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histoire

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patt

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Posts: 38
#1
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Oui je reve que ce genre de situation arrive.....
ma femme travaille a mister compte et de temps en temps de clients vienne a la maimister porter des pipers,des livreurs ect.....
mon beau-fere es plombier......et on au eu une fuite a un moment donner.
Elle lui as dit de passer quand il pourra et que rien etais presser.....
.le ledemain je pris la d�cision de quitter tot a midi j,alalis pour me fair un Uturn quand jai appercu l.auto de mon beau-frere........je suis donc continuer et suis aller diner.je suis revenue 2 heure plus tard il etais parti...........elle me dit tu es la de bonheure je lui dit oui j,avais un peu mal a la tete j,espere que cela ne te derange pas.........et je me dirigea a la salle de bain l.eau coulais encore de dessous le lavabo je ne dit et fais aucune remarque... mon coeur battais a 100 a lheure...je pris ma douche et je colla ma femme en sortant pour qu,elle sente mon excitation....
Elle ne ne me repoussais pas et je la fit se coucher elle etais tres chaude.....je lui disais combien elle sentais bonne et comment elle etais chaude........je lui fis l.amour et on a jouis tres fort ensemble..........
.
Je me sentias si exciter car elle ne me dit jamais que mon beaufrere le mari de sa soeur etais venue a la maimister...........je pris quelque risque les jours suivant pour revoir mister auto mais non.......je faisais un aller retour durant mon heure de lunch......puis le jeudi suivant.......bingo...mister auto etais la...........wow toute la journ�e ma tete etais remplis d,image et de fantasme j,avais bcp de diffilciter a travailler a mon retour a la maimister j,alla prendre une douche et m,appercu que le lavabo netais pas encore reparer........cette fois pour ne pas semer de doute je nela colla pas...........le soir venue dans le lit on se mis a fantasmer et je lui disais que je pensais bien que des client te seduisais etc.......ele etais tres exciter tu aimerais ca mon cochon que je me fasse baiser par un autre hein........et si je le faisais deja et que ca dur depuis des semaines.....je ne pu me retenir et ejacula...........elle se mit a rire alors la jouir vite comme ca tu va bienvite me donner envie de le faire mon bel amour......
.
le weekebnd arrive et on alla souper chez la belle soeur....je voyais maintenant la compliciter de ma femme avec le beau-frere et eux non ne se doutais de rien..........,
dans la soir�e je dit a mon beau-frere michel mister nom tu sais tu peu passra la mainmister quand tu veut pour reparer l.evier ma femme es souvent a la maimister.............oui me dit-il promis je viendrais.......
le lavabo coule encore et ca fais 1 mois et demie.........je crois que c a tout les jeudi .. j,adore cete situation et ne cesse de me masturber en y pensans quel salope ..........
cpltrio1

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#2
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patt
tu r�ves de cette situation ou est elle arriv�e r�ellement ?
patt

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Posts: 38
#3
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je le reve............mais il y a eu effectivement un petit quelque chose avec ma femme et le beau-frere
cpltrio1

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Posts: 185
#4
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patt
bonjour . Tu ne d�taillerais pas un peu??
fawi

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Posts: 76
#5
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Oui bonne id�e d�taille un peu !
Il y a un blog ou tu pourrais raconter ton histoire "cocu et jistoire de soumission" : The hyperlink is visible to registered members only!
blackmarc

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Posts: 13
#6
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Le d�but d'une autre histoire, dites-moi si vous voulez la suite ...

Elle attendait debout derri�re la porte, dans ce qu'elle appelait une tenue de sortie. Cela consistait en une sorte de body noir fait de 2 minces bandes de tissu nou�es derri�re mister cou, descendant sur ses seins et se rejoignant en un minuscule triangle sur la fente de mister sexe pour remonter par la raie des fesses en une seule bande et rejoindre le n�ud derri�re le cou. Le tissu �tait tellement transparent que les 2 anneaux per�ant ses t�tons �taient bien visibles ainsi que les 5 autres anneaux per�ant les l�vres de mister sexe et mister clitoris. Ultra maquill�e, juch�e sur ses mules ouvertes � talons aiguilles de 12 cms, elle portait mister collier de chien, sa cha�ne � la taille, ses cha�nes de chevilles et ses anneaux de doigt de pied. Sa peau blanche et laiteuse ressortait avec le noir du tissu de m�me que ses cheveux blonds coup�s en carr� court avec sa m�che descendant sur mister visage qui lui donnait un air de salope distingu�e.
"Tu sors ce soir" lui demanda t-il bien que sa tenue n'�tait pas vraiment celle d'une sortie "normale"
"Oui, Mamadou m'emm�ne � l'abattage dans un foyer d'immigr�s africains de la banlieue Nord, il va en faire un film pour mettre sur le site internet"
"Tu es tr�s bandante comme cela ma ch�rie, tu ressemble vraiment � la derni�re des pute, Mamadou va aimer, et du devrait avoir encore beaucoup de succ�s au foyer !"
Ravie du compliment elle fit un tour sur elle m�me et commen�a � aller et venir dans l'entr�e en se d�hanchant, ses seins lourds et tombant tressautaient lors de l'impact des talons sur le sol de m�me que mister cul g�n�reux. Son mari la traitait de pute et elle irradiait de bonheur d�prav�.
"Il m'a dit que c'est mon cul qui va prendre ce soir et que mon cul ! Je ne serais utilis�e que par derri�re, et il va me cadenasser les l�vres de la chatte" me dit-elle avec gourmandise.
Il regarda sa femme et se rem�mora en quelques seconde mister �volution. A 52 ans C. �tait bien conserv�e d'autant qu'elle �tait bien pourvue par la nature, 1,68 m�tre pour 64 kilos, de belles fesses et une poitrine g�n�reuse en 95 C. Le corps un peu marqu� par ses 4 grossesses elle n�avait pas la taille mannequin mais �tait une tr�s belle femme m�re. Ses cuisses �taient un peu trop �paisses, ses seins tombaient un peu et elle avait un petit ventre mais rien de bien m�chant. En revanche ses poignets et ses chevilles �taient fins, sa peau �tait une vraie peau de blonde, douce et d�un blanc laiteux bizarrement quelque peu translucide, laissant deviner par endroit certaines veines comme sur sa poitrine. Son port de t�te distingu� et ses yeux bleus sous ses cheveux d�un blond tr�s clair lui donnait comme on dit � du chien �. Ils s��taient mari�s tr�s jeunes et avaient eu quatre enfants qui �taient grands maintenant. Ils avaient commenc� le libertinage et l��changisme peu apr�s que le dernier enfant ai quitt� la maimister familiale mais leur vie avait bascul� il y a 3 ans quand elle avait rencontr� Mamadou qui �tait entr� comme chef du permisternel d�entretien dans l�entreprise ou elle �tait assistante de direction.

