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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#3,211
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Comme prévu sur mes plannings, nous nous sommes donc retrouvés tous les trois pour la fermeture. Comme vous pouvez l’imaginer, il reste beaucoup de travail à faire lorsque le resto est fermé: passer le balai, la serpillière, faire la plonge, ranger l’ensemble des produits. J’avais à peine fini de descendre le rideau que la voix de Maître Jonathan retentit haut et fort:

— Alors Bizut, content de ta journée? Comme tu as pu le remarquer, nous avons tenu notre promesse, alors maintenant c’est à toi de jouer. Pour commencer, il va falloir te trouver une tenue pour que tu fasses le ménage, ce serait dommage que tu salisses ton joli costume.

— Ouais bizut, viens là, approche! Tout d’abord nous allons de faire de beaux cheveux avec cette belle serpillière. Ensuite, tu vas te mettre à poil. Allez bizut, exécution!

J’ai donc commencé à retirer ma cravate, ma chemise, mes chaussures, mon pantalon, puis mes chaussettes et pour finir, avec beaucoup d’hésitation, j’ai laissé descendre mon slip; j’étais alors devant eux totalement nu. Ma queue, si on peut encore appeler cela comme ça, avait comme qui dirait rétréci au lavage, ou c’est plutôt la honte d’être face à eux qui la faisait disparaître au milieu de mes poils pubiens qui je l’avoue était sans doute trop fournis à ce moment précis.

— Non sérieux Bizut, t’as que ça à nous proposer? Putain j’y crois pas, ça joue les hommes avec le pantalon mais quand on regarde de plus près, je me demande vraiment si l’expression avoir des couilles ne serait pas plutôt manquer de queue.

— (Mort de rire) J’y crois pas! Bouge pas bizut, il faut que je prenne ce truc en photo. Si je raconte ça à des potes, ils vont jamais me croire.

Les rires que j’entendais était d’une sincérité à vous mettre la honte pour le restant de vos jours. Non, ils ne se forçaient pas à se moquer de moi, j’étais vraiment totalement ridicule face à eux avec un sexe qui me trahissait au moment même où j’aurais eu besoin de mister aide pour retrouver un peu de dignité. Et je dois vous avouer que d’avoir en plus cette serpillière sur la tête en guise de cheveux n’arrangeait rien au ridicule de la situation.

— Maintenant cher bizut, tu prends une de tes chaussettes et tu te la passes sur la queue. Ensuite, tu la maintiens avec ta cravate que tu noues autour de ta zézette et de tes noisettes. Au moins ça cachera la misère. Puis tu prends la deuxième chaussette que tu te coinces entre les fesses et elle a pas intérêt à tomber sinon je te promets que tu vas te retrouver comme ça au milieu de la rue.

— Oui Chef Rafi.

— Ok très bien, là t’es au top, une vraie p’tite femme de ménage! Va chercher ton balai et commence à nettoyer ce putain de resto.

J’ai couru chercher le balai et je vous jure que j’ai serré les fesses pour maintenir à sa place ma chaussette qui pendait entre mes fesses. J’ai commencé le ménage, passé le balai dans la salle puis dans la cuisine. J’étais très concentré, la peur au ventre de me retrouver ainsi dans la rue si je les décevais.

— Bizut, amène nous une bière.

— Oui Maître Jonathan, à vos ordres.

J’ai fait au plus vite et dans ma précipitation, j’ai desserré les fesses. La chaussette est tombée, là, sous leur yeux, pendant que je leur tendais la bière.

— Ah non là bizut t’assures pas. On ne te demandait pourtant pas grand chose et une fois de plus, tu nous déçois. On va devoir encore te punir.

— S’il vous plaît, non, je vous en supplie. Ne me faîtes pas sortir ainsi dans le rue. Je ferai ce que vous me demanderez. S’il vous plaît!

La peur et la honte au ventre, je m’étais mis à genoux et me voilà, moi le directeur, en train de supplier mes employés de ne pas m’humilier d’avantage.

— Ok bizut, très bien, re-coince toi la chaussette dans la raie et retourne au ménage. Nous verrons pour ta punition plus tard...

— Merci Maître Jonathan!

— Alors Jo, t’as l’intention de lui faire quoi comme punition cette fois-ci?

— Bouge pas, donne moi deux seconde que je finisse ma bière et je te la prépare mon idée!

— Vas-y, dis-moi! T’as quoi de prévu?

— Ma cannette une fois vide, je vais la remplir tranquillement et je la lui donnerai à boire pour le féliciter d’avoir si bien fait notre fermeture, qu’en penses-tu?

— Attends, tu vas la remplir avec quoi? L’eau des chiottes?

— Mais non! Sérieux, tu manques vraiment d’imagination!

À ce moment là, Jonathan a baissé sa braguette, a pris la cannette discrètement sous la table et a commencé à pisser dedans. Moi de mon côté je finissais de nettoyer et j’étais sur le point de leur dire que j’avais fini; je n’avais rien vu.

— Mon bon Rafi, voilà mon idée pour le féliciter! À toi de trouver l’idée pour le punir. Fais marcher ton imagination s’il te plaît.

— Ok attends je réfléchis. Un bizut, que va-t-on bien pouvoir lui faire faire... C’est bon! Je l’ai l’idée du siècle. Crois-moi, on n'a pas fini de se fendre la gueule.

— Allez bizut, t’as fini ton taff de femme de ménage, ramène tes fesses ici; on a quelque chose pour toi. Tiens Bizut, y’a pas de raimister qu’on soit les seuls à boire un coup. On va trinquer à notre nouvelle collaboration. Tiens, voilà ta canette...

— Merci Maître Jonathan. Ça donne soif tout ce ménage. Je ne pensais pas que c’était autant de travail. Je suis désolé si j’ai été dur avec vous certains soirs.

— Putain, ferme ta gueule! Tu joues à quoi là? Tu essaies de nous faire changer d’avis sur toi? Mais mon bon bizut, tu n’es qu’une merde et bientôt tu seras une merde qui boit de la pisse. Alors ferme là et bois ta bière avec nous.

— Oui Maître Jonathan.

Il m’avais donné un indice et je n’ai pas su le saisir. Il m’avait fait comprendre ce qui se trouvait dans la canette et je n’ai pas compris. J’ai pris les premières gorgées à pleine bouche car ma soif était intense mais toujours sans réaliser ce que je buvais. Ensuite, j’ai senti le goût sur ma langue, ce goût salée et amer de la pisse. Et puis je dois dire que de voir leur regard écœuré et moqueur m’a fait de suite réaliser ce qui se passait.

— Allez bizut, on avale tout! On fait pas le difficile. Je me suis donné beaucoup de mal pour te faire une bonne boismister de bizut, alors ne fais pas offense à ton Maître et montre lui comme tu es reconnaissant pour ce qu’il a fait pour toi.

— Oui Maître, merci Maître.

J’avait le cœur au bord des lèvres mais j’ai bu, tout, gorgée après gorgée. Puis avec une paille, ce qui les a vraiment beaucoup amusé. J’étais rouge de honte et toujours dans ma tenue de femme de ménage, ridicule comme jamais.

— Il est super ce bizut. Maintenant à moi de te dire ce que tu mérites pour avoir fait tomber ta chaussette. Le bizutage c’est avant tout un jeu où l’on adore asperger le bizut de toute sorte de sauces. Là maintenant, tu vas gentiment remettre ton slip et nous allons le garnir avant de te laisser partir.

— Mais Chef Rafi, je suis en transport en commun et dans le métro, je risque de me faire repérer?

— Ça mon gars, c’est franchement pas mon problème. Allez, action!

— Là mon cher Rafi j’adore cette idée, je vais chercher la mayo, tu t’occupes du ketchup et la moutarde, n’oublions pas la moutarde...

— Ok bizut, approche-toi de moi... Ouvre ton slip par le devant, bien comme ça, et donc je te baptise au nom de la mayo et du ketchup comme bizut de dernière catégorie.

Et là j’ai senti les sauces couler dans mon slip, inondant mon sexe, mes poils et mes couilles. C’était super crade mais leur fou rire en disait long sur le plaisir qu’ils prenaient à m’humilier.

— Maintenant bizut, comme tu nous a prouvé que tu n’avais pas de queue mais plutôt une saucisse cocktail, nous avons eu envie de te montrer ce qu’était une saucisse de taille normale. Tu vois cette jolie saucisse à hot dog, et bien nous allons la préparer à la moutarde. Comme tu le vois, j’applique bien de la moutarde sur une des extrémité mais aussi tout le long afin que le client ne soit pas déçu de ne pas avoir de la sauce partout. Maintenant le problème, c’est qu’il va falloir la réchauffer et rien de mieux qu’une étuve à 37°C. Retourne-toi bizut et baisse ton slip.

J’avais cette fois-ci bien compris ce qu’il avait prévu pour finir en beauté cette soirée. J’étais tétanisé par la tournure que prenait les événements mais j’ai obéi, je n’ai pas osé contester. Une fois de plus, j’ai cédé et je signifiais ainsi que je serais définitivement à leurs merci et à leurs ordres. J’ai alors baissé mon slip et comme Maître Jonathan me l’a ordonné, j’ai écarté mes fesses, exposant à leur yeux mon petit trou encore vierge de toute intrusion et je sentais que la douleur ne serait pas forcément celle de la pénétration mais plutôt la brûlure qu’allait occasionner la moutarde.

— Allez mon bizut, on se décontracte et ça va aller tout seul. Bien, comme ça, tu vois ma lopette, ça rentre tout seul. Attention, la jolie saucisse va bientôt disparaître: un, deux, trois... Elle est plus là.

J’ai senti la saucisse entrer et mon anus se refermer dessus. Il m’a claqué les fesses et sans rien dire d’autre, m’a ordonné de me rhabiller en vitesse car il était temps pour eux de repartir. Mais voilà les consignes:

— Tout d’abord, mon cher bizut, tu as interdiction de te séparer de cette saucisse. Demain lorsque tu nous verras arriver, tu nous montreras qu’elle est toujours à sa place et nous verrons à ce moment précis ce que nous en ferons. Est-ce bien compris?

— Oui Maître Jonathan, oui chef Rafi.

— Bien allez, tchao! À demain.

Je les ai regardé partir et surtout entendu partir avec leur rire et leurs moqueries. Moi, j’étais là comme un con, le slip trempé par la mayo et le ketchup avec une saucisse enduite de moutarde qui me brûlait le cul.

J’ai donc pris les transports comme cela, avec l’espoir que le mélange de sauce ne finirait pas par traverser le pantalon, peur de me retrouver avec une énorme auréole de gras au niveau de mon entrejambe. Mais quoiqu’il arrive, il m’était quasiment impossible de marcher normalement et les permisternes autour de moi le remarquaient à chacun de mes mouvements. La honte me tiraillait le ventre mais ma queue, elle, ne cessait de vouloir se réveiller. Je sentais l’érection toujours à la limite de se produire. La honte mêlée à l’excitation de ce petit jeu entre ami commençait à se faire sentir. Le point de non retour...

chrislebo

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#3,212
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J’étais donc à quatre pattes, le cul exposé, léchant et décrassant les chaussures de mes employés pendant qu’ils buvaient tranquillement l’apéro et regardaient la télé dans mon canapé. De temps en temps, ils vérifiaient que je faisais bien mon travail de nettoyeur. Si j'avais le malheur de faire une pause car ma bouche devenait sèche, alors je me prenais une magistrale baffe en pleine tête, qui avait pour effet de me faire remettre au boulot de suite.

Lorsque j’eus finit de nettoyer leurs chaussures, ils s’amusèrent à me faire faire le chien.

— Rafi, j’ai une petite idée, que penses-tu de faire de cette lopette notre chienne? Bien sûr, pour cela il va falloir en faire une vrai chienne. Allez bizut, fous-toi complètement à poil. Une chienne, ça porte pas de fringue!

— Eh Jo, moi je pense que notre chienne est beaucoup trop poilue. Je pense qu’il faudrait la faire toiletter.

— Là, je pense que tu as entièrement raimister! Bizut, tu vas dans la salle de bain et tu me rases tout les poils que tu peux avoir. Je t’autorise seulement à garder ceux que tu as sur la tête. Allez, exécution! Et vite! Pendant ce temps, nous allons te préparer ta bouffe.

Je me suis donc tout d’abord déshabillé totalement devant eux, c’est-à-dire retirer le tablier à faux seins qui me servait de tenue. Par contre, j’ai dû garder le slip sur la tête. Et je suis parti en direction de la salle de bain pour obéir. Je sentais ma queue qui ne demandait qu’à bander mais elle était toujours coincée dans le rouleau de scotch. Malgré la douleur que cela m’occasionnait, j’avoue qu’ainsi j’évitais de leur montrer à quel point cette situation m’excitait.

J’ai donc commencé par prendre une douche. La mayo et le ketchup m’avait totalement recouvert les cheveux et une bonne partie du visage. Puis j’ai commencé par me raser sous les bras, puis les bras et les jambes, pour finir par les quelques poils de pubis qui n’étaient pas cachés par le scotch. Lorsqu'est arrivé le moment de raser les poils de mon cul, il m’a fallu me plier dans tous les sens, utiliser un glace, afin de réussir à voir ce que je faisais. Concernant les rares poils que j’avais sauvés du rasoir au niveau de mes couilles et de mon pubis, ils allaient être arrachés au moment de retirer le scotch qui entourait mes couilles et ma queue.

Lorsque je revins dans le salon après une bonne demie heure, je les trouvais assis à nouveau dans le canapé, leur verre à la main.

— Allez bizut! Montre nous comme tu es bien lisse, tel un bébé qui vient de naître, ou comme une bonne chienne qui vient d’être rasée au grand bonheur de ses maîtres.

Je fis plusieurs tour sur moi-même puis je me penchais et écartai mes fesses pour leur montrer ma raie bien lisse. La vision de mon cul ainsi exposé devant eux les fit exploser de rire. Les larmes me montaient aux yeux mais je ne voulais pas leur donner cette satisfaction de me faire pleurer.

— À quatre patte sale chienne! Où t’as vu que les chiennes ça marchait sur deux pattes? Magne-toi ou je vais perdre patience.

— Ok Médore, maintenant tu te retournes, ton cul face à nous.

— C’est bien mon chien, j’adore les chien obéissant. Oh merde, t’as vu notre chien n’a pas de queue. Il va nous falloir lui en fabriquer une, qu’en penses-tu?

— Bien sur Jo! Tiens, j’ai ce qu’il te faut.

Évidemment dans ma position, je ne pouvais qu’entendre; impossible pour moi de savoir ce qui allait m’arriver. J’ai tout d’abord entendu Jo se racler le nez, puis la gorge, et là, j'ai senti un énorme mollard atterrir entre mes fesses. Dès que le mollard eut atteint sa cible, je sentis quelque chose de froid me pénétrer le cul. Je sus après qu’il s’agissait d’une carotte qui avait encore au bout les espèces de branche verte. Une fois la carotte totalement enfoncée dans mon cul, seul le feuillage vert apparaissait et venait pendre entre mes jambes. Le chien avait enfin une queue. Je ne sais pas si sur le moment ils avaient oublié que j’avais une saucisse coincé au fond du cul ou si ils avaient juste décidé de me remplir un peu plus. J’ai eu la réponse ensuite...

— Putain, ça c’est une bonne chienne! Une saucisse et une carotte dans le fion et je suis sûr que sa chatte en demande encore. T’imagine, on pourrait presque y faire un pot au feu, ou plutôt une choucroute...

La carotte avait poussé la saucisse plus au fond et maintenant, elle me chatouillait la prostate. Je crois que j’aurais pu jouir direct si ma queue n’avait pas été comprimée.

— Médore, vas-y! Montre à tes maîtres comme tu es une chienne heureuse de nous voir... Remue la queue...

— Ouais, putain ça c’est bon, j’adore, remue la queue sale chienne! Putain la honte, quand tu penses que se mec se fait passer pour un patron! Je suis sûr que toute l’équipe adorerait voir ça... Hein le bizut, t’en penses quoi?

À ce moment précis, j’entendis le bruit d’un appareil photo; l’angoisse pouvait ce lire sur mon visage.

— Non s’il vous plait, ne faites pas ça... je vous en supplie.

J’étais rouge de honte, la tête baissée, je n’osais pas les regarder.

— Putain, d’où t’as vu qu’un chien ça parle? Aboie pauvre merde! Dépêche...

Et là, si sec, je reçois une claque sur la fesse gauche de la part de Jo, et Rafi pour ne pas être en reste, fit de même avec ma fesse droite. Les claques firent remuer la carotte au fond de mon cul, ce qui eut pour effet de faire durcir ma queue déjà très comprimée dans le scotch.

— Ouaff, Ouaff, Ouaff.

J’ai donc aboyé comme ils me l’ordonnait. J’étais, totalement ridicule, rouge de honte, le regard vers le sol.

— Putain mec, c’est sûr c’est pas l’aboiement d’un doberman ça, un p’tit teckel à sa maman plutôt! Allez bizut, montre nous que t’es un vrai chien. Aboie mieux que ça... Et oublie pas que tu es content, alors tu remues ta putain de queue.

— OUAFF, OUAFF, OUAFF, OUAFF, OUAFF!

J’aboie, je remue mon cul pour faire bouger les fanes de la carotte qu’ils m’ont si gentiment planté au fond du cul.

— Allez mon chien fait le beau... Oui c’est bien, allez tire un peu la langue...

D’un coup, sans comprendre pourquoi, alors que je suis en train de faire le beau pour mes Maîtres, je me prends un mega coup de pied dans le morceau de scotch qui me sert de couille et de queue. Mais je ne bouge pas, trop peur de désobéir, que ce soit pire après... Je suis toujours là, la langue pendante et je vois Jo qui se racle la gorge, se vide le nez, et me lâche un méga mollard en voulant viser ma bouche. Le mollard bien gras s’écrase lamentablement sur mon visage.

— Trop fort! Putain, vas-y! On fait un jeu en cinq points. Le premier qui lui met cinq mollards dans la bouche a le droit de se faire décrasser le cul par notre bon Médore. Jo, tu relèves le défi?

— Tu m’étonnes que je le relève, et je te promets que si c’est moi qui gagne, je vais d’abord allez chier un bon coup avant qu’il me le décrasse.

— Non, sérieux, t’es trop dégueux là...

— Putain sur ma vie, je vais l’utiliser comme papier toilette, et notre bon toutou il va adorer ça...

Je suis à genoux, écoutant tout ce qu’il planifient pour moi, et là mon corps se met à trembler. La peur me saisit, j’ai envie de partir en courant... Je ne peux pas, je suis à poil, une carotte et une saucisse dans le cul...

— Allez Rafi, je te laisse commencer. Le premier à cinq ok?

— Ok ça marche. C’est parti.

Reniflage de nez, raclage de gorge, et moi à genou, faisant le beau, la bouche grande ouverte et la langue pendante.

chrislebo

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donc à genoux, totalement nu et imberbe, une saucisse et une carotte bien enfoncées au fond de mon cul, face à mes deux bizuteurs, attendant que, chacun leur tour, ils visent ma bouche avec leurs mollards. L’enjeu était de taille: le vainqueur aurait le privilège de se faire décrasser la rondelle par Médore, leur chien obéissant, c’est à dire moi.

— Va-z-y, Rafi! Commence.

— Ok, ça marche. Attention, lopette! T’es prêt? il va être costaud, celui-là…

Il renifle un bon coup, se racle la gorge et puis souffle un coup sec. Le mollard part à grande vitesse. Malheureusement pour lui, il vient s’écraser sur le sol.

— Putain! sérieux! Il va être top propre ton appart après notre passage...

— Attends, Jo. On ne peut pas laisser ce truc sur le sol. Imagine que l’un de nous deux marche dedans: ce serait dégueux.

— Bien vu. Allez, bizut! Tu lèches le gros mollard à Rafi. Et, bien sûr, t’avales.

— Allez, vas-y, gobe le bien. Et n’oublie pas combien tes Maîtres font un effort pour s’occuper d’une pauvre merde dans ton genre. Alors tout ce qu’on te donnes, tu dois le respecter, le déguster, le vénérer. C’est bien compris, bizut?… - Ouaf! ouaf! ouaf!…

— Bien, bizut. Je crois qu’il commence à comprendre ce qu’il est vraiment.

Jo lança à mister tour mister mollard, direct dans ma bouche: 1–0 pour Jo.

Puis Rafi, puis Jo… Au total, je ne sais pas combien de mollards ont été crachés sur moi, ou sur le sol. Mais quoi qu’il en soit, ils ont tous fini dans ma bouche et dans mon estomac. C’était écœurant mais aussi très excitant. J’étais plus bas que terre, totalement humilié: et ça, j’adorais. Sur le moment, la honte est plus forte que l’excitation. Mais, ensuite, l’excitation a pris le dessus.

— 5–3 pour ma gueule! Rafi, je t’ai mis ta branlée. Et qui a gagné un bon décrassage de cul? C’est Maître Jo. Putain! Bizut, ce n’est vraiment pas de bol pour ta gueule, car je n’ai pas pris de douche depuis au moins 4 jours, et là j’ai une super envie de chier. Tu vas être le papier toilette le plus nettoyant et le plus doux qu’il existe sur cette terre, car c’est ta langue qui va me nettoyer tout ça.

— Sérieux, Jo? Tu vas vraiment lui faire te lécher le cul?

— Sur ma vie! Bien sûr qu’il va me le nettoyer.

— Respect, mec! Alors là, j’avoue qu’on va vraiment se marrer.

— Allez, bizut, tu t’allonges sur le dos… Rafi, tu vas lui bander les yeux car pas question qu’elle me reluque le cul et la queue, cette tafiole. Le but du jeu ce n’est pas qu’il prenne mister pied.

— Ok, ça marche. Je te le prépare.

— Yes! Et moi, je vais faire un gros caca.

Jo a quitté le salon. Mais je n’ai pas eu l’impression sur le moment qu’il prenait la direction des chiottes, mais plutôt celle de la cuisine. J’avais envie de lui dire qu’il se trompait mais je n’avais pas le droit de parler. Et puis, presque aussitôt, Rafi m’a bandé les yeux. Ainsi dans le noir le plus total, j’attendais, angoissé, l’arrivée de mon Maître. J’entendais vaguement Rafi et Jo parler. Il semblait que Rafi l’avait rejoint. Les voix se faisaient discrètes mais les rires, par contre, eux, étaient très faciles à entendre. Impossible pour moi de comprendre ce qui se passait. J’allais devoir patienter encore un peu avant de le découvrir.

Ils étaient enfin de retour.

— Allez, mon papier toilette préféré, en position! Tu vas me faire sortir ta jolie langue. Allez, on tire la langue! Bien, comme ça. Il a l’air trop con comme ça! Je vais venir passer mon cul sur ta langue. Quand je te l’ordonnerai, tu lècheras. Et quand je t’ordonnerai de ranger ta langue, tu la remettras dans ta bouche, et elle devra ressortir toute propre et légèrement humide. As-tu bien compris?

— OUAF! OUAF!…

— Putain! Il est trop con ce mec! T’es plus un chien, t’es un rouleau de PQ. Alors, un rouleau de PQ, ça parle pas, ça roule… Allez, mon joli rouleau de PQ, roule, roule…

J’ai roulé sur moi même, dans un sens, puis dans l’autre. Et encore et encore. La tête me tournait et, eux, ils se marraient.

— Stop, rouleau de PQ! Maintenant, en position.

Allongé sur le dos, les yeux bandés,j'avais la langue tirée au maximum. Le bandeau que j’avais sur les yeux me passait également sur le nez. je ne sentais quasiment rien. Mais tout de même, lorsque Jo a mis mister cul au contact de ma langue, j'ai reniflé une odeur forte que je savais être de la merde.

— Allez, mon PQ, nettoie-moi bien la raie. Putain! En plus j’ai le cul bien poilu et mes poils mistert bien trash, collés à ma raie. Tu vas me faire un beau brushing de la raie!

— Putain! Jo! Une sous merde qui lèche de la merde, là on est au top.

— Yes, frangin! C'est trop du bonheur!

