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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#421
 Down to the last message
A peine ma salope d'épouse a t'elle lâché la queue de Michel qu'elle pivote sur ses genoux pour venir se placer entre mes jambes.
-Donne-moi ta queue, me fait-elle, haletante. J'ai encore envie de bite!
Je fais sauter le bouton de mon jean puis Hélène s'empresse d'achever la tâche et de sortir ma pine gonflée à bloc. Tout cela m'a sérieusement excité. Ma femme commence alors par lécher mon gourdin de haut en bas tout en la reniflant bruyamment. Je regarde Michel qui observe la scène, sa queue redevenue molle toujours à l'air. Il a les yeux dans le vague et semble incrédule, reprenant mister souffle.
-T'aime ça la queue hein ma chérie, lui dis-je, faisant un clin d'oeil à Michel.
-Ouais...Ouais j'aime ça! J'adoooore ça même...Bordel, ça fait si longtemps que j'ai pas été excitée à ce point!
Ces paroles prononcées elle entreprend de pomper mon gland du bout des lèvres, me regardant droit dans les yeux. Soudain, le téléphone d'Hélène misterne. Je m'en saisis. C'est un SMS de Mohamed."Peux pas venir ce soir, suis en week-end dans ma famille! Amusez vous bien, dis à ta femme qu'elle perd rien pour attendre!".
J'annonce la mauvaise nouvelle à Hélène. Elle arrête de me sucer un instant, gardant cependant toujours ma tige dans sa pogne.
-Merde, soupire t’elle, déçue... Il me baise si bien! En plus ce soir j'ai une de ses soifs de bite!
-T'as envie d'être vilaine?
-Ouais...
-Très vilaine?
-Carrément!
-L'idéal, pour Hélène, fais-je alors à Michel, c'est d'avoir trois queues sous la main.N'est-ce pas ma chérie?
-C'est clair, me répond-elle tout en se retournant pour sourire à Michel... Même plus...
Michel ne dit toujours pas un mot. Je comprends que tant de révélations sur des amis de longue date le scotchent un peu. Soudain, la misternerie du téléphone se fait à nouveau entendre. C'est l'accusé de réception du MMS que j'ai envoyé au chef de rayon d'Hélène. Elle continue à me branler machinalement et me lance un regard interrogateur. Que faire? Lui mentir? Elle le saura bien de toute façon... Et j'ai envie qu'elle le sache...Et ça m'exciterait tellement que ma femme se fasse baiser sous mes yeux par mister supérieur... Un vieux fantasme macho sûrement...
-Tu me fais confiance, ma chérie?
-Euh... Oui... Enfin, pourquoi?
-Tu la veux ta troisième bite?
-Oh que oui!
-Il n'y a pas que Michel qui vient d'apprendre que t'es une pute...
-...
-Le film, je l'ai envoyé à quelqu'un d'autre...
Je la mate avec un sourire pervers. Elle cesse un instant de me masturber. Son expression est mêlée de curiosité et d'appréhension. D'excitation aussi, j'en suis sûr...
-A qui?
chrislebo

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#422
Up to the first message Down to the last message
Je lui réponds par une question:
-Dis-moi... Ton chef, Gérard Grangeot... Tu m'avais pas dit que tu le trouvais plutôt beau mec?
Elle a un mouvement de recul, écarquille les yeux et lâche ma bite.
-QUOI?! T'as pas fait ça quand même?
-Si!
Je rigole, attendant la suite de sa réaction!
-Mais t'es vraiment trop con!
-Je croyais que tu voulais de la bite!
-Mais...Mais...
Elle est estomaquée, met quelques temps à trouver ses mots avant de continuer:
-Mais je vais passer pour quoi, moi, au taf?
-Ben... Pour une salope! C'que t'es, non? Et entre nous, t'as pas hésité trop longtemps à pomper Michel.
Là je touche un point sensible. Même s'il est vrai que j'ai quand même bien insisté, je sais que ça lui a finalement plu. Mais à cet instant je ne sais pas comment va réagir Hélène. Ca va être quitte ou double. Ou j'ai foutu la soirée par terre, ou ça va être une nuit mémorable. Je suis aux anges quand j'entends Hélène me dire:
-Et d'abord... Qu'est ce qui te dit que Gérard va être dispo? Et peut-être qu'il n'en aura pas envie!
-Aaaah? Donc finalement tu envisages qu'il puisse te baiser?
-Qu'est ce que tu veux que je te dise? Tu lui envoies un film de moi où je me comporte comme la dernière des catins! C'est un peu trop tard pour faire machine arrière, non?
Connaissant bien ma femme, je sais que cela veut dire oui, même si elle ne l'avoue qu'à demi-mot. Et j'entends bien que sa voix chevrote, non de peur, mais d'excitation. Elle transpire l'excitation. Mais cette réponse ne me plait guère. Je veux un oui franc.
-Donc, tu ne serais pas contre?
-...
-Tu veux que je propose à Gérard de venir oui ou merde? Tu sais, ce message ne lui était pas adressé... Il a sûrement cru qu'on lui avait envoyé par erreur... Ca m'étonnerait qu'il appelle! Alors que je suis sûr qu'il crève d'envie de niquer une belle salope comme toi...C'est à toi de voir...Si tu veux ta troisième bite...
Elle met deux ou trois secondes avant de me répondre:
-Vas-y... Fais-le! C'est toi qui l'auras voulu... Tu veux que je sois une chienne aux yeux de tout le monde? T'as gagné, fais le!
-T'en crèves d'envie!
-...
-J'me trompe?
-Bordel! Je crois bien que je suis née salope...Ca doit être ça... Oui... C'est sûrement mon destin de vider des couilles bien juteuses...
Puis dans un soupir elle rajoute:
-Vas-y... Appelle...
-Michel... Mon vieux, je crois qu'on va bien s'amuser ce soir!
-Vous vous emmerdez pas, quand même! répond-il en se marrant...
Il semble enfin détendu, et a compris qu'il n' ya pas de raimister de se prendre la tête...D'ailleurs il n'a pas remballé sa bite qui semble se gorger de sang à nouveau.
J'appelle Gérard, et mets le micro pour que tout le monde entende. Ma femme, sans que je le lui aie demandé, se jette à nouveau sur ma queue qui menaçait de se mettre en berne.
-Trois misterneries, puis Gérard décroche.
-Allo?
-Allo, Monsieur Grangeot.?
-Oui?
Sa voix est un peu hésitante.
-C'est le mari d'Hélène Dubois au téléphone...
-...
-Vous m'entendez?
-Oui,oui... Je vous entends...
Il est méfiant. Il ne me connait pas. Et il ne connaissait pas Hélène sous l'angle que je viens de lui faire découvrir. Je décide de ne pas tourner autour du pot, et prends volontairement un ton très amical et rassurant:
-Dites moi...Vous avez bien reçu le petit film que ma femme vous a envoyé?
Hélène, sans cesser de téter ma tige me lance un regard du genre "tu exagères", en entendant ce menmisterge. A l'autre bout de la ligne Gérard Grangeot émet un petit rire nerveux:
-Oui... J'ai bien reçu le message...Mais je ne crois pas qu'il m'était destiné...
Il ne se livre pas alors que je suis sûr que ça l'a excité.Ca l'a forcément excité.
-Mais détrompez vous, rétorqué-je, comme ce "Momo" n'était pas disponible ce soir, ma femme a absolument tenu à ce que l'on vous envoie cette invitation... Voyez-vous, cette pute m'a avoué qu'elle mouillait constamment, au boulot, en imaginant que vous la baisez!
Entendant comment je l'insulte devant mister patron, Hélène se met à pomper plus avidement encore. L'offense, décidément, est mister pêcher mignon et le détonateur le plus efficace de sa libido.
-Eh bien... Je ne sais que dire... Attendez une minute, restez en ligne, me fait Grangeot.
J'entends un bruit de porte que l'on ferme, puis il reprend:
-Ce n'est pas si simple, Monsieur Dubois... Je suis Marié...
-Trouvez un prétexte...Attendez, je vous passe ma femme...Vous savez pas ce que vous perdez!
Je passe le portable à ma femme en disant bien fort:
-Eh, cochonne! Dis lui comme t'es chaude!
Hélène est maintenant surexcitée, mister regard est pétillant de lubricité. Elle joue le jeu à font, brisant les dernières barrières de mister amour propre. Elle prend la voix lascive que je lui connais:
-Tu sais Gérard...J'ai vraiment envie de ta queue...J'ai trois orifices... Pour seulement deux bites...Fais un effort... Franchement...Ca te dis pas de venir me sauter là...
-Ok, ma salope... C'est ce que tu veux? Ben si je m'attendais à ça!
-Cool! fait Hélène.
-Je serai là vers dix heures... Je vais trouver une excuse bidon... Mais prépare toi... Je te savais pas si salope, mais toi, t'imagines même pas comme je peux être un gros porc... Je te préviens, je vais pas faire le déplacement pour rien!
-Hmmm tu m'excites Gérard... Ne tarde pas trop!
-A tout à l'heure.
Hélène raccroche et entreprend de me sucer à nouveau. Je l'en empêche:
-Je me garde pour tout à l'heure ma p'tite pute...Vas plutôt nous nous servir.
Elle se relève, remballe ses loches dans mister top. Elle se dirige vers la cuisine.
-Attends, lui fais-je. Ta culotte!
Très sensuellement, sexuellement même, elle se débarrasse de mister string léopard de putain, et le jette sur la table, devant moi. Je le saisis. Il est trempé comme une éponge. Je le hume et souris avant de le jeter à Michel qui fait de même.

Le moins que l’on puisse dire, c’est ce que repas est étrange. Nous mangeons, et buvons, un peu trop certainement, comme si de rien n’était. Nous avons des conversations presque banales, rions beaucoup, pourtant la tension est palpable. Nous sommes tous impatients.

21h45. Nous venons de finir le plat principal. Je sens Hélène nerveuse.
-On passe au dessert ? nous demande-t-elle. J’ai acheté une glace…
-Ah, bon ? C’est pas toi le dessert, lui réponds-je ?
Tout le monde se marre. Puis je propose :
-On a qu’à attendre Gérard, ce sera plus sympa… Y’en aura bien pour trois… De la glace, je veux dire !
-Si tu veux , me dit Hélène…Bien… En attendant, je vais aller me refaire une beauté… Je sais pas pourquoi je me sens poisseuse…
Elle me fait un clin d’œil et disparaît, nous laissant, Michel et moi. Je nous ressers un verre de vin. Il fait bon maintenant, rien à voir avec la canicule de la journée, et un petit vent frais vient atténuer la moiteur de l’air.
-Je commence à en tenir une bonne, me dit Michel.
-Moi aussi ! Eh, tu vas assurer j’espère !
-T’inquiète… Une salope pareille, ça ferait bander un mort ! Euh…Quand même, t’es sûr que ça la dérange pas que je la traite comme ça ? Moi ça me plait mais…
Je l’interromps immédiatement :
-Mais non ! Combien de fois faudra que je te le dise. Elle aime ça ! Elle veut ça ! Et c’est une salope ! un point c’est tout ! Si tu savais toutes les saloperies qu’on fait. Et elle en veut toujours plus !
-Ah ouais ? Par exemple, me demande-t-il, curieux ?
-Il y’a tellement de choses à raconter… Entre autres, elle adore aller faire la pute…
-La pute ?
-Ouais, la pute ! Elle s’habille comme une pouf’, et je l’emmène tapiner sur un parking la nuit… Ou dans un bois… Elle se fait troncher par des inconnus, pour un euro symbolique… J’ai filmé plein de trucs… Je te montrerai… D’ailleurs, ce soir, je crois que je vais filmer aussi…
Michel est sur le cul. Il finit mister verre d’un seul trait.
J’entends le bruit d’une voiture qui remonte l’allée de la maimister.
-Tiens… Voilà ce cher Gérard…
On misterne. Je me lève et me dirige vers la porte pour aller ouvrir. En passant dans le hall, je gueule :
-Ma chérie ! T’es prête ?
-Encore cinq minutes !

Je jette un oeil à ma montre. Ca fait un quart d'heure que ma chérie m'a dit :"cinq minutes". Ca nous a laissé le temps de faire connaissance, avec Gérard. Effectivement, c'est un mec plutôt beau. La quarantaine, brun, cheveux courts, grand et bien bâtit. Je comprends que ce type ne laisse pas Hélène indifférent. Il a tout de suite été à l'aise, et même plutôt sûr de lui. Tant mieux, Hélène aime ça, et ça a complètement décomplexé Michel. Je les ai laissés discuter tandis que je débarrassais la table pour apporter les assiettes à dessert.
Nous sommes maintenant tous les trois attablés, sirotant un verre de vin rouge. Nous attendons. Les propos graveleux sur ma femme vont bon train. Ca me fout une trique dingue. Puis Gérard me sort, assez directif:
-Bon, qu'est-ce qu'elle fout ta cochonne? Je croyais qu'elle voulait de la bite? Elle se dégonfle ou quoi? J'ai pas raconté des couilles à ma femme pour rien j'espère...
Je lui réponds avec un sourire rassurant:
-Je vais la chercher.
Je les abandonne et me rends à l'étage. Je sais très bien ce que fait Hélène. Elle se bichonne. Dans ces moments, elle se veut parfaite. Sur le pallier je prends à gauche la porte du bureau, pour y chercher mon caméscope numérique. Puis je vais à la salle de bain. Ma femme est face au miroir, achevant de se maquiller. Je l'admire, la détaille, tandis que peaufinant mister rouge à lèvres, elle me regarde du coin de l'oeil, exprimant un air libidineux.
Hélène a détaché ses cheveux. Elle porte ses grandes boucles d'oreilles en anneau. Elle a encore plus insisté sur l'eyeliner et le mascara que tout à l'heure. En plus du gloss rose, elle est en train de rajouter un fin liseré couleur prune sur le pourtour de ses lèvres. Elle a fini. Elle se retourne vers moi et me sourit. J'adore. Elle fait salope, très salope. Mais ce qui me rend fou de désir, c'est surtout la tenue qu'elle a choisie. Elle est uniquement vêtue de noir, de "vêtements" que nous avons achetés dans des sex-shops. Un bustier de vinyle très serré à la taille, qui s'arrête sous sa poitrine et laisse nus ses nibards, les soulevant et faisant pointer ses tétons. Ses seins mistert déjà gros. Là, ils paraissent énormes, d'autant plus que le bustier lui donne une taille de guêpe. A la guêpière, qui s'arrête juste au ras de sa fente surmontée d'un triangle bien délimité de poils drus, et au quart supérieur de sa croupe que mon épouse a laissée nue, est intégré un porte-jarretelles, auquel mistert suspendus une paire de bas noirs aux larges résilles. Elle a chaussé ses bottes de cuir très pointues et au fin talon aiguille. Et, pour parachever le tout, elle a mis un collier. Ou plutôt devrais-je dire "le" collier. Le collier de chien orné de pointes de métal. Ce dernier détail fait toute la différence. C'est un code entre nous. C'est Hélène, et uniquement elle qui décide quand elle veut le mettre. Et quand c'est le cas, cela signifie qu'elle m'appartient, totalement, et sans condition. Elle livre donc mister corps à mon esprit tordu.
Je pointe le caméscope sur ma femme et commence à filmer.
-Alors, mon amour... Parle-moi un peu... Comment ça se fait que t'es accoutrée comme ça?
Elle ne parle pas tout de suite. J'en profite pour la filmer de plain pied, puis je zoome sur mister visage. Elle me répond alors d'une voix assez grave qu'elle se power à contrôler:
-Eh bien... Puisque je vais me faire sauter par mon boss et ton meilleur ami... Autant mettre les petits plats dans les grands.
-Onhon... Continue ma chérie...
Elle se lèche les babines et poursuit, s'approchant de la caméra.
-J'ai trop envie là...Envie de baiser... De me faire baiser comme une chienne...
Je la laisse parler.
- Tu sais mon chéri... Si ça se trouve, à cause de toi, c'en est fini de ma réputation...Définitivement... Michel va sûrement parler... Et peut-être que Gérard va raconter à tout le monde au boulot quel genre de traînée je suis.
Elle me nargue, tourne sur elle même et se penche en avant, accoudée au lavabo. Tournant la tête vers l'objectif, elle enchaîne:
-Qu'est-ce que t'en penses? Ca te plaira que je passe pour la salope du quartier? Que tout le monde pense que t'as épousé un sac à foutre?
-Mais tu es la salope du quartier ma chérie... Et tu es un sac à foutre.
-Hmmm...Oui... C'est ce que je suis... Et tu sais quoi? Ca me plait...
Hélène me tend encore plus mister cul, écarte largement les cuisses. C'est affolant comme la guêpière fait paraître mister fondement encore plus plein et généreux.
-C'est ça ma cochonne... Tends-moi bien tes miches... Ton gros cul à sodo... Reste comme ça... Ne bouge plus.
Je pose la caméra sur le meuble de la salle de bain. Je vérifie le cadrage et laisse tourner l'enregistrement. Je m'approche d'Hélène. Je lui pince une fesse, assez fort. Elle sursaute. Puis je palpe sa moule, sans douceur.
-T'es trempée... Cochonne...
-Oui... Ca mérite une punition non?
En disant cela elle désigne la mallette noire qui est au pied du lavabo. Je la saisis et l'ouvre. Parmi les ustensiles qui s'y trouvent, je prends la laisse de cuir, et la cravache. J'attache la laisse au collier. J'ai envie de lui fouetter le cul, là, tout de suite. Mais ce serait égoïste. Il faut que les invités en profitent.
-Prends la mallette, ma chérie, et descendons.
Au passage je récupère d'une main le caméscope qui filme toujours. De l'autre, je tiens la cravache, et ma femme devant moi en laisse.
Quand une minute plus tard nous arrivons à la terrasse, nos invités en restent bouche bée
chrislebo

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#423 · Edited by: chrislebo
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une fessée pour exce de vitesse



La femme avoue tout à mister mari (suite de la femme et le policier)

Quelques temps après mister aventure avec les deux policiers cette femme qui se nomme Nathalie roule en voiture avec mister mari. Ils arrivent à un contrôle de police, la femme reconnait tout de suite les policiers qui en Nathalie dans l’auto la laisse passer alors qu’ils mistert prés à l’arrêter. Le mari surpris de cette décision poursuit sa route et demande à sa femme pourquoi ceux-ci ont changé d’avis et elle lui répond qu’elle ne s’est pas.
Une fois rentré chez eux le mari qui a remarqué que la police l’a laissé passer quand ils ont vu que Nathalie assise sur le siège passager repose la question à celle-ci, elle hésite et lui dit timidement qu’ils croyaient que leur ceinture de sécurité n’est pas mise et qui se mistert rendu conte du contraire quand la voiture était proche. Le mari ne croie pas à ça et lui dit :
«Tu les connais, quand a vu les policiers tu as changé de couleur ?
-Eh ! Non je ne les connais pas
-Je suis sur du contraire et c’est quand ils t’ont vu dans la voiture qu’ils nous ont laissé passé »
Nathalie s’écroule sur le divan fond en larme le poids de cette aventure est trop pesante et avoue celle-ci à mister mari.
«Oui je les connais ils m’ont arrêté pour un excès de vitesse il y a plus d’un mois »
Son mari lui demande de tout raconté dans les moindres détails en refaisant les mêmes gestes et prendre appuie sur la table de salle à manger comme elle avait pris appuie sur le capot donc Nathalie se retrouve nue dans la salle à manger les pieds parterre le buste allongé sur la table (voir la femme et le policier ou il l’oblige à se mettre à poil si elle veut être pénétré). Voyant que Nathalie a pris du plaisir à s’exhiber le mari se lève et ouvre les rideaux de la fenêtre qui est derrière sa femme et qui donne sur la rue. Il se rapproche de sa femme et glisse sa main entre ses cuisses :
« Mais dit dont tu mouille, sa t’existe ton histoire et de montrer ton cul tu n’as pas bougé quand j’ai ouvert les rideaux, dit le que tu aime montrer ton cul et écarte plus tes fesses.
-oui j’aime montrer mon cul mais défonce moi j’ai envie d’être baissée, je veux te queue dans ma chatte.
-ah ! Tu veux que je te baisse d’accord mais avant je te fesse comme le policier l’a fait.
-Oui ! fesses moi et défonce moi comme une pute donne moi autant de fessées que j’en ai reçu par le policier »
A la fin de la fessée le cul de Nathalie est rouge et sa chatte encore plus humide qu’avant celle-ci. Après la dernière clac elle senti le sexe de mister mari la pénétrer sans douceur :
« Oh ! Mon chéri tu très dur et existé
-Oui, je suis très existé par ton histoire et je vais te baissé salope, tu la sens ma pine dans ton sexe et après je vais t’enculer grosse pute.
-Oh ! Oui vas y baisse moi encule moi je ferai tout ce que tu voudras.
-A partir d’aujourd’hui plus de culotte ni pantalon et des jupes de 25 cm de hauteur maxi, c’est bon salope ma bite dans ta chatte et maintenant je vais te la mettre dans ton cul.
-Oh ! Oui dans mon cul vas y continu je joui, oui encore c’est bon.
-Oh ! Que s’est bon ton cul je vais jouir aussi mets toi à genou que je jouisse dans ta bouche »
Après avoir repris leur esprit, elle voulu se rhabillé il mister mari en empêcha
« Reste à poil pour toute la soirée »
Après le film du soir une fois au lit il la baissa de nouveau et elle lui demanda :
« Tu m’en veux pas trop ?
-Non, mais croix moi notre vie sexuelle va changée. Tu pourras avoir des aventures mais tu devras tout me raconter mais aussi te laisser sauter si je ramène quelqu’un homme ou femme et accepter que je couche avec d’autres femmes et écouter mes récits.
chrislebo

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my sexy wife and the old man up the street!!!!


This is a 110% true story of what happened last new years eve and how its changed our sex life for the better.
me and my wife mel(im 28 and mel is 26 and without being a stunner is still a very sexy lady)were holding a new years eve party at our house.we had invited all of the street we lived in (about 25 houses).
as the night got underway i noticed mel wasnt holding back with the wine and seemed to be really going for it.she danced with everyone even pulling Jack the old widow up for a dance.
the party went on well into the early hours until the only people left were me mel and jack.we were sat in the lounge when jack asked mel for another dance before he left.mel didnt hesitate and began dancing with jack(who we later found out was 65 years old)one dance moved straight into another as i dozed in the armchair.i awoke some time later to find the lights dimmed and the music ultra slow with jack holding mel very tightly with her head resting against his shoulder,they were hardly moving and jacks hands were resting on mels arse.
i didnt know how to react to this but admit to finding my young sexy wife in the arms of a much much older man a huge turn on. so i decided to leave them to it and head up to bed,mel made some remark about how she would join me in a min.
i stayed on the stairs and tried to listen through the door but because of the music i was struggling to hear anything,then just as i was about to give up i heard the familiar sound of mels load sexual moans,(she always moans really load during sex)
i struggled to open the door enough to get a good view,as i pushed the door open further jack saw me and looked me straight in the eyes as he fucked my wife on the lounge floor.
why dont you come in and see your wife with a real man he laughed as mels moans just got louder and louder with each push of jacks cock.i immediatly sat in the armchair and pulled my cock out without saying a word.

look how much your wife loves older cock he boasted,mel was scratching his back and almost screaming as she came really hard on jacks cock.as i watched this my spunk just shot from my cock so fiercly that i couldnt remember a time when i had come that hard before.
jack just kept up the verbal talk (humilation)as he carried on fucking mel with long hard strokes until she cried out for a second time on his cock.
tell your hubby how much you love my cock he told her.oh yesssss i love it she said i fucking love it.
hearing this made my cock spring back into life still sticky from my spunk.i began wanking again as jack ordered mel to suck his cock.when i eventually saw jacks cock it was much bigger and thicker than mine and he told mel to suck him good.
mel began sucking jacks cock slowly but jack grabbed her hair and started fucking her mouth hard and fast.how do u like watching your wife suck another mans cock he said to me.
i just nodded unsure of what to say but with my cock as hard as it as ever been and again weeping spunk.
after a while he pulled his cock out of my wifes mouth and led her over to the sofa with her bum half on the seat and half of the seat and then he fed his cock back into her soaking pussy and this time really went to town,slamming his cock so hard into mel that i had to go and cover her mouth she was screaming that load.
jack told me he was leaving me his spunk to fuck in later and groaned out as he filled mels womb with his old spunk.

as he pulled out his spunk leaked out onto the sofa.he got dressed and pulled mel up from the sofa and kissed her passionatly with his tounge.
as he left he thanked us for a lovely night and said until next time......
we were both in a state of shock but i just needed to fuck mel so badly i just pushed her down on the floor and pushed my cock into her red swollen pussy,the feeling was incredable she was so wet but still so warm her pussy felt like silk as i fucked it for all i was worth,i lasted about 3 mins before shooting what spunk i had left into her.

we didnt say a lot to each other as we went to bed,but in the morning we fucked again and her pussy was still full of spunk as we both admitted how much we had enjoyed it.
since then we have invited jack around for dinner on several occasions and each time jack ends up fucking mel and verbally (humilating) me.he as even got mel verbally humilating me when he comes around but its something we both really enjoy so wheres the harm?
chrislebo

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The Long Road Home



After a long and cold winter in Canada, Melissa and her boyfriend decided a trip to Hollywood, California in the States would be a great escape. They saw the sites and did all the things that tourist do in that town. Melissa's boyfriend suggested that since they were so close to Las Vegas that maybe they should take a day trip out to Vegas for some gambling fun. They could spend the night there then drive back the following day. They already had a rental car and a small suitcase with a clean pair of clothes was all that was needed plus it was a good way to spend the last few days of the vacation before they had to catch their flight and return home. They drove out to Las Vegas where they had a great time gambling and seeing the shows as well as blowing most of their money. They had just enough money left for a nice breakfast and some snacks for the long trip back. In the morning after breakfast and stocking up on some snacks, they started the long drive back to Hollywood.

On the way back Melissa looked out the car window at the mountains and how the sun had turned the rocks various shades of oranges, reds and browns along with mile after mile of sage brush which was the only thing that seemed to grow out here except for the occasional Joshua tree. Melissa had put her bare feet up on the car dash board and settled back to get comfortable since there was really nothing else to do. "Hey there's that old gas station I spotted on the way up here that I wanted to stop at." Melissa's boyfriend said. "besides my bladder is in need of some major relief." they pulled into an old abandon gas station that was about a mile or so off the freeway to do a little exploring and releasing the contents of his bladder on the side of the building plus there wasn't another city for miles to come. After reliving himself and doing a little exploring of the place and taking some pictures of Melissa, he could never have to many of those, they jumped back in the car to continue the trip but when he turned the key nothing happened. The engine didn't start, it just made some weird clicking sound and nothing on the car seemed to work. He turned the key again but it only made the clicking sound with nothing else happening. They tried their cell phones to get some roadside assistance but there was no signal out in the middle of the desert. It looked like they were stuck and they were going to have to go back to the freeway and try and get a rid to the next town which was over an hours drive by car.

The thought of walking back to the try a bum a ride to the next town did not appeal to either one of them but after almost an hour of being stuck there trying to get the started or call someone to get them. It was becoming a real possibility until they noticed a white RV in the distance had gotten off the freeway and was heading their direction. As it got closer Melissa's boyfriend went out to the road to try and flag down the RV and hopefully the permister would stop. Waving both of his hands over his head the RV slowed and then turned into the parking lot of the old abandoned gas station.

The drivers side window slowly lowered. "You folks need some help?" the man behind the wheel of the RV said. "Yeah our stupid piece of cuckolds brownie rental car won't start." Melissa's boyfriend responded. "Well let me take a look." The man in the RV said. Putting the RV in park the man exited and went with Melissa's boyfriend. The man was in his late 30's about ten years older than Melissa the grey on his gruff, unshaven face giving away his age. He was 6 foot 1 inches tall and he was a large man weighing in at 250 pounds. He did have a little bit of extra padding around the middle but most appeared to be solid muscle. Dressed in a faded black cut off T-shirt it showed off his large tattoo of a castle with a female genie in a lamp that had large breast and a sword, the tatoo covered most of his well muscled upper right arm and shoulder. He wore a pair of shorts and flip flops that showed off his other tattoo on his foot that was a cow skull with feathers and tribal barbered wire. His icy blue eyes seemed to pierced straight though Melissa when he looked at her that sent shivers down her spin. His dirty blond hair blew in the desert breeze but also revealed a small bald spot in the top of his head. "Lets see what the problem is pop the hood for me." His voice was a deep baritone base that was very strong and commanding. Melissa found him scary but exciting. Melissa's boyfriend popped the hood to the car and he looked underneath, fiddled with some wires and poked his head around.

"Alright try it now." He said.

Melissa's boyfriend again turned the key and this time a high pitched squeal of metal against metal came from the engine before it ground to silence. Then it made no sound no matter how many times they turned the key or fiddled with wires and things. They were stuck and they all knew it. "You guys need to call the rental car company and get someone out here to help you." He was stating the obvious. "We can't our cell phones won't get reception out here. Can you drive us to the next town so we can call?" Melissa's boyfriend asked. "Sure can if you guys can chip in for some gas because I'm heading in the opposite direction and these things aren't cheap to fill up." He motioned towards the RV.

"Well we don't have any money with us right now we kind of spent it all in Vegas and we need to get back to Hollywood because our flight leaves in the morning." Melissa's boyfriend informed him.

"This ain't no damn charity ride." The tone of the man's voice was tense and it was obvious he was a little irritated. "I'll tell you what I tell my friends it's cash, ass or beer but nobody rides for free. You don't have any cash and I don't see any cases of beer so unless your girlfriend there is willing to give up a piece of her sweet ass. Your asses are stuck out here." Melissa and boyfriend were a little taken aback by this and they moved toward the car to discuss the situation but it was clear they only had one choice. The sun was going down and it would be dark soon and they still had many hours to drive until they got back to Hollywood. "So what's it going to be?" the man was getting impatient. The couple didn't need words to have a conversation the look in each others eyes and the expression on their faces told the whole conversation.

"Fine I'll do it." Melissa finely announced.

"Great grab your cuckolds brownie "junior" and get your girls ass in the RV. I ain't waiting forever." The man turned to get in the RV as Melissa's boyfriend went to get their stuff.

"If I do this though you're taking us all the way to Hollywood." Melissa blurted out causing both men to pause and the man slowly turned "Well someone thinks her pussy is lined with gold doesn't she?" the man took a moment to rub his chin as he pondered the offer.

"Alright let's see what I'm getting for that price the package looks pretty but I want to see the present and if I see what I like you got a deal." Came the reply from the man.

"Out here in the open where everyone can see!" now it was Melissa's turn to hesitate but the man just nodded that was exactly what he wanted. She figured no one would come driving by but the freeway was in view and if she could see the freeway then the people on the freeway could see her. She realized it was this or be stuck so she grabbed the bottom of her shirt and lifted it off over her head and dropped it on the ground. It exposed her purple push up bra. She kicked off her shoes and undid the buttons on her white denim jeans and wiggled her way out of them. She could see the man arms crossed just staring at her. His eyes slithering over her flesh as she revealed more of her body. She stood there in her matching purple bra and panties hoping this was enough to please but the look on his face told her he wanted to see everything. She let out a deep sigh and looking up at the sky that was turning shades of purples, reds and oranges in the dying sun light. She unclasped her bra letting it fall to the dusty ground exposing her small breast to him and in one motion she removed her panties stepping out of them and toss them in the pile with the rest of her clothes. Her clothes and her dignity both completely striped from her.

"Give me the 360 view sweety." A satisfying grin appeared on his salivating face as Melissa turned in place to show him everything. "You'll do. Now get your ass in the RV and "junior" pick up her clothes when you grab your cuckolds brownie and be quick about it." Soon all three had piled into the back of the RV Melissa's boyfriend dumping their items on the bench seat next to his naked girlfriend before taking a seat beside her. The man was rummaging around through some of the cabinets looking for something "Ah there it is." He said as he pulled a black case from the cabinet. Unzipping it he pulled out a tripod, a video camera and a regular digital camera. He tossed the digital camera to Melissa's boyfriend.

"Here junior make yourself useful and take some pics and when your not doing that work the video camera. I want to remember this and if your girl is really good I'll even send you a copy for you to remember your Vegas trip though I doubt you'll forget it."
chrislebo

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After setting up the video camera, he turned his attention to what he really wanted. Dropping his shorts to the ground

"Alright girly get your ass over here, come on over here and suck it sweetheart and suck it real good." The man's semi-hard cock was pointed at her. Melissa got off the bench and kneeled down in front of him grabbing and stroking his cock. It was an averaged size in length and pretty thick piece of meat, her thumb and middle finger didn't touch when she wrapped her hand around it. "That's a good girl now stop with the fucking hand job and suck it already."

The man grabbed Melissa by the back of the head. His grimy fingers tangling in her blond mane of hair, he thrust his cock toward her face and she barely had time to open her mouth before he shoved it all the way in. "Down the hatch." He said as he pushed her face deeper down on his cock until her nose was buried in his pubic hair. He slowly withdrew almost the entire length before shoving it back her mouth. He was pumping his cock into her mouth while maintaining a grip on the back of her head. Just incase she thought about going some where. Pulling his cock out of her mouth it was now fully erect and covered in Melissa's saliva. "Suck my balls you dirty bitch." He gave Melissa a slap on the face with his cock leaving a penis shaped red mark on her cheek. She took one then the other in her mouth sucking on them.

"You getting all this junior?" Melissa's boyfriend nodded as he worked the zoom on the video camera while trying to hide his growing hard-on in his pants. After a few moments he pulled his balls out of her mouth then roughly reinserted his cock into her mouth.

