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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#6,181
 Down to the last message
« Oui, je veux que tu me sentes remplie du plaisir de ces hommes et que tu y rajoutes le tiens. »
Il passe ses avant bras sous mes fesses et me soulève. Il m'emmène ainsi jusqu'à la chambre et il me jette sur le lit. Après m'avoir sauté dessus et enfourché, il arrache les boutons de ma robe pour l'ouvrir en grand.
Une forte odeur se dégage de tout mon être et je ne pense pas qu'Eddy aille jusqu'au bout de mes désirs.
Pourtant.
Il retourne dans mon cou, descend et lape chaque parcelles de ma peau, jusqu'à mes seins.
Eux aussi ***t nettoyés et léchés avec application.
Mon nombril est débarrassé d'un jus stagnant, qui avait coulé là, dans le plus fort de la bataille.
Fier de lui, il se redresse en se léchant les babines.
*** regard trahi sa honte, mais également *** plaisir à avoir fait une chose auquel il n'aurait jamais pensé auparavant.
« T'arrête pas ! Continu ! »
Soudain, devant cet homme qui vient de s'avilir seul, cet homme qui me regarde avec du sperme séché autour des lèvres, je me sens plus grande, plus forte.
« Continu ! Lèche-moi ! »
« Heuu ! Là ? Non, merci ! Hihi ! »
« C'est pas une demande, Eddy ! C'est un ordre ! Bouffe-moi la chatte ! »
Je me sens prise par une étrange fièvre.
« Ho ben non, Cathy, c'est... »
« Moi, c'est Léna et bouffe ca, connard ! »
Je l'attrape par les cheveux et je trouve la ***** de lui baisser le visage jusqu'à quelques centimètres de mon sexe.
En un éclair, je me rends compte que j'y suis allée un peu fort, et je m'attends à une énorme rébellion.
« C'est bon, c'est bon, Léna ! Lâche mes cheveux ! Je vais le faire ! »
Pas de rébellion ? Il m'appelle Léna ?
Je suis envahie par un étrange sentiment de puissance. Il s'est passé quelque chose, c'est certain.
Serrais-je en train de prendre autorité sur mon mari ?
Hésitante, j'essaie quelque chose.
« T'a intérêt à le faire ! Et à bien le faire, si tu veux jouir ce soir ! Nettoie bien tout les recoins, cocu ! »
« Oui, Léna ! »
« Maitresse Léna ! »
« Oui, Maîtresse Léna ! »
Je n'en reviens pas. J'arrive à soumettre Eddy à ma volonté. C'est divin et je comprends mieux le plaisir qu'éprouve Sir Jeffer***. Il sera fier de moi.
Il tire un bout de langue ridicule pour lécher mon clito. Puis, hésitant, il descend le long de ma fente.
« On va pas y passer la journée, cocu ! »
J'appuis de toute mes *****s sur *** crane et sa bouche s'écrase sur mon vagin poisseux.
Je le maintiens ainsi, et il n'a pas d'autre alternative que de faire ce que je lui ai demandé.
Je sens toute sa langue plonger dans le liquide visqueux et odorant, qui encombre encore ma chatte.
Il renifle, avale et tousse un peu.
Mais très vite, mon plaisir rajoute au travail à faire.
Il aspire de grandes quantités de jus, dans des bruits de succions liquides.
Mon cerveau se met à l'envers et je craque.
« Viens ! Viens me baiser, mon chéri ! Viens vite me remplir ! Haaa ! J'en peux plus ! »
Inutile de lui dire deux fois et *** pantalon descend à ses genoux en une fraction de seconde.
Jamais je ne l'ai connu si fort bandé. Il me pénètre jusqu'à la garde, m'arrachant au passage un râle inhumain.
Il prend aussi ma bouche, sans hésiter et par surprise.
La forte odeur et le gout amer me font tourner la tête.
« Ha, non ! Petite trainée ! Tu as voulu te faire remplir, putain ! Et bien, tu vas y goutter aussi, espèce de morue ! »
Sa main coince ma mâchoire et il m'embrasse en me crachant dans la bouche.
Emportée dans un tourbillon de folie, je cède et finie par apprécier l'étrange mixture.
Eddy, trop longtemps privé, explose et se vide, les larmes aux yeux.
Cette nuit, nous referons l'amour dans la salle de bain, dans la cuisine, dans notre chambre...salle de bain...
chrislebo

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#6,182
Up to the first message Down to the last message
Une semaine c'est écoulée et nous avons reprit notre vie, comme avant, à un détail près. De nouveau, j'interdis à Eddy de me toucher.
« Ca commence à me gaver, tes conneries ! »
C'est ce qu'il m'a dit hier.
Lui qui me disait avoir compris. Je n'en suis pas si sur aujourd'hui.
C'est vendredi et je sens que le week-end va être morose. Ce qui m'ennuie, c'est que je ne voudrais pas qu'Amandine en pâtisse.
La ***nette retentis et Eddy va ouvrir.
« Cathy ! C'est pour toi ! C'est ta gouine ! »
« Eddy ! Je t'interdis de parler comme ca ! Je suis désolée Sylviane. »
« C'est pas grave chérie, il est juste frustré et aigri, le pauvre homme. Je viens chercher Amandine. »
« Amandine ? Ha bon ? Pourquoi ? »
« Ben ! Tu n'es pas au courant ? »
« Au courant de quoi, Sylviane ? »
« Sir Jeffer*** m'a téléphoné pour que je la prenne chez moi , cette nuit ! »
« Quoi ? Qu'est ce que ca veux dire ? Qu'est ce qui lui veut ? Il n'en est pas question ! »
« Mais non, Cathy ! Ce n'est pas ce que tu crois. Il m'a demandé de prendre ta fille, parce que ce soir...Il mange chez toi ! »
« Ho c'est pas vrais ! Eddy va péter un plomb. Houlàlà ! Surtout ne pas paniquer. Heuu ! Commençons par le début. AMANDINE ! Viens là mon cœur ! »
J'ai une grosse bouffée de chaleur et mon cœur s'emballe.
Une fois Amandine partie, je vais voir Eddy qui est à la cuisine.
« Chéri, j'ai un truc à te dire. Promets-moi de ne pas te fâcher. Tu veux ? »
« Qu'est ce que tu a encore trouvé pour m'emmerder !? »
« Ce n'est pas moi Eddy, c'est...Heuu ! Bon !... Sir Jeffer*** vient manger à la mai***, ce soir ! Voilà ! »
Il pose ce qu'il a dans les mains et sort furieux de la cuisine.
« Bon ! Moi, j'en ai mare ! Je me tire. »
« Qu'est ce que tu fais ? Tu ne peux pas me faire ca ! J'ai besoin de toi, là ! »
« En es tu sure, Cathy ! Moi je dirais que tu a besoin d'un bouffon, pas d'un mari. Je te laisse en tête à tête avec « ton Maître » vénéré ! »
Affolée, je tente le tout pour le tout. Je tombe à genoux et je serre ses jambes dans mes bras.
« Si tu t'en va, tu me perds ! Tu me perds pour toujours ! Eddy ! Reste et je serrais ton esclave, tu pourras faire ce que tu veux de moi, je serrais ta chienne ! Je dormirais par terre si tu le veux, mais reste ! Je t'en supplie ! »
Seules les femmes savent faire ce genre de choses. Et j'atteins mon objectif.
Mon mari prend pitié.
« Rhoo ! C'est bon ! Relève-toi et arrête ton cinéma ! Mais c'est la dernière fois. Tu le diras à Sir machin truc ! »
« Sir Jeffer***, chéri ! Sir Jeffer*** ! »
Il retourne à la cuisine. Fière de moi, je me relève et sèche mes larmes de crocodiles.
Je file dans la chambre pour me changer.
Mon Maître s'invite chez moi ! Quel honneur !
Je veux être éclatante de beauté.
J'ouvre placard et armoire et cherche, la tenue qui scotchera mon Maître.
Porte jarretelle, bas noirs à coutures. Ha oui, cette délicieuse robe noire. Elle est si courte qu'elle ne cache pas le haut de mes bas, et laisse une bande de chair rose apparaitre. Elle est également très décolletée, épaules et dos nus, et n'est retenue que par de très fines bretelles.
Pour compléter ma tenue, je choisie des escarpins talons aiguilles. Ils ***t vernis noirs et ***t original par leurs semelles rouges.
J'oubliais...Les aiguilles font seize centimètres et de ce fait je ne repose que sur mes doigts de pied. Ca me fait des jambes magnifiques et une silhouette de rêve. C'est dur de marcher avec ce genre de chaussures, mais ca vaut vraiment le coup, lorsque l'on veut plaire.
Une heure trente plus tard, je me présente en cuisine.
« Je te plais ? »
« Ha oui, énormément ! Tu feras beaucoup d'effet quand tu seras sur le trottoir à tapiner ! Bravo ! »
« T'es vexant, Eddy ! Mais ca sent tellement bon, que je te pardonne. »
Je prends des gants avec mon homme. Je n'ai pas trop envie qu'il me plaque maintenant.
On a ***né à la porte et c'est le cœur battant que je vais ouvrir.
« Bonjour Maître. Ho ! Mais vous n'êtes pas seul ? »
« Maître Yang et Sir Agnimel m'accompagnent. Tu connais Chastity et Viola. »
Cinq, ils ***t cinq. Je suis complètement décomposée. Eddy vas me tuer.
Mais en attendant, je les fais entrer et les conduit au salon.
Les hommes s'installent dans le canapé. Sir Jeffer***, trône au centre, alors que les filles se ***t placées près des deux autres hommes, debout et mains dans le dos.
Chastity est habillée à l'identique du jour ou je l'ai rencontré. Mais je découvre une des tenues de Viola, que je n'ai connu jusqu'ici qu'en chasuble transparente.
Elle porte un robe noire,courte et moulante, avec de nombreuses déchirures sur le coté qui laissent apercevoir ses cuisses et le coté de *** sein gauche. Ca lui donne un petit air sauvage.
Elle est grimpée sur des sandales à talons aiguilles de douze centimètres, en satin noir, maintenues à la cheville par des brides serties de brillants étincelants.
Elle est superbe et troublante.
En ce qui concerne les deux hommes, Maître yang, comme *** nom l'indique, est asiatique.
Pas très grand, cheveux gri***nants, il a un regard pervers qui m'effraie un peu.
Sir Agnimel est un immense africain d'une quarantaine d'années, au crane rasé. Il est imposant et appelle au respect par *** charisme.
D'ailleurs, cette brochette d'hommes, habillées de sombre et affalées dans mon canapé, appelle toute entière au respect.
Je coure partout, sors des verres et les range pour en prendre d'autres, pratiquement identiques.
Sir Jeffer***, agacé par mon trouble et ma panique, me stoppe net dans ma course.
« Le cocu n'est pas là ? »
« Hein ? Le cocu ? Ha oui, le cocu ! Je vais le chercher Maître ! »
Je fonce dans la cuisine.
« Hé ! Le coc...Eddy ! Sir Jeffer*** te réclame ! Arrive vite ! »
« Ce n'est pas mon Maître et je ne suis pas à sa botte ! Comprit ? J'arriverais quand je le déciderais ! »
« Pas ton Maître ? Tu en es bien sur, Eddy ? Ah, à propos ! Il n'est pas seul, il est...Heuu... Cinq ! »
Je n'attends pas sa réaction retourne au salon pour informer qu'Eddy ne tardera pas à arriver. Je suis surprise de trouver les filles aux mêmes endroits et dans les mêmes positions, mais nues.
Eddy est là, presque aussitôt. Je le connais bien et je sais qu'il a été très impressionné au cinéma, par mon Maître, et qu'il doit marcher sur des œufs.
Il essuie ses mains au torchon qui pendouille de *** pantalon et s'approche du canapé, main tendue.
chrislebo

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#6,183
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Evidement, il prend un vent mémorable et je pense qu'à cet instant, il comprend qu'il n'est pas sur un pied d'égalité avec ces hommes.
« Chers amis, voici le cocu dont je vous ai parlé. Il va aller se mettre dans le coin, là bas, afin que Léna puisse se présenter à nous ! »
Eddy, vexé et honteux, la main toujours tendue, rougit pour les trente prochaines années et va, obéissant, dans le coin désigné, les mains dans les poches.
Sir Jeffer*** lui lance un regard irrité, qu'il interprète très bien. Il retire ses mains de ses poches et les met, comme les jeunes filles, dans *** dos.
« Léna, approche toi et retire ce vêtement ridicule ! »
Moi qui étais fière de ma petite robe...
« Présente toi à mes amis et vite, nous avons faim ! »
Comme je l'ai fait au cinéma, je commence ma présentation.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche et ma langue, pour vous déguster et boire votre foutre ! Voici ma chatte, pour que vous me baisiez ! Voici mon cul, pour que vous m'enculiez ! Mes orifices vous appartiennent. Mon corps vous appartient. Je suis votre jouet, instrument de votre jouissance. »
« Merci Léna. Agenouille-toi ! »
Les trois hommes se penchent les uns vers les autres et chuchotent un instant. Puis, Sir Jeffer*** se lève.
« Chastity ! Approche ! »
Elle semble surprise et troublée. Elle doit se demander ce qu'elle a bien put avoir encore fait, pour être ainsi désignée.
« Retire la chevalière et donne moi là ! »
Le visage de la jeune fille se crispe.
« Ho, Maître ! Non, pas ca ! Je vous en supplie ! »
« Le conseil en a décidé ainsi ! Tu perds tes droits et tu rends la chevalière ! »
Elle pleure en tournant une bague à *** auriculaire droit.
J'ai déjà aperçu l'objet sans y avoir vraiment porté attention.
Totalement décomposée, elle tend la chevalière à *** Maître.
« Ton attitude durant cette année à été très décevante. Tu as abusé de tes droits et les a utilisé à des fins d'intimidations envers les tiens. Aussi, dès aujourd'hui, tu redeviens simple soumise ! »
« Oui, Maître. Merci, Maître. »
En larme, elle retourne à sa place. Elle me fait de la peine, même si je n'ai pas très bien compris ce qu'il vient de se passer.
« Léna, approche ! »
Je me relève et avance vers celui qui a changé ma vie. Pour la première fois, je le vois sourire franchement.
« Léna, je suis heureux de faire de toi ma nouvelle favorite. Cet anneau en fait preuve. Sois fière de le porter. Désormais et tant qu'il sera à ton doigt, tu pourras avoir des rapports avec ton cocu, une fois par semaine. Tu pourras également t'exprimer librement, mais avec parcimonie et respect. »
Il passe la chevalière à mon doigt et pour la première fois, je la détaille.
Elle est en or. Le chaton est ovale recouvert sans doute d'une résine rouge sur laquelle ***t gravées finement les lettres S.J., recouvertes d'or fin.
« Maître, je suis très honorée, mais je pense que cet anneau revient de droit à Viola. »
Les trois hommes éclatent de rire.
« Et depuis quand les soumises pensent t'elles ? Hahaha ! Tu mériterais que je te destitue de suite. Mais je mettrais ca sur le compte de l'ignorance. Viola à eu sa chance aussi, et une soumise ne peut être deux fois favorite du même Maître. Te voilà renseignée, mais fais bien attention à ne jamais contredire un Maître. Qu'il soit le tiens ou non ! »
Je baisse la tête comme une enfant qui a fait une bêtise.
« Pardonnez moi, Maître, cela ne se reproduira plus. »
« Bien ! Alors à table ! Nous avons faim ! »
Je m'éclipse dans la cuisine avec Eddy pour prendre des couverts.
« Pardonnez moi, Maître, cela ne se reproduira plus. Haha ! T'avais l'air fine, je te jure. »
« Eddy, ne te moque pas veux tu ? Ou il n'est pas dit que nous fassions l'amour une fois par semaine. »
« Pffff ! Est ce que cette mascarade va finir un jour ? »
Je ne réponds pas et retourne à la salle à manger avec sept assiettes. Je commence à dresser la table, lorsque mon Maître intervient.
« Dis-moi, Léna. Tu n'aurais pas l'intention de nous faire tous manger ensemble ? Trois assiettes suffiront ! »
« Heuu ! Oui, bien sur ! Ou avais-je la tête. Désolée, Maître. »
Voilà qui va arranger Eddy, qui n'avait préparé que pour trois per***nes.
Je passe le repas sous la table en compagnie de mes amies soumises, prêtent à satisfaire la moindre envie d'un des Maîtres. Eddy, est condamné à faire le service et je l'imagine très bien, bougonnant dans sa cuisine.
Le repas fini, ils retournent au salon. Cafés et digestifs avalés, ils se mettent, à ma grande surprise, totalement nus.
Eddy, commençant à accepter *** statut de cocu, reprends place dans *** coin, mains dans le dos.
Sir Agnimel se couche sur le tapis, un coussin sous la tête. *** sexe est dressé et sa taille est...attrayante. Il me fait signe d'approcher.
Je me place à califourchon sur lui et pose le gland contre ma fente. Je mouille déjà et je n'ai aucune peine à me laisser glisser sur la verge.
Sir Agnimel prend possession de mon ventre et déjà je ressens le plaisir qui monte en moi.
Sa queue est bonne et me remplit bien.
Il ne me fait pas l'amour, il me baise comme on baise les salopes.
Sur le canapé, Maître yang et Sir Jeffer***, honorent les bouches de Chastity et Viola. Ils me regardent me faire défoncer la chatte par le Maître africain, et en semblent très excités. A tel point que Maître yang délaisse la délicieuse langue de Chastity, pour venir se placer derrière moi.
Je n'ai jamais pratiqué la double pénétration. Anxieuse, je sens le gland se poser sur mon anus. La pression augmente, mais Maître Yang ne ***** pas. Il applique de légers coups de reins, appuyant de plus en plus.
Déjà très excitée, je ressens soudain l'envie folle de me donner sans retenue.
Je profite de mes nouveaux droits pour le faire savoir.
« Ho oui, Maître ! Enculez-moi ! Défoncez-moi ! Je veux me sentir pleine de vos membres à tout deux ! »
Il ne le se fait pas dire deux fois et agrippé à mes hanches il pousse en moi, loin, profond.
J'ai la sensation d'être déchirée de l'intérieur et je pousse un cri.
« Tiens ! Prends ca ! Ca t'évitera de beugler ! »
C'est Sir Jeffer*** qui vient d'agripper mon crane et qui me présente *** membre à sucer.
Voilà, c'est fait.
chrislebo

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#6,184
Up to the first message Down to the last message
Ce qui depuis très longtemps n'est qu'un fantasme, se réalise enfin.
Avoir tout les orifices occupés.
Bien que mon cul me fasse un peu souffrir, j'apprécie d'être baisée comme une chienne. Je sens les membres se frotter contre la fine paroi qui les sépare.
Je suis comme une marionnette, incapable d'appliquer moi-même un rythme régulier. Je suis secouée de toute part, par les cadences irrégulières des trois verges.
Mes yeux humides de douleurs, de plaisirs et de folies passagères aussi, me permettent d'avoir quelques flashs rapides.
Mon homme dans *** coin, mains dans le dos, les deux filles couchées l'une sur l'autre sur le canapé, ondulant et s'embrassant à pleines bouches.
Ces visions augmentent encore mon envie d'atteindre le nirvana.
Et soudain !
Ils explosent tour à tour.
En moins de trente secondes, ils se libèrent de leurs jus précieux, pour mon plus grand plaisir.
Un tsunami de foutre se déverse dans mon ventre et mes entrailles. Ma bouche déborde de la semence délicieuse de mon maître, surprise que je suis par une quantité exceptionnelle.
Un court instant, mon cerveau n'analyse plus rien et ne me renvoie plus que la ***** de mon plaisir.
Le paradis...j'y suis.
La redescende sera longue et délicieuse.
Un peu plus tard, les Maître invités et les filles, nous quittent.
Je reste seule avec mon homme...pardon ! Mon cocu, et mon Maître.
Ce dernier me fera l'amour toute la nuit devant les yeux du cocu, assit près du lit.
Au petit matin, je parviens à parler à mon Maître en privé.
Je lui fais part de mon expérience avortée de domination sur Eddy.
« De quoi ? Tu as osé ? De quel droit ? Pour qui te prends-tu ? Tu es et restera une soumise toute ta vie Léna. Tu n'a aucun droit, à part celui de m'obéir ! Tu payeras pour ton insolence ! »
chrislebo

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#6,185
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Le repas avec les trois Maîtres, est devenu la discussion préférée d'Eddy. Il ne tarit pas d'éloges sur la façon dont j'ai été 'utilisée', il y a maintenant trois semaines, ni sur le spectacle offert par les deux soumises ce soir là.
« Qu'est qu'ils t'ont mis. Ils t'ont bouché par tous les trous. C'était génial de te voir te tordre de plaisir. Et les deux petites salopes, sur notre canapé ! Hummm ! Que du bonheur ! Tu sais que le lendemain, le cuir sentait encore la mouille de ces putes ? »
Ca ne ressemble pas à mon mari de tenir un tel discourt. Pour moi, il ne s'agit là que de provocation et de dissimulation du mal être qu'il a dut ressentir ce soir là.
J'ai très mauvaise conscience de le voir comme ca, mais pourtant, je continue à voir Sir Jeffer***, régulièrement ou presque.
Je fais en sorte qu'Eddy ne le sache pas tout le temps pour ménager sa jalousie, et je suis devenue une experte du men***ge en tous genres.
Shopping, ciné ou restau avec des amies, surcharge de travail, courses urgentes, je me suis inventée tout une palette d'excuses pour pouvoir m'échapper du cercle familial et retrouver mon Maître lorsque celui-ci le désire.
Mais parfois, dissimuler est impossible.
Impossible comme aujourd'hui ou il m'a donné rendez vous dans un parc, pour me remettre quelque chose.
« Assieds-toi, Léna. Tu vas avoir la possibilité de rendre un immense service à ton Maître. Pour cela, tu serras récompensée, bien sur. Regarde le jeune homme sur le banc, là-bas. »
Il me désigne un tout jeune garçon de dix huit ans, environs.
Il est bien habillé, dans le style riche étudiant anglais, petites lunettes rondes, cheveux gominés et une acné sur le point de disparaitre, sous le duvet naissant d'une future barbe brune.
Mais, sous cet aspect d'ado, mal dans sa peau, je détecte un garçon très mignon qui n'a juste besoin que d'un bon dépoussiérage.
Il est plongé dans un livre, format pavé. Près de lui, une valise et un sac à dos.
« Il s'agit de Léopold, mon neveu. Gentil garçon, mais beaucoup trop timide et trop studieux. Les études occupent trop *** esprit et il passe à coté de sa jeunesse. »
« Je crois comprendre, Maître. Il est puceau et vous voulez que je m'en occupe. C'est bien ca ? »
« Oui, je te charge de le déniaiser, et pour cela tu a huit jours. Il demeurera chez toi, pendant cette durée. Je lui ai dit que je partais en voyage et que je le confiais à une amie pour qu'il ne se sente pas seul. Voici une enveloppe pour les faux frais. Tu pourras garder ce qu'il restera.»

