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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#271
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Soirée dansante - 02
À moitié endormis, Claire et moi avons entendu du bruit dans la cuisine. À priori, Serge et Nadine étaient levés et préparaient le petit déjeuner.
Claire et moi avons été confrontés à un problème. Comme nous n’avions pas prévu de dormir chez eux, nous n’avions pas de linge de rechange, et franchement, ce matin, avec la barbe naissante, je ne me voyais pas remettre la tenue de la veille. De plus, tant la robe que les sous-vêtements allaient avoir besoin d’un bon nettoyage. Claire eut plus de facilités que moi, et dans un premier temps, remit pantalon et chemise. Je remarquai qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge, ce qui était la première fois. Quant à moi, je fis comme dans les films, quand les héros se lèvent le matin, je me suis entouré dans un drap. Je peux vous garantir une chose, c’est que, si au cinéma, un plan de dix secondes ne choque a priori pas, en vrai, si vous le faites, vous êtes parfaitement ridicule. Ce satané drap ne veut pas tenir sur vous et il s’entête à s’emmêler autour de vos jambes pour vous faire tomber.
Arrivés dans la cuisine, nous avons demandé du secours à Nadine et Serge. Nadine a prêté un déshabillé à Claire, et Serge m’a prêté un short et un tee-shirt. Je l’ai prévenu que, n’ayant pas de slip de rechange et le string de la veille étant immettable, je resterais nu dessous. De fait, j’aime bien n’avoir rien sur moi. Je le fais souvent à la maimister, quand je mets une djellaba, ramenée d’un voyage commun en Tunisie. Serge et Nadine avaient déjà pris une douche, aussi sommes-nous allés en prendre une à notre tour.
Quand nous sommes revenus dans la cuisine, j’ai regardé Nadine que je n’avais que peu observée auparavant, pris par mon problème d’habit. Je dois dire que le spectacle en valait la chandelle. Elle portait une nuisette en satin qui lui arrivait à mi-cuisse, et par-dessus un déshabillé qui lui tombait au milieu des mollets. Ce genre de petite chose est en général assez décolleté et, même avec ses petits seins, la vision était tout simplement magnifique. Claire, qui s’était un peu attardée dans la douche, nous rejoignit et Serge et moi eûmes la même réflexion. Elle était tout simplement « bandante ».
Nadine lui avait prêté un déshabillé comme le sien. Claire étant plus petite que Nadine, mais moins fine qu’elle, le déshabillé lui arrivait un peu en dessous des genoux. Par contre, il la serrait un peu plus et mettait en valeur ses seins. Un peu comprimés par le tissu, ils laissaient voir, assez profondément, le sillon qui les séparait. Elle était tout simplement magnifique.
Je pouvais voir que, comme moi, la vision de nos deux femmes ne laissait pas Serge insensible. Il était appuyé contre le mur tandis que Nadine faisait cuire des œufs. Flattée par notre réaction, Claire eut un grand sourire, et après un petit baiser sur mes lèvres, en passant, elle se dirigea vers Serge. Elle appuya mister dos contre la poitrine de Serge et mit les mains derrière mister dos. À la réaction de Serge, je compris tout de suite où elle les avait posées. Serge réagit immédiatement et lui caressa les seins à deux mains. Quand Nadine se retourna, bien qu’un peu surprise, elle eut un sourire et dit :
— Ne vous gênez pas tous les deux. Et toi, qu’est ce que tu attends pour me dire bonjour ?
— J’attendais que tu aies fini de les faire cuire, j’avais peur que tu te brûles.


Elle posa la poêle avec les œufs sur la table, et s’approcha de moi en disant :
— Tu ne vas pas jouer les timides, maintenant !


Et se collant contre moi, elle me tendit ses lèvres. Tout en l’embrassant, je lui caressai les seins et les fesses, et je pus m’apercevoir qu’elle était nue sous mister déshabillé. Pendant ce temps, elle avait posé sa main sur mon sexe et me caressait doucement. Claire et Serge aussi étaient en train de s’embrasser, Claire ayant relevé ses bras autour du cou de Serge, elle faisait ressortir ses seins que Serge se faisait un plaisir d’honorer.
— Les œufs vont refroidir. À table, dit soudain Nadine en s’écartant de moi (à mon grand regret).


En nous regardant, nos femmes eurent un petit rire.
— Vous ne pouvez pas dire qu’on ne vous plaît pas, au moins. C’est très flatteur pour nous.


Et en effet, les bosses qui déformaient nos pantalons nous interdisaient de dire autre chose.
Nous nous sommes mis à table et avons dévoré le petit déjeuner. Nous étions tous morts de faim. Le repas fini, Nadine dit soudain, en regardant ma femme avec un grand sourire – que je trouvais un peu coquin :
— Claire, et si nous passions au dessert ?
— D’accord, lui répondit ma femme, qui avait compris au quart de tour.


Par contre, Serge et moi n’avons compris que quelques secondes plus tard, quand nous les avons vues se glisser sous la table. Rapidement, des mains impatientes s’attaquèrent au bouton et à la fermeture éclair de mon short. Puis une main douce saisit mon sexe et commença à me caresser. J’espérais de tout mon cœur qu’il s’agissait de Nadine, car j’avais vraiment envie d’elle, et je fus tout content quand j’entendis Claire dire :
— Dis donc, il est prêt ton mari, il n’a même pas de slip !
— Le tien non plus, lui répondit Nadine, avant de poser sa bouche sur mon sexe.


Je sentis sa langue jouer avec le bout de mon sexe, puis sa bouche l’emprimisterna, et tout doucement se mit à descendre et à remonter, dans une succion qui était à la fois un délice et un supplice. En effet, dès qu’elle me sentait sur le point d’exploser, elle s’arrêtait et ne reprenait, que quand elle sentait qu’elle le pouvait. Je voyais au visage de Serge que Claire lui faisait la même chose, et je peux vous assurer qu’à ce petit jeu là, elle n’avait rien à envier à Nadine.
Après nous avoir fait subir cette délicieuse *** pendant plusieurs minutes, Nadine se mit à me sucer avec la volonté évidente de me faire jouir. Je voulus lui rendre la monnaie de sa pièce, en résistant le plus longtemps possible. Depuis la veille, je m’étais interdit de jouir dans sa bouche pour pouvoir lui faire l’amour, mais je dois l’avouer, j’en mourrais d’envie. Alors je me suis laissé aller et, très vite, je me mis à jouir d’une façon phénoménale.


chrislebo

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#272
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Pourtant, avec la soirée de la veille, je ne pensais pas en arriver là. Mais j’avais tellement fantasmé sur Nadine, sans le dire, lorsque je me suis laissé aller, j’ai connu un plaisir comme j’en avais peu connu, même avec Claire. Je pense que Nadine dut s’en rendre compte, car elle me gratifia de quelques bisous très tendres, mais qui me donnaient encore mille sensations.
Serge, de mister côté, avait un peu mieux résisté que moi. Pourtant, je peux vous garantir que, quand elle le veut, on ne résiste pas longtemps à la bouche de ma femme. En comprenant à mes réactions que je venais de jouir dans la bouche de la sienne, Serge se laissa aller à mister tour.
J’ai senti, à mon grand regret, Nadine s’éloigner et je la vis réapparaître avec Claire. Elles reprirent leurs places sur leurs chaises. Elles avaient toutes les deux du sperme qui coulait le long de leurs bouches, et elles eurent une réaction qui, pour Serge comme pour moi, nous ouvrit de nouveaux horizons. Nous n’eûmes pas besoin de parler, pour savoir que nous allions en profiter bientôt. Elles nettoyèrent le visage de l’autre avec leurs langues, et finirent par un baiser qui n’était pas feint.
Nadine, qui décidément semblait avoir pris les choses en main, et que bizarrement nous laissions faire, se retourna vers nous en disant :
— Eh bien Messieurs, à vous de prendre votre dessert !


Nous ne nous sommes pas fait prier davantage, et nous nous sommes glissés à notre tour sous la table. Serge et moi nous sommes regardés, et je l’ai vu se diriger vers Claire. J’en fus ravi, car je mourrais d’envie de goûter de nouveau au sexe de Nadine. Je vis bien à sa réaction qu’elle désirait que ce soit moi. Comme la veille, elle appuya ses mains sur ma tête et me colla contre mister sexe. Manifestement, Nadine aimait commander et diriger.
Bien que j’aime prendre des initiatives avec les femmes avec qui je fais l’amour, lorsque l’une d’entre est plus dirigiste que moi, j’aime bien me laisser faire. Mes lèvres étaient collées sur mister sexe, ma langue la fouillait, et je la sentais mouiller profondément. Je lui rendis la monnaie de sa pièce et m’arrêtai quand je la sentis sur le point de jouir. Cette amie, que je connaissais auparavant, vivait mister plaisir avec des mots crus dont je ne l’aurais pas cru capable. Claire, elle aussi, avait des mots crus pour dire à Serge ce qu’il devait faire et on entendait des :
— Vas-y, suce-moi ! Oh ! oui, c’est bon, ne t’arrête pas ! Vas-y, mets tes doigts !


De mon côté, j’avais mis un doigt, puis deux, dans la chatte de Nadine et elle semblait adorer cela. Elle s’était un peu allongée sur la chaise, ainsi je pouvais deviner sa petite rondelle. J’avançais ma langue.
— Oh ! Il me bouffe le cul, s’exclama-t-elle ! Oh oui, j’adore cela, continue ! Continue ! Oh oui ! Mets-moi ton doigt dans le cul ! Vas-y ! Vas-y !


J’entendis Claire dire aussi :
— Oh oui ! Toi aussi, bouffe-moi le cul, mets un doigt. Oh ! Je jouis, je jouis !


Ce cri déclencha la jouissance de Nadine, qui se mit à jouir à mister tour, en poussant de grands cris. Comme elle semblait en avoir l’habitude, elle avait posé ses mains sur ma tête et me maintenait fortement sur mister sexe tout en jouissant.
Nous nous sommes écartés de nos femmes et je pus constater que, comme moi, Serge était en pleine forme. Je ne pus résister à la tentation, tant qu’on était sous la table, pour le caresser un peu, et je sentis sa main prendre possession de mon sexe et le caresser.
— Regarde-les, ils se branlent tous les deux, dit soudain Nadine, qui avait soulevé la nappe et regardait sous la table.


Claire regarda aussi sous la table :
— Dis donc, ça te plaît la bite d’un homme, mon chéri, me dit-elle


Nadine reprit les choses en mains.
— Venez, nous dit-elle.


Se levant, elle prit Claire par la main. Je constatai que toutes les deux avaient une tenue à peu près correcte, leurs déshabillés s’étant remis en place. Serge et moi, avec nos shorts sur les chevilles, nous avions l’air un peu ridicule. Je pris l’option de laisser mon short par terre et de retirer mon tee-shirt. Serge fit de même, et c’est complètement nus que nous suivîmes nos femmes.
Nadine se dirigea vers la chambre. Arrivés là, elle nous dit :
— Tous les deux, mettez-vous là et ne bougez pas. Vous avez mérité une petite récompense. Claire, viens près de moi.


Claire obéit à Nadine, comme nous tous, et se rapprocha. Nadine la prit par le cou et approcha ses lèvres de sa bouche. J’étais stupéfait. Claire avait toujours été fortement rebutée par les relations entre filles. Lorsque nous regardions un film coquin et que deux filles s’embrassaient, elle trouvait cela « dégueulasse »
Aussi fus-je très surpris quand non seulement elle se laissa faire, mais qu’en plus elle répondit au baiser de Nadine, et semblait y prendre un très grand plaisir. Les mains de Nadine descendirent et se posèrent sur les seins de Claire, qu’elle commença à caresser. Puis elle défit la ceinture du déshabillé de Claire, l’ouvrit et le fit glisser le long de mister corps, puis fit de même avec la nuisette. Claire, toute tremblante, était nue dans les bras de Nadine. Elle fit de même avec Nadine. Nos deux femmes se retrouvèrent nues, devant nous, dans les bras l’une de l’autre, et s’embrassèrent passionnément. Serge, comme moi, avait commencé à se branler et je voyais mister sexe tendu.
— Ne vous branlez pas tous les deux, dit Nadine d’une voix énergique. Gardez vos powers pour nous !


Comme toujours, depuis qu’elle avait pris les choses en mains, nous obéîmes immédiatement, et au sourire de contentement que fit Nadine, je vis qu’elle était très heureuse de cette domination que nous avions tous acceptée, sans rien dire. Elle allongea Claire sur le lit, se mit à lui faire des bisous sur le visage, le cou, puis descendit vers ses seins.
Ma femme est très sensible à cette caresse. Elle se laissait faire, et se mit à gémir. Elle caressait les cheveux de Nadine, puis descendit jusque sur ses seins qu’elle caressa doucement. Nadine aussi gémissait sous ses baisers et semblait très excitée. Elle se tourna et descendit encore un peu, jusqu’à arriver au niveau du sexe de Claire qu’elle se mit à embrasser. Claire regarda vers nous, et put constater que le spectacle qu’elles nous offraient ne nous laissait pas indifférents. Conformément à ce que nous avait ordonné Nadine, nous avions arrêté de nous branler. Claire me regardait droit dans les yeux, et se tendit brusquement pour laisser éclater une jouissance, que Nadine, je le vis bien, accueillit avec une joie énorme, car elle comprenait qu’elle avait pris un ascendant énorme sur nous.
Elle bougea un peu et se mit à califourchon sur Claire, lui donnant ainsi un ordre, sans avoir besoin de parler. Là encore, je fus très surpris, car sans hésiter une seconde, je vis la langue de Claire se poser sur le sexe de Nadine et se mettre à le lécher. Elles partirent toutes les deux dans un 69 passionné. J’étais à la fois très surpris et très excité, et je voyais bien que Serge était comme moi. Soudain, Nadine bascula Claire sur le côté et elles se retrouvèrent sur le flanc.
— Allez tous les deux, nous dit Nadine, venez nous baiser !


Les propos crus, plus que leur signification, nous excitèrent encore plus. Et sans nous consulter, car je crois que c’était notre envie à tous les deux, Serge fit le tour du lit pour se diriger vers Claire, tandis que je me dirigeai vers Nadine. Je commençai à lui embrasser les fesses et remontai vers mister cou. Elle tourna la tête et me gratifia d’un baiser très fort, et je voyais Serge et ma femme faire de même.
Elles recommencèrent à se lécher tandis que nous essayions de les prendre. Nous dûmes les arrêter pour pouvoir les posséder. Quand je sentis mon sexe pénétrer dans la chatte brûlante de Nadine, je faillis jouir immédiatement. Heureusement qu’il y avait eu toutes les fois précédentes, sinon je n’aurais pas réussi à me retenir. À la concentration de Serge, je vis qu’il en était de même pour lui.
Je bougeais lentement mon sexe dans la chatte de Nadine, tout en sentant la langue de Claire, de temps en temps. Je voyais celui de Serge dans la chatte de ma femme, tandis que la langue de Nadine continuait de lécher le sexe de Claire et celui de Serge. Ce spectacle m’excitait au plus haut point.
Brusquement, je sentis Nadine se dégager de moi, lorsque cela lui fut possible. Prenant mon sexe avec sa main, elle le dirigea vers mister cul. Comme elle n’était pas préparée, je crus que la pénétration serait très difficile. Est-ce un effet de sa jouissance précédente, de l’excitation, ou parce qu’elle en avait l’habitude, toujours est-il que je l’ai pénétrée très facilement.
Je vis que Serge essayait de faire de même, quand il eût compris ce que Nadine avait fait. Ma femme n’est pas une grande "amatrice" de sodomie, mais cette fois-là non seulement elle se laissa faire, mais elle y mit tellement de cœur que la pénétration sembla relativement facile. Nos femmes avaient recommencé à se lécher, tandis que nous les enculions, à grands coups de reins.
Claire arrêta de sucer Nadine, et posant sa tête sur ses jambes, se laissa aller à un orgasme, tellement important et fort, que cela déclencha la jouissance de Serge, ce qui déclencha notre orgasme à Nadine et à moi, et je me vidai dans le cul de Nadine. Nous sommes restés un grand moment comme cela, sans bouger, toujours primisterniers de nos femmes. Nous nous sommes même un peu endormis. Puis nous sommes allés, tous les quatre, reprendre une douche et préparer le barbecue du midi, ou plutôt de l’après-midi, compte tenu de l’heure qu’il était.
Avec Nadine et Serge, nous avons eu beaucoup d’autres soirées, mais je crois qu’aucun de nous n’a jamais retrouvé l’ambiance particulière de cette expérience, que nous n’avions pas préparée et qui s’était déroulée d’elle-même
chrislebo

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#273
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Céline et Elodie mistert dans une mauvaise passe




Elodie sentait à nouveau ces deux bites la ravager. Les va-et-vient ponctués de râles et gémissements ne parvenaient pas à lui ôter de l’esprit qu’elle était forcée à nouveau avec la complicité de sa mère.
- Tu aimes, ma chérie ?lui demanda le violeur disposé au dessus d’elle tandis que celui du dessous lui tétait et mordillait ses petits seins.
Comme elle ne répondait pas, ses deux violeurs décidèrent pour elle de mister plaisir et accélérèrent le rythme de mister sandwich.
- Doucement avec mister cul, s’exclama Béatrice. C’est tout de même ma fille.
- Salope, hurla Céline. Tu n’es qu’une salope pour violer tes filles.
Béatrice engouffrait dans sa bouche les petits seins de Céline qui se faisait prendre en sandwich, sa mère dessous, mister compagnon dessus, dans mister cul.
- Et toi, tu n’es pas une salope pour te faire baiser alors que tu étais mineure ? rétorqua sa mère en la serrant par la taille pour l’embrasser de power. Vous vous promeniez nues devant moi, naturellement lorsque vous sortiez de la douche et vous croyez quoi ? Que j’étais insensible !
- On te savait pas lesbienne, gémit en pleurs Elodie.T’as pas à nous violer !
Les violeurs d’Elodie la serrèrent un peu plus. La jeune fille sentit leurs bites grossir dans ses trous enflammés. Ils allaient jouir !
- Haaaaa ! hurlèrent les deux hommes à l’unismister en s’effondrant sur la jeune fille. Ils haletaient d’épuisement alors qu’ils n’avaient pas encore attaqués sa sœur.
- Allez ! Jouis Céline, ma chérie, déclara sa mère. Allez, vas-y !
Sur ces mots, Céline sentit le gode-ceinture manié par sa mère s’agiter plus en elle pendant que mister compagnon accélérait pour vider ses couilles dans mister cul !
Béatrice hoqueta puis gémit pour enfin jouir.
- Oui ! Oui ! Haaa !
Céline sentit le sperme du violeur de mister cul l’inonder. La langue de sa mère la léchait dans le cou pendant que ses doigts serraient ses mamelons. Le gode s’immobilisa et sa mère s’affala de toute sa longueur. Céline pleurait avec sa sœur. Chacune avait les orifices dégoulinant de sperme et leurs viols ne faisaient que débuter.
Les trois hommes se levèrent.
- Une bière, ça vous dit les gars ?
- Pour sur ! répondirent-ils à l’unismister.
Sur ce, les trois violeurs quittèrent la chambre pour la cuisine. Elodie, toute engourdie depuis les trente minutes durant lesquelles elle fut prise en double, bondit du lit et se précipita sur mister sac qui contenait mister téléphone cellulaire. Elle composait le 17 lorsqu’une main lui fit lâcher prise.
- Que comptes-tu faire ? , demanda Béatrice, le regard brillant.
- Lâche-moi, maman ! , cria-t-elle. Ca suffit !
A peine eut-elle fini sa phrase qu’Elodie se retrouva poussée par sa mère sur le lit.
Béatrice l’attrapa par les bras.
chrislebo

