LOPETTE
Member
Posts: 319
|
Pour changer, une petite histoire de mari cocu et humili? aujourd'hui.
Qu'en pensez-vous ?
LOPETTE
Cela faisait d?jà quelques minutes que j’observais ma femme d?tailler sa tenue devant le miroir.
Il faut dire que la chose ?tait d’importance puisqu’elle choisissait la lingerie fine qu’elle allait porter au cours de la soir?e.
Allait-elle jouer le classicisme avec l’ensemble soutien gorge à balconnets, string, porte-jarretelles de dentelle noire et bas de soie assortis qu’elle portait actuellement ou bien adopter un look r?solument branch? en arborant le même ensemble tout en cuir rouge qu’elle venait de quitter ?
Assis au pied du lit, j’?tais fascin? par la sensualit? de ses poses et l’?l?gance de ses formes.
Soudain elle croisa mon regard dans le miroir et se retournant me lan?a :
« Qu’est-ce que tu regardes comme ?a avec un air aussi stupide ? »
« Je…je vous trouve très belle et très d?sirable Ma?tresse » bredouillais-je en rougissant.
« Mon petit mari me trouve d?sirable ? » s’?tonna-t-elle avec un sourire narquois dans la voix.
« Voilà qui est plaisant… mais un peu d?plac?. Oublie vite cette chimère car, avec ce que tu as dans le pantalon, ce n’est vraiment pas dans tes moyens b?b?. »
« Approche-toi maintenant ! » m’ordonna-t-elle en se tournant vers moi.
J’obtemp?rai imm?diatement, mais à peine arriv? à sa hauteur, elle me gifla sèchement.
« De quel droit oses-tu poser ton regard bovin sur moi ?! Combien de fois t’ai-je d?jà dit de baisser les yeux en ma pr?sence, lopette ?! R?ponds !! »
« Je ne dois pas lever les yeux plus haut que vos chevilles, car mon regard est une souillure pour votre corps Ma?tresse » r?citai-je d’un ton larmoyant en m’agenouillant à ses pieds.
« Il ne suffit pas de savoir ta le?on par coeur, pauvre cr?tin. Tu dois te conformer à mes ordres et ne pas me faire perdre mon temps à r?p?ter 10 fois la même chose. Maintenant rends toi utile et aligne la couture de mes bas pour qu’elle soit droite » me dit-elle en me tournant le dos pour se regarder à nouveau dans le miroir.
Je m’attachais imm?diatement à ex?cuter la t?che d’importance qu’elle venait de me confier. Elle se devait en effet d’être irr?prochable pour sortir avec Franck, mon ex meilleur ami, car c’?tait un amant hors pair qu’elle avait à cœur d’?moustiller au maximum pour en tirer le meilleur parti.
A ses pieds je n’?tais qu’un instrument au service de sa beaut? et elle ne pensait d?jà plus qu’à la soir?e qui s’annon?ait pleine de promesses. Très excit? par le contact de ses jambes sous mes mains j’eu soudain une bouff?e de chaleur et, pris de folie, je baisais passionn?ment la couture de ses bas. Mal m’en pris puisque aussit?t elle me remit à ma place d’une seconde gifle fermement appliqu?e.
« Espèce de sale petit vicieux ! Tu ne sais d?cid?ment pas te tenir avec les dames. Pour plus de sûret? je vais t’attacher avec le collier de chien » dit-elle en me saisissant par les cheveux d’une main et en sortant, de l’autre main du tiroir de sa psych?, le nouveau collier de cuir qu’elle m’avait achet? dans une naturalerie la semaine pr?c?dente.
« En plus ?a te fait bander petit pervers » dit-elle en ?crasant de la pointe du talon aiguille de mister escarpin la bosse qui d?formait la braguette de mon pantalon.
« Je vois que le collier de chien ne suffira pas ce soir. C’est la panoplie complète du parfait petit mari qu’il va te falloir porter » soupira-t-elle. « Allez, mets toi à poil gros cochon et enfile ton ?quipement de contention. »
Sans me relever et toujours les yeux baiss?s je me contorsionnais à terre pour retirer mes vêtements et m’harnacher du collier de chien et d’un ?tui p?nien à mes maigres mesures, les 2 reli?s par une cha?nette dont la longueur, judicieusement ?tudi?e, m’obligeait à courber la tête en permanence.
« Voilà qui est mieux » dit-elle d’un air ravi en me voyant soumis à ses pieds, la tête baiss?e. Elle approcha une chaise et s’assit en posant mister pied sur mon dos toujours chauss?e de ses escarpins vernis à talons aiguilles.
« Cela fait combien de temps que je te dresse ?… » r?fl?chit-elle à haute voix.
« …d?jà 6 mois ! » dit-elle avec satisfaction « …et je dois dire que, malgr? de nombreuses insuffisances, que nous r?glerons rapidement, tu as de r?elles dispositions pour la soumission au pouvoir des femmes mon b?b?.
« Tu supportes de mieux en mieux les coups que je t’accorde g?n?reusement, tu accomplis sans rechigner toutes les corv?es m?nagères que je te confie, tu deviens un habilleur, un manucure et un masseur tout à fait acceptables et tu subis sans rechigner toutes les offenses qu’il me plait de t’infliger.
