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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#331
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La Course Poursuite



Course poursuite à travers la ville.

Une grosse cylindrée roule à pleine vitesse, se faufilant dans la circulation.

Elle est poursuivie par une voiture de police qui lui colle au pare-chocs.

A bord de la grosse voiture, 4 hommes en cagoules qui venaient de cambrioler une bijouterie.

- Je n'arrive pas à semer cette poufiasse, elle est collante!

- Sors de la ville, on aura plus facile.

A bord de la voiture de Police, Joëlle, sergent.

- Ici voiture 214, appel de renfort d'urgence.

Suis à la poursuite d'une voiture de marque inconnue, couleur noire, plaque ZZD-979

Code 25, je répète Code 25.

Nous sortons de la ville. Renfort demandé d'urgence.

- Ici centrale, voiture 214, appel reçu. Renfort non disponible pour l'instant, seront envoyés dès que possible.

- Bordel! je ne vais pas y arriver seule! Urgence prioritaire.

- Ici centrale, voiture 214, renfort seront envoyés aussi vite que possible.

Sortis de la ville les 2 voitures s'engagent sur l'autoroute et accélèrent.

Le chauffeur de la voiture de tête manœuvrant pour empêcher la voiture de police de la dépasser.

- Prend la A65, à cet heure-ci la route est dégagée et on pourra semer cette garce.

- Ici voiture 214, nous nous engageons sur l'A65. Je répète nous nous engageons sur la A65

- Ici centrale, bien reçu voiture 214.

L'A65 était déserte à cette heure de la journée, la course folle continuait.

- Elle ne nous lâche pas! c'est une obstinée.

- Attend, j'ai une idée...ralentit un peu et laisse la te déborder sur la droite.

Dès qu'elle est à notre hauteur, tu te rabats et tu l'envoi dans le fossé.

Les deux voitures étaient maintenant cote à cote....quand la voiture noire fit un brusque mouvement vers la droite, percutant le véhicule de Joëlle.

Elle perdit le contrôle et s'écrasa sur un arbre.

L'autre voiture s'arrêta un peu plus loin et fit marche arrière.

Joëlle était inconsciente, assommée par le choc.

- Elle a du pot...elle ne s'en sort pas trop mal.

- Ouais, mais elle a certainement communiqué notre plaque, donc cette voiture est fichue. Il faut qu'on en trouve une autre rapidement.

- Et si on la prenait en otage, histoire d'avoir une assurance « problèmes »?

- Ouais, bonne idée.

- John, va la chercher, fous lui ses menottes et tape là dans le coffre.

Joëlle, toujours inconsciente était menottée et déposée dans le coffre de la grosse voiture.

John en profita pour prendre les armes et les matraques qui étaient dans sa voiture.

Elle se réveilla...sa vision était encore trouble, sa tête lui faisait horriblement mal et elle mit un petit moment pour reprendre ses esprits et découvrir qu'elle était menottée et bâillonnée dans une cave sombre et humide.

- haaaa...miss superflic se réveille enfin.

Elle vit les 4 gangsters face à elle, tous avait revêtu leur cagoule.

- Tu pourras te vanter de nous avoir donné du fil à retordre...coriace comme flic.

- Mais bon, tu t'es plantée et tu es maintenant notre garantie « anti-flic » jusqu'à ce qu'on quitte ce pays.

- Alors, tu vas rester bien sage et ne pas tenter quoique ce soit qui serait préjudiciable à ton physique.

Un des 4 gangsters, qui semblait être le chef se tourna vers les 3 autres et donna des consignes que Joëlle ne put entendre.

Deux gangsters quittèrent la cave, pendant que les deux autres s'installèrent sur les chaises...observant leur primisternière au travers de leur cagoule.

- Elle est pas mal gaulée pour une flic...c'est rare ça

- Ouais, d'habitude c'est des modèles genre aussi haut que large...et ici on a décroché le jackpot avec un top model en bleu.

- Regarde ce qu'elle a dans mister portefeuille, j'aime savoir à qui je parle.

Il prit mister portefeuille et commença à le vider sur une table.

- Voyons voir ça....

50euro, quelques photos de famille, papier d'identité, carte de police, cartes de banques...rien de bien marrant dans tout ça.

Ho...un préservatif...mademoiselle est prévoyante, c'est bien ça.

Son instinct policier travaillait à plein régime.

Celui qui semblait être le chef s'appelait Marc, mister comparse John. Les deux autres, elle n'avait pas encore eu l'occasion d'entendre leur prénom.

Quelques instants plus tard, les 2 autres gangsters étaient de retour.

- Ok, j'ai une voiture. A la radio, la police semble être dans les choux...ils ont retrouvée les voitures, mais aucune piste. On est donc tranquille pour un moment.

- Parfait! on va se reposer un peu, ensuite on se remet en route.

- Et que fait t'on d'elle? on ne va pas la trimballer avec nous, elle nous gênerait plus qu'autre chose.

- J'ai d'autre plan pour elle...rassure toi.

Joëlle eut un frismister en entendant Marc prononcer cette phrase.

Quel plan? Ils allaient la tuer?

- John, prend la chaine qui est là!

Il pointa du doigt une chaine qui trainait sur le sol.

- Ensuite, fixe le mousqueton sur les menottes de notre invitée et passe la chaine dans l'anneau situé juste au dessus d'elle.

John s'exécuta et donna le bout de la chaine à Marc.

Marc tira brusquement la chaine, relevant les bras de Joëlle et la forçant à se lever.

Il attacha le bout de la chaine à un crochet.

Elle était maintenant debout, bras tendu au dessus de sa tête.

- C'est qu'elle a des arguments la miss....

S'écria un des 2 autres dont elle ignorait encore le nom en pointant sa poitrine qui ressortait.

L'autre « inconnu » s'approcha d'elle et sorti un couteau, le glissant le long de sa joue.

- Alors mignonne...ça fait quoi d'être flic? ça te fait jouir de faire chier les gens?

- Michael, ne la blesse pas...j'ai d'autre projet.

Il s'appelait Michael...et de 3.

- Par contre, fait sauter sa chemise, je suis curieux de voir ce qu'il y a en dessous.

Michael, aidé de mister couteau fit sauter 1 par 1 les boutons de sa chemise, puis il écarta en écarta les pans. Dévoilant au 4 permisternes sa poitrine généreuse cachée par un soutif bleu modèle sport.

- Je fais de même pour mister soutif?

- Oui abruti, pourquoi poser cette question.

Assez rapidement, avec l'aide de mister couteau, il en déchira les lanières.

Ses seins étaient maintenant à nu, elle frismisternait...de peur et de froid.

Marc s'approcha d'elle et lui murmura à l'oreille :

- tu vois ma mignonne, nous sommes 4 évadés de l'aile Z3 du pénitencier local...si ça te dis quelque chose

Évidemment que ça lui disait quelque chose, l'aile Z3 était l'aile des pervers sexuels, des détraqués en tout genre, des violeurs multirécidivistes...bref de la lie de l'humanité.

- Tu nous a fais chier, on va t'en faire baver à notre tour.

Joëlle tenta de lui envoyer un coup de pied qu'il esquiva.

Elle reçu en retour un coup de poing dans le ventre qui eu pour effet de la faire suffoquer sous mister bâillon.

- Michael, Nicholas, tenez lui les jambes!

John, enlève-lui mister pantalon!

Les 2 gangsters lui tenaient les jambes et les avais relevés...elle était suspendue par les bras.

John défis sa ceinture et dégagea le pantalon.

- Hooo quel beau slip, tout ce qui a de plus règlementaire.

Dit Marc en lui passant la main sur les fesses.

Joëlle se débattait de plus belle, poussant sur ses jambes pour faire tomber ses agresseurs.

- Tenez là bordel!

Ils étaient maintenant à trois à lui tenir les jambes.

Brusquement il lui tira les cheveux en arrière et déboucla sa ceinture avec mister autre main.

- Alors ma mignonne, on fait de la résistance? bien j'aime ça....on va voir jusqu'où tu nous résiste.

- Tenez la bien, elle ne doit plus bouger!

Il fit claquer la sangle en cuir de sa ceinture.

Puis une douleur atroce fit hurler Joëlle. Suivit d'une autre et d'une autre encore.

Il la fouettait avec sa ceinture, la sangle s'enroulant autour de sa taille, claquant sur mister ventre, ses seins, ses cuisses,...

Elle hurlait et pleurait de plus belle tandis que les coups pleuvaient.

- Écartez-moi les jambes de cette poufiasse.

A peine les 3 comparses lui avait écartée les jambes qu'il recommençait immédiatement à utiliser sa ceinture, mais sur ses fesses cette-fois.

La douleur était atroce, Joëlle n'en pouvait plus, elle suffoquait, tentait de se débattre.

Ca n'arrêtait pas Marc pour autant...au contraire, la power et l'intensité augmentait
chrislebo

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#332
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Il avait reculé un peu, résultat c'était le bout de la lanière en cuir qui claquait sur ses fesses à présent, déchirant mister slip.

C'était un pervers de 1er ordre, sachant manipuler les objets pour l'aider dans sa perversion.

De mister slip, il ne restait que des lambeaux de tissus...sa chair était à vif et zébrée.

Il prenait soins de ne pas frapper 2 fois au même endroit.

Alternant les coups sur ses fesses, ses cuisses, ses seins ou sa taille.

Elle souffrait le martyr, la douleur était trop forte, pleurant et hurlant à chaque coup.

Quand il eut fini, elle était à demi consciente. Il la réveilla en la giflant.

- J'en ai pas fini avec toi ma jolie.

Nicholas, apporte-moi sa matraque.

Il fit glisser le bout de la matraque sur ses seins, sur mister ventre..

Joëlle était terrorisée.

En profita pour arracher l'élastique de ce qui fut auparavant un slip.

Elle sentit le caoutchouc froid glisser sur mister entrejambe, effleurant sa chatte.

Il passa derrière elle. Elle s'attendait à recevoir des coups violents.

- John, Michael, faites glisser ses jambes en arrières et maintenez lui les cuisses écartées.

Nicholas, fait descendre la chaine de mademoiselle...elle est trop haute.

Ainsi fut fait...elle pendait, toujours attachée par les mains, en diagonale, jambes écartées.

Marc fit glisser le manche le long de mister dos, descendant vers ses fesses.

Elle avait peur, elle tremblait...

Il fit glisser le bout de la matraque entre ses fesses et s'agenouilla.

Il titilla mister cul avec l'objet...

- Alors? on est vierge du cul?

Les yeux de Joëlle s'ouvrais en grand, sortant presque de leur orbite quand il commença à pousser la matraque sur mister œillet. Elle se débattait, hurlait au travers de mister bâillon.

Marc poussait de plus en plus fortement la matraque, petit à petit elle entrait, forçant le passage à sec.

Elle hurlait de plus belle, sentant sa matraque lui déchirer l'entrée de mister cul.

Marc prenait plaisir à pousser par à-coup sec et vulgar. La matraque était enfoncée à présent de presque 10cm dans mister cul quand il commença à effectuer un mouvement rotatif, déchirant un peu plus mister petit trou.

Il maintenait le manche bien enfoncé et se redressa, murmurant à l'oreille de Joëlle :

- J'aime les putte dans ton genre au cul vierge...je vais te dilater ma poupée. Quand on en aura fini avec toi, tu pourras y glisser ta main sans problème.

Elle était horrifiée, terrorisée par cet homme et ses comparses.

La douleur qui lui traversait les entrailles s'amplifia d'un coup, quand Marc fit sortir et rentrer le manche, recommençant la manœuvre à plusieurs reprises, entrant de plus en plus violement. A chaque fois, elle hurlait et à chaque fois, il poussait plus fortement encore.

Cette pénétration forcée et violente dura longtemps. La matraque pénétrait à présent sans aucune résistance et s'enfonçait profondément.

- Marc, laisse-nous-en un peu! s'écria John en ricanant

- Ouais, on a aussi envie de s'amuser. Dit Nicholas

- Tu entends ça ma mignonne...ton cul à du succès. John, à ton tour.

Marc se positionna face à Joëlle et observa ses yeux...

John se glissa derrière elle, déboutonna mister pantalon...et patienta un peu.

Il glissa sa mains entres ses fesses, remontant sur mister anus déchirés.

- Il est déjà bien ouvert Marc...mais pas encore suffisamment.

Il cracha sur ses doigts et lubrifia mister orifice.

Marc regardait toujours Joëlle dans les yeux...fixement.

John s'enfonça d'un coup au fond de mister cul...les yeux de Joëlle s'écarquillaient.

Il sorti et rentra à nouveau d'un coup sec et ainsi de suite.

Joëlle hurlait de plus belle, sentant ses entrailles se déchirer.

Marc s'était avancé et posa ses mains sur sa poitrine.

Il pinça ses têtons pendant que John lui labourait le cul.

John n'allait pas de main morte, à grand coup de rein il lui enfonçait sa bite jusqu'au bout.

- Elle est étroite la salope, je vais vite jouir.

Marc pinçait de plus en plus fortement le bout de ses têtons.

Les larmes de Joëlle glissaient sur ses joues. La douleur était atroce.

- Défonce là cette garce!

Sur ces mots, John accéléra le mouvement, orientant mister bassin pour la pénétrer plus profondément encore. Marc malaxais sa poitrine sans ménagement.

Nicholas et Michael riaient de plus belle en entendant Joëlle pousser des « han » étouffé sous mister bâillon.

Elle senti un liquide chaud se répandre en elle alors que John poussait un râle profond.

- Putain, cette putte est étroite, vous allez appréciez les mecs!

A toi Michael.

John pris sa place et Michael s'installa, il n'attendit pas longtemps..Profitant du trou béant et lubrifié par John, il s'enfonça aisément dans mister cul.

Le ramonage commença...Michael n'était pas aussi bien membré que John, Joëlle souffrait moins de sa pénétration. Ce qui n'eut pas le gout de plaire à Marc qui ne put s'empêcher de gifler ses seins endoloris.

Michael ne mit pas longtemps à jouir.

Le cul de Joëlle proposait à présent une ouverture béante, dégoulinante de sperme...

Nicholas se présenta à mister tour....et ramona le cul déjà bien ouvert avec power et violence.

Tout en lui déchirant les entrailles, il ne manquait pas de lui asséner des claques sur ses fesses.

Marc s'était accroupi et pinçait mister clitoris, il glissait de temps en temps deux ou trois doigts dans sa chatte, alors que Nicholas lui défonçait le cul de plus belle.

- Mais c'est qu'elle mouille cette garce!

Joëlle se laisse faire, ne résistant plus, tentant de s'évader psychiquement de cet endroit...mais bien vite le sadisme de Marc la ramenait à l'horrible réalité.

Il enfonçait à présent la matraque dans sa chatte détrempée, la poussant bien profondément...alors que Nicholas était encore dans mister cul.

- Je parie que t'aime ça...une bonne double. Je suis certains que tu en rêvais et que tu mouillais ta culotte de pouf

Il avait raimister, elle aimait ça, se faire prendre de la sorte, mais jamais elle n'osera l'avouer à ces crapules.

Chacun ils éjaculaient à leur tours dans mister cul et dans sa chatte détrempée.

Ne lui laissant aucun répit, elle subit les assauts cumulés des hommes pendants plusieurs heures.

Ils finirent par s'en aller, la laissant quasiment pour morte, baignant dans une mare de foutre, vêtements déchirés, chatte et cul béant.

Elle fut sauvée peu de temps après par une équipe de recherche.

Elle démissionna de la police quelques mois après mister retour de l'hôpital et se mit à la recherche de ses tortionnaires
vanbruje

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Posts: 282
#333
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J'ai parcouru la première partie des textes présentés ce jour et je vous en remercie. J'ai particulièrement apprécié : "Comment je cède au patron de ma femme", texte qui ne perdrait rien à une suite... détaillant la suite des relations des trois permisternages entre-eux ; peut-être l'evez-vous ?
Merci encore, je vais poursuivre avec la seconde fournée...
chrislebo

Member

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#334
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je regarde sa mais en règle générale je post toute l'histoire (sauf oublie de ma part)
chrislebo

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#335
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L'éducation


L'éducation d’une salope.

Je m’appelle Victoria, et voici mon histoire.
J’étais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires du sexe. J’avais eu quelques flirts et même un amant qui avait perdu mister pucelage en même temps que moi. Nous ne sommes pas restés très longtemps ensemble et je n’ai pas gardé un souvenir impérissable de cette première expérience sexuelle.
Puis j’ai quitté ma province pour la capitale afin d’y poursuivre mes études supérieures. Comme mes parents n’étaient pas très aisés, je devais absolument trouver un job qui me permette des payer mes études et mon logement. Je ne suis inscrite dans une association qui «plaçait» les étudiants. J’ai atterrie dans une famille qui contre quelques heures de ménage laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Il s’agissait de la chambre de leur fils qui faisait ses études à l’étranger. Ce studio était au rez-de-chaussée de la villa et avait une entrée individuelle. Une porte de communication permettait l’accès dans leur appartement (sur deux niveaux)
Ce couple était un peu plus jeune que mes parents. Lui était avocat et elle juge d’instruction et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», m’avaient-ils dit.
Mon travail n’était pas trop pénible. Sophie et Bertrand n’étaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur étude, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations. Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. Sophie m’avait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire d’escarpins noir aussi. Moi qui ne portais que des jeans, j’avais l’impression d’être déguiser. Mais Sophie et Bertrand étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issue tous les deux d’une famille de la grande bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance. Le reste du temps ils se fichaient complètement de la manière dont j’étais vêtue. Si dans la vie courante je les appelais par leur prénom, ces jours là je devais leur donner du Maître et du Madame.
Cela faisait maintenant deux mois que j’étais chez eux et je m’y sentais bien. Bien qu’un peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raimister de ma timidité. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me sentais chez moi, mais j’étais bien. Leur villa se situait au milieu d’un grand parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. Comme ils partaient quasiment toujours en week-end dans leur maimister de campagne, Sophie et Bertrand m’avaient autorisé à l’utiliser durant leur absence. Ils rentraient en général vers 19 heures et s’occupaient eux même du repas du soir, la cuisinière n’étant à la maimister qu’en semaine.
Je passais donc tous mes week-ends dans la dépendante au fond du parc. J’avais l’impression d’être aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, j’allais me baigner nue dans la piscine. J’aimais le contact de l’eau sur ma peau, et comme à cette époque je n’avais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Ce jour là c’était mon anniversaire. Le matin j’avais été chez le traiteur où mes «patrons» se servaient pour m’acheter un demi-homard mayonnaise, un soufflet au foie gras et une bouteille de champagne. Puis chez le pâtissier, je m’étais offert un gâteau au chocolat. Vers midi, mes parents m’avaient appelé pour me souhaiter un bon anniversaire. Après avoir parlé un moment avec eux, je me suis préparée un plateau avec mon repas fin et je me suis installée au bord de la piscine. J’ai dégusté mon homard, mon foie gras et enfin mon gâteau au chocolat, le tout bien arrosé de champagne.
chrislebo

Member

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#336
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- A toi, Victoria, à tes 21 ans.
Dans l’après midi, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois d’octobre, et même presque chaud. Je me suis déshabillée et j’ai plongé dans l’eau pour me changer les idées. Mais même après plusieurs longueurs, mon moral était toujours aussi bas. Alors j’ai décidé de me donner un peu de bon temps, comme je le faisais souvent quand je suis seule. Je fermais les yeux et lassais mes mains parcourir mon corps, pinçant un peu mes seins pour en faire durcir les tétons, glissant sur mon ventre pour enfin parvenir à mon bouton d’amour que je me mis à caresser avec ardeur. Je prenais tout mon temps, mes doigts s’égaraient parfois dans ma caverne mystérieuse et reprenais ensuite leur danse folle sur mon clitoris. Je voulais faire durer le plaisir, ne pas jouir tout de suite, aussi sans ouvrir les yeux, mes doigts remontaient parfois jusqu’à ma bouche et je les suçais. J’aimais et j’aime toujours le goût de mon suc intime. A ce rythme là, je ne parvins à l’orgasme qu’au bout de vingt minutes environ. Mais je n’étais pas pressée, permisterne ne m’attendait. Sophie et Bertrand ne seraient pas là avant deux heures.
- Humm, c’est bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ? Tu aimes ça te masturber hein ? Bien sur tu préfèrerais un homme mais faute de mieux … ! Allez ma fille fais toi du bien… hummm
C’est alors que je sentis une bouche s’emparait de mon sein pendant qu’une main prenait possession de l’autre. J’ouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, Sophie qui ne titillait la poitrine… Je n’avais entendu permisterne rentré. J’allais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et j’entendis la voix de Bertrand :
- Ne crie pas ! de toute façon, permisterne ne peut t’entendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi une femme. Tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Peut-être que tu ne l’as pas fait non plus avec un homme ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Victoria m’a l’air d’une sacrée salope, dit Sophie en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas… elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis qu’elle à un potentiel de salope et crois moi, je m’y connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lila avant elle Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se mistert révélées être de vraies chiennes. D’ailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils mistert exigeants sur la qualité de la marchandise.
Bertrand avait toujours sa main sur ma bouche et de l’autre il me maintenait fermement aidé en cela par Sophie qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec mister mari. J’essayais de me débattre, mais à deux contre une, j’avais perdu d’avance, d’autant que les caresses de Sophie venant juste après les miennes m’avait enlevé de ma vigueur, elle reprit :
- Bien sûr, il va falloir l’éduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher toute neuve dans un de nos diner mensuel. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à s’impatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances dans le Sud, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré l’obtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations qu’elle s’est faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir mister étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à l’étrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous qu’une fois qu’elles ont été installées dans la vie.
- C’est vrai on a eu de la chance, Maitre de Chazot me le disait encore hier :
- «Vos soubrettes mistert impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout Sophie. Elle les repère du premier coup d’œil. Et puis vient l’éducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. Sophie et moi y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant qu’elles ne se montrent dociles. C’est tout un art, cher Maitre.»
- Voilà un sacré cochon ce de Chazot. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire qu’il a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi aussi tu l’aimes bien la queue de Maitre de Chazot ! Je l’ai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu t’enculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais l’air d’apprécier.
Je n’en croyais pas mes oreilles. J’étais choquée d’entendre ce que j’entendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. J’étais tellement abasourdie que mon corps s’était décontracté et que je ne mistergeais même plus à me débattre ni même à crier. D’ailleurs comme l’avait si bien dit Gilles permisterne ne m’aurait entendu. Sophie a du le sentir, car elle a relâché mister étreinte et à commencer à me fouiller l’entre jambe.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ! nos histoires ont émoustillaient cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Touche !
- Tu as raimister ! Alors sale petite vicieuse ! ça t’excite les histoires de cul ! tu as envie de gouter à ma bite ou tu préfères le con de Madame la Juge ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais m’occuper de mister délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis s’adressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec l’esthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce qu’on aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Victoria, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, c’est drôle ça, le barreau ! tu vas voir le sien va te remplir la bouche.
Comme je n’ouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à l’heure, et bien maintenant tu l’as. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il n’y a pas de raimister que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être qu’elle ne l’a jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois Sophie, c’est une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement. Elle est pure !
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, j’ai déjà eu un copain il y a un an et demi, mais nous n’avons jamais fait ça.
- Montre lui comment on doit s’y prendre.
Sophie ne mit à genoux devant mister mari et après qu’elle lui ait enlevé mister pantalon et mister caleçon, elle commença par lui léchait la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Gilles fut bien raide, Sophie se l’enfourna dans la bouche et fit des mouvements d’avant en arrière, simulant la pénétration.
-A toi maintenant. J’allais me mettre à genoux à mon tour. Non, reste allongée Gilles se débrouillera pour te fourrer mister «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que ma patronne ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. J’étais partagée entre la honte et le plaisir. J’étais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, Vicky. Ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Elle me parlait comme une mère parle à mister enfant, pour l’aider à franchir une étape difficile. Puis s’adressant à Gilles :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourd’hui elle doit accepter de jouir devant des quasis inconnus. Ça n’est pas évident. Allez ne te retiens pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien… Jouir ? qu’y a-t-il de plus beau dans la vie ?... Allez, viens…
Entre chaque phrase d’encouragement elle reprenait sa succion. Bientôt elle ne s’arrêta plus et c’est Gilles qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je t’apprendrai, je t’expliquerai ce qu’un homme attend de la fellation. Pour aujourd’hui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne Madame la Juge. Elle est parfaite, toutes nos amies le disent. Elle suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raimister de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je n’en avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt à un désert.
- Ouiii ! c’est bon, encore Sophie, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête… Ahhh ! ahh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais Madame la Juge ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Gilles m’encourageait et Sophie ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et j’aime ne faire sucer par Madame la Juge»
- Je suis une petite pute… Ahhhh ! et j’aime que Madame la Juge me suce. Ahhh !…
Ma tête était en train d’exploser quand Sophie vint me rouler un patin où se mêlait le goût de sa bouche et celui de mon nectar. J’étais vidée, je ne savais plus où j’étais ni qui j’étais. Mon esprit m’avait quitté. Ma permisterne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si j’ai entendu les râles de Gilles que Sophie finissait d’astiquer avant qu’il ne la prenne là devant moi et qu’elle jouisse à mister tour.
Puis doucement, ils m’aidèrent à me relever et chacun à leur tour ils m’embrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre le peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée automnale, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras l’un de l’autre, Sophie et Gilles m’entourant de leurs bras oserai-je dire protecteur.
Mon éducation de salope commença dès le lendemain
chrislebo

