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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#361
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Se retournant très lentement pour lui donner le temps d'abandonner sa petite culotte sans se faire prendre Megan serrait les dents pour s'empê-cher de sourire trop largement alors que beau-papa feignait de se concentrer sur l'écran télé.

En voyant la petite culotte posée dans une position légèrement différente il lui parut évident que beau-papa avait palpé mister sous-vêtement.

Un peu plus tard, mister mari était monté prendre une douche alors qu'elle préparait le repas, il n'échappa à l'attention de Megan que beau-papa s'était rendu dans la salle de bain située juste à coté de la blanchisserie où elle avait rangé le panier de linge sale, à coté de la machine à laver.

En entendant se refermer la porte de la salle de bain, Megan se dirigea calmement vers un point du vestibule d'où elle pouvait surveiller la lave-rie.

Elle sourit au fond d'elle-même en voyant que la petite culotte rouge ne se trouvait plus dans la panière.

Serrant ses cuisses l'une contre l'autre, sa cyprine inondant le fond de la petite culotte qu'elle portait, Megan s'imaginait beau-papa enveloppant sa grosse pine dans le soyeux sis-vêtement pour se faire jouir dedans.

Tandis que beau-papa s'affairait dans la salle de bain, Megan se de-mandait :

- Va-t-il gicler dans ma petite culotte en pensant que ne ferai pas de lessive avant demain? Ou aura-t-il trop peur pour profiter pleine-ment de sa chance?

Comme mister mari redescendait au rez-de-chaussée, beau-papa revint sur sa chaise leur disant que lui aussi allait se rafraîchir avant de dîner, il gagna alors la douche pour amis à l'étage.

Alors que mister mari se rendait dans le patio pour mettre en route le grill, beau-papa monté à l'étage, dévorée de curiosité Megan se dirigea vers la laverie.

La petite culotte rouge était revenue sur la pile de linge sale, mais elle ne se trouvait plus dans la même position, Megan tendit la main pour s'en saisir.

Elle retint mister souffle en sentant ses doigts s'enfoncer dans un fluide gras qui couvrait le fond de sa petite culotte.

Retournant la petite culotte, il distingua des traces suspectes de papier sur le fond poisseux de sa petite culotte, cela indiquait clairement qu'après avoir giclé dans sa petite culotte, beau-papa s'était frénétique-ment efforcé d'effacer les traces trop de sa perversion.

Elle porta le fond de sa culotte à ses narines et dégusta longuement les flagrances de la semence mâle qui l'embourbait, sa tête lui tournait, l'eau lui en venait à la bouche!

Elle lécha alors le fond de la petite culotte savourant avec grand plaisir le goût salé de la semence fraîche de mister beau-père, elle en frismisternait de désir.

Lorsqu'ils s'assirent pour dîner dans le patio, Megan se passa la langue sur les lèvres pour profiter encore une fois des dernières saveurs de mister foutre.

Examinant mister beau-père assit à sa droite, Megan se demanda s'il ob-jecterait quoi que ce soit si elle se laissait tomber à genoux pour sortir sa bite de mister caleçon et le prendre en bouche.

Elle respira profondément alors qu'un' vague de culpabilité la submer-geait tandis qu'elle se demandait :

- Mais que m'arrive-t-il? Pourquoi est-ce que je pense à des choses aussi perverses? Pourquoi l'ai-je aguiché en posant ma petite culotte rouge sous ses yeux pour le provoquer?

Puis elle réalisa que jamais elle ne s'était comportée ainsi avec mister mari, même quand elle avait envie qu'il s'occupe d'elle... Et voila qu'elle avait une folle envie d'emboucher la bite de mister beau-père pour lui tailler une somptueuse pipe!

Megan ignorait qu'elle devait cet attrait du sperme à sa visite au temple de Zuten où elle en avait consommé d'énormes doses sous forme d'élixir chaud.

Et lorsqu'elle avait épuisé cette savoureuse potion, ils lui avaient appris à récolter la délicieuse semence à leur source en lui enseignant comment les sucer pour l'obtenir.

Elle avait fait des progrès de bite en bite, pour finir par le faire jaillir en quelques habiles caresses linguales!

Comme les 40 moines s'étaient soulagés plusieurs fois au cours de ce week-end, entre ses lèvres, elle avait développé un véritable talent de tailleuse de pipes.

Et bientôt, de ces soyeuses lèvres, elle dispenserait ce plaisir à beau-papa.

Bien cachée dans les replis de mister cerveau les suggestions magictiques qu'y avait implanté Moto-san, et dès qu'elle aurait embouché la grosse bite de beau-papa elle déploierait toute sa science pour lui donner en-tière satisfaction et l'amener à se vider dans sa bouche accueillante.

Naturellement une fois que beau-papa aurait goûté aux délices de la bouche de Megan, il réclamerait plus de privautés, il se viderait à sa volonté dans sa gorge tout autant que dans mister étroite foufoune.

Le lendemain matin, alors que Jim avait rejoint ses amis pour sa partie de golf hebdomadaire, beau-papa sirotait la tasse de café crème que venait de lui tendre mister adorable bru.

Il était assez nerveux et se démenait pour ne pas trop montrer sa bandaimister, une bandaimister provoquée par la vue de sa ravissante belle-fille vêtue d'une longue chemise aux pans montant jusqu'aux rebords de sa petite culotte sur ses cuisses dodues.

Lorsqu'elle se posta derrière sa chaise posant la main sur mister épaule, Pop frémit lorsqu'elle se pencha à mister oreille pour lui murmurer :

- Vous avez vraiment été vilain hier, n'est ce pas beau-papa?

Le cœur battant la chamade, muet de stupéfaction, il écouta la femme de mister fils poursuivre :

- Vous avez pris ma petite culotte en dentelle rouge dans le linge sale pour vous masturber dedans n'est ce pas?

Alors que Jim Rogers fouillait dans mister sac pour en extraire mister club de bois préféré pour jouer le premier trou, dans la maimister de mister père sa sémillante jeune femme avait-elle aussi extrait un gros club de bois de mister écrin.

Tandis qu'il attendait mister tour Jim exécuta quelques coups d'échauffe-ment.

Pendant ce temps mister épouse s'était agenouillée sur le carrelage de la cuisine caressant allégrement le bois de mister beau-père.

Quelques minutes plus tard, Jim entamait sa partie par un brillant coup de golf qui le faisait jubiler "Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii"!

Comme sa balle planait haut dans le ciel, au même instant mister père criait aussi un "Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii" enthousiaste alors que mister chibre venait de cracher des jets de foutre qui planaient gracieusement dans les airs avant de venir s'écraser sur le visage de sa tendre bru.
chrislebo

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#362
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Au trou suivant, Jim dut chercher sa balle dans le rough, pendant ce temps, mister père enfouissait mister visage dans l'épais rough bouclé de sa tendre femme!

Quelques instants plus tard, Jim eut la chance de retrouver sa balle, au même instant mister père dénichait le clito de sa bru au cœur de sa toimister bouclée.

Jim souriait à pleines dents alors que sa balle roulait dans le trou lui of-frant un par, alors que mister père grimaçait extasié alors que sa gentille épouse coulait à flot entre ses lèvres la fente parcourue avec avidité par la langue de mister suborneur.

En regardant sa montre Jim s'imaginait que Megan venait de préparer le café et servait le petit déjeuner de mister beau-père, si seulement il avait su ce que mister père dégustait sur la table de la cuisine!

En débutant mister troisième trou, Jim était tout sourire en atterrissant à un mètre du trou.

Pendant ce temps mister père faisait mieux encore embrochant sa femme du premier coup de rein!

Alors que ses copains félicitaient Jim de sa réussite, Megan encoura-geait mister beau-père :

- Oh oui... Baise-moi... Encore... Plus profond!

Beau-papa avait terminé mister petit déjeuner, il était temps d'essuyer la table de la cuisine, il avait fait quelques dégâts en la dégustant avide-ment.

A midi, le lit conjugal des Rogers n'était toujours pas fait, en fait, il était occupé, mais pas par le couple habituel, mais par beau-papa et sa bru!

Megan n'aurait jamais pensé que beau-papa soit aussi endurant, il la baisait coup sur coup, il se montrait bien plus performant que mister fils!

Non seulement il s'avérait bien plus résistant que mister fils dans l'acte d'amour, mais de plus il l'envoyait chaque fois au septième ciel, orgasme après orgasme.

En levrette, le chevauchant, en "69", elle expérimentait de nombreuses positions inconnues d'elle jusqu'à présent!

Inutile à de préciser que ce n'était que le début d'une liaimister sulfureuse et torride entre beau-papa Rogers et sa volcanique bru.

Alors que la grand-mère de Jim séjournait dans une maimister de santé, mister père encourageait sa femme de lui faire de nombreuses visites pré-textant que le temps qui lui restait à vivre raccourcissait de jour en jour.

Sa femme contamment sur les chemins, il avait pris l'habitude de passer mister temps chez mister fils et sa somptueuse belle-fille.

Leur liaimister devenait encore plus excitante, lorsque Megan se faisait prendre par beau-papa alors que mister mari prenait une douche à l'étage où lorsqu'elle prétendait ranger des aliments au sous-sol dans le congé-lateur alors que mister mari prenait connaissance de ses mails de travail.

Trois mois après avoir accouché de mister adorable petit garçon, Megan Rogers se retrouva à nouveau enceinte, elle était certaine que le fruit de ses amours avec mister beau-père cette fois, c'était l'époque où ils faisaient l'amour alors que Jim avait emmené sa mère à la crèche pour l'aider à y transporter une grosse plante en pot en se servant de la grosse camion-nette de Jim qui seule pouvait la prendre en charge.

Alors que la crèche était située à quelques blocs, et que la plante était payée, beau-papa avait peur de manquer de temps pour baiser sa bru, mais il ne put résister aux charmes de sa belle-fille alors qu'elle dressait ses jambes pour s'emparer de sa bite entre ses plantes de pieds.

Alors que dans le salon le bébé était allongé dans mister parc juste à coté d'un canapé de cuir blanc sur lequel l'adorable maman et mister beau-père s'efforçaient frénétiquement de donner un nouveau frère ou une nouvelle sœur à mister bébé

Exactement un mois plus tard, les deux mariages des Rogers tremblèrent sur leurs fondations : une autre lourde plante en pot devait être transportée de la crèche jusqu'à la maimister.

La belle-mère de Megan découvrit rapidement qu'elle avait oublié le reçu de l'achat de la plante, elle décida de faire demi-tour pour le chercher et vit alors le bébé jouant dans mister parc alors que mister mari et sa bru s'amusaient entièrement nus sur le canapé de cuir blanc tout proche.

La vue des jambes de sa belle-fille nouées autour du torse de mister mari ne laissait aucune part à l'imagination, d'autant plus que Megan criait

- Baise-moi beau-papa... Baise moooiiiiiiiiiiiii!

En entendant le cri perçant poussé par sa mère, Jim se rua à l'intérieur, il écarquilla de grands yeux incrédules en voyant mister père se démener pour extirper sa bite de la foufoune de sa femme qui l'enserrait comme un gant.

Les yeux vides et la bouche baillant d'horreur, d'être surprise en train de baiser avec mister beau-père, Megan dénoua ses jambes du torse de mister beau-père s'efforçant frénétiquement de l'expulser de sa chagatte cris-pée par la peur.

Mais tandis que la bite de mister beau-père, fustigé par le fait d'être prise en flagrant délit, se recroquevillait piteusement lui facilitant la rétractation de la chatoune de sa bru, Jim et sa mère réempruntèrent la porte d'en-trée pour se ruer au dehors.

FIN DE L'HISTOIRE
chrislebo

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#363 · Edited by: chrislebo
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Traquée par Sammy le malade



Sammy Le Blanc, Sammy le malade comme on le surnommait maintenant était drôlement fier de lui.

Jamais auparavant il n'avait réussi en quoi que ce soit dans sa vie, mais maintenant les choses avaient opéré un virage à 180 °.

Il se sentait maintenant nettement supérieur à ses pairs, mister entourage immédiat se référait à lui comme à une pointure à présent, bien qu'ils ne connaissent pas exactement ses nouvelles occupations couronnées de succès.

Même si certains gars continuaient de le harceler, Sammy pensait simplement :

-Ouais moquez-vous de moi pour l'instant, bientôt vous sangloterez! Je parie que vous ne vous faites pas autant de jeunes femmes mariées que moi, connards!

Se souriant à lui-même, sachant pourtant qu'il devait encore affiner ses techniques, Sammy pensait : J'adore vraiment baiser ces ravissantes jeunes femmes.

Il était encore plus heureux lorsqu'il voyait ces adorables jeunes femmes arborer une alliance ou une bague de fiançailles.

S'il avait révélé à qui que ce soit qu'il s'était fait plusieurs somptueuses jeunes ménagères ces derniers mois, on aurait pou croire qu'il s'était débrouillé pour se glisser dans les petites culottes de quelques jeunes femmes isolées qui voulaient expérimenter une grosse bite noire.

Mais ce que Sammy le malade se plaisait à considérer comme "faire l'amour" à une ravissante jeune femme mariée... N'était pas partagé... Pas alors que ces femmes se considéraient comme étant passées entre les mains d'un violeur en série.

Repensant à ses deux premières cabrioles, il en conclut que c'était un succès de première importance - il ne s'était pas fait prendre bien qu'il ait assouvi ses désirs les plus lubriques en les violant toutes deux.

Tout avait commencé lorsqu'en sortant de la cuisine de la pizzeria il était tombé sur cette jeune blonde qui faisait la queue pour faire sa commande.

Il avait alors dit à ses collègues qu'il avait besoin de prendre une courte pause, et il était sorti pour noter la marque et le numéro de la plaque de la voiture de cette ravissante jeune femme, par la suite il copia l'adresse indiquée sur le chèque qu'elle avait utilisé pour payer sa pizza.

Plus tard cette même nuit, l'adresse de la blonde beauté en main, Sicko le malade se dirigea vers mister domicile pour inspecter l'endroit.

Une grande étendue d'herbe s'étendait autour de la maimister de sa dulcinée, il avait rampé au travers des herbes folles et des marais.

Il l'avait observé se déshabillant pour se mettre au lit, au travers d'une large bande séparant les rideaux de sa chambre.

Dès cet instant des pensées lubriques traversèrent mister esprit... Dont celle d'être le premier à jouir dans mister entrecuisse!

Lorsqu'elle éteignit la lumière, Sammy décida de mettre en oeuvre mister pervers plan pour profiter de l'occasion de se faire une somptueuse gonzesse.

Gagnant l'entrée, il surprit la beauté terrifiée dans mister lit, Sicko le malade décida alors de la violer sans tarder.

Et lorsqu'il sentit un liquide chaud poisser sa bite inexpérimentée, il pensa lui avoir prodigué un prodigieux orgasme.

Ce qui montre à quel point mister inexpérience sexuelle le rendait naïf!

Ce n'est qu'une fois rentré chez, lui mister forfait accompli, qu'il se rendit compte que le liquide chaud qui avait poissé sa byroute n'était autre que du sang.

Il l'avait dépucelée de power, il avait cueilli mister précieux bijou qu'elle entendait offrir, la nuit de leurs noces, au petit con de blanc auquel elle était fiancée.

Se sentait-il mal après avoir cueilli sa virginité?

Par l'enfer non, c'était même tout à fait l'opposé, il était extasié d'avoir ravi le trophée sans prix d'un jeune blanc.

Il ne revit qu'environ deux mois plus tard cette fille qu'il avait si vicieusement violée lui cueillant sa fleur.

En entrant dans la pizzeria, il ne l'avait pas reconnue de prime abord, il ne la remit qu'un peu plus tard en entendant citer mister nom.

Elle ne semblait plus aussi dynamique et gaie que la première fois qu'il l'avait rencontrée.

Sammy remarqua alors qu'elle ne portait plus de bague de fiançailles!

Lorsqu'il s'avança pour lui servir sa pizza, sa bite se mit au garde à vous dans mister caleçon en constatant qu'elle avait un petit ventre tout rond... Il comprit alors qu'il avait réussi à la claquer un petit polichinelle noir dans le tiroir!

Il rencontra sa prochaine proie, une rouquine sexy dans l'allée commerciale du "Newberry".

La vue de sa bague de fiançailles et de mister alliance l'enchanta, il était ravi de se faire une femme mariée.

Comme elle gagnait sa voiture dans le parking, il jeta un oeil sur sa proie pour identifier la voiture qu'elle conduisait.

Ayant déjà pratiqué des filatures en voiture, il se débrouilla pour la suivre discrètement alors qu'elle regagnait sa maimister.

Ce viol fut loin de se dérouler comme Sammy s'y attendait lorsqu'il s'était introduit dans cette maimister.

Il venait tout juste de pénétrer la malheureuse femme lorsque le bruit d'une porte de garage que l'on ouvrait le fit sursauter et sauter hors du lit.

Il assomma le mari, d'un coup de crosse de mister revolver sur la nuque, puis il le ligota sur une chaise et le bâillonna, puis le plaça dans une position qui lui permettait d'assister à la performance de sa douce femme, avec une vue directe sur le lit qu'ils partageaient habituellement.

Il se réjouit vivement de voir l'air stupide qu'il afficha lorsqu'il l'avisa qu'il venait tout juste de tester le goût de sa femme.

Sammy était emballé d'avoir un spectateur inattendu, celà lui provoquait une bandaimister comme jamais il n'en avait eu auparavant.

Il obligea la ravissante jeune femme à s'agenouiller en face de mister mari ligoté, Sammy se débrouilla alors pour lui offrir un spectacle érotique, il força la jeune femme à accueillir sa grosse bite en bouche, lui tenant fermement la tête.

-Ah mec... Elle me suce... Elle me suce divinementttttttttttt... Oh oui mec... la bouche de ton adorable femme semble avoir été faite pour sucer des bites! Gloussait-il alors qu'il coulissait sans vergogne entre les lèvres pulpeuses de la ravissante jeune femme qui haletait.

Lui giclant d'abord en bouche, il lui offrit ensuite un exquis soin facial qu'elle n'oublierait jamais;

Puis avant de les quitter, il encula la pauvre femme qui hurlait de douleur, plongeant sa grosse mentule au fin fond de mister anus vierge.

Quelques mois plus tard, passant devant leur maimister il vit un panneau "A vendre" planté dans la pelouse.

Il nota le nom de l'agence et mister numéro de téléphone, puis contacta cette agence s'enquérant du prix de la maimister il apprit ainsi que mister prix était bien plus bas que celui des autres maimisters aux alentours immédiats, ce qui était du au fait que le couple propriétaire de la maimister divorçait.

Sammy savait pertinemment qu'il avait été le principal instrument de ce divorce.

Il était maintenant remonté et prêt à se faire une nouvelle nénette au sexe brûlant, d'autant plus qu'il n'avait nullement été inquiété suite à ses deux premiers viols, il décida alors qu'il était temps que Sicko le malade frappe à nouveau.

Il avait déjà repéré sa prochaine proie, inspectant mister environnement pour s'assurer qu'il ne risquait pas d'être surpris en pleine action par la flicaille.

Constatant qu'aucune information relatant les deux viols n'avait été diffusée dans les journaux, il décida de passer à l'action.

Cela faisait une paire de semaines que Sammy avait rencontré la jeune femme dont il rêvait maintenant, celle qui lui octroyait une continuelle bandaimister.

Sur le chemin de sa maimister, après une journée employée à des recherches stériles dans l'allée commerciale d'un supermarché, il avait stoppé dans une supérette pour s'offrir un pack de 6 bières.

C'est en cet endroit qu'il vit la ravissante asiatique aux longs cheveux noirs soyeux qui poussait un caddy plain d'articles, accompagnée de mister mari blanc.

-Bordel quel morceau de choix! Se dit-il au fin fond de lui-même en se pourlèchant les babines.

-Par l'enfer j'adorerai goûter cet adorable petit bout de sushi... M'installer entre ses cuisses pour le régaler de sa petite chatte! S'enthousiasmait-il.

La vue de sa bague de fiançailles et de mister alliance brillant à ses doigts, Sammy observa attentivement ce connard de blanc qui l'accompagnait se convainquant rapidement qu'il s'agissait de l'époux de cette ravissante asiate.

Elle était vêtue d'un chemisier bleu, d'une jupe blanche et de hauts talons.

-Bordel ce que j'aimerai m'la faire! Se dit-il en lui-même.

Et, comme elle s'arrêtait pour choisir quelques pommes demandant à mister mari s'il préférait les rouges ou les vertes, Sammy se pourléchait les babines, il aurait voulu intervenir :
chrislebo

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#364
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-Quant à moi je préfère ces savoureuses poires qui pointent sous ton chemisier... Elles semblent bien mûres... Fermes et juteuses!

Ils s'étaient arrêtés dans la supérette pour faire leurs courses de la semaine, ni Rachel Wilmister, ex Rachel Nishida, ni mister mari Jim n'étaient conscients que la ravissante jeune femme avait attiré l'attention d'un prédateur.

Ils étaient si profondément amoureux l'un de l'autre, après cette première année de mariage, qu'ils ne se préoccupaient que du plaisir l'un de l'autre, sans remarquer les yeux avides du jeune homme qui les suivait, braqués sur la jeune femme.

Une fois qu'ils eurent payé leurs courses avec un chèque et s'étaient dirigés vers leur voiture ils étaient totalement inconscients qu'une voiture les suivait de près.

Sammy le malade souriait largement en constatant que l'époux était totalement ignorant être suivi, il lui livrait sans aucune difficulté leur adresse, il se réjouissait déjà de la future visite impromptue qu'il ferait à la jolie madame.

Par ailleurs il savait maintenant où se mettre en chasse s'il ce viol nécessitait de mettre en oeuvre un autre plan.

Lorsqu'il ouvrit le garage il nota la marque la couleur et le numéro de la voiture qui y était garée, à l'évidence c'était la voiture que l'adorable jeune femme utilisait lorsqu'elle ne se déplaçait pas avec mister mari.

Il se figurait que tous deux travaillaient, Sammy planifia de revenir un matin pour déterminer où la jolie salope travaillait et détailler mister emploi du temps journalier.

Il se sentait confiant, il allait bientôt se faire cette adorable salope, Sammy le malade allait de nouveau frapper!

Dès leur première rencontre en cours d'histoire à la fac de Berkshire, ils avaient eus un coup de foudre réciproque.

Dès leur premier rendez-vous ils furent inséparables, et ce pour le reste de leur scolarité, une joyeuse cérémonie de mariage les unit l'été suivant l'obtention de leurs diplômes.

Et maintenant à l'âge de 23 ans Jim était employé en tant que formateur au management dans le plus grand magasin de la ville alors que Rachel travaillait dans une société de conseils.

Lorsque Rachel ne se trouvait pas hors de la ville pour se livrer à des audits elle adorait cuisiner pour mister séduisant mari et rester seule avec lui.

Jusqu'à présent, elle avait toujours suivi le même parcours dans ses activités journalières, Sammy l'avait suivie en de multiples occasions de mister chemin au travail et vice-versa.

Il l'avait aussi suivie à plusieurs reprises de mister lieu de travail au lieu de mister audit, mais à chaque fois elle était accompagnée d'un ou deux collègues.

-Devrai-je me la faire avant qu'elle ne rentre chez elle? J'assommerai mister connard et je le ligoterai avant de me faire sa charmante donzelle... Et peut-être que j'obligerai mister cornard à me regarder planter mon épaisse mentule dans sa foufoune étroite! Peut-être que je pourrai me la faire toute la nuit!S'enthousiasmait-il.

Mais il comprit alors que ce n'était plus sa tête qui guidait ses pensées, mais bel et bien sa grosse bite, il se dit alors :

-Calme-toi et repousse ces pensées parasites, il y a toutes les chances qu'elle t'amènerait à te faire prendre sur le fait!

Comme il était assis dans sa voiture sous les arbres à courte distance dans le parking voisin, qui se trouvait juste en face de la maimister du jeune couple, Sammy jeta un oeil sur sa montre et remarqua que le moment où le jeune couple partait vers leurs boulots respectifs approchait à grands pas.

Normalement ils allaient ouvrir la porte du garage puis ils remonteraient tous deux l'allée du garage, la jeune femme d'abord suivie par mister mari.

Les yeux rivés sur leur maimister il vit la porte du garage se lever comme programmé.

Mais au lieu de monter chacun dans leur voiture, ils les vit se diriger vers l'arrière de leurs véhicules.

La ravissante jeune femme vêtue d'un chemisier rouge et d'une jupe noire ouvrit le coffre de sa voiture et mister mari y déposa une valise avant de refermer le coffre.

Sammy se pourlécha les babines, cela sortait totalement de leur routine quotidienne.

Il observa attentivement le jeune couple d'amoureux s'embrasser tendrement avant de se séparer gagnant chacun mister véhicule.

Puis le mari remonta entre leurs deux voitures tirant un bagage rouge dans mister dos.

Anticipant la suite des événements il démarra sa voiture, Sammy observait intensément sa proie grimper dans sa voiture puis suivie par mister mari elle prit la direction de leur quartier.

L'ayant suivi hors de mister quartier à plusieurs reprises, il avait remarqué qu'ils tournaient tous deux à droite pour prendre la direction de leurs bureaux.

Toutefois, cette fois-ci, la jolie femme prit la route à gauche tandis que mister mari s'arrêtait brièvement dans la contre allée de droite le temps de lui faire un signe adieu.

Comme il s'était arrêté juste derrière la jeune épouse, alors que mister mari disparaissait après avoir repris sa route, les couilles de Sammy se crispèrent par pure anticipation.

Il s'agissait du premier audit à la campagne qu'allait effectuer Rachel, mister patron pensait qu'elle avait acquis la compétence nécessaire pour s'en charger.

Elle était très fière de cette reconnaissance de ses qualités, même si cela impliquait d'être éloignée de mister mari pour deux nuits.

Elle escomptait conduire deux longues heures et demi, avant d'avoir un long rendez-vous avec les managers de la compagnie qu'elle devait ausculter puis elle passerai le reste de la journée à contrôler les livres de compte.

Rachel espérait pouvoir rentrer le lendemain lorsqu'elle en aurait terminé avec cet audit, mais la conduite de nuit était assez dangereuse au regard de la faible signalisation de nuit sur cet autoroute et le retour, dans ces conditions, risquait de traîner en longueur.

Sammy pensait que cela s'avérait bien plus facile qu'il le craignait, il la suivait à une distance raimisternable alors qu'elle observait scrupuleusement les limites de vitesse.

Sortant sa carte de sa boite à gants, il la posa sur le siège passager prête à servir si le besoin s'en faisait sentir.

Mais à la vue du chemin qu'elle empruntait, il semblait que mister adorable proie se rendait à Bentford, la plus grosse ville à l'est de l'état.

-Bordel, j'espère que je ne tomberai pas en panne de fuel! Merde alors, j'aurai du faire le plein la nuit dernière... Se reprochait-il vivement, sachant pertinemment que tomber en panne permettrait à la jeune femme d'échapper à mister contrôle.

Presque une heure plus tard, Sammy se désespérait, mister aiguille de compteur indiquait qu'il était sur la réserve, mister occasion si propice semblait maintenant lui glisser entre les doigts.

C'est alors qu'il vit le clignotant de la voiture de sa proie s'allumer, ce qui ramena un large sourire sur ses lèvres.

-Oh oui! Avait-il envie de hurler de joie en constatant le retour de sa bonne fortune.

La jeune femme n'avait pas stoppé dans la première station, mais avait pris le chemin d'une épicerie qui vendait aussi du carburant.

Choisissant la pompe à l'extrême bout de la rangée de pompes qui le cachait partiellement du magasin Sammy remplit mister réservoir paya et attendit le retour de sa somptueuse victime dans sa voiture.

Il s'assura qu'elle ne s'étonnait pas de sa présence alors qu'elle sortait du de la supérette mister panier plein de provisions.

