et surtout elle a des gros seins et j'aime ça. J'ai pris une année de vacances avant de reprendre mes études et ma sœur et au chômage, nous somme donc tout les deux dans l'appartement toute la journée. Ma mère travail et ne rentre que vers 18h. Je suis célibataire depuis 3 mois et ma sœur vient de quitter *** copain.
J'ai toujours fantasmé sur ma sœur et ma mère. Je les ai déjà aperçu dénudées mais en général elles font attention.
Souvent quand je me branle je m'imagine en train de les dominer. De les fesser, les baiser sauvagement. Mais c'est toujours resté un fantasme......jusqu'à il y a 3 jours.

Ce jour là je devais aller au ciné à 13h avec un pote. Chloé resta à l'appartement. J'arrive au ciné à 12h45, mon pote m'appel et me dit qu'il est malade et qu'il ne viendra pas. Je décide de rentré chez nous. J'arrive un quart d'heure plus tard. J'ouvre la porte, rentre enlève ma veste, quand je réalise que j'entends des choses inhabituelles. J'entends des bruits <<d'humidité>> et des soupirs de plaisir. Mais j'entends surtout un film porno. Et d'après se que j'entends c'est un SM, il y a des bruits de claque et un homme insulte une femme. Il n'y a qu'une seule explication possible,ma sœur se masturbe devant un film SM et elle ne m'a pas entendu rentrer. Cette situation m'excite et une bosse commence à se former dans mon pantalon. J'hésite entre aller dans ma chambre, et donc passé devant la chambre de ma sœur. Ou alors repartir discrètement pour lui laisser le temps de jouir tranquille. Après tout tout le monde a le droit de se faire plaisir. Mais l'excitation prend le dessus et je décide de lui montrer que je suis là. Je me mets dans l'encadrement de la porte de ça chambre. Elle est couchée sur *** lit, deux doigts dans *** minou entièrement rasé et l'autre mains qui caresse ses seins. Ses tétons pointent énormément, sa chatte est trempée de mouille, elle bouge les reins, elle va surement bientôt jouir. Elle ne regarde pas dans ma direction elle a les yeux fixés sur l'écran de l'ordi. L'écran montre une femme qui fait une gorge profonde à un homme pendant que celui ci la fesse sèchement. C'est la première fois que je voit ma sœur totalement nue, je bande encore plus, mon caleçon et mon jean me serre. Je m'avance et décide d'intervenir.
"-Ça va Chloé tu te fais plaisir ?
-Romain!!!?? Mais qu'est-ce que tu fais là!!?? Depuis quand t'es rentré!? Depuis quand tu me regarde ?
-Mon pote est malade, donc j'ai pas été au ciné et je suis revenu. Ça fait 5 minutes que je suis là.
-Franchement ******* de m'interrompre, j'allais jouir en plus!! Mais on dirait que t'aime ça pervers." Dit elle avec un sourire coquin en regardant ma braguette.
Ça réponse me surprend beaucoup. Je pensais qu'elle allait m'engueuler et me dire de dégager. Mais elle mes le film sur pause et me dit.
"-Bon ba maintenant que tu m'a vu, je peux te l'avouer, j'aime le SM. Je rêve qu'un homme me soumette, qu'il me corrige, qu'il ***** de moi, je rêve de baise hard." Ce qu'elle me dit me fais bander encore plus, mon sexe me fait mal tellement mon caleçon et mon jean me serre.
"- Euh ...Désolé si je bande mais t'es très belle toute nue frangine.
-Merci. Et toi ton fantasme c'est quoi?
-Euh... et bien moi euh... je rêve de soumettre une femme à mes désirs sexuel.
"-Humm. On dirait bien que nos fantasmes se complètent.
-Euh...
-Aller, déshabille toi, ton jean va exploser! Si tu veux me dominer il va falloir que tu prenne plus d'initiative frangin."
chrislebo

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#6,236
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Puisqu'elle le voulait je décide de définitivement jouer mon rôle de dominateur. J'enlève mon jean et ma chemise mais je garde mon caleçon pour prouver que c'est moi qui décide. Il est tendu au max et mon sexe me fait mal tellement il est serré.
"-Enlève aussi ton caleçon ne soit pas pudique en plus tu a l'air d'être bien monté.