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#337
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Le lendemain au petit déjeuner, Sophie et Bertrand firent comme si rien ne s’était passé. Moi, par contre j’étais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je n’osais pas affronter le regard de mes patrons. Eux parlaient comme s’il s’agissait d’un matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que d’habitude. J’étais au supplice. Comment après ce qui c’était la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils deviser de tout et de rien, avec futilité. J’avais sucé mon patron pendant que sa femme se régalait de mon intimité, ils avaient fait l’amour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience.
-Un croissant, Vicky ? dit Sophie.
-Non, merci, je n’ai pas faim.
Et en plus elle m’appelle Vicky ! La honte s’empare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée !
-Ecoute, chérie, reprend Sophie, ce qui c’est passé hier soir dans la maimister du fond du parc, n’est que le début d’une grande aventure qui commence pour toi… et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ne t’en rends pas compte, parce que permisterne ne te l’a jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je t’ai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir, les femmes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien qu’en agitant ton joli petit cul de pute. N’est-ce pas chéri ?
-C’est sur, et si je n’avais pas eu peur de te faire fuir, je t’aurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir !
-Tu vois mon avocat de mari est d’accord avec moi… et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes. Maitre de Chazot et sa femme ne tarissent pas d’éloge sur toi. Le substitut et Madame ne rêvent que de ton cul. Depuis la petite Lila, aucune de nos soubrettes ne leur avait fait cet effet, même pas cette chienne de Katy. Il faut que tu te fasses à cette idée, tu es une salope en puissance.
Elle s’approche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Elle me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette.
Bertrand se colle à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton d’amour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier soir. Je ne suis vraiment qu’une fille de rien, qui se met à gémir dès qu’on lui astique le bonbon. Les caresses de Sophie se font plus pressentes. Elle a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me *** le bout d’un sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir.
-Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour le sexe, insiste Sophie. Cela fait déjà trois semaines que Bertrand et moi on rentre plus tôt le dimanche soir et qu’on t’observe quand tu t’occupes de ton joli fruit juteux. Bertrand a même pris des photos qu’il a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Bertrand et moi on va d’abord tout t’apprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes du tout
Paris. Mais attention, il faudra nous obéir, au doigt et à l’œil ! Tu devras faire tout ce qu’on te dit, accepter tout ce qu’on ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur l’ordre de Bertrand ou sur le mien. Pour cela, aucun sous vêtement dans la maimister. Dès que tu seras rentrée de la fac, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je ferai posée sur ton lit dans la journée. C’est pour ainsi dire la même que celle que tu portes lors des dîners du vendredi, mais celle-ci est un peu transparente et s’enlève plus facilement. Tu porteras des bas up en résille noire et des escarpins vernis rouge. Ne proteste pas, je sais que tu auras l’air une pute avec cet accoutrement, mais c’est le but recherché. La porte de ta chambre devra toujours restée grande ouverte pour que l’on puisse t’observer, même pendant tes moments d’intimité. Ne t’inquiète pas pour la cuisinière, elle travaille pour nous depuis plus de dix ans et elle participe régulièrement à nos petites… Comment dire cela… à nos petites sauteries.
-Tu peux dire partouze, ma chérie, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin.
-Est-ce que tu as bien compris tout ce que l’on vient de te dire.
-Oui.
-Ah ! J’oubliais, durant ton apprentissage, il n’y a plus de Bertrand ou de Sophie qui tiennent, tu devras dire Maitre et Madame. C’est clair ?
-Oui.
-On dit oui Madame ou oui Maitre.
-Oui, Madame.
-C’est bien, tu es une bonne fille. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, j’en suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions…
L’esthéticienne va arriver d’une minute à l’autre. Tu verras elle est très sympa… Elle repassera pour t’épiler, chaque fois que cela sera nécessaire...
Fini les galipettes pour ce matin. Bertrand et moi partons au palais ce matin, nous rentrerons vers 17 heures, tâche d’être prête car ta première leçon de salope commence ce soir. D’accord ?
-Oui Madame.
-Au fait tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes d’éducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim.
Je me jette littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. J’ai juste le temps de prendre une douche et l’esthéticienne misterne au portail. La cuisinière lui ouvre. Je les vois venir vers ma chambre par le couloir de communication. Elles mistert bras dessus, bras dessous, et s’arrêtent souvent pour s’embrasser à pleine bouche. Elles se touchent sans pudeur, et rentrent dans ma chambre en riant de ma mine ébahie.
-Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur à prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte et elle sera encore mieux, une fois que Rose l’aura débarrassée de tout poil. Et puis tu verras, une chatte bien épilée, c’est beaucoup mieux pour le broute minou… et pour tout le reste d’ailleurs ! N’est pas Rose ?
-Tu as raimister, et pour la vue, c’est plus agréable, on voit bien le bouton se gonfler. Viens, suis-nous. On va dans le salon privé de
Madame la Juge. Il y a tout le nécessaire pour faire une beauté à mon mont de Vénus. Après pour te détendre, je te ferai un bon massage.
-Bien Madame.
-Tu peux m’appeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maitre Bertrand et de Madame la Juge forment une grande famille. Pas vrai Marie ?
-Vrai, ma chérie.
Et elles s’embrassent à pleine bouche, et elles se caressent … Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin d’enfer. Je me laisse faire, Madame m’a demandé d’obéir à la cuisinière… Ce baiser me trouble et j’y réponds avec ardeur.
-Ils ont raimister, les patrons ! tu as un vrai potentiel de salope … à peine quelqu’un te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne … Tu veux goûter Rose ?
Rose prend à mister tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, d’autant plus vite que Marie s’est placée derrière moi et me triture les tétons :
-Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez. Rose embrasse divinement bien. Rends-lui mister baiser, enlace-la. Entends, je t’enlève ce peignoir qui nous encombre plus qu’autre chose. Voilà, pelote-lui ses nibards, Rose ne met jamais de soutif, tu vas te régaler et elle aussi.
Tout en parlant Marie s’est agenouillé derrière moi. Elle m’écarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui s’égaille entre mon œillet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose m’embrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement. Elle me pousse lentement vers le lit, m’allonge et se positionne à cheval sur moi, mister con au bord de mes lèvres.
-Lèche-moi, goûte comme c’est bon une figue complètement épilée. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. C’est bon, tu aimes ça. C’est la première fois que tu suces une femme ? … Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue. –
Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie.
-Madame la Juge ne s’y est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas qu’il lui faille plus de quinze jours avant d’offrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sure qu’elle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant qu’elle te suçait le bonbon. Quelle salope, tu fais, ma Vicky !!! Bon maintenant assez jouer, pasmisters aux choses sérieuses. Rose tu n’es pas venue ici pour te faire brouter la pelouse, mais pour débroussailler le buismister de cette chienne en chaleur.
Je trouve de plus en plus excitant d’entendre parler de moi, devant moi, comme si j’étais un simple objet. Je me sens l’âme d’une soumise. De toute façon qu’est-ce que je pourrais être d’autre, je n’ai aucune expérience sexuelle et tous ces gens se proposent de m’éduquer, de faire de moi une experte de l’amour. En échange, je peux bien leur sacrifier un peu de mon libre arbitre. Le jeu en vaut bien la chandelle. Il y a à peine deux mois, j’arrivais de ma province, naïve comme une oie blanche et aujourd’hui, je suis complètement nue, entre deux filles habillées, elles, même si leurs vêtements mistert un peu de travers. Elles viennent de profiter de mon intimité et je les ai moi-même peloté et sucé. Elles me guident vers le salon particulier de Madame la Juge, en devisant entre elles sur mon cul de salope, ma bouche de salope, mes nichons de salope… La situation est absolument folle… mais je crois que j’aime ça.
On arrive devant la porte du salon de Madame. Je n’y suis jamais rentrée, en général c’est toujours fermé à clef, mais il semble que Marie est accès à toutes les pièces de la maimister. Au centre de ce salon trône une table comme on en trouve chez les médecins avec des étriers pour pouvoir lever les jambes. Un drap blanc recouvre le skaï. Sur les étagères des pots de crème, des bâtons de cire mistert bien alignés. Dans un coin de la pièce se trouve un espalier et juste à côté un vélo d’appartement dont la scelle me paraît étrange sans que je puisse dire pourquoi : elle est trouée ! Dans cet endroit tout semble surprenant, jusqu’à ce rideau épais qui semble cacher encore quelques bizarreries.
-Allonge-toi sur la table. Je vais d’abord t’épiler les jambes, puis les aisselles et enfin Marie t’aidera à passer les pieds dans les étriers, pour que je te fasse le maillot intégral. La position n’est pas des plus agréables, mais c’est plus pratique pour moi. Il faudra recommencer environ toutes les trois semaines, tu es blonde, les poils repoussent moins vite. Je te préviens la première fois c’est un peu douloureux. Mais tu n’as pas le choix : Monsieur et Madame n’aiment pas les poils. Ils trouvent qu’une chatte bien lisse c’est plus présentable.
Tout en parlant Rose en profite pour me taquiner le pistil qui réagit au quart de tour.
-Vraiment Rose, tu es incorrigible. Tu es là pour bosser ! on est déjà en retard avec ses conneries toute à l’heure dans la chambre de la petite ! Alors au boulot !
-Si on ne peut plus flatter la marchandise maintenant, et puis toi non plus tu ne crachais pas dans la soupe. Tu l’as bien astiqué la petite pute, tu t’es bien régalé avec mister jus, ose dire le contraire ?
-Bien sur, mais si elle n’est pas prête quand les patrons rentrent je vais encore être punie ! J’aime plutôt bien ça, mais là je ne voudrais pas prendre à cause de toi !
Punie, mais qu’est-ce qu’elle veut dire. Déjà ce matin, Madame m’a parlé de sévir si je n’obéissais pas ! En plus Marie dit qu’elle aime ça, les punitions. Ce ne doit pas être si terrible car elle a l’air de ce plaire dans cette maimister. Rose me tire de ma réflexion en tirant d’un geste rapide sur la bande de cire qu’elle avait placée sur ma jambe.
-Aie !
-Je t’avais prévenu, et encore les jambes ce n’est rien. Quand on en sera aux aisselles et surtout au maillot, je te passerai une crème anesthésiante, ça n’est pas efficace à cent pour cent, mais ça soulage bien.
Avec application, Rose s’occupe de rentre mon corps quasiment libre de tout poil. On arrive a moment crucial. Marie prend mes jambes pour les attacher dans les étriers.
-C’est pour éviter les coups de pied intempestifs.
Elle m’attache aussi les mains
-Ça, c’est pour éviter les baffes. On n’est jamais assez prudente.
Comme elle l’avait fait pour mes aisselles, Rose me badigeonne le mont de Vénus de la crème supposée prévenir la douleur.
C’est un peu froid… Elle étale la bande, l’applique bien avec le plat de la main et tire d’un coup sec. Avant que je n’aie eu le temps de crier, Marie m’a fourré sa langue dans la bouche. Elle caresse aussi mes nichons avec douceur.
-Il faut détourner l’attention. Si je parviens à te faire jouir, tu oublieras la douleur.
Durant toute la séance, j’essaie de me concentrer sur la langue de Marie, qui se promène de ma bouche à mes seins. Ses mains prennent parfois le relais de ses lèvres. Elle est vraiment très forte, car je ne sens presque plus rien au niveau de mon pubis.
Quand tout est terminé, Rose passe sa langue chaude sur toutes les parties de mon anatomie intime qu’elle vient de maltraiter… comme pour se faire pardonner.
-C’est bien, ma Vicky, tu as été courageuse, tu mérites une récompense.
Et sans me détacher, Rose et Marie prennent possession de mon corps qu’elles couvrent des caresses jusqu’à déclencher un orgasme torride. Elles m’embrassent avec fougue. Je suis arasée de jouissance.
Elles me raccompagnent dans ma chambre, me couche délicatement dans mon lit et après un dernier baiser, elles me laissent seule. Je passe le reste de ma journée à dormir. Cette première journée dans ma nouvelle vie de salope, m’a épuisé… pourtant je ne suis pas au bout de mes surprises…
chrislebo

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#338
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Je suis réveillée part de tendres caresses. Sophie, enfin je veux dire Madame est allongée près de moi, elle est nue. Ses mains effleurent ma peau, dessinent de contour de mon visage, glissent dans mon cou, frôlent mes seins, s’y arrêtent pour en titiller les mamelons qui se dressent comme des petits soldats. Puis encourager par mes frismisters, Madame s’empare de mon bijou, pénètre ma caverne avec ses doigts et m’embrasse avec fougue. Mes mains imitent les siennes et deviennent entreprenantes…
-Tu apprends vite, Marie a raimister ! tu seras peut-être prête d’ici le prochain diner dans 15 jours. J’ai vu les photos, tu as l’air d’apprécier les délices de Sapho. Montre-moi un peu comment tu t’y prends ! Viens mets toi à genoux devant moi et délecte-toi de mon berlingot.
-Bien Madame.
Je m’agenouille entre ses cuisses et ma langue commence mister exploration. J’essaie de me rappeler les délices que m’ont fait subir Marie et Rose, je m’applique. En même temps que je la suce, je lui caresse les fesses, puis le ventre avant de m’aventurer vers ses seins. Je commence par les faire rouler doucement entre mes doigts, juste pour les faires durcir. Puis j’accentue la pression jusqu’à les lui pinçait, les lui tordre sans ménagement. J’ai beaucoup aimé subir ce doux supplice, et je pense à juste titre que Madame va aussi bien l’apprécier, surtout que la langue continue à fouiller mister intimité, s’amuse avec mister clito, s’engouffre dans mister corridor d’amour.
-Mais tu es très douée, petite pute… Et dire que ce matin tu n’avais même jamais gouté au fruit d’une femme ! Comme tu t’occupes bien de mon bouton, comme tu me ***s bien les nichons. Vois comme je mouille, lape-moi, chienne que tu es. Régale-toi de mon nectar, je sais que tu aimes ça. Je t’ai vu te pourlécher les doigts après que tu te sois masturbé. Hummm, je vais partir, tu suces trop bien. Hummm, continue salope ! Ouiiii, c’est bon ! … Attends un peu je m’allonge, tu seras mieux sur le lit qu’à quatre pattes sur la moquette. Allez reprend et finis-moi. Fais-moi voir les étoiles. Putain je crois qu’on a gagné le gros lot, avec toi. Ouiiii !je pars, continue de bien me martyriser les nibards… Ahhh ! ouiiii ! ouiiii ! Encore ma salope, ouiiiiii !!!....
Madame s’écroule dans un râle, mister corps qui était tendu comme une corde de violon, se relâche d’un seul coup et savoure sa jouissance…
-Eh bien ma Vicky, quel coup de langue. Il y avait bien longtemps qu’une fille ne m’avait pas fait jouir comme toi. Pourtant ce n’est pas faute de me faire astiquer l’abricot par toutes les salopes que je rencontre. La dernière fois, s’était il y a des années de ça : une jeune étudiante à qui je donner des cours particuliers. Elle était nulle en droit, mais elle suçait comme une reine, la salope.
 Merci Madame. Je suis heureuse que Madame soit contente de mes services.
 Et en plus elle y met de la grâce, cette petite traînée… Tu vas vraiment beaucoup plaire à nos amis du vendredi… Mais j’y pense, à part la bite de mon mari, que tu t’es prise dans ta jolie bouche de pute hier soir, tu as passé ton temps à te gouiner ? ça ne te plairait pas une queue dans ton mignon petit temple du plaisir ?
-Je n’osais pas le demander à Madame. J’ai pris beaucoup de plaisir avec vous et aussi avec Marie et Rose, mais je ne serai pas contre la proposition de Madame.
-Dis plutôt que tu voudrais te faire baiser. Justement j’entends mon mari qui rentre… Bertrand chéri, tu peux nous rejoindre dans la chambre de la petite, elle a bien besoin de se prendre un bon chibre dans le tabernacle… Bonsoir, mon amour. Tu vois j’avais raimister, cette demoiselle est une fieffée cochonne, que dis-je une cochonne ? Une garce, une salope, une chienne en chaleur. Elle m’a sucé comme une vraie professionnelle. Elle mérite une récompense… et je sais que tu vas te faire un plaisir de la lui donner.
Je ne pense pas que les préliminaires soient vraiment utiles. Elle a joué avec les filles ce matin et là elle vient de me faire une gâterie, elle est chaude à mort, tu peux la prendre tout de suite. Allez ma salope, mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit…
-Tu as raimister elle mouille grave, comme disent les jeunes ? Je vais quand même la lécher un peu avant pour lui lubrifier le con… quelle croupe ! J’ai les mains qui fourmillent. Je ne sais pas comment tu te débrouilles, ma Sophie chérie, mais tu trouves toujours des filles avec des culs d’enfer.
-Je connais bien tes goûts. Mais c’est vrai que celle-ci à un derrière qui vaut largement mister devant, car ses mamelles ne mistert pas mal non plus.
A nouveau, ils parlent de moi, comme d’une marchandise et ça m’excite. Je suis toujours à genoux au bord de mon lit, dans l’attente de la queue de Monsieur… et ils papotent comme dans un salon de thé.
Enfin, Monsieur approche sa langue et me la fourre entre les cuisses. Je suis aux anges. J’étais déjà bien humide, mais là je dégouline. Puis la langue s’arrête, deux mains se positionnent sur mes hanches et une bite, bien gonflée pénètre mon salon de plaisir. Que c’est bon de sentir une queue d’homme dans sa grotte ! J’ai adoré me faire lécher de partout par des filles, mais rien ne vaut un mâle bien monté qui vous ramone la cheminée… Ce n’est pas possible comme mes pensées mistert obscènes… il faut dire à ma décharge que ça fait plus d’un an que je n’ai pas été baisée… enfin je veux dire par un homme ! car depuis deux jours ça n’arrête pas la bagatelle ! Sophie doit lire dans mes pensées :
-C’est bon, hein ma salope ! Tu aimes ça te prendre une bonne bite dans la chatte ? Vas-y profite, Monsieur l’avocat est un bon baiseur. Il sait taquiner la pétasse…
Et elle encourage mister mari :
-Astique-la bien cette chienne, montre-lui qui est le maître. Bourre-la profond. Après ça on pourra en faire ce qu’on veut… Je le sais bien, ce genre de greluche, même si le gouinage ne leur déplait pas, même si elle redemande du broute minou, ce qu’elle préfère c’est un manche de mec entre les cuisses. De vraies salopes ! Tu vas voir ce que je te dis, elle va être parfaite… Nos amis vont s’en régaler quand ils seront à deux ou trois dessus. Car c’est ça qui va lui arriver à cette sale petite pute, elle va se faire prendre de partout, on va lui remplir la chatte, mais aussi, la bouche et le cul ! Je crois qu’elle n’a jamais été enculée. Je suis sure qu’elle est vierge du cul. Ce n’est pas mister puceau qui pouvait avoir ce genre d’initiative. Peut-être qu’il ne l’a même pas fait jouir ! tu vas me dire qu’elle sait se donner du plaisir toute seule, mais c’est quand même mieux de se faire empaler par le membre viril d’un expert de la baise.
Pendant que Sophie fait ses commentaires, somme toute très justes, sur ma vie sexuelle, mister mari se déchaîne dans ma boutique. C’est vrai qu’il baise comme un dieu. Je ne vais pas tarder à exploser. Je ne parviens même pas à analyser les sous-entendus, pourtant assez précis, de Madame la Juge. Il me semble qu’elle a parlé de deux ou trois types sur moi ? ! Qu’est-ce que je dois comprendre ? … Et puis au diable… je verrai bien le moment venu… il faut que je m’attende à tout : ils ont décidés que j’étais à leur service corps et âme… enfin surtout corps, car mon âme, je crois qu’ils s’en tamponnent complètement. Ce qu’ils veulent c’est avoir sous la main une fille docile qui accepte d’écarter les cuisses et d’ouvrir la bouche, et pas que pour parler. Alors laisse-toi aller ma fille et profite de bon temps…. A peine cette réflexion terminée que je sens Monsieur le grand avocat exploser en moi et précède ma jouissance suit d’une courte tête :
-Oh, ma salope, qu’il est bon ton abricot. Quelle chienne tu fais ! Putain, tu m’as fait sauter les plombs. Tu sembles avoir pris ton pied toi aussi ?
-Ouiii Maitre.
-Vois Bertrand, comme elle est mignonne ? «Oui Maitre», dit-elle ! Elle retient bien ses leçons. On va pouvoir passer à l’étape suivante plus tôt que prévu. Elle est très douée, elle ira loin cette salope… puis elle s’adresse à moi… à partir de demain, il faudra que tu fasses bien le ménage après que Monsieur l’avocat ou un autre homme t’ai baisé…
Et devant ma mine interrogative, elle s’empare de la bite de Bertrand et la lèche pour ôter toute trace de sperme.
-… Voilà, comme ça !...
Et elle m’embrasse pour partager avec moi la saveur de la liqueur de Monsieur…
-Il faut que tu y prennes goût… ces messieurs aiment souvent faire baver leur asticot dans notre bouche ! Tu verras c’est toi qui finiras par le demander. C’est comme pour la sodomie, permisterne ne t’obligera… On te le proposera… et un jour, qui ne saurait être lointain, tu supplieras à genoux pour qu’on t’encule. Maintenant essaie de dormir, la journée a été chaude pour toi !
Ils m’ont tendrement embrassé tous les deux, comme on le ferait des parents qui embrassent leur enfant avant une nuit de sommeil…
chrislebo

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#339
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Durant les jours qui suivent, ce ne mistert que jeux d’amour. Dans la journée, je vais à mes cours où je m’occupe de l’entretien de la maimister. Je ne porte pratiquement plus jamais de sous vêtement, même à la fac. Mes camarades de promo me trouvent changée, plus épanouie. S’ils savaient que je suis l’esclave sexuelle et consentante d’un couple de pervers !
Avec Madame la Juge, celui que j’appelle maître et la cuisinière qui se joint souvent à notre trio, nous faimisters des parties de jambes en l’air tous les soirs. Comme Marie est plutôt tentée par les filles, elle s’occupe, à tour de rôle, de Madame ou de moi, pendant que maître baise l’une ou l’autre. Je suce des minous, des seins, la bite que maître me fourre régulièrement dans la bouche pour un nettoyage après qu’il est baisé Madame ou moi : jusque dans cette situation je reste la «femme de ménage».
On me lèche aussi. Marie surtout, mais également Madame qui n’a rien, bien au contraire, pour des parties entre filles.
Un soir maître nous a convoqué Marie et moi dans la chambre conjugale pour un trio de nanas avec Madame. Il a branché le caméscope pour garder un souvenir de cette soirée, mais surtout pour montrer à ses amis combien mon éducation s’accélérait :
- Il faut que nos amis se rendent compte de l’évolution de cette petite salope. Elle va bientôt faire mister entrée dans le monde du libertinage, elle doit être parfaite.
- Tu as raimister, nos invités du vendredi mistert de fins connaisseurs. Ils veulent une marchandise de premier choix et surtout expérimentée. Vicky doit connaître et admettre tous les vices et les délices des soirées libertines. Son éducation est presque terminée. La leçon de ce soir devrait accélérer les choses.
- Tu vas être docile et soumise et accepter tout ce qu’on te demandera. Tu as bien compris ?
- Oui maître. Je suis entièrement à votre service.
C’est je soir là que j’ai eu droit pour la première fois d’être pénétrée par un gode. C’est une idée de maître qui voulait passer à l’étape suivante : il fallait que je me soumette à tous ses fantasmes. Madame la Juge a enfilé un gode ceinture. Je me suis mise à genou devant Madame pour sucer le membre en latex. Quand il a été bien humide, elle m’a solidement attachée sur le lit, les jambes bien écartées, elle a envahi mon antre et fourragé jusqu’à me faire atteindre l’orgasme. Marie, encouragée par maître nous embrassait la bouche et nous suçait les seins. Ensuite Madame a pénétré Marie. J’étais toujours attachée au lit et Marie fouillait mon intimité avec un gode vibrant. Maître commentait :
- Vous êtes vraiment des salopes toutes les trois. Je pourrais m’absenter, vous vous débrouilleriez sans moi.
- En ce qui me concerne, je préfère une bonne bite, dit Madame. Tu devrais laisser le caméscope en automatique pour venir me baiser.
- J’attendais que tu me le demandes. J’avoue que j’ai la queue qui va exploser à power de vous regarder faire les cochonnes.
- Prends-moi le cul, je continue à farcir cette chienne de Marie. On va faire une file à la queue leu-leu, dit-elle en éclatant de rire.
Maître ne se l’est pas fait dire deux fois. Il a attrapé Madame par les hanches et planté mister pieu dans sa caverne sombre. Nous avons atteint l’orgasme en cascade, je fus la première, suivit de peu par Marie. Madame et maître explosèrent en même temps.
Que c’est bon d’avoir à faire à des experts de la baise. Ce n’est pas avec mon jeune puceau de premier amant que j’aurais connu de telles jouissances. Madame avait raimister, je suis faite pour l’amour, j’adore ça. Il ne me reste plus grand-chose à découvrir…
C’est du moins ce que je crois… car un autre soir après avoir copulé joyeusement :
- Cela fait trop longtemps que tu te conduis comme une vilaine fille, dit Maitre. Tu penses que c’est bien de te balader quasiment à poil dans la maimister ou dans le jardin, d’émoustiller cette pauvre Marie. Tu profites que Rose vienne t’épiler pour te faire sucer comme une chienne, sous prétexte de calmer la douleur. Tu acceptes de soulever tes jupes pour te faire baiser n’importe où et n’importe quand ! On te demande de sucer et toi sans réagir et même en y prenant du plaisir tu suces. Et en plus, je sais que tu continues à te toucher tous les week-ends, pendant que Madame et moi sommes à la campagne. Tu n’as aucune retenue, aucune pudeur, aucune morale. !! Tu es une salope !!
Je ne comprenais rien à ce qu’il me disait. J’avais tout accepté, car c’est ce qu’il attendait de moi. J’étais devenue la salope dont il rêvait, et voilà qu’il me le reprochait. Vraiment j’étais abasourdie par tant d’injustice. Les larmes me montaient aux yeux.
- Tu peux avoir honte, renchérit Madame. Tu n’es qu’une chienne en chaleur. Tu mérites une punition. Marie va chercher ce que tu sais et rejoins-nous dans l’annexe. Quant à toi, approche. Baisse la tête et arrête de pleurer. Il est bien temps.
J’étais là au milieu du salon, complètement nue, avec seulement des escarpins, nous venions de baiser comme des bêtes. Pendant que Madame poursuivait ses reproches, Monsieur me glissait un bandeau sur les yeux et menottait mes poignets dans le dos. Ensuite je sentis qu’il me passait un collier autour du cou. Il devait y avoir une laisse, car une chaîne glacée se plaça entre mes seins et le long de mon ventre. Quelqu’un attrapa le lien :
- Avance, chienne, gronda Maitre. Droit devant toi. Tu ne risques pas de tomber, je te guide.
J’ai bientôt éprouvé une petite fraîcheur, qui m’a fait comprendre que nous étions dans le jardin. Nous avions déjà batifolé dehors et je savais que permisterne du voisinage ne pouvait me voir, pourtant j’étais gênée. J’avais honte d’être la proie consentante de Sophie et Bertrand. Encore là, alors qu’ils m’humiliaient, j’éprouvais une certaine jouissance. J’étais vraiment une salope. Sophie, comme toujours avait du lire dans mes pensées, car elle glissa sa main entre mes cuisses :
- Elle trouve encore le moyen de mouiller cette traînée. Elle va être punie, elle est humiliée comme une pute et elle mouille. Quelle chienne ! Elle tremble de tous ses membres, tellement elle a peur, et elle mouille !
- Elle mouillera peut-être moins tout à l’heure ! On arrive au chalet, je vois que Marie a déjà tout préparé.
Maitre passa derrière moi et enlève les menottes. Puis il prend mes poignets, les soulève un après l’autre et je me retrouve attachée les bras en croix au dessus de la tête. Il se saisit de mes chevilles, m’ordonne d’écarter les cuisses et les attache également avec des sangles.
- Elle est bandante comme ça, offerte, nue. J’ai bien envie d’en profité, dit Maitre, et toi ?
- Tu as raimister, avant la punition, on va s’amuser un peu. Joignez-vous à nous Marie.
Des mains caressent alors de mes fesses, des doigts existent mes seins en les pinçant, d’autres fouillent ma coquille, pénètrent ma caverne. Des lèvres powernt ma bouche et une langue s’empare de ma langue. Un gode remplace des doigts dans mon antre douillet. Je mouille de plus en plus, je suis au bord de l’extase… et puis plus rien… je reste sur ma faim… Une violente douleur explose sur mes fesses… je crie sous ce premier coup, bientôt suivi d’un deuxième, puis d’un troisième… je continue de crier et les coups de fouets tombent. Mon cul me brûle.
- Six ! Vas-y maintenant, ma Vicky, compte les coups, tu verras ça aide à penser à autre chose. C’est assez excitant. Surtout quand on ne sait pas quand cela va s’arrêter ! dit Madame en riant.
- … Douze…
chrislebo

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#340
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Demain, c’est le grand jour. Mes Maitres reçoivent leurs amis et je dois leur faire honneur. Ils ont beaucoup investi sur moi, pour mon éducation. Ils m’ont appris toutes les règles de l’amour, du libertinage et de la soumission. Ils ont fait de moi une parfaite petite perverse une vraie vicieuse.
Ils adorent me «punir». La plus part du temps c’est Mon Maitre qui exécute les corrections : il s’agit souvent du fouet sur les fesses, parfois sur les seins et même quelques fois il lui est arrivé de me faire rougir le coquelicot. De temps en temps il me donne aussi la fessée, comme on punirait une petite fille. C’est Madame qui m’attache, car même si je ne vais pas m’enfuir, ni même résister, les entraves donnent plus de piquant aux châtiments. D’ailleurs, je trouve ça très excitant d’être à leur entière merci. J’aime subir, avoir l’impression de n’avoir d’autre choix que celui qu’ils m’imposent. Bien que je partage complètement leurs perversités, être attachée, les yeux presque toujours bandés, fait de moi une «victime» de leurs débauches. Je suis leur esclave.
Quelques fois c’est Madame qui me punit : avec elle pas de coups. Je dois me dévêtir entièrement, puis me mettre à quatre pattes. Elle me passe alors un collier et une laisse autour du coup, m’attache les poignets dans le dos, me bande les yeux et me fait coucher sur une couverture à côté du canapé. Elle me flatte la croupe, comme elle le ferait pour sa chienne, c’est d’ailleurs ce que je suis. Je dois rester là jusqu’à ce quelle m’ordonne de lui lécher sa délicieuse chatte, puis de sucer le sucre d’orge de Mon Maitre. Ensuite lorsqu’ils ont jouis tous les deux, lui dans ma bouche, je dois me recoucher à leurs pieds. Si j’ai été bien sage, elle me fourre un gode dans ma chapelle ardente ou dans ma caverne mystérieuse et m’astique jusqu’à la jouissance.