Son regard se posa le haut de sa fesse gauche : Mamadou l'avait fait marquer au fer rouge il y avait maintenant deux ans et le motif teint�e lors du marquage repr�sentait six signes "males" de couleur noire transper�ant un signe femelle blanc, le reflet de mister statut du chienne blanche � gang-bang blacks. Sur mister autre fesse, un tatouage en lettres noires indiquait "je suis r�serv�e aux queues noires".
Et c'�tait mister statut depuis maintenant 3 ans, une v�ritable chienne, une esclave sexuelle � la disposition de mister ma�tre noir Mamadou. Durant ces 3 ann�es il lui avait fait descendre tous les �chelons de la d�ch�ance pour en faire ce qu'elle �tait maintenant, une pute d'abattage et � gang-bang. D�finitivement �pil�e au laser sur tout le corps, tatou�e et perc�e, toujours dans l�une de ses tenues ind�cente et hyper provocante elle n'�tait bonne qu'� vider des couilles blacks et � se faire remplir tous ses orifices par leur pr�cieux jus. Lors de s�ances m�morables de honte et d�offense pour elle surtout mais aussi pour lui puisque Mamadou voulait qu�il soit l� aussi, mister ma�tre lui avait fait renouveler la totalit� de sa garde-robe qui ne comprenait plus aucune culotte ni aucun soutien-gorge, le port de sous-v�tements lui �tant formellement interdit hormis quelques supports de seins d�coup�s afin d��viter que sa poitrine ne tombe encore plus. En revanche sa penderie regorgeait de hauts transparents ou d�une taille microscopique achet�s quasiment au rayon adolescentes, des mini-jupes d�une longueur maximum de 25 cms c�est � dire au � ras la chatte qui laissait voir sa fente �pil�e et perc�e quand elle se penchait, des robes transparentes et/ou moulantes, hyper courtes et souvent fendues dont la superficie en tissu devait repr�senter au maximum 2 grands mouchoirs en tissu ainsi que quelques corsets qui lui coupaient le souffle quand elle en mettait mais lui donnait une taille de gu�pe que mister ma�tre appr�ciait. Et bien entendu des chaussures, escarpins et mules, � brides ou � lani�res se la�ant sur la chevilles, dont les talons aiguilles mesuraient de 12 � 18 cms. Il fallait la voir se promener dans la rue, elle la femme mure la cinquantaine pass�e, habill�e comme une pute au bras de mister ma�tre noir d'� peine 30 ans, bravant le regard outrag� des passants.

Mamadou occupait toujours le m�me poste dans la soci�t� d�ing�nierie ou ils s ��taient rencontr�s mais elle avait quitt� mister poste d'assistante de direction car il l'avait plac�e comme serveuse dans un bar interlope du 18e arrondissement dont le propri�taire �tait un cousin de Mamadou qui se pr�nommait Abdoulaye, un repaire de toute une faune dont la caract�ristique �tait la couleur de peau : noire. Sa tenue de service �tait immuable : aucun dessous mais un haut sans manche en r�sille transparent avec un d�collet� tr�s large et descendant r�ellement jusqu'au nombril devant et jusqu'au bas du dos derri�re, une mini-jupe hyper moulante taill�e dans un tissu tr�s souple et �lastique qui recouvrait � peine ses fesses mais les moulaient � la perfection et bien s�r, des mules � talons de 12 cms. Toute la journ�e ses seins lourds se balan�aient au rythme de ses pas ainsi que mister fessier d'autant qu'elle avait l'obligation de marcher en tournant du cul ce qu'elle faisait avec un plaisir non dissimul�. Bien s�r elle �tait tripot�e en permanence par les clients qui lui prenait les seins � pleines mains, mettait des doigts dans sa fente et dans mister trou du cul, jetait � terre des objets qu'elle ramassait � quatre pattes d�voilant sa chatte perc�e et montait dans une chambre crasseuse � l'�tage avec ceux qui le demandait pour une passe rapide dont les gains allaient � Abdoulaye. Tr�s souvent, Abdoulaye la frappait avec sa ceinture, sous pr�texte d'une maladresse, d'une erreur et alors devant tous les clients, elle se mettait nue et comptait � haute voix les coups de ceinture qui tombait avec violence, sur tout le corps mais de pr�f�rence sur les seins, le cul et les cuisses. Puis elle se rhabillait et reprenait mister service la fente tremp�e d�excitation par l�offense publique qu�elle venait de conna�tre.

M�me en vacances au cap d'Agde o� elle partait 1 mois pour accompagner mister ma�tre pendant ses vacances, elle trouvait � �tonner par ses tenues et mister comportement scandaleux. Son ma�tre lui r�glait un emploi du temps d'une r�gularit� de m�tronome et ses tenues n'�taient pas tr�s vari�es. A l'int�rieur, nue en permanence juch�e sur des talons tr�s hauts, � l'ext�rieur de jour comme de nuit et quelquesoit le temps elle portait soit un body fait de mince lamelles de tissu, soit un harnais de soumise, bien �videmment toujours juch�e sur des talons d�mesur�s. Inutile de pr�ciser qu'en pleine journ�e elle faisait sensation dans les rues du Cap. Le matin �tait consacr� � dormir pour r�cup�rer de la nuit agit�e. Puis le midi, d�jeuner � l'ext�rieur, elle se tenait accroupi les cuisses le plus �cart�es possibles pr�s de la table de mister ma�tre qui la nourrissait � la main, telle la chienne qu'elle �tait, la laisse pendant � mister cou de m�me que les gros anneaux qui per�aient ses seins et sa chatte. Comme ils passaient un bon nombre de nuits dans des bo�tes � tendance SM, mister corps �tait stri� de grandes balafres, dues aux s�ances pouss�es de cravache et de fouet. Puis il l'emmenait � la plage, la tirant par la laisse accroch�e au collier de chien � mister cou ou m�me parfois accroch�e avec des gros mousqueton aux anneaux de sa chatte pour la livrer aux bandes de males � l'aff�t de ce genre de salope au Cap. Mais elle n'�tait que tripot�e, et faisait des pipes � la cantonade car elle restait r�serv�e aux noirs uniquement pour mister cul et pour sa chatte. Puis le soir venu et toute la nuit elle �tait exhib�e dans les bo�tes � partouzes, elle taillait des pipes en veux-tu en voila et �tait mise � la disposition des blacks pr�sents qui la prenait par tous les trous.