« Eddy ? Tu es là ? »
« Oui, chérie ! Je suis dans la cuisine ! »
« J'aimerai que tu viennes, j'ai quelqu'un à te présenter ! »
Quelle va être sa réaction quand je vais lui annoncer que ce grand dadet va scouater chez nous, toute une semaine.
« Je te présente Léo, le neveu de... »
Mince ! Sir Jeffer*** ne m'a pas dit sous quel prénom Léopold le connaissait.
« Jeff ! Mon oncle est Jeff. »
« Harf ! Bien sur ! *** prénom m'a échappé. C'est idiot, non ? Hihihi ! Il va rester avec nous une petite semaine. Ca ne te dérange pas, au moins ? »
Je peux lire dans le regard d'Eddy, qu'il me trouve pathétique.
« Rien à foutre ! Je bosse ! »
Il tourne les talons et retourne à sa cuisine.
Je suis gênée. Il aurait pu faire un effort.
« Hihi ! Ne t'inquiète pas Léo. Il bougonne parce qu'il est un peu fatigué, mais il est très gentil. »
« Ho ! J'ai l'habitude ! Tonton Jeff est pareil ! »
« Ha oui ? Sacré tonton Jeff ! Mon patron est à un congrès, je ne travaille pas cette semaine. Je resterais donc avec toi. Tu vas t'installer dans la chambre de notre fille. Elle est en vacances. Tu y serras bien. Viens, je vais te montrer. »
Je lui indique où ranger ses affaires et je l'aide un peu.
Au fond du sac, qu'elle n'est pas ma surprise d'apercevoir des revues pornographique.
Je suis surprise de le voir les sortir et les jeter sur le lit, sans même chercher à les dissimuler.
Léo serrait t'il moins niais et timide qu'il veut le faire croire ?
Bien sur, je fais celle qui n'a rien vu et arrange sa pile de tee-shirts dans l'armoire.
Sans doute ne l'a-t-il pas fait exprès, mais le revers de sa main vient d'effleurer mes fesses, de façon appuyée. Dans le doute...je ne relève pas.
« Voilà Léo ! J'espère que ca te conviens ? »
« Ho oui, tata Léna ! C'est parfait ! »
Il me saute au cou comme le ferait un gamin de huit ans. Sauf que là...
Il m'embrasse dans le cou et sur l'épaule. Il se plaque à moi si fort que je sens ma poitrine s'écraser contre *** torse.
Déroutée et très gênée, je le repousse gentiment.
« Bon, allons voir ce qu'Eddy nous mijote ! »
Je me retourne pour sortir. Il est là, dans l'encadrement de la porte.
Qu'à t'il vu ? Je l'ignore, mais il boudera toute la soirée.
Après manger, Léo exprime le souhait de prendre une douche. C'est un ado pré-pubère qui entre dans la salle de bain, c'est un Playboy qui en sort.
Plus de lunettes, cheveux encore humides, coiffé avec classe et rasé de près, il passe devant moi, torse nu.
Je ne peux m'empêcher de contempler sa musculature et en particulier ses abdominaux encore ruisselants.
C'est une véritable publicité pour parfum d'homme, qui entre dans la chambre d'Amandine.
« Tu va t'en remettre ? Tu baille devant ce môme ! »
« Eddy ! Enfin ! Ce n'est qu'un gosse, mais reconnais qu'il est joliment bâti ! Tu ne serais pas un peu jaloux, toi ? »
Alors, lorsque nous nous couchons, je me presse contre lui et glisse une main sous les draps.
L'effet ne se fait pas attendre.
« Allez ! Ne fais pas la tête. Il n'est pas méchant ce garçon, et ce n'est que pour une semaine. »
Il se tourne et se couche sur moi.
« Oui, mais tu diras à Sir machin chose, qu'ici ce n'est pas une auberge de jeunesse ! »
« Sir Jeffer***, chéri ! Sir jeffer...Haaa ! »
Il vient de me pénétrer d'un coup, sans prévenir.
« Humm ! Tu mouilles bien, salope ! C'est rentré comme dans du beurre ! »
C'est pourtant vrai que je mouille énormément. Qu'est ce qui peut bien m'exciter à ce point ? Pas ce gamin, tout de même ?
« Hooo ! Tais-toi, Eddyy ! Baise-moi ! Baise-moi fort, mon amour ! »
Et c'est ce qu'il fait. Il me pénètre avec ardeur et me fait grimper au rideau.
Je tourne la tête pour mordre le coin de mon oreiller, afin de ne pas crier, lorsque...j'aperçois la silhouette du jeune homme dans l'entrebâillement de la porte.
La honte me monte aux joues, mais je fais celle qui ne l'a pas vu.
« C'est bon, hein ! T'es toute rouge ! Ca donne chaud, hein ! T'aimes ca d'être pilonnée, hein ! Avoue, t'aime ca ! »
chrislebo

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#6,186
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« Rhooo ! Tais-toi, mon amour ! Continu ! Ne t'arrête pas ! Vas-y ! Fort ! »
Me savoir épiée, m'excite terriblement. C'est une étrange et délicieuse sensation perverse.
Avec mes pieds, je pousse le drap pour nous dégager.
« Retourne-toi ! Donne-moi ton cul ! »
Je me mets en position de levrette et Eddy plonge dans mon fondement, m'arrachant au passage un cri de plaisir.
Je glisse une main sous mon ventre et je me masturbe le clito comme une hystérique.
Un coup d'œil rapide à la porte, me permets de voir Léo que je devine queue à la main, s'astiquant avec frénésie.
Je suis emportée par un terrible orgasme et Eddy se libère au fond de mes intestins. Nous tombons tout deux, épuisés et heureux. Le membre de mon mari reste encore en moi quelques minutes, avant d'être expulsé par de petites contractions volontaires de mon sphincter.
A la porte, il n'y a plus per***ne.

Profitant de ce repos, dû au déplacement du docteur, je traine un peu au lit et ne me lève que vers dix heures. Eddy lui, doit déjà être au volant de *** camion.
Je saute sous la douche et me détends sous la pluie chaude. Mais, rapidement, au travers du rideau, je distingue une tête qui passe à la porte.
Je ne comprends pas. J'ai pourtant tourné le verrou.
Je ne sais quelles attitudes adopter. Me fâcher ? Ignorer ? Ou provoquer comme hier soir ?
Je choisie l'ignorance et finie ma douche sans me soucier du petit voyeur.
Lorsque je coupe l'eau, je vois la tête disparaitre et la porte se refermer.
Je me sèche, me maquille rapidement et je sors de la salle de bain, sans oublier de vérifier la porte.
Le petit saligaud à posé un scotch. Ce qui empêche la serrure de fonctionner correctement.
Décidément, l'analyse de Sir Jeffer***, tombe à l'eau, définitivement. Léo n'est ni niais, ni timide. J'en suis sure.
Je décide d'ignorer ce petit vicieux et je vais à la cuisine déjeuner.
Perdue dans mes pensées, je ne l'entends pas arriver.
« J'ai entendu tonton Eddy t'appeler Cathy ! Je croyais que c'était Léna ? »
Surprise, je renverse la moitié de mon petit déjeuner.
« Léooo ! Tu m'a fais peur. Préviens quand tu arrive ! Eddy n'aime pas Léna. Voilà pourquoi il m'appelle Cathy. Satisfait ? »
Je me lève pour entamer la vaisselle de la veille. Lorsque je suis à la mai***, je garde cette corvée pour le lendemain.
Léo s'assoit sur le plan de travail près de levier.
« Mouai, satisfait. Pourquoi tonton n'aime pas Léna ? C'est joli Léna ! »
« Ho ! Léo ! Tu m'ennuie, là ! Et cesse de nous appeler tonton et tata ! Nous ne sommes pas de ta famille que je sache ! »
« Mince, t'a rai***. Excuse-moi Cathy Léna. »
« Cathy ! Ca ira très bien ! »
« Ok ! Ben dis dont, Cathy, qu'est ce que Eddy t'a mis hier soir ! Whouaaa ! »
Je lui balance une baffe, mais il arrête ma main.
« Allons, allons ! Que dirait Jeff s'il apprenait que tu claque *** gentil neveu ? »
« Tu es immonde Léo et manipulateur ! Tu me dégoute. »
« Tu ne pensais pas ca hier soir, quand tu a viré les draps. N'est ce pas ? »
« C'était un moment de faiblesse et je le regrette fortement ! »
« Regarde, tu t'es salie ! »
Effectivement, une tache brune orne le bas de mon peignoir blanc.
Je prends un essuie-tout que je mouille et je frotte la tache.
Ainsi penchée, mon peignoir baille. Si moi, je n'y prête pas attention, il n'en est pas de même pour le garnement qui y plonge une main pour m'attraper un sein.
« Humm ! Ils ***t comme je les aime ! Pas trop gros et fermes. »
« Enlève ta paluche de là ! »
Je me dégage de *** bras avec mon coude.
« Je crois que je vais appeler Jeff et lui dire que tu es incorrecte. »
« Ca te fais quoi, de l'appeler Jeff ? Léna ! »
« Quoi ? Qu'est ce que tu racontes ? Je ne vois pas ce que tu veux dire ! »
« Mais si ! Tu vois très bien, belle petite soumise ! Tu as vu ta porte de salle de bain ? J'ai fais la même au bureau de ton Sir Jeffer***, et j'ai tout découvert sur ses petits jeux. »
Je rougie et j'ai du mal à cacher que mes mains tremblent.
« Tu sais qu'il note tout ? Je sais tout ce qu'il y a à savoir sur toi. Jusqu'à la datte de tes ennuis mensuels. »
La honte est très vite remplacée par un énorme sentiment *************** et des larmes me montent aux yeux.
« Arrête ca Léo ! Je t'en supplie ! Arrête et dis-moi ce que tu veux ! »
« Tu n'a pas une petite idée, Léna ? Je te veux toi, dans un premier temps et ensuite que tu face en sorte que mon oncle m'accepte di***s...comme Maître adjoint ? »
« Tu n'es qu'un gamin ! Je pourrais presque être ta mère ! »
« Presque ! Presque seulement ! Et ne dit on pas que c'est dans les vieux... »
« ARRETE ! »
« T'en a pas mare de te taper des reliques ? Tu ne rêve jamais de bouffer un bâton tout frais et pas ridé ? Comme celui-ci, par exemple ? »
Il a sorti sa queue et je dois bien reconnaitre que je n'imaginais pas qu'il soit si bien outillé. Il bande fort et ses couilles semblent gonflées de désir.
« Arrête Léo ! Ce n'est pas la question...tu me gênes, là ! »
« Donne ta main ! Palpe-la ! »
« Surement pas. Ce soir je rapporte ton comportement à Eddy ! »
« Tu n'en feras rien et tu le sais. Tu crève d'envie de la prendre dans tes mains, de me sucer, peut être même ! Pas vrais ? »
Mon cœur bat la chamade et la chaleur qui m'envahie n'est pas de nature extérieure.
Je me rends à l'évidence. Je suis excitée et j'ai envi de ce garçon.
« Petit con ! »
Je ne trouve rien d'autre à dire et je saute sur *** sexe dressé.
C'est vrais qu'elle est belle, jeune, dure. Je la presse dans ma main et lui applique un mouvement lent de vas et vient.
Sans les voir, je sens les artères et les veines gonflées de sang, sous ma paume. Mon pouce caresse doucement le gland, et lorsque celui-ci devient humide, je ne me contiens plus.
« Ouiiii, tata Léna ! Voilà ! C'est bien ! Suce-moi bien ! Alors, elle n'est pas bonne ma bite ? Hein, tata ! »
Ca aussi c'est vrais. Elle est bonne et douce. Je lèche et aspire le gland puis je le suce entier sans retenues.
Parfois, je délaisse le pieu pour déguster les deux gros testicules. Je les gobe ou les mordille, puis reviens au totem dressé.
Soudain, il saute du plan de travail. Il me tourne et me penche sur la table de la cuisine.
Ma robe de chambre relevée, il se plante en moi, pour mon plus grand plaisir.
Il alterne avec délice rapidité et lenteur. Ce type n'est pas un débutant. Il est à l'écoute de mon corps, de ma respiration et très vite, il me monte à l'orgasme.
« Ho ouiii ! Baise moiii ! Jouis maintenant ! Avec moiii ! »
Mais il sait se contrôler et n'en fait rien, malgré mes suppliques.
Il me fait jouir encore deux fois de suite et après m'avoir mise à genoux, il se libère enfin dans ma bouche et sur mon visage. Je n'ai jamais rencontré quantité de foutre aussi importante.
chrislebo

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#6,187
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Je suis aux anges et me régale de *** jus chaud.
Durand la journée, il me baisera encore deux fois.
Le soir venu, me coller une main aux fesses ou caresser mes seins, ou encore m'embrasser dès qu'Eddy a le dos tourné, devient *** jeu favori.
Une fois au lit, je bénie Sir Jeffer*** de ne pas m'autoriser à coucher avec Eddy, plus d'une fois par semaines. Je suis épuisée.
Les jours suivant ressemblent au premier et je me fais prendre dès qu'il en ressent le besoin ou l'envie.
Il me rejoint au lit dès le départ d'Eddy, ou il me rejoint sous la douche, dans une salle de bain dont la porte reste désormais, volontairement ouverte.
A chaque fois, il me pousse dans mes retranchements et m'oblige à extérioriser mes cris de plaisirs. Avec lui, je ne crie plus, je hurle.
Le dernier soir, sous un prétexte bidon, il s'assoit près de moi pour manger.
Sous les yeux crédules de mon mari, il me caresse sous la table durant tout le repas et au coucher, il n'hésite pas à m'enlacer et à m'embrasser goulument dans le couloir, au risque de se faire surprendre.
Le pire, c'est que ca me plais. Il m'a transmit l'insouciance de sa jeunesse.
Belle semaine que celle-ci. Ce petit con, risque de me manquer.
Trois heures du matin.
« Psssst ! Pssssst ! »
J'ouvre un œil et j'aperçois Léo qui passe sa tête à la porte.
Le pauvre fou ! Si Eddy se réveille...
Je chuchote.
« Vaaaa t'ennn ! »
« Nonnnn ! viennnns ! »
« Pffff ! T'esss fouuuu ! »
Je me lève doucement et à pas de velours, je le rejoins dans le couloir. Il est nu.
« Tu es fou ! Eddy pourrait ce réveiller ! »
« Oui, je sais, mais j'ai trop envie de toi, Léna ! »
« Mais enfin, Léo ! Nous avons fait au moins trente fois l'amour en cinq jours ! Comment peux-tu avoir encore envie de moi ? »
« Non, Léna ! Je t'ai baisé, trente fois, mais je ne t'ai pas fait l'amour. Mais là, maintenant, ici, j'ai envie de t'aimer. J'ai envie que tu m'aimes. »
Il est touchant et semble sincère. Comment résister à un aveu si romantique ?
Il m'enlace et m'embrasse dans le cou.
« Et Eddy...Si Eddy... »
« Oublie ! Aime-moi, tata chérie ! »
Je me laisse glisser doucement le long du mur et c'est à même le lino froid du couloir qu'il remonte ma nuisette.
Il est vrais que cette fois il est doux et caressant, voir prévenant. Il me fait l'amour comme jamais on ne me l'a fait.
Je voyage dans des nuages de voluptés et je crois bien l'avoir mordu pour ne pas hurler.
Je pleure. Je pleure de bonheur. Je pleure de plaisir. Peut être aussi à l'idée de perdre ce délicieux amant.
Entre deux larmes, dans le flou de mes yeux mouillés, il me semble distinguer Eddy, à la porte de notre chambre. Mais il disparait très vite.
Je ne saurais jamais si c'était bien lui ou mon imagination qui m'a joué un mauvais tour.

« Bonjour Maître. »
« Bonjour Léna. Alors ! As tu remplie ta mission ? »
Bien sur, je ne dirais rien du secret de Léo.
« Oui, Maître. Je crois pouvoir affirmer que Léo, maintenant, connait bien les femmes et les techniques de l'amour. De plus, il a fait un gros travail sur lui-même et a presque réglé ses problèmes de timidités. Je me demande même, s'il ne ferait pas un bon Maître ! »
« Parfait, mais c'est à moi de juger ce qu'il peut être ou non ! Comme promis tu serras récompensée pour cela. Communique-moi tes dates de vacances au plus vite. »
C'est le cœur serré que je vois partir mon petit Léo.
Eddy, me prend dans ses bras.
« Ne sois pas triste. Je suis sur que tu le reverras un jour ou l'autre. Tu me semble fatiguée, vas te reposer, je vais faire la popote. »
Mon sixième sens féminin, me dit que c'est bien Eddy que j'ai cru voir cette nuit.
« Tu es un homme exceptionnel ! Je t'aime mon chéri ! »
vanbruje

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#6,188
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Et bien... ce n'était pas fini... Un grand merci pour ce très bon texte.
Est-ce terminé ou pas encore ? A vus lire
soumis8

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#6,189 · Edited by: soumis8
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.............
chrislebo

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#6,190
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« Écoute Cathy ! Fais ce que tu veux, mais à tes risques et périls ! »
« Eddy ! Ce n'est que l'histoire d'une semaine ! C'est un cadeau, je ne peux pas refuser, quand même ! Ensuite je vous rejoins ! »
« Fais ce que tu veux ! »
Il claque la portière et démarre, me laissant en larmes au bord du trottoir.
Une fois de plus, je viens de bousculer mon cercle familial pour satisfaire Sir Jeffer***.
Hier matin, dans la joie et la bonne humeur, nous préparions nos valises pour notre départ en vacances, lorsque le téléphone a ***né.
« Prépare une valise et rends toi à l'entrée du parc, demain à dix neuf heures. Préviens le cocu que tu seras absente une semaine. »
Bien sur, comme à chaque fois, il a raccroché si vite que je n'ai rien pu dire.
Le changement d'ambiance fut radical.
« Moi, je ne change rien à mes plans ! Je pars demain matin avec Amandine ! »

J'ai pleuré une grande partie de la nuit, me lamentant sur le bien fondé de ma relation avec mon Maître.
Mais je ne peux plus m'en passer. Il est devenu comme une drogue pour moi.
Je n'ai qu'une hâte, le voir et le revoir pour m'abandonner à ses désirs et lui obéir, encore et encore.
Je prends tellement de plaisir à être rabaissée, humiliée par lui. Mais il sait aussi m'aimer, et me le prouver, en me prêtant ou en m'offrant fièrement comme cadeau aux gens qui l'entourent.
Alors, lorsqu'il m'appelle, j'accoure.
J'aime profondément Sir Jeffer***. J'aime profondément mon Maître.

