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Un petit feuilleton, pour les vacances ?

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paco2244

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#1
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Il fait un temps de cochon, alors je me suis dit "Pourquoi ne pas laisser le cochon en question, puisqu'il est réveillé, divaguer et faire courir sa plume virtuelle sur la page blanche numérique de mister PC ?"

Qui sait, il y en aura peut-être certains à qui ça plaira. Bonne lecture, et n'hésitez pas à formuler vos critiques ou suggestions, voire à proposer de judicieuses illustrations.


Chapitre Wahèd (ça veut dire Un, en arabe : comme c'est le ramadan, je me suis dit qua ça s'imposait !!)

Carole m’attendait à l’aéroport. Campée au milieu du hall d’arrivée, perchée sur des sandalettes à brides aux semelles compensées et talons aiguille vertigineux : pas moins de 16 centimètres. Ça, c’était pour la partie qu’on pouvait qualifier de plus décente de sa tenue. Pour le reste, elle était « vêtue » d’une longue robe en maille ultrafine rose vif, moulante comme un gant, qui épousait les galbes de mister corps bronzé jusque dans le moindre détail. Des détails que nul ne pouvait ignorer puisque, placée comme elle l’était, à contre-jour des rayons du soleil déclinant tombant des grandes baies de la verrière, il était parfaitement visible que, à part une chaine dorée ceinturant sa taille, elle ne portait absolument rien sous sa robe. Même les coussinets ventrus et la découpe des longues lèvres de sa chatte se distinguaient nettement en transparence !
Pour autant, elle ne paraissait nullement gênée de s’exhiber ainsi, me cherchant du regard dans la foule des arrivants sans s’émouvoir des hommes qui tournaient autour d’elle, en !a dévorant littéralement de leurs yeux brillants de convoitise. Lorsqu’elle m’aperçut, un sourire étira sa bouche dont je remarquai à cet instant comme elle était lourdement patinée, d’un rose à effet luisant assorti à la teinte de mister vêtement et de ses chaussures. Ses paupières, elles aussi, étaient très maquillées, et de longs cils, certainement faux et chargés de mascara, faisaient ressortir l’émeraude de ses prunelles. Quant à sa chevelure, considérablement raccourcie et permanentée, elle formait autour de mister visage un casque d’une blondeur telle que j’avais bien failli, alors qu’elle m’avait pourtant prévenu de cette décoloration de mister châtain foncé naturel, ne pas la reconnaître.
J’avais laissé partir de Paris une charmante jeune femme, délicieusement mais raimisternablement sexy, et je retrouvai trois mois après, dans le Sud de la France, une véritable bombe sexuelle, totalement impudique et incroyablement provocante, à qui il ne manquait plus qu’une paire de seins siliconés au format XXL pour ressembler à une actrice américaine de films pornos.
- Tu as envie de moi ? Tu veux que je te suce ?
Déjà, dans l’aéroport, Carole était venue se précipiter dans mes bras et m’avait roulé en public une pelle à faire bander un octogénaire en soins palliatifs, tout en frottant mister bas-ventre contre le mien comme une guenon en rut. Je n’avais dû qu’à un sursaut de lucidité et à mon self-control légendaire de nous éviter un passage par le commissariat pour outrage aux bonnes mœurs.
Et dans le parking, à peine installés au volant du cabriolet que lui avait loué Charles-Henry, une fort peu discrète Porsche rouge, elle s’était jetée sur moi, sa main sur mon entrejambe me massant à travers la toile du jean. Comment avoir le cœur de refuser devant tant de bonne volonté ?
De toute manière, quand bien même aurais-je imaginé le faire qu’il était déjà trop tard : en un tournemain, Carole avait défait le zip de ma braguette et, tout en s’agenouillant sur mister siège, le cul levé en l’air, avait extraite ma queue de mon caleçon pour l’emboucher jusqu’à la racine.
Ses talents de suceuse, j’étais bien placé pour les connaître puisque c’était moi qui lui avais appris, entre autres choses, comment s’y prendre pour donner un maximum de plaisir de cette manière à un homme. Pour autant, elle réussit à me surprendre : jamais elle ne m’avait pris aussi loin dans sa gorge, jouant de la glotte en la serrant sur mon gland tout en m’aspirant comme une pieuvre affamée et trouvant le moyen, en prime, de me titiller les couilles du bout de sa langue. La sensation était divine, arrivant presque à me faire oublier le lieu où nous nous trouvions et le risque, présent à chaque seconde, de voir débouler des permisternes en quête de leur véhicule garé non loin.
Un risque que Carole semblait complètement ignorer : à un moment, elle tira d’elle-même sur le tissu de sa robe, la faisant remonter sur ses hanches pour m’exhiber mister cul nu, rond et doré comme des brioches sortant du four. Je ne pus me retenir d’y poser la main, pétrissant la chair brûlante de ses miches. D’évidence, ma Belle avait, littéralement, le feu au cul. Me relâchant quelques instants, elle me demanda d’une voix rauque et mourante, alors que la bave lui coulait du menton :
- Mets-moi tes doigts dans le cul : je suce mieux quand j’ai le cul plein…
J’ignorais qui lui avait dit ça, mais ça méritait vérification. A tâtons, j’envoyai mes phalanges à la recherche de mister petit trou. Lorsque je l’atteignis, j’eus la surprise de trouver celui-ci déjà ouvert, palpitant, et n’eus aucun mal à y faire pénétrer mon majeur, bientôt suivi de mon index. Je sentais ses sphincters dont on aurait qu’ils aspiraient réellement mes doigts, afin de les emmener encore plus profond dans mister boyau. Ca non plus, elle ne me l’avait encore jamais fait, mais ça semblait diablement efficace : sa bouche s’était transformée en pompe à haute pression en surrégime dont le seul but paraissait être de détacher ma bite de mon ventre.
Impossible de résister longtemps à un tel traitement : en quelques secondes de celui-ci, elle réussit à déclencher une éjaculation accompagnée d’un orgasme d’une violence rare, qui me firent décoller les reins du siège pour m’arc-bouter en avant, le corps cambré et tendu au maximum. Alors que je m’enfonçais dans sa gorge bien au-delà du point censé provoquer des nausées fatales, elle ne broncha même pas ni ne se recula. Bien au contraire, elle saisit ma main libre et la guida pour qu’elle s’empare de sa nuque et écrase mister visage contre mon ventre, ne laissant aucun millimètre de mon membre hors du gouffre onctueux de sa cavité buccale. Je me vidai en longs jets saccadés, directement dans mister œsophage, qu’elle avala sans même broncher ou gémir.
Lorsque, anéanti par le foudroyant plaisir qu’elle venait de me donner, je réussis péniblement à ouvrir les yeux et, à demi-comateux, les lever vers elle, je la découvris assise à genoux sur mister siège, me fixant de mister regard brillant où pas même une de ces larmes qui accompagnent normalement un haut-le-cœur n’avait perlé. Elle se pourléchait les babines avec un air gourmand et satisfait, passant mister index aux coins de ses lèvres avant de le sucer, comme si elle voulait être sûre de ne rien risquer perdre de ce que je lui avais donné de moi. Un geste bien inutile vu l’endroit où je m’étais répandu, mais qui n’avait pour unique but, je le compris à cet instant, que d’offrir une image d’elle qui me donne toute la dimension du plaisir qui était le sien à m’avoir fait jouir de la sorte. L’image du vice permisternifié.
Elle m’avait tellement épuisé avec cette pipe infernale qu’elle dut prendre le volant : je ne me sentais pas en état d’assurer une conduite sûre. Sur le trajet, alors que nous approchions de notre destination, la villa de Karen et Charles-Henry, et que mes powers revenaient, je pris soudain conscience de n’avoir même pas eu la galanterie de lui proposer de faire une halte dans un des sous-bois des pinèdes que nous avions traversées. Afin que je lui rende au moins un peu, à ma manière, du plaisir qu’elle m’avait offert. Je m’en excusai. Sa réponse me laissa sans voix :
- T’inquiètes, mon chéri, je ne suis pas en retard de jouissance. Et puis, quand on va arriver, Charles-Edouard va me baiser. Devant toi. Comme ça tu vas voir comme il me défonce bien la chatte et le cul, avec sa grosse bite. Je suis sûre que c’est un spectacle qui va beaucoup te plaire…
Je l’ignorais encore, mais je m’apprêtais à passer 15 jours de vacances au milieu d’une tribu de bonobos. 15 jours durant lesquels ma vie allait basculer.
machineareve

