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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#5,311
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Le pire ou plutôt, le meilleur est à venir. J'obéis à tout les ordres qui me ***t soumis, et quand on me demande de me mettre à quatre pattes pour me faire grimper par un chien, je ne réfléchis même pas à la déchéance qui m'attend, je me positionne comme une chienne. On me libère des menottes, mais je ne cherche même pas, alors, à ôter mon bandeau des yeux. On commence par enduire mon visage de crème, puis ma poitrine, mon vagin, mon anus, tout y passe. Le chien, dont j'ignore la race est amené près de moi, je sens *** souffle chaud, *** odeur de bête en rut. Je n'hésite pas à tendre mon visage vers lui, pressée d'obtenir ses premiers coups de langue. Il me lèche, me trempe de sa salive, tandis que mes mains explorent *** bas-ventre. Je n'ai pas à le masturber longtemps, *** sexe est déjà en partie hors de sa gaine, je vais jusqu'à lécher mes doigts. Visiblement, mon entourage n'attend qu'une chose, que je me fasse saillir, j'en ai pour preuve leurs encouragements obscènes. Je me rends bien compte que je suis à la limite du non retour, mais je m'en moque, le vice m'a déjà empri***né dans ses bras.
Je cambre mes fesses, impatiente de me faire grimper, prononce même mes premiers mots en direction du chien, le suppliant de me couvrir. C'est avec soulagement que je reçois *** membre au fond de mon ventre, m'associant au va-et-vient de *** bassin. Rapidement, je sens sa queue grossir en moi et sa jouissance éclater au diapa*** de la mienne. Je gémis mon plaisir, tandis que les mâles présents me souillent la figure de leur semence. Par instant, je percevais leurs injonctions, "Ce n'est qu'une putain, regarde, elle lèche même le foutre parterre", "tu as vu, elle est collée comme une chienne", etc..
J'avais perdu tout contrôle de moi-même, et quand on fît coucher un deuxième ****** devant moi, je ne fus pas longue à le faire bander, et prendre sa queue entre mes dents. En déséquilibre, je parvenais malgré tout à tenir d'une main ses parties génitales, faisant jaillir comme un pieu sa bite rouge vif. Je portais alternativement ma langue de sa tige à ses couilles que je prenais également en bouche, les suçant frénétiquement.
J'avais oublié toute présence, je n'étais qu'une pute à chiens, soumise à la bestialité canine. Sans hésitation, j'engloutis totalement le dard canin, pompais avidement celui-ci, attendant la suprême récompense. Quand je sentis l'explosion finale, j'activais mon mouvement d'aspiration prête à me remplir ma cavité buccale de foutre.
Soudain, une ***nerie retentit, venue de je ne sais où, qui me fît sursauter ***********. Les yeux embués, je me retournais, me demandant où j'étais, et aperçus que mon réveil indiquait sept heures. Il ne me restait plus qu'à me lever et partir au travail.
chrislebo

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#5,312
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Assise à mon bureau, je ne parvenais pas à me défaire de mon rêve. Bien au contraire, je me remémorais sans cesse celui-ci, cherchant le plus infime souvenir dans les méandres obscurs de mon cerveau. Je passais toute ma journée à reconstruire le film de ma nuit dans ses moindres détails. A plusieurs reprises, comme une automate, n'y tenant plus, je me rendais dans les toilettes pour me masturber, tant j'étais excitée. J'étais sous les regards de mes collègues, hébétés devant un tel comportement à la fois fuyant et silencieux, mais aucun d'entre eux n'osait m'aborder et m'interroger sur mon état lunatique.
Je finissais par plonger totalement dans mes pensées, me retrouvant la verge ******* entre mes lèvres, quand un premier jet de semence gicla au fond de ma gorge. Je pouvais plus m'arrêter de lécher, sucer, pomper cette bite qui, à intervalles réguliers, étanchait ma soif de sperme. Je n'étais plus qu'une peluche vivante, entourée d'adultes qui se jouaient de moi. Quand je relevais la tête pour reprendre mon souffle, c'était deux où trois verges humaines qui se bousculaient contre mon visage, voulant se frayer un passage entre mes dents. J'étais devenue un défouloir pour mâles en rut, un exutoire pour testicules.
Toujours dans la pénombre de mon bandeau, une agitation de plaisir se fit dans la pièce. Je ne comprenais pas ce qui se passait, j'étais dans un état second, juste un jouet dont on aurait programmé le fonctionnement à satisfaire toutes les perversions sexuelles de la nature humaine.
Une odeur désagréable envahissait mes narines, des mouvements de personnes se produisaient autour de moi, des voix donnaient des ordres de prudence à mon égard, d'autres des conseils d'attention. J'étais à la fois inquiète et curieuse de savoir ce qui se tramait autour de moi jusqu'au moment où une masse puissante prit possession de mon dos, me couvrant comme si je n'étais qu'une bête à reproduction. D'emblée, un dard viril avait forcé mon intimité et s'était mit à me besogner comme je ne l'avais jamais été jusqu'alors.
Des hommes s'activaient visiblement autour de moi à tenir en respect ********** dont j'ignorais toujours la race, mais qui me procurait de véritables sensations de bien-être. Le plaisir était devenu tel, que je n'envisageais plus de me séparer de mon bienfaiteur. Des soubresauts de jouissances m'inondaient de plus en plus. Je me laissais gagner par des spasmes quasi successifs de jouissances. Je ne réagissais même plus, quand un des mâles présents à ma saillie s'exclama qu'il n'avait jamais encore vu une telle salope se faire prendre par un bouc !
J'étais toute ébranlée, entièrement offerte aux pulsions sexuelles de ********** en rut qui me taraudait le vagin depuis maintenant de longues minutes et qui ne semblait toujours pas faiblir devant sa mission. Je percevais des voix d'hommes qui manifestaient leur satisfaction, tandis que d'autres disaient leur écœurement devant ma dépravation. Peu m'importaient leurs commentaires. Jusqu'à ce jour, je n'avais jamais joui aussi fort, ni aussi longtemps, ni aussi continuellement. J'étais au bord de l'évanouissement, je sentais mon corps m'abandonner, mes sens se vider de toutes dignité humaine.
Quand je repris mes esprits, que je réalisai que je n'étais que dans un fantasme, je quittai avec soulagement mon travail sans même saluer mes collègues et je regagnai mon domicile. Là, m'attendait mon ami, qui m'embrassa longuement, tout en me caressant et en me déshabillant au fur et à mesure de nos caresses.
A mon étonnement, il tenait dans l'une de ses mains une paire de menottes et un bandeau, sortis de je ne sais où. Les mains liées dans le dos, les yeux bandés, il m'entraîna dans les toilettes et il m'y enferma...
vanbruje

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#5,313
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Toujours bien, merci
chrislebo

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#5,314
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Vice précoce



J'étais encore jeune et la fréquentation d'un camarade un peu plus âgé que moi, m'avait déjà conduit doucement mais sûrement sur le chemin d'un vice précoce.
Nous habitions tous les deux le même quartier pavillonnaire, et en l'absence fréquente de mes parents du fait de leur travail, il me rendait assez fréquemment visite et me faisait des "choses".
La première fois il était venu comme à *** habitude pour échanger des b.d avec moi et comme je ne l'attendais pas et qu'il faisait un temps chaud et lourd, je n'étais que très légèrement vêtu. Un t-shirt pour le haut et pour le bas un très petit short de sport en satin léger sans rien dessous. J'aimais beaucoup porter ce vêtement à même la peau, c'était comme une caresse et chaque fois que je le pouvais je me faisais ce petit plaisir.
Tout s'était d'abord passé normalement, on avait fait nos échanges, on avait aussi blagué un peu jusqu'à ce qu'un mouvement involontaire de ma part lui révèle la particularité de ma tenue.
*** visage était devenu tout rouge et il me fixait bizarrement.

- " Tu ne portes pas de culotte ?"

Horriblement gêné et cherchant un men***ge pour lui répondre, je le vis alors s'avancer vers moi avec une lueur inquiétante dans le regard.
Nous étions dans ma chambre et avant même que je puisse tenter une esquive, il m'avait jeté sur le lit et s'était lourdement couché sur moi en ricanant.

- " Non tu n'as pas de culotte et tu l'as fait exprès sachant que je venais, tu l'as fait exprès parce que tu es une petite cochonne ! "

Tandis qu'il m'écrasait de sa masse malgré mes protestions, sa main se glissa dans mon short et commença à me tripoter. C'était la première fois qu'une main étrangère se posait sur mes parties intimes et ce fut un grand choc pour moi.
Je découvrait *********** un plaisir inconnu et c'était tellement intense, que très vite je perdis toutes notions de temps et d'environnement.
Ses caresses étaient rudes et maladroites tant il paraissait lui même excité et très vite je connus mon premier orgasme.
L'explosion de jouissance me prit totalement par surprise me laissant épuisé et pantelant.
Apparemment satisfait mais très gêné aussi, Hervé me libéra et parti très vite sans un mot.
Suite à cette aventure il resta un moment sans venir, et même il semblait m'éviter en toutes circonstances.
Puis un jour un coup de téléphone me surpris alors qu'une nouvelle fois j'étais seul.

- " Salut, je suis désolé pour l'autre fois, je ne sais pas ce qui m'a pris, tu m'en veux ? "

Je lui en voulait un peu mais pas vraiment, et puis non je ne lui en voulait pas et .........
entre oui et non, je me retrouvais sans comprendre dans la même petite tenue que la fois précédente, et le sang battant très fort aux tempes je l'attendis.
Il remarqua de suite la similitude de situation mais semblait hésiter, et au bout d'un long moment, je du le provoquer un peu par des postures qui se voulaient innocentes mais qui ne l'étaient pas du tout.
Comme la première fois *** attitude changea brusquement et "l'agression" tant attendue se produisit.
De ce jour et à chacune de ses visites, c'était le même rituel mais avec des "jeux" de plus en plus poussés;
je découvris ainsi *** sexe qui me paru énorme par rapport au mien.
On en était là de nos turpitudes mutuelles, quand un dimanche après-midi toujours aussi chaud, je reçois la visite non pas d'Hervé mais de Moky *** chien.
La porte de la cuisine ouverte sur le jardinet, je le vis sauter le petit portillon qui donnait sur l'allée et s'avancer vers la mai***.
Il venait comme ça de temps à autres réclamer une petite friandise au passage, avant de reprendre ses habituelles errances dans le quartier, et comme je m'ennuyais ferme je fus plutôt content de le voir.
Il me fit fête, goba le morceau de sucre que je lui tendais, puis au lieu de repartir immédiatement comme il le faisait d'habitude, il se laissa tomber lourdement sur le carrelage de la cuisine en poussant un gros soupir.
Moky était un gros bâtard de race indéfinie au poil mi-long noir et blanc et s'il n'était pas franchement beau, il était en revanche très gentil.
chrislebo

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#5,315
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Avant de retourner dans ma chambre pour me plonger dans la lecture de mes illustrés favoris, je l'avais caressé un peu et voyant le bout pointu de *** sexe sortir du fourreau, un trouble passager m'avait envahi l'espace de quelques secondes.
Ma main en était presqu'au contact quand soudain je pris conscience de ce que je m'apprêtais à faire.
Hervé qui était très vicieux masturbait *** chien de temps en temps, ça il me l'avait dit, mais Hervé c'était Hervé et moi je ne pouvais pas faire une chose pareille, c'était trop sale !
******** ne bougea pas quand je le plantais là et couru me réfugier dans ma chambre.
Je mis un peu de temps avant de chasser la honte d'avoir eu une telle tentation, mais le propre de la jeunesse étant d'avoir une grande faculté d'oubli, je me replongeai très vite dans l'univers de mes héros préférés.
Deux petites précisions pour expliquer la suite : J'étais ce jour là dans ma "tenue de solitude" c'est à dire à peine vêtu, et pour lire j'avais trouvé une position très particulière qui allait très vite m'exposer à un gros danger.
A genoux sur la carpette, le haut du corps en appui sur le bord du lit et la tête entre les mains, c'était comme ça que j'aimais lire.
Tellement absorbé par une nouvelle aventure, c'est à peine si je me rendis compte de la présence de Moky.
Il se fit d'abord discret jusqu'au moment où il vint derrière moi et commença à me renifler les fesses.
Dérangé dans ma lecture je le repoussais fermement mais il revînt à la charge avec insistance.
Pensant qu'il allait se lasser très vite de ce petit jeu je le laissais faire, quand après la truffe froide une langue chaude et baveuse pris le relais.
Je le repoussais à nouveau, mais dans un mouvement brusque le museau de ******** parvînt à soulever le fin tissu du mini-short, et la langue fouineuse se faufila par l'ouverture.
Ce contact direct sur mon intimité me fit sursauter mais aussi.... fris***ner très fort, d'autant plus qu'après avoir localisée mon petit anneau, elle s'acharnait dessus.
Je trouvais ça dégoûtant, mais complètement bouleversé je découvrais l'extrême sensibilité de ma zone anale.
Peu à peu séduite par ces caresses inédites pour moi, je me laissait porter par un plaisir grandissant au point d'en perdre tout contrôle et toute prudence.
Dans un geste irrai***né je baissais ma petite culotte, et offrait carrément mon petit cul à cette langue chaude et baveuse, qui semblait tant aimer lui faire du bien.
Délicieusement titillé de la sorte, ma rosette répondait par des contractions réflexes, accompagnés de long spasmes qui me remontaient dans tous le corps, surtout quand par moments, de la pointe elle parvenait à s'introduire dans la petite ouverture toute frémissante de ces douces intrusions.
Ma jouissance était si forte que quand le léchage s'arrêta brusquement, j'en ressentis une soudaine frustration.
Quelques secondes plus tard alors que m'apprêtais à me relever, je reçu une lourde masse sur le dos qui m'écrasa le nez sur le dessus de lit.
Le souffle coupé, je me retrouvais fermement ceinturé au niveau de la taille par les deux pattes avant de Moky, dont la masse me couvrait entièrement.
Surpris je tentais de me dégager en me demandant ce qu'était ce nouveau jeu, quand je le sentis s'agiter fébrilement dans mon dos.
Un jet de liquide qui me paru brûlant m'aspergea le derrière, et pensant qu'il m'urinait dessus je tentais de me dégager, mais en vain.
Il grogna sourdement et resserra encore l'étreinte, tandis que d'autres jets plus fréquents et plus abondants explosaient sur mon petit cul qui fut rapidement trempé.
La ***** de ******** était telle que lorsque qu'il m'attira vers lui je ne pu résister, et lorsqu'une pointe dure et gluante me piqua les fesses pour la première fois, je compris ce qu'il voulait faire.
Totalement affolé à l'idée qu'il cherchait à me prendre comme une femelle, tandis que le pointage se poursuivait, de la voix je tentais de le calmer quand la première pénétration se produisit.
Ressortie aussi vite qu'il était entré, le bout dur et pointu de sa verge s'était introduit en moi de quelques centimètres m'arrachant un cri de surprise.
Sous cette charge soudaine, l'anus tout dégoulinant s'était ouvert sans résister et c'est à peine si j'avais eu le temps de ressentir une légère douleur.
A vrai dire c'est surtout dans ma tête que j'avais mal de m'être mis dans une telle situation, et dans l'espoir d'une lassitude de ******** devant ma mauvaise volonté, j'esquivais de mon mieux toutes ses tentatives, lorsqu'il me pénétra à nouveau.
Plus profonde, cette pénétration fut accompagnée d'une forte douleur qui me coupa le souffle et me laissa tremblante de la tête aux pieds.
Comme la première fois le membre se retira très vite, mais après quelques "ratages" il s'enfonça à nouveau dans ma petite rosette endolorie.
Ce petit jeu durait depuis plusieurs minutes et malgré une légère souffrance très supportable et très localisée, à ma grande honte je commençais vraiment à y prendre du plaisir.
Non seulement je n'esquivais plus, mais j'étais presque fâché contre mon "partenaire" quand il ratait *** coup.
Sentir ce pénis effilé m'entrer dans le derrière ça me faisait de drôles de sensations, d'autant que le liquide du début semblait avoir fait place à une matière plus épaisse et plus visqueuse, qui à chaque pénétration se déversait abondamment en moi.
Les dernières réticences abandonnées, je jouissais sans retenue d'un plaisir malsain, quand sur un violent coup de reins le membre de Moky s'enfonça très loin.
Incapable d'émettre un *** ou d'esquisser le moindre geste, je me retrouvais empalé par quelque chose qui une fois en moi semblait prendre du volume.
Ignorant de la morphologie canine, je ne me doutais pas que le sexe d'un chien ne se limitait pas au bout dur et effilé qui m'avait donné tant de plaisir, mais que pour suivre il y avait une hampe épaisse et qui grossissait encore une fois introduite, et ça.... j'étais en train de l'apprendre à mes dépens.
Cette fois j'avais mal mais j'étais aussi totalement effrayé par un phénomène que je ne comprenais pas et dont j'ignorais l'issue finale.
Cette chose en moi ne cessait de prendre du volume et m'étirait déjà les chairs à la limite de la rupture, j'avais peur de mourir dans d'atroces souffrances mais surtout dans la honte, oui dans la honte.
Entre émotion et douleur je perdis connaissance quelques secondes et quand je repris mes esprits, ce fut pour sentir cette chose immonde qui s'agitait frénétiquement entre mes fesses.
Dans un réflexe de survie, je glissai une main entre mes cuisses pour tenter de me libérer et ma main se referma sur la base du membre qui me parut énorme, quand tout à coup quelque chose de plus gros encore se mit à gonfler sous mes doigts.
C'était comme une grosse boule qui atteint bientôt la taille d'une mandarine, choqué par cette nouvelle découverte et malgré la douleur présente, je me dis à ce moment là que sans le savoir j'ai échappé au pire, car si cette chose était entrée en moi je n'aurais pas échappé à de graves blessures.
L'anus distendu à l'extrême et la grosse boule bien calée dessus, je continue à subir sans rien pouvoir faire d'autre.
La verge de Moky cesse enfin de grossir et du fait certainement de la souplesse de mes chairs due à mon très âge, les contraintes imposées ***t de mieux en mieux tolérées et la douleur s'estompe peu à peu.
La sensation de bourrage est énorme, mais je constate qu'en maîtrisant mon souffle, je parviens progressivement à retrouver mon calme et avec ce calme retrouvé une détente de tout mon corps.
Du subi à l'acceptation la frontière est parfois mince, et c'est sans m'en rendre compte que je franchis le pas.
Dans l'abandon du refus, je commence à ressentir des choses qui viennent d'abord de loin, ce ***t des sensations bizarres où se mêlent encore douleur et plaisir, puis le plaisir s'installe de plus en plus nettement jusqu'à devenir plus fort que tout.
Je jouis à nouveau d'une jouissance honteuse, mais c'est tellement bon !
La bite de Moky ne cesse de déverser *** sperme chaud dans mon ventre et moi je jouis, je jouis de *** membre qui me transperce et du doux contact de sa fourrure sur mes reins, je jouis de partout.
Oui je jouis, et le bruit mouillé de ma rosette largement dilatée qui relâche *** trop plein de foutre, ça m'excite et me fait jouir encore plus fort.