Cet après midi, Rose vient à la maimister pour m’épiler intégralement. J’en jouis d’avance, car Rose adore me lécher après la séance, «Pour calmer le feu» dit-elle. Je sais aussi que Marie sera de la partie, elle résiste rarement à une partie de gouinage. Elle aime que je l’encule avec le gode ceinture de Madame. On va bien s’amuser toutes les trois… Mais demain je serai seule face aux amis de mes Maitres, et il me faut au moins ça, pour me détendre, car j’ai vraiment le trac.
Vendredi matin ! Je n’ai pratiquement pas fermé l’œil de la nuit, j’ai la figure déconfite. Au petit déjeuner Madame me gronde :
- Tu aurais du prendre quelque chose pour dormir, regarde moi cette tête ! C’est à faire peur. Avale rapidement ce comprimé et va te recoucher. Tu dois être en forme pour ce soir : c’est ton soir ! Vers 15 heures, Rose viendra te maquiller et te coiffer. Allez, au lit et cet après midi pas de léchouilles avec Rose et Marie. Je te veux en forme lorsque je rentre du palais. Bertrand devrait rentrer de mister déplacement en province vers 18 heures. Je ne veux pas qu’il te voit avec cette tête de papier mâché.
Après avoir avalé le somnifère, je suis retourné me coucher et c’est Rose qui me réveille. Marie a préparé une collation, car je n’ai rien mangé depuis la veille au soir. Puis je me laisse aller dans les mains habiles de Rose. A la fin, elle me mène devant le miroir et je n’en crois pas mes yeux. Je suis métamorphosée. Ça tient à la fois de la plus grande sophistication et pourtant j’ai bien l’air de ce que je suis : une pute ! De me voir ainsi me fait monter des frismisters de partout. Je pense, je suis sûre que les amis de mes Maitres vont être ravis. Je vais faire un triomphe. Cette transformation me remplit d’assurance. Rose a préparé mon corps comme on prépare un objet d’art que l’on doit livrer aux regards des spectateurs.
- Elle est magnifique ! S’écrit Marie, Rose tu as fais un travail superbe ! Madame sera ravie… et ses invités ne vont pas en revenir !
- Il fait reconnaître que la matière première est d’excellente qualité ! Renchérit Rose. Tu as vu ses seins, la cambrure de ses reins… et mister cul ! à damner un saint ! Ce que mistert loin d’être les amis de Monsieur et Madame ! Ils vont tous vouloir mettre leur cierge dans mister charmant tabernacle et dans sa grotte profonde. Quant aux femmes, elles vont se faire une joie, de se faire sucer le Temple de Cypris par une si belle et si soumise Vestale.
- Et connaissant Vicky, comme nous la connaismisters, ni ses messieurs, ni ses dames ne vont regretter leur attente d’un mois, conclut Marie.
J’ai pris l’habitude que l’on parle de moi, comme d’une chose. Ça m’excite. Je ne réponds pas à leur bavardage, je suis un objet de plaisir pour mes Maitres et à partir de ce soir pour leurs amis. Il est normal que l’on me traite comme telle. Je n’ai pas à me poser de question, je dois être sensuelle et obéir. Mon souci du moment est de savoir ce que Madame a prévu que je porte ce soir. Elle arrive dans moins d’une heure. Il va falloir que je patiente jusque là. Pour l’instant je prends un peu de repos dans ma chambre.
Je suis sagement assise dans le fauteuil de ma chambre quand Madame fait mister entrée avec ma tenue. Il s’agit d’une jupe noire, stricte, et d’un chemisier blanc classique. Seule la possibilité d’ôter rapidement cette tenue grâce à la fermeture à glissière de la jupe et des boutons pressions du chemisier, la rend un peu provocante. Je suis un peu déçue, je pensais que Madame aurait choisit quelque chose de plus sexy, bien sûr c’est assez moulant et laisse bien deviner mes formes généreuses. S’ajoutent, un petit tablier en dentelle blanche, un collier de chien en cuir blanc et strass, des bas noirs et des escarpins vernis. Comme je m’y attendais je ne porte aucun sous-vêtement. C’est la seule chose qui m’excite un peu.
- C’est ta tenue pour servir à table, ne fais pas cette tête ! Pour ta première prestation, tu ne te voyais pas servir complètement nue ! Rassure-toi, je ne crois pas que tu la garderas longtemps, tout juste le temps du repas. Ils savent tous que tu n’as rien dessous, ils ne vont pas se priver de te tripoter et je gage que tu serviras le café, voir peut-être même le dessert avec juste tes bas et tes talons hauts.
- Ouah, dit Mon Maitre qui vient juste d’arriver. Je me la ferai bien là tout de suite !
- Tu vois, grande sotte, que cette tenue te va à ravir. Bertrand en a le pistil tout émoustillé…. Tiens-toi tranquille, vieux dégoûtant, ce soir cette pétasse est le cadeau pour nos amis. Tu as le loisir de te la farcir tous les jours !
- Alors c’est toi que je vais sauter, car là j’ai la verge en feu.
- Vas prendre une douche et garde tes powers pour tout à l’heure.
20 heures, les premiers invités arrivent. C’est Marie qui va ouvrir. Je ne dois faire mon apparition qu’après que tout ce beau monde soit passé à table. Ils mistert dix, Mes Maitres compris : sept hommes et trois femmes, avec moi ça fera quatre. Marie ne participe que très rarement à ces soirées. Dans l’office, je les entends parler de moi. Mes maitres vantent mes qualités d’esclave soumise et de salope, d’objet de plaisir. Les autres ne cessent de poser des questions :
- Elle suce bien ? demande une voix féminine.
- Et les pipes ? Demande un homme. Moi j’adore qu’une femme avale mon jus, est-ce qu’elle avale ?
chrislebo

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#341
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- Elle accepte d’être enculée ? demande un autre et la double pénétration, elle n’a rien contre j’espère ?
- On pourra la baiser avec des godes ? Intervient une autre.
- Allons mes amis, répond Madame, n’avez-vous jamais été déçus par l’une de nos soubrettes ? Non !... et bien croyez-moi, celle-ci surpasse toutes les autres ! En plus c’est une vraie soumise ! Elle adore être punie quand elle fait des «bêtises». Je la soupçonne même d’en faire exprès pour recevoir le fouet. Bertrand l’a déjà fouettée partout, cul, nichons et même la chatte et la petite cochonne trouve encore le moyen de mouiller. Enfin, je ne vais pas tout vous dévoiler, il faut que vous ayez la surprise. Pasmisters à table, vous aurez tout le loisir d’admirer notre pouliche. Comme d’habitude, elle ne porte rien sous sa robe, vous pouvez toucher la marchandise, mais essayez quand même de vous tenir jusqu’à la fin du repas. C’est une novice, et bien qu’elle soit très vicieuse, il faut la faire languir avant de la consommer. Elle n’en sera que plus docile !
Elle m’excite de parler ainsi. Si ça ne tenait qu’à moi, je me présenterai nue devant ses invités pour me faire sauter sur le champ. Mais Madame ne serai pas contente. Je dois obéir et accepter de ménager ses effets. C’est elle qui reçoit, je ne suis que l’esclave de service. J’écarterai les cuisses quand on me le dira… Mais que ça me démange… Madame m’interpelle :
- Vicky, mon petit, vous pouvez commencer votre service.
Je tremble de tous mes membres. Pour me réconforter, Marie glisse sa main entre mes cuisses et caresse un instant mon bouton.
- Courage, ma salope ! pense que tu vas t’en prendre de partout ce soir. Belle comme tu es, ils vont te ramoner comme tu ne l’as jamais été. Fais-moi confiance !
Timidement, je fais mon entrée dans le séjour, avec le plateau des hors d’œuvre. Je sens le rouge me monter aux joues, quand le silence se fait. Chaque invité me détaille de la tête aux pieds, comme pour un bestiau. Ça m’excite. Je sais que d’ici la fin de la soirée, mon corps aura reçu les «hommages» de chacun d’entre eux. Cette pensée me rend mon courage. Je relève la tête et gonfle ma poitrine fièrement, comme une bonne petite pute. Je propose le plat à tour de rôle à tous les convives. Permisterne ne parle. Ils en mistert à l’observation. Certains pourtant me frôlent «involontairement» en se tournant vers moi pour se servir. Un d’entre eux a même risqué de m’effleurer les fesses. Je me cambre légèrement pour lui faciliter la manœuvre. Madame ne perd rien des gestes de ses amis. Elle me sourit gentiment comme pour m’encourager. Je repars en cuisine satisfaite de moi. J’ai plutôt bien réussi la première épreuve.
Au deuxième service je fais en sorte de me pencher bien en avant afin que chacun d’entre eux puisse profiter de mon décolleté, aussi bientôt :
- On ne pourrait pas en voir un peu plus de cette charmante pouliche. Je pense qu’elle a des nichons de déesses et c’est un péché de cacher ses mamelles plus longtemps.
- Maitre de Chazot a raimister, on a tous envie de voir et surtout de toucher, renchérit Maitre Clotilde Duclos, l’associé de mon Patron.
- Vous n’avez aucune patience, mes chers amis, intervient Sophie. Vicky vient ici.
Docile, je m’approche de Madame. Elle se lève, se place derrière moi, d’un geste rapide dégrafe mon chemisier libérant mes seins puis elle l’enlève aussitôt. Me voilà la poitrine à l’air devant des permisternes que je ne connaissais pas il y a juste une heure. Je suis fière de m’exhiber ainsi. Madame se colle contre moi et titille mes mamelons pour les faire durcir. Chacun des invités y va de sa plaisanterie salasse. Ça m’excite de les entendre me traiter de :
- Salope, de chienne en chaleur, de petite pute… j’en passe et des meilleures.
- On va passer une bonne soirée avec une cochonne pareille !
Après être passée entre toutes les mains, je retourne à la cuisine chercher le dessert. Il s’agit d’une mousse au chocolat. Je commence à comprendre pourquoi Madame et Maître ont choisit ce dessert… Je crois que je vais servir de plateau repas. Je fais mon entrée avec le plateau sur lequel mistert posées les coupes de mousse. Lorsque j’ai servi chacun des convives, Madame m’interpelle :
- Viens, approche. Nos amis veulent en voir d’avantage. Comme c’est moi qui t’ai enlevé ton chemisier, il est normal que le privilège d’ôter ta jupe revienne à l’un de nos hôtes. Cela ce fera sous forme de jeux de dés. Tu vas être le lot gagnant de celui ou celle qui fera le plus gros chiffre. Mesdames à vous l’avantage.
Il y a de fortes chances que ce soit un home qui gagne puisqu’ils mistert plus nombreux. Madame et Maître ne jouent pas, cela va de soit honneur aux invités. Chacun lance les dés à tour de rôle et ils s’amusent comme des fous. Je reste stoïque à côté de Madame, attendant le vainqueur.
- Douze, annonce un homme.
Il s’agit d’un jeune médecin, Docteur Pierre Duval, installé depuis peu dans le quartier. Madame l’avait fait venir un jour que Marie était souffrante. Je l’avais trouvé très séduisant et j’ignorais à ce moment qu’il faisait partie des soirées de mes patrons.
Pendant que ces messieurs dames me jouaient aux dés, Maitre avait placé à mon cou, mon collier et ma laisse de chienne docile.
- Bravo, cher Pierre venait chercher votre lot. A vous l’honneur de finir de dévêtir cette chienne.
Le Docteur attrapa la laisse et me fit faire un tour de salon, comme pour exhiber mister trophée. Ensuite il me fit monter sur une chaise, et sous les encouragements des ses comparses entrepris d’enlever ma jupe avec la lenteur nécessaire pour exciter mes sens et ceux des invités. Ce n’était que sifflet, mots grossiers, mais tellement excitant, à mon égard, j’en avais la chatte humide. Lorsque la jupe fut par terre, il me fit descendre de mon piédestal et me promena encore une fois autour du salon. Les quolibets fusaient toujours et je mouillais de plus en plus. Comme l’avais prévu Madame, je me retrouvais avant le café, en bas et talons, entièrement nue devant ses invités qui salivaient déjà à l’idée de la soirée qui allait suivre….C’est vrai, la brûlure est moins sensible. Je commence à y trouver presque du plaisir, d’autant que l’une des filles s’est saisie de mes nichons et les ***s avec application. Je ne résiste jamais à ce genre de traitement. Je mouille à nouveau tellement que la cyprine coule le long de mes cuisses.
- …Dix-sept…
Une langue lèche mon entre jambe. Je jouis malgré les coups de fouet.
- Vraiment, il n’y a rien à dire… cette fille est une vraie salope. Même la punition la fait jouir. Je crois qu’elle est prête. Nos amis vont être satisfaits. Vendredi sera mister jour d’entrée dans le libertinage. Elle va y être la reine de nos soirées. En plus elle continue à compter, malgré la douleur et l’orgasme…
- …Hummm…Vingt …
- Sophie et moi sommes fiers de toi, tu es notre chef d’œuvre. On n’a jamais vu de soumise aussi chienne que toi ! Dis-nous ce qui te ferait plaisir ?
- Enculez-moi, Maitre. Je veux que vous soyez le premier à honorer mon cul de salope.
Madame me détache, m’installe sur le lit de la chambre de repos en position. J’ai toujours le bandeau sur les yeux et permisterne ne misterge à me l’ôter. C’est très bien comme ça. Des doigts pénètrent mon anus pour le dilater, puis je sens la bite de mon Maitre s’enfoncer dans mon arrière-boutique. Je jouis pour la première fois du cul. Marie m’embrasse à pleine bouche, pendant que Madame roule une pelle à mister mari.
Je suis prête maintenant : Je n’ai plus de tabou. En tout juste un mois je suis devenue une esclave sexuelle, soumise et heureuse de l’être…
Vendredi prochain, je vais être offerte aux amis de mes Maitres….
chrislebo

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#342
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Le Mariage de la princesse



Après la célébration des fiançailles, le jeune roi se lança dans les préparatifs du mariage. Outre les festivités elles-mêmes, il élabora un plan pour se venger de la frustration dans laquelle la princesse sa fiancée l’avait laissé. A chaque fois qu’il repensait aux fiançailles, une rage incontrôlable se mettait à bouillir au fond de lui, mêlée à une étrange excitation. Il sentait peser sur lui les regards des hommes de sa suite qui avaient été présents, à la fois moqueurs, envieux et curieux de voir mister attitude lors de la prochaine rencontre.
Souvent, le soir, le roi sortait le portrait de la princesse et scrutait ce visage si régulier, qui ne laissait rien présager de l’ardeur qui habitait la jeune fille. Un premier mouvement de tendresse faisait place à la colère de l’offense, sa respiration s’accélérait, il revoyait ses seins d’albâtre, mister petit ventre ferme, sa taille souple, ses fesses rebondies, ses cuisses qui s’écartaient, dévoilant un petit bouton de rose qui ne demandait qu’à être caressé, effleuré par des lèvres brûlantes … Et aussitôt, le roi se reprochait cette comparaimister. L’innocence d’une fleur non encore éclose n’avait pas de commune mesure avec l’attitude de la princesse, qui, de toute évidence, avait bien plus d’expérience qu’il ne convenait. Il l’imaginait dans ses appartements, découvrant le corps d’une de ses suivantes, sentant le plaisir monter dans le sien. Il imaginait des laquais se prêter à leurs jeux libertins, imaginait la princesse risquer sa virginité. Combien d’hommes avaient posé les mains sur celle qui allait devenir sa femme ? La nuit, la fièvre le prenait et dans un délire il voyait le corps de la princesse étendu sur un lit, tâté par des mains, parcouru de traces humides laissées par des langues, il voyait ce corps frêle retourné, voyait une main s’abattre sur la courbe de ses fesses.
Il bandait comme un cheval, et plusieurs fois, ses propres mains ne parvenant pas à le soulager, il dut faire venir des femmes de chambres qu’il baisait rageusement sans pouvoir chasser de mister esprit les visions qui le hantaient.
Il n’aurait jamais pensé que mariage pût rimer avec vengeance.
Le grand jour arriva. Il organisa la réception en petit comité, comme il l’avait fait pour les fiançailles. Les tables étaient installées en U, dans le salon du roi. Derrière les tables, il y avait toujours l’immense lit à baldaquin, mais en face, il avait fait installer un énorme miroir.
La princesse fut amenée au palais. Conformément à la tradition du royaume, ses parents assistèrent à la bénédiction et au vin d’honneur, puis repartirent. Au moment de leur départ, la mariée était à la merci de mister nouvel époux.
Le dîner se passa dans une allégresse mêlée d’une agréable tension : tous se souvenaient des fiançailles. La princesse avait encore ce regard franc qu’elle ne baissait jamais, mais elle ne semblait pas intimidée à la perspective de sa nuit de noces. Quant à sa suivante Lisette, elle discutait avec tout le monde le plus naturellement du monde, comme si on n’avait jamais vu mister corps nu.
Le roi se plut à ignorer sa jeune épouse ; elle portait sur lui des regards amusés, attribuant mister silence à de la timidité. Cependant, au milieu du repas, il se mit à lui lancer des regards glacés. Elle commença à être déconcertée.
On arriva au dessert. Le roi se leva et prit la parole pour souhaiter la bienvenue à la princesse.
« - Il va de soi, Madame, conclut-il, que j’ai pensé à vous ces derniers mois. Ces pensées m’ont donné envie de vous offrir un cadeau. Vous aimez les diamants, je crois ?
- Comme toutes les femmes, Monsieur.
- Eh bien, que ce collier soit le symbole de l’éternité de mes sentiments. »
Il lui tendit un écrin, qu’elle ouvrit précipitamment. Son sourire s’évanouit. C’était certes un collier serti de diamants et de pierres précieuses. Mais c’était surtout un collier pour chien. Le roi le saisit et le passa autour du cou de la princesse, sous les sifflements de l’assemblée.
- Ce cadeau ne vous plaît pas, Madame ? C’est peut-être parce qu’il y manque quelque chose. Mais regardez, j’ai ici une laisse brodée de fil d’or. Vous êtes toujours mécontente ? C’est parce que vous n’avez pas un aussi beau cadeau pour moi ? Levez-vous et ôtez votre robe. Mon plus beau cadeau sera de voir ce que vous portez en-dessous.
La princesse se leva. Ses joues s’étaient empourprées et mister regard avait enfin glissé au sol. Elle ne regardait plus permisterne.
- Madame, en m’épousant vous avez fait de moi votre seigneur. Vous me devez obéissance.
La voix douce du roi ne tolérait aucune réponse. D’une voix tremblante, la princesse appela Lisette. Celle-ci délaça sa robe, qui glissa à terre sous les applaudissements de la suite du roi. La princesse ne portait plus maintenant qu’une courte chemise blanche – presque transparente.
- Lisette, tu peux te déshabiller aussi.
La suivante obéit, et, en sous-vêtements, se plaça dans un coin de la pièce.
Le roi s’adressa à nouveaux à la princesse :
- Madame, je voudrais que tout le monde ici vous admire. Mettez-vous à quatre pattes.
La princesse lui jeta un regard implorant. Il ne se laissa pas fléchir.
- Maintenant.
Elle obéit. Il la mena ainsi d’un bout à l’autre de la table, à quatre pattes et en laisse. Les mains de ses hommes se tendirent, ils lui caressèrent le dos, la taille, les fesses. Certains, plus hardis, les lui pincèrent ou lui assénèrent de petites fessées, ce qui lui arracha des grognements. Le roi fut satisfait de ce spectacle. Il mena la princesse au centre de la pièce, face au miroir.
- Restez comme ça.
Il retourna s’asseoir comme si de rien n’était. La princesse resta dans cette position, les fesses tendues vers l’assemblée, le visage présenté dans le miroir. Sa chemise était très courte et découvrait sa petite chatte, que l’on devinait humide malgré la situation humiliante de la jeune mariée. L’encolure de sa chemise retombait aussi et laissait entrevoir ses seins lisses, dont les tétons évoquaient des baies sauvages. Comme le roi ne paraissait pas s’occuper d’elle, elle s’assit sur ses talons ; immédiatement, le roi fut à ses côtés. Elle reprit la pose, mais il était trop tard : le jeune époux était furieux. Sa voix rémisterna à travers la pièce :
- Madame, vous m’avez désobéi. Tout le monde ici en est témoin. Que l’assemblée juge : doit-elle être punie ?
chrislebo

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#343
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Sauver ma situation


Ce matin Ben F…, le DG, m’a convoqué en ma qualité de directeur d’une des deux filiales européennes de notre groupe pour m’informer de la décision des dirigeants de les fusionner. Notre société est un grand groupe africain qui souhaite se restructurer notamment au niveau de notre continent. Si j’ai bien compris, il ne restera qu’une filiale en Europe la française que je dirige ou l’allemande dirigée par Didier H… en conséquence qu’une place de directeur.
« Tu sais Michel combien je vous estime toi et Didier, mais malheureusement les actionnaires décident et il va bien falloir que l’on se sépare de l’un de vous deux…
Deux représentants du comité de direction doivent rendre visite aux deux filiales le mois prochain afin de rendre leur analyse pour décider laquelle des deux filiales absorbera l’autre.
Ils seront chez Didier dans quinze jours et chez toi à la fin du mois… Tu as donc quelques jours de plus que Didier pour te vendre profites en bien pour peaufiner ton dossier et que le meilleur gagne ».
Je suis sorti assommé par la nouvelle… Dans mon bureau, je repensais à ces mots « Que le meilleur gagne !!! ». Certes, je connaissais parfaitement mon boulot et ma filiale tournait bien. Mais j’avais 52 ans, j’étais un cadre « maimister », vendu sur place par l’ancien propriétaire de la société. Didier avait 41 ans, était brillant, avait fait HEC et sa filiale n’avait rien à envier à a mienne… Alors que le meilleur gagne misternait comme l’heure du chômage pour moi… Qui voudrait reprendre un cadre maimister de 52 ans ?
Je ne parlais de rien à ma femme mais ma nuit fut très agitée. Comment faire pour sauver ma place et mon confortable train de vie.
A partir de ce jour, je me mis à peaufiner mon dossier comme me l’avait suggéré Ben. A la fin du mois Ben me convoqua à nouveau dans mister bureau. Dans le canapé trônaient deux blacks, en costume impeccable. A mon arrivée, ils se levèrent et me serrèrent la main. Ils devaient bien mesurer 1m90, avec mes 1,70 mètres j’étais le plus petit et le seul blanc. Ben me présenta M. Théodore B et M. Félix R. Les fameux délégués…
Après m’avoir exposé clairement le but de leur visite et confirmé les conséquences à brève échéance de celle-ci, ils s’installèrent dans mon bureau commencèrent à consulter l’ensemble des documents que j’avais mis à leur disposition.
Après avoir confié à mes collaborateurs la mission de répondre à toutes leurs questions, je pris congé afin de les laisser analyser toute cette documentation.
Je retrouvais Ben dans mister bureau afin d’en savoir plus. Il m’informa qu’ils avaient été très impressionnés par Didier, qui non seulement avait démontré sa capacité à diriger sa filiale, mais aussi en avait profité pour les accompagner dans les meilleurs endroits de la ville.
Décidément, la pression était pour moi… Que faire de plus…
Si sur mes capacités professionnelles, je n’avais pas de doute… Je n’étais pas moins bon que Didier, mais pas non plus meilleur…. Donc, ce n’était sur ce point là que je pouvais faire la différence. Paris by night … Bof …
C’est alors que je me rappelais avoir distingué une alliance chez chacun de mes « client ». Sachant à quel point la famille était importante en Afrique, je compris que la différence était là. Didier était célibataire, donc sans assise familiale, j’étais marié, avait deux enfants eux même mariés… J’allais donc les inviter à dîner chez nous… Au cœur d’une famille… Voilà mon atout gagnant.
Pendant, le repas du midi, je leur proposais donc ainsi qu’à Ben de venir dîner chez nous le vendredi soir suivant afin de fêter la fin de leur mission.
Le soir, j’informais mon épouse Marie-Laure de cette importante invitation, sans lui préciser les risques. Ma femme est un véritable cordon bleu et de ce côté je savais ne rien avoir à craindre.
Le vendredi matin en question, après avoir dit à mon épouse de se faire belle et féminine pour le soir, je retrouvais mes deux juges à mon bureau. L’inspection se termina vers midi. Nous partîmes déjeuner et passâmes le reste de l’après-midi à un dernier jeu de questions-réponses. Ils semblaient satisfaits… Ce que me confirma Ben discrètement. Ils n’arrivaient pas à nous départager professionnellement.
Vers 19h00, nous partîmes direction la maimister. Je prévins discrètement Marie-Laure de notre arrivée. Parvenus à destination, avant même de misterner, la porte s’ouvrit sur ma ravissante épouse. Elle se doutait que cette réception était importante et s’était apprêtée en conséquence. Le coiffeur avait fait merveille avec ses longs cheveux blonds qui cascadaient sur ses épaules. Son petit chemisier blanc à jabot cachant sa poitrine que l’on devinait bien remplie sans être importante, sa jupe arrivant aux genoux, puis ses jambes gainées de noir terminées par des escarpins à hauts talons fin de la même couleur offrait le tableau de la femme idéale. Malgré ses 48 ans Marie-Laure en faisait 10 de moins. J’embrassais Marie-Laure, en la remerciant discrètement et constatais par la même occasion au touché la présence de porte-jarretelles que nous affectionnant tant dans notre intimité. Elle me sourit, tout aussi discrètement, et me rendant mon baiser, me dit « c’est pour après leur départ pour te détendre ».
Je présentais Théodore et Félix à Marie-Laure qui connaissait déjà Ben et nous passâmes au salon pour déguster quelques coupes de Champagne. Ma femme était une hôtesse remarquable et chacun pu en juger tant elle était attentionnée pour chacun d’entre nous.
Après un repas fabuleux qui ne reçu que des compliments nous retournâmes au salon pour quelques verres de digestifs et autres. L’ambiance était détendue et nos invités semblaient apprécier cette soirée et nos alcools. Si mon épouse et moi-même étions sobres Ben, Félix et Théodore étaient déjà bien partis et parlaient parfois dans un dialecte qui m’était inconnu mais qui semblait bien les faire rire tous les trois.
Lors que j’étais descendu dans la cave pour chercher un vieil Armagnac que je voulais leur faire goûter, Ben me rejoignit.
« Tu sais ce qu’ils disaient me dit-il ? »
« Non, mais cela vous faisait bien rire » lui répondis-je
« Hé bien que ta femme leur plaisait beaucoup et que si elle était gentille, elle ferait certainement pencher la balance, car ils préféraient la baiser que de baiser Didier. Je te résume car c’était plus détaillé et crus… C’est à toi de voir… »
Puis il tourna les talons et remonta, me laissant là comme un con avec ma bouteille à la main.
Je remontais enfin de la cave avec en tête, ce que venait de me dire Ben et servis l’Armagnac. Tous trois parlaient, de plus en plus souvent dans le dialecte et riaient… Je me doutais maintenant de la raimister et de la cible de leurs rires.
Marie-Laure était partie dans la cuisine, nous laissant deviser entre hommes.
Vers une heure du matin, Ben se leva et me dit en me fixant, « nous allons partir, c’est dommage, mais tant pis il faut bien faire des choix dans la vie et les assumer… ».
Cette phrase était pleine de sous-entendus, surtout que Félix et Théodore avaient fait silence et me regardaient aussi avec insistance.
Il me fallait faire un choix… sans réfléchir je lui répondis « attendez je vais chercher ma femme pour qu’elle vous salut ».
Je partis presqu’en courant dans la cuisine… Ma femme fut surprise par cette brusque arrivée et me regarda inquiète « Tu en fais une tête, qu’est qu’il t’arrive ? »
Je racontais tout à Marie-Laure et conclu par la confidence de Ben…
« Les salauds » me dit-elle, « Que vas-tu faire ? »
« Je ne sais pas » lui répondis-je « soit le chômage, pour une longue durée à mon âge. Il va falloir restreindre énormément notre train de vie, soit en passer par leurs exigences, mais ça je ne peux pas te le demander ».
Après de longues minutes de réflexion Marie-Laure dit « Cela fait des années que je profite largement des fruits de ton travail, alors pour une fois que je peux t’aider, si tu en as besoin je ferai ce que tu veux, décides ! »
« Tu es certaine, tu ne me le reprocheras pas ? »
« C’est si je ne le faisais pas que je me le reprocherais »
« On y va alors ? »
« On y va ! »
chrislebo