J’ai donc léché, sans voir ce que je faisais, mais dans ma tête, je voyais la scène. Je voyais sa raie crasseuse, ses poils collants, sa rosette sombre, et pourtant ma langue ne pouvait plus s’arrêter de travailler. De temps en temps même, elle allait fouiller plus loin dans l’intimité de Jonathan. Tout ceci n’était pas pour lui déplaire. J’entendais ses gémissements. Putain! le con! il prenait mister pied à se faire lécher le cul! Au bout d’une demi-heure de léchage intensif, il me remercia en lâchant un énorme pet juste au niveau de mon nez et de ma bouche grande ouverte.

— Ok, bizut, c’est bien. Tu as été très obéissant et maintenant mon cul est comme neuf. Je pense que tu as mérité un bon repas. Mais avant cela, c’est toi qui va nous servir notre dîner. Occupe-toi de mettre les pizzas à chauffer, et, quand c’est prêt, tu nous apportes ça à table.

Je me suis donc dirigé dans la cuisine, j’ai mis les pizzas à cuire. Durant tout ce temps, je suis resté dans la cuisine. Sauf lorsqu’ils m’ont réclamé une nouvelle bière. J’étais toujours complètement nu, et, lorsque je passais à côté d’eux, je me prenais une ou plusieurs claques sur les fesses.

— La pizza est prête, Maître et Chef.

— Ok, bizut. Alors apporte au lieu d’ouvrir ta gueule. Ce n’est pas possible: il faut toujours qu’il l’ouvre, ce con!

J’ai donc apporté les deux assiettes avec, pour chacun, une large part de pizza.

— Putain! j’avais dit sans olives, la pizza! Sérieux, Jo: c’est vraiment un bon à rien ce bizut…

— T’inquiète pas, Rafi. Je sais ce qu’il va pouvoir en faire de ses olives…

— Se les foutre au cul. Au cul, les olives! Tiens, bizut, va chercher…

Sur ce, Jo lance une olive à travers la pièce et m’ordonne de me mettre à quatre pattes.

— Médore, tu vas chercher la jolie olive, et tu la ramènes dans ta gueule de chienne. Ensuite, tu te retournes, cul face à tes maîtres. Et tu te la fous dans le cul. Comme ça, t’auras des légumes avec ta saucisse.

— Tiens, une autre…

— Rafi, combien tu as d’olives sur ta pizza?

— 8. Et toi?

— Attends, bouge pas! Il me semble 10. Putain! 18 olives dans le cul! Plus une grosse saucisse.

— Le repas me paraît royal: ne penses-tu pas?

— Et n’oublions pas de remettre la carotte pour pousser tout ceci bien au fond du four à chaleur totalement naturelle: température approximative de 37.5°C. Que du bonheur!

Et là, ils explosent de rire. Moi, j’ai mal au cul et un peu au ventre d’avoir tout ceci au fond de moi. La honte se lit sur mon visage et les larmes ne demandent qu’à couler. Mais je ne leur ferai pas ce plaisir.

Ils ont mangé ensuite tranquillement leur pizza, continuant à boire de la bière. Et moi, je devais rester à quatre pattes, le regard baissé. Puis ils m’ont demandé de venir me placer entre le canapé et la table de salon. Ainsi ils on pu poser leur jambes sur mon dos nu. Je servais maintenant de repose pied. De temps en temps, ils s’amusaient à titiller la carotte logée au fond de mon cul et c’était plutôt douloureux. Je prenais également régulièrement des claques sur les fesses. Leur plaisir était de me faire rougir les fesses autant que ma face de fion.

— Allez, il est temps de faire manger le bizut. Nous allons te préparer ton repas. Toi, pour le moment, tu ne bouges pas, tu ne parles pas. On veut te retrouver dans la même position lorsqu’on revient.

— Bien compris, la lopette?…

J’ai bougé la tête de haut en bas pour leur signifier que j’avais compris. Hors de question de parler et risquer de me faire punir. Ils ont disparu, direction la cuisine. Porte fermée, impossible d’entendre ce qu’ils me préparaient. Ce serait la surprise. J’imaginais tant et tant de choses, mais j’étais sûrement loin de la vérité.

La seule chose que j’arrivais à entendre, c’étaient les éclats de rire qui provenaient de la cuisine. Après 20 bonnes minutes, j’entendis la porte de la cuisine s’ouvrir et mes deux Maîtres arriver. La configuration de la pièce était telle que je ne pouvais pas les voir revenir. C’est alors que Jo se mit à parler.

— Nous voilà, ma petite chienne. C’est l’heure de ton repas et, crois-moi, nous y avons mis beaucoup de nous et de notre temps. Ecarte un peu les jambes et les pieds, que je puisse poser ton assiette.

— Allez, Médore, écarte les pattes, comme une bonne chienne que tu es.

— Ok. Maintenant, je pose ton assiette. Tu vas retirer la carotte que tu as dans ton cul et, pour le moment, tu vas te la fourrer dans la bouche. Tu vas nettoyer la jolie carotte avant qu’on la remette dans ton frigo pour ton prochain repas. Aujourd’hui, on te dispense de carotte.

J’ai donc tiré sur les fanes de la carotte pour l’extraire de mon cul, et, dès qu’elle fut retirée, je la pris dans ma bouche sans regarder l’état dans lequel cette carotte pouvait se trouver. Le goût était infect mais j’essayai de prendre sur moi sachant que ce qui m’attendait ensuite serait 1000 fois pire.

— Bourricot qui mange sa carotte! Trop mignon! La prochaine fois, au lieu d’en faire une chienne, on en fera une ânesse et on pourra lui grimper dessus.

— T’as raimister, Rafi! Mais ne perdons pas de vue que notre chienne a très faim. Hein, ma chienne?

— OUAFFFFF! OUAFFFF!

— Alors maintenant que nous avons positionné ta gamelle au bon endroit, tu vas continuer de te servir ton repas. Tu vas pousser bien fort avec ton cul et sortir de là tout ce qui se trouve à l’intérieur. Allez, pauvre sous merde, obéis et vite!

J’ai donc poussé, comme si je voulais chier. Pour commencer, j’ai senti les olives sortir de mon cul, l’une après l’autre. La sensation était plutôt horrible d’un point de vue mental, mais plutôt très agréable d’un point de vue physique. Mon cul s’ouvrait, laissait passer l’olive, puis se refermait. Puis vint le tour de la saucisse, et enfin mon cul fut libre de respirer.

Tout ce que j’avais sorti de mon cul avait gentiment atterri dans l’assiette posée à mes pieds.

— Putain! C’est dégueux, mais j’adore. Je la kiffe trop, cette chienne!… Médore, la pute, tu vas pouvoir te retourner et regarder le merveilleux repas que nous t’avons préparé. Et auquel tu as tout de même, je l’avoue, un peu participé.

— Allez! Et toujours à quatre pattes, bien sûr.

Mon visage est passé du rouge de la honte au blanc de l’horreur en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. La tête que je faisais les a bien évidemment rendus hystériques et le fou rire qui a suivi était insoutenable.

— Putain! Médore, tu verrais ta tête, tu serais au moins aussi mort de rire que nous. Bon, allez, je vais reprendre mon sérieux pour t’expliquer un peu le détail de cette magnifique recette. Il s’agit d’une merveilleuse saucisse de Strasbourg aux olives que tu as magnifiquement réchauffée et sur laquelle tu as laissé un peu de merde pour en épicer le goût. Pour notre contribution, nous avons pissé tous les deux dans une casserole dans laquelle nous avons fait cuire ces quelques pâtes. Nous les avons ensuite agrémentées de poils de cul, de poils de couilles, de poils de nos aisselles. Mais on ne pouvait pas en rester là, il te fallait une bonne sauce. Alors nous avons chacun mollardé une bonne dizaine de fois et nous nous sommes mouchés au dessus de tes pâtes. On aurait pu penser que c’était bien et que tu ne méritais pas plus. Mais nous sommes royal et tes légumes devaient être à la hauteur de ta soumission. Alors nous nous sommes branlés dans cette magnifique sauce. Tu vas bouffer des pâtes au sperme de Maître. Nous avons donné pour toi tout ce que nous pouvions, mais, rassure-toi, nous avons gardé une surprise pour le dessert. Maintenant que tu connais la recette de ce délicieux plat, nous te laismisters manger et déguster ton repas. Allez, Médore, bouffe.

J’ai tout de suite compris que j’allais devoir manger comme ça, à quatre pattes. J’ai obéi, et j’ai commencé à manger, bouchée après bouchée. Je ne sais pas ce qui était le pire dans tout ça. Ce qui sortait de mon cul ou ce qui venait de mes Maîtres.

— C’est bien, Médore, tu fais honneur à notre repas. Nous sommes fiers de toi. Rafi, je crois que notre chienne doit avoir soif. T’as pas envie de pisser, toi?

— Oh! que si! Pas de problème. Bouge pas, je vais chercher un bol.

— Tu vois, lopette, tu ne pourras pas dire que l’on ne s’occupe pas bien de toi.

— Tiens, bois. On veut te voir laper. Et surtout, ne renverse pas! On veut te voir finir tout ton repas et ta boismister.

J’ai mangé et bu tout ce que j’avais devant moi posé à terre, mes maîtres me regardant à peine. Je crois que c’était cela le plus humiliant. Le fait d’avoir l’impression, à ce moment-là, qu’ils se foutaient totalement de ce que je faisais pour leur plaire, pour leur obéir. Dès que j’eus fini de tout manger et de laper toute la pisse de Rafi, je me mis à aboyer pour leur faire savoir que j’avais été une bonne chienne et que j’avais bien tout mangé.

— Putain! Ça devait être bon, car Médore n’a rien laissé. Et je vois même qu’il a bien léché mister assiette. Comme ça, pas de vaisselle à faire: c’est le top!

— Je suis impressionné. Putain! il est trop grave! Je te dis pas comment il doit puer de la gueule, le bizut. Au fait, Jo, il me semble que mister cul et que sa bouche mistert libres en ce moment et je ne voudrais pas que notre lopette prenne froid. Je pense qu’il va falloir remplir tout ça, vite fait. Je pense qu’il mérite une récompense avant d’avoir mister super dessert.

— T’es pas en train de me dire que t’es prêt à te faire sucer par cette pute et en plus lui fourrer le cul?

— Pourquoi? Pas toi? T’as pas envie de te vider les couilles autrement qu’en te branlant dans ces nouilles.

— Faut voir... Putain! Ouais, pourquoi pas? Tu me diras une bouche et un cul,c’est jamais qu’un trou à remplir. Et puis ce n’est pas un mec, c’est une chienne. Alors, ça, on a le droit.

— Ok, c’est cool! On va par contre lui bander les yeux. Hein, Médore? Comme ça, tu ne sauras pas qui tu suces et qui te baise. Allez: ACTION!

À nouveau, je me suis retrouvé avec les yeux bandés. Impossible de voir. J’allais devoir les sucer à tour de rôle et me faire enculer sans même voir le corps de mes Maîtres. À quatre pattes, le cul tendu, j’ai senti un gland s’approcher de mes lèvres. L’odeur était forte et puis, au même moment, je sentis une pression sur ma rosette.

chrislebo

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#3,214
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Mon patron


Je m’appelle Yves et j'ai 28 ans. Je suis roux et j’ai un physique d’adolescent. Je n’ai pas très bien vécu le divorce de mes parents et je rêvais d’indépendance. J'ai arrêté mes études assez tôt pour chercher un emploi et me loger. J'ai réussi à décrocher un petit job de secrétariat dans une société d’import export. Il me permet tout juste de boucler mes fins de mois. En quelques mois, mon sérieux, ma ponctualité ont joué en ma faveur. Le patron m’a fait venir dans mister bureau pour me faire une proposition. Sa secrétaire devant s'absenter pour un congé maternité, il me proposa d’assurer l’intérim.

— Je préfère cette solution! m’a-t-il dit. Tu connais la boîte et tu te familiariseras plus vite qu’une permisterne étrangère à la société.

Le patron est un type qui en impose et, sans en avoir peur, je peux affirmer qu’il m’impressionne. Devoir travailler en direct avec lui, me faisait vraiment peur et m’angoissait. Mais, d’un autre côté, mon salaire allait augmenter de 40%... Ce qui n’était pas négligeable!

— Je te donne deux jours pour y réfléchir et prendre ta décision! N’oublie pas que pour tenir ce poste, j’ai besoin d’une permisterne disponible!

J’ai donc accepté le travail et je suis entré en fonction trois jours plus tard. Au bout de quinze jours, alors que nous étions les deux derniers dans les bureaux, il m’a parlé:

— Jusqu’ici, je suis très content de ton travail...

— Y a-t-il un «mais», monsieur?

— Non... Quoique! Il me reste à évaluer certaines de tes aptitudes. Pour travailler avec moi, il faut être entièrement dévoué.

— Je sais, monsieur. Je pense que...

— Chut! Tu ne dois jamais contredire un de mes ordres. Es-tu prêt à l'accepter?

— Euh... oui, monsieur... Je vais essayer de...

— Ce n'est pas suffisant d’essayer. Il me faut du concret.

J’étais un peu paumé. Tous ces propos étaient bizarres.

— Le travail de la société m'accapare énormément. Je n'ai pas le temps de mener une vie permisternelle et intime en parallèle.

— Je comprends que vous exigiez de votre secrétaire.

— Ta gueule!

Il a écarté mister siège à roulettes du bureau. Sa queue jaillissait de sa braguette ouverte.

— Allez! Suce!

Tel un natural apeuré devant un prédateur, je me suis laissé magictiser par mister engin monstrueux. Je l’ai pris en bouche.

— Tu aimes?

— Oui, monsieur.

— Continue à pomper et réponds à mes questions en agitant la tête. Es-tu prêt à ne plus porter de sous-vêtement sous ton pantalon?

J’ai agité la tête pour dire oui.

— Es-tu prêt à me sucer à quatre pattes sous ce bureau pendant que je reçois des clients?

— Oui, monsieur!

— Enlève ton pantalon pour me sucer!

J’ai obtempéré directement.

— Tu as un beau cul. Donc, tu as bien compris... plus de slip ni de caleçon... Cul nu sous ton pantalon! Je veux que tes fesses soient immédiatement accessibles.

— Oui, monsieur!

Il a ouvert un tiroir et posé un large gode sur mister bureau.

— Enfonce-toi ça au fion!

— C’est... c’est très gros... je...

— Ne pas contredire un seul de mes ordres!!! As-tu déjà oublié tes résolutions? Je vais te punir pour ça. Debout sur mon bureau et descends doucement sur cet autre gode...

Ce deuxième gode était beaucoup plus grand et gros. J’avais très peur. J’ai pourtant réussi à me l’enfoncer jusqu’à la garde et à m’agiter dessus;

— C’était ta première impertinence! Au bout de trois ce sera le licenciement immédiat sans même la possibilité de retrouver ton ancien poste. Tu es à mon entière disposition. Est-ce bien clair?

— Oui, monsieur!

Je commençais à me rendre compte de ce qui m’arrivait. J’allais devenir un jouet sexuel pour un homme vicieux et sadique. Il m’a retourné sur ses genoux pour me donner la fessée. J’ai un peu gémi de douleur et puis j’ai trouvé la sensation plus supportable.

— Je vois que tu commences à t’habituer. Tu vas sûrement aimer devenir ma petite pute docile, ma petite salope perverse. Je vais te faire progresser dans ton rôle d’objet pour le plaisir!

Il m’ordonna de m’installer à quatre pattes sur mister bureau et il me contourna. Je ne le voyais plus; j’étais inquiet. Il ôta le gode pour le remplacer par autre chose.

— Voici TON bouche-trou. C’est un butt plug qui devra toujours être en place sur ce lieu de travail. Il sera enlevé lorsque j’ai envie de me servir de ton trou.

Il poussa bien le plug à fond. Soudain, sa main claqua violemment sur mon cul. Il recommença. Comme j’avais émis un léger cri de surprise mêlé à un autre de douleur, il pousse mon slip en boule dans ma bouche. La fessée reprit jusqu’à me tirer des larmes. Seul mon père qui était très sévère m’avait déjà donné ce type de châtiment.

— Un cul de salope, ça doit être net sans poil! Pour demain, tu vas me nettoyer ta raie et la rendre impeccable!

J’ai agité la tête.

— Ton cul est bien rond et musclé. Ça c’est bien! Tu fais de la musculation?

J’ai agité la tête pour dire non.

— Réponds!

La bouche encombrée par mon slip, j’ai du fournir un effort incroyable pour sortir un mister correct de ma gorge.

— Non, mechieu. Che fais de la natachion.

— Très bien! Quand, j'en aurai fini, avec toi, aujourd’hui, je te donnerai le reste de ta journée. Tu iras t’occuper de ton corps. Tous les soins à y apporter mistert écrits sur cette liste. Lève-toi.

Je me suis dressé sur la table.

— Au sol! Descends! Je t’interdis de perdre ton plug et de le tenir avec tes mains. Sers-toi de ton cul pour le serrer.

Je suis descendu en essayant de garder le bouche-cul. J'étais debout devant lui, les yeux baisés.

— Il y a aussi ces tétons qui mistert bien minuscules! On va arranger ça!

Il sortit, d’un tiroir de mister bureau, deux petites pinces reliées par une double-chaîne argentée.

— Je sais que n'es pas encore habitué à tous les traitements que je te réserve. Tu finiras par tellement les apprécier que tu en redemanderas. Sais-tu à quoi servent ces pinces?

— Non, mechieu!

— Elles servent à travailler les tétons, à les faire «bander»... Tu vas, toi-même, en poser une sur chacun de tes tétons. Tu vas voir, au début, la douleur est assez forte mais, ensuite, ça va te plaire! La seule chose, c’est qu’on ne peut jamais oublier qu'on les porte.

Il m’a tendu les pinces et, les yeux remplis d’angoisse, j’allais devoir les placer sur mes pointes sensibles. Le froid de l'acier me fit frismisterner. Elle était maintenant ouverte, prête à emprimisterner mon téton. La douleur fulgurante m’arracha encore des larmes. Il était en face de moi, terrible.

— C'est une épreuve très difficile, mais je suis sur que tu vas la réussir. Tu les garderas toute cette première journée. Demain, je veux voir tes pointes déjà bien dures et dressées. Tu pourras les retirer chez toi... pour la nuit! C’est à moment là que la douleur sera la plus forte.

chrislebo

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#3,215
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Mon patron venait de nous surprendre et j’étais pétrifié. J’étais sa chose et il ne supporterait pas que j’appartienne à un autre.

— Vous n’allez pas vous arrêtez parce que je suis là, les cochons, je suis super excité. Allez, montrez-moi ce que vous alliez faire... Dites-vous que je ne suis pas là...

— Monsieur, je...

Sa main vola et claqua sur mon visage.

— Donne-toi à fond, salope! Toi, bourre-le comme il le mérite... à la dure!!! Avec une vraie bite, cette fois!

L'ordre était trop tentant pour mon collègue. Il me tira en position debout. Le gode sortit de mon trou avec un bruit de succion et il me plia en deux sur le bureau. Le patron se débarrassa de mister bloumister et de sa chemise puis déboutonna mister pantalon pour sortir mister pénis épais déjà en érection.

— Encule ma salope, Karl! Je te l’ordonne! Fais-la couiner!

Karl enfila une capote et m’enfonça sa tige d’un coup au fond du trou. Le patron n’en perdait pas une miette et il faisait ses commentaires obscènes sur la façon dont Karl me baisait. Il se masturbait debout et se rapprochait de nous. Il se positionna face à moi et me donna l’ordre de prendre sa bite dans la main et de le branler alors que Karl s’enfonçait dans mon cul. Je subissais ses coups de butoir avec plaisir. Il était très excité – encore plus depuis que le patron nous avait surpris! Karl et moi commencions à gémir en cadence. Il me titillait du bout des seins, introduisait parfois un doigt dans ma bouche pour que je le suce.

— Qu’est-ce que tu en penses de ma salope? demanda le patron.

— C'est une vraie bonne chienne, patron! Hyper chaude... Disponible...

— Tu matais mister cul depuis longtemps, hein? Tu rêvais d'y mettre ta bite?

— Tout à fait... Là, j’y suis et c’est trop bon!

Karl quitta mon cul et je me mis à genoux pour sucer sa queue. Le patron me fourra à nouveau le gode.

— C’est bon de se faire un mec, hein? lança le patron.

— Eh, patron, je ne suis pas pédé, hein. Faut pas croire... C’est juste une expérience! Un cul c’est un cul! J’avais envie de fourrer un trou... Ma femme n’est pas trop chaude pour les galipettes et...

— T'as une belle grosse queue. Elle a tort ta femme!

Le patron se pencha vers moi.

— Tu trouves aussi que sa femme a tort, hein? Toi, tu dois aimer la pomper, cette grosse bite, ma petite pute?

J’ai agité la tête pour lui répondre. Bien sûr que j’adorais ça. La bite de Karl avait maintenant atteint sa taille maximale et je n’avais jamais vu un truc pareil. Monumental!!! Le patron matait et ne se formalisait pas que sa bite soit moins longue que celle de mister employé. Il appréciait qu’elle me ramone en cadence et m’arrache des gémissements de salope en rut. Il continuait à se branler.

— Tu sais Karl, lui dit mon patron, moi non plus, je ne suis pas à proprement parler un pédé, mais j'ai découvert que certains mecs étaient plus salopes que les vraies salopes! J’ai déjà fait des tas de trucs avec des mecs. Rien que des mecs soumis... Tu serais surpris du plaisir que tu aurais si tu essayais avec d’autres... Tu devrais t’en trouver un à toi, comme moi, et le dresser, le loper...

Karl ne répondit pas mais il accéléra ses coups de reins et me fit un peu mal à la mâchoire.

— Retour à l’arrière!

Le patron me plaqua contre le bureau et enleva le gode. J’étais contre la tablette froide du bureau, cul offert et jambes écartées. Karl planta sa bite d’un coup et pilonna.

— Tu fais ça comme un chef, Karl! Tu vas remonter dans mon estime si tu continues à me la baiser comme ça.

— C’est un vrai plaisir de le fourrer et de vous satisfaire, patron!

— Je le constate!

Les va-et-vient de mon enculeur étaient rapides. Ils me poignardaient le cœur. Le patron tapa sur l’épaule de Karl et lui donna un gode, un nouveau...

— Mets-lui donc ça dans le cul!

L’engin faisait près de 50 centimètres de haut et avait un diamètre hors norme.

— Vous êtes certain que...

— Ma pute prend tout! Vas-y sans crainte! Pour ne pas me l’abîmer, il va falloir dilater tout ça... Voilà du crisco... Montre-moi tes capacités de fisteur!

Karl me tartina le trou de graisse et y joua avec un puis plusieurs doigts. Il y fourra le plug en me claquant le cul. Cela dura un bon moment sous l’œil ravi du boss en pleine séance de branle. Enfin, mon cul s’était assoupli et Karl saisit le gode. Il le posa au sol et m’ordonna de me positionner au-dessus.

— Roule-lui une pelle à ma salope!

Karl hésita puis emporté par l’excitation, il m’embrassa tandis que je m'introduisais le gode dans mister cul bien graissé.

— Crache-lui à la gueule! Montre-lui qui commande...

Mon collègue semblait de plus en plus excité par la situation. Après m’avoir craché à la gueule, il se branla vigoureusement devant mon visage et ne mit pas trop longtemps à me larguer sa purée sur la tronche. Moi, je me retenais tant bien que mal. À mister tour, le patron jouit assez bruyamment, le corps parcouru de spasmes.

— Ok mon gars, c'était vraiment parfait. Laissez- moi en terminer avec lui maintenant. Tu peux t’en aller! Si un jour l’idée m’en dit, je ferai appel à ta grosse bite pour limer SON trou...

Karl quitta le bureau avec ses fringues sur le bras... Il ne dit pas un mot.

Le patron s'agenouilla devant moi. Il m’attrapa la queue et m'astiqua violemment. Son visage était à cinq millimètres du mien.

— Tu crois que tu vas t’en sortir comment, salope?