-Tais-toi! C'est moi qui commande maintenant, tu es ma soumise, mon objet sexuel! D'abord il n'est pas question que je te baise dans l'état ou tu es. Tu sent la mouille et la sueur on dirait une chienne en chaleur. Je te laisse 5 minutes pour aller prendre une douche, laisse la porte de la salle de bains ouverte, je t'attendrai sur ton lit. Si tu mets plus de 5 minutes ou si tu n'es pas bien propre en sortant, ça va chier!"
Elle me jète un regard surpris, elle ne s'attendait pas à ce que j'accepte si vite de jouer mon rôle. Mais elle se lève prend un string et un soutien-gorge propre et se dirige vers la salle de bain.
"- Laisse tes sous-vêtement ici, t'en aura pas besoin. Les putes comme toi reste toujours a poil!"
Je tente de lui donner ces ordres avec une voix calme pour paraitre encore plus dominateur, alors que je bande comme un taureau. Elle rentre dans la douche et j'en profite pour aller me branler dans les toilettes de manières à être plus endurant ensuite, je jouis rapidement tellement je suis excité puis je remet mon caleçon sans m'essuyer le sexe pour garder l'odeur.
Au bout de 4 minutes j'entre dans la salle de bain. Ma sœur est lavée, elle s'essuie.
"-Tu a dépassé le délai! je vais devoir te punir! Tu commences mal ton dressage!
-Non c'est faux! Il me reste une minute!
-Tu ose me contredire et dire que je mens! Viens là salope!"
Je l'attrape par ses longs cheveux brun et la tire jusque sur *** lit.
"-Je vais être obligé de te fesser comme tu le mérite.
-Non s'il te plait il me restais une minute ne me fesse pas."
<<CLAk !>> "Ah!" je la claque sur la joue droite, mais pas trop violemment car je ne voulais pas être trop violent pour sa première soumission.
"-Je t'interdit de me dire <<Tu>>. Tu es Chloé ma soumise et je suis ton maitre! Puisque c'est ça je vais te mettre 10 claques sur ton cul de putain et on verra si tu obéis mieux après ça!"
<< CLAK!>> "-AAhh!" <<CLAK! CLAK! CLAK!>> "-AAAhhh!"
A chaque claque elle crie. Je ne veux pas frapper trop fort pour sa première fois, mais c'est suffisant pour faire rougir ses belles fesses rondes et blanches.
<<CLAK! CLAK!CLAK! >> "-AAAAHHHH! J'ai mal maitre!
-Ca t'apprendra !"
<<CLAK! CLAK! CLAK!>> "-AAAAAHHHHH!
-Voilà j'espère que tu va m'obéir maintenant!
-Oui maitre. je ferais se que vous voulez.
-C'est bien ma soumise. Maintenant suce moi, je me suis branlé quand tu te lavais mais taper sur ton cul ça ma refait bander."
Je m'assois au bord du lit et elle se mets à genoux par terre. Elle baisse mon caleçon et grimace car ma bite colle et sent fort à cause de ma branlette précédente. Mais elle commence par caresser ma hampe délicatement avec sa main droite et caresse mes bourses avec la main gauche.
Puis elle me lèche goulument sur toute la longueur avec ça langue. J'appuie sur ça tête pour coller encore plus sa langue à mon sexe. Enfin elle me prend en bouche, sa langue douce tourne autour de ma bite et me titille le gland. Puis elle commence à faire des vas et viens. Elle ne me prend pas complétement en bouche mais je ne veux pas la forcée pour l'instant. En plus je ne me suis jamais fait si bien sucer, je sent qu'elle est plus expérimentée et plus douée que mes ex.
Elle me suce ainsi pendant de longue minutes jusqu'à ce que je ne tienne plus.
"-T'es tellement douée pour sucer que je tu vas me faire jouir. Branle moi que je te recouvre ta gueule de prostituée.
-S'il vous plait maitre je n'aime pas l'éjac faciale."
<<CLAK!>> "-AH!" Je lui claque la joue gauche.
"-Fait ce que je te dit Chloé !! Et ne te plaint pas je pourrais te remplir la bouche, mais je garde ça pour une autre fois."
Elle me branle et je gicle 3 jets sur sa joue, en lui tenant la tête pour être sur qu'elle les prennent bien.
Il nous reste plusieurs heure avant que notre mère, Léa, ne rentre. Et j'ai trop envie de baisé ma sœur. Elle est toujours à genoux à coté du lit avec mon sperme sur sa joue.
"-J'ai envie de te baiser! Branle moi entre tes petits seins pour me remettre en forme.
-Moi aussi j'ai envie que vous me baisiez maitre."