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#344
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Footing en forêt




Cécile, jolie blonde de trente huit ans, fait, comme tout les dimanches, mistert footing dans une forêt proche de chez elle.
Elle est accompagnée de sa fille Elsa, très belle blonde de dix sept ans.
Elles mistert vêtues d'un short flottant, et d'un petit haut qui leur couvre les seins.
Le circuit fait un kilomètre, qu'elles parcourent cinq fois.
Cécile attache sa queue de cheval, et les voilà parties.
Le parcours se déroule sans encombre, quand soudain, dans une courbe, un chien traverse le chemin.
Deux blacks, promenant au bord du sentier, appellent l'natural.
-Alors le chien, il n'a pas de laisse, rouspète Cécile, c'est pas vrai, quelle éducation.
Les deux femmes continuent leur course, légèrement en colère.
Au deuxième passage, ce mistert les deux blacks qui se trouvent au milieu du chemin.
-Encore, hurle Cécile, vous pouvez pas promener ailleurs, connasses.
Gladys, quarante ans, pas mal foutue, regarde sa fille Cassie, dix neuf ans, très jolie aussi.
-Mais, on se fait insulter, fait remarqué Gladys, elles se prennent pour qui.
-Tu veux qu'on leur disent d'être plus polies, demande Cassie.
-Non, on va les calmer, poursuit Gladys
Le troisième passage est fatal. Dans la même courbe, Cécile
et Elsa, mistert littéralement happées, et projetées dan le sous bois. Les quatre femmes roulent sur l'herbe.
Gladys saisit Cécile par la taille, et la bloque au sol, ventre et visage contre terre.
Les deux autres filles se mistert relevées, et Cassie, placée derrière Elsa, la maintien d'un bras passé autour du cou, et l'autre passé autour de la taille.
Gladys à arraché le bustier de Cécile.
-Mais, lâchez moi, dit Cécile, qu'est-ce-que vous faites.
Vous allez voir, çà va pas se passé comme çà. Arrêtez.
-La connasse va te mettre un raclée, tu vas t'en rappeler longtemps, répond Gladys.
Les deux bras de Cécile mistert coincés dans mister dos par le poids de Gladys. En un tour de main, elle baisse le short de Cécile, laissant apparaitre une belle paire de fesses toutes toutes blanches. Elle commence a l'a fessée.
-Aie..aie, se plaint Cécile, çà fait mal.
Elsa, stupéfaite et toujours maintenue par Cassie, assiste , impuissant à la scène. Et elle n'est pas au bout de ses surprises.
-Chut, chut, répond calmement Gladys. On va jouer un peu toute les deux.
Gladys est une power de la nature. Une power herculéenne.
Elle se tourne sur le dos, entrainant Cécile avec elle. Elle glisse ses jambes entre celles de Cécile, et les écartes , écartant de ce fait celles de mister adversaire.
Et Gladys a une main de libre.
Doucement, elle caresse le ventre de Cécile, puis descend vers mister entre cuisse. Elle écarte le short par l'entre jambe, et fait courir un doigt sur les lèvres de Cécile.
-Non, mais c'est quoi çà, se débat Cécile, levez vôtre doigt de là, de suite ou je crie.
-Mais crie, mon trésor, ironise Gladys. Permisterne t'entendra.
Même quand tu vas crier de plaisir.
Cécile essaie de libérer ses jambes, mais Gladys est trop forte. Peu à peu, ses powers l'abandonnent. Elle commence à se soumettre. Elle sent même une agréable chaleur au creux de mister ventre. Gladys quitte le short. la main de Gladys part à l'assaut du sexe de Cécile, la fouillant avec deux doigts, excitant le clitoris avec mister pouce.
Cécile se dresse sur ses pieds, cambrant mister corps pour mieux recevoir les caresses. Sa respiration s'accélère, elle râle de plaisir. Elle est toute mouillée.
-Oh ma chéri, gémit Cécile, regarde la dame ce qu'elle fait à la chatte de ta maman. Regarde comme elle a décalotté mon clitoris. Ha, que c'est bon, maman va jouir devant toi.
-Tu te régales salope, dit Gladys. Tu te fais doigter par une Black, hein? Vas-y, bouge ton cul.
-Ha..ha..ha, oui, je joui, vous arrêtez pas, oui, oui. Elsa, fais toi caresser toi aussi, prend du plaisir.
-Maman, ma petite chatte est toute mouillée. Et mes seins, regarde comme elle fait rouler les bouts entre ses doigts, dit Elsa.
-Ma chérie, moi c'est mon petit bouton qu'elle fait rouler.
Cassie a pris possession du corps d'Elsa, toujours debout, jambes écartées, entièrement nue.
-Tu sens comme je te chatte, sourit Cassie. Ton petit aime, et ton petit bouton, comme il est dur ce vilain.
-Hou..hou, gémit Elsa, çà y est je joui, ma chatte coule, oui, oui, vas-y, gratte, ha..ha..ouiii.
Gladys joue toujours avec le corps ce Cécile. Deux doigts branlent violemment la chatte, tandis que le pouce gratte le petit trou.
-C'est pas vrai, soupire Cécile. Ou avez-vous appris à vous servir d'une femme comme çà. Oh putain, que c'est bon.
-Je suis en train de te maquer, hein? Petite pute.
Gladys, sentant que Cécile aller venir, la bascule sur le dos, et demande à Elsa de s'approcher.
-Regarde ta maman, dit Gladys, elle a encore envie tu sais, tu veux l'a caresser.
-Mais, madame, j'oserai jamais, c'est ma mère.
-Vas-y ma chérie, supplie Cécile, fais du bien à ta maman.
Vois comme mon bouton est sorti, gratte le , s'il te plait.
Chatte ta maman.
Elsa ferme les yeux, s'accroupit, avance une main entre les cuisses de sa mère, et pince le clitoris avec deux doigts.
-Oui, ma chérie, comme çà, gémit cécile, rentre bien tes doigts maintenant, bien profond, voilà, vas-y. Tu me fais jouir, que tu es bonne ma fille.
Cécile profite de la position de sa fille, pour glisser mister majeur entre ses lèvres humides.
-Oh, fait Cécile, mais ta petite mounette est pleine de mouille toi aussi, et ton petit bouton est tout décalotté.
-Maman, tu me fais cracher, putain, que c'est bon d'avoir une petite chatte. Hou..hou..ouiiiiii,je jouiii.
D'un coup, un hurlement traverse la clairière. Elsa et Cécile se retournent. Gladys est toute nue, cuisses entièrement ouvertes. Sont corps est pris de soubresauts, ses jambes s'agitent, glissent sur l'herbe.
Cassie, sa propre fille est en train de la doigter. Elle a un orgasme terrible, des jets de jouissances giclent de sa chatte. Cassie tire sur le clitoris énorme de sa mère.
-Je t'ai matée, sourit Cassie, tu sens ta fille comme elle te gouine, sale pute. On va bien s'amuser toute les deux.
Tu en veux encore?
-Oh oui, s'il te plait, soupire Gladys, fais moi mal.
De voir comment Cassie domine sa mère, Elsa saisit Cécile par sa queue de cheval, et l'oblige à s'allonger.
La tête de Cécile se trouve contre celle de Gladys.
Elsa, copiant Cassie, enfonce deux , puis trois doigts dans la chatte de sa mère.
-Chérie, hurle Gladys, tu vas encore me faire jouir. Vas-y mon amour, branle bien ta maman.
-Sale pute, gronde Cassie, à partir de maintenant, quand on sera seule à la maimister, mini jupe, et rien dessous, c'est compris?
Elsa se penche sur sa mère.
-Tu as entendu, reprend-elle, pareil pour toi, ok?
Cécile et Gladys se trouvent leur bouche une contre l'autre.
-Que c'est bon, soupire Gladys, que ma fille me fait du bien je vais encore jouir.
-Moi aussi, gémit Cécile, je mouille comme une pute. On va jouir ensemble.
-Ce serai bien, poursuit Gladys.
-Ha..ha, crie Cécile, embrasse moi sale black.
Le cri est unanime, les deux femmes jouissent ensemble, leur langue emmêlées dans un baiser torride. Elles mistert épuisées.
Elsa et Cassie, fière de leur domination, s'allonge une contre l'autre, et commence à se caresser.
chrislebo

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#345
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Je veux te voir à poil



Il y a longtemps déjà, je suis entré dans un cinéma. Le film était déjà commencé et la salle était obscure. Je suis allé m'asseoir. Le premier siège vers lequel je me suis dirigé était déjà occupé. Dans le noir, je ne l'avais pas vu. J'ai voulu aller dans une rangée suivante, mais, le gars m'a attrappé par le poignet. Il abaissa le siège à côté de lui et je me suis assis. Il a posé sa main sur ma cuissse et m'a caressé. Sa main est remontée jusqu'au sexe et il s'est aperçu que j'étais raide.
- Mais, tu bandes, dit-il. On dirait que t'aimes ça !
- Ben écoutes, puisque ça t'as fait plaisir, tu vas me faire plaisir aussi.
Il me prend par le cou et m'attire vers mister entrejambe. De sa main gauche, il ouvre sa braguette et sort sa bite.
- Tiens, suces ! Dit-il.
J'ouvris les lèvres et, pesant sur ma nuque, il enfonça sa bite toute entière dans ma bouche. Je ne pouvais plus respirer. J'allais vomir quand il dit :
- Respires par le nez !
Sa bite se raidit et augmenta de volume. Il se pencha vers moi et glissa à mon oreille.
- Je veux te voir à poil ! Laisse-toi déshabiller !
Sa bite toujours dans ma bouche, ses mains se dirigèrent vers la ceinture de mon pantalon qu'elles dégraffèrent. L'une d'elles se glissa entre mes jambes puis sous mes fesses. Une légère pression me fit comprendre de me soulever un peu. Son autre main passa dans mon dos, aggrippèrent mon pantalon et mon slip et les firent glisser sous mes fesses. Une pression sur lépaule me fir rasseoir. La bite encore dans ma bouche, ses mains glissèrent mon pantalon et mon slip jusqu'à mes pieds.
Après ça, il releva mon pull over au-dessus de ma tête, releva mes bras et ôta le vêtement. Il défit les boutons de ma chemise, sans se presser, et, une fois les pans écartés, il passa ses mains sur mon torse et embrassa mes seins. La chemise enlevée, il releva ma tête et me poussa vers l'autre côté du fauteuil. Il me fit mettre à genoux, me tourna vers lui et m'allongea sur les siens. Sa main droite caressait la peau lisse et douce de mes fesses. Un de ses doigts courut le long de la raie et me tira un frismister. Lentement le doigt s'insinuait dans le sillon. Bientôt, il entra en contact avec l'anus dans lequel il s'introduit. Il s'enfonça entièrement. Le gars retira mister doigt et me souleva. J'étais debout, complètement nu, à la vue de tous. Il serra ses cuisses et écarta les miennes. Il me fit l'enjamber. Il me saisit par les hanches et me fit descendre lentement vers lui. A mi-chemin, il lâcha mes hanches, prit une de mes mains, y logea sa bite. De ses deux mains, il écarta mes fesses et chuchota à mon oreille :
- Assieds-toi maintenant.....
J'avais compris ce qu'il voulait. J'ai dirigé le gland de la bite que je tenais dans ma main vers le trou de mon cul et me suis assis. Ca n'est pas entré tout seul. Il a fallu que je tienne la bite raide dans ma main et que je la pousse dans mon cul. Quand le gland est entré, j'ai poussé un peu plus fort avec mes hanches et la bite s'est enfoncée entièrement. Le gars avait l'air ravi. Il s'empara de la mienne et commença à me branler. Quand j'ai éjaculé dans sa main, il a passé l'autre sous mes fesses et m'a soulevé. Sa main pleine de mon sperme, il a empoigné sa bite et l'a enduite de mon jus. Il m'a fait rasseoir. Maintenant, sa bite huilée par mon sperme, il me prit par les hanches et me faisait glisser, en haut , en bas, en haut....le long de mister membre.
Au moment de jouir, il me souleva, faisant sortir sa bite de mon cul. Il m'agenouilla au sol, devant lui, et éjacula sur mon dos. Alors, il se leva, prit mes vêtements et s'en alla en crachant : Sale pédé !
chrislebo

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#346
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LE PERE DE FADILA



Je vis avec une Africaine.
Sa famille habite en France depuis plus de trente ans. Fadila (c'est mister nom), travaille dans une usine de conditionnement et moi
dans un magasin de lunettes. Un jour où je rendis visite à ses parents, la mère me dit qu'elle avait un problème avec mister mari.
Il était dans la chambre. Elle me prit par la main et me conduisit jusqu'à lui.
La pièce était sombre mais je pouvais le voir, nu, au pied du lit.
- Il veut que je le suce...dit-elle, les yeux baignés de larmes.
Elle m'avait pris par les épaules et m'avait poussé vers lui.
- Je suis fatiguée, je n'en peux plus...Larmoya-t-elle, en pesant doucement sur mes épaules.
Une fois à genoux, un sinistre "Merci" me fit ouvrir la bouche. Le père, empoignant sa grosse bite noire, la glissa entre mes lèvres.
La mère s'agenouilla derrière moi et ses doigts dégrafèrent la ceinture de mon pantalon. Elle le baissa, et fit de même avec mon
slip. Puis, soulevant mes genoux, un par un, elle me débarrassa de ces vêtements. La bite noire sortit de ma bouche et la mère,
saisissant mes épaules, me fit faire un demi-tour. Appuyant de nouveau sur mes épaules, elle me fit mettre à quatre pattes. Le
père s'agenouilla derrière moi et posa une main chaude sur mon cul et me caressa longuement, s'insinuant entre mes cuisses,
soupesant mes couilles et prenant ma bite à pleine main. Il promena un doigt, puis sa bite le long de ma raie, poussant un peu
pour que le gland s'introduise entre les fesses.
Avec deux doigts, il les écarta et posa le gland sur mon trou. Il me demanda de cracher dans sa main et me badigeonna l'anus
avec ma salive. Il poussa très doucement sa bite dans mon cul, millimètre par millimètre. Je la sentais qui entrait inexorablement
et il me semblait qu'elle était longue, longue...
Exaspéré par la lenteur de la sodomie, d'un violent coup de reins vers l'arrière, je m'empalais sur le gros membre du père de
Fadila…
chrislebo

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#347
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Après que le gland eut passé l'anneau serré de mon cul, le père de Fadila enfonça sa bite d'un violent coup de reins. J'ai hurlé de douleur. Il s'est accroché à mes hanches et je voyais ses grosses mains noires et puissantes qui attiraient mon bassin vers mister pubis avec une power inouïe. Sa bite déchirait mon anus et mes fesses heurtaient ses cuisses bruyamment. Plus ses coups de boutoir s'accéléraient, plus sa bite grandissait. Il me semblait qu'elle s'enfonçait toujours plus loin. A un moment, j'ai même cru qu'elle avait heurté le fond de mon cul. Quand il a éjaculé, il s'est enfoncé avec plus de power encore. A tel point que j'ai cru que ses couilles aussi allaient rentrer. Puis, le sperme a coulé. Abondant, chaud, épais. Ca ne s'arrêtait plus. Mon cul était rempli de sperme. Il se retira enfin, lentement. On aurait dit un tuyau qu'on m'avait enfoncé dans le cul, puis ressorti.
- Le Mercredi, je sais que Fadila va à l'école des enfants. Maintenant c'est moi qui viendrais chez vous. J'arriverai à 15 heures pile. J'aurai la clé et toi, tu seras à poil, à genoux au bord du lit, les bras en croix sur la couette. Je sortirai ma bite et je t'enculerai.
Dans la nuit du Mardi précédant la visite de mon beau-père, j'ai baisé ma femme comme jamais. Elle était en folie. Après mister départ pour l'école, j'avais toujours la trique. Je me suis mis à poil et j'ai déambulé comme ça jusqu'à l'heure du rendez-vous.
J'étais en position depuis une demi-heure quand j'ai entendu la clé dans la porte. Je me relevai pour lui dire bonjour quand mon beau-père dit :
- Ne te retourne pas ! La prochaine fois, tu porteras ça, dit-il en me lançant un masque noir. Un de ces masques qu'on vous donne dans les avions pour dormir.
- Il est possible que je prête la clé à des amis.........J'ai apporté ça aussi pour toi ! C'était un coussin de cuir gonflable. Il me fit lever, le posa devant moi et le gonfla. Il me pencha dessus et ajusta le gonflage. Mon cul était maintenant à hauteur de sa bite.
- Ecarte tes fesses avec tes mains ! Ordonna-t-il. De nouveau, il me fit cracher dans sa main. De nouveau, il se lubrifia la bite avec ma salive et de nouveau, il s'enfonça dans mon cul.
- Tu seras obéissant avec mes invités quand ils viendront, sinon je te baiserai devant ma fille. Et c'est comme ça que des tas de bites noires pénètrent mon cul le Mercredi.

chrislebo

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#348
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- En fait, poursuit Line, c'est une des solutions que j'avais envisagé. Mardi, c'est
l'anniversaire de Georges, je pensais t'offrir en cadeau. Qu'est-ce-que tu en penses?
- Coquine, répond Valérie, tu veux partouzer. D'accord. Dit moi, Gil, il te tringle pas un peu.
Allez, avoue.
- C'est vrai, répond Line, une fois par semaine, il passe à la maimister. Il me nique pendant
deux heures. C'est un bon étalon, plutôt bien monté.
- Putain, ajoute Valérie, s'il est bien monté. J'en ai pris plein la chatte et la bouche hier soir.
Le salaud, çà c'est un mâle. Et les testicules qu'il a? A côté de mon mari. Et le tien, il est
bien monté.
- Surprise, répond Line, tu verras mardi.
- Attention, poursuit Valérie, je suis jeune, s'il tombe sur un jour ou je suis en chaleur, çà va
lui faire drôle.
- T'inquiète pas, répond Line, tu seras pas déçu. Et au fait, Luc, il est bien monté?
Valérie écarte le bermuda de mister mari, et lui sort entièrement ses attributs
- Tiens, constate par toi même, dit Valérie.
Line soupèse les couilles de Luc, joue avec la queue, s'attardant sur le gland qu'elle prend
soin de décalotté en jouant avec le prépuce. Aucune réaction.
- C'est dommage, regrette Line.
Valérie glisse une main entre les cuisses de Line.
- Et cette chatte toute mouillée, ce clitoris décapuchonner, c'est pas dommage, hein?
Salope, viens ici qu'on se suce. On va s'éclater pour nôtre dernière nuit en mer dit Valérie.
- Oh putain, mais tu me mors le clito, se plaint Line. Attend, vilaine, tu vas voir.
- Aie aie, ouais, vas-y, pince le ce salaud, soupire Valérie, ha...ha.. je joui, ouiiii.
- Que c'est bon, gémit Line, moi aussi je joui,hou...hou..ha oui..oui hum.

Mardi, vers huit heure trente, on misterne à la porte de Line. Elle ouvre, c'est Valérie.
- Bonjour ma chérie, dit Line.
- Je suis venu, comme convenu, répond Valérie.
- Habillé comme çà, tu ferai bander un mort, dit Line. Fait voir. Pauvre chérie, mais tu es
toute mouillée. Ta chatte a envie de prendre un bon coup de queue. Justement, on est
encore au lit avec Georges. J'étais en train de jouer avec lui. Tu vas voir mister fifre comme
il est raide.
- Ma chérie, dit Georges, viens vite qu'on s'amuse un peu.
Valérie se jette sur le lit, et se couche sur le côté, blottit contre Georges. Elle passe une
jambe par dessus mister corps, et se retrouve les cuisses écartées.
Line saisit la queue de mister mari, et la présente contre la chatte de Valérie.
- Allez, mon chéri, prend la.
Valérie prend Georges à pleine bouche, et le fouille avec sa langue. Petit à petit, elle sens
sa queue qui l'a pénètre.
- Alors, mon trésor, dit Valérie, bon anniversaire. Ta femme t'a fait un beau cadeau. Te taper
une jeune de vingt ans. Tu sens comme je te serre dans ma mouille. Doucement, on a
tout le temps.
Line, elle, caresse les fesses cambrées de Valérie. Son majeur se fait de plus en plus
vicieux.
- Ta femme, tu sais ce qu'elle me fait, gémit Valérie, elle me doigte mon petit trou cette
salope. Vous me tenez tout les deux, hein?.Ha..haaaa...ha..oui je joui, ha..ha je jouiiii.
Vas-y, laisse toi aller, vide toi dans ma chatte.
- Oh oui, je me vide, Line, elle me fait cracher, han..han oui.
- Eh, ho, calmez vous tout les deux. C'est pas encore fini, Georges.Il te faut la sodomiser,
et te faire tailler la bougie. Après, c'est à moi.
- Vous êtes deux salauds, rit Valérie, je vais vous épuiser, vous allez me supplier d'arrêter.
tiens mon cul toi, vicieux.
Valérie se positionne pour recevoir la bite de Georges.Il n'a pas flanché d'un poil. Il l'a
pénètre violemment. Le cri de Valérie traverse l'appartement.
- Comme il m'encule le salaud, oh putain, il va me déchirer.
Valérie passe une main entre ses jambes.
- Et c'est quoi qui pend là, c'est tes grosses couilles,hein. S'il te plait, prend mes seins.
et toi Line, gratte mon clitoris, puni le ce polismister.
- Je joui, cri Georges, c'est pas vrai, deux fois coup sur coup. Ha..ha..oui, tu me sens chérie.
- Bien sur que je te sens, répond Valérie, vas-y fais toi plaisir, vide toi.
Les jets de spermes déferlent dans le cul de Valérie jusqu'à la dernière goutte. Epuisé,
Georges s'écroule sur le lit.
- C'est quoi çà, demande Valérie. A non, pas de pause. ta pipe maintenant. Toi Line, je
veux que tu me chatte, ok? Après, je m'occuperai de toi.
- Mais Valérie, se plaint Georges, dix petites minutes, s'il te plait.
Il a pas fini sa phrase, que Valérie le saisit par les couilles, et le tire vers elle. De ses lèvres humides, elle décalotte le gland, insistant sur le méat, et avale la queue jusqu'au
fond de sa gorge.
- Tu as trouve une partenaire qui te mate, n'est-ce pas chéri? Ironise Line.
- Mais, comme elle fait, je vais encore jouir, hurle Georges, je crache, tiens , avale çà.
- T'inquiète pas, Georges, j'avale tout et je nettoie, répond Valérie la bouche pleine.
Elle libère la queue de Georges, mais la tient toujours en main.
- Regarde ton noeud comme il est décalotté, il est tout rouge. Et tes couilles, elles se mistert
vidées, hein,
Elle tiens la base du gland avec deux doigts, et écarte le méat avec deux autres.
- C'est par là que tu m'as rempli de partout, hein? salaud. Maintenant, je vais m'occuper
de ta femme.
Georges tombe du lit, et s'écroule sur la moquette.
- A nous deux, dit Valérie, je sais s'il te restera assez de mouille.
Line a un sourire en coin, elle est vicieuse, expérimentée, pouvant faire semblant s'il le faut.
Valérie risque de tomber de haut.
Valérie s'allonge sur Line et lui écarte les les jambes de power. Elle prend position de sa
chatte, accrochant le clitoris au passage. Mais, dans cette position, elle offre tout mister corps à Line. Chatte, petit trou et seins.
Line décide de passer à l'attaque. Elle fait front sur les trois points.
- Haaa, hurle Valérie en se dressant sur les genoux. Oh putain.
Elle cambre mister corps en arrière. Elle est prise, et bien prise.
Une main a pris possession du bas du corps. Deux doigts dans la chatte, et le pouce bien
enfoncé dans l'anus.
L'autre main joue avec le bouts des seins démesurés par l'excitation.
- Qu'est-ce-que tu me fait, soupire Valérie, je suis paralysée.
- Là, répond Line, je vais te vider. Tu sens comme je joue avec ton corps de pute. Tu te
régales,hein?
Line fait rouler les lèvres humides de Valérie entre ses doigts, tire sur le bouton sorti de
sa capuche
- Tu vas tomber dans un épuisement total. Tu auras juste la power de bouffer la chatte.
Après, avec Georges, on s'amusera encore avec toi. Tu veux bien ma chérie?
Valérie s'effondre sur le lit, fesse cambrées, toujours doigtée par Line.
- T'arrête pas, s'il te plait, fait moi jouir, vas y, sert toi de moi. Ha..ha..ha..oh oui, que c'est
bon d'être une femme, oui, je joui, çà y est, je viens, ha..ha..ha..ouiiii.
Entre temps, Georges a refait surface. Il a repris sa place sur le lit. Valérie est blottie au
milieu du couple.
- Tu pourras pas satisfaire ton mari ce soir, dit Line.
- Tant pis, il s'agit que moi je le soit. Oh, tu as retrouve la forme Georges, ta couette est
toute raide.
- Si on remettait çà jeudi, propose Line, enfin si Valérie est d'accord. On pourrai inviter Gil
- Mais, c'est une super idée, jubile Valérie, j'espère qu'il me donnera un coup de queue.
- Cà va partouzer grave, se réjouit Georges.
Et voilà, rendez vous est pris.
chrislebo

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#349
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Ma cliente




Je m’appelle éric, j’ai 30 ans et je travaille à domicile comme agent de veille internet. En gros je passe ma vie devant mon ordi à surveiller tout ce qui concerne mes clients. Comme tout le monde j’ai parmi mes clients une - chieuse -, il n’y a pas d’autres mots, la fille qui ne sait pas ce qu’elle veut mais qui râle tout le temps, toujours à essayer de resquiller, désagréable au téléphone, qui paye en retard etc. Pourtant je l’avais déjà sortie d’une situation désagréable pour elle, je suis même allé jusqu’à me déplacer sur mister poste de travail (ce que je ne suis pas sensé faire) pour récupérer sur mister disque dur des données qu’elle avait accidentellement écrasées. Il faut dire que c’est une vraie bille en informatique. Elle travaille au service communication d’une collectivité locale. Et même là c’est à peine si elle m’a remercié ! Mais c’est à cette occasion que je l’ai vue pour la première fois, puisque je ne travaille habituellement que par téléphone ou par mail. C’est une jolie femme, la quarantaine, très brune, la peau un peu mate, plutôt menue mais visiblement assez sportive. Son haut court et mister jean taille basse laissait voir mister ventre plat et ferme ainsi que l’inévitable string qui dépasse . Bref, elle a tout pour être très séduisante, mais tout est gâché par un regard froid, une attitude dédaigneuse et hautaine, le genre de permisterne à qui on a envie de donner des baffes, mais on se retient parce que c’est une cliente.