— Je vais être puni, monsieur!

— Pourquoi vas-tu être puni?

— Parce que je le mérite... J’ai baisé avec quelqu’un d’autre... sans votre permission...

Mon patron me branla jusqu’à l’éjaculation et mon foutre inonda le sol. Il m’ordonna de me relever, d’enlever le gode et de remettre le plug.

— Pompe-moi! Nettoie-moi la queue, putasse! Sale chienne!

Je me mis alors à genoux et pris la bite de mon patron en bouche. Je lui nettoyais la queue tout en le pompant pour lui rendre sa rigidité. Lorsque la queue eut repris sa vigueur, il me renversa d’un coup de pied...

— Allez, en position de pute! Montre-moi de quoi tu as encore envie...

Je me mis sur le bureau lui présentant ma chatte de mec épilée. Il claqua mister engin contre mes lobes durs puis mit mister gland à l'orée de mon anus boursouflé et commença à pousser lentement. Sa bite entra facilement. Il m’encula un long moment puis me dit.

— Fais-moi la chienne! Excite-moi bien...

Je me mis alors à quatre pattes sur la moquette pour l’inviter dans mon cul, ouvrant mon anus à deux mains. Il adorait ça et me le fit comprendre avec des obscénités.

Il reprit le pilonnage et me saillit comme une chienne. Son corps se raidit et de longs jets de sperme chaud remplirent la capote. Mon cul se serra autour du pieu rassasié.
chrislebo

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#3,216
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on patron venait d’engager un nouveau comptable. Un mec insignifiant! Grand, mince, maigre même avec un visage allongé et un nez pointu. Il n’était pas marié. Sans doute parce qu’il avait consacré tout mister temps à mister travail. Il avait dû réaliser qu'il ne plaisait pas aux femmes et que c'était certainement avec des prostituées qu'il devait se soulager. Ce mec m’intriguait et je le surveillais souvent. Lorsque je portais du courrier ou des dossiers dans les bureaux, il m’arrivait de le trouver avec un visage rouge et décomposé. Comme il avait mister bureau permisternel, il devait se masturber régulièrement.

Un jour qu’il était absent, j’avais fouillé mister bureau et j’avais trouvé des livres pornos. J’avais découvert mister obsession pour les rapports SM. Le viol l'excitait particulièrement. Il aimait se caresser en matant des photos où des femmes attachées subissaient les derniers outrages. Il s’imaginait sûrement qu’il pouvait ainsi les powerr à le sucer et à avaler mister sperme visqueux. Il bandait en fantasmant à l'idée qu'il les traiter de salopes, de putains, de chiennes... C'était un fameux vicelard doublé d’un pervers. Je soupçonnais que le patron sache tout cela de lui et qu’il l’ait engagé pour ça.

Un soir, mon patron m’a dit que je devais encore rester au bureau une ou deux heures pour aider le comptable. J’ai vite compris que la nuit allait être longue... Je me suis rendu dans le bureau du comptable. Celui-ci était assis derrière mister bureau devant une pile de dossiers.

— Tout ceci est à ranger! Je viens de terminer les vérifications...

Je me suis dirigé vers lui. Il a tourné mister siège vers moi et m’a tendu une pile de dossiers qu’il a laissée glisser à ses pieds. Le sol était recouvert de feuilles éparses.

— C’est bête! Il va falloir les reclasser maintenant.

Je me suis mis à quatre pattes pour tout ramasser. Le comptable avait les cuisses bien écartées devant mon nez. Il a posé la main sur mister bas-ventre. Son pénis s’est mis à durcir dans mister pantalon.

— Tu corresponds parfaitement à mes fantasmes. J’aime toutes les salopes qu’elles soient mâles ou femelles! Le patron m’a demandé de m’occuper de toi... toute la nuit... Je viens de lire un dossier qui m’a bien excité... il va falloir m’aider à me soulager...

Il avait sorti mister pénis et se masturbait en me regardant droit dans les yeux. Son pénis était déjà en érection lorsque je l’ai pris en bouche. Longue, mince, courbée et veinée, sa queue était surmontée d'un gros gland violacé aux rebords proéminents. Une belle bite! Elle était encore plus belle que je ne l'avais imaginée.

— Tu sais ce que j’attends de toi?

— Oui, Maître.

— Je vais te violer avec mes doigts, ma langue et ma queue ainsi qu’avec tout objet qui me fera envie.

— Bien, Maître.

— Tous tes trous seront à mon entière disposition... Est-ce clair?

— Oui, Maître.

— Si tu résistes, je saurai te dresser...

Le message était on ne peut plus limpide. Il voulait que je lui résiste.

— Les vilaines salopes, je sais m’en occuper, tu sauras!

— Mais, je ne suis pas une salope...

Son regard s’éclaira. J’entrais dans mister jeu. Je lui ai donc offert un peu de résistance. C’était un jeu de surenchères et ma résistance a été plus importante qu'il ne l'avait imaginée. Il est devenu plus violent, m’a frappé au visage. J’en ai pleuré de rage et de douleur. Il m’a arraché tous mes vêtements. J’étais nu et à sa merci. Je l’ai pompé plus d’une heure. Mes mâchoires en étaient meurtries. Il s’est levé et a rangé sa queue dans mister slip.

— Bon! Il est maintenant temps de passer aux choses sérieuses. Allez, petite salope, tu vas accepter de faire tout ce que je veux. Mets-toi à quatre pattes sur le bureau...

Il a sorti un énorme gode d’un tiroir. Ce gode était monstrueux. J’ai eu un frismister. Je suis bien élargi mais un truc pareil ça fait peur.

— C’est trop gros! ai-je gémi.

Il m’a donné une baffe monumentale, me faisant saigner du nez.

— Une pute ne donne jamais mister avis!

Quelques larmes se mistert mises à glisser sur mes joues et je me suis positionné sagement.

— Tu vas voir, on va bien s'amuser tous les deux. Mets ta main ici!

J’ai tendu la main vers la bosse de mister pantalon. Il a souri.

— Tu la sens ma grosse bite dans mon pantalon? C'est toi qui la fait bander avec ton petit cul et ta bouche pulpeuse.

Sa main a glissé dans ma raie puis est descendue entre mes cuisses après m’avoir palpé les couilles. Il m’a enfoncé le bout du gode dans l’oignon en m’ordonnant de continuer à m’y empaler moi-même. Il a fait le tour du bureau pour se retrouver devant mon visage. Il m’a saisi par les cheveux et a à nouveau sorti sa bite.

— Suce, salope... je veux venir dans ta bouche, petite putain. D’abord dans ta bouche et ensuite dans ton cul...

Il guida mister gland vers ma bouche. Je n'avais pas d'autre choix que d'ouvrir les lèvres et gober l’engin encore plus gros que tout à l’heure. Le gode s’enfonçait doucement en moi et je souffrait de mes deux trous violés. M’agrippant toujours par les cheveux, il me violait la bouche avec un plaisir certain.

— Ah, tu suces bien, salope... Et ton gode, tu l’apprécies maintenant, hein?

À ce rythme-là, je sentait que mister désir montait en flèche et qu'il ne pourrait se retenir bien longtemps. Il m’avait annoncé la couleur: une jouissance pour chaque trou. Il voulait démontrer à la petite putain que j’étais et qu'il dominait, que durant les prochaines heures, elle serait à sa merci. Il gémissait comme une bête blessée et je le sentais durcir dans ma bouche. Il m’injuria un peu plus fort. Je savais qu'il allait jouir.

— Ah oui, avaaaaaaaaaale, petite putain... Goutte au jus de ton Maître, de ton violeur!

Le sperme coula à gros bouillons dans ma bouche et le long de mon menton et dans mister cou. J’essayais de reprendre mon souffle mais, lui, ne voulait pas me laisser une seconde de répit. Il m’a attaché les poignets derrière le dos avec mon slip qu’il a déchiré. Il m’a couché sur le bureau après m’avoir fourré mes chaussettes dans la bouche.

— Voilà, comme ça tu es parfaite!

Nu, à sa merci, j’attendais la suite avec appréhension. Il s’alluma une cigarette et ne fit plus attention à moi. Il quitta même le bureau un moment. J’avais un peu froid. Lorsqu’il revint, il commença à me caresser de ses mains vicieuses. Il pinça mes tétines doucement puis avec power, m’arrachant des cris de douleur.

— Oui, ça fait mal, je sais! Mais c’est la loi... c’est MA loi!

Il m’enleva mon bâillon improvisé et commença à me masturber lentement en m’ordonnant de lui raconter, dans les moindres détails, comment le patron m’avait dressé pour la première fois. Lentement, en m’écoutant raconter, il retrouvait mister érection.

Il glissa la main entre mes fesses et caressera les replis intimes de mon cul. À mister tour, il me raconta comment il avait forcé un jeune garçon à le sucer dans le métro avant de le pénétrer dans un couloir désert. Son doigt pénétra dans mon conduit assoupli par le gode.

— Je voudrais te prendre aussi de cette façon. Dans un endroit où il peut arriver quelqu’un à tout moment pour nous surprendre. Je pourrais te traîner dehors et aller te violer là-bas dans le parc... en face des bureaux.

Le doigt s'agitait de plus en plus à l'intérieur de mon cul et je sentais mister ongle mal taillé me griffer l’intérieur. Il m’a re-fourré les chaussettes dans la gueule.

— Ça t’excite toutes ses histoires, hein? Tu mouilles, ma salope? C'est de t’imaginer nu dans un parc avec une bite au cul... ou bien c’est de sentir mon doigt te fouiller la chatte! Tu sais que tu as une petite chatte bien serrée, toi... et bien chaude aussi. Ne me dis pas le contraire, petite salope. Même avec le gode, tu es toujours étroite! Je sais bien que tu veux me résister mais je sens aussi que ton corps est bouillant de désir. Allez, laisse-toi bien faire, petite putain, comme tu l'as laissé faire le patron!

J’ai agité un peu la tête et je me suis agité pour la forme. Je ne couperais pas à cette séance de cul avec lui... alors autant qu’elle se termine vite! Il s’est penché au-dessus de mon visage et m’a craché à la figure.

— C'est pas si mal, le viol, tu verras. Tu sais que tu me fais bander, toi! Tu sais que tu vas me faire venir, hein... Où ça? Là... dans ta raie serrée... dans ton trou...

À travers le bâillon, j’ai un peu crié:

— Je vous en prie, laissez-moi, laissez-moi...

L’effet escompté fut obtenu très vite. Mes supplications ne firent qu'exciter davantage le fonctionnaire vicelard qu’il était. Il me retourna et, me saisissant par les hanches, s’enfonça en moi d’un coup sec. Putain, la douleur! Le pénis était bien engagé dans le canal étroit de mon cul et mister mouvement de va-et-vient s'accentuait de plus en plus. Je voulais qu’il se libère vite et que je puisse rentrer chez moi. Grâce à ma résistance et mes protestations, je savais qu'il allait bientôt jouir.

— Pute! Salope! truie!

— Mmmmmmmm...

— Je te nique, sale pute! Je te tire contre ta volonté... Ça te fait mal, hein, de sentir ton trou baisé par ma grosse bite?

— Mmmmmmmmm...

Il réalisait mister fantasme: imposer mister désir à une salope! Il est sorti de mon cul et a inondé ma raie d’un flot ininterrompu de sperme chaud. Je le sentais couler entre mes cuisses et glisser sur mes jambes flageolantes.

Deux semaines plus tard, le patron le mit dehors.

Je n’ai jamais su pourquoi!

vanbruje

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#3,217
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Merci pour tous ces textes de la part des intéressés qui ne s'expriment pas...
Bonne continuation.
chrislebo

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#3,218
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Merci de leurs parts
chrislebo

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#3,219
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Le deuxième soir, Rosy a rendez _vous avec Ernest pour assister aux répétitions du nouveau spectacle. Elle ramène mister neveu chez ses parents pour pouvoir être libre. Elle arrive à la roulotte, il est vingt trois heure, espérant se le faire mettre. Elle n'est pas déçue. Elle est assise sur une chaise, le bassin légèrement en avant. Ernest est juste à la hauteur pour lui donner un bon coup de queue. Du pouce, il lui excite le clitoris entièrement sorti de sa capuche. D'une main, elle le teint par la nuque, de l'autre, elle se caresse les seins. Elle va crier pour la première fois de la nuit.
-Allez, viens, dit Ernest, tu vas assister à un numéro que tu n'as jamais vu de ta vie.
-J'ai hâte, répond-elle.
Ils arrivent près d'un petit chapiteau, et écarte la toile. A l'intérieur, un mini manège de quatre mètres de diamètre pour dresser les poneys. Le spectacle est stupéfiant. la femme du directeur, surnommée "Duchesse", entièrement nue, fait des tours de piste en imitant le cheval. Elle est extrêmement belle, un corps de rêve, de longs cheveux blonds surmontés d'une queue de cheval. la trentaine. Elle a une corde passée autour du cou. Au bout de la corde, Jos, la femme d'Ernest, naine de un mètre dix, un fouet à la main, met au point un numéro de dressage. Assis sur une chaise au bord de la piste, Max, mari de "Duchesse" et directeur du cirque, suit la scène attentivement. Assise sur ses genoux, en tenue d'Eve, Mathilde, soeur de Jos, naine elle aussi, se trémousse aux rythme de ses caresses.
-C'est bien "Duchesse", dit Jos, tu mérites une récompense. Viens, je vais te rincer un peu.
Mais ta chatte est pleine de mouille, vilaine. Tu veux que je te doigte avant de reprendre les
répétitions?
-Oh oui, s'il te plait, ne me laisse pas comme ça. Branle moi, fais moi jouir. Décalotte mon
clitoris.
Dix minutes plus tard, "Duchesse hurle de plaisir, sans se soucier des gens qui l'entourent.

-Tu es un salaud, gémit Mathilde, regarde dans quel état tu as mis ma petite chatte. En plus
tu prends plaisir a offrir ton épouse, la voir soumise, hein? Entend comme elle gueule.
-Mais çà fait parti du boulot, ma chère, répond Max. Vous êtes payer pour çà. Toi aussi tu
vas gueuler. Je sens ton bouton vibrer sous mes doigts, salope.
-Putain, tu me fais jouir, crie Mathilde, je crache, ha..oui..vas-y, t'arrête pas. Tu veux que je
te taille une pipe après. Je sais que tu aimes ma petite bouche.
-Bien sur que je veux, dit-il. Se faire vider les couilles par une petite femme. Quel pied.
C'est vrai que Mathilde ressemble à une petite fille sur les genoux du directeur.
Leurs attentions est attirées par des soupirs provenant de derrière la toile.
"Tu m'encules salaud, tu as pas honte de faire çà à mon petit trou? Ha..ha.., vas-y, gratte
bien mon minou aussi. On va jouir ensemble, hein? Que c'est bon.
D'un coup, Max tire la toile. il surprend Rosy à quatre pattes, en train de se le faire mettre. Ernest l'a tient fermement par les hanches. on entend le "flap" de ses couilles taper contre les fesses de la jeune fille. Ernest, surpris, se retire, la queue maculée de mouille, et de sperme.
-C'est quoi le morceau que tu as au bout de la queue, Demande Max. Tu t'emmerdes pas.
-C'est avec elle que tu as passé la nuit, dit Jos. je comprend que tu te sois régalé, salaud.
Surprise, Rosy ouvre grand la bouche. Elle est rouge de honte. Mathilde lui prend l'oreille.
-Viens ici ma chérie, maintenant que tu es là, tu vas participer. si on essayé un numéro
en couple.
Les deux naines finissent de la dénuder. Ernest s'avance de mister patron, l'air narquois.
-Vous aussi, il faut vous déshabillez. N'ayez pas honte patron, on est entre nous.
C'est vrai que Max est complexé quant aux mensurations de mister sexe. Il est beaucoup moins monté qu'Ernest. Ce qui le gène énormément. Mais il assume. Il se met tout nu .
-Mais c'est quoi ce petit machin, ricane Rosy. Juste un bout pour pisser. Je peux toucher?
-Bien sur, dit Mathilde. Tu vas voir comme çà fait bizarre de caresser des petits testicules.
Rosy fait rouler les noisettes de Max entre ses doigts, tire sur la petite queue, en vain.
Jos revient en tirant "Duchesse" par la bride. Elle a ajouter un deuxième collier.
-Viens ici jeune fille, ordonne-t-elle. Je vais te dresser toi aussi. Et d'obéir.
Voilà les deux jeunes femmes aux galops, tournant dans le manège. mais Rosy n'a jamais fait çà. Elle se montre assez maladroite. "Duchesse, elle, atteint la perfection.
-C'est très bien, dit Jos. Ta nouvelle partenaire t'appartient cette nuit.
"Duchesse s'approche de Rosy, l'embrasse, tout en glissant une main entre ses cuisses.
-Mais tu es toute mouillée, sourit-elle. Moi aussi. Allez viens, on va se bouffer la chatte.
Pendant que les deux femmes s'enlacent dans un coin, Jos s'occupe de Max qui est assis, jambes écartées sur mister fauteuil.
-Comment vont ces petites couillettes, dit-elle en les prenant. ah, ah, mais c'est qu'elles
mistert dures, bien pleines. On va essayer de faire grandir cette petite queue, pour bien la
faire pleurer.
-Arrête, soupire Max. Arrête de m'humilier devant tout le monde. C'est pas ma faute si ma
maman m'a fait un si petit oiseau.
-Mais non, regarde, il commence à grandir. Il manque plus qu'à bien le décalotter, et ça
va marcher. Tu vas voir, laisse faire une petite femme.
Jos entreprend de tailler une pipe au directeur. Celui-ci se dandine sur mister fauteuil.
-C'est vrai qu'à côté d'Ernest, ton sifflet ressemble à un cure dents. Tu vois, ma bouche
suffit largement. Elle peut même avaler tes petits testicules. Regarde Ernest comme
il est bien monté lui.
Ernest est en train de prendre Mathilde en levrette. Elle est à genoux sur le bord du manège. Un peu plus loin, Rosy est allongée sur la paille, jambes à l'équerre, e train de subir les assauts de "Duchesse".
-Comme tu me chatte mon dieu, gémit-elle. Qu'est-ce-que tu fais à mon bouton pour
que ce soit si bon. Tu me l'a bien décalotté ce salaud. Tu veux pas que je sorte le tien.

Les lumières s'estompent. Seul un bloc de secours diffuse une faible lueur. Il ne reste qu'Ernest, Rosy, et "Duchesse". Une partie de la nuit, Ernest va jouer avec les deux femmes, les faire hurler de plaisir. Il va l'est powerr à se gouiner. Cette fois, c'est Rosy qui s'amuse avec "Duchesse". Elle craque la première. Elle se tortille sur la paille, tenue par le clitoris primisternier des doigts de Rosy
-Vas-y Rosy, fait la gueuler cette pute. On va l'a faire râler après. je vais te sodomiser
devant elle.
-C'est vrai, salive Rosy. Tu vas voir comme il m'encule. Il a un bon coup de queue tu sais.
-S'il vous plait, moi aussi, pleure "Duchesse". je vous promet d'être sage, d'obéir. Mais
niquez moi, enculez moi, je vous en supplie.
chrislebo

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#3,220
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Le garagiste pervers

Elle m'avait déposé sa voiture pour une panne...et était venue la chercher un soir...J'allais fermer. Une bourgeoise, l'air d'une sainte nitouche, une petite quarantaine...Timide et terriblement bandante pour un pervers comme moi.
J'avais fermé...Je sentais que cela l'inquiétait...puis l'avait entrainée dans le bureau.. C'était l'été, j'étais juste en salopette, elle en robe légère...Elle regardait mon torse velu à la dérobée, mes épaules larges et mes bras musclés. J'essuyais mes mains sales avec un torchon et lui dit
- Ma p'tite dame, va falloir y passer maintenant...
Elle rougit...
- Pardon ?
- Ben oui, va falloir passer à la caisse...dis je en la regardant avidement…
Elle s'assit, fouilla dans mister sac...continua à fouiller...ne trouvant pas ce qu'elle cherchait...
- Y a un problème ma p'tite dame ?
- Je...je crois que...que j'ai oublié mon chéquier, balbutia t’elle…
- Eh ben voyons... On me la fait pas ma p'tite dame...
- Mais vous me connaissez...Vous savez que je vous paierais...J'ai besoin de ma voiture...Je dois aller voir ma mère...Elle est malade...
- C'est hors de question...Pas de sous...pas de voiture...
- Oh non, s'il vous plait...Je dois vraiment aller la voir...
Des larmes apparaissaient dans ses yeux...Je commençais à bander...Je m'approchais d'elle et l'a pris par le bras...MMM...sentir sa peau douce et tendre..
- Lève-toi...
Elle me regarda, éberluée par le tutoiement et la fermeté de ma main qui l'obligeait à se lever...
- Mais, Monsieur...
Je l'attirais contre moi...Je fais 1m82 et avait le ventre plat à l'époque..
- Tu as fait exprès de venir sans ton chéquier hein ?
- Non, je vous jure...J'ai changé de sac avant de partir et n'est pas pensé à vérifier..
Je sentais ses seins contre le haut de mon ventre...Ma queue commençait à durcir contre le sien...Je vis dans ses yeux affolé qu'elle me sentait bander contre elle...affolée...
- Tu veux vraiment ta voiture ?
- Euh....oui...non...lâchez moi...vous allez me salir...
La prenant par les épaules...Je la retournais et la poussais en avant vers le bureau...Toujours collé à elle, je sentais ses fesses charnues et encore fermes contre le haut de mes cuisses...Ce fût le déclic...Je ne pouvais plus m'arrêter....Il me la fallait...
Elle heurta le bord du bureau avec mister ventre...
- mais enfin Monsieur, lâchez moi...Que faites-vous...Pour qui me prenez vous...
- Allez laisse toi faire...pense à ta maman malade..Je ricanais...penche toi en avant...
Je me décollais d'elle...Et lui donnais une claque sur les fesses...
- Penche toi en avant je te dis...
- Non s'il vous plait....Je suis mariée...Je n'ai jamais...Vous comprenez...S'il vous plait...Laissez moi partir..
D'une poussée dans le dos, je la forçais à se pencher en avant sur le bureau...
- Aie..Oh non ! Ne me faîtes pas mal...
Je saisis le bas de sa jupe à 2 mains et la retroussais sur ses reins légèrement cambrés. Sa culotte apparut. Ce n’était pas une culotte sexy...Non une large culotte en coton qui couvrait bien mister cul de femme mariée et sage...
- Oh ! Non ce n'est pas possible...Laissez moi...
Elle avait des fesses assez grosse avec de la culotte de cheval en haut des cuisses...Pas un cul de mannequin...mais un vrai cul de femme...bien en chair..
Tétanisée, toujours appuyée à mon bureau, elle ne bougeait pas...Je ne devais pas la laisser se reprendre..Je baissais rapidement sa culotte, dévoilant ses fesses grasses et toutes blanches contrastant avec le reste de mister corps légèrement bronzé...La culotte tomba à ses chevilles encore serrées..
- MMM...tu sais que tu as un joli cul...ton mari doit se régaler avec, le salaud !
Je commençais à lui malaxer les fesses...Mes doigts s'enfonçant dans la chair un peu molle...
- Oh ! Lâchez-moi ! Vous ne devez pas....S'il vous plait !
Je lui donnais un coup de pied sur l'intérieur de la cheville...
- Ecartes les jambes, poupée...Dépêche toi...
- Non ! Je ne veux pas...Vous êtes un cochon...Je me plaindrais...
Mais elle dégagea docilement sa cheville de la culotte et écarta un peu les jambes..Je glissais une main dans la raie de ses fesses...descendant vers mister entrecuisse...De l'autre main, fébrilement je sortais ma queue. Je bandais comme un taureau à la vue de ce cul blanc et offert...
- Je suis sûr que ton mari adore te prendre comme cela...et que cela te fait jouir...Tu vas voir..J'ai une belle et grosse queue pour toi..
- Oh non ! Vous êtes fou...Jamais, il n'oserait...Laissez moi...J'ai honte...Vous voyez mes...
J'appuyais sur sa nuque...L'obligeant à allonger le buste sur la table...faisant s'ouvrir mister cul de femme fidèle. Je glissais ma bite dans la raie...me frottant entre ses 2 fesses....MMM...C'était une sensation délicieuse...J'allais la prendre...Là sur le bureau...Je profitais de ce moment unique...
- Tu sens comme j'ai envie de toi poupée ? Tu sens l'effet que tu me fais ?
- Oh ! Non ! Vous êtes....trop gros...C'est si dur...Vous n'allez pas...avec çà ! Oh non...Ne me violez pas !
Prenant ma bite d'une main, je passais mon gland violacé dans sa raie....effleurant au passage mister anus..Cherchant l'entrée de sa chatte poilue...
- Vous n'êtes qu'un cochon ! Qu'un pervers ! Jamais permisterne...
Je sentis ses lèvres au bout de mon gland et d'un léger coup de reins le plantait !
- Oh non....Mais vous allez vraiment..Non ce n'est pas possible...
Elle tenta de monter sur la table pour m'échapper...Mais je la tenais bien...et la retirais vers moi...vers ma bite appuyée à sa chatte...tout en donnant un violent et long coup de reins...
-oooooooooohhhhhhhhh..........AAAAAAAAAHHHHHH........
C'était merveilleux....Je sentais ma grosse queue s'enfonçant inexorablement. Elle était étroite...Elle me comprimait merveilleusement la bite...Ses chairs intime étaient douces...et humides...
- Arrêtez...Vous êtes trop gros...Vous me faîtes mal...Oh Mon dieux ! Oh non...
Continuant ma poussée, je finis par buter au fond de mister ventre...Je sentais ses fesses contre mes poils...Je la tenais aux hanches et ne voyait plus ma bite profondément enfoncée..
- Oh si Jacques savait....Oh que j'ai honte...
- Tu es toute mouillée....Toi aussi tu es une cochonne...Tu aimes cela hein ?
Je me retirais lentement puis commençait à la besogner sur le bureau...
- Non...Vous mentez...Je ne ....Je...
Ses fesses tressautais sous mes coups de reins....Sa chatte s'ouvrait...se lubrifiait pour mieux m'accueillir...C'était merveilleux...J'accélérais la cadence...
- Cà te changes de la bite de ton mari...Tu ne connais que la sienne hein ?
- Oh...Oui...Je ne...
Secouée par mes coups de reins, elle avait du mal à parler...mais visiblement, elle avait envie de raconter...
- Oh ! Je ne savais pas....Vous êtes...Un cochon...avec votre gros....machin...Oh non ! Vous allez trop loin...Oh mon dieux Jacques....Il me prend....Je n'ai rien pu faire...Oh non...
Elle coulait littéralement sur ma bite maintenant...Elle tremblait...les mains crispées sur le bureau...venant à la rencontre de ma queue...C'était trop bon ! Je sentais l'orgasme poindre...Mes couilles devenir dures..Il fallait que je me retienne encore...Elle continuait à parler à mister mari..
- Jacques....Je ne voulais pas...Il me viole...avec mister ...sa....Oh, il est si gros...si fort...Oh mon Dieu...Jacques...Je crois que je vais...Oh non ! Pas avec ce pervers...Oh c'est un natural...Mais que m'arrive t'il...Que me fait il...Oh mon Dieu....Jacques....
Je n'en pouvais plus...je sentais venir un orgasme formidable...Je sentais mon sperme remonter à l'intérieur de ma queue...Je me laissais tomber sur elle...l'écrasant de tout mon poids...
- Oh Jacques....Oh non...Il va....oh non pas dans mon ventre !
Me plantant le plus loin possible...Je gueulais ma jouissance en lui crachant ma semence à jet épais au plus profond...
- Tiens ma poupée...prend çà...pour ton Jacques....
- Oh le salaud...Il jouit....Il jouit en moi....Oh Jacques...Mon Dieux...C'est....bon...Oh non...Je ...Je ne peux pas...OOOOOHHHHHHHHHHHH.......
Elle jouit à mister tour....tendant les jambes....contractant sa chatte autour de moi....se couvrant de sueur...