Je suis arrivée au parc avec une demi-heure d'avance. Pas question d'être en retard.
A dix neuf heures tapantes, une énorme limousine blanche s'arrête devant moi.
La porte s'ouvre et la main gantée de Sir Jeffer***, m'invite à monter, tandis que le chauffeur charge ma valise dans le coffre.
« Maître ! C'est fantastique ! Je me sens comme cendrillon dans *** carrosse ! Je ne suis pas sur de mériter tout ce luxe ! »
« Rien n'est trop beau pour ma favorite. Et puis ne t'avais je pas promis de te récompenser, pour ton travail sur Léo ? À ce propos, il m'a chargé de te transmettre *** bon souvenir. »
« C'est un gentil garçon, Maître. Je suis sur qu'il ira loin. Mais nous ? Où allons-nous ? »

Deux heures plus tard, nous sommes à Paris, gare de l'Est.

Venice Simplon-Orient-Express.
Nous longeons les wagons bleus et or de ce train d'exception, que je n'ai jamais approché, même dans mes rêves les plus fous.
Je ne trouve pas mes mots. Je me sens toute petite, perdue, éblouie par tout ce luxe. Même le quai est recouvert de moquette.
Sir Jeffer*** s'amuse de me voir ainsi.
« Hé bien, Léna ! Tu n'a jamais vu un train ? »
Je l'entends à peine tellement mon cœur fait du bruit. Je lui réponds hébétée, avec des yeux tout ronds.
« Non ! Jamais ! »
Pour la première fois, j'entends le rire de mon Maître.
Un steward nous fait monter et nous conduit à notre cabine et me voici d'un coup, dans les années folles.
Je vis un rêve éveillée.
« Ca te plais ? »
« Ho, Maître ! Je ne sais pas quoi dire ! C'est fantastique ! »
« Tu n'a encore rien vu. Viens, je te conduis au wagon restaurant. »
Que dire ! Du luxe, du luxe et encore du luxe.
Je réjouis mes yeux et mon ventre avec un repas gastronomique, avec couverts en argent et verres de cristal. Au dessert, mon Maître m'abandonne pour ce rendre à la voiture bar, sans oublier de m'ordonner de rejoindre notre cabine, sitôt mon dessert terminé.
Une surprise m'y attend. Notre cabine, durant le repas, a été transformée en couchettes.
Une en bas et l'autre au dessus.
Désireuse de remercier mon Maître pour ce somptueux cadeau, je m'apprête et me couvre d'une nuisette noire et rouge, sexy et transparente à souhait.
Lorsque l'on frappe à la porte, je l'ouvre pensant trouver Sir Jeffer*** derrière.
Mais c'est le steward.
C'est un garçon élégant et souriant.
« Bonsoir, madame Jeffer***. Votre mari m'a demandé de passer voir si vous ne manquiez de rien. »
Madame Jeffer*** ? Hummm ! Jolie musique à mes oreilles. Mais connaissant Sir Jeffer***, s'il m'envoie cet homme, ce n'est pas parce qu'il s'inquiète de mon confort.
« Heu ! Si ! Justement ! Enfin, non ! Juste un problème avec le robinet du cabinet de toilette. Il fuit. »
J'ai un peu honte de ne pas avoir trouvé mieux pour le faire rentrer, mais ca devrait suffire.
Il s'excuse et passe devant moi. Il se penche sur le robinet et je ferme la porte avec le verrou.
« Je suis navré, madame ! Je ne vois pas de fuite ! »
Je me penche à mon tour près de lui, faisant bailler ma nuisette pour exhiber mes seins et en me frottant à lui sans aucune gêne.
« Étrange, pourtant, il me semblais bien ! Je suis désolé de cette méprise. »
« Cela n'est pas grave madame. Je vous souhaite une bonne nuit. »
« Non ! Attendez ! Vous pouvez mettre ce sac dans le porte bagages, s'il vous plait ! »
Je profite qu'il ait les bras levés pour m'asseoir sur le bord de ma couchette et caresser *** pantalon au niveau de la braguette.
« Humm ! Qu'est ce que je sens là ? Ça m'a l'air bien rempli tout ca ! »
« Madame, je... »
chrislebo

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« Chuttt ! Ne craignez rien ! Si mon mari vous a envoyé, c'est pour ca. C'est pour me gâter ! Vous ne voulez pas me gâter ? »
Est-ce bien moi qui parle ?
Est-ce bien moi qui prononce ces mots ?
Est-ce bien moi qui propose à cet homme de me sauter ?
Le pauvre, tétanisé, reste les bras levés sans oser bouger.
« Je ne sais pas si... »
« Moi, je sais ! Moi, je sais ! »
Je fais sauter les boutons et extirpe un membre de bonne taille qui gonfle, malgré les craintes de *** propriétaire.
Je le suce plusieurs minutes, lentement, n'oubliant pas de lécher de temps à autres ses couilles pleines de bon jus.
« Je n'en peux plus ! Baise-moi, vite ! Mon mari te récompensera pour ca ! Fais-moi jouir ! »
Le pauvre pète un câble.
« Vous baiser est déjà une récompense ! Venez là, belle salope ! »
Il me lève et me colle à la fenêtre. Il arrache ma nuisette. Il me caresse et m'embrasse comme un dément, aspirant ma langue ou mordant mes lèvres.
Puis, il me tourne et me sodomise d'un coup violent de reins.
Il me branle la chatte tout en poussant dans mes entrailles.
Je ne peux retenir des cris de plaisir.
J'ai la joue collée à la glace. Dehors, les lumières défilent, tandis que la lune, là haut semble me surveiller.
Je suis soudain propulsée sur ma couchette et il me saute dessus. Il me baise comme on baise une putain, sans délicatesse, sans retenue.
Lorsque *** foutre envahi mon ventre, il porte une main à ma gorge.
« Sale chienne ! Tu me fais jouir ! Putainnn ! »
« Ouiii ! C'est bon ! Je jouis aussi ! Haaa ! Hooo ! Encoreee ! Hummmm ! »

Lorsque Sir Jeffer*** rejoint notre cabine, le steward est parti depuis cinq bonnes minutes.
Je suis encore allongée, nue, le vagin dégoulinant de foutre.
Il me sourit.
« Alors ? Doué, le petit ? »
« Ho Maître ! Vous allez me rendre folle ! »
Au matin, à mon réveil, je découvre les Alpes suisses en prenant mon petit déjeuner, que ce charmant steward vient de m'apporter, en rougissant.
Puis plus tard, les Dolomites italiennes, le col de Brenner. Nous longeons la lagune et nous arrivons enfin à la gare de Santa Lucia.
Apres un court transfert nous arrivons à notre hôtel.
Hôtel Londra palace.
Ses quatre étoiles brillent dans mes yeux. Jamais je n'aurais imaginé entrer un jour dans ce style d'établissement. Moi, la petite secrétaire médicale, je me prépare à vivre la plus belle semaine de ma vie.
Du moins, c'est ce que je crois.
A peine installés dans notre suite, je me retrouve attachée, nue, au pied de notre lit.
« Ceci pour t'apprendre à vouloir jouer la dominatrice avec le cocu. Je t'avais prévenu que tu serais punie. Tu dormiras à mes pieds comme une brave chienne. Tu m'attendras sagement lorsque je sortirais et tu devras te présenter quand je rentrerais. Tu me supplieras pour que je t'amène aux toilettes pour faire tes besoins et tu mangeras avec tes doigts. »
« Oui Maître. Merci Maître. »
Sans rajouter un mot, il sort, me laissant seule dans le noir.
Impossible ! Demain, il me sortira en ville, il me fera visiter les musées, les églises !
Il ne peut pas m'avoir fait faire ce long voyage, juste pour m'attacher à un lit, aussi beau soit t'il ?
Il rentre tard dans la nuit. Je me suis assoupie au pied du lit. Il me réveille avec de petits coups donnés du bout de sa chaussure.
Je me redresse.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche et ma langue, pour vous déguster et boire votre foutre ! Voici ma chatte, pour que vous me baisiez ! Voici mon cul, pour que vous m'enculiez ! Mes orifices vous appartiennent. Mon corps vous appartient. Je suis votre jouet, instrument de votre jouissance. »
« Allonge toi et dors ! »
« Oui Maître. Merci maître. »
Je dois faire attention à ne pas faire d'autres bêtises, au risque de voir ma punition s'alourdir encore. Peut être que si je suis sage...
Au matin, on nous apporte le petit déjeuner. L'employé d'étage reste de marbre en m'apercevant attachée et assise par terre.
« Bonjour Angelo ! Comment vas-tu depuis ma dernière visite ? »
« Bien, signore Jeffer***, et vous-même ? »
« Très bien, je te remercie. Que penses-tu de ma nouvelle favorite ? »
« Ma ! Elle est jolie, mais pas assez de lolo pour Angelo, signore ! »
« Haha ! Mais tu la baiserais bien quand même, j'en suis sur ! Sois gentil, préviens Francesca et Diletta que je suis là et que j'aimerais les voir ce soir. »
Il raccompagne l'homme à la porte et lui glisse un billet.
Sir Jeffer*** approche le chariot, et je déjeune debout et d'une main, l'autre étant toujours menottée.
« Maître, j'aimerais aller aux toilettes et prendre une douche, si vous me le permettez. »
Il me détache et me conduit à la salle de bain, en laisse et à quatre pattes.
« Mets toi à genoux dans la douche, urine et lave toi dans cette position ! »
Il reste et me regarde faire. Il m'accorde ensuite un peu d'intimité pour faire mes gros besoins.
J'espérais qu'il me dirait de m'habiller, mais il me rattache une fois de plus.
Il sort, sans un mot.
La punition est lourde et dure, mais elle est méritée.
Vers midi, Angelo m'apporte un plateau.
« Signore Jeffer*** veut que tu mange. »
« Merci, Angelo ! Vous voulez bien couper ma viande ? »
« Je peux pas rester longtemps, j'ai beaucoup de travail. »
« Non, restez un peu ! Je vous en prie ! »
Il m'accorde cinq minutes et coupe mon steak pour m'éviter de le déchiqueter avec les dents.
chrislebo

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« Vous connaissez Sir Jeffer*** depuis longtemps ? Vous êtes un Maître aussi ? »
Il éclate de rire.
« Moi, Maître ? Haha ! Non, mademoiselle ! Moi, je me contente de faire plaisir aux dames ! »
Il pose fourchette et couteau et caresse mes seins à pleine mains.
« Je les croyais trop petits pour vous ! »
« Oui, mais jolis tout de même. »
Je le laisse faire et m'amuse de voir une bosse se former dans *** pantalon moulant.
Sa caresse m'excite et je finis par glisser ma main entre mes cuisses. Ca le rend fou d'envie. Il se lève et m'exhibe sa verge dressée.
« Suce-moi, salope ! Succhia rapidamente, je dois retourner au travail ! Grouille ! Fais-moi jouir, puttana ! »
C'est avec plaisir que je dévore *** membre. Je le sens surexcité et je sais qu'il va venir très vite.
Sir Jeffer***, n'apprécierait sans doute pas ce que je suis en train de faire. Je n'ai pas intérêt à laisser la moindre trace, le moindre indice.
Mais au moment ou Angelo s'apprête à jouir, il se retire de ma bouche et décharge sur ma viande et mes pâtes.
« Nonnn ! Angelooo ! Ramenez le plateau, s'il vous plait ! Mon Maître ne doit pas savoir ! »
« Haha ! Et qu'est ce que je dis à l'intendance ? Allez ! Mange, pendant que c'est chaud ! »
Il se relève et sort en riant.
Je n'ai pas d'autre alternative que de déguster mon premier plat, sauce foutre, afin de ne laisser aucune trace de ma sottise.

Cinq heures ***ne lorsqu'il rentre enfin.
Il vient directement s'accroupir face à moi.
« C'est bien ! Tu as tout mangé ! C'était bon ? »
Le doute s'installe dans mon esprit. Et s'il savait ? Si Angelo m'avait dénoncé ?
Je rougie sans pouvoir l'empêcher.
Peut être devrais je avouer ? Merde ! Je ne parviens pas à empêcher les larmes à mes yeux.
C'est foutu. Il ne croira jamais qu'il ne c'est rien passé.
« Maître, j'ai fais une bêtise ! »
Je lui explique en détail la faiblesse dont j'ai fait preuve.
Il se relève visiblement irrité et me détache.
« Tu a cinq minutes pour t'habiller et te maquiller comme une pute. Je veux qu'on te remarque à cinq kilomètres ! »
Je n'ai pas l'habitude de ce genre d'exercice, mais je devrais... je dois y arriver.
Je choisie un caraco rouge à fines bretelles. Il est très sexy de par sa transparence, très limite.
Une mini jupe plissée noire et une paire de sandales, hauts talons, bien chevillées par de larges bandes de cuir qui ne ***t pas sans rappeler des attaches sado-maso, complètent le tout.
Un passage rapide par la salle de bain pour me maquiller un peu plus que d'habitude et je me représente devant Sir Jeffer***.
« Puisque tu semble avoir soif, je vais te donner à boire ! »
Il empoigne mon bras et me sors de l'hôtel, ainsi
Il me traine dans la rue jusqu'à la place Saint Marc. Là, il nous installe au coin de la terrasse du café Florian.
« Assis toi face à la place et sois généreuse sur l'écartement de tes genoux. »
J'ai honte. Il y a un monde fou. Je ne sais pas si c'est une bonne chose ou pas. Peut être vais-je me noyer dans la masse ?
Je tourne ma chaise. Je m'appuie sur la table de mon bras droit et tiens timidement le bord de ma chaise de la main gauche.
Je serais nue au milieu de cette place que ce ne serrait pas pire.
Très vite je comprends que je suis vue, remarquée et que les commentaires vont bon train.
Sir Jeffer***, pas du tout gêné, sirote sa bois*** en observant les gens. Il n'a rien commandé pour moi. Je ne peux même pas occuper mes mains.
« Regarde l'homme là-bas ! »
De la tête il me donne une direction.
Un homme à une cinquantaine de mètres, est accroupi et prend des photos avec un téléobjectif...de moi.
Instinctivement, je resserre un peu mes jambes.
« Qu'est ce que tu fais ? Ouvre-toi, salope ! Tu va soulever ton maillot pour lui montrer un sein, puis tu te rendras dans la ruelle à gauche. Il va te suivre. Tu trouveras une porte bleue et blanche. Tu y rentre et tu te désaltère de lui. À mon avis, d'autres vont l'imiter. Fais de même avec eux. »
Une fois de plus, j'espère que la foule me cachera, mais je n'y crois pas trop.
Je pose une main sur mon ventre que je glisse sous mon caraco. Je fais semblant de me gratter, l'air de rien et remonte ma main sur mes côtes. Puis au moment qui me semble propice, je soulève le coin gauche de mon vêtement et expose un sein. Un léger vent frais fait pointer mon téton d'un coup.
Je vois le type prendre des photos en rafale.
« Hooooo ! »
Ce cri est poussé par une femme pas très loin. Je ne cherche même pas à la voir.
Honteuse, je m'enfuie vers la ruelle que m'a désigné mon Maître.
C'est un passage sombre et pas très propre. L'odeur qui se dégage témoigne qu'elle sert surement souvent d'urinoir à des touristes dégueulasses.
J'aperçois la porte bleue et blanche. Je la pousse.
J'imaginais me retrouver dans une cour intérieure ou dans le hall d'une demeure, mais rien de tout cela.
Je suis dans une petite pièce sombre, juste éclairée par un petit soupirail. Ca ressemble plus à un placard à balais qu'à autre chose.
Mes yeux s'habituent à l'obscurité et je peux voir, gravé dans le plâtre des murs, de nombreux graffitis représentant des sexes dressés, des annotations ou encore ce qui ressemble à des numéros de téléphone. Drôle d'endroit.
Comment mon Maître connait t'il l'existence de ce réduit ?
Pas le temps de chercher une réponse.
La porte s'ouvre et trois hommes pénètrent à l'intérieur. Je reconnais le photographe. C'est le premier à s'approcher.
« Sei italiano ? »
Mon italien est très approximatif, mais je crois comprendre qu'il me demande si je suis italienne.
« No, francese, signore. »
« Le francesi ***o più belle del mondo. Bella ! »
Il pose ses mains sur moi et je frémie. Je défais sa braguette à la hâte, avant que ce fougueux « signore » n'aille plus loin.
Je m'accroupie et déguste le beau « salsiccia » italien.
« Oh sì ! Continua ! È buono ! »
Je m'applique de façon à ce que cet homme ne désire rien d'autre que ma bouche. Sir Jeffer*** m'a dit de me désaltérer, pas de me faire prendre.
Je ne veux pas d'autre punition, mais la tentation est grande de me faire baiser. Je me sens surexcitée
« Harggg ! Sììì ! Bevi tutto ! Puttana ! »
Ho oui, je le bois, et sans en perdre une goutte. C'est idiot, mais je trouve que l'accent italien le rend encore meilleur.
Je le nettoie correctement et il sort de la pièce. A l'extérieur, j'entrevois mon Maître, juste avant que la porte ne se referme.
« J'ai entendu que tu étais française ? »
Le deuxième homme c'est avancé face à moi. Je lui réponds tout en descendant la fermeture éclair de *** pantalon.
« Oui, monsieur, je suis française. Vous aussi, non ? »
« Oui. Je suis en vacances, mais je n'aurais jamais imaginé rencontrer une aussi bonne compatriote. Tu portes un collier. Tu es soumise ? »
Je n'ai pas trop envie de rentrer dans une conversation. Je suis là pour sucer, alors, je suce.
chrislebo