<<CLAK!>> "OOOhhh!!" Je lui claque un sein.
"-Tu n'a pas à avoir d'envie. T'es mon jouet sexuel! Branle moi entre tes miches!"
Elle mets mon sexe entre ses petits seins et commence à faire des vas et viens. Ses seins ***t doux et elle fait ça bien. Je ne mets pas longtemps à rebander.
"- Je suis près à te baiser ma cochonne! Couche toi sur le dos, sur le lit."
Elle s'installe et je me couche sur elle. Je lui roule une pelle, j'enroule ma langue autour de la sienne je lui mordille la langue et les lèvres. Puis j'embrasse ses seins, je les malaxe, les compresses, je joue avec ses tétons qui pointent un max. Je les mordille, je tire dessus avec mes dents, elle grimace mais elle ne dit rien. Dans le même temps je glisse ma mains sur sa fente. Elle est trempée, pas besoin de lubrifier. La fessée qu'elle a reçu et la pipe qu'elle ma faite l'ont excitée comme une folle.
"-T'es trempée! T'es vraiment une salope nymphomane! Je vais te remplir la chatte avec ma bite!"
Sa chatte est belle, lisse et pas très élargie. Je présente mon gland à l'entrée de sa fente, je crache sur sa chatte, et je pousse un coup sec. Je rentre entièrement d'un coup. Elle pousse un "OOOHHH!" de surprise, de douleur et de plaisir mélangé.
"-Ta chatte est serrée, ta pas du en prendre beaucoup des bites! Pourquoi tu voulais pas que tes copains te baise ? Pourtant t'es une trainée! Tu t'es préserver pour moi, c'est ça, hein ma chienne ?
"-HUM oui! Ils étaient tous..Hum.. nul au lit. OHH OUI c'est bon! Défoncez moi svp maitre.
-Ca va te changé parce que moi je vais te tringler tout les jours!
-AH!...OH! OUI!......oui oui oui! Encore!"
A chaque vas et viens je vais taper au fond de se grotte.
je m'accroche à ses seins je les enferme dans mes mains. Je les claque. <<CLAK! CLAK>> Puis je pince *** clito, je le maltraite! je joue avec.
"-AAHH!.....Putain c'est bon!!.....OUI!! OUI!!J'aime ça!!"
chrislebo

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#6,237
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Ma bite nage dans sa mouille. Ça me coule entre les cuisses. Je continue longuement mes vas et viens. Elle ne peut plus parler tellement je la secoue. Ses seins partent dans tout les sens. J'accélère encore et je tape plus fort au fond de *** trou. Je branle plus fort *** clito. Sa tête part en arrière, elle ferme les yeux.
"-Je vais jouir!!.....Oui maitre c'est bon!! OUI OUI OUI!!... AHHHHHH PUTAIN !!!! Merci maitre!!
-T'aime ça jouir comme une truie ? Hein salope !!"
Elle m'a inondée la bite, et je sens que je vais bientôt tout lâché aussi. Elle prend la pilule je peux donc lui remplir la chatte sans problème.
"- T'est tellement bonne que je vais jouir aussi! Ah je viens! Tiens prend ça salope de Chloé soumise! Tiens prend mon sperme dans ta chatte!"
J'éjacule au fond d'elle. Je n'éjacule pas beaucoup car je me suis déjà vidé 2 fois en une après-midi.
Je me retire d'un coup et un mélange de mouille et de sperme se répand sur les draps. J'aperçois *** trou du cul bien rose et probablement vierge. j'en ai envie, mais je suis vidé.Je me promets de m'en occupé une prochaine fois. Chloé tente de reprendre *** souffle et ses esprits.
"-Lève toi et viens avec moi dans la douche je vais te laver! Tu voudrais pas que ta mère te vois nue, pleine de mouille, de sperme, de sueur, et les fesses rougies par mes mains."
Nous allons dans la douche et l'on se lave mutuellement, tendrement en se caressant comme deux amoureux.
"-Tu peux reprendre ton rôle classique de sœur pour aujourd'hui. Pour une première fois tu a été une assez bonne soumise. Mais j'ai été gentil, à partir de demain tu va vraiment commencer à être dressée.
-Merci pour tout maitre. Je serai une bonne soumise vous serez fier de moi, c'est promis."
On sort de la douche puis on établit les règles de notre nouvelle relation. On convient d'un mots de passe à prononcer pour que tout prenne fin.