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#274
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On n’a pas fini, ma chérie.
- Non, maman.
Béatrice se coucha sur elle et lui écarta les cuisses pour lui bouffer sa jeune chatte.
Elodie hurlait !Céline tenta de s’interposer mais juste assez pour se retrouver happée par quatre mains qui la tirèrent sur le côté du lit et se voir enfourner une bite dans la bouche, de power, pendant que l’autre la sodomisait en levrette. Les trois hommes étaient revenus et ils semblaient en forme.
C éline hurla à nouveau lors de la sodomie tandis qu’Elodie se débattait avec sa mère et un des violeurs qui, la tenant bras en arrière, se régalait de voir la mère quinquagénaire s’enfoncer avec délice en sa fille. Béatrice commençait à limer sa fille qui pleurait ce qui l’excitait d’autant plus. Elodie, les cuisses posées de power sur les épaules de sa mère, se faisait prendre pendant que le violeur, qui maintenait par les genoux ses bras en arrière, se branlait sur mister visage. Une giclée de sperme finit par s’étaler sur le visage trempé de larmes d’Elodie. Pendant que Béatrice s’y agitait, les petits seins de sa fille suivaient les coups de butoir du gode. La mère voyant la queue raide du gicleur l’avala pendant qu’elle sentait l’orgasme venir de prendre ainsi sa fille.
Elle finit par jouir la bouche pleine. Le violeur lâcha Elodie pour l’enculer. Béatrice s’approcha d’elle et lui donna ses seins à sucer. Sentir sa fille tirer sur les mamelons l’excitait de nouveau.
Céline n’était pas en reste. Elle commençait à connaître le sandwich. Pendant qu’elle subissait les assauts, elle se dégoûtait de voir sa mère user d’elle ainsi. Elle n’aurait jamais cru que mister viol initial était organisé par sa mère en permisterne. Et ce soir, lorsque la porte de l’appartement toulousain d’Elodie s’ouvrit, livrant passage à sa mère et ses complices, elle ne put que crier de stupéfaction avec Elodie de voir leurs violeurs entrer librement. Et pendant que leur mère se déshabillait livrant ses fesses rebondies et ses lourds seins en poire à ses amis sadiques, les deux sœurs s’avouèrent leurs viols respectifs habilement orchestrés par leur mère *********** et bisexuelle.
Béatrice retourna Elodie puis suça Xavier qui encula la jeune fille. Elodie grimaça de cette bite dure et étonnamment vaillante qu’elle commençait à bien connaître, tout comme les autres vu que les violeurs étaient les mêmes qu’à mister viol initial.
Dire que maman fut violée comme moi et qu’elle prit mister pied à être obligée de me baiser. Quelle salope, mistergea Elodie qui se mit à brouter sa mère qui s’installa cuisses écartées face à elle.
La mère indigne avait les yeux qui papillotaient sous l’effet de la langue d’Elodie. Xavier, de les voir ainsi soumises, hurla mister orgasme qui remplit les fesses d’Elodie.
Béatrice cria à mister tour. C’était le troisième orgasme de la soirée et elle n’avait pas exprimé tout mister vice.
Elle rejoint Céline, toujours baisée en double et prit sa tête pour se faire bouffer. Si Elodie retenait tant bien que mal ses larmes, Céline sanglotait.
- Non ! Je ne veeee…
Sa mère se branlait maintenant sur le visage de sa fille aînée.
- Fais- jouir ta mère, chienne ! , intimèrent en choeur ses deux violeurs. Fais-la jouir et vite.
Céline se mit à lécher abondamment sa génitrice. Elle avait sa langue chargée des sécrétions salées et visqueuses de sa salope de mère. Céline obéit car elle redoutait ce qui devait arriver. Chacun et chacune ayant trouvé mister compte avec elle, Béatrice s’absenta aux toilettes. Un besoin impérieux de pisser et la voici partie.
Céline fut tirée vers sa sœur.
- Non, pas ça ! Pitié, non…. sanglotèrent-elles en anticipant le gouinage qui leur était imposée. Elodie était maintenue sur le lit par quatre mains tandis que Xavier poussait la sœur aînée sur la cadette.
- Allez, au boulot ! , ria Xavier en baissant de power la tête de Céline vers la chatte débordant de sperme de sa sœur.
Béatrice, soulagée, rentra. Elle vit les deux filles contraintes à se gouiner ce qui humidifia à nouveau ses lèvres. Elle se doigtait en regardant ses deux filles.
Elodie, les cuisses écartées, eut le rouge qui lui monta au visage. Béatrice la fixa et lui passa la main tendrement sur ses joues qui se détournèrent.
- Mais tu vas jouir, on dirait.
- Non, espèce de salope, je ne ferai pas ce plaisir.
- Ha bon ! , rétorqua un des violeurs. Allez, suce-là mieux, petite Céline.
Béatrice profita de la situation pour se faire titiller les seins par Elodie qui face à une bite turgescente et crémeuse préféra téter goulûment les seins maternels.
U n des violeurs encula Céline qui étouffa un cri dans la chatte de sa sœur lorsqu’il proposa sa place à Béatrice.
Sur ce, Béatrice remit mister gode ceinture qui s’enfonçait en elle comme en ses victimes et attrapa Céline par les hanches pour l’enculer. Ses gros seins touchaient les omoplates de Céline.
- Vas-y chérie ! Fais jouir ta sœur.
Maintenant les à-coups de Béatrice se répercutaient sur la chatte d’Elodie qui gémit faiblement puis de plus en plus. Deux bites la rejoignirent au visage et ne tardèrent pas à se vidanger violemment. Elodie se mit à jouir.
-Haaaaaaaaa !
Pour la récompenser de mister geste bien involontaire, Elodie se vit affublée d’un autre gode- ceinture et Céline, reine du sandwich finit entre sa sœur dessous et sa mère dessus.
Les trois hommes se vidaient les couilles sur Céline qui était trempée de sperme pendant qu’elle était forcée de faire l’amour à sa sœur.
Elles se caressaient, s’embrassaient, leurs trous en permanence occupés par leur mère et ses complices.
Et Béatrice, alternant positions et échanges, voyant ses gros seins sans cesse mordus, tétés, sa chatte et mister cul limées par les trois hommes, léchée par ses filles qui ne pouvaient qu’obéir et n’avaient de cesse d’être prises et forcées à se gouiner, se dit que des soirées comme celles -çà étaient trop rares pour ne pas en profiter
chrislebo

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#275
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Ma femme et un papy 01


Nous sommes un couple de la quarantaine, marié et vivant ensemble depuis environ 20 ans. J'ai toujours été branché très sexe et ma femme a toujours répondue à ma demande.
Elle est une jolie femme aux cheveux châtain, mi long, attachés en queue de cheval, une belle poitrine de 95C, et une jolie chatte fournie que Mme passe de temps en temps au henné afin de faire une toimister encore plus brune pour mon plaisir. Elle est secrétaire dans un garage. Elle travaille avec une majorité d'hommes.
Elle était une femme plutôt sage, et tout doucement je l'ai rendu coquine. Je me rappelle lui avoir fait raccourcir ses jupes à mister insu, de quelques centimètres, de façon que lorsqu'elle était assise, sa culotte soit visible. Ainsi un jour elle a mis mister tailleur noir pour aller au bureau, avec sa jupe retouchée sans qu'elle s'en aperçoive. Et puis elle a fini par sans rendre compte, elle a fait celle qui était choquée par ce que j'avais fais, mais quelques jours après elle remettait cette jupe pour aller au boulot.

J'étais très excité à l'idée que d'autres que moi puissent voir sous sa jupe. Ma femme a toujours attiré les hommes mûrs, je ne sais pas trop pourquoi, est-ce par l'assurance de ma femme, sa poitrine généreuse, mister côté pas froid aux yeux, en tout cas j'ai vu ces Messieurs mûrs regarder ma femme avec des yeux d'envies. Si cela me déplaisait au début, cela a fini par diriger mes fantasmes, et par finir par avoir envie de livrer ma femme a un homme nettement plus âgé.
Ainsi tout doucement dans nos relations amoureuses, j'ai abordé le sujet avec ma femme, lui disant que j'étais un vieux cochon, que ce n'était pas moi qui lui faisait l'amour mais un homme mûr, et si elle ne me répondais pas, j'observais la réaction de mes récits cochons sur elle, mister plaisir. Je dois dire que apparemment cela n'était pas pour lui déplaire, et moi je me disais intérieurement que ma femme était une petite salope qui se laisserait bien faire par un vieux; cela me troublait beaucoup et m'excitait au plus au point.
Maintenant fallait'il que cela reste un fantasme, ou bien fallait'il aller plus loin.

Et puis, il y a eu cette communion en juin, ce jour là ma femme, elle avait 38 ans, portait un tailleur bleu ciel, rien sous sa veste, juste un soutien gorge blanc, sa jupe était à 10 cm au-dessus du genou.
Les invités étaient nombreux, et parmis eux, il y avait un homme de 67 ans (je l'ai appris plus tard), il était un grand oncle du communiant, un petit homme chauve, avec des lunettes, et des yeux coquins. Tout de suite lorsque nous l'avons rencontrés, j'ai senti mister regard se poser sur ma femme.Vous savez l'œil qui dénude une femme.
Il avait amené sa caméra, et lorsque cela a été le moment des photos avec le communiant, j'ai remarqué que sa caméra ne se portait pas vraiment sur le communiant mais plutôt sur ma femme, sans doute pour se faire un souvenir.
chrislebo

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#276
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Lorsqu'elle alla danser, il a fait de même, dansant pas trop long de celle-ci. Mais il ne l'a pas abordé, sans doute par rapport à moi. J'ai suivis tout ces faits et gestes de la journée, et je me demandais si ma femme s'était aperçue qu'il là matait.
Nous sommes rentrés très tard ce jour là, ma femme était si belle, que j'avais très envie de lui faire l'amour arrivé à la maimister.
Une fois dans le lit, la lumière éteinte, j'ai commencé à là caresser, sa poitrine, mister ventre , ses cuisses, mister bas ventre, sa chatte, et puis je lui ai demandé si elle avait remarquée, qu'un des invité l'avait maté toute la journée. Ma femme ne répondit pas tout de suite, puis elle répondit :" tu veux parler de l'oncle à ......( mon beau frère)", elle l'avait remarqué me dis-je !, moi :" oui !", ma femme me dit alors qu'il s'appelait Michel, elle savait même mister prénom, je lui fis remarquer qu'il l'avait filmé, et que j'aurais bien aimé qu'elle l'excite un peu. A ma grande surprise ma femme me répondit :" tu aurais dû me le dire, je l'aurais excité ce vieux cochon". Le fait de parler de lui, faisait mister effet sur mister entre-cuisse, qui devenait humide, cela me poussait à aller plus loin, je lui dis alors qu'elle aurait dû lui offrir une vue sous sa jupe, ou danser avec lui, je continuais à caresser la chatte de ma femme, ma femme me répondit alors :" je me serais collée un peu contre lui pour que mes seins frottent contre sa poitrine". A ces mots, je bandais comme un taureau, ma femme me dit alors:" viens !", elle voulait que je làa pénètre, ce que je fis aussitôt, elle était trempée, je repris mes commentaires, en lui disant qu'il aurait aimé être à ma place, ma femme ne dit rien, mais sa chatte ne mouillait plus, mais coulait de plaisir.
Je repris alors, je voulais savoir,en lui demandant si elle accepterait de baiser avec lui, je pensais entendre une réprobation, et sa réponse fût :" tu ne serais pas jaloux ?", je me dis alors en moi, la salope elle a envie de ce vieux cochon !!!!, j'étais excité comme jamais et elle aussi, je lui dis:" non ! comment pourrais je être jaloux d'un homme plus vieux de 25 ans que moi !", je décidais de lui reposer la question, je voulais savoir :" alors tu le ferais avec lui ?", ma femme laissa échapper un petit "OUI, si tu me le demandes" entre ses lèvres, je n'en pouvais plus, et repris la parole, j'étais tellement excité que je voulais aller plus loin, en lui disant au creux de mister oreille, que je voudrais qu'elle le fasse avec lui, et sans préservatif, que je voulais qu'il éjacule dans sa chatte, mon sexe était énorme, tendu, j'allais exploser dans mister vagin, ma femme au bord de l'orgasme, me dit encore un peu lucide :" tu crois que cela serait raimisternable ?" moi " Oui ! il est veuf et pas d'autres femmes", ma femme sentant mister plaisir arriver,laissa échapper :" Ooh oui!!, il pourrait jouir dans le vagin d'une jeune femme, ça lui ferait un bon souvenir " et alors j'ai jouis en elle comme jamais, et ma femme a laissé exploser un orgasme, mister corps était traversé de soubresauts. Un moment de plaisir intense comme j'en souhaite à beaucoup.Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes, c'était si bon. Puis le désir redescendant d'un cran, je lui posais là question :" dis ??! tu vas le faire ?? tu vas le rencontrer ??", nos lèvres se rencontrent et ma femme me répond : " parce que tu le veux vraiment ?!", moi :" oui, j'aimerai vraiment
chrislebo

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#277
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Ma femme et un papy 02


Après cette nuit là, il ne se passa rien pendant quelques jours. L'idée ne me quittait pas un seul instant, mais ma femme ne me parlait de rien, avait elle oublié ?! Je ne pouvais le croire.
Ainsi un soir, je commençais à caresser ma femme, une fois la lumière éteinte, je me mis à lui reparler de notre dernière soirée, et je lui dis que j'étais sérieux l'autre soir, que j'aimerai qu'elle le rencontre. Ma femme me demanda une nouvelle fois:
- " Tu ne serais pas jaloux ?
- Non ! Cela m'excite ! "
Ma femme reprit comme pour me rassurer :
- " Ce n'est que sexuel de toute façon !! "
Sur ton vicieux et interrogatif comme pour savoir jusqu'où ma femme serait prête à aller, je lui dis :
- " Faudra que tu lui donnes tout !! "
Sous mes caresses sa chatte était trempée, ma femme après quelques secondes, sans doute imaginant la scène, me répondit :
- " Oh oui!!! Il pourrait lécher et fouiller ma chatte! "
Tout excité par ses propos, je dis :
- " Et puis il aura envie de te pénétrer et te prendre sans capoteb ! "
J'attendais sa réponse, ma femme trempée de désir, sa chatte toute ouverte sous mes doigts, me dit alors:
- " Ouuii ! "
Et elle m'attire à elle pour que je là prenne, elle reprend alors pendant que je me glisse en elle :
" Je lui donnerai ma chatte et il pourra jouir dedans ! "
Le rythme de mister ventre s'accélère sous mes va et viens, je maintenais un rythme pas trop rapide afin que le plaisir dur, je repris la parole et posant une question :
- " Tu pourrais lui offrir ton petit trou à notre papy, comme tu trouves que je suis trop membré, ça te dirais il doit être moins membré ?! "
Elle attendit avant de répondre, j'étais impatient de sa réponse, et puis elle me répondit :
- " Si je fais ça avec lui, tu m'en voudras pas, moi je veux bien qu'il essaye ?! "
Notre jouissance arriva, après avoir repris nos esprits, je lui dis qu'il fallait qu'elle lui téléphone, ma femme me dit alors qu'elle ne savait pas quoi lui dire pour le rencontrer, que j'avais à m'en occuper, qu'elle me laissait faire.

Tout était entre mes mains, à moi de créer cette rencontre. Je réfléchis et puis j'ai trouvé le fil conducteur, en effet notre Papy avait filmé la communion, j'allais donc faire appeler ma femme pour lui demander si il accepterait qu'elle se déplace jusque chez lui pour venir chercher sa cassette vidéo de la communion afin d'en faire une copie en vu de faire un montage vidéo. L'idée était lancée, et j'en fis part à ma femme le soir même. Elle ne trouva rien à redire concernant l'idée, et pour ne pas remettre les choses, je fis le numéro de téléphone devant ma femme et lui tendit le combiné. Je mis l'ampli, après trois misterneries il décrocha, ma femme avait la voix un peu tremblotante, gênée par la situation, elle se présenta, je suis la sœur de ..., très vite il remit ma femme, en lui disant qu'il se rappelait d'elle, et elle commença à lui expliquer le pourquoi de mister appel, elle lui demanda si elle pouvait passer prendre la cassette VHS pour en faire une copie, et il accepta et lui donna RDV le mercredi après midi, elle prit congés et raccrocha. Elle me regarda et me dit juste :
" T'es un cochon ! ".
chrislebo

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#278
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Mon esprit alors tourna à deux cents à l'heure, et une fois dans le lit je dis à ma femme qu'elle devait se faire la plus belle, et s'habiller pour faire en sorte de lui plaire.
Ma femme me répondit qu'elle allait faire ce qu'il faut. Ainsi le samedi matin, elle passa sa matinée dans la salle de bain, épilation, elle passa sa toimister au henné, crème sur le corps, vernis aux ongles des pieds et mains, la totale.
Le Mercredi midi, je suis rentré à la maimister pour assister au départ de ma femme, je travaillais et ne pouvait l'accompagner. Arrivée à la maimister, je vis ma femme arriver dans le couloir, elle était superbe, si excitante que là désirait en là voyant. Elle portait un petit bustier bordeaux avec un liserai noir très échancré avec les bretelles s'attachant derrière la nuque, rien en dessous, ses tétons pointant sous le tissus, et puis une jupe noir à mi-cuisses légèrement évasée, elle retroussa sa jupe, et me laissa voir sa petite culotte blanche totalement transparente sur le devant, qui laisse voir sa toimister brune sous le fin voile. Et puis une jolie paire de bottes noire avec des talons fins.
Elle prit mister sac, et me dit :
" Je te plais comme ça ?"
Elle me tendit les lèvres recouvertes d'un rouge vif. J'avais envie de la prendre sans ménagement là contre le mûr. Je la pris dans mes bras, je fis glisser ma main sous sa jupe jusqu'à sa culotte, pour se glisser dessous, sa fente était humide, ma femme glissa sa main pour ôter ma main de sa culotte en me disant que je devais être sage, que je devais attendre ce soir. Elle me fit un baiser sur la bouche et me dit :
" Je dois y aller, il faut une heure de route"
Elle sortit. Je la regardais partir, j'avais l'impression qu'elle m'échappait, qu'allait-il se passer ?

chrislebo

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#279
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Ma femme et un papy 03



La suite de l'histoire et bien c'est ma femme qui me l'a raconté.

Elle est arrivée devant le domicile de notre papy vers 14h30, une petite rue, des maimisters de ville, elle est restée un peu dans la voiture, elle se demandait si elle ne devait pas rentrer, et puis elle a pensé à moi, à ma déception, après une hésitation, elle a repassé mister rouge à lèvres, et puis elle est sortie de la voiture.
Arrivée devant la porte elle misterna, du bruit indiqua la présence de papy Michel, qui ouvrit sa porte.
Il lui a fait un large sourire en la voyant, mister regard se porta des pieds à la tête, sans doute apprécia t'il la tenue de Madame.
Il l'invita à entrer, et une fois entrée, il lui dit alors :" Nous nous faimisters la bise !!?" et ma femme s'avança vers lui. J'ai écouté le récit en lui demandant le plus de détail possible, ma femme était gênée de devoir détailler; j'étais comme vous à attendre la suite...
Notre papy l'a invité à passer au salon, une pièce de 3m50 sur 5m, avec un coin salon, une banquette et puis un fauteuil en face, et puis à côté une table de ferme et un buffet. Il lui proposa de prendre place dans le canapé et il s'assit en face, une table basse séparant les deux.
chrislebo

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#280
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Ma femme m'a décrit que le canapé était un peu vieillot et l'assise un peu défoncée, et en s'asseyant, sa jupe remonta pratiquement au niveau de sa culotte, elle tenta de tirer un peu dessus, mais cela ne fit pas grand chose.
Elle posa mister sac près d'elle, et en tournant sa tête face à mister interlocuteur, et vit mister regard qui était porté sur le haut de ses cuisses et sous sa jupe, que sur mister visage.