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Le type est bien monté et je ne peux pas prendre *** sexe en entier, sans risquer de vomir.
Mais lui, semble s'en moquer.
Au moment de cracher sa purée, il s'enfonce dans ma gorge. Je suis prise d'un haut le cœur et je renvois tout ce qu'il vient de me donner.
Comme ci cela ne lui suffisait pas, il fini de se décharger sur mon visage et mes cheveux.
Me voilà fraiche !
Mon caraco et ma jupe ***t souillés. Mon mascara coule sur mes joues et je n'ose pas imaginer l'image que je dois renvoyer.
A tel point que le troisième homme quitte la pièce sans demander *** reste.
Sir Jeffer*** me rejoint.
Il se penche vers moi et relève mon visage en soulevant mon menton d'un doigt.
« Bien, bien ! Très bien, même ! Pour terminer cette punition, je vais te laisser le choix. »
Je redoute ce qu'il va me proposer et la suite me prouve que j'ais rai***.
« Tu a le choix entre traverser la place dans cet état, revenir ici et pouvoir te nettoyer ou, retourner à l'hôtel, toujours dans cet état et tenue en laisse. »
Je ne m'imagine pas faire les cinq cent mètres qui nous séparent de l'hôtel, souillée et attachée. Traverser le hall et croiser les clients ou les employés de l'établissement semble insensé et irréalisable. Mais Sir Jeffer*** semble pouvoir faire ce que bon lui semble, sans être inquiété le moins du monde.
Je ne m'imagine pas non plus traverser la foule. Mais peut être que rapidement et la tête baissée... ?
« Je choisis la place, Maître ! »
Il se redresse et ouvre la porte.
« Rejoins les arcades de l'autre coté, jusqu'au café Quadri, puis reviens ici. Tu auras de quoi te nettoyer. Attention, je te surveille !»
Voilà une fellation non autorisée qui me coute très cher.
Ma traversée du désert commence, mais jamais désert ne fut si peuplé, ou alors, il y a bien longtemps.
Inutile de croire que ce qui me couvre pourrait être prit pour de la fiente de pigeons. Non, ca ressemble à ce que c'est, rien d'autre.
Mes jambes tremblent sur mes talons aiguilles. Il ne manquerait plus que je m'étale au milieu de la place.
Les commentaires vont bon train et dans toutes les langues. Les touristes auront au moins quelque chose à raconter.
Enfin, la terrasse du Quadri est là. Je touche la première chaise et fais demi-tour, toujours tête baissée.
Au milieu de la place, un homme m'aborde. Un vicieux sans doute, un pervers surement.
« Toi, t'es française, j'en suis sur ! N'y a que les putes françaises pour oser ca. T'aimes ca, hein ? Viens chez moi, je vais t'arroser ! Tu veux que je te pisse dessus ? Je pourrais aussi te fesser ou te fouetter ? T'en pense quoi ? »
« Dégage pauvre con, avant que ce ne soit mon Maître qui te fouette ! »
« Ton Maître ? T'a un Maître ? Présente-moi, je vais te louer. Tu vas voir, on vas bien s'amuser »
Cet imbécile me fait remarquer, mais du coup, il y a moins d'injures qui volent.
Mon calvaire s'achève. Je peux voir la ruelle à quelques mètres.
Toujours affublée de la sangsue, je pénètre dans la pièce...lui aussi.
Sir Jeffer*** n'est pas là.
Sur un tabouret, une bassine d'eau et une serviette.
« Attends ! Attends, petite salope ! Je vais te jouir sur la gueule avant que tu te nettoies. »
Il m'agrippe les cheveux et me fait tomber à genoux.
Pas question que je laisse faire ce dingue. Je m'apprête à hurler, mais Sir Jeffer*** fait irruption dans la salle.
« Ha ! C'est vous le Maître de cette putain ? Je vais l'amuser toute la nuit cette catin ! Combien en voulez vous ? »
Ce con secoue ma tête et me fait mal aux cheveux.
Très calmement, Sir Jeffer*** dévisse le pommeau de sa canne et en extrait une cravache.
« Cette soumise n'est ni à vendre, ni à louer ! Et c'est moi qui décide avec qui elle passera la nuit. Sort d'ici avant que je ne te balafre ! Manant »
L'homme ne demande pas *** reste et s'enfuit.
« Lave toi et rejoins moi à l'hôtel ! »
Je suis très impressionnée par ce qu'il vient de se produire. La colère de Sir Jeffer*** est terrifiante. Mais le fait qu'il m'ait défendu, me touche au plus profond de mon âme.
C'est propre, ou presque, et le cœur léger que je retourne à l'hôtel. Mais ce serra de courte durée, car je suis de nouveau mise nue et menottée au pied du lit.

chrislebo

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#6,194
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La punition devient pénible et je commence vraiment à regretter mon voyage à Venise.
Une fois de plus, il m'a conduite à la salle de bain en laisse, me faisant avancer à quatre pattes comme une chienne.
Sous la douche, je craque et pleure toutes les larmes de mon corps.
C'est une femme épuisée, vidée, qu'il rattache au pied du lit.
Vers vingt et une heure, on frappe à la porte.
« Haa ! Vous voilà enfin ! Bonsoir Francesca, comment vas-tu depuis l'année dernière ? Et toi, belle Diletta, toujours aussi coquine ? Hummm ! Vous êtes superbes ! »
Il revient dans la chambre en tenant deux superbes créatures par la taille.
A n'en pas douter, elles ***t italiennes pure souche. Grandes, minces, brunes aux cheveux longs et poitrines arrogantes ***t autant de détails qui ne trompent pas, sans parler de leurs prénoms.
Il les enlace, l'une après l'autre et les embrasse avec fougue et passion.
Les filles le caressent comme s'il s'agissait d'une divinité, tout en ronronnant.
« Chi è ? »
« Ca, Diletta, c'est une délicieuse soumise française. J'en ai fait ma favorite. Mais pour l'instant, elle est punie. »
« È perfetto ! »
« Haha ! Cruelle et jalouse ! J'adore ! »
Francesca s'accroupie face à moi. Elle caresse ma joue et sa main descend lentement sur mon corps, jusqu'à mon vagin.
Elle titille mon clito un instant et me voyant réagir à sa caresse, elle pénètre deux doigts dans ma fente humide.
« Humm ! Elle semble t'intéresser. Tu veux jouer avec, pendant que je m'occupe de Diletta ? »
Sans répondre, elle approche ses lèvres des miennes et m'embrasse tendrement.
Je me laisse faire, sans oser bouger. J'aimerais la caresser à mon tour, mais j'ignore si j'en ai le droit.
Sir Jeffer*** s'allonge sur le lit avec l'autre fille. Je ne les vois pas, mais je les entends rire et échanger des baisers.
Je suis un peu vexée d'être ainsi mise à l'écart, mais je compte bien sur la belle Francesca pour passer un moment divin. Ca se présente bien car elle se lève et se débarrasse de sa robe d'été.
Ses courbes ***t sublimes et sa peau bronzée donne envie de la croquer.
Une fois nue, elle se place debout au dessus de mon visage, me présentant un coquillage parfaitement lisse.
Depuis cette nuit avec mon amie Sylviane et mes petites expériences avec Chastity et Viola, je sais que l'amour au féminin est une chose exquise.
Alors, je ne me ferais pas prier pour y goutter.
Ma langue écarte les grandes lèvres et frétille pour aller plus loin. Elle ne dément pas le fait que les latines ***t chaudes comme de la braise.
Je la sens trempée et baveuse. Sa mouille coule déjà le long de ma langue et sur mes lèvres.
Quel gout fantastique.
Je ne la touche pas, mais je me masturbe frénétiquement. Mes gémissements, étouffés par la vulve détrempée, accompagnent ceux de Diletta, et ceux de Francesca que j'aperçois là haut, suçant mon Maître debout sur le lit.
Tandis que je dévore sa chatte, elle se régale du sexe de Sir Jeffer***, ne laissant à Diletta pas d'autres choix que de lui aspirer et lui lécher les couilles.
« Ho ouiii ! Bouffez-moi la queue, petites trainées ! Je vais jouir sur vos faces de salopes ! Haaa ! »
Et c'est ce qu'il fait. Je le vois par en dessous, arroser copieusement le visage des deux italiennes. Impossible pour moi de ne pas subir des dommages collatéraux, et du foutre s'écoule dans mes cheveux et mon œil droit.
Le jus me brule et je m'empresse de l'essuyer de ma main libre. Mais pour ce faire, j'ai du suspendre mon cunnilingus et ce n'est pas au gout de la belle Francesca.
« Ma ? Che cosa fai ? Continua, connasse ! »
Elle agrippe mes cheveux et frotte sa moule inondée sur mon visage. Elle fait pénétrer mon nez et manque de m'étouffer lorsque soudainement, elle jouie en abondance sur ma frimousse.
« Haaa, sìììì ! Vengo ! »
Elle m'arrose largement de sa jouissance. Je lèche et lape autant que je peux, pour boire au maximum de ce plaisir féminin enivrant.
Mais je suis très vite oubliée.
Les trois compères descendent une bouteille de champagne et s'éclipsent dans la salle de bain une bonne heure.
Je les entends rire et...jouir de nouveau.
Moi, emportée par la fatigue, je m'écroule sur la moquette et je m'endors. Dans la nuit, je serrais réveillée à deux reprises par les cris des filles en jouissances.
Au matin, à mon réveil, elles seront parties.
Je suis détachée et mon Maître m'invite à table pour déjeuner. Il est souriant et s'occupe de moi, préparant mes tartines beurrées ou me resservant du thé.
Nous prenons une douche ensemble, mais surement épuisé par sa nuit, il ne me touche pas.
« Je lève ta punition. Nous voilà quitte et j'espère que dorénavant tu réfléchiras à deux fois avant de faire une bêtise. »
« Ho oui, Maître. J'ai bien compris ! »
« Parfait ! J'imagine que tout ceci t'a fatigué. Couche toi et dors, ta soirée risque d'être longue. »
Je ne me fais pas prier et me glisse dans les draps froissés. Ils embaument le parfum et l'amour. C'est dans ces effluves de sexe que je m'endors comme un bébé.
Je me réveille vers dix huit heures, en pleine forme. Je suis seule. Sir Jeffer*** est sorti.
Je saute sous la douche en chantant.
Peut être vais-je enfin voir Venise comme une vraie touriste ?
Je me pomponne et me glisse dans une robe fourreau moulante, noire et ultra courte, avec un décolleté renversant et épaules nues, sans bretelles.
Bien sur, je n'ai pas oublié, pour l'accompagner, de prendre de jolis escarpins vernis avec des talons de douze centimètres.
Mon Maître rentre enfin.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche... »
« Laisse tomber ! Humm ! Tu es exquise Léna ! Je t'invite au restaurant et ensuite nous sommes attendus à une soirée organisée par un ami. »
Tout ceci est excitant et je suis sur que cette soirée vat être fantastique. Je sais que Sir Jeffer*** côtoie le beau monde, je ne pourrais qu'être éblouie et ravie.
C'est dans un gentil petit restaurant que nous commençons la soirée.
Mon Maître est heureux de me voir détendue et souriante et il me le fait savoir.
« Tu es radieuse ce soir. Tu es magnifique, et je ne crois pas que se soit ce jeune serveur qui me contredira ! »
C'est un jeune et beau garçon qui vient prendre notre commande. Comprenant le message que vient de m'adresser Sir Jeffer***, j'écarte mon décolleté d'un doigt distrait. Je pose mon autre main sur le rebord de la table et j'étire mes doigts jusqu'à effleurer le pantalon du jeune serveur.
Le pauvre, intimidé, se recule d'un demi-pas. Il prend note de la commande de mon Maître et s'enfuit se cacher en cuisine.
« Haha ! Le pauvre est bien jeune encore. Dans quelques temps il s'avancera plutôt que de reculer. C'est bien, Léna ! J'ai apprécié ton initiative. »
« Merci Maître. Derrière vous, un homme m'a vu faire et il semble avoir apprécié également. Il me fait des œillades et se penche un peu pour regarder sous la table. »
« Humm ! Parfait ! Écarte toi bien un petit instant, puis rends toi aux toilettes. Tu ne peux pas le laisser comme ca. Je te donne carte blanche. »
Mes jambes étaient déjà bien écartées, mais j'obéis. J'éloigne encore un peu plus mes cuisses l'une de l'autre. Le bas de ma robe, pas vraiment extensible, suit le mouvement et remonte jusqu'au haut de mes cuisses. Je me sens vraiment provocatrice, très salope, et j'aime ca. Je suis toute excitée et je sens ma fente s'humidifier.
Je vois l'homme réajuster ses lunettes et regarder mon entre jambes discrètement, prenant garde de ne pas se faire voir de *** épouse.
C'est un type d'une cinquantaine d'années, gros, voir gras. Il est dégarni sur le sommet du crane et de grosses gouttes de sueurs y roulent. Il ne cesse de s'éponger, sans résultat.
chrislebo

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#6,195
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J'ignore si c'est la chaleur ou si c'est moi qui le perturbe, mais la fraicheur des toilettes devrait lui faire grand bien.
Je lèche le bout de mon doigt en lui souriant et me lève en direction des toilettes, sans rabaisser ma robe.
Sans hésiter je pénètre dans ceux réservés aux hommes. Installée devant un lavabo, je me lave les mains.
Je n'ai pas longtemps à attendre avant que ne s'écrase dans mon dos, le gros ventre du client.
Je me redresse et il empoigne mes seins. Dans le miroir, je le vois, rouge écarlate, se pencher dans mon cou pour l'embrasser.
Je recule, le forçant à faire de même et nous pénétrons dans une cabine. Il perd l'équilibre lorsque l'arrière de ses genoux heurte le siège des toilettes.
Dans sa chute, il s'accroche à ma robe qui descend jusqu'à ma taille.
Je ferme la porte précipitamment et me retourne.
Il est maintenant assis et ses mains sur mes fesses m'attirent à lui. Il embrasse mon ventre, lèche mon nombril.
Je me penche un peu pour que sa bouche puisse atteindre mes tétons et mes seins.
Ses mains s'égarent maintenant sous ma robe. Il la remonte aussi haut qu'il le peut et je me retrouve juste couverte d'une grosse ceinture de tissu.
Je lève une jambe et pose mon pied sur le réservoir. L'homme plonge *** visage entre mes cuisses et se désaltère à ma source.
Lorsque sa langue titille mon clito, je ne peux m'empêcher de crier de plaisir, priant pour qu'il n'y ait per***ne dans les toilettes voisines.
Voyant qu'il n'en peut plus et *** pantalon menaçant d'exploser, je m'accroupis face à lui et libère *** membre.
A l'image de *** maître, il est petit et gros. Je n'ai aucune difficulté à le prendre tout entier dans ma bouche. L'homme ne semble pas satisfait et appui fort sur ma tête. Certes, si *** membre est petit, en revanche, ses couilles ***t énormes et c'est celles-ci qu'il veut que j'engloutisse. Je fais ce que je peux, alternant couilles et sexe et il ne me faut pas longtemps pour le vider de tout *** jus.
Triomphante, je retourne à ma table en me passant la langue sur les lèvres.
« Merci Maître ! C'était délicieux. »
« J'en suis ravi. Retournons vite à l'hôtel, je ne voudrais pas être en retard pour notre rendez vous. »
Apres une bonne douche, je vais voir mon Maître.
« Maître, comment désirez vous que je m'habille, ce soir ? »
« Comme ca ! Se serra très bien ! »
« Mais Maître, je suis nue ! »
« Je le vois bien Léna. Mets tes chaussures et approche. »
Chaussée de mes escarpins, je m'approche de mon Maître, assit sur le lit.
Sur celui-ci est posé un loup de carnaval et une chose en tissu noir que je n'arrive pas à définir.
Le loup, noir, est orné de plumes noires sur le dessus et le contour des yeux est sertit de petites pierres brillantes.
Sir Jeffer*** me le passe et me place devant un miroir.
« C'est très joli, Maître. »
« Et avec ceci, ce serra encore mieux. »
Il prend la boule de tissu et la déplie. C'est une grande cape avec une capuche. Ca ressemble à un vêtement médiéval.
Il la pose sur mes épaules. À quelques centimètres sous mon cou, il la ferme grâce à une fibule de cuir et de métal, puis il couvre ma tête avec la capuche.
Il me laisse seule devant le grand miroir et je dois bien reconnaitre qu'ainsi affublée, je me trouve belle et mystérieuse.
Il revient quelques minutes plus tard, habillé super classe, dans un costume surement italien et sur mesure évidement. Il porte également un loup noir, mais sobre.
Il attache ma laisse et nous voilà parti.
Mes mains ***t crispées sur les deux pans de la cape pour la tenir bien fermée. Mais une fois sorti de l'hôtel et deux rues plus loin...
« Mets tes bras le long du corps et lâche cette cape ! »
« Mais ! Maître ! Elle va s'ouvrir ! »
Il s'arrête et se place devant moi. Derrière *** loup, je vois ses yeux me lancer des éclairs.
« Désires-tu être punie de nouveau ? »
« Ho non, Maître ! Pardonnez-moi ! Je vous présente toutes mes excuses ! »
Pauvre conne que je suis ! Voilà comment mal finir un voyage.
Heureusement pour moi, il semble détendu et magnanime.
Nous arrivons place Saint Marc.
A chaque pas, ma cape s'ouvre un peu, dévoilant en alternance mes jambes droite et gauche, jusqu'à mes cuisses.
Bien que la nuit soit tombée, la blancheur de ma peau attire les regards des quelques couples d'amoureux qui trainent sur la place.
Plus calmes, je ne reçois aucune injure. Juste des regards étonnés et interrogateurs.
Un coup de vent fait voler ma cape derrière moi, me dévoilant complètement.
J'entends une jeune fille pousser un « Hooo ! » admiratif.
Voilà qui fait plaisir à entendre.
Je ferais le reste du chemin complètement à l'aise et très fière d'être en compagnie de mon Maître dans cette ville magique.
Nous prenons plusieurs ruelles, traver***s un pont, mais j'ignore lequel.
Encore quelques passages étroits et nous arrivons face à une demeure somptueuse.
Nous pénétrons dans une cour intérieure, éclairée par des centaines de bougies.
Il y a un monde fou. Hommes élégamment habillés et femmes, tout comme moi, revêtues de capes et visages couverts de loups ou de masques somptueux comme pour le carnaval.
La seule différence c'est qu'elles ne ***t pas tenues en laisses et qu'elles portent des habits.
Il y a de très beaux laquais qui servent des bois***s.
Ils portent des perruques poudrées, des chemises à jabots sur des gilets rouges et de grandes vestes bleu roi.
Ils serraient très classes si au dessus de leurs chaussures à boucles, ne sévissait pas quelques choses d'étrange.
Leurs jambes ***t recouvertes de collants blancs sous des pantalons moulants rouges, s'arrêtant aux mollets.
Rien d'exceptionnel, tout ceci fait partie du costume de laquais, sauf que les hauts de leurs pantalons et de leurs collants ***t inexistant. Ceux ci tiennent grâce à des sortes de jarretelles et laissent apparent leurs sexes.
Au fond de la cour, près d'un buffet qui déborde de petits fours, une femme est accroupie et suce sans gêne un des laquais.
Un autre, près d'une fontaine, veste relevée, se fait sodomiser par un homme qui tient encore sa flute de champagne dans une de ses mains.
Tout le monde semble trouver ca normal et per***ne n'y prête attention.
Sir Jeffer***, en grande discussion, lâche ma laisse et disparait dans la foule, me laissant seule au milieu de tout ces inconnus masqués.
Une femme s'approche de moi. De *** visage, je ne vois que les yeux. Ils ***t jeunes et d'un bleu azur.
Elle écarte ma cape, regarde mon corps et s'en vas, sans un mot.
« Ton Maître m'envoie ! Suis-moi, putain ! »
Un laquais vient de prendre ma laisse et me tire vers la demeure. Il marche vite en fendant la foule.
Je heurte une femme.
« Tu peux pas faire attention, morue ! »
Pas le temps de répondre, le valet me tire.
« Attend, bouffon ! »
Un grand homme l'arrête net. Il s'approche de moi, glisse sa main sous ma cape et me pénètre d'un coup de plusieurs doigts. Il me fouille, me touille, puis après m'avoir libéré, il porte ses doigts à ses narines.
« Hummm ! C'est de la bonne qualité ! Je viendrais te voir tout à l'heure, si mes couilles ***t encore pleines ! »
Nous voici enfin à l'intérieur.
Je n'ai jamais rien vu d'aussi beau, d'aussi luxueux.
L'or est partout. Sur les meubles, les encadrements de tableaux, les sculptures.
Mais je n'ai guère le temps d'apprécier tout ca. On me pousse dans une pièce, un bureau.
Il y a Sir Jeffer*** et quatre autres hommes, penchés sur une feuille de papier qu'ils signent l'un après l'autre.
Le laquais me retire ma cape et sort de la pièce.
Je ne suis même pas certaine que mon entrée ait été remarquée. Je reste bras ballants, nue, près de la porte, ne sachant que faire.
Je me balance doucement, d'avant en arrière pour que la poignée de ma laisse vienne heurter ma fente et la pointe de mon clito.
Tandis que les hommes discutent et boivent, moi, je m'excite discrètement dans mon coin.
chrislebo