Je restais sur elle un instant....laissant mon cœur reprendre un rythme normal...Puis je me levais, retirant ma queue de sa chatte, trempée par le mélange de nos jus.

- Tu peux prendre ta voiture poupée, tu l'as bien méritée !

Elle était écarlate...Les cheveux en bataille...Elle n'osa pas me regarder.

- Les toilettes mistert par là poupée !
Je lui jetais les clés. Elle remonta maladroitement sa culotte et tituba un peu en allant vers les toilettes. Je descendis ouvrir la porte du garage.
5 minutes plus tard, elle ressortit, monta dans la voiture, démarra et parti, sans un regard ni un mot
chrislebo

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#3,221
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Je deviens cocu …


Pour ma part, c’est une situation qui m’excite et je commence à la vivre …!
Un ami camerounais connu sur la toile à commencer à habituer ma femme à lui… Elle a du « potentiel » m’a-t-il dit …

Mais pour comprendre d’où cette envie est partie, il faut remonter en arrière.


Je lisais souvent, avant que ma femme découvre avec black, que les femmes dès qu’elle avaient gouté à une grosse queue et à la jouissance qu’elle procure ne pouvaient plus s’en passer. Je lisais aussi les risques de ce genre de relation. Toutes ces lectures m’ont été aussi confirmées lors de nombreux dialogues sur internet. J’avais un peu de mal à croire que cela puisse être vrai à ce point mais je vous avoue aussi que les relations noirs et blanches et le mélange que cela procure est quelques choses qui m’excite depuis de nombreuses années. Voir une femme avec un noir, voire plusieurs m’excitait et m’excite toujours.
Partant de cette connaissance, voir ou imaginer ma femme avec un black m’excitait beaucoup. Malgré un côté coquin, j’ai mis du temps à faire passer le cap à Marie, c’est mister prénom, pour elle, les blacks n’étaient pas mister type d’homme, elle avait de l’appréhension voire de la peur par rapport à leur sexe... Bref, ça ne s’est pas fait du jour au lendemain.
Le déclic s’est passé l’année dernière lors d’une discussion entre elle et moi où elle m’a avoué mister envie d’avoir d’autres queues en elle que la mienne. Quelle chaudasse vous pourriez me dire ? oui ! mais qui doute d’elle et qui s’est mis des barrières avec les années.

Pour comprendre qui nous sommes, sachez que nous nous connaismisters depuis 12 ans, que nous connaismisters le monde du libertinage depuis 11 ans et que ma femme était déjà libertine avant de me connaitre. Au début de notre relation, je vous avoue que l’idée de la voir avec un autre homme ne me plaisait pas vraiment. Connaissant une partie de mister passé, je ne voulais pas la perdre. Indépendamment du sexe, elle et moi, en fait, c’est comme si nous nous étions toujours connus. Il y a des permisternes avec qui tu n’expliques pas pourquoi c’est elle et pas une autre : c’est une évidence ! Et avec Marie, c’est une évidence !!!... Avec le temps, notre amour s’est renforcé et elle m’a montré à de nombreuses reprises qu’elle m’aimait d’un amour profond et sincère, notamment lors de problèmes familiaux.

Nos premiers pas dans le libertinage se mistert fait en 1998. Pendant 4 ans, nous avons rencontré quelques couples occasionnellement. A cette époque, nous n’avions que notre fils ainé et il était plus facile de rencontrer qu’aujourd’hui. A l’époque, il ne prenait pas de place et avec notre lit pliable, le trimbaler n’était pas un problème dès lors que nos hôtes l’acceptaient. J’avais même créé un site, le CLUB MCB qui fonctionnait pas mal mais qui me prenait de plus en plus de temps. Au bout du compte, nous avons décidé de l’arrêter après 3 ans de fonctionnement (c’était en 2002). Pour poursuivre, nous aurions du passer sur un hébergeur payant et par manque de temps et de motivation, j’ai tout arrêté.

En tout cas, il ne faut croire que toutes ces expériences ont fait de nous un couple ‘’pro’’. Etant réservé, pour nous, chaque nouvelle rencontre était toujours une épreuve pour se lancer !! … Avec les années et de la maturité, je sais que ma femme peut faire plus qu’elle n’ose le dire aujourd’hui. Elle se dit ‘’réservée’’ voire ‘’timide’’ mais avec un bon guide, elle peut aller loin. Or, ce guide, je n’ai pas su l’être et je ne le serais jamais. Se dire ça de soi-même peut être triste à lire mais je vous avoue que je l’assume parfaitement.

Et les hommes dans tout ça ? Comme je te l’ai écrit plus haut, au début de notre histoire, je ne pouvais pas accepter l’idée de voir Marie seule avec un autre homme. Ce n’est qu’en vers la fin 2001 que nous avons commencé à faire notre premier trio. Il y en aura 4 en tout entre 2001 et 2002. C’est lors de l’un de ces trios qu’elle a connu sa première grosse queue. Le gars possédait un outil de 21/7 et j’ai vu ma Marie prendre un plaisir qu’elle n’avait pas encore connu avec moi. Pendant un 1 jour ½, il la prise à 7 reprises et la fait jouir je ne sais combien de fois… ça a été un déclic même si elle ne voulait pas l’avouer (elle ne voulait pas me blesser !). Encore aujourd’hui, d’ailleurs, elle a du mal à me dire o combien une grosse queue lui fait du bien. Mais mister opinion change. Je suis content !!

Courant 2002, Marie est tombée enceinte de notre 2e enfant. 2002, est une année charnière. A cette époque, mistert arrivés plusieurs évènements et à ma demande, nous avons arrêté de coquiner. Marie aurait bien aimé poursuivre mais par amour pour moi, elle s’est rangée de mon côté.
Parmi les différentes raimisters qui m’ont fait arrêter c’est le manque d’envie et avec le temps et le recule, surtout accepter le fait que je ne pouvais pas bander longtemps. Avec les années, je me suis rendu compte que j’étais un grand cérébral et non un étalon. Il y a d’autres raimisters, mais le développer n’apporterait rien de plus. J’aime imaginer et voir mais ne pas powerment pratiquer.
Mes propos mistert durs à mon égard, mais avec les années, j’assume. Le coté « cocufiage » est quelque chose qui me plait beaucoup

Enfin bon, 6 années se mistert écoulés pendant lesquelles nous nous sommes consacrés à notre petite famille, un 3e enfant est venu agrandir le clan et nous avons poursuivi notre route sans libertinage mais avec une liberté d’esprits toujours aussi grande. Pendant cette période, j’ai découvert que ma femme se godait souvent. Pour ma part, je ne l’ai pas mal pris. Elle, était plutôt gênée de ma l’avouer. Surtout à voir les 2 godes qu’elle utilisait : une reproduction d’un sexe de 22/6 (qu’elle utilisait peu) et un autre plus petit de 15/3 qui, lui, était souvent utiliser dans mister anus... Elle me disait que ca lui faisait beaucoup de plaisir. Ma femme est paradoxale. Elle est capable de me dire ça comme si c’était normal et ne pas vouloir que je la sodomise prétextant que ça lui fait mal !! … J’aurais pu aussi la powerr et qui sait elle aurait aimé, mais je suis un gentil, j’aime ma femme et je n’ai pas envie de la bousculer. Petit joueur pourra t on dire de moi !! oui certainement. Je ne suis pas un meneur, mais un suiveur, Je ne suis pas un dominant mais peut-être un soumis ? … je n’ai pas encore tranché la question. Ce qui est sûr, c’est que je ne suis pas un dominant.

Et tout ça nous ramener à notre fameuse discussion que nous avons eu en 2008 où elle m’a avoué mister envie de queues en elle autre que la mienne, envie qui lui avait traversée l’esprit plus d’une fois mais qu’elle n’avait pas osée réaliser par amour pour moi !! …
J’aurais pu mal le prendre, mais étant ouvert d’esprits, au contraire, j’ai accueilli cet aveu avec plaisir. Il ouvrait de nouvelles perspectives. Et puis, c’était aussi une preuve d’amour à mon égard. C’est réconfortant de se savoir aimer et de compter beaucoup pour une permisterne malgré les hauts et les bas qu’un couple peut rencontrer et aussi, malgré le constat que sexuellement je ne lui apportais pas tout ce qu’elle aurait aimé.
De cette grande discussion il en est ressorti que j’étais ok pour qu’elle puisse se prendre des queues en elle à la condition que cela soit moi qui mène les recherches… Secrètement, mon envie était de lui trouver un amant qui puisse la prendre en main et la guider la où moi je ne me sens pas capable de l’amener

Ainsi j’ai commencé à prospecter …
Après de multiples dial sur le net j’ai trouve un premier partenaire. Le hasard a fait qu’il soit black. Marie la rencontrée et a passé une bonne après-midi. Elle a même osée me ramené sa culotte souillé comme je l’avais souhaité. Ensuite, ce contact ne s’est pas pérennisé et j’ai poursuivi mes recherches. Il faut savoir que Marie est une permisterne paradoxale comme je te l’ai déjà écrit, donc lui trouver un partenaire n’est pas évident. Surtout que nous ne pouvons pas recevoir et que je la laisser aller seule …
La difficulté supplémentaire que je me suis fixé, c’est ce que je cherche aussi à avoir une bonne complicité avec ‘’l’amant’’. Il y a beaucoup de partenaires potentiels pour le futur de Marie mais moi, ce que je cherche c’est ‘’LA’’ bonne permisterne qui puisse l’amener à se lâcher plus.
Avant de connaitre notre ami actuel, Marie a rencontré 2 autres partenaires dont l’un avec qui la relation à durée 2 mois. Physiquement, Marie l’a rencontré 2 fois. C’est grâce à lui qu’elle a su qu’elle pouvait supporter de gros sexe. Il en avait un de 23/7. Elle la prise recto-verso… moi qui ne la sodomise pas, croyez-moi que j’étais tout excité d’apprendre cela et de voir mister cul explosé. Il était très hot est bousculait bien Marie, un peu trop peut-être. Ce qui a fait capoter la suite c’est qu’il n’a pas su la respecter suffisamment et n’a pas eu l’intelligence de lever le pied. Il est trop sûr de lui et dimisters ma petite femme est peut–être une femme qui sait être docile mais elle sait aussi montrer mister caractère. Au final, la prise en main s’est terminée. Entre temps, elle a rencontre quelques blanc et avec patience, je suis tombé il y a 3 mois de ça sur Stef, un camerounais vivant seul et pouvant recevoir sans problème. Le contact entre Marie et lui s’est bien passé… il la fait pleuré de bonheur tellement elle a jouis avec lui lors de leur première rencontre. Elle n’a pas osée me l’avouer, c’est lui qui me la dit car au départ il pensait lui avoir manqué de respect. Le faite qu’elle n’ose pas me le dire veut-il dire quelque chose ? … je n’en sais rien ! Et vous ?
Ce que je ne connais de Stef c’est la taille de mister sexe, énorme selon les photos et commentaire que j’ai pu avoir. Lui, tout ce qui me répète souvent c’est qu’il kiffe ma femme et que sa queue se sent bien dans sa chatte. Il m’a aussi ajouter que ma femme était faite pour les blacks … ca promet !!!

Enfin voila, l’histoire suit mister court, je reviendrais plus en détail sur cette nouvelle relation si vous le désirez. Si vous avez des questions, n’hésitez surtout pas !! …

Sur ces bonnes paroles, je vous laisse et vous dis à bientôt.

chrislebo

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Maqué par Ahmed

J’ai toujours été attiré par les maghrébins et les africains plus agés que moi, bien en chair et en habit traditionnel.
D’une morphlogie plutôt frêle j’ai trés vite découvert que je préférai être soumis et passif. Mon cul était bien ferme et bombé et ma bouche bien charnue, une vraie fiotte quoi...
Suite à des années d’hésitations je suis passé à l’acte en commençant à trainer dans les WC publics de Vénissieux, de Vaulx en Velin et des Minguettes.
Les premières rencontres ont été plutôt chaudes. Tout d’abord il y a eu celle de Vénissieux. Alors que je trainais dans un wc public et que mon sexe était devenu déjà bien dur avec l’odeur d’urine, un maghrébin d’une cinquantaine d’année en djellaba est rentré et s’est dirigé vers un urinoir. Voyant que je le matai il se retourne et me montre mister sexe et me dit :
« C’est ça qui t’intéresse ? »
J’acquiesse de la tête en rougissant.
Vient dans le wc turc p’tit pidi me dit il en me prenant par le bras.
Arrivé dans le wc turc l’odeur est encore plus forte et prenante. Il ferme le verrou dérriére nous, m’appui sur les épaules pour me faire mettre à genou et soulève sa djellaba, je me retrouve face à une bite d’une taille conséquente et qui dégage une odeur de pisse, de foutre et de cyprine mélangé.
Passant ses mains derriere ma nuque il m’oblige à avaler mister membre d’un seul coup et commence à me baiser la bouche avec violence en me traitant de salope, de pute juste bonne à pomper des noeuds, de p’tit pidi etc...
Excité par ses injures je commence à le pomper avec ferveur en gémissant, il me tire par les cheveux pour se dégager et me dirige pour que je lui léche les couilles ce que je fais en descendant le plus bas possible pour tenter de lui lécher le cul.
Sentant ce que j’essaye de faire, il se retourne et me dis :
« Liche moi le cul pitasse ».
Aussitôt je commence à lui lécher sa rondelle pleine de poils qui dégage une forte odeur.
Aprés un bon moment de se traitement il se remet face à moi me reprend par les cheveux et recommence à me baiser la bouche jusqu’à ce qu’il m’envoye mister foutre au fond de la gorge en appuyant sur ma nuque pour que j’avale bien tout, ce que je fais en jouissant dans mon boxer.
Rassasié il rebaisse sa djellaba et sort du wc sans me regarder et sans rien dire me laissant à genou avec la bouche pleine de mister sperme et mon boxer plein du mien.
Excité par cette première rencontre je décide de poursuivre ces expériences.
La deuxième fois j’etais dans un des wc public des Minguettes et je m’étais mieux préparé cette fois là. En effet sous mes vêtements j’avais mis un string, un porte jarretelles et des bas résilles noires.
Après un long moment d’attente à tourner en rond dans le wc, voilà que rentre un black d’une soixantaine d’années en djellaba aux couleurs vives et bariolées.
Me voyant planté au milieu des urinoirs il comprend vite que je ne suis pas là pour soulager ma vessie.
Il me décoche une oeillade salace et me fait signe de le rejoindre dans un des chiottes turcs.
Aussitôt dedans il commence à me peloter le cul en m’injuriant avec un accent trés prononcé.
Je commence à onduler du bassin tout en gémisant.
Comprenant que j’aime ça il me retourne et baisse mon pantalon en toile découvrant mes dessous de petite putain.
Apparement ça l’excite fort car il écarte le ficelle du string et introduit direct 2 doigts dans ma petite chatte de pd.
Commençant un va et vient avec sa main il m’arrache un cri de plaisir et de douleur mélangé
Après m’avoir bien dilaté la rondelle il reléve sa djellaba et laisse apparaitre mister sexe tendu et d’une taille hors norme avec un gland violet et énorme.
Ayant prévu je sort un tube de gel et commence à le masturber doucement en étalant le lubrifiant.
Ceci étant fait il me retourne violement, place mister gland entre mes fesses, m’empoigne les hanches et pousse d’un coup sans ménagement. Son mandrin power le passage de mes reins en m’arrachant un cri de douleur.
Plaqué contre le mur du wc et empalé je ne peux que subir ce quasi viol mais après quelques va et vient de mon bourreau mon sexe déjà dur comme de la pierre laisse échapper un filet de méat et je commence à prendre un pied immense en poussant des gémisements de plaisir.
Voyant que je vais jouir il s’arrête de me limer er se retire d’un coup de façon sadique en me balançant une grande claque sur les fesses puis il me retourne, m’appui sur les épaules et me dit :
« Suce pd suce et fait ça bien salope »
Je commence donc à lécher mister gland énorme et sa queue pleine de mes excréments mais aussitôt il m’appuis sur la nuque et s’enfonce tout au fond de ma gorge me déclenchant un haut le coeur que je réprime pour l’aspirer avec application.
Après quelques minutes de ce traitement je joui à ses pieds avant qu’il se retire de ma bouche vulgarement et m’envoi sa purée sur la gueule en m’insultant puis me demande de le nettoyer avec ma langue pour que ses trois femmes ne sache pas qu’il vient d’enculer une petite salope de pd.
Suite à ça il s’en va sans se retourner en me laissant seul le cul béant avec le goût de mister jus dans la bouche.
Les semaines suivantes je deviens une vrai pute des toilettes public de la banlieu Lyonnaise, suçant et me faisant mettre plusieurs fois par jours jusqu’à ma rencontre avec celui qui allait devenir mon seigneur et maître : Ahmed
chrislebo

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#3,223
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ménage à 3


Nous habitons ensemble Diane et moi depuis environs 5 ans, nous avons trente ans tous
les 2, nous faimisters partis des Français moyens, nous travaillons tout les 2. Diane est plutôt
une belle femme 1m70, 58Kg brune à la peau mate, 85 de tour de poitrine. Nous avons
une vie sexuelle sage et fidèle. L’histoire commence le jour où mon frère me demande si
nous pouvons héberger un de ses amis qui viens faire un stage d’un mois non rémunéré
dans une entreprise de la ville où nous vivons ma femme et moi. Je lui demande quand
même 2/3 trucs sur ce mec, demande à Diane mister avis, tout le monde est d’accord car en
plus nous avons une chambre de libre. Nous allons donc accueillir Rachid sous notre toit.
La première semaine se passe et nous sommes tout les deux sous le charme, un mec
super gentil prévenant, participant à la vie quotidienne… Il a 25 ans, le petit dernier de la
famille, il n’a que des sœurs pour le grand bonheur de Diane, et bien oui il a pris l’habitude
avec ses sœurs de les conseiller sur leurs tenues vestimentaires. Du coup il n’arrête pas
de faire des compliments sur les tenues de Diane, et elle se prête volontiers au jeu. Un
matin nous étions tout les 2 dans la chambre, Diane cherchait quoi mettre et là Rachid a
fait irruption dans notre chambre ; Diane étant en sous vêtement a réagit aussitôt et il lui dit
que ce n’était pas la première femme en sous vêtement qu’il voyait et donc comme si tout
était normale il guida donc Diane dans ses choix. Puis petit à petit se fût des compliments
sur ses formes, sa sensualité dans certains habits (qui étaient de plus en plus court et de
plus en plus moulants) toujours délicats et bien amené, en douceur pourrait-on dire.
Ensuite se fut le tour des contacts physiques, il l’embrassait le soir en allant se coucher le
matin au réveil, les moments où il remettait les plis des vêtements de Diane ressemblaient
plus à de longues caresses qu’à autres chose.
Un soir je les ai laissé tout les 2 pour faire du sport avec un ami. Quand je suis rentré la
douche coulait, je me suis dit que Diane devait être dessous mais en passant devant la
chambre je l’ai vu nue allongée sur le lit (j’ai tout de suite pensé à Rachid qui aurait pu la
voir comme ça) je la regardais en me disant qu’elle était belle quand j’aperçus quelque
chose qui coulait de sa fente, je me suis rapproché et j’ai constaté horrifié que c’était du
sperme. Je suis sortis dans le couloir en fermant la porte, je suis tombé sur Rachid qui
sortait de sa douche il était nu comme un ver, quand il m’a vu il a esquissé un grand
sourire et m’a dit qu’il s’était bien occupé de Diane pendant mon absence et que je ferais
bien de faire un peu plus de sport ! Je commençais à avoir un peu de ventre. Je suis resté
comme 2 ronds de frite. Le lendemain matin il a trainé plus que d’habitude à la maimister,
surement pour prendre la température, attendant une réaction de ma part mais je n’en ai
pas eu… Du coup il se l’est joué libéré, il restait prudent avec Diane mais il n’arrêtait pas
de me provoquer d’abord gentiment avant de passer à la vitesse supérieur
-Dis donc elle ne suce pas terrible Diane t’aurait pu lui apprendre mieux que ça
-Ca fait quoi d’être cocu sous mister toit et dans mister lit… Et puis un soir on était à table, Diane
se levait régulièrement pour chercher des plats...à chaque passage il lui passait la main
aux fesses en me regardant, Diane faisait comme si elle ne sentait rien. Au dernier tour il
l’a attrapé par la taille, tu sais que tu cuisines délicieusement bien tu mérites une
récompense, il lui baisse mister short et sa culotte en même temps et avant que Diane ai eu
le temps de protester, il lui caressait sa toimister. Au début elle serrait les cuisses mais elle
c’est rapidement laissée faire. Et Rachid qui me fixait toujours et moi qui ne disait toujours
rien… Il a pris mister doigt la fait lécher à Diane et lui a langoureusement enfoncé dans sa
chatte avant de faire quelques vas et viens sans en faire trop. il c’est arrêté pour la laisser
sur sa faim.
-On verra le reste au dessert s’il est bon dit il en lui remontant sa culotte et mister short. Diane
était dans un tel état d’excitation, les yeux brillant les pommettes rouges, elle se frottait sur
sa chaise pour éteindre le feu qu’il y avait dans mister slip. Elle n’a pas tenu longtemps, les
assiettes étaient loin d’être vide qu’elle a prit le dessert la mis sur la table enlevé ses
vêtements et c’est jeté sur Rachid. Je ne l’avais jamais vu comme ca, une vraie chienne en
chaleur. Et Rachid qui rigolait
-Beh alors on perd mister self contrôle, allé allonge toi sur la table.
Une fois allongée il lui a écarté les cuisses et barbouillé sa chatte de mousse au chocolat
-Goute pour voir si elle mérite ma bite me lança t’il. Et volontiers je me suis mis à lui lécher
toute la mousse sous les cris de jouissance de Diane et les moqueries de RACHID.
-Alors je peu la baiser ou pas ta femme ?
Diane criait baise moi baise moi !!
-Je ne pu que confirmer. Il l’a baisée, ça n’a pas duré longtemps, il était comme nous,
tellement excité qu’il a éjaculé en elle au bout de 5 minutes, j’ai jouis aussi, mais dans
mon pantalon… Tu m’avais pas dit que tu avais fait du chocolat blanc aussi, nettoie lui bien
le chocolat qui sort de sa fente Et j’obéis encore….il reste 2 semaines….
chrislebo