Après un long temps de cette délicieuse *******, je vais sentir le cœur de Moky battre dans *** membre pendant qu'il se dégonfle, et lorsque d'un trait il va se retirer, un flot de sperme va se répandre sur mes cuisses et jusque sur le sol.
Comme un agréable retour à la case départ, juste après ma libération, Moky va longuement me lécher les fesses et on va se quitter pour cette fois.
Épuisé, griffé, le derrière endolori et encore tout poisseux de bave et de jus de bite, après le départ de Moky je vais me jeter sur mon lit pour reprendre des *****s, et quand à mon réveil je vais constater avec soulagement que mon petit anneau bien qu'un peu tuméfié et un peu plus souple qu'avant à pratiquement repris *** aspect normal........
je me suis dis que pourquoi pas de temps en temps....... ça ne ferait de mal à per***ne, et puis maintenant que j'en savais un peu plus il me serait plus facile de mieux contrôler les choses et de prendre davantage de plaisir.
Pour la petite histoire si Moky à été mon premier amant, *** maître fut le second quelques années plus tard, mais j'ai toujours préféré Moky à Hervé, et oui c'est comme ça.....
chrislebo

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#5,316
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Pour faire suite au récit précédent, j'aimais beaucoup "jouer" avec Moky pour au moins trois bonnes rai***s: Moky ne parlais pas, *** membre ne prenait tout *** volume qu'une fois en place, et puis il y avait surtout cette profusion de matière chaude et gluante dont il me remplissait le derrière et qui m'excitait plus que tout. Ce sperme canin si abondant, était dans le registre "attirance/répulsion" l'élément le plus essentiel de mes désirs et l'indispensable compagnon de mes jouissances.
J'avoue avoir été toujours été très anal et très jeune déjà quand on me prenait la température, une fois le thermomètre en place j'aimais sans qu'on s'en aperçoive le faire bouger un peu entre mes fesses, et la bite de Moky c'était comme un très gros thermomètre bien lubrifié et qui bougeait tout seul.

Sans être régulières, mes relations "amoureuses" étaient devenues assez fréquentes, et de mieux en mieux informé des comportements et attitudes de mon "partenaire" j'y trouvais maintenant un plaisir presque parfait.
Quand il me prenait, Moky le faisait aussi différemment, il était moins brouillon, plus endurant, moins ******, et quand après m'avoir piqué les fesses pour localiser sa cible il la pénétrait, c'était toujours avec autant de vigueur mais sans **********, et de mon côté quelque soit mon état d'excitation, surtout je prenais garde qu'il n'introduise pas *** nœud du moins pour le moment, car même si ma rosette était devenue suffisamment souple pour peut-être pouvoir l'absorber, cette grosse boule de chair m'effrayait toujours un peu.

Ses visites spontanées devenaient de plus en plus fréquentes mais en dehors de ça, nos ébats étaient surtout le fruit du hasard, car si lui était toujours disposé, pour moi c'était différent puisque ça ne me venait que par pulsions.
Jeune garçon normal dans la vie courante, lorsque j'étais seul et surtout le soir, il me prenait parfois une envie soudaine et c'est très exactement ce qui arriva ce soir là.
La pulsion se manifesta alors avec tant de *****, que moins de cinq minutes plus tard j'étais dans la rue.
Vêtu d'un léger blou*** pour le haut et du fameux petit short en satin pour le bas, le cœur battant à tout rompre je parcourais le quartier en tous sens mais pas de Moky!
Ma déception exacerbait mon désir et juste au moment où je décidais d'abandonner ma recherche et de rentrer à la mai*** bredouille..... je le vois débouler d'une allée obscure.
Dès qu'il m'aperçoit, un peu comme s'il me cherchait aussi, il court dans ma direction et me fait une fête royale.
Il me renifle, me lèche et me serre de très près comme pour me dire "super on va bien s'amuser, et ton petit cul va encore en reprendre une bonne dose !".
*** instinct ****** sentait bien mon excitation et il comprenait que j'étais non seulement disponible, mais impatient.
Il était aux environs de 21h et dans ce quartier tranquille les rues étaient désertes, les familles réunies autour de la table ou devant la télé et moi j'étais seul.... enfin presque.
Accompagné d'un Moky apparemment hyper chaud et plus pressant que jamais, mon envie est si forte ce soir que j'ai vraiment hâte d'arriver à la mai***, et en imaginant ce qui va suivre, je presse le pas, la tête pleine de choses bien sales et bien cochonnes.
Le chemin de retour est longé par un très vaste terrain vague que je connais bien pour y avoir souvent joué, et où Hervé (le jeune maître de Moky) m'entraîne aussi quelques fois pour des jeux moins innocents, dans une sorte de cabane de branchage qu'il a fabriquée exprès pour ça.
Pas très intellectuel mais en revanche bon bricoleur et très débrouillard, il avait d'abord repéré un endroit très peu fréquenté du fait d'une frange de végétation assez dense, et en liant entre elles les branches de plusieurs buis***s, il avait fini par former un vaste dôme intérieur dont l'accès par l'arrière était à peine visible.
Pour parfaire le tout, il avait garni le sol d'un épais tapis de fougères, lui même recouvert d'un grand morceau de plastique épais pour isoler.
Bref c'était super confort et on aurait presque pu se croire sur un lit douillet.
Au détour d'une rue, alors que nous commençons à longer cet endroit désert surtout la nuit, pris de je ne sais quelle lubie soudaine, Moky traverse brusquement la rue et s'engouffre dans la friche me laissant seul sur le trottoir.
A-t-il senti les effluves d'une chienne en chaleurs ? peut-être mais moi aussi je le suis en chaleurs et drôlement même, et sans hésiter je pars sur ses traces.
Le terrain vague est plongé dans une profonde obscurité et pour poursuivre ma progression venant de la rue éclairée, un petit temps m'est nécessaire pour adapter ma vue à ce nouvel environnement.
Comme je l'ai dit je connais bien l'endroit, mais je n'y suis jamais venu de nuit et ne suis pas vraiment rassuré.
Assez fortement surélevé par rapport à la route, une fois sur place, il faut gravir de mauvais chemins pour arriver à la partie plate qui couronne le tout, et tout au fond de laquelle se trouve la fameuse "cabane à vices".
Maudissant Moky qui m'a faussé compagnie, poussé par le désir plus fort que tout de le retrouver pour assouvir mon besoin de sexe, à bout de souffle j'arrive enfin au sommet où........ il m'attend tranquillement.
Le temps de reprendre haleine et une idée soudaine me traverse l'esprit : Pourquoi à la mai*** ? Il fait doux, l'endroit était désert, il y a la cabane là-bas et si.......
Oui la cabane c'était bien ! c'était même une excellente idée ! elle n'était pas trop loin et si je branlais un peu Moky pour le motiver à me suivre, dans quelques minutes la fête allait commencer.
Aussitôt pensé aussitôt fait, et mon Moky ravi se prête au jeu en se couchant sur le dos de tout *** long.
Je branle sa bite très légèrement à travers l'étui quand soudain il se remet brusquement sur ses pattes et cherche à me monter.
Je ne demande bien sûr que ça, mais l'endroit ne me convient pas vraiment, aussi je l'entraîne à ma suite vers la cachette qui se trouve un peu plus loin.
Cette cachette, c'est vraiment le lieu idéal pour faire des "choses", elle permet même en plein jour de ne pas être vu, par contre du fait de sa position en surplomb, et à travers les branches qui la composent, on peut tout voir, ce qui évite lorsque j'y viens avec Hervé, tout risque d'être surpris.....la main dans la culotte.
Arrivés sur place, à quatre pattes je m'engouffre le premier dans l'abri, serré de près par un Moky tout aussi impatient que moi.
Je ne sais pas si c'est à l'idée de faire ça ici, comme ça, dehors, mais jamais je n'avais été aussi excité qu'à cet instant et après un rapide coup d'œil aux alentours pour m'assurer que tout est calme........... je prend le membre de Moky à pleine main et le branle énergiquement.
Il a une belle bite Moky, pas trop grosse au début mais belle, toute rouge avec *** bout pointu qui crache déjà, oui elle est belle et j'en ai envie, une envie folle ce soir.
Sortant peu à peu du fourreau protecteur, *** pénis se dresse agité de mouvements convulsifs qui ***t autant d'invitations à la débauche et quand sous mes caresses Moky se met à donner de petits coups de reins dans le vide..... à la vue de ce sexe que je désire et qui ne demande qu'a entrer en action.... d'un geste j'enlève ma culotte et présente mon petit cul à *** dard frémissant.
Immédiatement Moky m'enfourche et commence *** travail d'approche, accroché à moi il danse d'une patte sur l'autre tandis du bout pointu de sa bite, il cherche l'ouverture convoitée.

chrislebo

Member

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#5,317
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Ce n'est pas la première fois que je me fais prendre par lui, mais chaque fois je suis surpris de sentir avec quelle facilité, quelle rapidité une fois le repérage terminé, il m'introduit *** membre entre les fesses.
Quelques petits coups de piquage........... un coup de reins vigoureux et je suis embroché ! Pas de résistance ou presque, c'est rentré tout seul et ça commence à gonfler. Ce phénomène si particulier qui m'avait tant effrayé la première fois, est aujourd'hui pour moi le prémisse de tous les plaisirs. Ce que j'aime moins en revanche c'est le "ramonage" énergique qu'il pratique au tout début car c'est un peu douloureux, surtout quand l'os pénien s'engage trop profondément.
C'est précisément à cette phase du coït que nous en sommes, mais je sais par expérience que ça ne dure que peu de temps et qu'il ne va pas tarder à se calmer.
Moky s'essouffle en effet et brusquement s'immobilise en faisant mine de se retirer, ça ne dure à peine que depuis quelques minutes et je n'ai pas envie d'en rester là, et je n'ai juste que le temps de le saisir par les pattes arrière pour le maintenir en place.
Il semble que quelque chose l'ai dérangé, mais quoi ?
Aucun bruit alentours, rien ! La pause dure quelques instants et Moky plus posément cette fois, reprend *** ouvrage.
*** pénis à la peau si fine et si douce est à présent en pleine expansion et dans mon ventre rempli de sa chaude présence, chacun de ses mouvements ***t autant de plaisirs intenses et renouvelés.
J'adore ces instants, j'ai l'impression bizarre de planer, d'être en apesanteur, et puis après le liquide clair se sentir peu à peu rempli, inondé d'un sperme épais et gluant qui gicle fort et presque en continu, cela justifie amplement pour moi l'immoralité de la chose.

Ce soir était un soir particulier du fait d'un l'environnement très proche de la nature, où en plus du plaisir de me faire prendre par Moky, s'ajoutait une profonde ivresse directement liée aux circonstances.
*** souffle chaud dans mon cou, sa bite brûlante dans mon derrière et un petit air tiède sur mes fesses...... c'était indescriptible.
Ce qui ce soir là m'excitait aussi énormément pendant qu'il me limait, c'était de voir passer des voitures au loin, et derrière les fenêtres éclairées des appartements, imaginer des gens occupés à des choses banales, tandis qu'à quelques dizaines de mètres d'eux, tapi dans l'ombre je me faisais sodomiser par un chien.
Ils ignoraient et ne pouvaient même pas se douter de ce qui se passait, et de cette situation moi le gamin cul nu sous une cabane de branchages, une grosse bite s'agitant dans *** derrière, j'en tirais une jouissance inouï.