C'était une expérience nouvelle pour ma femme, toute à la fois excitante et gênante. Ils ont commencé à discuter, et le regard de papy avait tendance à furtivement aller mater sous la jupe de ma femme. Au cours de la conversation, il proposa à ma femme de boire quelque chose, et il revint avec des bouteilles, ma femme lui posa alors la question sur la disparition de sa femme, il lui expliqua que cela faisait 5 ans, ma femme lui demanda si il n'avait pas pensé à chercher quelqu'un, et lui dit qu'à mister âge, cela n'était pas facile, sur le ton de la taquinerie ma femme lui dit :" Une maitresse alors !?", et il lui répondit que dans ce cas il fallait trouver une jeune femme alors, mais qu'il était trop vieux pour plaire à une jeune femme.
Ma femme se surprit à lui répondre, qu'il se trompait, que des femmes de mister âge appréciaient des hommes d'âge mûr. Il la regarda et lui dit que c'était gentil de dire cela, ma femme rougit un peu, et se sentant soudainement troublée de ses mots, elle croisa ses cuisses, laissant voir sans le vouloir vraiment, pleinement sa petite culotte blanche
chrislebo

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#281
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Ma femme et un papy 04


Le croisement des jambes de ma femme attira le regard de papy sous la jupe, il venait de voir l'espace d'un instant la petite culotte blanche et d'entrevoir à travers le fin voile la belle toimister brune. Je tentais d'imaginer l'excitation que cela pouvait provoquer en lui, que pouvait il se dire intérieurement.
Papy Michel proposa à mon épouse de voir la vidéo qu'il avait filmé le jour de la communion. Il vint s'asseoir près de mon épouse de façon à être face à la télé.
Après quelques minutes, mon épouse ne pu s'empêcher de lui faire remarquer qu'elle revenait souvent à l'image dans la vidéo. Il lui répondit, que ce jour là, elle était la plus charmante et agréable, en disant cela il prit la main de mon épouse de sa main gauche pour faire un baise main, ma femme était confuse de cette délicatesse, il tenait toujours sa main, et repris la parole en disant qu'elle était toujours aussi charmante, ma femme lui dit que devant tant de compliments elle était gênée.
Papy reprit :" mais non ma chère !, ne soyez pas gênée, vous êtes si agréable", puis au moment ou il dit :" et si douce!", il posa sa main droite sur le genou droit de mon épouse, elle se tendit un peu car surprise, il lui dit alors:
" on sent à votre contact, tant de douceur, de charme, que l'on vous remarque", voyant que mon épouse laisse sa main sur mister genou, sa main enveloppe le genou et se dirige vers la partie interne de sa cuisse. Il reprend alors un baise main et disant " vous êtes si douce !", et sa main remonte un peu à l'intérieur de la cuisse de ma femme.
Ma femme lui dit alors :" vous parlez toujours ainsi aux femmes?", là regardant dans les yeux, il lui dit :" Non ! pas aux femmes, mais à vous oui!, je vous ai trouvé tellement attirante ce jour là que j'ai eu envie de vous filmer", sa main était arrivé à mi-cuisse, il lui dit alors:" je voudrais vous faire un petit bisou !", ma femme troublée: " alors juste un petit baiser sur la joue !", lui:" je vous le promet !", elle le laisse approcher de sa joue et lui tend, il pose ses lèvres et l'embrasse en lui serrant fort la main, mais de mister autre main, il là remonte jusqu'au contact de la culotte.
chrislebo

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#282
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Ma femme descend sa main libre pour retenir cette main baladeuse et là bloque, elle dit alors: " il ne faut pas !,promettez moi d'être sage ! " lui: " laissez moi juste toucher un peu votre culotte, juste çà !", elle:" mais alors pas plus !", lui :" promis!". Ma femme desserre et libère un peu la main de papy, il commence à caresser cette culotte, ma femme a les jambes serrées, ce qui ne lui offre pas beaucoup d'espace, il lui dit alors:" ouvrez juste un peu vos cuisses que je puisse toucher un peu mieux votre culotte !" elle s'exécute et ouvre un peu mister entrecuisse et lui dit :" mais pas plus !", il se penche un peu pour voir ce qu'il caresse car la jupe lui cache un peu la vision, ses doigts glissent vers la fente de ma femme, il réunit mister majeur et index, pour rendre sa caresse plus appuyée dans la fente et au contact du clitoris, ma femme laisse échapper :" vous êtes un cochon !", papy tourne la tête et là regarde, elle a les yeux fermés, la bouche légère ouverte, il se redresse et profite qu'elle a les yeux fermés pour venir au contact de ses lèvres et l'embrasse sur la bouche, ma femme surprise recule et se retrouve contre le dossier du canapé, papy l'a suivi et l' accompagne en glissant mister autre main dans le dos de mon épouse. Il tente de l'embrasser de nouveau mais elle détourne la tête, elle lui dit :" vous m'aviez promis d'être sage !", lui :" juste un baiser !", pendant ces mots, sa main droite était remonté en haut de la culotte et maintenant ses doigts passaient sous l'élastique et se glissaient à l'intérieur au contact de la toimister, ma femme glissa de nouveau sa main pour bloquer papy. Il malaxait la toimister, mais ne pouvait descendre plus bas. Il dit alors à ma femme:" vous me plaisez tellement, j'ai envie de vous !", ma femme:" faut que soyez raimisternable !il ne faut pas ! je suis marié !", il reprit sur un autre ton, tellement excité il là tutoya:" tu en as envie ! je suis sur que tu es une petite salope !" d'un geste plus brusque il fit lâcher la pression que ma femme exerçait sur sa main, pour glisser ses doigts au contact de la vulve de Madame, il mit mister doigt au contact du clitoris, qui était gonflé de désir, sentant que la fente de madame était trempée, papy dit :" t'es trempée ! Hein, tu te ballades toujours ainsi avec ta petite jupe qui dévoile ta culotte ?!",
Ma femme écarte un peu plus ses cuisses, sentant cela et sans ménagement il enfonce mister majeur dans l'orifice de sa chatte, elle laisse échapper un petit ah!!! de surprise. Il reprit la parole :" t'as une sacrée chatte !!!" ses yeux mistert fixés sur la poitrine de madame, qui par sa respiration rapide se soulève, papy :" et une sacrée paire de nichons aussi !!", mais il n'ose pas quitter la culotte de peur que ma femme se refuse ensuite, et mister autre main est primisternière dans le dos de ma femme. Il enfonce plusieurs fois de suite mister majeur au maximum, pour mieux le ressortir ensuite.
Son excitation est à mister comble, et devant si peu de résistance de ma femme, il se décide à venir entre les cuisses de ma femme, le voyant ouvrir sa braguette ma femme lui dit alors :" non pas çà !", papy dit :" laisse toi faire ! t'as envie de te faire baisser !", ma femme : " non! je suis marié ! pas çà !", sa queue était sortie, d'une belle taille et sans doute bien dur devant une telle petite salope, il prit les deux côtés de la culotte et là fit glisser le long des jambes, puis il lui ouvrit les cuisses, il voyait pour la première fois cette chatte superbement poilue, dont le clitoris tout gonflé de désir ressortait de cette toimister. Papy ne voulait qu'une chose, pénétrer ma femme, sans même prendre le temps de préliminaire, il voulait juste mettre sa queue dans la chatte de cette petite salope. Il approcha mister gland et le frotta dans la fente trempée, ma femme dit :" non ! je vous en prie !" mais sans même se défendre, elle était là allongée, le haut du dos contre le dossier du canapé, et les cuisses écartées, des jambes mises en valeur par ses bottes, offrant une vue totale de mister intimité à ce papy,au moment ou elle disait non, papy enfonçait mister gland puis toute sa queue dans la chatte de ma femme, il ne pu s'empêcher de dire :" comme t'es bonne !!!" en sentant comme l'orifice était accueillant et mouillé. Il laissa sa queue s'enfoncé au fond du vagin, et il posa ses mains sur les seins de ma femme, pour les malaxer, il dégagea le côté du bustier afin de libérer un sein, le téton bien raide.

chrislebo

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#283
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Mais à ce moment là, on misterna à la porte, papy :" merde qui est-ce ?, oh !! j'espère que ce n'est pas ma fille qui passe !", il sort de la chatte de ma femme et range sa queue dans mister pantalon, tendant ce temps ma femme se réajuste, la misternette misterne une deuxième fois.
Papy se lève et va vers la porte, ma femme ramasse sa culotte et là met dans mister sac. Au moment ou la misternette misterne une troisième fois, papy ouvre la porte :" ah c'est toi ! bonjour ma grande !", sa fille :" tu as l'air surpris !", papy :" non, j'étais en discussion avec ......, tu sais la soeur de ........, elle est venue chercher la vidéo que j'avais fais à la communion de .....", allez entre !", il arrive dans le salon avec sa fille, ma femme se lève, et papy fait les présentations, sa fille vient s'asseoir à côté de ma femme, et papy reprend place dans le fauteuil face au 2 femmes. Les deux femmes commencent à discuter, et papy a une vue de l'entrecuisse de ma femme, mais cette fois-ci sans culotte, ce qui réactive aussitôt mister excitation, frustré de cette interruption. Papy lui demande ce qu'elle est venue faire ici, et sa fille lui dit qu'elle est là pour un papier qu'elle doit déposer à la perception qui se trouve près de mister père au coin de la rue, sa maimister étant dans le centre ville. Elle lui dit alors :" je vais y aller tout de suite, il est 15h45 et cela ferme de bonne heure, je reviens après, j'en ai pas pour longtemps 15mm", elle se lève et sort, papy l'accompagne et referme la porte
chrislebo

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#284
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Il revient aussitôt au salon, ma femme est assise, il là dévore des yeux, il là prend par la main, et l'oblige à se lever, il l'amène à la table à manger, et là fait se pencher sur la table, elle s'appuie sur les avants bras.
Il lui dit toujours sur le même ton dominateur :" je vais te là mettre par derrière !", ma femme :" non, vous allez pas recommencer, soyez sage, s'il vous plait !", sans même lui répondre, il retrousse la jupe sur les fesses, et sort sa queue du pantalon, sans ménagement il pointe sa queue sur l'orifice et s'enfonce dans la chatte, madame se cambre un peu pour faciliter la pénétration vigoureuse.
Il là prend et donne de bons coups de queue, ses couilles claquent sur les fesses de ma femme, il lui dit :" petite salope !! t'as envie !! regarde moi çà t'es trempée !!", ma femme : " ne faite pas çà, s'il vous plait !! je suis marié !", cela ne fait que l'exciter davantage, elle se laisse totalement faire, et tend mister cul vers lui, comme pour mieux le recevoir en elle.
En tendant ses fesses vers lui, elle ressort davantage mister petit trou, qui s'offre à la vue de papy, il tenait fermement les hanches de madame, mais il finit par lâcher une hanche pour venir tripoter le petit trou de madame, sa queue clapote dans la chatte trempée, et une nouvelle fois sans prévenir il enfonce mister doigt dans l'anus. Ma femme est totalement surprise, et pousse un aaaaahh !
Papy dit alors :" je vais te là mettre dans ton petit cul !", ma femme se redresse et émet une objection, en lui disant, qu'elle n'avait jamais fait de sodomie, que mister mari était trop membré et qu'il n'avait jamais pu entrer.

Papy lui dit alors :" tu vas bien tendre ton cul vers moi, et écarter tes fesses, çà va rentrer, allez !!!", ma femme se remet sur ses avants bras et s'appliquent à tendre sa croupe vers papy, puis elle prend ses fesses , et ouvre au maximum. Papy approche mister gland de mister petit trou, mais avant cela il s'enfonce dans sa chatte trempée et là ressort et se présente à sa petite rondelle, il écrase mister gland contre et attend que l'orifice se relâche, ce qui fini par arriver, laissant passer le gland, puis il attend un peu, reste appuyé une nouvelle fois, et sa queue s'enfonce un peu plus, il commence tout doucement un va et vient, madame ne retient plus mister plaisir et laisse échapper des aaah de plaisirs et de douleurs.
Papy dit alors :" tu vois je suis le premier à un entrer dans ce petit cul de salope !" ma femme :" oooh oui !! continuez !!", papy va lentement, mais s'enfonce le plus que possible, il l'encourage en lui disant " que t'es bonne !!", pour ma femme cela est une découverte de plaisirs, papy sent mister plaisir arriver, et dit à ma femme:" je vais jouir dans ta chatte !!!" et il sort de mister cul, laissant l'orifice dilaté et totalement obscène, pour s'engouffrer dans la chatte béante, il donne des grands coups de queue, sa queue se raidit, arrachant des cris de ma femme sentant le moment ultime arriver, papy : " attend ma salope, tu vas voir !!!" ma femme :" pas dans ma chatte, je prend pas la pilule, sur mon cul !!! ou dedans !!!!", papy près de l'explosion ressort et lâche un premier jet sur les fesses, ma femme jouit en sentant se foutre dans la fente de ses fesses, mais le désir de papy d'éjaculer dans cette chatte est plus grande, et il glisse sa queue dedans pour lâcher un deuxième jet, qui cette fois-ci s'écrase au fond du vagin, ma femme laisse échapper un aaah de plaisir ! et laisse échapper : " mettez moi tout !!! ooh oouui !!" papy fini de jouir au fond du vagin, et reste la queue plantée bien au fond.
le temps à bien passé, et la misternette se fait entendre, papy :" déjà !!! merde !!", il sort sa queue et rentre tout dans mister pantalon. Ma femme redescend sa jupe, se redresse et se tourne vers papy, le visage radieux, elle s'approche de lui et lui fait un petit baiser sur la bouche, et lui dit:" j'ai jamais jouis comme çà !", papy pose ses mains sur le bustier et caresse les seins de ma femme et lui dit :" j'ai encore des choses à explorer !". Un deuxième coup de misternette retentit, papy :" ma fille !!!", j'y vais.

Ma femme va vers le canapé et sort de mister sac sa culotte, l'enfile rapidement, et a juste le temps de redescendre sa jupe lorsque la fille de papy entre dans le couloir.
Ma femme s'assoit dans le canapé, serre un peu ses cuisses comme pour mieux garder le foutre de mister papy d'amant. Sa fille entre dans la pièce et dit :" c'est toujours long dans les administrations !, 20 mm pour un papier !", papy dit : " çà passe vite !" ma femme était encore dans mister plaisir, et avait encore terriblement envie que papy là prenne. Il était 16 h 30, allait elle partir ou rester...

chrislebo

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#285
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Mes rencontres de nympho



laisse-moi te raconter la dernière fois que j'ai reçu une bonne queue.... je devais aller à la rencontre de quelqu'un rencontré sur le net... il était 22h, je suis arrivée au pied de mister immeuble et il est descendu me chercher. Avant le trajet, je m'étais enfoncé mon plug dans le cul pour m'exciter encore plus et j'avais pas mis de culotte....

Il commence à me faire la conversation, en me disant : "Alors, on arrive de loin pour recevoir mister coup de pine !!!". Je lui réponds sur le même ton : "ça oui, tu l'as dit, j'arrive de xxx". Il me répond, sèchement : "On va mettre les choses au clair, tu me vouvoies et tu m'appelles "Monsieur" ! Compris ?". Je lui dis : "oui Monsieur".
On arrive chez lui et je commence à entrer. Il me retient par le bras en me disant : "Non, tu n'entres pas ! toi tu restes là ! Allez, face à la porte ! Pose tes affaires par terre et enlève ton pantalon...."....

Ce que je fais... A peine mon pantalon est-il par terre qu'il m'ordonne : "Face à la porte, penche toi en avant et pose tes mains à plat sur la porte !!! Ecarte tes jambes, salope !!!". Ce dernier mot commence à m'exciter... Je suis offerte dans une position humilliante, il est derrière moi et je ne sais pas ce qu'il fait... Il commence à me caresser les fesses....

"Huummmm, on a mis mister plug dans le cul !!! (il joue un peu avec, en tirant dessus) c'est bien ça ! ". Il me met quelques claques sur les fesses, me tâte les seins... et m'ordonne de me mettre complètement nue....

"Oui Monsieur, lui dis-je". Une fois nue, je reste debout. Il me redonne une grande claque sur les fesses en me criant dessus : "REMETS-TOI EN POSITION, SALOPE ! ". Je me repenche en 2, les mains à plat sur sa porte d'entrée... "Et ne bouge pas d'ici ! C'est compris ?". "Oui monsieur !"... Je l'entends chercher quelque chose, il revient quelques secondes après et me met un bandeau noir sur les yeux, et me colle dans la bouche un espèce de mors, comme on met aux chevaux....

Puis il me dit, d'un air un peu triomphant : "Alors, tu te sens bien pute là, non ?
- MMMMMM !!! (je ne pouvais pas parler avec le mors...)
- t'es venue pour te faire mettre comme une pute, n'est-ce pas ?!!!
- MMMMM !!! (en hochant la tête pour dire oui)
- Parce-que t'es une grosse salope, de venir comme ça chez un inconnu, avec un plug enfoncé dans ton cul de chienne !!! Dis-le !!!"

Il m'a enlevé cet espèce de mors et m'a redis :
"DIS-LE QUE T'ES UNE CHIENNE !!!
- je suis une chienne, (timidement)
- PLUS FORT !!! TU ES VENUE POUR QUOI ?
- Pour me faire baiser....
CLAC CLAC CLAC ! sur mes fesses, une série de claques s'abattent sur moi et je me redresse, surprise !
"RESTE PENCHEE EN AVANT, SALOPE ! JE VAIS T'APPRENDRE A OBEIR !!!".

Aïe aïe aïe !!! Je sens ses claques sur mes fesses. Il me penche en avant et attache mes poignets à mes chevilles, puis attache une barre entre mes chevilles, me maintenant les jambes bien écartées. Je ne peux plus me relever, je ne vois toujours rien, et j'ai toujours mon plug enfoncé dans mon cul qui me fait mouiller.... Alors, il m'oblige à dire certaines choses :

"- Je suis votre salope Monsieur ! Je suis votre pute, qui est venue se faire mettre, Monsieur ! Je suis votre pute, vous pouvez m'appeler quand vous voulez, ma chatte et mon cul mistert ouverts pour vous ! J'aime votre grosse queue Monsieur ! J'aime me faire enculer par votre grosse queue Monsieur ! Je suis votre esclave Monsieur, vous pouvez me prendre par n'importe quel trou de pute Monsieur !"....

Evidemment, de dire tout ça m'avait fait mouiller énormément. Il m'a mis un doigt dans ma chatte et l'a tout de suite constaté. "Ah oui, tu es une bonne salope !!! Alors puisque tu es ma pute, je vais te prendre comme une pute !".