Ils rentraient dans Bentford, exactement comme il l'avait imaginé, lorsque l'affriolante poupée signala qu'elle prenait la deuxième sortie vers la ville.

Il devait maintenant la suivre d'un peu plus prêt pour ne pas perdre de vue sa voiture dans le trafic citadin.

Sammy remarqua qu'elle jetait des coups d'œil fréquent sur un petit objet qu'elle tenait dans sa main droite, il soupçonna vite qu'il s'agissait d'un G.P.S lui détaillant la route de mister hôtel.

Il sourit en lui-même, sachant qu'elle était assez préoccupée par l'observation de mister G.P.S et par la conduite de mister véhicule qu'elle ne se souciait aucunement d'être ou de ne pas être suivie.

Comme elle pénétrait dans le parking de l'hôtel "Plaza" Sammy se dit au fond de lui-même :

-Je parierai que mon ravissant petit sushi ne tardera pas à dîner!

Il prit le risque de se garer juste à coté d'une zone d'interdiction de stationnement, Sammy se rua jusqu'au couloir puis à l'étage de la mezzanine où était situé le bureau de réception.

Appuyé contre la rampe il attendit l'arrivée de sa ravissante proie, elle remontait le couloir et prit l'ascenseur pour accéder au niveau de la mezzanine.

Elle arrivait sa mallette rouge dans le chariot alors que Sammy couvait des yeux mister petit sushi qu'il avait programmé de bientôt déguster.

Comme elle atteignait le niveau de la mezzanine, Sammy mistergea qu'il aurait préféré la rejoindre dans l'ascenseur pour la baiser à même le sol en signe de "Bienvenue à Bentford".

Mais un garçon d'étage l'accompagnait remorquant mister chariot la clef de sa chambre à la main, annihilant mister projet de goûter immédiatement aux charmes de mister petit sushi!

Préoccupée par mister travail Rachel avait décidé de relire une dernière fois mister dossier, puis de se rafraîchir avant de rencontrer les directeurs de l'établissement dont elle devait évaluer les véritables ressources.

Ayant obtenu une carte de parking permanente, elle l'avait installée sur mister tableau de bord en montant dans sa voiture afin de ne pas l'oublier lorsqu'elle retournerait au parking de l'hôtel ce qui éviterait à sa voiture d'être mise en fourrière par les powers de police.

Mais tandis qu'elle rencontrait les directeurs du groupe qu'elle inspectait, le violeur malade inspectait d'un air méprisant mister tableau de bord.

Il était tamponné "valable jusqu'au 8 à 12 h et quart" sur le ticket de parking, cela indiquait qu'elle devait encore rester deux jours.

Il força la portière comme il l'avait déjà souvent fait depuis mister adolescence, et fouilla la boite à gant à la recherche bordereau de location que devait détenir le loueur de la voiture.

Il y était indiqué l'adresse de Jim et Rachel Wilmister, l'adresse de leur maimister qu'il avait épié à de nombreuses reprises.

-Avait-elle programmé d'auditionner à nouveau les responsables de l'entreprise, aujourd'hui même, après avoir fait le point? Se demandait-il dubitatif.

S'il se mettait en branle la nuit prochaine, sa dernière à l'hôtel, que se passerait-il si elle avait des rendez-vous pris pour le lendemain au petit matin? S'interrogeait-il soucieux.

Puis il se frappa la tête en se traitant d'âne stupide...

-Tu connais mister nom... Tu sais où elle travaille... Pourquoi ne téléphonerais-tu pas à mister bureau pour demander l'heure estimée de mister retour?

Par chance il avait pris des notes depuis qu'il les avait suivis, elle et mister mari dans le supermarché.

Empoignant mister pense-bête il se rappelait y avoir inscrit le nom de mister entreprise et mister numéro de téléphone professionnel.

chrislebo

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#365
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Utilisant mister portable il s'astreignait à prendre un ton professionnel pour demander :

-Oh oui, mademoiselle Rachel Wilmister je vous prie...

-Je suis désolée, mais madame Wilmister est absente, elle est en audit actuellement... Je peux cependant prendre un message et lui communiquer dès mister retour... Lui fut-il répondu fort courtoisement.

-Et sauriez-vous quand elle sera de retour? Insista-t-il aimablement.

-Elle devrait être là mercredi en début d'après-midi au plus tôt... C'était justement ma réponse qu'il escomptait.

Comme le chemin du retour devait durer à peu prêt 2 heures et demi, comme le ticket de parking indiquait qu'elle pouvait rester garée jusqu'à midi, il comprit immédiatement qu'elle se mettrait en route en début de matinée.

-Je dois établir une excellente stratégie! J'en ai vraiment besoin! Réfléchis Sammy! Réfléchis au meilleur moyen de déguster ce ravissant sushi la nuit prochaine! S'aiguillonnait-il.

-Ouais, c'est tout ce dont j'ai besoin! Se félicitait-il alors qu'il entrevoyait la solution.

-Je vais acheter des fleurs et je les lui ferai livrer de la part du bureau de réception dès mister retour.

Il savait qu'il devrait laisser le bouquet au bureau d'accueil, un garçon d'étage se chargerait de le livrer à l'accorte jeune femme.

S'il jouait bien ses atouts il parviendrait à entendre dans quelle chambre le garçon d'étage monterait livrer mister cadeau.

Cette première nuit de séparation, le jeune couple passa une bonne heure au téléphone se disant réciproquement à quel point ils se manquaient tout en s'assurant l'un et l'autre de leur profond amour.

Lorsqu'ils se préparèrent à raccrocher Jim Wilmister taquina mister ultra conservatrice femme en déclarant :

-Si ça tombe, tu as rendez-vous avec un amant maintenant!

Rachel gloussa sachant que mister mari la taquinait et elle décida de répondre à sa provocation en lui répondant :

-Il se tient à mon coté et me fait signe de le rejoindre dans le lit qu'on puisse s'offrir une somptueuse séance de baise!

Sur ces mots elle éloigna le téléphone alors qu'elle criait pour que mister mari puisse bien l'entendre :

-Attends mon chéri... Sois patient... Je termine la conversation avec mon mari et je suis toute à toi!

A coup sur Jim l'avait entendu, il en rit et, lorsque Rachel rapprocha le téléphone de mister visage, il s'esclaffa :

-Bon, je ferai mieux de te laisser que tu pisses t'occuper de ton amant!

Ils gloussèrent tous deux avant de réaffirmer leur amour l'un pour l'autre une fois encore avant de raccrocher.

Séparé par des centaines de kilomètres, les deux époux s'étendirent dans leurs lits en pensant l'un à l'autre, le mari pensant qu'il se réjouirait si elle prolongeait mister petit jeu provocant.

Rachel aussi avait aimé taquiner mister mari de cette façon aguichante, elle se demandait jusqu'à quel point elle pourrait pousser la plaisanterie puisque cela semblait vraiment exciter Jim.

La nuit suivante, lorsque l'appel attendu rémisterna dans sa chambre, Rachel tremblait de peur d'entendre la voix de mister mari rémisterner dans l'écouteur.

-Chéri? Est-ce toi? L'interrogea-t-il dans un murmure terrifié.

La lame affûtée posée sur mister cou, mister agresseur l'avait menacée de la tuer si elle ne suivait pas ses instructions à la lettre, Rachel avait envie de hurler mais elle était mortellement affolée par ce qui lui adviendrait si elle cédait à la tentation d'appeler à l'aide.

De grosses larmes ruisselant sur mister visage elle était ligotée assise sur le fauteuil placé auprès de mister lit.

Bien plus tôt, après avoir complété mister questionnaire d'audit, de retour à mister hôtel elle n'était à peine rentrée dans sa chambre lorsque la misternette rémisterna et le garçon d'étage annonça :

-Des fleurs d'un certain Jim Wilmister madame!

Elle ouvrit sa porte et accepta le magnifique bouquet, elle souriait aux anges à la pensée que mister tendre époux avait pensé à lui envoyer ces fleurs.

Elle était sur le point de décrocher le téléphone pour appeler Jim quand rémisterna un autre coup de misternette.

Reposant le téléphone elle se dirigea vers la porte et demanda :

-Oui...

-Une boite de friandises que vous envoie un certain Jim Wilmister madame... S'entendit-elle répondre.

Mais en fait, il ne s'agissait pas d'une boite de friandise même s'il se tenait bien un garçon d'étage sur le seuil de la chambre.

Se retournant pour fuir mister assaillant encapuchonné qui brandissait un poignard effilé, Rachel entendit la porte de sa chambre se refermer en claquant, elle tressaillit de terreur alors que la lame acérée se posait sur mister cou.

Pleurnichant tout en sanglotant alors qu'elle reculait dans la chambre elle suppliait mister agresseur :

-Je vous en prie... S'il vous plait... S'il vous plait, ne me faites pas de mal!

Cognant contre le lit elle tomba en arrière sur le lit, Rachel était paniquée lorsque mister agresseur arracha mister chemisier blanc de la ceinture de sa jupe glissant sa main calleuse à l'intérieur pour palper ses nibards au travers de mister soutien-gorge en dentelle alors qu'il commentait :

-Délicieux, tes nibards mistert vraiment sensationnels!

Contrainte d'informer mister assaillant que mister époux devait l'appeler à 20 h, Rachel y avait gagné un répit momentané lorsque que mister assaillant l'avait menacée, s'il ne devait pas l'appeler, de la violer à l'instant même.

Elle ne voulait pas devenir une victime de viol et lui avait lâché cette information, depuis cet instant il la caressait intimement au travers de ses vêtements.

Rachel commençait à se demander :

-Pourquoi m'a-t-il demandé si Jim devait m'appeler ce soir?

Réalisant que ce sale bâtard était sur le point d'enlever mister pantalon pour la violer lorsqu'il s'était vulgarement interrompu en l'entendant avouer que Jim l'appellerait vers 20 heures, ses yeux s'écarquillèrent d'horreur en devinant :

-Oh, ce malade a décidé de me violer pendant l'appel de Jim!

Une heure avait passé, il serait 20 heures dans une autre, Rachel constatait que mister assaillant commençait à s'impatienter alors qu'il se frottait de plus en plus souvent contre ses charmes.

Un horrible dilemme la frappa soudain alors que le sale pervers baissait la fermeture éclaire de sa braguette extirpant sa monstruosité couleur ébène avant de s'esclaffer :

-Il faut que tu fasses quelque chose pour e détendre!

A sa grande horreur il lui précisa :

-Et si tu refermais tes lèvres pulpeuses sur ma queue?

Elle secouait frénétiquement la tête en signe de dénégation, en réponse à cette vile suggestion.

-Non? Tu ne veux pas goûter à mon esquimau crémeux? Et pourquoi n'en veux-tu pas? Ta petite langue m'amènerait à te remplir la bouche de ma bonne potion crémeuse en un rien de temps! Se moquait mister pervers assaillant en lui maintenant la tête tournée vers lui.

Puis le sale bâtard s'assit sur le lit tout près d'elle, posant la main sur ses cuisses tandis qu'elle frismisternait de révulsion, il lui intima alors :

-J'ai envie de gicler! Mais je ne veux pas d'une pipe pour l'instant, tu vas me faire jouir entre tes plantes de pied!

Sa main calleuse remonta alors sur sa cuisse jusqu'à atteindre la ceinture de ses collants.

Alors qu'elle se débattait les deux mains de ce satané salopard enfouies sous sa jupe noire cherchant à descendre mister collant il lui donna le choix :

-Ou tu me laisses t'enlever ces saloperies de collants pour que tu me procures du plaisir avec la plante de tes pieds, ou tu me suces la bite salope! Que choisis-tu?

Ce choix l'amena immédiatement à cesser de résister pour empêcher ce sale bâtard de lui descendre mister collant sur les chevilles.

-C'est ça chérie lève tes fesses pour m'aider à t'ôter ces saletés! La remercia-t-il en lui descendant vulgarement mister collant.

Rachel frismisterna et se tourna alors que la main de mister assaillant s'attardait à caresser la chair tendre de la face interne de ses cuisses.

Elle avait une forte envie de resserrer étroitement ses cuisses mais elle s'en retenait effrayée par les éventuelles conséquences qui en résulteraient, elle tremblait comme une feuille le collant descendu sur ses genoux.

-C'est bon chérie... Et maintenant lève tes jolies jambes et pose les sur mes genoux que je puisse terminer de te dépouiller de ces saloperies de collants.

Elle leva ses jambes après moult hésitations, les mains calleuses lui empoignèrent les mollets et la dépouillèrent de ses hauts talons.

Le collant descendu sur les chevilles, Rachel frémit à nouveau, alors qu'il le lui enlevait avant de palper d'une main rude la plante de ses pieds.

-Ah chérie, tu as vraiment de très jolis orteils, ils mistert si minutieusement vernis! La félicita-t-il alors qu'elle gardait la tête tournée, les yeux fermés pour ne pas voir le plaisir que prenait cet infâme salaud à la soumettre à ses volontés.

Elle voulait ignorer mister plaisir grandissant mais mister pied posé sur sa bite, elle ne pouvait que constater l'effet grandissant de sa caresse involontaire.

Il empoigna alors sa cheville droite et la força à caresser la bosse de mister pantalon de la plante de mister pied, au travers de mister jean.

chrislebo

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Rachel tremblait de peur, elle ne voulait surtout pas stimuler mister assaillant, mais elle avait si peur qu'il l'oblige à exécuter l'autre alternative... Elle craignait tant de devoir emboucher sa grosse bite noire comme il l'en avait menacée!

Zipppppppp! Ce mister strident lui provoqua un long frémissement tout le long de la colonne vertébrale, elle réalisait qu'il venait de baisser la braguette de mister pantalon.

La tête toujours tournée, les yeux clos, lorsqu'elle sentit un objet charnu aller et venir entre ses plantes pieds.

-Ahhhhh, bordel... Tes pieds mistert si soyeux! Oh chérieeeeeeeeeee... L'entendit-elle grommeler sourdement.

Comme elle s'accroupissait raidissant ses orteils de dégoût, les gémissements de ce pervers entraînaient d'involontaires réflexes de sa part alors qu'il gémissait :

-Oh oui chérie... C'est comme ça que j'aime te voir utiliser tes pieds!

Rachel frémit d'horreur une fois de plus, les mains calleuses tenaient fermement ses chevilles alors que sa grosse bite noire coulissait entre ses plantes de pieds.

Sammy le malade était ravi à la vue des grosses larmes ruisselant le long de ses joues alors que sa bite raidissait entre ses plantes des pieds.

Il allait mâter cette chienne étape par étape, et cela le ravissait à l'avance.

Allant et venant entre ses plantes de pieds, il se branlait avec de longs et amples mouvements, il commença à accroître le rythme en sentant qu'il n'allait plus tarder à gicler.

Soudain mister corps se tétanisa alors que mister chibre crachait giclée après giclée mister foutre crémeux sur ses orteils frémissants.

Grimaçant de dégoût, Rachel était horrifiée de cette façon dont il s'était soulagé sur ses orteils, elle pensait néanmoins qu'un peu de savon et d'eau fraîche suffirait à laver les traces cette révoltante expérience.

Alors que mister assaillant se relevait, Rachel découvrait maintenant ses pieds et ses orteils couverts de foutre gluant.

Frottant ses pieds dans l'épaisse moquette de la chambre d'hôtel elle tenta de les curer de toute cette ordure.

Mais ses pieds demeuraient gluants et plus spécialement entre les orteils, la moquette ne pénétrant pas entre ses orteils.

Son agresseur momentanément rassasié de ses charmes, alors qu'elle reprenait péniblement haleine, elle tentait de réfléchir, elle espérait secrètement que satisfait de sa prestation il l'abandonnerait sans la violer.

Assise sur mister lit, capable de raimisterner à nouveau, en se rappelant que ce monstre avait programmé de la violenter dès mister entrée lorsqu'il lui avait demandé si mister mari devait lui passer un coup de fil ce soir, elle frémit en évoquant l'infâme possibilité que ce malade veuille la posséder alors qu'elle discuterait avec mister époux.

-Oh mon Dieu... Il est assez malade pour vouloir m'imposer cela! C'est un dément... Un natural... Il monstrueusement dépravé! Tremblait-elle paniquée.

Elle essayait de se convaincre que permisterne ne pouvait être assez pervers pour agir aussi ignoblement, mais elle ne pouvait esquiver l'idée qu'il n'avait interrompu sa séance de viol que pour mieux la reprendre ultérieurement.

-Me menacera-t-il de sa lame de couteau posée sur la gorge lorsque je discuterai avec Jim? Me tuera-t-il si je m'avise de crier à l'aide de façon à ce qu'on se précipite dans ma chambre pour me délivrer? Se demandait Rachel terrorisée.

-Que ferai-je... S'il me maltraite alors que Jim discutera avec moi? Serai-je capable de retenir mes cris et mes gestes inconsidérés à cet instant! Que se passera-t-il si... S'il me viole en m'obligeant à tenir une conversation ordinaire avec Jim tandis qu'il me labourera à grands coups de braquemart... Et si je parviens à m'en sortir, cela mettra-t-il fin à cette odieuse agression, parviendrai-je à regarder Jim dans les yeux après cette épreuve?

Ces quelques questions traversaient mister esprit horrifié.

-Mais si je n'y parviens pas, si Jim comprend que l'on me violente, et même que l'on me tue alors qu'il discute avec moi? Que se passerait-il alors?

Soudainement une pensée s'imposa à elle, nombre de possibilités de tenir Jim dans la totale ignorance de mister épreuve, sans risquer d'y laisser sa peau.

-Mais pourrai-je survivre au fait de parler avec mon mari tandis que ce sale bâtard me violenterait! Se demandait Rachel éperdue.

-Oh mon Dieu, faite qu'il se contente de cette ignoble éjaculation sur mes orteils. Suppliait-elle mais elle se doutait que c'était faire preuve d'un optimisme powerné que de maintenir cet espoir insensé, d'autant plus que déjà mister assaillant la rejoignait promenant ses mains calleuses sur ses genoux et ses cuisses.

L'épreuve de Rachel reprit immédiatement à cet instant ou ses larges mains calleuses la tiraient en avant l'amenant tout au bord de sa chaise.

Il écarta ses cuisses à deux mains en s'agenouillant au sol entre ses cuisses.

Levant les yeux sur mister agresseur elle trembla de terreur en voyant que ce salopard agitait vicieusement sa langue dans les airs les yeux fixés sur ses cuisses entrouvertes, il empoigna ses cuisses et les posa sur épaules.

Le bas de sa jupe remonta à sa taille révélant mister intimité dévoilée aux yeux du bâtard qui la convoitait avec concupiscence, elle détourna la tête et sanglota de désespoir.

-Nonnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnn... Arrêtezzzzzzzzzzzzz... Arrêtez... Oh mon Dieuuuuuuuuuuu... Nonnnnnnnnnn...

Rachel hurla lorsque le pervers bâtard plaqua sa bouche contre sa féminité plongeant sa longue langue dans les replis de sa chatoune.

Jamais de sa vie elle n'avait pensé qu'un homme pouvait se comporter en natural dépravé et accomplisse des actes aussi impudiques.

Et voila que les bruyants lapements émanant de mister entrecuisse lui laissait quasiment croire qu'il avait décidé de la déguster toute vivante.

Secouant sa tête de droite à gauche elle essayait désespérément de ne pas répondre à ces assauts, mais la longue langue la conduisait pas à pas aux ultimes limites de mister excitation.

Dédaignant sa volonté le corps de Rachel vacillait et se tétanisa vulgarement.

Elle arqua ses hanches sous les délicieuses caresses linguales. Inconsciemment Rachel tendit ses bras et les posa sur les poignets de mister suborneur lui maintenant la tête pressée entre ses cuisses.

-Ooooooooooooh... Ooooooooohhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhh... Ah... Ahhhhhhhh... Pantelait-elle le corps secoué de sursauts convulsifs alors qu'un terrifiant orgasme la submergeait toute, en fait le plus intense qu'elle ait expérimenté de toute sa vie!

Des spasmes saccadés la secouaient de la tête aux pieds alors qu'elle fondait sous la langue de mister assaillant.

Elle gisait maintenant mollement affaissée sur l'un des bras de mister fauteuil, toute étourdie d'avoir succombé à un si violent orgasme, Sammy s'empara de la boite de friandises qui lui avait permis de pénétrer dans la chambre.

Il s'y trouvait deux mini-caméras qu'il s'était procuré dans un magasin spécialisé dans l'espionnage industriel la veille de mister voyage.

Il avait programmé d'enregistrer leur performance dès que le téléphone misternerait relayant un coup de fil de mister mari, aussi était-il un peu nerveux ne sachant comment réagirait sa proie lorsque ce moment serait venu.

Crierait-elle le moment venu? Ou feindrait-elle un comportement normal quand mister époux appellerait? Se demandait Sammy fiévreusement.

Il ne voulait pas mettre mister plan en oeuvre si elle révélait sa présence, c'est pourquoi il l'avait menacé suffisamment pour lui faire craindre des représailles si révélait la vérité.

Mais il était déterminé à la baiser tandis qu'elle discuterait avec mister mari à l'autre bout du fil.

Si elle dévoilait sa présence dans la chambre, Sammy était déterminé à envoyer à mister mari une copie du CD qu'il allait enregistrer pour lui montrer ce qu'il avait manqué.

Mais si elle se comportait normalement, la menacer d'envoyer une copie à mister mari serait le meilleur moyen d'asservir cette ravissante jeune femme qui devrait alors le combler de félicités de temps à autre, à moins qu'il ne planifie de la soumettre à ses amis et connaissance, et pourquoi pas à la prostituer pour mister usage permisternel.

Comme elle reprenait le contrôle de ses sens, honteuse comme jamais d'avoir laissé mister corps la trahir aussi misérablement en participant à cet acte révoltant qu'il lui avait imposé, elle réalisa alors que mister mari devait lui téléphoner dans moins de 20 minutes maintenant.

Qu'elle lui semblerait longue ces 20 minutes pendant lesquelles elle devrait décider de mister comportement à venir.

Bien qu'elle y réfléchisse, elle ne parvenait pas à éclaircir sa situation et encore moins la façon dont elle devait se conduire, d'autant plus que ce bâtard promenait maintenant ses mains sur ses nichons au travers de ses vêtements.

Puis il glissa une main dans l'entrebâillement de mister chemisier, releva ses bonnets de soutien-gorge pour les dénuder et s'emparer rudement d'un de ses tétons dressés.

Dénudée et jetée en travers du lit, Rachel était maintenant postée à quatre pattes tentant de ramper hors du lit lorsque la misternerie du téléphone la figea dans sa peur.

Jetant un oeil sur l'horloge murale, elle vit qu'il était exactement 20 heures, ce qui ne lui laissait aucun doute quant à l'auteur du coup de fil.

Son agresseur empoigna le téléphone et plaça le récepteur tout contre mister oreille, Rachel commença :

-Hey... Hello...

-Hey chérie... T'amuses-tu bien? Prends-tu soin de ton amant? La taquina d'entrée mister époux.

Rachel avala sa salive, décidée à poursuivre ce rôle q'elle s'était attribuée lors de leur dernière conversation. Elle rétorqua :

-Oh Jim... Je ne prends pas vraiment mon pied pour l'instant... Il insiste pour coucher avec moi maintenant...

-S'occupe-t-il de tes charmes actuellement? Lui demanda alors mister mari.

-Oh oui! Répliqua-t-elle vivement, elle ne lui mentait d'ailleurs pas, mister agresseur lui caressait les cuisses et les fesses.

-Quel endroit te caresse-t-il actuellement?

-Mes jambes... Mes cuisses et mes fesses! Et ajouta tout de suite :

-Peut-être devrions nous discuter plus tard, je suis trop occupée à cet instant chéri...

-J'ai programmé de regarder un film qui ne pas tarder à débuter... Tu n'as qu'à baguenauder avec ton amant pendant que nous discutons ma chérie! Lui conseilla-t-il croyant jouer mister jeu.

Rachel répétait :

-C'est d'accord mon chéri...

-Je voulais seulement savoir si tu étais capable de discuter avec moi tandis que tu te fais baiser par ton amant! Je comprends bien que tu devras respirer de temps à autre! Lui répondit-il ironiquement.

-Hum bien, puisque tu insistes mon chéri... Répondit-elle, Jim n'en croyait pas ses oreilles d'entendre sa si conservatrice femme entrer si facilement dans mister petit jeu.

-Ooooooh... L'entendit-il grommeler au bout du fil.

Pensant qu'elle l'allumait au bout du fil, il l'interrogea
chrislebo

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#367
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-Ton amant serait-il en train de te fourrer tandis que tu me parles?

-Oh oui, il m'a fait mettre à quatre pattes... Et il se place dans mon dos... L'avisa sa femme éperdue.

Jim sentit immédiatement une monstrueuse bandaimister s'emparer de sa bite en entendant sa femme gémir :

-Ooooooooooooooooooooooh... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuu!

Jim adorait ce jeu de rôle, sa femme si prude habituellement semblait vouloir lui complaire en jouant de mister mieux mister rôle.

-Ton amant a-t-il une grosse bite? La questionna-t-il avec perversité.

-Oh ouiiiiiiiiiiiiii...

-Son chibre est-il plus gros que le mien?

-Oh ouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii...

-Te prend-t-il dans tes positions favorites? En levrette?

-Oh Ouiiiiiiiiii... Ouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii...

Et, tout à fait comme lorsqu'ils faisaient l'amour il l'entendit panteler :

-Ohhhh... Ohhhh... Ohhhh... Ohhhh... Ohhhh... Ohhhh... Ohhhh!

-Dois-je vais attendre un peu que tu aies repris ton souffle avant de reprendre notre conversation! Lui demanda-t-il, il obtint la réponse qu'il attendait, elle soupira :

-Oh oui... Ouuuiiiiiii...

-

Mon Dieu, jamais je n'aurai pensé qu'elle puisse être aussi créative, j'aurai pu jurer qu'elle se faisait vraiment baiser pour pousser de tels cris de plaisir alors que les ressorts de mister lit couinaient.

Presque deux bonnes minutes plus tard, à écouter sa femme haleter au bout du fil, Jim l'interrogea.

-Est que ton amant et toi avez fini de baiser?

-Oh oui, nous venons de cesser! Répondit-elle faiblement

-Lui as-tu dis d'enfiler un préservatif, comme tu m'y obliges chaque fois que nous nous aimons? S'enquit-il hilare.

-Oh mon Dieu, non, Je n'y ai même pas pensé! Répliqua sa femme comme affolée.

Voulant continuer le jeu de rôle qu'il avait initié Jim poursuivit :

-Très bien... Si tu te retrouves enceinte, je ne m'en rendrai même pas compte si le bébé me ressemble! Il me ressemblera, n'est ce pas!

Il entendit alors sa femme avaler sa salive, puis se taire longuement, il insista :

-Qu'y a-t-il ma chérie? Je serai vraiment heureux de laisser croire que ce bébé est de moi!

Jim fut épaté en entendant sa femme, si conservatrice jusqu'ici, enrichir mister rôle et rend=powerr sa bandaimister en lui confiant en balbutiant :

-Oh non... IL ne te ressemblera pas! Il ne pourra pas... Ce sera un petit bébé noir de peau!

Quoique le film qu'il voulait regarder ne démarrerait que dans une quinzaine de minutes, il branlait frénétiquement sa bite qu'il avait extraite de mister caleçon, et cela requérait toute mister attention.

De ce fait il se décida à mettre un point final à leur conversation, il pourrait ainsi imaginer sa ravissante jeune femme se faisant labourer dans mister lit par mister amant noir imaginaire, il intervint donc :

-Rachel ma chérie, le film que j'ai programmé de voir est sur le point de débuter aussi vais-je te laisser retourner à tes amours avec ton amant noir! Je te verrai demain soir chérie... Je t'aime...