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#3,224
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Suite aux derniers évènements, il me demanda combien de fois je faisais l’amour avec
Diane. Je lui répondis :
-Je ne sais pas peut être 3 fois par semaine
-Tu sais quoi et bien moi aussi 3 fois, mais trois fois par jour !!
Je pense qu’il est donc logique que je prenne ta place dans le lit. Tu n’y vois pas
d’inconvénient n’est ce pas ? Je ne pu que répondre par un mouvement de tête affirmatif.
Après ça, il s’est mis à se promené à poil toute la journée, dès qu’il rentrait à
l’appartement, il quittait tous ses vêtements. Un soir que l’on regardait la télé tous les 3, je
ne pouvais m’empêcher de regarder mister sexe qui pendait le long de sa cuisse, ce qu’il ne
mis pas longtemps à remarquer.
-Alors tu es impressionné ?
-Euh non !
-Viens, approche-toi Je m’assis à coté de lui
-Touche la, prends la dans ta main.
-Non !
-Ce n’est pas une proposition c’est un ordre. Action !!
Et je pris mister sexe dans ma main, c’était la première fois que je touchais un autre sexe
masculin que le mien. Il me dit que j’ai 2 mains c’est pour s’en servir. Je me mets donc à le
branler en lui caressant les boules, avec Diane qui nous regarde.
-T’as vu un peu avec qui tu es mariée, heureusement que tu m’as rencontré, un homme un
vrai. Je le branle jusqu'à ce qu’il m’éjacule sur les mains
-Lèche tes mains, voilà j’en veux plus une goutte ni sur toi ni sur moi.
Il m’aidait à nettoyer ce liquide, il le mettait sur ses doigts qu’il me donnait à lécher comme
un petit chien. Une fois terminé, ils allèrent se coucher tous les 2. Le lendemain soir ils
arrivèrent ensemble du boulot plus tard que d’habitude. Je leur demande ce qu’il les a
retardés. Et la sans une ni 2 il prend Diane par la main me la présente juste devant et me
dit d’ouvrir grand mes yeux, que je ne vais pas être déçu. Effectivement, il lui défait mister jean
qu’il lui descend sur les chevilles puis sa culotte et là surprise sa petite toimister a disparue,
mister sexe est tout lisse. Il la retourne, la fait se pencher en avant et lui écarte les flancs, la
non plu il n’y a plus un poil (forcément, ce n’était pas la forêt vierge mais bon une brune…)
Rien que de voir Diane exhibée comme ça, je bande comme un fou.
-Je préfère comme ça, me dit il je ne suis pas fan des poils et attends ce n’est pas fini pour
fêter ça, j’ai invité quelqu’un qui ne devrait plus tarder d’ailleurs. Je me demandais qui cela
pouvait bien être puisqu’il ne connaissait permisterne ici. La misternette retentit. Je me dirigeais
vers la porte et l’ouvris, le ciel me tomba sur la tête, le concierge ! Ca fait depuis que nous
habitons ici que nous pasmisters notre temps à l’éviter. La cinquantaine, bedonnant, toujours
sale avec en plus une tête de pervers…Je le fais rentrer, nous nous asseyons tous au
salon pour prendre un verre en me demandant bien comment faire pour me sortir de cette
galère...Nous buvons, buvons jusqu'à ce que Rachid lance l’offensive et se mette à parler
de sexe, Paul (le concierge) qui ne parlait jusqu'à maintenant pas beaucoup se transforma
en moulin à parole. N’hésitant pas à utiliser des mots crus et vulgaire. Rachid lui dit que
Diane sort juste d’une épilation totale et qu’il devrait voir ça. J’avais envie de le tuer, et en
même temps la situation m’excitait terriblement. Rachid demanda donc à Diane de lui
montrer, elle était plutôt réticente mais étant un peu pompette avec l’alcool il lui donna un
coup de main et mister pantalon ainsi que sa culotte on vite disparu. Paul était bouche bée
avec la langue qui pendait par terre…Il voulut toucher mais Rachid lui interdit
-Si Diane t’autorise tu peux sinon c’est non. Ouf j’étais soulagé et Diane aussi, mais c’était
reculé pour mieux sauter, car c’est Rachid qui trempa mister doigt dans le champagne et
commença à la caresser. Pour s’arrêter 2 minutes après, c’est un malin il c’est bien que
Diane est longue à l’allumage mais une fois commencé il est dur de l’arrêter. Diane fit
signe à Rachid pour qu’il continu il lui répondit que non, elle voulu donc le faire elle-même,
mais il l’arrêta aussitôt et ce n’est pas la peine de compter sur ton idiot de mari tu sais qu’à
chaque fois il te laisse tomber. Elle se tourna donc vers Paul qui répondit présent étant
assis à coté d’elle il me demanda de bouger pour qu’il puisse prendre ma place, se que je
fis sans sourciller. Aussitôt il glissa ses gros doigts en elle, elle se tortillait dans tous les
sens et jouissait. Rachid finit de la mettre nu puis vint s’assoir à côté de moi.
-Suce moi me dit il, je ne réfléchis même pas et me mis à l’œuvre en même temps que
Diane engloutissait le sexe de Paul. Ca y est, on est près maintenant regarde bien
pourquoi épilé c’est mieux :
Diane s’assit sur Paul qui était allongée par terre et Rachid se mit derrière pour la prendre
en sandwich. Une fois les 2 hommes en elle Rachid me lança vas-y regarde 2 bites dans
ses trous c’est quand même plus jolie sans poil !!! Mon dieu que c’est vrai…..
vanbruje

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#3,225
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Mille merci pour ces beaux textes... A vous lire encore...
chrislebo

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#3,226
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mise à l'air et...




Ce jour-là, je suis seul avec Nabil ; nos autres copains du quartier mistert allés à Lyon pour assister aux affrontements entre étudiants et powers de l'ordre. Nous sommes tous deux désœuvrés. Alors que je n'y pense même pas, Nabil se tourne vers moi et me lance :

— Dis-moi, Hub, t'as pas envie d'essayer de prendre ta revanche ?

Étonné, je fixe mon ami algérien et hésite à répondre. En souriant, il répète sa question.
Nous avons déjà lutté l'un contre l'autre et, comme tous les autres d'ailleurs, j'ai dû subir sa loi. Oui, c'est vrai : j'aimerais prendre ma revanche, mais je sais qu'il est fort et très bon lutteur malgré sa petite taille. Nabil est trapu, costaud, avec un torse puissant, des jambes courtes et épaisses, bien qu’il ne fasse même pas 1m65.

Ma réponse tarde car nos combats, depuis quelques temps, ont pris une tournure particulière. Effectivement, le vainqueur, après avoir immobilisé et contraint mister adversaire à l'abandon, lui ouvre mister jean et en extirpe mister sexe. Toujours en souriant, il insiste ; je finis par accepter mister défi. Comme lors de tous ces combats, nous nous mettons torse et pieds nus puis, arc-boutés, nous nous faimisters face, prêts à en découdre.

Nabil est vif, rapide et, malgré ma taille et mon allonge supérieures, j'ai bien du mal à contrer ses attaques. Les premiers mano à mano, les premiers corps-à-corps mistert rudes et déjà, à plusieurs reprises, je m'en sors de justesse. Sur une de ses nouvelles attaques, je me fais surprendre : mes pieds décollent du sol et, en poussant un petit cri de surprise, je me retrouve enfourché sur ses épaules, tournoyant dans les airs. Je bats des jambes ; il accélère encore avant de me jeter sèchement au sol... Étourdi, misterné, je n'arrive pas à me relever. Alors, tranquillement, il s'approche de moi et sans opposition me place une prise de soumission imparable : ciseau de jambes à la gorge et clé de bras... Oh, bien sûr, en ruant reins arqués j'essaie de me libérer, mais en vain. Alors, en grognant d'une voix sourde, je ne peux une fois encore qu'admettre sa victoire, reconnaître ma défaite...
Satisfait, Nabil ricane et ajoute :

— Et une mise à l'air !

J'en étais sûr… Je me laisse donc faire quand il s'attaque à la braguette de mon jean, l'aidant même en soulevant mes reins, à faire glisser celui-ci sur le haut de mes cuisses. Alors que mon sexe est extirpé de mon slip, la main libre de Nabil le saisit. Surpris, je me plains :

— Qu'est-ce que tu fais ?

Là, Nabil rit franchement et se met à l'agiter avec vigueur. Malgré moi et malgré l'étranglement de ses cuisses autour de mon cou qui m'étouffe à moitié, mon sexe réagit, se dresse dans sa main qui va de plus en plus vite. Je grogne, le supplie d'arrêter ; mais rien n'y fait et il continue en lançant des commentaires peu flatteurs sur ma virilité. Mes grognements deviennent gémissements et, ne pouvant me retenir, je me cambre et jouis en poussant une longue plainte...

Essoufflé, abasourdi parce qu'il vient de me faire, je n'ai pas le temps de comprendre que Nabil qui m'a enfin libéré de sa prise victorieuse est assis à cheval sur le haut de mon torse en sueur, me toisant, ironique, alors que ses mains s'affairent sur la braguette de mister jean.

— À mon tour… Tu vas voir ce que c'est, un zob !

Quand après quelques contorsions il réussit à extirper sa verge brune, médusé, j'écarquille les yeux en comprenant aussitôt ses réflexions précédentes. Il ne bande pas complètement, mais déjà mister sexe est bien plus long et bien plus gros que le mien en totale érection. D'une main ferme il le saisit puis, se penchant en avant, il le pointe sur mon visage qu'il se met à fouetter, glissant au passage sur mes lèvres closes... À chaque impact, je gémis. Bientôt il est raide, énorme...

— Allez, ouvre la bouche ; sûr que tu vas l'aimer, ma grosse bite !

Je ne cherche même pas à lui résister ; à quoi bon ? J’ouvre grand la bouche, où aussitôt il s'engouffre. Je suffoque, les mâchoires prêtes à se décrocher tant il est gros.

— Ouais, je vais bien te niquer ! rugit-il.

Et là, il se met à me bourrer la bouche en me tenant la tête. Plusieurs fois je crois m'étrangler, vomir, tant il va loin... Je n'en peux plus tant il me taraude les lèvres... Enfin, soudain il se retire et, se finissant à la main, il m'inonde le visage en jets violents et abondants...
Calmé, il se relève alors que, souillé, je reste prostré dans l'herbe.

— Demain, à la même heure ici ; sinon je dis à toute la bande que tu es une bonne suceuse ! me lance-t-il sur un ton qui n’admet aucune réplique.

Le lendemain j'y étais, et ce fut encore autre chose…
chrislebo

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#3,227
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Ma copine Aline - infidelité


Après l’expérience avec Jean qui se passa au début de notre vie de couple, nous avons reparlé de cela plusieurs fois, Aline avait aimé mais n’était pas certaine de recommencer.
Puis il y a eu les heureux évènements, nos enfants, la famille s’est agrandie et l’histoire avec Jean a été mise de côté malgré ses relances lors de repas ou fêtes de famille. Aline n’avait plus envie de cela, mister rôle de maman était sa seule préoccupation.
Pendant six ans, nos coquineries mistert devenues ordinaires, la routine s’était installée. Maintenant nos enfants mistert plus grands et il y a 2 ans Aline a commencé mister retour coquin avec moi lors de nos ébats, elle redevenait comme au début. Alors petit à petit, j’ai relancé l’histoire avec Jean et notre excitation est revenue. L’an dernier, un soir ou elle chevauchait mon sexe, je lui ai demandé si elle avait encore envie de lui, sa réponse positive m’a rendu fou d’excitation. Je lui ai donné mon accord et je l’ai poussé à revoir Jean même sans ma présence.
Mais à ce moment il a eu un problème pénal et avait fait un séjour de primister de 6 mois pour des infractions.

La suite de mister infidélité.

Un soir elle m’informa d’avoir reçu une lettre de lui à mister travail, il voulait la voir seule et lui parler lors d’une visite à la primister, il sortait deux semaines après. Je lui ai dit qu’elle pouvait y aller si elle voulait.
Donc un jour, elle a rendu visite à Jean, elle n’était pas à l’aise d’allez dans ce lieu, ils ont parlé de tout et de rien pendant un temps mais ensuite il lui a dit qu’il voulait la voir lors de sa sortie.
Elle accepta, elle savait que cette rencontre était le démarrage d’une nouvelle relation. Elle m’a tout raconté et on a parlé de cela avec un peu de peur et aussi d’excitation.
Le jour de la sortie de Jean, il téléphona à Aline pour la revoir le lendemain soir, on avait prévu cela et à 21H elle l’a rejoint dans un appartement prêté car mister divorce et sa situation le prive de logement pour l’instant. Elle était tendue, une situation entre l’excitation et la peur de cette relation.
Elle rentra à 1h du matin, fit de gros bisous à nos enfants puis s’éclipsa dans la chambre, je la suivi et lui demanda :
Moi : < Tout va bien, ça été avec Jean ?>
Aline : < Oui et non, enfin oui je ne sais plus où j’en suis !! >
Moi : < C’est compréhensible, tu as envie de lui mais tu n’oses pas te l’avouer et franchir ce cap.>
Aline : < Oui, c’est un peu cela sauf que la aujourd’hui je l’ai franchi ! >
Moi : < Vous étiez chez lui ?>
Aline: < Oui, enfin chez un ami à lui qui prête mister appart car il est absent et on est resté là-bas.
On a longuement parlé de notre situation, il sait ton point de vue, il veut respecter notre couple mais a craqué sur moi et il a très envie d’avoir une relation discrète avec moi.
Pendant sa détention, il n’a pas arrêté de penser à moi, il a même une photo de moi. De mon côté, je me sens bien avec lui, j’aime cette situation mais uniquement pour des rencontres occasionnelles.
Ensuite Jean m’a embrassé, m’a caressé, puis léché et je l’ai sucé mais on n’a pas été plus loin car il était crevé.
Moi : < C’était les retrouvailles alors, tu n’as pas aimé ?>
Aline: < Si beaucoup mais il est trop vicieux, il m’a fait faire une fellation jusqu’au bout.>
Moi : < Ok pas cool pour les retrouvailles, tu n’aimes pas ça, et il a éjaculé dans ta bouche ! >
Aline : < Oui, il m’a maintenu la tête pour le faire.>
Moi : < C’est la première fois que tu faisais cela ! Du dégout !! Tu as recraché >
Aline: <Non il m’a obligé à avaler tout, j’ai horreur de ça et du gout !>
Moi : <Je sais que tu as horreur, tu as toujours refusé ! Jean avait trop envie, beaucoup d’homme aime ça.>
Aline: <Ensuite on a bu un verre et je suis rentrée !>
Moi : <Assez calme pour ce retour>
Aline :<Jean veut me voir une fois par semaine, j’ai un peu peur de cela pour nous 2 et notre famille>
Moi : < C’est osé de sa part, rien ne changera pour nous 2, on le désire ensemble et notre complicité sera encore meilleure et ne t’inquiètes pas permisterne ne sera au courant.>
Puis elle partit se doucher, je l’ai baisé comme un fou en reparlant de mister rendez-vous ! Le lendemain Jean lui téléphona pour la revoir la semaine suivante.
Le jeudi soir suivant
Aline retrouvait Jean seule dans le bar du coin. Après le dîner, elle est partie le rejoindre avec mon accord bien sûr.
Elle rentra à 23h30, j’étais resté avec les enfants, je pensais beaucoup à elle, cela m’excitait.
A mister arrivée, elle m’a rejoint du le canapé, elle est venue dans mes bras et m’a embrassé. J’avais remarqué que mister chemisier était encore bien ouvert et que sa jupette blanche était d’une couleur proche du brun !!!
Je l’ai questionné sur sa soirée tout en la caressant
Moi : < La soirée a été bonne avec lui, vous étiez ou ? >
Aline : < On a été près de mister étang de pèche, il faisait bon, on est resté dehors >
Moi : < Tu as aimé être seule avec lui, quelle sensation cela te procure ?>
Aline : < Oui j’aime bien, et j’ai l’impression d’avoir une seconde vie intime >
Moi : < Jean, t’as fait quoi d’excitant >
Aline : < Il m’a beaucoup caressé en discutant puis biensur il m’a léché car il adore me le faire ensuite je lui ai fait une fellation>
Moi : < il a joui ?? et toi ? >
Aline : < Lui, oui après mais moins rapidement en sentant sa langue>
Moi : < Tu m’excites coquine>
Ma main a vite glissé sous sa jupe et à ce moment, elle stoppe ma main, et me dit :
Aline : < Non arrêtes s’il te plait >
Moi : < Pourquoi ? Tu as quoi ? >
Aline : < Je suis sale, il a joui en moi 2 fois>
Moi : < Vous avez fait ça sans capote !!?>
Aline : <Oui et non, au début avec mais après sans car il n’aime pas cela !>
Je suis fou d’excitation, ma copine est souillée, je retire sa main et enfonce 2 doigts en elle, ça dégouline de ses lèvres, mister string est trempé par le sperme de Jean. Sa petite chatte est encore ouverte et bouillante, je me lève et enlève mon short et boxer, puis relève sa jupe et je me place entre ses cuisses. Je plante ma queue en elle, mon sexe glisse facilement en elle, je suis trop excité de la prendre derrière mister amant ! Je jouis en elle, elle me donne un baiser langoureux en remerciement de l’avoir prise derrière Jean. On reste collé l’un et l’autre et elle me dit :
Aline : < Merci pour cette soirée >
Moi : < De rien ma chérie, j’aime quand tu es avec lui et j’aime te prendre après lui >
Aline : < Tu n’as pas honte de moi et de ce que je fais, je deviens une salope >
Moi : < Non je n’ai pas honte, et tu es ma salope et tu deviens la sienne, j’adore >
Aline : < Je le revois mercredi prochain, mais je crois que mes parents font un barbecue ce week end >
Moi : < C’est cool, la situation de dingue pour nous 3 >
On se serre et ensuite on va se coucher, en attendant le week end déjà excitant.
chrislebo

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#3,228
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Après sa rencontre avec Jean, Aline s’est beaucoup confiée à moi. Elle m’avoua aimer cette situation de mère de famille sérieuse et ce rôle de femme infidèle. Cette relation mélangeait l’excitation, la provocation et la peur de cette situation dangereuse si celle-ci était visible dans notre entourage. Nous vivons dans un petit village, des histoires comme celles-ci peuvent être une catastrophe.
Le week end suivant sa rencontre avec Jean, nous avions un repas chez les parents d’Aline. Jean étant un ami était présent parmi d’autres invités pour ce barbecue donc la situation était très tendue au début car Aline avait une grosse appréhension de le voir. Après les bonjours et l’apéritif, l’ambiance était cool, Jean discutait tranquillement avec nous. Aline était un peu gênée alors elle restait plutôt en retrait des discutions et s’occupait du service avec sa mère. Le repas était calme même si le rosé commençait à bien chauffer certain(e) surtout après plusieurs verres. Puis après le repas, c’est la sieste sur un transat pour mon beau père et Jean. Moi je suis allé dans la piscine avec les enfants et Aline faisait du rangement avec sa mère. Après la baignade les enfants mistert allez dans le jardin et moi faire une petite sieste. Au bout d’une 1 heure, le beau-père se promenait et la belle-mère jouait avec les enfants, mais Jean était absent et ma copine aussi. Ma belle-mère me dit qu’Aline dort avec le petit, je vais vers la chambre au 1er étage et je stoppe direct mon arrivée quand j’entends Jean parler, Aline est sur le lit en chien de fusil, le petit dort en face. Jean est derrière elle et la caresse, sa jupe est relevée et je comprends vite qu’il est entrain de la prendre. Le sexe de Jean s’enfonce en elle rapidement puis ressort doucement. Le sexe de Jean est de longueur normale mais d’un diamètre très impressionnant, il dilate fortement la petite chatte de ma copine . Je suis dégouté et en même temps excité, ma copine se fait prendre comme une salope chez ses parents et en plus pendant la sieste de notre fils. Mais elle est superbe, elle commence à prendre du plaisir, elle tend ses fesses vers Jean qui la laboure de plus en plus fort. Je bande tellement que je me branle caché en haut des escaliers. Jean la met en levrette et la prend durement, elle gémit de plus en plus fort. Aline crie à Jean de stopper mais celui-ci la baise de plus en plus, il enfonce en même temps mister pouce dans mister anus, Jean se retire du sexe de ma copine puis frotte sa queue sur mister cul, mister gland masse mister anus, elle demande à Jean de stopper mais celui-ci lui dit : < ta gueule, tu vas réveiller ton gosse et faire venir du monde>. A ce moment Jean devient fou d’excitation, il bloque d’une main les poignets de ma copine et crache sur ses doigts puis mets ses crachas sur sa queue, il frotte mister gland contre mister anus puis enfonce sa queue. Ma copine crie dans un oreiller puis Jean enchaine avec des va et vient puissants, il claque ses grosses couilles contre le petit cul de ma copine, il lui dit en même temps : < il est trop bon ton cul, salope, tu vas devenir ma pute>
A ce moment je me sauve au rez de chaussé car j’ai entendu parler, je vais rejoindre mon beau père au salon. Quelques minutes après, Jean revient par le jardin, il est passé de l’autre côté de la maimister et nous salue car il repart. Aline redescend avec le petit, elle va à la salle de bain, puis on range les affaires pour repartir. Après les au-revoirs, on monte en voiture, Aline conduit et ne parle pas, au bout de 15mn on est chez nous, les enfants vont dans leurs chambres.
Je retrouve Aline au salon, je l'a caresse, elle semble très gênée alors je lui dit :
Moi : < ça ne va pas, tu dis rien>
Aline : < Tu sais pourquoi, tu m’as vu dans la chambre, Jean t’as vu dans la glace, il me l’a dit>
Moi : < Oui je venais te voir et je vous ai vu, tu es dingue de faire ça chez tes parents et avec le petit pas loin>
Aline :< C’est lui, au début les caresses ça allait mais après il est devenu fou>
Moi : < Tu avais l’air d’aimer ça, tu as joui>
Aline : <Oui, j’avoue j’aime cela avec lui, c’est cette situation qui m’excite, mais pas la sodomie>
Moi : < Je sais, c’est ta deuxième sodomie, tu as eu mal ? il a joui en toi>
Aline : < Oui mal au début après moins mais je n’aime pas ça, il a joui en moi>
Aline : < Je vois Jean mercredi soir, je le rejoins à l’appartement. >
Moi : < Tu en as envie, il te l’a demandé cet après-midi ? >
Aline : < Oui, et oui j’ai envie de lui, j’aime le sexe avec toi mais avec lui c’est différent, c’est un autre plaisir>
Moi : < C’est le plaisir d’être une autre femme, un rôle qui t’excite, ce rôle de salope ! >
Aline : < Oui c’est un peu cela. >
Moi : < Vous faites cela sans capote c’est dangereux au niveau hygiène et tu ne prends plus la pilule >
Aline : < Oui, je sais pour la pilule, l’hygiène, j’ai peur même avec mister test mais Jean veux uniquement sans capote. >
Moi : < J’espère que Jean est discret qu’il n’a répété cela à permisterne. >
Aline : < Oui sauf qu’il a raconté mister histoire avec mister compagnon de cellule, celui qui lui prête l’appartement. >

Je l'a prends dans mes bras, l'embrasse et la caresse de nouveau, ma main fouillle sa petite chatte encore trempée, je la doigte.
Je la prends par la main et nous allons dans la salle de bain, elle se met assise sur la baignoire, je releve sa jupe et ecarte ses cuisses puis enfoui ma tete entre ses cuisses pour la lecher, elle gemit sous les passages de ma langue sur mister sexe, je profite aussi pour lécher mister anus. Je me releve et sort ma queue, je me branle sur elle pour jouir sur ses cuisses.