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#6,196
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Je me sens humide et chaude. J'ai une terrible envie de me masturber, là, tout de suite. Mais je n'en fais rien de peur des représailles.
Mon Maître m'aperçoit enfin.
« Haa ! Viens là, Léna ! Approche ! Voici ma favorite ! Présente-toi à mes amis, veux-tu ! »
Les quatre hommes se ***t tournés vers moi et ils me caressent déjà de leurs regards lubriques.
Je rougie, car mon petit jeu avec la laisse ne manquera pas de se voir lors de ma présentation. Ma chatte va briller comme un sapin de noël tant je suis mouillée.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche et ma langue, pour vous déguster et boire votre foutre ! Voici ma chatte, pour que vous me baisiez ! Voici mon cul, pour que vous m'enculiez ! Mes orifices vous appartiennent. Mon corps vous appartient. Je suis votre jouet, instrument de votre jouissance. »
« Bien ! Merci Léna. Messieurs, je vous laisse avec votre cadeau de bienvenue. Je vous retrouve tout à l'heure, devant le buffet. Amusez vous bien ! »
Il sort et me laisse avec les inconnus.
Ils m'entourent et me caressent tout en discutant entre eux, comme si je ne pouvais pas les entendre.
« Humm ! Il a du gout ce grand con ! »
« Mouai ! Bof ! J'espère que le cadeau est à la hauteur du contrat que nous venons de signer ! »
« Non, c'est bon ! Vous n'avez pas vu comment elle mouille la petite pute ? »
« En tout cas, sa bouche est faite pour ma queue. »
« Après tout ! Je préfère une salope à un restau ! »
« Moi, si ca vous dérange pas, je l'encule le premier ! »
Il me penche sur une table et crache sur mon anus. Je n'aime pas beaucoup, mais que dire. Il étale sa salive avec la queue qu'il avait prit soin de sortir, dès le départ de mon Maître.
Mal préparée, il m'arrache un cri de douleur, lorsqu'il pousse en moi.
Mais connaissant et maitrisant les techniques pour une bonne sodomie, le plaisir prend le dessus rapidement.
Il va et vient à une cadence soutenue. Ses couilles frappent mon vagin avec *****.
Je vois ses compères se préparer et astiquer leurs membres, tout en me regardant me faire défoncer.
Il jouit à gros bouillons dans mes intestins et je suis immédiatement mise à genoux. Deux grosses queues se présentent à moi et je les suce en alternance.
Leurs mains dans mes cheveux me poussent à en prendre plus que je ne voudrais, et c'est en gorge profonde qu'ils déchargent dans mon gosier, ne manquant pas de me faire tousser et saliver abondamment.
Mes yeux pleurent tout ce qu'ils peuvent. J'essuie ma bouche et mes joues du revers de ma main, et je sais, aux traces noires, que mon maquillage doit couler.
« Viens là, salope ! Moi, c'est ton ventre que je veux remplir ! Ha putain ! Si seulement je pouvais t'engrosser ! »
Il me couche sur la table et me prend sans autre forme de procès.
Je le sens bien, ces hommes se lâchent et me traite comme la dernière des dernières.
Ils ont surement besoin de lâcher une pression qui devait leurs peser depuis déjà un bon moment. Ils évacuent une sorte de rage. Je le ressens dans leurs façons de jouir.
« Tiens ! Prends ca, trainée ! Tu le sens mon foutre dans ton ventre ! Hein ! Tu le sens ! »
Il se vide en se plantant bien en moi. Il a posé une main sur ma gorge et la serre un peu.
« Oui, monsieur ! Je le sens ! Donnez-moi tout ! J'aime ca ! Haaaaa ! »
Ce petit geste de violence, semble avoir excité ses collègues qui me rebaisent à la chaine, sans me laisser le temps de souffler.
Puis, semble t'il satisfait, ils vont retrouver mon Maître au buffet, en me tirant par ma laisse.
En passant devant un miroir, je vois mon maquillage qui a souillé mes yeux et mes joues.
J'aime bien. Je me sens chienne.
« Tenez Sir Jeffer*** ! Reprenez votre bien. Nous comprenons mieux pourquoi vous en avez fait votre favorite. C'est une garce de compétition ! Hahaha ! »
« Vous ne croyez pas si bien dire ! Et en plus c'est une cocufieuse de première ! »
Eddy !
Mon pauvre Eddy ! Mon pauvre mari !
Pour un peu, je l'aurais presque oublié.
Je rougie de honte.
« Vous permettez que je l'utilise ? »
« Mais bien sur ! Elle est là pour ca ! »
C'est le grand homme. Celui qui m'avait fouillé le sexe et qui avait promit de venir me voir.
Il me conduit à la fontaine, et après m'avoir fait poser un pied sur la margelle, il me baise debout devant toute l'assemblé.
Assemblé qui c'est bien dévergondée pendant que je me faisais baiser dans le bureau.
La plupart des femmes ***t désormais nues. Elles se font prendre, ici ou là, selon les humeurs et les envies des hommes.
Je serrais encore prise quatre fois dans la soirée, puis nous rentrons.
Je ne saurais jamais qui étaient tout ces gens, réunis pour cette grande bacchanale, ni quel genre de contrat ont signés les quatre inconnus.
Sir Jeffer*** se comportera en seigneur le reste du séjour.
Nous visiterons les musées, les églises, comme un couple d'amoureux, nous arrêtant parfois pour nous enlacer et nous embrasser longuement.
Nous rentrons en avion, des images et des souvenirs pleins la tête.
Arrivés à Paris, mon Maître m'entraine dans des boutiques de luxe et remplit tout une valise de fringues pour l'été et de maillots de bain.
Puis, il me conduit à la gare et me trouve une place dans un train, destination... saint Raphaël.
Impossible de joindre Eddy sur *** portable. Tel que je le connais, il a encore oublié *** chargeur.
Je suis impatiente de retrouver ma petite famille et le voyage semble durer une éternité.
Je me rends immédiatement à la plage, à l'endroit ou je suis sur de les trouver.
Très vite, j'aperçois ma fille.
« Amandine ! Amandine ! »
« Mamannnn ! C'est maman ! »
Elle coure jusqu'à moi et se jette dans mes bras. Je suis émue et j'ai les larmes aux yeux.
« Ca vas ma chérie ? Tu m'as tellement manqué ! Où est papa ? »
« Bonjour Cathy ! »
Mon sang se glace. Ce n'est pas Eddy qui me dit bonjour, mais Sylviane.
« Ou est Eddy ? »
« Heuu ! Il faut que je te parle, Cathy. »
Je panique. Mon cœur s'emballe.
« Où est Eddy ? Où est Eddy ? »
« Heuu ! Il est parti Cathy ! Il est parti ! »
Elle m'explique qu'Eddy lui avait téléphoné pour lui demander de garder amandine pendant les vacances. Il lui a donné de l'argent, puis...il est parti.
Où ? Elle l'ignore.
S'il a voulu me culpabiliser, c'est gagné.
Je fini les vacances avec amandine et Sylviane.
J'ai perdu l'appétit et c'est triste et fatiguée que je remonte chez nous.
J'ai reprît le travail depuis une semaine et toujours pas de nouvelle d'Eddy.
Un vendredi matin, au cabinet médical, le téléphone ***ne.
« Cabinet du docteur Milhaud, j'écoute ! »
« Vingt deux heures, ce soir, chez moi ! »
« NON MAITRE ! ATTENDEZ ! »
Il a raccroché.
J'ai crié si fort que le docteur interrompt sa consultation pour venir me voir.
« C'est vous qui avez crié, Cathy ? »
« Oui docteur ! Excusez-moi. »
« Mais qui diable appelez vous maitre ? Soyez discrète, voulez vous ! »
Le soir venu, je fais garder amandine par Sylviane et me rends chez Sir Jeffer***.
Je m'arrête à la grille. Il tombe des hallebardes.
J'ai le cœur gros. Je suis bien trop triste et affaiblie moralement pour avoir envi de le rencontrer.
Une petite voiture se présente au portail. J'aperçois une fille au volant. Elle est toute jeune et ravissante. Elle porte un collier de cuir.
Je m'approche avant qu'elle ne redémarre à l'ouverture de la grille.
« Excuse-moi ! Tu vas voir Sir Jeffer*** ? »
« Oui ! Montez vite, vous allez être trempée ! »
Je détache mon collier et retire la chevalière de mon doigt.
« Peux-tu lui remettre ceci ? S'il te plaît. »
« Oui, bien sur ! Que dois-je lui dire ? C'est de la part de qui ? Quel est votre prénom ? »
« Tu es mignonne. Ne t'inquiète pas, il comprendra. Fais attention à toi. D'accord ? »
La petite voiture disparait au bout de l'allée d'arbres.

chrislebo

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#6,197
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« Moi, je ne change rien à mes plans ! Je pars demain matin avec Amandine ! »
J'ai entendu Cathy pleurer la moitié de la nuit.
Qu'est ce qu'elle espérait ? Que j'attendrais bien sagement toute une semaine, qu'elle veuille bien descendre avec nous à Saint Raphaël ?
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ses petits rendez vous, ses petits jeux avec Sir Jeffer***, ne me dérangent plus.
Bien au contraire.
Elle a retrouvé, ou c'est découvert, une passion pour le sexe.
Elle a retrouvé un sourire que je ne lui connaissais plus.
Elle a retrouvé une joie de vivre.
L'état de cocu dans lequel elle m'a enfermé, ne me dérange plus non plus. L'imaginer ou la voir avec d'autres hommes mon rendu jaloux et malheureux, au début.
Aujourd'hui, ça m'excite comme un fou. Je me masturbe comme un ******** dès que j'en ai l'occasion, en imaginant Cathy dans les bras d'un autre.
Mais là, s'en est trop. Me laisser tomber à la veille de partir, pour répondre à l'appel de Jeffer***...non !

Je m'installe dans le studio que nous louons tous les ans. Amandine ne pose pas de question. J'en suis étonné, mais heureux. Que dire à cette enfant ?
Le lendemain, direction ...la plage.
Ma fille dans l'eau, moi en mode bronzage, tout va bien, sinon, bien sur, l'absence de mon épouse.
Elle me manque terriblement.
Il fait un temps superbe et la plage est bondée.
Une jeune adolescente s'installe près de moi. Elle pratique les seins nus.
Bien sur, je ne suis pas contre, mais je trouve que pour une ado, ce n'est pas très prudent. Le monde est fou. Mais je ne suis pas *** père.
Donc, pour ne pas risquer de passer pour un satyre, je ne la regarde pas. Mais...
« Excusez-moi, monsieur ! Mon portable n'a plus de batterie. Pourriez-vous m'autoriser à utiliser le votre ? Juste deux minutes ? »
Elle a la voix douce et sucrée. Elle habille sa frimousse d'un sourire ravageur. Comment dire non.
« Ho ! Merci monsieur, c'est très gentil ! »
Elle prend mon portable et s'éloigne vers l'eau, pour être plus tranquille.
Je ne pense pas qu'elle se sauve avec mon téléphone, surtout les seins nus et en laissant *** sac près de moi.
Je m'allonge et me laisse glisser de nouveau dans mes pensées.
« Monsieur ! Monsieur ! Houlàlà ! Je suis désolée ! Qu'est ce que j'ai fait ! Qu'est ce que je peux être conne des fois ! »
Je sursaute. La jeune fille est à genoux près de moi, mon portable à la main.
« Hein ? Quoi ? Qu'est qui ce passe ? »
« Vous allez gueuler ! Je l'ai fais tomber dans l'eau. Je suis navrée, vraiment ! »
Elle me tend mon appareil, dégoulinant de flotte.
« Ha ! Ben bravo ! Tu ne pouvais pas faire gaffe ! Merde ! »
« Je vous promets, je vais arranger ça ! »
« À part me le rembourser, je vois pas comment tu pourrais arranger ta connerie ! »
« Je suis responsable d'une boutique spécialisée dans la téléphonie mobile. Je vais vous en trouver un tout neuf ! »
« Bien sur ! Et moi, je suis Napoléon ! Tu veux me faire croire qu'une gamine de seize ans est déjà responsable de magasin ? Me prends pas pour un con, veux tu ? »
Elle fouille dans *** sac et en sort une carte d'identité ainsi qu'une carte de visite.
« Sabrina Bouchon, responsable de magasin et j'ai vingt cinq ans ! Convaincu ? »
Elle penche sa tête sur le coté, faisant couler ses long cheveux auburn sur *** épaule, en arborant le plus beau des sourires.
« Heuu ! Je suis désolé d'avoir été un peu brusque, mais vous faite si jeune ! »
« Oui, c'est ce que l'on me dit tout le temps. »
« Dans quelques années, Vous serez vieille que vous serez encore désirable. »
Elle me donne une tape sur l'épaule.
« Arrêtez ! Charmeur ! »
Du coup, je m'autorise à la détailler un peu plus, en commençant bien sur, par ses seins.
Un beau quatre vingt dix B, je pense. Ils se tiennent bien et semblent fermes.
Sa peau est couleur pain d'épice. J'y planterais mes dents volontiers.
« Bon, revenons à nos mouton ! »
Elle s'allonge sur le ventre.
Je regarde le long canal qui creuse *** dos au niveau de sa colonne vertébrale.
Il prend naissance au bas de *** joli petit cou, là ou il y a encore un léger duvet, puis glisse entre les omoplates qui roulent et ondulent sous sa peau soyeuse. Il descend ensuite le long de *** dos. Comme j'aimerai y faire courir ma langue de haut en bas. Puis il disparait dans le maillot de bain, à la naissance de deux jolis et menus hémisphères.
Deux fossettes créent une légère dépression dans le bas du dos de part et d'autre de la colonne vertébrale.
« Hum ! Vos fossettes sacro-iliaques ***t superbes ! »
Elle éclate de rire.
« Mes quoi ? »
Je suis fièr de ma science, même si c'est une des seules choses que je connaisse de l'anatomie. Mais ça, je me garderais bien de lui dire.
« Fossettes sacro-iliaques. Ce ***t ces deux petits trous là ! »
Je les effleure du bout du doigt.
Sa peau trahie une jolie chair de poule. Elle fris***ne.
La jeune femme est sensible. Elle se sent un peu gênée, je le vois.
« Revenons à nos mouton ! J'ai dis ! »
Décidément, *** sourire est ensorceleur. J'ai une envie terrible de l'embrasser. Je suis frustré.
Soudain Amandine déboule, me sortant de ma léthargie.
« Bonjour madame ! C'est qui, dis papa ? »
« C'est une dame qui vas changer mon téléphone. Elle travaille dans un magasin. »
« Ha oui ? Et tu vends des consoles de jeux, aussi ? »
« Oui, bien sur ! »
« La mienne, mon père il arrive pas à la faire marcher sur la télé d'ici ! C'est nul ! »
« Amandine ! Ne parle pas comme ça ! »
« Ben quoi ? C'est vrai ! Tu viendras me la brancher, dis ? »
« Amandineee ! Excusez-la, je suis désolé ! »
« Ben non, pourquoi ? Je la comprends ! ça doit être frustrant d'avoir des jeux et de ne pas pouvoir s'en servir. »
Avant même que je ne réagisse, ma fille donne notre nom et notre adresse.
« Bon ! Promis, je viendrais et j'amènerais le téléphone de ton papa en même temps. »
Amandine lui saute au cou et lui fait un gros bisou.
« T'es trop géniale, toi ! »
Puis elle coure de nouveau jouer dans l'eau.
« Ne vous sentez pas obliger de satisfaire ma gamine. Elle est en vacances. Ce n'est pas pour se planter devant la télé. »
« Des orages ***t annoncés. Il faudra bien qu'elle s'occupe ! À bientôt ! »
Elle se sauve, ne laissant comme seule trace que sa carte de visite sur le sable et une effluve de parfum.

chrislebo

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#6,198
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La journée se passe et le visage de la douce Sabrina peuple mon esprit tourmenté. J'en oubli presque Cathy. Mais elle, au moins, est présente.
Je sais que je me cache derrière de faux prétextes, mais cette fille m'a envoûté.
Sous le couvert de fausses courses, j'entraîne Amandine dès le lendemain, dans les rues et les ruelles de Saint Raphaël, espérant tomber « par le plus grand des hasards » sur la boutique de Sabrina. Sans résultat.
A la plage, je guette toutes les silhouettes féminines, espérant apercevoir les courbes de ma belle. Pas mieux.
Dépité, je rentre tôt, sous la désapprobation d'Amandine.
« Bon, allez ! Ne fais pas la tête et on commande une pizza, d'accord ? »
« J'veux la plus chère ! »
« La plus chère, ok ! Je commande. »
Une demi-heure plus tard, on ***ne à la porte.
« Tient, voilà les pizzas ! »
J'ouvre la porte.
« Coucou ! Je ne dérange pas ? »
« Ouaiiii ! Tu viens brancher ma console ? »
« Si ton papa veut bien que je jette un coup d'œil, alors oui ! »
« Hein ? Heu, oui, bien sur ! »
« Ben pousse toi ! Laisse-la passer ! »
« Hein ? Oui ! Où ai-je la tête ? Entrez ! »
Je suis ridicule. On dirait que je n'ai jamais vu de fille de ma vie.
Faut dire aussi...
Non seulement, elle fait ado, mais elle s'habille comme une ado.
Deux longues couettes pendouillent sur un tee-shirt noir moulant. Sur le devant, en rouge, on peut y lire « JE NE SUIS PAS UNE FILLE FACILE ! », et dans le dos « C'EST MOI QUI CHOISIS ! ». *** joli fessier est enfermé dans un short en jeans, si petit que la naissance de ses fesses est très largement visible. D'une taille moyenne, elle se grandit sur des sandales à talons hauts. Elle est plus que sexy, elle est...bonne !
Je sens mon cœur qui s'emballe et ma bouche s'assécher.
« Vous boullez un perre ? Vous bouvez un verre ?...Vous avez soif ? »
« Hihihi ! Oui, je veux bien un perre ! Hihihi ! »
Je me sens rougir comme jamais auparavant.
Qu'a-t-elle comprit ? Qu'a-t-elle dit ?
A-t-elle joué sur mon bégaiement ou a-t-elle dit « Oui, je veux bien un père ! » ?
On ***ne de nouveau à la porte.
Cette fois, ce ***t bien les pizzas.
En revenant dans la salle, je manque de les laisser tomber.
Sabrina est à quatre pattes, la tête derrière le téléviseur. Ce petit cul moulé dans ce mini short.... J'en peux plus et mon membre gonfle malgré moi.
« Tu vois, papa ! Sabrina a trouvé, elle ! Tu t'es trompé dans les branchements ! »
« Voilà ! Ca devrait fonctionner ! »
Elle recule pour se sortir de derrière le téléviseur. Moi, je pose rapidement les pizzas sur la table basse et m'assois dans le canapé, les bras croisés sur mon émoi.
« Ca vas ? Vous êtes tout pale ? »
« Oui, ça vas ! Sans doute la chaleur. Amandine, tu ne veux pas nous servir un verre ma chérie ? »
« Ho non, papa ! Je joue ! »
Aille ! Je suis foutu ! Je me lève d'un bond et je me précipite au placard, en espérant qu'elle n'ait rien remarqué.
Je respire calmement et j'arrive à faire tomber cette foutue pression dans mon pantalon.
« Les pizzas ***t énormes, vous resterez bien manger, non ? »
« Volontiers. Ha ! J'oubliais ! »
Elle fouille dans *** grand sac de toile et en ressort une boite qu'elle me tend.
« C'est le tout dernier modèle. Voilà ma bêtise réparée et encore toute mes excuses. »
« Il est magnifique, mais c'est beaucoup trop ! Vous savez, l'autre n'était plus tout jeune. Comment puis-je vous remercier ? »
« Di***s...une bonne part de pizza et un autre « perre » ! Hihihi ! »
La voilà qui recommence. Et moi qui ne sais toujours pas si c'est du lard ou du cochon. Je rougi une fois de plus et elle semble beaucoup s'en amuser.
La soirée est excellente. Nous rions énormément et l'ambiance est très détendue.
Amandine, fatiguée par une longue journée, finit par s'endormir.
« Vous avez une fille très mignonne et très drôle. Pas de maman ? Vous êtes divorcé ? »
Qu'est ce qui me prend. Voilà que je vide mon sac et raconte tout ce qui ce passe dans ma vie depuis quelques mois.
Didier, Sylviane, les trois Maîtres et les deux soubrettes, le jeune neveu de Jeffer***, les absences de Cathy, mon cocufiage. Tout, je dis tout, je ne cache rien.
Sabrina ne dit rien. Elle écoute avec attention, ses yeux plongés dans les miens.
« Voilà toute l'histoire. Alors j'ai décidé de venir à Saint Raphaël, sans elle. »
« Hé bien ! Quelle histoire ! C'est complètement fou, même si je trouve tout cela très excitant. Mais c'est bien malheureux de voir un beau couple voler ainsi en éclat. Je suis navrée pour vous, vraiment navrée.»
« C'est gentil Sabrina. Mais vous-même...pas d'homme dans votre vie ? »
« Ha non ! Je les aime trop pour m'enchaîner à un seul ! La vie est courte, je veux en profiter. »
La soirée a été longue et c'est sur ces paroles que nous nous quittons.
« Sabrina, nous reverrons nous ? »
« Vous avez mon téléphone ? Appelez moi, c'est avec plaisir que je prendrais un « père » célibataire. Bonsoir. »
Cette fois, pas de doute. Elle vient de me faire une proposition.
Je regrette déjà de ne pas l'avoir retenu.