-Je t'aime aussi mon amour! Lui répondit-elle, Jim se pressa de raccrocher mister téléphone pour rechercher u bout de tissu dans lequel éjaculer.

Comme mister mari se branlait allégrement à quelques centaines de kilomètres d'elle, Rachel cherchait à reprendre haleine, mister cœur battait la chamade alors qu'elle laissait choir le téléphone déconnecté sur le lit.

Pressant sa tête dans le douillet oreiller, elle serra sa foufoune sur la bite toujours imbriquée dans sa chatoune inondée de foutre.

-Mon Dieu... Comment ai-je pu me comporter de façon aussi abominable? Frismisterna-t-elle dégoûtée de mister attitude.

Elle n'aurait du ressentir cet orgasme fracassant que dans les bras de mister mari, et surtout pas dans les bras de ce pervers noir qui venait de la violer dans sa chambre alors qu'elle discutait avec mister mari!

Crispant à nouveau ses sphincters elle parvint à éjecter la bite qui demeurait fichée en elle.

Mais mister soulagement fut de courte durée en réalisant qu'un flot de foutre s'écoulait lentement de sa foufoune béante lui poissant la face interne des cuisses.

Il en coulait de plus en plus, elle se demandait avec angoisse quelle était l'importance de la dose de foutre qu'il avait injecté dans ses flans fertiles.

Des larmes se formèrent sous ses paupières alors que Rachel priait pour que ce vil bâtard ne l'ait pas engrossé, lui plantant un polichinelle noir dans le buffet.

-Et que ferai-je s'il m'avait engrossé?

-Mènerai-je ma grossesse à terme?

La seule consommation qu'elle pouvait tirer de mister épreuve était le fait qu'elle n'avait pas menti à mister mari, aussi méprisables soient les actes qu'elle ait endurés.

Quelques moments plus tard, après qu'il l'ait installée sur le dos, il l'avait forcée à ouvrir les lèvres pour avaler sa grosse bite qui sortait tout droit de sa chagatte.

Et maintenant il l'obligeait à lui rouler des pelles passionnées alors qu'il doigtait habilement sa cramouille engorgée de foutre.

Il lui empoigna alors les poignets et la força à tendre la main vers mister entrejambe, instinctivement ses doigts se refermèrent sur sa hampe dressée.

Elle le branla jusqu'à ce qu'il bande à nouveau comme un taureau, il l'enfourcha alors et lui intima :

-Guide-moi ma chérie!

Elle plaça sa bite au cœur de mister intimité, se courba sur lui et haussa ses hanches pour mieux anticiper la pénétration.

En repensant à cette première nuit, Rachel se sentait fortement honteuse d'avoir complaisamment plu ainsi à mister mari qui croyait qu'elle poursuivait leur jeu de rôle!

Elle avait espéré que mister mari lui procurerait un orgasme fabuleux qui effacerait ceux qu'elle avait ressenti entre les bras de mister agresseur noir.

Elle se dressa sur les hanches et se pencha en avant guidant la chevauchée qui devait l'emmener vers des sommets, exactement comme la nuit précédente!

Mais la question suivant la fit frismisterner de nervosité alors qu'elle se préoccupait :

- Etait il plus imposant que moi?

- Oh oui... Ouiii! Il était bien plus grand et plus musclé. Lui répondit-elle sachant pertinemment que ce n'était pas ce qu'il voulait entendre.

- Non... Non... Tu sais très bien ce que je veux dire! Soupira-t-elle alors qu'elle le branlait allégrement.

- Sa bite était plus grosse... Bien plus grosse... Plus épaisse et plus longue que la tienne! Pantelait-t-elle alors que cette dernière réplique l'amenait à éjaculer une énorme dose de foutre au fin fond de mister utérus.

Seule dans la pièce aux archives de mister travail, Rachel s'était laissée tomber en position position accroupie, elle était secouée de sanglots.

-Comment pourrai-je laisser les choses se poursuivre et feindre de continuer à jouer ce jeu de rôle?

-Comment pourrai-je dire à Jim que j'étais vraiment en compagnie d'un homme dans cette chambre d'hôtel et non pas d'un amant imaginaire?

-Oh Jim jamais je n'aurai pris d'amant... Ce salopard m'a tout simplement violé! Se répétait Rachel au fin fond de mister esprit.

Elle savait très bien à voir mister époux aussi énergique et passionné dans les jeux de l'amour alors qu'il croyait toujours jouer un jeu rôle qu'il lui serait maintenant impossible d'arrêter leur petit jeu.

S'il s'agissait seulement de mettre un terme à leur petit jeu, Rachel se sentait capable d'oublier ces tristes événements et de reprendre une vie normale.

chrislebo

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#368
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Mais maintenant, alors qu'elle venait de recevoir un coup de fil elle réalisait que jamais plus sa vie ne reprendrait un cours normal.

Ce coup de fil émanait de mister bâtard d'agresseur lui ordonnant de le rencontrer une heure plus tard dans un motel situé à trois kilomètres de mister bureau.

Pire encore, ce salopard lui avait envoyé plusieurs photos la représentant baisée par cet infâme noir qui l'avait violé, précisant que si elle ne venait pas à mister rendez-vous, ces clichés parviendraient à mister mari.

Dès arrivée dans la chambre elle avait du recommencer la scène sur laquelle ils s'étaient quittés lors du viol initial... Elle dut s'agenouiller et le sucer de tout mister cœur!

Rachel tenait mister estomac à deux mains, elle avait des nausées tout comme la première fois qu'il s'était vidé les couilles dans sa bouche... Lui remplissant la bouche de mister ignoble foutre.

C'était la première fois qu'elle accueillait une bite en bouche pour prodiguer à un homme ce service que l'on ne demandait qu'aux putes!

Comme il avait enfoui ses doigts épais dans sa chevelure, alors qu'elle s'agenouillait sur la moquette, elle avait été incapable de le repousser, et avait été obligée d'avaler mister immonde semence qui lui avait inondé la bouche à ras bord.

ET lorsque l'immonde bâtard avait quitté la chambre, Rachel se rappelait avoir gagné la salle de bain tout en agrippant mister estomac, pour gerber dans la baignoire.

Et voilà qu'à nouveau, la même tâche lui avait incombée, quelque chose que même mister mari n'avait jamais eu seulement l'idée d'accomplir même dans mister jeu de rôle!

FIN DE L'HISTOIRE.
chrislebo

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Humiliations



Mon mari chercha sur internet mon prochain maître. Il posta une photo de moi avec le visage masqué. Puis il sélectionna un homme parmi les nombreuses réponses. Il choisit les plus pervers et vicieux et en prit un.

J’ai 29 ans, je m’appelle Sabine. Je suis blonde coupe carrée, je porte des lunettes et je mesure 1m75 pour 60 kg.

J’avais rendez-vous avec cet homme le soir même sur une aire de repos d’autoroute.
Je du enfiler ma petite robe rouge moulante ouverte sur les côtés et des chaussures noires à talons aiguilles.
Mes instructions étaient de lui obéir au doigt et à l’œil sans possibilité de refuser.

Nous montâmes dans la voiture et partîmes vers le parking, non sans avoir la peur au ventre.
On se gara à l’entrée du parking derrière une voiture grise.
On sortit de la voiture et mon maître s’approcha de nous.
Je fus terrifiée, il s’agissait de mon prof d’histoire à l’athénée !
Il m’appela directement par mon prénom, montrant qu’il m’avait reconnue sur la photo.
C’était un gros porc qui bavait sur ses élèves et faisait des allusions sur le sexe à mister cours. Il était de taille moyenne, dégarni, ventripotant, la cinquantaine.
J’étais vraiment gênée de la situation.
« Alors comme ça tu es devenue une putain ? »
Je devins rouge de honte.
« Non, je fais ça gratuitement ! »
« Tu m’as toujours excité à l’école, je bandais en pensant à toi et en te regardant. Et dire que maintenant te voilà mon jouet sexuel ! »
Je me retournais vers mon mari pour lui exprimer mon désaccord mais il lui donna raimister.
« Chérie, tu as accepté, maintenant tu dois assumer »
Résignée, je me retournai vers Monsieur Goffin en baissant les yeux en versant quelques larmes et lui dis d’accord.
Il se colla à moi et m’enlaça, une main dans le dos et une main directement sur les fesses.
Il me pétrissait les fesses sans ménagement pendant que j’essuyais mes larmes.
Sa main gauche s’empara de mes seins par-dessus ma robe, puis se glissa à l’intérieur pour me peloter. Sa main droite avait remonté ma robe. Le contact de sa peau sur la mienne me donna des frismisters.
Je n’en revenais pas d’être entre les mains de ce pervers qui d’ailleurs connaissait bien ma famille.
Il baissa ma robe jusqu’à mes chevilles. Je me retrouvais nue dans ses bras sur un parking connu pour ses pervers. Il m’embrassa à pleine bouche rentrant sa langue pour chercher le contact avec la mienne.
Mon mari se colla à mon dos pour m’embrasser la nuque, je sentais quelque chose de bien dur contre mes fesses.
Et pendant que Mr Goffin et moi nous embrassions, mélangeant nos langues, il me dit à l’oreille : « dorénavant ce sera ton maître, tu es à lui »
Mr Goffin avait entendu et remercia mon mari.
Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genou et ouvrit mister short découvrant une queue tendue de bonne taille.
« Suce ! »
Je pris sa queue en bouche et commençai à le sucer. Il me déformait les joues.
Je l’entendais gémir de plus en plus fort puis il se crispa et explosa dans ma bouche, déversant du sperme en grande quantité que j’avalai et qui déborda de mes lèvres.
Je levai les yeux vers lui et il me regardait avec un sourire satisfait.
« Maintenant va jusqu’au bout du parking et reviens ! »
« Mais il y a des voitures et des camions … »
Ils rirent tous deux.
Je me relevai et commençai à marcher, résignée.
« Marche comme une pute ! »
J’entendis l’ordre au loin. Je marchai donc un pied bien devant l’autre, mes cuisses se frottant à chaque pas. J’imaginais bien le spectacle que j’offrais à mon maître, mes fesses se dandinant.
Arrivée à hauteur des premiers véhicules, je pris mon courage à deux mains et continuai à avancer. J’avançais en baissant les yeux.
J’entendais des portières et des murmures, on m’appelait et on me faisait des commentaires.
Arrivée au bout après 5 minutes de marche, je fis demi-tour me rendant compte qu’une demi-douzaine d’hommes me suivait.
Je marchai donc dans leur direction pour rejoindre Mr Goffin et mon mari.
En traversant le groupe, certains me caressèrent au passage, agrippant un sein ou mettant la main aux fesses.
J’étais morte de honte et j’avais très peur.
J’accélérais le pas, les pervers me suivaient toujours.
Arrivée près de Mr Goffin, celui-ci m’enlaça par la taille et me retourna vers les pervers.
« Elle est à vous messieurs. Elle prend dans la chatte et sans capote. »
Je me retournai terrifiée vers mon mari mais il souriait, comprenant qu’il était d’accord.
Tout s’enchaîna rapidement.
J’étais entourée par les hommes qui me pelotaient tout le corps et m’embrassaient partout même sur la bouche !
On m’entraîna vers la table de pic-nic toute proche et on me coucha sur le dos, les jambes écartées.
Je vis le porc entre mes jambes détacher mister pantalon et sortir mister sexe volumineux.
C’était un grand chauve, le quarantaine, blanc.
Il posa mister gland à l’entrée de mon vagin puis me pénétra.
Il me ramonait sauvagement en me tenant les jambes et me pétrissant un sein de temps en temps.
J’étais vraiment humiliée. Un inconnu était en train de me faire l’amour sans capote devant d’autres hommes…
Soudain, il se raidit en criant. Je compris qu’il était sur le point d’éjaculer.
J’espérais qu’il se retirerait pour éjaculer sur mon corps mais je sentis soudain une chaleur dans mon ventre. Ce connard venait d’éjaculer en moi !!
Sans me remercier à part un « salope » adressé avec dédain, il se retira et sans attendre, un autre porc pris sa place et me pénétra. Je pleurais résignée…
Il était du style méditerranéen, petit, moustachu, fin de quarantaine.
Sa queue glissa dans mon sexe sans problème, facilitée par le sperme du précédent.
Il me baisa également sans ménagement et se vida en moi.
Tout à tour ils passèrent sur moi au grand plaisir des spectateurs et de Mr Goffin qui me prenait en photo. Mon mari se masturbait en me regardant …
chrislebo

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#370
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Ma rencontre avec la bisexualité et la domination....



Je viens de finir mon job. J’ouvre la porte de l’appart. La porte de la chambre à coucher est entrouverte. Des gémissements me parviennent. Je m’approche sans bruit. Je regarde et le spectacle me fait bander de suite… Tu es couchée sur le lit, les jambes écartées, nue, un bâillon sur la bouche. Des menottes bloquent tes bras écartés et tes jambes mistert attachées aux pieds du lit. Entre tes cuisses, je vois une tête avec des longs cheveux qui s’agite provoquant tes gémissements. La fille qui te lèche tient un gros gode à la main. Elle l’approche lentement, remontant tes cuisses et, en te regardant dans les yeux, elle commence à l’enfoncer… Lentement d’abord puis d’un coup, elle te l’enfile à fond ! Tu sursautes ! Elle attache les lanières autour de mister bassin. Elle prends les bouts de tes seins entre les doigt et commence à tirer dessus… Quand ils mistert bien sortis, elle y place une pince et après seulement, elle commence à te baiser..
« Alors ma salope, c’est cela que tu voulais ? Te faire engoder à fond, attachée et bâillonnée par ta Maîtresse ? »
Tu gémis en faisant oui de la tête. Soudain, même à travers le bâillon, je t’entends jouir pendant qu’elle tire sur les pinces…
« Bien, cochonne, maintenant, tu vas t’occuper de plus gros… Viens Jean. »
Je vois alors arriver dans mon champ de vision un gars musclé. Il s’approche du lit, t’enlève ton bâillon et te glisse sa queue dans la bouche.
« Allez salope, fais-moi triquer ! »
Et il te baise la bouche. Petit à petit, la queue grossit et bientôt tu ne peux plus que lécher le gland. Elle est énorme, grosse, longue, avec un gland comme un abricot !
La femme retire le gode de ta chatte et l’homme se met en position entre tes cuisses.
« Han ! »
D’un coup, il vient de t’empaler ! Tu hurles. La femme vient alors s’asseoir sur ta bouche, faisant face à l’homme.
« Lèche-moi, salope, fais-moi jouir pendant que tu te fais défoncer ta chatte de gouine ! »
Je vois ta langue sortir et s’attaquer à la chatte. Depuis longtemps , j’ai sorti ma queue et je me branle. Soudain, tu cries ta jouissance, le mec continuant à te défoncer la chatte.
« Alors, salope, c’est meilleur avec ma grosse queue qu’avec ton cocu de mari, hein ? Je suis sûr qu’il n’en a pas une aussi grosse !»
« Non, elle n’est pas aussi grosse »
« J’en étais sûr ! Et ton cul, il te l’a déjà ouvert ? »
« Non mais vous allez me faire mal! Elle est trop grosse! »
« Je vais me gêner! »
Et il continue de te bourrer. Tu jouis une 2ème fois en même temps que ta Maîtresse. Celle-ci se relève et viens détacher des jambes qu'elle relève sur ton ventre, dégageant ton cul. C'est alors que le mec jouit, t'inondant la chatte de foutre. Il se retire. Immédiatement, la femme t'enfile ses doigts, récupérant le foutre du gars et commence à l'étaler dans et sur ton cul… Tu aimes. Pendant ce temps, le gars présente sa queue à tes lèvres.
« Lèche-moi et fais-moi rebander, salope! »
Tu t'actives. La queue sent la chatte et le foutre et ne tarde pas à rebander! Il te semble qu'elle est encore plus grosse qu'avant! Lorsqu'elle est bien dure, le gars repasse entre tes jambes et pointe ton cul, guidé par la main de la femme.
« Non Noooon ! »
Mais lentement le gars pousse sa queue dans ton cul. Il te semble qu'il te déchire mais petit à petit, tu commences à accepter ce monstre et tu te détends. Il commence alors ses va et viens. C'est à ce moment-là que la porte s'ouvre violemment. Je me retrouve avec la queue tendue, le pantalon sur les chevilles et les couilles dans l'autre main. A coups de cravache sur les fesses, elle me fait rentrer dans la chambre. L'homme t'encule en me regardant.
« Salut cocu! T'as vu comme j’encule ta femme? Tu n’as jamais pu lui faire mais elle adore ça! Et apparemment toi aussi à ce que je vois! »
La femme me dit:
« A genoux cocu! »
Je m'exécute et elle me passe des menottes, bras dans le dos. L’homme se retire de ton cul et s’approche de moi, la queue dressée. Se plaçant devant moi, il me dit :
« Après la femme, le cocu : suce ! Et fais-le bien sinon je te jure que tu vas le regretter ! »
Je me penche, prends le gland dans ma bouche et commence à sucer. Pendant ce temps, la femme vient près de toi et te détache.
« Alors ma chérie, de quoi as-tu envie maintenant ? Tu peux tout me demander après ce que je t’ai fait subir. »
Tu lui réponds :
« Alors mets-toi à quatre pattes et écarte tes fesses. »
Pendant qu’elle s’exécute, tu te harnaches du gros gode et appelle Jean.
« Jean, viens ici. Mon cocu t’a suffisamment sucé. Encule cette salope pendant que je me fais le cul de mon mari. »
Je crie :
« Nooon ! Je ne veux pas ! »
« Toi tu te tais ou je demande à Jean de t’enfiler à sec ! Et je te préviens que sa queue est très grosse et te ferait très mal ! J’adore sa queue. D’ailleurs je crois que je ne me ferai plus enfiler que par elle. Elle est beaucoup plus grosse que la tienne ! »
« Allez viens sucer le gode que je vais te mettre ! »
Je m’approche à genoux et commence à te sucer. Pendant ce temps, Jean encule à fond ta maîtresse qui gémit dans le coussin.
« A ton tour, mets-toi à côté d’elle, les fesses en l’air. »
Je m’exécute et immédiatement je sens ton gode s’enfoncer dans mon cul. Tu me prends par les hanches et commence tes va-et-vient. J’aime. Je me retourne, Tu roules une pelle à ton amant tout en me baisant… Je vois tes seins se balancer en rythme !
« Jean, viens te faire le cul de mon mari ! Je veux le voir se faire mettre par mon amant ! »
Il ressort du cul de ta maîtresse et se place entre mes fesses. Tu le guides et pousses d’un coup.
«Ouiii, vas-y encule-le ! Et toi viens me lécher ! »
La femme se glisse entre tes cuisses et te lèche si bien que tu jouis, une, deux trois fois… C’est à ce moment que ton amant me remplit le cul…
Ta maîtresse s’éclipse discrètement et tu dis à Jean :
« Viens Jean, on va se coucher. Toi, tu dors sur le canapé. »
Pendant une bonne partie de la nuit, j’entendrai des gémissements
chrislebo

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#371
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Jean…et sa grosse queue. Jusque tard dans la nuit, il t’enfilera, t’enculera en écartant tes fesses à fond, te baisant avec ses doigts
en même temps, éjaculant dans ta bouche… Pendant ce temps, je trouvai le sommeil avec peine. Je fus réveillé par un gros truc
chaud sur mes lèvres.
« Suce, fais-moi bander, cocu ! »
Ce que je fais. Elle me semble encore plus grosse que la soirée d’avant. Elle sent le foutre, elle sent la chatte et le cul… Mais
bientôt elle se dresse, dure, longue, épaisse…
« Je vais aller réveiller ta femme… Je suis sûr qu’elle va aimer ! Toi tu restes là. »
Silence. Soudain, tu pousses un petit cri…suivi de gémissements. Toujours plus fort. Tu jouis en criant :
« Ouiiiii Jean, baise-moi, éclate-moi la chatte avec ta grosse queue ! Je ne pourrai jamais m’en passer ! Ma bouche, ma chatte,
mon cul mistert à toi ! Utilise-les quand tu veux ! »
Et tu jouis une nouvelle fois !
Une heure plus tard, il quitte l’appartement. Je me risque dans la chambre à coucher. Tu as les yeux fermés, les jambes écartées,
du foutre plein la chatte. Mais tu m’as entendu.
« Viens ici. Viens entre mes cuisses, mets tes mains dans le dos et nettoie-moi la chatte avec ta langue. Et applique-toi ! »
Et je m’applique. Je te nettoie. J’aspire le foutre de ton amant et j’enfile ma langue dans ta chatte. Petit à petit, je sens que tu
mouilles… Tes mains agrippent mes cheveux et plaquent ma bouche contre ton clito.
« Ne t’avise pas de t’arrêter avant que j’aie joui… »
Je continue à m’appliquer et 2 minutes plus tard tu jouis en écrasant ma tête entre tes cuisses. Je te laisse reprendre ton souffle.
« J’ai encore envie et tu as bien mérité une petite récompense. Viens me mettre ta queue dans la chatte et baise-moi. »
Je me précipite et plonge avec délice ma queue tendue dans ta chatte trempée.
« Oui, baise ta salope de femme qui te fais cocu, qui se fait enculer et baiser devant tes yeux. Venge-toi, défonce-moi la chatte,
baise-moi la gueule et remplis-moi la gorge de foutre ! J’aime me faire sauter par Jean mais je n’aime pas le goût de mister sperme.
C’est le tiens que je veux avaler ! »
Tu sens que je vais jouir. Tu t’échappes, prends ma queue dans la bouche et me branle à fond ! Je jute. Tu prends tout dans la
bouche puis te précipites pour m’embrasser à pleine bouche! Je sens ta langue pleine de foutre s’enfiler dans ma bouche puis tu
avales tout. Tu te calmes.
« Mmmhh c’était bon. A la douche. »
Je viens avec toi. On se savonne mutuellement et on se rince. Insensiblement, je sens tes mains appuyer sur mes épaules,
toujours plus bas. Une fois à genoux, tu approches ma bouche de ta chatte.
« Ouvre la bouche s’il-te-plaît…. »
Je m’exécute et un petit jet doré frappe mes lèvres.
« Je peux continuer ? »
« Ouiiii ! »
Tu te laisses alors aller et j’avale tout. Quand tu as terminé, tu écartes tes lèvres et je te sèche.
La journée s’écoulera sans que nous ne parlions de toute cela.

Il est 19h et le téléphone misterne. Tu réponds :
« Oui, salut Jean. »
« ….. »
« Bien sûr que je veux ! »
« …… »
« Sans problème, je lui donnerai tes instructions. »
« …. »
« Il a intérêt à accepter. A toute à l’heure, Je mouille déjà ! »
Tu m’appelles :
chrislebo

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#372
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Tu m'appelles:
« Chéri, ce soir nous avons rendez-vous au sauna avec Jean. Vas te raser les couilles et le cul. Quand ce sera fait, tu vas dans l’armoire et tu prends le gode spécial cul, le collier de chien et la laisse. Je t’attends. »
Je fais ce que tu m’as demandé et je viens vers toi, nu. Tu prends mes couilles dans les mains et t’assures que tout est bien rasé.
« Tourne-toi et penche-toi en avant. »
Tes mains écartent mes fesses et tes doigts tâtent mon trou.
« Bien, c’est propre. Maintenant je vais te préparer. »
Tu enfonces le plug dans mon trou.
« Tu vas le garder jusqu’à ce qu’on soit au sauna. Mets un pantalon, sans slip et un t-shirt. On y va »
Arrivés devant le sauna, nous attendons. Tu es assise à l’arrière et moi au volant. La porte arrière s’ouvre et Jean entre dans la voiture. Il t’embrasse lentement sur la bouche pendant que sa main se glisse dans ton soutien-gorge, pinçant la pointe de ton sein. Tu gémis. Je regarde dans le rétro et je vois ta main sur la braguette de Jean. Tu lui masses la queue à travers le tissu.
Il se retire et dit :
« Voilà comment va se dérouler la soirée : Yves tu vas rentrer dans le sauna en premier. Dans 15 minutes, nous entrerons à notre tour. Comme c’est un vestiaire mixte, quand nous entrerons, je veux te voir, à poil, avec une queue dans la bouche. Nous déshabillerons et nous irons dans le hammam. Après tu verras. Bon, maintenant vas-y et toi suces-moi.»
Au moment où je quitte la voiture, je te vois te pencher, me regardant dans les yeux, la pointe de ta langue posée sur le gland de Jean…
Je rentre en vitesse dans le sauna, entre dans les vestiaires, me déshabille et attend. Un homme arrive mais ne s’intéresse pas à moi, Le temps passe. Un 2ème homme entre. Je vois qu’il bande sous sa serviette mais une femme le suit. 13 minutes. Enfin un homme entre et s’approche du casier juste à côté de moi. Je vois sa bite par la fente du linge. Il bande légèrement. Sa jambe touche ma cuisse et y reste. Je pose ma main sur mister genou et commence à monter. 14 minutes. Je prends mon courage à deux mains et je glisse mes mains sous le linge, empoignant la queue qui maintenant est dressée. Il enlève mister linge et approche ma tête de mister gland. Je le gobe. Il est temps, j’entends vos voix dans le hall d’entrée. Je suce le gars maintenant en caressant ses couilles. Vous entrez dans le vestiaire et vous déshabillez. Je vois que Jean bande encore et que tes cuisses mistert brillantes de mouille. Après un dernier regard souriant dans ma direction, vous quittez les vestiaires. Je continue à sucer et le gars ne tarde pas à juter sur mon visage. Puis il s’en va. Un autre homme se présente dans le vestiaire.
« C’est toi Yves ? »
« Oui c’est moi. »
« Il paraît que tu as deux objets dans ton vestiaire. »
Je l’ouvre et j’y prends la laisse et le collier que je remets au mec. Il me place le collier, le ferme avec un petit cadenas et y croche la laisse.
« Au fait, ton cul doit être suffisamment ouvert maintenant. Retires le plug et viens. »
Nous travermisters le club, lui me promenant en laisse, nu. Nous entrons dans le hammam.
« A quatre pattes, chien ! »
Je m’exécute et nous entrons. Il fait très sombre et il y a de la vapeur. Je vous vois quand même. Jean est assis sur le banc et tu es assise sur ses genoux, lui tournant le dos, les cuisses écartées. Je vois que sa queue est enfoncée dans ton cul et ta chatte est grande ouverte. A part vous, il y a 3 hommes dans le hammam.
J’entends ta voix :
« Alors ma petite chienne, prête à sucer ? »
« Oui. »
« Bien. Messieurs, si l’un d’entre vous veut se faire sucer, qu’il écarte les cuisses. Mais avant, je veux que tu viennes me lécher. »
Je m’approche et je vois de près la grosse queue de Jean dans ton cul.
« Tu vois comme il me l’a mise profond dans le cul, c’est toujours aussi bon. Alors lèche-moi et profites-en pour lui lécher les couilles. »
Je m’applique et après 2 minutes je t’entends jouir.
" Va faire ton boulot maintenant! Regarde Jean, il va sucer d'autres queues que la tienne et il a l'air d'aimer ça!"
Toujours à quatre pattes je me glisse entre les cuisses du premier et je commence à sucer. De temps en temps je jette un coup d'œil dans ta direction. Tu commences à monter et descendre sur la queue de Jean.
Un des hommes se plante devant toi, la queue tendue. Tu l'embouches aussitôt en lui caressant les couilles!
Celui que je suce jouit et je reçois mister foutre sur mes seins puis il s'en va.
Tu me fais signe de venir et sans arrêter de t'enculer sur la queue de Jean, tu me montres les couilles de celui que tu suces pour que je les lèche. Nous nous activons tous les deux. Après quelques secondes de ce traitement, l'homme éjacule. Tu laisses sa queue et m'embrasse à pleine bouche, nos langues jouant avec le foutre. C'est alors que tu jouis.
"Venez tous les deux allons dans la cabine avec les trous!"
Vous marchez devant moi qui vous suis, en laisse. Après avoir fermé la porte de la cabine, Jean nous mets à quatre pattes, la bouche face aux deux trous dans la paroi. Immédiatement, il s'enfonce en moi et me pilonne en me tenant par les hanches. Tu mates en te branlant la chatte. C'est alors qu’une queue sort du trou qui est devant toi. Elle est noire et bande déjà… Tu me regardes et lentement tu l’embouches. Je suis jaloux. Toujours en me regardant dans les yeux, tu lèches, suce mordille.
"Regarde comme j'aime sucer… Je le ferai quand je voudrai, avec qui je voudrai et où je voudrai. "
La queue noire est très dure et longue. Tu te retournes et en me regardant toujours, tu t'empales lentement. Tu la sens écarter tes lèvres et petit à petit progresser dans ton sexe trempé.
"Si tu savais comme elle est grosse! Je voudrais qu'il me prenne en même temps que Jean…"
En entendant cela, Jean sort de mon cul et dit :
"Venez on va lui proposer la chose!"
Je crie:
"Nooon!"
Mais rien n'y fait. Il ouvre la porte et va trouver le black qui est tout de suite d'accord. Nous allons dans la petite salle avec le grand lit au milieu. Il ferme la porte vitrée pour les mateurs et se couche sur le dos.
"Allez ma salope viens sur moi."
Tu te mets à cheval sur sa queue et le black se positionne derrière toi. Son gros gland rose se pose sur ton anus et il l'enfonce lentement. Une fois bien en place, tous les deux commencent à bouger.
"Oui, baisez-moi, enculez-moi plus fort! Regarde comme ils me défoncent bien! J'aime les grosses queues!"
Je vous regarde. Malgré moi, je commence à me branler tant ma queue est tendue.
"Regardez-le comme il aime voir sa femme se faire mettre par tous les trous! Jean, tu me permets de le sucer? J'ai envie d'une queue dans la bouche!"
"Oui vas-y mais il a interdiction de jouir"
Je me précipite et t'enfile ma bite dans la bouche! Tu suces à fond en léchant mes couilles, sachant très bien que j'adore cela et que je ne pourrai pas tenir très longtemps.
Je me retire au dernier moment. Mais tu en veux encore et tu tires sur mes couilles pour garder ma queue dans la bouche. Et ce qui devait arriver, arrive. Je jute en criant. Tu avales tout en gémissant et en prenant ton pied avec les deux grosses bites:
"Vas t'asseoir dans un coin chien pendant qu'on finit ta gonzesse! Et gare à ta punition."
De ton côté, tu n'arrêtes pas de jouir et après quelques minutes, les mecs jutent dans ta chatte et dans ton cul. Après un peu de repos, tu viens t'asseoir sur ma bouche.
"Vas-y nettoie!"
Ce que je fais. Quand j'ai fini, nous ne sommes plus que les deux. Je lèche toujours. Tu te penches en avant et prends ma queue en bouche. Nous jouirons comme ça en 69…
chrislebo

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#373
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Du rève à la réalité.