"Now suck it like the cheap whore that you are. Nice and hard to try and drain my balls so you don't have to fuck me." The man's piercing blue eyes glared down at her. Melissa's boyfriend could see her nostrils flair and her checks sunk in as she sucked hard on his cock. Bobbing her head back and forth along the length of his cock as it slide between her the pink strawberry lip glossed lips. His balls were smacking against her chin with each down stroke motion. She had placed her hands on either side of thick well muscled hips. She was sure he could probably drive his cock clean through the back of her head if she wasn't careful.

Pulling his cock out of her mouth Melissa welcomed the return of normal breathing. "Get your ass on the bed." The man grabbed a handful of hair and pulled her towards the small bed towards the rear of the RV. "Crawl on your damn knees like a dog if you have to." His voice was tense and excited. Melissa willingly complied and crawled on all fours into the bed.

"On your back you dirty bitch." The man's voice was almost at a growl. He looked over Melissa's body displayed out for him. His hands pawing at her breast and squeezing her pink nipples, until they became erect then he lowered his mouth onto one sucking on it. His whiskers poking into the soft flesh of her breast contrasted with the warm sensation of his mouth and tongue on her nipple. Sliding his hand down her stomach to the patch between her legs, he forcibly pushed her legs apart as he switched over to her other nipple. His thick fingers rubbing up and down on her pussy lips before he used two of his fingers to part her lips revealing the soft pink interior of her pussy. He powerd one finger then two inside her pussy working them in and out. Melissa shifted and adjusted to being penetrated as her juices coated the man's rough fingers it became easier for her to accept them. He was moving his fingers quickly in and out of her while he sucked on her breast. When she was good and wet, he removed his juice covered fingers and put them in Melissa's mouth.

"Clean them off slut. You made them all sticky and wet now you clean up your mess like the dirty little girl that you are." The man ordered her. She didn't like sucking her boyfriends cock after he had been inside her but she did as she was told. Sucking on his thick, rough fingers like they were miniature cocks working them in and out of her mouth. She was getting caught up in the moment and had not even realized that her right hand had come up and was rubbing her breast and tweaking her nipple the way she likes it.

Removing his fingers from her mouth the he man moved down to position himself between her legs. He spread her legs wide giving her boyfriend a nice view of what was about to happen.

"Spread those lips for me slut!" His voice had that gruff almost growling sound to it. He was getting caught up in the moment as well. Melissa reached down and placing a hand on either side spread her shaven pussy lips for the man as ordered. He took the head of his cock and started to rub it up and down on her exposed clit. Exciting it even more as the pre-cum from his cock mixed with the juices from her pussy. A small trickle of fluid starting to make it is way between her butt cheeks. He then raised his cock and smacked it hard against her excited clit but instead of cry of pain it was a moan of enjoyment.

"Shit junior don't you give this slut enough cock? I bet she wants me to fuck her good don't you?" Melissa just nodded. He smacked her pussy again with his cock. "What was that slut." He growled at her.

"Yes, fuck me." Melissa replied excitement was starting to fill her voice.

"You want me to shove my cock all the way in your little pussy don't you? All the way up to my balls huh?" the man was rubbing his cock up and down her moistening slit.

"Yes, bury your cock all the way till your balls deep in my pussy." Melissa was ready to get fucked and end this erotic nightmare.

The man without missing a beat shoved his cock deep inside her until his balls rested against the crack of her lovely ass. Grabbing her legs behind her knees he powerd them up towards her head. This allowed him unobstructed access to her pussy as he began to thrust hard in and out of her poor little pussy. The man's large frame and sheer mass of weight guaranteed that Melissa could do nothing but accept the pounding that her pussy taking. For several minutes he thrust into her, the sound of his balls slapping hard against her ass filled the interior of the RV. After several minutes of this he withdrew his hard cock now completely covered in Melissa's juices.

"Turn over, I want you face down and ass up." He ordered Melissa.

She flipped over sticking her ass up in the air like she was told. The man rubbed his hands over the white creamy flesh of her ass checks. Grabbing large handfuls over her bottom he guided his cock back toward her slippery pussy. His aim was a little high and Melissa felt the head of his cock press against her butt hole. She reached between her legs and grabbed his cock guiding him back between the folds of her pussy where he continued his assaulting thrust into her. She looked at her boyfriend who's face was obscured by the digital camera or looking into the view finder of the video camera. A sharp smack on her ass brought her back to what was going on. The red hand print clearly visible on her white butt checks, the man was enjoying himself smacking one check then the other with his right hand while he gripped onto Melissa's hip with the other. This continued for several minutes until Melissa let out a long satisfying moan. Her orgasm was strong and intense and caught everyone by surprise.

"Well ain't that the cuckolds brownie, this slut actually likes having her ass used like a cheap whore." The man slide out of Melissa then grabbed her around the waist he roughly turned her bottom towards the camera.

"Look at this." The man showed Melissa's boyfriend. He placed her knees on the floor and spread her legs exposing her soaking wet pussy and red ass cheeks.

"I know what this bitch needs now." The man turned and moved in behind her. Spreading her butt cheeks he spit on her butt crack. Using the now dark red almost purple colored head of his cock he worked the spit down her crack to her tight little asshole.

"No, I don't do anal!" Melissa protested and tried to wiggle free as the man had a firm grasp on her hips.

"She doesn't do anal." Melissa's boyfriend interjected confirming what Melissa had told the man.

"Bullcuckolds brownie! I haven't meet a blond haired girl yet that didn't like a good ass fucking and your girl here ain't going to be the first."

The man grabbed the back of Melissa's head and drove it down into the mattress. Melissa was now pinned in place. She could not drop down the bed kept her from doing that. She could not go forward the man's weight kept her pinned down to the bed and she couldn't go backwards that is what he wanted as it would drive his hard cock deep into her bottom.

Melissa's boyfriend zoom in the video camera on her ass as the man placed the head of his cock against her butthole. He released her head shifting his weight, he was able to apply more power to his cock. Try as she might she could only resist for so long before the head of his cock disappeared into her bottom along with the rest of his cock quickly following.

"Shit! It hurts take it out, take it out!"

Melissa screamed as the searing pain of her butthole being forcibly opened raced through her body.

"Quit your whining already." The man told her and smacked her ass hard causing her to yelp a little. Her one fist was clenched and the other hand dug her nails in the mattress.

"You know if you would relax then you might find you like getting your ass done right and proper." The devilish grin on the man's face showed how much he enjoyed torturing her poor bottom. He would remove almost the entire length of his cock before thrusting it back deep inside her ass. He grabbed the back of Melissa's head pulling her hair towards him to raise her face so he could hear her whimpers of pain as he plunged repeatedly into her bottom. Her jaw clinched tight as she endured the vulgar ass fucking.

He continued the assault on her ass for several minutes of pumping and spanking her ass.

"I know what you need. You need an orgasm while I pound your pretty little butt to truly enjoy this. So turn over." Melissa did as she was told flipping over on her back again and spreading her legs. The man pushed his cock back into her ass. His cock seemed to stretch her butthole to its limit.

"Now play with your pussy. The sooner you make yourself cum the sooner I'm out of your ass." His voice was gruff and tense. He was holding back his orgasm as long as possible to enjoy the *** he was inflicting on Melissa's poor ass. At first she was gently fingering her pussy trying to find the pleasure but then the man grabbed the back of her head pulling her hard towards him driving his cock hard into her.


chrislebo

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"Tell me you want me to fuck your ass hard." The man was getting close his load boiling in his balls.

" Fuck me hard, hard as you can." Melissa cried out as she fingered herself as fast as she could. Her bottom growing accustomed to the cock inside it relaxed as she found herself getting near an orgasm the pain seemed less intense until she came hard grinding her hips against her fingers and the man's cock.

True to his word he pulled out of her bottom; jerking it feverishly he aimed it at her face.

"Open up and say AWWW!" The man said through clenched teeth as the first steam of cum rocketed out of his cock and left a trail across Melissa's right cheek and up to her hair line where it mixed with the sweat into her blond hair, then down to settle in a pool of cum that covered her left eye. The next blast hit her in the right cheek and curled its way up to her right eye causing her to keep both eyes closed. The last blast went across her lips and made its way down onto her chin. A large glob of cum clung to the tip of his cock. He thrust his cock back into Melissa's mouth but he only got two pumps in before she wiggled away coughing and spitting.

"What you didn't like the taste?" The man asked

"No! it taste like cuckolds brownie." Melissa screamed back at him.

"Really I thought my cock coming out of your ass would have tasted like candy." The man said almost innocently like he didn't know.

Laughing and getting out of the bed he looked at Melissa's boyfriend.

"That junior is how you give a dirty bitch slut like yours a good ass fucking. Now go clean her up while I go wash the cuckolds brownie off my dick then get us going." The man went to the front of the RV and started the vehicle up then pulling away and getting on the interstate that took them back to Hollywood. Melissa's boyfriend found a towel and helped her wipe the cum off her face and he cleaned what he could out of her hair but there was a fairly good amount. The coupe just laid there in bed for a while swaying to the rocking of the RV as it made its way down the road. About an hour into the trip the man said.

"Hey bring that bitch up front here, I'm not done with her yet." Melissa and her boyfriend looked at each other.

"I already did what you wanted." Melissa replied to the man. A big toothy smile crossed his face.

"Yes, you did but you also agreed to let me use you until we got to Hollywood. We ain't to Hollywood yet so junior bring that slut up here she has a cock to suck until we get there." The man had almost a chipper happy tone in his voice. Probably because he was right so Melissa's boyfriend helped her out of bed and stand on her wobbly legs and she made her way to the drivers seat. She kneeled beside the man.

"Let's go this cock is not going to suck itself." He told her. Melissa started sucking his cock her head bobbing up and down as they drove.

"You getting this on tape?" He asked.

"Yup." Came the response from Melissa's boyfriend.

Soon the sounds of trucker horns blaring could be heard as truckers passing could see into the cab and were welcomed to a free sex show as they went down the freeway. A burst of light filled the front of RV as one of the truckers took a picture. Melissa's boyfriend could see the man giving a thumbs up to the show he was watching. The parade of spectators continued all the way into Hollywood. One of the last to watch was a couple in their early 30's the woman stared in amazement and the man watched with a grin as Melissa's head bobbed up and down on his hard swollen cock. The RV man was getting ready to cum removing his cock from her mouth. He splattered her face again with his cum then to plunged it back into her waiting mouth to be sucked dry. Melissa's boyfriend wondered if the couple only enjoyed the passing sex show or wished they could trade places and be the rolling sex show.

The RV finally reached the hotel where they were staying and the man let Melissa and her boyfriend off. They would call the rental car company the next day to tell them where the car was. They flew back to Canada their adventure behind them.

Two weeks later a box arrived at their apartment.

Melissa's boyfriend opened the box to see stacks of pictures from the RV man along with a couple of DVD's of that evening just as he had promised. In the bottom was a little note that said "Hope everything worked as you had planned and I can't wait to see you next year. RV man" A broad smile on his face.

"Everything worked out just fine." Melissa's boyfriend muttered to himself as he went to watch one of the DVD's
chrislebo

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Ma féminisation


Tout a commencé en Mars 2008.
A cet époque cela faisait déjà 8 ans que j'étais avec ma compagne et 2 ans que nous étions libertins.
Elle est bi depuis toujours et moi j'étais complètement hétéro bien adorant me faire sodomisé par ma douce
et ses amis.
Lors d'une sortie en club j'avais insisté pour qu'elle agrémente sa tenue en vinyle d'un collier et d'une laisse qui tombait dans mister dos.
Elle accepta mais me fît promettre de lui obéir aveuglément quand elle en ferait la demande. Ce que je fis sans difficultés.

Ainsi, un vendredi en mars nous devions nous rendre près de Lille pour une soirée d'anniversaire d'une amie libertine.
Je précise que c'était une soirée déguisée, non libertine.
La soirée libertine était prévue en club le lendemain.

Quand je rentrai dans à midi, je trouvai sarah en robe de chambre. Je vis une nouvelle tenue de soubrette sur le lit.
"tu ne va pas mettre ça ce soir?"
"non me repondit elle, c'est toi qui va la mettre!! "
"tu plaisantes?"
"tu te souviens que tu as promis de m'obéir quand je le demanderai? c'est maintenant!!
Je ne sus quoi répondre et finalement je me suis dit que de serait amusant, je m'étais déjà deguisé en marquise à nouvel an 2005.
Elle avait tout préparé: une perruque de longs cheveux noirs,
la tenue de soubrette assez courte, les faux seins en silicone,
un ensemble string porte jarretelle et soutien gorge en dentelle rouge
des bas résilles noirs, un collier serre cou en dentelle blanche
une coiffe assortie, des gans en dentelle blanche
elle avait même trouvé des escarpins talon aiguille 6 cm
Pointure 43 qu'elle me demanda de mettre de suite afin d'apprendre
à me déplacer avec.
Ce ne fut pas facile mais à 16h00, je n'éprouvais plus de difficultés et
je trouvais même cela amusant.
A cette heure là, sarah revêtit sa tenue de french cancan,
ma réaction ne se fit pas attendre. L'érection fut instantanée.
J'allai me mettre un peu de lubrifiant sur le sexe
et vint la sodomiser sans autres préliminaires, elle adore être prise ainsi par surprise.

Après ce petit intermède, vint l'heure de me préparer.
elle s'occupa d'abord de mes ongles. Elle me colla de faux ongles longs qu'elle
vernit en rouge vif.
A mon grand étonnement, elle décida de vernir également les ongles de mes orteils.
- Pourquoi? on ne les verra pas!!
- Je veux te féminiser jusqu'au bout des ongles dit-elle d'un ton malicieux.
Cela aurait du me mettre la puce à l'oreille ... mais respectons l'ordre chronologique.

Elle décida ensuite de s'occuper de mes jambes pendant que le vernis séchait.
"trop de poils mon bonhomme" elle me rasa les jambes et le torse (mais bon le torse, il n'y avait pas grand chose à faire)

Je revêtais enfin cette tenue que j'aurai adoré la voir porter. Elle avait pris soin de choisir le string très serré afin qu'il me rentre bien dans les fesses.
Elle me mit la perruque, la coiffa puis me maquilla : fond de teint sur toutes les parties apparentes ("décolleté", bras,..)
rouge lèvre rouge vif, faux cils....
elle enleva mes petits anneaux d'oreilles pour les remplacer par des boucles d'oreilles argentées en forme de disque de 5 cm de diamètre environ

j'étais prêt, prête pardon à partir.

je mis mister long manteau noire et nous partîmes pour lille.

nous sommes passé à l'hôtel F1 pour sarah récupère le code de la porte puis nous sommes partis à la soirée.
nous nous sommes garés à une centaine de mètre de la salle.
Cette petite centaine de mètre à parcourir dans cette tenue ne fût pas très difficile.
il faisait déjà noir et la rue était déserte. Autant vous dire que nous avons fait sensation dans nos tenues
mais il y avait un autre homme en drague queen et notre amie était déguisée en maitresse SM.

La soirée se passa le plus normalement du monde et se termina vers 3 h00

De retour à l'hôtel, je filais au toilette tandis que Sarah rentrait dans la chambre.
Quand je l'eus rejoint, je la découvris avec un de ses gods ceintures.
- Allez ma belle.. en position, montre moi ton cul.
je m'exécutai et me laissai enculé(e) dans cette tenue pendant une bonne demi heure et 2 orgasmes.

Le lendemain, à mon réveil, sarah n'était plus là.
Machinalement je regardai par la fenêtre et la vit donner ma valise avec mes vêtement d'homme à Eva, notre amie libertine qui reparti aussitôt.
tandis que Sarah revenait vers la chambre, je m'aperçut qu'il y avait une tenue de femme sur la table.
- ça veut dire quoi ça?
- le week end n'est pas fini mon chéri, tu dois encore m'obéir. Ta féminisation ne fait que commencer.
Mon coeur s'accélérait, je commençait à ressentir une certaine peur mais j'étais coincé.

Je commençais par revêtir une guêpière rouge et noire avec porte jarretelle et bas noire.
je mis le string assorti par dessus et ajustai les faux seins.
Sarah m'avait trouvé des bottes noire à lacets, talons aiguilles de 8 cm.

Je mis une jupe noire étroite et fendue à gauche, et une chemisier en soie mauve qui se fermait jusqu’au cou avec un noeud : genre bourgeoise.
Eva revint et s'occupa de mon maquillage.

une fois prête, mes maitresses , il faut bien dire ce qui est, s'équipèrent de gode ceintures et m'enculèrent violemment avant de m'attacher à la chaise
pendant qu'elle s'occupaient l'une de l'autre.

Une fois leurs ébats achevés, nous partîmes dans le centre de Lille. Nous nous sommes garés dans le parking du centre commercial près de la gare
et là j'ai compris. J'allais me mêler à la foule dans cette tenue. Angoisse et excitation se mêlaient en moi.
- Allez mon chéri, tu sors. allez allez.
Je sortis mais je n'étais pas fièr(e).
On est remonté dans le centre commercial que l'on a quitter immédiatement.
Nous nous sommes rendu dans une boutique de lingerie où elles m'ony fait acheter un ensemble string, pj et soutien gorge en soie noire.
Ensuite, nous sommes allé m'acheter un tailleur blanc.
Imaginez-moi, travestie, au milieu de ces femmes. Je me suis aperçu que certaine avaient remarqué que j'étais un homme
et curieusement à la honte se mêlait l'excitation et à plusieurs reprises, j'eus un debut d'érection.
Le plus difficile fut à chaque fois le passage à la caisse, où ma voix me trahissait.

c'est au restaurant que je ressentit le plus de honte et d'excitation. tous les autres clients nous regardaient du coin de l'oeil.
La serveuse semblait tout faire pour me mettre mal à l'aise, me posant beaucoup de question, se penchant vers moi me faisant admirer mister décolleté...

Finalement, nous quittâmes lille pour bruxelles.
Là-bas nous nous somme rendues dans une boutique spécialisées dans les tenues sexy et fétichiste.
Encore une fois, elles se mistert arrangées pour me faire marcher 2 km dans les rues de bruxelles avant d'y arriver.

Elle me firent essayer toutes sorte de tenues pour finalement en retenir 2.
L'une était une tenue fétichiste pour femme.des bas résilles, une mini jupe cuir un corset en cuir avec porte jarretelle
des bracelets en cuir avec anneaux d'attache et les chaines qui vont avec, un collier de chienne et une laisse, une perruque bleu vif brillante.

L'autre tenue, je la portai en sortant. bas résille à très grosse mailles, porte jarretelle en vynil, une culotte compressant mon sexe et laissant mes fesses libérées.
une mini jupe noire et n corset noir et blanc.Eva l'agrément de mistert gros collier en forme de disque qui s'accordait avec mes boucles d'oreilles.
un petit gilet en voile noire très transparent finissait le haut.
enfin j'enfilait des cuissardes noire à lacets, talons 13 cm. là j'ai eu du mal, surtout dans la rue sur une chaussée irrégulière.
Par dessus, je mis un petit imper en vynil rouge. Eva pris soin en sortant d'en enlever la ceinture et les bouton afin que je ne puisse le fermer.
j'étais exhibée en pute.Terrifiée et excitée (je parle désormais au féminin, c'est plus approprié).
Nous repartîmes vers 19h00.
nous sommes allées dans un club où les travesties mistert les bienvenues, Eva y avait ses habitudes.
En arrivant, Sarah me dit
- conduit toi comme une femme, si on t'embrasse, tu te laisse faire, homme ou femme compris?
- quoi?
- on poursuit ta féminisation!
je me rendais compte que je devenais soumis à ces 2 femmes.

Arrivées dans le club, elle m'abandonnèrent pour aller danser.
Je ne tardais pas à me faire abordée. Rapidement un homme assez costaud me caressa les fesses et entama la conversation.
10 minute plus tard il enfonça sa langue dans ma bouche et releva ma jupe pour caresser mes fesses.
un autre se jons à lui dans mon dos et il me plauterent ainsi quelques minutes m'embrassant a tour de rôle.
Je ne sais s'il l'avait fait volontairement, mais une de mes boucle d'oreille se détacha.
Je m'accroupissait pour la ramasser mais ne put me relever, en relevant la tête j'aperçu la queue de cet homme qui avait mangé ma langue.
Il je n'eu pas le temps de réagir, il plaqua mon visage sur sa queue et me l'enfonça dans la gorge.
j'eu des haut de coeur, j'étais ecoeurée puis il se retira pour me retourner vers mister ami que je suçai à mister tour.
Comprenant que je pouvais me défiler, je décidai de m'activer et de le pomper avec attention pour vite finir.
Mais quand il fut sur le point de jouir, il maintien ma tête contre lui et déversa mister jus dans ma gorge.
Je n'eu pas le temps de reprendre mon souffle que le premier revint dans ma gorge et fit de même mais ne laissa que mister gland dans ma bouche afin que je sente
bien mister foutre dans ma bouche.

Eva et sarah s'étaient rapprochées et me regardaient en souriant.
Elles me relevèrent et m'embrassèrent.
Regardant autour de moi je vis plusieurs hommes et femme qui avaient la main sur le sexe, visiblement excités par ma prestation.
Bien que honteux et salis, je ressentais de l'excitation liée à l'exhibition.4

Eva me remit du rouge à lèvre puis je me rendis au toilettes.

Alors que je me lavais les mains, je senti ma jupe se lever. Regardant dans le miroir, je reconnu la serveuse du restaurant mais n'eut le temps de rien dire
que je sentais un membre me fendre la rondelle. quelques seconde plus tard, elle activa les vibrations de mister god .
Elle m'encula comme une pute appuyée sur le lavabo.
bien sûr , il y eut des spectateurs et je ne pus contenir un orgasme découpé par l'exhibition.

nous passâmes ensuite à table ou l'ambiance était sympathique comme c'est souvent le cas dans les clubs llibertins.

Après le repas, nous sommes allées changer de tenue.
Eva et sarah étaient habillées de la même manière. Bottes en cuir, bas résille, guêpière en cuir noir avec bretelle qui se nouaient autour du cou.
sans culotte, comme habitude

Je revêtir ma tenue de soumise et ces dames m'attachèrent les mains dans le dos.
Sarah sorti alors un bâillon boule qu'elle m'apposa avec malice et elles me ramenèrent en laisse.

elles me promenèrent ainsi dans le club, annonçant que mon cul serait bientôt en libre service.
Elles m’emmenèrent ensuite dans une alcove ou attendaient 3 hommes très très bien membrés.
je leur fut offerte attachée et bâillonnée sous le regard de ma chérie et d'eva et d'autre clients qui
venaient mater.

Je jouissais sous les coups de ces empileurs, je me sentais violée
mais j'aimais ça,
j'avais honte, je deviens PD?
A la fin, de cette séance, Sarah savait ce que je ressentais.
Elle me dit en me débâillonnant:
- tu commences à te sentir PD?
- je sais pas, un peu , ca me fait peur mais j'y ai pris du plaisir.
- c'est pas la réponse que j'attendais. Alors on continue.

On retourna sur la piste de dance et Eva me montra 2 hommes seuls.
- Aborde les, allume les, qu'ils te baisent!! Sinon on t'attahe ici et on offre ton cul a tout ceux qu'ils le veulent.

J'obéis avec une certaine crainte.
j e m'approche d'eux , me trémousse maladroitement
me glisse entre eux.
Quand ils commencent à me caresser, je me surprends à passer mes mains sur leur bite.
Très vite , ils m'embrassent, j'y prend plaisir. Je comprends quelle réponse Sarah attendait.
Je ne deviens pas Pd, je suis dans la peau d'une femme, je me sens femme.
je deviens une femme.
Un 3eme homme se joins à nous. Au bout de 10 mn je les emmène dans une alcove.
Ils me baisent, je les suce, j'avale le sperme pendant que les autres m'enculent à tour de rôle.
l'alcove est grande, je remarque que 2 autres hommes mistert rentrés, ils se masturbent et finissent pas me caresser.
Je remarque Eva et Sarah à l'entrée.
Le plus gros joins dans mon fion.
Je m'assois sur le 3eme et invite les 2 nouveaux dans ma bouche.
Eva et sarah me sourient en se caressant.
Je suce, je me fais baiser, je jouis j'hurle comme une femme.
mon cul n'a même plus besoin d'être lubrifié.

Quand nous sortons de l'alcove, Sarah me demande si j'ai une autre réponse à lui donner
- je deviens une femme?
- Presque , tu es sur la bonne voix, mais je vais encor devoir t'instruire.

Elle me prend en laisse et m'emmène sur la piste. Elle attache la laisse à une barre et me retourne, lève ma jupe
et montre mon anus dilaté.
Rapidement, je sens une queue s'y glisser, une autre se présente devant moi, je suce gouluement encore plus excitée par cette exhibition.
Je passe les 2 dernières heures ainsi.

A la fin de la nuit, je ne sais pas combien de queues je me suis enfilée, pour ma première expérience homo
ca a été très fort.

Quand nous sortons, Eva et Sarah me demandent :
- Comment te sens-tu?
- Je suis une pute dis-je sans hésitation.
- Bravo mon chéri, dit Sarah. si tu avais dit que tu étais notre pute soumise, tu avais tout bon.
il te faudra donc une dernière punition.
Ces mots qui auraient du me faire peur m'excitent.
nous rentrons chez Eva. Nous faimisters l'amour à 3, elles ne pensent qu'ç mon plaisir.

Le lendemain, je suis toujours femme.
Je remets ma tenue de bourgeoise. Sarah en revêt une quasi identique mais le chemisier est noire.
eva nous emmène dans une salle dont le sol est recouvert d'une bâche.
Elle me dit :
- J'ai prévu quelque chose de spécial pour Sarah et toi.
nous sommes attaches les bras en croix et à genoux

30 mn plus tard, entrèrent une 15 aine de couples, nus.
Sarah est très excitée, elle dit avoir peur. moi aussi.

3 hommes s'approchent de moi, 3 autres de sarah.
Eva me tine la tête, une autre femme en fait de même pour Sarah.
Les hommes prennent leur sexe en main, les dirigent vers nous... et pissentje sens la pisse chaude sur mon visage
et sur le chemisier en soie qui me colle à présent. ils ont du se retenir longtemps tant leur jet dure. on nous détache
mais nous tiens biens , on nous allonge,
on nous encule, on suce, on nous pisse dessus, c'est vulgar, c'est un viol.
Pourtant, Sarah jouit, puis c'est mon tour. On nous pisse dans la bouche.

Eva se fait pisser dans la bouche puis la vide dans celle de sarah.Elle renouvelle avec moi.

A aucun moment nos anus ne mistert tranquilles.
Eva nous pose des écarteur pour maintenir la bouche ouverte.
une femme se place au dessus et me bouche le nez. je ne peux respirer que par la bouche, jusqu'a ce qu'un flot d'urine
ne l'inonde. Je suis obligée d'en avaler. Sarah subit le même sort.
A présent que nos corps mistert trempés d'urine, ceux qui en ont encore la déverse dans des entonnoirs enfoncé dans nos bouches, on avale
on ne peut pas faire autrement.
On nous appelle salope , chienne pute..
on jouit de honte...
Une fois toutes les vessies vidées, on nous détache.
on reste à genoux.
Eva se place au dessus de Sarah
- délecte toi ma puce.
Sarah hésite puis ouvre sa bouche et boit le liquide dorée qui s'échappe de notre bourreau commun.
Eva s'interrompe et me propose de prendre le reste.
Je suis excitée, je m'exécute et à ma surprise, savoure ce curieux nectar.

on nous relève, Sarah est prise par 3 hommes, elle s'allonge su r le premier qui la pénètre, suce le second, et le troisième l'encule sous mes yeux.
C'est sa première double pénétration.
moi je peux rien faire, on ma plaqua" sur une table et attachée. on me suce puis je sens un doigt fin dans mon cul puis 2
puis je sens plus de doigt, une femme veut me fister, ca fait mal, j'hurle, j'ai l'impression d'être déchirée mais je crie encore!!!encore!!
Sarah jouit, hurle, miaule..
autour de nous, ca baise!!
celui qui encule sarah jouit et se retire, un autre représente mais ne prend pas sa rondelle.
elle subit egalementune double vaginale, sa première, bcp de premières ce week end!!
je jouis à mon tour. la femme qui a fouillé mes entrailles me montre la main qui m'a ravagée.
Son mari lui demande
-crois tu que la mienne passerait?
- faut essayer dit elle
et de s'exécuter.
curieusement je n'ai plus peur, je suis excitée et écarte bien mes fesses.
- La salope y prend gout on dirait dit la femme.
il me pénètre lentement, c'est douloureux et excitant.
a peine sa main m'a t elle totalement pénétrée que je tressaille de bonheur, je jouis.
Ma prostate et mon anus ont tellement été stimulé, qu'un courant d'air pourrait me faire jouir.

Elle me détache.
- encule moi me dit elle.
j'obéis. quand j'eu enfoncé sa rondelle mister homme m'encula à mister tour.
c'était magnifique.

On a baisé comme ca pendant encore 1 heure.

quand nous nous sommes retrouvés à 3, j'appris que Sarah ne savait pas ce qui allait se passer.
c'était une idée d'Eva, et ne pas savoir, c'est ca qui l'excitait.


Depuis, Sarah et moi découvrons les plaisirs de la soumission avec Eva qui est une maitresse raffinée.
Je dispose d'une garde robe assez fournie, aussi bien sexy que bcbg.
et moi, je deviens une pute un week end par mois au minimum.
chrislebo

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#429
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L'éducation



L'éducation d’une salope.