"-Étant donné que lorsque l'on se lève le matin maman est partie et qu'elle ne rentre que vers 18h. Tu devra porté de ton réveil jusqu'à 17h30: des hauts talons, des bas et portes jarretelle un string et un soutien gorge. Rien de plus."
"-Comme tu voudra frangin. J'accepte d'être ta soumise à une conditions: que tu me fasse jouir au moins une fois par jour. Vu se que tu m'a fait aujourd'hui je ne m'inquiète pas."
On continue de discuter, notamment de se qu'il nous fallait achetés comme accessoires: menottes, cravache, martinet, gode, laisse, collier...
Puis maman rentre et l'on reprend jusqu'au soir notre quotidien habituel sans parler de notre nouvelle relation.

chrislebo

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#6,238
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Voici la suite du récit de ma domination sexuelle sur ma sœur, Chloé. Comme je vous l'ai dit dans mon premier chapitre, à la fin de notre première après-midi de domination j'ai établi les règles de sa soumission. Les voici:
- Elle doit se lever à 8h30 chaque matin (notre mère, Léa, part à 8h) mettre un ensemble string ficelle, soutien gorge et porte jarretelle avec des bas et des chaussures à hauts talons. Rien de plus.
- Après s'être habillée elle doit me préparer mon petit déjeuner. Une fois fait elle peut prendre le sien. Puis elle doit attendre mon réveil assise sur le canapé.
- Dès que je me lève elle doit me servir mon petit déjeuner. Puis attendre que je l'autorise à aller se laver, mais toujours la porte ouverte.
- Durant la journée elle est libre de circuler dans l'appartement mais elle doit me préparer à manger pour midi et ne pourra manger qu'après moi, sauf ordre contraire.
- De plus elle doit venir immédiatement quand je l'appel et faire tout ce que je lui demande.
- A 17h30 elle doit nettoyer l'appartement et s'habiller correctement avant que notre mère ne rentre.
- Dernier point très important, elle n'a pas le droit de se masturber, je suis le seul à pouvoir lui donner du plaisir.
Maintenant que les règles ***t fixées, sa première journée d'esclave sexuelle va pouvoir commencer.

Il est 8h15 du matin, je suis réveillé mais je reste au lit. Je veux attendre 8h30 pour entendre (l'appartement est petit) si ma sœur se lève, s'habille et va préparer mon petit déjeuner comme elle doit le faire. A l'heure prévue j'entends ça porte s'ouvrir et le bruit de ses talons se diriger vers la cuisine.
Je me lève à 9h, j'enfile un caleçon et je vais m'asseoir à la table de cuisine. Pour y aller je suis obligé de passer devant la porte du salon. Dès l'instant où Chloé me voit passer elle ce précipite dans la cuisine également pour me servir mon petit déjeuner. Elle me sert mon café et des tartines toutes faites.
"-Reste debout contre le mur face à moi pendant que je mange. J'ai envie de mater ton corps de salope dans tes habits de pute."
"-Bien maître." Dit elle en baissant les yeux. Je la regarde, elle est sublime. Elle porte un ensemble noir et rouge en dentelle, des bas bruns foncé qui tranche avec sa peau blanche et des chaussures noirs à hauts talons accroché par une boucle à sa cheville.
Cette magnifique vision me fait bander dès le matin, jusqu'à ce que je termine de manger.
"-Maintenant va te laver et insiste bien sur ton trou du cul, je vais te le dépuceler!
-Non s'il vous plaît je ne veux pas, ça va me faire mal, s'il vous plaît maître pas la sodomie."
<<CLAK! CLAK!>> Je lui mets deux gifles, plus violentes que la veille. Elle me regarde avec les yeux humides, la dureté des claques l'a surprise.
"-Je te donne 30 minutes pour prendre une douche, te laver les dents, te coiffer, te maquiller et t'habiller! Si tu es dans les temps je te sodomiserai doucement mais plus tu seras en retard plus je te casserai le cul violemment!
-Je serai à l'heure maître, c'est promis."
Elle va dans la salle de bain et pendant qu'elle se lave je regarde les résultats sportifs à la télé.
J'essaye de ne pas penser à elle pour calmer mon excitation.
Au bout de 30 min pile elle arrive dans le salon, elle a remis ses habits de ce matin, ses cheveux ***t lissés et elle est légèrement maquillée. Elle est encore plus belle que ce matin et je rebande de plus belle. Mon caleçon devient trop serré.