La misternette de l�entr�e retentit le sortant de ses pens�es. Il marcha jusqu�� la porte et ouvrit, c��tait Mamadou.
houston

Member

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#7
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ouiiiiiiiiiii
cocu1

Member

Posts: 103
#8
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vivement la suite
hpourslpe

Member

Posts: 279
#9
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l'aure we, j'ai vu � Houdan une salope qui ressemblait � cette pute :
grosse - blonde - talons tr�s hauts - jupe micro - haut tr�s d�collet� sur grosse poitrine.
c'est elle?
blackmarc

Member

Posts: 13
#10
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non hpourslpe, ce n'�tait pas elle � houdan.
La suite :

� Salut petite bite blanche � dit ce dernier en entrant et en lui tapant vigoureusement l��paule, � ta vieille pute est l�, je la sort en foyer ce soir, on tourne une vid�o �. Il aper�u C. qui se tenait debout, bien droite, les mains derri�re le dos. Il s�en approcha et l�attrapant par les cheveux lui intima l�ordre de se retourner. � tu n�est presque plus marqu�e ma salope, tu manque de cravache, tu aura une longue s�ance ce soir au foyer � lui dit-il, et il lui assena violemment plusieurs claques sur les fesses !

Mamadou qui �tait S�n�galais �tait arriv� en France avec sa famille quand il �tait tout petit et s�exprimait sans aucun accent africain. Il �tait grand, musculature fine et le crane totalement ras�. Le regard dur il inspirait la crainte et l�autorit�. "Va chercher une paire de menottes ce soir tu n'a pas le droit d'utiliser tes mains, tu les aura menott�es derri�re le dos, ce soir c�est ni chatte ni mains" dit-il en s'adressant � C. Quelques secondes plus tard elle �tait l� avec une paire de menottes en acier. "Tournes-toi et mets les mains derri�re le dos". Il lui menotta les mains. � Bon maintenant tu va chercher 2 cadenas et un cravache fine et longue, une cravache � marquer les chiennes de ton genre � lui dit-il en la retournant, les mains menott�es derri�re le dos. C. repartit dans le couloir de l�appartement pour aller chercher dans la chambre conjugale les accessoires demand�s par mister ma�tre se d�hanchant de mani�re ultra suggestive � chaque pas du fait de la hauteur vertigineuse de ses talons. Elle marchait comme les mannequins des d�fil�s ses deux pieds se posant sur une ligne imaginaire au sol entre ses deux jambes. Elle revint en tenant derri�re mister dos 2 gros cadenas et une cravache tress�e, tr�s fine et d�environ 1m20 qu�elle tendit � Mamadou en se mettant de cot�. Son mari qui assistait � la sc�ne un peu en retrait fixa la cravache et s� �tonna � haute voix du choix de C. qui redoutait particuli�rement cette cravache qui massacrait litt�ralement les chairs en laissant de grosses balafres � l�endroit des coups : � ma ch�rie pourquoi tu as choisi cette cravache, tu m�a toujours dit qu�elle te fait atrocement mal �. C. le regarda puis regarda Mamadou avec d�votion et dit � oui c�est vrai, mais c�est la pr�f�r�e de mon ma�tre �. Mamadou ricanna � En plus d��tre un trou � bites tu es compl�tement maso ma vieille salope, tu ne vas pas �tre d��ue ! �. Il se pencha devant elle et passa les cadenas dans les 4 anneaux qui per�aient ses l�vres vaginales, les rejoignant 2 par deux de mani�re � fermer l�acc�s � sa fente.

� Allez � dit Mamadou en prenant la laisse qui pendait au cou de C., � il neige, tu va marcher jusqu�au coin de la rue sur ta gauche et tu m�attends sur le trottoir devant la voiture, je suis gar� � 100 m� lui dit-il, � je prends un caf� que ton cocu de mari va m�offrir�. Mamadou aimait bien la voir terroris�e � l�id�e de rencontrer un voisin bien qu�� cette heure dans leur immeuble bourgeois les communs soient d�serts et que depuis le temps sa vie de d�bauche soit bien connue des habitants de l�immeuble. C. se dirigea vers la porte et franchi le seuil, ob�issant � mister ma�tre. Son mari la regardait partir dehors quasiment nue, la chatte cadenass�e, les mains attach�es derri�re le dos tenant la redoutable cravache, par un froid glacial et une onde de chaleur lui traversa le bas ventre. Sa femme, allait attendre mister amant, nue dehors par cette nuit glac�e pour aller se faire d�molir le cul par des dizaines de noirs aux couilles bien pleines et au membre souvent d�mesur�, et elle �tait heureuse de mister sort, sans d�fense, priv�e de l'usage de ses mains totalement soumise. Elle s'�loignait dans le couloir et se dirigeait vers l'escalier car Mamadou ne voulait pas qu'elle prenne l'ascenseur ni pour monter ni pour descendre malgr� les 6 �tages. Elle tournait du cul comme Mamadou lui avait appris � le faire en se d�hanchant sur ses talons vertigineux et mister superbe fessier tressautait � chaque pas de mani�re ultra provocante, elle n'�tait qu'un trou � bites sur pattes, elle l'ex-bourgeoise distingu�e. Il se dit que dans quelques heures elle reviendrait au milieu de la nuit d�goulinante de sperme, le trou du cul explos� et sanguinolent � power de s'�tre fait enculer mais dans un �tat d'extase indescriptible d'avoir �t� pendant quelques heures la truie soumise d'un groupe de black. Elle serait tellement fi�re de lui montrer la vid�o de sa nuit qu'elle le r�veillerait pour la lui faire visionner et l� il la verrait soumise, le corps stri� de marques de cravache, � quatre pattes et bien cambr�e les mains �cartant ses fesses aux maximum, du sperme d�goulinant du trou du cul, coulant le long de sa chatte cadenass�e pour terminer en longs filaments sur le drap crasseux, attendre et recevoir les assauts des monstrueuses queues noires. Il verrait le d�fil� des corps noirs la prendre en levrette ou sur le dos, la pistonnant vigoureusement pour finir par d�charger leur jus dans mister cul ou dans sa bouche s�ils avaient le temps de la retourner pour lui �jaculer au visage. Elle se coucherait aupr�s de lui sans se laver ni se changer, tachant les draps de leur lit conjugal avec une quantit� impressionnante de jus de couilles qui d�gorgerait de mister cul durant le peu d'heures qu'il lui restait de sa nuit avant qu'elle ne se l�ve d�s 5h30 pour se pr�parer � aller assumer mister r�le de putain serveuse dans le bouge d�Abdoulaye.