Je m’appelle Victoria, et voici mon histoire.
J’étais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires du sexe. J’avais eu quelques flirts et même un amant qui avait perdu mister pucelage en même temps que moi. Nous ne sommes pas restés très longtemps ensemble et je n’ai pas gardé un souvenir impérissable de cette première expérience sexuelle.
Puis j’ai quitté ma province pour la capitale afin d’y poursuivre mes études supérieures. Comme mes parents n’étaient pas très aisés, je devais absolument trouver un job qui me permette des payer mes études et mon logement. Je ne suis inscrite dans une association qui «plaçait» les étudiants. J’ai atterrie dans une famille qui contre quelques heures de ménage laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Il s’agissait de la chambre de leur fils qui faisait ses études à l’étranger. Ce studio était au rez-de-chaussée de la villa et avait une entrée individuelle. Une porte de communication permettait l’accès dans leur appartement (sur deux niveaux)
Ce couple était un peu plus jeune que mes parents. Lui était avocat et elle juge d’instruction et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», m’avaient-ils dit.
Mon travail n’était pas trop pénible. Sophie et Bertrand n’étaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur étude, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations. Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. Sophie m’avait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire d’escarpins noir aussi. Moi qui ne portais que des jeans, j’avais l’impression d’être déguiser. Mais Sophie et Bertrand étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issue tous les deux d’une famille de la grande bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance. Le reste du temps ils se fichaient complètement de la manière dont j’étais vêtue. Si dans la vie courante je les appelais par leur prénom, ces jours là je devais leur donner du Maître et du Madame.
Cela faisait maintenant deux mois que j’étais chez eux et je m’y sentais bien. Bien qu’un peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raimister de ma timidité. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me sentais chez moi, mais j’étais bien. Leur villa se situait au milieu d’un grand parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. Comme ils partaient quasiment toujours en week-end dans leur maimister de campagne, Sophie et Bertrand m’avaient autorisé à l’utiliser durant leur absence. Ils rentraient en général vers 19 heures et s’occupaient eux même du repas du soir, la cuisinière n’étant à la maimister qu’en semaine.
Je passais donc tous mes week-ends dans la dépendante au fond du parc. J’avais l’impression d’être aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, j’allais me baigner nue dans la piscine. J’aimais le contact de l’eau sur ma peau, et comme à cette époque je n’avais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Ce jour là c’était mon anniversaire. Le matin j’avais été chez le traiteur où mes «patrons» se servaient pour m’acheter un demi-homard mayonnaise, un soufflet au foie gras et une bouteille de champagne. Puis chez le pâtissier, je m’étais offert un gâteau au chocolat. Vers midi, mes parents m’avaient appelé pour me souhaiter un bon anniversaire. Après avoir parlé un moment avec eux, je me suis préparée un plateau avec mon repas fin et je me suis installée au bord de la piscine. J’ai dégusté mon homard, mon foie gras et enfin mon gâteau au chocolat, le tout bien arrosé de champagne.
- A toi, Victoria, à tes 21 ans.
Dans l’après midi, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois d’octobre, et même presque chaud. Je me suis déshabillée et j’ai plongé dans l’eau pour me changer les idées. Mais même après plusieurs longueurs, mon moral était toujours aussi bas. Alors j’ai décidé de me donner un peu de bon temps, comme je le faisais souvent quand je suis seule. Je fermais les yeux et lassais mes mains parcourir mon corps, pinçant un peu mes seins pour en faire durcir les tétons, glissant sur mon ventre pour enfin parvenir à mon bouton d’amour que je me mis à caresser avec ardeur. Je prenais tout mon temps, mes doigts s’égaraient parfois dans ma caverne mystérieuse et reprenais ensuite leur danse folle sur mon clitoris. Je voulais faire durer le plaisir, ne pas jouir tout de suite, aussi sans ouvrir les yeux, mes doigts remontaient parfois jusqu’à ma bouche et je les suçais. J’aimais et j’aime toujours le goût de mon suc intime. A ce rythme là, je ne parvins à l’orgasme qu’au bout de vingt minutes environ. Mais je n’étais pas pressée, permisterne ne m’attendait. Sophie et Bertrand ne seraient pas là avant deux heures.
- Humm, c’est bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ? Tu aimes ça te masturber hein ? Bien sur tu préfèrerais un homme mais faute de mieux … ! Allez ma fille fais toi du bien… hummm
C’est alors que je sentis une bouche s’emparait de mon sein pendant qu’une main prenait possession de l’autre. J’ouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, Sophie qui ne titillait la poitrine… Je n’avais entendu permisterne rentré. J’allais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et j’entendis la voix de Bertrand :
- Ne crie pas ! de toute façon, permisterne ne peut t’entendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi une femme. Tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Peut-être que tu ne l’as pas fait non plus avec un homme ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Victoria m’a l’air d’une sacrée salope, dit Sophie en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas… elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis qu’elle à un potentiel de salope et crois moi, je m’y connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lila avant elle Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se mistert révélées être de vraies chiennes. D’ailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils mistert exigeants sur la qualité de la marchandise.
Bertrand avait toujours sa main sur ma bouche et de l’autre il me maintenait fermement aidé en cela par Sophie qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec mister mari. J’essayais de me débattre, mais à deux contre une, j’avais perdu d’avance, d’autant que les caresses de Sophie venant juste après les miennes m’avait enlevé de ma vigueur, elle reprit :
- Bien sûr, il va falloir l’éduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher toute neuve dans un de nos diner mensuel. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à s’impatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances dans le Sud, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré l’obtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations qu’elle s’est faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir mister étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à l’étrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous qu’une fois qu’elles ont été installées dans la vie.
- C’est vrai on a eu de la chance, Maitre de Chazot me le disait encore hier :
- «Vos soubrettes mistert impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout Sophie. Elle les repère du premier coup d’œil. Et puis vient l’éducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. Sophie et moi y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant qu’elles ne se montrent dociles. C’est tout un art, cher Maitre.»
- Voilà un sacré cochon ce de Chazot. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire qu’il a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi aussi tu l’aimes bien la queue de Maitre de Chazot ! Je l’ai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu t’enculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais l’air d’apprécier.
Je n’en croyais pas mes oreilles. J’étais choquée d’entendre ce que j’entendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. J’étais tellement abasourdie que mon corps s’était décontracté et que je ne mistergeais même plus à me débattre ni même à crier. D’ailleurs comme l’avait si bien dit Gilles permisterne ne m’aurait entendu. Sophie a du le sentir, car elle a relâché mister étreinte et à commencer à me fouiller l’entre jambe.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ! nos histoires ont émoustillaient cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Touche !
- Tu as raimister ! Alors sale petite vicieuse ! ça t’excite les histoires de cul ! tu as envie de gouter à ma bite ou tu préfères le con de Madame la Juge ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais m’occuper de mister délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis s’adressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec l’esthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce qu’on aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Victoria, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, c’est drôle ça, le barreau ! tu vas voir le sien va te remplir la bouche.
Comme je n’ouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à l’heure, et bien maintenant tu l’as. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il n’y a pas de raimister que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être qu’elle ne l’a jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois Sophie, c’est une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement. Elle est pure !
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, j’ai déjà eu un copain il y a un an et demi, mais nous n’avons jamais fait ça.
- Montre lui comment on doit s’y prendre.
Sophie ne mit à genoux devant mister mari et après qu’elle lui ait enlevé mister pantalon et mister caleçon, elle commença par lui léchait la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Gilles fut bien raide, Sophie se l’enfourna dans la bouche et fit des mouvements d’avant en arrière, simulant la pénétration.
-A toi maintenant. J’allais me mettre à genoux à mon tour. Non, reste allongée Gilles se débrouillera pour te fourrer mister «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que ma patronne ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. J’étais partagée entre la honte et le plaisir. J’étais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, Vicky. Ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Elle me parlait comme une mère parle à mister enfant, pour l’aider à franchir une étape difficile. Puis s’adressant à Gilles :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourd’hui elle doit accepter de jouir devant des quasis inconnus. Ça n’est pas évident. Allez ne te retiens pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien… Jouir ? qu’y a-t-il de plus beau dans la vie ?... Allez, viens…
Entre chaque phrase d’encouragement elle reprenait sa succion. Bientôt elle ne s’arrêta plus et c’est Gilles qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je t’apprendrai, je t’expliquerai ce qu’un homme attend de la fellation. Pour aujourd’hui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne Madame la Juge. Elle est parfaite, toutes nos amies le disent. Elle suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raimister de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je n’en avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt à un désert.
- Ouiii ! c’est bon, encore Sophie, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête… Ahhh ! ahh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais Madame la Juge ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Gilles m’encourageait et Sophie ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et j’aime ne faire sucer par Madame la Juge»
- Je suis une petite pute… Ahhhh ! et j’aime que Madame la Juge me suce. Ahhh !…
Ma tête était en train d’exploser quand Sophie vint me rouler un patin où se mêlait le goût de sa bouche et celui de mon nectar. J’étais vidée, je ne savais plus où j’étais ni qui j’étais. Mon esprit m’avait quitté. Ma permisterne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si j’ai entendu les râles de Gilles que Sophie finissait d’astiquer avant qu’il ne la prenne là devant moi et qu’elle jouisse à mister tour.
Puis doucement, ils m’aidèrent à me relever et chacun à leur tour ils m’embrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre le peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée automnale, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras l’un de l’autre, Sophie et Gilles m’entourant de leurs bras oserai-je dire protecteur.
Mon éducation de salope commença dès le lendemain.
chrislebo

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#430
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Le lendemain au petit déjeuner, Sophie et Bertrand firent comme si rien ne s’était passé. Moi, par contre j’étais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je n’osais pas affronter le regard de mes patrons. Eux parlaient comme s’il s’agissait d’un matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que d’habitude. J’étais au supplice. Comment après ce qui c’était la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils deviser de tout et de rien, avec futilité. J’avais sucé mon patron pendant que sa femme se régalait de mon intimité, ils avaient fait l’amour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience.
-Un croissant, Vicky ? dit Sophie.
-Non, merci, je n’ai pas faim.
Et en plus elle m’appelle Vicky ! La honte s’empare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée !
-Ecoute, chérie, reprend Sophie, ce qui c’est passé hier soir dans la maimister du fond du parc, n’est que le début d’une grande aventure qui commence pour toi… et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ne t’en rends pas compte, parce que permisterne ne te l’a jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je t’ai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir, les femmes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien qu’en agitant ton joli petit cul de pute. N’est-ce pas chéri ?
-C’est sur, et si je n’avais pas eu peur de te faire fuir, je t’aurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir !
-Tu vois mon avocat de mari est d’accord avec moi… et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes. Maitre de Chazot et sa femme ne tarissent pas d’éloge sur toi. Le substitut et Madame ne rêvent que de ton cul. Depuis la petite Lila, aucune de nos soubrettes ne leur avait fait cet effet, même pas cette chienne de Katy. Il faut que tu te fasses à cette idée, tu es une salope en puissance.
Elle s’approche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Elle me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette.
Bertrand se colle à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton d’amour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier soir. Je ne suis vraiment qu’une fille de rien, qui se met à gémir dès qu’on lui astique le bonbon. Les caresses de Sophie se font plus pressentes. Elle a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me *** le bout d’un sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir.
-Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour le sexe, insiste Sophie. Cela fait déjà trois semaines que Bertrand et moi on rentre plus tôt le dimanche soir et qu’on t’observe quand tu t’occupes de ton joli fruit juteux. Bertrand a même pris des photos qu’il a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Bertrand et moi on va d’abord tout t’apprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes du tout
Paris. Mais attention, il faudra nous obéir, au doigt et à l’œil ! Tu devras faire tout ce qu’on te dit, accepter tout ce qu’on ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur l’ordre de Bertrand ou sur le mien. Pour cela, aucun sous vêtement dans la maimister. Dès que tu seras rentrée de la fac, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je ferai posée sur ton lit dans la journée. C’est pour ainsi dire la même que celle que tu portes lors des dîners du vendredi, mais celle-ci est un peu transparente et s’enlève plus facilement. Tu porteras des bas up en résille noire et des escarpins vernis rouge. Ne proteste pas, je sais que tu auras l’air une pute avec cet accoutrement, mais c’est le but recherché. La porte de ta chambre devra toujours restée grande ouverte pour que l’on puisse t’observer, même pendant tes moments d’intimité. Ne t’inquiète pas pour la cuisinière, elle travaille pour nous depuis plus de dix ans et elle participe régulièrement à nos petites… Comment dire cela… à nos petites sauteries.
-Tu peux dire partouze, ma chérie, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin.
-Est-ce que tu as bien compris tout ce que l’on vient de te dire.
-Oui.
-Ah ! J’oubliais, durant ton apprentissage, il n’y a plus de Bertrand ou de Sophie qui tiennent, tu devras dire Maitre et Madame. C’est clair ?
-Oui.
-On dit oui Madame ou oui Maitre.
-Oui, Madame.
-C’est bien, tu es une bonne fille. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, j’en suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions…
L’esthéticienne va arriver d’une minute à l’autre. Tu verras elle est très sympa… Elle repassera pour t’épiler, chaque fois que cela sera nécessaire...
Fini les galipettes pour ce matin. Bertrand et moi partons au palais ce matin, nous rentrerons vers 17 heures, tâche d’être prête car ta première leçon de salope commence ce soir. D’accord ?
-Oui Madame.
-Au fait tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes d’éducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim.
Je me jette littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. J’ai juste le temps de prendre une douche et l’esthéticienne misterne au portail. La cuisinière lui ouvre. Je les vois venir vers ma chambre par le couloir de communication. Elles mistert bras dessus, bras dessous, et s’arrêtent souvent pour s’embrasser à pleine bouche. Elles se touchent sans pudeur, et rentrent dans ma chambre en riant de ma mine ébahie.
-Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur à prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte et elle sera encore mieux, une fois que Rose l’aura débarrassée de tout poil. Et puis tu verras, une chatte bien épilée, c’est beaucoup mieux pour le broute minou… et pour tout le reste d’ailleurs ! N’est pas Rose ?
-Tu as raimister, et pour la vue, c’est plus agréable, on voit bien le bouton se gonfler. Viens, suis-nous. On va dans le salon privé de
Madame la Juge. Il y a tout le nécessaire pour faire une beauté à mon mont de Vénus. Après pour te détendre, je te ferai un bon massage.
-Bien Madame.
-Tu peux m’appeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maitre Bertrand et de Madame la Juge forment une grande famille. Pas vrai Marie ?
-Vrai, ma chérie.
Et elles s’embrassent à pleine bouche, et elles se caressent … Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin d’enfer. Je me laisse faire, Madame m’a demandé d’obéir à la cuisinière… Ce baiser me trouble et j’y réponds avec ardeur.
-Ils ont raimister, les patrons ! tu as un vrai potentiel de salope … à peine quelqu’un te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne … Tu veux goûter Rose ?
Rose prend à mister tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, d’autant plus vite que Marie s’est placée derrière moi et me triture les tétons :
-Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez. Rose embrasse divinement bien. Rends-lui mister baiser, enlace-la. Entends, je t’enlève ce peignoir qui nous encombre plus qu’autre chose. Voilà, pelote-lui ses nibards, Rose ne met jamais de soutif, tu vas te régaler et elle aussi.
Tout en parlant Marie s’est agenouillé derrière moi. Elle m’écarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui s’égaille entre mon œillet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose m’embrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement. Elle me pousse lentement vers le lit, m’allonge et se positionne à cheval sur moi, mister con au bord de mes lèvres.
-Lèche-moi, goûte comme c’est bon une figue complètement épilée. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. C’est bon, tu aimes ça. C’est la première fois que tu suces une femme ? … Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue. –
Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie.
-Madame la Juge ne s’y est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas qu’il lui faille plus de quinze jours avant d’offrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sure qu’elle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant qu’elle te suçait le bonbon. Quelle salope, tu fais, ma Vicky !!! Bon maintenant assez jouer, pasmisters aux choses sérieuses. Rose tu n’es pas venue ici pour te faire brouter la pelouse, mais pour débroussailler le buismister de cette chienne en chaleur.
Je trouve de plus en plus excitant d’entendre parler de moi, devant moi, comme si j’étais un simple objet. Je me sens l’âme d’une soumise. De toute façon qu’est-ce que je pourrais être d’autre, je n’ai aucune expérience sexuelle et tous ces gens se proposent de m’éduquer, de faire de moi une experte de l’amour. En échange, je peux bien leur sacrifier un peu de mon libre arbitre. Le jeu en vaut bien la chandelle. Il y a à peine deux mois, j’arrivais de ma province, naïve comme une oie blanche et aujourd’hui, je suis complètement nue, entre deux filles habillées, elles, même si leurs vêtements mistert un peu de travers. Elles viennent de profiter de mon intimité et je les ai moi-même peloté et sucé. Elles me guident vers le salon particulier de Madame la Juge, en devisant entre elles sur mon cul de salope, ma bouche de salope, mes nichons de salope… La situation est absolument folle… mais je crois que j’aime ça.
On arrive devant la porte du salon de Madame. Je n’y suis jamais rentrée, en général c’est toujours fermé à clef, mais il semble que Marie est accès à toutes les pièces de la maimister. Au centre de ce salon trône une table comme on en trouve chez les médecins avec des étriers pour pouvoir lever les jambes. Un drap blanc recouvre le skaï. Sur les étagères des pots de crème, des bâtons de cire mistert bien alignés. Dans un coin de la pièce se trouve un espalier et juste à côté un vélo d’appartement dont la scelle me paraît étrange sans que je puisse dire pourquoi : elle est trouée ! Dans cet endroit tout semble surprenant, jusqu’à ce rideau épais qui semble cacher encore quelques bizarreries.
-Allonge-toi sur la table. Je vais d’abord t’épiler les jambes, puis les aisselles et enfin Marie t’aidera à passer les pieds dans les étriers, pour que je te fasse le maillot intégral. La position n’est pas des plus agréables, mais c’est plus pratique pour moi. Il faudra recommencer environ toutes les trois semaines, tu es blonde, les poils repoussent moins vite. Je te préviens la première fois c’est un peu douloureux. Mais tu n’as pas le choix : Monsieur et Madame n’aiment pas les poils. Ils trouvent qu’une chatte bien lisse c’est plus présentable.
Tout en parlant Rose en profite pour me taquiner le pistil qui réagit au quart de tour.
-Vraiment Rose, tu es incorrigible. Tu es là pour bosser ! on est déjà en retard avec ses conneries toute à l’heure dans la chambre de la petite ! Alors au boulot !
-Si on ne peut plus flatter la marchandise maintenant, et puis toi non plus tu ne crachais pas dans la soupe. Tu l’as bien astiqué la petite pute, tu t’es bien régalé avec mister jus, ose dire le contraire ?
-Bien sur, mais si elle n’est pas prête quand les patrons rentrent je vais encore être punie ! J’aime plutôt bien ça, mais là je ne voudrais pas prendre à cause de toi !
Punie, mais qu’est-ce qu’elle veut dire. Déjà ce matin, Madame m’a parlé de sévir si je n’obéissais pas ! En plus Marie dit qu’elle aime ça, les punitions. Ce ne doit pas être si terrible car elle a l’air de ce plaire dans cette maimister. Rose me tire de ma réflexion en tirant d’un geste rapide sur la bande de cire qu’elle avait placée sur ma jambe.
-Aie !
-Je t’avais prévenu, et encore les jambes ce n’est rien. Quand on en sera aux aisselles et surtout au maillot, je te passerai une crème anesthésiante, ça n’est pas efficace à cent pour cent, mais ça soulage bien.
Avec application, Rose s’occupe de rentre mon corps quasiment libre de tout poil. On arrive a moment crucial. Marie prend mes jambes pour les attacher dans les étriers.
-C’est pour éviter les coups de pied intempestifs.
Elle m’attache aussi les mains
-Ça, c’est pour éviter les baffes. On n’est jamais assez prudente.
Comme elle l’avait fait pour mes aisselles, Rose me badigeonne le mont de Vénus de la crème supposée prévenir la douleur.
C’est un peu froid… Elle étale la bande, l’applique bien avec le plat de la main et tire d’un coup sec. Avant que je n’aie eu le temps de crier, Marie m’a fourré sa langue dans la bouche. Elle caresse aussi mes nichons avec douceur.
-Il faut détourner l’attention. Si je parviens à te faire jouir, tu oublieras la douleur.
Durant toute la séance, j’essaie de me concentrer sur la langue de Marie, qui se promène de ma bouche à mes seins. Ses mains prennent parfois le relais de ses lèvres. Elle est vraiment très forte, car je ne sens presque plus rien au niveau de mon pubis.
Quand tout est terminé, Rose passe sa langue chaude sur toutes les parties de mon anatomie intime qu’elle vient de maltraiter… comme pour se faire pardonner.
-C’est bien, ma Vicky, tu as été courageuse, tu mérites une récompense.
Et sans me détacher, Rose et Marie prennent possession de mon corps qu’elles couvrent des caresses jusqu’à déclencher un orgasme torride. Elles m’embrassent avec fougue. Je suis arasée de jouissance.
Elles me raccompagnent dans ma chambre, me couche délicatement dans mon lit et après un dernier baiser, elles me laissent seule. Je passe le reste de ma journée à dormir. Cette première journée dans ma nouvelle vie de salope, m’a épuisé… pourtant je ne suis pas au bout de mes surprises…
chrislebo

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#431
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Je suis réveillée part de tendres caresses. Sophie, enfin je veux dire Madame est allongée près de moi, elle est nue. Ses mains effleurent ma peau, dessinent de contour de mon visage, glissent dans mon cou, frôlent mes seins, s’y arrêtent pour en titiller les mamelons qui se dressent comme des petits soldats. Puis encourager par mes frismisters, Madame s’empare de mon bijou, pénètre ma caverne avec ses doigts et m’embrasse avec fougue. Mes mains imitent les siennes et deviennent entreprenantes…
-Tu apprends vite, Marie a raimister ! tu seras peut-être prête d’ici le prochain diner dans 15 jours. J’ai vu les photos, tu as l’air d’apprécier les délices de Sapho. Montre-moi un peu comment tu t’y prends ! Viens mets toi à genoux devant moi et délecte-toi de mon berlingot.
-Bien Madame.
Je m’agenouille entre ses cuisses et ma langue commence mister exploration. J’essaie de me rappeler les délices que m’ont fait subir Marie et Rose, je m’applique. En même temps que je la suce, je lui caresse les fesses, puis le ventre avant de m’aventurer vers ses seins. Je commence par les faire rouler doucement entre mes doigts, juste pour les faires durcir. Puis j’accentue la pression jusqu’à les lui pinçait, les lui tordre sans ménagement. J’ai beaucoup aimé subir ce doux supplice, et je pense à juste titre que Madame va aussi bien l’apprécier, surtout que la langue continue à fouiller mister intimité, s’amuse avec mister clito, s’engouffre dans mister corridor d’amour.
-Mais tu es très douée, petite pute… Et dire que ce matin tu n’avais même jamais gouté au fruit d’une femme ! Comme tu t’occupes bien de mon bouton, comme tu me ***s bien les nichons. Vois comme je mouille, lape-moi, chienne que tu es. Régale-toi de mon nectar, je sais que tu aimes ça. Je t’ai vu te pourlécher les doigts après que tu te sois masturbé. Hummm, je vais partir, tu suces trop bien. Hummm, continue salope ! Ouiiii, c’est bon ! … Attends un peu je m’allonge, tu seras mieux sur le lit qu’à quatre pattes sur la moquette. Allez reprend et finis-moi. Fais-moi voir les étoiles. Putain je crois qu’on a gagné le gros lot, avec toi. Ouiiii !je pars, continue de bien me martyriser les nibards… Ahhh ! ouiiii ! ouiiii ! Encore ma salope, ouiiiiii !!!....
Madame s’écroule dans un râle, mister corps qui était tendu comme une corde de violon, se relâche d’un seul coup et savoure sa jouissance…
-Eh bien ma Vicky, quel coup de langue. Il y avait bien longtemps qu’une fille ne m’avait pas fait jouir comme toi. Pourtant ce n’est pas faute de me faire astiquer l’abricot par toutes les salopes que je rencontre. La dernière fois, s’était il y a des années de ça : une jeune étudiante à qui je donner des cours particuliers. Elle était nulle en droit, mais elle suçait comme une reine, la salope.
 Merci Madame. Je suis heureuse que Madame soit contente de mes services.
 Et en plus elle y met de la grâce, cette petite traînée… Tu vas vraiment beaucoup plaire à nos amis du vendredi… Mais j’y pense, à part la bite de mon mari, que tu t’es prise dans ta jolie bouche de pute hier soir, tu as passé ton temps à te gouiner ? ça ne te plairait pas une queue dans ton mignon petit temple du plaisir ?
-Je n’osais pas le demander à Madame. J’ai pris beaucoup de plaisir avec vous et aussi avec Marie et Rose, mais je ne serai pas contre la proposition de Madame.
-Dis plutôt que tu voudrais te faire baiser. Justement j’entends mon mari qui rentre… Bertrand chéri, tu peux nous rejoindre dans la chambre de la petite, elle a bien besoin de se prendre un bon chibre dans le tabernacle… Bonsoir, mon amour. Tu vois j’avais raimister, cette demoiselle est une fieffée cochonne, que dis-je une cochonne ? Une garce, une salope, une chienne en chaleur. Elle m’a sucé comme une vraie professionnelle. Elle mérite une récompense… et je sais que tu vas te faire un plaisir de la lui donner.
Je ne pense pas que les préliminaires soient vraiment utiles. Elle a joué avec les filles ce matin et là elle vient de me faire une gâterie, elle est chaude à mort, tu peux la prendre tout de suite. Allez ma salope, mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit…
-Tu as raimister elle mouille grave, comme disent les jeunes ? Je vais quand même la lécher un peu avant pour lui lubrifier le con… quelle croupe ! J’ai les mains qui fourmillent. Je ne sais pas comment tu te débrouilles, ma Sophie chérie, mais tu trouves toujours des filles avec des culs d’enfer.
-Je connais bien tes goûts. Mais c’est vrai que celle-ci à un derrière qui vaut largement mister devant, car ses mamelles ne mistert pas mal non plus.
A nouveau, ils parlent de moi, comme d’une marchandise et ça m’excite. Je suis toujours à genoux au bord de mon lit, dans l’attente de la queue de Monsieur… et ils papotent comme dans un salon de thé.
Enfin, Monsieur approche sa langue et me la fourre entre les cuisses. Je suis aux anges. J’étais déjà bien humide, mais là je dégouline. Puis la langue s’arrête, deux mains se positionnent sur mes hanches et une bite, bien gonflée pénètre mon salon de plaisir. Que c’est bon de sentir une queue d’homme dans sa grotte ! J’ai adoré me faire lécher de partout par des filles, mais rien ne vaut un mâle bien monté qui vous ramone la cheminée… Ce n’est pas possible comme mes pensées mistert obscènes… il faut dire à ma décharge que ça fait plus d’un an que je n’ai pas été baisée… enfin je veux dire par un homme ! car depuis deux jours ça n’arrête pas la bagatelle ! Sophie doit lire dans mes pensées :
-C’est bon, hein ma salope ! Tu aimes ça te prendre une bonne bite dans la chatte ? Vas-y profite, Monsieur l’avocat est un bon baiseur. Il sait taquiner la pétasse…
Et elle encourage mister mari :
-Astique-la bien cette chienne, montre-lui qui est le maître. Bourre-la profond. Après ça on pourra en faire ce qu’on veut… Je le sais bien, ce genre de greluche, même si le gouinage ne leur déplait pas, même si elle redemande du broute minou, ce qu’elle préfère c’est un manche de mec entre les cuisses. De vraies salopes ! Tu vas voir ce que je te dis, elle va être parfaite… Nos amis vont s’en régaler quand ils seront à deux ou trois dessus. Car c’est ça qui va lui arriver à cette sale petite pute, elle va se faire prendre de partout, on va lui remplir la chatte, mais aussi, la bouche et le cul ! Je crois qu’elle n’a jamais été enculée. Je suis sure qu’elle est vierge du cul. Ce n’est pas mister puceau qui pouvait avoir ce genre d’initiative. Peut-être qu’il ne l’a même pas fait jouir ! tu vas me dire qu’elle sait se donner du plaisir toute seule, mais c’est quand même mieux de se faire empaler par le membre viril d’un expert de la baise.
Pendant que Sophie fait ses commentaires, somme toute très justes, sur ma vie sexuelle, mister mari se déchaîne dans ma boutique. C’est vrai qu’il baise comme un dieu. Je ne vais pas tarder à exploser. Je ne parviens même pas à analyser les sous-entendus, pourtant assez précis, de Madame la Juge. Il me semble qu’elle a parlé de deux ou trois types sur moi ? ! Qu’est-ce que je dois comprendre ? … Et puis au diable… je verrai bien le moment venu… il faut que je m’attende à tout : ils ont décidés que j’étais à leur service corps et âme… enfin surtout corps, car mon âme, je crois qu’ils s’en tamponnent complètement. Ce qu’ils veulent c’est avoir sous la main une fille docile qui accepte d’écarter les cuisses et d’ouvrir la bouche, et pas que pour parler. Alors laisse-toi aller ma fille et profite de bon temps…. A peine cette réflexion terminée que je sens Monsieur le grand avocat exploser en moi et précède ma jouissance suit d’une courte tête :
-Oh, ma salope, qu’il est bon ton abricot. Quelle chienne tu fais ! Putain, tu m’as fait sauter les plombs. Tu sembles avoir pris ton pied toi aussi ?
-Ouiii Maitre.
-Vois Bertrand, comme elle est mignonne ? «Oui Maitre», dit-elle ! Elle retient bien ses leçons. On va pouvoir passer à l’étape suivante plus tôt que prévu. Elle est très douée, elle ira loin cette salope… puis elle s’adresse à moi… à partir de demain, il faudra que tu fasses bien le ménage après que Monsieur l’avocat ou un autre homme t’ai baisé…
Et devant ma mine interrogative, elle s’empare de la bite de Bertrand et la lèche pour ôter toute trace de sperme.
-… Voilà, comme ça !...
Et elle m’embrasse pour partager avec moi la saveur de la liqueur de Monsieur…
-Il faut que tu y prennes goût… ces messieurs aiment souvent faire baver leur asticot dans notre bouche ! Tu verras c’est toi qui finiras par le demander. C’est comme pour la sodomie, permisterne ne t’obligera… On te le proposera… et un jour, qui ne saurait être lointain, tu supplieras à genoux pour qu’on t’encule. Maintenant essaie de dormir, la journée a été chaude pour toi !
Ils m’ont tendrement embrassé tous les deux, comme on le ferait des parents qui embrassent leur enfant avant une nuit de sommeil…
chrislebo

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#432
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Durant les jours qui suivent, ce ne mistert que jeux d’amour. Dans la journée, je vais à mes cours où je m’occupe de l’entretien de la maimister. Je ne porte pratiquement plus jamais de sous vêtement, même à la fac. Mes camarades de promo me trouvent changée, plus épanouie. S’ils savaient que je suis l’esclave sexuelle et consentante d’un couple de pervers !
Avec Madame la Juge, celui que j’appelle maître et la cuisinière qui se joint souvent à notre trio, nous faimisters des parties de jambes en l’air tous les soirs. Comme Marie est plutôt tentée par les filles, elle s’occupe, à tour de rôle, de Madame ou de moi, pendant que maître baise l’une ou l’autre. Je suce des minous, des seins, la bite que maître me fourre régulièrement dans la bouche pour un nettoyage après qu’il est baisé Madame ou moi : jusque dans cette situation je reste la «femme de ménage».
On me lèche aussi. Marie surtout, mais également Madame qui n’a rien, bien au contraire, pour des parties entre filles.
Un soir maître nous a convoqué Marie et moi dans la chambre conjugale pour un trio de nanas avec Madame. Il a branché le caméscope pour garder un souvenir de cette soirée, mais surtout pour montrer à ses amis combien mon éducation s’accélérait :
- Il faut que nos amis se rendent compte de l’évolution de cette petite salope. Elle va bientôt faire mister entrée dans le monde du libertinage, elle doit être parfaite.
- Tu as raimister, nos invités du vendredi mistert de fins connaisseurs. Ils veulent une marchandise de premier choix et surtout expérimentée. Vicky doit connaître et admettre tous les vices et les délices des soirées libertines. Son éducation est presque terminée. La leçon de ce soir devrait accélérer les choses.
- Tu vas être docile et soumise et accepter tout ce qu’on te demandera. Tu as bien compris ?
- Oui maître. Je suis entièrement à votre service.
C’est je soir là que j’ai eu droit pour la première fois d’être pénétrée par un gode. C’est une idée de maître qui voulait passer à l’étape suivante : il fallait que je me soumette à tous ses fantasmes. Madame la Juge a enfilé un gode ceinture. Je me suis mise à genou devant Madame pour sucer le membre en latex. Quand il a été bien humide, elle m’a solidement attachée sur le lit, les jambes bien écartées, elle a envahi mon antre et fourragé jusqu’à me faire atteindre l’orgasme. Marie, encouragée par maître nous embrassait la bouche et nous suçait les seins. Ensuite Madame a pénétré Marie. J’étais toujours attachée au lit et Marie fouillait mon intimité avec un gode vibrant. Maître commentait :
- Vous êtes vraiment des salopes toutes les trois. Je pourrais m’absenter, vous vous débrouilleriez sans moi.
- En ce qui me concerne, je préfère une bonne bite, dit Madame. Tu devrais laisser le caméscope en automatique pour venir me baiser.
- J’attendais que tu me le demandes. J’avoue que j’ai la queue qui va exploser à power de vous regarder faire les cochonnes.
- Prends-moi le cul, je continue à farcir cette chienne de Marie. On va faire une file à la queue leu-leu, dit-elle en éclatant de rire.
Maître ne se l’est pas fait dire deux fois. Il a attrapé Madame par les hanches et planté mister pieu dans sa caverne sombre. Nous avons atteint l’orgasme en cascade, je fus la première, suivit de peu par Marie. Madame et maître explosèrent en même temps.
Que c’est bon d’avoir à faire à des experts de la baise. Ce n’est pas avec mon jeune puceau de premier amant que j’aurais connu de telles jouissances. Madame avait raimister, je suis faite pour l’amour, j’adore ça. Il ne me reste plus grand-chose à découvrir…
C’est du moins ce que je crois… car un autre soir après avoir copulé joyeusement :
- Cela fait trop longtemps que tu te conduis comme une vilaine fille, dit Maitre. Tu penses que c’est bien de te balader quasiment à poil dans la maimister ou dans le jardin, d’émoustiller cette pauvre Marie. Tu profites que Rose vienne t’épiler pour te faire sucer comme une chienne, sous prétexte de calmer la douleur. Tu acceptes de soulever tes jupes pour te faire baiser n’importe où et n’importe quand ! On te demande de sucer et toi sans réagir et même en y prenant du plaisir tu suces. Et en plus, je sais que tu continues à te toucher tous les week-ends, pendant que Madame et moi sommes à la campagne. Tu n’as aucune retenue, aucune pudeur, aucune morale. !! Tu es une salope !!
Je ne comprenais rien à ce qu’il me disait. J’avais tout accepté, car c’est ce qu’il attendait de moi. J’étais devenue la salope dont il rêvait, et voilà qu’il me le reprochait. Vraiment j’étais abasourdie par tant d’injustice. Les larmes me montaient aux yeux.
- Tu peux avoir honte, renchérit Madame. Tu n’es qu’une chienne en chaleur. Tu mérites une punition. Marie va chercher ce que tu sais et rejoins-nous dans l’annexe. Quant à toi, approche. Baisse la tête et arrête de pleurer. Il est bien temps.
J’étais là au milieu du salon, complètement nue, avec seulement des escarpins, nous venions de baiser comme des bêtes. Pendant que Madame poursuivait ses reproches, Monsieur me glissait un bandeau sur les yeux et menottait mes poignets dans le dos. Ensuite je sentis qu’il me passait un collier autour du cou. Il devait y avoir une laisse, car une chaîne glacée se plaça entre mes seins et le long de mon ventre. Quelqu’un attrapa le lien :
- Avance, chienne, gronda Maitre. Droit devant toi. Tu ne risques pas de tomber, je te guide.
J’ai bientôt éprouvé une petite fraîcheur, qui m’a fait comprendre que nous étions dans le jardin. Nous avions déjà batifolé dehors et je savais que permisterne du voisinage ne pouvait me voir, pourtant j’étais gênée. J’avais honte d’être la proie consentante de Sophie et Bertrand. Encore là, alors qu’ils m’humiliaient, j’éprouvais une certaine jouissance. J’étais vraiment une salope. Sophie, comme toujours avait du lire dans mes pensées, car elle glissa sa main entre mes cuisses :
- Elle trouve encore le moyen de mouiller cette traînée. Elle va être punie, elle est humiliée comme une pute et elle mouille. Quelle chienne ! Elle tremble de tous ses membres, tellement elle a peur, et elle mouille !
- Elle mouillera peut-être moins tout à l’heure ! On arrive au chalet, je vois que Marie a déjà tout préparé.
Maitre passa derrière moi et enlève les menottes. Puis il prend mes poignets, les soulève un après l’autre et je me retrouve attachée les bras en croix au dessus de la tête. Il se saisit de mes chevilles, m’ordonne d’écarter les cuisses et les attache également avec des sangles.
- Elle est bandante comme ça, offerte, nue. J’ai bien envie d’en profité, dit Maitre, et toi ?
- Tu as raimister, avant la punition, on va s’amuser un peu. Joignez-vous à nous Marie.
Des mains caressent alors de mes fesses, des doigts existent mes seins en les pinçant, d’autres fouillent ma coquille, pénètrent ma caverne. Des lèvres powernt ma bouche et une langue s’empare de ma langue. Un gode remplace des doigts dans mon antre douillet. Je mouille de plus en plus, je suis au bord de l’extase… et puis plus rien… je reste sur ma faim… Une violente douleur explose sur mes fesses… je crie sous ce premier coup, bientôt suivi d’un deuxième, puis d’un troisième… je continue de crier et les coups de fouets tombent. Mon cul me brûle.
- Six ! Vas-y maintenant, ma Vicky, compte les coups, tu verras ça aide à penser à autre chose. C’est assez excitant. Surtout quand on ne sait pas quand cela va s’arrêter ! dit Madame en riant.
- … Douze…
chrislebo

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#433
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Demain, c’est le grand jour. Mes Maitres reçoivent leurs amis et je dois leur faire honneur. Ils ont beaucoup investi sur moi, pour mon éducation. Ils m’ont appris toutes les règles de l’amour, du libertinage et de la soumission. Ils ont fait de moi une parfaite petite perverse une vraie vicieuse.
Ils adorent me «punir». La plus part du temps c’est Mon Maitre qui exécute les corrections : il s’agit souvent du fouet sur les fesses, parfois sur les seins et même quelques fois il lui est arrivé de me faire rougir le coquelicot. De temps en temps il me donne aussi la fessée, comme on punirait une petite fille. C’est Madame qui m’attache, car même si je ne vais pas m’enfuir, ni même résister, les entraves donnent plus de piquant aux châtiments. D’ailleurs, je trouve ça très excitant d’être à leur entière merci. J’aime subir, avoir l’impression de n’avoir d’autre choix que celui qu’ils m’imposent. Bien que je partage complètement leurs perversités, être attachée, les yeux presque toujours bandés, fait de moi une «victime» de leurs débauches. Je suis leur esclave.
Quelques fois c’est Madame qui me punit : avec elle pas de coups. Je dois me dévêtir entièrement, puis me mettre à quatre pattes. Elle me passe alors un collier et une laisse autour du coup, m’attache les poignets dans le dos, me bande les yeux et me fait coucher sur une couverture à côté du canapé. Elle me flatte la croupe, comme elle le ferait pour sa chienne, c’est d’ailleurs ce que je suis. Je dois rester là jusqu’à ce quelle m’ordonne de lui lécher sa délicieuse chatte, puis de sucer le sucre d’orge de Mon Maitre. Ensuite lorsqu’ils ont jouis tous les deux, lui dans ma bouche, je dois me recoucher à leurs pieds. Si j’ai été bien sage, elle me fourre un gode dans ma chapelle ardente ou dans ma caverne mystérieuse et m’astique jusqu’à la jouissance.