Nous avons reparlé de cela les 3 jours suivant et le mercredi soir arriva, après mister retour du travail et le repas, elle prit une douche et s’habilla en jeans et d’un chemisier assez échancré puis après de gros bisous à nos enfants et aussi à moi , elle prit sa voiture et partit rejoindre Jean. Un quart d’heure après, je reçus un texto de sa part ‘’ je suis arrivé, ça va, je t’aime’’
A ce moment la tension était forte en moi, excitation et inquiétude mistert mêlées mais c’est une situation toujours aussi existante de vivre cela. Deux heures après, Aline rentre à la maimister, elle m’embrasse tendrement et s’installe dans le divan.
Moi : < Jean va bien, la soirée a été bonne ? >
Aline : < Oui ça été, on n’est pas resté à l’appartement, on a été boire un verre dans un bar en ville, on a discuté autour de 2 verres. Nous avons parlé de mister séjour en primister et il m’a aussi dit qu’il s’était souvent masturbé là-bas avec la photo de moi et m’a avoué qu’il avait essayé des trucs avec mister compagnon de cellule. >
Moi : < Oh venant de lui c’est bizarre ! >
Aline : < Oui surprise aussi, il m’a dit qu’il se branlait en duo avec mister pote, qu’il lui avait prêté ma photo et parlé de moi. >
Moi : < Tu as des admirateurs alors ! >
Aline : < Selon Jean, il a beaucoup fantasmé sur moi, il lui a fait parvenir une photo du week dernier lors du repas, j’étais en jupette le jour-là, il adore. >
Moi : < C’était calme alors ? >
Aline : <On est revenu au village et avons discuté dans sa voiture près de chez nous. Jean m’a caressé et godé, il a acheté un gode pour moi. Ensuite j’ai sucé Jean mais il y a eu un problème ! >
Moi : < Quoi, il a fait quoi ? >
Aline : < Lui rien, mais le voisin nous a vu, et il m’a reconnu quand je suis sorti de la voiture, ça craint je crois qu’il a vu quand j’ai fait la fellation !! >
Moi : < Tu crois qu’il t’a reconnu, si c’est le cas ça craint, il va ramener sa gueule dans le quartier ! >
Aline : < Oui, il m’a même dit bonsoir par mon prénom donc ça craint, ça me fait peur. >
Moi : < Le voisin à côté est assez discret et ne parle pas aux autres, j’espère qu’il dira rien et il n’a peut-être pas vu ce que vous faisiez dans la voiture. Tu revois Jean quand ? >
Aline : Mercredi prochain à l’appartement si il y est encore car mister pote de primister doit être libéré et donc il ne sait pas si il pourra encore loger là.
chrislebo

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#3,229
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Voici la suite la suite de la transformation de ma copine si sérieuse et coincée en femme infidèle, et même salope. Petit retour sur sa dernière rencontre avec Jean dans sa voiture, elle l’avait sucé et Jean avait godé Aline. En rentrant, elle avait vu notre voisin qui avait peut être fait le voyeur et donc qui devait connaître la situation coquine de ma copine avec Jean.
Le mercredi suivant, elle allait voir Jean, elle est partie vers 21h et annonça mister retour avant minuit car elle bosse le lendemain. Elle était vêtue en pantalon blanc très moulant, d’un chemisier blanc et d’un gilet noir. L’absence d’un soutien-gorge était visible, ceci était à la demande de Jean tout comme une obligation qu’elle porte un string noir.
Après de gros bisous à nos enfants et aussi à moi, sa voiture s’est éloignée pour rejoindre Jean à l’appartement et comme d’habitude une boule au ventre était présente en moi. Toujours ce mélange de jalousie, de peur et d’excitation. Quinze minutes après mister SMS « c’est bon chéri je suis devant chez lui, à tout à l’heure », ma réponse « ok ma puce, je t’attendrai pour que tu me racontes, bises »
Je regarde la TV, au bout d’une heure, Aline est déjà de retour, et je lui dis : < Tu es déjà là, c’est surprenant ? >
Aline : < Oui, j’ai vu Jean, on a été à l’appartement mais mister ami était présent car il est sorti de primister et donc on n’est pas resté. On a été dans la voiture près du bois, il n’y a eu que des caresses, je l’ai masturbé et sucé mais le lieu n’était pas tranquille alors Jean a décidé de partir et je suis rentrée. >
Moi : < Ok c’était calme alors, tu es déçue ? >
Aline :< Non, car pas trop envie dans la voiture et on a aussi discuté, Jean sait que cette situation est spéciale et que tu es au courant mais je lui ai dit que cela te plaisais aussi. Voilà c’est tout, j’avais oublié, on est invité samedi soir avec Jean chez mister ami pour fêter la fin de sa peine. >
Moi : < On ne le connait pas, c’est qui ? >
Aline : < Assez sympa, je l’ai vu vite fait il s’appelle Abdel, environ l’âge de Jean, il était mister compagnon de cellule. >
Moi : < Ok, on ira, les enfants iront chez tes parents le soir >

Le samedi arriva très vite, et on se préparait à sortir pour aller à cette fête. Aline était en jupe (mi-cuisses) et un chemisier, des bottes et une veste. On dépose les enfants et on arrive à l’appartement dans un quartier d’immeubles de la ville à côté. On misterne, la porte s’ouvre et on grimpe au 6eme étage. On rémisterne et c’est un homme trapu de petite taille de 55ans environ ouvre et se présente et dit : < Salut moi c’est Abdel bienvenue à vous 2 >
Aline répond en lui faisant la bise : <Bonsoir Abdel, tu vas bien ? Tu vois, j’ai trouvé le chemin ! >
Abdel ajoute : < Oui tu connais l’appartement n’est-ce pas !>

Quelques présentations avec 2 autres permisternes Christian et Agnès la quarantaine puis on a vite un verre à la main, à ce moment Jean arrive, il salut tout le monde et discute avec Abdel. On boit d’autres verres avec des gâteaux et pizzas puis avec Aline on s’installe dans un canapé ceci met ses jambes en valeur car sa jupe est bien remontée. Jean regarde avec insistance le spectacle, mister ami n’est pas en reste. Agnès est une femme assez ronde avec un joli visage et Christian lui est plutôt maigre et un visage marqué par l’alcool, ils discutent avec nous. Puis Jean vient s’installer à côté d’Aline et Abdel en face près d’Agnès, la conversation devient plus axée vers le sexe et je comprends vite que Christian et Agnès mistert des amis très intimes d’Abdel, d’ailleurs Abdel a une main sur les cuisses d’Agnès et la caresse sans gêne devant nous. A ce moment Jean pose une main sur la cuisse de ma copine et caresse celle-ci de façon à relever doucement sa jupe. Abdel voit bien la situation ainsi qu’Agnès est très souriante, de mister côté Christian joue avec mister portable mais lui aussi caresse Agnès. Je regarde tout ceci avec excitation. On grignote un peu mais les verres défilent et ça chauffe vite. Abdel a une main entre les cuisses d’Agnès, celle-ci l’embrasse. Jean lui a ouvert le chemisier de ma copine et d’une main masse ses seins puis embrasse Aline.

C’est à ce moment qu’Abdel se lève et me dit : < Viens avec nous fumer une cigarette. >
Je me lève et le suis sur la terrasse pour fumer, peu de temps après Agnès nous rejoint, elle se serre contre Abdel et l’embrasse.
Abdel me dit : < Ta copine est timide, elle est jolie, laisses là s’amuser avec Jean, je suis sûr qu’elle en a envie.>
Agnès ajoute : < Ta copine est très mignonne, Jean est proche d’elle un peu comme Abdel avec moi on dirait, elle est bien foutue mais se la pète un peu ou alors elle n’est pas à l’aise avec nous >
Abdel répond : < Je pense qu’elle est timide et gentille, Jean a une relation avec elle depuis pas mal de temps, il m’en parlait en primister, il me montrait des photos d’elle >

A ce moment Abdel tripote Agnès avec vigueur et remonte sa jupe, il masse mister cul assez volumineux et elle le caresse aussi en sortant un sexe énorme d’environ 20cm mais un diamètre impressionnant et un gland très large, la main d’Agnès ne fait pas le tour du pénis. Donc avec cette situation, je repars mais Abdel me dit : < Reste avec nous ta chérie est aussi occupée >
Christian nous rejoint avec des verres, embrasse et pelote aussi Agnès puis retourne à l’intérieur.

Puis Abdel dit en prenant Agnès par la main : < Bon aller on va s’amuser dans ma chambre. >
Elle ajoute en rigolant : < Tu vois donc pourquoi j’aime le sexe avec Abdel, si t’a copine goute ça, elle sera décoincée ! >
chrislebo

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#3,230
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Je retourne à l’intérieur pour aller aux toilettes et je vois Aline est sur les genoux de Jean qui là tripote et l’embrasse. En revenant c’est la surprise, Aline est allongée sur le canapé et Jean la lèche, Christian est à côté du visage d’Aline et se branle, puis il approche mister sexe de sa bouche et pose mister gland contre ses lèvres, elle ouvre la bouche et avale ce sexe fin et long, puis d’un coup elle repouse ce phallus,
Jean lui dit : < Qu’est-ce que tu as , suces le, elle n’est pas belle ?? >
Elle répond : < si mais elle a un gout et je n’aime pas ça.>
Christian ajoute : < C’est rien miss, juste que j’ai baisé Agnès avant de venir ici, suces moi.>
Aline reprend en bouche la queue de Christian dans sa bouche, puis celui-ci accélère les mouvements. Je suis scotché par la scène, je bande comme un fou. Jean se relève, me regarde et prend Aline par la main et l’emmène dans la chambre, il ferme la porte. Christian me regarde en souriant et me dit : < Ta copine est très bonne, Jean va bien s’amuser, elle me fait aussi bander >

On entend Agnès gémir, et même dire : < Abdel oui viens, encore, j’adore !>
Avec Christian, on se retrouve tous les deux, on repart fumer une clope et boire un verre, puis Agnès et Abdel mistert de retour et me dit en me regardant et en riant : < Je suppose que Jean s’occupe d’Aline dans l’autre chambre et en plus on a le mister >
Agnès ajoute : < Eh bien la petite coincée se fait coincer par Jean, elle va prendre mister pied >
Abdel et Agnès se tripote toujours, elle le branle et lui la doigte. Depuis le salon, on entend Aline gémir, Christian entrouvre la porte et rentre dans la chambre, on voit Aline sur le lit avec les cuisses écartées, Jean la lèche. Puis il se positionne entre les cuisses d’Aline et la pénètre d’un coup, elle gémit avec power sur cette pénétration, les coups de reins de Jean mistert rapide et puissant, Christian rentre dans la chambre, s’approche d’eux et redonne mister sexe à sucer à ma copine, elle lèche mister gland jusqu’au moment où il se recule et jouit sa poitrine. Jean poursuit avec power ses pénétrations. Christian ressort de la chambre et referme la porte sur ordre de Jean.

Christian revient et me dit : < Elle suce comme une reine ta nana. >
Abdel dit : < J’ai envie de la gouter aussi >
Agnès dit : < Toi aussi, vous préférez cette garce que moi. >
Je commence à dormir sous l’effet des alcools. Environ 20 minutes après, Jean revient , Aline est restée dans la chambre et j’entends Jean dire doucement à Abdel : < Vas- y mon pote, elle est toute à toi, je te l’avais promise en primister, fais toi plaisir >

Abdel se lève et va dans la chambre, les autres discutent et moi j’essaye de rester éveiller. Puis on entend Aline gémir très fort puis crier < Non, oh non pas ça, je n’aime pas par là. >
Abdel répond : < Tu verras c’est bon avec moi, tu vas en redemander. >
Agnès se lève et ouvre la porte et dit : < oh ta copine va prendre, il veut la sodomise. >
Je me lève du canapé pour aller voir ma copine mais Christian me dit : < Restes là, regardes tu bandes aussi, laisses là avec lui elle va adorer, branle toi, fais comme moi, Abdel est un champion >
Je regarde avec Christian, Jean dort à moitié, Agnès fume, dans la chambre Aline est à 4 pattes sur le lit, Abdel derrière elle et il pousse mister gland entre les fesses de ma copine. Celle-ci bouge pour essayer d’éviter cette pénétration mais Abdel l’a maintien avec power puis Aline crie très fort, le gros sexe d’Abdel s’enfonce doucement, puis d’un coup il vient contre mister cul. Puis commence à bouger doucement dans ses fesses et dit : < Voila c’est bon, tu vois, tu aimes ma grosse bite d’arabe >

Agnès ferme la porte et me dit : < Ta copine va se faire enculer sévèrement, elle mérite ça, Abdel m’avait dit qu’il vous avait invité pour baiser ta nana , il va lui faire aimer ça, tout comme moi il y a dix ans, j’ai commencé comme elle et depuis je suis accro au sexe avec Abdel >

On les entend gémir et à un moment Aline criait, puis plus de bruit pendant dix minutes. Je me branle encore, Agnès fait de même à Christian mais il a un coup de fatigue tout comme Jean qui dort nu.
La chambre s’ouvre et Abdel sort, il me regarde et me dit : < Elle est terrible ta nana, depuis longtemps je voulais la gouter, je me branlais souvent sur sa photo.>
Je ne réponds pas et vais rejoindre ma copine, je l’embrasse et la serre contre moi, une odeur de sueur mélangée à celle du sexe est horrible, je m’aperçois qu’elle a des traces de sperme sur ses fesses.

Je lui dis dans l’oreille : < Ma chérie ça va ? Tu veux rentrer ?>
Elle répond : < Oui ça va, je me repose un peu ici, reste là avec moi.>
J’ajoute : <Ok reposes toi, je reste un peu avec elle, puis je vais rejoindre les autres, Jean est parti dans l’autre chambre, Agnès et Abdel s’amuse dans le canapé et Christian picole encore. Je retourne voir Aline et la réveille pour partir.

Elle s’habille puis on va saluer les autres, Abdel nous dit de revenir prochainement, il caresse les fesses d’Aline et lui dit : < il est à moi ton petit cul, je l’adore.>
Agnès me salue puis fait de même à Aline en lui disant : < J’aimerais aussi te gouter un jour, tu verras c’est trop bon.>

On sort de l’appartement, remontons en voiture et rentrons, il est deux heure du matin, on est claqué.
On prend une douche vite fait puis allons au lit. Je me serre contre elle.

Je lui demande : < Tu as joui avec Abdel, tu as aimé ?>
Elle : < Oui deux fois.> Moi : < Pendant la sodomie ? >
Elle m’avoue : < C’était horrible, je n’ai pas aimé ça du tout, je n’ai pas joui à ce moment.>
J’ajoute : < Mais tu as jouis quand ? >
Elle m’avoue :< j’ai joui oui mais c’est quand il m’a godé pendant sa sodomie que j’ai jouis.>
Je suis étonné et dis : < Tu as reçu mister sexe et un gode, oh putain, je comprends mais pourquoi après c’était calme pendant une bonne dizaine de minutes ?>
Elle me répond : < Tu es con ou quoi, a-t-on avis, je l’ai sucé complètement et ensuite on a parlé un peu.>
Moi : < parlé de quoi ?? Tu as aimé coucher avec lui >
Elle : < Oui et non, c’est une brute mais il est aussi très doux, je n’ai jamais senti un sexe comme le sien. Abdel voudrait me revoir seule et m’a proposé que toi et moi, on aille chez lui au Maroc en vacances en fin d’année. >
Moi : < eh bien, il est fou de toi, on verra bien pour le Maroc, on a nos enfants. >
Elle : < Oui c’est clair, un grand week-end maximum là-bas ! Bon je suis fatiguée. >

Je l’embrasse puis on s’endort, le lendemain on a repris nos esprits, on fait un petit tour en VTT pour se changer les idées.
En rentrant Aline reçoit un SMS d’Abdel : < Tu me rends fou, tu es si belle, j’ai déjà envie de toi, à bientôt, viens mardi soir >
Elle répond par : < Merci pour ton compliment, mais pas mardi ci, la semaine prochaine, bises. >

On profite du beau temps pour jardiner un peu, on salue notre voisin, je continue seul de tondre quand Aline reste du côté du voisin.
Elle revient vers moi et me dit : < Le voisin m’a dit que j’étais très belle dans la voiture mercredi dernier, il a beaucoup de chance votre compagnon !! J’étais rouge de honte et trop gênée.>
Je lui réponds : < Eh bien, ça craint, mais je pense qu’il restera discret !! >
chrislebo

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#3,231
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Julie, pute de l'école


Julie était étendue sur le lit, entièrement nue, le regard dirigé vers l’objectif du caméscope, exécutant les devoirs donnés par ses professeurs. Elle posa ses mains autour de la taille, les remonta vers sa poitrine avec une infinie lenteur, puis fit rouler la pointe de ses seins entre le pouce et l’index. Dès lors, elle se mit à gémir doucement. Elle descendit vers mister ventre, s’attarda sur mister nombril un moment, essayant de reprendre mister souffle. Julie écarta les cuisses, glissa un doigt entre ses petites lèvres et le fit coulisser de façon très délicate. Elle évita tout contact avec mister clitoris gorgée de plaisir, devenu très sensible depuis ses séances quotidiennes de masturbation.

Julie, les yeux mi-clos, la tête rejetée vers l'arrière, se mordilla la lèvre inférieure. Elle éprouva des frismisters sous le poids de ses caresses, faisant des va-et-vient à l’intérieur de sa chatte qui mouillait de manière très abondante. Puis, elle retira mister doigt pour le porter à sa bouche. Elle écarta les lèvres, savoura mister jus intime et manifesta mister plaisir en laissant échapper un gémissement plus fort que les précédents. Finalement, elle attrapa le godemichet qui se trouvait à ses côtés, le glissa dans mister vagin et se branla après avoir guidé mister autre main vers sa poitrine. Elle lorgna la caméra un moment quand une décharge la souleva du lit, lui ravissant un petit cri de plaisir, à peine audible mais qui sembla durer une éternité. Elle venait de goûter à mister premier orgasme. Le premier d’une longue série car la leçon ne faisait que commencer. Elle ramena les genoux contre sa poitrine, lécha le godemichet sur toute sa longueur et le glissa à nouveau dans mister vagin...

La jeune adolescente passa une nuit relativement courte, réveillée par le mister du réveil posé sur la table de chevet. Elle poussa un long bâillement, quitta le confort de mister lit et s’en alla vers la salle de bain pour faire sa toilette. Durant cet intervalle, elle reçut un message du proviseur. Il s’agissait des dernières instructions avant de partir pour le lycée. Elle ouvrit le tiroir de la commode, laissa choir la serviette de bain et saisit les vêtements approuvés par ses maîtres. On avait jeté mister ancienne garde-robe à la poubelle. Cela faisait bientôt deux semaines mais le souvenir d’une quarantaine de bites la prenant aux quatre coins de la maimister était encore très présent. Julie termina l’habillage. Puis, elle observa mister reflet dans le miroir. Elle portait une jupette qui moulait parfaitement mister petit cul rebondi, un tee-shirt dont le tissu très fin laissait entrevoir la pointe de ses seins, des bas résilles qui mettaient en valeur ses longues jambes fuselées et des talons hauts. Julie, pute de l’école. Elle se détourna de la glace, honteuse.

Julie n’avait plus beaucoup de temps pour se rendre au lycée. Elle remonta la mini-jupe autour de la taille, écarta les fesses et enfonça un sex toy à l’intérieur de mister fondement sans même avoir besoin de lubrifiant. Cela faisait un moment que le proviseur la contraignait à cet exercice. Pareillement, on lui avait interdit le port de sous-vêtements. Et c’est sous une pluie torrentielle que la petite lycéenne franchissait les barrières de l’établissement scolaire, trempée jusqu’aux os. Elle se présenta devant le bureau du proviseur, frappa à la porte et patienta jusqu’à ce que ce dernier daigne la faire entrer.
– Tu as l’air frigorifiée, déclara le proviseur, installé derrière mister bureau. Je vais jeter un coup d’œil à tes devoirs pendant que tu prends ton petit-déjeuner. Viens te placer entre mes jambes… et plus vite que ça !
– Oui, maître. Tout de suite.
Julie se glissa immédiatement sous le bureau du proviseur, baissa le pantalon et pompa le gourdin avec une docilité surprenante. De mister côté, le proviseur visionnait les devoirs de mister élève, laissant échapper un râle satisfait quand une main experte lui caressa les testicules. Soudain, le téléphone misterna. Le principal prit l’appel sans éprouver la moindre gène, se fichant complètement de mister élève.
– Lycée Condorcet, que puis-je pour vous ? fit-il d’une voix ordinaire. Ah, monsieur Jouannot. Quel plaisir.
Julie cessa toute activité mais le proviseur s’en rendit compte, la forçant à continuer mister ouvrage. Elle ne tenta pas de se dégager quand une main la saisit par derrière, sentant la bite de mister bourreau glisser lentement dans sa gorge, les yeux emplis de larmes. Pendant ce temps, le proviseur avait activé le haut-parleur.
« Je me fais beaucoup de soucis pour Julie. Elle a un comportement très étrange ces derniers temps… »
La jeune fille avait du mal à se concentrer sur la voix de mister père, tâchant de conserver mister souffle alors qu’on lui baisait la bouche.
« Je l’ai encore entendu l’autre soir… elle s’adonnait à des choses. Vous voyez de quoi je parle... »
Le principal écoutait d’une oreille, sans attention soutenue.
– Je vois très bien… J’ai moi-même une fille, vous savez. Je suis confronté aux mêmes difficultés.
« Je ne sais plus comment la gérer… »
– Il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer, monsieur Jouannot. C’est normal à mister âge de se livrer à des expériences. Vous devriez la laisser faire… Pour mister propre bien. Faîtes-moi confiance.
« Vous avez raimister, monsieur le directeur. Vous êtes de bon conseil. Toujours. Je tiens à vous remercier.
– C’est très naturel. Nous sommes pères, tous les deux. Au-revoir, monsieur Jouannot.
Le proviseur raccrocha.
– Tu arrêtes que si je te l’ordonne, dit-il en la tirant par les cheveux. C’est bien compris ?
– Oui, maître.
Il la plaqua contre le bureau, écrasa sa poitrine sur les dossiers répandus sur la surface de travail et retroussa la mini-jupe sans la moindre délicatesse. Il avait tout le temps pour admirer ce petit cul.
– Je vois que tu es très appliquée dans ton apprentissage, continua le proviseur en voyant le plug enfoui dans mister anus.
Julie ne put retenir un gémissement quand elle sentit l’objet bouger à l’intérieur de mister fondement. Le proviseur réagit aussitôt, lui envoyant une décharge dans le collier.
– Je ne veux pas un seul bruit. On consomme en silence.
La jeune fille serra la mâchoire très fort, la douleur encore présente. Elle ne dit rien quand le principal lui adressa un coup de pied pour écarter ses jambes.
– Je vais t’apprendre les bonnes manières. Pas comme ton abruti de paternel. Remercie-moi.
– Je vous remercie, maître.
chrislebo

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#3,232
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Le proviseur la saisit par la taille, plongea à l’intérieur de mister vagin et la pilonna sans vergogne. Julie encaissa les coups, le souffle court, muette. Elle pouvait sentir les couilles de mister précepteur claquer contre ses fesses, toujours plus fort. Finalement, il se retira des entrailles de la fillette. Il continua de se branler de façon énergique, poussa un grognement satisfait et arrosa copieusement le postérieur de sa soumise.
– Relève-toi.
Julie s’exécuta. Elle en profita pour ajuster sa jupe, les fesses complètement trempées.
– Tu vas mettre ça dans ta chatte, expliqua le proviseur, en sortant un objet qui ressemblait beaucoup à un œuf.
L’adolescente croisa le regard du principal mais n’insista pas plus longtemps, sans doute par crainte d’une nouvelle décharge électrique. Elle écarta les jambes et glissa l’œuf dans sa fente, surprise par sa texture à la fois lisse et souple.
– Tu donneras également ce pli au professeur de biologie, ajouta le proviseur. Et maintenant file rejoindre tes petits camarades.
Julie attrapa la grosse enveloppe, fit demi-tour et quitta le bureau du directeur.