Mamadou le bouscula et du pas de la porte appela "eh, viens ici" lui cria t-il. En se contorsionnant elle �tait en train d'essayer d'ouvrir la porte pali�re de l'escalier avec ses mains dans le dos et s'arr�tant toute net, marcha vers eux ses gros nichons tressautant au m�me rythme que mister cul � chaque pas. Elle avait vraiment l'allure de ce qu'elle �tait, une v�ritable chienne, hyper salope et totalement soumise. "Est-ce que tu as parl� au cocu de ton voyage du mois prochain" lui demanda t-il ? "Non" r�pondit-elle en baissant les yeux. "Tu seras punie connasse, quand je te dis quelque chose tu le fais c'est compris ?" et il lui ass�na 2 gifles qui lui laiss�rent les joues rougies. "Je l'emm�ne avec moi au S�n�gal d�but octobre pour une semaine, je vais voir de la famille l�-bas et elle ira tapiner dans un bordel pr�s du port tenu par l'un de mes potes. Elle fera la pute la journ�e et j'organiserai des soir�e priv�es pour le soir, une telle chienne elle sera tr�s demand�e" rigola t-il. "Pardon ma�tre, je suis tellement contente, je voulais le dire � mon mari � mon retour tout � l'heure. Je ne vous d�cevrais pas, vous pourrez faire de moi ce que vous voulez, je suis � vous, je vous appartient" dit-elle en se jetant � ses genoux.

"Je vais me faire un max de fric avec toi vieille salope, tu vas te faire d�foncer de tous les cot�s, tout le temps, tu vas voir tu vas aimer et peut-�tre m�me que tu ne voudra plus repartir" lui dit-il en souriant.
Virgill

Anonymous

#11
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Geniale cette histoire. Bravo
Sabine bcbg

Member

Posts: 37
#12
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De retour du Maroc (vacances), je d�couvre cette sublime histoire...
blackmarc vous �tes un g�nie de la plume. Cette histoire avec ses d�tails si vrais semble r�elle...
Vous auriez du ouvrir un topic sp�cialement pour cette roman. Encore une fois bravo c'est un plaisir de vous lire, j'esp�re que suite il y aura.

Sabine
blackmarc

Member

Posts: 13
#13
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Merci de vos encouragement, connaissez-vous autour de vous des putes qui lui ressemblent ??
Bientot des photos de la pute C. en action ...mais en attendant la suite de ses exp�riences de d�bauche :

Elle le regardait b�ate d�admiration et de crainte m�l�es, mais mister mari pouvait comme lire dans ses pens�es quelque chose qui devait �tre � Tant que vous me gardez comme votre pute soumise j�accepterai tout de vous �. Le mari de C. se tourna vers Mamadou et plaisanta � ma�tre Mamadou, je suis s�r qu�elle est tremp�e rien qu�� vous entendre, elle aime tellement quand vous l�humiliez, quand vous la maltraitez, j�en suis m�me � me demander si elle ne fait pas tout cela expr�s, vous d�sob�ir et vous �nerver pour d�clencher votre col�re �. En souriant Mamadou ins�ra entre les cadenas un doigt dans la fente de C. qui �tait bien s�r tremp�. � Exact, ce sac � foutre d�gouline, elle a la chatte tremp�e, tu connais bien ta vieille pute toi � r�pondit-il. Il attrapa C. par les anneaux per�ant ses seins et la tira � lui vulgarement d�clenchant un cri de douleur de mister esclave � tu sais quand je commenc� avec toi je n�aurais jamais imagin� qui tu serais une telle salope, que tu serais aussi rapidement et aussi compl�tement d�prav�e mais tu vas encore descendre encore plus bas immonde train�e, tu vas voir au S�n�gal �a va �tre ta f�te. Mon copain va te mettre � l�abattage et ce sera toujours plus de clients � faire et tu va comprendre que les marins du port de Dakar, c�est pas des tendres. En plus de l�abattage je demanderai aux autres filles noires du bordel de s�occuper de toi, de te dresser � leur mani�re, tu sera leur passe-temps favori et tes passes te para�tront tellement douce par rapport � ce qu�elle vont te faire subir�. � Allez maintenant d�gage, va � la voiture m�attendre t�es vraiment qu�une poufiasse � termina t-il en la repoussant � ce soir tu vas �tre massacr�e � la cravache, tu vas regretter de me d�sob�ir , moi je prends un caf� maintenant�.

