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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#3,271
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Je ne sais toujours pas comment j’ai pu si facilement me laisser faire, probablement parce que mes lectures d’histoires érotiques avaient ravivé mes fantasmes et certainement aussi parce qu’il était aussi sur le point de partir en retraite.
Je sentais peut être intuitivement que c’était pour moi l’occasion d’assouvir ce vieux fantasme de soumission par un homme et que si je réfléchissais trop j’allais peut être passer le reste de ma vie à le regretter.
« D’accord, ne t ‘inquiète pas, tu verras je suis certain que tu trouveras ça très agréable » m’a t’il répondu. « Allez enlève ton pantalon ».
Dans un état presque second j’ai enlevé mon pantalon en prenant soin de le plier et de le poser dans un coin. Puis rapidement, il a baissé mon slip jusqu’à mes chevilles. Il m’a fait asseoir, les fesses nues sur le siège dont le battant avait été rabattu. Il a baissé mister pantalon et exhibé un sexe assez long et bien épais qu’il a présenté à ma bouche en me disant « suce moi ».
Drôle de sensation, très excitante, il bandait bien et je me suis surpris moi même à essayer de bien faire les choses en le masturbant doucement et en serrant mes lèvres le plus fermement possible sur sa hampe tout en lui caressant doucement les couilles de l’autre main.
Il semblait apprécier, il a commencé par me dire « c’est bon continue, tu suces comme une vrais salope, c’est bon ». Au bout de quelques minutes je l’ai senti se durcir de plus en plus et il m’arrêté d’un geste. Il m’a dit « tu vois que ce n’est pas si désagréable que ça et maintenant pasmisters aux choses sérieuses ».
Il n’était pas très difficile de deviner ce qu’il entendait par là. Mais je ne lui répondis pas, j’étais de toute façon incapable de dire un mot.
A sa demande, je me suis levé puis il m’a retourné et en m’appuyant sur le dos m’a fait pencher, les mains posées sur le battant des toilettes. Cette position, le cul en l’air, offert, à provoqué en moi une brusque montée d’excitation. Enfin j’allais assouvir mon fantasme, découvrir la sodomie ! Mais en même temps j’avais honte, j’étais entièrement soumis et j’appréhendais : est ce que j’aurais mal, est ce que j’allais en retirer du plaisir ?
Je lui ai dit « doucement, je ne l’ai jamais fait » et il m’a répondu « y a un début à tout ».
Son ton a commencé à se durcir lorsqu’il m’a dit « tends bien ton cul et détends toi ». Puis il s’est baissé, j’ai senti ses mains m’écarter les fesses puis sa langue a commencé à me lécher l’anus. A ce moment j’ai commencé à ressentir une sorte de petit picotement. Après avoir introduit de la salive dans mon petit trou, je l’ai senti introduire un premier doigt, qu’il a remué dans mon cul en faisant des cercles, puis se fut un deuxième qui est venu le rejoindre. J’avais un peu mal et mon excitation commençait à retomber. Plus difficilement, il a remué ses deux doigts et essayé d’en introduire un troisième. Ce fut difficile, ça ne passait pas, il me faisait vraiment mal et je lui ai dit, alors il m’a répondu « tant pis pour toi, je vais te défoncer le cul ma chérie ».
A ce moment j’ai senti mister sexe se presser contre mon anus. Ce fut laborieux j’étais trop serré alors il ajouté de la salive et pressé de plus en plus fort et j’ai senti soudain que mister gland avait passé mon œillet. La sensation était plus douloureuse que jouissive et j’appréhendais la suite. Je lui répétais « doucement, doucement » mais il devenait de plus en plus impatient et forçait de plus en plus. Tout à coup, il m’a empoigné les hanches encore plus fermement et a poussé vulgarement d’un coup sec. J’ai eu mal, Je me suis retenu de crier, après tout, nous étions dans les toilettes et n’importe qui pouvait entrer sans crier gare. Une fois qu’il a bien été calé au fond de moi, il m’a laissé le temps de m’accoutumer et la douleur s’est un peu estompée. Puis je l’ai senti m’écarter les fesses et il a commencé un mouvement de va et vient qui au bout d’un moment m’a procuré d’étranges sensations. C’est vraiment à ce moment que j’ai pris conscience que je me faisais enculer, que je me faisais pénétrer à fond d’une manière complètement soumise. A partir de ce moment j’ai commencé à sentir le plaisir monter, je ne bandais pas pour autant mais je sentais mon anus se dilater de plus en plus et les va et vient se faire facilement. Je ne pouvais m’empêcher de gémir doucement ce qui renforçait ce sentiment d’être dans la peau d’une femme soumise. Il me disait « c’est bon hein ! T’aime ça te faire défoncer le cul ! » Ou « je te l’avais dit que tu aimerais ça, tu vas voir, tu en redemanderas ».
Il a continué à me prendre de cette manière, entrant à fond puis sortant presque de mon cul, tout en m’écartant les fesses et en me répétant « putain qu’est ce qu’il est bon ce cul …qu’est ce qu’il est bon ! »….pendant ce qui m’a semblé une éternité puis j’ai senti des spasmes et un liquide chaud se déverser au fond de moi, il gémissait en essayant de ne pas faire trop de bruit. Après avoir soufflé quelques secondes, il s’est retiré assez brusquement, s’est rhabillé sans dire un mot, m’a donné une tape sur les fesses puis est sorti des toilettes laissant la porte ouverte derrière lui.
Je n’ai pas bougé immédiatement, encore sous le choc puis réalisant que la porte était entrouverte je me suis redressé pour la fermer rapidement.
Ensuite je me suis adossé contre le mur, incapable bouger.
Je n’avais pas éjaculé, et je suis resté immobile dans cette position, le cul en feu. Je sentais mister sperme couler par mon anus que j’imaginais entrouvert, attendant de me remettre un peu de mes émotions. J’avais du mal à réaliser ce qui venait de se passer.
Je me suis masturbé avec encore en tête ce qui venait de m’arriver et j’ai joui comme j’avais encore rarement joui. Un plaisir intense, une éjaculation puissante.
Je me suis rhabillé, un peu engourdi, puis je suis allé me passer le visage sous l’eau pour avoir l’air un peu présentable.
Lorsque je suis sorti des toilettes j’étais persuadé que n’importe qui me croisant se dirait « tiens celui la, il vient de se faire enculer », j’étais honteux et persuadé que cela apparaissait clairement sur mon visage, j’avais l’impression de marcher bizarrement du fait de mon cul douloureux.

Mais le lendemain, j’y suis retourné. A chaque fois c’était le même scénario, nous nous retrouvions en silence dans les toilettes, je le suçais et il m’enculait.

chrislebo

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#3,272
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Ses paroles me blessèrent profondément. C'est vrai qu'elle avait l'habitude d'être dure avec moi, mais jamais à ce point et jamais de manière aussi blessante. Je me sentis profondément humilié. Je me mis donc à m'astiquer à genoux sur le sol, devant elle, fixant ses cuisses ouvertes. J'étais stressé, je devais absolument arriver à bander pour lui prouver que j'étais toujours mister mari. Je m'activais sur mon sexe toujours aussi mou.
"Ah... Ah... c'est comique ! Si tu te voyais ! Accélère minable, plus que deux minutes 30." En disant cela elle regardait la trotteuse de sa montre qu'elle avait gardée au poignet. "Je parie que tu ne vas pas y arriver."
De plus en plus stressé, j'accélérais ma cadence. Mais au lien de sentir un frémissement, je sentais au contraire ma bite se détendre. Je commençais à transpirer...
"Plus que deux minutes ! Grouille toi, sinon tu iras dormir sur le canapé du salon !"
Je transpirais de plus en plus... Ma bite était complètement rétrécie et semblait ne plus vouloir se mettre en érection.
"Trois minutes ! C'est fini ! Ouste, dégage ! Tu me dégouttes, minable, bon à rien. Et dire que tu croyais me donner satisfaction ! Ta saucisse est toujours trop molle, c'est à peine si je la sens ! Et les trois petites gouttes qui en sortent quand tu as fini de t'agiter et de transpirer sur moi je ne les sens pas plus ! Quand j'étais étudiante j'avais un amant, un athlète noir avec un sexe monstrueux et des boules énormes aussi qui tenaient juste dans mes deux mains quand je le suçais. Son gland était tellement épais que j'avais du mal à le mettre dans ma bouche. Et il était capable d'éjaculer des litres de sperme chaud et bien gluant ! Il me remplissait le vagin ! Je sentais chacun de ses jets jusqu'au fond de ma matrice !"
Ce discours de ma belle Nadia eut un effet paradoxal sur moi. Frappé de stupeur, j'arrêtais de m'astiquer la nouille. Le rouge envahit mon visage. Et des larmes envahirent mes yeux. Je la suppliais... "Pitié, Nadia, arrête de me raconter tout cela, je... j'imagine des scènes avec tout ce que tu me racontes... Pourquoi est ce que tu es si blessante envers moi ?" J'étais sur le point d'éclater en sanglot quand je vis Nadia grimacer de dégoût et m'envoyer un coup de pied dans la poitrine qui me fit basculer en arrière sur le sol. Eberlué, je me relevais, les deux pieds sur le tapis, près d'elle qui pointait le doigt vers mon bas ventre en éclatant de rire. Je baissais les yeux dans la direction où pointait mister doigt et je découvris avec effroi qu'en quelques secondes j'étais arrivé à une pleine érection ! Dans un éclair je compris que mister discours avait éveillé en moi des images... celles que j'avais l'habitude de voir sur ces sites pornos "BBC" (pour Big Black Cock) devant lesquels je n'avais pas arrêté de me masturber toute la journée ! J'étais confus, je balbutiais, tentais de me justifier
"Mais c'est toi Nadia, qui est si belle, qui m'a excité !"
"Menteur ! Pitoyable menteur. En trois minutes tu n'es pas capable d'avoir la moindre érection en reluquant la chatte de ta femme qui est prête à te faire l'amour, mais dès que je te parle de mon amant noir, et de mister énorme queue, tu te mets tout de suite à bander ! On dirait que tu es pédé ma parole !"
"Je t'en supplie Nadia, je suis prêt maintenant... Nous pouvons faire l'amour..."
"Ah non ! Pas question ! Tu me dégouttes ! Il me faut un vrai homme, pas une tapette comme toi !"
"Pitié Nadia, ne sois pas en colère je t'en prie, ce n'est pas ce que tu crois..."
"Menteur ! Ta bite parle pour toi. Dégage maintenant. Et pas question de dormir près de moi. Je ne veux plus sentir ta peau contre moi ! Dégage et vas dormir sur le canapé du salon. Et on en reparlera demain matin crois-moi !"
Dépité, et à nouveau complètement placide maintenant, je m'installais pour dormir sur le canapé, choqué de tout ce que m'avait dit ma femme, tout cela tournait dans ma tête. Elle allait me quitter c'est sûr. Et j'étais profondément déprimé. Je l'aimais c'est sûr, et j'avais trop besoin d'elle. Sans compter que l’appartement, le salon de coiffure pour dames et la boutique de prêt-à-porter pour femme lui appartenaient, je n'avais nul endroit où aller, aucun de mes vagues amis ne m'accueillerait sachant que je n'avais aucune rentrée financière. Je me voyais déjà finir en clochard. Il fallait absolument que je ramène ma femme à la raimister demain.
Agité par ces horribles pensées, je trouvais finalement le sommeil.

chrislebo

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#3,273
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le surveillant général