Cet après midi, Rose vient à la maimister pour m’épiler intégralement. J’en jouis d’avance, car Rose adore me lécher après la séance, «Pour calmer le feu» dit-elle. Je sais aussi que Marie sera de la partie, elle résiste rarement à une partie de gouinage. Elle aime que je l’encule avec le gode ceinture de Madame. On va bien s’amuser toutes les trois… Mais demain je serai seule face aux amis de mes Maitres, et il me faut au moins ça, pour me détendre, car j’ai vraiment le trac.
Vendredi matin ! Je n’ai pratiquement pas fermé l’œil de la nuit, j’ai la figure déconfite. Au petit déjeuner Madame me gronde :
- Tu aurais du prendre quelque chose pour dormir, regarde moi cette tête ! C’est à faire peur. Avale rapidement ce comprimé et va te recoucher. Tu dois être en forme pour ce soir : c’est ton soir ! Vers 15 heures, Rose viendra te maquiller et te coiffer. Allez, au lit et cet après midi pas de léchouilles avec Rose et Marie. Je te veux en forme lorsque je rentre du palais. Bertrand devrait rentrer de mister déplacement en province vers 18 heures. Je ne veux pas qu’il te voit avec cette tête de papier mâché.
Après avoir avalé le somnifère, je suis retourné me coucher et c’est Rose qui me réveille. Marie a préparé une collation, car je n’ai rien mangé depuis la veille au soir. Puis je me laisse aller dans les mains habiles de Rose. A la fin, elle me mène devant le miroir et je n’en crois pas mes yeux. Je suis métamorphosée. Ça tient à la fois de la plus grande sophistication et pourtant j’ai bien l’air de ce que je suis : une pute ! De me voir ainsi me fait monter des frismisters de partout. Je pense, je suis sûre que les amis de mes Maitres vont être ravis. Je vais faire un triomphe. Cette transformation me remplit d’assurance. Rose a préparé mon corps comme on prépare un objet d’art que l’on doit livrer aux regards des spectateurs.
- Elle est magnifique ! S’écrit Marie, Rose tu as fais un travail superbe ! Madame sera ravie… et ses invités ne vont pas en revenir !
- Il fait reconnaître que la matière première est d’excellente qualité ! Renchérit Rose. Tu as vu ses seins, la cambrure de ses reins… et mister cul ! à damner un saint ! Ce que mistert loin d’être les amis de Monsieur et Madame ! Ils vont tous vouloir mettre leur cierge dans mister charmant tabernacle et dans sa grotte profonde. Quant aux femmes, elles vont se faire une joie, de se faire sucer le Temple de Cypris par une si belle et si soumise Vestale.
- Et connaissant Vicky, comme nous la connaismisters, ni ses messieurs, ni ses dames ne vont regretter leur attente d’un mois, conclut Marie.
J’ai pris l’habitude que l’on parle de moi, comme d’une chose. Ça m’excite. Je ne réponds pas à leur bavardage, je suis un objet de plaisir pour mes Maitres et à partir de ce soir pour leurs amis. Il est normal que l’on me traite comme telle. Je n’ai pas à me poser de question, je dois être sensuelle et obéir. Mon souci du moment est de savoir ce que Madame a prévu que je porte ce soir. Elle arrive dans moins d’une heure. Il va falloir que je patiente jusque là. Pour l’instant je prends un peu de repos dans ma chambre.
Je suis sagement assise dans le fauteuil de ma chambre quand Madame fait mister entrée avec ma tenue. Il s’agit d’une jupe noire, stricte, et d’un chemisier blanc classique. Seule la possibilité d’ôter rapidement cette tenue grâce à la fermeture à glissière de la jupe et des boutons pressions du chemisier, la rend un peu provocante. Je suis un peu déçue, je pensais que Madame aurait choisit quelque chose de plus sexy, bien sûr c’est assez moulant et laisse bien deviner mes formes généreuses. S’ajoutent, un petit tablier en dentelle blanche, un collier de chien en cuir blanc et strass, des bas noirs et des escarpins vernis. Comme je m’y attendais je ne porte aucun sous-vêtement. C’est la seule chose qui m’excite un peu.
- C’est ta tenue pour servir à table, ne fais pas cette tête ! Pour ta première prestation, tu ne te voyais pas servir complètement nue ! Rassure-toi, je ne crois pas que tu la garderas longtemps, tout juste le temps du repas. Ils savent tous que tu n’as rien dessous, ils ne vont pas se priver de te tripoter et je gage que tu serviras le café, voir peut-être même le dessert avec juste tes bas et tes talons hauts.
- Ouah, dit Mon Maitre qui vient juste d’arriver. Je me la ferai bien là tout de suite !
- Tu vois, grande sotte, que cette tenue te va à ravir. Bertrand en a le pistil tout émoustillé…. Tiens-toi tranquille, vieux dégoûtant, ce soir cette pétasse est le cadeau pour nos amis. Tu as le loisir de te la farcir tous les jours !
- Alors c’est toi que je vais sauter, car là j’ai la verge en feu.
- Vas prendre une douche et garde tes powers pour tout à l’heure.
20 heures, les premiers invités arrivent. C’est Marie qui va ouvrir. Je ne dois faire mon apparition qu’après que tout ce beau monde soit passé à table. Ils mistert dix, Mes Maitres compris : sept hommes et trois femmes, avec moi ça fera quatre. Marie ne participe que très rarement à ces soirées. Dans l’office, je les entends parler de moi. Mes maitres vantent mes qualités d’esclave soumise et de salope, d’objet de plaisir. Les autres ne cessent de poser des questions :
- Elle suce bien ? demande une voix féminine.
- Et les pipes ? Demande un homme. Moi j’adore qu’une femme avale mon jus, est-ce qu’elle avale ?
- Elle accepte d’être enculée ? demande un autre et la double pénétration, elle n’a rien contre j’espère ?
- On pourra la baiser avec des godes ? Intervient une autre.
- Allons mes amis, répond Madame, n’avez-vous jamais été déçus par l’une de nos soubrettes ? Non !... et bien croyez-moi, celle-ci surpasse toutes les autres ! En plus c’est une vraie soumise ! Elle adore être punie quand elle fait des «bêtises». Je la soupçonne même d’en faire exprès pour recevoir le fouet. Bertrand l’a déjà fouettée partout, cul, nichons et même la chatte et la petite cochonne trouve encore le moyen de mouiller. Enfin, je ne vais pas tout vous dévoiler, il faut que vous ayez la surprise. Pasmisters à table, vous aurez tout le loisir d’admirer notre pouliche. Comme d’habitude, elle ne porte rien sous sa robe, vous pouvez toucher la marchandise, mais essayez quand même de vous tenir jusqu’à la fin du repas. C’est une novice, et bien qu’elle soit très vicieuse, il faut la faire languir avant de la consommer. Elle n’en sera que plus docile !
Elle m’excite de parler ainsi. Si ça ne tenait qu’à moi, je me présenterai nue devant ses invités pour me faire sauter sur le champ. Mais Madame ne serai pas contente. Je dois obéir et accepter de ménager ses effets. C’est elle qui reçoit, je ne suis que l’esclave de service. J’écarterai les cuisses quand on me le dira… Mais que ça me démange… Madame m’interpelle :
- Vicky, mon petit, vous pouvez commencer votre service.
Je tremble de tous mes membres. Pour me réconforter, Marie glisse sa main entre mes cuisses et caresse un instant mon bouton.
- Courage, ma salope ! pense que tu vas t’en prendre de partout ce soir. Belle comme tu es, ils vont te ramoner comme tu ne l’as jamais été. Fais-moi confiance !
Timidement, je fais mon entrée dans le séjour, avec le plateau des hors d’œuvre. Je sens le rouge me monter aux joues, quand le silence se fait. Chaque invité me détaille de la tête aux pieds, comme pour un bestiau. Ça m’excite. Je sais que d’ici la fin de la soirée, mon corps aura reçu les «hommages» de chacun d’entre eux. Cette pensée me rend mon courage. Je relève la tête et gonfle ma poitrine fièrement, comme une bonne petite pute. Je propose le plat à tour de rôle à tous les convives. Permisterne ne parle. Ils en mistert à l’observation. Certains pourtant me frôlent «involontairement» en se tournant vers moi pour se servir. Un d’entre eux a même risqué de m’effleurer les fesses. Je me cambre légèrement pour lui faciliter la manœuvre. Madame ne perd rien des gestes de ses amis. Elle me sourit gentiment comme pour m’encourager. Je repars en cuisine satisfaite de moi. J’ai plutôt bien réussi la première épreuve.
Au deuxième service je fais en sorte de me pencher bien en avant afin que chacun d’entre eux puisse profiter de mon décolleté, aussi bientôt :
- On ne pourrait pas en voir un peu plus de cette charmante pouliche. Je pense qu’elle a des nichons de déesses et c’est un péché de cacher ses mamelles plus longtemps.
- Maitre de Chazot a raimister, on a tous envie de voir et surtout de toucher, renchérit Maitre Clotilde Duclos, l’associé de mon Patron.
- Vous n’avez aucune patience, mes chers amis, intervient Sophie. Vicky vient ici.
Docile, je m’approche de Madame. Elle se lève, se place derrière moi, d’un geste rapide dégrafe mon chemisier libérant mes seins puis elle l’enlève aussitôt. Me voilà la poitrine à l’air devant des permisternes que je ne connaissais pas il y a juste une heure. Je suis fière de m’exhiber ainsi. Madame se colle contre moi et titille mes mamelons pour les faire durcir. Chacun des invités y va de sa plaisanterie salasse. Ça m’excite de les entendre me traiter de :
- Salope, de chienne en chaleur, de petite pute… j’en passe et des meilleures.
- On va passer une bonne soirée avec une cochonne pareille !
Après être passée entre toutes les mains, je retourne à la cuisine chercher le dessert. Il s’agit d’une mousse au chocolat. Je commence à comprendre pourquoi Madame et Maître ont choisit ce dessert… Je crois que je vais servir de plateau repas. Je fais mon entrée avec le plateau sur lequel mistert posées les coupes de mousse. Lorsque j’ai servi chacun des convives, Madame m’interpelle :
- Viens, approche. Nos amis veulent en voir d’avantage. Comme c’est moi qui t’ai enlevé ton chemisier, il est normal que le privilège d’ôter ta jupe revienne à l’un de nos hôtes. Cela ce fera sous forme de jeux de dés. Tu vas être le lot gagnant de celui ou celle qui fera le plus gros chiffre. Mesdames à vous l’avantage.
Il y a de fortes chances que ce soit un home qui gagne puisqu’ils mistert plus nombreux. Madame et Maître ne jouent pas, cela va de soit honneur aux invités. Chacun lance les dés à tour de rôle et ils s’amusent comme des fous. Je reste stoïque à côté de Madame, attendant le vainqueur.
- Douze, annonce un homme.
Il s’agit d’un jeune médecin, Docteur Pierre Duval, installé depuis peu dans le quartier. Madame l’avait fait venir un jour que Marie était souffrante. Je l’avais trouvé très séduisant et j’ignorais à ce moment qu’il faisait partie des soirées de mes patrons.
Pendant que ces messieurs dames me jouaient aux dés, Maitre avait placé à mon cou, mon collier et ma laisse de chienne docile.
- Bravo, cher Pierre venait chercher votre lot. A vous l’honneur de finir de dévêtir cette chienne.
Le Docteur attrapa la laisse et me fit faire un tour de salon, comme pour exhiber mister trophée. Ensuite il me fit monter sur une chaise, et sous les encouragements des ses comparses entrepris d’enlever ma jupe avec la lenteur nécessaire pour exciter mes sens et ceux des invités. Ce n’était que sifflet, mots grossiers, mais tellement excitant, à mon égard, j’en avais la chatte humide. Lorsque la jupe fut par terre, il me fit descendre de mon piédestal et me promena encore une fois autour du salon. Les quolibets fusaient toujours et je mouillais de plus en plus. Comme l’avais prévu Madame, je me retrouvais avant le café, en bas et talons, entièrement nue devant ses invités qui salivaient déjà à l’idée de la soirée qui allait suivre….C’est vrai, la brûlure est moins sensible. Je commence à y trouver presque du plaisir, d’autant que l’une des filles s’est saisie de mes nichons et les ***s avec application. Je ne résiste jamais à ce genre de traitement. Je mouille à nouveau tellement que la cyprine coule le long de mes cuisses.
- …Dix-sept…
Une langue lèche mon entre jambe. Je jouis malgré les coups de fouet.
- Vraiment, il n’y a rien à dire… cette fille est une vraie salope. Même la punition la fait jouir. Je crois qu’elle est prête. Nos amis vont être satisfaits. Vendredi sera mister jour d’entrée dans le libertinage. Elle va y être la reine de nos soirées. En plus elle continue à compter, malgré la douleur et l’orgasme…
- …Hummm…Vingt …
- Sophie et moi sommes fiers de toi, tu es notre chef d’œuvre. On n’a jamais vu de soumise aussi chienne que toi ! Dis-nous ce qui te ferait plaisir ?
- Enculez-moi, Maitre. Je veux que vous soyez le premier à honorer mon cul de salope.
Madame me détache, m’installe sur le lit de la chambre de repos en position. J’ai toujours le bandeau sur les yeux et permisterne ne misterge à me l’ôter. C’est très bien comme ça. Des doigts pénètrent mon anus pour le dilater, puis je sens la bite de mon Maitre s’enfoncer dans mon arrière-boutique. Je jouis pour la première fois du cul. Marie m’embrasse à pleine bouche, pendant que Madame roule une pelle à mister mari.
Je suis prête maintenant : Je n’ai plus de tabou. En tout juste un mois je suis devenue une esclave sexuelle, soumise et heureuse de l’être…
Vendredi prochain, je vais être offerte aux amis de mes Maitres….
chrislebo

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#434
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PREMIERE SODOMIE



Je m’appelle Alain, 45 ans, depuis deux mois je file le parfait plan cul avec Catherine, une blondinette de 30 ans, fraîchement divorcée qui a besoin de s’éclater coté sexe.
Son fantasme était une baise à trois. Fantasme que nous avons réalisés la semaine dernière avec un de ses amis, Jean-Luc et vu les cris de jouissance qu’elle à poussée, je pense qu’elle est prête à recommencer.
Mais ce que je veux raconter c’est ce qui s’est passé le lendemain matin. Catherine était partie travailler et ne devait rentrer que le surlendemain. J’étais seul avec Jean-Luc. Quand je me suis réveillé, j’étais seul dans la chambre, j’ai pris ma douche, enfilé mon boxer noir moulant et me suis dirigé vers la cuisine ou Jean-Luc prenait un café. Je me préparais moi-même un café en lui tournant le dos.
-« Joli petit cul » me dit-il.
Au lieu de m’offusquer j’ai trouvé cela plutôt flatteur, quelques filles m’ont dit que j’avais un beau cul mais jamais un homme.
Voyant mon trouble Jean-Luc continua :
-« Ce boxer le met bien en valeur »
Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis retourné :
-« c’est vrai, il te plait ? »
-« oui vraiment je le trouve très mignon et cela n’a pas l’air de te gêner ?
Effectivement je m’étais mis à bander sous les compliments de Jean-Luc.
-« Tu es bi ? » lui dis-je
-« Un peu, dimisters que j’adore les beaux culs, qu’ils soit de femmes ou d’hommes et le tient me plait vraiment ; »
-« Tu veux le caresser ? »
Tout en disant cela je m’approchais de lui, il passa sa main sur mon cul. La sensation fut très agréable, mon cul s’électrisa et ma verge se mit à doubler de volume.
Puis il entreprit de me baisser le boxer. Je me laissais faire et me retrouvait entièrement nu devant lui, comme une femelle en chaleur. J’éprouvais un sentiment de honte de me conduire ainsi mais j’étais vraiment excité et j’avais vraiment envie de me laisser faire. Il faut dire que mon cul n’est pas tout à fait vierge, il ne dédaigne pas à l’occasion un bon gode mais je n’avais jamais fait ça avec un homme.
Il continua a me caresser le cul tout en insinuant un doigt dans ma raie venant ainsi titiller mon anus. A chaque fois je sentais une chaleur dans mon ventre et l’envie que ce doigt rentre en moi.
-« tu as l’air d’aimer ça ma salope ? »
-« oui » dis-je en rougissant.
Jean-Luc pris un peu de margarine sur mister majeur et commença à me caresser l’anus. Je me cambrais de plus en plus, tendant mon cul vers lui.
-« tu le veux ? »
-« oui »
-je n’ai pas bien entendu ? »
-« OUI »
-« oui quoi ? »
-« oui je le veux »
-« dis-moi ce que tu veux, salope »
-« je veux que tu enfonces ton doigt dans mon cul »
Aussitôt je sentis mister majeur me pénétrer. Je me suis moi-même mis des doigts au cul, des filles me l’on fait mais là c’était divin, je gémissais comme une vraie chienne.
-« si tu en veux plus il va falloir le demander gentiment ? »me dit Jean-Luc.
-« j’en veux plus s’il-te-plait »
-« il faut être plus explicite »
J’avais perdu tout contrôle j’étais prêt a tout pour avoir plus qu’un doigt.
-« je veux ta queue »
-« comment ça »
-« dans mon cul, je veux que tu m’encules »
« T’es une salope ? »
« Oui je suis une vraie salope, ta salope prête à tout »
« Après t’avoir enculé je te ferais ton éducation de salope, d’accord ? »
« Oui, oui, tout ce que tu veux »
Jean-Luc enfila une capote et pointa mister gland sur mon anus, d’une poussé il le fit entrer. J’eu un peu mal, Jean-Luc est bien membré mais je ressentis presque aussitôt un sentiment de plénitude à sentir mon cul remplit par cette queue, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Malheureusement Jean-Luc était très excité et éjacula rapidement.
Plus tard nous étions sur le canapé du salon, Jean-Luc s’était rhabillé mais m’avais demandé de rester nus.
« Tu as aimé ? »
« Oui, énormément »
« Si tu veux je peux faire de toi réellement une vraie salope ; tu en as envie ? »
J’avais très envie de sa queue et lui répondit par l’affirmative.
« Bien, à partir de maintenant tu te nommeras Aline et tu vas commencer un apprentissage de salope. Première leçon ; tu dois m’appeler maître.
« Oui maître »

chrislebo

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#435
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Deux semaines venaient de passer depuis que Jean-Luc m’avait sodomisé chez Catherine. Il m’avait laissé nu sur le canapé, seul avec mes pensées.
Plus je repensais à cette aventure plus je m’avouais avoir aimé être enculé et je n’avais qu’une seule hâte : recommencer.
Jean-Luc avant de partir avait promis de faire de moi une vraie salope et que je recevrais des instructions par mail que je devrais suivre aveuglement si je voulais retrouver sa belle queue.
Nous étions samedi et je venais de recevoir ce fameux mail qui m’ordonnait de me rendre au 5 d’une rue fameuse de la Capitale vers 21h et de me présenter en tant qu’ »Aline la Salope » et de demander à parler à Romain.
Cela faisait une bonne demi-heure que je passais et repassais devant la boutique, plein de pensée dans la tête, je savais que si j’obéissais à Jean-Luc, il pourrait alors faire ce qu’il voudrait de moi. En même temps j’avais vraiment envie de sa queue.
Finalement je franchis la porte. Un homme se trouvait a droite de l’entrée. Il y avait aussi trois clients, des hommes.
-« Bonjour » dis-je à l’homme.
-« Oui, que puis-je pour vous ? »
-« Je désirerais parler à Romain, je viens de la part de Jean-Luc »
-« C’est moi, qui êtes-vous ? «
-« Heu…, Aline la Salope «
Les clients se retournèrent pour me regarder, je rougis ne sachant plus ou me mettre.
-« Ah oui je t’attendais, viens avec moi. »
Je le suivis dans une deuxième salle au fond du magasin, toujours suivi du regard des clients.
-« Déshabille-toi »
-« Pardon »
-« Tu es bien une salope ? »
-« Oui, oui »
-« Alors obéis »
Je me dévêtis ne gardant que mon caleçon qui avait du mal à cacher mon érection.
-« Enlève tout »
J’obéis et me retrouvais entièrement nu.
-« Bien, tout d’abord je vais te mettre ce corset qui affinera un peu ta silhouette, une fois réglé à la bonne taille tu pourras l’enfiler tout seul. Il comporte six jarretelles amovibles pour tenir les bas. »
Je me retrouvais avec un corset en dentelle qui mettait en valeur mon cul, le vendeur me donna des bas que j’enfilais, il les attacha aux jarretelles. Puis il sortit un string avec étui devant pour enfiler ma bite.
-« Tu chausses du combien ? »
-« 43 «
Il sortit plusieurs paires de chaussures à haut-talons. Après plusieurs essayages il me dit que j’en garderait trois paires, une de 8 cm , une de 16cm et une de 22cm de hauteur, que je devais d’abord commencer par les 8 cm pour m’habituer mais qu’une vraie salope devait porter minimum des 22 cm. Je trouvais déjà qu’avec 8 cm j’avais du mal à tenir debout, alors avec 22. Mais en même temps je trouvais que cela cambrait bien mon cul et que je devais être bandante ainsi vêtu.
Puis le vendeur me fit essayer des perruques, blonde, brune et rousse. Je me trouvais sexy avec la blonde mais le vendeur me dit que j’étais mignonne en brune. Enfin il me donna une robe noire moulante qui s’arrêtait à mi-cuisse laissant presque voir le haut de mes bas.
-« Bien suis-moi »
Je dus à ma grande surprise le suivre ainsi vêtu dans la boutique ou il ne restait que deux clients qui me reluquèrent. J’étais gêné et très excité en même temps.
Jean-Luc se tenait au comptoir et siffla d’admiration en me voyant.
-« Superbe. Romain tu as fait du bon boulot, tu es magnifique Aline, très salope comme je les aime. »
« Merci »
Jean-Luc paya Romain et me pris par la main. Nous sortîmes dans la rue qui était assez animées malgré l’heure tardive. J’avais un peu de mal avec mes chaussures ce qui m’obligeais à marcher lentement laissant le soin aux passants de me dévisager. J’avais horriblement honte mais j’étais fière de marcher à coté de Jean-Luc ainsi travesti, je tenais à être une parfaite salope pour lui.
Nous descendîmes dans un parking. Nous approchâmes d’une voiture et Jean-Luc m’ouvrit la porte de derrière, je m’engouffrais dedans.
-« Bonjour »
Je restais stupéfié, Catherine se tenais assise dans la voiture.
-« Tu connais Catherine, Aline ? Je lui ai tout raconté et cela l’a terriblement excitée, alors j’ai décidé qu’elle serait ta tutrice pour t’apprendre les rudiments de salope. Catherine et une experte dans ce domaine. Tu devras l’appeler aussi Maîtresse.
-« Oui, maître. »
chrislebo

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#436
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Soumise à mister homme



Je ne porte rien qu’un serre taille, des bas et des talons aiguille. C’est dans cette tenue que M. a voulu que je lui serve mister repas. J’ai vraiment l’air d’une pute. Mais M. aime ça et moi aussi.
Régulièrement il exige de moi que je me soumette à ses fantasmes. Celui de la soubrette est le plus récurant, seule la manière dont je suis habillée change : parfois une jupe noire courte, très courte et un chemisier blanc et transparent qui laisse voir mes seins, d’autres fois un corset seins nus avec un petit tablier qui cache à peine mon sexe, toujours des bas noirs à résille et des talons hauts. Quelques fois c’est une tenue d’infirmière, toujours les seins nus ou visibles sous un haut transparent, mais quelque soit la manière dont je suis vêtue, j’ai toujours l’air d’une salope et je dois lui être soumise dans tous ses fantasmes.
Il y a quelques années c’est moi qui lui ai demandé de me punir, ça m’excitait d’être à sa merci attachée et fouettée avant qu’il ne me baise. Au début il n’était pas très enthousiaste, il avait peur de me faire mal. Puis lui aussi il y a pris du plaisir et maintenant c’est lui qui est le premier partant.
Un jour il a voulu me sodomiser. Je n’étais pas très chaude, j’avais peur, mais pour lui faire plaisir j’ai accepté. Depuis j’adore qu’il m’encule : je suis devenue une salope complètement soumise à mister homme. D’ailleurs pendant nos ébats, c’est le nom qu’il me donne, je ne suis plus N. je suis Salope.

Le repas est terminé et je lui porte mister digestif au salon. Je le pose sur la table basse et j’attends ses ordres.
- Vas chercher les menottes et le bandeau, ensuite tu porteras les fouets, les godes et les vibros. Je vais m’occuper de ton cul. Dépêche-toi Salope.
Je reviens avec le coffret qui contient les jouets que M. a demandé. C’est moi qui les achète en prévision de ses fantasmes. Je suis une vraie chienne.
M. est maintenant assis dans le fauteuil. Je suis à genoux entre ses jambes.
- Allez approche que je te fourre ma bite dans la bouche et suce moi bien chienne.
Il impose le rythme en me tenant par les cheveux. Il m’a attaché les mains derrière le dos et bandé les yeux. Je sais qu’après l’avoir longuement sucé il va me fouetter.
- Tu te comportes comme une salope, alors, je suis obligée de te punir.
Il me fera lever, attachera mes poignets au dessus de ma tête avec les menottes, me conduira contre la porte pour que je lui présente mon cul. Là avec un fouet ou un martinet il s’acharnera sur mes fesses jusqu’à les faire rougir, tout ça en me traitant de vicieuse, de chienne, de pute etc… J’aime ça, ça m’excite terriblement. Parfois sa main glisse entre mes cuisses et il caresse ma fente humide, il pénètre mon intimité avec ses doigts et ensuite il me fait sucer ma mouille. Puis le fouet reprend sa danse sur mon cul.
- Tourne-toi que je m’occupe de tes nichons. Je vais les faire durcir, les faire bander. Allez Salope plus vite que ça, bombe bien la poitrine.
Je me retourne les seins en avant et il me plaque contre la porte. Il commence par me les pincer avec vigueur.
- Tu aimes ça hein, Salope, pute. Tu aimes te faire triturer les nichons. Vas-y dis le que tu aimes ça.
- Oui, Monsieur, j’aime ça, Torturez moi mes nichons de salope. Hummm, Ouiiii, Encooore !
- Quelle pute tu fais. Tu vas voir ce que je vais te mettre, tout à l’heure. Tu vas t’en prendre plein le cul, plein la chatte, ta chatte de pute, de vicieuse, allez dis-moi que tu es une salope qui aime se faire baiser.
- Oui, insultez moi, je le mérite, je suis une Salope, qui aime se faire baiser, s’en prendre plein le cul.
Il me pince toujours les mamelons, puis il les prend entre ses doigts et le fouet recommence sa danse folle, mais cette fois sur mes seins. Ça brûle un peu, mais putain ce que ça m’excite. Je mouille comme une malade.
- Allez, à genoux maintenant esclave, on va dans la chambre. Je m’exécute. Quel cul de salope !
Pendant que je monte les escaliers à quatre pâtes, M. continue à me fouetter le cul. Je traverse le couloir et je rentre dans notre chambre, toujours agenouillée comme une chienne. M. me fait allonger sur le dos, les bras toujours attachés au dessus de ma tête.
- Ecarte bien tes cuisses de pute, que je vois ta chatte.
Je replis mes pieds vers mes genoux et j’écarte le plus que je peux afin que M. puisse profitait du panorama. M. aime bien que je sois complètement épilée, cela lui permet de mieux profiter de la vue sur mon clito. J’attends, et pendant une minute, rien ne se passe. Je l’entends qui farfouille dans le coffret à malice. Bientôt je perçois un bruit familier et je sens le gode se présenter sur ma chatte. Il me pénètre et M. commence des allers et venues jusqu’à ce que je jouisse.

Une fois, je lui ai demandé de me fouetter le clito après cette pénétration, ça fait une peu mal, mais ça provoque aussi des sensations d’excitation intense, un peu comme quand on mange une glace, c’est froid, ça pique sur la langue, mais pourtant on continue à lécher car en même temps c’est tellement bon.
Pour le moment, il me lèche la chatte avec délectation tout en me pinçant le bout des seins. Je jouis de partout et je mouille comme une pute. Alors la langue encore pleine de mon suc, il vient m’embrasser à pleine bouche. J’aime avoir le goût de ma mouille dans la bouche. Il a du lire dans mes pensées, car il prend un petit martiner en latex et entreprend de me fouetter la chatte encore en pleine excitation.
- Alors, Salope, tu vois ce qui arrive aux putains de ton espèce ? Tu jouis comme une perverse, voilà la punition que tu mérites. N’oublie pas que tu es mon esclave et que je fais de toi ce que je veux. Tu es là pour m’obéir.
Il en profite pour me pincer les nichons. Je devrais avoir mal, j’ai mal, mais le plaisir l’emporte sur la douleur et je jouis encore.
- Il n’y a rien à faire, tu es vraiment une chienne soumise. Tourne toi, que je t’encule. Plus vite que ça, Salope.
Et il me file une énorme claque sur le cul, la première d’une longue série.
- Je croyais que vous vouliez m’enculer ?
- Ferme-la, je t’ai déjà dis que je faisais ce que je voulais. Pour le coup, tu vas encore prendre une autre fessée, et je ne t’enculerais que si tu me supplies.
Sa main s’abat sur mes fesses ? Dans ma tête, je compte les claques. 30 déjà. Il est temps que je le supplie ou mon cul va devenir écarlate.
- Enculez-moi, je vous en prie, prenez mon cul de pute, de chienne. Enfoncez votre queue bien en profondeur. Je ferai tout ce que vous voudrez, je suis votre esclave, votre soumise.
- Suce-moi avant, Salope, pour bien lubrifier ma queue. Ensuite je t’enfoncerai le vibro dans le cul pour te dilater.
Je suis à genoux sur le lit, la bite de M. juste devant ma bouche. Il me la met sur le bord des lèvres et je m’en empare goulûment. Je le suce avec application, je lui lèche les couilles et reprends la bite dans ma bouche. Au bout de quelques minutes de ce régime, M. me demande de lui présenter mon cul et il me pénètre avec le vibro pour bien me dilater. Enfin il retire l’engin et le remplace par sa bite.
- Tiens prends ça, Salope. Tu la sens bien dans ton cul ? Vas-y ma Salope, dis que tu aimes ça, te faire enculer ? Dis le, Salope.
- Oui, Monsieur, j’aime ça quand vous m’enculez, je suis une chienne, une salope. Allez-y, défoncez moi le cul, prenez moi comme la putain que je suis. Faites de moi ce que vous voulez. Je suis votre esclave, une salope. Ouiiii, c’est ça, encore, plus fort.
- C’est tout pour le moment, on verra plus tard, si tu es sage, peut-être que je te prendrai encore ton cul de chienne. Pour l’instant allonge-toi sur le dos et caresse toi la chatte, j’aime quand tu te fais jouir. Ecarte bien les cuisses que je vois bien ce que tu fais. Pendant ce temps tu vas me sucer la bite et moi je te pincerai tes nichons de garce.
J’adore me masturber et encore plus devant mon homme, surtout lorsque j’ai sa bite dans la bouche et qu’il me *** les seins. Il pourrait tout me demander dans ces moments. Je ne vois pas ce qu’il pourrait me demander d’autre, car je crois avoir déjà accepté tous ces fantasmes mais je sais que je ne serais pas en mesure de lui refuser quoi que ce soit.
Bientôt je jouis, je ne sais plus où j’ai la tête. J’arrête la masturbation et M. se met à me sucer. Alors je crie mon plaisir, l’orgasme que j’ai déclenché atteint mister paroxysme. Je profite de lui caresser les fesses car il m’avait libéré les mains avant que je commence à m’astiquer le clito. Ma jouissance est telle que j’ai envie de hurler, de mordre. Comme il me suce bien, j’aime sa langue sur ma fente.
- Suce-moi, suce ta Salope. Ouiii, je t’aime, prends moi !
- Tourne-toi et mets-toi à genoux. Je vais te bourrer ta chatte et ton cul. Tu vas t’en prendre des kilomètres de bite.
M. me prend d’abord la chatte puis le cul et à nouveau la chatte. Je sens mister plaisir monté. Il revient entre mes fesses et bientôt il explose dans mon cul. Il continue à me labourer et l’orgasme arrive qui m’envahit totalement.
- Mon amour, je t’aime, je t’aime.
- Moi aussi, je t’aime, j’aime quand tu me fais l’amour. C’est si bon.
Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre
chrislebo

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#437
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Funéraille et porte-jarretelles
Un coup de téléphone annonça la mauvaise nouvelle : le décès du père de Madame. Même si toute la famille s’en doutait depuis l’hospitalisation d’urgence du père de Marie-Hélène, et au vu de mister grand âge, celle-ci eut bien sur beaucoup de chagrin. Son mari, le Maire de la commune, s’occupa des formalités. Les obsèques auraient lieu le mardi suivant.
Madame est dans sa chambre. Elle a enfilé un tailleur noir qui moule mister corps. Elle a mis des bas noirs et un chapeau à voilette pour cacher ses larmes éventuelles lors de la cérémonie. Alexia, la domestique de Madame, se tient à coté d’elle. Ne pouvant s’empêcher de la toucher. Elle releva la jupe dévoilant les longues jambes de Madame accentuées par la hauteur de ses talons aiguilles. Marie-Hélène aurait préféré mettre des talons moins hauts mais Alexia a insisté et a obtenue gain de cause. Elle a une réelle ascendance sur Madame depuis que celle ci est devenue sa Miss PO. Des que Monsieur part à l’Hôtel de Ville, Alexia s’occupe de Madame. La léchant, l’humiliant, la vulgarisant même parfois mais toujours en lui arrachant des orgasmes dévastateurs qui la laissent pantelante.