Il m'a enlevé mon plug vulgarement et a enfoncé sa grosse queue dans mon cul, et m'a pilonné vulgarement plusieurs minutes. J'étais toujours penchée en deux avec les mains attachées aux chevilles, et penchée comme ça, sa queue entrait tout au fond de mon cul... mmmmmm il a joui au fond de mon trou et m'a encore laissé dans cette position... Il est parti se nettoyer et m'a dit en revenant : "Quelle bonne pute !!! Tu te laisses bien enculer, c'est bien ! Maintenant, on va voir ce que tu donnes comme suceuse de bites !".

Il m'a reculée un peu car j'étais encore à côté de sa porte d'entrée et s'est allongé par terre. Il m'a pris la tête dans ses mains pour diriger ma bouche sur sa queue et j'ai dû le sucer. J'avais toujours le bandeau sur les yeux, je l'ai gardé jusqu'à la fin d'ailleurs...

chrislebo

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#286
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"Ouiiii, vas-y salope !!! Suce, suce moi ma queue ! Descends ta tête plus bas ma salope !!!". Il a détaché mes poignets de mes chevilles pour me les attacher dans le dos, me laissant les jambes écartées attachées à la barre et m'a fait mettre à genoux, difficilement. Puis il m'a remis sa queue dans la bouche, en se branlant dedans car il me tenait la tête à deux mains...

"MMMMMM !!! Ouiiiii, passe ta langue autour, oui, comme ça... mets ta langue juste sur mon gland... mmmmm bonne pute.... ! Même les putes dehors ne mistert pas aussi salopes que toi !!! Je vais pouvoir faire de toi ma chienne !!!"....

Il me faisait mouiller et le savait....

"Suce ma queue ma pute !!! Mmmm ouiiiii, tu suces bien..... mets-là bien au fond de ta gorge, comme ça ! ". Il m'a pris la tête et a appuyé sa bite au fond de ma gorge, j'ai eu plusieurs fois des haut-le-coeur, il s'arrêtait pour reprendre aussitôt...

"Quand on veut être pute, il faut le mériter !!! Suce ma chienne, suce la bite de ton maître !!!" et il se branlait encore dans ma bouche... "OUIIII !!! Tu es bien pute ! Mmmmm, je sens que ça vient.... Ouvre en grand !!!". Il a calé sa queue énorme au fond de ma gorge et j'ai entendu mister cri : "OUIIIIIIIIIIIIII !!!!!" suivi de ses coups de bite dans ma bouche, il a juté tout mister foutre dans ma bouche... J'ai pas pu avaler, bien sûr !!! Il était très en colère et m'a mis à 4 pattes, la tête appuyée par terre, pour me donner une bonne fessée !!!

CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC !!! Celle-là a duré longtemps, j'étais fessée comme une écolière qui n'avait pas appris sa leçon, c'était humiliant....

"QUAND ON VEUT PRETENDRE ETRE MA PUTE, ON AVALE MON JUS ! ESPECE DE PETITE CHIENNE MAL ELEVEE, JE VAIS T'APPRENDRE MOI !!!!".

CLAC CLAC CLAC CLAC !!! Je pleurais d'offense....

"QU'EST-CE QU'ON DIT ?....."
Je ne savais pas quoi lui répondre....
"ON DIT MERCI POUR LA FESSEE, MERCI POUR AVOIR DONNE CETTE LECON !!!
- oui Monsieur !
- ALORS REPETE-LE !!!
- Merci Monsieur de m'avoir fessée. Merci pour m'apprendre à être votre pute !
- Là, c'est mieux ! T'as pas oublié quelque chose ? Je t'ai donné une partie de moi quand même !!! tu pourrais dire merci !!!
- Merci Monsieur, pour m'avoir juté votre foutre dans la bouche !
- Et encore....
- Ben... je sais pas.....
- Et bien il a coulé puisque tu n'as pas su avaler comme la pute que tu es... Alors tu devrais t'excuser....
- euh... oui... Pardon Monsieur pour n'avoir pas pu avaler votre jus...
- Alors tu es désolée, c'est bien ça ?
- Oui Monsieur, je regrette sincèrement !
- Alors tu vas pouvoir te rattrapper ! Remets-toi à genoux ma pute !

Je me suis remise à genoux, avec mister aide, et sans attendre, m'a recollé sa bite encore tendue dans la bouche...

"Tiens ma pute ! Suce-moi la queue, je sais que tu aimes ça et je vais te rejuter dans la gueule, crois-moi !!! T'as intérêt à en avaler une partie ou je te conduis dans la cité d'à côté comme ça, cul nu !!! Et tu verras ce que c'est que d'avoir des queues partout !!!

Il m'a remis sa queue au fond de la bouche et m'a tenu encore une fois la tête dans ses mains pour se branler dans ma bouche à mister rythme. Je le sentais grossir sous ma langue, je sentais mister sperme qui gouttait au bout de mister gland, et d'un coup, il a giclé encore des litres de foutre bien au fond de ma gorge, mais en me pinçant le nez pour m'obliger à avaler !

"AAAAAAAAAAAHHH JE JOUIIIIIIIIIISSS !!! AVALE SALOPE !!!! "....
Cherchant ma respiration, j'ai bien été obligée d'avaler quand même mister jus. Je le sentais couler au fond de ma gorge alors qu'il me maintenait la tête collée à mister pubis, presque étouffée contre lui. Je ne pouvais faire autrement que de déglutir pour pouvoir inspirer de l'air et respirer.

"ALORS MA PUTE ?!!! AVALE ENCORE LE JUS DE TON MAITRE !....". Il s'est frottté le pubis contre moi avant de relacher sa pression. J'avais quand même mister jus qui dégoulinait autour de ma bouche.

"T'es venue pour ça, hein ma pute !!! Pour que je te traite comme une putain !!! Mmmmm, je te garantis que t'es vraiment une bonne salope toi ! T'as été obligée de m'avaler, hein ma salope !!!
- oui Monsieur !
- C'est ce que tu voulais puisque tu avais regretté de ne pas l'avoir fait, n'est-ce pas ma pute ?
- Oui Monsieur !
- OUI QUOI ?!!!
- Oui Monsieur, je suis contente d'avoir avalé votre jus.
- Là, c'est mieux ! Tu voudrais quoi maintenant ?
- euh.... je voudrais bien jouir.....
- Alors dis clairement ce que tu veux !
- Je voudrais avoir votre queue dans ma chatte Monsieur !
- Recommence ! Je ne comprends pas !
- Je voudrais que vous me limiez la chatte avec votre queue, Monsieur !
- Ma salope, tu vas te rhabiller. Je ne comprends pas ce que tu veux !!!
- NOOOONNNN !!! BAISEZ-MOI ! PRENEZ-MOI LA CHATTE AVEC VOTRE BITE MONSIEUR ! VOTRE PUTE A ENVIE DE SE FAIRE SAUTER PAR VOTRE GROSSE QUEUE, S'IL VOUS PLAIT !!!!!".
- Hummmm, là je crois que je comprends ta demande.... Tu es vraiment une bonne salope....... Remets-toi debout ma chienne, voilà, retourne vers la porte d'entrée et penche toi en avant comme tout-à-l'heure ! Voilà !"

Je me suis retrouvée dans cette position humiliante du début. Il m'a remis le plug dans mon cul et le mors du début. Il y avait un anneau à chaque extrémité. Puis je l'ai senti dans mon dos et il s'est enfoncé d'un grand coup de reins. AAAAAAAAAHHHH !!! Quelle grosse queue dans ma chatte dégoulinante !!! Il m'a prise avec les 2 anneaux, me mettant la tête en arrière et m'a pilonné la chatte comme ça, chaque coup de reins m'envoyait sa bite au fond de la chatte et m'enfonçait le plug dans mon cul. Je n'ai pas tardé à jouir tellement j'étais bouillante !!! Il m'a refait sucé sa queue pour le nettoyer.

Je me suis rhabillée, toujours avec le bandeau sur les yeux et il m'a dit de partir....

Jusqu'ici, c'est la plus excitante de mes rencontres !!!
chrislebo

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#287
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Piégée par Christelle et mister mari




Nous étions invités dans une soirée, et, j’ai fait connaissance avec un couple que je rencontrais pour la première fois. L’alcool aidant, je trouvai cette femme de plus en plus sympa alors que mister mari était parti rejoindre le groupe d’hommes.
Elle me lança une invitation à prendre un pot chez elle, 2 jours plus tard, dans l’après midi.
Je m’y suis rendue et de par sa façon de se comporter (très séductrice, des petites caresses sur la main, sur la joue, etc…) j’ai très vite compris où elle voulait en venir.
J’ai du partir car j’avais un rendez vous chez le dentiste. Mais, elle m’a fait promettre de revenir le samedi après midi.
Bien evidemment, j’ai honoré le rendez vous.
Elle est venue s’asseoir près de moi dans le canapé du salon et tout en me complimentant sur mon physique elle me caressait les cheveux, puis ma poitrine, pour glisser une main, ensuite entre mes cuisses.
Je me suis laissée glisser dans cette agréable intimité et me suis mise à lui rendre caresses et baisers. Nous étions à demi nues dans le canapé quand elle me demande à brûle pourpoint : « ça te dérangerait si mon mari nous prenait en photo ? »
Pensant que mister mari était absent et désirant éluder la question, je répondis « pourquoi pas ».
A ma grande surprise elle se leva en direction de la porte fenêtre du jardin et elle ouvrit la porte à mister mari qui devait, déjà, nous épier depuis un moment.
Je me suis déjà fait piégée, mais là, j’étais scotchée.
Son mari, un mec pas mal, la quarantaine, début grimisternant, affichait un sourire qui se voulait rassurant. Il m’a dit tout de suite « ne t’inquiètes pas nous souhaitons la discrétion autant que toi, et, surtout, faites comme si je n’étais pas là ». Christelle est venue se rasseoir près de moi plus insistante que jamais. J’étais sous la coupe de cette femme dominatrice.
Elle m’a complètement dénudée, dévoilant « ouvertement » mon intimité à mister mari qui nous bombardait de photos. Elle m’a entraîné ensuite dans sa chambre (avec mister mari qui nous suivait)
et nous nous sommes léchées à tour de rôle jusqu’à la jouissance.
Son mari qui était censé être inactif me glissait un doigt dans l’anus ou écartait ma chatte avec les deux mains selon mister désir. Lorsque nous fûmes repues toutes les deux, elle me prit par la main, me fit descendre de mister lit et en me faisant mettre à genoux elle me demandât si je voulais bien remercier mister mari pour la séance photo ? Sans attendre, elle prit le sexe de mister mari en pleine main, le guidât directement dans ma bouche et me chuchotât à l’oreille que je devais attendre qu’il se libère dans ma bouche.
C’est ce qu’il fit sans trop tarder et, alors que je voulais recracher sa semence, cette salope m’a mis une main devant la bouche et m’a forcée à tout avaler.
Ça c’était la première fois.
Il y a eu 4 autres samedi après midi avec eux. J’étais devenue leur jouet à tous les deux avec, à chaque fois, de nouveaux scénarios. Elle m’offrait de plus en plus à lui, mais devenait jalouse et méchante quand il me faisait jouir. Ensuite j’ai eu peur de l’escalade et ai refusé d’autres rendez vous.
Je n’ai plus de nouvelles
chrislebo

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#288
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Ma domination sur mon soumis




Suite à la visite de ma meilleur amie Sophie, je lui aie montrée comment garder mister homme…Mon mari est mon esclave depuis toujours, Sophie ma superbe amie avec qui nous avons régulièrement des aventures Bi s’est encore fait plaquer….Superbe blonde avec des jolies formes elle tombe toujours sur des abrutis….
Je décidais donc de l’inviter à dîner, et c’est comme de bien entendu mon esclave qui fait le repas. Pendant l’apéro alors que mon soumis était à la cuisine je réconfortais Sophie et lui dis que j’allais lui montrer comment dresser mister homme. Elle connaît mon penchant de dominatrice, mais elle ne l’avait jamais vu.
Au cours du repas mon esclave a oublié de mettre le sel sur la table. Sur mon ordre il y alla et compris qu’il allait devoir obéir, il arrive et me tend le sel en me disant chérie je lui ai répondu sèchement pas chérie mais maîtresse ! Alors il est devenu rouge car jamais je l’avais dominé devant d’autres permisternes. Je lui ordonnais afin de m’obéir totalement d’aller mettre sa tenue de petite chienne, il hésitait car devant Sophie alors je me suis levée le tirant par les cheveux et lui administrait une gifle magistrale tu as 5 minutes dépêche toi. Pendant ce temps j’expliquais à mon amie de ne pas être choquée qu’il fallait rester ferme et intransigeante sinon c’est le dominé qui prends le dessus et qui demande ce qu’il désire.
Il avait fais vite et reviens vêtu d’une longue jupe, d’un bustier et de mister collier de chienne ainsi que sa laisse. Montres tes dessous chienne, alors il releva sa jupe dessous cette chienne avait des bas ainsi qu’un minuscule string dont la ficelle lui rentrait dans mister beau cul.
J’expliquais à Sophie les différentes punitions récompenses que j’infligeais à mon mari et cela n’importe quand et n’importe où, car au fil des années c’est vraiment devenu ma lopette, j’en fais tous ce que j’en veux. Pour lui montrer je fis mettre ma chienne au coin jupe retroussée le plus haut possible, à genoux, nous pouvions voire ses fesses. Je lui racontais que souvent il était attaché nu dans des positions humiliantes et que je le godais régulièrement et qu’il était obligé de mettre des dessous féminins à la maimister et quelques fois dehors et je lui avouais que j’étais ravie de lui montrer comment je dressais mon mari.
J’étais sûre de moi, je savais que cela les excitaient tous les deux « retourne toi chienne « regarde Sophie cette petite salope je suis persuadée qu’elle bande…En effet il bandait et mister sexe perlait de quelques gouttes il était surexcité, à qui avait il demandé l’autorisation de bander comme cela ? Regarde bien Sophie lui dis je me levais l’obligeas à se mettre sur le dos jambes écartées mister sexe raide sortait de mister petit string je lui saisis mister membre que j’agitais très vite, les gouttelettes se déposèrent sur ma main qu’il fut obligé de lécher. Prends ce fouet Sophie et mets lui de petits coups sur mister sexe cela lui apprendra à bander sans raimister. Ce quelle fît avec un grand plaisir, mon esclave a vite débandé lorsque je demandais à Sophie d’aller beaucoup plus fort.
Sophie et moi retournions nous asseoir sur le canapé tandis que mon esclave en laisse à quatre pattes viens devant : nous ouvre le bouche chienne alors je retirais mon string et dis à Sophie d’en faire autant et nous avons enfoncé les deux dans la bouche de ma chienne. Ce fut une merveilleuse soirée qui dura toute la nuit car Sophie a dormie prés de moi tandis que mon esclave enchaîné au lit était de l’autre cote.
Maintenant sur un commun accord avec Sophie ma salope de mari devra lui obéir et lorsque je suis présente il doit la respecter comme une seconde maîtresse. Je vous raconterai nos prochaines aventure croustillantes car ce jour là ce n’était que le début à savoir que mon mari, ma lopette doit tous accepter sans conditions alors imaginez …………………

Tu veux un conseil, il faut le punir régulièrement même si il a été très sage, le priver de jouissance pendant plusieurs jours tout en l’amenant dans un état d’excitation intense, mais le plus important est qu’il faut être très sévère si tu veux une obéissance totale. Pour ma part chaque fois qu’il est à la maimister il doit se vêtir en fille sauf contre ordre de ma part, quand il va bosser il doit porter des dessous féminins quelques fois des bas ou des collants. Je suis assez fière d’en avoir fais une vraie chienne. Après plusieurs jours d’abstinence je lui ai téléphoné au boulot exigeant de se mettre nu aux toilettes et de se branler dans mister string dentelle et de le remettre après tout en filmant avec mister portable, il n’avais pas le choix… Il sait qu’il est à mes ordres sinon il sait que je peux être violente si il n’obéis pas
chrislebo

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#289
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Soirée de soumission pour Jacques