J’avais 17 ans, j’étais interne dans un lycée à Rabat (Maroc), « il » m’avait fait découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas. Parfois, j’assumais des permanences de nuit et de Week-end comme aide surveillant général d’internat.
Un surveillant nouvellement affecté, 50 ans, bien bâti et sportif, s’était vu confier la responsabilité de la surveillance du pavillon où je dormais. Il était directif et assez tranchant. D’autre part, il s’intéressait à ce que je faisais, a mes cours, au fait que j’occupais mon temps à apprendre, à découvrir ce qui m’entourait. Nous parlions de plus en plus, de chose et d’autre. Il me demanda un jour si mon envie d’apprendre se limitait à des domaines intellectuels, je lui répondis, c’est sur, avec mon physique, je ne risque pas de faire haltérophilie. Ca l’a fait rire de bon cœur. Et il me dit «il n’y a pas que cela, tu fais du sport ? ». Je lui répondis que oui. Assez vite, il s’est fait assez proche Au bout de quelques semaines, nos rapports étaient devenus très fluides, il était devenu très sympathique. Un soir, il était différent qu’a l’habitude, lorsqu’il rentra du tour de garde, je m’en souviens bien, c’était un samedi, il vint derrière moi, me dit « alors ça avance ta formation ? ». Je lui répondis, « ça avance, ça avance ». Et il me dit, « il va falloir que je te forme à d’autres choses, plus physique, tu vas te ramollir à rester assis tout le temps et plongé dans tes cours ». Il faisait chaud, il alla s’asseoir en face de moi, sur une banquette que nous avions. Il s’était mis en short. Je lui répondis « Ah quoi tu veux me former ? ». Il répondit «On va voir, On va voir». De mister cartable, il sortit des revus pornos et les posa devant lui, sur la table. Moi j’avais rougi. Sa voix se fit plus posée, plus amicale. Je me levais et allais m’installer dans le fauteuil et feuillette les Pages. Les images qui défilaient sous mes yeux ajoutaient à la chaleur la tension. Des femmes nues dans plusieurs positions. Je finis de feuilleter, je repose la revue. Je n’ose en prendre une autre. Je crois qu’il le comprend. Il se penche sur la table et en prend une bien précise et me la tend. C’est une revue en Allemand. Dans celle-ci, Il y avait comme une histoire, très diversifiée. Un strip-tease. A mesure des pages, des femmes, des couples, des hommes étaient de plus en plus nus. Puis un homme, le sexe imposant et dressé. La page d’après, une femme était prise en levrette par l’homme de la page d’avant. A la page d’après, un 2éme homme est dans la bouche de la femme, elle était en sandwich. La page suivante fut pour moi d’une très grande surprise, l’homme qui était dans la bouche de la femme y était resté, l’autre au sexe imposant, était derrière l’homme, le sexe tendu, dirigé vers les fesses de celui qui se faisait faire une pipe, je tourne la page. Et là, l’homme toujours dans la bouche de la femme est en train de se faire enculer par l’étalon. J’étais subjugué par la scène. Je finis par tourner la page et là, la totalité du zob avait disparu dans le cul de celui qui se faisait sucer, l’angle de la photo ne laisse pas de doute sur la totale pénétration. C’est la première fois que je voyais une scène pareille, je la regardais avec insistance. Je me demandais comment, un tel sexe pouvait être englouti par un passage aussi étroit. Le surveillant général se leva et passa derrière moi. Une de ses mains se posa sur mon épaule. Regardant la page ouverte, il me demanda si j’aimais. Je ne répondis rien, rouge d’excitation et de honte. Il me dit « drôle, Non ». Je lui dis «c’est truqué, c’est pas possible ». Il me répondit « tu crois, moi je sais que c’est tout à fait faisable ». J’ai très chaud, je ne réponds rien. Je demande si je peux aller prendre une douche. Il me dit, «Bien sûr, il fait tellement chaud». Sans attendre je me dirige vers les douches. C’est une pièce ou il y a trois douches individuelles sans porte. Je me déshabille, allume l’eau et me mets dessous. L’eau me fait du bien. J’ai très chaud et je bande irrésistiblement. J’entends la porte s’ouvrir, je ne me retourne pas. Il me dit, moi aussi j’ai chaud. Il se déshabille, je tourne doucement mais irrésistiblement la tête, sa bite est conséquente. Il me regarde, ne se détourne pas, et entre dans la douche d’a côté. Je ne l’entends plus, mis à part l’eau qui coule. Je reste comme cela un moment, je me savonne, avec une envie incroyable de baiser. Je me sens épié mais je ne me retourne pas, je reste à la vision de sa bite. Puis; j’ai senti deux mains se poser sur mos dos. Et j’entends, « je vais t’aider » il me frotte le dos, je sursaute. Je le sens de plus en plus près, il me caresse le dos de plus en plus, de haut en bas. Je sens une de ses mains quitter mon dos et passer jusqu’à mon ventre, elle descend et me prend la bite. La sienne effleure mon cul. Je suis statufié, je ne bouge pas d’un pouce, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. De l’autre main, il prend mon poignet gauche et le tire derrière moi. Il me fait prendre mister sexe, plus gros et plus long que le mien. Je le branle. Je le sens se durcir totalement, je ne sais plus quoi faire… tout se bouscule dans ma têtes, j’arrête de le branler, il me serre de près. Sa queue touche régulièrement mes fesses. Il soulève mes bras au dessus de ma tête et me les fait poser contre le mur qui est devant moi. J’essaie mollement de bouger, je ne pense plus, je ne sais rien à ce qui est en train de se passer. J’ai tout juste 17 ans. Il se frotte contre moi, je sens mister zob glisser plus bas entre mes fesses. J’essaie de me dégager, impossible. Il me serre de plus près, je ne peux plus faire de mouvement. Il me dit « arrête de bouger ». Le ton est tranchant. Il dépose quelque chose de gras entre mes fesses et sur sa bite. Il recule légèrement, sa bite s’insinue ente mes fesses, il pousse en me tenant par le ventre et m’empêche d’avancer ou de me dégager. Dans l’agitation et avec cette cambrure, il trouve mister ouverture, je le sens me forer, mon entrée finit par céder, je ressens une grande douleur. Sous une plus forte poussée, sa bite glissa en s’enfonçant en moi. La douleur me plie en 2, il en profite pour m’enculer un peu plus. J’ai très mal, j’ai peur et je me mets à pleurer. Sans m’entendre ni lâcher la pression, il continue à me prendre, je le sens respirer de plus en plus fort, et s’enfoncer de plus en plus en moi. Chaque mouvement de sa part me déflore un peu plus. Il me dit sans arrêt « T’aimes ça » J’ai l’impression que ça dure longtemps. Je le sens profondément en moi. Il me fait mal, mais ne ralentit pas. A chaque coup de boutoir je me sens défoncé un peu plus, mon cul est en feu. Avec une voix de dominateur, il me dit «tu vois que c’est possible de se faire enculer par une grosse queue ». Je sens mister ventre claquer contre mes fesses. La douleur est violente. Puis il est secoué de soubresauts. Je me demande ce qui arrive, C’est ma fête, au mauvais sens du terme. Il finit par arrêter, reste comme ça planté au fond de moi, sans bouger. Je me sens pendu sur ce pieu, mes pieds touchant à peine par terre. Finalement, il me quitte aussi vulgarement qu’il est entré et disparaît. Mes jambes ne me portent plus, je tombe. Je me sens écartelé. Je continue à pleurer sous la douche.

vanbruje

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#3,274
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Pas ma tasse de thé, mais merci pour tous ceux qui n'osent rien dire...
chrislebo

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#3,275
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Moi qui croyais qu'il n'y avait que nous deux à lire des histoires de sexe !!!!!!
chrislebo

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#3,276
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Casse-toi de là..." L'homme se leva, me repoussa et se positionna, à genoux, derrière mon épouse qui était restée immobile à quatre pattes, un peu dépitée d'être passée si près de l'orgasme. Il ressemblait à un colosse et ma femme à une miniature. Il posa ses mains puissantes sur les flancs d'Isabelle qui attendait le final. Il prit mister engin triomphant dans sa main, le pointa en direction de la chatte magnifique et l'appliqua contre la vulve luisante de plaisir. Il s'enfonça dans l'intimité offerte de ma femme qui, comme pénétrée par un tronc d'arbre, s'ouvrit au maximum. Elle laissa échapper un gémissement de plaisir en sentant cet énorme corps étranger la pénétrer. La friction intense sur les parois vaginales la faisait mourir de plaisir. L'homme continuait mister va-et-vient et n'arrêtait pas de parler grossièrement pour augmenter mister plaisir : - " Elle est à la bonne température ta femme. Juste ce qu'il faut pour ma bite. Tends bien tes fesses, salope " Le vagin complètement distendu, Isabelle, obéissante, creusa ses reins et offrit ses petites fesses rondes aux coups de boutoir qui la fourraient jusque dans ses entrailles. - " Regarde ta femme, p'tit pédé, comme je me la saute bien. Regarde comme elle aime çà. Tu vois mon pieu comme il rentre bien dans sa petite chatte. Regarde comme elle a envie de jouir avec ma bite. Elle n'en peut plus. C'est elle qui bouge sur ma bite. Tu vois comme elle bouge. Regarde-là ta jeune salope comme elle te fait bien cocu. Regarde comme elle a la tête en arrière de plaisir. Elle est au bord. J'en fais ce que j'en veux. Regarde bien, p'tit cocu, comme je me la défonce, comme je me la bourre. Il suffit que j'accélère un tout petit peu, et elle se met à jouir sur ma bite". Puis s'adressant à Isabelle : - " Tu veux que j'arrête ou que je continue ? " - " Continuez, continuez, ne vous arrêtez pas " - " Tu préfères que ton mari te reprenne ou que je continue à te baiser " - " C'est vous que je veux, vous et votre engin énorme " - " Tu promets d'être toujours obéissante, maintenant ? " - " Oui, je vous promets... " - " Tu feras tout ce que je te demande, maintenant ? " - " Oui, je vous promets... " - " Qui veux-tu dans ton lit, cette nuit ? Moi ou ton mari ? " - " Comme vous voudrez, c'est vous qui déciderez... " - " Mais si je viens dans ton lit, cette nuit, qu'est ce tu me feras ? " - " Je ferais tout ce que vous voudrez... " Puis en s'adressant à moi, de nouveau tout en continuant à pilonner ma femme : - " Alors, p'tit cocu, j'ai l'impression que tu es en train de perdre ta femme. Je vais en faire une parfaite petite servante, une chienne bien dressée pour mon plaisir. Et quant j'en aurai marre de la sauter, je te la renverrai..." - " Regarde bien, maintenant, ouvre bien grand tes yeux, tu vas la voir comme jamais tu l'as vue " L'homme accéléra mister pilonnage. Ses couilles battaient la mesure dans les fesses de ma femme. Celle-ci s'arc-bouta, aussitôt vers lui, submergée par une tornade de petits orgasmes qui lui parcouraient tout le corps. Son visage grimaçait, elle se mit à gémir violemment de plaisir. L'homme accéléra encore. Un autre orgasme envahit ma femme qui criait maintenant de toutes ses powers. Son corps se tordait sous l'emprise d'un véritable électrochoc de plaisir. Le pilonnage s'intensifia encore. L'homme saisit ma femme par les cuisses pour se coller à elle. Les coups de piston frénétiques tambourinaient au fond du vagin. Ses spasmes devenaient complètement incontrôlables. Le mandrin de l'homme avait augmenté de volume et défonçait dans une cadence folle les fesses meurtries par le traitement. Ma femme se mit à jouir à nouveau lorsqu'elle sentit les giclées de sperme remplir mister vagin en feu. Elle tomba inanimée sur le sol, le souffle haletant. Ses cuisses écartées laissait échapper le jus blanchâtre de l'homme. "Alors, p'tit cocu, t'as aimé, on dirait... " Je n'avais pas vu que j'avais joui en les regardant faire l'amour. L'homme se leva, alla chercher mister porte-feuilles, me donna un billet et me dit : - " Prends-toi une chambre d'hôtel et ne revient que demain matin. J'ai encore beaucoup de choses à dire à ta femme... " Interloqué, je pris le billet, me rhabillai et je ne sus pourquoi, je sortis sans dire un mot...
chrislebo