Gérard reçoit un coup de fil sur mister lieu de travail.
- Salut, ma petite lopette, c'est Guy. C'est pour te dire que je viens passer deux jours
chez toi la semaine prochaine. J'arrive vendredi.
- C'est à dire que....tente de répondre Gérard.
- Ne m'oblige pas à venir t'humilier à ton boulot, menace Guy.
- Bon d'accord, calme toi, accepte Gérard.
- Très bien, poursuit Guy, tu sais dans quelle tenue je veux que tu m'accueille, hein?
Et d'être sage et obéissant, compris?
- Compris, répond Gérard.
Le vendredi, à vingt heure, on misterne à la porte. Gérard est vêtu d'un long pull, qui lui arrive
au ras des fesses. Il est tout nu dessous.
- C'est ouvert, crie-t-il.
Guy rentre, pose ses affaires dans le hall. Il ferme à clés derrière lui, et se met entièrement
nu. Il s'approche de Gérard, le prend par la taille, et l'embrasse dans le cou.
- Alors, ma petite chatte, contente de me voir? Demande Guy.
Il saisit un testicule dans chaque main.
- Mais les couilles mistert pleines, constate Guy en les serrant. Et le gland? A, çà va, tu l'a
couvert.
- Aie..aie., pas çà, supplie Gérard, me les serre pas, j'ai fais comme tu m'as dis.
- C'est dommage que tu n'est pas une petite chatte, regrette Guy. Mais ton petit trou me va
très bien. Tu vas voir, on va passer une bonne nuit, n'est-ce pas?
- Oui, tu feras ce que tu voudras de moi, répond Gérard.
- Oh là, tu es bien raide d'un coup, remarque Guy. Viens t'asseoir sur mes genoux, je vais
te soulager un peu.
Guy le tire par les couilles, jusqu'à une chaise du salon.
Une fois Gérard en place, jambes bien écartées, Guy commence mister rituel d'offense.
Il soupèse les couilles, les faisant sauter dans ses mains, jouant avec les testicules, puis
remonte jusqu'au bout de la queue. Le gland est bien calotté, comme Guy l'avait demandé.
Gérard ferme les yeux. Il attend la suite.
Avec deux doigts, Guy saisit le prépuce et le fait rouler. Il rentre mister pouce par la peau,
jusqu'au méat, qu'il gratte doucement.
- Oh putain, mais c'est bon ce que tu me fais, gémit Gérard. Sors le, s'il te plait.
- Petit vicieux, sourit Guy, tu te régales, Hein, tu veux que je te décalotte, c'est çà?
- Oui, oui, s'il te plait, caresse moi le bout, vas-y.
Très lentement, comme à mister habitude, Guy fait coulisser le prépuce sur le gland, jusqu'à
ce qu'il soit entièrement décalotté.
Ce passage provoque chez Gérard, d'énormes soupirs. Il avance mister bassin pour faciliter
la manoeuvre.
- Ben voilà, mon trésor, ironise Guy, tu veux que je le fasse pleurer maintenant?
- Vas-y, fais le cracher ce salaud, hum! J'aime ce que tu me fais, chéri.
La main de Guy s'active de plus en plus sur la queue de Gérard. Il est prêt, il va venir.
- Ha..ha..comme tu me branle bien, hou...hou.
- Tu m'avertis quand tu crache, d'accord? demande Guy.
- Tu sens pas que je viens, gémit Gérard, çà y est, je joui.
De power, Guy incline la tête de Gérard vers mister sexe. Il guide la queue face au visage.
- Ouvre la bouche, ordonne Guy.
Gérard obéit, et reçoit sa propre semence au fond de sa gorge.
- Et hop, une pour papa, ajoute Guy. Allez, avale moi bien tout çà. Puisque tu as été sage,
Tu en auras encore.
Guy nettoie le bout du gland avec mister pouce, et le fait sucer par Gérard, entièrement soumis. Une larme perle même sur sa joue.
- A moi, dit Guy, taille moi une pipe, allez, à genoux, petite tapette. Et que tout soit bien
propre.
Gérard saisit la queue de mister maitre du bout des lèvres, puis l'avale entièrement.
Il entame sa fellation. Il sait que mister amant aime çà.
Deux minutes après, les jets de sperme affluent dans la bouche de Gérard. Guy ricane en
lui tenant la tête appuyée jusqu'à toucher ses couilles
- Et hop, une pour maman. C'est bien mon chou. Allez, une petite douche, et au lit. Je te
ferai voir ce que je fais aux femmes. Bien sur, tu feras la fille. Au fait, je t'ai pas dis, demain,
il y a Julia qui passe nous voir.
- Non, supplie Gérard, elle va me faire souffrir?
- Non, rassure Guy, juste jouer un peu.
Gérard va gémir, crier, pleurer, jouir une grande parti de la nuit.
Guy va lui donner des coups de queues dans toutes les positions.
C'est même Gérard qui supplie mister amant de l'enculer.
chrislebo

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#374
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Début de ma vie d'esclave sexuelle



Bonjour,
Je vous écris pour raconter mes aventures sexuelles.C'est le genre de choses qu'on évoque pas en société,j'en parle donc ici .Voilà,le début de ma vie d'esclave sexuelle.

Je m'appelle Julienne,20ans,95D,1m72, je suis une fille plutôt jolie.
En couple depuis plus de 2 ans, j'ai voulu surprendre mon homme le soir de la saint valentin,à cette occasion,je me suis acheté sur internet un magnifique bustier,seins nus,porte jarretelles, noir avec des lacets rouges.
J'avais prévu de commander chez le traiteur pour le dîner,j'étais donc libre de me préparer tranquillement en attendant l'arrivée de Ryan,mon fiancé.
En rentrant de l'institut après ma séance d'épilation intégrale,je me suis arrêter dans un sex shop et je nous ai pris un film de cul qui d'après le vendeur était très intéressant,
J'ai mis un chemisier blanc au dessus de mon bustier,une jupe rouge très courte,au ras des fesses,ainsi que des bas noirs et des cuissardes à talon,le tout sans sous-vêtements bien sûr.Mes cheveux mi-longs lachés et un léger maquillage,j'étais prête.
Ryan misterna à 19H,précis comme d'habitude.
Quand je lui ouvris,il fut surpris par ma tenue, je ne m'étais encore jamais habillée de façon aussi provoquante.
Il m'embrassa et passa sa main sous ma jupe,je sentis mister étonnement en découvrant que je n'avais pas de petite culotte.Il en profita pour me doigter comme ça dans le couloir de l'immeuble,j'avais peur que quelqu'un nous surprenne mais j'avoue que ça m'excitait encore plus.
Cependant je tenais à ce que la soirée suive mister cours comme je l'avais prévu,je lui proposai alors de rentrer regarder le dvd que j'avais acheté.Visiblement déçu,il accepta résigné.
Nous nous sommes installés sur le lit et j'ai mis en route le film.Au bout de quelques secondes,il a vite compris de quoi il s'agissait,il commença alors à me caresser la poitrine et entrepris de me déshabiller,je l'arrêtai en lui disant qu'il fallait d'abord qu'il m'attache au lit avec les cordes que j'avais installé aux quatre coins,il refusa en prétextant avoir une meilleure idée,je me suis laissé faire et il m'a installée sur une chaise, m'a attachée les mains dans le dos,les jambes aux pieds des chaises,il attacha ensuite chacun des mes seins,je mouillais de plus en plus.Il me mit mister sexe dans la bouche et en profita pour tirer sur mes tétons,la douleur céda place au plaisir,il continua jusqu'à jouir dans ma bouche,en maintenant ma tête pour que j'avale.
L'air satisfait,il se retira,attrapa un foulard et le bandai les yeux,j'ai commencé à me débattre,me demandant ce qu'il allait faire,et là il plongea deux doigts dans ma chatte trempée et commença à me sucer les seins,j'ai commencé en jouir,il s'interrompait entre deux,ne me laissant pas atteindre l'orgasme,ça en devenait énervant.
Ensuite,il défit les liens et m'allongea sur le lit.Il m'ordonna de me mettre à quatre pattes,et là,il me pénétra la chatte d'un coup,il se mit à me baiser violemment,tout en me donnant des claques sur les fesses et sur les seins,j'étais comblée.
Puis il s'arrêta,et de ses deux mains écarta mes fesses,j'ai dit non car on ne l'avais encore jamais fait,mais il m'encula avant que je n'ai finit de protester,ça faisait mal,mais au bout de quelques va et vient,j'ai commencée à ressentir du plaisir,il a joui dans mon cul et en se penchant à mon oreille,me promit que désormais nos relations sexuelles allaient changé.
Mais ça,c'est une autre histoire..............
chrislebo

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#375
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Ma belle mère



Mon père s'est remarié il y a 5 ans avec une jeune femme de mon age. Sans doute pour être mieux loti sexuellement parlant. J'ai 25 ans et à power de voir cette fille faire des manière de chatte, je me demandais ce qu'elle avait dans le ventre, a mon avis du feu. Mon père ne pouvait pas physiquement s'occuper de satisfaire les besoins de sa femme. Un jour à 60 ans passé, mon père a du être hospitalisé en urgence pour une affaire cardiaque assez importante. Nous nous faisions tous du mauvais sang jusqu'à ce qu'il sorte de réanimation. Son état était très sérieux et il devait se reposer en maimister spécialisée pendant de longs mois.
Ma belle mère s'est donc retrouvée seule avec moi à la maimister.
Son appétit sexuel restait important surtout que les semaines s'était écoulée sans qu'elle ait pu avoir de rapport.
Un soir en allant me coucher elle avait laissé la porte de sa chambre ouvrerte, je n'ai jamais su si c'était volontaire. La lampe de chevet était allumée et je l'ai vu , nue, se masturber. Je restais interdit mais de voir cette jolie femme se branler m'a fait bander. Mais je n'intervenait pas: c'était l'épouse de mon père.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, elle me demandait si je n'avait rien vu hier au soir qui aurait du m'intriguer. J'ai fait l'imbécile et répondit que la veille au soir j'étais beaucop dans les nuages. Elle me regardait d'un air étonné. Le soir après le repas elle me dit que sa solitude involontaire lui pesait beaucoup. Nous avons regardé un film à la télé et elle s'est assise près de moi, le jambes écartées; penchée en avant. Brusquement elle se mit une main sous la robe et du coin de l'oeuil je la voyait faire; sa main était sur mister sexe et s'agitait: elle se branlait à coté de moi sans pudeur.
Je bandais et osais le lui dire: tu est en train de ma faire bander. A mister tour, jouant l'idiote elle me dit, c'est pas vrai, il faut que je vois ça. Je me suis mis debout devant elle et j'ai sorti ma bite. Elle me regardait, inspectait mon sexe et comme elle était penchée, ma pine se trouvait à quelques centimètres de sa bouche. Elle se penchait un peu plus et avec une habileté diabolique s'est mise à me sucer. Je commençais à aller vers un bel orgasme et elle s'en rendait compte en arrêtant sa fellaton. Elle se levait pour qu'on échange un baiser qui fut incendiaire. Nous nous sommes mis nus.
La partie de jambes en l'air commençait. Je ne savait pas trop comment faire pour baiser la femme de mon père. Elle avait jeté tous ses principes en l'air: Elle m'avouait qu'avec mon père les relations sexuelles étaient rares. Elle se masturbait souvent pour pallier le manque de baise. Elle désirait depuis longtemps que je lui fasse l'amour, mais qu'elle n'avait pas oser me le demander. Je la repoussait sur le divan où elle restait assise les jambes écartées.J'en profitais pour mettre ma tête entre ses cuisses à la recherche de mister trésor que je trouvais facilement. Je la suçais pendant plusieurs de ses jouissances. Mais après avoir gouté mister con je voulais la baiser. Elle n'a pas voulu: elle voulait finir de me sucer, parce qu'elle aimait le sperme.
J'ai jouis dans sa bouche et je voyait une partie de mon sperme s'écouler au bord de ses lèvres: elle le lèchait entièrement.
Pour me faire arquer à nouveau elle se branlait encore une fois, prenait ma bite dans la bouche en me mettant deux doigts dans le cul. Je bandais sec à nouveau. Je lui demandait ce qu'elle aimerait maintenant: dans le cul, c'était la seule réponse qu'elle me donnait: dans le cul.Pourquoi pas, j'aimais bien enculer une fille alors pourquoi pas ma belle mère.
Elle se mettait à genoux le torse allongé sur le divant et écartait ses fesses avec ses mains. C'était érotique au possible. Je posait le gland sur mister joli petit trou et très lentement j'y pênètrais. Je lui caressais les seins en l'enculant. Je ma régalais, et elle me disait vas-y enfonce moi ta bite à fond, que je sente tes couilles sur les fesses. Nous avions eu un orgasme terrrible.
Nous baisions plusieurs fois par jour. Elle avait pris l'habitude de restée nue 24 heures sur 24.. Pour elle s'était la meilleur façon de rester à la disposition de ma bite ou de ses masturbatons. Pour moi s'était commode: je n'avait pas à chercher bien loin un sexe féminin. Je la baisait souvent; mister con était agréable pout recevoir mon foutre.
Mon père a guerrit. Mais ils ne pouvait plus baiser. Ma belle mère a préféré divorcer, plutôt que de rester avec sous le même toit un mari incabable de lui faire l'amour et un garçon qui la baisait.
chrislebo

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#376
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Emma se lâche




Je m’appelle Thomas, j’ai 30 ans et je vis depuis cinq ans avec Emma, de deux ans ma cadette. Nous habitons une petite ville de Province et menons une vie parfaitement simple, qui nous a toujours semblé harmonieuse.

Sexuellement parlant, ce n’est sans doute pas le top, mais c’est déjà très bien. Nous faimisters assez souvent l’amour, à des moments et dans des endroits inattendus.

Bien sûr, je pourrais me plaindre, car Emma ne veut pas satisfaire à tous mes fantasmes, mais je pense que c’est « normal ». Elle n’aime pas la sodomie et refuse obstinément d’avaler. Et ce n’est même pas la peine de lui parler d’amour à trois.

Avec le temps, j’ai pris conscience que ce genre de choses, si elles devaient arriver un jour, ne seraient pas « programmées », qu’elles se produiraient, presque naturellement, à un moment où les circonstances s’y prêteraient.


Mais l’histoire qui suit tend à prouver que je me trompe.


Un samedi après-midi, alors que nous n’avions rien de prévu et que j’étais écroulé devant la télévision, Emma s’approche de moi avec un sourire infiniment vicieux que je ne lui ai jamais vu.

— Tu as quelque chose de prévu, cet après-midi, mon amour ? me susurre-t-elle.
— Non, rien de spécial, réponds-je, lui souriant aussi en retour.


Elle m’arrache la télécommande des mains et éteint le poste, puis vient s’agenouiller à califourchon sur mes cuisses. Elle m’embrasse longuement, langoureusement. Je réponds à ses baisers par des caresses sensuelles sur ses hanches et ses fesses. Je sens déjà mon sexe se durcir.

Mais elle se redresse légèrement et m’écarte vivement les bras qu’elle maintient écartés sur le canapé.

— Non ! C’est moi qui commande et tu vas devoir obéir ! me fait-elle, presque hargneusement.


Je la regarde, surpris de la voir ainsi.

— Tu peux encore refuser, poursuit-elle plus doucement. Mais si tu acceptes, tu devras faire tout ce que je te demanderai. Alors ?
— Et qu’est-ce que tu as en tête ?
— Ça tu ne le sauras qu’après…


J’hésite un court instant, mais ses quelques paroles ont finalement achevé de m’exciter.

— J’accepte, ma puce. Que dois-je faire ?


Souriant, elle se relève et me saisit par la main.

— Viens, suis-moi.


Je me lève et accompagne donc Emma jusqu’à notre chambre, où elle a posé sur le lit quatre paires de menottes, le genre qu’on trouve en sex-shops.

— Je ne savais même pas qu’on avait des trucs comme ça… observé-je en la regardant. Je suis pas trop fan de ces machins-là, tu sais.
— Tu peux encore refuser, me rétorque-t-elle encore une fois en frottant doucement ses fesses contre mon entrejambe.


Mais non, je n’ai pas envie de refuser. Je lui souris.

— Et alors ? Où veux-tu m’attacher ?


Et tandis que je lève les yeux en cherchant où elle pourra le faire, j’aperçois une grosse chaîne pendant le long d’un des murs, où elle semble solidement arrimée.

— Mais qu’est-ce que c’est q… commencé-je, inquiet.
— D’abord, tu vas te déshabiller, me coupe sèchement Emma.
chrislebo

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#377
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J’hésite un instant, puis, l’excitation prenant le dessus, m’exécute, rapidement. Elle me regarde faire puis branle rapidement mon sexe légèrement gonflé. Je lui repose ma question. Elle ne répond rien et se contente d’ouvrir une des menottes qu’elle passe autour de mon poignet droit. En montant sur une chaise à côté de moi, elle attache mon bras tendu en l’air à un tuyau du chauffage central qui passe le long d’un mur, refermant l’autre menotte entre deux colliers de serrage. Je la regarde faire, plutôt amusé. Sans un mot, elle attache mon pied droit à ce même tuyau, tout en bas. Puis, m’obligeant à écarter amplement les jambes, elle arrime ma cheville gauche à un des pieds du lit.

Je n’ai plus que mon bras gauche de libre mais n’ai déjà plus qu’une marge de manœuvre réduite. Alors elle referme la dernière menotte sur mon poignet gauche et la tire pour aller l’accrocher à la chaîne qui pend du mur.

Je la laisse faire, encore amusé, puis me débats quelque peu pour tester la solidité de mister procédé. Mais il n’y a pas à dire : ça résiste. Ça résiste même trop. Un doute m’envahit…


Mais elle ne me laisse pas le temps de m’inquiéter ou d’imaginer quoi que ce soit et déclenche immédiatement les hostilités : en me regardant, elle se déshabille lentement, sensuellement, en se déhanchant exagérément. Après avoir retiré mister tee-shirt et mister soutien-gorge, elle se cambre au maximum en retirant doucement mister jean, et s’approche tout près de moi. Ses seins lourds et nus mistert tout près de mon visage. Je fais un mouvement brusque pour essayer d’en approcher mes mains, mais, maintenu par les menottes, je ne parviens à les bouger que de quelques centimètres.


En voyant que mister dispositif est redoutablement efficace, elle ne peut s’empêcher de sourire. Puis elle se met à se caresser lascivement en achevant de se dévêtir. Elle s’approche encore et vient frôler mon corps, collant presque d’abord ses seins à mon torse, puis effleurant mon sexe tendu de ses fesses qu’elle s’amuse à osciller juste sous mon nez.


Je bande à tout rompre et n’ai qu’une envie : qu’elle s’occupe de moi plus sérieusement. Mais à présent nue, elle s’éloigne jusqu’à sa table de nuit d’où elle sort, sous mes yeux sidérés, un long et épais godemiché rose pâle, parfaite imitation d’une verge bandée, mais bien plus grosse que la mienne. Et elle revient devant moi avec mister trophée à la main.


Je ne savais absolument pas qu’elle avait un jouet comme ça. De le savoir, de l’imaginer déjà l’avoir essayé, ou même régulièrement jouer avec, me propulse dans un état d’excitation que je n’ai jamais connu encore. Elle vient se coller à moi, pressant mister ventre contre mon sexe raide comme du béton et me dépose un baiser. Dans un réflexe, j’essaie encore de refermer mes mains sur elle, mais je suis presque parfaitement immobilisé. Elle s’avance sur la pointe des pieds, pour me susurrer à l’oreille :

— J’adore me caresser avec ça…


Et elle passe le gode le long de mon visage, frôlant mes joues. Il est vraiment très gros, je suis impressionné. Elle fait virevolter le gland imposant sur mes lèvres ; mais comme je recule la tête, elle se met à le sucer doucement juste sous mon nez. Ses lèvres glissent lentement autour tandis qu’elle ferme les yeux et soupire.

Je tente de remuer mon bassin pour me masturber comme je le peux sur mister ventre, mais, s’apercevant de ma manœuvre, elle s’écarte vivement de moi et m’affirme encore :

— C’est moi qui déciderai quand tu pourras avoir du plaisir !


Je plisse les yeux et lève les sourcils dans un soupir de pitié, mais elle sourit odieusement et reprend sa fellation sur le jouet qu’elle tient toujours. De sa main libre, elle caresse ardemment sa poitrine gonflée, excitant soigneusement ses tétons.


À plusieurs reprises, je me crispe et mon sexe soubresaute devant moi, sous ses yeux toujours plus ardents. Je tente encore une fois de me libérer, mais rien ne cède. En me regardant, amusée, elle passe alors lentement le gode tout le long de mister corps et dirige mister autre main jusqu’entre ses jambes qu’elle écarte quelque peu. Je devine mister majeur tournoyer doucement en haut de sa raie et descendre régulièrement s’immiscer dans mister sexe que j’imagine trempé.

chrislebo

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#378
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Elle me lance un regard de braise et mène mister jouet jusqu’entre ses cuisses ouvertes. Je la vois fermer les yeux et retenir sa respiration en se crispant ; elle est en train d’enfoncer lentement, très lentement, l’objet dans mister vagin, sans doute peu habitué à recevoir de telles dimensions.


Ma verge est tendue et gonflée comme jamais, pointée vers Emma qui prend un infini plaisir à faire durer longuement cet instant d’extase. Je me rends compte que je transpire et tente de pencher la tête pour venir l’éponger contre mon épaule. Mais même cela m’est difficile.


Emma rouvre enfin les yeux et se laisse tomber en arrière sur le lit, cuisses toujours ouvertes. Et elle se met à se masturber avec vigueur, faisant mouvoir en elle le sexe factice dans d’amples et rapides va-et-vient, qui lui arrachent chacun un gémissement de bonheur.


Elle s’arrête au bout d’une ou deux minutes pour regarder dans quel état je suis. Et quand elle constate mon état d’excitation et de frustration, elle reprend encore plus intensément sa masturbation. Elle se baise littéralement avec le gode qu’elle dirige d’une main, tandis que de l’autre elle fait tournoyer à toute allure mister clitoris.


Je me débats encore ; pourtant je sais maintenant que je ne parviendrai pas à me libérer, mais c’est plus fort que moi. Comme un réflexe.


Elle accélère encore ses mouvements et elle hurle à présent. Elle peine à maintenir ses yeux ouverts fixés sur moi. Je gémis, d’envie et d’impuissance, de rage…


Et soudain elle pousse un long cri ; mister corps se crispe à plusieurs reprises tandis qu’elle agite encore deux ou trois fois ses mains entre ses jambes, violemment. Et puis elle se fige dans une sorte d’expression de douleur, quelques secondes, pendant lesquelles mister cri s’achève.


Je suis au bord de l’explosion. J’ai l’impression qu’il suffirait qu’on me touche la verge pour que j’éjacule.


Emma se détend soudain en poussant un long et profond soupir. Elle retire le gode d’entre ses jambes et s’allonge, les bras en croix sur le lit, ses yeux mi-clos posés sur moi. Elle me sourit. Je meurs d’envie d’elle ; je ne parviens plus à me maîtriser.

— Je t’en supplie, mon amour, murmuré-je. Viens, laisse-moi m’occuper de toi…
— Tu as aimé me voir jouir ? me demande-t-elle innocemment en retour, sans même se redresser.
— J’ai adoré te voir jouir ! rugis-je presque. Et je vais te faire jouir encore ! Viens…
— Tu es excité ?


Je réponds malgré moi par une sorte de grognement qui doit en dire long sur mon état. Elle se relève enfin et s’approche de moi, mister gode toujours à la main. Je tente de m’approcher d’elle encore, de venir toucher mister visage de mes lèvres. Mais elle reste juste à la bonne distance et me *** encore :

— T’t’t’t’t’t’t, je n’en ai pas fini avec toi…


Elle lève mister gode luisant jusque devant nos deux visages.

— Tu as vu ? me demande-t-elle ingénument.


Mes yeux doivent tourner en tous sens et mon expression passer du désir furieux à la hargne. Et avant que je ne réponde quoi que ce soit, elle le lèche doucement sur toute sa longueur.

Je tente encore de venir frotter mon sexe contre elle, mais je n’ai que trop peu de liberté de mouvement pour même l’effleurer.

Et elle approche lentement le gland suintant de mon visage. Les yeux sans doute fous, j’ouvre fiévreusement les lèvres et laisse Emma m’enfoncer tout doucement mister gode immense, odorant de mister plaisir récent.

Elle me baise un instant la bouche, puis, escaladant le lit et passant entre les menottes maintenant tendus mon bras et ma jambe gauches, vient se placer juste derrière moi, collée à moi. Je sens ses gros seins s’appuyer contre mon dos. De sa main droite, elle me renfonce le gode entre les dents. Je le pompe de nouveau.