Rose et Jacques se préparent à fêter leur quarante ans de mariage. Ils finissent de prendre
leur douche.
Jacques a quarante quatre ans, très bel athlète, Rose est une très belle femme de quarante
ans. Ils ont une fille de dix huit ans.
-Ou est mon slip? Demande Jacques.
-Je l'ai laissé sur le lit avec mes affaires, répond Rose.
Jacques passe une serviette autour de la taille, et sort de la salle de bains,lorsque le téléphone misterne. En traversant le salon, il se trouve nez à nez avec Malik, un jeune beur de
dix neuf ans, petit copain de sa fille. Malik arrive de sa séance de karaté.
Jacques n'aime pas voir Malik tourner autour de sa fille. Aussi l'accueil n'est-il pas des plus chaleureux.
-On t'a pas appris la politesse, connard, dit Jacques, tu rentres chez les gens comme çà.
-Soyez poli, répond Malik, çà va, je m'excuse. Vous allez pas appeler la police quand même.
-J'en est pas besoin, poursuit Jacques. Je suis assez grand si je veux te corriger.
-Ne me faites pas rire, sourit Malik, j'aimerai bien voir çà.
-Dit, petit morveux, tu es chez moi, et encore tu me provoque, ajoute Jacques. Tu l'auras
voulu, sale arabe.
Jacques se jette sur Malik. Malik lui envoie mister sac de sport dans les jambes, se qui
déséquilibre Jacques qui s'écroule sur la moquette.
Il se précipite sur Jacques pour le maintenir au sol. Jacques arrive à relever mister buste.
Malik en profite pour placer une clé, juste à la hauteur du cou. Jacques est bloqué. de ses
bras musclés, il essaie d'écarter les jambes qui l'étrangle, en vain.
-Lâche moi, petit con, dit Jacques. Tu vas voir la rouste que je vais te mettre.
-Faut vous libérez d'abord, répond Malik.
Malik promène sa main libre sur le torse et le ventre de Jacques.
-Mais c'est que du muscle, remarque-t-il, c'est dur. C'est partout comme çà.
Malik dénoue la serviette. Jacques se retrouve tout nu. Malik le regarde, un sourire au coin
des lèvres Il descend sa main entre les cuisses de Jacques, et lui saisit les couilles. La
queue repose sur la cuisse.
-Oh, mais les coucous aussi, ils mistert durs, ironise Malik en frottant les testicules un contre
l'autre.
-Arrête, salopard, un peu de respect, tu me fais mal, se plaint Jacques. Aie..aie.aieeee
assez, assez..
Les cris ont attirés l'attention de Rose, qui, en cachette, jette un oeil dan le salon.
Un sourire apparait sur mister visage. De voir mister mari dans cette situation, n'est pas pour
lui déplaire. Bien au contraire. Lui qui se croit le plus fort..
Jacques a écarté ses jambes, et commence à gémir .Il n'est pas insensible aux caresses
de Malik.
-Ah, dit Malik, tu aimes, hein? Appelle ta femme pour qu'elle voit comme tu te régales.
-Salaud, soupire Jacques, tu veux m'humilier devant elle.
Rose est sidérée de voir mister mari dans cette position.
-Qu'est-ce-qu'il se passe? Demande-t-elle, mais tu bandes comme âne, mon amour.
-C'est sa faute, ma chérie, râle Jacques, depuis qu'il me tripote. Regarde comme il joue
avec mon oiseau, comme il m'a décalotté. Que c'est bon, fait pleurer mon titi, s'il te plait.
-D'accord, mais après, je m'occupe de ta femme.
-Oh oui, se réjouit Rose, dès que tu l'as fini.
-Cà y est, hurle Jacques, chérie, regarde ce qui sort de ma queue. Ha...ha...ha, comme
je crache, vas-y Malik, oui, oui, je joui, branle moi, branle, décalotte moi, oui, oui.
Malik a accéléré ses va et vient sur la queue de Jacques. Les jets de sperme gicle du méat et retombe sur le ventre de Jacques. Avec deux doigts, Rose en récupère un peu.
-Tiens, dit-elle, goutte, tu verras comme c'est bon. Je sais de quoi je parle. On va s'amuser
avec lui, hein Malik?
Rose quitte le short de Malik. Elle n'en croit pas ses yeux.
-Putain, quel engin, dit Rose. Tu as vu Jacques, c'est pas ton fifre de merde.
Malik prend Jacques par les couilles, et l'oblige à le suivre. Il tire une chaise, s'assied, et
demande a Rose de s'empaler sur sa queue. Rose, la chatte toute mouillé, n'hésite pas
une seconde. C'est en poussant un cri de plaisir, qu'elle coulisse sur le calibre de Malik.
-Oh chéri, gémit Rose, regarde la petite chatte de ta femme comme elle se fait mancher.
Et mister petit bouton comme il se fait gratter. Regarde comme il caresse mes seins.
-Apprend un peu, çà c'est de la nique.
Jacques se mord les lèvres. Malik lui a pris un testicule, et le serre entre deux doigts.
-Tu me fais mal, pleure Jacques, pas mes couilles, s'il te plait, regarde comme elles mistert
rouge.
Malik prend plaisir a humilier Jacques devant sa femme. D'autant qu'elle se déhanche de plus en plus. Elle est prête. Rose hurle, l'orgasme est terrible, elle joui de tout mister corps.
Elle en insulte même mister mari.
-Petit con, jure-t-elle, tu m'a jamais faite jouir comme çà. Regarde comme un arabe se
sert de ta femme. Viens lui nettoyer la queue avec ta langue avant qu'il m'encule. Après,
ce sera ton tour. Je veux t'entendre couiner et pleurer. Je veux que tu te soumette. Allez,
suce le, je veux voir çà.
Jacques toujours pris par les couilles, avale l'énorme queue de Malik. Rose est derrière mister mari. Elle se met deux doigts dans la chatte, et une fois plein de mouille, les enfonces dans le petit trou de mister mari.
-Je te prépare, rit-elle, tu auras moins mal quand il va t'enfiler. Parce que, tu vas voir le
morceau.
Ils obligent Jacques a s'allonger sur le dos, sur la table.
-Allez, soulève tes jambes et tiens les en l'air, ordonne Malik.
Une fois installé, Rose prend la queue de l'arabe, et la présente contre la rosette de Jacques. Doucement mais surement, le membre disparait. Rose a saisit les testicules de mister mari, et les frottent, comme si elle froissait un morceau de papier.
Jacques hurle de douleur. Il est en larmes. Malik, lui, joue avec le gland entièrement
décalotté, grattant le méat ouvert, avec un ongle.
-Assez, assez, supplie Jacques, ne me faite plus mal, je vous en prie. Rose, aide moi.
-D'accord, dit-elle, alors écoute moi. Tu as intérêt a être obéissant et d'être sage, ok?.
je vais me faire prendre toute la nuit par Malik. Tu peux regarder si tu veux. Et chaque
fois qu'on voudra jouer avec toi, d'être prêt, compris.
-Oh oui, mes chéris, ce que vous voulez., répond Jacques. Et moi, je pourrai prendre un
coup de queue, c'est bon d'avoir une grosse bite dans le cul. Baise la bien Malik. Ne fait
pas comme moi. Si tu veux, je te taille une pipe avant.

Le trio regagne la chambre. La nuit ne fait que commencer, et Jacques est déjà en larmes
chrislebo

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#290
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lope soumise



Un an environ après ma séparation avec Patricia une très belle femme de 36ans qui m’a quitté en me disant simplement ’’ Que veut tu que je fasse avec ta petite bite de lope , moi il me faut des males des vrais !’’ J’étais anéanti , mais elle avait raimister en plus de mes tendances homo , j’avais une nouille ridicule entre les cuisses.
Un soir que j’avais le bourdon je décidai d’appeler Sophie, une belle grande blonde aux formes généreuses assez autoritaire qui m’avait toujours attiré pendant ma jeunesse, et je savais qu’elle venait de divorcer .Elle accepta avec joie mon invitation à diner , ce soir la elle apparu avec une jupe droite au dessus du genoux un très joli haut et des bottines sur ses bas noirs sublimes, cela la rendait très dominatrice.
Après un repas bien arrosé , je l’invitais sur le canapé pour écouter de la musique et là je me mis a la caresser , je savais que Sophie avait un tempérament de feu !’’ Ouiiiii vas y , branle moi , bouffe moi la chatte mon salaud ! ‘’
Je m’exécutai avec fougue quand elle entrepris de vouloir baisser mon pantalon , la le rouge me monta aux joues .
‘’ C’est quoi ce petit bout de bite minable ! Tu m’a fait reluire pour ça ??’’ ‘’je comprend pourquoi Patricia est partie pauvre impuissant , que veux tu faire avec ton zizi de lope ?’’ dit t’elle en riant aux éclats.
Et moi de répondre’’pardon Sophie , mais j’avais tellement envie de te toucher les seins et les fesses que jj’admire depuis longtemps, si tu veux je ferai tout ce que tu voudra , mais n’en parle à permisterne s’il te plait’’
Elle me sourit en me disant que c’était pas grave en me caressant mes petites couilles ‘’ tu veux jouer c’est ça ?’’ ‘’ oui ‘’ repondis je en baissant les yeux.
‘’ met toi a poil et vite cocu !et désormais tu m’appelle Maîtresse ! ‘’ je m’exécutai et du me mettre à genoux devant elle , afin de lui lécher la chatte, jusqu’à ce qu’elle gémisse de plaisir.
‘’ Je sens que l’on va bien s’amuser petite lope, et dire qu’autrefois tu jouais les machos !’’ J’avais honte mais continuais à lui brouter la chatte consciencieusement.
Elle me fit mettre à plat ventre sur ses genoux en me pelotant les fesses et en les claquant, de l’autre main elle prit ma petite nouille et la tripota avec deux doigts en me disant ‘’ Si on m’avais dit ça il y a quelques jours ‘’ elle avait l’air d’y prendre du plaisir ( et moi aussi).
Elle décida de rester pour la nuit , et me fit avouer mes penchants homo soumi, je du lui faire voir mes sites sur le net et mes photos en trav. Elle était écroulé de rire et me demanda ‘’ t’as vraiment une tenue comme ça salope ?’’ ‘’ oui Maitresse’’ répondis je honteux.
Elle se leva et me toisa de ses yeux fonçés ‘’ Demain après midi , je te veux dans cette tenue , ta mini jupe ras des fesses , bas résille noirs, tes escarpins de salope , ta perruque brune et surtout CUL NU ! Comme une chienne ! ‘’
Le lendemain j’étais en tenue lorsque j’entendis la voiture de ma Maitresse arrivé, je me tenais le dos tourné lorsqu’elle est entrée .
‘’ Bien ma salope ! Mais c’est que ça te va bien en plus ! , tu trouve pas Yanis ?’’ à cet instant mon cœur battait à tout rompre , elle n’était pas seul ! Et en me retournant j’j’apercu Yanis que je connaissais bien c’était l’amant de ma femme ,la honte était à mister maximum.
Toute la soirée j’ai du les servir , pendait qu’il baisait Sophie me fit remarquer ’’ Regarde petite bite ce que c’est qu’une vraie queue’’ en brandissant le chibre de Yanis !
Elle prit ma nouille sous ma mini jupe en me demandant de me trousser et compara , les rires allaient bon train. Sophie d’un air vicieux me dit ‘’ Allez salope viens sucer la bite de celui qui baise ta femme , c’est tout ce qu’une fiotte comme toi peux prétendre ‘’ A genoux , jupe troussée , je me mis à pomper cette grosse bite de male avec gourmandise , en pensant que je suis en train de sucer celui qui m’a piqué ma femme , mais comment se faisait t’il qu’elle n’était pas là ?
La réponse ne se fit pas attendre un coup de misternette retentit , je voulu me lever mais Sophie m’m’erre brusquement ‘’ Continue petite bite , je vais ouvrir’’ ce qu’elle fit , et là je reconnus aussitôt la voix à l’entrée c’était Patricia ! Les filles se mistert mis à rire en me voyant sucer l’amant de ma femme ‘’ Tu es vraiment une lope petite bite ! J’étais sur que tu aimais sucer des bites comme une salope , mais de la à t’habiller en pute ! ‘’
‘’Vas y mon chéri encule là cette chienne qu’on rigole avec Sophie ‘’ continua t’elle.
Je fus mis à plat ventre sur la table et Yanis forca ma chatte de salope en me claquant les fesses , pendant ce temps la Sophie s’asseya sur la table pour que je lui leche mister minou trempé, et Patricia se pencha prit ma petite bite entre deux doigts et la branla en riant ‘’ Alors petit pédé , c’est bon d’avoir une grosse bite de vrai mec dans le cul ? Hein ? Allez fais cracher ta nouille ridicule lopette ‘’


chrislebo

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#291
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Wendy And The Witchdoctor


"There goes the neighborhood," said Wendy looking out the window.

Stan looked up from his dinner. His six foot tall, buxom blonde wife was framed in the sunlight staring out the window. She could have joined the Swedish bikini team she was so beautiful and stacked, everyday he was reminded of how lucky he was and today with the sunlight shining on her was no exception. "What do you mean?" he asked.

"It looks like the new neighbor's a black guy."

"Well you can cross twenty thousand dollars off the value of our house then." Stan got up and joined his wife at the window. "Man he's huge, he's probably just a moving man." The man bulged with muscles and had a shaved head. The black giant wasn't working though, three other black men were unloading boxes from a truck.

"You're probably right," she replied watching as the three workers finsihed, they bowed their heads towards the bald giant and left.

********************

Stan was wrong, the new neighbor was the black man. Stan saw him outside the next day as Stan was flipping burgers on the grill. "Hello," he called.

"Hello," said the black man coming over to the fence.

"Stan Marsh," said Stan shaking hands with the biggest man he had ever seen, watching his own normal-sized hand get swallowed up by the black man's. He was also the darkest black man Stan had ever met.

"Mobutu Tanaka, Dr Tanaka."

"Where you from Dr Tanaka?" The man had a strong accent.

"I am from Kenya. I am Masai

"What brings you to the states?"

"I am taking a class at the university on new medical techniques to take home to my people.

"Just one class?"

"Yes, you would call it a refresher, then I will go home."

Stan couldn't help being impressed. This man had bought a house to live in for only three months. He came from money. "Would you like to come in for a burger?" Stan thought Mobutu might be an interesting guy to talk too.

"Would you have Americn hot dog?

"Sure, I can throw some on the grill."

"I have not had American hot dog since college."

"Wendy, bring me out a couple dogs from the fridge," Stan yelled through an open window.

A moment later, Wendy opened the sliding glass door and walked out onto the porch with two hot dogs on a paper plate. Mobutu looked up at the statuesque blonde. "Perfect," he said.

"What?" asked Wendy. She wore an attractive business proffessional outfit, short skirt, heels, and jacket. The sunlight made her blue eyes sparkle.

"You are magnificent."

"Ah... thank you I guess," she said blushing.

Stan was frowning, but he quickly shrugged it off and took the hot dogs from his wife. The black man stared at Wendy until she became uncomfortable and returned inside.

"Your wife is tall for a white woman."

"Yes, she's six feet without the heels." Stan took the food off the grill. "Lets go inside, we have some fixins set up on the table and I will get us some takes. Would you like a beer?"

"No, milk or water please."

"Ok...I think we have some milk."

"That will be satisfactory."

Wendy returned, walking downstairs having changed into jeans and a tee shirt. The jeans hugged her perfectly round ass as did the tee shirt, stretching tight around her large, full bosom. "Here you go Mobutu," said Stan handing him a glass.

"You will call me Dr Tanaka or your highness."

Both Stan and Wendy were taken aback by his unfriendliness. "You are royalty?" she asked.

"My brother is King, he rules over many Krals."

"And you are the tribe's doctor?" asked Stan.

"I am the tribe's Shaman, what you would call a witchdoctor."

"Aren't you a real doctor?"

"A Shaman is a real doctor, but I know what you say, I also have a PHD. What do you do Wendy?"

"I'm a lawyer."

"Wendy is modest, she graduated from Harvard last year and just found a job, Dr Tanaka." Stan would be damned before he called the arrogant man "your highness."

"Intelligence and beauty."

His gaze and comments were making her uncomfortable again, she tried to change the subject. "You are not what I expected an African to look like."

"What is your meaning?"

"You know skinny, malnourished.

"My family is raised to be superior to the common warrior." Mobutu finished his hot dogs and milk. "I would relieve myself."

"The bathroom is down the hall on the right."

Mobutu stood and walked to the bathroom. He took out his long cock and relieved himself. Wet swimsuits hung over the shower curtain. Stupid Americans, he thought leaving an item that would give him control of them lying around. The beefy black man grabbed a hold of the bikini panties. The entire bikini was small, and would show off Wendy's magnificent body. He looked inside the panties, then looked again. Finally, he saw it, a small curly hair. It was blonde and handn't stood out against the material. The man's was easier, Mobutu immediately found a pubic hair in his swimsuit and he folded both his prizes in a piece of tissue paper, shoving it in his pocket.

Mobutu returned to the living room and saw that Wendy had moved next to Stan and Stan had his arm around her possessively. "Are you in good health?" he asked, Stan started to respond, but the black man added, "just Wendy."

"Yeah, perfect health. I rarely get sick and excercise regularly. My family is long-lived."

"Are they real?" he asked pointing at her breasts.

Wendy's mouth fell open. She recovered and said, "none of your business."

"They are real and all mine," interupted Stan. "I think it's time you left."

"Wendy, you are truly a genetically superior female, you should be with a gentically superior male."

Stan was pissed. "And I suppose that's you?"

"Yes."

"And I suppose you also have a twelve inch penis and can screw for hours like all black men?"

"Actually it is thirteen of your English inches and most black men are like you, pathetic and small, but the royal family of Tanaka has been breeding males superior in size, brains, and the ability to produce semen for hundreds of years. I believe your wife would be the perfect receptical for my semen. She is tall, athletic, brilliant, and physically well endowed."

"Get out of my house Moby."

Dr Tanaka glowered at the insult, that would cost the scrawny white man. "I will give you ten thousand dollars for you wife. That is the only barter I will offer."

"I said get out."

"Very well then." Mobutu turned and strolled back to his house.

*******************

Wendy stretched out cat-like on the cot in her yard. It felt good to lay out in the sun. A drop of sweat ran down her scantily clad breast and ended in her belly button. She closed her eyes, opening them later when a shadow fell across her body. Dr Tanaka was looming over her and she jumped in surprise wandering if she should scream for help. "I have been watching you," he said.

It was a week after the black man had come over to their house and she hadn't seen him since, short of the limo that picked him up for school and brought him back each morning. He was practically naked, weaing only a cheetah print loincloth. His chest was spectacular, as ridged as any body-builder's. Mobutu's skin was as black as coal and glistened with perspiration in the sunlight. "How long have you been standing there?" she asked.

"A quarter hour. You are most beautiful." The bikini was designed for maximum tanning. It was small and tight, her breasts strained at the top. The African was getting an eye full. "Have you considered my offer?"

"I'll never cheat on my husband Dr." Wendy decided to try to reamister with the big Masai. "I understand you aren't from here, but you can't just go around propositioning married women."

"Why? I take any woman of the tribe I desire. I have dozens of youngren amongst the krals. The husbands consider it an honor to raise a superior man's mister as his own."

"That's what you don't understand. This isn't Kenya. Now you should leave, my husband will be home soon.

"So? He is a weakling. I give you one last chance." Mobutu untied the side of his loincloth and pulled it asside. It was designed to confine the man's huge genitalia and when freed, the penis fell out not stopping until it nearly reached his knee. "This is what will pleaure your pussy like your husband never can."

"My god," she cried staring at the plump black monster swaying like a giant black banana. She was surprised to see that the man was circumsized, the head was as large as a small apple as were his testicles and it was thicker soft now then her husband's when hard.

"You may suck it."

"Get off my property."

Mobutu looked surprised by her rejection. His penis had even plumped up and risen a little in anticipation of her servicing him. "Remember this cock," he said turning to leave, walking naked, then running to leap over the fence between their yards.

Wendy stood up. "If you ever come back on my property again I will call the police," she yelled. What arrogance, she thought. Just because he had a huge cock...Wendy shivered, she hated that word. Just because he had a big penis, he felt he had the right to do anything. Wendy went inside, no longer comfortable outside in the skimpy bikini. She walked past a mirror and froze, her nipples were hard and prominent. She was ashamed that the situation had aroused her a little.

chrislebo

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#292
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Mobutu walked up to the doll house in his living room. Three dolls soaked in glasses filled with dirty liquid. Mama Juju, an old voodoo woman in New Orleans had sent him the necessary materials to mix the concoction. The voodoo woman had great power, but many of her spells involved the use of marijuana and Mobutu saw have use-like holy water- as a weakness. He removed the Barbie doll from it's glass and carefully dried it off. Once dried, he placed a small dollop of glue on the doll's crotch area and stuck the piece of Wendy's pubic hair into it. He repeated the process with the Ken doll and finally the black Ken doll using his own pubic hair.

Mobutu needed to see if the ritual had worked. He placed Barbie on the bed in the doll house, then drew an erect penis on Ken with a black marker, placing Ken on top Barbie in the bed. Mobutu stripped naked so that his skin would blend into the night and swiftly ran next door, leaping the fence and rolling quickly to his feet. Within another minute, he had swiftly climbed an old tree that afforded him a good view of the neighbor's bedroom. The nights were cooler and their window was cracked open.

Wendy was laying under the covers, propped up reading a file folder. "Wow," she said looking up, where'd that come from?"

Stan walked into the room sporting a strong erection, his penis pointing up towards his belly button. "I don't know," he replied, it just sort of grew on me. You up for some? I don't want it to go to waste."

"Hop in, stud." Wendy folded the covers back. They turned the lights off and Mobutu was soon listening to the soft cries of Wendy and the grunts of her husband. Her cries turned to one long moan and soon Stan cried out as he came. "Ooh that was nice," said Wendy. "Hey, you're still hard."

"You know what, I think I can keep going," said Stan and the sounds of lovemaking filtered through the window again.

Mobutu jumped down from the tree and ran back to his house. He stuck his forefinger in his mouth, making sure it was wet before grabbing the Ken doll and smearing away the drawing of the erection. He then quickly returned to the tree in time to here Wendy say, "It's ok honey, it was still great. I haven't had an orgasm like that in years."

"Sorry," said Stan. "I don't know what happened."

Mobutu left the couple alone for a few days. When Saturday rolled around, he knew Stan would leave to play golf and that was when Wendy liked to sun bath. Unfortunately, the day was overcast and Wendy's cot remained empty.

Mobutu stripped the Barbie doll and dressed it in a bikini, he laid the doll down outside the dream house and went upstairs to wait by a window. He stood there frozen like a statue until fifteen minutes later, his sexy neighbor walked outside in her skimpy bikini.