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#3,277
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Isabelle se réveilla tôt le matin. Les souvenirs de la veille revint à sa mémoire. Le propriétaire à la carrure d'hercule qui débarque, les menaces d'huissier pour les loyers impayés, le chantage et elle, soumise et effrayée, qui s'était abandonnée à la perversion de cet homme qui la touchait, la palpait, la tripotait tout en se masturbant et qui avait fini par user d'elle devant mister mari, cocufié et humilié. Elle était allongée dans mister lit, la tête pleine de questions sans réponses : "Comment ai-je pu être si docile...? Et comment, dans cette situation de femme dominée, ai-je pu jouir autant...? Pourquoi mon mari s'est débiné comme un lâche...?". Elle compta machinalement. "1... 2... 3... 4. J'ai joui 4 fois... en une soirée...". Avec mister mari, elle ne faisait l'amour qu'une fois par mois parfois deux, et l'orgasme n'était pas souvent au rendez-vous. Un mouvement à ses côtés la fit sursauter. Elle tourna la tête. Elle écarquilla les yeux, fixés sur la chose, le souffle bloqué par la stupeur : Il était là. Le propriétaire maître-chanteur était là. Et dormait comme un bébé. Elle resta immobile, quelques instants, figée par la peur. Un serpent découvert dans ses draps aurait eu le même effet. Ce n'est qu'après quelques minutes qu'elle recouvra ses esprits. Elle se leva sans bruit et, habillée d'un peignoir, se dirigea vers la cuisine. Elle se fit un café, machinalement, pour s'occuper et, surtout pour faire le vide dans sa tête. Elle aurait dû fuir, alerter la police, les voisins, remuer ciel et terre, raconter les sévices de la veille. Et pourtant, elle ne bougeait pas. Etait-ce de l'indolence ou de la sottise ? Elle n'en savait rien. Gorgée après gorgée, le café la réveillait. Son esprit s'éclaircissait. Il fallait qu'elle parle à ce monstre. Il fallait qu'elle lui dise qu'il avait eu ce qu'il voulait, qu'il toucherait les loyers impayés et que maintenant il devait partir. Oui, elle allait lui parler et elle lui dirait. Il comprendrait et s'en irait. Et s'il ne s'en allait pas, elle le menacerait de tout raconter à la police. "Voilà du concret, pensa t'elle" réjouie par ses conclusions. Elle entendit un petit sifflement dans mister dos. Elle tourna la tête. Il était là dans l'encadrement de la porte. Elle en lâcha le bol de café qui explosa sur la table. "Ben alors, la miss, on est toute nerveuse. Regardez-moi ce travail" dit-il en montrant les morceaux brisés du bol sur la table. Il s'approcha d'elle et lui roula un patin. Elle se laissait embrasser, sans bouger. La langue de l'homme pénétrait sa bouche et elle ne se rebellait même pas. Il la regarda quelques instants et, dans un sourire, lui chuchota à l'oreille : "Nettoie-moi toute cette merde et fais-moi un café" Elle se leva et commença à remplir la cafetière d'eau. Elle tournait le dos à l'homme qui s'assit et s'alluma une cigarette. "Enlève ton peignoir, je veux te voir à poil". Ces mots la glacèrent. Elle se tourna vers lui, hésita le temps d'une seconde, mais dominée par le ton insistant de l'homme, elle accepta de découvrir mister corps à l'inconnu qui n'en perdait pas une miette. Elle voulait dire non, se rebeller, se révolter. Mais, finalement, elle se retrouvait bloquée. Bloquée par quoi ? elle n'en savait rien. Son esprit, d'ailleurs, ne contrôlait plus rien. Tout en elle appartenait à cet homme et ne répondait qu'à sa voix. La voix du Maître, sans doute. Elle servit le café dans un bol et s'assit à la table. L'homme buvait le café à petites gorgées. Puis, en la regardant, lui dit : "Qui t'a dit de t'asseoir, salope ?... Lève-toi, tourne-moi le dos que je vois ton cul" Soumise et dominée, Isabelle obtempéra. "Penche-toi en avant et écarte les cuisses" Elle s'exécuta une fois encore et exhiba ses fesses rebondies et ses lèvres intimes à la concupiscence de l'homme qui commença à se masturber en la regardant. Les minutes passèrent, elle ne bougeait pas. Elle ne pensait plus. Elle attendait que l'homme prenne mister plaisir de la manière qu'il lui plairait. "Va chercher le portable et mets-toi sous la table pour me sucer" Isabelle, comme un automate, se dirigea vers la salle à manger et revint avec le téléphone. Sans poser de questions, elle se mit à quatre pattes, nue, sous la table, face à l'homme qui écarta les cuisses pour faciliter l'accès à mister mandrin. Celui-ci était énorme, monumental, fier, à la mesure de l'individu. Elle l'emboucha difficilement et ses fines lèvres distendues par les dimensions de la verge, commencèrent un va et vient suave et langoureux sur la hampe noueuse. "Caresse mes couilles pendant que tu me suces". Les ordres tombaient comme des couperets mais Isabelle, stoïque, obéissait toujours. Elle n'était plus vraiment Isabelle, d'ailleurs. La jeune et tendre épouse chaste. Elle était désincarnée, en une sorte de poupée gonflable vivante, faite pour le plaisir de l'homme. Elle ne pensait plus, ne réfléchissait plus. Si l'homme exigeait qu'elle le suce, alors elle le sucerait. Timidement, tout en continuant de pomper l'énorme chibre, elle se mit à caresser les testicules de l'homme comme il lui avait demandé. Elle n'avait pas peur, elle n'était pas angoissée ou inquiète, non, elle ne ressentait rien, c'est tout, comme dans un état second. Elle pouvait le sucer pendant des heures s'il lui demandait. Pour l'heure, l'homme parlait. Parlait beaucoup, même. Au téléphone. Comme si de rien n'était. Bercé par le va et vient velouté prodigué à sa bite par la bouche de la femelle soumise. Isabelle s'appliquait, consciencieusement, à donner un mouvement langoureux et continu à sa bouche sur le gland qui salivait abondamment. Elle avalait de temps à autre du sperme que la verge laissait échapper. Elle sentit la main de l'homme agripper sa chevelure pour donner à la fellation le rythme voulu. Elle ne maîtrisait même plus le pompage. Elle n'était plus qu'une bouche au service du plaisir, une sorte de vide-couilles livrée à la disposition du mâle. Depuis combien de temps le suçait-elle ? Elle n'en savait rien, elle s'en fichait d'ailleurs. Elle attendait que ça se termine, c'est tout. Soudain, elle entendit l'homme déconnecter le téléphone portable. L'ordre tomba, aussitôt. "Viens t'asseoir sur ma bite, petite pute" Elle se leva de dessous la table et constata qu'il faisait jour. Machinalement, elle regarda l'heure : 9h30. Cela faisait une heure et demie qu'elle s'était levé et au moins une heure qu'elle le suçait. Elle se leva difficilement, engourdie par la pose longue et repliée de la fellation. Elle passa ses jambes de chaque côté de celles de l'homme assis et prit le sexe dans sa main pour le pointer vers l'entrée de sa vulve. Elle s'empala avec facilité sur le mandrin monstrueux et constata, avec surprise, que le pompage interminable l'avait, finalement, copieusement excitée. Les commentaires salaces tombèrent. "Mais tu mouilles comme une vraie petite pute" "T'aimes çà sucer les grosses bites, hein, ma belle" Elle ne répondit pas. Elle ne parlait, d'ailleurs, jamais à l'homme. Celui-ci, devant mister silence, frappa avec vigueur les cuisses finement musclées de la femelle qui poussa un gémissement plaintif de douleur. "Réponds-moi, salope. Tu aimes çà sucer les grosses bites ?" "Oui... Oui, Monsieur" L'homme sourit devant la docilité de cette femme qui s'activait et sautait sur le sexe dressé. "Oui, Maître. Réponds-moi : oui, Maître" demanda t'il. Isabelle hésita un court instant, puis desserra à nouveau les dents : "Oui, Maître" L'homme, satisfait de la domination totale qu'il avait sur cette femme, continua : "Saute, ma belle, saute, saute sur la bite de ton maître. Tu sens comme sa bite est gonflée par le plaisir que tu lui donnes. Tu dois être fière de donner autant de plaisir à ton maître. N'est-ce pas que tu te sens fière ?" "Oui, Maître, je me sens fière de vous donner autant de plaisir" L'homme ne pouvait s'empêcher de sourire. Lui savait ce qu'Isabelle ne savait pas encore ou se le dissimulait à elle-même, par honte ou amour-propre. "Tu aimes çà, être soumise, n'est-ce pas ?" Elle ne répondit pas. L'inconscient résistait. Il y avait des mots qu'elle ne pouvait pas prononcer. Des mots fulgurants, au sens trop fort. "Etre soumise", c'était, en fait, pour elle, une expression imprononçable. C'est à ce moment-là que je suis entré. J'avais passé une nuit sans sommeil à l'hôtel. A tourner en rond. A me demander ce que devenait ma femme Isabelle aux mains de cet homme sans scrupule. Quand je suis entré dans la cuisine, la vision d'Isabelle assise sur la verge de l'homme inconnu me révulsa. Elle allait et venait sur lui à un rythme effréné. J'avoue qu'à la place de l'homme je n'aurais pas tenu quelques secondes. L'homme s'adressa à moi : "Assieds-toi, p'tit pédé et regarde ta femme comme elle s'envoie bien en l'air.
chrislebo