"-Viens te mettre à genoux devant moi, ma salope !! Suce-moi ! Enfonce ma bite jusqu'à la garde dans ta bouche de traînée!!"
Elle commence à me lécher la tige, puis les boules, elle m'embrasse le gland, le décalotte et me prend en bouche. J'appuie sur sa tête pour l'obliger à me faire une gorge profonde, elle bave énormément, elle a des hauts le cœur, mais j'insiste jusqu'à se qu'elle soit proche de vomir puis je me retire. Elle réussi à prendre mes 18 cm en bouche, je ne sais pas comment elle fait. Sa langue tourne autour de mon sexe pendant que je lui baise la bouche. Elle a de la bave plein le visage, mon sexe est trempé, le carrelage au sol également. Je lui impose se traitement pendant plusieurs minutes. Quand je sens que je vais jouir, j'appuie sur sa tête pour l'obliger à me garder en elle. Je lui envoi plusieurs jets de sperme chaud au fond de la gorge et elle manque de s'étouffer.
"-Avale tout mon jus Chloé comme la bonne chienne que tu es! Ne gâche rien!! C'est bien t'es une bonne pute! Maintenant mets toi en levrette sur la table basse je vais t'enculer!!
-S'il vous plaît ne me faite pas mal maître, je vous en supplie." Je vois dans *** regard une grande appréhension.
chrislebo

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#6,239
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Elle se met à quatre pattes sur la table basse et je baisse *** string.
Je tartine *** petit trou serré avec du lubrifiant, et je caresse sa chatte dans le même temps pour l'exciter, mais la mouille qui en sort me prouve que ce n'est pas nécessaire. Je me branle entre ses fesses pour reprendre de la vigueur. Puis je commence à lui masser la rondelle, enfin je présente mon doigt à l'entrée et commence à pousser doucement.
"-AAHH!!" Elle se crispe, elle sert les dents et *** trou se ferme autour de mon doigt.
"- Détend toi salope! Sinon j'y vais d'un coup et tu va en chier!
-J'ai mal maître.
-Si tu ne te détends pas t'aura encore plus mal, pauvre conne !!"
Je continue d'enfoncer mon doigt.
"-AAAHHH!!" Elle se crispe encore mais je décide de mettre un deuxième doigt dans *** cul.
"-AAHH PUTAIN J'AI MAL!!!!
-Je t'ai dit de te détendre!! Tu ne le fais pas, t'es une pute conne c'est ton problème!! Je vais quand même t'enculer!"
Je retire mes doigts et enduit mon sexe de lubrifiant, puis je place mon gland à l'entrée de *** trou et je pousse d'un coup sec pour le faire entrer.
"-OOHH!! DOUCEMENT MAITRE!! AAAHHHH!! AAAAAHHHHHH!!
-TA GUEULE CHLOE!!"
Dans le même temps je branle *** clito pour que la douleur soit mélangée au plaisir. Je continue de pousser franchement jusqu'à se que je sente mon gland toucher le fond, *** cul me sert, c'est étroit mais délicieux.
"-AAAAAAAAHHHHHHHH!!!!
-Arrête de gueuler je suis au fond de ton cul! Tu n'es plus vierge de nulle part!! Je vais pouvoir te niquer par tout les trous maintenant!" *** cul commence à s'habituer à ma verge et je commence à faire de violents vas et viens tout en lui masturbant le minou.
"-OOOOOOHHHHH!!! AIL!! AAAHHH!!" Je la baise par derrière ardemment pendant 20 minutes. Elle ne cesse de hurler de douleur, puis peu à peu ses cris se transforment en cris de plaisir. Sa chatte est inondée, je n'ai jamais vu une fille mouiller autant. Je frappe de plus en plus fort au fond de *** cul et elle jouie violemment.
"-AAHH PUTAIN C'EST BON!! OUI MAITRE DEFONCEZ MOI SVP!!! OUIIIIIIII!! MERCI MAITRE!!!
-T'aime ça espèce de putain!! Je vais te remplir le cul avec mon jus!"
Je continue de la cartonner jusqu'à ce que je lâche ma purée au fond de *** cul, puis je me retire. La mouille qui s'échappe de sa chatte coule sur ses bas et mon sperme commence à sortir de *** cul. Je la tire par les cheveux pour la redresser et lui fourre ma bite dans la bouche.
"-Nettoie ma queue! Tu sens l'odeur de ton cul sur ma bite?
-Oui maître.
-T'aime ça hein salope!"