Mobutu grinned and returned downstairs. He took a joint from his wallet and lit it. He hated the stuff, but Mama Juju swore on it for clouding people's judgement. He decided to just fill his mouth up with smoke and not inhale. He blew one mouthful on the doll and pinched the joint to extinguish it. He then removed the dolls top. before returning upstairs to his window.

******************

Wendy didn't know what she was thinking as she removed her bikini top. She had alway wanted an all around tan, but today it was so cloudy she'd probably have been better off staying inside and doing errands. Still, she had gotten a strong urge to lay out and then to take her top off. She wasn't an exhibitionist either, the skimpy bikini was only for the backyard, she had a modest two piece for wearing in public. She hadn't feared anyone seeing her in this bikini until Dr Tanaka bought the house next door.

Thinking about the black man conjured memories of seeing him nude last week, his huge appendage starting to rise. It was an image forever frozen in her brain. His penis was just something to be admired, she'd never relax with a black man, or any man other then her husband for that matter. She even felt sorry for the black doctor, though he bragged about it, there was no way any woman could have taken his monster coc...penis. Unless, Masai women were built differently?

Now, here she was removing her bikini top when the doctor might be home and able to see her. She hadn't seen much of him since the incident and not at all this day, so she decided to risk it. Strange, but it felt good exposing herself outside. She'd have to consider going topless the next time they were in the Carribean. The white areas normally covered by the bikini stood out against her tan skin.

Wendy laid back and closed her eyes for several minutes, opening them suddenly. She looked down her topless body at the bikini bottom. Why not? Her hand untied the string at her side and she lifted her ass up long enough to pull her panties completely off exposing her trimmed blonde bush to the world.

She closed her eyes again, exposing herself had her thinking about sex, mostly her husband, but her neighbor's penis flashed in her thoughts more then once. Her right nipple grew until it extended it's full three quarters of an inch. She opened her eyes staring at her nipple. It was so hard it ached a little and sweat glistened on it making it look wet. Then her left nipple followed suit and she felt herself becoming aroused.

chrislebo

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#293
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Mobutu stood in the window with the nude Barbie in his hand. He quit licking it's nipples and moved to it's crotch. Outside, Wendy began squirming on the cot. The nude woman parted her legs then swiftly closed them. She quickly stood up, grabbed her bikini and ran into the house.

He assumed she would be masturbating. He returnned to the doll house and played around with the Barbie and Ken, putting them in different positions. He bent Barbie's legs and put her face in Ken's laps, put them in the sixtynine position, bent her legs forward so that he could sit her on Ken's crotch, and bent her so that it resemred doggy style. Every now and then he took the Barbie and licked it's breasts and crotch. Finally, he dressed Barbie in just her bikini bottoms and left her in the house.

Stan got home just after dark when it was safe for the black man to sneak back into their yard. Wendy was standing in the kitchen window topless washing dishes and her husband was staring at her in awe with a dumb grin on his face.

Mobutu returned home and grabbed both dolls. When he got back to thier yard, he drew an erection on Ken, though it wasn't necessary, Stan already had an inferior bulge in his pants. Mobutu held Barbie's head in Ken's crotch, and watched.

Wendy turned from the dishes and walked over to her husband. "God, I'm glad your home." She dropped to her knees on the kitchen floor and carressed his bulge. "I've been so horny all day. I don't know whats come over me." Wendy quickly unzipped her husband and pulled out his dick, happy to see he had another big erection like last week. It looked good enough to eat and for the first time in her life she leaned forward and took him in her mouth. "Holy cuckolds brownie," he said startled. "You haven't done this before."

Wendy was just starting to bob her head over it when Mobutu erased the erection. "What's wrong, don't you like it?' she asked letting his limp penis roll from her mouth.

"No, it felt great. I don't know what happened. It was there and then it was gone." "Lets go upstairs and see if I can get it to come back." Wendy grabbed his hand and pulled her husband upstairs.

Mobutu climbed the tree and watched as she stripped off his clothes and pulled him into bed after turning out the lights. He drew another erection on Ken and heard her coo in delight. A few minutes later, "Yeah baby," moaned Wendy. "Harder, harder, just a lttle more, I'm close baby, real close," and then "Nooo, please not again," as Mobutu smeared out the erection.

Mobutu left the tree and returned home. He drew a limp, shriveled penis on Ken and placed him on the bed in the doll house. He waited until it was late and he assumed the couple next door would be arelax. He took Barbie and licked her breasts and crotch again before laying her in bed beside Ken. He took the black Ken and placed it on top of Barbie.

*****************

Wendy woke up with a start, the dream rapidly fading. She couldn't remember it, but it was hot. Stan was in the bathroom. "Honey, come back to bed."

Stan walked back into the room wearing boxers which was odd since he usually walked around nude until dressing. "We can't Wendy, we'll be late for church."

Wendy sighed. "Maybe when we get back then?"

"We'll see."

Wendy was so hot and bothered, she couldn't concentrate on the sermon. Her nipples were hard and rubbing against her bra. She squirmed in her seat hoping the preacher would hurry and finish before her wet pussy soaked through her clothes and stained the pew. She had a strong desire to kneel before her husband and suck on his penis again.

When they got home, Wendy thought she saw the curtains move in Dr Tanaka's house as if he was watching them. She forgot about the black man as she entered their living room when Stan suddenly said, "Hey, you still up for some afternoon fun?"

Wendy looked over at him and saw his pants were tented out. With a squeal of delight, she kneeled at his feet and pulled out his rock hard erection, taking him back in her mouth. Then it was gone, his penis withering into a limp little worm within seconds.

His huge cock was hard in her mouth, pushing into her throat and Wendy loved it. She looked up, but it wasn't Stan who was looking down at her. It was Dr Tanaka. She gasped in horror.

"Jesus, I'm sorry, but you don't have to make such a big deal over it." Stan was shaking her. "Maybe, it's stress. If this keeps up, I'll see a doctor. Trust me Wendy, it's not you, it's me."

"I'm sorry too," she said climbing to her feet. The image of kneeling before the black man wouldn't leave her mind. It stayed with her all day and into her dreams. Her dreams changed though, sometimes she was on all fours as the black man fucked her from behind, sometimes she was riding his mighty cock, and all the while, Stan was lying beside her in the bed with a limp dick seemingly frozen, doing nothing to stop them.

She had these dreams every night, Mobutu completely replaced her husband in her sex fantacies. Worse, several times a day, her nipples would grow and her pussy would get wet. Stan made no sexual moves on her at all and when she glimpsed him naked, his dick was always small and limp.

*****************

On Saturday, Mobutu placed the topless Barbie back on the cot outside the doll house and waited for Wendy to show up. This time she walked out without even bothering to wear the bikini top. He placed a naked black Ken beside her and blew marijuana smoke at the Barbie doll to cloud her judgement.

Mobutu put on the loincloth and walked next door. "May I join you?" he called.

Wendy jumped as he had startled her and held her arms across her breasts. "I don't think that's wise."

"I just want some conversation. I appologize for my behaviour previously. I was just startled by your beauty."

"Well ok then, but let me go get my top."

"Don't bother. Masai women do not cover their breasts. My people are much more comfortable with nudity. I will join you if it helps." Mobutu removed his loin cloth and laid next to her cot in the grass staring up a the sun. He was pleased to see her gaze focusing on his crotch and soon she became comfortable enough to show him her breasts. "This is nice," he said, "to lay here and not worry about cobras and mambas and lions."

"Your home sounds fascinating."

"It is."

She looked at his cock, plump and half-erect. "May I ask you a medical question?"

"Certainly."

"Do you know anything about impotence?"

"Your husband?"

She hesitated. "Yes, he's been acting weird. Occasionaly he will get an erection, but then it's gone and most of the time it doesn't stir." She sobbed a little with frustration.

"Did this start around the time I moved here?"

"Yes, I think so, but what does that have to do with it?"

"Your husband is intimidated by me."

"I find that hard to believe."

"I could be wrong, but I've seen it before. A weak man when confronted by a superior male often becomes impotent. He imagines his woman with the superior male fucking her with his superior cock like the wimp never could."

Ugh, there was that word again. Strangely, cock seemed to apply more to Mobutu's long snake-like penis.

"It has happened to me before, the woman becomes infatuated with me and the husband becomes incapable of interfering."

"I don't think that's the problem," she replied sarcastically, though the fact that she had been dreaming about the doctor scared her.

"I've offended you. I should go." He stood up near her head so that she was looking up the long dangling cock.

"Yes, I think you should." She couldn't take her eyes off his cock and wondered what it would look like fully erect.

Mobutu bowed and walked naked back to his house. He grabbed Barbie and black Ken, taking them to his vantage point upstairs. He held Barbie up to his face and licked her crotch, watching as Wendy jumped on the cot and started squirming. He quit and placed the black doll's head on her crotch and watched.

On the cot, Wendy parted her legs and thrashed her head back and forth. She was staring at his house as if afraid or hoping he would come out. Her hips were thrusting slightly and her hand would wander down to her pussy only to jerk back as she realized what she was doing. Suddenly, her back arched and her mouth opened as she came. Once again, she hurried back inside her house. Mobutu grinned then rubbed his jaw. It was sore as black Ken had power over him also.

chrislebo

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#294
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All week Wendy played with herself imagining she was with the black man and dreaming about him at night. She was starting to wonder if she could resist him, the images were becoming so vivid and she was so horny. She hadn't even seen a short erection on her husband this week.

Friday night she awoke in a sweat from a particularily powerful dream. She feared she was drowning and had a funny taste in her mouth. All she could remember of the dream was that it involved sucking off Tanaka. She played with herself while Stan snored beside her wondering if the doctor would come talk to her again when she laid out the next day.

*******************

Mobutu squeezed the last of his sperm out of his cock and looked at the cum splattered Barbie. His balls had stored up a lot since he last had sex and the doll was covered. Tomorrow he thought, she would be ready.

The next day he stripped Barbie and black Ken placing them outside the doll house together. Barbie sat on the cot with her face in the black doll's crotch.

******************

Wendy walked completely nude out to her cot without giving it a second thought. It wasn't long at all before the black man walked out his back door wearing his loincloth. He didn't even ask to join her, just assuming she'd let him. He jumped over the fence and walked over to her.

"I thought we could talk some more," said Mobutu letting the loincloth fall down so that his cock swayed seductively before her face. The cock she fantasized about constantly, her gaze focused on it and she licked her lips. "I see the way you stare at my superior black cock. Would you like to touch it?"

She wanted to do more then touch it, but she just nodded and reached out one hand to caress his shaft and another to heft his balls. Just touching it sent a jolt of pleasure through her body. Her pleasure grew as his cock grew. The monster extended several inches and swelled, rising ponderously until it pointed directly at her mouth as if comanding her to suck it. It truly was over a foot long and as thick as her wrist.

"Isn't it magnificent?" he asked.

"Yes," said Wendy completely enthralled with the huge, dark black cock. "I've never seen anything like it in all my life."

"Now you see why your husband has been feeling inferior."

"Yes, I think I understand. Your cock is twice as big as his penis." Wendy wanted to take him in her mouth, but needed permission since he was royalty. She leaned forward and kissed the bulbous head directly on his pee-slit. She kept her lips on it and looked up at him.

"You may service my cock with your mouth if you desire."

Wendy felt a surge of pleasure and she quickly parted her lips taking the head inside her mouth, feeling complete for the first time in weeks. It was as if she belonged here, naked at his feet, slurping on his black scepter of power. Weeks ago, she wouldn't have done this for Stan, now she was willingly sucking on her arrogant black neighbor's thirteen inch cock. It was a shame, Stan's performance had been so disappointing, he would have been good practice for Dr Tanaka's cock.

Wendy took her mouth off the head to lubricate it better. She began with the tip, running her tongue all around the head, then down the shaft. He grabbed the tip and held it up for her, thrusting his balls in her face. She licked those too, amazed at how big they were.

Wendy kissed her way back up to the end and took it in her mouth again. She hadn't even taken a quarter of his cock in her mouth when it pushed into her throat and she gagged. She relaxed her throat and tried a little at a time managing half his cock. She decided to go with that and started rapidly bobbing her head while jerking the rest with both her hands. Despite her enthusiasm, he lasted a long time, almost outlasting her strength.

He came with little warning other then the fact that his cock seemed even bigger now then it had just minutes earlier. His cock seemed to be doing push-ups in her throat, then she realized he was cumming directly into her belly. Horrified at the thought of swallowing sperm, she backed up feeling it pouring down her throat, then it was in her mouth and she could taste it. It was one of the most delicious things she had ever put in her mouth. Her cheeks bulged out and sperm dribred out the sides of her mouth as she gulped and he still wasn;t done cumming. More rolled around her tongue before sliding down her throat and she jerked his cock off with one hand making sure every drop was in her mouth, but suddenly she screamed in orgasm and lost control getting one last splatter of hot cum across the face.

Confused, Wendy looked down to see what had made her orgasm and saw her free hand frantically rubbing her clit. After cumming, the guilt hit her and she fell back from his still hard cock in horror. "What have I done? Please tell me this was all a dream? My god, Stan..."

"Is a weakling, but I understand. It was a mistake, you could not help yourself. Masai cock is hard to resist. I will not go naked before you anymore, but your cock sucking s*******s were impressive and I will let you service me anytime you desire."

Wendy watched him leave then ran into her house crying. The guilt didn't last long. By the end of the weekend, she knew she both loved and prefered sucking black cock. She wanted to do it again.

*****************

Barbie sat in a chair all weekend staring at a piece of paper with writing on it that said: I want to suck more black cock, I want to eat more cum, I wish I could swallow his entire cock, I love sucking Mobutu's cock, and My husband is a wimp who can never satisfy my need for superior black cock.

Mobutu didn't move the doll until he got back from class on Monday. Then he stripped it and placed it kneeling at black Ken's feet, blowing some marijuana smoke at them just to be on the safe side.

He watched through a window as Wendy got home from work wearing another skirt and jacket. She stared at his house and she walked into her own. His doorbell rang ten minutes later. He opened his door to find a confused looking Wendy standing before him wearing a robe. She looked nervous, like she didn't know quite what to say. "P-please your h-highness, I'd like to suck on your c-cock again."

"Is this wise? I don't want you to do it if your going to regret it again."

"I won't regret it. I have to do it again. I promise I will do better. I only have an hour until Stan is home."

"Then you may." Mobutu walked over to his couch and sat down spreading his legs open. "Remove the robe and crawl to me."

Wendy dropped the robe, she was nude underneath and fell to her knees. She crawled over to him, her mouth watering at the thought of sucking him off again. "May I remove your cock your highness?" she asked when she arrived between his legs.

"You may and I want you to tell me what you think of my cock as you do."

Wendy's hands fumred with the buttons, opening his pants and pulling the zipper down. "I want to suck on your cock so bad. I was afraid I'd never see it again. Oh yes," she said when her hand closed around it and she pulled it out of his pants. "I love your black cock your highness."

"You may proceed then."

Wendy attacked his cock, quickly licking it before taking it back in her mouth. She managed another inch today before he came and she swallowed every drop. Nor did she quit there, she kept him in her mouth clamping her lips around the head and tugging on it until he turned hard again. Wendy had just swallowed his second load when she realized the time and ran home with her robe untied and flapping behind her. She made it inside just before Stan got home. Mobutu watched all this from his window grinning.

He kept the Barbie in the chair staring at the words all week not even bothering to kneel her before the black doll. Wendy came over every day after work and blew him, often swallowing several loads of cum before running home. By the end of the week, her lips were kissing his pubic hair, she had swallowed his entire shaft. "You love it in your mouth so much, imagine how it will feel in your pussy," he said as she ran out the door on Friday night.

Stan never knew why he got nothing but tv dinners and pizza that week, nor why she didn't eat much with him saying she wasn't hungry.

********************

Wendy had a rough night. "Imagine how it will feel in your pussy?" echoed through her brain. She tossed and turned in her relax alternately riding Mobutu's black cock, being crushed beneath his weight, or kneeling before him being fucked doggy style. The dreams moved to every room of her house. She was on the kitchen table, she was bent over the couch, everywhere she was fucking Mobutu.

Wendy actually had an orgasm in her relax just dreaming about it. She awoke towards dawn, breathing heavy, her body completely aroused. Her pussy was soaked with arousal and a little sore. She had dreamed Mobutu had emptied his balls into her waiting pussy.

*****************

Mobutu woke up and showered. He waited for Stan to leave and *******ed time by writing more commands for Barbie to stare at. He finished and cleaned Barbie off. The doll laid on her back with it's legs bent upwards. Mobutu had stabbed a hole in the crotch and masturbated on it again making sure plenty of sperm had poured inside the doll.

He took black Ken and laid it naked on the cot. Then he drew a baby on Barbie's belly and colored it black with the marker before sitting the Barbie astride black Ken.

*****************

Wendy walked out into her yard naked, she no longer even bothered with her bikini. Mobutu was lying naked on her cot sunning himself. She had just been fantacizing about riding his cock in just that position. Could this strange black man read minds? Did he know how bad she wanted to fuck him?

"I hope you don't mind Wendy. I saw Stan leave and thought I'd get an early start."

"No, I don't mind."

"You may suck on my cock."

"Actually, I was wondering if you'd let me try it in my pussy. I know it's too big to fit, but I'd like to try."

"I have never met a woman who can't handle my cock, though all are nervous at first. You may both fuck and suck me off. The royal family has been bred to orgasm more then ten times a day. We can fuck all day if it pleases you."

He talked like he had been with hundreds of women, the thought of which would of disgusted her if she wasn't so hot for his cock. "It pleases me," she said dropping between his legs.

Wendy sucked him until his cock was rock hard and glistening. She was reluctant to remove it from her mouth, her belly growling with hunger, but her pussy craved it more. Giving no thought at all to the fact she was unprotected, Wendy stood over his crotch, held his cock up and poised it on her labia, a place untouched by any man, but her husband until now. Closing her eyes, she lowered herself, feeling her labia part around the big cock head and it kept parting, stretching wider then it ever had before. Just when she thought it would rip her apart, the head entered her all the way.

Wendy stayed frozen squatting over the cot letting her body get used to him. She looked at Mobutu's grinning face, then down his muscular chest. She could just see the base of his cock between her breasts. His shaft was glistening as fluid flowed down it, soaking his crotch. Her pussy was lubricating it, making it easier for her. She hadn't know she could get this wet. She circled her hips around his cock head and lowered herself some more.

She felt stuffed full after five inches, the thickness filling her as much as her husband's entire, much skinnier penis. Her pussy was gripping his shaft tightly, spasming occassionaly as it continued to get wet. She was breathing heavy when she hit the half-way mark, the pee-slit just teasing areas deep in her and previously untouched. It was starting to feel good, real good.

Wendy needed to cum and started flexing her legs, raising and lowering herself along his cock, taking a little more as she got used to it. The orgasm came quickly and was unlike anything she had ever experienced. The one her husband had given her weeks ago was like comparing a firecracker to a stick of dynamite. "OH YESSS," she screamed loud enough her other neighbors might have heard her. The orgasm almost made her pass out, it curled her toes and made her legs go weak, so weak they couldn't hold her up anymore. She collapsed, impaling herself on the rest of Mobutu's cock. The shock she felt from all the pleasure and pain it gave her did make her pass out.

When she recovered the pain was gone. Mobutu was kissing her lips. She had collapsed forwards, her breasts mashing against his muscled chest. Her pussy had contoured itself around his entire cock. She could feel every ridge, vein, and bump. A thick vein ran the length of his shaft and it pulsed with each beat of his heart. Each pulse sent a spasm of pleasure throughout her body. Her heart was racing and she was filled with a sense of joy. This was were she belonged.