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#3,278
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Regarde. Moi, je ne fais rien. C'est elle qui bouge. Regarde comme elle descend sur ma bite, ta salope d'épouse. Elle me lime jusqu'aux couilles." J'étais sidéré du tableau que m'offrait Isabelle. Comment ma tendre épouse pouvait agir de la sorte ? Comment la femme de ma vie pouvait-elle se donner avec tant de ferveur à un rustre, sans foi ni loi. Ses petites fesses magnifiques pistonnaient le mandrin. Celui-ci, il est vrai, était énorme mais était-ce une raimister pour m'oublier, moi, mister mari ? Mais, ce qui m'énervait le plus, c'est qu'elle ne me regardait même pas, elle ne se souciait même pas de ma présence. Elle savait que j'étais là mais ne changeait en rien mister comportement lubrique et salace. J'étais transparent. Il y avait une sorte de complicité physique entre elle et lui qui m'énervait. Les bras d'Isabelle étaient enroulés autour du cou de l'homme d'une façon presque amoureuse. Tout en pistonnant le braquemard, elle embrassait l'homme fougueusement, à pleine bouche, comme jamais elle ne l'avait fait avec moi. En fait, c'était cela qui m'énervait réellement: elle offrait mister corps magnifique à un inconnu, certes, mais, surtout, elle semblait en tirer plus de plaisir qu'avec moi. Mais comment faisait-il pour tenir aussi longtemps ? "Eh là, p'tit pédé, çà à l'air de t'exciter de voir ta femme se faire fourrer". La bosse à travers mon pantalon me trahissait, effectivement. Mais comment pouvais-je avoir du plaisir à regarder mon épouse avec un inconnu ? "Viens là, elle va te branler, ta petite salope. Y'a pas de raimister pour que tu ne participes pas, toi aussi. Après tout, c'est ta femme..." Il riait tout le temps, d'un rire dominateur et plein d'assurance. J'étais soumis, moi aussi, à sa volonté et, sans broncher, je me levais et sortis mon sexe en me dirigeant vers eux. L'homme chuchota à Isabelle : "Allez, petite salope, branle ta petite lopette de mari. Montre-lui que tu l'aimes. Regarde comme il bande bien, le salaud. Il est tout excité de te voir baiser avec moi. Allez, tends ta petite main vers sa petite bite". Isabelle, d'une main gracile et fragile, répondit à l'injonction de l'homme et enroula ses doigts tendres autour de mon sexe. Elle commença à me masturber mais, après quelques aller-retours de sa main, pourtant donnés sans conviction, je ne pus retenir mon excitation et éjaculai mon sperme en de petites giclettes qui atteignirent les cuisses de ma femme. "Eh là, p'tit pédé, çà avait l'air d'être pressé... tu aurais pu attendre de jouir avec ta salope. Dis donc, avec toi, elle n'est pas gâtée ta femme. Tu jouis toujours comme çà avec elle ? Je comprends mieux pourquoi elle préfère se faire tringler par ma grosse bite..." Je reboutonnai ma braguette, me rassis, rassasié, vidé, libéré d'une excitation inconnue jusqu'alors. J'étais cocu et humilié peut-être, mais j'étais repu. Qu'importe qu'il baise ma femme. Après tout, si elle y trouvait mister plaisir... "Eh, p'tit pédé, viens là, approche-toi, j'ai à te parler". Je me levais à nouveau, presque fier d'avoir soudain une certaine importance aux yeux de l'homme et m'approchais de lui. "Dis donc, je commence un peu à fatiguer. C'est que ta salope, c'est une vraie vorace avec moi. Alors, tu sais ce qui me ferait plaisir, c'est que tu passes sous la table et que tu me lèches les couilles." Je me mis à sourire et lui répondit du tac au tac : "Il n'en est absolument pas question. Baisez ma femme, si vous le voulez, mais ne comptez pas sur moi pour vous aider". L'homme arrêta aussitôt les mouvements d'Isabelle et sortit mister chibre énorme de la vulve dégoulinante. "Qu'est-ce qui se passe ?" gémit t'elle, soudainement frustrée de ce plaisir qu'on lui enlevait. "Ton petit mari joue les rebelles, il ne veut pas me lécher les couilles..." Isabelle, les bras enlacés autour du cou de l'homme, me foudroya du regard et me dit : "Essaie au moins d'être utile à quelque chose. Pense à mon plaisir, pour une fois. Si tu n'es pas capable de me donner du plaisir, essaie d'en donner à celui qui m'en donne. Je t'ai fait jouir tout à l'heure, alors pourquoi ne ferais-tu pas un effort toi aussi, pour moi." Quelques mots d'Isabelle et toute ma résistance s'écroulait. Je me sentais coupable d'avoir arrêter le plaisir de ma jeune épouse. La mort dans l'âme, je me glissais sous la table et avançait vers eux. Je saisis le mandrin énorme de l'homme et le pointa à l'entrée de la vulve ouverte qui salivait abondamment. Isabelle s'empala à nouveau jusqu'aux couilles dans un râle de bonheur et reprit mister va et vient effréné sur la hampe violacée. "Alors, p'tit pédé, qu'est-ce que t'attends pour me lécher" Je fermai les yeux, sortis ma langue et commençai à lécher les couilles poilues de ce rustre qui obtenait tout ce qu'il voulait. Je voyais par en-dessous l'intimité de ma femme qui se laissait pénétrer avec délectation. Ses deux petites lèvres intimes étaient distendues et s'offraient, ouvertes et dégoulinantes, au mandrin qui les écartaient. Isabelle n'avait aucune attention pour moi. Ses fesses venaient s'écraser, parfois, sur mon visage meurtri. Je léchai tant bien que mal les testicules mouillés par la cyprine de ma femme. J'étais vraiment humilié mais mon épouse jouissait et c'était cela qui m'importait. L'homme avait tous les droits. Il pelotait les petits seins ronds comme des pêches, puis les portaient à sa bouche pour les dévorer goulûment. Il écartait largement les cuisses de mon épouse pour que la pénétration soit plus profonde et le plaisir de sa bite plus intense. Isabelle n'arrêtait pas de jouir. A chaque fois, elle laissait s'échapper un petit gémissement qui la trahissait ainsi que de petits tressaillements au niveau du bassin. L'homme lui chuchotait plus qu'il ne lui parlait. Tout ce qu'il faisait ou disait participait au plaisir de ma femme qui lui caressait les cheveux, tendrement. "T'aimes çà, faire la salope avec ton Maître, même devant ton mari ?" "Oui, Maître, çà m'excite" "Tu recommenceras à me donner du plaisir ?" "Quand vous vous voudrez, Maître, je suis votre servante." "Je peux te demander tout ce que je veux, maintenant ?" "Tout ce que vous voudrez, Maître, quand et où vous voudrez ? Je suis à vous, pour votre plaisir" "Et à un autre, çà te plairait aussi de te faire baiser par un autre, un inconnu, si je te le demande ?" "Je suis prête à tout pour votre plaisir, Maître. Demandez-moi et j'exécuterai" "Je veux que tu te tiennes prête à donner tes jolies petites fesses à n'importe qui" "Oui, Maître, je me donnerai à n'importe qui, si tel est votre plaisir" "Je veux que tu exhibes tes jolies jambes quand je te le demanderai, n'importe où, ici ou dans la rue" "Oui, Maître, je porterai les vêtements que vous voudrez et montrerai mes jambes dans les positions que vous voudrez" "Je veux que tu te laisses caresser par n'importe qui, si je te le demande" "Oui, Maître, mon corps est à vous et vous pouvez l'utiliser comme bon vous semblera" "Je veux que tu sois toujours à disposition pour le plaisir de ma bite" "Oui, Maître, je me tiendrai toujours prête pour que vous preniez votre plaisir quand vous voudrez" Sous l'excitation des mots et des questions, Isabelle accéléra mister va et vient sur le braquemard démesuré dans un rythme frénétique et se laissa submerger par une vague de jouissance terrible qui lui tenailla le bassin dans un orgasme indescriptible. Le plaisir se répandit dans tout mister corps qui hoqueta sous la power du plaisir extrême. Elle renversa sa tête en arrière, se laissant envahir par des spasmes incontrôlés. Elle ne put s'empêcher de gémir sous l'emprise de la power de l'orgasme. Je me levai pour aller m'asseoir, j'étais devenu inutile à leurs ébats. Le Maître la prit dans ses bras et la coucha sur la table. Il la pilonna, la tringla, la baisa. Les couilles faisaient mal, il lui fallait décharger. Il accéléra le mouvement au point de meurtrir la douce matrice de mon épouse. La verge prenait des allures de tronc d'arbre. Il accéléra encore le mouvement dans un pistonnage insensé qui finit par l'amener, enfin, à la jouissance extrême.
chrislebo

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#3,279
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Il inonda ma femme de mister jus visqueux en de longues giclées copieusement nourries. Je les regardai, repus, vidés. Ma femme, allongée sur la table, les yeux fermés, les cuisses écartées, laissait échapper le jus blanchâtre de l'homme. Elle se releva, regarda cet homme qui était dorénavant mister Maître. Elle le toisa, il était magnifique à ses yeux, tout en muscles, d'une taille et d'une carrure impressionnantes. Elle s'approcha de lui et commença à embrasser ses pectoraux puissants, puis mister bas-ventre. Elle pourlécha mister sexe pour se délecter des restes de sa semence. Elle huma, les yeux fermés, les fortes odeurs de sperme qui s'échappait du braquemard divin. Elle se releva et lui dit : "Maître, je suis fière d'être votre servante. J'ai compris aujourd'hui, tout le plaisir que j'avais à être soumise. Soumise à vos désirs, soumise à vos ordres, soumise à votre sexe. Vous m'avez révélée à moi-même. Je n'ai jamais autant joui de mon corps que depuis que je vous connais. Je voudrais que vous me gardiez près de vous. Je vous promets d'être obéissante, même pour satisfaire le moindre de vos caprices. Vous êtes un Dieu, vous êtes un Maître pour moi, souffrez que je vous présente mon corps en guise d'amour. Il est à votre disposition. Soumis, offert, abandonné à vos envies. A vous d'en faire l'usage qu'il vous plaira." L'homme, interloqué par cette déclaration, lui avoua qu'il ne méritait pas un tel intérêt mais qu'il se garderait bien de refuser la demande d'Isabelle. Elle serait sa servante, d'accord. Toutefois, il se donnait quelques jours pour juger des capacités réelles de ma jeune épouse pour remplir sa mission. Mais cela est une autre histoire...
vanbruje

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#3,280
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Très beau texte qui me rappelle vaguement quelque chose, mais c'est toujours aussi bon, même si c'est à relire... Merci
chrislebo

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#3,281
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Ma femme et Omar !


Je suis marié depuis 15 ans à une très jolie brune de 35 ans. Elle mesure 1m65 et pèse 48 kg donc plutôt fine mais avec
des seins assez gros et des tétons très fermes et excitants. Un joli cul et une silhouette vraiment sensuelle même si elle
n’est pas très grande. Elle est surtout très souriante avec de très beau yeux noisettes et une bouche superbe, un tout petit
nez. Vraiment une belle fille et j’en suis assez fier. Sexuellement elle aime faire l’amour mais j’ai toujours pensé que je ne
la satisfaisais pas totalement. Qu’elle était faite pour quelque chose de plus toride que ce que nous vivons ensemble. Elle
est aussi très anale mais j’ai souvent du mal à l’honorer de cette façon car mes érections ne mistert pas assez constantes.

Nous sommes partis en vacances à la Guadeloupe un hiver. L’hôtel était très sympa et ma femme adore le ski nautique.
Nous avions choisis cet hôtel car il possédait un club. Depuis notre arrivée, ma femme passait ces après midi à faire du ski
pendant que je lisais sur la plage.
Un jour elle est rentrée toute émoustillée et m’a raconté qu’un des gars du club l’avait draguée. Un très grand black appelé
Omar qui pilote souvent le bateau. Ma femme après avoir fait quelques tours de ski, passait mister temps dans le bateau et
évidement elle discute avec Omar.
C’est un homme impressionnant de 1m90, très musclé et assez charmeur.
Nous étions là depuis 5 jours, le WE arrivait et j’ai proposé à ma femme d’aller boire un verre dans la ville d’à côté. Après
avoir hésité entre plusieurs bars, nous choisismisters finalement le plus branché. A peine entré une voix interpelle ma
femme. C’est Omar attablé avec un amis. Aussitôt ma femme s’avance vers eux et s’assoit. Je reste un peu étonné par mister
attitude. Elle commence à discuter avec Omar comme si de rien n’étais. Au bout d’un moment, permisterne ne faisant plus
attention à moi je m’assois aussi au bout de la table. La conversation partait sur le ski nautique, le club et les cancans de la
semaine. Je me sentais très loin de la conversation n’étant pas très actif au club. Omar, mister amis et ma femme riaient
ensemble.
Après un moment je me lève pour aller au WC. Pris d’un doute soudain je reviens sur mes pas et observe notre table à
travers un massif de plantes. La conversation continuait quand un couple et une femme mistert arrivé. L’amis d’Omar c’est
levé pour discuter avec les nouveaux arrivants. Ma femme était seule à la table avec Omar et semblait absorbée par sa
conversation avec lui. A vrai dire elle n’avait d’yeux que pour lui. Il lui parlait en s’approchant d’elle. Soudain j’ai eu
l’impression qu’il l’attrapait par la taille car elle s’est retrouvé très proche de lui. Et à ma grande surprise c’est ma femme
qui c’est avancé vers lui et l’a embrassé à pleine bouche. Un baiser fougueux ! et qui a duré un bon moment. J’ai attendu
qu’ils se calment et je suis revenu. Omar n’a pas fait attention à moi. J’ai senti ma femme un peu génée quand meme.
Soudain Omar a mis sa main sur la cuisse de ma femme comme si de rien n’était. Elle a sursauté légèrement mais n’a rien
fait pour le repousser. Il a donc tranquillement glissé sa main sous la robe de ma femme et lui a caréssé les jambes
jusqu’a ce qu’on decide tous d’aller diner (permisterne ne m’avait demandé mon avis).
Pendant le diner, ma femme assise à côté d’Omar c’est fait caresser sous la table pendant tout le repas et rigolait de plus
en plus sans se soucier de moi, relégué au bout de la table. En suite, rendez-vous en boite. Là les choses mistert devenus
plus chaudes. Omar est venu me voir et m’a dit :
“Ta femme me plait et je lui plait. Elle a besoin d’un homme, un vrai. Tu peux rester avec nous ce soir si tu veux mais
maintenant c’est ma femme et plus du tout la tienne. D’accord ?”
J’ai bredouillé un “oui”.
“C’est bien. Je savais que tu avais l’air d’un bon cocu… Je retourne m’occuper de ta femme…”
Ils ont dancé de façon très sensuelle. Ils s’embrassait à pleine bouche. Omar la caressait à travers le tissus fin de sa robe.
Son amis sortait avec la fille qui nous avait rejoins. Le couple nous avait quitter avant de partir en boite. J’étais donc celui
qui tenait la bougie entre ma femme et mister futur amant et les 2 autres qui avaient l’air de bien s’amuser aussi. Omar a
voulu en plus que je règle l’addition… salée !

Dans la voiture qui nous emmenait chez Omar j’étais à l’arrière avec mister amis et sa nana.
Tout à coup, cette dernière a commencé à sortir le sexe du copain. J’en avais jamais vu d’aussi gros. Elle s’est jeté dessus
et a commence une bite sublime. Ma femme regardait le spectacle, fascinée par la taille de la queue noire dure et
épaisses dont la fille avait l’air de se régaler. Omar regardait ma femme du coin de l’œil, l’air amusé et la main dans sa
culotte.