C. repassa le pas de la porte, s��loigna dans le couloir et apr�s de multiples contorsions pour ouvrir la porte pali�re avec ses mains menott�es dans le dos, elle disparu dans l�escalier impatiente de la soir�e de douleur, de soumission et de couilles noires � vider qui l�attendait. Sa crainte �tait de se retrouver nez � nez avec un r�sident de l�immeuble qui la verrait dans cette tenue, mais cela l�excitait aussi, ainsi ils auraient la preuve intangible de mister statut de femme � blacks, ce dont elle �tait si fi�re et qui �tait toute sa vie maintenant. Puis apr�s il y avait la rue, cet espace dans lequel le plus dur vu les tenues qu�elle portait, �tait de ne pas se faire arr�ter par la police pour incitation � la d�bauche ou racolage comme n�importe quelle pute. Ce soir il faisait nuit, il neigeait et il faisait tr�s froid, les 100 m qu�elle devait parcourir ne devrait heureusement pas l�amener � croiser �me qui vive. Elle s�arr�tait r�guli�rement dans sa descente des escaliers pour �couter s�il y avait des bruits dans l�immeuble indiquant que quelqu�un risquait de la voir et reprenait sa descente. Arriv�e dans l�entr�e de l�immeuble devant la porte donnant sur la rue, elle se mit � paniquer : comment ouvrir la porte qui n�cessitait de presser un interrupteur situ� sur le mur en m�me temps qu�il fallait tirer la porte � soi par une poign�e, avec ses mains menott�es dans le dos ! Si mister ma�tre la trouvait ici bloqu�e alors qu�il la voulait pr�s de la voiture elle allait passer un tr�s mauvais moment ! Elle frismistera de terreur et d�excitation m�lang�e sentant une vague de chaleur lui traverser le corps partant de mister bas ventre pour remonter jusqu�au visage. Mais elle r�ussit � ouvrir en appuyant sur l�interrupteur avec mister talon pendant qu�elle tenait la poign�e avec ses mains. Le froid vif la saisi imm�diatement d�s qu�elle eu ouvert la porte. Elle regarda alentour et ne voyant permisterne remonta la rue jusqu�� la voiture de Mamadou marchant aussi vite que lui permettait ses talons et se glissant sous un porche d�immeuble heureusement juste en face de la voiture pour l�attendre.

Elle �tait frigorifi�e quand Mamadou arriva une dizaine de minutes plus tard. Il ouvrit sa voiture, une vieille Renault Sc�nic et sans un mot, il ouvrit le coffre. C. s�y installa ni couch�e ni assise faute de place en hauteur et en largeur sous le cache-coffre. Sauf cas particulier quand ils voyageaient avec d�autres permisternes qui voulaient profiter de C. durant le trajet, elle n�avait pas le droit d��tre dans l�habitacle, sa place �tait dans le coffre comme la chienne qu�elle �tait. Le trajet de pr�s d�une heure fut comme tant d�autre tr�s inconfortable pour C. Enfin Mamadou coupa le contact, ils �taient arriv�s au foyer. Elle savait que Mamadou avait forc�ment pris contact avec le responsable du foyer pour organiser la soir�e dont elle �tait l�objet et elle l�entendit parler avec mister t�l�phone portable. Quelques secondes plus tard elle entendit des voix � l�ext�rieur de la voiture.

Mamadou la fit descendre et elle se retrouva entour�e de 3 colosses noirs qui visiblement connaissaient mister ma�tre. � Alors je vous avais pas menti les mecs, hein � leur dit-il, � vous avez vu beau cul, grosses mamelles, bouche � pipes. Elle est tr�s ob�issante, hyper soumise et hyper salope. Elle fait tout ce que je lui ordonne et elle aime la queue de renoi comme c�est pas possible, elle ne pense qu�� se faire fourrer par du gros calibre black ; hein c�est vrai la pute ce que je dis �. � Oui ma�tre je suis votre esclave soumise, j�aime votre queue noire et celle de vos fr�res noirs et je ferais tout ce que vous me demandez, je vous appartient � r�pondit C. d�une petite voix. � Tourne-toi pour faire voir � mes potes comme ils vont s�amuser tout � l�heure avec toi , �cartes-toi le cul et la fente, montres tes nichons, montres ta bouche de pipeuse� continua Mamadou . C. se mit � pivoter sur elle m�me, se penchant en avant pour �carter ses fesses avec ses deux mains menott�es et montrer sa rondelle de trou du cul, tenta tant bien que mal d��carter les l�vres de sa chatte malgr� les cadenas se retourna pour faire face au 3 blacks et fit tressauter ses nichons en remuant le torse. Puis elle s�accroupi, ouvrit la bouche et passant sa langue sur ses l�vres fard�es elle murmura � videz-vous les couilles dans mon cul, ma chatte ou ma bouche, maltraitez-moi, humiliez-moi je ne suis qu�une pute � blacks �. Son ma�tre s�adressa � l�un des colosses � prend le mat�riel vid�o sur le si�ge arri�re, il y a un cam�scope, une lampe halog�ne et une rallonge �lectrique, on va tourner la soir�e en vid�o, j�ai besoin d�un volontaire pour jouer au cam�raman, qui veut ? �. Il attrapa la laisse qui pendait au cou de C. et en la tirant fermement, la mena dans l�entr�e du foyer. Elle se dit que l�endroit tenait plus du squat que du foyer, c��tait un endroit sale, jonch� de d�tritus et qui sentait tr�s mauvais un m�lange de cuisine, de crasse et d�urine. Plusieurs petits groupes de r�sidents du foyer qui discutaient s�arr�t�rent net en voyant arriver C. Il faut dire que s��tait une apparition incroyable dans cet environnement d�labr�, elle la belle bourgeoise blonde, scandaleusement v�tue que de deux minuscules bandes de tissu transparent laissant voir en d�tail mister corps perc� et tatou� qui n��tait qu�un appel au viol imm�diat, tenue en laisse par mister amant et accentuant mister apparence de d�pravation par un d�hanchement accentu� � chaque pas. Passant devant eux, C. leur adressa un grand sourire.
Virgill

Anonymous

#14
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G�nial pas d'autre mot. ENCORE please
cocu1

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#15
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felicitations pour ce recit
blackmarc

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#16
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Les experiences extr�mes de la chienne C. n'interessent malheureusement pas grand monde � part quelques puristes que je remercie pour leurs encouragements. La suite (de plus en plus hard...)