Pour en revenir au présent, très vite submergé de plaisir et sous l'effet de cette ivresse particulière, je ne prend pas garde à ce qu'il se passe tout à coup quelque chose d'inhabituel..... une épaisse protubérance appuyée sur ma rosette est en train de ****** le passage ! A peine le temps de réaliser ce qu'il m'arrive qu'il est déjà trop tard !
Sous une brusque et forte poussée, mon anus s'ouvre largement et gobe littéralement la chose, qui aussitôt entrée se met à gonfler..... je suis en train de me faire verrouiller !
J'avais jusqu'à présent réussi à éviter ça, mais là c'était bon... enfin "bon" c'est une façon de parler,car pour l'heure ne pouvant que subir, je vivais cette expansion interne avec quand même un peu d'angoisse.
C'est vraiment une sensation bizarre que je ressens, et c'est à vrai dire plus surprenant que douloureux, je perçois très nettement mes chairs qui se distendent à chaque nouvelle expansion, mais c'est assez progressif et supportable, et si ça ne va pas trop loin, je devrais franchir ce nouveau pas sans trop de dommages, en tous cas rien de commun avec la toute première fois où j'avais eu l'impression que tout se déchirait en moi.
Je m'ef***** de respirer fort et lentement comme les font les femmes en couches et la chose après quelques derniers soubresauts........ s'arrête enfin de grossir.
Littéralement collé à moi Moky s'active en poussant de curieux petits jappements.... il jouit !
Ce n'est plus la monte frénétique du début mais un pompage lent, bien appuyé, avec de forts spasmes du membre qui à l'intérieur éjacule en abondance.
Mon cœur bat à tout rompre, et inondé, gavé de cette semence ******* qui se déverse en lui, mon ventre se met à gonfler.
A cause du gros bouchon qui s'est formé et qui obstrue l'orifice anal, cette fois pas d'écoulement de trop plein, et sous la pression interne de plus en plus forte, je sens peu à peu monter en moi un orgasme incontrôlable......
Il arrive, il est là et explose juste au moment où Moky lâche *** étreinte et entame une curieuse manœuvre.
Encore sous l'emprise de la jouissance, je me retrouve cul à cul avec lui sans vraiment comprendre comment ça s'est passé.
Généralement après avoir joui, ce qui ne se traduit encore chez moi que par un spasme très violent sans éjaculation, je ne veux plus que l'on me touche, mais là c'est différent.....
Pendant un temps qui me semble interminable, je subis donc la présence en moi de cette chose dont je ne veux plus, mais dont je ne peux pas non plus me débarrasser, puis le plaisir se manifeste à nouveau de façon sournoise, progressive, inattendue.
Je le sens inexorablement monter, ce ***t d'abord des fris***s, puis des spasmes de plus en plus violents qui partant du bas-ventre me remontent dans tout le corps puis..... puis c'est l'explosion, une explosion ravageuse, dévastatrice, d'une intensité dix fois supérieure à la première, je jouis en me tortillant comme un ver au bout de l'hameçon. Moky se remet à couiner, il jouit lui aussi en libérant ses dernières gouttes de semence, et très vite entre mes fesses la boule se dégonfle..... la libération commence !
Débarrassée de ce verrou et poussée de l'intérieur, la bite de Moky ressort d'un trait, libérant un flot de matière épaisse et visqueuse qui jaillit avec ***** et.... bruyamment.
J'en ai le derrière tout gluant et ça me coule à l'intérieur des cuisses.....une véritable déluge de sperme !
Je suis épuisé, pantelant, et après deux orgasmes successifs, à l'exception de la langue de Moky qui comme chaque fois me fait une toilette intime, je ne sens plus rien.
Moky me lèche, puis se lèche et s'en va non sans marquer *** territoire au passage.

Je suis de nouveau seul et un peu triste comme toujours après ce genre de séance, mais cette fois et plus que d'ordinaire, j'ai du mal à retourner à la vie du jeune garçon que je suis en dehors ces comportements là, car je n'ignore pas que c'est très mal de faire des choses comme ça, et que si par malheur ça se savait ma jeune vie serait foutue, mais je n'y peux rien, quand j'ai envie, j'ai envie, c'est plus fort que moi !
Il faut rentrer maintenant, prendre une douche, soigner les griffures aux jambes que je suis censé m'être faites en jouant dans les broussailles, bref oublier tout jusqu'à la prochaine fois.
La lune s'est levée et sorti de la cachette, je peux voir devant moi la vaste étendue déserte qui à si bien caché "mes amours".
C'est plein de pièges pour redescendre mais la providentielle lueur venue du ciel va me faciliter la tâche et je m'aventure à faire quelques pas, quand un impératif besoin de libérer ....mon ventre se fait brusquement sentir !
Je n'ai que le temps de baisser ma culotte déjà mouillée et de m'accroupir, que de mon anus tout chaud et distendu, jaillit à nouveau du sperme de Moky qui s'étire en longs filets gluants jusqu'au sol.
Je ne peux pas rentrer comme ça, il me faut au moins quelque chose pour m'essuyer, et brusquement je me souviens que dans l'aménagement de la cabane, Hervé qui lui jutait quand je le branlais avait tout prévu.
Un paquet de mouchoirs jetables était caché quelque part sous la bâche qui recouvrait le sol mais où ?
Dans l'obscurité de la cabane, à quatre pattes je suis en train d'en explorer les coins quand...... j'entends un léger bruit......
chrislebo

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#5,318
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Blotti au fond de la cabane, tous les sens en alerte je ne bouge plus, je suis tétanisé et puis il y a ce maudit sperme qui continue de suinter et qui me trempe la culotte, je suis mal, très mal si quelqu'un me découvre là et dans cet état !
Le bruit reprend et on dirait qu'il se rapproche, je n'arrive pas à très bien distinguer de quoi il s'agit mais ça ne ressemble pas à des pas humains, c'est plus léger, plus hésitant, un peu comme un piétinement, ça s'arrête, reprend, change de direction....
Plus forte que la peur la curiosité finit par l'emporter, et à travers le mur de feuilles de l'abri je réussis à distinguer ce qui en est la cause..... un chien !
A cause peut-être de la direction du vent il ne m'a pas repéré, mais il a repéré en revanche les marquages de Moky et les recouvre consciencieusement.
Si ce n'est comme je l'espère qu'un chien errant ce n'est pas grave, mais s'il n'est pas seul je suis vraiment mal, comment expliquer ma présence ici à cette heure ?
Les minutes passent et pas d'humain en vue c'est déjà ça, par contre le chien lui est toujours là, il tourne, retourne et finit par s'arrêter pile à l'endroit où je viens de me soulager.
Il renifle d'abord l'endroit avec insistance, se risque me semble-t-il à quelques coups de langue et semblant avoir trouvé une piste intéressante...... se dirige rapidement dans ma direction.
Cette fois je suis repéré et pas fier du tout, car j'ignore totalement ce qu'il va faire s'il me découvre.
J'avais entendu dire que pour désamorcer une possible agressivité chez un ****** inconnu, il fallait se mettre dans une posture de soumission, et que le fait de s'allonger au sol par exemple, ça pouvait désamorcer toute velléité de conflit.
Le voilà, il est tout près ! le nez tendu dans la direction de la cabane il marque un temps d'arrêt, la contourne rapidement, hésite un peu, fait un nouveau marquage à l'entrée et franchit le seuil !
La faible lueur de la lune le dessine en léger contre jour, et la vue de cette silhouette sombre, massive, bien campée sur ses pattes, qui m'observe en humant l'air avec ***** me remplit de terreur.
Le voyant s'avancer, ne sachant plus trop quelle attitude adopter, je me roule doucement en boule et me couche sur le côté en position *******.
Intrigué l'****** s'approche et commence a me renifler bruyamment.
Je pue le chien, la sueur, le sperme et dans la position où je suis et que je n'ose pas quitter de peur d'une mauvaise réaction, j'offre à *** inspection une partie de moi qui semble l'attirer tout particulièrement.
A peine voilé d'un léger tissu imbibé de foutre, mon petit cul focalise alors toute *** attention et très vite il y colle *** nez.
Grognant d'excitation, il pousse sa truffe dans la moiteur gluante de mes fesses et comme en transe, donne de grands coups de *** large de museau.
Il s'acharne comme fou et j'ai très peur d'être mordu, quand soudain sa langue entre en action. A travers le fin tissu, avide de cette matière dont je suis souillé, nerveuse mais habile elle se glisse dans les moindres recoins et cherche a remonter à la source.
Sous l'effet du léchage, le fond de mon petit short trempé de bave et de foutre, se réduit rapidement à l'état d'une bande de tissu roulé et collant, qui ouvre un accés direct à une exploration intimes des plus poussée.
Fouineuse et gourmande la langue se faufile, s'insinue et très vite ma rosette encore béante de ce qu'elle vient à peine de subir est fouillée très en profondeur. En temps normal je me serais sans doute laissé faire avec grand plaisir, mais là ça me dégoûte, la pulsion est passé et je n'ai qu'une seule envie....rentrer chez moi, me laver et dormir.
Je tente bien de serrer les fesses pour le décourager, mais plus je résiste plus il s'excite et pour peu que je me relâche une seconde, ça recommence de plus belle.

Las de cette stratégie passive qui ne donne rien, je quitte lentement cette position qui m'expose trop et pour protéger mes fesses........ quoi de plus efficace que de m'asseoir dessus !
L'****** est grand, fortement charpenté, d'un poids très certainement supérieur au mien, mais il y a surtout chez lui une détermination qui ne faiblit pas bien au contraire. Il s'agite, me bouscule et dans cet espace confiné ça ressemble à une bien curieuse danse.
Je pourrais bien sûr tenter de fuir mais quelle serait sa réaction ? me laisserait-il faire ? de toutes façon le toit de la hutte est bien trop bas pour se mettre debout et la sortie ne peut se faire qu'à quatre pattes, et là....GROS DANGER !!!
Au mieux je pensais que même s'il me laissait sortir, dans l'état où il était il continerait à me harceler jusqu'à la mai***, et si à cette heure une rencontre était assez peu probable, elle pouvait malgré tout se produire.
Donc pour m'en débarrasser une seule solution possible...... trouver un moyen de le calmer !
Me faire lécher pas question, me faire monter encore moins, mais je peux le branler ça le calmera, oui c'est ça la solution je vais le branler !!!
chrislebo

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#5,319
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Il est tellement collé à moi que ma main se glisse sans peine sous *** ventre..... j'appréhende une réaction mais rien ou plutôt si...... il se colle encore un peu plus.
Le poil de *** fourreau est très doux et lorsque du bouts des doigts, j'effleure sa bite encore bien cachée, il laisse échapper un gros soupir et *** grand corps est parcouru d'un long fris***.
Cette réaction plutôt positive et prometteuse me rassure un peu et lentement, du bout des doigts, j'entreprends de la faire coulisser dans *** étui.
Je n'ai jamais encore branlé de chien car avec Moky c'est une chose que ne fais pas, et même si ce n'est que pour la bonne cause, c'est à dire me débarrasser de cet encombrant compagnon au plus tôt, à la découverte de ce nouveau petit jeu........ je me sens un peu troublé.
Mon visiteur semble se laisser faire avec une telle complaisance, que je ne tarde pas à m'enhardir et a prendre *** membre à pleine main pour le masturber vigoureusement.
Si le membre de Moky et long et fin, celui-là me semble plus trapu et surtout beaucoup plus épais.
Au jugé alors qu'il ne bande pas encore, il est presqu'aussi gros que celui de Moky en pleine expansion et cette nouvelle découverte me trouble encore un peu plus..
Malgré la pénombre, je peux voir ma main qui branle cette bite que je sens vibrer et raidir sous mes caresses, jusqu'à ce que d'un coup elle jaillisse hors du fourreau.
Elle n'est pas totalement sortie mais déjà elle est impressionnante, impressionnante mais surtout très différente de celle de mon compagnon de jeu habituel.
Le bout plat et massif taillé en biseau avec une petite pointe légèrement décentrée vers le bas, se prolonge par une hampe épaisse avec un fort renflement vers le milieu, et au fur et à mesure que je la dégage, elle me révèle toute la puissance de *** anatomie si particulière.
Elle me trouble, m'interroge, me fascine, et tandis qu'elle lâche ces premiers jets, je me surprend a imaginer les grosses sensations qu'on doit ressentir à se faire prendre par une chose comme celle-là, si bien sûr elle arrive a se faufiler dans le petit orifice, ce qui n'est pas évident au vu de sa forme massive et trapue en bout.
Dans mon esprit de plus en plus confus, une idée commence à se former insidieusement....... et si j'acceptais juste le contact pour voir comment ça fait ?
Je n'ai pas envie qu'elle me pénètre car je devine sans peine que ça risque d'être douloureux, dangereux peut-être même, non j'ai juste envie de la sentir se glisser entre mes fesses, pas plus !
Confiant en ma capacité à gérer une situation scabreuse, je cède *********** à la pulsion, cette terrible pulsion qui revient sans crier gare, désirs et craintes mêlées, curiosité malsaine, tout remonte d'un coup !

Trop envie ! oui vraiment trop envie ! Cette bite m'appelle par ses mouvements convulsifs, elle me gicle dans la main, la tête me tourne, j'ai chaud, mon sang bouillonne, je suis à genoux, mes gestes ***t maladroits, ma culotte colle, j'ai du mal à l'enlever, je m'énerve, m'acharne, l'arrache presque et elle est à peine à mi-cuisses quand je me fais *********** ceinturer.
Sous le choc je bascule en avant et me retrouve en levrette, ******** pesant sur mon dos de tout *** poids.
Tendu comme un arc il envoie d'abord des coups reins au hasard dans le vide, puis voyant que ça ne donne rien, de ses pattes puissantes croisées sous mon ventre il m'attire sèchement en arrière pour mettre mon derrière au contact de *** membre.
Moky quand il me tape les fesses avant de m'enfiler, ça ressemble à des coups d'aiguillons, mais avec lui c'est différent, du fait de la forme aplatie de *** pénis, c'est comme des coups de bélier, de cet instrument que la police utilise parfois pour défoncer des panneaux de porte, et à ma petite porte à moi............ ça commence à frapper vraiment très fort !
Vu la ***** de ********, je comprend très vite que mon simple désir de contact ne va pas s'arrêter là, bon gré mal gré il va falloir assumer la suite, assumer les conséquences de mon imprudence et surtout de ma perversion.
Rudes et ciblés les impacts se multiplient, j'ai beau tenter d'esquiver de mon mieux pour gagner du temps, mon anus copieusement arrosé les reçoit en rafale en cédant peu à peu du terrain.
Dans les mêmes circonstances Moky m'aurait déjà pénétré, mais là ça résiste, c'est gros, massif et malgré l'intense lubrification et l'extrême souplesse du petit anneau....... ça n'entre pas !
Dans mon dos le chien s'active, s'acharne et tout à coup sur un nouveau pointage.....ma rosette explose !!!.......... profitant sans doute d'un angle plus favorable, il vient d'introduire *** membre sur une bonne moitié de sa longueur !
Comme à chaque fois j'en ai le souffle coupé, on a beau s'y attendre c'est toujours le même choc amplifié cette fois par le calibre du mandrin.
Bien ouvert par la baise précédente, mon petit cul encaisse plutôt bien et le cap critique de la pénétration franchi, l'action cesse d'être à proprement parler douloureuse, et je n'ai plus que l'énorme sensation d'être l'hôte d'un formidable engin de plaisir.
Cette agréable sensation ne dure pas longtemps, car bien évidemment le membre une fois introduit se met à gonfler, et ce qui se passe entre mes fesses devient très vite inquiétant et..... à nouveau douloureux !
Contrairement à Moky qui au début pistonne à toute vitesse, ce chien là pompe plutôt lentement, ce qui fait que je ressens tout des transformations qui s'opèrent et des transformations il y en a !