Nous sommes arrivé chez Omar. Sans attendre Claire et lui mistert aller directement dans la chambre sans faire plus
attention à moi. Son copain m'a demandé de dégager car il voulait être tranquille pour baiser sa copine. Je me suis donc
replié dans la cuisine. Au bout d'un moment j'ai entendu la fille gémir à côté. je me suis dit que ma petite femme devait en
faire autant. Je suis sortis dans le jardin par la porte de derrière et j'ai contourné la maimister. Arrivé sous les fenêtres de ce
que je croyais être la chambre d'Omar, j'ai pris une vieille caisse qui traînait là et j'ai regardé par la fenêtre entre les
rideaux mal tirés. Claire était à cheval sur lui et faisait glisser la grosse queue d'Omar dans sa petite chatte étroite. Lui se
régalait des gros seins de ma femme pendus au-dessus de lui et qu'il léchait. Ensuite les choses devinrent plus hard.
Omar soulevait claire comme une toute petite chose et la mettait dans toutes les positions. A chaque fois sa queue
pilonnait de plus en plus fort ma femme qui gémissait encore plus fort. J'avais l'impression d'un crescendo qui n'en finissait
pas ! je n'avais évidement jamais baisé ma femme aussi fort et aussi longtemps. Ce qui m'étonnait aussi c'était l'ardeur de
ma femme à caresser et embrasser à pleine bouche mister amant comme si ils se connaissait depuis longtemps. D'ailleurs si
lui la traitait de salope et de pute en la baisant, elle n'arrêtait pas de l'appeler mon chéri ! Incroyable.
Ensuite Omar la placer en levrette et fait couler du gel entre ses fesses. Je le voyais doigté largement le cul de ma femme.
Il l'a ensuite enculé doucement. Au bout d'un moment d'une bonne baise par le cul, il s'est retiré et il est sorti de la
chambre. J'ai compris qu'il me cherchait. Je suis revenu en courant et il m'a trouvé dans la cuisine. Il m'a demandé de le
suivre dans la chambre. Ma femme était toujours en levrette, mister anus était béant. Omar y a introduit sa queue entièrement
chrislebo

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#3,282
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et a recommencé à limer le cul de Claire qui s'écartait les fesses en lui criant de baiser fort. J'ai sorti ma queue juste à
temps pour éjaculer trois goûtes sur le sol.
Ma femme jouissait comme jamais elle ne l'avait faite. Cette baise énorme durait depuis 1 heure maintenant. Omar s'est
retiré, il a pris dans sa main le visage de ma femme, dressant sa queue qui était énorme à ce moment en face de mister
visage. Claire avec le bout de la langue essayait de toucher ce gland monstrueux. Et soudain un jet de sperme épais et
puissant a atteint Claire en plein visage, aussitôt un second et enfin un dernier. Le visage de claire était couvert de sperme
et elle souriait en regardant Omar. Il m'a alors demandé de sortir et ils ont passé la nuit ensemble.
J'ai réussi à trouver un coin dans le salon pour dormir. Le lendemain matin, je me suis réveillé assez tard. L'amis d'Omar et
sa copine n'étaient plus là. Je suis allé à la cuisine pour me faire un café. Et puis les gémissements ont recommencé
comme hier soir. En tendant l'oreille j'ai reconnu ma femme. Omar devait la rebaiser encore une fois... J'étais en train de
boire mon café quand Omar est arrivé dans la cuisine. Il a pris du café aussi. C'est là que j'ai réalisé que les gémissements
de Claire continuaient quand même malgré la présence d'Omar à mes côtés. Celui-ci souriait de toutes ses dents en
regardant mon visage étonné. Il m'a fait un signe de tête du genre : "Vas-y, va voir dans la chambre". Je me suis levé et je
suis allé à la chambre. Ma femme était à nouveau à quatre pattes, le nez dans les draps, les mains crispées sur la
couverture. Elle gémissait comme une folle. Derrière elle, tout sourire, l'amis d'Omar, pilonnait vulgarement le cul de Claire.
Je me suis avancé pour voir mieux. Il avait une bite énorme. Plus grosse que celle d'Omar et le préservatif gluant de gel la
rendait encore plus monstrueuse. Il enculait Claire et s'enfonçait jusqu'aux couilles énormes et pendantes qui à chaque
coup de rein, venait cogner la chatte de ma femme. Omar est arrivé et il a pris la place de mister amis dans le cul de ma
femme. J'ai remarqué tout de suite que lui la baisait sans préservatif. Je m'en suis étonné mais il m'a répondu que c'était sa
femme et qu'il n'avait pas besoin d'en utiliser pour baiser sa propre femme. Ils m'ont demandé de sortir et ont continué à
baiser Claire une bonne partie de la matinée. Quand elle est sortie de la chambre pour aller à la douche, mister visage et ses
cheveux étaient couverts de sperme. Elle n'a même pas fait attention à moi !

On a passé la journée à la plage avec Omar et mister amis. Deux autres amis à lui nous ont rejoint en fin de journée. Claire et
Omar étaient comme mari et femme. Ils se tenaient par la main, s'embrassait, elle l'a massé sur la plage et sans doute
sucer aussi à un moment mais je n'ai vu que la fin. J'étais parti acheter des bières pour tout le monde.
En fin de journée Omar est venu me voir.
"On va te laisser à ton hôtel, Claire reste avec moi cette semaine. Elle reviendra à l'hôtel pendant la journée pour profiter
des activités et on se retrouvera, elle et moi, le soir". J'ai accepté.

Ils m'ont laissé à l'hôtel et j'ai vu ma femme s'éloigner accompagné de ces 4 blacks. Elle riait, elle avait l'air heureuse.
Omar avait glissé la main dans la jupe de ma femme comme pour bien montrer qu'elle était sa femme...
vanbruje

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#3,283
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Histoire récente, merci, elle est très bonne...
houston

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#3,284
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waoooo !!
chrislebo

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#3,285
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Devenir cocu et l'accepter naturellement.



Je souhaite vous raconter comment je suis devenu cocu le plus naturellement, sans le rechercher et y trouver un plaisir insoupçonné.

Les femmes mistert souvent plus franches et parfois ne s'embarrassent pas de phrases compliquées quand elles ont envie d'une relation sexuelle avec un autre même mariée.

Ma femme a trente ans et l'année dernière m'a trompé pendant les vacances, j'ai vu et assisté à tout ce qui lui a permis de passer à l'acte.

Nous étions à la plage dans des bungalows pratiquement sur la plage sur la côte méditerranéenne, nous sommes mariés depuis quelques années, ma femme est mince et très attirante, elle aime le sexe mais ne m'avait jamais dit jusqu'à ces fameuses vacances qu'elle voulait avoir une relation sexuelle avec un homme du centre de vacances.

je vais raconter comment cela s'est passé si vous le souhaitez. Les femmes ont des envies une fois mariée et en fait avoir un seul partenaire toute la vie n'est pas acceptable pour leur sexualité, une femme qui sait tenir éveillée mister mari , le gardera fidèle et peut-être docile et complaisant....
chrislebo

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#3,286
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Voilà l'histoire: ces bungalows sur la plage créent une certaine promiscuité et un matin notre porte était ouverte ma femme était nue sur le lit, lorsqu'elle vit une tête par la porte la regarder nue.
Elle ne me dit rien sur le coup et alla prendre sa douche, les douches ont de petites portes battantes qui ne montent pas très haut et si l'on se penche on peut jouer les voyeurs est sans aucun problème.
Le même homme l'avait suivi et l'a regardé , elle s'est ausitôt retournée, il s'était présenté. Ma femme au retour me raconta l'aventure de ce voyeur et me dit il exagère mais j'aimais bien qu'il me regarde.
Elle me dit je ne sais pas pourquoi mais ce type m'a fait de l'effet. Je lui ai dit et bien toi au moins tu es franche. Je tiens à préciser que je n'avais jamais pensé à voir ma femme avec un autre.

Elle me dit, tu ne vas pas t'offusquer pour un type qui me regarde nue , sur la plage on est preque nus. justement sur la plage cet homme est revenu nous voir s'est présenté et m'a dit pourquoi vous n'allez pas sur la plage au fond , la plage naturiste c'est beaucoup plus sympa.
Venez ce soir je vous offre un verre. Ma femme dit tout de suite oui oui nous viendrons.
le soir elle s'était habillée incroyablement sexy: une petite robe courte et un string.
Chez ce voisin il nous dit qu'il était responsable des activités de la plage, il me dit vous devruiez laisser une belle femme comme la votre aller du côté des naturistes, vous verrez c'est très agréable et sensuel. Je ne l'avais jamais vu ainsi car à plusieurs reprises elle décroisait les jambes et montrait mister entrecuisse et mister string avec un naturel que je ne lui connaissais pas.
Ma femme dit à ce moment là. oui chéri j'ai envie d'essayer. Bon très bien dit cet homme qui s'appelle Alexis, je vous attend demain matin. En partant il embrasse ma femme sur les joues mais presque sur la bouche.

En rentrant elle me dit il est charmant et très sympathique, il faut que je te dise mon chéri, il m'excite ce garçon. Comme je te dis tout je te le dis.
Je lui dis qu'elle exagère un peu, et là elle me dit tu sais mon amour il faut tout se dire , tu préfères que je garde pour moi le fait que cet homme me fasse mouiller?
Je suiis franche et j'aime que tu saches tout ce que je ressens.
Le lendemain matin sur la plage......
chrislebo

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#3,287
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En arrivant sur la plage naturiste, nous nous trouvons au milieu de gens nus, de tous les ages, nous nous mettons un peu à l'écart, et ma femme Sandra se met entièrement nue, et bien sûr de la voir ainsi déclenche chez moi une forte érection, heureusement que je ne suis pas nu.
Je lui mets de la crème et elle se met sur le dos , elle a une toimister chatain qu'elle a taillé c'est facile à voir. Nous ne voyons pas Cyril. Sandra semble un peu déçu.
Je vais nager à cause de la chaleur et je garde mon maillot, une fois dans l'eau je le vois Cyril, il s'approche de ma femme , elle s'assied l'embrasse mais de l'eau je ne peux entendre ce qu'il lui dit . Il rient et lui semble regarder vers sa chatte.
Je le vois s'éloigner et je sors de l'eau, en arrivant à sa hauteur elle est toujours sur le dos et les jambes assez écartées permettent de voir ses lèvres.
Mon chéri dit-elle j'ai vu que tu étais excité quand je me suis mise nue, tu aimes que les gens me regardent? je lui dis qu'elle était excitante et là elle me répond et bien moi je suis excitée par Cyril tu sais il m'a dit que j'avais un très beau corps et une très belle chatte mais que je serais mieux si je me rasais entièrement comme la plupart des jeunes femmes ici. Tu sais il m'a fait écarter les jambes et bien je les ai écartées et je lui ai montrès l'entrée de mon vagin. Il m'a dit qu'il voyait qu'il me faisait de l'effet.
Tu sais mon chéri dit elle j'ai envie d'aller plus loin juste pour les vacances et que tu partages mon excitaiton, tu serais d'accord ?
Elle me dit tu bandes vraiment ? je lui dis que je trouvais cette situation excitante mais que je n'étais pas rassuré de la voir draguée par ce type. je suis jaloux et cela ne doit pas aller trop loin.

A ces mots elle se leva nue et prit ma main qu'elle dirigea vers ses lèvres intimes . Mon chéri dit-elle tu sens que je mouille énormément pour Cyril , j'ai vu mister sexe et il s'est retoruné vers moi quand il est venu car il commençait à bander. J'en suis très excitée.
Viens dans le bunglow je veux faire l'amour. je t'aime dit elle et nous avons fait l'amour d'une façon terrible. A la fin elle dit laisse moi faire ce que je veux avec mon corps et tu sauras tout et nous ferons l'amour toutes les vacances.

je lui dis que je savais que de toute façon elle ne ferait que ce qu'elle veut, elle dit oui mon chéri mais je veux ton accord et être bien avec toi.
Elle dit tu sais qu'il m'a demandé de participer au concours de la femme la mieux peinte sur la plage naturiste, il va peindre mon corps et même ma chatte, pour cela je vais me raser entièrement. je bandais et ui ce qu'elle disait m'excitait malgré moi.

J'allais faire quelques achats quand en revenant je fus surpris, Cyril était dans notre bungalow en train de l'embrasser sur la bouche et de lui peloter les seins elle avait seulement un short en me voaynt il eut un mouvement de recul mais elle n'avait pas l'air gênée, elle....................
chrislebo

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#3,288
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Elle s'éloigna de Alexis (j'ai fait une erreur cyril est le directeur du camp de vacances)
Il dit tout de suite je ne cherche pas à créer de conflits, la seule chose que je peux dire, ta femme veut avoir une aventure sexuelle avec moi et elle est vraiment excitée.
Il dit je l'attends dans une demie heure dans mon bunglow seule si vous êtes d'accord sinon je passerai à autre chose.
Il dit , il vous reste 6 jours de vacances , si elle vient ce soir comme je le crois cela peut-être très positif pour vous et participer à augmenter votre libido, Tu es le mari mais si ta femme vient ce soir elle sera ma femellle jusqu'à la fin du séjour, c'est à dire elle fera ce que je veux quand je veux et à n'importe quelle heure.