Mobutu cupped her ass with his strong hands and lifted her a little, begining to buck his hips while kissing her. Wendy arched her back as she came again. She took over riding him to orgasm after orgasm. They grew stronger when he leaned up and took one of her thick nipples between his lips.

Wendy rode him until her leg muscles got sore. "Do you realize what a great honor you are about to recieve," the black man asked grunting occassionally.

"I do," she said and the hose in her pussy exploded. His cum was so strong, she felt it would throw her off him like she was sitting on a geyser. Her mind was exagerating of course, but it still felt powerful. Wendy came with each wad that shot out of his cock and she collapsed again.

She came to her senses lying in the grass on her back. Mobutu was still lying on the cot. His cum crusted cock rested across his thigh, soft, but still long and plump. "That was incredible," she said staring up a him with a look of worship on her face.

"Come clean my cock off," said Mobutu. Wendy crawled to him and took his dirty cock in her mouth, it quickly turned hard again and she deep throated him until he filled her belly with his hot sperm.

He didnt cum ten times like he had bragged, but they fucked three more times after she blew him. By the time she went inside before Stan got home, her knees were grass stained and grass stuck in her sperm covered body.

Wendy wanted him again on Sunday, but there was no opportunity. By Monday, she was so cock-crazy, she left work early and was waiting on Dr Tanaka's steps when he got back from class. Wendy fucked him in his bed for as long as she dared before Stan got home. She was starting to resent her husband. He was keeping her from Mobutu's cock.

Wednesday night, Wendy woke up from another powerful dream. She was covered in sweat and now she craved his cock in her ass. Her butt-hole even stung a little and she was so sweaty, it felt like she had cum in her ass. What was happening to her? First she had sucked him off, then commited adultery, now she wanted him to sodomize her. Wendy played with herself before going back to relax. This time she used her free hand to stick a finger in her ass.

******************

Mobutu made sure plenty of his sperm ran into the new hole he had poked in the doll's ass. He then sat the doll back down in the chair staring at the paper with the following commands:

I am a slut for black cock. My body belongs to Mobutu, he is my master. He can put his cock anywhere. It pleases me to serve him.

******************

The pain made Wendy happy. Some of the tissue in her ass had ripped, but it meant she was one step closer to getting her ass fucked. Mobutu grunted and pushed the entire head in stretching her anus out even more. "D-don't waste time your highness," she groaned. "Push it in, I can take it."

Mobutu pulled back and thrust forward. She took about eight inches before it wedged. Wendy screamed, bucking, trying to get away from his spear, tears rolling down her eyes as Mobutu kept a firm grip on her waist.

She calmed down after a few minutes, but still sobbed. "Do you want me to pull out?" he asked.

"No master, I want you to fuck my ass." Wendy didn't know where "master" had come from, but it was appropriate. Mobutu started to move, starting slow, but picking up pace. "Fuck me master, fuck my ass. Give me that black cock." Wendy continued to babble the whole time he fucked her. Towards the end, it actually started to feel good and she looked forward to when her ass was permanately stretched out to accomodate him. His cum was like a soothing balm coating her sore insides as it swelled up to fill the vacuum left by his deflating cock.

chrislebo

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#295
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"Greetings Stan, I thought I would pay a neighborly visit."

"That's Mr Marsh, your highness," said Stan sarcastically.

"Of course, Mr Marsh," said Mobutu stepping inside."

Wendy walked into the room and Stan was confused by the way his wife's face lit up when she saw the arrogant black man. "Dr Tanaka, what a pleasant surprise."

"Is there something going on here, that I don't know about?"

"I have come again to offer you ten thousand dollars in exchange for your wife."

"That's it ass-hole get the fuck out of my house," screamed Stan.

"Honey," interupted Wendy. "I suggest you accept Dr Tanaka's generous offer."

"Huh?"

"Yes, Mr Marsh. My offer is generous. That kind of money is worth a lot of cattle to the Masai. I have fucked your wife all week. She is no longer happy with your pathetic white man's penis. She is hooked on black cock."

Stan felt weak and the color drained from his face. Wendy hadn't contradicted the black man. "H-honey, is this true?"

"Yes, Stan. I have sucked, fucked, and taken his superior black cock up my ass. You will never satisfy me now. I'm hooked on his giant black cock, it's all I think about now."

"Think about it Mr Marsh. I need to go home and make a quick call. When I come back, I am going to fuck your wife in your marital bed."

This was all too much for Stan, his legs gave out and he fell to the floor with shock. Wendy ran upstairs and he followed. She was actually primping herself. She put on some make-up and brushed her hair before stripping and lying on the bed. He heard Mobutu slam the door as he returned.

"Wendy, I don't want you to do this."

"I have to Stan, it's what I was born to do."

"If you love me, you'll end this now."

Wendy just smiled sympathetically at him and sat up on the bed as Mobutu entered the bedroom. She thrust her breasts out prominately as if posing for the black man. Mobutu was already half-naked, like he had started stripping climbing the stairs. Stan's wife reached up, pulling open his already unbuttoned pants. "Wendy stop," he yelled at her then, "dear god." Wendy was holding what looked like a black python in her hand. The black man's cock was huge, he hadn't been lying when he said it was thirteen inches.

Stan had been harboring ***ous thoughts in his mind. There was a loaded gun in his dresser. He seriously considered getting it and putting a bullet into both of them, but he wasn't really a violent man. Instead, as Wendy wrapped her lips around the black man's cock, Stan's dick got hard.

His penis became uncomfortable and he was powerd to remove it, then touch it, soon he was stroking it as he watched his lovely wife deep throat the black man's impossibly large cock.

Later, Stan swore his wife jerked her head back from the power of the black man's orgasm. Sperm poured out of her mouth as Mobutu's large load overflowed it. Stan started sobbing as he looked away, finding himself looking at his own cum drying and flaking on his abdomen. His orgasm was pathetic compared to the one the black man had just emptied into Wendy's mouth. "Look master, my husband has his little worm in his hand."

The black man just grinned at Stan and moved between Wendy's legs. Soon Wendy was screaming with pleasure and speaking profanity as Mobutu pounded her pussy with his cock. Stan's own dick had never gone down and he found himself stroking it again, cumming long before the black man. Mobutu was kneeling between Wendy's legs with her legs in his arms. The position provided Stan with a disgusting view of the black cock pistoning in and out of Wendy's pussy.

Stan came a few more times, his penis never deflating. He watched sperm pour out of Wendy's pussy. He watched Mobutu order her on all fours before the black Masai fucked her for a while doggy style, then pushed his cock into her ass. Stan couldn't help noticing the ease in which she recieved it.

Mobutu finally left early in the morning leaving Stan staring at his wife's prone form. Stan went over to the dresser and was reaching for his gun when his legs suddenly turned weak and his erection finally disappeared. He walked on his knees and placed his face in Wendy's sperm soaked pussy. He began eating her with gusto.

For the next two weeks, Stan slept on the couch while Mobutu took over his marital bed. When the black man left in the morning, Stan would crawl between his wife's legs and suck Mobutu's sperm out of her pussy. He lied to himself thinking he was doing this to keep her from getting pregnant, but knowing billions of sperm were assaulting her womb every day. Secretly he enjoyed doing it.

The last time he ate her out, she jumped up with a start and ran to the bathroom throwing up. She immediately called Mobutu and ran next door.

*****************

Mobutu escorted the pregnant woman out of the clinic. Wendy was beaming and constantly running her hand across her belly. This was what she wanted, not to be a lawyer, but to have dozens of black babies. "Where are we going?" she asked as they got in the limo.

"To the airport," Mobutu said to the Kenyan driver. "Call and have the jet readied."

Many black Africans helped Wendy aboard the jet, smiling at her. Mobutu turned to the limo driver and said something strange, "I need you to go to my house and burn what you find in the den. Do you understand?"

The driver nodded and bowed. Minutes later the lear jet took off into the sky bound for Africa.

Unfortunatly, the driver decided to stop for lunch before carrying out Mobutu's orders.

*****************

Mobutu in his haste to get to the clinic had bumped into the dollhouse and knocked white Ken from it's spot between Barbie's legs. Stan's ***ous thoughts returned as soon as he saw the limo pull out of Dr Tanaka's driveway. Stan was no dummy, he knew his wife was probably pregnant. He grabbed his gun and walked over to Mubutu's house. He planned to wait for the limo to return and then shoot the couple as they entered the house. He broke the glass on the sliding door and walked into the house. Hie eyes falling on the dollhouse as he passed through the den.

Stan couldn't believe his eyes. The Ken doll laying on the floor, the slutty sayings written on paper in the rooms, the black Ken lying nearby. The sperm-crusted Barbie lying on the bed with holes poked in her crotch and ass. Stan was a skeptic, barely believing in god, only going to church for Wendy, but this looked for the world like a set of voodoo dolls.

He picked up Ken and examined it, seeing the little hair stuck in glue on the dolls crotch. He pulled it off, and immediately felt a strange since of relief come over him. He picked up Barbie, noticing she had the glued hair also as well as a black baby drawn on her belly. He ripped her hair out too.

Stan picked up the black Ken. He was reaching for the hair when instead his hand moved up to the doll's head. With a sudden jerk he turned the head around backwards and dropped the doll on the floor.

*****************

It was ruled a freak accident. Guards burst into the private room when the girl screamed. She was kneeling beside Prince Mobutu's prone form. His cock was hard and glistened with her saliva. However, the shaman's head was bent awkwardly backwards and his shallow breathing faded to nothing. The jet made an emergency landing in the Canary Islands.

Wendy was given the death penalty in Kenya for being alone with Mobutu when he fell and broke his neck, but King Usawe stayed the execution and took the white woman as one of his wives. Mobutu's mister was given to the tribe to raise as it's new shaman. Wendy bore Usawe many youngren as she and the King's five other wives tried to keep his carnal needs satisfied. She still lives in Kenya.

THE END
chrislebo

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#296
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Enfin cocu 01



Marié depuis 20 ans, ça fait longtemps que j'ai pour fantasme que ma femme se fasse baiser par d'autres hommes. Elle le sait, mais m'a toujours dit que ça resterait un fantasme car elle n'a pas envie d'un autre homme.
Dans nos jeux sexuels, elle me domine de façon soft. Elle aime choisir comment elle va jouir, même parfois en me privant de pénétration et d'éjaculation. J'aime la soumission et l'excitation qui ressort des frustrations ou moqueries qu'elle me fait subir. Mon envie d'être cocu va dans la suite de ces jeux.
Pour lui donner envie de "voir ailleurs", je lui ai offert un gode de belle taille (20 x 5 cm) qu'elle adore utiliser. Je précise que mon sexe est de taille un peu en dessous de la moyenne (14 x 3.5 cm). Ayant compris mon goût pour les moqueries, elle a surnommé mon sexe "cinq centimètres".
Toujours dans l'idée de l’inciter à réaliser mon fantasme, souvent je ne cherche pas à me retenir. Je n'étais déjà pas très endurant avant (3 à 5 minutes), mais maintenant c'est entre 30 secondes et 2 minutes que dure la pénétration. D'ailleurs il lui arrive de rigoler en me traitant d'éjaculateur précoce.

Pour compléter la description de notre couple, sachez que j'ai 46 ans que ma femme est une belle brune de 44 ans. Elle mesure 1.69m pour 60 kg. Sa poitrine est de 85b et elle s'épile entièrement depuis longtemps.

L'histoire :

Nous partons pour 4 jours à Paris avec nos deux garçons adolescents. Dans le TGV ma femme me fait discrètement remarquer qu'un jeune homme la regarde beaucoup. Il faut dire que mister jeans serré et mister chemisier sans manche la mettent en valeur. Elle se sent troublée d'être ainsi détaillée avec envie par un jeune homme qui doit avoir entre 20 et 25 ans. Elle me dit :
- Il est plutôt beau gosse. Plus jeune je lui aurais volontiers fait une place dans mon lit.
- Et pourquoi pas à ton age ? Ça doit être flatteur de plaire à un jeune homme.
- Oui bien sur que c'est flatteur.
- Tu pourrais décrocher discrètement un bouton de ton chemisier, je suis sur que ça va lui plaire.
- Tu peux toujours rêver, me dit-elle en rigolant, je ne suis pas exhibitionniste.

Pourtant, un peu plus tard je remarque que mister décolleté s'est ouvert et que, par moment, on devine la dentelle de mister soutien gorge rouge. Le jeune homme la regarde sans gêne, lui montrant clairement qu'elle est à mister goût. Je dis à ma femme :
- Allons au wagon bar pour boire un café. Fait lui un joli sourire si tu veux qu'il te suive.
- Tu es sur que tu en as vraiment envie ? Parce que si je vais trop loin, je ne pourrai plus reculer
- Oui. Et toi, tu as envie qu'il te drague ?
- C'est tentant.

Je me lève et part devant. Elle me suit. Nos enfants, occupés à un jeu restent à leurs places. Alors que nous buvons notre café, je vois arriver le jeune homme. Je me plonge dans la lecture d'un journal pour lui laisser la possibilité de reluquer librement Sylvie. Il se retrouve, comme par hasard, à coté d'elle. Il ne dit rien à ma femme, mais je la sens troublée. Un mouvement du bras de mister voisin me fait comprendre : il doit avoir sa main sur les fesses de Sylvie et elle se laisse faire.

Comme il me croit occupé à ma lecture, il ose dire quelque chose à l'oreille de ma femme avant de partir. Sylvie m'a confirmé l'audace du jeune homme qui lui a bel et bien palpé les fesses. Il lui a dit qu'il l'attendait dans les premiers WC. Je lui demande :
- Tu vas y aller?
- Je ne sais pas. J'ai peur qu'on le regrette après. Puis des WC de TGV ce n’est pas très romantique.
- Tu sais que j'ai envie que tu y ailles et je suis sur que ça va souder notre couple si tu réalises mon fantasme. Mais je te laisse faire comme tu veux. De toute façon je t'aime.

Après une courte hésitation, elle m'embrasse et me dit :
- Quand il s'est collé à moi, j'ai senti mister sexe. Ça me changera de "cinq-centimètre". Attends-moi ici !

Elle est revenue 15 minutes plus tard. Un peu gênée, elle est venue m'embrasser et m'a dit :
- Serre moi dans tes bras. Je suis folle de l'avoir fait, mais j'ai adoré.
Elle a senti que je bandais, à souris et a dit, moqueuse :
- On dirait que "cinq centimètre" a envie de ses 15 secondes de plaisir !

Elle m'a ensuite raconté : sans dire un mot il l'a mise nue. Elle l'a sucé avant qu'il ne sorte un préservatif puis la prenne debout. Son sexe était plus gros que le mien et l'a faite jouir plusieurs fois. Il a gardé mister string en lui disant qu'il le lui rendrait plus tard. Un mec dont ma femme ne savait même pas le prénom venait de la baiser. J'étais cocu et très excités….

Peu avant l'arrivée à Paris, alors que nous étions à nos places, mister amant fait signe à ma femme et va vers les WC. Ma femme hésite à peine avant de le suivre.

Lorsqu'elle revient je remarque que sa poitrine est libre sous le chemisier. Au lieu de lui rendre mister string, il lui a confisqué mister soutien gorge. Ma femme me racontera que mister amant l'a de nouveau faite jouir avant de la sodomiser. Comme je ne l'ai jamais sodomisée, je suis un peu surpris :
- Tu l'as laissé t'enculer ?
- Il m'a tellement bien faite jouir, Je ne pouvais rien lui refuser.
Elle me dit, moqueuse :
- Toi tu pourras me sodomiser quand tu auras tenu 10 minutes dans mon sexe.

Arrivé à l'hôtel, elle m'a laissé lui faire l'amour. J'étais si excité que j'ai éjaculé en quelques secondes. Elle a rigolé et m'a dit :
- Dix secondes, tu t'améliores de jour en jour. Heureusement qu'il a su me baiser. Tu n'es pas prés de me sodomiser. Nettoie-moi avec ta langue maintenant !

Pendant que je nettoyais, elle me dit :
- Il sait le nom de notre hôtel et je lui ai donné mon numéro de téléphone.


Ces 4 jours commençaient bien !
chrislebo

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#297
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Enfin cocu 02



Après cette baise rapide qui a encore une fois mis en évidence mes qualités d'éjaculateur précoce, ma femme me dit :
- Va rincer "5 centimètres" et revient ici, j'ai une surprise.

De retour de la salle de bain, je vois la cage de chasteté qu'elle me fait parfois porter, posée sur le lit. Elle sourit et me dit :
- Je l'ai prise avec sans être sur de te la faire porter, mais pour te punir d'éjaculer si vite, tu va passer le week-end avec.

J'ai obéis et enfilé la cage qu'elle a ensuite cadenassée, puis mis la clé à la chaînette qu'elle a autour du cou.

Elle s'est vêtue d'un pantacourt blanc, d'un débardeur assez sexy avec un décolleté en V qui attirait les regards. Dessous elle a enfilé un string et un soutien-gorge.

Nous sommes partis nous balader en ville, il était environ 15h00.

Ma femme a reçu un texto : "Il y a un bar sympa où je serai ce soir, si tu arrives à t'échapper de la surveillance de ton mari un moment tu peux m'y rejoindre. Ton amant du tgv"

Elle m'a fait taper la réponse : "pas de soucis pour mon cocu, il n'a rien à dire et il porte une cage de chasteté. J'essaierai de venir. Sylvie"

Il a répondu "heureux de connaître ton prénom, mais dorénavant j'aimerai que tu signes tes textos votre femelle". A plus. Ton amant du tgv"

Elle a répondu : "avec plaisir. Votre femelle"
Ce mec avait dû vraiment la faire bien jouir pour qu'elle, qui me disait ne pas être attirée par la soumission, obéisse si facilement, à moins que ce soit juste pour m'humilier un peu.


Le soir, après un repas dans une brasserie, nos deux garçons mistert partis se balader de leur coté. Il faut dire qu'à 16 et 17 ans, ils n'avaient pas envie d'être avec leurs parents. J'ai donc amené ma femme dans le bar dont nous avait parlé mister amant.

Elle l'a repéré à une table avec un jeune homme noir qui semblait assez sportif.

Son amant s'est levé pour embrasser ma femme. Il l'a enlacée et a pris directement sa bouche. D'abord surprise Sylvie s'est laissée faire et ils se mistert roulé une pelle. Il a ensuite dit à mister ami :
- Je te présente ma femelle et mister cocu

Il invite ma femme à s'asseoir à coté de lui et dit hilare:
- Tu as mis une cage de chasteté à ton cocu?
- Oui, il a éjaculé en moins de dix secondes en essayant de me faire l'amour à l'hôtel alors je l'ai enfermé. Son sexe ne mérite pas mieux.

Les rires moqueurs m'ont fait rougir. Ils discutaient les trois, faisant souvent rire et un peu boire ma femme. J'appris que l'amant s'appelait Jérôme et mister copain noir Mathieu.

A un moment Jérôme dit :

- Tu n'aurais pas du mettre de sous-vêtement, tu sais bien que je déteste ça! Va les enlever!

Etonnamment, ma femme a à peine hésité avant de partir en direction des toilettes. Elle est revenue un moment après ses seins libres dans mister décolleté et sans string sous mister pantacourt. Son amant lui dit :

- Donne-moi tes dessous

Gênée, elle regarde autour d'elle, puis sort discrètement mister soutien-gorge et mister string de mister sac à main. C'est Mathieu qui les prend et les déplie devant lui et les commentant :

- Joli dentelle de bourgeoise! Des dessous rouges, ça fait pute, mais Jérôme a raimister, tu es mieux sans rien!