Un vent glacial soufflait sur le cimetière créant une ambiance encore plus sinistre que celle que l’on a habituellement pour un enterrement. Le cortège funèbre avançait lentement. Madame en tête accompagné de mister époux avec derrière eux, le reste de la famille et les amis venus rendre un dernier hommage au défunt. Parmi les amis, l’épouse du Sous-préfet, Amélie, la meilleure amie de Madame. Beaucoup plus loin, à la queue du cortège, José, le concierge d’Amélie qui a tenue à l’accompagner. Pas par compassion…Il a une idée pervers en tête. Il a contraint l’honorable épouse du Sous-préfet à ne mettre aucun sous-vêtement sous mister strict tailleur gris. Sauf un porte-jarretelles qui retient des bas. Par un funeste destin, le concierge pervers est a coté de la bonniche de Madame. Il ne tarde pas à discuter entre eux…Et quand deux pervers se rencontrent, qu’est ce qu’ils se racontent ?


Le corbillard s’arrêta devant la tombe et l’on sortit le cercueil ou était posé une énorme couronne…Un peu en retrait, 3 fossoyeurs attendent pour mettre le cercueil dans la tombe et la refermer. Leurs pelles mistert posées à coté d’eux. Ils regardent les membres de la famille s’arrêtant sur Madame…Les 3 hommes se jettent des coups d’œil complices. Ils lorgnent tous sur les jambes de Marie-Hélène gainées de bas noirs. Ils s’imaginent en train de la culbuter sans ménagement après l’enterrement. A power de travailler dans un cimetière, on a des fantasmes de veuve, powerment.


La cérémonie est terminée…on va procéder à la mise en terre et la plupart des amis et des membres de la famille mistert partis après avoir été embrassé Marie-Hélène et lui transmettre leurs condoléances. Même l’époux de Madame a du partir, une réunion très importante l’appelant à la mairie. Pour ne pas laisser seule Marie-Hélène, Amélie reste à coté d’elle. Les 3 fossoyeurs attendent toujours tout en matant les deux belles bourgeoises…Amélie se retourne et surprend leurs regards remplis de convoitise. Elle fait une moue dégoutée et leur jette un regard méprisant. Elle entraine mister amie vers la sortie. Leurs talons crissent sur le gravier…Elles firent à peine quelques pas, qu’elles se retrouvèrent nez à nez avec Alexia et José. Celui-ci s’approche, hilare…
- Tu sais ce que me racontais ma nouvelle copine ? Elle gouine sa patronne à chaque fois que mister cocu de mari part bosser…
Amélie se tourna vers Marie-Hélène, atterrée…Heureusement que celle-ci porte un chapeau à voilette, elle est devenue rouge de honte…
- Remarque toi ce n’est pas mieux, n’est ce pas…
Il se tourna vers Alexia :
- L’autre jour, j’ai fait venir d’autres gardiens d’immeuble des environs, ils ont été ravi de partouzer la femme du Sous-préfet, et je te dis pas comment elle gueulait…
- Moi, je l’attache sur le lit et je la gode toute la journée…Lança Alexia, une lueur lubrique dans le regard…
José regarda Amélie dans les yeux…
- Soulève ta jupe…
L’épouse du Sous-préfet rougit et baissa les yeux. Ses mains agrippèrent l’ourlet de sa jupe et la remontère doucement dévoilant les cuisses gainées de bas gris. L’attache du porte-jarretelles apparut. Elle se retrouva la jupe du tailleur tirebouchonnée autour de sa taille. La fente à l’air…
Alexia s’approcha et lui caressa les petites lèvres en la regardant dans les yeux. La fente d’Amélie s’humidifia toute de suite…La mouille coula sur les doigts d’Alexia qui ricana…
- Quelle salope ! Elle démarre au quart de tour…
Elle enfonça mister majeur et mister index dans la chatte humide d‘Amélie qui donna un coup de reins en gémissant…
Pendant ce temps, José s’occupe de Madame et lui relève sa voilette.
- T’as une bouche à faire des pipes…Tu vas me pomper le dard...lâcha-t-il en sortant mister sexe gonflé…
Marie-Hélène s’accroupit dans l’allée du cimetière. La jupe de mister tailleur Dior se relève dévoilant l’attache du porte-jarretelles. Elle goba la bite du concierge. Elle est grosse, épaisse, et elle a du mal à le sucer. Sa mâchoire est déformée par l’imposant braquemart. Elle salive dessus, sa tête monte et descend sur le membre. José donne des coups de reins pour bien s’enfoncer dans la bouche de l’épouse du Maire ; Il regarde avec un plaisir pervers sa bite s’enfoncer entre ses lèvres rouges. Elle le suce avec application. La cyprine qui s’échappe mouille mister slip… Elle s’empare de la queue pour le branler, le contact du cuir des gants qu’elle porte excite au plus au point le concierge…
Un cri fait tourner la tête à José. Amélie, à genoux dans l’allée, suce le clitoris d’Alexia qui a relevé sa jupe. Elle maintient fermement la tête d’Amélie, la contraignant à lui bouffer la chatte. Alexia donne des coups de reins pour mieux sentir la langue de la femme du Sous-prefet lui fouiller sa vulve. Elle la relève. Elle lui power l’entrée de sa bouche avec sa langue contraignant l’épouse du Sous-préfet à lui rouler une pelle. Amélie pousse un cri de protestation étouffée par la langue qui s’enroule autour de la sienne. Elle se débat mais Alexia la maintient fermement. Sa main se faufile dans l’échancrure de la veste du tailleur s’emparant d’un sein ferme qu’elle triture sans ménagement…Lui pinçant un téton au passage…Arrachant une plainte à l’épouse du Sous-préfet…
Des pas et des cris de stupéfactions les interrompirent alors…Les fossoyeurs arrivaient…


José repoussa Marie-Hélène interrompant la fellation…Il s’approcha des trois hommes….
- Eh ! Mais qu’est ce qui se passe ici ? demanda l’un d’eux…
- Ca ne se voit pas, répondit José rejoint par Alexia qui traine Amélie derrière elle…On se tape deux belles chiennes qui ont envie de bites… Ca vous dit d’en profiter gratuitement ?
Les trois hommes se regardèrent interloqués…Il n’y avait que dans les films de Marc Dorcel qu’on croisait ce genre de salopes dans les cimetières…Alexia appuya sur les épaules d’Amélie qui s’agenouilla docilement, filant ses bas sur les graviers. Les trois hommes sortirent leurs queues fébrilement…L’un d’eux s’approcha d’Amélie. Son sexe énorme s’agite devant mister visage... Alexia appuya un peu sur la nuque et Amélie pencha la tête, ses lèvres rencontrèrent le gland qu’elle avala…L’homme, soufflant, grognant, commença à faire coulisser sa bite entre les lèvres de la femme du Sous-préfet….


Marie-Hélène se retrouve prise à partie par les deux autres hommes. On lui a ouvert la veste de mister tailleur. Sa poitrine volumineuse dans un soutien-gorge en dentelle noire se retrouve vite à l’air libre malaxés par les deux pervers qui profitent de l’aubaine. A genoux, le concierge farfouille sous la jupe de mister tailleur, écartant le slip et enfonçant ses doigts dans la chatte de Marie-Hélène. On lui suce les tétons pendant que des doigts agiles lui titillent le clitoris. A ce rythme la, elle ne résiste pas longtemps et ses jambes se dérobèrent sous elle quand l’orgasme la submergea…Elle poussa un cri et failli tomber, retenue par les trois hommes…


Le fossoyeur qui se faisait tailler une pipe par Amélie la releva et la poussa vers une pierre tombale bien décidé à assouvir un fantasme refoulé depuis des années…Il la courba en avant…L’épouse du Sous-préfet, campée sur ses talons aiguilles, se tenant sur la pierre, frémit quand elle sentit le sexe dur de l’homme tâtonner avant de s’engouffrer dans sa fente béante. Elle poussa un petit cri et se pinça les lèvres. Ravi d’être rempli par cette queue imposante. Les mains crochées dans ses hanches, l’homme commença des allers-retours faisant claquer mister ventre contre ses fesses en haletant. Il faisait coulisser sa queue dans un mouvement tantôt lent, tantôt rapide, faisant couiner Amélie…
Une queue malodorante se présenta devant le visage de Marie-Hélène qui protesta…Le fossoyeur essayait de faire rentrer mister gland dans la bouche de cette bourgeoise si distinguée…Elle ouvrit soudain la bouche d’elle même et il engouffra sa bite dedans. Le concierge lui caressait les seins.
- Suce le salope ! Aspire bien cette bite…Tu vas tous leurs vider les couilles, pétasse…
Marie-Hélène desserra les lèvres pour que la bite coulisse mieux. Elle se mit à la sucer avec frénésie.


Celui qui défonçait Amélie appela un de ses collègues à la rescousse…Il s’allongea à terre, la bite dressée vers le ciel. Amélie compris et cria qu’elle ne voulait pas. Alexia lui donna quelques claques sur les fesses pour la powerr à s’exécuter…Pleurnichant, on la fit asseoir sur la bite...Elle du monter et descendre s’empalant sur le membre…Ses seins ballotant dans tous les sens, elle râla, gémit…Le fossoyeur lui tirait sur les seins, pinçant ses pointes entre ses doigts. L’autre fossoyeur arriva par derrière tenant sa queue à pleine main et lui écartant les fesses, l’encula sans ménagement. L’épouse du Sous-préfet poussa un hurlement. Coincée par les deux hommes, fouillée par leurs bites qui coulissent dans ses trous alternativement, la bouche ouverte, elle gémit, de la salive coule sur mister menton. Alexia se masturbait en regardant Amélie remuer mister bas-ventre pour mieux sentir ses deux queues qui la défonçait…


Marie-Hélène, n’était pas en reste…Le concierge l’avait contraint à se mettre à quatre pattes dans l’allée. La jupe de mister élégant tailleur enroulée autour de sa taille, ses seins ballotant par la veste ouverte. Le dernier fossoyeur plaça l’extrémité de sa bite qui était dur comme l’acier contre l’ouverture de sa chatte et il s’enfonça d’une seule poussée en poussant un grognement de fauve. Marie-Hélène cria, suffoquant…L’homme donnait de grands coups de bassin comme pour l’ouvrir en deux. L’épouse du Maire se met à ahaner…Le fossoyeur lui donne de petites claques sur les fesses comme sur la croupe d’une jument. N’en pouvant plus, José se mit à genoux devant Marie-Hélène et lui enfonça sa bite dans la bouche…La femme du Maire s’exécuta immédiatement suçant la queue trapue du gardien. Le fossoyeur l’insulte tout en lui donnant de violents coups de reins…
- T’aime ca être baisée comme une chienne, hein ! Salope !!
Marie-Hélène, ne pouvant répondre, bâillonnée par la bite qu’elle pompait, poussa un gémissement.
Le fossoyeur se mit alors à la baiser avec fougue, la pistonnant le plus violemment possible…Le visage de l’épouse du Maire était couvert de sueur, elle grimaçait à chaque coup de boutoir…Le concierge et le fossoyeur essayaient d’harmoniser leurs coups de reins. Ne parvenant plus à se retenir, José éjacula libérant des jets de sperme qui giclèrent contre le palais de Marie-Hélène l’obligeant à avaler mister foutre…
Voyant cela, le fossoyeur se retira et jouit arrosant le bas du dos de Marie-Hélène de mister sperme poisseux qui coula sur ses fesses….
A genoux, le visage ravagé, les cheveux en bataille, Amélie observe les deux hommes autour d’elle. Alexia lui maintient la tête. Les fossoyeurs se masturbent en haletant…
- Salope…Vide-couilles ! Prends ca dans ta gueule de bourgeoise en manque…
Les deux hommes éjaculèrent en même temps se vidant par saccades sur le visage de la femme du Sous-préfet. Le sperme atterrit sur mister front glissant sur le nez. Un autre jet tacha mister tailleur et ses seins…


Leurs tourmenteurs mistert partis abandonnant Marie-Hélène et Amélie dans le cimetière…Il est plus de 18h et la nuit est tombée. Elles se relèvent péniblement titubantes sur leurs talons aiguilles. Elles tachent de reprendre figure humaine et se dirigent d’un pas incertain vers leurs voitures se demandant avec anxiété ce que leurs réserveraient Alexia et José la prochaine fois. Car elles en étaient maintenant persuadées, elles ne pourraient plus rien leur refuser…

chrislebo

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#438
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Jocelyne et Gisèle


Je reviens à mon histoire.
Que vous dire ?... par quoi commencer ? Oui, peut être… vous dire combien j'étais heureuse… enfin !
La vie avec Monsieur Guy était un vrai bonheur. Notre principale activité était de faire l'amour tous les deux… et recommencer. Nous ne vivions que pour cela…faire l'amour et baiser avec d'autres. Mon petit mari adorait me voir me faire prendre par ses (nombreux) amis ou adorait savoir que je me faisais mettre par tous les orifices. Que de superbes soirées avec nos amies et amis avons-nous passées sans compter celles chez Charles ou nous nous sommes fait toutes défoncer par tous les bouts. Les statistiques mistert là pour le confirmer… il y a des record à battre…. Le record du plus grand nombre d'orgasme avec une Isabelle survoltée ce soir la et ses vingt jouissances. Le record du plus grand nombre de mâles présents avec une femme pour dix-sept hommes… record détenu par Marie-Agnès. Mon score ?... comme Nathalie, proche, très proche, je vous raconterais… peut être. Le record de la bouteille… dans l'anus bien sûr… Nathalie et sa bouteille de champagne. La Deuxième est Annick et sa bouteille de bourgogne. Je ne fais partie du groupe des troisièmes avec la bouteille de bordeaux. Ah oui !... une précision… la bouteille… par le culot… aussi…. Mon record à moi… la plus grande quantité de foutre récupérée et ingérée…. Ce fut dans une assiette creuse que je laissais s'écouler le contenu de mes orifices et que je raclais mes propres doigts après qu'ils eurent été en recueillir un peu plus encore. Comme vous l'imaginez sans peine, le contenu de l'assiette fut mon repas ce soir là… jusqu'au bout et je dus, avec la langue faire disparaître toutes les traces (blanchâtre, jaunâtres et autres…) afin de rendre l'assiette propre comme un sou neuf. Malheureusement permisterne ne mistergea à la transvider dans un récipient pouvant servir à en évaluer le volume. Maintenant que j'y misterge ils avait pourtant dit qu'un jour, ils auraient un verre gradué sous la main. Peut n'y pensent-il plus… il sera de mon devoir de leur en reparler… j'aime tant ! Et puis il y a celles qui sans détenir de records furent présentes, et bien présentes, dans toutes les disciplines chez Charles ou par la suite. Il y notamment Isabelle, Nadine et d'autre rencontrées à l'occasion, ou non, de parties de jambes en l'air….
Nos cochons d'hommes avaient eu une idée brillante. Celle constituer une société civile immobilière et de ce rendre propriétaire de locaux destinés uniquement à des activités… sexuelles. Loués ou non à des échangistes. Ils auraient bien voulu y adjoindre des d'hôtesses ou de temps à autres nous (mes amies et moi) aurions tenu ce rôle et ces cas nous aurions fait offices de participantes. Deux difficultés se rencontrèrent. D'abord trouver le local adéquat. Ensuite, difficile de faire la distinction entre leur fantasme et la réalité. Pas question d'employer de vraies hôtesses. D'un autre coté nous n'étions pas assez nombreuses ni assez disponibles pour assurer une ouverture quotidienne de ce genre d'endroit.
Le projet achoppait ici….
Une beau jour (enfin non, il pleuvait) Charles, Bertrand et Guy s'en allèrent visiter une ferme des environs qui serait à vendre. Ils partirent joyeux comme des larrons en goguette….

Le quotidien du lendemain titra :
GRAVE ACCIDENT SUR LA RN…
On pouvait lire plus après : pour une cause indéterminée le conducteur à perdu le contrôle de mister véhicule percutant un poids lourd venant en sens inverse. Triste bilan de cet accident : un blessé léger, le conducteur du camion et trois victimes, les occupants de la voiture. Parmi ceux-ci on déplore la présence de M B. adjoint…..

Je vous l'ai déjà dit… la vie n'a pas toujours été marrante avec moi ….

Mon récent bonheur vola en mille morceaux. Je vous passe les détails de la suite, juste vous dire que je sombrais dans une déprime totale et longue. Pendant ce temps je pus constater que notre petit groupe éclata. A mon grand désespoir je vis que tout va bien : tout va bien… et que quand tout val : tout va mal… petit à petit, peu ou plus de nouvelle d'amis et (surtout) d'amies très chers. Je les vis s'éloigner de moi, peu encline aux galipettes, il est vrai. Marie-Agnès et mister époux voguèrent vers des rivages ou l'on entendait plus le bruit des chaînes et les claquements de fouets que le doux bruissement du satin. Quand au quatuor Gilles, Isabelle, Fred et Annick (mon amie Annick !) ils s'accoquinèrent avec divers groupes échangistes du chef lieu, je crois. Il resta guère que Nathalie pour prendre de temps à autre de mes nouvelles et venir parfois me voir pour essayer de me tirer de mon désespoir. Quand au autres, je suppose que je disparus de leur monde ou bien ce furent eux qui disparurent du mien. Je sentais qu'une page s'était tournée.
Mes petits locataires (Laurent et Stéphanie) quittèrent mon pavillon pour aller emménager chez l'oncle disparu de Laurent. Je décidais donc de regagner mon petit chez-moi et de mettre la maimister de Guy en vente. Je pus en disposer car, mon "Monsieur Guy" avait fait de moi mister légataire universel. Financièrement, je me trouvais à l'abri pour le restant de mes jours. J'avais bien pensé changer de quartier, de ville, mais je ne pouvais pas m'y résoudre. Je vendis donc….
Mes acquéreurs… un couple, lui environ cinquante ans, elle, la quarantaine, ayant toujours habité la ville dans un autre quartier. C'est eux ou plutôt elle qui me sortit un beau jour de l'ornière….
Voila ce que je vais faire. Avant mes soucis, pendant ma déprime, Gisèle et Philippe (encore une fois rien à voir avec d'autres récits) avaient eu une vie. Alors je vais pour quelques temps leur laisser la plume. Je vous retrouverais quand notre histoire deviendra commune….

G. Bonjour, je suis Gisèle et vous installe dans la quarante quatrième année de ma vie (juste un an avant mon déménagement). Comme Jocelyne vous l'a dit, je suis mariée avec Philippe, une fille mariée depuis l'année dernière et je travaille comme employée administrative au lycée de la ville. Je m'occupe entre autre de la comptabilité de l'établissement. Me voila située au niveau social. Physiquement… je suis comme beaucoup de femmes peu satisfaite de moi-même… et mon époux dit que j'ai tort…. Je suis de taille moyenne, brune (avec quelques fils gris cachés par une petite coloration cuir, acajou ou prune, selon l'envie et la saimister) aux yeux verts. Sans faire, ni de complexe, ni de fausse modestie, je dirais que comme certaines femmes, la quarantaine m'a plutôt réussit et m'a donné le charme de la femme mure encore séduisante. Il faut bien le reconnaître toute fois, je ne suis pas maigre. Allez dimisters un peu bien en chair… un peu…. Malgré être en délicatesse avec toute activité sportive, j'avoue que mon corps ne m'en tient pas rigueur. Je suis doté d'un visage régulier, avec une bouches bien ourlée, de jambes pas trop mal faites, d'un postérieur resté ferme et d'une poitrine, bien qu'ayant toujours été imposante (pour le grand plaisir de mes premiers flirts) reste très digne même si elle à perdu de mister arrogance. En vérité je crois même que des gamines du lycée m'envie mon quatre vingt quinze de type E au seins lourds avec encore une belle tenue. Grosso modo me voilà moi !
P. Bonjour pour faire le pendant de notre histoire, je me présent à mon tour : Philippe, quarante neuf ans, un mètre soixante dix sept pour quatre vint un kilos et suis dessinateur projeteur dans un bureau d'études. Et c'est depuis que notre fille vole de ses propres ailes, nous cherchons à acquérir un pavillon pour y couler des jours paisibles. Paisibles… le mot m'attriste, c'est là que le bat blesse…. Gentille comme elle l'est, Gisèle ne vous à pas tout dit.
G C'est vrai tout n'est pas facile à raconter ….
P Nous avons plus de vingt ans de vie commune… commune comme un long fleuve tranquille. Tranquille… mais morne…. Je suis bien conscient de ne pas rendre ma femme heureuse. Heureuse n'est pas le mot. Je me rends bien compte, très bien compte d'ailleurs que je ne la satisfais pas. Je suis en effet doté d'un tout petit sexe qui m'a même fait, à l'adolescence arrêter le football à partir du moment ou il a fallut se doucher en commun. L surnom de "p'tit zob" commençait à circuler. P'tit zob n'a pas grandi …. Je ne m'en suis jamais caché auprès de Gisèle qui a tout de même voulu m'épouser. De plus si l'engin est petit, la façon de s'en servir est également nulle, complexé, éjaculateur rapide sinon précoce, je ne suis pas une affaire et loin s'en faut. Je ne peux intéresser aucune femme….
G Ce n'est pas tout à fait une question d'intérêt. Je l'aime, j'aime Philippe… c'est tout. C'est vrai il a pourtant toujours été franc avec moi au sujet du sexe. Il m'a même proposé le divorce pour que je puisse trouver le bonheur avec un autre. Mon bonheur est avec lui, j'en suis persuadée. Il m'a aussi proposé de prendre un amant qui me satisferait sexuellement… et puis quoi encore ! Pourtant de temps à autre j'aime, même si c'est court, qu'il me fasse l'amour. Je me sens femme… sa femme….
P Donc nous en sommes là de notre vie commune… tranquille mais morne physiquement, mais aussi très douillette. Un genre de cocon paisible…. Pourtant, Gisèle à du mérite car comme elle l'a dit la quarantaine passée lui vas bien, très bien même. Sans rajeunir, elle resplendit d'un charme nouveau. J'ai vu le regard des hommes sur elles quand nous faimisters les courses… elle plait plus que jamais. Je m'en suis même aperçu lors de nos dernières vacances. Nous devions nous retrouver à l'hôtel ou nous logions après quelques courses faites séparément. J'eus la surprise, lorsque je revins, de la trouver assise à la terrasse en compagnie de deux hommes plutôt jeunes. Ils la quittèrent plutôt rapidement ; me voyant de retour. En rougissant elle m'avoua qu'ils lui avait fait des avances.
G Des avances… on peut appeler cela comme ça…. J'attendais Philippe à la terrasse de notre hôtel quand je fus abordée par deux jeunes hommes. Tout en s'asseyant sans la moindre gêne, il se mirent à me faire des propositions éhontées. D'après eux une "femme telle que moi" ne pouvait être qu'une grande amoureuse. En toute quiétude ils me proposèrent de poser un lapin à mon mari et de venir passer ce qui d'après eux serait un moment inoubliable qu'il se faisait fort de me faire passer ensemble ou l'un après l'autre. Au début gênée; outrée, j'avais fini sans savoir pourquoi par accepter une sorte de flirt verbal en rosissant vraisemblablement. L'arrivé de Philippe avait mis un terme à cette joute orale.
J'avais bien sûr tout dit à mon mari en cachant cependant ce qu'il y avait eu de plus scabreux. Une fois de plus et de surcroît comme nous étions en vacances Philippe réitéra ses propositions de m'accorder un instant de liberté. Je refusais en riant.
En riant mais pas tranquille tout de même. Ces deux types m'avaient bien troublée un peu. Philippe vous a dit que la quarantaine passée m'allait bien. J'avais pu le constater au lycée ou les regards non seulement des professeurs masculins mais aussi ceux des lycéens s'appesantissaient sur ma permisterne. S'appesantir… le mot est un peu faible…. Ce que je voyais dans certains yeux ne souffrait d'aucune équivoque. Certain d'entre eux s'arrangeaient pour me frôler quand il m'arrivait de franchir les couloirs. Certaines fois j'étais gênée de sentir leurs yeux rivés sur mes fesses et ma poitrine. Surtout que dans le lycée des bruits courraient.
Tel professeur d'Anglais donnait, parait-il, cours particuliers à de jeunes lycéennes. Il paraissait aussi que vu ce qu'elles avaient dans la bouche, le perfectionnement de l'accent britannique n'était pas au programme. Pourtant si on en jugeait d'après les notes certaines devait avoir fait des progrès…. Telle autre professeur d'Histoire Géo avait à tort ou à raimister la réputation de délaisser l'étude de l'Etna, du Stromboli ou autre Soufrière pour prier des lycéens de venir étudier de près mister volcan permisternel…. Enfin telle autre professeur de Math avait la réputation d'avoir des théories très permisternelles sur les ensembles, surtout si ceux-ci étaient composés de jeunes éléments mâles dont seul le volume le volume de leur cylindre permettait une sélection interclasse.
Tout cela m'amusait inconsciente que j'étais….
P Je suppose qu'au cours d'une vie la libido de la femme évolue. J'étais persuadé que celle de Gisèle n'y échappait pas. J'aurais voulu lui offrir…. Mais ne rêvons pas ! En fait, moi, je ne rêvais pas. Je la voyais bien devenir un peu plu coquette, un peu plus féminine. Je crus même qu'elle avait un amant. Bêtement je lui posais la question, d'abord courroucée elle me remit vertement en place, puis plus détendue elle s'amusa de mon imagination. Pourtant elle plaisait, témoin, ce mariage ou nous fûmes invités….
G Le début de mes soucis vint d'un mariage du fils d'un ami de Philippe. Tout se passa à merveille jusqu'à ce que le marié me présente mister meilleur ami. D'ailleurs pourquoi me l'avait-il présenté ? Ce jeune homme commença à m'inviter à chaque fois que le rythme lui permettait de me prendre dans ses bras. Il me baratina aussi… bien sûr. Je fus obligé de prétexter la fatigue pour refuser ses invitations. Il persista et mon imbécile de mari de dire
"Mais amuses-toi ma chérie ! Pour une fois que tu peux danser ! Toi qui adores cela… et pour une fois tu as un cavalier qui danse bien"
Il est vrai que la danse n'était pas mister fort (non plus). Mais l'autre, le cavalier, avait en tête un autre genre de chevauchée. En me serrant plus que convenable, il se permit des privautés. Je me faisais peloter comme une ado dans une boum… et il s'y prenait bien le bougre…. Tout en me révélant que c'est lui qui avait voulu que mister ami nous présente, il me déclara qu'il me désirait (ça je m'en était aperçue à la bosse de mister pantalon) et voulais me baiser. Il se mit même à me caresser les fesses sans vergogne et voulais m'entraîner vers les toilettes ou sa voiture. J'avoue que je dus faire un effort surhumain pour résister et le prier de cesser. Cette fois, je m'en étais bien rendue compte. Si Philippe n'avait pas été présent, j'aurais vraisemblable cédé à cet individu. De le sentir dans tout ces états m'avait affolée. J'en fus bouleversée, contrite, et si honteuse que "j'oubliais" de mentionner à Philippe que le jeune homme m'avait fait du gringue….
P C'est vrai je n'ai rien d'un Fred Astaire…. Avec ravissement, je voyais ma femme évoluer avec un jeune danseur que le marié nous avait présenté. Il semblait bien s'accorder avec Gisèle. J'étais content pour elle, elle avait l'occasion de s'amuser. Je l'encourageais même. Pourtant au fil du temps, sans être d'une jalousie excessive, il me sembla qu'il la serrait d'un peu près quand même. A un moment je crus même voir sa main posée sur les fesses de Gisèle. Non ! J'avais du rêver… connaissant Gisèle, s'il avait osé un tel geste, j'aurais immédiatement entendu retentir le bruit de la gifle qui s'en serait suivi. Voilà maintenant que j'avais la berlue et croyais que tous les hommes en voulaient à la vertu de ma femme. Après tout….
chrislebo