Maina, l�un des colosses qui les prot�geaient s��tait port� volontaire pour filmer la soir�e et demanda � Mamadou � eh, on devrait filmer l�arriver c�est important de la voir rentrer dans le foyer �. � Ok � r�pondit Mamadou, je refais l�entr�e, commence � filmer � et il fit demi-tour suivi de C. tir�e par sa laisse pour retourner pr�s de la voiture. Maina qui avait pr�par� le mat�riel en un temps record fit signe � Mamadou de revenir et commen�a � filmer. C. �tait conduite � l��tage et arpentait les couloirs du foyer toujours tir�e en laisse par mister dieu noir Mamadou et suivie par un nombre de plus en plus important de r�sidents, les yeux exorbit�s d�une telle apparition. Il entr�rent dans une grande pi�ce qui �tait elle aussi d�une salet� repoussante, au milieu de laquelle avait �t� jet� un matelas � m�me le sol. C. avait suffisamment �t� mise � l�abattage en foyer pour savoir que c�est dans cette pi�ce qu�elle serait livr�e au blacks en rut qui la d�vorait des yeux. Son ma�tre la fit tr�bucher et s��talant sur le matelas faute de pouvoir se retenir avec ses mains se retrouva le nez coll� au drap qui l�enveloppait. Il �tait recouvert de tache suspectes et d�gageait une odeur f�tide, faite de transpiration, de crasse et peut �tre m�me un peu d�urine, et savoir qu�elle allait subir les assauts des blacks sur cette couche immonde lui provoqua une brusque bouff�e de chaleur au creux du ventre. Mamadou se pla�a pr�s du matelas et prit la parole d�une voix forte : � Mes fr�res je vous am�ne mon esclave blanche, une vraie salope bourgeoise qui veut se faire d�foncer par le maximum d�africains ce soir mais seul mister cul est accessible. Profitez d�elle, enculez-la comme �a vous pla�t dans la position que vous voulez, mais la s�ance est film�e et sera mise sur mister site internet. Ceux qui ne veulent pas �tre reconnu peuvent porter un masque. Vous la prenez chacun votre tour avec ou sans capote comme vous voulez et vous d�chargez dans mister cul ou dans sa bouche mais vous ne pourrez pas la tirer par la chatte, et comme elle adore le jus de nos couilles � nous ses ma�tres noirs, elle avalera tout le foutre �jacul� ce soir. Apr�s votre tour, vous venez me dire si elle vous a fait bien jouir, si ce n�est pas le cas elle sera punie. Si vous n��tes pas tr�s content elle aura un coup de cravache, si vous �tes tr�s m�content elle en aura trois �. Puis s�adressant � C. � Allez vieille truie en position pour te faire exploser le cul, et tu n�oublies pas, tu regardes bien la camera qu�on voit bien ta face de chienne en train de se faire mettre � termina Mamadou en d�nouant le n�ud qui retenait derri�re le cou les lani�res de tissu de la tenue de C.

En bonne esclave ob�issante C. qui �tait maintenant nue mais avait conserv� ses mules � talons hauts aux pieds se mit en position, c�est � dire � genoux, cambr�e et pench�e en avant, la t�te touchant le matelas, les mains aux ongles vernis �cartant ses fesses au maximum offrant sa rondelle � d�molir aux dizaines de blacks qui �taient dans la pi�ce. Maina �tait tout � cot� du matelas filmant en plan serr� le visage et le corps de C., ses mamelles pendantes, mister anus �tir� qui surmontait sa fente cadenass� et ses fesses marqu�es au fer et tatou�es confirmant mister statut de r�ceptacle � foutre. Un premier black vint se mettre � genoux derri�re elle, cracha un peu de salive dans sa main qu�il �tala sur sa rondelle et la p�n�tra d�un coup. Apr�s quelques va et vient il �jacula et elle sentit un v�ritable torrent envahir ses entrailles. Esquissant un sourire de contentement, elle pensa avec gourmandise que c��tait comme tant d�autres fois, ces hommes qui n�avait pas bais� depuis des jours ou des semaines avaient des quantit�s incroyables de sperme dans leur bourses et qu�elle allait certainement se r�galer d�une grande quantit� de semence durant la soir�e. Alors que le black se relevait et s�en allait Mamadou le questionna � alors tu es content, elle est bonne ? � � Non pas content du tout, j�ai tout crach� trop vite, c�est de sa faute �. Mamadou parti d�un grand sourire � alors elle va �tre punie de trois coup de cravache � dit-il. Il s�approcha du matelas la cravache � la main et brusquement ass�na un coup violent sur les fesses de C. qui hurla de douleur. � Ta gueule la chienne je veux pas t�entendre, tu sais que tu je vais te massacrer ce soir alors �a sert � rien de gueuler � et il lui assena encore 2 coups l�un sur le haut des cuisses, l�autre sur le bas du dos accompagn� des g�missements de douleur qu��mettait C. La soir�e �tait lanc�e. Quelqu�un du foyer avait amen� un gros poste lecteur de CD et des musiques africaines jouaient en fond misterore. Les blacks se succ�dait dans mister trou par derri�re en levrette ou par devant en lui maintenant les chevilles presque � toucher le matelas de chaque cot� de sa t�te, se vidaient les couilles en elle, ou sur elle, sur mister ventre sur mister dos ou sur mister visage quand ils se retiraient � temps avant d��jaculer. Dans le m�me temps, certains se faisaient mettre en condition et lui fourraient leur queue dans la bouche qu�elle su�ait avidement. Ceux qui d�chargeaient sur elle montraient de puissant jets qui projetaient du foutre � plusieurs dizaine de centim�tres et qui rapidement l�avait couverte de sperme.