Tu lui feras plaisir et redeviendra mister légitime en rentrant, Je suis certain que vous y trouverez du plaisir à partager et du plaisir à lui donner. Moi je ne cherche que mon plaisir.
Vous avez une demie heure pour en parler et pour la première fois je veux être seul avec elle et la prendre comme je l'entends. En regard de mister excitation il la regarda et dit je t'attends.
Nous avons discuté et j'étaisz vraiment excité et jaloux oui c'est possible. J'ai cédé et elle m'a promis de me raconter ce qu'il lui ferait.
La laisser partir voulait dire que je n'étais plus vraiment avec elle pendant ces six jours , seulement si elle voulait faire l'amour et par contre elle lui appartenait physiquement. Je raconterai demain ce qu'il luia fait le premier soir car elle est allée devant mister bunglow et il lui a ouvert, elle avait enlevé sa culotte pour me provoquer. et l'attente de mister retour pour moi était très longue et difficile à supporter car on se fait un cinéma d'enfer.


On croit connaître sa femme, mais en fait pas du tout, j'étais loin d'imaginer ses désirs sexuels. Devenir soumise d'un dominateur en vacances qu'elle enc onnaissait même pas et qui lui fait un effet tel qu'elle ne peut refuser ses avances.
En fait elle est restée chez lui pendant près de trois heures, je ne dormais pas du tout et après mister retour je n'ai pas dormi de la nuit.
Elle est arrivée les joues rouges le regard un peu bizarre, Elle était extrêment excitée encore, et m'a demandé de ne pas lui poser de question et de la pénetrer sans faire de commentaires.
Je n'ai pas pu refuser et mon excitation était telle que j'avais du mal à respirer.
Elle ne voulait pas que je bouge mais juste que j'écoute ce qu'elle avait à dire:

Elle commença par me dire tu peux sentir que je suis trempée et que mon vagin est large, j'ai confirmé de la tête.
Elle m'a dit qu'elle ne voulait pas que je bouge car elle avait la vulve irritée. Elle m'a expliqué qu'il l'avait fait attendre vingt minutes sans lui parler, puis il lui a demandé de s'allonger sur le lit en enlevant tous ses habits, elle obéit et me confirma qu'elle était très excitée d'obéir et adorait savoir que j'étais à côté et que je savais qu'elle allait se faire baiser par cet homme.
Il lui fit écarter les jambes et examina mister sexe puis il entreprit de la raser lui même, jusqu'à ce qu'elle soit lisse, il prit soin ensuite d'examiner mister vagin longuement par deux puis trois doigts à l'intérieur, elle ne devait pas bouger et m'a confirmé avoir joui très fort au point qu'elle était comme saoule.
plus tard il a exigé qu'elle lui fasse une fellation et en a profité pour enfocer sa queue en totalité dans sa gorge, il lui tenait la tête à plusieurs reprises et m'a dit avoir presque vomi, mais en même temps plus il la dominait plus elle se sentait sous mister influence.
Il la prise ensuite sans ménagement et il a mis dit elle un preservatif.
Ensuite il l'a obligée à rester nue et d'écarter les jambes. Et un quart d'heure avant de lui dire de partir il l'a embrassée sur la bouche longuement et il a mis ses doigts en frottant juqu'à ce qu'elle jouisse. Elle m'a dit avoir joui en quelques minutes. En partant il lui a dit que demain était le concours et qu'elle lui appartenait le restant des vacances.
J'ai joui en elle en écoutant ce récit sans pratiquement bouger, ce qui lui a plu et elle me dit tu sais mon amour je fais tout ce qu'il veut et pas toi pour le restant de la semaine, ce qui me donna un autre érection......
chrislebo

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Elle était nue sur le lit parfaitement indéscente et sans la moindre gêne , elle s'est endormi sans aucun scrupule et même satisafaite, elle vivait pleinement sa féminité, je la regardais dormir nue rasée, ell venait de se faire prendre par cet homme à côté avec mon accord elle lui donnait mister corps et je l'aimais toujours encore plus.

tôt le matin elle vint vers moi, et encore excitée elle cherchait à avoir du sexe elle me réveillait et dit prends moi s'il te plait , entre en moi, je le fis j'obéis à ma femme, oui c'était moi qui était à mister service. bouge doucement dit-elle sans jouir jusqu'à ce que j'ai un orgasme, pendant que je pense à ce que le voisin m' afait hier soir.

Alors je bandais comme jamais et je bougeais en elle, elle sentait encore le sexe car elle n'avait pas pris de douche, je devais aller très doucement pour ne pas jouir. Elle me dit fais ce que je veux s'il te plait pendant le reste des vacances sans me juger. j'ai accepté. je bougeais en elle quand une permisterne frappa à la porte, je remontais le drap et je me retirais de mister corps chaud pendant qu'elle gémissait. J'ai dit entrez il devait être six heures du matin.

A la porte mister homme de vavances, il la regarda , elle aussi il lui dit sors du lit, ce qu'elle fit aussitôt, elle s'approcha de lui nue, et il lui dit , tu n'as pas envie de ton homme de ton maître? Elle baissa la tête et dit oui je suis à toi, il lui mit la main entre les cuisses et on voyait qu'il introduisais ses doigts dans mister vagin, elle le laissait faire et ouvrait ses jambes pour lui permettre d'aatteindre les parties de mister intimité qu'il désirait, il lui dit c'est bien. viens ici sur le canapé et ouvres tes jambes, elle obéit sans un mot elle écarta si fort les jambes que je voyais toutesses lèvres et l'ouverture du vagin, il baissa mister maillot et mister sex dur apparu et devant moi tout à fait normalement il pénétra ma femme d'un seul coup sans précaution jusuqu'à la garde, c'est bien tu es à moi et tu fais ce qu'une femellle doit faire s'offrir sans restriction même devant mister mari, je le voyais pour la première fois aller et venir dans mister vagin, je voyais sous un angle comme jamais, je voyais les lèvres de ma femme entourer le sexe de cet homme et le bruit indiquait qu'elle mouillait tout naturellement.

Elle dit à un moment j'aime que mon mari regarde, cela augmente mon excitation, il dit oui je suis d'accord mais pas question qu'il participe il eut regarder mais je ne suis pas bi, elle répondit oui je suis à toi mon corps t'appartient, il jouit en elle et se le va pour se rhabiller, elle semblait frustrée et dépitée encore haletante, tu ne dois pas oublier dit il que je prends mon plaisir et que tu es àma disposition, je ne cherche pas forcément ton plaisir . J'éspère que tu as compris Sandra, elle lui dit oui je comprends je n'ai rien à dire. c'était déjà très bon dit elle.

Il partit et sit je t'attends vers dix heures sur la plage pour peindre ton corps bien-sûr tu viens nue. Il ferma la porte. Elle resta un instant comme il l'avait laissé les jambes ouvertes , la vulve rouge, elle vint me rejoindre et m'embrassa longuemet et sensuellement.
Puis elle me dit tu as vu comment il était il s'est servi de moi et j'ai mister sperme dans mon vagin , donnes moi du plaisir avec ta bouche , je lui dis qu'elle aille prendre une douche d'abord et me dit comme une enfant gâtée s'il te plait maintenant j'ai envie de sentir ta bouche sur mes lèvres , s'il te plait chéri fais-le allez. Et je l'ai fait elle avait un visage content et fier de se dire que j'étais à sa disposition pendant qu'elle avait u amant à qui elle se donnait sans restriction et sans la plus petite culpabilité.....
vanbruje

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Tout bon, merci !!!
chrislebo

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#3,291
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En attendant l'arrivée de mister amant elle est nerveuse et elle ne cesse de me rappeler ce qu'il lui a fait et qu'elle aime mieux faire l'amour avec lui.
Elle prend du plaisir à me demander des cunnilingus en me rappenlant pour m'ennuyer je pense que quand il sera là , je n'aurai droit que de mettre ma bouche là entre ses cuisses.
Elle me confirme que pendant ces trois jours elle ne veut pas faire l'amour avec moi, elle voudrait tester d'être uniquement sa maitresse devant moi au dans une autre pièce mais avec l'exclusivité pour lui de mister corps.
Elle m'a avoué que c'est lui qui lui a demandé.
Elle m'embrasse très fougeusement et me dit, tu vas aimer mon amour et tu seras le mari le plus gentil avec sa femme adorée même si elle n'est pas fidèle pendant trois jours.
Elle dit, tu n'en voudras pas à ta femme adorée d'être à la dsiposition d'Alexis jour et nuit.
Elle a d'ailleurs demandé trois jours de vacances.
Elle s'est rasée entièrement et vient me montrer en écartant les jambes pour bien m'exciter et cela m'excite c'est vrai mais cela m'énerve.
Elle se promène ainsi dans toute la pièce et nous faimisters l'amour comme elle le désire pour les dernières fois avant l'arrivée de Son maître Alexis si on peut dire.
c'est elle qui choisit le moment où nous faimisters l'amour par contre avec lui elle n'oserait pas lui imposer le moment.
Là elle se fait petite fille docile et obéissante.

J'ai une drôle de femme mais j'y suis très attaché.
chrislebo

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#3,292
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Le jour de l’arrivée d’Alexis ma femme était si excitée au sens physique du terme elle était en robe et une heure avant elle ne tenait plus. Elle me dit je suis très ému et je suis trempée. Je crois qu’il lui fait de plus en plus d’effet ou alors ce mistert ces semaines sans le voir et mister souvenir.

Quand il misterna à la porte , un homme habillé fit mister apparition, c’est toujours très différent de voir une permisterne à la plage et en ville. Les politesses d’usage il dit bonjour à ma femme en l’embrassant et une main sur la taille puis il se dirigea vers moi et me remercia de le recevoir.

Nous avons dîné , ma femme lui a montré la chambre et bien sûr elle a choisi celle avec un grand lit. Puis nous avons dîné , le repas et la discussion étaient assez conventionnels..

Pendant le repas j’ai juste remarqué qu’il avait parfois sa main sur la cuisse de ma chère et tendre. Nous sommes allés dans le salon, il a commencé la conversation et est entré dans le vif du sujet. Il dit : « afin que tout soit bien clair je suis ici parce que je voulais revoir ma chère soumise de la plage et pour continuer une relation avec elle. Il me regarda et dit je sais que tu es d’accord de faire plaisir à ta femme . Il faut que tu saches aussi que lorsque je lui ai dis que je venais pour elle , elle a insisté et confirmé qu’elle ferait ce que je voudrais et qu’elle était impatiente.

Le corps de ta femme est à moi pour ses trois jours . Quand elle est en ma présence tout absolument tout de mister corps m’appartient.

Il la regardait debout dans le salon et s’est mis à côté d’elle, n’est-ce pas que tu es ma soumise ? Elle me regarda tout en répondant un oui assez fort.

Cela veut dire que tu n’obéis qu’à moi pendant cette courte période, pendant qu’il disait cela il s’approcha d’elle et mit la main sur ses seins devant moi. Tout ceci m’est réservé et je consens à ce que tu ailles avec ton mari quand je dors, il malaxait ses seins à travers le tissu elle devenait rouge et quand il fit tomber les bretelles pour dénuder sa poitrine il pinça les seins l’un après l’autre assez fort pour voir une petite larme dans les yeux.

Il reprit mister discours et dit: tu vois cher ami ta femme aime ça et si tu étais devenu mister maître tu verrais comment elle t’appartiendrait, il s’aventura plus avant et plus vulgairement, il mit sa main sur le ventre. C’est impératif pour moi je ne peux aimer ta femme que si je la possède entièrement. Elle a besoin que tu aimes ce qu’elle subit avec moi quand je te laisse regarder.
Elle veut que tu lui fasses l’amour et que tu écoutes ce que je lui ai fait et que tu jouisses de mister plaisir.

(C’est terrible ce sentiment d’être dépossédé de sa femme, au début c’est vraiment frustrant et sentir que mister corps ne m’appartient pas qu’elle l’offre à un autre aussi facilement, je l’accepte parce qu’elle le veut et qu’elle prend du plaisir à être possédée et soumise elle aime que je la vois obéir. Avant qu’il entre elle m’a embrassée avec power et m’a dit, c’est si bon pour moi que tu acceptes que j’appartienne sexuellement à cet homme. Jamais je ne pourrais accepter que tu me possèdes comme lui, avec toi j’adore que tu fasses comme je le sens pour mon plaisir c’est délicieux aussi mas différent.)

Et puis je revenais à la réalité, Il continuait à expliquer comment il voyait ces trois jours et souleva un peu sa robe pour toucher ses cuisses ses fesses, il parlait et la pelotait, elle se tenait contre lui et je ne pouvais que regarder il parcourait tout mister corps rapidement et parlait elle buvait ses paroles elle était vraiment à lui.