Jusque là rien de bien excitant me direz vous. Mais l’autre jour je reçois un SMS étrange de sa part. Elle me donne rendez vous en ville, me précisant que c’est ultra urgent, ultra important. Intrigué je me rends sur place, et retrouve Sophie visiblement pas dans mister assiette.

- Bonjour

De prêt elle semble vraiment mal, elle est blême, elle s’est rongée les ongles jusqu’au sang, ses mains tremblent et elle parle vite en bégayant un peu :

- Eric, j’ai fais une erreur, je n’aurais jamais du vous envoyer ce document avec le mail de ce matin, je me suis trompée dans ma liste d’adresses, si ça se sait je vais me faire virer, je vous en supplie, si vous parlez c’est la fin de ma carrière.

En fait je ne savais absolument pas de quoi elle parlait, je n’avais reçu aucun message. Mais de voir cette emmerdeuse me supplier ne me déplaisait absolument pas. J’ai même décidé de me venger un peu. Pour être honnête je ne pensais pas à ce moment là que cette histoire irait si loin, je voulais juste lui rendre la monnaie de sa pièce pour toutes les crasses qu’elle m’avait fait.

- Je veux bien me taire, mais ça dépends de vous. Qu’est-ce que j’ai à y gagner ?

Elle avale sa salive, prend une profonde inspiration et me répond

- OK, je me doutais bien que vous demanderiez de l’argent. Je n’ai rien sur moi, mais je peux sortir 5000€ d’ici ce soir.

C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que c’était vraiment du lourd, et qu’elle était prête à aller loin pour garder mister job. Je décidais de tenter la négociation :

- 5000 ? Je peux récupérer bien plus en m’adressant à quelqu’un d’autre vous savez !

Complètement paniquée elle se met à trembler de tous ses membres, elle transpire de plus en plus.

- Non, non ! attendez, j’aurai plus d’argent plus tard, s’il vous plait !

Je voulais savoir jusqu’où elle irait.

- Soyez plus claire ! Combien ? Quand ?

- 5000 ce soir, et encore 5000 le mois prochain.

- C’est tout ? Ça fait pas lourd. Il va falloir trouver mieux que ça ! Parce que je n’attendrai pas si longtemps. Ce genre de chose ça se négocie tant que c’est chaud ! Dans un mois je ne pourrais plus en tirer grand chose auprès des autres acquéreurs potentiels.

Et c’est là qu’elle a lâché la phrase qui a tout déclenché :

- S’il vous plait, je ferai tout ce que vous voulez .

Je ne sais pas si elle a réalisé sur le moment ce que ça impliquait, mais moi j’ai tout de suite changé d’état d’esprit : fini la petite vengeance, j’avais devant moi une femme plutôt mignonne et prête à tout. J’allais en profiter !

- OK, je vais y réfléchir. En attendant mieux venez ce soir sur le parking de l’hôtel à la sortie de la ville avec 5000€ en liquide. Mais ce ne sera qu’une avance, préparez vous à payer plus que ça !

Sans lui laisser le temps de réagir je tourne les talons et m’en vais.


Une fois chez moi je vérifie mes mails, mais je n’ai toujours rien reçu d’elle. Si elle s’en rend compte d’ici ce soir tout tombe à l’eau.


Dans l’après midi je me rends à l’hôtel et prends une chambre. C’est un hôtel bas de gamme sans permisternel la nuit, et en semaine il n’y a pas un chat.
A l’heure dites une voiture arrive et se cache tout au fond du parking tous feux éteints. Permisterne n’en descend, et le moteur tourne toujours. Je la laisse mariner quelques minutes avant d’aller frapper à sa vitre. Elle sursaute et pousse un cri aigu, puis baisse sa vitre en me tendant une enveloppe.

- Voilà votre argent. Je peux en avoir encore autant la semaine prochaine, mais je ne peux rien avant. Ça vous va ?

- Descendez donc de votre voiture, nous serons mieux dans une chambre pour en parler, non ?

Je pense qu’à ce moment là elle a comprit comment elle devrait acheter mon silence. Elle avait du y penser toute la journée, en espérant que l’argent suffirait, mais sans se faire trop d’illusions. Le regard baissé elle coupe le contact et sort de sa voiture. Je la suit jusqu’à la chambre et claque la porte derrière nous. Elle sursaute sans se retourner. J’ai compris qu’elle avait accepté mister sort et qu’elle serait toute à moi cette nuit.

Je jette l’enveloppe sur la table et lui dis

- Bon, on est d’accord pour dire que cette enveloppe n’est qu’une avance, et que vous n’avez pas assez d’argent pour acheter mon silence. Qu’est-ce que vous proposez alors ?

Elle se retourne lentement, le regard vissé au sol.

- Je ne sais pas…

- Mais si vous savez, et vous êtes d’accord, sinon vous ne seriez jamais entrée dans cette chambre. Alors dites le, que ce soit bien clair entre nous. Comment allez vous payer ?

Rouge de honte, toujours tête baissée, elle murmure

- En nature…

- Bien, on est d’accord. Tu vas être mon esclave sexuelle, ma chienne, tu vas faire tout ce que je te dis de faire. Rassures toi je n’ai pas l’intention de te frapper, ce n’est pas mon style. A tout moment tu peux tout arrêter, il suffit de le demander. On arrêtera immédiatement et on rentrera chacun chez soi, et tu sera virée dès demain. C’est toi qui choisi.

Elle ne bouge pas, ne réagit pas.

- OK, alors on commence. Déshabilles toi.

Lentement elle déboutonne mister chemisier blanc, laissant apparaître un soutien gorge de maintient pour sportive qu’elle dégrafe ensuite pour libérer sa jolie poitrine, pas extraordinairement grosse mais bien ferme. Elle quitte ensuite ses chaussures, puis mister jean et se retrouve donc en culotte blanche. Là elle marque un temps d’arrêt.

- Tu veux qu’on en reste là ? Tu veux te faire virer ?

Sans un mot elle quitte enfin sa sage culotte pour dévoiler mister sexe très poilu, très brun.

- Ola, ça va pas aller ça ! J’aime pas du tout ! On va arranger ça tout de suite à la salle de bain.

Je l’entraîne dans la baignoire et lui tend mon rasoir et ma bombe de mousse à raser.

- Vas-y, nettoie moi tout ça
chrislebo

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#350
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- Tu as eu beaucoup d'hommes dans ta vie ?

Un peu décontenancée elle ne répond pas tout de suite.

- Quoi ?

- Avec combien d'hommes tu as baisé ?

- Deux. avant vous.

- Oh, c'est bas beaucoup. Et avec des femmes ?

- Non, jamais.

- Tu n'as jamais été attirée par une femme ?

- Si, plusieurs fois, mais je n'ai jamais eu l'occasion.

Je continue à la prendre en levrette, et à chaque fois que je sens arriver la limite je repose une question. Sophie, toujours à quatre pattes, le souffle coupé, le visage écarlate, me raconte sa vie la plus intime.

- Raconte moi ta première fois. Tu avais quel age ?

Elle arque un temps d'arrêt.

- J'avais 22 ans.

- Pas bien précoce ça ! Raconte moi, c'était qui, c'était où ?

- Je ne le connaissais pas, c'était dans un gala étudiant, on avait beaucoup bu. Au milieu de la salle une fille complètement ivre a taillé une pipe à mister mec devant tout le monde, on s'est tous mis à regarder, et certains ont crié pour que ça aille plus loin, et puis ça a fini en orgie. Ce gars que je ne connaissais pas du tout est arrivé derrière moi, il m'a soulevé la jupe et baissé la culotte, et puis il m'a pénétrée debout.

- Debout, tient, j'ai jamais essayé. Lève toi, on va reconstituer la scène.

On se lève et Sophie me tourne le dos, le cul bien cambré. Je me plaque derrière elle et je la pénètre d'un coup. Elle pousse un soupir.

- C'est pas mal cette position. En plus ça permet de bien profiter des seins.

En effet je lui malaxe ses seins, je pince ses tétons, ce qu'elle semble apprécier.

- Continue ton histoire. Tu as jouit ?

- Non, il était tellement ivre qu'il tenait à peine debout. Quant il a commencé à jouir il est tombé et a éjaculé par terre.

- Oh, le looser ! Mais ne t'inquiète pas, cette fois tu vas prendre ton pied.

Pendant que ma main gauche continue de malaxer sa poitrine ma main droite descend sur mister sexe, je le flatte un peu, je titille mister clitoris. Toujours collé dans mister dos je lui embrasse même le cou, une petite marque d'affection dans cette soirée de domination. A power de lui branler le clito elle jouit en criant très fort. Ses jambes en tremblent tellement qu'on manque de tomber tous les deux. Je la place alors face au mur pour qu'elle y prenne appui des deux mains, j'agrippe ses hanches, et je commence à la tamponner de plus en plus fort, à grands coups de bassin. Elle crie à chaque coup, elle jouit plusieurs fois avant que je sente moi-même la sève monter. Je me retire brusquement, la power à s'agenouiller devant loi en la tenant par les cheveux, j'arrache mon préservatif et je plante ma bite dans sa bouche juste au moment de tout envoyer. Elle a un haut le cour lorsque le premier jet atterrit loin dans sa gorge, mais elle avale les saccades suivantes. Je maintiens sa tête contre mon ventre même après avoir fini d'éjaculer, jusqu'à ce que mon sexe soit au repos et bien propre. Je recule de deux pas pour m'asseoir sur le lit quand on reflet attire mon attention : notre voisine était collée à la fenêtre en train de se rincer l'oil ! Prise la main dans la culotte elle part en courrant se réfugier dans sa chambre.

Sophie est toujours à genoux, un peu de sperme a coulé sur mister menton. Elle ne semble pas avoir remarqué la voyeuse. Je lui ordonne de rester par terre comme une chienne pendant que je vais parler à notre voisine. Je me rhabille et vais frapper à sa porte. Elle fait semblant de ne pas avoir entendu, mais j'insiste, et elle finit par ouvrir.

- Faut pas vous gêner, ça vous a plu au moins ?

- C'est vous qui faites du bruit ! Vous m'empêchez de dormir avec ce boucan !

Elle plante mister regard dans le mien et fait semblant d'être outrée.

- Ben voyons ! Vous ne pouviez pas frapper au mur comme tout le monde ? Je crois surtout que vous vouliez mater, tout simplement. Mais au lieu de vous geler dehors, vous n'aviez qu'à entrer, c'est plus confortable, et puis plus on est de fous.

- Son regard change d'un coup. Je remarque que mister pantalon est toujours ouvert, et sa culotte semble trempée.

- Ça vous intéresse de participer ? C'est mieux que de se branler derrière la vitre, en plein vent.

Elle semble réfléchir un instant puis sourit.

- Avec vous non, mais la fille me plait bien.

- Ah OK ! Bon, je veux bien mais si c'est comme ça ça vous coûtera 200? pour une heure.

- 200? !

- Oui, mais elle les vaut bien ! Et je vous offre le peep show dont vous avez déjà profité.

- D'accord.

- Je vous l'envoie. Vous pouvez en faire ce que vous voulez, du moment que c'est sans violence.

- OK

Elle sort deux billets de 100? de mister portefeuille et me les tends. Tout bénef pour moi, je gagne encore un peu d'argent et je vais avoir une pause pour me remettre en forme. Je retourne dans notre chambre.

- Sophie, puisque tu es une chienne en chaleur et que tu n'as pas assez d'argent pour me payer, tu va faire un peu la pute pour moi. Ta première cliente t'attend dans la chambre à côté.

Je m'attendais à une réaction de refus de sa part, mais étonnement il n'y en eu aucune. Résiliée ou soumise elle se contentait maintenant de suivre scrupuleusement mes directives, comme une marionnette. Elle se lève lentement et sort de la chambre, complètement à poil. Avant qu'elle ne referme la porte je lui dis

- Tu reviens dans une heure, qu'elle ai terminé ou pas.

Je me rends compte à ce moment là que l'isolation phonique est effectivement déplorable. J'entends très bien la porte de la chambre d'à côté s'ouvrir et se refermer, et notre voisine ordonner à Sophie de se mettre à genoux pour la lécher. Puis ce ne mistert plus que des murmures, entrecoupés de temps en temps d'un cri de jouissance.

Je m'allonge sur le lit et m'endors profondément. Une heure plus tard je suis réveillé par la misternerie de mon téléphone que j'avais programmé. Sophie n'est pas rentrée, et j'entends des soupirs à travers le mur. Par curiosité je sors discrètement de la chambre pour aller jeter un oil par la fenêtre d'à côté. Les deux femmes mistert sur le lit, en 69, sur le côté. Je prends quelques photos sympas, puis je rentre d'un coup dans la chambre.

- OK, on arrête là, ça fait une heure.

La voisine lève la tête en criant

- Non, pas maintenant ! Encore un peu !

- Alors ça fera encore un peu d'argent !

- Mais je n'ai plus rien sur moi ! Allez, s'il vous plait !

- Ben voyons ! On s'était mis d'accord pour 200? pour une heure, pas pour la nuit complète ! Je n'ai pas amené ma chienne ici pour qu'une autre en profite gratuitement ! J'avais besoin d'un peu de repos, maintenant je suis en pleine forme, donc c'est fini pour toi. A moins que tu ai quelque chose d'autre à me proposer en paiement.

Cette idée m'est venue en regardant le cul grassouillet de cette petite femme en train de manger la chatte de Sophie. Je n'ai jamais eu de plan à trois jusque là, et l'occasion fait le larron.

- Ah, non ! Je suis lesbienne, j'aime pas les hommes.

- Alors au revoir.

La voisine panique.

- Attendez ! Si vous restez à côté, pour regarder, ça va ?

- Non ! Je ne suis pas un voyeur comme toi ! Et puis tu penses vraiment qu'un homme digne de ce nom peut rester sans bouger pendant que deux femmes baisent devant lui ?

Pendant tout ce temps Sophie continue de lui bouffer la chatte, et à en juger par ses réactions elle semble apprécier vraiment.

- C'est soit avec moi, soit sans toi. A toi de choisir, mais décide toi vite.

Les coups de langue de Sophie lui arrachent un cri. Puis, les yeux fermés, elle replonge la tête entre les cuisses de ma chienne en basculant sur le dos. Qui ne dit mot consent ! Je sort mon sexe déjà bien bandé de mon pantalon, contourne le lit enjambe les deux femmes. La croupe de Sophie s'offre à moi, je pénètre mister sexe pendant que l'autre femme lui lèche le clitoris. De temps en temps je sens sa langue glisser sur ma bite, comme par erreur, mais de plus en plus souvent. J'ai les mains agrippées aux hanches de Sophie, je la travaille lentement mais en profondeur. Soudain je quitte mister sexe et ma tige glisse le long de ses lèvres, entre mister sexe et la langue de la voisine. C'est alors que celle-ci me gobe littéralement. Pour quelqu'un qui n'aime pas les hommes, elle apprend vite. Mon sexe doit avoir le même goût que celui de Sophie. Pour faire durer ce plaisir je « trempe » régulièrement mon sexe dans celui de Sophie avant de revenir dans la bouche en dessous. Je profite que la voisine ait la bouche pleine pour demander à Sophie de lui doigter l'anus, ce qu'elle fait immédiatement. Notre voisine qui cherchait juste un hôtel tranquille et pas cher pour passer la nuit se retrouve ainsi avec une langue dans la chatte, un doigt dans le cul et une bite dans la bouche. Elle jouit tellement fort que si il y a d'autres clients ils doivent être tous au courrant, même dans le bâtiment d'en face. Ne voulant pas jouir tout de suite moi aussi je me retire un instant, et pendant que les filles passent l'une par-dessus l'autre je les contournes pour me retrouver devant un cul énorme et appétissant. Tandis que Sophie continue à affairer sa langue dans sa chatte, je m'occupe de sa rondelle. J'y plante d'abord un doigt, lentement. Elle tortille du bassin, visiblement elle apprécie. A l'autre bout du lit ma chienne reçoit elle aussi plusieurs doigts dans mister anus. Je plante un second doigt dans cet anus si étroit, pendant que Sophie mordille mister clitoris, ce qui lui procure un orgasme immédiat.

Quand j'estime qu'elle est prête j'enfile un préservatif et présente ma bite devant mister cul. Au moment où Sophie lui mord le clitoris je pousse d'un coup de bassin et mon gland passe le sphincter dans un hurlement. Je m'enfonce progressivement dans mister cul, jusqu'à la garde, et Sophie me lèche les couilles. Puis tout tourne à l'euphorie collective : je ramone de plus en plus vitre ce cul généreux pendant que Sophie lui fouille la chatte avec sa main, tout en aillant de l'autre côté plusieurs doigts dans le cul. Je crois qu'on a jouit tous les trois ensembles, très fort, très bruyamment, avant de rouler sur le lit, complètement à bout.

Quand je me suis réveillé il faisait jour, notre voisine anonyme avait disparu, et Sophie dormait en boule au pied du lit. J'ai récupéré mes affaires discrètement sans la réveiller, et je suis parti en emportant sa culotte en souvenir.


Trois jours plus tard elle m'appelle au téléphone :

- Espèce de salop, je sais que je ne vous ai pas envoyé ce mail, je viens de m'en rendre compte ! Vous allez me rendre mon argent et je vais vous le faire regretter, je vais porter plainte !

Calmement je réponds

- Je sais que je n'ai pas reçu ce fameux mail, mais je ne pouvais pas laisser passer l'occasion. D'un autre côté, maintenant j'ai plusieurs films et de très jolies photos de toi avec une brosse a chiottes dans le cul, ou encore en 69 avec une camionneuse. La résolution n'est pas terrible mais on te reconnaît bien. Et comme j'ai aussi les mails et les téléphones de tous tes patrons, on se retrouve dans la même situation que l'autre jour : ou tu obéis, ou tu te fais virer.

Elle marque un long temps d'arrêt, puis j'entends dans un souffle

- J'arrive.
chrislebo

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#351
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La Vile Vengeance de L'ex-criminel




Pendant le vol de Los Angeles à Kyoto, alors qu'elle servait un thé à un moine Bouddhiste assis au fond de l'avion, Gwen réalisa qu'elle pensait à l'épreuve qu'elle venait de subir lorsque le moine avait constaté :

- "Vous sentez-vous bien, mon enfant? ..."

- "Oh oui... Oui... Veuillez m'excuser... Je suis dans les nuages! ..." ré-pondit-elle surprise que ce moine d'un âge avancé parla un anglais cou-rant.

Regagnant le fond de l'avion pour se reprendre, et fixer mister esprit sur mister boulot, Gwen vit le moine quitter mister fauteuil pour la rejoindre.

Elle remercia vivement le moins de mister intérêt lorsqu'il lui demanda s'il pouvait lui être d'une aide quelconque puisque visiblement quelque chose la tourmentait.

Il lui apprit alors qu'il appartenait au temple de Zuten, elle avait déjà en-tendu parler de ce sanctuaire par ses grands-parents, elle se rappelait avoir vu une vieille photo de ce temple adossé à la colline du petit village dont ils étaient originaires.

Gwen informa le moine qu'elle connaissait le temple de Zuten, ses grands-parents originaires de ce petit coin de campagne lui en ayant parlé.

Elle se rappelait par ailleurs qu'ils lui avaient dit que pendant la guerre les moines habitant le temple soignaient les âmes et les corps en les pu-rifiant.

Il lui semblait que ce vieux moine lisait dans ses pensées, il lui dit de ve-nir le visiter au temple pendant mister escale, il pourrait alors délivrer mister âme des douleurs qui l'accablaient, il allie prier avec ses coreligionnaires pour la soulager de cette chape de plomb qui l'étouffait.

Gwen frémit en entendant ces mots :

- "Se pourrait-il qu'il sache qu'elle venait de se faire violer? ... Pouvait-il le sentir? ... Comment pouvait-il connaître si exactement ses états d'âme? ..."

Elle fut sidérée de l'entendre poursuivre :

-"Ne vous hâtez pas de prendre une décision en ce qui concerne l'homme que vous aimez juste parce qu'une brute vous a profon-dément meurtrie! ..."

Agé de 80 ans, Sensei Moto semblait être ce genre de mentor qui sentait et connaissait les pensées et les sentiments de ses interlocuteurs.

Peut-être était-ce quelque chose qu'il avait acquis au cours de ses 60 années de méditation au sein de du temple de Zuten.

Lorsqu'il était dans ses vingt ans, il avait été choisi par les moines du temple de Zuten pour suivre leur apprentissage, il leur avait toujours été reconnaissant de leur enseignement.

S'ils n'avaient pas été là, il se serait sûrement fait hara-kiri où il aurait été pendu en raimister des nombreux meurtres sadiques qu'il avait commis pendant la guerre.

Le temps avait coulé, tous les vieux moines du temple étaient morts, Sensei Moto dirigeait le temple de Zuten, la chasse aux criminels de guerre avait pris fin depuis bien des années.

Cependant il n'avait jamais oublié sa haine de ses envahisseurs améri-cains, ces ennemis qui avaient tué ses parents, sa femme, ses enfants et détruit mister existence.

Il était maintenant pour le colonel Ichiro Motoyama de l'armée impériale du Japon de renaître et de lutter contre ces américains qu'il honnissait tant.

Dans cet appareil qui le ramenait au Japon après une conférence reli-gieuse à laquelle il avait assisté, il réfléchissait au meilleur moyen de débuter sa vengeance lorsqu'il avait rencontré cette ravissante jeune femme descendante d'un renégat qui avait trahi le Japon pour installer sa famille en Amérique.

En raimister de mister grand âge, sachant que mister ennemi était une super puissance, les armes de l'époque de sa jeunesse étaient révolues et sû-rement inopérantes.

Bien qu'il ait réfléchi à sa vengeance depuis de longues années, c'est la vue de la somptueuse Gwen Nakayama qui lui avait inspiré mister plan pervers.

Bien qu'actuellement, il ne se serve guère des secrets que les moines de Zuten lui avaient enseignés, il avait correctement interprété le tumulte des pensées de la jeune beauté d'origine japonaise.

En fait, c'était mister passé de criminel de guerre en tant que commandant d'une unité célèbre pour les pillages, les viols sauvages et les meurtres qu'elle avait commis, qui l'avait aidé à percevoir ses sentiments de dé-sespoir engendrés par mister ignoble viol.

C'était en raimister de ses longues d'années d'expérience de première main en tant que l'infâme colonel Motoyama que Sensei Moto était ca-pable d'immédiatement identifier une jeune femme qui s'était fait violer et violenter.

Leur regard, leur air désarmé, l'aura de déprime qui entourait ces jeunes femmes le renseignait de façon implicite sur leur statut de femme violée.

En fait c'était carrément un sixième sens qu'il avait développé qui lui permettait de repérer à coup sûr ces femmes, il en avait tant violé à mister heure.

En maintes occasions, après la conquête d'un village ou même d'une ville, il avait sélectionné la captive la plus jolie pour mister usage permisternel alors que ses hommes maintenaient les femmes agenouillées face aux villageois ou aux citadins, si elle était mariée, l'époux était amené au premier rang pour pouvoir profiter du spectacle de sa ravissante femme sauvagement violée par ses oeuvres

Puis, en tant que colonel il traitait encore plus rudement le malheureux époux en le remerciant de se montrer assez hospitalier pour lui offrir sa femme, il était certain que mister épouse s'abstiendrait de toute révolte, il pouvait tuer mister mari séance tenante à la moindre protestation.

Inutile de préciser que pour récompenser ses hommes de leur bravoure au combat, le colonel Motoyama tenait à avoir l'honneur de leur distri-buer les femmes de leur choix, afin que ses compagnons d'armes jouissent aussi du droit de violer les captives à couilles rabattues.

De ce fait il avait vu à de multiples reprises l'expression qu'affichait les victimes de viols après leur terrible épreuve, il constatait les changements dans leur attitude, et remarquait à quel point elles étaient démoralisées après s'être fait violer publiquement.

Lorsqu'il était entré en contact avec l'adorable Gwen Nakayama, le vieux criminel de guerre sentit immédiatement l'aura de viol qui la nimbait. C'est à cet instant que mister esprit pervers commença à concocter sa vengeance.

A la vue de cette descendante de Japonais pur races, de mister appa-rence, et du fait qu'elle parlait parfaitement l'anglais il comprit immédiatement qu'elle avait été grandie aux USA.

Et, pour Sensei Moto, ce serait une agréable vengeance de violer sauvagement la descendante de ces japonais qui avaient choisi de s'exiler au pays de leurs ennemis américains.

Lorsqu'il eut résolu de la violer, il se mit à analyser les différentes possi-bilités, il était temps maintenant de se comporter en conquérants.

Cette jeune beauté asiatique née en Amérique ce pays ennemi où elle avait grandi entouré de ses traîtres de parents qui avaient abandonné leur pays, était l'objet idéal capable de raviver la colère de Sensei Moto désireux de soumettre ses ennemis séculiers.

Lorsque les anciens moines de Zuten devenus trop vieux pour diriger le sanctuaire moururent, ils l'avaient autorisé depuis un bon moment à se réfugier avec ses soldats dans le temple et de s'y cacher.

Ils avaient alors fondé une véritable secte sous l'autorité de Sensei Moto sous leur apparence de simples moines, ils dissimulaient leurs tendances aussi sadiques que démoniaques.

Le contrat des jeunes recrues était de suivre leur destin, au travers du vieux moine, ils s'engageaient à venger la défaite de leurs ancêtres lors de la dernière guerre.