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#2
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ah ben en voilà une bonne idée, paske plus belle la vie en redifff....fffft

tiens, un petit cadeau pour paco...un petit,film muet...mais tellement explicite.. ou le meilleur est dans ce qu'on ne voit pas : entre, avant, après.
il est homme à apprécier la délicatesse de tout ça...

http://youcuck.com/videos/wife-comes-home-used/
machineareve
paco2244

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#3
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machineareve:
il est homme à apprécier la délicatesse de tout ça...

Merci. Très joli cadeau, indéniablement.
paco2244

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#4
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Aucune réaction. Dossier classé sans suite.
soumis8

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#5 · Edited by: soumis8
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.....................................
boissenart

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#6
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S' ETAIS L'EPOQUE OU PACO SE PRENAIT POUR HUGO...😂😂😂
paco2244

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#7
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C'est vrai que ça aurait pu être mieux... Par exemple en utilisant la syntaxe et les majuscules de mon cher Boissenart !!
boissenart

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#8
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SE CHER PACO LE VOILA REVENU VERT D'AGRÉABLE SENTIMENT. 😊😊😊😊
soumis8

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#9
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Vous remarquerez que mes petits "up" paraissent naturels, tant vous reprenez langue de manière habituelle, lol!!!!
boissenart

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#10
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OUI SA ME RAPPELLE LA TRILOGIE, A SAVOIR: MARIUS, CESAR ET LE CUL DE FANNY. SA RESTE TOUJOURS UNE HISTOIRE DE CU BIEN SUR. ENFIN S'ET JUSTE MON AVIS.
paco2244

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#11
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Il me fend le cœur, voire même parfois me troue le cul, Boiboi !!
boissenart

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#12
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ET ESCARETEFIGUE.
J"AI PAS DIS ECARTE TA FIGUE HEIN..
😄😄😄
soumis8

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#13 · Edited by: soumis8
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Salut Paco!!!, ce petit up était une façon de prendre de tes nouvelles et te saluer, et voilà que tu te perds dans les méandres de la Boissenardise!
Comment vas tu?

Alors cet apéro, tu l'organise quand?
boissenart

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#14
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OH BEN TU SAIT PEUCHERE, PACO Y VA BIEN, IL ET COMME MONSIEUR BRUN, Y RESTE A L'AFFUT. 😑😑
ENFIN S'ET JUSTE MON AVIS
soumis8

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#15
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soumis8:
Alors cet apéro, tu l'organise quand?

c'était une promesse de l'an dernier à la même époque, lol!!!!!!
boissenart

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#16 
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A MON AVIS TU SERA MORT DE SOIF AVANT. EN ATTENDANT JE TE CONSEILLES PLUTOT UN GRAND VERRE DE PASTIS OU D'ANNISETTE.
ENFIN S'ET JUSTE MON AVIS HEIN. 😤😤😤
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Un petit feuilleton, pour les vacances ?
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