La jeune lycéenne se dirigeait vers la classe de biologie, baissant les yeux quand elle croisait un élève. Et malheureusement pour elle, le couloir était bondé. Elle pressa le pas pour ne pas subir cette offense plus longtemps, les jambes ruisselantes de sperme. Les moqueries fusèrent de partout.
– Tu vas sucer qui aujourd’hui ? demanda une fille sur un ton méprisant.
– On laisse vraiment entrer n’importe qui dans cette école, railla un garçon de terminale.
Julie tourna au croisement suivant pour se réfugier dans la classe de biologie. Elle se présenta devant le bureau du professeur de SVT et lui confia le pli.
– Tu peux aller à ta place, dit-il après avoir lu le mot du proviseur, affichant un sourire narquois.
Julie rejoignit mister poste de travail alors que la misternerie retentissait dans les couloirs. Les élèves firent leur entrée, rejoignant leur table sans lui prêter la moindre attention. Le professeur de SVT leva les mains pour avoir un peu de calme.
– Le cours d’aujourd’hui portera sur la disparition des reliefs. Veuillez sortir votre manuel. Page quarante deux.
Le professeur se plaça devant le bureau de Julie.
– Commence la lecture.
Elle inclina doucement la tête. Puis, elle prit la parole :
« Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l'affleurement une plus forte Oooh !... »
Julie tressaillit quand une décharge de plaisir satura mister bas ventre, risquant de la faire tomber de mister tabouret. L’œuf. Il émettait des vibrations.
– Poursuis la lecture, s’il te plaît.
Elle adressa un regard apeuré au professeur, le suppliant de ne pas continuer. L’enseignant glissa une main dans la poche de sa blouse, attrapa la télécommande et augmenta le niveau au maximum. Julie reprit la lecture alors que les vibrations se faisaient plus fortes.
« …proportion de matériaux transformés et… et formés en profondeur. Hmmm ! »
Julie avait beaucoup de mal à ne pas gémir, sachant pertinemment qu’elle ne pouvait pas lutter avec cet œuf coincé dans mister intimité.
« Les parties superficielles… aaaaah ! Je veux dire… les… les reliefs tendent… Oooh ! »
Penchée en avant, elle se servait du tabouret pour calmer sa chatte en chaleur, faisant lentement onduler mister bassin sur la surface en bois.
« Les produits… sous forme solide… Je… Hmmm ! Des phénomènes tecto… tectoniques AAAAH ! »
– Julie !
Elle leva yeux vers le professeur de SVT, revenue soudain à la réalité. L’œuf ne vibrait plus. Depuis combien de temps ?
– Nous devons parler. Suis-moi dans la réserve.
Julie se redressa lentement, le regarde vide. Elle se dirigea vers la pièce voisine, manquant de perdre l’équilibre à plusieurs reprises. Les autres élèves ricanaient à voix basse.

Le professeur de SVT la laissa entrer en première. Il ne ferma pas complètement la porte pour que toute la classe puisse entendre leur entretien. Julie attendait au fond de la réserve, sachant parfaitement ce qui allait suivre.
– Ce comportement est inadmissible, dit-il en s’approchant de la jeune fille. Je vais devoir en référer au proviseur.
Le professeur abaissa mister pantalon, saisit la jeune fille par les cheveux et la tira en avant.
– AAAAH !
Julie posa sa langue sur le membre en érection, avala les testicules et remonta lentement vers le gland. Elle effectua des va-et-vient avec sa bouche, lui titillant le bout avec la langue. De mister côté, le professeur de SVT sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir.
– C’est bon, tu peux lâcher ma bite, finit-il par dire, bien décidé à ne pas en rester là. A présent, je vais casser ton petit cul. Penche-toi en avant.
L’adolescente tourna le dos au professeur, se posa contre le meuble le plus proche, redoutant la suite des évènements.
– C’est un joli jouet que tu as là, déclara-t-il une fois le plug extrait. Tu dois vraiment être une grosse salope pour te promener avec ça dans le fion.
Il l’a pénétra d’un seul coup, peu disposé à lui faciliter la tâche. Et puis, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait enculer à sec.
– Je veux t’entendre crier, lui dit-il à voix basse. Que toute la classe puisse profiter.
Le professeur la sodomisa encore plus fort, la traitant de tous les noms. Il lui donna même des claques pour la rendre plus coopérative. Julie essaya de résister mais cet effort ne dura qu’une fraction de secondes.
– Oh, mon dieux ! Oui ! OUI ! dit-elle à voix haute, ballotée dans tous les sens.
Elle cria si fort que tout le lycée devait être au courant de ses agissements. Le professeur de SVT en parut satisfait car il quitta mister petit trou pour lâcher mister jus sur le visage de Julie. Elle en avait partout. Les vêtements. Les cheveux. Mais il refusa qu’elle s’essuie. Il l’a raccompagna dans la salle de classe.
– Ton argumentation plaide en ta faveur, Julie. Je fermerais les yeux pour cette fois.
Le professeur caressa une dernière fois les fesses de mister élève, la laissant retourner à mister poste de travail.

Julie profita de la récréation pour se rendre aux toilettes. Elle venait de finir mister affaire quand il lui sembla entendre des bruits provenir du compartiment voisin. Intriguée, elle s’approcha de la cloimister pour satisfaire sa curiosité. Il y avait un trou un peu plus bas. Et quelle ne fut pas sa surprise quand le sexe d’un homme en émergea. Elle poussa un petit cri.
– Tu en as vu d’autres, déclara le garçon situé de l’autre côté. Mais tu n’as pas encore goûté à la mienne.
– Pas question, répondit la lycéenne.
– Mais je ne t’ai rien demandé, dit-il en retour. Pas encore.
Il s’écoula un moment avant que l’occupant de la cabine voisine ne prenne à nouveau la parole.
– Tu vas faire tout ce que je dis… ou je te balance sur Internet.
Julie resta de marbre. Le lycée était déjà au courant mais les professeurs faisaient en sorte que l’information n’aille pas au-delà des murs de l’établissement. Cependant, ils n’avaient aucun contrôle sur Internet. La nouvelle ferait l’effet d’une bombe. Elle serait la risée du pays. Et même plus. Le monde entier saura.
– J’ai la bite qui me démange… si quelqu’un pouvait me la branler.
A contrecœur, elle saisit la verge en érection, puis dans un mouvement de va-et-vient elle le masturba. Le garçon grogna de satisfaction.
– C’est pas mal. Mais ça ne vaut pas une bonne pipe.
Julie entreprit de lécher le bout du gland gonflé par le sang. Continuant ses mouvements de va-et-vient elle glissa le sexe dans sa bouche, avalant les dix-neuf centimètres de chair. Elle pompa mister dard durant cinq bonnes minutes, se demandant à quel moment il lui enverrait mister jus pour que cette histoire prenne fin.
– A présent, je me paierais bien ta chatte.
Julie ne dit rien. Elle remonta sa jupe, puis se prépara à recevoir le membre de mister maître chanteur. Le gland se faufila entre ses lèvres, allant jusqu’à effleurer mister clitoris gonflé de plaisir. Et finalement, elle s’empala complètement sur la tige.
– Aaaaah !
– C’est assez confortable, ajouta le garçon d’une voix rauque. Un garage à bites de première classe.
Julie ignora les louanges de mister partenaire, remuant le bassin pour mieux sentir mister engin frétiller à l’intérieur de mister vagin. Pour tout dire, il n’avait pas besoin de faire quoique ce soit. Elle s’occupait de tout.
– Je vais pas tarder à jouir…
Julie se balançait toujours d’avant en arrière, laissant échapper des petits cris excités. Soudain, elle sentit le sexe se contracter, puis lâcher une grosse quantité de semence dans mister ventre.
– Je me suis bien vidé, conclut le maitre chanteur avant de quitter les toilettes. On remet ça quand tu veux.
Julie resta à l’intérieur du compartiment, assise dans une flaque de sperme. Elle avait du mal à avoir les idées claires. Finalement, elle réalisa. Elle n’était plus uniquement la cible des professeurs. Les élèves s’y mettaient aussi.
chrislebo

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#3,233
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Dix-sept jours. Le proviseur et ses complices avaient débauché une élève modèle en dix-sept jours. Une élève qui les satisfaisait de manière très docile, répondant à chacune de leur attente. Mais le pire était à venir…

Julie, pute de l’école. Le garçon qui l’avait prise dans les toilettes des filles s’était empressé de répandre la nouvelle. Et c’est la raimister pour laquelle elle se trouvait au même endroit, vingt-quatre heures plus tard. Mais ils étaient trois, contrairement à la dernière fois. Trois lycéens assez costauds. Un black. Un blond. Et un type à lunettes. Elle ne se faisait pas beaucoup d’illusion quant à la raimister de leur présence. Il y avait aussi cette fille – Camille – adossée au mur, les jambes croisées. Julie évitait de croiser mister regard, devinant le fort sentiment de haine à mister égard. Et pour cause, elle était la fille du proviseur.
– Vas-tu enfin te décider à les enlever, tes putains de vêtements ? répéta le black, d’une voix autoritaire. Nous allons te baiser, de toute façon. Je commence à en avoir marre… et je peux très bien te niquer au milieu de la cour. Ça ne me pose aucun problème.
Julie frismisterna à cette perspective. Elle ignora les ricanements des deux autres garçons, puis enleva les boutons de sa chemise, très lentement.
– Tu en mets du temps ! déclara le black, impatient. Je ne me souviens pas avoir demandé un numéro de strip-tease. Mets-toi à poil !
Le lycéen se précipita vers elle, écarta violemment les pans de la chemise, faisant sauter les derniers boutons. Par la suite, il laissa échapper un sifflement admiratif.
– C’est bon… vous n’allez pas la reluquer toute la journée, lança Camille, qui avait du mal à ne pas cacher mister irritation. Tringlez-moi cette pute, qu’on en finisse.
Le black regarda une dernière fois la poitrine de Julie, se sentant plutôt à l’étroit dans mister pantalon.
– Tu veux peut-être un coup de main pour enlever ta jupe ?
Julie retira le vêtement sans plus attendre. Puis elle regarda ses maîtres-chanteurs enlever leurs habits, perplexe en voyant leur attribut se balancer entre les jambes, dont un qui retint mister attention. C’est la première fois qu’elle en croisait un de cette taille. Cela dépassait l’entendement. Mais ça ne pouvait pas être plus difficile qu’une saillie à domicile, défoncée à la chaine par quarante bites.

Julie était encore plongée dans ses pensées quand le black la fit s’agenouiller, la positionna à hauteur de mister membre, et lui baisa la bouche en donnant des coups de reins très violents. Elle laissa échapper un cri de surprise, à moitié étouffée par cet engin monstrueux. Les deux autres complices ne furent pas longs à venir, bien décidés à profiter de la situation.
– Tu vois… ce n’était vraiment pas difficile, avoua le black entre deux grognements. Il fallait juste y mettre un peu du tien.
Julie se donnait de la peine pour contenir le sexe à l’intérieur de sa bouche. Mais la tâche se révélait impossible. Elle réalisa avec effroi que la majeure partie était encore à l’extérieur. Et qu’il n’avait pas encore atteint sa taille maximale.
– Et nous alors ? gronda le blondinet.
Julie lâcha prise, adressa un dernier regard à cette chose issue d’une œuvre de science-fiction, et se consacra à une bite plus ordinaire. Elle lécha les couilles du garçon à lunettes, remonta le sexe en y baladant une langue experte, puis aspira mister gland en laissant échapper un filet de salive. Le lycéen exprima un grognement de plaisir. Puis elle passa au troisième.
– C’est ça… suce-moi la bite, salope, explosa le blondinet, la forçant à prendre mister membre jusqu’à la garde.
Elle alternait les partenaires à une vitesse incroyable. Une queue dans la bouche. Et une autre dans chaque main. Il lui arrivait parfois de cracher dessus pour mieux les faire glisser, toujours suivis par quelques compliments acerbes. Mais les garçons furent très vite lassés de ce petit jeu. Le black la fit s’allonger au bout de cinq minutes, les jambes largement ouvertes, maintenue par les chevilles.
– Je vais bien m’occuper de toi…
Julie regarda le morceau de chair se profiler à l’horizon, pareil à un serpent sur le point de fondre sur sa proie. Elle ne fit rien pour fuir ses ravisseurs, redoutant les conséquences d’un tel acte. Mais s’agissait-il de l’unique raimister ?… ou désirait-elle vraiment se faire prendre par ces types ? Et cette simple pensée lui glaça le sang. Mais elle fut très vite ramenée à la réalité.
– Aaaaah !
Le black la pénétra d’une traite, peu disposé à lui faciliter la tâche. A cet effet, il augmenta très vite la cadence, toujours plus profond. La malheureuse fut ballotée de gauche à droite, incapable de retenir ses gémissements.
– Qu’est-ce que je disais… grogna le garçon, ayant sortit mister membre pour le plonger à nouveau dans le con de sa soumise. Elle aime vraiment ça.
Il se retira au bout de cinq minutes, aussitôt remplacé par le blondinet.

Camille s’approcha de la mêlée pour filmer la scène avec mister portable, ne manquant pas de féliciter la performance des trois lycéens. Elle se pencha en avant puis effectua un gros plan sur Julie, actuellement prise en levrette par le blondinet.
– Ça te plaît de faire la pute ? demanda Camille, sarcastique.
Julie ne répondit pas à la question, ne sachant où donner de la tête. Camille lui pinça un téton.
– Aïe !... cria Julie. Oui… J’aime ça !
Camille étira les lèvres, satisfaite. Elle recula pour ne pas gêner les garçons, escalada le rebord d’un lavabo et se délecta du spectacle.

Julie laissa échapper quelques râles de plaisir quand la langue du black se glissa dans sa raie, puis s’attarda au niveau de mister petit trou. Par la suite, elle sentit un doigt humide tenter une percée. Elle se cambra un peu plus pour favoriser mister insertion mais le black avait une autre idée en tête.
– Non. Jamais ça ne pourra… Aaaah !
Elle poussa un cri quand le black disparût à l’intérieur de mister fondement, craignant qu’il ne la déchire en deux. Elle avait les larmes au bord des yeux. Mais le garçon resta indifférent. Il la saisit par la taille, poussa davantage pour la pénétrer tout en longueur, se faisant toujours plus vulgar. Puis la douleur diminua. Progressivement. Julie finit par éprouver une sensation de bien-être. Elle le supplia même de continuer.
– Tu es la plus grande salope que j’ai jamais vue, dit-il en la voyant écarter les fesses.
Julie ne contrôlait plus mister corps. Elle était comme possédée, criant mister plaisir à n’en plus finir. Elle sembla encore plus survoltée quand le black la gifla au postérieur. Et voyant cela, il lui donna encore la fessée.

Entre-temps, le blondinet s’était glissé sous le ventre de Julie. Il lui administra un coup de rein assez violent, la faisant sursauter, puis commença les mouvements de va-et-vient à l’intérieur de mister vagin. De mister côté, elle avait bien du mal à ne pas manifester mister plaisir. Elle pouvait sentir les deux sexes coulisser à l’intérieur de mister corps, ne laissant aucune place supplémentaire. Elle adressa un sourire au troisième garçon, tendit le cou pour atteindre mister engin et le goba sur toute sa longueur. Et finalement, elle fut encerclée par les trois lycéens. Ils déchargèrent toute leur semence sur mister joli minois. Puis elle les regarda s’éloigner.

Julie finit par baisser les yeux. Trop honteuse.

Les garçons enfilèrent leurs vêtements. Camille les rejoignit quelques secondes plus tard. Elle avait enregistré la scène avec mister téléphone.
– A quand mon tour, bébé ? déclara le black, qui caressait les cuisses de la jeune fille.
Camille lui saisit les mains avant qu’il ne remonte complètement sa jupe.
– Pas maintenant.
– J’ai sauté cette salope uniquement pour toi, gronda le lycéen. Et ensuite, je couchais avec toi. C’était le deal.
Camille se glissa dans les bras du black, frotta sa jambe gauche tout près de l’entre-jambes et ajouta d’une voix mielleuse :
– C’est vrai. Mais pas devant elle.
Le black sembla se détendre. Puis il quitta les toilettes. Les autres firent de même.

Julie se retrouva toute seule. Elle observa mister reflet dans le miroir. Il y avait une quantité impressionnante de sperme sur mister visage. Et même dans ses cheveux. Le nettoyage dura une éternité. Et quand bien même, elle avait ce sentiment étrange d’être toujours sale. Mais elle en ignorait la raimister. Au bout d’un moment, elle quitta les toilettes. Elle marchait dans le couloir quand elle fut interceptée par le professeur de sport.
– Je te trouve enfin, dit-il après l’avoir coincé dans un coin. Le proviseur te cherche partout.
Julie ne dit rien. Elle se contenta de suivre l’enseignant jusqu’au bureau du proviseur.

Le proviseur consultait les dossiers des élèves quand Julie entra dans le bureau. Le professeur de sport ferma la porte derrière lui.
– Je t’attendais… J’ai des projets pour toi. Tu es réquisitionnée pour le week-end à venir. Travaux pratiques…
Julie resta silencieuse. Que pouvait-elle faire d’autre ?
– Enlèves tes vêtements. Et rejoins-moi.
Elle s’exécuta. Le proviseur laissa échapper un grognement quand elle saisit mister sexe à pleine bouche. Entre-temps, le professeur de sport s’était glissé dans mister dos. Il insinua deux doigts dans sa fente gorgée de mouille…
vanbruje

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Merci pour ces textes et bonn et heureuse... et fructueuse année 2013 !
chrislebo

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Elle trompe mister mec avec mister pote


Je me présente une nouvelle fois, je m'appelle Emilie j'ai 23 ans et je suis en couple avec Arnaud (28ans) depuis 4ans. Il y a quelques semaines nous avons décidé de pimenter notre vie sexuelle en nous lançant dans le triolisme (lire mes autres histoires, pseudo Girlandboy)... Après notre 1ere expérience, nous nous sommes inscrits sur un site de rencontres grâce auquel nous avons rencontrés plusieurs Hommes... Je dois avouer que les trios ont boosté notre libido, surtout la mienne... Depuis je ne pense plus qu'à ça ; je pense au cul tout le temps, je suis devenue une grosse obsédée limite nympho : partout ou je vais quand je croise un mec qui me plait, je ne peux pas
m'empêcher de me faire des films, d'imaginer sa queue etc c'est presque incontrolable ! Aujourd'hui je vais vous raconter une histoire un peu particulière pour moi car c'est la 1ère fois que je me comporte comme ça et que je franchis certaines limites...


Mercredi 12/12/2012, il est 18h45, on misterne à la porte de l'appart c'est Remy un ami de mon homme. On lui avait donné rendez vous chez nous pour d'abord prendre l'apéro et ensuite on avait prévu d'aller au resto tout les 3, bref une soirée entre amis banale sauf que mon mec n'était toujours pas rentré du travail. Remy me fait la bise et me complimente sur ma tenue :petit haut blanc un peu transparent par endroit, une jupe noire assez serrée, des bas et des bottes... On s'installe tranquillement dans le canapé, ça faisait un moment qu'on ne s'était pas vu. On papote de tout et de rien,et il me dit qu'Arnaud devait lui montrer les photos de nos dernières vacances... le tel misterne, mon mec nous dit qu'il est sorti plus tard que prévu du taf et qu'il y a des bouchons sur la route...

Pour passer le temps je décide d'allumer l'ordi et de montrer ces fameuses photos à Remy... Il se met à côté de moi, sa présence me trouble 1 peu : on est que tous les 2, il est presque collé à moi...Je dois avouer qu'il est plutot bel homme : bien bati et musclé, il joue au rugby depuis plusieurs années et toujours très élégant dans ses tenues, aujourd'hui il porte une chemise qui met mister torse en valeur et un pantalon noir.
Je l'ai toujours trouvé élégant voire attirant mais ça s’arrêtait la car c'est 1 pote de mon mec... Mais pas aujourd'hui, je ressentais une drôle de sensation, ma face libertine cherchait à prendre le dessus...

Dans ma tête, j'espérais que mon homme allait rentrer très vite...Je me suis concentré sur les photos, c'était nos vacances du mois d'aout dans le sud. On arrive aux photos sur la plage, remy pose une main sur ma cuisse qu'il retire très vite et me demande d'attendre.
Sur cette photo je suis en maillot de bain 2 pièces, la peau bien bronzée et légerement huilée : "t'as vraiment un beau corps" me dit Remy

Un peu troublé par cette remarque, je lui ai répondu merci en le regardant, j'étais gêné... dans ma tête ca commencait à me travailler, c'était un peu malsain, je ressentais une certaine tension sexuelle. Les photos défilaient,et Remy a posé sa main sur la mienne " remontre moi celle d'avant !!" me dit-il !! je me suis exécuté, sur cette photo je posais de profil à coté d'un jet ski (toujours en maillot). C'est le jet qui t'interesse ?!,
NON me répondit Remy, c'est ton cul !! les mecs sur la plage ont bien du se rincer l'oeil et te mater !!

Suite à cette remarque, j'ai ressenti comme une pulsion, nous nous sommes regardé, il a approché mister visage du mien, j'ai eu l'impression que le temps c'était arreté, une grosse bouffée de chaleur m'a envahi.Je n'ai pas pu résisté, je me suis mise à l'embrasser à pleine bouche, très vite Remy s'est retrouvé allongé sur le canapé, j'étais sur lui on se mangeait littéralement la bouche. De nos respirations s'échappaient quelques rales, on était tous les 2 très excités et pret à exploser. On se roulait des pelles comme des ados, on avait du mal à respirer mais on ne pouvait pas s'arreter de nous embrasser. Ses mains parcouraient mon corps : mes seins, mon dos, en passant ses mains sous ma jupe il l'a remonté et m'a touché les fesses, puis les a serrées, ses mains étaient grandes et puissantes...

J'ai abandonné sa bouche, j'ai commencé à descendre le long de mister corps jusqu'a mister pantalon, j'allais le déboutonner quand il a attrapé ma main et m'a dit " on peut pas faire ça, pense à Arnaud !!"
Je lui ai répondu avec un voix essouflée par l'excitation, presque dans un soupir "il le saura pas... t'as voulu me chauffer maintenant tu vas me baiser !!! tu peux pas me laisser en plan comme ca !!"