Sous la pression du membre qui enfle par à-coups, la rosette s'étire, se dilate et commence à envoyer des s.o.s sous la forme d'une douleur sourde et lancinante.
Pris d'une soudaine panique, dans un mouvement de recul je parviens à me libérer partiellement et me saisissant du membre qui me déchire, je tente de l'extraire complètement.
Ma main crispée sur la hampe épaisse et visqueuse ne parvient qu'a la maintenir pour une bonne partie à l'extérieur, mais mais le bout reste enfoncé et continue de s'agiter.
A peine dérangé par cette intervention le chien continue de piner et comme j'avais appris à le faire avec Moky (a l'exception de ce soir) , pour éviter le une catastrophe tout à fait prévisible, je bloque le noeud qui se forme à l'extérieur.
Deux ou trois soubresauts encore, et sous mes doigts la bite cesse enfin de gonfler.
L'anus brûlant et distendu à l'extrême, je suis en train de vivre une sodomie que je ne suis pas près d'oublier.
Agrippé à moi, haletant bruyamment, ******** commence à jouir, *** pénis agité de spasmes se contracte à intervalles réguliers, et de longs jets de sperme explosent avec ***** dans mon ventre.
Cette naturelle et abondante lubrification, a pour effet immédiat de permettre au membre de se mouvoir plus librement, mais aussi de façon plus surprenante d'atténuer la douleur.
Les fesses largement écartées par cette énorme chose qui s'active entre elles, je sens mon inconfort diminuer peu à peu, si bien que progressivement et sans vraiment m'en rendre compte, je relâche le pénis qui s'enfonce à nouveau profondément.
Elle est vraiment énorme cette bite, monstrueuse, mais en cessant peu à peu de la percevoir comme agressive et dangereuse, je découvre un nouveau plaisir...... le plaisir si particulier de la démesure.
Je ne jouis pas encore, mais je sens que ça ne va pas tarder car des prémices se manifestent déjà, non je ne jouis pas mais je suis heureux, heureux comme si j'étais en train d'accomplir un exploit, l'exploit d'être allé au bout de l'impensable, de l'impossible et d'y être arrivé sans trop de dommages......... du moins je l'espère.

Le troisième orgasme de la soirée finalement ne viendra pas, mais je le sentirai rôder aussi longtemps que la bite restera en moi, aussi longtemps qu'elle me remplira de sa semence et de sa chaude présence.
Mon partenaire d'un soir portait un collier et avant qu'il ne s'esquive, je pu y lire un nom et une adresse : Il s'appelait LOBO et ses maîtres n'habitaient qu'à quelques centaines de mètres à peine............

Pour clore cet épisode, je voudrais m'adresser aux lecteurs qui pourraient penser que tout ceci n'est qu'inventions, qu'une telle perversion chez un jeune garçon tout juste pré ado relève de l'imaginaire, pour leur dire que tout est au contraire parfaitement véridique : Les noms, les lieux, les actes, les ressentis aussi bien physiques qu'affectifs.... Tout est vrai ! et si à défaut d'excuses je devais chercher une explication à un tel dérèglement de ma part, ce serait dans l'affectif que je la trouverai : LA SOLITUDE !

chrislebo

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#5,320
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A la fin de la soirée mémorable commencée avec Moky et terminée avec Lobo, j'avais réussi à rejoindre la maison furtivement pour y prendre une douche, et laver ma culotte souillée que j'avais mise à sécher sur le radiateur de ma chambre, puis mort de fatigue je m'étais endormi.
Pour la nuit et par précaution, j'avais mis un slip fortement garni de papier absorbant, pour ne pas laisser de traces dans le lit au cas où des fuites se produiraient.
Comme lendemain était un mercredi, je n'avais pas classe et ça me donnait tout le temps pour récupérer.
Au réveil je constatais que mes craintes étaient fondées, car du sperme s'était encore échappé et la protection improvisée me collait aux fesses.
Ce qui s'était passé la veille au soir me revint brusquement en mémoire, et comme je ressentais une forte gêne au niveau de l'anus, non sans appréhension j'y portais la main, et mes doigts découvrirent une béance tuméfiée extrêmement sensible au toucher.
Choqué par l'évidence d'une ********** sans doute irréversible, je me mis à pleurer en silence, mais pleurer ne changeait rien au problème, je m'étais éclater le rondelle et ce n'étais pas faute de l'avoir cherché.
Rentrés tard du travail comme d'habitude mes parents dormaient encore, et fouillant dans ma tête au moyen de me soulager, je me souvins tout à coup d'une pommade que ma mère utilisait, pour traiter les problèmes d'hémorroïdes dont elle souffrait fréquemment.
Une rapide visite à l'armoire à pharmacie pour trouver la pommade en question, et sans faire de bruit je retourne dans ma chambre.
Le tube est largement entamé e si j'en fait une ponction ça ne se verra pas trop, c'est une crème épaisse, brunâtre et un peu malodorante mais paraît-il efficace, aussi j'en tartine grassement la zone douloureuse avant de replacer une protection propre par dessus.
Toute la journée je porte cette couche secrète et sens peu à peu sentir la gêne disparaitre, ça me rassure un peu, mais seule une nouvelle inspection pourra me renseigner sur l'état réel de la rosette.
Le soir même, mes parents à peine partis au travail vers 19h comme d'habitude, je me précipite dans ma chambre, baisse ma culotte, mon slip et avec soulagement constate un gros changement : L'anus n'est plus douloureux au toucher mais il reste encore un peu gonflé et s'ouvre à la moindre pression.
Les deux ou trois jours suivants je continue le traitement et tout rentre dans l'ordre à l'exception de cette souplesse anale que j'avais déjà constatée après mais premiers exploits, mais qui là s'est considérablement amplifiée sans pour autant générer de problèmes particuliers.
J'ignorais alors qui était Charles Darwin, mais quand je lu plus tard sa théorie sur l'évolution des espèces, à la citation "la fonction crée l'organe" je compris la mutation qui s'était opérée en moi à l'époque où se déroulent les faits.
Ma fonction anale n'était détournée que de temps à autres, mais de façon suffisante pour maintenir la souplesse nécessaire à d'autres pratiques, ce qui rendait mes petites récréations secrète de moins en moins pénibles car malgré la grosse alerte vécue avec Lobo, je n'étais pas guéri de mes pulsions, bien au contraire !
Les jours passaient et ....... rien ne se passait ! j'étais en période de calme mais un après-midi où je me baladais en vélo dans le quartier, le hasard fit que je me retrouvais dans la rue indiquée sur le collier du chien le soir de notre rencontre mouvementée.
Le terrain vague était en réalité le vestige d'anciennes fortifications, et la rue en question le longeait sur sa partie haute.
Pavée et plutôt mal entretenue, elle abritait principalement des jardins ouvriers et quelques rares bâtisses toutes identiques, dont la particularité sûrement pour des raisons d'orientation était d'avoir les façades sur l'arrière des terrains, ne laissant voir côté rue que des garages et quelques maigres ouvertures.
Je n'avais pas noté le numéro, mais l'une d'elle attira malgré tout mon attention, car dans l'arrière cour il y avait un chien qui ressemblait fort au fameux Lobo. Grand, fort, le pelage court brun sombre, le museau épais, il était retenue par une longue chaine à une niche collée au mur.
Je passais sans m'arrêter puis fis demi-tour, pour mettre pied à terre devant la pavillon faisant mine d'être confronté à un petit problème mécanique.
Me voyant le chien tira sur la chaine mais sans aboyer ce qui me permit d'examiner attentivement les lieux. Pourquoi je faisais ça ? ce n'était pas encore très clair dans ma tête mais ça le devînt très vite.
Je notais donc que s'il était attaché en journée à l'extérieur, on ne devait certainement pas le faire entrer le soir dans la maison, et que logiquement un chien de garde la nuit on le détache..............
Sur la rue, en dehors de l'accès pour le garage, il y avait un petit portillon de bois qui donnait sur une allée conduisant à l'austère habitation.
Ce portillon qui s'ouvrait par un bec de cane, comportait également une serrure, mais une serrure si rouillé qu'elle n'avait pas du servir depuis longtemps, et au fur et à mesure que je notais ces détails, l'usage que je pourrais en faire m'apparaissait de plus en plus nettement, quand soudain pris de honte je remontais sur mon vélo et m'enfuis à grands coups de pédales.
chrislebo

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#5,321
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Un soir la pulsion se re-manifesta, et au lieu d'aller à la recherche de Moky comme je le faisais habituellement, j'élaborais un plan diabolique : J'allais rejoindre la mai*** de Lobo en passant par le terrain vague et si je pouvais le libérer, tenter de l'attirer avec moi dans la cabane !
C'était déjà toute une aventure, mais mon esprit inventif en se basant sur les expériences précédentes, se mit à échafauder un scénario érotique très particulier.
Le temps d'en régler mentalement tous les détails et je suis dehors !
Un rouleau de papier absorbant sous le blou***, un bon morceau de beurre emballé dans du papier d'alu, je vais d'abord prestement déposer tout ça sur place avant la seconde phase de l'opération.

Faisant suite à la partie plane du terrain, au fond de laquelle se trouve la cabane, il y a une pente assez raide avant d'arriver à la rue qui surplombe et je m'y engage presqu'en courant.
Arrivé au sommet je marque une pause pour reprendre mon souffle mais aussi pour observer les alentours. Tout est calme et même plus que calme, chichement éclairée la rue est sinistre, pas âme qui vive !
La mai*** qui m'intéresse est face à moi et sortant un paquet de biscuits de l'une de mes poche de blou***.... je décide de me lancer.
Je traverse furtivement en lançant loin devant moi un premier gâteau qui vole au dessus de la clôture et atterrit dans la cour. Surgissant de l'ombre, le chien déjà en alerte s'en saisit en le le dévore goulument.
Pas de bruit de chaîne, donc......IL EST LIBRE !
Plus qu'encouragé par ce bon début, j'approche très lentement de la clôture en distribuant encore quelques gâteaux à la volée, que ******** s'empresse d'engloutir avec voracité.
Je ne sais pas s'il m'a ou non reconnu, mais il n'aboie pas et ne montre aucun signe d'agressivité à mon égard, il m'observe et attend d'autres friandises.
Encore séparés par un grillage, nous ne sommes plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre et mon cœur bat très fort, la peur d'être surpris bien sûr, mais aussi à cause d'une excitation qui va crescendo.
La main sur la poignée du portillon, je retiens mon souffle, c'est l'instant où tout peut basculer dans un sens ou un autre, une légère pression....... et il s'ouvre seul dans un petit grincement que je trouve très sympathique.
Lobo hésite un court instant, puis franchit le seuil en remuant *** trognon de queue............ l'aventure continue !
Un nouveau gâteau pour m'assurer sa sympathie, un rapide coup d'œil pour vérifier que tout est tranquille dans le secteur et la rue traversée, je me fond avec lui dans l'obscurité du terrain vague.

La pente dévalée plutôt que descendue, je le laisse à ses petits marquages alentours et vais l'attendre dans la cabane. J'avais mûrement réfléchi à ce qui s'était passé l'autre soir, et en faisant le tri du bon et du mauvais j'avais élaboré une ingénieuse stratégie, qui malheureusement reposait en grande partie sur le comportement imprévisible de mon partenaire.
Pour contrôler le "gros joujou" de Lobo pendant la phase de pénétration, compte tenu de sa ***** et de la ********** de l'acte, je ne devais pas le laisser me monter, mais introduire moi même *** membre dans mon petit cul et pour ça j'avais trouvé une solution........... s'il se laissait faire !

Lobo me rejoint et la fête commence, gâteaux, léchage, caresses, une joyeuse sarabande de préliminaires qui me confirme qu'il se souvient de moi et de l'endroit.
Il semble aussi se souvenir de ce qu'on a fait ensemble, et commence à se faire pressant.
Pour ne pas qu'elle se retrouve souillée comme l'autre fois, je retire ma culotte et reviens vers lui pour le caresser.
Encore méfiant je reste au début sur mes gardes, mais ce chien quelque part me ressemble ...... il est surtout en manque d'attention, d'affection !
Chez moi, désir et tendresse se mêlent, je le caresse, l'embrasse, l'enlace même et lui me rend tout ça en me gratifiant de généreux coups de langue sur le visage.
Ce gentil flirt n'était pas prévu, mais pour la suite mon esprit inventif avait tout planifié dans le détail, et si maintenant Lobo veut bien collaborer...... ça va être une soirée inoubliable !
Avantages sans inconvénients, plaisir sans souffrance voilà ce qui est théoriquement au programme.

Pendant ce tendre chahut, pour exciter Lobo je lui touche la bite à chaque fois qu'elle est à portée de main, et après quelques minutes de ce petit jeu..... nous sommes l'un et l'autre chauffés à blanc.
Lui surtout est très chaud, *** membre pointe déjà et si je lui donnais la moindre occasion de me monter, c'est sûr que je me ferais embrocher dans la seconde qui suit.
Pendant que je m'emploie à le calmer un peu, je me souviens avec quelle dextérité sa langue sait se faufiler dans les endroits sensibles, et mon plan commence en principe par ces attouchements là.
Je dis bien en principe, car ce soir à l'inverse de la première fois je ne porte sur moi aucune odeur particulière.

Déjà dénudé mon petit cul est prêt à recevoir de la visite, et quoi de plus réjouissant pour commencer qu'un savant et délicieux anulingus ?
En position assise depuis le début pour protéger mon derrière, je réfléchis à la meilleure façon de lui présenter mes fesses sans risque.
Vite trouvée, la solution est simple, il suffit de me mettre très rapidement à plat ventre et d'attendre !
Lobo d'abord ne bouge pas sans doute décontenancé par mon attitude, puis il m'enfourne sa truffe froide et humide entre les fesses et comme la fois précédente commence à donner de forts coups de museau.
Ravi d'être malmené de la sorte je m'abandonne à ces coups de boutoirs non seulement sans danger pour moi, mais pleins déjà d'agréables sensations car sous les vigoureuses poussée ma rosette commence à s'ouvrir. Totalement offerte en dehors de tout danger immédiat, je la sens se relâcher peu à peu et quand la langue de Lobo après l'avoir goulument léchée la pénètre, je pousse un petit cri de surprise et de plaisir.
Après le froid glacial de la truffe, c'est comme si un ti***nier sorti de feu se faufilait dans mon petit orifice tout frémissant de cette intrusion si désirée.
Comme on pourrait le dire d'un humain, Lobo est une "affaire" et sa langue nerveuse et musclée un délicieux engin de *******.
Je n'ose pas trop bouger au début de peur de le déranger, mais très vite m'écartant les fesses des deux mains, je me tortille comme un ver tant la jouissance est forte.
Pour m'ouvrir plus largement encore, je prend appui sur les genoux et soulève légèrement le bassin...........l'imprudence me guette car si je continue................
chrislebo

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C'est un plaisir à la limite du supportable, auquel je me soustrais par instants pour reprendre haleine avant de me livrer à nouveau, c'est à la fois atroce et littéralement délicieux.
Porté par la vague je vibre de tout mon corps quand *********** Lobo m'abandonne. Je tente bien de l'aguicher pour qu'il recommence mais rien n'y fait, non seulement il se désintéresse de ma petite per***ne, mais il fait aussi mine de partir...... et il part !
Seul et désemparé, surtout après un aussi si bon début, je suis triste avec au fond de moi une terrible frustration. J'avais tout prévu et tout marchait bien jusque là, mais c'était sans compter sur le caractère fantasque de ********.
Les minutes passent et comme je m'apprête à partir à mon tour, j'entends un bruit d'herbes piétinées à vive allure, et je le vois s'engouffrer par l'étroite ouverture...... il est revenu !
Il semble plus calme et c'est une bonne chose, car le but maintenant est de le faire se coucher et d'accepter mes caresses, et s'il refuse mon plan est fichu !

- " Viens Lobo calme-toi, couché, vient, doucement, vient"

A peine chuchotée cette invitation semble faire *** effet, puisqu'il s'approche et se couche lourdement sur le flanc.
Sa bite s'est rétractée dans le fourreau, mais à peine effleurée elle pointe à nouveau.
C'est vraiment un gros morceau, et pendant qu'en la masturbant je la dégage sur une bonne longueur, je me répète mentalement ce que je dois faire ensuite, car ce qui doit suivre c'est la phase finale de mon lubrique scénario pour ce soir.
La cabane est assez grande, mais par chance le petit matériel dont je me suis muni est accessible sans difficulté.
Une main sur la bite de Lobo pour en garder le contrôle, de l'autre avec des gestes fébriles, je déplie le papier d'alu et en écrase le contenu entre mes fesses.
Tout autant que la pénétration, ce que ma rosette adore c'est le contact avec une matière épaisse et gluante, et la texture du beurre qui commence à fondre est un avant goût du plaisir qui l'attend...... si tout se passe bien !