Sans aller loin il l’embrassa sur la bouche et après dit, il n’y a aucun inconvénient à ce que ta femme reste avec toi pendant que la nuit si je ne l’appelle pas. Voilà maintenant pour la première nuit je souhaite me reposer prendre une douche et ta femme me rejoindra.. Je voudrais que nos retrouvailles soient seuls dans la chambre où je dors sans spectateur, j’ai besoin de prendre le temps et de me familiariser avec ce magnifique corps.

A oui dit il en la regardant je te ferai signer un protocole de soumission, il lui claqua fortement les fesses et alla vers la salle de bain. Elle sursauta et le suivit. Elle lui montrait la salle de bain elle lui donna une serviette. Elle lui montrait aussi sa chambre.

Elle revint dans le salon pendant qu’il prenait une douche et vint vers moi m’embrassa avec une telle fougue, et me dit tu sais mon chéri je suis sa chose je suis à lui et je n’y peux rien, vient me pénétrer dit elle et je la suivais dans la chambre elle était comme un natural et écarta les jambes, elle me dit entre en moi, dis moi que tu aimes cette situation. Je lui dis donc qu’elle était la femme la plus excitante du monde et que je ferai ce qu’elle voulait et que je comprenais que ses orifices soient utilisés par mister ami. Elle était vraiment excitée quand je lui disais cela, elle voulut que je mette ma bouche et la je sentis une vulve chaude gonflée et mouillée comme jamais. Dis moi encore dit-elle que je suis à lui et qu’il a tous les droits. Je lui répétais et elle avait du mal à respirer. Je lui dis que je trouvais normal qu’elle puisse prendre du plaisir sexuel avec mister amant Alexis, qu’elle aimait sentir différents sexes d’hommes dans ses orifices. Qu’elle en avait besoin qu’elle ne pouvait appartenir à un seul homme.

Elle me dit tu sais mon chéri tu comprends que j’ai des besoins sexuels multiples et ainsi je suis libre de mon corps et jamais je ne te quitterai. Je sais dit elle tu vas dire que j’en fais plus avec lui, et en fait elle aimait préciser c’est différent simplement lui aime utiliser mon corps à sa guise et là je lui appartiens, c’est plus fort que moi, mon corps est obligé de lui obéir.

Après sa douche Alexis revint en peignoir dans le salon j’étais assis à côté de ma chère femme qui était dans sa petite robe. Il vint vers nous et s’assis à côté de ma femme , il dit je voudrais que notre relation soit naturelle c’est à dire que cela soit normal que je touche ou que je regarde ta femme à n’importe quel moment de la journée et dans n’importe quel pièce. Comme je suis mister maître quand je suis là , toutes les actions que j’entreprends sur elle doivent être normales.
Il ne faut pas de pudeur entre nous et pas de gêne, il dit si ta femme veut faire l’amour avec toi je préfère que ce soit pendant que je dors ou que je ne suis pas là .
Je veux vraiment que quand nous sommes là tous les trois ses orifices et mister corps soient mon unique propriété, c’est plus simple dit-il et cela évite les conflits , ta femme n’a pas à se poser de questions pour savoir si elle te porte assez d’attention. En fait elle est ma femelle exclusive quand je suis là.

Et pour montrer sa volonté il se met à genou devant elle relève sa robe sur une jolie culotte blanche et entreprend de l’enlever sans rien ajouter plutôt si une fois que ma femme a soulevé ses fesses pour qu’il puisse retirer sa culotte je vois une belle chatte presque toute épilée et ses lèvres proéminentes gonflées, il lui écarte les jambes elle se laisse faire et bien-sûr je bande, il est vraiment doué , car il dit tout en manipulant sa vulve, tu vois ta femme se laisse faire je peux la tripoter enfoncer mes doigts dans mister vagin et il joint le geste à la parole en entrant deux doigts dans sa chatte et jusqu’au fond. Elle a une très belle chatte et des lèvres que j’aime regarder, voilà dit il je ne veux plus jamais de culotte cette scène doit être normale même si je parle de choses et d’autres le fait que j’enfonce mes doigts dans ton vagin ne change rien. Il dit ta femme mouille et je te parle en même temps , notre relation est simple comme ce geste , il met trois doigts dans le vagin et me parle pendant quelques instants de mister voyage, il lui dit ouvre plus et elle obéit, il la regarde dans les yeux et enfonce quatre doigts en lui disant tu as bien compris que tu es à moi et que tu fais ce que je te dis, elle le regarda et dit oui un peu gênée, et là il lui envoya une petite gifle, je ne veux pas de gêne tu fais ce que je te dis ou tu te laisses faire c’est compris ?
Ton mari sait que tu es ma femelle et c’est très simple ainsi .

Pendant ce temps il me dit aussi je veux qu’elle prenne des poses naturelles même si elle écarte les jambes et que l’on voit sa chatte elle doit toujours montrer sa disponibilité . il me dit ne t’offusque pas des fessées que je peux lui donner elle aime cela et contribue à lui faire penser que je suis mister seul maître…….

Elle était parti un instant faire trois cafés , ses joues étaient rouge, vient ici dit il, il était toujours à genou sur la moquette il la fit asseoir sur le canapé et releva sa robe de nouveau, il lui dit ouvre toi écarte les jambes, elle le fit et c’était très érotique et très excitant il regardait le sexe de ma femme et il lui dit ouvres toi plus laisses toi aller. Elle avait les jambes très écartées ce qui eut pour effet d’entrouvrir ses lèvres, il s’approcha d’elle entre ses cuisses , il la fit se cambrer la tête en arrière il la tenait par les cheveux pour qu’elle reste cambrée et sans rien dire il s’enfonça en elle et dit , c’est exactement comme cela que je souhaites notre relation, je suis en elle et c’est absolument naturel , on peut toujours parler pendant que je la prends, il bougea un moment et la fit gémir . A ce moment là je bandais comme un fou et je commençais à toucher mister bras et il dit, s’il te plait cela ne doit intervenir que si je te demande de participer, autrement tu ne la touches pas en ma présence. Il continuait à la pénétrer , il jouit en elle et se releva assez vite l’obligeant a rester ouverte, le sperme coulait de ses lèvres mais elle n’osa pas se relever.

Je vais me coucher et comme je l’ai dit tout à l’heure je la veux dans mon lit pour une petite heure après je dormirai seul. Elle te racontera. …
chrislebo

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#3,293
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….. je m’attendais à passer la nuit seul, en fat il n’en a rien été, avant de le rejoindre elle était dans la chambre avec moi un long tee-shirt et rien en dessous. Elle m’embrassa rapidement et il l’appela, elle partit aussitôt le retrouver et là je vous raconte ce qu’elle m’a dit quand elle est revenu une heure et demie après.

Il l’a d’abord embrassé longuement sur la bouche avec douceur contrairement à mister style plutôt un peu vulgar. Il lui a enlevé mister tee-shirt et il lui a demandé de s’asseoir en face de lui et d’écarter les jambes, Elle a obéi et il a ajouté c’est bien tu es rasée et ta chatte est lisse. Il lui a dit qu’il était aussi très voyeur .

Il lui a demandé à nouveau : « veux-tu être ma soumise sans restriction, veux tu m’appartenir et obéir immédiatement à toutes mes demandes » elle a répondu oui je veux être à toi.

A ce moment là il continuait de lui parler et avait glissé en même temps deux doigts dans sa chatte qu’il faisait aller et venir doucement avec un rythme régulier, il lui parlait de tout ce qu’il allait lui faire . je ne peux le raconter car elle n’a pas voulu tout me dire. Quand elle m’a raconté cela je bandais très fort et toujours ce sentiment mélangé de frustration et d'admiration pour elle, j'avais en fait encore plus envie de ma femme et de l'avoir pour moi à ce moment là.

Elle a continué à me dire qu’il la presque fait jouir et s’est arrêté juste avant en lui disant, "tu es là pour mon plaisir et je ne recherche pas forcément à te faire jouir" , il lui répétait pendant qu’elle était frustrée, "tu vois c’est ainsi que tu dois sentir vraiment que tu es ma soumise".

« Tu feras tout ce que je te demande sans restriction seule ou devant ton mari, je ne veux pas de gêne, ton mari doit voir et savoir que tu es à moi que tes orifices mistert à moi, c’est compris sinon il est préférable de me le dire maintenant et je partirai demain matin. » tout de suite elle a répondu qu’elle était à lui et qu’il pouvait faire ce qu’il veut d’elle , il lui a dit « j’aime bien te l’entendre dire ».

Il prit mister visage et l’approcha de sa queue, il dit ouvre la bouche et je vais jouir dans ta bouche, elle s’appliquait pendant un bon moment mais au bout de quelques minutes il prit les choses en main si l’on peut dire, il appuya progressivement sa tête en la prenant par les cheveux pour qu’elle engloutisse toute la verge en entier sa bouche était plaquée contre mister ventre, elle ne pouvait plus respirer et sentir le sexe entier dans sa gorge la paniquait et pourtant elle mouillait, elle se sentait devenir sa chose mister objet sexuel.

Et c’est exactement ce qu’elle était, après avoir joui elle eut du mal a reprendre mister souffle, et il lui dit « tu sens maintenant ce que veut dire le mot soumise ? c’est cela et bien d’autres choses » .
Puis il la renvoya dans sa chambre , mister récit m’excitait tellement que j’avais mal dans le ventre, elle m’a embrassé tendrement et je voulais la pénétrer car nous étions excités , elle me dit « pas ce soir car je me sens lui appartenir et je voudrais attendre demain , je ne veux pas qu’il pense que j’attendais que ça puisqu’il ne m’a pas fait jouir. Tu peux mon chéri mettre ta bouche et me faire du bien. S’il te plait »

Je lui ai fait ce qu’elle demandait mais chaque fois que j’essayais de mettre les doigts dans sa chatte elle m’a arrêté, elle m’a caressé elle aussi doucement sans vouloir me faire jouir. J’ai du me masturber à côté d’elle. Je crois que j’ai bandé toute la nuit , nous étions l’un contre l’autre et je savais qu’elle mouillait , j’avais à côté de moi ma femme l’objet sexuel de mister amant qui dormait sous notre toit……


chrislebo

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#3,294
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.... Le matin vers sept heures elle était réveillée et excitée, elle me dit j'ai envie de le sentir dans mon ventre j'ai envie de lui, est-ce que tu peux le comprendre? je lui dis que oui je pouvais le comprendre et là ellle me fit un commentaire.
"je sais c'est pas bien je te trompe et j'ai envie de ma faire baiser par lui tout le monde penserait que je suis une femme pas bien, ellle dit j'en ai besoin pour mon équilibre et j'ai besoin que tu m'écoutes et me comprennes."

elle dit encore "j'aime savoir que tu m'attends et que tu me désires même si je fais l'amour avec lui plus longtemps et plus fort qu'avec toi, j'aime savoir que tu n'as pas envie de me perdre et que tu aimes ta petite femme comme ellle est ".

je l'ai rassuré et je lui ai dit qu'ellle était excitante et que cela n'avait jamais été aussi fort depuis qu'ellle a eu cet amant et qu'elle m'a fait cocu. ellle dit qu'ellle était contente que les choses se passent ainsi. Ellle m'a dit c'est normal que j'ai envie d'être libre sexuellement, une femme est plus complexe au niveau de ses sensations.