— Allez, suce, suce-moi ! murmure-t-elle. Allez ! Bien profond ! Mieux que ça !


Elle passe sa main libre autour de ma hanche gauche et vient caresser doucement mes testicules gonflés. Mais elle prend bien soin de ne pas toucher ma verge. Je me déhanche encore pour la diriger sur sa main, mais elle l’écarte alors et appuie davantage sur le gode. Je penche la tête en arrière mais ne parviens pas à m’en libérer. Et à nouveau, elle me baise la bouche, rapidement, vulgarement, mais suffisamment peu profondément pour que je n’étouffe pas.


Et sa main gauche descend maintenant entre nos deux corps, caresse un instant mes fesses. D’un doigt, elle cherche mon anus et tente bientôt de s’y enfoncer. Je me déhanche encore mais ne me débats plus. Je suis au comble de l’excitation, mon sexe est tendu à bloc. Jamais je n’aurais imaginé qu’Emma puisse se comporter ainsi. J’ai envie de continuer ce jeu, j’ai envie de m’abandonner définitivement à elle. Qu’elle fasse ce qu’elle veut de moi.


Elle doit le sentir car elle chuchote :

— Je crois que tu es à point, j’ai très envie de t’enculer, tu sais ?


Dans un réflexe, je serre les fesses autour de mister doigt qu’elle est parvenue à entrer ; ma verge est tellement gonflée qu’elle n’oscille qu’à peine lorsque je me crispe et me détends successivement à plusieurs reprises au rythme de ses doigtés.


Elle s’écarte quelque peu de moi et je sens soudain un liquide tiède couler en bas de mon dos. Je parviens à remuer et à tourner suffisamment la tête pour constater qu’elle est en train de me cracher dessus ! Et sa salive coule lentement sur mes reins.

Elle presse une fois encore plus fort sur le gode pour m’obliger à ne plus chercher à voir derrière moi. Elle crache à nouveau, sur ma fesse gauche, cette fois-ci. Elle retire mister doigt de mon anus et l’utilise pour récupérer toute sa bave qu’elle étale consciencieusement sur l’entrée de mon rectum.

Et l’instant d’après, c’est deux, puis trois doigts qu’elle enfonce presque facilement en moi. Je me tortille, me déhanche autant que possible. Et je gémis, je couine misérablement sous l’action de ses phalanges.

Elle retire sa main, crache encore, étale encore sa salive. On dirait même qu’elle la pousse à l’intérieur de moi.

Et puis, enfin, elle enlève de ma bouche l’énorme gland en plastique.

— Putain, Emma ! J’en reviens pas comment t’es salope ! beuglé-je entre deux soupirs qu’elle m’arrache en me doigtant l’anus.
— Et encore… t’as rien vu ! souffle-t-elle.


Je tente de tourner la tête pour la regarder, mais je ne peux que la deviner du coin de l’œil.

— Je t’en supplie, Emma, fais-moi jouir ! Suce-moi ! Ou branle-moi ! Fais ce que tu veux, mais fais-moi jouir !
— Non non non ! fait-elle, un sourire dans la voix. Je vais d’abord t’enculer… et si j’aime ça, on verra…


Je pousse une sorte de grognement en réponse au moment où je sens qu’elle appuie fermement le gode contre mon anus. Elle referme sa main gauche sur mes testicules gonflés qu’elle maintient serrés, comme pour m’empêcher tout mouvement.

Je ne résiste pas et laisse faire Emma, poussant même, écartant les fesses et ouvrant mon anus au maximum pour faciliter le passage de cet énorme engin.

Et je couine et soupire violemment par saccades quand elle parvient finalement à me pénétrer, tout doucement, poussant mister gode massif en moi de quelques centimètres.

Puis elle se met à le remuer doucement, à l’agiter d’avant en arrière, de bas en haut, à le faire aller et venir dans mon anus. Et elle garde sa main fermée sur mes bourses comprimées. Mes mouvements mistert limités, saccadés. J’ahane à chacun de ses gestes.

Je sens mister souffle chaud dans mon cou. Je n’en peux plus. J’ai envie de hurler. De rage, de plaisir et d’impuissance.


Et enfin, soudain, sans lâcher mister arme qui dépasse de mes fesses, elle repasse devant moi et s’agenouille à mes pieds. Je fais des efforts désordonnés pour tenter d’enfoncer mon pieu tendu dans sa bouche, mais elle évite soigneusement toutes mes tentatives. Et elle continue de me sodomiser avec malice.

— Je t’en supplie, Emma… me plains-je.


Elle ouvre grand la bouche à quelques centimètres de mon gland prêt à exploser. Je me dandine encore en bramant. Elle accélère le rythme du gode qui me défonce toujours. Je suis crispé de partout, cherchant par tous les moyens à minimiser ma frustration.


Et elle avance finalement quelque peu sa tête et referme enfin, enfin, ses lèvres sur mon sexe en feu. Je me déhanche le plus possible pour faire glisser ma verge dans sa bouche.

Et trois ou quatre allers-retours suffisent. Dans un grand hurlement libérateur, poussé au paroxysme de l’excitation par toute sa mise en scène, et par mister gode maléfique, je me vide par saccades ; le sperme jaillit dans la bouche d’Emma, qui prend soin de ne pas en perdre une goutte et darde dans mes yeux fous les siens, espiègles.


Mon cœur bat la chamade et je transpire à grosses gouttes. Je commence à avoir mal aux poignets et aux chevilles. Je reprends doucement mon souffle.

J’expulse lentement le gode qu’Emma a enfin lâché et qui tombe et roule à terre derrière moi. Elle se relève, gardant soigneusement la bouche fermée. Et une fois debout devant moi, à ma hauteur, quand je suis enfin quelque peu apaisé, elle déglutit ostensiblement à deux reprises.

Je pousse encore une sorte de soupir ou de râle de contentement et d’incrédulité.


Emma se baisse pour ramasser le gode.

— Tu es incroyable ! lâché-je enfin.


Elle ne répond rien. J’attends qu’elle me libère. Mais elle s’éloigne vers la salle de bains jouxtant notre chambre, où je l’entends ensuite apparemment laver l’objet.

— Euh… Emma ? Tu veux bien venir me détacher ?


Sa voix narquoise me répond depuis la pièce voisine :

— Tu plaisantes ? Je suis loin d’en avoir terminé avec toi…
chrislebo

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#379
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Education de mes seins


Mon maître auquel mon corps appartient, sait que mes seins bien qu'ils soient petits 85 B mistert très sensibles et sensibles aux moindres éffleurements.
donc aujourdh'ui, il a décidé de jouer avec, tout d'abord comme il se doit , je suis appuyée aux mains, bras en croix et attachés, idem pour les jambes, je suis écartelée, et ligotée, je suis à sa merçi, je ne peux crier, puisque pour la première fois il m'a baillonnée, je le vois s'approcher avec un matériel que je ne serais décrire exactement, tant je suis effrayée, effrayée et en même temps je sens mon bas ventre qui s'affolle, mes seins qui se durcissent, c'est contractoire chez moi, cette peur de ce qu'il va me faire, et en même temps, ce plaisir que je ressents, d'être ainsi maitrisée dans ma chair, parfois meurtrie.
Donc il s'approche, met à chaque tétons une sorte d'épingle à linge, maintenue par une ficelle, la douleur est vive lorsque mes tétons ressentent le clip de l'épinge, mais ils s'affollent, deviennent durs, il s'éloigne de moi, et commence à tirer les épingles par le bout de la ficelle, je ne peux retenir mes larmes, de douleur mélée de plaisir.
je m'en veux toujours autant de ne jouir que dans cette souffrance mélée au plaisir.
il le sait et en use.
demain j'ai ordre d'aller sur le parking du restaurant routier, vétue uniquement d'un impérméable que je devrais déboutonner tout en restant dans ma petite austin, et de m'enfoncer une carotte dans le sexe, les cabines des camioneurs, mistert hautes, il me verront inéluctablement, j'en ai honte, car si la souffrance me fait jouir, l'offense de l'exibissionniste je déteste, mais je dois lui obéir, chaque soir avant de me coucher je dois m'ancrer cette phrase dans ma tête, je suis la propriété de Maitre Alain, il à tout les droits sur moi, même celui de m'offrir comme cadeau lorsque il pert au poker, il l'a fait dernièrement, allongé sur le billard de cette salle de café, il à fait exprès de perdre, et à chaque fois je devais subir les assauts de ces hommes qui me pénétraient avec brusquerie, qui entraient et sortaient de moi, pour assouvir leur désir, me malaxaient les seins de leurs doigts rugueux , pendant ce temps il me regardait, avec un regard doux, je ne pouvais qu'accepter d'être encore réduite à l'état de trou béant.
chrislebo

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#380
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ma première scéance de soumission



je me présente brièvement, femme de 48 ans divorcée, 1 fille qui va bientôt quitter le nid.
cela fait trois ans, que je n'ai eu de relations sexuels.
jusqu'au jour, ou je rencontre Monsieur Alain, il à 12 ans de plus que moi, notre première rencontre se fait dans le cadre du travail, je suis décoratrice, lui architecte.
Au premier regard, j'ai su que j'allais me donner totalement à lui...
je n'avais jusqu'a là aucune expérience dans le domaine sado-maso, juste un petit fantasmes.
jusqu'au jour ou je recois un message de lui, me donnant RDV dans un hotel de la ville, et me précisant de venir vétue en jupe, chemisier.
lorsque je pénètre dans la chambre, il est déja là, assis confortablement dans un fauteuil.
d'emblée il me demande de serrer les jambes et de mettre les mains derrière le dos, je m'exécute, j'éxécuterais toutes ses demandes...
ensuite il me demande d'écarter les jambes, puis de me mettre à genoux jambes écartés, toujours mains derrière le dos, puis me demande de me mettre à quatre pattes, jusqu'à là, ca va je suis toujours habillés, ensuite il me fait relever, me demande d'enlever ma jupe, mon chemisier, je suis en slip et soutien gorge et je dois reprendre les positions premières, à genoux jambes écartés, à quatre pattes, puis à nouveau debout, là je dois enlever slip et soutien gorge, je me sens de plus en plus mal nue devant mister regard impassible, et je dois a nouveau recommencer la position à genoux jambes écartés, à quatre patte.
je suis nue, offerte à quatre patte comme un natural, il se lève je le sens derrière moi, je sens sa cravache qui joue violon avec mon sexe, puis subitement une brulure sur mes fesses, se mistert les lanières de mister martinet, c'est chaud et brulant, je voudrais résister mais mon sexe s'humidifie.
cela cesse, il me fait à nouveau mettre à genoux, me demande d'écarter les jambes, de m'introduire un doigt dans le vagin avec une main, et de l'autre main m'introduire un doigt dans l'anus, de baisser les yeux et de répéter 10 fois j'appartient à mon maitre et lui doit obéissance.
fin de la première scéance qui ne sera pas la dernière,

chrislebo

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#381
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ma deuxième scéance de soumission



Deuxième scéance, ce ne sera pas encore pour cette fois ou je serais pénétrée, il fait monter la tension, lorsque j'arrive dans la chambre comme à mister habitude, il est assis dans le fauteuil club en cuir.
de suite il me demande d'enlever ma robe, comme il me l'a exigé au tel, je ne porte pas de sous-vêtement, et je me suis fait épiler mon sexe, je me sens ridicule, à 48 ans... il me demande de m'adosser au mur bras et jambes en croix, il me regarde longuement puis s'avace vers moi, il à un glaçon à la mains, qu'il passe sur mes tétons, j'ai de tout petit seins, mais ceci pointe immédiatement, sur ce froid, il descend le glaçon le long de mon ventre, et soudain me l'introduit dans mon vagin, le froid, me procure une sensation de brulure, douleureuse en mêm temps que délicieuse.
je halète, je suis en train de jouir, il me demande de me retourner le long du mur, toujours bras et jambes écartelés, j'ai eu le temps d'apercevoir le bouquet d'orties dans ses mains gantés, et là je suis flagellés par cette brassé d'orties, qui s'abat sur mes fesses, pour les rendre rouge et brulante.
j'ai envie qu'il me prenne, il ne le fera pas, c'est cela pour lui ma soumission, m'amener à l'extase, me faire attendre.
il m'ordonne que jusqu'a notre prochaine rencontre qui doit se dérouler dans 2 jours de m'astenir de toute masturbation et de dormir sur le dos, nue bras et jambes en croix, je ne résisterais pas à me caresser, et je serais punie pour cela,
lorsque 2 jours plus tard, je lui avoue, que je me suis caressé, il m'a obligé a aller dans une grande surface, de me deshabiller dans la cabine et de me caresser, le clitoris, avec interdiction d'y pénétrer un doigt.
je n'en peux plus, j'ai besoin de le sentir en moi, il le sait, il me fait mouiller, aujourdh'ui avec un sex toy avec lequel il titille mon clitoris, sans jamais le faire pénétrer dans mon vagin.
mais la quatrième scéance m'apportera enfin ce que j'attend, sans préliminaire, pour m'hudifier et me chauffer, il me prend en levrette par mes deux orifices, et ceci d'une façon vulgare, je suis réduite à l'état d'natural, je suis sa chose, mister objet sexuel, a partir de maintenant, je dois lui obéir dans tout les actes de ma vie, mais si j'arrive à me soumettre sexuellement, ma tête se rebelle, il le sent, et je serais à partir de maintenant souvent punie...
mais n'est ce pas ce que je cherche au fond de moi.
et ce qu'il va chercher maintenant ce n'est plus la soumission mais surtout l'offense...
me réduire à n'être plus qu'un corps.

chrislebo

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#382
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Enfin cocu


Marié depuis 20 ans, ça fait longtemps que j'ai pour fantasme que ma femme se fasse baiser par d'autres hommes. Elle le sait, mais m'a toujours dit que ça resterait un fantasme car elle n'a pas envie d'un autre homme.
Dans nos jeux sexuels, elle me domine de façon soft. Elle aime choisir comment elle va jouir, même parfois en me privant de pénétration et d'éjaculation. J'aime la soumission et l'excitation qui ressort des frustrations ou moqueries qu'elle me fait subir. Mon envie d'être cocu va dans la suite de ces jeux.
Pour lui donner envie de "voir ailleurs", je lui ai offert un gode de belle taille (20 x 5 cm) qu'elle adore utiliser. Je précise que mon sexe est de taille un peu en dessous de la moyenne (14 x 3.5 cm). Ayant compris mon goût pour les moqueries, elle a surnommé mon sexe "cinq centimètres".
Toujours dans l'idée de l’inciter à réaliser mon fantasme, souvent je ne cherche pas à me retenir. Je n'étais déjà pas très endurant avant (3 à 5 minutes), mais maintenant c'est entre 30 secondes et 2 minutes que dure la pénétration. D'ailleurs il lui arrive de rigoler en me traitant d'éjaculateur précoce.

Pour compléter la description de notre couple, sachez que j'ai 46 ans que ma femme est une belle brune de 44 ans. Elle mesure 1.69m pour 60 kg. Sa poitrine est de 85b et elle s'épile entièrement depuis longtemps.

L'histoire :

Nous partons pour 4 jours à Paris avec nos deux garçons adolescents. Dans le TGV ma femme me fait discrètement remarquer qu'un jeune homme la regarde beaucoup. Il faut dire que mister jeans serré et mister chemisier sans manche la mettent en valeur. Elle se sent troublée d'être ainsi détaillée avec envie par un jeune homme qui doit avoir entre 20 et 25 ans. Elle me dit :
- Il est plutôt beau gosse. Plus jeune je lui aurais volontiers fait une place dans mon lit.
- Et pourquoi pas à ton age ? Ça doit être flatteur de plaire à un jeune homme.
- Oui bien sur que c'est flatteur.
- Tu pourrais décrocher discrètement un bouton de ton chemisier, je suis sur que ça va lui plaire.
- Tu peux toujours rêver, me dit-elle en rigolant, je ne suis pas exhibitionniste.

Pourtant, un peu plus tard je remarque que mister décolleté s'est ouvert et que, par moment, on devine la dentelle de mister soutien gorge rouge. Le jeune homme la regarde sans gêne, lui montrant clairement qu'elle est à mister goût. Je dis à ma femme :
- Allons au wagon bar pour boire un café. Fait lui un joli sourire si tu veux qu'il te suive.
- Tu es sur que tu en as vraiment envie ? Parce que si je vais trop loin, je ne pourrai plus reculer
- Oui. Et toi, tu as envie qu'il te drague ?
- C'est tentant.

Je me lève et part devant. Elle me suit. Nos enfants, occupés à un jeu restent à leurs places. Alors que nous buvons notre café, je vois arriver le jeune homme. Je me plonge dans la lecture d'un journal pour lui laisser la possibilité de reluquer librement Sylvie. Il se retrouve, comme par hasard, à coté d'elle. Il ne dit rien à ma femme, mais je la sens troublée. Un mouvement du bras de mister voisin me fait comprendre : il doit avoir sa main sur les fesses de Sylvie et elle se laisse faire.

Comme il me croit occupé à ma lecture, il ose dire quelque chose à l'oreille de ma femme avant de partir. Sylvie m'a confirmé l'audace du jeune homme qui lui a bel et bien palpé les fesses. Il lui a dit qu'il l'attendait dans les premiers WC. Je lui demande :
- Tu vas y aller?
- Je ne sais pas. J'ai peur qu'on le regrette après. Puis des WC de TGV ce n’est pas très romantique.
- Tu sais que j'ai envie que tu y ailles et je suis sur que ça va souder notre couple si tu réalises mon fantasme. Mais je te laisse faire comme tu veux. De toute façon je t'aime.

Après une courte hésitation, elle m'embrasse et me dit :
- Quand il s'est collé à moi, j'ai senti mister sexe. Ça me changera de "cinq-centimètre". Attends-moi ici !

Elle est revenue 15 minutes plus tard. Un peu gênée, elle est venue m'embrasser et m'a dit :
- Serre moi dans tes bras. Je suis folle de l'avoir fait, mais j'ai adoré.
Elle a senti que je bandais, à souris et a dit, moqueuse :
- On dirait que "cinq centimètre" a envie de ses 15 secondes de plaisir !

Elle m'a ensuite raconté : sans dire un mot il l'a mise nue. Elle l'a sucé avant qu'il ne sorte un préservatif puis la prenne debout. Son sexe était plus gros que le mien et l'a faite jouir plusieurs fois. Il a gardé mister string en lui disant qu'il le lui rendrait plus tard. Un mec dont ma femme ne savait même pas le prénom venait de la baiser. J'étais cocu et très excités….

Peu avant l'arrivée à Paris, alors que nous étions à nos places, mister amant fait signe à ma femme et va vers les WC. Ma femme hésite à peine avant de le suivre.

Lorsqu'elle revient je remarque que sa poitrine est libre sous le chemisier. Au lieu de lui rendre mister string, il lui a confisqué mister soutien gorge. Ma femme me racontera que mister amant l'a de nouveau faite jouir avant de la sodomiser. Comme je ne l'ai jamais sodomisée, je suis un peu surpris :
- Tu l'as laissé t'enculer ?
- Il m'a tellement bien faite jouir, Je ne pouvais rien lui refuser.
Elle me dit, moqueuse :
- Toi tu pourras me sodomiser quand tu auras tenu 10 minutes dans mon sexe.

Arrivé à l'hôtel, elle m'a laissé lui faire l'amour. J'étais si excité que j'ai éjaculé en quelques secondes. Elle a rigolé et m'a dit :
- Dix secondes, tu t'améliores de jour en jour. Heureusement qu'il a su me baiser. Tu n'es pas prés de me sodomiser. Nettoie-moi avec ta langue maintenant !

Pendant que je nettoyais, elle me dit :
- Il sait le nom de notre hôtel et je lui ai donné mon numéro de téléphone.


Ces 4 jours commençaient bien !
chrislebo

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#383
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Après cette baise rapide qui a encore une fois mis en évidence mes qualités d'éjaculateur précoce, ma femme me dit :
- Va rincer "5 centimètres" et revient ici, j'ai une surprise.

De retour de la salle de bain, je vois la cage de chasteté qu'elle me fait parfois porter, posée sur le lit. Elle sourit et me dit :
- Je l'ai prise avec sans être sur de te la faire porter, mais pour te punir d'éjaculer si vite, tu va passer le week-end avec.

J'ai obéis et enfilé la cage qu'elle a ensuite cadenassée, puis mis la clé à la chaînette qu'elle a autour du cou.

Elle s'est vêtue d'un pantacourt blanc, d'un débardeur assez sexy avec un décolleté en V qui attirait les regards. Dessous elle a enfilé un string et un soutien-gorge.

Nous sommes partis nous balader en ville, il était environ 15h00.

Ma femme a reçu un texto : "Il y a un bar sympa où je serai ce soir, si tu arrives à t'échapper de la surveillance de ton mari un moment tu peux m'y rejoindre. Ton amant du tgv"

Elle m'a fait taper la réponse : "pas de soucis pour mon cocu, il n'a rien à dire et il porte une cage de chasteté. J'essaierai de venir. Sylvie"

Il a répondu "heureux de connaître ton prénom, mais dorénavant j'aimerai que tu signes tes textos votre femelle". A plus. Ton amant du tgv"

Elle a répondu : "avec plaisir. Votre femelle"
Ce mec avait dû vraiment la faire bien jouir pour qu'elle, qui me disait ne pas être attirée par la soumission, obéisse si facilement, à moins que ce soit juste pour m'humilier un peu.


Le soir, après un repas dans une brasserie, nos deux garçons mistert partis se balader de leur coté. Il faut dire qu'à 16 et 17 ans, ils n'avaient pas envie d'être avec leurs parents. J'ai donc amené ma femme dans le bar dont nous avait parlé mister amant.

Elle l'a repéré à une table avec un jeune homme noir qui semblait assez sportif.

Son amant s'est levé pour embrasser ma femme. Il l'a enlacée et a pris directement sa bouche. D'abord surprise Sylvie s'est laissée faire et ils se mistert roulé une pelle. Il a ensuite dit à mister ami :
- Je te présente ma femelle et mister cocu

Il invite ma femme à s'asseoir à coté de lui et dit hilare:
- Tu as mis une cage de chasteté à ton cocu?
- Oui, il a éjaculé en moins de dix secondes en essayant de me faire l'amour à l'hôtel alors je l'ai enfermé. Son sexe ne mérite pas mieux.

Les rires moqueurs m'ont fait rougir. Ils discutaient les trois, faisant souvent rire et un peu boire ma femme. J'appris que l'amant s'appelait Jérôme et mister copain noir Mathieu.

A un moment Jérôme dit :

- Tu n'aurais pas du mettre de sous-vêtement, tu sais bien que je déteste ça! Va les enlever!

Etonnamment, ma femme a à peine hésité avant de partir en direction des toilettes. Elle est revenue un moment après ses seins libres dans mister décolleté et sans string sous mister pantacourt. Son amant lui dit :

- Donne-moi tes dessous

Gênée, elle regarde autour d'elle, puis sort discrètement mister soutien-gorge et mister string de mister sac à main. C'est Mathieu qui les prend et les déplie devant lui et les commentant :

- Joli dentelle de bourgeoise! Des dessous rouges, ça fait pute, mais Jérôme a raimister, tu es mieux sans rien!

Quelques têtes se mistert tournées amusées. Sylvie voudrait pouvoir se cacher sous la table.

On a fini nos verres et ils ont décidé d'aller chez Jérôme en laissant les dessous de Sylvie sur la table. Je les suis portant le sac de ma femme.

Ils avaient les deux la main sur ses fesses pendant le trajet à pied. Dans le couloir de l'immeuble, Jérôme lui dit :

- Tu ne rentreras jamais autrement que nue dans mon appartement. Déshabille toi!
- Ici?
- Oui ici et dépêche-toi! Le cocu, tu te fous aussi à poil!

Nous nous sommes déshabillé. Ma cage de chasteté les a bien fait rire. Mathieu a doigté ma femme pendant que Jérôme ouvrait la porte.

Une fois dedans, ils m'ont demandé de leur servir à boire. Ils se mistert aussi déshabillé. Tous les deux bandaient déjà. Jérôme a un sexe plus long et plus gros que le mien. Celui de Mathieu est encore plus impressionnant.

Quand je suis revenu avec une bouteille de vin, Sylvie, à genoux, suce Mathieu. Jérôme m'a fait asseoir sur une chaise dans le coin de la pièce et m'a attaché les mains dans le dos.

- Regarde bien l'horloge, tu me diras combien de temps on a limé ta pute. Ça lui changera de tes 10 secondes.

Il a ensuite demandé à Sylvie de se mettre à 4 pattes. Il lui a doigté l'anus puis a mis du gel, le préparant manifestement à une sodomie.

Il a ensuite mis un préservatif et l'a sodomisée. Ma femme, très "chienne" cambre les reins et suce le sexe noir avec un plaisir non dissimulé. Je ne l'ai jamais vue comme ça…

Aprés 15 minutes, ils ont décidé de faire une pose pour faire languir Sylvie. Ils ont trinqué, tous les trois assis dans le canapé. Leurs mains doigtent et pelotent Sylvie qui gémit de plaisir.

Les salauds savent faire monter le plaisir de Sylvie qui commence à les supplier de la baiser. Mathieu lui dit :
- Montre-nous que tu es une bonne chienne, mets-toi à 4 pattes.

Elle obéit. Ils s'amusent à lui faire faire le tour de la pièce comme ça. Jérôme sort alors un collier composé de 4 bandes de cuir rattachées entre elles pas des anneaux métalliques. Il ferme le dernier anneau après l'avoir mis autour du cou.
- Ce collier à la particularité de ne pas pouvoir s'ouvrir. Tu le garderas tout ton séjour à Paris en signe de mon appartenance.
Elle proteste :
- Je ne peux pas me promener avec un collier de chienne dans la rue et surtout devant mes enfants.

Jérôme qui a réponse à tout dit :
- Il n'a pas l'allure d'un collier de chien et seul les initiés devineront que tu es une femelle soumise. Pour tes enfants, tu n'as qu'à leur dire qu'on t'a donné ça comme un porte-bonheur que tu dois garder tout le week-end.

Les yeux baissés, dans une attitude de parfaite soumise que je ne lui connaissais pas elle dit :
- Comme vous voulez Monsieur, je vous obéirai

Ils l'ont ensuite fait coucher sur le dos sur la table. Jérôme la prise assez violemment en baisant mister vagin. Il l'a pilonnée pendant de longues minutes, la faisant jouir comme je n'avais jamais réussi à le faire. Il a ensuite été remplacé par Mathieu qui a continué à faire gémir et même crié de plaisir. Elle jouit sans discontinuer.

Alors qu'ils n'avaient toujours pas jouis, Mathieu se couche parterre en demandant à Sylvie de venir s'empaler sur lui. Jérôme vient alors la sodomiser. Prise ainsi en double, elle a encore jouis. Les deux compères ont éjaculé en même temps.

Alors que Sylvie affalée dans un canapé récupère, Jérôme lui palpe les seins en lui disant :
- Tu n'es plus de première fraîcheur, mais tu es une bonne pute. On va pourvoir faire quelque chose de toi.
Puis se tournant vers moi :
- Alors cocu, tu as vu ce que s'est de faire jouir ta femme. Je suis sur que tu ne l'as jamais fais crier comme ça!

Mon sexe comprimer dans sa cage n'avait pas pu bander, portant la scène m'avait beaucoup excité. Et comme chaque fois que je suis excité avec la cage, je mouille énormément, ce qui les a bien fait rire.