Moto-san avait décidé de mettre en application un nouveau slogan émanant de cet ennemi héréditaire : "Faites l'amour, pas la guerre!"....

Sous les balles et les bombes, ils s'étaient emparés, avec sa petite troupe, d'un maximum de ces femmes américaines qu'ils honnissaient, les avaient violées à couilles rabattues, pour les abandonner ensuite le plus souvent engrossées de leurs oeuvres.
chrislebo

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#352
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Moto-san voulait maintenant se servir de la douce Gwen Nakayama pour attirer des femmes mariées ou des petites amies de ces américains abhorrés au temple de Zuten, où il les attendrait impatiemment en compagnie de sa bande de moines lubriques.

Le cercle des moines les plus âgés était constitué de criminels de guerre qui avaient suivi leur chef, alors que ce n'était pas la vocation religieuse qui étouffait les recrues de la nouvelle génération.

Une fois recrutée, les nouveaux passaient une année entière enfermés dans le temple, ils labouraient et cultivaient des herbes aux vertus très spéciales, à flanc de montagne, ils n'avaient pas rencontré d'américai-nes depuis leur recrutement.

Les herbes qu'ils cultivaient étaient prêtes à l'emploi et ils pourraient bientôt tirer bénéfice de leur rude travail.

Comme les ancêtre des Gwen Nakayama étaient originaires du village voisin l'arrivée de cette beauté américaine d'ascendance japonaise s'avérait une invitée très spécial dans leur esprit.

Une fois que la navette eut déposé, l'équipage à mister hôtel, Gwen rejoignit les autres hôtesses pour partager leur repas, elle leur dit alors qu'elle était invitée à visiter un temple situé dans la localité d'où étaient originaire ses grands-parents.

Une fois sa valise déposée dans sa chambre, sans même se préoccuper de changer de tenue, elle sortit et trouva tout de suite le taxi que Sensei Moto avait retenu pour elle.

Elle gagna rapidement le flanc de montagne où était accroché le temple de Zuten.

Lorsqu'elle quitta mister taxi, le paternaliste sensé la saluait déjà chaleu-reusement.

-"Bienvenue ma chère enfant..... Entrez... Une tasse de thé chaud vous attend, cela contribuera à vous relaxer! .... Vous pourrez alors m'entretenir de vos soucis ce qui me permettra de vous aider à les chasser! ..."

Ce thé chaud s'avérait très efficace, il ôtait toute inhibition à Gwen, il lui semblait qu'elle flottait maintenant sur un petit nuage.

En fait c'était une drôle de composition pour un thé, il était largement pourvu en herbes hallucinogènes cultivées par les moines à flanc de montagne.

C'était un thé qui vidait l'esprit de tout stress mais qui en même temps sensibilisait le sujet qui en avait bu à toutes suggestions, même les plus viles.

Tout en sirotant mister thé, Gwen commençait à confier les problèmes qui la hantaient au vieux moine si bienveillant.

Elle lui livrait des informations sur sa vie privée et intime, sur mister éduca-tion, ses parents et ses grands-parents, lui rapportant comment ses grands-parents avaient quitté la terre de leurs ancêtres pour se fixer aux USA où elle était née.

A sa grande surprise il s'enquit :

-"Dis moi ce qui te concerne intimement mon enfant... N'ait pas peur, raconte-moi tout en détail..... Détaille le viol dont tu as été victime dernièrement... "

-"Oh..... Comment savez-vous? ...." s'étonna Gwen qu'il connaisse cet épisode dramatique de sa vie.

Le vieux moine prit sa main dans la sienne la tapotant paternellement il lui révéla :

-"Les esprits de tes ancêtres me l'ont appris. Tes ancêtres me par-lent ..... Confie moi ta douleur ....."

La puissante drogue faisait mister effet et Gwen en finissant la deuxième verre qu'on lui avait servi, entamait la relation détaillée de mister viols dès l'instant où cet importun l'avait accosté sur le chemin de retour à mister domicile.

Le vieux moine la faisait décrire avec une extrême précision chaque élément de mister épreuve.

Elle fit un portrait fidèle ce colosse noir qui avait brisé sa vie, décrivit mé-ticuleusement la façon dont elle du assouvir ses appétits charnelles age-nouillée sur la carpette, continuant par mister viol dans mister propre lit, mister vulgar dépucelage et toutes les ignominies qu'elle avait du subir.

Puis elle avait du cuisiner pour lui, s'asseoir nue sur ses genoux, il la ca-ressait intimement tout en mangeant puis elle rapporta ce qu'il lui avait enduré sur le canapé avant qu'il ne la quitte.

L'esprit totalement embrumé, sous l'emprise de la drogue, elle vit quel-qu'un s'approcher un plateau à la main, l'invitant à prendre le verre posé sur le plateau.

-"C'est une boismister curative mon enfant..... Les moines l'ont prépa-rée spécialement pour toi, ils ont prié et chanté pour apaiser ton âme tout en la concoctant..." lui révéla le vieux moine d'une voix douce.

Puis il ajouta :

-"Bois cette potion mon enfant, vide le verre... Cette potion n'a pas mauvais goût... Tu en redemanderas à l'avenir... Tu ne pourras plus te passer d'elle! .... Dorénavant, à chaque voyage, tu nous honoreras d'une visite, à chacune des tes visites les moines te prépareront cette potion curative qui va te ravir! ...."

Gwen fit ce que lui indiquait le vieux sensei, à la voix de sage érudit, qui allait prier pour chasser les démons qui encombraient mister esprit et la rasséréner.

La chaude potion sirupeuse glissait sur sa langue tandis qu'elle la sirotait avec plaisir, elle inclina alors le verre pour ingurgiter une nouvelle rasade du remède légèrement salé.

Un moment plus tard, Gwen se pourléchait les lèvres, elle avait avalé le verre de tisane droguée qui lui réchauffait maintenant l'estomac.

Un soudain étourdissement la prit alors qu'elle léchait les dernières gouttes sur ses lèvres, elle sentit alors le vieux moine se relever lui annonçant qu'il veillerait à ce qu'on lui apporte toute la potion nécessaire.

De fait ce breuvage avait été préparé par tous les moines qui avaient tous mister image en tête... Ils y avaient tous concouru se branlant allégrement au-dessus d'un grand bol posait au sol devant eux.

Ils avaient consciencieusement rempli cette écuelle de bois de leur fou-tre qui mélangé à la tisane roborative avait été servie à leur hôte.

Et maintenant était venu l'instant d'apprendre comment obtenir cette eni-vrante potion dont le responsable n'était autre que le paternel Sensei lui-même.

Les yeux vides, elle ne n'avait aucune idée de ce qui se mettait en place devant elle, elle ne voyait pas que le vieux moine si chaleureux avait enlevé sa robe et se tenait mister ventre pansu en avant devant elle.

Elle entendit alors le vieux Sensei la guider de la voix :

-"Ah, mon enfant t'as vraiment été bien avisée de revenir au pays de tes ancêtres! ... Les troubles qui te perturbent en Amérique vont être soigné dans ce temple! .... Maintenant je vais t'offrir une nou-velle ration de cette potion que tu adores, suffisamment pour concourir à ta guérimister... Ouvre la bouche mon enfant... Ouiiiiii... Comme ça..... C'est bien....."

Mais au lieu de sentir le verre presser ses lèvres, une épaisse colonne caoutchouteuse se trouvait entre ses lèvres et le sensei lui intimait de sucer l'épais obélisque si elle voulait guérir.

- "C'est ça... C'est bien mon enfant... Ohhhhhhhhh oui, comme ça! ... "

Il avait posé sa main sur sa nuque la poussant en avant pour l'amener à enfourner une plus grande partie de l'épaisse colonne entre ses lèvres accueillantes.

Sous l'œil impavide des caméras, L'adorable Gwen Nakayama suçait avidement l'épais obélisque pour en extraire le plus de potion possible, mais elle ignorait totalement qu'en fait cette source jaillissait d'entre les cuisses du vieux Sensei.

-"Bienvenue pour ton retour au pays de tes ancêtres mon adorable petite américaine! ... Oh oui prends encore de ce délicieux élixir que j'ai secrété spécialement pour toi, ma petite chérie! ... Oh oui... Ouiiiii... Désormais tu chercheras de tout ton cœur à savourer à nouveau ce breuvage enivrant! ... Oh ouiiiiiiiii mon enfant! ... " Couinait le vieux Sensei attirant mister front contre mister estomac.

-"Ahhhhhhhhhhh .... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ..." grognait-il sa-vourant le savoureux contact de ses lèvres soyeuses sur sa hampe turgescente alors qu'elle le suçait de plus belle.

Cela faisait bien 60 ans qu'il n'avait plus ressenti un tel plaisir! ....

Ayant appris que la jeune américaine sous mister emprise était fiancé à un trou du cul d'américain blanc, il était ravi de punir de façon aussi démo-niaque ses ennemis.

Bien que la jeune asiatique ne soit pas responsable de mister lieu de nais-sance, il pensait que ses grands-parents avaient trahi leur pays en s'exi-lant aux USA, et, de ce fait tous leurs descendants devaient être traités à la même enseigne.

De mister implacable point de vue, cette adorable jeune femme dont les ancêtres étaient japonais ne devait pas subir le même traitement que les autres femmes d'ennemis qu'il avait pliées à sa loi.

-"Ahhh, oui, mon enfant, suce là..... Suce là jusqu'à ce qu'elle te ta-pisse ta jolie petite bouche! ..." haletait Moto-san tout en la baisant frénétiquement en bouche.

Flattant ses longs cheveux noirs soyeux, tout en gonflant mister estomac sur lequel reposait la tête de l'adorable petite hôtesse de l'air, Moto-san regrettait que ce trou du cul d'américain qu'elle devait épouser ne soit pas dans cette pièce à cet instant même pour admirer la juteuse perfor-mance de sa jeune fiancée.

Tout en lui baisant mister adorable petite bouche, il méditait :

-"Hummm... eut-être te ferai-je parvenir un cadeau spécial pour le jour de ton mariage, une cassette montrant à quel point elle aime sucer les bites d'hommes âgés! ..."

-"Ohhhhh... Ohhhh oui... Suce moi encore... Allez ma petite chérie! ... Cela concourra à punir tes grands-parents de leurs méfaits! ... Emmenant tes parents aux USA pour t'y faire naître! ..." haletait Moto-san grivoisement.

-"Oh oui... Oui... Tu as eu bien raimister de revenir au village de tes ancêtres la traîtresse conduite de tes grands-parents en sera peut-être ainsi minimisée! ...

Et Sensei-Moto t'aidera à faire absoudre ta famille de mister fourbe comportement..." Il pantelait maintenant de plus en pus accélérant le rythme de ses coups de boutoir.

-- "Ahhhhhh... Ahhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Avale tout... Absous ta fa-mille de ses crimes infamants! ..." grogna-t-il d'une voix sourde tout en projetant mister foutre crémeux au fin fond de sa gorge.

Bien plus tard, alors qu'elle sortait quelques instants de mister état de sidération tout lui sembla brumeux comme si elle évoluait au cœur d'un rêve.

On lui donna de suite un bol de thé fumant qu'elle sirota séance tenante et tout revint dans la norme apaisée.

Son rêve s'apparentait à un cauchemar, elle était allongée sur un mate-las, toujours vêtue de mister uniforme d'hôtesse tous les moines se tenant entièrement nus, autour de la couche et la matant yeux écarquillés comme des soucoupes, leurs visages affichant des sourires bestiaux.

La voix familière, apaisante du vieux sensei lui disait de s'allonger sur le dos et d'adopter une position confortable, pour aider ses amis moines à la préparer, Gwen sentait de nombreuses mains l'aider à se positionner confortablement lui enlevant tout d'abord ses chaussures, puis ses vê-tements.

Dans mister subconscient, la paternelle voix du sensei la guidait et la conseillait, lui disant qu'elle était une femme, et que le rôle des femmes sur cette terre était de donner du plaisir aux hommes, à tous les hommes

quels qu'ils soient.

-"Oh, oui... C'est ainsi que tu pourras plaire aux hommes mon en-fant! ..." l'entendit-elle la complimenter alors que d'ignobles grognements retentissaient dans en arrière plan accompagnant le flot sirupeux qui lui emplissait à nouveau la bouche, mais cette fois il provenait d'une colonne légèrement plus mince.

Alors que la doucereuse potion s'écoulait dans sa gorge, le vieux moins continuait à l'encourager :

-"Oui, oui mon enfant... Comme ça, enroule ta langue autour comme ça et tu pourras obtenir encore plus de ce délicieux élixir! ..."

Elle donna une chiquenaude de la pointe de la langue sur la nouvelle tige proposée qui se mit à vibrer, elle comprit alors qu'elle ne tarderait pas à recevoir de nouvelles rasades de cette potion si goûteuse.

Le sensei donnait des conseils avisés à Gwen : elle ne devrait pas faire part de mister horrible épreuve à Dwight, elle pourrait ainsi épouser l'homme qu'elle aimait... Et elle aimerait tous les autres hommes! ...

chrislebo

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#353
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-"Ne te tracasse pas au sujet de l'éventuel bébé fruit de ton viol par cet ignoble noir, nous prendrons soin de lui pour toi! .... Fais l'amour avec ton prince charmant dès ton retour, il croira ainsi que c'est lui le père de ton enfant si tu venais à être enceinte! ...Nous t'aiderons tous le temps de ton séjour, nous t'aiderons à te laver des souillures que cet infâme bâtard t'a gratifiée... On les remplacera par une huile crémeuse qui te guérira! ...." lui disait-il profitant du fait que la drogue la plaçait sous mister emprise magictique.

Profitant de mister état de sidération, le pervers moine implantait de viles suggestions dans mister cerveau, lui affirmant que ces concepts étaient naturels et sains et qu'elle devrait agir en fonction de ses impulsions lors-que l'heure viendrait de les mettre en oeuvre.

Ces idées auraient parus méprisables, avilissantes, si Gwen n'avaient pas été sous l'emprise magictique du vieux moine qui les implantait profondément dans mister cerveau, elles étaient si prenantes qu'elle les appliquerait dès mister retour aux USA.

- C'est ça oui mon enfant... Tu feras énormément plaisir à monsieur Connors... " ajoutait-il

Puis après qu'elle ait répondu à d'autres questions, il interrogea Gwen, toujours sous l'emprise de la drogue :

-"N'aimerais-tu pas qu'il ait du plaisir? ...."

-"Ne voudrais-tu pas le rendre heureux mon enfant? ... Je suis sure qu'il rêve de te déshabiller et de te faire l'amour! .... Tu réaliserais ses rêves en partageant mister lit! ...Ne voudrais-tu pas plaire à cet homme en te donnant à lui? ...."

-"Oui.. Oh oui, je ferai tout pour lui faire plaisir... " répondait Gwen aux questions du vieux sensei.

-"C'est bien, très bien mon enfant... Les hommes adorent voir les jeunes femmes leur avouer à quel point elles ont envie qu'ils leur fassent l'amour, et c'est ce que tu devras leur dire une fois de re-tour aux USA! ...."

-"Et maintenant dis-moi, quel âge a-t-il? ... Quel âge a monsieur Connors mon enfant? ...

-"65 ans, le père de Dwight a 65 ans! .."

-"Et quel âge à mister jeune frère? ... Lui aussi doit profiter de tes charmes! ... Un adolescent m'as-tu dit... Quel âge a-t-il donc? ..."

-"Tim a 16 ans..." répondit-elle d'une voix atone.

-"Ah oui, j'ai tant entendu parler de ces vigoureux jeunes américains... Je suis presque sûr que le jeune Tim n'aimerait rien de plus que se faire une aussi ravissante jeune femme que toi! .... D'autant plus s'il pouvait goûter à tes charmes avant que tu n'épouses mister grand-frère... hé, hé, hé..."

Tous les moine du temple de Zuten étaient réunis pour l'aider à surmon-ter mister épreuve, ils voulaient qu'elles se sentent à nouveau la jeune femme insouciante et gaie qu'elle était auparavant. Gwen ne s'était ja-mais sentie aussi relaxée, aussi apaisée

-« Nous sommes ici pour te laver de toutes les souillures de ton ignoble viol ma chère enfant... Pour agir efficacement, nous de-vons toucher chaque parcelle de ton corps que cet ignoble individu a touché et souillé... Ceci fait, ton corps sera lavé de toutes flétris-sures..." l'avisa-t-il.

Gwen était anxieuse de se voir totalement lavée de ces salissures, espé-rant qu'ainsi les conséquences de cet horrible viol seraient totalement effacées.

Allongée sur le dos, Gwen écoutait attentivement le vieux moine penché sur elle qui faisait de mister mieux pour la débarrasser de ses obsessions.

Elle fit de mister mieux lorsqu'il lui demanda :

-"Ecarte tes cuisses en grand mon enfant... Je dois atteindre tous les endroits qu'il a touché! ... Etait-ce ici? ... T'a-t-il touché à cet endroit? ... " l'interrogeait-il sur un ton lénifiant.

-"Oh oui... Oui... " haletait-elle pour toute réponse.

-"S'est-il enfoncé profondément? ... Plus profond encore? ...." s'enquérait-il.

-"Oh oui... Plus profond... Vous devez vous enfoncer plus... Beau-coup plus....." pantelait-elle, s'arquant sur les talons pour qu'il puisse s'enfoncer entièrement en elle.
chrislebo

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Un liquide chaud déversé au fin fond de mister utérus l'aida à oublier ses souillures, cependant le vieux moine n'avait pas réussi à s'enfoncer suffisamment dans mister intimité pour la délivrer totalement du mal qui la rongeait.

Mais il la rassura, un autre moie du temple de Zuten allait le remplacer, il ferait de mister mieux pour s'enfoncer suffisamment dans ses profondeurs intimes.

-"Oh oui... Plus profond... Vous devez vous enfoncer plus... Beau-coup pluuuuuuuussssssss....." larmoyait-elle alors qu'un autre des secourables moines cherchait désespérément à la délivrer de mister mal.

Quelques instants plus tard, il s'excusa de ne pas être parvenu à la déli-vrer totalement de ses angoisses, mais déjà un autre moine était prêt à faire de mister mieux pour la curer.

-"Viens mon enfant, assied toi et peut-être de cette façon pourrons-nous nous atteindre la profondeur à laquelle ce vil agresseur s'est enfoncé dans ta chatoune.

-"C'est ça, et maintenant relève ta seconde jambe... Et maintenant glisse vers le bas... " la guidait le vieux moine.

Se mouvant de bas en haut Gwen faisait de mister mieux pour accomplir ce qu'elle devait faire, mais il manquait encore quelques centimètres.

Elle entendit alors un moine susurrer :

-"Ne vous tracassez pas mon enfant, tout n'est pas perdu! ... Le maître Tomohara dispose de l'outil adéquat! ..."

Quelques instant plus tard, Gwen hurlait :

-"Oui... Oh oui... Oui... C'est ça... Exactement comme ça... Aussi profond... Oh mon Dieuuuuuuuuuuu..."

Maître Tomohara extirpa le long godemiché long de 30 cm qui avait fait orgasmer si intensément Gwen, et comme elle était toujours assise bou-che entrouverte, il en profita pour glisser sa grosse bite entre ses lèvres, i sourit extasié alors que qu'avec une certaine habileté elle suçait sa bite en extrayant le suc qu'elle convoitait tant maintenant.

« Ohhh oui... Oui... avale tout ma ravissante enfant! ..." couinait-il rete-nant fermement sa tête en ligne tout en se vidant les couilles au fin fond de sa gorge tapissée de foutre.

Le lendemain, de retour à mister, hôtel, Gwen cherchait à se remémorer les détails de sa visite au temple, mais tout semblait si confus, elle ne se rappelait clairement que du paternel vieux moine que tous appelaient Sensei Moto, il lui avait servi une boismister ressemblant à du thé puis l'avaient écoutée cherchant à trouver l'élixir qui la libérerait de ses cau-chemars.

Sachant que le terme Sensei désignait un "mentor" et que tous les autres moines s'inclinaient devant lui, elle en conclut qu'il devait s'agir d'un "grand maître", en tout cas il l'avait très bien traitée, nettoyant mister esprit des miasmes qui l'encombraient.

Elle se souvenait qu'il l'avait présentée comme une enfant d'Amérique qui revenait aux pays de ses ancêtres, à de nombreux moines qui se courbaient devant lui en signe de respect.

Ajoutant pour chacun des moines :

-"Cette enfant a besoin que l'on prie pour elle afin de la guérir de mister stress, nous devons travailler ensemble à sa guérimister! ..."

Le mélange spécial l'avait guérie, la débarrassant de ses réminiscences moroses portant sur mister ignoble viol.

Se pourléchant les lèvres, Gwen s'émerveillait :

-"Quelle était donc cet étrange élixir si efficace! ... Il semblait chaud et apaisant lorsqu'il coulait dans ma gorge, et je le sens maintenant gargouiller dans mon estomac..."

Fermant les yeux, Gwen se rappelait vaguement avoir tendu la main pour prendre le verre d'élixir qu'on lui présentait sur un plateau.

Puis elle se rappelait avoir sucé une burette épaisse, d'avoir du travailler de la langue et de ses lèvres pour enfin récolter le fruit de ses efforts une chaude crème épaisse et onctueuse.

Lorsqu'elle les rencontra pour dîner le soir même, ses collègues commentèrent sa nouvelle attitude, elle était beaucoup plus vivante et enjouée, Gwen leur rapporta sa fantastique visite au temple de Zuten.

Elle leur parla de la tasse de thé spécial et chaud que les moines lui avaient offert apaisant ainsi ses angoisses.

Elle les avisa que le Sensei Moto les invitaient toutes à visiter le temple leur de leur prochaine escale, elle serait les hôtes.

Elle leur relata, extasiée, sa formidable expérience comment elle s'était avérée si relaxante, dissipant ses idées noires, chacune de ses collègues lui demandèrent instamment de les amener visiter le temple à leur prochaine escale au Japon.

Elles consultèrent leur programme de vol du mois à venir Gwen put ainsi informer le Sensei Moto de la date qui conviendrait.

Toute surprise, elle avait noté que le temple de Zuten avait des connexions par Internet avec le monde extérieur, le paternel Sensei lui avait donné l'adresse de leur boite aux lettres pour qu'elle puisse rester en relation suivie avec le temple et ses occupants.

Une hôtesse les prit toutes en photo, elle pourrait ainsi envoyer cette photo de groupe que le Sensei lui avait demandé pour que les moines puissent prier et préparer leur venue.

Quelques jours plus tard, ayant besoin de se servir de mister ordinateur, Moto-san s'assit à mister bureau et vit qu'il avait un mail émanant de l'adorable jeune femme qui les avait visité la semaine précédente.

Il sourit en comprenant que ses manigances avaient réussi, même très éloignée, elle restait sous mister emprise, il s'agissait d'une photo d'elle en-tourée de ses collègues qui devaient venir visiter le temple lors de leur prochaine escale.

Il imprima une copie de la photo et la passa à ses subalternes, riant de leurs têtes lorsqu'ils les avait réunis pour leur montrer leurs futures victimes, ils riaient de tout cœur savourant le déjà de suborner ces ravissantes jeunes femmes.

Lisant le mail de mademoiselle Nakayama, Moto-san les informa que la ravissante américaine blonde juste à coté de Gwen s'appelait Amber Benton, elle avait 28 ans et était mère de deux enfants de 2 ans, la somptueuse beauté aux cheveux châtains clairs s'appelait Megan Ro-gers, elle avait 27 ans, la petite rouquine s'appelait Nicole Sherman elle s'était mariée le mois dernier.

Les moines applaudissaient ces nouvelles, gloussant et détaillant la ma-nière dont ils s'y prendraient pour violer ces insouciantes jeunes fem-mes, ils faisaient déjà leur choix.

Une fois qu'elles seraient sous l'emprise de la puissante drogue, Sensei Moto les renverrait aux USA la tête farcie de suggestions magictiques qui changeraient radicalement leur mode de vie et leur comportement sexuel, tout comme Gwen.

chrislebo

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#355
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Tenant à suivre l'évolution du monde environnant et de ses actions en cours, Moto-san alluma mister ordinateur et vit tout de suite qu'il avait un mail de Gwen Nakayama, la somptueuse jeune femme qui avait visité le temple dernièrement, en attente dans sa boite aux lettres.

Il sourit largement en constatant qu'elle avait mené à bien la tâche qu'il lui avait confiée. Elle devait lui envoyer une photo de l'équipage, dont elle faisait partie, qui devait visiter le temple lors de leur prochaine escale au japon.

Moto-san passa la copie de cette photo qu'il venait d'imprimer à ses subalternes, riant de les voir immédiatement s'agglutiner autour de lui gloussant, effectuant des gestes aussi impudiques que salaces, riant à gorge déployée, l'applaudissant.

Moto-san leur lut alors le texte accompagnant les photos :

- "La ravissante américaine blonde qui se tient juste à coté d'elle s'appelle Amber Benton, elle a 29 ans et deux enfants! ...... L'autre blanche, la brune s'appelle Megan Rogers, elle a 27 ans..... La rouquine a 25 ans, elle s'appelle Nicole Sherman elle doit se marier le mois prochain.....

Ses disciples rirent encore plus fort, ils gloussaient et commentaient de façon fort salace la manière dont ils comptaient user des charmes de leurs futures visiteuses.

Moto-san regardait l'image de la flamboyante rouquine qui faisait grimper sa bite dans sa robe de moine, il utilisa mister statut de maître le plus âgé pour déclarer qu'il se réservait la ravissante Nicole Sherman qu'il serait le premier à posséder.

Moto-san sourit à la pensée de ces 4 ravissantes étrangères visitant leur monastère, il sourit en pensant à quel point c'était différent des ces jours passés lorsque survivre après la guerre était la principale priorité tout en profitant des opportunités de violer les plus belles femmes qu'ils capturaient.

Il se rappelait les nombreuses fois où après avoir conquis un village ou une ville, il avait sélectionné la plus belle femelle pour mister usage permisternel.

Alors que ses hommes tenaient la somptueuse jeune femme en face des habitants, si elle était mariée, l'époux était assis ligoté au premier plan pour mieux assister au sauvage viol de sa femme! .....

Il était alors connu sous le nom du colonel Motoyama, il devait sa réputation d'immonde prédateur au fait que pour remercier le mari de s'être montré aussi hospitalier en lui prêtant sa femme, et pour être certain que nulles représailles pourraient saluer mister forfait, il exécutait l'époux sur-le-champ.

Trois semaines plus tard, assise dans la loge du permisternel, Megan Rogers, tout en discutant avec ses collègues de vol, pensait que c'était drôlement excitant d'avoir l'opportunité de passer deux jours entiers au temple de Zuten qui était implanté dans le village des ancêtres de Gwen Nakayama.

Megan écoutait Gwen relater les détails de sa visite lors du dernier voyage et cette impression que mister corps et mister âme étaient sortis revigoré de cette visite.

Et ce thé chaud si spécial qu'on lui avait servi, on aurait dit un élixir aussi sirupeux qu'une liqueur, il l'avait calmée et décontractée la coupant de ce monde angoissant en un instant, lui révélait mister amie.

Vraiment, ce thé chaud s'était avéré très calmant, il avait aidé Gwen à surmonter ses inhibitions, la faisant planer comme dans les nuages.

Et de fait ce thé était le résultat d'un mélange très spécial : des herbes puissantes qui étaient cultivées sur les pentes du mont Zuten par les moines, un thé qui avait la faculté non seulement d'apaiser les âmes tourmentées, mais aussi de les rendre perméable aux suggestions, même les plus salaces, qu'on pouvait implanter dans le tréfonds de l'esprit des consommateurs.