Très lentement sans lâcher le membre de Lobo, je me retourne et cale mon derrière bien en appui sur *** bas-ventre, puis je libère sa bite et commence à me frotter dessus .
Le contraste entre l'extrême douceur de la peau et la raideur du pénis est étonnant, et si on ajoute à ça la chaleur et la mouille.............
Pour le maintenir très serré contre moi, je passe un bras par dessus *** dos et sa bite bien coincée dans la raie, j'agite mon petit cul déjà tout trempé qui la branle avec frénésie.
La glisse est parfaite, sans accoups, et ses grognements de satisfaction, me laissent à penser que lui aussi doit y trouver *** compte.
Ce "flirt" très poussé entraine assez vite chez moi un fort désir de pénétration, et me saisissant à nouveau de *** mandrin, sans gestes brusques malgré mon intense excitation, je le fais glisser doucement entre mes fesses et viens en poser le bout sur ma rosette dégoulinante.

*** pénis gicle fortement et dés le contact intime établi, les jets par saccades me pénètrent profondément...... Je n'aime pas, j'adore ! cette douche brûlante m'arrachent de puissants fris***s et pour ne rien en perdre, à petits coups de reins, je pousse sur le membre de plus en plus fort.
L'anus se détend, commence à s'ouvrir et maintenant directement aspergé de l'intérieur, il répond aux poussées successives par de petits bruits mouillés extrêmement troublants.
Pris en douceur le petit anneau s'étire, se relâche, et millimètre par millimètre, malgré sa masse imposante.......... le mandrin s'engage.
La sensation est très intense, et vraiment je regrette de ne pas avoir des yeux dans le dos pour voir ce qui se passe entre mes fesses, ça doit être hallucinant !
Comparée au diamètre normal du petit trou au départ, il semble impossible qu'une chose aussi grosse puisse le pénétrer et c'est pourtant ce qui est en train de se passer !
La dilatation est forte sans être douloureuse et je suis tout à mon plaisir, quand sans prévenir après une ultime et légère résistance, l'anus capitule et s'ouvre en grand.

Je ressens entre mes fesses une sorte de décharge électrique, puis le membre comme aspiré de l'intérieur s'engouffre brusquement dans l'ouverture..... avant de buter sur un autre obstacle, imprévu celui-là.

Je m'étais déjà fait prendre un certain nombre de fois, mais la rapidité avec laquelle ça se passait avec Moky notamment, ne m'avait pas permis de remarquer cette particularité de mon anatomie.
Quand je me faisais monter, enfilé d'un trait, la bite pulvérisait tout sur *** passage, et je n'avais pas remarqué que ce n'est pas un, mais deux obstacles qu'il fallait franchir.

Ce problème imprévu me contrarie beaucoup car maintenant qu'elle est en moi et que je la sens vibrer, cracher, cette bite je la veux toute entière.
A peine entrée sur quelques centimètres elle commence à gonfler, et je dois décider vite, très vite !
Ou bien arrêter là ce qui serait le plus rai***nable mais aussi assez frustrant, où aller jusqu'au bout.
En réponse à la question, je donne un fort coup de rein...........et ça passe! Ça passe, mais ça fait mal, très mal même pendant une fraction de seconde.
C'est comme un déchirement aussitôt suivi d'une douleur sourde et lancinante. L'explication en est sans doute la grosseur déjà excessive du sexe au moment du passage forcé.
Par réflexe j'esquisse un mouvement de retrait, mais le gonflement inexorable du pénis m'en dissuade aussitôt.
Lobo commence à s'agiter comme si la situation lui posait problème, et je sens qu'il tente de se dégager.
La seule solution si je veux pas qu'il se retire c'est de lui redonner l'initiative.
Sans lâcher prise sur *** sexe, je l'attire sur moi et malgré *** poids qui m'écrase, je relève le derrière jusqu'à me retrouver en levrette.
Dés que ses pattes postérieures touchent le sol, il me ceinture et donne de vigoureux coups de reins.
Sa bite qui gonfle toujours pas accoups me ramone énergiquement la rondelle, et si ce brusque changement de situation me déplaît un peu au début, très vite j'y prend un certain plaisir.
Non agressé cette fois par une pénétration *******, l'anus accepte très bien l'expansion jusqu'à *** terme, et accompagne docilement les vas et viens du membre qui le transperce.
Le "certain" plaisir, se transforme en plaisir tout court, puis la jouissance montre timidement le bout de *** nez.
Lobo halète bruyamment et en mâle puissant qu'il est, me baise puissamment.
Bien que non prévue, cette seconde partie me plaît beaucoup car elle me permet après avoir dominé, de l'être à mon tour et d'en tirer une grande satisfaction.

Quitte à me répéter ce remplissage au sperme tandis que la queue s'agite, c'est une jouissance que seul un chien peut donner, et là du sperme il y en a et pas qu'un peu !
Il y en a tellement, que ma main droite qui depuis tout à l'heure maintient le membre à sa base................le laisse échapper !
Un nouveau coup de reins de Lobo et le voilà enfilé jusqu'à la garde !
L'anus n'a opposé aucune résistance au passage d'un léger renflement, puis s'est refermé sur la partie fine en arrière du nœud........... il est entré !
chrislebo

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Les deux obstacles franchis dans le mouvement, il se met à gonfler rapidement.
J'ai déjà connu ça une fois avec Moky et même si ça s'était plutôt bien passé, là je n'en mène pas large !
Chez Moky comparé à la grosseur de sa bite le nœud m'avait toujours paru énorme, alors que pour Lobo d'après ce que j'avais en voir la première fois, il était évidemment plus gros mais pas exagérément.
Cette chose qui enfle dans mon ventre ce n'est pour le moment que de l'angoisse, malgré le rai***nement que je viens de tenir pour me rassurer, et ce n'est qu'au moment ou *** expansion s'arrête avec pour moi plus de peur que de mal, que je peux confirmer que mon observation était plutôt juste.
Lobo se met à jouir en poussant de curieux petits jappements, il jouit et jute de plus belle en pompant lentement.
Le cul débordant de sperme malgré le bouchon interne, sans que je me touche je sens monter l'orgasme quand après deux ou trois coups reins très appuyés Lobo s'immobilise.............puis entame cette manœuvre propre aux chiens en fin d'accouplement.
Pendant qu'il m'enjambe pour se placer, je retiens mon souffle et serre très fort les fesses pour ne pas que *** membre sorte accidentellement et surtout d'un bloc, car si ça se produit c'est la "cata" assurée.
La manœuvre terminée, il ne me reste plus qu'a attendre ma libération qui comme je l'ai appris avec Moky, peut mettre un certain temps avant de se produire.
Les minutes passent et la bite ne désenfle pas, elle jute encore par moment et à nouveau un orgasme me prend.
Venant cette fois de très loin, je le sens monter sournoisement comme un orage qui s'approche, ce ***t d'abord des picotements dans les reins, puis ça gagne peu à peu le bas-ventre.
Les spasmes commence à se manifester et pour ne pas passer à côté cette fois, je romps l'immobilité qui me lie à Lobo, et m'empale à nouveau à grands coups.
L'explosion est ******* et si je n'étais pas lié comme je le suis encore, je me laisserais tomber face contre terre.
Quand la jouissance m'a pris, j'ai poussé un cri rauque, presque ****** qui m'a surpris moi même.
Tandis que lentement je reprend mes esprits, des frémissements internes m'annonce ma prochaine libération.
La boule se dégonfle et la queue qui cette fois n'est pas aspirée mais poussée de l'intérieur, jaillit d'entre mes fesses.
Le bruit qui accompagne l'expulsion n'est pas des plus raffinés, mais s'explique aisément par la béance de l'orifice et la quantité de foutre *******ment éjectée.
Moi qui aime le sperme je suis gâté ce soir, quand à ma rosette après une telle séance inutile d'en vérifier l'état, elle est tellement ouverte que sans rire, j'ai l'impression que le vent s'engouffre dedans, heureusement que dans quelques heures tout au plus, elle sera à nouveau en état pour d'autres fonctions plus naturelles.....jusqu'à la prochaine fois bien sûr !

Les chiens ayant des notions bien à eux de savoir vivre, après le rituel de la toilette les adieux seront brefs, encore qu'ils ne s'agira que d'adieux très provisoires, car pendant de longs mois en divers lieux et diverses circonstances, nous allons nous retrouver Lobo et moi, et partant du scénario de ce soir sans cesse amélioré, devenir au détriment du pauvre Moky, d'incomparables amants.

Heureusement ça ne dure que très peu de temps, et l'expansion qui se poursuit me ramène à des sensations plus fortes et bien plus agréables.
Avec Lobo, je savais pouvoir jusqu'au bout supporter cette transformation....... sans dommages ou presque, et je la sentais s'opérer en moi avec une crainte très modérée.
La première fois, plus que la grosseur du sexe, c'était la violence et la ********** de l'acte qui m'avaient fait souffrir, mais la pratique de ce soir toute en progression contrôlée et à l'exception d'un court moment, ne m'avait donné depuis le début que du plaisir et..... quel plaisir !
Tandis que la bite gonflait toujours sous les successives poussées de sang, pour tromper Lobo autant que pour ma propre satisfaction, je simulais un coït normal en donnant de petits coups de reins.
Je m'auto-empalais sur cette queue juteuse, qui en prenant de l'ampleur lâchait ses premiers jets brûlants, j'étais aux anges et tellement dans ma jouissance, qu'en prenant un appui trop fort je fis entrer le pénis tout entier !
Surpris par le brusque passage d'une grosseur inattendue, je ne réalise pas sur l'instant qu'il s'agit du noeud, mais à *** expansion quasi instantanée une fois introduit ça ne fait plus de doute.
Pour l'avoir vu l'autre fois après mon accouplement d'avec Lobo, je sais que comparativement à la grosseur de *** membre il n'est pas énorme....enfin c'est ce que je me dis pour me rassurer car ça commence vraiment à s'étirer dur entre mes fesses. La boule s'est formée en arrière du rectum ne provocant qu'une forte gêne, mais tenter de la faire sortir serait pure folie, et me voilà donc verrouiller pour la seconde fois en peu de temps.
Certains lecteurs vont penser qu'il est tout à fait impossible, que mon petit cul puisse subir de tel traitements sans en être gravement endommagé ou qu'au mieux je souffre atrocement, et pourtant si !
Sans doute doté par la nature de spincters particulièrement élastiques, je le sais maintenant capable sous certaines conditions, d'engloutir des énormités.
Lobo jouit en moi en abondance et je ressens très nettement les soubresauts de *** membre à chaque nouvelle éjaculation, comme avec Moky mon ventre enfle peu à peu, mais malgré le bouchon interne que fait le noeud, ma rosette qui s'est refermée sur la partie fine qui lui fait suite, sous la pression commence à relâcher du sperme par accoups.
Nous sommes liés l'un à l'autre, presque immobiles, et à part ce qui se passe à l'intérieur, on pourrait croire que nous sommes gentiment allongés pour un câlin tout à fait innocent, entre un chien et un jeune garçon.
Cette pensée qui vient de me traverser l'esprit, ajoute à mon excitation et à ma jouissance montante : Oui c'est ça on fait un câlin, un gentil câlin, sauf que même si on ne peut plus la voir et pour cause, j'ai une grosse bite dans mon petit cul !
On va rester comme ça liés l'un à l'autre pendant un bon moment, jusqu'à ce que la boule se dégonfle et là pour finir en beauté, je vais me masturber très fort pour atteindre l'orgasme avant que le membre ne se retire, pour bien sentir les spasmes de mon anus qui se contracte sur lui.
Lobo parti, je suis resté seul un très long moment ce soir là avant de me décider a rejoindre la mai***. Le temps une nouvelle fois de libérer mon ventre, puis d'éponger sur moi à grand renfort de papier absorbant, les vestiges gluants de cette enivrantes soirée, mais le temps aussi de faire un point si globalement positif, que je serais vraiment stupide de ne pas donner suite, donc...... à suivre !
chrislebo

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C'est un plaisir à la limite du supportable, auquel je me soustrais par instants pour reprendre haleine avant de me livrer à nouveau, c'est à la fois atroce et littéralement délicieux.
Porté par la vague je vibre de tout mon corps quand *********** Lobo m'abandonne. Je tente bien de l'aguicher pour qu'il recommence mais rien n'y fait, non seulement il se désintéresse de ma petite per***ne, mais il fait aussi mine de partir...... et il part!
Seul et désemparé, surtout après un aussi si bon début, je suis triste avec au fond de moi une terrible frustration. J'avais tout prévu et tout marchait bien jusque là, mais c'était sans compter sur le caractère fantasque de ********.
Les minutes passent et comme je m'apprête à partir à mon tour, j'entends un bruit d'herbes piétinées à vive allure, et je le vois s'engouffrer par l'étroite ouverture...... il est revenu!
Il semble plus calme et c'est une bonne chose, car le but maintenant est de le faire se coucher et d'accepter mes caresses, et s'il refuse mon plan est fichu!

- " Vient Lobo calmes toi, couché, vient, doucement, vient"

A peine chuchotée cette invitation semble faire *** effet, puisqu'il s'approche et se couche lourdement sur le flanc.
Sa bite s'est rétractée dans le fourreau, mais à peine effleurée elle pointe à nouveau.
C'est vraiment un gros morceau, et pendant qu'en la masturbant je la dégage sur une bonne longueur, je me répète mentalement ce que je dois faire ensuite, car ce qui doit suivre c'est la phase finale de mon lubrique scénario pour ce soir.
La cabane est assez grande, mais par chance le petit matériel dont je me suis muni est accessible sans difficulté.
Une main sur la bite de Lobo pour en garder le contrôle, de l'autre avec des gestes fébriles, je déplie le papier d'alu et en écrase le contenu entre mes fesses.
Tout autant que la pénétration, ce que ma rosette adore c'est le contact avec une matière épaisse et gluante, et la texture du beurre qui commence à fondre est un avant goût du plaisir qui l'attend...... si tout se passe bien!

Très lentement sans lâcher le membre de Lobo, je me retourne et cale mon derrière bien en appui sur *** bas-ventre, puis je libère sa bite et commence à me frotter dessus.
Le contraste entre l'extrême douceur de la peau et la raideur du pénis est étonnant, et si on ajoute à ça la chaleur et la mouille.............
Pour le maintenir très serré contre moi, je passe un bras par dessus *** dos et sa bite bien coincée dans la raie, j'agite mon petit cul déjà tout trempé qui la branle avec frénésie.
La glisse est parfaite, sans à coups, et ses grognements de satisfaction, me laissent à penser que lui aussi doit y trouver *** compte.
Ce "flirt" très poussé entraîne assez vite chez moi un fort désir de pénétration, et me saisissant à nouveau de *** mandrin, sans gestes brusques malgré mon intense excitation, je le fais glisser doucement entre mes fesses et viens en poser le bout sur ma rosette dégoulinante.

*** pénis gicle fortement et dès le contact intime établi, les jets par saccades me pénètrent profondément...... Je n'aime pas, j'adore! cette douche brûlante m'arrache de puissants fris***s et pour ne rien en perdre, à petits coups de reins, je pousse sur le membre de plus en plus fort.
L'anus se détend, commence à s'ouvrir et maintenant directement aspergé à l'intérieur, il répond aux poussées successives par de petits bruits mouillés extrêmement troublants.
Pris en douceur le petit anneau s'étire, se relâche, et millimètre par millimètre, malgré sa masse imposante.......... le mandrin s'engage.
La sensation est très intense, et vraiment je regrette de ne pas avoir des yeux dans le dos pour voir ce qui se passe entre mes fesses, ça doit être hallucinant!
Comparée au diamètre normal du petit trou au départ, il semble impossible qu'une chose aussi grosse puisse le pénétrer et c'est pourtant ce qui est en train de se passer!
La dilatation est forte sans être douloureuse et je suis tout à mon plaisir, quand sans prévenir après une ultime et légère résistance, l'anus capitule et s'ouvre en grand.
.
Je ressens entre mes fesses une sorte de décharge électrique, puis le membre comme aspiré de l'intérieur s'engouffre brusquement dans l'ouverture..... avant de buter sur un autre obstacle, imprévu celui-là.