Elle était parti préparer le petit déjeuner , quand j'ai entendu Alexis l'appeler, je voulais savoir ce qu'ils faisaient et si ils faisaient quelque chose puis au bout de dix minutes il m'appela.
J'étais franchement surpris, le spectacle du matin était assez incroyable , ellle se masturbait devant lui les jambes largement ouvertes , il avait un doigt dans mister anus. Il me dit je crois que tu ne l'as jamais vu faire cela.
En effet je suis resté sans voix, en me voyant ellle eut un léger temps d'arrêt mais à mister regard ellle reprit immédiatement, on entendait un bruit de mouille , ellle était rouge et s'activait.
Il me dit prends du plaisir de la regarder ainsi nous offrir mister plaisir. je bandais mais je ne savais pas quoi faire , je n'ai pas osé me masturber devant eux, lui par contre a commencé à se toucher et ellle regardait intensément ce qu'il faisait .
Elle a joui en un long gémissement qui ne semblait jamais vouloir s'arrêter. A ce moment précis il l'allongea sans ménagement et entra sa queue dans mister vagin en me demandant de les laisser maintenant , je suis parti dans la sallle de bain et j'ai du me soulager sous la douche.....
Ma femmme était en train de se faire baiser longuement sans que je puisse regarder....

chrislebo

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#3,295
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Ce que j'ai remarqué pendant le cour séjour de mister amant est qu'il aimait la prendre dans la journée et surtout quand j'étais présent même si je ne participais pas à leur partie de sexe.
ce matin là il l'avait obligée à rester entièrement nue pendant le petit déjeuner et en fait j'ai compris qu'ilvoulait pouvoir se servir d'ellle quand il en avait envie car à plusieurs reprises pendant le petit déjeuner , il l'a fait aseoir à califourchon sur mister sexe et la pénétrait pendant quelques minutes puis la renvoyait et continuait mister petit déjeuner.

c'est vrai que la situation est très excitante mais j'avais aussi très envie d'ellle et devoir attendre pour prendre ma femme était difficile à tenir. De la voir ainsi nue et rasée à la disposition de mister amant.
Pendant le petit déjeuner il nous dit qu'il avait l'intention de sortir ce soir et de boire un verre il voulait nous présenter un ami à lui.
Ma femme s'est un peu faché lorsqu'il a dit après le pot il viendra et je voudrais lui montrer ton corps, car il fait des massages sensuels.
Il adit tout de suite tu es ma soumise et je te montre à qui je veux , ce n'est pa toi qui va avec un autre homme c'est moi qui montre ma soumise. Maintenant si tu souhaites vraiment discuter mes ordres je peux partir.

A ces mots ellle baissa la tête et vint vers lui en suppliant de rester et qu'ellle ferait ce qu'il désire. il la regarda et comme ellle était nue il lui claqua les fesses assez fort à plusieurs reprises .
jeveux que tu ailles dans la chambre tu m'attends. Ellle partit dans la chambre et lui aussi, j'ai pu entendre une fessée assez forte et je l'ai entendu jouir peu de temps après. Elle sortit vint vers moi ellle avait les fesses rouges, très rouges.
Ellle me dit "mon chéri je suis obligée de faire ce qu'il veut et il souhaite montrer mon corps à mister ami, je viendrai dans la nuit "et nous auronsle temps de faire un calin...je lui dis que je croyais que nous avions un accord pour qu'ellle n'aille pas avec d'autres hommmes, et là ellle dit ce n'est as moi c'est lui qui le veut, je n'ai rien sollicitée. En fait trois jours avec un amant cela fait très long de voir sa femmme se faire prendre a répétition, un moment il falllait que je sorte car j'étais trop jaloux. il aimait en fait la toucher la tripoter devant moi je crois que cela l'excitait aussi de me montrer la docilité de ma femmme à mister égare, le déroulement de la soirée était assez déroutant ...
chrislebo

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Je n'avais pas raconté la fin du séjour de ma femme soumise et de mister amant car j'avais été dépassé par les évènements et ma femme s'est laissée entrainée vers un univers de soumission où elle subissait complètement les désirs de mister amant.
Nous étions sorti pour le dernier soir et Alexis nous avait présenté mister meilleur ami à qui il a dit , je le saurai plus tard , si tu veux la draguer vas y, je te donne carte blanche.
Il avait dit dans le craux de l'oreil de ma femme, tu te laisses aller ce soir je te prête à mon ami , elle n'avait pas eu le temps de s'opposer car il lui dit et ne discutes pas c'est ainsi tu es à moi et tu fais ce soir le bonheur de mon ami.

Il avait rajouté tu es une vraie soumise alors montres le et ne me déçois pas.

J'étais au début de la soirée à côté de ma femme mais il vint s'asseoir entre nous et de ce fait je me trouvais séparé de ma femme. Elle avait une robe assez courte je ne pouvais rien voir de ce qu'ils pouvainet dire ou faire.

il parlait à ma femme et elle semblait gênée et intimidée, il y avait une musique calme et il l'invita à danser d'une manière assez sèche , je l'entedis car il parlait assez fort, il dit "suis-moi"...

Elle se le vait aussitôt , pendant le slow il la tenait pas la taille assez serré mais sans la toucher vraiment , ils devait la tenir fortement car ils semblaient collés l'un à l'autre.
Au bout d'une minute ilmit la main sur sa nuque et approcha mister visage , il l'embrassa et enfonça sa langue dans la bouche de ma femme. il semblait très fort et elle ne pouvait pas bouger. il lui parlait ensuite et elle fit oui de la tête, puis il relmit sa langue dans la bouche de ma femme. Je dois dire la jalousie existe en permanence et une certaine frustration.....
chrislebo

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#3,297
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... Ma femme était devant moi avec un autre mâle, ce qui n'avait jamais été dans nos accords.
Il l'envoya visiblement aux toilettes , et en revenant il la repris dans ses bras fermes et puissants. Elle avait certainement enlevé sa culotte , il la tenait et avait glissé une main, sous sa robe dans un geste obscène et indéscent. toutes les permisternes présentes pouvaient voir ce qu'il faisait. La main entre les cuisses sur la chatte ou dans la chatte.
En revenant il la tenait par la main comme une petite fille, il lui dit tu restes près de moi et tu ouvres tes cuisses , j'ai su pas la suite qu'il lui pinçait les lèvres et elle n'osait rien dire.
Au contraire quant il disparut un instant elle vint vers moi et dit "je dois lui obéir et toi tu ne dis rien, tu regardes et tu ne fais pas de reflexion"
je n'ai pas osé la contredire et pourtant j'en avais envie pourquoi je la laissais me dominer ?
....
vanbruje

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Merci pour cette belle suite...
chrislebo

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Travesti par belle maman



c'est arrivé il y a 12 ans,j'avais 29 ans, j'étais marié depuis 5 ans avec sa fille qui elle était âgée de 35 ans . A l'époque ma belle mère avait 53 ans, et elle venait régulièrement chez nous pour accomplir différentes taches ménagères. Un matin que je ne travaillais pas, j'ai eu envie de me travestir avec les dessous de ma femme, chose que je faisais souvent pendant mister absence, et bien avant de la connaitre aussi, avec les dessous de mes copines précédentes, les dessous des mères ou soeurs de mes copains,voire ceux de ma mère.
Ce matin là donc je me suis habillé avec des bas noirs un porte jarretelle noire un string rouge, et une nuisette noire transparente appartenant à mon épouse, je me suis mis le petit gode que ma femme gardais dans un tiroir, dans les fesses, et j' ai commencé à me branler en imaginant qu'un autre homme était présent à mes cotés, que je le suçais, et qu'il allait me faire hurler en me défonçant mon petit trou.Ce que je ne savais c'est que ma belle mère venait à la maimister cette journée.
En pleine action, parti dans mon délire, belle maman est arrivée chez nous, elle monte à l'étage est va directement dans notre chambre pour faire le lit, et bien sur surprise puisque mister gendre est là, travesti, entrain de se branler, et avec le gode dans mister cul. Je ne m’aperçois pas de sa présence, je ne m'aperçois pas non plus que Huguette puisque s'est mister prénom, regarde avec grande attention, délectation, les frasques de mister beau fils. Sentant la jouissance montée, je crie de plus belle,"vas y décharge mon bel étalon", "inonde moi", "je suis ta petite p--e", "ma femme aussi aime les grosses queues", "ce matin c'est moi qui en profite", après ses quelques mots je jouis comme rarement il m'arrive, sauf quand je me travesti. En effet avec Lydie(ma femme), ma jouissance est faible, rapide et cette dernière n'a que peu souvent l’occasion t'atteindre l'orgasme.
Après quelques minutes, je rouvre les yeux et je suis déconcerté en apercevant Huguette à la porte de la chambre, se caressant, un petit sourire en coin. Elle me rejoint, s'allonge prêt de moi, et me dis:"lèche moi petite p--e, fais moi jouir lopette, je vais faire de toi une vraie femelle, offerte aux hommes". Je me suis exécuté,j'ai bouffer la chatte de belle maman et je l'ai fait jouir, tout en rebandant comme un fou.
A l'issue nous avons longuement parlé, je lui ai avoué mes penchants pour les dessous féminins, le plaisir de me travestir, l'envie de me faire prendre par un homme, mais sans jamais avoir franchi le pas, que cela faisait des années que je cachais cette passion aussi bien à sa fille, qu'à mes précédentes amies.
Elle m'a par la suite demandé combien de fois par jour je baisais Lydie. Je lui ai répondu que cela ne se comptai en nombre de fois par jour,mais en nombre de fois par semaine, soit 2 à 3 fois par semaine, car une fois que j'ai joui, je ne suis pas capable de remettre le couvert dans les heures qui suivent sauf lorsque je suis habillé en femme.
Elle a ri, elle m'a dit que sa fille Lydie était à mister identique, à savoir un gros appétit sexuel, c'est à dire qu'il lui fallait sa dose de baise quotidienne, soit matin, midi et soir au minimum, et qu'elle était très étonnée que sa fille se contente de si peu de la part de mister mari, enfin mari que de nom, elle préfère m'appeler lopette.
Chose a laquelle je ne m attendais pas, elle se lève, décroche le téléphone, appelle sa fille, et là sans aucune hésitation, elle lui demande:"dis moi ma chérie, petite question indiscrète, mais je sais qu'entre nous il n'y a pas de secret, il te baise souvent Fred"?, haut parleur branché, Lydie répond:"maman si tu savais, j'ai tiré le mauvais numéro avec ce mec, il ne m'a jamais fait jouir depuis que l'on se connait, il est incapable de baiser 2 fois de suite, à peine tu le caresses et qu'il me pénètre il décharge, et en plus il se croit être un super coup", "heureusement pour moi je revoies Francis mon ex, tu te souviens de lui maman, tu me disais qu'il était monté comme un taureau,puisqu'en plus tu l'as vu sortir de la douche un jour chez toi et plus d'une fois tu m'as entendu jouir quand nous faisions l'amour", "mais au fait pourquoi tu me poses cette question tout à coup".
Ma belle mère lui répond: "tu sais que je suis chez toi ma chérie, tiens toi bien, tout à l'heure, je suis aller dans votre chambre et ton mari il était entrain de se branler, habillé avec tes dessous, et avec un gode dans le cul.............je n'ai pas pu m’empêcher tellement ça m'excitait de me faire bouffer la chatte par ta salope. En plus il vient de reconnaître qu'il aimait se travestir et qu'il voudrait se faire éclater sa petite rondelle, je sais pas ce que tu en penses, mais j'aimerai le baiser, lui faire porter mes dessous, et une fois prêt l'offrir à Manuel(le mec de ma belle mère).
Ma femme lui répond:"vas y maman féminise moi cette tapette", "fait lui mal", "je veux être là le jour où tu le feras défoncer par ton copain, histoire de le voir souffrir, et voir sur mister visage la douleur s'exprimer quand il aura au fond du trou une vraie bite", "passe moi ma petite p--e qui me sert de mari", Huguette lui dit que je t'écoute car le téléphone est sur haut parleur, et là ma femme m'annonce, "alors petite lope, ça te plait de te travestir et de t'exhiber avec ma lingerie, de prendre mon gode dans ton cul, écoute moi bien petite merde, plus jamais tu mettras ta queue, ta misérable queue dans ma chatte, tu ne m'as jamais fait jouir, dorénavant tu te branleras dans mes dessous que Francis aura souillé, et par plus tard que cet après midi, heureusement qu'il est là pour s'occuper de moi, lui au moins c'est un homme, un vrai, et je m'abandonne pleinement dans ses bras, même le jour de notre mariage il m'a grimpé dans les chiottes, toi tu es tellement bourré que tu ne t'ai même pas aperçu que Francis s'occupait de moi, de toute façon tu aurais été incapable de bander et de me la mettre, ce que tu ne sais pas c'est que je t'ai embrassé après qu'il ai déchargé dans ma bouche, donc tu as déjà bouffer mister sperme sans même t'en rendre compte,te tromper avec lui c'est la meilleure décision que j'ai prise de ma vie, passe moi ma mère".
T'entendre de tellement paroles dans la bouche de ma femme, m'a fait bander, ma belle mère s'en ai rendu compte, elle s'est empressée de le dire à sa fille, sur ce elle a raccroché, et ma charmante belle maman me dis:"je vais m'occuper de toi maintenant, de ton petit trou, ma fille m'a donné le feu vert, je vais te préparer pour Manuel".
Voilà en quelques lignes, un résumé de cette matinée charmante, que je n'oublierai jamais, qui m'a fait prendre conscience de ma condition de lopette, que j'assume pleinement, merci à belle maman et à sa fille.
vanbruje

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Merci...
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