Le cinqui�me black venait de retirer sa queue du cul de C. apr�s avoir �jacul� en longues saccades, quand Mamadou apr�s avoir �teint la musique se pla�a pr�s du matelas interpella C. � h� trou � bites, Djibril mon ami me dit que tu ne l�as pas bien trait� �. � Si ma�tre, mais mon cul est tellement ouvert et tellement rempli de pr�cieux jus noir qu�il n�a peut-�tre pas bien senti la p�n�tration, mais moi je l�ai bien senti m�inonder jusqu�aux intestins, je n�ai rien pu faire pour le retenir, c�est lui qui allait � mister rythme � r�pondit C. � Alors tu dis que mon ami est un menteur ?� hurla Mamadou. Tous les noirs pr�sents dans la pi�ce suivant l��change avec attention. � Non ma�tre votre ami n�est pas un menteur � r�pondit C. d�une voix terroris�e. � Alors il y a forc�ment un menteur entre vous deux et si ce n�est pas Djibril mon ami, c�est donc toi la menteuse et une menteuse il faut lui faire passer l�envie de mentir� rigola Mamadou. � Oui ma�tre je suis une menteuse, je n�est pas pris soin de votre ami, je dois �tre punie pour cela et pour mon menmisterge � sanglota C. Elle savait ce que cela voulait dire, Mamadou allait lui faire subir une s�ance de cravache devant ce public 100% black et allait lui faire regretter mister manquement de tout � l�heure de ne pas avoir dit � mister mari qu�elle irait tapiner pour lui en h�tel de passe au S�n�gal. Elle senti un immense bonheur l�envahir, en pensant que mister ma�tre allait l�humilier devant ce public de choix � qui elle allait prouver mister total asservissement. � Viens ici � lui dit Mamadou qui s ��tait plac� � quelques pas du matelas. C. qui �tait toujours � quatre pattes sur le matelas se relava avec difficult� sans pouvoir se servir de ses mains, puis pr�c�d�e de Maina qui filmait la sc�ne, marcha jusqu�� mister ma�tre et s�immobilisa � un m�tre de lui, la t�te baiss�e. Le premier coup de cravache lui cingla les seins et elle tressailli de douleur. � Qu�est ce qu�on dit � lui demanda Mamadou en s�approchant d�elle � merci ma�tre � r�pondit-elle d�un sanglot. Le sifflement de la fine cravache retentit de nouveau et C. poussa un nouveau cri de douleur, mister ventre venait d��tre balafr� de l�aine jusqu�� la taille. Avec application Mamadou lui ass�na alors une vingtaine de coups de cravache dont le sifflement avant de s�abattre prouvait la power et la violence avec laquelle ils les appliquaient dans un but �vident, la marquer, la balafrer sauvagement et lui faire mal. La correction termin�e Mamadou s�approcha de mister visage et lui dit � montres � mes amis comme tu es une belle chienne qui ne mentira plus et qui vas encore mieux leur vider les couilles maintenant, allez montres-toi �. C. commen�a � tourner sur elle m�me pour bien montrer � l�assistance mister corps couvert de balafres rouge vif puis se mit � genoux puis se coucha sur le dos sur le carrelage glac� afin de bien montrer que sa fente cadenass�e n�avait pas �t� �pargn�e par les coups. Son regard de chienne lubrique allait de l�assistance � la cam�ra en m�me temps qu�elle prenait les poses, elle ne ressentait plus qu�une sourde douleur de mister corps tout entier la mettant dans un �tat, qui dans mister esprit d�prav� ressemblait � du bonheur. Puis Mamadou lui intima l�ordre de se remettre en position de saillie sur le matelas et remis la musique.

Et le d�fil� des membres d��b�ne et des couilles de taureau repris. Tr�s souvent apr�s avoir d�charg�, les blacks lui mettaient leur queue dans la bouche pour qu�elle la nettoie et elle se trouvait avec deux bites en bouche, ceux qu�elle devait nettoyer et ceux qu�elle mettait en condition qu�elle l�chait et su�ait avec application tout en continuant � se faire d�molir le cul. Malgr� cela, certains se plaignaient � Mamadou de la pi�tre qualit� de sa prestation. Alors il allait vers elle et lui ass�nait de nouveau soit un, soit trois violents coups de cravache n�oubliant aucune partie de mister corps. Cela faisait maintenant plus d'une heure que mister trou du cul servait de vide-couilles, elle avait d� �tre prise par plus de trente noirs et ils en restait encore presque autant. Les p�n�trations devenaient de plus en plus douloureuse d�autant que certains �taient mont�s comme des taureaux et elle avait l�impression d��tre ouverte en deux quand ils l�enculaient sans m�nagement, mais elle baignait dans une sorte de b�atitude perverse, cette douleur �tant source de plaisir. Son cul d�gorgeait le sperme, et � chaque va et vient des queues qui la p�n�traient il �mettait un bruit de clapotis d� � tout le foutre qu'il contenait ce qui n�cessitait que Mamadou lui demande r�guli�rement de se vidanger les entrailles donnant � C. un moment de pur extase car une occasion de prouver � l�assistance mister statut d�esclave sexuelle soumise � la domination noire. D�s que mister ma�tre le lui ordonnait elle se levait, marchait pour aller de l�autre cot� de la pi�ce devant le groupe de blacks qui attendait leur tour de la sauter, et tout en regardant d�un oeil lubrique bien en face la cam�ra qui la pr�c�dait et les blacks du groupe, se mettait accroupie au dessus d�une �cuelle que mister ma�tre avait plac� l�. Le foutre s'�coulait de mister trou du cul pour s��goutter en longs filaments qui s��tiraient pour finir dans l��cuelle, formant une petite mare de semence blanch�tre. Cette vision de C., cette bourgeoise blonde mature accroupie les mains menott�es dans le dos, juch�e sur ses mules � talons vertigineux, mister collier de chien au cou, sa cha�ne autour de la taille et ses cha�nes aux chevilles, avec les anneaux pendant � ses mamelles, les cadenas pendant � sa chatte, le corps massacr� � la cravache et couvert de grandes balafres, qui arborait un sourire ultra d�prav�e soit � la cam�ra soit au groupe de noirs �tait le signe inou� de l�acceptation de sa totale d�pravation et de sa soumission absolue � mister ma�tre, mister dieu noir.
cpltrio1

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#17
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blackmarc
merci . Heureusement que ce n'est qu'une histoire!
cocu1

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#18
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superbe histoire, tres bonnes descriptions des scenes...nous attendons la suite
Sabine bcbg

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#19
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J'aime l'image de cette femme �pil�e, annel�e, totalement asservie.... vite la suite.
Sab
Virgill

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#20
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G�nail. MERCI ENCORE pleas Bravo
blackmarc

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#21
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Cette inoubliable soir�e qu'a v�cu C. la pute � blacks exclave sexuelle de Mamdou continue...(toujours tr�s hard) :