Tandis qu'elle sirotait mister bienfaisant thé, Gwen avait lentement ouvert mister esprit au vieux moine qui semblait si bienveillant et comprenait si bien les problèmes enracinés dans mister esprit.

Puis on lui avait servi un cocktail d'un breuvage que le Sensei Moto avait qualifié de curatif.

Gwen se rappelait avoir siroté mister verre, la potion chaude et apaisante glissant sur sa langue, puis elle avait incliné le verre pour le vider cette liqueur au goût salé.

Un moment plus tard, l'enivrante liqueur lui réchauffait l'estomac.

Pourtant Gwen ne se rappelait pas, car cela avait été soigneusement effacé de mister esprit par des suggestions magictiques que le vieux moine avait implanté dans mister cerveau plus tard c'est qu'elle s'était pourléchée les lèvres imprégnées de la potion salée pour profiter au maximum de cette délicieuse décoction que lui fournissait à nouveau le vieux moine.

A mister insu cet élixir avait été produit par les moines qui chantaient et priaient avec mister image en tête...... Produit par chacun d'eux alors qu'ils se branlaient frénétiquement pour se vider les couilles dans le grand bol placé devant eux sur le sol.

Penchée en avant, les yeux fermés, Megan accordait à mister corps quelques secondes de relaxation.

Son mari, Jim étirait très stressé depuis qu'il avait sous sa responsabilité un projet technique important, il n'avait pas été capable de venir au lit assez tôt lui faire l'amour cette dernière nuit, alors que cette nuit était la plus favorable pour mettre en chantier la petite famille qu'ils avaient envisagés de constituer.

Le stress de mister mari couplée à mister incapacité de se coucher dans les temps avait transféré une partie de mister inquiétude sur Megan alors qu'elle avouait à Gwen :

- "Je suis ravie qu'on nous ait accordé 2 jours d'escale! ..... Et j'espère bien profiter à mon tour de ce délicieux thé que tu mentionnes comme extrêmement relaxant! ...."

A 27 ans, Elle était mariée à Jim depuis tout juste 1 an, c'était la période de temps qu'ils s'étaient accordés avant de fond une famille.

Elle avait rencontré Jim lors de sa deuxième année de fac, ils étaient immédiatement tombés amoureux, 6 mois plus tard ils se fiançaient s'engagent à se marier lorsqu'ils seraient tous deux diplômés.

De ce fait l avait été très dur de ne pas coucher ensemble, de tout juste permettre à mister fiancé des caresses intimes mineures, mais Megan avait décidé de demeurer chaste jusqu'à la date de leur nuit de noce et Jim Rogers voulait être le seul homme à posséder mister corps.

Gwen avait dit à Megan et autres filles de s'habiller comme d'ordinaire pour une excursion à la montagne, jean et chaudes chemises seraient le mieux, elles auraient l'occasion de se changer et de revêtir une tenue plus élégante dans leurs chambres.

Vu de l'extérieur le monastère semblait un vestige artistique vieux de quelques siècles.

Mais, à peine entrée chaque fille put contempler la fastueuse décoration de l'intérieur avec ces magnifiques tableaux pendus aux murs et ces meubles fleurant l'ancien.

Les pièces que leur avaient fait visiter ces moines si accueillants, une chambre particulière pour chacune d'entre elles auraient rendu honteux bien des hôtels de renom.

Megan était fortement impressionnée, comme elle pensait qu'elles l'étaient toutes, par la taille phénoménale du grand lit, il y avait même des chocolateries sur l'oreiller surmontant le menu du souper.

- "Je vais enfiler une tenue élégante comme me l'a suggéré Gwen, le port du jean serait sûrement inapproprié! ..." pensa Megan émerveillée.

Comme elles disposaient d'une heure avant de redescendre, Megan décida de prendre une douche bien chaude question de se relaxer après ce long vol et leur randonnée dans la montagne.

Elle commença par déballer mister baise-en -ville pour suspendre les vêtements dans la penderie, puis elle ôta souplement mister jean et enfin mister pull-over avant de se glisser dans la salle de bain.

Ses sous-vêtements enlevés elle plongea sous la douche.

Fouettée par les embruns de la douche chaude, Megan pensait à mister tendre époux et souhaitait que le fait qu'il n'ait pu la satisfaire la nuit précédente n'avait pas accentué mister stress.

-"Bon, eh bien je pense que je n'aurai plus qu'à recommencer le mois prochain lorsque je serai réceptive! ....." se dit-elle en mister fort intérieur.

A l'insu de Megan, au même instant il y avait un bon nombre de moines prêt à offrir leurs bons services pour lui donner l'amour dont elle semblait frustrée, et plus encore, ils étaient prêts à l'engrosser! .....

Quarante moines excités comme des poux la regardaient se doucher sur un écran de télé deux niveaux plus bas, ils avaient tous la main sur leurs bites et se branlaient frénétiquement.

-"Ahhh quelle ravissante jeune américaine! .... Elle est si belle! ..... Et elle a vraiment de jolies petites brioches...... Oh que j'aimerai me frotter le visage entre ses adorables miches! ..... Puis, je lui collerai ma saucisse entre ses petites brioches! ...... He, he, he....."
chrislebo

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#356
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Tanaka-san se réjouissait d'entendre ses frères délirer ainsi.

-"Mmmmm..... Moi je préférerais sentir ses lèvres pulpeuses se refermer sur ma saucisse! ..... J'y prendrai sûrement grand plaisir! .... Et je lui fournirai toute la moutarde nécessaire pour la déguster! .... ha, ha, ha, ha! ....." ajouta Hamada-san hilare.

-"Elle est plutôt maigrichonne mais on devrait pouvoir la faire grossir en lui faisant avaler notre puissante protéine! .... Depuis que mes enfants mistert morts pendant la guerre sous les bombes de ces damnés américains, rien ne peut plus me réjouir que d'engrosser de jeunes américaines qui repartiront dans leur pays avec un polichinelle jaune dans le tiroir! ....." ajouta Matsuo-san encore plein de rancœur.

Nicole Sherman, du haut de ses 25 ans n'aspirait qu'à deux jours de paix et de relaxation depuis sa dernière escale au japon 1 mois plus tôt.

Ils avaient terminé de mettre au point les détails du mariage avant ce vol et elle avait besoin d'un peu de temps pour évacuer tout ce stress.

Tout aussi impressionnée que Megan par l'opulence de la décoration intérieure du temple, elle avait aussi programmé de prendre une douche pour se rafraîchir avant d'enfiler une élégante tenue pour souper.

Nicole déboutonna le devant de mister pull rouge cassis et 'enleva, puis elle dégrafa sa braguette de jean pour le délice des nombreux yeux invisibles qui l'espionnaient par le biais de caméras cachées.

-"Regardez... Regardez... " s'époumonait un des moines alors que Nicole roulait sa petite culotte sur ses cuisses révélant sa toimister rousse à tous les spectateurs invisibles.

-"Wouaou... C'est vraiment un cadeau que nous offre le grand Bouddha! .... Ce que je vais aimer enfouir mon visage dans sa toimister rousse! ......" s'exclama un des autres males en haletant.

Comme l'adorable rouquine enlevait mister jean puis tendait le bras pour dégrafer mister soutien-gorge dans mister dos, quatre des moines de l'assistance se précipitèrent au premier rang ou était posé sur le sol un grand bol de bois, il était disposé là pour que les moines y crachent leur trop plein de sève.

-"Ahhhhh..... Ahhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhh..... lorsque mon tour viendra, j'envelopperais ma bite dans ses mèches rousse et je lui offrirai un shampoing protéiné en direct de mes burnes! ......" s'exclamait un autre alors qu'il se vidait les couilles en compagnie des quatre autres dans le bol préparé à cet effet.

La ravissante Amber Benton, du haut de ses 29 ans, était heureusement mariée et mère de deux charmants enfants elle détestait se tenir éloignée d'eux pour ces deux jours.

Mais elle voulait rester dans cet équipage où elle n'avait que des amies, elle avait donc décidé de se joindre à ses collègues pour visiter le monastère centenaire, plutôt que de risquer d'être changée de vol.

Amber était toute aussi impressionnée que ses compagnes par le luxe de ce temple, l'intérieur était si différent, si moderne au regard de l'extérieur, c'était tellement différent de tout ce qu'elle avait pu imaginer.

S'étant déshabillée pour prendre une douche, elle ressentit un sentiment étrange, comme si on l'observait se doucher.

Elle frismisterna tout en repoussant cette sensation, puis secoua la tête en pensant au grand nombre d'endroit où elle avait déjà eu cette impression.

C'est un monastère! .... Ces pensées mistert donc idiotes! ...... Il n'y a permisterne d'autres ici que des moines en méditation et mes copines.....

Elle avait gardé une légère cicatrice sur le ventre, due à la césarienne qu'elle avait subi pour donner naissance à mistere enfant, cette cicatrice montrait qu'elle avait déjà enfanté.

Avec mister alliance et sa bague de fiançailles aux doigts, le fait qu'elle était mariée et mère d'un enfant, les moines qui l'épiaient étaient tous impatient de se retrouver au lit avec elle.

-"On la renverra à mister cornard de mari blanc avec un bébé jaune dans le ventre! ......"

Les moines pouvaient suivre leurs invitées sur 4 écrans différents, ils pouvaient ainsi assister à leurs effeuillages, à leurs douches, ils se branlaient en les contemplant et remplissaient petit à petit le bol de bois de leur sperme crémeux.

Elles pourraient toutes 4 savourer un délicieux cocktail des spermes mélangés de leurs admirateurs.

Il leur serait servi après dîner lorsqu'elles auraient gagné une pièce spéciale à l'étage du temple, une pièce qui leur avait été décrite comme fleurant l'encens pour les relaxer, en réalité, il s'agissait surtout de fumées d'opium chargées de les désinhiber, c'était d'ailleurs là qu'ils se réunissaient pour fumer l'opium.

Elles commencèrent par un fastueux dîner relevé de puissantes épices au goût savoureux, qui en fait créaient une forte excitation sexuelle chez qui les consommait, arrosé du thé fumant dont Gwen les avait longuement entretenues.

Moto-san, le grand maître de ce ramassis de pervers, voulait entraîner ces somptueuses beautés sur le chemin de la dépravation.

Ses assistants prièrent les 4 charmantes jeunes femmes de revêtir un kimono au-dessus de leurs habits, il prétextait de devoir les bénir dans ces costumes à leur entrée dans la vaste fumerie de l'étage, cette injonction lui permettait de mesurer l'effet des drogues qu'elles avaient ingéré et inhalé.

Chacune avait respiré profondément la douce arôme de l'opium comme le leur avait enjoint le grand-maître, elles avaient toutes les yeux fermés comme le leur avait suggéré magictique ment le grand-maître des lieux à leur entrée dans cette salle où devait se consommer leur dégradation.

Dès qu'elles furent toutes sous l'influence des fumées d'opium couplées à l'effet des herbes ingérées et des suggestions magictiques implantées dans leur cerveau par le vieux moine si accueillant, un plateau avec 4 verres à cocktail leur fut présenté.

Comme elles sirotaient toutes 4 la chaude et crémeuse potion, elles se pourléchèrent toutes les lèvres pour mieux savourer mister goût enivrant, elle vidèrent leurs verres jusqu'à la dernière goutte avant de reposer les verres vides sur le plateau.

-"Respirez profondément mes jolies....." elles écoutaient toutes la voix enjôleuse de Moto-san, elles s'imprégnaient toutes de ses suggestions magictiques au plus profond de leur inconscient.

- "Représentez-vous votre prince charmant, l'homme que vous aimez tendrement, celui dont vous voulez porter les enfants! ...." leur intimait-il de façon extrêmement persuasive.

A leur insu, trois moines vêtus de robes noires se postaient discrètement dans leur dos, Moto-san qui avait choisi de demeurer dans le dos de l'exquise rouquine poursuivait maintenant :

-"Et maintenant imaginez qu'il vous caresse...... Qu'il vous cajole..... Qu'il vous câline...... Jamais vous ne vous êtes senties aussi bien! ....."

Les arômes hallucinatoires dans la pièce avaient fortement excité les sens des 4 ravissantes jeunes femmes, elles tremblaient toutes d'excitation sus les caresses des mains cajoleuses posées sur leurs épaules qui commençaient à les masser les amenant peu à peu à se détendre.

Alors qu'elles commençaient à se relaxer leurs kimonos glissèrent de leurs épaules les massages s'exerçaient maintenant sur leurs tendres chairs dénudées des épaules alors que leur kimono ne reposait plus que sur l'angle de leurs épaules.

Voilà que maintenant que ces viriles mains qui les caressaient si voluptueusement descendaient le long de leurs bras, traçant leurs chemins jusqu'à leurs doigts, renforçant encore leur bien-être.

Chacune d'entre elles était maintenant pantelante, en besoin d'apaisements sexuels alors que les mains enivrantes de leurs masseurs quittaient maintenant leurs bras pour s'intéresser à leurs nichons au travers de leurs vêtements.

Elles défaillaient en s'étirant en arrière visiblement le dur et puissant objet se pressant dans leur cou risquait de leur faire péter les plombs.

-"Redressez-vous mes chéries et caressez vos amours! ..... Vous savez très bien ce qu'ils aiment! ......" suggérait la voix magictique, amenant chacune des beautés à tendre la main dans les ouvertures des robes dans leur dos, elles empoignèrent alors les vibrantes colonnes de chair qui se mirent à pulser et encore s'épandre entre leurs poings serrés.

-"Et maintenant mes petites chéries, l'homme que vous aimez va vous offrir une nouvelle dose de cet élixir que vous avez tant apprécié il y a peu! ..... Mais cette fois il ne veut pas vous l'offrir dans un verre! ..... Et oui, tournez -vous et constatez à quel point cet élixir est recueilli à la source... " continuait la voix persuasive.

Les 4 ravissantes hôtesses se pourléchaient les lèvres à l'idée de goûter à nouveau à cette délicieuse potion, elles se tournèrent toutes vers leurs "hommes" pour recueillir ce délectable nectar.

Seule l'adorable Gwen Nakayama avait été initiée dans l'art délicat de la fellation amoureuse, c'était une des choses qu'elle avait apprise lors de sa visite précédente au monastère, chacune des trois autres beautés empoigna instinctivement le tube charnu qui devait les contenter, et se mit à le caresser machinalement.

Les trois moines qui les "assistaient" s'avéraient être les aînés du groupe, les seuls qui avaient fait la guerre sous les ordres de leur Sensei, ils avaient tous 4 dû se cacher dans le monastère dès les derniers jours du conflit.

Motor-san, en tant que chef de la congrégation pouvait choisir la ravissante proie qu'il désirait consommer toute chaude.

Il avait éliminé Gwen puisqu'il avait déjà amplement profité de ses charmes le mois dernier.

Il avait aussi éliminé Nicole Sherman et Megan Rogers, non pas qu'ils les ne trouvaient pas assez belles, mais parce que Nicole était rousse et Megan Brune.

C'était surtout parce que Moto-san n'avait jamais vu de blondes aussi séduisantes qu'Amber Benton, et c'est pourquoi il voulait qu'elle soit la première à égayer sa nuit.

Moto-san avait fait sa sélection en se basant sur mister histoire permisternelle, il avait choisi de goûter aux charmes dune délicieuse rouquine puis d'une piquante brunette américaine.

Cela s'était passé bien des années plus tôt, mais ces événements restaient frais dans sa mémoire, lorsque Moto-san s'était réservé l'usage d'une somptueuse rouquine et d'une adorable brunette toutes deux Américaines et ce à différentes occasions

Elles étaient toutes deux jeunes, tout comme les adorables proies qui se tenaient dans la fumerie d'opium,

et Moto-san avait clamé qu'elles étaient butin de guerre.

Elles étaient toutes deux infirmières, elles travaillaient dans les lignes arrières du front, et avaient été surprises par un violent et rapide assaut qui avait brisé les lignes ennemies.

Après mure réflexion, la rouquine avait la première à être capturée alors qu'ils opéraient derrière les lignes ennemies.

Moto-san repensait souvent à cette mignonne infirmière, il se demandait si elle avait survécu à la guerre et même si elle avait finalement épousé le connard qui lui avait offert sa bague de fiançailles
chrislebo

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#357
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Même alors que ses homes la plaquaient au sol, elle s'était débattue en cherchant à ne pas être déshonorée.

Il adorait justement se faire ces jeunes Américaines qui se débattaient, il adorait les obliger à écarter leurs cuisses blanches comme de l'ivoire et encore plus les cris de désespoir qu'elles poussaient quand il ravissait leur virginité.

Il se rappelait la dernière qu'il l'avait vu en vie, deux jours plus tard dan su trou d'obus, elle était allongée sur un soldat qui lui bourrait sa bite dans le con alors qu'elle en suçait un second, un troisième enfouissant sa grosse pine dans mister trou du cul.

Lors d'une autre attaque sur une autre île, le capitaine Moto à la tête de ses troupes avait transpercé les lignes ennemies, et avait capturé une adorable infirmière brune qui était mariée à en croire l'alliance qu'elle portait au à l'annulaire.

Cette adorable brunette avait servi de jouet à lui et à ses hommes à leur grand contentement, travaillant sur le mental des adversaires ils dressaient des embuscades pour les audacieux qui tentaient de la sauver d'un sort pire que la mort.

Se servant d'un haut-parleur dissimulé dans la jungle, le capitaine Moto provoquait les powers adverses :

-"Hey, Gi... Vous devriez mieux protéger vos arrières! .... Et... Vos adorables infirmières qui prennent si bien soin de vous lorsque vous êtes blessés! ..... On vient tout juste d'en capturer une! ..... Ecoutez-vous même! ....."

-"Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee! ...." hurlait-elle alors que Moto-san bourrait sa grosse bite dans mister trou du cul vierge.

Dans la sombre fumerie d'opium, des bruits de succion avides s'entendaient couplés à des grommellements :

-"Ahhhhhhhhhhhhhhhhh! ...."

Les plus vieux de ces bâtards de prêtres offraient à leurs ravissantes invitées cet enivrant élixir qu'elles pompaient

à la source.

Une fois que chacun des vieux moines fut se soit vidé les couilles, il les aidèrent à se relever leur enjoignant :

-"Allez mes chéries, la nuit vient seulement de commencer! ....."

Franchissant des rideaux noirs, chacune fut guidée dans un coin de la pièce où se trouvait un large matelas, mais avant tout elles durent s'agenouiller sur un coussin bien mou devant le matelas.

Dans chaque coin de la pièce, après avoir été le témoin des premières pipes octroyées aux aînés, dix moines à la queue leu-leu attendaient leur tour pour bénéficier d'un plaisir similaire.

Les moines pervers s'étaient vidés les couilles chacun à leur tour dans la bouche avide des somptueuses invitées américaines et il était évident que ces femelles appartenant à l'ennemi héréditaire ne parvenaient pas à se rassasier de cet élixir un peu salé qu'elles tétaient à la source.

Maintenant chacune d'entre elles avaient compris que plus elles se montraient câlines, cajoleuses, tendres plus vite elles obtenaient leurs doses de potion magique.

Lorsque tous les moines eurent assouvi leur lubricité dans la bouche de ces charmantes dames le plus âgé des moines se remit en tête de file, c'était le moment de passer aux choses sérieuses, le temps du rut.

Une fois que les aînés auraient étreint leurs jeunes corps, les autres seraient libres d'en disposer à l'exception de leurs anus qui feraient l'objet de l'attention des aînés à l'issue de la première fournée.

L'un des aînés, âgé de 78 ans, Fukuda-san, avait l'honneur de choisir sa proie juste après le Sensei Moto, il avait manifesté l'intention, lorsque le Sensei avait élu la somptueuse blonde, de choisir la piquante rouquine.

Connaissant la signification de la bague de fiançailles qu'elle arborait à l'annulaire il était ravi à la pensée de posséder le corps de cette jeune écervelée avant mister bâtard de futur mari américain

Lors du repas il avait surpris la conversation qu'elle tenait avec sa voisine évoquant sa future cérémonie de mariage à laquelle seraient invitées ses amies de l'équipage.

Il y avait bien longtemps maintenant que la guerre était terminée, une période de sa vie qu'il avait adorée s'était alors refermée, l'époque où il était un officier sadique qui exerçait ses exactions sur les villes et villages conquis par ses troupes.

Il commandait alors une compagnie, mister autorité était bien établie, il pouvait en profiter pour satisfaire ses instincts les plus primitifs, les plus bestiaux, au ravissement des ses troupes en répandant l'horreur dans les lieux conquis.

Il se rappellerait toujours cette expérience si excitante qu'il avait fait un jour qu'ils avaient calmement cerné un village ennemi, ses hommes attendant mister signal pour déclencher l'attaque.

Ils avaient rampés autour du village inconscient du danger pendant toute la nuit pour se mettre en position, puis le lieutenant Fukada avait épié les villageois qui se rassemblaient pour une cérémonie.

A la vue de la ravissante jeune femme dans sa robe de noce approcher précédée d'autres somptueuses jeunes femmes il comprit qu'il s'agissait des préliminaires d'un mariage.

Les yeux rivés sur l'adorable promise, Fukuda souriait à pleines dents, il se demandait s'il devait laisser la cérémonie se dérouler normalement avant de déclencher l'attaque.

Mais sa bite lui conseilla vivement d'attaquer sur le champ et l'instant d'après les villageois étaient soumis sans avoir lutté.

Tenant une baïonnette aiguisée à quelques centimètres du ventre le futur marié ne pouvait que regarder avec horreur, tout comme les autres villageois, les hommes de Fukuda s'emparer de la jeune promise terrifiée.

Il avait alors déchiré sa robe de mariée puis ses sous-vêtements et avait écouté avec ravissement ses hurlements de douleur et de honte alors qu'il la pénétrait sauvagement.

La bite profondément plongée dans la caverne de la beauté hurlante il entendit un de ses hommes s'esclaffer alors qu'il se retirait pour mieux s'enfouir à nouveau :

-"Ahhhhhh..... Un flot de sang! ...... Un flot de sang! ....."

Martelant avec enthousiasme sa succulente proie Fukuda déversa sa semence à gros bouillons dans la grotte de la promise dévirginisée.

Fukuda-san prenait un énorme plaisir en se remémorant cet événement, il la revoyait encore cette ravissante jeune beauté qu'il venait de posséder juste avant que sa cérémonie de mariage ne débute.

Une fois sa braguette refermée, conservant sa bite sanguinolente logée dans mister caleçon pour mieux se rappeler l'adorable vierge qu'il venait de posséder avant ses épousailles lorsqu'ils quitteraient le village, il avait alors ordonné que la cérémonie de mariage se poursuive en bonne et due forme.

La cérémonie terminée, la promise sanglotant et le futur effondré ayant prononcés leurs vœux Fukuda avait ordonné au jeune marié désespéré d'embrasser sa femme.

-"Embrasse-la stupide cornard! ...." hurlait-il, et lorsque que l'infortuné embrassa sa femme sanglotant sur les lèvres, il intervint

-"Pas ce genre de baiser espèce de salopard! ...."

Et devant les dizaines de villageois qui assistaient au spectacle, la jeune épouse fut disposée une fois encore sur le sol, cette fois mister tout nouveau mari fut obligé d'enfouir mister visage entre ses cuisses pour lécher sa foufoune ravagée.

Fukuda avait pris un grand plaisir à presser fermement la tête de l'infortuné jeune époux dans la fente sanguinolente de sa femme, il lui frottait le visage dans ce marais infect en lui intimant :

-"Embrasse la chatte ensanglantée de ta femme! ..... Bouffe le foutre que je lui ai injecté dans la foufoune! .... Régale-toi du cadeau de noce que je vous offre! ....."

Lorsque l'époux atterré put enfin se redresser, horrifié, il comprit que tout le village avait été témoin de soin offense, fou de honte il se lança de lui-même sur les baïonnettes acérées.

Nicole Sherman haletait nerveusement alors qu'elle autorisait mister "fiancé" à descendre la fermeture éclair du dos de sa robe descendant les épaulettes sur ses bras.

-Oh Bart..... Ohhhhhh..... Oh oui, caresse moi! ....." soupirait-elle chavirée par des caresses enivrantes.

Le clips dorsal de mister soutien-gorge dégrafé, on l'allongea sur le matelas, les titillements de ses mamelons dressés la faisaient panteler :

-"Ohhhhhhhhhhhhh..... Ahhhhh... Bart, ohhhhhhhhhhhhh....."
chrislebo

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#358
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Des doigts se posèrent sur la ceinture élastiquée de sa petite culotte de dentelle la roulant sur ses hanches avant de la lui ôter carrément.

Chacun leur tour, les moines pervers savourèrent les flagrances intimes de mister sous-vêtement de soie alors qu'ils se le passaient de main en main, profitant chacun leur tour du parfum intime de leur proie.

Leurs bites s'étaient toutes déployées à nouveau, ils étaient impatients de posséder la succulente rouquine lorsque les appétits luxurieux de Fukada-san seraient satisfaits.

Rassemblés autour de leur Sensei, ils entendirent avec ravissement la jeune femme pleurnicher :

-"Aieeeeeeeeeeeeeeeeee... J'ai mal..... Tu me fais mal Bart! ...... Si mallllllllllllll....."

Ils virent tous leur Sensei planter avec une violence inouïe sa bite dans la beauté éplorée la clouant véritablement sur le lit, une tache sanguinolente s'étala immédiatement sur les draps, Ils étaient maintenant fous du désir de plonger leurs bites dans mister orifice sanglant.

Les gémissements de douleur cessèrent finalement la douleur du dépucelage de la piquante rouquine s'était sans doute estompée, les moines spectateurs se demandaient tous ce que dirait mister fiancé s'il se trouvait là à contempler sa ravissante promise refermant ses cuisses sur le torse de Fukuda-san s'arquant pour absorber plus profondément sa vieille bite active.

Ils se demandaient tous si mister cornard de fiancé voudrait encore de mister corps endommagé, s'il voyait sa somptueuse fiancée se tortiller et miauler sous les assauts de ce moine paillard qui la clouait sur un matelas, un ruisselet sanguinolent s'échappant de sa jeune foufoune déflorée..... Un sang bien rouge! ....

Et chacun d'eux attendait avec impatience mister tour dans la queue, espérant tous lui coller un petit polichinelle jaune dans le ventre.

Dans le coin le plus éloigné, sur la droite, là où ce groupe se dirigerait après avoir copieusement partousé la ravissante rouquine ex-vierge, les moines dirigés par Sensei-Moto avaient entrepris de partouser leur ravissante hôte blonde après l'avoir possédé chacun mister tour en solo.

La somptueuse Amber Benton avait l'impression d'avoir donné naissance à des jumeaux qu'elles nourrissaient maintenant au sein.

Les images du passé défilaient dans sa tête, celles de mister enfant tâtant ses nibards, celles de la bite de mister amoureux mari si épaisse qu'elle distendait sa chatte comme jamais elle ne l'avait fait auparavant.

-"Ohhhhhhhhhhhhhhh..... Owwwww... Ahhhhhhhhhhhh..." pantelait Amber la chatte écartelée par l'intromission de l'énorme bite de mister mari qui semblait vouloir lui faire vivre de nouvelles expériences.