Elle me nettoie la bite avec sa langue. Pendant que je joue avec ses tétons pointus.
"-Maintenant remonte ton string et va me faire à mangé pour midi pendant que je vais prendre ma douche. Toi je t'interdis de te nettoyer. Tu sentiras la chienne jusqu'à se soir de toute façon t'en es une! Dit le que t'es une chienne!
-Oui maître, je suis une chienne! Je sens la chienne!"
Quand je sors de la douche le repas est prêt. Je m'assois à table et l'invite à manger avec moi pour la récompenser de *** bon comportement matinal. Pendant le repas je fais exprès de lui demander, du sel, de la moutarde, du pain... A chaque fois elle doit se relever et je sens que ça l'énerve. Je poursuis ce petit jeu jusqu'à ce qu'elle soupire bruyamment d'énervement.
"-Tu ose soupirer!! Tu t'énerve parce que je te donne des ordres!! Tu va me le payer après le repas saleté! Je vais t'éduquer, tu va souffrir salope!!!!
-Pardon maître, je ne l'ai pas exprès. Je suis désolée."
Je vois dans ses yeux apeurés qu'elle regrette *** erreur et qu'elle se demande ce qui l'attend. Le repas se termine dans le silence. Elle garde les yeux baissés, elle à peur et j'aime ça. Nous finis***s de manger en même temps, puis elle débarrasse pendant que je la matte. Elle est vraiment sublime avec ces traces de mouille et de sperme sur ses bas.
"-Maintenant je vais te punir ma cochonne! Va te mettre debout face au mur du salon, les yeux fermés et surtout ne te retourne pas!" Pendant qu'elle se mets en place je vais cherché la cravache.
J'arrive dans le salon elle est debout face au mur, les fesses tendu vers moi, elle ne sait pas ce qui l'attend. Je la frappe violemment sur les fesses avec la cravache.
<<CLAK!>> "-AAAAAHHHHH!!!!!!!" La violence du coup la fait vaciller sur ses jambes. Je continue de frapper toujours aussi fort, je suis décidé à la punir.
<<CLAK! CLAK! CLAK!...>> "AAAAAHHHHH!! AAAAHHHH!!" Je frappe encore. Les coups de cravache font rougir ses fesses! <<CLAK! CLAK!...>> Je frappe au total une vingtaine de fois. Ses fesses ***t rouges fluo, elle pleure et je bande comme jamais. Je tourne sa tête et l'embrasse. Ma langue fouille sa bouche et elle me rend mon baisé. Je dégrafe *** soutien gorge et malaxe ses seins. Je tire sur ses tétons qui pointent. Je les presses entre mes doigts le plus forts possible.
"-AAAAHHH!! SVP MAITRE ARRETEZ JE NE LE REFERAIS PLUS!
-TAIS-TOI!!" <<CLAK!!>> Je frappe *** sein, elle sert les dents et ne crie pas. Je baisse mon caleçon, écarte la ficelle de *** string et pénètre *** vagin d'un coup.
"-OOOOHHHH!!" Je la baise ardemment pendant de longues minutes. Je tape au fond de *** vagin et je continue de ******** ses tétons. Je la tamponne tellement qu'elle à du mal à rester debout. Quand je sens qu'elle va jouir je me retire, la mets face à moi à genoux et je me branle jusqu'à éjaculer plein *** visage. Elle en a sur les lèvres, les joues et sur les yeux. Je recommence le tout 3 fois, les coups de cravache, la ******* de ses tétons et la pénétration. A la troisième pénétration je la sodomise et la laisse jouir. Après ma troisième éjaculation faciale je suis vidé et elle est toute tremblotante à cause de la longue punition qu'elle vient de subir. Elle à le visage complètement recouvert de sperme.
"-Maintenant nettoie l'appartement puis va te laver et te changer. Ensuite fais une sieste jusqu'à se que maman rentre! Et j'espère que ta punition ta calmer salope!!
-Oui maître. Merci maître de m'avoir punit.
-Demain je continuerai de te dresser plus durement encore! Maintenant dégage!"
Elle quitte le salon et je vais prendre une douche pendant qu'elle lave l'appartement. Puis je lui laisse la place dans la salle de bain. Elle se lave, enfile des habits corrects et fait une sieste jusqu'à se que notre mère, Léa, rentre. Puis nous reprenons de nouveau notre rôle habituel de frères et sœur.

vanbruje

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Posts: 282
#6,240 
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Très bon texte, merci
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