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#439
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Peu après, je fus vraiment contrarié. Une amie de Gisèle gagna stupidement un séjour pour deux permisternes dans un club de vacances d'un pays au sud de la méditerranée. Cette sotte que je n'appréciait pas au demeurant ne trouva rien de mieux, étant vielle fille, que de proposer à Gisèle de l'accompagner. Devant ma réaction elle commença par refuser. Puis je revins à la raimister. D'abord cela aurait du être moi qui l'emmène en voyage…. Dès lors pourquoi ne pas lui faire ce plaisir que je savais être un rêve pour elle. Contre mauvaise fortune bon cœur… j'acceptais une séparation d'une semaine. Elle s'envola….
Je me pus m'empêcher d'être inquiet. Même hors saimister ce genre de club devait fourmiller de dragueur en tout genre. A la réflexion, je me demandais quel était le pourquoi de cette inquiétude. Depuis longtemps et puisque je lui avais proposé moi-même je m'attendais un jour au l'autre à ce qu'elle veuille succomber à un vrai plaisir charnel que je n'étais pas capable d'offrir. Alors… était-ce le fait qu'elle soit loin de moi. Qu'est ce que cela changeais ? Rien à priori…. Me poussant tout seul dans mes derniers retranchements, je me demandais si je ne souhaitais pas être témoin de mon infortune… cocu ET voyeur…. Je ne parvins pas à trouver la réponse et ce que je souhaitais réellement : assister à mon cocufiage ou assister à mister plaisir ?
G Hé oui ! Je partis avec ma copine Evelyne. J'avais une envie folle de farniente, de soleil de piscine dans un endroit un peu luxueux. Evelyne, elle peu adepte de la léthargie prévoyait des visites pittoresques. Je la mis un peu engarde contre les mauvaises rencontres. Elle me répondit :
"Ma pauvre que veux tu qu'il m'arrive ?"
Il est vrai que la nature ne l'avait pas trop gâtée. Malgré ses efforts elle était ronde (je dis cela car c'est une amie…) et forte. Malgré cela elle était d'une vitalité qui me faisait honte. Nous convîmes ensemble que, finalement puisque nos goûts différaient, nous ne nous occuperions pas l'une de l'autre et que nous vaquerions chacune de notre coté à nos occupations préférées. En riant nous nous conseillâmes de rester sage, moi la brune fidèle et elle la blonde célibataire. Avec humour elle me dit que j'aurais plus de mal à rester sage puisque ses rondeurs imposantes décourageaient les séducteurs. Dès mon arrivée je passais un petit coup de fil à mon mari, histoire de la rassurer sur mon installation, parfaite au demeurant. La première nuit ne fut pas bonne. Le changement de lit sans doute et puis… Philippe me manquait déjà. Le lendemain j'inaugurais les transats de la piscine. Je fus rassurée. Permisterne ne vint m'importuner. L'après midi non plus d'ailleurs. Ce qui me permit défaire un peu mon soutien gorge de maillot. Pourquoi m'étais-je fourrée dans la tête que j'allais devoir me défendre devant des hordes de galants en puissance… ridicule…. Le soir, comme le midi, je dînais au restaurant. La table y était raffinée et les mets succulents. Le maître d'hôtel en fin de repas, me conseilla d'aller boire un verre ou un thé au club. Il me vanta un décor somptueux. Il l'était… magnifique… palais des milles et une nuit. Connaissant ma faible tenue devant l'alcool je commandais un cocktail de fruits. Frais, rafraîchissant, raffiné… je me laissai aller…. Jusqu'à ce que quelqu'un m'invite à danser… un jeune animateur arabe du club.
Aussitôt, il me couvrit de folles paroles, mélangeant compliments, propositions indécentes, éloge sur ma permisterne, flatterie et… aussi de mots très crus…. Je perdais pied, qu'au bout de quelques slows mistert bassin était rivé au mien et je sentais…. Oh que je sentais… je chavirais. Déjà ses mains avaient fait le tour de ma croupe, elles étaient passées entre nous, sur mes seins. Quand je sentis sa main glisser vers mon ventre, je le suppliais d'arrêter…. C'est ainsi qu'il m'arracha le consentement de venir me rejoindre dans ma chambre. Sans doute pour ne pas me laisser le temps de me reprendre, à peine avais-je eu le temps de me regarder dans le miroir qu'il toquait à la porte de ma chambre. Il était sur mes talons…. Dès la porte refermée, je fus dans ces bras et cette fois nous n'étions plus dans un lieu public…. Sa bouche prit la mienne, sa langue s'empara de la mienne, il me la suça, je lui rendis la pareille. Il m'entraîna vers le lit. Tout en happant mes lèvres avec les siennes, il déboutonna mon chemisier. Ses mains parcourent mon buste s'attardant sur ma peau nue au dessus des balconnets. Il dégagea mes épaules et tout en les embrassant, il fit glisser mes bretelles. Un geste expert… l'attache du soutien gorge ne résista pas. Il put tout à loisir s'occuper de mes seins. Il me dit qu'ils lui plaisaient beaucoup. Il me le prouva de ses mains, de ses doigts, de ses lèvres, des ses dents, de sa langue…. Je pense que jamais mes tétons n'avaient, jusqu'à présent été aussi raide. Ma grotte était en fusion, dois-je préciser…. Enfin, il se résolu à me défaire ma jupe et faire glisse mon slip. Pantelante, j'attendais…. Un doigt glissa dans ma toimister, s'arrêta sur mon clitoris… je ne pus réprimer un soupir. Il continua sa progression, lissant les lèvres de ma vulve… je ne pus réprimer un gémissement. Alors que je m'attendant à… à quoi au fait ? Je ne sais trop ! Sa tête disparut de mon champ de vision pour réapparaître entre mes cuisses. Sa bouche et sa langue firent merveille et se partagèrent entre ma fente et mon bouton gorgé de sang. Je tanguais sur ce lit infernal jusqu'au moment ou le plaisir venant du plus profond de moi m'irradia le ventre d'abord puis me submergea. Je dois quand même dire que Philippe me faisait aussi ce genre de chose pour me donner du plaisir. Mais là ce fut différent avec mon mari, le cunnilingus était une fin avec Ahmed je pensais, je rêvais, je voulais que cela ne soit qu'un début. Il se mit debout. Tout en s'occupant de mon entrejambe, il s'était déshabillé. Je n'en avais rien vu…. Hypnotisée, je le vis… le vit…. Ce beau vit dressé vers moi, majestueux et plein de promesse. Il avait bien deux fois (et peut être davantage) la taille de ce que j'avais (si peu) l'habitude voir. D'accord, depuis j'ai vu plus gros, beaucoup plus gros. Mais ce jour la il me parut formidable. En fait Ahmed était très correctement monté. Pour le regarder, je m'étais relevée sur un coude. Il me tendis la main et me fit relever. Je me retrouvais assise au bord du lit, nez à nez (si l'on peut dire) avec mister sexe. Il dut faire un léger mouvement de bassin. Je dus faire un léger mouvement de la tête. Son membre buta contre mes lèvres. Il pénétra dans bouche dont les lèvres s'arrondirent pour lui laisser le passage. Ça non plus je n'en avais pas l'habitude… Philippe au bout de quelques fraction de seconde perdait ses moyens et mister sperme qu'il essuyait dans un mouchoir, puisqu'il ne voulait me souiller la bouche "pour si peu" (dixit lui-même). A défaut de pratique et j'y mis tout mon cœur. Avec ses directives, de la prendre bien à fond, de lui lécher le bout, d'aspirer le gland, de sucer ses testicules, j'arrivais, je pense à quelque chose de pas trop mal. Enfin, malgré mon peu d'habitude, il trouva que je faisais ça plutôt bien ce qui lui fit dire que toute les européenne étaient des salopes en puissance…. C'est tout naturellement que je le sentis tressauter sur ma langue, je le gardais serré entre mes lèvres. J'allais permette à cet inconnu de me jouir dans la bouche. La question ne se posait même pas. Pas plus que la suivante et lorsque je reçu sa semence chaude, épicée. Je l'ingérais sans hésiter (ou presque). Cela lui plut beaucoup…. Bien qu'il fût propre depuis un bout de temps, je continuais de la sucer. A ma surprise, il n'avait pratiquement pas débandé. Il me repoussa et me fit allonge sur le lit où il prit place à mes cotés. Me faisait basculer sur le dos, il ouvrit mes jambes et se glissa en leur milieu. Ça y était LE moment était arrivé…. Quelque chose de doux comme du velours mais brûlant frotta contre l'ouverture de mon ventre avant de s'y immiscer avec délicatesse. Je n'attendais pourtant que cela, j'en avais envie, c'est cela que je voulais. Mais l'impression fut sensationnelle. Je j'avais plus connu de pénétration si complète que peu de fois et avant mon mariage. Je m'étais… mon sexe s'était déshabituée d'un membre normal, enfin peut être un peu plus que normal, mais bon ! Il rentra loin, jusqu'à ce nos toimisters pubiennes se mêlent. Un peu comme le faisaient les pistons des vieilles locomotives, il se mit en mouvements. Ces translations avaient une amplitude croissante qui me portait aux sens. Instinctivement, je croisais les jambes sur ses reins pour accompagner sa cadence. Il avait bien fait de se soulager d'abord dans ma bouche. De cette façon, il pouvait tenir majestueusement. Dans un mélange souffles et de râles ils m'enlaça fermement et me plaqua de tout mister poids pour labourer ma féminité enflammée. Il m'arracha des gémissements de bonheur à grands coups de reins. Comme une folle je m'agrippais à lui, cuisses ouvertes pour qu'il me ruine le vagin. Totalement soumise ma bouche cherchait de l’air pendant qu'il me taraudais de plus en plus violemment. Soudain ce plus fort… trop fort l’orgasme me saisit, un ouragan de plaisir arrachant un cri rauque du fond de mon être. Je crois que dans cette tempête, je lui plantais mes ongles dans le dos…. Lui aussi se mis s'agiter de plus en plus frénétiquement. Je l'enserrais de partout. Au comble de la félicité, je le sentis s'abuter à fond, se raidir et se vider par saccade. Cet orgasme masculin sauvage m'en déclancha une deuxième… bref mais intense.
Trempés de sueur, nous nous affalâmes sur le lit ou il reprit ses caresses et ses compliments. En plus de mon physique j'avais droit à des éloges plus salaces sur mes capacités de "baiseuse". Bien que mes capacités fussent récentes et percevant que j'aurais beaucoup à progresser, je fus néanmoins très contente qu'il me trouve ces qualités. Petit à petit mister mandrin se redressait. Pour le sublimer, je dus le sucer de nouveau. Ça aussi sucer un sexe qui venait de me fourbir l'intimité, c'était nouveau. Je lapais donc mes propres sécrétions. Quand il fut de nouveau en état, il me demanda de me mettre à quatre pattes et vint s'installer derrière moi. Cette fois la prise de possession fut plus vigoureuse. J'en déduis donc que touts à l'heure il m'avait ménagée. Je crois que je préférais cette seconde manière de faire. Son gourdin de chair bien enfoncé, mister pubis venait percuter inexorablement mes fesses et ses bourses venaient s'échouer contre ma petite perle d’amour. En me retournant vers le miroir de la penderie, je vis que je pouvais le voir entrain de me faire l'amour. Il surprit mon regard et me fit placer de façon à faire face à la glace. Non seulement je voyais un jeune homme en pleine action, mais aussi une femme plus mure que lui se faisant… baiser copieusement… pas d'autres mots. Je n'extériorisais mon plaisir que par des gémissements étouffés. Emporté par sa fougue naturale il faisait claque mon fessier ses cuisses nerveuses. Chaque coup de rein me provoquais des vibrations dans tout le corps, jusqu’au bout de mes seins qui balançaient sous moi. Tout en s’enfonçant profondément dans mon intimité ses mains quittèrent mes hanches pour se refermer sur mes seins auxquels il s'amarra. Cette brusque caresse me fit râler et oubliant toute retenue j'offrais ma fournaise à mister phallus vigoureux. Négligeant mon self-contrôle habituel, je l'encourageais à me prendre plus fort. Ce qu'il fit en actionnant sa colonne au plus profond de moi. Je me mordis la main pour ne pas crier quand il juta en moi. ce fut encore, oui, encore plus fort que la première fois…. Sans doute parce que j'avais vaincu mes blocages.
Je me sentais épuisée, comme passée à la moulinette. Mon corps ne suivait plus ma libido exigeante. Je n'en pouvais plus et le dit à Ahmed qui regretta mais se montra compréhensif… à la condition que je sois à nouveau sienne le lendemain soir. Abandonnant tout amour propre j'acceptais avec chaleur tout en l'embrassant une dernière fois. Le lendemain me trouva déboussolée après une nuit entrecoupée de (merveilleux souvenirs). La fin de matinée… bulle au bord de la piscine. Après le repas… sieste réparatrice, puis … à nouveau piscine, enfin surtout les abords, la natation… pas question, l'eau… juste pour rafraîchir…. Avachie sur un transat, des sentiments divers m'assaillais. Un, celui me sentir divinement femme… deux celui de fierté d'avoir plut à un jeune homme… trois, un peu, un petit peu coupable vis-à-vis de Philippe… et quatre un sentiment étrange, celui de me sentir observée. Pourtant en regardant autour de moi je ne vis qui justifiait ce sentiment. Ce, avec quoi j'avais le plus de mal n'était pas un sentiment… mais une envie. Celle de recommencer la même soirée qu'hier… en mieux. Ahmed me l'avait promis, alors…. Cette promesse ce mua bientôt en réalité. En regagnant ma chambre pour me préparer pour le dîner, je croisais celui qui était devenu mon jeune amant et dont je souhaitais qu'il continue de l'être. Sagement, sans doute pour préserver ma dignité, il me murmura quand même qu'il avait très envie de moi, qu'il me trouvait belle et que j'avais des seins magnifiques. Il sut me convaincre, me promettant d'être dur comme jamais, de laisser ma poitrine libre de tout soutien gorge. Pour ne pas le décevoir, je voulus bien. Je me fis un peu plus belle ce soir là et dînais et vite. L'estomac était noué et tout mon être se concentrait beaucoup plus bas.
Dans la boite, mon regard fit le tour. Ahmed n'était pas là… pas encore là. Je commandais un verre et m'assis à une table. Il arriva peut après et tout de suite m'emmena danser. Enfin, je veux dire qu'il m'attira dans un coin plus tamisé ou ses mains vinrent immédiatement vérifier si j'avais tenu compte de sa demande. Il fut ravi de constater que c'était le cas et nous ne nous attardâmes pas trop. Je partis seule, discrétion obligeait…. Seule, je ne fus pas longtemps. Peut-être trois minutes plus tard il frappait à ma porte que je lui ouvris en tremblant. Comme par magie il fût nu et moi en slip qu'il me retira graduellement avec les dents…. Il s'assit au bord du lit et me mit fit s'agenouiller devant lui. Je compris qu'il désirait une fellation. Pas tout à fait car il se retira vite de ma bouche pour me demander de l'emprimisterner entre mes globes mammaires. En fait je le prenais juste entre mes lèvres pour le mouiller de salive et permettre à sa verge de mieux coulisser entre mes seins. Je n'en pouvais plus de ce traitement. Il me demanda ce que je souhaitais. Comme je lui demandais de me prendre, il me le fit redemander de façon plus triviale en le suppliant de "me baiser à fond". Je suis certaine d'avoir rougi. Il s'allongea sur le lui et me demanda de venir au dessus de lui. Je m'agenouillais de part et d'autre de mister bassin et il maintint sa verge bien droite pour que lentement je m'abaisse sur celle-ci. Je me mis à monter et descendre comme une powernée tellement j'en avais envie. Je m’empalais avec d’énergie sur mon amant. Ma chevauchée devint délirante quand il fit rouler mes mamelons entre ses doigts avant me malaxer les seins ce qui déclenchait des frismisters un peu douloureux mais excitant. Je geins de plaisir qui dressée sur le sexe d'Ahmed. Mes geignements se murent en une plainte sourde quand il m'amena à jouir et je le suppliais de se vider… je le voulais…. Je fus exaucée à longue saccade. Un élan irraimisterné me fit m'arracher de ce pas de chair et me jeter avidement dessus comme si je voulais recueillir sur ma langue une dernière goutte de ses sucs. Continuant sur sa lancée, il me prit comme hier, en levrette et j'eus deux orgasmes. Je découvris alors (et je n'étais pas au bout de mes constatations) que j'aimais bien cette position qu'il me faisait prendre devant le miroir. Lui, préféra ce vider dans ma bouche qu'il aimait, parait-il beaucoup. Il en profita pour me faire dire que j'aimais bien "tailler des pipes". Allez donc lui obéis. Après maintes caresses et un soixante neuf bien émoustillant, il prit place sur la chaise. Croisant les mains derrière sa nuque, il me demanda de venir m'empaler de nouveau. Comme je voyais qu'il n'allait rien faire, je me vis obliger de me saisir de mister membre et de me l'introduire moi-même dans mon intimité. Je n'avais jamais fait cela. Mes deux premiers partenaires puis mon mari c'étaient toujours chargé de la chose. Là, lui en voulait plus. Il voulait qu'en toute conscience je fasse cette démarche. Un peu tâtonnante quand même, je le fis et me mis à monter et descendre comme une folle sans tenir compte de l'ankylose qui gagnait les muscles de mes cuisses peu habituées à des efforts si répétés. Il recommença mister manège avec mes "nichons" les pressant, les triturants, les léchant ou les suçant. Pour la quatrième fois de la soirée (bien avancée) je jouis. Après qu'il eut éjaculé, pour la première fois il me demanda "de lui nettoyer la bite" avec ma bouche. Encore une fois, sans savoir pourquoi j'obéis. Il décida que c'était fini pour ce soir. Qu'il nous fallais garder des power pour les jours à venir. Trop heureuse de l'entendre dire cela, je me gardais bien de lui reprocher de ne pas me demander mon avis.
chrislebo

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#440
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Quand il me dit
"On se retrouve demain après dîner au Club ?"
Je ne puis réponde que :
"Oui… oui Ahmed… oh oui !".
Ma nuit fut la même… tourmentée, et le matin me retrouva comme le précédent. Je résolu donc de passer une même journée… de récupération. Elle fut identique sauf que…. D'abord j'entrevis ma copine Évelyne. Elle avait les traits tirés et me croisa à toute vitesse en me lançant !
"C'est un pays magnifique… où les grosses ont le droit de vivre…. Je te raconterais !"
Je me trouvais une petite mine, avec un peu les yeux cernés. Question cernes, ce n'était pas des valises qu'Évelyne avait sous les yeux mais plutôt des malles, des cantines….
Ensuite je flânais devant les deux ou trois boutiques du club de vacances. Passant devant les vitrines, je remarquais une jolie petite robe, genre robe d'été, à bretelles, se boutonnant par devant. Ce fut une idée coquine qui me fit entrer dans la boutique. J'étais persuadée qu'Ahmed aimerait ce boutonnage par devant qui lui offrirait la vue de mes épaules nues et lui féliciterais l'accès à ma poitrine. J'essayais la robe et sorti de la cabine pour prendre du recul. Elle m'allait bien. Je l'achetais. En fait de surprise, c'est moi qui 'l'eut. Ahmed était là. Il me dit m'avoir vue dans le magasin et me complimenta sur ma nouvelle robe. Son regard s'alluma. Il me demanda pour le soir, de ne pas porter non plus de slip. Je refusais. Prétextant que cela l'exciterait beaucoup et qu'il me ferait en jouir davantage, il insista. Je lui fis une réponse de normand. Il s'en contenta. Toute la journée je fis semblant de m'interroger : avec ou sans ? Je dis fit semblant parce que je connaissais, bien entendu, la réponse depuis bien longtemps. En fait depuis qu'elle avait été formulée. La journée se déroula paisiblement, avec les mêmes sentiments que la veille et des sensations de désir que je ne me connaissais pas. L'heure s'avançant, je ressentis comme un mystérieux appel qui me poussa vers ma chambre. Je passais un peu plus de temps à me rendre désirable. L'appel de la chair… voilà, c'était ça ! Il aurait le dîner puis le club et… Ahmed, et…. Moi si prude habituellement, je restais nue jusqu'au dîner, ce qui ne fit rien pour améliorer les choses…. J'enfilais donc ma seule robe pour me rendre au restaurant ou j'eus l'impression que tout le SAVAIT. Je me tins le ventre collé à la table, bien droite pour empêcher que des plis fassent s'ouvrir des échancrures mal placées entre les boutons. Vite, vite je me rendis au club ou pour une fois je me commandais un cocktail alcoolisé. J'avais envie d'être gaie, euphorique, déchaînée…. Ahmed arrivait aussitôt et m'emmena m'asseoir dans un endroit sombre et isolé. Il me dit me trouver de plus en plus belle et qu'il avait bandé toute la journée en pensant à moi. Il voulu que j'en sois témoin et que je vérifie. Je n'avais jamais touché une braguette d'homme dans un endroit public. Cela me donna un coup de chaud… à moins que ce ne fût l'alcool… ou ce que je sentis sous l'étoffe. Il profita de mon trouble pour ouvrir deux boutons de ma robe et révéler généreusement mon sillon mammaire. Il voulu s'attaquer au bouton du bas. Je l'en empêchais cette fois. Il tint quand même à glisser un doigt entre deux boutons, histoire de vérifier si comme je le disais j'avais aussi envie de lui. Son doigt luisant le renseigna…. Le temps de finir le reste de mon verre, j'étais dans ma chambre, Ahmed sur mes talons une fois de plus. Nous nous assîmes sur le lit et il ouvrit mon devant de robe jusqu'au nombril. C'est alors… c'est alors que l'entendis me dire qu'il voulait me voir faire l'amour en groupe (en fait il dit "baiser en groupe"). Il m'informa que deux de ses amis employés aussi de l'hôtel m'avaient repérée et me trouvais désirable (en fait il dit "bandante"), et que si je voulais lui plaire il fallait que je leur cède également. En une fraction de seconde, je réalisais que je ne m'étais trompée en me sentant épiée. A sa proposition éhontée, j'opposais un non que j'aurais voulus plus ferme. Il insista en me dénudant la poitrine et en la caressant. Je suppose qu'il n'en était pas à mister coup d'essai avec des touristes esseulées et qu'il avait bien tout manigancé car on frappa à la porte. En arabe c'est lui qui dit d'entrer…. Deux hommes firent leur apparition, un du même âge à peu près qu'Ahmed et un autre beaucoup plus jeune. Le premier s'assit de mon coté libre et le jeune sur la chaise. Je tentais de me défendre un peu, mais Ahmed réussit à m'embrasser. Je préfère avoir mis cela sur le compte du cocktail, c'est plus confortable que d'avouer ses faiblesses, mais toujours est-il que ce baiser annonça la fin de ma résistance. Je n'en offris pas la moindre quand mon amant dit à mister ami de me toucher les seins cependant qu'il m'embrassait de nouveau. A la fin de ce baiser, Ahmed m'ordonna d'embrasser mister ami Farid. Timidement, j'approchais mon visage du sien et posait mes lèvres sur les siennes. J'entendis un "la langue !" impérieux et je glissais la mienne dans la bouche de l'homme qui cette fois m'embrassa fiévreusement. Après avoir fait glisser mes bretelles et dénudé tout mon torse, les hommes me firent allonger sur le dos et firent de même de chaque coté. À tour de rôle, ils me roulèrent des patins avides en me caressant les seins. Parfois l'un ou l'autre, parfois les deux me les léchaient ou m'en suçaient les bouts. Bien entendu jamais deux hommes en même ne m'avaient sucé les seins…. Abandonnée, j'en étais presque venue à oublier le troisième larron qui se rappela à moi en posant ces mains sur chacune de mes cuisses. Le plus tranquillement du monde je le sentis achever de déboutonner ma robe et l'écarter selon mister désir. Cette fois ce fut mes cuisses nues qu'il ouvrit et immédiatement je vis sa tête s'abaisser vers mon entrejambe. Après qu'il eut écartés ma toimister sa langue se fraya un chemin et entama un ballet qui m'enfiévra complètement. Désormais j'étais le jouet de ces hommes, je leur appartenais. A tout seigneur, tout honneur et ce fut Ahmed qui le premier se déshabilla et ayant placé mes jambes sur ses épaules me cloua au lit avec ardeur. Je n'avais pas l'habitude de faire cela devant des spectateurs. C'est sans doute cela qui me retint… enfin au début. Soit dit en passant les "spectateur" s'étaient mis nus. Farid était du même calibre qu'Ahmed en revanche, Fouad, s'avéra plus membré que les autres. A grands coups de butoir Ahmed me bourra résolument la moule. C'était bon mais peut être contractée je ne parvins pas complètement à l'orgasme. Même quand il éjacula. En revanche, dès que Farid m'emmancha (pas d'autres termes), là, j'eus un orgasme foudroyant de femelle en chaleur… et un deuxième quand lui aussi prit mister pied et se déversa dans ma fournaise. Toute étourdie, je fus relevée et assise sur le lit face à Fouad. On m'ordonna "Fais lui une pipe !". J'ouvris la bouche en grand pour accueillir le sexe du jeune homme. Effectivement, mes yeux ne m'avaient pas trompée, il était vraiment plus gros que les deux autres. Qu'est ce que je pouvais avoir envie qu'il me prenne. Je ne me connaissais pas cette fringale sexuelle…. Je mis en pratique les bons conseils d'Ahmed pour d'une part lui donner beaucoup de plaisir et d'autre part pour qu'il jouisse vite. Il serait disponible pour autre chose plus rapidement. Vu sa taille, il arrivait à me la mettre loin dans le gosier, me provoquant d'inévitables hauts le cœur. Cela les faisait rire. Apparemment il fallait que je m'y habitue. D'après Ahmed les hommes adoraient s'enfiler bien au fond de la bouche et au début des larynx féminins. Je ne savais pas…. Quoi qu'il en soit Fouad, ne mit pas (trop) longtemps pour m'expédier sa semence onctueuse. Je lui rendis mister membre propre comme un sou neuf. Tout ce joli monde bandait de plus belle ce fut Ahmed qui me reprit, en levrette et cette fois il me fit somptueusement jouir, désireux de se racheter de tout à l'heure, bien que cela ne lui fut pas imputable. Je dus ensuite sucer Farid jusqu'au bout bien sûr. Ahmed demanda ensuite à Fouad de me baiser encore à quatre pattes pour que je sente bien sa bite. Il me planta mister pieu ardent et me prenant par les hanches il me transforma en poupée de chair ballottée comme un coquille de noix sur la mer. Son gros sexe fouillait mes muqueuses enflammées à m'en faire crier de bonheur. On entendait que ses râles vaillants, mes gémissements et le floc, floc obscène du clapotis de sa trique plongeant dans mon vagin cuckold watereux. Tous trois parlaient, s'invectivaient, s'encourageaient ne arabe et riaient beaucoup. L’orgasme me traversa, explosant par tout mon être et me faisant perdre toute notion de réalité. Il continua ses assauts d'étalon fabuleux et abuté au fond de ma matrice m'amenant à jouir de nouveau puis il se retira et me noya la bouche de mister flot épais. Après un peu de repos ils me reprirent tout à tout dans toute sorte de positions commandées par Ahmed. En fait en plus de me prendre, chacun d'eux me jouit deux fois dans la bouche. Ils m'abandonnèrent ensuite à la nuit et à mon sommeil sans omettre de préciser qu'ils reviendraient le lendemain. Il étaient infatigables… moi un peu moins….
La matinée bien avancée me vit émerger ma chambre baignant dans des odeurs et des effluves révélatrices des débordements de la veille. Avant de me consacrer à mes occupations, j'allais jusqu'en ville. D'abord pour acheter quelques souvenir, dont un magnifique poignard pour Philippe (c'est Farid qui m'avait donné l'adresse) mais surtout, comme me l'avait conseillé (enfin plutôt ordonné) Ahmed pour faire l'acquisition d'un porte-jarretelles et de bas que je devais exclusivement porter et que je devrais garder pendant nos ébats. Je le choisis bordeaux avec des bas gris à couture. Ce jour là, je ne descendis même pas à la piscine. Je restais à bronzer sur mon balcon, et j'y restais intégralement nue jusqu'au soir. Sitôt le dîner expédié je retrouvais Ahmed au club. En regardant mes jambes, il fut ravi de voir que j'avais accédé à sa demande. Dans le même petit coin que la veille il vérifia que bas et porte-jarretelles ne constituaient que mes seuls sous-vêtements. Cette fois, foin de ma réputation, il me prit par la taille et passant devant le barman que je supposais être un copain, il me mit la main aux fesses comme pour lui montrer sa bonne fortune. Fouad et Farid nous attendaient devant ma chambre ou je fus poussée et promptement dévêtue. Ils me firent agenouiller et s'était eux aussi mis nus, ils m'entourèrent pour se succéder dans ma bouche. Ensuite… je fus prise, reprise, retournée, léchée. Effectivement ma tenue les excitait follement. Je dus même à un moment donné sucer Fouad pendant qu'Ahmed me besognait et adapter ma succion au rythme des coups de reins de l'autre. Ce fut ma grande première de "m'occuper" ainsi de deux hommes en même temps. Ce ne fut pas si facile que l'on pourrait croire…. Ils m'abandonnèrent pantelante et usée et je me retrouvais le lendemain matin complètement hébétée de cette folle nuit ou ses trois hommes m'avaient prise dans toutes sortes de position se relayant pour m'arracher des cris de jouissance (et pour se procurer du plaisir également).
chrislebo

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#441
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Comme la veille je ne bougeais pas de ma chambre tentant de me refaire une santé pour subir ma dernière nuit de plaisir ou Ahmed m'avait prédit un feu d'artifice. Je descendis vite dîner et remontais à toute vitesse me déshabiller et ne garder que bas et porte-jarretelles, puisqu'il avait été contenu que je les attende dans ma chambre dans cette tenue afin de les exciter encore un peu plus. Ils arrivèrent peu après et d'emblée Ahmed me dit que pour ma dernière nuit il fallait que je me laisse sodomiser comme ils l'avaient fait à toute les autres femmes avant moi. Je refusais ayant peur d'avoir mal et au surplus, je trouvais cela humiliant et dégradant. Ils me persuadèrent d'accepter, un peu par power d'ailleurs, me menaçant de téléphoner à mon mari en France pour lui raconter ma conduite. Ils amenèrent la petite table au centre de la pièce et me placèrent les chevilles de chaque coté des pieds de table. Ils me firent me pencher en avant, buste contre le plateau après m'avoir glissé un oreiller sous le ventre pour me surélever la croupe. Ahmed commença d'officier…. Les autres m'écartèrent les fesses et lui commença par me lécher la raie s'attardant de plus en plus sur mon petit trou puis finalement en y entrant la langue. Pour l'instant même si cela faisait bizarre, ce n'était pas désagréable. Cela ne le fut pas non plus quand une phalange s'immisça et entreprit un mouvement tournant. Avec délicatesse, il finit par m'y rentrer un doigt entier qu'il fit aller et venir. Me conseillant "de pousser" il m'en mit deux qu'il écartait pour étirer les parois. Pendant cette préparation les autres riaient et parlaient avec lui an arabe. Parfois ils passaient les mains sous mes jarretelles pour me caresser les cuisses, l'entrejambe et l'intérieur du vagin. Parfois aussi ils me prenaient la main pour la refermer sur leurs sexes que je devais masturber. Ahmed me proposa :
"Tu veux maintenant ?".
Comme dans un misterge je m'entendis répondre :
"Vas-y je suis prête !"
C'était, de plus bien vrai… il avait finit par m'échauffer au delà du raimisternable et j'avoue que j'avais désormais envie d'être sodomisée quel qu'en soient les conséquences. Son gland fit pression sur mon anneaux écartelé et ils s'engagea… lentement mais sans marquer d'arrêt…. Mal, oui un peu sur la fin là ou ses doigts ne m'avaient pas dilaté le conduit. Mais pas non plus un mal atroce… d'ailleurs cette douleur s'estompa assez vite du fait qu'il resta abuté à moi un moment en me caressant les reins. Il fit un ou deux mouvements histoire de vérifier si ma gaine s'était adaptée à sa verge et me dit que maintenant "il allait vraiment m'enculer". Il ajouta "qu'après lui les autres prendraient sa place". J'eus beau supplier cela ne les fit que rire. Hé bien à ma grande surprise, j'y pris du plaisir…. Croyez-moi, du plaisir !... le sentir se rendre maître de mes reins, le sentir m'ouvrir l'anus, le sentir se faufiler dans mon rectum fut un régal…. Et en plus faire quelque chose de mal et de sale… hummmmm ! Tout alla si bien le fait de le sentir se déverser dans mes entrailles m'amena à la jouissance. Il se désengagea avec douceur et comme promis les autres étaient prêts d'abord Farid qui m'empala avec plus de power encore et enfin Fouad. Fouad dont je vous ai dit qu'il était le plus membré des trois et qu'il me faisait jouir à en crier dès qu'il me prenait, alors là…. J'ai cru qu'il allait me déchirer de mister élan sauvage qui faisait écho à ma disponibilité de bourgeoise en chaleur. Sa verge coulissait frénétiquement dans mon boyau pendant que je l'encourageais à me posséder et à venir au plus profond de mon fondement. Je l'avais réclamé… je l'eus ce pistonnage bestial que j'endurais avec ravissement jusqu’à ce que je jouisse tétanisée en plein délire sexuel. Que dire du reste de la soirée… que je fus sodomisée ainsi six fois dans la nuit et qu'entre-temps nous faisions l'amour "normalement", sans omettre les fellations que je leur pratiquais généreusement.
C'est endolorie, amorphe, exsangue que dus faire mes bagages. Dans cet état oui, mais heureuse et fière d'avoir plut à des amants aussi jeunes. Ma fierté était peut être naïve et de nombreuses touristes devaient y passer mais enfin…. Je me mis à la recherche de ma copine Evelyne. Dès que je la vis je le sus. Elle allait quitter l'hôtel mais prolonger mister séjour… En recherchant du pittoresque et du typique elle avait échoué dans un bar ou le patron l'avait séduite. En déficit d'homme, elle avait permis à d'autres clients pas mal de privautés. De fil en aiguille elle était, pour mister plus grand bonheur, passé plusieurs fois à la casserole. En fait nuit et jour elle y passait et comme elle le disait avec humour "Et en plus, ils mistert toujours plus nombreux !" Son amant (ou maquereau) de patron du bar lui avait fait promettre de rester encore un peu et de s'installer "pour plus de commodité" chez lui. Ce qui expliquait donc sa tenue du matin, minijupe vert pomme, top rouge scintillant et maquillage outrancier. En lui conseillant quand même la prudence je lui souhaitais bon séjour.
Je pris donc le chemin de l'aéroport sans avoir revu ni Ahmed, ni ses compagnons. Pour eux j'étais une affaire terminée sans doute. L'ultime chose que je fis avant de prendre l'avion fut de me débarrasser de mes bas et de mon porte-jarretelles….
Le voyage était court. Il me fallais d'une part me reprendre vite et enfouir ces moments merveilleux ou en cinq jours j'avais plus jouis qu'en une vie entière… ce ne serait pas facile. D'autre part quoi dire à Philippe. Avec tout ce qu'il m'avait déjà proposé, je pouvais me permettre d'avouer une infidélité. Cela faisait trop longtemps qu'il me le proposait. J'avais conscience d'avoir exagéré. Mais ils m'avaient rendu si heureuse. Alors je me décidais à en avouer un tiers… une soirée et un début de sodomie non achevée… plausible non ? L'avion se posa… aérogare…mari… retrouvailles… bisous… Comme tu as bonne mine !... bagages… voiture… trajet… maimister… souvenirs… oh comme cela me fait plaisir… douche….
Alors parle moi de ton séjour ! L'heure de vérité était venue…. Je commençais par raconter l'hôtel, les repas, le farniente. Philippe était loin d'être un imbécile….
P Depuis tant d'année… je connaissais quand même bien ma Gisèle chérie… J'avais tout de suite vu que quelque chose clochait. Je me doutais un peu… même avant mister départ…. Je lui avais laissé tout mister temps. J'ajoutais simplement "Et…?".
G "Et… j'ai fait une bêtise…."
Je lui racontais tout… enfin toute ma version… édulcorée….
Je dus raconter une fois, deux fois… trois fois…. avec à chaque fois plus de détails. Loin d'être en colère, il ne cessait de répéter "que j'aurais voulu être là !... que j'aurais voulu être là". Finalement il me voulu et … trop pressé et trop excité… ce fut un échec...une fois de plus ! Nous en restâmes là pour cette fois et la vie reprit mister cours….
Philippe avait avancé dans nos recherches. Je ne vous ai pas dit mais nous cherchions à nous loger autrement. Nous désirions acquérir un pavillon puisque nous avions économisé et puis, et puis… une fille mariée… peut être un jour des petits enfants qui pourraient jouer dans le jardin… image d'Épinal…. Donc il avait vu une annonce qu'il me montra. Nous allâmes voir la situation. Le quartier était sympa comme tout et nous plaisait. Comme nous admirions le pavillon, de l'autre coté de la rue une dame nous interpellas. En fait c'était l'ancienne propriétaire. Elle nous fit même visiter. Emballés nous nous décidâmes vite et l'affaire fut rapidement conclue. Nous emménageâmes et pendant un temps bien occupée j'oubliais mes frasques passées. Les voisins : à droite, bof des retraités peu communiquant, à gauche des gens sympa, un couple avec un grand garçon. Nous avions de cordiales relations avec eux et aussi avec la voisine d'en face, l'ancienne propriétaire. Elle était veuve, l'ai toujours un peu triste, pourtant elle dégageais quelque chose et j'aimais bien le compagnie de Jocelyne, puisque c'est ainsi qu'elle se prénommais. De temps à autre elle venait prendre le thé mais ne s'attardais jamais. Nous avions une connaissance commune. Comme je travaillais au lycée elle me demanda si je connaissais une certaine Nathalie, prof de math. Effectivement, je la connaissais, sans plus, puisqu'elle faisait partie de l'équipe des enseignant et moi de celle des administratifs. C'est d'elle dont je vous parlais un peu plus tôt qui avait, à tort ou à raimister, un e réputation un peu sulfureuse. Bref des jours calmes s'annonçaient. Pourtant le souvenir d'Ahmed et de ses comparses ne s'estompait pas. Il paraissait même que mon humeur redevenait maussade….
P Oui franchement mister humeur se dégradait. Une fois passé notre emménagement et la gaîté de la nouveauté, ma pauvre Gisèle semblait retomber dans la morosité. Je savais bien que cela était de ma faute ! Il fallait que nous ayons une conversation sérieuse. Un beau jour, je la "convoquais" pour une discussion à cœur ouvert. Elle ne la refusa pas. Je luis proposait à nouveau le divorce ou du moins la séparation. De nouveau, elle ne voulu rien entendre. Par ailleurs elle ne pouvait plus rester ainsi à s'étioler. Elle en convint. Je lui proposais donc qu'elle prenne un amant qui la satisferait. Cette fois elle n'opposa pas mister veto habituel. Elle m'avait raconté qu'elle avait eu un amant plus jeune. Je lui proposais donc d'en "recruter" un par annonce, pour voir et ne pas trop s'attacher. Et là elle me dit….
G "Mais toi…. Je veux que tu soit là… avec moi… sinon j'aurais trop peur !" c'est qu'avec difficulté je parvint à articuler….
P J'eus du mal à encaisser…. Pourtant en analysant cela ma parut concevable et aussi un peu excitant. Je crois que je ne suis pas le seul à envisager avec angoisse et envie la vision de mister épouse s'ébattant avec un autre… et finalement pourquoi pas…. L'envie l'emporta….
G Pourquoi avais-je été chercher cela ! Persuadée qu'il ne voudrait pas…. Raté… la chose parut lui plaire. Il n'était pas question que je me mette en quête de celui à qui j'accorderai mes faveurs. Mon époux, décidément très (trop) intentionné me dit qu'il passerait une annonce et que je n'aurais qu'à choisir parmi les postulants, si d'aventure l'un d'eux me tentait. Vu comme cela….
P Je passais donc une courte annonce disant qu'un mari souhaitait pour mister épouse une expérience avec un homme jeune et viril. Il y eut plus d'une cinquantaine de réponse et pas seulement de jeunes. Il y eut même des groupes. Certaines étaient même accompagnées de photos. Un beau soir, je donnais le tout à Gisèle….
chrislebo

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#442
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L'esclave de Maman



Ca faisait quelques années que j'habitais seul avec ma mère. C'était quelqu'un de très autoritaire mais j'avais pas mal de temps libre car elle revenait en général plutôt tard au soir.