Jérôme de demande:
- Alors tu as regardé combien de temps on l'a baisée?
- Oui, vous l'avez sodomisée 15 minutes, puis sur la table baisée de nouveau 10 minutes avant de finir avec 10 minutes dans mister cul. Votre ami a été 15 minutes dans sa bouche, puis 20 minutes quand elle était sur la table et 10 minutes pour finir dans mister vagin
- Tu la baises souvent ta femme?
- Une à deux fois par semaines
- Chaque fois en 10 secondes

C'est Sylvie qui a répondu :
- Non parfois ça dure un peu plus, en moyenne je dirais qu'il éjacule en 30 secondes

Il fait un petit calcul et me dit :
- Tu la baise environ 80 fois 30 secondes par année, ça fait 40 minutes. Aujourd'hui, Mathieu en est déjà à 45 minutes et moi, si on rajoute environ 20 minutes dans le train, j'en suis à 55 minutes. A ce rythme, dans très peu de temps tu ne seras plus qu'un pourcentage négligeable des pénétrations qu'aura connu mister corps et même si vous êtes mariés depuis passé 20 ans!

Les deux garçons et ma femme ont ri. Jérôme dit à ma femme :

- Demain je travaille. J'espère que tu peux te libérer en fin de journée.
- Oui, dit-elle, nos enfants vont passer le reste du week-end avec des amis qu'ils ont ici à Paris. Je n'aurai donc plus de contrainte jusqu'à dimanche.
- Trouve-toi une tenue un peu plus sexy que ce que tu as mis ce soir, sous-vêtement interdits!

Mathieu dit :
- Je passe vers 11h à ton hôtel, débrouille-toi pour y être seule. Ton cocu a qu'à s'occuper de tes enfants.

Souriante, ma femme accepte. Ils me détachent et nous amènent dans le couloir ou ils roulent une pèle à ma femme avant de nous rendre nos habits.

De retour à l'hôtel, ma femme me demande si le spectacle m'a plu. Comme je lui avoue que oui et lui dit que je l'aime, elle le répond :

- Moi aussi je t'aime et j'avoue que je n'aurai jamais pensé prendre autant de plaisir de me faire enfiler par des inconnus. Si on continue ce petit jeu, je risque de devenir accro.

Je l'ai embrassée en lui disant :
- J'espère bien

Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre.
chrislebo

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#384
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Nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre. Elle m’a dit qu’elle apprécie le plaisir que je lui fais prendre en la laissant librement baiser. Le matin, elle me pose une question à laquelle je réponds :
- On continue notre jeu ?
- Tu en as envie ?
- Oui
- Moi aussi

Elle me roule une pelle en me disant qu’elle m’aime mais qu’il n’est pas question de m’enlever ma cage de chasteté. En s'habillant, après une courte hésitation elle obéit à mister amant et n'a pas mis de sous-vêtement sous mister jeans et sous mister chemisier. Elle me dit, moqueuse :
- Je suis sur que tu es jaloux. Pour me faire sortir sans culotte il faut me faire bien jouir, pas juste m'enfiler 10 secondes.

Je ne réponds rien alors qu'elle éclate de rire

Nous avons prévu une virée entre mec avec nos deux garçons pendant que ma femme va faire les boutiques. Juste avant que nous nous quittions, vers 10h00, ma femme reçoit un message : " va à la boutique AAA pour te trouver une tenue sexy, Aurélie, une vendeuse, t'y attend dans 20 minutes. Dit-lui que tu es la femelle de Jérôme. Elle comprendra. Mathieu sera à 11h30 à la réception de ton hôtel. À Bientôt ma femelle"

Sylvie s'est rendue à cette boutique où elle demande à parler à Aurélie. Elle lui dit qu'elle est la femelle de Jérôme. Le visage de la jeune femme s'illumine d'un sourire et elle emmène ma femme dans une cabine d'essayage. Elle lui dit, la tutoyant :
- Enlève tes habits que je puisse prendre tes mesures et voir comment je peux mettre en valeur ton cul et surtout le laisser facilement accessible.

C'est la première fois qu'une femme, de surcroît 20 ans plus jeune qu'elle, lui parle comme ça pourtant ces pensées vont à Jérôme et elle sait qu'il serait très déçu si elle n'obéit pas. Elle se retrouve rapidement nue. Aurélie prend quelques mesures avec mister centimètre de couturière en commentant :
- Tu n'es plus de toute première fraîcheur, mais encore pas trop mal foutu pour une vieille pute.

Vexée par cette insulte, Sylvie ne réagit pourtant pas. Aurélie quitte la cabine en emportant les habits et les baskets de ma femme. Sylvie, qui n'a plus que mister sac à main, attend de longues minutes nue. Aurélie revient avec les deux autres vendeuses et dit :
- Mes amies n'arrivaient pas à croire que tu m'avais laissé partir avec toutes tes affaires et que tu m'attendais nue.

Ma femme rougis honteuse d'être la risée des trois jeunes femmes. Heureusement, Aurélie lui tend une jupe et un débardeur à essayer. Vingt minutes plus tard, elle ressort de la boutique, vêtue d'une jupe plissée facilement retroussable qui lui descend jusque dix centimètres sur les genoux. Le haut, dos nu, est noué derrière le cou. Il laisse voir un sein dés qu'elle lève un bras. Le tout est complété par des escarpins type sandalettes à lanière avec des talons de huit centimètres. Aurélie ne lui a pas rendu les habits qu'elle avait en arrivant.

Lorsqu'elle arrive à l'hôtel, Mathieu est la, en train de discuter avec la réceptionniste, une femme moire d'environ 30 ans. Il embrasse Sylvie, lui roulant une pelle. Ma femme rougit en voyant l e regard amusé de la réceptionniste qui lui dit :
- Alors vous avez découvert que les noires mistert des bons amants?
C'est Mathieu qui répond :
- Surtout pour elle, mister mari est éjaculateur précoce! D'ailleurs elle lui a mis une cage de chasteté car il ne mérite pas de la baiser.
La réceptionniste est hilare. Mathieu passe une main sous la jupe est dit :
- Tu es bien accessible avec cette tenue. Elle te va bien et met en évidence ton coté pute
Pour finir de mettre mal à l'aise Sylvie, il écarte le haut pour exhiber un sein. A ce moment deux jeunes noirs arrivent. Mathieu dit :
- J'ai invité deux potes. Tu verras, tu vas adorer être notre pute.
Ma femme n'ose pas protester lorsqu'ils l'emmènent vers l'ascenseur. La réceptionniste leur dit :
- Amusez-vous bien

Dans l'ascenseur 6 mains commencent à peloter ma femme. Mathieu décroche la jupe qui glisse inexorablement le long des jambes. Ma femme proteste mollement :
- Vous n'allez quand même pas me faire sortir nue de l'ascenseur
- Pourquoi pas on gagnera du temps dans la chambre comme ça ?

Elle est morte de trouille lorsque la porte s'ouvre, mais au dernier moment ils lui laissent remonter sa jupe. Comme il n'y a permisterne dans le couloir, ils lui prennent les mains avant qu'elle ait croché la jupe. Alors qu'elle glisse de nouveau le long de ses jambes, ils disent :
- Il n'y a permisterne, alors enlève-la. Tu seras plus vite prête à te faire enfiler.

Sylvie qui accepte facilement mister rôle si excitant de jouet sexuel, obéis docilement. La peur d'être surprise nue en dessous de la taille ne la laisse pas indifférente et elle sent mister sexe se mouiller encore plus. En arrivant vers sa chambre, elle a un moment de panique. Le chariot de la femme de chambre est au milieu du corridor et la porte est ouverte. Mathieu, qui a une main sur ses fesses lui dit en rigolant :
- Ne t'inquiète pas ce ne sera qu'une permisterne de plus qui saura que tu es une pute et que ton mari est cocu!

Il lui tape les fesses pour la faire entrer dans sa chambre. Sylvie cache mister sexe avec ses deux mains, ses joues rouges de honte. La femme de chambre, qui est en train de faire le lit, est très gênée aussi. Un des amants de ma femme lui dit :
- Finissez tranquillement votre travail. Notre femelle attendra un peu avant qu'on s'occupe d'elle. Elle a le temps, mister mari ne reviendra pas avant plusieurs heures.

La jeune fille se détend un peu, amusée par la situation et échange quelques mots avec les hommes. Elle semble avoir à peine 20 ans et a un accent de l'Est. Mathieu fouille dans les affaires de Sylvie et étale sur le lit tout ses habits qu'il estime top sage : les trois ensembles string et soutien-gorge à dentelle qu'il lui reste, les deux pantacours, une robe, deux t-shirts, un chemisier. Il n'y a qu'une paire d'escarpins et une paire de tong qu'il dit être suffisamment féminines pour une femelle comme ma femme. La femme de chambre est en train de finir mister nettoyage. Mathieu lui dit :
- Vous avez à peu prés la même taille qu'elle, vous pouvez prendre tout ce qu'il y a sur le lit. C'est des habits de femme qui se respecte comme vous, elle n'est qu'une femelle qui aime faire la pute.
- Je ne peux pas prendre tout ça, en plus c'est pas sur que ça me va, dit-elle.
- Si ça ne vous va pas, vous trouverez bien une amie à qui donner ça, ne vous gênez pas. Vous n'avez pas un gros salaire. Des habits mistert toujours bienvenus.

Elle regarde ma femme et lui demande :
- C'est vrai? Je peux?

Les deux autres noirs ne mistert pas restés inactifs. Ils ont fini de déshabiller Sylvie et la pelotent alors qu'elle a toujours les deux mains sur mister sexe. Incapable de protester, elle fait signe qu'oui. Cette fois, sans plus se faire prier, la femme de chambre ramasse tout avec un grand sourire moqueur. Elle dit à Sylvie :
- Amusez-vous bien madame. Je suis sur que vos amants vont vous combler. Je suis très discrète, je ne dirai rien à votre mari.

A peine la porte fermée que les trois noirs se mistert déshabillés. A genoux Sylvie les a sucés l'un après l'autre impressionnée par la taille de leur sexe. Pendant 2 heures ils la baissent, la prenant par tous ses trous. Elle se fait prendre dans toute une panoplie de position. Alors que je ne la baise que couchée jambes écartées, elle se retrouve remplie à quatre pattes, Couchée jambes relevées, prise en sandwich, debout appuyée contre le mur et dans la douche. Pour la première fois de sa vie elle crie en jouissant, elle qui avait toujours pensé que les femmes qui crient le font plus par exhibitionnisme que par réel réflexe de jouissance.

Sylvie me racontera que ses trois amants avaient décidé d'éjaculer dans chacun de ses "trous à bite", sans préservatif dans la bouche. Alors qu'elle m'a toujours dit ne pas aimer le goût du sperme et m'a toujours refusé cette faveur, elle a avalé le jus des trois noirs. Ils avaient donc éjaculé trois fois chacun en 2 heures. Je dois bien admettre que j'en serais bien incapable. Quand ils ont été les quatre rhabillés, Mathieu a demandé de quelle coté du lit je dormais. Etonnée de la question, Sylvie à répondu. Ils ont pris les capotes pleines et les ont vidées sur le drap en disant :

- Comme ça ton cocu dormira dans notre sperme.

Il a laissé les capote dans le lit et ils mistert sortis. Ma femme a les jambes flageolantes tellement elle a jouis. Elle a accompagné ses amants jusqu'à la station de métro. Elle les a embrassés en les remerciant. Elle est ensuite allée manger quelque chose avant de nous retrouver.

Nous avons accompagné nos garçons chez leurs amis. Alors qu'ils discutent sans s'être rendu compte que je suis juste derrière un coin de mur, j'ai entendu un des amis dire à mes fils :
- Elle est sexy ta mère. J'ai même vu ses tétines quand elle a levé un bras. Je me la ferais bien

La réponse de mon fils m'a sidéré :
- J'ai toujours pensé qu'elle aimait le cul et si elle s'habille comme ça alors qu'elle était en ville seule c'est qu'elle ne doit pas être contre un coup de bite. En plus en écoutant une fois derrière leur porte alors qu'ils baisaient, j'ai compris que mon papa fantasme en l'imaginant baisée par d'autre. Comme j'ai en plus entendu ma mère un peu déçue le traité d'éjaculateur précoce, il est sûrement cocu! Il faudra que tu essayes de la draguer.


Nous nous sommes retrouvés seuls avec ma femme et elle m'a raconté sa journée et me disant :
- Je ne savais pas que c'était possible de jouir si fort. Quand je suis descendu la réceptionniste m'a dit que tout l'hôtel m'a entendu crier.

Vers 17h00 elle reçoit un message de Jérôme : "J'ai appris que ma pute a découvert les plaisirs d'avoir trois queues noires pour la faire jouir. Viens me rejoindre à la brasserie…" Nous nous sommes donc rendu à l'adresse qu'il a donnée. Il est sur la terrasse en train de boire une bière. Sylvie me dit :
- Toi tu va t'asseoir à une autre table, j'ai envie d'être seule avec mon amant. Fait comme si tu ne me connaissais pas.

J'ai, bien sur, obéis en m'installant à une table assez proche . Il se lève pour la recevoir et l'embrasse comme seul un amant le fait, avec une main qui passe sous le top et caresse un sein à pleine main. Le regard désapprobateur de deux dames ne l'arrête pas, mais fait rougir ma femme. Il lui commande à boire puis ils discutent. A un moment il parle plus fort, sûrement pour que j'entende, mais aussi pour que les permisternes proches sachent que Sylvie est une salope :
- Alors tu as été bien baisée ce matin?
- Oui je ne pensais pas pouvoir autant jouir.
- C'est bien tu deviens une bonne pute. Il parait que tu jouis bruyamment.
- Oui, ça ne m'était jamais arrivé avec mon mari. Mais la c'était plus fort que moi, je n'ai pas pu me retenir.
- Je n'ai pas besoin de te demander si tu es nue sous ta jupe puisque Mathieu t'a confisqué définitivement tous tes dessous
Un homme s'est retourné et a détaillé ma femme en souriant


Nous sommes partis de la brasserie. Je porte le sac à main de Sylvie pendant que Jérôme marche à coté d'elle, une main sur ses fesses pour bien montrer qu'elle est sa propriété. Il dit à Sylvie :
- Je t'emmène chez un pote qui fait des tatouages à l'henné. Ce qu'on va te tatouer est une surprise. Mais rassure-toi, dans trois semaine environ on n'y verra plus rien.
- Ce ne sera pas à un endroit trop visible?
- Quand tu es habillée normalement, ça ne se verra pas.

Arrivé chez mister copain, je me suis retrouvé assis sur une chaise, nu et yeux bandés. Jérôme dit alors à Sylvie de se déshabiller, puis un dialogue entre les deux mecs commence. Jérôme dit :
- Comment tu la trouves?
- Pas mal conservée
- Elle est plus de première fraîcheur, mais c'est une bonne femelle. Je te propose de la baiser avant de la marquer comme ça on ne risquera pas d'abîmer les tatouages avant qu'ils soient secs.

J'ai alors entendu des gémissements de Sylvie. Les deux mecs la pelote. Ils l'ont ensuite baisée à quatre pattes en la traitant de chienne. Elle a gémi et joui assez bruyamment. Mon sexe tend la cage, ce qui a pour effet de me faire mouiller comme une femme.

Ensuite, c'est le silence presque complet pendant qu'il tatoue Sylvie. Quand il m'enlève le bandeau que j'ai sur les yeux, il y a deux pansements sur le corps de Sylvie : un sur le devant de la cuisse, à mi-hauteur, l'autre sur la fesse. Jérôme explique :
- Dans 4 heures on pourra enlever les pansements et tu verras comment on a marqué ta pute. Je suis sur qu'elle est fière de ce qui est écrit sur elle et que ça la fait déjà mouillé

Ma femme rougis mais ne dit rien. Il est déjà 21h30 et comme m femme est fatiguée et que, en plus la baisser risque d'abîmer les tatouages, Jérôme nous quitte en disant :
- Demain matin tu iras voir Aurélie pour avoir une autre tenue sexy, puis tu retourneras à l'hôtel ou tu auras de la visite à 11h30 devant la réception. Bonne soirée les amoureux.

Après un petit repas, nous rentrons à l'hôtel ou Sylvie s'endort rapidement. En me couchant, je découvre les capotes et les taches de spermes séchés.

chrislebo

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#385
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Le gage


Il est 7h, je me lève un peu fatiguée, le travail un peu oppressant en ce moment et les nuits écourtées par les discussions avec
mon Maître ont raimister de moi.

Bizarrement, ce matin je suis pressée d’aller travailler, pourtant je n’apprécie pas énormément les jours de bureau, préférant
l’action du terrain. Mais ce matin c’est un peu différent, après deux jours d’abstinence imposée plus ou moins par mon Maître, je
vais enfin pouvoir me libérer lors de l’exécution de mon deuxième gage qui devra se faire dans les toilettes du bureau.
Je précise « imposée plus ou moins » car mon Maître a eu la bonté de me laisser plusieurs choix, mais comme il était certain que
je ne choisirais pas l’abstinence, et que mon orgueil adore les défis, j’ai voulu lui prouver qu’il pouvait avoir tord à mon sujet…

Je me prépare rapidement, pas question d’être en retard au bureau, j’ai un travail colossal qui m’attend, et plus encore…
J’arrive un peu avant 8h, j’ouvre les locaux, comme habituellement, je suis la première arrivée. D’après les directives de mon
Maître, je pourrais effectuer mon gage immédiatement mais je sais qu’il serait contrarié qu’il n’y ait pas une seule permisterne dans
les locaux à ce moment. Je regarde donc le courrier, organise les missions de la journée et distribue les tâches parmi mes trois
collègues.
Le premier de mes collègues arrivent à 8h05, cinq minutes de retard, mais je ne vais pas lui en tenir rigueur cette fois-ci, il est de
ceux qui travaillent le mieux. Les deux autres ne viendront qu’à 9h aujourd’hui, j’ai donc un peu de temps pour moi.
Je lui précise que je vais faire une pose WC car j’ai besoin de me libérer (et ce n’est rien de le dire…).

- Pourtant à ce que je sache tu n’as pas de prostate, me dit-il en souriant.

Il faut savoir que je leur ai déjà fait des remontrances sur leur petite capacité de vessie qui leur fait prendre des pauses WC dès
leur arrivée et parfois toutes les demi-heures, je leur précise souvent avec mon arrogante ironie, qu’à ce rythme il faut consulter,
que c’est certainement la prostate.

- Effectivement mais une envie pressante.
- Comme quoi ça arrive à tout le monde, même au « boss », ajoute-t-il avec une légère ironie dans la voix.
- Hum, tu es bien insolent ce matin, lui-dis-je avec un faux air sérieux.
- Aurais-je vexé l’orgueil de Madame ?
- Sache qu’il en faut plus mais tu devrais te méfier du « boss » comme tu le dis. Tu sais que j’ai le dernier dossier de
développement casse-pied qui vient d’arriver, et que je n’ai pas encore choisi qui va en avoir la charge. J’ai dit ceci avec mon petit
air supérieur dont j’aime user régulièrement fasse à eux.
- Tu n’userais pas de ta position pour te venger d’une vanne mal digérée.
- Va savoir…

Sur ce, je quitte la pièce avec un léger sourire au coin des lèvres, contente d’avoir une fois de plus le dernier mot. S’il savait que la
jeune femme fière et sûre d’elle qu’il connaît, prend mister pied en étant soumise…

Je traverse le couloir qui me renvoi l’écho de mes talons hauts sur le carrelage. Le reste des locaux est encore vide, peu de
bureaux mistert ouverts avant 9h, je vais donc être relativement tranquille pour effectuer mon gage. J’arrive enfin aux toilettes, je n’ai
croisé permisterne, j’entre dans une cabine et referme derrière moi.
Mon cœur bat tellement fort que j’ai l’impression qu’il va sortir de ma poitrine. Les lieux ne mistert pas très spacieux, je ne les avais
jamais envisagés ainsi mais il est vrai qu’à part la position assise, la liberté de mouvement n’est pas très large. Je ferme donc le
couvercle des toilettes et m’assois dessus après avoir retiré mon pantalon.
J’approche ma main de mon string et commence à caresser mon sexe à travers le fin tissus avant de le retirer. Depuis le levé je
suis bien humide, aussi la pénétration de mes doigts se fait très facilement. Bien que la situation m’excite, elle me bloque tout
autant, et après plus de cinq minutes passées à tenter de me faire jouir, je n’arrive toujours pas à prendre du plaisir.
Je peste contre moi-même, moi qui ai envie depuis deux jours, se retenir pour ne pas y parvenir quand j’y ai enfin le droit, c’est
vraiment insensé. Je pourrais tenter de continuer mais je sens que l’effort serait vain, et puis mon collègue va se demander ce que
je fais.

Je décide donc de revenir à mon poste de travail avec en tête l’échec de cette tentative avortée. A mon retour mon collègue me
regarde avec un air soucieux.

- Ca ne va pas ?
- Si, si pourquoi ?
- Je ne sais pas, tu n’as pas l’air bien, tu as l’air contrariée, c’est ma vanne de tout à l’heure ?
- Non, non, bien sur que non ne t’inquiètes pas, c’est juste passager.
- OK je préfère ça.

Je reprends mon poste et gère les dossiers en urgence. Le reste de mes collègues est arrivé et ils ont pris leur poste sans
difficulté ce matin, tant mieux, je n’aurais pas géré un gros problème.
Mon travail n’avance pas bien vite, je n’ai pas la tête dedans, je suis déçue de ne pas avoir réussi. En outre, plus je pense à cet
échec et plus j’imagine comment je devrais le rédiger à mon Maître. Chacune de mes pensées m’amène inexorablement à
l’imaginer déçu et à le voir contraint de me punir.
Bizarrement, cette pensée m’excite et je sens mon entrejambe s’humidifier. Je reprends espoir, peut-être que je peux retenter la
chose, peut-être que maintenant j’y parviendrais. J’attends un moment avant de me décider, je réfléchi à la façon dont je vais m’y
prendre, aux pensées que je pourrais avoir pour m’exciter d’avantage. Après plusieurs hésitations, je me lève et sors, prétextant
une autre pause WC. Mon collègue me regarde avec inquiétude, moi qui ne vais pratiquement jamais aux toilettes de la journée, il
doit penser que je ne vais pas bien.

Cette fois-ci, en traversant le couloir j’ai rencontré deux autres employés des bureaux d’à côté. Je rentre dans une cabine, me remet
en position comme la première fois et retente de me donner du plaisir. Après quelques minutes, rien n’y fait, je commence à
douter, mon Maître n’avait peut-être pas tort d’hésiter à me donner ce gage dès maintenant, je ne suis peut-être tout simplement
pas encore prête pour ça.
Pourtant je ne veux pas renoncer, c’est trop bête, moi qui ce matin encore aurait joui violement en me donnant du plaisir au réveil…
Je me lève, m’appui contre le mur et recommence, sachant que je suis plus clitoridienne, je décide d’accentuer mes caresses
autour de mon petit bout de chair.
J’imagine que mon Maître est là, derrière moi, à me prendre sans égard en me traitant de tous les noms, à se servir de sa petite
chienne comme il le souhaite. Je ferme les yeux, continue mes caresses, imagine les coups de butoir de mon Maître qui viennent
frapper le galbe de mes fesses rebondies. Le désir monte peu à peu, je sens que je vais y arriver, l’orgasme arrive, mon corps se
tend et une décharge le parcours dans mister ensemble. La jouissance n’a pas été extraordinaire mais j’y suis parvenue. Je suis
pourtant frustrée, déçue d’avoir attendu si longtemps, pour obtenir une si faible jouissance.

Il s’agit maintenant de ne pas traîner, je nettoie mes doigts comme imposé par mon Maître, un à un avec ma langue. Il aime savoir
que je goutte à mon propre jus, que je me comporte comme la parfaite petite salope qu’il souhaite posséder, une façon de plus de
m’humilier comme il se doit.
Je finis de lécher le nectar de mon propre plaisir, un léger petit goût âcre moins fort que certaines fois, qui n’est pas extraordinaire
mais pas désagréable non-plus. Et puis savoir que je le fais pour obéir à mon Maître, rend la tâche plus aisée.

Je me rhabille enfin, rajuste mon chemisier devant le miroir, et retourne à mon poste. Je regarde ma montre, je me suis absentée
plus de quinze minutes, ça va faire louche. A mon entrée dans le bureau mon collègue me jette un regard inquiet, je lui souris pour
le rassurer.
Je reprends mon travail mais suis ailleurs, déçue de ne pas avoir obtenue le plaisir tant attendu d’abord, ensuite déçue car mon
récit de ce gage sera bien morne, enfin déçue parce que j’ai l’impression de ne pas avoir totalement répondu aux exigences de
mon Maître.
Mon collègue m’observe depuis un moment, c’est vrai qu’aujourd’hui je n’ai pas encore fait une seule réflexion, je n’ai pas encore
vérifié un seul projet de mes collègues, ça doit paraître louche. Il attend que les deux autres prennent leur pause cigarette et se lève
de mister bureau pour venir me voir.

- Ca n’a pas l’air d’aller.
- Hein ? Si, si, je t’assure.
- Et moi je ne crois pas, tu as l’air ailleurs, fatiguée, peut-être es-tu malade ?
- Non, non tout va très bien, c’est juste un peu de fatigue en effet.
- Hum, tu sais tu ne vas pas être très efficace, si tu veux rentre chez toi, je vais gérer pour ce matin, il vaut peut-être mieux que tu
te reposes.
- Non, non j’ai le dossier de communication à finir pour samedi, je ne peux pas me le permettre, ne t’inquiètes pas ça va aller.
- Très bien, mais surtout si ça ne va pas, n’hésites pas.
- Oui, merci.

Sur ce, il retourne à sa place, je reprends mon poste, ne fait pas d’heures supplémentaires cette fois-ci, et rentre manger chez moi
avec en tête le récit de mon gage que je dois faire à mon Maître…
chrislebo

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#386
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Porte a Porte



Je me levais comme chaque matin, la mine triste et le teint blafard. 5 Mois que je n'avais pas retrouvé de travail, depuis mon licenciement économique. J'avais travaillé pendant 5 ans dans cette société de transports, et 5 années plus tard, au revoir, bye bye ! Putain de conjoncture... Je me dirigeais vers ma salle de bains, et le reflet de mon visage apparut dans la glace. Je ne m'étais pas rasé et lavé depuis trois jours, et mon visage le reflétait pleinement. Je frottais les poils de ma barbe drue, et la mine dépitée, je pris la bombe à raser quand la misternette retentit ! Je regardais ma montre 11h10 ! Je réfléchissais : soit mon bailleur me réclament les 3 loyers de retard, soit la facteur avec un recommandé. Dans les deux cas, pas de bonnes nouvelles en perspective. Je réajustais mon peignoir éponge et me dirigeais sans bruit vers la porte d'entrée. Je regardais à travers le judas et là.............

Je garais ma voiture devant cette chaîne d'immeuble. Il faisait froid mais bien emmitouflée dans mon manteau Burberrys je me dirigeais vers l'entrée du premier bâtiment. Un groupe de jeune assis, me sifflaient au passage, je passais, activant mon pas, les ignorant. Je participais pour l'école à une vente de chocolat en porte à porte sensés financer le voyage au ski des enfants. Je montais donc l'escalier sale et nauséabond, avec toutefois certaines craintes d'avoir été affectée à ce quartier sordide et à mauvaise réputation. Je misternais à la première porte. Un cri s’éleva de l’intérieur :

- Ouiaaaaaaa, une minute !!!!!!!

Légèrement angoissée, je pensais à rebrousser chemin. La porte s’ouvrit.

- Bonjour, excusez moi de vous déranger, je fais partie de l’association de L’école Sainte Cécile, et collecte des dons pour permettre aux enfants de partir en classe de neige. En échange de votre don je vous offre une boîte de chocolat de votre choix que vous pouvez choisir sur le catalogue.