Je m'étais déjà fait prendre un certain nombre de fois, mais la rapidité avec laquelle ça se passait avec Moky notamment, ne m'avait pas permis de remarquer cette particularité de mon anatomie.
Quand je me faisais monter, enfilé d'un trait, la bite pulvérisait tout sur *** passage, et je n'avais pas remarqué que ce n'est pas un, mais deux obstacles qu'il fallait franchir.

Ce problème imprévu me contrarie beaucoup car maintenant qu'elle est en moi et que je la sens vibrer, cracher, cette bite je la veux toute entière.
A peine entrée sur quelques centimètres elle commence à gonfler, et je dois décider vite, très vite!
Ou bien arrêter là ce qui serait le plus rai***nable mais aussi assez frustrant, où aller jusqu'au bout.
En réponse à la question, je donne un fort coup de rein...........et ça passe! ça passe mais ça fait mal, très mal même pendant une fraction de seconde.
chrislebo

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C'est comme un déchirement aussitôt suivi d'une douleur sourde et lancinante. L'explication en est sans doute la grosseur déjà excessive du sexe au moment du passage forcé.
Par réflexe j'esquisse un mouvement de retrait, mais le gonflement inexorable du pénis m'en dissuade aussitôt.
Lobo commence à s'agiter comme si la situation lui posait problème, et je sens qu'il tente de se dégager.
La seule solution si je veux pas qu'il se retire c'est de lui redonner l'initiative.
Sans lâcher prise sur *** sexe, je l'attire sur moi et malgré *** poids qui m'écrase, je relève le derrière jusqu'à me retrouver en levrette.
Dés que ses pattes postérieures touchent le sol, il me ceinture et donne de vigoureux coups de reins.
Sa bite qui gonfle toujours, par à coup, me ramone énergiquement la rondelle, et si ce brusque changement de situation me déplaît un peu au début, très vite j'y prend un certain plaisir.
Non agressé cette fois par une pénétration *******, l'anus accepte très bien l'expansion jusqu'à *** terme, et accompagne docilement les vas et viens du membre qui le transperce.
Le "certain" plaisir, se transforme en plaisir tout court, puis la jouissance montre timidement le bout de *** nez.
Lobo halète bruyamment et en mâle puissant qu'il est, me baise puissamment.
Bien que non prévue, cette seconde partie me plaît beaucoup car elle me permet après avoir dominé, de l'être à mon tour et d'en tirer une grande satisfaction.

Quitte à me répéter ce remplissage au sperme tandis que la queue s'agite, c'est une jouissance que seul un chien peut donner, et là du sperme il y en a et pas qu'un peu!
Il y en a tellement, que ma main droite qui depuis tout à l'heure maintient le membre à sa base................le laisse échapper!
Un nouveau coup de reins de Lobo et le voilà enfilé jusqu'à la garde!
L'anus n'a opposé aucune résistance au passage d'un léger renflement, puis s'est refermé sur la partie fine en arrière du noeud........... il est entré!
Les deux obstacles franchis dans le mouvement, il se met à gonfler rapidement.
J'ai déjà connu ça une fois avec Moky et même si ça s'était plutôt bien passé, là je n'en mène pas large!
Chez Moky comparé à la grosseur de sa bite le noeud m'avait toujours paru énorme, alors que pour Lobo d'après ce que j'avais pu en voir la première fois, il était évidemment plus gros mais pas exagérément.
Cette chose qui enfle dans mon ventre ce n'est pour le moment que de l'angoisse, malgré le rai***nement que je viens de tenir pour me rassurer, et ce n'est qu'au moment ou *** expansion s'arrête, avec pour moi plus de peur que de mal, que je peux confirmer que mon observation était plutôt juste.
Lobo se met à jouir en poussant de curieux petits jappements, il jouit et jute de plus belle en pompant lentement.
Le cul débordant de sperme malgré le bouchon interne, sans que je me touche je sens monter l'orgasme quand après deux ou trois coups de reins très appuyés Lobo s'immobilise.............puis entame cette manoeuvre propre aux chiens en fin d'accouplement.
Pendant qu'il m'enjambe pour se placer, je retiens mon souffle et serre très fort les fesses pour ne pas que *** membre sorte accidentellement et surtout d'un bloc, car si ça se produit c'est la "cata" assurée.
La manoeuvre terminée, il ne me reste plus qu'à attendre ma libération qui comme je l'ai appris avec Moky, peut mettre un certain temps avant de se produire.
Les minutes passent et la bite ne désenfle pas, elle jute encore par moment et à nouveau un orgasme me prend.
Venant cette fois de très loin, je le sens monter sournoisement comme un orage qui s'approche, ce ***t d'abord des picotements dans les reins, puis ça gagne peu à peu le bas-ventre.
Les spasmes commence à se manifester et pour ne pas passer à côté cette fois, je romps l'immobilité qui me lie à Lobo, et m'empale à nouveau à grands coups.
L'explosion est ******* et si je n'étais pas lié comme je le suis encore, je me laisserais tomber face contre terre.
Quand la jouissance m'a pris, j'ai poussé un cri rauque, ************* qui m'a surpris moi même.
Tandis que lentement je reprend mes esprits, des frémissements internes m'annonce ma prochaine libération.
La boule se dégonfle et la queue qui cette fois n'est pas aspirée mais poussée de l'intérieur, jaillit d'entre mes fesses.
Le bruit qui accompagne l'expulsion n'est pas des plus raffinés, mais s'explique aisément par la béance de l'orifice et la quantité de foutre *******ment éjectée.
Moi qui aime le sperme je suis gâté ce soir, quand à ma rosette après une telle scéance inutile d'en vérifier l'état, elle est tellement ouverte que sans rire, j'ai l'impression que le vent s'engouffre dedans, heureusement que dans quelques heures tout au plus, elle sera à nouveau en état pour d'autres fonctions plus naturelles.....jusqu'à la prochaine fois bien sûr!

Les chiens ayant des notions bien à eux de savoir vivre, après le rituel de la toilette les adieux seront brefs, encore qu'ils ne s'agira que d'adieux très provisoires, car pendant de longs mois en divers lieux et diverses circonstances, nous allons nous retrouver Lobo et moi, et partant du scénario de ce soir sans cesse amélioré, devenir au détriment du pauvre Moky, d'incomparables amants.


vanbruje

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#5,326
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Pas ma tasse de thé, mais merci quand même. A vous lire !!
chrislebo

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#5,327
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Tant que la douceur des soirées l'avait permis, après avoir furtivement rejoint Lobo, on se retrouvait dans la cabane pour y passer du bon temps.
Il restait bien sûr pour après la solution de faire ça à la mai*** dans ma chambre, mais ça ne me plaisait pas trop car je sentais de plus en plus le besoin de mettre une barrière entre ma vie normale et celle qui l'était moins.
En face des pavillons, en léger contrebas, il y avait des des immeubles appartenant à la même société H.L.M et avec un peu de ruse et beaucoup de chance, j'avais réussi à me procurer la clé de cave de l'un d'eux.
De part et d'autre d'un étroit et sombre couloir bas de plafond, s'alignaient des réduits fermés par des portes en bois munies de cadenas où les locataires entassaient leurs vieilleries, et dès ma première visite j'avais repéré tout au fond et jouxtant la chaufferie, un local non cadenassé et qui contenait entre autres objets plus ou moins hors d'usage.......... un vieux matelas!
Cette découverte m'avait rempli de joie et surtout d'excitation car j'imaginais déjà l'agréable usage que j'allais en faire.
Les caves comportaient deux accés: un par le hall de l'immeuble et un autre par l'extérieur, et c'est la clé de cet accés là que je possédait. Discrétion, chaleur et un matelas pour le confort, c'était tellement top que le soir même n'y tenant plus ......................j'étrennais l'endroit avec Lobo.
Un peu décontenancé au début par ce nouvel environnement, mais très vite excité entre autres par l'odeur un peu forte du matelas, il m'avait tout particulièrement gâté ce soir là, et c'est le derrière passablement endolori et fourré à ras bord que j'avais regagné la mai***.
Avec la confiance nos pratiques évoluaient et comme je n'ai jamais manqué d'imagination, nos parties duraient parfois plus d'une heure, mais invariablement en finale je le laissais me monter à sa façon, pour ne pas trop troubler *** instinct.
Si les deux premières fois au risque d'alerter *** maître j'avais du le faire sortir par le portillon, maintenant dés qu'il me sentait arriver il sautait la clôture basse et venait me rejoindre sans même que je l'appelle.
Je ne venais le chercher pour faire l'amour que deux ou trois fois par mois tout au plus, l'hiver dans la cave, l'été dans la cabane, et plus les mois passaient et plus nous étions attachés l'un à l'autre, par le sexe bien sûr mais aussi par la tendresse, car si Lobo était un sacré bon baiseur, c'était aussi un très gentil chien.

J'approchais de mes quatorze ans ans, mais contrairement à Hervé le jeune maître de mon premier amant canin, je restais frêle, imberbe avec une peau très douce, et nu je faisais plus fille que garçon avec ma cambrure de reins prononcée, et mes petites fesses rondes et bien dessinées.
Hervé lui du haut de ses dix sept ans était devenu un grand gaillard, et si j'avais stoppé toute relation avec *** chien depuis que je connaissais Lobo, je continuais d'en avoir avec lui de temps à autres, ce qui fait que presque chaque semaine je m'adonnais au vice au moins une ou deux fois.

Avec Hervé aussi les pratiques avaient évoluées, ce n'était plus de simples attouchements mais un flirt vraiment très poussé, la seule chose que je lui refusais encore malgré ses insistances, c'est qu'il me mette *** sexe dans le derrière.
J'avais bien évidemment envie d'essayer ça aussi avec lui, mais quelque part ça me gênait, la peur qu'il en parle à quelqu'un, mais la peur aussi qu'il découvre à travers la souplesse de mon anneau, qu'il était loin d'être le premier.
Par contre, je le laissais de plus en plus souvent faire un truc que j'aimais bien et qui l'excitait beaucoup: je me couchais sur le ventre, il m'écartait les fesses et m'introduisait lentement un objet dans l'anus qu'il faisait ensuite coulisser et tourner lentement.
En plus du plaisir que ça me donnait, le côté ludique de la chose me plaisait beaucoup aussi, car je ne voyais pas l'objet avant et ne le découvrais sans le voir, qu'au moment où il commençait à me rentrer dans le derrière.
Ce petit jeu était d'autant plus excitant, que chaque fois Hervé me demandait de deviner de quoi il s'agissait, et comme je ne trouvais que très rarement la solution....... la surprise était pour la fin lorsque qu'il me montrait l'accessoire utilisé ce jour là.
La première fois c'était un gros stylo en bakélite, puis un étui à cigare en métal, un petit pilon en bois d'olivier etc... bref dans ce jeu, mon petit cul servait d'étui sur mesure à un certain nombre d'objets hétéroclites, pour le plus grand plaisir d'Hervé, mais aussi ....... pour le mien il faut bien l'avouer. La seule chose qu'il n'avait pas pu m'introduire totalement, c'était une sorte de carotte en plastique bien trop large à sa base, mais qui m'avait quand même fait bien jouir.

chrislebo

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#5,328
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La grosseur de ces godes improvisés augmentait sensiblement à chaque séance, et je m'imaginais Hervé fouillant partout chez lui pour trouver quelque chose de lisse, de bien profilé et d'une taille respectant la progression. En pensant à ça je rigolais intérieurement car s'il savait ...........!!!

Je simulais bien sûr au début une ferme résistance anale, mais le beurre ayant remplacé la salive comme lubrifiant, après une petite séance d'assouplissement, ma rosette finissait toujours par gober le gadget du jour.
Pour finir après m'avoir longuement travaillé avec pendant que je le masturbais, Hervé me le retirait délicatement, se couchait sur moi, posait *** gros gland sur le petit trou distendu et se branlait jusqu'à éjaculation.
A chaque fois il poussait sa bite un peu plus fort, et même donnait quelques petits coups de reins furtifs au moment où il lâchait *** sperme, mais je résistais toujours et mon petit cul aussi.

Moi le grand pervers malgré mon jeune âge, aux tentatives de sodomies de mon camarade, je jouais à la perfection le rôle du naïf bien vicieux quand même, qui se prête aux petits jeux d'un grand sans comprendre où il veut en venir en finale, car ce que je voulais c'est qu'il parvienne à ses fins mais sans mon consentement. En agissant de la sorte, je pourrais lui reprocher après d'avoir abusé de mon innocence et m'assurer non seulement de *** silence, mais en tirer aussi quelques avantages.
Le problème malgré tout c'est que j'avais très envie qu'il me sodomise, et la grosseur du dernier gadget allait m'y aider.

Un dimanche en milieu d'après midi, coup de téléphone d'Hervé:

- " Salut, je viens de trouver un truc sympa dans le placard de ma chambre et ............. j'aimerais bien voir comment ça fait dans ton petit cul, je peux venir? "

Je n'ai pas trop envie mais si l'oisiveté est mère de tous les vices..... la curiosité aussi!

- " Ok viens, mais je ne suis pas trop chaud pour jouer aujourd'hui ...... enfin viens quand même on verra."

Dix minutes plus tard tout au plus il ***ne à la porte et j'ouvre. Habituellement je ne lui demande jamais ce qu'il cache dans ses poches, mais là j'ai le pressentiment qu'il s'agit de l'objet idéal pour faire aboutir mon scénario.

- " C'est quoi le truc dont tu m'as parlé au tel? c'est gros? je te demande ça parce que l'autre fois tu m'as fait un peu mal!"

- " Hum.... oui c'est assez gros, mais super bien profilé, et je te promet de ne pas insister si ça ne veut pas entrer complètement, tu as ma parole."

Un petit quart d'heure de préliminaires pour bien se chauffer, et tandis qu'Hervé va à la cuisine chercher le beurre, je retire ma culotte et bouillant d'impatience j'attends *** retour.
Allongé sur le ventre, les fesses à l'air, je l'entend revenir et presque aussitôt il me tartine le derrière.
Vite réchauffé le beurre ramollit, et je sens une pointe dure qui se glisse par la petite ouverture.
Hervé souffle fort et *** excitation est palpable, quand très lentement comme il le fait toujours, il commence à pousser l'objet en lui imprimant de petits mouvements alternatifs.

- " C'est quoi dis-moi stp?"

- " C'est comme un gros suppositoire, tu aimes?"

- " pour le moment oui, mais c'est gros?"

- " Assez mais je vais faire très doucement et tu m'arrêtes si je te fais mal."

La chose lisse et fuselée s'enfonce en étirant l'anus tout en douceur et sa forme me rappelle un peu le pénis de Moky.
Elle glisse, s'insinue et au fur et à mesure de sa progression, je sens que *** diamètre ne cesse d'augmenter.
C'est quoi ce truc? je l'ignore mais ça commence à bien me remplir et à m'ouvrir dans des proportions intéressantes.
Voyant que je bronche pas, Hervé pousse un petit coup et m'introduit ce qui semble être le plus gros diamètre.

- " C'est bon ma puce, c'est dedans et là on a fait fort je crois, dommage que tu ne puisses pas voir ta petite rondelle.... c'est chaud! elle est étirée à mort! c'est drôlement excitant à voir! "

Je ne la vois pas mais je la sens et je sais moi qu'elle peut s'ouvrir encore mais bon....... ça c'est mon secret.