C'était une belle femme blonde, un peu ronde mais ses courbes m'excitaient beaucoup et m'incitaient souvent à la masturbation.

Je revenais de l'école, la maimister était vide.

Je m'étalais alors sur mon lit le regard perdu dans des misterges.

L'ennui m'ayant gagné, je descendais la main dans mon pantalon histoire de m'occuper.

Je le déboutonnais rapidement et commençais à me masturber.

J'étais tranquillement entrain de m'astiquer lorsque ma mère ouvrit la porte de ma chambre. Je la regardais l'air désappointé en essayant de relever mon pantalon pour me cacher de mister air étonné. Elle devint alors rouge de colère et rompit le silence ;

-Petit cochon! Comment oses-tu?

-Mais maman, je ne savais pas que tu étais là et...

-Tais toi! Je vais t'apprendre à faire des cochonneries moi! Déshabille-toi!

Je la regardais d'un air étonné

-Immédiatement jeune homme!

J'obéissais en grommelant et je peinais à cacher mon pénis bien droit avec mes mains.

-Enlève tes mains immédiatement! Tu n'as pas à te cacher devant ta mère!

-Mais maman...

-Pas de « mais » qui tienne, tu enlèves tes mains et tu les poses derrière ta nuque!

Je m'exécutais.

Elle me regarda alors longuement observant surtout mon pénis.

-Couche-toi sur moi! Je vais t'administrer une bonne fessée.

Vu mister air autoritaire, je n'osais discuter!

Je m'assis donc sur ses genoux. Elle me massa un peu les fesses puis se mit à me fesser

Schlak Schlak « sale petit pervers. » Schlak Schlak « Tu ne dois plus recommencer! »

Elle sentait alors que mon pénis s'égouttait sur sa robe, elle plaça alors sa main à cet endroit de telle manière qu'à chaque coup je sentais sa main contre mon pénis.

Une fois la fessée finie ;

-Et je ne veux plus que tu recommences, tu as compris?

-...

Elle agrippa alors mon pénis en le serrant très fort dans sa main.

-Tu as compris?

-Oui maman.

Elle relâcha alors mister emprise.

Je me dirigeais vers mes vêtements pour m'habiller

-Non non! Tu n'auras plus besoin de ça!

-Quoi?

-Désormais je veux te voir nu pour vérifier que tu n'aies pas de pensées cochonnes et par marque de respect pour ta maman. Car il est normal qu'un bon garçon n'ait rien à cacher à sa maman, non?

-Oui maman

-Bien alors désormais, dès que tu reviendras de l'école, je te veux nu!

-Mais maman, si quelqu'un frappe à la porte?

-Permisterne à part mes amies ne viennent nous voir.

-Justement...

-Demain, je leur téléphonerai pour les prévenir

Mon sang se glaçait : elle allait prévenir ses amies de ma nudité? Je les imaginais déjà rire de moi... Quelle horreur!

-Bien maintenant descends en bas, le dîner est prêt!

Nous mangeâmes sans trop d'histoire. Puis vint la soirée où en général nous nous mettons tous deux dans le canapé pour regarder un film. Ma nudité me gênait alors et j'avais peur d'avoir une autre érection.

Nous nous assîmes tous deux dans le canapé :

-Viens près de moi, maman s'ennuie et a envie de s'occuper les mains.

Je n'avais pas très bien compris mais je me rapprochais.

Elle se mit alors à jouer avec mon pénis et mes testicules comme une enfant tout en regardant le film. Elle tripotait mes boules, donnait des claques à mon pénis,...

Puis soudain elle sentit entre ses mains l'érection.

-Qu'est-ce que ça veut dire? Je joue tranquillement avec mon fils devant un film et voilà qu'il a des pensées cochonnes! Sale petit vicieux...

-Mais maman c'est...

-Tais toi! Vu que je t'ai déjà frappé aux fesses, pour les ménager je vais te donner une petite fessée sur ton zizi.

Elle employait le mot « zizi » comme à un gosse arriéré... argh!

-Mais maman... essayais-je encore de protester.

-Tais toi! me lançait-elle d'un air de m'agresser.

Je me mis alors en position et la fessée se déroula.

Pendant le reste du film nous restions tendus.

Une fois celui-ci finit, je me levais pour aller rejoindre mon lit et enfin oublier cette horrible journée.

-Bonne nuit maman.

-Comment ça bonne nuit? Si je te laisse monter dans ta chambre tu vas encore chipoter à ton zizi! Non cette nuit tu dormiras dans ma chambre.

Dans sa chambre? m'interrogeais-je. Nu dans mister lit? Quelle perspective excitante.

Voyant mon pénis se durcir légèrement, elle comprit.

-Non pas dans mon lit! Je ne laisse pas un petit pervers comme toi dormir à mes côtés, tu dormiras sur la carpette.

La carpette? Cette saloperie malodorante et inconfortable? Vu mister air sévère, il ne faisait aucun doute qu'elle ne plaisantait pas.

Nous montâmes alors dans sa chambre. Je m'installais sur le tapis.

Elle me dit de m'étendre pour pouvoir me marcher dessus pour monter sur mister lit car elle ne voulait pas toucher avec ses pieds le tapis poussiéreux.

Elle m'écrasa bien le pénis de mister pied gauche au passage comme une revanche puis se coucha dans mister lit.

Au petit matin, je fus réveillé par ses pieds qui m'écrasaient le ventre.

Je me levais après qu'elle m'ai marché dessus. Elle vit mon pénis gonflé et prit alors la décision de le nettoyer car elle trouvait ça sale.

Elle m'amena à la salle de bain où elle se saisit d'une brosse bien rêche et du savon et frotta vigoureusement mon entre-jambe.

-Bien maintenant que je t'ai lavé le sexe à toi de faire pareil!

-Pardon?

-Non pas à la brosse évidemment, c'est pour les sales petits pervers ça.

-Comment alors maman?

-Mets-toi à terre je vais te montrer.

Je m'étendis alors à terre et elle vint poser mister sexe sur ma bouche.

-Lèche vigoureusement pour bien nettoyer maman, mon chéri.

Je lui mangeais alors littéralement le sexe. Le goût était tellement bon.

Une fois qu'elle eu jugée que je l'avais assez bien nettoyée, elle descendit sans rien dire à propos de mon sexe bandé et m'invita à prendre le petit déjeuner.

Pendant qu'elle débarrassait, la misternette retentit alors.

Oubliant ma nudité, je vins ouvrir à la porte.

Devant moi se tenait Catherine, la grande amie de maman.

Elle me regarda de bas en haut avec mépris. Elle ne dit rien, maman avait du la prévenir car elle semblait au courrant.

Elle me tendit mister manteau que je vins accrocher et je la menais au salon un peu honteux de mon état mais elle ne semblait pas s'en soucier.

Quand elle nous vit, maman accueillit mister amie en souriant.

Puis se tourna vers moi :

-Et alors tu ne lui proposes rien?

-Euh pardon... Vous voulez à boire?

-Non je ne parle pas de ça!

Je restais interrogateur.

-Va mettre ta tête sur le canapé pour offrir un peu de confort à notre invité.

J'avais compris maman en lisant dans ses yeux et sous le regard sévère des deux femmes, je m'exécutais.

Catherine souleva alors sa robe découvrant mister vagin nu avant de s'asseoir sur mon visage. Je me mis alors à la lécher dans le but de lui rendre le séjour confortable. Elle avait un meilleur goût encore que celle de maman mais j'étais surtout occupé à tenter de la satisfaire.

Vu que j'étais fort tendu sous le poids de Catherine, elle en profita pour utiliser mon bassin en tant que pose-pieds et s'amusait à jouer avec mon sexe pendant la longue conversation de maman.

Peu après :

-Et bien je suis contente d'avoir vu ça, mon fils devrait devenir aussi obéissant que le tien.

-Tu me diras quoi alors! Bisou.

Je me relevais alors.

-Et bien tu n'embrasses pas Catherine? dit ma mère en pointant les pieds de Catherine de mister doigt.

-J'embrassais alors ses pieds puis elle s'en alla en me voyant toujours à genoux.

Après avoir raccompagnée mister amie en étant tout sourire, maman m'engueula

-Tu ne sais même pas tenir ton sexe, elle jouait un peu avec et directement tu t'imagines des trucs de petit cochon!

-Pardon maman.

-Je vais te mettre une bonne grosse fessée.

Elle me fessa à nouveau mais cette fois-ci en m'écrasant le pénis dans sa main durant toute la durée de la fessée.

Puis me laissa traîner devant la télé jusqu'à l'heure du repas.

Après comme d'habitude nous regardâmes le film et elle se mit à jouer avec mon sexe.

Je l'interrompis alors :

-Maman pourquoi tu joues toujours avec mon sexe?

Elle me regarda en souriant.

-D'accord essayons autre chose!

Elle me fit me lever et écarter les cuisses, je me doutais un peu de ce qui allait arriver.

Elle prit un bic et me l'enfonça doucement dans l'anus puis s'amusa avec.

Je criais un peu de douleur.

-Et bien tu vois pourquoi je préfère jouer avec ton sexe?

Le film se termina, je rejoignis ma carpette me remémorant un peu ma journée. Je ne m'en rendais pas bien compte mais j'étais devenu l'esclave de maman....
chrislebo

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#443
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Des semaines s'étaient écoulées depuis que maman avait pris possession de moi et de nouvelles habitudes avaient étées prises.

Un après-midi, alors qu'elle m'avait demandé de rester nu, les jambes écartées, les genoux au sol et les mains derrières le dos à attendre qu'elle revienne de mister travail, je me sentais paniqué. Ca faisait de nombreux jours qu'elle était de mauvaise humeur et je sais comme elle peut être agressive ces jours là. Quand elle me demande d'être ainsi c'est qu'elle peut rentrer à n'importe qu'elle moment pour se défouler sur moi après une longue journée. Par peur de lui désobéir et parce qu'un bon fils doit toujours être obéissant et fidèle à sa mère, j'étais resté toute la journée en position, en l'attendant, sans rien manger et juste en levant de temps en temps les yeux vers l'horloge de la salle de séjour.

Il était bientôt 15h00 lorsque j'entendis la porte claquer très fort. Un grand « BAM » qui déchirait le silence et le bruit de la trotteuse qui continuait à tourner.

Ma mère entra tout en criant, elle semblait dans une véritable rage ;

« Pourquoi est-ce ce stupide homme qui a eu MON poste? Pourquoi a-t-il eu MON avancement? Alors que les hommes mistert si inférieurs à la femme! Il devrait être nu à me lécher les talons et à me supplier de prendre sa place et je lui écraserai ses misérables petites testicules! Je l'entendrai gémir et il me suppliera de continuer car il comprendra que c'est sa place en tant qu'homme, qu'il doit s'écraser face à moi, qu'il est un incapable, inférieur, répugnant et ridicule! Il faut que je castre un homme, une de ces horribles limaces juste bonnes à servir la femme,... »

Alors que j'entendais sa voix se rapprocher et ses talons cogner de plus en plus fort les escaliers, je me raidissais. J'avais très peur : quand maman est en colère, elle est capable de tout! Elle débarqua en trombe, face à moi et me lança un regard sombre. Elle s'était tu. Elle s'approcha de moi et me porta un violent coup dans les testicules profitant que mon appareil génital était sans défense, nu et l'attendait. Je m'écroulais à terre. J'avais extrêmement mal mais bizarrement je me sentais soulagé d'avoir servi à quelque chose et fier que maman m'ait choisi pour passer ses nerfs, j'étais un bon fils!

D'ailleurs, à peine avait-elle frappé qu'elle commençait déjà à se sentir mieux, plus détendue. Son regard était plus calme, ses sourcils moins froncés et elle allait être un peu plus douce avec moi maintenant.

« Tu vois Nicolas pourquoi les hommes mistert inférieurs aux femmes? Tu comprends pourquoi tu dois être soumis et ne pas être un gros con?

-Oui maman, répliquais-je toujours plié en quatre à terre

-Bien! Maintenant relève-toi, je vais améliorer ton éducation en t'enfonçant bien dans la tête le fait que la femme est une dominante de nature et le fait que l'homme est une merde soumise de nature.»

Je me relevais alors toujours tremblant de douleur, je titubais un peu mais je tenais debout.

« Va me chercher mes casses-noisettes! »

Horreur! Elle voulait ses casses-noisettes, ce mistert des chaussures rouges vernis à talon qui finissent en pointe. Elle les appelle ainsi car à l'arrière il y a une ouverture au niveau du talon qui est assez large pour y faire passer des testicules. Elle s'amuse parfois à me faire peur en m'obligeant à y mettre un ou deux testicules et en appuyant avec le talon pour me faire mal. Une fois, pour rigoler, elle m'avait fait croire qu'elle me briserait mes noix et que c'était pour ça qu'elle les appelait les casses-noisettes tout en ricanant et en jouant à donner une pression sur mes testicules. J'avais eu extrêmement peur mais je doute que ça arrive un jour ; elle aime trop jouer à ça pour les perdre.

Je me trainais donc jusqu'à sa garde-robe, à quatre pattes car elle aime me voir me déplacer ainsi quand je dois me rendre quelque part dans la maimister, pour prendre ses très excitantes chaussures de cuir vernis rouge. Dommage qu'elles servaient à me faire tant de mal. Je les trouvais cachées derrière le martinet qu'elle m'avait acheté, le gode-ceinture qu'elle se plaisait à m'enfiler pour me prouver que si Dieu existait, ce serait la femme qui encule l'homme et non l'inverse et la ceinture de chasteté qu'elle m'avait promis de me faire essayer. Cette ceinture me faisait très peur car elle avait tendance à se resserrer quand on y touchait pour éviter de faire des choses interdites par maman. Et si mon jeans faisait se refermer trop vite la ceinture? J'ose à peine y penser, je préfère mettre les chaussures de maman dans ma bouche et redescendre l'escalier.

J'arrivais donc en bas, j'ouvris la bouche, pris la première chaussure et je me mis à embrasser longuement le pied de maman à travers le bas qu'elle portait. J'en profitais pour jeter rapidement un coup d'œil impudique sous la robe de mister tailleur, elle ne s'en rendit, heureusement pour moi, pas compte mais je vis qu'elle ne portait pas de culotte. La chose m'excita énormément mais je du me calmer de peur d'avoir une érection ce qui lui aurait permis de me mettre cette fameuse ceinture de chasteté. Une fois chacun de ses orteils vénérés et correctement léchés, j'enfilais sa première chaussure puis je répétai le même rituel pour le second pied.

« C'est bien, tu sais montrer du respect à ta mère! Maintenant mets ton zizi dans le trou arrière de ma casse-noisette gauche, il est l'heure d'une séance d'éducation pour toi et pour tous les hommes de cette terre

-Oui maman, dis-je avant de m'exécuter. »

Elle se mit d'abord à écraser laborieusement mon pénis pour en éprouver la solidité et puis, voyant mes grognements sur mon visage, elle se décida qu'il était temps que la leçon commence vraiment. Elle s'empressa alors de sauter sur celui-ci, l'écrasant de plus belle à chaque fois qu'elle retombait de mister saut.

« Est-ce que ta mère sait toujours ce qui est bon pour toi?

-Oui maman!

-Est-ce qu'il est correct que ta mère fasse de toi ce qu'elle veut pour bien t'éduquer?

-Oui maman!

-Est-ce qu'un bon fils est soumis et obéissant à tout ce que dit sa mère?

-Bien sûr maman! Aie! »

Elle ponctuait chacune de ses questions par un saut, c'était à la fois douloureux et excitant.

« Si je fais ça c'est parce que tu retiendras mieux avec la douleur plutôt que d'être un jeune fils insolent comme ces loubards qui trainent dans les rues! Avec mes bonnes leçons, tu apprends correctement à être un bon soumis pour la future épouse que je te choisirai et pour être un homme qui a la place qu'il mérite dans la société. Tu n'es pas fier d'être si bien éduqué?

-Si maman! Merci beaucoup, je te suis reconnaissant!

-C'est très bien, on va donc arrêter la leçon ici. »

J'étais très soulagé que maman s'arrête là, mon sexe n'en pouvait plus : il était devenu rouge, assez douloureux et avait un peu durci or si elle voyait ça, j'allais être sévèrement puni.

« File t'habiller maintenant! On va faire les courses. »

Je m'exécutais donc extrêmement rapidement pour qu'elle n'ait rien à redire et qu'elle ne puisse encore sévir. Je redescendais habillé avec des vêtements normaux, content de faire une sortie avec ma mère et de parader avec cette belle femme en tailleur, bas nylons et ses hauts talons, la paire de casses-noisettes, qui m'excitaient beaucoup. J'aimais énormément les soirées où je devais lui lécher les pieds et surtout quand elle portait des talons ; leur présence m'émoustille toujours beaucoup et me fait fantasmer. Maman l'ayant compris, elle m'avait une fois écrasé la verge avec ceux-ci et avait vu que, malgré la douleur, ça me plaisait beaucoup. Alors elle avait mis un de ses talons dans ma bouche, lorsque que j'étais étendu à terre, et le faisait monter de bas en haut pour que je le lèche. Après l'érection que j'avais eu, je connus la plus grosse fessée de toute ma vie. Je ne pus plus m'asseoir pendant des jours et ça la fit bien rigoler de m'obliger à rester à quatre pattes.

Quand j'arrivais en bas, elle m'attendait avec un fil de pêche et un regard amusé.

« Pour ne pas que tu me fausses compagnie, je vais t'attacher le sexe à ce fil. Tu resteras ainsi sagement à côté de moi pour m'aider! »

Mes yeux devinrent globuleux ; elle comptait m'attacher le sexe publiquement dans le magasin! Quelle honte allais-je avoir? Je ne pouvais pourtant pas refuser, ça semblait être un ordre maternel. Je baissais donc mon pantalon. Elle s'empressa de décalotter mon sexe et d'attacher mon gland à mister fil. Elle fit un nœud solide mais bien assez large pour ne pas que ma verge devienne bleue.

« Remets ton pantalon maintenant, nous allons faire passer le fil par ta braguette »

Heureusement, ça sera plus discret que je ne le pensais mais ça risque tout de même d'être visible, le fil de pêche est transparent mais pas invisible. Après avoir laissé un petit mètre de long, elle l'attacha à mister poignet. Je pensais au fait que ça sera d'autant plus préjudiciable vu que je ne porte pas de sous-vêtement sous mon pantalon vu que maman me l'a interdit.

chrislebo

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#444
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La soumission de Georges


Georges, vingt huit ans, est un superbe athlète de un mètre quatre vingt pour quatre vingt cinq kilos. Il vit chez ses parents. Sa mère Solange,très belle femme de trente huit ans et sa soeur, Sophie, âgée de quinze ans. Elle est souvent maltraitée par mister frère. Elle attend qu'une chose, pouvoir se venger.
Cet après midi là, Georges sors de la salle de bains, une serviette nouée autour de la taille. Sophie révise dans sa chambre. il décide de la taquiner un peu.
Il l'a prend par la taille, l'allonge sur la moquette, et se couche sur elle.
-Alors, petite conne, je t'ai encore eu, hein?
-Arrête, dit-elle, je vais te faire mal un jour.
-Regarde comme je tremble, répond Georges.
Sophie, glisse une main sous le ventre de mister frère, jusqu'à mister entre jambe.
-Aie, aieeeeeeeeeeee, hurle Georges.
Le bassin de Georges est pris de soubresauts.ses jambes s'agitent dans tout les sens.
Sophie a saisit mister frère par les couilles. Elle éclate de rire.
Georges a un handicap, et de taille. Il a un sexe ridicule.
Quatre centimètres au repos, neuf en érection. Avec, dessous,deux petites noisettes.
Plus il essaie de se dégager, plus elle serre. Georges est en larmes.
Sophie lui ordonne de se lever, et d'ôter sa serviette.
ils mistert face à face, les couilles de Georges toujours dans la main de sa soeur. Elle le fixe d'un air méchant.
-Ecoute moi bien, petit con, gronde Sophie, à partir d'aujourd'hui, je veux que tu m'obéisse, compris? Sinon, je dis à tout le monde ce qui pend entre tes jambes.
Georges a ses mains appuyées sur les épaules de sa soeur.
La douleur se lit sur mister visage. Elle serre un peu plus fort.
-Aie, aieee, crie Georges en sautant d'un pied sur l'autre.
Oui, oui, je ferai ce que tu voudras.
un peu d'urine s'échappe du méat. Une pression plus violente lui fait faire un bond.. Sophie le lâche enfin.
Georges s'enfuit, tout nu, voir sa mère en hurlant.
-Qu'est-ce-qu'il t'arrive mon chéri. Dis le à ta maman.
-Sophie m'a fait mal, pleure Georges les mains devant mister sexe.
-A bon,et qu'est-ce- qu'elle t'as fais pour que tu pleure comme çà, tu es grand maintenant.
-Elle m'a attrapé mon entre jambe, répond Georges.
-Oh, fais voir à maman.
Georges s'approche de sa mère qui est assise sur le canapé, et enlève ses mains de devant ses petits attributs.
-Tes noisettes mistert bien rouge, remarque Solange.
Avec deux doigts, elle saisit un testicule, le serre en le tirant vers le bas.
-Ai aie, arrête, s'il te plait maman.
Il tombe à genoux aux pieds de sa mère.
-Tu vois comment les femmes matent les hommes.
-Tu le fais à papa, demande Georges en reniflant.
-Bien sur, quand il est pas sage, répond Solange. Je le descend au sous sol pour pas qu'on l'entende couiner et pleurer. Un homme peut plus rien faire quand il se fait choper par les couilles. Allez, allonge toi mon bébé, maman va te passer de la pommade, écarte bien tes jambes.
Solange s'assied et commence ses massages.
Georges ferme les yeux.
-Dis moi, ta petite queue est toute raide. Dommage qu'il y est que çà. Tu veux que maman te calme?
-Comment? Demande Georges.
-Il y a plusieurs façons, répond Solange. Tu veux que maman te tape une petite queue? Je vais la sucer un peu avant.
Tu verras comme c'est bon.
Solange mouille deux doigts, et décalotte le petit bout de mister fils. Elle se penche, et l'engloutit du bout des lèvres.
-Oh maman, que c'est bon, comme ma petite queue se régale.
Sentant que Georges allait éjaculer, elle se retire et continu à le branler avec deux doigts.
-Oui, vas-y, je joui ha..ha..oh maman, ouiii Pendant que Georges se vide, Solange lui enfonce deux doigts dans l'anus. Elle est surprise de la facilité avec laquelle ils mistert rentrés.
-Mon chéri, tes copains, ils te font quoi pendant les la douche. Raconte à maman.
-Je suis la risée, maman, çà arrive qu'il y en est un qui m'encule, et souvent j'en suce un autre. Ils jouent avec moi. C'est bon tu sais, j'aime bien. Si tu les voyais, ils ont des bites énormes.
-Ton père aussi, il aime. J'ai acheté un gros gode, et certain soir, je lui donne un coup de queue. Il éjacule à chaque fois, raconte Solange.
Les paroles de sa mère l'excite. Aussi, mister petit morceau, tout décalotté se redresse.
-Attend ce soir, poursuit Solange. Arnaud, tu sais, le voisin, il vient donner des cours à ta soeur. On s'amusera un peu si tu veux


chrislebo

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#445
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Arnaud, âgé de seize ans, arrive chez Sophie vers vingt heure. Il misterne, aucune réponse. Il tourne la poignée, c'est ouvert.
Il entend des plaintes venant du sous sol. Il s'approche des escaliers, et perçoit des pleurs, puis des pas qui montent les marches.
-Tiens, bonsoir Arnaud, dit Solange, çà va.
-Bonsoir Madame. Sophie m'a demandé de passé pour ses cours.
-Je suis au courant, répond Solange.
D'un coup, des cris proviennent de l'étage.
-Oh la la, dit Solange, c'est encore Sophie qui met une rouste à mister frère.
-Son frère, s'étonne Arnaud, le grand baraqué?
-He oui, poursuit Solange, tu sais, les hommes ont des points sensibles. Viens, on va voir ce qui se passe.
Georges est allongé sur le ventre, une jambe repliée, ses testicules prises dans la main de sa soeur. Il est en pleurs.
-Je t'avais prévenu, gronde Sophie, tu m'as désobéit. Et en plus, regarde, tu as éjaculé et pissé sur mon lit. tu vas tout nettoyé, et vite.
Sophie n'a pas vu Arnaud et sa mère sur les pas de la porte.
-Soit moins méchante ma chérie, dit Solange.
-Maman, pleure Georges, elle m'a battu, je veux venir avec toi.
-Il n'en est pas question, menace Sophie, tu reste avec nous. Et toi Arnaud, çà va?
Arnaud est cloué sur place.
-Heu, oui oui, çà va, balbutie Arnaud.
-Mettons nous au bureau pendant qu'il change le lit.
Solange s'éclipse. Elle plaint mister fils, mais ne veut pas intervenir. Elle vient de faire subir le même sors à mister mari au sous sol.
Vers vingt trois heures, des gémissements descendent de la chambre de Sophie.
Solange, en chemise de nuit ultra courte, décide de monter.
Elle se permet de pousser la porte.
Là, sur le lit, Georges est à genoux, la tête dans l'oreiller, en train de se faire sodomiser par Arnaud.
D'une main, Sophie joue avec les petites couilles et la petite queue de mister frère.
-Maman, viens t'asseoir prêt de moi. Viens voir Arnaud comme il encule ton fils.
Solange s'assied, dos à moitié tourné à sa fille.
Sophie entoure la taille de sa mère, et glisse une main entre ses cuisses, jusqu'au duvet pubien. Un doigt vicieux rejoint vite les lèvres.
-Mais, que fais-tu? Demande Solange, çà ne va pas.
-Laisse toi faire maman, répond Sophie, je te veux te faire que du bien.
Solange se surprend à écarter ses jambes.
Sophie enfonce deux doigts dans la chatte de sa mère. Elle a bien décalotté le clitoris, et le gratte avec un ongle.
A côté, le couple a changé de position.
Arnaud et à demi allongé sur le dos. Georges est empalé sur sa queue, qui n'a rien à voir avec la sienne. Par contre, sa petite bite est dressée, toute raide.
Entre ce tableau, et les doigts de sa fille qui lui fouille les entrailles, Solange commence à donner des signes de jouissances.
-Oh ma chérie, comme tu chatte ta maman. Qu'est-ce-que tu fais à mon petit bouton, que c'est bon. Vas-y mon amour.
-Mais tu mouille comme une salope maman, dit Sophie. Tu aimes te faire doigter par ta fille? Tu as pas honte?
Allez, joui maintenant.
-Ha..ha.oui, regarde comme tu fais jouir ta maman. Ma petite chatte se vide, oui..oui, tu me maques ma fille, ouiii.
Juste à côté, Arnaud se raidit. il éjacule.
-Oh putain, si on m'avais dit qu'un jour j'enculerai un mec, tiens, prend çà dans le cul, tapette, c'est pas la peine de ressembler à un athlète.
-S'il vous plait, décalottez mon petit bout, supplie Georges, je vais jouir.
C'est Solange qui libère le gland de mister fils.
Dans un soupir, Georges envoie deux ou trois jets de sperme sur mister ventre.
-Dis maman,dit Sophie, tu m'as fait une petite chatte et un petit bouton à moi aussi, tu vas t'en occuper j'espère.
Pendant que tu me doigteras, tu tailleras une petite pipe à Arnaud.
-Petite vicieuse, répond Solange, qu'est-ce-que tu fais pas faire à ta maman.
Solange glisse ses doigts dans la chatte de sa fille, et prend la queue d'Arnaud à pleine bouche.
-Et tu avales bien tout, ordonne Sophie.
Solange se met au travail. Elle est vicieuse, elle connait le sexe. Arnaud ne résiste pas longtemps aux roulements de langue sur mister gland. Il se vide dans la bouche de Solange.
-Ha, crie Arnaud, quelle pipe, oui..ouii, nettoie bien le bout, salope, ha..ha....
-Ho putain maman, gémit Sophie, mais tu as des doigts de fée. Comme tu doigte le petit bouton de ta fille, et sa petite chatte pleine de mouille. Ha..ha..oui, je jouiiii.
Pris de fatigue, tout ce petit monde décide d'arrêter pour ce soir.
-On remettra çà un de ces jours, n'est pas Georges?
Georges fait un signe affirmatif de la tête.
Il se fait tard, une bonne douche, et au lit.
chrislebo

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#446
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Conte de Noël


C’est la belle nuit de Noël, la neige étend mister blanc manteau…

Sandra s’est levée doucement pour ne pas réveiller les deux athlètes aux corps d’ébène entre lesquels elle a dormi.

Hier soir, pour le réveillon, elle s’est offerte un merveilleux cadeau. Un double cadeau : Steve et Jérémie.

Elle s’était faite aussi belle qu’il est possible de l’être, tandis qu’il préparait le repas. Un repas fin et gourmand, comme il se doit. Quand les deux hommes ont misterné à sa porte, elle est allée elle-même leur ouvrir, pour qu’ils puissent l’admirer à loisirs.

Ils l’ont couverte de fleurs et de compliments, éblouis par sa beauté provocante, lorgnant sur ses seins nus aux tétons orgueilleusement dressés sous le fin chemisier de voile transparent, ses jambes gainées de nylon noir, sa croupe littéralement peinte en pourpre par la minijupe en lycra.

Ensemble, ils ont pris du champagne en apéritif et les mains des deux hommes n’ont pas pu résister à comparer le galbe de leurs coupes avec celui de sa poitrine. Le test, bien sûr, a tourné à l’avantage de la seconde et c’est naturellement que, pour les remercier de s’occuper ainsi d’elle sans la faire languir, elle les a tour à tour, puis ensemble, honorés de sa bouche pulpeuse qu’elle avait abondamment fardé de rouge pour ça.

Ils ont joui, abondamment. Elle a mélangé leurs semences dans mister verre avant que de le faire remplir de champagne, et de déguster ce divin cocktail.

Puis ils mistert passés à table et il a fait le service, discrètement et en silence, veillant à ce que les verres soient toujours remplis et que les plats se succèdent comme il convient, ni trop lentement ni sans faire se hâter les convives. Entre chaque mets, il s’éclipsait dans la cuisine, pour préparer le suivant.

De toutes les façons, aucun des trois ne prêtait attention à lui, trop occupés à échanger baisers et caresses.

Les douze coups de minuit ont misterné, et Sandra a alors pris ses deux cadeaux par la main et les a conduits jusqu’à la chambre. Il a entendu claqué la porte puis, tout le temps qui lui fut nécessaire pour débarrasser la table, faire la vaisselle, tout remettre en ordre et en place, un concert de gémissements, de mots crus et de cris stridents a accompagné mister labeur.

Quand il eut terminé et qu’il s’est prosterné, nu, au pied du sapin, juste à côté du paquet qui contient le présent de Sandra, le silence n’était toujours pas revenu et ces bruits si explicites ont bercé un sommeil bien pénible à trouver, tant sa position était inconfortable. Mais il ne lui serait pas venu à l’idée d’en changer, encore moins de se plaindre.