Il�interrogeait � qu�est ce que tu dois faire vieille pute, dis-le � mes amis �, � je dois me nettoyer le cul pour que vos amis aient plus de plaisir � m�enculer, parce que si mon trou de vieille salope soumise est trop sperm� vos amis sentent moins leur queue me ramoner � r�pondait-elle en regardant alternativement mister ma�tre, la cam�ra et le groupe de noirs � mais je ne dois rien perdre de ce pr�cieux liquide qui m�inonde les entrailles pour que je puisse me d�lecter en le d�gustant et sans en perdre une goutte � Cela dit, elle devait pousser comme pour d�f�quer pour expulser plus vite le jus de couilles de ses entrailles et cette contraction des muscles entra�nait quelquefois un petit �coulement d�urine de sa fente qui venait s�ajouter au foutre accumul� dans l��cuelle. Puis Mamadou prenait l��cuelle, la mettait � hauteur de mister visage et y trempait une paille qu�il lui glissait dans la bouche. Bien que les filaments de couleur marron qu�elle y voyait lui indiquait qu�elle avalait un peu de ses propres excr�ments C. aspirait le foutre m�lang� � l�urine, marquait une pause, ouvrait grand la bouche afin de montrer � la cam�ra et � l�assistance la quantit� de sperme aspir� et avalait d�un long d�glutissement tout le contenu de sa bouche avant de r�aspirer de nouveau � la paille ce qui restait dans l��cuelle. Quand l��cuelle �tait presque vide et que l�aspiration ne permettait plus de r�cup�rer la moindre goutte de ce qu�elle consid�rait comme le plus d�licieux des nectars, elle lapait les r�sidus de foutre jusqu�� que le r�cipient soit parfaitement vide. Mamadou terminait le nettoyage du mister trou du cul avec une cuill�re � soupe qu�il utilisait en raclant ses parois anales tant externes qu�internes en faisant bien p�n�trer et tourner la cuill�re dans mister trou b�ant. Il r�cup�rait ainsi un peu de jus de ses fr�res blacks et pr�sentait la cuill�re � la bouche de C. qui s�empressait de la l�cher jusqu�� la rendre parfaitement propre. Cela fait elle se relevait et comme la bonne pute d�abattage qu�elle �tait, elle retournait se mettre en position pr�te � accueillir les prochaines queues d��b�ne et leur pr�cieux jus jusqu�au prochain vidage. Maina qui au travers de l�objectif de la cam�ra ne perdait pas une miette du spectacle, �tait sid�r�. Il arrivait que des soumises viennent en gang-bang dans le foyer mais jamais il n�avait vu une femelle telle que C. avec un avilissement aussi total, une d�pravation autant visible avec une tendance au masochisme aussi prononc�e. Tout dans cette salope rappelait sa v�n�ration du m�le black, sa condition de pute � blacks soumise, mister bonheur dans sa d�ch�ance. Afin d�ajouter encore � la qualit� du film, il eut une id�e et se procura une glace de taille moyenne qu�il glissa sous l��cuelle. De cette mani�re, lorsque C. revint � plusieurs reprises d�gorger mister fion innond� de jus de couilles blacks, il put gr�ce au reflet de la glace faire un plan plongeant sur le visage de la truie recouverte de sperme tout en ayant une vue imprenable sur mister trou du cul distendu laissant �chapper la semence accumul�e.

La soir�e touchait � sa fin, le dernier black venait d��jaculer directement dans sa bouche, mais beaucoup de r�sidents �taient rest�s apr�s leur tour pour voir ce spectacle unique de cette femelle blanche qui n�avait plus ni fiert� ni amour propre et qui prenait un tel plaisir dans sa d�gradation publique. Le matelas �tait forc�ment beaucoup tach� de foutre frais et Mamadou s�adressa � C. � tu nettoie avant de partir � dit�il en montrant d�un geste large le matelas d�vast�. C. qui d�goulinait de foutre de la t�te aux pieds se mit � l�cher consciencieusement le tissu crasseux et puant afin de r�cup�rer le maximum du pr�cieux liquide s�minal, Maina filmant en gros plan et en plan plus large cette ultime offense de C. qui avalait ses derniers centilitres de foutre. Quelques minutes plus tard, alors que Mamadou discutait dans un coin avec deux des colosses Kossi et Moussa, C. qui avait termin� mister immonde nettoyage vint se placer pr�s de lui t�te baiss�e � j�ai fini ma�tre � dit-elle. � Bon tu vas m�attendre sur le parking, mes amis m�offrent une bi�re, j�arrive tout � l�heure et je te ram�ne � ton cocu � r�pondit Mamadou. C. avait l�habitude de ces fins de soir�e, il �tait pr�s de 1 heure du matin, tout � l�heure elle devait se lever � 5h30 pour se pr�parer � faire l�ouverture d�s 6h30 chez Abdoulaye, ou plut�t s�exhiber et se faire tripoter pendant 12 heures dans un bouge mal fam�. Et mister ma�tre prenait bien mister temps, l�envoyait l�attendre probablement � heure � d�heure dans un froid de canard avant de la d�poser pr�s de chez elle. Enti�rement nue et couverte de sperme, uniquement juch�e sur ses mules vertigineuses elle fut pris en charge par un groupe de blacks qui se propos�rent de la conduire au parking, ce que Mamadou accepta. Il prirent un malin plaisir � la mener par des chemins tr�s d�tourn�s et durant tout le long trajet dans les couloirs du foyer elle fut tripot�e, doigt�e et pu montrer avec fiert� les anneaux qui transper�aient ses chaires, dans ses mamelons, aux l�vres de mister sexe et � mister clitoris et qui intriguaient beaucoup ses guides. Quelques minutes plus tard elle faisait les cent pas les pieds dans la neige devant la voiture de Mamadou pour se r�chauffer autant qu�elle le pouvait en l�attendant et bien que le froid att�nuait la br�lure des balafres de la cravache.
Gil Nobody

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#22
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blackmarc
F�licitations ! Un bien beau r�cit !
kaplan

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#23
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superbe, on attend la suite avec impatience, encore merci je suis preneur de toute histoire de dressage de blanches par black ou arabes.
freakland

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#24
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Y a t-il une suite � cette histoire, comme par exemple, ce qui ce passe au S�n�gal ???

Quoi qu'il en soit, j'ai beaucoup aim� votre histoire. Merci!
Al1fantasy

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#25
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blackmarc
Je n'avais pas encore vu cette histoire.

Ouch !
La dose est forte mais j'aime beaucoup et c'est bien �crit, bravo ! ;)

"C." n'aurait pas une petite ni�ce ou cousine, tr�s jeune, ou une grande fille peut-�tre ?
encule

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#26 · Edited by: encule
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Une histoire avec C comme 1er r�le....
soumis8

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#27
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soumis8

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#28
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soumis8

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#29
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Texte sympa mais tapé au kilomètre, cela ne facilite pas la lecture, lol!
soumis8

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#30 
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C'est vrai qu'une suite, dix ans plus tard, il est normal que la mémoire s'étiole, lol!
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histoire
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