« Allo, Sylviane ? Oui, merci, tout va bien. Ecoute, Cathy insiste pour que tu viennes passer quelques jours avec nous. Bien sur nous t'offrons le train. Ok ? Super ! Je te prends à la gare dès ton arrivé. Appelles sur mon portable, celui de Cathy est en panne.»
Je n'ai pas l'habitude de mentir, mais elle ne serrait jamais venu si je lui avais dis que Cathy n'était pas là.
Elle est arrivée le lendemain matin. Bien sur elle a été furieuse de mon men***ge, mais j'ai tout de même obtenu qu'elle ne téléphone pas à Cathy pour lui dire.
Je ne lui ai pas dis non plus que c'était pour être plus libre, mais seulement qu'il m'était difficile de m'occuper seul d'Amandine. Je ne me savais pas autant menteur.
Le soir même, je suis en tête à tête avec Sabrina, dans un gentil et romantique restaurant du port.
Elle porte une mini jupe et un caraco à fleurs, très léger et très décolleté. Ses cheveux détachés encadrent *** joli visage. Sur la table, une bougie. La flamme de celle-ci danse dans ses yeux et éclaire *** sourire d'adolescente.
Au milieu du repas, j'ose poser ma main sur la sienne. Nos doigts se découvrent, se caressent, s'entremêlent.
« Sabrina, j'ai terriblement envi de toi. »
« Humm ! Moi aussi Eddy ! J'ai envi d'un père célibataire. Je vous l'ai dis. La preuve ! Regardez comme je bande des seins. »
Avec un doigt, elle écarte le décolleté de *** caraco et dégage un sein, discrètement.
*** téton est fièrement dressé. Il ne semble attendre que mes lèvres, mais en attendant, je tends mon bras et le fais rouler entre mes doigts.
Sabrina semble apprécier cette première caresse et ferme les yeux en se mordant légèrement les lèvres.
Bien calée dans un angle du resto, la belle tourne le dos à la salle et per***ne ne peut la voir dégager *** autre sein. Elle empoigne celui-ci et le malaxe sans ménagement.
Je bande comme un fou, à en avoir mal.
La vision de cette jeune fille, presque nue et dans cet endroit, ne peut que rendre fou de désir.
chrislebo

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#6,199
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Elle délaisse *** sein et glisse sa main sous la table.
« Qu'est ce que tu fais ? »
« J'ai envi de jouir ! J'ai envi de me masturber ! Branlez vous aussi ! Allez-y ! Vous allez voir, ça vas être bon ! »
Je vois déjà *** bras s'activer de l'autre coté de la table. J'imagine sa main glisser entre ses cuisses, écarter *** string et astiquer *** clito.
La nappe est longue. Per***ne ne devrait me voir. Je passe ma queue raide et mes couilles gonflées par-dessus l'élastique de mon short. La sensation est fantastique et terriblement enivrante.
« Hummm ! Je me pénètre ! J'ai deux doigts en moi. Je suis trempée. Et vous ? »
Ses yeux brillent. *** visage reflète la luxure et le dévergondage. Je ne la reconnais pas. Ce n'est plus la mignonne petite ado de la plage, mais une femme licencieuse, vicieuse et perverse qui se branle devant moi, sans aucune retenue.
« Tu me rends fou ! Je n'ai jamais bandé si fort ! Je ne tiendrais pas très longtemps ! »
« Ho ouiii ! Joui, mon salop, jouiiii ! »
A mes paroles, elle parait encore plus excitée et semble oublier ou elle est.
Elle se laisse glisser sur le bord de sa chaise pour poser sa nuque sur le haut de *** dossier. Je l'imagine les jambes très largement ouvertes et au mouvement de *** bras, je sais qu'elle se masturbe avec *****.
De *** autre main, elle se caresse les seins comme une démente, pinçant et étirant ses pointes.
J'ai très peur que l'on se fasse prendre, mais ivre de plaisir et d'excitation, je continu à m'astiquer de mon coté.
« Sabrina ! J'en peux plus ! Je vais jouir ! Viens, sortons, je vais te baiser comme une reine. »
Perdue dans sa folie sexuelle, je ne crois pas qu'elle comprenne tout ce que je lui dis.
« Hummm ! Moi aussi, je viens ! Ouiii ! Jouiii ! Jouiii avec moiii ! »
Elle parle la mâchoire serrée, sans doute pour ne pas crier.
Soudain, je sens qu'elle ressert ses jambes et je vois ses yeux se révulser. Elle a toutes les difficultés du monde, à contenir un violent orgasme qui l'emporte brusquement.
Je sens ma queue se contracter.
Je la lâche immédiatement et je me concentre pour ne pas jouir. Mais trop tard. J'ai sans doute fais une ou deux caresses de trop. Elle est prise de spasmes et largue soudain sa cargai*** liquide en de grands jets, sous la table.
Sabrina ouvre de grands yeux, étonnée tout d'abord, satisfaite ensuite. Elle se redresse sur sa chaise, reprenant une position moins équivoque, à mon grand soulagement.
« Humm ! C'est chaud ! »
« Quoi dont ? »
Elle se penche un peu et remonte une de ses mains qui était restée sous la table.
« Ca ! »
Sur *** index, un gros paquet de foutre blanc, ne demande qu'à couler, en long filet, dans *** assiette.
« Merde ! J'ai éjaculé sur tes jambes ? »
« Mais, c'est bien ce que j'espérais. Hihihi ! »
Elle porte le doigt à sa bouche et me déguste avec gourmandise. Elle répète l'opération plusieurs fois, sans me lâcher des yeux, tout en arborant un petit sourire triomphateur.
Je fini de m'essuyer avec une serviette en papier tandis qu'elle, savoure *** troisième ou quatrième doigt de foutre, quand soudain...
« Vous désirez un dessert ? »
Perdu dans notre folie passagère, je n'ai pas remarqué le serveur revenir à notre table.
Je me penche en avant, les mains sous la table pour cacher mon sexe sorti et la serviette maculée que je tiens encore.
Sabrina sursaute et croise ses bras sur sa poitrine toujours exposée aux regards.
C'est plus fort que nous. Nous explo***s de rire.
Sous le regard énervé du serveur qui pense qu'on se moque de lui, je commande deux banana split.
Sabrina rigole tellement qu'elle en pleure mais elle parvient tout de même à dire...
« Hahaha ! Avec plein de Chantilly ! Hahaha ! »
Le serveur s'éloigne, furieux. Il nous faut plusieurs minutes pour retrouver notre calme.
Lorsque nos desserts arrivent, nous présentons nos excuses, expliquant que nos rires ne lui étaient pas destinés.
Lorsque nous sortons, j'enlace Sabrina devant le restaurant et nous échangeons notre premier baiser.
La jeune fille se frotte et ondule contre moi, réveillant mon ardeur instantanément. Je sens *** corps si frêle entre mes bras, qu'il me semble que je pourrais la casser, en la serrant trop fort.
« Venez ! Je voudrais vous montrer un endroit que j'adore. »
Nous grimpons dans sa petite voiture et nous sortons de Saint Raphaël. Je ne peux pas détacher mon regard de ses cuisses bronzées qui se soulèvent, chaque fois qu'elle change de vitesse.
Nous roulons un bon moment, puis la voiture s'arrête sur un petit terre-plein surplombant la mer. L'endroit est sombre et désert. Nous descendons et nous nous installons sur un banc. La vue est magnifique. On peut voir toute la ville et ses lumières se reflétant dans l'eau.
« Peu de gens connaissent cet endroit. Ca vous plaît ? »
« Non seulement ca me plais, mais en plus en ta compagnie, ca devient carrément idyllique. »
Je l'enlace et l'embrasse longuement. Je glisse une main sous le caraco et la douceur de ses seins dans mes mains, me fais bander de nouveau.
Elle, fait glisser le bout de ses doigts sur ma cuisse, me provoquant de longs fris***s. Puis, elle plonge sa main dans mon short et extirpe mon membre dressé. Elle me branle lentement, le long de mon ventre.
« Humm ! Vous avez une belle queue ! »
« Tu la veux ? Elle est à toi ! »
Mais soudain, de petits cris se font entendre derrière une bordure faite d'arbustes. Sabrina déchiffre tout de suite les ***s qui nous parviennent.
« Ca...c'est une fille qui jouit ! Venez allons voir ! »
« Je ne sais pas si... »
Mais elle me tire déjà vers les arbustes. Nous pas***s entre deux et à ma grande surprise, je vois une fille, totalement nue, allonger dans l'herbe et se faisant prendre par un homme, tandis qu'un autre l'embrasse et lui caresse la poitrine.
Accroupis, nous regardons le trio s'éclater.
« Ca, ça m'excite ! Venez, allons les rejoindre ! »
« Ha non ! Je te veux toi ! Rien que toi ! »
Elle me fait un grand sourire.
chrislebo

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#6,200
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« C'est trop mignon ! Venez, retournons à ma voiture. »
Discrètement, nous rebrous***s chemin jusqu'à la voiture. Elle pose ses petites fesses sur le capos et m'enlace de nouveau.
Habillement, elle ressort mon sexe et le frotte sur *** string sous sa jupette relevée.
« J'en peux plus ! Donne-moi ta chatte ! »
Je la pousse sur le capot et remonte ses jambes sur mes épaules. J'écarte le string et pose mon gland sur un joli petit vagin, aussi bien taillé qu'une pelouse de golf.
« Ho ouiii ! Prenez-moi fort ! Tapez dans mon ventre, bien au fond ! Baisez-moi fort ! »
Ce que je fais. Je la pénètre d'un violent coup de reins et je sens mon gland frapper l'utérus. Elle fait une grimace, mais je répète le mouvement encore et encore.
Cette fille est une vraie fontaine. Sa mouille éclabousse mes couilles dans d'extraordinaires clapotis.
« Ha ouiiii ! C'est bonnnn ! Défoncez moiiii ! Ouiii ! Haaaaa ! »
Elle cris fort et bien sur, le trio ne peut faire autrement que d'entendre. Nous entendons les feuillages bouger et les trois amants s'approchent de nous.
Sabrina, au bord de l'explosion, laisse enfin tomber le vouvoiement.
« T'arrête pas ! Pilonne-moi bien à fond ! Ne t'arrête pas ! Laisse-les venir, baise moiiii ! Haaaaa ! »
« T'aime ca putain ! T'aimes te faire voir, hein ? T'aimes te montrer ? Ca t'excite, salope ? »
Elle tend un bras vers la fille encore nue.
« Viens ! Embrasse-moi chérie ! »
La fille s'approche et se penche sur le capot, écrasant ses seins sur le métal chaud, pour atteindre les lèvres de Sabrina. Voir ces filles mélanger leurs langues, augmente encore mon envie de la remplir.
Un type s'approche de la fille et profite de sa position pour la prendre. Le troisième larron, caresse les seins de ma salope, semblant attendre *** tour.
Il n'attendra pas longtemps. J'explose dans le ventre de mon amie dans de longs jets de foutre chaud.
Je suis à peine retiré, que déjà, le type la prend de nouveau.
Je me sens tout à coup inutile et je m'assois sur le bord du banc. Ca ne m'était jamais arrivé, mais je crois bien être victime de la petite dépression qui peut survenir à un homme, après sa jouissance.
Je me sens triste. J'en aurais presque envi de pleurer.
J'aimerai tellement que ma Cathy soit là, pour me consoler et me câliner.
Les hommes se vident dans les filles avec des beuglements ridicules.
Sabrina, épuisée, reste allongée sur le capot. La fille s'accroupie et lui lèche le minou de longues minutes, offrant un nouvel orgasme à Sabrina.
Puis, le trio s'en va après nous avoir remerciés pour cette agréable fin de soirée.
La belle vient s'asseoir sur mes genoux et me prend dans ses bras.
« Qui y a-t-il ? Ca n'a pas l'air d'aller. »
« Un peu de cafard. Rien de grave. »
« Ta femme ? Ne pense pas à elle. Ce n'est pas bien ce qu'elle t'a fais. Tu ne mérites pas ça ! »
« Merci Sabrina. Tu es gentille. Nous nous voyons demain soir ? »
« Je pars demain matin pour le cap d'Agde, pour quinze jours. Viens avec moi, si tu veux. Je loue un studio. »

Sylviane dort à point fermé sur le canapé, couchée de coté. Elle est juste vêtue d'une nuisette noire transparente qui laisse voir ses seins, et d'un tout petit string.
Je m'assois près d'elle et caresse *** bras nu. Dommage que cette fille soit lesbienne. Elle est jolie et super bandante.
Cathy, Sabrina, les vacances, l'amour, le sexe. Perdu dans mes pensées, je m'égare et pose ma main sur la cuisse de Sylviane. Sa peau est douce, chaude. Je la caresse, plus fort, plus entreprenant.
« Qu'est ce que tu fais ? »
Elle sursaute, et s'allonge sur le dos en se frottant les yeux.
« Ho ! Excuse-moi, je ne voulais pas te réveiller. »
« Mais oui, c'est ça ! Tu voulais juste me peloter dans mon sommeil ! Hein ! »
« Mais non ! Je voulais juste te réveiller pour te dire que...je pars. Ne t'inquiète pas, je suis sur que Cathy sera là dans quelques jours. Je vais te laisser de l'argent. »
Je m'apprête à me lever, mais elle me retient par le poignet et pose ma main sur sa poitrine.
« Tu sais Eddy ? Si tu veux me baiser...il suffit de le dire ! »

Bilgam

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#6,201
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chrislebo
what a pity this story ends mid-stream and noone even knows the name of the author...could anyone help me out?...
my profile on:
http://bdsmtest.org/r/YykCkX2S
vanbruje

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Posts: 282
#6,202
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Je découvre aujourd'hui ces suites après une petite semaine plus au sud... Est-ce la fin ?
Bonne continuation, à vous lire et encore merci.
chrislebo

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Posts: 164825 Pictures: 3 
#6,203
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FIN


« Tu sais Eddy ? Si tu veux me baiser...il suffit de le dire ! »
« Ben toi, au moins, t'es direct ! Mais que fais tu de tes attirances sexuelles ? »
« Ce n'est pas parce qu'on n'aime pas la pêche, qu'on ne mange pas de pois*** ! »
Je remonte ma main de sa cuisse, à *** entre-jambes. Mon pouce dessine de petits cercles appuyés sur *** clito gonflé, au travers du string de soie noire.
« Et ton amie Cathy, tu crois qu'elle va apprécier que tu te tapes *** homme ? »
Je continu ma progression en délaissant *** sexe. Je remonte et masse doucement *** ventre de béton avant de glisser sous la nuisette et de malaxer tour à tour ses seins de salope, opulents et fermes.
« Mon amie Cathy n'est pas là ! Et pour ce qu'elle s'occupe de *** mari... Piou ! Je suis désolée ! De toute façon, il suffit de ne pas lui dire ! »
« Ca, t'a rai*** ! D'ailleurs je suis furieux et tu vas payer pour elle, putain ! »
Je quitte précipitamment mon short et je saute à califourchon sur Sylviane, plaçant mes genoux sous ses aisselles. Je me cramponne à sa chevelure pour redresser sa tête, et je me laisse tomber sur elle, en encombrant sa bouche de ma queue qui se dresse à nouveau.
Mon ventre s'écrase sur *** front. Je sais qu'à cet instant précis je l'étouffe.
Poussé par je ne sais qu'elle fièvre sadique, je reste ainsi une poignée de secondes avant de me redresser.
Sylviane a les yeux rougis et fait un rictus d'écœurement en toussant et crachant de la salive.
« Rheuu ! Rheuu ! T'es con ou quoi ? Beurck ! En plus ta queue pue la marée ! Merde ! »
« Normal ! Elle a séjourné dans une morue ! Et puis de toute façon, t'aime le pois***, non ? »
Je reprends sa bouche une nouvelle fois, l'étouffant de nouveau.
Je ne sais pas comment, mais d'un coup, je me retrouve à même la moquette, sur le dos et Sylviane assise sur mon ventre, qui me retourne des baffes à n'en pas finir.
« Enculé ! Salop ! Je n'aime pas tes manières ! J'ai fais du judo, je sais me défendre, espèce de détraqué ! »
« Arrête, putain ! Mais arrête ! »
Elle se calme enfin et s'essuie le front de ses mains, avant de lisser ses longs cheveux.
« Qu'est ce qui t'a pris ? Tu m'as fais mal à la gorge et je n'aime pas trop la violence, moi ! »
« Je ne sais pas ! Je crois devenir fou ! Je ne reconnais plus ma vie. Cathy partie, moi, qui m'enfuis... »
« Qui t'enfuis ? Explique-toi ! Qu'est ce que tu veux dire ? »
« Rien ! Je pars, c'est tout ! »
« Mais partir où ? »
« La question n'est pas vraiment où, mais plutôt avec qui ! »
« Hummm ! Et elle s'appelle comment cette ...qui ? »
« Sabrina. Une jeune fille exquise. »
« Sabrina. Sabrina. J'ai connu une Sabrina qui... »
« Laisse tomber ! De toute façon, ça ne te regarde pas. Assis toi sur mon nœud ! Dans l'immédiat, il n'y a que ça qui devrait t'occuper l'esprit, salope ! »
Elle fait semblant de me donner un nouveau coup et s'empale doucement sur mon membre.
Si je vais et viens en Sylviane, mon esprit est avec Sabrina. Le simple fait de penser à elle m'excite terriblement et c'est *** prénom que je crie, lorsque je jouis.
« Ha ben merci ! Ca fait plaisir ! Enfoiré ! »
« Oups ! Désolé, vraiment. Bon, je vais me coucher, je pars de bonne heure demain. Je te laisserai de l'argent sur la table. Ne t'inquiète pas, Cathy devrait arriver. »