- " Dis-moi stp c'est quoi ce gros truc que tu m'as mis dans le derrière?"

- " Tu veux vraiment savoir?"

- " Oui dis-moi!"

- " Tu as lu Tintin objectif lune?"

- "Oui "

- " Tu te souviens de la fusée rouge et blanche de l'histoire?"

- " Oui "

- " Et bien elle a atteint *** objectif! elle est plantée dans ta lune à toi!"

En m'annonçant ça il part dans un grand rire qui me vexe si profondément que dans un mouvement de colère je tente de retirer l'objet, mais il retient ma main.

- " Non stop ne la retire pas, c'est une jolie fusée et tu as une si jolie lune!"

Je lui en veux beaucoup de cette plaisanterie, mais quand d'une main il commence à faire bouger la fameuse fusée dans ma lune, et que de l'autre passée furtivement sous mon ventre il se saisit de mon zizi, ma colère retombe aussitôt.
chrislebo

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#5,329
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Après tout l'idée de la fusée est excellente, et il n'y a que le ridicule de la situation qui me gêne un peu, car pour le reste c'est une parfaite préparation et il ne pouvait pas trouver mieux.
Tandis qu'il me tripote et me gode, je saisis *** gros membre d'homme et le presse convulsivement. Je n'ose pas bien sûr lui demander de retirer la fusée et de le mettre à la place, mais j'en meurt d'envie et je fais tout pour l'amener à ça. Je gémis doucement, tortille honteusement des fesses en simulant une profonde jouissance, qui n'a pour but que de lui faire perdre la tête et de l'attirer sur moi. Le stratagème semble fonctionner, car la fusée bicolore cesse brusquement de s'agiter, ressort lentement et..... une bite prend sa place.

- " Non Hervé! non! pas ça! ce n'est pas bien! lâche-moi stp! lâche-moi!!! "

Hors de lui tellement il est excité non seulement il ne se retire pas, mais *** gland en plein appui commence à ****** le passage, quand je dis ****** c'est une image, car après le passage de la fusée, il s'engage sans trop de difficulté.

- " Non Hervé arrête tu me fais mal! arrêtes je t'en supplie!!! "

En vérité il ne me fait pas mal du tout et tout à la découverte de ce nouveau type de sodomie, je retiens mon souffle pour ne rien perdre des sensations qu'elle me procure.
Sourd à mes plaintes et protestations simulées, Hervé pousse toujours en haletant et *** gros gland poursuit lentement sa progression.
Du fait de sa forme un peu aplatie et de sa large collerette il n'est pas encore totalement entré, mais un rien suffirait pour qu'il passe, un petit coup de reins par exemple.
Faisant mine d'un soubresaut de douleur, c'est moi qui le donne ce petit coup de reins et brusquement libérée la bite fait un bon en avant.
Surpris Hervé se fige, puis tremblant de tout *** corps se laisse tomber lourdement sur moi.

- " Je t'en prie ne bouge pas, elle est dedans, laisse-toi faire c'est trop bon, je t'en prie ça fait si longtemps que je rêvais de ça, si longtemps que je voulais sentir ma bite dans ton adorable petit cul de garçon/femelle "

Plus qu'une prière, ces mots susurrés à mon oreille a travers un souffle oppressé ***t presque une supplication!

- " Et bien tu as eu ce que tu voulais espèce de sournois, j'espère que tu es content de toi, mais je te préviens que si tu me fais mal il va falloir arrêter! "

Comme je l'ai déjà dit, la bite d'Hervé en érection est aussi grosse que celle de Lobo en pleine expansion, mais la grande différence c'est qu'elle est déjà à *** volume maximum au moment de la pénétration, et que la sensation de bourrage est énorme. Dans ces conditions, le second passage va être un peu difficile à franchir, car pour le moment ce n'est que l'anus qui a cédé.
Quittant *** immobilité, Hervé entame de timides va et vient et *** membre reprend sa progression.
Cette grosse masse qui vient buter sur le sphincter interne sans parvenir à le franchir, est une opération douloureuse pour moi aussi très vite je lui demande d'arrêter.

- " Arrêtes de bouger stp, tu me fais mal! "

- " Tu veux que je me retire? "

- " Non mais ne bouge plus, il faut que je m'habitue c'est tout, ta bite est si grosse..... "

Je me connais suffisamment pour savoir qu'en prenant un peu de temps ça va passer, mais à la condition que je sois parfaitement détendu donc sans douleur.
La position non plus ne me convient pas trop et je fais comprendre à Hervé que je souhaite ne plus être à plat ventre avec lui sur moi, mais couché sur le côté avec lui dans mon dos.
Lentement sans que *** membre ne ressorte, nous adoptons cette nouvelle position.
Plus libre de mes mouvements je vais pouvoir contrôler l'action à mon rythme, et permettre à *** pénis d'entrer en douceur.

- " Tu es vraiment un gros salaud de m'avoir pris par surprise, mais si comme tu le dis tu as vraiment envie de moi pour de bon, ne bouges pas, laisses moi faire et profite bien car il n'y aura pas de prochaine fois je te préviens! "

chrislebo

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#5,330
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En fort appui sur la bite qui ne fléchie pas, j'exerce alors une pression progressive, continue, et quand tout à l'heure il se contractait dans des coups de boutoir douloureux, le sphincter se détend, se relâche et le gland se faufile, s'insinue doucement mais sûrement.
Il n'est pas encore passé, mais sur un nouvel appui je sens un glissement à peine perceptible et il s'engouffre dans la brèche!
Hervé pousse un petit gémissement tandis que *** sexe comme aspiré de l'intérieur me remonte dans le ventre. L'impression que ça me fait? et bien c'est comme quand on est dans un ascenseur qui s'arrête trop ***********, et que pendant quelques dixièmes de seconde on a l'impression de flotter dans le vide...... j'en ai le souffle coupé.
Croyant avoir eu rai*** de ma virginité, Hervé commence à pomper lentement en me disant des choses gentilles à l'oreille.
Il me dit que je suis sa puce, sa gentille petite femelle obéissante et maintenant que mon petit "trouiou" lui appartient il va en prendre soin, et lui faire plein de choses agréables sans jamais lui faire de mal.
C'est la première fois en effet que je me fais prendre par un humain et si ma virginité physique est loin derrière moi, sur le plan du ressenti et de l'affectif c'est très différent de ce que j'ai connu jusque-là.
Avec un partenaire humain on peu communiquer de mille façons et rendre ainsi l'acte moins mécanique, moins sommaire, et prendre un plaisir plus raffiné et surtout plus varié, car pendant que sa grosse bite s'active tout en douceur entre mes fesses, Hervé me prodigue une quantité d'attouchements qui me font littéralement perdre la tête.
Les mouvements de sa bite prennent peu à peu de l'ampleur mais sans pour autant devenir agressifs, ce ***t de longs va et viens tout en souplesse qui me changent un peu de la charge ******* que je subis habituellement, mais qui a *** charme aussi, en fait ça n'a rien à voir c'est une autre jouissance.
Hervé gémit doucement chaque fois qu'il enfonce *** membre et moi je gémis avec lui tellement c'est bon.
Nous approchons de l'accord parfait, celui où deux corps ne font plus qu'un......... quand brusquement il se tend comme un arc, ses mains se crispent, il pousse une plainte sourde en se vidant en moi...... il jouit! sa main me branle alors à toute vitesse et je jouis à mon tour quelques secondes après en lâchant un peu de sperme.

Épuisés l'un et l'autre par tant d'émotions, nous restons accouplés et basculons sans nous en rendre compte, dans un sommeil bref mais réparateur.
Au réveil mon compagnon semble un peu gêné et moi j'ai le derrière qui colle, bref...... la fête est finie et le climat un peu lourd.

- " Tu es content? tu as eu ce que tu voulais? bon maintenant laisse moi, retourne chez toi, j'ai trop honte de ce que tu m'as fait, trop honte de t'avoir laissé faire, oui trop honte! "

En vérité je suis ravi, mais le culpabiliser un peu ne peut pas faire de mal, et pour ce qui est de recommencer bien sûr qu'à la prochaine occasion je le laisserai de nouveau faire, mais en opposant toujours une certaine résistance....... pour le fun!

Lobo, Hervé, Lobo, Hervé....... mes relations amoureuses prenaient de l'ampleur dans la diversité...... et oui!
vanbruje

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#5,331
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Même commentaire, mais merci pour cette suite...
kiki_sissy

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#5,332
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cc,
mmm moi j adore ce recit, je suis impatient de lire la suite :p
http://xhamster.com/user/kiki_sissy
chrislebo

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#5,333 · Edited by: chrislebo
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comme je dis tjrs faut de tout pour faire un monde


ps: dsl kiki-sissy mais l'histoire s'arrête la
chrislebo

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#5,334
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Sacré surprise


La réunion s'étant terminée plus tôt que prévu, je décidai d'avancer mon retour et d'en faire la surprise à mon épouse, Anne-Laure, que j'ai laissée seule une fois de plus. Mon travail exige de fréquents déplacements, quelquefois de plusieurs jours, et je culpabilise toujours un peu en la quittant. Nous habitons un petit bourg, pas toujours très animé, surtout l'hiver, et j'ai souvent peur qu'elle s'ennuie.
À bientôt quarante-cinq ans, Anne-Laure a conservé une silhouette alléchante qu'elle entretient par une pratique régulière de la natation. Brune, de taille moyenne mais bien proportionnée, ses formes avantageuses attirent souvent le regard des hommes, ce qui n'est pas toujours pour me déplaire. Après avoir élevé nos enfants, elle occupe désormais ses journées entre des visites à quelques amies et du bénévolat dans une association caritative.
Je me fais une joie, ce soir, de l'emmener au restaurant, de passer une soirée en amoureux, les enfants ne rentrant pas avant le week-end prochain. Après vingt ans de vie commune, il est important de se ménager de temps en temps des petits plaisirs
Arrivé près de la mai***, je me gare à distance pour qu'elle ne m'entende pas, bien décidé à lui faire la surprise. Tout est calme, le salon est éclairé ; elle doit sûrement s'y trouver. Je rentre par le garage, sur la pointe des pieds, et longe le couloir qui donne sur le salon, sans éclairer. La porte est entrebâillée. Je m'apprête à entrer quand je perçois des éclats de voix, ou plutôt des cris qui viennent de la pièce.
Je risque un œil dans la pièce, et découvre un spectacle qui m'immobilise sur place. Mon épouse est étendue sur le canapé, entièrement nue, et devant elle, me tournant le dos, un inconnu, nu également, qui, manifestement, est en train de la baiser.
Pendant une minute je reste figé, appuyé contre le mur, totalement abasourdi par l'incroyable scène. J'en ai le souffle coupé, les pensées se carambolent dans ma tête à me donner le tournis. Peu à peu, je retrouve ma respiration. Un sentiment de colère m'envahit. Sur le point de faire une entrée fracassante, je me ravise et jette à nouveau un œil dans la pièce, en repoussant légèrement la porte. Tapi dans l'obscurité du couloir, ils ne peuvent pas me voir.
L'homme, que je ne connais pas, doit avoir soixante, soixante-cinq ans, peut-être plus. De taille moyenne, plutôt mince, les cheveux blancs coupés courts, *** visage ridé et les membres dégarnis évoquent clairement un âge avancé. Agenouillé devant mon épouse, il lui tient les jambes relevées et écartées et la pénètre avec une belle vigueur, en poussant des « han » de satisfaction.
Je suis sous le choc, n'arrivant pas à croire ce que je vois. Un curieux sentiment s'empare de moi mêlant la colère, la jalousie et l'envie. La scène est totalement surréaliste, et étrangement, me captive. Je regarde Anne-Laure, la tête sur le bord du canapé, les yeux mi-clos, sa chevelure brune rejetée vers l'arrière. Sa poitrine généreuse se soulève en cadence, secouée par les assauts énergiques de l'inconnu.
Mais qui est-il, bon sang, d'où sort-il ? Les questions se bousculent.
Comment mon épouse a-t-elle pu trouver du charme à ce vieux, et répondre ainsi à ses avances ? Quels atouts a-t-il pu mettre en avant pour la séduire, et réussir à gagner ses faveurs ? A-t-il de l'humour, est-il doux et gentil, intelligent ?
Anne-Laure partage ma vie depuis plus de vingt ans, elle a été une mère de famille dévouée et a toujours rempli *** devoir conjugal sans rechigner, mais sans plus, le sexe n'étant pas sa priorité. J'ai bien tenté quelques fois de pimenter nos ébats, mais sans succès.
Ce que je découvre là me laisse pantois. Elle semble prendre *** pied la garce ! Sacré surprise !
— Ouiii... ouiii... Antoine ! Vas-y plus fort, l'encourage-t-elle.
— Tu me sens bien, ma belle ? Tu aimes, hein ?
— Ohhh... Antoine... oui...


Ce nom d'Antoine me dit quelque chose... Bien sûr ! C'est un retraité qui travaille aussi comme bénévole dans la même association que ma femme. Il lui téléphone effectivement de temps en temps à la mai*** et il l'a emmenée quelquefois à des manifestations. Elle m'a déjà parlé de lui, le présentant comme un homme sympathique et convivial.
Je me demande soudain si leur liai*** dure depuis longtemps. Alors que je culpabilise à chacun de mes déplacements, peut-être en profite-t-elle pour se faire sauter par ce vieux. La colère gronde en moi à la pensée qu'il l'a peut-être déjà baisée ici, pendant mes absences, ou dans les locaux de leur association. Tétanisé, je continue d'observer passivement la scène.
L'homme se retire, en invitant Anne-Laure à se relever.
— Viens goûter notre petit ami, lui dit-il, il est chaud bouillant.


Le changement de position me permet de découvrir *** anatomie, que sa position me cachait jusque là. *** corps n'est pas celui d'un Apollon, loin s'en faut, il paraît même bien fatigué par les années, à en juger par les plis de sa peau. Mais au milieu de la toi*** pubienne, d'un blanc immaculé, se dresse une verge de belle taille, longue et épaisse, terminée par un gros gland lisse.
Un sentiment de jalousie m'envahit un instant car la comparai*** n'est pas flatteuse pour moi. Je comprends mieux maintenant l'intérêt de ma femme, car il est effectivement bien membré et démontre une belle vitalité.
Anne-Laure s'agenouille devant le sexagénaire.

chrislebo

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#5,335
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Consterné, je la vois saisir le membre érigé à pleine main, refermant ses lèvres sur le gland turgescent. Elle le suce délicatement, faisant tourner sa langue autour du bourrelet, puis se met à le pomper activement, les lèvres glissant sur la tige de chair, l'avalant presque totalement, faisant gémir *** amant de plaisir.
— Oohhh, c'est bon... souffle-t-il. Ouiiii... Vas-y, suce-moi bien !


Bien sûr que c'est bon, car elle sait y faire, avec sa petite langue qui vous chatouille le gland. De nature réservée, bridée par une éducation rigoureuse, elle avait accepté tardivement la fellation dans nos relations, puis y avait pris goût, montrant rapidement de réelles dispositions. Il y a longtemps qu'Anne-Laure ne m'a pas sucé de cette façon, avec un aussi vif plaisir. Je suis stupéfait par la gloutonnerie qu'elle montre à avaler le sexe de cet homme, le visage collé à *** bas-ventre, tandis qu'il lui caresse les cheveux. La bite disparaît presque complètement dans la bouche affamée.
Complètement **********, je regarde ma femme lécher le sexe du retraité, avec une rare gourmandise, passant et repassant sa langue le long de la verge, lui prenant les bourses dans sa bouche et suçant les testicules tandis que ses mains courent sur les fesses et les cuisses nues de *** amant.
— Tu es bien dur, mon chéri, dit-elle, en le branlant vigoureusement. Tu aimes ?
— Oh oui, c'est bon, continue comme ça !