-"Ohhhhhhhhhhhhhhh...... Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhh....." haletait-elle alors que la bite du Sensei-Moto coulissait âprement dans mister trou du cul jusqu'ici vierge, puis elle mugit :

-"Mmmmmmmmmmmm... Mmmmmmmm....." alors qu'un autre moine engouffrait sa bite dans sa bouche asservie, puis ses mains furent posées sur deux mentules frémissants, qu'elle serra machinalement entre ses doigts avant de les branler mécaniquement.

Dans le coin opposé l'adorable Megan Rogers roucoulait :

-"Ohhhhhhh..... Oui, Jim...... Fais-moi l'amour..... Aimes moi... fais-moi un enfant! ...." elle avait refermé bras et jambes sur le dos de mister énergique "amant".

Intoxiquée par les émanations d'opium, Megan s'imaginait que mister tendre mari la baisait vigoureusement alors qu'en fait c'était le chibre d'Hideki-san, un des moines aînés qui coulissait si rudement dans sa chatoune embrasée.

-"Oh oui... Oui... Oui... Vide-toi en moi! ..... Emplis-moi! ..... Ohhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiii... " s'exclamait-elle ravie alors que mister mari lui emplissait la chatte de sa chaude semence.

Megan apprenait très vite les nombreuses façons de plaire à un mari, mais ici elle prenait même plusieurs leçons à la fois.

En dehors de ses lèvres et de mister con, Megan apprit comment faire succomber un homme avec ses doigts et ses mains, et même que les tendres plantes de ses pieds pouvaient amener un homme à jouir, beaucoup hommes aimant poisser les orteils de leurs partenaires de leur foutre.

Elle apprit aussi que de frotter étroitement ses nibards contre le buste d'un homme pouvait le faisait bander rapidement.

Et dès que le vieil Hideki-san ranima sa flamberge, elle apprit comment se servir de mister trou du cul pour satisfaire les appétits lubriques des amateurs.

Dans le dernier coin enfumé, Gwen Nakayama affinait les pratiques qu'elle avait apprises lors de sa dernière visite, toutes les façons de complaire aux plus luxurieux d'un homme aussi sordides soient-elles.

Le maître Motohara haïssait ces descendants de traîtres ancêtres qui avaient gagné les USA après la guerre.

La mignonne hôtesse serrait ses petites mains sur sa queue flacide tandis qu'il l'encourageait :

-"Oh oui ma petite chérie, tu dois payer pour la traîtrise de tes aïeux... Oui, comme ça... Tu apprends vraiment très vite! ..... Et maintenant titille mon méat de la pointe de la langue! ..... C'est ça, nettoie le trou du cul merdique de ton cher Motohara! ....."

Chacune des quatre beautés devait satisfaire les appétits lubriques de deux groupes de 10 moines, jusqu'à trois heures du matin, avant que les festivités de la nuit prennent fin.

Elles furent alors emmenées par un des aînés qui tenaient une bougie en main, gravissant l'escalier qui les ramenait à leurs chambres, alors qu'un autre moine transportait leurs vêtements et leurs kimonos.

Penchée sur la baignoire, jambes grandes ouvertes le vieux moine plongea alors la chandelle dans une jarre emplie d'un onguent fabriqué avec des herbes spéciales.

La chandelle maintenant couverte d'une substance brunâtre, avait alors été plongée dans leurs anus, le moine la faisait alors bien coulisser pour étaler ce baume astringent qui devait resserrer leurs trous du cul et le lendemain il ne resterait plus aucune trace des égarements de la nuit.

Nicole Sherman avait droit à un régime spécial, le pervers Motohara s'était chargé lui, même d'oindre le trou du cul et la chagatte de la jeune femme qu'il avait veillé à être le dernier à sauter pour pouvoir la ramener lui-même dans sa chambre.

Alors les dernières traces de mister dépucelage souillaient ses cuisses, mister vagin nécessitait un traitement spécial pour l'empêcher de constater le vulgar viol dont elle avait été victime entre les mains de ces moines débauchés, Motohara-san souriait de toutes ses dents en enduisant sa foufoune du baume astringent.

Il retira de sa poche un godemiché de 30 centimètres qu'il trempa dans la jarre, puis il le plongea dans les orifices de la jeune beauté penchée sur la baignoire.

Une fois l'onguent bien appliqué, et avant qu'il ne la une douche, Nicole s'occupa encore une fois de la bite de Motohara avec sa bouche et sa langue.

Les cloches misternèrent à 9 heures pile, à l'heure même ou la suggestion magictique leur commandait de se réveiller, chacune des beautés bailla et se descendit dans la chaleur relaxante des premiers rayons de soleil. Totalement ignorante de la nuit de plaisirs sordides qu'elle venait de partager avec les moines débauchés dans la fumerie d'opium, elles se rejoignirent toutes en bas pour prendre un solide petit déjeuner.

Plus tard un plongeon dans la piscine permit aux moines pervers de lorgner encore une fois leur corps luxurieux, ils étaient encore tous focalisés sur les festivités sexuelles de cette nuit pendant laquelle ils avaient amplement abusé des charmes de ces jeunes et ravissantes invitées auxquels il n'auraient jamais pu goûter en temps normal.

Après cette dernière nuit que les quatre ravissantes hôtesses passèrent au monastère, une fois les festivités terminées en milieu de matinée, elles retournèrent prendre une douche bien chaude pour effacer une fois de plus les traces de leurs viols répétés, puis elles prirent u repos bien mérité dans leurs lits douillets.

Toutefois elles restaient toutes dépendantes du vieux moine qui avait partagé leur couche jusqu'à la misternerie des cloches à 8 heures du matin, ce vieux salaud espérant jusqu'au dernier moment les engrosser de sa fertile semence.

Puis elles prirent une nouvelle douche alors que leurs compagnons de débauche rassemblaient leurs powers pour quitter leurs chambres, elles ne sortirent de leur transe magictique qu'à 9 heures comme le leur avait commandé le vieux moine.

Après le petit déjeuner les moines les ramenèrent à leur hôtel où l'équipage se rassemblait déjà pour le vol de retour, chacune d'entre elle, avant de quitter le monastère, avait eu un rendez-vous en tête-à-tête avec le Sensei Moto pour une brève entrevue.

En guise d'informations à leur demander pour améliorer l'hospitalité du monastère pour de futurs invités, il les soumit toutes à une brève séance d'magictisme afin d'implanter de nouvelles suggestions magictiques dans leur esprit, portant surtout sur la façon de se comporter avec la famille de leurs maris ou de leurs fiancés.

Après ses suggestions additionnelles implantées dans leurs esprits par le sadique vieux bâtard, des événements tout à fait intéressants devaient se dérouler dans les quatre foyers américains, et plus particulièrement avec ces quatre hommes mûrs qui devraient endurer les provocations salaces de leurs brus ou futur bru.

Qui pourrait blâmer ceux d'entre eux, ces américains bourrés de vitamines de 50 à 60 ans qui succomberaient aux avances de ces ravissantes jeunes femmes qui viendraient q'asseoir sur leurs genoux pour manipuler leur grosse byroute avant de leur faire une somptueuse fellation.

Et une fois qu'ils auraient succombé au succulent plaisir de coulisser entre leurs lèvres purpurines ne seraient-ils pas impatients d'approfondir leurs relations avec leurs adorables belles-filles qui leur murmureraient à l'oreille :

-"Ohhhh beau-papa..... faites-moi l'amour...... Je vous en prie...... Faites-moi un enfant....... Faites-moi un magnifique petit bébé! ......"
chrislebo

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#359
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Le grand maître Moto-san sourit en jetant un oeil sur l'enveloppe express que lui envoyait un visiteur récent du temple, la sémillante Madame Me-gan Rogers.

Le temps de décacheter la lettre et il sourit largement dans lisant qu'elle remerciait vivement les moines du temple de Zuten d'avoir prié pour elle, mister rêve de maternité se réalisait, elle était enceinte.

Moto-san et ses zélés moines se rappelaient sans difficulté de cette jeune hôtesse de l'air de 27 ans, d'autant plus qu'elle était ravissante, ce qu'ils avaient constaté alors qu'elle prenait sa douche dans sa chambre, sous l'œil de caméras indiscrètes qui retransmettait le délicieux spectacle dans le bureau où étaient réunis les moines du temple.

Et ce n'était pas tout, l'insouciante jeune brunette ignorait que le pervers moine l'avait magictisée pour implanter des suggestions magictiques dans mister esprit tandis qu'elle sous l'emprise d'herbes la maintenait, elle et ses amies dans un état d'hébétude avancé leur permettant d'user en toute liberté de leurs charmes, sachant qu'elles oublieraient tout de ces événements lubriques.

Elle ne se rappelait d'ailleurs que d'une magnifique visite dans ce vieux temple japonais, alors qu'elle était toute excitée lorsque le manager de vol s'était arrangé pour qu'elle puisse disposer, ainsi que les autres membres de l'équipage, de deux jours de liberté dans la ville escale.

Son amie Gwen lui avait longuement vanté les vertus de ce thé chaud que les moines lui avaient offert, une liqueur au pouvoir relaxant permet-tant d'échapper pendant un bon moment au monde réel.

Y ayant goûté elle-même pendant mister séjour Megan en fait se souvenait surtout combien ce divin élixir était relaxant.

Se pourléchant les babines en se rappelant mister goût Megan se remémo-rait surtout qu'il était très chaud et qu'il tapissait entièrement sa bouche avant qu'elle ne vide mister verre qui fut immédiatement remplit.

Juste avant ce voyage, le mari de Megan s'était montré stressé par mister travail, il semblait absent.

Elle avait désiré qu'il lui fasse l'amour la nuit précédant mister départ, car c'était la nuit la plus favorable dans mister cycle de fertilité, et comme elle voulait fonder rapidement sa petite famille...

Ils avaient fait l'amour peu de jours auparavant, mais en consultant le calendrier Megan avait constaté que c'était alors trop tôt dans mister cycle. Pendant le long vol, elle avait fermé les yeux et s'était détendue se ré-jouissant de cette unique opportunité de visiter les alentours de Tokyo alors qu'elle venait d'avoir l'occasion de se faire engrosser par mister mari.

Agée de 27 ans, Megan était marié à Jim depuis juste un an, ce qui correspondait au laps de temps que nécessitait une bonne insertion dans leur travail avant de fonder une famille.

Elle avait rencontré Jim lors de sa première année de fac, ils avaient eu un coup de foudre réciproque et dès leur premier rendez-vous ils envi-sageaient un avenir commun.

Ils se fiancèrent 6 mois plus tard se promettant de s'épouser dès l'obtention de leurs diplômes.

Il avait été dur de n'accorder à mister fiancé que de légères privautés se résumant à un flirt un peu poussé, Megan avait décidé de demeurer chaste jusqu'à leur nuit de noce, et se jurait bien que Jim Rogers serait le seul homme à la posséder.

Megan était impressionnée à la vue de cet ancien temple dans lequel elle pénétrait, la modernité de l'intérieur la surprit totalement, sa chambre était délicieusement meublée, entre autre d'un grand lit, un plateau de friandise jouxtait le menu du souper sur mister oreiller.

- Je suis vraiment heureuse d'avoir amené une belle robe de soirée comme me m'a suggéré Gwen... Le port du jean serait sûrement inapproprié lors du repas de ce soir! Réalisait-elle enchantée.

Elles étaient toutes attendues au rez-de-chaussée une heure plus tard, Megan décida de prendre une douche bien chaude pour se délasser après mister long vol et cette longue promenade dans la montagne.

Elle déballa d'abord sa valise suspendit sa tenue de nuit puis enleva mister jean, mister chandail avant de gagner la salle de bain.

Ses sous-vêtements ôtés, elle entra sous la douche se régalant de sen-tir l'eau bien chaude ruisseler sur mister corps.

Megan pensait à mister bel époux sous les embruns chauds de la douche, regrettant qu'il ait été trop stressé la nuit précédente pour lui faite l'amour comme elle l'escomptait.

- J'espère qu'il me suffira de le solliciter à nouveau le mois prochain, lorsque je serai à nouveau féconde! Se disait-elle au fond d'elle-même.

A mister insu, au même instant, un groupe d'hommes bavait littéralement à l'idée de la baiser à couilles rabattues, chacun d'eux rêvant de l'engros-ser.

Alors qu'elle se douchait minutieusement, un grand écran télé accroché au mur deux étages plus bas permettait aux 41 moines du temple de se régaler de ses charmes alors qu'elle frottait méticuleusement chaque parcelle de mister corps.

Tous ces moines avaient la main sous leur robes de bure, ils se bran-laient allégrement, ils auraient tous voulu partager sa douche bien chaude.

Megan aurait était profondément choquée de leur commentaire à cet ins-tant même.

- Quelle exquise beauté!

- J'ai jamais rien vu d'aussi beau... Une vraie brioche américaine aux raisins!

- Oh que j'aimerai frotter mon visage entre ses délicieuses cuisses! Puis je glisserai ma saucisse chaude au milieu de ce savoureux petit pain américain, hey, hey, hey... Maître Tanaka se réjouissait profondément du plaisir visible que prenait ses ouailles à la vue de ce ravissant spectacle.

Plus bas, dans le donjon, le maître Hamada faisait chorus :

- Hum... Moi aussi j'adorerai voir ses délicieuses lèvres soyeuses se refermer sur ma saucisse bien chaude! Quel plaisir j'y prendrai! De plus je pourrai lui offrir toute la sauce à la moutarde qu'elle pourra déguster, ha, ha, ha... Elle est plutôt maigrichonne, mais je l'engraisserai bien vite en lui faisant goûter à mes puissantes protéines! Je serai si heureux de voir cette somptueuse jeune américaine porter le fruit de nos ébats et le ramener aux USA, après la mort de mon fils sous les bombes américaines en 1945.... Ajouta Matsuo-san.

Aussitôt, l'un après l'autre puis plusieurs en même temps ils entreprirent de travailler au dessus d'un grand récipient, fabricant cet élixir spécial, si relaxant, que leurs hôtes ne tarderaient pas à savourer.

Après une prière dans une pièce réservée du temple, Megan et ses collègues, totalement insouciantes, furent emmenées dans une somp-tueuse salle à manger, une salle embaumée par des odeurs d'encens.

Toutefois les fumées enivrantes qui envahissaient leurs poumons em-menaient chaque hôtesse dans un pays des rêves ce qui renforçaient les suggestions magictiques qu'implantait dans leur esprit leur pervers hôte, chacune d'elle n'avait maintenant plus qu'une envie satisfaire leurs hôtes!

A cela venait s'adjoindre un plaisir rampant induit par des mains anonymes qui caressaient leurs charmes, il leur semblait à toutes que c'était leur maris ou promis qu'il leur dispensaient ces plaisirs furtifs mais néanmoins ensorcelants.

Un peu plus tard, dans un coin obscur de la salle, Megan Rogers défail-lait de félicité :

- Ohhhhhhhhhhh... Oui... Oh oui John aime-moi... fais-moi l'amour... Mets-moi enceinte... Gémissait-elle sourdement en enserrant mister énergique amant entre ses bras et ses cuisses.

Megan s'imaginait que mister tendre époux la possédait virilement dans la salle enfumée par les brumes d'opium, mais en réalité il s'agissait d'Hi-deki-san, le plus vieux mais néanmoins robuste, moine de la confrérie dont l'épais chibre coulissait dans mister vagin fertile.

- Oh oui... Oui... Oui... Remplis-moi... Comme ça... Remplis moiiiiiiiiiiiii... Oh ouiiiiiiiiiiii... s'exclamait-elle alors que mister "mari" s'épanchait au fin fond de sa caverne embrasée.
chrislebo

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#360 
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Bientôt Megan connaîtrait toutes les façons de plaire à mister mari, plusieurs leçons lui seraient d'ailleurs offertes simultanément par différents moines comme le grand maître le lui avait implanté au fin fond de mister esprit.

Avant de se servir de ses lèvres et de sa chatoune elle allait apprendre à donner du plaisir à un homme avec ses mains et elle apprendrait même comment faire jouir un homme en se servant de ses orteils et les plantes de ses pieds, comprenant par ailleurs que certains fétichistes adoraient couvrir les orteils et les pieds des femmes de leur semence onctueuse.

Elle apprendrait aussi comment frotter mister corps contre celui de mister par-tenaire pour le faire bander comme un âne, en se servant des ses nichons, de sa foufoune, de sa croupe et même de sa soyeuse cheve-lure... Bientôt elle prendrait plaisir à sentir le foutre s'étaler sur mister vi-sage et dans ses cheveux.

Et lorsque le vieux Hideki-san aurait repris des powers, elle apprendrait à le satisfaire en se servant activement de mister anus.

Le lendemain matin, Megan confiait au maître Moto, que mister mari et elle-même avaient tous deux envie de fonder une famille, radieuse elle le prieur lui répondre que tous les moines de Zuten prieraient pour elle le soir même pour que mister rêve se réalise.

Le soir même, alors que les 40 moines étaient réunis dans la salle des prières ils apprirent que madame Megan Rogers désirait démarrer sa famille.

Non seulement ils prièrent pour que ses vœux se réalisent, mais chacun d'entre eux pria pour être celui qui l'aiderait à réaliser mister rêve en l'en-grossant.

Et la seconde nuit de leur visite, alors qu'elle était étendue sur l'autel spécial en forme de "Y", ils se branlaient tous, une main enfouie sous leur robe de bure, se préparant à l'aider dans l'accomplissement de ses désirs.

L'un après l'autre ils grimpèrent sur l'autel lorsqu'ils se sentaient prêts à combler ses désirs.

Ils se démenaient si efficacement au creux du "Y" de l'autel, qu'en deux ou trois coups de rein, ils la remplissaient de foutre bien fertile.

L'excès de foutre s'écoulait dans le grand bol disposait à cet effet sous le milieu de la table, l'adorable Megan Rogers pourrait bientôt profiter tout mister saoul du délicieux goût de l'élixir qu'elle venait solliciter.

Six semaines plus tard, le week-end chez les Rogers elle se réjouissait avec mister mari alors que le secrétariat du docteur de famille confirmait le résultat du test de grossesse affirmant qu'elle était enceinte.

Ils pensaient tous deux qu'ils avaient conçu leur futur bébé la veille du départ de Megan pour le Japon, elle avait amplement raimister lorsqu'elle avait décrété qu'elle avait mister pic de fertilité ce jour-là.

Megan avait longuement commenté sa visite au temple de Zuten l'assu-rant que tous les moines priaient pour que mister désir de fonder une fa-mille s'accomplisse, elle ajouta alors que leurs prières avaient été entendues parce qu'elles survenaient au moment adéquat alors qu'elle-même craignait de partir juste au bon moment manquant ainsi cette ex-cellente opportunité.

Ils se seraient beaucoup moins réjouis, s'ils avaient appris ce qui s'était vraiment passé dans les intestins de l'ancien temple.

Sous l'emprise d'une emprise magictique efficace, toute embrumée d'avoir longuement inhalé des vapeurs d'opium, elle avait entendu les murmures des moines qui priaient pour elle alors qu'elle se trouvait étendue sur l'autel au milieu d'eux.

Mais Megan oubliait qu'elle se trouvait nue comme un ver, obéissant servilement à l'ordre de se déshabiller entièrement avant de s'étendre au milieu de ces moines concupiscents.

Elle avait tout autant oublié les nombreuses mains qui la caressaient intimement s'imaginant que c'était mister mari qui la caressait aussi familiè-rement.

Non seulement les 40 moines avaient prié pour que Megan se fasse en-grosser, mais chaque moine avait, permisternellement fait de mister mieux pour qu'elle obtienne ce résultat.

Ils avaient tous une main sous leurs robes alors qu'ils utilisaient l'autre pour caresser ses charmes intimes, et, lorsqu'ils étaient prêts, ils pre-naient place au creux du "Y".

En moins de trois ou quatre coups de bite, chaque moine s'efforçait de réaliser mister vœu le plus cher!

Inutile d'ajouter qu'après le quatrième moine, le con de Megan était plein de sperme, un véritable cloaque marécageux alors que le foutre s'écoulait avec profusion de sa chagatte engorgée.

Pour les 22 moines qui faisaient la queue, s'épancher en elle était un vé-ritable honneur, ils se sentaient privilégié de pouvoir être le futur géniteur du bébé de cette somptueuse salope américaine.

Cela tombait juste au bon moment dans le cycle de Megan Rogers, et, la cramouille inondée du foutre des 40 moines, la possibilité de quitter le temple de Zuten sans être enceinte était absolument illusoire.

Atteignant le fond de la grande enveloppe, Moto-san en retira un petit sachet de plastique, il sourit à pleines dents en voyant qu'il contenait une petite culotte de dentelle jaune que l'adorable Megan Rogers lui envoyait pour mister plus grand plaisir.

Portant le sous-vêtement à ses narines il en huma longuement les succulentes flagrances de la chatoune de la délicieuse jeune femme qu'il avait longuement dégustée en compagnie de ses comparses moines.

- C'est très bien mon adorable petit cœur! Tu as retenu toutes les suggestions que j'ai implantées dans ton esprit... Pensait Moto-san, il l'avait effectivement instruite de le prévenir dès qu'elle cons-taterait sa grossesse.

Megan se rappelait seulement avoir écrit au grand maître du temple de Zuten pour remercier les moines de leurs prières et leur annoncer qu'elles avaient porté leurs fruits, qu'elle était maintenant enceinte de 6 semaines.

Elle ne se rappelait absolument pas avoir enlevé sa petite culotte sale pour la leur envoyer dans un sachet plastique placé dans l'enveloppe qu'elle avait mise à la poste.

Elle ne se rappelait pas plus avoir écrit une seconde lettre y joignant plu-sieurs photos d'elles montrant ses jambes si bien galbées, et mister petit corps qu'elle venait d'offrir à mister vieux beau-père.

Moto-san sourit largement en lisant qu'elle avait obéi aux instructions qu'il avait implanté dans mister esprit, suggestion qui, à coup sur, détruirait leur vie familiale.

En fait, il avait suggéré à la jeune femme de séduire mister beau-père, ce qui allait à l'encontre de la morale étroite de ces américains qu'il haïssait tant.

Et le message qu'elle lui faisait parvenir dans la seconde missive rapportait comment elle avait fait admirer le galbe de ses jambes à mister beau-père qu'elle appelait maintenant familièrement "beau-papa".

L'autre jour, lorsque je suis rentrée "beau-papa" regardait un match de foot à la télé en compagnie de mon mari, je vis qu'il contemplait mes jambes et mes cuisses alors que je me débarrassais de mes chaussures devant ses yeux... Lui confiait-elle indiscrètement.

- Je suis allée les rejoindre, je saisis un siège près de la table basse offrant mes jambes gainées de nylon à la vue de beau-papa avec un bon angle de vue sous ma jupe d'uniforme... Je laissais ma jupe remonter sur mes cuisses, je vis ses lèvres trembler alors qu'il je-tait un oeil captivé sur le fond de ma petite culotte... Beau-papa empoigna alors un oreiller qu'il posa sur ses genoux pour dissimu-ler la bandaimister qui jaillissait entre ses cuisses.

Puis le message se poursuivait :

- Je montais alors à l'étage pour enfiler un bikini et redescendit m'al-longer le long de la piscine... Quelques minutes plus tard, mon ma-ri me prévint qu'il allait faire un tour à l'épicerie pour acheter un pack de bière pendant la mi-temps du match... Dès qu'il nous eut quittés, beau-papa sortit du salon pour s'asseoir à mon coté.

Sa tentative de séduction était en bon chemin comme l'indiquait sa mis-sive qui reprenait :

- Lorsque je lui demandais de me frotter le dos avec de la lotion so-laire, je sentis que ses mains tremblaient... Et encore plus lorsque je lui demandais de dégrafer mon soutien-gorge pour prévenir toute démarcation blanche... Alors que beau-papa appliquait la lotion sur mon dos, le bout de ses doigts se glissait subrepticement sous la ceinture de ma culotte de bikini, mais aller plus loin sem-blait l'affoler... Ayant vu la façon dont il avait reluqué mes jambes et mes cuisses un peu plus tôt, je lui demandais : cela vous gênerait-il de vous occuper maintenant de mes jambes beau-papa? Je vis que l'idée de toucher mes jambes, de caresser mes cuisses l'excitait follement... Lorsque je me retournais sur le dos, je laissais le haut de mon soutien-gorge glisser dévoilant mes mamelons roses... Lorsqu'il entreprit de masser le haut de mes cuisses, je bougeais un peu de façon à ce que ses doigts effleurent le fond de ma petite culotte de bikini.

Son entreprise de séduction n'avait pas été plus loin, la missive indiquait qu'à cet instant ils avaient entendu la porte du garage se refermer sur la voiture annonçant le retour de mister époux, beau-papa s'était alors em-pressé d'ôter ses mains de ses jambes pour retourner au massage de mister dos.

En voyant beau-papa gagner la salle de bain, Megan comprit immédia-tement comment il allait soulager sa tension.

Comme maman Rogers avait programmé de prendre l'avion la semaine suivante pour visiter sa mère et passer avec elle le week-end, Megan décida de ne pas tergiverser plus longtemps. Elle avait déjà concocté un plan pour capter l'intérêt de beau-papa le week-end suivant.

Les moines du temple de Zuten attendaient avec impatience la lettre suivante qui leur serait envoyé la semaine suivant le week-end que beau-papa devait passer en compagnie de mister fils et de mister adorable bru.

Moto-san n'avait pas seulement implanté dans mister esprit qu'elle devait séduire mister beau-père, elle devait installer une caméra espion pour fil-mer les événements adultérins qui se dérouleraient dans le lit conjugal. Elle devait amener beau-papa dans ce lit qu'elle partageait habituelle-ment avec mister fils et s'unir illicitement avec mister vieux beau-père.

Combien de temps durerait leur liaimister, seul le temps le dirait, mais il avait aussi instillé dans mister esprit que plus le danger d'être surprise dans les bras de mister beau-père serait grand, plus mister plaisir serait important.

En fait le week-end suivant, un beau-papa anxieux reluqua immédiate-ment ses longues jambes galbées lorsqu'elle se débarrassa de ses chaussures en rentrant chez elle au retour d'un vol, avant de monter à l'étage pour enfiler un corsage léger et un short.

En redescendant au rez-de-chaussée un panier de linge sale en main, elle s'arrêta tout d'abord devant le réfrigérateur pour sortir une paire de cannettes de bière pour ses hommes qui regardaient encore un match de football, posant les cannettes dans le panier à linge elle se dirigea vers le salon.

La panière de linge sale posée au sol, à coté du fauteuil de beau-papa, Megan lui tendit une bière puis se dirigea vers mister mari pour lui en tendre une autre, abandonnant mister panier de linge sale à coté du fauteuil de mister beau-père.

La petite culotte rouge en dentelle qu'elle venait tout juste d'enlever trô-nait sur le dessus du linge sale, le fond bien visible, elle savait que beau-papa aurait bien du mal à résister à cette tentation.

En tendant une bière à mister mari, Megan l'avisa :

- Je vais faire une lessive demain, aussi te serai-je reconnaissante de me préparer tout ce que tu veux que je lave chéri! J'ai déjà descendu une panière de linge sale! Tu n'auras qu'à poser sur tes affaires sur le dessus ou bien les fourrer dans le sac à linge salle dans la blanchisserie.

Le dos tourné vers beau-papa, Rachel se doutait que sa main avait glis-sé dans la panière et palpait sa soyeuse petite culotte en dentelle.
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