L’homme avait l’air triste et le teint blafard, de plus mal rasé, il n’était vraiment pas très avenant. Il me proposa dans un grognement inaudible d'entrer afin qu'il puisse choisir. Je pénétrais dans mister appartement qui était d'une saleté incroyable. Ceci tranchant vraiment avec mon air bon chic bon genre que j'arborais fièrement. Je me trouvais au milieu de cadavre de bouteille vide, et de pizzas pas terminés. J'étais pressée d'en finir et de ressortir de la.

Je jaugeais cette femme d'une quarantaine d'année aux formes épanouies. Elle avait tout de la bourgeoise guindée BCBG... elle rentra d'un pas réticent dans mon salon. Me sentant un peu gêné, vu l'état de saleté qui y régnait je lui proposais de s'asseoir sur un pouf marocain, beaucoup plus bas que le fauteuil ou je trônais !!! Je la regardais fouiller dans mister sac à la recherche de mister catalogue. Je fixais ces jambes avec insistance, ce qui eut pour effet de la faire rougir. Sa poitrine volumineuse réveilla en moi une érection certaine. Je masquais mon entrejambe en rabattant mon peignoir. Puis entamait le dialogue :

- Je pourrais peut-être en choisir 2 ? j'adore le chocolat et je serais me montrer généreux comme vous dites !!!

Je sentis soudainement l'intérêt qu'elle porta à cette phrase... Je sentais que je pouvais aller plus loin et lui dit :

- Vous êtes bien foutue !! Ce n’est pas souvent que l'on voit de si belles dames dans le quartier ??

Ma queue tressauta entre mes jambes !! Je fixais sa bouche et imaginait déjà ses lèvres ventousant ma queue...

Assise sur un pouf j'avais ouvert mon manteau pour laisser apparaître mon magnifique ensemble one step offert par mon mari. Ma jupe en daim ainsi que mon pull coton violet avec col roule très moulant. Je sentais le regard de cet homme posé sur mes formes généreuses que l'on pouvait devinées au travers de ma tenue de bourgeoise bien faite. Ses yeux balayaient mon corps passant de mes escarpins Ernest Olivet en veau imprimé à mes lèvres recouvertes de rouge a lèvre Chanel Scarlet. J'étais gênée et assise sur ce pouf je me sentais inférieur. Je croisais néanmoins mes jambes, ne m'apercevant pas que ma jupe était légèrement remontée à mi cuisse. Je ne relevais pas mister compliment de draguer de supermarché, me disant que plus vite il m'achèterait mes chocolats plus vite je sortirais de ce lieu sordide.

- Voici mon catalogue, vous pouvez choisir en fonction de vos goûts et désirs.

Je lui tendais le catalogue me relevant et me penchant en avant afin qu'il puisse saisir le document.

Je m'approchais et prit le catalogue, l'air faussement intéressé. Je lorgnais sur cette paire de seins de temps à autre. L'envie de les pétrir et de les malmener m'excita au plus au point et le bout de mon gland apparu de temps en temps entre les pans de mon peignoir. Je jubilais. L’occasion était tentante et le fait de rabaisser cette "salope", sachant que je n'avais plus rien à perdre, fis germer en moi des scénarios pervers : je la souhaitais soumise et consentante. Il suffisait juste de bien s'y prendre. Je voulais tout d'elle. "Le grand jeu" .Je voulais la voir se rabaisser et exécuter mes moindres caprices. Il fallait la compromettre. J'essayais vénalement :

- bien je choisirais ces 2 là !!! Je peux vous donner 50 euros, je crois que cela les vaut bien, non ? Et je pourrais être plus généreux, il ne tient qu'a vous ?

Je me rapprochais d'elle et je sentis les effluves de mister parfum haut de gamme... ma bite se dressa et je ne pus la cacher...

Il était tout près de moi, et je sentais la situation m'échappée. Je pouvais entre apercevoir mister sexe entre les pans de mister peignoir. Je me relevais et me trouver tout contre lui, il s'approcher de plus en plus jusqu'a me frôler. Je sentais mister haleine fétide, mélange de vin et de cigarette.

- Bien je voici un reçu pour les 50€ et je vous enverrais les chocolats d'ici 3 semaines.

Je me diriger vers la sortie le poussant un peu pour me frayer un passage? Quand sa main puissante s'abattit sur mon avant bras.

- Mais que me voulez vous donc, voulez vous me lâcher le bras.

Mes yeux bleus le fixaient je le voyais contempler ma bouche rouge scintillante de mon rouge à lèvre délicatement appliqué. De mister autre main il me débarrassa de mon manteau sans que je n'eu le temps de protester. Il le jeta sur le pouf, s'éloigna et me regarda de haut en bas. Un cri d'exclamation me fit clairement comprendre qu'il appréciait ce qu'il voyait.

Je sentais peu de résistance... je la regardais. Allumais une cigarette et lui lançais :

- allez ma belle, tu vas me faire un strip !!! Compris ???

Ma voix était plus dure que d'habitude

- tu préfères que j'appelle les jeunes de la cité. Je crois qu'ils se feraient un plaisir de te dépouiller à ta descente !!! (Je ricanais), surtout que j'en connais certains qui aimeraient bien poser leurs paluches sur une bourgeoise comme toi !!! Allez sois gentille et tout ce passera bien !!!

Je repris place dans mon fauteuil au cuir élimé.

- je suis sur que tu as des dessous assez existants !!! Allez magne toi le cul !!!

Je décapsulais une autre bière et passais mon autre main entre mes cuisses....

Mais quelle idée d'être venue dans cette souricière. J'étais coincée, et comprenais à mister regard qu'il irait jusqu'au bout. De plus à la vue de mes dessous il allait sûrement faire une syncope. Quelle idée d'avoir mit des portes jar telles aujourd'hui. Néanmoins je décidais de négocier.

- D'accord je relève ma jupe vous regardez et vous me laissez partir ?

Il ricana disant « essaye toujours on verra bien ». Je relevais ma jupe laissant découvrir mes portes jar telles Lise Charmel Jungle Mystery vert, et mon string faisant ressortir mes fesses admirablement. Sans être trop grosse elle était d'une taille suffisante pour exciter encore plus. Il m'ordonna d'effectuer un tour sur moi même afin d'observer mes fesses. J'obéis. Je lui tournais le dos, et sentait mister souffle rauque se rapprochait de moi.

Je prenais part à ce spectacle avec enthousiasme. Ma main massant ma queue qui commençait à prendre de bonne proportion... je commentais les effeuillements de commentaires salaces :

- ben dis donc ma belle c'est bandant ce que tu mets pour ton jules !! A moins que ce soit pour enrichir l'association !! hum quelle paire de seins !! On doit bien être au chaud là dedans !!!

Je me levais et m'approchais de ma proie !! Elle me rappelait étrangement l'autre "bourgeoise" des assedics qui m'avait refusé la prolongation de mes droits. Je n'en revenais pas, cette salope se dessapait devant moi !! Elle aurait put partir en courant !! Mais non elle prenait plaisir à me montrer ses grosses loches !! Je m'approchais d'elle :

- penches toi cochonne !!!

Je commençais à transpirer... ma main malaxa mister cul avec vulgarité !!! Ma bite était bien raide !!
Je m'amusais à passer mes gros doigts sur ses fesses... elle essaya de se redresser, mais une claque sur mister cul lui rappela que s'était moi qui commandait !!! J’écartais le string et vérifiais si cela l'excitait !!! L’humidité que j'y trouvais, me renforça dans mon désir d'être plus dur !!!

- met toi en levrette sur le pouf salope !!!

Je dégageais mon peignoir et mon pieu se révéla dans toute sa grosseur !!!

- tu dois être contente d'avoir réveiller popaul ???

Je la contemplais, elle, en levrette sur mon pouf... Moi, le chômeur, allait pouvoir prendre ma revanche sur le capitalisme !! Et m'en payer une bonne tranche... je me postais devant elle... ma queue tressautant à quelques cm de mister visage !!!

- Branle moi salope !!!

J’étais devenu mister jouet. Une poupée de chair avec laquelle il allait assouvir mister plaisir. Je savais que cela n'aurait de fin qu'après sa totale jouissance. J'étais sa captive, et devant sa power n’avait d'autre choix que de me résigner.

Positionnée sur ce pouf mes fesses offertes, qu'il avait malaxait crûment, je regardais mister sexe tendu et fièrement dressé vers moi comme pour une prendre une revanche sur la société. De ma main protégée par mes gants en daim jaune Mary Beyer d'un grand raffinement, je pris en main mister membre et le masturbais avec deux doigts comme une chose dégoûtante que l'on ne veut pas prendre à pleine main.

- Vous m'aviez promis de ne pas user de la situation, laissez moi partir maintenant...

J’étais fasciné de voir cette main gantée branler ma queue... je la laissais s'appliquer et je crut déceler une certaine maîtrise...

- oui allez applique toi bien !!! Prends la bien dans ta main !!!

Je passais ma main en dessous de mister pull et malaxais ses gros tétons !!! Mes doigts rugueux d'ouvrier étaient au contact d'une peau fine et délicate. Je m'approchais, puis tirais ses cheveux pour la faire se cambrer.

- Met la entre tes seins et sors ta langue chienne !!!

Après avoir malaxé fermement mes seins au travers de mon pull en coton, il glissa sa main en dessous et je sentis le contact de sa peau rugueuse remonté vers ma poitrine. Il souleva vivement mon pull afin de faire apparaître mes seins toujours protégés par mon soutien gorge vert. D’un geste sec il baissa mes balconnets afin de libérer ma poitrine. Après 3 grossesses ma poitrine était volumineuse et laiteuse, cela produisait toujours beaucoup d’effet à mon mari, qui adoré jouer avec mes gros nichons, comme il s’aimait à les appeler. Cela produit le même effet, à mon agresseur, qui au vu de mister regard lubrique était dans un état d’excitation total. Il plaça mister membre entre mes deux mamelles, et me demanda de le masturber avec mes seins. « Branle moi avec tes grosses miches de bourgeoise et suce moi le gland en même temps ». J’obéissais, serrant mister sexe entre mes seins et de la langue happait mister gland qui remontait frénétiquement le long de mon corps, dans un va et vient incessant. De temps en temps il poussait mister sexe plus haut encore, excitait par le rouge de mes lèvres, dont la délicatesse tranchait avec le bâton de chair forçant l’entrée de ma bouche. Me tenant par les cheveux, comme on saisi la crinière d’une jument sauvage, il m’ordonnait de serrer mes seins plus fort. Au bout d’un temps assez long il m’ordonna de le prendre en bouche entièrement. Toujours de mes mains gantées je pris mister sexe et m’appliquait à le lécher. Mes lèvres entourés mister membre, lui appliquant un suçon du plus grand effet. Le rouge de mes lèvre apparaissait le long de sa longue tige, il me demanda de lui lécher le membre avent de me l’enfonçait dans ma voluptueuse ouverture buccale. Dès lors il usa de ma bouche comme d’un sexe. Il remuait mister pénis au fond de ma gorge me baisant par la bouche tout en pelotant mes seins de sa main droite et me tirant par les cheveux de sa main gauche. Il m’étouffait, et je n’arrivais pas à suivre sa cadence tellement il me pénétrait vite et fort. « Tu es vraiment une grosse cochonne toi, une vrai butineuse, t’aime la bitte sa ce voit tout de suite » me dit-il. Et il continuait à me parler « Une belle bourgeoise comme toi ça peut pas imaginer se faire troncher dans un quartier aussi sale, t’as raimister, j’ai vu à ton regard que tu trouvais ma piaule plutôt dégoûtante. Tu vas me faire un peu de vaisselle pendant que je te prends en levrette, en plus t’as déjà les gants ça tombe bien »
chrislebo

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#387
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Sortant mister sexe de ma bouche, il me releva, toujours en me tenant par les cheveux, et me dirigea vers ce qui devait ressembler à une cuisine. Les fesses à l’air juste protéger par la lanière de mon string, il me pencha vers un évier rempli de vaisselle dégoûtante.

Arrivez dans la cuisine, je la poussais contre l'évier remplit d'assiettes sales.

- tu vas voir salope !! Je vais bien t'enfiler... et occupe toi de laver ça !!
Dis-je en montrant du doigt la pile de vaisselle...Je lui assenais une claque sur le cul avec plus de power.
Elle se cambra aussitôt.

Décidemment cette chienne aimait cela !! Je pris position derrière elle et pointait mon sexe bien bandé à l'entrée de sa grotte.

Elle écarta les cuisses d'elle même, je plongeais d'un seul coup dans ce trou accueillant...
Je commençais à la limer en prenant mon temps, guettant chacune de ses réactions.

Elle s'efforçait de laver tant bien que mal, gardant mister cul au perché... je lui donnais un coup de bitte plus sec et la saisis par les seins

- allez chienne, lave bien, je veux que ça brille !!!
Je continuais de la baiser longuement alternant des coups secs et de longs va et vient.

J'étais loin de me douter encore ce matin, que j'allais réaliser un de mes plus grands fantasmes. D’autre idées germaient dans mon esprit... je sentais que je pouvais faire d'elle ce que je désirais... je la voyait faire le ménage entièrement dans mon appartement. Lui imposant des tenues et des poses suggestives. Abusant de tous ses orifices. Je contrôlais mon éjaculation... et réfléchissais déjà à la suite... la journée ne faisait que commencer.

Penchait contre mister évier, les manches de mon pull relevaient, mes mains toujours gantées, je m’efforçais de nettoyer sa vaisselle pendant que mon sexe subissait ses assauts. Mes gants étaient irrémédiablement foutus, trempés, souillés d’abord par mister sexe gluant et ensuite d’eaux dégoûtantes, et de liquide de vaisselle. Il continuait à malaxer mes seins les cognant entre eux, s’émerveillant sur leeurs tailles, me faisant des commentaires des plus obscènes. Le mouvement de mister bassin, claquant sur ma croupe rémisternait dans mister appartement minable. Il me faisait jouir, ce monstre me prenant comme un natural en rut, me faisait perdre la tête. N’arrivant plus à frotter, je m’écroulais peu à peu sur l’évier me laissant aller à ses coups de reins. J’étais défaite, saccagé, démise entièrement, et soumise à ses caprices. Me voyant ainsi m’abandonner, il m’entraîna sur une chaise où il s’assit, prenant grade de maintenir mister sexe en moi. Je m’assis sur lui, prise en levrette. Il me fit rebondir pendant de longues minutes sur mister sexe, m’empalant jusqu’au fond. « Tu vas me branler dans tes cheveux » ordonna t’il.
Se retirant il me fit m’asseoir à sa place et me retendit sa perche toujours brandissant. Devant moi il me baissa la tête. Je pris mister sexe dans mes mains souillées, et entourant mister sexe dans mes cheveux je me mis à le masturber. Son sexe entièrement enfoui dans ma rousse chevelure jouait de mon carré fraîchement coupé par mon coiffeur attitré. D’une main il fouillait mes cheveux aidant mister sexe et tenant ma main gantée. De mister autre main, il avait recouvert un de mes seins de mon soutien gorge et me caresser au travers de la dentelle. « C’est bien ma belle, tu es bonne bourgeoise bien docile, maintenant on va allez nettoyer les chiottes, ils mistert très très sale ». Il m’entraîna dans ses toilettes et une fois de plus me penchant sur la cuvette. Je saisie le balai ainsi que le produit se trouvant a coté des WC et me mis à nettoyer, sentant à nouveau une grande poussée en moi me pénétrer à nouveau. Quel puissance, j’allais finir par m’évanouir de plaisir, je le suppliais de m’emmener dans le salon sur un lit ou un canapé pour me finir.

Je jubilais. J’avais maintenant fais d'elle ma chose, mon jouet...
Une idée me venait en tête !!! J’étais passer de l'autre coté de la barrière et me sentais l'âme d'un seigneur...

Je confisquais mister sac !!!

- Ecoute moi bien salope !!! Je n'en ai pas encore finit avec toi, tu vas comprendre ce que s'est de se sentir bafouée !!! Je te laisse 1 heure pour revenir ici !!! Tu vas t'habiller en soubrette !! Mais pas une soubrette de bas étage !! Une soubrette de luxe !! Force sur ton maquillage et sache que je ne souhaite que du rouge et du noir dans les teintes de tes vêtements !!!

Tu vas terminer ton travail ici, il reste les chiottes et la salle de bains !!! T’as intérêt de sortir la lingerie et les effets, sale garce de bourge !!! Tu misterneras chez moi ! À 16h tapante !!!

Si tu te comportes comme je le souhaite, je te laisserais repartir en gardant notre petite entrevue secrète !! Si tu ne reviens pas, je me ferais un plaisir d'avertir ton association et pourquoi pas ton mari !!! Tu sais que mon imagination est débordante...

Je ricane !!! Allez magne toi il ne te reste plus que 55 mn !!!

Elle se rhabilla prestement et sortit !!! Je me demandais ou j'avais put mettre mon caméscope !!!!

Je repris ma voiture et m’empressais de me rendre dans un SEX-SHOP situé à 15 minutes de mister appartement. Je conduisais vite de peur d’être en retard. Je me garais et pénétrée dans le magasin. Rempli que de male lubrique je me sentais très mal à l’aise. D’un rapide coup d’œil j’avais repéré les lieux et me dirigeais vers le rayon gadget et costume. Je repérais un ensemble soubrette noir, composé d’un body ouvert à l’entre jambe, de dentelle blanche autour d’un décolleté très pigeonnant, de gant/mitaine en dentelle blanche, et d’un petit tablier. Je vérifiais la taille, payait et reparti sur le champ sous le regard gourmant des clients. A 15h59 je misternais avec mon paquet sous le bras.

Je regardais ma montre. 15h59 j'avais réglé le caméscope derrière une tenture indienne qui se trouvait dans le salon. J’avais une batterie autonome d'environ 1heure...
La misternette retentit ! Je me dirigeais vers la porte. J'ouvris et vis la mine avenante avec un léger rictus.

- c'est bien !! Tu es à l'heure !!

Je l'attrapais avec power et la propulsait dans le salon !!! J’avais disposé un plumeau sur la table... Je m'installais dans le canapé.

- Allez au boulot !!! Tu vas commencer par enfiler ta tenue et faire la poussière du salon !! Apres du feras les chiottes !!! Tu vas voir ce que c'est de se sentir avili.

Elle ouvrit 3 sacs et opta pour le vouvoiement en sortant ce qu'elle avait acheté. Je remarquais sur l'un l'adresse d'un magasin spécialisé en article érotique du centre ville un autre une boutique spécialisée bas nylon et un 3eme un magasin de chaussures haute gamme ... Cette salope avait mis les grands moyens pour me contenter.... Je décapsulais une autre bière en me réjouissant de ce que j'allais découvrir !!! Je grattais mes couilles devant elle !!!

Une fois entièrement déguisée je me mis à passer le plumeau. Furtivement je m’arrangeais pour rester près de lui. Sa main passa dans mon entre cuisse vérifiant mon degré d’excitation. Il me repoussa sur la table et une fois de plus souleva mon habit de soubrette découvrant mes Collants jarretières en voile et Lycra. « Je vois que tu es prêtes à me recevoir salope, écarte les jambes » me dit il. J’obéis, et senti sa langue fouiller l’entré de mon vagin. « Continue à frotter grosse pute, ça doit être niquel » . Pendant qu’il me dévorait la chatte avec sa langue je passais le plumeau, sans vraiment de conviction, accaparé par les sensations que me procuraient sa grosse langue. D’une grande claque sur les fesses il m’ordonna de m’appliquer. « Dis donc poufiasse va falloir t’appliquer sur si tu veux pas que je te corriges». Je me remis à frotter avec plus d’entrain, ne voulant pas subir de violences autres que les limites qu’il s’était fixé.
Je sentais ses grosses mains palpant mes fesses pendant que sa langue continuait l’exploration de mon arrière train. Il s’approchait de mon anus, m’effleurant du bout de langue. Brusquement je me relevais, il senti que je n’étais pas prête. Se relevant il enfoui tout de même mister large membre au fond de mes entrailles me tirant un cri de jouissance. « Il m’ordonna de lui parler de lui dire des choses dégoûtantes. Je devais répéter ses paroles. Quand je me trompais une grande claque faisait rougir ma croupe de jument soumise.

- Oui j’aime que tu me prennes mes grosses fesses de bourgeoises

CLAC « recommence »

- Oui j’aime que tu me prennes par mon gros de cul de bourgeoise
- Oui, j’aime que tu me caresses mes gros seins

CLAC « tu fais express salope, recommence »

- Oui, j’aime que tu périsses mes gros nichons, je suis ta grosse vache

Je sentais qu’il était à bout, et moi aussi je n’en pouvais plus, j’avais joui dans cette pièce dégoûtante, grâce à cet homme rustre et sentant l’alcool. Il continuait néanmoins à m’insulter.

Je défonçais allégrement ce cul qui se dandinait à chaque coup de bite !!! J’alternais les claques et commandais cette chienne docile !!!

- avoue que tu es venu ici dans l'idée de te faire prendre comme une garce !!! avoue que tu t'habilles de façon à faire dresser les bites ???
-
Je frappais à nouveau !!! Attendant sa réponse .une autre claque s'abattit. T’aime ça te faire limer le cul ?? Et te faire traiter comme une pute ?

Ma queue martelait cette croupe charnue. Je regardais en direction du caméscope et la lumière rouge me conforta !!! J’allais pouvoir me repasser cela à mes moments perdus et, j'en étais certain, user encore de cette garce !!! Je fixais ses jambes gainées et remarquais la marque de celle-ci ainsi que celui de ses chaussures. Je sortis ma bite de mister cul ! Et je le replongeais d'un coup sec !!

- t'as l'habitude hein salope ?? allez bouge sur ma bite !!! tu vas voir !! je vais te faire tourner..... tu vas bientôt s'occuper des chiottes...

Je tirais sur ses cheveux teintés de roux.

Il sorti mister sexe de mon anus. Il m’avait sodomisé comme une brute. « Tes collants jartierres m’excitent ». Il me retourna et enfoui mister sexe entre ma cuisse et mon collant, le déchirant au passage afin de passer plus facilement mister gros membre, me demandant de le branler le long de ma cuisse. Le frottement du nylon sur le sexe lui faisait perdre toute raimister. Je le masturbais au travers du nylon de mes mains recouvertes de ces mitaines en dentelle blanche ridicule. Pendant ce temps il avait baissé mon décolleté de soubrette, déchirant la dentelle, et me palpait les seins. « ohh ce que t’es bonne,, j’ai toujours rêvé de baiser une belle salope comme toi, j’adore palper tes grosses mamelles». Il me suça les tétons, les aspirants, et mordillant mes gros seins. Me recouchant sur la table sur le dos il releva mes jambes et me pénétra à nouveau, ressortant entièrement mister sexe pour me re-pénétrer de plus belle, et cela une bonne dizaine de fois. « Comment une cochonne comme toi avec tous les coups de bites que je t’ai mis peut être toujours aussi étroite, ohhh ta chatte est si bonne, tu m’enserres ».

- ohhhh, j’en peux plus je vais m’évanouir, vous me faites tellement jouir, Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, arrêtez ………………….

Me relevant à nouveau, il me percha sur mes mules Ernest Oscar Noir de 14cm de haut, me retourna et ré-entra mister sexe dans mon anus. Il me déséquilibrait par ces coups de butoirs, tout en me maintenant par les seins. « Allez bouge moi ton gros cul de salope, vas y grosse pute ». Il s’était saisi du plumeau et me fessait avec cet ustensile de ménage. Il me mit enfin accroupi devant lui, dirigeant mister sexe vers ma bouche et se masturbant énergiquement, sa jouissance était proche. Ses premiers jets de spermes remplirent ma bouche, alors qu’il dirigea les suivants dans mes cheveux. Il m’avait demandé de retirer une de mes mules et de lui tendre dévotement pour vider ses dernières gouttes de spermes. Il me pris la chaussure et m’essuya les cheveux avec. Je du alors lécher la chaussure et effacer toute trace de sperme. Me tenant par les cheveux il me demanda de regarder vers une tenture indienne et me demanda de sourire à la petite lumière rouge.

- T’as aimé de te faire bourrer comme ça, poufiasse dis le moi !!!!!!!!!!!
- Oui vous m’avez fait jouir, c’était si bon
- Bien prend tes affaires et casse toi maintenant, et surtout dépose ton numéro de téléphone sur la table.