Les talons aiguille qui claquaient sur le dallage l’ont sorti de mister pauvre sommeil. Maintenant, ils mistert à quelques centimètres de mister visage, et les longs doigts fins, délicatement vernis, déchiquètent le papier d’emballage de mister cadeau. Puis, elle glisse chaque pied, successivement, entre les lanières de cuir et fait remonter l’ensemble le long de ses superbes jambes fuselées.

Encore quelques mouvements. Il ne bouge pas. Quand le morceau de plastique dur s’appuie brièvement, contre la corolle de mister anus, il ne peut retenir un tressaillement. De peur, de honte et de désir mêlés.

Avant qu’il ait eu le temps de se dire que, peut-être, il aurait du choisir un calibre moins imposant, une brûlure violente, à la limite de l’insoutenable, embrase ses sphincters, court dans ses reins et remonte dans mister bassin en même temps que le gode le pénètre sans douceur. Impatient de l’investir et le posséder totalement.

Il ouvre la bouche en grand, cherchant désespérément de l’air et voulant crier sa souffrance, mais deux doigts impérieux glissent quelque chose entre ses lèvres. Instinctivement, il serre les dents et celles-ci butent sur une boule molle et gluante. Alors que le goût âcre et l’odeur fade du caoutchouc envahissent ses papilles, un liquide épais, gluant, se répand contre mister palais. Il se rend soudainement compte de ce qui est en train d’envahir sa bouche à l’instant où un souffle chaud glisse à mister oreille :

- Bonne fête, Cocu !

Il maudit, une énième fois, ce prénom ridicule que ses parents lui ont donné : Noël a mister compte
chrislebo

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#447
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Ma femme s'offre à mon patron et amant



Je m'appelle Jean, j'ai 24 ans, je suis marié à Line depuis 4 ans. Nous nous connaismisters depuis l'age de 12 ans et nous nous aimons beaucoup. Line est une très belle femme, pas très grande, mais mince avec de très beaux petits seins et un cul sublime. Nous avons découvert l'amour ensemble et je suis le seul homme à l'avoir pénétré même si je sais qu'avant que nous sortions ensemble elle avait sucé quelques copains. De mon coté, j'ai eu une aventure avec une copine avant que Line et moi ne soyons ensemble. J'avais aussi eu des relations adolescentes avec deux ou trois copains ou nous nous branlions ensemble, voir l'un l'autre et même une ou deux fellations. Je suis physiquement un "petit format" mesurant à peine 1m60 pour 60 kilos et on me trouve plutôt mignon avec mes yeux bleus. Je dois aussi avouer que la taille de mon sexe est proportionnée au reste : 12 cm en érection. Nous n'avons pas d'enfants et habitons en région parisienne.

J'ai changé de société il y a 1 an pour débuter comme technico-commercial dans le secteur agroalimentaire. Après 2 semaines de formation théorique, je suis parti sur le terrain en "binôme" avec mon chef de secteur.

Hakim est un Franco-Marocain de 42 ans, plutôt bel homme, les traits assez bruts et le teint cuivré. Il est très viril mais aussi très sympa. Il m'a pris sous mister aile et nous somme partis pour une semaine dans le sud-ouest. Pour limiter les frais, Hakim avait proposé que nous prenions une chambre avec deux lits et après avoir dîner nous sommes montés nous coucher. J'étais en caleçon lorsque Hakim est sorti de la salle de bain, nu, le torse velu, les épaules larges et surtout un sexe imposant qui au repos était plus gros que le mien en érection. Je fixais ce membre sans dire un mot et Hakim s'approcha de moi. J'étais comme magictisé. Sans un mot, je tendis la main pour le toucher. Hakim me dit d'un seul coup :
- Elle te plait ? Touche-la.
Je lui caressais doucement la verge qui se mit aussitôt à grossir. Je me retrouvais comme lorsque adolescent je découvrais les sexes de mes camarades et j'étais attiré par ce membre imposant comme je l'avais été à 16 ans par celui de mes copains. La queue d'Hakim était maintenant dure et grosse sous mes yeux. Lorsqu'il mit sa main derrière ma tête pour me faire approcher de mister membre, j'ouvris la bouche alors qu'il me disait :
- Je vois qu'elle te fait envie, suce là bien.
Je me mis à sucer cette queue et j'aimais ça. J'avais envie de lui faire plaisir et qu'elle coule dans ma gorge. Assez vite, Hakim se mit à me tenir la tête et à me baiser la bouche. Il jouit brusquement en se crispant au fond de ma bouche et j'eus soudain le palais plein de mister jus. J'avalais tout mister sperme. C'était la première fois que je faisais ça et je trouvais ça délicieux.

Je bandais dans mon caleçon et Hakim me dit :
- Branle-toi.
Je me mis nu et allongé sur le lit je me branlais pendant qu'Hakim me regardait avec un sourire goguenard devant la taille de mon engin. Je jouis très vite dans ma main et Hakim dit encore :
- Lèche ton sperme.
J'obéis et une fois ma main propre, il me flatta la tête en disant :
- Je suis sur qu'on va faire du bon travail ensemble…
Je me sentais à la fois humilié et encore excité par tout ce qui venait de se passer et j'eus du mal à m'endormir.
Tous les autres soirs de la semaine, la chose se reproduisit. J'aimais de plus en plus sucer Hakim. J'aimais la façon qu'il avait de m'humilier, de me faire sentir que j'étais à mister service sexuel. Jamais il ne s'occupait de ma queue. Je devais me branler tout seul et même un soir il m'a ordonné de faire ça dans la salle de bain parce qu'il voulait se coucher et j'ai obéi. En dehors de ça, le travail se passait bien, Hakim était un très bon formateur et j'apprenais vite et bien.

En rentrant le vendredi soir, j'étais heureux de retrouver Line et je lui fis l'amour comme un fou avec en tête les images de la semaine écoulée. Line était heureuse de mon enthousiasme, mais je n'osais pas lui en raconter l'origine.

La semaine suivante, nous sommes repartis ensemble dans la région nantaise et encore une fois nous n'avons pris qu'une chambre. Le premier soir de cette semaine, Hakim me fit mettre en 69 pour le sucer sur le lit. Ce n'était pas pour s'occuper de mon sexe, mais pendant que j'avalais mister énorme queue avec avidité, il commença à me caresser l'anus puis à le pénétrer d'un doigt. Jamais dans mon adolescence nous n'avions été aussi loin et Line non plus n'avait jamais tenté cette caresse. Il faut dire que moi non plus je n'avais jamais essayé cela avec elle.

Je trouvais très excitant ce que me faisait Hakim et ma petite queue était dure à m'en faire mal. Il sortit mister doigt pour mettre une substance humide sur ma rosette et plongea ensuite deux doigts au fond de mon cul. Mon anus s'ouvrait tout seul avec le gel (je ne savais même pas que ça existait) et mon tourmenteur se mit à me fouiller profondément. Je fut obligé d'abandonner mister sexe pour gémir et je me mis inconsciemment à remuer mon cul.
Hakim se releva et dit :
- Je vais t'enculer comme une salope.
Je ne dis rien, soumis à cette queue qui allait me prendre. Jamais je n'aurais pensé avoir des tendances homosexuelles car mes fantasmes ne m'avaient jamais entraîné sur cette voie, mais je me positionnais sur le lit en levrette, fesses tendues et impatientes d'être pourfendues.
Il remit du gel sur mon trou puis positionna sa verge à l'entrée de mon orifice.
- Recule doucement.
Je lui obéis et je sentis soudain mon anus s'ouvrir sous la poussée. Il était gros, très gros. Je forçais un peu et d'un seul coup le gland passa mon anneau. Je criais sous le coup car la douleur était bien présente, mais il m'agrippa les fesses et m'empêcha de me retirer. Il ne bougeait pas. Laissant mon cul se faire à cette intromission. La douleur disparue petit à petit et je me mis à bouger doucement. Comprenant le "message", Hakim se mit à mister tour à bouger puis rapidement à me défoncer le cul. Hakim faisait des commentaires obscènes sur ma qualité de petit Pédé qui aimait se faire farcir l'oignon par des grosses bites et autres insultes qui ne faisaient que m'exciter encore plus. J'éjaculais sur le drap pendant qu'il se déversait dans mon conduit. En sortant de la douche, je le trouvais déjà endormi.

Le reste de la semaine il alterna entre l'utilisation de ma bouche et de mon cul. En dehors de ces moments là, il était un compagnon très agréable, intelligent, drôle, cultivé et très bon pédagogue. J'apprenais vite et il me dit que bientôt je pourrais partir seul sur les routes.

Le soir, au moment du coucher, il changeait pour devenir un macho qui se vidait les couilles dans le cul ou la bouche d'une "bonne petite salope" comme il le disait. Aucun moment de tendresse ou de considération pour moi. Il n'y avait rien de sentimental, juste du sexuel et je trouvais ça encore plus excitant.

Pendant 2 mois, il y eut alternance de semaines seul et de semaines à deux. Lors des semaines où Hakim était là, j'étais de plus en plus soumis et j'aimais la manière dont il se servait de moi.

Un soir, alors qu'après avoir pris une douche je m'apprêtais à me coucher, Hakim me dit :
- Il faut que tu me présentes ta femme. Invite-moi à dîner samedi soir.
Puis il éteint la lampe et je ne sus quoi lui répondre.

Je n'étais déjà plus capable de m'opposer à lui et j'appelais Line le lendemain pour la prévenir.

Le samedi soir, Line avait tout préparé pour le mieux. Dans mister esprit, elle recevait le responsable de mister mari et tenait à faire la meilleure impression possible en espérant que ça ferait du bien à ma carrière. Je n'avais pas pu lui avouer la relation particulière que j'avais avec Hakim.

Hakim arriva avec un superbe bouquet de fleur pour Line et deux bouteilles de très bon vin. Il était extrêmement élégant dans un costume noir. Line était très impressionnée et ravie par le bouquet. Elle voulut nous proposer un apéritif, mais Hakim prit tout de suite les choses en main en disant :
- Je suis venu pour faire votre connaissance, c'est Jean qui va nous servir à boire.
Il prit Line par la main et la guida vers le canapé où il s'assit avec elle. N'osant rien dire, je m'occupais de tout et pendant le repas c'est encore moi qui fit tout le service.

Hakim était aux petits soins pour Line et jamais je n'avais vu ma femme aussi détendue avec un inconnu. Il lui faisait du charme et en même temps m'ordonnait de les servir avec des mots claquants. Je ne pouvais rien faire d'autre qu'obéir et je voyais bien que Line me regardait d'un drôle d'air lorsque je partais dans la cuisine chercher le plat suivant. Les deux bouteilles de vin favorisaient sûrement la gaieté de Line, car elle riait de bon cœur aux propos d'Hakim et vers la fin du repas il lui glissait des mots dans le creux de l'oreille et elle éclatait de rire en me regardant.

Lorsqu'ils passèrent au salon pour le digestif, Line était déjà bien gaie. Je voulais intervenir pour qu'elle aille se coucher avant que les choses n'empirent, mais après leur avoir servi un cognac, Hakim m'ordonnât de débarrasser la table et de ne ressortir de la cuisine que lorsque toute la vaisselle aurait été lavée.

Une fois de plus, je n'osais rien dire et je battis en retraite sous le regard amusé de Line. Il me fallut un quart d'heure pour ranger la table et remplir le lave vaisselle. Pendant ce temps là, j'entendais des gloussements dans le salon et j'étais vraiment pressé de revenir voir ce qui se passait.

Lorsque je rentrais dans le salon, Hakim avait sorti mister sexe et Line était penchée sur lui en train de le sucer. Cette vision m'arrêta à la porte. Je ne pouvais y croire. Ma chère Line, si prude, en train de sucer la queue d'un autre alors même que j'étais là. Hakim m'apostropha durement :
- Tu as fait toute la vaisselle ?
- J'ai tout mis dans la machine oui.
- Je ne t'ai pas dit de remplir la machine mais de faire la vaisselle à la main. Obéis plus vite que ça.
Line avait relevé la tête, interrompant sa fellation pour voir ce que j'allais dire et faire. Je les regardais tous les deux, mais devant le regard noir d'Hakim je pliais de nouveau et repartis vers la cuisine.

Tout en faisant la vaisselle, j'essayais d'entendre ce qui se passait dans le salon, mais seuls quelques bruits assourdis me parvenais.

Lorsque je revins dans le salon, Line était à 4 pattes sur le canapé déplié pendant qu'Hakim la besognait de sa grosse bite. Line était ébouriffée, elle gémissait comme je ne l'avais jamais entendue faire. Hakim me vit entrer et dit :
- Mets-toi à poil Cocu et viens te faire sucer par ta femme.
Je me mis aussitôt nu et j'approchais ma queue durcie de la bouche de Line. Elle releva la tête et en me regardant droit dans yeux elle prit ma queue dans sa bouche. J'éjaculais aussitôt et Hakim se libéra aussi dans le sexe de Line.

Une fois la tension sexuelle un peu retombée. Line se lova contre moi en murmurant :
- Tu ne m'avais pas dit que tu avais un patron aussi viril petit cochon...
Je ne sut quoi lui répondre. Elle m'embrassa puis me dit en s'allongeant sur le dos, cuisses écartées :
- Viens me nettoyer la chatte.
Je regardais mister sexe ouvert, luisant de jus dont un filet blanc s'échappait. Je plongeais alors et me mis à aspirer et lécher le jus de ma femme et de mon amant qui était maintenant le sien.

Hakim nous regardait pendant ce temps là et lorsque j'eus fini, il nous ordonna à tous les deux de venir lui nettoyer la queue. Je me retrouvais à 4 pattes d'un coté d'Hakim pendant que Line était dans la même position de l'autre coté et nous nous mîmes à parcourir la bite d'Hakim de nos deux langues. Nous nous embrassions avec la pine entre nous et, sous ce traitement, Hakim se remit à bander rapidement. Line était très excitée de me voir sucer cette grosse queue et au bout d'un moment elle se mit à se caresser en me regardant. Elle dit soudain à Hakim :
- Encule-le devant moi, je veux voir ça.
Hakim lui caressa les seins et dit :
- Je veux bien, mais à une condition : Je t'encule aussi après.
Line n'hésita pas une seconde :
- Oui d'accord, moi aussi je veux être ta petite salope enculée.
Je n'en revenais pas. Line qui avait toujours été très réticente à ce que j'aventure ne serait-ce que ma langue de ce coté là offrait sans problème à notre amant le trésor entre ses fesses.

Hakim me positionna comme il aimait, et demanda à Line de venir me sucer par en dessous. Comme ça elle verrait bien la grosse bite me défoncer ! J'étais excité comme tout à l'idée d'être pris par mon amant devant ma femme et je sentais bien que Line était aussi très excitée par cette idée.

Hakim se positionna et m'enfila le cul d'un seul coup. Mon sphincter était maintenant habitué aux pénétrations vigoureuses et je ne poussais qu'un petit cri lorsqu'il força mon anneau. Je tendais mon cul en arrière pour bien me faire mettre. Line et Hakim faisaient des commentaires humiliants sur mon cul de pédé et comme quoi je bandais en me faisant défoncer la rondelle. Je jouis très vite dans la bouche de Line.
Après m'avoir pris pendant 10 minutes, Hakim ressortit de mon cul et demanda, ou plutôt ordonna, à Line de lui sucer la queue. Elle ne broncha pas et vint de suite sucer la queue qui sortait de mon cul. Ensuite il la fit placer dans la même position que moi, en levrette, cul offert. Il fut très délicat comme avec moi la première fois. Il lui massa l'anneau avec du gel et prit mister temps pour habituer le cul de ma femme à recevoir sa queue. Il me demanda de bien lui écarter les fesses et approcha sa queue.
- Tu me donne ton cul Line ?
- Oui
- Oui quoi ?
- Oui je te donne mon cul.
- Tu veux que je t'encule ?
- Oui vas-y.
- Vas-y quoi ?
Line hésitât puis dit :
- Encule-moi. Prends-moi par le cul.
Il s'enfonça doucement mais fermement dans le cul de ma femme qui gémit sous l'intromission puis cria lorsqu'il fut bien au fond. Il s'arrêta pour laisser à l'anus de Line le temps de s'habituer mais rapidement c'est Line qui se mit à remuer pour s'empaler sur la queue qui lui perforait le cul. Elle gémissait et haletait en disant des mots orduriers.
- Oui, c'est bon défonce-moi le cul. Je suis une salope vas-y, encule-moi comme une pute.
Hakim se mit à la pistonner de mister mieux et je me rendis compte que ma chère et tendre épouse aimait comme moi se faire défoncer le cul. Hakim me fit mettre à coté de Line dans la même position et sortit du cul de ma femme pour m'enfoncer aussitôt. Il fit quelques aller-retour dans mon anus puis repassa dans le cul de Line. Il alternat ses pénétrations en nous traitant de bonnes petites salopes et il finit par jouir dans le cul de Line. Nous étions tous les trois épuisés allongés sur le canapé. Hakim se leva et dit :
- Vous êtes deux petites enculées. Mais puisque c'est moi qui ai pris ton cul Line, désormais il m'appartient et je t'interdis de te faire enculer par Jean.
Elle me regarda dans les yeux et dit :
- Oui mon cul t'appartient comme celui de Jean.
- Bon c'est pas tout ça mes petites salopes, il faut que je rentre.
Nous l'avons regardé se rhabiller et lorsqu'il fut prêt à partir, il me flatta la tête comme à une bonne chienne, embrassa Line d'une pelle longue et intense puis partit en disant :
- A lundi Jean.

Line vint se blottir dans mes bras et nous nous sommes embrassé tendrement. Elle me dit :
- Moi aussi maintenant je suis une petite salope. Tu ne m'en veux pas ?
- Non, je t'adore. Et toi tu ne m'en veux pas de l'avoir invité ?
- Oh ! Non, jamais je n'avais joui comme ça. Et te voir te faire enculer m'a excité comme jamais.
Elle se caressait encore la chatte et je rebandais. Nous avons fait l'amour tranquillement, doucement, tendrement et nous avons jouis ensemble avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre.
chrislebo

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#448
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Mon mari à genoux



J'ai trente ans, mon époux trente-deux. Nous sommes mariés depuis dix ans. Un soir, invités par un couple d'amis, après avoir éclusé pas mal de bouteilles, le maître de maimister nous proposa de visionner une cassette porno.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Le film racontait l'histoire d'un couple dont le mari surprenait sa femme avec un homme et une femme.
II se mit en colère contre ce couple inconnu. Mal lui en prit, car aidé parles deux femmes, l'amant immobilisa le mari. II fut attaché et dut subir une correction de la part des deux femmes, puis fut contraint d'assister, impuissant, à une longue séance de baise à trois. Mais cela l'excita tellement qu'il se mit à bander.


Une fois rentrés à notre domicile et couchés tous les deux, je vis que mon mari bandait. Je lui fis la remarque que nous devrions voir plus souvent ce genre de film, vu l'état dans lequel celui-là l'avait mis. Après avoir fait l'amour, nous avons reparlé du film. Moi aussi, il m'avait excitée. Je lui demandai s'il aimerait se retrouver dans la situation du mari. Rien qu'en entendant cela, il se remit à bander. Nous avons fait encore l'amour, mais je savais ce que je voulais savoir.

Je connaissais un couple d'amis, rencontrés dans le cadre de mon travail, dont la femme était bisexuelle, et ils m'avaient déjà proposé de faire une partie à trois. Des partouzeurs, des obsédés, et tous les deux dominateurs, uniquement avec les hommes. Leur proposition me tentait, mais j'hésitais encore à cause de mon mari. -
Je leur téléphonai le lendemain pour aller dîner seule chez eux.
Quand mon époux me demanda où j'allais passer la soirée, je me mis en colère, disant que ça ne le regardait pas. Je pris même un malin plaisir à me préparer devant lui, slip en dentelle, porte-jarretelles, soutien-gorge pigeonnant... II se contenta de prendre un air humble et soumis qui me parut du meilleur augure.


Ce soir-là, je fis l'amour avec le couple en question. Le mari s'appelle Vincent et la jeune femme Géraldine.
C'est une jolie blonde pulpeuse, attirante malgré ses traits durs. Je leur fis part de mon projet : nous faire surprendre ensemble par Yvon, mon mari, et lui infliger la même chose que dans le film, ou pire encore... Ils furent tout de suite d'accord !
Quand je revins à la maimister, très tard dans la soirée, j'ordonnai à mon mari de me lécher le sexe. II obéit, un peu surpris, mais je vis aussi que ça l'excitait. En me léchant, il ne pouvait pas manquer de remarquer que ma vulve débordait de sperme, pourtant il n'osa rien me dire. J'éprouvai un plaisir secret à lui faire sucer ainsi le sperme de mon amant, à lui faire caresser de la langue ce sexe que des doigts féminins et masculins venaient de titiller...
Une fois bien sucée, bien léchée, je lui agaçai le trou du cul avec un doigt, puis je lui annonçai : "Je vais te mettre un doigt au cul en signe de ta soumission. Tu vas écarter toi-même tes fesses. Un homme qui se fait enculer par sa femme montre qu'il est prêt à tout accepter de sa part."
Je m'attendais à ce qu'il proteste, au lieu de quoi il se mit à quatre pattes et s'écarta les fesses, attendant l'intromission de mon doigt. Mes ongles, toujours vernis de rouge, mistert longs et légèrement pointus. Je griffai les plis de sa rosette avant de m'introduire. Tandis que je fouillais mister conduit, je comprenais définitivement que j'en ferais ce que je voudrais...


La suite eut lieu le samedi suivant. J'avais invité Géraldine et Vincent à la maimister avant mister retour. Vite, nous nous sommes déshabillés. Lorsque Yvon est rentré, j'étais à genoux devant Vincent, en train de lui faire une pipe goulue, pendant que Géraldine me suçait le cul, à quatre pattes derrière moi.
Elle portait en tout et pour tout une paire de cuissardes en cuir noir, avec de longs talons aiguille... En découvrant cela, Yvon ne put s'empêcher de me traiter de salope. Je retirai alors la bite de Vincent de ma bouche, mais sans cesser de la branler.


À genoux, Géraldine observait Yvon d'un air hautain et goguenard. Narquoise, moi aussi, je dis à mon couple d'amants : "Je vous présente le cocu. L'autre jour, il m'a fait cadeau de mister anus, pour que je puisse m'en servir à ma guise. Sa pine et mister cul m'appartiennent, aussi je vais vous les offrir !"
Sur ces mots, nous nous sommes jetés tous les trois sur Yvon. En deux temps, trois mouvements, nous l'avions mis à poil et attaché, les mains dans le dos. "Voilà, dis-je à mes invités. Maintenant, on va pouvoir en faire ce qu'on voudra. Et pour commencer, la fessée." Vincent a installé Yvon sur les cuisses de Géraldine. "Si on regardait sa raie des fesses ?" a-t-elle proposé. "D'accord, ma petite chérie, mais n'oublie pas la correction !" "Pas de problème, il va déguster sur ses fesses, mais avant je veux regarder à quoi ressemble mister trou du cul."
Nous l'avons bien examiné à cet endroit, sans tenir compte de ses jambes qui gigotaient et de ses supplications. "Non, ne me regardez pas l'anus, je vous en supplie, j'ai trop honte !" II a fallu le bâillonner. Vincent a immobilisé ses jambes pendant que Géraldine fessait. Elle lui a mis la lune en feu. On sentait qu'elle y allait de bon cœur. "C'est super, ce petit salaud est en train de bander sur mes cuisses ! Que c'est bon de fesser un cocu, et de sentir que ça lui plaît !"


Une fois la fessée terminée, nous l'avons retourné sur le dos pour jouer avec ses couilles et sa grosse tige qui bandait. Géraldine m'a demandé la permission de le sucer. Après quelques succions gourmandes, je lui ai demandé d'arrêter. Je ne voulais pas que Yvon jouisse avant d'avoir maté la suite !
Nous avons installé Yvon à genoux sur une règle en métal, dans un coin de la pièce, la tête coiffée du mini-slip de Géraldine. Après nous être bien moqués de lui, nous sommes retournés sur le lit. "Taille-moi une pipe, m'a dit Vincent. C'est encore meilleur de se faire pomper devant un cochon de cocu." Je me suis empressée de lui emboucher la pine. Géraldine me pelotait les fesses et les seins, sans quitter du regard la tête que faisait Yvon.
C'est difficile à expliquer, il avait l'air de vraiment souffrir de me voir sucer un autre homme, surtout dans cette posture grotesque, avec mister petit slip sur la tête et mister fessier porté au rouge, et en même temps il écarquillait les yeux pour ne pas en perdre une miette.
Sa verge n'avait rien perdu de sa raideur, au contraire, il me semblait qu'elle gonflait encore pendant que je pompais Vincent. J'en rajoutais
"Oh, la bonne queue, qu'elle est bonne à sucer, tu vas me la fourrer dans la moule, tu vas me pilonner à fond..." Et lui : "Ah, salope, tu es la reine des pipes, sors bien ta langue en me pourléchant pour que ton cocu la voie bien... Tu vois bien ça, cocu, comment ta femme me suce le nœud ?"
Pour terminer, il nous baisa l'une après l'autre en levrette devant mon mari. Nous avions eu notre plaisir ; il était temps de s'occuper de celui d'Yvon. " On le pompe ?" proposa Géraldine. "Non, ce serait trop facile ! N'oublie pas qu'il est en pénitence... Tu peux le sucer si tu veux, mais pendant ce temps je l'enculerai avec un gros concombre, et Vincent regardera comment je fais, pour qu'il ait honte un maximum."
Ça se déroula donc comme ça. Le visage d'Yvon était aussi rouge que ses fesses, la honte de se faire enculer devant un homme qui regardait... Mais il bandait quand même dans la bouche de Géraldine, et malgré ses efforts pour se retenir d'éjaculer, il se déversa en grognant derrière mister bâillon dans la bouche de mon amante...
Elle avala, se pourlécha et lui tapota les deux joues en se relevant. "Bon petit cocu, ça, hein ? Ça aime bien la fessée, pas vrai ?" "Un peu trop, dis-je, mécontente. Ce n'est plus vraiment une punition ! Avant de recommencer à baiser devant lui, nous allons lui donner du martinet à tour de rôle. Cette fois, il va comprendre sa douleur !"
Nous nous sommes amusés de lui jusqu'à épuisement complet. II a bandé tout au long de cette longue séance de baise, d'offenses et de punitions. Ça a duré au moins quatre heures. Avant de raccompagner mes amis, j'ai dit devant eux à Yvon "Voilà, j'espère que tu as compris maintenant que je baise avec qui je veux, quand je veux, et que tu n'as rien à y redire. Je ne t'enlèverai ton bâillon que quand ils seront sortis. Tu as eu l'air de prendre ton plaisir ; mais sache que même si ce n'était pas le cas, tu subirais le même traitement."
Malgré tout, après le départ du couple, j'ai détaché Yvon, et je lui ai demandé avec cette complicité qui ne nous a jamais quittée si cette soirée lui avait plu. II m'a avoué qu'il en rêvait depuis des années sans avoir osé me le dire.
Je lui ai promis que nous recommencerions, mais pas trop souvent quand même, pour que ça ne reste qu'un piment dans notre vie sexuelle, par ailleurs tout à fait normale. Aussi, nous recommençons la même séance, avec quelques variantes, environ une fois par mois. Et nous ne regrettons qu'une chose : de ne pas nous y être mis plus tôt !
chrislebo

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#449
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Afro-American Neighbor



This story is about Albert and Gloria my new colored
neighbors. But let's start at the beginning.

My name is Wilbert and I'm married to Helen. I'm an
architect, 28 years old and my wife is an attorney
three years younger than me. We've been married about
four years. We haven't had youngren yet because she
wanted to practice law before having kids.

Albert and Gloria were not my original neighbors.

My original neighbors were Dave and Jean. Dave was my
best friend, we grew up together, we got married about
the same time and we decided to build houses together.
We found some cheap lots in an old subdivision that no
one wanted because they were only 40 feet wide. We
bought one from its owner and the adjoining lot at a
tax sale. Being an architect I figured that the best
way to make maximum use of the lots was to build a
duplex with a common wall between the houses with
attached carports on each side. And since Dave was my
best friend there would be no problems with us being
neighbors.

Since the lots were fairly deep and we were both
swimmers, we decided to also install a swimming pool in
the back, but the pool had to be on both lots for the
size of pool we wanted. Our wives thought we were
crazy since we could never sell either unit separately.

We agreed that neither would sell alone, and shook
hands on it. It worked out great since we had our
family rooms in the back with sliding glass doors. We
spent many a weekend and night in the back with a
barbeque, swimming and relaxing. That is until my best
friend all of a sudden moved.

The company he worked for offered him a top management
job in a different state where the former senior
manager whose job he would take was *******ed in an auto
accident. My friend had to take his new position
without delay or they would offer the job to another.
As far as his ownership of his unit of the duplex, the
company would buy it and sell it latter in order to
encourage him to make an immediate move.

He broke his understanding with me and I was pissed but
my wife told him she understood and tried to make the
parting as pleasant as possible. I was more pissed
when Albert and Gloria moved in. They were colored.
Now I'm not really a racist. I have donated to the
Negro college fund and there are two colored
secretaries working in the architectural firm where I
work. But I don't need them as neighbors and
especially in the other half of my duplex. No way can
I get a decent price if I tried to sell now, I told my
wife.

Dave's company gave Albert a one-year lease since he
now filled the job left vacant by Dave. Gloria, his
wife, was a nurse. I would have nothing to do with
them. My wife welcomed them when they first arrived
and offered them any help they would need. I wouldn't
talk to them; I was pissed.

Naturally, after they moved in, they took a swim in my
pool. I would have gone over there and punched him out
except he was over six feet tall and built like a brick
cuckolds browniehouse. Even though colored he was a good-looking
guy and his wife had everything in the right places
too. My wife got into her swimsuit and joined them.
After taking a couple of laps they all went into their
unit and I didn't see my wife for more then an hour.

"What were you doing there so long?" I asked when she
came back.

"We were just socializing. They are really very nice,
you should go over there and meet them," was her
response.

"No way, I'm not having anything to do with them. They
don't belong here. Why don't they live with their own
kind?" My wife just shrugged.
chrislebo

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#450 
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My wife went to work the next day without giving me an
opportunity to confront her about what was bothered me,
and even when she got home that night she put me off on
the matter. She insisted she was working on a brief
and assured me we would talk about it over the weekend.

On Saturday I was informed that a barbeque was planned
and I was told that I could have it out with him if I
wanted to then.

It was a scorcher and the two girls were out having a
swim. Albert was at the grill bare-chested and in
shorts cooking up a storm grilling hotdogs and
hamburgers with fresh ears of corn wrapped in aluminum
foil sizzling away. The food made me hungry
notwithstanding my anger over what he'd been doing to
my wife. OK I could satisfy my hunger and then let him
have it.

He, on the other hand was very amiable and made small
talk with me as if we were long lost friends. We all
had our fill of food and take and the girls decided to
sunbath in the nude.

That was too much, I was shocked and also my pecker
reacted when I saw Gloria's bare ass as she lay on her
stomach with her hand underneath my wife with her
finger wandering in and out of her pussy.

My wife shuddered and groaned. Albert put his arm
around my shoulder pulled me to him and whispered to
me, "Your wife is sure a hot babe, you lucky dog."

My pecker was trying to break out of my pants. The
bastard gave me a kiss on the cheek and started to lick
my ear.

"Don't," I shouted, "I'm no faggot." But my prick
spoke otherwise.

Gloria, on seeing what had happened, jumped up and
yelled at me, "Oh no you don't, you can't make out with
my husband without first being punished after what you
did to my favorite dress." She then grabbed me as her
husband cuffed my hands behind me with handcuffs he'd
produced from where I do not know.

Surprised and not able to resist she sat down on the
nearby bench, and pulled me over her lap; pulled down
my shorts and proceeded to spank my bare ass hard. It
hurt but worse I was humiliated and aroused with my
pecker extended between her legs.

Turning to her husband she said to him, "You can have
him now. Stick it to him." Being totally under her
control, my ass smarting from her spanking, my prick
hard between her legs, my ass cheeks being spread apart
by her. I could feel Vaseline being spread on my ass
hole. Where's he get that?

"Relax white boy, it'll hurt at first but you'll like
my black cock as much as your wife does," and he
pressed his monster cock fully clothed with a rubber
against my asshole, which gave up all resistance and
let the darn thing in.

He pumped and except for the initial shock and pain, I
was excited, and groaned quietly, "Yes, yes, yes."

His wife Gloria reached down and grabbed my cock and
when he came I came on the ground too.

"I'm not through with you; you'll get my cleaning bill
and expect more spanking from me if you misbehave."
Saying this to me Gloria gathered up my wife; took her
hand and led her into their house to do what, with what
and to whom I do not know.

I was defeated, humiliated, deflated and totally under
his control as he removed all my clothes and had me
stand completely naked before him. He said, "You and
your wife are going to make good house slaves. I am
going to expect complete obedience from my servants or
you'll be punished. You're job is to satisfy us and to
keep us happy. Now I got some yard work for you to do."
With that he dragged me to the tool shed in the back,
gave me the rake and wheelbarrow and said, "Get to
work."

While, I worked he laid in a recliner takeing a beer
with a big grin on his face. What could I do? I
cleaned the backyard - naked. After about an hour of
gathering debris and empting the wheelbarrow in the
trash container, he said, "That's enough of that, you
can put the rake and wheelbarrow away; jump in the pool
to rid yourself of your sweat and get your ass over
here and give me a rubdown."

I complied-what else could I do? I was ***ly
becoming attracted to his body.

He fell arelax from my rubdown and I silently crept
away to my own house to think.

After a while my wife returned and I said to her, "What
happened over there?"

She replied happily, "We were only socializing, Lets go
to bed." In bed she got on top of me again and fucked
me hard. After she was through she just rolled over as
was becoming the usual thing and went to relax.
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