A la demande de Sabrina, nous prenons ma voiture pour rejoindre le cap d'Agde.
Au début, j'ai pensé que c'était sans doute par économie, mais je comprendrais très vite que c'est par goût de l'aventure.
Elle est à l'heure et arrive avec un gros sac à dos. Je reconnais le petit short qu'elle portait, le jour ou elle est venue régler la console d'Amandine. Elle a également noué une chemise juste sous ses seins, laissant ainsi exposé *** joli petit ventre. Sa poitrine est également à l'honneur, car aucun bouton ne permet au tissu de les recouvrir.
Sexy et désirable, elle s'installe près de moi, après avoir jeté *** sac sur la banquette arrière.
Nous échangeons un long et passionné baiser. Puis, après avoir posé une main sur mes attributs et avoir constaté que je bandais comme un cerf...
« Allez ! Je crois qu'il est temps de prendre la route ! Hihihi ! »
Nous roulons depuis plus d'une heure. Pas toujours facile de rester concentré lorsqu'elle croise ou décroise ses jambes. Mes yeux ***t attirés par ses cuisses brunies par le soleil de saint Raphaël.
« Je connais bien ce tronçon d'autoroute. Je vais au cap d'Agde depuis six ans. »
« Au camp de naturisme ? »
« Hihihi ! Non, pas besoin de ça ! Je connais des tas de petits coins, ou l'on fait des rencontres plutôt intéressantes. »
« Avec un physique comme le tien, ça ne doit pas être difficile, c'est certain ! »
Elle m'indique une aire d'autoroute et me demande de m'y arrêter. C'est un parking sans station d'essence. Juste quelques tables de pique-nique et des toilettes. C'est bien entretenu, ombragé, agréable.
« Je vais te faire un aveu. J'adore ce genre d'endroit. J'aime y traîner. J'ignore pourquoi, mais je me sens comme attirée. Il m'arrive de prendre l'autoroute, juste pour y venir. »
« Ouai ! Ouai ! Ce ne serrait pas les types qui y rodent qui t'attirent comme ça ? »
Elle descend de la voiture et court aux toilettes, mais trop tard ! Je l'ai vu rougir.
Je l'attends depuis un petit moment et ne la voyant pas revenir, je vais la chercher.
Je n'ose pas entrer dans les toilettes femmes. Mais au moment où je m'apprête à l'appeler, des voix me parviennent de chez les hommes.
« Alors ? Petite coquine ! Tu aimes regarder les hommes pisser ? »
Ce n'est pas vrai ! Elle n'a tout de même pas... ?
Je m'arrête à la porte de la salle des pissotières. Je la vois de trois quart. Elle n'a pas remarqué mon arrivé.
Deux types ***t en train d'uriner. Celui qui lui parle est le plus proche d'elle.
Sabrina, a déboutonné *** short et a glissé une main à l'intérieur. Elle se masturbe en regardant les types. *** autre main malaxe sa poitrine qu'elle a prit soin d'extraire de sa chemise.
Comme si cela ne suffisait pas, elle mord ses lèvres en gémissant et fléchit ses jambes en mouvements lents et réguliers.
Le premier type, un gaillard costaud d'une cinquantaine d'année, style représentant de commerce, secoue sa queue et se tourne vers elle. Le salop bande fort. Le spectacle que lui offre Sabrina, le met dans tous ses états.
« T'as vu ma queue ? Elle est belle, non ? T'as quel âge ? Dix huit, pas plus, hein ? T'as pas du en voir beaucoup, d'aussi belle, non ? T'es pas bavarde toi ! Tu préfères l'action, hein ? »
Il s'approche lentement d'elle tout en appuyant sur la base de *** sexe, pour qu'il semble encore plus long.
« Tiens ! Touche-la ! Prends-la dans ta main ! N'ai pas peur, elle te mordra pas, tu sais ! »
Je vois la jeune fille se servir de *** physique de gamine, pour retourner le cerveau de cet homme.
Elle joue le feu et la glace, la provocation et la timidité. Le type est persuadé qu'elle a dix huit ans. Peut être même, pense t'il moins, sans s'interroger sur le fait qu'elle soit seule, d'ailleurs.
Il s'en fou. Il tombe dans une spirale de perversion qu'il ne contrôle plus vraiment.
La jeune fille nargue et provoque sans équivoque. Il ne peut pas sortir des toilettes comme si de rien n'était. Il le regretterait sans doute, toute sa vie !
Sabrina, à fond dans *** rôle de vierge effarouchée, tend sa main timidement et empoigne le membre.
« Hummm ! Ta main est douce, salope ! Elle te plaît ma queue ? Tu sens comme elle est dure pour toi ? Viens là, p'tite putain ! »
Il se colle à elle et glisse ses mains dans le petit short, pour saisir *** petit cul à pleines mains.
Il se frotte à elle tout en lui léchant le cou et l'oreille, comme un porc.
Le deuxième homme, plus discret, plus surprit aussi de tomber dans cet excès de luxure, alors qu'il ne venait que pour se soulager, s'approche à *** tour.
Il parvient à glisser une main entre les deux corps et à défaire le nœud de la chemise de Sabrina. Il lui palpe les seins, comme il peut, le représentant ne lui laissant guère d'espace.
Alors, comme pour se rendre utile, il entreprend de descendre le short jusqu'au sol et de faire passer les pieds de la jeune fille par dessus, l'un après l'autre, afin de lui ôter complètement.
La voir ainsi nue dans ces chiottes, m'inquiète quelque peu. Je sors pour voir si per***ne d'autre n'est arrivé. Sur le parking, seules, nos trois voitures.
Rassuré, je regagne mon poste d'observation.
Le discret, adossé au mur, est cambré, pantalon baissé et se fait sucer par la jeune fille, elle-même prise par le représentant qui va et vient en elle comme un ********.
Plus petit qu'elle, il est sur la pointe des pieds et s'agrippe à *** bassin, coudes en l'air. Il a l'air ridicule, mais Sabrina semble prendre un pied terrible.
Le discret, jouit le premier.
chrislebo

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#6,204
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« Ho oui ! Je viens ! Ho oui ! Buvez tout ! C'est bon ! Haaa ! »
À peine terminé, il remonte *** pantalon et s'enfuit comme un voleur. Il vient sûrement de vivre l'aventure sexuelle la plus délirante de sa triste vie. J'en suis sur. A moins qu'il n'ait eu peur que la jeune fille ne lui demande de l'argent. Pauvre homme !
N'y tenant plus, je saute sur la place qui vient de se libérer. En m'apercevant, Sabrina me fait un large sourire.
Le représentant, baise comme il achèterait sa baguette de pain, à la différence qu'il transpire toutes les toxines de *** corps gras.
« Enchanté ! Moi, c'est Robert ! »
Le con, me tend la main au dessus du dos de Sabrina. Endroit et situation super classe, pour faire connaissance.
Ma belle, n'en pouvant plus d'autant de conneries, explose de rire.
Ce n'est pas du goût du gros, qui lui assène une grosse claque sur le cuissot.
« Rigole pas, toi, putain ! Et suce mon nouveau pote ! »
Sachant que nous en rirons tout à l'heure, j'empoigne la chevelure de Sabrina et je joue le jeu.
« Il a rai*** ! Qu'est ce que ça veut dire ça ! Salope ! Bouffe mon dard, chienne immonde ! Enchanté, moi c'est Roger ! »
La malheureuse manque de s'étouffer tant elle rigole.
« Tu viens souvent Roger ? Moi, oui ! Je sais qu'il y a souvent des petites salopes, comme celle la, qui viennent se faire tirer ici. D'ailleurs, je me demande si je n'ai pas déjà sauté celle ci ! »
J'étouffe les rires de Sabrina avec ma queue. Je sens qu'elle en pleure.
« Ha non, Robert ! Nous c'est la première fois que nous venons ici. »
« Pourquoi tu dis, nous ? »
« Ben ! Moi et Félicie ! La nana que tu baises...c'est ma nièce ! Ma nièce Félicie ! »
Sabrina pousse un long cri qui fait vibrer ma queue, puis...
« La salope ! Je ne le crois pas ! Elle me pisse dessus ! Regarde Roger ! Elle me pisse dessus, ta salope de nièce ! »
Je craque à mon tour et je me laisse glisser le long du mur, à me retrouver assis au sol, me tenant le ventre tant il me fait mal.
Voilà longtemps que je n'ai pas autant rigolé.
Le type ferme *** froc trempé d'urine et sort en nous insultant.
« Bande de cons ! Vous êtes deux beaux enculés, toi et ta putain de nièce ! Allez-vous faire foutre, connards ! Ce n'est pas vrai ça ! Elle a bousillé mon pantalon ! Merde ! »
Sabrina, toujours penchée, se cramponne à mes épaules. Elle pleure à grosses larmes, de la bêtise de cet homme.
Puis elle tombe à genoux, à califourchon sur moi.
Nos regards se croisent et une émotion intense envahit mon cœur.
Nos visages ne ***t qu'à quelques centimètres, l'un de l'autre.
*** regard clair plonge dans le mien et je m'y noie.
Nos rires cessent d'un coup, laissant place à un trouble étrange. Elle se soulève doucement, frottant *** corps au mien. Elle penche la tête pour prendre mes lèvres et ne plus les lâcher.
Nos respirations se mélanges et deviennent plus rapides, chaudes.
Puis, lentement, elle se laisse s'empaler sur mon membre que je n'ai jamais connu si impatient de retrouver la douce chaleur d'un vagin détrempé d'envie.
Elle ondule sur moi. Elle dessine des cercles et des huit autour de ma queue, en bougeant ses hanches comme une danseuse tahitienne.
J'aimerais que cet instant ne se termine jamais. Je fais abstraction totale de l'endroit ou nous nous trouvons. Nous pourrions tout aussi bien, être dans une forêt ou au fond d'un lit douillet.
« Hummm ! Tu vas me rendre folle ! Je crois que je vais mourir ! Hummm ! »
« Haaa ! J'ai la même sensation ! Humm ! Alors nous mourrons ensemble ! Hummm ! Haaaa ! »
Je sens la lave bouillonnante remonter tout le long de ma colonne de chair.
Lorsque j'éjacule, Sabrina se jette en arrière et agrippe mes mollets. Elle fait encore des mouvements, contractant *** ventre et *** vagin, pour mieux m'apprécier. Je vois mon sexe, pri***nier du sien, aller et venir dans ses derniers soubresauts.
Puis, il s'échappe et se couche sur la cuisse de la belle, libérant une dernière goutte de liqueur.
La chaude et accueillante fente, déborde et laisse échapper mon foutre qui coule sur mes testicules.
La belle se redresse et nous nous enlaçons de nouveaux. Elle bouge encore et encore, lentement, doucement, comme pour sceller, de nos deux jus, ce moment d'extase.

Je l'attends dans la voiture, le temps qu'elle se rafraîchisse et se refasse une beauté
L'aire est déserte. Etonnant pour cette période.
Elle revient enfin mais, m'empêche de démarrer.
« Non ! Attends ! Tu sais, depuis que je vais au cap d'Agde, je m'y suis toujours rendu en voiture. Mon rêve aurait été de faire un bout de chemin en auto-stop. Ca te dérange si... ? »
Cette fille déborde d'imagination et n'est jamais rassasiée, semble t'il.
« Heuu ! Non, bien sur ! Vas et je te suivrais de près pour te récupérer. »
Elle se penche vers moi et me donne un petit baiser.
« Humm ! Tu es un amour ! »
Elle saute de la voiture, prend *** sac à dos et part s'installer sur le bord du parking, un peu plus loin.
Je la vois renouer sa chemise sous ses seins et défaire le premier bouton de *** short pour qu'il soit légèrement entrebâillé sur *** bas-ventre, juste au dessus de sa toi*** brune.
Puis, l'attente commence. Un quart d'heure...une demi-heure.
Une voiture surgit enfin, et stationne juste devant elle. Deux jeunes hommes en descendent.
Je les vois discuter. Trop loin, je n'entends rien de ce qui se dit.
Les gars se rendent aux toilettes à tour de rôle, puis embarque la belle, après avoir jeté *** sac dans le coffre.
Elle s'est installée près du conducteur et l'autre type, derrière celui-ci.
Ils démarrent et je les suis. Je reste derrière eux, respectant la distance de sécurité, mais je les distingue très bien.
Durant plusieurs kilomètres, je les vois discuter. Sabrina se retourne souvent pour adresser la parole au passager arrière.
Soudain, les choses se précisent. Sabrina se penche vers le conducteur et pose sa tête sur *** épaule. Et puis, plus rien. Elle n'est plus visible.
J'aperçois le passager se pencher entre les deux sièges. Je l'imagine caressant le cul de la belle, alors qu'elle suce le conducteur.
Cinq minutes plus tard, elle refait surface, discute un peu et se glisse à l'arrière en passant par-dessus *** siège.
A *** tour, le passager a le plaisir de découvrir la douce caresse de la bouche de Sabrina.
Puis les choses iront plus loin. Je la vois se faire prendre en levrette sur la banquette. Il me semble même qu'elle m'envois un petit signe de la main, discrètement.
Une heure plus tard, les garçons la déposent à la dernière aire d'autoroute avant le péage et reprennent leur route, après lui avoir donné un dernier et langoureux baiser.
Elle me rejoint, rayonnante de bonheur.
« C'était génial ! Quel pied ! C'était....Hummmmm ! »
Je n'en saurais pas plus et nous repartons.

chrislebo

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#6,205
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Elle loue un petit studio, pas très grand, mais sympa avec vue sur la mer. Nous sommes vite installés et nous finis***s la journée devant un beau plateau de fruits de mer.
Tout ceci peut paraître idyllique, mais c'est sans compter avec le drame qui va se jouer le lendemain en fin d'après midi.
Nous avons fait l'amour plusieurs fois dans la nuit, et nous nous sommes reposés toute la matinée.
Une salade composée plus tard, nous voici sur la plage pour une longue séance de bronzette et quelques brasses.
Dix neuf heures. La chaleur est moins forte et un vent frais nous arrive du large.
« Je t'avais parlé de petits coins sympa. Venez, je vais te montrer. »
Nous marchons un petit quart d'heure le long de la plage avant qu'elle ne m'entraîne dans de petites dunes.
Nous croi***s plusieurs hommes. Ils semblent très intéressés par notre couple. Certains n'hésitent pas à porter une main vicelarde à leurs maillots de bain.
Sabrina choisi un petit endroit, enfoncé dans le sable. On dirait un petit nid. Elle y installe nos deux serviettes et m'invite à m'allonger.
Sitôt dit, sitôt fait et très vite je me retrouve presque couché sur elle. Le haut de *** maillot saute et je caresse ses seins et *** ventre, toujours avec le même plaisir.
Une dizaine d'hommes se ***t installés tout autour de nous et cette fois, le sexe à la main, se masturbant lentement, en contemplant le corps gracile de Sabrina.
« Tu veux leurs montrer plus ? »
« Ho oui ! Non seulement leurs montrer, mais leurs offrir ! »
Je défais les deux petits nœuds qui retiennent *** slip de bain, et la voilà nue.
Je me couche sur elle et commence à la baiser, simplement, en missionnaire.
Les hommes s'approchent et nous regardent faire, bien sagement.
Mais à peine ai je jouis, et que je me glisse de coté, qu'ils se penchent sur Sabrina pour la caresser, l'embrasser ou encore la sucer, bien que souillée.
C'est une gentille pagaille qui semble bien plaire à Sabrina. Elle attrape un sexe au hasard pour le sucer et en caresse deux autres.
*** sac est emporté et renversé par des dizaines de pieds qui ne lui prêtent pas attention.
Trousse de maquillage, papiers, divers objets gisent sur le sable, au risque d'être enfouit.
Je m'empresse de les ramasser.
*** porte feuilles c'est ouvert.
Mon sang se glace.
Une carte de visite est apparente. Sur celle-ci, je remarque un sigle que je connais bien.
.SJ.
Je suis secoué. Je ne comprends pas comment la carte de visite de Sir Jeffer***, à bien pu atterrir dans le sac de Sabrina.
Je la regarde. J'aperçois *** visage entre les cuisses d'hommes à genoux, au dessus d'elle.
Elle a vu aussi. Elle a vu ma mine défaite et la carte dans ma main.
Pourtant sollicitée, caressée, prise par un beau black, *** visage reste fermé, sans expression. Il me semble même, apercevoir une larme.
Il est évident que cette fille me cache quelque chose. Il est évident qu'elle a des révélations à me faire.
Abasourdi, je m'éloigne du groupe pour me retrouver seul. Je m'écroule sur le sable, cherchant des réponses.
Elle a du calmer les ardeurs des hommes, car elle arrive presque instantanément derrière moi, encore nue, *** sac à la main.
Elle enfile *** maillot de bain et s'agenouille face à moi.
« Je t'écoute ! Qui es tu ? »
« Ne soyez pas fâché après moi. Vous savez, j'apprécie beaucoup et sincèrement votre compagnie. »
« Arrête tes blablas ! Qui es tu ? D'ou connais-tu Jeffer*** ? Quel est le lien avec moi ? »
Elle éclate en sanglots.
« Je ne voulais pas le faire, mais il m'aurait puni ! »
« Qui ? Jeffer*** ? »
« Oui ! La veille de votre départ, votre voisine a entendu une dispute entre vous et votre épouse. Je la connais, c'est une soumise comme moi... »
Je comprends maintenant pourquoi le prénom de Sabrina disait quelque chose à Sylviane.
chrislebo

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#6,206
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« ...Elle s'est empressée de téléphoner à Sir Jeffer*** pour lui dire... »
La salope ! Elle m'a joué la comédie ! Elle n'ignorait pas que Cathy n'était pas là !
« ... Il m'a convoqué et m'a donné pour mission de vous distraire, pendant qu'il emmènerait votre femme à Venise. Je suis partie en même temps que vous et je vous ai suivi jusqu'à saint Raphaël. »
« En mission ! Je n'étais qu'une mission ? Tout ceci n'était que du bluff ? Une mise en scène, destinée à me faire oublier le départ de ma femme ? »
« Non ! Non ! J'étais sincère quand je disais que j'étais bien avec vous ! Je ne pouvais pas prévoir être si proche de vous ! »
Nous retournons au studio, sans un mot. Sabrina pleure tout ce qu'elle peut. Je ramasse mes affaires.
« Encore une question ! Le téléphone ? »
« C'est une technique d'approche que Sir Jeffer*** m'a enseigné. Il m'a fourni le téléphone et la fausse carte commerciale. »
« J'espère au moins que tu n'a pas seize ans ? »
« Non ! Non ! Je viens d'avoir vingt ans. »
« Mais comment connais tu Saint Raphaël et le cap d'Agde ? »
« C'est le hasard ! J'ai grandi à Saint Raphaël et je passe mes vacances à Agde. »
« Pfffff ! Je pars. Tu pourras toujours rentrer en stop ! Tu aimes ça. »
Je prends la route et roule toute la nuit.
Je fini mes vacances chez Michel. Je lui ai fait jurer de ne rien dire de ma présence chez lui.
Puis, j'ai repris le travail.
J'ai bien du mal à me concentrer sur ce que je fais. Je pense trop. Je pense à Cathy. Je pense au mal qu'on c'est fait. Je pense à toute cette aventure démente. Je pense, toute une semaine. Puis, n'y tenant plus...
« Allo, Cathy ? Tu crois que ma clef fonctionne encore ? »
« Bien sur, imbécile ! Je n'ai pas changé la serrure. Arrive vite ! Je t'attends ! »
Une demi-heure plus tard, je tourne ma clef dans la serrure de notre appartement.
Nous passerons la nuit à faire l'amour et à discuter.
« Alors ? Tu lui as rendu sa bague ? »
« Oui, mais pas à lui. Je n'ai pas voulu le revoir. Je savais qu'en me présentant devant lui, je craquerais de nouveau et que j'accepterais de rester sa soumise. C'est ainsi. Ne m'en veux pas.»
Nous reprenons le cours de notre vie, avec toutefois quelques écarts. Ainsi, le vendredi ou parfois même le vendredi et le samedi, nous confions Amandine à cette traîtresse de Sylviane, et nous recevons des internautes, totalement inconnus.
Parfois un, parfois cinq, selon notre humeur.
Cathy, aime les recevoir courte et peu vêtue, montée sur des chaussures à très hauts talons.
Moi, pour ma part, j'apprécie de rester à l'écart et de les regarder user et ****** d'elle.
Parfois, il y a peu de mots, les règles étant déjà établies.
Ils viennent, utilisent Cathy à leurs convenances et pour la durée qu'ils souhaitent, puis s'en vont.
Nous avons ainsi, retrouvé un équilibre certain.
Un samedi soir, on ***ne à la porte, alors que nous nous préparions à faire l'amour, juste nous deux, pour une fois.
« Reste bien bandé mon chéri. Le temps d'envoyer promener ce gêneur et je reviens m'empaler tout de suite. »
Elle couvre *** corps dénudé d'un peignoir de soie et disparaît de la chambre.
Je me caresse lentement pour garder mon membre raide. J'ai terriblement envie d'elle.
Les minutes passent, mais elle tarde à revenir.
Inquiet, je me lève et me rends dans l'entrée.
La première chose que je vois, c'est Cathy, nue, pendue au cou d'un homme. Elle l'embrasse avec une fougue que je ne lui connaissais pas. A ses pieds, le peignoir de soie.
« Cathy ? Qu'est ce que...»
Comme une enfant fautive, elle se jette dans un coin, mains dans le dos, tête baissée.
L'homme se tourne vers moi.
« Bonjour cocu ! Je rapporte la bague de Léna. Sans doute, l'aura t'elle égarée, par inadvertance. »
« Vous ? Jeffer*** ? »
« Sir Jeffer***, chéri ! Sir Jeffer*** ! »

chrislebo

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#6,207
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(Partie non retenue)

J'ai dormi comme un loir.
A mon réveil, l'appartement est désert. Sylviane est déjà partie à *** travail. Sur la table de la cuisine, un petit mot griffonné sur une serviette en papier.
-Fais comme chez toi. Claque la porte en sortant. Bisous. Sylviane-
Je ne commence qu'à neuf heures. Ca me laisse le temps de déjeuner tranquillement et de prendre une douche.
Je passe chez moi pour me changer. Eddy est déjà parti et j'ai du rater Amandine de peu.