J’obéis me réajustant au plus vite afin de regagner ma voiture. Je savais que je ne tarderais pas à avoir des nouvelles.


chrislebo

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#388
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Madame et le concierge



Par une froide journée d’hiver, Madame, épouse distinguée du Maire, se rendait chez mister amie, Amélie, elle-même femme du Sous-Préfet. Madame est au volant de mister Cabriolet BMW. Elle se dirige vers les quartiers chics de l’ouest de Paris...Ce qu’on appelle le NAP : Neuilly-Auteuil-Passy.
Elle arrive devant un immeuble de grand standing et se gare dans le parking souterrain…Elle descend de la voiture et se dirige vers la sortie...Ses talons claquent sur le béton... Pour une fois, Madame n’a pas mis de talons aiguilles mais des bottes pour se protéger du froid. Elle porte sur elle un manteau de fourrure. Elle appela l’ascenseur jetant un œil par-dessus mister épaule… Elle ne se sent pas vraiment en danger dans ce quartier huppé ou l’on trouve un flic tous les 200 mètres mais le parking souterrain reste le fantasme préféré des femmes... Il parait même que c’est un fantasme très répandu chez les bourgeoises comme elle… Elle a entendu ça l’autre jour à la télé dans l’émission à Jean-Luc Delarue qui décidément aborde tous les sujets… Les portes de l’ascenseur coulissèrent dans un chuintement discret et Madame monta dans la cabine… L’ascenseur arriva au rez de chaussée et Madame passa devant la loge du gardien… Courageusement, elle décida de prendre les escaliers…Elle croisa un homme à l’allure négligée qui lui jeta un regard torve… Elle se retourna et le surpris en train de tenter de mater ses jambes… Elle arriva à l’étage ou habitait Amélie et misterna. La porte s’ouvrit très vite sur mister amie…
- Marie-Hélène ! Ma chérie, comment vas-tu ?
Voix haut perchée des bourgeoises, issue d’une famille d’aristocrate, vieille noblesse française, Amélie est une femme d’une quarantaine d’années comme Madame. Elle l’a fait rentré dans le salon et Madame retire mister manteau de fourrure apparaissant dans une robe toute simple mais pourtant acheté une fortune chez un grand couturier…Les deux amies s’assoient dans le canapé et Amélie fait le service servant une tasse de thé à Marie-Hélène. La femme du Sous-Préfet est vêtue d’une jupe écossaise sur des bas noirs avec un chemisier blanc…Son serre-tête en velours retient ses cheveux blonds vénitiens…Elles commencèrent à discuter de l’actualité tout en sirotant leur thé…


Soudain un coup de misternette interrompit leur conversation. Amélie se leva et alla ouvrir. Madame aperçoit un homme assez petit, gros, pas très beau. Il salut l’épouse du Sous-Préfet et lui tend un paquet. Il rentre dans le duplex et s’avance dans le salon…Curieux, pense Madame, elle n’a pas eu l’impression qu’Amélie lui avait donné l’autorisation d’entrée…Amélie revient…Madame a le sentiment que quelque chose ne vas pas…Amélie est toute pâle, livide…Le regard fuyant…Elle fait les présentations…
- José, le gardien de notre immeuble…Il est monté m’apporter un colis que j’ai reçu.
Le gardien salut Madame d’un hochement de tête. C’était l’homme qu’elle avait croisé dans l’escalier. Madame frimisterne en sentant le regard insistant qu’il lui porte la dévisageant sans vergogne. Il matte ses cuisses dévoilées par la robe.
- Il faudrait que je vous parle d’un problème concernant l’immeuble M’dame…lance le gardien en regardant Amélie droit dans les yeux…
Madame a l’impression qu’Amélie a encore plus blêmit…
- Mais…Maintenant ? Ça ne peut pas attendre…
- Non…Je dois vous voir tout de suite dans ma loge…
Le ton est sans réplique et le concierge entraine Amélie vers la sortie en s’excusant auprès de Madame qui se retrouve seule dans le salon.
Madame n’hésite qu’une fraction de seconde, prise d’une inspiration subite, peut être le célèbre « instinct féminin », elle se précipita également, dévalant les escaliers à la poursuite du gardien et d’Amélie. Elle arriva légèrement essoufflée devant la loge du gardien.
La porte est entr’ouverte et elle hésite sur la conduite à tenir…Elle trouve quand même très étrange l’attitude du gardien envers Amélie.…Elle jeta un œil par l’interstice et elle failli pousser un cri devant le spectacle qu’elle découvrit.
Amélie, accroupie devant José, était en train de lui administrer une fellation…Le gardien, le pantalon sur les chevilles, soufflant comme un bœuf, le slip à mi-cuisses, un sexe épais et gonflé dardant fièrement entre ses jambes velues, enfonçait mister membre imposant dans la bouche pulpeuse de l’épouse du Sous-Préfet en donnant des petits coups de reins… Amélie, les joues gonflés par la bite faisait aller et venir ses lèvres autour du mandrin…Elle salivait dessus…Hoquetant parfois…La situation scandalisa Madame qui se recula légèrement mais elle était fascinée par ce qu’elle voyait…Sa meilleur amie, élevée dans les plus prestigieuses institutions catholiques bourgeoises était en train de tailler une pipe au gardien de mister immeuble…Sa jupe écossaise était relevée dévoilant ses jambes gainées de nylon noir. Le gardien lui agrippa les cheveux et la força à avaler sa queue encore plus profondément…L’épouse du Sous-Préfet poussa un gémissement…
- Vas y ma salope, suce moi la bite, t’es vraiment une pute…Dommage que ta copine ne vienne pas nous rejoindre, elle est pas mal l’épouse du Maire…
Offusqué par de tel propos, Madame se retient d’intervenir…Elle se demande si elle doit appeler la police…mais Amélie est elle contrainte ? ca n’en a pas l’air…Et puis...Madame n’est pas insensible a cette situation…Elle sent mister string s’humidifier légèrement exciter par ce qu’elle voit…


José releva Amélie et lui ordonna de relever sa jupe écossaise…
- Fais voir ta chatte…
Rougissante, l’épouse du Sous-Préfet obéit relevant le tissu en le maintenant autour de sa taille…Elle apparait en collant noir, moulant mister cul et mister mont de vénus avec précision.
Le concierge s’approcha d’elle et lui déboutonna mister chemisier…ses seins à peine contenue dans un soutien-gorge noir lui sautèrent au visage…Madame choquée découvre qu’Amélie porte un soutien-gorge comme on en trouve plutôt dans les sex-shops que dans les boutiques de lingeries fines…Le sous-vêtement laisse apparaitre les pointes de ses seins ! Comme une pute pense alors Marie-Hélène…José se pencha et commença à mordiller les tétons qui rougissent et durcissent….
L’épouse du Sous-Préfet gémit et proteste mollement…
- José...je vous en prie, arrêtez...attendez au moins que Marie-Hélène soit partie…
- Pas question ! Au contraire, ça m’excite de savoir que je vais te baiser pendant que la femme du Maire t’attends…
Il baissa d’un geste brusque le collant à mi-cuisses révélant un string rouge fendue découvrant ses lèvres intimes…Il la retourna pour s’assurer que le string était également fendue par-derrière…Il lui donna une petite claque sur ses fesses…
- C’est bien ma chérie, t’es obéissante…
Il lui plongea deux doigts dans sa fente et Amélie écarta d’elle même les jambes pour lui faciliter le passage…Madame commence à être sérieusement exciter par ce manège…Elle sent sa respiration s’accélérer…Elle a chaud…Son string est trempée maintenant…Oppressé, elle continue de regarder mister amie se faire branler par José…


Celui-ci lui a déniché le clito et le pince sans douceur arrachant des gémissements à Amélie qui est toute rouge….Elle donne des coups de bassin maladroit…Elle se mord les lèvres quand le gardien lui enfonce mister index et mister majeur dans sa chatte...La mouille coule sur les doigts du gardien…Il se relève et tends ses doigts pleines de secrétions vers la bouche de l’épouse du Sous-Préfet qui s’empresse de les sucer avec une sale délectation…Totalement soumise….
- Je vais te baiser salope, t’en meurt d’envie…
- Oui...oui…je vous en supplie, ne me laissez pas dans cet état...balbutie Amélie, haletante...
Maintenant, elle se moque éperdument que Marie-Hélène puisse la surprendre...tout ce qu’elle veut, c’est le sexe d’un homme dans sa chatte en feu…
José la souleva sans difficulté et la coucha à plat ventre en travers de la table du salon…Il pointa mister sexe dur comme l’acier vers les lèvres béantes d’Amélie et s’engouffra dans sa chatte en poussant un grognement... L’épouse du Sous -Préfet poussa un petit gémissement enfin comblée par l’énorme pieu…Les mains crispées dans ses hanches, le gardien commença lentement des allers-retours dans le ventre accueillant…Puis il accéléra ses coups de pistons qui devinrent de plus en plus violent…Les fesses blanches d’Amélie tressautent sous les coups de boutoirs du gardien qui halète….Amélie gémit de plus en plus fort….


N’en pouvant plus, toujours caché aux regards des deux autres, Marie-Hélène a soulevé sa robe et écartant fiévreusement mister string, elle s’enfonce mister index dans sa chatte dégoulinante…Elle se masturbe en haletant consciente de sa déchéance…Elle ! L’épouse du Maire se branler comme une collégienne en chaleur en plein jour ! Au milieu de ce hall d’immeuble…Si ses administrés la voyaient… Elle se pinça le bouton si violemment qu’elle poussa un gémissement de plaisir et de douleur.


Sentant l’orgasme monter irrésistiblement de mister ventre, l’épouse du Sous-Préfet poussa un cri étranglé…
- Tais-toi ! Tu veux ameuter les voisins !
Les mains crispées sur la table, Amélie subie, passive, les assauts du gardien. La table bouge toute seule sous les coups de reins puissants de José. Il accéléra soudain faisant couiner la table et la femme du Sous-Préfet…Son ventre claque contre ses fesses avec violence. Amélie jouit soudain sous les coups de reins de José, elle étouffa ses cris en se mordant les lèvres…José se retira et se branla au dessus du visage ravagée par l’orgasme. Il éjacula lâchant des trainées de sperme blanc qui allèrent s’écraser sur les joues et le menton de la respectable épouse du Sous-Préfet…


Madame laisse retomber précipitamment sa robe en comprenant, affolée, qu’ils allaient sortir de la loge. Elle remonta rapidement les escaliers et quand Amélie arriva, les joues rouges, essoufflée, elle était de nouveau dans le canapé, sa tasse de thé à la main.
- T’en a mis du temps, lui lança Madame.
Amélie s’assoie à coté de mister amie…
- Je n’arrivais plus à me débarrasser du concierge, il m’a...épuisé !

chrislebo

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#389
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Un Patron Pervers


En pensée, Jérôme revenait aux jours où il avait décidé de réaliser ses veux les plus lubriques.

Il avait souvent rêvé de baiser d'innocentes jeunes femmes, mais il n'avait jamais eu cette chance.

Elles se détournaient de lui à la vue de mister apparence, sa petite stature et mister apparence dodues faisaient que beaucoup de gens se référaient à lui comme le "petit nain".

Lorsqu'il hérita de la compagnie au décès de ses parents, les choses changèrent du tout au tout pour lui.

Il détenait le pouvoir maintenant.

Une grande partie de ses rentrées provenaient de loyers de motels mi-nables et de sex-shops situés en ville, mais ces activités en marge étaient tenues secrètes, n'apparaissait de l'iceberg que sa participation dans des compagnies de négoce.

Toutefois, il avait en bien propre une honorable fabrique de papier qu'il utilisait comme un paravent pour dissimuler ses nombreuses activités illicites.

Il se targuait de tout connaître des employés de sa papeterie et de leurs épouses.

Régulièrement il faisait mener des enquêtes sur eux.

Un nouvel employé nommé Jeff Wilmister lui apparut comme particulière-ment ambitieux et vif.

Mais ils étaient nombreux à lui ressembler dans ce job, aussi Jérôme pouvait-il chipoter quant à la qualité qu'il requérait de ses employés.

Ce qui ressortait le plus de mister enquête était la photo sa ravissante jeune épouse, la bite de Jérôme tressautait dans mister caleçon ce qui captait mister attention, le sort de Jeff Wilmister dépendrait bientôt du comportement de sa somptueuse épouse!

Jérôme se rendit compte que ce jeune monsieur Wilmister devrait être rela-tivement facile à berner.

Le rapport d'enquête spécifiait qu'ils n'avaient pas d'enfants mais qu'ils avaient décidé de fonder rapidement une famille.

Jérôme observait avec attention la photo de la sémillante madame Julie Wilmister, il était décidé à l'aider à fonder sa famille!

Le rapport soulignait que le couple sortait assez souvent, le mari aimait la pêche au gros alors que sa femme adorait nager et prendre des bains de soleil.

Ainsi Jérôme observait-il avec attention les résultats de mister employé, cherchant une occasion de le récompenser à sa façon en créant un type de récompenses adéquat.

Il voulait offrir, au mari confiant, un week-end spécial de détente.

Il avait organisé une randonnée de pêche sur un bateau spécialisé, alors que sa femme se relaxerait dans sa propriété qui comportait une piscine olympique.

Jérôme convoqua mister employé pour le féliciter, la conversation fut très conviviale, le patron voulant surtout mettre à l'aise mister employé.

En agissant ainsi, le patron pervers apprit beaucoup de choses sur l'his-toire et la vie du jeune couple, il était ravi d'apprendre, entre autre, qu'ils avaient décidé de fonder une famille.

En réponse à une profonde allergie de Julie pour la pilule, ils avaient décidé que le moment était venu de concevoir.

Jérôme voulait que le jeune couple apprécie sa propriété où ils seraient seuls la première nuit, lui-même ne les rejoindrait que le lendemain pour se joindre à eu pour le déjeuner et le dîner.

Jeff Wilmister avait mister vendredi pour préparer leur sortie en limousine.

C'est la première fois qu'une luxueuse limousine venait les prendre sur le palier de leur modeste domicile.

Otis, le chauffeur permisternel de Jérôme, un solide noir très musclé, leur ouvrit les porte et les salua courtoisement.

La jeune femme n'avait jamais vu grain de peau aussi noir!

Comme il arborait un sourire engageant, Julie frémit à l'idée de voir un corps aussi noir s'étendre sur le sien si blanc, si menu.

Le jeune couple, tout excité de cette invitation, arriva dans une limousine que Jérôme avait envoyé les prendre.

Ils étaient les seuls invités, visiblement les domestiques les attendaient.

Ils nagèrent longuement dans la piscine puis Julie prit un bain de soleil alors que Jeff préparait sa sortie de pêche.

A leur insu, des yeux vifs les épiaient au travers de jumelles, les yeux du mateur s'attardaient sur les charmes dévoilés de la somptueuse jeune femme, dissimulé dans le château Jérôme bavait d'envie à la vue des charmes de la sémillante jeune femme uniquement vêtue de mister bikini rose.

Il sentait ses 25 centimètres de bite se dresser dans mister caleçon, il était déterminé à se servir de mister braquemart rapidement.

En fait, il était déterminé à engrosser cette jeune salope cette nuit même.

Julie s'attardait pour regarder le coucher de soleil tout en profitant d'un léger repas pris au bord de la piscine.

Son mari était parti pêcher dans la baie et ne reviendrait pas avant le lendemain matin.

La vue du luxueux bateau l'avait épatée tout autant que le luxe de la ré-sidence.

La totalité des serviteurs était à mister service et réagissait au moindre ap-pel.

Dès mister repas terminé elle se sentit un peu nauséeuse, sur le point de s'assoupir, elle gagna sa chambre et en verrouilla la porte.

Son esprit était assoupi bien qu'elle resta éveillée, elle ne comprenait d'ailleurs pas pourquoi, elle n'avait consommé qu'un verre de vin!

Elle ne pouvait pas savoir qu'un des serviteurs avait glissé dans ce verre de vin une puissante drogue qui affectait temporairement mister système nerveux.

Dans la sécurité de sa chambre, Julie enleva tout d'abord sa légère robe ne gardant que mister soutien-gorge de dentelle et sa petite culotte alors que l'effet de la drogue s'accroissait.

Elle avala sa salive en voyant la porte du cabinet de toilette s'ouvrir sur le nain patron de mister mari qui reluquait avidement ses charmes.

Son large sourire ironique la clouait au pilori.

Elle baissa les yeux et cria à la vue de sa bite longue de 25 bons centimètres qui se balançait mollement entre ses cuisses, on aurait cru voir une batte de base-ball.

Julie chercha à bouger, mais mister corps la trahissait.

Jérôme sourit sachant pertinemment que la drogue paralysait ses ré-flexes primaires.

Il adorait voir une peur indéfinissable s'afficher sur le visage des jeunes oies qu'il n'allait plus tarder à plomber.

Julie parvenait à peine à gémir et à secouer la tête de gauche à droite alors que le pervers patron de mister mari s'approchait d'elle.

L'horrible nain fut tout de suite sur elle, il remonta les bonnets de mister soutien-gorge de dentelle et entreprit sur-le-champ de lui téter ses ma-melons roses.

Il continua en lui ôtant sa petite culotte assortie.

Quelques secondes plus tard, il enfouissait mister visage dans mister buismister doré, testant de la pointe de la langue les saveurs de sa fentine, cher-chant à dénicher mister clito.

Pire encore, sa grosse bite suintante laissait des traces gluantes sur mister visage, jamais elle n'avait enduré une expérience aussi révoltante.

Elle n'avait jamais embrassé ou sucé la bite de mister mari bien qu'il l'en prie assez souvent, et voilà que ce monstre de perversité frottait mister gland poisseux sur mister visage et ses lèvres.

L'entraînant sur le lit Jérôme rampa tout de go entre ses cuisses ouver-tes lui relevant les chevilles sur ses épaules.

Se tenant debout, mister petit corps le mettait au niveau idéal pour lécher ses tendres plantes de pieds.

Il suça assez longuement chacun de ses orteils. Julie ne pouvait que grommeler sa honte les yeux levés sur mister ignoble assaillant elle sentait dont la bite tressauter entre ses cuisses bavant mister trop plein pré sper-matique sur ses cuisses.
chrislebo

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#390 
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Jérôme constatait la détresse de la jeune femme aux yeux rivés sur mister affolant braquemart.

-Je parie que ton mari est loin d'être aussi bien monté! La raillait-il narquoisement.

-S'il vous plait, laissez-moi tranquille... Ne me violez pas... Je vous en prie... Le suppliait-elle éperdue.

-Je sais que tu es sur le point de démarrer ta petite famille avec ton mari ma chérie, je vais vous y aider en te collant un polichinelle dans le tiroir ma chérie! Riait à pleins poumons le pervers nain hi-lare.

Il se blottit entre ses genoux, les jambes de Julie refermées dans mister dos.

Il commença à parcourir sa fentine de mister épais gland s'attardant sur l'étroite entrée de sa grotte embrasée.

-Ohhhhhhhhh... Mon Dieu... Nonnnnnnnn... Arrêtez je vous en prieeeeeeeeee... Arrêtezzzzzzzzzz... S'il vous plait... Le suppliait-elle misérablement.

Tout sourire Jérôme s'approchait de plus en plus de sa caverne frémis-sante.

Sa grosse bite rencontra plus de résistance une fois sa mentule enfouie de 15 centimètres en elle.

De grosses larmes envahirent les yeux de Julie, elle hurla :

-Je vous en prie... Vous me faites mal... Oh mon Dieuuuuuuuu... Vous êtes bien trop grosssssssss... Ohhhhhhhh, mon Dieuuuuuuuuuu... Hurlait-elle à pleins poumons.

Jérôme se marrait comme une brute en réalisant qu'il abordait des terri-toires jusqu'ici inexplorés, apparemment l'outil de mister mari ne dépassait pas 15 centimètres!

-Aieeeeeeeeeeee... Owwwwwwwwwww... S'époumonait-elle d'une voix perçante. Et ce jusqu'au moment ou Jérôme parvint à engouffrer ses 25 cm de braquemart frémissant dans sa chatte dis-tendue, il plongeait en elle jusqu'au col de mister utérus.

Jérôme se réjouissait de voir l'expression paniquée qu'affichait mister vi-sage, tordu par la douleur de se sentir pourfendue par une bite bien plus épaisse et plus longue que celle de mister mari.

Jérôme entreprit de coulisser lentement en elle, se retint jusqu'à ne lais-ser que mister gland turgescent dans sa louloute pour mieux se renfoncer jusqu'à ce que ses couilles viennent frapper mister tendre arrière train.

Il accéléra alors le rythme, prenant mister élan pour se planter en elle ven-tre claquant contre ses fesses, on aurait pu croire qu'un gagnant du derby la chevauchait jusqu'à l'étirement final de sa féminité éperdue.

Soudain, Julie croisa ses pieds dans mister dos l'attirant à elle de toutes ses powers alors qu'un violent orgasme la terrassait toute.

-Ohhhhhhhhhhh... Nonnnnnnnnnn... Non... Ohhhhhhhhh... Oh mon Dieuuuuuuuuu....

Julie s'arqua sur ses talons alors qu'un inimaginable orgasme la sub-mergeait menaçant de désarçonner le nain qui se tenait si bien en selle.

Deux fois encore la belle et fidèle jeune femme trembla irrésistiblement, le corps fracassé par des orgasmes successifs.

Soudain le nain l'empoigna fermement la serrant fortement contre lui alors que sa grosse mentule s'enfouissait au plus profond de mister utérus.

Elle sentit mister gland frémir en elle alors qu'il grognait :

-Il est temps maintenant de t'engrosser!

-Non, je vous en prie, nonnnnnnnnnnnn... S'il vous plait... S'il vous plait retirez-vous... Nonnnnnnnn... Je vous en prieeeeeeeeeee... Le suppliait-elle misérablement.

Mais il était trop tard, Jérôme grogna sourdement alors que sa bite proje-tait sa sève au fin fond de mister intimité, dans ses flancs fertiles, la rem-plissant de sa grasse semence.

Pendant toute la nuit, Jérôme s'efforça de dévergonder l'innocente jeune oiselle au gré de mister imagination si fertile.

Immédiatement après sa possession initiale, le nain s'était relevé et avait enfoui sa bite entre ses plantes de pied.

Visiblement il fétichiste des pieds!

Il se branla furieusement entre ses pieds jusqu'à vomir mister foutre épais sur ses plantes de pieds et ses orteils.

Julie ne parvenait pas à croire que ce nain hirsute ne se satisfasse pas encore de ses charmes.

Il forçait maintenant sa mentule gluante entre ses lèvres l'obligeant à l'accueillir dans sa bouche révulsée d'horreur.

Elle étouffait et haletait, privée d'air, alors qu'il la baisait en bouche, ses 25 centimètres de braquemart enfoncés dans sa gorge.

Ecœurée, elle dut endurer qu'il se vida les couilles dans sa gorge et sa bouche.

Plus tard, hébétée, elle le regarda, elle ne pouvait bouger alors que l'ignoble nain se masturbait au-dessus de mister visage.

Elle voyait sa grosse flamberge se déployer au-dessus de sa chevelure blonde.

Soudain la longue byroute commença à vibrer crachant mister venin droit dans ses yeux, lorsqu'il eut fini de gicler, mister visage était couvert de foutre, ses cheveux poissés de semence épaisse et grasse.

Julie sanglotait tout en ce relaxant, mister pervers violeur semblait éreinté après ses multiples éjaculations sur et dans mister corps souillé.

Elle avala sa salive en entendant la porte de la chambre s'ouvrir, le chauffeur de la limousine pénétra dans la chambre, souriant à pleines dents il était déjà torse nu et se débarrassait de mister pantalon.

Julie avait les yeux rivés sur le caleçon blanc bombé, avalant sa salive en imaginant la monstruosité qu'il devait contenir.

Comme il baissait lentement mister caleçon, elle souffla bruyamment à la vue de l'énorme colonne qui apparaissait. Une véritable batte de base-ball!

Julie éperdue de peur, elle savait que mister épreuve était loin d'être termi-née!

Non... Non... Je vous en prie... Nonnnnnnnnnnnnnn.... Sanglotait-elle affolée, de grosses larmes roulant sur ses joues.

Pendant l'heure suivante, elle pensa mille fois qu'elle aurait préféré mou-rir.

Elle dut sucer l'énorme pieux de chair jusqu'à ce qu'il lui emplisse la gorge de mister jus épais et gluant.

Puis mister agresseur noir se releva, retourna la jeune femme et la tint en-tre ciel et terre par la taille.

-Oh mon Dieu.. Non... pas ça... Je vous en prie... Non.. Je... Je n'ai jamais fait ça! Le conjurait-elle.

-Aieeeeeeeeee... Nonnnnnnnnn... Ahhhhhhhhhhhh... Ugh-hhhhhhhhhhhhhhhhh... Nonnnnnnn... Arrêtezzzzzzzzzz.. Non, je vous en prieeeeeeeeeee... Je vous en prieeeeeeeeeee... Aie-eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee...

Ses cris perçants transperçaient les murs alors qu'il coulissait dans ver-gogne, de ses 30 centimètres de long dans mister trou du cul jusqu'ici vierge.

Son agresseur noir l'enculait comme une bête, manipulant mister corps tremblant dans aucun problème.

Pendant 5 bonnes minutes, on put encore entendre les hurlements de la malheureuse dans toute la résidence.

Mais elle ne reçut aucune aide, Otis était si bouleversé par ses cris perçants que rapidement il eut besoin de gicler sa semence dans mister trou du cul asservi.

Comme sa bite mollissait, Otis se dirigea vers le lit la jeune femme tou-jours empalée sur sa queue et l'installa sans cérémonie sur le lit.

Le nain arborait un large sourire alors qu'il enregistrait le viol du trou du cul de la jeune femme par mister fidèle employé noir.

La chambre comportait deux caméras qui enregistraient toutes deux l'événement, il était donc sur que l'enregistrement de ce viol serait parfai-tement exécuté.

Finalement, satisfait de lui-même le noir enroula les cheveux blonds soyeux de sa proie sur sa bite turgescente.

Jérôme avait éjaculé lui aussi alors que la monstruosité de mister employé vomissait un flot de foutre dans sur le visage de sa jeune proie.

L'employé noir adorait mister vraiment boulot. La précieuse virginité de la jeune épouse, normalement réservée à mister époux, avait été déchirée par sa grosse bite, il savait que là se bornait mister domaine d'intervention.

La précieuse chatoune de la jeune femme était réservée à l'usage de mister employeur, ce dernier voulait être sur d'être le seul à pouvoir l'en-grosser à l'insu de mister mari.

Le noir ne s'en souciait pas du tout, il se satisfaisait d'enculer la jeune femme à sa guise.

Il adorait entendre hurler les jeunes femmes dont il cassait le trou du cul de toutes ses powers.

Cette nuit, les cris perçants poussés par Julie auraient réveillé un mort!

Le lendemain matin, les deux jeunes soubrettes chargées de s'occuper d'elle, réveillèrent Julie, elles aidèrent la jeune femme couverte de foutre à entrer dans la douche, s'arrangeant pour s'arrêter devant le grand mi-roir en pied, le temps qu'elle puisse contempler mister corps couvert de foutre séché des orteils à la tête.

Ils l'aidèrent à se laver et à s'habiller d'un bikini rouge, lui assurant qu'elle allait plaire au pervers nain qui avait enregistré les performances de cette nuit, alors qu'il la baisait allégrement ou que mister serviteur noir l'en-culait jusqu'à l'os.

Julie restait hébétée, muette de stupéfaction alors qu'elle lui montrait un jeun de photos tirées de sa nuit.

Elle se reconnaissait clairement même quand elle suçait avidement la monstruosité noire du géant qui venait de l'enculer.

De retour de sa nuit de pêche Jeff salua tendrement sa jeune femme, puis il attendit avec impatience la venue de mister patron qui devait rentrer de mister voyage d'affaires, ils devaient prendre leur petit-déjeuner avec lui u bord de la piscine.

Ils portaient des tenues totalement informelles de façon à pouvoir se baigner aussi bien avant qu'après le petit-déjeuner.

Pendant le repas, Jeff empoigna la main e de mister patron qu'il tint fer-mement.

Il pensait visiblement que ce dernier était victime dune attaque cardia-que.

Cela ne prit qu'une minute pour que mister patron reprit une attitude tout à fait habituelle.

Jeff aurait perdu tout contrôle de lui-même s'il avait comprit la raimister du saisissement de mister patron.

S'il avait jeté un oeil sous la nappe il aurait compris le pourquoi de cette attitude déconcertante.

Sa jeune femme avait saisit la grosse bite du nain entre ses plantes de pied et l'avait manipulée jusqu'à éjaculation sur ses orteils.

Elle priait pour que mister mari n'identifie pas l'odeur révélatrice du sperme qui couvrait ses orteils.

Elle retint un sanglot d'avoir été obligée d'agir ainsi pendant le petit-déjeuner, il l'avait menacé, si elle ne s'exécutait pas, docilement de montrer la bande vidéo comportant sa performance avec le géant noir à mister époux.

Elle aurait aimé mourir à cet instant ou elle avait du masturber la bite du pervers nain avec ses orteils, ses pieds étaient maintenant couverts de foutre gluant.

Elle avait été informée qu'elle devait accomplir ce pénible exploit tandis que mister mari savourait tranquillement mister petit-déjeuner.

Épuisé par sa partie de pêche, Jeff se retira dans leur chambre pour y faire un somme.

Julie plongea dans la piscine pour rincer ses doigts de pieds. Le plongea dans mister dos.

Par chance Jeff ne regardait pas par la fenêtre de leur chambre.

Le nain et sa femme se trouvaient au cœur des arbres au milieu de la piscine.

Finalement Julie barbota vers le rebord de la piscine cherchant à échap-per aux avances du pervers nain.

Juste au moment ou elle agrippa le rebord de la piscine, il lui empoigna les hanches, sa petite culotte de bikini descendit le long de ses jambes.

Le nain s'installa entre ses cuisses, elle poussa un cri sourd alors que sa bite déformée plongeait brusquement dans mister intimité, il ne tarda pas à projeter mister infâme sève au fin fond de mister utérus fertile.

Le repas du soir fut plus habillé, les hommes portaient des costumes élégants et Julie une ravissante robe brune sur des hauts talons d'une élégance rare.

Comme sa robe était à longueur du sol, elle n'avait pas enfilé de bas.

Le repas terminé le jeune couple salua leur hôte et le remercièrent de les avoir accueilli pour ce merveilleux week-end.

Pendant leur retour vers leur chambre de l'autre coté de la résidence, Jeff commentait à l'usage de sa femme :

-Je crois que le patron a besoin de consulter un spécialiste du cœur! L'instant d'éblouissement qu'il a ressenti le long de la piscine s'est renouvelé lors du repas.

Julie rougit comme une tomate et chercha à conserver une attitude nor-male.

Mais cela lui était très difficile, ses hauts talons s'avéraient poisseux et gluants sans doute à cause de l'épaisse couche de foutre qui recouvrait ses orteils et ses plantes de pied.

Julie savait pertinemment qu'il ne s'agissait en aucun cas d'une alerte cardiaque qui avait causé l'instant d'égarement du patron de mister mari, elle avait savouré pleinement cet instant ou les pieds refermés sur sa bite turgescente il avait vomi mister foutre sur ses orteils et ses plantes de pied.

Assise sur mister lit, Julie pleurait à chaudes larmes.

Un mois s'était écoulé depuis mister viol.
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