L'homme grimace de plaisir en regardant ma femme, déchaînée, s'activer sur sa bite qui se dresse fièrement. Je découvre une facette de ma femme que je ne connaissais pas, et bizarrement cela m'excite beaucoup. Tout autre mari, à ma place, aurait fait irruption et bouté le malfaisant hors de la mai***, avec pertes et fracas. Mais la vision de mon épouse engloutissant le sexe d'un autre homme m'excite et je n'ai pas envie de l'interrompre. Serais-je un pervers qui s'ignore ?
— J'ai envie de toi ! dit Antoine en se dégageant de la bouche affamée de mon épouse.


Et il l'aide à changer de position. Anne-Laure me tourne maintenant le dos, agenouillée sur le canapé, les bras posés sur l'accoudoir, les jambes écartées. Je la regarde avec envie, admiratif de sa quarantaine épanouie, de ses courbes généreuses qui damneraient un saint. Antoine s'est approché et pose ses mains noueuses sur les fesses rebondies, pressant la chair tendre et souple, puis les écarte, dégageant largement la vulve bombée.
— Tu as vraiment un beau cul, tu sais ! s'exclame-t-il en la caressant.


Le salaud ! J'aurais payé cher pour être à sa place à cet instant, mais ce n'est pas moi qui profiterai cette fois-ci de ce cul superbe. Je me contente de savourer la vue sur cette croupe généreusement offerte. L'effet de surprise passé, la colère a disparu, cédant à la place à une excitation grandissante ainsi qu'en témoigne le durcissement de mon sexe. Ils ne ***t qu'à quelques mètres de moi, j'entends et je vois parfaitement tout ce qu'ils font.
Il s'agenouille, et du plat de sa langue lèche voluptueusement les lèvres roses, brillantes et humides qu'il tient écartées de ses doigts.
— Hum... ça sent bon ! dit-il entre deux passages.


Sa langue fouille activement la chatte offerte, s'introduisant dans l'orifice trempé.
— Qu'est ce que tu mouilles, dis-donc ! J'adore les femmes qui mouillent comme ça.


C'est vrai qu'Anne-Laure mouille beaucoup, surtout quand on lui lèche longuement le clitoris, lequel grossit alors dans des proportions assez incroyables. L'homme a dû d'ailleurs le trouver car il s'exclame à nouveau :
— Waouh... quel clito ! Hum... hum... c'est bon !


La tête en arrière, ma femme se cambre de plaisir sous les titillements de la langue qui fouille allègrement *** intimité, lui agaçant *** petit bouton nacré. Elle gémit doucement quand Antoine lui pince le clitoris entre ses lèvres, et le branle délicatement.
— Qu'est ce que j'aime ta chatte, ma chérie !...
— Oohhh... Antoine... Oui... Continue, c'est bon !

chrislebo

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#5,336
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La tête enfouie entre les fesses, il la lèche longuement, glissant doucement le long de la raie, titillant de la pointe de la langue la petite rosace brune et plissée. Anne-Laure, très sensible à ces caresses, répond en ondulant voluptueusement du bassin.
Le retraité se relève, pose un genou sur le divan, caresse la croupe nue et rebondie, puis guidant d'une main *** sexe bien raide, il pénètre mon épouse, s'enfonçant lentement jusqu'à la garde. J'imagine aisément ce qu'il doit ressentir en glissant dans ma femme. Anne-Laure a gémi pendant la plongée du membre durci dans ses chairs, tandis que je sens naître en moi un sentiment de jalousie et d'envie mêlées.
— Qu'est ce que t'es bonne... souffla-t-il. Humm... tu es douce !


À petits coups de rein, l'homme fouille le ventre chaud et accueillant de sa partenaire. Cela doit être efficace à en juger les cris de plaisirs qui fusent au rythme de la verge. Les mains accrochées aux hanches de mon épouse, il enchaîne des va-et-vient réguliers, plongeant sa bite gonflée dans l'étui douillet que je connais si bien.
— Ohhh... Ohhh... oui... Tu es dur ! Je te sens bien ! s'exclama mon épouse.
— J'ai envie de toi, dit-il... je veux te prendre.
— Ahhh, ahhh... Oui... Vas-y mon chéri ! Ahhh... prends-moi bien fort !
— Ohhh... Je veux te baiser !... Je te baise !


Je suis fasciné par le spectacle de ce vieil homme qui baise ma femme chez moi, à une cadence soutenue, lui tirant des cris de plaisir qui ré***nent à mes oreilles comme autant d'aiguillons. Le claquement des cuisses contre les fesses nues rythme les soubresauts de *** corps secoué. D'une main, il tient Anne-Laure par la hanche, et de l'autre il lui caresse la poitrine, passant d'un sein à l'autre, pressant les globes lourds et fermes.
— Tu as de sacrés melons... Ça c'est du nichon !


Je me rends compte que j'ai à mon tour une superbe érection. Je dégage ma verge du pantalon et commence à me masturber doucement.
Les seins généreux d'Anne-Laure ballottent sous les coups de boutoir du retraité, lequel alterne les rythmes rapides et lents, fouillant profondément l'intimité abandonnée à *** désir.
— Ouiii ! Antoine !... Je te sens bien !
— Qu'est-ce que tu es bonne, nom d'un chien !
— Ahhh ! Oui, viens, prends-moi fort ! Baise-moi !
— Oohhh... J'aime te baiser ! J'aime ta chatte, elle est douce !
— Aouhhh !... Oui... Baise-moi bien !


Je n'en crois pas mes oreilles. Jamais Anne-Laure ne s'exprime comme cela pendant nos rapports. Je découvre une autre per***ne, au langage cru, presque grossier, qui la rend terriblement excitante.
Mon regard ne peut se détacher de ce sexe qui défonce ma femme en la faisant crier de plaisir. Le membre plonge en elle complètement, disparaissant de ma vue, et je l'imagine fouillant l'intérieur des chairs délicates.
— Ahhh... Oouh... Tu es une sacré salope ! s'écria Antoine
— Ouiii... J'aime quand tu me baises, Antoine !
— Et ton mari, il ne te baise pas ?
— Si, mais c'est pas pareil. Ça fait longtemps maintenant, on est habitué. Cela ne me fait plus grand chose !
— Ah... Ta chatte est bonne, nom d'un chien ! répétait-il. J'aime ta chatte... Je vais te bourrer petite salope !
— Oui... Baise-moi ! Bourre-moi bien fort, Antoine !


Je suis vraiment étonné de sa résistance, et de l'énergie qu'il déploie à la tringler. Par moment il sort *** sexe complètement du vagin avant de replonger à nouveau, très lentement. Sa verge paraît avoir encore gonflé, et quand le gland, énorme et rouge, ***** la vulve, Anne-Laure pousse des cris de contentement. Tout en la pilonnant avec régularité, il lui caresse doucement l'anus avec *** index, après y avoir déposé un long filet de salive.

chrislebo

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#5,337
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Consterné, envieux, je comprends qu'il va bientôt profiter du « petit trésor » comme elle dit, qu'elle m'a toujours refusé, malgré mes nombreuses demandes. Lentement il enfonce *** doigt dans le petit orifice, tandis qu'Anne-Laure se cambre légèrement. Il le fait aller et venir, assouplissant ainsi la petite rosette. C'est bientôt deux puis trois doigts qu'il introduit dans *** intimité, la fouillant fiévreusement. Celle-ci gémit de plus en plus, totalement abandonnée aux caresses de *** amant.

Quelle salope !
— Oohhh... Antoine... Ouuhh ! C'est bon ! souffle-t-elle.
— Dis-donc, ton petit trou est bien souple ! On doit y passer souvent, non ?


Elle ne répond pas, se contentant de hocher la tête en signe de dénégation.
— Ah bon... dit-il étonné. Pourtant j'aurais juré le contraire !


Consciencieusement il lui doigte l'anus, avec des petits mouvements de moulinet.
— Aouhh... Ouiii... Ahhh, Antoine !


Les doigts accélèrent, sous les cris d'Anne-Laure qui ondule sa croupe de plus en plus, les reins cambrés, la tête en arrière.
— Ouiii... Ouiii... Ouuhh Antoine !
— Voyons cela de plus près ! dit-il en dégageant *** sexe du vagin et en le mouillant de salive.


Puis il l'appuie sur la rosette plissée, et je vois le gland presser les chairs, et lentement disparaître dans l'orifice, tandis que ma femme pousse un cri de douleur et de plaisir mêlés. Le sexe d'Antoine est d'un bon diamètre, et la pression pour Anne-Laure doit être très importante. Il s'arrête, la laissant s'adapter, puis reprend sa lente plongée dans les profondeurs les plus intimes de mon épouse.
— Ahhh... Nom d'un chien, quel cul ! s'exclama-t-il après l'avoir pénétrée totalement. Qu'est-ce que c'est bon !


Il se retire lentement puis la pénètre à nouveau, s'enfonçant cette fois-ci d'un seul coup, qui fit de nouveau hurler Anne-Laure.
— Aaaahh... Oooouhhh ! crie-t-elle, tandis que la verge du retraité s'enfouit en elle, plongeant vers les trésors cachés.
— Ohhh... quel cul ma belle, c'est pas croyable ! crie-t-il en la bourrant maintenant avec vigueur. Qu'est-ce qu'il est doux !


Pendant de longues minutes le sexagénaire la sodomise, n'hésitant pas à lui claquer les fesses, ce qui a l'air de lui plaire.
— Et dire que tu n'as pas laissé ton mari te baiser le cul,... Un cul comme celui-là !
— Ohhh... Ouiii... Ouiii ! Ohhh... Antoine !
— Oui, jouis ma belle, vas-y ! Jouis !
— Ouhhh... ouhhh, c'est bon... Baise-moi, Antoine, baise-moi... !


Les cris de jouissance de mon épouse ré***nent dans ma tête, et je la contemple, fasciné par le membre long et épais qui va-et-vient entre ses fesses rebondies. L'excitation du retraité est à *** comble et il lui martèle le cul avec une vigueur incroyable.
— Allez, jouis... ! crie-t-il. Vas-y, jouis de ma bite !


Tout cela me paraît complètement irréel. Le claquement de ses cuisses contre les fesses de ma femme à chaque pénétration ré***ne à mes oreilles, et m'excite encore plus.
— Tu aimes que je te prenne par le cul, hein ? Tu aimes ?
— Oui Antoine, j'aime ça... C'est trop bon !


Ma queue est dure comme elle ne l'a plus été depuis longtemps.
Un grand cri ré***ne soudain dans le salon, et je comprends que le retraité vient de jouir, profondément planté dans le cul de ma femme.
— Putain, que c'est bon !


Il s'est cambré, les yeux fermés, et la pilonne violemment, en la tenant fermement par les hanches. J'imagine la semence qui fuse en jets saccadés, inondant l'intimité douillette qui l'a accueillie. Dans la foulée Anne-Laure a crié également, *** corps secoué de soubresauts, témoin d'un orgasme particulièrement intense. Leur jouissance provoque la mienne et j'éjacule en silence dans le couloir obscur, maculant le mur de mon sperme brûlant.
Mon orgasme a été particulièrement fort, et je reprends mon souffle peu à peu, le front mouillé de sueur.
Après s'être longuement vidé les couilles au fond de *** rectum, le retraité s'est affalé sur le dos d'Anne-Laure, *** sexe toujours planté entre ses fesses, en la caressant de ses mains noueuses.
— Ohhh Antoine, dit-elle, c'était bon, tu sais !
— Oui ma chérie, c'était bon... j'aime te baiser, tu es vraiment bonne !
— Antoine...


La tension retombe lentement.
Sans bruit, je fais demi-tour et sors par le garage, laissant les deux amants à leur soirée qui n'est sans doute pas finie.
J'ai du mal à réaliser ce dont je viens d'être témoin. Ce n'est pourtant pas un rêve, et je vais devoir m'y faire. Je réalise que je suis vraiment cocu, mais un cocu content, content que sa femme soit bien baisée.
J'arriverai demain, comme prévu, des idées plein la tête, bien décidé à redécouvrir mon épouse, à profiter de ses nouvelles dispositions.

vanbruje

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Déjà publié, mais toujours aussi bon !!!
soumis8

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vanbruje:
Déjà publié, mais toujours aussi bon !!!

exact, mais ne lui en voulons pas, il nous régale tant, et presque quotidiennement, avec ses histoires......en français!!!!
chrislebo

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Je fais le ménage à domicile.


Par ce beau jour de mai, je faisais la vaisselle torse nu, devant la fenêtre de la cuisine grande ouverte. Elle donne sur une cour assez vaste, entourée d'autres immeubles. J'adore le calme ensoleillé de cette cour à l'heure de la sieste.

À un moment, je remarque quelque chose d'insolite : à une fenêtre de l'immeuble d'en face, plus haute de deux-trois étages par rapport à la mienne, un type est en train de laver ses carreaux. Mais voilà : il est totalement à poil ! Bien que ce soit assez loin, je distingue très bien *** sexe qui pend. Il faut dire qu'il doit être sur un petit tabouret ou quelque chose : on dirait qu'il fait tout pour que je le voie !

Il a vu que je le regarde ; je continue de laver mes assiettes. En fait j'ai fini, mais je prolonge la chose en tournant indéfiniment l'éponge sur la dernière assiette tout en le regardant. Il est âgé : la soixantaine. Il a des poils gri***nants sur le torse et *** ventre qui ballonne.

Il s'éloigne de la fenêtre et revient avec un téléphone sans fil à la main. Avec *** chiffon blanc dans l'autre main, il dessine des grands chiffres sur la vitre qu'il nettoyait. Je vais à mon tour chercher mon téléphone et je reviens un peu troublé. Il recommence à tracer des chiffres : 0... 3... 8... 7... En composant le numéro, j'ai les doigts tout froids et qui tremblent un peu. Il décroche aussitôt :

– Dis donc, petite salope, t'es bien chaude, toi, on dirait...

J'ai la voix qui s'étrangle un peu, et je réponds faiblement et la bouche sèche :

– J'ai envie de me faire baiser...
– Lave-toi le cul et ramène-toi, petite salope.

Il me dit *** code, *** nom, *** étage. J'enfile un T-shirt, je prends des capotes et du gel et j'y vais.

Il m'accueille en short. Il me fait aller dans la cuisine.

– Fous-toi à poil, et fais ma vaisselle : moi, je vais te regarder.

Je me déshabille lentement pour compenser ma maladresse, car je suis complètement troublé, et je bande comme un fou. Une fois nu, j'ouvre l'eau chaude. C'est bon de la sentir couler sur mes mains. Je commence à laver la vaisselle qui stagne dans l'évier.

Il ramasse mon boxer noir par terre, le renifle. Je me retourne pour voir. Il me fait « ts ! ts ! ts ! » qui veut dire « non ». Je me replonge dans ma vaisselle. Il s'approche de moi par derrière et me passe mon boxer sur la tête en faisant une sorte de nœud dans l'élastique derrière pour le faire tenir. Je ne distingue plus que vaguement ce que je fais à travers le tissu noir. J'ouvre la bouche pour respirer car il l'a laissée libre. Par contre, j'ai le nez, dans le tissu : j'ai l'odeur de ma sueur et de ma bite qui l'imprègne.

Il doit être en trains de me regarder et de se... Il marmonne des trucs :

– T'as de beaux abdos... Je vais te sodomiser. Oui, continue la vaisselle salope. Nettoie bien. Penche-toi un peu... Ça te fait bander, hein ? Tu vas te faire sodomiser très, très longuement...

Les yeux bandés par mon boxer, je me donne du mal pour finir la vaisselle correctement. Il salue mes efforts en disant :

– oui, c'est bien... oui...
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