Quelques têtes se mistert tournées amusées. Sylvie voudrait pouvoir se cacher sous la table.

On a fini nos verres et ils ont décidé d'aller chez Jérôme en laissant les dessous de Sylvie sur la table. Je les suis portant le sac de ma femme.

Ils avaient les deux la main sur ses fesses pendant le trajet à pied. Dans le couloir de l'immeuble, Jérôme lui dit :

- Tu ne rentreras jamais autrement que nue dans mon appartement. Déshabille toi!
- Ici?
- Oui ici et dépêche-toi! Le cocu, tu te fous aussi à poil!

Nous nous sommes déshabillé. Ma cage de chasteté les a bien fait rire. Mathieu a doigté ma femme pendant que Jérôme ouvrait la porte.

Une fois dedans, ils m'ont demandé de leur servir à boire. Ils se mistert aussi déshabillé. Tous les deux bandaient déjà. Jérôme a un sexe plus long et plus gros que le mien. Celui de Mathieu est encore plus impressionnant.

Quand je suis revenu avec une bouteille de vin, Sylvie, à genoux, suce Mathieu. Jérôme m'a fait asseoir sur une chaise dans le coin de la pièce et m'a attaché les mains dans le dos.

- Regarde bien l'horloge, tu me diras combien de temps on a limé ta pute. Ça lui changera de tes 10 secondes.

Il a ensuite demandé à Sylvie de se mettre à 4 pattes. Il lui a doigté l'anus puis a mis du gel, le préparant manifestement à une sodomie.

Il a ensuite mis un préservatif et l'a sodomisée. Ma femme, très "chienne" cambre les reins et suce le sexe noir avec un plaisir non dissimulé. Je ne l'ai jamais vue comme ça…

Aprés 15 minutes, ils ont décidé de faire une pose pour faire languir Sylvie. Ils ont trinqué, tous les trois assis dans le canapé. Leurs mains doigtent et pelotent Sylvie qui gémit de plaisir.

Les salauds savent faire monter le plaisir de Sylvie qui commence à les supplier de la baiser. Mathieu lui dit :
- Montre-nous que tu es une bonne chienne, mets-toi à 4 pattes.

Elle obéit. Ils s'amusent à lui faire faire le tour de la pièce comme ça. Jérôme sort alors un collier composé de 4 bandes de cuir rattachées entre elles pas des anneaux métalliques. Il ferme le dernier anneau après l'avoir mis autour du cou.
- Ce collier à la particularité de ne pas pouvoir s'ouvrir. Tu le garderas tout ton séjour à Paris en signe de mon appartenance.
Elle proteste :
- Je ne peux pas me promener avec un collier de chienne dans la rue et surtout devant mes enfants.

Jérôme qui a réponse à tout dit :
- Il n'a pas l'allure d'un collier de chien et seul les initiés devineront que tu es une femelle soumise. Pour tes enfants, tu n'as qu'à leur dire qu'on t'a donné ça comme un porte-bonheur que tu dois garder tout le week-end.

Les yeux baissés, dans une attitude de parfaite soumise que je ne lui connaissais pas elle dit :
- Comme vous voulez Monsieur, je vous obéirai

Ils l'ont ensuite fait coucher sur le dos sur la table. Jérôme la prise assez violemment en baisant mister vagin. Il l'a pilonnée pendant de longues minutes, la faisant jouir comme je n'avais jamais réussi à le faire. Il a ensuite été remplacé par Mathieu qui a continué à faire gémir et même crié de plaisir. Elle jouit sans discontinuer.

Alors qu'ils n'avaient toujours pas jouis, Mathieu se couche parterre en demandant à Sylvie de venir s'empaler sur lui. Jérôme vient alors la sodomiser. Prise ainsi en double, elle a encore jouis. Les deux compères ont éjaculé en même temps.

Alors que Sylvie affalée dans un canapé récupère, Jérôme lui palpe les seins en lui disant :
- Tu n'es plus de première fraîcheur, mais tu es une bonne pute. On va pourvoir faire quelque chose de toi.
Puis se tournant vers moi :
- Alors cocu, tu as vu ce que s'est de faire jouir ta femme. Je suis sur que tu ne l'as jamais fais crier comme ça!

Mon sexe comprimer dans sa cage n'avait pas pu bander, portant la scène m'avait beaucoup excité. Et comme chaque fois que je suis excité avec la cage, je mouille énormément, ce qui les a bien fait rire.

Jérôme de demande:
- Alors tu as regardé combien de temps on l'a baisée?
- Oui, vous l'avez sodomisée 15 minutes, puis sur la table baisée de nouveau 10 minutes avant de finir avec 10 minutes dans mister cul. Votre ami a été 15 minutes dans sa bouche, puis 20 minutes quand elle était sur la table et 10 minutes pour finir dans mister vagin
- Tu la baises souvent ta femme?
- Une à deux fois par semaines
- Chaque fois en 10 secondes

C'est Sylvie qui a répondu :
- Non parfois ça dure un peu plus, en moyenne je dirais qu'il éjacule en 30 secondes

Il fait un petit calcul et me dit :
- Tu la baise environ 80 fois 30 secondes par année, ça fait 40 minutes. Aujourd'hui, Mathieu en est déjà à 45 minutes et moi, si on rajoute environ 20 minutes dans le train, j'en suis à 55 minutes. A ce rythme, dans très peu de temps tu ne seras plus qu'un pourcentage négligeable des pénétrations qu'aura connu mister corps et même si vous êtes mariés depuis passé 20 ans!

Les deux garçons et ma femme ont ri. Jérôme dit à ma femme :

- Demain je travaille. J'espère que tu peux te libérer en fin de journée.
- Oui, dit-elle, nos enfants vont passer le reste du week-end avec des amis qu'ils ont ici à Paris. Je n'aurai donc plus de contrainte jusqu'à dimanche.
- Trouve-toi une tenue un peu plus sexy que ce que tu as mis ce soir, sous-vêtement interdits!

Mathieu dit :
- Je passe vers 11h à ton hôtel, débrouille-toi pour y être seule. Ton cocu a qu'à s'occuper de tes enfants.

Souriante, ma femme accepte. Ils me détachent et nous amènent dans le couloir ou ils roulent une pèle à ma femme avant de nous rendre nos habits.

De retour à l'hôtel, ma femme me demande si le spectacle m'a plu. Comme je lui avoue que oui et lui dit que je l'aime, elle le répond :

- Moi aussi je t'aime et j'avoue que je n'aurai jamais pensé prendre autant de plaisir de me faire enfiler par des inconnus. Si on continue ce petit jeu, je risque de devenir accro.

Je l'ai embrassée en lui disant :
- J'espère bien

Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre
chrislebo

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#298
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Blackmailed by the Brother-in-Law


Bernard laid naked on the large bed, his little five and a half inch cock was hard in anticipation and his crotch was making thrusting motions as he waited for his wife to finish changing in the adjoining bathroom. It was their first night in the house he had grown up in. He and his brother David had roamed the big halls of the old house playing the games that little boys played, the best of friends, until the incident that drove them apart had occurred. The brother's man had passed away eight years earlier, and their lady several months ago. Bernard being the oldest, at 38, had inherited the house and he and Anne had decided to move back to his home town, since job opportunities were not very fruitful in their area. David had inherited his fair share of the money, but had not gone to their Mother's funeral as he was away in Africa on a photographic safari. He had called a week after they buried her and talked to his brother Bernard for the first time in 17 years, short of quick conversations on birthdays and Christmas. Now, David was coming to stay with them for a week, to collect some things and go pay his respect to his Mother and Father's grave site.

"Ready or not, here I come," yelled Anne from the bathroom. Bernard reached under the bed and pressed play, on the remote control to a camcorder he had hidden in the room. Anne had no idea he was secretly planning on taping their love-making session and probably would have freaked if she had known. Bernard had always fantasized about making a fuck tape with his beautiful young wife, and he knew that he was being sneaky and was probably making a mistake, but being a stupid jerk was in his nature.

Anne stepped out of the bathroom, she had gone out to by some lingerie for her husband to celebrate their first evening in the home they would probably spend the rest of their lives in. Bernard's little dick twitched as his eyes ran down his beautiful blonde wife's body. At 28, Anne was simply stunning. She was wearing a white lacy bra that covered little of her large breasts.and part of her saucer sized nipples poked over the top of the bra teasing him. Her thong panties were see-thru revealing her neatly trimmed vagina.

Bernard had known she was something special the minute she walked into the video store he had been working at four years ago. Anne had been very shy and had worn baggy clothes that couldn't hide her fabulous figure. He had tried to engage her in conversation, but she had just blushed shyly and hurried on. He had brought up her rental records and discovered her taste in movies. The next time she came in, he had recommended some of the movies she had rented a couple times before. After several conversations, he had asked her to go see a weird foreign film that matched her tastes, not a date but just as friends. By the end of the film, they were holding hands. Anne it turned out had been home schooled by an ultra-religious, overprotective lady. She had never been on a date or even kissed a boy until she had met Bernard, a friendly older man, who shared so much in common with her. Bernard had never had much success with women. His face had cleared up, but he was still the skinny little nerd in glasses he had been in school. and he knew a good thing when he saw it. He met her lady, quoted some scripture to her, and the next thing he knew, he had the wife of his dreams.

Anne did a little strip tease for her husband. In the four years she had been married, Anne had opened up a lot. She was still shy around strangers and always wore knee-length skirts and baggy sweaters in public. In private, she developed a large sex drive and loved the reaction she got from her husband whenever she wore sexy underwear for him. Anne was horny all the time and never turned down sex. What she didn't realize was that she was horny so often, because her husband never satisfied her.

Anne removed her lacy bra top and tossed it at Bernard. He caught it and threw it aside. She teased her large nipples with her fingers until they became hard and erect. She then ran the palm of her hand down her flat stomach and into her panties. She began rubbing her clit and moaning in front of her husband. Bernard was going nuts. He jumped off the bed and yanked down her thong. He quickly pulled her on top of him and entered her with his little dick. She was wet from playing with herself and he slid in easily. Anne knew nothing about foreplay and Bernard had never attempted anything but straight missionary position sex with her. It felt funny to be the one on top, but she liked it. She sighed when he came inside her 5 minutes later. I wish men lasted longer, she thought, I could make love all day. She laid down next to her husband and snuggling together they fell arelax.

chrislebo

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#299
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The next day, Bernard watched the video tape, while Anne was out shopping. He had pulled Anne on top, because he wanted a good view of her body as she bounced up and down on his dick. The tape had turned out pretty good. Anne could have been a porn star she looked so hot. He wished that he had been able to zoom in on some scenes, but figured, oh well, maybe next time.
Later that day, Anne caught Bernard looking at his parents scrap book. "That you and David," she asked. The picture showed the two boys at age 10 and 15, dressed as cowboys. "He looks so much like you," she told him. "Yeah", replied her husband. "Many people thought we were twins, despite the age difference. I was small for my age." "Nervous," she asked him. "Uh huh," he said, still looking at the pictures. "Its been 17 years, and he still hasn't forgiven me." "What did you do that was so bad?" Anne asked. Bernard quickly ran through the story......
12-year-old David didn't understand why his penis kept getting hard all the time. He also didn't understand why it felt so good when he touched his little undeveloped dick. He lay back on the couch and he began rubbing it, slowly at first, then faster. David felt his mind wander, and he pictured some of the older girls sunning themselves around the community pool in their little bikinis. He was so into his first masturbation experience that he failed to here the clicking sound of his 17-year-old brother's camera going off. Bernard and his brother were avid camera buffs, and were never without them. When Bernard saw his brother masturbating he had snapped four pictures of David's little dick. He even captured the surprise and fear on his brother's face as he experienced his first orgasm.

Bernard had developed the photographs and like the jerk he was, he showed them all over school. David had been humiliated. He and Bernard had always been the target of bullies, as they were your typical nerds, skinny, pimply faced, with large glasses perched on their noses and the photos had just made things worse. He was called pencil-dick by the jocks and none of the girls would ever talk to him. David had dropped out of school at 16 and moved out West.....
Bernard looked down at his feet, when he saw the disappointed look on Anne's face. "Bernie, that was an incredible invasion of his privacy. You should never take someone's picture without their permission." "I know, I know," he hastily replied. "I was just a stupid kid back then, but its been 17 years." "Your right, he should get over it," she said as she patted his shoulder reassuringly. "Anyway it couldn't have been that bad." Bernard told her to wait there.

He ran up to his younghood bedroom and removed the crawlspace access in his closet. He took out the picture of David orgasming and brought it down to his wife. She giggled at the expression on David's face in the picture. If it hadn't been pornographic, it could have won the pulitzer. It clearly showed an adolescent male on the road to manhood, making a sexual discovery about his body. All the shock, joy and fear were written all over David's pimply face. "One thing I don't understand, dear," she said. "What's that" "Why'd they call him pencil-dick," she asked. "His penis is the same size as yours now." "Kids are just cruel," he hastily replied as he returned the picture to his room.
****************
David pulled his rental car into the driveway of the house he grew up in. He got out of the car and put his muscular arms on his hips as he surveyed the old building. It brought back a flood memories, most of them unpleasant. He had fled to California, a humiliated wreck of a boy. He had never told his parent what his brother had done to him and they had thought David was just an uncontrollable youth. He had vowed never to be humiliated again and had started taking steroids and working out. By the age of twenty, He had grown to be 6'6" and covered in muscles. He had hung weights on his penis, lifting them with his erection. It had grown to an impressive size from all the excercise and the weight gainers he had taken.

David then started to notice girls were paying him a lot of attention and he began a period of sexual conquests. He never wanted to grow close or to be hurt and laughed at again, so he dumped them quickly after getting them in bed. David went to night shool and got his GED. From there he moved on to college and studied photography. He dropped out when a couple magazines bought his pictures, and he became semi-famous for his wildlife photographs taken all over the world.

David walked up to the steps and rang the doorbell. He waited about thirty seconds before it was opened by a beautiful blonde women. Her hair was up and she was wearing a baggy sweat shirt and pants. Her unkempt look made her seem even more attractive somehow and David felt something stir in his heart and in his pants at the sight of her. This was the kind of woman, that men felt they had to protect. "Hi, can I help you," said Linda to the handsome man standing before her. "Hi, you must be Anne," he said flashing her his dazzling smile. "Yes," she replied curiously. "I'm David, your brother-in-law," he told her. "You're David," she said, her eyes going wide. "You're not what I expected." David took his sister-in-law in his arms and gave her a quick hug, completely engulfing the smaller woman within his muscular torso.

Linda was blushing, when he released her. No man except her husband had ever held her before. She felt comfortable, and secure in his arms and it unnerved her a little. She let him into the house and said her husband was playing on the computer.
David made shushing motions with his fingers and he walked into the computer room, He looked over his brother's shoulder and saw both Anne and Bernard's email addresses. "Hello, big brother," he said in Bernard's ear. Bernard jumped up and turned around, finding himself staring at the chest of large man. He looked up in shock at the big man. "D..David."

David looked his brother over. All the old feelings resurfacing, jealously, hate, offense, and a burning desire for revenge.The years had not been kind to his brother, he was still small and nerdy, with a growing bald patch surrounded by thin greying hair. Bernard even wore the same stupid glasses they had worn as youngren. David wore contacts now and the obvious physical disparities between them caused him to feel better. Anne was intently staring at them from the doorway. How a man like Bernard could score a babe like Anne was beyond him.

Bernard was nervous when he saw his brother for the first time in 17 years. This wasn't little David, this man could toss him to the side of the room with the flick of one hand and for a moment, Bernard thought he was going to do just that. For a split second Davids eyes had narrowed and Bernard had seen violence reflected within, then it was gone and David had smiled and hugged him roughly. "Good to see you big brother," he said. "Good to see you too," replied Bernard as the air was squeezed from his lungs. Anne clapped in delight at seeing the two siblings reunited.

chrislebo

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David regaled them at dinner that night with stories of his adventures, climbing mountains and sneaking up on lions in the Serengeti. Anne seemed enthralled with David's stories and it made Bernard jealous to think that his brother was living out their boyhood dreams while all he had accomplished was buying a small video store in town. Bernard couldn't get over the change in David's appearance and had David fill him in on his work-out routine and weight lifting exercises. David said that maybe Bernard should call him big brother from now on, causing Anne to laugh much to Bernard's displeasure. Bernard told the story of how they met and David smiled to hear what a shy, innocent, young thing his new sister-in-law was. They stayed up late talking and when they finally retired, David took his brothers younghood room as his had been turned into a den.
David spent the next morning with Anne when Bernard had left for work. He showed her his photographs and told her the stories behind each one. Anne was delightful company and he told her as much. She blushed at the compliment and hugged him goodbye when he said he was leaving to pay his respects to their parents grave site.
After he left the graveyard, he decided to check out the town. He stopped for lunch at the town's diner in the late afternoon. His waitress was a plump worn looking women that seemed vaguely familiar. He was shocked when he read her name tag. It was Tiffany, the head cheerleader and one of his tormentors from high school. She seemed just as shocked when he told her who he was and they agreed to meet for dinner.
Anne was disappointed when he told her he was having dinner with an old classmate and Bernard just told him to have a good time. David picked Tiffany up at her trailer around eight. Over dinner, she filled him in on her life, She had married Josh the quarterback, had three kids by him, and then had thrown him out when his takeing became a problem. David charmed her as easily as he had charmed Anne.
David looked down at Tiffany's fat ass shaking as he fucked her doggy style with his 10" rod. "Fuck me with that big cock, Fuck meee," she moaned in orgasmic pleasure. He found the experience of fucking his former tormentor strangely unrewarding and he fantasized it was Anne he was impaling with his giant rod. She screamed as another orgasm rocked her body, when his cock erupted inside her.

Her screams had woken one of her youngren and she screamed "Get the fuck out of here." when he came to investigate. David dressed in silence and heard Tiffany yell "call me" as he left her trailer.

David spent the next day exploring the town with Anne and they had a picnic in the park. When they returned Tiffany had left two messages on the answering machine which he ignored.
David was wide awake and horny when he retired for the evening, he heard Anne giggling in the next room as she and Bernard made love, and his cock got hard. David remembered where Bernard used to hide his porn as a teenager and he went into the closet to look for some. David removed the lid to the crawl space and reached inside, his hands closed on an unlabelled video cassette. Cool, a porn, he thought, I'll have to check it out tomorrow. He reached in again and pulled out the photograph of him masturbating as a boy. His erection disappeared as he looked at the frightened boy experiencing his first orgasm.
Dammit! Why did Bernard save this thing? A thought occurred to him. Was Bernard still trying to use this picture against him? Was he showing it around to people? Had Anne seen it? He realized he was being irrational, but still the thoughts kept popping up in his mind. He returned the video and the photograph to its hiding place in the closet and laid back on the bed. He could hear Anne talking through the wall.

"Anne, keep it down," whispered her husband. "You don't want pencil dick to hear us." Anne couldn't help herself and gave a little laugh, then she whispered in her husbands ear "Bernard that wasn't nice." "I know, I know," he whispered back. "I'm sorry, it was just a stupid joke." David's eyes were wide and he had shot up in the bed. His face was red and his eyes had narrowed with fury. He had heard pencil dick and then Anne laughing. He had heard nothing after that. Visions of pummelling his brother beneath his fists surfaced in his mind, and Anne how could she laugh, she had been the only ray of sunshine in this miserable town. They should be punished, but how?

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