La journée est longue et j'appréhende la soirée. Mon mari ne manquera pas de me demander des explications. Quoi lui dire ? Comment lui faire comprendre ? Et pour couronner le tout, j'ai rendez vous avec mon Maître demain, et il va passer *** samedi seul, une fois de plus.
« Au revoir docteur ! À lundi ! »
« Bon week-end Cathy et à lundi ! »
Amandine fait ses devoirs dans sa chambre et Eddy est dans la cuisine. Fébrile, je vais voir ma fille en premier.
« Bonjour ma chérie, tu vas bien ? »
« Oui, ca va. Tu sens comme ca sent bon ? Papa m'a dit qu'il allait nous faire un bon petit plat. »
« Hum ! Je vais aller espionner pour voir ce que ca peut être. »
Je suis très surprise car en général, quand Eddy est fâché, c'est moi qui cuisine. Lui, il fait grève.
Le cœur battant, j'entre dans la cuisine. Il est aux fourneaux et me tourne le dos.
« Bonjour chéri. »
« Ha ! Bonjour mon amour ! Je ne t'avais pas entendu rentrer. Tu vas bien ? »
Il semble souriant et continu à touiller ses gamelles. Rassurée par *** accueil, je me glisse dans *** dos et entoure sa taille de mes bras.
« T'es pas fâché ? »
« J'ai bien réfléchi et si je veux te récupérer, ce ne sera surement pas en faisant la gueule. Alors... »
« Me récupérer ? Mais tu ne m'as jamais perdu, chéri ! »
« Pourtant, hier ! Cette soirée avec Sylviane et cette histoire de Maître ? »
« Rien à voir ! Sylviane ca n'a été qu'un jeu ! Surprenant, c'est vrais, mais ne me dis pas que ca ne t'a pas plu ! »
« Heu ! Le partage, tu connais ? Ca m'aurais surement amusé si moi aussi j'avais pu jouer avec elle ! Tu vois ce que je veux dire ? Et ce Maître c'est quoi, ca aussi ? »
J'ai très peur que le ton monte, mais il est trop tard pour faire machine arrière. C'est maintenant que je dois tout essayer d'expliquer.
Une heure plus tard.
« Tu comprend que pour moi, ce que tu me demande est terrible. Tu me demande de te partager, d'avoir le droit de vivre deux vies. Tu veux que j'accepte l'impensable et par amour pour toi, j'essayerai, mais à deux conditions. Je veux rencontrer ton Maître et je veux également faire partie de temps à autre, de ta deuxième vie. »
« Je le rencontre demain. Je lui en parlerai, je te le promets. »
« Demain ? Tu ne perds pas de temps à ce que je vois ! »

Samedi treize heures.
Tandis qu'Eddy c'est jeté dans la vaisselle, je me prépare dans la chambre.
Il y a une tension palpable entre nous, mais Eddy fait *** possible pour rester positif.
Je suis vite prête.
J'enfile une robe d'été blanche et une belle paire de Platform blanches également. Un petit sac assorti en bandoulière et je suis parée.
« Tu es ravissante. »
« Merci, chéri. »
« Ou vas-tu maman ? »
« Ta mère vas voir une vieille tante malade, elle ne sait pas quand elle rentrera. »
Il me fait un clin d'œil discret.
« Merci chéri. Je t'aime. »
« Je t'attendrais. File, tu vas être en retard ! »
Je me rends compte à cet instant précis, que j'ai épousé l'homme le plus extraordinaire de toute la galaxie et de ses environs.
chrislebo

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#6,208
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Dans le métro qui me conduit de l'autre coté de la ville, je ne passe pas inaperçue. Non seulement à cause de mon collier, mais également à cause de la finesse de ma robe. Elle est d'ordinaire déjà très sexy, laissant deviner les dessous, mais là, sans rien... Je n'avais pas pensé à ca en l'enfilant.
Pour ce qui est de mon collier, je m'y habitue très vite et je trouve même plaisir maintenant, à voir des regards se poser sur moi, ou entendre des commentaires pas toujours gentils. La provocation commence, semble t'il, à m'exciter.
Mon Maître n'est pas là et je fais les cent pas devant le zoo. Je ne serais pas surprise que l'on vienne me demander mes tarifs.
Enfin, j'aperçois sa voiture. Je grimpe dedans et après un « Bonjour Maître », je me dépêche de faire sauter deux boutons au bas de ma robe et de faire de même pour le haut.
Mes jambes écartées, laissent entrevoir l'intérieur de mes cuisses et la moitié de ma poitrine est visible. Voilà qui devrait faire plaisir à mon Maître, mais...
« La prochaine fois, n'attends pas que je sois là pour le faire ! Ou tu seras punie ! »
J'allais lui dire « Oui, Maître. » mais il me coupe la parole.
« J'ai reçu un appel d'Homia. »
« Je ne connais pas cette per***ne, Maître ! »
« Tu la connais mieux sous le nom de Sylviane. Elle m'a rapporté votre petite sauterie d'hier soir ! Qu'as-tu à dire à ce sujet ? »
« Rien Maître. J'ai été faible et désobéissante. Je vous demande pardon. »
« Tu sera punie pour ca ! »
Je lui parlerais bien d'Eddy et de ses désirs, mais je pense le moment mal choisi.
Nous nous sommes éloignés du zoo et la voiture c'est enfoncée dans le bois. Il semble savoir exactement ou il va.
Il stationne dans un renfoncement d'une petite allée et nous devenons invisibles depuis celle-ci. Je trouve très agréable d'être ici, dans la nature, entourés d'arbres, protégés du soleil par une voute épaisse de feuilles et de branchages.
« Déboutonne ta robe et masturbe toi ! »
J'ouvre ma robe et m'enfonce dans le siège afin d'être bien ouverte. Il ne me faudra pas longtemps pour être trempée et sentir le plaisir envahir mon ventre.
Mon Maître me contemple, puis sort *** sexe et se caresse à *** tour un petit moment. Puis ...
« Suce-moi ! »
Je ne perds pas un instant et me penche sur le membre gonflé. Il écarte ma robe et caresse mes fesses et mon dos.
« Bois tout jusqu'à la dernière goutte ! Ne t'avise pas de salir mon pantalon ou je te claque les fesses ! »
Message reçu. Lorsque je sens sa verge être prise de spasmes, je l'enfonce un peu plus dans ma gorge et attend la délivrance de mon Maître.
Je m'applique à tout avaler, évitant soigneusement les hauts le cœur et je passe régulièrement une main à la commissure de mes lèvres pour recueillir une éventuelle fuite de salive.
Tout c'est bien passé et je me redresse satisfaite du devoir accompli pour découvrir deux hommes, sexe à la main, penchés à mon carreau.
« Regarde comme tu les excite ! Branle-toi pour eux ! »
Je m'écarte autant que je peux et me masturbe avec frénésie, me broyant les seins de l'autre main, pinçant et étirant mes tétons au passage, tout en les regardant s'astiquer.
Les hommes ***t bien montés et leurs glands violacés me font envis.
« Maître, je... »
A l'écoute de mes désirs et de mes envies, il comprend ce que j'attends.
« Ouvre la glace et soulage les ! »
La vitre n'est pas en bas, que déjà leurs mains ***t à l'intérieur et caressent mes seins.
Je me tourne un peu et approche mon visage. Le plus vieux me tend *** dard et avec un soupir de satisfaction, je le laisse glisser et coulisser entre mes lèvres gourmandes.
L'autre, attendant *** tour, plonge *** bras dans le véhicule et m'introduit deux doigts dans mon puits inondé.
Je jouis sans pouvoir crier, ne pouvant prononcer que des « Humm ! » étouffés.
Cette fois ci, surprise par l'éjaculation rapide, je ne peux contenir toute la semence et de gros paquets grumeleux coulent sur mon menton.
Je finis et nettoie l'homme, avant de récupérer la semence égarée avec mon doigt et de lécher celui-ci avec délectation.
Le second, excité par cette vision, réclame le même traitement.
« Suce-moi bien, petite trainée ! Fais-moi bien jouir, salope ! »
« Léna ! Descend et accroupie toi ! »
J'ouvre la porte et m'accroupie près du véhicule. J'entends mon Maître descendre à *** tour et nous rejoindre.
Il reste près de moi à m'observer éponger le gaillard et lorsque celui-ci jouit...
« N'avale pas ! Garde en bouche ! »
Facile à dire, mais il me semble que ma bouche ne peut contenir tout le liquide. Je place une main sous mon menton pour recueillir ce qui pourrait s'échapper. Et je fais bien car plusieurs coulées baveuses s'y écoulent.
L'homme se retire et je m'efforce d'en perdre le moins possible.
« Crache tout dans ta main, Léna ! »
Je creuse l'intérieur de ma main pour en faire un récipient et je laisse la purée gluante quitter ma bouche pour s'y écouler.
« Il te faut t'habituer à le boire chaud comme froid. Mais j'aimerais t'entendre dire que tu aime ce breuvage. »
chrislebo

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#6,209
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« Ho oui, Maître ! J'aime le jus des hommes, de tous les hommes ! J'aimerais en boire chaque jour ! »
« Très bien Léna ! Tu peux boire celui-ci, maintenant ! »
Je porte ma main à ma bouche et j'aspire le liquide refroidi. Bien moins appétissant, je l'admets, je parviens tout de même à tout avaler. Je lèche ma main afin de bien la nettoyer, puis nous remontons en voiture.
Nous n'allons pas très loin et nous nous arrêtons de nouveau. Mon Maître m'entraine sur un petit chemin qui plonge dans le bois.
Le temps change et se couvre. Il fait de plus en plus lourd et l'humidité remonte du sol. L'orage n'est pas loin. Les odeurs du bois s'en trouvent décuplées, presque exaltantes, aphrodisiaques.
Nous nous arrêtons pour que mon maître puisse attacher ma laisse. Il ouvre ma robe et me fait mettre les mains dans le dos.
Nous marchons ainsi depuis un petit moment. Le métal de ma laisse frotte mon téton gauche et l'excite. La pointe en est si dure, qu'elle en est presque douloureuse.
Soudain, au loin, je distingue une silhouette. Un homme marche dans notre direction.
Nous nous arrêtons près d'un arbre coupé.
« Pose un pied sur la souche de l'arbre et écarte bien tes cuisses. Quand il passera près de nous, regarde le dans les yeux sans lâcher *** regard. »
Puis, il se place près de moi en tournant le dos au promeneur et il caresse mes seins tour à tour, l'air de rien.
L'homme approche et comme le désire mon Maître, j'accroche *** regard.
Il me contemple de la tête aux pieds, insistant sur mon sexe ou mes seins malaxés. Il ralenti légèrement, mais ne stoppe pas et continu *** chemin.
« Qu'a tu vu ? »
« Il semblait surprit et troublé. Je pense que ma vue l'a fortement excité, mais votre présence l'a sans doute effrayé ou du moins inquiété. Il n'a pas croisé mon regard une seule fois. »
« Qu'a tu ressenti ? »
« Un peu de peur et beaucoup de trouble et d'excitation. Mais j'étais heureuse de me montrer à cet homme. »
« Il va revenir ! »
Puis, sans autre explication, nous repartons sur le chemin. Deux minutes plus tard, j'entends des pas à ma droite, dans le bois.
« Ne regarde pas. Tu vois, je t'ai dis qu'il reviendrait. Il va nous dépasser pour revenir vers nous et te revoir une nouvelle fois. Nous allons le gâter ! »
Nous nous arrêtons et il décroche ma laisse.
« Retire ta robe. »
J'ai un petit moment d'hésitation.
« Maintenant ! »
Un peu craintive, je la fait glisser dans mon dos.
« Donne la moi et avance ! »
Il prend ma robe et me pousse pour me faire avancer devant lui. Malgré la chaleur, je fris***ne.
Qu'elle va être la réaction du promeneur quand il va me croiser ainsi, entièrement dénudée.
J'entends les pas de mon Maître derrière moi. Ils se font moins bruyants. Inutile de me retourner pour comprendre qu'il laisse une grande distance entre lui et moi. Je me sens seule.
Je me rends compte que je n'ai pas remit mes mains dans le dos. Est ce essentiel ? Je reste ainsi, les bras le long du corps, les faisant légèrement balancer à chaque pas.
Voilà l'homme. Je le distingue au loin.
Je n'entends plus mon Maître et je panique un peu. Je me retourne. Il n'est plus là. Je ne le vois pas.
Me voilà comme une conne nue au milieu du chemin, avec cet homme qui se rapproche de plus en plus.
Je ne dois pas m'enfuir, il m'en couterait surement plus tard. Affronter ! Je dois affronter cette nouvelle épreuve. Mais je n'ai pas eu de consignes. Comment dois-je agir ou réagir ? Que va faire l'inconnu une fois que je serrais à sa portée.
Je continue à avancer, mais j'ai ralenti mon pas, comme pour retarder l'échéance de la rencontre.
Soudain, j'entends un bruit dans le sous bois à ma gauche.
Je savais que mon Maître ne serrait pas loin. Je tourne la tête vers lui pour lui faire comprendre que je l'ai entendu. Mais à ma grande surprise, ce n'est pas lui que je vois.
Derrière un bouquet d'arbre, j'entrevois un homme d'un certain âge, pas très grand, cheveux blanc.
chrislebo

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Il a le pantalon aux pieds et a remonté sa chemise au dessus du ventre. Il se masturbe comme un ******** en me regardant déambuler.
Un coup d'œil derrière moi. Je suis toujours seule, sans savoir quelle attitude adopter.
Je décide de ne plus bouger. Je reste ainsi debout, droite comme un i, au milieu du chemin.
A ma gauche un voyeur vicieux et face à moi, un promeneur qui n'est plus qu'à quelques mètres de moi.
Il me dévisage de la tête aux pieds, et je m'attends à ce qu'il vienne droit sur moi, mais il ne fait rien de cela.
Il semble avoir aperçut l'homme dans le sous bois. Il change sa course d'un coup et s'enfonce dans le bois pour le rejoindre. Je n'y comprends rien.
Ils ***t maintenant tout les deux à se masturber. Puis ils reculent et disparaissent dans un coin plus sombre du bois.
Qu'est que me dirait mon Maître ? Rejoints les ? Oui, c'est surement ce qu'il dirait. Alors je m'enfonce à mon tour au milieu des arbres.
Je ne mets pas longtemps à les retrouver. Je n'hésite pas et m'avance vers eux, le cœur battant.
Ils semblent comblés et sourient bêtement comme des enfants devant leur cadeau de noël.
J'aime beaucoup l'idée d'être comme un cadeau inattendu. Je ne voudrais pas que cette offrande les déçoive et qu'ils repartent frustrés.
Aussi, je suis bien décidée à être le présent le plus agréable qui soit.
Tandis que leurs mains se promènent sur mon corps, je prends leurs membres dans les miennes. Elles ***t dures et chaudes. Celle de l'homme aux cheveux blancs, sécrète du liquide pré-éjaculatoire en quantité. J'adore étaler ce jus visqueux sur le gland.
Puis, le promeneur, me penche en avant et se place derrière moi. J'écarte bien mes jambes et pose mes mains sur mes genoux.
Bien sur, le vieux profite de la bonne hauteur de ma bouche pour y enfourner sa queue baveuse.
J'ai juste le temps de me faire une réflexion avant d'être embrochée. Mon Maître ne me manque pas, d'ailleurs je ne pensais même plus à lui. Je n'ai plus peur et j'ai une énorme envie de ces hommes et de leurs semences.
Le promeneur est monté comme un cheval et *** gland frappe mon utérus à chaque poussée. Il en est de même pour ses testicules qui s'écrasent avec ***** sur mon clito, dans un rythme effréné.
Le vieux, lui, ne bouge pas. Ma fellation est cadencée par les assauts de *** compère. Il respire fort et râle tandis que le promeneur se lâche verbalement.
« T'es un bon cheval, toi ! T'aime ca, hein ? T'aime te promener à poil ? Tu veux te faire baiser, hein ? Salope ! Tiens, prends ca, petite pute ! Tu la sens ma queue ? Elle te fait du bien ma bite ? Hein ? Chienne ! »
Il accompagne ses injures avec de petites claques sur mon cul. Elles me chauffent et m'excitent tout à la fois. J'ai un peu honte, je l'avoue, mais j'aimerais qu'elles soient plus fréquentes, plus fortes aussi.
Trois expulsions rapides, remplissent ma bouche et je manque de m'étrangler. Je ne m'attendais pas à autant de foutre de la part d'un homme de cet âge.
« Hargg ! Tiens, prend ca ! Bois tout, salope ! Hargg ! »
Il est bon et chaud et je le déguste avec délectation
Je n'ai pas menti à mon Maître. C'est vrai que j'aime le jus des hommes.
Une goutte d'eau dans mon dos me donne un fris***. Bien d'autres vont suivre. L'orage gronde.
Est-ce cela qui accélère la jouissance du promeneur ? Je n'en sais rien, mais il se libère en poussant fort, dans le fond de mon ventre. Je sens le flot de foutre pénétrer chaque recoin de ma grotte.
Je peux enfin me relever.
Les hommes se frottent à moi, me caressent et m'embrassent, encore très excité.
« Viens avec moi ! »
Avec regret, je refuse l'invitation du promeneur.
La pluie tombe maintenant à grosses gouttes et les deux hommes s'en vont en courant, me laissant seule au milieu du bois, comme une conne.
Perdue, ne sachant que faire, je reste là, immobile, angoissée.
Et si mon Maître était parti ! Que dois-je faire ? Que puis-je faire, nue ?
« Tu as aimé, semble t'il ! »
Je sursaute !
Mon Maître se tient derrière moi.
« Ho, Maître ! Comme j'ai eu peur que vous m'ayez abandonné ici ! »
« Un Maître n'abandonnerait jamais une élève telle que toi ! Tiens, remets ta robe. Je te ramène. »
Je ferme ma robe et cours après mon Maître qui ne pas attendu.
Quand il m'a dit « Je te ramène. » je pensais qu'il allait me reconduire dans mon quartier, vu la pluie battante.
Mais c'est devant les portes du zoo qu'il m'invite à descendre.
La pluie a redoublée et c'est maintenant un vrai déluge qui s'abat sur le bois.
Pour gagner quelques minutes, je me décide à lui parler d'Eddy, avant de descendre.
« Maître ! Mon mari désire vous rencontrer. »
« Comment a-t-il réagi à l'idée que tu sois soumise à ton Maître ? »
« Il s'interroge et est très inquiet. Mais je le sens à l'écoute. »
« Très bien ! Je le rencontrerais et j'en ferais un cocu volontaire. Tu aimeras, tu verras. Maintenant, descend ! »
Pauvre de moi, la pluie est toujours aussi forte.
« Maître il... »
« Considère que cela est ta punition, et estime toi heureuse ! Allez, descend ! Je t'appellerais. »
En me rendant vers le métro, je constate que ma robe n'est plus blanche, mais rose. Le tissu mouillé ne me cache plus et il est devenu quasiment transparent. Il colle à mon corps laissant apparaitre mes seins, mes cuisses et mes fesses. J'aperçois même un grain de beauté, alors mes tétons...n'en parlons pas.

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