« Même les petites soir?es de dressage, au cours desquelles mes amants te montrent comment honorer dignement ta femme ador?e, ne n?cessitent plus les s?vères corrections des premières s?ances.
« Une seule ombre au tableau : ces d?testables pulsions sexuelles, comme celle de ce soir, qui g?chent une si belle docilit?. A d?faut d’une ceinture de chastet?, cet ?tui p?nien a d?jà bien contenu ces inconvenances trop fr?quentes à mon goût. Mais je crois bien que ?a ne suffit plus.
« Tu sais que je ne voulais pas en venir à une solution d?finitive b?b?, mais je m’interroge de plus en plus sur l’avantage de te ch?trer. »
A ces mots j’eu un sursaut accompagn? d’un g?missement de supplication qu’elle r?prima imm?diatement d’un coup sec du talon sur ma nuque.
« J’y vois beaucoup d’int?rêts » continua-t-elle.
« Au lieu de te tenir en abstinence de jouissance sur de longues p?riodes comme je le fais actuellement, et de te faire jouir uniquement de fa?on humiliante quand l’envie m’en prend, tu serais d?finitivement lib?r? de ces contraintes et moi de la n?cessit? de te corriger s?vèrement à chaque d?rapage !
« Plus de corrections à la cravache sur la verge lorsque tu as souill? ton ?tui p?nien pendant une s?ance de dressage !
« Tu serais moins ridicule lorsque je te travesti en soubrette pour amuser mes amies lors de nos petites soir?es entre copines !
« Et puis, avoue que ce ne serait pas une grande perte pour la gente f?minine que de voir dispara?tre une chose aussi insignifiante ! »
Cette fois je fus pris de tremblements convulsifs à l’?vocation du traitement que ma femme me r?servait. Mais, là encore, un coup sec de mister talon dans ma nuque vint imm?diatement calmer cette manifestation inconvenante.
« Allons, calme-toi » dit-elle d’un ton amus?, « tu fais toute une histoire de pas grand-chose. Je n’ai pas encore pris ma d?cision. Et puis tout d?pendra de ton attitude mon b?b?. Prends sur toi et peut-être sauveras-tu le pauvre vermicelle inutile qui s’?tiole dans ton pantalon. »
Sur ces mots elle l?cha la pression de ses talons et m’envoya lui chercher sa robe de soir?e noire à fines bretelles et g?n?reux d?collet? et ses escarpins de velours noir si pointus et si hauts.
Sur ses ordres je lui passai aux pieds et elle tourna les talons pour se diriger vers le vestibule non sans avoir d?licatement d?pos? quelques gouttes de mister capiteux parfum aux endroits intimes de mister corps.
« Bien sûr je ne rentre pas ce soir. » me dit-elle d’un ton badin en enfilant un bol?ro de cuir noir sur ses ?paules d?nud?es.
« Mais je t’ai laiss? suffisamment de travail pour que tu ne restes pas à ne rien faire. Tu devras notamment laver ma lingerie fine et je te rappelle que j’exige que tu le fasses à la main.
« Et surtout ne t’excite pas sur mes culottes comme la dernière fois… » dit-elle d’un ton s?vère en me tirant l’oreille,
« …car tu sais à quel point, lorsque je suis en colère, je peux être… cruelle ! » et sur ce dernier mot, elle m’envoya violemment mister genoux dans les testicules, me pliant en deux de douleur.
« Allons, allons b?b?… » soupira-t-elle d’un air las, « …pour quelqu’un qui n’a rien dans le slip, tu fais bien des manières pour un petit coup de genoux pr?ventif.»
« Viens baiser humblement mon genoux pour me remercier de la le?on et mets toi au travail maintenant. »
Je m’ex?cutais avec peine, la douleur me transper?ant le bas ventre, et d?posais un baiser fi?vreux sur la soie de mister bas. Ravie de l’efficacit? de mister geste et de ma docilit?, elle se dirigea vers la porte de sortie, puis se ravisa et se retournant vers moi me lan?a :
« Finalement, ce d?but de soir?e m’a beaucoup divertie et tu as bien m?rit? une petite r?compense mon b?b? »
Disant cela, elle souleva sa robe et, avec un d?hanchement très suggestif, fit glisser, le long de ses jambes gain?es de soie, mister string de dentelle noire, puis vint le d?poser n?gligemment sur ma tête en ajoutant :
« Tu m’as fait mouiller abondamment, sale garnement. Je t’autorise à le humer à ta guise avant de le laver. Et puis, de toutes fa?ons, je n’en ai pas vraiment besoin pour ce que j’ai à faire avec Franck ce soir. »
« Et si tu as ?t? sage en mon absence, à mon retour, tu pourras nettoyer avec ta langue la semence que Franck aura d?pos?e dans mon puit d’amour. Alors, si tu veux le m?riter, tu sais ce qu’il te reste à faire b?b? ? »
Sur ces mots, elle ?clata de rire et franchit la porte d’entr?e laissant derrière elle des volutes de parfum et une grotesque lopette pli?e en deux de douleur et d’offense.
A SUIVRE ?
|