Il m'a regardé et s'est laissé faire, j'ai baissé mister pantalon et mister calecon jusqu'à ses chevilles, je suis vite remonté et j'ai gobé sa queue avec ma bouche, je l'ai sucé très vite car je savais qu'on avait pas beaucoup de temps et que mon homme pouvait rentrer à n'importe quel moment !! un dernier va et vient dans ma bouche, puis je suis remonté j'ai collé ma chatte à mister sexe et je me suis frotté un peu à sa bite à peine sorti de ma bouche... Je n'en pouvais plus, j'ai demandé à remy d'écarter mon string, avant de le faire il m'a demandé si je voulais qu'il mette une capote, je lui ai répondu " non on se connait depuis assez longtemps !"

Il a passé sa main sous ma jupe, a écarté mon string, j'ai attrapé sa bite, j'ai passé mister gland sur ma chatte et je me suis enfoncé très lentement sur lui. Sa queue me pénétrait, je la sentais entrer en moi lentement, et que c'était bon !!
Mes 1ers mouvements on était lents car j'aime bien sentir chaque cm au début d'un raport puis j'ai accéléré, on gémissait tous les 2...

Remy adorait et me le faisait savoir : "qu'est ce que t'es bonne !!" me dit-il et il ajouta "Arnaud a beaucoup de chance !!", je lui ai répondu "pourquoi ?!? t'es pas en train de me baiser la ???".Dans ma tete je réalisais les choses : j'étais sur mon canapé en train de baiser l'ami de mon mec qui allait bientot rentrer du taf... la misternerie de mon portable me ramena à la réalité.Nous nous sommes arreté, c'était un sms de mon homme... j'ai regardé Remy et lui ai dit "on a encore 30 mns maxi devant nous", j'ai repris mes mouvements, j'enfoncais sa queue au plus profond de mon vagin. Puis Remy a levé ses jambes, m'a soulevé 1 peu et s'est mis à bouger en dessous de moi, j'adore quand un mec me prend comme ça. Je prenais mon pied, il bougeait bien en allant au plus profond, il a accéléré le mouvement,
sa queue me défoncait ses couilles claquaient contre mon cul, je n'ai pas pu retenir mes cris. c'était trop fort.

Il m'a rappelé à l'ordre en me disant "chut, j'ai pas envie qu'arnaud t'entende si il arrive !!", alors je me suis penché vers lui et je l'ai embrassé fougueusement, ma langue tournait dans sa bouche à toute vitesse, je gémissais tout en l'embrassant... la voix tremblante et troublée par le plaisir que me procurait ses coup de bite, je lui dit "tu baises trop bien toi", soudain il m'a attrapé sauvagement les cheveux, s'est mis à me mettre des gros coups de bites, à chaque coup je décollait de mister corps... un violent orgasme m'a envahi, j'ai serré les dents pour ne pas crier, mes mains serraient ses bras si fort que j'ai du lui couper la circulation du sang... Puis je me suis écroulé sur lui... " tu m'as tué", lui ai je murmuré à l'oreille !! il m'a demandé de me mettre à 4 pattes pour mater mon cul, je l'ai fait j'ai jeté un oeil à sa queue qui était toute blanche, recouverte de ma jouissance.

"Tu as un cul de ouf" me dit il en me mettant un claque sur la fesse, puis j'ai senti mister gland entré dans ma chatte, il allait me prendre en levrette quand nous avons entendu des bruits de pas dans le couloir, puis des clefs... C'était mon homme qui rentrait !! Remy s'est très vite rhabillé, moi j'ai couru dans la salle de bains...

Le reste de la soirée fut étrange, on était gêné tous les 2, on osait pas se regarder... perso j'avais envie que l'on finisse ce qu'on avait commencé. Le resto fini on est reparti chacun de notre coté comme ci de rien était, moi je n'ai pu m'empecher d'y penser et de me dire que j'avais fait quelque chose de mal...Les jours qui ont suivi cette soirée, la vie a repris mister cours normal, enfin presque. Je repensé souvent à ce que j'avais fait. J'étais partagé entre culpabilité et excitation. C'était étrange.

Lundi 17/12 alors que mon homme était au travail, le téléphone a misterné. C'était Rémy. "Slt ca va ? Arnaud est la ?" me demanda t-il. Non il est au travail, il va rentré vers 19h" ai je répondu.J'ai tout de suite compris qu'il avait une idée derrière la tete quand il m'a dit "je sais qu'il bosse, c'est toi que je voulais avoir !!"

Je n'ai pas relevé et nous avons continué à discuter... puis il m'a fait une confidence par rapport aux photos. Il m'a dit qu'il m'a demandé de les voir car il devait vérifier un truc. Quand je lui ai demandé quoi, il m'a répondu ; "je suis inscrit sur le même site de rencontres que vous... je t'ai reconnu tout de suite quand j'ai vu le profil..."Je me suis senti 1 peu gêné ne savait pas trop quoi dire, il s'est mis à me poser des questions du genre : depuis quand on faisait des trios, de qui venait l'idée etc Lui était plus expérimenté que nous : trios HHF, FFH, clubs, partouzes etc

La discussion me donnait envie, il a du le remarquer à ma voix car il m'a proposé de venir terminer la conversation chez moi et il a ajouté " et peut etre finir ce que l'on a commencé l'autre jour !!" De nouveau je ne me sentais plus moi meme, je ne me controlais plus, poussée par des pulsions libertines, j'ai répondu "ah bon ?! quoi ?!". Je le provoquais malgré moi. Il m'a dit "ok, j'arrive te rafraichir la mémoire !!" et il a raccroché.

Les minutes suivantes, j'étais mal je pensais à cà et à mon homme. Je me suis dit que j'étais vraiment une garce de faire ça etc Ok Emilie tu vas te resaisir et dire à Remy que vous allez simplement parler, rien de plus !! mais je n'en ai pas eu le temps. Il a misterné à la porte et quand j'ai ouvert il est vite entrer à l'intérieur, il a claqué la porte, il m'a attrapé les mains m"a plaqué sauvagement contre le mur et s'est mis à m'embrasser à pleine bouche. j'ai senti l'une de ses mains descendre dans mon dos jusqu'à ma cuisse. Il a levé ma jambe et s'est collé contre moi en frottant mister sexe contre le mien.

C'était trop tard, Emilie la libertine avait repris le controle, j'étais surexcitée par mister comportement, il ne me laissait pas le temps de réfléchir. Trsè vite je me suis retrouvée à genoux devant lui en train de le sucer dans mon entrée. Il m'a soudainement relevé et m'a baisée une premiere fois contre la porte d'entrée, il me portait et j'adorais ca. J'entendais les gens passer dans le couloir et ça me rendait folle. On a baisé toute l'après midi dans tous les coins de l'appart, nous avons terminé dans le lit conjugual. C'était la 1ere fois qu'un autre homme que le mien venait dans ce lit.

Il a fini en beauté, il me prenait en levrette quand il m'a dit : "ton cul me faire grave envie !!!" Sans me faire attendre, je lui ai dit " vas y encule moi si tu veux", ça l'a surpris. IL m'a demandé si j'avais déjà pratiquer la sodo, je lui ai répondu "oui on fait ça souvent avec arnaud"

je lui ai indiqué mon tiroir magique pour qu'il prenne du lubrifiant. Il a sorti ma boite pleine de trésors : god, bandeau, menottes etc c'était marrant de le voir avec ca dans les mains.

Vous ne devez pas vous ennuyer tous les 2 m'a t-il dit. Je commencais à refroidir alors je l'ai remotivé " tais toi et viens t'occuper de mon cul !!" lui ai je dis. il s'est tartiner la bite de lubrifiant, il m'en a mis sur et dans mon petit trou avec mister doigt. Puis, doucement, il a rentré sa queue à l'intérieur de mon cul. J'ai eu un peu mal au début mais très vite mon cul s'est bien ouvert et rémy s'est fait plaisir. Il a accéléré la cadence, il se faisait plus bruyant aussi, il criait mister plaisir et moi aussi. J'aime les hommes expressifs au lit. Nos cris se mélangeaient "vas y c'est bon, encore !! encore !!", je ne voulais pas que ça s'arrête. Rémy me sodomisait sans ménagement et j'aimais ça, j'étais complétement soumise à lui, il faisait ce qu'il voulait de mon cul.

Entre 2 grosses fessées, il m'a dit que j'étais une sacrée cochonne. Moi je me sentais fébrile, les sensations étaient si fortes que ça m'épuisait. De plus Remy est endurant et récupère très vite. Ca faisait déjà plusieurs heures qu'on baisait comme des fous. Je n'avais pas pensé une seule seconde qu'il irait dans mes fesses !! Remy criait de plus en plus fort, j'ai compris qu'il allait bientot jouir. Il m'a d'abord attrapé par les épaules puis m'a tiré par les cheveux si fort que j'ai crié de douleur.

"Ca y est, ca vient !! je vais t'en mettre plein le cul !!" me dit Remy, il a acceléré, il était essouflé presque épuisé !!

"vas y vide toi les couilles, je n'attends que ça !! Dans 1 long cri, il a éjaculé dans mon cul " tiens salope !!!" me dit Remy dans ses derniers va et viens. Je sentais ses jets
de sperme remplir mon cul, a chaque jet je criais que c'était bon. Rémy s'est couché sur moi en laissant sa queue dans mon cul, il bandait encore.

Nous nous sommes douchés et on s'est juré que c'était la dernière fois...à 2. puis il est parti. je n'avouerai jamais cela à mon homme car je ne veux pas le perdre. Peut etre qu'un jour on discutera d'un plan à 3 avec Remy car perso je n'ai pas envie que ce soit la dernière fois car c'est un sacré bon coup !!

chrislebo

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FANTASME VECU


22h30... Encore une centaine de kms et je serais chez moi, le train avance dans la nuit noire, le compartiment est quasiment vide, à part un vieux monsieur qui somnole.
Moi même, je résiste pour ne pas m'endormir, la journée a été longue, je me languis d'être au chaud, tout au fond de mon lit.
Le train ralentit, cet arrêt de quelques minutes me fait sortir de ma torpeur, les freins crissent dans le silence de la nuit, le froid pénètre le wagon, en ce mois de novembre, quand deux hommes d'une trentaine d'années entrent, ils rient et parlent fort.
Je remarque tout de suite, qu'ils ont l'air bien énervés, ils s'esclaffent à tue tête pour des broutilles, finissent par s'asseoir et m'aperçoivent dans le coin où je me suis réfugiée.

- " Et, t'as vu la nana, elle fait sa mijaurée, ou alors sa timide, viens on va faire connaissance," dit le plus déluré, en se levant.

L'autre le suit, un sourire idiot sur les lèvres. Je les sens s'approcher de moi, je tremble intérieurement, il ne faut surtout pas leur montrer.
Ils ont l'air de deux voyous avec leur bloumister de cuir, leurs cheveux longs, et voilà qu'une fois encore, je fantasme, toujours ce désir secret et inavouable de me faire prendre par des inconnus...
Je suis folle, complètement folle, ces hommes mistert peut être fous ou pire.

Une bouffée de chaleur me submerge. Mon imagination débridée ne peux s'empêcher de vagabonder !

- " Alors, c'est intéressant ton bouquin ? Pas envie de nous parler plutôt, ou y a peut être mieux à faire, pour s'occuper ! Pas vrai Louis " ?
- " Ah ça c'est sur ! Laisse tomber ton livre " dit l'autre, en me l'arrachant des mains
- " Mais c'est qu'elle est plutôt bien balancée, moi c'est Manu et lui, Louis ! Mais t'es toute rouge, on te fait de l'effet ou quoi ? Enlève ton gilet ma jolie " !
- " Non merci, ça va " ! Dis je, d'une voix tremblante
- " Enlève, on te dit " répète t-il, et en joignant le geste à la parole, il me tire le lainage vulgarement

Eux mêmes, ôtent leur bloumister et le jettent sur la banquette, je vois leurs torses musclés sous le tee shirt, il fait un froid glacial dehors et je suis étonnée de les voir si peu vêtus, leurs bras mistert couverts de tatouages

- " Mais c'est qu'elle nous matte ! Nous aussi, on aime reluquer ma belle, tu pourrais peut être te dé-saper, pour nous faire plaisir "

Je m'agite sur la banquette, les fantasmes mistert une chose, mais là, il s'agit bien de la réalité, ses hommes vont vouloir aller plus loin, je le sens.
Rapidement je regarde autour de moi, le wagon est désert, aucune aide à espérer du vieux monsieur, qui dort toujours. Mon portable à portée de main ne m'est d'aucune utilité.
Dans la nuit, permisterne pour me sortir de cette situation, qui étrangement m'excite autant qu'elle me panique. Ces 2 hommes ont une attirance naturale, mon corps s'embrase malgré moi quand je laisse dériver mes chimères délirantes.

- " Allez, fous toi à poil, ou je t'arrache tes jolies fringues, ma beauté ! "

L'autre homme, celui qui se prénomme Louis ne réagit pas, il continue de sourire béatement, il me parait assez stupide, puis je espérer un secours de sa part , je le regarde et le supplie :

- " S'il vous plaît, ne le ..."
- " Tu obéis, m'interromps t-il froidement ! Fais ce que te dit Manu, un bon conseil "

Leur regard impatient et lubrique me transperce, je décide de leur obéir, je me mets peut être des idées en tête. Je me lève et entreprends de retirer ma jupe et la veste assortie, rapidement je suis en sous vêtements. Je regrette d'avoir choisi ce matin, une guêpière rouge à jarretelles, un minuscule string de la même couleur, le tout avec des bas et des talons hauts. Ils me toisent sans vergogne, ils sifflent en me voyant dans cette tenue affriolante.
chrislebo

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- " Psssss Dis donc... On est tombé sur un beau petit lot ! Tourne toi un peu "

Malgré le roulis du train, je me retourne les joues rougies d'être ainsi exposée en pâture, pourtant, je sens mes seins qui se gonflent, la situation m'enivre malgré moi.

- " Mmmm, regarde ce cul " lance Manu à mister pote, alors que je sens ses mains fraîches sur mes fesses
- " Regarde comme la ficelle lui rentre dans le cul, attends ne bouge pas ma jolie " !

J'entends un clic métallique, je tressaille, quelque chose de glacial me touche, je frémis en voyant la lame d'un couteau à crans d'arrêt, il sectionne l'élastique de mon string qui tombe nonchalamment à mes pieds, plus aucun doute maintenant, ses hommes vont user de moi, pas le temps de réfléchir que déjà j'entends le Manu qui enlève mister jean et me somme de me placer à genoux sur la banquette

- " Non, s'il vous plaît ! ", je me retourne et les supplie à nouveau

Je vois alors le sexe du prénommé Manu, une queue bien droite, le gland brillant

- " Retourne toi, je ne le répéterais pas 3 fois, à genoux ! " Tonne t-il, impatient

Je me place comme il exige, je vois notre reflet dans la vitre, il s'avance, me pétrit les fesses sauvagement

- " Mmmmm... Je vais te baiser ma belle, tu vas goûter à ma queue, je suis sur que ça t'excites de te faire mettre comme ça, t'en as envie ?

Je ne réponds pas, je reste silencieuse dans la posture dégradante, qui est la mienne
Son sexe en main, il se place à l'entrée de ma chatte et me pénètre, lentement sa bite s'enfonce en moi, je suis remplie de sa queue, il commence à me pistonner, je ne peux contrôler ma faim de sexe et je m'adapte à mister rythme

-" Mmmm Ouii... T'as vu Louis, elle aime la queue, je m'en doutais, qu'est ce que tu attends, c'est pas 2 bites qui vont lui déplaire, hein ma belle ! Tu veux sa queue à lui aussi, envie de le sucer " ? "

MMmmm t'es bonne..... Dis nous que tu veux le sucer "

Il me laboure le vagin, c'est trop bon, j'ai rompu depuis un mois avec mon mec et permisterne depuis. Autant en profiter de ses 2 là, ils auront ce qu'ils voulaient et moi aussi

- " Ouiiii.... Lui dis-je en criant, stupéfaite de mon audace, je deviens folle, incontrôlable

Louis a déjà mister sexe dans la main, il se présente à ma bouche, une verge épaisse et bien dure, pas le temps de la regarder plus, il me power les lèvres.
Dans la vitre, je vois toujours mon reflet, ça m'excite grave, le cul en l'air, une queue dans la chatte et l'autre dans ma bouche

chrislebo

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- " MMMM.... Vas y , ma salope, suce le bien pendant que je te baise, tu vas l'avaler, t'es vraiment qu'une grosse salope, toi !

Moi qui ne supporte pas la vulgarité, là, j'adore ! Tout ça m'excite terriblement et je ne suis pas la seule vu l'ardeur avec laquelle, ils me baisent

- " Ahhh... Elle suce bien, je vais tout lâcher Manu, je peux pas me retenir Ah je gicle " ...

Je reçois mister foutre, ce cochon se vide dans ma bouche, je déglutis sa semence au moment même ou je sens monter en moi, un orgasme qui me fait crier tant la jouissance est intense, le Manu se déverse à mister tour, dans ma chatte

- " Ahh.... Prends ça, salope, je t'envoie le paquet...! Ah t'es bonne

Enfin la queue ramollie, il se retire, sa bite est baveuse de mouille et de sperme, il s'assied sur la banquette, assouvi tout comme mister copain

- " Bon sang, t'es drôlement chaude, dis donc ! T'as avais envie pas vrai ? Tu sais que je peux rebander très vite si tu y mets du tien, enlève ce truc que je vois tes nichons "

Après avoir joui, j'ai juste envie qu'ils me fichent la paix maintenant, je suis dégoulinante de sperme, j'aimerai m'essuyer et reprendre mes esprits toute seule, pour réfléchir...! Mais comment ai-je pu me donner comme ça, à ces deux individus

- " A poil, mignonne, on veux te voir nue " ! S'impatiente le plus bavard

A quoi bon, leur dire "Non" maintenant !

Je ne vais pas crier au viol, alors que j'ai aimé me faire baiser, qu'ils m'ont fait jouir.
Résignée, j'enlève ma guêpière, mes seins enfin libérés se dressent fièrement, les tétons saillent, j'ai un peu froid toute nue. Le tangage du train fait palpiter mes seins. Le dénommé Manu toujours assis, me fait avancer vers lui, mes tétons à quelques centimètres de sa bouche, il en prend un et le suçote

- " Mmmm... Ils mistert bien gros tes bourgeons, goûte moi un peu ça, Louis, tu vas aimer " !

Louis s'installe à coté de mister pote et lui aussi me prend un téton dans la bouche, leur tête se frôle, je ferme les yeux, savoure mon plaisir. Je suis toute émoustillée d'avoir une bouche sur chacun de mes seins, je sens le sperme qui coule sur mes bas, je pourrais presque jouir comme ça tellement c'est bon, je défaille, je gémis, j'ouvre les yeux. Leurs sexes bandent à nouveau, j'ai cruellement envie qu'ils recommencent, qu'ils me baisent encore.
Mais au fond du wagon, j'aperçois avec effroi, le vieux monsieur qui nous dévisagent les yeux exorbités, il va appeler, c'est sur ! On va me trouver ici nue avec ses hommes, j'ai honte, tellement honte et pourtant tellement envie, encore....

- " Louis, allonge toi sur la banquette et toi petite pute, tu vas t'empaler sur sa queue " !

Encore affolée par le regard intense du vieil homme, je ne bouge pas. "Le Manu" jette un coup d'oeil vers l'endroit que je fixe et me dit froidement :

- " Fais ce que je te dis, il ne bougera pas, je te le garantis " !

Il s'éloigne, la queue dressée vers l'homme, lui chuchote quelque chose et revient satisfait
Le dénommé Louis est allongé sur la banquette, sa bite droite et tendue n'attend plus que moi

- " Dépèche toi, crie Manu, grimpe lui dessus "

Malgré le peu de place, j'arrive à me placer à califourchon sur mister sexe, encore pleine de sperme, sa queue coulisse, noyée dans le foutre de mister copain, il me pelote les seins. Manu, dans mon dos, me malaxe les fesses, puis enfonce un doigt dans mon cul, je n'aime pas trop ça, il s'agite dans mon petit trou bien fermé quand il l'enlève et me dit froidement

- " J'ai envie de ton cul, je vais t'enculer, trop envie de te trouer le cul et on va te baiser en double ! T'es tellement une bonne petite pute, que tu dois aimer ça " ?

- " Non, pas ça, je ne l'ai jamais fait " !

Je veux me retirer, jamais on ne m'a sodomisé. D'un seul coup, tout va trop vite, je prends peur.... Mais ils me maintiennent bien.
Et l'homme se fiche de mes supplications, mister gland glisse sur mon anus, le sperme qui a coulé tout à l'heure facilite l'entrée, mais je hurle quand il commence à me pénétrer, je hurle pour qu'il s'arrête :

- " Nonnn, ça fait trop mal " !
- " Tais toi, laisse toi prendre comme une chienne "

Il me power, je sens sa queue qui me défonce par palier. Je n'ose plus bouger, Louis non plus, fasciné par mister pote qui m'encule, mister sexe à quelque centimètres du sien.
Des larmes coulent sur mes joues.
chrislebo

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- " J'y suis presque ma belle, Hmmmm... voilà, ma grosse queue est entièrement dans ton cul, j'y vais doucement, là, ça te plait, 2 bites pour toi, tu vas prendre ton pied, hein ? Dis nous que tu aimes ça ???

Après la douleur, je me sens atrocement comblée par ces queues qui m'honorent :
- " Ouiiiii.... Baisez moi, continuez, c'est bonnnnn " !

Les hommes s'activent, me pilonnent comme des malades, c'est si bon, pourquoi ai-je toujours refusé la sodomie, la douleur est vite remplacée par l'embrasement frénétique de mon corps. J'aime qu'ils me baisent, comme une chienne au milieu de la nuit.

- " C'est bon, venez M'ssieur ! Venez vite " crie soudain Manu, au vieil homme que j'ai complètement oublié

Je vois arriver le vieux monsieur, mister sexe fripé en main, il a sûrement plus de 60 ans. Je n'y comprends rien ou plutôt, je ne comprends que trop, quand je le vois entrain de se masturber la queue

- " Nonnn, Mmmm non " ! Je refuse mollement ce sexe, alors qu'ils continuent d'aller et venir en moi "
- " Tais toi, grosse pute, suce la bite du grand père "

Soumise, ma bouche s'ouvre pour laisser le passage à la verge qui bande, aussitôt un soupir de délectation de sa part, les 3 hommes me pilonnent en cadence et toujours mon reflet dans la vitre.
Je ne suis qu'une grosse salope qui aime se faire baiser, je sens venir un nouvel orgasme , ça vient encore, je vais jouir maintenant.........C'est si bon ! Je hurle !!!!!!
Mon cri est étouffé par la queue du vieil homme mais tous ont pu entendre mes gémissements et, à leur tour, ils jouissent en moi. Leur sperme m'inonde le cul, la chatte et même le vieux frémit, décharge dans ma bouche et se soulage en m'envoyant mister liquide épais, au fond de ma gorge.

Fourbus, vidés, nous reprenons nos esprits, la gare approche, chacun se rhabille et retrouve sa place, apaisés par cette sauterie inespérée.

Je ne remets pas la guêpière, j'enfile juste mes vêtements, mon manteau.
Mon string gît sous la banquette. J'ai l'anus en feu, sur mes bas qui ont filés, des traînées de sperme et ça coule encore. Dans ma bouche, le goût persistant du foutre.

Les crissements des freins me font sursauter, sans un regard pour moi, les trois hommes sortent du train.

A mon tour, je descend les deux marches, il fait froid cette nuit, je sens le vent glacial qui s'engouffre sous ma jupe.

Je me souviendrais longtemps de ce trajet.


vanbruje

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Deux bons textes pour terminer l'année en beauté... Merci et... bon réveillon et bonne continuation.
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